stérieur. Les pédoncules cérébraux (PP) sont deux grosses masses de
faisceaux
nerveux dirigés de dedans en dehors, d'arrière en
pyramide de Sœmmering est traversée d'avant en arrière par les petits
faisceaux
rayonnants du nerf olfactif; ces faisceaux radicu
en arrière par les petits faisceaux rayonnants du nerf olfactif; ces
faisceaux
radiculaires se perdent eux-mêmes dans la substan
l'espace perforé; mais elle s'enfonce, en avant et en haut, entre les
faisceaux
de fibres du nerf olfactif, qui représentent, ain
1. Il s'en faut que la bandelette diagonale consiste toujours en un
faisceau
régulier, rubanné comme celui qui est indiqué sur
transversalement dans toute la largeur du quadrilatère, au devant du
faisceau
principal (psp). 2° Le tractus transversus pedu
al (psp). 2° Le tractus transversus pedunculi (Gudden) est un petit
faisceau
superficiel du pied du pédoncule qui se dirige, a
Le tractus transversus pedunculi a été décrit par Féré sous le nom de
faisceau
en e'charpe ou d'avant-pont ; il est rare que cet
re que cette variété anato- Schéma 5. TP, le Iraclus pedunculi ou
faisceau
en écharpe croise obliquement les fibres du pédon
e pathologique : dans les cas de lésion hémisphérique antérieure, les
faisceaux
internes du pédoncule, susceptibles de dégénérati
int une certaine largeur. Il n'est pas exceptionnel, en effet, que ce
faisceau
s'étale à la surface du pied sous la forme de ban
plus évidentes. Dans ce cas, les bandes obliques qui constituaient le
faisceau
en écharpe (TP) ne passaient pas avec les fibres
us. BO, bandelette optique; TP, tractus transversus pedunculi, ou
faisceau
en écharpe;' GE, corps genouillé externe. Sch
l'aspect extérieur du tractus ¦pedunculi; les rapports profonds de ce
faisceau
seront étudiés ultérieurement (voy. pl. XXllI, fi
enium (SPL) on voit s'avancer d'arrière en avant et de haut en bas un
faisceau
régulièrement cylindrique en apparence, mais qui
les dont l'ensemble appartient au ruban de Reil. Le ruban de Reil, ou
faisceau
triangulaire de l'isthme, est la couche superfici
abénule et à la glande pinéale. CA. La commissure antérieure est un
faisceau
transversal, compact, divisé sur la ligne médiane
om de pédoncule antérieur du corps calleux. Or, il est certain que le
faisceau
blanc étudié par Vicq d'Azyr n'émerge pas du bec
eptum, a donné une description remarquablement exacte du trajet de ce
faisceau
dans l'étendue du quadrilatère. En raison de sa d
les plus précoces répondent, dans la profondeur de l'hémisphère, aux
faisceaux
de substance blanche dont le développement s'achè
si l'on veut arriver à la détermination exacte du trajet de certains
faisceaux
. Mais, dans la pratique, il est infiniment préfér
iologiques, par exemple, basées sur les lois de la dégénérescence des
faisceaux
, les méthodes embryologiques, basées sur les lois
e de l'hémisphère. Mais, de sa partie moyenne, on voit partir un gros
faisceau
(FOm) dirigé en arrière et en bas, et qui constit
fimbria (Fl). Les fibres du trigone se confondent, en dehors avec les
faisceaux
les plus externes et les plus inférieurs du corps
ontrer la réflexion du trigone sous le corps calleux, au moment où ce
faisceau
(le trigone) devient la fimbria. Cette coupe est
ormer la tubérosité du splenium (SPL). Au-dessous du corps calleux le
faisceau
du trigone (TRI) quille la paroi inférieure du co
Om). Immédiatement au-dessous, la tubérosité du splenium émet un gros
faisceau
dirigé obliquement en bas 1. Quelques auteurs r
mmédia- ' ment en dehors et au contact du fascia dentata (Fd), est un
faisceau
homogène, prismatique ou rubanné suivant les suje
entamées par le couteau, qui n'appartiennent pas à l'écorce. FM. Le
faisceau
de Turck-Meynert est la portion la plus posté rie
ation dans l'hémisphère à la face inférieure de la couche optique. Le
faisceau
de Tiïrck-Meynert s'enfonce au-dessous et en avan
corps genouillé externe, qu'il masque sur cette préparation. FP. Le
faisceau
pyramidal est la portion moyenne du pied du pédon
lentifor-mis (DL), sous-jacent lui-môme à la couche optique. FG. Le
faisceau
géniculé est la moitié postérieure du tiers antér
iculaire est la moitié antérieure du tiers antérieur du pédoncule. Ce
faisceau
s'enfonce dans l'hémisphère, comme le faisceau gé
rieur du pédoncule. Ce faisceau s'enfonce dans l'hémisphère, comme le
faisceau
géniculé, d'arrière en avant et de dedans en deho
rebrousse chemin en partie, se porte en dehors et en arrière sous le
faisceau
géniculé. IS. Le stratum intermedium, de couleu
eau géniculé. IS. Le stratum intermedium, de couleur foncée, est un
faisceau
qui traverse une masse pigmentée, le locus niger
igmentée, le locus niger de Sœmmering. Il est intermédiaire entre les
faisceaux
du pédoncule qui viennent d'être énumérés et la c
s calleux, pour se mélanger aux fibres propres de ce lobe. On voit un
faisceau
clair, situé en dehors de la couronne rayonnante
(RNC), se porter du lobe frontal à la partie interne de l'insula. Ce
faisceau
sera étudié ultérieurement : nous l'appellerons f
l'insula. Ce faisceau sera étudié ultérieurement : nous l'appellerons
faisceau
du centre ovale (CO). FS. Le faisceau sensitif
eurement : nous l'appellerons faisceau du centre ovale (CO). FS. Le
faisceau
sensitif est cette bande claire à direction antér
ans par le tapetum (TAP) et la lame festonnée (LFE); en dehors par le
faisceau
pariétal vertical (FPV). Le faisceau sensitif dim
estonnée (LFE); en dehors par le faisceau pariétal vertical (FPV). Le
faisceau
sensitif diminue de largeur à mesure qu'il approc
ous avons déjà signalée plus haut, présente, dans l'intervalle de ses
faisceaux
, des taches oblongues, effilées en dedans ; ces t
eviendrons, d'ailleurs, à l'occasion des coupes verticales. FPV. Le
faisceau
pariétal vertical est une masse de fibres d'assoc
et T^) d'une part, et les circonvolutions pariétales d'autre part. Ce
faisceau
est toujours très nettement distinct du faisceau
les d'autre part. Ce faisceau est toujours très nettement distinct du
faisceau
sensitif (FS). En avant il semble se confondre av
arrière et formant le plancher convexe du ventricule, repose sur le
faisceau
longitudinal inférieur (FLI), que nous étudierons
nterne (CIA). Le côté postérieur, très étroit, reçoit les fibres du
faisceau
sensitif externe (FSe). Ce côté postérieur peut ê
n avant et en dedans, et qui représentent les surfaces de section des
faisceaux
de la calotte. En arrière et en dehors du tuber
ie nne masse de libres horizontales, dirigées de dedans en dehors, au
faisceau
sensitif (FSi). Cette masse de fibres n'est autre
n dedans, où son bord est sinueux. C'est la section transversale d'un
faisceau
bien décrit par Meynert sous le nom de fasciculus
r dans la capsule externe (CE). CO. Le centre ovale. FSe, FSi. Le
faisceau
sensitif subdivisé en deux lames, .',unc externe,
(TAP), depuis le noyau lenticulaire jusqu'au pôle occipital (PO). Le
faisceau
sensitif externe (FSe), envisagé d'avant en arriè
ire (MLE); 4° du segment postérieur de la capsule interne (CID). Le
faisceau
sensitif interne provient du pulvinar, où il repr
le corps genouillé interne et le corps genouillé externe. Les deux
faisceaux
sensitifs accolés vont ainsi d'avant en arrière j
s abandonnent en efl'et, chemin faisant, un grand nombre de fibres au
faisceau
longitudinal inférieur (FLI), après s'être recour
en dedans sous la paroi inférieure de la corne occipitale. FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur, placé au-dessous du planc
u-dessous du plancher ventriculaire, se compose d(3 libres vernies du
faisceau
sensitif, de fibres venues du tapetum (TAP), enfi
e circonvolution occipito-temporale, toujours située au-dessous de ce
faisceau
. TAP. Le tapetum, lame fibreuse adossée à la pa
e de le reconnaître derrière la queue du noyau caudé (NCC). FPV. Le
faisceau
pariétal vertical est une masse peu compacte de f
lutions temporales. Il fait suite, sans démarcation bien tranchée, au
faisceau
occipital vertical (FOV). FOV. Le faisceau occi
cation bien tranchée, au faisceau occipital vertical (FOV). FOV. Le
faisceau
occipital vertical. LFE. La lame festonnée, pla
ue du noyau caudé (NCC); enfin une surface blanche, qui appartient au
faisceau
sensitif (FS), et qui n'est séparée de celui-ci q
très rares fibres du tapetum. La paroi inférieure est formée par le
faisceau
longitudinal inférieur (FLI), repoussé en quelque
Arnold (LMA). Il est recouvert en haut et en dehors par un volumineux
faisceau
triangulaire (FI), qui n'est autre que la fimbria
imbria ou pilier postérieur du trigone. Substance blanche. FS. Le
faisceau
sensitif qui, sur les deux coupes précédentes, s'
ui représente le tapetum. En dehors, il est séparé de l'écorce par le
faisceau
pariétal vertical (FPV). FPV. Le faisceau parié
séparé de l'écorce par le faisceau pariétal vertical (FPV). FPV. Le
faisceau
pariétal vertical, diffus lui-même, établit une a
t aux deuxième et troisième circonvolutions temporales, tandis que le
faisceau
occipital vertical, visible seulement sur la figu
a figure 2 (FOV), n'appartient qu'à la troisième temporale. FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur, dirigé obliquement de hau
ipito-temporal (0^4). En dehors, il se confond insensiblement avec le
faisceau
sensitif (FS) ; en dedans, il se termine dans la
mbrane épcndymairc qui tapisse le ventricule est très mince, tous les
faisceaux
qui suivent d'avant en arrière les quatre parois
e disposition, très fréquente d'ailleurs, pour la différentiation des
faisceaux
de la région cérébrale postérieure. Il est donc
on voisinage, qu'à une distance de trois ou quatre millimètres. Les
faisceaux
dirigés d'avant en arrière vers le pôle occipital
t le cas qui se présente pour la figure 1 (pl. XI), où l'ensemble des
faisceaux
postérieurs du lobe occipital se réduisent à un s
t compacte, et dans laquelle sont évidemment mélangées les fibres des
faisceaux
FOm, FLI, FS, reconnaissables sur la figure 6 de
FOm, FLI, FS, reconnaissables sur la figure 6 de la même planche (ces
faisceaux
seront étudiés un peu plus loin). Dans quelle r
ipital s'effectuent cette convergence et cette intrication ultime des
faisceaux
antéro-posté-rieurs? Cette question a une importa
points. Or chacun pourra s'assurer que l'extrémité la plus reculée du
faisceau
sensitif (FS) aboutit invariablement à l'écorce d
ion occipitale de Broca que vient s'épuiser en arrière le système des
faisceaux
antéro-postérieurs de l'hémisphère cérébral. Ce
é extrême. Tout y arrive et tout s'y mélange. Il va sans dire que les
faisceaux
n'y sont pas renfermés dans leur totalité. Venus
est, en outre, un point de repère précieux dans la détermination des
faisceaux
blancs de la région occipito-temporale. Il limite
ansversal. Mais au milieu de ces fibres blanches on distingue un gros
faisceau
(FS), représenté par une surface quadrilatérale f
eprésenté par une surface quadrilatérale foncée; c'est l'extrémité du
faisceau
sensitif, compact surtout en bas et en dedans. Il
et fusiforme (0% 0"). Il est nettement séparé de la calcarine par un
faisceau
vertical très blanc (LFE), que nous appellerons l
le fond de la calcarine, de façon à empêcher toute connexion entre le
faisceau
sensitif (FS) et la substance grise du cuneus. La
nsitif (FS) et la substance grise du cuneus. La plus grande partie du
faisceau
sensitif s'enfonce d'ailleurs dans le gyrus lingu
fig. 1 et 2), formée en partie par le gyrus lingual. La séparation du
faisceau
sensitif et du cuneus s'augmente encore de la pré
faisceau sensitif et du cuneus s'augmente encore de la présence d'un
faisceau
antéro-postérieur, nettement représenté ici (FCF)
(FCF), qui vient de la région antéro-inférieure du cerveau : c'est le
faisceau
compact du fornix. Celui-ci s'épuise en partie da
lement, de place en place, par la lame festonnée (LFE). Deux autres
faisceaux
antéro-postérieurs se voient encore sur cette cou
sceaux antéro-postérieurs se voient encore sur cette coupe : 1" l'un,
faisceau
pariéto-frontal (FPF), s'accole et s'insère, selo
e en avant dans le centre ovale où nous le retrouverons ; 2" un petit
faisceau
à cheval sur le troisième sillon temporal [ot^ qu
ursuivre plus en avant et qui n'est probablement que l'insertion d'un
faisceau
d'association. Figure 2. COUPE VERTICO-TRANSV
iculaire dans l'aire de section modifie, sur cette coupe, l'aspect du
faisceau
sensitif (FS). Ce faisceau. plus important au f
tion modifie, sur cette coupe, l'aspect du faisceau sensitif (FS). Ce
faisceau
. plus important au fur et à mesure qu'on examin
tricule. Dans leur trajet sous-ventriculaire, elles portent le nom de
faisceau
longitudinal inférieur (FLI). Sous ce nom, qui es
employé, il ne faut donc pas considérer autre chose que la portion du
faisceau
sensitif (FS), réfléchie sous le ventricule. Et c
(FS), réfléchie sous le ventricule. Et comme la surface totale de ce
faisceau
diminue constamment d'avant en arrière, on doit a
(0^), par conséquent au-dessous du cuneus. A sa partie supérieure, le
faisceau
sensitif semble se confondre avec le faisceau com
a partie supérieure, le faisceau sensitif semble se confondre avec le
faisceau
compact du fornix (FCF) dont les fibres sont égal
dans le sens antéro-postérieur. Mais ce n'est là qu'une apparence. Le
faisceau
compact du fornix (FCF) établit, au contraire, un
rnix (FCF) établit, au contraire, une démarcation très nette entre le
faisceau
sensitif et le cuneus. On s'en rend bien compte,
t également facile de reconnaître ici dans les deux plis du cuneus le
faisceau
compact du fornix, séparé de l'écorce grise, surt
de la lame festonnée (LFE). La cavité ventriculaire est séparée du
faisceau
sensitif (FS) en dehors, et du faisceau compact d
ventriculaire est séparée du faisceau sensitif (FS) en dehors, et du
faisceau
compact du fornix en dedans, par une couche clair
stérieur, visibles surtout au-dessus de la paroi supérieure (FOi). Ce
faisceau
aplati représente les fibres les plus inférieures
ervant sa forme régulière de rectangle. Substance blanche. FS. Le
faisceau
sensitif est plus épais ; il semble encore se con
pais ; il semble encore se confondre, à,sa partie supérieure, avec le
faisceau
compact du farnix clinent, le long de la paroi
nt, elles aussi, de dehors en dedans sous le Yentricule, au-dessus du
faisceau
longitudinal inférieur (FLI) et vont, avec ce der
ure calcarine, qu'elle enveloppe de ses fibres verticales. Quant au
faisceau
pariéto-frontal (FPF), déjà entrevu sur les figur
rcation assez tranchée entre eux deux. La teinte franchement brune du
faisceau
compact du fornix indique qu'il suit un trajet an
vu sur la coupe précédente, dans la substance grise de celui-ci. Le
faisceau
des fibres inférieures du forceps major (FOi) est
que sa continuité est, par places, interrompue par la pénétration du
faisceau
compact du fornix (FCF). FPF. Le faisceau parié
pue par la pénétration du faisceau compact du fornix (FCF). FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal n'est plus si nettement visible q
us les cas. Elles servent simplcnient à Substance blanche. FS. Le
faisceau
sensitif s'isole plus nettement, à sa partie supé
faisceau sensitif s'isole plus nettement, à sa partie supérieure, du
faisceau
compact du fornix (FCF). Celui-ci, aplati par le
lon du cuneus [sCu), s'accole plus intimement à la face supérieure du
faisceau
inférieur du fornix (FOi). D'ailleurs l'un et l'a
loin (fig. 12, 13, 14) une exception à cette disposition. Quant au
faisceau
pariéto-frontal (FPF) situé, sur la coupe précéde
itué, sur la coupe précédente, en dehors du prolongement supérieur du
faisceau
sensitif (FS), il est ici situé en dedans. Cela p
), il est ici situé en dedans. Cela prouve que les fibres de ces deux
faisceaux
s'entrc-croisent : le premier, en efïct, est diri
externe, le sillon interpariétal (p) s'avance de haut en bas vers le
faisceau
sensitif (FS). Le deuxième sillon temporal [ot^)
partie postérieure à la partie moyenne. Substance blanche. FS. Le
faisceau
sensitif, toujours très foncé, augmente d'importa
ternes sont nettement séparées par le bord très accentué d'un nouveau
faisceau
de fibres blanches, verticales (FOY), faisceau oc
accentué d'un nouveau faisceau de fibres blanches, verticales (FOY),
faisceau
occipital vertical qui s'étend de la 3" circonvol
e modifier dans une région plus antérieure, voisine de celle-ci. Le
faisceau
sensitif, en s'incurvant au-dessous de la paroi i
dans la moitié inférieure du gyrus lingual (0"), après avoir formé le
faisceau
longitudinal inférieur (FLI). On constatera toujo
gitudinal inférieur (FLI). On constatera toujours que dans ce dernier
faisceau
(continuation sous-ventriculaire du faisceau sens
ours que dans ce dernier faisceau (continuation sous-ventriculaire du
faisceau
sensitif), les fdires blanches les plus voisines
voisines de la paroi externe. Ces dernières sont les plus internes du
faisceau
sensitif (FS). Ce sont elles, par conséquent, qui
rrière jusqu'à la partie la plus reculée du lobe occipital. FCF. Le
faisceau
compact du fornix traverse encore ici le cuneus (
courbe en fer à cheval autour de la scissure calcarine (K). FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal, obliquement dirigé d'arrière en
en avant et de dehors en dedans, est situé en dedans et au-dessus du
faisceau
sensitif (FS). A sa partie inférieure, il paraît
tie inférieure, il paraît se continuer insensiblement avec un nouveau
faisceau
(FOm), situé juste au-dessus de la cavité ventric
itué juste au-dessus de la cavité ventriculaire et interposé entre le
faisceau
inférieur du forceps (FOi placé au-dessus de lui)
le faisceau inférieur du forceps (FOi placé au-dessus de lui), et le
faisceau
compact du fornix (FCF placé au-dessus). Ce nouve
), et le faisceau compact du fornix (FCF placé au-dessus). Ce nouveau
faisceau
(FOm) est le faisceau moyen du forceps. Il est vr
act du fornix (FCF placé au-dessus). Ce nouveau faisceau (FOm) est le
faisceau
moyen du forceps. Il est vraisemblable que le fai
u (FOm) est le faisceau moyen du forceps. Il est vraisemblable que le
faisceau
moyen du forceps, venu du splenium du corps calle
eps, venu du splenium du corps calleux, où il est couché au-dessus du
faisceau
inférieur, se relève ici obliquement et en dehors
ici obliquement et en dehors, pour croiser ses fibres avec celles du
faisceau
pariéto-frontal (FPF), et aller se jeter dans l'é
r se jeter dans l'écorce du sillon interpariétal (p). FOV. Quant au
faisceau
occipital vertical, il est représenté par une ban
ment par leur couleur sur les fibres foncées, antéro-postérieures, du
faisceau
sensitif (FS), situées à sa partie interne. BKI
us ne signalerons que les particularités nouvelles que présentent les
faisceaux
de la substance blanche. FS. Le faisceau sensit
velles que présentent les faisceaux de la substance blanche. FS. Le
faisceau
sensitif présente la même disposition générale. :
on voit que sa partie supérieure, effilée, est nettement séparée : du
faisceau
pariéto-frontal (FPF) et du faisceau inférieur du
ilée, est nettement séparée : du faisceau pariéto-frontal (FPF) et du
faisceau
inférieur du forceps major (FOi). Le faisceau lon
éto-frontal (FPF) et du faisceau inférieur du forceps major (FOi). Le
faisceau
longitudinal inférieur (FLI) acquiert plus d'épai
t où il a abandonné moins de fibres au lobule lingual (0"). FCF. Le
faisceau
compact du fornix s'applique au fond du ; sillon
ubstance grise du cuneus, où elles perdent la ! coloration foncée des
faisceaux
aiitéro-postérieurs, pour prendre I la coloration
a cavité ventriculaire. Les plus externes, placées juste en dedans du
faisceau
sensitif, perdent peu à peu leur direction antéro
e façon à passer sous la paroi inférieure du ventricule, au-dessus du
faisceau
longitudinal inférieur (FLI). Les plus internes,
FE. La lame festonnée conserve sa direction et son épaisseur. FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal se porte eu haut et en dedans. En
cées, au lobule pariétal supérieur (1"), dans toute sa hauLeui'. — Le
faisceau
occipital vertical (FOV) s'accuse de plus en plus
le latéral. Cette seconde branche est celle au-dessous de laquelle le
faisceau
compact du fornix (FCF) décrit son anse en fer à
(FCF) décrit son anse en fer à cheval. Elle rétrécit le passage de ce
faisceau
entre la substance grise et le ventricule. L'inte
iveau, sépare l'écorce de la cavité ventriculaire, contient, outre le
faisceau
compact du fornix, le faisceau moyen (FOm) et le
vité ventriculaire, contient, outre le faisceau compact du fornix, le
faisceau
moyen (FOm) et le faisceau inférieur (FOi) du for
t, outre le faisceau compact du fornix, le faisceau moyen (FOm) et le
faisceau
inférieur (FOi) du forceps major. On voit que ces
t le faisceau inférieur (FOi) du forceps major. On voit que ces trois
faisceaux
tendent déjà à s'incurver au-dessus du recessus d
éduit d'autant le calibre de la cavité. Substance blanche. FS. Le
faisceau
sensitif est nettement isolé dans presque toute s
étendue. En haut seulement il semble de nouveau se confondre avec le
faisceau
pariéto-frontal (FPF). Mais on verra plus loin qu
cette fusion n'est qu'une apparence résultant du croisement des deux
faisceaux
à ce niveau. FLI. Le faisceau longitudinal infé
nce résultant du croisement des deux faisceaux à ce niveau. FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur (voy. lîg. 8) commence à p
s déjà on peut remarquer que ces trois plans de fibres sont, comme le
faisceau
sensitif dont ils émanent, absolument indépendant
(0^), puisqu'ils ne sont, dans leur ensemble, rien autre chose que le
faisceau
sensitif lui-même. FCF. Le faisceau compact du
semble, rien autre chose que le faisceau sensitif lui-même. FCF. Le
faisceau
compact du fornix est représenté, en grande parti
ntéro-postérieure, aplatie entre la substance grise du recessus et le
faisceau
moyen du forceps major (FOm). Celui-ci, situé au-
e faisceau moyen du forceps major (FOm). Celui-ci, situé au-dessus du
faisceau
inférieur du forceps (FOi), paraît parfois se con
eau inférieur du forceps (FOi), paraît parfois se confondre avec le
faisceau
compact du fornix. Mais sur presque tous les cerv
tion figurée ici se retrouve avec luie pai-faite constance. FOi. Le
faisceau
inférieur du forceps entoure la voûte du ventricu
-gual (0*). LFE. La lame festonnée circonscrit la calcarine (A). Le
faisceau
pariéto-frontal (FPF) se porte sur le fond de la
ré entre les deux branches externe et interne de cette scissure. — Le
faisceau
occipital-vertical (FOV) est bien isolé à la pa
ceau occipital-vertical (FOV) est bien isolé à la partie externe du
faisceau
sensitif (FS), luais ses deux extrémités supérieu
sociation de la région pariétale et de la région temporale. FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur se divise ici très netteme
e d'avant en arrière, et qui provient de la partie la plus interne du
faisceau
sensitif (FS) ; une moyenne (FL2), blanche, à fib
L2), blanche, à fibres transversales, émanées de la partie moyenne du
faisceau
sensitif (FS); une inférieure (FLs), dont la maje
rieure (FLs), dont la majeure partie provient de la partie externe du
faisceau
sensitif FS. Cette disposition en trois couches
l'avons déjà dit, de fibres nerveuses qui, faisant d'abord partie du
faisceau
sensitif (FS), à la partie externe du ventricule,
retrouve au-dessous du ventricule, à la partie la plus postérieure du
faisceau
longitudinal inférieur (FLI), sont évidemment cel
les fibres antéro-postérieures, formant la couche supérieure (FLi) du
faisceau
longitu- Figure 8. COUPE VERTICO-TRANSVERSALE
rajet antéro-postérieur. Les fibres de la conche siipérienre (FLi) du
faisceau
longitudinal inférieur (FLI), n'apparaissant que
nt que tout à fait en arrière, cela signifie que la majeure partie du
faisceau
qu'elles contribuent à former, se dirige d'avant
us le ventricule. Ce sont les fibres de la coucihe la plus interne du
faisceau
sensitif (FS). région, et il n'est pas rare que
tendu que les rapports de l'écorce qui double cette incisure avec les
faisceaux
sous-jacents présentent une constance absolue. C'
'incisure du gyrus lingual que viennent s'étaler en grande partie les
faisceaux
longitudinaux qui entourent la cavité de ; la cor
ourent la cavité de ; la corne occipitale du ventricule : en haut, le
faisceau
inférieur du forceps (FOi); en bas, le faisceau l
tricule : en haut, le faisceau inférieur du forceps (FOi); en bas, le
faisceau
longitudinal inférieur (FLI). Il n'est même pas r
ir l'angle inféro-interne du ventricule se | prolonger entre ces deux
faisceaux
, presque jusqu'au contact de la substance grise d
encore sur les coupes suivantes. i Substance blanche. i FS. Le
faisceau
sensitif, toujours compact et bien circonscrit, s
la substance grise du grand sillon occipito-temporal (o^J. FCF. Le
faisceau
compact du fornix n'est plus représenté, entre i
ion foncée et la netteté de leur contour démontrent qu'il s'agit d'un
faisceau
compact. Ce faisceau augmente d'importance au fur
eté de leur contour démontrent qu'il s'agit d'un faisceau compact. Ce
faisceau
augmente d'importance au fur et à mesure que les
arties plus antérieures (voy. fig. 12 et 15, FOi); cela prouve que le
faisceau
inférieur du forceps abandonne, chemin faisant, d
ure du gyrus lingual (0'). Mais ce qui constitue la majeure partie du
faisceau
inférieur du forceps arrive et se termine dans un
celle de la corne d'Ammon. Les figures suivantes le démontrent. Le
faisceau
inférieur du forceps se confond à sa partie supér
isceau inférieur du forceps se confond à sa partie supérieure avec le
faisceau
moyen (FOm). Au niveau de l'angle supéro-interne
g. 15), leur différentiation est toujours des plus simples. FOm. Le
faisceau
moyen du forceps major forme la voûte du ventricu
entricule, où elles s'interposent entre la membrane épendymaire et le
faisceau
sensitif (FS). Mais leur présence dans cette régi
gion ne s'observe pas tout à fait en arrière; plus en avant, c'est le
faisceau
supérieur du forceps qui forme la paroi externe d
i forme la paroi externe du ventricule (voy. fig. 10, FOs). FOm. Le
faisceau
moyen du forceps major est nettement limité à sa
cipitale (sQ), dont elle n'est séparée que par le reste des fibres du
faisceau
compact du fornix (FCF). Nous venons de voir que
). Nous venons de voir que la majeure partie des fibres de ce dernier
faisceau
s'est déviée, en avant et en dedans, au devant du
lame festonnée du cuneus (0") est située immédiatement en dedans du
faisceau
inférieur du forceps, immédiatement en dehors d'u
u faisceau inférieur du forceps, immédiatement en dehors d'un nouveau
faisceau
[Cin), qui n'est autre qu'une partie du faisceau
dehors d'un nouveau faisceau [Cin), qui n'est autre qu'une partie du
faisceau
de la circonvolution du corps calleux, désigné or
anteau du cuneus ou du pli de passage cunéo-limbique (xO"). FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal se compose de fibres obliques' en
t en arrière de la scissin'e limbique (voy. fig. 10 et il). FOV. Le
faisceau
occipital vertical se montre plus net au fur et à
ous le plancher de la cavité ventriculaire, dont il est séparé par le
faisceau
longitudinal inférieur (FLI). A la face externe
rvant toujours sa forme quadrangulaire. Substance blanche. FS. Le
faisceau
sensitif (fig. 9, 11,12), très compact, séparé, e
et en apparence, intimement confondues. La lame externe sera appelée
faisceau
sensitif externe, et la laine interne faisceau se
e externe sera appelée faisceau sensitif externe, et la laine interne
faisceau
sensitif interne. Meynert les étudie dans leur en
cette laine médullaire mérite d'être désignée sous le nom de lame des
faisceaux
optiques, car elle aboutit à la région analomique
s optiques. Bien au contraire. Aussi leur conserverons-nous le nom de
faisceau
sensitif, sous lequel elles ont été étudiées par
été étudiées par Charcot et Ballet. Sur les coupes 9, 10,11,12, le
faisceau
sensitif se continue sous le ventricule avec le f
10,11,12, le faisceau sensitif se continue sous le ventricule avec le
faisceau
longitudinal inférieur. FLI. Le faisceau longit
sous le ventricule avec le faisceau longitudinal inférieur. FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur (fig. 9, 10, 12) divisé en
ure de la cinquième circonvolution occipito-lemporale (O'). FOs. Le
faisceau
supérieur du forceps (fig. 11, 12) est un nouveau
FOs. Le faisceau supérieur du forceps (fig. 11, 12) est un nouveau
faisceau
transversal, dirigé de dedans en dehors, superpos
ouveau faisceau transversal, dirigé de dedans en dehors, superposé au
faisceau
moyen (FOm), et paraissant sortir de l'écorce du
xterne du ventricule. Il est placé au devant du cingulum (Cm) et du
faisceau
compact du fornix (FCF), au moment où ces deux fa
um (Cm) et du faisceau compact du fornix (FCF), au moment où ces deux
faisceaux
passent de la partie inférieure à la partie supér
erne s'enfonçant dans l'hémisplière derrière le lobe carré. FCF, le
faisceau
compact du fornix et (cin) le cingulum décrivent
cavité anléro-interne au devant de laquelle passe transversalement le
faisceau
supérieur du forceps (FOs.) Ce dernier faisceau,
e transversalement le faisceau supérieur du forceps (FOs.) Ce dernier
faisceau
, n'étant coupé que dans sa partie postérieure sem
tué au-dessous de la scissure occipitale [Oi). Schéma 52. FCF. Le
faisceau
compact du fornix (fig. 10), accolé au cul-de-sac
passage pariéto-limbique (xL). Cin. Le cingulum est sous-jacent au
faisceau
compact du fornix et situé en dehors de lui. Ces
ent au faisceau compact du fornix et situé en dehors de lui. Ces deux
faisceaux
dirigés de bas en haut, décrivent une courbe à co
as en haut, décrivent une courbe à concavité antérieure où se loge le
faisceau
supérieur du forceps (FOs). LFE. La lame feston
1, 12) double le fond de la scissure calcarine {K, 10, 11). FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal s'insère à la pariétale ascendant
12) une forte insertion sur le lobule pariétal supérieur (P'). FOV.
Faisceau
occipital vertical (fig. 9). F'Om. Faisceau moyen
al supérieur (P'). FOV. Faisceau occipital vertical (fig. 9). F'Om.
Faisceau
moyen du forceps (voy. pl. XIll). FOi. Faisceau i
tical (fig. 9). F'Om. Faisceau moyen du forceps (voy. pl. XIll). FOi.
Faisceau
inférieur du forceps (voy. pl. Xill). FDF. Faisce
. pl. XIll). FOi. Faisceau inférieur du forceps (voy. pl. Xill). FDF.
Faisceau
diffus du fornix (voy. pl. XIll). PLANCHE XllI
es transformations s'accomplissent dans la direction et le volume des
faisceaux
. Figure 13. COUPE VERTICALE PRATIQUÉE A UN DE
rale. Le bord supérieur ou voûte de la corne occipitale correspond au
faisceau
moyen du forceps (FOm), le bord externe au faisce
ale correspond au faisceau moyen du forceps (FOm), le bord externe au
faisceau
supérieur (FOs), le bord interne au faisceau infé
FOm), le bord externe au faisceau supérieur (FOs), le bord interne au
faisceau
inférieur (FOi), le bord inférieur au faisceau lo
s), le bord interne au faisceau inférieur (FOi), le bord inférieur au
faisceau
longitudinal inférieur (FLI). Substance blanche
faisceau longitudinal inférieur (FLI). Substance blanche. FS. Le
faisceau
sensitif est moins compact que sur les figures pr
illeurs. A sa partie interne il est toujours aussi nettement isolé du
faisceau
supérieur du forceps (FOs). Sa surface de section
franchement blanches sous le plancher ventri-culaire (FL2). FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur ne présente plus guère que
iv), à l'angle inféro-externe du ventricule, sous la forme d'un petit
faisceau
compact (FLi), vertical, situé au milieu de la su
u compact (FLi), vertical, situé au milieu de la substance blanche du
faisceau
supérieur du forceps (FOs). La couche moyenne d
lanche du faisceau supérieur du forceps (FOs). La couche moyenne du
faisceau
longitudinal inférieur (FL2), immédiatement adjac
, sur la coupe 13, à la paroi ventriculaire, est formée des fibres du
faisceau
sensitif (FS) qui, à la partie externe du ventric
FS) qui, à la partie externe du ventricule, sont les plus voisines du
faisceau
supérieur du forceps (FOs). On s'en rend mieux co
d mieux compte en examinant la hgure 17, où la continuité de ces deux
faisceaux
est des plus évidentes. Elles se réfléchissent au
videntes. Elles se réfléchissent aussi à un niveau plus inférieur; le
faisceau
qu'elles forment descend en eflet jusque dans le
ual (0^'), où on les voit se terminer dans la substance grise. FDF.
Faisceau
diffus du fornix. — Un nouveau faisceau a fait so
ns la substance grise. FDF. Faisceau diffus du fornix. — Un nouveau
faisceau
a fait son apparition sur cette coupe : c'est le
Un nouveau faisceau a fait son apparition sur cette coupe : c'est le
faisceau
diffus du fornix. Sa situation n'est qu'indiquée
uement en bas et en dehors. Nous le retrouverons plus loin. FCF. Le
faisceau
compact du fornix, au moment où disparaît le cul-
us-pariétale (voy. fig. 14) {sP)-Mais là il ne s'épuise pas. C'est un
faisceau
à fibres courtes, qui se renouvelle d'étape en ét
ac de la scissure occipitale irrterne, se présente sous l'aspect d'un
faisceau
aplati, dout ou ne distingue qu'une partie très f
'une partie très faible, confondue avec ce qui reste, en ce point, du
faisceau
compact du fornix. Au-dessus et au-dessous de la
x. Au-dessus et au-dessous de la strie foncée qui représente ces deux
faisceaux
, le cingulum s'étend dans le sens vertical, décri
ostérieure. Un notable changement dans la forme et la direction de ce
faisceau
se manifestera sur les figures suivantes. FOm.
on de ce faisceau se manifestera sur les figures suivantes. FOm. Le
faisceau
moyen du forceps, formant toujours la paroi supér
la corne sphénoïdale, est à sa partie interne étroitement adhérent au
faisceau
inférieur. Il est plus épais que sur les coupes p
ne du ventricule ou tapetum, d'où elles se portent avec les fibres du
faisceau
sensitif (FS) sous la paroi mférieure du ventricu
ubstance grise du pôle occipital. Le changement de coloration de ce
faisceau
au-dessus du ventricule montre sur la figure 15 q
en dehors vers la paroi ventriculaire externe, où elles s'accolent au
faisceau
supérieur du forceps. FOs. Le faisceau supérieu
erne, où elles s'accolent au faisceau supérieur du forceps. FOs. Le
faisceau
supérieur du forceps, venu de la partie la plus s
d'une région plus antérieure. 11 est, sur la coupe 15, peu isolé des
faisceaux
voisins, parce qu'il suit une direction sensiblem
ection. — A la partie externe du ventricule, il se place en dehors du
faisceau
moyen du forceps (FOm) et forme la presque totali
a scissure calcarine (K), et interposée entre le cingulum (Cin) et le
faisceau
inférieur du forceps major (FOi). En haut ce fais
lum (Cin) et le faisceau inférieur du forceps major (FOi). En haut ce
faisceau
s'épanouit dans le pli de passage temporo-limbiqu
es de ses fibres se confondent, dans le gyrus lingual, avec celles du
faisceau
longitudinal inférieur (FLI). C'est d'ailleurs le
s ne soient pas nettement isolées des parties avoisinantes. FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal, peu visible sur cette coupe, où
pariétale ascendante et à la frontale ascendante (P et F). FOV. Le
faisceau
occipital vertical (FOV, fig. 14), situé en dehor
OV. Le faisceau occipital vertical (FOV, fig. 14), situé en dehors du
faisceau
sensitif se dirige de la troisième temporale au l
édente (sQ) n'existe plus ici. Il en résulte, dans la disposition des
faisceaux
du centre ovale, une modification importante qui
re. L'angle supéro-externe est émoussé par une partie des fibres du
faisceau
supérieur du forceps qui le croisent obliquement.
une petite encoche répond à un changement de direction des fibres du
faisceau
inférieur du forceps, dont la partie la plus inte
dehors; c'est l'annonce de l'apparition de la corne d'Ammon, dont ce
faisceau
enveloppe toute la convexité postérieure. Cette e
sphénoïdale dont nous avons déjà parlé. Substance blanche. FS. Le
faisceau
sensitif, peu compact à sa partie supérieure, se
e condense à sa partie inférieure. Au-dessous de la couche moyenne du
faisceau
longitudinal inférieur (FL2), sa surface de secti
rconvolution temporale (T4). Une partie des fibres renfermées dans ce
faisceau
doit en être distraite. Elle appartient, comme no
au doit en être distraite. Elle appartient, comme nous le verrons, au
faisceau
diffus du fornix (FDF) que nous n'avons étudié en
e région supérieure, et seulement sur la figure précédente. FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur ne se compose plus que de
ince lamelle, à peine visible, qui ne renferme môme plus de fibres du
faisceau
sensitif. Elle se compose exclusivement des fibre
nsitif. Elle se compose exclusivement des fibres les plus externes du
faisceau
moyen du forceps (FOm), qui, après avoir tapissé
gyrus lingual (T) La couche moyenne (FL2) représente les fibres du
faisceau
sensitif réfléchi. La couche inférieure (FL3) rep
i. La couche inférieure (FL3) représente également des fibres du même
faisceau
; seulement ces dernières sont les plus externes,
s dernières sont les plus externes, et elles se mêlent avec celles du
faisceau
diffus du fornix (FDF), surtout dans le manteau d
nix (FDF), surtout dans le manteau du gyrus fusiforme (T*). FDF. Le
faisceau
diffus du fornix est, comme son nom l'indique, un
FDF. Le faisceau diffus du fornix est, comme son nom l'indique, un
faisceau
dont les fibres, coupées perpendiculairement à le
tion très tranchée. Mais leur direction générale est très précise. Ce
faisceau
dirigé d'arrière en avant dans le centre ovale, u
il prend de nombreuses insertions, suit assez exactement le trajet du
faisceau
compact du fornix (FCF) dans la portion supérieur
es se portent obliquement en bas et en dehors, à la partie externe du
faisceau
supérieur du forceps (FOs), puis à la partie exte
e du faisceau supérieur du forceps (FOs), puis à la partie externe du
faisceau
sensitif (FS). Devenues verticales, elles ne se d
(FS). Devenues verticales, elles ne se distinguent plus de celles du
faisceau
occipital vertical (FOV). Mais on les retrouve su
tical (FOV). Mais on les retrouve sur les coupes suivantes. FCF. Le
faisceau
compact du fornix, venu de la partie infé- 1. I
le plan de sCction. Ses fibres sont blanches et situées au-dessus du
faisceau
supérieur du forceps (FOs). On ne le retrouve pas
pli de passage temporo-limbique (xT), se présente sous l'aspect d'un
faisceau
mince et compact. Mais la prochaine apparition du
5 et 16), et sa coloration va devenir rapidement plus pâle. FOi. Le
faisceau
inférieur du forceps présente une disposition spé
lérieure qui leur donnait sur les coupes précédentes l'apparence d'un
faisceau
compact, sont repoussées en arrière et en dehors
t en dehors par la corne d'Ammon, située immédiatement en avant. Ce
faisceau
, venu d'une région antérieure au plan de la coupe
t la substance blanche contre la paroi du ventricule, fait rentrer ce
faisceau
dans le plan de section. Plus loin, en arrière, c
t-à-dire au niveau de la coupe 14, la corne d'Ammon n'existe plus; le
faisceau
, devenu compact, reprend son chemin d'avant en ar
min d'avant en arrière, comme nous l'avons vu précédemment. FOm. Le
faisceau
moyen du forceps change d'aspect; il n'est plus r
cipitale encore visible sur la coupe précédente (sQ), les fibres du
faisceau
moyen du forceps se portent brusquement en dehors
, ainsi que le démontrent les figures suivantes (17 et 18). FOs. Le
faisceau
supérieur du forceps, bien séparé du faisceau moy
s (17 et 18). FOs. Le faisceau supérieur du forceps, bien séparé du
faisceau
moyen (FOm), décrit une grande courbe à concavité
est très claire; elle le parait même d'autant plus que les fibres du
faisceau
sensitif (FS), qui lui sont immédiatement adjacen
qu'on peut s'en rendre compte sur les coupes horizontales. FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal prend, sur cette coupe, une inser
eur. Une autre, venue de plus loin au-dessous et en arrière, longe le
faisceau
diffus du fornix (FDF). Sur toutes les coupes sui
s les coupes suivantes on voit ainsi s'étager les plans superposés du
faisceau
pariéto-frontal, tantôt sombres, tantôt clairs :
vers les circonvolutions frontale et pariétale ascendantes. FOV. Le
faisceau
occipital vertical, à peine reconnaissais, a disp
lations qui répondent au croisement, à angle très aigu, des fibres du
faisceau
moyen du forceps. Substance blanche. FS. Le f
es fibres du faisceau moyen du forceps. Substance blanche. FS. Le
faisceau
sensitif garde les mêmes dimensions et les mêmes
précédente. Cela tient à ce qu'il est entre-croisé, en dehors, par le
faisceau
diffus du fornix (FDF), dont la proéminence dans
trième circonvolution temporale (T4) devient plus évidente. FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur présente ici une seule par
4). A ce niveau, il n'est plus représenté seulement par les fibres du
faisceau
sensitif (FS) réfléchi sous la paroi du ventricul
lé et, en apparence, intimement mélangé avec la portion inférieure du
faisceau
diffus du fornix (FDF). FDF. Le faisceau diffus
c la portion inférieure du faisceau diffus du fornix (FDF). FDF. Le
faisceau
diffus du fornix s'isole des parties adjacentes.
fornix s'isole des parties adjacentes. 11 est limité en dehors par le
faisceau
pariéto-frontal (FPF), en dedans par le faisceau
ité en dehors par le faisceau pariéto-frontal (FPF), en dedans par le
faisceau
supérieur du forceps (FOs), puis par le faisceau
F), en dedans par le faisceau supérieur du forceps (FOs), puis par le
faisceau
sensitif (FS). Il longe ce dernier de haut en bas
apparente. On s'en rend compte sur les coupes horizontales. FCF. Le
faisceau
compact du fornix, de plus en plus transversal, d
le, en ce sens qu'il rentre dans le plan de section, parallèlement au
faisceau
supérieur du forceps (EOs), lequel semble mélange
en dedans vers la partie la plus inférieure du lobe carré. FOi. Le
faisceau
inférieur du forceps s'écarte, comme il a été ind
e du ventricule; il va donc prendre ici un autre aspect. En dedans du
faisceau
compact signalé sur les coupes plus postérieures,
nterpose entre le faiseau (FOi) et la paroi interne du ventricule. Ce
faisceau
n'est pas différent du premier ; c'est le môme et
e rendre compte de cette disposition sur cette figure (15). FOm. Le
faisceau
moyen du forceps se confond en apparence, non seu
e blanche de la circonvolution lim-bique (C), mais avec les fibres du
faisceau
supérieur du forceps (FOs). Cette dernière confus
ernière confusion de fibres résulte de ce que les plus supérieures du
faisceau
moyen du forceps se portent obliquement en bas et
du forceps se portent obliquement en bas et en dehors comme celles du
faisceau
supérieur. Elles entament même l'angle supéro-ext
terne de la cavité ventriculairc et l'émoussent. Une faible partie du
faisceau
moyen du forceps contribue donc à former le lapet
suivantes démontre qu'elles se portent d'arrière en avant. FOs. Le
faisceau
supérieur du forceps à sa partie supérieure s'inc
droit, sous la corne sphénoïdale, participant ainsi à la formation du
faisceau
longitudinal inférieur. LFE. La lame festonnée,
, dont la partie postérieure repousse vers la partie externe tous les
faisceaux
attenant à l'écorce. La corne d'Ammon n'a pas enc
araître à un millimètre plus loin, en avant (voy. fig. 23). FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal, plus clair que sur la coupe préc
éro-interne se rapproche de la ligne médiane ; cela tient à ce que le
faisceau
moyen (FOm) du forceps s'écarte plus franchement
e que le faisceau moyen (FOm) du forceps s'écarte plus franchement du
faisceau
inférieur (FOi). La paroi interne se bombe, forma
de la corne d'Ammon dans le ventricule. Substance blanche. FS. Le
faisceau
sensitif ne diffère ici de ce qu'il était sur la
ge de son point de réflexion au-dessous du plancher ventriculaire. Le
faisceau
diffus du fornix (FDF) est mieux séparé de lui à
nférieur, pénétrer dans la quatrième circonvolution temporale. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur. La participation du faisc
emporale. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. La participation du
faisceau
diffus du fornix (FDF) à la formation du faisceau
La participation du faisceau diffus du fornix (FDF) à la formation du
faisceau
longitudinal inférieur (FLI) s'accuse de plus en
visible sur la figure 14, elle a ici complètement disparu. FDF. Le
faisceau
diffus du fornix s'isole mieux encore que sur la
à sa partie moyenne. Limité en dedans, d'une façon très nette, par le
faisceau
supérieur du forceps (FOs) et plus bas, d'une faç
périeur du forceps (FOs) et plus bas, d'une façon moins nette, par le
faisceau
sensitif (FS), il se dirige verticalement, au mil
e ovale vers la partie inférieure du cerveau. Là, juste au contact du
faisceau
sensitif, il change de direction : il se porte ob
le manteau du gyrus fusiforme (T4), en dehors de la couche moyenne du
faisceau
longitudinal inférieur (FLI), et paraît mêler ses
raît mêler ses fibres avec celles de la couche inférieure (FL3) de ce
faisceau
(voy. fig-17 et 18). Il décrit donc, d'une faço
n générale, une grande courbe à concavité inférieure ; c'est un vaste
faisceau
arqué, réunissant la substance grise de la scissu
mbique à l'écorce de la quatrième circonvolution temporale. FCF. Le
faisceau
compact du fornix, qui sur les coupes postérieure
s foncée. A ce niveau il môle une partie de ses fibres avec celles du
faisceau
compact du fornix (FCF). FOi. Le faisceau infér
ses fibres avec celles du faisceau compact du fornix (FCF). FOi. Le
faisceau
inférieur du forceps qui, tout d'abord, s'était n
u inférieur du forceps qui, tout d'abord, s'était nettement séparé du
faisceau
moyen (FOm), change, ici encore, d'aspect. La por
res 17 et 18. Cette partie blanche n'est cependant autre chose que le
faisceau
inférieur du forceps (FOi), dont les fibres, jusq
e coupe un peu plus antérieure (fig. 25, 24 et suiv., CAM). FOm. Le
faisceau
moyen du forceps recommence à s'isoler à sa face
ecommence à s'isoler à sa face supérieure. La direction des fibres du
faisceau
supérieur (FOs) est, en effet, beaucoup plus fran
lle il avait paru se mélanger sur les coupes déjà étudiées. FOs. Le
faisceau
supérieur du forceps décrit son arc à concavité i
inférieure et interne tout autour de la cavité ventriculaire et du
faisceau
moyen. C'est dans cette région, sur les coupes ve
corps calleux. LFE. La lame festonnée, amincie, intercalée entre le
faisceau
inférieur du forceps (FOi) et la partie la plus i
e faisceau inférieur du forceps (FOi) et la partie la plus interne du
faisceau
longitudinal inférieur (FLT), remonte en dedans d
l'angle supéro-externe change d'aspect. Ce dernier s'enfonce entre le
faisceau
moyen du forceps (FOm) et le faisceau supérieur (
. Ce dernier s'enfonce entre le faisceau moyen du forceps (FOm) et le
faisceau
supérieur (FOs). Dorénavant ces deux faisceaux se
du forceps (FOm) et le faisceau supérieur (FOs). Dorénavant ces deux
faisceaux
seront nettement isolés l'un de l'autre. Substa
eront nettement isolés l'un de l'autre. Substance blanche. FS. Le
faisceau
sensitif, identique à ce que nous l'avons vu préc
de l'angle inféro-externe du ventricule, avec la portion réfléchie du
faisceau
moyen du forceps (FOm) ; celle-ci avait déjà fait
eau (FLi), dans une région correspondante. Cette fusion des fibres du
faisceau
sensitif et des fibres du faisceau moyen du force
ndante. Cette fusion des fibres du faisceau sensitif et des fibres du
faisceau
moyen du forceps (FOm) n'est qu'apparente. On s'e
-externe du ventricule est le point commun de réflexion des fibres du
faisceau
sensitif (FS) et des faisceaux supérieur et moyen
point commun de réflexion des fibres du faisceau sensitif (FS) et des
faisceaux
supérieur et moyen du forceps (FOm et FOs), l'inc
(FOm et FOs), l'incurvation de leurs fibres parait les mélanger en un
faisceau
unique. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur
de leurs fibres parait les mélanger en un faisceau unique. FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur, refoulé vers la paroi inf
te couche inférieure (FL3) est formée en majeure partie des fibres du
faisceau
sensitif (FS), et spécialement des fibres externe
du faisceau sensitif (FS), et spécialement des fibres externes de ce
faisceau
. La couche moyenne (FL2) a perdu beaucoup de son
(FL2) a perdu beaucoup de son épaisseur. C'est dire que les fibres du
faisceau
sensitif qui la composaient ne se réfléchissent p
tricule. Elles continuent leur chemin plus loin en arrière. FDF. Le
faisceau
diffus du fornix, à sa partie antéro-supérieurc,
sous; en d'autres termes, le nombre des fibres antéro-postérieures du
faisceau
diffus du fornix (FDF), parcourant la circonvolut
le ascendante, est plus considérable que le nombre des fibres du môme
faisceau
qui parcourent la circonvolution limbique (C). —
faisceau qui parcourent la circonvolution limbique (C). — En bas, ce
faisceau
, décrivant sa courbe à concavité antérieure, se m
ourbe à concavité antérieure, se môle aux fibres les plus externes du
faisceau
sensitif (FS) et s'enfonce d'arrière en avant dan
s le manteau de la quatrième circonvolution temporale (T4). FCF. Le
faisceau
compact du fornix, en contact avec la substance g
. En dehors et en haut, il parait confondre ses fibres avec celles du
faisceau
diffus du fornix (FDF). Cm. Le cingulum. Au voi
en dedans de cette bande grise et se confondent partiellement avec le
faisceau
compact du fornix (FCF) à la face interne de la c
limbique (C); à ce niveau, elles sont toujours placées au-dessous du
faisceau
compact du fornix. FOi. Le faisceau inférieur d
toujours placées au-dessous du faisceau compact du fornix. FOi. Le
faisceau
inférieur du forceps, étalé sur l'extrémité posté
n'est plus représenté que par des fibres verticales (FOi) et un petit
faisceau
de fibres horizontales, antéro-postérieures, dont
ar une strie grise obliquement dirigée en bas et en dehors. FOm. Le
faisceau
moyen du forceps, momentanément confondu avec les
confondu avec les parties blanches adjacentes (fig. 15), redevient un
faisceau
isolé sur tout son pourtour. La démarcation s'acc
n pourtour. La démarcation s'accuse surtout dans ses rapports avec le
faisceau
supérieur et le faisceau inférieur, par ce fait q
n s'accuse surtout dans ses rapports avec le faisceau supérieur et le
faisceau
inférieur, par ce fait que les deux angles supéri
ion est celle où le ventricule atteint son maximum de largeur. FOs.
Faisceau
supérieur du forceps. De plus en plus isolé du fa
rgeur. FOs. Faisceau supérieur du forceps. De plus en plus isolé du
faisceau
moyen par l'encoche de l'angle supéro-externe du
sceau moyen par l'encoche de l'angle supéro-externe du ventricule, le
faisceau
supérieur du forceps s'élargit dans la portion où
présente le tapetum. C'est qu'il s'y ajoute le trousseau de fibres du
faisceau
moyen dont il vient d'être question. LFE. La la
a cavité du ventricule, s'accuse davantage. Entre ces deux angles, le
faisceau
moyen du forceps proemine dans la cavité, dont il
e la corne postérieure (BCP). Elle répond exclusivement aux fibres du
faisceau
moyen du forceps (FOm). — La face externe s'incur
ne s'incurve en dedans, suivant exactement la direction des fibres du
faisceau
supérieur du forceps (FOs). Substance blanche.
du faisceau supérieur du forceps (FOs). Substance blanche. FS. Le
faisceau
sensitif observe la même direction et les mêmes r
e la même direction et les mêmes rapports que précédemment. FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur, réduit à sa couche inféri
à sa couche inférieure, est formé des fibres de la partie externe du
faisceau
sensitif (FS) et des fibres du faisceau diffus du
ibres de la partie externe du faisceau sensitif (FS) et des fibres du
faisceau
diffus du fornix (FDF), dont la direction offre i
irection offre ici une particularité digne d'être signalée. FDF. Le
faisceau
diffus du fornix se compose de fibres anléro-post
déjà insérées à la substance grise de cette circonvolution. FCF. Le
faisceau
compact du fornix se mêle en partie avec le cingu
ue, s'accuse par une coloration très foncée. Une partie des libres du
faisceau
compact du fornix (FCF) passe également dans le c
re décrit par le cingulum. Sur une coupe vertico-transversale (x), ce
faisceau
est divisé seulement une fois; sur une eoupe plus
espond à l'angle supéro-internc de la cavité ventriculaire. FOi. Le
faisceau
inférieur du forceps devient de plus en plus vert
sens antéro-postérieur. D'ailleurs, quelle que soit sa direction, ce
faisceau
, dans son ensemble, occupe la totalité de la face
es fibres du forceps, on ne trouve plus que des fibres appartenant au
faisceau
moyen (FOm). FOm. La proéminence du faisceau mo
fibres appartenant au faisceau moyen (FOm). FOm. La proéminence du
faisceau
moyen du forceps major dans la cavité ventriculai
eux saillies. La saillie externe se compose des fibres supérieures du
faisceau
moyen ; la saillie interne se compose des fibres
leur trajet suivant la direction générale indiquée par lastriation du
faisceau
, qui forme le plafond ventriculaire ; et il est f
e au côté externe, en arrière et en dehors. A sa partie interne, le
faisceau
moyen du forceps (FOm) est plus foncé qu'à sa par
alleux. On a pu voir, sur toutes les figures de cette planche, que le
faisceau
moyen du forceps présentait une striation transve
dedans qu'en dehors, plus compactes en arrière qu'en avant. FOs. Le
faisceau
supérieur du forceps se jette en dedans, dans la
s (FOm). Un peu plus en avant, elle disparaît complètement. FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal se porte du pli courbe et du lobu
nt eu pour but que de fixer d'une façon bien précise les rapports des
faisceaux
du lobe occipital, dont les changements de direct
dont les changements de direction sont très difficiles à saisir. Ces
faisceaux
étant actuellement connus, il nous paraît superfl
développée. Elle est doublée dans toute son étendue par le tapetum ou
faisceau
supérieur du forceps (FOs). La face supérieure
périeur du forceps (FOs). La face supérieure est représentée par le
faisceau
moyen du forceps, proéminant dans la cavité sous
ueuse (BCP), marquant la section du bulbe de la corne postérieure. Le
faisceau
moyen du forceps s'épuise à mesure qu'on entame d
largeur; c'est particulièrement (fîg. 22) au point où ce qui reste du
faisceau
inférieur du forceps (FOi) passe en totalité au-d
Sur la figure 25, on voit apparaître trois taches grises au milieu du
faisceau
inférieur du forceps (FOi). 11 est à remarquer qu
inférieur du forceps (FOi). 11 est à remarquer que la strialion de ce
faisceau
, encore très apparente sur la coupe précédente (f
substance grise devient reconnaissable. Donc, à ce moment précis, le
faisceau
inférieur du forceps (FOi) est vertical. Il passe
droite et à gauche, elles sont en rapport immédiat avec les fibres du
Faisceau
inférieur du forceps (FOi). Les fibres les plus p
ules qui soient représentées sur la figure 23. Elles consistent en un
faisceau
triangulaire qui s'insinue en bas et en avant, au
vant, au-dessous delà substance grise godronnée. Sur la figure 24, ce
faisceau
s'aplatit, et on le verra, plus loin encore. La
la partie inférieure de cette dernière. Substance blanche. FS. Le
faisceau
sensitif présente la même configuration et les mê
oyenne; il est plus diffus à sa partie supérieure, où il enveloppe le
faisceau
supérieur du forceps (FOs, 23); enfin, à sa parti
us observerons sur des coupes plus antérieures). Cela signifie que le
faisceau
sensitif interne (FSi) est dirigé d'avant en arri
u moins à la partie la plus postérieure (fig. 19). La délimitation du
faisceau
sensitif est toujours plus prononcée, d'ailleurs,
ct du tapetum. Les fibres du tapetum (FOs) sont verticales. Celles du
faisceau
sensitif sont sagittales; il n'y a qu'apposition
esque toujours, la cassure se fait dans l'interstice du tapetum et du
faisceau
sensitif interne. Le faisceau externe (FSc) se
it dans l'interstice du tapetum et du faisceau sensitif interne. Le
faisceau
externe (FSc) se confond insensiblement en dehors
ors avec les autres parties du centre ovale, particulièrement avec le
faisceau
diffus du fornix (FDF) ; leurs rapports deviennen
au du gyrus fusiforme (T*), où nous les avons déjà étudiés. FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur est réduit à deux couches;
renferme les fibres antéro-postérieures, venues en majeure partie du
faisceau
sensitif externe. La couche moyenne (FL2) représe
des fibres transversales, dirigées de dehors en dedans, provenant du
faisceau
sensitif interne; elle se perdait, sur les coupes
par la corne d'Àmmon, les fibres des couches inférieure et moyenne du
faisceau
longitudinal inférieur passent au-dessous de la c
u longitudinal inférieur passent au-dessous de la corne d'Ammon et du
faisceau
inférieur du forceps (FOi) qui l'enveloppe FDF.
n et du faisceau inférieur du forceps (FOi) qui l'enveloppe FDF. Le
faisceau
diffus du fornix accompagne, d'une manière généra
. Le faisceau diffus du fornix accompagne, d'une manière générale, le
faisceau
sensitif (FS) ; mais il est toujours situé en deh
lui. Il observe môme une direction sensiblement parallèle à celle du
faisceau
sensitif (FS). Parti de la circonvolution limbiqu
e (fig. 20), il se porte en dehors, en bas et en arrière; il longe le
faisceau
sensitif dans toute sa hauteur; arrivé à l'angle
t en bas, en dedans et en avant. C'est par l'adjonction des fibres du
faisceau
diffus du fornix que le faisceau longitudinal inf
C'est par l'adjonction des fibres du faisceau diffus du fornix que le
faisceau
longitudinal inférieur (FLI) augmente momentanéme
FLI) augmente momentanément de calibre. Mais la plupart des fibres du
faisceau
diffus du fornix (FDF) restent en dehors du grand
cipito-temporal et s'épuisent dans le gyrus fusiforme (T4). FCF. Le
faisceau
compact du fornix, toujours interposé entre le ci
aisceau compact du fornix, toujours interposé entre le cingulum et le
faisceau
diffus du fornix (FDF), n'est facilement re-conna
au de la circonvolution limbique (fig. 19, 20). Dorénavant, ces trois
faisceaux
(faisceau diffus du fornix FDF, faisceau compact
rconvolution limbique (fig. 19, 20). Dorénavant, ces trois faisceaux (
faisceau
diffus du fornix FDF, faisceau compact du fornix
20). Dorénavant, ces trois faisceaux (faisceau diffus du fornix FDF,
faisceau
compact du fornix FCF et cingulum Cin), vont ci
nnaissent pas du premier coup dans le plan de la section. — Les trois
faisceaux
en question ont une forme et une situation absolu
s poursuivant, en avant d'abord, et en Profil schématique des trois
faisceaux
de la circonvolution du corps calleux ou circonvo
plus près, par le cingulum (cin) ; plus haut et plus en dehors par le
faisceau
compact du fornix (FCK); encore plus haut et plus
au compact du fornix (FCK); encore plus haut et plus en dehors par le
faisceau
diffus du fornix (FDF). Ces trois faisceaux s'ent
t et plus en dehors par le faisceau diffus du fornix (FDF). Ces trois
faisceaux
s'entrecroisent en arrière avec les faisceaux sup
fornix (FDF). Ces trois faisceaux s'entrecroisent en arrière avec les
faisceaux
supérieur, moyen et inférieur du forceps (FOs, FO
allèlement à la première. On s'aperçoit ainsi que chacun de ces trois
faisceaux
représente un arc de cercle à concavité antérieur
sent dans les circonvolutions occipitales et occipito-temporales : le
faisceau
diffus du fornix se jette dans la quatrième tempo
sceau diffus du fornix se jette dans la quatrième temporale (T4) ; le
faisceau
compact (FCF) se jette dans le gyrus lingual ou c
dronnée et la cinquième temporale. On remarquera encore : Io que le
faisceau
diffus du fornix accompagne le faisceau supérieur
remarquera encore : Io que le faisceau diffus du fornix accompagne le
faisceau
supérieur du forceps (FOs); que le faisceau compa
s du fornix accompagne le faisceau supérieur du forceps (FOs); que le
faisceau
compact du fornix accompagne le faisceau moyen du
eur du forceps (FOs); que le faisceau compact du fornix accompagne le
faisceau
moyen du forceps (FOm) ; enfin que le cingulum ac
faisceau moyen du forceps (FOm) ; enfin que le cingulum accompagne le
faisceau
inférieur du forceps (FOi). Les trois faisceaux d
cingulum accompagne le faisceau inférieur du forceps (FOi). Les trois
faisceaux
du fornix représentent donc trois systèmes de fib
s de fibres d'association, pour des régions corticales dont les trois
faisceaux
du forceps représentent les trois systèmes de com
lleux jusqu'à la face inférieure de la corne d'Ammon, les rapports du
faisceau
compact du fornix (FCF) avec la circonvolution li
pe; mais c'est toujours la même circonvolution, parcourue par un même
faisceau
, le faisceau compact du fornix (FCF). — De même,
t toujours la même circonvolution, parcourue par un même faisceau, le
faisceau
compact du fornix (FCF). — De même, la circonvolu
s calleux, et au dessus de ses fibres transversales, on voit les deux
faisceaux
antéro-poslé-rieurs qui représentent le cingulum.
dessus du corps calleux; et là il se continue avec la portion du même
faisceau
(Cm) qui longe la face externe de la circonvoluti
bandelette cendrée (Fci), puis (fig. 25 et 24) s'interposer entre le
faisceau
inférieur du forceps (FOi) et la partie la plus i
e faisceau inférieur du forceps (FOi) et la partie la plus interne du
faisceau
longitudinal inférieur (FLI). Il se termine donc
dans la circonvolution de l'hippocampe, où il s'entre-croise avec le
faisceau
longitudinal inférieur, toujours au-dessous du si
sillon inféro-interne du ventricule ou sillon du subiculum. FOi. Le
faisceau
inférieur du forceps se sépare du faisceau moyen
on du subiculum. FOi. Le faisceau inférieur du forceps se sépare du
faisceau
moyen (FOm) au milieu de l'angle supéro-interne d
. Ainsi que sur les coupes de la planche précédente, les fibres de ce
faisceau
, qui restent antéro-postérieures sur tout leur tr
figures 25 et 24 on voit, du fait de cette récurrence, apparaître un
faisceau
compact qui n'avait été que signalé précédemment
ciable, jusqu'à l'extrémité antérieure de la corne d'Ammon. FOm. Le
faisceau
moyen du forceps diminue de plus en plus de volum
diminue de plus en plus de volume. 11 n'est plus constitué que par ce
faisceau
de fibres flottantes qui, juste au-dessus de la b
isphère verticalement sans entamer obliquement, à un moment donné, le
faisceau
moyen du forceps (FOm), celui des trois faisceaux
un moment donné, le faisceau moyen du forceps (FOm), celui des trois
faisceaux
du splenium qui forme la voûte de la corne occipi
tres, inclinées en bas, en arrière et en dehors, à la face interne du
faisceau
supérieur ou tapetum. On voit (fig. 22 et 25) le
e reliquat de ces fibres qui, précédemment, formaient encore un petit
faisceau
d'une certaine importance, se réfléchissant sous
léchissant sous la paroi du ventricule de dehors en dedans. FOs. Le
faisceau
supérieur du forceps ne présente, sur cette planc
nt changer de direction et se porter en bas et en dedans. Profil du
faisceau
supérieur du forceps (FOs) à son insertion sur la
ion sur la partie postérieure du corps calleux (ce). Les fibres de ce
faisceau
rayonnent en éven tail, mais décrivent clans leur
lutions du lobe carré et la circonvolution de l'hippocampe. FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal ne change ni de forme ni de rappo
rieur (P2). En bas et en dedans, il se confond insensiblement avec le
faisceau
diffus du fornix (FDF); tout à fait en haut, da
aut, dans le manteau de la première circonvolution frontale, ces deux
faisceaux
se mélangent d'une manière intime. Quant au fai
ale, ces deux faisceaux se mélangent d'une manière intime. Quant au
faisceau
occipital vertical (FOV, voy. pl. XIII), il a ces
it en effet et se porte de dehors en dedans au fur et à mesure que le
faisceau
moyen du forceps (représenté par le bulbe de la c
de l'hippocampe. — ce, corps calleux; TRI, trigone; FI, Fimbria; FLI,
faisceau
longitudinal inférieur. divise donc le pli de p
rieur dans lequel nous trouverons toujours la corne d'Ammon (Fci), le
faisceau
inférieur du forceps (FOi) et le cingulum (Cin) ;
tage inférieur dans lequel circulent d'arrière en avant les fibres du
faisceau
longitudinal inférieur (FLI). L'étage supérieur p
s calleux augmente d'épaisseur. Mais il est surtout représenté par le
faisceau
supérieur du forceps (FOs, fig. 26 et BRISSAUD.
eau supérieur du forceps (FOs, fig. 26 et BRISSAUD. 10 suiv.). Ce
faisceau
entre dans sa constitution pour une bonne moitié.
ne encoche assez profonde (fig. 28 et 29) qui marque la séparation du
faisceau
supérieur du forceps (FOs) et des deux faisceaux
rque la séparation du faisceau supérieur du forceps (FOs) et des deux
faisceaux
moyen et inférieur (FOm, FOi). A la partie infé
n d'une masse de fibres dirigées d'avant en arrière et appartenant au
faisceau
inférieur du forceps. On voit plus loin (fig. 30)
cer en dedans, en arrière et en dehors de la corne d'Aminon. FS. Le
faisceau
sensitif, toujours nettement limité en dedans, de
irection antéro-postérieure de ses fibres. — En haut, il contourne le
faisceau
supérieur du forceps (FOs) et parait se porter ve
che suivante que cette disposition se prononcera davantage. FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur ne se compose que de deux
che inférieure foncée (FLs) est en grande partie formée des fibres du
faisceau
sensitif externe (FSe) et en faible partie des fi
du faisceau sensitif externe (FSe) et en faible partie des fibres du
faisceau
diffus du fornix (FDF). Mais ce dernier est déjà
e (FL2, fig. 26, 29), composée de fibres transversales, appartient au
faisceau
sensitif interne (FSi). Nous verrons, à propos de
iveau de l'angle inféro-externe de la cavité ventriculaire. FDF. Le
faisceau
diffus du fornix, croisant obliquement le faiscea
culaire. FDF. Le faisceau diffus du fornix, croisant obliquement le
faisceau
sensitif (fig. 26) de bas en haut et de dehors en
(fig. 30). Sa direction générale reste d'ailleurs la même. FCF. Le
faisceau
compact du fornix, composé exclusivement de fibre
lleux, se jette dans l'écorce de la circonvolution limbique, entre le
faisceau
compact du fornix et le cingulum (Cm). Cin. Le
ment reconnaissable (Cm, fig. 26, 27, etc.) au-dessus et en dedans du
faisceau
inférieur du forceps (FOi). Sur la figure 26 on v
es obliques en bas et en dehors sont claires, et s'insinuent entre le
faisceau
inférieur du forceps (FOi) et la corne d'Ammon.
le faisceau inférieur du forceps (FOi) et la corne d'Ammon. FOi. Le
faisceau
inférieur du forceps (fig. 28) se compose de deux
mant, sous le nom iïalveus, la paroi interne du ventricule. FOm. Le
faisceau
moyen du forceps est représenté (fig. 27, 28) par
ventricule ; et aussi à la partie inférieure du tapetum, par un petit
faisceau
de fibres, que nous connaissons déjà, dirigées en
n nombre d'entre elles passent sous la paroi ventriculaire. FOs. Le
faisceau
supérieur du forceps, dirigé de haut en bas et de
. 30) à changer de direction; il s'élargit, ce qui tient à ce que les
faisceaux
du corps calleux lui arrivent en plus grande quan
réfléchissent sous la paroi inférieure de la corne occipitale. CO.
Faisceau
du centre ovale. Sur les figures 29 et 30 apparaî
CO. Faisceau du centre ovale. Sur les figures 29 et 30 apparaît un
faisceau
suffisamment isolé entre le faisceau diffus du fo
les figures 29 et 30 apparaît un faisceau suffisamment isolé entre le
faisceau
diffus du fornix (FDF) et le faisceau supérieur d
eau suffisamment isolé entre le faisceau diffus du fornix (FDF) et le
faisceau
supérieur du forceps (FOs). Ce faisceau, qui conc
diffus du fornix (FDF) et le faisceau supérieur du forceps (FOs). Ce
faisceau
, qui concourt à la formation du centre ovale, est
u plan de la coupe, mais sensiblement parallèles à ce plan. FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal (fig. 25, FPF) a pris une inserti
e l'écorce et la face supérieure du ventricule. Il en résulte que les
faisceaux
sous-jacents à la scissure limbique, c'est-à-dire
ue les faisceaux sous-jacents à la scissure limbique, c'est-à-dire le
faisceau
diffus et le faisceau compact du fornix, tassés a
jacents à la scissure limbique, c'est-à-dire le faisceau diffus et le
faisceau
compact du fornix, tassés au-dessus du corps call
tout cet ensemble, au lieu d'être perdu parmi les fibres blanches du
faisceau
inférieur du forceps (fîg. 25, 24 et 29), est rel
nterne du ventricule, nous verrons ce qu'il faut en dire, à propos du
faisceau
inférieur du forceps (FOi). Substance blanche.
orment ainsi une cloison épaisse, le tapetum (TAP, fig. 54), dont les
faisceaux
se comportent dans cette région comme se sont com
s-unes d'entre elles. Celles-ci forment alors la couche supérieure du
faisceau
longitudinal inférieur; et c'est parce quelles ne
se réfléchissent pas toutes ensemble que la couche supérieure de ce
faisceau
est nécessairement moins épaisse que le tapetum l
é des fibres du corps calleux, en dehors de celles qui ont fourni aux
faisceaux
moyen et inférieur du forceps (FOm* et FOi, fig.
eux (ce). Fci fasciola cincerea devenant taenia tecta (tec). FOs,
faisceau
supérieur du forceps ; FOm, faisceau moyen du f
ant taenia tecta (tec). FOs, faisceau supérieur du forceps ; FOm,
faisceau
moyen du forceps. ciablc. Les fibres du forceps
let (ou sple-nium) aux circonvolutions occipitales internes. FS. Le
faisceau
sensitif, dont les deux couches sont déjà recon-n
iques en haut et en dedans. Ce qu'il faut remarquer ici, c'est que-le
faisceau
sensitif qui jusqu'à présent n'avait pas été nett
ut en bas, au voisinage de sa réflexion sous-ventriculaire. FLi. Le
faisceau
longitudinal inférieur change d'aspect; il est ré
ccipito-tamporal. Mais cela ne veut pas dire que les trois couches du
faisceau
longitudinal inférieur, signalées précédemment, s
FLs) ont fait leur apparition. Elles ne représentent pas de nouveaux
faisceaux
. Le faisceau longitudinal inférieur est toujours
leur apparition. Elles ne représentent pas de nouveaux faisceaux. Le
faisceau
longitudinal inférieur est toujours formé des môm
he inférieure. Celles qui formaient la couche inférieure, Proiil du
faisceau
longitudinal inférieur, vu par transparence à la
férieure encore. On comprend ainsi que les couches (FLs, FL4, FLs) du
faisceau
longitudinal inférieur (fig. 35) ne soient qu'une
eure, quelque numéro qu'elle porte, répond toujours nécessairement au
faisceau
diffus du fornix (FDF), une fois qu'il s'est réfl
entre la plus supérieure et la plus inférieure) répondent toujours au
faisceau
sensitif interne (FSi), et à une partie du faisce
ndent toujours au faisceau sensitif interne (FSi), et à une partie du
faisceau
sensitif externe (FSe). Il y a d'ailleurs une a
tif externe (FSe). Il y a d'ailleurs une autre raison qui fait que le
faisceau
sensitif interne (FSi), parvenu au fond du sillon
quée en avant (B), en un point où les trois couches ventriculaires du
faisceau
longitudinal inférieur s'enfoncent obliquement da
en réalité ces couches elles-mêmes. Toutes les fois, en effet, qu'un
faisceau
décrit une courbe, et que cette courbe est intére
es, et en général d'autant plus tranchées que le rayon de courbure du
faisceau
est plus petit. FDF. Le faisceau diffus du forn
nchées que le rayon de courbure du faisceau est plus petit. FDF. Le
faisceau
diffus du fornix est visible (fig. 52 et suiv.) d
*. Dans la région limbique, aplati entre la substance corticale et le
faisceau
sensitif du centre ovale (CO), il se confond inse
u sensitif du centre ovale (CO), il se confond insensiblement avec le
faisceau
compact du fornix (FCF). Dans la région du gyrus
ornix (FCF). Dans la région du gyrus fusiforme (T4), il fait suite au
faisceau
sensitif externe (FSe) et mêle quelques-unes de s
itif externe (FSe) et mêle quelques-unes de ses fibres avec celles du
faisceau
sensitif externe qui se réfléchissent sous le ven
u sensitif externe qui se réfléchissent sous le ventricule. FCF. Le
faisceau
compact du fornix est, comme nous l'avons déjà vu
e étant très voisines de celles de la planche précédente, l'aspect du
faisceau
compact du fornix ne s'est pas modifié. Ses fibre
une coloration foncée. Ce sont les fibres les plus inférieures de ce
faisceau
, coupées perpendiculairement à leur axe, au momen
t le cingulum (Cin) au-dessus et au-dessous du corps calleux (ce). Le
faisceau
du cingulum accompagne la circonvolution limbique
ne blanche, interposée entre la substance grise de l'hippocampe et le
faisceau
inférieur du forceps (FOi). Là ses fibres, que no
a partie la plus supérieure du manteau du subiculum (Ilip). FOi. Le
faisceau
inférieur du forceps (fig. 52, 54, 56) occupe la
former, à la face interne du ventricule, ce qu'on appelle Yalveus. Le
faisceau
inférieur du forceps, dans ce trajet, est accolé
ale. On peut remarquer que dans la région du splenium d'où émane le
faisceau
inférieur du forceps (FOi), la teinte claire des
ux devient progressivement plus foncée. Il y a en effet, en dedans du
faisceau
inférieur du forceps, un faisceau diffus de fibre
ncée. Il y a en effet, en dedans du faisceau inférieur du forceps, un
faisceau
diffus de fibres antéro-postérieures qui, sur les
r les coupes plus antérieures, se détachera nettement de l'alveus. Ce
faisceau
diffus (FI, fig. 56) représentera l'origine de la
diffus (FI, fig. 56) représentera l'origine de la fimbria. FOm. Le
faisceau
moyen du forceps est réduit à une sorte de moigno
u ventricule, descend dans la paroi externe de celui-ci, en dedans du
faisceau
supérieur du forceps et se porte en avant (FOm, f
u supérieur du forceps et se porte en avant (FOm, fig. 55). FOs. Le
faisceau
supérieur du forceps (FOs, fig. 55, 55) se contin
e du ventricule qu'il tapisse. Dorénavant il ne sera plus question du
faisceau
supérieur du forceps, mais seulement du tapetum f
ite en dedans sous le plancher de la corne occipitale, au-dessus du
faisceau
longitudinal inférieur (FLI). CO. Faisceau du c
occipitale, au-dessus du faisceau longitudinal inférieur (FLI). CO.
Faisceau
du centre ovale. Nous avons vu que le faisceau sc
inférieur (FLI). CO. Faisceau du centre ovale. Nous avons vu que le
faisceau
scnsitif externe, dirigé d'avant en arrière à sa
rticales, s'effectue dans la région du centre ovale. Nous appellerons
faisceau
sensitif du centre ovale (CO) l'espace clair, tri
, triangulaire, à sommet dirigé en dedans,, qui parait faire suite au
faisceau
sensitif externe. Cet espace clair (CO), fîg. 32,
espace clair (CO), fîg. 32, 55, 54, 55, 56) est limité en haut par le
faisceau
diffus du fornix (F1)F); la démarcation est très
l est limité par le tapetum (TAP) ; ici la distinction entre les deux
faisceaux
est assez difficile à établir. Le fait est que le
fait est que leurs fibres sont également horizontales. Mais celles du
faisceau
sensitif du centre ovale se dirigent en avant et
rage de la coupe, on arrive presque toujours à constater que les deux
faisceaux
en question ne mélangent pas leurs fibres. L'ex
es représentées sur la planche 6 permet de supposer que les fibres du
faisceau
sensitif du centre ovale (CO) se portent en dedan
dessus du cingulum (Cin) et en s'intriquant finalement avec celles du
faisceau
compact du fornix (FCF, fig. 54, 55). FPF. Le f
ec celles du faisceau compact du fornix (FCF, fig. 54, 55). FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal, qui est facile à reconnaître sur
e qui séparent réellement les unes des autres les lames imbriquées du
faisceau
pariéto-frontal. Foville a donné une reproduction
t l'apparition ne change d'ailleurs rien d'essentiel aux rapports des
faisceaux
du centre ovale avec l'écorce. Sur les figures
terne et la face interne, là seulement où il reste quelques fibres du
faisceau
moyen du forceps (BCP, fig. 40). C'est en effet d
a plus inférieure du corps calleux (fig. 37, FI), où elles forment un
faisceau
foncé, isolé, compact, se rapprochant de plus en
us est simplement l'épanouissement des fibres les plus antérieures du
faisceau
inférieur du forceps (FOi) à la face externe de l
inuer sous la corne d'Ammon, comme ont fait déjà toutes les fibres du
faisceau
inférieur du forceps et se terminent finalement d
ent, dans le voisinage de l'angle supéro-interne du ventricule, en un
faisceau
d'abord diffus, qui en devenant compact formera l
nches. En dehors du tapetum courent d'avant en arrière les fibres des
faisceaux
sensitifs interne et externe (FSi, FSe). Le conta
e de la paroi externe du ventricule. Ici, les fibres du tapetum et du
faisceau
sensitif ne se mélangent jamais. Il n'en est pas
ême dans la région supérieure et externe du tapetum, où les fibres du
faisceau
sensitif externe (FSe, fig. 42) rejoignent la par
, fig. 42) rejoignent la partie supérieure du corps calleux. FS. Le
faisceau
sensitif (fig. 57) esteomposé de ses deux couches
atera d'abord sur les coupes horizontales que cette partie interne du
faisceau
sensitif n'est pas moins claire que la partie ext
le horizontalement de dedans en dehors. — On pourrait supposer que le
faisceau
sensitif, sur toutes ces coupes, ne se compose pa
La figure ci-contre explique ce que nous Projection horizontale du
faisceau
sensitif et changement de direction des fibres de
tale du faisceau sensitif et changement de direction des fibres de ce
faisceau
. h, portion transversale de son trajet. s, port
llèle à la fente interhémisphérique. Schéma 70. voulons dire : le
faisceau
sensitif est constitué par des fibres arquées, d'
n'en est rien. La démarcation est très tranchée; et s'il y a dans le
faisceau
sensitif interne (FSi) une notable quantité de fi
itif interne (FSi) une notable quantité de fibres qui passent dans le
faisceau
externe (FSe), celui-ci est loin de se composer u
i est loin de se composer uniquement des fibres qui ont déjà formé le
faisceau
interne. Les coupes horizontales démontrent môme
upes horizontales démontrent môme que la majeure partie des fibres du
faisceau
externe, venues de beaucoup plus loin en avant, n
, venues de beaucoup plus loin en avant, n'ont rien de commun avec le
faisceau
interne. FLI. Le faisceau longitudinal inférieu
in en avant, n'ont rien de commun avec le faisceau interne. FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur présente ici quatre couche
chies sous le ventricule ; 2° une couche foncée, formée des fibres du
faisceau
sensitif interne (FSi, fig. 59) et des fibres du
s fibres du faisceau sensitif interne (FSi, fig. 59) et des fibres du
faisceau
sensitif externe (FSe); 3° une couche claire, for
(FSe); 3° une couche claire, formée d'une bonne partie des fibres du
faisceau
sensitif externe (FSe), mélangées avec les fibres
ensitif externe (FSe), mélangées avec les fibres les plus internes du
faisceau
diffus du fornix (FDF) ; 4° une couche foncée (FL
oncée (FLs, fig. 58), qui est la continuation, sous le ventricule, du
faisceau
diffus du fornix (FDF). Toutes ces couches du fai
ventricule, du faisceau diffus du fornix (FDF). Toutes ces couches du
faisceau
longitudinal inférieur, sous-jacentes au plancher
Il ne faut pas considérer les stratifications sous-ventriculaires du
faisceau
longitudinal inférieur comme des faisceaux compac
ions sous-ventriculaires du faisceau longitudinal inférieur comme des
faisceaux
compacts, absolument séparés les uns des autres.
qui est incontestable, c'est que les couches foncées représentent des
faisceaux
antéro-postérieurs, et les couches claires des fa
ésentent des faisceaux antéro-postérieurs, et les couches claires des
faisceaux
transversaux. Les faisceaux antéro-postérieurs fo
o-postérieurs, et les couches claires des faisceaux transversaux. Les
faisceaux
antéro-postérieurs foncés deviennent clairs au fu
t clairs au fur et à mesure qu'ils deviennent transversaux. FDF. Le
faisceau
diffus du fornix se reconnaît toujours facilement
totalement épuisé. Mais nous venons de dire qu'une bonne partie de ce
faisceau
se prolonge dans la couche la plus inférieure du
artie de ce faisceau se prolonge dans la couche la plus inférieure du
faisceau
longitudinal inférieur (fig. 39, 40, 41). FCF.
ieure du faisceau longitudinal inférieur (fig. 39, 40, 41). FCF. Le
faisceau
compact du fornix ne présente rien de spécial. La
ge supérieur du subiculum. Leurs plus proches voisines sont celles du
faisceau
inférieur du forceps (FOi, fig. 37). FOi. Le fa
ont celles du faisceau inférieur du forceps (FOi, fig. 37). FOi. Le
faisceau
inférieur du forceps que nous avons vu constituer
A présent, il se porte directement en dehors, comme le cingulum, son
faisceau
satellite. Il a une teinte franchement claire (FO
mbria (FI, fig. 39). FI. La fimbria, qu'on peut considérer comme un
faisceau
antéro-postérieur du corps calleux (du moins dans
s calleux (du moins dans la région du splenium), entoure en dedans le
faisceau
inférieur du forceps, dont elle dérive, et s'incl
érive, et s'incline en dehors et en bas (elle accompagne (fig. 42) le
faisceau
inférieur du forceps, avec lequel elle paraît se
la fimbria n'est pas seulement apparente, elle est réelle. FOm. Le
faisceau
moyen du forceps a presque totalement disparu. On
ve que sur certaines coupes (fig. 57, 59, 42) le bourgeon blanc de ce
faisceau
, à son insertion sur le corps calleux, vestige du
le corps calleux, vestige du bulbe de la corne postérieure. CO. Le
faisceau
sensitif du centre ovale diminue d'épaisseur (fig
le diminue d'épaisseur (fig. 58, 59, 40) entre le tapetum (TAP) et le
faisceau
diffus du fornix (FDF). Sur les figures 41, 42, o
erme le manteau de la circonvolution limbique (C, fig. 41). FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal devient plus compact, surtout dan
Ce cul-de-sac, plus ou moins profond, repousse toujours en dedans le
faisceau
sensitif (FSe, FSi), qui décrit une concavité ext
fimbria. ALV, alveus. o£4, grand sillon occipilo- temporal. FLI,
faisceau
longitudinal inférieur. fascia dentata (Fd). Ce
rapports profonds. Nous avons dit qu'il était le lieu d'insertion du
faisceau
diffus du fornix, aussi bien dans la région parié
squ'au voisinage du fascia dentata. Elles forment une bonne partie du
faisceau
oblique qui joint encore le splenium (CR) à la ci
g. 44, 46) est la continuation du corps calleux et de ce qui reste du
faisceau
supérieur du forceps. On peut remarquer sur cette
du corps calleux (FOi) seront étudiées plus loin (voy. FI). FS. Le
faisceau
sensitif composé de ses deux couches [faisceau se
in (voy. FI). FS. Le faisceau sensitif composé de ses deux couches [
faisceau
sensitif externe (FSe) et faisceau sensitif inter
sitif composé de ses deux couches [faisceau sensitif externe (FSe) et
faisceau
sensitif interne (FSi)] présente là même disposit
nte. On remarquera seulement qu'une plus notable partie des fibres du
faisceau
externe semble s'épuiser dans le gyrus fusiforme
(T4) (%. 45, 44 et suiv.). Puis, sur les coupes plus antérieures, ce
faisceau
perd beaucoup de son importance, et l'on constate
importance, et l'on constate en revanche l'augmentation de surface du
faisceau
du gyrus fusiforme. — Le faisceau sensitif intern
vanche l'augmentation de surface du faisceau du gyrus fusiforme. — Le
faisceau
sensitif interne n'a pas délimite supérieure bien
va donc en réalité jusqu'à l'angle supéro-externe du ventricule. — Le
faisceau
externe (FSe) 1« L'angle supéro-externe de la c
il se dirige obliquement en haut, en dedans et en avant, au-dessus du
faisceau
supérieur du corps calleux (FOs) vers la circonvo
on. Du moins ses fibres sont en grande partie arrêtées par celles des
faisceaux
compact et diffus du fornix. FLI. Le faisceau l
êtées par celles des faisceaux compact et diffus du fornix. FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur, sur la première figure de
sentée ici est en effet Schéma 80 représentant par transparence les
faisceaux
constitutifs du faisceau longitudinal inférieur,
Schéma 80 représentant par transparence les faisceaux constitutifs du
faisceau
longitudinal inférieur, s'insérant à l'écorce de
ppocampe (Hip), nu-dessus du grand sillon occipitotemporal (o£4). Ces
faisceaux
sont : 1° Le faisceau sensitif externe (FSe); 2"
us du grand sillon occipitotemporal (o£4). Ces faisceaux sont : 1° Le
faisceau
sensitif externe (FSe); 2" le faisceau sensitif i
4). Ces faisceaux sont : 1° Le faisceau sensitif externe (FSe); 2" le
faisceau
sensitif interne (FSi) ; 5° le tapelum (TAP). Qua
2" le faisceau sensitif interne (FSi) ; 5° le tapelum (TAP). Quant au
faisceau
diffus du fornix (FDF),il s'insère à l'écorce de
and sillon occipitotemporal (o4). celle où toutes les couches de ce
faisceau
convergent et s'épuisent. Elles se portent donc s
hangement de coloration. On remarquera, par exemple (fig. 46), que le
faisceau
sensitif interne (FSi) se continue sous le ventri
erne (FSi) se continue sous le ventricule avec la troisième couche du
faisceau
longitudinal infé rieur (FL3), mais qu'il se co
trième couche (FL4). C'est-à-dire que les fibres les plus internes du
faisceau
sensitif interne se portent encore d'avant en arr
ehors en dedans. En d'autres termes, le point d'arrivée des fibres du
faisceau
sensitif (FSe, FSi) dans la circonvolution de l'h
I) est toujours, manifestement, la continuation sous-venfriculaire du
faisceau
sensitif externe (FSe). Quant aux fibres du tap
us avons vues former précédemment la couche la plus' superficielle du
faisceau
longitudinal inférieur, elles ne sont plus désorm
se (fig. 44, TAP) verticale, située au milieu même du prolongement du
faisceau
supérieur du forceps (FOs). Elles se dirigent obl
ont sous le ventricule que dans une région plus antérieure. FDF. Le
faisceau
diffus du fornix perd beaucoup de son épaisseur.
Sur toutes les coupes de la planche VIII il ne garde l'apparence d'un
faisceau
homogène que dans le manteau de cette circonvolut
s le manteau de cette circonvolution, au-dessus des fibres claires du
faisceau
compact du fornix (FCF), dirigées transversalemen
laires et se jettent dans l'écorce du gyrus fusiforme (T4). FCF. Le
faisceau
compact du fornix mélangé au faisceau compact se
gyrus fusiforme (T4). FCF. Le faisceau compact du fornix mélangé au
faisceau
compact se porte directement en dedans vers l'éco
Dans la circonvolution de l'hippocampe (fig. 44), il se mêle avec le
faisceau
inférieur du forceps, devenu ici l'alvcus ; et mô
l'hippocampe, on le voit mélanger en partie ses fibres avec celles du
faisceau
longitudinal inférieur (FLI). FOi. Les fibres i
al (voir plus loin). Sur les figures 46, 47, 48, la partie interne du
faisceau
inférieur du forceps, réduite à une minceur extrê
couteau ; elle est comme ébarbée. Nous touchons ici à la région où le
faisceau
inférieur du forceps va disparaître. Il n'en subs
e externe ou fimbria (FI). — FOm (fig. 45) représente ce qui reste du
faisceau
moyen du forceps. CO. Le faisceau sensitif du c
g. 45) représente ce qui reste du faisceau moyen du forceps. CO. Le
faisceau
sensitif du centre ovale (fig. 44, 46, 48) diminu
ux, à mesure que celui-ci augmente d'importance. FPF. De nouveau le
faisceau
pariéto-frontal est devenu diffus. Ses fibres son
le plan même de la coupe. Sur la figure 48 on remarquera toutefois un
faisceau
compact, très foncé, qui prend une insertion impo
niveau du pédicule de la première circonvolution frontale, on voit le
faisceau
(FPF) se confondre, sans aucune ligne de démarcat
aisceau (FPF) se confondre, sans aucune ligne de démarcation, avec le
faisceau
diffus du fornix (FDF). Nous avons déjà signalé l
fornix (FDF). Nous avons déjà signalé l'intime connexion de ces deux
faisceaux
au-dessous du fond de la scissure limbique. Laq
Laq. Le laqueus ou couche latéral du ruban de Reil (fig. 45) est un
faisceau
oblique de fibres blanches dont il sera question
en plus profondément. Elle arrive (fig. 50, 51) presque au contact du
faisceau
sensitif externe (FSe). En même temps le sillon i
s s'insinue de dedans en dehors entre le tapetum (TAP, fig. 52) et le
faisceau
diffus du fornix (FDF). Sur la première figure
rière en avant. Mais leur nombre est singulièrement diminué. ES. Le
faisceau
sensitif se modifie d'une façon très appréciable.
ES. Le faisceau sensitif se modifie d'une façon très appréciable. Le
faisceau
sensitif externe (FSe), toujours plus foncé que l
e la cavité ventricu-laire. Là, il s'incurve légèrement en dedans. Le
faisceau
sensitif interne (FSi) devient de plus en plus pâ
partie postérieure de la couche optique ou pulvinar (Pul). ELI. Le
faisceau
longitudinal inférieur ne se compose plus que de
de deux couches. La supérieure, transversale, renferme les fibres du
faisceau
sensitif interne (FSi) ; l'inférieure renferme le
faisceau sensitif interne (FSi) ; l'inférieure renferme les fibres du
faisceau
sensitif externe (FSe). Il va sans dire que toute
rne (FSe). Il va sans dire que toutes les fibres de ces deux derniers
faisceaux
ne passent pas sous le ventricule pour former le
x derniers faisceaux ne passent pas sous le ventricule pour former le
faisceau
longitudinal inférieur. Nous avons déjà vu que le
former le faisceau longitudinal inférieur. Nous avons déjà vu que le
faisceau
longitudinal inférieur ne représente qu'une parti
ceau longitudinal inférieur ne représente qu'une partie des fibres du
faisceau
sensitif, réfléchie sous la corne occipitale. F
s du faisceau sensitif, réfléchie sous la corne occipitale. FDF. Le
faisceau
diffus du fornix devient de plus en plus mince. I
le sens antéro-postérieur au fond de la scissure limbique. FCF. Le
faisceau
compact du fornix est perdu dans le manteau de la
substance grise du subiculum avec les fibres les plus antérieures du
faisceau
longitudinal inférieur (FLI) et avec celles de l'
au longitudinal inférieur (FLI) et avec celles de l'alveus. FOi. Le
faisceau
inférieur du forceps, devenu l'alveus (fig. 52),
us la corne d'Ammon, de dehors en dedans, et va se terminer, comme le
faisceau
précédent, dans l'étage supérieur de la circonvol
ous-calleux n'est pas autre chose que la partie la plus antérieure du
faisceau
inférieur du forceps, entre le corps calleux et l
, entre le corps calleux et l'alveus : c'est à la fois l'alveus et le
faisceau
inférieur du forceps. Sur la coupe 54, le couteau
le nom de pilier postérieur du trigonc (TRI, fig. 51, 54). FOm. Le
faisceau
moyen du forceps a complètement disparu. 11 ne re
calleux proprement dit, et l'inférieure au trigone cérébral. CO. Le
faisceau
sensitif du centre ovale manifeste de plus en plu
ste de plus en plus nettement (fig. 52, 55, 54) sa continuité avec le
faisceau
sensitif externe. Nous avons vu que celui-ci (FSc
ant et en dedans; c'est la direction que nous avons aussi assignée au
faisceau
sensitif du centre ovale. 11 n'est pas étonnant d
du centre ovale. 11 n'est pas étonnant de voir la continuité des deux
faisceaux
s'accuser davantage à mesure que les coupes intér
re que les coupes intéressent des régions plus antérieures. FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal continue de présenter ses inégali
imbriquées qui le composent. Mais ici déjà on peut remarquer que les
faisceaux
foncés, ceux, en d'autres termes, qui se portent
oin, nous les verrons changer de direction pour constituer un nouveau
faisceau
, le faisceau rolan-dique ou faisceau arqué, remar
verrons changer de direction pour constituer un nouveau faisceau, le
faisceau
rolan-dique ou faisceau arqué, remarquable par la
ction pour constituer un nouveau faisceau, le faisceau rolan-dique ou
faisceau
arqué, remarquable par la constance de sa forme e
ig. 54). Mais en suivant la série des coupes, on s'aperçoit que trois
faisceaux
principaux entrent dans sa constitution : un infé
ond. Tous les trois convergent vers la partie interne du thalamus. Le
faisceau
inférieur (fig. 54), clair au-dessous de la couch
ndelette sous-optique (BSO). BSO. La bandelette sous-optique est un
faisceau
en éventail venu des régions postérieures et laté
us profondément dans l'hémisphère ; elle arrive presque au contact du
faisceau
sensitif externe (fig. 56, FSe), mais ne l'attein
ujours superposé au fond du grand sillon occipito-tem-poral (otk). Le
faisceau
longitudinal inférieur (FLI) est toujours sous-ja
(fig. 58, 59) s'accuse bientôt à tel point que le bord externe de ce
faisceau
se termine par une crête aiguë. Sur les cerveaux
57, 58, 59) se confond en grande partie, vers la périphérie, avec des
faisceaux
qui, en raison de leur direction oblique, affecte
en raison de leur direction oblique, affectent une teinte foncée. Ces
faisceaux
, qui seront étudiés plus loin, sont les faisceaux
teinte foncée. Ces faisceaux, qui seront étudiés plus loin, sont les
faisceaux
de la calotte. QA. Le tubercule quadrijumeau an
: d'abord les fibres antérieures du tapetuin (TAP, fig. 57); puis le
faisceau
du centre ovale (CO, fig. 57, 60) dont il a déjà
pédoncule cérébelleux supérieur au niveau de sa décussation ; FLP,
faisceau
longitudinal postérieur; Lem, lemniscus ou couc
ieur, aminci en dehors, et se continuant en haut et en dehors avec un
faisceau
blanc arqué (Laq). Le faisceau foncé constitué pa
ontinuant en haut et en dehors avec un faisceau blanc arqué (Laq). Le
faisceau
foncé constitué par des fibres antéro-postérieure
ou lemniscus, ou couche du ruban de Reil (Schleife des Allemands). Le
faisceau
clair, latéral, constitué par des fibres vertical
entre eux aucune démarcation. Ce sont deux parties d'un seul et même
faisceau
. Seulement les fibres du lemnisque ou de la couch
érantielle (fig. 58), qui constitue ce qu'on est convenu d'appeler le
faisceau
triangulaire de l'isthme ou ruban de Reil (RR). L
ppeler le faisceau triangulaire de l'isthme ou ruban de Reil (RR). Le
faisceau
triangulaire de l'isthme est un cordon blanc, pla
anche suivante, la destination des fibres du ruban de Reil. FLP. Le
faisceau
longitudinal postérieur, ainsi que le lemnisque,
rébelleux supérieur (fig. 57, 58, 60) est placé exactement entre le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP) et le lemniscus (Le
cs) au niveau de la coupe vortico-transversale 60 (pl. XX). TEG. Le
faisceau
de la calotte enfin, antéro-postérieur lui-môme,
) ou ruban de Reil proprement dit. BSO. La bandelette sous-optique,
faisceau
tcmporo-thalamique d'Arnold (fig. 55), issue du s
section vertico-trans-versale est d'un gris clair. Sur la coupe 56 ce
faisceau
est déjà un peu plus en dehors, il se rapproche d
Sur la coupe 60 la bandelette sous-optique présente l'apparence d'un
faisceau
très compact. Telle est en effet sa disposition o
ieures du tractus opticus zonalis, prennent quelquefois l'aspect d'un
faisceau
bien isolé qui va se jeter dans le corps quadriju
au (voy. Pl. XXI, fig. 61, RGI) avec laquelle il se confond. FS. Le
faisceau
sensitif parait ici se dissocier. Sur toutes les
tte planche il est beaucoup moins compact que sur les précédentes. Le
faisceau
sensitif externe (FSe) se porte encore plus haut,
; et les coupes horizontales font voir qu'il s'incline en dedans. Le
faisceau
sensitif interne (FSi) ne se compose plus que de
que (Pul). Un certain nombre d'entre elles passent d'ailleurs dans le
faisceau
sensitif externe. Elles ne vont pas de la couche
aisceau sensitif externe. Elles ne vont pas de la couche optique à ce
faisceau
horizontalement ; on peut voir (fig. 58) qu'elles
rsuit jusque sous le ventricule, où elles forment en grande partie le
faisceau
longitudinal inférieur (FLI). FLI. Le faisceau
en grande partie le faisceau longitudinal inférieur (FLI). FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur se réduit de plus en plus.
eur se réduit de plus en plus. La couche inférieure, faisant suite au
faisceau
sensitif externe, se porte en dehors et en avant
avant à la partie inférieure de la circonvolution de l'hippocampe. Le
faisceau
sensitif interne, directement transversal, se jet
e, juste au-dessous du prolongement du sillon du subiculum. FDF. Le
faisceau
diffus du fornix (fig. 57, 60) n'est plus visible
uatrième circonvolution temporale, on ne le distingue plus. FCF. Le
faisceau
compact du fornix, insensiblement confondu avec l
irconvolution de l'hippocampe (fig. 59) se confond avec les fibres du
faisceau
inférieur du forceps (FOi). FOi. Le faisceau in
ond avec les fibres du faisceau inférieur du forceps (FOi). FOi. Le
faisceau
inférieur du forceps a formé une partie de l'al
'à la paroi interne du ventricule. Ce sont les dernières fibres de ce
faisceau
que les coupes de la planche 10 représentent. Il
orénavant. On les trouvera en effet toujours mélangées avec celles du
faisceau
longitudinal inférieur (FLI) et du cingulum (Cin)
g. 58) se poursuit virtuellement jusqu'à la substance grise. CO. Le
faisceau
sensitif du centre ovale, transversal au-dessus d
ne du ventricule. Là il se continue de plus en plus nettement avec le
faisceau
sensitif externe(FSe, fig. 59). FPF. Le faiscea
nettement avec le faisceau sensitif externe(FSe, fig. 59). FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal ne se reconnaît plus aussi bien q
s diffuse au-dessous, se distingue très bien, à sa partie externe, du
faisceau
de Reil (Laq, 65, 65). A sa partie inférieure, qu
partie inférieure, qui se termine en pointe, elle est arrêtée par le
faisceau
longitudinal pos-rieur (FLP). La teinte de la sub
de la substance grise est toujours beaucoup plus claire que celle des
faisceaux
adjacents antéro-postérieurs. On pourrait d'abord
cette région et dans d'autres encore ; mais la comparaison avec les
faisceaux
clairs, comme le faisceau du laqueus (Laq, fig. 6
es encore ; mais la comparaison avec les faisceaux clairs, comme le
faisceau
du laqueus (Laq, fig. 62, 63), ne peut laisser pl
-postérieures, dont le trajet sera indiqué à l'occasion du trajet des
faisceaux
de la calotte (voy. plus loin Laq). GI. Sur la
par des fibres blanches très délicates, toutes issues de la région du
faisceau
sensitif interne (FSi). Le plus grand nombre de c
le aussi, comme la partie supérieure et interne, des fibres issues du
faisceau
sensitif interne. L'ensemble de ces fibres consti
e (fig. 65), la partie visible à l'extérieur du ruban de Reil (RR) ou
faisceau
triangulaire de l'isthme. Les fibres verticales (
té en haut par le champ de la calotte (TEC, voy. plus loin) et par le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP, fig. 61, 62, 65). E
l est en contact avec la couche de Reil ou lemniscus (Lem). FLP. Le
faisceau
longitudinal postérieur (fig. 61, 62, 63, 65) est
des pédoncules cérébelleux supérieurs. FLPi, filtres inférieures du
faisceau
longitudinal postérieur; elles sont coupées perpe
ées perpendiculairement à leur direction. FLPs, fibres supérieures du
faisceau
longitudinal postérieur; elles sont obliques en h
II* paire (III). Elles sont pâles sur la coupe. Dans son ensemble, le
faisceau
longitudinal postérieur a une disposition pirifor
upérieure claire. La couche inférieure, foncée, est constituée par un
faisceau
aplati de fibres dirigées en avant ; la couche su
e émanation de la précédente. Elle est constituée, elle aussi, par le
faisceau
inférieur, qui, au fur et à mesure qu'il avance v
Sur la coupe passant par la ligne B, on trouvera encore une partie du
faisceau
foncée, la partie inférieure. Il résulte de là qu
général, que le ruban de Reil, vu de l'extérieur, se compose de deux
faisceaux
ou rubans secondaires : l'un destiné à recouvrir
fois — mais en partie seulement — la division admise. Au lieu de deux
faisceaux
, nous en supposerons quatre et même cinq (on pour
bras du tubercule quadrijumeau antérieur ; BP, bras du pulvinar; FCP,
faisceau
de la commissure; TEG, faisceau propre de la calo
ntérieur ; BP, bras du pulvinar; FCP, faisceau de la commissure; TEG,
faisceau
propre de la calotte outegmentum; Pcs, pédoncule
de la calotte outegmentum; Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur; FRF,
faisceau
rétrograde (voy. plus loin); FLP, faisceau longit
érébelleux supérieur; FRF, faisceau rétrograde (voy. plus loin); FLP,
faisceau
longitudinal postérieur de la calotte; Laq1, Laq2
correspondant à LM1 ; Lem = Teg, couche du lemniscus correspondant au
faisceau
propre de la calotte. supérieure, dont les deux
zonale (ZS). Au-dessous et en dehors de la glande pinéale, parmi des
faisceaux
obliques de fibres blanches, on voit émerger le t
(CP). Elle est au fond d'une cavité à concavité dessein, donnée aux
faisceaux
obliques. En dehors et en dessous des tubercules
rps genouillé interne, ce dont la figure ne peut rendre compte. Les
faisceaux
obliques sous-jacents à la glande pinéale recouvr
lle-ci, la lumière de l'aqueduc. Au-dessous et en dehors, deux petits
faisceaux
dont la section piriforme est caractéristique, fi
ent, de chaque côté de la pointe inférieure de la substance grise, le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP). De la partie inf
'), le traverse et surtout le recouvre, et, du même coup, recouvre le
faisceau
homologue venu du côté opposé (D); puis, continua
ous de la glande pinéale (G), située sur un plan antérieur. De là, le
faisceau
LM2 se porte en dehors, pénètre dans le tubercule
bras du tubercule quadrijumeau postérieur gauche (BQP). On l'appelle
faisceau
de la commissure postérieure (FCP). C'est lui, en
nts, passe sous le ganglion de l'habénule (GH), croise à ce niveau un
faisceau
descendu de ce ganglion (le pédoncule du ganglion
la plus postérieure et inférieure du ganglion de l'habénule, comme le
faisceau
précédent recouvrait le tubercule quadrijumeau an
ange de direction (Laq4), elle est en contact, en avant, avec un gros
faisceau
qui se croise sur la ligne médiane avec son congé
oyau rouge de Stilling (NR). Cette quatrième couche, qu'on appelle le
faisceau
propre de la calotte (TEC), diffère des précédent
opposé; que les fibres suivantes, encore plus inférieures, forment le
faisceau
de la commissure et vont se perdre dans le pulvin
ure partie. Cette dernière couche porte un nom spécial : on l'appelle
faisceau
médian de la couche de Reil. Il nous reste à aj
rofondes que les fibres directes de la couche précédente. Celles du
faisceau
de la commissure (FCP ou LÎVP) vont en avant et a
au-dessus du corps genouillé externe se confondre avec les fibres du
faisceau
propre de la calotte (TEG), dans la partie postér
de la région supérieure du pont de Varole (PV). Laq. Le laqueus ou
faisceau
de Reil proprement dit se porte en haut et en deh
transversales, comme on en peut juger par leur coloration claire. Le
faisceau
qu'elles constituent se mêle en partie à la subst
Laq) situé à leur partie interne (fig. 64, 65, 66) est précisément le
faisceau
de Reil dont les fibres formeront, du côté opposé
s la forme d'une lame de hache dont la convexité répond au laqueus ou
faisceau
latéral de Reil (Laq); la concavité supérieure ci
érébelleux supérieur (Pcs). Le tegmentum peut être considéré comme un
faisceau
antéro-postérieur ; mais c'est un faisceau qui es
ut être considéré comme un faisceau antéro-postérieur ; mais c'est un
faisceau
qui est parsemé de tant d'amas superposés de su
la moitié gauche de la calotte, montrant la forme en lame de hache du
faisceau
du tegmentum (TEG). Laq, le laqueus ; SG, sub
ig. 71, TEG, et pl. XXm, CMT). Schéma 98. l'étudier en tant que
faisceau
, en spécifiant toutefois qu'il est bien loin de r
isceau, en spécifiant toutefois qu'il est bien loin de représenter un
faisceau
homogène et compact. C'est à la fois l'aboutissan
notablement la surface de section du champ de la calotte et aussi des
faisceaux
qui en émanent pour se porter vers l'hémisphère.
s l'hémisphère. Sur la coupe 64 on reconnaît déjà une des origines du
faisceau
du Rapports de la lamina medialis (Lm) et du le
e Reil (Laq), en dedans et en haut avec le tegmentum (TEG). FCP. Le
faisceau
de la commissure postérieure est un des faisceaux
tum (TEG). FCP. Le faisceau de la commissure postérieure est un des
faisceaux
du tegmentum qui s'isolent le plus nettement (fig
aux environs du centre médian (vo.y. plus loin). BP. Les fibres du
faisceau
de la commissure qui ont franchi la ligne médiane
adrijumeau antérieur. Elles font suite, sur cet hémisphère gauche, au
faisceau
de la commissure, issu de la calotte de l'hémisph
n plus loin, à l'occasion des coupes de la planche suivante. Lm. Le
faisceau
médian de la couche de Reil (Lm) est ce petit fai
ante. Lm. Le faisceau médian de la couche de Reil (Lm) est ce petit
faisceau
isolé, dont nous avons déjà parlé, qui est, de ch
) présente, sur les premières figures de cette planche, l'aspect d'un
faisceau
compact. Mais déjà, à sa partie externe, il perd
la signifie, en d'autres termes, que le tsenia n'est pas seulement un
faisceau
antéro-postérieur de fibres longues, étendu comme
étendu comme une bride au fond de la gouttière opto-striée. C'est un
faisceau
en grande partie composé de fibres courtes, s'épu
(TAP, fig. 63) et de celles, plus superficielles, qui vont former le
faisceau
du centre ovale (CO, fig. 63). TAP. Le tapetum
es transversales de la portion réfléchie du splenium (SPL). FSe. Le
faisceau
sensitif externe (fig. 62) se dirige d'arrière en
jusqu'à la voûte de la corne frontale. 11 est limité en dedans par le
faisceau
sensitif interne dont nous allons parler immédiat
s. Cette substance blanche est la capsule externe (CE, fig. 65). Le
faisceau
sensitif externe est plus large en haut qu'en bas
il est plus compact en bas qu'en haut. En bas, il se continue avec le
faisceau
longitudinal inférieur (FLl, fig. 62); en haut, i
ut, il s'étale transversalement entre le tapetum (TAP, fig. 62) et le
faisceau
du centre ovale (CO); mais ses fibres vont toujou
corps calleux (ce). On voit pénétrer, de dedans en dehors, dans le
faisceau
sensitif externe (fig. 64), un grand nombre défib
tes de la couche optique forment, comme nous le verrons plus loin, le
faisceau
sensitif interne (FSi). Les fibres dont il s'agit
sensitif interne (FSi). Les fibres dont il s'agit, qui traversent le
faisceau
sensitif externe (FSe), ne sont autre chose que l
ensitif externe (FSe), ne sont autre chose que les fibres mêmes de ce
faisceau
, s'épuisant de dehors en dedans au fur et à mesur
ce faisceau, s'épuisant de dehors en dedans au fur et à mesure que le
faisceau
marche d'arrière en avant; et nous constaterons e
le putamen et le globus pallidus (pl. XXVI, fig. 92, FSe). FSi. Le
faisceau
sensitif interne (fig. 62) est composé de fibres
st composé de fibres blanches, dirigées en bas et en dehors, entre le
faisceau
sensitif externe (FSe) et le tapetum réfléchi (TA
(Th, fig. 62) et plus spécialement du pulvinar, où l'on distingue un
faisceau
(Rth) situé au-dessus de la bandelette sous-optiq
Rth) situé au-dessus de la bandelette sous-optique (RSO, fig. 65). Ce
faisceau
est la couronne rayonnante du pulvinar. Arrivées
e, elles se réfléchissent en dedans pour participer à la formation du
faisceau
longitudinal inférieur (FLl, fig. 62). Rth. La
ont, en décrivant une courbe à concavité inférieure, se jeter dans le
faisceau
sensitif interne (FSi, fig. 62). On doit appeler
, oblique en bas et en dehors (LML, fig. 64), qui se continue avec le
faisceau
sensitif interne (FSi). LML. La lame latérale d
xterne du tapetum (TAP, fig. 64) et se perd, après réflexion, dans le
faisceau
longitudinal inférieur (FLl, fig. 62). La lame la
itudinal inférieur (FLl, fig. 62). La lame latérale du thalamus et le
faisceau
sensitif interne ne sont donc qu'une seule et mêm
e, du moins J à la partie postérieure de la couche optique. FLl. Le
faisceau
longitudinal inférieur (fig. 62) ne présente ici
croissant que nous avons déjà signalée (voy. pl. XV, Cin). FCF. Le
faisceau
compact du fornix (voy. pl. XIV). FDF. Le faisc
Cin). FCF. Le faisceau compact du fornix (voy. pl. XIV). FDF. Le
faisceau
diffus du fornix (voy. pl. XIV). FPF. Le faisce
. XIV). FDF. Le faisceau diffus du fornix (voy. pl. XIV). FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal (voy. pl. XIH, fig. L4). ARC. L
FPF. Le faisceau pariéto-frontal (voy. pl. XIH, fig. L4). ARC. Le
faisceau
arqué (fig. 65) est ce large faisceau dirigé d'ab
y. pl. XIH, fig. L4). ARC. Le faisceau arqué (fig. 65) est ce large
faisceau
dirigé d'abord d'arrière en avant, puis de dehors
dans l'écorce de l'opercule (OP). Il est toujours situé au-dessous du
faisceau
pariéto-frontal (FPF). Nous l'étudie-rons en déta
différences d'épaisseur très notables. Il est certain que si ce gros
faisceau
, si remarquablement isolé sur tout son parcours,
(CID, fig. 72). Nous savons que ces fibres font partie du système du
faisceau
sensitif interne (FSi, fig. 70). Dans cette rég
au interne (NiC, fig. 89) ; il est séparé de la masse commune par des
faisceaux
de la capsule interne représentant la couronne ra
e commune postérieure (Rth, fig. 70), et provenant par conséquent des
faisceaux
sensitifs; ils pénètrent dans la substance grise
) présente, au milieu de la striation transversale de ses fibres, des
faisceaux
longitudinaux (FM) qui ne proviennent pas de la r
itudinaux (FM) qui ne proviennent pas de la région de la calotte. Ces
faisceaux
, situés tout à fait en dehors, à la surface de l'
nce la conlirmation du ruban de Reil proprement dit (RR, fig. 69), ou
faisceau
triangulaire de l'isthme. Mais en réalité ils son
de l'isthme. Mais en réalité ils sont tout à fait indépendants de ce
faisceau
. Ils appartiennent au groupe de fibres que nous d
nnent au groupe de fibres que nous désignons en France sous le nom de
faisceau
de Meynert (FM) et qu'on appelle en Allemagne fai
sous le nom de faisceau de Meynert (FM) et qu'on appelle en Allemagne
faisceau
de Tiirck. RR. Partie la plus antérieure du rub
k. RR. Partie la plus antérieure du ruban de Reil proprement dit ou
faisceau
triangulaire de l'isthme (fig. 69). Pcs. Le péd
roiser avec son congénère sur la ligne médiane, limité en haut par le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP), en bas par la lami
par la concavité inférieure du tegmentum (TEG). Ses rapports avec le
faisceau
longitudinal postérieur cessent bientôt d'être im
ous-optique. CMT. Commissure de Meynert (voy. plus loin). FLP. Le
faisceau
longitudinal postérieur (fig. 69) sous-jacent à l
queduc (SG) se présente par places seule- Disposition des libres du
faisceau
longitudinal postérieur (FLP) sur les côtés de l'
de l'aqueduc de Sylvius prolongé dans la gouttière de Monro [M). Ce
faisceau
se compose de fibres longues, de fibres courtes e
9) se trouve réduite, ou peu s'en faut, aux fibres qui vont former le
faisceau
latéral de Reil ou laqueus (Laq). Sur une coupe e
mprunte ici des fibres à la calotte, et que ces fibres sont celles du
faisceau
de la commissure (FCP). Il est possible qu'il ren
e compose donc principalement, sur les coupes 67 et 69, des fibres du
faisceau
de la commissure (FCP); il est limité en dedans p
il se confond avec le slralum zonale de ce corps genouillé. TEG. Le
faisceau
de la calotte ou tegmentum est moins nettement li
limité sur la coupe 67 que sur les précédentes. On en voit surgir le
faisceau
de la commissure postérieure (Laq = FCP). Plus en
ommissure postérieure (Laq = FCP). Plus en avant, sur la coupe 69, le
faisceau
du tegmentum se détache plus manifestement de la
commissure de Meynert (Cx^lï, fig. 71 et schéma 95 et 97). FCP. Le
faisceau
de la commissure postérieure, issu de la partie i
e le fascicu-lus retroflexus (FRF) s'en-tre-croise avec les fibres du
faisceau
de la commissure (FCP) sans se mélanger avec elle
sure postérieure; il n'en est que momentanément séparé par un nouveau
faisceau
, descendu du ganglion de l'habénule (le fascicule
cicule rétroflexe FRF), dont il va être question. BP. Les fibres du
faisceau
de la commissure postérieure forment dans l'hémis
plus facile à constater sur les coupes 73, 74, 76. La continuité du
faisceau
de la commissure postérieure (FCP) et du bras du
ertaines coupes obliques. Les fibres qui se poursuivent dans ces deux
faisceaux
sont d'ailleurs très difficiles à isoler. On peut
et Meynert fascicnli marginales aquœducH (voy. plus loin, CTE). Le
faisceau
de la commissure (FCP) fait donc partie surtout d
aisemblable qu'elles s'y entre-croisent en totalité. Si en efl'et les
faisceaux
volumineux qui représentent les deux racines anté
umeau antérieur (BQA). Lmd. La lamina lateralis du ruban de Reil ou
faisceau
direct de la couche de Reil succède au faisceau d
s du ruban de Reil ou faisceau direct de la couche de Reil succède au
faisceau
de la commissure postérieure dans la région antér
ent (fig. 69) de la couche de Reil ou lemniscus (Lem), comme tous les
faisceaux
que nous avons vus contribuer à la constitution d
artie la plus postérieure du pied du pédoncule est représentée par le
faisceau
de Tùrck-Meynert (FM, 69, 71), dont il sera quest
issure postérieure. FRF, fasciculus retroflexus. Schéma lOi. veau
faisceau
(FRF, fig. 71, 72) qui interrompt la continuité d
i. veau faisceau (FRF, fig. 71, 72) qui interrompt la continuité du
faisceau
de la commissure (FCP) au-dessous du ganglion de
ommissure (FCP) au-dessous du ganglion de l'habénule (GH). Ce nouveau
faisceau
, appelé par Meynert fasciculus re-troflex ou retr
aire. Ici (fig. 71, 72) on ne distingue que la portion initiale de ce
faisceau
, c'est-à-dire la partie de son trajet où il se di
hors de la commissure postérieure et du tegmentum (TEG), en dedans du
faisceau
de la commissure (FCP). Les figures classiques su
ormes à la réalité. Pour mieux indiquer la réflexion en arrière de ce
faisceau
au milieu de sa course, on le représente s'avança
'R, noyau rouge de Stilling;. La couclie à convexité antérieure de ce
faisceau
(FRF) est beaucoup trop accentuée. En réalité, le
plus grand. B. Figure moins schématique (à gauche) montrant que le
faisceau
rétroflexe est presque vertical. que le faiscea
e) montrant que le faisceau rétroflexe est presque vertical. que le
faisceau
rétroflexe est situé immédiatement en dedans du n
du fasciculus retroflexus. FM. On désigne en France sous le nom de
faisceau
de Meynert (FM), la portion des fibres du pied du
terne, pour aller se terminer à la pointe du lobe occipital (c'est le
faisceau
cortical direct du carrefour sensitif). L'appella
able. On réserve, en eflet, en Allemagne,, en Italie, etc., le nom de
faisceau
de Meynert au fasciculus 7^etroflexus, que nous v
été découvert et d('crit par le savant professeur de Vienne. Quant au
faisceau
postérieur du pied du pédoncule (FM), on l'appell
ncule (FM), on l'appelle communément, à rexcmple de Meynert lui-même,
faisceau
de Tùrck. Si la priorité de la découverte impliqu
Tùrck. Si la priorité de la découverte implique que la désignation de
faisceau
de Tùrck mérite d'être conservée, il faut reconna
nnaître que Meynert a su, par des dissections remarquables, isoler le
faisceau
en question des autres portions du pied du pédonc
se et aussi pour éviter toute confusion, nous nommerons dorénavant le
faisceau
cortical postérieur faisceau de Tùrck-Meynert.
confusion, nous nommerons dorénavant le faisceau cortical postérieur
faisceau
de Tùrck-Meynert. Le faisceau de Tùrck-Meynert
avant le faisceau cortical postérieur faisceau de Tùrck-Meynert. Le
faisceau
de Tùrck-Meynert (FM) apparaît dans la protubéran
r la lamina lateralis au contact du corps genouillé interne, c'est le
faisceau
de Turck-Meyncrt qui forme la surface de la régio
doncule qui limite la surface de section. Une partie des fibres de ce
faisceau
se confond avec le stratum zonale du corps genoui
ssus de la couche optique (Th) dont il suit les sinuosités. FSe. Le
faisceau
sensitif externe (fig. 68, 70) perd encore peu à
il s'agit de deux lames parfaitement distinctes en réalité. FSi. Le
faisceau
sensitif interne (fig. 70) n'est, en apparence, q
BSO) et de la queue du noyau caudé (NCC), pour aller se jeter dans le
faisceau
sensitif interne (FSi). Plus en avant, lorsque la
ouronne rayonnante du pulvinar. Toutes ces fibres aboutissent dans le
faisceau
sensitif interne. Il en est de même des fibres so
interne (fig. 72) est donc formé par les fibres les plus internes du
faisceau
sensitif externe. Mais ces fibres ne parcourront
corps calleux (ce), poursuit son trajet postéro-antérieur. FCF. Le
faisceau
compact du fornix (fig. 71) prend insertion sur l
coupes de cette planche intéressent donc une portion du trajet de ce
faisceau
, où l'on reconnaît qu'il est constitué par ! des
'on reconnaît qu'il est constitué par ! des fibres courtes. FDF. Le
faisceau
diffus du fornix (fig. 71) continue son chemin d'
ig. 67 à 70). Il est certain qu'il est en grande partie fondu avec le
faisceau
compact du fornix (FCF) dans le manteau de la cir
manteau de la circonvolution du corps calleux (C, fig. 70). CO. Le
faisceau
du centre ovale (fig. 69) remonte dans le lobe fr
ceau du centre ovale (fig. 69) remonte dans le lobe frontal, entre le
faisceau
diffus du fornix et le fasciculus arcuatus (ARC,
fasciculus arcuatus (ARC, fig. 72). Il est facile de constater que ce
faisceau
du centre ovale, dans la partie supérieure de l'h
ppartient surtout, à la première circonvolution frontale. | ARC. Le
faisceau
arqué ou fasciculus arcuatus (fig. 72), issu de '
e de l'hémisphère. Il est, comme nous l'avons déjà vu, sous-jacent au
faisceau
pariéto-frontal. FPF. Le faisceau pariéto-front
s l'avons déjà vu, sous-jacent au faisceau pariéto-frontal. FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal (fig. 72), repoussé en haut et en
nce grise de la frontale ascendante (F). Sur la figure 67, on voit un
faisceau
très compact, très foncé, triangulaire, s'insérer
e fond de la scissure de Rolando, la contourne, et court au-dessus du
faisceau
arqué vers le manteau de la première circonvoluti
manteau de la première circonvolution frontale (F'), où il rejoint le
faisceau
pariéto-frontal (FPF, fig. 72). PLANCHE XXIII
st séparé, en bas et en dedans, du centre médian (NmC, 75, 74) par un
faisceau
blanc issu de ce dernier cenlre. NinC. Le centr
8, par exemple — il est en rapport avec la lamina legmenti (LTE, 78),
faisceau
issu de la calotte. Pul. Le pulvinar est, avons
s et en arrière, il est limité par des fibres qui forment plus bas le
faisceau
rétrograde (FRF); en bas, il s'arrête à la commis
as du pulvinar (BP), une niasse grise, limitée en dedans par un petit
faisceau
concave en dehors (TP) et que nous avons déjà étu
fibres transversales de la protubérance (PVT) à la partie interne du
faisceau
de Tiïrck-Meynert (FM, fig. 75). Celles-ci provie
Arrivées au centre du pont, elles s'écartent pour laisser passer les
faisceaux
descendus de l'hémisphère (FP), gagnent la ligne
de la protubérance annulaire, passant par le milieu du pont (PV). FP,
faisceau
pyramidal. A gauche, on aperçoit par transi)aro
prement dit (PV). Les plus profondes, celles qui passent derrière les
faisceaux
descendus de l'hémisphère et particulièrement der
s faisceaux descendus de l'hémisphère et particulièrement derrière le
faisceau
pyramidal (FP), arrivées à la ligne médiane, s'en
ion externe de la calotte (TEG). En dehors elles sont limitées par le
faisceau
de Tùrck-Meynert (FM), qui les sépare delà surfac
t. TP. Parmi les fibres transversales de la protubérance, il est un
faisceau
qui, parfois, s'isole assez nettement dans le sil
de Varole : c'est le Iractus lransvers7is pedimculi (TP, fig. 73). Ce
faisceau
appartient h h lamina lateralis (Lmd); il ne fait
res les plus superficielles du pédoncule. Nous avons déjà parlé de ce
faisceau
(voy. întrod., schéni. 5 et 6), sans préciser son
des coupes successives, à reconnaître qu'il se confond, en dedans du
faisceau
le plus interne de l'étage inférieur, avec la lam
ec la lamina lateralis (fig. 75) à la partie externe du pédoncule. Le
faisceau
en question n'est donc pas autre chose qu'une por
ue si le tractus transversus pedunculi est rarement isolé à l'état de
faisceau
oblique sur le pédoncule gauche, — disposition qu
r le pédoncule gauche, — disposition qui lui a valu la désignation de
faisceau
en écharpe (Féré), — il n'est pas rare de voir un
res entre la disposition en fascicules dissociés et la disposition en
faisceau
compact. Lorsque, à la suite d'une lésion hémisph
absence de dégénération est une raison de plus pour admettre que le
faisceau
dit « en écharpe » n'appartient pas, en réalité,
75), intercalée entre le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) et le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP, fig. 73), réunit au
calotte, réunies par la commissure de Meynert, représentent très le
faisceau
pyramidal dégénère, le tractus transvcrsus pedunc
ce du pédoncule, peut même empêcher de reconnaître la teinte grise du
faisceau
moteur dégénéré situé au-dessous de lui. Cette
Mey-nert, sur la ligne mcdiane, à la partie la plus interne des deux
faisceaux
du teg-irientum (TEG). Aq, aqiiednc de Sylvius;
n encore, jusque dans le noyau lenticulaire du corps strié. FLP. Le
faisceau
longitudinal postérieur n'est indiqué (pl. XXÏÏl)
duc. Il est facile de s'expliquer cet aspect et cette disposition. Le
faisceau
longitudinal postérieur (fig. 75) ne se présente
oisinage de l'ouverture de l'aqueduc dans le troisième ventricule, le
faisceau
longitudinal postérieur se porte en haut et en de
e d'une façon toute schématique cette disposition. Vue de profil du
faisceau
longitudinal postérieur (VLV) au niveau de la c
érieure (CP) : CP, commissure postérieure; G, glande pinéale ; FLP,
faisceau
longitudinal postérieur au-dessous de la substanc
sement latéral du lemniscus, se continue en haut et en dedans avec le
faisceau
de la calotte (TEG), et, en dehors, avec la lamin
ance grise, située plus en avant, n'est pas encore entamée. FCP. Le
faisceau
de la commissure postérieure (75, 74, 75, 76) est
éveloppement en largeur que prend progressivement, de bas en haut, le
faisceau
de la calotte. 11 est placé en dedans de la lamin
ex (FRF). BP. Le Bras du pulvinar, qui représente la terminaison du
faisceau
de la commissure du côté opposé, se perd insensib
n le perd de vue. TEC. Le tegmentum, après avoir donné naissance au
faisceau
de la commissure postérieure, s'élargit très nota
ions verticales sont plus antérieures. Sur les coupes 73, 74, 75 le
faisceau
du tegmentum est toujours adjacent à la lamina la
à la lamina lateralis de Reil (Lmd). Il semble en être séparé par le
faisceau
de la commissure postérieure (FCP); mais nous sav
s les noyaux du tegmentum. CTE. Fasciculi marginales aquseducti, ou
faisceaux
de la décus-sation antérieure. Il s'agit de fibre
ion antérieure. Il s'agit de fibres issues du tegmentum, en dedans du
faisceau
de la commissure et faisant d'abord, comme celui-
a commissure et faisant d'abord, comme celui-ci, partie intégrante du
faisceau
de la calotte. Elles sont assez difficiles à dist
u faisceau de la calotte. Elles sont assez difficiles à distinguer du
faisceau
de la commissure, puisqu'elles ont la môme direct
puisqu'elles ont la môme direction (fig. 74, 75). Mais, tandis que le
faisceau
de la commissure se porte au-dessus de l'aqueduc
re se porte au-dessus de l'aqueduc pour franchir la ligne médiane, le
faisceau
de la décussation antérieure s'épuise en partie d
a racine descendante du nerf trijumeau. 11 n'est pas probable que les
faisceaux
marginaux antérieurs prennent naissance dans le t
, gang-lion de rhal)énule; SG, substance grise de l'aqueduc; FCP,
faisceau
de la commissure postérieui'e ; TEG, tegmentum
P, faisceau de la commissure postérieui'e ; TEG, tegmentum ; FLP,
faisceau
longitudinal postérieur; DV, racine descendante
ongitudinal postérieur; DV, racine descendante du trijumeau. CTE,
faisceaux
marginaux de l'aqueduc; CF, commissure de Forel
la composent se portent en avant (fig. 76), limités en dedans par le
faisceau
de la commissure (FCP), en dehors par le faisceau
és en dedans par le faisceau de la commissure (FCP), en dehors par le
faisceau
de TiJrck-Meynert (FM, fîg. 75, 78); puis, arrivé
il se rapproche de la ligne médiane et se porte en arrière. FM. Le
faisceau
de Tùrck-Meynert émerge de la protubérance (fig.
couronne rayonnante du noyau caudé, onvoitsorfir du corps calleux un
faisceau
diffus que nous avons déjà mentionné et qui se ré
i se réfléchit en arrière, en bas et en dehors. Il est certain que ce
faisceau
est appelé à fournir des fibres à la portion réfl
es de la ligne médiane ont la coloration la plus accentuée. FSe. Le
faisceau
sensitif externe ((îg. 76) se compose de deux sor
un peu plus loin) ; les autres claires, transversales, qui donnent au
faisceau
sa striation horizontale, et qui vont se perdre d
erdre dans la lame verticale externe du noyau lenticulaire. FSi. Le
faisceau
sensitif interne (fig. 76) provient du pulvinar,
dans le thalamus ou dans ce corps genouillé et sa terminaison dans le
faisceau
longitudinal inférieur (FLl, fig. 76), il travers
, en dehors du noyau caudé et du tapetum. Elles accompagnent alors le
faisceau
sensitif interne (FSi, fig. 70), dont elles font
e la capsule interne (|jg. 7(j) est représenté : 1" par les fibres du
faisceau
sensitif externe (FSe) qui vont à la lame externe
térieur de la capsule interne (CfD), puisque celle-ci reçoit aussi du
faisceau
sensitif externe (FSe, fig. 76) les fibres transv
Cin. Le cingulum (fig. 74, 76, 78, voy. pl. XXÏI, p. 238). ARC. Le
faisceau
arqué (fig. 73, 77) présente la forme caractérist
direction se modifie dans la région du puta-men, au-dessus duquel le
faisceau
arqué émet des fibres destinées au claustrum, à l
. Mais tout en émettant ainsi des fibres dans diverses directions, le
faisceau
arqué ne conserve pas moins sa direction initiale
ion initiale, jusqu'à son complet épuisement. Les premières fibres du
faisceau
arqué apparaissent dans l'opercule supérieur de l
ent en avant et s'agglomèrent pour constituer, dans leur ensemble, le
faisceau
dont la coupe vertico-transversale a une forme tr
supérieur présente ainsi une concavité supérieure, en rapport avec le
faisceau
pariéto-frontal, situé au-dessus d'elle (FPF, fig
rs à distinguer, comme sur la coupe 77, un dédoublement de la base du
faisceau
arqué, sur la signification duquel nous reviendro
duquel nous reviendrons ultérieureniennt. — L'angle inféro-interne du
faisceau
arqué se continue, en dehors de la capsula extrem
thalamus (fîg. 76, 78) reçoit, à sa partie inférieure, les fibres du
faisceau
sensitif interne (FSi) et une partie des fibres d
fibres du faisceau sensitif interne (FSi) et une partie des fibres du
faisceau
sensitif externe (FSe). En haut, elle se confond
s les verrons, plus loin, se terminer dans le lobe frontal. PCF. Le
faisceau
compact du fornix (tig. 78) : voy. pl. XIV, p. 15
) qui limite nettement, au-dessous d'elle, l'opercule (OP). FDF. Le
faisceau
diffus du fornix (fig. 78) présente un vasie renf
lles que nous avons déjà étudiées; on peut admettre en efl'et, que le
faisceau
qui s'accole ainsi à l'écorce est la termi liaiso
ceau qui s'accole ainsi à l'écorce est la termi liaison antérieure du
faisceau
diffus du fornix, dont nous avons suivi jusqu'à p
ouverons plus loin et auxquelles conviendra tout aussi bien le nom de
faisceau
diffus du fornix. FPF. Le faisceau pariéto-fron
iendra tout aussi bien le nom de faisceau diffus du fornix. FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal (fig, 78) se comporte de la même
onvolution frontale ascendante. Sm^ la coupe 76, on remarquera que le
faisceau
arqué est situé au-dessous de lui. FLI. Le fais
marquera que le faisceau arqué est situé au-dessous de lui. FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur (fig. 76), voy. pl. XVI, p
eau longitudinal inférieur (fig. 76), voy. pl. XVI, p. 154). CO. Le
faisceau
du centre ovale (fig. 78), voy. pl. XYI, p. 159.
renforcement des fibres arquées sous-jacentes, en particulier dans le
faisceau
diffus du fornix. Nous reviendrons sur ce fait ul
à la bandelette sous-optique (RSO), s'entre-croise en partie avec le
faisceau
de Tùrck-Meynert (FM, 83), déjà signalé. Plus e
g. 82), la substance grise du corps genouillé est séparée de tous les
faisceaux
qui l'environnent par une véritable capsule blanc
résentera son diamètre maximum. De toutes parts il est entouré par le
faisceau
de la calotte; nous reviendrons ultérieurement su
mésocéphale, sauf en dehors et en dedans du pédoncule. En dehors, le
faisceau
de Tùrck-Meynert (FM) et même une partie du faisc
e. En dehors, le faisceau de Tùrck-Meynert (FM) et même une partie du
faisceau
pyramidal (FP) ne sont pas séparés par le locus n
e le locus niger est un noyau de renforcement très important pour les
faisceaux
de la calotte; ou, inversement, qu'il est un noya
té opposé, formant la couche de fibres ascendantes qui constituent le
faisceau
direct du tegmentum (LTE). Nous revoyons plus loi
faisceau direct du tegmentum (LTE). Nous revoyons plus loin ces deux
faisceaux
(FP et LTE). Pcs. Le pédoncule cérébelleux supé
édoncule cérébelleux supérieur ; FRF, fasciculus retroflcx ; FLP,
faisceau
longitudinal postérieur ; TEG, tegmentum ; Th
alée entre la masse la plus importante des fibres cérébelleuses et le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP). FLP. Le faisceau
cérébelleuses et le faisceau longitudinal postérieur (FLP). FLP. Le
faisceau
longitudinal postérieur (fig. 81) redevient plus
bliquement dirigé en bas et en dedans, entre le tegmentum (TEG) et le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP, fig. 81), se place
. 84). On voit sur les coupes 80 et 81 que l'origine supérieure de ce
faisceau
correspond très exactement au ganglion de l'habén
84, 85. Il est entouré par la substance blanche du stratum zonale. Ce
faisceau
blanc (IIAP) se confond d'ailleurs avec le stratu
bras du pulvinar représente sur la coupe 79 ce qui reste des anciens
faisceaux
croisés de l'étage supérieur. S'il ne se perd pas
la couronne rayonnante de la couche optique (Rth, fig. 80). TEG. Le
faisceau
de la calotte apparaît de plus en plus nettement
Le faisceau de la calotte apparaît de plus en plus nettement comme un
faisceau
mélangé de noyaux; en d'autres termes, le tegment
mentum proprement dit est un noyau diflùs, interrompant les fibres du
faisceau
de la calotte. Sur la coupe 79 la masse principal
ôme, sur la coupe 82, où la substance grise commune au thalamus et au
faisceau
de la calotte est particulièrement chatoyante. C'
s libres directes (BQA) de la deuxième couche du laqueus (Laq*); FCP,
faisceau
de la commissure, passant au dessus de la ligne m
urnissant des fibres directes au bras du pulvinar gauche (BP); — TEG,
faisceau
du tegmentum, se jetant dans le noyau rouge (NR).
verticale schématique destinée à montrer les rapports réciproques des
faisceaux
de la calotte (TEG) du côté gauche. dans divers
côté gauche. dans diverses directions. Sur les coupes 83 et 84, un
faisceau
cependant s'isole assez nettement (CEO) ; il n'ap
bas. Maintenant il remonte obliquement en dehors pour rejoindre les
faisceaux
plus antérieurs destinés à traverser le noyau rou
oncule cérébelleux supérieur, qu'on peut appeler, dans leur ensemble,
faisceau
cérébello-thala-mique, se jettent donc dans le th
leur terminaison antérieure. LTE. La lamina tegmenti est, parmi les
faisceaux
de la calotte, celui qui présente les rapports le
rapports les plus immédiats avec le pédoncule ln, locus niger FM,
faisceau
de Tùrck-Meynert LTE, lamina tegmenti ; md, lam
LTE). La difïerenciation de la substance noire de Sœmmering et de ce
faisceau
est chose impossible. Une partie d'entre elles au
a lame latérale (fig. 79) se dirige de dedans en dehors, au-dessus du
faisceau
de Tûrck-Mcyncrt (FM), au-dessous de la lame term
oncule cérébelleux supérieur, envoie une partie de ses libres dans le
faisceau
du laqueus; mais, à sa teinte foncée sur la ligne
ent à la lamina medialis, qui le sépare de la ligne médiane. FM. Le
faisceau
de Tiirck-Meynert (fig. 79) représente la portion
LN), qui commence ici à faire son apparition. En réalité cependant le
faisceau
Tiirck-Meynert n'est pas en contact immédiat avec
nous verrons se superposer à lui sur des coupes plus antérieures. Le
faisceau
pyramidal sur les coupes verticales (FP, fig. 83)
(FP, fig. 83) est, en effet, toujours situé en dedans et au-dessus du
faisceau
de Tîirck-Meynert. Le faisceau de Tiirck-Meynert
ujours situé en dedans et au-dessus du faisceau de Tîirck-Meynert. Le
faisceau
de Tiirck-Meynert arrive du pédoncule à la région
rtir de ce moment, ses fibres s'épuisent, d'avant en arrière, dans le
faisceau
sensitif, auquel il les abandonne à travers la
s la couronne rayonnante du lobe occipital. Il résulte de là que le
faisceau
de Tûrck-Meynert disparaît de la face interne du
augmente d'importance à la face externe du corps genouillé. FP. Le
faisceau
pyramidal (fig. 83) commence à s'isoler du faisce
nouillé. FP. Le faisceau pyramidal (fig. 83) commence à s'isoler du
faisceau
de Tùrck-Meynert dans le pied du pédoncule. Mais
e du corps genouillé externe, ce sont aussi les fibres récurrentes du
faisceau
de Tùrck-Meynert (FM) dont il vient d'être questi
rieure. ce. Le corps calleux (fig. 80) se divise en dehors en trois
faisceaux
: un supérieur qui fournit au centre ovale (CO) ;
entricule sphénoïdal. Mais, comme nous l'avons déjà fait observer, le
faisceau
du centre ovale (CO) et ce faisceau du tapetum
l'avons déjà fait observer, le faisceau du centre ovale (CO) et ce
faisceau
du tapetum (TAP) tendent de plus en plus à se con
sous le plancher du ventricule, où il se perd au milieu des fibres du
faisceau
longitudinal inférieur (FLl). TRI. Le trigone c
é (NCC). Nous avons déjà suffisamment insisté sur ce point. FSe. Le
faisceau
sensitif externe (fig. 79) présente la même dispo
ntamé par les sections vertico-transversales, le nombre des fibres du
faisceau
sensitif externe qui se porte vers le segment inf
e elles passent à la partie interne de ce noyau et se fondent dans le
faisceau
de Tùrck-Meynert (FM, fig. 82, 83, 84). FSi. Le
nt dans le faisceau de Tùrck-Meynert (FM, fig. 82, 83, 84). FSi. Le
faisceau
sensitif interne (fig. 79) forme la majeure porti
passent au-dessus et au-devant du corps genouillé pour constituer le
faisceau
de Tùrck-Meynert (FM) dans le pied du pédoncule.
reconnaître, attendu qu'elle est traversée d'avant en arrière par le
faisceau
de Tûrck-Mcynert (FM, fig. 82, 85, 84). GIF. Le
s entre la bandelette sous-optique et le noyau caudé d'une part et le
faisceau
sensitif externe d'autre part. Elle se continue e
continue en bas et en dedans, sous le ventricule sphénoïdal, avec le
faisceau
longitudinal inférieur (FLI, fig. 82). En haut el
(FLI, fig. 82). En haut elle se prolonge pour une faible part dans le
faisceau
de Tiirck-Meynert (FM, fig. 82), et pour une gran
rps genouillé externe. Elle est limitée, au-dessus de la réflexion du
faisceau
de Tûrck-Meynert, par l'ensemble des fibres qui v
isceau de Tûrck-Meynert, par l'ensemble des fibres qui vont former le
faisceau
pyramidal (FP, fig. 84), et qui, venues de la rég
On ne peut donc pas considérer la lame latérale du thalamus comme un
faisceau
lamellaire homogène. C'est une région, et non un
l'on remarquera qu'elle ne renferme plus absolument que les fibres du
faisceau
longitudinal inférieur (FLI, fig. 86). Cavité v
llares thalami optici) correspondent aux terminaisons successives des
faisceaux
de la calotte dans la substance grise du thalamus
cation soit complète, puisque la couche optique n'est abordée par les
faisceaux
de la calotte que dans sa partie postérieure. Cha
edialis de Reil (Lm) ; mais il ne semble pas recevoir de fibres de ce
faisceau
. Son extrémité externe se perd entre le faisceau
voir de fibres de ce faisceau. Son extrémité externe se perd entre le
faisceau
de Tûrck-Meynert (FM) et la lamina tegmenti (LTE)
tament ici que son bord postérieur. Elle se confond, en haut, avec le
faisceau
arqué (ARC), dont les fibres antéro-postérieures
Cet étage inférieur se compose ici des fibres les plus antérieures du
faisceau
de Tùrck-Meynert (FM) et du faisceau pyramidal (F
s fibres les plus antérieures du faisceau de Tùrck-Meynert (FM) et du
faisceau
pyramidal (FP). Projection horizontale des pédo
du pédoncule cérébelleux supérieur présente une grande confusion. Tel
faisceau
, divisé perpendiculairement à la direction de ses
rter vers la face inférieure de la Vue en projection horizontale du
faisceau
cérébello-thalamique (CEO). Th, thalamus ; NR
nt les fibres se jettent en majeure partie dans le noyau rouge ; CEO,
faisceau
cérébello-thalamique formé des fibres les plus ex
é des fibres les plus externes du pédoncule cérébelleux supérieur. Ce
faisceau
s'épanouit en éventail au-dessous de la couche op
diquée par la ligne ponctuée. couche optique. Ces fibres forment un
faisceau
bien homogène (CEO, fig. 85, 86 et suiv.). On peu
faisceau bien homogène (CEO, fig. 85, 86 et suiv.). On peut l'appeler
faisceau
cérébello-thalamique (schéma 127). Toujours situé
au plan de section, et déjà, sur la figure 90, on les voit former un
faisceau
très isolé, qui va se jeter dans la région inféri
limite de séparation de la capsule et de la couche optique : c'est au
faisceau
cérébello-thalamique qu'appartiennent la plupart
e médullaire latérale du thalamus (LML, pl. XXYI, fig. 95). FLP. Le
faisceau
longitudinal postérieur (80, 87, 88), dirigé d'ar
de Monro (M), dans lesquels s'arrêtent une n partie des fibres du
faisceau
longitudinal postérieur (FLP). et le faisceau,
artie des fibres du faisceau longitudinal postérieur (FLP). et le
faisceau
, par conséquent, semble arriver à la surface même
(n, n', n") du schéma 28 reçoivent précisément les fibres courtes du
faisceau
longitudinal postérieur (FLP). Sur la coupe 90,
. Sur la coupe 90, on distingue, en dehors du trajet déjà décrit du
faisceau
longitudinal, une traînée grise (FLP) étalée au-d
du faisceau longitudinal, une traînée grise (FLP) étalée au-dessus du
faisceau
cérébello-thalamique (CEO). 11 s'agit encore là d
lo-thalamique (CEO). 11 s'agit encore là d'une por-fion des fibres du
faisceau
longitudinal de la calotte qui revient sur ses pa
ès s'être écartée, de dedans en dehors, de sa direction primitive. Le
faisceau
longitudinal postérieur, en eflet, de haut en bas
e 90) perpendiculairement à leur axe dans Projection schématique du
faisceau
longitudinal postérieur (FLP) sur un plan horizon
FLP) sur un plan horizontal. La coupe 90 sectionne les fibres de ce
faisceau
: en. dedans et en avant, perpendiculairement à l
de l'écorce avec les noyaux de l'aqueduc, grâce à l'interposition du
faisceau
longitudinal postérieur. FRF. Le fasciculus ret
retroflex (85, 87, 89, 90) descend, dans le plan de section, entre le
faisceau
longitudinal postérieur situé à sa partie interne
e, et le noyau rouge de la calotte (NR) situé à sa partie externe. Le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP) le sépare toujours
dehors avec la substance noire de Sœmmering (LN, fig. 85). TEG. Le
faisceau
de la calotte ou tegmentum situé dans le prolonge
ne entamé par le couteau; mais la surface circulaire correspondant au
faisceau
de la Projection liorizontale du noyau rouge (!
ébelleux supérieur (Pcs), sur la coupe vertico-transversale 85). Le
faisceau
de la calotte (TEG) enveloppe à la fois le noyau
érieure du noyau rouge efface, aplatit et élargit en quelque sorte le
faisceau
du tegmentum. Les fibres dont ce dernier se compo
la ligne médiane au niveau de laquelle il a été sectionné (Pcs). Le
faisceau
de la calotte (TEG) enveloppe à la fois le pédonc
presque totalité du pinceau de la calotte. Elles se divisent en deux
faisceaux
secondaires : Fun postérieur et inférieur ou la
egmenti (LTE, fig. 80, 88, 89, 90); l'antre antérieur et supérieur ou
faisceau
tegmento-thalamiquc (CAO) (fig. 96, pl. XXVI). Ce
ée. Cette torsion s'accuse encore davantage sur la coupe 87 ; puis le
faisceau
se porte en dehors et en haut (fig. 88, 89); deve
particulier (fig. 87, 90), avec le locus niger de Sœmmering. FM. Le
faisceau
de Tiirck-Meynert (fig. 85), issu du pédoncule, o
que (BSO), se porte en bas et en dehors, et seperdau milieu des FP,
faisceau
pyramidal dans le pied du pédoncule du côté gau
ant en dehors avec le stratum zonale du corps genouillé externe ; FM,
faisceau
de Tiirck-Meynert contournant le corps genouillé
t le corps genouillé externe, et se jetant d'avant en arrière dans le
faisceau
sensitif externe (FSe) ; FSi, faisceau sensitif i
ant d'avant en arrière dans le faisceau sensitif externe (FSe) ; FSi,
faisceau
sensitif interne. La ligne pointillée indique le
u thalamus. Schéma 152. — Projection horizontale de la réflexion du
faisceau
Tiirck-Meynert. fibres antéro-postérieures du f
réflexion du faisceau Tiirck-Meynert. fibres antéro-postérieures du
faisceau
sensitif externe (FSe, fig. 89). Le faisceau de T
s antéro-postérieures du faisceau sensitif externe (FSe, fig. 89). Le
faisceau
de Tiirck-Meynert, sur les coupes 86, 88, 89, pré
de Tiirck-Meynert, sur les coupes 86, 88, 89, présente, au contact du
faisceau
pyramidal (FP), une disposition arquée qui tient
ce dernier, dont la direction générale est toute différente. FP. Le
faisceau
pyramidal, en effet, s'incline en haut en dehors
l, en effet, s'incline en haut en dehors et en avant, au moment où le
faisceau
de Tùrck-Meynert s'apprête à contourner le corps
signe FP indique la place exacte de la partie la plus postérieure du
faisceau
pyramidal. Mais dans la striation transversale qu
istinguer deux ordres de fibres. Les stries blanches appartiennent au
faisceau
pyramidal et correspondent à la partie la plus su
perficielle de l'étage inférieur. Les stries foncées appartiennent au
faisceau
de Tùrck-Meynert, dont les fibres les plus antéri
r aller doubler le corps genouillé externe. Sur la coupe 90, ces deux
faisceaux
sont très nettement isolés, grâce à la différence
ès nettement isolés, grâce à la différence de leur teinte. On voit le
faisceau
pyramidal pénétrer directement dans la capsule in
orme d'une masse compacte de fibres claires, limitée en dehors par le
faisceau
de Tùrck-Meynert, en dedans par le stratum interm
ermédiaire (IS). Plus haut, dans la capsule interne (CI, fig. 88), le
faisceau
pyramidal (FP') s'épanouit à la face interne et s
al et présente les variations d'épaisseur qui résultent du passage du
faisceau
de Tùrck-Meynert (FM, fig. 89, 90) au travers de
ieure du corps genouillé externe (GE) et où les fibres récurrentes du
faisceau
de Tùrck-Meynert ont à peu près complètement disp
rès exactement limitée en haut par les fibres les plus antérieures du
faisceau
de Tùrck-Meynert (FM). Elle fait un peu saillie d
présente l'extrémité la plus postérieure du septum lucidum. FSe. Le
faisceau
sensitif externe (fig. 87) projette en grande abo
d'être encore épuisé. On remarquera même que la portion externe de ce
faisceau
est de plus en plus nettement arrêtée et qu'elle
ours plus compact à la partie inférieure qu'à la partie supérieure du
faisceau
sensitif. Nous allons voir bientôt ce que devienn
tif. Nous allons voir bientôt ce que deviennent ces fibres. FSi. Le
faisceau
sensitif interne (fig. 87) passe au-dessus de la
a bandelette sous-optique (BSO, fig. 89), pour aller se jeter dans le
faisceau
de Tûrck-Meynert et dans la couronne rayonnante d
s genouillé externe (RGE, fig. 88). Nous savons que ces deux derniers
faisceaux
paraissent intimement mélangés, du moins sur les
e du corps genouillé externe (fîg. 88), confondue en dedans avec le
faisceau
de Meynert, entre pour la plus grande part dans l
sceau de Meynert, entre pour la plus grande part dans la formation du
faisceau
sensitif interne : c'est celui-ci encore qui repr
Coupe schématique vertico-transversale montrant la pénétration des
faisceaux
corticaux dans la couche oi)tique et leur enlre-c
x corticaux dans la couche oi)tique et leur enlre-cioisement avec les
faisceaux
de l'étage supérieur, PV. Le pont de Varole;, P
jnia ; Lmd, lamina lateralis; LTE, lamina tegmenti (ces deux derniers
faisceaux
proviennent de l'étage supérieur des pédoncviles)
fibres cortico-thalamiques et des fibres ])édonculo-thalamiques;—FSe,
faisceau
sensitif externe ;—FSi, faisceau sensitif interne
fibres ])édonculo-thalamiques;—FSe, faisceau sensitif externe ;—FSi,
faisceau
sensitif interne. Schéma 133. ceaux, dont les
t aussi le point de départ des fibres qui proviennent directement des
faisceaux
de la calotte (lamina lateralis, lamina tegmenti)
la calotte (lamina lateralis, lamina tegmenti) ; nous savons que ces
faisceaux
pénètrent dans la couche optique par sa face infé
é sur les coupes de la planche 25. Mais déjà sa forme se dessine : le
faisceau
sensitif externe le pénètre d'arrière en avant et
après leur passage à travers le centre ovale (CO, fig. 88). ARC. Le
faisceau
arqué (fig. 87) se confond avec le claustrum (CL)
prend une insertion. Sa partie interne se continue avec les fibres du
faisceau
pyramidal (FP', fig. 85) qui sortent de la capsul
ne et vont gagner l'écorce de la région de l'opercule (OP). PAR. Le
faisceau
parallèle qui apparaît ici pour la première fois
eau parallèle qui apparaît ici pour la première fois (fig. 86) est un
faisceau
difl'us, étendu d'arrière en avant dans le mantea
s temporales qui le constituent étaient en contact avec les fibres du
faisceau
sensitif externe. Désormais elles en sont séparée
a capsule externe (CE). Mais il ne faut pas, pour cela, distinguer le
faisceau
parallèle et la capsule externe et les étudier sé
oute sa région postérieure, n'est pas autre chose qu'une expansion du
faisceau
parallèle entre le damtruin (CL, fig. 86) et le f
expansion du faisceau parallèle entre le damtruin (CL, fig. 86) et le
faisceau
sensitif externe. Le faisceau parallèle s'insin
entre le damtruin (CL, fig. 86) et le faisceau sensitif externe. Le
faisceau
parallèle s'insinue donc dans la capsule externe,
confond en apparence avec la partie inférieure du claustrum, comme le
faisceau
ûrqué se confond en apparence avec la partie supé
se. Nous verrons plus tard (pl. XXVI, ARC) les connexions de ces deux
faisceaux
. LFS. La capsula extrema (fig. 89) ou moelle de
du noyau caudé (fig. 88) émerge de la face inférieure de ce noyau par
faisceaux
d'inégale importance; cela explique que le noyau
ection l'intéresse en pleine substance grise ou dans le plan d'un des
faisceaux
de sa couronne. Cin. Le cingulum (fig. 87). F
des faisceaux de sa couronne. Cin. Le cingulum (fig. 87). FCF. Le
faisceau
compact du fornix (fig. 85, 87) varie de couleur
e la circonvolution limbique; il apparaît précisément au moment où le
faisceau
compact du fornix semblait seulement constitué pa
fornix semblait seulement constitué par des fibres transversales (ce
faisceau
était clair sur les coupes 87, 88, 89). C'est don
d la direction antéro-postérieure à partir de la coupe 90.* FDF. Le
faisceau
diffus du fornix (fig. 85, 87) devient plus compa
e grande volée, puisque sur les coupes 89 et 90 la ¦ teinte foncée du
faisceau
diminue rapidement; en d'autres termes, les fd)re
ale pour rejoindre de nouveau la face profonde de l'écorce. FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal (fîg. 87), situé au-dessus du pro
pariéto-frontal (fîg. 87), situé au-dessus du prolongement frontal du
faisceau
arqué (ARC), se montre également. plus compact au
où elles se terminent dans l'écorce de la première frontale. CO. Le
faisceau
du centre ovale (fig. 88), fondu à sa partie inte
dé; d'autre part, sur les coupes 89 et 90, nous le voyons émettre des
faisceaux
, qui divergent en dehors et en haut, vers le lobe
plus difficilement sous l'influence des réactifs chimiques. FLl. Le
faisceau
longitudinal inférieur (fig. 87), refoulé, comme
on bord supérieur. La ligne sinueuse que décrit la face supérieure du
faisceau
longitudinal inférieur correspond, ainsi que nous
n bas par le noyau rouge de la calotte (NR) dont il est séparé par le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP), présente encore le
, 95, 96). Elle est située toujours exactement sur le prolongement du
faisceau
longitudinal postérieur, dont elle semble être l'
alamique ; mais nous ne prétendons pas pour cela qu'il y ait entre ce
faisceau
et la substance grise de la couche optique plus q
s retroflex (FRF), en bas par la lamina medialis (Lm), en haut par le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP), en dehors par les
coloration plus foncée que lui. Cela tient à ce que ces deux derniers
faisceaux
(qui le traversent d'arrière en avant) sont coupé
e hauteur. Sa couronne rayonnante (RGE, fig. 92), mêlée aux fibres du
faisceau
de Tùrck-Meynert (FM, 91, 93, 94), se superpose à
s forment sa couronne rayonnante posté-.„ _rieure. Schéma 135. du
faisceau
sensitif externe (FSe). Ces fibres, en effet, s'y
sur la coupe 91 une modification importante dans ses rapports avec ce
faisceau
. Presque toutes ses fibres ont subi la décussatio
a lamina medialis; il va en être question un peu plus loin. CEO. Le
faisceau
cérébello-thalamique, représentant une bonne part
5), situé toujours au-dessus de la lamina tegmenti (LTE). Aucun autre
faisceau
ne le sépare encore du thalamus. Mais, à partir d
erpose entre la couche optique et lui. Cette bandelette représente un
faisceau
en lame horizontale, dirigé d'arrière en avant; i
n plus antérieure : nous le décrirons un peu plus loin sous le nom de
faisceau
tegmenlo-thalamique (CAO). — Sur les coupes 93, 9
que (CAO). — Sur les coupes 93, 96, il est facile de constater que le
faisceau
cérébello-thalamique se continue sans transition
avec la lame médullaire externe de la couche optique (LML). FLP. Le
faisceau
longitudinal postérieur (91, 92, 94, 96) s'insinu
troflex (fig. 92, 93, 94), invariablement accolé à la face externe du
faisceau
longitudinal postérieur, longe le noyau rouge de
la lamina medialis (Lm) et un prolongement interne en dedans du môme
faisceau
. Le prolongement externe se confond avec les fibr
ébelleux supérieur (Pcs) ; un étage supérieur qui, sous la forme d'un
faisceau
à section triangulaire, se prolonge en avant, à l
avec laquelle il se confond. Celle-ci n'est, comme on le sait, qu'un
faisceau
de la couche de Reil (Lem). Ainsi nous paraît se
vement à l'origine du tractus transversus pedunculi : à savoir que ce
faisceau
est une portion aberrante de la couche de Reil, p
uquel ces dernières (ANL) sont plus intimement adhérentes. Le nouveau
faisceau
dont il s'agit est l'anse du noyau lenticulaire (
ne peut plus être reconnu dans la masse des fibres du pied. CAO. Le
faisceau
tegmento-thalamique, qui s'étend de la région de
NR). Sa'surface de section est transversale; il semble faire suite au
faisceau
longitudinal postérieur (FLP). En réalité, les co
longitudinal postérieur (FLP). En réalité, les connexions de ces deux
faisceaux
, juste au-dessus du noyau rouge, sont peut-être t
mpre (pl. XXVll, fig. 08). Alors, en effet, il devient évident que le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP) passe au-dessus du
dent que le faisceau longitudinal postérieur (FLP) passe au-dessus du
faisceau
tegmento-thalamique (CAO). FM. Le faisceau de T
(FLP) passe au-dessus du faisceau tegmento-thalamique (CAO). FM. Le
faisceau
de Tùrck-Meynert (fig. 91) remonte d'arrière en a
e le corps genouillé va, en s'amincissant. Projection sagittale .du
faisceau
de Tiirclc-Meynert (FM), au moment où il double e
ant en arrière à la partie inférieure du corps genouillé externe. FP,
faisceau
pyramidal. ',)1, coupe vertico-transversale passa
pédonculaire de Gratiolet (RSO, fig. 93, 94) et finalement arrive au
faisceau
sensitif externe (FSe, fig. 95), au moment où app
u noyau lenticulaire (MLE, fig. 94, 95) (MLE, MLI, fig. 96). FP. Le
faisceau
pyramidal (fig. 91), formé d'une belle masse de f
pédonculaire où l'on voit le passage des coupes 94 et 96 à travers le
faisceau
géniculé (FG). FP, faisceau pyramidal ; FM, f
assage des coupes 94 et 96 à travers le faisceau géniculé (FG). FP,
faisceau
pyramidal ; FM, faisceau de Tiirck-Meynert ;
à travers le faisceau géniculé (FG). FP, faisceau pyramidal ; FM,
faisceau
de Tiirck-Meynert ; ANL, anse du noyau lenticul
-Meynert ; ANL, anse du noyau lenticulaire. de la capsule, est un
faisceau
situé en avant du faisceau pyramidal, dans le pie
oyau lenticulaire. de la capsule, est un faisceau situé en avant du
faisceau
pyramidal, dans le pied du pédoncule, où ses rapp
e, sa direction semble transversale. Sur la coupe 94, par exemple, le
faisceau
géniculé semble antéro-postérieur et sa teinte es
édoncule. Sur cette dernière coupe, on peut en outre constater que le
faisceau
pyramidal (FP) est, à sa partie interne, très net
ceau pyramidal (FP) est, à sa partie interne, très nettement isolé du
faisceau
géniculé (FG). Il y a là un changement de directi
éniculé (FG). Il y a là un changement de direction manifeste. Mais ce
faisceau
géniculé, sur les coupes suivantes, n'est plus ré
limité, en dehors et en haut, par les fibres les plus antérieures du
faisceau
de Tùrck-Meynert (FM, 94) ; puis il représente la
ion de la calotte par une petite bande foncée que nous appellerons le
faisceau
géniculé (FG). FG. Le faisceau géniculé, que no
bande foncée que nous appellerons le faisceau géniculé (FG). FG. Le
faisceau
géniculé, que nous avons, depuis bien des années,
parce que ses fibres passent par le genou les fibres antérieures du
faisceau
pyramidal. Les fibres pédonculaires claires, inte
res, intercalées entre ces stries foncées, appartiennent à un nouveau
faisceau
(ANL) que nous voyons apparaître au-dessus et en
au lenticulaire ANL. ... , ANL. L'anse du noyau lenticulaire est le
faisceau
le plus interne du pied du pédoncule, k la face i
terne du pied du pédoncule, k la face inférieure du cerveau, c'est ce
faisceau
qui limite en dehors l'espace perforé postérieur
l'aide du schéma 158 que la coupe 94 intéresse de dehors en dedans le
faisceau
pyramidal, le faisceau géniculé, l'anse du noyau
e la coupe 94 intéresse de dehors en dedans le faisceau pyramidal, le
faisceau
géniculé, l'anse du noyau lenticulaire, tandis qu
anse du noyau lenticulaire, tandis que la coupe 96 n'intéresse que le
faisceau
géniculé et Vanse du Profil do l'anse du noyau
ction à la partie postérieure de ce noyau. La coupe 96 intéresse le
faisceau
géniculé (FG), le] discus lentiformis (DL) et l'a
et l'anse (ANL) juste au niveau du coude de celle-ci. L'anse et le
faisceau
géniculé s'entre-croisent au point X.| noyau le
niculé s'entre-croisent au point X.| noyau lenticulaire. Cg dernier
faisceau
est ainsi désigné parce qu'il provient d'une couc
le pédoncule, son trajet est à peu de chose près le même que celui du
faisceau
géniculé. Seulement la plupart de ses fibres sont
aux de la protubérance et de la substance grise interpédonculaire. Le
faisceau
géniculé, au contraire, dirigé plutôt dans le s
de l'hypoglosse. Sur la coupe 96, FG représente les stries foncées du
faisceau
géniculé, et ANL les fibres de l'anse. Celles-ci
blanche sous-jacente à la lamina tegmenti (LTE) et qui n'est point ua
faisceau
isolé. C'est une disposition qu'on s'expliquera e
ude de haut en bas pour gagner le bord interne du pédoncule. MF. Le
faisceau
capsulaire (fig. 94), dont il sera plus longuemen
pl. XXY). TRI. Trigone cérébral (voir pl. XXV et XXVll). FSe. Le
faisceau
sensitif externe est de plus en plus neltement ar
ifficile de savoir (par exemple sur la coupe 92) ce qui appartient au
faisceau
sensitif externe et ce qui appartient au putamen
t ce qui appartient au putamen : les fibres antéro-postérieures de ce
faisceau
, encore très foncées, se confondent avec la teint
du putamen. Ce qui est certain, c'est que les fibres transversales du
faisceau
sensitif (fig. 92) convergent vers la cloison ext
nne rayonnante du corps genouillé externe (fig. 92), mélangée avec le
faisceau
de Tùrck-Meynert, est située JIQ.g Prolil du co
corps genouillé, passant au-dessus de lui, et croisée en avant par le
faisceau
de Tùrck-Meyner (FM). Schéma UO. juste au-des
UO. juste au-dessus du corps genouillé (GE), et juste au-dessous du
faisceau
pyramidal (FP, fig. 92, 93, 94). Elle se dirige f
importante, plus compa(de, à mesure qu'arrivent dans l'hémisphère les
faisceaux
du pied du pédoncule (PPS); parmi ces faisceaux,
dans l'hémisphère les faisceaux du pied du pédoncule (PPS); parmi ces
faisceaux
, celui de Turck-Meynert (FM) se recourbe en arriè
du segment inférieur de la capsule, ou capsule inférieure (CIF). Les
faisceaux
du pied du pédoncule qui constituent la masse fon
e qui constituent la masse fondamentale de la capsule interne sont le
faisceau
pyramidal (FP) et le faisceau géniculé (FG). Sur
damentale de la capsule interne sont le faisceau pyramidal (FP) et le
faisceau
géniculé (FG). Sur la coupe 94 il est aisé de con
géniculé (FG). Sur la coupe 94 il est aisé de constater que ces deux
faisceaux
pénètrent franchement du pied du pédoncule dans l
de l'écorce une grande quantité de fibres qui font d'abord partie du
faisceau
arqué (ARC). 11 y a tout lieu d'admettre que ces
é (ARC). 11 y a tout lieu d'admettre que ces fibres sont destinées au
faisceau
pyramidal (FP, fig. 91 et suiv.). Mais la capsule
la capsule interne ne se compose pas seulement de fibres destinées au
faisceau
arqué. Elle renferme les fibres les plus externes
la lamina tegmenti (LTE, fig. 96), situées au-dessus et en dedans du
faisceau
pyramidal; elle renferme aussi lés fibres termina
s du faisceau pyramidal; elle renferme aussi lés fibres terminales du
faisceau
cérébello-thalamique (CEO, 93, 95), situées au-de
e la lame médullaire externe (LML), situées au-dessus et en dedans du
faisceau
cérébello-thalamique (fig. 96). CE. La capsule
aire du lobe temporo-sphénoïdal. Elle renferme des fibres qui vont du
faisceau
parallèle (PAR, fig. 93) au faisceau arqué (ARC).
renferme des fibres qui vont du faisceau parallèle (PAR, fig. 93) au
faisceau
arqué (ARC). Mais ces fibres ne suivent pas un tr
route par le claustrum et y subissent une forte réduction. PAR. Le
faisceau
parallèle (fig. 93), que nous appelons ainsi parc
elons ainsi parce qu'il enveloppe le fond du sillon parallèle, est un
faisceau
diflùs, mais toujours très facile à reconnaître,
claustrum, à l'extrémité inférieure de ce noyau lamellaire, comme le
faisceau
arqué (ARC) se perd dans son extrémité supérieure
faisceau arqué (ARC) se perd dans son extrémité supérieure. ARC. Le
faisceau
arqué (fig. 95) occupe toujours la même situation
l'hémisphère gauche où l'on voit la direction générale dos fibres du
faisceau
arqué .. (ARC) au-dessus de l'insula (IN), dans l
a profondeur de l'opercule (OP). elles ont la même direction que le
faisceau
, parallèle, on peut considérer ces deux faisceaux
ême direction que le faisceau, parallèle, on peut considérer ces deux
faisceaux
comme constituant un seul et même appareil de fib
t-mur et s'y terminant. Mais les fibres les plus externes de ces deux
faisceaux
sont les seules qui entrent en connexion avec le
u putamen. — Où vont ces dernières fibres? Nous verrons que celles du
faisceau
arqué rejoignent le corps calleux et la commissur
corps calleux et la commissure terminale (voy. pl. XXXI) ; celles du
faisceau
parallèle rejoignent la commissure terminale et l
commissure terminale et la commissure antérieure. La coloration du
faisceau
arqué présente son maximum d'intensité au milieu
vers l'extrémité supérieure et externe de la capsule interne (CI), le
faisceau
arqué devient de plus en plus diflùs; bon nombre
elle pénètre dans le centre ovale, se continue insensiblement avec le
faisceau
arqué. On comprend donc que ce faisceau ne puis
inue insensiblement avec le faisceau arqué. On comprend donc que ce
faisceau
ne puisse pas être considéré comme un groupe fibr
ayant seulement deux insertions. Et ce n'est pas tout : en effet, le
faisceau
arqué se prolonge vers le haut dans la deuxième c
iiiio vertico - transversale destinée à montrer la forme constante du
faisceau
aniué (ARC). Ce faisceau se confond en bas avec
e destinée à montrer la forme constante du faisceau aniué (ARC). Ce
faisceau
se confond en bas avec le claustrum (CL). En ha
eau se confond en bas avec le claustrum (CL). En haut il rejoint le
faisceau
pariéto-frontal (FPF). En dedans il se dédouble
en dedans du noyau lenticulaire (NLe). Th, couche optique ; PAR,
faisceau
parallèle ; F', F*, F', les trois circonvolutio
F', F*, F', les trois circonvolutions frontales. a aux fibres du
faisceau
pariéto-frontal; mais on remarquera quil y occupe
econnaître sur toutes les figures de la planche XXll. Les fibres du
faisceau
arqué qui se jettent dans la capsule interne prov
qui se jettent dans la capsule interne proviennent très souvent d'un
faisceau
arqué accessoire situé en PLANCHE XXVII COUPE
prendre de grandes proportions sur les coupes 101 et 102; dedans du
faisceau
principal et déjà visible sur la coupe 91 (AltC).
to-thalamique (CAO, fîg. 96); mais elle a aussi emprunté des hbrcs au
faisceau
longitudinal postérieur (FLP). A ce propos nous f
gitudinal postérieur (FLP). A ce propos nous ferons remarquer que les
faisceaux
qui vont de la calotte au tlialanuis pénètrent da
lame médullaire externe; mais que les fibres les plus externes de ces
faisceaux
atteignent cependant cette lame et s'y entre-croi
transverse (Tt). Cin. Le cingulum (fig. 91, voy. pl. XV). FCF. Le
faisceau
compact du fornix. . ; ' FDF. Le faisceau diffu
, voy. pl. XV). FCF. Le faisceau compact du fornix. . ; ' FDF. Le
faisceau
diffus du fornix. (le telle soi'le qu(î la deux
ganglion reçoit, plus en avant, par sa face inférieure, les fibres du
faisceau
de Yicq-d'Azyr. NiC. Noyau interne du thalamus
de section. Sur la coupe 102 il n'en reste plus rien; à sa place, le
faisceau
de la calotte (TEG) s'étale transversalement sous
ligne médiane, dont il n'est séparé que par la couronne rayonnante du
faisceau
longitudinal postérieur (RFP, fig. 102). Nous a
éjà signalé la striation blanche du noyau de la calotte par de petits
faisceaux
de fibres dirigés obliquement de haut en bas et d
petite tache foncée, allongée verticalennmt, située sur le trajet du
faisceau
sensitif externe (FSe, 99, JOO, 101, 102). 11 s'a
u faisceau sensitif externe (FSe, 99, JOO, 101, 102). 11 s'agit là du
faisceau
sensitif externe lui-même; et la tache, de forme
solument constantes, représente la section transversale des libres du
faisceau
sensitif externe, qui pénètrent directement dans
s déjà signalé ces fibres et nous avons dit qu'elles constituaient un
faisceau
important de la couronne rayonnante du noyau lent
pallidus convergent, dans leur ensemble, vers la partie inférieure du
faisceau
pyramidal (FP, fig. 102). 11 est indubitable que
la capsule interne (CIF) où elles formeront, un peu plus en avant, le
faisceau
bien isolé, connu sous le nom à\mse du noyau lent
a couche optique, en dehors du noyau rouge, en dedans et au-dessus du
faisceau
le plus interne du pied du pédoncule. Ce petit no
ncore loin de s'entendre sur ses connexions intimes avec les nombreux
faisceaux
de la calotte et du pédoncule qui l'environnent.
otte. Il est toujours parfaitement isolé et comme perdu au milieu des
faisceaux
de la calotte et du pédoncule. La seule région de
a lamina tegmenti (LTE). Il émet par sa face supérieure les fibres du
faisceau
capsulaire (MF), sur les rapports duquel nous nou
s duquel nous nous expliquerons un peu plus loin (voy. pl. XXYII); ce
faisceau
capsulaire est-il la continuation de la lamina te
le discus lentiformis est un noyau qui sert de centre de réduction au
faisceau
capsulaire (MF). Ce dernier, venu de la capsule i
importante de la commissure de Meynert. La difficulté de l'étude des
faisceaux
sus-jacents au discus lentiformis a valu à cette
a calotte (NR), au niveau de la pénétration des fibres capsulaires du
faisceau
pyramidal (FP) dans le pédoncule. CEO. Le faisc
s capsulaires du faisceau pyramidal (FP) dans le pédoncule. CEO. Le
faisceau
cérébello-thalamique (fig. 97) est tout ce qui su
d'une bandelette foncée sur les coupes 101 et 102. A partir de là, le
faisceau
cérébello-thalamique n'a plus de rapports avec la
uche optique. Il en est séparé par une mince lamelle blanche venue du
faisceau
tegmento-thalamique (CAO) et qui contribue avec l
e des fibres destinées à l'écorce cérébrale, c'est évidemment dans le
faisceau
cérébello-thalamique (CEO) qu'il faut les cherche
faut les chercher. En tout cas le plus grand nombre des fibres de ce
faisceau
se perd préalablement dans la lame médullaire ext
édullaire externe. BO. Bandelette optique (fîg. 98, 101). LFP. Le
faisceau
longitudinal postérieur, situé au-dessous de la g
Ll', i'aisceau longitudinal postérieur; FLP' fibres inédianes de ce
faisceau
allant au thalamus ; RFP, fibres inférieures al
nvexité supérieure. La concavité inférieure de cette courbe limite le
faisceau
tegmento-thalamique (CAO), dirigé d'arrière en av
est immédiatement adhérent au noyau rouge de la calotte; et, comme le
faisceau
longitudinal postérieur, il s'épuise, au-dessus d
us du noyau rouge, dans la région inférieure du thalamus. Profil du
faisceau
longitudinal postérieur au niveau du noyau rouge.
yau rouge. 101, coupe vei'ticale de la planclie XXVII. A travers le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP), on reconnaît par t
ssous de ce noyau, RFP indique le trajet de la couronne rayonnante du
faisceau
longitudinal postérieur, allant de dedans en deho
oncée FLP'. Th, thalamus; — NR, noyau rouge. Schéma 1-47. _ Mais le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP) ne consiste pas seu
(PL, fig. 101, 102) avec lequel il parait se confondre en partie. Le
faisceau
longitudinal postérieur, grâce à ce prolongement
erne. Meynert appelle ces fibres inférieures « couronne rayonnante du
faisceau
postérieur » (radiatio fasciculi poster loris, RF
ciculi posterions (fig. 101, 102) est certainement bien distincte des
faisceaux
de la calotte qui enveloppent le noyau rouge. On
me avec la lame terminale de Reil (LTE, pl. XXVI, fig. 96) et avec le
faisceau
d'Arnold (AR, pl. XXXII, fig. 101, 102). Comme il
rnold (AR, pl. XXXII, fig. 101, 102). Comme il est indubitable que le
faisceau
d'Arnold réunit l'écorce à la région supérieure e
uelque sorte par la logique seule qu'on a pu admettre les rapports du
faisceau
longitudinal postérieur avec la surface cérébrale
rale. La radiatio fasciculi posterions sert de trait d'union entre le
faisceau
d'Arnold et le faisceau longitudinal postérieur.
uli posterions sert de trait d'union entre le faisceau d'Arnold et le
faisceau
longitudinal postérieur. Mais nous avons vu aussi
ceau longitudinal postérieur. Mais nous avons vu aussi que ce dernier
faisceau
a une radiation (ou couronne rayonnante) au-dessu
ulus retrofiexus de Meynert (fig. 98, 99, 101) se sépare à présent du
faisceau
longitudinal postérieur auquel il avait été toujo
tudinal postérieur auquel il avait été toujours intimement accolé. Le
faisceau
longitudinal postérieur, en effet, se porte en ha
. Le faisceau longitudinal postérieur, en effet, se porte en haut, le
faisceau
rétroflexe se porte en bas ; et si, malgré cette
emble rendre compte assez exactement de cette disposition. Lorsque le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP) et le faisceau ré
isposition. Lorsque le faisceau longitudinal postérieur (FLP) et le
faisceau
rétroflexe (FRF) se séparent, un nouveau faisceau
rieur (FLP) et le faisceau rétroflexe (FRF) se séparent, un nouveau
faisceau
s'insinue dans leur angle de divergence : c'est l
n nouveau faisceau s'insinue dans leur angle de divergence : c'est le
faisceau
tegmento-thala- Figure schématique représentant
-thala- Figure schématique représentant de profil, le croisement du
faisceau
longitudinal postérieur (FLP) et du fasciculus re
gauche. La coupe 91, vertico-transversale, passe à travers ces deux
faisceaux
quand ils sont encore accolés l'un à l'autre. L
déjà commencé à diverger. Dans l'angle de divergence, s'insinue le
faisceau
tegmento-tha-lamique (CAO). miquc (CAO). Du moi
ique (CAO). miquc (CAO). Du moins c'est une partie importante de ce
faisceau
, la plus interne, celle qui se porte d'arrière en
erne, celle qui se porte d'arrière en avant, limitée en dehors par le
faisceau
longitudinal postérieur. A ce niveau (pl. XXVIÏ,
aisceau longitudinal postérieur. A ce niveau (pl. XXVIÏ, fig. 101) le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP), le faisceau retro-
u (pl. XXVIÏ, fig. 101) le faisceau longitudinal postérieur (FLP), le
faisceau
retro-fïex (FRF) et le faisceau tegmento-thalamiq
eau longitudinal postérieur (FLP), le faisceau retro-fïex (FRF) et le
faisceau
tegmento-thalamiquc (CAO) se confondent, en appar
Lm. La lamina medialis (fig. 98) n'est plus représentée que par son
faisceau
supérieur, accolé à la partie interne du noyau ro
sversale montrant la division du fasciculus retroflexus (FRF) en deux
faisceaux
, l'un situé en dedans de la lamina medialis de Re
est toujours située, d'une part, au-dessous du noyau rouge (NR) et du
faisceau
cérébello-thalamique (CEO), et, d'autre part, au-
noyau lenticulaire (ANL). Nous avons vu s'amincir progressivement le
faisceau
cérébello-thalamique (CEO) au fur et à mesure qu'
ibres à la lame médullaire externe du thalamus (LML). Mais lorsque le
faisceau
cérébello-thalamique est épuisé, un autre le remp
sceau cérébello-thalamique est épuisé, un autre le remplace (NL) : le
faisceau
latéral du noyau rouge de la calotte, au-dessous
rapport, toutefois, n'est que très passager, car dès l'apparition du
faisceau
latéral du noyau rouge (NL), on voit aussi s'insi
g. 101). Nous avons signalé déjà précédemment ses connexions avec les
faisceaux
de la région. CAO. Le faisceau tegmento-thalami
récédemment ses connexions avec les faisceaux de la région. CAO. Le
faisceau
tegmento-thalamique (fig. 98, 99 et suiv.) recouv
perposé dans une bonne partie de la convexité interne de celui-ci. Ce
faisceau
, dirigé d'arrière en avant, comme en témoigne sa
. 101, CAO), où il n'est séparé de la cavité ventriculaire que par le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP) et le fasciculus re
troflexus (FRF). A ce niveau il s'entre-croisc avec ces deux derniers
faisceaux
, ainsi que nous l'avons déjà signalé. Il arrive e
flexus (FRF). En dehors, il s'étend d'arrière en avant au-dessus du
faisceau
rubro-thalamiquc (NL) qui, lui, est dirigé de ded
ons apparaître sur la deuxième coupe de la planche actuelle. NL. Le
faisceau
rubro-thalamique représente l'ensemble des fibres
de la concision et de la précision, si l'on veut bien admettre que le
faisceau
ainsi baptisé est constitué exclusivement par des
et non pas d'une autre partie de la région de la calotte. Lorsque le
faisceau
cérébello-thalamique, venu du pédoncule cérébelle
r (Pcs) qui y avaient pénétré. Ces fibres (NL) font suite à celles du
faisceau
cérébello-thalamique (CEO) dans le Pcs, le pédo
lamique (CEO) dans le Pcs, le pédoncule cérébelleux supérieur; CEO,
faisceau
céréhello-t hala m i qu e ne pénétrant pas dans
oyau rouge; TEC, le tegnientum avec la lamina teg- menti\ FLP, le
faisceau
longitudinal postérieur; FIïF, section transversa
érieur; FIïF, section transversale du fasciculus retroflexus ; CAO.
faisceau
tegmento-thalamique. pied de la couronne rayonn
s suivent le môme trajet sur un plan antérieur. Elles ne diffèrent du
faisceau
cérébello-thalamique que parce qu'elles ont pénét
e que parce qu'elles ont pénétré dans le noyau, tandis que ce dernier
faisceau
a simplement côtoyé le noyau rouge. Les fibres la
passent au devant du noyau rouge (fîg. 102), le tegmentum (TEC) et le
faisceau
rubro-thalainiquc se confondent. Nous ne saurions
pparente ou réelle. Il est vraisemblable qu'elle est réelle. FM. Le
faisceau
de Turck-Meynert (fîg. 1)7) est encore reconnais-
re. La direction de ses fibres est, là encore, différente de celle du
faisceau
pyramidal (FP). FP. Le faisceau pyramidal (fîg.
, là encore, différente de celle du faisceau pyramidal (FP). FP. Le
faisceau
pyramidal (fîg. 98, 99) entre d'emblée dans la ca
ns des stries rectilignes indique que ses Projection horizontale du
faisceau
riihro-thalamique (iN'L), à sa sortie du noyau ro
ire et y pénètrent. En (in, en dedans (fig. 100), il est borné par le
faisceau
géniculé (FG) dont les fibres foncées, antéro-pos
ibres foncées, antéro-postérieures, le repoussent en dehors. FG. Le
faisceau
géniculé, en effet, à mesure que les coupes devie
sque totalité du pied du pédoncule. Sur la coupe 102, par exemple, le
faisceau
pyramidal n'est représenté sur la surface de se
ion que par une bandelette de 2 millimètres au maximum, tandis que le
faisceau
géniculé occupe, avec l'anse du noyau lenticulair
ncule. Sur cette môme coupe (102), les fibres foncées représentent le
faisceau
géniculé; les fibres claires représentent l'anse
ètre dans la substance grise de l'espace perforé postérieur. MF. Le
faisceau
capsulaire, que nous avons vu apparaître sur les
'on voit que la coupe vertico-transver-sale (100) n'intéresse plus le
faisceau
pyramidal (FPj, mais seulement le faisceau génicu
(100) n'intéresse plus le faisceau pyramidal (FPj, mais seulement le
faisceau
géniculé (FG), et l'anse du noyau lenticulaire (A
02) dont il emprunte la forme. C'est môme à la présence des fibres du
faisceau
capsulaire que le discus lentiformis doit sa colo
face supérieure du discus lentiformis, ce qui semble démontrer que le
faisceau
capsulaire aborde le ganglion par sa face supérie
sa face supérieure. On est assez mal renseigné sur les connexions du
faisceau
et du ganglion (nous venons de dire que la région
été appelée par Forci zona incerta). Ce qui est certain, c'est que le
faisceau
capsulaire sépare ici le corps de Luys (DL) du fa
c'est que le faisceau capsulaire sépare ici le corps de Luys (DL) du
faisceau
rubro-thalamique (NL). BSO. La bandelette sous-
t toujours sectionnée de façon à se présenter sur les coupes comme un
faisceau
à direction postéro-antérieure. Mais il est disso
squ'elles prennent, un peu plus en avant (fig. 102), l'apparence d'un
faisceau
compact (ThI). ce faisceau est placé en dehors de
plus en avant (fig. 102), l'apparence d'un faisceau compact (ThI). ce
faisceau
est placé en dehors de la bandelette sous-optique
placera à sa partie externe. Sur la figure 101 on voit une partie du
faisceau
foncé (BSO) s'épuiser dans la queue du noyau caud
e nous voyons apparaître pour la première fois sur la coupe 99 est un
faisceau
dont le trajet est fort compliqué; mais il est po
es comparant avec les coupes horizontales. Nous dirons d'abord que ce
faisceau
appartient à trois régions bien distinctes : 1° l
e inférieure du thalamus s'enchevêtrent, à leurs extrémités, avec les
faisceaux
adjacents; c'est en outre que cette racine n'est
s; c'est en outre que cette racine n'est pas, à proprement parler, un
faisceau
, mais une lame de fibres, excessivement mince dan
ion de la racine inférieure du thalamus. Avant d'étudier ce dernier
faisceau
sur la coupe 99 où nous l'avons vu apparaître, no
(voy. les lignes 101 et 102 sur le schéma 155). On voit aussi que ce
faisceau
, de forme triangulaire (fig. 102) est situé au-de
dedans vers le pied de la couronne rayonnante, représenté ici par le
faisceau
pyramidal (FP) et le faisceau géniculé (FG). Mais
ronne rayonnante, représenté ici par le faisceau pyramidal (FP) et le
faisceau
géniculé (FG). Mais elle passe au-dessous de ces
(FP) et le faisceau géniculé (FG). Mais elle passe au-dessous de ces
faisceaux
, au-dessus de la bandelette optique (BO, fig. 101
TRI. Le trigone cérébral, fig. 98 (voy. pl. XXIV et XXV). FSe. Le
faisceau
sensitif externe (fig. 99, 100, 101, 102) se dist
très caractéristique représenté sur ces figures : la teinte foncée du
faisceau
sensitif externe se confond peu à peu avec la tei
tif externe se confond peu à peu avec la teinte foncée du putamen. Le
faisceau
sensitif externe abandonne donc des fibres au put
e (BO). Il représente, au voisinage du pied du pédoncule, en avant du
faisceau
de Türck-Meynert, le faisceau sensitif interne qu
inage du pied du pédoncule, en avant du faisceau de Türck-Meynert, le
faisceau
sensitif interne que nous avons déjà longuement d
les coupes vertico-transversaies, il est très facile de savoir si les
faisceaux
capsulaires qu'on a sous les yeux appartiennent a
n (PUT) et le globus pallidus (GLP, fig. 100), il est certain que les
faisceaux
capsulaires sectionnés appartiennent au segment p
e les trois noyaux (putamen, globus pallidus et globus medialis), les
faisceaux
capsulaires sectionnés appartiennent à une région
immédiatement en arrière du pilier descendant du trigone (DF), les
faisceaux
sectionnés appartiennent au genou. Quand la cou
pilier du trigone, à travers la commissure antérieure (CA, 124), les
faisceaux
capsulaires appartiennent au segment antérieur. E
ous l'avons dit, à sa pénétration par les fibres les plus externes du
faisceau
sensitif externe (FSe). Cette teinte s'accuse enc
ous la scissure de Sylvius; celte coloration appartient aux libres du
faisceau
parallèle. PAR. Le faisceau parallèle (fig. 98
lte coloration appartient aux libres du faisceau parallèle. PAR. Le
faisceau
parallèle (fig. 98 et suiv.) provient de la premi
ou cinquième circonvolutions temporales; il est donc véritablement le
faisceau
du sillon parallèle; il prend ses insertions post
postérieures dans la substance grise qui double ce sillon. ARC. Le
faisceau
arqué (fig. 98) est dédoublé dans la région du ce
98) est dédoublé dans la région du centre ovale. Nous savons que son
faisceau
accessoire (FP') est l'expansion supérieure du fa
avons que son faisceau accessoire (FP') est l'expansion supérieure du
faisceau
pyramidal au moment où celui-ci émerge de la caps
98, 99) termine en dessous et en dehors de la couche optique tous les
faisceaux
de la calotte que nous avons énuinérés : la lamin
otte que nous avons énuinérés : la lamina tegmenti (LTE, fig. 98), le
faisceau
rubro-thalamique (ML), le faisceau teg-mento-thal
lamina tegmenti (LTE, fig. 98), le faisceau rubro-thalamique (ML), le
faisceau
teg-mento-thalamique (CAO), et môme le faisceau l
o-thalamique (ML), le faisceau teg-mento-thalamique (CAO), et môme le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP). Mais il faut admet
postérieur (FLP). Mais il faut admettre que les deux premiers de ces
faisceaux
, c'est-à-dire la lamina tegmenti et le faisceau r
deux premiers de ces faisceaux, c'est-à-dire la lamina tegmenti et le
faisceau
rubro-thalamique se terminent ou plutôt poursuive
plutôt poursuivent leur trajet dans la capsule interne (CID) avec le
faisceau
cérébcllo-thalamique (CEO, fig. 100 et 101), qu'i
e. RJNC. La couronne rayonnante du noyau caudé (fig. 97). FCF. Le
faisceau
compact du fornix (fig. 101). FDF. Le faisceau
(fig. 97). FCF. Le faisceau compact du fornix (fig. 101). FDF. Le
faisceau
diffus du fornix (fig. 99). Cin. Le cingulum (f
u diffus du fornix (fig. 99). Cin. Le cingulum (fig. 101). CO. Le
faisceau
du centre ovale (fig. 102). FLI. Le faisceau lo
m (fig. 101). CO. Le faisceau du centre ovale (fig. 102). FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur (fig. 97). PLANCHE XXVII
perforé postérieur (EPP). L'espace perforé est toujours limité par le
faisceau
le plus interne du pédoncule ou anse du noyau len
ule ou anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 104). Plus en avant, les
faisceaux
blancs du pédoncule se placent au contact de la s
ont il forme la voûte, est longé en dehors par les fibres blanches du
faisceau
sous-optique (BSO). Il n'est pas immédiatement pé
e à sa partie inférieure et externe les fibres antéro-postérieures du
faisceau
sensitif externe qui renforcent, sa coloration. C
ieures du faisceau sensitif externe qui renforcent, sa coloration. Ce
faisceau
sensitif externe (FSe, fig. 107) en est cependant
05, 107). Le globus medialis (fig. 105) est abordé directement par le
faisceau
pyramidal, qui le pénètre de bas en haut et de de
bas en haut et de dedans en dehors. Plus en avant (fig. 106), le même
faisceau
semble s'enfoncer dans la capsule interne (CI) sa
vant, il s'insinue de nouveau dans le globus medialis. Les fibres des
faisceaux
capsulaires qui semblent ainsi éviter le noyau le
insi éviter le noyau lenticulaire n'appartiennent probablement pas au
faisceau
pyramidal. Elles font partie du système de l'anse
ultérieurement. Il est possible également que, tout en appartenant au
faisceau
pyramidal, elles suivent un trajet intra-capsulai
t à sa face inférieure, adhérente à la masse de la couche optique, le
faisceau
de Vicq-d'Azyr (FVA, fig 108, voy. plus loin).
tion antéro-posté-rieure. Elles vont se placer à la partie externe du
faisceau
de Yicq-d'Azyr (FVA). Ainsi les fibres corticales
s venues de la région de la calotte, en particulier par les fibres du
faisceau
capsulaire (MF, fig. 108) dont l'extrémité supéri
orps genouillé externe, le putamen offrent un agencement analogue des
faisceaux
qui les abordent sur les différentes parties de l
lentiformis (le disais lentiformis n'est plus désigné ici que par le
faisceau
capsulaire (MF, 104, 105, 106) qui vient y épuise
foncée, ce qui tient à la présence des libres antéro-postérieiires du
faisceau
capsulaire (MF) qui s'y termine (fig. 104, 105, 1
tiennent surtout, sinon exclusivement, à la lamina tegmenti (LTE). Ce
faisceau
, toutefois, ne s'épuise pas totalement dans le co
transversales de la protubérance. Il est traversé obliquement par les
faisceaux
de l'anse du noyau lenticulaire (AjNL), qui vont
ivement par les fibres les plus internes du pied, c'est-à-dire par le
faisceau
géniculé CFG) et l'anse du noyau lenticulaire (AN
isceau géniculé CFG) et l'anse du noyau lenticulaire (ANL). CEO. Le
faisceau
cérébello-thalamique, que nous avons vu se confon
gent d'avant en arrière entre le thalamus et la capsule interne. Le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP, voy. pl. XXVII) n'e
mme nous l'avons vu, d'une part, dans la couche optique, au-dessus du
faisceau
tegmento-thalamique (CAO, fig. 101), d'autre part
vrait le chercher dans la substance grise qui recouvre, en dedans, le
faisceau
tegmento-thalamique (CAO). RFP. La radiatio fas
radiatio fasciculi posterions se prolonge, en avant, plus loin que le
faisceau
longitudinal postérieur d'où elle émane. On la vo
le tubercule mamillaire (fig. 108) n'est représenté que par le petit
faisceau
descendant du pilier antérieur (DF) se réfléchiss
et qui peuvent être considérées comme l'épanouissement terminal de ce
faisceau
. D'autre part, il est vraisemblable que les lames
te façon, il est légitime de décrire le fascicuîus rctroflex comme un
faisceau
croisé. Il resterait à déterminer d'une manière p
cus niger où elle forme le stratum inter-medium, est réduite ici à un
faisceau
de très petit calibre dirigé d'avant en arrière,
rise de l'espace PV, pont de Varole ; TM, tubercule mamillaire; FP,
faisceau
pyramidal dans le pied du pédoncule gauche (vu à
ces fibres, en partie recouvertes par l'anse du noyau lenti- Fl\ Le
faisceau
pyramidal (fig. 105, 106) est sectionné au-dessus
mme les coupes vertico-transversales en font foi d'autre part, que ce
faisceau
, avant de se terminer dans la substance grise de
ieur, glisse en dehors du ganglion inlerpédonculaire (GIP). CAO. Le
faisceau
tegmento-thalamique, repoussé en haut et en dedan
rtie inférieure du noyau thalamiquc interne, dans l'angle rentrant du
faisceau
de Vicq-d'Azyr (FYA) et du faisceau rubro-thalami
interne, dans l'angle rentrant du faisceau de Vicq-d'Azyr (FYA) et du
faisceau
rubro-thalamique (NL). NL. Les fibres externes
es s'y sont à peu près complètement épuisées, il en reste toujours un
faisceau
plus antérieur (fig. 106, 107, NL), superposé au
é au discus lentiformis, et qui se mêle finalement avec les fibres du
faisceau
d'Arnold. Projection horizontale du faisceau py
ent avec les fibres du faisceau d'Arnold. Projection horizontale du
faisceau
pyramidal (KP) pénétrant dans le globus medialis
ans le globus medialis (GLM). Les libres les plus antérieures de ce
faisceau
reviennent sur elles-mêmes. GLP, globus pallidu
ent sur elles-mêmes. GLP, globus pallidus. sente seulement par le
faisceau
géniculé et l'anse du noyau lenticulaire (FG et A
comme s'il avait dépassé le sommet de ce noyau (schéma 159). FG. Le
faisceau
géniculé, représenté par les stries foncées de la
hA) et le noyau lenticulaire GLM (fig. 108). En effet, à ce niveau le
faisceau
géniculé descend d'une région assez élevée de la
ntérieure de la protubérance. Le mélange de ses fibres avec celles du
faisceau
géniculé est moins intime; elle occupe, à elle to
toute seule, le pied du pédoncule (fig. 107, 108, ANL), tandis que le
faisceau
géniculé passe au-dessus d'elle dans la capsule i
, croisant à angle presque droit la lamina tegmenli (LTE), lorsque ce
faisceau
vient s'épuiser dans cette masse ganglionnaire et
l pour s'insinuer sous le noyau lenticulaire du corps strié. MF. Le
faisceau
capsulaire (fig. 105), encore compact vers le bor
s lentiformis n'existe plus. Mais en même temps, on s'aperçoit que ce
faisceau
s'étale en largeur, de dedans en dehors, vers la
ur vers la substance grise de la couche optique. Sur la coupe 108, le
faisceau
rubro-thalamique (qui était encore visible sur la
(schéma 160). Il empochait en quelque sorte l'expansion verticale du
faisceau
capsulairc. Dorénavant celui-ci s'éta- Projecti
ceau capsulairc. Dorénavant celui-ci s'éta- Projection sagittale du
faisceau
capsulairc (MF). Ce faisceau est limité en lian
ui-ci s'éta- Projection sagittale du faisceau capsulairc (MF). Ce
faisceau
est limité en liant par le faisceau latéral des l
du faisceau capsulairc (MF). Ce faisceau est limité en liant par le
faisceau
latéral des libres de la calotte (faisceau îiibro
est limité en liant par le faisceau latéral des libres de la calotte (
faisceau
îiibro-tha-lamique (NL), au-dessous duquel il s'e
la partie la plus inférieure du thalamus. La portion supérieure de ce
faisceau
restera la plus compacte dans son trajet d'arrièr
dans son trajet d'arrière en ayant. On peut ainsi concevoir que le
faisceau
capsulairc (MF) est un ensemble de fibres venues
ec quelque précision de quelle partie de la couche optique descend le
faisceau
capsu-laire. Nous ne pourrions être très précis à
on que nous avons pris la liberté d'appeler cet ensemble de fibres le
faisceau
capsulairc (MF). Si le faisceau capsulairc vien
d'appeler cet ensemble de fibres le faisceau capsulairc (MF). Si le
faisceau
capsulairc vient au discus lentiformis de la régi
es stries qui, même à l'état frais, divisent en fascicules isolés les
faisceaux
du segment postérieur delà capsule. Le faisceau c
ascicules isolés les faisceaux du segment postérieur delà capsule. Le
faisceau
capsulairc traverse donc la capsule de dedans en
probablement jusqu'à l'écorce cérébrale. A sa partie inférieure le
faisceau
capsulairc affecte des rapports étroits avec la l
Th) en formant la racine antérieure de la couche optique (ThA), et le
faisceau
d'Arnold (AU). Le segment postérieur est consti
psule externe; NC, noyau caudé ; NCC, queue du noyau caudé; ES.
faisceau
sensitif interne. conlinuation des tibrcs les p
if interne. conlinuation des tibrcs les plus externes de ce dernier
faisceau
; les fibres internes de la lamina tegrnenti se te
ur des coupes plus antérieures, les fibres antérieures et internes du
faisceau
capsulairc (MF) se jeter dans la substance grise
tout ce qui précède, n'est donc pas constituée par un seul et unique
faisceau
, disposé en lamelle à la périphérie de la couche
on de laquelle participent successivement d'arrière en avant tous les
faisceaux
que nous avons vus émerger de la région de la cal
cule cérébelleux supérieur ne traversant pas le noyau rouge (Pcs); le
faisceau
rubro-thalamiquc (NL); YM. ventricule moyen; SG
udé; NLe, noyau lenticulaire; ThA, racine antérieure du thalamus; AR,
faisceau
d'Arnold ; NL, fibres latérales du noyau rouge de
aisceau d'Arnold ; NL, fibres latérales du noyau rouge de la calotte (
faisceau
rubro-thalamique) ; CEO, faisceau cérébello-thala
rales du noyau rouge de la calotte (faisceau rubro-thalamique) ; CEO,
faisceau
cérébello-thalamique ; MF, faisceau médullaire de
faisceau rubro-thalamique) ; CEO, faisceau cérébello-thalamique ; MF,
faisceau
médullaire de la calotte (appartenant à la zona i
partenant à la zona incerla, voy. ce mot); LTE, lamina tegmenti; CAO,
faisceau
tegmento-thalamique; Lmd, lamina lateralis. ou fi
ule interne de l'hémisphère droit, occupé, sur le côté gauche, par le
faisceau
d'Arnold (AU) et par la racine antérieure du thal
eau d'Arnold (AU) et par la racine antérieure du thalamus (ThA). le
faisceau
cérébello-thalamique (CEO); le faisceau tegmento-
ieure du thalamus (ThA). le faisceau cérébello-thalamique (CEO); le
faisceau
tegmento-thala-inique (CAO); la lamina tegmcnli (
sceau tegmento-thala-inique (CAO); la lamina tegmcnli (LTE); enfin le
faisceau
capsulairc (MF). Mais la lame médullaire externe
tale dans la région thalamique inférieure montrant la pénétration des
faisceaux
de la calotte dans la capsule interne et la couch
du genou delà capsule (Gci), elle est représentée par deux nouveaux
faisceaux
qui vont être étudiés un peu plus loin : le faisc
r deux nouveaux faisceaux qui vont être étudiés un peu plus loin : le
faisceau
d'Arnold (AU) et la racine antérieure du thalamus
pourra être envisagée comme un noyau presque absolument isolé par des
faisceaux
de substance blanche étalés en lames à sa surface
hme de substance grise sus-jacent au noyau rouge de la calotte. Les
faisceaux
que nous avons passés en revue jusqu'ici et qui c
de là, ils sont accolés aux fibres du pied du pédoncule. En avant du
faisceau
capsulaire (MF), se trouve le genou de la capsule
ticulaire (NL). Ces fibres sont précisément celles qui vont former le
faisceau
d'Arnold (AR) et la racine antérieure de la couch
absolument exacte la disposition (représentée sur le schéma 163) des
faisceaux
qui participent à la formation de la lame médul
la formation de la lame médullaire externe de la couche optique. Ces
faisceaux
, en effet, ne sont pas rangés dans un ordre si pa
ent pas avec la régularité presque mathématique que Imbrication des
faisceaux
du teginentuin (TEC), et du faisceau capsulaire (
hématique que Imbrication des faisceaux du teginentuin (TEC), et du
faisceau
capsulaire (MF), autour du thalamus (Th). où ils
). comporte une figure destinée à une démonstration. En réalité les
faisceaux
sont constitués par des lamelles imbriquées. Les
e thalamus; tous rayonnent en partie dans la capsule interne. Mais le
faisceau
capsulaire (MF) est celui qui se distingue le plu
ne antérieure de la couche optique, située immédiatement au-dessus du
faisceau
capsulaire (MF, fig. 108), est une masse converge
ajet, elles deviennent franchement antéro-postérieures, au contact du
faisceau
de Vicq-d'Azyr (FVA). Ce changement de direction
gement de coloration qu'on peut constater à la partie interne du môme
faisceau
sur les coupes 107 et 108. — Sur certaines coupes
res de la racine antérieure de la couche optique se continuer avec le
faisceau
tegmento-thalamiquc (CAO). La grande épaisseur
iquc (CAO). La grande épaisseur verticale de cette superposition de
faisceaux
lamellaires, auxquels on a donné le nom de racine
ue, ne permet pas de considérer un pareil ensemble de fibres comme un
faisceau
proprement dit. Il y aurait des divisions à établ
coupes un peu plus antérieures, est manifestement décomposée en deux
faisceaux
tout à fait distincts et parfaitement reconnaissa
isceaux tout à fait distincts et parfaitement reconnaissablcs : 1° un
faisceau
inférieur ou faisceau d'Arnold (pl. XXIX, fig. 10
stincts et parfaitement reconnaissablcs : 1° un faisceau inférieur ou
faisceau
d'Arnold (pl. XXIX, fig. 109, AR); 2° un faisceau
isceau inférieur ou faisceau d'Arnold (pl. XXIX, fig. 109, AR); 2° un
faisceau
supérieur, auquel on peut réserver la dénominat
ent accolée à la queue du noyau caudé situé au-dessous d'elle, est un
faisceau
bien compact, au milieu duquel on distingue des s
oupes précédentes sa teinte foncée (101, 102), cela tient à ce que ce
faisceau
n'est pas une lamelle ininterrompue. Elle est div
dernière coupe on notera l'apparition de l'extrémité supérieure de ce
faisceau
, à la face interne de la couche optique, en Sch
escendant de la voûte aboutissant au tubercule mamillaire (TM).— FVA,
faisceau
de Vicq-d'Azyr émergeant du tubercule mamillaire
les extrémités inférieure et supérieure de cette racine. dedans du
faisceau
de Yicq-d'Azyr (FVA). A sa coloration on devine q
ilier descendant du trigone aboutissant au tubercule mamillaire; FVA,
faisceau
de Vicq-d'Azyr remontant du tubercule mamillaire
ns cette dernière portion de son trajet, elle est située en dehors du
faisceau
descendant du fornix (DF), en dedans du faisceau
située en dehors du faisceau descendant du fornix (DF), en dedans du
faisceau
de Vicq-d'Azyr (FVA); finalement elle se recourbe
Ces dernières toutefois sont loin de constituer, dans la réalité, un
faisceau
aussi compact. thalamus, et y croise les fibres
i compact. thalamus, et y croise les fibres les plus antérieures du
faisceau
de Vicq-d'Azyr, en s'épuisant peu à peu dans la s
tendu que pour passer à la partie postérieure de l'espace perforé, le
faisceau
(Thl) décrit encore une courbe à convexité antéri
e cette disposition. CA. La commissure antérieure (fig. 107) est un
faisceau
cornmis-sural qui réunit les troisième et quatriè
thalamus, puis sous le noyau lenticulaire; jusque-là elles forment un
faisceau
parfaitement homogène et compact, tordu sur son a
ui les séparent du noyau amygdalien, pénètrent avec ces deux derniers
faisceaux
dans la paroi supérieure du ventricule sphénoïdal
g. 106). C'est seulement sur la figure 107 qu'on trouve de nouveau un
faisceau
compact (CA) appartenant à la commissure antérieu
eure. Il est situé entre la racine inférieure du thalamus (Thl) et le
faisceau
sensitif externe (FSe). Puis, sur la figure 108,
TRI. Le trigone cérébral (fig. 104). Voy. pl. XXIV et XXV. FSe. Le
faisceau
sensitif externe (fig. 107), réduit à une toute p
la substance grise du claustrum même. On peut reconnaître ici que ce
faisceau
se confond, par sa teinte foncée, avecl'avant-mur
03, 108), étendu sous le noyau lenticulaire, fait suite, en avant, au
faisceau
sensitif interne. Ce dernier, que nous avons vu p
sième circonvolution temporale. On pourrait donc aussi bien le nommer
faisceau
de la troisième circonvolution temporale. Il appa
es du noyau lenticulaire (PUT, CLP, GLM); elle contient les fibres du
faisceau
pyramidal (FP) et du faisceau géniculé (FG). Mais
CLP, GLM); elle contient les fibres du faisceau pyramidal (FP) et du
faisceau
géniculé (FG). Mais en outre on voit, à son extré
lenticulo-caudées (LCF), un grand,nombre de ces libres rejoignent le
faisceau
de l'anse (ANL), au niveau du [lied du pédoncule
se mélanger, dans la partie interne de la capsule, avec les fibres du
faisceau
géniculé (FGr) et de l'anse du noyau lenticulaire
là, elles gagnent le bord interne du pédoncule avec ces deux derniers
faisceaux
. Mais si telle est leur direction, facile à recon
d'entre elles, au lieu d'aborder le pédoncule directe nient avec le
faisceau
géniculé (FG) et le faisceau de l'anse (ANL), pre
der le pédoncule directe nient avec le faisceau géniculé (FG) et le
faisceau
de l'anse (ANL), prennent, avant d'y arriver, un
oration des unes et des autres est la même. Plus en avant, lorsque le
faisceau
des fibres pédonculaircs se portera presque direc
st donc absolument logique d'admettre que si le noyau caudé envoie au
faisceau
de l'anse des fibres qui ne traversent pas le n
ig. 106), renforcée à sa partie inférieure par les fibres externes du
faisceau
sensitif externe (FSe, fig. 107, 108), envoie un
envoie un prolongement au-dessous du putamen, en dedans de ce dernier
faisceau
(fîg. 107, 108). Le prolongement en question ar
lamelle de la capsule externe, continue avec celte capsule; c'est un
faisceau
simplement détaché de cette capsule; sur la coupe
des colorations foncées qui démontrent qu'elle fournit des fibres au
faisceau
arqué (ARC, fig. 104) et au faisceau parallèle (P
nt qu'elle fournit des fibres au faisceau arqué (ARC, fig. 104) et au
faisceau
parallèle (PAR, fig. 105). A part cela, elle repr
s le système d'association des circonvolutions de l'insula. PAR. Le
faisceau
parallèle (fig. 105) se confond, en apparence, av
R. Le faisceau parallèle (fig. 105) se confond, en apparence, avec le
faisceau
sensitif externe. Sur la coupe 108 on voit, en de
dehors de la capsule externe, à l'angle inférieur du putamcn, un gros
faisceau
antéro-postéricur, où semblent se mélanger les fi
ros faisceau antéro-postéricur, où semblent se mélanger les fibres du
faisceau
parallèle, du faisceau sensitif externe et même d
téricur, où semblent se mélanger les fibres du faisceau parallèle, du
faisceau
sensitif externe et même de la commissure antérie
aître que celte fusion de fibres ne s'étend pas plus loin; chacun des
faisceaux
garde son indépendance. ARC. Le faisceau arqué
pas plus loin; chacun des faisceaux garde son indépendance. ARC. Le
faisceau
arqué (fig. 105,104), nédansl'écorce de l'opercul
dentes; nous ferons seulement remarquer qu'il est situé au-dessous du
faisceau
pariéto-fronlal (FPF, fig. 105, 108), connue il l
i ne varie jamais. Sur certains points il semble se confondre avec le
faisceau
pariéto-frontal; mais c'est le fait du croisement
l; mais c'est le fait du croisement réciproque des fibres de ces deux
faisceaux
, attendu que le faisceau pariéto-frontal (FPF) es
roisement réciproque des fibres de ces deux faisceaux, attendu que le
faisceau
pariéto-frontal (FPF) est un faisceau d'associati
deux faisceaux, attendu que le faisceau pariéto-frontal (FPF) est un
faisceau
d'association entre le lobule pariétal inférieur
iétal inférieur et la première circonvolution frontale, tandis que le
faisceau
arqué est un faisceau de projection destiné en gr
première circonvolution frontale, tandis que le faisceau arqué est un
faisceau
de projection destiné en grande partie à la forma
a formation de la capsule interne et de la capsule externe. FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal (fig. 103) est accolé à la deuxiè
celte circonvolution se complique. 11 est immédiatement au-dessus du
faisceau
arqué (ARC). Cin. Le cingulum (fig. 105) garde
le môme volume. Ses rapports, en tout cas, ne varient pas. FCF. Le
faisceau
compact du fornix (fig. 105) nous offre ici une c
lles s'épuisent donc, à leur tour, dans la substance grise. FDF. Le
faisceau
diffus du fornix (fig. 105) présente les mêmes va
e couche se confondre insensiblement avec les parties sombres du môme
faisceau
sur des coupes toutes voisines (105, 108). CO.
du môme faisceau sur des coupes toutes voisines (105, 108). CO. Le
faisceau
du centre ovale (fig. 105, voy. pl. XXV). FLI.
CO. Le faisceau du centre ovale (fig. 105, voy. pl. XXV). FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur (fig. 104), sous-jacent au
dont nous avons antérieurement parlé à plusieurs reprises. FVA. Le
faisceau
de Vicq-d'Azyr, qu'on distingue dans tout son dév
stingue dans tout son développement vertical sur la coupe 108, est ce
faisceau
blanc, Disposition hélicoïdale du faisceau de V
sur la coupe 108, est ce faisceau blanc, Disposition hélicoïdale du
faisceau
de Vicq-d'Azyr (FVA). Il remonte vers le tuberc
e optique (NaC). On le voit apparaître sur la coupe 105 au-dessous du
faisceau
rubro-thalamique. Il n'est séparé de la cavité ve
ons dans un instant la raison de la coloration spéciale de ce dernier
faisceau
. En bas et en dedans, le faisceau de Vicq-d'Azy
coloration spéciale de ce dernier faisceau. En bas et en dedans, le
faisceau
de Vicq-d'Azyr semble naître par deux origines de
ventricule (fig. 108). Il existe bien, en réalité, deux origines à ce
faisceau
, mais la double origine n'est pas dans la substan
sur la coupe 109 de la planche suivante (pl. XXIX, fig. 109, TM). Le
faisceau
d'origine le plus interne fait suite au pilier an
ne le plus interne fait suite au pilier antérieur du trigone (DF). Le
faisceau
d'origine externe naît de la substance grise dans
naire qu'on appelle noyau postéro-externe du tubercule mamillaire. Ce
faisceau
externe, comme on le verra à l'occasion de la cou
nt la paroi inférieure est formée par letapetum (TAP, iîg. 114) et le
faisceau
longitudinal inférieur (FLI); sa paroi supérieure
ndépendantes. Nous en aurons une preuve plus évidente en étudiant les
faisceaux
blancs de cette région (voy. BSO, pl. XXIX). Su
s dit à plusieurs reprises, des fibres transversales du tapetum et du
faisceau
longitudinal inférieur. Dans l'étendue du noyau
LA, fig. 110). C'est dans l'intimité même du globus accessoire que le
faisceau
géniculé (FG, fig. 113), venu de la capsule inter
aC. Le noyau antérieur du thalamus (fig. 109, 110, 112,113) reçoit le
faisceau
de Vicq-d'Azyr (FVA, fig. 109) par sa face inféri
um zonale (ZS, fig. 110) dont les fibres se confondent avec celles du
faisceau
de Yicq-d'Azyr, pour lui constituer une sorte de
ame médullaire externe (LML, fig. 111); en dedans il est borné par le
faisceau
de Vicq-d'Azyr, qui forme, ainsi que nous l'avons
9), divisé au niveau de son extrémité antérieure, est remplacé par le
faisceau
capsulaire (MF) sur les cinq dernières coupes de
utit au lunercule mamillaire homonyme, et que de ce dernier part un
faisceau
compact qui se jette dans le ganglion antérieur d
8 vînt proéminer à la surface de la substance grise (schéma 170). Le
faisceau
remontant (FVA) est cependant loin de représenter
; 8, fibres du pilier formant la capsule blanche du tubercule; 9,
faisceau
de Vicq-d'Azyr, sorti du tubercule antérieur (4)
9, faisceau de Vicq-d'Azyr, sorti du tubercule antérieur (4) ; 10,
faisceau
croisé ou racine croisée du pilier du trigone ;
10, faisceau croisé ou racine croisée du pilier du trigone ; 11,
faisceau
du tubercule antérieur du thalamus se terminant d
thalamus se terminant dans la région antérieure de la calotte; — 12,
faisceau
du noyau externe se continuant avec la couche de
rrêter, ni au ganglion interne ni au ganglion externe. Enfin un autre
faisceau
(10) coupé transversalement sur le schéma 171, s'
lement sur le schéma 171, s'entre-croise sur la ligne médiane avec un
faisceau
homonyme du côté opposé (racine croisée du pilier
entes se répartiraient de la façon suivante : La plus grande masse du
faisceau
de Vicq-d'Azyr (9) sortirait du noyau antérieur e
irait du noyau antérieur et interne. Du même noyau partirait un petit
faisceau
dirigé d'avant en arrière (5) qui se perdrait dan
ait dans la région la plus antérieure et inférieure de la calotte. Un
faisceau
plus volumineux (12) et situé plus haut, émané du
t, parallèlement au précédent, une direction descendante au milieu du
faisceau
moyen de la calotte, qu'il accompagnerait jusque
e Reil. Enfin, du ganglion antérieur et interne proviendrait un petit
faisceau
défibres (15) dirigées en avant, en bas et en deh
ait dans la substance grise de l'espace perforé antérieur. Ce dernier
faisceau
pourrait s'appeler pédoncule antérieur du tubercu
corps genouillé externe, à l'extrémité de la bandelette optique; FG,
faisceau
géniculé formant le bord le plus interne du pied
départ, il rencontre la commissure antérieure qui, sous la forme d'un
faisceau
compact, suit la face inférieure du putamen, d'av
112, 113) se rapproche progressivement de la ligne médiane. FG. Le
faisceau
géniculé (fig. 111) est tout ce qui reste du pied
au géniculé (fig. 111) est tout ce qui reste du pied du pédoncule. Le
faisceau
de Turck-Meynert, en effet, a disparu dans le lob
u de Turck-Meynert, en effet, a disparu dans le lobe occipital, et le
faisceau
pyramidal qu'on distinguait encore sur la coupe 1
es autres éléments de ce gros tronçon fibreux est inextricable). — Le
faisceau
géniculé se comporte d'ailleurs, à son entrée dan
n entrée dans la capsule interne, comme nous avons vu se comporter le
faisceau
pyramidal un peu plus en arrière (voy. pl. XXVIÍÍ
e contourner le globus medialis. — D'autre part, nous avons vu que le
faisceau
géniculé se confond en partie, dans la région int
nticulaire (ANL). Ce qui les différenciait, c'était que les fibres du
faisceau
géniculé étaient antéro-postérieures et foncées,
t obliques ou transversales et claires. Ici l'isolement de chacun des
faisceaux
commence à se manifester d'une manière évidente (
sceaux commence à se manifester d'une manière évidente (fig. 113). Le
faisceau
géniculé aborde le noyau lenticulaire et la capsu
u noyau lenticulaire remonte en dedans et d'arrière en avant, sous le
faisceau
capsulaire (MF, fig. 113, 114). ANL. L'anse du
qué un peu plus haut le trajet et l'origine (Tmp, fig. 113). MF. Le
faisceau
capsulaire (fig. 109), dirigé d'arrière en avant
s en avant encore (fig. 113) elles se confondent en apparence avec le
faisceau
d'Arnold (AR), venu du segment antérieur de la ca
e la capsule interne, mais sans toutefois se mélanger avec ce dernier
faisceau
. On voit en effet celui-ci se séparer bientôt du
ce dernier faisceau. On voit en effet celui-ci se séparer bientôt du
faisceau
capsulaire, en formant avec lui (fig. 114) un a
mpose d'un mélange de fibres à peu près inextricables : les fibres du
faisceau
capsulaire, celles du faisceau d'Arnold, celles d
peu près inextricables : les fibres du faisceau capsulaire, celles du
faisceau
d'Arnold, celles de la racine antérieure de la co
on de la capsule qui est située en avant du genou, région où tous les
faisceaux
que nous venons d'énumérer s'entre-croisent; la l
que nous venons d'énumérer s'entre-croisent; la lamina tegmenti et le
faisceau
capsulaire se dirigent en haut et en dehors; le f
gmenti et le faisceau capsulaire se dirigent en haut et en dehors; le
faisceau
d'Arnold et la racine antérieure de la couche opt
a couche optique dirigée d'avant en arrière, frêle la face externe du
faisceau
de Vicq-d'Azyr (FVA, NaC, tubercule ou noyau an
r du thalamus; NeC, tubercule externe; NiC, tubercule interne; FVA,
faisceau
de Vicq-d'Azyr, venu du tubercule mamillaire (TM)
ieure du thalamus, venue de l'écorce frontale; elle se divise en deux
faisceaux
: un externe (ThA') qui se perd dans le noyau ext
(ThI). fig. 109). Elle occupe une bonne partie de la hauteur de ce
faisceau
dans le noyau externe du thalamus (NeC, fig. 110)
le noyau externe du thalamus (NeC, fig. 110). Plus en avant, quand le
faisceau
de Vicq-d'Azyr est épuisé, ses fibres (fig. 114)
mais elles n'arrivent pas jusqu'à la surface ventrieulaire. AR. Le
faisceau
d'Arnold consiste d'abord, ainsi que nous l'avons
les coupes sont antérieures, plus s'isolent l'un de l'autre ces deux
faisceaux
(fîg. 112, 115). Sur la coupe 115 le faisceau d'A
un de l'autre ces deux faisceaux (fîg. 112, 115). Sur la coupe 115 le
faisceau
d'Arnold forme môme une masse fibreuse très remar
(112), où elles se confondent avec les fibres les plus antérieures du
faisceau
de Vicq-d'Azyr. Ses fibres antérieures passent de
du faisceau de Vicq-d'Azyr. Ses fibres antérieures passent devant le
faisceau
de Vicq-d'Azyr et vont se jeter dans la substance
ventricule au-dessus du tubercule (fîg. 114). L'origine corticale du
faisceau
d'Arnold n'est guère douteuse. On voit sur les co
e. On voit sur les coupes horizontales (pl. XXXVIII, fîg. 1 et 2), le
faisceau
d'Arnold pénétrer dans la capsule interne, où il
relation avec Pecoree. On peut môme préciser davantage et dire que le
faisceau
d'Arnold aboutit très probablement à la substance
ntales, plus spécialement de la première et de la deuxième. EVA. Le
faisceau
de Vicq-d'Azyr (fig. 109) remonte directement de
ond avec le stratum zonalc (ZS) venu du sillon opto-strié. En bas, le
faisceau
de Vicq-d'Azyr émerge du tubercule mamillaire (TM
n haut, il est média-tement en contact avec l'extrémité inférieure du
faisceau
capsulaire (MF) ; il n'en est séparé que par les
F) ; il n'en est séparé que par les dernières fibres de projection du
faisceau
d'Arnold (AR, fig. 109, 110). Il semble même que
ction du faisceau d'Arnold (AR, fig. 109, 110). Il semble même que le
faisceau
d'Arnold le croise, en se plaçant au-devant de lu
ance grise du troisième ventricule (AR, fig. 113, 114). En dedans, le
faisceau
de Yicq d'Azyr est croisé par les fibres de la ra
suite à la capsule blanche de ce noyau. Sur la fig. 115 un tout petit
faisceau
ramifié (FVA) représente l'expansion la plus anté
t faisceau ramifié (FVA) représente l'expansion la plus antérieure du
faisceau
de Vicq d'Azyr dans le tubercule antérieur. De
ule antérieur. De tout ce qui précède il résulte, en résumé, que le
faisceau
de Vicq d'Azyr se termine en grande partie dans l
rusquement en bas à une lamelle blanche qui est l'expansion ultime du
faisceau
longitudinal inférieur (FLI, fig. 112, 113). Au-d
nférieure du thalamus (fig. 109, 110), accolée à la partie interne du
faisceau
de Vicq d'Azyr, se porte en arrière dans la profo
our aller se perdre en partie dans la capsule externe (CE). FSe. Le
faisceau
sensitif externe (fig. 114), de plus en plus minc
e. Au niveau de sa pénétration dans le putamen, il représente donc un
faisceau
de fibres convergentes, auxquelles on a pu donner
RIL. La couronne rayonnante de la base du putamen (fig. 113) est le
faisceau
le plus compact des irradiations lenticulaires. E
114. La lame blanche qui apparaît et disparaît ainsi pour diviser le
faisceau
sensitif externe n'est pas une véritable cloison
externe n'est pas une véritable cloison continue; c'est une série de
faisceaux
blancs, venus de la capsule, mais distants les un
nts les uns des autres, et laissant passer dans leurs intervalles les
faisceaux
pareillement dissociés du faisceau sensitif exter
passer dans leurs intervalles les faisceaux pareillement dissociés du
faisceau
sensitif externe (FSe, schéma 178). Sur les cou
Se, schéma 178). Sur les coupes 113, 114 on voit apparaître un gros
faisceau
compact (FU) accolé à la face externe de la capsu
ule et confondu à son extrémité supérieure avec le claustrum (CL). Ce
faisceau
— fasciculus uncinatus — semble faire suite au fa
trum (CL). Ce faisceau — fasciculus uncinatus — semble faire suite au
faisceau
sensitif externe. Il en est cependant bien distin
l est toujours au-dessous et en dehors de la capsule, tandis que le
faisceau
sensitif externe se termine dans la capsule elle-
psule elle-même. Arrivées dans la capsule, les dernières fibres de ce
faisceau
, qui sont les plus externes, se terminent, selo
externe (fig. 109) est formée par les fibres les plus inférieures du
faisceau
arqué (ARC, fig. 112); par les fibres les plus su
aisceau arqué (ARC, fig. 112); par les fibres les plus supérieures du
faisceau
parallèle ; par la couronne rayonnante du putamen
du lobe frontal. FU. Le fasciculus uncinatus (fig. 115, 114) est un
faisceau
compact qui apparaît sur les coupes de cette plan
apparaît sur les coupes de cette planche, d'abord Vue de profil du
faisceau
sensitif externe (FSe) arrivant à la partie posté
ière de Gratiolet (CÀ), se place au contact des fibres inférieures du
faisceau
sensitif externe (FSe). entremêlé aux fibres de
ent, sectionnées transversalement, les fibres les plus antérieures du
faisceau
diffus du fornix (FDF). connexion avec les noya
l'on voit par transparence le trajet du fasciculus uncinatus (FU). Ce
faisceau
nait de l'écorce du pôle sphénoïdal (PS) en avant
ure et une convexité inférieure. Le fasciculus unciriatus est donc un
faisceau
à fibres convergentes ; ses fibres proviennent de
du lobule de l'hippocampe. Le manche de l'éventail placé en dehors du
faisceau
sensitif externe, de la commissure antérieure, de
f (schéma 180). Ce qu'il faut ne pas perdre de vue dans l'étude de ce
faisceau
, c'est sa situation par rapport à la capsule exte
postéro-antérieur au-dessous de la circonvolution limbique. ARC. Le
faisceau
arqué (fig. 112) devient diffus vers le centre ov
es sont, ici encore, séparées de cette dernière circonvolution par le
faisceau
pariéto-frontal avec lequel elles paraissent se f
donne issue à un grand nombre de fibres qui semblent se jeter dans le
faisceau
d'Arnold (AR, fig. 118), mais qui, selon toute vr
un intervalle horizontal qui est l'espace perforé antérieur. FG. Le
faisceau
géniculé, dont il reste à peine quelques fibres s
il s'agit. ANL. L'anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 115) est un
faisceau
de fibres transversales, situé immédiatement au-d
alis (GLM). La direction transversale explique la teinte claire de ce
faisceau
, au moins dans toute la partie qui est sous-jacen
s deviennent foncées ; elles passent ainsi en dessous et en dehors du
faisceau
géniculé (FG). Puis, quand celui-ci est dépassé e
abord en haut, puis en arrière; elles franchissent donc de nouveau le
faisceau
géniculé, placées et au-dessus et en dedans de ce
les s'inclinent en bas, en arrière et en dedans, de façon à former le
faisceau
le plus interne du pédoncule cérébral, limitées e
ceau le plus interne du pédoncule cérébral, limitées en dehors par le
faisceau
géniculé. Sur cette planche, les coupes passent
e, les coupes passent en avant de l'expansion la plus antérieure du
faisceau
capsulairc et de la lame médullaire latérale delà
ire latérale delà couche optique (voy. MF et LML, pl. XXIX). Ces deux
faisceaux
ne figureront donc plus sur les planches suivante
, pont de Varole ; RR; ruban de Reil et sa laine latérale (Lmd) ; FM,
faisceau
de Tùrck-Meynert; FP, faisceau pyramidal; Lra, la
Reil et sa laine latérale (Lmd) ; FM, faisceau de Tùrck-Meynert; FP,
faisceau
pyramidal; Lra, lamina medialis de la couche de R
P, région de l'espace perforé postérieur où commence l'irradiation du
faisceau
longitudinal postérieur; FG, faisceau géniculé; A
ur où commence l'irradiation du faisceau longitudinal postérieur; FG,
faisceau
géniculé; ANL, anse du noyau lenticulaire. sait
la couche optique (fig. 115 et suiv.) se présente sous l'aspect d'un
faisceau
très éparpillé au-dessous du tubercule antérieur
térieur du thalamus (NaC). Ce sont les fibres les plus internes de ce
faisceau
qui se rendent dans cette partie de la couche o
la région sus-jacente au discus lentiformis, où elles accompagnent le
faisceau
d'Arnold. Mais plus en avant Schéma de la racin
rieur). ThA, racine antérieure de la couche optique formant un seul
faisceau
dans le segment antérieur de la capsule interne e
ans le segment antérieur de la capsule interne et se divisant en deux
faisceaux
, un antérieur et un postérieur dans la substance
ur et un postérieur dans la substance grise de la couche optique. AR,
faisceau
d'Arnold accompagnant les fibres externes et post
faisceau d'Arnold accompagnant les fibres externes et postérieures du
faisceau
précédent jusque dans la partie postérieure et in
halamus. (fig. 118, 119, 120), la racine antérieure se compose d'un
faisceau
unique, qui remplit la presque totalité du segmen
alité du segment antérieur de la capsule interne, avec le concours du
faisceau
d'Arnold. On voit sur toutes les coupes de cette
coupes de cette planche que, à partir de la région du thalamus où le
faisceau
de Vicq d'Azyr n'existe plus, la racine antérieur
urs fibres au niveau du tubercule antérieur (NaC, fig. 115). AR. Le
faisceau
d'Arnold, encore très compact sur la coupe 115, o
on n'est cependant pas encore complète. Nous avons vu en effet que ce
faisceau
, à son extrémité postéro-inférieure, est dirigé o
fig. 116, 117 et suiv.). La masse des fibres foncées de ce dernier
faisceau
s'en augmente d'autant, au fur et à mesure que le
rtico-transversal sur les coupes 119 et 120 sont les plus externes du
faisceau
d'Arnold. On voit ainsi que le faisceau d'Arnol
0 sont les plus externes du faisceau d'Arnold. On voit ainsi que le
faisceau
d'Arnold (AR) et la racine antérieure de la couch
s lenticulo-caudées avec la racine antérieure du thalamus (ThA) et le
faisceau
d'Arnold (AR) un notable élargissement du segment
la coupe 118 avec les coupes 119 et 120, on constate aisément que ces
faisceaux
sont tout à fait indépendants l'un de l'autre, et
descendant; il aboutit au tubercule ma-millaire (TM), d'où émerge le
faisceau
de Vicq d'Azyr (FVA) ; CA, commissure blanche a
anche antérieure ; ThI. racine inférieure du thalamus dont les deux
faisceaux
constitutifs s'écartent pour livrer passage au pi
en dehors de la bandelette optique (BO). Ici encore la coloration du
faisceau
est un peu foncée, attendu que la direction des f
ue ses fibres se reportent alors, de nouveau, en arrière; et comme le
faisceau
de Vicq d'Azyr n'existe Profil de la racine inf
pilier descendant de la voûte; TM, le tubercule mamillaire avec son
faisceau
émergent (FVA, faisceau de Vicq d'Azyr) allant ab
a voûte; TM, le tubercule mamillaire avec son faisceau émergent (FVA,
faisceau
de Vicq d'Azyr) allant aboutir au tubercule antér
avoir traversé l'espace perforé antérieur, elles se divisent en deux
faisceaux
, ou pour mieux dire en deux lames distinctes : un
remarquera sur les coupes 119, 120, que la section elliptique de ce
faisceau
, juste au-dessous de la cloison externe du thalam
orps calleux sous le corps strié. Sur la même coupe (119), on voit un
faisceau
arqué, antéro-poslérieur, par conséquent foncé, à
us uncinatus s'entre-croisent avec l'extrémité antéro-inférieure du
faisceau
diffus du fornix (FDF, fig. 117) qui s'étale dans
me médullaire externe du thalamus (fig. 119), mêlée en partie avec le
faisceau
d'Arnold (Ail) dont on ne peut la distinguer que
en haut, entre le noyau caudé et la couche optique. Elle forme ici le
faisceau
le plus interne du segment postérieur de la capsu
occupe exactement l'angle rentrant du genou de la capsule. ARC. Le
faisceau
arqué (fig. 118) ne diffère pas ici de ce que nou
s l'avons toujours vu jusqu'à présent (voy. pl. XXIX, ARC). FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal, isolé d'abord sous la deuxième c
la deuxième circonvolution frontale (fig. 115), puis confondu avec le
faisceau
arqué (fig. 117), puis, de nouveau isolé (fig. 11
7), puis, de nouveau isolé (fig. 118), et finalement confondu avec le
faisceau
arqué (fig. 120), prend ses insertions postérieur
on frontale et ses insertions antérieures dans la première. FDF. Le
faisceau
diffus du fornix (fig. 116) se mêle au faisceau p
a première. FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 116) se mêle au
faisceau
pariéto-frontal dans la première circonvolution f
u pariéto-frontal dans la première circonvolution frontale (F1) et au
faisceau
compact du fornix (FCF, fig. 116) dans la circonv
dans la circonvolution limbique. Nous avons dit que ces deux derniers
faisceaux
appar- tenaient au même système d'association ;
oints seulement, sur la coupe 116 par exemple, on ne sait exacte Ce
faisceau
circonscrit le faisceau compact (FCF) ; celui-ci
coupe 116 par exemple, on ne sait exacte Ce faisceau circonscrit le
faisceau
compact (FCF) ; celui-ci à son tour circonscrit l
ci à son tour circonscrit le cin-gulum [Gin) ; Profil d'ensemble du
faisceau
diffus du fornix (FDF). ment si les fibres anté
ns la circonvolution limbique au-dessus du cingulum, appartiennent au
faisceau
compact ou au faisceau diffus du fornix (schéma 1
mbique au-dessus du cingulum, appartiennent au faisceau compact ou au
faisceau
diffus du fornix (schéma 187). Nous avons déjà
u faisceau diffus du fornix (schéma 187). Nous avons déjà décrit le
faisceau
diffus du fornix comme un grand faisceau arqué, à
Nous avons déjà décrit le faisceau diffus du fornix comme un grand
faisceau
arqué, à concavité antérieure, dont l'extrémité s
fig. 16, et pl. XVI). Nous savons qu'il se confond en dedans avec le
faisceau
longitudinal inférieur (FLI, fig. 115). FLI. Le
ns avec le faisceau longitudinal inférieur (FLI, fig. 115). FLI. Le
faisceau
longitudinal inférieur (fig. 115) se reconnaît ai
son bord supérieur. Nous disons délimitation absolue, attendu que le
faisceau
longitudinal est arrêté en haut par le diver-ticu
, fig. 110, Dsu). Ce diverticulum va jusqu'à l'écorce ; les fibres du
faisceau
longitudinal inférieur vont aussi jusqu'à l'écorc
coupes passent au-devant de l'extrémité antérieure du diverticule, le
faisceau
longitudinal continue, plus loin encore, toujours
l'autre à l'extrémité la plus antérieure du cul-de-sac sphénoïdal. Le
faisceau
longitudinal inférieur est donc borné en haut par
fig. 115, 116) étalées sous le noyau amygdalien (NA). En tout cas le
faisceau
longitudinal inférieur n'a aucun rapport avec le
ètement dans l'écorce de la circonvolution de l'hippocampe. FCF. Le
faisceau
compact du fornix (fig. 116). Cin. Le cingulum (f
ite strie blanche qu'on y aperçoit sur la coupe 126 (Tae) n'est qu'un
faisceau
aberrant du taenia. Mais en réalité, la continuit
re même qu'il en est à peu près complètement séparé, en haut par le
faisceau
arqué, en bas par le fasciculus uncinatus et la c
comme le noyau caudé et le putamen, le claustrum reçoit des fibres du
faisceau
arqué; et comme le putamen, il reçoit des fibres
ibres du faisceau arqué; et comme le putamen, il reçoit des fibres du
faisceau
sensitif externe. LAT. La lame terminale (fig.
est là une disposition faite pour rendre très difficile l'étude de ce
faisceau
Coupe verticale montrant l'anse du noyau lentic
L) serrant de près le globus medialis croisé à sa face interne par le
faisceau
géniculé (FG). dans sa partie la plus antérieur
son coude. En effet, l'anse proprement dite, ou portion recourbée du
faisceau
, serre de si près le noyau lenticulaire au niveau
la commissure antérieure dans toute l'étendue du trajet de ce dernier
faisceau
, qui est en rapport avec la face inférieure du no
s pénètrent directement dans sa substance (ou en émergent), parmi les
faisceaux
de la capsule interne. De là résulte que l'anse d
on de l'anse du noyau caudé, mais sans pouvoir la montrer à l'état de
faisceau
ou de lame isolée. ThA. La racine antérieure de
nt elle occupe maintenant toute l'épaisseur. Elle remonte de môme, en
faisceau
compact, vers le taenia (Tae, fig. 125), qui ne f
pace perforé à la commissure, deux tractus blancs (OLC) qui jsont des
faisceaux
de fibres issues de la racine moyenne du nerf olf
fibres sur les coupes horizontales en série. Tous ont remarqué que ce
faisceau
, remarquablement compact dans la gouttière de Gra
t donc les relations d'étroite contiguïté qui existent entre tous ces
faisceaux
. Reste à savoir s'il faut les considérer comme de
idum. Elle fournit donc, comme le noyau caudé lui-môme, des fibres au
faisceau
lenticulo-caudé que nous avons déjà étudié; or no
Le fasciculus uncinatus, à partir de là, se divise toujours en deux
faisceaux
secondaires : l'un, externe, s'avance en haut et
olfactive (OLE, fig. 124). Mais le plus grand nombre des fibres de ce
faisceau
continuent leur course en dedans et en avant, et
de la planche suivante. Cin. Le cingulum (fig. 122, 124). FCF. Le
faisceau
compact du fornix (fig. 124) présente une disposi
téro-postérieures. 11 est difficile de dire si elles appartiennent au
faisceau
compact ou au faisceau diffus (FDF). FDF. Le fa
st difficile de dire si elles appartiennent au faisceau compact ou au
faisceau
diffus (FDF). FDF. Le faisceau diffus du fornix
artiennent au faisceau compact ou au faisceau diffus (FDF). FDF. Le
faisceau
diffus du fornix(fig. 1 24) se rapproche du corps
rieure du corps calleux qu'il accompagne. Dans le lobe sphénoïdal, ce
faisceau
(FDF, fig. 123) s'épanouit en tous sens au-dessou
au-dessous de l'isthme'gris fronto-sphénoïdal (schéma 124). CO. Le
faisceau
du centre ovale (fig. 124) présente ici son maxim
re. OLM. La racine olfactive moyenne (fig. 124), représentée par un
faisceau
bien compact et dirigé d'avant en arrière, traver
er sur les coupes vertico-transversales de cette région le trajet des
faisceaux
profonds. La face inférieure du lobe frontal pa
ors de la lame verticale proprement dite, immédiatement en arrière du
faisceau
compact du fornix (FCF, fig. 128), réfléchi sous
blanche à la partie inférieure du putamen. Cette crête se compose de
faisceaux
délicats, dont la direction est la même que celle
fibres de l'anse caudée, il est difficile de faire la différence des
faisceaux
de l'anse et des faisceaux de la racine. ThA. L
l est difficile de faire la différence des faisceaux de l'anse et des
faisceaux
de la racine. ThA. La racine antérieure du thal
de la racine antérieure du thalamus sont, parmi les conducteurs de ce
faisceau
, ceux qui se portent le plus loin en avant. Il es
la bandelette sous-optique, pour se joindre aux fibres rayonnantes du
faisceau
sensitif. ce. Le corps calleux (fig. 127) est d
lement et se.résout en une teinte claire qui se confond avec celle du
faisceau
du centre ovale (CO). CO. La masse des fibres d
ndre la capsule externe et ne constitue plus, à proprement parler, un
faisceau
. Elles occupent toujours le plan vertico-transver
transversal, et sont limitées en dehors par les fibres inférieures du
faisceau
arqué (ARC) qui vont, d'avant en arrière, se perd
en arrière, se perdre dans la lame verticale de l'avant-mur (CL). Le
faisceau
du centre ovale se môle par conséquent à la capsu
e profonde des circonvolutions orbitaires. La portion supérieure du
faisceau
du centre ovale (CO, fig. 132), sortie du corps c
la première circonvolution frontale (F'), où il se termine. ARC. Le
faisceau
arqué (fig. 127, 128, 130, 132) garde, jusque dan
u'il diminue peu à peu dans tous les sens. Mais ses rapports avec les
faisceaux
voisins ne se modifient pas, non plus que l'étroi
. 129). Cin. Le cingulum (fig. 127) se confond, par places, avec le
faisceau
compact du fornix (FCF) ; par places il s'en isol
-qui enveloppe le sillon olfactif interne {Soi, fig. 130).. FCF. Le
faisceau
compact du fornix (FCF, fig. 127), d'abord suf
a branche horizontale. Nous savons qu'il ne faut fisamment isolé du
faisceau
diffus (FDF), arrive bientôt à ne plus faire qu'u
it sous le corps calleux avec le cingulum, il n'en est pas de môme du
faisceau
diffus qui se termine, s'épuise totalement dans l
s'épuise totalement dans l'étage supérieur du lobe frontal. FDF. Le
faisceau
diffus du fornix (fig. 127) reste limité à la rég
ontal, nous le verrons se confondre ou plutôt s'entre-croiser avec le
faisceau
pariéto-frontal (voy. pl. XXX Coupe vertico - t
ur sa couronne rayonnante (RNC, 155), se fond insensiblement avec les
faisceaux
de cette couronne qui en émanent. Substance bla
rigé d'avant en arrière et de dedans en dehors, ses fibres forment un
faisceau
légèrement teinté sur les coupes vertico-transver
ement teinté sur les coupes vertico-transversales (CE, fig. 435) : Ce
faisceau
est déjà la capsule externe. Il est situé immédia
fibres se rapprochent de plus en plus de la direction sagittale : le
faisceau
qui va former la capsule externe est donc plus fo
les plus antérieures du corps calleux. Elle constitue donc d'abord un
faisceau
diflus, dirigé obliquement en bas, en arrière et
oyau caudé (lîNG). prennent la forme, l'aspect et la couleur que le
faisceau
de la couronne rayonnante du noyau caudé nous a p
rayonnante du noyau caudé nous a présentée jusqu'à présent. CO. Le
faisceau
du centre ovale (fig. 157), issu du corps calleux
frontal (fig. 158) la masse des fibres antéro-postérieures. ARC. Le
faisceau
arqué (fig. 155, 156), confondu en haut avec le f
s. ARC. Le faisceau arqué (fig. 155, 156), confondu en haut avec le
faisceau
pariéto-frontal, ne dépasse pas la deuxième circo
en avant, comme l'indique le schéma 202. Une fois recourbées, elles
faisceau
des deuxième et troisième circonvolutions frontal
olutions frontales. Il n'a rien de commun avec la première. FPF. Le
faisceau
pariéto-frontal (fig. 135, 136), toujours sous-ja
er sillon frontal (/"J, s'unit, dans son trajet antéro-postérieur, au
faisceau
arqué et au faisceau diffus du fornix (FDF). 11 a
J, s'unit, dans son trajet antéro-postérieur, au faisceau arqué et au
faisceau
diffus du fornix (FDF). 11 appartient donc spécia
ec la circonvolution limbique (C, fig. 135, 136, 137, 158). FDF. Le
faisceau
diffus du fornix (fig. 156, 157) continue son tra
de cette circonvolution qui avoisine la scissure limbique. FCF. Le
faisceau
compact du fornix (fig. 157), confondu avec le fa
ue. FCF. Le faisceau compact du fornix (fig. 157), confondu avec le
faisceau
diflus (FDF) au-dessous de la scissure limbique,
7) devient tangenle à la convexité du bourrelet. 11 en est de même du
faisceau
compact du fornix (FCF, 137) lorsque ce faisceau,
11 en est de même du faisceau compact du fornix (FCF, 137) lorsque ce
faisceau
, ayant franchi le bourrelet au-dessus et en avant
la région du carrefour où l'on voit le cinguhun (Cin) ac-conapagné du
faisceau
compact du fornix (FCF), contourner le genou du c
verticales : en d'autres termes, cela signifie que le cingulum et le
faisceau
compact du fornix n'envoient que très peu de fibr
c'est seulement par comparaison avec l'épanouissement postérieur des
faisceaux
du splenium qu'on a donné ce nom aux fibres du ge
x n'entraînent pas des différences de rapports entre ceux-ci et leurs
faisceaux
; enfin les variations de la courbure de l'hémisp
rantielle, au voisinage de la ligne médiane. 11 est enveloppé par les
faisceaux
de la calotte qui sont : en dedans, le pédoncule
cule cérébelleux supérieur (Pcs), le fasciculus retroflexus (FRF), le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP) ; en dehors, la lam
ngitudinal postérieur (FLP) ; en dehors, la lamina tegmenti (LTE), le
faisceau
cérébello-thalamique (CEO) et le faisceau médulla
a lamina tegmenti (LTE), le faisceau cérébello-thalamique (CEO) et le
faisceau
médullaire de la capsule (MF). DL. Le disons le
ns lentiformis apparaît (fig. 2) entre la lamina tegmenti (LTE) et le
faisceau
médullaire de la capsule (MF). QA. Le tubercule
rs de la ligne médiane, en avant du noyau rouge (NR), reçoit un petit
faisceau
foncé, oblique en avant et en dehors qui l'aborde
e tubercule mamillaire occupe la région interpédonculaire. On voit le
faisceau
de Yicq-d'Azyr (FVA) émerger de sa convexité post
e plus complètement le noyau caudé (NC) et le putamen (PUT). C'est le
faisceau
d'Arnold (AR) qui établit cette démarcation. En
c la substance grise du septum lucidum GSL (fig. 2 et 3) au devant du
faisceau
de Vicq d'Azyr (FVII), et, en arrière, avec la su
. 2 et 3) se confond avec la substance grise de la base, au devant du
faisceau
de Yicq d'Azyr (FVA). NCC. La queue du noyau ca
pied du pédoncule proprement dit ; elles contiennent les éléments du
faisceau
de l'anse, du faisceau géniculé, du faisceau pyra
rement dit ; elles contiennent les éléments du faisceau de l'anse, du
faisceau
géniculé, du faisceau pyramidal et du faisceau de
tiennent les éléments du faisceau de l'anse, du faisceau géniculé, du
faisceau
pyramidal et du faisceau de Tiirck-Meynert. Elles
faisceau de l'anse, du faisceau géniculé, du faisceau pyramidal et du
faisceau
de Tiirck-Meynert. Elles se continuent en haut et
se réunissent avec celles qui ont traversé ce ganglion et forment le
faisceau
cérébello-thalamique (CEO). FRF. Le fasciculus
hors par le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) et en dedans par le
faisceau
longitudinal postérieur (FLP). FLP. Le faisceau
et en dedans par le faisceau longitudinal postérieur (FLP). FLP. Le
faisceau
longitudinal postérieur sous-jacent à l'aqueduc d
ient de la commissure postérieure; il est constitué par les fibres du
faisceau
de la commissure, qui, plus loin, en avant et en
région inférieure du thalamus. 11 est en rapport, en dedans, avec le
faisceau
propre de la calotte (TEG). TEG. Le faisceau pr
rt, en dedans, avec le faisceau propre de la calotte (TEG). TEG. Le
faisceau
propre de la calotte (fig. 2 et 3), en dehors de
noyau rouge (NR). Elle se porte vers le discus lentiformis. MF. Le
faisceau
médullaire de la capsule (fig. 2 et 3), au-dessus
du pied du pédoncule (PP, fig. 5). Elles passent alors au-dessous du
faisceau
médullaire de la capsule (MF, fig. 3), pour about
eur. Elle est au-dessous du noyau de l'anse (Gx4P), et consiste en un
faisceau
aplati, oblique en avant et en dedans, placé en d
ue en avant et en dedans, placé en dehors de l'anse lenticulaire ; ce
faisceau
arrive au voisinage du pilier descendant de la vo
y. pl. XXX, fig. 115), du moins sur les coupes horizontales. AR. Le
faisceau
d'Arnold est constitué (fig. 1 et 2) par les fibr
passant au-dessus de la racine inférieure de ce noyau (Thl). FS. Le
faisceau
sensitif parcourt d'avant en arrière toute la rég
omposé de deux bandes parallèles (fig. 2), représentant en somme deux
faisceaux
distincts : le faisceau sensitif externe (FSe) et
allèles (fig. 2), représentant en somme deux faisceaux distincts : le
faisceau
sensitif externe (FSe) et le faisceau sensitif in
e deux faisceaux distincts : le faisceau sensitif externe (FSe) et le
faisceau
sensitif interne (FSi). FSe. Le faisceau sensit
nsitif externe (FSe) et le faisceau sensitif interne (FSi). FSe. Le
faisceau
sensitif externe provient, en grande partie, de l
ance blanche qui double l'écorce de l'insula (IN, fijx. 2). FSi. Le
faisceau
sensitif interne prend naissance, en avant, dans
puhinar (Pul, fig. 5); il reçoit également la totalité des fibres du
faisceau
de Tùrck-Meynert (FM, fig. 5), issues du pied du
de Tùrck-Meynert (FM, fig. 5), issues du pied du pédoncule. FM. Le
faisceau
de Tiirck-Meynert, qui représente le quart postér
assent exactement par la face inférieure du splenium (SPL). FCF. Le
faisceau
compact du fornix, au contraire, se reconnaît fac
a corne postérieure (BCP, fig. 2) jusq^u'au pôle occipital. FPV. Le
faisceau
pariétal vertical (fig. 2 et 5), très compacta la
eau pariétal vertical (fig. 2 et 5), très compacta la face externe du
faisceau
scnsilif (FSe), n'est que la continuation, dans l
nsilif (FSe), n'est que la continuation, dans la région pariétale, du
faisceau
occipital vertical (FOV, fig. 1). psp. Le pédon
, fig. 1). psp. Le pédoncule du septum lucidum (fig. 2 et 3) est un
faisceau
horizontal aplati, dirigé obliquement en arrière
rce du lobe sphénoïdal, en avant du lobule de l'hippocampe. FVA. Le
faisceau
de Vicq d'Azyr (fig. l), sorti du tubercule maini
anglion. NC. Le noyau caudé, séparé du putamen (PUT, fig. 4) par le
faisceau
d'Arnold (AR), se continue sans démarcation tranc
du noyau caudé (ANC) pour gagner la région pédonculaire, en avant du
faisceau
géniculé (FG). Les rapports du globus medialis av
artie la plus reculée de la capsule, celle qui renferme les fibres du
faisceau
de Tùrck-Meynert. Pul. Le pulvinar, rectiligne
rié par les fibres du tegmentum. Sa partie moyenne est occupée par le
faisceau
pyramidal (FP), et sa partie antérieure par le fa
ccupée par le faisceau pyramidal (FP), et sa partie antérieure par le
faisceau
géniculé (FG, fîg. 6) ; celui-ci est toujours int
re et en dedans du segment postérieur de la capsule appartiennent aux
faisceaux
de la calotte, au moment où ceux-ci entrent en co
en connexion avec la face inférieure de la couche optique. FLP. Le
faisceau
longitudinal postérieur (fig. 4) est, parmi les'
. FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (fig. 4) est, parmi les'
faisceaux
de la calotte, le plus voisin de la ligne médiane
axe; situé en dedans du noyau rouge, dont il n'est séparé que par le
faisceau
rétroflexe (FRF), il partage ses fibres en deux d
ste en arrière du noyau rouge, représentent la couronne rayonnante du
faisceau
longitudinal postérieur [Radiatio fasciculi pos-t
y. pl. XXVn, fig. 101, 102, RFP). FRF. Le fasciculus retroflexus ou
faisceau
rétrograde se dirige, sur la coupe la plus inféri
énule (GII), où il. prend naissance. BP. Le bras du pulvinar est le
faisceau
le plus supérieur et le plus antérieur de la band
sur les coupes 5 et 6. Lmd. La lamina lateralis de Reil, accolée au
faisceau
cérébello-thalamique (CEO, fig. 4), s'épanouit au
la capsule interne (CID). Le corps de Luys est limité en avant par le
faisceau
rubro-thalamique (CAO) et, plus en avant et en ha
faisceau rubro-thalamique (CAO) et, plus en avant et en haut, par le
faisceau
médullaire de la capsule (MF). MF. Le faisceau
t et en haut, par le faisceau médullaire de la capsule (MF). MF. Le
faisceau
médullaire de la capsule, foncé au contact du seg
onscrit dans son trajet rétrograde à concavité postérieure. CEO. Le
faisceau
cérébello-thalamique (fig. 4 et 5) passe, de deda
t claire au-dessus du discus lentiformis, reçoit toutes les fibres du
faisceau
rubro-thalamique (CAO, fig. 6). ANL. L'anse du
ravers le segment antérieur de la capsule interne (CIA), au-dessus du
faisceau
d'Arnold (AR, voy. pl. XXXVIII, fig. 3). PLANCH
res de la couronne rayonnante du thalamus (Rth, fig. 7), destinées au
faisceau
sensitif. NiC. Le noyau interne du thalamus (fi
jet recourbé des fibres en question, qui concourent à la formation du
faisceau
rétrograde. NeC. Le noyau externe du thalamus (
terne. On le voit émettre des fibres nombreuses destinées (fig. 9) au
faisceau
géniculé (FG) et au faisceau pyramidal (FP). GL
fibres nombreuses destinées (fig. 9) au faisceau géniculé (FG) et au
faisceau
pyramidal (FP). GLM. Le globus medialis (fig. 7
nce; en eflet, sur les coupes horizontales supérieures, les fibres du
faisceau
arqué se rapprochent de l'horizontalité et devien
eptuni et la couche blanche antérieure de la lame terminale. AR. Le
faisceau
d'Arnold, qui occupe, comme nous l'avons dit so
hï), qui est placée à sa partie interne. Elle s'accole, en dehors, au
faisceau
géniculé (FG). Nous savons que dans la masse gris
ous savons que dans la masse grise du thalamus elle se divise en deux
faisceaux
. Ces faisceaux sont plus facilement reconnaissabl
dans la masse grise du thalamus elle se divise en deux faisceaux. Ces
faisceaux
sont plus facilement reconnaissables sur la figur
lame médullaire latérale n'offrent ici aucune particularité. FP. Le
faisceau
pyramidal, au fur et à mesure que les coupes s'él
épuisées en grande partie à la face inférieure du thalamus. FG. Le
faisceau
géniculé. CAO. Le faisceau tegmento-thalamique
la face inférieure du thalamus. FG. Le faisceau géniculé. CAO. Le
faisceau
tegmento-thalamique (fig. 7) est un de ces fais
culé. CAO. Le faisceau tegmento-thalamique (fig. 7) est un de ces
faisceaux
de l'étage supérieur qui abandonnent peu à peu, d
ports de contiguïté avec le pied du pédoncule, par conséquent avec le
faisceau
pyramidal (FP) et le faisceau géniculé (FG). Rt
ed du pédoncule, par conséquent avec le faisceau pyramidal (FP) et le
faisceau
géniculé (FG). Rth. La couronne rayonnante du t
nt en spirale dans la profondeur du carrefour sensitif pour gagner le
faisceau
sensitif (ES). BSO. La bandelette sous-optique,
BSO. La bandelette sous-optique, placée immédiatement en dedans du
faisceau
précédent (fig. 8 et 9) appartient bien, vraiment
nte du thalamus. On voit cependant qu'elle gagne la partie interne du
faisceau
sensitif, en avant du noyau caudé (NCC). C'est là
(Th) et du noyau caudé en avant (NC) est constituée par les fibres du
faisceau
sensitif externe (FSe) en arrière, et par les fib
s du faisceau sensitif externe (FSe) en arrière, et par les fibres du
faisceau
arqué (ARC) en avant. Ces fibres ont une teinte f
sse au milieu de la grande commissure interhénii-sphérique. FOi. Le
faisceau
inférieur du forceps (fig. 10), issu du splenium
es fibres les plus postérieures en effet se confondent avec celles du
faisceau
moyen qui sont horizontales). Sur la coupe 12 on
rpendiculaire interne (Oi) : disposition qui est constante. FOs. Le
faisceau
supérieur du forceps (fig. 12) n'est que l'ensemb
t aussi très facilement que le tapetum (TiVP) n'est que la portion du
faisceau
supérieur du forceps (FOs) réfléchie dans la paro
chie dans la paroi externe de la corne occipitale du ventricule. — Le
faisceau
supérieur du forceps (FOs) et le faisceau inférie
ipitale du ventricule. — Le faisceau supérieur du forceps (FOs) et le
faisceau
inférieur (FOi) forment donc, l'un la paroi exter
ig. 12) qui ferment en haut la cavité ventriculaire, appartiennent au
faisceau
moyen, dont la direction est transversale et légè
transversale et légèrement oblique en arrière et en dehors. FSi. Le
faisceau
sensitif interne (fîg. 10), au niveau du carrefou
us dit (voy. pl. XXXVI, fig. 8) rejoignent finalement, en arrière, le
faisceau
sensitif lui-même. Ce dernier toutefois a des lib
à la surface de la couche optique, au voisinage du taenia. FSe. Le
faisceau
sensitif externe, foncé sur la figure 11, n'est c
s obliques en bas et en avant. Nous savons en effet que les fibres du
faisceau
sensitif externe ne répondent qu'à la région du p
ne ne répondent qu'à la région du putamen. Ici ce noyau a disparu; le
faisceau
sensitif externe s'enfonce donc (au-dessous du pl
postérieur du putamen et la capsule externe. Sur la coupe 12 le même
faisceau
(FSe) a une coloration claire : Cela lient à ce q
e entre le noyau caudé (NC) et le putamen (PUT), devient adjacente au
faisceau
arqué (ARC, fig. 11) lorsque le putamen a disparu
la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. il et 12). ARC. Le
faisceau
arqué dont la partie antérieure seulement est ver
qu'effleurée. Les coupes vertico-transversales nous ont appris que le
faisceau
arqué vient précisément de l'opercule; transversa
changement de direction fait comprendre la disposition des teintes du
faisceau
arqué sur les coupes il et 12. On observera éga
es il et 12. On observera également que la partie postérieure de ce
faisceau
(composé de fibres verticales) s'enfonce en arriè
s verticales) s'enfonce en arrière comme un coin très effilé entre le
faisceau
sensitif externe (FSe, fig. 12) et le faisceau se
n très effilé entre le faisceau sensitif externe (FSe, fig. 12) et le
faisceau
sensitif interne (FSi). C'est un rapport dont on
s les coupes pratiquées dans la môme région. Tel cerveau présente des
faisceaux
remarquablement compacts et parfaitement isolés;
blement compacts et parfaitement isolés; tel autre présente les mômes
faisceaux
à l'fHat diffus et mal délimités. Ces différences
nce grise de la base du cerveau, qui s'arrête au niveau du passage du
faisceau
d'Arnold (AR). Pul. Le pulvinar forme la paroi
econnaît la lame médullaire interne (LMl) parcourue par les fibres du
faisceau
tegmento-thalamique (voy. fig. 2, CAO); le faisce
par les fibres du faisceau tegmento-thalamique (voy. fig. 2, CAO); le
faisceau
de Tiirck-Meynert (FM), qui se joint à la couronn
ui se joint à la couronne rayonnante du pulvinar (Rth) pour former le
faisceau
sensitif interne (FSi) ; les fibres commissurales
de la commissure postérieure (CP), placées en arrière et en dehors du
faisceau
rétrcflexe (FRF). Enfin, juste en avant de la com
r (QA). Elle est ici très peu compacte, et eemble se diviser en trois
faisceaux
: I" un faisceau antérieur (qui en réalité ne lui
ci très peu compacte, et eemble se diviser en trois faisceaux : I" un
faisceau
antérieur (qui en réalité ne lui appartient pas e
et qui forme la limite externe du ganglion de l'habénule (GH) ; 2" un
faisceau
moyen, qui renferme les fibres réellement commiss
I, fig. 07, CP); 5" enfin le bras du pulvinar (BP), qui représente le
faisceau
le plus supérieur du laqueus. Le faisceau d'Arn
r (BP), qui représente le faisceau le plus supérieur du laqueus. Le
faisceau
d'Arnold qui, presque à lui seul, constitue dans
ieure du thalamus. Les fibres de la racine postérieure proviennent du
faisceau
sensitif interne (FSi) et de la bandelette sous-o
inerea (Fci), se porte en bas et en avant, mélangé avec les fibres du
faisceau
compact du fornix (FCF). FCF. Le faisceau compa
élangé avec les fibres du faisceau compact du fornix (FCF). FCF. Le
faisceau
compact du fornix intercalé, sur toute son étendu
face externe du gyrus rectus (GR), en avant, et là se confond avec le
faisceau
diffus du fornix (FDF). FDF. Le faisceau diffus
, et là se confond avec le faisceau diffus du fornix (FDF). FDF. Le
faisceau
diffus du fornix, toujours à cheval sur le fond d
à la région antérieure de la face interne de l'hémisphère. ARC. Le
faisceau
arqué se reconnaît à l'extrémité antérieure du cl
térieure du claustrum (CL), en dehors du centre ovale (CO). FOV. Le
faisceau
occipital vertical est ici, par le fait d'une dis
, par le fait d'une disposition peu commune, complètement distinct du
faisceau
pariétal vertical (FPV). Figure 2. COUPE HORI
substance grise de la lame terminale (LAT), est strié par de nombreux
faisceaux
blancs qui traversent le segment antérieur de la
qui traversent le segment antérieur de la capsule interne (CIA) ; ces
faisceaux
croisent, dans la capsule, les fibres du faisceau
nterne (CIA) ; ces faisceaux croisent, dans la capsule, les fibres du
faisceau
d'Arnold et aboutissent aux deux segments interne
e la couronne rayonnante du thalamus qui se portent en dehors vers le
faisceau
sensitif, est limité en avant par le bras du pulv
à la commissure antérieure (CA), à la commissure postérieure (CP), au
faisceau
d'Arnold (AR), est conforme à ce qui a été dit au
un aspect absolument identique sur la coupe de la figure 1. FS. Le
faisceau
sensitif s'élargit à son extrémité postérieure. 1
UM Cette figure est destinée à faire voir : 1" La subdivision des
faisceaux
du segment antérieur de la capsule interne (CIA)
de la précédente, ne divine plus qu'une faible partie des éléments du
faisceau
d'Arnold (AR). Les fibres de la racine antérieure
psule (CIA), s'enfoncent dans la couche optique sous la forme de deux
faisceaux
diffus, l'un externe, l'autre interne, placés au-
faisceaux diffus, l'un externe, l'autre interne, placés au-dessus du
faisceau
d'Arnold, et qui se terminent dans le noyau inter
x couches : les fibres supérieures du splenium (ce) appartiennent aux
faisceaux
supérieur et moyen du forceps major; les fibres i
moyen du forceps major; les fibres inférieures (BAM) appartiennent au
faisceau
inférieur du forceps ; elles représentent la base
oyau lenticulaire (ANL, fig. 1) ; 3° L'isolement et la direction du
faisceau
d'Arnold (AR, fig. 1) qui, à lui seul, constitue
(tec, fig. 2) à la partie antéro-inférieure du splenium, en avant du
faisceau
inférieur du forceps (FOi). La petite fente trans
ac du sinus du corps calleux; 9° Enfin la forme et la direction des
faisceaux
inférieur et moyen du forceps (FOi, FOm, fig. 3 e
ontre les rapports de la racine inférieure du thalamus (ïhl) entre le
faisceau
de Tùrck-Meynert (FM) et la commissure antérieure
a est situé ici, juste au-dessous du corps calleux, dans la région du
faisceau
inférieur du forceps (FOi). 11 passe au-dessous d
el provient de la partie inférieure du corps calleux, c'est-à-dire du
faisceau
inférieur du forceps (FOi). La coupe de la figu
caudé. ANL. Anse du noyau lenticulaire. Aq. Aqueduc de Sylvius. AR.
Faisceau
d'iVrnold (Laminœ corticales antériores pedunculi
AR. Faisceau d'iVrnold (Laminœ corticales antériores pedunculi). ARC.
Faisceau
arqué, faisceau longitudinal supérieur, fasciculu
Vrnold (Laminœ corticales antériores pedunculi). ARC. Faisceau arqué,
faisceau
longitudinal supérieur, fasciculus arcuatus (Bu
al supérieur, fasciculus arcuatus (Burdach, Arnold). ARC. Fibres du
faisceau
arqué destinées à la capsule interne. BAM. Base
llie des fibres moyennes du corps calleux dans le ventricule latéral (
faisceau
moyen du forceps). Bf. Fente de Bichat. BGI.
andelette sous-optique, libres temporo-thalamiqucs (Arnold, Meynert),
faisceau
postérieur de l'ans8 pédonculaire de Gratiolet. j
AO. Fibres de la couche optique allant à la calotte ou inversement,
faisceau
tegmento-thalamique. CAP. Cap de la troisième cir
bres du pédoncule cérébelleux supérieur allant à la couche optique,
faisceau
cérébello-thalamique. CEP. Crête épendymairc. C
ébello-thalamique. CEP. Crête épendymairc. CF. Commissure de Forel,
faisceaux
croisés de la calotte, fasciculi' decussationis
e la capsule interne. CIF. Segment inférieur de la capsule interne,
faisceau
de la troisième circonvolution temporale. Cin.
e moyenne ou molle. CMT. Commissure de Meynert. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale. COL Commissure infér
frontale ou tète du corps strié). Ct. Coniniissure terminale. CÏE.
Faisceau
du tegmentum allant à la substance grise du trois
M. Fibres arquées profondes du bulbe. FAL. Gyrus falciforme. FCF.
Faisceau
compact du fornix. Fci. Fasciola cinerea, bande
ompact du fornix. Fci. Fasciola cinerea, bandelette cendrée. FCP.
Faisceau
de la commissure postérieure. Fd. Fascia dentat
nvolulion godronnôo sur un plan anléricur au plan de la coupe. FDF.
Faisceau
diflus du fornix. FG. Faisceau géniculé. | FL
nléricur au plan de la coupe. FDF. Faisceau diflus du fornix. FG.
Faisceau
géniculé. | FL corps frangé, corps bordé. .j
, FLs. Première, deuxième, troisième, quatrième, cinquième couches du
faisceau
longitudinal inférieur. ; FLP. Faisceau longitu
rième, cinquième couches du faisceau longitudinal inférieur. ; FLP.
Faisceau
longitudinal postérieur de la calotte. FLF. Fib
FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte. FLF. Fibres du
faisceau
longitudinal postérieur de la calotte allant au t
sceau longitudinal postérieur de la calotte allant au thalamus. FM.
Faisceau
de Tùrck-Meynert. FO^ Circonvolution fronto-orb
tué par les fibres moyennes du splenium. FÔm. Fibres moyennes du ou
faisceau
moyen du forceps' major. FOp. Fibres postérie
érieures du forceps major. FOs. Fibres supérieures du forceps. FOV.
Faisceau
occipital vertical. \ FP. Faisceau pyramidal.
s supérieures du forceps. FOV. Faisceau occipital vertical. \ FP.
Faisceau
pyramidal. FP'. Fibres du faisceau pyramidal se
ceau occipital vertical. \ FP. Faisceau pyramidal. FP'. Fibres du
faisceau
pyramidal se continuant dans le faisceau arqué.
pyramidal. FP'. Fibres du faisceau pyramidal se continuant dans le
faisceau
arqué. FPF. Faisceau pariéto-frontal. FPV. Fais
es du faisceau pyramidal se continuant dans le faisceau arqué. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal. FPV. Faisceau pariétal vertical.
tinuant dans le faisceau arqué. FPF. Faisceau pariéto-frontal. FPV.
Faisceau
pariétal vertical. FRF. Faisceau rétrograde, fa
PF. Faisceau pariéto-frontal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FRF.
Faisceau
rétrograde, fasciculus reiroflexus (Meynert). F
. FRF. Faisceau rétrograde, fasciculus reiroflexus (Meynert). FS.
Faisceau
sensitif, faisceau optique, lame des radiations o
étrograde, fasciculus reiroflexus (Meynert). FS. Faisceau sensitif,
faisceau
optique, lame des radiations optiques. FSe. Fai
ceau sensitif, faisceau optique, lame des radiations optiques. FSe.
Faisceau
sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif intern
ame des radiations optiques. FSe. Faisceau sensitif externe. FSi.
Faisceau
sensitif interne. FSM. Faisceau sous-marginal.
. Faisceau sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif interne. FSM.
Faisceau
sous-marginal. FSt. Faisceau sensitif dans la p
FSi. Faisceau sensitif interne. FSM. Faisceau sous-marginal. FSt.
Faisceau
sensitif dans la première circonvolution temporal
dans la première circonvolution temporale. FU. Fasciculus uncinatus,
faisceau
en crochet. FVA. Faisceau de Vicq d'Azyr. G. Gl
lution temporale. FU. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet. FVA.
Faisceau
de Vicq d'Azyr. G. Glande pinéale, épiphyse, co
dium. LV. Lyre de David, psalterium. M. Gouttière de Monro. MF.
Faisceau
médullaire de la capsule, zona incerta (Forel). M
rne du thalamus. NL. Fibres latérales du noyau rouge de la calotte,
faisceau
rubro-thalamique. NLe. Noyau lenticulaire. NmC. C
Reil. RI'. Rectangle frontal antérieur. RFP. Couronne rayonnante du
faisceau
longitudinal postérieur, radialio fasciculi pos
longitudinal (Duverney), induseum griseum. TEG. Tegmentum, calotte,
faisceau
de la calotte, étage supérieur du pédoncule. Tf
ur du tubercule mamillaire. TP. Tractus transversus peduncuU (Gudden)
faisceau
en écharpe (Féré). TRII. Triangle de l'habénule
e du corps genouillé interne (RGI)...... 219 Couronne rayonnante du
faisceau
longitudinal postérieur (RFP) 515, 555 Couronne
x, 322 Espace perforé postérieur (EPP)..............vni, 533 F
Faisceau
arqué,/"ascicM/ws aî'cwafws (Burdach, Arnold), (A
sceau arqué,/"ascicM/ws aî'cwafws (Burdach, Arnold), (ARC) 254, 304
Faisceau
capsulaire (MF)............. 301, 519, 558 Fais
ARC) 254, 304 Faisceau capsulaire (MF)............. 301, 519, 558
Faisceau
cerebello-tlialamique (CEO)............. 267 Fa
1, 519, 558 Faisceau cerebello-tlialamique (CEO)............. 267
Faisceau
compact du fornix (FCF)............ 89, 588 Fai
........ 267 Faisceau compact du fornix (FCF)............ 89, 588
Faisceau
d'Arnold (AR). . . . ,.. . ,.. ,. ,..... 343, 368
9, 588 Faisceau d'Arnold (AR). . . . ,.. . ,.. ,. ,..... 343, 368
Faisceau
de la calotte (TEG)............214, 216, 250 Fa
.. 343, 368 Faisceau de la calotte (TEG)............214, 216, 250
Faisceau
de la troisième circonvolution temporale (GIF)...
Faisceau de la troisième circonvolution temporale (GIF)...... 548
Faisceaux
de la commissure postérieure (FCP)....... 215, 22
548 Faisceaux de la commissure postérieure (FCP)....... 215, 229
Faisceau
du crochet [uncinatus), (FU)............. 575 F
. 215, 229 Faisceau du crochet [uncinatus), (FU)............. 575
Faisceaux
croisés de la calotte (voy. Commissure de Forel)
Faisceaux croisés de la calotte (voy. Commissure de Forel) .... 251
Faisceau
de Tùrck-Meynert (FM)..............61, 254 Fais
rel) .... 251 Faisceau de Tùrck-Meynert (FM)..............61, 254
Faisceau
de Yicq d'Azyr (FVA)................ 353 Faisce
........61, 254 Faisceau de Yicq d'Azyr (FVA)................ 353
Faisceau
diffus du gyrus fornicatus ou du fornix (FDF). 11
aisceau diffus du gyrus fornicatus ou du fornix (FDF). 112,156, 406
Faisceau
en écharpe (Féré) (TP).................. xi Fai
112,156, 406 Faisceau en écharpe (Féré) (TP).................. xi
Faisceau
géniculé (FG).............. 61,299, 558 Faiscea
............. xi Faisceau géniculé (FG).............. 61,299, 558
Faisceau
latéral du noyau rouge de la calotte (NL)........
58 Faisceau latéral du noyau rouge de la calotte (NL)........ 517
Faisceau
longitudinal inférieur (FLI)......... 78,102, 154
.. 517 Faisceau longitudinal inférieur (FLI)......... 78,102, 154
Faisceau
longitudinal inférieur (première couche) FLi)....
Faisceau longitudinal inférieur (première couche) FLi)...... 212
Faisceau
longitudinal inférieur (deuxième couche) (FL2)...
Faisceau longitudinal inférieur (deuxième couche) (FL2)...... 212
Faisceau
longitudinal inférieur (troisième couche) (FLs)..
Faisceau longitudinal inférieur (troisième couche) (FLs)..... 215
Faisceau
longitudinal inférieur (quatrième couche) (FL4).
aisceau longitudinal inférieur (quatrième couche) (FL4). . 155, 215
Faisceau
longitudinal inférieur (cinquième couche) (FLo).
aisceau longitudinal inférieur (cinquième couche) (FLo). . 155, 213
Faisceau
longitudinal postérieur de la calotte (FLP).... 2
Faisceau longitudinal postérieur de la calotte (FLP).... 227, 279
Faisceau
longitudinal supérieur (ARC).......... 254, 504
227, 279 Faisceau longitudinal supérieur (ARC).......... 254, 504
Faisceau
médian de la couche de Reil (Lm)........... 214
254, 504 Faisceau médian de la couche de Reil (Lm)........... 214
Faisceau
médullaire de la capsule (MF)........ 501,519, 55
. 214 Faisceau médullaire de la capsule (MF)........ 501,519, 558
Faisceau
inférieur du forceps (FOi).............. 102 Fa
01,519, 558 Faisceau inférieur du forceps (FOi).............. 102
Faisceau
moyen du forceps (FOm). ............... 105 Fai
........ 102 Faisceau moyen du forceps (FOm). ............... 105
Faisceau
occipital vertical (FOV)............... 97 Fais
......... 105 Faisceau occipital vertical (FOV)............... 97
Faisceaux
optiques (voy. Faisceau sensitit)........... 71
occipital vertical (FOV)............... 97 Faisceaux optiques (voy.
Faisceau
sensitit)........... 71 Faisceau parallèle (PAR
.... 97 Faisceaux optiques (voy. Faisceau sensitit)........... 71
Faisceau
parallèle (PAR)................ 287, 326 Faisce
)........... 71 Faisceau parallèle (PAR)................ 287, 326
Faisceau
pariétal vertical (FPV)............ 71, 78 Fais
.... 287, 326 Faisceau pariétal vertical (FPV)............ 71, 78
Faisceau
pariéto-frontal (FPF)............. 289, 425 Fai
..... 71, 78 Faisceau pariéto-frontal (FPF)............. 289, 425
Faisceau
pyramidal (FP).................61, 284 Faisceau
........ 289, 425 Faisceau pyramidal (FP).................61, 284
Faisceau
rétrograde (FRF)................. 233 Faisceau
...........61, 284 Faisceau rétrograde (FRF)................. 233
Faisceau
rolandique (voy. Faisceau arqué)........... 254
eau rétrograde (FRF)................. 233 Faisceau rolandique (voy.
Faisceau
arqué)........... 254 Faisceau sensitif (FS). .
.... 233 Faisceau rolandique (voy. Faisceau arqué)........... 254
Faisceau
sensitif (FS). ................... 71 Faisceau
ué)........... 254 Faisceau sensitif (FS). ................... 71
Faisceau
sensitif externe (FSe)............'/7,221, 372
...... 71 Faisceau sensitif externe (FSe)............'/7,221, 372
Faisceau
sensitif interne (FSi).............. 77, 237 Fa
/7,221, 372 Faisceau sensitif interne (FSi).............. 77, 237
Faisceau
supérieur du forceps (FOs).............. 108 Fa
... 77, 237 Faisceau supérieur du forceps (FOs).............. 108
Faisceau
du tegmentum allant se jeter en haut dans la subs
l'aqueduc de Sylvius, au voisinage de l'anus (GTE).......... 250
Faisceau
de la décussation antérieure (GTE)........ 250, 2
250 Faisceau de la décussation antérieure (GTE)........ 250, 250
Faisceau
tegmento-thalamique (CAO)............. 297 Fais
.... 250, 250 Faisceau tegmento-thalamique (CAO)............. 297
Faisceau
triangulaire de l'isthme......... . xxii, 200, 29
articipant à la formation ÙMsiratum intermedium [Lli^E) 267 Fibres du
faisceau
arqué destinées à la capsule interne (ARC). . . 5
aisceau arqué destinées à la capsule interne (ARC). . . 505 Fibres du
faisceau
longitudinal postérieur allant au thalamus (FLP')
sceau longitudinal postérieur allant au thalamus (FLP') 279 Fibres du
faisceau
pyramidal destinées au faisceau arqué (FP'). . 50
lant au thalamus (FLP') 279 Fibres du faisceau pyramidal destinées au
faisceau
arqué (FP'). . 505 „ G Gaine de la commissure
Lame blanche de la corne d'Ammon (LMA)...... . . . . . 445 Lame des
faisceaux
optiques (voy. Faisceau sensitif)....... 71 Lam
d'Ammon (LMA)...... . . . . . 445 Lame des faisceaux optiques (voy.
Faisceau
sensitif)....... 71 Lame festonnée (LFE).......
.........vu, xxiv, 405 Laminse corticales anteriores pedunculi{\o^.
Faisceau
d'Arnold). . 545 Laqueus (Laq).............. il
ulaire de la capsule interne. - CR, couronne rayonnante. - FI'yc,
faisceau
pyramidal croisé; l ? lcl, faisceau pyramidal d
couronne rayonnante. - FI'yc, faisceau pyramidal croisé; l ? lcl,
faisceau
pyramidal direct; /7 ? t, fibres py- ramidales
aux fibres de la pyramide antérieure du bulbe (fibres pyramidales,
faisceau
pyramidal), elles s'entre-croisent incomplèteme
bral, elles s'entre-croisent a angle droit avec les longs et courts
faisceaux
d'asso- ciation, à angle aigu avec les radiatio
S CENTRES NERVEUX. Concentration des fibres do projection en un
faisceau
com- pact dans la partie interne du centre
e les fibres de projection affectent un trajet coudé. Aspect du
faisceau
compact de la cou- ronno rayonnante après d
mince branche collatérale destinée au corps cal- leux ou aux longs
faisceaux
d'association avoisinants; elles se réunissent
sceaux d'association avoisinants; elles se réunissent ensuite en un
faisceau
compact, que nous désignerons sous le nom de fa
ensuite en un faisceau compact, que nous désignerons sous le nom de
faisceau
compact de la couronne rayonnante (CR)et qui décr
aux durcis dans l'alcool, le formol ou les bichromates alcalins, le
faisceau
compact de la couronne rayonnante se présente s
g. 3, 7, 10). Leur face interne recouvre les fibres calleuses et le
faisceau
occipito-frontal qui le séparent de l'épendyme ve
coup plus épaisse chez l'adulte que chez l'enfant; chez celui-ci le
faisceau
compact de la couronne rayonnante touche presque
de la corticalité cérébrale intéresseront toujours chez l'enfant le
faisceau
compact de la couronne rayonnante, tandis qu'el
la co2c- ronne rayonnante, chacun des segments est recouvert par le
faisceau
ar- qué ou longitudinal supérieur et croisé par
ar- qué ou longitudinal supérieur et croisé par quelques fibres du
faisceau
occipito-frontal (Fig. 4, rOr) et par les radia
ne, orbitaire, extrémité frontale). Grâce à la corne frontale et au
faisceau
occipito-frontal qui la double en avant, les fi
de Pal, le segment antérieur de la couronne rayonnante constitue un
faisceau
volu- mineux, dont les fibres se disposent en d
s frontales. - f,, /2, premier et deuxième sillons frontaux. - Pli,
faisceau
longitudinal inférieur. - i, Sillon de l'insula.
' £ " NL" troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. OF,
faisceau
occipito-frontal, - OF', partie du faisceau occip
noyau lenticulaire. OF, faisceau occipito-frontal, - OF', partie du
faisceau
occipito-frontal, s'irradiant dans la première
e. - ï'.7n, pilier antérieur du trigone. - llle, tænia thalami. - VA,
faisceau
de Vicq d'.lryr. - Zr, zone réticulée ou grilla
la couronne rayonnante, son pied, ses deux couches sagittales et le
faisceau
occipito-frontal vus sur une coupe horizontale pa
entrant à la partie interne du pied de la couronne rayonnante en un
faisceau
complexe contenant à la fois des fibres occipit
tion( ? +07''), et constituant en dedans des fibres cal- leuses, un
faisceau
horizontal dont les fibres traversent le pied de
ue. - mF,, face interne de la première circonvolution frontale. - OF,
faisceau
occipito- frontal. - oF,, partie orbitaire de l
au niveau de la partie supérieure de cette même circonvolution. Le
faisceau
compact de la cou- ronne rayonnante est surmont
artenant surtout à la couche sagittale interne, prennent la voie du
faisceau
occipito-frontal (Fig. et 6, OF + Pr), contournen
ule interne sur des plans plus supérieurs et plus posté- rieurs. Le
faisceau
occipito-fronlal, comme le faisceau longitudinal
ieurs et plus posté- rieurs. Le faisceau occipito-fronlal, comme le
faisceau
longitudinal infé- rieur, le tapelum, etc., con
sceau longitudinal infé- rieur, le tapelum, etc., constitue donc un
faisceau
mixte. Il contient des libres d'association et
antérieur de la capsule interne, les autres prennent la voie du
faisceau
occipito-frontal. 10 ANATOMIE DES CENTRES N
rée occupe la substance blanche non diffé- renciée de la région, le
faisceau
compact de la couronne rayonnante (CR), le faisce
de la région, le faisceau compact de la couronne rayonnante (CR), le
faisceau
occipilo-frontal (OF) et le corps calleux (Cc).
occipilo-frontal (OF) et le corps calleux (Cc). La dégénérescence du
faisceau
compact de la couronne rayonnante peut être sui
vie dans le segment antérieur de la capsule interne (Cia); celle du
faisceau
occipito-frontal (OF) peut être suivie en partie
erticule du subiculum. - Fa, circonvolution frontale ascendante. Fli,
faisceau
lon- gitudinal inférieur. - F.11, faisceau rétr
rontale ascendante. Fli, faisceau lon- gitudinal inférieur. - F.11,
faisceau
rétroflexe de Meynert. - FPoa, fibres antérieures
xe de Meynert. - FPoa, fibres antérieures de la protubérance. - FT,
faisceau
de Turck et segment sous-lenticulaire de la capsu
t segment sous-lenticulaire de la capsule interne. - FT', partie du
faisceau
de Tiirck, venant des deuxième et troisième circo
euxième et troisième circonvolutions temporales. - 1'TT,, partie du
faisceau
de Turck venant de la première circonvolution t
première circonvolution temporale. - ft, fibres tangentielles. Plh,
faisceau
thalamique de Forel. Pus, lobule fusiforme. V7,
oyau interne du thalamus. - \-L3, putamen, A'7 ! , noyau rouge. - OF,
faisceau
occipito- frontal. - Opl'a, partie pariétale de
e la corne sphénoldale. - p1'S, sillon prérolandique supérieur. - ?
faisceau
pyramidal. R, scissure de Rolando. - RC, radiatio
l. R, scissure de Rolando. - RC, radiations de la calotte. - )'/7/,
faisceaux
radiculaires de la troisième paire. - RTh, radiat
a couche sagittale externe du lobe occipito-temporal sous le nom de
faisceau
longitudinal inférieur (Fli), et avons montré qu'
Méthode de Weigert. C, cuneus. - Ep, épendyme ventriculaire. - Fbi,
faisceau
basai interne ou partie inféro-interne de la co
ale externe du segment postérieur de la couronne rayon- nante. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur ou couche sagittale extern
la couronne rayonnante. - Fin, forceps major du corps calleux. Fin',
faisceau
inférieur ou minor du forceps. - Fus, lobule fu
llon interpariétal; ip', ses incisures. - Lg, lobule lingual. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - ot, sillon collatéral. - Ov,
gual. - OF, faisceau occipito-frontal. - ot, sillon collatéral. - Ov,
faisceau
occipital vertical.-ou, orifices vasculaires.-
dans la région adjacente au tronc du corps calleux. - Cing (p), son
faisceau
postérieur. - Cirl, segment rétro- lenticulaire
nte. - ds, diverlicule du subiculum. - Fc, fasciola cinerea. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur ou couche sagittale exte
nt distinctes, traversées par les fibres calleuses et les fibres du
faisceau
occipito-frontal qui se rendent dans le tapetum.
sule interne. - Fie, fibres calleuses de l'ergot de Morand. - Fli,
faisceau
longitudinal infé- rieur. - Fin, forceps major
ds, diverticule du subiculum. - Epa, espace perforé antériem. - Fli.
faisceau
longitudi- nal inférieur. - Fu, faisceau uncina
e perforé antériem. - Fli. faisceau longitudi- nal inférieur. - Fu,
faisceau
uncinatus. 77( : ). circonvolution de l'hippocamp
aire de la capsule interne. - coa. commissure anté- rieure. - Fcop,
faisceau
de la commissure postérieure. - Fli, faisceau lon
anté- rieure. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur - Flp, faisceau longitud
mmissure postérieure. - Fli, faisceau longitudinal inférieur - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - Pli, faisceau uncinatu
gitudinal inférieur - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Pli,
faisceau
uncinatus. - lc, lame cornée et fibres du tteni
u noyau lenticulaire. O, première circonvolution occipitale.- OF,
faisceau
oc- ciliLo-frontal. - OF + l'r, faisceau occi
ution occipitale.- OF, faisceau oc- ciliLo-frontal. - OF + l'r,
faisceau
occipital et libres de projection. - 7'j, deuxi
lenticulaire. - 0,. première circonvolution oc- cipitale. - ouf,
faisceau
oc- cipito-frontal. 01)11. oper- cule rolandi
oisième circonvolutions frontales. - f4, sillon crn- cial. - Fli,
faisceau
longi- tudinal inférieur ou couche sagittale
externe du segment postérieur de la couronne rayonnante. - Fmp,
faisceau
mamillaire principal. - FT, faisceau de Turck
couronne rayonnante. - Fmp, faisceau mamillaire principal. - FT,
faisceau
de Turck. II, circonvolution de l'hippocampe.
on segment sous-lenticulaire. - coa, commissure anté- rieure. - FT,
faisceau
de Turck, provenant du segment sous-lenticulaire
? Fig. 282, p. 532). ,4m, avant-mur. AU', avant-mur dissocié par le
faisceau
uncinatus Arc, faisceau arqué. - Ce, corps call
4m, avant-mur. AU', avant-mur dissocié par le faisceau uncinatus Arc,
faisceau
arqué. - Ce, corps calleux. - Ce, capsule exter
er sillon frontal. Fa, circonvolution frontale ascen- dante. - Fil,
faisceau
uncinatus. - Fies, lobule fusiforme. - fl, fibres
L3, 1VI2, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - OpR, opercule rolandique. -
noyau caudé. - 1YL3, troisième segment du noyau lenticulaire. - OF,
faisceau
occipito-frontal. OF + Pr, faisceau complexe cont
nt du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. OF + Pr,
faisceau
complexe contenant à la fois des fibres du fais
ontal. OF + Pr, faisceau complexe contenant à la fois des fibres du
faisceau
occipito-frontal et des fibres de projection. - P
ent antérieur de la cap- sule interne se divise à ce niveau en deux
faisceaux
: l'un, formé de fas- cicules de fibres horizon
- Cirl, segment rétro-len- ticulaire de la capsule interne. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - la, insula antérieur.
trigone (fimbria) 7'.V, trou de Monro. - tth, tienia thalami. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - VCrst, veine du corps strié.
zone réticulée ou grillagée. 32 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Lo
faisceau
géni- culé n'apparaît qui dans la région t6a-
égion thalamique infé- rieure seulement,. qu'il existe un véritable
faisceau
géniculé. Cette divi- sion du segment antérieur
Cette divi- sion du segment antérieur de la capsule interne en deux
faisceaux
, est encore très manifeste sur les coupes verti
té antérieure du thalamus (Fig. 23); elles montrent les rapports du
faisceau
géniculé avec le segment interne du globus pallid
L'étude systématique des dégénérescences secondaires prouve que le
faisceau
géniculé dégénère à la suite de lésions de l'oper
e FIG. 22. - Coupe horizontale du genou de la capsule interne et du
faisceau
géniculé · dans la région thalamique inférieure
de Broca. - Cia, segment antérieur; CiCr¡), genou, dans l'es- pèce
faisceau
géniculé; Cip, segment postérieur de la capsule i
adiées. - tsc, toenia semi-circularis. - 111t, tænia thalami. - VA,
faisceau
de Vicq d'.lzyr. Bibliothèque des Internes en
CORCE CÉRÉBRALE. 33 Fia. 23. - Le genou de la capsule interne et le
faisceau
géniculé vus sur une coupe verLico-Lrznsversale
vant-mur. - AU', partie de l'avant-mur mor- celée par les fibres du
faisceau
uncinatus. - Arc, faisceau arqué. - Ce, corps cal
l'avant-mur mor- celée par les fibres du faisceau uncinatus. - Arc,
faisceau
arqué. - Ce, corps calleux. - Ce, capsule exter
ule externe. - Cia, segment antérieur de la capsule interne. - Ci(g),
faisceau
géniculé. - Ci/ ! f7), cingulum. CM, commissure
remier sillon frontal. - Fa, circonvolution frontale ascendante. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - /'l, fibres tangentie
faisceau longitudinal inférieur. - /'l, fibres tangentielles. - Fu,
faisceau
uncinatus. - Fus, lobule fusiforme. - I, insula
roisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - OpR, opercule rolan- dique.
eure du segment antérieur (Cia). Dans la région sous-thalamique, ce
faisceau
occupe le cinquième le plus antérieur du segment
e du pied du pédoncule cérébral. Cette étude montre en outre que le
faisceau
géniculé est renforcé dans la région thalamique
a région sous-thalamique avec la zona incerta, le corps de Luys, le
faisceau
lenticulaire de Forel et l'anse lenticulaire. C
s sagittales du seg- ment inférieur de la couronne rayonnante et le
faisceau
de Turck. (Voy. description de cette coupe T. I
missure postérieure. - Fa, troisième circonvolution frontale. - FI,
faisceau
lenticulaire de Forel. - Fie. fibres lenticulo-ca
sceau lenticulaire de Forel. - Fie. fibres lenticulo-caudées. -- Fli,
faisceau
longitudinal 36 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
rs rapports dans la région sous- thalamique. inférieur. - P.1[,
faisceau
rélrollexe de Meynert. FT, faisceau de Tiirck. hl
thalamique. inférieur. - P.1[, faisceau rélrollexe de Meynert. FT,
faisceau
de Tiirck. hllz, faisceau thalamique de Forel.
- P.1[, faisceau rélrollexe de Meynert. FT, faisceau de Tiirck. hllz,
faisceau
thalamique de Forel. - (;11), glande pinéale. -
e. - l'ul, pulvinar. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - lie,
faisceau
cortical dn noyau rouge passant par les radiati
rieur du trigone. - trou de Monro. - l ? troisième ventricule. - VA,
faisceau
de Vicq d'.\zyr.- VI, ventricule latéral.- T'sp
rapport de haut en bas : avec la zona incerla (Zi) qui le sépare du
faisceau
thalamique de Forel (Fth) et des parties ventra
oyau lenticu- laire (Al) qui contournent sa partie interne; avec le
faisceau
lenticulaire de Forel (FI) et avec le corps de
. Dans la partie moyenne de la région sous-thalamique (Fig. 24), le
faisceau
lenticulaire de Forci correspond au tiers inter
érieur. Dans la partie inférieure de la région sous- thalamique, le
faisceau
lenticulaire de Forel a disparu et le corps de Lu
iculaire de la capsule interne, le pied du pédoncule cérébral et le
faisceau
de Turck vus sur une coupe horizontale oblique
aire de la capsule interne. Epp, espace perforé postérieur. - Flop,
faisceau
de la commissure postérieure. - Fli, fais- ceau
missure postérieure. - Fli, fais- ceau longitudinal inférieur. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. FI', faisceau de Turck
u longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. FI',
faisceau
de Turck et segment sous-lenticulaire de la cap
de Turck et segment sous-lenticulaire de la capsule interne. - Fu,
faisceau
uncinatus. - le, lame cornée et libres du taeni
dans la partie externe du pied du pédoncule cérébral en formant le
faisceau
de Turck. Le segment postérieur de la capsule i
ion thalamique (Fig. 21). Il représente ce dernier segment, plus le
faisceau
de Turck. Dans leur trajet à travers les région
,il n'est pas rare de rencontrer plusieurs coupes sur lesquelles un
faisceau
plus ou moins volumineux traverse en diagonale
tre dans le pied du pédoncule cérébral. A un examen superficiel, ce
faisceau
paraît venir du noyau caudé et représenter le c
rié du pied du pédon- cule cérébral. En réalité, il s'agit ici d'un
faisceau
cortical qui s'est coudé une première fois au-d
nnée. Cge, corps genouillé externe. - Cing, cingulum : Cingle). son
faisceau
postérieur. - Cip, segment postérieur; Cirl, se
ale externe du segment inférieur de la couronne rayonnante. - 1 1',
faisceau
de Turck. Fus, lobule fusiforme. - Gh, ganglion d
NL3, troisième segment du noN au lenticulaire. NR, noyau rouge. OF,
faisceau
occipito-frontal. - OF + Pi, partie de ce faiscea
noyau rouge. OF, faisceau occipito-frontal. - OF + Pi, partie de ce
faisceau
qui contient des fibres de projection. - P, pie
tale ascendante ? a, lobule paracentral. - Po, protubérance. - l'y,
faisceau
pyramidal dans son trajet protubérantiel. - Il, s
enne,\), les autres forment l'anse du noyau lenticulaire (Al) et le
faisceau
lenticulaire de Forel (FI) (Fig. 21, 28, 312, 3
ans leur en- semble les radiations optiques de Gratiolet (ftTly, ou
faisceau
visuel cortical. 4. Segment sous-lenticulaire d
e interne. Ses deux couches. 42 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Faisceau
de Turck. Faisceau temporo- thalamique d'Arno
couches. 42 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Faisceau de Turck.
Faisceau
temporo- thalamique d'Arnold deux faisceaux d
Faisceau de Turck. Faisceau temporo- thalamique d'Arnold deux
faisceaux
de trajet, de direction et de connexion distincts
ceaux de trajet, de direction et de connexion distincts. Ce sont le
faisceau
de Tiirck et le faisceau temporo-thalamique d'Arn
tion et de connexion distincts. Ce sont le faisceau de Tiirck et le
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold. Le faisceau de Tii
faisceau de Tiirck et le faisceau temporo-thalamique d'Arnold. Le
faisceau
de Tiirck (FT) Fig. 25) occupe la partie postérie
Cgi) et à la partie ven- trale du thalamus (Fig. 29, p. 30). Le
faisceau
le2zlo-o- thalamique d'Arnold (J'Tth) s'élale
artie postéro-inférieure du pulvinar (Pul) en se réunissant en un
faisceau
compact décrit par Ar- nold sous le nom de fa
mique et par Brissaud sous celui i de bandelette sous-optique -
faisceau
qui passe au- dessous du faisceau de TÜl'ck et
de bandelette sous-optique - faisceau qui passe au- dessous du
faisceau
de TÜl'ck et du segment rélro-lenliculaire de la
iculaire de la capsule interne et ses deux couches formées par le
faisceau
de Turck et le faisceau temporo-thala- mique d'
interne et ses deux couches formées par le faisceau de Turck et le
faisceau
temporo-thala- mique d'Arnold. Cge, corps gen
c le segment inférieur (Si) de la couronne rayonnante et ses deux
faisceaux
dont l'un, faisceau de Tiirck (FT), forme la pa
eur (Si) de la couronne rayonnante et ses deux faisceaux dont l'un,
faisceau
de Tiirck (FT), forme la partie externe du pied
la partie externe du pied du pédoncule cérébral, et dont l'autre
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold (fTth) passe au-des
région sous-optique avec le corps de Luys, l'anse lenticulaire et le
faisceau
lenticu- laire de Forel. Coupe horizontale pass
ticule du subieulum. - 1 ? troisième circonvolution frontale. - Fcop,
faisceau
de la commissure postérieure. - fq, sillon fimb
de la commissure postérieure. - fq, sillon fimbrio-godronné. - ll,
faisceau
lenticulaire de Forel. - Fli, faisceau longitud
llon fimbrio-godronné. - ll, faisceau lenticulaire de Forel. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudina
lenticulaire de Forel. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. FM, fais- ceau rétrofl
ongitudinal postérieur. FM, fais- ceau rétroflexe de Meynert. - FT,
faisceau
de Tiirck. - h, sillon de l'hippocampe. la, ins
pilier posté- rieur du trigone. - 1-3, troisième ventricule. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr, - 1'(, corne frontale du ventri
. FiG. 29. - Le segment sous-lenticulaire de la capsule interne, le
faisceau
temporo- thalamique d'Arnold, le faisceau de Tu
de la capsule interne, le faisceau temporo- thalamique d'Arnold, le
faisceau
de Turck et sa fusion avec le segment postérieur
t en avant des corps genouillés et intéressant la corne d'Ammon, le
faisceau
externe du pied du pédoncule cérébral et le noy
radia- tions thalamiques et en couche sagittale et externe (Sle) ou
faisceau
longitudinal inférieur le long de la paroi exte
corne spliénoidale. - F.11, faiscerlU rétroflexe de Meynert. - 1·'T
faisceau
de Turck formant la couche supérieure du segment
erne et se continuant en bas avec la voie pédonculaire (VI'). - fTlk,
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold, ou couche inférieu
(Fig. 29, 30 et 281) : la couche supérieure comprend les fibres du
faisceau
de Turck (FT) que l'on peut suivre de la substa
rébral (Fig. 29 et 7). La couche inférieure est con- stituée par le
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold (fTth), faisceau Fi
st con- stituée par le faisceau temporo-thalamique d'Arnold (fTth),
faisceau
Fig. 30. - Le segment sous-lenticulaire de la c
u Fig. 30. - Le segment sous-lenticulaire de la capsule interne, le
faisceau
temporo- thalamique d'Arnold et les fibres du f
interne, le faisceau temporo- thalamique d'Arnold et les fibres du
faisceau
de Tiirck qui s'irradient dans le tha- lamus. C
e rayonnante. fr, fibres radiées du thalamus. - FTth, fibres que le
faisceau
de Turck envoie au thalamus. - zut, faisceau te
- FTth, fibres que le faisceau de Turck envoie au thalamus. - zut,
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold. - Ln, locus niger. -
segment sous-lenticulaire de la capsule interne (en particulier du
faisceau
lemporo-thalamidue d'Arnold) à la suite d'une B
s obliques mon trent très nettement l'irradiation dans le pulvinar du
faisceau
tem- poro-thalamique d'Arnold partiellement dég
rieure. - Ep, épendyme de la voûte de la corne sphénoldale. - h'li,
faisceau
longitudinal postérieur ou couche sagittale exter
tale externe du segment inférieur de la couronne rayonnante. - Fit,
faisceau
rétroflexe de Meynert. Fmp, faisceau mamillaire
e la couronne rayonnante. - Fit, faisceau rétroflexe de Meynert. Fmp,
faisceau
mamillaire principnl.- FTth, faisceau temporo-t
u rétroflexe de Meynert. Fmp, faisceau mamillaire principnl.- FTth,
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold, son irradiation (Fig
aspect que sur les coupes vertico-transversales qui intéressent le
faisceau
de Turck. En avant de ce faisceau, ce segment (
-transversales qui intéressent le faisceau de Turck. En avant de ce
faisceau
, ce segment (Cisl) est réduit au faisceau tempo
de Turck. En avant de ce faisceau, ce segment (Cisl) est réduit au
faisceau
temporo-thalamique dont les fibres, sectionnées
à leur axe, s'étalent sur la voûte sphénoïdale. C'est en arrière du
faisceau
de Tùrck, sur les coupes vertico-transversales qu
rsales qui intéressent le corps genouillé externe (Fig. 30), que le
faisceau
temporo-thalamique atteint son plus haut degré
ière et Bras, Fig, 93, p. 108 a 120) on constate | nettement que le
faisceau
temporo-thalamique, en se continuant avec les f
spond à la partie externe du noyau amygda- lien (Fig. 31 et 32). Le
faisceau
temporo-thalamique ne relie donc pas le pôle te
que. L'étude des dégénérescences secon- daires nous a montré que ce
faisceau
tire son origine des circonvolutions ' Son aspe
ules lingual et fusiforme (cas Courrière et Bras, p. 108 à 120). Le
faisceau
de Tiirck, par contre, ne lire son origine que
t sous-lenticulaire (Cisl) de la capsule interne qui constituent le
faisceau
de Turck. Les coupes horizontales du cerveau (T
ticule du subiculum. - 7 ? troisième circonvolution frontale. Fcop,
faisceau
de la commissure postérieure. - Fi, fimbria. -
Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - Fi, fimbria. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. P.11, faisceau rétrollexe
ieure. - Fi, fimbria. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. P.11,
faisceau
rétrollexe de Meynert. Flp, faisceau longitudin
longitudinal inférieur. P.11, faisceau rétrollexe de Meynert. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - la, Ip, insula antérie
ntérieur et postérieur du trigone. - Il,, troisième ventricule. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - Vf, corne frontale du ventric
troisième circon- volution frontale. - f,, sillon olfactif. - Fcop,
faisceau
de la commissure postérieure. - Fli, faisceau l
lon olfactif. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudina
ommissure postérieure. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. 1,ilI. faisceau rétro-
longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. 1,ilI.
faisceau
rétro- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRA
en. - U, circonvolution du crochet. - V3, troisième ventricule. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale du ve
iculairement à leur axe, et correspondent : le cinquième interne au
faisceau
géniculé; les trois cinquièmes moyens au segment
e, caractérisé par ses fibres horizontales, il est constitué par le
faisceau
de Turck. Sur les coupes plus inférieures, ces
ons inférieures du pied du pédon- cule cérébral. Ils constituent le
faisceau
du pied à la calotte, le pes lemniscus de Meyne
de Marchi (Fig. 37 et 38), montrent qu'il s'agit ici de véritables
faisceaux
aberrants de la voie pédonculaire qui, refoulés
zontale des fibres de son cinquième ex- terne constitué par le
faisceau
de Turck. Formation dos lâ- ches fascicules d
Formation dos lâ- ches fascicules du stratum intormé- dium.
Faisceaux
aber- rants de la voie pé- donculaire. Pos
, croiser la face libre du pied du pédoncule cérébral en formant le
faisceau
en écharpe de Féré. Au niveau du sillon pédonculo
nterne du pied du pédoncule cérébral et se placent en dedans de son
faisceau
interne; dans la protubérance, elles sont refou-
iption de celle coupe, 1110 partie). Aq, aqueduc de Sylvius. - Flp.
faisceau
longitudinal postérieur. - xF, entre-croisement
Pour éviter toutes espèces de confusion, nous désignerons ces deux
faisceaux
sous les noms de pes lemniscus superficiel (PLs
elativement rare et il semble exister une vicariance entre ces deux
faisceaux
aberrants de la voie pédonculaire. Parfois on v
ré en rose. (Voy. description de cette coupe, lll° partie.) Fiée,
faisceau
central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
e coupe, lll° partie.) Fiée, faisceau central de la calotte. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. FPoa, fibres protubéra
-esternes. 54 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Importance do ces
faisceaux
dans la to- pographie des dégé- nérescences d
l se portent en haut, en arrière et en dehors; elles contournent le
faisceau
externe du pied du pédoncule cérébral, puis s'i
le pédoncule du tubercule mamillaire. Dans les dégé- nérescences du
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral, on trou-
sous-optique (cas Schweigoffer, Fig. 120, p. 136), en dedans de ce
faisceau
dégénéré, les fibres horizontales saines de l'a
égion pédonculaire inférieure (Fig. 40), elle s'étale à la surface du
faisceau
interne et simule une dégénérescence partielle
ce du faisceau interne et simule une dégénérescence partielle de ce
faisceau
. - Méthode de Weigert. La zone dégénérée est co
R, cap- sule du noyau rouge. - cop, commissure postérieure. - 1 lp,
faisceau
longitudinal posté- 56 ANATOMIE DES CENTRES NER
ni avec les fibres aberrantes postéro externes. rieur. - r.11,
faisceau
rétroflexe de Meynert. - Fmp, faisceau mamillaire
éro externes. rieur. - r.11, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fmp,
faisceau
mamillaire principal. - Gip, ganglion interpédo
noyau du nerf pathétique. - l', pied du pédoncule cérébral; P', son
faisceau
interne sain; P(d), sa zone moyenne dégénérée.
protubérance, des fibres saines refouler en arrière et en dehors le
faisceau
interne dégénéré. Mais le faisceau interne ne s
ouler en arrière et en dehors le faisceau interne dégénéré. Mais le
faisceau
interne ne se déplace qu'au voisinage immédiat de
se placer en avant, puis en dedans, des fibres verticales saines du
faisceau
interne. Ces particularités sont très visibles su
raphie de certaines dégénéres- cences, de prime abord anormales, du
faisceau
moyen du pied du pédon- cule cérébral, telles q
; elle est limitée en dedans et en dehors par les fibres saines des
faisceaux
interne (P') et externe (P) de la voie pédoncul
P(cl) se déplace : elle se porte en dedans, s'étale à la surface du
faisceau
interne sain (P') (Fig. 40) et le refoule dans
ondeur du pied du pédoncule, simu- lant ainsi une dégénérescence du
faisceau
interne, au moins dans ses couches superficiell
formations ganglionnaires dans lesquelles elles s'irradient, en un
faisceau
compact plus ou moins nettement cir- conscrit,
adiations thalamiques , fibres cortico-lhalamiques appartiennent au
faisceau
compact de la cou- 1. Nous tenons toutefois, et
re remarquer que la dénomination sous laquelle est connu tel ou tel
faisceau
encéphalique ou médullaire n'implique point, par
encéphalique ou médullaire n'implique point, par elle-même, que ce
faisceau
contienne une seule espèce de fibres. Elle indiqu
enne une seule espèce de fibres. Elle indique seulement que dans ce
faisceau
un système de fibres y existe d'une manière prédo
aisceau un système de fibres y existe d'une manière prédominante. Les
faisceaux
constitués par une seule espèce de fibres sont
ul3, XL3, les deux segments externes du noyau lenticulaire. - 0/+ ?
faisceau
occipito-frontal mélangé de fibres de projections
description, on a distingué les radiations tha- lamiques en quatre
faisceaux
ou pédoncules, connus sous le nom dopé- doncule
, en effet, que les radiations thalamiques soient réunies en quatre
faisceaux
distincts; non seulement elles sont mélangées d
nférieur est toule fictive. Il s'agit, dans l'espèce, bien moins de
faisceaux
distincts, que d'un groupement de fibres des di
nte des circonvolu- Leur terminaison. Leur groupement en quatre
faisceaux
ou pédoncules. Connexions de la corticalité
dont elles forment les fibres radiées (Fig. 42). Elles croisent le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA) traversent presque sagittal
encéphalique intéressant le noyau antérieur de la couche optique, le
faisceau
de Vicq d'Azyr, le faisceau rétroflexe de Meyne
oyau antérieur de la couche optique, le faisceau de Vicq d'Azyr, le
faisceau
rétroflexe de Meynert, le noyau rouge, le pédoncu
sure antérieure. - 1, champ de Forel. - f4, sillon crucial. - F,11,
faisceau
rétroflexe de Meynert. - fez, fibres perforantes
ance faisant suite à la voie pédonculaire et concourant à former le
faisceau
pyramidal. - Qa, tubercule quadriju- meau antér
rcule mamillaire accessoire. - tsc, taenia semi-circu- laris. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - T'l, ventricule latéral. - Zr,
odronnée. - Cia, segment antérieur de la capsule interne. - Ci(fl),
faisceau
géniculé de la capsule interne. - Cip, segment po
sième circonvolution frontale. - f,g, sillon fimbrio-godronné. Fli,
faisceau
longitudinal infé- rieur. - Gh, ganglion de l'h
cule du subiculum. - F3, troisième circonvolution frontale. - Fcop,
faisceau
de la commissure postérieure. - frl, sillon fimbr
fimbrio-godronné. - Fli, fais- ceau longitudinal inférieur. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - 7'W, faisceau rétro-
ngitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - 7'W,
faisceau
rétro- flexe de Meynert. - GQp, ganglion du tub
U, circonvolu- tion du crochet. - 1'3, troisième ventricule. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale. - Il
ule interne (Cisl) (Fig. 29 et 30). Les unes suivent le trajet du
faisceau
de Tiirck (FT), traversent la partie postérie
tres, en hicn plus grand nombre, entrent dans la constitution du
faisceau
tent- poro - thalamique d'Arnold (Voy. pag. 4
r trajet dans le centre ovale, elles appa- raissent sous forme d'un
faisceau
compact faiblement coloré par la laque hématoxy
à, elles se portent en avant et en dedans,-tandis que les fibres du
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold se portent en arrière
e interne, passent entre le pilier antérieur du trigone (Tga) et le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA), puis s'irradient en éven-
s du pul- vinar, et certaines fibres de la bandelette optique et du
faisceau
temporo- thalamique d'Arnold (p. 47) à la forma
, anse lenticulaire. - ail + 1,'I, union de l'ange lenticulaire et du
faisceau
lenticulaire de Forel. - Ce, corps calleux. - C
calleux. - CL, corps de Luys. - C.11, commissure de .Meynert. - FI,
faisceau
lenticulaire de Forel. - Lmi, lame médullaire int
essoire. - lsc, tamia semi-circularis. - lllz, taenia tlialami. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - T'Csl, veine du corps strié.
troisième circonvolution frontale. fj, sillon fimbrio-godronnë. TL,
faisceau
lenticulaire de Forel. - pli, faisceau longitudin
, sillon fimbrio-godronnë. TL, faisceau lenticulaire de Forel. - pli,
faisceau
longitudinal inférieur. I·'JI, faisceau rétrofl
nticulaire de Forel. - pli, faisceau longitudinal inférieur. I·'JI,
faisceau
rétroflexe de Meynert. 7 ? faisceau de Tiirck et
longitudinal inférieur. I·'JI, faisceau rétroflexe de Meynert. 7 ?
faisceau
de Tiirck et segment sous- lenticulaire de la c
irck et segment sous- lenticulaire de la capsule interne. - 7·'Cle,
faisceau
thalamique de Forel. - Gh, ganglion de l'habénu
ur du trigone. - Th, couche optique. 3, troisième ventricule. - VA,
faisceau
de Vice¡ d'.lzyr. - Vl, ventricule latéral. - IV,
ou fibres aberrantes postéro-externes (]) . 5'1) qui contournentle
faisceau
externe du pied du pédoncule et abordent le tub
espace perforé antérieur. - Epp, espace perforé postérieur. - Fcop,
faisceau
de la commissure postérieure. Fli, faisceau longi
oré postérieur. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudi
commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - P.11, faisceau rétrofl
gitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - P.11,
faisceau
rétroflexe de Meynert. - Fu, faisceau unci- nat
ongitudinal postérieur. - P.11, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fu,
faisceau
unci- natus. - 1, insula. - le, lame cornée. -
e la capsule interne (Cisl), suivent dans cette région le trajet du
faisceau
de Turck et traversent avec lui la partie posté
eur que les radiations du corps genouillé interne. Elles forment un
faisceau
assez compact (bras du tubercule quadrijumeau pos
en cinq parties égales. 1. La partie interne, cinquième inlerne ou
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral reçoit se
e (Cia), dans les régions thalamiques moyenne et inférieure, par le
faisceau
géniculé (Ci(g) et la partie antérieure du segmen
aire, participe à rentre-croisement moteur et à la constitution des
faisceaux
pyramidaux de la moelle. La méthode des dégénér
sous-lenticulaire do la capsule interne. Origine corticale du
faisceau
interne. Son trajet. Sa terminaison. 74 ANA
- traînent sa dégéné- rescence. montre que la dégénérescence du
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral s'accompa
et 122, p. 136, cas Schweigoffer). Dans son trajet pédonculaire, le
faisceau
interne du pied du pédoncule est croisé en haut
t-à-dire par les fibres les plus supérieures de la protubérance. Le
faisceau
interne est limité en dedans par une traînée de s
'au voisinage immédiat de la prote- bérance (Voy. Fig. 3 -i0). Le
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral a été ident
(Voy. Historique, p. 81), puis tour à tour désigné sous les noms de
faisceau
cortico-protubérantiel auté- rieur, faisceau fr
signé sous les noms de faisceau cortico-protubérantiel auté- rieur,
faisceau
fronto-protubérantiel (frontale Brûckenbahn, Flec
r, faisceau fronto-protubérantiel (frontale Brûckenbahn, Flechsig),
faisceau
d'Arnold (Meynert), faisceau psychique ou intelle
tiel (frontale Brûckenbahn, Flechsig), faisceau d'Arnold (Meynert),
faisceau
psychique ou intellectuel (Brissaud). Ce faisce
Arnold (Meynert), faisceau psychique ou intellectuel (Brissaud). Ce
faisceau
ne correspond pas, comme l'a admis Brissaud. au s
Brissaud. au segment antérieur de la capsule interne, mais bien au
faisceau
geni ? ulé (Ci(g); il n'est pas constitué par l
cule rolandique et de la partie adjacente de l'opercule frontal. Le
faisceau
interne est exclusivement formé de neurones corti
res cortico-prolzcbérantielles et de rares fibres pyramidales. Le
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral dégénère à
interne (Cia) (cas Cogery, Fig. 174 à 180); dans ce dernier cas le
faisceau
geniculé (Ci[g]) est lésé; les lésions de la pa
eure du segment antérieur de la capsule interne (Cia) respectent le
faisceau
geniculé (cas Racle, Fig. 165 à 173), et, parta
g. 165 à 173), et, partant, ne déterminent pas la dégénérescence dn
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral. Les lési
cas Jouan, Fig. 97 à 100, cas Carré, Fig. 186 à 188), respectent le
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral et la dis
ral et la distance qui sépare, dans la région sous-tha- lamique, le
faisceau
dégénéré du bord interne du segment postérieur de
erne (Cip), est sensiblement égale à celle qui, plus bas, sépare le
faisceau
dégénéré du bord interne du pied du pédoncule cér
ule céré- bral ; ce sont là autant de preuves qui démontrent que le
faisceau
inlerne du pied du pédoncule correspond bien au
ent que le faisceau inlerne du pied du pédoncule correspond bien au
faisceau
geniculé de la capsule interne. Les lésions c
de Cia), n'en- traînent pas toujours une dégénérescence totale, du
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral. On y ren
peuvent être suivies du pied de la couronne rayonnante jusque dans le
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral. (Voy. ca
usticiables de cette interprétation et l'on peut se demander, si le
faisceau
interne du pied du pédoncule, en dehors des très
grité parfaite du pied du pédoncule cérébral, en particulier de son
faisceau
interne. Le cas Mauriceau paraît en contradicti
riceau paraît en contradiction avec le fait de la dégénérescence du
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral, obtenu p
e orbi- taire du lobe frontal, bien que dans le cas Rivaud, dont le
faisceau
interne contenait quelques fibies saines, cette
pédoncule. 76 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Origine cortical du
faisceau
moyen Son trajet. La topograplm capsulaire
trajet plus ou moins aberrant de la voie normale'et si les fibres du
faisceau
interne du pied du pédoncule du cas Richard ne
yen de l'hémisphère (Voy. p. 207). 2, 3, 4. La partie moyenne, ou
faisceau
moyen du pied du pédoncule cérébral, est consti
t, dans le pied du pédon- cule, une région d'autant plus voisine du
faisceau
interne, qu'elles pro- viennent de régions rola
ral le deuxième cinquième externe et sont limitées en dehors par le
faisceau
de Tiirck (Fig. t9). Les libres des trois cinqu
s; elles descendent en- suite dans la pyramide bulbaire et dans les
faisceaux
pyramidaux direct, c/'oeet /to ? MO/6 ! /e ? '6
Ses différentes ca- tégories de fibres ne se groupent pas en
faisceaux
distincts. corps genouillé externe (Cge), le tu
sous-lenticulaire de la capsule interne. - CL, corps de Luys. - FT,
faisceau
de Turck. Ln, locus niger. - A'C, noyau caudé. -
yramidales, elles contiennent en outre, dans la partie adjacente au
faisceau
interne, les neurones corticaux du nerf fa- cia
tes catégories de fibres du pied du pédoncule ne se groupent pas en
faisceaux
distincts et sont intimement mélangées les unes
pied du pédon- cule cérébral, comme le veulent certains auteurs, un
faisceau
corlico- protubérantiel distinct, un faisceau d
certains auteurs, un faisceau corlico- protubérantiel distinct, un
faisceau
des nerfs moteurs crâniens distinct, un faiscea
ntiel distinct, un faisceau des nerfs moteurs crâniens distinct, un
faisceau
pyramidal distinct. Ces fibres sont intimement en
cinquièmes moyens du pied du pédoncule. 5. - La partie externe ou
faisceau
externe du pied du pédoncule cérébral ou faisce
partie externe ou faisceau externe du pied du pédoncule cérébral ou
faisceau
de Türck (FT)tire son origine de la partie moyenn
en occupent le cinquième externe. Dans son trajet pédonculaire, le
faisceau
de Tiirck n'abandonne que de très rares fibres
politiques. Au- cune fibre ne descend dans la pyramide bulbaire. Le
faisceau
externe du pied du pédoncule cérébral ne contie
ro-pro- lubéranlielles et quelques fibres pour le locus niger. Le
faisceau
externe du pied du pédoncule cérébral a été désig
xterne du pied du pédoncule cérébral a été désigné sous les noms de
faisceau
de Turck (Meynert), faisceau sensitif (Charcot, B
érébral a été désigné sous les noms de faisceau de Turck (Meynert),
faisceau
sensitif (Charcot, Ballet, Brissaud), faisceau
de Turck (Meynert), faisceau sensitif (Charcot, Ballet, Brissaud),
faisceau
cortico-protubérantiel postérieur (Flechsig), fai
, Brissaud), faisceau cortico-protubérantiel postérieur (Flechsig),
faisceau
occil)ilo-te21îl)oi,o-pî,otïtbéi-aîtlî'el (Flec
- temporale l3rüc%enGczhzz, Flechsig). D'après tous ces auteurs, le
faisceau
externe du pied du pédoncule entrait en connexi
ostérieurs de la moelle au lobe occipital (Fig. 51). Pour Charcot, ce
faisceau
n'était jamais frappé de dégénérescence seconda
rolongeant les fibres sensitives spinales ». Flechsig montra que ce
faisceau
ne participe pas à la formation de la pyramide bu
mais qu'il s'arrête dans la protubérance ; il le considéra comme un
faisceau
ncci¡ ¡ ito-l e mp 0 l' 0- pro lubéranl i el.
). Bechterew, Rossolimo, Jelgersma, Zacher, etc., montrèrent que ce
faisceau
dégénérait, sans toutefois établir son origine co
quièmes internes du piod du pddon- cule. Origine corticale du
faisceau
externe. ,%il trajet. bes diverses déno- mi
lésions à la fois corticales et capsulaires. L'origine corticale du
faisceau
de Tiirck fut établie pour la première fois par
l'un de nous, en 1893, dans des recherches qui démon- trent que le
faisceau
externe du pied du pédoncule cérébral tire son
tire son origine exclusivement du lobe temporal, qu'il constitue un
faisceau
leu- p01'o-pl'otubéranliel et que les lésions d
temporale chez le singe ont obtenu de même une dégéné- rescence du
faisceau
externe du pied du pédoncule (méthode de Marchi).
tive de Munck) constata par la même méthode la dégénérescence de ce
faisceau
et sa terminaison dans la substance grise de la r
supé- rieure de la protubérance. Quant aux fonctions sensitives du
faisceau
de Türcl; elles n'existent pas, la chose est ce
aine, aussi bien expérimenta- lement que cliniquement parlant. Le
faisceau
de Tiirck est donc formé par des neurones de proj
tion du lobe temporal. Il dégénère de haut en bas, comme les autres
faisceaux
du pied du pédoncule cérébral. « S'il dégénère
ral. « S'il dégénère moins souvent que ces derniers, surtout que le
faisceau
moyen, cela lient uniquement à ce que les lésions
nérescence secondaire de la partie du pied du pédoncule contigué au
faisceau
de Tiirck, sans que ce dernier participe à l'al
e hauteur dans le segment postérieur de la capsule interne. Mais ce
faisceau
dégénère dans toute son étendue lorsque, par une
postérieur de la capsule interne, c'est-à-dire sur la région où le
faisceau
de Tiirck aborde la capsule in- terne. » (J. De
4 ïG, p. 173; cas Dautriche, Fig. 192 à 19G.) La dégénérescence du
faisceau
de Tiirck ne peut être suivie, ainsi que nous a
voie pyramidale, mais entraînent une dégé- nérescence rétrograde du
faisceau
de Tiirck dans son trajet pédonculaire et capsu
s eo)'eo ? ? 'oM6e7'cHze/'<, les neurones corlico- bulbaires (ou
faisceau
cérébral des nerfs craniens moteurs), les neurone
teurs), les neurones corlico-médullaires plus connus sous le nom de
faisceau
pyramidal. Les radiations du locus niger tirent
st presque insignifiante lors- qu'il n'y a qu'une dégénérescence du
faisceau
de Tiirck. Ces faits nous permettent de conclur
rantiels proviennent de tout le sec- teur moyen de l'hémisphère. Le
faisceau
de Tiirck ne contient pour ainsi dire que des f
ge antérieur de la protubérance. Les neurones cortico-bulbaires (ou
faisceau
cérébral des nerfs moteurs crâniens) tirent leu
l'opercule frontal, passentpar le genou de la capsule interne et le
faisceau
interne dupied du pédoncule cérébral, et sont enc
: Charcot, Vulpian. Bouchard. Les neurones cortico-médullaires (
faisceau
pyramidal), tirent leur J' origine de la zone r
yramide bulbaire. Ils ne reçoivent pour ainsi dire pas de fibres du
faisceau
de Turck, mais un petit nombre de fibres du fai
s de fibres du faisceau de Turck, mais un petit nombre de fibres du
faisceau
interne du pied du pédoncule. En effet, les dég
ceau interne du pied du pédoncule. En effet, les dégénérescences du
faisceau
de Tiirck n'enlrainent pas d'as- symétrie appré
oy. cas Neumann, Fig. 134 à 136), tandis que les dégénérescences du
faisceau
interne du pied du pédoncule déterminent toujou
1866. Bouchard, contrairement à l'opinion de Tiirck, montra que les
faisceaux
direct et croisé de la moelle épinière appartie
ect et croisé de la moelle épinière appartiennent à un seul et même
faisceau
encéphalique et qu'ils dégénèrent à la suite d'
. Ainsi se trouva donc posé le problème de l'origine corticale du
faisceau
[pyramidal. Il le fut déjà par Vulpian, lorsque
Char- cot et Vulpian, de Bouchard, le trajet intra- médullaire du
faisceau
pyramidal était dé- finitivement établi, si l'o
au pyramidal était dé- finitivement établi, si l'on savait que ce
faisceau
dégénère à la suite de lésions pro- tubérantiel
rales, jusqu'aux travaux de Flechsig basés sur le développement des
faisceaux
encéphaliques et médullaires, l'opinion des a
ut implicite- ment acceptée et l'on admit, avec j\)eynert, que le
faisceau
pyramidal, comme du reste la plupart des fibres
- tripètes en brun clair, le système cérébelleux en jaune. Cf, le
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral (fibres de
élan- gées avec des fibres du pédoncule cérébelleux moyen. - Cp, le
faisceau
externe du pied du pédoncule cérébral ou faisce
x moyen. - Cp, le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral ou
faisceau
de Turck; il provient de l'écorce des lobes occip
aire, ses rapports avec l'olive bulbaire et sa continuation avec le
faisceau
latéral du [bulbe (coupe 5) et le cordon latéra
tingent du lo- cus nycr. Découverte de Gudden de l'origine du
faisceau
de la pyramide dans la cor- ticalité motrice
e du chien. Travaux de Char- cot sur l'origine corti- cale du
faisceau
pyra- midal chez l'homme. pyramide du bulbe,
hémianesthésie d'origine cérébrale rapportés par Tiirck, désigna ce
faisceau
sous le nom de faisceau de Tiirck, ou faisceau
cérébrale rapportés par Tiirck, désigna ce faisceau sous le nom de
faisceau
de Tiirck, ou faisceau sensitif. ' Quant aux
r Tiirck, désigna ce faisceau sous le nom de faisceau de Tiirck, ou
faisceau
sensitif. ' Quant aux fibres du locus niger (pé
(1879), Meyneit admet dans le pied du pédoncule cérébral, outre les
faisceaux
du corps strié, du noyau lenticulaire et les fi
les fibres corticales directes temporo-occi- pitales qui forment le
faisceau
de Tiirck, un [quatrième - - - -- ..... 1 1 -
s passer par les ganglions centraux et qu'il désigne sous le nom de
faisceau
d'Arnold. En 1872, Gudden montra par voie expér
entale de Gudden, qui prouve impli- citement l'origine corticale du
faisceau
pyramidal, n'eut aucun retentissement. Ce ne fu
de Charcot (187G) et de Flechsig (1881), que l'origine corticale du
faisceau
pyramidal fut définitivement admise. Charcot mo
lésions de la substance grise corticale déterminent une sclérose du
faisceau
pyramidal lorsque le foyer intéresse les deux cir
don- cule. - F. étage inférieur du côté sain.-L, locus ni- ger,
faisceau
interne de l'étage inférieur du côté ma- lade
opres observations, divisa le pied du pédoncule céré- bral en trois
faisceaux
: Un faisceau interne, qui correspond à tout le
s, divisa le pied du pédoncule céré- bral en trois faisceaux : Un
faisceau
interne, qui correspond à tout le segment antérie
a dégénérescence ne peut être suivie au delà de la]protubérance; Un
faisceau
moyen, ou faisceau pyramidal, qui comprend au moi
peut être suivie au delà de la]protubérance; Un faisceau moyen, ou
faisceau
pyramidal, qui comprend au moins les deux quarts
térieur de la capsule interne (région pyramidale de la capsule); Un
faisceau
externe (faisceau sensitif de Meynert), qui jamai
ule interne (région pyramidale de la capsule); Un faisceau externe (
faisceau
sensitif de Meynert), qui jamais sous aucune cond
nt postérieur de la capsule interne. En 1880, Brissaud subdivisa le
faisceau
interne en deux faisceaux inégaux : un petit fa
le interne. En 1880, Brissaud subdivisa le faisceau interne en deux
faisceaux
inégaux : un petit faisceau externe, contigu au
subdivisa le faisceau interne en deux faisceaux inégaux : un petit
faisceau
externe, contigu au faisceau pyramidal, qui renfe
e en deux faisceaux inégaux : un petit faisceau externe, contigu au
faisceau
pyramidal, qui renferme les fibres des noyaux m
facial et hypoglosse) et correspond au genou de la capsule interne (
faisceau
géniculé); un faisceau interne, beaucoup plus gra
t correspond au genou de la capsule interne (faisceau géniculé); un
faisceau
interne, beaucoup plus grand, qui répond au segme
s- ceau psychique »). Plus tard, Brissaud abandonnant l'épithète de
faisceau
psychique, revient iL l'ancienne opinion de Mey
revient iL l'ancienne opinion de Meynert et identifie tour à tour le
faisceau
interne du pied du pédoncule avec l'anse du noy
e du pied du pédoncule avec l'anse du noyau lenticulaire et avec le
faisceau
d'Arnold. Fig. 53. - La région pyramidale de la
rne; 3, coupe transversale du pied du pédon- cule cérébral. a, le
faisceau
externe de la couche inférieure du pied du pédonc
isceau externe de la couche inférieure du pied du pédoncule cérébral (
faisceau
occipito-temporo-protubérantiel non encore myél
eurs crâniens, en particulier du facial et de l'hypoglosse. - c, le
faisceau
interne de la couche inférieure du pied du pédonc
n encore myélinisée. - g, les radiations de la calotte. Les trois
faisceaux
du pied du pédoncule d'après Charcot. La su
ceaux du pied du pédoncule d'après Charcot. La subdivision du
faisceau
interne du pied du pédoncule par Brissaud.
, 1884, étudie, l'aide de l'anatomie de développement, le trajet du
faisceau
pyramidal dans la moelle épinière et s'occupe p
remiers travaux, il admet encore, avec Meynert, l'origine striée du
faisceau
pyramidal ; dans ses travaux ultérieurs (1881-188
dal ; dans ses travaux ultérieurs (1881-1883), il étudie le trajet du
faisceau
pyramidal dans la capsule interne, admet l'exis
, l'autre dorsale ou supérieure. La couche ventrale comprend quatre
faisceaux
(Fig. 53) : . 1° Le faisceau externe (a), faisc
La couche ventrale comprend quatre faisceaux (Fig. 53) : . 1° Le
faisceau
externe (a), faisceau cortico-protubérantiel post
comprend quatre faisceaux (Fig. 53) : . 1° Le faisceau externe (a),
faisceau
cortico-protubérantiel postérieur, faisceau tempo
Le faisceau externe (a), faisceau cortico-protubérantiel postérieur,
faisceau
temporo- occipito-protubéranliel (Hintere oder
croyait Meynert, l'entre-croisement sensitif; il ne représente pas un
faisceau
sensitif; il n'atteint pas le bulbe, mais relie
nce giise antérieure du pont à l'écorce occipito-temporale; 2° Le
faisceau
moyen (p), faisceau pyramidal, occupe dans la rég
du pont à l'écorce occipito-temporale; 2° Le faisceau moyen (p),
faisceau
pyramidal, occupe dans la région pédonculaire inf
périeure, le troisième quart externe du pied du pédoncule. C'est un
faisceau
myélinisé à la naissance, très bien délimité en
oyaux;pontidues, forme la pyramide bulbaire et se continue avec les
faisceaux
pyramidaux direct et croisé de la moelle. Dans la
ulier dans la circonvolution pariétale ascendante ; 3° En dedans du
faisceau
pyramidal se trouve un faisceau encore peu myélin
iétale ascendante ; 3° En dedans du faisceau pyramidal se trouve un
faisceau
encore peu myélinisé à la naissance (p'), il n'
occupe dans la capsule interne le segment pos- térieur en avant du
faisceau
pyramidal et représente les fibres des nerfs mote
eprésente les fibres des nerfs moteurs de la protubérance ; 4° Le
faisceau
qui comprend les deux cinquièmes internes du pied
ticulaire. a) Les fibres originaires du lobe frontal constituent le
faisceau
cortico-protubérantiel antérieur ou fron- tal (
se rendent directement dans la capsule interne, passent en avant du
faisceau
pyramidal et se placent dans le pied du pédoncu
aisceau pyramidal et se placent dans le pied du pédoncule, entre le
faisceau
cortico-protubérantiel antérieur el le faisceau d
u pédoncule, entre le faisceau cortico-protubérantiel antérieur el le
faisceau
des neifs moteurs crâniens ; elles occupent ens
autres se rendent dans la couche ventrale et sont situées entre le
faisceau
des nerfs crâniens moteurs et le faisceau des f
le et sont situées entre le faisceau des nerfs crâniens moteurs et le
faisceau
des fibres caudées; elles forment avec ce derni
et le faisceau des fibres caudées; elles forment avec ce dernier le
faisceau
strio-protubéranliel (Slrei- feiilingel-Brücken
ynert; elle est constituée en dedans (Fig. 53 (d) par les fibres du
faisceau
cortico-protubérantiel antérieur et en dehors p
nakow, Zacher) et admettent dans le pied du pédoncule cérébral : un
faisceau
cortico-protubérantiel antérieur, un faisceau des
pédoncule cérébral : un faisceau cortico-protubérantiel antérieur, un
faisceau
des nerfs moteurs crâniens, un faisceau pyramid
rotubérantiel antérieur, un faisceau des nerfs moteurs crâniens, un
faisceau
pyramidal, un faisceau cortico-protubérantiel pos
, un faisceau des nerfs moteurs crâniens, un faisceau pyramidal, un
faisceau
cortico-protubérantiel pos- térieur et, dans le
suite de lésions étendues de la corticalité cérébrale; 2° Que le
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral tire son or
d'in- sertion de la troisième circonvolution frontale; 3° Que le
faisceau
externe ou de Tiirck, n'est point, comme le croya
Tiirck, n'est point, comme le croyaient Meynert, Flechsig, etc., un
faisceau
venant de la région occipito-temporale, mais
deuxième et troisième circonvolutions tempo- rales ; 4° Que le
faisceau
pyramidal occupe les trois cinquièmes moyens
texture du cerveau el abandon- nant son opinion sur l'origine des
faisceaux
cortico-protubéranliels antérieur et postérieur
é correspondante du tronc encéphalique, portant sur la totalité des
faisceaux
blancs et de la substance grise. Elle intéresse
x blancs et de la substance grise. Elle intéresse non seulement les
faisceaux
de la voie pédonculaire respectés par la dégéné
egment postérieur de la capsule interne en arrière du genou. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - FT, faisceau de Turcs
e en arrière du genou. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FT,
faisceau
de Turcs atteint de dégénérescence rétrograde.
la pyramide bulbaire. Dans la moelle épinière enfin, les fibres du
faisceau
pyramidal, bien que cantonnées spécialement dan
doncule, de la protubérance, du bulbe et de la moelle épinière, les
faisceaux
sectionnés dégénèrent dans les deux sens, très
xistence d'un très petit nombre de fibres dégénérées au milieu d'un
faisceau
sain, résultat que l'on ne peut obtenir avec la
ploi de la méthode de Marchi on peut, d'autre part, établir dans un
faisceau
complexe la direction des fibres qui le constitue
st un peu moins ré- cente, la dégénérescence rétrograde de ces deux
faisceaux
survient. On constate alors ( méthode de Marchi
la colonne grise médullaire. D'autres formations ganglionnaires et
faisceaux
du névraxe bien que n'affectant aucune espèce d
, l'anse du noyau lenticulaire; dans le cerveau intermédiaire : les
faisceaux
lenticulaire et thalamique de Forel, le faisceau
termédiaire : les faisceaux lenticulaire et thalamique de Forel, le
faisceau
rétroflexe de Meynert, la substance grise centr
hombencéphale : la formation réticulée et ses fibres arcifonnes, le
faisceau
longitudinal postérieur , le noyau du ruban de
ions strio-thalamiques et strio-sous-thalamiques, en particulier le
faisceau
lenticulaire de Forel (FI) qui traversent la caps
se du corps de Luys (CL), du noyau lenticulaire (NL3, NL2, NLi), du
faisceau
rétroflexe de Meynert (Fi1). (Compa- rez en par
ence complète du segment postérieur de la capsule interne (Cip) et du
faisceau
de Turck dans son trajet capsulaire (fur) et so
mbreuses fibres saines fortement colorées parl'héma- toxyline. Le
faisceau
thalamique de Forel (Fth), le ruban de Reil (Rm),
nullement à la dégénérescence (Fig. G7 à 73); il en est de même du
faisceau
lenticulaire de Forel (FI), de l'anse du noyau le
bulbe qu'elles forment en totalité, puis dans la moelle épi- nière (
faisceau
pyramidal direct et croisé) ; 3° Que le ruban d
le moyenne, dorsale inférieure et lom- baire. Dégénérescence du
faisceau
pyramidal direct gauche et croisé droit. Di-
s-optique. Les fibres horizontales saines mais d'aspect onduleux du
faisceau
lenticulaire de Forel (FI) segmentent la capsul
ont disparu sans laisser pour ainsi dire de traces; les fibres du
faisceau
lenticulaire sont si serrées que l'on dis- ting
ourtes fibres d'association et des libres propres du lobe occipital :
faisceau
occi- pital Iransverse du cunétts (ftcS), faisc
lobe occipital : faisceau occi- pital Iransverse du cunétts (ftcS),
faisceau
occipital transverse du lobule lingual (ilgl), st
ccipital transverse du lobule lingual (ilgl), stra- tum calcarinum,
faisceau
propre du cunéus, et une dégénérescence du faisce
tum calcarinum, faisceau propre du cunéus, et une dégénérescence du
faisceau
occipital vertical (Ov), lorsque la lésion sièg
lorsque la lésion siège à la face externe du lobe occipital; 2° Du
faisceau
long d'association : faisceau longitudinal inféri
face externe du lobe occipital; 2° Du faisceau long d'association :
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). Les fibres dégéné
faisceau longitudinal inférieur (Fli). Les fibres dégénérées de ce
faisceau
passent par la couche sagittale externe du lobe t
s le bourrelet du corps calleux (Cc[Spl]), et d'autres fibres dans le
faisceau
d'association occipito-frontal (OF). Voy. T. I
t sectionnant à ce niveau les couches sagittales (en particulier le
faisceau
longitudinal inférieur) et le tapetum de la régio
83). D'autre part elle se poursuit dans la couche sagittale externe (
faisceau
longitudinal inférieur Fli), du segment inférie
amygdalien (NA) (Fig. 83 à 8)); une partie des fibres dégénérées du
faisceau
longitudinal inférieur s'irradie dans l'écorce
sous-lenticulaire de la caspule interne (Cisl) et s'irradie avec le
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold (FTth) qu'elle conc
interne (Cgi), les radiations du corps genouillé interne (RCgi), le
faisceau
de Turck (FT), le pied du pédoncule cérébral (P)
e et interne de la corne occipitale, forment le tapetum (Tap) et le
faisceau
inférieur du forceps postérieur du corps calleux
calleux, d'autres fibres dégénérées entrent dans la constitution du
faisceau
occipito-frontal et peuvent être suivi sur les co
long de l'angle externe du ventricule latéral. - La dégénérescence du
faisceau
inférieur du forceps du corps calleux occupe to
très nette des couches sagittales (radiations thalamiques (RTh) et
faisceau
longitudinal inférieur (Fli),] du segment rétro
, du bras du tubercule quadrijumeau anté- rieur. Intégrité du
faisceau
de Turck et du pieddu pédoncule cérébral. 1
gment postérieur de la couronne rayon- nante, en particulier du
faisceau
longitu- dinal inférieur (Fli), des segments
inar (Pul) et de son stratum zonale (Strz). Dégénéres- cence du
faisceau
temporo - thalamique d'Arnold (FTth). In- t
egment postérieur de la capsule interne (Cip) en particulier du
faisceau
deTûrck et du pied du pédon- cule cérébral.
egment postérieur delà couronne rayon- nante, en particulier du
faisceau
longitu- dinal postérieur (Fli); des segments
tégrité du segment postérieur do la cap- sule interne (Cip), du
faisceau
de Tiirck et du pied du pédoncule cérébral.
nt détruit le tapetum (Tap), les radiations thalamiques (RTh) et le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). Sur la coupe actuel
érieur (Fli). Sur la coupe actuelle, la lésion n'a sectionné que le
faisceau
longitudinal inférieur. Dégénérescence extrêmem
eau longitudinal inférieur. Dégénérescence extrêmement accentuée du
faisceau
longitudinal inférieur, des radiations thalamiq
longitudinal inférieur, des radiations thalamiques, du tapetum, du
faisceau
inférieur du forceps et du bourrelet du corps c
érescence des couches sagittales (radia- tions thalamiques (RTh) et
faisceau
longitudinal inférieur (Fli)) s'accompagne d'une
nérescences des couches sagittales (radiations thalamiques (RTh) et
faisceau
longi- tudinal inférieur) (Fli), du faisceau oc
s thalamiques (RTh) et faisceau longi- tudinal inférieur) (Fli), du
faisceau
occipital vertical (Ov), de la substance blanche
a capsule interne, le pied du pédoncule cérébral, en particulier le
faisceau
de Turck sont absolument normaux (Fig. 91) : la b
rieure. La dégénérescence des couches sagittales, en particulier du
faisceau
longitudinal inférieur, a retenti en outre sur
euses fibres dégénérées (Fig. 91). 3° Une dégénérescence des courts
faisceaux
d'association du lobe occipital : faisceau occi
dégénérescence des courts faisceaux d'association du lobe occipital :
faisceau
occipital vertical (Ov), faisceau transverse du
d'association du lobe occipital : faisceau occipital vertical (Ov),
faisceau
transverse du cuneus, faisceau transverse du lobu
: faisceau occipital vertical (Ov), faisceau transverse du cuneus,
faisceau
transverse du lobule lingual. 4° Une dégénéresc
econ- daires du tapetum (Tap), des radiations thalamiques (RTh), du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli), de la substance b
ences Cirl, Cisl, \V, Pul, Cge, BrQa, Qa. Intégrité parfaite du
faisceau
de Turcl : , du pied du pédoncule cérébral
cences Cirl, Cisl, V, Pul, Cge, BrQa, Qa. Intégrité parfaite du
faisceau
de Turck, du pied du pédoncule cérébral et
es de l'hémi- sphère droit; la zone de dégénérescence qui coiffe le
faisceau
compact de la couronne rayonnante relève très p
segmen t postérieur de la capsule interne (Cip), en particulier du
faisceau
de Tiirck (FT) et de la commissure antérieure (
Dégénérescences secondaires des radiations thalamiques (RTh) et du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) qui doublent la pa
Pul, Cge, \V. Inté- grité du pied du pé- doncule cérébral du
faisceau
de Tùrck et de la bandelette optique. 120
rescen ces CSgt (T,), Cisl, Pul. Cge, \Y. Intégrité parfaite du
faisceau
de Turck, du pied du pédoncule cérébral et
doncule cérébral et de la bandelette optique. partie interne du
faisceau
longitudinal inférieur, la partie externe des rad
précédents, et dans lesquels la lésion corticale n'intéresse pas le
faisceau
compact du segment postérieur de la couronne ra
la lésion pouvant être suivies dans les radiations thalamiques, le
faisceau
longitudinal inférieur et la substance blanche
la capsule interne (Cisl) qui, venant du lobe temporal, formenl le
faisceau
de Turck (FT); dans le pied du pédoncule cérébral
l (Fig. 105), la dégénéres- cence se place en avant et en dedans du
faisceau
de Turck et correspond au deuxième cinquième ex
e cinquième externe du pied du pédoncule cérébral, intégrité du
faisceau
de Turck. 126 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
me cinquième externe du pied du pédoncule cérébral Intégrité du
faisceau
de Turck. FiG. 102, 103 et 104. - Cas Leudot.
ème cin- quième externe du pied du pédoncule cérébral. Intégrité du
faisceau
de Turck (FT); ce dernier refoule en avant la z
e cinquième externe du pied du pédoncule cérébral. Intégrité du
faisceau
do 'l'urck. g2g ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
rescence : 1° des courtes fibres d'asso- ciation de la région et du
faisceau
occipital vertical (Ov), qui recouvre les couches
onge en avant jusqu'à la base du gyrus supra-marginalis; 2« du long
faisceau
d'association; faisceau longitudinal inférieur (F
base du gyrus supra-marginalis; 2« du long faisceau d'association;
faisceau
longitudinal inférieur (Fli), qui concourt à form
et et la partie postérieure du tronc du corps calleux, soit dans le
faisceau
occipito-frontal (OF). Zone rolandique. (Lobe c
cinquième externe du pied du pédoncule cérébral (P(d). Intégrité du
faisceau
de Tiirck (FT). Méthode de Weigert. 2/1 grandeur
en outre sur les courtes fibies d'association de la région, sur le
faisceau
arqué ou longitudinal supérieur (Arc), sui le
on, sur le faisceau arqué ou longitudinal supérieur (Arc), sui le
faisceau
occipito-frontal (OF) et sur le t ronc du corps
au occipito-frontal (OF) et sur le t ronc du corps calleux (Ce). Le
faisceau
oc- cipito-frontal est toujours partiellement
, Fig. 417 et 118) et la dégénérescence intéresse, non seulement le
faisceau
en crochet (OF) qui surmonte le noyau caudé et (j
ant en arrière vers le tapetum (Tap), ce qui semble indiquer que le
faisceau
occipito-frontal reçoit de la zone rolandique plu
ne (Cip (d), Fig. 109) où il est refoulé en dedans et en avant par le
faisceau
de Turck. Il occupe, dans le pied du pédoncule
céphalie acquiso do l'opercule rolandi- que.Dégénérescence du
faisceau
arqué, du faisceau occipito- frontal,de la ca
l'opercule rolandi- que.Dégénérescence du faisceau arqué, du
faisceau
occipito- frontal,de la capsule externe. Dégé
au occipito- frontal,de la capsule externe. Dégénéres- cence du
faisceau
gé- niculé, de la partie antérieure du thala-
faisceau gé- niculé, de la partie antérieure du thala- mus, du
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral. Légè
rieur ou len- ticulo-caudé de la capsule interne. Dégénérescence du
faisceau
arqué ou longi- tudinal supérieur, de la capsul
capsule externe, de la couche sagittale interne du lobe frontal, du
faisceau
occipito-frontal (OF-1-Pr) et des fibres (OF) qui
ière et deuxième frontales. Dégénérescence de la'capsule externe du
faisceau
occipito-frontal (OF + Pl' et OF). Intégrité du s
céphalic acquise de l'opercule rolandi- que. Dégénérescence du
faisceau
arqué du faisceau occiputo- frontal. de la ca
l'opercule rolandi- que. Dégénérescence du faisceau arqué du
faisceau
occiputo- frontal. de la capsule externe. lJé
occiputo- frontal. de la capsule externe. lJégéncrcs- cence du
faisceau
gé- niculé, de la partie antérieure du thala-
faisceau gé- niculé, de la partie antérieure du thala- mus, du
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral. Légè
céphalie acquise do l'opercule rolandi- que. Dégénérescence du
faisceau
arqué, du faisceau occil)tto- frontal, de la
l'opercule rolandi- que. Dégénérescence du faisceau arqué, du
faisceau
occil)tto- frontal, de la capsulo externe. Dé
occil)tto- frontal, de la capsulo externe. Dégénéres- cence du
faisceau
gé- mculé, do la partie antérieure du thala-
u faisceau gé- mculé, do la partie antérieure du thala- mus, du
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral. Légè
ns. L'étude des coupes mi- croscopiques sériées mon- tre que le
faisceau
dégénéré FIG. 119 et 4 ? 0. - Cas Schweigoffe
on sous-thalami- que de la capsule in- terne. Dégénérescence du
faisceau
géniculé (Ci (g) et du bord lenti- culaire de
la capsule interne (Cia) dans la région thalamique moyenne forme le
faisceau
géniculé et occupe le genou (Ci[g]) et la partie
s son trajet à travers le segment antérieur de la capsule (Cia), ce
faisceau
est fusionné avec le pédoncule antérieur de la
ain nombre de /tores radiées qui passent en dedans et en avant du
faisceau
de Vicq d'lzyr (VA) et se rendent dans l'extr
, Ni) (Fig. 119). Dans la région sous-thala- mique (Fig. 120,, le
faisceau
dégénéré occupe la partie antérieure du segment
car il s'agit ici de libres peu nombreuses, isolées, non réunies en
faisceau
. La méthode de Marchi donne de meilleurs résultat
al occupent le plus souvent la FiG. 121 et 122. - Dégénérescence du
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral et du l
céphalie acquise de l'opercule rolandi- que. Dégénérescence du
faisceau
arqué, du faisceau occipito- frontal, do la c
l'opercule rolandi- que. Dégénérescence du faisceau arqué, du
faisceau
occipito- frontal, do la capsule externe. Dég
u occipito- frontal, do la capsule externe. Dégénéres- cence du
faisceau
gé- mculé, do la partie antérieure du thala-
u faisceau gé- mculé, do la partie antérieure du thala- mus, du
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral. Légè
s segments rétro et sous- lenticulaires de la capsule interne et du
faisceau
de Tiirck. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉR
-capsuleinterno, du pulv1l1ar, du corps genouillé externe et du
faisceau
de Turck. 140 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
capsule interne, du pulvinar, du corps genouillé externe et du
faisceau
de Turck. sont atteintes; dans le second (cas L
cielles du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa). Dégénérescence du
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold (Cisl, Fig. 127) et
ence du faisceau temporo-thalamique d'Arnold (Cisl, Fig. 127) et du
faisceau
de Tiirck (FT) dans son trajet capsulaire et pé
(FT) dans son trajet capsulaire et pédonculaire. Dégénérescence du
faisceau
uncinatus (Fu), de la substance blanche de la p
du cinquième externe du pied du pédoncule cérébral, c'est-à-dire du
faisceau
de Tiirck (FT), et dans les lésions de la ire ci
s la région sous-thalamique de la capsule interne apparaît un nouveau
faisceau
dégénéré, le faisceau de Tiirck (FT), qui refou
que de la capsule interne apparaît un nouveau faisceau dégénéré, le
faisceau
de Tiirck (FT), qui refoule en avant les fibres s
pédon- cule cérébral, de la partie adjacente du locus niger et du
faisceau
ex- terne du pied du pédoncule ou faisceau de
du locus niger et du faisceau ex- terne du pied du pédoncule ou
faisceau
de Tiirck (FT). Il existe dans ce cas une dégén
si- dérable de fibres saines correspon- dant aux fibres saines du
faisceau
moyen de la voie pédonculaire. Méthode de Wei
s temporales. Dans ce cas, il existe en outre une dégénérescence du
faisceau
uncinatus (Fu) qui peut être suivie dans la cir
nte temporale relèvent au moins en partie de la dégénérescence du
faisceau
uncinatus. Cas Le Seguillon (Fig. 129 à 133) :
apsule interne (Cip); elle est séparée de la zone précédente par le
faisceau
de Tiirck (FT), qui ne contient relativement qu
téro supérieure du noyau rouge. Dégénéres- cence partielle du
faisceau
de Turck. Dégénérescence du deuxième cinquièm
éro- supérieure du noyau rouge. Dégénéres- cence partielle du
faisceau
de Turck. Dégénérescence du deuxième cinquièm
eux parties par l'arrivée des fibres en grande partie saines du
faisceau
de Turck (FT) qui refoulent en avant la zone
ire de la capsule in terne (Cirl) dans la région adja- cente au
faisceau
de Tiirck : dégénérescence du corps genouillé
t postérieur de la capsule interne située immédiatement en avant du
faisceau
de Tiirck. Dégé- nérescence du faisceau uncinat
e immédiatement en avant du faisceau de Tiirck. Dégé- nérescence du
faisceau
uncinatus. Intégrité de la commissure antérieure.
ibres cortico-genozcillées internes, une dégénérescence incomplète du
faisceau
de Tûrck, et une dégénérescence du deuxième cin
usniger (Ln), du stratum intermedium de Meynert (Stri) (Fig. 133), du
faisceau
uncinatus (Fu) (Fig. 132) et du faisceau longit
nert (Stri) (Fig. 133), du faisceau uncinatus (Fu) (Fig. 132) et du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). Ce cas est particul
e cas est particulière- ment démonstratif pour l'étude du trajet du
faisceau
de Türck. Il démontre que lorsque dans la régio
isée dans la région sous-thalamique en deux parties pour l'arrivée du
faisceau
de Türcl : : une partie postérieure rétrolentic
Dans la région thalamique moyenne (Fig. 131) on voit, en effet, un
faisceau
sain se détacher sur les segments pos- térieur
rne (Cisl) et du cinquième externe du pied du pédoncule cérébral ou
faisceau
de Tûrck (FT). Cette dernière ne peut être suiv
scence du segment sous- lenticulaire de la capsule interne e t du
faisceau
de TÜrck (FT). Dégénérescence des noyaux pont
lerne (Cip), dans le pied du pédoncule céré- bral, constituent le
faisceau
de T1ÏI'ck (FT) (cinquième externe du pied du
rescence des courtes fihres d'association de la région, ainsi que des
faisceaux
longitu-- dinal inférieur (Fli), uncinatus (Fu)
La dégénérescence du tapetum peut être suivie, d'une part, dans le
faisceau
occipito- Bibliothèque des Internes en Médeci
ieurs de la troisième circonvolution fronlale gauche sectionnant le
faisceau
compact de la couronne rayonnante. Dégénérescence
e rayonnante. Dégénérescence du genou du corps cal- leux (Cc(r), du
faisceau
occipito-frontal (OF et Ouf+ Pr), du segment anté
onnante (CII), du segment antérieur de la capsule interne (Cia), du
faisceau
occipito-frontal (OF) et de l'extrémité antérie
ssus et en avant des fibres du lobe occipital. La dégénérescence du
faisceau
longitudinal inférieur peut être suivie, d'une pa
terne (Ce), et, d'autre part, jusque a ici pointe uumlm- tale. Ce
faisceau
dégénère par conséquent dans les deux sens (f
e de la couche sagittale externe. Quant il la dégénérescence du
faisceau
uncinatus, elle peut être suivie le long de la
Moriceau, IL g. Fig, 137, 138 et 141) sectionnent le plus souvent le
faisceau
compact de la couronne rayonnante du lobe front
sur les courtes fibres d'association de la région et sur les longs
faisceaux
d'association : faisceau arqué ou longitudinal su
association de la région et sur les longs faisceaux d'association :
faisceau
arqué ou longitudinal su- périeur, faisceau occ
isceaux d'association : faisceau arqué ou longitudinal su- périeur,
faisceau
occipito-frontal (OF) (Fig. 137 et 140), et dans
to-frontal (OF) (Fig. 137 et 140), et dans les lésions de Fa sur le
faisceau
uncinatus (Fu). La dégénérescence du faisceau occ
lésions de Fa sur le faisceau uncinatus (Fu). La dégénérescence du
faisceau
occipito-frontal intéresse non seulement les fi
ent les fibres de la substance grise sous-épendymaire, mais encore le
faisceau
curviligne qui entoure l'angle latéral du ventr
intéressent en même temps, dans la région thalamique inférieure, le
faisceau
geniculé. Dans l'un et l'autre cas, il existe une
ur de la capsule interne dans la région sous-thalamique. Lorsque le
faisceau
du genou est lésé (cas Cogery, Fig. 174 à 180),
à 173), la dégénérescence siège en arrière du genou et respecte le
faisceau
interne du pied du pédoncule. FIBRES DE PROJECT
les lésions situées immédiatement en arrière du genou respectent le
faisceau
interne du pied du pédon- cule cérébral, et la
me cinquième externe du pied du pédoncule cérébral et respectent le
faisceau
de Türck. Ce dernier fais- ceau - cinquième ext
interne Cisl et déterminent par conséquent une dégénéres- cence du
faisceau
de Turck (cas Dautriche, Fig. 192 à 196). Ces c
llaire. Hyper- trophie compensa- trice de la PO ramlde gauche ;
faisceau
py- ramifIaI homolatéral. et le troisième seg
bre de fibres saines, et dans le pied du pédoncule (P) on trouve un
faisceau
de Tiirck (FT) très apparent (Fig. 150). Abstra
dullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gaucho,
faisceau
py- ra midal homolatéral. 154 ANATOMIE DES
ullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gauche ;
faisceau
py- ramidal homolatéral. Fil. 145et 146.-Cas
la capsule interne (Cisl);dont les fibres saines, en particulier le
faisceau
de' Turck (FT), abordent, sur la Fig. 149, la par
ines des radiations strio-sous-tlialamiques, strio-luysiennes et du
faisceau
lenticulaire de Forel. Dégénérescence du pulvinar
stérieur (13r Qlp) (fig. 149). Atrophie secondaire très évidente du
faisceau
rétroflexe de Meynert (FM) (Fig. 147), du faisc
très évidente du faisceau rétroflexe de Meynert (FM) (Fig. 147), du
faisceau
de Vicq d'Azyr ou mamillaire principal (Fmp) et d
ullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gauche ;
faisceau
py- ramidal homolatéral. Bibliothèque des Int
du pied du pédoncule; les fibres saines, en particulier celles du
faisceau
interne, correspondent aux fascicules épargnés
e la protubérance et les noyaux du toit du'quatrième ventricule. Le
faisceau
de Turck s'épuise dans la partie supéro-postéro
ullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gaucho ;
faisceau
py- ramidal homolatéral. 158 ANATOMIE DES C
ullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gauche ;
faisceau
py- ramidal homolatéral. à l'extension du foy
eitrophiée : elle envoie dans le cordon latéral droit un volumineux
faisceau
pyramidal croisé (FPyc), et dans le cordon latéra
dullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gauche;
faisceau
py- ramidal homolatéral. Cas Rivaud. Hé- mi
dullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gauche;
faisceau
py- ramidal homolatéral. ric. 956,457 et 458.
que les fibres saines du pied du pédoncule cérébral, soit celles du
faisceau
de Ticrch (FT), soit les rares fibres saines de
; une petite partie se porte dans le cordon latéral du côté croisé (
faisceau
pyramidal croisé) (xPy; Fig. 1;¡ ? puis disparaît
ursuivant son trajet descendant le long du sillon médian antérieur (
faisceau
pyramidal direct) (FPyd (a) (Fig. 156, 137, 158
137, 158), disparaît à son tour sur des plans plus inférieurs' que le
faisceau
pyramidal croisé. Au-dessous de la quatrième ra
us de la quatrième racine cervicale, on ne trouve aucun vestige des
faisceaux
pyramidaux croisé ou direct; le cordon latéral cr
les cas de dégénérescence secondaire de l'adulte, remplacement des
faisceaux
pyramidaux dégénérés (Comparer ce cas avec le c
ordon antérieur direct une légère tache de sclérose névroglique. Le
faisceau
pyramidal, au niveau du pied de la couronne rayon
on latéral gauche, que deux petites taches de sclérose, vestiges du
faisceau
pyramidal droit agénésié. lIémiatrophie de tout
dullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gauche;
faisceau
p- ramidal homolatéral. 162 ANATOMIE DES CE
ullaire. Hyper- trophie compensa - trice de la pyramide gauche;
faisceau
py- ramidal homolatéral. Mieux que ce dernier
période de la vie (12 à 18 mois), où la myélinisation des différents
faisceaux
n'était pas parachevée; elle réalise par conséq
citer : Y atrophie du trigone cérébral (Tg) (Fig. 61, p. 94) et du
faisceau
de Vicq d'Azur (Fmp. Fig. 147 à 149), caractérisé
ble celle du trigone (Fig. 61, p. 91). L'atrophie de ces différents
faisceaux
est cause de la diminution de volume en masse d
amiqucs (anse du noyau lenticulaire [AI], fibres strio- lu y siennes,
faisceau
lenti- culaire de Forel [F1J etc.), et les fibr
ullaire. Hyper- atrophie compensa- trice de la pyramide gauche,
faisceau
p3- ramidal homolatéral. 164 ANATOMIE DES CEN
ccusée (voy. cas Richard, Fig. 220). Chez l'adulte, par contre, les
faisceaux
dégénérés sont tou- jours indiqués nettement pa
indiqués nettement par la sclérose névroglique qui a pris la place du
faisceau
disparu, tout en occupant une étendue moindre q
Au niveau du collet du bulbe (Fig. loi, 156 et 1G ? ) elle donne un
faisceau
pyramidal croisé (F'yc),un faisceau pyramidal d
loi, 156 et 1G ? ) elle donne un faisceau pyramidal croisé (F'yc),un
faisceau
pyramidal direct et des fibres pour le cordon l
, assez peu nombreuses il l'élat normal, for- ment ici un véritable
faisceau
compact qui se porte en arrière et en dehors, déc
he saine, mais hypertrophiée, abandonne au cordon latéral gauche un
faisceau
compact de fibres pyramidales homo-latërales (f
les homo-latërales (fPyh), et au cordon latéral droit un volumineux
faisceau
pyramidal croisé (FPyc). Méthode de Weigert-Pal
ète, du membre inférieur ne tient pas au développement d'un véritable
faisceau
pyramidal homolatéral. Fil. 163 et 164. - Irr
gment postérieur (Cip) de la capsule interne, sans participation du
faisceau
géniculé (Ci)g).- Le cerveau du cas Racle (Fig. 1
la partie moyenne du pied du pédoncule. Intégrité partielle du
faisceau
gé 1 calé. 168 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
la partie moyenne du pied du pédoncule. Intégrité partielle du
faisceau
géniculé. couronne rayonnante. Dégénérescence
169 et 170), irriguée par l'artère cérébrale antérieure, la région du
faisceau
géniculé et de l'extrémité antérieure du thalam
nétré dans le corps de Luys (CL) (Fig. 171). Intégrité partielle du
faisceau
géniculé (Ci(g)). Dégé- nérescence partielle de
radiées des régions antérieure et ventrale du thalamus (Fig. 169), du
faisceau
lenticulaire de Forel. La Fig. 1G9 permet de su
la partie moyenne du pied du pédoncule. Intégrité partielle du
faisceau
géniculé. 170 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
la partie moyenne du pied du pédoncule. Intégrité partielle du
faisceau
géniculé. cher, des fibres anté- rieures du
sceau géniculé. cher, des fibres anté- rieures du trigone, un
faisceau
'aberrant (fTga) (Fig. 167) qui . passe en av
r les côtés de la lame terminale em- br5 onnaire, tandis que le
faisceau
principal du pilier antérieur (Tga) aborde le
tie antérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) un
faisceau
de fibres saines, le faisceau géniculé (Ci(g)). D
érieur de la capsule interne (Cip) un faisceau de fibres saines, le
faisceau
géniculé (Ci(g)). Dans toute la hauteur de la r
eur de la capsule interne contient des fibres saines appartenant au
faisceau
géniculé. Elles peuvent être suivies dans le fa
ppartenant au faisceau géniculé. Elles peuvent être suivies dans le
faisceau
interne du pied du pédoncule, mais elles y sont
pied du pédoncule ne représentent pas le contingent orbitaire du
faisceau
interne. Ces fibres passent en effet par la par
pes du pied du pédoncule cérébral passant par le tuber cinereum, le
faisceau
aberrant du pilier antérieur du trigone et le sil
on moyenne du pied du pédoncule cérébral, conservation partielle du
faisceau
interne dont les fibres font suite au'faisceau
rrivent seuls à la protubérance ; ces coupes montrent les rapports du
faisceau
aberrant du pilier antérieur du trigone avec la
le de la partie inférieure de la protu- bérance. Dégénérescence des
faisceaux
antéro-internes de la voie pédonculaire. Méth
la partie moyenne du pied du pédoncule. Intégrité partielle du
faisceau
géniculé. 172 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
dique et la partie adjacente de l'opercule frontal envoient dans le
faisceau
géniculé et le faisceau interne du pied du pédo
acente de l'opercule frontal envoient dans le faisceau géniculé et le
faisceau
interne du pied du pédoncule (Voy. p. 73). Dans
ule cérébral où elle est limitée en dedans par les fibres saines du
faisceau
interne (Fi, Fig. 172) jusque dans l'étage anté
dium (Stri), des noyaux pontiques, une dégénérescence très intense du
faisceau
pyramidal dans son trajet bulbaire et médullair
s rétro (Cirl) et sous (Cisl) lenticulaires de la capsule interne, du
faisceau
de Tiirck et du tiers externe du pied du pédonc
. 4° Le cas Racle est encore intéressant par la présence d'un petit
faisceau
aberrant du trigone (fTga) apparent dans l'espa
ente du segment postérieur (Cip) de la capsule interne, respecte le
faisceau
géniculé (lequel n'est dégénéré que partiel- le
Dégénérescence du segment antérieur de la capsule interne (Cia), du
faisceau
géniculé (Ci(g), de la zone réticulée (Zr) de la
du segment antérieur de la capsule interne. Dégénérescence du
faisceau
géniculé et de la partie interne du pied du p
rescence du tiers externe du pied du pédoncule, y compris le
faisceau
do Turck. Dégénérescence de BrQa, Qa, Tgp, et
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. de la capsule interne sectionnant le
faisceau
'géniculé et d'une seconde lésion intéres- sant
t le segment sous-lenticulaire de la capsule interne et détruisant le
faisceau
de Tiirck et la partie adjacente du segment pos
t interne du pied du pédoncule cérébral avec intégrité partielle du
faisceau
interne et intégrité complèle du faisceau de Ti
ec intégrité partielle du faisceau interne et intégrité complèle du
faisceau
de Tiirck et du deuxième cinquième externe du pie
pédonculaire et le pilier postérieur du trigone. Dégénérescence du
faisceau
de Tiirck et du deuxième cin- quième externe du
1 iculaire (Cirl) de la capsule interne. Dégénérescence partielle du
faisceau
uncinatus (Fu). Intégrité de la commissure anté
u). Intégrité de la commissure antérieure (coa). 2° Dégénérescence du
faisceau
in- lerne du pied du pédoncule consécutive à la
a partie inférieure du pé- doncule cérébral. 1° Dégénérescence du
faisceau
de Turck et de la partie externe adjacente du p
djacente du pied du pédon- cule cérébral. 2° La dégénérescence du
faisceau
interne du pied du pé- doncule (Pi, d) est refo
erne du pied du pé- doncule (Pi, d) est refoulée en dehors par un
faisceau
de fibres saines ap- partenant au pes lemniscus
édian. Méthode de Weigert. Cogery il existe une dégénérescence du
faisceau
interne, du faisceau de Turck et du deuxième se
gert. Cogery il existe une dégénérescence du faisceau interne, du
faisceau
de Turck et du deuxième segment externe du pi
du segmcnt antérieur de la capsule interne. Dégénérescence du
faisceau
géniculé et de la partie interne du pied du p
nérescence du tiers externe du pied du pédoncule, y compris le
faisceau
de Turck. Dégénérescence de BrQa, Qa, 1'gp, e
du segment antérieur delà capsule interne. Dégénérescence du
faisceau
géniculé et do la partie interne du pied du p
nérescence du tiers externe du pied du pédoncule,)- compris le
faisceau
de Tiirck. Dégénérescence de BrQa, Qa, Tgp, e
uième interne du segment posté- rieur (Cip) (Fig. 17G), puis le
faisceau
inlerne du pied du . pédoncule cérébral (Fig.
générescence du segment antérieur de la couronne rayonnante, du
faisceau
occipilo- frontal (OF) et de la capsule ex- l
u pédoncule cérébral (Fig. 178); elle intéresse, par conséquent, le
faisceau
de le 2° cinquième externe du pied du pédoncule e
ète sur le 3° cinquième. Une large zone de fibres saines la sépare du
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral dégénéré
ement disséminées. La sclérose pyramidale occupe dans la moelle les
faisceaux
pyramidaux directs et croisés et peut être subi
n de lieil médian (Rm), une diminution de volume considérable de ce
faisceau
dans son trajet pédonculaire, protubérantiel et
ent en arrière du genou. La dégénérescence pédonculaire respecte le
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral, et siège i
la section du quart postérieur de Cip est refoulée en avant par le
faisceau
de Turck dans la région sous- thalamique, et oc
inquième externe du pied du pédon- cule cérébral Inté- grité du
faisceau
de Turck. tine de la partie antérieure du pul
uches sagittales du segment pos- térieur de la couronne rayonnante (
faisceau
longitudinal inférieur (Fli), radiations thala-
que (Fig. 187), cette zone dégénérée est refoulée en avant par le
faisceau
de Turck; elle occupe le deuxième cin- quième e
ent postérieur (Cip) delà capsule interne immédiatement en avant du
faisceau
de Turck, (FT) dégénérescence du deuxième cin
cinquième externe du pied du pédonculo cérébral. Intégrité du
faisceau
do Turck. 182 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. g
se place dans la région sous- thalamique immédiatement en avant du
faisceau
de Ttircl\ : (Fig. 191) et occupe le deuxième c
du segment postérieur de la couronne rayonnante (Sge et Sgi) et du
faisceau
occipito-frontal en amont du foyer primitif. Dé
ales du segment postérieur de lt couronne rayonnante (Sge et Sgi), (
faisceau
longitudinal postérieur et radiations thalamiqu
ons thalamiques). Intégrité du tapetum. Dégénérescence partielle du
faisceau
occipito- frontal, de la capsule externe et de
ns la partie moyenne du pied du pédoncule. Conservation relative du
faisceau
de Turck. Méthode de Weigert-Pal. 5/4 grandeur na
ectionne les conduc- teurs centraux de la vision. nérescence de
faisceaux
importants. L'une siège dans la partie postérieur
us-optique, le segment postérieur de la capsule interne en avant du
faisceau
de Turck, atteint la partie supérieure du pied du
ntérieur de la protubé- rance et une dégénérescence très intense du
faisceau
pyramidal dans son trajet bulbaire et médullair
tielle des radiations strio-thalamiques, de l'anse lenticulaire, du
faisceau
lenticulaire de Forel, des radiations strio-luysi
ulaire qu'il ne détruit pas com- plètement et respecte en partie le
faisceau
de Tiirck. Le faisceau externe du pied du pédon
pas com- plètement et respecte en partie le faisceau de Tiirck. Le
faisceau
externe du pied du pédoncule contient un certai
e très intense des couches sagittales externe et interne (Sge, Sgi), (
faisceau
longitudinal inféiieur, radiations thalamiques)
externe (Ce) en particulier du contingent de fibres fournies par le
faisceau
longitudinal inférieur; 2° Une dégénérescence du
nies par le faisceau longitudinal inférieur; 2° Une dégénérescence du
faisceau
occipito-frontal (OF) qui peut être suivie, d'u
s couches sagittales, en dedans par la dégénérescence des fibres du
faisceau
occipito-frontal. En aval de la lésion primitiv
pédoncule cérébral et du locus niger Dégénérescence incom- plète du
faisceau
de Tiirck. Intégrité des fibres du tiers interne
sant par les noyaux rouges (NR), le ganglion de l'habenula (Gh), le
faisceau
rétroflexe (F.1), le pied du pédoncule (P), le
dépourvues de fibres à myé- line dans les régions correspondant aux
faisceaux
pyramidaux directs et croisés, c'est- 'L-dire l
e lenticulaire 11, Fig.202 côté gauche, et Fig. 203 côté droit), du
faisceau
lenticulaire de Forel (11, rg. 203 côté gauche,
ig. 204), de la commissure de Meynert (CM, Fig. 202 et 203). Tous ces
faisceaux
son Fin. 209. - Cas Longery. Coupe passant, par
nia thalami (tth), le ganglion de l'habenula (Gh, Fig.20G) avec son
faisceau
rétroflexe (Fil), le centré médian de Luys (Nm).
s fibres sti,io-.5otis-thcilaî ? îiqzies : anal lenticulaire (.11),
faisceau
lenticulaire de Fore (FI), fibres strio-luysien
s et circonscrivant des îlots gris informes (Fig. 206 et 207). Le
faisceau
thalamique de Forel (Fth, Fig. 203), le champ de
précé- dente se concentrent autour de l'angle supéro-externe en un
faisceau
volumineux for- tement coloré par l'hémaloxylin
au niveau de l'angle externe du ventricule et qui appartiennent au
faisceau
occipito-frontal (OF) (Fig. 220, 221, 222 et 22
me ventriculaire très épais, comme il l'est chez l'enfant. - Fc, le
faisceau
de fibres calleuses situé en dehors du faisceau o
l'enfant. - Fc, le faisceau de fibres calleuses situé en dehors du
faisceau
occipito-frontal autour de l'angle supéro-exter
halie et se continue en dedans avec l'épendyme ventriculaire. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - Sge, substance grise sous-épe
roi inférieure du ventricule. Les fibres de projection forment deux
faisceaux
qui affleurent l'épendyme ventriculaire au niveau
épendyme ventriculaire au niveau de la porencéphalie (Fig. 221). Le
faisceau
supérieur (CR), le plus petit, est l'homologue du
sus d'elles une mince couche de fibres à direction transversale. Le
faisceau
inférieur (CSgt), très volumineux, forme une épai
ée (Cg) dans la région où elle se continue avec le toenia tecta. Le
faisceau
des fibres calleux (Fc) occupe encore l'angle e
la base des circonvolutions de la face interne de l'hémisphère en un
faisceau
a direction sagittale, particulièrement manifes
e, particulièrement manifeste sur la coupe suivante] (Fig. 223). Le
faisceau
supérieur (pCR) des fibres de projection contourn
ceau supérieur (pCR) des fibres de projection contourne en crochet le
faisceau
des fibres calleuses (Fc) et tapisse sa face su
a même direction que les fibres de projection et simulent à tort un
faisceau
d'association anormal reliant les circonvolutions
la cavité ventriculaire unique, cette couche disparait et les deux
faisceaux
sont complè- tement séparés l'un de l'autre.
Les coupes horizontales obliques montrent (Fig. 229 et 230) que le
faisceau
inférieur (CSgt) poursuit son trajet antéro-pos
les segments rétro et sous-lenticulaires de la capsule interne. Le
faisceau
supérieur, très petit, contourne en crochet les f
euses qui convergent sur l'angle externe et la face supé- rieure du
faisceau
calleux (Fc) ; celles qui proviennent du bord ext
t par la ligne de repère 3 de la Fig. 213. Cing, cingulum. - Fc, le
faisceau
des fibres calleuses se concentre à la partie i
es calleuses se concentre à la partie interne de l'hémisphère en un
faisceau
à direction sagittale, l'homologue du forceps p
ttale, l'homologue du forceps postérieur d'un cerveau normal. - Fp,
faisceau
des fibres de projection recouvrant le faisceau
rveau normal. - Fp, faisceau des fibres de projection recouvrant le
faisceau
calleux. - pCR, pied de la couronne rayonnante du
vrant le faisceau calleux. - pCR, pied de la couronne rayonnante du
faisceau
de fibres de projection. - OF, faisceau occipit
e la couronne rayonnante du faisceau de fibres de projection. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - Ll, première circonvolution l
ur axe comme les fibres de la couronne rayonnante qui recouvrent le
faisceau
calleux et sur les coupes un peu épaisses, parais
un peu épaisses, paraissent ne faire avec elles qu'un seul et même
faisceau
; les coupes minces, convenablement colorées, mont
blement colorées, montrent qu'elles appartiennent en réalité à deux
faisceaux
distincts, et non, comme on pourrait le croire
ncts, et non, comme on pourrait le croire de prime abord, à un long
faisceau
d'association reliant les circonvolutions de la
onvexité à celles de la face interne de l'hémisphère (Fig. 222). Le
faisceau
supérieur de la couronne rayonnante (CR) conserve
25). Lorsque l'on s'approche des régions antérieures du manteau, le
faisceau
supérieur de la couronne rayonnante augmente; l
plus en plus en dedans (Fig. 222), puis se concentrent en un petit
faisceau
compact à surface de section ovalaire, à trajet s
ard, passant par la ligne de repère 2 de la Fig. 213. Les fibres du
faisceau
calleux sagittal (Fc) s'infléchissent en dedans e
e, Fig. 225). Au sur à mesure que le tronc calleux se constitue, le
faisceau
sagittal dimi- nue, puis disparaît, et dans les
entrent à la partie supéro-interne du carrefour ventriculaire en un
faisceau
volumineux, ova- laire, à direction sagittale,
échissent en dedans pour former le bourrelet du corps calleux. Le
faisceau
sagittal de notre hydrocéphale peut donc être con
de la région étranglée du lobe frontal (voy. Fig. 2H et 21G). Le
faisceau
calleux sagittal a disparu, et dans la lame inter
fibres externes peuvent être suivies sur les coupes sériées dans le
faisceau
supérieur de la couronne rayonnante(CR) du mant
yau externe (ThNe) bien développés, riches en fibres radiées, dont un
faisceau
important appartient au pédoncule antérieur de
CE CÉRÉBRALE. 211 On pourrait même par analogie se demander si le
faisceau
sagittal occipito- frontal décrit par Forel et
relativement bien développée et contient les fibres descendantes du
faisceau
géniculé Ci(g). Tout le reste du segment postérie
large, s'applique contre le globus pallidus (NL2), et les libres du
faisceau
lenticulaire de Forel (FI). Le segment rétrolen
r, car si l'hypothèse se vérifiait il ne 'faudrait pas confondre le
faisceau
sagittal occipito- frontal des agénésies calleu
faisceau sagittal occipito- frontal des agénésies calleuses avec le
faisceau
d'association occipito-frontal du cer- veau nor
normal du reste des fibres de ce segment, sous l'aspect d'un petit
faisceau
, faisceau géniculé (Cig), Fig. 227), occupent dan
reste des fibres de ce segment, sous l'aspect d'un petit faisceau,
faisceau
géniculé (Cig), Fig. 227), occupent dans la rég
ntielle supérieure. Quelle est l'origine corticale de ces fibres du
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral (Fig. 231
er de la face orbitaire du lobe frontal, ou y arrivent-elles par le
faisceau
supérieur de la cou- Inc. 230. - Cas Richard. L
que dans sa partie autéro- interne (Ci(g); celles-ci proviennent du
faisceau
géniculé et descendent dans la partie interne d
moins des fibres de la couronne rayonnante du lobe orbitaire dans le
faisceau
supérieur de la couronne rayonnante (Voy. plu
s radiations strio-tUalamidues et strio-luysiennes et des fibres du
faisceau
lenticulaire de Forel qui le cloisonnent. Mais da
e cérébral. Agénésie presque totale de la voie pé- donculaire. Le
faisceau
interne du pied du pédoncule (Fi) contient seul
ulaire ou n'en sont séparées que par quelques fibres appartenant au
faisceau
lenticulaire de Forel. Le pied du pédoncule cér
Yonz Baue und Leben des Gehirns. Leipzig, 1819-1826. - Brissaud. Du
faisceau
dit Bandelette sous- optique dans la racine pos
ibres pyramidales homolatérales el sur la terminaison inférieure du
faisceau
pyrcnnidtl. Arch. de Physiologie. Avril 1896, p
u pédoncule cérébral, de l'étage antérieur de la protubérance et du
faisceau
pyra- midal dans son trajet bulbaire et médulla
sommet occupe la voûle du ventricule latéral. Agénésie partielle du
faisceau
pyramidal (Bicêtre, 1892). (Voy. J. Déjerine. D
L'excitation capsulaire a donné les mômes résultats à ces auteurs, le
faisceau
capsulaire du facial supérieur d'un côté ayant
elle ou auditive par suite de l'irritation ou de la destruction des
faisceaux
visuel cortical et auditif cortical sous-jacent a
e macaque, Ilorsley et Beevor ont déterminé le trajet capsulaire du
faisceau
moteur. Leurs recherches sont basées sur quarante
riences faites toutes sur le macacus sinicus. Elles démontrent que le
faisceau
moteur présente dans la capsule interne un traj
enne est en connexion à la fois avec les deux hémisphères et que le
faisceau
maculaire du nerf oplique subit, au niveau du c
ceau pyramidal au niveau du collet du bulbe. Henschen localise le
faisceau
maculaire dans lapartie anlérieure de lascissure
tre de Ilroca. - F'3, troisième circonvolution frontale droite. - fe,
faisceau
croisé ou nasal; fol, faisceau direct ou tempor
irconvolution frontale droite. - fe, faisceau croisé ou nasal; fol,
faisceau
direct ou temporal; fin, faisceau maculaire du ne
e, faisceau croisé ou nasal; fol, faisceau direct ou temporal; fin,
faisceau
maculaire du nerf optique. - Fin, forceps posté
ptique. - Fin, forceps postérieur ou major du corps calleux. - Fil,
faisceau
uncinatus réunissant la zone de 'Wernicke (T,,)
s d'association courtes, moyennes et longues, en particulier par le
faisceau
longitudinal supérieur ou arqué et le faisceau lo
en particulier par le faisceau longitudinal supérieur ou arqué et le
faisceau
lon- gitudinal inférieur, et forment un tout co
tacts et la lésion siégera en dehors de la zone du langage, sur les
faisceaux
d'association qui relient : a) la circonvolutio
le corps calleux, par la couche sagittale du lobe occipital, par le
faisceau
longitudinal inférieur. Dans la surdité verbale
tale. La zone du langage et ses fibres sont colorées en rouge. Arc,
faisceau
arqué, réunissant le pli courbe et la première ci
périeur Un certain nombre de ces fibres passent probablement par le
faisceau
occipito-frontal. - C, cuneus. - Cc, corps call
due en profondeur ou rapprochée du centre, elle sectionne les longs
faisceaux
d'association de la région. C'est lorsque l'on ét
rèrent qu'une lésion siégeant sur une partie quelconque du trajet du
faisceau
pyramidal peut produire l'hémichorée, et pour c
plus tassées que plus haut, et elles sont refoulées en avan par le
faisceau
de Tiirck venu de la région temporale. Une lésion
e. (Cas Dautriche, p. 182), sectionne en même temps il ce niveau le
faisceau
visuel elle déterminera la production d'une hém
e interprétation que nous nous arrêtons. En effet, s'il existait un
faisceau
sensitif dans la partie postérieure de Cip, les l
res patholo- giques ou expérimentales - nous montre en outre que le
faisceau
sensitif - ruban de Reil - s'arrête dans le tha
bilité générale que pour la sensibilité spé- ciale. Il n'y a pas de
faisceau
sensitif venant du pied pédoncule et passant di
ns la partie postérieure du segment postérieur de cette dernière de
faisceau
compact formé uniquement de fibres à fonctions
1898, p. 229. -- Ballet. Recherches anatomiques et cliniques sur le
faisceau
sensitif et les troubles de la sensibilité dans
générale observé chez un hémiplégique et relevant d'une atrophie du
faisceau
rubannè de Reil. Arch. de Phys. norm. et pathol.,
Jluscular sensé. Amer. Journ. of méd. Science, 1894. - J. Soury. Le
faisceau
sensitif. Rev. gén. des Sciences, 1894, p. 190.
tif et du- septum lucidum constituent les radiations olfactives, le
faisceau
septo-tltalamiqzte, et le tænia semicircularis ;
pédoncule du septum lucidum et entre ainsi dans la constitution du
faisceau
olfactif du trigone (Fig. 2(2). Les radiations
ient celle région à la formation ammonique par l'intermé- diaire du
faisceau
olfactif du trigone. Il s'agirait donc dans l'esp
calleux. - Cia, segment antérieur de la capsule interne. - Cill.'1,
faisceau
antérieur du cingulum. CL, corps de Luys. - CM,
e ou colliculus du noyau caudé. - coa, commissure antérieure. - FI,
faisceau
lenticulaire de Forel. - fU, fibres en U ou cou
eux. - Cg, circonvolution godronnée. - Cing, cingulum. Cin,r(p), le
faisceau
postérieur du cingulum. - coa, com- missure ant
aisceau postérieur du cingulum. - coa, com- missure antérieure, son
faisceau
olfactif et le contingent] des fibres du tænia se
des fibres du tænia semicircu- laris. - Fc, fasciola cinerea. - FG,
faisceau
de la calotte de Gudden, ou branche de bifurcat
u de la calotte de Gudden, ou branche de bifurcation postérieure du
faisceau
mamillaire principal (I·'nah). - Fiel, faisceau l
cation postérieure du faisceau mamillaire principal (I·'nah). - Fiel,
faisceau
longtlu- dinal dorsal de la substance grise cen
tlu- dinal dorsal de la substance grise centrale de Schutz. - F.11,
faisceau
rétroflexe de Meynert. - Fol, faisceau olfactif
centrale de Schutz. - F.11, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fol,
faisceau
olfactif du trigone. - fp, fibres perforantes cal
calleuses ou fibres extra- ammoniques du corps du trigone. - fslh,
faisceau
septo-thalamique. fisc, fibres que le toenia se
laris. - llh, taenia thalami. - U, circonvolution du crochet. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr ou branche de bifurcation supéri
VA, faisceau de Vicq d'Azyr ou branche de bifurcation supérieure du
faisceau
mamillaire principal. Bibliothèque des Internes
roi- sième ordre de la voie olfactive. Elles ne représentent pas un
faisceau
à origine et à destination uniques, mais contie
bulbe olfactif et dans l'aire olfactive; elles suivent le trajet du
faisceau
olfactif du trigone (Fol, Fig.252) etunissentle
diaire du taenia semicircularis; 3° au ganglion de l'habenula par le
faisceau
septo-thalamique et le taenia thalami; 4° au tu
irectes; 5° probablement à la calotte du pédon- cule cérébral. 2.
faisceau
SEPTO-THALAMIQUE. - Le faisceau septo-thalamique(
lotte du pédon- cule cérébral. 2. faisceau SEPTO-THALAMIQUE. - Le
faisceau
septo-thalamique(fsth) (Fig. 253) naît des cell
dernières formations à l'aire olfactive et au septum lucidum. Ce
faisceau
a été décrit chez les reptiles et les oiseaux par
crit chez les reptiles et les oiseaux par IIonegger, sous le nom de
faisceau
rayonnant du septum (lflarkbündel der Slrahligen
lles constituent des neurones olfac- tifs de troisième ordre.
Faisceau
septo- thalamique. Son trajet. 268 ANATOMIE
IE DES CENTRES NERVEUX. Scbeidewand) ; par Ad. Meyer, sous celui de
faisceau
longitudinal basai pour le tsenia thalami (basa
lfacto-habenularis. 0. Yogi l'a décril chez le lapin sous le nom de
faisceau
sel)lo-ilialaî2îzqzie. Il a montré en outre (méth
qu'il n'en reçoit ou n'y envoie aucune fibre. Il représente donc un
faisceau
indépendant du système du trigone. Fig. 253. -C
s-thalamique et sectionnant les radiations olfactives profondes, le
faisceau
septo-thalamique, le faisceau de Vicq d'Azyr et
s radiations olfactives profondes, le faisceau septo-thalamique, le
faisceau
de Vicq d'Azyr et l'anse lenticulaire (Méthode de
ode de Weigert). Al, anse lenticulaire : Al + FI, son union avec le
faisceau
lenticulaire de Forel. - Aol, aire olfactive. -
- CNR, capsule du noyau rouge. - coa, commissure antérieure. - FI,
faisceau
lenticu- laire de Forel. - fsllz, faisceau sept
issure antérieure. - FI, faisceau lenticu- laire de Forel. - fsllz,
faisceau
septo-thalamique. - Lmi, lame médullaire interne
ssoire. - lac, trenia semicircularis. - lllz, ta;nia thalami. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. VCsl, veine du corps strié. - n,
Al, anse lenticulaire. - Al + FI, union de l'anse lenticulaire et du
faisceau
thalamique de Forel. - Ce, corps calleux. - CL,
s. C.lf, commissure de Meynert. - coa, commissure antérieure. - FI,
faisceau
lenticulaire de Forel. - 7 ? première circonvo-
cessoire. - tsc, ttBnia semicircularis. - lllt, taenia thalami. VA,
faisceau
de Vicq d'.lzyr. l'l, ventri- cule latéral. - 1
ure et de la partie adjacente du septum lucidum, sous l'aspect d'un
faisceau
large, étalé et ascendant, dont les fibres conver
capsule interne. A la hauteur du trou de Monro (Fig. 41, p. 58), le
faisceau
se resserre, puis occupe, avec la veine du corp
des de la corne sphénoïdale, et il est séparé du noyau caudé par le
faisceau
temporo-thalamique d'Ar- nold (fTth) qui affleu
urs sur les connexions du toenia semicircularis. D'après Ganser, ce
faisceau
naîtrait, chez la taupe et le lapin, de toutes
ircularis. SYSTÈME DU TRIGONE CÉRÉBRAL Le trigone cérébral est un
faisceau
complexe comme les radiations olfac- tives. Il
segments postérieur el sous-lenticulaire de la capsule interne, le
faisceau
externe du pied du pédoncule cérébral et le noy
gi) ou radiations thalamiques, et couche sagittale externe (Sge) ou
faisceau
longitudinal inférieur. - pli, faisceau rétrofl
sagittale externe (Sge) ou faisceau longitudinal inférieur. - pli,
faisceau
rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Turck; i
ongitudinal inférieur. - pli, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT,
faisceau
de Turck; il forme la couche supérieure du segm
e continue en bas avec la voic pédonculaire, en particulier avec le
faisceau
externe du 'pied du pédoncule cérébral. - (Tilt
r avec le faisceau externe du 'pied du pédoncule cérébral. - (Tilt,
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold ou couche inférieure
(Fig. 41 ) Il et du corps du trigone (Fig. 7,26). Elle constitue un
faisceau
de fibres lon- gitudinales et parallèles que le
rement à leur axe. Dans son trajet hippocampique, la fimbria est un
faisceau
volumineux en partie extraventriculaire sur leque
ormant sur les coupes vertico-transversales(fCg, Fig. 256) un petit
faisceau
de fibres convergentes qui passent par le hile
unissent, tda partie interne du hile du fascia dentata, en un petit
faisceau
dont les fibres affectent une direction longitu
d'Ammon et du voile terminal. La fimbria n'est d'abord qu'un petit
faisceau
sectionné perpendiculairement à son axe occupan
eure (Fig. 30, p. 45), et elle se présente sous l'aspect d'un épais
faisceau
irrégulièrement triangulaire, dont le sommet ex
ll ? GO.)-Lep111e1'pOSL- rieur du trigone (Tgp) forme un volumineux
faisceau
replié sur lui-même dans le sens de son axe lon
se présente sur les coupes vertico-transversales sous l'aspect d'un
faisceau
volumineux, tantôt aplati, tantôt replié sur,lui-
al, supérieur ou extraammonique du corps du trigone, l'homologue du
faisceau
des mammifères macrosmatiques décrit par Forci so
mmoniques du trigone que les précédentes. Elles se réunissent en un
faisceau
de fibres parallèles, moins denses, moins serré
es, et que les radiations calleuses s'enfoncent dans l'épaisseur du
faisceau
compact Pic. 262. - Le corps du trigone, son fa
'épaisseur du faisceau compact Pic. 262. - Le corps du trigone, son
faisceau
olfactif et les fibres du septum lucidum. Coupe
ue pos- térieur de Forel. - P13, fente cérébrale de Bichat. - F,11,
faisceau
rétroflexe de Meynert. Fmp, faisceau mamillaire
e cérébrale de Bichat. - F,11, faisceau rétroflexe de Meynert. Fmp,
faisceau
mamillaire principal. - fr, fibres perforantes du
s perforantes du corps calleux abordant le corps du trigone. - Fol,
faisceau
olfactif du trigone ; fol, fascicules olfactifs d
scicules olfactifs des régions antérieurs du septum lucidum. - fTc,
faisceau
du tuber cinereum. - LI, première circon- volut
SI, septum lucidum. fSl, fibres du septum lucidum qui s'unissent au
faisceau
olfactif du trigone et forment le pédoncule du
re antérieure. - sL, strie de Lancisi. - Te, tuber cinereum. - fTc,
faisceau
du tuber cinereum de Gudden dont les fibres peu
cule. - Tg, corps du trigone. - Tga, son pilier antérieur. - Fol, son
faisceau
olfactif. - Tna, tubercule mamillaire. - Th, co
corps du trigone s'irradient dans le septum luci- dum en formant le
faisceau
olfactif du trigone (Fol) qui porte encore le n
le nom de faiseau olfactif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl. Le
faisceau
olfactif (Fol, Fig. 262) du trigone comprend à la
fibres les plus longues atteignent la circonvolution du crochet. Le
faisceau
olfactif du trigone constitue donc un grand faisc
du crochet. Le faisceau olfactif du trigone constitue donc un grand
faisceau
d'as- sociation qui relie la corne d'Ammon, la
t au tubercule olfactif. 4. pilier antérieur. -Après le départ du
faisceau
olfactif, le corps du Leur liomologie 1\ cc l
rc& q no a circonvolution go- tronncooivooala la fimbria.
Faisceau
olfactif du trigone. Son origine. Son traje
es médians du troisième ventricule. La fim- bria cesse de former un
faisceau
distinct ; elle se fusionne intimement avec les
s avec le [tubercule mamillaire et le pédoncule de ce tubercule; le
faisceau
mamillaire principal et sa division en faisceau
de ce tubercule; le faisceau mamillaire principal et sa division en
faisceau
de Vicq d'Azyr et faisceau de Gudden. Coupe sagit
u mamillaire principal et sa division en faisceau de Vicq d'Azyr et
faisceau
de Gudden. Coupe sagittale passant en dehors du
re. - eF, entrecroisement sous-thalamique postérieur de Forel. - FcG,
faisceau
de la calotte de Gudden. - FM, faisceau rétrofl
postérieur de Forel. - FcG, faisceau de la calotte de Gudden. - FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. - Fmp, faisceau mamillaire
la calotte de Gudden. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fmp,
faisceau
mamillaire principal et ses deux branches de bi
isceau mamillaire principal et ses deux branches de bifurcation, le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA) et le faisceau de la calott
s deux branches de bifurcation, le faisceau de Vicq d'Azyr (VA) et le
faisceau
de la calotte de Gudden (FcG). - fTc, faisceau
cq d'Azyr (VA) et le faisceau de la calotte de Gudden (FcG). - fTc,
faisceau
du tuber cinereum de Gudden. - Ln, locus niger.
lamus à la substance innominée sous-lenticulaire de Reichert; 2° le
faisceau
lenticulaire de Forel (FI) et l'anse du noyau len
tini corporis mamillaris, G. Het- zius). Il est croisé par un petit
faisceau
de fibres fortement coloré par la laque héma-
eau de fibres fortement coloré par la laque héma- toxylinique, le
faisceau
du tuber cinereum (fTc) de Gudden (Fig. 2C3 et.
au tubercule mamil- laire. Dans son ensemble, il forme néanmoins un
faisceau
bien délimité. Toutefois, dans quelques cas rel
e un trajet parallèle bien qu'écarté. Dans certains cas, on voit un
faisceau
aberrant (fTga) se détacher du corps du Irigone a
le tuber cinereum el aborder le tubercule mamillaire (Fig. 265). Ce
faisceau
, figuré dans les schémas ('1'. fer, Fig. 202 et
u cas Racle (Fig. 168 à J 72). Il ne doil être confondu, ni avec le
faisceau
olfactif du trigone, ni avec le faisceau extra-
être confondu, ni avec le faisceau olfactif du trigone, ni avec le
faisceau
extra- ventriculaire de l'alveus. Il représente e
tra- ventriculaire de l'alveus. Il représente en effet un véritable
faisceau
aberrant du pilier antérieur, dont il présente du
exions avec le tubercule mamillaire. D'autres fois, un ou plusieurs
faisceaux
aberrants ne se déta- chent du pilier antérieur
ans la partie de son trajet située dans le tuber cinereum. Tous ces
faisceaux
aberrants sont le plus souvent superficiels dan
ntérieur avec ces deux ganglions. A priori, il paraît étrange qu'un
faisceau
aussi volumineux que l'est le pilier antérieur
orps du tri- gone ; du tubercule mamillaire corres- pondant, du
faisceau
olfactif du trigone et des fibres COnmllSS11-
noldale, du segment sous-lenticulairc do la capsulo interne, du
faisceau
temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence
la partie hémisphé- rique de la commis- sure antérieure et du
faisceau
occipito- frontal. 288 ANATOMIE DES CENTRES
postérieur (Tgp, Fig. 2go). Le pilier postérieur reçoit en effet le
faisceau
commissural sain de la corne Fisc. 267. - Cas C
du segment postérieur de la couronne rayonnante. Dégénérescence du
faisceau
occipito- frontal (OF), en particulier des fibr
s'irradient dans le septum lucidum et concourent à la formation du
faisceau
olfactif du trigone (Fig. 2GO et 270); 3e une dég
du segment postérieur de la couronne rayonnante. Dégénérescence du
faisceau
occipito-frontal (OF) le long des angles inféro-e
orps du tri- gone : du tubercule mamillaire corres- pondant, du
faisceau
olfactif du trigone et des fibres conumssu-
noïdale, du segment sous-lenticulaire de la capsule interne, du
faisceau
temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence
la partie hémisphé- rique de la commis- suro antérieure et du
faisceau
occipito- frontal. 290 ANATOMIE DES CENTRES
eur de l'existence dans le trigone de fibres cortico-habénulaires. Le
faisceau
de Vicq d'Azyr et le faisceau de la calotte de
ne de fibres cortico-habénulaires. Le faisceau de Vicq d'Azyr et le
faisceau
de la calotte de Gudden sont normaux. Outre cel
rébral, il existe (Fig. 267 et 268) une dégénérescence partielle du
faisceau
inférieur ou minor du forceps du corps calleux
surtout de la lésion du pli rétrolimbique. Les fibres dégénérées du
faisceau
inférieur ou minor du forceps occupent, conform
antérieure. Dégénérescence du pilier antérieur du trigone (Tga), du
faisceau
olfactif du trigone et du pédoncule du septum l
) avec intégrité delà partie olfactive [coa(ol)]. Dégénérescence du
faisceau
occipito-frontal (OF) le long de l'angle externe
orps du tri- gone ; du tubercule mamillaire corres- pondant, du
faisceau
olfactif du trigone et des fibres commissu-
noidale du segment sous-lenticulaire de la capsule interne, du
faisceau
temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence
la partie himisplié- rique do la commis- sure antérieure et du
faisceau
occipito- frontal. 292 ANATOMIE DES CENTRES N
corps du tri- one; du tubercule mamillaire corres- pondant, du
faisceau
olfactif du trigone et des fibres commissu-
noidale. du segment sous-lenticulaire de la capsule interne, du
faisceau
temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence
la partie hémisphé- rique de la commis- sure antérieure et du
faisceau
occipito- frontal. nérées des couches sagitta
abandonnent le plancher, F)G.272. - Cas Chab. La dégénérescence du
faisceau
occipito-frontal le long de l'angle externe du
partie moyenne de la couche optique. La dégénérescence intéresse le
faisceau
compact formé de fibres d'association et de fib
double l'angle externe du ventricule latéral et les radiations que le
faisceau
occipito-frontal envoie dans la capsule externe
273. - Dégénérescence du tapetum, sans dégénérescence concomitante du
faisceau
occipito-frontal consécutive à une lésion en fo
- / : \'C', fibres propres de ce noyau. - Oh", segment temporal du
faisceau
occipito-frontal, ses libres occupent les couch
fibres conservées du tapetum. S ! lc, couche sagittale externe (ou
faisceau
longitudinal inférieur). - Sgi, couche sagittale
e segment sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl), occupent le
faisceau
temporo- thalamique d'Arnold, c'est-à-dire ce c
es fibres dégénérées, dès que la commissure antérieure constitue un
faisceau
fermé. Dans son trajet sous le noyau lenticulai
res sagittales qui appartiennent, ainsi que 0. YogL' l'a montré, au
faisceau
occipito-frontal, sont seules dégénérées. Elles
la couronne rayonnante (Fig. S69 à 272). Ce cas montre donc que les
faisceaux
différenciés du centie ovale des hémisphères ne
ion, d'as- sociation ou commissurales), mais qu'ils constituent des
faisceaux
mixtes. La couche sagittale externe (faisceau l
'ils constituent des faisceaux mixtes. La couche sagittale externe (
faisceau
longitudinal inférieur) du lobe temporo-occipital
u calleuses et des fibres d'association ou occipito-frontales. Le
faisceau
occipito-frontal constitue de même un faisceau mi
cipito-frontales. Le faisceau occipito-frontal constitue de même un
faisceau
mixte; le long de l'angle externe du ventricule
extraammoniques ou fornix longus de Forel, elles se groupent en un
faisceau
distinct qui longe la face inférieure du corps ca
veus extravenlriculaire et psalterium. La fimbria est un volumineux
faisceau
^situé à la partie supérieure du segment ven- t
té antérieure de la couche optique et se divise à ce niveau en deux
faisceaux
d'inégal volume, l'un transversal, l'autre longit
faisceaux d'inégal volume, l'un transversal, l'autre longitudinal. Le
faisceau
transversal est le plus volumineux; il se poite
x; il se poite en dedans, s'enchevêtre sur la ligne médiane avec le
faisceau
homologue du côté opposé et forme avec lui, en av
m (Pslv, Fig.274) qui relie entre elles les deux cornes d'Ammon. Le
faisceau
longitudinal passe en avant du psalterium et co
nd en partie dans le pilier antérieur du trigone, en partie dans le
faisceau
olfactif (Fol) de la cloison transparente ou pédo
toxylinique et une partie postérieure pâle ou hémisphérique. - FG,
faisceau
de la calotte de Gudden. - FI, fornix longus. -
- FG, faisceau de la calotte de Gudden. - FI, fornix longus. - FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. - Fmp, faisceau mamillai
en. - FI, fornix longus. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fmp,
faisceau
mamillaire principal et ses deux branches de bi
isceau mamillaire principal et ses deux branches de bifurcation, le
faisceau
de Vicq d'Azyr et le faisceau central de la cal
ses deux branches de bifurcation, le faisceau de Vicq d'Azyr et le
faisceau
central de la calotte de Gudden. - Fol, faisceau
Vicq d'Azyr et le faisceau central de la calotte de Gudden. - Fol,
faisceau
olfactif du trigone. - Gh, ganglion de l'habenu
eur du trigone. - Th, thalamus. - Tm, tubercule mamil- laire. - lA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - II, le nerf optique et le chias
du trigone, fornix longus (forci), fornix superior (Iiôllil : er),
faisceau
arqué du septum (Bogenbundel des Septum [Ganser])
r]). Le fornix longus forme, de chaque côté de la ligne médiane, un
faisceau
aplati et compact de fibres fortement colorées
blent relier le pilier antérieur au toenia thalami appartiennent au
faisceau
septo-thalamique (Voy. p. ? gaz). Notre cas Chab
onculo-protubérantielle du même côté, et surtout du côté opposé. Le
faisceau
direct, le plus petit, entre dans la constitution
terminaison (Voy. Pédoncule du tuber- cule mamillaire, p. 302). Le
faisceau
croisé le plus volumineux s'entre-croise au-dessu
rcule mamillaire interne croisé, s'y termine ou se continue dans le
faisceau
mamillaire principal de Kôlliker et dans le fais-
e ganglion interno du tubercule mamil- laire donne naissance au
faisceau
mamil- laire principal. TUBERCULE MAMILLAIRE.
sance au faisceau mamil- laire principal. TUBERCULE MAMILLAIRE.
FAISCEAU
DE LA CALOTTE, FAISCEAU DE VICQ-D'AZYR, PÉDONCU
l- laire principal. TUBERCULE MAMILLAIRE. FAISCEAU DE LA CALOTTE,
FAISCEAU
DE VICQ-D'AZYR, PÉDONCULE DU TUBERCULE MAMILLAI
eux supérieur. Méthode de Weigert-Pal. F, champ de Forel. - fate,
faisceau
du tuber cinereum de Gudden. PiTh, pédoncule in
mamillaire. - Tint, ganglion externe du tubercule mamillaire. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr, ou plus exac- tement le tronc d
sceau de Vicq d'Azyr, ou plus exac- tement le tronc d'origine de ce
faisceau
(ou faisceau mamillaire principal). - VP, voie
d'Azyr, ou plus exac- tement le tronc d'origine de ce faisceau (ou
faisceau
mamillaire principal). - VP, voie pédonculaire.
artie interne du pied du pédoncule cérébral, du corps de Luys et du
faisceau
lenticulaire de Forel; dans l'espace compris entr
eur du trigone, le ganglion interne donne naissance à un volumineux
faisceau
qui représente, comme l'ont montré les recherch
es récentes de Cajal (1895) et Kolliker. (189G), le tronc commun du
faisceau
de la calotte et du faisceau de Vicq d'Azyr. Av
t Kolliker. (189G), le tronc commun du faisceau de la calotte et du
faisceau
de Vicq d'Azyr. Avec Kolliker., nous désigneron
zyr. Avec Kolliker., nous désignerons le tronc d'origine commune au
faisceau
de Vicq d'Azyr et au faisceau de la calotte sou
gnerons le tronc d'origine commune au faisceau de Vicq d'Azyr et au
faisceau
de la calotte sous le nom de faisceau ma- naill
faisceau de Vicq d'Azyr et au faisceau de la calotte sous le nom de
faisceau
ma- naillaire principal (fasciculus mamillaris
- naillaire principal (fasciculus mamillaris princeps, Kôlliker).
Faisceau
mamillaire principal (Fmp). - Ce faisceau lire so
aris princeps, Kôlliker). Faisceau mamillaire principal (Fmp). - Ce
faisceau
lire son origine des cellules du noyau interne
atre fascicules nettement distincts qui se réunissent bientôt en un
faisceau
épais arrondi et compact (Fig. 2(j2). Il se dirig
e l'entre-croi- sement sous-thalamique postérieur de Forel (cF), le
faisceau
mamillaire principal se place ensuite en dedans
émet le pvdonculo dl ! tubercule. Structure de ces ganglions.
Faisceau
mamil- ]aire principal. Son trajet. 300 A
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ses deux brandies de bifurcation. Le
faisceau
de la calotte de Gudden Son trajet. Sa term
aison. et de la partie ventrale du thalamus, il se bifurque en deux
faisceaux
de volume inégal, dont l'un se termine dans le]
e dans le] tubercule antérieur de la couche optique et constitue le
faisceau
de Vicq cl'I .7 ? (VA), et dont l'autre, mal dé
p de Forel, se rend dans la calotte pédon- culaire et représente le
faisceau
de la calotte de Gudden (FcG). Le faisceau de V
culaire et représente le faisceau de la calotte de Gudden (FcG). Le
faisceau
de Vicq d'Azyr el le faisceau de la calotte de Gu
eau de la calotte de Gudden (FcG). Le faisceau de Vicq d'Azyr el le
faisceau
de la calotte de Gudden naissent donc d'un tron
ères inférieurs (rat, souris, lapin)( Fig. ' : ? 7 4 el 276), où le
faisceau
de la calotte de Gudden l'emporte par son vol
faisceau de la calotte de Gudden l'emporte par son volume sur le
faisceau
de Vicq d'Azyr. Faisceau de la calotte de Gud
Gudden l'emporte par son volume sur le faisceau de Vicq d'Azyr.
Faisceau
de la calotte de Gudden (fasciculus legmenlo -
iker)FG,Fig. 274, 277 et 252). Chez le lapin, la souris, etc., le
faisceau
de la calotte, mieux déli- m i lé que chez l'ho
rieure el interne de la capsule de ce noyau, se place en avant du
faisceau
lon- gitudinal postérieur, lui envoie quelque
etit amas ganglionnaire, situé de chaque côté du raphé, en avant du
faisceau
longitudinal postérieur : le ganglion profond d
omme, le trajet et la ter- minaison dans la calotte pédonculaire du
faisceau
de la calolle de Gudden, soupçonné et figuré pa
a méthode des coupes microscopiques sériées : dès la bifurcation du
faisceau
mamillaire principal, le faisceau de la calotte s
s sériées : dès la bifurcation du faisceau mamillaire principal, le
faisceau
de la calotte s'adossanl en effet au faisceau t
illaire principal, le faisceau de la calotte s'adossanl en effet au
faisceau
thalamique et au champ de Forel (Fig. 277). Ces
ellules étoilées dont le cylindre axe se continue avec une fibre du
faisceau
mamillaire principal. - 13, faisceau mamil- l
se continue avec une fibre du faisceau mamillaire principal. - 13,
faisceau
mamil- laire principal au tronc d'origine commu
13, faisceau mamil- laire principal au tronc d'origine commun au
faisceau
de Vicq d'Azyr (V) et au faisceau de la calotte
ipal au tronc d'origine commun au faisceau de Vicq d'Azyr (V) et au
faisceau
de la calotte de Gudden (C). D, faisceau de la
u de Vicq d'Azyr (V) et au faisceau de la calotte de Gudden (C). D,
faisceau
de la capsule du tubercule mamillaire; a, les b
capsule du tubercule mamillaire; a, les bran- ches collatérales du
faisceau
. - E, commis- sure intermamillaire. - F, région
l'on peut suivre jusque dans le tubercule mamillaire (Fig. 277).
Faisceau
de Vicq d'Azyr, VA. Le faisceau de Vicq d'Azyr co
le tubercule mamillaire (Fig. 277). Faisceau de Vicq d'Azyr, VA. Le
faisceau
de Vicq d'Azyr constitue chez l'homme un faisce
cq d'Azyr, VA. Le faisceau de Vicq d'Azyr constitue chez l'homme un
faisceau
volumineux, compact et serré, formé de fines fi
gion sous-thalamique de Forel, au niveau du point de bifurcation du
faisceau
mamillaire principal (Fig. 277), le fais- ceau
avec le tubercule mamillaire et le pédoncule de ce tubercule. - Le
faisceau
mamillaire principal et sa division en faisceau
ce tubercule. - Le faisceau mamillaire principal et sa division en
faisceau
de Vicq d' ,\ zYI' et faisceau de Gudden. - Coupe
millaire principal et sa division en faisceau de Vicq d' ,\ zYI' et
faisceau
de Gudden. - Coupe sagittale passant en dehors
re. - eF, entrecroisement sous-thalamique postérieur de Forel. - FcG,
faisceau
de la calotte de Gudden. - FM, faisceau rétrofl
postérieur de Forel. - FcG, faisceau de la calotte de Gudden. - FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. Filin, faisceau mamillaire
la calotte de Gudden. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Filin,
faisceau
mamillaire principal et ses deux branches de bi
isceau mamillaire principal et ses deux branches de bifurcation, le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA) et le faisceau de la calott
s deux branches de bifurcation, le faisceau de Vicq d'Azyr (VA) et le
faisceau
de la calotte de Gudden (FcG). - f1'c, faisceau
q d'Azyr (VA) et le faisceau de la calotte de Gudden (FcG). - f1'c,
faisceau
du tuber cinereum de Gudden. Ln, locus niger. -
re. - l'Sl, pédoncule du septum lucidum. Te, tuber cinereum. - fic,
faisceau
du tuber cinereum. Tria, pilier antérieur du tr
ne. 1'ml, noyau externe ou latéral du tuber- cule mamillaire. - VA,
faisceau
de Vice; d'.lzyr. - Il, bandelette optique sectio
les parties latérales du chiasma. ? nerf moteur oculaire commun. Le
faisceau
de'%'icq d'Azyr. 302 ANATOMIE DES CENTRES NER
254). Arrivé dans la région thalamique supérieure (Fig. 3 I 0), le
faisceau
de Vicq d'Azyr s'infléchit en avant et en dedan
pour Meynert en particu- lier, le pilier antérieur du trigone et le
faisceau
de Vicq d'Azyr consti- tuaient un seul el même
igone et le faisceau de Vicq d'Azyr consti- tuaient un seul el même
faisceau
qui décrivait un 8 de chiffre dans le tubercule
e. Gudden battit cette manière de voir en brèche et démontra que le
faisceau
de Vicq d'Azyr constitue un faisceau complè- te
r en brèche et démontra que le faisceau de Vicq d'Azyr constitue un
faisceau
complè- tement indépendant du pilier antérieur
einement l'opinion de Gudden. Mais tandis que Gudden croyait que le
faisceau
de Vicq d'Azyr prenait son origine dans le noya
origine dans le tuber- cule mamillaire par un tronc commun avec le
faisceau
de la calotte de Gudden. Pédoncule du tubercu
i renforcé, le pédoncule du tubercule mamillaire constitue un petit
faisceau
de fibres lâches qui affecte dans l'espace inlerp
nt à la substance grise de l'aqueduc de Sylvius, en tra- versant le
faisceau
longitudinal postérieur. Chez les mammifères te
etc. (Fig. 2Ci), le pédoncule du tubercule mamillaire constitue un
faisceau
assez compact dont les fibres, fortement coloré
éventail dans la région du ganglion interpédon- culaire, entoure le
faisceau
rétroflexe de Meynert en dedans et en dehors, l
(Fig. 252). Le ganglion profond, qui reçoit en outre des fibres du
faisceau
de la calotte de Gudden, est un petit amas gangli
sur 0 ? de large, situé le long du raphé, immédiatement en avant du
faisceau
longitudinal postérieur. Il est pro- bablement
la substance grise centrale du quatrième ventricule, en arrière du
faisceau
longitu- dinal postérieur. C'est un ganglion ar
s la substance grise centrale du quatrième ventricule en formant le
faisceau
longitudinal dorsal (dorsales Lângsbûndel des cen
et du pli rétrolimbique. Trigone cérébral, com- missure antérieure,
faisceau
inférieur du forceps du corps calleux, tapetum et
ntérieure, faisceau inférieur du forceps du corps calleux, tapetum et
faisceau
occi- p ! <o ? )'0)<t. C. R. Soc. de Biol
3allienabsch)iitieîi. Neurol., Centralbl., 189 : i. - Du même. Sur le
faisceau
septo-thalamique. Sur le pilier antérieur du tr
e fibres sectionnées per pendiculairement à leur axe, correspond au
faisceau
de Turck et se continue avec le segment rétro-l
l'inférieur comprend les fibres onduleuses à direction sagittale du
faisceau
temporo-thalamidue d'Arnold. (Compa- rez cette
eur nature. Alv, alveus intraventriculaire. - A,11, avant-mur. Arc,
faisceau
arqué. CA, corne .d'Ammon. Ce, capsule externe.
eur de la couronne rayonnante. - Us, diverticule du subiculum. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - FTth, faisceau Lcmpor
icule du subiculum. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FTth,
faisceau
Lcmporo-thalamidue d'Arnold. - Fu, faisceau unc
udinal inférieur. - FTth, faisceau Lcmporo-thalamidue d'Arnold. - Fu,
faisceau
uncinatus. Fus, lobule fusiforme. - oF3, face o
1)CIi, pied du segment antérieur de la couronne rayonnante. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Fus, lobule fusiforme.
qu'une atrophie en masse. 312 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le
faisceau
occi- pito-frontal n'est pas un faisceau d'as
ES CENTRES NERVEUX. Le faisceau occi- pito-frontal n'est pas un
faisceau
d'asso- ciation cortico-strié. Les radiations
n fais- ceau d'association cortico-slrié, et décrivent comme tel le
faisceau
occipito- frontal ou faisceau sous-calleux de M
tico-slrié, et décrivent comme tel le faisceau occipito- frontal ou
faisceau
sous-calleux de Mzerato ff. Bien qu'il paraisse é
entricule latéral. Ces fibres appartiennent, en partie au moins, au
faisceau
occipito-frontal et dégénèrent à la suite de lési
t-Pal, mais encore celles traitées suivant la méthode de Marchi. Le
faisceau
occipito-fronlal ne doit donc pas être considér
faisceau occipito-fronlal ne doit donc pas être considéré comme un
faisceau
d'association cortico-striée dont les cellules
les arborisations abou- tissent au corps strié : mais bien comme un
faisceau
d'association linter- cortical, reliant deux po
t de la pyramide bulbaire, et dans la moelle une dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux direct et croisé, sans dégénérescence
érieur de la capsule interne (Cip). Celte dégénérescence occupe les
faisceaux
radiés, la lame médullaire externe (Lme) et la su
diations strio-sous-thalamiques (radiations strio-luysiennes (RsL),
faisceau
lenticulaire de Forel, et traverser la partie a
aminé à la méthode de Marchi, aucune dégénérescence appréciable. Le
faisceau
de Turck en particulier est absolument normal.
sous-thalamique (Fig. 288), ainsi qu'une dégénérescence partielle du
faisceau
de Tiirck (FT) (Fig. 289); une dégénérescence d
s externes du pied du pédoncule cérébral peu prononcée au niveau du
faisceau
de Turcs; une dégénérescence du pes lem- ni,cus
isinante, de la pyramide antérieure du bulbe, et dans la moelle des
faisceaux
pyramidaux direct, croisé et homo-latéral; ? Une
s aberrantes postéro- externes. Dégéné- rescence partielle du
faisceau
de Turck. Dégénérescence lé- gère du globus p
s aberrantes postéro- externes. Dégéné- rescence partielle du
faisceau
de Turck. Dégénérescence lé- gère du globus p
nquième externe du pied du pédon- cule. Dégénérescence partielle du
faisceau
de Turck (FT), du pes lemniscus profond (PLp),
NL0, de la lame médullaire interne (lme), du corps de Luys (CL), du
faisceau
lenticulaire de Forel (FI) et des radiations st
s la constitution des radiations strio-thalamiques (en particulier du
faisceau
lenti- culaire de Forel) et de la partie antéri
en suivant le trajet des libres strio-luysiennes antérieures et du
faisceau
lenticu- laire de Forel. Connexions du corps
érie des vertébrés. Pris dans son ensemble, ce système constitue le
faisceau
basai du cerveau antérieur des vertébrés (Eding
intermé- diaire et moyen. Leur importance phylogénétique. Le
faisceau
basal du cerveau antérieur des vertébrés infé
dier le système des libres striées. Celui-ci constitue un volumineux
faisceau
, faisceau basal du cerveau antérieur (basales V
ystème des libres striées. Celui-ci constitue un volumineux faisceau,
faisceau
basal du cerveau antérieur (basales VOI'derhirn
du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - NL3, pu- tamen. Ouf,
faisceau
occipito-frontal. - OF + l'r, faisceau complexe c
audé. - NL3, pu- tamen. Ouf, faisceau occipito-frontal. - OF + l'r,
faisceau
complexe contenant à la fois des fibres du fais
al. - OF + l'r, faisceau complexe contenant à la fois des fibres du
faisceau
occipito-frontal et des fibres de projection. - P
L3, NL2, les deux segments externes du noyau lenticulaire. - OF + Pr,
faisceau
occipito-frontal, mélangé de fibres de projecti
le interne (Cip); sa partie postérieure com- prend surtout des gros
faisceaux
enchevêtrés, à direction verticale, dans sa par
région thalamique et intéressant le genou de la capsule interne, le
faisceau
géniculé, le globus pallidus, les lames médulla
- Cia, segment antérieur de la capsule interne. - Ci (g), genou et
faisceau
géniculé.- Cip, segment postérieur de la capsule
thalamus. - Ise, tienia semi-circularis. - lih, taenia thalami. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - Zi, zona incerta. GANGLIONS
e fibres. Les unes passent au-dessus du corps de Luys et forment le
faisceau
lenticulaire de Forel (FI); les autres s'irradi
yenne et ventrale), correspondant à nos trois groupes de fibres. Le
faisceau
lenticulaire de Forel (FI) (faisceau 112 (Forel),
os trois groupes de fibres. Le faisceau lenticulaire de Forel (FI) (
faisceau
112 (Forel), dorsal( ? Antheil der Linsenlcemsc
t postérieur de la capsule interne (Cip), puis se rassemblent en un
faisceau
large et aplati qui s'étale en avant et au-dess
auteurs. Il se porte ensuite en dedans (Fig. 323, 324), s'adosse au
faisceau
thalamique de Forel (Fth) dont le sépare la zon
Fig. 21), les coupes horizontales obliques, ses connexions avec le
faisceau
thalamique de Forel, le pédoncule inféro-interne
anse lenticulaire. Sur ces coupes il se présente sous l'aspect d'un
faisceau
triangulaire formé de fibres parallèles (Fig. 318
18 T. Ie1'). Les coupes vertico-transversales montrent enfin que ce
faisceau
n'appartient pas à un seul plan horizontal, mai
323, 324, 325). Les radiations strio-luysiennes (RsL) font suite au
faisceau
lenti- culaire de Forel, au-dessous et un peu e
noyau lenticulaire (ou anse lenticulaire, ansa lenticularis) est un
faisceau
volumineux situé au-dessous et en avant des rad
oit en outre par les lames médullaires quelques fibres lenti- 1- La
faisceau
len- ticulaire de Forel ou la couche dorsale
lidus, les radiations strio-luysiennes, l'anse len- ticulaire et le
faisceau
de Turck. Méthode de Weigert. 5/1 grandeur nature
e interne ; - CL, corps de Luys. - coa commissure antérieure. - FT,
faisceau
de Turck. - fTth, faisceau temporo-Lhalamiduc d
Luys. - coa commissure antérieure. - FT, faisceau de Turck. - fTth,
faisceau
temporo-Lhalamiduc d'Arnold au moment où il abo
mi-circularis. IV, zone de Wernicke. culo-caudées. Contrairement au
faisceau
lenticulaire de Forel et aux ra diations strio-
t située (Fig. 2f, 4S, 269, 270 el 293). Elle forme avec ce dernier
faisceau
l'anse pédonculaire de Gratiolet c'est-à-dire c
cule cérébral au niveau de sa pénétration dans le cerveau. Les deux
faisceaux
constitutifs de l'anse pédonculaire sont séparé
ercule mamillaire (PTm), du pilier antérieur du trigone (Tga) et du
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA) (Fig. 45 et T. le', Fig. 319
du thalamus où elle se termine en s'enchevêtrant avec les fibres du
faisceau
lenticu- laire de Forel (FI) et du pédoncule in
radiations strio-thalamiques et radiations strio-sous-thalamiques (
faisceau
lenticulaire de Forel, radiations strio-luysien
nérescence des radiations strio-thalamiques, strio-luysiennes et du
faisceau
lenticulaire de Forel, et respectent relativement
lo-striées) épargnent en général l'anse du noyau lenticulaire et le
faisceau
lenticulaire de Forcl et reten- tissent surtout
audé, soit au putamen ou au globus pallidus. D'après v. Monakow, le
faisceau
lenticulaire de Forel et les radiations strio-l
on des radiations striées est plutôt régionale que segmentaire ; le
faisceau
lenticulaire de Forel, les radiations strio- lu
triées parcourant souvent un très long trajet avant de se réunir en
faisceaux
radiés. En aval de la lésion primitive, la dégé
resse les radia- tions strio-thalamiques et strio-sous-thalamiques (
faisceau
lenticulaire de Forel, radiations strio-luysien
mprend en général toute l'étendue de ce corps. La dégénérescence du
faisceau
lenticulaire de Fore] (FI) (Fig. 297 el 298) es
antérieur de la protubérance, la pyramide antérieure du bulbe et le
faisceau
pyramidal croisé et direct de la moelle. Les segm
us, des radiations strio-tlia- lamiques, strio-lu3- siennes, du
faisceau
lenticulaire do Forel, de l'anse lenticu- l
us. des radiations strio-tha- lamiques , strio-luy- siennes, du
faisceau
lenticulaire de Forel, de l'anse lenticu- l
sule de fibres. externe du pied du pédoncule cérébral, y compris le
faisceau
de Turck (Fig. 299 et 300) . FIG. 296, 297 et 2
rieure du segment postérieur de la capsule interne, en particulier du
faisceau
géniculé (Ci(g). Dégénérescence de la zone réti
laire, dégéné- rescence des radiations strio-thalamiques (Rsth), du
faisceau
lenticulaire de Forel (FI), de l'anse lenticula
scence de la partie antéro-inférieure du thalamus dans la région du
faisceau
thalamique (Fth) et du champ de Forel (F) (fig.
- cus niger (Ln) et du pes lemniscus profoml(PLp). Intégrité du
faisceau
in- lerne du pied du pédon- cule, malgré la d
rescence de l'anse lenti- culaire de la figure 297. Intégrité du
faisceau
de Turck, de la partie adja- cente du pied du
-sous-tliala- miques, en particulier de l'anse lenticulaire et du
faisceau
lenticulaire de Forel. Méthode de Marchi. 2/1 g
dus, des radiations strto-tlm- lamiques, strio-luy- siennes, du
faisceau
lenticulaire de Forel, de l'anse lenticu- l
dans le noyau externe du thalamus et dans la région occupée par le
faisceau
thalamique de Forel (Fth, Fig. 297). La partie
lpêtrière GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 337 ticulier le
faisceau
géniculé (Cig), puis s'irradient dans la partie a
oie des radiations strio-thalamiques (Rsth), les suivantes la voie du
faisceau
lenti. culaire de Forel (FI) et envoient un pet
e (Fig. 297, 298); cette dernière relève de la lésion directe de ce
faisceau
par un des foyers lacunaires. Ce cas démontre
envoie des fibres dans les radiations strio-thala- miques, dans le
faisceau
lenticulaire de Forel, dans l'anse lenticulaire,
e de Meynert. 2 Que l'anse lenticulaire ne concourt pas à former le
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral et n'envo
ntraînent en outre (Méthode de Marchi) la dégénérescence d'un petit
faisceau
de fibres, qui dans le plancher du troisième ve
e commissure de Meynert (CM). (Cas Ronse, Fig. 297, 298 et 301.) Ce
faisceau
appartient donc au système des fibres striées.
sécutives aux lésions thala- miques. L'anse lenticulaire (Al) et le
faisceau
lenticulaire de Forel (FI) peuvent dégénérer à
luysiennes dans les lésions extra-striées par lésion directe de ces
faisceaux
clans la région antéro-ventrale du thalamus. Le
tte,Fig. 302 à 309), la dégénérescence de l'anse lenticulaire et du
faisceau
lenticulaire de Forel pouvait être suivie en am
intérieur de la protubérance, la pyramide antérieure du bulbe et les
faisceaux
pyrami- daux croisé et direct de la moelle. Il
traîné : 1° une dégénérescence des radiations strio-thalamiques, du
faisceau
lenticulaire de Fore/, de l'anse lenticulaire, du
amus. Dégé- nérescence des ra- diations strio-thala- miques, du
faisceau
lenticulaire de Forel, de l'anse lenticulaire
gion pédonculaire inférieure. Intégrité du ruban de Reil et du
faisceau
interne du pied du pédon- cule cérébral. 31
amus. Dégé- nérescence des ra- diations strio-thala- miques, du
faisceau
lenticulaire de Forel, de l'anse lenticulaire
gion pédonculaire inférieure. Intégrité du ruban de Reil et du
faisceau
interne du pied du pédon- cule cérébral. th
Li) et ses lames médullaires (Ime, lmi, Imi'). La dégénérescence du
faisceau
lenticulaire de Forel (FI) est particulièrement m
Luys (Fig. 305), et se présente sous la forme caractéristique d'un
faisceau
triangulaire, à sommet postérieur, dont les fibre
ques (Rsth) en arrière de la zone capsulaire dégénérée (Cip, d), du
faisceau
lenticulaire de Forel (FI), du fascicule que ce f
(Cip, d), du faisceau lenticulaire de Forel (FI), du fascicule que ce
faisceau
envoie au plancher du 3e ventricule (Fig. 30, F
laire, les quelques rares fibres dégénérées que l'on constate dans le
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral au voisin
des radiations strio-thalamiques (Rsth) et strio- sous-thalamiques (
faisceau
lenticulaire de Forel (FI), anse lenticulaire (Al
. 2° La lésion thalamique a entraîné en outre une dégénérescence du
faisceau
thala- mique de Forel (Fth) et du champ de Forc
tendant jus- qu'au champ de Forel (Fp, Fig. 306). Dégénérescence du
faisceau
thalamique (Fth) et du champ de Forel (F), du n
rouge (1\Il) et de sa capsule de fibres (CN13). Dégénérescences du
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA) et de la capsule du tubercule
la capsule du tubercule ma- millaire (Tm) (Fig. 306). Intégrité du
faisceau
interne du pied du pédoncule cérébral. (Méthode
amus. Dégé- nérescence des ra- diations strio-thala- nuques, du
faisceau
lenticulaire de Forel, de l'anse lenticulaire
égion pédonculairo inférieure. Intégrité du ruban do Reil et du
faisceau
interne du pied du pédon- cule cérébral. 34
amus. Dégé- nérescence des ra- diations strio-thala- miques, du
faisceau
lenticulaire de Forel, de l'anse lenticulaire
gion pédonculaire inférieure. Intégrité du ruban de Reil et du
faisceau
interne du pied du pédon- cule cérébral. Il
cule cérébral. Il existe d'autre part une dégénérescence du petit
faisceau
de fibres que le champ de Forel, en particulier
petit faisceau de fibres que le champ de Forel, en particulier, le
faisceau
lenticulaire de Forel envoie à la substance gri
s des tubercules maxillaires. Il existe enfin une dégénérescence du
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA) (directement lésé parle foy
g. 306 et 307), malgré la dégénérescence du champ de Forel (F), des
faisceaux
thalamiques (Fth) et lenticulaire (FI), malgré la
ssent au ruban de Reil médian qu'il existe une dégénérescence de ce
faisceau
, encore cette dégénérescence ne dépasse-t-elle
s strio-tlialamiques et strio-sous-thalamiqttes (anse lenticulaire,
faisceau
lenticulaire de Forel) dégénèrent à la suite de l
Reil médian malgré une dégénérescence de l'anse lenticu- laire, des
faisceaux
lenticulaire et thalamique de Forel. Intégrité du
aire, des faisceaux lenticulaire et thalamique de Forel. Intégrité du
faisceau
inlerne du pied du pédoncule cérébral, malgré l
re. Les fibres dégénérées qui se trouvent sur la Figure 309 dans le
faisceau
interne du pied du pédoncule appartiennent au p
e fibres dans le pied du pédoncule cérébral, en particulier dans le
faisceau
interne de la voie pédonculaire. 4° Que l'anse
au interne de la voie pédonculaire. 4° Que l'anse lenticulaire, les
faisceaux
thalamique et lenticulaire de Forel n'en- voien
voient pas de fibres au ruban de Reil médian. 5° Que les fibres du
faisceau
thalamique et du champ de Forel qui dégénèrent à
r la méthode de Marchi. Ruban de Reil, pes lemniscus, locus ni-jer,
faisceau
lenticulaire de Forel, anse lenticulaire, corps d
rement à l'opinion de Gudden, que ce noyau est le noyau terminal du
faisceau
de Vicq d'Azyr. Ce faisceau nait d'un tronc com
, que ce noyau est le noyau terminal du faisceau de Vicq d'Azyr. Ce
faisceau
nait d'un tronc commun avec le faisceau de la c
faisceau de Vicq d'Azyr. Ce faisceau nait d'un tronc commun avec le
faisceau
de la calotte de Gudden, prend son origine dans
encéphalique intéressant le noyau antérieur de la couche optique, le
faisceau
de Vicq d'Azyr, le faisceau rétroflexe de Meyne
oyau antérieur de la couche optique, le faisceau de Vicq d'Azyr, le
faisceau
rétroflexe de Meynert, le noyau rouge, le pédoncu
missure antérieure. - F, champ de Forel. - sillon olfactif. - F.11,
faisceau
rétroflexe de Meynert. fp, fibres perforantes d
ce faisant suite à la voie pédon- culaire et concourant à former le
faisceau
pyramidal. - Qa, tubercule quadrijumeau antérie
ercule mamillaire accessoire. - tsc, taenia semi- circularis. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - T'l, ventricule latéral. Zr, zo
interne du thalamus, de l'anse lenticu- laire et quelques fibres du
faisceau
lenticulaire de Forel. Ces fibres dégé- nèrent
t, ni dans la capsule interne,ni dans la couronne rayonnante, en un
faisceau
compact et dis- tinct, mais s'entremêlent dans
te le noyau semi-lunaire de Flechsig (NF) et le sépare en dehors du
faisceau
tlialamique de Forel (Fth). Aux confins de la rég
re dans ses dia- mètres antéro-postérieurs, est située en dehors du
faisceau
rétroflexe de Meynert (FM) et du ruban de Reil
IQUE 3 : i3 la région sous-optique : les antérieures se joignent au
faisceau
thalamique de Forel et aux radiations de la cal
rticales. Les fibres verticales et sagittales sont croisées par les
faisceaux
radiés des régions antéro-externes du thalamus
trémité antérieure du thalamus ; 2° avec la zona incerta (Zi) et le
faisceau
lenticulaire de Forel (FI) qui correspondent au
F), le corps de Luys (CL), le noyau rouge (NR) et reçoit ou émet le
faisceau
thalamique de Forel (Flli), les radiations de l
du stratum zonale, et il est traversé dans toute sa hauteur par le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA, Fig. 310). En arrière, le n
(Na), lui abandonnent des fibres, croisent la partie supérieure du
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA) et la lame médullaire inter
pent toute l'étendue antéro-postérieurc du noyau externe, depuis le
faisceau
de Vicq d'Azyr jusqu'au corps genouillé interne
appartiennent à la lame médullaire externe (Lme) du thalamus et au
faisceau
thalamique de Forel (Flh) (Fig. 47, p. 69), fai
thalamus et au faisceau thalamique de Forel (Flh) (Fig. 47, p. 69),
faisceau
volumineux qui occupe les deux quarts moyens du n
dans les régions infé- rieures ou ventrales où elles s'unissent au
faisceau
thalamique de Forel (Flh) qu'elles concourent e
aire supplémentaire, la lame médullaire moyenne (Lmm), le sépare du
faisceau
thalamique de Forel (Fth); en arrière, il ebt en
entrales du noyau externe, elle se place en dehors et au-dessous du
faisceau
thalamique de Forel (Fth), et se continue avec
ceau lenticulaire de Forel. - Fie, fibres lenticulo-caudées. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétrofle
es lenticulo-caudées. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FM,
faisceau
rétroflexe de )Ieynert. FT, faisceau de Tûrck. Ft
longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe de )Ieynert. FT,
faisceau
de Tûrck. Fth, fais- ceau thalamique de Forel.
du trigone (Fimbria). - Th, thalamus. - troisième ventricule. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale du ventri
e à la façon d'un coin entre le corps genouillé externe (Cge) et le
faisceau
de Turck (FT) (Fig. 312). Ces deux segments. de
se rapproche davantage des régions ventrales du noyau externe et du
faisceau
thalamique de Forel, et impriment au noyau extern
e premier, ou central (centraler Nebenlcern vent. a), correspond au
faisceau
thalamique deForel; le second, ou postéro-exter
ous-lenticulaire (Cisl) de la capsule interne en particulier par le
faisceau
temporo-thala- mique d'Arnold (fTth, Fig. 313).
cales, fortement colorées par l'héma- toxyline et qui, disposées en
faisceaux
serrés, séparés par des intervalles allongés, s
ellules nerveuses du pulvinar. 16 Cing, cingulum; Ciccg(p), son
faisceau
postérieur. -Cirl, segment rétrolenticulaire de l
ticule du subiculum. - Fa, circonvolution frontale ascendante. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - ft, fibres tangentie
u caudé ; Nc, la partie recourbée de sa queue. NJ.3, putamen. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - Opl>2, opercule pariétal.
ce grise sous-épendymaire. - Sge (Fli), couche sagittale externe ou
faisceau
longitudinal inférieur du segment inférieur de la
ulvinar reçoit en outre dans sa partie inférieure et postérieure le
faisceau
temporo-thala- mique d'Arnold (V oy. p. li3) qu
e le segment sous-lenticulaire de la capsule interne et y croise le
faisceau
de Turck et le faisceau visuel central (radiati
ulaire de la capsule interne et y croise le faisceau de Turck et le
faisceau
visuel central (radiations optiques de Gratiolet)
segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), sépare le
faisceau
de Turck des fibres de projection corticale qui p
colorent intensivement par l'héma- toxyline et qui sont réunies en
faisceaux
très compacts séparés par des fentes allongées.
sition que celles de la bandelette optique; elles se réunissent en
faisceaux
très compacts séparés par des fentes allongées
iques pourvues d'une arborisation terminale dense et profonde. - E,
faisceau
des voies optiques centrales. -1 ? fibres se con-
ventrale du noyau externe du tha- lamus (Ne), et en particulier du
faisceau
thalamique de Forci (FLh), du noyau semilunaire
s, passent en avant du corps genouillé externe, traversent, avec le
faisceau
de Tiirck (FT), la partie postérieure du segmen
ouillé interne est en connexion avec le ruban de Reil latéral (RI),
faisceau
auditif par excellence, qui le relie aux centres
ps genouillé interne, elle reçoit le neurone auditif cor- tical; le
faisceau
de Vicq d'Azyr, le taenia semi-circularis et le g
iculière- ment la région du ruban de Reil médian (rgRm) et celle du
faisceau
thalamique de Forel (Fth). Elle peut être suivi
ire supérieure, ni au pédoncule cérébelleux supérieur (Pes). Ces deux
faisceaux
qui se terminent par de nombreuses fibres dans
par l'intermédiaire de fibres passant par la couche optique. Si ces
faisceaux
diminuent de volume à la suite de lésions corti
us-thala- miques et participent par conséquent à la constitution du
faisceau
lenticu- laire de Forel et de l'anse lenticulai
contre un très grand nombre, qui l'abordent par l'intermédiaire du
faisceau
thalamique de Forel, des radia- lions de la cal
le dense feutrage de libres si caractéristique de celle région. Le
faisceau
thalamique de Forel (1 tlc), qui n'est autre que
portent en haut el en dehors, et abordent le thalamus en arrière du
faisceau
thalamique de Fore). La région du ruban de Reil
374 ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Elles s'ellectuent t par le
faisceau
tim- lamique de Forel, les radiations de la c
le centre médian de Luys en arrière, en bas et en dehors. Ces trois
faisceaux
ne sont pas constitués par une seule et même caté
ère. Le pédoncule cérébelleux supérieur participe à la formation du
faisceau
thalamique de Forel, des radiations de la calot
ion réticulée de la calotte entrent surtout dans la constitution du
faisceau
thalamique et des radiations de la calotte et é
cellules du thalamus, empruntent plus particulièrement le trajet du
faisceau
thalamique de Forel et des radiations de la calot
une striation trans- versale très manifeste (Fig. 339). C'est un
faisceau
volumineux, formé par une série de gros fascicu
ttière, la commissure postérieure se présente sous l'aspect de deux
faisceaux
parallèles séparés l'un de l'autre soit par la su
ras du tubercule quadrijumeau antérieur consécutive à une lésion du
faisceau
visuel intracérébral (méthode de Marchi), nous
antérieur et dans la formation réticulée, en avant et en dehors du
faisceau
longitudinal postérieur. Malgré les connexion
xes; elles s'établissent : 1° Par le taenia semicircularis (Voy. ce
faisceau
, p. 265 et fig. 255), donl une parlie des fibre
dalien, la circonvolution du crochet et l'aire olfactive; 2° Par le
faisceau
de Vicq rl'Ayr qui se termine dans le noyau anté-
u anté- rieur du thalamus et le relie au tubercule mamillaire (Voy.
Faisceau
de Vicq d'Azyr, p. 299) ; 3° Par les radiatio
d'Azyr, p. 299) ; 3° Par les radiations olfactives profondes et le
faisceau
septo-tlaalanzique, (Voy. p. 262) qui pénètrent
et en connexion avec l'aire olfactive (Fig. 3 1 9) ; il émet un
faisceau
com- pact de fibres, le fais- ceau rétroflexe
m- pact de fibres, le fais- ceau rétroflexe (fut) (Meynert), ou
faisceau
de Meynert ( Forci ) (Fig. 321) qui le relie
; 11 est uni enfin au ganglion de l'habenula du côlé opposé, par un
faisceau
de fibres transversales, situé à la base de la
ganglion de l'habenula, ses connexions avec le lmnia thalami et le
faisceau
rélroflexe de Meynert, ne sont bien connues que
externe. - C. coupe transversale des libres du taenia thalami. - D,
faisceau
rétrollexe de leynert. - (1, cylindre- axes des
chez les mammifères, la dégénérescence secondaire des- cendante du
faisceau
rétroflexe, à la suite d'extirpation du ganglion
du noyau interne, puis se continue en une fine fibre amyélinique du
faisceau
rétroflexe de Meynert (Voy. p. 386). Ces cellul
transversale de la partie interne du tænia thalami. - e. origine du
faisceau
rétroflexe de Meynert. \ oyau interne. 380 AN
tico-transversales, le tamia thalami se présente sous la forme d'un
faisceau
triangulaire, dont la base se continue avec le st
e renflée du noyau antérieur du thalamus, le tænia thalami forme un
faisceau
épais, fusionné avec le stratum zonale et impossi
s'amincir de nouveau, au voisinage du ganglion de l'habenula, en un
faisceau
à surface de section triangulaire. Ces changement
fficile, au moins chez l'homme, l'appréciation de l'épaisseur de ce
faisceau
dans les différentes parties de son trajet. D'apr
nt en lui formant son revêtement blanc, puis pénètrent soit dans le
faisceau
rétroflexe, soit dans la commissure interbabénula
de leurs cellules d'origine. Le tamia thalami constitue en effet un
faisceau
fort complexe, dont les origines sont loin d'êt
t des radial ions olfactives profondes (Rolp) (Fig. `>5't) et du
faisceau
septo-thalamique (fsth) (Fig. 253), passent au-de
par l'intermédiaire du pilier postérieur et du corps du trigone, un
faisceau
assez important qui se détache du pilier an- té
er anté- rieur du trigone dans le tuber cinereum. L'existence de ce
faisceau
niée par Meynert et v. Gudden, admise par Luys,
r antérieur pendant un court trajet, et appartiennent en réalité au
faisceau
septo-thalamique (voy. p. 267). Les connexions
avec le septum lucidum et l'aire olfactive, par l'intermédiaire du
faisceau
septo-thalamique ou longitudinal basal, sont du
ire (cih, Fig. 317 et 320). - La commissure interhabénulaire est un
faisceau
de fibres transversales situé en avant de la gl
e pos- térieure. Sa constitution. Connexions de ses fibres.
Faisceau
rétro- flexe de Meynert. Son trajet. . Ses
ire reçoit en outre quelques fibres du ganglion de l'habenula et du
faisceau
rélrotlexc de Meynerl, des fibres radiées du thal
iques primaires), les autres entrent peut-être en connexion avec le
faisceau
longitudinal postérieur et le noyau de la troisiè
faisceau longitudinal postérieur et le noyau de la troisième paire.
Faisceau
de Meynert (faisceau rétroflexe) (FM). - Soupçonn
postérieur et le noyau de la troisième paire. Faisceau de Meynert (
faisceau
rétroflexe) (FM). - Soupçonné par Stiéda et par
(faisceau rétroflexe) (FM). - Soupçonné par Stiéda et par Luys, le
faisceau
rétrollexe a été décrit par Meynert. qui le dés
exe a été décrit par Meynert. qui le désigna d'abord sous le nom de
faisceau
du ganglion de l'habenula à la calotte (lïauben
calotte (lïaubenbûndcl des ganglions habenula;), puis sous celui de
faisceau
rétroflexe. Il porte depuis Formelle nom de faisc
sous celui de faisceau rétroflexe. Il porte depuis Formelle nom de
faisceau
de Meynert. C'est un faisceau compact, qui exis
lexe. Il porte depuis Formelle nom de faisceau de Meynert. C'est un
faisceau
compact, qui existe dans toute la série des verté
Chez les vertébrés inférieurs et chez la plupart des mammifères, ce
faisceau
décrit un trajet rectiligne et qui semble tiré
hez l'homme, grâce au développement considérable du noyau rouge, le
faisceau
rélro- Ilexe décrit de chaque côté du troisième
e le noyau rouge et le traverse dans une parlie de son trajet. Le
faisceau
de Meynert affecte les rapports suivants. Au vois
I\'IRACORTICAU1 : GOUCIIE OPTIQUE. 3si ganglion de l'habenula, ce
faisceau
est situé (Fig. 47, p. 69) : en dedans du centr
ace en avant du ruban de Reil médian (Rm), en dehors et en avant du
faisceau
longitudinal postérieur (Fig. 321). Puis il trave
u pédoncule céré- bral. Forel a montré que, chez les mammifères, ce
faisceau
ne se continue pas avec un faisceau de la calot
ré que, chez les mammifères, ce faisceau ne se continue pas avec un
faisceau
de la calotte, mais qu'il se termine dans un peti
ransversale un peu oblique en bas et en avant, parallèle au plan du
faisceau
rétroflexe de Meynert. (Méthode de Weigert.) Cg
Cge, corps genouillé externe. - Cgi, corps genouillé interne. - Flp,
faisceau
longitu- dinal postérieur. - FM, faisceau rétro
genouillé interne. - Flp, faisceau longitu- dinal postérieur. - FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. - Gh, ganglion de l'habenu
hez les mammifères, ce ganglion est insignifiant chez l'homme. Le
faisceau
rétroflexe comprend deux sortes de libres. Les un
amyéliniques prédominent et, sur les coupes colorées au carmin, le
faisceau
rétroflexe présente, selon l'expression de Fore
eau rétroflexe présente, selon l'expression de Forel, l'aspect d'un
faisceau
sclérosé. Chez l'homme, les fibres fines sont b
grosses fibres myéliniques prédominent et occupent la périphérie du
faisceau
. Celle disposition est très facile il constater
es horizontales sériées. Au voisinage du ganglion de l'habenula, le
faisceau
rétroflexe se compose de quatre à cinq fascicules
se retrouve plus bas, ou, par suite de la fusion des fascicules, le
faisceau
de Meynert se compose seulement d'un ou de deux f
icules, le faisceau de Meynert se compose seulement d'un ou de deux
faisceaux
. Il est probable que ces deux ordres de fibres,
on inconnue. Il est un fait certain, c'est que chez l'homme : 1° le
faisceau
de Meynert ne peut être suivi au delà de la parti
partie antéro-interne de la capsule du noyau rouge; 2° le volume du
faisceau
rétroflexe n'est pas en rapport avec le dévelop
'un ganglion nettement délimité qui sert de noyau de terminaison au
faisceau
rétroflexe de Meynert et qui ne doit pas être c
osseux, et par Cajal également chez les mammifères. Les fibres du
faisceau
rétroflexe de Meynert qui abordent le ganglion in
melles. Lorsqu'on éludie attentivement le trajet de chaque fibre du
faisceau
de Meynert, on FiG. 322. - Coupe vertico-transv
donculaire est limité de chaque côté par la bifurcation des fibres du
faisceau
rétroflexe de Meynert (A). - il, cellules du ga
édonculaire vues de champ. C, arborisation terminale d'une fibre du
faisceau
rélroflexe. - a, bifur- cation d'une de ces fib
ent ventral de la calotte. Mode de terminai- sons des fibres du
faisceau
rétroflexe. 388 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
aient du reste signalé ces dispositions en disant que les fibres du
faisceau
de Meynert décrivent des 8 de chiffre dans l'ép
anglion interpédonculaire qui entrent en contact avec les fibres du
faisceau
rétroflexe sont, ou bien de petites cellules étoi
du cervelet (Cajal). Leurs cylindres-axes se réunissent en un petit
faisceau
signalé par Ganser chez la taupe et la souris d
dont l'existence est confirmée par Kôlliker chez le lapin. C'est le
faisceau
segmentaire du ganglion interpéclonculaire (Ilaub
u humain et très nette sur les coupes sagittales (Fig. 310) que les
faisceaux
sagittaux qui traversent la région sous-optique
e correspond à un plan oblique en bas et en avant, qui passe par le
faisceau
rétroflexe de Meynert. Tout ce qui est situé en
dans l'extrémité antéro-inférieure de la couche optique; 2° avec le
faisceau
de Vicq d'Azyr qui traverse la partie antérieure
aire de Flechsig; 5° avec la partie ventrale du noyau interne et le
faisceau
rétroflexe de Meynert; 6° enfin, avec la région
ent le corps de Luys, et la partie du noyau rouge situé en avant du
faisceau
rétroflexe de Meynert. La face interne est tapi
par la substance grise centrale dont la séparent incomplètement le
faisceau
de Vicq d'Azyr et les fibres du pédon- cule inf
bres du pédon- cule inféro-interne du thalamus qui passent entre le
faisceau
de Vicq d'Azyr cl le pilier antérieur du trigon
seur variable suivant les plans ccrtico - transver- saux. Les
faisceaux
len- ticulaire et thala- mique de Forel. au
len- ticulaire et thala- mique de Forel. auquel s'est joint le
faisceau
de Turck (FT), c'est-à-dire les éléments con- s
étude. La partie antérieure de la couche dorsale est formée par les
faisceaux
lenticulaire et thalamique de Forel. Le faiscea
st formée par les faisceaux lenticulaire et thalamique de Forel. Le
faisceau
lenticulaire (FI, p. 327, Fig. 24, 28, 78, 203,
formation de la capsule de fibres qui entoure le corps de Luys. Le
faisceau
thalamique (Fth) (Fig. 7, 24, 28, 47, 253, 312,
en réalité que la partie inférieure, épaissie, de ce feutrage. Les
faisceaux
thalamique et lenticu- GANGLIONS 1\rR.ICOR'l'IC
étroite, est réduite aux faisceanx de Forel (F) en par- ticulier au
faisceau
lenticulaire (FI) dont les fibres peuvent être su
sous-lenticulaire de la capsule iuterne. - F, champ de Forel. - FI,
faisceau
lenticulaire de Forel. Fie, fibres lenticulo-caud
2, .\'G,, les (rois segments du noyau lenticulaire. - OF + ]le-, le
faisceau
mixte de fibres occipito- frontales et de proje
épendance de la zone réticulée du thalamus qui longe entre les deux
faisceaux
de Forel la face inférieure du thalamus et se per
et s'insinue entre segment pos- térieur de la capsule interne et le
faisceau
lenticulaire de Forel, en même temps que les de
ne et le faisceau lenticulaire de Forel, en même temps que les deux
faisceaux
de la couche dorsale se réunissent en un faisce
mps que les deux faisceaux de la couche dorsale se réunissent en un
faisceau
volumineux qui occupe, le long de la substance gr
(F) (Fig 203. 204, 324, 325). Celui-ci est surtout constitué par le
faisceau
thalamique de Forel qui s'épaissit considérable
2, 324, 22); il reçoit en outre la partie postérieure et amincie du
faisceau
lenticulaire de Forel dont les fibres forment u
e, en connexion avec la zone réti- culée du thalamus, qui sépare le
faisceau
thalamique du corps de Luys et de sa capsule de
arrière avec le segment de la zone réticulée qui s'insinue entre le
faisceau
de Tiirck et le segment rétro-lenticulaire de l
aire de la capsule interne (Fig. 312). Le champ de Forel, comme les
faisceaux
thalamique et lenticulaire, est formé de fibres
res entre-croisées dans tous les sens, il est fusionné en dedans au
faisceau
de Vicq d'Azyr et au faisceau mamillaire principa
es sens, il est fusionné en dedans au faisceau de Vicq d'Azyr et au
faisceau
mamillaire principal dont il est difficile à dé
ur les coupes horizontales ou vertico-transver- sales, et reçoit le
faisceau
de la calotte de Gudden (voy. p. 300 et Fig. 277)
ONS IFRACOUTfCAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 397 ceau thalamique, ni le
faisceau
lenticulaire de Forel n'abandonnent de fibres a
minue graduellement et. disparaît sur les coupes qui intéressent le
faisceau
rétroflexe de Meynert. Sur les coupes ho- Sur l
omprend le corps de Luys et la couche dorsale, consti- tuée par les
faisceaux
thalamique et lenticulaire de Forel et la zona in
ys. - pCR, pied de la couronne rayonnante. - F, champ de Foret. - FI,
faisceau
lenti- culaire. - Fie, fibres lenticulo-caudées
I, faisceau lenti- culaire. - Fie, fibres lenticulo-caudées. - Fmp,
faisceau
mamillaire principal. - Flp, faisceau thalamiqu
res lenticulo-caudées. - Fmp, faisceau mamillaire principal. - Flp,
faisceau
thalamique de Forel. - la, circonvolutions antéri
optique. - 7'm, tubercule mamillaire. - llh, taenia thalami. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. Vcsl, veine du corps strié. t7,
des radiations strio-sou.s- lhalamiques (p. 326), en particulier au
faisceau
lenticulaire de Forel. La zona incerta (Zi), si
s, et d'avant en arrière du champ de Forel (F, Fig 2S1. T. Ils), du
faisceau
thalamique de Forel (Fth, Fig. 324, 24, p. 35)
externe du locus niger. L'extrémité anlérieure est enclavée dans le
faisceau
lenticulaire de Forel (FI). Cette disposition e
t- tales sériées (Fig. 24, 28, 33, 44, 48, 46, 253, 254, 311). Le
faisceau
lenticulaire de Forel abandonne quelques fibres a
s fortement colorés par la laque hématoxylinique qui s'irradient en
faisceau
et dont quelques-uns parcourent toute l'épaisse
nce du corps de Luys, lorsque les fibres à myéline se réunissent en
faisceau
avant 'de traverser le segment pos- térieur de
nterne dont la séparent le pédoncule inféro-interne du thalamus, le
faisceau
de Vicq d'Azyr et le faisceau rétroJIoxe de Meyne
oncule inféro-interne du thalamus, le faisceau de Vicq d'Azyr et le
faisceau
rétroJIoxe de Meynert; elle s'épaissit m niveau
fines, de moyen et de gros calibre, dont beaucoup appartiennent aux
faisceaux
avoisinants. Telles sont les fibres des parois
ule qui appartiennent au pédoncule inféro-interne du thalamus et au
faisceau
septo-thalamique ; celles de la commissure moll
de la région sous-optique qui appartiennent au champ de Forel, aux
faisceaux
thalamique ou lenticulaire cle Forel, au corps de
asma et la bandelette optique, la commissure de Meynert et le petit
faisceau
du tuber cinereum de Gudden. Ces commissures sont
amique postérieure (Fig. 325) est en rapport de chaque côté avec le
faisceau
mamillaire principal (Fmp), le corps de Luys (C
le faisceau mamillaire principal (Fmp), le corps de Luys (CL) et le
faisceau
rétroflexe de Meynert; le pédoncule du tubercule
Luys sous forme de fines fibres parallèles, ne se réunissent pas en
faisceaux
compacts, mais sont disséminées dans la lame pe
n trouve quel- ques fibres qui proviennent du champ de Forel et des
faisceaux
thala- lnc. 325. -Coupe vertico-transversale pa
locus niger comprend le corps de Luys et la couche dorsale avec les
faisceaux
lenticulaire thalamique de Forel, le champ de For
re sous-thalamique postérieure de Forel. - F, champ de Forel. - FI,
faisceau
lenticulaire de Forel. - Fie, fibres lenticulo-
eau lenticulaire de Forel. - Fie, fibres lenticulo- caudées. - Fmp,
faisceau
mamillaire principal. - l'lh, faisceau thalamique
s lenticulo- caudées. - Fmp, faisceau mamillaire principal. - l'lh,
faisceau
thalamique de Forel. - le, lame cornée. - Lme,
, on trouve des fibres qui, se détachant de la partie antérieure du
faisceau
longitudinal postérieur,longent de haut en bas
rminaison sont encore inconnus. Unis- sent-elles entre eux les deux
faisceaux
longitudinaux postérieurs ? éta- blissent-elles
itudinaux postérieurs ? éta- blissent-elles une connexion entre ces
faisceaux
et le champ de Forel croisé ? ou entre ce champ
millaire ; et par des fibres qui appartenant vraisembla- blement au
faisceau
septo-thalamique et aux radiations olfactives pro
insignifiante; chez la plupart des mammifères, on y trouve de gros
faisceaux
divergents, fortement colorés par l'hématoxyline,
t sous celui de commissure de la sub- stance grise centrale, est un
faisceau
formé de lâches fascicules de fibres enclavés d
erveau, en arrière de la bandelette optique, puis pénètre entre les
faisceaux
de la partie moyenne du pied du pédoncule céréb
nte vraisemblabl e m e n t une commissure m- terlenticulatre.
Faisceau
du tuber cinereum. \ Sa situation. Ses co
avant des corps genouillés n'en- traînant pas sa dégénérescence.
Faisceau
du tuber cinereum (fTc). Dans la partie antérieur
on travail sur la région sous-optique, Forel ne fait pas mention du
faisceau
du tuber cinereum; la commissure qu'il décrit dan
re et mérite seule le nom de com- missure de Forel (p. 40 i.). Le
faisceau
du tuber cinereum occupe le voisinage immédiat de
tensivement que cette dernière par la laque héma- toxylinique. Le
faisceau
du tuber cinereum proviendrait, d'après Darkschew
grise centrale comprise entre le pilier antérieur du trigone et le
faisceau
de Vicq d'Azyr. Sur les coupes sagittales, nous
de Vicq d'Azyr. Sur les coupes sagittales, nous avons pu suivre ce
faisceau
plus loin jusque dans la substance grise centra
les coupes horizontales obliques, le trajet de la partie croisée du
faisceau
du tuber cinereum. Celle-ci se porte en effet e
'infundibulum, passe en dedans du pilier antérieur du trigone et du
faisceau
de Vicq d'Azyr et arrive à. l'aqueduc en longeant
oit en général se perdre entre le pilier antérieur du trigone et le
faisceau
de Vicq d'Azyr. Le faisceau du tuber cinereum dég
re le pilier antérieur du trigone et le faisceau de Vicq d'Azyr. Le
faisceau
du tuber cinereum dégé- nère lorsqu'on sectionn
u chiasma (Darkschewitsch et Pribytkow) ; et la dégénérescence d'un
faisceau
permet de suivre avec grande netteté le trajet
nce d'un faisceau permet de suivre avec grande netteté le trajet du
faisceau
sain. Nous n'avons pas constaté de dégénérescen
du faisceau sain. Nous n'avons pas constaté de dégénérescence de ce
faisceau
dans les lésions du noyau lenticulaire qui s'ac
la méthode de Marchai : Ruban de Reil, pes lemniscus, locus niger,
faisceau
lenticulaire de Forel, anse lenticulaire, corps d
la sous-muqueuse, se réunissent les unes aux autres pour former des
faisceaux
plus ou moins épais qui convergent vers les can
ent vers les canaux creusés dans la lame criblée de l'ethmoïde. Les
faisceaux
de la paroi externe des fosses nasales, au nomb
s nasales, au nombre de 6 à 8, présentent un aspect plexiforme; les
faisceaux
de la cloison sont plus nombreux (8 a 10) et co
ir traversé les canaux osseux de la lame criblée de l'ethmoïde, les
faisceaux
olfactifs pénètrent dans la cavité du crâne et
és au cerveau moyen par le système du ganglion de l'habenula (Gh) :
faisceau
septo-thalamique (fsth, Rolp, 2), taenia talami
) : faisceau septo-thalamique (fsth, Rolp, 2), taenia talami (tth),
faisceau
rétroflexe de Meynert (FM) et par quelques fibr
tubercule mamillaire (Tm), pédoncule du tubercule mamillaire (PTm),
faisceau
mamillaire principal, faisceau de la calotte de G
ncule du tubercule mamillaire (PTm), faisceau mamillaire principal,
faisceau
de la calotte de Gudden (FG), les relient à la
PTIQUE. 4.15 tive inlerne (Roli), de la strie de Lancini (sL) et du
faisceau
olfaclif du Irigone (Fol), d'autre part (Fig. 3
lée de la calotte pédonculaire (Rolp, 4 et 5, Fig. 327) ; b) Par le
faisceau
septo-lhala- mique (fslh, Rolp, 2) dont les fib
anglion de l'habenula le courant sensoriel olfactif est transmis au
faisceau
rétroflexe de Meynert (FM) (neurone de lye ordre)
(GGp) et noyau dorsal (GGd)) de la calotte pédonculaire ; enfin au
faisceau
longitudinal dorsal (Fld) de Schütz (vie neuron
sal (Fld) de Schütz (vie neurone). C'est par l'intermédiaire de ces
faisceaux
et des fibres longitudinales de la calotte, que
le terminale. - La pointe des flèches indique le sens des courants.
Faisceau
septo-tha- lamique. Txnia semicurcu- laris.
ux. - Cg, circonvolution godronnée. - Cing, cingulum. - Cing(p), le
faisceau
postérieur du cingulum. - coa, com- missure ant
aisceau postérieur du cingulum. - coa, com- missure antérieure, son
faisceau
olfactif et le contingent des fibres du taenia se
es fibres du taenia semicircu- laris. - Fc, fasciola cinerea. - FG,
faisceau
de la calotte de Gudden, ou branche de bifurcat
u de la calotte de Gudden, ou branche de bifurcation postérieure du
faisceau
mamillaire principal (Fmp). Fiel, faisceau longit
bifurcation postérieure du faisceau mamillaire principal (Fmp). Fiel,
faisceau
longitudi- nal dorsal de la substance grise cen
ongitudi- nal dorsal de la substance grise centrale de Schutz. 7'U,
faisceau
rétroflexe de Meynert. - Fol, faisceau olfactif
ise centrale de Schutz. 7'U, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fol,
faisceau
olfactif du trigone. - fp, fibres perforantes cal
calleuses ou fibres extra- ammoniques du corps du trigone. - fsth,
faisceau
septo-thalamique. fisc, fibres que le taenia se
ive de la com- missure antérieure; 2, avec le taenia thalami par le
faisceau
septo-thalamique; 3, avec le taenia semicircula
aris. - llle, taenia thalami. - U, circonvolution du crochet. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr ou branche de bifurcation supéri
VA, faisceau de Vicq d'Azyr ou branche de bifurcation supérieure du
faisceau
mamillaire principal. Bibliothèque des Internes
ripètes terminales des radiations olfactives profondes (Rolp,0), du
faisceau
olfactif du trigone (Fol) et du taenia semi-circu
ire, le courant sensoriel olfactif est transmis par contact : 1° au
faisceau
mamil- laire principal (vo neurone) et à ses de
re principal (vo neurone) et à ses deux branches de bifurcation, le
faisceau
du Vicq d'1 .dr (VA) qui se termine dans le noyau
A) qui se termine dans le noyau antérieur du thalamus (NaTh), et le
faisceau
de la calolte de Gudden (FG) qui se rend dans d
s fibres perforantes calleuses (fp), le corps du trigone (Tg) et le
faisceau
olfactif du trigone (Fol), entre en connexion ave
obule lingual, le cuneus et la convexité occipito-lem- poralepar le
faisceau
longitudinal inférieur. Le faisceau uncinatus, en
xité occipito-lem- poralepar le faisceau longitudinal inférieur. Le
faisceau
uncinatus, enfin, les relie au pôle temporal et
zone de Broca. F'3, troisième circonvolution frontale droite. - fc,
faisceau
croisé ou nasal; fcl, faisceau direct ou tempor
irconvolution frontale droite. - fc, faisceau croisé ou nasal; fcl,
faisceau
direct ou temporal; fin, faisceau maculaire du ne
c, faisceau croisé ou nasal; fcl, faisceau direct ou temporal; fin,
faisceau
maculaire du nerf optique. - Fin, forceps posté
optique. - Fin, forceps postérieur ou major du corps calleux. - Fu,
faisceau
uncinatus réunissant la zone de Wernicke il la
nombreuses, s'entassent en 7 à 9 couches et donnent naissance à un
faisceau
nerveux volumineux, le fais- ceau des fibres ma
x, le fais- ceau des fibres maculaires, connu encore sous le nom de
faisceau
de la vision distincte, de faisceau maculo-papi
es, connu encore sous le nom de faisceau de la vision distincte, de
faisceau
maculo-papillaire ou simplement de faisceau mac
la vision distincte, de faisceau maculo-papillaire ou simplement de
faisceau
maculaire (fm, Fig. 328 et mn, mt, Fig. 329), q
ffectent un trajet moins rectiligne. La présence de la macula et du
faisceau
macu- laire les obligent à se grouper en deux f
macula et du faisceau macu- laire les obligent à se grouper en deux
faisceaux
: l'un supérieur, alimenté par les fibres du qu
ieur, constitué par les fibres du quadrant inféro-externe. Ces deux
faisceaux
se portent en dedans, décrivent, ainsi que Kôll
ure et inférieure et sont séparés l'un de l'autre, en dedans par le
faisceau
nasal, en dehors par le faisceau maculaire. L
l'un de l'autre, en dedans par le faisceau nasal, en dehors par le
faisceau
maculaire. Les fibres visuelles ou rétiniennes,
nc. Trajet des fais- ceaux rétiniens dans le nerf optique. Lo
faisceau
macu- laire. Le faisceau tem- poral. scpt
x rétiniens dans le nerf optique. Lo faisceau macu- laire. Le
faisceau
tem- poral. scpta névrogliques plus' ou moins
e, au voisinage immédiat de sa gaine pie-mérienne. Groupement des
faisceaux
rétiniens : 1° Dans le nerf optique. - Les rech
que, dans le segment antérieur de l'ap- pareil nerveux visuel, les
faisceaux
qui proviennent des différents segments de la r
s faisceaux qui proviennent des différents segments de la rétine, -
faisceau
maculaire, faisceau temporal, faisceau nasal, -
iennent des différents segments de la rétine, - faisceau maculaire,
faisceau
temporal, faisceau nasal, - conservent une cert
nts segments de la rétine, - faisceau maculaire, faisceau temporal,
faisceau
nasal, - conservent une certaine individualité,
nt des fais- ceaux est le même que dans la papille (Fig. 329,1). Le
faisceau
maculaire (mn, mt) occupe la partie externe et
e sous l'aspect d'un coin à base périphérique et àsommetcentral. Le
faisceau
nasal (ns, ni) se place en dedans du faisceau mac
et àsommetcentral. Le faisceau nasal (ns, ni) se place en dedans du
faisceau
maculaire et occupe lé secteur interne du nerf
est occupée par les fascicules supérieur (ts) et inférieur (ti) du
faisceau
temporal. Dans la partie vasculaire du nerf opt
du faisceau temporal. Dans la partie vasculaire du nerf optique le
faisceau
maculaire (mn, mt} change de forme : il émigre
intra- cranien du nerf optique (Fig. 329,4). Avec la migration du
faisceau
maculaire dans la partie centrale du nerf optiq
centrale du nerf optique, les fascicules supérieur et inférieur du
faisceau
temporal (ts, ti) se réunissent en un seul fais
et inférieur du faisceau temporal (ts, ti) se réunissent en un seul
faisceau
qui occupe la partie inféro-externe du nerf opt
optique (Fig. 329, 3) et entoure dans la région intra-cranienne le
faisceau
maculaire d'une sorte de fer à cheval (Fig. 324,4
ulaire d'une sorte de fer à cheval (Fig. 324,4). La fusion des deux
faisceaux
temporaux s'effectue en général immédiatement en
- La hauteur de ces 7 coupes se trouve repérée sur le schéma B'. Le
faisceau
maculaire teinté en gris comprend une partie temp
une partie nasale ou croisée 426 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le
faisceau
nasal. Indépendance de ces faisceaux dé- mo
MIE DES CENTRES NERVEUX. Le faisceau nasal. Indépendance de ces
faisceaux
dé- montrés par leur dégénérescence. qui se
énérescence. qui se continue dans la bandelette optique croisée; le
faisceau
temporal se distingue par des hachures IIIII; l
oisée; le faisceau temporal se distingue par des hachures IIIII; le
faisceau
nasal par des croix + + +. M, la macula lutea o
temporal. - Te, tuber cinereum. - mon, la partie nasale (croisée) du
faisceau
maculaire. - met, la partie temporale (non croi
du faisceau maculaire. - met, la partie temporale (non croisée) du
faisceau
maculaire. - ni, le quadrant inférieur du faisc
(non croisée) du faisceau maculaire. - ni, le quadrant inférieur du
faisceau
nasal; ns, le quadrant supérieur du faisceau nasa
quadrant inférieur du faisceau nasal; ns, le quadrant supérieur du
faisceau
nasal. - li, le quadrant inférieur du faisceau
uadrant supérieur du faisceau nasal. - li, le quadrant inférieur du
faisceau
temporal; ts, le quadrant supérieur du faisceau t
adrant inférieur du faisceau temporal; ts, le quadrant supérieur du
faisceau
temporal. - p, les fibres pupillaires et leur s
tration de l'artère centrale du nerf optique (Henschen). Quant au
faisceau
nasal, il occupe, après la fusion des deux fascic
r trajet intra-orbitaire, intra-canaliculaire et intra-cranien, les
faisceaux
du nerf optique ne constituent pas toutefois des
ien, les faisceaux du nerf optique ne constituent pas toutefois des
faisceaux
rigoureusement fermés et nettement séparés les
rmales. Malgré leurs varia- tions individuelles, l'existence de ces
faisceaux
est néanmoins indiscutable chez ! 'homme, où il
mme, où ils peuvent dégénérer indépendamment les uns des autres. Le
faisceau
maculaire, dont l'existence, soupçonnée par Lebel
dégénérescence de toutes les fibres rétiniennes à l'excep- tion du
faisceau
temporal gauche; ce cas réalise donc l'expérience
énérescence complète des fibres des nerfs optiques à l'exception du
faisceau
temporal ou direct de l'oeil non énucléé. Dans
rmaux tels que les cas rapportés par Ganser, par Schlagenhaufer, le
faisceau
temporal ou direct peut même former un faisceau
Schlagenhaufer, le faisceau temporal ou direct peut même former un
faisceau
aberrant, complètement isolé du reste des fibres
cas de Schlagenhaufer, il ne paraît correspondre qu'à une partie du
faisceau
temporal, au fascicule temporal inférieur. 2° D
les différents fascicules du nerf optique cessent de se grouper en
faisceaux
plus ou moins fermés, mais s'enchevêtrent les u
tion incomplète. Les deux tiers des libres rétiniennes, à savoir le
faisceau
nasal et une partie du faisceau maculaire s'ent
des libres rétiniennes, à savoir le faisceau nasal et une partie du
faisceau
maculaire s'entre-croisent dans le chiasma avec l
tinuent dans la bandelette optique contralatérale et constituent le
faisceau
optique croisé. Les autres fibres, c'est-à-dire
uent le faisceau optique croisé. Les autres fibres, c'est-à-dire le
faisceau
temporal et l'autre partie du faisceau maculaire,
tres fibres, c'est-à-dire le faisceau temporal et l'autre partie du
faisceau
maculaire, se continuent directement avec la ba
directement avec la bandelette optique homolatérale et for- ment le
faisceau
optique direct. Si les faisceaux nasal et tempora
ptique homolatérale et for- ment le faisceau optique direct. Si les
faisceaux
nasal et temporal ne con- tiennent qu'une seule
sal et temporal ne con- tiennent qu'une seule variété de fibres, le
faisceau
maculaire comprend à la fois des fibres croisée
Les recherches de Bunge, Uhthoff, Thomsen, etc., montrent que le
faisceau
maculaire conserve dans le chiasma et dans les ba
même situation centrale que dans le nerf optique et qu'il forme un
faisceau
fermé (Fig. 329, 5, 6, 7). Il n'en est pas de m
e un faisceau fermé (Fig. 329, 5, 6, 7). Il n'en est pas de même du
faisceau
nasal et du faisceau temporal qui, loin de for-
Fig. 329, 5, 6, 7). Il n'en est pas de même du faisceau nasal et du
faisceau
temporal qui, loin de for- mer des faisceaux fe
du faisceau nasal et du faisceau temporal qui, loin de for- mer des
faisceaux
fermés, s'enchevêtrent intimement l'un avec l'aut
ement l'un avec l'autre dans le chiasma et dans la bandelette. Le
faisceau
nasal (fn Fig. 330), en traversant le chiasma, di
sma avec des fibres analogues du côté opposé. Dans son ensemble, le
faisceau
nasal se rend de la partie supéro-interne du ne
n, Delbruck, IIenschen, Moeli, se détachent de la partie interne du
faisceau
nasal, se portent transversalement en de dans,
a et en s'enchevê Leur trajet dans le chiasma. Décussation du
faisceau
nasal el d'une partie du lais- ceau muculairc
l d'une partie du lais- ceau muculairc. Situation centrale du
faisceau
macu- laire. Mode de décussa- tion du faisc
on centrale du faisceau macu- laire. Mode de décussa- tion du
faisceau
na- sal. Les fibres en anse. 428 ANATOMIE D
Les fibres en anse. 428 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Trajet du
faisceau
temporal ou direct. irant avec les fibres du
Trajet du faisceau temporal ou direct. irant avec les fibres du
faisceau
temporal. Dans les atrophies unilatérales, comp
se détachent, ainsi que Ploeli l'a montré, de la partie externe du
faisceau
nasal, se portent d'avant en arrière jusqu'à la h
s de la partie inféro-interne de la bandelette controlalérale. Le
faisceau
teîzpnî,al(ft, Fig. 330) ne constitue pas, en gén
n général, comme l'admettaient Gudden et la plupart des auteurs, un
faisceau
fermé lon- geant le bord externe du chiasma et
ui s'enchevêtrent à angle aigu avec les libres les plus externes du
faisceau
nasal ou croisé et qui décrivent même des courbes
tefois jamais l'atteindre. Malgré cette dissociation des fibres, le
faisceau
temporal occupe surtout, mais non exclusivement,
comme on l'observe à la suite des lésions de FiG. 330. - Trajet du
faisceau
nasal et du faisceau temporal dans le chiasma des
la suite des lésions de FiG. 330. - Trajet du faisceau nasal et du
faisceau
temporal dans le chiasma des nerfs optiques. -C
al et du faisceau temporal dans le chiasma des nerfs optiques. -Ces
faisceaux
ne forment pas des faisceaux fermés, leurs fibres
ns le chiasma des nerfs optiques. -Ces faisceaux ne forment pas des
faisceaux
fermés, leurs fibres divergent et décrivent des
ll, chiasma des nerfs optiques. - 7311, bandelettes optiques. - fm,
faisceau
maculaire. - fn, faisceau nasal ou croisé. - ft,
ques. - 7311, bandelettes optiques. - fm, faisceau maculaire. - fn,
faisceau
nasal ou croisé. - ft, faisceau temporal ou direc
es. - fm, faisceau maculaire. - fn, faisceau nasal ou croisé. - ft,
faisceau
temporal ou direct. - p, fibres pupillaires.
sie est caractéristique des lésions du chiasma. La dissociation des
faisceaux
temporal et nasal et les variétés indivi- duell
rale les plus solidement établis. 3° Dans la bandelette optique, le
faisceau
nasal ou croisé s'enchevêtre avec le faisceau t
andelette optique, le faisceau nasal ou croisé s'enchevêtre avec le
faisceau
temporal ou direct, et les dégénérescences de l'u
emporal ou direct, et les dégénérescences de l'un et l'autre de ces
faisceaux
occupent en général toute la surface de section d
upent en général toute la surface de section de la ban- delette. Le
faisceau
croisé (ou nasal) toutefois occupe surtout la par
sé (ou nasal) toutefois occupe surtout la partie inféro-interne, le
faisceau
direct ou (temporal) la partie supéro-externe d
cliniquement aucun cas Dissociation et en- chevêtrement de ces
faisceaux
dans la bandelette. Et dans les centres gan
nous savons du trajet des fibres macu- laires qui, ramassées en un
faisceau
distinct dans le nerf optique, le chiasma et la
commissure infé- rieure, de commissure arquée postérieure, un petit
faisceau
de fibres qui occupe la partie interne de la ba
la bandelette par le lui calibre de ses fibres (C G, Fig. 274). Ce
faisceau
persiste intact après l'énucléation des deux ye
Meynert et sa parfaite intégrité, mais nous avons en vain cherché un
faisceau
de fibres pouvant.être homologué avec la commis
genhaufer dans son cas d'atrophie bilatérale des nerfs optiques, avec
faisceau
aberrant direct sain, décrit sous le nom de com
aberrant direct sain, décrit sous le nom de commissure de Gudden un
faisceau
qui, à en juger d'après les figures, n'est autr
ue cet auteur désigne sous le nom de commissure de Meynert un petit
faisceau
qu'il n'a pu suivre au delà de la région du chias
de la région du chiasma et qui évidemment n'est autre que le petit
faisceau
du tuber cinereum (Voy. p. 410). Chez l'homme,
vermis. - bv, branche verticale de l'arbre de vie du vermis. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - fai, fibres arciform
e (Va). - VI', voie pédonculaire. - W, valvule de Vieussens. - IXd,
faisceau
solitaire, racine descendante du nerf glossophary
le cérébelleux moyen ; en dedans, elles s'im- plantent sui un épais
faisceau
de fibres blanches, le pédoncule du flocculus,
é par suite de la dégéné- rescence secondaire ou de l'agénésie du
faisceau
pyra- midal sous-jacent. Les bourrelets pyram
ent. Les bourrelets pyramidaux sont produits par le passage des
faisceaux
de la voie pé- donculaire sous les fibres tra
pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) apparaît comme - un volumineux
faisceau
plus ou moins arrondi, sectionné par la coupe
été enlevé (Fig. 333), ce pé- doncule représente un volu- mineux
faisceau
triangulaire qui se porte en dehors et en arrière
formol. - Menu pièce que celle des Fig. 338, 342, 318, 3S2.) Fll,
faisceau
latéral du bulbe. - Floc. Ilocculus - ploc, péd
RVEUX. Aspect de la région pontine. StDaLiontransver- sale.
Faisceau
oblique. Collier des py ra- mides. Les deux
gent dans le sillon marginal antérieur. On appelle, depuis Rolando,
faisceaux
supérieurs, ceux qui pas- sent au-dessus de l'é
périeurs, ceux qui pas- sent au-dessus de l'émergence du trijumeau;
faisceaux
inférieurs, ceux qui sont voisins du sillon bul
nférieurs, ceux qui sont voisins du sillon bulbo-protubérautiel, et
faisceaux
moyens, ceux qui passent au-dessous du trijumea
oblique- ment vers le nerf facial et le flocculus, el croisent les
faisceaux
inférieurs qu'ils recouvrent (Fig. 319). Ils co
isceaux inférieurs qu'ils recouvrent (Fig. 319). Ils constituent le
faisceau
oblique de la pro- tubérance (Fo), le ruban arq
leurs dimensions présentent de grandes variétés individuelles. Les
faisceaux
supérieurs et inférieurs débordent en haut et en
t guère en bas l'émergence du trijumeau et sont adossées à un épais
faisceau
transversal, le corps 1 ? -apézoïde, très marqu
, très marqué chez les solipèdes, les ruminants et les rongeurs. Ce
faisceau
se distingue des fibres transversales de la pro
a protubérance et il semble n'être, dans la majorité des cas, qu'un
faisceau
détaché, aberrant des fibres trans- versales du
ux) bordent de chaque côté le sillon médian antérieur. Ce sont deux
faisceaux
arrondis et allongés qui forment à la face anté
dans le cordon latéral du côté opposé de la moelle et constitue le
faisceau
pyramidal croisé. Un petit fascicule qui occupe l
la moelle dont il longe le sillon médian anté- rieur. On l'appelle
faisceau
pyramidal direct, faisceau pyramidal de Turck.
sillon médian anté- rieur. On l'appelle faisceau pyramidal direct,
faisceau
pyramidal de Turck. Enfin la pyramide envoie en
des variétés individuelles. Tantôt l'entre-croisement est total, le
faisceau
pyramidal direct fait défaut et toutes les fibr
se rendent dans le cor- don latéral croisé de la moelle. Tantôt le
faisceau
pyramidal direct l'em- porte en volume sur le f
e. Tantôt le faisceau pyramidal direct l'em- porte en volume sur le
faisceau
croisé, exceptionnellement enfin la décus- sati
latéral de la moelle (Voy. IVe partie, Moelle épinière). Lorsque le
faisceau
pyramidal est lésé dans son trajet de l'écorce
mité inférieure est plus petite et elle est souvent bri- dée par un
faisceau
de fibres arciformes qui la recouvre pour passer
sillon médian anté- rieur du bulbe. Ces fibres, que l'on a appelées
faisceau
arciforme de l'olive, fibres arciformes pré-oli
- Clall, chiasma des nerfs optiques. - Crsl, corps restiforme. Fia,
faisceau
la- téral du bulbe. - faa, fibres arquées antér
au la- téral du bulbe. - faa, fibres arquées antérieures. - Fora,
faisceau
oblique de la protubérance. Gp, glande pi- néal
umeau anté- rieur. - Qp, tubercule quadrijumeau postérieur. - RI,
faisceau
triangulaire de l'isthme ou ruban de Reil laté-
o. Sillon olivaire in- trn. Sillon olivâtre ¡''(terne'. ;
Faisceau
latéral du bulbe. Sillon bulbo-pro- tttbéra
de l'olive, entre elle et le corps restiforme, on trouve un étroit
faisceau
longitudinal qui appartient déjà à la face latéra
gitudinal qui appartient déjà à la face latérale du bulbe, c'est le
faisceau
intermédiaire ou faisceau latéral du bulbe (Fit).
éjà à la face latérale du bulbe, c'est le faisceau intermédiaire ou
faisceau
latéral du bulbe (Fit). Il est limité en arrièr
rfs mixtes) et représente, eu partie, la continuation supérieure du
faisceau
de Gowers. En bas, il se fusionne avec le cordo
quadrijumeau postérieur. - cops, commissure posté- rieure. - fai,
faisceaux
arciformes su- périeurs de l'isthme. - Gp, glan
évaséo et membraneuse. tantôt elles se ramassent en un très fort
faisceau
qui entoure son extrémité supérieure et la sépa
sthme (fai) de Retzius (Fig. 337 et 351). D'autres fois encore, ces
faisceaux
sont peu accusés ou masqués par quelques fibres-
édonculaires (voy. chap. IV); elles contiennent des fibres du petit
faisceau
latéral du bulbe et du faisceau de Gowers, et rep
les contiennent des fibres du petit faisceau latéral du bulbe et du
faisceau
de Gowers, et représentent, comme les dégénéres
ement des nerfs pathétiques; elle se continue en haut avec un petit
faisceau
blanc longitudinal et saillant, le frein de la
don de Goll. -Crsl, corps restiforme. - et, eminenlia teres. - Fit,
faisceau
latéral du bulbe. - /) ? fossette médiane. - fs
tte médiane. - fsa, fst, fos- sette supérieure ou antérieure. - ft,
faisceaux
arrondis, funiculi teretes. -Le, locus caeruteu
clli, Strangformige ou Strickfor- mige Korper) sont deux volumineux
faisceaux
cylindriques ou pyrami- daux, qui occupent les
ostérieure et latérale du bulbe entre la pyramide postérieure et le
faisceau
latéral du bulbe et qui se continuent sans lign
- né, on remarque en outre, dans le cordon latéral de la moelle, un
faisceau
myélinisé qui, au-dessus du tubercule cendré, s
sur le corps restiforme avec lequel il pénètre dans le cervelet. Ce
faisceau
bien décrit et figuré par Foville a été désigné
rit et figuré par Foville a été désigné par Flechsig sous le nom de
faisceau
cérébelleux direct. Du corps restiforme se déta
ales du bulbe, interrompent le sillon des nerfs mixtes, croisent le
faisceau
latéral du bulbe, l'olive et la pyramide antéri
doublée dans toute son étendue pai Tubercule rendre de Rolando.
Faisceau
cérébol- leu x direct. Fibres areifornies e
cordons postérieurs (Ncp); que le funiculus séparons correspond au
faisceau
solitaire du bulbe ou racine descendante des ne
li ad ponlem. - Les pédoncules céré- belleux moyens (Pcm) sont deux
faisceaux
épais et volumineux qui se détachent de la part
belleux moyen (Pcm) ne forme pas dans la région protubérantielle un
faisceau
fermé, mais qu'il se segmente, au Fibres SeIl1H
bérance. Les noyaux d'origine et de terminaison du trijumeau et le
faisceau
de Gowers. Coupe horizontale un peu oblique en
y. description de cette coupe, p. 627, coupe H3, Fig. 423.) l'ee,
faisceau
central de la calotte. - FG, faisceau de Gowers.
7, coupe H3, Fig. 423.) l'ee, faisceau central de la calotte. - FG,
faisceau
de Gowers. - Flop. faisceau longitu- dinal post
ee, faisceau central de la calotte. - FG, faisceau de Gowers. - Flop.
faisceau
longitu- dinal postérieur. - FII, faisceau laté
sceau de Gowers. - Flop. faisceau longitu- dinal postérieur. - FII,
faisceau
latéral du bulbe dans son trajet protubérantiel.
II, faisceau latéral du bulbe dans son trajet protubérantiel. - Fo,
faisceau
oblique de la protubérance. FPoa, fibres protubér
C 1 à C 5, Fig. 361, 362, et 427 il à 3 : ). Lorsqu'il existe un
faisceau
oblique du pont (Fig. 349), on voit se déta- ch
49), on voit se déta- cher de la couche superficielle un volumineux
faisceau
qui s'isole plus ou moins complètement des fibr
e. Elle cloisonne, segmente, subdivise en un nombre incalculable de
faisceaux
, de]volumes et de formes exlrè- mement variable
érantielles Couche superti- cielle du pont. Noyaux pontiques.
Faisceau
oblique du pont. Coucho profonde Couche 111
este des fibres de la voie pédonculaire se ramasse en un volumineux
faisceau
irrégulièrement arrondi, entouré par une couche
ulaire de la capsule interne. - CNR, capsule du noyau rouge. 1·'cc,
faisceau
central de la calotte. fec, feutrage extra-cili
fec, feutrage extra-ciliaire. - fie, feutrage intra-ciliaire. - Flp,
faisceau
longitudinal pos- térieur. - FM, faisceau rétro
ge intra-ciliaire. - Flp, faisceau longitudinal pos- térieur. - FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. fsl, feutrage sous-lobaire
) : ils se reconstituent de chaque côté de la ligne médiane en deux
faisceaux
courts, volumineux et arrondis (Pcs,c) qui abou
t coupes Cl à C5, Fig. 361, 432 à 435). Il ne commence iL former un
faisceau
nettement distinct que sur les coupes horizonta
supérieur (Pcs) se rapproche de la ligne médiane; il est séparé du
faisceau
de même nom du côté opposé par la valvule de Vi
aires inle1'Jtes pél'l}Jédollcu/ail'es) et appartiennent en partie au
faisceau
de Gowers (FG coupe H3, Fig. 362) et au ruban d
e coupe, p. G16, coupe Pi,f ig. r19.) ,ly, aqueduc de Sylvius. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. xl<', entre-croisemen
éraux et qui s'étend d'avant en arrière, du ruban de Reil médian au
faisceau
longitu- dinal postérieur (coupe P 1, Fig. 364)
périeures que la partie postérieure du raphé, celle qui avoisinc le
faisceau
longitudinal postérieur. Pour l'immense majorit
es, s'entre-croise à angle droit ou aigu, immédiatement en avant du
faisceau
longitudinal postérieur, ainsi que nous l'avons
il médian et en avant de la formation réticulée de la calotte et du
faisceau
longitudinal postérieur (Fig. 25, p. 37, 26, p.
sa capsule (Fig. 33, p. 49), et plus bas par le raphé médian et le
faisceau
rétroflexe de Meynert (Fig. 34, p. 50). Ce dern
n et le faisceau rétroflexe de Meynert (Fig. 34, p. 50). Ce dernier
faisceau
traverse la partie supéro-interne du noyau roug
sa partie interne, une sorte d'échancrure dans laquelle se loge le
faisceau
rétro- flexe de Meynert, échancrure considérée
n haut dans la région sous-optique où elle constitue le champ et le
faisceau
thalamique de Forel (coupes sagittales, Fig. 25
oupe, p. 637, coupe H6, Fig. 429.) Cj, corps juxta-restiforme. Fcc,
faisceau
central de la calotte. - fec, feutrage extracil
fec, feutrage extraciliaire. - fic, feutrage intraciliaire. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - fsme, fsmi, fibres s
ériées, il apparaît d'abord (coupe H4, Fig. 396) sous l'aspect d'un
faisceau
allongé, en connexion intime avec les fibres se
e en deux segments inégaux : Le segment externe forme un volumineux
faisceau
qui occupe l'angle postéro-externe de la moitié
étro-trige- mmales Continuation du corps rcstlforffic avec le
faisceau
cérébel- leux direct. Corps juua-resti- for
Deiters. du bulbe. - fas, fibres arciformes superficielles. - Fcc,
faisceau
central de la calotte. - fcu, faisceaux cérébel
ormes superficielles. - Fcc, faisceau central de la calotte. - fcu,
faisceaux
cérébello-vestibulaires. - feo, feutrage extra-ol
fit, fibres arciformes inter-trigéminales. - Floc, flocculus. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - Fit, faisceau latéra
- Floc, flocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fit,
faisceau
latéral du bulbe. fpl, fibres arciformes pré-tri-
é-tri- gémmales. - j'd, fibres arciformes rétro-trigéminales. - Fs,
faisceau
solitaire. - Mo, membrane obturatrice rétro-bul
ent, se porte en avant, en dehors et en bas, et se continue avec un
faisceau
longitudinal de la moelle épinière, le faisceau d
se continue avec un faisceau longitudinal de la moelle épinière, le
faisceau
dit acéré- bulleux direct de Flechsig. Le seg
face de sec lion rectangulaire ou rhom- boïdale. Il comprend non un
faisceau
compact, comme le corps restiforme, mais un gro
ante du nerf vestibulaire, racine descendante du nerf vestibulaire,
faisceaux
cérébello-veslibulaires (fcv) (voy. Chap. IV). L'
Le feutrage intra-olivaire est presque exclusivement formé de gros
faisceaux
de fibres horizon laies el transversales qui abor
ux de fibres horizon laies el transversales qui abordent en pinceau
Faisceaux
ccré- bello-vestibulaires. Ses libres arci-
et qu'au voi- sinage du hile de l'olive que l'on rencontre quelques
faisceaux
de fibres verticales; ils séparent le hile de l
ses parties postérieure et externe et qui appartiennent surtout au
faisceau
central de la calotte (Voy. p. Sh). La capsule
10.) . Ci, corps juxta-restiforme. - Crst, corps restiforme. - Fcc,
faisceau
central de la calotte. - feb, fibres arciformes
pré-trigéminales. frt, fibres arciformes rétro-trigéminales. - Fil.
faisceau
latéral du bulbe. - l's, faisceau solitaire. - fs
formes rétro-trigéminales. - Fil. faisceau latéral du bulbe. - l's,
faisceau
solitaire. - fsr, fibres sagittales du raphé ap
se continuant en arrière avec le noyau du raphé (NI'). Srt, noyau du
faisceau
arrondi (funiculus teres). - Noe, noyau juxta-o
jumeau. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. j33 nombre de
faisceaux
sectionnés obliquement et de nombreuses libres ho
plus haut (voy. p. 73) le trajet de la voie pédortw- laire dans le
faisceau
compact de la couronne rayonnante, la capsule i
, où l'on assiste à un changement de direction d'un grand nombre de
faisceaux
qui s'infléchissent, deviennent obliques ou hor
(Voy. description de cette coupe, p. 619, coupe P3, Fig. 421.) Fcc,
faisceau
central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
9, coupe P3, Fig. 421.) Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - Fl'oa, fibres protub
e la voie pédonculaire, sa partie postéro-externe formant encore un
faisceau
compact (coupe P 4 Fig. 3G9). Ce n'est qu'au vo
(Yoy. description de celle coupe, p. 019, coupe P 4, Fig. z.) Feue,
faisceau
central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
9, coupe P 4, Fig. z.) Feue, faisceau central de la calotte. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - FPoa, 11'op,fibres t
s se ras- semblent dans le tiers inférieur de la protubérance en un
faisceau
com- pact, irrégulièrement arrondi, plongé au s
5, p. 527 et 397, p. 561). Ce fais- ceau compact représente déjà le
faisceau
pyramidal, il traverse le tiers inférieur de la
raît, la couche des fibres superficielles du pont recouvre seule le
faisceau
pyramidal, et les noyaux pontiques l'appliquent
ion de la calotte, en particulier sur le ruban de Reil médian et le
faisceau
central de la calotte. Dans les deux tiers supé
L'étude des dégénérescences secondaires montre que le contingent du
faisceau
de Türch est minime (Voy. cas Neu- mann, p. 145
e antérieure du pont. Au-dessous du sillon bulbo-protubérantiel, le
faisceau
pyramidal appa- raît librement à l'extérieur, f
. Fibres de la voie pédonculaire des- cendant dans le bulbe :
faisceau
pyramidal. 38 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
néral plus ou moins sur toute la hauteur de la face anté- rieure du
faisceau
pyramidal et peut parfois être suivi sur les coup
qu au niveau de 1 entre-croisement pyramidal. La face antérieure du
faisceau
pyramidal est en oulre recouverte par les fibre
ig.3U7),et qui passent les unes en avant, les autres en. arrière du
faisceau
pyramidal; d'autres encore le traversent : elle
cordon de Burdach CG, cordon de Goll. - Crsl, corps restiforme. - PU,
faisceau
latéral du bulbe. - fil', fibres inter-réticulé
u latéral du bulbe. - fil', fibres inter-réticulées du bulbe. - Fs,
faisceau
solitaire. - Narc, noyau arqué. - NB, noyau de
stries acoustiques (coupe H 10, Fig. 367). La face postérieure du
faisceau
pyramidal est plane ou légèrement concave. A la
nsi qu'aux fibres longitudinales du ruban de Reil médian (Rm) el du
faisceau
central de la calotte (Fcc). Un peu plus bas (c
ve bulbaire (Oi) et sa capsule de fibres s'insinuent entre ces deux
faisceaux
longitudinaux de la calotte, refoulent le ruban d
livaire (SRa, cio, coupe H 9, Fig. 3GG, p. 529). La délimitation du
faisceau
pyramidal d'avec la couche inler-olivaire est d
nler-olivaire est difficile à établir, et cela d'autant plus que le
faisceau
pyramidal reçoit sou- vent dans celle région le
antérieure. Col, corne latérale. - Cop, corne postérieure. - FPyc,
faisceau
pyramidal croisé. - \'I3, noyau de Burdach. - NG,
le cordon antérieur de la moelle. 1\Iode de décussa- trton du
faisceau
pyramidal. Faisceau pyrami- dal croisé. F
la moelle. 1\Iode de décussa- trton du faisceau pyramidal.
Faisceau
pyrami- dal croisé. Faisceau pyrami- da dir
- trton du faisceau pyramidal. Faisceau pyrami- dal croisé.
Faisceau
pyrami- da direct. Fibres pyrami- dales hom
i- da direct. Fibres pyrami- dales homolaterales. p. 565). Le
faisceau
pyramidal se délimite mieux, en général, de l'oli
ux (Nrp), petits amas irréguliers de substance grise qui bordent le
faisceau
pyramidal en arrière, et le séparent de la caps
. 438 à 4H., p. 657 à 677). Dans quelques cas toutefois, on voit le
faisceau
pyramidal s'étaler à la surface de l'olive bulb
en est particulièrement manifeste dans les cas de dégénérescence du
faisceau
pyramidal traités par la méthode de Marchi (Fig
e l'olive bulbaire (coupes H 16, H 17, fin. 370 et 400, p. 567), le
faisceau
pyramidal se ramasse en un faisceau plus ou moins
7, fin. 370 et 400, p. 567), le faisceau pyramidal se ramasse en un
faisceau
plus ou moins arrondi qui s'adosse au segment h
t déjà au cordon antérieur de la moelle épinière. La décussation du
faisceau
pyramidal est incomplète ; elle commence par le
t forment à la partie postérieure du cordon latéral de la moelle le
faisceau
pyramidal croisé. Un petit nombre de fascicules
elle le faisceau pyramidal croisé. Un petit nombre de fascicules du
faisceau
pyramidal, les faisceaux les plus externes, ne
al croisé. Un petit nombre de fascicules du faisceau pyramidal, les
faisceaux
les plus externes, ne participent pas à la décu
moelle épinière, le long du sillon médian antérieur; ils forment le
faisceau
pyramidal direct. Le faisceau pyramidal fournit
llon médian antérieur; ils forment le faisceau pyramidal direct. Le
faisceau
pyramidal fournit enfin au cordon latéral du même
ont bien mises en évidence : 1° Dans les cas de dégénéres- cence du
faisceau
pyramidal traités par la méthode de Marchi; 3° Da
les plus ou moins nombreux, tantôt elles forment un véritable petit
faisceau
compact et très bien délimité (Fig. 372 et cas
159, 160 et 1Gi). Dans son trajet bulbaire la surface de section du
faisceau
pyramidal est irrégulièrement plan-convexe; ell
et enchevêtrés, sectionnés plus ou moins obliquement (Fig. 370). Le
faisceau
pyramidal conserve cet aspect au delà de sa déc
premiers âges de la vie et s'accompagnant d'une régres- FiG. 372. -
Faisceau
pyramidal croisé et fibres pyramidales homolatéra
- tubérantielle. Méthode de Weigert. 9/1 Grandeur nature. 1,'Ily,
faisceau
pyramidal gauche sain. - F7'(), faisceau pyramida
1 Grandeur nature. 1,'Ily, faisceau pyramidal gauche sain. - F7'(),
faisceau
pyramidal droit complètement dégénéré. - FPyc,
n. - F7'(), faisceau pyramidal droit complètement dégénéré. - FPyc,
faisceau
pyramidal croisé sain. - FPyc(d), faisceau pyrami
tement dégénéré. - FPyc, faisceau pyramidal croisé sain. - FPyc(d),
faisceau
pyramidal croisé dégénère ? 7 ? t, fibres pyram
dégénère ? 7 ? t, fibres pyramidales homolatérales se détachant du
faisceau
pyramidal sain. Agenésie de la vote pedoncula
ficiel et les fibres aberrantes postéro-externes. Les deux premiers
faisceaux
s'adossent au ruban de Reil médian. Le pes lemn
ace superficielle du pied du pédoncule et se place en dedans de son
faisceau
interne (voy. p. 52). Les premières fibres transv
postéro-externes (Fpe) elles contournent, lorsqu'elles existent, le
faisceau
externe du pied du pédoncule et le sillon latér
nterne (Cgi, Fig. 3 in, 37 i) dans le sillon qui sépare ce corps du
faisceau
do Tiirck et du bras du tuber- cule quadrijumea
Fig, 3-il aL 377). Étant données chez l'homme l'in- constance du.
faisceau
dé- crit par Gudden sous le nom de ll'aclus j
EURE DU RHOMBENCÉPHALE. 5k7 voie pédonculaire fournit en outre à ce
faisceau
, dans toule la hauteur de la région protubérant
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. Inc. 385 à 391. - Mode de décussation du
faisceau
pyramidal; faisceau pyramidal croisé et fibres
RVEUX. Inc. 385 à 391. - Mode de décussation du faisceau pyramidal;
faisceau
pyramidal croisé et fibres pyramidales homolaté
ramidales homolatérales superficielles (f Pyhs), fusionnées avec le
faisceau
pyramidal (Py) dans la région moyenne de l'olive
(voy. Fig. 372, p. 5f.1). Au niveau du collet du bulbe enfin, le
faisceau
pyramidal croisé abandonne parfois quelques fib
e la moelle, à la base de la corne postérieure, puis réintègrent le
faisceau
pyramidal croisé aux différentes hauteurs de la
auteurs de la moelle cervicale inférieure ou dorsale supérieure. Le
faisceau
dit de Pick, n'est qu'une modalité anatomique d
ÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 551 tzculée; les autres se condensent en
faisceaux
compacts, forment le ruban de Reil, le faisceau
s se condensent en faisceaux compacts, forment le ruban de Reil, le
faisceau
longitudinal postérieur, le faisceau central de l
, forment le ruban de Reil, le faisceau longitudinal postérieur, le
faisceau
central de la calotte, traversent toute la haut
de la calotte à laquelle elles appartiennent, les amas gris ou les
faisceaux
dont elles dérivent. Dans la calotte pédonculai
ulaire; d'autres fibres appartiennent à des noyaux spéciaux, tel le
faisceau
du hile de l'olive supé- rieure ou protubéranti
iens situées dans la formation réti- .Noyaux propres a certains
faisceaux
de la formation réti- tulue. supérieur, le
aux juxta-olivaires (voy. p. 528); corps juxta-restiforme (p. 530);
faisceaux
cérébello-bulbaire et cérébello-médullaire descen
faisceaux cérébello-bulbaire et cérébello-médullaire descendants ;
faisceaux
cérébelleux ascendants (faisceau cérébelleux di
érébello-médullaire descendants ; faisceaux cérébelleux ascendants (
faisceau
cérébelleux direct, faisceau de Gowers) (voy. C
ts ; faisceaux cérébelleux ascendants (faisceau cérébelleux direct,
faisceau
de Gowers) (voy. Chap. IV). La substance gris
certain nombre d'amas cellulaires situés sur le trajet de certains
faisceaux
auxquels ils appartiennent; tels sont les noyau
médian, les noyaux du corps restiforme, en connexion intime avec ce
faisceau
, l'olive supérieure ou protubérantielle, CONFIG
ET MORPHOLOGIE GÉNÉRALES DE LA FORMATION RÉTICULÉE. NOYAUX GRIS ET
FAISCEAUX
COMPACTS 1. Noyaux gris de la formation réticul
e et v la région du ruban de Reil médian; elle est traversée par le
faisceau
rétroflexe de Meynert et les voies cérébel- leu
roisement dorsal de la calotte ou entre-croisement de Meynert. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. Lu, locus niger. - NII
nterne de la formation réticulée les trabécules gris diminuent, les
faisceaux
longitudinaux augmentent en nombre et en volume e
en dehors de la substance grise centrale de l'aqueduc, en un petit
faisceau
compact, triangulaire ou piriforme, le faisceau l
queduc, en un petit faisceau compact, triangulaire ou piriforme, le
faisceau
lon- gitudinal postérieur (Flp). Ce faisceau, q
laire ou piriforme, le faisceau lon- gitudinal postérieur (Flp). Ce
faisceau
, qui se distingue par le gros calibre de ses fi
grise centrale de l'aqueduc et contient en dedans et en arrière le
faisceau
longitudinal postérieur, dont les fibres se délim
eau de son plus fort diamètre transversal. En arrière, il touche au
faisceau
longitudinal postérieur; en avant, aux fibres les
(Voy. description de cette coupe, p. 619, Coupe P2, Fig. 420.) Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - FPoa, fibres protubéra
udinales clairsemées de la for- mation réticulée qui le séparent du
faisceau
central de la calotle (Fcc, FiG. 3%. - La forma
. des- criplion de cette coupe, p. 622, coupe Hl, Fig. 423). Fcc,
faisceau
central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
2, coupe Hl, Fig. 423). Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - Le, locus c;erulcus.
ula, a lobe central, axe de la lingula et axe du lobe central. - Fcc,
faisceau
cen- tral de la calotte. - flip, faisceau longi
e du lobe central. - Fcc, faisceau cen- tral de la calotte. - flip,
faisceau
longitudinal postérieur. - Fl'oa, FPom, Fi'op, fi
xe qui isole les fibres longitudinales de la formation réticulée du
faisceau
longitudinal postérieur en dedans, du pédoncule c
t rejetées, d'une part, en arrière et en dedans où elles forment le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp), d'autre part, en
, d'autre part, en avant et en dehors où elles se concentrent en un
faisceau
compact décrit par Bechterew sous le nom de fai
centrent en un faisceau compact décrit par Bechterew sous le nom de
faisceau
central de la calotte (Fcc). Très bien délimité e
). Très bien délimité en arrière par le petit noyau circonflexe, le
faisceau
central de la calotte se continue insensiblemen
ée atteignent le raphé et se fusionnent sur un court trajet avec le
faisceau
longitudinal en arrière, le faisceau central de
nt sur un court trajet avec le faisceau longitudinal en arrière, le
faisceau
central de la calotte en dehors, le ruban de Reil
e la calotte en dehors, le ruban de Reil médian en avant; ces trois
faisceaux
ne se différencient dans la formation réticulée
le cérébelleux supérieur, le hile du cervelet et la face externe du
faisceau
central de la calotte, les fibres longitudinales
Eca, grand entre-croisement commissural antérieur du vermis. - Fcc,
faisceau
central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
antérieur du vermis. - Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - fsme, fsme', libres
us en plus à la partie anléro-inlerne de la formation réticulée. Le
faisceau
central de la calotle (Fcc) se déforme tome il.
ieure. -- Le noyau central inférieur, le ruban de Reil médian et le
faisceau
central de la calotte. - L'olive supérieure ou
p. 639, coupe H7, Fig. 430.) Cj,' corps ju.\Ia-restiloriiie. - Fec,
faisceau
central de la calotte. - Flp, faisceau longitud
ps ju.\Ia-restiloriiie. - Fec, faisceau central de la calotte. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - Fit, faisceau latéra
tral de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fit,
faisceau
latéral du bulbe. - fsmi, fibres semi-circulaires
u ruban de Reil médian. Une ligne sagittale oblique, passant par ce
faisceau
, divise la formation réticulée en deux segments :
t interne présente en arrière du ruban de Reil médian, en dedans du
faisceau
central de la calotte, un petit noyau transversal
dossé de chaque côté au raphé, ce noyau n'atteint pas en arrière le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) dont il est const
ôté un prolongement effilé entre le ruban de Reil médian (Rm) et le
faisceau
de la calotte (Fcc), et sur la ligne médiane un
otte, entre la grosse racine descendante spinale du trijumeau et le
faisceau
central de la calotte, où elles s'adossent aux de
bulbaire (Oi) s'insinue entre le ruban de Reil mé- dian (Rm) et le
faisceau
de la calolle (Fcc), augmente rapidement cle vo
ce que l'on considère des régions Imlbai l'es. plus inférieures. Le
faisceau
central de la calotte (Fcc) se perd et se ter-
supérieure. Le noyau central inférieur, le ruban de Reil médian, le
faisceau
central de la calotte et.le faisceau 364 ANATOM
eur, le ruban de Reil médian, le faisceau central de la calotte et.le
faisceau
364 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. 1 ? rniatio
rmes dorsales ou profondes. - fat, fibres arciformes moyennes. Fcc,
faisceau
central de la calotte. - Floc, Ilocculus. - Flp
nes. Fcc, faisceau central de la calotte. - Floc, Ilocculus. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - Fit, faisceau latéral
- Floc, Ilocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fit,
faisceau
latéral du 1)11]be. - FPoa, fibres transversale
ur (Nci) limite en arrière la couche inter-olivaire et la sépare du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp); plus bas, le noyau
p); plus bas, le noyau disparaît et l'espace compris entre les deux
faisceaux
est comblé par de nombreux et denses fascicules
bres arciformes cérébello-olivaires, le corps juxta- restiforme, le
faisceau
solitaire, le noyau de l'hypoglosse. Coupe transv
é-trigéminales. - frl, fibres arciformes rétro-trigéminales. - Fit,
faisceau
latéral du bulbe. - fpo, fibres pré-olivaires.
Fit, faisceau latéral du bulbe. - fpo, fibres pré-olivaires. - Fs,
faisceau
solitaire. - Nab, noyau ambigu. - Narc, noyau arq
- noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive inférieure ou bulbaire. - Py,
faisceau
pyramidal ; à gauche il s'étale à la surface de l
triangulaire, qui pro- viennent du corps restiforme, constituent le
faisceau
cérébelleux direct de Flechsig, et se prolongen
se prolongent dans la moelle épinière. La surface de section de ce
faisceau
augmente de volume à mesure que l'on se rapproche
rdon antéro-latéral de LUI moelle. - Crst, corps restiforme. - Flt,
faisceau
latéral du bulbe. - fil', fibres interré- üculé
, faisceau latéral du bulbe. - fil', fibres interré- üculées. - Fs,
faisceau
solitaire. - YB, noyau du cordon de Burdach. - VG
est bientôt séparée du reste de la substance grise centrale par le
faisceau
pyramidal croisé qui se rend dans le cordon lat
du nerf spinal. · CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 509
faisceau
pyramidal croisé el porte le nom de troisième cor
ssus reticulares de Lenhossek (Col, coupe H21, Fig. 451, p. 687).
Faisceaux
compacts de la formation réticulée. Ruban de Re
torique : En 1809, Reil décrivit sous le nom de ruban (Schleife) un
faisceau
situé à la partie antérieure de la calotte protub
point de pénétration dans la calotte des nerfs facial et trijumeau,
faisceau
faisant suite d'après cet auteur aux fibres qui e
des pyramides antérieures du bulbe. Reil montra, en outre, que ce
faisceau
se divise au-dessus du point de pénétration des
cule. Le segment externe du ruban se diviserait à ce niveau en deux
faisceaux
divergents ou radiations : l'un se porterait en
erait le long du bord externe du pied du pédoncule cérébral avec le
faisceau
interne, profond ou vertical, adossé à la face po
lés ; quelques fibres atteindraient la couronne rayonnante. L'autre
faisceau
se porterait en dedans, s'étalerait en éventail
iedemann), ont désigné le segment interne profond ou vertical de ce
faisceau
- connu déjà de Haller (1736) - sous le nom de le
laquais (lacet) : la partie infé- rieure ou bulbaire sous le nom de
faisceaux
olivâtres (Olivcnlvernstrungc, Burdach). Si l'o
iption donnée par Reil, du trajet protubérantiel et pédonculaire du
faisceau
qui porte son nom, con- corde parfaitement avec
s noms de couche rubanée, Schleifecasc7viclaG, parlie antérieure du
faisceau
latéral ou intermédiaire du bulbe (Cruveilhier)
el, Flechsig, Edinger, Bechterew) ; partie sensitive des pyramides,
faisceau
sensitif (Sappey el Duval); médiate (obère) Sch
Schleife (Obersteiner); latéral fillet tract (Ferrier et Turner) ;
faisceau
acoustique (Charpy). La partie du ruban de Reil
); mediales acceMO'MC/tes l3undel der Schleifenschicht (Bechterew),
faisceau
interne accessoire de la couche rubanée; mediale
ppelé : pes lemniscus (Flechsig); zerslrcules accessoriches Bùndel,
faisceau
accessoire disséminé (Bechterew); pédoncule du lo
comme le croyaient Reil et Burdach, mais qu'elle se continue avec les
faisceaux
sous-olivaires, c'est-à-dire avec toutes ces fi
sous-olivaires, c'est-à-dire avec toutes ces fibres qui forment le
faisceau
latéral ou inter- médiaire du bulbe, et que Cru
inter- médiaire du bulbe, et que Cruveilhier englobe sous le nom de
faisceau
de renforcement du bulbe, ou faisceau innominé.
ilhier englobe sous le nom de faisceau de renforcement du bulbe, ou
faisceau
innominé. Aujourd'hui, le terme de faisceau lat
orcement du bulbe, ou faisceau innominé. Aujourd'hui, le terme de
faisceau
latéral du bulbe n'est guère appliqué qu'aux fibr
d'hui sous le nom de formation réticulée du bulbe. C'était un vaste
faisceau
qui s'adossait au niveau du raphé bulbaire à celu
geait dans le cordon postérieur de la moelle, et admettaient que le
faisceau
latéral ou intermédiaire du bulbe était consti-
ection de la partie inférieure du bulbe du côté opposé. De lous les
faisceaux
compacts de la formation réticulée, le ruban de
du bord supérieur de l'entre-croisement pini- forme (xpin). - Fit,
faisceau
latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Nab
isement pini- forme (xpin). - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs,
faisceau
solitaire. - Nab, noyau ambigu ou noyau antérie
, corne antérieure. fil', fibres arc[formes interréticulées. - Fit,
faisceau
latéral du bulbe. - NB, noyau de Burdach. - NG,
enfor- cées, elles parcourent toute la hauteur du bulbe, formant un
faisceau
complexe, très mal délimité, qui longe la face
il (Rm) se dégage de la formation réticulée blanche et constitue un
faisceau
distinct, compris entre la pyramide antérieure,
re l'étage antérieur de la protubérance du noyau réticulé (Nrt), du
faisceau
central de la calotte (Fcc) et d'un petit amas
, p. G31·, coupe H5, Fig. 428.) Cj, corps juta-restiforme. - 7 ? ),
faisceau
longitudinal postérieur. - fsme, fsmi fibres se
robablement par quelques fibres du ruban de Reil médian. Les deux
faisceaux
de Reil (Rm et RI) se continuent insensiblement
artant, difficiles il délimiter rigoureusement, comme du reste tout
faisceau
compact de la formation réticulée. Dans leur tr
ée, soit des petits amas de sub- stance grise situés au sein de ces
faisceaux
. Le ruban de Iteil médian con- tient, en outre,
t facilement des libres denses, serrées et fortement colorées de ce
faisceau
. (Coupes H2 et H3. Fig. 395 et 362). Ces fascic
eil latéral (NR1, coupe H2, Fig. 395); ils envoient, en effet, à ce
faisceau
un con- tingent important de fibres. Le ruban d
les anciens anatomistes sous les noms de ruban de Reil, de laqueus,
faisceaux
triangulaires de l'isthme. Sur les coupes horiz
, Fig. 391), le ruban de Reil latéral (RI) apparaît sous forme d'un
faisceau
triangulaire adossé à angle droit contre le rnban
rieur (GQp) par son extrémité antéro-inférieure et s'y épuisent. Ce
faisceau
représente donc une voie relativement courte reli
ble petit à petit, de telle sorte que'¡a,su'rfcIJdc.-geclioJl de ce
faisceau
devient très irrégulière au voisinage du,, thalam
de Reil dans les régions pédoncu- laire et sous-opti- que. Le
faisceau
longi- tudinal postéiieur. Son étendue. que
aire, car elles persistent intactes dans les dégénérescences de ces
faisceaux
; elles représentent une forma- lion surajoutée,
ies de la voie pédonculaire (cas Richard, xLn, Fig. 231, p. 204).
Faisceau
longitudinal postérieur (Flp). S".\O : '\YJIlE :
e posté- rieure des cordons antérieurs de Gratiolet et de Stilling;
faisceau
longitudinal supérieur de Stieda; Hinteres Lang
e); fasciculus longitudinal is medialis (nomen- clator anatomicus),
faisceau
longitudinal dorsal (Iibllil : er). (Ne pas confo
rsal (Iibllil : er). (Ne pas confondre cette déno- mination avec le
faisceau
longitudinal dorsal de Scliütz, situé dans la sub
on avec les funiculi teretes et que Kôlliker désigne sous le nom de
faisceau
longitudinal de Schiitz.) Le faisceau longitudi
iker désigne sous le nom de faisceau longitudinal de Schiitz.) Le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) occupe la partie po
on réticulée ; il forme de chaque côté de la ligne médiane un petit
faisceau
de fibres fortement colorées par la laque héma-
arcation nette avec la formation réticulée. Il s'étend, en tant que
faisceau
plus ou moins bien délimité, de la commissure pos
e troisième ventricule (coupe n° 6 x, T. ICI', Fig. 321, p. 6H), le
faisceau
longitudinal postérieur apparaît comme un faisc
321, p. 6H), le faisceau longitudinal postérieur apparaît comme un
faisceau
mince et aplati, appliqué sur la partie supéro-
1Tm), (coupes n° 7 x et n° 9 x, Fig. 18, p. 71 et Fig. z, p. 37) le
faisceau
longitudinal postérieur apparaît encore sous l'
faisceau longitudinal postérieur apparaît encore sous l'aspect d'un
faisceau
obli- que, épais en haut et en dehors, mince en
exactement à la région des tubercules quadrijumeaux antérieurs, le
faisceau
longitudinal postérieur est croisé et en partie d
aire (coupe n° 12 xbis, Fig. 392, p. 554), la surface de section du
faisceau
longitudinal postérieur change de forme. Sa par
nit dans la région des tubercules quadrijumeaux antérieurs les deux
faisceaux
longitudinaux postérieurs, se porte de plus en pl
pont devient transversal et unit les extrémités antéro-inlernes des
faisceaux
longitudinaux postérieurs. Il conserve cette ap
06 et coupes H2, H3, H4, Fig. 424, 425 à 427, p. 626, 628, 633), le
faisceau
longitudinal postérieur diminue d'épaisseur. So
r. Son extrémité effilée disparaît ainsi que le pont d'union, et le
faisceau
se réduit, dans la région du noyau masticateur (N
en arrière parles fibres arciformes profondes (fad), et séparée du
faisceau
de même nom du côté opposé par les fibres sagit
om du côté opposé par les fibres sagittales du raphé. En dehors, le
faisceau
longitudinal postérieur se fusionne'sans limite
is constant, qui s'insinue le plus souvent dans l'épaisseur même du
faisceau
longitudinal postérieur et en dissocie les' fas
635 et 638), ces limites antérieures s'effacent à leur tour, et le
faisceau
longitu- , dinal postérieur fait corps avec le
coupes. Le genou du facial constitue alors la limite postérieure du
faisceau
longitudinal postérieur et le sépare de la subs
udinal postérieur et le sépare de la substance grise centrale et du
faisceau
longitudinal dorsal qu'elle contient. En avant, l
m) et les fibres radiculaires de la VIe paire limitent en dehors le
faisceau
longitu- dinal postérieur; au-dessus et au-dess
. - La calotte de la région protubérantielle moyenne : ruban de Reil,
faisceau
longitudinal postérieur, faisceau central de la
antielle moyenne : ruban de Reil, faisceau longitudinal postérieur,
faisceau
central de la calotte, noyau réticulé, noyau du
f du trijumeau. 8/1 grandeur nature. Méthode de Weigert-Pal. Fcc,
faisceau
central de la calotte. - fec, feutrage extracilia
otte. - fec, feutrage extraciliaire de l'olive cérébelleuse. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - NFlp, noyau du faiscea
belleuse. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - NFlp, noyau du
faisceau
longitudinal postérieur se fusionnant en avant
al postérieur se fusionnant en avant avec le noyau réticulé. - Fll,
faisceau
latéral du bulbe entrant plus haut dans la cons
gion bulbaire. sa fusion avec la iorinationrcttculéo blanche.
Faisceau
central de la calottc. son aspect Ses rappo
ve bulbaire (Oi) et la disparition du , noyau central inférieur, le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) cesse d'exister e
faisceau longitudinal postérieur (Flp) cesse d'exister en tant que
faisceau
plus ou moins nettement délimité. Il est complè
co-transver- sales-de suivre les fibres les plus postérieures de ce
faisceau
jusque dans la partie postérieure des cordons a
ie postérieure des cordons antérieurs do la moelle dont il procède.
Faisceau
central de la calotte (Fcc). Des trois faisceaux
le dont il procède. Faisceau central de la calotte (Fcc). Des trois
faisceaux
com- pacts de la formation réticulée, le faisce
(Fcc). Des trois faisceaux com- pacts de la formation réticulée, le
faisceau
central de la calotte est le moins bien délimit
capsule du noyau rouge et qu'il est situé en dehors et en avant du
faisceau
longitudinal postérieur (voy. cas Rauber, Ille
gitudinal postérieur (voy. cas Rauber, Ille partie, chap. IV). Le
faisceau
central de la calotte (Fcc) apparaît en tant que
. IV). Le faisceau central de la calotte (Fcc) apparaît en tant que
faisceau
distinct, dans la concavité de la commissure de
nflexe (Nef), en dedans par le noyau central supérieur (nets) et le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp). Au-dessous cle l
yau du facial (Nvu) et se délimite mal en arrière et en dedans, des
faisceaux
longitudinaux (le la formation réticulée (SR) q
367, p. 532). CONFIGURATION INTÉRIEURE UU RHOMBENCÉPHALE. 585 Le
faisceau
central de la calotte (Fcc) occupe donc la partie
ieur de la moelle. - fai, fibres arciformes internes du bulbe. Ilp,
faisceau
longitudinal posté- rieur. - V CI3, noyau du co
V,, quatrième ventricule. - fV,, son diverticule angulaire. - IXd,
faisceau
solitaire ou racine descendante du nerf glossopha
tudinale des fasci- cules volumineux, lâches et enche- vêtrés, du
faisceau
]JYl'all11daL (Py) surmonté du noyau arqué (Nar
gros fascicules enchevêtrés qui appartiennent à la décussation des
faisceaux
pyramidaux (xPy). L'étage postérieur ou calotte
ant l'entre-croisement piniforme ou sensitif du butbe. .F<</,
faisceau
longitudinal dorsal. - Flp, faisceau longitudin
ensitif du butbe. .F<</, faisceau longitudinal dorsal. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. ? fibres du laphé s'éten
de Goll.- Np, noyaux pontiques. - Nxn, noyau de l'hypoglosse. 7 ?
faisceau
pyramidal. - : rI'y, entre-croisement pyramidal
vai7-e (SR) ; en arrière, adossée à la substance grise centrale, le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp); fusionnés en bas,
leurs interstices les fibres sagittales du raphé bulbaire (r). Les
faisceaux
obliques qui sillonnent la calotte et la substanc
VP), qui ici, sur la coupe S 1, se continuent direc- tement avec le
faisceau
pyramidal du bulbe et segmententles fibres transv
ruban de Rcil médian (fim) adossé au stratum profun- dum (Strp), du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) adjacent à la subst
nférieur, appartiennent [au noyau réticulé (Nrt). Dans le bulbe, le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) peut être suivi jus
à la limite inférieure de la coupe, la pyramide antérieure (Py) du
faisceau
pyramidal entre-croisé (xPy), facile à reconnaî
'hypoglosse (N xii), puis elle s'épaissit, contient la sec- tion du
faisceau
solitaire ou racine descendante du nerf glosso-ph
baire (Oi), le noyau du nerf moteur oculaire exte1'lle (NVI), et le
faisceau
solitaire ou racine sensitive descendante du ne
rième ventricule. - Ils, racine descendante du glosso-pharyngien ou
faisceau
solitaire. 59fi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
ANTÉRIEUR. - Les connexions de la voie pé- donculaire (VP) avec le
faisceau
pyramidal (Py) sont excessivement intimes, d'ép
S 1 (Fig. 408), et contiennent la surface de section des innombrables
faisceaux
protubérantiels transversaux antérieurs, postér
formation réticulée grise, et dans la région protubérantielle par le
faisceau
central de la calotte dont la fusion avec le ru
ventricule se trouvent les grêles fascicules faiblement colorés du
faisceau
longitudinal dorsal (Fld), et le noyau d'origin
'hématoxyline que l'on trouve dans cette région, appar- tiennent au
faisceau
solitaire ou racine sensitive descendante [du 1W'
dian. - Eca, grand entre-croisement commissural du cervelet. - Fcc,
faisceau
central de la calotte. - NCB, noyau du cordon de
érieure ou bulbaire. - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - Py,
faisceau
pyramidal. - Rna, ruban de Reil médian. - sef,
pyramide antérieure du bulbe le long de son bord externe : aussi le
faisceau
pYl'amidal(Py) ne forme-t-il qu'un mince faisce
xterne : aussi le faisceau pYl'amidal(Py) ne forme-t-il qu'un mince
faisceau
qui se continue en haut avec la voie pédoncu- l
, surtout dans le stratum profundum (Strp), et sépare nettement les
faisceaux
de fibres transversales. Dans le stratum superf
hématoxylinique, l'entoure; de la partie supé- rieure se détache le
faisceau
central de la calotte (Fcc). La calotte renferm
du vermis. - fcb, fibres arciformes cérébelto-olivaires. - : feue,
faisceau
central de la calotte. fc</, faisceau céré-
rébelto-olivaires. - : feue, faisceau central de la calotte. fc</,
faisceau
céré- belleux direct. Fl'oa, FPom, FPop, fibres
l'olive bulbaire (Oi), entourée d'une épaisse capsule de libres; le
faisceau
triangulaire situé en arrière et au-dessous de l'
l'olive et qui atteint la périphérie inférieure de la coupe est le
faisceau
cérébelleux direct (Fcd). Nous nous contentons
descendante du trijumeau, (Vsd) qui se présente sous l'aspect d'un
faisceau
compact de fibres, situé en avant du pédoncule
pédoncule du flocculus (PFloc). Celui-ci appa- rait sous forme d'un
faisceau
volumineux fortement coloré par l'hématoxyline,
mais le pes lemniscus JiI'ofond(PLp) est très développé et forme un
faisceau
compact qui occupe la partie externe du pied et s
coupe N° 13x (Fig. 328, p. 661, T. Ier) : elle s'effectue par deux
faisceaux
de volumo fort inégal. La plupart des fibres (x
e \Veiert-Pal, 3/1 grandeur nature. Aq, aqueduc de Sylvius. - flip,
faisceau
longitudinal postérieur. - xF, entre-croisement
é du raphé, s'entre- croise à angle droit immédiatement en avant du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) et se continue av
Fig. 431, p. 643. Méthode de Weigert-Pal, 3/1 grandeur nature. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - Fl'oa, fibres protubér
pédoncule cérébelleux supérieur, elle n'est représentée que par le
faisceau
longitudinal postérieur en arrière (Flp), le ru
e Reil médian se continue avec le ruban de Reil latéral (RI), petit
faisceau
à surface de section fusiforme qui contient dans
amas gris appartenant aux noyaux du ruban de Reil latéral (NR1). Le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) est piriforme et re
substance grise centrale de l'aqueduc (SgAq) envoie entre les deux
faisceaux
longitudinaux postérieurs dans toute la région co
cules médians sont situés sur le même plan que le bord antérieur du
faisceau
longitudinal postérieur. Cette coupe passe au-des
sous du noyau de la quatrième paire, aussi le bord postérieur de ce
faisceau
est-il lisse, non excavé; il atteint en dehors
te pédonculaire, la com- missure de Wernekink, le ruban de Reil, le
faisceau
central de la calotte et le noyau central supér
g. 431, p. G43. Méthode de Weigert-Pal, 3/1 grandeur nature. Fcc,
faisceau
central de la calotte. Flp, faisceau longitudinal
Pal, 3/1 grandeur nature. Fcc, faisceau central de la calotte. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur.- FPoa, fibres protubér
nt en dehors et en arrière du quatrième ventricule en un volumineux
faisceau
falci- forme, subdivisé par de nombreuses clois
aire, la commissure de Wer- nekink, le noyau central supérieur, les
faisceaux
compacts de la formation réti- culée : faisceau
ral supérieur, les faisceaux compacts de la formation réti- culée :
faisceau
longitudinal postérieur, faisceau central de la c
cts de la formation réti- culée : faisceau longitudinal postérieur,
faisceau
central de la calotte, ruban de Reil avec les f
ig. 431, p. Gr3. Méthode de Weigerl-Pal, 3/1 grandeur nature. Face,
faisceau
central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
, 3/1 grandeur nature. Face, faisceau central de la calotte. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - FPoa, FPop, fibres t
ntral supérieur (Ncs) ; en dehors, les fibres fortement colorées du
faisceau
central de la calotte (Fcc); en arrière, le long
ng de la substance grise centrale du quatrième ventricule (Sgc), le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp), les cellules pig
e, le ruban de Reil zuédiazt(llm), formé de fibres fines réunies en
faisceaux
compacts, au milieu desquelles on aperçoit nettem
par- tiennent aux fibres externes du pied du pédoncule cérébral, au
faisceau
de Turck, et s'épuisent, ainsi que le montre l'
mation réticulée : noyau central supérieur et fais- ceaux compacts (
faisceau
longitudinal postérieur, faisceau central de la c
upérieur et fais- ceaux compacts (faisceau longitudinal postérieur,
faisceau
central de la calotte, ruban de Reil avec les f
Fig. 118, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Fcc,
faisceau
central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
l. 3/1 Grandeur nature. Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - Le, locus c.eruleus.
atérales de la calotte et se présentent sous l'aspect d'un volumineux
faisceau
falciforme, subdivisé par des septa névroglique
rment le noyau central supérieur (Ncs), noyau ovalaire qui s'étend du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) au ruban de Reil
efois sous le nom de segment externe du noyau central supérieur. Le
faisceau
central de la calotte (Fcc) occupe la même situat
lon latéral, appartiennent au tænia pontis (Tpo) (Voy. trajet de ce
faisceau
, Fig. 351, p. 487). Coupe H2 (Fig. 2). Cette co
ncule cérébelleux moyen (Pcm). Ce pédoncule forme sur la coupe un
faisceau
épais et volumineux, sans con- nexion encore av
noyau central supc- rieur (Ncs), son segment externe (Ncs'), et le
faisceau
central de la calotte (Fcc). TOM ! : Il..\0 6
ée (SR) aux dépens des trabécules gris de cette dernière, sépare le
faisceau
central (Fce) du pédoncule cérébelleux supérieur
ntral (Fce) du pédoncule cérébelleux supérieur (Y es) en dehors, du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) et du locus cierule
rmation réticulée, ses noyaux central supérieur et circonflexe, ses
faisceaux
compacts : faisceau longitudinal postérieur, fais
s noyaux central supérieur et circonflexe, ses faisceaux compacts :
faisceau
longitudinal postérieur, faisceau cen- tral de
rconflexe, ses faisceaux compacts : faisceau longitudinal postérieur,
faisceau
cen- tral de la calotte, ruban de Reil avec ses
a Fig. 418 p. 615. Méthode de Weigert-Pal, 3/1 grandeur nature. ? ce,
faisceau
central supérieur. - Flp, faisceau longitudinal p
rt-Pal, 3/1 grandeur nature. ? ce, faisceau central supérieur. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - FPoa, FPom, FPop, fi
ures de la calotte. Du raphé, il se porte en dehors, passe entre le
faisceau
central de la calotte (Fcc) et le ruban de Reil
ps rectangulaires et constituent les noyaux du corps trapézoïde. Le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) a perdu son aspect
son aspect piriforme et a diminué de volume; il représente un petit
faisceau
irrégulier qui limite le noyau central supérieu
icules aberrants de la voie pédonculaire, le corps trapézoide et le
faisceau
de Gowers dans son trajet autour du pédoncule cér
418, p. 613. Méthode de Weigell-Pal, 3/1 gran- deur nature. Fcc,
faisceau
central de la calotte.- FG, faisceau de Gowers; i
3/1 gran- deur nature. Fcc, faisceau central de la calotte.- FG,
faisceau
de Gowers; il suit la voie du faisceau latéral
au central de la calotte.- FG, faisceau de Gowers; il suit la voie du
faisceau
latéral du bulbe, puis contourne le pédoncule c
l du bulbe, puis contourne le pédoncule cérébelleux supérieur. - Flp,
faisceau
lon- gitudinal postérieur. - Fil, faisceau laté
elleux supérieur. - Flp, faisceau lon- gitudinal postérieur. - Fil,
faisceau
latéral du bulbe. - Fo, faisceau oblique de la pr
lon- gitudinal postérieur. - Fil, faisceau latéral du bulbe. - Fo,
faisceau
oblique de la protu- bérance. - FPoa, FPom, FPo
ule cérébelleux moyen par une cloison névroglique; elles forment le
faisceau
oblique de la protubérance (Fo) (voy. Fig. 349,
Nrt), noyau irrégulier, mal délimité, adossé au raphé en dedans, au
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) en arrière, et qui
vec les trabécules gris du reste de la formation réticulée (SR). Le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) est toujours mal
ui dérivent en partie des fibres sagittales du raphé, sillonnent ce
faisceau
ainsi que le noyau réticulé. Le faisceau cent
du raphé, sillonnent ce faisceau ainsi que le noyau réticulé. Le
faisceau
central de la calotte (Fcc) s'est adossé au ruban
t sa continuation avec les cordons postérieurs de la moelle. - Fcc,
faisceau
central de la calotte. - fin, fibres arciformes i
calotte. - fin, fibres arciformes in- terréticulées du bulbe. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - NB, NCB, noyaux du c
érantielle, mais elle contient, en outre, des fibres appartenant au
faisceau
latéral du bulbe, en particulier au faisceau de G
fibres appartenant au faisceau latéral du bulbe, en particulier au
faisceau
de Gowers (FG) et quelques fibres originaires d
ncule cérébelleux supé- rieur (Pcs). Ces fibres appartiennent il un
faisceau
médullaire, le faisceau de Gowers (FG), qui, or
rieur (Pcs). Ces fibres appartiennent il un faisceau médullaire, le
faisceau
de Gowers (FG), qui, originaire surtout de la s
l de la moelle, en avant du fais- ceau cérébelleux direct, forme le
faisceau
latéral du bulbe et se place dans la protubéran
s) et pénètre avec lui dans le cervelet. Le trajet horizontal de ce
faisceau
est très facile à suivre sur cette coupe H3 (FG
e la protubérance; la calotte avec le ruban de Reil médian (Rm), le
faisceau
central de la calolte (Fcc), le noyau réticulé (N
le faisceau central de la calolte (Fcc), le noyau réticulé (Nrt), le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) et l'olive supéri
e ruban de Reil médian, le fais- ceau longitudinal postérieur et le
faisceau
central de la calotte. Les noyaux moteur et sen
Eca, grand entre-croisement cummissural antérieur du vermis. - Fcc,
faisceau
central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
antérieur du vermis. - Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - FPoa, FPom, FPop, fi
dehors, de chaque côté du sillon longitudinal, passer en arrière du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp), longer le planch
cervelet. Le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) forme encore le
faisceau
compact d'aspect piriforme de la coupe précéden
édoncule céré- belleux supérieur (Pcs) ; c'est, sur cette coupe, un
faisceau
étroit et allongé, adossé en avant au noyau sen
eigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Cj, corps juxta-restiforme. - Fcc,
faisceau
central de la calotte. - Flp, faisceau longi- t
corps juxta-restiforme. - Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp,
faisceau
longi- tudinal postérieur. - fsme, fibres semi-
ifestes. Dans la calotte, les limites du noyau réticulé (Nrt) et du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) sont très diffuse
et du faisceau longitudinal postérieur (Flp) sont très diffuses; le
faisceau
central de la calotte (Fcc) et l'olive supérieu
s de la Ve paire. De chaque côté de la ligne médiane, en arrière du
faisceau
longitu- dinal postérieur (Flp), on trouve la s
dinal postérieur (Flp), on trouve la surface de section arrondie d'un
faisceau
volumineux, le genou du facial (Vllg) qui se co
coupe précédente. Dans la calotte, on trouve encore, en arrière du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) la surface de sec
et plus en dehors le quatrième segment de ce nerf (VII;). Ces deux
faisceaux
ne sont plus en connexion directe comme sur la
upe jusqu'au ruban de Reil médian (Rm). Le noyau réticulé (Nrt), le
faisceau
central de la calotte (Fcc), l'olive supérieure
leux inférieur (Pci), considérablement augmenté de volume, forme un
faisceau
arqué, piriforme, qui embrasse la face externe et
es en travers que contient sur cette coupe la partie antérieure de ce
faisceau
. FiG. 429. - La région protubérantielle inférie
Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Cj, corps juxta-restiforme.- Fcc,
faisceau
central de la calotte.- fec, feutrage exlra-ci-
c, feutrage exlra-ci- liaire. - fc, feutrage intra-ciliaire. - Flp,
faisceau
longitunal postérieur. - fsme, fibres semi-circ
que la moitié interne de sa face anté- rieure, s'est ramassé en un
faisceau
piriforme, plus large que long, adossé au raphé
ance grise antérieure du pont (Np) ; il est limité en dehors par le
faisceau
central de la calotte (Fcc) et par les fascicules
é et occupe tout l'espace compris entre le ruban de Reis (Rm) et le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp). Le ruban de Reil
n de Reil en fascicules isolés et curvilignes, puis converger en un
faisceau
compact à trajet sinueux, qui passe en avant du
rger en un faisceau compact à trajet sinueux, qui passe en avant du
faisceau
central de la calotte (Fcc), de l'olive supé- r
elle inférieure au voisinage du sillon bulbo-protubé- rantiel. - Le
faisceau
pyramidal, la calotte protubérantielle; le ruban
sceau pyramidal, la calotte protubérantielle; le ruban de Reil,; le
faisceau
central de la calotte; l'olive supérieure ou prot
igert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Cj, corps juxta-restiforme. - feue,
faisceau
central de la calotte. - Flp, faisceau lon- git
orps juxta-restiforme. - feue, faisceau central de la calotte. - Flp,
faisceau
lon- gitudinal postérieur. - Fit, faisceau laté
al de la calotte. - Flp, faisceau lon- gitudinal postérieur. - Fit,
faisceau
latéral du bulbe. fsmi, fibres semi-circulaires i
Pes, les pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur. - puy,
faisceau
pyramidal. - r, raphé. - Rm, ruban de Reil médi
e, mais par une lame arquée, repliée sur elle-même, située entre le
faisceau
central de la calotte (Fee), la grosse racine s
ent, comme le montre la coupe C 5 (Fig. 436, p. 651), en arrière du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp), de chaque côté du
obliquement, à travers le ruban de Reil médian (Rm) et en dehors du
faisceau
pyramidal (Py). A la partie externe de la calot
grosse racine sensitive descendante du trijumeau (Vsd), on trouve un
faisceau
de fibres sectionnées parallèlement à leur axe
. Ici les fibres du groupe externe (fsme) forment en avant un large
faisceau
en con- Fie. 431. - Face latérale du rhombencép
mmissural antérieur du vermis. fec, feutrage extra- ciliaire. - Fo,
faisceau
oblique de la protubérance. - fsl, feutrage sous-
sement commissural antérieur. - fec, feutrage extra-ciliaire. - Io.
faisceau
oblique de la protubérance. - fse, feutrage sous-
ge extra-ciliaire (fec) et par le bouchon (Nem), formant ainsi deux
faisceaux
très nets qui con- vergent en avant pour former
longitudinal médian, et de chaque côté deux éminences répondant aux
faisceaux
ronds, fasciculi teretes, ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE D
ne du vermis. A droite, le pédoncule cérébelleux inférieur forme un
faisceau
piriforme volu- mineux, sans connexion manifest
rcule acoustique (Tub.ac) et le pédoncule du flocculus (PFloc), petit
faisceau
- 6'i(i ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. compact
l'étage anté- rieur représenté par la voie pédonculaire réduite au
faisceau
pyramidal ; 3° par l'incorporation, dans la cal
ES NERVEUX. forme et les fibres arciformes cérébello-olivaires. Les
faisceaux
compacts de la for- mation réticulée, le noyau
orsales du bulbe. - fana, fibres arciformes moyennes du bulbe. Fcc,
faisceau
central de la calotte. - Floc, flocculus. - PFloc
calotte. - Floc, flocculus. - PFloc, pédoncule du flocculus. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - Flt, faisceau latéral
ncule du flocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Flt,
faisceau
latéral du bulbe. - FPoa, fibres trans- versale
ie en particulier, à droite, le long du raphé jusqu'au voisinage du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp). Les noyaux arqué
versales de la protubérance, contiennent, outre les noyaux arqués, le
faisceau
pyramidal (Py), c'est-à-dire le segment inférie
dire le segment inférieur ou bulbaire de la voie pédoncu- laire. Ce
faisceau
n'est plus arrondi comme sur les coupes de la rég
rotubérantielle par les fibres du stratum profundum. A gauche, le
faisceau
pyramidal (Py) est en contact avec le ruban de Re
ramidal (Py) est en contact avec le ruban de Reil médian (Rm) et le
faisceau
central de la calotte (Fcc). A droite, l'olive bu
tte (Fcc). A droite, l'olive bulbaire (Oi) s'insinue entre ces deux
faisceaux
sous forme d'une lame circulaire festonnée et d
rectangulaire, gagnant en lon- gueur ce qu'il perd en largeur. Le
faisceau
central de la calotte (Fcc) occupe la partie exte
culièrement épaisse aux deux extrémités de ce corps. En arrière, le
faisceau
central de la calotte (Fcc) se confond sans dél
avant par le ruban de Reil médian (Rm), l'olive bulbaire (Oi) et le
faisceau
central de la calotte (Fcc). En arrière, il est s
le faisceau central de la calotte (Fcc). En arrière, il est séparé du
faisceau
lon- gitudinal postérieur (Flp) par une couche
rement denses et nom- breuses, et constituent dans leur ensemble le
faisceau
latéral du bulbe (Flt), fais- ceau complexe et
ehors du ruban de Reil médian (Voy. coups H7, Fig. 430, p. 640). Le
faisceau
latéral du bulbe (Fit) est formé en grande part
e faisceau latéral du bulbe (Fit) est formé en grande partie par un
faisceau
médullaire, le faisceau de G'oM6 ? 's; dans la
lbe (Fit) est formé en grande partie par un faisceau médullaire, le
faisceau
de G'oM6 ? 's; dans la région protubérantielle,
du ruban de Reil médian. Dans la partie fermée du bulbe, reçoit le
faisceau
cérébelleux direct, faisceau d'origine médullaire
s la partie fermée du bulbe, reçoit le faisceau cérébelleux direct,
faisceau
d'origine médullaire, con- stitué par les cylin
présente une surface de section irrégulièrement ovalaire; c'est un
faisceau
volumineux, essentielle- ment constitué par des
comme le montre cette coupe, de la partie antérieure de ce volumineux
faisceau
. Elles passent en avant de la grosse racine sen
sse racine sensitive descendante du IJ'1j'umeau(Vsd), traversent le
faisceau
latéral du bulbe *FIL) et le faisceau central de
'1j'umeau(Vsd), traversent le faisceau latéral du bulbe *FIL) et le
faisceau
central de la calotte (Fcc), passent entre l'ol
tral de la calotte (Fcc), passent entre l'olive bulbaire (Oi) et le
faisceau
pyramidal, mais sur cette coupe n'atteignent pa
inférieur (Nci) et ne peuvent sur cette coupe être suivies au delà du
faisceau
central de la calotte (Fcc) ; elles se perdent
(fad) occupent la partie postérieure de la calotte, tra- versent le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) et les fibres de la
ibres de la formation réticulée situées en avant et en dehors de ce
faisceau
, et les séparent de la sub- stance grise centra
s ; on voit ses fibres traverser le ruban de Reil médian (Rm) et le
faisceau
central de la calotte (Fcc), longer le sillon úul
rième ventricule, il existe dans la moitié droite de cette coupe un
faisceau
volumineux de fibres sectionnées parallèlement
t à leur axe et fortement colorées par la laque hématoxylinique. Ce
faisceau
qui, à première vue, semble n'être que la prolon-
centrent qu'au voisinage de la périphérie du bulbe, où ils forment le
faisceau
latéral du bulbe (Fit). La formation réticulée
u raphé (Nr), mince et étroite lame grise qui atteint en arrière le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) et qui se fusionne
e l'autre, et encore moins à circonscrire dans leur épais- seur des
faisceaux
déterminés. La myélogénèse et surtout l'étude des
t, à sa partie postérieure, les fibres descendantes et ascendantes du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) qui se prolongent
- fas, fibres arciformes superficielles antérieures du bulbe. - Fcc,
faisceau
central de la calotte. - fcv, fibres cérébello-
- fil, fibres arciformes rétrotrigéminales. - Floc, flocculus. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - Fil, faisceau latéra
- Floc, flocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fil,
faisceau
latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Mo,
au longitudinal postérieur. - Fil, faisceau latéral du bulbe. - Fs,
faisceau
solitaire. - Mo, membrane obturatrice rétrobulb
e. - IX, nerf glosso-pharyngien. motion réticulée grise (SRg) et le
faisceau
latéral du bulbe (Fit). Elles se réunissent ens
tres passent entre l'olive (Oi) et la pyramide (Py) ou à travers le
faisceau
pyramidal (Py), puis abordent de même le noyau
itable capsule, renforcée à sa partie postérieure et externe par le
faisceau
central de la calotte (Fce) qui fait corps avec e
faisceau central de la calotte (Fce) qui fait corps avec elle.' Le
faisceau
pyramidal (Py) s'est étalé au-devant de l'olive d
formation réticulée blanche (SRa(cio). La partie antéro-interne du
faisceau
pyramidal (Py) est recouverte par le noyau arqu
sectionnées perpendiculairement ou obliquement à leur direction, le
faisceau
pyramidal est sillonné par des fibres horizonta
age du sillon longitudinal médian, on les voit passer en avant d'un
faisceau
arrondi, qui représente la surface de section d
par un petit noyau arrondi pauvre en fibres à myéline, le noyau des
faisceaux
arrondis, noyau des funiculi teretes (Nft) qui
a-restiforme (Cj) au voisinage du corps restiforme (Crst); d'autres
faisceaux
du coîI)sjuxta-2,estifoî, ? te (Cj) ont donné nai
cendante de Roller, affecte un trajet descendant et se réunit en un
faisceau
compact, le faisceau solitaire (Fs), ou racine
ffecte un trajet descendant et se réunit en un faisceau compact, le
faisceau
solitaire (Fs), ou racine descendante du glosso-p
aisceau solitaire (Fs), ou racine descendante du glosso-pharyngien,
faisceau
très visible sur les coupes suivantes (Coupes H 1
ature. Cj, corps juxta-restiforme. - Crst, corps restiforme. - Fcc,
faisceau
central de la calotte. fez, fibres arciformes c
rétrigémmales. - frt, fibres arciformes rétrotrigé- minales. - Fit,
faisceau
latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - fsr
formes rétrotrigé- minales. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs,
faisceau
solitaire. - fsr, fibres sagittales du raphé. -
épais et plus dense que sur la coupe précédente, et sa fusion avec le
faisceau
central de la calotte (Fcc) est complète. Le
ulière ou semi- lunaire et elles ne sont pas encore groupées en ce'
faisceau
compact si carac- téristique, connu sous le nom
en ce' faisceau compact si carac- téristique, connu sous le nom de
faisceau
solitaire (Fs) (voy. Coupe ni 1) Le quatrième v
rétrotri- séminales. - fpo, fibres arciformes préolivaires. - Fit,
faisceau
latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - 1
es arciformes préolivaires. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs,
faisceau
solitaire. - 1\'a6, noyau ambigu. Narc, noyau arq
juxta-res- tiforme (Cj), d'autres passent en avant ou en arrière du
faisceau
solitaire (Fs), représenté sur cette coupe par
rière du faisceau solitaire (Fs), représenté sur cette coupe par un
faisceau
compact de fibres entourées d'une zone de subst
t en arrière vers le plancher du quatrième ventricule, en dedans du
faisceau
solitaire (Fs). Elles se coudent à ce niveau et
e du noyau du nerf vestibulaire (Nviiiv) en arrière et en dedans du
faisceau
solitaire (Fs). La partie interne du plancher d
olive. Sur la coupe H 11, comme sur les deux coupes précédentes, le
faisceau
pyra- rnidal (P3,), mal délimité du ruban de Re
sse racine des- cendante sensitive du trijumeau, puis atteignent le
faisceau
latéral du bulbe dans lequel elles s'incorporen
éral du bulbe dans lequel elles s'incorporent. Elles constituent le
faisceau
cérébelleux direct de Flechsig (écu), faisceau
Elles constituent le faisceau cérébelleux direct de Flechsig (écu),
faisceau
ascendant qui, né des cellules de la colonne de C
t, corps restiforme. - Cp, cordons postérieurs de la moelle. - Fcd,
faisceau
cérébelleux direct de Flechsig. - fcb, fibres arc
feo, feutrage extra-olivaire. - fio, feutrage intra-olivaire. - Fit,
faisceau
latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - N
o, feutrage intra-olivaire. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs,
faisceau
solitaire. - Narc, noyau arqué. NCrst, noyaux du
a c nstitution, ni des fibres arciformes cérébello- olivaire, ni du
faisceau
cérébelleux direct, elles s'épuisent dans les noy
t et deux petits amas allongés et indépendants, situés en dedans du
faisceau
latéral du bulbe (Fit), et entourée par des fibre
u dorsal du vague ou pneumogastrique (Nxp) sous lequel on trouve le
faisceau
solitaire (Fs); enfin l'extrémité inférieure de
c les fibres arciformes superficielles péri pyramidales (fas) et le
faisceau
latéral du bulbe (Fit); les autres se joignent au
interréticulées formant l'en- tre-croisement piniforme du bulbe. ?
faisceau
latéral du bulbe. -Ts, faisceau solitaire. Nab,
tre-croisement piniforme du bulbe. ? faisceau latéral du bulbe. -Ts,
faisceau
solitaire. Nab, noyau ambigu. - Narc, noyau arq
e, on trouve le noyau dOl'sallou postérieur du vague (Nxp), puis le
faisceau
solitaire (Fs) , formé non plus par un gros fas
upe H 13 (Fig. 443), et la suivante, coupe H 15 (Fig. 4 hui) par un
faisceau
horizontal qui occupe la périphérie du bulbe, e
ns postérieurs (Cp), la racine descendante du trijumeau (Vsd) et le
faisceau
latéral du bulbe (Fit), et s'effile en avant po
postérieurs et concourant il l'en- (re-croisement piniforme. - Fil,
faisceau
latéral du bulbe. Fs. faisceau solitaire. Narc,
en- (re-croisement piniforme. - Fil, faisceau latéral du bulbe. Fs.
faisceau
solitaire. Narc, noyau arqué. - 'Cp..\'cp, noya
-croisemenl piniforme. 678 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. prend le
faisceau
de Gowers et le faisceau cérébelleux direct de Fl
678 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. prend le faisceau de Gowers et le
faisceau
cérébelleux direct de Flechsig, mais n'est véri
La pyramide antérieu2,e (Py) s'est ramassée enun épais et volumineux
faisceau
, presque arrondi, que des septa névrogliques cl
érébello-olivaires. - fil', fibres arciformes intcrréticulées. - Fit,
faisceau
latéral du bulbe - Fs, faisceau solitaire. - Va
arciformes intcrréticulées. - Fit, faisceau latéral du bulbe - Fs,
faisceau
solitaire. - Varc, noyau arqué. - sCp, noyaux des
ontrent que la sépara- tion de ces deux noyaux est effectuée par un
faisceau
de cellules épendymaires. Cette coupe montre tr
corps restiforme. - fil', fibres arciformes interréticulées. - Fs,
faisceau
solitaire. - Narc, noyau arqué. NI3, noyau du c
1 niers vestiges du corps restiforme (Crst), réduit à un volumineux
faisceau
lioi i- zontal, étendu des cordons postérieurs
clc (NB). La pyramide anlérieure (Py) du bulbe s'est ramassée en un
faisceau
arrondi, volumineux, saillant en avant, et sépa
écédente (H 16 Fig. 446), les champs poly- gonaux des fascicules du
faisceau
pyramidal sectionnés encore perpendiculai- reme
réticulées blanche et grise et peuvent être suivies jusqu'à l'épais
faisceau
de fibres qui longe la base des noyaux des cord
rouve ainsi plus riche en substance grise et relativement pauvre en
faisceaux
longitudinaux. Ces derniers se groupent surtout
cielles, dernier vestige du corpi restiforme (Crst), il comprend le
faisceau
de Gowers et le faisceau cérébelleux direct de Fl
du corpi restiforme (Crst), il comprend le faisceau de Gowers et le
faisceau
cérébelleux direct de Flechsig, forme le faisceau
eau de Gowers et le faisceau cérébelleux direct de Flechsig, forme le
faisceau
latéral du bulbe (Fit) et se continue avec le c
ordon anlero-latéral de la moelle. - Crst, corps restiforme. - Fil,
faisceau
latéral du bulbe. - fil', fibres arciformes inter
cine sensitive descendante du trijumeau (Vsd) est encadrée par deux
faisceaux
intensivement colorés par la laque héma- toxyli
faisceaux intensivement colorés par la laque héma- toxylinique : le
faisceau
latéral du bulbe en avant, le cordon postérieur d
ostérieur de la moelle en arrière. Ce dernier forme sur la coupe un
faisceau
très compact qui coiffe complètement le noyau d
es fibres qui se portent en avant, et forment à la base du noyau un
faisceau
volumineux et horizontal en connexion avec les
lées et entre-croisement piniforme ou sensitif du bulbe (xpin). - FU,
faisceau
latéral du bulbe. - NB, noyau du cordon de I !
roisement pyramidal ou entre- croisement Ho/e(xPy). Les fibres du
faisceau
pyramidal (Py) s'infléchissent en arrière et en d
n sur les coupes H 19 et H20. Ces deux coupes n'intéressent que les
faisceaux
pyramidaux au moment de leur entre-croisement;
sur les coupes suivantes (H21 et-H22) parmi les fibres croisées du
faisceau
pyramidal. Dans la substance grise centrale qui
PHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. ss Elles intéressent non seulement, les
faisceaux
pyramidaux (Py) au niveau de leur entre-croisem
comme la coupe H20 (Fig. 450), mais encore la partie croisée de ces
faisceaux
(FPyc); on les voit se porter en dehors et en arr
elles étaient. Ainsi s'explique l'aspect si spécial que présente le
faisceau
pyramidal après son entre- croisement ; il est
infléchissent que plus bas. L'entre-croisement et la translation du
faisceau
pyramidal croisé (FPyc) dans le cordon latéral
tance grise centrale. De là la multiplicité d'aspects, que revêt le
faisceau
pyramidal croisé suivant les régions, et dont que
écapitation des deux cornes antérieures (Coa) et intéresse les deux
faisceaux
pyramidaux croisés (FPyc). A gauche, la déca- p
la déca- pitation de la corne antérieure est complète. A droite, le
faisceau
pyramidal (FPyc) n'a pas encore atteint complèt
décapitée.- Col, corne latérale. - Col, corne postérieure. - FPyc,
faisceau
pyramidal croire. NB, noyau du cordon de Burdac
s travées de substance grise qui cloisonnent les gros fascicules du
faisceau
pyramidal croisé (FPyc). Celui-ci occupe une pr
ance grise centrale par un col mince, étroit et effilé. Les fibres du
faisceau
pyramidal croisé (FPyc) se sont toutes coudées,
ral (CI). Il ne faut pas, en effet, considérer comme appartenant au
faisceau
pyramidal croisé les fibres horizontales qui tr
Coa, corne antérieure décapitée. Cop, corne postérieure. Fl' ! fc,
faisceau
pyramidal croisé. NG, noyau du cordon de Goll. l'
TOPOGRAPHIQUE DU ItH0113ElVGI : PIi.lLl;. 689 intéresse encore le
faisceau
pyramidal à son entre-croisement. Celui-ci décapi
ré, caractéristique de la région où s'effectue la décussation de ce
faisceau
. La substance grise centrale de la moitié posté
lati, complète- ment indépendant du reste de la substance grise. Le
faisceau
pyramidal croisé en occupant le cordon latéral
eCoy, col de la corne postérieure. Cp, cor- don postérieur. f ? c,
faisceau
pyramidal croisé. SgR, substance gélatineuse de l
econdaires permet d'y reconnaître une texture fort complexe, et des
faisceaux
plus ou moins compacts et d'origines très diver
uche granuleuse, se réunissent dans l'axe de la lamelle en un mince
faisceau
de fibres parallèles qui se porte radiairement
e dans la branche horizontale de l'arbre de vie où elles forment un
faisceau
à direction sagittale, connu sous le nom de couch
a997), puis se placent en arrière du bouchon; elles forment ici un
faisceau
volumineux, irrégulièrement arrondi (l'Py, Fig. 4
s dentelé. Les fibres dendritiques du flocculus se réunissent en un
faisceau
de fibres parallèles, fortement colorées par la
nt de direction. (PFloc, Fig. 437 et h<i8, p. 6G3 et 6 : )ï), Ce
faisceau
, connu sous le nom de pédoncule du flocculus, f
erne, séparées par une zone intermédiaire (innerc et aussere Leur-»
faisceaux
'\ dIII'éIC.1C.l ? 3. 1° La couche sa- ttit
e direction donnée, en nombre assez considérable pour se grouper en
faisceaux
ou fascicules comparables aux longs faisceaux d
le pour se grouper en faisceaux ou fascicules comparables aux longs
faisceaux
d'association des hémisphères cérébraux. S'il n'e
'existe pas dans la substance blanche centrale du cervelet de longs
faisceaux
d'association comparables à ceux des hémisphère
unes avec les autres. Des libres - non groupés en fascicules ou en
faisceaux
- relient les faces supérieure et inférieure, l
de Deiters, fibres reliant le noyau du. toit ci l'olive supérieure
faisceau
sensoriel cérébelleux direct (direckte sensorisch
un de l'aulre, l'entre-croisement commissural est formé en effet de
faisceaux
presque pa- rallèles, tandis que les fascicules
sural (Eca). Les fibres semi-circulaires externes re- présentent un
faisceau
différencié analogue au faisceau compact de la
ulaires externes re- présentent un faisceau différencié analogue au
faisceau
compact de la couronne rayonnante du centre ova
ibre semi-circulaires ex ternes sur les coupes sagittales. Le
faisceau
falci- forme et ses con- nexions avec le pé-
se présentent dans leur ensemble sous l'aspect caractéristique d'un
faisceau
falciforme (Fig. 464), mince et effilé en arriè
be à concavité inférieure au-dessus du corps dentelé (Oc) ; mais le
faisceau
s'amincit et s'effile en avant où il se continu
entelé (Oc) et de la toison (fec) qui l'enveloppe, sous l'aspect de
faisceaux
presque parallèles qui décrivent des courbes ré
en se portent obliquement en avant et en dehors. Ces deux ordres de
faisceaux
se trouvent donc sectionnés sous des obliquités
de s'entre-croiser dans le vermis, on comprend aisément que l'épais
faisceau
de fibres compris sur les coupes horizontales H
enne en réalité aux fibres semi-circulaires externes, tout comme le
faisceau
qui contourne le corps den- telé en dehors. Les
me le faisceau qui contourne le corps den- telé en dehors. Les deux
faisceaux
se détachent en effet du pédoncule cérébel- leu
e transition (coupe S5, Fig. rut3, p. 606) sous l'aspect d'un petit
faisceau
curviligne, situé au- dessus du bouchon (Nem'),
u bulbe rachidien. C'est d'elle que dérive l'anatomie descriptive des
faisceaux
bulbaires. On ne sait rien du trajet et des rappo
On ne sait rien du trajet et des rapports des colonnes grises ou des
faisceaux
blancs bulbo-protubérantiels, que par la com-para
araison des surfaces de section successives de ces colonnes et de ces
faisceaux
. Si l'anatomie de l'hémisphère est, à tous les
s qu'un intervalle linéaire. Or la détermination exacte du trajet des
faisceaux
dans le lobe occipital n'est possible qu'à la con
'est-à-dire la masse de fibres de la capsule interne correspondant au
faisceau
pyramidal, au niveau de la pénétration de ce fais
orrespondant au faisceau pyramidal, au niveau de la pénétration de ce
faisceau
dans le centre ovale. Lorsqu'un hémisphère a pr
un grand nombre de cerveaux, on arrive à préciser l'incli-naison des
faisceaux
stratifiés de la substance médullaire et le traje
ance médullaire et le trajet des fibres qui la composent. Lorsqu'un
faisceau
est sectionné perpendiculairement à la direction
'autre. Ces con-clusions sont faciles à tirer de l'examen de certains
faisceaux
nerveux, dont on sait à l'avance la direction : t
eaux nerveux, dont on sait à l'avance la direction : tel est le petit
faisceau
nerveux qui constitue la bandelette optique ou le
couleur indique avec une précision suffisante l'angle sous lequel un
faisceau
a été divisé, elle ne fournit aucun renseignement
r la direction anatomique de ses fibres. Supposons, par exemple, un
faisceau
A, dont les fibres sont inclinées à 45 degrés sur
s sur le plan de section x, y. La teinte de la surface de coupe de ce
faisceau
correspond à l'inclinaison des fibres, mais elle
s, ou en avant et en haut. Il est facile en effet d'imaginer un autre
faisceau
(B), dont les fibres ont une direction inverse de
faisceau (B), dont les fibres ont une direction inverse de celles du
faisceau
A, bien qu'elles soient inclinées, elles aussi, à
érieure à la place de la région postérieure, la surface de section du
faisceau
sera plus foncée que dans la situation précédente
axe, on verra s'effectuer insensiblement le changement de couleur du
faisceau
. Inversement, on peut dire que les fibres dirig
c un peu d'habitude on parvient à établir sans peine le parcours d'un
faisceau
courbe. Par exemple, si un faisceau F, incliné d'
ablir sans peine le parcours d'un faisceau courbe. Par exemple, si un
faisceau
F, incliné d'abord à angle très obtus sur le plan
s croyons avoir pu fixer avec quelque précision le trajet de certains
faisceaux
dans la profondeur de l'hémisphère. Les explicati
principaux que nous nous hâterons de signaler. Il s'en faut que les
faisceaux
nerveux, dans l'hémisphère ou dans n'importe quel
et séparables des parties adjacentes. Surtout dans l'hémisphère, les
faisceaux
s'entre-croisent. Tel faisceau qui, sur une certa
entes. Surtout dans l'hémisphère, les faisceaux s'entre-croisent. Tel
faisceau
qui, sur une certaine étendue de son trajet, est
ndue de son trajet, est homogène, rencontre, chemin faisant, un autre
faisceau
dont les fibres s'enchevêtrent avec les siennes.
es fibres s'enchevêtrent avec les siennes. Dès lors, ce n'est plus un
faisceau
compact : c'est un faisceau diffus. Pour attribue
c les siennes. Dès lors, ce n'est plus un faisceau compact : c'est un
faisceau
diffus. Pour attribuer à chacun des deux faisceau
compact : c'est un faisceau diffus. Pour attribuer à chacun des deux
faisceaux
ainsi confondus la part exacte qui lui revient da
as question ici, et nous conserverons simplement l'usage des termes
faisceaux
compacts et faisceaux diffus pour désigner, suiva
us conserverons simplement l'usage des termes faisceaux compacts et
faisceaux
diffus pour désigner, suivant les cas, les deux p
n acquiert des notions très exactes sur la marche et les rapports des
faisceaux
. A la rigueur, on arrive même à compléter ces not
récis les renseignements qu'elles nous fournissent, sur le trajet des
faisceaux
blancs ou des colonnes grises. L'avantage bbiss
e, à la planche XXX. Par là seulement on se rend compte du trajet des
faisceaux
dans la substance blanche et de leurs terminaison
boliques qui sont comme les noms abrégés des organes, plis corticaux,
faisceaux
d'association, noyaux ou commissures. 11 nous sem
t la disposition des plis corticaux, sont forcément arbitraires ; les
faisceaux
qu'elles sont censées traverser suivant leur long
inquième circonvolution temporale, 26, 50. TEG. Tegmentum, calotte,
faisceau
de la calotte, étage supérieur du pédoncule, 16
onvolution frontale. FAI. Fibres arquées profondes du bulbe. FLP.
Faisceau
longitudinal postérieur de la calotte. G. Gland
é frontale. F1. Première circonvolution frontale. FI. Fimbria. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur. G. Glande pinéale, épiphy
F1. Première circonvolution frontale. Fd. Fascia dentata, 58. FG.
Faisceau
géniculô, 61. FI. Fimbria, 59. FM. Faisceau d
ia dentata, 58. FG. Faisceau géniculô, 61. FI. Fimbria, 59. FM.
Faisceau
de Tùrck-Meynert, 61. FP. Faisceau pyramidal, 61.
culô, 61. FI. Fimbria, 59. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert, 61. FP.
Faisceau
pyramidal, 61. G. Glande pinéale, épiphyse, conar
77. Cin. Cingulum. CL. Claustrum (avant-mur). CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale, 71, 77. DE. Pilier des
volution frontale, 68, 72, 81. Fd. Fascia dentata, 79,80, 81. FG.
Faisceau
géniculé. FI. Fimbria, 67, 82. FLI. Faisceau
ta, 79,80, 81. FG. Faisceau géniculé. FI. Fimbria, 67, 82. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur, 78, 80, 82. FOV. Faisce
a, 67, 82. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 78, 80, 82. FOV.
Faisceau
occipital vertical, 78, 82. FPV. Faisceau parié
rieur, 78, 80, 82. FOV. Faisceau occipital vertical, 78, 82. FPV.
Faisceau
pariétal vertical, 71, 78, 82. FRF. Faisceau ré
rtical, 78, 82. FPV. Faisceau pariétal vertical, 71, 78, 82. FRF.
Faisceau
rétrograde, fasciculus relroflevus. FS. Faiscea
71, 78, 82. FRF. Faisceau rétrograde, fasciculus relroflevus. FS.
Faisceau
sensitif, 71, 80, 82. FSe. Faisceau sensitif ex
, fasciculus relroflevus. FS. Faisceau sensitif, 71, 80, 82. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 77. FSi. Faisceau sensitif in
au sensitif, 71, 80, 82. FSe. Faisceau sensitif externe, 77. FSi.
Faisceau
sensitif interne, 77. FU. Fasciculus uncinatus,
77. FSi. Faisceau sensitif interne, 77. FU. Fasciculus uncinatus,
faisceau
en crochet, 82. FVA. Faisceau de Yicq d'Azyr.
erne, 77. FU. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet, 82. FVA.
Faisceau
de Yicq d'Azyr. GLM. Globus niedialis, 75. GL
L . IO Héliog. Lemercier G. Masson Edit EP. Épendyme, 91. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 89, 91, 93, 95, 97, 98. FLI.
91. FCF. Faisceau compact du fornix, 89, 91, 93, 95, 97, 98. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur, 91, 92, 97, 98. FOi. Fi
ceps major, 91, 93, 95, 97, 98. FOm. Fibres moyennes du splenium ou
faisceau
moyen du forceps major, 97, 98. FOs. Fibres sup
du forceps major, 97, 98. FOs. Fibres supérieures du forceps. FOV.
Faisceau
occipital vertical, 96, 97, 99. FPF. Faisceau par
ieures du forceps. FOV. Faisceau occipital vertical, 96, 97, 99. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 89, 92, 93, 95, 97, 98. FS. Fais
6, 97, 99. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 89, 92, 93, 95, 97, 98. FS.
Faisceau
sensitif, faisceau optique, lame des radiations o
sceau pariéto-frontal, 89, 92, 93, 95, 97, 98. FS. Faisceau sensitif,
faisceau
optique, lame des radiations optiques, 88, 91,
um, 106, 108. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du lobe carré. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 101, 104, 108. FDF. Faisceau d
p du lobe carré. FCF. Faisceau compact du fornix, 101, 104, 108. FDF.
Faisceau
diffus du fornix. FLI. Faisceau longitudinal in
pact du fornix, 101, 104, 108. FDF. Faisceau diffus du fornix. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur, 101, 102, 104, 108. FLi
104, 108. FLi, FL2, FLô. Première, deuxième et troisième couches du
faisceau
longitudinal inférieur, 102. FOi. Fibres inféri
s du forceps major, 101,102, 105. FOm. Fibres moyennes du splenium ou
faisceau
moyen du forceps major. FOs. Fibres supérieur
du forceps major. FOs. Fibres supérieures du forceps, 108. FOY.
Faisceau
occipital vertical, 102, 106. FPF. Faisceau par
du forceps, 108. FOY. Faisceau occipital vertical, 102, 106. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 101, 102, 106, 108. FS. Faisce
102, 106. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 101, 102, 106, 108. FS.
Faisceau
sensitif, 101, 102, 104, 107. K. Scissure calca
, 125, 126, 129. F. Circonvolution frontale ascendante, 109. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 112, 116, 120, 125, 125, 129.
5, 129. Fci. Fasciola cinerea, bandelette cendrée, 127, 150. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 112, 116, 119, 122, 125, 128.
FDF. Faisceau diffus du fornix, 112, 116, 119, 122, 125, 128. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur, 112, 116, 119, 122, 125,
125, 128. FLi. FLr2, FLs. Première, deuxième, troisième couches du
faisceau
longitudinal inférieur, 112, 116, 122, 125, 128
115, 117, 120, 125, 126, 129. FOm. Fibres moyennes du splenium ou
faisceau
moyen du forceps major, 115, 117, 120, 125, 125,
res supérieures du forceps, 114, 118, 121, 125, 125, 126, 150. FOV.
Faisceau
occipital vertical, 114. FPF. Faisceau pariéto-fr
21, 125, 125, 126, 150. FOV. Faisceau occipital vertical, 114. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 114, 118,121, 150. FS. Faisceau
vertical, 114. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 114, 118,121, 150. FS.
Faisceau
sensitif, 111, 115, 119, 122, 124, 128. ipc. Inci
gulum, 157, 158. F. Circonvolution frontale ascendante, 151. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 156, 157, 158. Fci. Fasciola
t du fornix, 156, 157, 158. Fci. Fasciola cinerea, 152, 154. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 156, 137. FL1. Faisceau longi
itudinal inférieur, 156. FLs, Fis. Deuxième et troisième couches du
faisceau
longitudinal inférieur, 156. FOi. Fibres inféri
du forceps major, 154, 157, 159. FOm. Fibres moyennes du splenium ou
faisceau
moyen du forceps major, 157, 159. FOs. Fibres s
57, 159. FOs. Fibres supérieures du forceps, 155, 155, 157, 140. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 140. FS. Faisceau sensitif, 155.
forceps, 155, 155, 157, 140. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 140. FS.
Faisceau
sensitif, 155. FSe. Faisceau sensitif externe, 15
FPF. Faisceau pariéto-frontal, 140. FS. Faisceau sensitif, 155. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 156. FSi. Faisceau sensitif int
FS. Faisceau sensitif, 155. FSe. Faisceau sensitif externe, 156. FSi.
Faisceau
sensitif interne, 155. L. Scissure limbique, 151.
llie des libres moyennes du corps calleux dans le ventricule latéral (
faisceau
moyen du for-ceps), 1-42. C. Circonvolution lim
alleux, 142, 145, 140. Cin. Cingulum, 145, 147. CO. Centre ovale,
faisceau
ou libres du centre ovale, 148. Dsu. Diverticul
ution frontale ascendante. F1. Première circonvolution frontale. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 147. Fci. Fasciola cinerea, 14
144. Fd. Fascia dentata (Tarin), corps godronné, corps bordant. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 140. FLI. Faisceau longitudinal
ps godronné, corps bordant. FDF. Faisceau diffus du fornix, 140. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur, 145, 146. FIA FLo. Deuxiè
udinal inférieur, 145, 146. FIA FLo. Deuxième et troisième couches du
faisceau
longitudinal inférieur, 146. FOi. Fibres inféri
es fibres moyennes du splenium. FOm. Fibres moyennes du splenium ou
faisceau
moyen du forceps major, 148. FOs. Fibres supéri
ceps major, 148. FOs. Fibres supérieures du forceps, 142, 148. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 148. FS. Faisceau sensitif, fa
eures du forceps, 142, 148. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 148. FS.
Faisceau
sensitif, faisceau optique, lame des radiations o
42, 148. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 148. FS. Faisceau sensitif,
faisceau
optique, lame des radiations opti-ques, 146. FSe.
sensitif, faisceau optique, lame des radiations opti-ques, 146. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 146. FSi. Faisceau sensitif int
radiations opti-ques, 146. FSe. Faisceau sensitif externe, 146. FSi.
Faisceau
sensitif interne, 146. (Iip. Circonvolution de l'
ique. ce. Corps calleux, 155. Cin. Cingulum, 157. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale, 159. Dsu. Sillon lat
ral du subiculum, 158. F1. Première circonvolution frontale. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 156. Fci. Fasciola cirierea,
ciola cirierea, 150, 152, 158. Fd. Fascia dentata, 151, 152. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 156. FI. Fimbria, 158. FLÏ.
52. FDF. Faisceau diffus du fornix, 156. FI. Fimbria, 158. FLÏ.
Faisceau
longitudinal inférieur, 154. FLr , FLi, FLo. Tr
154. FLr , FLi, FLo. Troisième, quatrième et cinquième couches du
faisceau
longitudinal inférieur, 155. FOi. Fibres inférieu
l inférieur, 155. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 158. FOm.
Faisceau
moyen du forceps major, 158. FOs. Fibres supérieu
du forceps major, 158. FOs. Fibres supérieures du forceps, 158. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 159. FS. Faisceau sensitif, fa
upérieures du forceps, 158. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 159. FS.
Faisceau
sensitif, faisceau des radiations optiques, 154.
ps, 158. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 159. FS. Faisceau sensitif,
faisceau
des radiations optiques, 154. FSe. Faisceau sen
FS. Faisceau sensitif, faisceau des radiations optiques, 154. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 154, 155, 156. FSi. Faisceau
ptiques, 154. FSe. Faisceau sensitif externe, 154, 155, 156. FSi.
Faisceau
sensitif interne, 154, 155, 156. Ilip. Circonvo
. ce. Corps calleux, 1G6. Cin. Cingulum, 109. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale, 170. Dsu. Sillon lat
ascia dentata, sur un plan antérieur à celui de la coupe. 162. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 168. Fi. Fimbria, 165, 164, 169
r. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 165, 169. FOm. Fibres du
faisceau
moyen du forceps major, 170. FSc. Faisceau sensit
, 165, 169. FOm. Fibres du faisceau moyen du forceps major, 170. FSc.
Faisceau
sensitif externe, 167, 168. FSi. Faisceau sensiti
du forceps major, 170. FSc. Faisceau sensitif externe, 167, 168. FSi.
Faisceau
sensitif interne, 167, 168. C. Glande pinéale, 16
Corps calleux, 170, 180. Cin. Cingulum, 175, 184. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale, 184. F1. Première circ
bres du centre ovale, 184. F1. Première circonvolution frontale. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 18?. Fd. Fascia dentata, 174.
F'd'. Circonvolution godronnée antérieure au plan de la coupe. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 185. FI. Fimbria, 171, 176, 1
ceau diffus du fornix, 185. FI. Fimbria, 171, 176, 179, 184. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur, 182. FLô, FL.4, FLs. Tr
érieures du forceps major, 184. FOm. Fibres moyennes du splenium ou
faisceau
moyen du forceps major, 184. FOs. Fibres supéri
ps major, 184. FOs. Fibres supérieures du forceps, 182, 185. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 184. FSe. Faisceau sensitif ex
es du forceps, 182, 185. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 184. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 171, 181, 185. FSi. Faisceau
frontal, 184. FSe. Faisceau sensitif externe, 171, 181, 185. FSi.
Faisceau
sensitif interne, 171, 181, 185. G. Glande piné
185. ce. Corps calleux, 189. Cin. Cingulum, 191. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale, 192. Dsu. Diverliculum
. Première circonvolution frontale. f. Premier sillon frontal. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 191. Fd. Fascia dentata, 187
F. Faisceau compact du fornix, 191. Fd. Fascia dentata, 187. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 191. FI. Fimbria, 188, 192.
férieur, 190. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 19;. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 192. FSe. Faisceau sensitif ex
s du forceps major, 19;. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 192. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 190. FSi. Faisceau sensitif i
u pariéto-frontal, 192. FSe. Faisceau sensitif externe, 190. FSi.
Faisceau
sensitif interne, 190. G. Glande pinéale, épiph
196. ce. Corps calleux, 198. Cin. Cingulum, 203. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale, 198, 204. Dsu. Diverli
emière circonvolution frontale, 204. /i. Premier sillon frontal. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 203. FDF. Faisceau diffus du f
i. Premier sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix, 203. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 203. FI. Fimbria. FLI. Faisce
fornix, 203. FDF. Faisceau diffus du fornix, 203. FI. Fimbria. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur, 203. FLP. Faisceau long
203. FI. Fimbria. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 203. FLP.
Faisceau
longitudinal postérieur de la calotte, 200. FOi
calotte, 200. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 203. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 204. FSe. Faisceau sensitif ex
s du forceps major, 203. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 204. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 205. FSi. Faisceau sensitif i
u pariéto-frontal, 204. FSe. Faisceau sensitif externe, 205. FSi.
Faisceau
sensitif interne, 205. G. Glande pinéale, épiph
.20 Héliog. Lemercier G. Masson Edit Aq. Aqueduc de Sylvius. ARC.
Faisceau
arqué, 222. Bf. Fente de Richat, 205, 207. RP. Br
222. Cin. Cingulum, 222. CL. Claustrum, 222. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale. CP. Commissure postéri
ière circonvolution frontale, 205. fj. Premier sillon frontal. FCF.
Faisceau
compact du fornix. FCP. Faisceau de la commissu
fj. Premier sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix. FCP.
Faisceau
de la commissure postérieure, 217. FDF. Faiscea
du fornix. FCP. Faisceau de la commissure postérieure, 217. FDF.
Faisceau
diffus du fornix. FI. Firnbria, 205, 220. FLl
7. FDF. Faisceau diffus du fornix. FI. Firnbria, 205, 220. FLl.
Faisceau
longitudinal inférieur, 221, 222. FLP. Faisceau
a, 205, 220. FLl. Faisceau longitudinal inférieur, 221, 222. FLP.
Faisceau
longitudinal postérieur de la calotte, 205, 208.
FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 205, 208. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 222. FSe. Faisceau sensitif ex
de la calotte, 205, 208. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 222. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 221. FSi. Faisceau sensitif i
u pariéto-frontal, 222. FSe. Faisceau sensitif externe, 221. FSi.
Faisceau
sensitif interne. G. Glande pinéale, êpiphyse,
s de Rauber, racine interne de la bande-lette optique, 226, 232. ARC.
Faisceau
arqué, 238. BP. Bras du pulvinar, 229. BQA. Bra
ris, 225. GMT. Commissure de Meynert, 227, 229. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale, 256, 238. CP. Commis
tale ascendante, 239. F1. Première circonvolution frontale, 239. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 238. FCP. Faisceau de la com
nvolution frontale, 239. FCF. Faisceau compact du fornix, 238. FCP.
Faisceau
de la commissure postérieure, 228, 229, 250. FDF.
38. FCP. Faisceau de la commissure postérieure, 228, 229, 250. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 258. FI. Fimbria, 225. FLP. F
9, 250. FDF. Faisceau diffus du fornix, 258. FI. Fimbria, 225. FLP.
Faisceau
longitudinal postérieur de la calotte, 227. FM. F
225. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 227. FM.
Faisceau
de Tùrck-Meynert, 254. FPF. Faisceau pariéto-fron
stérieur de la calotte, 227. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert, 254. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 258. FRF. Faisceau rétrograde,
eau de Tùrck-Meynert, 254. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 258. FRF.
Faisceau
rétrograde, fasciculus retroflexus (Meynert), 255
RF. Faisceau rétrograde, fasciculus retroflexus (Meynert), 255. FS.
Faisceau
sensitif. FSe. Faisceau sensitif externe, 257.
asciculus retroflexus (Meynert), 255. FS. Faisceau sensitif. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 257. FSi. Faisceau sensitif i
FS. Faisceau sensitif. FSe. Faisceau sensitif externe, 257. FSi.
Faisceau
sensitif interne, 257. G. Glande pinéale, 223.
rcier G. Masson Edit ALV. Alveus, 240. Aq. Aqueduc de Sylvius. ARC.
Faisceau
arqué, 254. BP. Bras du pulvinar, 250. BQA. Bra
Cin. Cingulum. CMT. Commissure de Meynert, 247. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale, 252. CP. Commissure
ou fibres du centre ovale, 252. CP. Commissure postérieure. CTE.
Faisceau
du tegmentum allant à la substance grise du troi-
entum allant à la substance grise du troi-sième ventricule, 250. FCF.
Faisceau
compact du fornix. FCP. Faisceau de la commissure
du troi-sième ventricule, 250. FCF. Faisceau compact du fornix. FCP.
Faisceau
de la commissure postérieure, 249. Fd. Fascia den
ceau de la commissure postérieure, 249. Fd. Fascia dentata, 240. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 256. FLI. Faisceau longitudinal
9. Fd. Fascia dentata, 240. FDF. Faisceau diffus du fornix, 256. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur. FLP. Faisceau longitudina
eau diffus du fornix, 256. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. FLP.
Faisceau
longitudinal postérieur de la calotte, 248. FM. F
érieur. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 248. FM.
Faisceau
de Tùrck-Meynert, 245. FPF. Faisceau pariéto-fron
stérieur de la calotte, 248. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert, 245. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 256. FRF. Faisceau rétrograde, 2
sceau de Tùrck-Meynert, 245. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 256. FRF.
Faisceau
rétrograde, 249, i52. FSe. Faisceau sensitif exte
isceau pariéto-frontal, 256. FRF. Faisceau rétrograde, 249, i52. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 255, 254. FSi. Faisceau sensiti
rétrograde, 249, i52. FSe. Faisceau sensitif externe, 255, 254. FSi.
Faisceau
sensitif interne, 255. GH. Ganglion de l'habénule
2. TEG. Tegmentum, 250. TP. Tractus transversus pedunculi (Gudden),
faisceau
en écharpe (Foré), 245, 245. TRI. Trigone céréb
ISSAUD _ LE CERVEAU PL.23 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ABC.
Faisceau
arqué. BP. Bras du pulvinar, 265. BQA. Bras d
259, 269. CAM. Corne d'Ammon, 257. ce. Corps calleux, 269. CEO.
Faisceau
cérébello-thalamique, 267. CGE. Capsule du corp
ps genouillé externe. CIF. Segment inférieur de la capsule interne,
faisceau
de la troi-sième circonvolution temporale, 271. C
CL. Claustrum. CMT. Commissure de Meynert, 263. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale, 269. CTE. Faisceau d
. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 269. CTE.
Faisceau
du tegmentum allant à la substance grise du trois
frontale ascendante, 256. F1. Première circonvolution frontale. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur, 270, 271. FLP. Faisceau l
lution frontale. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 270, 271. FLP.
Faisceau
longitudinal postérieur de la calotte, 263. FM. F
0, 271. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 263. FM.
Faisceau
de Tiïrck-Meynert, 259, 288, 270 . FP. Faisceau p
la calotte, 263. FM. Faisceau de Tiïrck-Meynert, 259, 288, 270 . FP.
Faisceau
pyramidal, 262, 269. FRF. Faisceau rétrograde, 25
iïrck-Meynert, 259, 288, 270 . FP. Faisceau pyramidal, 262, 269. FRF.
Faisceau
rétrograde, 258, 264. FSe. Faisceau sensitif exte
aisceau pyramidal, 262, 269. FRF. Faisceau rétrograde, 258, 264. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 270. FSi. Faisceau sensitif int
sceau rétrograde, 258, 264. FSe. Faisceau sensitif externe, 270. FSi.
Faisceau
sensitif interne, 270. GE. Corps genouillé extern
NCHE XXV ALV. Alveus, 274, ANC. Anse, du noyau caudé, 274. ARC.
Faisceau
arqué, 287. RSO. Bandelette sous-optique, 284.
ue, 284. ce. Corps calleux, 285. CF. Capsule externe, 287. CFO.
Faisceau
cérébello-thalaraique, 278. Cl. Capsule interne
Cin. Cingulum. CL. Claustrum, 27G, 287, 288. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale, 280. F. Circonvoluti
Première circonvolution frontale. fv Premier sillon frontal. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 288. FDF. Faisceau diffus du
remier sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix, 288. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 288. FG. Faisceau géniculé.
compact du fornix, 288. FDF. Faisceau diffus du fornix, 288. FG.
Faisceau
géniculé. FI. Fimbria, 274. FLI. Faisceau lon
s du fornix, 288. FG. Faisceau géniculé. FI. Fimbria, 274. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur, 272, 280. FLP. Faisceau
imbria, 274. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 272, 280. FLP.
Faisceau
longitudinal postérieur de la calotte, 278. FM.
80. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 278. FM.
Faisceau
de Tùrck-Meynert, 285. FP. Faisceau pyramidal,
rieur de la calotte, 278. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert, 285. FP.
Faisceau
pyramidal, 284. FP'. Fibres du faisceau pyramid
e Tùrck-Meynert, 285. FP. Faisceau pyramidal, 284. FP'. Fibres du
faisceau
pyramidal se continuant dans le faisceau arqué,
midal, 284. FP'. Fibres du faisceau pyramidal se continuant dans le
faisceau
arqué, 284, 287. FPF. Faisceau pariéto-frontal,
ceau pyramidal se continuant dans le faisceau arqué, 284, 287. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 289. FRF. Faisceau rétrograde, 2
faisceau arqué, 284, 287. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 289. FRF.
Faisceau
rétrograde, 280. FSe. Faisceau sensitif externe,
F. Faisceau pariéto-frontal, 289. FRF. Faisceau rétrograde, 280. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 285. FSi. Fais,-eau sensitif in
n pariétale ascendante. p. Sillon pariétal ou interpariétal. PAR.
Faisceau
parallèle, occupant le fond du sillon parallèle,
Lemercier G. Masson Edit ANL. Anse du noyau lenticulaire, 500. ABC.
Faisceau
arqué, 504. ARC. Fibres du faisceau arqué desti
u noyau lenticulaire, 500. ABC. Faisceau arqué, 504. ARC. Fibres du
faisceau
arqué destinées à la capsule interne, 508. BO. Ba
RSO. Randelette sous-optique, 50 I. CAM. Corne d'Ammon, 291. CAO..
Faisceau
tegmento-thalamique, 298, 297, 506. ce. Corps c
98, 297, 506. ce. Corps calleux. CE. Capsule externe, 505. CEO.
Faisceau
cérébello-thalamiqne, 298, 505. CI, Capsule int
Capsule interne, 505. CIF. Segment inférieur de la capsule interne,
faisceau
de la troi-sième circonvolution temporale, 501, 5
me circonvolution frontale, 290. f. Deuxième sillon frontal. FCF.
Faisceau
compact du fornix. Fd. Fascia dentata, 291. F
FCF. Faisceau compact du fornix. Fd. Fascia dentata, 291. FDF.
Faisceau
diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé, 299, 5
x. Fd. Fascia dentata, 291. FDF. Faisceau diffus du fornix. FG.
Faisceau
géniculé, 299, 505. FI. Fimbria, corps frangé,
culé, 299, 505. FI. Fimbria, corps frangé, corps bordé, 291. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur. FLP. Faisceau longitudi
ngé, corps bordé, 291. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. FLP.
Faisceau
longitudinal postérieur de la calotte, 296, 298,
P. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 296, 298, 506. FM.
Faisceau
de Tùrck-Meynert, 295, 298, 505. FP. Faisceau pyr
tte, 296, 298, 506. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert, 295, 298, 505. FP.
Faisceau
pyramidal, 298, 505. FPF. Faisceau pariéto-fronta
Tùrck-Meynert, 295, 298, 505. FP. Faisceau pyramidal, 298, 505. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal. FRF. Faisceau rétrograde, fasc
. Faisceau pyramidal, 298, 505. FPF. Faisceau pariéto-frontal. FRF.
Faisceau
rétrograde, fasciculus retroflexus, 296. FSe. F
ntal. FRF. Faisceau rétrograde, fasciculus retroflexus, 296. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 294, 502. GE. Corps genouillé
tegmenti, 292, 295, 297, 501, 505. M. Gouttière de Monro, 290. MF.
Faisceau
médullaire de. la capsule, zona incerta (Forel),
lvius, opercule d'Arnold P. Circonvolution pariétale ascendante. PAR.
Faisceau
parallèle, 505. Pcs. Pédoncule cérébelleux supéri
it ALV. Alveus, 507/ ANL. Anse du noyau lenticulaire, 519. ARC.
Faisceau
arqué, 526. BO. Bandelette optique. RSO. Band
RSO. Bandelette sous-optique, 520. CAM. Corne d'Ammon, 507. CAO.
Faisceau
tegmento-thalamique, 515, 516, 517, 526. ce. Corp
515, 516, 517, 526. ce. Corps calleux. CE. Capsule externe, 525. CEO.
Faisceau
cérébello-thalamique, 515, 517. CID. Segment post
a capsule interne, 524. CIF. Segment inférieur de la capsule interne,
faisceau
de la troi-sième circonvolution temporale, 510, 5
ale, 510, 524. Cin. Cingulum. CL. Claustrum, 511. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale. DL. Discus lenliform
convolution frontale, 506. f%. Deuxième sillon frontal, 507. FCF.
Faisceau
compact du fornix. Fd. Fascia dentata, 507. F
FCF. Faisceau compact du fornix. Fd. Fascia dentata, 507. FDF.
Faisceau
diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé, 519.
x. Fd. Fascia dentata, 507. FDF. Faisceau diffus du fornix. FG.
Faisceau
géniculé, 519. FLI. Faisceau longitudinal infér
FDF. Faisceau diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé, 519. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur. PLP. Faisceau longitudi
aisceau géniculé, 519. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. PLP.
Faisceau
longitudinal postérieur de la calotte, 526. FM.
ur. PLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 526. FM.
Faisceau
de Tûrck-Meynert, 518. FP. Faisceau pyramidal,
rieur de la calotte, 526. FM. Faisceau de Tûrck-Meynert, 518. FP.
Faisceau
pyramidal, 518. FP'. Fibres du faisceau pyramid
e Tûrck-Meynert, 518. FP. Faisceau pyramidal, 518. FP'. Fibres du
faisceau
pyramidal se continuant dans le faisceau arqué,
midal, 518. FP'. Fibres du faisceau pyramidal se continuant dans le
faisceau
arqué, 326. FRF. Faisceau rétrograde, 515, 517.
faisceau pyramidal se continuant dans le faisceau arqué, 326. FRF.
Faisceau
rétrograde, 515, 517. FSe. Faisceau sensitif exte
ns le faisceau arqué, 326. FRF. Faisceau rétrograde, 515, 517. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 510, 523. GE. Corps genouillé e
interme-dium, 512, 517, 519, 526. M. Gouttière de Monro, 515. MF.
Faisceau
médullaire de la capsule, zona incerta (Forel), 5
u thalamus, 508. NL. Fibres latérales du noyau rouge de la calotte,
faisceau
rubro- thalamique, 517, 526. NR. Noyau rouge de
, 508, 516. OP. Opercule pariétal de Sylvius, opercule d'Arnold. PAR.
Faisceau
parallèle, occupant le fond du sillon parallèle,
ique supérieur. PUT. Putamen, 509, 524. RFP. Couronne rayonnante du
faisceau
longitudinal postérieur, 509, 515. RNC. Couronn
Alveus, 529. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 554, 558, 549. ARC.
Faisceau
arqué, 552. Bf. Fente de Bichat, 529. BGI. Ba
. CA. Commissure antérieure, 547. CAM. Corne d'Ammon, 528. CAO.
Faisceau
tegmento-thalamique, 552, 541. ce. Corps calleu
ue, 552, 541. ce. Corps calleux. CE. Capsule externe, 551. CEO.
Faisceau
cérébello-thalamique, 554, 541. CC. Couche gril
Capsule interne, 549. GIF. Segment inférieur de la capsule interne,
faisceau
de la troi-sième circonvolution temporale, 548. C
ale, 548. Cin. Cingulum, 552. CL. Claustrum, 454. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale. DF. Pilier descendan
on frontal, 527. F5. Troisième circonvolution frontale, 522. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 555. FDF. Faisceau diffus du
olution frontale, 522. FCF. Faisceau compact du fornix, 555. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 555. FG. Faisceau géniculé, 5
compact du fornix, 555. FDF. Faisceau diffus du fornix, 555. FG.
Faisceau
géniculé, 554, 558, 549. FLI. Faisceau longitud
diffus du fornix, 555. FG. Faisceau géniculé, 554, 558, 549. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur, 555. FP. Faisceau pyram
lé, 554, 558, 549. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 555. FP.
Faisceau
pyramidal, 557, 549. FPF. Faisceau pariéto-fron
ngitudinal inférieur, 555. FP. Faisceau pyramidal, 557, 549. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 555. FSe. Faisceau sensitif ex
eau pyramidal, 557, 549. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 555. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 548. FVA. Faisceau de Yicq d'
u pariéto-frontal, 555. FSe. Faisceau sensitif externe, 548. FVA.
Faisceau
de Yicq d'Azyr, 552, 555. GAP. Ganglion de l'an
thalamus, 552, 559, 540, 343. LTE. Lamina tegmenti, 555, 541. MF.
Faisceau
médullaire de la capsule, zona incerta, 552, 555,
u noyau caudé, 550. NeC. Noyau externe du thalamus, 552, 545. NL.
Faisceau
rubro-thalamique, 557, 540. otk. Quatrième sill
occipito-temporal, grand sillon occipito-tem-poral de Pansch. PAR.
Faisceau
parallèle, occupant le fond du sillon parallèle,
Recessus antérieur de l'hippocampe, 528. RFP. Couronne rayonnante du
faisceau
longitudinal postérieur, 555. S'. Branche postéri
dit AL Y. Alveus. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 562, 566 AR.
Faisceau
d'Arnold, 568. ARC. Faisceau arqué, 575. BO.
du noyau lenticulaire, 562, 566 AR. Faisceau d'Arnold, 568. ARC.
Faisceau
arqué, 575. BO. Bandelette optique, 565. BSO.
e externe, 575. Cin. Cingulum. CL. Cloustrum. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale. COL Commissure inférie
ution frontale, 555. F3. Troisième circonvolution frontale, 555. FCF.
Faisceau
compact du fornix. FG. Faisceau géniculé, 557, 56
me circonvolution frontale, 555. FCF. Faisceau compact du fornix. FG.
Faisceau
géniculé, 557, 565. FLI. Faisceau longitudinal in
CF. Faisceau compact du fornix. FG. Faisceau géniculé, 557, 565. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur. FSe. Faisceau sensitif ex
isceau géniculé, 557, 565. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 572. FU. Fasciculus uncinatus,
sceau sensitif externe, 572. FU. Fasciculus uncinatus, 572, 575. FYA.
Faisceau
de Yicq-d'Azyr, 557, 559, 567, 568. GAP. Ganglion
LML. Lame médullaire externe ou latérale du thalamus, 557, 567. MF.
Faisceau
médullaire de la capsule, 566. MLE. Cloison ver
emercier G. Masson Edit ANL. Anse du noyau lenticulaire, 378. AR.
Faisceau
d'Arnold, 380. ARC. Faisceau arqué, 388. BO. Rand
NL. Anse du noyau lenticulaire, 378. AR. Faisceau d'Arnold, 380. ARC.
Faisceau
arqué, 388. BO. Randelette optique, 378. RSO. Ran
Deuxième sillon frontal. F3. Troisième circonvolution frontale. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 588. FDF. Faisceau diffus du f
e circonvolution frontale. FCF. Faisceau compact du fornix, 588. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 588. FG. Faisceau géniculé, 578
ceau compact du fornix, 588. FDF. Faisceau diffus du fornix, 588. FG.
Faisceau
géniculé, 578. FLI. Faisceau longitudinal inférie
FDF. Faisceau diffus du fornix, 588. FG. Faisceau géniculé, 578. FLI.
Faisceau
longitudinal inférieur, 589. FPF. Faisceau pariét
isceau géniculé, 578. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 589. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 588. FU. Fasciculus uncinatus, 5
r de la capsule interne, 405. CL. Claustrum, 592. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale, 406. DE. Pilier desc
ution frontale, 590. F3. Troisième circonvolution frontale, 590. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 405. FDF. Faisceau diffus du f
convolution frontale, 590. FCF. Faisceau compact du fornix, 405. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 406. FU. Fasciculus uncinatus,
e du noyau caudé, 411. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 410. ARC.
Faisceau
arqué, 418. C. Circonvolution limbique, 408.
Cin. Cingulum, 418. CL. Claustrum, 410, 418. CO. Centre ovale,
faisceau
ou fibres du centre ovale, 418. EPA. Espace per
sillon frontal. F3. Troisième circonvolution frontale, 407. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 418. FDF. Faisceau diffus du
olution frontale, 407. FCF. Faisceau compact du fornix, 418. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 419. FPF. Faisceau pariéto-fr
compact du fornix, 418. FDF. Faisceau diffus du fornix, 419. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal. FF. Fasciculus uncinatus, fais
ix, 419. FPF. Faisceau pariéto-frontal. FF. Fasciculus uncinatus,
faisceau
en crochet, 417. GAP. Ganglion de l'anse pédonc
AUD _ LE CERVEAU P L . 32 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ARC.
Faisceau
arqué, 424. G. Circonvolution limbique, 421.
sillon frontal. F3. Troisième circonvolution frontale, 419. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 425. FDF. Faisceau diffus du
olution frontale, 419. FCF. Faisceau compact du fornix, 425. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 425. FOA. Forceps anterior, o
u fornix, 425. FOA. Forceps anterior, ou forceps minor, 426. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal, 425. GR. Gyrus reclus, 4H. G
Anse du noyau lenticulaire, 450, 452. Aq. Aqueduc de Sylvius. AR.
Faisceau
d'Arnold, 450, 455. BCP. Bulbus cornu posterior
d'Ammon, 451. ce. Corps calleux. CE. Capsule externe, 450. CEO.
Faisceau
cérébello-thalamique, 478, 451, 452. CIA. Segment
xième sillon frontal. F3. Troisième circonvolution frontale. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 434. FLP. Faisceau longitudi
rconvolution frontale. FCF. Faisceau compact du fornix, 434. FLP.
Faisceau
longitudinal postérieur de la calotte, 428, 451.
FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 428, 451. FM.
Faisceau
de Tûrck-Meynert, 454. FOi. Fibres inférieures du
de Tûrck-Meynert, 454. FOi. Fibres inférieures du forceps major. FOV.
Faisceau
occipital verlical, 454. FPV. Faisceau pariétal v
rieures du forceps major. FOV. Faisceau occipital verlical, 454. FPV.
Faisceau
pariétal vertical, 454. FRF. Faisceau rétrograd
occipital verlical, 454. FPV. Faisceau pariétal vertical, 454. FRF.
Faisceau
rétrograde, fasciculus retroflexus (Meynert), 4
au rétrograde, fasciculus retroflexus (Meynert), 428, 429, 451. FS.
Faisceau
sensitif, 455. FSi. Faisceau sensitif interne, 45
roflexus (Meynert), 428, 429, 451. FS. Faisceau sensitif, 455. FSi.
Faisceau
sensitif interne, 453. 1 VA. Faisceau de Vicq d'A
S. Faisceau sensitif, 455. FSi. Faisceau sensitif interne, 453. 1 VA.
Faisceau
de Vicq d'Azyr, 429, 455. GAP. Ganglion de l'anse
LES. Capsula extrema, 455. LTE. Lamina tegmenti, 428, 452. MF.
Faisceau
médullaire de la capsule, zona incerta, 428, 452.
Anse du noyau caudé. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 431*. AR.f
Faisceau
d'Arnold. BP. Bras du pulvinar, 457, 439. BQ.
. GA. Commissure antérieure, 439. CAM. Corne d'Ammon, 458. CAO.
Faisceau
tegmento-thalamique, 459. ce. Corps calleux, 45
lamique, 459. ce. Corps calleux, 458. CE. Capsule externe. CEO.
Faisceau
cérébello-thalamique, 459. CIA. Segment antérieur
F5. Troisième circonvolution frontale. Fd. Fascia dentata. FDF.
Faisceau
diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé, 458, F
ontale. Fd. Fascia dentata. FDF. Faisceau diffus du fornix. FG.
Faisceau
géniculé, 458, FI. Finibria, corps frangé, 458.
FG. Faisceau géniculé, 458, FI. Finibria, corps frangé, 458. FLP.
Faisceau
longitudinal postérieur de la calotte, 458. FP.
58. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 458. FP.
Faisceau
pyramidal, 458. FPV. Faisceau pariétal vertical
postérieur de la calotte, 458. FP. Faisceau pyramidal, 458. FPV.
Faisceau
pariétal vertical. FRF. Fasciculus retroflexus,
Faisceau pariétal vertical. FRF. Fasciculus retroflexus, 458. FS.
Faisceau
sensitif. FSe. Faisceau sensitif externe. GII
. FRF. Fasciculus retroflexus, 458. FS. Faisceau sensitif. FSe.
Faisceau
sensitif externe. GII. Ganglion de l'habénule,
us, 459. LTE. Lamina legmenti, 459. M. Gouttière de Monro, 455. MF.
Faisceau
médullaire de la capsule, zona incerta, 459. ML
aire. NC. Noyau caudé, 456. NCC. Queue du noyau caudé, 456. NL.
Faisceau
rubro-thalamique. NmC. Centre médian, 457. Np
VEAU PL.35 Héliog. Lemercier G. Masson Edit PLANCHE XXXV! AU.
Faisceau
d'Arnold, 442. APiG. Faisceau arqué. BQ. Bour
G. Masson Edit PLANCHE XXXV! AU. Faisceau d'Arnold, 442. APiG.
Faisceau
arqué. BQ. Bourrelet du lobe carré. BSO. Band
O. Bandelette sous-optique, 444. C. Circonvolution limbique. CAO.
Faisceau
tegmento-thalamique, 444. ce. Corps calleux, 44
xième sillon frontal. F5. Troisième circonvolution frontale. FCF.
Faisceau
compact du fornix. Fd. Fascia dentata, 442. F
FCF. Faisceau compact du fornix. Fd. Fascia dentata, 442. FDF.
Faisceau
diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé. FI.
x. Fd. Fascia dentata, 442. FDF. Faisceau diffus du fornix. FG.
Faisceau
géniculé. FI. Fimbria, 442. FOm. Fibres moyen
u géniculé. FI. Fimbria, 442. FOm. Fibres moyennes du splenium ou
faisceau
moyen forceps major. FP. Faisceau pyramidal, 44
m. Fibres moyennes du splenium ou faisceau moyen forceps major. FP.
Faisceau
pyramidal, 444. FS. Faisceau sensilif. GIL Gangli
m ou faisceau moyen forceps major. FP. Faisceau pyramidal, 444. FS.
Faisceau
sensilif. GIL Ganglion de l'habénule, 440. GLM.
U P L . 36 Héliog. Lemercier G. Masson Edit PLANCHE XXXVII ARC.
Faisceau
arqué, 448. BQ. Bourrelet du lobe carré. C. Circo
F5. Troisième circonvolution frontale. Fci. Fasciola cinerea. FG.
Faisceau
géniculé. FOA. Forceps anterior, ou forceps min
érieures du forceps major, 446. FOm. Fibres moyennes du splenium ou
faisceau
moyen du forceps major. FOs. Fibres supérieures
oyen du forceps major. FOs. Fibres supérieures du forceps, 446. FP.
Faisceau
pyramidal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FSe.
FOs. Fibres supérieures du forceps, 446. FP. Faisceau pyramidal. FPV.
Faisceau
pariétal vertical. FSe. Faisceau sensitif externe
s, 446. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FSe.
Faisceau
sensitif externe, 446. FSi. Faisceau sensitif i
isceau pariétal vertical. FSe. Faisceau sensitif externe, 446. FSi.
Faisceau
sensitif interne, 446. Gci. Genou de la capsule
P L . 37 Héliog. Lemercier G. Masson Edit PLANCHE XXXVIII AR.
Faisceau
d'Arnold, 452. ARC. Faisceau arqué, faisceau lo
G. Masson Edit PLANCHE XXXVIII AR. Faisceau d'Arnold, 452. ARC.
Faisceau
arqué, faisceau longitudinal supérieur, 454. RA
PLANCHE XXXVIII AR. Faisceau d'Arnold, 452. ARC. Faisceau arqué,
faisceau
longitudinal supérieur, 454. RAM. Rase de la co
52. CAL. Calcar, ergot de Morand, 454. CAM. Corne d'Ammon. CAO.
Faisceau
tegmento-thalamique, 452. ce. Corps calleux, 45
xième sillon frontal. F3. Troisième circonvolution frontale. FCF.
Faisceau
compact du fornix, 453. Fci. Fasciola cinerea,
453. Fci. Fasciola cinerea, 450. Ed. Fascia dentata, 454. FDF.
Faisceau
diffus du fornix, 455. FG. Faisceau géniculé.
Ed. Fascia dentata, 454. FDF. Faisceau diffus du fornix, 455. FG.
Faisceau
géniculé. FI. Fimbria, 454. FM. Faisceau de T
us du fornix, 455. FG. Faisceau géniculé. FI. Fimbria, 454. FM.
Faisceau
de Tûrck-Meynert, 452. FOV. Faisceau occipital ve
iculé. FI. Fimbria, 454. FM. Faisceau de Tûrck-Meynert, 452. FOV.
Faisceau
occipital vertical, 454. FPF. Faisceau pariéto-fr
au de Tûrck-Meynert, 452. FOV. Faisceau occipital vertical, 454. FPF.
Faisceau
pariéto-frontal. FPV. Faisceau pariétal vertica
isceau occipital vertical, 454. FPF. Faisceau pariéto-frontal. FPV.
Faisceau
pariétal vertical. FRF. Faisceau rétrograde, fa
. Faisceau pariéto-frontal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FRF.
Faisceau
rétrograde, fasciculus retroflexus, 452. FS. Fa
tical. FRF. Faisceau rétrograde, fasciculus retroflexus, 452. FS.
Faisceau
sensitif, 456. FSe. Faisceau sensitif externe.
de, fasciculus retroflexus, 452. FS. Faisceau sensitif, 456. FSe.
Faisceau
sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif intern
FS. Faisceau sensitif, 456. FSe. Faisceau sensitif externe. FSi.
Faisceau
sensitif interne, 452. GC. Genou du corps calle
se du noyau caudé, 457. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 457. AR.
Faisceau
d'Arnold, 457. BO. Bandelette optique, 458. B
F3. Troisième circonvolution frontale. Fci. Fasciola cinerea. FG.
Faisceau
géniculé. FI. Fimbria. FM. Faisceau de Tùrck-
Fci. Fasciola cinerea. FG. Faisceau géniculé. FI. Fimbria. FM.
Faisceau
de Tùrck-Meynert. FOi. Fibres inférieures du forc
nférieures du forceps major, 458. FOm. Fibres moyennes du splenium ou
faisceau
moyen du forceps major, 458. FOV. Faisceau occi
moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 458. FOV.
Faisceau
occipital vertical. FP. Faisceau pyramidal. F
oyen du forceps major, 458. FOV. Faisceau occipital vertical. FP.
Faisceau
pyramidal. FPV. Faisceau pariétal vertical. F
FOV. Faisceau occipital vertical. FP. Faisceau pyramidal. FPV.
Faisceau
pariétal vertical. FS. Faisceau sensitif. FSc
l. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FS.
Faisceau
sensitif. FSc. Faisceau sensitif externe. FSi
l. FPV. Faisceau pariétal vertical. FS. Faisceau sensitif. FSc.
Faisceau
sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif intern
al. FS. Faisceau sensitif. FSc. Faisceau sensitif externe. FSi.
Faisceau
sensitif interne. GAP. Ganglion de l'anse pédon
convolution frontale. Fd. Fascia dentata. FI. Fimbria, 462. FM.
Faisceau
de Tûrck-Meynert. FU. Fasciculus uncinatus, fai
ia, 462. FM. Faisceau de Tûrck-Meynert. FU. Fasciculus uncinatus,
faisceau
en crochet, 459. GAP. Ganglion de l'anse pédonc
dentata. FI. Fimbria. FL1. Faisceau longitudinal inférieur. FOY.
Faisceau
occipital vertical. FS. Faisceau sensitif. FU
eau longitudinal inférieur. FOY. Faisceau occipital vertical. FS.
Faisceau
sensitif. FU. Fascicidus uncinatus. GAP. Gang
L.41 Héliog. Lemercier G. Masson Edit AL Y. Alveus, 464. ARC.
Faisceau
arqué. BGI. Bandelette de Giacomini, 465. BO.
DL. Discus lentiformis. Dsu. Sillon latéral du subiculum. FCF.
Faisceau
compact dufornix. Fci. Fasciola cinerea, 464.
i. Fasciola cinerea, 464. Fd. Fascin dentata, 463, 464, 465. FDF.
Faisceau
diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé. FI.
ascin dentata, 463, 464, 465. FDF. Faisceau diffus du fornix. FG.
Faisceau
géniculé. FI. Fimbria, 465. FL1. Faisceau lon
lé. FI. Fimbria, 465. FL1. Faisceau longitudinal inférieur. FM.
Faisceau
de Tûrck-Meynert. FOi. Fibres inférieures du fo
es du forceps major, 464 FOs. Fibres supérieures du forceps. FOV.
Faisceau
occipital vertical. FP. Faisceau pyramidal. F
res supérieures du forceps. FOV. Faisceau occipital vertical. FP.
Faisceau
pyramidal. FPV. Faisceau pariétal vertical. F
FOV. Faisceau occipital vertical. FP. Faisceau pyramidal. FPV.
Faisceau
pariétal vertical. FS. Faisceau sensitif. FSe
l. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FS.
Faisceau
sensitif. FSe. Faisceau sensitif externe. FSi
l. FPV. Faisceau pariétal vertical. FS. Faisceau sensitif. FSe.
Faisceau
sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif intern
al. FS. Faisceau sensitif. FSe. Faisceau sensitif externe. FSi.
Faisceau
sensitif interne. GE. Corps genouillô externe,
. ANC Anse du noyau caudé. ANL. Anse du noyau lenticulaire. AR.
Faisceau
d'Arnold. Bf. Fente de Bichat. BO. Bandelette
Bichat. BO. Bandelette optique. CA. Commissure antérieure. CAO.
Faisceau
tegmento-thalamique. ce. Corps calleux. CE. C
gmento-thalamique. ce. Corps calleux. CE. Capsule externe. CEO.
Faisceau
cérébello-thalamique. Cin. Cingulum. DL. Disc
Sillon latéral du subiculum. EPA. Espace perforé antérieur. FCF.
Faisceau
compact du fornix. Fci. Fasciola cinerea. Fd.
. Fci. Fasciola cinerea. Fd. Fascia dentata. FI. Fimbria. FM.
Faisceau
de Tùrck-Meynert. FOi. Fibres inférieures du forc
érieures du forceps major. FOm. Fibres moyennes du forceps major. FP.
Faisceau
pyramidal. FS. Faisceau sensitif, faisceau opti
FOm. Fibres moyennes du forceps major. FP. Faisceau pyramidal. FS.
Faisceau
sensitif, faisceau optique, lame des radiations o
es du forceps major. FP. Faisceau pyramidal. FS. Faisceau sensitif,
faisceau
optique, lame des radiations optiques. FU. Fasc
au optique, lame des radiations optiques. FU. Fasciculus uncinatus,
faisceau
en crochet. FVA. Faisceau de Vicq-d'Azyr. GAP
ons optiques. FU. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet. FVA.
Faisceau
de Vicq-d'Azyr. GAP. Ganglion de l'anse pédoncu
is. TAP. Tapetum. TC. Tuber cinereum. tec. Taenia tecta. TEG.
Faisceau
de la calotte. Tf. Tubercule du fascia dentata.
ubes médullaires, qui pénètrent dans la snbstance grise sous forme de
faisceaux
, ne nous arrêteront pas pour le moment ; nous y r
évroglie se rapporterait ici au type du tissu conjonc-tif ordinaire :
faisceaux
conjonctifs et cellules plates (Ranvier) ; seulem
Outre les cellules, on trouve encore dans cette troisième couche des
faisceaux
de fibres médullaires qui s'enfoncent perpendicul
inale à mar-che progressive. — Il en est d'autres qui se limitent aux
faisceaux
latéraux et qui se traduisent par une parésie des
es membres avec tendance à la contracture. Vous n'ignorez.pas que les
faisceaux
de Goll peuvent être lésés isolément et que la ré
la région des bandelettes externes (Fig. 7, B, B), dans l'aire des
faisceaux
latéraux, est seule le substratum anatomiqne néce
ents, d'organes secondaires. Fi;/. 7.— A, A, cordons latéraux; — A'
faisceaux
de Tiirck : —B, B, zonesradi„ culaircspostéricure
— Considérations sur la capsule interne : ses parties constituantes (
faisceaux
pédonculaires di-rects; faisceaux pédonculaires i
nterne : ses parties constituantes (faisceaux pédonculaires di-rects;
faisceaux
pédonculaires indirects ; faisceaux rayonnants).
faisceaux pédonculaires di-rects; faisceaux pédonculaires indirects ;
faisceaux
rayonnants). Messieurs, J'ai mis, dans la séa
a dissection ; toutefois, il faut rompre, pour l'isoler, les nombreux
faisceaux
qu'il reçoit par la capsule interne. 3° Le noya
e, avec la plus grande facilité. C'est que, en effet, il n'y a pas de
faisceaux
médullaires, — et vous verrez qu'il n'y a pas non
vec le pied du pédoncule. La réalité de l'existence de ces derniers
faisceaux
repose, ainsi que nous le verrons, sur un certain
rches modernes (2), serait constituée ainsi qu'il suit : Io Par des
faisceaux
pédonculairesdirects qui traversent la capsule sa
qui traversent la capsule sans s'arrêter aux ganglions ; 2° Par des
faisceaux
pédonculaires indirects. Parmi ceux-ci : les uns
uche optique, celle-ci ne recevant pas du pédoncule cérébral d'autres
faisceaux
que ceux du tegmentum. Fig. 19. — 1, 2, 3, noya
uches de la substance innominée. [Figure d'après M. Meynert.) A ces
faisceaux
qui, du pied du pédoncule, se rendent aux noyaux
ntraux, succèdent dans la partie supérieure de la capsule interne des
faisceaux
qui, prenant origine dans les noyaux gris, vont
ouronne rayonnante et se dirigent vers la couche grise corticale. Ces
faisceaux
portent le nom de faisceaux rayonnants (Stab-kran
igent vers la couche grise corticale. Ces faisceaux portent le nom de
faisceaux
rayonnants (Stab-kranzbùnclel). Il y a lieu de di
aux rayonnants (Stab-kranzbùnclel). Il y a lieu de distinguer: 1° les
faisceaux
rayonnants des corps striés; 2° les faisceaux ray
u de distinguer: 1° les faisceaux rayonnants des corps striés; 2° les
faisceaux
rayonnants de la couche optique ; 3° les faisceau
rps striés; 2° les faisceaux rayonnants de la couche optique ; 3° les
faisceaux
rayonnants issus du noyau lenticulaire, lesquels
ième segment (Fie/. 19). Il suit de cet exposé que quatre ordres de
faisceaux
entrent dans la composition de la couronne rayonn
la capsule interne à l'écorce des circonvolutions. Ce sont : 1° les
faisceaux
rayonnants de la couche optique ; 2° ceux du corp
2° ceux du corps strié ; 3° ceux du noyaux lenticulaire — ces divers
faisceaux
rattachent à l'écorce grise les noyaux gris centr
isceaux rattachent à l'écorce grise les noyaux gris centraux ; 4° les
faisceaux
directs qui, du pied du pédoncule, se rendent à l
s exempte de difficultés ; mais un peu au-dessus de ce point tous les
faisceaux
s'entrecroisent dans les directions les plus vari
stitielle pourrait avoir pour effet de déterminer la com-pression des
faisceaux
nerveux qui composent la capsule in-terne et cons
ule in-terne et consécutivement de suspendre le fonctionnement de ces
faisceaux
. Mais comme, en pareille circonstance, les fibres
pes, crustà), et, plus haut, dans la région de la capsule interne, le
faisceau
des fibres pédonculaires se ren-dant au noyau cau
noyau lenticulaire, occupent un plan situé au-dessous et en dehors du
faisceau
précédent. En observant avec attention la partie
des fibres ner-veuses, mises à nu parla préparation, on distingue un
faisceau
en quelque sorte détaché de l'ensemble, et qui, s
rieur du noyau lenticulaire. (Fiy. 26). C'est là, vous le voyez, un
faisceau
direct, puisque les fibres Fig. 26. — A, corpus
enticulaire. —C, fibres pédonculaires se rendant au corps strié. — D,
faisceau
de fibres pédoncu-laires directes se rendant à la
ra-les ; c'est, de plus, ainsi que cela ressort de la description, un
faisceau
séparé. Quelle est la destination de ces fibres
quelque raison d'ordre anatomique susceptible de faire penser que le
faisceau
dont il s'agit est réellement composé de fibres c
ues à la protubérance, elles se placeraient àla partie postérieure du
faisceau
pyramidal, et conserveraient à peu près ce siège
ement. Parvenues à ce point, — contrairement à ce qui a lieu pour les
faisceaux
les plus internes de la pyramide, lesquels passen
es iraient, après s'être entrecroisées, se mettre en rapport avec les
faisceaux
spinaux postérieurs. Je ne saurais garantir la pa
inement la description anatomique de M. Meynert en ce qui concerne ce
faisceau
postérieur (Note de la 2e éd.) nière partie du
tre, dans la partie postérieure de la capsule interne, l'existence de
faisceaux
de fibres nerveuses centripètes, ayant pour rôle
s du côté opposé du corps. Emanés du pied du pédoncule central, ces
faisceaux
, au sor-tir delà capsule, vont concourir directem
leur origine, c'est-à-dire à la partie inférieure de la capsule, ces
faisceaux
, resserrés pour ainsi dire dans un espace étroit,
uoi qu'il en soit, il y a lieu de reconnaître, dès à présent, que les
faisceaux
qui composent la partie postérieure de la capsule
yopie. me un centre des impressions sensitives et sensorielle?. Ces
faisceaux
ne peuvent représenter qu'un lieu de passsge, un
erf optique et dans la rétine ; tandis que, dans tous ces points, les
faisceaux
qui s'entrecroisent (b',a) occuperaient le côté i
occuperaient le côté interne. Il résulte de cette disposition que les
faisceaux
non-entrecroisés delà bandelette gauche seraient
ple, à la moitié gauche de la rétine de l'œil gauche, tan-dis que les
faisceaux
entrecroisés de la môme bandelette four-niraient
four-niraient à la moitié gauche de l'œil droit ; la distribution des
faisceaux
de la bandelette optique droite s'opérant, bien e
près le même principe, mais en sens inverse. En d'autres termes les
faisceaux
qui composent la bande-lette optique du côté gauc
gau-che (GG) de chaque rétine, et l'inverse aurait lieu (DD) pour les
faisceaux
nerveux provenant de la bandelette optique du côt
ment l'hémiopie. Je propose d'admettre, au contraire, que seuls les
faisceaux
de la bandelette qui se sont entrecroisés dans le
et profond, tels quels, sans entrecroi-sement nouveau, tandis que les
faisceaux
directs subiraient, eux, au-delà des corps genoui
Q), un entrecroisement complet, il résulte de cet arrangement que les
faisceaux
b\ «' réunis, par exemple, en un point de l'hémis
totalité des fibres provenant de la rétine de l'œil droit, et que les
faisceaux
b, a, représentent la totalité des fibres provena
rigine cérébrale des nerfs optiques. Couronne rayonnante de Reil. —
Faisceaux
rayonnants cortico-optiques : Fibres antérieures
entre les amas de substance grise et l'écorce grise de l'encéphale :
faisceaux
rayonnants cortico-optiques. Effets des lésions
avez pas oublié, a pu trouver sa raison d'être dans l'exis-tence d'un
faisceau
de fibres centripètes directes, c'est-à-dire ne s
il quelque connexité, quelque rapport plus ou moins immédiat entre ce
faisceau
sensitif et les faisceaux sen-soriels destinés à
lque rapport plus ou moins immédiat entre ce faisceau sensitif et les
faisceaux
sen-soriels destinés à mettre en communication l'
n d'une partie delà couronne rayonnante de Reil (1). (1) Les divers
faisceaux
pédonculaircs ou autres qui forment la couronne r
-striées (Fig. 31, FK). De la sorte se trouve à découvert le plan des
faisceaux
rayonnants cortico-optiques (FT, Fig. 31 ; hh, ii
kk, Fig. 32). Il est possible de distin-guer alors dans ces derniers
faisceaux
trois groupes de fibres : 1° Les unes antérieures
èpre-pas la totalité de cette masse. Celle-ci contient, en outre, des
faisceaux
tout à fait étrangers aux précédents, mais qui s'
ers aux précédents, mais qui s'entremêlent avec ceux-ci. Les derniers
faisceaux
constituent ce que M. Meynert appelle le système
iation. On peut ramener, d'une façon très générale, à deux ordres les
faisceaux
qui com-posent ce système. — Les uns consistent e
inge (cercocebus cino-molgus) montre bien la direction des principaux
faisceaux
de ce système d'as-sociation antéro-postérieure.
de ce système d'as-sociation antéro-postérieure. On voit : en pv, les
faisceaux
des fibres propres, fibi'œ propriœ, bien décrites
ps calleux s'étendent du lobe occipital au lobe frontal ; — en Ig, le
faisceau
longitudinal inférieur qui unit le lobe occipital
. Il, p. 181 etsuiv. — Luys, loc. cit. p. 173. Sehstrahlungen.) Les
faisceaux
du dernier groupe, qui sont l'objet particulier d
r un plan plus profond, que se répandent les expansions cérébrales du
faisceau
de fibres centripètes dont la lésion détermine Ph
le. Il existe donc une relation de voisinage, de contiguïté entre ces
faisceaux
et les expansions optiques et cette relation sera
ianesthé-sie et de l'amblyopie croisée s'il était bien établi que les
faisceaux
qui portent le nom d'expansions optiques sont rée
volumineuse et la plus im-portante. Elle fournit elle-même plusieurs
faisceaux
qui se mettent en rapport avec divers noyaux gris
en rapport avec divers noyaux gris. 1° On peut dis-tinguer d'abord un
faisceau
qui s'arrête dans les corps ge-nouillés externes.
représentées dans l'ouvrage de Henle (fig. 177, p. 249). 2° Un second
faisceau
,'situé en dedans du précédent, pénètre dans l'éta
lle qui est figurée dans le tra-vail de Meynert (fig. 249, II, R), le
faisceau
en question est situé entre le corps genouillé ex
le corps genouillé externe et le pied.du pédoncule. L'existence de ce
faisceau
, affirmée par Gratiolet, est aussi très explicite
xplicitement reconnue par Meynert, Henle et Huguenin. 3° Un troisième
faisceau
qui, d'après Gratiolet, serait le plus apparent e
st plus au même degré pour le singe et pour l'homme où l'existence du
faisceau
, parfaitement réelle d'ailleurs, ne peut être ana
Bericht. iïvAkad,, LXV1 Bd. 1872. T. II. fig. 10). (4) Un quatrième
faisceau
, situé en dehors de celui qui s'arrête dans le co
formation du Stratum zonale. Déjà indique par Arnold et Gratiolet, ce
faisceau
est décrit et représenté par Meynert, p. 436. b
ue la partie la plus postérieure des radiations de la couche optique (
faisceaux
rayonnants cortico-optiques) et qu'on désigne que
ocebuscinomolgus.) (Fig. 33). On voit sur cette planche comment des
faisceaux
de fibres ou radiations, partant des eorps genoui
nctifs antérieurs, B.s — vont après un trajet récurrent s'associer au
faisceau
Om, qni n'est autre que l'ensemble des fibres cen
— Ge, corps genouillé externe. — P, pied du pédoncule cérébral. Om,
faisceaux
médullaires qui, du lobe occipital, vont au pulvi
sibilité commune de tout un côté opposé du corps. A cet ensemble de
faisceaux
se trouvent mêlées sans doute des fibres provenan
présenté, que les tubercules quadrijumeaux sont le seul point où les
faisceaux
des nerfs optiques, après leur entre-croisement d
, entre les tubercules quadrijumeaux, de nombreux entrecroisements de
faisceaux
, constatés anatomiquement. Mais on ne saurait déc
le pédoncule cérébral, la protubérance. la pyramide antérieure et le
faisceau
latéral de la moelle. Analogies et différences
utives de cause cérébrale et les scléroses fasciculées primitives des
faisceaux
latéraux. — Symptômes liés aux scléroses secondai
ion avec l'écorce grise. Nous faisons abs-traction, en ce moment, des
faisceaux
de fibres qui s'étendent de la substance cortical
dis que cela ne saurait plus avoir lieu, dès que la continuité de ces
faisceaux
aura été décidément inter-rompue. J'ajouterai q
ier, dans la moelle épinière du côté opposé au foyer, tout le long du
faisceau
latéral, jusque dans le renfle-ment lombaire. n
ites, qui, suivant l'importante remarque de L. Türck, intéressent les
faisceaux
de la capsule interne, dans leur trajet entre le
d'un hémisphère cérébral occupent toujours une moitié du système des
faisceaux
latéraux. Elles sont plus ou moins accentuées, pl
us ou moins accentuées, plus ou moins étendues suivant la lar-geur du
faisceau
; mais toujours elles l'envahissent dans la to-ta
la moelle, opposée à l'hémisphère lésé et plus explicitement dans le
faisceau
laté-ral, que l'altération scléreuse doit être ch
n précise, systématique, à l'aire des fais-ceaux latéraux. Les autres
faisceaux
blancs, et les cornes grises, restent parfaitemen
escendante occuper dans le renflement cervical la partie cervicale du
faisceau
latéral et devenir superficielle à la région lomb
processus mor-bide. roses fasciculées primitives et symétriques des
faisceaux
laté-raux que je décrivais l'an passé à propos de
t cervical. région dorsale. lombaire. qu'elle occupe le système des
faisceaux
latéraux des deux côtés à la fois, et non pas d'u
e consécutive, elle envahit le système des fibres spinales propres au
faisceau
latéral. (Comparez les Fig. 39, 40 et 41, et les
ande tendance à en-vahir dans les régions spinales voisines, soit les
faisceaux
blancs, soit surtout les cornes antérieures de su
tes les fibres de la pyramide antérieure, la lésion n'occupe, dans le
faisceau
latéral de la moelle, qu'une région relativement
ires antérieures, et, en dedans, elle s'avance jusqu'au contact de ce
faisceau
de fibres nerveuses, peut-être sensitives, qui co
rveuses, peut-être sensitives, qui constituent la partie profonde des
faisceaux
latéraux. (Voir Fig. 42, 43, 44). Il faut ajouter
é-cutive n'affecte qu'une partie des fibres nerveuses qui forment les
faisceaux
latéraux, à savoir les fibres cérébro-spinales ;
st au contraire l'existence d'une myélite chronique, produite dans le
faisceau
latéral, en con-séquence de la lésion du cerveau,
épande au-delà des limites qui lui sont d'habitude assignées dans les
faisceaux
latéraiix et envahisse dans la moelle des territo
Enfin, l'extension du proces-sus irritatif, soit à toute l'étendue du
faisceau
latéral du côté correspondant, soit même au fai
e l'étendue du faisceau latéral du côté correspondant, soit même au
faisceau
latéral du côté opposé, rendra compte sans doute
ME PARTIE Des localisations spinales, (Anatomie et physiologie du
faisceau
pyramidal). PREMIÈRE LEÇON Introduction. — To
des. Constitution de la moelle épinière. — Lésions systématiques. —
Faisceau
pyramidal (faisceau direct et faisceau croisé). —
de la moelle épinière. — Lésions systématiques. — Faisceau pyramidal (
faisceau
direct et faisceau croisé). — Faisceaux de Goll e
re. — Lésions systématiques. — Faisceau pyramidal (faisceau direct et
faisceau
croisé). — Faisceaux de Goll et de Burdach. —Celt
atiques. — Faisceau pyramidal (faisceau direct et faisceau croisé). —
Faisceaux
de Goll et de Burdach. —Celte décomposition des d
n presque partout longitudinale, on y distingue deux régions : 1° les
faisceaux
antéro-latéraux, limités par le sillon antérieur
s par le sillon antérieur et le sillon collatéral postérieur ; 2° les
faisceaux
postérieurs, limités par la commissure et les cor
de l'anatomie descriptive dans son analyse de? fonctions des divers
faisceaux
blancs et des diverses parties de la substance gr
propriétés des fais-ceaux antéro-latéraux pris en bloc (1), celle des
faisceaux
pos-térieurs, celle des deux grandes régions de l
occuper les lésions systématiques jusqu'ici connues (Fig. 46). Les
faisceaux
postérieurs, considérés en physiologie comme form
postérieurs la plus voisine des cornes postérieures, c'est-à-dire les
faisceaux
radiculaires (Pierre!) ou faisceau cunéiforme (Bu
es postérieures, c'est-à-dire les faisceaux radiculaires (Pierre!) ou
faisceau
cunéiforme (Burdach). Les faisceaux antéro-laté
sceaux radiculaires (Pierre!) ou faisceau cunéiforme (Burdach). Les
faisceaux
antéro-latéraux peuvent subir une décompo-sition
ail de Woroschiloff, Sachs. Academ., etc. Leipzig, 1875. rieure des
faisceaux
latéraux, au voisinage du sillon médian une lésio
al) et qui rè-gne depuis le bulbe jusqu'à la moelle dorsale. C'est le
faisceau
de Turck ou faisceau pyramidal direct. Cette lési
uis le bulbe jusqu'à la moelle dorsale. C'est le faisceau de Turck ou
faisceau
pyramidal direct. Cette lésion d'un faisceau pyra
le faisceau de Turck ou faisceau pyramidal direct. Cette lésion d'un
faisceau
pyramidal direct est toujours accompagnée d'une l
d'une lé- sion du même genre et qui occupe la partie postérieure du
faisceau
latéral du côté opposé dans une région toujours l
ont nous aurons à étudier les limites précises : cet espace répond au
faisceau
pyramidal croisé. Entre la base du triangle, qu
urface de section transver- Fi/7.46. — A, A, cordons latéraux. — A,
faisceaux
de Tûrck. —B, C, zones ra culaires postérieures.
es. — P, zone radiculaire antérieure. — E, cordons de Goll. sale du
faisceau
cérébelleux direct (Flechsig). Ces faisceaux céré
ordons de Goll. sale du faisceau cérébelleux direct (Flechsig). Ces
faisceaux
cérébelleux, eux aussi, peuvent être lésés systém
s antérieures et qui seule Fie/. 47. (D'après Flechsig).— F. p. d.,
faisceau
pyramidal direct. — P. f. partie fondamentale. —
, faisceau pyramidal direct. — P. f. partie fondamentale. — F. c. d.,
faisceau
cérébelleux direct. — F. p. c. faisceau pyramidal
tie fondamentale. — F. c. d., faisceau cérébelleux direct. — F. p. c.
faisceau
pyramidal croisé. — F. f., faisceau radiculaire.
au cérébelleux direct. — F. p. c. faisceau pyramidal croisé. — F. f.,
faisceau
radiculaire. — F. G., faisceau de Goll. persist
c. faisceau pyramidal croisé. — F. f., faisceau radiculaire. — F. G.,
faisceau
de Goll. persiste à l'état normal, après cette
l'état normal, après cette dissection opérée parla maladie, dans les
faisceaux
antéro-latéraux. Cette région a reçu les noms de
e zone radiculaire antérieure (Pierret) et de région fondamentale des
faisceaux
latéraux (Flechsig). Ajoutons que, en ce qui co
omie pathologique, les anciens cordons postérieurs décomposés en deux
faisceaux
secondaires et les anciens cordons latéraux divis
aisceaux secondaires et les anciens cordons latéraux divisés en trois
faisceaux
se-condaires. d) Mais ces faisceaux que la mala
rdons latéraux divisés en trois faisceaux se-condaires. d) Mais ces
faisceaux
que la maladie peut affecter isolément, comme par
uite, ce sont juste-ment, dans les cordons antéro-latéraux, les mêmes
faisceaux
pyramidaux croisés et directs que la maladie lèse
n les recherches de M. Flechsig, comme nous le verrons plus tard, ces
faisceaux
seraient en relation directe avec les régions mot
e, ne sont pas encore développées. 11 s'ensuit que, d'après cela, les
faisceaux
pyramidaux pourraient être consi-dérés comme une
M. Flechsig sur cet intéressant sujet du développement successif des
faisceaux
spinaux. Vous pou-vez vous assurer, par vous-même
pinales (Fig. 46). C'est ainsi qu'il vous sera facile de voir que les
faisceaux
spinaux où siègent les lésions systémati-ques, et
aisemblable, d'après les consi-dérations qui précèdent, que ces mêmes
faisceaux
doivent être doués encore d'autonomie fonctionnel
. 11 est impossible, à l'expérimentateur le plus habile, d'enlever un
faisceau
spinal dans toute sa longueur, opération à laquel
diffère en réalité profondé-ment, suivant que la lésion porte sur les
faisceaux
pyramidaux, sur les faisceaux cunéiformes, sur
, suivant que la lésion porte sur les faisceaux pyramidaux, sur les
faisceaux
cunéiformes, sur les cornes antérieures de substa
ubstance grise, et aussi suivant le mode, de la lésion qui occupe les
faisceaux
. Pour le moment, je me borne à relever ce fait
roblèmes pathologiques qui sont de son ressort. DEUXIÈME LEÇON Du
faisceau
pyramidal. — Développement de ce faisceau. Somm
sort. DEUXIÈME LEÇON Du faisceau pyramidal. — Développement de ce
faisceau
. Sommaire. —Affections systématiques de la moel
me, à la naissance le cerveau est un organe à peu près indifférent.
Faisceaux
pyramidaux croisés. — Faisceaux pyramidaux direct
t un organe à peu près indifférent. Faisceaux pyramidaux croisés. —
Faisceaux
pyramidaux directs (cordons de Tûrck). —Leur traj
erveux est en quelque sorte Fig. 48. — Région cervicale. —F. p. d.,
Faisceau
pyramidal direct. — F.p. c, Faisceau pyramidal cr
. — Région cervicale. —F. p. d., Faisceau pyramidal direct. — F.p. c,
Faisceau
pyramidal croisé. exclusivement concentrée dans
e, privés de déterminations Fig. 49. — Région lombaire. — F. p. c.,
Faisceau
pyramidal croisé. volontaires : tels, le lapin,
myéline. Or, vous voyez sur cette coupe de moelle épinière que quatre
faisceaux
bien nettement délimités sont respectés par le ré
mités sont respectés par le réactif, ce qui équivaut à dire que ces
faisceaux
ne sont pas encore développés. Ce sont : 1° les d
ces faisceaux ne sont pas encore développés. Ce sont : 1° les deux
faisceaux
dits pyramidaux directs] 2° les deux faisceaux py
Ce sont : 1° les deux faisceaux dits pyramidaux directs] 2° les deux
faisceaux
pyramidaux croisés. Et précisément ces faisceaux
directs] 2° les deux faisceaux pyramidaux croisés. Et précisément ces
faisceaux
corres-pondent aux régions occupées par la lésion
us dire l'intérêt qui s'attache pour nous à l'étude anatomique de ces
faisceaux
. Ils n'appartiennent pas exclusivement à la moe
logie. 1° Voyons donc, Messieurs, quel trajet parcourent ces quatre
faisceaux
pyramidaux, et commençons, si vous le voulez bien
faisceaux pyramidaux, et commençons, si vous le voulez bien, par les
faisceaux
croisés (Fig. 48 et 49). Immédiatement au-dessu
a moitié postérieure du cordon latéral où ils sont représentés par un
faisceau
compact de forme trian-gulaire, touchant en arriè
e nerveuse lui formant une sorte de manteau et cons- tituée par les
faisceaux
cérébelleux directs. Mais cette disposi-tion n'oc
supérieure du cordon médullaire; au-dessous de la région dorsale, les
faisceaux
cérébelleux s'épuisent, et, dans la région lombai
uisent, et, dans la région lombaire, où il n'en reste plus trace, les
faisceaux
pyramidaux croisés touchent à la pie-mère. Sur le
chent à la pie-mère. Sur les coupes transversales, le diamètre de ces
faisceaux
triangulaires diminue régulièrement de haut en ba
e cette diminution de diamè-re est le plus appréciable. 2° Pour les
faisceaux
pyramidaux antérieurs ou directs, dé-signés aussi
au contraire, ils descendent jusqu'à la région lombaire. Ces quatre
faisceaux
sont composés de fibres à direction parallèle, et
es et les cellules nerveuses sont déjà très développées alors que les
faisceaux
pyramidaux ne le sont pas encore ; elles ne passe
III. Maintenant, Messieurs, nous devons essayer de poursuivre les
faisceaux
pyramidaux dans la moelle allongée. En premier
oelle allongée. En premier lieu, il est bien facile de voir que les
faisceaux
pyramidaux spinaux ne sont autre chose qu'une éma
aux spinaux ne sont autre chose qu'une émanation, un prolongement des
faisceaux
pyramidaux bulbaires. Soit une coupe transversa
filets intra-bulbai-,res des nerfs hypoglosses, et tout le champ des
faisceaux
antéro-latéraux. Or, chacune des ces pyramides
-latéraux. Or, chacune des ces pyramides donne naissance à deux des
faisceaux
spinaux, un direct, un croisé. Le faisceau direct
onne naissance à deux des faisceaux spinaux, un direct, un croisé. Le
faisceau
direct descend dans l'intérieur du cordon antérie
scend dans l'intérieur du cordon antérieur correspondant; l'autre, ou
faisceau
croisé, s'entrecroise avec le faisceau cor-respon
eur correspondant; l'autre, ou faisceau croisé, s'entrecroise avec le
faisceau
cor-respondant qui se détache de l'autre pyramide
se détache de l'autre pyramide, et va gagner la partie postérieure du
faisceau
antéro-latéral où il occupe les rapports de situa
siste dans la Fig. 50 et 51, d'après Plechsig. — a, prédominance du
faisceau
pyramidal direct. — 6, type de décussation totale
nce du faisceau pyramidal direct. — 6, type de décussation totale. Le
faisceau
pyramidal direct fait défaut. semi-décussation
défaut. semi-décussation symétrique, chaque pyramide fournissant un
faisceau
direct et un faisceau croisé. Dans la grande majo
tion symétrique, chaque pyramide fournissant un faisceau direct et un
faisceau
croisé. Dans la grande majorité des cas, le faisc
eau direct et un faisceau croisé. Dans la grande majorité des cas, le
faisceau
direct est beaucoup moins important que le faisce
orité des cas, le faisceau direct est beaucoup moins important que le
faisceau
croisé. Il est représenté par 3,9 0/0 des fibres
l est représenté par 3,9 0/0 des fibres de la pyramide, tandis que le
faisceau
croisé renferme 97 ou 91 0/0 de ces fibres. Mais,
ffit de renverser les propor-tions que je viens de vous signaler : le
faisceau
direct est repré-senté par 90 0/0 du chiffre tota
est repré-senté par 90 0/0 du chiffre total des fibres tandis que le
faisceau
croisé ne contient seulement que 10 0/0 de ces fi
l'on peut le con-sidérer comme tout à fait négligeable ; et alors le
faisceau
di-rect l'emporte de beaucoup sur le faisceau cro
gligeable ; et alors le faisceau di-rect l'emporte de beaucoup sur le
faisceau
croisé, circonstance suffisante pour expliquer la
servé 11 fois sur 100. C'est la dé-cussationtotale; autrement dit les
faisceaux
directs manquent complètement. 36 type. Plus fr
ésigna-tion de type asymétrique. En pareil cas, il n'existe que trois
faisceaux
: une seule des pyramides se divise en deux faisc
xiste que trois faisceaux : une seule des pyramides se divise en deux
faisceaux
d'un direct, l'autre croisé ; la seconde, au cont
ler le remarqua-ble rapport de compensation qui existe entre les deux
faisceaux
issus d'une même pyramide, selon les cas auxquels
-ter dans certains cas à un état pathologique. TROISIÈME LEÇON Du
faisceau
pyramidal dans les pédoncules céré-braux, la caps
braux, la capsule interne et le centre ovale. Sommaire. — Trajet du
faisceau
pyramidal au-dessus de la région bulbaire. — Tr
rieur: opinion de M. Plechsig.—Développe-ment relativement précoce du
faisceau
pyramidal dans le pédoncule. Division de la cap
ntérieur, segment postérieur, genou de la capsule. — Localisa-tion du
faisceau
pyramidal dans le segment postérieur de la capsul
ceau pyramidal dans le segment postérieur de la capsule interne. Du
faisceau
pyramidal dans le centre ovale. — Observations ch
s avons re-trouvé dans le bulbe ces cordons pyramidaux réunis en deux
faisceaux
bien distincts que vous avez appris à connaître e
er plus haut encore et déterminer, autant que possible, le trajet des
faisceaux
pyramidaux dans les autres parties de l'isthme, c
s chez le nouveau-né (d'après Flechsig). — El, étage inférieur. — FP,
faisceau
pyramidal. l'heure, composaient les pyramides d
saient les pyramides du bulbe, ne se présentent plus sous l'aspect de
faisceaux
compactes ; ils se dissocient et s'entremêlent av
où nous allons les voir se reconstituer en quelque sorte à l'état de
faisceaux
bien limités. 2° Vous connaissez tous, Messieur
es com-muns. En avant de ce point, on distingue les prolongements des
faisceaux
antérieurs spinaux (partie fondamentale des fais-
ure et surtout dans la précédente, on peut remarquer que la région du
faisceau
pyraminal n'occupe que la quatrième partie enviro
dant de dedans en dehors). Telle est du moins l'étendue assignée à ce
faisceau
par M. Flechsig. Je dois dire qu'un certain nombr
fait entendre. Pour ce qui est des dégénérations secondaires dans le
faisceau
pyra-midal intra-pédonculaire, je suis en mesure
secondaire. — P, étage inférieur du côté sain. — L. locus niger. — P,
faisceau
interne de l'étage inférieur du côté malade. — D,
e la capsule et occupant une partie du trajet intra-hémis-phérique du
faisceau
pyramidal. l'adulte, cette partie est nettement
la région àupied; et c'est-là qu'il nous faut rechercher la trace des
faisceaux
pyramidaux. La section de l'étage inférieur péd
i, d'après M. Flechsig, représente les prolongements reconstitués des
faisceaux
pyra-midaux (Voy. la légende relative à la figure
ous le voyez, tandis que dans la moelle et le bulbe du nouveau-né les
faisceaux
pyramidaux se distinguaient des parties voisines
a lieu dans les pédoncules. Les fibres nerveuses qui composent les
faisceaux
pyrami-daux de l'étage inférieur sont déjà recouv
ement remarquable, puisqu'il semble indiquer que le développement des
faisceaux
pyramidaux procède du cerveau proprement dit. M.
ie de ses recherches. 3° Suivant M. Flechsig, vous l'avez prévu, le
faisceau
pyra-midal peut être suivi au-delà du pied dans l
pour une assez bonne partie au moins, n'est autre que l'expansion des
faisceaux
qui forment l'étage inférieur des pédoncules. A l
près M. Flechsig, chercher l'origine du trajet intra-hômisphérique du
faisceau
pyramidal. Dès l'époquo à laquelle nous le cons
faisceau pyramidal. Dès l'époquo à laquelle nous le considérons, ce
faisceau
pourrait être reconnu là, dans le segment postéri
égale étendue, c'est la ré-gion moyenne qui occuperait précisément le
faisceau
pyra-midal. Mais ce n'est pas tout : plus loin
Mais ce n'est pas tout : plus loin encore que la capsule im terne, le
faisceau
pyramidal peut être poursuivi jusque dans l'épais
u corps strié. Voilà bien la région où passe, suivant M. Flechsig, le
faisceau
pyramidal. Parvenues dans le centre ovale, les fi
faisceau pyramidal. Parvenues dans le centre ovale, les fibres de ce
faisceau
com-mencent àse dissocier, à s'éparpiller en tous
ens et il devient impossible de les suivre. Cependant, une portion du
faisceau
reste cohérente, et continue son chemin vers l'
corce grise dans laquelle vont se perdre les extrémités terminales du
faisceau
pyramidal appartient, vous le voyez, à la région
hes de M. Flechsig en ce qui concerne le trajet intra-encéphalique du
faisceau
pyrami-dal. Surplus d'un point, ces résultats sem
nous l'avons dit tout à l'heure, par bour-geonnement, pour former les
faisceaux
pyramidaux dans la capsule d'abord, puis dans le
la présence de fibres nerveuses revêtues de myéline. En ce point, les
faisceaux
du centre ovale se présentent sous la forme de de
grise (M. Parrot l'appelle anse rolandique), et se porte au-devant du
faisceau
précédent. Ces tractus blancs, vous le voyez bi
a description que donne M. Flechsig du trajet intra-hémisphérique des
faisceaux
pyrami-daux ; seulement, et c'est ici que l'opini
résultats obtenus par M. Parrot, il exis-terait pour cette partie du
faisceau
pyramidal, deux centres de formation : l'un siége
tent en rap-port avec le système bulbo-spinal par l'intermédiaire des
faisceaux
pyramidaux. Ici se terminent, Messieurs, les co
ons que j'ai voulu vous présenter concernant Tanatomie du système des
faisceaux
pyramidaux, faite d'après les documents fournis p
indispensable poui entreprendre l'étude des lésions systématiques des
faisceaux
pyramidaux, connues sous le nom de dégénérations
ance, le bulbe, la moelle épinière. — Degeneration excep-tionnelle du
faisceau
interne du pédoncule. — Divi-sion de l'étage infé
egenerative dans la région opto-striée. — Etudes de M. Flechsig. — Le
faisceau
pyramidal proprement dit n'est pas seul ca-pable
occupe au moins les deux tiers antérieurs du segment postérieur. — Le
faisceau
pos-térieur (fibres sensitives de Meynert) ne dég
tes des lésions secon-daires sont celles qui affectent le système des
faisceaux
pyra-midaux. Je relèverai par avance, Messieurs,
erai par avance, Messieurs, que toutes les lé-sions systématiques des
faisceaux
pyramidaux ne sont pas se-condaires ; il est des
que. La dégénération est ici de cause périphéri-que et siège dans les
faisceaux
postérieurs de la moelle épi-Bière. Les exemples
e ont pour carac-tère général d'affecter exclusivement le système des
faisceaux
pyramidaux et de se limiter, de se cantonner dans
ccupe qu'un des deux hémisphè-res, la dégénération se propage dans le
faisceau
pyramidal croisé du côté opposé ; si, au contrair
Messieurs, il s'agit là d'une lésion systématique par excellence. Les
faisceaux
voisins restent toujours indemnes, et (à moins de
doute, mais, Fig. 57. — A, dégénération dans le pédoncule cérébral (
faisceau
pyramidal). — B, faisceau pédonculairc interne, d
A, dégénération dans le pédoncule cérébral (faisceau pyramidal). — B,
faisceau
pédonculairc interne, dégénérant quelquefois, mai
lairc interne, dégénérant quelquefois, mais exceptionnel-lement. — G,
faisceau
externe (centripète ?), ne dégénérant jamais. — D
re, qu'il s'agit bien là de lésions systématisées dans le domaine des
faisceaux
pyra-midaux. JV. Prenons la lésion secondaire
lement une asymétrie de la moelle épinière résultant de l'atrophie du
faisceau
antéro-latéral. C'est sous cet aspect que la lési
divisée en trois régions ; a) une région médiane représentée par le
faisceau
pyramidal dégénéré ; — b) une ré-gion externe, qu
galement à envisager par la suite, est envahie par la dégénération du
faisceau
pyramidal, ou même peut dégénérer pour son propre
ou même peut dégénérer pour son propre compte, sans participation du
faisceau
médian. Lorsqu'on a pratiqué des coupes minces
es de la région pé-donculaire, on peut s'assurer immédiatement que le
faisceau
médian dégénéré correspond exactement au faisceau
mmédiatement que le faisceau médian dégénéré correspond exactement au
faisceau
pyrami-dal, que l'anatomie de développement perme
tion topographique exacte de la lésion. 2° Dans la protubérance, le
faisceau
pyramidal dissocié est plus difficile à reconnaît
opres à la région. Cependant on distingue encore assez facilement les
faisceaux
secondaires dégénérés, surtout par comparaison
s les régions inférieu-res ou bulbaires de la protubérance, là où ces
faisceaux
se-condaires commencent à se rapprocher et à se g
procher et à se grouper de nouveau pour constituer un peu plus bas le
faisceau
pyrami-dal. 3° Dans toute l'étendue du bulbe, l
sversale de la moelle dans la région cervicale. - A, dé-génération du
faisceau
pyramidal dans un cas de lésion des centres moteu
as de lésion des centres moteurs hémisphériques. — B, dégénération du
faisceau
direct. -- C, espace de subs-tance blanche corres
faisceau direct. -- C, espace de subs-tance blanche correspondant au
faisceau
cérébelleux. — D, région intermé-diaire entre la
ébelleux. — D, région intermé-diaire entre la corne postérieure et le
faisceau
pyramidal ; cette région est toujours respectée d
des olives. La lésion bulbaire est exactement circonscrite dans le
faisceau
pyramidal du côté de la lésion encéphalique primo
orrespondant à la lésion cérébrale; et du côté opposé à la lésion, le
faisceau
pyramidal croisé (Fig. 58). Vous voyez, Messieurs
si queje l'avais annoncé, littéralement cantonnée dans le système des
faisceaux
pyramidaux. V. Après avoir déterminé la topog
blance, en dedans U) Yoy. Première Partie, Leçon VlII, p. 103. du
faisceau
des fibres pyramidales qui s'entrecroisent au ni-
midales qui s'entrecroisent au ni-veau de la décussation bulbaire, un
faisceau
de fibres centri-fujes provenant du segment antér
ésen- (l) Voy. p. m, fées dans le pied du pédoncule par les trois
faisceaux
dont il a été déjà question : 1° en dedans, un fa
ar les trois faisceaux dont il a été déjà question : 1° en dedans, un
faisceau
correspondant à tout le segment antérieur de la c
e segment antérieur de la capsule (celui-là dégénère rarement); 2° un
faisceau
médian qui répond aux deux tiers antérieurs du se
sule, sont les seules qui déterminent la dégénération descendante des
faisceaux
pyramidaux. Or cette région de la capsule est pré
CINQUIÈME LEÇON Dégénérations secondaires [mite). — Délimitation du
faisceau
pyramidal dans le manteau de l'hémis-phère. Som
olutions. — Hitzig, Ferrier, Betz, Bcvan Lewees. Vue schématique du
faisceau
pyramidal dans l'hémisphère cérébral, — Région ro
nt intéresser pour qu'il s'en suive une dégénéra-tion descendante des
faisceaux
pyramidaux. I. Pour atteindre sûrement le but
soit leur étendue, ne pro-duisent pas la dégénération descendante du
faisceau
pyramidal. II. Telle est, en résumé, Messieur
entral, produisent des dégénérations secon-daires très accentuées des
faisceaux
pyramidaux. Les lésions en foyer intéressant le
ons superficielles, des dé-générations secondaires très accentuées du
faisceau
pyrami-dal (2). Pour en finir avec l'histoire p
tion secondaire se produise, est que le foyer intéresse le trajet des
faisceaux
pyramidaux. S'il en est ainsi, un foyer même très
t par exemple, devra déterminer une dégénération descendante des deux
faisceaux
pyramidaux. Cette combinaison s'est trouvée réali
amides ; il en est résulté une dégénération secondaire symétrique des
faisceaux
pyramidaux, qu'on pouvait suivre dans toute l'éte
Amyotrophies consécutives. Sommaire. — Les lésions dégenératives du
faisceau
pyramidal permettent d'é-tablir nettement les rap
amidal permettent d'é-tablir nettement les rapports anatomiques de ce
faisceau
. — La terminaison des fibres de ce faisceau dans
apports anatomiques de ce faisceau. — La terminaison des fibres de ce
faisceau
dans la moelle épinière donne matière à plusieurs
Il existe donc autre chose que des rapports de contiguïté entre le
faisceau
pyramidal et la substance grise delà moelle épini
ui n'ont pas trouvé place dans l'exposé qui précède. L'anatomie des
faisceaux
pyramidaux, faite d'après l'étude du développemen
s faisceaux pyramidaux, faite d'après l'étude du développement de ces
faisceaux
et des dégénérations des-cendantes qui s'y produi
se terminent ces fibres ? Nous avons reconnu que dans la moelle, le
faisceau
pyra-midal s'amoindrit progressivement à mesure q
es constituent s'épuisent peu à peu dans le parcours descendant de ce
faisceau
à travers les di-verses régions spinales. D'un au
s qui semblent être une émanation directe des fibres constituantes du
faisceau
pyramidal, plusieurs hypothèses se présentent: ou
rieures est Fig, 61. — Schéma indiquant l'ensemble de l'appareil du
faisceau
pyrami-dal depuis les cellules de l'écorce grise
Cylindres axes. — C, Cylindres axes recouverts de myéline formant le
faisceau
pyramidal dans le cordon latéral de la moelle épi
déjà très avancé. Il n'y a donc pas continuité entre les fibres des
faisceaux
pyramidaux et les fibres des racines anté-rieures
générations descendantes. En effet, alors même que la lésion d'un des
faisceaux
pyramidaux est des plus prononcées, il est de règ
La substance grise de la corne antérieure elle-même, au voisinage du
faisceau
pyramidal dégénéré, ne laisse voir égale-ment, da
physiologie le démontre — des relations médiates avec les fibres des
faisceaux
pyramidaux. Cette hypothèse, comme vous allez en
artie la plus externe et à la partic antéro-interne. — C, sclérose du
faisceau
pyramidal dans le cordon latéral. (D'après Pitres
es comme dans ceux qui l'ont précédé, la dégéné-ration descendante du
faisceau
pyramidal ne présentait au-cune anomalie dans sa
termes, on ne trouvait nulle part d'extension directe de la lésion du
faisceau
latéral à la corne antérieure correspon-dante.
uivant le trajet et par la voie des fibres nerveu-ses qui, partant du
faisceau
pyramidal, gagnent les cornes antérieures de subs
e. L'anatomie indique que cette relation s'établit à l'aide de petits
faisceaux
de fibres nerveu-ses, qui, de distance en distanc
x de fibres nerveu-ses, qui, de distance en distance, se détachent du
faisceau
pyramidal, une étude attentive permettra peut-êtr
rations secondaires de cause spinale. — Dé-générations ascendantes du
faisceau
cérébelleux et descendantes du faisceau pyramidal
Dé-générations ascendantes du faisceau cérébelleux et descendantes du
faisceau
pyramidal. Sommaire. — Degenerations secondaire
descendantes. Dégénérations ascendantes. — Celles-ci portent sur les
faisceaux
latéraux et sur les faisceaux postérieurs. — Fais
scendantes. — Celles-ci portent sur les faisceaux latéraux et sur les
faisceaux
postérieurs. — Faisceaux céré-belleux de Flechsig
ortent sur les faisceaux latéraux et sur les faisceaux postérieurs. —
Faisceaux
céré-belleux de Flechsig. Dégénérations dans le
le. -- Elles n'ont lieu que quand la lésion destructive porte sur les
faisceaux
blancs . — Cas de l'hémiparaplégie spinale avec a
e cette observation. -- Double entrecroisement de certaines fibres du
faisceau
pyramidal. Messieurs, Jusqu'à présent, nous n
sieurs, Jusqu'à présent, nous nous sommes exclusivement occu-pés du
faisceau
pyramidal, et nous n'avons envisagé cet appareil
aires de cause spinale, tout en conservant pour principal objectif le
faisceau
pyramidal dont l'histoire doit nous occuper parti
n lésée, porte indistinctement sur la substance grise et sur tous les
faisceaux
blancs tant antérieurs que postérieurs : c'est ce
r, dans l'étendue de un ou deux centimètres au plus, toute l'aire des
faisceaux
antéro-latéraux est altérée ; seuls les faisceaux
s, toute l'aire des faisceaux antéro-latéraux est altérée ; seuls les
faisceaux
postérieurs restent indemnes. b) Plus bas, voic
, voici ce que l'on observe : deux bandelettes de sclérose dans les
faisceaux
antéro-latéraux représentent la lésion dégénérati
les cordons de Tûrck. Dans la portion latérale proprement dite des
faisceaux
antéro-latéraux, la dégénération n'occupe que les
rdons de Tilrck disparais-sent rapidement, à moins d'anomalie, et les
faisceaux
pyrami-daux seuls conservent les caractères de la
es. — Les dégénôralions as-cendantes portent sur deux points : a) les
faisceaux
latéraux ; h) les faisceaux postérieurs. a) La
endantes portent sur deux points : a) les faisceaux latéraux ; h) les
faisceaux
postérieurs. a) La lésion des faisceaux antéro-
faisceaux latéraux ; h) les faisceaux postérieurs. a) La lésion des
faisceaux
antéro-latéraux n'a rien de com-mun avec la lésio
x antéro-latéraux n'a rien de com-mun avec la lésion descendante. Les
faisceaux
pyramidaux sont ici absolument indemnes. Ils ne s
Ils ne sont pas capables de dégénération par en haut, de même que les
faisceaux
posté-rieurs ne sont pas capables de dégénération
trouve dans les corps restiformes et jusqu'au niveau du cervelet Le
faisceau
qui subit cette dégénération ascendante en semb
dans les parties inférieures de la moelle dor-sale ou au-dessous. Le
faisceau
en question, que M. Flechsig désigne sous le nom
sous. Le faisceau en question, que M. Flechsig désigne sous le nom de
faisceau
cérébelleux direct, augmente Fig. 63.— A, Coupe
e épinière (région dorsale supérieure). — B, Région cervicale. — F c,
Faisceau
cérébelleux dégénéré au-dessus de la lé-sion spin
ant à présent, fort obscures. Je n'ai rien de plus à vous dire sur ce
faisceau
dont la lésion ascendante, que l'on sache, ne se
traduit par aucun symptôme particulier. i) La lésion ascendante des
faisceaux
postérieurs offre plus d'intérêt. A. Immédiatem
sus du foyer, dans l'étendue de deux ou trois centimèties au plus, le
faisceau
postérieur est lesé dans toute son étendue. B.
res delà moelle épinière (renflement cervico-brachial), correspond au
faisceau
de Goll. (Voy. Fig. 63, G c.) La dégénération peu
Goll. (Voy. Fig. 63, G c.) La dégénération peut, d'ailleurs, comme le
faisceau
lui-même, être suivie par en haut dans les pyrami
d dans quelques dé-, veloppements relativement à cette altération des
faisceaux
postérieurs, que nous rencontrons pour la premièr
escendantes, n'ont lieu que quand la lésion destructive porte sur les
faisceaux
blancs. Ainsi, les altérations même profondes de
dégé-nérations descendantes, à moins de propagation accidentelle aux
faisceaux
blancs. 2° Dans les faisceaux blancs, au contra
moins de propagation accidentelle aux faisceaux blancs. 2° Dans les
faisceaux
blancs, au contraire, la lésion consé-cutive est
mitive est du domaine du cordon antéro-latéral et si elle respecte le
faisceau
pyramidal, cette dégénération sera peu étendue, c
vient, lorsque la lésion en foyer intéresse uniquement les fibres des
faisceaux
postérieurs. B. A présent, il nous faut un inst
e vertèbre dorsale (sclérose des deux cordons postérieurs et des deux
faisceaux
cérébelleux). — 3, Au-dessus, la dégenération n'o
bas, à la hauteur de la 7e ou 8e vertèbre dorsale, la dégénération du
faisceau
latéral droit est accompagnée d'une dégénération
ation du faisceau latéral droit est accompagnée d'une dégénération du
faisceau
pyramidal gauche. à savoir une lésion transvers
utopsie démontre que la lé-sion destructive intéressait latotalité du
faisceau
antéro-latéral gauche et la totalité des faisceau
ssait latotalité du faisceau antéro-latéral gauche et la totalité des
faisceaux
postérieurs. Au-dessus de ce foyer, circonscrit n
s venons d'indiquer, on constate une dégénération secondaire des deux
faisceaux
de Goll ; et au-dessous on distingue, dans l'aire
dans l'aire du cordon antéro-latéral, le triangle de dégénération du
faisceau
pyramidal gauche. C'est ainsi, remarquez-le bien,
le bien, que les choses se pass mt en général pour ce qui concerne le
faisceau
pyramidal. Mais, voici une exception à la règle
xplication serait autrement assez difficile. J'ai vu parfois les deux
faisceaux
latéraux affectés par une lésion unilatérale. L'a
lement le cordon antéro-latéral droit dans sa totalité, mais aussi le
faisceau
pyramidal gauche. (1) Voy. Œuvres complètes. Le
ans la dernière séance, à propos du mode de terminaison des fibres du
faisceau
pyra-midal dans la substance grise. Je disais que
commissure anté-rieure, surtout dans la région dorsale et gagnent le
faisceau
la-téral du côté opposé, pour descendre avec lui
foyer. HUITIÈME LEÇON Degenerations ascendantes de cause spinale;
faisceaux
de Goll et faisceaux de Burdach. — Dégénérations
ON Degenerations ascendantes de cause spinale; faisceaux de Goll et
faisceaux
de Burdach. — Dégénérations spinales de cause pér
eurs. — Travaux de Pierret, de Kolliker ,—Apparition indépendante des
faisceaux
de Goll et du faisceau de Burdach. ^D$isron ultér
et, de Kolliker ,—Apparition indépendante des faisceaux de Goll et du
faisceau
de Burdach. ^D$isron ultérieure des deux appareil
ar les sillons postérieurs intermé-diaires de Sappey. Structure des
faisceaux
de Goll. — Noyaux de ces faisceaux sur le plan-ch
diaires de Sappey. Structure des faisceaux de Goll. — Noyaux de ces
faisceaux
sur le plan-cher du quatrième ventricule. — Struc
s faisceaux sur le plan-cher du quatrième ventricule. — Structure des
faisceaux
de Burdach. Lésions systématiques isolées, soit
s faisceaux de Burdach. Lésions systématiques isolées, soit dans le
faisceau
de Goll, soit dans le faisceau de Burdach. — Les
ns systématiques isolées, soit dans le faisceau de Goll, soit dans le
faisceau
de Burdach. — Les lésions du faisceau de Goll ne
faisceau de Goll, soit dans le faisceau de Burdach. — Les lésions du
faisceau
de Goll ne donnent pas lieu aux symptômes de l'at
mpression de la moelle épi-nière produisant la dégénération totale du
faisceau
de Goll et la dégénération partielle du faisceau
génération totale du faisceau de Goll et la dégénération partielle du
faisceau
de Burdach. Dégénérations de cause périphérique
scendantes de cause spinale ; je veux parler surtout de la lésion des
faisceaux
postérieurs. Mais, au-paravant, vous devez être r
renseignés sur quelques particulari-tés de l'anatomie normale de ces
faisceaux
. Il s'agit d'abord de reconnaître que, dans tou
de reconnaître que, dans toute la hauteur de la moelle épinière, les
faisceaux
postérieurs décrits en ana-tomie descriptive ne c
ul et même système. Au contraire, ils doivent être décomposés en deux
faisceaux
secondaires représentant, en quelque sorte, deux
r sous ma direction. 1 A. Un mot d'abord sur le développement des
faisceaux
pos-térieurs. a) Chez l'embryon humain de six s
isceaux pos-térieurs. a) Chez l'embryon humain de six semaines, les
faisceaux
postérieurs ne sont encore représentés que par de
e deux mois. — a,b, c, etc., comme dans les figures précédentes. — l,
Faisceau
latéral. — 7n, Développement des faisceaux de Col
s figures précédentes. — l, Faisceau latéral. — 7n, Développement des
faisceaux
de Coll. — n, Développement des faisceaux de Turc
al. — 7n, Développement des faisceaux de Coll. — n, Développement des
faisceaux
de Turck (faisceaux antérieurs.) Ce sont là les
ent des faisceaux de Coll. — n, Développement des faisceaux de Turck (
faisceaux
antérieurs.) Ce sont là les rudiments des faisc
ceaux de Turck (faisceaux antérieurs.) Ce sont là les rudiments des
faisceaux
de Burdach ; les faisceaux médians ou faisceaux
ntérieurs.) Ce sont là les rudiments des faisceaux de Burdach ; les
faisceaux
médians ou faisceaux de Goll ne sont pas encore
à les rudiments des faisceaux de Burdach ; les faisceaux médians ou
faisceaux
de Goll ne sont pas encore développés. Fig, 69.
ui-tième semaine sous forme de deux bourgeons qui semblent émaner des
faisceaux
de Burdach. Toujours est-il que, vers la dixièm
e la hauteur de la moelle. c) Par les progrès du développement, les
faisceaux
de Goll, dans certaines régions, se fusionnent av
les faisceaux de Goll, dans certaines régions, se fusionnent avec les
faisceaux
de Burdach, sans toutefois se confondre avec eux.
ons, sur des pièces durcies, montre à son tour ce qui suit : a) Les
faisceaux
de Goll sont composés de fibres parallèles, à lon
t sur le'plancher du quatrième ventricule et qu'on appelle noyaux des
faisceaux
de Goll. Remarquez encore que les faisceaux de Go
qu'on appelle noyaux des faisceaux de Goll. Remarquez encore que les
faisceaux
de Goll n'ont aucune con-nexion avec le prolongem
ra-spinal des racines posté-rieures. b) Il n'en est pas de même des
faisceaux
de Burdach qui, eux, au contraire, sont traversés
ris), après avoir traversé, suivant un chemin beaucoup plus long, les
faisceaux
de Burdach où elles dessinent une courbe à convex
rieures ne constitue pas à lui seul, tant s'en faut, la tota-lité des
faisceaux
de Burdach. La grande masse de ces fais-ceaux est
ibres verticales, ar-ciformes beaucoup plus courtes que les fibres du
faisceau
de Goll, et qui s'intriquent dans des directions
rangement des fibres nerveuses, la constitution particulière des deux
faisceaux
du cordon postérieur. C) Vous venez devoir, Mes
structure concourent à démontrer l'indépendance mutuelle de ces deux
faisceaux
. Voici mainte-nant une vérification nouvelle, et
i, cette fois, nous est four-nie par l'anatomie pathologique. a) Le
faisceau
de Goll a pu se montrer,dans certains cas, lésé i
ystématiquement,dans toute son étendue,sans par-ticipation aucune des
faisceaux
de Burdach : celaaété démon-tré par M. Pierret à
té rencontré depuis par d'autres observateurs, et toujours on a vu le
faisceau
se dessiner net-tement dans toute la hauteur de l
deux petits nodules, circonscrits de toutes parts par les fibres des
faisceaux
de Burdach. Ces deux faisceaux ont, en effet, dan
its de toutes parts par les fibres des faisceaux de Burdach. Ces deux
faisceaux
ont, en effet, dans cette région,une importance
postérieures qu'ils reçoivent. A la région dorsale, au contraire, les
faisceaux
médians l'empor-tentpar leurs dimensions sur les
raire, les faisceaux médians l'empor-tentpar leurs dimensions sur les
faisceaux
de Burdacli. Enfin, à la région cervicale, les fa
ions sur les faisceaux de Burdacli. Enfin, à la région cervicale, les
faisceaux
de Burdacli deviennent de nouveau considérables ;
faisceaux de Burdacli deviennent de nouveau considérables ; mais les
faisceaux
de Goll ne sont pas pour cela moins volumineux, e
ymptômes observés dans les cas de lésions isolées, systématiques, des
faisceaux
de Goll, ne sont pas ceux de l'ataxie locomotrice
omotrice progressive. b) Ce qui vient de se présenter, à propos des
faisceaux
de Goll, se reproduit également pour ce qui a tra
des faisceaux de Goll, se reproduit également pour ce qui a trait aux
faisceaux
de Burdacli. Ceux-ci peuvent, eux aussi, subir un
tion isolée, autonome en quelque sorte, sans aucune participation des
faisceaux
de Goll. Ainsi, chez un sujet qui présentait tous
en clans les mem-bres inférieurs que dans les membres supérieurs, les
faisceaux
de Burdach étaient seuls lésés, et cela dans tout
lésés, et cela dans toute la hauteur de la moelle épinière. Quant aux
faisceaux
de Goll, ils étaient absolument indemnes : le mêm
e de com-prendre la disposition singulière que présente la lésion des
faisceaux
postérieurs,quand elle résulte de la compression
effet la destruction, sur un point de leur' parcours, des fibres des
faisceaux
de Goll et de celles des fais- ceaux do lîurduo
lîurduoh.La lésion, portant sur les fibres commissu-rales courtes du
faisceau
de Burdadi, détermine par en haut une dégénératio
rdadi, détermine par en haut une dégénération à court trajet dans ces
faisceaux
, et nous ver-rons tout à l'heure pour quelle rais
ésion, en tant qu'elle porte sur les longues fibres commissurales des
faisceaux
de Goll, déter-mine une degeneration également as
ceaux de Goll, déter-mine une degeneration également ascendante de ce
faisceau
, laquelle pourra être suivie dans toute l'étendue
ule. Fig. 71. — A, Sclérose de la totalité des cordons postérieurs (
faisceaux
de Goll et zones radicuîaires). — Ataxic locomotr
Fig. 72. — B, Sclérose des deux zones radicuîaires postérieures (les
faisceaux
de Goll sont respectés). — Ataxic locomotrice.
espectés). — Ataxic locomotrice. Fig. 73. — G, Sclérose limitée aux
faisceaux
de Goll (dégénération ascen-dante). tl) Si main
us imaginez le cas d'une myélite trans verse partielle et limitée ail
faisceau
postérieur, le résulLat sera absolument le même a
ations ascendantes. La lésion fondamen-tale porte à l'origine sur les
faisceaux
radicuîaires dans toute la hauteur de larégion do
, et gagne ainsi, d'un côté, les cornes postérieures, de l'autre, les
faisceaux
de Goll. La conséquence de celte propagation est
x de Goll. La conséquence de celte propagation est que les fibres des
faisceaux
de Goll, étant intéressées dans la partie inférie
en une tumeur sarcomateuse ou myxomateuse qui englobe et comprime les
faisceaux
nerveux. Il n'est pas douteux, Messieurs, que la
ractérisée alors ainsi qu'il suit : 1° elle occupe exclu-sivement les
faisceaux
postérieurs ; 2° dans la région lom-baire, le fai
-sivement les faisceaux postérieurs ; 2° dans la région lom-baire, le
faisceau
postérieur est envahi totalement dans son étendue
t dans son étendue transverse ; 3° mais au-dessus de cette région, le
faisceau
de Goll est seul affecté, et il l'est totalement
suivie dans le trajet intra-spinal, c'est-à-dire dans l'épaisseur des
faisceaux
de Burdach. La lésion qui, à un moment donné, rev
ctère inflammatoire se communique aux fibres commissurales courtes du
faisceau
, et, de proche en proche, elle gagne dans la régi
sceau, et, de proche en proche, elle gagne dans la région lombaire le
faisceau
de Goll, qui, suivant la règle, dégénère par en h
condaire de ce genre, reconnaître à l'autopsie une lésion limitée aux
faisceaux
de Burdach et n'intéressant pas encore les faisce
sion limitée aux faisceaux de Burdach et n'intéressant pas encore les
faisceaux
de Goll. L'avenir apprendra s'il en est réellemen
. — Lois de Waller, Dégénérations descendantes et ascendantes — Les
faisceaux
qui dégé-nèrent par en bas sont comparables aux n
sont comparables aux nerfs centrifuges des racines anté-rieures, Les
faisceaux
qui dégénèrent par en haut sont assimilables aux
ent de tous points aux dégénérations pathologiques chez l'homme. — Le
faisceau
pyra-midal n'est pas compact chez le chien. —Diff
xpliqué. Si nous savons, par exemple, que la dégénération de certains
faisceaux
de la moelle se fait constamment dans le sens asc
mment dans le sens ascendant, tandis que la dégénéra- lion d'autres
faisceaux
se fait invariablement en sens inverse, nous igno
ation peut être suivie dans toute rétendue du trajet intra-spinal des
faisceaux
radi-culaires jusqu'à la substance grise ; de tel
de ces données aux dégénérations secondaires spinales. Les fibres des
faisceaux
qui dégénèrent par en bas, au-dessous du point lé
centrifuges issus des racines antérieures. De ce nombre sont : Io les
faisceaux
pyramidaux composés de fibres dont le centre trop
de l'écorce grise de la région rolandique ; 2° les fibres courtes des
faisceaux
laté-raux, dont les origines se superposent de ha
bas dans les divers points du centre gris spinal. Au contraire, les
faisceaux
qui dégénèrent par en haut sont assimilables aux
dont le centre trophique est périphérique. De ce nombre sont : Io les
faisceaux
céré-belleux directs dont le cenlre trophique est
, tandis que leur centre de terminaison est dans le cervelet ; 2° les
faisceaux
de Goll dont le centre trophique occupe la substa
a même interprétation s'applique aux fibres commissurales courtes des
faisceaux
de Burdach, qui, elles également, dégénèrent de b
oit chez l'homme en pareil cas, à savoir, dégénération ascendante des
faisceaux
de Goll et de la partie postéro-latérale des fais
ascendante des faisceaux de Goll et de la partie postéro-latérale des
faisceaux
latéraux qui correspond aux faisceaux cérébelleux
la partie postéro-latérale des faisceaux latéraux qui correspond aux
faisceaux
cérébelleux directs. 2° Mais ce sont surtout le
f à la partie antérieure où la dégénération est bien circonscrite aux
faisceaux
de Tùrck. En 13, dégénéra-tion des cordons de Gol
ux faisceaux de Tùrck. En 13, dégénéra-tion des cordons de Goll et du
faisceau
cérébelleux direct. comparées à ce qu'on voit c
res pyramida-les ne forment pas généralement, comme chez l'homme, des
faisceaux
compactes (les fibres des faisceaux pyramidaux di
ralement, comme chez l'homme, des faisceaux compactes (les fibres des
faisceaux
pyramidaux directs font cependant exception); et,
emblait résulter des expériences de MM. Albertoni et Michieli, que le
faisceau
blanc perd son excitabi-lité quatre jours après l
é de biologie, MM. Franck et Pitres ont établi que la dégêncration du
faisceau
pyramidal chez le chien peut affecter les m^mcs c
s anatomiques que chez l'homme. Jus-qu'en certain point les fibres du
faisceau
pyramidal sembleraient donc se réunir en un group
s degenerations secon-daires. Analyse expérimentale des fonctions des
faisceaux
pyramidaux. Sommarre. — Tous les faisceaux blan
entale des fonctions des faisceaux pyramidaux. Sommarre. — Tous les
faisceaux
blancs de la moelle sont capables de dégé-nératio
ux blancs de la moelle sont capables de dégé-nération systématique. —
Faisceaux
à fibres longues. — Faisceaux a fibres courtes. —
pables de dégé-nération systématique. — Faisceaux à fibres longues. —
Faisceaux
a fibres courtes. — Schéma. Cordons postérieurs
ues. — Faisceaux a fibres courtes. — Schéma. Cordons postérieurs. —
Faisceaux
intrinsèques. — Faisceaux de Burdach et faisceaux
courtes. — Schéma. Cordons postérieurs. — Faisceaux intrinsèques. —
Faisceaux
de Burdach et faisceaux du Goll. —Faisceaux extri
dons postérieurs. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach et
faisceaux
du Goll. —Faisceaux extrinsèques. — Faisceau céré
Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach et faisceaux du Goll. —
Faisceaux
extrinsèques. — Faisceau cérébelleux direct. Co
Faisceaux de Burdach et faisceaux du Goll. —Faisceaux extrinsèques. —
Faisceau
cérébelleux direct. Cordons antéro-latéraux. —
insèques. — Faisceau cérébelleux direct. Cordons antéro-latéraux. —
Faisceaux
intrinsèques. — Faisceaux extrin-sèques. — Faisce
elleux direct. Cordons antéro-latéraux. — Faisceaux intrinsèques. —
Faisceaux
extrin-sèques. — Faisceau pyramidal. Résultats
téro-latéraux. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux extrin-sèques. —
Faisceau
pyramidal. Résultats fournis par l'expérimentat
Faisceau pyramidal. Résultats fournis par l'expérimentation. — Les
faisceaux
antéro-latéraux sont-ils excitables? L'excitabili
Les faisceaux antéro-latéraux sont-ils excitables? L'excitabilité du
faisceau
pyramidal est manifeste chez l'homme, dans tout l
est manifeste chez l'homme, dans tout le trajet cérébro-spinal de ce
faisceau
. — Expériencesz de Vulpian, Schiff. — Hémisection
émisections spinales. — Vivisections de Woros-chiloff. — Influence du
faisceau
pyramidal sur l'activité réflexe de la moelle épi
aisceau pyramidal sur l'activité réflexe de la moelle épinière. — Les
faisceaux
pyramidaux sont les conducteurs des incitations v
nière. I. De tout ce qui précède, vous avez pu conclure que les
faisceaux
blancs qui composent le manteau Ae la moelle épi-
cet égard, il y a deux catégories à établir. A. Quelques-uns de ces
faisceaux
sont constitués par des fibres longues, c'est-à-d
ondaires qu'on peut appeler à long trajet. De1 ce nombre sont: a) les
faisceaux
pyramidaux (dégénération. descendante) ; ¡3) le
: a) les faisceaux pyramidaux (dégénération. descendante) ; ¡3) les
faisceaux
de Goll (dégénération ascen-dante) ; y) les faisc
ante) ; ¡3) les faisceaux de Goll (dégénération ascen-dante) ; y) les
faisceaux
cérébelleux directs (dégénération ascendante).
aisceaux cérébelleux directs (dégénération ascendante). B. D'autres
faisceaux
sont constitués par des fibres cour- £ig. 75. —
'autres faisceaux sont constitués par des fibres cour- £ig. 75. —A,
faisceaux
antérieurs. -- B, faisceaux postérieurs. — R, cir
itués par des fibres cour- £ig. 75. —A, faisceaux antérieurs. -- B,
faisceaux
postérieurs. — R, circon-; volutions rolandiques.
rvelet. — Ra, racines antérieures. -- Rp, raci-nes postérieures. — F,
faisceau
pyramidal. — Fc, fibres intrinsèques centri-fuges
ntri-fuges (cordons antérieurs).— K, fibres extrinsèques centripètes (
faisceau
céré^ belleux direct). — Fp, fibres intrinsèques
aisceau céré^ belleux direct). — Fp, fibres intrinsèques centripètes (
faisceau
de Burdach). - G, fibres longues postérieures (co
gues postérieures (cordon de Goll). tes. De ce nombre sont : a) les
faisceaux
antéro-latéraux-, ou mieux, ce qui reste de ces f
nt : a) les faisceaux antéro-latéraux-, ou mieux, ce qui reste de ces
faisceaux
quand on fait abstraction •des faisceaux pyramida
u mieux, ce qui reste de ces faisceaux quand on fait abstraction •des
faisceaux
pyramidaux et des faisceaux cérébelleux directs.
faisceaux quand on fait abstraction •des faisceaux pyramidaux et des
faisceaux
cérébelleux directs. Us dégénèrent de haut en bas
ète. Il s'agit d'indiquer la relation de l'axe gris avec les divers
faisceaux
de fibres blanches, qui com-posent le manteau. 11
osent le manteau. 11 y a lieu de considérer ici, successive-ment, les
faisceaux
antéro-latéraux et les faisceaux postérieurs. Nou
considérer ici, successive-ment, les faisceaux antéro-latéraux et les
faisceaux
postérieurs. Nous commencerons par ces derniers.
aisceaux postérieurs. Nous commencerons par ces derniers. Parmi les
faisceaux
qui composent les cordons postérieurs, les uns pe
Bouchard), Les intrinsèques se ramènent à deux groupes : 1° dans les
faisceaux
de Burdach, les fibres intrinsèques sont des comm
n bas, et dégénère, vous le savez, dans le sens ascendant. 2° Dans le
faisceau
de Goll, au contraire, on trouve des fibres commi
r ce qui est des éléments extrinsèques, ils sont représen-tés par les
faisceaux
cérébelleux directs qui, par leur extrémité infér
ainsi en relation avec la moelle épinière proprement dite. Dans les
faisceaux
antéro-latéraux, il y a également à con-sidérer d
les dégénèrent de haut en bas. Quant aux fibres extrinsèques de ces
faisceaux
elles ne sont autres que les faisceaux pyramidaux
aux fibres extrinsèques de ces faisceaux elles ne sont autres que les
faisceaux
pyramidaux, tant directs que croisés; et, pour ce
des plus fructueuses. II ne paraît pas douteux ac-tuellement que ces
faisceaux
sont comme un pont, comme une véritable commissur
divers étages de l'axe gris. L'origine des fibres qui constituent ces
faisceaux
est dans l'écorce des circonvolu-tions, probablem
ie pût nous éclairer sur le fonc-tionnement particulier de chacun des
faisceaux
secondaires, que l'anatomie de développement et l
faites récemment à cet égard, et qui relèvent le rôle particulier des
faisceaux
pyramidaux dans la transmission des incitations v
i° En ce qui concerne les dégénérations ôjui se produisent dans les
faisceaux
antéro-latéraux lorsque leurs fibres sont in-terr
vant les mômes lois que les nerfs périphéri-ques centrifuges. Or, tes
faisceaux
antéro-latéraux peuvent-ils être rapprochés encor
térieures..ne santpas un simple prolongement des tubes nerveux de ces
faisceaux
; _(eiles en sont séparées par les cellules gangl
nc pas identité, et l'on ne doit s'attendre qu'à des analogies. Les
faisceaux
antéro-latéraux sont-ils excitables comme le sont
Vulpian et par celles plus récentes de MM. Fick et Engelken, que les
faisceaux
antéro--latéraux sont par eux-mêmes excitables co
rcher si les cordons pyramidaux sont plus ou moins excitables que les
faisceaux
antérieurs. Or, l'expérimentation dans ces recher
auteurs s'accordent à recon-naître que, chez le chien, c'est dans les
faisceaux
antérieurs que d'excitabilité est le plus prononc
hez le chien, où, d'après les observations de M. Schiefferdecker, les
faisceaux
de ïiirck appartenant au système des faisceaux py
. Schiefferdecker, les faisceaux de ïiirck appartenant au système des
faisceaux
pyramidaux et composés parconséquent de fibres lo
. Cependant, en est-il de même chez l'homme, où, au con-traire, les
faisceaux
de Tiirck ont peu d'importance, les faisceaux ant
où, au con-traire, les faisceaux de Tiirck ont peu d'importance, les
faisceaux
antérieurs proprement dits étant composés de. lib
omposés de. libres commis- surales courtes, c'est-à-dire formant un
faisceau
dont le trajet est interrompu à chaque instant pa
ainsi. D'ailleurs nous connais-sons l'excitabilité du prolongement du
faisceau
pyramidal dans le manteau de l'écorce cérébrale,
excitabilité doit exister dans toute l'étendue du prolongement de ces
faisceaux
dans la moelle épinière. 2° A. On convient asse
citations mo-trices volontaires se fait exclusivement par la voie des
faisceaux
blancs antéro-latéraux. C'est du moins ce que les
ez la gre-nouille (et a fortiori chez les mammifères), la section des
faisceaux
latéraux à la région dorsale — les faisceaux post
mifères), la section des faisceaux latéraux à la région dorsale — les
faisceaux
posté-rieurs et la substance grise étant épargnés
érience, mais encore les jours suivants. Au contraire, la section des
faisceaux
postérieurs et de la substance grise laisse persi
rtain degré. Cela tient à l'existence de commissures qui unissent les
faisceaux
antéro-latéraux d'un côté aux faisceaux correspon
commissures qui unissent les faisceaux antéro-latéraux d'un côté aux
faisceaux
correspondants de l'autre côté. Mais, si vous pra
légie complète absolue de la motilité. III. Mais sont-ce bien les
faisceaux
antéro-latéraux en bloc qui transmettent ainsi le
ainsi les ordres de la volonté, ou sont-ce plus par-ticulièrement les
faisceaux
pyramidaux? L'expérimentation a presque toujours
ette analyse. « Une vivisection coupant isolément et complètement les
faisceaux
antérieurs ou les faisceaux latéraux, dit M. Vulp
ion coupant isolément et complètement les faisceaux antérieurs ou les
faisceaux
latéraux, dit M. Vulpian, n'est pour ainsi dire p
à produire des combinaisons qui lui ont permis de dégager le rôle des
faisceaux
pyramidaux dans la transmission des incita-tions
dans les expériences de Woroschiloff, de recon-naître l'influencedes
faisceaux
spinaux sur l'exécution de quel-ques mouvements v
'il s'agit surtout, vous le voyez, de dégager la fonction spéciale du
faisceau
pyramidal. 1° La section des faisceaux postérie
gager la fonction spéciale du faisceau pyramidal. 1° La section des
faisceaux
postérieurs ne modifie en rien les mouvements vol
Il n'y a donc pas de fibres longues, directement cérébrales, dans les
faisceaux
antérieurs (Fig. 77). 3°La substance grise peut
peut être coupée dans toute son éten- Fig. 76. Fig. 77. due, les
faisceaux
antéro-latéraux subsistant, sans qu'il se produis
78). 4° Si, au contraire, la substance grise est intacte et que les
faisceaux
antéro-latéraux soient coupés des deux côtés, les
taires (Fig. 79). Fig. 79. Fig. 78. 5° Dans le cas de section des
faisceaux
latéraux et posté-rieurs, l'animal ne se sert que
ent paralysé (Fig. 80). 6° Enfin, si la section est totale, un seul
faisceau
latéral étant respecté, le membre inférieur du cô
é sectionné estcom- plètement paralysé. Au contraire, du côté où le
faisceau
la-téral est épargné, le membre obéit encore à la
si on l'étend, l'animal le retire (Fig. 81). C'est donc bien par les
faisceaux
pyramidaux que se fait la transmission des incita
n des incitations volontaires. Mais il est possible que ce rôle des
faisceaux
pyramidaux ne Fig. 81. Fig. 80. soit pas ex
s études relatives au développement nous ont fait reconnaître que les
faisceaux
pyramidaux doivent être considérés comme de grand
oelle épinière, Celle-ci vit en quelque sorte isolément, tant que ces
faisceaux
ne sont pas encore développés, jusqu'à cette époq
ont mis au contraire sur le deu-xième plan quand le développememt des
faisceaux
pyrami-daux est accompti, et ce sont dès lors les
e la moelle. Mais il est facile de montrer que c'est surtout pour les
faisceaux
antéro-latéraux que cette influence s'exerce. En
conservée; de plus, un seul côté de la moelle peut être affecté, les
faisceaux
antéro-latéraux sont donc bien les conducteurs de
iologie expérimentale n'a pas encore dé-cidé si c'est par la voie des
faisceaux
antérieurs ou des fais-ceaux pyramidaux que cette
i cru devoir vous présenter relativement au fonctionnement des divers
faisceaux
spinaux, tel qu'il se révèle dans les recherches
ONZIÈME LEÇON Séméiologie générale des degenerations secondaires du
faisceau
pyramidal. Sommaire. — Description de la maladi
oyer est circonscrit ou il a des chances d'agrandir. — L'intégrité du
faisceau
pyramidal est la condition sine qua non de la gué
que la déchirure porte sur celles de ces fibres qui appartiennent au
faisceau
pyramidal, le cas est encore des plus sérieux ; n
est réparable. Il ne l'est plus ou ne l'est guère si les fibres de ce
faisceau
ont été non pas seulement compri-mées, mais détru
ndividus frappés d'hémiplégie depuis quatorze ou quinze jours, que le
faisceau
pyramidal a été détruit sur un point de son parco
es spasmodiques, et les hémiplégies cérébrales avec dégé-nération des
faisceaux
pyramidaux appartiennent à ce groupe. Une fois
spinal. Nous n'avons pas oublié, en effet, que chez le nouveau-né les
faisceaux
pyramidaux ne sont pas encore complètement dévelo
ntrac-tions atteignant successivement et non simultanément les divers
faisceaux
des muscles; de telle sorte que les uns se repo-s
s lé-sions en foyer de natures diverses, —lorsqu'elles intéressent le
faisceau
pyramidal dans son trajet intracérébral — sont su
ant au deuxième ou au troi- sième mois, que se manisfestent dans le
faisceau
pyramidal altéré les marques évidentes d'un proce
on équivaut à peu près, dans les cas très accentués, à une section du
faisceau
py-ramidal. Cette première phase qui correspond a
e modératrice cérébrale qui, dans le cas de section expérimentale des
faisceaux
latéraux, tendrait à expliquer l'exagération des
La contracture n'existe pas chez le nouveau-né, et vous savez que les
faisceaux
pyramidaux du nouveau-né ne sont pas encore dével
s. b) Du reste, la contracture ne se manifeste qu' à l'époque où le
faisceau
pyramidal est déjà devenu le siège de lésions irr
ns anatorniques établies entre les extrémités des fibres nerveuses du
faisceau
pyramidal et les cellules motrices de la corne co
nce grise centrale, au contact des extrémités des fibres nerveuses du
faisceau
pyramidal, on peut se rendre compte de divers phé
endre que la contracture permanente liée à la sclérose consécutive du
faisceau
pyramidal est, dans l'espèce, un symptôme conting
es, n'est pas, si Von peut ainsi dire, une fonction de la sclérose du
faisceau
pyramidal. Voilà une donnée dont il est très impo
ils sont localisés de telle façon qu'ils dé-truisent la continuité du
faisceau
pyramidal ; d'ailleurs, nous verrons la sclérose
isceau pyramidal ; d'ailleurs, nous verrons la sclérose primitive des
faisceaux
pyramidaux donner naissance à la contracture, alo
ires de la substance grise. QUINZIÈME LEÇON Rôle physiologique du
faisceau
pyramidal dans la contracture permanente ; hémipl
spasmodique. Sommaire. -- Relations des extrémités périphériques du
faisceau
pyramidal avec les cellules des cornes antérieure
lite. — Théorie de l'irritation des tubes nerveux mélan gés à ceux du
faisceau
pyramidal. La cause immédiate de la contracture
ssent exister entre les extrémités terminales des fibres nerveuses du
faisceau
pyra-midal et les cellules motrices des cornes an
sation, ils sont placés de façon à interrompre le cours des fibres du
faisceau
pyramidal — circonstance dans laquelle la dégénér
iter au moins un exemple d'une lésion intéressant sytématiquement les
faisceaux
pyramidaux, primitivement et indépendamment de l'
quelle les éléments cellulaires sont dé-truits sans participation des
faisceaux
blancs. Je n'insiste pas plus longuement ; il me
qu'elle résulte de l'irritation de tubes nerveux n'appartenant pas au
faisceau
pyramidal, mais se mêlant à ses fibres. Ces tubes
Je ferai remarquer que les tubes de ce genre sont rares au millieu du
faisceau
pyramidal ; que quel- (1) Quelques faits récemm
ablissent cependant la possibilité des lésions intra-encéphaliques du
faisceau
pyramidal. Voy. Charcot, Clini-quedela Salpëtrièr
mmédiate de lacon-tracture est dans la substance grise et non dans le
faisceau
latéral lui-même. Il s'agit donc là d'une lésion
isse primitivement, ou en conséquence de lésions autres que celle des
faisceaux
latéraux. Le fait ne me paraît pas avoir été dé-m
^ mée en un mot : la contracture permanente n'est pas une fonction du
faisceau
pyramidal. IV. Il n'en est pas moins certain
ns certain que partout où dans la patho-logie spinale la sclérose des
faisceaux
pyramidaux existe à un titre quelconque, la contr
es dans les cordons antéro-latéraux et plus particulièrement dans les
faisceaux
pyramidaux. Notez bien, Messieurs, ce fait que la
ra une lésion également spéciale, peut-être la sclérose primitive des
faisceaux
pyramidaux soupçonnée par M. Erb. Si, au contrair
tante ou à peu près d'une lésion soit primitive, soit consécutive des
faisceaux
pyrami-daux est un trait commun à tous les maladi
sion porte à la fois sur une des colonnes de substance grise, sur les
faisceaux
postérieurs et sur les faisceaux antéro-latéraux
colonnes de substance grise, sur les faisceaux postérieurs et sur les
faisceaux
antéro-latéraux ; mais le point essentiel que je
e lésion dégénérative est due à l'interruption du cours des fibres du
faisceau
pyramidal. 2° Déjà, Messieurs j'ai eu l'occasio
ier, j'ai émis l'hypothèse que quelques-unes des fibres de chacun des
faisceaux
pyramidaux, déjà entrecroisées à la partie du bul
cours par laprésence d'une cellule gan-glionnaire, et que, venant du
faisceau
pyramidal du côté droit, elles vont faire partie
enant du faisceau pyramidal du côté droit, elles vont faire partie du
faisceau
pyramidal du côté gauche. La théorie dont il s'
ubstance grise, franchissent la ligne médiane et vont faire partie du
faisceau
antérieur du côté opposé. Dans ces descriptions,
, il n'est pas question de fibres mettant en communication directe le
faisceau
pyramidal du côté opposé. Cependant, à l'aide de
p de soin, prétend avoir reconnu des fibres nerveuses qui, parties du
faisceau
latéral droit, se porteraient directement à la co
autre côté de la ligne médiane. Ces fibres pénètrent-elles dans les
faisceaux
antérieurs ou s'arrêtent-elles dans la substance
lable que dans les cas pathologiques on arrive à suivre le trajet des
faisceaux
dégé-nérés , et si la disposition supposée existe
ment, le fait parfaitement établi d'une sclérose descendante des deux
faisceaux
pyramidaux dans le cas de lésion unilatérale, mai
n. On croyait que la transmission des incitations volontaires par les
faisceaux
blancs était exclusivement directe. On sait aujou
: elle ne serait autre que la sclérose symétrique et systématique des
faisceaux
laté-raux. En ce qui me concerne, tout en reconna
ent gé-néralement dans la moelle, où elles occupent de préférence les
faisceaux
antéro-latéraux. Il y a lieu de signaler ici un p
pla-ques scléreuses, une fois développées, resteront isolées dans les
faisceaux
de la moelle, sans donner lieu à la dégénération
tteinte, et les symptômes tabé-tiques quand il existe des lésions des
faisceaux
postérieurs. Teh sont, en résumé, les signes qui
cependant s'empê-cher de songer qu'à l'époque où la maladie débute le
faisceau
latéral est en pleine voie de développement et qu
l'adulte, une lésion du même genre, également li-mitée au système des
faisceaux
latéraux, rendrait compte de tout l'ensemble des
ues spinales — et elles sont nombreuses — où il existe une lésion des
faisceaux
latéraux. Il importe toute-fois de ne pas oublier
on organique de la moelle épinière car il existe nombre de cas où les
faisceaux
latéraux sont affec-tés peut-être fonctionnelleme
dans les-quels nous sommes entrés à propos des lésions du système des
faisceaux
pyramidaux ont justifié, pour une part, ces pro-p
premier coup ces paralysies de celles qui résultent d'une lésion des
faisceaux
blancs et spécialement des faisceaux latéraux, ca
s qui résultent d'une lésion des faisceaux blancs et spécialement des
faisceaux
latéraux, cas dans lesquels la nu-trition des mus
m, une formation d'escharres, etc., et si le malade survit et que les
faisceaux
blancs participent au pro-cessus anafomique morbi
vous l'ai dit, deux éléments anatomo-pathologiques : une lé-sion des
faisceaux
latéraux et une lésion des cornes antérieu-res. E
musculaires se terminaient en formes d'anses, dans l'in-tervalle des
faisceaux
primitifs. Mais Doyère a fait une décou-verte cap
un filament unique au niveau d'un monticule qui fait corps avec le
faisceau
primitif, et qu'on appelle encore à l'heure qu'il
voir que, sous le sarcolemme, c'est-à-dire dans la substance même du
faisceau
primitif, le monticule de Doyère est formé par un
ion de la substance blanche de la moelle porterait aussi bien sur les
faisceaux
an-térieurs que sur les faisceaux latéraux (pyram
moelle porterait aussi bien sur les faisceaux an-térieurs que sur les
faisceaux
latéraux (pyramidaux). Si les faits avancés par
sion n'a rien de spécifique ; elle ne porte pas exclusivement sur les
faisceaux
latéraux (pyramidaux); les faisceaux antérieurs s
porte pas exclusivement sur les faisceaux latéraux (pyramidaux); les
faisceaux
antérieurs sont pris, et il faudrait que la lésio
veut dire simplement que la dégénération, primitivement localisée au
faisceau
pyramidal, a déterminé dans son voisi-nage, par c
des noyaux moteurs, on est bien obligé d'admettre que la sclérose du
faisceau
pyramidal a des rapports très étroits avec l'alté
— Considérations sur la capsule interne : ses parties constituantes (
faisceaux
pédonculaires di-rects; faisceaux pédonculaires i
nterne : ses parties constituantes (faisceaux pédonculaires di-rects;
faisceaux
pédonculaires indirects ; faisceaux rayonnants)..
faisceaux pédonculaires di-rects; faisceaux pédonculaires indirects ;
faisceaux
rayonnants).......... 78 HUITIÈME ET NEUVIÈME L
rigine cérébrale des nerfs optiques. Couronne rayonnante de Reil. —
Faisceaux
rayonnants cortico-opliques : Fibres antérieures
ntre les amas de substance grise et l'écorce grise de l'encéphale :
faisceaux
rayonnants corlico-optiques. Effets des lésions d
le pédoncule cérébral, la protubérance, la pyramide antérieure et le
faisceau
latéral de la moelle. Analogies et différences
utives de cause cérébrale et les scléroses fasciculées primitives des
faisceaux
latéraux. — Symptômes liés aux scléroses secondai
des. Constitution de la moelle épinière. — Lésions systématiques. —
Faisceau
pyramidal (faisceau direct et faisceau croisé). —
de la moelle épinière. — Lésions systématiques. — Faisceau pyramidal (
faisceau
direct et faisceau croisé). — Faisceaux de Goll e
re. — Lésions systématiques. — Faisceau pyramidal (faisceau direct et
faisceau
croisé). — Faisceaux de Goll et de Burdach. —Cett
atiques. — Faisceau pyramidal (faisceau direct et faisceau croisé). —
Faisceaux
de Goll et de Burdach. —Cette décomposition des d
Localisations bulbaires et médullaires____ 177 DEUXIÈME LEÇON. Du
faisceau
pyramidal. — développement de ce faisceau. | So
177 DEUXIÈME LEÇON. Du faisceau pyramidal. — développement de ce
faisceau
. | Sommaire. —Affections systématiques de la mo
me, à la naissance le cerveau est un organe à peu près indifférent.
Faisceaux
pyramidaux croisés. — Faisceaux pyramidaux direct
t un organe à peu près indifférent. Faisceaux pyramidaux croisés. —
Faisceaux
pyramidaux directs (cordons de Tûrck). —Leur traj
n des faits pathologiques................ 191 TROISIÈME LEÇON, Du
faisceau
pyramidal dans les pédoncules cérébraux, la capsu
braux, la capsule interne et le centre ovale. Sommaire. — Trajet du
faisceau
pyramidal au-dessus de la région bulbaire. — Tr
rieur: opinion de M. Flechsig.—Développe-ment relativement précoce du
faisceau
pyramidal dans le pédoncule. Division de la cap
ntérieur, segment postérieur, genou de la capsule. — Localisa-tion du
faisceau
pyramidal dans le segment postérieur de la capsul
ceau pyramidal dans le segment postérieur de la capsule interne. Du
faisceau
pyramidal dans le centre ovale. — Observations ch
203 QUATRIÈME LEÇON. Degenerations secondaires. — Dégénération du
faisceau
pyramidal dans le pédoncule, la protubérance, le
ance, le bulbe, la moelle épi-nière. — degeneration exceptionnelle du
faisceau
interne du pédoncule. —. Division de l'étage infé
egenerative dans la région opto-striée. — Etudes de M. Flechsig. — Le
faisceau
pyramidal proprement dit n'est pas seul ca-pable
occupe au moins les deux tiers antérieurs du segment postérieur. — Le
faisceau
pos-térieur (fibres sensitives de Meynert) ne dég
NQUIÈME LEÇON. dégénérations secondaires (suite). — délimitation du
faisceau
pyramidal dans lè manteau de l'hémisphère. Somm
olutions. — Hitzig, Ferrier, Betz, Bevan Lewees. Vue schématique du
faisceau
pyramidal dans l'hémisphère cérébral. — Région ro
Amyotrophies consécutives. Sommaire. — Les lésions dégenératives du
faisceau
pyramidal permettent d'é-tablir nettement les rap
amidal permettent d'é-tablir nettement les rapports anatomiques de ce
faisceau
. — La terminaison des fibres de ce faisceau dans
apports anatomiques de ce faisceau. — La terminaison des fibres de ce
faisceau
dans la moelle épinière donne matière à plusieurs
Il existe donc antre chose que des rapports de contiguïté entre le
faisceau
pyramidal et la substance grise delà moelle épini
érations secondaires de cause spinale. — Dégénérations ascendantes du
faisceau
cérébelleux et descendantes du faisceau pyramidal
Dégénérations ascendantes du faisceau cérébelleux et descendantes du
faisceau
pyramidal. Sommaire. — Degenerations secondaire
escendantes. — Dégénérations ascendantes. — Celles-ci portent sur les
faisceaux
latéraux et sur les faisceaux postérieurs. — Fais
scendantes. — Celles-ci portent sur les faisceaux latéraux et sur les
faisceaux
postérieurs. — Faisceaux céré-belleux de Flechsig
ortent sur les faisceaux latéraux et sur les faisceaux postérieurs. —
Faisceaux
céré-belleux de Flechsig. Dégénérations dans le
lle. — Elles n'ont lieu que quand la lésion destructive porte sur les
faisceaux
blancs. —Cas de l'hémiparaplégie spinale avec ane
de celte observation. — Double entrecroisement de certaines fibres du
faisceau
pyramidal................................ 250 H
250 HUITIÈME LEÇON. Dégénérations ascendantes de cause spinale. —
Faisceaux
de Goll et faisceau de Burdach. — Degenerations s
Dégénérations ascendantes de cause spinale. — Faisceaux de Goll et
faisceau
de Burdach. — Degenerations spinales de cause pér
rs. — Travaux de Pierret, de Kolliker — Apparition indépendante des
faisceaux
de Goll et du faisceau de Burdach. — Division u
, de Kolliker — Apparition indépendante des faisceaux de Goll et du
faisceau
de Burdach. — Division ultérieure des deux appa
parles sillons postérieurs intermé-diaires de Sappey. Structure des
faisceaux
de Goll. — Noyaux de ces faisceaux sur le plan-ch
diaires de Sappey. Structure des faisceaux de Goll. — Noyaux de ces
faisceaux
sur le plan-cher du quatrième ventricule. — Struc
s faisceaux sur le plan-cher du quatrième ventricule. — Structure des
faisceaux
de Burdach. Lésions systématiques isolées, soit
s faisceaux de Burdach. Lésions systématiques isolées, soit dans le
faisceau
de Goll, soit dans le faisceau de Burdach. — Les
ns systématiques isolées, soit dans le faisceau de Goll, soit dans le
faisceau
de Burdach. — Les lésions du faisceau de Goll ne
faisceau de Goll, soit dans le faisceau de Burdach. — Les lésions du
faisceau
de Goll ne donnent pas lieu aux symptômes de l'at
mpression de la moelle épi-nière produisant la dégénération totale du
faisceau
de Goll et la dégénération partielle du faisceau
génération totale du faisceau de Goll et la dégénération partielle du
faisceau
de Burdach. Dégénérations de cause périphérique
Lois de Waller. Dégénérations descendantes et . ascendantes . — Les
faisceaux
qui dégé-nèrent par en bas sont comparables aux n
ont comparables aux nerfs centrifuges des racines anté-rieures. — Les
faisceaux
qui dégénèrent par en haut sont assimilables aux
ent de tous points aux dégénérations pathologiques chez l'homme. — Le
faisceau
pyra-midal n'est pas compact chez le chien. —Diff
.................. 270 DIXIÈME LEÇON. Détermination du trajet des
faisceaux
blancs de la moelle épinière par l'étude dés dégé
dégénérations secondaires. — analyse expérimen-tale des fonctions des
faisceaux
pyramidaux. Sommaire. —Tous les faisceaux blanc
en-tale des fonctions des faisceaux pyramidaux. Sommaire. —Tous les
faisceaux
blancs de la moelle sont capables de dégé-nératio
ux blancs de la moelle sont capables de dégé-nération systématique. —
Faisceaux
à fibres longues. — Faisceaux à fibres courtes. —
pables de dégé-nération systématique. — Faisceaux à fibres longues. —
Faisceaux
à fibres courtes. — Schéma. Cordons postérieurs
ues. — Faisceaux à fibres courtes. — Schéma. Cordons postérieurs. —
Faisceaux
intrinsèques. — Faisceaux de Burdach et faisceaux
courtes. — Schéma. Cordons postérieurs. — Faisceaux intrinsèques. —
Faisceaux
de Burdach et faisceaux du Goll. — Faisceaux extr
dons postérieurs. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach et
faisceaux
du Goll. — Faisceaux extrinsèques. — Faisceau cér
aisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach et faisceaux du Goll. —
Faisceaux
extrinsèques. — Faisceau cérébelleux direct. Co
aisceaux de Burdach et faisceaux du Goll. — Faisceaux extrinsèques. —
Faisceau
cérébelleux direct. Cordons antéro-latéraux. —
insèques. — Faisceau cérébelleux direct. Cordons antéro-latéraux. —
Faisceaux
intrinsèques. — Faisceaux extrin-sèques. — Faisce
elleux direct. Cordons antéro-latéraux. — Faisceaux intrinsèques. —
Faisceaux
extrin-sèques. — Faisceau pyramidal. Résultats
téro-latéraux. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux extrin-sèques. —
Faisceau
pyramidal. Résultats fournis par l'expérimentat
Faisceau pyramidal. Résultats fournis par l'expérimentation. — Les
faisceaux
antéro-latéraux sont-ils excitables? L'excitabili
Les faisceaux antéro-latéraux sont-ils excitables? L'excitabilité du
faisceau
pyramidal est manifeste chez l'homme dans tout le
l est manifeste chez l'homme dans tout le trajet cérébro-spinal de ce
faisceau
. — Expériences de Vulpian, Schiff. — Hémisections
émisections spinales. — Vivisections de Woros-chiloff. — Influence du
faisceau
pyramidal sur l'activité réflexe de la moelle épi
aisceau pyramidal sur l'activité réflexe de la moelle épinière. — Les
faisceaux
pyramidaux sont les conducteurs des incitations v
ONZIÈME LEÇON. séméiologie générale des générations secondaires du
faisceau
pyramidal. Sommaire. — Description de la mala
er est circonscrit où il a des chances de s'agrandir. —L'intégrité du
faisceau
pyramidal esta la condition sine qua non de la gu
lérose descendante.... 335 QUINZIÈME LEÇON. RÔLE physiologique du
faisceau
pyramidal dans la contracture per-manente ; hémip
spas-modique. Sommaire. — Relations des extrémités périphériques du
faisceau
pyramidal avec les cellules des cornes antérieure
lite. — Théorie de l'irritation des tubes nerveux mélan-gés à ceux du
faisceau
pyramidal. La cause immédiate de la contracture
sur le développement des dégénérations secondaires. 151 ; — Trajet du
faisceau
pyra-midal dans la —, 210 ; — Genou de la —, 210,
ordons médullaires, 184 ; — de Goll, de Burdach, pyramidaux, etc. (V.
Faisceaux
); — postérieurs (dé-génération), 261. Cornes an
de cause spinale, 218, 250; —descendantes et ascendantes 253,254 ; —
Faisceaux
de Goll et de Burdach, 267 ; — reproduites par l'
E Etage supérieur, 113. Etage inférieur, 6 ; — sa division, en
faisceaux
distincts, 112 ; — Fais-ceau centripète de Meyner
s, 112 ; — Fais-ceau centripète de Meynert, 113, 229 ; — rôle de ce
faisceau
, 116 ; — Faisceau pyramidal dans V —, 204 ; — S
centripète de Meynert, 113, 229 ; — rôle de ce faisceau, 116 ; —
Faisceau
pyramidal dans V —, 204 ; — Structure et développ
spinale pbovoquée, 807. Erythème des fesses, 296. Excitabilité du
faisceau
pyramidal, 287. Expansion pédonculaire, 206. F
bilité du faisceau pyramidal, 287. Expansion pédonculaire, 206. F
Faisceaux
spinaux, 183 ; leur auto-monie, 187 ; — leur déve
pé-donculaires directes et fibres pé-donculaires indirectes, 170 ; —
Faisceau
pyramidal dans le —, 205 ; Pédoncules cérébraux
rveux central est avant tout une ana- tomie de texture : suivre les
faisceaux
qui le constituent, en établir l'origine, le tr
a pathologie expérimentale, à savoir : que la dégé- nérescence d'un
faisceau
encéphalique ou médullaire suit un trajet a i
suit un trajet a il ( PRÉFACE. déterminé, ne se propage pas aux
faisceaux
voisins et respecte les cellules nerveuses neur
s de 2", 3e, 4° ordre, etc., - autour des- quelles les fibres de ce
faisceau
se terminent en s'arborisant. Si, pour ce qui c
donner une représentation simple et commode du trajet de tel ou tel
faisceau
nettement déterminé, il faut bien reconnaître que
'heure actuelle, l'origine cellulaire et la terminaison de tous les
faisceaux
encéphaliques et médullaires sont encore loin d
s, l'origine cellulaire, le trajet et la terminaison des différents
faisceaux
du névraxe, constituent donc le chapitre le plu
G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. rhtndcronvragc. certain nombre de
faisceaux
encéphalo-médullaires. Le résultat de ces re- c
ment en revue l'origine, le trajet et la terminaison des différents
faisceaux
du cerveau : faisceaux d'association qui relient
, le trajet et la terminaison des différents faisceaux du cerveau :
faisceaux
d'association qui relient deux régions plus ou
relient deux régions plus ou moins éloignées de l'écorce cérébrale,
faisceaux
commissu- raux qui unissent les deux hémisphère
isceaux commissu- raux qui unissent les deux hémisphères entre eux,
faisceaux
de projection enfin, dont les connexions sont b
sériées, nous abor- derons l'étude synthétique de leurs différenls
faisceaux
, ainsi que l'origine de leurs nerfs respectifs.
is Reil sous le nom de capsule interne, et avait réussi à suivre le
faisceau
que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de
suivre le faisceau que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de
faisceau
pyramidal, depuis les pyramides du bulbe, jusqu
ans l'encéphale ou dans la moelle épinière, le trajet de tel ou tel
faisceau
déterminé, depuis son origine jusqu'à sa terminai
développement, étude de l'apparition de la myéline dans tel ou tel
faisceau
ou méthode de Flechsig; l'Anatomie comparée, co
dégénérescences permet de suivro la partie fondamentale d'un
faisceau
beau- coup mieux que le trajet des fibres col
méthode a été employée plus d'une fois, pour élucider le trajet de
faisceaux
nerveux traversant des plexus ou s'anastomosant e
s dégénérescences secondaires, et partant d'étu- dier le trajet des
faisceaux
altérés, mais ici l'anatomie pathologique avait
us savons aujourd'hui, de par l'anatomie pathologique, que certains
faisceaux
dégénèrent dans toute leur longueur à la suite
sériées - à l'étude de ces dégénérescences, a permis d'étudier des
faisceaux
à trajet plus ou moins compliqué. Mais, et no
ouvrent de myéline, à une époque déterminée et variable suivant les
faisceaux
. Les anatomo-pathologistes et les embryogéniste
toute différente de celle qu'il présentera par la suite, et que les
faisceaux
de la moelle épinière, ne présentent pas encore t
rtie postérieure des cordons latéraux de la moelle et en dehors des
faisceaux
pyramidaux, l'existence d'un faisceau distinct
e la moelle et en dehors des faisceaux pyramidaux, l'existence d'un
faisceau
distinct contenant des fibres blanches. Parrot,
acide osmique, et toutes les parties des coupes correspondant à des
faisceaux
non encore développés (c'est-à-dire dont les tu
en général dans le sys- tème nerveux central le trajet de certains
faisceaux
. Mais cette méthode ne présente pas une sécurit
loc si, basée sur 'ut,o que d'apparition d la myéline dans le
faisceaux
. I Foville. ! ! Anse rolandique d. Parrot
rnir de précieux renseignements. Mais au point de vue du trajet des
faisceaux
, l'anatomie comparée a rendu relativement moins
ec succès, pour étudier au moyen des dégénérescences, le trajet des
faisceaux
dans le système nerveux cen- tral, et, on a pra
re une méthode importante de recherches, en montrant que tel ou tel
faisceau
cérébral ou médullaire, fait défaut à la suite
ment dite du cerveau, mais les masses ganglionnaires, ainsi que les
faisceaux
de subs- tance blanche qui le constituent, il f
liquide de Millier. Sous l'action de l'imprégnation chromique, les
faisceaux
de la substance blanche apparaissent en effet ave
, et les différents lobes du manteau cérébral Différenciation des
faisceaux
par le dur- cissement au bichro- hlatC-\ "
centre ovale, à la suite de lésions de la corticalité. L'étude des
faisceaux
d'association et de projection des lobes frontaux
es frontaux et occipitaux-pédoncule antérieur de la couche optique,
faisceau
uncinatus, faisceau arqué, faisceau longitudina
itaux-pédoncule antérieur de la couche optique, faisceau uncinatus,
faisceau
arqué, faisceau longitudinal inférieur, radiation
antérieur de la couche optique, faisceau uncinatus, faisceau arqué,
faisceau
longitudinal inférieur, radiations optiques, etc.
Cu, hémisphères du cervelet. Epa, espace per- foré antérieur. - Fe,
faisceau
en écharpe de Férié. - 1, insula. - i, sillon d
eut par conséquent, assister au mode de formation de tous les
faisceaux
de cette dernière région. Du reste, quand
que la disposition des dégénérescences secondaires de certains gros
faisceaux
. Mais cette méthode a donné depuis longtemps to
ce de section de la protubérance, s'il existe une dégénérescence du
faisceau
pyramidal ou du ruban de Reil, puis on sépare l
principe qu'en anatomie pathologique comme en anatomie normale, les
faisceaux
nerveux doivent être étudiés de préférence, sur d
ion très grande, mais on peut étudier dans tout l leur trajet les
faisceaux
at- teints de dégénérescence, ce qu'il est im
les dégénérescences vraiment importantes à étudier, sont celles des
faisceaux
de la capsule interne et de la région de la calot
t après l'autopsie. Dans ce cas, pour étudier la dégénérescence des
faisceaux
en coupes sériées, on aura recours à la coupe d
D'une manière générale, il faut rapprocher les numéros, dès que les
faisceaux
approchent d'une région où ils changent de dire
nent sous son influence une coloration beaucoup moins foncée que le
faisceau
longitudinal inférieur, et ces différences d'inte
araît être un peu inférieure à cette dernière pour différencier les
faisceaux
les uns des autres. Avec la méthode de Weigert
les uns des autres. Avec la méthode de Weigert on obtient dans les
faisceaux
de l'encéphale, une gamme de colorations allant
eaux de l'encéphale, une gamme de colorations allant, . suivant les
faisceaux
, du bleu noir intense au brun noirâtre, plus va
longé dans de la glycérine picro-carminée et dissocié complètement,
faisceau
par faisceau, sur la lame porte-objet, dans quelq
la glycérine picro-carminée et dissocié complètement, faisceau par
faisceau
, sur la lame porte-objet, dans quelques gouttes d
de Weigert ou de Pal, méthodes qui, en différenciant fortement les
faisceaux
de fibres à myéline, fournissent une image autre-
es contours très justes, et une mise en place absolument exacte des
faisceaux
nerveux ainsi que des noyaux gris. Toutefois, c
- tiques pour se porter de la rétine au chiasma (crête basilaire,
faisceau
optique croisé) et de la rétine aux centres opt
respond au fais- . ccau optique croi- se ; la crête latérale au
faisceau
optique 9 direct. j - i FIG. 18. Encéphale
ron quatre semaines et - ' mesurant 6,9 mm. (D'après W. His.) Fo,
faisceau
, ovalaire ou postérieur. LA, lame alaire. - LF, l
- nal central.- CL, corno latérale.- Fa, formation arlplée. - Fa,
faisceau
ovalairo postérieur. Le. lame épondyniairo. Lge
tifs. Ces racines forment, en abordant la moelle épinière, un petit
faisceau
longitudinal, à section ovalaire, le cordon pos
rieure élargie du canal central et s'é- tend du bord antérieur du
faisceau
ova- laire, dont elle est séparée par le sillon
IIinterseitenstrang). Dans celte région apparaîtront plus tard le
faisceau
pyramidal croisé et le fais- ceau cérébelleux d
atérale. - Cpl, cordon postéro-latéral. Fa, formation arquée. Fo,
faisceau
ovalaire postérieur ? p,lame dpendymaire.- Lge,
siquement,ni morphologi quement. Entre le septum postérieur et le
faisceau
ovalaire, apparaît le cor- don de Goll, dont le
nal central. - CL, corne late- rale. - CP, corne postérieure. - Fo,
faisceau
ova- laire postérieur. - Rm, racine motrice. -R
nal central. - CL, corne latérale. -CI', corne postérieure. - 1·G,
faisceau
de Goll. - Fo, faisceau ovalaire postérieur. -
e latérale. -CI', corne postérieure. - 1·G, faisceau de Goll. - Fo,
faisceau
ovalaire postérieur. - Le, lame épendymairc. -
le. - CP, corne posté- ricuro. - Cpl, cordon postéro-latéral. - FG,
faisceau
de Goll. - Fo (1,'B), faisceau on-alaire postér
- Cpl, cordon postéro-latéral. - FG, faisceau de Goll. - Fo (1,'B),
faisceau
on-alaire postérieur ou faisceau do Burdach. -
FG, faisceau de Goll. - Fo (1,'B), faisceau on-alaire postérieur ou
faisceau
do Burdach. - Le. lame élxn<lynaire. - Rm, r
,2 âgé d'environ quatre semaines et demie. (D'après W. His.) Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - Fs, faisceau soli- t
e. (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fs,
faisceau
soli- taire. LA, lame alaire. - LF, lame fondam
DES CENTRES NERVEUX. Couche grise de la . substance réticulée.
Faisceau
longitu- dinal postérieur ' et formation blan
cordon antérieur primitif de His (primâre Vorderstrangfeld), le futur
faisceau
longitudinal postérieur de la calotte, l'homolo
Mis s'étend d'avant en arrière, et on y peut alors distinguer deux
faisceaux
, le faisceau longitu- dinal posté1'Íew' en arri
'avant en arrière, et on y peut alors distinguer deux faisceaux, le
faisceau
longitu- dinal posté1'Íew' en arrière, et la fo
ricule, forment à la surface extérieure de la lame alaire, un petit
faisceau
longitudinal à section ova- laire, connu sous l
t faisceau longitudinal à section ova- laire, connu sous le nota de
faisceau
solitaire (Tractussolitarius), faisceau. FiG. 3
laire, connu sous le nota de faisceau solitaire (Tractussolitarius),
faisceau
. FiG. 32. - Coupe transversale de la vésicule e
l, âgé d'environ quatre semaines et demie. (D'après W. His.) Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. Fs, faisceau solitaire.
demie. (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal postérieur. Fs,
faisceau
solitaire. - LA, lame alaire. - tir, lèvre rhom
E NERVEUX. 87 respiratoire (fib. 33, Fs), et qui est l'homologue du
faisceau
de Burdach de la moelle épinière. Dans la rég
n de 13mm,S, âgé d'environ cinq semaines. (D'après \V. His.) Plp,
faisceau
longitudinal postérieur. Fs, faisceau solitaire.
ines. (D'après \V. His.) Plp, faisceau longitudinal postérieur. Fs,
faisceau
solitaire. LA, lamo alaire. (r. lèvro rhom- boï
dedans; elles passent, les unes en avant, les autres en arrière du
faisceau
solitaire, et viennent se placer en avant de la
in de f3mm,6, âgé d'environ cinq semaines. (D'après W. His.) Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - Fs, faisceau solitaire
nes. (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fs,
faisceau
solitaire. LA, lame alaire. LF, lame fonda- men
forme au niveau de la substance gélatineuse de Iiolando, un second
faisceau
ovalaire, l'homologue du faisceau solitaire, s'
élatineuse de Iiolando, un second faisceau ovalaire, l'homologue du
faisceau
solitaire, s'unit intimement au début au faisce
e, l'homologue du faisceau solitaire, s'unit intimement au début au
faisceau
cérébelleux direct de Flechsig, et forme avec lui
de Flechsig, et forme avec lui le tractus inter- medius de Mis. Ces
faisceaux
sont bientôt recouverts par les fibres arquées
les. La région de la calotte précède donc dans son développement le
faisceau
pyramidal. Les parties constituantes du bulbe e
His.) Cio, couche inter-olivaire. - Crst, corps restiforme. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - Fs, faisceau solitai
t, corps restiforme. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fs,
faisceau
solitaire. - LA, lame alaire. lrs, lèvre rhomboïd
fibres se portent en avant et en dedans, et s'entrecroisent avec le
faisceau
pyramidal pour former Y étage antérieur de la p
ux n'atteignent leur aspect définitif, qu'après le développement du
faisceau
pyramidal, c'est-il-dire vers le milieu du cin-
ercule quadrijumeau postérieur fournit le ruban de Reil latéral, ou
faisceau
triangulaire de l'isthme de l'encéphale, ainsi qu
d'un côté à la région de la calotte du côté opposé, de là le nom de
faisceau
croisé de la calotte (Gekreutzer Haubentractus, T
ement exagéré des fibres tangentielles de l'écorce et représente le
faisceau
olfactif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl. (V
tion frontale ascendante. - Fi, première circonvolution frontale.-FT,
faisceau
de Tlirck. - Fus, lobule fusiforme. - GP, globu
en dedans de la bandelette optique. Ces dernières libres forment un
faisceau
i volumineux, qui se porte en dedans et en bas,
e à la partie externe du pied du pédon- cule cérébral et forment le
faisceau
de Tiirck (J. Dejerine). Les fibres du pied du
ent au niveau du collet du bulbe avec les fibres du côté opposé. Le
faisceau
direct, le plus petit, se rend dans le cordon ant
ns le cordon anté- rieur de la moelle du même côté, et constitue le
faisceau
pyramidal direct; le faisceau croisé se rend da
moelle du même côté, et constitue le faisceau pyramidal direct; le
faisceau
croisé se rend dans le cordon latéral du côté opp
dans le cordon latéral du côté opposé de la moelle, où il forme le
faisceau
pyramidal croisé. § 3. Développement du septum
et envoie dans les régions encéphaliques inférieures un volumineux
faisceau
de fibres. Le manteau cérébral ou pallium, persis
gement central ou interne des cellules épithéliales et constitue un
faisceau
de fibrilles, une sorte de colonne ou de pilas-
dans la zone des corps spon- gioblastiques, on trouve, entre les
faisceaux
de co- lonnes de la zone interne, des interva
nombre de cordons médul- laires longitudinaux, on re- FiG. 78. -
Faisceau
de spongioblastes et leur insertion dans la mem
quatre semaines environ et mesurant Gmm,9. (D'après W. His.) ro,
faisceau
ovalairc ou postérieur. - LA, lame alaire. - LF,
postérieure. - CL, corne- latérale. - p'a; formation arquée. - ro,
faisceau
ovalaire postérieur. - Le, lame épendymaires. - L
la surface de la moelle, où la plupart se bifurquent et forment un
faisceau
longitudinal, le cordon postérieur primitif; sur
surface de section plus ou moins arrondie qui lui a valu le nom de
faisceau
ovalaire (His) (fig. 84 et 85). Après un trajet a
gue (x° paire), forment, comme les fibres des ganglions spinaux, un
faisceau
longitudinal, qui descend plus ou moins bas dan
en g. va, fihre motrice se rendant dans un rameau sympathique. - j,
faisceau
longitudinal sectionné obliquement et dans lequel
bulbe la racine caudale du glosso-pharyngien connue sous le nom de
faisceau
solitaire, ainsi que la racine correspondante du
oi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cône épendymaire postérieur. 1
Faisceau
épcndy- mairc antérieur. Sillon postérieur et
en arrière le canal central définitif, se réunis- sent en un épais
faisceau
sagittal, le faisceau épendymaire postérieur, ou
entral définitif, se réunis- sent en un épais faisceau sagittal, le
faisceau
épendymaire postérieur, ou septum postérieur, q
es les collatérales. La commissure postérieure est formée par un seul
faisceau
. Méthode rapide de Golgi. (D'après v. Gehuchten
trajet dans les masses blanches encéphalo-mé- dullaires de certains
faisceaux
de fibres nerveuses. (Voy. méthode des dégénére
e et Sottas), ainsi que de la dégénérescence rétrograde de certains
faisceaux
médullaires, du faisceau pyramidal entre autres (
la dégénérescence rétrograde de certains faisceaux médullaires, du
faisceau
pyramidal entre autres (Sottas). Mais cette atr
er, Hensen et Vignal l'ont démontré, et se présentent sous forme de
faisceaux
de fines fibrilles, noyées au sein d'une matièr
même nerf périphérique se groupent ensemble, de telle sorte que le
faisceau
de fibrilles qui s'en détache et qui constitue
u premier mois chez l'embryon hu- main (llis), la périphérie de ces
faisceaux
de fibrilles est recouverte par des cellules co
mbryonnaires qui prolifèrent, pénètrent dans l'in- térieur même des
faisceaux
nerveux, s'y multiplient et divisent les fibrille
veux, s'y multiplient et divisent les fibrilles nerveuses en petits
faisceaux
qu'elles recouvrent (fig. 116). Ces cellules co
l) (fig. -lu7); elles s'appliquent en effet à la surface des petits
faisceaux
de fibrilles nerveuses, se modèlent sur Arboris
très intime, puis se soudent à elles-mêmes et constituent ainsi aux
faisceaux
de fibrilles une enveloppe spéciale, connue sou
parties essentielles de la fibre nerveuse sont consti- tuées : le
faisceau
de fibrilles en forme le cylindre-axe ; il est en
ryon de brebis de Om,3d5 de long. (D'après Vignal.) F, portion d'un
faisceau
du nerf sciatiqne. -a, fibres nerveuses. - b, cel
rf du centre à la périphé- rie (Vignal). FIa. 116. - Coupe d'un
faisceau
du sciatique d'un embryon de vache de 25 millim
b, cellules con- nectives embryonnaires recouvrant la périphérie du
faisceau
. Fig. 117. - fibres nerveuses (['un embryon de
yau en voie de di- vision, cette dernière est en partie détachée du
faisceau
. c, cellules connectives complètement détachées
chée du faisceau. c, cellules connectives complètement détachées du
faisceau
. 186 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. allongées
ale à la sub- stance grise centrale et qui comprend entre autres le
faisceau
pyramidal. Le cervelet enfin présente des systè
belleux, ainsi que dans la substance blanche de la moelle, d'autres
faisceaux
de fibres; les unes commissurales, celles du corp
sentant sur leur trajet de petites varicosités, et formant un gros
faisceau
, une sorte de panache, dont les fibres enchevêt
e-axile unique, on trouve encore, dans le ganglion sympathique, des
faisceaux
compacts de libres, qui tra- versent le ganglio
est formé par un amas de fibrilles de toute longueur, réunies en un
faisceau
cylindrique. Sur le nerf vivant comme sur le nerf
n. Ai : Quant à sa structure intime, le cylindre-axe est formé d'un
faisceau
de w$ fibrilles, plongées au sein d'une substan
lindre-axes nus, dépourvus de gaine de Schwann et groupés en petits
faisceaux
. De distance en distance, ces fibres sont recou
ernier tissu par l'emploi du rouge d'aniline, qui ne colore pas les
faisceaux
connectifs, tandis qu'il imprègne fortement les
lles présentent un aspect variqueux très pro- noncé, tandis que les
faisceaux
conjonctifs traités de la même manière conserve
onstituées par des cylindres-axes qui, parleur réunion, forment des
faisceaux
de diamètre variable, s'entrecroisant entre eux,
ui entoure un certain nombre de tubes nerveux, en les réunissant en
faisceaux
, le tissu conjonctif péi-1-fasci- culaire qui u
en faisceaux, le tissu conjonctif péi-1-fasci- culaire qui unit ces
faisceaux
, soit entre eux, soit au tissu conjonctif voisin,
et le tissu conjonctif iutra-fasciculaire situé dans l'intérieur des
faisceaux
et entre les tubes nerveux. La gaine lamelleu
gaine lamelleuse possède une structure d'autant plus simple, que le
faisceau
qu'elle circonscrit contient moins de tubes nerve
s en plus d'épaisseur. C'est ainsi que la gaine lamelleuse des gros
faisceaux
du nerf sciatique du chien peut présenter jusqu
paisseur de la gaine lamelleuse est d'au- tant plus marquée que les
faisceaux
nerveux sont plus gros; elle est éga- lement pl
rités. C'est ainsi qu'au lieu d'être entrecroisés en tous sens, les
faisceaux
affectent presque exclusivement la direction long
if illtra-fas- ciczclai·e. Ce tissu, qui existe à l'intérieur des
faisceaux
ner- veux et qui constitue le lissu de soutèn
ur y conduire les vaisseaux san- guins, soit pour cloisonner un
faisceau
et le diviser en deux. Quant aux fibres du tiss
ntent des crêtes et des dépressions ;orrespondant à l'empreinte des
faisceaux
conjonctifs et des tubes nerveux ;ur lesquels e
servation de la pré- paration dans la glycérine. - 150 diam. /'n,
faisceau
nerveux. - gl, gaine lamelleuse. - a, cloison d
ceau nerveux. - gl, gaine lamelleuse. - a, cloison de division d'un
faisceau
nerveux. - n, un faisceau nerveux très grêle. -
lamelleuse. - a, cloison de division d'un faisceau nerveux. - n, un
faisceau
nerveux très grêle. - v, vaisseau sanguin. - fe
istent pas à l'état de vaisseaux distincts, ni dans l'épaisseur des
faisceaux
nerveux, ni dans la gaine lamelleuse qui les en
ence terminale, la gaine de Henle se continue avec le sarcolemme du
faisceau
mus- culaire qui recouvre l'éminence terminale;
lontohlastes et atteint la surface do la domine. Fic. 144. - Deux
faisceaux
des muscles intercostaux du lapin, dis- sociés
'une de face, l'autre de profil. (D'après Ranvier.) N, nerf. - ¡11,
faisceau
musculaire. - p, plaque motrice vue do profil. -
orps calleux (Cc), qui se présente sous l'aspect de gros tractus de
faisceaux
blancs, dirigés transver- salement, et croisés
foré antérieur pour former la bandelette diagonale de Broca (bd) ou
faisceau
olfactif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl, et
e olfactif (Toi), dont les angles latéraux donnent naissance à deux
faisceaux
blancs, connus sous le nom de racine blanche ex
ame de substance blanche, la bandelette diagonale de Broca (bd), ou
faisceau
olfactif de la corne d'Ammon de Zuc1ccrkandl (R
et microscopiques.) ') Les bandelettes diagonales de Broca (bd) ou
faisceaux
olfactifs des cornes d'Ammon de Zuckerkandl, se
le bord adhérent du lobe sphénoïdal, en formant le plus souvent un
faisceau
unique, plus rarement dédoublé ou étalé à la su
s par un bord tranchant, libre, au- dessous duquel se dégagent deux
faisceaux
blancs d'aspect rubané, qui se MORPHOLOGIE CÉRÉ
n frontal. - f,, sillon olfactif ou quatrième sillon frontal. - Fe,
faisceau
externe du pédoncule cérébral. - Fin,. faisceau i
sillon frontal. - Fe, faisceau externe du pédoncule cérébral. - Fin,.
faisceau
interne du pédoncule cérébral. Fus, lobule fusi
iasma et chacune des bandelettes optiques con- tiennent en effet un
faisceau
visuel direct, un faisceau visuel ou optique ev
ettes optiques con- tiennent en effet un faisceau visuel direct, un
faisceau
visuel ou optique evoisé et un faisceau commiss
faisceau visuel direct, un faisceau visuel ou optique evoisé et un
faisceau
commissural ou azciforme; ce dernier occupe le bo
rieure de la base du cerveau ou commissure de Gudden (fig. 184). Le
faisceau
visuel croisé, le plus volumineux, occupe la face
a partie interne et supé- rieure du nerf optique du côté opposé. Le
faisceau
visuel direct, beaucoup moins volumineux, situé
isuel direct, beaucoup moins volumineux, situé dans la concavité du
faisceau
visuel croisé, atteint le bord externe de la ba
externe du nerf optique du même côté. Faiscoau visuel croisé.
Faisceau
visuel direct. F ! G. 184. - Isthme de l'encé
lette optique. Ca, étage supérieur ou calotte du pédoncule (région du
faisceau
triangulaire de l'isthme do l'encéphale). CG, c
ère paire ccrvic;tle. - C : 11, con- missure de Meynert séparant le
faisceau
externe 1'e, du pied du pédoncule du faisceau i
de Meynert séparant le faisceau externe 1'e, du pied du pédoncule du
faisceau
interne Pi. 1·'11, fasciculus l'ctl'utl0.Xl1 de
situé en dedans du sillon du nerf moteur oculaire commun 1/ entre le
faisceau
interne du pied du pédoncule Pi et le fasciculu
acine externe de la bandelette op- tique est constituée par les
faisceaux
vi- suels croisé et di- rect. La racine int
genouillés in- ternes. Commissure de Meynert. ! L'atrophie du
faisceau
croisé se manifeste par une coloration grise de
a face inférieure ou libre de la bandelette, limitée en dehors par le
faisceau
direct blanc et non dégénéré. Lorsque l'atrophi
aisceau direct blanc et non dégénéré. Lorsque l'atrophie atteint le
faisceau
direct, la lame grise dégénérée est située le l
externe du nerf optique du même côté. (Voy. Nerf optique, II.) Les
faisceaux
visuels croisé et direct constituent la racine ex
au postérieur. La commissure de Gudden se loge dans la concavité du
faisceau
visuel direct; convexe par sa face supérieure,
, et la commis- sure de Gudden se présente sous l'as- pect d'un
faisceau
ar- ciforme blanc, étendu d'un corps genouill
de la base, on trouve au-dessus de la bande- lette optique un autre
faisceau
commissural, la commissure de Meynert. Accolée
inage du chias- '' ma. (D'après Gudden.) Bll, bandelette optique (
faisceaux
visuels direct et croisé). CG, commissure de Gu
Guddpn. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 317 . missure de Meynert, un petit
faisceau
décrit par Gudden sous le nom de fais- ceau du
a substance grise située entre le pilier antérieur du trigone et le
faisceau
de Vicq d'Azyr. 2° La lame grise sus-optique ou
eure et médiane d'un cerveau durci dans le bichromate (fig. 188).
Faisceau
du tuber cinereum. Lame grise sus- optique
ge oplo-pédonculaire de l'homme, tractus pédonculaire transverse et
faisceau
aberrant du pilier antérieur du trigone. (D'après
. Cge, corps genouillé externe. Cgi, corps genouillé interne. fTga,
faisceau
aberrant du pilier antérieur du trigone. - If, in
pituitaire. La structure de ce lobe est rudimentaire : au milieu de
faisceaux
de fibres entrecroisées en tous sens et dont la |
provenant en grande partie des piliers antérieurs du trigone et du
faisceau
de Vicq d'Azyr, et d'un noyau gris central, qui
- ceau de Vicq d'Azyr (fig. 193), l'autre interne qui émet un petit
faisceau
de fibres longitudinales, le faisceau de la cal
tre interne qui émet un petit faisceau de fibres longitudinales, le
faisceau
de la calotte du tubercule mamillaire (Hau- ben
e la calotte du tubercule mamillaire (Hau- benbündel) de Gudden. Ce
faisceau
, parallèle à son origine au faisceau de ? i ? z,y
(Hau- benbündel) de Gudden. Ce faisceau, parallèle à son origine au
faisceau
de ? i ? z,yr, se porte en arrière vers la calott
ous croyons être les premiers à figurer chez l'homme, émet un petit
faisceau
qui se porte en arrière et en bas pour gagner d
pédoncule du tubercule mamillaire latéral (PTml, fig. 184 et 193),
faisceau
blanc, légèrement sail- 21 Existence rhoz l
cule mamillaire latéral est traversé par la plus grande partie des
faisceaux
radiculaires de la troisième paire. Le sommet d
hez ce dernier la voûte de l'espace perforé postérieur et reçoit le
faisceau
l'étroflexe de Meynert [fasciculus ? o/7p;E ? )
étroflexe de Meynert [fasciculus ? o/7p;E ? ). Chez les rongeurs ce
faisceau
forme, de chaque côté de la ligne médiane, une
ces vasculaires et remarquable par sa disposition fasci- culée. Les
faisceaux
affectent quelquefois une disposition parallèle e
postérieur. - Fcop, fais- ceau de la commissure postérieure. - Ftp,
faisceau
longitudinal postérieur. - Gip, ganglion inter-
rébelleux supérieur. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 32u accentué dans les
faisceaux
internes que dans les externes, de telle sorte
ne, la face super- ficielle du pied du pédoncule, et constituent le
faisceau
arciforme ou fais- ceau en écharpe de Féoé (fig
le faisceau arciforme ou fais- ceau en écharpe de Féoé (fig. 4). Ce
faisceau
représente une variété ana- tomique assez rare.
Chez les animaux tels que le lapin, où le mouvement de torsion du
faisceau
interne du pédoncule est peu accentué, la séparat
u pédoncule est peu accentué, la séparation du pied du pédoncule en
faisceau
interne et en faisceau externe est en général a
entué, la séparation du pied du pédoncule en faisceau interne et en
faisceau
externe est en général assez nette; elle est ét
point de pénétration de la commissure do : \Icyncrt s(pal.e 10
faisceau
interne du faisceau externe. lnc. 190. - Losa
n de la commissure do : \Icyncrt s(pal.e 10 faisceau interne du
faisceau
externe. lnc. 190. - Losange opto-pédonculaire,
190. - Losange opto-pédonculaire, tractus pédonculaire transverse et
faisceau
aberrant du pilier antérieur du trigone. (D'apr
, corps genouillé externe. - Cgi, corps genouillé interne. - fT,ga,
faisceau
aberrant du pilier antérieur du trigone. - lf, in
, on voit la commissure de Meynert se diviser en un grand nombre de
faisceaux
, qui traversent de part en part le faisceau ext
en un grand nombre de faisceaux, qui traversent de part en part le
faisceau
externe du pédoncule. Plus le faisceau interne du
raversent de part en part le faisceau externe du pédoncule. Plus le
faisceau
interne du pédoncule s'étale à la surface du fa
cule. Plus le faisceau interne du pédoncule s'étale à la surface du
faisceau
externe, plus le point de pénétration de la commi
ulum. - Nu, nerf optique. - Oi, olive inférieure ou bulbaire. - Pe,
faisceau
externe du pied du pédoncule. - Pi, faisceau inte
ieure ou bulbaire. - Pe, faisceau externe du pied du pédoncule. - Pi,
faisceau
interne du pied du pédoncule. - Po, protubéranc
eaux, ou au niveau des pédoncules cérébelleux supérieurs. Parmi ces
faisceaux
de fibres, plus ou moins variables comme nombre
, qui l'ont désigné sous le nom d'entrelacement transversal du gros
faisceau
fibreux, il a été bien décrit en 1870 par Gudden.
ination de ses fibres. L'origine cellulaire et la terminaison de ce
faisceau
formé de fines fibres nerveuses sont encore inc
oisement partiel du tractus peduncularis transversus (Gudden). Le
faisceau
transverse du pédoncule de Gudden ne doit donc pa
verse du pédoncule de Gudden ne doit donc pas être confondu avec le
faisceau
en écharpe de Féré ; ce dernier est un faisceau
re confondu avec le faisceau en écharpe de Féré ; ce dernier est un
faisceau
aberrant, plus ou moins volumineux et inconstan
e tractus peduncularis l1'anSVel'SIlS de Gudden représente un petit
faisceau
spécial, qui apparaît au voisinage, du tubercul
rfau- cularis l1'ansuerslis no doit pas être confon- du avec le
faisceau
en écharpe de Féru Tamia ]Jontis 011 bandel
ombre de petits fascicules disséminés, renforcés quelquefois par un
faisceau
qui se détache du sillon latéral de l'isthme de
té de la substance perforée posté- rieure, sous la forme d'un petit
faisceau
de substance blanche, le péclota- cule du tuber
h(l, chiasma des nerfs opti- ques. - Crst, corps restiforme. - rla,
faisceau
latéral du bulbe. - fat, libres arquées antérie
aisceau latéral du bulbe. - fat, libres arquées antérieures. - Fob,
faisceau
oblique de la protubérance. - Gp, glande pinéal
drijumeau antérieur. - Qp, tubercule quadrijumeau postérieur. - RI,
faisceau
triangulaire de l'isthme ou ruban de Reil latér
postérieur (BrQp) et une surface triangulaire décrite par Reil, le
faisceau
triangulaire de l'isthme, le ruban de Reil (1î,
érales de l'aqueduc de Sylvius. On y trouve, en outre, d'importants
faisceaux
de fibres nerveuses et un noyau volumineux bien
u rouge ou du pédon- cule cérébelleux supérieur, il existe un petit
faisceau
triangulaire, le faisceau longitudinal postérie
cérébelleux supérieur, il existe un petit faisceau triangulaire, le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp), au voisinage duque
Xoyau rouge de Stilling. Pédoncule cérébel- leux supérieur.
Faisceau
longitu- dinal postérieur. Noyaux de la troi-
éphale : elle est connue sous le nom de ruban de Reil laté- ral, de
faisceau
triangulaire de l'isthme (RI, fig. 189). Dans la
, cap- sule du noyau rouge. - Cgi, corps genouillé interne. - Fcop,
faisceau
de la commissure postérieure. - Flp, faisceau l
illé interne. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - FM, faisceau rètrof1ex
missure postérieure. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FM,
faisceau
rètrof1exe de Meynerl. . Ln, locus niger. - /Vm
m, tubercule mamillaire. -Tml, tubercule mamillaire latéral. - Tpl,
faisceau
transverse du pédoncule de Gudden. 1'a, troisième
ransverse du pédoncule de Gudden. 1'a, troisième . ventricule. -VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. x, entre-croisement de Forel ? 7,
Qp), le sillon longitudinal est bordé, de chaque côté, par un petit
faisceau
de fibres blan- ches qui appartient à la valvul
ntricule latéral. (Pièce durcie au bichromate.) Alv, alveus. - Arc,
faisceau
arqué. - AM, avant-mur. - CA, corne d'Ammon. - Ce
Lancisi. - i\L3,-2, noyau lenticulaire et ses trois segments. - OF,
faisceau
occipito.frontal. ot, sillon collatéral. - ot + t
ommissure antérieure. - com, commissure molle. - Cv, cervelet. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - Gh, ganglion de l'lm
us du corps calleux, le t<7'nia tecta (tec), et en dehors un petit
faisceau
de fibres blanches, dirigées d'avant en arrière
petit faisceau de fibres blanches, dirigées d'avant en arrière. Ce
faisceau
, qui n'est visible que sur la coupe du centre o
es les plus inférieures du cingulum (Cing), c'est-à-dire parle long
faisceau
d'associa- tion du lobe limbique. D'après Beevo
latéraux qui appartiennent à la circonvolu- tion godronnée, de gros
faisceaux
de fibres transversales.de 1 millimètre . \ L
ce striée. Ces stries, qui correspondent aux limites des différents
faisceaux
qui le constituent, affectent une disposition ver
(fig. 201 à 203). Le trigone est essentiellement constitué par deux
faisceaux
de fibres longitudinales, aplatis de haut en pa
fig. 200). En arrière MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 34"; et en avant ces
faisceaux
sont distincts, et forment les piliers postérieur
- NC (T), tronc du noyau caudé. - \'C', queue du noyau caudé. - OF,
faisceau
occipito-frontal.- pcn, picd de la couronne ray
ère de la commissure antérieure; d'autrefois il se dédouble en deux
faisceaux
de volume égal ou inégal, qui embrassent cette co
ceaux de volume égal ou inégal, qui embrassent cette commissure. Le
faisceau
antérieur est en général le plus grêle (fige02);
grêle (fige02); exceptionnelle- ment il est plus volumineux que le
faisceau
postérieur (zig. 203). Jusqu'aux travaux de Gud
c. gone ; aussi 1'orel a-t-il proposé de la designer sous le nom de
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA). Celui-ci constitue en effe
nom de faisceau de Vicq d'Azyr (VA). Celui-ci constitue en effet un
faisceau
indépendant du tri- gone cérébral ; il nait de
e termine dans le tubercule antérieur de la couche optique (Na). Le
faisceau
de Vicq d'Azyr relie donc le tubercule mamillai
sversales propres au trigone, le fornix transverse de Forel, ou wmi
faisceau
commissural des deux cornes d'Ammon. La lyre et
conséquent, ainsi que nous le verrons plus loin, dans le groupe des
faisceaux
de projection qui unissent l'hémisphère cérébra
ent à la substance perforée anté- rieure. Ces fibres constituent le
faisceau
olfactif de la corne d'Ammon qui Fin. 20 : i· C
g, circonvolution godronnée. - Cge, corps ge- nouillé externe. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Fus, lobule fusiforme.
a, l'op, libres antérieures et postérieures de la protubérance. Py,
faisceau
pyramidal. Rrrt, ruban de Reil médian. Rp, partie
la 3- paire. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 35t représente, un véritable
faisceau
d'association, reliant deux régions du rhi- nen
illé externe. Ci, capsule interne. coa, commissure antérieure. - Fli,
faisceau
longi- tudinal inférieur. - Fus, lobule fusifor
, l'op, fibres antérieures et postérieures de la protubérance. l'y,
faisceau
pyramidal.- RC, radiations de la calotte. Rm, r
u rhinen- céphalon, car le fornix transverse de Forel représente un
faisceau
commis- sural jeté entre les deux cornes d'Ammo
e. cop, commissure postérieure. C V, hé- misphère cérébelleux. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - fs, fissura serotina
en arrière, les fibres longitudinales du trigone qui constituent le
faisceau
olfactif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl ; ces
le. - NC(T), tronc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. OF,
faisceau
occipito-frontal. - pCli, pied de la couronne r
inbus postc- l'iol' corporis slriati de 1\'illis (le), estun petit
faisceau
de libres nerveuses qui occupe la partie inféro
un grand nombre de libres de la couche optique et s'épanouit en un
faisceau
de libres qui parcourant, la voûte de la corne
droit. Carrefour ventriculaire, noyau caudé, couronne rayonnante et
faisceau
uncinatus. (D'après la photographie d'une pièce d
e, diverticule du cunéus. - dlg, aiverticule du lobule lingual. Fu,
faisceau
uncinatus.-iep, insertion de l'épendyme ventricul
'avec celles appartenant au système calleux, et de les rattacher au
faisceau
d'association que nous décrirons plus loin sous l
faisceau d'association que nous décrirons plus loin sous le nom de
faisceau
occipito-fontccl de Forel et Onufrowicz (OF). L
es et toile choroïdienne sont colorés en rouge. Alv, alvéus. - Arc,
faisceau
arqué. - AJl, avant,-mur. - CA, corne d'Ammon, -
Lancisi. - NL"NL"NL" noyau lenticulaire et ses trois segments. OF,
faisceau
occipito-frontal. - ot, sillon collatéral. - ot +
- Th, couche optique (tha- lamus). 11, troisième ventricule. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. VG, veine de Galien. Vl, ventricu
noyau caudé. NC", partie recourbée delà queue du noyau caudé. - OF,
faisceau
occipito-frontal. Pclel, plexus choroïdes. Pul,
ne ; celle-ci traverse sa substance sous forme de stries ou de gros
faisceaux
blancs, et le divise en deux parties ou noyaux, l
dant au segment rétro-lenticulaire delà capsule interne (Cirl). Les
faisceaux
de la capsule interne passent par les intervalles
ourbée de la queue du noyau caudé (NC"). Ces libres appartiennent, au
faisceau
de Tiirck et à la couronne rayonnante du lobe t
Ses rapports avec . la substance grise sous-opendymaire et le
faisceau
occipito- frontal. { 1 tronc, la face inf
blanche comprenant la .couronne rayon- nante du lobe temporal et le
faisceau
de.TÜl'ck.. (Voy..Coupe,s vertico-t1'aTlS- vers
droit. Carrefour ventriculaire, noyau caudé, couronne rayonnante et
faisceau
uncinatus. (D'après la photographie d'une pièce d
! c, diverticule du cunéus. dlg, diverticule dulobule lingual. Fu,
faisceau
uneinatus. - iep, insertion de l'épendyme ventric
Sge) particulièrement épaisse à ce niveau (fig. 241 et suiv.) et du
faisceau
d'association occipito-fl'ontal de Forel (OF).
se en arrière sur la couronne rayonnante du lobe temporal et sur le
faisceau
de 7M ? 'cZ' qui occupe le segment externe du p
olet, ou substance inno- minée de Reichert (Sti) qui contient trois
faisceaux
importants : la partie externe de la commissure
du genou du corps calleux et en dehors par la capsule externe et le
faisceau
uncinatus (Fu) (fig. 242 et 243). Les bords du
Le bord supérieur est longé par les fibres les plus inférieures du
faisceau
arcifo1'11le (Arc). Le bord interne se voit sur
le segment postérieur de la capsule interne, concourent à former le
faisceau
lenticulaire cle Forel (FI) (désigné par Forel
sceau lenticulaire cle Forel (FI) (désigné par Forel sous le nom de
faisceau
IL). D'autres fibres enfin se rendent au corps
entent un fais- ceau constant dans toute la série des Vertébrés, le
faisceau
basai du cerveau antérieur d'Edinger (basales V
au caudé. j NC", partie recourbée de la queue du noyau caudé. - OF,
faisceau
occipito-frontal. l'chl, plexus choroïdes. - 13
commissure de Gudden. Ces deux corps genouillés sont réunis par un
faisceau
blanc, l'anse M<<e ? yeMpM ! 7/ee de Raub
te du noyau caudé. Les coupes horizontales montrent qu'elle émet un
faisceau
volumi- neux, qui la sépare du noyau caudé et q
e partie des fibres du segment antérieur de, la capsule interne; ce
faisceau
porte le , nom de pédoncule antérieur de la cou
elles de l'insula. Le pédoncule antérieur est constitué par un gros
faisceau
de libres qui proviennent du lobe frontal, se d
des noyaux externe et interne. Il reçoit au niveau de ; sa tête le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA) qui l'entoure à la façon d'un
près de la face supérieure de la couche optique, dans la région du
faisceau
de Vicq d'Azyr, où ces deux noyaux ne font qu'u
e à la pénétration de nombreuses stries blanches transversales, les
faisceaux
radiés de Meynert, qui proviennent des pédoncul
lenticulaire. Région sous-thala- mique de la capsule interne.
Faisceau
externe du pédoncule ou 1\ de Türclc e. Dis
postérieure du segment postérieur de la capsule, et constituent le
faisceau
dit « de l'i1-ek ». Ce faisceau prend peu à peu
ur de la capsule, et constituent le faisceau dit « de l'i1-ek ». Ce
faisceau
prend peu à peu en descendant une direction verti
terne se déployer en un vaste éventail. D'abord amassées en un gros
faisceau
au niveau du pédoncule cérébral, les fibres se dé
espond aux fibres de projection du lobe temporal, en particulier au
faisceau
de Tiirck. (Voy. fig. 214.) . BIBLIOGRAPHIE.
grande, suivant laquelle sont sectionnées les fibres de tel ou tel
faisceau
de la substance blanche, mais encore il l'angle d
blanche, mais encore il l'angle d'incidence des rayons lumineux. Un
faisceau
sectionné perpendiculairement il la direction d
erpendiculairement il la direction de ses fibres apparaît foncé, un
faisceau
sectionné parallèlement à la direction de ses f
dans une partie plus ou moins grande de leur trajet principal, les
faisceaux
encé- phaliques d'un certain volume. Mais, pour
Mais, pour une étude complète soit de l'origine et du trajet de ces
faisceaux
, soit des rapports que ces derniers affectent a
capsule interne et de la région sous-optique, de même que celle des
faisceaux
commissuraux, d'association et de pro- jection,
e sillon interpariétal (ip), paraissent plus profonds que la - Arc,
faisceau
arqué. C, cunéus. Ce, corps calleux. Cing, cingul
ion des fibres nerveuses il ce niveau. On y reconnaît cependant les
faisceaux
suivants : 1° Le long de la première cil'- conv
e long de la première cil'- convolution limbique (L,), se trouve le
faisceau
d'association du lobe limbique ou cingulum (Cin
es d'association klllpol'o-occipito-j'I'oniales, qui constituent le
faisceau
arqué de Burdach ou faisceau longitudinal supérie
cipito-j'I'oniales, qui constituent le faisceau arqué de Burdach ou
faisceau
longitudinal supérieur (Arc). Le faisceau arqué
sceau arqué de Burdach ou faisceau longitudinal supérieur (Arc). Le
faisceau
arqué est mal délimité sur ces coupes; il se prés
eure de ses fibres section- nées parallèlement il leur axe. Mais ce
faisceau
est traversé par toutes les fibres, frontale as
cette grande intrication de fibres explique les limites diffuses du
faisceau
. En dehors du faisceau arqué, on trouve les fibre
n de fibres explique les limites diffuses du faisceau. En dehors du
faisceau
arqué, on trouve les fibres Arc, faisceau arque
du faisceau. En dehors du faisceau arqué, on trouve les fibres Arc,
faisceau
arque.C, cuncus ? Ce, corps calleux.-Ce, capsule
ntale. NC, noyau caudé.- 0" première circonvolution occipitale. - OF,
faisceau
occipito- frontal. - Pu, circonvolution pariéta
La substance grise sous-épendymaire (Sge, Sé), est embrassée par un
faisceau
compact de fibres obliquement sectionnées sur l
au compact de fibres obliquement sectionnées sur la coupe, c'est le
faisceau
occipito- frontal de Forel (OF), la couronne ra
de Forel (OF), la couronne rayonnante du noyau caudé de Meynert. Ce
faisceau
n'a très probablement rien faire avec le noyau ca
faisceau n'a très probablement rien faire avec le noyau caudé (voy.
Faisceau
occipito-frontal, Chap. IV). Il possède une d
es, dans l'absence congénitale du corps calleux, en particulier, le
faisceau
occipito- frontal se réunit au cingulum (Cing)
cipito- frontal se réunit au cingulum (Cing) et forme un volumineux
faisceau
à direction antéro-postérieure, dont la surface
ution limbique (gyrus for ni- . catus) toujours très déformée (voy.
faisceau
oécipito-fl'ontal), En avant, ce faisceau se re
jours très déformée (voy. faisceau oécipito-fl'ontal), En avant, ce
faisceau
se retrouve dans- toute la série des coupes horiz
e pied de la couronne . rayonnante (pCR) (Ji-. 228). En arrière, le
faisceau
occipito-frontal recouvre de môme la substance
e tapetum (Tap) des auteurs anciens. Entre les deux extrémités du
faisceau
occ ? <o-/7'o);/f<, on trouve le noyau ca
blanc, situé en dehors de la couronne rayonnante, est constitué parle
faisceau
, arqué ou faisceau longitudinal supérieur de Bu
s de la couronne rayonnante, est constitué parle faisceau, arqué ou
faisceau
longitudinal supérieur de Burdach (Arc), qui se c
angulaire du cingulum (Cing), qui forme, en ayanl et en arrière, un
faisceau
foncé nettement délimité, correspondant aux extré
imité, correspondant aux extrémités antérieure et postérieure de ce
faisceau
, dont la coupe 25 (Iig. c ? 19) intéresse les lib
en- tourée par la substance grise sous-épendymaire (Sge) et par le
faisceau
ocei/ilo- frontal (OF), son extrémité postérieu
x (Ce), qui recouvre et masque peut-être l'extrémité postérieure du
faisceau
occipito- frontal. En dedans, le ventricule est
l'insula (ms), on trouve une lame blanche, formée par les fibres du
faisceau
arqué ou longitudinal supérieur (Arc), et la pa
son bord externe. 394 ANATOMIE DES CENTRES'»N KRVEUX. ? A part le
faisceau
arqué nettement limité en; ùeda ",0 ? '1J.2 peut
recon- naître dans la masse blanche sous-jacente à l'écorce, aucun
faisceau
distinct. Les fibres courtes d'association de l
nvexité présentent pour la'plupart une direc- Alfl, avant-mur. Arc,
faisceau
arque. - C, cunéus. - Cc, corps calleux. - Ce, ca
piquement, ni microscopiquement, il n'est possible, de délimiter un
faisceau
dans l'intrication des fibres blanches sous-jacen
ing) et la substance grise sU/ls-l;pl'nd ! l1/wirl ! (Sge) coiffée du
faisceau
occipito- frontal (OF). Le bourrelet limite en
rtient ainsi que le montrent les cas d'agénesie du corps calleux au
faisceau
occipito-frontal (OF), se distingue nettement du
sillons frontaux. - Fa, circonvolution frontalc ascendante. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. /, insula. - ip, sillon i
eue du noyau caudé. - 0,, première circonvolution occipitale. - OF,
faisceau
uccipito-fruntal. P>, circonvolution pariétale
des fig. -217 et 218. (Gran- deur naturelle.) AU, avant-mur. Arc,
faisceau
arqué. - C, cunéus. - Ce (y), genou du corps call
me sillons frontaux. Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - /, insula. - la, Ip,
eue du noyau caudé. - 0., première circonvolution occipitale. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - Pa, cir- convolution pariét
récé- demment le ventricule latéral (VI), entourée en dehors par le
faisceau
occipito- frontal (OF). Corps opto-striés. La
formée par la capsule externe (Ce) qui se continue en arrière avec le
faisceau
, longitudinal inférieur (Fli) et sépare le pu/a
me sillons frontaux. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli,
faisceau
longitu- . dinal inférieur,- I, insula. - if, i
re. - 0" 0" première et deuxième circonvolutions occipitales. - OF,
faisceau
occipito-frontal. OpF" opercule de la troisième
. 392), ou encore par le carmin, on y reconnaît l'existence de deux
faisceaux
: l'un interne appartenant au système dés radiati
s thalamiques (RTh), l'autre externe, faisant partie du système des
faisceaux
d'association et constitué par le faisceau long
t partie du système des faisceaux d'association et constitué par le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). Dans le lobe fron
comme précédemment la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le
faisceau
occipito-fiontal (Or). Noyaux opto-striés. - La
eur, les radiations optiques de Gratiolet (l,Tli), et les fibres du
faisceau
longitudinal infënic.2cr (Fli). Coupe n° 58 (fi
sillons frontaux. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Fm, forceps major. I, i
utions occipitales. oa, sillon occipital antérieur de Wernicke. OF,
faisceau
occipito-frontal. - OpF,, opercule de la troisièm
lution frontale. f,, f2, premier et deuxième sillons frontaux. - pli,
faisceau
longitudinal inférieur. Fm', faisceau inférieur
ième sillons frontaux. - pli, faisceau longitudinal inférieur. Fm',
faisceau
inférieur ou minor du forceps. l, insul : t. ifop
s occipitales. - oa, sillon occipital anté- rieur dcWcrnicke. - OF,
faisceau
occipito-froutal. OhR, opercule rolandique. po.
ptique (Th). La corne occipitale (Voc) est limitée en dedans par le
faisceau
inférieur du forceps du corps calleux (Fm'), et
sure calcarine (K), par une couche de fibres foncées appartenant au
faisceau
postérieur du cingulum (Cing); en dehors, la co
ée par les radiations thalamiques (RTh) et la partie externe par le
faisceau
longitu- COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 407
de la capsule interne. Ci(g), genou de la capsule interne. - Cing,
faisceau
horizontal du COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU.
stance grise sous-épendymaine du ventricule latéral (Sge) et par le
faisceau
, occipi/o-fror7tal (OF). Son angle interne est en
e qu'elle est sur les coupes nos55, 58 et 63 (fig. 4, 225, 227). Le
faisceau
arqué a disparu, les cil'- convolutions frontal
t assez nettement le centre ovale (CO). Le cingulum (Cing) forme un
faisceau
compacte, sectionné transversalement, qui entou
ar sa coloration foncée d'avec les fibres d'association voisines; son
faisceau
postérieur (Cingfp]) se trouve sectionné dans l
ctionné dans l'isthme du lobe limbique (Len arrière et en dedans du
faisceau
, inférieur du forceps du corps calleux (Fin').
outre les fibres d'association propres des cir- cingulum. Cing(p),
faisceau
postérieur du cingulum. Cip, segment postérieur d
ntaux. - F3{c), cap de la troisième circonvolution frontale. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe
irconvolution frontale. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FM,
faisceau
rétroflexe de Nlcy·nert. - Fin', faisceau infér
itudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe de Nlcy·nert. - Fin',
faisceau
inférieur ou minor du forceps. - Gh, ganglion de
tions occipitales. - oa, sillon occipital -antérieur de Wernicke. OF,
faisceau
occipito-frontal. - oi, sillon intcr-occipital.
tions, la couche sagittale du lobe occipital, formée en dehors par le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli), en dedans par les
i), en dedans par les radiations thalamiques de Gratiolet (RTh). Le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) prend son origine da
a première circonvolution temporale (T,) et dont on peut suivre les
faisceaux
jusqu'à la pointe temporale, et une partie antéri
ire (putamen) (NL.,) et se confond avec la capsule externe (Ce). Le
faisceau
longitudinal inférieur constitue donc un faisce
externe (Ce). Le faisceau longitudinal inférieur constitue donc un
faisceau
d'association occipito-tezyoonal, qui dégénère da
diations thalamiques (RTh) qui passent entre le tapetum (Tap) et le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) et qui s'irradient p
ulaire (lmi, Finie). Ils sont sillonnés par un très grand nombre de
faisceaux
de fibres blanches, qui traversent les trois se
culus retroflexus de jlleynert (FM) qui apparaît sous l'aspect d'un
faisceau
foncé; en dedans, le ganglion de l'habénula est
le noyau lenticulaire en arrière, où il sépare le pulvinar (Pul) du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). On peut donc le div
gt;71a tecta (tec) et le cingulum (Cing), qui affecte la forme d'un
faisceau
triangulaire nettement délimité. La face profonde
ventricule, avec la substance grise soo.s-r·pendyrzaire (Sge) et le
faisceau
occipito-frontal (OF). Cette coupe passe comme
four ventriculaire par la saillie de la corne d ? blt1non (CA) et le
faisceau
inférieur du forceps du corps calleux (Fm')en d
ieur du forceps du corps calleux (Fm')en dedans duquel on trouve le
faisceau
postérieur du cingulum (Cing [p]). Au niveau du
onde par les fibres d'association longues appartenant au système du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli), la troisième par
tions thalamiques de Gratiolet (RTh), la quatrième interne. - Cing,
faisceau
horizontal du cingulum. Cing(p) [faisceau postéri
uatrième interne. - Cing, faisceau horizontal du cingulum. Cing(p) [
faisceau
postérieur du cingu- lum. - Cip, segment postér
on frontale. - fi, fi, premier et deuxième sillons frontaux. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Fm', forceps minor. - f,,
circonvolutions occipitales. - oa, sillon occipital antérieur. - OF,
faisceau
occipito- frontal.O/Fj, opercule de la troisièm
oral profond. - V3, troisième ventricule. ? ruban de Vicq d'Azyr. VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - Vif, corne frontale du ventri
es quatre couches sont ici très nettes, immédiatement en arrière du
faisceau
inférieur du forceps. Elles s'effacent peuà peu
les fibres coupées perpendiculairement appartiennent au système du
faisceau
d'association occipito-frontal (OF). (Voy. Faisce
t au système du faisceau d'association occipito-frontal (OF). (Voy.
Faisceau
occipito- frontal.) En dehors du tapetum se tro
par les radiations optiques de Gratiolet (RTh) en dedans et par le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) en dehors. Corps o
- rieur de la. couche optique, on trouve la section transversale du
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA). La couche optique est réun
t'l, t'" fi, premier, deuxième et troisième sillons frontaux. - FI,
faisceau
lenticulaire de Forci. - Fli, faisceau longitudin
ième sillons frontaux. - FI, faisceau lenticulaire de Forci. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Il, hippocampe. - h,
. - 0,, 0 ? première et deuxième circonvolutions occipitales. - OF,
faisceau
occipito-frontal. oa, sillon occipital antérieur
mporaux. - V3, troisième ventricule. V, ruban de Vicq d'Azyr. - VA,
faisceau
de Vicqd'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale. - Voc,
nt parallè- lement à sa longueur, et se présente sous la forme d'un
faisceau
blanc qui double l'extrémité antérieure du lobe
suit dans toute l'étendue de la corne sphénoïdale, il est coiffé du
faisceau
postérieur du cingulum (Voy. Cingulum). En arri
,le tapetum (Tap), les radiations optiques de Gratiolet (RTh) et le
faisceau
longitudinal (Fli). Corps opto-striés.-Le noyau
o-interne du segment postérieur de la capsule (Cip), pour former un
faisceau
allongé, oblique en avant et en dedans, le faisce
pour former un faisceau allongé, oblique en avant et en dedans, le
faisceau
leur ticulaire de Forel (FI), qui appartient au
el (FI), qui appartient au système de la capsule du noyau rouge. Ce
faisceau
appartient déjà à la région sous-thalamique de Fo
s. f,, f" f3, premier, deuxième et troisième sillons frontaux. - FOI,
faisceau
de Meynert. FT, faisceau de Türck. - FU, faisce
ième et troisième sillons frontaux. - FOI, faisceau de Meynert. FT,
faisceau
de Türck. - FU, faisceau uncinatus. - Fli, faisce
frontaux. - FOI, faisceau de Meynert. FT, faisceau de Türck. - FU,
faisceau
uncinatus. - Fli, faisceau longitudinal inférie
de Meynert. FT, faisceau de Türck. - FU, faisceau uncinatus. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Gh, ganglion de l'lia
ions occipitales.-oa, sillon occipital antérieur de Wernicke. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - ol, sillon collatéral. - Qa,
u trigone. - troisième ventricule. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphenoïdale du ventri
aux. A sa partie externe, on trouve encore les derniers vestiges du
faisceau
occipito-frontal (OF) qui se confond avec la ma
t la surface de section présente l'aspect strié caractéristique des
faisceaux
de fibres qui le composent. Le cingulum (Cing)
es qui le composent. Le cingulum (Cing) apparaît sous la forme d'un
faisceau
triangulaire, dont le sommet se dirige en arriè
irige en arrière et se confond avec les fibres horizontales du même
faisceau
, situées entre le genou du corps calleux Cc[gJ)
res des lames médullaires du noyau lenticulaire se réunissent en un
faisceau
, l'anse du noyau lenticulaire (Al), qui contour
nterne de la région : sous-optique et présente à sa partie interne un
faisceau
sectionné transversale- ment, nettement délimit
ne un faisceau sectionné transversale- ment, nettement délimité, le
faisceau
9-et ? ,oflexus de Meynert (FM). Le corps genou
e quadrijumeau antérieur. (Qa) et de son bras connectif (BrQa). Les
faisceaux
blancs de la région sous-optique de Forel sont co
par la capsule du noyau rouge qui sur la coupe précédente reçoit le
faisceau
lenticulaire de Forel (FI, coupe n° 65 [fig. z28p
grise centrale (Sge), on trouve la section perpendiculaire de deux
faisceaux
, l'antérieur plus volumineux est situé en arriè
cule mamillaire. Il se pré- sente sur les coupes sous la forme d'un
faisceau
lâchement fasciculé. Le pos- térieur, le faisce
ous la forme d'un faisceau lâchement fasciculé. Le pos- térieur, le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA), se présente sous l'aspect d'
ieur, le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), se présente sous l'aspect d'un
faisceau
de fibres compactes et fines. Ces deux faisceau
sous l'aspect d'un faisceau de fibres compactes et fines. Ces deux
faisceaux
sont séparés l'un de l'autre par un assez grand
e ; le pilier antérieur du trigone se termine dans ce tubercule, le
faisceau
de Vicq d'Azyr y naît. - Le tubercule quadrijum
enticulaire au corps de Luys et appartenant en partie au système du
faisceau
lenticulaire de 422 ANATOMIE DES CENTRES NERVEU
et troisième circonvolutions temporales; ces fibres constituent le
faisceau
de Tiil'ck (FT) et des- cendent avec le segment
oncule dont elles forment environ le cinquième externe. Ces fibres du
faisceau
, de Tiil'ck dégénèrent, ainsi que l'un de nous
é et morcelé par des fibres blanches qui appartiennent en partie au
faisceau
, uncinalus (Fuj. La substance grise .eou.e-nlrc
circonvolution, limbique (L,), on trouve les fibres horizontales du
faisceau
antérieur du cill ! lulwn(Cing [a]) qui ne se d
elle ne dépasse guère la deuxième circonvolution temporale (T,). Le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) est très mal délim
, corps genouillé externe. - Cgi, corps genouillé interne. Cingla),
faisceau
antérieur du cingulum. - Cing(p), faisceau post
ouillé interne. Cingla), faisceau antérieur du cingulum. - Cing(p),
faisceau
postérieur du cingulum. CL, corps de Luys. CM,
s'frontalcs. - f,, (" premier et troisième sillons frontaux. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudi
me sillons frontaux. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - fs, sillon tardif (f
, incisure du sillon inter-occipital. - Ip, insula postérieur. - Fil,
faisceau
uncinalus. Fus, lobule fusiforme. H, hippocampe
mporal. \'3, troisième ventricule. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale. - IV, zo
édian (Rm), et près du raphé, en. avant de l'aqueduc de Sylvius, le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp). La partie antéro
nt dans la région du noyau supérieur de la troisième paire, avec le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp). La substance inn
mée de Reichert (Sti) est limitée, en avant et en arrière, par deux
faisceaux
larges et volumineux de coloration blanc nacré; l
ieure du lobe temporal droit il celle du lobe temporal gauche. Le
faisceau
postérieur appartient au système de la bandelette
conte- nant le noyau rouge (NR), le ruban de lcil médian (Rm) et le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) ; la région infér
ouve la surface de section du ruban de /<'e<7 médian (Rm), du
faisceau
loccifrcdi.ual postreriezcr(Iilp), ainsi que de
(Rm), du faisceau loccifrcdi.ual postreriezcr(Iilp), ainsi que des
faisceaux
radiculaires de la 3° paire (III); 3° l'étage sup
ce triangle gris est englobé, frontal. - 1·', champ de Forel. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longi-
. - 1·', champ de Forel. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp,
faisceau
longi- tudinal postérieur. - Fu, faisceau uncin
tudinal inférieur. - Flp, faisceau longi- tudinal postérieur. - Fu,
faisceau
uncinatus. - Fus, lobule fusiforme. - fa, troisiè
amillaire. - Va, troisième ventricule. V, ruban de Vicq d'Azyr. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale du ve
aux, on trouve les derniers vestiges de l'avat7t-nexc· (AM), que le
faisceau
uncinatus (Fu) sépare en avant et en arrière de
(Fu) sépare en avant et en arrière de l'écorce de l'insula (I). Ce
faisceau
, qui apparaît déjà sur les coupes précédentes,
aisceau, qui apparaît déjà sur les coupes précédentes, constitue le
faisceau
d'association des circon- valu/ions de l'entrée
précédemment, les fibres de projection du lobe splu;- noïdal et le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). En dedans, la corne
ce prolongement est entouré par les fibres du trigone et celles du
faisceau
postérieur du cingulum.. Dans cette région, la
sième circonvolutions frontales. - troisième sillon frontal. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudi
isième sillon frontal. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp,
faisceau
longitudi- nal postérieur. - Fu, faisceau uncin
tudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudi- nal postérieur. - Fu,
faisceau
uncinatus. - Fus, lobule fusiforme. 11, hippocamp
e. - st, velum terminale d'.Eby. Il, ]¡Iln- dclette optique. - Il],
faisceaux
radiculaires de la troisième paire. ) - 430 A
apparte- nant au système des radiations thalamiques (RTh) et par le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). Les libres d'as
niveau du dernier vestige de l'insula (I), on trouve les fibres du
faisceau
uncinatus (Fu), situées de chaque côté de l'éco
gnes 82 des fig. 217 et 218. sillon frontal ou sillon olfactif. - ?
faisceau
longitudinal inférieur. Fu, faisceau unci- natu
frontal ou sillon olfactif. - ? faisceau longitudinal inférieur. Fu,
faisceau
unci- natus. - Fus, lobule fusiforme. - Il, hip
rontales. - fa, troisième sillon frontal. - ? sillon olfactif. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - COUPES MACROSCOPIQUES
s avec l'écorce de la cir- convolution du crochet (U). En avant, le
faisceau
uncinalus (Fu) le sépare de l'écorce temporale.
ïdale est limitée par le tapetum (Tap), en dehors duquel on trouve le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). La couche des fib
nd ici avec celle des fibres d'association appartenant au 28 Fil.
faisceau
uncinatus. - Fils, lobule fusiforme. - H, circonv
"ç'\\ v \ . '' ? $' 434 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. système du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). La paroi interne de
- mi" face interne de la première circonvolu- tion frontale. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - oF,, partie orbitairc de la
volution limbique. - ¡¡¡F" circonvolution frontale ' interne. - OF,
faisceau
occipito-frontal. oF,, partie orbitaire de la p
tal. Lignes 37 des fig. `>3 et 236. (Grandeur naturelle.) Arc,
faisceau
arqué. - Cet ! ]), genou du corps calleux. - Ci
ic, incisure du cap. L,, première cir- convolution limbique. - OF,
faisceau
occipito-frontal. mF,, face interne de la premi
ntricule latéral (VL), ce système est en rapport en dedans, avec le
faisceau
occipito-frontal (OF), qui le sépare sur la cou
deuxième et troisième sillons frontaux. - fi, sillon olfactif. Fu,
faisceau
uncinatus. - ic, incisure du cap. LI, première
ace interne de la première circonvolution. - NC, noyau caudé. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - oF,, partie orbitaire de la
e frontal. Lignes 43 des fig. 23 et 236. (Grandeur naturelle.) Arc,
faisceau
arciforme. - Ce, corps calleux. - Cc', bec du cor
deuxième et troisième sillons frontaux. - fa, sillon olfactif. - Fu,
faisceau
unci- natus. - ic, incisure du cap. - L,, premi
audé. NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - OF,
faisceau
occipito-frontal.- oF,, partie orbitaire de la pr
es fi- bi-es d'association com- prend : les longs et les courts
faisceaux
d'asso- cialiuu; les premiers sont représenté
és par le cingulum (Cin),le/ûis- ceau occipito-frontal (OF), le
faisceau
arqué (Arc) et le faisceau uncinalus (Fu).
/ûis- ceau occipito-frontal (OF), le faisceau arqué (Arc) et le
faisceau
uncinalus (Fu). Le cingulum (Cing) appartient
46 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) AM, avant-mur. - Arc,
faisceau
arciforme. Ce, corps calleux. Ce', bec du corps
audé. - Nul" troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). OF,
faisceau
occipito-frontal. - oF,, partie orbi- taire de
UES DU CERVEAU. 443 corps calleux (sec) et le tania tecta (tec). Ce
faisceau
est intéressé deux fois sur ces coupes, ainsi d
rme dans toute la série des coupes vertico- transversales, un épais
faisceau
, qui présente, sur les coupes de cerveaux dur-
ux (Foa) de l'écorce de la première circonvolution limbique (LI),
Faisceau
occipito-frontal (OF). Ce faisceau qui met en con
circonvolution limbique (LI), Faisceau occipito-frontal (OF). Ce
faisceau
qui met en connexion le lobe 1l'oil- tal avec l
leux (Ce). Dans les cas d'agénésie du corps calleux, le cingulum elle
faisceau
ncciyilr>-fnorrtal ne forment qu'un seul et
m elle faisceau ncciyilr>-fnorrtal ne forment qu'un seul et môme
faisceau
, volumineux, 11 direc- tion antéro-postérieure,
du lobe limbique, qui dans ces cas est plus ou moins défiguré. Le
faisceau
arqué ou longitudinal supérieur de Burdach (Arc)
qué ou longitudinal supérieur de Burdach (Arc) pourrait êlre appelé
faisceau
de l'opercule il réunit la troisième circonvoluti
e coupes vertico-transver- sales il se présente, sous l'aspect d'un
faisceau
foncé, mal délimité en dehors, où il se confond
volution frontale (F.,), en bas, il s'effile et se continue avec le
faisceau
uncinalus (Fu) d'une part (coupes nos 40 et 43, ü
erne (C), d'autre part (coupes nos 43 et 46, fi. c ? .g.l- 3). Le
faisceau
, uncinalus (Fu) constitue un faisceau fortement a
et 46, fi. c ? .g.l- 3). Le faisceau, uncinalus (Fu) constitue un
faisceau
fortement arqué, qui réunit la partie orbitaire
euil de l'insula. Il se présente sur ces coupes, sous l'aspect d'un
faisceau
foncé, irrégulier, qui est limité en dedans par
on des circonvolutions voisines. 11 est impossible de décrire des
faisceaux
distincts, dans l'ensemble des fibres d'associa
fibres en U du fond des sillons on ne peut en effet décrire, comme
faisceau
distinct, un faisceau d'association de la premi
es sillons on ne peut en effet décrire, comme faisceau distinct, un
faisceau
d'association de la première (F,) ou de la deux
55 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) AM, avant-mur. - Arc,
faisceau
arqué, - Cc, corps calleux. - Ce', bec du corps c
ier sillon frontal. - Fa, cir- convolution frontale ascendante. Fu,
faisceau
uncinatus. - l, insula. - it, incisure temporal
caudé. NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). OF,
faisceau
occipito-frontal. oF, (G,'), partie orbitaire de
des fig. 233 et 236. (Grandeur naturelle.) AM, avant-mur. -11 Arc,
faisceau
arqué. Ce, corps calleux. - Ce, capsule externe.
premier sillon frontal. Fa, circonvolution frontale ascendante. Pu,
faisceau
uncinatus. - Fus, lobule fusiforme. - Il, circonv
3, NL ? troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - oI.1, partie orbi- taire de
blanches, formées d'abord par des fibres du système d'association,
faisceau
uncinatus (Fu), puis par des fibres du système co
paré de l'écorce de l'insula (1) par la capsule extrême (Cex) et le
faisceau
uncinatus (Fu). Il reste néanmoins au niveau de s
uré de la substance grise sous-épen- dymaire (Sge) qui le sépare du
faisceau
occipito-frontal (OF). ' . La masse blanche de
de la pré- cédente (n° 46) (fig. 242). Nous y. retrouvons les longs
faisceaux
d'association : le cingulum (Cing), le faisceau
trouvons les longs faisceaux d'association : le cingulum (Cing), le
faisceau
occipito-frontal (OF), le faisceau arqué ou longi
ciation : le cingulum (Cing), le faisceau occipito-frontal (OF), le
faisceau
arqué ou longitudi- nal supérieur Arc) et le fa
ntal (OF), le faisceau arqué ou longitudi- nal supérieur Arc) et le
faisceau
uncinatus (Fu). Dans le lobe temporal on ne peut
u uncinatus (Fu). Dans le lobe temporal on ne peut distinguer aucun
faisceau
. Les fibres courtes, comme les fibres longues d'a
naturelle.) Al, anse du noyau lenticulaire. - AM, avant-mur. - Arc,
faisceau
arqué. - Ce, corps calleux. - Cia, segment anté
emier sillon frontal. Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fu,
faisceau
uncinatus. Fus, lobule fusiforme.- I, insula.-
i. troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. OF,
faisceau
occipito- frontal. - OpR, opercule rolandique.
) est recouvert par la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le
faisceau
occipito-f1'ontal (OF). Au niveau de l'angle infé
e au putamen (NL3) quelques ponts de substance grise et de nombreux
faisceaux
blancs, constituant les fibres lenticulo-caudée
me) (Cex); en bas il s'étale, s'élargit et entre en rapport avec le
faisceau
uncinatus. (Fu) qui s'épanouit dans l'extrémité
ert en haut par la substance grise sous" : épendymaÎ7'e (Sge) et le
faisceau
occipilo-froaztal (OF); en bas, il est en rappo
naturelle.) Al, anse du noyau lenticulaire. - AM, avant-mur. - Arc,
faisceau
arqué. - Ce, corps .calleux. Ce, capsule extern
utions fron- tales. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fu,
faisceau
uncinatus. - Fus, lobule fusi- forme. H, circon
s seg- ments. - NA, noyau amygdalien. NC, tronc du noyau caudé. OF,
faisceau
occipito-frontal . - OpR, opercule rolandique..
aire, la capsule externe (Ce) et l'ava ? -tt-72%u ? (AM), en bas le
faisceau
uncinatus (Fu) dont les fibres les plus supérie
cule inféro-interne de la couche optique (PiTh), on trouve un autre
faisceau
de fibres sectionnées parallèlement, l'anse du
(Vsph). La coupe n° 71, intéresse le tubercule mamillaÍi'e (Tm), le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA) et la corne d'Ammon (CA).
xterne est coiffé par la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le
faisceau
454 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. occipito-fr
aturelle.) Al, anse du noyau lenticulaire. - AM, avant-inur. - Arc,
faisceau
arqué. - CA, corne d'Ammon. Cc, corps calleux.
ier sillon frontal. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - FI,
faisceau
lenticulaire de Forel. - Flh, faisceau thalamique
n frontale ascendante. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - Flh,
faisceau
thalamique de Forel. - Fus, lobule fusiforme.-
. - NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - OpR, opercule rolandique. - o
tubercule mamillaire. - Tp, circonvolution temporale profonde. VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - troisième ventricule. - l'est,
g. 235 et 236. (Grandeur nature.) Alv, alvéus.-Adl, avant-mur. Arc,
faisceau
arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux.
F, champ de Forel. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Fus, lobule fusiforme.
halamus. NL3, 2, ,, les trois segments du noyau lenticulaire. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - OpR, opercule rolandique. -
ercule mamillaire. - Tp, circonvolu- tion temporale profonde. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - VI, ventricule latéral. - Vsph,
repose sur la région sous-optique dans laquelle on trouve les deux
faisceaux
de Forel : le faisceau supérieur ou thalamique
sous-optique dans laquelle on trouve les deux faisceaux de Forel : le
faisceau
supérieur ou thalamique (Fth) et le faisceau in
aisceaux de Forel : le faisceau supérieur ou thalamique (Fth) et le
faisceau
inférieur ou lenticulaire (FI), séparés par une
en bas, avec le tubercule mamillaire (Tm), dans lequel on trouve un
faisceau
blanc, le pilier antérieur du trigone (Tga). Sur
lier antérieur du trigone (Tga). Sur la coupe n° 71 (fig. 248), les
faisceaux
lenticulaire et thalamique de Forel sont réunis
aisceaux lenticulaire et thalamique de Forel sont réunis en un seul
faisceau
et constituent le champ de Forci (F) situé au-des
de Luys (CL). Du noyau antérieur de la couche optique (Na) part un
faisceau
volumineux, le faisceau de Vicq d'Azyr (Va), qu
antérieur de la couche optique (Na) part un faisceau volumineux, le
faisceau
de Vicq d'Azyr (Va), que la coupe n° 69 intéresse
et se termine dans le noyau antérieur de la couche optique (Na). Ce
faisceau
fut décrit à tort sous le nom de pilier ascendant
rien il faire avec le pilier antérieur du trigone, et constitue un
faisceau
indépendant, ainsi que Gudden l'a montré il l'a
, sur le système des fibres d'association. Le cingulum (Cing) et le
faisceau
arqué (Arc), présentent ici leurs mêmes caractè
le faisceau arqué (Arc), présentent ici leurs mêmes caractères. Le
faisceau
uncinatus a dispat ? 1-il ! ! l. ! l)ar- tient
35 et 230. (Grandeur naturelle.) Alv, alvéus.- AM, avant-mur. -Are,
faisceau
arqué. Ce, corps calleux. - Ce, cap- sule exter
rconvolution frontale. Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - FT, faisceau de Tiirc
frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FT,
faisceau
de Tiirck. - Fus, lobule fusiforme. - 11, hippoca
me segments du noyau lenticulaire (putamen et globus medialis). - OF,
faisceau
occi- pito-rrontal. - OpR, opercule rolandique.
central. l'a, protubérance. pms, sillon prérolandique supérieur. P,
faisceau
pyramidal. - R, scissure de Rolando. - /i77t, rad
ricule en dehors : Tapetum (Tapi. radiations thala- miques (RTh) et
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). La paroi interne es
s 78 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) AM, avant-mur. Arc,
faisceau
arqué. Ce, capsule externe. - Cg, circonvolution
erforé postérieur. - Fa, circonvolution frontale ascen- dante. -fi,
faisceau
longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe
frontale ascen- dante. -fi, faisceau longitudinal inférieur. - FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. - fut, fais- ceau de Tii
e du thalamus. - Ni, noyau interne du thalamus. - NL3, putamen. OF,
faisceau
occipito-frontal. - OpR, opercule rolandique. -
cornée : 1c) et les libres du txnia semicircu- lares qui forment un
faisceau
d'autant plus large que l'on se rapproche davan-
35 et 236. (Grandeur naturelle.) Aln, alvéus - ADf, avant-mur. Arc,
faisceau
arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux.
cule du subicu- lum. Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétrofle
frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. FT, faisceau de Turck. -Fu
u longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. FT,
faisceau
de Turck. -Fus, lobule fusiforme.- Gsm, gyrus s
dian du thalamus (centre médian de Luys). - A'R, noyau rouge. - Or,
faisceau
occipito-frontal. OpR, oper- cule rolandique. -
Au-dessus du noyau muge on trouve sur la coupe n° 78 (lit, 250) le
faisceau
de Meynert (FM), qui déprime légèrement la face i
. 253). ' , Substance blanche. - Le corps calleux (Ce) et les longs
faisceaux
d'asso- ciation, tels que le cingulum (Cing), l
es longs faisceaux d'asso- ciation, tels que le cingulum (Cing), le
faisceau
occipito-j'I'olltal (OF) el le faisceau arqué (
ls que le cingulum (Cing), le faisceau occipito-j'I'olltal (OF) el le
faisceau
arqué (Arc) ne présentent rien de particulier i
ulier il noter. La capsule externe (Ce) se continue en bas, avec un
faisceau
provenant du lobe telllp°l'o-occipital qui conc
tal qui concourt il former toute sa partie inférieure. Il s'agit du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) qui constitue la cou
.o-0f;c)'/a/. En arrière, les limites externes et inférieures de ce
faisceau
sont extrêmement nettes; elles le sont moins en a
faisceau sont extrêmement nettes; elles le sont moins en avant, où ce
faisceau
s'irradie, pour se porter d'une part (coupes ne
ule (P) se continue avec la capsule interne (du) et se divise en deux
faisceaux
de volume inégal. Le faisceau supérieur et inte
le interne (du) et se divise en deux faisceaux de volume inégal. Le
faisceau
supérieur et interne continue la direction du pie
9) et des radiations de la calotte (RC) (coupe n° 78 (fig. 250). Le
faisceau
inférieur beaucoup moins considé- rable, se por
lame cornée (le) et de la queue recourbée du noyau caudé (NC'). Ce
faisceau
représente le faisceau de T'ürcl, (FT) (fig. 24
la queue recourbée du noyau caudé (NC'). Ce faisceau représente le
faisceau
de T'ürcl, (FT) (fig. 24H, 251). Il se porte en
251). Il se porte en bas et en dehors entre le tapetum (Tap ! et le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) et semble se confond
ière avec les radiations optiques de Gratiolet (RTh). En réalité ce
faisceau
vient de l'écorce temporale. (Voy. Coupes horiz
Lignes 83 des 235 et 236. (Grau deur naturelle. .V, avant-mur. Arc,
faisceau
arqué. CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. Ce
le du subiculum. - 1·'ct, circonvolution frontale ascendante. P.1[,
faisceau
retrotlexe de \Ieyncrt.- Fli, fais- ceau longit
Ne, Ni, noyaux externe et interne du thalamus. - NL3, putamen. - OF,
faisceau
occipito- - frontal. - OpR, opercule rolandique
g. 235 et 2jô. (Grandeur naturelle.) Aq, aqueduc de Sylvius. - Arc,
faisceau
arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps cal- - le
ticule du subiculum ? Fa, circonvolution frontale ascendante. C'li,
faisceau
longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe
ion frontale ascendante. C'li, faisceau longitudinal inférieur. FM,
faisceau
rétroflexe de Mcynert.- Fus, lobule fusiforme. -
ième segment du noyau lenticulaire (putamcn).- NR, noyau rouge. OF,
faisceau
occipito-frontal. - Opp" opercule pariétal. ot,
g. 35 et 236. (Grandeur naturelle.) ils, aqueduc de Sylvius. - Arc,
faisceau
arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps cal- leux
icule du subiculum. Fla, circonvolution frontale ascendante. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur.- Fus, lobule fusiforme.
udé. - XL" troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - OF,
faisceau
occipito-frontal. - OI)P.2, opercule pariétal. -
uge (NR), en dedans des radiations de la calotte (RC), on trouve le
faisceau
rétroflexe de Illerlner't (FM) qui atteint sur
S MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 469 optiques de Gratiolet (RTll) et le
faisceau
longitudinal Sur la coupe n° 89 (fig. 255) enfi
Hg. 235 et 236. (Grandeur naturelle. Aq, aqueduc de Sylvius. - Arc,
faisceau
arqué. - CA, corne d' : lnunon. - Cc, corps cal
ssure postérieure. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. l'2ts, lobule fusiforme
tronc du noyau caudé.- \'C', queue du noyau caudé. NL3, putamen.OF,
faisceau
occipito-frontal. ot, sillon collatéral. P.{Gsm),
entriques : le tapetum (Tap), les radia- lions optiques (RTh) et le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). Ce dernier nette-
nt diffus en haut. Sur les coupes précédentes, nous avons vu que ce
faisceau
entrait dans la constitution de la capside exte
r (AM). Sur les coupes nos 86, 88 et 89 (fig. 2;;3,2;;4 et 255), ce
faisceau
se perd en haut dans le centre ovale (CO), en ded
centre ovale (CO), en dedans du fais- ceau arqué (Arc). Ce dernier
faisceau
occupe la même situation que sur les coupes pré
frontal. Lignes 92 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) Arc,
faisceau
arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. -
cule du subiculum. Fa, circonvolu- tion frontale ascendante. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Fus, lobule fusiforme.
ticule du subiculum. - Fa, circonvolution frontale ascendante. Fli,
faisceau
longitudinal infé- rieur. L Fus, lobule fusifor
a, circonvolution frontale ascendante. Fc, fasciola cinerea, - 1·'li,
faisceau
lon- gitudinal inférieur. - Fin', forceps minor
a, circonvolution frontale ascendante. - Fc, fasciola cinerea. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Fin, forceps major. F
calloso-marginal. - CO, centre ovale. - Fc, fasciola cinerea. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Fm', forceps minor. Fus,
ui se confondent au-dessus de la queue du noyau caudé (NC') avec le
faisceau
d'association occi- pito-frnutal (coupes nos 92
effet, comme les cas d'agénésie du corps calleux le démontrent, au
faisceau
occipito-frontal (OF), grand faisceau d'associati
rps calleux le démontrent, au faisceau occipito-frontal (OF), grand
faisceau
d'association qui relie le lobe frontal au lobe
érieur de la corne sphénoïdale, se place entre le tapetum (Tap) et le
faisceau
, longitudinal inférieur (Fli), et envoie une mi
la partie principale de ce fais- veau, entre le tapetum (Tap) et le
faisceau
longitudinal inférieur (FIii. Le faisceau longi
re le tapetum (Tap) et le faisceau longitudinal inférieur (FIii. Le
faisceau
longitudinal inférieur (flip, se perd insensiblem
rconvolution temporale (TJ, l'interne au lobule fusiforme (Fus). Ce
faisceau
forme la couche sagittale externe du lobe occip
a couche sagittale externe du lobe occipital; il représente un long
faisceau
d'association, qui relie le lobe occipital au l
sécutivement aux lésions du lobe occipital. Quant aux autres longs
faisceaux
d'association, le cingulum. (Cing) ne change gu
, le cingulum. (Cing) ne change guère sur cette série de coupes; le
faisceau
arqué (Arc), n'est intéressé que sur la coupe n
e l'indique le petit îlot d'écorce cérébrale situé au-dessous de ce
faisceau
; sur les coupes n°5 93 et suivantes, le faisceau
é au-dessous de ce faisceau; sur les coupes n°5 93 et suivantes, le
faisceau
arqué n'existe plus il l'état de faisceau plus
s n°5 93 et suivantes, le faisceau arqué n'existe plus il l'état de
faisceau
plus ou moins distinct, mais se confond avec le
ie verticale du sillon calloso-margiual. - CO, centre ovale. ? Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Fm, forceps major. - Fm
CO, centre ovale. Fm, forceps major. ri ? i', forceps minor. F/<,
faisceau
longitudi- nal inférieur. - Fus, lobule fusifor
es fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) EM, ergot de Morand. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Fin, forceps major. F
la coupe n° 105 et qui, sur la coupe n° 107, se réunit en un petit
faisceau
situé à l'angle inféro- interne du ventricule.
6. (Grandeur naturelle.) . C, cunéus. - EM, ergot de Dlorand. -Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Fin, forceps major.-F
AU. 483 les radiations optiques de Gratiole (IlTli) en dedans et le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) en dehors. La paro
t 236. (Grandeur naturelle.) C, cunéus. - EM, ergot de Morand. Fli,
faisceau
longitu- dinal inférieur. - Ficus, faisceau tra
, ergot de Morand. Fli, faisceau longitu- dinal inférieur. - Ficus,
faisceau
transverse du cunéus de Sachs. - Fus + 03, unio
et forment le tapetum (Tap). En dedans elles se confondent avec le
faisceau
inférieur du forceps (Fm'), qui présente de m
. 362), les fibres du forceps major (Fm) sont réunies en un épais
faisceau
il direction antéro-posté- rieure, très foncé
et 137 (fig. 265, 266), le forceps major a disparu en tant que
faisceau
distinct, et la cavité ventriculaire est simple
implement bordée par une mince cou- che de fibres calleuses. Le
faisceau
inférieur du forceps (Fm') qui occupe l'angle i
xiste, tapisse la paroi ventriculaire et se continue en avant avec le
faisceau
occipito-fro>ztal. (Voy. Faisceau occijilu-f
t se continue en avant avec le faisceau occipito-fro>ztal. (Voy.
Faisceau
occijilu-frunlcrl.)ln dehors du tapetum, nous t
dehors du tapetum, nous trouvons les radiations otiques (RTh) et le
faisceau
longitudinal in fi·ri.n,zcr(>;li), ce dernie
137 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) C, cunéus. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Fus 03, union du lobu
u radiations thalamiques (RTh) et les longues fibres d'association (
faisceau
longitudinal irrfé- rieur) (Fli). Ces trois cou
on (faisceau longitudinal irrfé- rieur) (Fli). Ces trois couches de
faisceaux
, très distinctes à la face externe et inférieur
ent donc un cercle complet, quoique très irrégulier. En dehors du
faisceau
longitudinal inférieur et du ces coupes n'inté-
ænia tecta (tec). Toutes les autres coupes passent en arrière de ce
faisceau
. Dans la pointe occipitale (coupe n° 133, fig. 26
33, fig. 265), au niveau de la partie moyenne du CtliU : us (C), un
faisceau
foncé, reconnaissable surtout sur les coupes mi
coupes microscopiques, coiffe le sommet des couches sagittales. Ce
faisceau
, décrit par Sachs sous le nom de faisceau trans
es couches sagittales. Ce faisceau, décrit par Sachs sous le nom de
faisceau
transvase du cunéus (FteS), appartient au lobe
- F, champ de Forel. Fa, circonvolution frontale ascendante. - FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. - fil ! , sillon fronto-
us. - pi-s, sillon prérolandique supérieur. - Piil, pulvinar. - Py,
faisceau
pyramidal. Tt/7, pli fronto-limbique. - 7ul)la,
e la commissure antérieure (coa) qui se présente sous l'aspect d'un
faisceau
ovalaire très foncé. En arrière du corps strié
le noyau interne (Ni). Au-dessous du noyau antérieur (Na), se voit un
faisceau
de fibres (PiTh) qui semble venir de la région
iTh) qui semble venir de la région du tubercule mamillaire (Tm). Ce
faisceau
s'irradie en pinceau et appartient au pédoncule i
tique (Th) est séparée des tubercules quadrijumeaux (Qa, Qp) par un
faisceau
de fibres d'un blanc éclatant, qui se dirige obli
nt en haut et en arrière, et qui représente la partie supérieure du
faisceau
rétroflexe de Jfe ! JneJ't (FM), au moment où i
de fibres blanches, qui répond au ruban de 1 ? (il latéral (RI) ou
faisceau
triangulaire de l'isthme. Ces coupes sagittales m
'étage antérieur de la protubérance (Po), qui concourent il former le
faisceau
]JY- mmidal (Py). La région de la calotte se co
au. A la place de la première circonvolution limbique, il existe un
faisceau
blanc arciforme, qui entoure complètement le corp
issure antérieure (coa) qui se présente toujours sous l'aspect d'un
faisceau
ovalaire très foncé; elle est entourée de subst
a partie supérieure de la commissure antérieure (coa), on trouve un
faisceau
de fibres blanches, qui apparaissent nacrées et r
nacrées et resplendissantes sur les cerveaux durcis au bichromate,
faisceau
qui s'étend, du premier indice de séparation du
(\L.,), vers la couche optique (Th) dans laquelle il s'irradie. Ce
faisceau
fait partie de la couche la plus interne du péd
ale ascen- dante. - Fc, fasciola cinere : v. - Floc, flocculus. FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. A, sillon de l'hippocamp
éus. - prs, sillon prérolandique supérieur. - Pul, pulvinar. - l1j,
faisceau
pyramidal. - 7z/'l, pli fronto-limltiquc. 7cplc
rébral (P) se prolonge dans la protubérance (Po) pour constituer le
faisceau
pyramidal (Py). La prolubé- rance (Po) est sect
s calleux s'est déplissé ; il donne naissance en avant et en bas au
faisceau
inférieur du forceps (Fin'). Cavités ventricula
, ,). Le putamen (NL.,) et le noyau caudé (NC) sont séparés par des
faisceaux
de fibres blanches, qui donnent il ces noyaux l
s très obli- quement, se présentent par conséquent sous l'aspect de
faisceaux
plus ou moins foncés et qui se confondent avec
édoncule (P) dont elle est séparée par le corps de Lui/s (CL) et le
faisceau
thalamique de Foret (Fth) qui appartiennent il
ent seules sur celte coupe ; elles se présentent sous la forme d'un
faisceau
blanc, nacré, res- plendissant, il direction pr
blanc, nacré, res- plendissant, il direction presque verticale; ce
faisceau
, qui correspond au genou de la capsule interne
. Fm, forceps major. - fm, sillon fronto-marginal de Wernicke. Fth,
faisceau
thalamiquo de Forci. Il, circonvolution de l'hipp
icule occipital (Voc), au-dessus du pli rélro-limbique il existe un
faisceau
triangulaire, qui appartient au système du forc
gulaire, qui appartient au système du forceps dont il représente le
faisceau
inférieur ou minor (Fm'). Ventricule latéral. L
ntérieures du pied du pédoncule céréGnal (P) se continuent avec des
faisceaux
de fibres il direction verticale, qui passent ent
convolution frontale ascendante.f ? ? ? , forceps major; 1·nz', son
faisceau
inférieur on minor. Fus, lobule fusiforme. H, h
circonvolution frontale ascendante. - Fm, forceps major; F2)2',son
faisceau
inférieur ou minor. - fm, sillon fronto- margin
rconvolution frontale ascendante. - fg, sillon fimbrio-godrohné. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. fm, sillon fronto-margi
i, faisceau longitudinal inférieur. fm, sillon fronto-marginal. Fu,
faisceau
uncinatus. Fus, lobule fusiforme. - Il, hippoca
Tap), la couche des radiations thalamiques de Gratiolet (RTh) et le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). Toute la paroi su
ième sillons frontaux, Fa, circonvolution frontale ascendante. Fit,
faisceau
longitudinal inférieur/ fm, sillon fronto- marg
ongitudinal inférieur/ fm, sillon fronto- marginal de Wernicke. Fu,
faisceau
uncinatus. =Fus, lobule fusiforme. H, hippocampe.
s, auxquelles s'est ajoutée une troisième couche, constituée par le
faisceau
lonrli- tudinal inférieur (Fli). Très accentuée
s organes on trouve la capsule (Ce) et l'avanrl-mzc (ANI) doublé du
faisceau
uncinatus (Fu) ; celui-ci, situé il la partie ant
me sillons frontaux. Fa, circonvo- lution frontale ascendante. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. FT, faisceau de Tttrck.
lution frontale ascendante. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FT,
faisceau
de Tttrck. Pu, faisceau .uncinatus. - Fus, lobu
. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FT, faisceau de Tttrck. Pu,
faisceau
.uncinatus. - Fus, lobule. fusiforme. H, circonvo
rconvolution frontale.-Fa, circonvolution frontale ascendante. Fli,
faisceau
longitudinal infrieur.-1'evs, lobule fusiforme. -
tale. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. ;13 (RTh) et par celle du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). Sa paroi inférieure
longée par un noyau gris, mince et étroit, interrompu par quelques
faisceaux
de fibres blanches et qui appartient ¡lia la queu
nt lie it- laire de la capsule interne (Cirl); elles contiennent le
faisceau
de Turc (fur) qui passe dans la région sous-opt
u lenticulaire. Il est séparé des circonvolutions insulaires par un
faisceau
d'association interlobaire, le faisceau uncinat
onvolutions insulaires par un faisceau d'association interlobaire, le
faisceau
uncinatus (Fu). Il est séparé [du noyau lenticu
-nombreuses fibres d'association, qui ne semblent pas se grouper en
faisceaux
distincts. Dans le lobe lemp°l'O-pa1'iélO-occip
cule, le tapetum (Tap), puis les radiations thalamiques (RTh) et le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). Ce dernier est part
sente rien de particulier il noter. Elle n'intéresse en effet aucun
faisceau
différencié, si ce n'est les courtes fibres d'ass
fois pas pour élucider le trajet souvent fort compliqué de certains
faisceaux
du névraxe; il faut de toute nécessité lui adjo
ur longueur. 2° La constitution du centre ovale de Yieussezz.s. Les
faisceaux
courts et longs d'association; leur intrication
llement de la partie infé- rieure de l' avant-mur par les fibres du
faisceau
uncinatus. 4° La constitution des noyaux gris c
- tent les fibres du corps calleux, de la couronne rayonnante et du
faisceau
occipito-frontal, en avant et au-dessous de la
s la couche optique. La coupe D est intéressante au point de vue du
faisceau
uncinalus et de l'anse du noyau lenticulaire. C
u faisceau uncinalus et de l'anse du noyau lenticulaire. Ce dernier
faisceau
est sectionné parallèlement a la direction de s
e de la capsule du noyau rouge. La coupe E indique la façon dont le
faisceau
uncinalus se prolonge dans la capsule externe,
e faisceau uncinalus se prolonge dans la capsule externe, s'unit au
faisceau
longitudinal inférieur et dissocie la substance
elle passe au-dessous du lobe fron- tal et montre les connexions du
faisceau
longitudinal inférieur avec le noyau amygdalien
culaire de la capsule interne, de l'anse du noyau lenticulaire, des
faisceaux
tlwlamlquc (II,) et lenticulaire (IL) de Forci,
t lenticulaire (IL) de Forci, de la commissure de Meynert, du petit
faisceau
du tuber cillercllln de Gudden et de la substan
sous-épendymaire (Sge), autour de laquelle viennent se grouper les
faisceaux
importants de celte coupe, affecte une forme irré
tl(,s, qui la sillonnent dans tous les sens et qui appartiennent au
faisceau
occipito-fronlal (Voy. fig. 295). Cette grande
ntraux. Autour de la substance grise sous-épendymaire, on trouve un
faisceau
volumineux, fortement coloré par l'hérnatoyline,
- ' mF,, face interne de la première circonvolution frontale. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - ouf., partie orbitaire de l
et qui appartiennent, ainsi que les coupes sériées le montrent, au
faisceau
occiilo-f i·oz7tal de Forel (OF). Ce faisceau se
riées le montrent, au faisceau occiilo-f i·oz7tal de Forel (OF). Ce
faisceau
se distingue des fibres calleuses par la colora
rieures se réunissent aux fibres calleuses réfléchies et forment un
faisceau
allongé, qui se prolonge dans la partie orbitai
a partie orbitaire de la première circonvolution frontale (oF,). Ce
faisceau
est toujours séparé du fond du sillon olfactif (1
ibres sectionnées perpendicu- lairement il leur axe, qui forment un
faisceau
volumineux et allongé au niveau de la partie or
CENTRES NERVEUX. En dedans des fibres calleuses (Cc), on trouve un
faisceau
volumineux, fortement coloré, formé de fibres v
en s'effilant sur sa paroi externe, où elles se placent en dehors du
faisceau
occipito-for7tal (OF) et de la substance grise
es libres inférieures se portent également en dehors, et forment un
faisceau
compacte, qui se coude brusquement au niveau de l
S DU CERVEAU. 52S la première circonvolution frontale (oF,). Là, le
faisceau
calleux inférieur s'effile comme le faisceau su
frontale (oF,). Là, le faisceau calleux inférieur s'effile comme le
faisceau
supérieur, et entoure la paroi externe de la. cor
corne frontale d'une couche de fibres continues. Mais tandis que le
faisceau
supérieur, que le faisceau inférieur et que le
de fibres continues. Mais tandis que le faisceau supérieur, que le
faisceau
inférieur et que le genou sont formés de fibres p
que. mF" face interne de la première circonvolution frontale. - OF,
faisceau
occipito-frontal. oFi, partie orbitaire do la p
e (Voy. Coupe horizontale microscopique C, fig. ? 95, p. 369). Le
faisceau
occipito-frontal (OF), situé en dedans des fibres
ne s'entre-croisant dans tous les sens, et appartenant en partie au
faisceau
occipito-frontal; elles dégé- nèrent comme ce f
en partie au faisceau occipito-frontal; elles dégé- nèrent comme ce
faisceau
à la suite de lésions corticales. , En dehors d
ie interne [mu;], ou partie orbitaire [oF,]) on ne distingue pas de
faisceaux
d'association nettement circonscrits et méritant
dessus du genou du corps calleux, le cingulum affecte la forme d'un
faisceau
triangulaire ou pyriforme, dont le sommet regar
xyline. Au- dessous du genou du corps calleux, le cingulum forme un
faisceau
beaucoup plus petit (Cing'), dont les fibres so
29 en pointe en dehors de la substance grise sous-épendymaire et du
faisceau
occi- pito-frontal (OF) et elles donnent naissa
res calleuses (Ce), la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le
faisceau
occipito- frontal (OF). Elles s'entre-croisent
re circonvolution frontale (F : ,) reçoit au contraire un très beau
faisceau
, de projection, qui concourt il la formation des
l la formation des fibres radiées de cette circonvolution. Un petit
faisceau
de fibres rayonnantes se porte en dedans vers l
et limite en dehors le cingulum. Le cingulum (Cing) constitue un
faisceau
volumineux, formé de fibres sec- tionnées en tr
a; au niveau de son angle saillant, on trouve la section oblique du
faisceau
uncinalus (Vu); au niveau de sa partie inférieure
lles des couches profondes de l'écorce prédominent . En dedans du
faisceau
uncinalus (Fn) et des fibres propres de on 3t
circonvolution frontale ascendante. - fl, fibres tangentielles. - Fu,
faisceau
uncinatus. - l, insula. - ig, induseum griseum.
au caudé. NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). OF,
faisceau
occipito-frontal. - OpF3, opercule de la troisi
a cou- ronne rayonnante (pCR) et se portent en dedans, soit vers le
faisceau
occipito- frontal (OF), soit vers la partie rec
ules appartiennent au système de l'anse du noyau lenticulaire et du
faisceau
lenticulaire de Forel, qui prendra sur les coup
tante dans toute la série des Vertébrés, où elles portent le nom de
faisceau
basai du cerveau antérieur d'Edinger. Le corps
eau basai du cerveau antérieur d'Edinger. Le corps calleux (Ce), le
faisceau
occipito-frontal (OF), le pied de la couronne r
u niveau de la partie inférieure de l'insula (I) quelques fibres du
faisceau
auci- nalus (Fu). Ainsi renforcées, elles se po
de la figure 244. , AM, avant-mur. 4M', avant-mur dissocié par le
faisceau
uncinatus. - Arc, faisceau arqué. Ce, corps cal
avant-mur. 4M', avant-mur dissocié par le faisceau uncinatus. - Arc,
faisceau
arqué. Ce, corps calleux. Ce, capsule externe.
vec les fibres calleuses les plus inférieures et avec les fibres du
faisceau
occipito-fron lai. Elles sont parallèles aux fibr
les fibres du pied de la couronne rayonnante et avec les fibres du
faisceau
occipito-frontal. En dehors de la capsule exter
nt-mur (AM), morcelé au niveau de sa partie inférieure (AM') par le
faisceau
uncinalus (Fu) et par les fibres de la capsule
ans la face sylvienne de l'opercule, rolandique (OpR) au-dessous du
faisceau
arqué de 7;urdaclc (Arc) et d'autre part dans l
) et d'autre part dans la circonvolution antérieure de l'insula. Le
faisceau
uncinatus (Fu) se pro- longe dans le lobe tempo
de la corne sphénoïdale du ventricule latéral et n'intéresse que des
faisceaux
d'association ou des faisceaux de projection no
icule latéral et n'intéresse que des faisceaux d'association ou des
faisceaux
de projection non encore différenciés. Au niveau
orce de la circon- volution du crochet (U), la partie inférieure du
faisceau
uncinalus (Fu) est disso- ciée par des languett
e la région et appartiennent il la bandelette diagonale de Broca ou
faisceau
olfactif de la corne d'Ammon de Zucl : erkandl,
e Broca ou faisceau olfactif de la corne d'Ammon de Zucl : erkandl,
faisceau
qui prend son origine dans la corne d ? xxtnort
et dans la paroi inférieure de la corne sphénoïdale. Ses libres Fu,
faisceau
uncinatus. Fus, lobule fusiforme. fi, fibres tage
, NL" trui- sième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - OF,
faisceau
occipiLn-17·nt : rl. 0/j/f, opercule rolandique
uveau au niveau de l'angle antérieur du septum,- sous la forme d'un
faisceau
assez compact connu sous le nom de bandelette ou
sphénoïdale du ventricule latéral (Vsph). Le corps calleux (Ce), le
faisceau
occipito-frontal (OF), la masse blanche des cir
'angle interne du globus palli- -, dus sans se grouper toutefois en
faisceaux
distincts; elles s'entre-croisent en effet avec
ibrillaire du globus pallidus. Ces fibres foncées se groupent en un
faisceau
volumineux, qui sort du bord inférieur et de l'an
putamen (NL3). La lame médullaire interne (lini) est formée par des
faisceaux
plus épais et plus nombreux. Ils sont sectionné
genou de la capsule (Ci [g]) et forment dans cette région un petit
faisceau
assez isolé, situé au-dessus de l'anse du noyau l
ection oblique de la commissure antérieure (coa) qui forme un petit
faisceau
ovalaire, entouré de nombreux ori- fices vascul
e même aspect que sur la coupe pré- cédente ; elles sont formées de
faisceaux
onduleux, sectionnés presque parallè- lement le
tllm zonale de la couche optique (strz); la partie moyenne forme un
faisceau
allongé et effilé qui atteint presque le pilier a
qui constitue le pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh). Le
faisceau
1,x;[I'I'I/(', onduleux, beaucoup moins volumin
on de l'insula (1), et une partie inférieure (AM'), morcelée par le
faisceau
uncinatus (Fn) et qui se con- fond en dedans av
u de la paroi inférieure de la corne sphénoïdale (Vsph), ce dernier
faisceau
est formé de libres sectionnées en tra- vers; a
relient le pédoncule du putamen (PNL.,I au noyau amygdalien (NA). Le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) est séparé de la p
séparé de la partie morcelée de l'avant-mur (AM') par les fibres du
faisceau
uncinatus. Are, faisceau arqué. Ce, corps calleux
lée de l'avant-mur (AM') par les fibres du faisceau uncinatus. Are,
faisceau
arqué. Ce, corps calleux. Ce. cap- sule externe
remier sillon frontal. - Fa, circonvolution frontale ascendante. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. j't, libres tangentiell
i, faisceau longitudinal inférieur. j't, libres tangentielles. -Fu,
faisceau
uncinatus. Fus, lobule fusiforme. l, insula. LI
troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. OF,
faisceau
occipito-frontal. OpR, opercule rolandique. ot, s
J/, bandelette opt ique. 538 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. et du
faisceau
uncinalus (Fu) par le pédoncule inférieur de la c
erne du veutoi- cule latéral et s'entre-croisent avec les fibres du
faisceau
occipito-frontal (OF) et de la couronne rayonna
fibres du tapetum (Tap). En dehors, cette couche est limitée par un
faisceau
de fibres foncées, dirigées obliquement en haut
et s'entre- croisent au niveau de la zone réticulée. (Zr), avec des
faisceaux
semblables venus des différentes parties de l'é
noyau C,x : tl ! l'l1C (Ne), où elles se réunissent pour former un
faisceau
qui descend dans la région sous-optique, où il
aisceau qui descend dans la région sous-optique, où il constitue le
faisceau
thalamique de Forel. Le noyau interne (Ni) est
e de ce noyau interne (Ni) on trouve la section transver- sale d'un
faisceau
fortement coloré, qui longe d'avant en arrière le
du noyau interne, au-dessus du sillon de Monro, on trouve un autre
faisceau
de libres il direction transversale, appartenan
bres il direction transversale, appartenant il la commissure molle,
faisceau
qui reçoit un certain nombre de fibres de la la
ntal.-F, champ de Forel. Fa, circonvolution frontale ascendante FI,
faisceau
lenticulaire de Forel. ? fibres tangentielles.
u noyau lenticulaire, le premier segment est subdivisé en deux. OF,
faisceau
occipito-frontal. - Opta, opercule de la troisièm
t se mélangent au feutrage dense de ce noyau, les autres forment un
faisceau
qui enveloppe, soit la face inférieure, soit la f
it la face inférieure, soit la face supérieure du corps de Luys. Le
faisceau
supérieur, particulièrement dense, se porte en
amp de Forel (F). Ces fibres bien décrites par Forel constituent le
faisceau
(H2) de cet auteur, faisceau que nous désignerons
bien décrites par Forel constituent le faisceau (H2) de cet auteur,
faisceau
que nous désignerons sous le nom de faisceau le
au (H2) de cet auteur, faisceau que nous désignerons sous le nom de
faisceau
lenticulaire de Forel, et entrent dans la constit
noyau externe (Ne), forment il la limite inférieure de ce noyau un
faisceau
assez compacte, le faisceau lhalamique de Forel (
il la limite inférieure de ce noyau un faisceau assez compacte, le
faisceau
lhalamique de Forel ( 1· th) (faisceau I-I,) eoup
faisceau assez compacte, le faisceau lhalamique de Forel ( 1· th) (
faisceau
I-I,) eoupe n° VIII (firi. 286), puis entrent d
86), puis entrent dans le champ de Forel (F) où elles s'unissent au
faisceau
lenticulaire (FI) du même auteur. Réunis en dedan
faisceau lenticulaire (FI) du même auteur. Réunis en dedans, ces deux
faisceaux
divergent en dehors et sont séparés l'un de l'a
peu en avant de celle-ci, le champ de Forel est adossé en dedans au
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA) qui relie le tubercule anté
iveau de la substance perforée postérieure, et constituent le petit
faisceau
désigné par Forel sous la lettre y, et que nous
orce de la région rolandique, dont un grand nombre va constituer le
faisceau
pyramidal du bulbe. Dans la partie supérieure d
it par les fibres de projection thalamiques; elles se grou- pent en
faisceaux
parallèles dans la partie inférieure, de telle so
mier sillon frontal. Fa, cir- convolution frontale ascendante. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. FM, faisceau rétro- fle
lution frontale ascendante. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM,
faisceau
rétro- flexe de Meynert. l'l, fibres tangentiel
re (putamen1. Nm, noyau médian du thalamus. - XII, noyau rouge. OF,
faisceau
occipitn-fmntal. OpR, opercule rolandique. ot,
a protubérance. Pop, fibres postérieures de la pro- tubérance. Pi/,
faisceau
pyramidal. - R, scissure de Rolando. RC, radiatio
i \ o i i i>i" 541 ! ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. dedans. Ce
faisceau
prend son origine dans les cellules du ganglion d
qui appartiennent à la capsule du noyau rouge et en particulier au
faisceau
longitudinal postérieur. \ Le segment postérieu
t dans la protubérance (Po) où elles s'entre-croisent avec les gros
faisceaux
de fibres transversales du pédoncule cérébelleux
isamment en arrière du pôle frontal, pour qu'on puisse déjà voir le
faisceau
de 7'M)'c/c s'irradier dans le pied du pédoncule.
optiques de Graliolel (RTh) et la couche de fibres plus épaisses du
faisceau
lonuiludi1l1lIinfi'- rieur (Fli). De ces deux c
ES DU CERVEAU. 347 au niveau de sa partie externe, formant ainsi le
faisceau
externe du pédoncule ou « faisceau de TÜrck ».
partie externe, formant ainsi le faisceau externe du pédoncule ou «
faisceau
de TÜrck ». Coupe n° VIII (fig. 286) passant pa
calleuses (Ce) dans les circonvolutions l'olalldiques (Fa, Pa). Le
faisceau
occipito-frontal (OF) présente encore le même v
ante et entrent dans la constitution de la capsule externe (Ce). Le
faisceau
occipito-frontal fournit en effet à cette dernièr
particulier dans sa lame médullaire externe (Lme). Au-dessus de ce
faisceau
se trouve un petit noyau aplati, légèrement recou
Flechsi ! 1 (NF). Du noyau rouge (NR) ha1'tent un certain nombre de
faisceaux
volumineux, onduleux, qui se portent en haut et e
lleux supérieur (Pcs); en dedans, on trouve les dernières fibres de
faisceau
longitudinal postérieur, ainsi que le faisceau 1"
dernières fibres de faisceau longitudinal postérieur, ainsi que le
faisceau
1"i[I'o(le : CI ? de Meynert (FM), recouvert pa
cule du subiculum. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - FAf, faisceau rétrofl
frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FAf,
faisceau
rétroflexe de Meynert. l'Poa, fibres antérieures
e de Meynert. l'Poa, fibres antérieures de la protubé- rance. - FT,
faisceau
de Tiit'ck. FT', partie du faisceau de Tiirck, ve
res de la protubé- rance. - FT, faisceau de Tiit'ck. FT', partie du
faisceau
de Tiirck, venant des deuxième et troisième cir
deuxième et troisième circonvolutions temporales. - Fut" partie du
faisceau
de Tiirck venant, de la pre- mière circonvoluti
e- mière circonvolution temporale. ft, fibres tangentielles. - Fth,
faisceau
thalamique de Fo- - rel. - Fus. lobule fusiform
Ni, noyau interne du thalamus. XL3, putamen. A'R, noyau rouge. OF.
faisceau
occipito- frontal. - Coppa. partie pariétale de
idal. R, scissure de Rolando. - RC, radiations de la calotte. - rlll,
faisceaux
radiculaires de la troisième paire. - {7'/<,
ed du pédoncule cérébral (P). Ces dernières fibres se réunissent en
faisceaux
qui s'enchevêtrent les uns avec les autres et c
bres, qui constituent la couronne rayonnante du lobe temporal et le
faisceau
de 7'M ! 'c ? (FT) ou faisceau externe du pied du
ne rayonnante du lobe temporal et le faisceau de 7'M ! 'c ? (FT) ou
faisceau
externe du pied du pédon- cule cérébral. Ces fi
e en particulier, dans la première temporale (F1''1\). La partie du
faisceau
de Tiirck, qui vient des deuxième et troisième
s, qui proviennent de la zone claire de fibres situées en dedans du
faisceau
de 7'ürcl, : (FT) et qui se continuent avec la
alamiques ou ? 7 ? Mto)'o ? t/))fM.s' s'enchevêtrent avec celles du
faisceau
de Tùrck, traversent la région thalamique de la c
e rendent il la partie inférieure de la couche optique. Les fibres du
faisceau
de 7'M/'c/- (FT) se portent au contraire en bas
erne environ du pied du pédoncule cérébral et que par conséquent le
faisceau
.de y'tt;'c/)' tire son origine corticale exclusiv
de la couche formée par les radiations thalamiques (RTh), un petit
faisceau
de fibres sectionnées perpendi- culairement et
onnées en travers et dont la partie supérieure est traversée par le
faisceau
de 7'ür·cl, : avec lequel elles paraissent se con
l, : avec lequel elles paraissent se confondre en dehors : c'est le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli), séparé de la cavité
se comportent comme sur la coupe précédente n° VIII (fin. 286). Le
faisceau
occipito-frontal (OF) est formé de faisceaux ap
n° VIII (fin. 286). Le faisceau occipito-frontal (OF) est formé de
faisceaux
aplatis et sectionnés parallèlement à leur axe qu
ventricule sphénoïdal (Vsph) en dehors, et s'entre-croisent avec le
faisceau
longitudinal inri·rieur (lli), puis elles se po
, fig. 292, 293). Les fibres des radiations thalamiques (RTh) et du
faisceau
longitudinal infé- rieur (Fli) sont traversées
ction est particulièrement nelle au niveau du coude que présente le
faisceau
longitu- dual inférieur (Fli), il la base de la
que sur les coupes pré- cédentes et se différencient des fibres du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) par leur coloratio
veau de la paroi inférieure du diverlicule du stcbiculunc (ds), le
faisceau
longitu- dinal infé1'iew' (Fli) se confond avec
ds), le faisceau longitu- dinal infé1'iew' (Fli) se confond avec le
faisceau
postérieur du cingulum. Quant il la paroi inter
lv), qui se continuent graduellement en haut avec les fibres - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - l'lp, faisceau longitud
aut avec les fibres - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - l'lp,
faisceau
longitudinal postérieur. - ft. fibres tangentie
tique. NU, troisième segment du noyau lenticu- laire (putamen). OF,
faisceau
occipito-frontal. OpP-2, opercule pariétal. - ot,
ostérieures de la protubérance. - pour, sillon post-rolandique. Py,
faisceau
pyramidal. - /in : , ruban de Reil médian. RTla,
tance grise de l'aqueduc qui se porte un peu en avant, on trouve le
faisceau
longitudinal postérieur (l11) divisé en gros fa
e du noyau caudé. Le bourrelet du corps calleux (Ce), formé de gros
faisceaux
de fibres enche- vêtrées, se divise au niveau d
rent que le tapetum appartient, non pas au système calleux, mais au
faisceau
d'association occipito-frorztal de Forel et Onnfr
eau d'association occipito-frorztal de Forel et Onnfrowicz (Voy. ce
faisceau
, chap. IV). Arrivées au niveau de l'angle inférie
rayonnante.-ds,diverticule du subiodum.Fe, fasciola cincrea.- Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - ft, fibres tangentielle
on trouve, au niveau de l'angle inférieur du ventricule latéral, un
faisceau
fortement coloré et volumineux : c'est le fais-
fusiforme (Fus) un coude très accentué. Il entoure, comme les deux
faisceaux
précédents, le diverticule du subiculum, mais i
u subiculum de la corne d ? 1lll1non où elles se confondent avec le
faisceau
postérieur du cingulum. Nettement déli- mité au
gulum. Nettement déli- mité au niveau du lobule fusiforme (Fus), le
faisceau
longitudinal inférieur se perd peu à peu, à mes
er forme, au niveau de l'angle supérieur de la corne occipitale, un
faisceau
volumineux et très épais, fortement coloré par
our de la corne frontale les fibres du genou du corps calleux et du
faisceau
oceipito ? f1'ontal (Voy. fig. 279 et 280). De
sse en avant -de la coupe macroscopique de la figure 263. - 1'li,
faisceau
longitudinal inférieur. Fm, forceps major. - ftcS
- 1'li, faisceau longitudinal inférieur. Fm, forceps major. - ftcS,
faisceau
transverse du cunéus de- Sachs. Fus, lobule fus
ématoxyline, c'est la couche des fibres longues d'association ou du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). De même que les d
rquent au niveau du sillon marginal postérieur de l'insula, en deux
faisceaux
: Le fais- ceau inférieur suit l'angle inféro-e
ions occipitales (Voy. Coupes horizontales, fig. 392, 293 et 298). Le
faisceau
supérieur traverse le segment rétro-lenticulair
ment postérieur de la capsule exlcrvre (Voy. coupes 296 et 297). Le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) constitue donc un lo
7). Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) constitue donc un long
faisceau
d'association lemporo-occipilal. Il dégénère il l
et dont les fibres se terminent dans l'écorce du lobe temporal. Ce
faisceau
a probablement des fonctions très importantes : i
bres d'association propres de ce lobe Coiffant l'angle supérieur du
faisceau
longitudinal inférieur, on trouve un faisceau a
nt l'angle supérieur du faisceau longitudinal inférieur, on trouve un
faisceau
assez volumineux formé de fibres parallèles ou
umineux formé de fibres parallèles ou légèrement obliques, c'est le
faisceau
transverse, du cunéus de Sachs (flcS), qui relie
on compte quatre couches de fibres : 1° le stratum calcarinum; 2° le
faisceau
longitudinal inférieur ; 3° la mince couche des
près à la coupe macroscopique de la figure 265. - C, cunéus. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. ^- ftcS, faisceau transve
re 265. - C, cunéus. Fli, faisceau longitudinal inférieur. ^- ftcS,
faisceau
transverse du cunéus de Sachs. tlgV, faisceau t
l inférieur. ^- ftcS, faisceau transverse du cunéus de Sachs. tlgV,
faisceau
transverse du lobule lingual de Vialet. - Fus, lo
ieure et qui ne présente ici rien de particulier il noter. Quant au
faisceau
longitudinal inférieur (Fli), très mince au niv
ettement délimitées. Au-dessous de cette couche, on trouve un court
faisceau
d'association de la région, le faisceau transvers
couche, on trouve un court faisceau d'association de la région, le
faisceau
transverse du lobule lingual, de Vialet (IIbV).
gual, de Vialet (IIbV). Entrevu par Sachs, bien décrit par Vialet, ce
faisceau
est formé de fibres parallèles qui se dirigent
itales inférieures (0 ? 03), qu'elles relient au lobule lingual. Ce
faisceau
représente la moitié inférieure de l'important
occipital. La moitié supérieure de ce système est constituée par le
faisceau
transverse du cunéus de Sachs, plus épais et pl
transverse du cunéus de Sachs, plus épais et plus volumineux que le
faisceau
transverse du lobule lingual de Vialet. Né de l
e la scissure calcarine (K) et de la face interne du cunéus (C), le
faisceau
de Sachs (ftcS) passe au-dessus de la partie su
faisceau de Sachs (ftcS) passe au-dessus de la partie supérieure du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) qu'il coiffe à la fa
ie. Quelques-unes de ses fibres atteignent le pli courbe (Pc). Ce
faisceau
, toujours facile il reconnaître, est limité en de
relient la base du lobe occipital la convexité et consti- tuent le
faisceau
occipital vertical de Wernicke (Ov, fig. 389) (fa
i- tuent le faisceau occipital vertical de Wernicke (Ov, fig. 389) (
faisceau
perpendi- culaire de la convexité de Sachs).
leur tour et, à un centimètre en arrière de la corne occipitale, le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) n'existe plus en t
le faisceau longitudinal inférieur (Fli) n'existe plus en tant que
faisceau
distinct. Toutes les coupes passant en arrière
isceau distinct. Toutes les coupes passant en arrière de ce dernier
faisceau
n'intéressent que les fibres d'association courte
des radiations thalamiques et du fais- ceau longitudinal inférieur,
faisceaux
dont aucun n'a conservé son individualité. II.
MICROSCOPIQUES Cette série, destinée à l'étude du trajet des longs
faisceaux
d'associa- tion, comprend 6 coupes; les deux pr
poro-oecipilal ne présente, en dehors des couches sagittales, aucun
faisceau
nettement distinct. L'enchevêtrement des fibres d
nt, en allant de la masse blanche vers la cavité ventriculaire : le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) et les radiations lh
et (RTh); en dedans de ces fibres on trouve le tapetum (Tap). 1° Le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) qui représente les l
bule lingual (Lg), fibres qui alimentent l'extrémité postérieure du
faisceau
longitudinal inférieur. Limité en dehors par le
ar les deuxième et première-circonvolutions temporales (T=,T, ), le
faisceau
longitudinal inférieur présente un coude au nivea
s la crête de la première circonvolution temporale (T,). En avant, le
faisceau
longitudinal inférieur peut être suivi jusque d
zontale, fortement colorées par l'hématoxyline et qui appartient au
faisceau
longitudinal in firicrtr (1 li). En arrière, ces
ricrtr (1 li). En arrière, ces fibres se continuent avec ce dernier
faisceau
au niveau de la base du lobule lingual; en avant
imbique ( ? cl). , 2" Radial ions thalamiques (IlTli). En dedans du
faisceau
longitudinal inférieur, on trouve le long de la
ointe occipitale (0,) on les voit traverser la couche des fibres du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) et s'irradier dans
apisse d'une mince couche de fibres peu colorées, comprise entre le
faisceau
longitudinal inférieur et la mince couche des f
fibres des circonvolutions temporales (T,, T ? T3) qui traversent le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) : il est probable
, peu colo- rées, que l'on constate à un fort grossissement dans le
faisceau
longitudinal infé- rieur appartiennent aux radi
diations thalamiques s'entre-croisent à angle aigu avec de nombreux
faisceaux
ondulés et fortement colorés qui s'irradient da
nt colorés qui s'irradient dans la couche optique. L'origine de ces
faisceaux
n'est pas élucidée. Repré- sentent-ils, comme n
? Appartiennent-ils, comme l'admettent la majorité des auteurs, au
faisceau
longitudinal inférieur dont quel- ques fibres s
diations thalamiques (RTh) et se présentent sous l'aspect d'un gros
faisceau
de fibres sectionnées perpendiculai- rement à l
au de fibres sectionnées perpendiculai- rement à leur direction. Ce
faisceau
s'arrête brusquement au niveau de la queue du n
ment postérieur de la capsule interne. Fc, fibres calleuses. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Fm, forceps major. /7;, l
ant en connexion la région occipitale avec la région frontale (Voy.
faisceau
occ ? ) ! '<o-/<'0)i<a7). En avant, le
niveau du tronc du corps calleux (Ce), elles sont disposées en gros
faisceaux
à direction transversale. Le trigone (Tg) est i
sule interne. CL, corps de Luys. cop, commissure postérieure. - FI,
faisceau
lenticulaire de Forel. Fli, faisceau longitudin
p, commissure postérieure. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe
au lenticulaire de Forel. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert FT, faisceau de Tiirck. G
ceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert FT,
faisceau
de Tiirck. GP, globus pallidus. - H, hippocampe
u trigone. - tu sillon parallèle. - V,, troisième ventricule. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - Voe, corne occipitale du vent
la bandelette optique et forment le champ de Wernicke (W). Quant au
faisceau
longitudinal inféoiczt· (Fli), formé de fibres
ment du noyau lenticulaire f\L") et s'entre-croise avec les fibres du
faisceau
de Tiirck (FT), faisceau qui entre dans la cons
f\L") et s'entre-croise avec les fibres du faisceau de Tiirck (FT),
faisceau
qui entre dans la constitution de la partie posté
ent au cingulum et semble se continuer en dehors avec le système du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli); la couche des fib
, NI,2, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - OF,
faisceau
occipito-frontal. OF', partie du faisceau occip
noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. OF', partie du
faisceau
occipito-frontal, s'irradiant dans ltroi circonvo
En avant et en dedans du pied de la couronne rayonnante, on trouve le
faisceau
ocr.ipilo-fionlal (OF), formé de fibres peu col
la substance grise sous-épendymaire (Sge). Une partie des fibres du
faisceau
occipilo-fronlal (OF') se porte en avant et en de
n (NL3) un contingent assez important de fibres qui lui viennent du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). OpF3, opercule de
tique. - Tga, pilier antérieur du trigone. tth, toenia thalami. VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. Zr, zone réticulée ou grillagée
frontale (F3) et de l'insula (la, Ip), on constate l'existence d'un
faisceau
fortement coloré, sectionné parallèlement à la
t qui contourne le sillon marginal antérieur de l'insula : c'est le
faisceau
uncinatus (Fu) qui appar- tient au seuil de l'i
de l'insula. Sur la coupe suivante (coupe E, fib. 297) il s'unit au
faisceau
longitu- dinal inférieur et morcelle la partie
le de l'avant-mur. En dehors du sillon olfactif (1'1.) il existe un
faisceau
antéro-postérieur, formé de fibres fortement co
nvolution frontale (F,). Ces fibres se portent en avant, formant un
faisceau
unique, qui se dédouble en avant du sillon olfact
ne rayonnante (CR), on trouve une couche de fibres claires, puis un
faisceau
à direction sagittale, qui appartient au faisce
claires, puis un faisceau à direction sagittale, qui appartient au
faisceau
occipito-frontal (OF). En avant on voit ces fibre
partie postérieure de la capsule externe (Ce) reçoit, en effet, le
faisceau
longitudinal inférieur que l'on voit, sur les c
utamen (NL3), dissocier l'avant-mur (AM) et s'entre-croiser avec le
faisceau
uncinatus (Fu) (Voy. coupe E, fig. 297). Les
rées de la partie antérieure de la capsule externe appartiennent au
faisceau
uncinatus (Fu), dont quelques fibres se portent e
dehors du sillon olfactif (f4). Le plus grand nombre des fibres du
faisceau
unci- na lus (Fu) se porte en dehors et s'irrad
, alvéus. - ail, avant-mur. ADI', avant-mur morcelé par les-fibres du
faisceau
uncina- tus (Fu). -bcl, bandelette diagonale de
lon frontal. - f, quatrième sillon frontal ou sillon olfactif. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe
ntal ou sillon olfactif. Flp, faisceau longitudinal postérieur. FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Türck.
longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT,
faisceau
de Türck. - Fu, faisceau uncinatus. la, Ip, insul
FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Türck. - Fu,
faisceau
uncinatus. la, Ip, insula antérieur et postérieur
érieur du trigone (Tga), se recourbe en arrière, passe en dehors du
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA), en dedans du corps de Luys (
érieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) reçoit le
faisceau
, de 7'M)'eA (FT) qui passe au-dessous du putamen
FT) qui passe au-dessous du putamen (\La) et s'entre-croise avec le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). Entre l'anse du noy
inal inférieur (Fli). Entre l'anse du noyau lenticulaire (Al) et le
faisceau
, de TiiJ'ck (FT), les fibres verticales du segmen
du segment postérieur de la capsule interne (Cip) sont divisées en
faisceaux
plus ou moins gros, par de nom- breuses fibres
,, noyau lenticulaire et ses trois segments.-NR, noyau rouge. - 01,
faisceau
occipito-frontat. RC,radiations de la calotte.-
lon olfactif. - fAc, libres d'association externes de Meynert. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudina
ion externes de Meynert. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. Il, libres tangentiell
lp, faisceau longitudinal postérieur. Il, libres tangentielles. -Fu
faisceau
uncinatus. - le, lame cornée et fibres du taenia,
ns frontales (oF uoF 3)' En arrière elles se réunissent en un épais
faisceau
, situé dans la capsule externe (Ce) en dehors d
eau, situé dans la capsule externe (Ce) en dehors du putamen (NL3),
faisceau
que l'on peut suivre jusqu'au niveau de la corn
usqu'au niveau de la corne sphénoïdale. Ces fibres appartiennent au
faisceau
uncinalus (Fu). Le faisceau longitudinal inféri
sphénoïdale. Ces fibres appartiennent au faisceau uncinalus (Fu). Le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) s'entre-croise en
isceau longitudinal inférieur (Fli) s'entre-croise en avant avec le
faisceau
uncinatus (Fu) en arrière (NI,) avec les radiat
illaire latéral (PTrnl). En dedans du noyau rouge (NR) se trouve le
faisceau
longitudinal posté- rieur (Flp), le noyau et le
uni à l'écorce temporale. Ces gros fascicules appartiennent soit au
faisceau
longitudinal inférieur (Fli), soit au faisceau un
ppartiennent soit au faisceau longitudinal inférieur (Fli), soit au
faisceau
uncinatus (Fu). Le fais- ceau longitudinal infé
le noyau amygdalien. (NA) et s'irradie dans l'écorce adjacente. Les
faisceaux
qui sillonnent les parties morcelées de l'avant
sillonnent les parties morcelées de l'avant-mur (AM) appartiennent au
faisceau
uncinalus (Fu). En dedans des radiations thalam
ge du noyau amygdalien (NA). Les radiations thalamiques (RTh) et le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) sont tra- versés p
ds, diverticule du subiculum. Epa, espace perforé antérieur. - Fli,
faisceau
longitudi- nal inférieur.- Fu, faisceau uncinat
e perforé antérieur. - Fli, faisceau longitudi- nal inférieur.- Fu,
faisceau
uncinatus. H(L2), circonvolution de l'hippocampe
orrespondent aux fibres d'association de la région, en particulier au
faisceau
postérieur du cingulum. Les fibres tangentielle
Dans la partie centrale seule de la coupe, il existe de véritables
faisceaux
de fibres, plus ou moins nettement circonscrits
ince couche de fibres propres à cette circonvolution, un volumineux
faisceau
qui se dirige d'avant en arrière, et dont les e
s extrémités se perdent dans la niasse blanche du lobe limbique. Ce
faisceau
, fortement coloré par l'hématoxyline, constitue l
s d'association courtes. En dehors du cingulum, on trouve un second
faisceau
vo- lumineux, épais, formé en grande partie de
ne 1 (lig. 300) qui intéresse le centre ovale de Vieussel1s, trois
faisceaux
nettement délimités el caractéristiques par la
ction verticale, et qui se présentent sur cette coupe sous forme de
faisceaux
de fibres coupés en travers. Entre le cingulum et
illon inter-pariétal. L,, pre- mière circonvolution limbique. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - P2, deuxième circon- . volu
dans leur ensemble, elles se présentent toujours sous la forme d'un
faisceau
large il sa partie moyenne, effilé à ses extrém
fibres d'association est toujours extrêmement considé- rable ; les
faisceaux
différenciés se délimitent cependant mieux que su
la même hauteur que la coupe macroscopique de la figure 220. Arc,
faisceau
arqué. Cc, corps calleux. - Cing, cingulum en : ,
n- volution limbique. - NC, noyau caudé. NL, nerf de Lancisi. - OF,
faisceau
occipito- frontal. P», deuxième circonvolution
re de fibres il direc- tion antéro-poslérieure qui appartiennent au
faisceau
arqué, ou longitudinal supérieur de l3rcrdacla
rdacla (Arc). En dedans, le cingulum (Cing) se réduit à deux petits
faisceaux
qui entourent le sinus du corps calleux (sec), et
de partie, par des fibres sectionnées parallèlement et disposées en
faisceaux
qui se dirigent transver- salement en dehors. E
n faisceaux qui se dirigent transver- salement en dehors. Entre ces
faisceaux
, on aperçoit un assez grand nombre de fibres se
nt par la méthode de W(igert que les fibres appartenant il d'autres
faisceaux
. Grâce il cette différenciation, on peut suivre d
u noyau caudé, ces fibres Ümticulo-caudécs s'entre-croisent avec le
faisceau
occipilo- frontal (OF), faisceau à direction sa
o-caudécs s'entre-croisent avec le faisceau occipilo- frontal (OF),
faisceau
à direction sagittale, qui borde l'angle externe
borde l'angle externe du f'tt- tricule latéral (VI) et constitue un
faisceau
d'association reliant le lobe occipital au lobe
l supérieur de l'insula, puis les circonvolutions de l'insula. Le
faisceau
arqué (Arc), qui limite la masse blanche de l'ope
et qui occupent tout le tiers interne de la préparation. Entre les
faisceaux
de libres transversales, on aperçoit un certain
épendymaire du ventricule latéral (Sge) et dissocient les libres du
faisceau
occipito-frontal (OF), ainsi que celles du pied
ans la queue du noyau caudé (NC'), on voit un assez grand nombre de
faisceaux
de fibres, sectionnées obliquement ou perpendicul
nd du bord externe du noyau caudé (NC)et du thalamus (Th), jusqu'au
faisceau
arqué de Iturdach (Arc), et se continue insensi
la même hauteur que la coupe macroscopique de la figure 221. Arc,
faisceau
arqué. - Ce, corps calleux. - Ce, capsule externe
or, ces dernières fibres appartiennent presque toutes au système du
faisceau
pyramidal. Dès la première apparition de la cap
ent l'homologue des fibres du segment, antérieur, et constituent un
faisceau
assez large, situé en dehors de fibres calleuses,
onvolution frontale. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - la, insula antérieur.
noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. - Ara, putamen. - OF,
faisceau
occipito-- frontal. - Pa, circonvolution pariét
l (VI) par la substance grise slHl.HlpelldYl/1,flÎ1'e (Sge) et par le
faisceau
occipito-li'lil11al (OF). En arrière, elle est
es des radiations thalamiques (RTh), qui forment sur cette coupe un
faisceau
nettement délimité en dehors par les fibres du
te coupe un faisceau nettement délimité en dehors par les fibres du
faisceau
longitudinal infé- rieur (Fli). Ce dernier fais
r les fibres du faisceau longitudinal infé- rieur (Fli). Ce dernier
faisceau
est formé par des fascicules de fibres compactes
lenticulaire (putamen) (NL'I); elle ne donne à ce noyau aucun gros
faisceau
de fibres. Cependant lorsqu'on examine à l'aide
, ces fibres peuvent être comparées aux fibres qui appartiennent au
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). Dans la partie an
e de la capsule externe (Ce), on trouve de même, un petit nombre de
faisceaux
foncés, fortement colorés, qui ne font que traver
. - Cirl,. segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. i, sillon de l'insula. la
ement au niveau de sa paroi antérieure, on rencontre quelques rares
faisceaux
de fibres à direc- tion horizontale, étendus du
r les coupes plus inférieures. Ces deux couches sont formées par le
faisceau
, longitudinal iujhicul' (Fli) confondu avec les
e réticulée est beaucoup plus large; on y distingue la sec- tion de
faisceaux
de fibres, non seulement horizontales et pénétran
seulement horizontales et pénétrant dans la couche optique, mais de
faisceaux
il direction verticale, et qui entrent dans la
alamus (Ne). Ce noyau externe (Ne) renferme un très grand nombre de
faisceaux
, sectionnés per- pendiculairement ; il forme la
du corps strié (VCrst), et dans la lame cornée (le) on rencontre un
faisceau
de libres fines, mal colorées par la méthode de
lamus (Ne). Les fibres internes chemi- nent sous la forme d'un gros
faisceau
, jusqu'à la partie antérieure de ce noyau exter
que. Le segment postérieur de la capsule (Cip) est surtout formé de
faisceaux
de libres à direction verticale, traversées par
rne. Cirl, segment rétro-len- ticulaire de la capsule interne. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. la, insula antérieur. -
r du trigone (fimbria). TM, trou de Monro. tih, taenia thalami. VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. VCrst, veine du corps strié. 1V
l (Tap), les libres des radiations thalamiques (RTh), les fibres du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) et les fibres prop
les, fines, fortement colorées par l'hématoxyline et dispo- sées en
faisceaux
extrêmement serrés ; elles appartiennent au corps
également dans la constitution du champ de Wer- nicke (W). 3° Le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) est formé de libres
ées par l'hématoxyline, qui occupent tout l'espace compris entre le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) et l'écorce cérébr
recouvrent l'extrémité antérieure de la couche optique constituent un
faisceau
volumineux, épais, à direction antéro-postérieu
ro-externe de ce noyau. 600 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. part un
faisceau
conique et compacte, de fines fibres à direction
, de fines fibres à direction horizontale ou légèrement oblique; ce
faisceau
, qui correspond à l'origine du faisceau de Vicq
e ou légèrement oblique; ce faisceau, qui correspond à l'origine du
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA), aborde par sa base le noya
surtout formé de substance grise, dans laquelle apparaissent de gros
faisceaux
de. fibres qui affectent une disposition arbori
iculaire (NL,) présente un aspect pointillé, qui lient aux nombreux
faisceaux
de fibres sectionnés transversalement qui le trav
oisième circonvolu- tion frontale. fq, sillon mnbrio-godronne. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Gh, gan- glion de l'hab
, trou de Monro. tlh, taenia thalami. Va, troisième ventricule. VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. VCrst, veine du corps strié. VI
clc crf- 1'IJbml vers la capsule, il esl facile de constater que le
faisceau
, dit du genou de la capsule, ne dépasse guère e
l'un de nous a constaté (1893) l'existence d'une dégénérescence du
faisceau
du genou, dégénérescence qu'il a pu suivre, il
males étudiées en séries rendait déjà probables, démontrent que le
faisceau
du genou de la capsule (Ci[g]) correspond au se
face de section du tzenia semi-circularis, sous la forme d'un petit
faisceau
ovalaire; recouvert par la suú- stance grise so
ale des radiations thalamiques postérieures (RTh); 3° les libres du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli), à direction sagitta
fibres radiaires, on trouve la surface de section transversale d'un
faisceau
ovalaire, formé de libres fines et serrées et que
serrées et que nous retrouverons sur les coupes qui vont suivre. Ce
faisceau
représente le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), que
etrouverons sur les coupes qui vont suivre. Ce faisceau représente le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA), que nous avons vu sur la c
médullaire interne du thalamus (Lmi) n'est plus formée ici par des
faisceaux
sectionnés perpendiculairement à leur axe, mais b
). Les fibres externes colorées aussi intensivement que les libres du
faisceau
, longitudinal inférieur entourent les amas ou n
sur les coupes suivantes, elles se portent en dehors, et forment un
faisceau
de libres for- tement colorées, le fasciculus r
roisième circonvolution frontale. fpl, sillon fimbrio-godronné. FI,
faisceau
lenticulaire do Foret. Fli, faisceau longitudinal
, sillon fimbrio-godronné. FI, faisceau lenticulaire do Foret. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe
au lenticulaire do Foret. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. FT, faisceau de Türck. - F
eau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. FT,
faisceau
de Türck. - Fllt, faisceau thalamique de Forel.
FM, faisceau rétroflexe de Meynert. FT, faisceau de Türck. - Fllt,
faisceau
thalamique de Forel. Gh, ganglion de l'habénula
rieur du trigone. Th, couche optique. V3, troisième ventricule. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. VI, ventricule latéral. Il ? zo
es sont beau- coup plus clairsemées; elles s'entre-croisent avec un
faisceau
, qui apparaît ici pour la première fois, et qui
ui relie la couche optique (Th) avec la région de la Cll- lotte. Ce
faisceau
découvert par Forel faisceau (H,) (Markfeld H,) d
h) avec la région de la Cll- lotte. Ce faisceau découvert par Forel
faisceau
(H,) (Markfeld H,) de cet au- teur et que nous
Markfeld H,) de cet au- teur et que nous désignerons sous le nom de
faisceau
lhalamique de, Forel (fla), occupe la partie mo
oupe, sous l'aspect d'un champ triangulaire, dont la base embrasse le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA), dont le bord externe recou
(Lmi). Cette dernière lame (Lmi) se dédouble un peu en ar- rière du
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA), et embrasse un noyau aplati
l'habénula (Gh) el du tubercule quadri jumeau antérieur (Qa) par le
faisceau
1'étJ'Oflexe de Meynert (FM) (fasciculus retrof
s le pulvinar (Pul), les fibres moyennes se réunissent pour former un
faisceau
volumineux, le bras du tubercule quadrijumeau a
rps genouillé interne (Cgi) et le centre médian de Luys (Nm); 3° le
faisceau
lIlI/lamique de Forel (Fth), qui fait partie de
r est composé de libres vues en section transversale, sous forme de
faisceaux
ou de fascicules, séparés les uns des autres par
face externe de la capsule, pour constituer la première ébauche du
faisceau
112 de Forel, faisceau que nous désignerons sou
apsule, pour constituer la première ébauche du faisceau 112 de Forel,
faisceau
que nous désignerons sous le nom de faisceau le
faisceau 112 de Forel, faisceau que nous désignerons sous le nom de
faisceau
lenticulaire de Forel (FI) et que l'on retrouve
de la partie postérieure du si'Ullll'nl pos- térieur constituent le
faisceau
de 7';«'cA' (FT). Ce faisceau, que nous allons re
'Ullll'nl pos- térieur constituent le faisceau de 7';«'cA' (FT). Ce
faisceau
, que nous allons re- trouver sur les coupes plu
ttement jus- qu'ici. Beaucoup d'auteurs considèrent avec Meynert le
faisceau
de Turck. comme étant la continuation dans Vêla
lobe occipital (radiations optiques postérieures ou de Graliolel et
faisceau
longitudinal inférieur [fiv]). Cette interprétati
ntraires en effet à cette manière de voir. Si, en effet, on étudie le
faisceau
de 7'üncl, : sur des coupes vertico-transversal
er (voy. fig. 285, 286 et t. II), on constate très nettement que ce
faisceau
est formé par des fibres de projection qui, ven
t elles occupent le bord externe. L'étude des dégénérescences de ce
faisceau
, il la suite de lésions corticales, est extrême
t démonstrative. Le segment postérieur de, la capsule interne el le
faisceau
externe du pédoncule cérébral persistent en effet
psule interne (Cirl) est seul dégénéré (J. Dejerine, N. Vialet). Le
faisceau
de 7'ürcl : , par contre, dégénère dans toute sa
fibres qui constituent ce segment rétro-lenticulaire, se séparer du
faisceau
de 7'« ? 'c/; et se recourber en arrière, sous fo
sent au niveau de la face interne de cette dernière, pour former le
faisceau
lenticulaire de Forel (FI), faisceau de fines fib
cette dernière, pour former le faisceau lenticulaire de Forel (FI),
faisceau
de fines fibres obliques en avant et en dedans,
vant et en dedans, fortement colorées par la méthode de Weigert. Ce
faisceau
entre dans la constitution des radiations de la c
ieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip), on voit le
faisceau
de Tiirck (FT), formé de fibres sectionnées très
yau externe du thalamus a disparu également, il est remplacé par le
faisceau
découvert par Forel (faisceau H,) et que nous d
aru également, il est remplacé par le faisceau découvert par Forel (
faisceau
H,) et que nous désignerons sous le nom de faisce
vert par Forel (faisceau H,) et que nous désignerons sous le nom de
faisceau
thalamique de Forel (Fth). Ce faisceau, 'allong
s désignerons sous le nom de faisceau thalamique de Forel (Fth). Ce
faisceau
, 'allongé dans, le sens antéro-postérieur, est sé
en avant du pédoncule antérieur de la couche optique (Path) par le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA), en dedans il est séparé du
quièmes postérieurs du segment postérieur de la capside (Cip) et du
faisceau
lenticulaire 612 1 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
p, commissure postérieure. F3, troisième circonvolution frontale. FI,
faisceau
lenticu- laire de Forel. Flc, fibres lenticuo-c
aisceau lenticu- laire de Forel. Flc, fibres lenticuo-caudées. Fli,
faisceau
longitudinal, inférieur. FM, faisceau rétroflex
fibres lenticuo-caudées. Fli, faisceau longitudinal, inférieur. FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. FT, faisceau de Turck. Fth
au longitudinal, inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. FT,
faisceau
de Turck. Fth, faisceau thalamique de Forel. Gh
ur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. FT, faisceau de Turck. Fth,
faisceau
thalamique de Forel. Gh, ganglion de l'habénula
eure (cop) et le dernier vestige du ganglion de l'habénula (Gh). Le
faisceau
rélroflexe de 1lcriuert (FM) très facile à reco
eur du trigone (Fimbria). Th, thalamus. Va, troisième ventricule. VA.
faisceau
de Vicq d'Azyr. Vsph. corne sphénoïdale du vent
commissure postérieure. 1%a, troisième circonvolution frontale. FI.
faisceau
lenticulaire de Forel. 1%le, libres lenticulo-cau
aisceau lenticulaire de Forel. 1%le, libres lenticulo-caudées. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe
bres lenticulo-caudées. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM,
faisceau
rétroflexe de \Ieynert. FT, faisceau de Tiirck. F
au longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de \Ieynert. FT,
faisceau
de Tiirck. Fth, faisceau thalamique de Forel. G
ur. FM, faisceau rétroflexe de \Ieynert. FT, faisceau de Tiirck. Fth,
faisceau
thalamique de Forel. Glp, glande pinéale. Il, h
ptique. - l'ul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. Rc,
faisceau
cortical du noyau rouge passant par les radiati
érieur du trigone. TM, trou de Monro. V3, troisième ventricule. VA.
faisceau
de Vicq d'Azyr. VI, ventricule latéral. Vsph, c
S NERVEUX. de la capsule; le cinquième postérieur est occupé par le
faisceau
de 7'M<'e& (FT); formé de fibres horizon
tiques postérieures ou de Grafiolet(RTb), limitées en dehors par le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) et en arrière par
croisant avec les fibres du corps genouillé externe (Cge). Quant au
faisceau
longitudinal izzfi·r°icvr(lli), tout, en ayant
eures, après avoir traversé la capsule interne, se réunissent en un
faisceau
rectangulaire, formé de fibres entre-croisées dan
i lesquelles dominent les libres obliques en avant et en dedans. Ce
faisceau
constitue le faisceau lenticulaire de Forel (FI),
les libres obliques en avant et en dedans. Ce faisceau constitue le
faisceau
lenticulaire de Forel (FI), dont nous avons vu
, le segment postérieur de la capsule (Cip) esl entouré par un gros
faisceau
de fibres horizontales, l'anse du noyau lenticula
rd antéro-interne de. la capsule, et s'unis- sent en dedans avec le
faisceau
lenticulaire de Forel (FI). En arrière du faisc
n dedans avec le faisceau lenticulaire de Forel (FI). En arrière du
faisceau
de 7'ürc%, le segment postérieur de la capsule in
c le corps genouillé interne (Cgi), dont il est séparé par un petit
faisceau
triangulaire de fibres horizontales (Rc), qui s
triangulaire de fibres horizontales (Rc), qui s'insinuent entre le
faisceau
de 7'Mt'cA (FT) et le corps genouillé externe (Cg
le faisceau de 7'Mt'cA (FT) et le corps genouillé externe (Cge). Ce
faisceau
(Rc), représente la partie corticale des radiatio
I). Le ruban de Reil (Rm) forme sur cette coupe n° 11 (fig. 310) un
faisceau
irrégulier, aplati dans sa partie postérieure,
le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa) d'une part et le
faisceau
thalamique de Forel (Fth) d'autre part. Il est su
m), entre ce ruban et la commissure postérieure (cop), on trouve le
faisceau
réiroflexe de Meynert (FM), facile à reconnaître,
ros diamètre de ses fibres. En avant du ruban de Reil, on trouve le
faisceau
thalamique de Forel (Fth), dont les limites sont
ites sont devenues moins distinctes que sur la coupe précédente. Ce
faisceau
, né des libres verticales des lames médullaires
es des lames médullaires du thalamus, embrasse toujours en avant le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA), et il est séparé du faisce
jours en avant le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), et il est séparé du
faisceau
lenticulaire de Forel (FI) et du corps de Luys
ticule du subiculum. - Fa, troisième circonvolution frontale. Fcon,
faisceau
de la commissure postérieure. sillon fimbrio-gocl
aisceau de la commissure postérieure. sillon fimbrio-goclronné. FI,
faisceau
lenticulaire. de Forel. Fli, faisceau longitudina
sillon fimbrio-goclronné. FI, faisceau lenticulaire. de Forel. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Flp, fais- ceau longitu
ongitudinal inférieur. Flp, fais- ceau longitudinal postérieur. FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Türck
au longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT,
faisceau
de Türck : - h, sillon de l'hippocampe. la, ins
noyau caudé (NC), elle est formée de fibres parallèles, disposées en
faisceaux
serrés. Elle se coude au niveau des fibres qui
la capsule externe (Ce), et avec les fibres les plus antérieures du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). En dedans, elle e
(NC) et avec le noyau alllygdoliell. Elle est située au-dessous du
faisceau
de 7'M;'c ? (FT) qui croise salace supérieure,
segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), séparé du
faisceau
de l'iil'ck (FT) par toute l'épaisseur de la band
Tgp, pilier postérieur du trigone. V3, troisième ven- tricule. VA,
faisceau
de Vicq d'A/yr. Vif, corne frontale du ventricule
s fibres des radiations thalamiques (RTh). La plupart des libres du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) se rendent en effe
Ces fibres viennent de l'écorce temporale et appartiennent encore au
faisceau
de Tùrck (FT) dont elles sont séparées sur cett
ieur de la capsule interne (Cip) et entrent dans la constitution du
faisceau
lenticulaire de Forel (FI), très accusé snr cet
endiculairement à leur axe; son sixième postérieur, qui représente le
faisceau
de ! 'ürck(1T), est seul formé de fibres couchées
yenouillés interne (Cgi) et externe (Cgi), en avant, avec un petit
faisceau
de fibres fines, le pédonculeinjëro-inlc1'Ile d
COPIQUES DU CERVEAU. 621 ment en allant d'avant en arrière, avec le
faisceau
lenticulaire de Forel (FI), le corps de Luys (C
avant des radiations de la calotte (RC) nous trouvons en dehors : le
faisceau
, thalamique de Forel (Fth) et le corps de Luys
au, thalamique de Forel (Fth) et le corps de Luys (CL), en avant le
faisceau
lenticu- laire de Forel (FI) et le faisceau de
Luys (CL), en avant le faisceau lenticu- laire de Forel (FI) et le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA), puis la substance grise du
en dehors et forme dans la concavité du ruban delleil médian(Hm)nn
faisceau
de fibres, le faisceau de la com- missure posté
s la concavité du ruban delleil médian(Hm)nn faisceau de fibres, le
faisceau
de la com- missure postérieure (Fcop) qui desce
d dans la calotte ou étage supérieur du pédon- cule. En avant de ce
faisceau
on trouve, d'une part, le faisceau 1'1 ! II'oflex
r du pédon- cule. En avant de ce faisceau on trouve, d'une part, le
faisceau
1'1 ! II'oflexc de Oletl- lied (FM), et entre c
tie ventrale de la commissure postérieure (cop), le commencement du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp), qui apparaît sous
ceau longitudinal postérieur (Flp), qui apparaît sous la forme d'un
faisceau
triangulaire constitué par de gros fascicules for
squ'à la partie antérieure du 622 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
faisceau
longitudinal inférieur (Fli), c'est-à-dire jusqu'
inal inférieur (Fli), c'est-à-dire jusqu'au niveau du coude, que ce
faisceau
forme à la base de la première circonvolution tem
ticule du subiculum. - Po, troisième circonvolution frontale. Fcop,
faisceau
de la commissure postérieure. - Fi, fimbria. Fl
e. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - Fi, fimbria. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe d
stérieure. - Fi, fimbria. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert, Fl, faisceau longitudina
sceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert, Fl,
faisceau
longitudinal postérieur. - la, Ip, insula antér
stéro-interne de la tête du noyau candi; est en rapport avec un petit
faisceau
de fibres diffuses, sectionnées transversalemen
res apparte- nant aux radiations thalamiques de Gratiolet (HTh). Le
faisceau
longitudinal infé- rieur (Fli) recouvre en deho
s antérieur et postérieur du trigone. V3, troisième ventricule. VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. Vf, corne frontale du ventri- c
RVEUX. quelques fibres peuvent être suivies il la partie externe du
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA), le long du bord interne du
), le long du bord interne du noyau rouge (NR), jusqu'au voisinage du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp). Le pied du péd
de fibres constituée sur la coupe précédente (voy. fig. 311) par le
faisceau
thalamique de Forci et les radiations de la calot
. Le bord interne du noyau rouge (NR) est légèrement déprimé par un
faisceau
de libres foncées, vues en section transversale
ncées, vues en section transversale, et qui sont la continuation du
faisceau
rétroflexe de J/eynl1'l (FM). En arrière et e
avec la substance grise de l'aqueduc de 8yl- J,ius (SgAqj, un petit
faisceau
triangulaire, formé de libres sectionnées perpen-
é de libres sectionnées perpen- diculairement il leur axe, c'est le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp), auquel aboutisse
ent du lobe temporal, et s'entre-croisent avec les libres venant du
faisceau
lonyilu- dinal inférieur (Fli) et des radsatic
n° 13 (lig. 313), nous avons pu suivre l'extrémité antérieure de ce
faisceau
, en dehors du pilier zanté- rieur du trigone (T
e faisceau, en dehors du pilier zanté- rieur du trigone (Tga) et du
faisceau
de Vicq d ? L.r/r (VA). La commissure antérieur
t l'écorce grise de la première circonvolution limbique, se trouve un
faisceau
de fibres fines, peu serrées, qui appartient il
erne du pied Au pédoncule, se porte en avant et en dedans, entre le
faisceau
de Vicq d ? l;.r/r(VA) et le noyau rouge (NR), et
e suivante n° 15 (lin. 3l4); d'autres semblent se continuer avec le
faisceau
longitudinal postérieur (Fin). En dehors de l'a
énètrent dans le dernier, vestige [du corps de Luys (CL). Entre ces
faisceaux
et l'anse du noyau lenticulaire (Al), apparaît un
s faisceaux et l'anse du noyau lenticulaire (Al), apparaît un petit
faisceau
de fibres fortement colorées, dont l'origine se v
rigine se voit nettement sur la coupe suivante n° 15 (fig. 314). Ce
faisceau
constitue le pédoncule du tubér- FIG. 313. Coup
iverticule du subiculum. F3, troisième circonvolution frontale. Fcop,
faisceau
de la commissure postérieure. ' fg, sillon fimb
u de la commissure postérieure. ' fg, sillon fimbrio-godronné. Fli,
faisceau
longitudinal infé- rieur. -1'lp, faisceau longi
on fimbrio-godronné. Fli, faisceau longitudinal infé- rieur. -1'lp,
faisceau
longitudinal postérieur. FM, faisceau rétrofiexe
gitudinal infé- rieur. -1'lp, faisceau longitudinal postérieur. FM,
faisceau
rétrofiexe de Meynert. - GQp, gan- glion du tub
lui donnent un aspect bilobé. Le bile de ce lobe est occupé par le
faisceau
rétro- flexc de Meynert (FM). En dehors du noya
igone. U, circonvolution du crochet. 171, troisième ventricule. VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphé- noïdalc. Il,
tapetum (Tap), les radiations thalamiques de Gratiolet (RTh) et le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). Ce dernier faisceau
iolet (RTh) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Ce dernier
faisceau
présente un coude au niveau de la base de chacu
). Ces fibres des radiations optiques (RTh) sont recouvertes par le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli), dont les fibres a
ivement il l'aide de la méthode de Weigert. En avant, les fibres du
faisceau
longitudinal inférieur entrent dans la constituti
. F3, troisième circonvolution frontale. f4, sillon olfactif. Fcop,
faisceau
de la commissure postérieure. Fli, faisceau longi
sillon olfactif. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Fp, fais- ceau longitud
longitudinal inférieur. Fp, fais- ceau longitudinal postérieur. FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. Fus, lobule fusiforme. G
Gudden. - U, circonvolution dû crochet. V3, troisième ventricule. VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale du vent
sont portées en dedans, le pilier antérieur du trigone (Tga ! et le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA) se sont rapprochés. Le tube
térieur du trigone (Tga) l'aborde dans sa partie antéro-externe, le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA) par sa face interne; en arriè
le faisceau de Vicq d'Azyr (VA) par sa face interne; en arrière du
faisceau
de Vicq d'Azyr, on trouve un faisceau de fibres
a face interne; en arrière du faisceau de Vicq d'Azyr, on trouve un
faisceau
de fibres lâches, fines, il direction transversal
de la calotte. Le noyau rouge (NR) a encore augmenté de volume. Le
faisceau
rétroflexe de Meynert (FM) s'est porté en avant
scription démette série ; aussi n'insisterons-nous que sur quelques
faisceaux
dont l'étude est singulièrement facilitée par l'o
interne. - coa, commissure antérieure. - com, commissure molle. FI,
faisceau
lenticulaire de Forel. - Fic, fibres lenticulo-ca
faisceau lenticulaire de Forel. - Fic, fibres lenticulo-caudées. Fli,
faisceau
longitudi- nal inférieur. - I, insula. iPchl, i
(couche optique). Ilh, twnia thalami. ! '3, troisième ventricule. VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. VI, ventricule latéral. z ? zon
aires du noyau externe (Ne), on trouve la section trans- versale du
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA), séparé du pilier antérieur d
d du t<t'nia semi-circularis et de la lame cornée (le), jusqu'au
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA). En avant, la zone grillagé
Lmi) et du globus pallidus (NL ? NL,), et qui appartiennent déjà au
faisceau
lenticulaire de Forel et il 1'(I ? r du noyau len
e du noyau caudé (NC"), soit un peu plus en avant et en formant des
faisceaux
nettement ondulés. En dehors des radiations thala
isceaux nettement ondulés. En dehors des radiations thalamiques, le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) envoie le plus grand
l'extrémité postérieure de ce noyau. Un certain nombre de fibres du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) peu- vent être sui
ans sa partie moyenne, on trouve la section transversale d'un petit
faisceau
, qui appartient a la bandelette diagonale de Br
interne. coa, commissure anté- rieure. - com, commissure molle. FI,
faisceau
lenticulaire de Forel. Fle, fibres lenti- culo-
isceau lenticulaire de Forel. Fle, fibres lenti- culo-caudées. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Fth, faisceau thalamiqu
s lenti- culo-caudées. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fth,
faisceau
thalamique de Forel. - Gh, ganglion de l'habénu
ptique (thalamus). llh, trenia thalami. Pa, troisième ventricule. VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. Zi, zona incerta de Forel. Zn,
rise, dans lesquels nous verrons naître sur les coupes suivantes le
faisceau
rélroflexe de Meynert. Les fibres de la lame, m
U en avant et en arrière de la commissure molle (com). En dehors du
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA), en dedans de la lame médul
edans de la lame médullaire externe du thalamus (Lme), on trouve un
faisceau
d'aspect triangulaire, très allongé, formé de fib
rent dans la constitution de la lame médul- laire externe; c'est le
faisceau
thalamique, de Forel (Fth). En avant et séparé de
lui par la zone incerta (Zi) du même auteur, on voit apparaître le
faisceau
lenticu- laire de Forel (FI), qui naît du segme
lame médullaire interne du noyau lenticulaire (lmi), se détache un
faisceau
de fibres parallèles, oblique également en arri
rne. coa, commissure anté- rieure. cop. commissure postérieure. rl,
faisceau
lenticulaire de Foret. Fie, libres lenticulo-ca
isceau lenticulaire de Foret. Fie, libres lenticulo-caudées. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexc d
bres lenticulo-caudées. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM,
faisceau
rétroflexc de Meynert. Fllz, faisceau thalamiqu
u longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexc de Meynert. Fllz,
faisceau
thalamique de Forel. Gh, ganglion de l'habénula.
ga, pilier antérieur du trigone. Th, thalamus (couche optique). VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - i'3, troisième ventricule. Zi,
bres transversales de la commissure postérieure (cop), en dehors au
faisceau
rétroflexe de Meynert (FM), qui apparaît formé pa
- lunaire de Flechsig (NF), situé entre le centre médian (Nm) et le
faisceau
tlcalre- miquc de Forel (Fth). L'extrémité post
les fibres des radiations thalamiques postérieures (RTh) et par le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). On voit les radiati
e de la capsule interne (Cirl), tandis que la plupart des fibres du
faisceau
longitudinal inférieur coiffent l'extrémité pos
t au niveau de la face postérieure de cette dernière, et forment un
faisceau
triangulaire il base interne, constitué presque
es horizontales dirigées de dehors en dedans. Ces libres forment le
faisceau
lenticulaire de Forel (FI). La base de ce faisc
ibres forment le faisceau lenticulaire de Forel (FI). La base de ce
faisceau
est traversée par le pédoncule inféro-interne de
inféro-interne de la couche optique (PiTh), qui croise également le
faisceau
thalamique de, Forel (1 lUl en dehors du faisce
oise également le faisceau thalamique de, Forel (1 lUl en dehors du
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA). A l'angle antéro-interne du
dehors du faisceau de Vicq d'Azyr (VA). A l'angle antéro-interne du
faisceau
len- ticulaire de Forel (FI) arrivent les libre
érieure. F, champ de Forel. - floc, fibres lenticulo-caudées.. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe d
ibres lenticulo-caudées.. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. la, insula anté- rieur.
antérieur du trigone. Th, thalamus. V3, troisième ventricule. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. Fiv, zone de Wernicke. Zi, zona
). Les fibres qui traversent le corps de Luys appartiennent encore au
faisceau
lenticulaire de Forel (FI). On les voit netteme
s le pr·donccclcit7 fi·ro-iztter·nc de la couche optique (PiTh) et le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA). Ce dernier est encore asse
au semi-lunaire de Flechsig (NF), le centre médian de Luys (Nm), le
faisceau
rétroflexe de Meynert, (FM), la partie inférieu
space perforé postérieur. fi, première circonvolution frontale. Fcop,
faisceau
de la commissure postérieure. Fli, faisceau lon
olution frontale. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe
la commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. Fth, faisceau thalamique
au longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Fth,
faisceau
thalamique de Forel. Fu, faisceau uncinatus. la,
sceau rétroflexe de Meynert. Fth, faisceau thalamique de Forel. Fu,
faisceau
uncinatus. la, insula antérieur. Ip, insula pos
- gone. Th, couche optique. Tznl, tubercule mamillaire latéral. VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. V" troisième ventricule. 11', z
cule quadrijumeau antérieur (Qa), relié au pulvinar par de nombreux
faisceaux
, qui appartiennent au segment dorsal de la commis
avant et en dedans et forme de chaque côté du ventri- cule un petit
faisceau
, sectionné perpendiculairement, le faisceau de la
u ventri- cule un petit faisceau, sectionné perpendiculairement, le
faisceau
de la commis- sure postérieure (Fcop). En avant
ent, le faisceau de la commis- sure postérieure (Fcop). En avant du
faisceau
de la commissure postérieure , on trouve le noy
ouge (NR), entouré de sa capsule de fibres; il reçoit en arrière le
faisceau
rétroflexe de Meynert (FM) sectionné obliquement
partie posléro-in terne de la capsule du noyau rouge est formée de
faisceaux
de fibres sectionnées perpendiculairement; la par
s à direction antéro-postérieure, enfin la partie externe reçoit le
faisceau
thalamique de Forel (Fth); de la partie centrale
u segment postérieur de la capsule (Cip), puis la partie externe du
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA), et se perdent au voisinage d
morcelée de l'avanl-azeccr (AM), limité en dehors par les fibres du
faisceau
unci- nalus (Fu). COUPES MICROSCOPIQUES DU CE
e portent en dehors vers la lame médullaire externe du thalamus. Le
faisceau
rétroflexe de Meynert (FM), tou- jours sectionn
es du pilier antérieur du trigone (Tga), en arrière et en dedans le
faisceau
de Vicq d'Azyr (VA). La capsule interne s'élarg
de la commissure de Meynert, sur la ligne médiane, on trouve un petit
faisceau
de fibres qui se perd dans la substance grise,
, du tuber cinereum (Te); il a été décrit par Gudden sous le nom de
faisceau
du tuber cinereum (fTc). La commis- sure de Mey
l'es- pace perforé postérieur. Fle, libres lenticulo-caudées. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe
libres lenticulo-caudées. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. fUe, fascicule du tuber ci
flexe de Meynert. fUe, fascicule du tuber cinereum de Gudden. - Fu,
faisceau
uncinatus. I; insula. le, lame cornée et fibres d
ire latéral. Toi, tubercule olfactif. Va, troisième ventricule. ]A,
faisceau
de Vicq d'Azyr. 1V, champ ou zone de Wernicke.
s de fibres qui appartiennent aux radiations de la calotte (RC). Le
faisceau
rétroflexe de Meynert (FM), qui sur la coupe pr
substance grise de l'aqueduc de Sylvius, qui s'in- sinue entre les
faisceaux
longitudinaux postérieurs (Flp), pour se confondr
CENTRES NERVEUX. libres sont limitées en dedans et en arrière parle
faisceau
longitudinal postérieur (Flp), qui fait sur cet
fait sur cette coupe sa première apparition, sous forme d'un petit
faisceau
triangulaire dont le sommet très effilé se dirige
pa, espace perforé antérieur. Epp, espace perforé postérieur. Fcoh,
faisceau
de la commissure postérieure. Fli, faisceau longi
rforé postérieur. Fcoh, faisceau de la commissure postérieure. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. -Flp, faisceau longitud
commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur. -Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe
longitudinal inférieur. -Flp, faisceau longitudinal postérieur. FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. Fil, faisceau unci- natu
eau longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Fil,
faisceau
unci- natus. 1, insula. le, lame cornée et fibr
r un fais- ceau de libres parallèles et très serrées, les fibres du
faisceau
longitudinal in fn- 1'iew' (Fli). Ces dernières
us grand nombre coiffe l'extrémité postérieure du putamen (NL3). Le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) forme la limite exte
res peu colorées, obliques en avant et en dedans, et appartenant au
faisceau
uncinalus (Fu). Coupe n° 8 x (fig. 323) passant
e n° 7 x (tig. 3) que par l'apparition des premiers fascicules d'un
faisceau
, situé immédiatement en arrière de la commissur
rrière de la commissure de Meynert, (CM), et qui n'est autre que le
faisceau
de 7'ürc%(h'T), que nous décrirons sur la coupe
Luys. CM, commissure de Meynert, coa, commissure antérieure. Fcop,
faisceau
de la commissure postérieure. Fli, faisceau lon
missure antérieure. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudi
commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe
longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. FM,
faisceau
rétroflexe do Meynert. FT, faisceau de Turck. F
au longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe do Meynert. FT,
faisceau
de Turck. Fu, faisceau uncinatus. ? insula. le, l
eur. FM, faisceau rétroflexe do Meynert. FT, faisceau de Turck. Fu,
faisceau
uncinatus. ? insula. le, lame cornée et fibres
capsule externe (Ce) et V avant-mur (AM), morcelé par les fibres du
faisceau
unci- nalus (Fu). La bandelette optique (II)
i de ce qu'il était sur la coupe précédente (n° 8 x, fig. 323). Les
faisceaux
de la commissure postérieure (Fcop) forment en
mité et compris dans la concavité du ruban de Reil médian. (Rm). Le
faisceau
longitudinal posléJoiew' (Flp) a augmenté de volu
e, et dans la substance grise de l'aqueduc (Aq) qui sépare ces deux
faisceaux
l'un de l'autre, on trouve les noyaux de la tro
ir, allongé, formant le noyau central; en dehors, de chaque côté du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp), on trouve deux aut
ce grise de. l'aqueduc (Aq), au voisinage de l'extrémité effilée du
faisceau
longitudinal postérieur. Il forme le groupe ven
sième paire. Le groupe dorsal, de ce même noyau siège il la base du
faisceau
longitudinal posté- rieur (Flp), dans la petite
itudinal posté- rieur (Flp), dans la petite excavation que forme ce
faisceau
au niveau de la subs- tance grise de l'aqueduc.
rticulière que présente le ruban de Reil médian (Rm), qui reçoit un
faisceau
extrêmement net de fibres, qui lui viennent du se
xll), la partie supé- rieure du corps genouillé interne (Cgi) et le
faisceau
de TÜJ'ck (FT). Le pulvinar (Pul) s'est encore
ulaire de la capsule interne. Epp, espace perforé postérieur. Fcop,
faisceau
de la commissure postérieure. Fli, fais- ceau l
ommissure postérieure. Fli, fais- ceau longitudinal inférieur. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - FT, faisceau de Tiirck
longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FT,
faisceau
de Tiirck. Fu, faisceau uncinatus. le, lame cor
lp, faisceau longitudinal postérieur. - FT, faisceau de Tiirck. Fu,
faisceau
uncinatus. le, lame cornée et libres du taenia se
portent en avant et en dedans, s'entre-croisent avec les fibres du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp), avec les fibres de
groupe de fibres plus colorées qui s'en détache nettement. Ce petit
faisceau
se porte en dehors et en arrière, parallèlement
ule quadrijumeau antérieur (Qa), le ruban de Reil médian (Rm) et le
faisceau
longi- ludinal postérieur (Flp). Ces fibres app
sième segment du noyau lenticulaire (pulamen) (nul,,) un volumineux
faisceau
de fibres à direction transversale : le faiscea
l,,) un volumineux faisceau de fibres à direction transversale : le
faisceau
de Türck (FT), qui vient du lobe temporal ainsi
res et passe au-dessous de la face inférieure du putamen (NL,,). Le
faisceau
de Tiil'ck aborde le segment postérieur de. la
est réduit il une petite bande de substance grise comprise entre le
faisceau
de l'iirclc (FT) et la capsule, externe (Ce), ren
FT) et la capsule, externe (Ce), renforcée par des fibres venant du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). En avant, le putame
en dehors, il est en rapport avec l'avanl-1Jwl' (AM), coiffe par le
faisceau
uncinatus (Fu) et par l'écorce grise qui double l
e. CM, commissure de Meynert. Epp, espace perforé postérieur. Feop,
faisceau
de la commissure postérieure. Fi, fimbria. Fli, f
eur. Feop, faisceau de la commissure postérieure. Fi, fimbria. Fli,
faisceau
longitudinal in- férieur. Flp, faisceau longitu
térieure. Fi, fimbria. Fli, faisceau longitudinal in- férieur. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. FT, faisceau de Türclc.
ongitudinal in- férieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. FT,
faisceau
de Türclc. - Fu, faisceau unci- natus. le, lame
Flp, faisceau longitudinal postérieur. FT, faisceau de Türclc. - Fu,
faisceau
unci- natus. le, lame cornée et fibres du toeni
ns la concavité du bord interne du putamen, et qui appartiennent au
faisceau
de Vth'cA (FT) décrit sur la coupe précédente (n°
nt rétro-lenticulaire de la capsule (Cirl), on trouve encore ici le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli), avec ses fibres dis
ème segment du noyau lenticulaire (putamen) (NL3), compris entre le
faisceau
de 7'Mt'c/b (FT) et le faisceau longitudinal infé
e (putamen) (NL3), compris entre le faisceau de 7'Mt'c/b (FT) et le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli), se fusionne en av
vement par des fibres horizontales, qui appar- tiennent les unes au
faisceau
de Tùrck (FT), les autres à la commissure de Meyn
avant-mur apparaissent nettement détachés. A ce niveau apparait un
faisceau
volumineux, fortement coloré, dont les libres se
iculaire de la capsule interne. coa, commissure anté- rieure. Fcop,
faisceau
de la commissure postérieure. Fli, faisceau longi
ure anté- rieure. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur Flp, faisceau longitudin
a commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. Fu, faisceau uncinatus.
u longitudinal inférieur Flp, faisceau longitudinal postérieur. Fu,
faisceau
uncinatus. le, lame cornée et fibres du taenia
ulaires de la troisième paire. 6;i8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
faisceau
de fibres parallèles fortement colorées, le bras
yau rouge (NR).Dans la concavité du ruban de Reil médian se loge le
faisceau
de la commissure postérieure (Fcop). Le noyau r
est très réduite en dehors, tandis qu'en dedans elle forme un gros
faisceau
de fibres très serrées, sectionnées transversal
partie supérieure du 1)(doil- cule cérébelleux supérieur (Pcs). Ce
faisceau
augmente de volume et refoule en dehors le noya
et en dedans Au pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs), on trouve le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp), qui en est séparé
par les libres de l'eil- de la caloltede Meynert (xM En dedans, le
faisceau
longitudinal posté- rieur s'insinue dans le mpl
de l'en.le-croisenze>7 t de la calotte de Meynert. En dehors, le
faisceau
longitudinal postérieur se confond insensiblement
les coupes suivantes une extension de plus en plus considérable. Le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp), le pédoncule céréb
bres radiculaires internes de la troisième paire, les fascicules du
faisceau
longitudinal posté/leur (Flp), Ventre-croisemen
u postérieur. - Feop, fais- ceau de la commissure postérieure. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. Ln, locus niger.- V7tl
andis que la troisième paire (III) n'est plus représentée que par ses
faisceaux
radiculaires les plus externes, qui émergent au
sont extrêmement nets, et limités en arrière par les fascicules du
faisceau
longitudinal postérieur (Flp), qui envoie dans
ant presque la partie moyenne de ce raphé. Le bord postérieur de ce
faisceau
est légèrement excavé, et embrasse la partie in
cellules, dont l'aspect vésiculeux a été décrit par Forel. Ce petit
faisceau
représente la racine cérébrale ou la petite rac
xiPcs), qui occupe presque toute l'étendue de la calotte, depuis le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) jusqu'au locus] nig
eau postérieur. Fcop, fais- ceau de la commissure postérieure. rlp,
faisceau
longitudinal postérieur. Gip, ganglion inter-pé
t dans la masse de fibres Au pédoncule, cérébelleux supérieur. Le
faisceau
longitudinal postérieur (Flp) ne se présente plus
portant en/l'e-cl'oi- sement du pédoncule cérébelleux supérieur, le
faisceau
longitudinal postérieur n'envoie plus en avant
es fais- ceaux longitudinaux postérieurs. Le bord postérieur de ces
faisceaux
est légè- rement échancré, et embrasse un petit
umeau postérieur, du pédoncule cérébelleux supérieur. En dehors, le
faisceau
longitudinal postérieur se confond insensiblement
faisceau longitudinal postérieur se confond insensiblement avec les
faisceaux
de la substance réticulée de la calotte (SR). Dan
cette substance 'réticulée du ruban de Reil médian (Rm), on trouve le
faisceau
, de la commissure postérieure (Fcop), dont les
érébral, En dedans, le pied Au pédoncule cérébral est limité par un
faisceau
arci forme (Tpo), composé de fibres horizontale
ente le taenia pontis ou bandelette de la protubérance de Henle. Ce
faisceau
se coude ensuite brusquement au niveau du bord po
rectiligne, se réunit à d'autres cylindres-axes pour constituer les
faisceaux
de libres radiées, puis arrive dans la substanc
ig. 342). Les fibres radiées (fig. 342 et fig. 347, fr) forment des
faisceaux
régu- lièrement espacés, qui traversent la couc
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Leur direction. Leur origine. Les
faisceaux
ra- diés contiennent tou- tes les libres d'as
es libres ! terminales venant de la substance blanche. ! 11 Ces
faisceaux
de libres radiées augmentent de volume à mesure q
e que l'on se rapproche de la substance blanche, et constituent des
faisceaux
- compacts et serrés, entre lesquels les cellul
géantes, on en trouve en effet d'autres beaucoup plus fines. Ces
faisceaux
radiés naissent de préférence de la crête et des
- nant ces circonvolutions sous un angle plus ou moins oblique, les
faisceaux
radiés se présentent sous l'aspect d'ilôts poin
s perpendiculairement à leur direction (lig. 29o,T V" p ? 6). Ces
faisceaux
radiés contiennent toutes les fibres du système d
s clairsemées, formant un feutrage à mailles très lâches. Comme les
faisceaux
des fibres radiées ne dépassent guère la strie ex
t sous l'aspect de fibres parallèles, qui s'entre-croisent avec les
faisceaux
de fibres radiées, et qui s'étendent en hauteur
ux libres en U; celles-ci entrent en effet dans la constitution des
faisceaux
radiés, les premiers, au contraire, poursuivent
re, poursuivent leur trajet tangentiel et s'entre-croisent avec les
faisceaux
radiés au niveau de la crète des circonvolutions,
a couronne rayonnante et de la capsule interne le long du trajet du
faisceau
pyramidal. Sur une coupe sagittale, les fibres
se rendent par le chemin de la capsule externe soit en haut vers le
faisceau
occiito-frozztal et le corps calleux, soit en bas
ant-mur. Cge, Cgi, corps genouillés externe et interne. - Cing (p),
faisceau
postérieur du cingulum. - Cip, segment postérie
du cingulum. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. ? fibres radiées du tha
édoncule cérébral. - l'es, pédoncule céré- belleux supérieur. - Py,
faisceau
pyramidal.- RCge, radiations du corps genouillé e
'autant plus appréciable que du sommet des festons se détachent des
faisceaux
de fibres radiées, qui des- cendent jusque dans
n parallèle au grand axe de la circonvolution, fibres grou- pées en
faisceaux
, et qui, sur des coupes vertico-transversales tra
artiennent au système des fibres d'associa- tion, en particulier au
faisceau
postérieur du cingulum, dont les fibres mettent
er postérieur du trigone. Cg, circonvolu- tion godronnée. Cing (p),
faisceau
postérieur du cingulum, (,le, diverticule du subi
, diverticule du subiculum. 1 : '1, sillon fimbrio-godronné. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - fin, fibres moussues
C, couche moléculaire de la portion terminale de la corne d'Ammon. L,
faisceau
longitu- dinal des fibres moussues ou cylindres
fimbria. F, fimbria. G, petite cellule pyramidale ou supérieure. ?
faisceau
formé de grosses collatérales nerveuses ascendant
Les fibres moussues des grains dufascia dentata se réunissent en un
faisceau
horizontal, signalé par Sala et Scbaiffer, et q
e toute la région godron- née de la corne d'Ammon. D'après Sala, ce
faisceau
, arrivé au niveau de la région hippocampique de
s et l'autre avec la lamina medullaris involuta. Pour Sclniffer, ce
faisceau
traverse toute la région hip- pocampique de la
qui constitue le stratum lucidum de Honegger. Pour Cajal enfin, ce
faisceau
de fibres moussues ne dépasse pas la région god
couche moléculaire de la portion terminale de la corne d'Ammon. - D,
faisceau
longitu dinal des fibres moussues ou cylindres-
bria. - F, fimbria. G, petite cellule pyramidale ou suhéricure.-1/,
faisceau
formé de grosses collatérales nerveuses ascendant
ne naissent en éventail du bulbe olfactif et se continuent avec les
faisceaux
de la couche des grains, elles sont toujours su
ulbe olfactif émet, outre les fibres de la racine externe, un autre
faisceau
profondément situé, formé de libres plus grêles e
ou des cellules polymorphes, riche en fibres à myéline disposées en
faisceaux
à direction verticale, horizontale ou oblique,
e II de 1 Golgi. 4° La substance blanche, simple condensation des
faisceaux
de la couche précédente, se continue profondéme
aisceaux de la couche précédente, se continue profondément avec les
faisceaux
plexi- formes du corps strié. Ses fibres, qui s
dyme ventriculaire ordinaire. Ces libres a myéline appartiennent au
faisceau
olfactif de la corne d'Am- mon de Zucl : erl :
tangen- tiellcs. Ses lier- vouscs. Sa substance Man- che.
Faisceau
olfactif de la corne d'Ammon. Septum lucidum
niveau du centre ovale de Vieussens, est essentiellement formée de
faisceaux
de fibres nerveuses à myéline, à trajet plus ou m
i relient entre elles soit deux circonvolutions voisines, soit deux
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 743 circonvoluti
l'écorce grise et les fibres longues les plus profondes. Les longs
faisceaux
d'association eux-mêmes ne présentent qu'un petit
présentent qu'un petit nombre de fibres ayant toute la longueur du
faisceau
; ils se composent en effet de fibres plus ou m
gues, sensiblement parallèles entre elles, et n'appartenant au long
faisceau
d'association que dans une partie de leur traje
nation du trajet des fibres d'association, en particulier des longs
faisceaux
d'association, est-il absolument nécessaire d'avo
i qu'il n'existe dans la substance blanche, pour ainsi dire, pas de
faisceaux
qui ne soient dissociés ou entre-croisés par d'
j ment, par la direction des fibres, la prédominance de tel ou tel
faisceau
de fibres. En règle générale on peut dire : q
n se présentent dans une certaine partie de leur trajet à l'état de
faisceaux
compactes, isolés pour ainsi dire, ? s et non e
les pyramidales petites et moyennes et des cellules polymorphes. Le
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSE» AUX. 745 cylindre-ax
s trans- versales du trigone cérébral (fornix transversus de Forel,
faisceau
commis- sural de la corne d'Ammon). Le fornix t
res et représentent vraisemblablement des fibres sensitives, senso-
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 747 rielles ou c
s comprennent : A. Les courtes fibres d'association; B. Les longs
faisceaux
d'association; C. Les fibres propres des lobes
e microscopique, on voulait les désigner plus spécialement, il nous
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7M semble que le
ns multiples d'idées, de mouvements, de sensations, etc. B. Longs
faisceaux
d'association. - Les longs faisceaux d'as- soci
de sensations, etc. B. Longs faisceaux d'association. - Les longs
faisceaux
d'as- sociation sont ou nombre de cinq, ce sont
x d'as- sociation sont ou nombre de cinq, ce sont : le cingulum, le
faisceau
arqué ou longitudinal supérieur, le faisceau lo
sont : le cingulum, le faisceau arqué ou longitudinal supérieur, le
faisceau
longitudinal inférieur, le faisceau uncinatus e
é ou longitudinal supérieur, le faisceau longitudinal inférieur, le
faisceau
uncinatus et le faisceau nccipito-frozatal de F
ur, le faisceau longitudinal inférieur, le faisceau uncinatus et le
faisceau
nccipito-frozatal de Forel et Onufrowic : s. Le
cipito-frozatal de Forel et Onufrowic : s. Le cingulum constitue le
faisceau
d'association du rhinencéphalon; il relie la pr
re de la face externe (Beevor) de l'hémisphère. Les quatre autres
faisceaux
appartiennent au manteau cérébral dont ils reli
nnent au manteau cérébral dont ils relient les différents lobes. Le
faisceau
longitudinal supérieur ou faisceau arqué relie
s relient les différents lobes. Le faisceau longitudinal supérieur ou
faisceau
arqué relie le lobe frontal aux lobes pariétal
riétal et temporal, en passant au- dessus de l'opercule sylvien; le
faisceau
uncinatus passe par le seuil de l'insula et uni
l de l'insula et unit la pointe temporale à la pointe frontale ; le
faisceau
longi- tudinal inférieur relie le lobe temporal
ngi- tudinal inférieur relie le lobe temporal au lobe occipital; le
faisceau
occipito- frontal de Forci et Onufrowicz concou
be occipito-temporal et le lobe frontal. Cingulum (Burdach) (Cing),
faisceau
longitudinal du gyrus 107'llicatus,(or- nix per
t microscopiques, chap. II et III). - Le cingulum constitue le long
faisceau
d'association du rhinencéphalon. C'est un faiscea
onstitue le long faisceau d'association du rhinencéphalon. C'est un
faisceau
arqué, à direction sagittale, situé à la face i
fornix intérims, le cingulum Fonctions des fi- bres en U. Longs
faisceaux
d'association. Cingulum. Le cingulum repré-
ère circonvolution limbidue (L,). Il se présente sous la forme d'un
faisceau
arqué, qui contourne le bec, le genou, le tronc e
ant en bas et en avant vers l'extrémité anté- Fig. 373. - cingulum,
faisceau
longitudinal inférieur, faisceau basai interne et
rémité anté- Fig. 373. - cingulum, faisceau longitudinal inférieur,
faisceau
basai interne et stratnn) calcarinum. L'écorce
bique et celle du lobule fusiforme ont été enlevées pour mettre ces
faisceaux
à nu. [D'après la dissection d'un cerveau durci d
corps calleux (splénium). Cg, circonvolution godronnée. - Cing(a),
faisceau
antérieur du cingulum. Cing(h), faisceau horizo
lution godronnée. - Cing(a), faisceau antérieur du cingulum. Cing(h),
faisceau
horizontal ou supérieur du cingulum. - Cing(p),
. Cing(h), faisceau horizontal ou supérieur du cingulum. - Cing(p),
faisceau
postérieur du cingulum. - cm, sillon calloso-ma
poral. - fa(ci), fibres arciformes du sillon calloso-marginal. zizi,
faisceau
basai interne de Burdach. - je, sillon fimbrio-
sceau basai interne de Burdach. - je, sillon fimbrio-godronné. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. f m, fais- ceau uncinat
ostérieur du trigone. - Th, thalamus. U, circonvolution du crochet.
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7;ii .1 ri rieur
e le cingulum n'est pas formé de fibres ayant, toute la longueur du
faisceau
, mais de fibres relativement courtes, qui se re
partie de leur trajet font seules partie du cingulum de Burdach. Ce
faisceau
reçoit et émet en effet des fibres pour la premiè
8 à 261 et 280 à 288), le cingulum se présente sous l'as- pect d'un
faisceau
foncé pyriforme, nettement délimité, qui occupe l
naison du cingulum. il ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les trois
faisceaux
du cingulum d'après Becvor. cingulum à une
noyau amygdalien. Pour Beevor enfin le cingulum comprendrait trois
faisceaux
indépen- dants les uns des autres : le faisceau
comprendrait trois faisceaux indépen- dants les uns des autres : le
faisceau
antérieur, le faisceau horizontal et le faiscea
ceaux indépen- dants les uns des autres : le faisceau antérieur, le
faisceau
horizontal et le faisceau postérieur (fig. 373,
ns des autres : le faisceau antérieur, le faisceau horizontal et le
faisceau
postérieur (fig. 373, 374). Le faisceau antérieur
e faisceau horizontal et le faisceau postérieur (fig. 373, 374). Le
faisceau
antérieur (Cing[a]), situé au- dessous du genou
avant du genou du corps calleux pour entrer dans la constitution du
faisceau
horizontal. Le faisceau horizontal (Cing[h]) lo
lleux pour entrer dans la constitution du faisceau horizontal. Le
faisceau
horizontal (Cing[h]) longe la face supérieure du
la face interne et probablement il celles de la face externe. Le
faisceau
postérieur (Cing[p J), enfin, occupe la circonvol
l'liip- FiG. 374. - Face interne de l'hémisphère gauche. Cingulum,
faisceau
basai interne et faisceau longitudinal inférieu
interne de l'hémisphère gauche. Cingulum, faisceau basai interne et
faisceau
longitudinal inférieur, vus par transparence. C
longitudinal inférieur, vus par transparence. C, cunéus. - Cing(a),
faisceau
antérieur du cingulum. - Cill ! )(h), faisceau ho
C, cunéus. - Cing(a), faisceau antérieur du cingulum. - Cill ! )(h),
faisceau
horizontal ou supérieur du cingulum. - Cino7(p)
l ! )(h), faisceau horizontal ou supérieur du cingulum. - Cino7(p),
faisceau
postérieur du cingulum. - cm, sillon calloso- m
- marginal. -cm', partie verticale du sillon calloso-marginal. Fbi,
faisceau
basai interne de Burdach. - l·'li, faisceau lon
calloso-marginal. Fbi, faisceau basai interne de Burdach. - l·'li,
faisceau
longitudinal inférieur. - Fus, lobule fusiforme.
carinum. - 1'3, troisième circonvolution temporale. - Th, thalamus.
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSUHAUX. 753 , pocampe (H
e dégénérescence portant sur les fibres de la partie postérieure du
faisceau
horizontal; toutes les fibres de cette partie n
s qui, dans une partie seulement de leur trajet, appartiennent à ce
faisceau
. Faisceau uncinatus. (Fu) (fig. 37a, 3 in, 377
une partie seulement de leur trajet, appartiennent à ce faisceau.
Faisceau
uncinatus. (Fu) (fig. 37a, 3 in, 377 et 381). Déc
ncinatus. (Fu) (fig. 37a, 3 in, 377 et 381). Découvert par Reil, le
faisceau
uncinatus ou crochu, fasciculus uncil'ormis de Bu
asciculus uncil'ormis de Burdach, constitue le plus court des longs
faisceaux
d'association du manteau céré- bral. Facile à m
rès rapprochée du pôle temporal, les fibres les plus internes de ce
faisceau
sont aussi arquées que les libres en U qui tapi
es sillons; c'est cette incurvation si pro- noncée qui a valu il ce
faisceau
son nom de fascicules uncinatus. Mais les libre
eur et par conséquent plus on considère des fibres plus externes du
faisceau
, plus la courbure se redresse, de telle sorte q
, mais affectent mème une courbure en sens inverse (fig. 376). Le
faisceau
uncinatus se colore peu intensivement par l'hémat
pes vertico-transversales (fig. 281 à 283) il affecte la forme d'un
faisceau
irrégulicr, compris entre la capsule extrême (C
u voisinage du sillon marginal postérieur de l'insula (mp), avec le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) et morcelle la par
s plus inférieures, les plus internes et les plus superficielles du
faisceau
uncifol'lne, se portent en avant, et en dedans,
.48 Les fonctions du cingulum sont encore indéterminées. I
Faisceau
uncina- tus. Le faisceau unci- natus relie
gulum sont encore indéterminées. I Faisceau uncina- tus. Le
faisceau
unci- natus relie le lobe temporal à la face
et du taiscea : : uncinatus. Son entre-erois ! 1 - meut avec le
faisceau
longitudinal inférieur au niveau du sillon
ième circonvolutions frontales, la partie morcelée de l'avant-mur, le
faisceau
uncinatus et la substance innommée de Reichert.
on olfactif. jilc, fibres d'association externes de Meynert. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudi
externes de Meynert. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. - ft, libres tan- gent
isceau longitudinal postérieur. - ft, libres tan- gentielles. - Fu,
faisceau
uncinatus. - le, lame cornée et libres du ttenia
a, sillon marginal antérieur. mF,(G1'), face interne de la première
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 733 circonvoluti
on frontale (OF3' F3[c]). A leur extrémité temporale, les libres du
faisceau
uncinatus morcellent la substance grise qui rel
ont été enlevées pour montrer les fibres de la capsule externe, le
faisceau
uncinatns et le faisceau arqué ou longitudinal
ntrer les fibres de la capsule externe, le faisceau uncinatns et le
faisceau
arqué ou longitudinal supérieur. (Demi-schématiqu
faisceau arqué ou longitudinal supérieur. (Demi-schématique.) .tre,
faisceau
arqué ou longitudinal supérieur. Ce. capsule exte
ri), libres arciformes du sillon pré-rolandique inférieur. ' - Fit.
faisceau
uncinatus. - io. sillon intcr-occipital. - ip, si
1'S, vallée de Sylvius. il 75G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. 1
Faisceau
longitu- dinal supérieur ou faisceau arqué.
E DES CENTRES NERVEUX. 1 Faisceau longitu- dinal supérieur ou
faisceau
arqué. Son trajet. à l'écorce temporale au ni
e perforée antérieure (fig. 283) ; , elles s'entre-croisent avec le
faisceau
longitudinal inférieur dont elles se distinguen
temporales (T,, '1'2); elles s'entre- croisent à ce niveau avec le
faisceau
longitudinal supérieur (Arc). Le faisceau uncin
isent à ce niveau avec le faisceau longitudinal supérieur (Arc). Le
faisceau
uncinatus est souvent intéressé dans les lésions
ns la partie orbitaire du lobc frontal (Yoy. chap. suiv., t. II).
Faisceau
longitudinal supérieur ou faisceau arqué (Arc) ((
tal (Yoy. chap. suiv., t. II). Faisceau longitudinal supérieur ou
faisceau
arqué (Arc) ((ascicuills arcualus de Burdach) (
u arqué (Arc) ((ascicuills arcualus de Burdach) (fig. 376. 377). Le
faisceau
arqué est à la face ex- terne de l'hémisphère c
Coupes vertico-lransversales macroscopiques, Ilg. 247 à 250), v ce
faisceau
décrit, comme le cingulum et le faisceau uncinatu
ues, Ilg. 247 à 250), v ce faisceau décrit, comme le cingulum et le
faisceau
uncinatus, une courbe ouverte en bas et en avan
sections de cerveaux durcis dans le bichromate ou dans l'alcool, le
faisceau
arqué ne se présente sous forme de faisceau [co
te ou dans l'alcool, le faisceau arqué ne se présente sous forme de
faisceau
[compact, que dans la région pariétale de l'operc
iveau de la limite postérieure de la scissure de Sylvius (S[p]), le
faisceau
arqué décrit une courbe il concavité antérieure
es plus superficielles se portent en avant, recouvrent en dehors le
faisceau
unci- natus (fut, et s'irradient dans la crète
ins (voy. fig. 382 et Coupes macroscopiques, fig. ? r`3 il 2(5), la
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7.=i7 7 surface
SCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7.=i7 7 surface de section du
faisceau
arqué est triangulaire; son angle inféro- inter
avec la masse blanche des circonvolutions de l'opercule sylvien, le
faisceau
arqué est très bien délimité en dedans, où il est
ion des fibres rayonnantes. Au niveau du gyrus supra-marginalis, le
faisceau
arqué se recourbe en bas et en avant pour se po
ticales de la convexité des régions occipitale et pariéto-tempo- Le
faisceau
u'lJu présente une forme tl'iallg'ulail'c SUI
été écarlés pour montrer l'insula et la région rétro-insulaire. Les
faisceaux
uncina- lus, arqué ou longitudinal supérieur et
al supérieur et occipital vertical, sont vus par transparence. Arc,
faisceau
arqué ou longitudinal supérieur. - Fi, F3, deuxiè
olution frontale. - Fa, circonvolution frontale ascen- dante. - Fu,
faisceau
uncinatus. - la, la, la, circonvolutions antérieu
frontales.- OPR, opercule rolandique/ 0/.) ? opercule pariétal. Ov,
faisceau
occipital vertical. - PI, 1 ? première et deuxièm
de Sylvius. 7 : i8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Terminaison du
faisceau
arqué. Opinion de Mcy- nert. Opinion de Scl
ué est formé par un système de courtes fibres d'asso- dation.
Faisceau
occipito- frontal. Travaux de Forci et Onuf
sur l'agénésie du corps calleux. raie, couche constituée par le
faisceau
occipital vertical (Ov, fig. 377) de Wernicke.
s microscopiques traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, le
faisceau
arqué se colore faiblement par l'hématoxyline et
irconvolutions de l'opercule sylvien. , Le mode de terminaison du
faisceau
arqué en avant est très discuté. D'après Meyner
de la troisième circonvolution frontale (Opr3), et constituerait un
faisceau
d'association reliant la face externe des régions
à la convexité du lobe frontal. Pour Schnopfhagen, au contraire, le
faisceau
arqué ou longitudinal su- périeur ne se termine
terminer dans le lobe frontal de l'hémis- phère du côté opposé. Le
faisceau
arqué appartiendrait donc pour cet auteur, au s
raissent pas militer en faveur de l'hypothèse de Schnopfhagen. Le
faisceau
arqué ne semble du reste être composé que de cour
lution, relient deux circonvolutions un peu plus éloignées. Mais le
faisceau
arqué ne parait pas contenir des fibres de toute
s, par la méthode des coupes microscopiques sériées, que lorsque le
faisceau
arqué ou longitudinal supérieur de Bur- dach se
res dégénérées au delà du voisinage immédiat du foyer pri- mitif.
Faisceau
occipito-frontal (Forel et Onufrowicz) (OF). - Fo
pitale est nor- malement développé, et se continue en avant avec un
faisceau
à direction FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSU
ent développé, et se continue en avant avec un faisceau à direction
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 730 9 sagittale,
ux, comme on le croyait jusqu'à Forel et Onufrowicz, mais bien à un
faisceau
d'association intra- hémisphérique, au faisceau
icz, mais bien à un faisceau d'association intra- hémisphérique, au
faisceau
désigné par ces auteurs sous le nom de fais- ce
par ces auteurs sous le nom de fais- ceau occipito-frontal. A quel
faisceau
correspond dans l'hémisphère nor- mal ce faisce
o-frontal. A quel faisceau correspond dans l'hémisphère nor- mal ce
faisceau
occipito-frontal, qui forme au niveau du carrefou
m des anciens auteurs ? Forel et Onufrowicz l'ont identifié avec le
faisceau
longitudinal supé- rieur ou arqué de Burdach, e
nous rallier à cette opinion. Nous venons de voir, en effet, que le
faisceau
longitudinal supérieur de Burdach est situé en
es les plus inférieures recouvrent en dehors la capsule externe; le
faisceau
occipito- frontal est situé par contre en dedan
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Interprétation per- sonucllc. Le
faisceau
occi- pito-frontal corres- pond au faisceau d
per- sonucllc. Le faisceau occi- pito-frontal corres- pond au
faisceau
dé- crit par Meynert sous le nom de couronne
ne rayonnante du noyau caudé, et par Wer- nicke sous celui de
faisceau
calleux des- tin6 à la capsule in- terne. e
des- tin6 à la capsule in- terne. et se transformeraient en un
faisceau
à direction sagittale. Or on ne com prend guère
, que nous avons désigné dans nos séries de coupes sous le nom de
faisceau
occipito-frontal (OF), correspond au fai- sceau
couronne rayonnante du noyau caudé et par Wernicke, sous le nom de
faisceau
du corps calleux se rendant à la capsule intern
cule du subiculum. Ec, bord d'arrêt de l'écorce cérébrale. ? Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - ? circonvolution de l'h
noyau caudé. - NLi, troisième segment du noyau lenticulaire. - OF,
faisceau
occipito-frontal de Fore] et Onufrowicz. - ot,
e (lim- bria). VI, ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale.
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 761 .. fibres n'
er dans le noyau caudé. D'après Wernicke, ces fibres constituent un
faisceau
défibres calleuses se l'endant el la capsule in
alleux et de la masse blanche du lobe frontal; se réuniraient en un
faisceau
comnact mesurant un centimètre et demi d'épaisseu
du putamen, au niveau de la partie moyenne de la couche optique; ce
faisceau
ne s'identifierait donc pas avec le segment t
vons pu nous convaincre à maintes reprises, qu'aucune fibre de ce
faisceau
n'entre en connexion avec le noyau caudé; or, c
ant dans la capsule interne, nous avons cru pouvoir identifier ce
faisceau
avec le faisceau occi- pito-frontal décrit par
sule interne, nous avons cru pouvoir identifier ce faisceau avec le
faisceau
occi- pito-frontal décrit par Forel et Onufrowi
ns les cas d'agéné- sie du corps calleux, le cingulum s'unisse au
faisceau
occipito-frontal; mais le cingulum ne constitue
u occipito-frontal; mais le cingulum ne constitue pas à lui seul ce
faisceau
. Le cingulum longe en effet la première circon-
rnes occipitale et sphénoïdale. Nous décrirons donc, sous le nom de
faisceau
occipito-frontczl, un long faisceau d'associati
décrirons donc, sous le nom de faisceau occipito-frontczl, un long
faisceau
d'association à direction sagittale, situé entre
d'association à direction sagittale, situé entre le cingulum et le
faisceau
arqué ou longitudinal supérieur de Burdach; il es
séparé du cin- gulum par toute l'épaisseur du corps calleux, et du
faisceau
longitudinal supérieur par le pied de la couron
le pied de la couronne rayonnante (Iib. 3S1, 382). Comme les longs
faisceaux
d'association que nous venons d'étudier, le faisc
mme les longs faisceaux d'association que nous venons d'étudier, le
faisceau
occipito-frontal décrit une courbe ouverte on a
l décrit une courbe ouverte on avant et en bas. Recouvert Trajot du
faisceau
occipito-frontal. Fig. 380. - Coupe lits ve
107, fig. 262, p. 480. C, cunéus. - EM, ergot de Mo- rand. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - li, scissure calcarin
eau longitudinal inférieur. - li, scissure calcarine. - OF (Tap),
faisceau
occipito- frontal de Forel et Onufrowicz, for
ous-épen- dymaire, à laquelle il abandonne de nombreuses fibres, ce
faisceau
longe - l'angle externe du ventricule latéral e
tement délimité au niveau de la tète et du tronc du noyau caudé, ce
faisceau
est en partie dissocié au niveau de la queue de
r les fibres de la couronne rayonnante et par les libres FIG. 381. -
Faisceau
occipito-frontal, trenia semi-circularis et faisc
res FIG. 381. -Faisceau occipito-frontal, trenia semi-circularis et
faisceau
uncinalus. Le corps calleux et le cingulum ont
Cgi, corps genouillé interne. coa, commissure anté- rieure. - F2t,
faisceau
uncinatus. - Gh, ganglion de l'hab("l1nla. .VA, n
? -NC', queue du noyau caudé. - NC(T), tronc du noyau caudé. - OF,
faisceau
occipito-frontal. 0(7'f7), partie du fais- ceau
ns la lame cornée. - ltlt, ténia thalami. - ? bandelette optique.
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. ÍI)3 calleuses.
AUX. ÍI)3 calleuses. Arrivé au niveau du carrefour ventriculaire ce
faisceau
se recourbe en bas et en avant, et ses fibres s
oïdale, en formant le tapetum des anciens - auteurs. En avant, le
faisceau
occipito-frontal prend son origine dans toute l
296), traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal. Les fibres du
faisceau
occipito-fron- tal se groupent en effet en fasc
ue les fibres calleuses ou que celles de la couronne rayonnante. Du
faisceau
principal on voit se détacher un grand nombre de
adient dans l'extrémité anté- rieure du lobe frontal. De la base du
faisceau
occipito-frontal, on voit en outre se détacher
de la capsule externe. Dans le lobe sphéno-occipital, les fibres du
faisceau
occipito-f1'Ontal s'irradient, après avoir form
r le forceps du corps calleux, mais encore sur le tapetum et sur le
faisceau
occipito-frontal; or ce dernier faisceau dégénère
e sur le tapetum et sur le faisceau occipito-frontal; or ce dernier
faisceau
dégénère partiellement, à la suite de lésions d
oral et de la convexité de Origine de ce fais ceau en avant. Le
faisceau
occi- pito-frontal forme le tapotum et s'irra
s'irradie dans la face externe du lobe temporo- occipital. Le
faisceau
occi- pito-frnntal dégénère à la suite des lé
poral en avant du noyau amyg- dalien. Elle intéresse les principaux
faisceaux
d'association : cingulum, faisceaux occipito-fr
en. Elle intéresse les principaux faisceaux d'association : cingulum,
faisceaux
occipito-frontal, longitudinal supérieur et unc
. 330, coupe n° IV. AM, avant-mur. - AM', avant-mur dissocié par le
faisceau
uncinatus. Arc, faisceau arqué. - Cc, corps cal
avant-mur. - AM', avant-mur dissocié par le faisceau uncinatus. Arc,
faisceau
arqué. - Cc, corps calleux. - Ce, capsule exter
lon calloso-marginal. - coa, commissure antérieure. CI ! . couronne
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 763 1,; rayonnan
emier sillon frontal. Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fu,
faisceau
uncinatus. Fus, lobule fusiforme. ft, fibres ta
ia, NL" troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - OpR, opercule rolandique. ot,
cherches expérimentales de Muratoff pratiquées sur le chien, que le
faisceau
occipito-frontal de Forel et Onufrowicz (fascicll
a destruction des circonvolutions frontales ou occipitales. Mais ce
faisceau
, et en particulier le tapetum, demeure intact a
s calleuses, d'association et de projection dégénèrent ensemble. Le
faisceau
occipito-f7'ontal constitue -donc un long faiscea
ent ensemble. Le faisceau occipito-f7'ontal constitue -donc un long
faisceau
d'associa- tion, qui relie le lobe temporo-occi
r les fibres se rendant à la capsule externe). Comme tous les longs
faisceaux
d'association, il est formé de fibres d'iné- ga
- gale longueur n'appartenant que dans une partie de leur trajet au
faisceau
occiht.'lo-fiotztal : celui-ci ne se distingue
u faisceau occiht.'lo-fiotztal : celui-ci ne se distingue des longs
faisceaux
d'association que par sa situation profonde et
fet en dedans du système de projection, tandis que les autres longs
faisceaux
d'association occupent une position excentrique
ciation occupent une position excentrique par rapport à ce système.
Faisceau
longitudinal inférieur (Burdach) (Fli). - Couches
s du lobe occipital (Wernicke). Stratum sagittale externwn (Sachs).
Faisceau
sensitif (Charcol, Ballet) (iig. 373,374, 383,
Faisceau sensitif (Charcol, Ballet) (iig. 373,374, 383, etc.). Le
faisceau
longitudinal inférieur de Burdach est un faisceau
4, 383, etc.). Le faisceau longitudinal inférieur de Burdach est un
faisceau
à direc- tion antéro-postérieure, situé au nive
be occipito-temporal et il est extrê- Travaux de Mura- toff. Le
faisceau
occi- pito-frontal relie le lobe temporo-occi
pito-frontal relie le lobe temporo-occipi- tal au lobe frontal.
Faisceau
longitu- dinal inférieur. Sa forme dans le*
res qui le recouvrent (fig. 383 et 389). Pris dans son ensemble, ce
faisceau
forme, ainsi que Burdachl'amontru, une sorte de
me (Fus) et du lobule lingual (Lg), et se confond en dedans avec le
faisceau
postérieur du cingulum (Cing [p]) situé dans la
ng [p]) situé dans la circonvolution de l'hippocampe (II[L2]). Le
faisceau
longitudinal inférieur ne présente toutefois cett
ère sont si rapprochés, qu'ils se réunis- " sent et transforment ce
faisceau
en une sorte de cône creux, dont le som- met ef
e cette disposition que, sur les coupes vertico-transversales. le à
faisceau
longitudinal inférieur affecte dans le lobe occip
temporal, la forme d'une gouttière fortement coudée (fig. 383. Le .
faisceau
longitudinal inférieur constitue donc un faisceau
e (fig. 383. Le . faisceau longitudinal inférieur constitue donc un
faisceau
nettement défi- mité, et c'est à tort que quelq
dyme ventriculaire et l'écorce du sillon collatéral. L'épaisseur du
faisceau
longitudinal inférieur varie suivant, les régions
d inféro-externe du carrefour ventriculaire, où il se ramasse en un
faisceau
compacte de fibres très serrées, tandis qu'il se
uche sagittale interne, de radiations thalamiques, et qui sépare le
faisceau
longitudinal inférieur, du tapetum (tau) et de
volutions qui la limitent une saillie, sorte de crête, produite par
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 767 1'tc. 383.-C
ayonnante. ds, diverticule du subiculum. Fc, fasciola cinerea. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - ft, fibres tangentielle
; 768 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les crêtes de cette face.
Faisceau
basai in- terne de Burdach. l'entre-croisemen
. 384, 385, voy. aussi lig. 223 a 228, 2S1 à ° ? GG, 273 à zig). Le
faisceau
longitudinal inférieur aban- donne en effet à c
Pour la description de cette coupe, voy. p. 551, coupe n° XI. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - FM, forceps major. fles
I. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FM, forceps major. fles,
faisceau
transverse du cunéus de Sachs. - Fus, lobule fu
iolet. - Tap, tapetum. Voc, corne occipitale du ventricule latéral.
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7G ! ) à la part
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7G ! ) à la partie inféro-interne du
faisceau
longitudinal inférieur, renforce en avant, au n
l inférieur, renforce en avant, au niveau du pli rétro-11mbique, le
faisceau
postérieur du cingulum situé dans la circonvolu
pli rétro-limbique. Les crêtes qui sillonnent la face convexe du
faisceau
longitudinal infé- rieur sont très nettes sur l
onvolutions temporales (fig. 385 et 293). Dans le lobe temporal, le
faisceau
longitudinal inférieur est mal déli- mité en ha
, 385 et p. 532, fig. 287). Il résulte de cette disposition, que ce
faisceau
ne se dispose en couche net- tement distincte,
vant du segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), le
faisceau
longitudinal inférieur entoure l'extrémité postér
a partie externe du noyau amygdalien (NA), où il mor- celle avec le
faisceau
uncinatus, la substance grise qui relie l'avant-m
iques de Gratiolet, et 2° par des fibres foncées qui, traversant le
faisceau
longitudinal inférieur perpendiculairement à la
, entrent dans la consti- tution du tapetum. Comme tous les longs
faisceaux
d'association, le faisceau longitudinal inférie
tution du tapetum. Comme tous les longs faisceaux d'association, le
faisceau
longitudinal inférieur comprend un système très
cales limitées du lobe occipital, nous ont toutefois montré, que ce
faisceau
con- tient un grand nombre de fibres longues, d
suivie dans la substance blanche du lobe temporal. Les libres du
faisceau
longitudinal inférieur prennent leur origine dans
ubstance blanche de ce z19 Rapports de son bord supérieur. Le
faisceau
longi- tudinal inférieur se différencie des r
ant par le cunéus, le lobule lingual, l'ergot de Morand et le tiers
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. ï71 t supérieur
postérieur de la capsule ' " interne. - Fc, fibres calleuses. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - F-II, forceps major.
upent de bonne heure en arrière de la corne occipitale, en un mince
faisceau
annulaire, facile à distinguer sur les coupes tra
par la méthode de Weigert (p. 60 fig. 290, et p. 768 fig. 384). Ce
faisceau
reçoit chemin faisant un grand nombre de fibres
ccipitale. Toutes ces fibres se rapprochent donc de plus en plus du
faisceau
compacte de fibres sagittales qui longe le bord i
la formc d'une gouttière. ' Arrivé au niveau du lobe temporal, le
faisceau
longitudinal inférieur abandonne aux circonvolu
e-croisent Direction de ses fibres. Terminaison des fibres du
faisceau
longitudinal inte- rieur. Terminaisons an-
inaisons an- térieures. " 772 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. De-
faisceau
lon- gitudinal inférieur fournit des fibres à
roise- ment avec les fibres de la commissure intérieure et du
faisceau
uncinatus. avec les fibres du faisceau arqué ou
missure intérieure et du faisceau uncinatus. avec les fibres du
faisceau
arqué ou. longitudinal supérieur de Burdach et
sceau arqué ou. longitudinal supérieur de Burdach et avec celles du
faisceau
uncinatus. ' . Un petit nombre de fibres entren
re-croisent avec les. fibres de la commissure antérieure et avec le
faisceau
uncinatus, mais s'en . distinguent par leur plus
- ds, diverticule du subiculum. Epa, espace perforé antérieur. - Fli,
faisceau
longitudinal - inférieur Fu, faisceau uncinatus
ace perforé antérieur. - Fli, faisceau longitudinal - inférieur Fu,
faisceau
uncinatus. H (L2), circonvolution de l'hippocampe
on du crochet. rsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - -
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSE MAUX. 773 Ces termina
D'ASSOCIATION ET COMMISSE MAUX. 773 Ces terminaisons antérieures du
faisceau
longitudinal inférieur et son intrication avec
eures du faisceau longitudinal inférieur et son intrication avec le
faisceau
uncinatus sont faciles à constater sur les coupes
fig. 375). Au voisinage de la première circonvolution temporale, le
faisceau
lon- gitudinal inférieur présente, sur les coup
nt rétro-lenticulaire de la capsule interne, appartiennent-elles au
faisceau
longitudinal inférieur dont une partie entrerai
de pro- jection du lobe temporal, qui ne feraient que traverser le
faisceau
longitu- dinal inférieur pour se rendre à leur
soudre, car elle implique en même temps, la nature des fonctions du
faisceau
longitudinal inférieur. Dans le deuxième cas ce f
férieur. Dans le deuxième cas ce fais- ceau serait exclusivement un
faisceau
d'association, dans le premier cas il contiendr
ion et des libres de projection. Pour les auteurs qui assimilent ce
faisceau
aux fibres de projection du lobe occipital et l
ernières sous les noms de radiations optiques (Gratiolet), lame des
faisceaux
optiques (Meynert), substance sa- yittccle du l
ues (Meynert), substance sa- yittccle du lobe occipital (Wernicke),
faisceau
sensitif (Charcot, Ballet, Bris- saud), le fais
tal (Wernicke), faisceau sensitif (Charcot, Ballet, Bris- saud), le
faisceau
longitudinal inférieur ne serait formé que de fib
it nombre de fibres de projection. Il est incontestable que dans le
faisceau
longitudinal inférieur, le départ des fibres de
com- parée ou d'autres méthodes. Pour nous, la partie inférieure du
faisceau
longitudinal inférieur constitue exclusivement
ieure du faisceau longitudinal inférieur constitue exclusivement un
faisceau
d'association; ([liant il sa partie supérieure,
tique, corps genouillé externe, globus pallidus, etc.). Aspect du
faisceau
longitudinal infé- rieur, au niveau de iapr
apretnierecit'cou- volution temporale. Rapports des li- bres du
faisceau
1011- gitudinal inférieur avec les fibres des
al inférieur avec les fibres des radiations thalami- ques. Le
faisceau
longi- tudinal inférieur est exclusivement un
es. Le faisceau longi- tudinal inférieur est exclusivement un
faisceau
d'associa- tion dans sa partie inférieure.
M, avant-mur. CA, corne d'Ammon. - Ce, corps calleux. - Ce, capsule
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 77o externe. Cg,
cule du subiculum. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - 7·'li,
faisceau
longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétrofle
rontale ascendante. - 7·'li, faisceau longitudinal inférieur. - FM,
faisceau
rétroflexe de Meynert. - FPoa, fibres antérieures
de Meynert. - FPoa, fibres antérieures de la protubé- rance. - FT,
faisceau
de Tlirck. - FT', partie du faisceau de Tiirck. v
es de la protubé- rance. - FT, faisceau de Tlirck. - FT', partie du
faisceau
de Tiirck. venant des deuxième et troisième cir
deuxième et troisième circonvolutions temporales. - FTTt, partie du
faisceau
de Tiirck, venant de la pre- mière circonvoluti
e- mière circonvolution temporale. - Il, libres tangentielles. Flh,
faisceau
thalamiquo de Forci. - Fus, lobule fusiforme. -
, noyau interne du thalamus. Axa, putamen. - NR, noyau rouge. - OF,
faisceau
occipito-frontal. - OpPa, partie pariétale de l'o
e la corne sphénoïdale. - pl'S, sillon pré-rolandiduo suprienr.-Pg,
faisceau
pyramidal.-R, scissure de Rolando. - RC, radiatio
al.-R, scissure de Rolando. - RC, radiations de la calotte. - rlll,
faisceaux
radiculaires de la troisième paire. - RTh, radiat
, troisième paire. Nous avons insisté plus haut sur ce fait, que le
faisceau
longitudinal inférieur est traversé, dans toute
Nous croyons qu'il en est de même dans la partie tem- porale de ce
faisceau
, et que la plupart des fibres que l'on voit se dé
etc., que ces fibres, disons-nous, n'appartiennent pas en propre au
faisceau
longitudinal inférieur, qu'elles ne font que le t
elle doit donc nécessai- rement. traverser la partie supérieure du
faisceau
longitudinal inférieur avant d'arriver à sa des
pied du pédoncule cérébral. 116 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le
faisceau
ex- terne du pied du pé- doncule cérébral ou
EUX. Le faisceau ex- terne du pied du pé- doncule cérébral ou
faisceau
« de Tiirck » ne reçoit pas de fi- bres des r
» ne reçoit pas de fi- bres des radiations thalamiques ni du
faisceau
longitudinal inférieur. Le faisceau de Türc
iations thalamiques ni du faisceau longitudinal inférieur. Le
faisceau
de Türck naît de l'écor- ce temporale (J. De-
entis- sent pas sur. le pied du pédoncule c{ : l'é- ])val. Le
faisceau
de Tiirck n'est pas un faisceau de sen si hi-
pédoncule c{ : l'é- ])val. Le faisceau de Tiirck n'est pas un
faisceau
de sen si hi- lité générale. En étudiant à l'
ron du pied du pédoncule cérébral, c'est-à-dire que les fibres du «
faisceau
dit de Tüuclc » proviennent, non pas du lobe oc
ke, Charcot, Ballet, Brissaud, etc., mais bien du lobe temporal. Le
faisceau
de Türc7 dégénère en effet à la suite de lésion
as, on voit ses fibres dégénérées traverser la partie supérieure du
faisceau
longitudinal inférieur, passer sous le troisième
de la corticalité occipitale confirme encore l'origine temporale du
faisceau
de Turck. Les recherches faites par l'un de nou
inion de Meynert admise par Huguenin, Charcot, Ballet, Brissaud, le
faisceau
longitudinal inférieur, de même que les radiation
du pédoncule cérébral. Isolé ou associé aux radiations optiques, le
faisceau
longitudinal inférieur ne joue aucun rôle dans
is Meynert, Charcot et Ballet. Pour ces deux der- niers auteurs, le
faisceau
longitudinal inférieur représentait, avec les F
auteurs, le faisceau longitudinal inférieur représentait, avec les
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 777 -1 radiation
IATION ET COMMISSURAUX. 777 -1 radiations optiques de Gratiolet, le
faisceau
conducteur de la sensibilité générale, le faisc
de Gratiolet, le faisceau conducteur de la sensibilité générale, le
faisceau
sensitif, qui s'épanouissait dans le lobe occipit
if, qui s'épanouissait dans le lobe occipital et qui constituait le
faisceau
externe du pédoncule cérébral. Pour Brissaud, q
ral. Pour Brissaud, qui adopte les idées des auteurs précédents, le
faisceau
longitudinal infé- rieur représenterait un fais
précédents, le faisceau longitudinal infé- rieur représenterait un
faisceau
sensitif externe et les radiations optiques un
enterait un faisceau sensitif externe et les radiations optiques un
faisceau
sensitif interne, aboutissant tous deux au faisce
ons optiques un faisceau sensitif interne, aboutissant tous deux au
faisceau
externe du pédoncule cérébral ou faisceau de Ti
aboutissant tous deux au faisceau externe du pédoncule cérébral ou
faisceau
de Tiirck. Cette conception ne peut plus être a
ujourd'hui car, d'une part, ainsi que nous venons de l'indiquer, le
faisceau
de Türch ne vient pas du lobe occipital et d'au
rale. (Voy. t. II, Ruban de Reil et Localisations cérébrales.) Le
faisceau
de Tùrck n'est pas le seul faisceau de projection
t Localisations cérébrales.) Le faisceau de Tùrck n'est pas le seul
faisceau
de projection du lobe temporal, qui s'entre-cro
faisceau de projection du lobe temporal, qui s'entre-croise avec le
faisceau
longitudinal inférieur. D'autres fibres de la c
au noyau externe de la couche optique, etc., traversent de même le
faisceau
lon- gitudinal inférieur et contribuent à donne
oyau amygdalielt, s'entre-croisent dans toute leur longueur avec le
faisceau
longitudinal inférieur, passent sous le noyau len
trajet est très facile à suivre dans les cas de dégénéres- cence du
faisceau
longitudinal inférieur (Voy. t. II, les coupes ho
de troubles de la sensibilité é- nérale. Entre-croisement du
faisceau
lon¡ : ritu- dinal inférieur avec les fibres
uadriju- mcau antérieur. Ce, capsule externe. - Ce(h'li), fibres du
faisceau
longitudinal inférieur se rendant à la capsule
e la scissure calcarine. I· ? deuxième circonvolution frontale. - FI,
faisceau
lenticulaire de Forel. - Fli, faisceau longitud
rconvolution frontale. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudina
lenticulaire de Forel. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. Fth, faisceau thalamiq
longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. Fth,
faisceau
thalamique de Forel. - Il, circonvolution de l'hi
de Forel. - Il, circonvolution de l'hippocampe ou deuxième circon-
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSU 11 AUX. ï0 (voy. fig.
fusion des radiations thalamiques (couche sagittale interne) et du
faisceau
longitudinal inférieur (couche sagittale extern
cette couche de fibres fortement colorées par l'hématoxyline et le
faisceau
occipilo-vertical de Wernicke (voy. fib. 388, O
nal inférieur de l'homme. Sur des coupes microscopiques sériées, ce
faisceau
naît en arrière des circonvolutions occipitales
éressant les corps opto-striés, la plus grande partie des fibres du
faisceau
longitudinal inférieur s'irradient en avant dans
it volume et sa faible coloration par la laque hématoxy- linique le
faisceau
longitudinal inférieur se comporte donc ici comme
ur se comporte donc ici comme chez l'homme. La faible coloration du
faisceau
longitudinal inférieur par l'hé- Le faisceau lo
a faible coloration du faisceau longitudinal inférieur par l'hé- Le
faisceau
longi- tudinal chez le singe. Chez le singe,
- Le faisceau longi- tudinal chez le singe. Chez le singe, ce
faisceau
est très ré- duit de volume, tau- dis que les
que les radiations thalaniiquessonttrès j; Origine et trajet du
faisceau
longitu- dinal chez le singe. volution limbiq
- off, partie orbitaire de la première circonvolution frontale. Ov,
faisceau
occipital vertical de Wernicke. - ! 'iTk, pédon
bercule quadrijumeau antérieur. - RC, radiations de la calotte. Re,
faisceau
cortical du noyau rouge, passant par les radiat
e. - Fiv, carrefour ventriculaire. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. - Vif, corne frontale du ventri
l in- férieur relie lo lobe )ccipital au lobe tem- l)Qral. Le
faisceau
longi- tudinal inférieur dé- géiiûro dans les
érescences secondaires et l'anatomie comparée montrent donc, que le
faisceau
longitudinal inférieur est avant tout un faisce
rent donc, que le faisceau longitudinal inférieur est avant tout un
faisceau
d'association qui relie le lobe occipital, et en
occipital, et en particulier la zone visuelle, au lobe temporal. Ce
faisceau
dégénère à la suite des lésions du lobe occipit
rite sous le nom de cécité verbale pure. Mais, de même que tous les
faisceaux
d'association, il est formé de fibres d'inégale l
l est formé de fibres d'inégale lon- gueur qui n'appartiennent à ce
faisceau
que dans une partie de leur trajet; il en résul
cences n'intéressent pour ainsi dire jamais toute l'épaisseur de ce
faisceau
, et qu'à mesure que l'on s'éloigne du foyer des
res dégénérées. Lorsque l'on étudie la dégénérescence secondaire du
faisceau
longitu- dinal inférieur, à la suite des lésion
er de la couche sagittale du lobe tcmporo-occipital, on voit que ce
faisceau
, de même que les radiations optiques, dégénère
nettement dans deux cas. On peut par conséquent se demander, si le
faisceau
longi- tudinal inférieur ne contient pas, outre
ce occipitale et qui constituent du reste presque la totalité de ce
faisceau
, un certain nombre d'autres fibres qui, lui ven
en (voy. p. 12 et 178) et de par l'ana- tomie pathologique, que les
faisceaux
encéphaliques ou médullaires s'al- tèrent dans
ésente une sécurité absolue pour déterminer le trajet de tel ou tel
faisceau
, est en effet beaucoup moins sûre, lorsqu'il s'ag
'il s'agit de reconnaître l'origine cellulaire de tel ou tel de ces
faisceaux
. Fibres d'association propres au lobe occipital
au lobe occipital (Stratum pro- prium corlicis de Sachs). Autour du
faisceau
longitudinal inférieur se groupent les fibres p
se groupent les fibres propres au lobe occipital, disposées en cinq
faisceaux
plus ou moins nettement délimités. Ce sont : en
délimités. Ce sont : en dedans le stratum calcarinum, en dehors le
faisceau
occipital vertical de Wernicke, enbas le faisceau
num, en dehors le faisceau occipital vertical de Wernicke, enbas le
faisceau
trans- verse du lobule lingual de Vialet, en ha
as le faisceau trans- verse du lobule lingual de Vialet, en haut le
faisceau
transverse du cunéus et le faisceau propre du c
e lingual de Vialet, en haut le faisceau transverse du cunéus et le
faisceau
propre du cunéus de Sachs. Le faisceau occipital
u transverse du cunéus et le faisceau propre du cunéus de Sachs. Le
faisceau
occipital vertical, le stratum calcarinum et le
Sachs. Le faisceau occipital vertical, le stratum calcarinum et le
faisceau
propre du cunéus sont formés de libres plus ou
lobe occipital à ses parties moyenne et inférieure; les fibres des
faisceaux
transverses du cunéus et du lobule lingual se d
ent les connexions entre les faces interne et externe de ce lobe.
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. -78t Le stratum
verticales, qui double l'écorce de l'ergot de Morand, la sépare du
faisceau
longitudinal inférieur et forme à elle seule la m
e) au pli rétro-limbique de Broca, et renforce dans cette région le
faisceau
postérieur du cingulum. Elle repré- sente en d'
macroscopiques sont in- suffisantes pour déterminer le trajet d'un
faisceau
; ici comme dans toutes les autres régions de l
nt ou plus ou moins obliquement la couche des fibres en U, puis les
faisceaux
d'association plus ou moins longs, et concourir
t d'arriver la couche des fibres sagittales du lobe occipital. Le
faisceau
occipital vertical ou occipital perpendiculaire d
opres du sillon parallèle. En arrière du gyrus supra-marginalis, le
faisceau
occipital vertical de Stratum calcari- Ullll1
Son origine et son trajct. 782 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Faisceau
occipital transvcrse du cu- néus. Ce faisce
ENTRES NERVEUX. Faisceau occipital transvcrse du cu- néus. Ce
faisceau
relie le cunéus à la convexité du lobe occipi
a convexité du lobe occipital et à son bord infére-ex- terne.
Faisceau
occipital transverse du lobule lingual de Via
Faisceau occipital transverse du lobule lingual de Vialet. Ce
faisceau
met la région calcarinienne en communication
gitudinal supérieur de Burdach. : Dans leur ensemble, les fibres du
faisceau
occipito-frontal constituent - donc une sorte d
ersée par les nombreuses fibres qui entrent dans la constitution du
faisceau
lon- gitudinal inférieur, des radiations thalam
emporal et du tapetum; elle est encore traversée par les fibres des
faisceaux
trans- verses du cunéus et du lobule lingual. G
dehors, elle est au contraire nettement délimitée en dedans par le
faisceau
longitudinal inférieur, et ses fibres se distin
on et leur coloration moins foncée par la laque hématoxylinique. Le
faisceau
occipital transverse du cunéus (stratum cllnei tr
, passent au-dessus du cône creux formé par la partie occipitale du
faisceau
longitudinal inférieur, puis tra- versent le fa
occipitale du faisceau longitudinal inférieur, puis tra- versent le
faisceau
occipital vertical, se mélangent intimement aux f
le lobule pariétal supé- rieur et dans le pli courbe (Sachs). Le
faisceau
occipital transverse du lobule lingual de Vialet
de Vialet (fig. 290 et 389, fllgV) est au lobule lingual ce que le
faisceau
précédent est au cunéus. Entre- vu par Sachs, b
dent est au cunéus. Entre- vu par Sachs, bien étudié par Vialet, ce
faisceau
naît de la lèvre inférieure de la scissure calc
arine, se porte transversalement en dehors, puis recouvre en bas le
faisceau
longitudinal inférieur qu'il tapisse; ses libres
une première fois au niveau du diverticule du lobule lingual et du
faisceau
basai interne de Burdach, une seconde fois au niv
es libres dégénérées de la région, et ces cas sont particulièrement
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 83 instructifs p
UX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 83 instructifs pour l'étude de ce
faisceau
(fig. 394) (Voy. Th. de Vialet, Obs. III). Outr
ur origine comme celles de cette dernière couche et comme celles du
faisceau
transverse du cunéus, dans la lèvre supérieure de
. (Demi- schématique.) , C, cunéus. - far, fibres arquées. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - fll,gi', faisceau tra
r, fibres arquées. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - fll,gi',
faisceau
transverse du lobule lingual de Vialet. - ftcS,
- fll,gi', faisceau transverse du lobule lingual de Vialet. - ftcS,
faisceau
transverse du cunéus de Sachs. Fus, lobule fusi
irconvolu- tions occipitales.- os, deuxième sillon occipital. - Or,
faisceau
occipital vertical.-at, si1lon collatéral. po,
re, que Brissaud a désignée sous le nom de fais- ceau compact et de
faisceau
diffus du fornix. Il ne peut être question dans
question dans l'espèce, ainsi que nous venons de le voir, d'un long
faisceau
d'as- sociation, analogue au cingulum et étendu
on des circonvolutions de la face interne de l'hémisphère le nom de
faisceaux
du fornix, c'est, selon nous, employer un terme p
s, immédiatement en avant de la tête du noyau caudé et autour de la
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 785 substance gr
s calleuses émanées du genou (Ce), il est complété en dehors par le
faisceau
occipilo-frontal (OF). Autour de ce premier systè
e. - mF,, face interne delà première cir- convolution frontale. OF,
faisceau
occipito-frontal. - oF,, partie orbitaire de la p
et s'entre- croisent avec les extrémités antérieures des libres du
faisceau
uncinatus, qui viennent s'irradier dans les fac
ommissure antérieure et le fornix trans- verse de Forel. Ce dernier
faisceau
ne peut être séparé du trigone cérébral, FAISCE
Forel. Ce dernier faisceau ne peut être séparé du trigone cérébral,
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 787 aussi renvoy
l'angle externe du ventricule latéral, où elles se réunissent en un
faisceau
compact qui augmente rapidement de volume, se dir
ses sont connues sous le nom de raclia- tions calleuses (RCc); leur
faisceau
compact, qui forme la voûte des ven- tricules l
s, décrivent une courbe à concavité inféro-interne et traversent le
faisceau
arqué de Bur- dach (Arc), le pied de la couronn
87), le tronc du corps calleux se présente sous l'aspect d'un épais
faisceau
, effilé en dehors, où il entoure en crochet l'a
ngle externe du ventricule latéral. < ? Son sommet correspond au
faisceau
occipito-frontal (OF). Sa face infé- rieure est
issocier; mais, ainsi que le montrent les coupes microscopiques, de
faisceaux
plus ou moins enchevêtrés qui s'entre-croisent
sent dans tous les sens, au niveau de la *&* ligne médiane. Les
faisceaux
superficiels deviennent profonds de l'autre côt
n d'autres termes, le plus volu- mineux et le mieux circonscrit des
faisceaux
d'association et, « en reliant les régions asym
ronc. Nées des faces externe, orbitaire et interne du lobe frontal,
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET CO\I111SSI;R : 1U1. 789 elles
is se coudent au-devant de la corne frontale et se réunissent en un
faisceau
compact, qui se réfléchit en avant du ventricul
compact, qui se réfléchit en avant du ventricule latéral, comme le
faisceau
du tronc du corps cal- leux se réfléchit autour
s cal- leux se réfléchit autour de son angle externe (fig. 391). Ce
faisceau
compact augmente rapidement de volume grâce à l
ontiendrait encore d'autres fibres : nous avons vu plus haut que le
faisceau
longitudinal supérieur ou arqué de Bur- dach (f
ôté opposé. Nous avons vu en outre (p. 760), que Wernicke décrit un
faisceau
d'un centimètre et demi d'épaisseur, le faiscea
Wernicke décrit un faisceau d'un centimètre et demi d'épaisseur, le
faisceau
calleux de la capsule interne (Bal- kcnbuudcl d
u caudé et se rend dans la capsule interne. Nous avons identifié ce
faisceau
avec le fais- ceau d'association occipito-front
obe sphénoïdal (fig. 381, p. 760). Schwalbe émet l'hypothèse que le
faisceau
décrit par Wernicke serait un faisceau commissura
albe émet l'hypothèse que le faisceau décrit par Wernicke serait un
faisceau
commissural reliant les deux noyaux caudés entr
externe et interne du thalamus. - NC, tète du noyau caudé. - \'La,
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. TUt pouvons que
coupes vertico-transversales ou sagittales, aucun fas- cicule de ce
faisceau
pénétrer dans le noyau caudé et s'y irradier, que
erne (Ce) (Schnopfhagen). - Ces radiations s'entre-croisent avec le
faisceau
uncinatus (Fu), puis se réunissent en un petit
ent avec le faisceau uncinatus (Fu), puis se réunissent en un petit
faisceau
compact, qui se dirige obliquement en dedans et
d dans la cavité ventriculaire, elles se condensent bientôt en deux
faisceaux
compactes, l'un inférieur, plus petit, qui reço
x. s NLi, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. OF,
faisceau
occipito-frontal. - OF', partie du faisceau occ
noyau lenticulaire. OF, faisceau occipito-frontal. - OF', partie du
faisceau
occipito-frontal, s'irradiant dans les trois circ
que. - 7'ltt, pilier antérieur du trigone. tth, taenia thalami. VA,
faisceau
de Vicq d'Azyr. Zr, zone réticulée ou grillagée
er. }11lll'e de la partie inférieure ou minor du forceps. V
faisceaux
sont reliés l'un à l'autre, dans toute l'étendue
de la cavité ventriculaire. En avant de l'ergot de Morand, les deux
faisceaux
s'unissent intimement l'un à l'autre et constitue
t constituent le forceps du corps calleux de Reil et de Burdach. Le
faisceau
inférieur porte le nom de petite partie, faisce
et de Burdach. Le faisceau inférieur porte le nom de petite partie,
faisceau
accessoire ou minor du forceps (Fm') ; le faiscea
e petite partie, faisceau accessoire ou minor du forceps (Fm') ; le
faisceau
supérieur celui de grande partie, faisceau prin
or du forceps (Fm') ; le faisceau supérieur celui de grande partie,
faisceau
principal ou major du forceps (Fm). Ce dernier
nde partie, faisceau principal ou major du forceps (Fm). Ce dernier
faisceau
détermine à la partie supéro-interne de la corne
ar les couches concentriques des radiations thalamiques (RTh) et du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). Sur les coupes
externe du ventricule, traversent les épaisses couches de fibres du
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) et des radiations tl
parallèlement il la paroi externe du ventricule, puis rejoignent le
faisceau
principal du forceps dont elles sont tributaire
'angle supérieur de la corne occipitale, traversent les couches des
faisceaux
d'association et de projection, puis se recourb
directement dans la constitution du forceps major. Les fibres du
faisceau
supérieur ou major du forceps (Fm) affectent une
fibres du faisceau supérieur ou major du forceps (Fm) affectent une
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 793 direction ne
lui vient du cunéus et de la première circonvolution occipitale, ce
faisceau
se porte en avant et reçoit dans les régions an
onvolution pariétale (P,) et du pli courbe (I'e). Les fascicules du
faisceau
major du forceps s'enchevêtrent intimement en a
nt intimement en avant de l'ergot de Morand, avec les fascicules du
faisceau
inférieur ou minor. Puis ils se recourbent en d
es concentriques, formés par les radiations thalamiques (RTh) et le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). Par sa base, le c
u bourrelet du corps calleux. Les fascicules respectifs de ces deux
faisceaux
s'intriquent les uns dans les autres, et c'est
res d'association, des fibres de projection ainsi que les fibres du
faisceau
occipito-frontal (off, puis se coudent et se réun
sceau occipito-frontal (off, puis se coudent et se réunissent en un
faisceau
compact, qui se porte en dedans vers le bourrelet
ue le tapetum n'appartient pas au système du corps calleux, mais au
faisceau
occipito-frontal de Forel et Onufrowicz. Ces fa
tum n'ap- partient pas au sys- tème du corps cal- leux, mais au
faisceau
occipito-frontal. 11 ri 794 ANATOMIE DES'
ns la constitution de la paroi externe de la corne occipitale (voy.
Faisceau
occipito-frontal et fig. 384); sur les coupes v
bre de fibres de la paroi externe de la corne occipitale aborder le
faisceau
principal ou major du forceps. Le départ, dans
ccipitale du cunéus (C), le tiers antérieur de ce dernier et le pli
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION' ET COMMISSURAUX. 79o cunéo-limbi
li cunéo-lim- bique, le forceps minor. Après la réunion de ces deux
faisceaux
, la zone dégénérée s'enfonce dans la profondeur
e inférieure du ventricule, mais elle se cantonne peu à peu dans le
faisceau
inférieur du forceps ou forceps minor, et occup
Th), le tapetum (Tap) et le forceps major du corps calleux (Fm). Le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) est très peu touché,
). Les courtes fibres d'association du lobe occipital telles que le
faisceau
transverse du cunéus de Sachs (ftcS), le faisce
tal telles que le faisceau transverse du cunéus de Sachs (ftcS), le
faisceau
transverse du lobule lingual de Vialet (ftlgY),
cS), le faisceau transverse du lobule lingual de Vialet (ftlgY), le
faisceau
occipital perpendiculaire ou vertical de Wernicke
r naturelle. Détails dessinés à un grossissement de 12 diamètres.
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 797 thalamiques
du pédoncule et en particulier son cinquième externe, formé par le
faisceau
de Turck, dé- génère non à la suite de lésions
de. Dégénérescence du bourrelet du corps calleux (Voy. fig. 398).
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 799 souvent beau
tance blanche, fusent sous la cavité ventriculaire, sectionnent des
faisceaux
importants, et il ne fau- drait pas, dans ces c
orter à la lésion corticale, la dégénérescence due à la section des
faisceaux
sous-jacents. - En résumé, le corps calleux est
étruit le tapetum (Tap), les radiations tha- lamiques (litai) et le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli). Sur la coupe actuel
érieur (Fli). Sur la coupe actuelle, la lésion n'a sectionné que le
faisceau
longitudinal inférieur et a entraîné : 1° une d
r et a entraîné : 1° une dégénérescence extrêmement accentuée de ce
faisceau
qui peut être suivie en avant jusqu'au delà du
res calleuses, qui sur les coupes sériées, peut être suivie dans le
faisceau
inférieur ou minor du forceps (Fm'). Sur la coupe
paroi interne de la corne occipitale, se rassembler pour former le
faisceau
inférieur du forceps et s'enchevêtrer intimement
t de 12 diamètres. Les parties dégénérées sont teintées en jaune.
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 801 du I)otrrele
che verticale du sillon calloso-marginM. - Fc, fasciola cinerca. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Fli', faisceau longitud
- Fc, fasciola cinerca. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Fli',
faisceau
longitudinal inférieur au voisinage du sillon col
, forceps minor ou petite partie d ïorceps, dont on peut suivre les
faisceaux
dégénérés s'enchevêtrant avec les faisceaux du
, dont on peut suivre les faisceaux dégénérés s'enchevêtrant avec les
faisceaux
du forc ]s major et du bourrelet du corps calle
rps calleux. Fpa, foyer de ramollissement ancien, ayant sectic ; le
faisceau
longitudinal inférieur. Il, fibres tangentielles.
oenia lccta. - Tg(Gg), lyre de David et trigone ventricule latéral.
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 803 systèmc d'as
recte de celui du manteau cérébral. La commissure antérieure est un
faisceau
blanc très apparent, assez régulièrement cylind
rieure de la capsule externe (fig. 312, 401), s'cnlre-croise avec le
faisceau
longitudinal inférieur et limite en dehors le n
erticule du subiculum. F3, troisième circonvolution frontale. flop,
faisceau
de la commissure postérieure. zig, sillon nmbrio-
isceau de la commissure postérieure. zig, sillon nmbrio-godronne. FI,
faisceau
lenticulaire de Forel. Fli, faisceau longitudin
g, sillon nmbrio-godronne. FI, faisceau lenticulaire de Forel. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudina
u lenticulaire de Forel. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. Full, faisceau rétrofl
ongitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. Full,
faisceau
rétroflexe de \Ieyncrt. FT, faisceau de Tiirck. h
longitudinal postérieur. Full, faisceau rétroflexe de \Ieyncrt. FT,
faisceau
de Tiirck. h, sillon de l'hippocampe. la, insul
s. (Voy. pour la description de cette coupe p. 616, coupe n° 12.)
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 800 1 laircinter
- TriP, pilier postérieur du trigone. 1, troisième ventricule. VA,
faisceau
de Vicq-d'A/.yr. 1"(, corne frontale du ventric
eigert l'intensité de coloration des radiations tha- lamiques et du
faisceau
uncinatus; ses fibres se distinguent par conséque
; ses fibres se distinguent par conséquent facilement des fibres du
faisceau
longitudinal inférieur. Au niveau de la partie
,, O) et en particulier les deux lèvres des scissures calcarine (K)
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 807 et collatéra
sule extrême (Ce, fig. 375) dont la base, croisée par les fibres du
faisceau
arqué ou lon- gitudinal supérieur, décrit une c
plexes. Les libres de la partie moyenne proviennent probablement du
faisceau
occipito-frontal et de la partie moyenne du tro
pas être très considérable. Les fibres antérieures proviennent du
faisceau
uncinatus et, d'après Schnopfhagen, du genou et
a couronne rayonnante. Les fibres postérieures sont fournies par le
faisceau
longitudinal inférieur, par la commissure antér
inférieur, par la commissure antérieure et les fibres temporales du
faisceau
uncinatus. Ce dernier faisceau occupe toute la
térieure et les fibres temporales du faisceau uncinatus. Ce dernier
faisceau
occupe toute la région de la capsule externe situ
es externe et extrême, à l'exception de celles qui appartiennent au
faisceau
longitudinal inférieur, se colorent faiblement
, sauf toutefois celle des fibres de la commissure antérieure et du
faisceau
uncinatus, ne peut guère être suivie au delà du
du voisinage immédiat du foyer primitif. Cette particularité prouve
FAISCEAUX
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 800 qu'un grand
nschen, 1.81î1 ? Ballet. Recherches anatomiques et cliniques sur le
faisceau
sensitif et les troublés de la sensibilité dans l
Note sur l'existence à la partie inférieure du lobe occipital d'un
faisceau
d'association distinct, le faisceau transverse du
férieure du lobe occipital d'un faisceau d'association distinct, le
faisceau
transverse du lobule lingual. Soc. de Biologie,
que je groupai artificiellement pour cette étude en quatre ordres de
faisceaux
: fibres frontales, fibres pariétales, fibres occ
r volume, leur situation; leurs rapports entre eux, ainsi qu'avec les
faisceaux
de fibres blanches, la substance grise des circon
veuses et quelle est l'origine, la direction et la terminaison de ces
faisceaux
de fibres nerveuses qui constituent la substance
1), disposés suivant un plan déterminé, reliés intérieurement par des
faisceaux
de fibres blanches, à deux noyaux de substance gr
plètement séparée en deux portions inégales par le passage d'un large
faisceau
de fibres nerveuses (Pl. X, 4 et XVIII, 6) aplati
rs et le sommet en dedans. Elle est divisée en trois segments par des
faisceaux
blancs verti-caux {laminœ meclullares) ; des fibr
aires. Elles se juxtaposent pour consti- tuer dans certains cas des
faisceaux
de fibres, entre lesquelles on trouve des cor-pus
ode dans la substance grise. Les fibres nerveuses se réunissent en un
faisceau
blanc au centre de la circonvolution, puis elles
écrit, tout au moins sur le cerveau de l'homme ; on ne connaît que le
faisceau
désigné sous le nom de ftbrœ propriœ de Gra-tiole
hère. A la région antérieure d'un hémisphère cérébral, on trouve un
faisceau
curviligne, le faisceau arciforme frontal (Pl. XI
rieure d'un hémisphère cérébral, on trouve un faisceau curviligne, le
faisceau
arciforme frontal (Pl. XII, 1), qui se porte des
aux régions pariétales supérieures; à la région postérieure, un autre
faisceau
, le faisceau arciforme occipital (Pl. XII, 5), dé
ariétales supérieures; à la région postérieure, un autre faisceau, le
faisceau
arciforme occipital (Pl. XII, 5), décrit une anse
xtremus de l'occipital vers le lobe pariétal supérieur ; un troisième
faisceau
, situé à la région médiane, le faisceau longitudi
étal supérieur ; un troisième faisceau, situé à la région médiane, le
faisceau
longitudinal supérieur (Pl. VI, 1), réunit la rég
u lobule paracentral et au lobule quadrilatère; du lobe occipital, un
faisceau
de fibres, le faisceau longitudinal inférieur (Pl
au lobule quadrilatère; du lobe occipital, un faisceau de fibres, le
faisceau
longitudinal inférieur (Pl. XII, 4), pénètre dans
érieure, en reliant les circonvolutions de l'insula de Reil. Enfin un
faisceau
, les fibres arciformes occipito-frontales unissen
ver les fibres de la substance médullaire, ainsi qu'on le ferait d'un
faisceau
de fibres ligneuses (1). § 2. Les fibres commis
dedans, tournent sur leur axe d'arrière en dedans, se groupent en un
faisceau
arrondi qui se dirige en avant, passe sous la fac
du corps strié, traverse la scissure interhémisphérique et rejoint le
faisceau
homologue du côté opposé. Ce groupe de fibres,
l. II, 6; XXVII-XXVIII, 10, 10; XLVIII, 14). Chez les mammifères un
faisceau
très distinct part du lobe olfactif et se réunit
du lobe olfactif et se réunit à la commissure blanche antérieure. Ce
faisceau
n'apparaît pas très nettement chez l'homme; son e
lanc dans la tête du corps strié, présentant quelque analogie avec le
faisceau
que Gratiolet décrit sur les animaux. : § 3. Le
is s'en séparent au voisinage des noyaux opto-striés, pour plonger en
faisceaux
rayonnes dans la substance grise de ces noyaux. E
. X-Xl-XII). Ces divers groupes de fibres se juxtaposent en un gros
faisceau
qui plonge dans la substance grise du corps strié
r groupes isolés, sous des dénominations différentes, comme autant de
faisceaux
distincts. Burdach a désigné le faisceau interméd
ifférentes, comme autant de faisceaux distincts. Burdach a désigné le
faisceau
intermédiaire aux noyaux opto-striés sous le nom
de capsule interne; Reil appelle couronne rayonnante l'en-semble des
faisceaux
irradiés des régions moyennes ; le groupe des fib
les unes vers le noyau lenticulaire ; les autres, sous la forme d'un
faisceau
conoide, contournent la face interne et antérieur
ion antérieure et supérieure de la couche optique. Meynert donne à ce
faisceau
le nom de racine inférieure de la couche optique
condensent sur le côté antéro-externe de la couche optique en un gros
faisceau
spiroïde, aplati d'avant en arrière, appelé capsu
, aplati d'avant en arrière, appelé capsule interne. La coupe de ce
faisceau
, faite suivant un plan horizontal, présente une p
ésignée sous le nom de région lenticulo-striée. L'autre portion de ce
faisceau
se dirige d'arrière en avant et en dedans; elle e
différents points de la subs-tance corticale, se sont condensés en un
faisceau
. Ces fibres se séparent de nouveau pour gagner le
à la paroi du troisième ventriculaire. L'autre partie se détache du
faisceau
principal, se sépare en deux groupes de fibres :
ations dans les maladies du cerveau. térieure des ventricules en un
faisceau
blanc à direction antéro-postérieure légèrement c
doute le groupe de libres qui a été décrit par Meynert sous le nom de
faisceau
direct sensitif du pédoncule. D'après le mode d
du pédoncule. D'après le mode de constitution et de groupement des
faisceaux
de fibres conver-gentes des régions postérieures,
oi du ventricule moyen ; que les fibres externes et inférieures de ce
faisceau
gagnent la région externe du pédoncule cérébral.
riées. En dehors de ce système de fibres convergentes, il existe un
faisceau
de fibres d'une forme particulière, qui suit un t
rme particulière, qui suit un trajet différent de ce plan général. Ce
faisceau
relie aux régions centrales la masse de substance
les nerveuses qu'elle renferme (Pl. III). - Vicq-d'Azyr a décrit un
faisceau
spiroïde de fibres blanches, verticalement dirigé
optique, ou centre antérieur, jusqu'aux tubercules mamillaires. Ce
faisceau
prend son origine dans les cellules mêmes que ren
Pl. III; Pl. XLIV, 17) (Microphotographie, Pl. B, fig. I à 111). Le
faisceau
de Vicq-d'Azyr relie par conséquent le centre ant
ptique. Au niveau de la région antérieure de la couche optique, les
faisceaux
cylindriques des fibres convergentes de Fhippocam
leur sont propres (Pl. XXXIV, 9). Arrivées au corps rhomboïdal, les
faisceaux
qu'elles forment se décomposent en fascicules qui
fibres nerveuses effèrentes, qui se portent, sous forme de trois gros
faisceaux
désignés sous le nom de pédoncules cérébelleux, d
séparent en deux groupes. Le groupe externe, sous l'aspect d'un gros
faisceau
désigné sous le nom de corps restiforme, se porte
ncules cérébelleux inférieurs vient aboutir, sous la forme d'un petit
faisceau
, dans la substance grise du noyau des cordons grê
leux moyens, en se séparant des pédoncules inférieurs, constituent un
faisceau
, nettement distinct sur les parties latérales et
raphé médian, gagnent le côté opposé, traversent les interstices des
faisceaux
ascendants et vont s'amortir dans les cellules de
rtie du corps rhom-boïdal, se séparent très nettement des deux autres
faisceaux
de fibres efférentes. Elles se dirigent en haut,
ntourée d'une écorce blanche for-mée de fibres nerveuses, groupées en
faisceaux
longitudinaux prismatiques et trian-gulaires, dis
le bulbe et la protubérance jusqu'à la base du ventricule moyen. Les
faisceaux
blancs, qui forment les cordons de la moelle, pré
du plancher du quatrième ventricule. Ce noyau est en rapport avec le
faisceau
moyen du facial, auquel il envoie quelques fibres
et supérieures viennent se réunir à la racine bulbaire pour former le
faisceau
sensitif du trijumeau. Ce noyau est formé de gros
e ventricule, se réunir en fascicules (barbes du calamus), puis en un
faisceau
(1) Math. Duval, Société de Biologie, 30 mars 1
re. Ces fibres constituent par leur groupement, à la protubérance, un
faisceau
en forme de croissant, dont la concavité, tournée
iculier, qui partent du chiasma des nerfs optiques sous la forme d'un
faisceau
unique. Ce faisceau contourne le bord supérieur d
du chiasma des nerfs optiques sous la forme d'un faisceau unique. Ce
faisceau
contourne le bord supérieur des pédoncules cérébr
En traversant le collet du bulbe, les fibres nerveuses groupées en
faisceaux
pris-matiques autour de la colonne grise centrale
es uns aux autres, donnent à la section perpendiculaire à l'axe de ce
faisceau
un aspect fascicule très caractéristique (Pl. IV,
sensitive de ces pyramides. Les fibres nerveuses, plus fines dans ce
faisceau
, se juxtaposent longitudinalement sans se grouper
icule; un grand nombre de fibres transversales s'entremêlent avec ces
faisceaux
. Ces trois cordons se groupent par conséquent dan
ns antéro-latéraux n'a pas suivi le mouvement de flexion en dedans du
faisceau
. Elle est restée en avant et en contact avec l'ex
e son trajet ascendant en arrière de l'olive bulbaire, sous le nom de
faisceau
latéral du bulbe, demeure juxtaposée au tubercule
cordons postérieurs de la moelle sont prolongés dans le bulbe par un
faisceau
appelé cordon grêle par Burdach et cordon cunéifo
cordon grêle par Burdach et cordon cunéiforme de Gollpar Kôlliker. Ce
faisceau
constitue les pyramides postérieures du bulbe; il
Burdach appelle cordon cunéiforme la portion externe seulement de ce
faisceau
postérieur du bulbe ; Meynert désigne également l
n motrice des pyramides pénètre dans le bulbe sous la forme d'un gros
faisceau
fascicule, à peu près arrondi, situé en arrière d
es cérébelleux moyens, de chaque côté du raphé médian. Plus haut, ces
faisceaux
, très faciles à distinguer et très nets sur une c
ce des pyramides. Elle se porte en dehors et en arrière, en dedans du
faisceau
formé par la grosse racine du trijumeau. Elle pre
25). Les intervalles compris dans la protubérance entre ces divers
faisceaux
de fibres nerveuses longitudinales sont remplis p
Les fibres les plus internes du pédoncule cérébral se détachent du
faisceau
principal, se groupent sous la forme d'un faiscea
al se détachent du faisceau principal, se groupent sous la forme d'un
faisceau
volumineux parfaitement distinct, possédant un tr
dant un trajet et un mode de distribution qui leur sont propres. Ce
faisceau
antéro-interne pédonculaire est sous-jacent aux n
ns la protubérance et paraît former dans le bulbe le prolongement des
faisceaux
de la moelle que M. Charcot (1) désigne sous le n
moelle que M. Charcot (1) désigne sous le nom de cordons de Türck. Ce
faisceau
mettrait par conséquent directement en connexion
érieures de la moelle épinière (Pl. XXVI, 9; XXX, 14; XLIV, 18). Le
faisceau
antéro-interne pédonculaire constitue le plan le
s de la moelle allongée. Il irait par conséquent se confondre avec le
faisceau
que Meynert nomme faisceau longitudinal postérieu
irait par conséquent se confondre avec le faisceau que Meynert nomme
faisceau
longitudinal postérieur de la calotte, et se term
ne s'est pas épuisée dans le corps strié et le noyau lenticulaire. Un
faisceau
, situé vers la partie externe de cette portion du
va aboutir aux régions latérales et postérieures du lobe frontal. Ce
faisceau
met en connexion immédiate la substance corticale
isphère et le pédoncule, sans traverser le corps strié. Il est appelé
faisceau
direct moteur du pédoncule (Pl. VII; XLIV). (1)
es nerveuses des différents noyaux qu'elle renferme (PL XL1I, 21). Un
faisceau
s'incline en dehors, se recourbe en arrière et en
r rapport aux deux autres cordons du bulbe. Ils cons-tituent alors le
faisceau
longitudinal postérieur. Ce faisceau franchit l
lbe. Ils cons-tituent alors le faisceau longitudinal postérieur. Ce
faisceau
franchit la protubérance en suivant la. paroi du
es cellules nerveuses de cette région. Dans ce trajet ascendant, le
faisceau
longitudinal postérieur affecte des rapports inti
ent, comme la deuxième couche de l'anse pédon-culaire, sous le nom de
faisceau
longitudinal postérieur de la calotte. Ils lui as
les cordons antéro-latéraux de la moelle. Ils le considèrent comme un
faisceau
moteur. Le faisceau latéral du bulbe, faisceau
éraux de la moelle. Ils le considèrent comme un faisceau moteur. Le
faisceau
latéral du bulbe, faisceau intermédiaire, impropr
considèrent comme un faisceau moteur. Le faisceau latéral du bulbe,
faisceau
intermédiaire, improprement désigné aussi sous le
be, faisceau intermédiaire, improprement désigné aussi sous le nom de
faisceau
sous-olivaire, chemine entre la corne postérieure
es noyaux rouges de Stilling reçoivent par leur segment postérieur un
faisceau
de fibres afférentes fourni par les pédoncules cé
s, qui con-servent la direction verticale ascendante et antérieure du
faisceau
cérébelleux. Ils s'effilent, se perdent dans le r
nerveuses que renferme sa masse grise et émergent sous la forme d'un
faisceau
efférent conoïde, ayant l'aspect ondulé d'une fla
'un faisceau efférent conoïde, ayant l'aspect ondulé d'une flamme. Ce
faisceau
se dirige en haut et en avant; il se sépare en de
Luysii reçoit un fascicule de fibres cérébelleuses qui se détache du
faisceau
principal que les pédoncules cérébelleux supérieu
spinales antérieures, dont elles partagent la distribution. Ce même
faisceau
principal cérébelleux envoie également un fascicu
t le noyau central de la substance grise des lobes du cervelet. Les
faisceaux
de fibres cérébelleuses moyennes se dissocient en
uvelle formation, qui ont augmenté considérablement le volume de leur
faisceau
. Ces fibres nouvelles ont pris naissance dans les
les formations cellulaires accessoires répandues sur le parcours des
faisceaux
de fibres nerveuses, indiquent que la portion enc
évroglie. b. Vaisseaux capillaires nombreux dans cette région. c.
Faisceau
médullaire central de la circonvolution. Fig. I
ig. I. — Tubercule mamillaire. a. Pilier antérieur du trigone. b.
Faisceau
de Vicq-d'Azyr. c. Substance grise du tubercule
Fig. II. — Mode d'émergence ries fibres efférenles du tubercule. a.
Faisceau
des fibres afférentes (pilier antérieur du trigon
a. Faisceau des fibres afférentes (pilier antérieur du trigone). b.
Faisceau
des fibres efférentes (faisceau de Vicq-d'Azyr).
s (pilier antérieur du trigone). b. Faisceau des fibres efférentes (
faisceau
de Vicq-d'Azyr). c. Substance grise du tubercul
Fig. III. — Mode cVimmersion des fibres afférentes au tubercule. a.
Faisceau
de fibres afférentes (pilier antérieur du trigone
bres nerveuses longitudinales de la substance médullaire, groupées en
faisceaux
par les cloisonnements que forment les prolongeme
. Corne postérieure, séparée de sa base et déjetée latéralement. f.
Faisceau
latéral du bulbe. g. Corne antérieure séparée d
deux portions ; l'une donne naissance aux fibres radiculaires. d.
Faisceau
nerveux. e. Substance grise appartenant à l'aco
isposition aréolaire. Le muscle occipito-frontal est formé par deux
faisceaux
musculaires réunis par la portion antéro-postérie
be rachi-dien (15). Ces deux faces sont unies entre elles par un gros
faisceau
aplati de fibres blanches, nommé corps calleux (1
, elle se termine par un crochet nommé bec du corps calleux. Un petit
faisceau
blanc, désigné sous le nom de pédoncule du corps
à la partie postérieure par la commissure blanche postérieure, petit
faisceau
de fibres blanches disposé transversalement, et p
riger en dehors et en avant. Ces pédoncules sont formés par deux gros
faisceaux
de fibres blanches émergeant de la protubérance ;
rmes du raphé médian, la substance grise centrale du bulbe (18) et un
faisceau
blanc à la région pos-térieure, les pyramides pos
présente sous un aspect foliacé, lamellaire, dû à la dissociation des
faisceaux
des fibres commissurantes. A la région postérieur
ce grise de ce petit noyau, d'où elles émergent ensuite en formant le
faisceau
de Vicq-d'Azyr (13, Pl. IV). En avant du tuberc
ance grise ; le premier prend le nom de centre antérieur et reçoit le
faisceau
de Vicq-d'Azyr, le deuxième est appelé centre pos
quadrijumeaux apparaît le noyau rouge de Stilling, en rapport avec un
faisceau
de fibres blanches, formépar les pédoncules céréb
stance grise, traversé horizontalement et verticalement par de petits
faisceaux
de fibres blanches ; elle est séparée de la cavit
lle est séparée de la cavité du quatrième ventricule par un groupe de
faisceaux
de fibres blanches, qui s'étend du bulbe rachidie
llaires prennent chacune une direction propre qui les sépare en trois
faisceaux
distincts, désignés sous le nom de pédoncule céré
de la commissure blanche antérieure (6) et le mode de péné-tration du
faisceau
(7) des fibres convergentes des régions inférieur
he optique suivant son grand diamètre antéro-postérieur. Il reçoit le
faisceau
de Vicq-d'Azyr (13), dont l'extrémité inférieure
tre médian (12). 14. — Noyau rouge de Stilling; il émet en avant un
faisceau
de fibres efe-rentes (15) et reçoit un groupe de
bstance grise corticale, des fibres de la substance médullaire, et le
faisceau
longitudinal supérieur qui circonscrit la surface
orps strié. La bandelette optique (8, Pl. IV) est réduite à un étroit
faisceau
blanc ; la coupe de la commissure blanche antérie
en filaments blancs dont l'extrémité devient de plus en plus fine. Ce
faisceau
reçoit le contingent des fibres efîérentes du noy
s la gouttière du sinus corporis callosi, que borde supérieurement le
faisceau
longitudinal supérieur, dont on distingue netteme
— Le noyau rouge est réduit à son segment externe ; en avant est son
faisceau
de fibres efférentes (12) se dirigeant vers le co
perçoit le noyau jaune du noyau lenticulaire (segment moyen). 15. —
Faisceau
des fibres spinales antérieures émergeant de la s
ers les noyaux jaunes; un autre continue son trajet di-rect; c'est le
faisceau
direct moteur du pédoncule cérébral. Le groupe po
ers la substance grise plissée du corps rhomboïdal, d'où part un gros
faisceau
de fibres qui se dirigent d'abord en avant, puis
au lenticulaire, dont on aperçoit ici les deux noyaux jaunes. 11. —
Faisceau
spiroïde, tourbillonné, constitué par les divers
res médullaires efférentes se di-rigent en avant sous forme d'un gros
faisceau
. Le corps rhomboïdal (20) est réduit à un petit c
es deux noyaux sont isolés de la couche optique par le groupement des
faisceaux
divers des fibres couvergentes cons-tituant la ca
lobe latéral du cervelet comprend la substance grise corticale et les
faisceaux
de fibres médullaires qui vont s'y distribuer sou
ment semblable. Ces divers ordres de fibres viennent se grouper en un
faisceau
commun désigné sous le nom de pied de la couronne
bstance grise des noyaux opto-striés suivant le sens de la marche des
faisceaux
principaux auxquels elles appartiennent. Les fi
relient les circonvolutions de ces deux lobes les unes aux autres. Le
faisceau
arciforme frontal croise la direction des fibres
s circonvolutions du lobule orbitaire avec celles du lobe frontal. Le
faisceau
arciforme longitudinal inférieur part de l'extrém
re de Sylvius. Le lobe frontal est réuni au lobule orbitaire par le
faisceau
arciforme frontal; les fibres convergentes des ré
ures et des régions posté-rieures de chaque hémisphère se groupent en
faisceaux
curvilignes, qui dessinent à chacun des angles du
re la bandelette demi-circulaire ou taenia semi-circularis ; ce petit
faisceau
de fibres blanches prend son origine au ganglion
l'ouverture de la cavité sphénoïdale. 9. — Plexus choroïde. 10. —
Faisceau
de fibres commissurantes des régions postérieures
te la corne occipitale du corps calleux ; il est en rapport avec un
faisceau
à direction antéro-postérieure, constitué par le
fibres convergentes des régions postérieures sont groupées en un gros
faisceau
qui aboutit à la partie postérieure de la couche
ement frontal de la cavité des ventricules latéraux. 6. — Groupe de
faisceaux
de fibres convergentes, fibres cortico-thalamique
tions au pourtour de la couche optique. A travers l'écartement de ces
faisceaux
, on aperçoit la substance grise du noyau lenticul
é. 7. — Fibres convergentes des régions postérieures groupées en un
faisceau
conique, se dirigeant vers la région postérieure
e l'on aperçoit sur la coupe précédente (6, Pl. XVIII), à travers les
faisceaux
médullaires. Les fibres convergentes antérieure
'intersection des deux plans forme le genou de la capsule interne. Le
faisceau
des fibres convergentes postérieures vient abou-t
rié, appelée avant-mur; elle est séparée du noyau lenticulaire par un
faisceau
de fibres convergentes que l'on nomme capsule ext
Point de séparation des fibres convergentes et commissurantes. 6. —
Faisceau
de fibres convergentes antérieures, cortico-strié
e bord externe de la couche op-tique (6, Pl. XVIII). Cette portion du
faisceau
de fibres blanches, intermédiaire aux deux substa
. La région postérieure de la capsule interne est occupée par le gros
faisceau
formé par le groupement des fibres convergentes d
es convergentes sont groupées entre les noyaux opto-striés en un gros
faisceau
blanc appelé capsule interne : ces fibres pénètre
e de la couche optique (Région moyenne de la capsule interne). 8. —
Faisceau
formé par le groupement des fibres convergentes d
ar le groupement des fibres convergentes des régions postérieures. Ce
faisceau
suit la direction de l'axe du lobe occipital, con
des fibres qui ont traversé la couche optique et, en dedans, un petit
faisceau
qui paraît provenir de la commissure blanche. 1
ommissure blanche. 17. — Centre postérieur de la couche optique. Le
faisceau
des fibres convergentes postérieures plonge et s'
e et s'épanouit en partie dans sa masse. Le fascicule antérieur de ce
faisceau
se dirige vers le centre médian et la paroi du ve
ule interne pour se répandre en-suite dans les noyaux opto-striés. Le
faisceau
des fibres convergentes des régions pos-térieures
commissure blanche postérieure. Cette commissure est formée par un
faisceau
de fibres qui s'étend de la couche optique d'un c
omprenant entre eux la substance grise de la valvule de Vieussens. Un
faisceau
blanc relie la commissure blanche postérieure ave
int de dissociation des fibres convergentes et commissurantes. 3. —
Faisceau
de fibres convergentes antérieures divisant en de
res divisant en deux noyaux la substance grise du corps strié. 4. —
Faisceau
formant la capsule externe. Les fibres de ce fais
s strié. 4. — Faisceau formant la capsule externe. Les fibres de ce
faisceau
n'ont que des rapports de contact avec la face ex
che optique. — Région lenticulo-optique de la capsule interne. 6. —
Faisceau
formé par le contingent des fibres convergentes d
ntriculaire du corps strié, parcourue par des fibrilles provenant des
faisceaux
convergents cortico-striés et des faisceaux spina
s fibrilles provenant des faisceaux convergents cortico-striés et des
faisceaux
spinaux. 8. — Noyau lenticulaire composé de tro
antérieur ; quelques fibres transversales représen-tent l'arrivée du
faisceau
de Vicq-d'Azyr (Pl. III). 12. — Segment inférie
e (13) est parcourue par des fibrilles transversales appartenant au
faisceau
convergent postérieur, issues des circonvolutions
nes du lobe occipital. 14. — En dedans du centre médian apparaît le
faisceau
des fibres efférentes des noyaux rouges de Stiili
ng se dirigeant en avant, où il se confond avec les divers groupes de
faisceaux
qui forment le genou de la capsule interne. 15.
rps genouillé interne, plus petit que le précédent. 11 est uni par un
faisceau
blanc aux tubercules quadrijumeaux postérieurs ;
ntérieures, faite au-dessous des couches optiques. En dedans de ces
faisceaux
apparaît le corpus Luysii (12, Pl. XXVI) et le se
ent supérieur des noyaux rouges de Stilling, qui émettent en avant un
faisceau
de fibres efférentes et reçoivent en arrière des
es parois du ven-tricule moyen. Sur ces parois on trouve la coupe des
faisceaux
de Vicq d'Azyr et celle des piliers antérieurs du
plonge dans la corne frontale des ventricules latéraux qui l'isole du
faisceau
des fibres commissu-rantes (corps calleux). Quelq
(4) se porte le long de la face externe du noyau lenticulaire. 5. —
Faisceau
des fibres convergentes des régions postérieures.
5. — Faisceau des fibres convergentes des régions postérieures. Ce
faisceau
croise la bandelette optique, passe à l'angle pos
laire et plonge dans le pédoncule cérébral en dehors et en arrière du
faisceau
des fibres spinales antérieures, entre le corps g
met par son bord antéro-externe des fibres nerveuses qui se mêlent au
faisceau
des fibres spinales antérieures. 13. — Noyaux r
résentent un hile tourné en haut vers la ligne mé-diane (14). 15. —
Faisceau
de fibres efférentes issu des noyaux rouges de St
e sur les parois du ventricule moyen. 18. — Section transversale du
faisceau
de Vicq-d'Azyr. 19 — Section transversale des p
quelques fascicules isolés dans la substance grise du corps strié. Le
faisceau
qui forme la capsule externe suit la face externe
rme la capsule externe suit la face externe du noyau lenticulaire. Le
faisceau
des fibres convergentes des régions postérieures
Ces fibres se groupent à leur sortie des lobes sphénoïdaux en un gros
faisceau
arrondi, qui pénètre, sous l'aspect d'un cordon b
edans, passe en avant des piliers anté-rieurs du trigone et s'unit au
faisceau
homologue qui émane du côté opposé. Ce fais-ceau
orment à leur sortie, sur un point opposé à celui de leur arrivée, le
faisceau
de fibres efférentes (15, PL XXVI). Gavoy. — En
ériphérie du corps rhomboïdal. Sa surface interne donne naissance aux
faisceaux
efférents cérébelleux; le groupe supérieur forme
s de là se portent vers les noyaux rouges de Stilling, sous le nom de
faisceaux
afférents de ces noyaux. La cavité du quatrième
oyaux. La cavité du quatrième ventricule est ouverte entre les deux
faisceaux
des pédon-cules cérébelleux supérieurs ; à l'entr
ibres de la capsule externe, la substance grise de Pavant-mur. 5. —
Faisceau
de fibres convergentes du lobe sphénoïdal, sectio
12. — Sustance grise du locus niger de Sœmmering. En arrière est le
faisceau
latéral qui fait suite à son homologue du bulbe.
ulbe. 13. —Segment inférieur des noyaux rouges de Stilling. 14. —
Faisceau
de fibres efférentes des noyaux rouges de Stillin
Faisceau de fibres efférentes des noyaux rouges de Stilling. 15. —
Faisceau
de fibres efférentes appartenant aux pédoncules c
centrale tapissant les parois du ventricule moyen. 17. — Section du
faisceau
de Vicq-d'Azyr. 18 — Section des piliers antéri
et. 22. — Section du corps rhomboïdal, recevant à sa superficie les
faisceaux
de fibres convergentes. 23. — Fibres efférentes
la face interne du corps rhomboïdal. 24. — Entre-croisement de ces
faisceaux
au raphé médian. Après avoir gagné le côté opposé
fibres se dirigent vers les noyaux rouges de Stilling, sous le nom de
faisceaux
afférents. XXIX. — Encéphale dont on a détaché
es fibres spinales postérieures ou étage supérieur ; en dehors est le
faisceau
latéral qui fait suite au faisceau latéral du bul
étage supérieur ; en dehors est le faisceau latéral qui fait suite au
faisceau
latéral du bulbe. En dedans apparaît le dernier s
l. XXVIII); le petit groupe de fibres efférentes qu'il émet s'unit au
faisceau
antéro-interne des fibres spinales et semble ains
interne des fibres spinales et semble ainsi constituer unique-ment le
faisceau
qui se porte au corps strié (14. Pl. XXX). Entr
e du corps strié, traversée par de longues fibrilles grêles issues du
faisceau
spinal. En dehors du corps strié, apparaît le der
iverses fibres. 6. — Pédoncule du corps calleux. Ce sont les petits
faisceaux
minces qui prolongent le bec du corps calleux ver
férieurement, ils entrent en connexion avec la capsule interne, et le
faisceau
antér o-interne des fibres spinales antérieures,
e de la substance grise du ganglion olfactif, elles se groupent en un
faisceau
qui gagne la partie postérieure du sillon intermé
trajet descendant vers les tubercules mamillaires. 13. — Section du
faisceau
de Vicq-d'Azyr, à un millimètre au-dessus des tub
n millimètre au-dessus des tubercules mamillaires. 14. — Section du
faisceau
antéro-interne des fibres spinales antérieures, a
nterne les pédoncules cérébelleux supérieurs (24), et, au-dessous, un
faisceau
de fibres à direction antéro-postérieure, les péd
t des cellules, se rapprochent, se groupent et sortent sous le nom de
faisceau
de Vicq-d'Azyr. La coupe du névraxe est formée
ction trans-versale . Ces fibres protubérancielles appartiennent au
faisceau
moyen des fibres efférentes cérébelleuses. La sec
plongent à travers ce pédoncule, dont elles croisent obliquement les
faisceaux
de fibres, et disparaissent dans la cavité du qua
au chiasma, les fibres de ces deux bandelettes se dissocient en trois
faisceaux
: un premier faisceau, postero-interne, se porte
de ces deux bandelettes se dissocient en trois faisceaux : un premier
faisceau
, postero-interne, se porte dans la bandelette opp
porte dans la bandelette opposée (fibres commissurantes) ; un second
faisceau
, médian, croise, sur la région centrale du chiasm
du nerf optique du côté opposé à celui d'où il dérive ; un troisième
faisceau
, latéro-antérieur, suit le bord externe du chiasm
isent sur la ligne médiane, où elles forment un raphé médian. 14. —
Faisceaux
moyens des fibres efférentes émergeant du corps r
e du plancher du quatrième ventricule. 17. — Fibres radiculaires du
faisceau
bulbaire du nerf trijumeau ou grosse racine (voir
-lairement à leur direction. Les fibres commissurantes se groupent en
faisceaux
juxta-posés, formant une lame de 6 à 8 millimètre
es régions moyennes et inférieures. 5. — Section perpendiculaire du
faisceau
formé par le groupement de fibres con-vergentes d
groupement de fibres con-vergentes des régions postérieures (voir ce
faisceau
sur la série de planches horizontales), 6. — Se
bulbe ou collet du bulbe. A ce niveau a lieu l'entre-croi-sement des
faisceaux
des fibres nerveuses qui constituent les cordons
bercules quadrijumeaux postérieurs. A ce niveau, on aperçoit un petit
faisceau
blanc, arrondi, qui décrit une courbe descendante
issus de la base de la substance grise corticale, se réunissent en un
faisceau
de fibres qui convergent toutes vers le centre mé
re s'étend transversale-ment d'un côté à l'autre et semble émettre un
faisceau
dans la région inférieure des couches optiques. A
stance grise du noyau lenticulaire aperçue à travers l'écartement des
faisceaux
des fibres convergentes. 10. — Centre antérieur
édoncules cérébelleux moyens dans la protubé-rance annulaire. 18. —
Faisceau
triangulaire de l'isthme ou ruban de Reil. 19.
e. 18. — Faisceau triangulaire de l'isthme ou ruban de Reil. 19. —
Faisceau
de fibres cérébelleuses ascendantes, appartenant
cendantes, appartenant aux pédoncules cérébelleux supérieurs. 20. —
Faisceau
de fibres cérébelleuses se dirigeant en avant, fa
t en avant, faisant partie des pédoncules cérébelleux moyens. 21. —
Faisceau
de fibres cérébelleuses descendantes, provenant d
onvergentes, vers la région postérieure de la capsule interne. 23. —
Faisceaux
postérieurs du bulbe continuant les cordons antér
de la moelle continuant dans le bulbe le trajet direct ascendant. Ce
faisceau
est en rapport avec la tête de la corne postérieu
ions moyennes se portent en dedans et laissent apercevoir entre leurs
faisceaux
la sub-stance grise du noyau lenticulaire; les fi
res se condensent sur le bord externe de la couche optique en un gros
faisceau
appelé capsule interne; elles pénètrent ensuite d
tes, après leur enroulement à la périphérie du noyau. Ils émettent un
faisceau
antéro-latéral de fibres efférentes (15; Pl. XXXV
fibres efférentes (15; Pl. XXXVI, 14; Pl. XXXVIII); Ils reçoivent un
faisceau
afférent formé par le prolongement des pédon-cule
cus niger de Sœmmering fait son apparition. En dehors se trouvent les
faisceaux
latéraux et les fibres spinales postérieures, qui
les fibres transversales des pédoncules cérébelleux moyens, jusqu'aux
faisceaux
qui représentent dans le bulbe la portion sensiti
ui représentent dans le bulbe la portion sensitive des pyramides. Ces
faisceaux
, entre-croisés plus bas, sont formés par les cord
les côtés du raphé. Volive bulbaire occupe les bords externes de ces
faisceaux
; en bas et en dedans est le noyau juxta-olivaire
la substance grise du corps rhom-boïdal, en sortent en formant trois
faisceaux
divergents. Le" faisceau moyen, ou pédoncule céré
ps rhom-boïdal, en sortent en formant trois faisceaux divergents. Le"
faisceau
moyen, ou pédoncule cérébelleux moyen, se porte d
igne médiane avec leurs homologues issues du lobe du côté opposé; ces
faisceaux
décrivent donc une courbe en forme de fer à cheva
ise du noyau lenticulaire ouputamen, séparée de Pavant-mur (6) par le
faisceau
de fibres qui forme la capsule externe (7). 8.
ng. Les fibres afférentes pénè-trent par le hile, puis émergent en un
faisceau
efférent antéro-latéral (19) qui pénètre dans la
le segment moyen sont traversés par des fibres ramifiées, issues des
faisceaux
spi-naux. Le centre antérieur de la couche opti
us antérieure. Les noyaux rouges sont également moins développés, les
faisceaux
de fibres afférentes sont plus apparents et se di
st plus étendu; il reçoit par sa facu interne des fibres nerveuses du
faisceau
cérébelleux supérieur. En dehors de la substanc
supérieur. En dehors de la substance grise du locus niger sont les
faisceaux
des fibres spinales postérieures ; elles se termi
par la coupe. Sur les côtés, apparaissent la corne postérieure et les
faisceaux
antéro-latéraux de la moelle. La membrane du co
ntérieure ou segment antérieur des noyaux rouges de Stilling. 15. —
Faisceau
de fibres efférentes antéro-latéral des noyaux ro
uges se portant dans la capsule interne. En bas et en dedans sont les
faisceaux
afférents à ces noyaux. 16. — Corpus Luysii (ba
grise interpédonculaire ou substance perforée de Vicq-d'Azyr. 21. —
Faisceau
de fibres spinales postérieures. Ces fibres se po
e moyen tend à s'effacer; au-dessous est la section d'une portion des
faisceaux
de Vicq-d'Azyr ; en dehors de ceux-ci, apparaît u
tion des faisceaux de Vicq-d'Azyr ; en dehors de ceux-ci, apparaît un
faisceau
formé par les fibres antérieures les plus interne
s des pédoncules cérébraux (voir Pl. XXVI, PL XXIX et 14, PL XXX), le
faisceau
antéro-interne, qui s'épanouit dans le corps stri
ments du noyau lenticulaire et la substance grise du noyau caudé. Ces
faisceaux
traversent la substance grise de la protubérance
m du cordons latéraux. En dessous du lieu d'entre-croisement de ces
faisceaux
est la coupe des cordons antérieurs de la moelle,
mite du bulbe et de la protubérance ; dans l'espace compris entre les
faisceaux
des pyramides antérieures, apparaît une fossette
ule interne. h\ — Substance grise de l'avant-mur, dissociée par les
faisceaux
de fibres arci-formes occipito-frontales. 6. —
ée par les faisceaux de fibres arci-formes occipito-frontales. 6. —
Faisceau
qui forme la capsule externe. 7. — Segment exte
et XXVI). 8. — Section de la bandelette optique. 9. — Section du
faisceau
arrondi, formé par le groupement des fibres commi
st moindre que sur la coupe précédente. 16. — Centre moyen. 17. —
Faisceaux
de Vicq-d'Azyr (voir Pl. III). Ils mettent en con
s nerveuses de la substance grise des tubercules mamillaires. 18. —
Faisceau
antéro-interne des fibres spinales antérieures (v
le du lobe frontal (voir Pl. VII). Les fibres spinales constituent un
faisceau
qui descend de chaque côté de la ligne médiane, à
ux ; les fibres commissurantes du lobe sphénoïdal sont groupées en un
faisceau
arrondi sur le bord du segment externe du noyau l
ine du corps strié ; il est en rapport par sa face inférieure avec le
faisceau
de Vicq-d'Azyr, dont la partie postérieure est dé
achée par la section. Le centre moyen montre son dernier segment. Les
faisceaux
spinaux antéro-internes sont sectionnés, ainsi qu
; sa masse est sillonnée de petits filaments très déliés provenant du
faisceau
spinal antérieur, qui se terminent en pointe effi
ntricule moyen où vont s'amortir des groupes de fibrilles, issues des
faisceaux
convergents. 16. — Substance grise du tuber cin
ns; celles des régions postérieures de ce lobe se sont groupées en un
faisceau
arrondi que la section a coupé entre le putamen e
intra-ventriculaire du trigone, bandelettes géminées, se groupe en un
faisceau
arrondi, les piliers antérieurs du trigone, qui p
psule externe. 6. — Substance grise de l'avant-mur dissociée par le
faisceau
de fibres arciformes occipito-frontales. 7. — F
érales (10') avec la substance médullaire des lobes sphénoïdaux. Le
faisceau
radiculaire des fibres olfactives est sectionné à
es, auxquelles la lamelle de la cloison transpa-rente les réunit. Ces
faisceaux
constituent la partie en crochet ou bec du corps
frontale de la cavité des ven-tricules latéraux et plus bas avec les
faisceaux
des fibres commissurantes des régions inférieures
concavité tournée en bas pour les fibres des régions inférieures. Ces
faisceaux
curvilignes s'adossent sur la ligne médiane où il
iés ; la plupart présentaient seu- lement une ossification de leurs
faisceaux
supérieur et inférieur, de beau- coup les plus
beau- coup les plus forts, qui se rendent aux corps vertébraux, le
faisceau
moyen faible qui se rend au disque, étant respe
- Ossification des ligaments costo-verté- braux, surtout de leurs
faisceaux
supé- rieur et inférieur. Ossification des li
Fig. 3. Colonne dorsale moyenne. - Ossification costo-vertébrale (
faisceaux
supérieur et inférieur) et costo-transver- sa
ielle ou totale de leur ligament rayonné; en général les deux forts
faisceaux
supérieur et inférieur, qui joi- gnent la côte
e aux deux corps vertébraux voisins, sont ossifiés à l'exclusion du
faisceau
moyen, beaucoup plus mince, qui l'unit au disque
t au disque intervertébral (PI. IX, fig. 1, 2, 3 A) ; l'un des deux
faisceaux
, supérieur ou inférieur, est seul ossifié au ni
HOSPICE DE BICÈTRE TRAVAIL DU LABORATOIRE ,DE M. PIERRE MARIE. LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
E ,DE M. PIERRE MARIE. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL. QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR LE
rnières années de nombreux travaux consa- crés à l'étude des grands
faisceaux
de l'hémisphère cérébral, la question de l'orig
hère cérébral, la question de l'origine et de la terminaison de ces
faisceaux
est encore très discutée et la di- vergence d'o
réaction dans la conception anatomique et physiologique des grands
faisceaux
de l'hémisphère ; les études remarquables de Fl
plus récemment émises et sur l'origine et sur la nature de certains
faisceaux
, surtout du faisceau longitudinal inférieur.
et sur l'origine et sur la nature de certains faisceaux, surtout du
faisceau
longitudinal inférieur. Prenons d'abord conna
rieur. Prenons d'abord connaissance de tout ce qui a été dit sur ce
faisceau
parles nombreux auteurs qui s'en sont occupés.
sur ce faisceau parles nombreux auteurs qui s'en sont occupés. Le
faisceau
longitudinal inférieur était connu de Reil qui, e
en 1822 par Burdach (1) qui lui donna le nom de qui lui est resté, «
faisceau
longitudinal inférieur ». Pour Bnrdach, ce fais
ui est resté, « faisceau longitudinal inférieur ». Pour Bnrdach, ce
faisceau
était formé de fibres d'asso- ciation, prenait
ans le corps quadrijumeau antérieur. Meynert (4) considère que le
faisceau
longitudinal ne constitue pas un seul faisceau,
(4) considère que le faisceau longitudinal ne constitue pas un seul
faisceau
, mais plusieurs ; il renferme surtout des fibres
des fibres de projection. Il le dé- crit sous le nom de « lame des
faisceaux
optiques ». Cette opinion est admise par Wernic
; Ueber Flechsig's Verstandcentren, Monat. sur Psychiatrie, Bd I.
FAISCEAUX
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL 105 c
INFÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL 105 ceau longitudenal inférieur est un
faisceau
d'association qui provient de la totalité de l'
e et deuxième circonvolutions tempo- rales. La partie interne de ce
faisceau
se confond avec le cingulum et partie supérieur
Ballet (2) réunissent les deux couches sagittales sous le nom de «
faisceau
sensitif ce serait un faisceau de la sensibilité
couches sagittales sous le nom de « faisceau sensitif ce serait un
faisceau
de la sensibilité générale qui formerait la par
ccipital. ' Brissaud (3) admet ces mêmes idées, mais subdivise le «
faisceau
sensitif » en « faisceau sensitif externe » (fa
admet ces mêmes idées, mais subdivise le « faisceau sensitif » en «
faisceau
sensitif externe » (faisceau longitudinal inférie
ubdivise le « faisceau sensitif » en « faisceau sensitif externe » (
faisceau
longitudinal inférieur) et « faisceau sensitif
« faisceau sensitif externe » (faisceau longitudinal inférieur) et «
faisceau
sensitif interne» (radiations optiques). C'es
jours, a fait la description la plus détaillée, la plus complète du
faisceau
longitudinal inférieur. Pour cet auteur, le faisc
plus complète du faisceau longitudinal inférieur. Pour cet auteur, le
faisceau
longitudinal est un faisceau d'association ayan
tudinal inférieur. Pour cet auteur, le faisceau longitudinal est un
faisceau
d'association ayant son origine dans l'écorce du
origine dans l'écorce du pôle et de la totalité du lobe occipal. Ce
faisceau
présente à la base de chaque circonvolution qui
lu- tion occipitale et des lobules lingual et fusiforme auxquels le
faisceau
longitu- dinal inférieur abandonne un grand nom
ro-lenticulaire de la capsule interne (qu'il recouvre en dehors) ce
faisceau
est mal délimité et ses fibres s'enchevêtrent ave
En avant du segment rétro-lenti- culaire de la capsule interne, le
faisceau
longitudinal inférieur entoure l'extré- mité po
tteint la partie externe du noyau amygdalien où il morcelle avec le
faisceau
uncinatus la substance grise qui relie l'avant-mu
s'entrecroi- sent avec les fibres de la commissure antérieure et du
faisceau
uncinatus. D'au- tres fibres enfin s'irradient
Paris, 1816. (2) Ballet, Recherches analomiques et cliniques sur le
faisceau
semitif, etc., Th. Paris, 1881. (3) BRISSAUD,
SALLE AHCHAMBAULT . Au voisinage de la circonvolution temporale, le
faisceau
longitudinal infé- rieur est traversé par un gr
ncule cérébral dont elles concourent à former le cinquième externe (
faisceau
de Turck). Le faisceau longitudinal est traversé
es concourent à former le cinquième externe (faisceau de Turck). Le
faisceau
longitudinal est traversé également par les fib
le traverser avant d'arriver à destination. La partie inférieure du
faisceau
longitudinal constitue exclusivement un fais- c
cette dégénérescence ne se poursuit pas sur une longue étendue. Ce
faisceau
dégénère parfois dans les deux sens... il est d
fibres nerveuses chez les nouveau-nés, Flechsig (1) prétend que le
faisceau
longitudinal inférieur ne renferme que des fibr
s le lobe occipital et particulièrement dans la sphère visuelle. Ce
faisceau
provient de la partie inférieure du noyau'latér
ion du stratum zonale. Après son émergence de la couche optique, le
faisceau
longitudinal est accompagné de fibres venant de
ditive. - La couche sagittale externe de Sachs ne représente pas un
faisceau
d'asso- ciation reliant le lobe occipital au lo
e exclusivement de fibres de projection. Pour von Alonakow (2) le
faisceau
longitudinal inférieur (qu'il identifie avec la
gel's, Specielle Pathologie und Therapie, IX, Band. Wien, 1905. ·
FAISCEAUX
LONGITUDINAL INTÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL 107 c
la couche des radiations thalamiques qu'il recou- vre en dehors. Le
faisceau
longitudinal commence à se dessiner au niveau du
-lenticulaire de la capsule interne. La majorité des fibres dont ce
faisceau
est constitué appartiennent au système d'associ
le sens inverse, et qui proviennent de l'écorce occipitale. Mais le
faisceau
longitudinal inférieur renferme aussi un certain
sa- gittale interne, mais elles occupent aussi la partie dorsale du
faisceau
longitu- dinal inférieur. D'autres fibres tiren
s optiques, mais cette dégénérescence occupe aussi le territoire du
faisceau
longitudinal inférieur. Les radiations optiques
olutions occipitales et à la partie postérieure du pli courbe. Le
faisceau
longitudinal contient donc des fibres appartenant
nt, sont des fibres d'association. · Obersteiner (1) admet que le
faisceau
longitudinal inférieur (stratum sagittale occip
al inférieur (stratum sagittale occipito-temporale externum) est un
faisceau
d'association provenant surtout de la sphère vi
e et qui se rend au lobe temporal ; mais la partie supérieure de ce
faisceau
renferme des fibres qui passent dans la partie po
e la capsule interne. ' Sehellenberg pense que la majeure partie du
faisceau
longitudinal repré- sente un faisceau d'associa
ense que la majeure partie du faisceau longitudinal repré- sente un
faisceau
d'association reliant entre elles les circonvolut
Stiel) du corps genouillé. , Probst (2) fait des conclusions sur le
faisceau
longitudinal supérieur (qui, pour lui aussi, co
es qui entrent dans sa constitution, mais n'admet nulle part que ce
faisceau
renferme de fibres d'association. Dans ses prem
krocephalie und 114acro,gyrte. Ar- chiv. f. Psych., Bd. 38, 1904.
FAISCEAUX
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRALE 109
osses modifications. Il a observé une dégéné- rescence partielle du
faisceau
longitudinal inférieur qui s'épuise et dans le lo
rme, ces dernières fibres se rendent au pédoncule cérébral. 1. Le
faisceau
longitudinal inférieur renferme donc des fibres t
vinar de la couche optique et au corps quadriju- meau antérieur. Le
faisceau
longitudinal n'envoie aucune fibre à la capsule e
es par la méthode de Marchi, Probst a observé une dégénérescence du
faisceau
lon- gitudinal qu'il a pu suivre jusque dans l'
optique mais aussi la capsule interne et le noyau lenticulaire. Le
faisceau
longitudinal inférieur est en grande partie dég
ans la constitu- tion de la couche sagittale externe. Une partie du
faisceau
longitudinal, allant au lobe occipital est cepe
gitudinal, allant au lobe occipital est cependant respectée, car ce
faisceau
reçoit aussi des fibres du pulvinar et du corps
fibres au corps quadrijumeau an- térieur, ces fibres constituent le
faisceau
cortico-tectal. Ecdinger (` ? ) considère que l
ituent le faisceau cortico-tectal. Ecdinger (` ? ) considère que le
faisceau
longitudinal inférieur est un long (1) PROBST,
Archiv sur klinisch Medizin, Bd. 13, 110 LA SALLE AHCHAMBAULT '
faisceau
d'association qui relie le lobe occipital au lobe
temporal, l'exàmèn 'démontra qu'une dégÕ'ér'es¿èdèè-considérable du
faisceau
longitudi ? nal avait résulté de l'intervention
t à l'appui' de/l'origine tempo- rale d'un bon'nombre des fibres dû
faisceau
longitudinal inférieur.' Scla7ttz (1) fait la d
e expression à des idées très personnelles sur la cons- titution du
faisceau
longitudinal. Ce faisceau contiendrait : a)@des f
rès personnelles sur la cons- titution du faisceau longitudinal. Ce
faisceau
contiendrait : a)@des fibres qui lui viennent d
teurs des régions inférieures du névraxe. Ainsi serait constitué un
faisceau
dont les fibres iraient dans le deux sens, ce f
constitué un faisceau dont les fibres iraient dans le deux sens, ce
faisceau
représenterait une seconde voie motrice. ' -1 ,
' 1° Les radiations optiques primaires de Flechsig correspondent au
faisceau
longitudinal inférieur, à la couche sagittale e
ciculus longiludinalis inferior, Archiv f. Psych., Bd. 31,1903. ·
FAISCEAUX
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL lit ,
. , Siarokotlitzki (1) se range parmi les auteurs qui attribuent au
faisceau
lon- gitudinal inférieur, un caractère mixte. P
caractère mixte. Pour lui, la partie dorsale ou supé- rieure de ce
faisceau
renferme, au niveau des ganglions de la base, des
ical ainsi que la totalité de son segment horizontal constituent un
faisceau
d'association passant de l'écorce occipitale à
ibres se détachent z de la partie supérieure du segment vertical du
faisceau
longitudinal inférieur, abordent le segment rét
t des deuxième et troisième circonvolutions temporales, à former un
faisceau
à part, le « faisceau de Türelc ); ce faisceau ne
sième circonvolutions temporales, à former un faisceau à part, le «
faisceau
de Türelc ); ce faisceau ne recevrait aucun con
porales, à former un faisceau à part, le « faisceau de Türelc ); ce
faisceau
ne recevrait aucun contingent de l'écorce occip
aucun contingent de l'écorce occipitale, ne fait nullement partie du
faisceau
longitudinal, mais le traverse tout simplement
cinquième externe. Starokotlitzki admet parfaitement l'existence du
faisceau
de Türck ; il n'est pas démontré que le lobe te
s sa constitution, mais pour l'autenr, la majorité des fibres de ce
faisceau
lui viennent du lobe occipital, et, de plus, el
u lui viennent du lobe occipital, et, de plus, elles font partie du
faisceau
longitudinal inférieur. (1) Starokotlitzki, Das
LE ARCHAMBAULT D'ailleurs, les libres de projection que renferme le
faisceau
longitudinal dans la partie supérieure de son s
de recherches sur la myélinisation des fibres nerveuses des grands
faisceaux
de l'hémisphère, insiste sur l'apparition précoce
llé externe et la couche des radiations optiques. Il conclut que le
faisceau
longitu- dinal inférieur est un faisceau de pro
ptiques. Il conclut que le faisceau longitu- dinal inférieur est un
faisceau
de projection, qu'il représente la continuation
erne. Schaffer (2) donne expression à des idées très spéciales ; le
faisceau
longitu- dinal inférieur renfermerait un bon no
e précuneus. A l'ensemble de ces fibres, l'auteur donne le nom de «
faisceau
temporo-pré- occipital » ; ce serait un faiscea
donne le nom de « faisceau temporo-pré- occipital » ; ce serait un
faisceau
d'association, Redlich (3) a fait de longues re
sur le faiscean longitudinal chez l'homme et chez les animaux. Le
faisceau
longitudinal inférieur représente en partie la vo
rieures de la convexité pariéto-occipale. Dans le lobe temporal, le
faisceau
longitudinal n'abandonne aucun contingent netteme
ns dont il constitue la substance profonde. La partie dorsale de ce
faisceau
se confond avec les radiations thalamiques et f
he optique ces relations ont lieu. Quant au segment horizontal du
faisceau
longitudinal inférieur, situé au- dessous de la
ventriculaire sphénoïdale, il représente également pour Redlich, un
faisceau
de projection et assure les connexions entre les
rbeitem aus dém Neurolog. lnst (Prof. OBERSTEINER) XII. Bd. 1905.
FAISCEAUX
LONGITUDINAL INTÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL 113 b
cite un exemple : il a observé chez le singe une dégénérescence du
faisceau
longitudinal à la suite d'une lésion occipitale
ique sont beaucoup moins accusées. Dans ce même cas cette partie du
faisceau
longitudinal qui s'engage dans la profondeur de
vec le lobe occipital. Plus loin, l'auteur revient sur l'origine du
faisceau
longitudinal et dit que les fibres qui provienn
sent dans la capsule interne. Il semble donc que, pour l'auteur, le
faisceau
longitudinal in- férieur renferme avant tout «
e corps genouillé externe, cependant Redlich parle de fibres que le
faisceau
longitudinal envoie à la calcarine,au pôle occi
faire une idée exacte des convictions de l'auteur sur l'origine du
faisceau
longitudinal. A un endroit, il dit que ce faisc
sur l'origine du faisceau longitudinal. A un endroit, il dit que ce
faisceau
provient de la sphère visuelle corticale et, aprè
nom de « Stratum sagittale occipitale » à l'ensemble des fibres du
faisceau
longitudinal et des radiations optiques (Sehstrah
. Quoi qu'il en soit, l'auteur considère que la presque totalité du
faisceau
lon- gitudinal inférieur représente un faisceau
presque totalité du faisceau lon- gitudinal inférieur représente un
faisceau
de projection, et que son segmeat XIX 8 114 L
partie de la couronne rayonnante, qu'il ne peut guère 's'agir d'un
faisceau
d'association. ' Toutefois, Redlich ne nie pas
d'un faisceau d'association. ' Toutefois, Redlich ne nie pas que le
faisceau
longitudinal renferme des fibres d'association,
eprises sur la grande difficulté qu'il y a à distinguer les fibres du
faisceau
de Turck de celles du faisceau longitudinal inf
qu'il y a à distinguer les fibres du faisceau de Turck de celles du
faisceau
longitudinal inférieur. Enfin Redlich n'admet p
e légère sclérose, ou bien en amenant un arrêt de développement des
faisceaux
pyramidaux ? L'hypothèse d'une sclérose acquise
berculeuse a pu agir en même temps en entravant le développement du
faisceau
pyramidal,dont on con- naît l'apparition tardiv
miscroscopique, elles se montrent exclusivement constituées par des
faisceaux
fibreux, serrés les uns contre les autres et disp
, analogues à de faux névromes ; 2° des lésions dé- génératives des
faisceaux
nerveux ; 3 une stase de la lymphe dans le conjon
OSPICE DE B1CÉTRE TRAVAIL DU LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE. ~ LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
DE M. PIERRE MARIE. ~ LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL. QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR LE
ication de certains termes actuellement en usage ; pour nous le mot «
faisceau
» ne doit s'appliquer qu'à un ensemble de fibre
fibres aberrantes),comme par exemple, le faiseau pyramidal. Le mot
faisceau
n'est pas l'équivalent du terme « couche de fibre
e du lobe temporo-occipital l'une et l'autre de ces dénominations :
faisceau
longitudinal inférieur, couche sagittale externe.
rieure et se confond en dehors avec les fibres les plus internes du
faisceau
uncinatus. , Il ressort nettement de toutes ces
mble, elle ne correspond aucunement à la description clas- sique du
faisceau
longitudinal inférieur. LE FAISCEAU LONGITUDINA
la description clas- sique du faisceau longitudinal inférieur. LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
au longitudinal inférieur. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 179 Le but que nous avons en vu
démontrer : que, la couche sagittale externe du lobe occipital, le
faisceau
longitudinal inférieur tel qu'il existe dans ce
pe frontale normale de la partie antérieure du lobe occipital. Fs :
faisceau
du cuneus de Sachs. Foc : faisceau optique cent
rieure du lobe occipital. Fs : faisceau du cuneus de Sachs. Foc :
faisceau
optique central. Fv : faisceau de Vialet. Fic
faisceau du cuneus de Sachs. Foc : faisceau optique central. Fv :
faisceau
de Vialet. Fic. 2. - Coupe verticale au niveau
ticale au niveau du carrefour ventriculaire. Cg : cingulum. Foc :
faisceau
optique central. 180 LASALLE-ARCHAMBAULT cour
deux lèvres de la scissure calcarine. Nous lui proposons le nom de
faisceau
optique central afin d'éviter tout malentendu.
nous indiquerons, chemin faisant, la disposi- tion qu'affecte le «
faisceau
optique central » par rapport à la couche sagitta
Fio. 3. - Coupe frontale au niveau du corps genouillé externe. FA :
faisceau
arqué de Burdach. Foc : faisceau optique centra
du corps genouillé externe. FA : faisceau arqué de Burdach. Foc :
faisceau
optique central, Cg (pointillé) : cingulum infé
ptique central, Cg (pointillé) : cingulum inférieur de Beevor. LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
gulum inférieur de Beevor. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 181 une courte étendue. De nouv
du pôle occipital. Coupe frontale. C : scissure calcarine. Foc :
faisceau
optique central. 182 LASALLU-ARCT1A111BAULT m
eant la partie supérieure de la paroi ventriculaire on reconnaît un
faisceau
qui se continue à l'angle inféro-externe du ventr
inféro-externe du ventricule avec la couche sagittale externe. A ce
faisceau
on a donné le nom de fais- ceau temporo-thalami
e antérieure du lobe temporal et serait accompagné de fibres que le
faisceau
de Türclt envoie à la couche opti- que. Or, ce
bres que le faisceau de Türclt envoie à la couche opti- que. Or, ce
faisceau
est en grande partie respecté sur cette coupe, ma
rtient à la couronne rayonnante corticipète et qu'il fait partie du
faisceau
optique central que nous décrirons plus loin. A c
die, grandement dégénérée, située entre la bandelette optique et le
faisceau
normal ; cette zone est peu considérable et rep
s corticifuges destinées à la couche optique » et faisant partie du
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold. En dehors de la ba
sceau temporo-thalamique d'Arnold. En dehors de la bandelette et du
faisceau
normal, on voit un bon nombre de fibres dégé- n
fais- ceaux qu'il recouvre. Ces fibres dégénérées appartiennent au
faisceau
de Türck et passent dans le pied du pédoncule c
faisceau de Türck et passent dans le pied du pédoncule cérébral. Le
faisceau
normal ne se continue pas directement avec la c
blanchâtre qui se détache nettement du tissu environnant. C'est le
faisceau
optique cen- NOUVELLE ICOOGRAPII1E DE LA SALPÊT
1' XIX Yl. X\\'ÎI1 Rth Sye 1 Syc 2 2 Cfje L Sile 3 LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
yc 2 2 Cfje L Sile 3 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL (Lasalle- A rclJtl11/ lia IIlt)
ne avec lésion de son angle supéro-emerne. . `r ? ao., 1 ? A ? LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
rne. . `r ? ao., 1 ? A ? LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 183 tral dont les fibres sont t
upant le lobule lingual et qui représente le contingent non lésé du
faisceau
optique. Le forceps major du corps* calleux est
lièrement 'conformées ; elles représentent les fibres dégénérées du
faisceau
optique central qui se rendent à la scissure ca
orme contient de petites lésions corticales et sous- corticales. Le
faisceau
optique central (couche sagittale externe de cett
de la région que représente cette coupe, et comprend des fibres du
faisceau
optique central, des radiations thalamiques et
iforme. Cette dégénérescence de la substance profonde porte sur les
faisceaux
de Sachs, de Vialet et de Wernicke (pâleur de l
qu'à l'épen- dyme et sectionne les couches sagittales profondes. Le
faisceau
optique central est anormal le long de la paroi
sphère ; cette décoloration tient à la dégénérescence des fibres du
faisceau
perpendiculaire de Wernicke. Ce faisceau contient
générescence des fibres du faisceau perpendiculaire de Wernicke. Ce
faisceau
contient des fibres allant dans les deux sens e
rès limité, ce foyer a entraîné une dégénérescence diffuse, mais LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
générescence diffuse, mais LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 185 appréciable de la partie in
il n'existe aucune dégénéres- cence dans le territoire qu'occupe le
faisceau
optique central au niveau de la partie moyenne
ex- ception d'une partie du lobule lingual ; cependant il existe un
faisceau
ré- gulièrement conformé, c'est le seul qui ait
ectement atteint par la lésion dans son seg- ment externe, c'est le
faisceau
optique central, la couche sagittale externe du
optique central, la couche sagittale externe du lobe occipital, le
faisceau
longitudinal inférieur des auteurs classiques.- L
itudinal inférieur des auteurs classiques.- La partie interne de ce
faisceau
a disparu avec les autres fibres situées au nivea
riculaire interne. Sur cette coupe comme sur la précédente, un seul
faisceau
est reconnaissable, c'est le faisceau optique c
me sur la précédente, un seul faisceau est reconnaissable, c'est le
faisceau
optique central, le faisceau longitudinal infér
faisceau est reconnaissable, c'est le faisceau optique central, le
faisceau
longitudinal inférieur du lobe occipital; il est
alpêtrière. T. XIX. PI. XXIX Suc 4 4 Sue 5 S fie 6 6 LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
4 Sue 5 S fie 6 6 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL (Gasalle-drcl.znz6aull) S¡ ?
. 6, on voit la zone dégénérée se confondre avec il ....... .1 LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
ondre avec il ....... .1 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 187 ici on constate l'existence
ne rayonnante du lobe occipital et, en particulier, à une partie du
faisceau
optique central. A priori, cette constatation s
entraîne une dégénérescence si peu considérable. Nous avons vu- ce
faisceau
persister intact partout où il n'était lui-même a
tue intégralement sur les coupes antérieures. Il est évident que ce
faisceau
ne tire pas son ori- gine du lobe occipital, au
ème. Nous avons dit que cette zone dégénérée renferme les fibres du
faisceau
optique central ; cela est vrai d'une façon gén
i se détache nettement des parties environnantes et qui se porte LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
ironnantes et qui se porte LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 189 vers le cunéus. Cette strie
IQUE CENTRAL 189 vers le cunéus. Cette strie renferme les fibres du
faisceau
optique central des- tinées à la lèvre supérieu
et au-dessus et au- dessous de la lésion, la section des fibres du
faisceau
de Wernicke a déter- miné une pâleur appréciabl
T. XIX. PI. XXX S go 7 S ! JI' Ci/ y 8 Sfle L Put 9 LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFERIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
1'11 ;ntfr'I)4; : <J ? nir t ? inl1 ? .......J ? T- l ? I ? . LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CNN
? .......J ? T- l ? I ? . LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CNNTRAL 191 auxquelles elles ont donné
rticipète du lobe occipital. Nous croyons qu'elles font partie d'un
faisceau
à part, que ce sont des fibres-géniculo-cal- ca
male. Parmi ces fibres saines, il en est qui concourent à former un
faisceau
à part, « le faisceau optique central » ; elles
saines, il en est qui concourent à former un faisceau à part, « le
faisceau
optique central » ; elles constituent la presqu
e la substance profonde ; la lésion a entraîné la dégénérescence du
faisceau
de Wernicke avec décoloration con- sécutive des
se porte vers le lobule lingual ; cette zone renferme les fibres du
faisceau
de Vialet (cin- gulum inférieur occipital) qui
e Beevor. Comme sur la coupe précédente, la lésion a retenti sur le
faisceau
de Wer- nicke ; il existe une décoloration nota
XXXI 1 Foc ( : y if 10 CIl Cgi 11 . ! JI Foc cga 1 ? LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFERIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL - . (Lasa lle- A r(ha 111 ba ! llt) Foc.
Faisceau
optique central. Cg. Cingulum. - Cgi. Partie encl
n considérable des conciles UlJL'1 f1cieJJe<; et J110VèI11H ? LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
ieJJe<; et J110VèI11H ? LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 193 volution limbique, le lobul
au du pôle temporal, car ce segment ne renferme plus de fibres du «
faisceau
optique central », il n'est formé que de fibres
icule la couche sagittale externe (qui est aussi, à cet endroit, le
faisceau
longitudinal inférieur des auteurs clas- siques
disparition de la majeure partie des Schéma n° VI. Cas Gir... LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
Schéma n° VI. Cas Gir... LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 195 fibres d'association de la
tion de vouloir délimiter absolument le territoire de tel ou de tel
faisceau
, nous n'avons nullement cette prétention ; mais
l est indubitable que dans l'esprit des auteurs, il s'agissait d'un
faisceau
longitudinal volumineux et d'un cingulum plutôt g
ieure de la couche sagit- tale externe. Ce fascicule fait partie du
faisceau
optique central et renferme des fibres qui nais
ostérieure du corps genouillé externe. A ce niveau les fibres de ce
faisceau
occupent le segment horizontal de la couche ext
les occupent. Elles sont donc nécessairement mê- lées aux fibres du
faisceau
de Turck, aux radiations thalamiques et genouil-
ales sont plus volumineuses et l'on ne saurait isoler maintenant le
faisceau
optique central. Les couches sagittales externe
t interne se confondent, l'ensemble des deux renferme les fibres du
faisceau
optique, du faisceau de Tûrck et les radiations
nt, l'ensemble des deux renferme les fibres du faisceau optique, du
faisceau
de Tûrck et les radiations thalamiques provenan
bon nombre de fibres saines ; ces fibres appartiennent en partie au
faisceau
optique, en partie au fais- ceau de Tilrck. La
angulaire de Wernicke est normale et renferme surtout des fibres du
faisceau
optique ; sa partie inférieure est grandement d
au postérieur, mais elle renferme aussi des libres qui font partie du
faisceau
optique central ; nous avons vu en effet, que l
ral ; nous avons vu en effet, que le corps genouillé externe est LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
orps genouillé externe est LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 197 légèrement touché par un fo
particulièrement sur la couche sagittale externe occipitale, sur le
faisceau
longitudinal inférieur (que nous avons aussi dé
ur le faisceau longitudinal inférieur (que nous avons aussi dénommé
faisceau
optique central) ; c'est la considération de cett
au optique central) ; c'est la considération de cette couche, de ce
faisceau
qui a réclamé la majeure partie de notre attentio
ous a fourni des rensei- gnements fort précieux sur certains autres
faisceaux
, sur les fibres appartenant aux autres systèmes
tale, à l'étude du tapetum, des fibres d'association en général, du
faisceau
de Türck, etc. Ce n'est pas uniquement à l'aide
que l'on pourra apprécier les particularités de tel ou de tel autre
faisceau
, particularités qui portent sur l'ori- gine, le
sur lequel nous reviendrons plus loin en faisant la description du
faisceau
optique central. La couche sagittale interne se
re et externe du pulvinar et dans la partie postérieure du noyau LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISSEAU OPTIQUE CEN
s, nous devons le dire, les ramollissements favorables à l'étude du
faisceau
de Türck sont rela- tivement rares. De nos hu
qui se soit caractérisé par une dégénéres- cence appréciable de ce
faisceau
; il s'agit (cas Gir...) d'un ramollissement de
e dégénérescence du fais- ceau de Türck. Nous croyons donc que ce
faisceau
provient surtout de la partie moyenne de la deu
ion temporale, et en partie de la troisième tempo- rale. Quant au
faisceau
de Wernicke, nos cas nous ont démontré qu'il dégé
al, qu'il acquiert son maxi- mum de développement. Les fibres de ce
faisceau
proviennent en grande partie du pli courbe et d
du ventricule et s'irradient dans le lobule fusiforme; de plus, ce
faisceau
renferme un nombre considéra- ble de fibres qui
escence de la couche saggittale interne du lobe fronlo-pariétal, du
faisceau
occipito- frontal. Il existe au niveau de l'ang
au caudé et en dedans du pied de la couronne rayon- nante, un petit
faisceau
assez bien délimité qui a été, dans ces dernières
n d'un cas d'absence de la commissure calleuse, on a décrit un long
faisceau
d'associa- tion à direction antéro-postérieure
a- tion à direction antéro-postérieure auquel a été donné le nom de
faisceau
occi- pito-frontal. Pour Dejerine, ce faiscea
té donné le nom de faisceau occi- pito-frontal. Pour Dejerine, ce
faisceau
existe également dans le cerveau normal ; il fo
t au niveau du lobe fronto-pariétal, il est représenté par le petit
faisceau
que nous venons de décrire brièvement, et qui e
est situé au-dessus du noyau caudé. On a donné plusieurs noms à ce
faisceau
: « Couronne rayonnante du noyau caudé » (Meyne
à ce faisceau : « Couronne rayonnante du noyau caudé » (Meynert),«
faisceau
du corps calleux se rendant à la capsule intern
ou- ronne rayonnante » (Anton, Zingerle). . Nous avons dit que ce
faisceau
ne dégénère pas à la suite de lésions tem- poro
abondantes et c'est à leur ensemble qu'où a appliqué le terme de «
faisceau
occipito-frontal ». Nous croyons que toutes ces
la SALPÊTRIÈRE. T. XIX, PI. XXXII 13 14 15 16 17 18 LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
3 14 15 16 17 18 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL (Lasa 1 Jc-Archarn ba rr 11)
SALPftTlllÈRE T. XIX. PI. XXXIII 19 20 21 , 22 23 24 LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
20 21 , 22 23 24 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRI
E FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
E FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 201 i mêmes circonvolutions. Po
projection, pour la plupart corticipètes. Nous n'avons jamais vu ce
faisceau
dégénérer à la suite de lésions du lobe frontal
vêtrement de ses fibres avec celles de la commissure cal- leuse, ce
faisceau
est en grande partie respecté au-dessous, vers le
a couche optique. Occupons-nous maintenant tout particulièrement du
faisceau
longitudinal inférieur, de la couche sagittale
ouche sagittale externe du lobe occipital, car c'est surtout sur ce
faisceau
que portent nos conclusions. Nous avons vu que
llissement, de sorte qu'en plein tissu infiltré et décoloré le seul
faisceau
reconnaissable était le faisceau longitudinal in-
tissu infiltré et décoloré le seul faisceau reconnaissable était le
faisceau
longitudinal in- férieur des auteurs (fig. 4 et
point intermédiaire, au niveau du corps ge- nouillé externe, que le
faisceau
longitudinal inférieur n'accuse qu'une légère d
.XXXII, 15). Z) Nous n'avons jamais constaté de dégénérescence du
faisceau
longitudinal inférieur, soit à la suite de lési
es sagittales pro- fondes). Par contre, nous avons toujours vu le
faisceau
longitudinal inférieur dégé- nérer à la suite d
, nous ne pouvons plus admettre l'opinion classique qui veut que le
faisceau
longitudinal inférieur soit essentiellement un lo
que le faisceau longitudinal inférieur soit essentiellement un long
faisceau
d'association. Pour nous, il représente un faisce
llement un long faisceau d'association. Pour nous, il représente un
faisceau
de projection, la couronne rayonnante corticipè
en grande partie, surtout dans son trajet et dans ses relations, au
faisceau
longitudinal tel qu'il est décrit dans les traité
traités d'anatomie. C'est pourquoi nous l'avons appelé jusqu'ici «
faisceau
longitudinal inférieur». Mais il existe parmi l
grande diversité d'opinions sur la disposition topographique de ce
faisceau
que, pour éviter toute erreur d'in- terprétatio
toute erreur d'in- terprétation, nous parlerons dès maintenant du «
faisceau
optique central ». Le faisceau^ optique central
, nous parlerons dès maintenant du « faisceau optique central ». Le
faisceau
^ optique central prend son origine dans la partie
yau se portent obliquement en bas et en dehors, longent la paroi LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR. ET LE FAISCEAU OPTIQUE CE
dehors, longent la paroi LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR. ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 203 externe de l'extrémité anté
phénoïdale, où elles se Confondent plus ou moins avec les fibres du
faisceau
uncinatus, les fibres de la commissure antérieu
ittale interne, elles s'enchevêtrent à ce niveau avec les fibres du
faisceau
de Türck et avec les fibres corticipètes et cor
nt dans le pulvinar de la couche optique. Nous voyons donc que ce
faisceau
optique central, à l'exemple des autres parties
refour sensitif». FiG. 5 - Coupe frontale du lobe occipital. Foc,
faisceau
optique central. 204 LASALLE-ARCHAMBAULT Im
ement après son émergence du corps genouillé externe, les fibres du
faisceau
optique central sont refoulées, par les fibres co
à former la presque totalité de ce qu'on a décrit sous le nom de «
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold », mais il existe à c
ues de la partie antérieure du lobe temporal. Suivons maintenant le
faisceau
optique central depuis le lobe occipital jus- q
te aux différents niveaux. Sur des coupes vertico-transversales, ce
faisceau
cons- titue dans le lobe occipital la couche sa
titue dans le lobe occipital la couche sagittale externe de Sachs, le
faisceau
longitudinal inférieur des auteurs (f1g. 1) ; s
e contient que quel- ques fibres et le long de la paroi interne, ce
faisceau
n'est décelable qu'au mi- croscope. Des angles
l qui constitue la scissure calcarine. Au-dessous du ventricule, le
faisceau
optique central se confond en partie avec le fa
entricule, le faisceau optique central se confond en partie avec le
faisceau
de Vialet ; le faisceau de Vialet proviendrait de
ptique central se confond en partie avec le faisceau de Vialet ; le
faisceau
de Vialet proviendrait de la lèvre infé- rieure
s. Pour nous, ce Fio. 6. - Coupe frontale du lobe occipital. Fs :
faisceau
du cuneus de Sachs. Foc : faisceau optique cent
ontale du lobe occipital. Fs : faisceau du cuneus de Sachs. Foc :
faisceau
optique central. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉR
: faisceau du cuneus de Sachs. Foc : faisceau optique central. LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
faisceau optique central. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAI. 205 fait démontre que parmi le
FAISCEAU OPTIQUE CENTRAI. 205 fait démontre que parmi les fibres du
faisceau
de Vialet existe un bon nombre de fibres de pro
la face externe du lobe occipital et que d'autres appartiennent au
faisceau
de Wernicke, contournent l'angle inféro-externe
cupe la profondeur du lobule lingual. Ce que nous avons dit pour le
faisceau
de Vialet s'applique également au « faisceau tr
nous avons dit pour le faisceau de Vialet s'applique également au «
faisceau
transverse du cunéus » de Sach ; que ce faisceau
que également au « faisceau transverse du cunéus » de Sach ; que ce
faisceau
soit composé surtout de fibres d'association c'
rne du lobe occipital ; elle en diffère sensiblement. Les fibres du
faisceau
optique central se resserrent et n'occupent que
infé- rieur et moyen de la couche sagittale externe, les fibres du
faisceau
optique central commencent à se porter en haut
apparaît le long de la paroi ventri- culaire externe, les fibres du
faisceau
optique se groupent en fascicules com- pacts et
pacts et entourent sa partie inférieure. Quelques fibres éparses du
faisceau
optique, cependant, occupent encore la partie m
uxième circonvolutions temporales, et en plus, quel- ques fibres du
faisceau
optique central. c) Le tiers inférieur : les fi
du faisceau optique central. c) Le tiers inférieur : les fibres du
faisceau
optique central. d) Le tiers moyen de la couche
rne contient un bon nombre de 206 LASALLE-AL1CHA11BAULT fibres du
faisceau
optique intimement mêlées aux radiations thalamiq
, c'est-à-dire que la couche externe comprend surtout les fibres du
faisceau
opti- que central et la couche interne des fibr
be temporal, au niveau du pulvinar, une grande partie des fibres du
faisceau
optique central s'est portée en dedans et corresp
la capsule interne.. On pourrait dire qu'à ce niveau les fibres du
faisceau
optique central se divisent en deux fascicules
tro-lenticulaire de la capsule interne et que cette dissociation du
faisceau
optique est nécessitée par le passage des radia
s du corps quadrijumeau antérieur et du corps genouillé interne, du
faisceau
de Türck, etc. Nous voulons insister davantag
rck, etc. Nous voulons insister davantage sur cette dissociation du
faisceau
optique central, car nous croyons qu'elle, a pr
able d'un bon nombre d'erreurs devenues classiques. En décrivant ce
faisceau
au niveau du carrefour ventriculaire, nous avons
s sagittales. Il se fait un véritable entrecroisement des fibres du
faisceau
optique et des radiations thalamiques, entrecro
t verticales, et alors on constate que les plus externes (fibres du
faisceau
optique) se portent obliquement en haut LE FAIS
rnes (fibres du faisceau optique) se portent obliquement en haut LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTQUE CENT
ortent obliquement en haut LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTQUE CENTRAL 207 et en dedans, côtoient le bo
nt en haut et légèrement en dehors, traversent l'amas des fibres du
faisceau
optique central, se cuudent fortement au niveau d
é externe. Enfin, au niveau du bord antérieur de ce noyau, c'est le
faisceau
de Turck qui établit la limite antérieure de ce
de fibres corticipètes et corticifuges. En arrière du pulvinar, le
faisceau
de Türck occupait encore la couche sagittale ex
r dans les noyaux centraux, elles sont remplacées par les fibres du
faisceau
deTürck ; et sur les coupes intéressant la partie
ntéressant la partie antérieure dû corps genouillé externe,c'est ce
faisceau
qui constitue la plus grande partie e du segmen
le interne : c'est peut-être ce qui a porté Flechig à considérer ce
faisceau
de Türck comme partie des radiations optiques.
par l'hématoxyline, il en est un bon nombre qui appar- tiennent au
faisceau
optique central, d'autres au faisceau de Türck et
nombre qui appar- tiennent au faisceau optique central, d'autres au
faisceau
de Türck et aux ra- diations du corps genouillé
s corticifuges, surtout les radiations thalamiques et les fibres du
faisceau
de Türck, prennent une coloration nettement plu
nes (40- 60 fi- environ). Revenons à la répartition des fibres du
faisceau
optique central au niveau' du corps genouillé e
rps genouillé interne, au pied du pédoncule cérébral, ces fibres du
faisceau
optique qui longent encore la paroi ventriculai
e corps ge- nouilllé externe. Nous avons déjà décrit le trajet du
faisceau
optique central après son émer- gence du corps
'avons pas suffisamment insisté sur la disposition des fibres de ce
faisceau
dans la par- tie antérieure du lobe temporal ai
ions avec les fibres d'as- sociation de la région. En parlant de ce
faisceau
optique au niveau du lobe occi- pital, nous avo
cule et l'écorce, il existe un vaste champ des- tiné à recevoir les
faisceaux
d'association ; la preuve, c'est que l'on a décri
d'association ; la preuve, c'est que l'on a décrit un bon nombre de
faisceaux
d'association propres au lobe occipital. Personne
propres au lobe occipital. Personnelle- ment nous admettons que ces
faisceaux
, surtout par l'intermédiaire de leurs fibres pr
uisse donner à l'ensem- ble de ces deux couches de fibres le nom de
faisceau
longitudinal inférieur ; s'il en était autremen
en était autrement on ne se serait pas donné la peine de décrire un
faisceau
de Sachs, un faisceau de Wernicke et un faiscea
ne se serait pas donné la peine de décrire un faisceau de Sachs, un
faisceau
de Wernicke et un faisceau de Vialet. La descript
eine de décrire un faisceau de Sachs, un faisceau de Wernicke et un
faisceau
de Vialet. La description à part LK FAISCEAU LO
ONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 91) : ) de ces
faisceaux
est une excellente garantie que dans l'esprit, de
ux est une excellente garantie que dans l'esprit, des auteurs ? ces
faisceaux
étaient bien indépendants de la couche sagittale
mité de voi- sinage. Mais ce que nous ne croyons pas, c'est que ces
faisceaux
soient propres au lobe occipital. Nous devons
cipital et occupe le cunéus et le précuneus, il prend ici le nom de
faisceau
transverse du cunéus de Sachs et comprend en ré
ngulum. Or, la même chose se passe au niveau du lobe occipital,' le
faisceau
transverse de Sachs est l'analogue du cingulum.
circonvolutions médianes et supérieures du lobe occipital. Ces deux
faisceaux
font partie d'un seul système, constituent le c
ingual au niveau de la scissure calcarine, on lui a donné le nom de
faisceau
de Vialet, mais pour nous il représente le cing
ibres et en reçoit également de ces mêmes circonvolutions. Tous ces
faisceaux
, ou plutôt toutes ces subdivi- sions d'un seul
es faisceaux, ou plutôt toutes ces subdivi- sions d'un seul et même
faisceau
, se délimitent plus ou moins nettement selon le
exposés, à condition que l'axe de leurs fibres diffère de celui des
faisceaux
voisins. C'est ainsi que l'on reconnaît facile-
nsi que l'on reconnaît facile- ment le stratum calcarinum et que le
faisceau
perpendiculaire de Wernicke, qui est difficile
qui est difficile à suivre sur une coupe normale, se transforme en
faisceau
régu- z xix 14 ' 210 0 LASALLE-ABCF11MBA UB'r
la dilatation ventriculaire au niveau de la corne occipitale. Les
faisceaux
de Sachs et de Vialet contiennent des fibres sect
e calcarine. Par contre vers les parties moyennes et latérales, les
faisceaux
de Vialet et de Sachs ne contiennent que quelqu
ttale externe et cette ombre immédiatement en dehors représente les
faisceaux
de Sachs et de Vialet (Fig. 1 et 6). Si nous
ication pratique de ces considérations en étudiant les relations du
faisceau
optique central au niveau de la partie antérieure
ital, il existe un fais- ceau d'association, absolument analogue au
faisceau
de Vialet, dont les fibres les plus internes so
us inférieures ont une direction antéro-postérieure comme celles du
faisceau
optique central ; mais à ce niveau, en raison d
ensemble des deux représente pour nous la continuation temporale du
faisceau
de Vialet. Or, quel parcours allons- nous accor
partition des fibres appartenant à chacun.Nous avons (PI.IV) une LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
cun.Nous avons (PI.IV) une LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 211 lésion de la circonvolution
s (fron- tales). , Allons-nous dire que ces fibres font partie du
faisceau
optique ceutral, ou même du faisceau longitudin
que ces fibres font partie du faisceau optique ceutral, ou même du
faisceau
longitudinal inférieur ? Nous ne croyons pas qu'i
'il convienne de grouper ainsi les choses, pas plus que de faire du
faisceau
de Vialet et de la couche sagittale externe occ
Vialet et de la couche sagittale externe occipitale un seul et même
faisceau
. Or, comme on n'a jamais songé à cette union po
, . elles ne sont pas disposées de façon à constituer de véritables
faisceaux
; au- trement ces faisceaux auraient depuis lon
ées de façon à constituer de véritables faisceaux ; au- trement ces
faisceaux
auraient depuis longtemps trouvé leur place dans
avons dit que, pour nous, elles représentent un système analogue au
faisceau
de Vialet ; de mêmes, les fibres du lobe fronto
ialet ; de mêmes, les fibres du lobe fronto-pariétal constituent un
faisceau
de Sachs de cellobe. , On ne .se rend pas com
ayonnante, mais nous n'irons pas dire qu'elles en font partie. Le
faisceau
arqué de Burdach n'est bien délimité qu'en avant
poro-occipital. Au niveau du corps genouillé externe, les fibres du
faisceau
optique central longent surtout la paroi ventri
rtout la paroi ventriculaire externe et occupent encore en grand LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
t occupent encore en grand LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 213 nombre la partie inférieure
r et à mesure que l'on se rapproche du pôle temporal, les fibres du
faisceau
optique abandonnent le segment horizontal de la
icale peu différenciée de la région. De pair avec le déplacement du
faisceau
optique, s'est opéré le rétrécissement de l'ext
te et les fibres d'association se sont de nouveau rassemblées en un
faisceau
situé au-dessous du ventricule ; ces fibres d'a
ar- tiennent surtout au cingulum inférieur de Beevor, mais aussi au
faisceau
uncina- tus ; il représente au niveau de la par
; il représente au niveau de la partie antérieure du lobe temporal le
faisceau
de Vialet du lobe occipital. Nous nous sommes
onstituée la couche sagittale externe du lobe temporo-occipital, un
faisceau
à part, qui est, à notre sens, extrêmement impo
ement décrit jusqu'à ce jour. Si nous avons fait usage du terme «
faisceau
optique central », ce n'est pas que nous ayons
en est pas moins vrai que dans son trajet et dans ses relations, le
faisceau
optique central s'iden- tifie en grande partie
le faisceau optique central s'iden- tifie en grande partie avec le
faisceau
longitudinal des auteurs ; seulement le faiscea
nde partie avec le faisceau longitudinal des auteurs ; seulement le
faisceau
longitudinal prend son origine dans lobe occipita
ital et se termine dans l'écorce du lobe temporal, tandis que notre
faisceau
optique tire son origine du corps genouillé ext
t (2), Red- lich (3) et autres, qui comme nous, n'admettent dans le
faisceau
longitudinal inférieur ou dans la couche sagitt
214 LASALLE-ARCHAMBAULT mais ces auteurs parlent indifféremment de
faisceau
ou de couche sagittale. Pour nous, ainsi que no
ble entre ces deux termes ; la couche sagittale externe contient le
faisceau
longitudinal inférieur des auteurs classiques et
tudinal inférieur des auteurs classiques et en plus : des fibres du
faisceau
de Turck, des fibres qui passent de la première c
nterne, etc. Les auteurs qui ont fait la meilleure des- cription du
faisceau
longitudinalinférieur ont eu le soin d'insister q
u le soin d'insister que toutes ces fibres ne font que traverser le
faisceau
longitudinal et qu'elles n'en font nullement pa
erne et dans le noyau latéral de la couche optique. Pour nous, le
faisceau
optique central ne provient que du corps genouill
é aucune dégénérescence appréciable dans le territoire qu'occupe le
faisceau
optique central. Quant à la couche sagittale ex
iques. Après avoir exposé en détail les multiples particularités du
faisceau
optique central, nous nous trouvons en présence
ouvons en présence de faits qui ne prêtent guère à aucun doute le «
faisceau
optique central » s'identifie, d'une façon remarq
au optique central » s'identifie, d'une façon remarquable avec le «
faisceau
longitudinal inférieur », - nous croyons que ces
oyons que ces deux fais- ceaux ne font qu'un. On nous dira que le
faisceau
longitudinal est un faisceau fort bien développé
aux ne font qu'un. On nous dira que le faisceau longitudinal est un
faisceau
fort bien développé et que le corps genouillé e
uère représenter son noyau d'origine. A cela nous répondrons que le
faisceau
longitudinal est beaucoup plus petit que l'on n
ne pense. Il est facile de se créer des illusions sur le volume d'un
faisceau
dont le territoire est constamment traversé par
ulus longitudinalis inferior. Arch. f. Psych., 1903, t XXXVII. LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
Psych., 1903, t XXXVII. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 215 verser le faisceau longitud
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 215 verser le
faisceau
longitudinal inférieur. Ce passage de fibres débu
la couche sagittale interne, mais se confondent avec les fibres du
faisceau
longitudinal et concourent avec ces dernières à f
l est donc évi- dent que sur des coupes normales, on ne voit pas le
faisceau
longitudinal tel qu'il existe en réalité; mais
uche, elles représentent l'ensemhle des fibres qui consti- tuent le
faisceau
optique central, le faisceau longitudinal. Ce fai
semhle des fibres qui consti- tuent le faisceau optique central, le
faisceau
longitudinal. Ce faisceau existe alors à l'état
ti- tuent le faisceau optique central, le faisceau longitudinal. Ce
faisceau
existe alors à l'état de pureté et il diffère s
sceau existe alors à l'état de pureté et il diffère sensiblement du
faisceau
longitudinal d'une coupe normale. Nous nous c
rations les conclusions suivantes : CONCLUSIONS 1) Il existe un
faisceau
qui, dans le lobe temporal, occupe en partie la c
pital, constitue la presque totalité de couche sagittale externe. Ce
faisceau
qui représente la couronne rayonnante corticipè
carine, mais surtout dans sa lèvre inférieure. Nous proposons pour ce
faisceau
le nom de « faisceau optique central », ou mieu
ns sa lèvre inférieure. Nous proposons pour ce faisceau le nom de «
faisceau
optique central », ou mieux encore, celui de « fa
le nom de « faisceau optique central », ou mieux encore, celui de «
faisceau
géniculo-calcarinien ». 2) Ce faisceau doit ê
u mieux encore, celui de « faisceau géniculo-calcarinien ». 2) Ce
faisceau
doit être séparé des fibres d'association qui env
mplicité, l'usage veut que l'on considère comme faisant partie d'un
faisceau
tout ce qui ne fait que le tra- verser, nous di
isceau tout ce qui ne fait que le tra- verser, nous dirons que le «
faisceau
longitudinal inférieur » des auteurs clas- siqu
ongitudinal inférieur » des auteurs clas- siques comprend : a) le «
faisceau
optique central » et, en plus, b) un certain no
fIAMBA ULT nuent dans le lobe occipital où ils prennent les-noms de
faisceaux
de Sachs et de Vialet. 5) Les faisceaux de Sa
ils prennent les-noms de faisceaux de Sachs et de Vialet. 5) Les
faisceaux
de Sachs et de Vialet ne sont pas propres au lobe
u'en raison de la configuration particulière de cette région. 6) Le
faisceau
perpendiculaire ou vertical de Wernicke n'est pas
i- gine de la couche optique. 10) Il n'existe pas chez l'homme de
faisceau
d'association occipito-frontal. 11) Aucune fibr
de la troisième circonvolution temporale. Ces fibres constituent le
faisceau
de Turck. Le gérant : P. BOUCIIEZ. Imp. J. Th
sclérose à la fois annulaire et insulaire ; mais il n'existe pas de
faisceaux
de régénération, ce qui indique l'absence de lé
r la méthode de Pal, au niveau de la Ire sacrée,qu'une sclérose des
faisceaux
pyramidaux et une lésion à peine perceptible d'
, qui épargne complètement certaines fibres très fines groupées, en
faisceaux
riches en noyaux allongés (Pl. XXXV, fig. 3). La
ouve des lésions de ces libres, qui s'accusent par la pré- sence de
faisceaux
de régénération ; la relation proportionnelle qui
, puis elle se recourbe pour se placer parallèlement aux fibres des
faisceaux
radiculaires, le long des- quels elle remonte ;
venu aux dépens de la substance blanche et plus particulièrement des
faisceaux
d'association. Ceux de projection paraissent av
très petites, de direction parallèle aux libres, arrondies dans les
faisceaux
coupés en biais ou transversalement. Dans cette
e. Le noyau du pathétique se retrouve parfaitement, enclavé dans le
faisceau
longitudinal pos- térieur. xix 17 Fia. 1. C
rt peu détruit directement ; il a seulement repoussé et déformé les
faisceaux
, que l'on retrouve tous. La planche XL, fig. 1
it pas les varicosités et les dégénérescences très prononcées de ce
faisceau
. 3. Il est remarquable que, la tumeur étant à g
e(PI.LX) qui va grandis- sant, à limites irrégulières, traversée de
faisceaux
qui prennent encore le Weigert. Cette région es
alleux, dans l'intégrité relative des masses grises de la base, des
faisceaux
de projection par rapport à ceux d'association ?
-ci ne sont le siège d'aucun phénomène dégénératif, enfin entre les
faisceaux
musculaires n'existent que de très rares vésicu
très limitée de la moelle cervicale une sclérose légère touchant le
faisceau
pyramidal croisé. Les cornes antérieures étaient
t difficile à cause des larges brides fibreuses qui cloisonnent les
faisceaux
musculaires ; leur couleur tire sur le gris pâl
de Goll étaient un peu sclérosés à la ré- gion cervicale, mais les
faisceaux
pyramidaux sont toujours respectés. Comme les g
épaisses renfer- mant peu de noyaux allongés entoure des paquets de
faisceaux
musculaires et envoie des expansions qui se per
fibres striées, amincies à leurs extrémités se continuent avec des
faisceaux
connectifs, ou bien se perdent dans des traînées
s ténu, les granulations sont sériées en files régulières entre les
faisceaux
primitifs ; plus rarement, on observe PARAPLÉGI
même délai, Vegas (2) trouva dans les nerfs périphériques quelques
faisceaux
étroits, et mal colorés. Quatre mois après la s
tte. - A gauche, destruction du pédoncule cérébelleux supérieur, du
faisceau
longitudinal postérieur, de la petite racine motr
descendante du trijumeau, de l'entrecroisement de la IVe paire, du
faisceau
central de la calotte, du ruban de Reil médian,
e ruban- de Reil médian, le pédoncule cérébel- leux supérieur et le
faisceau
central de Bechterew. Une partie aussi du lem-
par le ruban de Reil médian et sa partie latérale, à une partie du
faisceau
cen- tral de la calotte et du pédoncule cérébel
u cen- tral de la calotte et du pédoncule cérébelleux supérieur, au
faisceau
loncitu : dinal postérieur, sauf quelques fibre
tum superficiale et du pédoncule cérébelleux supérieur et moyen. Le
faisceau
pyramidal contient peu de fibres à gaîne myéliniq
s superficielle du corps restiforme et le tubercule acoustique. Les
faisceaux
latéraux du bulbe sont plus clairs que d'ordina
ve, le noyau rétropyramidal, la racine descendante du trijumeau, le
faisceau
latéral du bulbe, le corps restiforme et le faisc
trijumeau, le faisceau latéral du bulbe, le corps restiforme et le
faisceau
solitaire sont complètement remplacés par des z
s normales situées à peu près au niveau de la partie postérieure du
faisceau
de Burdach. La moitié droite, au contraire, est b
peu près normaux, sauf una légère sclérose .sy- métrique bornée aux
faisceaux
pyramidaux (fig. 9). En conclusion, à partir de
d'un mince anneau plus clair. Cette ra- réfaction s'étend aussi au
faisceau
de Goll (fig. 1). Au niveau de la 3e racine cer
de la 3e racine cervicale existe une plaque scléreuse qui occupe le
faisceau
de Goll et un peu le faisceau de Burdach, l'ann
te une plaque scléreuse qui occupe le faisceau de Goll et un peu le
faisceau
de Burdach, l'anneau de raréfaction périphérique,
issance dans l'hémipont droit et a dé- truit presque entièrement le
faisceau
moteur de droite et le septum mé- dian, mais s'
ent du ruban de Reil est atteint. Le pes lemniscus est détruit. Les
faisceaux
trans- verses du pédoncule cérébelleux moyen fo
illie pulpeuse : c'est là ce qui reste de la plus grande partie des
faisceaux
moteurs. Nulle part le foyer hémorrhagique n'es
dans l'hémipont droit, intéressant surtout la partie postérieure du
faisceau
moteur, laissant libre plus de sa moitié antérieu
plus de sa moitié antérieure. La calotte est légèrement entamée. Le
faisceau
de Reil est atteint dans ses deux tiers interne
lésion n'a plus que à 6 6 millimètres. A cet endroit d'ailleurs, le
faisceau
moteur cesse d'être intéressé, la lésion lui est
raphie des lésions justifie ce syndrome : des- truction de certains
faisceaux
, compression ou'irritation d'autres groupes de
du cerveau. Il décrit, au voisinage de ces tumeurs l'apparition de
faisceaux
de cylindraxe de nouvelle formation, dépourvus
re à certains endroits un riche tissu embryonnaire où pullulent les
faisceaux
de fibres nerveuses se terminant par des bouton
nent à tous les cordons, mais elles sont plus abondan- tes dans les
faisceaux
de la région antérieure des cordons postérieurs.
s nerfs sectionnés. Ce névrome est constitué par un grand nombre de
faisceaux
nerveux sans myéline, disposés en plexus et dis
, on en trouve d'autres, fusiformes, longues, isolées ou réunies en
faisceaux
et analogues à celles que nous avons décrites d
rieur, se détachent des colonies de cellules fusiformes, réunies en
faisceaux
assez compacts, qui s'étendent comme des ponts
rection des cellules-satellites. Ces fibres sont parfois réunies en
faisceaux
peu denses, mais leur nombre diminue à me- sure
ent parfois nais- sance à un véritable plexus. Nous avons trouvé un
faisceau
de fibres fines égaré dans ces ponts cellulaire
cellules apotrophiques, fusiformes, à noyaux oblongs constituant des
faisceaux
réunis entre eux par des traînées de ces cellul
nsidérables. Puis, des colonies de cellules fusiformes disposées en
faisceaux
plus ou moins volumineux entre lesquels siègent
dans la cicatrice en suivant le trajet des cellules-satellites ou des
faisceaux
qu'elles forment. De plus, on remarque que cert
escendent les fibres de nouvelle formation. Le cône est bordé par des
faisceaux
de fibres fines et épaisses, présentant parfois
érieur on voit pas mal de fibres nerveuses, iso- lées ou réunies en
faisceaux
, affectant des directions variables. Certaines d'
rajet des fibres. p. pinceau, cp, cp', petit cône de croissance, f,
faisceau
des fibres. 426 MARINESCO ET MINEA massues te
de fibres de nouvelle formation. Ces fibres isolées ou réu- nies en
faisceaux
descendent à travers les cellules [émigrées dans
uvelles provenant des fibres préexistantes sous forme de plexus, de
faisceaux
, ou simplement isolées se dirigeant en bas. Cepen
rares fibres nerveuses de nouvelle formation et rarement réunies en
faisceaux
. Ces fibres pénètrent dans les fentes du tissu
veau d'une extrémité. Il rentre dans la cicatrice des fibres et des
faisceaux
de fibres de nouvelle for- mation qui s'infiltr
elles il y a des fibroblarts, fb, fb' fb". On y voit, en outre, des
faisceaux
de fibres de nouvelle formation (F) affectant des
DE LA MOELLE 429 logent les fibres nerveuses, isolées ou réunies en
faisceaux
, fibres assez épais- ses, sans myéline, habitue
des fibres fines sans myéline, réunies pour la plupart du temps en
faisceaux
. 430 MARINESCO ET MINEA de la compression où
if- férents points de la région de la substance blanche partent des
faisceaux
et des FiG. 6. Coupe destinée à montrer la rela
ns les régions où ils possèdent une paroi épaisse, sont entourés de
faisceaux
de fibres qui constituent parfois de véritables p
bstance blanche fortement altérée ne présentent pas de fibres ni de
faisceaux
nerveux de nouvelle formation. Il y a d'autres
linéaires accumulés en groupes ou disséminés, parfois même dans les
faisceaux
nerveux les corps granuleux sont en grande abon
n due à la fracture de la première vertèbre lombaire. On y voit des
faisceaux
et des libres de nouvelle formation entre lesquel
générescence. C'est ainsi qu'on y voit des libres fines disposées en
faisceaux
et présentant les caractères de fibres de Remac
minales capsulées, du reste, on peut suivre la continuité entre les
faisceaux
de la racine et certains de ces cordons cellulair
s régions où les vaisseaux de uuu- velle formation sont entourés de
faisceaux
nerveux disposés parfois en plexus. A l'extrémi
es de nouvelle formation, épaisses ou minces, isolées ou réunies en
faisceaux
; elles suivent plus ou moins le trajet des vai
te un cordon de fibres fines qui s'entremêlent de toutes fio. aU. -
faisceau
de libres nerveuses de nouvelle formation dont qu
l'épaisseur de la pie-mère et entre ses lamelles des fibres et des
faisceaux
de fibres de nouvelle formation, il est à suppo
pression, on constate qu'elle est constituée principalement par des
faisceaux
nerveux, volumineux,visibles la loupe; se divis
e (Fig H). A mesure qn'on se rapproche de la partie supérieure, ces
faisceaux
se réunis- sent par groupes, changent de direct
lique, mais un grand nombre paraissent coupés transversalement. Ces
faisceaux
isolés ou par groupes, sont séparés par des tract
pact, très pauvre en cellules. Là où ce tissu est trop abondant les
faisceaux
nerveux diminuent de nombre et ils apparaissent c
eur de la moelle est constituée au niveau de la compression par des
faisceaux
de fibres de nouvelle formation généralementdép
la première lombaire. Elle est constituée presque exclusivement de
faisceaux
nerveux de dimensions à peu près égales, à direc-
s courbes.Cer- tains d'entr'eux se bifurquent, fnb, fszb'. Quelques
faisceaux
sont coupés transver- salement ft, Il'. 438 M
it que peu de fibres de nouvelle formation. On rencontre encore des
faisceaux
nerveux autour des vaisseaux qui se trouvent da
son voisinage. Il est curieux de remarquer la préférence qu'ont les
faisceaux
ner- veux de nouvelle formation pour la paroi v
à ses extrémités, il existe dans le tissu interstitiel et entre les
faisceaux
uerveux un nombre plus ou moins considérable d'
uerveux un nombre plus ou moins considérable d'hématophages. Les
faisceaux
nerveux de nouvelle formation que nous avons décr
disparus. Fia. 12. Même cas que la figure précédente. Portion d'un
faisceau
de fibres de nouvelle formation dessinée à un f
", v"') dilatés. Dans leurs adventices, il existe par ci, par là, des
faisceaux
de fibres de nouvelle formation fng, fnp, lisp'
de fibres de nouvelle formation fng, fnp, lisp'. En (l117 on voit un
faisceau
nerveux, assez considérable, compact, constitué
urones préposés à la conduction centripète et cen- trifuge. Or, les
faisceaux
et les libres de nouvelle formation ne parviennen
rajet qu'ils ont à parcourir d'un bout ;i l'autre de la moelle, les
faisceaux
et les fibres nerveuses s'égarent et malgré leu
ement abondants et en certains points pres- quejuxtaposés. Certains
faisceaux
semblent complètement disparus et rem- placés p
plus, sur toutes les coupes examinées, on constate qu'une bande de
faisceaux
sous-aponévrotiques est beaucoup moins dégénéré
prolifération excessive des noyaux. On constate aussi sur quelques
faisceaux
mieux conservés comme volume, les caractères de
euse. Muscle demi-membraneux gauches On constate sur la plupart des
faisceaux
des lésions extrêmement marquées d'atrophie sim
comme dans les muscles ci-dessus étudiés, mais on trouve à côté des
faisceaux
malades, quelques faisceaux dont l'intégrité est
ssus étudiés, mais on trouve à côté des faisceaux malades, quelques
faisceaux
dont l'intégrité est presque absolue. Sur les c
bondante. Il existe des es- paces conjonctifs plus larges entre les
faisceaux
. Certains faisceaux présentent l'aspect vitreux
des es- paces conjonctifs plus larges entre les faisceaux. Certains
faisceaux
présentent l'aspect vitreux homogène avec dispa
ur origine intramédullaire, s'accompa- gnant d'atrophie de certains
faisceaux
des nerfs mixtes et d'atrophie géné- ralisée et
iation : nous n'avons pu recourir à cette méthode que pour quelques
faisceaux
du sciatique, pour les racines antérieures et pos
re eux et de l'épinèvro par un tissu fibreux très abondant dont les
faisceaux
sont irrégulièrement dissociés par un tissu cel
rveuse, mais ce sont des différences à peine appréciables. Quelques
faisceaux
du nerf sciatique ont été dissociés après fixatio
ur d'autres groupes l'aspect est tout différent, ce sont des petits
faisceaux
que les aiguilles n'ont pas réussi à dissocier,
rares fibres à myéline enroulées en spirale autour de l'axe de cea
faisceaux
; quelques-uns de ces faisceaux donnent au premi
es en spirale autour de l'axe de cea faisceaux; quelques-uns de ces
faisceaux
donnent au premier abord l'aspect de fibres envoi
présentent un aspect un peu différent des racines antérieures : les
faisceaux
de fibres enchevêtrées figurant des nattes, son
existe des amas de gros noyaux ou de tissu con- jonctif ; plusieurs
faisceaux
paraissent constitués par une fibre nerveuse ento
bre, des vacuoles, du tissu conjonctif et des noyaux, répondent aux
faisceaux
enchevêtrés, en nattes, que nous avons vus plus a
ctives tassées les unes contre les autres, correspondent aux petits
faisceaux
dans lesquels il ne nous a pas toujours été possi
ù elles se confondent avec celles des zones cornu-commissurales. Le
faisceau
de Bur- dach est au contraire relativement bien
é de la périphérie par une mince bande de fibres à myéline. Dans le
faisceau
de Burdach, la dégéné- ration prédomine toujour
mprimé. Au-dessus, on trouve simplement une dégénération intense du
faisceau
de Goll remontant jusqu'au bulbe ; au-dessous,
eau de Goll remontant jusqu'au bulbe ; au-dessous, dégénération des
faisceaux
pyramidaux direct et croisé, avec pâleur diffus
très accentuées, ascendantes et descendantes des fibres longues des
faisceaux
blancs (cordons de Goll, cérébelleux direct, py-
oblitéré,souvent méconnais- sable. Les lésions dégénératives des
faisceaux
blancs pyramidaux (cordons de Golf) semblent en
articulière- ment nette dans la partie inférieure (lombo-sacrée) du
faisceau
. Dans ces 3 cas, la compression osseuse faisait
plus indiqué que par trois taches d'infiltration sanguine dans les
faisceaux
moyens de la voie pédonculaire et la couche trans
uniformément infiltrées dans le parenchyme et détruisant plusieurs
faisceaux
de la voie pédonculaire, sans trace d'ancienne
x supérieur, la formation réticulée, le noyau central supérieur, le
faisceau
longitudinal postérieur, le faisceau central de l
le noyau central supérieur, le faisceau longitudinal postérieur, le
faisceau
central de la calotte,et le ruban de Reil avec
sinent schématiquement, dans le pédoncule cérébelleux inférieur, le
faisceau
cérébello-olivaire. De plus, le peu d'intensité
mpêchent donc d'admettre l'opinion de Kôlliker (3) qui considère le
faisceau
olivaire du corps restiforme comme prenant son
atives de l'hémiasynergie et de la latéropulsion : 4° la lésion des
faisceaux
olivo- ciliaires ; 2° la lésion unilatérale du
lésion des faisceaux olivo- ciliaires ; 2° la lésion unilatérale du
faisceau
qui met en rapport le noyau de Detiers avec la
du faisceau qui met en rapport le noyau de Detiers avec la moelle,
faisceau
de Marchi, faisceau cérébelleux descen- dant ;
en rapport le noyau de Detiers avec la moelle, faisceau de Marchi,
faisceau
cérébelleux descen- dant ; 3° l'interruption de
n- dant ; 3° l'interruption de la voie centripète constituée par le
faisceau
de Gowerss. Dans notre cas,de ces trois lésio
mettre que l'hémiasynergie eut pour principal facteur, la lésion du
faisceau
olivo-ciliaire du même côté. Nous pensons d'ail
septa conjonctifs qui s'enfoncent dans la substance médullaire. Les
faisceaux
postérieurs et latéraux sont sclérosés avec dim
de Med., 1881-1885. Léri : XVIO Congrès de Lille, 7 août 1906. LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR . ET LE FAISCEAU OPTIQUE
de Lille, 7 août 1906. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR . ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL PAR R LASALLE ARCHAMBAULT (
bre 1905, les résultats de nos recherches anatomiques sur certains
faisceaux
de l'hémisphère cérébral et nous n'avons pas pe
1111) Mme Dejerine fait remarquer : « M. Archainbault admet que le
faisceau
longitudinal inférieur, c'est-à-dire, la couche s
ment tolérée. Nous transcrivons textuellement : « Pour nous, le mot
faisceau
ne doit s'appliquer qu'à un en- semble de fibre
pant un territoire assez nettement déterminé, comme par exemple, le
faisceau
pyra- midal. Le mot faisceau n'est pas l'équiva
ement déterminé, comme par exemple, le faisceau pyra- midal. Le mot
faisceau
n'est pas l'équivalent du terme « couches défibre
du lobe temporo-occipital, l'une et l'autre de ces dénominations :
faisceau
longitudinal inférieur, couche sagittale externe.
e démontrer : que la couche sagittale externe du lobe occipital, le
faisceau
longitudinal inférieur tel qu'il existe dans ce l
nouillés externe et interne, etc., n'appartiennent pas en propre au
faisceau
longitudinal inférieur, qu'elles ne font que le
s clair ; malgré son enchevêtrement avec la couronne rayonnante, le
faisceau
longitudinal était un faisceau à part, car on ne
ment avec la couronne rayonnante, le faisceau longitudinal était un
faisceau
à part, car on ne voulait reconnaître alors qu'
, car on ne voulait reconnaître alors qu'un seul caractère à chaque
faisceau
. Les auteurs de l'Anatomie des centres nerveux
rs le privilège de chacun) puisqu'ils disent aujourd'hui : « Que le
faisceau
longitudinal inférieur, reçoive des fibres du c
n n'y trouve que la défense acharnée de l'indépen- dance absolue du
faisceau
longitudinal et de la couronne rayonnante. Peut-
miques postérieures, les radiations optiques de Gratiolet. Elles LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU . OPTIQUE C
tiques de Gratiolet. Elles LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
. OPTIQUE CENTRAL TJG3 prennent leur origine da
sagittale externe (en insistant sur la disposition topographique du
faisceau
longitudinal inférieur qu'elle renferme) et nou
e corps genouillé externe ; il ne s'agissait pas de soutenir que le
faisceau
longitudinal reçoit des fibres du corps genouil
s étudié dans le tome I, la couche sagittale externe sous le nom de
faisceau
longitudinal inférieur et avons mon- tré qu'ell
de projection (mais que en 1895, on avait soigneusement séparées du
faisceau
longitudinal) destinées aux ganglions infracortic
e, l'arrivée, au niveau du carre- four ventriculaire, des fibres du
faisceau
de Turck, des radiations cortico-ge- jouillées
chs,Weber, etc., c'est-à-dire tous les auteurs qui reconnaissent au
faisceau
longitudinal in- férieur, un fort contingent d'
corticaux (de la région sous-optique du rhombencéphale, etc.) LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
e du rhombencéphale, etc.) LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 565 Nous ne parlons, bien enten
uches sagit- tales du segment postérieur de la couronne rayonnante (
faisceau
longitudinal et radiations thalamiques) pouvant
es importantes du névraxe entier, que le pulvinar offre passage aux
faisceaux
qui se rendent du tronc encéphali- que à l'hémi
sions du lobe occipital, « elles entraînent une dégé- nérescence du
faisceau
longitudinal inférieur pouvant être suivie d'une
sectionnant à ce niveau, les couches sagittales (en particulier, le
faisceau
longitudinal) et le tapétum. On observe (Anat
erne de la corne occipitale et du carrefour ventriculaire. Cette LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
efour ventriculaire. Cette LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 567 dégénérescence se poursuit
AL 567 dégénérescence se poursuit dans la couche sagittale externe (
faisceau
longitu- dinal inférieur) du segment inférieur
e jusqu'au noyau amygda- lien ; une partie des fibres dégénérées du
faisceau
longitudinal inférieur s'ir- radie dans l'écorc
yer ancien sectionne, au niveau du bourrelet du corps cal- leux, le
faisceau
longitudina linférieur dans son segment sous-vent
ianes non lésées, et reconnaître l'intégrité du segment limbique du
faisceau
longitu- dinal inférieur (longues fibres d'asso
énérescence très intense des couches sagittales (en particulier, du
faisceau
longitudinal) qui tapissent la paroi inférieure e
yau amygdalien, elle tient (croyons-nous) à la section - non pas du
faisceau
longitudinal mais des fibres d'association qui
ont au contraire des fibres corticipètes et qu'elles'font partie du
faisceau
optique central que nous avons décrit. Leur local
ouvelle Iconographie, 1906, n° 2, pep.205-208). Enfin d'où vient ce
faisceau
longitudinal vigoureux qui occupe la circonvo-
mbique ? provient-il de cette région même ? Ce serait accorder à ce
faisceau
une origine nouvelle, car nous ne la lui connaiss
nne sert de trait d'union à deux parties sai- nes d'un seul et même
faisceau
qui existerait dans sa totalité si le trait d'uni
scence très nette des couches sagittales (radiations thalamiques et
faisceau
longitudinal inférieur). » Cela nous paraît trè
fusiforme sur une étendue antéro-postérieure de 6 centimètres ; LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
érieure de 6 centimètres ; LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 569 cette dernière plaque comme
'est pas ». Quand l'on songe que c'est au niveau du pulvinar que le
faisceau
génicuto- calcarinien (que nous croyons digne d
e rapportent nos distingués contradicteurs : « la dégénérescence du
faisceau
longitudinal infé- rieur (il s'agit vraisemblab
volu- tions temporales se traduise par une grosse dégénérescence du
faisceau
longi- 570 LASALLE ARCHAMBAULT tudiual (dans'
, pouvait être suivie presque dans la pointe occipitale, etc. ». LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
pointe occipitale, etc. ». LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 571 Nous tenons à faire remarqu
nous ne voyons pas très bien comment le cas de dégénérescence du «
faisceau
longitudinal inférieur » (se faisant d'avant en a
énérescence très intense des couches sagittales externe et interne (
faisceau
longitudinal inférieur et radiations tha- lamiq
ipitale ? 2 Est-il juste d'affirmer la dégénérescence rétrograde de
faisceaux
, dont l'ori- gine réelle, le trajet exact et le
qui se rapportent aux cas très instructifs que l'on met à notre LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
ctifs que l'on met à notre LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL z disposition, laissent certain
dégénérescence rétrograde, cellulipète, des radiations thalamiques,
faisceau
de Türck, etc. Or, un pareil cas n'a pas encore
maine exclusif des fibres qui constituent au niveau de la moelle les
faisceaux
pyramidal direct et pyramidal croisé. La démons
nce durable, car la préci- sion est l'essence même du progrès. Le
faisceau
longitudinal inférieur de Burdach est un autre ex
llement cons- tante que nous l'avons individualisé sous le nom de «
faisceau
optique central ou encore de « faisceau génicul
ividualisé sous le nom de « faisceau optique central ou encore de «
faisceau
géniculo-calcarinien, » conformément à la nomencl
corticale. On nous a reproché- on nous reproche encore de donner au
faisceau
longitudinal inférieur une origine exclusivemen
ues considérations nouvelles qui nous paraissent dé- montrer que le
faisceau
optique central possède réellement une parfaite i
vi- dualité. A priori, l'opinion qui accorderait à la totalité du
faisceau
longitudinal infé- rieur un caractère uniquemen
rquer que dès le début nous avons eu le soin : 1° de ne comparer le
faisceau
longitudinal avec la couche externe qu'au nivea
séparation. Cela nous entraînerait trop loin d'insister de noua LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
op loin d'insister de noua LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 57H veau sur cette inépuisable
uteurs qui reconnaissent comme nous (mais longtemps avant nous), au
faisceau
longitudinal, un contingent considérable de fibre
élément d'association à même titre que le cingulum inférieur et le
faisceau
uncinatus en avant, les faisceaux de Sachs, de Vi
re que le cingulum inférieur et le faisceau uncinatus en avant, les
faisceaux
de Sachs, de Vialet et de Wernicke dans le lobe
s à le dire, « toutes les fibres d'association que l'on attribue au
faisceau
longitudinal depuis Burdach jusqu'à nos jours,
squ'à nos jours, ne sont autres que les fibres profondes des divers
faisceaux
qui l'entourent et que l'on a affranchis ». Le
des divers faisceaux qui l'entourent et que l'on a affranchis ». Le
faisceau
longitudinal se contracte alors i vue d'oeil et
présente le thalamus. Nous voilà réduit à ce qui reste de l'ancien
faisceau
longitudinal inférieur, à savoir, le « laisceau
eur que l'on considérait autrefois comme étant « ex- clusivement un
faisceau
d'association », et la partie supérieure « intime
urs. Nous n'avons pas l'intention de préciser ici le pourcentage du
faisceau
op- tique central dans la constitution de la co
constitution de la couche sagittale externe. La descrip- tion de ce
faisceau
est déjà faite (Rev. Neurol., 190â, n° ` ? ` ? et
samment claire. Il ressort nettement de ces considérations que le «
faisceau
optique central » est de souche longitudinale,
asciner par cette proposi- tion synthétique de notre mémoire : « Le
faisceau
optique central s'identifie d'une façon remarqu
aisceau optique central s'identifie d'une façon remarquable avec le
faisceau
longitudinal inférieur ; nous croyons que ces d
avec le faisceau longitudinal inférieur ; nous croyons que ces deux
faisceaux
ne font qu'un. » Admis ! ce fut très imprudent, m
aduisent. Nous avions transgressé en désignant par le néologisme. «
faisceau
optique central », le contingent ge- nouillé (q
le contingent ge- nouillé (qui mérite d'avoir sou propre cachet) du
faisceau
primitif. Mais, ar- rivé au moment décisif, il
les éléments si opposés que 576 ,LASALLE ARCIIAMBAULT renferme le
faisceau
de Burdach, et nous pourrions nous justifier en f
sur le voisinage des fibres d'associa- tion ; sur le volume réel du
faisceau
longitudinal dans les cas de lésions super- fic
ue, nous tenons à dire que s'il l'était, si nous -avions dit que le
faisceau
longitudinal inférieur pro- vient exclusivement
centres nerveux demeure fidèle à ses principes. C'est pourquoi, le
faisceau
longitudinal inférieur, pure- ment d'associatio
uis un contingent de projection en 1901, dut sacrifier son titre de
faisceau
et se laisser englober par la couche sagittale
i- gueur on leur refusa de partager le domaine et la physiologie du
faisceau
py- ramidal direct d'origine corticale ? Nous d
er que l'on a établi une comparaison entre la voie pyramidale et le
faisceau
longitudinal inférieur; que l'on a même rapproc
c- corde à la terminologie, quand nous dirons que la similitude des
faisceaux
py- ramidal et optique central (ou géniculo-c31
.de foi », que nous le premier, tenons à hautement respecter. LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
ons à hautement respecter. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 577 Que l'on veuille bien nous
son secteur occipital qui est également (pour nous) à ce niveau, le
faisceau
longitudinal inférieur (pris dans sa phase de pur
pûmes plus étaler sur toute l'é- tendue du domaine qu'avait reçu le
faisceau
classique, les fibres que la dégé- nérescence s
tout « occipital ». Il s'était produit en effet un fendillement du
faisceau
'primitif aux dépens des couches superficielles
egments inférieur et iriféro-latéral ; il en ré- sulta une série de
faisceaux
secondaires dont les fibres sont courtes et de lo
et de lon- gueur intermédiaire. Or,ces fibres ne constituent pas un
faisceau
dans le sens propre du mot, mais une suite de f
tuent pas un faisceau dans le sens propre du mot, mais une suite de
faisceaux
; de plus, l'ensemble de ces fibres n'appartient
e prime importance que (pour ne rien préjuger) nous avons dénommé «
faisceau
optique central » Or, ce contingent est le seul
qui rencontre, non pas toutes, mais la majorité des obligations du
faisceau
longitudinal inférieur. Le faisceau optique cen
is la majorité des obligations du faisceau longitudinal inférieur. Le
faisceau
optique central est la seule image fidèle du lo
ieur. Le faisceau optique central est la seule image fidèle du long
faisceau
dont avait rêvé notre antiquité. Suivons main
g faisceau dont avait rêvé notre antiquité. Suivons maintenant le
faisceau
optique central d'une région à l'autre et voyon
en fait, au niveau de l'hémisphère, l'équivalent sensoriel du grand
faisceau
mo- teur du tronc encéphalique. Avant de proc
'observe entre les divers niveaux correspondants que traversent ces
faisceaux
, nous devrons présenter les choses sous un aspect
légitime qu'il répond à la réalité des faits. En premier lieu, le
faisceau
optique central représente pour nous une entité
une entité anatomo-fonctionnelle qui mérite d'être connue. C'est un
faisceau
sensoriel corticipète, c'est donc en sens exact
ainsi dire, le revers de la médaille. 578 LASALLE ARCHAMBAULT Le
faisceau
optique central tire son origine du plus importan
nte très émoussée et dirigée en arrière, cor- respoud au passage du
faisceau
de Türck dans la capsule interne. Bien que cela
ela ne soit pas rigoureusement exact, nous croyons que la couche LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
nous croyons que la couche LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 579 externe de ces fibres verti
e lame que nous voulons faire un pied de pédoncule provisoire. Le
faisceau
de Tùrck passe dans le pied du pédoncule en arriè
s le pied du pédoncule en arrière et au-dessous (coupe frontale) du
faisceau
pyramidal et constitue son cinquième externe ; il
terne ; il passe dans la capsule interne en arrière et au-dessus du
faisceau
optique qu'il sépare du faisceau pyramidal et c
interne en arrière et au-dessus du faisceau optique qu'il sépare du
faisceau
pyramidal et concourt également à former le cinqu
ns les localisations capsulaires. Nous ajouterons que les fibres du
faisceau
optique central occupent environ les deux cinquiè
e que dans un travail ultérieur. Passons à la protubérance de notre
faisceau
optique central, que nous em- prunterons à cett
ux. Ainsi que nous l'avons dit dès notre première des- cription, le
faisceau
optique est grandement dissocié dans cette partie
éro-interne et externe de l'hémisphère (que nous avons comparées au
faisceau
de Vialet), et dont un bon nombre rappellent le
is- ceau optique central se dispose en fascicules, comme le fait le
faisceau
pyramidal dans l'étage antérieur de la protubér
uperficielle des fibres transverses ponto-cérébelleuses, de même le
faisceau
optique central est-il séparé de- l'épendyme vent
entricule latéral. Au-dessous de la paroi inférieure, les fibres du
faisceau
optique ne se localisent pas entièrement dans l
laire. Enfin en arrière du bourrelet du corps èalleux les fibres du
faisceau
optique 580 ' LASALLE ARCHAMBAULT central se
ptique ; elle est excavée mais non moins précieuse. Les fibres du
faisceau
optique central se terminent surtout dans les deu
e à part, et en plus, si l'on considère que nous n'avons qu'un seul
faisceau
et non deux ; si l'on ne néglige pas ces par- t
segment péri- phérique ou extra-cérébral de l'un et de l'autre des
faisceaux
que nous com- parons. Nous tenons à dire que l'
riphérique et ses terminaisons muscu- laires (plaques motrices). Le
faisceau
pyramidal ne s'entrecroise qu'en arri- vant prè
es racines motrices dont l'ensemble représente, pour ainsi dire, le
faisceau
moteur périphérique ou trophique. Nous savons c
mental prend naissance en dehors de l'hémisphère cérébral ; s'il LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
hémisphère cérébral ; s'il LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 581 n'est pas périphérique dans
s genouillé et la zone réticulée), pédoncule; mais sont séparées du
faisceau
de Tûrck et de la voie pyramidale par la zone r
eur sont considérés par certains auteurs comme point de départ d'un
faisceau
descen- dant du tronc encéphalique ; par exempl
d'un faisceau descen- dant du tronc encéphalique ; par exemple le «
faisceau
optique descendant » de Van Gehuchten qui tire
phérique, mais ne représente qu'un simple récepteur sensoriel. LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
imple récepteur sensoriel. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 583 On serait douc en présence
disant qu'il cor- respond, au point de vue de notre comparaison des
faisceaux
pyramidal et optique central, aux cellules des
hésie dans des cas de lésions purement corticales, le fait n'est LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
corticales, le fait n'est LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL S85 guère douteux ; mais nous c
ive corticale. Le corps genouillé externe est le noyau d'origine du
faisceau
optique central et c'est dans sa partie postérieu
s vu que ce ganglion optique primaire est le point de dé- part d'un
faisceau
corticipète, qui présente aux différents niveaux
nt à établir sa ressemblance avec l'entrecroisement pyramidal. Le
faisceau
nasal (faisceau pyramidal croisé) est supéro-inte
ressemblance avec l'entrecroisement pyramidal. Le faisceau nasal (
faisceau
pyramidal croisé) est supéro-interne dans le ch
ro-interne dans le chiasma, inféro-interne dans la bandelette. Le
faisceau
temporal (faisceau pyramidal direct) est inféro-e
chiasma, inféro-interne dans la bandelette. Le faisceau temporal (
faisceau
pyramidal direct) est inféro-externe dans le ch
féro-externe dans le chiasma, supéro-externe dans la bandelette. Le
faisceau
maculaire central est l'équivalent du contingen
eau maculaire central est l'équivalent du contingent homolatéral du
faisceau
pyramidal croisé. Il suffit d'observer l'entrec
optique et la décussation pyramidale.Un seul changement, c'est que le
faisceau
optique'direct est latéral et le faisceau pyram
changement, c'est que le faisceau optique'direct est latéral et le
faisceau
pyramidal direct est, au contraire, dé- placé v
le. Que devient le contingent temporal non-croisé qui correspond au
faisceau
pyramidal direct ? La physiologie et la cliniqu
ssible de préciser le lieu de terminaison de l'un ou de l'autre des
faisceaux
rétiniens. Quoi qu'il en soit, toutes les fibre
téral ; enfin, de simples fibres agenouil- lées commissurales. LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
uil- lées commissurales. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL S87 D'après les auteurs le fais
INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL S87 D'après les auteurs le
faisceau
maculaire se termine essentiellement dans le co
intra-cérébrale. Pour notre part, nous sommes plutôt d'avis que le
faisceau
maculaire n'abandonne que le moindre nombre de
ouillée du neurone visuel intra-cérébral, que nous avons dénommé, «
faisceau
optique central » ou « faisceau géniculo-calcarin
cérébral, que nous avons dénommé, « faisceau optique central » ou «
faisceau
géniculo-calcarinien ». Ce faisceau est la cont
« faisceau optique central » ou « faisceau géniculo-calcarinien ». Ce
faisceau
est la continuation de la proportion 80 0/0 de
rébrale. Ainsi que l'ensemble des racines motrice, constituerait un
faisceau
plus volumineux que le faisceau pyramidal, de m
s racines motrice, constituerait un faisceau plus volumineux que le
faisceau
pyramidal, de même le faisceau optique central
t un faisceau plus volumineux que le faisceau pyramidal, de même le
faisceau
optique central est-il certainement plus dévelo
e terminent dans les noyaux des cordons postérieurs. Cependant le
faisceau
optique central est sensiblement moins volumineux
l ne paraît. La configuration de l'hémisphère prête à l'illusion, les
faisceaux
. sont étalés sur une étendue beaucoup plus cons
; Nouvelle Iconog., 1906, n° 2, p. 205-208 et Cas Roll, p. 190). Le
faisceau
optique central prend naissance au niveau de la b
e temporo-occipital pour s'irradier dans l'écorce calcarinienne. Ce
faisceau
visuel central ressemble beaucoup à la voie pyr
rtir de l'hémisphère ou de lui donner un caractère moteur. C'est un
faisceau
sensoriel 88 LASALLE ARCHAMBAULT corticipète
vons voulu démontrer qu'il possède absolument la caractéristique du
faisceau
py- ramidal ; il y a entre ces deux faisceaux u
la caractéristique du faisceau py- ramidal ; il y a entre ces deux
faisceaux
une similitude de disposition fascicu- laire qu
rait remarquable. Ceci nous ramène il la considération du trajet du
faisceau
optique central au niveau du lobe occipital ; i
ème ex- terne du pied du pédoncule cérébral. En d'autres termes, le
faisceau
pyramidal a parcouru le long trajet cortico-bul
ifications de volume ou de qualité. Il en est absolument ainsi du
faisceau
optique central. Ses fibres font partie intégra
ou moins avec les autres fibres de la couronne rayonnante, mais ce
faisceau
traverse la totalité du lobe temporo-occipilal
ion de notre cas Roll. (Nouvelle Iconog., 1906, n° 2, p. 190). Le
faisceau
optique central se termine uniquement dans l'écor
galement ici que se dessine une moelle assez véritable. Les fibres du
faisceau
optique se déploient lentement et forment un an
ble qui est situé au-dessous et en dehors de la corne occipitale LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
ors de la corne occipitale LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 589 représente le faisceau pyra
ITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 589 représente le
faisceau
pyramidal croisé (en tant que morphologie), le mi
tant que morphologie), le mince complément supéro-interne égale le
faisceau
pyramidal direct. Que ces notions sont plus rée
du contingent qui répond (au point de vue de notre comparaison) au
faisceau
pyramidal direct. Evidemment nous n'attachons a
autre fait qui invite à établir cette similitude de trajet entre le
faisceau
optique central et les faisceaux médullaires de l
cette similitude de trajet entre le faisceau optique central et les
faisceaux
médullaires de la voie pyramidale. Une fois que
sse en arrière la corne occipitale, on cons- tate la disparition du
faisceau
optique direct ; il ne reste au niveau de la poin
lame, la continuation de ce que nous avons appelé (par analogie) le
faisceau
optique croisé. Cette lame s'épuise rapidement, g
rition à un niveau variable (le plus souvent dor- sal supérieur) du
faisceau
direct et irradiation rapide dès que l'on aborde
t irradiation rapide dès que l'on aborde le renflement lombaire. Le
faisceau
optique central présente les mêmes variations d
riations de trajet, de volume et de disposition fasciculaire que le
faisceau
moteur. Il importe d'insister sur ce fait, que
ontal (coupe frontale) des couches sagittales. Ces deux segments du
faisceau
optique central sont exposés comme le sont les
nts du faisceau optique central sont exposés comme le sont les deux
faisceaux
de la voie pyramidale à être refoulés, déplacés ;
cette comparaison ; nous croyons avoir démontré suffisamment que le
faisceau
optique central est au niveau de l'hémisphère c
nsitif. Nous revenons sur ce fait que, jusqu'à ce jour,il n'est aucun
faisceau
de projection corticipète qui ait été individua
al et corticipète de la voie visuelle, nous avons donné le nom de «
faisceau
optique central » afin de rendre au contingent tr
e renferme un ensemble classique, son cachet véritable. Quel est ce
faisceau
dont les fibres de toute longueur existent à l'ét
'une lésion cérébrale se traduit par une réaction médullaire qui LE
FAISCEAU
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
ne réaction médullaire qui LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
FAISCEAU
OPTIQUE CENTRAL 591 n'intéresse que le,, faisce
L INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 591 n'intéresse que le,,
faisceaux
pyramidal direct et pyramidal croisé, de même u
Mme Dejerine terminent leur réponse en nous reprochant de donner au
faisceau
longitudinal inférieur une origine exclusivement
ance. Nous tenterons de démontrer, dans un prochain article, que le
faisceau
optique central existe tel que nous l'avons rep
présenté au début, et qu'il est aussi individualisable que l'est le
faisceau
pyramidal. QUELQUES PHOTOGRAPHIES D'ARABES SY
cence médullaire (1 pl., 9 dess.), 539. Lasalle-Arciiambault. Le
faisceau
longitu- dinal inférieur et le faisceau optique
Lasalle-Arciiambault. Le faisceau longitu- dinal inférieur et le
faisceau
optique central (suite et fin) (6 pl.. G sch.,
flg.), 1031118. 598 TABLE DES AUTEURS LASALLE-ARCIL131BABLT. Le
faisceau
longitu- dinal inférieur et le faisceau optique
LASALLE-ARCIL131BABLT. Le faisceau longitu- dinal inférieur et le
faisceau
optique cen- tral, 561. Lejonne et Chartier.
Petit, 458. Eunuchisme et érolisme (2 pi.), par A. Marie, 412.
Faisceau
longitudinal et faisceau optique central, par L
et érolisme (2 pi.), par A. Marie, 412. Faisceau longitudinal et
faisceau
optique central, par LASALLE-ARCHAMBAULT, 561.
udinal et faisceau optique central, par LASALLE-ARCHAMBAULT, 561.
Faisceau
longitudinal inférieur el faisceau optique cent
l, par LASALLE-ARCHAMBAULT, 561. Faisceau longitudinal inférieur el
faisceau
optique central (tuile et fin) (6 pl., 6 sch.,
et fin) (6 pl., 6 sch., 7 lig.), par L.1S\LLE-1RCII111OULT, 978·
Faisceau
lo«ltlmlrnal et faisceau optique rentrai, par L
7 lig.), par L.1S\LLE-1RCII111OULT, 978· Faisceau lo«ltlmlrnal et
faisceau
optique rentrai, par L \5 \LLf;-AHCII,UIU,\ULT,
erte à M. Paul nicher, LXII. Eunuchisme (A. Marie), LXVIII, LXIX.
Faisceau
longitudinal inférieur et le fais- ceau optique
it alors principalement de reconnaître d'une façon exacte, dans les
faisceaux
blancs ou dans les divers départements de la su
'on appelle la moelle épinière, il n'existe, pour ne parler que des
faisceaux
blancs, plusieurs régions répondant en quelque
par exemple, à certains groupes de cellules nerveuses, à cer- tains
faisceaux
de fibres. Il est permis d'en douter. La maladie
ision; elle nous permet de constater quel groupe de cellules, quels
faisceaux
de fibres nerveux ont été irrités, atrophiés ou
t singulièrement rétréci l'aire des terres inconnues. Les anciens
faisceaux
postérieurs, par l'étude des lésions systématique
iques, avaient été décomposés déjà en deux régions distinctes : les
faisceaux
de Goll et les zones radiculaires postérieures;
: les faisceaux de Goll et les zones radiculaires postérieures; les
faisceaux
antéro-latéraux des auteurs avaient été à leur
raux des auteurs avaient été à leur tour divisés en trois régions :
faisceaux
pyramidaux, faisceaux de Turck, zones radiculai
nt été à leur tour divisés en trois régions : faisceaux pyramidaux,
faisceaux
de Turck, zones radiculaires antérieures; aujou
aurions à énumérer en plus bien d'autres découvertes, à savoir : les
faisceaux
de Gowers, les zones de Lissauer, les zones mar
vale de Flechsig, etc., etc. Et cette multiplication des zones, des
faisceaux
, des régions plus ou moins autonomes qu'on vient
sur nos indica- tions par M. Paul Richer. Il résume la division des
faisceaux
blancs et des parties différenciées de la subst
térieure (grise). N. Sillon antérieur. 0. Sillon postérieur. P.
Faisceau
de Tii1'li, ou pyramidal direct. Q. Faisceau an
rect. T. Faisceau pyramidal croisé. U. Zone marginale externe, ou
faisceau
profond du cordon latéral. V. Zone externe de
erne de Westplrol. Y. Faisceau de Burdach, ou zone radiculaire du
faisceau
postérieur. Z. Faisceau de Goll, ou cordon grèl
méthode de Pull. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C.
Faisceau
antérieur. D. Faisceau latéral. E. Sillon pos
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Faisceau antérieur. D.
Faisceau
latéral. E. Sillon postérieur. F. Sillon anté
ne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racines antérieures. D.
Faisceau
latéral. E. Sillon postérieur. F. Sillon anté
ntérieure. J. Commissure postérieure. K. Racine postérieure. L.
Faisceau
antérieur. Figure 4. MOELLE NORMALE. Canal ce
sceau antérieur. F. Sillon antérieur. G. Cordon postérieur. II.
Faisceau
latéral. I. Sillon postérieur. J. Racine post
Sillon postérieur. J. Racine postérieure. Figure 6. Portion du
faisceau
latéral de la coupe précédente, vue à un fort gro
postérieure. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieur. 7J.
Faisceau
antérieur. I. Faisceau latéral. J. Faisceau p
ure antérieure. G. Sillon antérieur. 7J. Faisceau antérieur. I.
Faisceau
latéral. J. Faisceau postérieur. Figure 8.
Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Cordon antérieur. D.
Faisceau
latéral. E. Faisceau postérieur. F. Sillon po
ine postérieure. F. Sillon postérieur. G. Sillon antérieur. Il.
Faisceau
postérieur sain. 1-J. Zones enflammées des cor-
térieur gauche. Les altérations vasculaires sont remarquables dans le
faisceau
latéral gauche. A. Corne antérieure. B. Cor
latéral gauche. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C.
Faisceau
latéral droit un peu altéré. D. Commissure an
ostérieur. JI, Racine postérieure. 1. Cordon antérieur sain. /.
Faisceau
latéral altéré. K. Coupe de vaisseau altéré.
n. /. Faisceau latéral altéré. K. Coupe de vaisseau altéré. L'.
Faisceau
postérieur sclérosé. CI. Corne postérieure gauc
F. Corne postérieure. G. Cordon latéral. ? Racine postérieure. I.
Faisceau
postérieur. J. Commissure antérieure. PLANCHE
che. L. Cavité pathologique de la corne antérieure droite. ,Il.
Faisceau
latéral. Figure 18. MYÉLITE CAVITAIRE. -- Rég
L. Partie moins altérée de la même plaque. M. Zone sclérosée du
faisceau
postérieur. Ces deux préparations sont prises
llon antérieur. H. Faisceau postérieur sain. I. Zone respectée du
faisceau
antéro-latéral droit. J. Plaque sclérosée du
espectée du faisceau antéro-latéral droit. J. Plaque sclérosée du
faisceau
antérieur gauche. K. Partie de la corne gauch
r la plaque de sclérose. L. Partie de cette plaque située dans le
faisceau
lat. gauche. M. Zone sclérosée du faisceau po
plaque située dans le faisceau lat. gauche. M. Zone sclérosée du
faisceau
postérieur. N. Zone sclérosée du faisceau l
M. Zone sclérosée du faisceau postérieur. N. Zone sclérosée du
faisceau
latéral droit. Figure 24. SCLÉROSE EN PLAQU
on latéral sain. J. Zone très altérée du cordon postérieur. IC.
Faisceau
latéral gauche sclé- rosé. G-61. Partie sclér
. Partie sclérosée des cor- dons antérieurs. N. Zone sclérosée du
faisceau
latéral gauche. Les figures 23, 25 et 26 repr
La sclérose occupe les cordons postérieurs et la presque totalité des
faisceaux
anléro- latéraux. A. Corne antérieure. B. C
ne du cordon latéral. K. Partie saine du cordon anté- rieur. L.
Faisceau
de Gowers sclérosé. if. Faisceau cérébelleux sc
aine du cordon anté- rieur. L. Faisceau de Gowers sclérosé. if.
Faisceau
cérébelleux sclérosé. N. Faisceau postérieur sc
aisceau cérébelleux sclérosé. N. Faisceau postérieur sclérosé. 0.
Faisceau
pyramidal sclérosé. FIGURE 32. SCLÉROSE COMBI
sure antérieure. G. Sillon postérieur. Il. Sillon antérieur. 1.
Faisceau
antérieur respecté. J. Faisceau de Gowers sclér
. Faisceau de Gowers sclérosé. K. Faisceau pyramidal sclérosé. L.
Faisceau
postérieur sclérosé. M. Zone de Westphal respec
e et colorée par la méthode au carmin. On y voit la dégénération du
faisceau
pyramidal direct et du faisceau pyramidal croisé
armin. On y voit la dégénération du faisceau pyramidal direct et du
faisceau
pyramidal croisé correspondant. 1 A. Corne an
e antérieure. G. Sillon antérieur. H. Cordon antérieur sain. I.
Faisceau
postérieur sain. J. Faisceau cérébelleux direct
croisé dégénéré. J. Faisceau pyramidal direct dé- généré. K'.
Faisceau
symétrique in- demne. FIGURE 34. DÉGÉNÉRATI
orée par la méthode de Pall. On voit la dégénération portant sur le
faisceau
pyramidal. A. Corne antérieure. B. Corne post
sure antérieure. G. Sillon antérieur. H. Faisceau antérieur. I.
Faisceau
postérieur sain. J. Faisceau cérébelleux direct
érébelleux direct sain. K. Faisceau pyramidal dégé- nère. K'.
Faisceau
symétrique in- demne. Les pièces qui ont four
égie et contracture secondaire, liée à la dégénération consécutive du
faisceau
pyra- midal. PLANCHE XVIII Figure 35. DÉG
t. La dégénération plus ancienne est très prononcée à gauche, où le
faisceau
pyramidal croisé et le faisceau pyramidal direc
est très prononcée à gauche, où le faisceau pyramidal croisé et le
faisceau
pyramidal direct sont très affectés; elle est à p
dal direct sont très affectés; elle est à peine marquée sur le seul
faisceau
pyramidal croisé droit. A. Corne antérieure.
r. H. Faisceau pyramidal croisé gauche tout à fait dégénéré. I.
Faisceau
pyramidal direct dé- généré. J. Faisceau pyra
E DESCENDANTE. - Région cervicale. La figure représente un point du
faisceau
pyramidal croisé gauche dégénéré, de la prépara
t. La dégénération plus ancienne est très prononcée à gauche, où le
faisceau
pyramidal croisé et le faisceau pyramidal direc
est très prononcée à gauche, où le faisceau pyramidal croisé et le
faisceau
pyramidal direct sont très affectés; elle est à p
dal direct sont très affectés; elle est à peine marquée sur le seul
faisceau
pyramidal croisé droit. .ri. Corne antérieure.
G. Sillon postérieur. H. Faisceau de Turck droit dé- généré. I.
Faisceau
pyramidal gauche dégénéré. J. Faisceau pyrami
AIRE DESCENDANTE. Région dorsale. La préparation montre un point du
faisceau
pyramidal gauche dégénéré, coupé longi- tudinal
issement. On ne distingue guère que du tissu fibrillaire disposé en
faisceaux
plus ou moins ondulés. A-A. Faisceaux scléreux.
r le plus ancien (droit) correspond la dégénération très accusée du
faisceau
pyramidal gauche. PLANCHE XX Figure 39. DÉG
êmement intense sur les cordons de Goll, et à peine marquée sur les
faisceaux
cérébelleux directs, et de Gowers. A. Corne ant
postérieure. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieur. Il.
Faisceau
pyramidal intact. I. Faisceau postérieur normal
érieure. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau pyramidal intact. I.
Faisceau
postérieur normal. J. Cordon de Goll dégénéré.
I. Faisceau postérieur normal. J. Cordon de Goll dégénéré. IC.
Faisceau
cérébelleux direct peu altéré. FIGURE 40. D
ar la méthode de Weigert. La dégénération occupe symétriquement les
faisceaux
pyramidaux croisés. A. Corne antérieure. B. C
térieur. ? Racine antérieure. /. Cordon postérieur indemne. .1-J.
Faisceaux
pyramidaux dé- générés. IL Partie respectée d
.1-J. Faisceaux pyramidaux dé- générés. IL Partie respectée du
faisceau
Il anléro-latéral. PLANCHE XXI Figure 41.
ode de Weigert. La dégénération siège dans les cordons de Goll, les
faisceaux
cérébelleux directs et de Gowers. A. Corne an
Commissure antérieure. G. Sillon antérieur. H. Partie indemne du
faisceau
antéro-latéral. 1. Partie indemne du faisceau
. Partie indemne du faisceau antéro-latéral. 1. Partie indemne du
faisceau
postérieur. J. Faisceau de Gowers dégénéré.
de Gowers dégénéré. K. Faisceau cérébelleux direct dégénéré. L.
Faisceau
de Goll dégénéré. Figure 42. DÉGÉNÉRATION SEC
sains. D. Cavité d'un vaisseau altéré. E. Paroi épaissie du môme
faisceau
. Les préparations qui ont fourni les planches X
es cornes antérieures, et la légère dégénération correspondante des
faisceaux
pyramidaux. A-.4'. Cornes antérieures alté- r
re antérieure. G. Sillon antérieur. II-II. Parties indemnes des
faisceaux
antéro-latéraux. J. Faisceau postérieur. J-J.
les lésions des cornes antérieures et la dégénéralion secondaire des
faisceaux
pyramidaux. A. Région peu altérée. A'. Régi
G. Sillon antérieur. II. Cordon postérieur. 1. Partie indemne du
faisceau
antéro-latéral. J. Faisceau cérébelleux indem
faisceau antéro-latéral. J. Faisceau cérébelleux indemne. K-K'.
Faisceaux
pyramidaux dégénérés. Les préparations qui no
postérieure. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieur. Il.
Faisceau
postérieur. /. Faisceau antéro-latéral. J. Ra
re antérieure. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau postérieur. /.
Faisceau
antéro-latéral. J. Racines antérieures. PLANC
on de Goll respecté. I. Zone de Lissauer et zone pos- térieure du
faisceau
de Bur- dach indemne. .1. Zone de Westphal no
antérieure. F. Commissure postérieure. G. Sillon antérieur. Il.
Faisceau
latéral. - I. Zone antéro-externe de West- ph
t. Cas classique dans lequel on voit la sclérose presque totale des
faisceaux
postérieurs. A. Corne antérieure. B. Corne po
antérieure. F. Commissure postérieure. G. Sillon antérieur. Il.
Faisceau
antéro-latéral. I. Cordon postérieur sclérosé.
llon postérieur. G. Sillon antérieur. H. Faisceau antérieur. 1.
Faisceau
latéral. J. Zone antéro-externe de West- phal
ontre-t-elle surtout les lésions secondaires du cordon de Goll, les
faisceaux
de Burdach étant relativement peu altérés. A. C
sure antérieure. G. Sillon antérieur. R. Faisceau antérieur. I.
Faisceau
latéral. J. Faisceau de Burdach. K. Cordon de
eur. G. Cordon latéral. IL Zone de Westphal moins altérée. I.
Faisceau
de Burdach altéré. J. Zone de Lissaüer altérée.
elle de la figure précédente, a épargné la partie posté- rieure des
faisceaux
de Burdach, et les zones de Lissauer. Seul le cor
postérieure. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieur. IL
Faisceau
latéral. I. Zone antérieure de Westphal. J. Z
nes de Lissaüer indemnes se confondant avec la zone postérieure des
faisceaux
de Bur- dach. J7. Zone antéro-externe de West
icale supérieure et colorée par la méthode de Pall. La sclérose des
faisceaux
pyramidaux est très nettement dessinée. A. Corn
orée par la méthode de Pall. La lésion est visible dans la zone des
faisceaux
pyramidaux. A. Corne antérieure. B. Corne pos
Figure 62. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT).
Faisceaux
pyramidaux. La figure représente un point de la
yramidaux. La figure représente un point de la région sclérosée des
faisceaux
latéraux colorée au picrocarmin, vue à un gross
ar la méthode de Pall. La lésion est strictement cantonnée dans les
faisceaux
pyramidaux et les cornes anté- rieures. A. Co
lorée par la méthode de Pall. La lésion occupe toujours la zone des
faisceaux
pyramidaux, elle se remarque aussi dans la régi
Figure 66. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT).
Faisceau
pyramidal. Coupe longitudinale de la région scl
eu de développement du manteau blanc de la moelle, et notamment des
faisceaux
postérieurs, et des faisceaux pyramidaux. Ces der
blanc de la moelle, et notamment des faisceaux postérieurs, et des
faisceaux
pyramidaux. Ces derniers n'existent pas encore.
J, Partie fondamentale du fais- ceau antéro-latéral. 1. Région du
faisceau
pyramidal. FIGURE 68. MOELLE DE FOETUS DE CIN
la méthode de Weigert. L'absence presque complète de la myéline des
faisceaux
pyramidaux est très nettement visible, ainsi qu
x est très nettement visible, ainsi que le faible développement des
faisceaux
de Burdach. A. Corne antérieure. a-a-a. Cellu
ieur. Il. Partie fondamentale des cor- dons antéro-latéraux. 1.
Faisceau
pyramidal croisé. J. Cordon cérébelleux direct.
J. Cordon cérébelleux direct. K. Faisceau pyramidal direct. L.
Faisceau
de Burdach. ,Il. Faisceau de Goll. Nous avons
ect. K. Faisceau pyramidal direct. L. Faisceau de Burdach. ,Il.
Faisceau
de Goll. Nous avons reproduit ici ces préparati
t beaucoup plus accentuée dans les cordons postérieurs que dans les
faisceaux
latéraux où elle occupe les faisceaux pyramidaux,
dons postérieurs que dans les faisceaux latéraux où elle occupe les
faisceaux
pyramidaux, cérébelleux directs, et une petite
es faisceaux pyramidaux, cérébelleux directs, et une petite zone du
faisceau
de Gowers. A. Corne antérieure. B. Corne post
e fondamentale du fais- ceau antéro-latéral. 1. Zone sclérosée du
faisceau
de Gowers. J. Colonne de Clarke altérée. K.
rée. K. Faisceau pyramidal altéré. L. Cordon postérieur altéré.
M. Faisceau
cérébelleux direct altéré. Figure 70. MALAD
au cérébelleux direct altéré. Figure 70. MALADIE DE FRIEDREICH.
Faisceau
pyramidal. La préparation montre un point du fa
E FRIEDREICH. Faisceau pyramidal. La préparation montre un point du
faisceau
pyramidal faisant partie de la coupe représenté
ndemne. J. Zone de Lissauer peu altérée. K. Partie non altérée du
faisceau
latéral. L. Partie altérée du faisceau de G
K. Partie non altérée du faisceau latéral. L. Partie altérée du
faisceau
de Gowers. ill. Faisceau pyramidal altéré.
isceau latéral. L. Partie altérée du faisceau de Gowers. ill.
Faisceau
pyramidal altéré. If. Faisceau cérébelleux dire
érée du faisceau de Gowers. ill. Faisceau pyramidal altéré. If.
Faisceau
cérébelleux direct altéré. 0. Faisceau de Gol
au pyramidal altéré. If. Faisceau cérébelleux direct altéré. 0.
Faisceau
de Goll altéré. P. Faisceau de Burdach altéré.
sceau cérébelleux direct altéré. 0. Faisceau de Goll altéré. P.
Faisceau
de Burdach altéré. FIGURE 72. MALADIE DE FRIE
MALADIE DE FRIEDREICH. Vue à un fort grossissement d'une partie du
faisceau
de Burdach sclérosé, coloré par la méthode de P
. Faisceau pyramidal. K. Faisceau cérébelleux direct altéré. L.
Faisceau
postérieur altéré. Figure 74. MALADIE DE FRIE
et relativement considérable, ainsi que la sclérose secondaire des
faisceaux
pyramidaux. A. Corne antérieure. B. Corne pos
sure antérieure. G. Faisceau postérieur. IL Partie non altérée du
faisceau
latéral. I. Cavité pathologique. J. Paroi de
pathologique. J. Paroi de la cavité. IL Substance du gliome. L.
Faisceau
pyramidal dégénéré. FIGURE 76. SYRINGOMYÉLIE
sure antérieure. G. Cordon postérieur. 11. Partie non altérée des
faisceaux
latéraux. I. Cavité pathologique. J. Paroi de
pathologique. J. Paroi de la cavité. K. Substance du gliome. L.
Faisceau
pyramidal dégénéré. PLANCHE XXXIX Figure 77.
Sillon postérieur. E. Sillon antérieur. F. Partie non altérée du
faisceau
latéral. G. Faisceau postérieur. IL Cavité pa
e antérieure. J. Paroi de la cavité. K. Substance du glieme. L.
Faisceau
pyramidal altéré. FIGURE 78. SYRINGOMYÉLIE GL
. Racine postérieure. C. Sillon postérieur. D. Partie restante du
faisceau
antéro-latéral. E. Cordon postérieur. F. Fais
postérieur. E. Commissure antérieure. F. Sillon antérieur. (1.
Faisceau
antérieur. IL Cavité pathologique. Il'. Canal
sceau antérieur. IL Cavité pathologique. Il'. Canal central. /.
Faisceau
latéral. J. Paroi de la cavité. K. Masse glio
algré retendue de la lésion, il n'y a pas de dégénération nette des
faisceaux
blancs. A. Corne antérieure. B. Corne postéri
orne antérieure. B. Corne postérieure. C. Cordon postérieur. D.
Faisceau
antérieur. E. Faisceau latéral. F. Sillon ant
les deux énormes masses gliomaleuses non excavées situées dans les
faisceaux
antéro-latéraux et qui ont relativement épargné l
substance grise. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C.
Faisceau
antérieur. Û. Rariue postérieure. E. Sillon a
stance du gliome central. K-K. Masses gliomateuses situées dans les
faisceaux
antéro-latéraux. Cette coupe provient de la c
de substance gliomateuse, et il existe une sclérose remarquable des
faisceaux
pyramidaux directs et croisés. A. Corne antérie
postérieure. G. Sillon antérieur. IL Processus réticulaire. I.
Faisceau
cérébelleux direct indemne. J. Faisceau pyram
u de la partie intermédiaire entre les deux cornes. La sclérose des
faisceaux
pyramidaux est également manifeste. .1. Corne a
érieur. E. Sillon antérieur. F. Faisceau cérébelleux direct. n.
Faisceau
postérieur. Il. Cavité pathologique. 1". Subs
Sillon antérieur. F. Cordon antérieur. G. Faisceau latéral. Il.
Faisceau
postérieur. J. Tumeur. Les pièces de tumeur d
lle Iconographie de la Salpélrière, 1890). Sur la morphologie des
faisceaux
neuro-musculaires, en collaboration avec M. Marln
nerveux allant jusqu'à la ligne médiane. A F, relief longitudinal du
faisceau
moyen de la moelle allongée le long de la ligne m
rifice du ven-tricule de la moelle, ft, corps rhomboïdal. X, corps ou
faisceau
resti-forme. Y, pyramides postérieures; le sommet
ides se continue à droite et à gauche de la ligne médiane en un petit
faisceau
distinct qu'on peut suivre jusque dans la région
ZZZZ, lignes d'origine des racines postérieures des nerfs spinaux. M,
faisceau
latéral de la moelle épinière. FIGURE 3e. Cet
. de faire voir sur la face latérale fie la moelle épinière un petit
faisceau
qu'on peut suivre sans interruption depuis l'ex
leux, qu'il pénètre. Dans la moelle épinière du nouveau-né ce petit
faisceau
se distingue, par sa couleur franchement blanche,
cérébelleux. B, lobule céré-belleux auquel tient le nerf auditif. R,
faisceau
externe du pédoncule céré-belleux. Cette région d
n oblique a été relevé pour laisser voir, en h, l'endroit où le petit
faisceau
latéral de la moelle épinière entre dans le pédon
le pédoncule cérébelleux. E , protubérance annulaire. H hf h', petit
faisceau
latéral de la moelle épinière. V, éminence olivai
eprésente une vue postérieure de la moelle épinière, sur laquelle les
faisceaux
restiformes ont été coupés de chaque côté du cala
section jusqu'à l'extrémité de la région lom-baire de la moelle, ces
faisceaux
postérieurs ont été enlevés jusqu'à l'axe de la m
coupe du pédon-cule cérébelleux. C, coupe du corps restiforme Y'. A,
faisceau
latéral saillant à la surface du plancher du vent
à l'extrémité du renflement lombaire on voit se prolonger deux petits
faisceaux
conjugués sur la ligne médiane. Ces petits faisce
nger deux petits faisceaux conjugués sur la ligne médiane. Ces petits
faisceaux
font partie de l'axe de la moelle épinière. Dans
sversales qui vont de l'axe aux parties excentriques de la moelle. E,
faisceau
latéral. J J, renflement brachial. J'J' , renflem
te figure est destinée principalement à faire voir la continuation du
faisceau
postérieur de la moelle épinière dans le faisceau
la continuation du faisceau postérieur de la moelle épinière dans le
faisceau
restiforme de la moelle allongée ; la continuatio
ontinuité de cette région postérieure du tronçon pédonculaire avec le
faisceau
postérieur de la moelle, on a coupé le pédoncule
qui forment la région externe du pédoncule cérébelleux. U', coupe des
faisceaux
internes du pédoncule cérébelleux. H, nerf de la
cule cérébelleux. H, nerf de la cinquième paire prolongé à travers le
faisceau
externe du pédoncule cérébelleux jusqu'au faiscea
longé à travers le faisceau externe du pédoncule cérébelleux jusqu'au
faisceau
postérieur de la moelle allongée avec lequel il s
érieurs de la protubérance annulaire. Y, E, U', diverses régions du
faisceau
postérieur. H, fascicules pas-sant du faisceau po
', diverses régions du faisceau postérieur. H, fascicules pas-sant du
faisceau
postérieur dans les arcs transverses les plus éle
, petite portion de ce nerf. R R', grosse racine de ce nerf allant au
faisceau
postérieur et à Ja protubérance. QQ/ couches fibr
vert sur la ligne médiane.NN, Région fasciculée du pédoncule. UU' U",
faisceau
interne, faisceau moyen, faisceau externe du pédo
médiane.NN, Région fasciculée du pédoncule. UU' U", faisceau interne,
faisceau
moyen, faisceau externe du pédoncule cérébelleux.
on fasciculée du pédoncule. UU' U", faisceau interne, faisceau moyen,
faisceau
externe du pédoncule cérébelleux. E, racine de l'
antérieure gauche passés dans le côté droit de la moelle épinière. B,
faisceau
antérieur. B' faisceau latéral de cette moelle.
s dans le côté droit de la moelle épinière. B, faisceau antérieur. B'
faisceau
latéral de cette moelle. FIGURE 6e. Cette fig
er avec leur congénères et remonter après cet entrecroisement dans le
faisceau
moyen de l'autre côté qu'ils constituent. K, chia
ique, couche optique, corps géniculés. M, éminences mamillaires. NN',
faisceaux
de la région fasciculée du pédoncule. W, pyramide
lée du pédoncule. W, pyramide antérieure. V, éminence olivaire. Y, Z,
faisceau
postérieur. 0, noyau cérébelleux. PL.2 PL. 3
, coupe du chiasma. K', tuber cinereum. M, éminence mamillaire. U U',
faisceau
postérieur de la moelle épinière. P, faisceau moy
nence mamillaire. U U', faisceau postérieur de la moelle épinière. P,
faisceau
moyen. N, région fasciculée du pédon-cule cérébra
u moyen. N, région fasciculée du pédon-cule cérébral faisant suite au
faisceau
antérieur de la moelle. E, e, divi-sion de cette
uadrijumeaux. G, aqueduc de Sylvius. F, valvule de Vieussens. U U U',
faisceau
postérieur de la moelle allongée. B, fais-ceau an
deux moitiés de la moelle allongée. On voit en C" la coupe d'un gros
faisceau
d'entrecroisement de la pyramide antérieure. Au-d
yramide antérieure. Au-des-sus du signe on voit également la coupe de
faisceaux
assez gros qui s'entrecroisaient dans cette régio
ciculée du pédoncule droit au niveau du tractus optique. U, débris du
faisceau
pos-térieur. 0 0, fibres du faisceau moyen. Ces f
du tractus optique. U, débris du faisceau pos-térieur. 0 0, fibres du
faisceau
moyen. Ces fibres, qui procèdent par en-trecroise
e côté se portent de la ligne médiane en dehors et en arrière dans le
faisceau
moyen de la moelle épi-nière. V, olive. X Y, corp
figure on a enlevé en arrière de la région fasciculée du pédoncule le
faisceau
moyen et le faisceau postérieur du tronçon pédonc
arrière de la région fasciculée du pédoncule le faisceau moyen et le
faisceau
postérieur du tronçon pédonculaire. Cette séparat
ée en contact avec le corps noir de Sœmmering. N'', coupe de quelques
faisceaux
de la région fasciculée qui s'entrecroisaient sur
et à gauche, en dehors de ce raphé, une gouttière que remplissait le
faisceau
latéral ou moyen. P, bord externe de la protubéra
FIGURE 5e. En même temps qu'elle montre en dehors la séparation du
faisceau
moyen, indiqué par les lettres A A A, d'avec le f
éparation du faisceau moyen, indiqué par les lettres A A A, d'avec le
faisceau
postérieur, dont les lettres YYSD marquent différ
quent différentes régions, cette figure fait voir en A' des fibres du
faisceau
moyen détournées dans la protubérance et for-mant
cette figure la combinaison dans l'épaisseur de la protubé-rance des
faisceaux
W N" de la région fasciculée du pédoncule cérébra
sceaux W N" de la région fasciculée du pédoncule cérébral N, avec les
faisceaux
de la région fasciculée du pédoncule cérébelleux
eprésente un cervelet renversé. La protubérance est en haut; tous les
faisceaux
qui de la moelle épinière se prolongeaient dans c
l s'engage la pyramide antérieure. 2, canal dans lequel s'engage le
faisceau
latéral de la moelle allongée. 3, canal dans le
eau latéral de la moelle allongée. 3, canal dans lequel s'engage le
faisceau
postérieur (corps restiforme) F F, nerfs de la se
les étaient attachés les lobules digastriques. A, face postérieure du
faisceau
externe du pédoncule cérébelleux du côté gauche.
ex-terne de ce pédoncule. A' A' A', ramifications périphériques de ce
faisceau
. T, corps rhomboïdal du côté gauche mis à découve
t l'arbre de vie des éminences vermiformes dont la tige appartient au
faisceau
antérieur interne du pédoncule cérébelleux. La su
ingue dans le tronc de l'arbre de vie des éminences vermiformes trois
faisceaux
qui se portent dans la direction des tubercules q
ans la direction des tubercules quadrijumeaux. Le plus interne de ces
faisceaux
, n° l, se porte de la couche fibreuse à laquelle
B indiquent une membrane nerveuse très-délicate qui, de la surface du
faisceau
antérieur du pédoncule cérébelleux, se porte sous
hors le pédon-cule cérébelleux pour s'unir au trijumeau. F, relief du
faisceau
moyen de la moelle allongée à la surface du planc
cher ventriculaire. X, pyra-mide postérieure, Y, corps restiforme. I,
faisceau
latéral de la moelle épinière. FIGURE 3. Le c
tte figure est destinée à montrer le prolonge-ment dans une partie du
faisceau
antérieur du pédoncule cérébelleux de la tige fib
erne du pédoncule cérébelleux antérieur. 0' 0' 0', prolongement de ce
faisceau
dans les tiges des lobules adjacents au nerf andi
nerf dans le noyau cé-rébelleux. H", Prolongement de ce nerf dans le
faisceau
restiforme. h, émanations de ce prolongement alla
rticale. De cette manière, les rayonnements les plus su-perficiels du
faisceau
externe du pédoncule cérébelleux ont été mis à dé
antérieur ; en Q, la coupe du fais-ceau postérieur; en P, la coupe du
faisceau
moyen, séparée comme le fais-ceau postérieur par
rforé, dont la face adhérente se voit en A. M, éminence mamillaire et
faisceau
qui de cette éminence se prolonge sous la coque s
t du lobe temporal de la grande circonvolution de deuxième ordre. -+-
faisceaux
obliques des côtés de la protubérance venant du c
du cer-velet. P, protubérance. N, région fasciculée du pédoncule. Y,
faisceau
moyen. X X', deux régions distinctes du faisceau
lée du pédoncule. Y, faisceau moyen. X X', deux régions distinctes du
faisceau
postérieur. Y, couche blanche qui sépare ces deux
faisceau postérieur. Y, couche blanche qui sépare ces deux régions du
faisceau
postérieur l'une de l'au-tre, et la plus interne
gions du faisceau postérieur l'une de l'au-tre, et la plus interne du
faisceau
moyen. Sur la ligne médiane à la hauteur d'Y, o
-né , tenant à la protubérance coupée en travers. P, protubérance. V,
faisceau
moyen. Y, faisceau postérieur. A, ventricule céré
rotubérance coupée en travers. P, protubérance. V, faisceau moyen. Y,
faisceau
postérieur. A, ventricule cérébelleux. B, portion
-tricule. N L, saillie centrale des faces latérales du noyau. R',
faisceau
fibreux qui se porte de cette saillie centrale da
ée pour mon-trer dans une vue d'ensemble les connexions distinctes du
faisceau
pos-térieur et du faisceau antérieur de la moelle
ue d'ensemble les connexions distinctes du faisceau pos-térieur et du
faisceau
antérieur de la moelle avec différentes régions d
représente notre figure. P', bulbe rachidien. P , protubérance. Le
faisceau
postérieur de la moelle se prolonge de Y Y' en G
ments, dans les parties supé-rieures du cervelet, de cette portion du
faisceau
postérieur qu'on appelle le corps restiforme. q q
essus ad testes bientôt réuni en G avec les prolongements di-rects du
faisceau
postérieur Y'. On voit en— des prolongements radi
ements radiculaires du nerf optique prolongés dans la di-rection G du
faisceau
postérieur, ou bien les fibres de ce faisceau pro
dans la di-rection G du faisceau postérieur, ou bien les fibres de ce
faisceau
prolon-gées de G en L dans les racines du nerf op
ntriculaires enlevés pour laisser voir derrière G L, prolongements du
faisceau
postérieur de la moelle N N', les prolongements d
ts du faisceau postérieur de la moelle N N', les prolongements de son
faisceau
antérieur. I, nerf olfactif. Z, por-tion de la su
re perforé sont disséqués de manière à montrer les rapports des trois
faisceaux
qui entrent dans la composition du pédoncule, et
entrent dans la composition du pédoncule, et des prolongements de ces
faisceaux
avec le quadrilatère. N, région fasciculée du p
aux avec le quadrilatère. N, région fasciculée du pédoncule. M, son
faisceau
moyen retourné dans le quadrilatère, où il est ca
e, où il est caché par le tractus optique et les racines grises. P,
faisceau
postérieur, se retournant sur l'arête interne du
t sur l'arête interne du quadrilatère perforé. P', prolongement de ce
faisceau
à la partie moyenne de l'espace perforé. On voi
+ des fibres de la saillie centrale S rattachées à la bran-che P' du
faisceau
postérieur. 0, commissure antérieure. TT, fibres
rieur. 0, commissure antérieure. TT, fibres qui, des prolongements du
faisceau
postérieur et du faisceau moyen dans la région de
ieure. TT, fibres qui, des prolongements du faisceau postérieur et du
faisceau
moyen dans la région de l'espace perforé, se port
des mêmes éléments que dans la précédente. N, région fasciculée. M,
faisceau
moyen. P, faisceau postérieur pro-longé en P' dan
que dans la précédente. N, région fasciculée. M, faisceau moyen. P,
faisceau
postérieur pro-longé en P' dans l'espace perforé,
r r, radicules blanches de l'olfactif rat-tachées à la branche P' du
faisceau
postérieur. On voit, de plus que dans la figure
les précédentes, N désigne la région fas-ciculée du pédoncule; M, son
faisceau
moyen; P, une branche du fais-ceau postérieur dét
'espace perforé. L'on voit en B un prolongement de cette branche du
faisceau
dans le crochet de la tubérosité temporale ; en V
à leur sortie du corps strié. FIGURE 7e. N, région fasciculée. M,
faisceau
moyen. P P, faisceau postérieur. P7, prolongement
s strié. FIGURE 7e. N, région fasciculée. M, faisceau moyen. P P,
faisceau
postérieur. P7, prolongement de ce faisceau dans
. M, faisceau moyen. P P, faisceau postérieur. P7, prolongement de ce
faisceau
dans l'espace perforé. 0 , angle antérieur de la
space perforé. 0 , angle antérieur de la couche optique rattaché à ce
faisceau
postérieur. A A A, bandelette demi-circulaire éma
faisceau postérieur. A A A, bandelette demi-circulaire émanée du même
faisceau
, séparée de la couche optique, et relevée. R R, r
es lésions et les symptômes. — Mode de propa-gation de la sclérose. —
Faisceaux
radiculaires internes.— Envahissement des cornes
trouve, dans certains points bien déterminés du système nerveux — les
faisceaux
postérieurs de la moelle épinière — des lésions f
ontre toujours, en pareil cas, exactement limitée à la surface de ces
faisceaux
, fournirait encore au besoin un nouvel argument e
on reste confinée, en quelque sorte systématiquement, dans l'aire des
faisceaux
postérieurs, dont elle ne franchit les limites qu
principalement, de reconnaître d'une façon exacte, dans l'aire des
faisceaux
blancs, ou dans les di-vers départements de la su
e qu'on appelle la moelle épinière, il existe, pour ne parler que des
faisceaux
blancs, plusieurs ré-gions répondant à autant d'o
gré l'analogie de composition, sont tout à fait distinctes. Ainsi les
faisceaux
latéraux sont tout à fait distincts physiologique
s faisceaux latéraux sont tout à fait distincts physiologiquement des
faisceaux
postérieurs. Dans la substance grise elle-même, i
es, par exemple, à certains groupes de cellules nerveuses, à certains
faisceaux
de fibres? Il est permis d'en douter. La maladie,
cision ; elle nous permet de constater quel groupe de cellules, quels
faisceaux
de fibres nerveuses ont été irrités, atrophiés ou
locomotrice, n'affecte pas indistinctement toutes les parties de ces
faisceaux
, mais occupe nécessai-rement certaines régions qu
puis longtemps, remarqué que la sclérose fascicidée et ascendante des
faisceaux
postérieurs, telle qu'elle s'observe, par exemple
ysiologie, 1872, p. 364.) — Notes sur un cas de sclérose primitive du
faisceau
médian des cordons postérieurs. {Ibid., 1873, p.
rvicale de la moelle, que par les deux minces bandelettes grises ; le
faisceau
médian était exempt de toute altération (Planchk
-teur de la moelle et à cela se bornait, dans ce cas, la sclérose des
faisceaux
postérieurs. Vous voyez, Messieurs, qu'en somme
gnement d'incoordination motrice ; alors elle peut exister seule, les
faisceaux
de Goll ne présen-tant encore aucune altération.
doute, La vérité est que la sclérose des bandelettes latérales des
faisceaux
postérieurs est la seule lésion constante dans l'
ines spinales postérieures, qu'on dési-gne communément sous le nom de
faisceaux
radiculaires inter- Fig. 5. — A, Racines postér
ces points. 11 est rendu par là très vraisemblable que, en outre des
faisceaux
radiculaires internes, il existe en cette région
ires internes, il existe en cette région des cordons postérieurs, des
faisceaux
de fibres, éta-blissant sans doute, dans le sens
e, que leur lésion produit l'incoordination, tandis que la lésion des
faisceaux
de fibres qui composent les cordons mé-dians ne p
aît pas avoir cet effet. La relation qui existe entre le trajet des
faisceaux
radiculai-res internes et le siège des lésions de
n de Kôlliker, un certain nombre des filets nerveux qui composent les
faisceaux
radiculaires internes se dirigent vers les cornes
ntérieures. — Des symptômes récurrents ou rétrogrades. — Sclérose des
faisceaux
médians postérieurs ; propagation de la sclérose
l'intermédiaire de ce réseau, et non pas d'une façon directe, que les
faisceaux
radiculaires postérieurs entreraient en connexion
dor-sale reste strictement limitée, dans les cordons postérieurs, aux
faisceaux
médians ; telle est du moins la règle ; or, ainsi
insi que nous l'avons démontré dans la dernière séance, la lésion des
faisceaux
médians n'a pas pour effet, lorsqu'elle occupe le
ées, elle envahisse dans cer-tains cas, les bandelettes latérales des
faisceaux
postérieurs, dont la lésion, vous le savez, produ
ose secondaire ascendante de-meure, comme c'est la règle, limitée aux
faisceaux
médians des cordons postérieurs, on n'observe dan
en tant, du moins, que la lésion a envahi le trajet intra-spinal des
faisceaux
radiculaires internes (bandelettes externes des f
-spinal des faisceaux radiculaires internes (bandelettes externes des
faisceaux
postérieurs). Cette réserve était nécessaire. Vou
e réserve était nécessaire. Vous n'avez pas oublié, en effet, que les
faisceaux
médians (cordons de Goll) peuvent être sclérosés
-tent, alors que la lésion scléreuse est restée limitée au trajet des
faisceaux
radiculaires. Seule, la sclérose des rubans exter
ologie de diverses maladies, autres que l'ataxie, dans lesquelles les
faisceaux
postérieurs peuvent être envahis, d'une façon pou
doivent certainement être rattachés, dans ce cas, aux altérations des
faisceaux
pos-térieurs qui, ainsi que l'ont montré M. Magna
gressive. Je ne doute pas que, chez eux, les bandelettes externes des
faisceaux
postérieurs fussent déjà atteintes à l'époque où
l. III, Fi g. 1). Au-dessus et au-dessous de ce rétrécissement, les
faisceaux
blancs, dans le sens des dégénérations secondaire
qui indiquent déjà qu'une cause d'excitation a élu domi-cile dans ses
faisceaux
. Ce sont là, en somme, les premiers symptômes qu'
oiser sur la ligne médiane. 11 y a lieu d'admettre, en outre, que les
faisceaux
qui, après l'entre-croisement, remontent vers l'e
c'est une conséquence facile à prévoir de l'interruption subie par le
faisceau
latéral correspondant, les fibres qui constituent
par le faisceau latéral correspondant, les fibres qui constituent ce
faisceau
ne s'entre-croisant nulle part dans la moelle ave
opposé. J'avais soin de vous faire remarquer tout à l'heure que les
faisceaux
— en supposant que ce soit véritablement des fais
'étendant pas rigoureu-sement jusqu'à la ligne médiane, épargnant des
faisceaux
dont il s'agit, n'aurait pas pour effet de déterm
e la lésion transverse hémilatérale, et du même côté que celle-ci, le
faisceau
latéral soit à un moment donné atteint dans toute
de son extension, pour ainsi dire fatale à un instant donné, soit aux
faisceaux
blancs, soit aux régions postérieures de la subst
es muscles font défaut. D'a-près ce qu'on sait, la majeure partie des
faisceaux
primitifs subirait, dans cette première période,
'examen microscopique fait recon-naître, en effet, un grand nombre de
faisceaux
d'un très pe-tit diamètre qui ont conservé cepend
et qui ne présentent pas traces de granulations graisseuses. D'autres
faisceaux
, encore en grand nombre, entremêlés aux précédent
ux du sarcolemme. On rencontre enfin, çà et là, un troisième ordre de
faisceaux
, le plus souvent en très petit nombre, lesquels o
uses s'accumulent dans les gaînes du sarcolemme et s'y substituent au
faisceau
primitif qui disparaît en totalité ou dont on ne
massent en dehors du sarcolemme dans les intervalles qui séparent les
faisceaux
primitifs !. Ce tissu adipeux interposé est parfo
t être, jusqu'à un cer-tain point, conservés, bien que la plupart des
faisceaux
primi-tifs aient disparu. Il est même des cas — e
là quelques gaines du sarcolemme renfer-ment des amas de noyaux. Ces
faisceaux
primitifs, atrophiés, sont séparés les uns des au
a corne antérieure du côté droit, émaciation consé-cutive de tous les
faisceaux
blancs dans la moitié correspondante de la moelle
imitivement les tubes nerveux qui entrent dans la compo-sition de ces
faisceaux
. Il est des circonstances, d'ailleurs, — et l'o
re, l'extension, observée dans certains cas, du processus morbide aux
faisceaux
antéro-latéraux. La lésion en question des cell
ée de tous les diamètres; mais cette lésion évidemment secondaire des
faisceaux
blancs n'est pas nécessaire. Elle peut faire défa
nd tou-jours, en outre, çà et là, d'une façon inégale, sur les divers
faisceaux
blancs. Le débat s'opère souvent brusquement, e
e lésions inflammatoires qui, intéressant à la fois l'axe gris et les
faisceaux
blancs, n'occupent cependant 1 Observations de
nt de la région dorsale ; la propagation en question se fait dans les
faisceaux
blancs, suivant une loi bien connue, le long des
t dans les faisceaux blancs, suivant une loi bien connue, le long des
faisceaux
latéraux tandis que, dans la substance grise, ce
éropathique : pachyméningite spinale hypertrophi-que ; — sclérose des
faisceaux
postérieurs ; myélite centrale chronique ; hydrom
ure, sur la ligne médiane, de manière à intéresser à la fois les deux
faisceaux
blancs postérieurs, l'autre en partie dans la cor
l'autre en partie dans la corne postérieure droite, en partie dans le
faisceau
postérieur du côté droit. Ces derniers canaux se
érisée anatomiquement par une sclérose qui affecte symétriquement les
faisceaux
latéraux de la moelle épinière, dans toute la hau
tivement développée dans le centre gris envahisse consécutivement les
faisceaux
blancs ; mais je ne crois pas, quant à présent, q
la diminution du nombre ou de l'atrophie plus ou moins pro-noncée des
faisceaux
musculaires. Ce fait contraste avec ce que l'on
éropathiques, en raison de la combinaison habituelle d'une lésion des
faisceaux
blancs avec la lésion de la substance grise, il e
ystématiquement circonscrite dans les cornes grises antérieures : les
faisceaux
blancs sont absolu-ment respectés. La lésion de
e désintégration granuleuse dans l'aire des cornes antérieures. — Les
faisceaux
blancs, et en particulier les faisceaux latéraux,
des cornes antérieures. — Les faisceaux blancs, et en particulier les
faisceaux
latéraux, ne présentent pas la moindre trace d-al
par la voie des racines nerveuses et des nerfs centrifuges, jusqu'aux
faisceaux
musculaires qui, sous cette influence, subissent
ai seulement que l'atrophie granulo-graisseuse d'un certain nombre de
faisceaux
est le fait qui avait frappé surtout les premiers
avec raison que beaucoup des granulations qui ap-paraissent dans les
faisceaux
ne sont pas de nature graisseuse, puisqu'elles se
'ailleurs, que la graisse ne prend pas naissance seulement au sein du
faisceau
musculaire, mais qu'elle envahit aussi parfois le
granulo-protéique, de même que la dégénération granulo-graisseuse des
faisceaux
musculaires n'est qu'un phénomène accessoire. C'e
rière. Le fait capital, dans l'espèce, c'est une atrophie simple du
faisceau
musculaire avec conservation delastriation en tra
ée des éléments cellulaires du sar-colemme. Dans un certain nombre de
faisceaux
musculaires, la multiplication peut être poussée
oppement de la moelle épinière. — Formation des cordons latéraux, des
faisceaux
de Col] et des faisceaux de Tiirck. Sclérose laté
nière. — Formation des cordons latéraux, des faisceaux de Col] et des
faisceaux
de Tiirck. Sclérose latérale consécutive à une lé
cornes antérieu-res, soit la substance grise postérieure, soit divers
faisceaux
blancs. Nous sommes convenus, vous ne l'avez pa
stance grise antérieure avec une sclérose symétrique et primitive des
faisceaux
blancs latéraux. 1. Envisageons, tout d'abord
en premier lieu, dans la description de cette singu-lière lésion des
faisceaux
blancs. Rien n'est plus original assu-rément et p
on circonscrite en quelque sorte géomé-triquement dans une région des
faisceaux
blancs qui à l'état normal, du moins chez l'adult
extra-utérine, un système à part, distinct anatomiquement des autres
faisceaux
de la moelle épinière. C'est là, Messieurs, un
ntreront, chez l'adulte, pour une bonne part dans la constitution des
faisceaux
anléro-latéraux ; les autres s'appellent zones ra
zones radiculaires postérieures (Fig. 12, tt). Avec l'adjonction des
faisceaux
de Goll, non encore développés à cette époque,
qu'on dési-gne d'ordinaire sous le nom de cordons postérieurs. Les
faisceaux
latéraux n'existent pas encore ; on les voit appa
pare les zones radiculaires antérieures. Elle est relative aux petits
faisceaux
que j'ai proposé de désigner sous Fig. 13. — Co
main âgé de deux mois. — a, b, c, etc., comme dans la figure 12. — l,
faisceau
latéral. — m, développement des faisceaux de Goll
omme dans la figure 12. — l, faisceau latéral. — m, développement des
faisceaux
de Goll. — n, dé-veloppement des faisceaux de Tiï
al. — m, développement des faisceaux de Goll. — n, dé-veloppement des
faisceaux
de Tiïrck (faisceaux antérieurs). le nom de fai
t des faisceaux de Goll. — n, dé-veloppement des faisceaux de Tiïrck (
faisceaux
antérieurs). le nom de faisceaux de Tùrck (Fia.
loppement des faisceaux de Tiïrck (faisceaux antérieurs). le nom de
faisceaux
de Tùrck (Fia. 14, 15, n}) et qui ne peu-vent êtr
moins intimes, com-poseront, à une époque plus avancée de la vie, les
faisceaux
antéro-latéraux tels qu'on les connaît chez l'adu
x antéro-latéraux tels qu'on les connaît chez l'adulte. B. Mais les
faisceaux
latéraux devant, seuls nous occuper au-jourd'hui,
la naissance, chez le nouveau né on reconnaît encore, dans l'aire des
faisceaux
blancs, à certains caractères histologiques qui a
éveloppement relati-vement moins avancé, la région qui appartient aux
faisceaux
latéraux proprement dits. Cette région se voit en
15 semaines. — Môme signification des lettres. plus postérieure du
faisceau
anléro-laléral. Dans cet espace, la substance bla
le jeune enfant, à l'extérieur de la moelle une séparation entre les
faisceaux
latéraux proprement dits et les faisceaux antérie
le une séparation entre les faisceaux latéraux proprement dits et les
faisceaux
antérieurs. Mais, chez l'adulte, toute distinctio
de reconnaître que, même chez lui, les ré-gions qui correspondent aux
faisceaux
latéraux sont marquées encore par le diamètre rel
èdent, sans conteste, dans les premiers temps de la vie au moins, les
faisceaux
latéraux de la moelle épinière ; je dois compléte
de l'isthme de l'en-céphale et du bulbe qui sont en relation avec les
faisceaux
laté-raux se distinguent, comme ceux-ci, chez le
ccompli au moment de la naissance. L'individualité, l'autonomie des
faisceaux
latéraux, déjà ren-due manifeste par les considér
certains départements de l'encéphale, toute une moitié du système des
faisceaux
latéraux subit isolément, à la fois dans le pédon
lle occupe dans la moelle le côté opposé. Cette lésion du système des
faisceaux
latéraux est, en pareil cas, absolument isolée ;
nément les points correspondants des deux hémisphères, le système des
faisceaux
latéraux serait naturellement lésé des deux côtés
tive à une lésion cérébrale. Mais la sclérose symétrique totale des
faisceaux
latéraux peut survenir protopathiquement, primiti
tération de la substance grise s'associe à la sclérose symétrique des
faisceaux
latéraux. Or, la combinaison de ces deux ordres d
s occuper successivement : 1° des lésions que présente le système des
faisceaux
latéraux dans les diverses régions de la moelle,
IV, Fig. 1, 2,3; Pl. Y, Fig. 1 et 2). Toutes les autres parties des
faisceaux
blancs sont respec-tées, à l'exception des petits
rties des faisceaux blancs sont respec-tées, à l'exception des petits
faisceaux
de Tiïrck qui, dans cer-tains cas, sont lésés sym
aux de Tiïrck qui, dans cer-tains cas, sont lésés symétriquement. Ces
faisceaux
, je le rap- l'isthme de l'encéphale ; — 2° des
la pelle en passant, paraissent appartenir au même système que les
faisceaux
latéraux. b) A la région dorsale, la lésion est
tant que les fibres, provenant des pyramides, sont encore réunies en
faisceaux
; mais, plus haut encore, lorsque ces fibres se d
érieures sclérosées. Voilà pour ce qui concerne les altérations des
faisceaux
blancs. Il importe de relever actuellement, Messi
des lésions musculaires consécutives. nière, de même que celles des
faisceaux
blancs, ont leur pen-dant dans le bulbe. Vous n'i
abio-glosso-laryngée. souvent. Dans ces diverses circonstances, les
faisceaux
mus-culaires y sont atrophiés. Cette conservation
eux ordres: les uns sont en relation avec l'altération symétrique des
faisceaux
latéraux ; les autres relèvent de la lésion conco
surabondamment que c'est bien la sclérose symétrique et primitive des
faisceaux
la-téraux avec lésions concomitantes de la substa
le en est la conséquence ; — d) enfin, dans la sclérose primitive des
faisceaux
latéraux sans atrophie musculaire. 2° La parési
a lésion de la substance grise vient-elle se combiner à la lésion des
faisceaux
blancs? S'agit-il d'une simple propagation par
, vous le savez, établis-sent normalement une communication entre les
faisceaux
la-téraux et les cornes antérieures. Le système
e les faisceaux la-téraux et les cornes antérieures. Le système des
faisceaux
latéraux tend à s'affecter dans son entier et cel
qui est en rapport avec les membres inférieurs ; enfin le groupe des
faisceaux
cérébro-bulbaires est envahi à son tour. Il est
des symptômes parétiques. Il n'en est pas de même pour le système de
faisceaux
relatif aux membres inférieurs : dans ces dernier
phénomène consécutif. La propagation de la lésion inflam-matoire des
faisceaux
blancs à la substance grise s'opère très vraisemb
bjecté, les scléroses dites descendantes, qui se pro-duisent dans les
faisceaux
latéraux à la suite de diverses lésions en foyer,
et pouvant attaquer indifféremment la substance grise centrale ou les
faisceaux
blancs. c) Les nerfs périphériques sont atteint
ée. des cornes antérieures. L'irritation se propage par la voie des
faisceaux
radiculaires internes, dont le trajet peut être a
cas où les plaques scléreuses qui, dans la règle, prédominent sur les
faisceaux
antéro-latéraux, envahissent les cornes grises et
le résultat a été absolument négatif; partout, nous avons,trouvé les
faisceaux
blancs antéro-latéraux et postérieurs dans un éta
ntelle, cell s des régions de la moelle (cornes grisés antérieures et
faisceaux
radiculaires antérieurs) qui seuls ont une influe
es degrés divers, les caractères de la substitution graisseuse. Les
faisceaux
musculaires offraient : les uns, les altérations
Il restait, d'ailleurs, en plusieurs points, dans l'intervalle de ces
faisceaux
, un certain degré d'hyperplasie consécutive. L'ex
examen de la moelle épinière fournit des résultats intéressants : Les
faisceaux
latéraux étaient sclérosés, symétriquement, dans
nt duperymisium internum — qui, à l'état normal, séparent à peine les
faisceaux
musculaires primitifs et les laissent presque en
es travées dont le petit diamètre égale sur certains points celui des
faisceaux
musculaires, et même le dépasse (Fig. 27). Ces tr
es fibres lamineuses, dirigées surtout parallèlement au grand axe des
faisceaux
musculaires, sont entremêlées souvent avec des ce
lules sont discrètes d'abord, isolées et comme perdues au mi-lieu des
faisceaux
de fibrilles ; mais leur nombre s'accroît sur cer
du processus). — I, I, Ilots de tissu conjonctif. — M, M, Coupes des
faisceaux
musculaires. — G, G, Cellules adipeuses. montre
ut conti-guës et que la pression réciproque a ren-dues polyédriques.—
Faisceaux
musculaires isolés, dépouillés de leur enveloppe
et mis en rapport immédiat avec les cellules du tissu adipeux. — Les
faisceaux
musculaires, même les plus grêles, ont conservé l
n du tissu adipeux, on rencontre soit des îlots composés de plusieurs
faisceaux
musculaires primitifs (de 2 à 8, 10, 12 au plus),
fibril- Ciiarcot. Œuvres complètes, t. h. 19 laires isolés, sans
faisceaux
musculaires ; soit enfin, — et ce dernier cas est
musculaires ; soit enfin, — et ce dernier cas est le plus rare,— des
faisceaux
musculaires isolés, dépouillés de leur enveloppe
progresse, le tissu fibrillaire de formation nouvelle, ainsi que les
faisceaux
musculaires, tendent à disparaître *. Pour ce q
ste en une réduction de diamètre plus ou moins prononcée; beaucoup de
faisceaux
sont tellement atro-phiés qu'il faut user de la p
udiées, c'est que l'hyperplasie du tissu conjonctif et l'atrophie des
faisceaux
musculaires marchent pour ainsi dire du même pas
ous disposons aujourd'hui. Fig. 29. — A, A, cordons latéraux; — A',
faisceaux
de liirck. — B, B, zones radiculaires postérieure
atives d'un Strabon ou d'un Pom-ponius Mêla. Vous voyez les anciens
faisceaux
postérieurs décomposés en deux régions bien disti
sceaux postérieurs décomposés en deux régions bien distinctes: 1° les
faisceaux
deGoil (Fig. 29, E) dont la lésion isolée a été d
B), substratum anatomique de l'ataxie locomotrice progressive. Les
faisceaux
ante'ro-latéraux des auteurs doivent à leur tour
auteurs doivent à leur tour être décomposés en trois régions : 1° les
faisceaux
laté-raux proprement dits, A, A ; ils se montrent
ante consécutive aux lésions cérébrales ou spinales en foyer ; 2° les
faisceaux
de Tùrck, A ; — leur pathologie se confond presqu
rck, A ; — leur pathologie se confond presque toujours avec celle des
faisceaux
latéraux ; Fig. 30. — Coupe transversale de la
symptômes, que celte lésion porte particulièrement son action sur les
faisceaux
spinaux latéraux. 11 est possible enfin que, conf
depuis longtemps, sous le nom de sclérose symétrique et primitive des
faisceaux
laté-raux de la moelle épinière. Mais, il importe
gine, à la condi-tion seulement qu'elles intéresseront le système des
faisceaux
latéraux dans une certaine étendue ; soit qu'il s
z figurer dans la symptomatologie des affections très diverses où les
faisceaux
en question sont en cause : contractures hémiplég
le chronique avec dégénération scléreuse descen-dante consécutive des
faisceaux
latéraux. Il me paraît inutile d'insister pour fa
idien, et occupant, dans la moelle épinière, sur certains points, les
faisceaux
postérieurs (région cervicale), sur d'autres les
oints, les faisceaux postérieurs (région cervicale), sur d'autres les
faisceaux
latéraux 'région dor-sale inférieure). Les hémisp
ésions de la dégé-nération grise. Celle-ci occupe, en pareil cas, les
faisceaux
spinaux postérieurs. Le fait a été mis en évidenc
ion, ici, à la trémulation qui ne manque guère d'apparaître quand les
faisceaux
latéraux de la moelle sont affectés de sclérose à
. Il est vraisemblable, déjà, d'après cela, que les éléments nerveux,
faisceaux
de fibres ou corpuscules ganglionnaires, dont la
som- mes efforcé de le montrer ailleurs, relève de l'altération des
faisceaux
les plus postérieurs du pied de la couronne rayon
e rayonnante, servent de voie aux impres-sions sensitives, il est des
faisceaux
de fibres douées de proprié-tés motrices particul
xacte les régions limitrophes qui cor-respondent à ces deux ordres de
faisceaux
. À côté de l'hémichorée post-hémiplégique, il y
uelques tubes nerveux à cylindre d'axe volumineux, non plus réunis en
faisceaux
comme les précédents, mais disséminés et isolés a
al, les cylindres d'axe se tuméfier, çà et là, soit sur le trajet des
faisceaux
postérieurs, soit sur celui des faisceaux latérau
là, soit sur le trajet des faisceaux postérieurs, soit sur celui des
faisceaux
latéraux. Tout porte à croire d'ailleurs que l'ir
te la partie postérieure du trapèze ont subi une atrophie extrême. Le
faisceau
claviculaire de ce dernier muscle est au contrair
t le péritoine, voir de nombreuses stries jau-nes correspondant à des
faisceaux
de fibres malades, alterner avec des stries rouge
te l'étendue de la moelle, les cordons latéraux propre-ment dits, les
faisceaux
de Tiirck, les faisceaux postérieurs sont intacts
, les cordons latéraux propre-ment dits, les faisceaux de Tiirck, les
faisceaux
postérieurs sont intacts. Seuls les grands tractu
ngements tandis qu'à la région dorsale elle est limitée au trajet des
faisceaux
radi-culaires et à la zone corticale. De plus, au
one de sclérose corticale ayant son maximum d'épaisseur au niveau des
faisceaux
radicu-laires antérieurs, allant en s'atténuant s
forme de ronds ou de petits po-lygones très semblables à la coupe des
faisceaux
du tissu con-jonctif fascicule. Il se colore en r
elle procède avec un certain ordre et le détruit, pour ainsi dire par
faisceau
. En effet, les tubes conservés sont groupés les u
usage. Dans tous, la lésion prédominante est une atrophie simple des
faisceaux
pri-mitifs, avec augmentation purement relative d
à la substance des cornes antérieures ; elle avait, en passant parles
faisceaux
radiculaires, produit un cer- tain degré de mén
apillaires, pro-lifération des cellules de la névroglie, sclérose des
faisceaux
blancs dans les points où ils sont envahis ; tous
tion des racines antérieures. Elles sont constitués par la réunion de
faisceaux
nerveux presque réduits à des filaments, de sor
rdinaire; elle rappelle celle du tissu conjonctif. Dansla plupart des
faisceaux
musculaires, il existe de fines granulations fonc
ou fusiformes. En outre des altérations précédentes, la plupart des
faisceaux
musculaires présentaient un aspect fendillé, très
teurs, fait reconnaître des alté-rations qui portent les unes sur les
faisceaux
antéro-latéraux de la moelle, les autres sur la s
ent les surfaces de section de tubes nerveux, lesquels, au niveau des
faisceaux
antérieurs et sur la partie antérieure des faisce
s, au niveau des faisceaux antérieurs et sur la partie antérieure des
faisceaux
latéraux, ont conservé à peu de de chose près leu
point qui cor-respond à la partie la plus postérieure de ces derniers
faisceaux
et dans toute l'étendue d'une région qui, en deda
cordons, immédiatement en dehors des cornes grises postérieures. Les
faisceaux
blancs postérieurs ne présentaient aucune altérat
u porter que sur les 2/3 supé-rieurs de cette région. La sclérose des
faisceaux
latéraux se mon-trait à toutes les hauteurs, au m
ée, l'examen microscopique révélait la présence d'un grand nom-bre de
faisceaux
primitifs dégénérés. Dans les éminences thénar et
te et se colorent vivement par le car-min. On peut la suivre dans ses
faisceaux
, depuis le point où ils émergent de la protubéran
-térieur gauche de la partie cervicale de ce muscle. En ce point, les
faisceaux
musculaires sont très pâles, très friables et sép
les fibres musculaires étaient le plus pâles, la moitié peut-être des
faisceaux
primitifs présentaient, sans avoir subi une réduc
de préparations colorées par le car-min, sur un très grand nombre de
faisceaux
primitifs, une multi-plication très évidente des
e des noyaux du sarcolemme. Le tissu con-jonctif, interposé entre ces
faisceaux
, présente à peu près partout des noyaux plus nomb
noyaux du sarco-lemme est peut-être plus prononcée sur les gaines des
faisceaux
qui ont conservé la striation en travers et qui n
qu'à un très faible degré par la dégénération granuleuse que sur les
faisceaux
où cette dégénération est le plus marquée. Çà e
aisseuse ou des amas de noyaux. L'altération granulo-graisseuse des
faisceaux
primitifs, l'ab- sence de lastriation en traver
muscles extrinsèques de la langue présentent tous, çà et là, quelques
faisceaux
primitifs où l'on reconnaît très évidemment l'alt
, présen-taient cependant, à l'examen microscopique, un bon nombre de
faisceaux
primitifs ayant perdu la striation en travers, et
tre l'altération granulo-graisseuse étendue à un très grand nombre de
faisceaux
primitifs, offraient une accumulation de gouttele
tion de gouttelettes graisseuses, volumineuses, interposées entre les
faisceaux
primi-tifs. Les muscles des membres inférieurs
s points. On y a constaté l'altération granulo-graisseuse de quelques
faisceaux
pri-mitifs d'une manière très manifeste. Mais les
quelques faisceaux pri-mitifs d'une manière très manifeste. Mais les
faisceaux
ainsi al-térés étaient là moins nombreux qu'aux p
pratiquées sur divers points du renflement tom-ba ire. L'examen des
faisceaux
blancs ne fait reconnaître ni diminution dans le
appé du mode singulier qu'affectait la répartition de ces lésions des
faisceaux
, sur les divers points du corps. Evi-demment, il
'un cas ordinaire d'atrophie musculaire-progressive ; les lésions des
faisceaux
primitifs sont bien celles qui appartiennent à ce
ntôt la dégénération granulo-graisseuse, tantôt l'atrophie simple des
faisceaux
avec prolifération des noyaux du sarcolemme. Mais
es régions les plus variées, des fibres malades entremêlées parmi des
faisceaux
parfaitement sains. Elles sont cependant plus acc
bien que ses muscles propres contins-sent, en assez grand nombre, des
faisceaux
primitifs dégéné-rés ou atrophiés, et que ses mou
euses, d'où nous avons fait procéder déjà l'altération nutri-tive des
faisceaux
musculaires, et il est difficile de comprendre pa
les plus simples et alors qu'il n'existe aucun signe d'une lésion des
faisceaux
blancs de la moelle épinière. 3 Voir, entre aut
x caractérisée, peut parvenir jusqu'à son dernier terme, sans que les
faisceaux
primitifs aient perdu la striation en travers et
réduction plus ou moins pronon-cée du diamètre d'un certain nombre de
faisceaux
primitifs sont alors les seules altérations muscu
du perimysiitm internum), qui, à l'état normal, séparent à peine les
faisceaux
musculaires primitifs, et les laissent presque en
es tra-vées dont le petit diamètreégale sur certains points celui des
faisceaux
musculaires ou même le dépasse. Ces travées, ains
es fibres lamineuses, dirigées surtout parallèlement au grand axe des
faisceaux
musculaires, sont entremêlées avec des noyaux emb
oir disparu, et les tra-vées sont à peu près exclusivement formées de
faisceaux
de longues fibrilles onduleuses, disposées parall
seuses sont discrètes d'abord, isolées et comme perdues au milieu des
faisceaux
de fibrilles ; mais leur nom-bre s'accroît, sur c
du processus). — 1, I, îlots de tissu conjonctif. — M, M, coupes des
faisceaux
mus-culaires. — G, G, -cellules adi-peuses. dis
du tissu adipeux, on rencontre, soit des îlots composés de plusieurs
faisceaux
musculaires primitifs (de 2 à 8,10, 12 au plus),
parts par les fibrilles, soit des tractus fibril-laires isolés, sans
faisceaux
mus-culaires; soit enfin, et ce dernier cas est l
aux mus-culaires; soit enfin, et ce dernier cas est le plus rare, des
faisceaux
musculaires isolés, dépouillés de leur enveloppe
prédomine. Les îlots com-posés de tissu conjonctif fîbril-laire et de
faisceaux
musculaires primitifs ne se voient que çà et là,
t con-tiguës et que la pression réci-proque a rendues polyédriques. —
Faisceaux
musculaires isolés, dépouillés de leur enveloppe
et mis en rapport immédiat avec les cellules du tissu adi-peux. — Les
faisceaux
muscu-laires, même les plus grêles, ont conservé
es plus grêles, ont conservé la striation en travers. ainsi que les
faisceaux
musculaires tendent à disparaître. Il convient de
hercher actuellement suivant quel mode s'o-père cette disparition des
faisceaux
musculaires : elle s'accuse déjà dès la première
n graisseuse. Ainsi, dans le psoas, sur les coupes transversales, les
faisceaux
musculaires, entourés de tous cô-tés par les trav
n moins superficiel fait bientôt recon-naître qu'un bon nombre de ces
faisceaux
ont subi une réduc-tion de diamètre plus ou moins
r dilacération complètent ces renseignements : la ma-jeure partie des
faisceaux
musculaires, ceux-là mêmes qui ont subi une atrop
seuse. Telle est la règle : onrencon-tre cependant çà et là, quelques
faisceaux
, à la vérité en petit nombre, où les stries trans
qu'une striation longitudinale y est devenue très apparente; d'autres
faisceaux
absolument privés de toute striation, soit transv
istendent la gaîne du sarcolemme. Mais, en somme, il est rare que les
faisceaux
musculaires, en voie de destruction, présentent l
t avec persistance delà slriation en travers. Dans le deltoïde, les
faisceaux
musculaires se retrouvent avec les mêmes apparenc
l'hyper-plasie connective et l'atrophie simple d'un certain nombre de
faisceaux
musculaires sont les lésions qu'on observe. A cet
it de l'byperplasie con- 1 Les mensurations ont donné : 1° pour les
faisceaux
primitifs, dans le mus-cle psoas, diamètre transv
fiées, c'est que l'hy-perplasie du tissu conjonctif et l'atrophie des
faisceaux
mus-culaires marchent pour ainsi dire, du même pa
le résultat a été absolument négatif: partout, nous avons trouvé les
faisceaux
blancs antéro-latéraux et postérieurs clans un ét
des degrés divers, les caractè-res de la substitution graisseuse, Les
faisceaux
musculaires offrirent les uns, les altérations de
. Il existe d'ailleurs, en plusieurs points, dans l'intervalle de ces
faisceaux
, un certain degré d'hyperplasie conjonctive. L'ex
rchiv der Heilkunde. Leipzig, 1871, p. 120. tats intéressants : les
faisceaux
latéraux étaient sclérosés, sy-métriquement, clan
ophie musculaire progressive avec lésion de la substance grise et des
faisceaux
antéro-latêraux de la moelle èpinière, par MM. Gh
— a, Portion interne offrant des amas de noyaux dans l'intervalle des
faisceaux
de libres. — d, Coupe de vaisseau. — e, Coupe du
mplètement disparu. — L, Cordon latéral. — P, Cordon postérieur. — T,
Faisceau
de Tiirck. — Ces trois faisceaux sont tout à fait
latéral. — P, Cordon postérieur. — T, Faisceau de Tiirck. — Ces trois
faisceaux
sont tout à fait sains. Fig. 2. — Coupe transve
olorée en noir par l'osmium, séparés les uns des autivs par de larges
faisceaux
conjonctifs. Fig 6. — Petit vaisseau pris dtans
UE Fig. 1. — Coupe transversale du nerf phrénique. — a, a, Coupe de
faisceaux
, où les tubes nerveux conservés sont encore assez
rconscriptions spinales. — Cordon de Goll. — Bandelettes externes des
faisceaux
postérieurs ; leur altération paraît constante da
les lésions et les symptômes. — Mode de pro-pagation de la sclérose.—
Faisceaux
radiculaires internes.— Envahissement des cornes
ntérieures. — Des symptômes récurrents ou rétrogrades. — Sclérose des
faisceaux
médians postérieurs : propagation de la sclérose
éropathique : pachyméningite spinale hypertrophi-que ; — sclérose des
faisceaux
postérieurs ; myélite centrale chronique ; hydrom
oppement de la moelle épinière. — Formation des cordons latéraux, des
faisceaux
de Göll et des faisceaux de Tiirck. Sclérose laté
nière. — Formation des cordons latéraux, des faisceaux de Göll et des
faisceaux
de Tiirck. Sclérose latérale consécutive à une lé
9 ; — motrice, 374 : — laryn-gée, 412. B Bandelettes externes des
faisceaux
postérieurs de la moelle, 14, 24. Bromure de po
érébrales, 52, 55. (V. Mé-ninges, Moelle.) Turgk (Développement des
faisceaux
de), 237. U Urèthre, Urines, Utérus. (V. Para
lexion de l'ensemble des quatre derniers doigts, qui sont réunis en
faisceau
, avec extension de leurs deux dernières phalanges
auteur note la sclérose des cordons postérieurs, principalement du
faisceau
de Burdach, avec pigmentation des cellules des
de l'arachnoïde, au niveau de la région dorsale postérieure, et des
faisceaux
pyramidaux; des lésions des cellules de la moel
s fibres tangentielles. Il pense, en définitive, que l'atrophie des
faisceaux
pyramidaux et les lésions corti- cales peuvent
il est respecté. Dans les travaux récents, il s'est établi entre ce
faisceau
et le suivant, une con- fusion que je m'efforce
fforcerai de dissiper. En haut, le centre ovale se continue avec un
faisceau
cunéiforme adossé à la périphérie dans la zone de
ransi- tion entre le renflement lombaire et la région dorsale. Le
faisceau
médio-périphérique, faisceau de Hoche à sa partie
ment lombaire et la région dorsale. Le faisceau médio-périphérique,
faisceau
de Hoche à sa partie supérieure, triangle média
u triangle de Gombault et Philippe à sa partie in- férieure, est un
faisceau
endogène descendant à fibres longues, qui, dans
de Flechsig, avec lequel il est à tort confondu. Nous appellerons
faisceaux
radiculaires verticaux de la corne postérieure
lerons faisceaux radiculaires verticaux de la corne postérieure des
faisceaux
arrondis, séparés par un réticulum de substance g
iers internes, en avant de la substance gélatineuse de Rolando. Ces
faisceaux
sont d'au- tant plus volumineux et plus serrés
ines de la région sont elles-mêmes plus volumi- neuses. Ce sont les
faisceaux
verticaux de la corne postérieure de Kôllikei.
ent beaucoup de ces fibres. Les fibres collatérales réflexes et les
faisceaux
radiculaires verticaux, sont détruits, mais les z
toute l'étendue du septum médian et se confond en arrière avec des
faisceaux
de fibres conservées qui occupent l'angle antér
ieures. ' te Sacrée. L'aspect est semblable, mais le triangle et le
faisceau
conservé de la zone cornu-commissurale ont enco
ce gélatineuse ; par contre la bandelette qui réunit le triangle à ce
faisceau
est devenue plus pâle, par suite de son mélange
. 1 et 2). lre Sacrée. La séparatiou entre le triangle médian et le
faisceau
conservé de la zone cornu-radiculaire tend à s'
ornu-commissurale ont augmenté de nombre; elles tendent à former un
faisceau
dense dans qui sépare la commissure du bord de
an a beaucoup diminué de volume ; il forme maintenant un tout petit
faisceau
linéaire situé au niveau du I/o moyen du septum
nsi que les gros- ses fibres du réseau des cornes postérieures; les
faisceaux
radiculaires ver- ticaux de la corne postérieur
u'à tous les autres niveaux de la moelle. Ont également disparu les
faisceaux
radiculaires verticaux de la corne postérieure.
eur maximum d'étendue. 3* Lombaire. Le centre ovale fait place à un
faisceau
cunéiforme dont la base est périphérique et don
r est situé sur le septum médian, un peu en avant de son milieu. Ce
faisceau
médian de fibres radiculaires con- servées pren
res abandonnaient les champs postéro-externes pour pénétrer dans le
faisceau
cunéiforme. A ce niveau on voit très nettement qu
bonne partie de nature exogène. Le grand côté postérieur limite le
faisceau
cunéiforme, ici très agrandi. De l'angle antéro-e
assez mal délimitée, qui se dirige ou arrière dans l'épaisseur des
faisceaux
cunéiformes. 4r° Lombaire. Les deux zones sclér
crée (dessin fait en négligeant les débris de myéline altérée). Zm,
faisceau
endogène de la zone marginale de Westphal ; 1'G,
re, sauf en ce qui concerne l'origine des libres ; il crut voir des
faisceaux
de fibres fines passer direc- tement des racine
e triangle médian sacré, ou triangle de Gombault et Philippe, et un
faisceau
situé dans la région cornu- commissurale ou zon
res, le triangle sacré médian, est seule dégénérée à l'exclusion du
faisceau
de la zone cornu-commissurale. Je reproduis ici
es et Marinesco, et surtout celles de Hoche, nous ont montré que ce
faisceau
, individualisé en 1894 par Gombault et Philippe
ire (durée un an). Comparer avec les figures de la planche l, où le
faisceau
médian, qui est dégénéré ici, est au contraire co
g du septum médian. Fio. 7. Ire sacrée. Augmentation du volume du
faisceau
sclérosé. FIG. 8. 110 sacrée. Transition entre
olume du faisceau sclérosé. FIG. 8. 110 sacrée. Transition entre le
faisceau
fusiforme des coupes précédentes et le faisceau
Transition entre le faisceau fusiforme des coupes précédentes et le
faisceau
triangulaire des coupes suivantes. Fia. 9. - I(
a continuité entre la portion périphérique et la portion médiane du
faisceau
de Hoche, mais souvent on voit débuter la sclér
, dans les cas de lésion transverse de la moelle, par un tout petit
faisceau
qui semble naître sur la ligne médiane aux envi
nt pro- gressivement d'être 'conglomérées à la Il,, sacrée et où le
faisceau
semble disparaître complètement à la 4re lombai
médiane se fait, en totalité ou en partie, par l'intermédiaire d'un
faisceau
de fibres conglomérées. Je n'insisterai pas sur
'insisterai pas sur ces différences individuelles de morphologie du
faisceau
médio-périphérique qui est plus ou moins conglomé
égion sacrée. Mais il me faut dis- cuter les rapports qu'affecte ce
faisceau
avec le centre ovale de Flechsig, car il existe
centre ovale de Flechsig, car il existe actuellement entre ces deux
faisceaux
une confusion qu'il importe de faire cesser. L'
cesser. L'opinion qui tend à devenir classique est la suivante : le
faisceau
de Hoche devient centre ovale de Flechsig à la ré
sisté sur la distinction radicale qu'il faut établir entre ces deux
faisceaux
; nous nous appuyions, pour soutenir cette opinio
a thèse de Guize.Foetus de 9 mois, Ire lombaire ; il existe en 0 un
faisceau
cunéiforme qui se continue de chaque côté avec
ésente la prolongation par en haut du centre ovale de Flechsig (Les
faisceaux
sont d'autant moins foncés que leur myélinisati
au niveau de la 1° lombaire (1), est traversé de haut en bas par le
faisceau
médio-périphérique, dont il reste en réalité, ent
sig est constitué par des fibres exogènes, tandis que les fibres du
faisceau
médio- périphérique sont endogènes, ainsi que l
; il existe sans doute quelques fibres radiculaires éparses dans ce
faisceau
, mais l'immense majorité de ses fibres est de nat
à la délimitation des zones endogènes dans le cône ter- minal. b)
Faisceau
de la zone cornu-commissurale ou zone marginale d
ne cornu-commissurale ou zone marginale de West- plial. L'étudedece
faisceau
ne peut naturellement être faite que dans les p
l'observation I on peut constater que, sauf dans la région sacrée, ce
faisceau
est constitué par des fihres éparses au milieu
zontales des cordons postérieurs. Du côté de la substance grise les
faisceaux
qu'elles forment se perdent bientôt dans le résea
chsig dans les cordons postérieurs ; les collatérales réflexes, les
faisceaux
radiculaires verticaux de la corne postérieure et
t probable que le centre ovale de Flechsig, continué en haut par un
faisceau
cunéiforme périphérique, est rempli par les fib
stérieurs et que le trajet des fibres n'est pas rectiligne entre le
faisceau
cunéiforme périphérique et le cordon de Goll.
u niveau de la 4° lombaire. Les zones endogènes sont en noir ; Z m,
faisceau
endogène de la zone marginale de Westphal ou zone
cré, ou triangle de Gombault et Philippe (terminaison inférieure du
faisceau
111édio-pé1'iphé/'igue ou faisceau de Ho- clze)
hilippe (terminaison inférieure du faisceau 111édio-pé1'iphé/'igue ou
faisceau
de Ho- clze) ; Z L, zone de Lissauer, coupée en
aires). A droite sont re- présentés, dans la corne postérieure, les
faisceaux
radiculaires verticaux de la corne postérieure.
es endogènes fines. B. Les fibres endogènes grosses forment : 1° un
faisceau
dans la zone cornu-commissurale; 2° le triangle
périphérique, dont le trajet supérieur forme à la région dorsale le
faisceau
de Hoche. C. Le triangle médian est entièrement
an est entièrement distinct du centre ovale de Flechsig, qui est un
faisceau
radiculaire. D. Les fibres endogènes fines sont
téraux des zones répondant d'une façon seulement approximative à un
faisceau
: elles n'ont que l'apparence systématique. Leu
tabes classique systématisées, associées à des dégénérescences des
faisceaux
pyramidaux consécutives à des lésions encéphaliqu
dépendance des lésions radiculaires ; dans les cordons latéraux le
faisceau
cérébelleux direct peut dégénérer sous l'influe
ation des lésions systématisées du tabes vulgaire et des lésions du
faisceau
cérébelleux direct par altération de la colonne d
Clarke. Cette association des lésions du tabes aveè les lésions des
faisceaux
cérébelleux directs est déjà mentionnée par Bal
e plus accentuée. La sclérose du cordon latéral occupe la région du
faisceau
cérébelleux direct et une partie de la zone pyra-
répondant à la périphé- rie de la moelle, c'est-à-dire occupant le
faisceau
cérébelleux direct. La colonne de Clarke, au ni
escence du cordon de Goll jusqu'au niveau des noyaux. La lésion des
faisceaux
cérébelleux a pu être poursuivie jusqu'au pédoncu
être systématiques, liées aux lésions des racines et de lésions des
faisceaux
cérébelleux directs qui semblent dépendre des l
condaires. Cependant les lésions ne sont pas absolument limitées au
faisceau
cérébelleux direct, elles occu- pent non seulem
elles occu- pent non seulement la bordure de la moelle au niveau du
faisceau
céré- belleux direct, mais encore en arrière de
cines posté- rieures. De même elles peuvent se prolonger au delà du
faisceau
cérébel- leux'direct et tendre à la sclérose ma
nulaire. Enfin même dans la profondeur, elles s'étendent au delà du
faisceau
cérébelleux direct et occupent la zone pyramida
de la zone marginale de Lissauer, dans le territoire qui répond au
faisceau
cérébelleux direct, une légère bande marginale
us limitée au cordon de Goll. Sur la ligne médiane, au milieu de ce
faisceau
, on constate une fente vasculaire dilatée. La l
se diffuse dans la partie postérieure du cordon postérieur entre le
faisceau
de Goll et la substance gélatineuse de Rolando.
dominant à la partie postérienre du cordon ; elle occupe la zone du
faisceau
cérébelleux direct et commence à envahir la zon
inale. Fig. 2. La sclérose latérale occupe surtout le territoire du
faisceau
cérébelleux direct. Fig. 3. La sclérose latéral
faisceau cérébelleux direct. Fig. 3. La sclérose latérale occupe le
faisceau
cérébelleux direct et la zone pyramidale. Fig.
sauer et l'angle du cordou latéral ; elle a détruit complètement le
faisceau
cérébelleux direct et une grande partie du faisce
complètement le faisceau cérébelleux direct et une grande partie du
faisceau
pyramidal. 4e dorsale. - La moelle est déplus
très épaissie. Latéralement, la sclérose occupe toute la région du
faisceau
cérébelleux direct et s'étend jusqu'au delà de l'
ans l'observation I, la sclérose occupait surtout le territoire des
faisceaux
cérébelleux directs. Cependant il est à remarquer
faisceaux cérébelleux directs. Cependant il est à remarquer que le
faisceau
cérébelleux direct n'est pas dégénéré à la part
ale, ce qui va un peu à rencontre d'une sclérose systématique de ce
faisceau
. De plus, elle s'étend comme chez Salins, en deho
De plus, elle s'étend comme chez Salins, en dehors des li- mites du
faisceau
cérébelleux; elle prend à certaines hauteurs le f
- mites du faisceau cérébelleux; elle prend à certaines hauteurs le
faisceau
pyramidal en partie, et occupe la zone prééapex
i, atteintes, mais il ne s'ensuit pas forcément que les lésions des
faisceaux
cérébelleux directs soient sous leur dépendance
s, des lésions diffuses des cordons latéraux et ces altérations des
faisceaux
latéraux seraient « la conséquence de la sclérose
t par Kattwinkel qui a retrouvé les ésions du cordon postérieur, du
faisceau
cérébelleux et du faisceau pyramidal croisé jus
ouvé les ésions du cordon postérieur, du faisceau cérébelleux et du
faisceau
pyramidal croisé jusqu'au niveau de la décussat
yramidal croisé jusqu'au niveau de la décussation des pyramides. Le
faisceau
pyramidal lui a paru un peu dégénéré dans la ré
la sclérose revêt le môme type, s'étend dans tout le territoire, du
faisceau
cérébelleux et du faisceau pyramidal croisé.
ype, s'étend dans tout le territoire, du faisceau cérébelleux et du
faisceau
pyramidal croisé. Au niveau de la région dors
al, la sclérose affecte toujours la forme triangulaire, occupant le
faisceau
cérébelleux et le faisceau pyramidal croisé Mai
oujours la forme triangulaire, occupant le faisceau cérébelleux et le
faisceau
pyramidal croisé Mais, en outre, à certaines ha
escence du cordon de Goll jusqu'à la décussation des pyramides. Les
faisceaux
pyrami- daux étaient dégénérés au niveau du bul
e, il s'agit là d'une sclérose com- binée du cordon postérieur, des
faisceaux
pyramidaux croisés et du faisceau cérébelleux d
binée du cordon postérieur, des faisceaux pyramidaux croisés et du
faisceau
cérébelleux direct dans les cordons latéraux. H
ogénie, mais qui présente en outre une dégénération systématique du
faisceau
pyramidal direct d'un seul côté qui semble liée
es postérieures. Dans les cordons latéraux, elle occupe la zone des
faisceaux
pyramidaux et des faisceaux cérébelleux directs
rdons latéraux, elle occupe la zone des faisceaux pyramidaux et des
faisceaux
cérébelleux directs. On peut sur l'un des cordo
seul côté, ou note la présence de la sclérose dans le territoire du
faisceau
pyramidal direct dans une zone affectant la forme
au pyramidal direct dans une zone affectant la forme et le siège du
faisceau
en croissant de P. Marie et Guillain. Dans cette
bution ; on constate aussi dans les cordons latéraux la sclérose du
faisceau
py- ramidal croisé et du faisceau' cérébelleux
u moins atteintes. Le cordon antérieur présente la même sclérose du
faisceau
en croissant, mais la partie postérieure du fai
me sclérose du faisceau en croissant, mais la partie postérieure du
faisceau
pyramidal direct semble plus atteinte qu'au-des
tribution topographique des lésions : la séparation 64 CROUZON du
faisceau
pyramidal croisé et cérébelleux direct s'est acce
un des cordons latéraux. -- 5e Cervicale. La bande de sclérose du
faisceau
cérébelleux direct s'étale en bordure plus en a
ons latéraux, la sclérose occupe une zone triangulaire englobant le
faisceau
pyramidal et le faisceau cérébelleux direct, mais
occupe une zone triangulaire englobant le faisceau pyramidal et le
faisceau
cérébelleux direct, mais se pro- longeant peu e
ouveau une bande qui se prolonge en avant en suivant la bordure. Le
faisceau
pyramidal du cordon antérieur n'est que très peu
u pyramidal du cordon antérieur n'est que très peu sclérosé dans le
faisceau
en croissant : la sclérose est marquée seulement
- Même remarque que dans la] coupe précédente en ce qui concerne le
faisceau
pyramidal antérieur. 10 il Fig. 8, 9, 10, 11.
pyramidale. Les figures 8 et 9 montrent l'existence d'une lésion du
faisceau
sulcomarginal droit. scléroses combinées tabéti
laire occupant la plus grande partie de la région postérieure de ce
faisceau
et englobant le fais- ceau pyramidal direct et
re de ce faisceau et englobant le fais- ceau pyramidal direct et le
faisceau
cérébelleux direct. Le cordon postérieur est co
e encore dans la portion ventrale et dans la por- tion marginale du
faisceau
de Burdach. Dans les cordons latéraux, sclérose
forme triangulaire occupant presque exclusivement le territoire du
faisceau
pyramidal ; très légère sclérose en bordure de
térieur, sclérose empiétant à la fois sur les deux territoi- res du
faisceau
pyramidal antérieur. 4° et 5- Dorsales. Même as
térieur du cordon et occupent le territoire du cordon de Goll. Le
faisceau
pyramidal antérieur est moins atteint : un plus g
dans le cordon de Goll et dans la région ventrale. La sclérose des
faisceaux
pyramidaux croisés est toujours très nette et bea
on postérieur. Région dorso-lonzbaire. Il n'y a plus de sclérose du
faisceau
pyramidal du cordon antérieur. La sclérose de
lérose du faisceau pyramidal du cordon antérieur. La sclérose des
faisceaux
pyramidaux croisés est toujours très nette. La
Les cordons latéraux présentent la même sclérose des extrémités des
faisceaux
pyramidaux. La coloration de Nissl a été pratiq
iveau de la diminution des pyramides, on constate la sclé- rose des
faisceaux
pyramidaux du cordon latéral et de l'une des deux
réflexes était symétrique, constatation en faveur de l'intégrité du
faisceau
moteur. L'altération de l'hémisphère cérébelleu
ar une altération analogue des fibres centrales de l'hypoglosse. Le
faisceau
géniculé qui réunit ces deux ordres de fibres e
généralisés, tels qu'une hémiplégie, ne se soient pas produits, le
faisceau
moteur se trouvant hors de son atteinte. Au sur
ner : elle relève de phénomènes de compression et de destruction de
faisceaux
nerveux. Mais, dit Klippel (2), toute tu- meur
ers la commissure grise par un renflement en tête de clou. Dans les
faisceaux
latéraux ou remar- que 3 noyaux de sclérose gri
dons pos- térieurs, et, qui semblent répondre à peu près, le 1er au
faisceau
cérébelleux direct et le 26 au faisceau pyramid
ondre à peu près, le 1er au faisceau cérébelleux direct et le 26 au
faisceau
pyramidal croisé. Cerveau. - Présente un ramoll
n- dant au noyau de Burdach. Intégrité complète du ruban de Roi, du
faisceau
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE la Salpêtrière. T :
IE DE FRIEDREICH 131 cérébelleux latéral, des fibres arciformes, du
faisceau
solitaire, et des olives. Ces lésions se retrou
bulbe. On constate également une sclérose intense des noyaux et des
faisceaux
de Goll, une com- mençante et moins accentuée^
aux de Goll, une com- mençante et moins accentuée^ des noyaux et du
faisceau
de Burdach. Enfin, on commence à voir une légèr
isceau de Burdach. Enfin, on commence à voir une légère sclérose du
faisceau
cérébelleux latéral. Le fais- ceau de Gowers es
gèrement épaissies. On constate nettement une sclérose complète des
faisceaux
de Goll : il n'y reste plus que de rares fibres
eaux de Goll : il n'y reste plus que de rares fibres nerveuses. Les
faisceaux
de Burdach sont moins alté- rés, ils se disting
moins alté- rés, ils se distinguent par des limites très nettes du
faisceau
de Goll : on y re- trouve un certain nombre dé
e relativement saine. A ce niveau également : sclérose complète des
faisceaux
pyramidaux croisés, et du faisceau cérébelleux
alement : sclérose complète des faisceaux pyramidaux croisés, et du
faisceau
cérébelleux latéral. Enfin les cornes postérieure
nt diminué. Par contre intégrité absolue des cordons antérieurs, du
faisceau
de Gowers, des cornes antérieures ainsi que des
rsale, les mêmes lésions se poursuivent. Cependant la sclé- rose du
faisceau
de Burdach est plus accentuée et dans tout le cor
retrouve que quelques rares cylindraxes disséminés. Les lésions des
faisceaux
pyramidaux croisés et des faisceaux cérébelleux l
xes disséminés. Les lésions des faisceaux pyramidaux croisés et des
faisceaux
cérébelleux latéraux se poursuivent, de même qu
la moelle sacrée, la sclérose est beaucoup moins accentuée dans les
faisceaux
de Goll et de Burdach, on y trouve beaucoup de
ouve beaucoup de cylindraxes à peu près sains. Il en est de même du
faisceau
pyramidal croisé. Le faisceau cérébelleux laté-
peu près sains. Il en est de même du faisceau pyramidal croisé. Le
faisceau
cérébelleux laté- ral a disparu. Mais on retrou
on rachidien de la 5° paire dorsale. A son inté- rieur, à côté d'un
faisceau
à peu près sain, on en voit un autre complètement
cordons de Burdach, plus marquée dans la moelle dorsale ; dans les
faisceaux
latéraux, la sclérose du faisceau pyramidal cro
ans la moelle dorsale ; dans les faisceaux latéraux, la sclérose du
faisceau
pyramidal croisé, et du faisceau cérébelleux laté
faisceaux latéraux, la sclérose du faisceau pyramidal croisé, et du
faisceau
cérébelleux latéral, plus accusée dans la moell
laires. Coeur. - Myocardite interstitielle extrêmement intense. les
faisceaux
mus- culaires sont séparés les uns des autres,
des cordons postérieurs et surtout des cordons de Goll, sclérose du
faisceau
pyramidal croisé et du faisceau cérébelleux dir
ut des cordons de Goll, sclérose du faisceau pyramidal croisé et du
faisceau
cérébelleux direct, atrophie des cornes postéri
s antérieurs, des racines et des cornes antérieures, de même que du
faisceau
de Gowers, faisceaux qui ont été trouvés lésés
cines et des cornes antérieures, de même que du faisceau de Gowers,
faisceaux
qui ont été trouvés lésés dans quelques observa
ré, la portion sous-ganglionnaire des racines postérieures forme un
faisceau
aussi dense, aussi compact qu'à l'état normal.
zone antéro-interne de Westphall et de la partie antéro-interne du
faisceau
de Goll. Fio, c. Coupe passant par le bord supé
it une infiltration sanguine envahir les deux tiers anté- rieurs du
faisceau
de Goll gauche. FiG. f. Coupe passant par le bo
e et de la région cervicale. Une sclérose du cordon de Gowers et du
faisceau
cérébelleux direct, qui commence dans la moelle
n des vaisseaux dans la substance grise, leur paroi est épaissie.
Faisceau
cérébelleux direct dégénéré dans la région cervic
au cérébelleux direct dégénéré dans la région cervicale supérieure.
Faisceau
de Gowers dégénéré à partir de la région lombaire
ties inférieures on trouve une dégénérescence dans la périphérie du
faisceau
de Burdach, dans les parties supérieures une dé
ceau de Burdach, dans les parties supérieures une dégénérescence du
faisceau
de Goll dans sa partie postérieure. Pas de lési
dégénération banale du cordon de Goll, une autre dans le domaine du
faisceau
de Burdach, qui occupe surtout son tiers moyen,
dégénérés. Dans les segments cervicaux moyens cette dégénération du
faisceau
de Burdach perd de plus en plus en étendue, sur
ions cervicales les plus élevées on trouve outre la dégénération du
faisceau
de Goll, une autre, moins intense, située dans
de Goll, une autre, moins intense, située dans la moitié externe du
faisceau
de Burdach, tandis que l'autre moitié de ce fais-
e restent tout à fait intactes. Cette dégénération reste séparée du
faisceau
de Goll par une bande même de fibres complètement
mplètement intactes ; elle est formée visiblement par ces fibres du
faisceau
de Burdach, que nous avons rencontrées dans la
ès distinctement que la partie de la dégénération qui correspond au
faisceau
cérébelleux direct, longe de sa partie postérie
génération forme une courbe dont une des extrémités se perd dans le
faisceau
de Gowers, l'autre s'appuie sur la par- XVII 19
côté de la moitié antérieure de la corne. La partie postérieure du
faisceau
de Gowers, la partie élargie, augmente en expan
expansion dans ce sens que l'espace situé en avant et en dedans du
faisceau
pyramidal croisé montre dans cette hauteur une
de la moelle dorsale ; seulement elle augmente d'intensité dans le
faisceau
de Gowers et diminue dans le faisceau cérébelle
augmente d'intensité dans le faisceau de Gowers et diminue dans le
faisceau
cérébelleux direct. En outre la raréfaction dans
de la corne postérieure. La partie située en avant et en dedans du
faisceau
pyramidal reste toujours raréfiée et en connexion
mêmes dans les cordons antérieurs et dans le faisseau de Gowers. Le
faisceau
cérébelleux direct présente de plus en plus des
érieure de la moelle. A partir de cette même hauteur la sclérose du
faisceau
de Gowers devient dans sa partie antérieure not
ntensité de la dégénération continue de façon qu'au niveau de Ci le
faisceau
de Gowers montre seulement dans sa partie posté-
ntérieure se pré- sente seulement raréfiée. Par contre la lésion du
faisceau
cérébelleux direct, après avoir presque tout à
ne explication plausible de cette subite et complète disparition du
faisceau
cérébelleux ni de la diminution si UNE FORME D'
fortement sclérosée et qui correspond tout à fait à la position du
faisceau
de Gowers et du faisceau cérébelleux direct à c
qui correspond tout à fait à la position du faisceau de Gowers et du
faisceau
cérébelleux direct à cette hauteur. Dans les
s situées entre ces noyaux et la périphérie sont raréfiées (dans le
faisceau
de Goll beaucoup plus que dans celui de Burdach),
érieures, l'espace dans laquelle on est habitué à voir le trajet du
faisceau
longitudinal postérieur (ou dorsal) est très nota
us que, d'après l'é- tude de la moelle, on pourrait supposer que le
faisceau
longitudinal postérieur montrera une dégénérati
que sa partie centrale est fortement dégénérée, ce qui correspond au
faisceau
cérébelleux direct. La raréfaction des fibres a
s lésions des olives et de leurs fibres, de même que la sclérose du
faisceau
de Gowers restent les mêmes que dans les coupes
Dans la moelle on trouve une ressemblance complète des lésions : le
faisceau
cérébelleux direct et celui de Gowers y sont dégé
rsale d'un des muscles, on observe qu'il est divisé eu une série de
faisceaux
de dimensions très inégales ; (1) L'encéphalite
et C'c, Éditeurs. UN cas DE myopathie avec rétractions 345 chaque
faisceau
est entouré d'une gaine conjonctive (périmysium)
uses, plus rarement les grosses fibres formant la majeure partie du
faisceau
. A un fort grossissement, on peut distinguer da
es fibres de 20 et même de 10 de diamètre (PL LVI11. A). Certains
faisceaux
paraissent exclusivement composés de fibres norma
remment les fibres grosses et les fibres fines, et même parfois les
faisceaux
neuro-musculaires. Nulle part on ne trouve d'ét
ins considérable dans le triceps où l'élément adipeux domine. Les
faisceaux
neuro-musculaires sont en général intacts, toutef
toire précédant leur atrophie définitive : en effet, c'est dans les
faisceaux
les plus malades que nous avons observé les fibre
tiques étaient très petits, surtout près du globe oculaire; un seul
faisceau
inféro-interne et quelques fibres éparses étaie
s par l'extrémité terminale du nerf et à l'atteinte prédominante du
faisceau
direct. Pour Moxter (1) comme pour Popoff la ma
es normales. Mais il y a plus, et dans l'intérieur même de tous les
faisceaux
, dans les cas récents, on voit poin- dre de sem
... par exemple, des fibres nerveuses existent encore dans tous les
faisceaux
, mais assez peu nombreu- Fig. 3. , Nerf optiq
l'espace qui les joint le tissu est semblable à celui du reste des
faisceaux
, mais cet espace ne contient plus aucune fibre.
nt les bandes conjonctives, les parties claires sont les restes des
faisceaux
nerveux contenant quelques rares fibres éparses
les travées conjonctives sont épaissies relativement au volume des
faisceaux
nerveux vidés, mais la fasciculation est restée l
es bandes de sclérose qui enkystent, pour ainsi dire, et séparent les
faisceaux
super- ficiels du nerf. m) Nerf de Uegr .. Ty
nnent que des vaisseaux peu nombreux et plus ou moins obturés ; les
faisceaux
, vides de fibres nerveuses, ont un aspect finemen
sion distincte : il est probable que le quadrant sclérosé répond au
faisceau
maculaire. t' u) Début de la sclérose dans la p
cyu 37 i ques serait fort importante et éminemment favorable si les
faisceaux
conservaient dans le nerf optique toujours la m
servaient dans le nerf optique toujours la même situation, et si le
faisceau
maculaire, faisceau de la vision distincte, resta
rf optique toujours la même situation, et si le faisceau maculaire,
faisceau
de la vision distincte, restait, comme l'ont pe
Mais il n'en est pas ainsi ; d'après les recherches de Henschen, le
faisceau
maculaire quitterait l'axe du nerf au-niveau de
rtion vasculaire.toute la partie inféro-externe; la localisation du
faisceau
ma- culaire dans une partie de la périphérie ex
le reste du nerf était à peu près complètement sain : assurément le
faisceau
de la vision distincte était une des rares port
distincte était une des rares portions sclérosées. Mais tous les
faisceaux
du nerf, au moins les faisceaux périphériques,
portions sclérosées. Mais tous les faisceaux du nerf, au moins les
faisceaux
périphériques, peuvent être pris au même titre
les faisceaux périphériques, peuvent être pris au même titre que le
faisceau
maculaire par la sclérose d'origine méningée et
ceau maculaire par la sclérose d'origine méningée et vasculaire, ce
faisceau
est sans doute bien rarement pris seul; -et l'o
ion la plus rapprochée du chiasma ne pré- sente plus la division en
faisceaux
de la portion orbitaire, les modifica- tions pa
épare et engaine, enkyste souvent sur la face inférieure quel- ques
faisceaux
périphériques du nerf. Quant à la localisation
endre que le tissu conjonctif ne fait que se rétracter au- tour des
faisceaux
vidés de leurs fibres nerveuses (nerf de Faur...,
te dès cette première période tient vraisemblablement au passage du
faisceau
maculaire à la péri- phériedunerf immédiatement
ns de la moelle à ces différents niveaux. Noter la dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux croisés, sur toute la hauteur. 4 1
nt une cavité, libre en avant. A la base de la corne, remarquer les
faisceaux
de tissu conjonctif qui entourent les deux vaisse
ubans delteil sont intacts. Sur toute la hauteur de la moelle les
faisceaux
pyramidaux croisés sont dé- générés ; quant à l
e. Dans le voisinage se rencontrent presque toujours disséminés des
faisceaux
conjonctifs onduleux de même nature. En quelque
anifestation de leur tendance végétative ; il suffit de supposer un
faisceau
rubané s'allongeant toujours, et faute de pouvoir
cause de la forme parfois si régulièrement gaufrée et godronnée des
faisceaux
conjonctifs dans l'existence des fibres élastique
; des néo-vais- seaux, se développant en un point et s'entourant de
faisceaux
conjonctifs, écar- tent la substance nerveuse e
sérer perpendiculairement à la face externe de cette membrane ; les
faisceaux
conjonctifs, au contraire, lui sont parallèles
, même lorsqu'il est le moins évident, est toujours attesté par les
faisceaux
onduleux périvasculaires et surtout par la membra
diffuse, mais en tout cas, il n'y a dégénérescence complète d'aucun
faisceau
. 66 cervicale (Voir Planche LVIII, A). - Le reb
hie DE la Salpêtrière. T. XVII. Pl. LX J. Nerf cubital droit. Les
faisceaux
semblent intacts, sauf dégénérescence de quelques
générescence de quelques fibres isolées, mais dans l'intervalle des
faisceaux
notable prolifération conjonctive et adipeuse.
fération conjonctive et adipeuse. K. Nerf sciatique droit. Quelques
faisceaux
contiennent d'assez nombreuses fibres dégénérées
tration conjonctivo-graisseuse très notable dans l'in- tervalle des
faisceaux
nerveux. L. Muscles nrrléro-externes de la jambe
s dont on voit les gaines dis- séminées ; pas de dégénérescence des
faisceaux
. ' Pas de prolifération conjonctive intra-fasci
ement.très modérées, mais ma- nifestes, plus marquées dans certains
faisceaux
que dans d'autres. Le tissu interfasciculaire e
brachial droit. - La plus grande partie de ce muscle est saine, ses
faisceaux
et ses fibres sont normaux, ses fibres n'ont pas
u'il peut se faire des contractures localisées sur la longueur d'un
faisceau
musculaire, aux membres inférieurs surtout : pour
es thenars du côté gauche on observe des mouve- ments continuels de
faisceaux
volumineux isolés. La langue pré- sente aussi d
accidentelles. Mais il y a lieu de remarquer la coparticipation des
faisceaux
de Tdrclc et, dans la moelle lombaire, celle de
erculose pulmonaire. Anatomie patholo- gique : lésion primitive des
faisceaux
pyramidaux portant en même temps mais faiblemen
faisceaux pyramidaux portant en même temps mais faiblement sur les
faisceaux
latéraux qui vont au cervelet, et les cordons d
a parésie des extrémités inférieures. C'est à la dégénérescence des
faisceaux
latéraux des pyramides qu'il faut attribuer l'e
ruempell conclut que : Il semble que presque toujours ce soient les
faisceaux
pyramidaux qui soient les premiers lésés, la lé
Les dégénérescences secondaires qui suivent la lésion primitive des
faisceaux
pyramidaux sont descendantes; celles qui suiven
idaux sont descendantes; celles qui suivent la lésion primitive des
faisceaux
latéraux cérébelleux et des cordons de Goll sont
ologique. En ce qui concerne le tabes dorsal, la dégénérescence des
faisceaux
cunéiformes n'est pas primitive, n'est pas prim
optique où il se termine. Ce ganglion donne naissance à un nouveau
faisceau
. Immédiatement en avant de la couche optique, o
nt de la couche optique, on trouve une commissure qui unit les deux
faisceaux
basilaires du cerveau antérieur : tel est le no
nom que M. Edinger donne aux trousseaux issus du corps strié. Ce
faisceau
basilaire du cerveau antérieur a été jusqu'ici re
a substance blanche corticale, mais ayant plus ou moins respecté le
faisceau
des fibres d'association de Meynert; on trouve,
scence limitée, dans la moelle cervicale et dans la supérieure, aux
faisceaux
de (joli occupant, dorsale partie moyenne de la
e, maisune pupille s'élargissait plus que l'autre, de sorte que ses
faisceaux
sympa- thiques avaient été légèrement atteints.
'écorce encore mal définie, que Meynert. fait aboutir les fibres du
faisceau
, qui provient du carrefour sensi- tif. Les fait
rôle de zone sensitive n'est qu'en partie vrai et seulement pour le
faisceau
de Meynert, dont nous parlons plus loin. Enfin
80.) 3 Ballet. Voir les Recherches anatonziques et cliniques sur le
faisceau
sensitif. In th. Paris, 1881, et art. Sensibili
s du centre ovale, selon la fonction res- pective attachée à chaque
faisceau
des fibres. Nous prendrons donc à l'écorce céré
et la protubérance et enfin dans le bulbe et la moelle, chacun des
faisceaux
de fibres centripètes ou centrifuges. Nous colo
sur les dessins, de la même teinte la zone cortico-cérébrale et le
faisceau
cérébro-médul- laire correspondant. De telle so
ple examen du schéma, de prendre une idée d'ensemble du trajet d'un
faisceau
pris isolément, du trajet des diffé- rents fais
du trajet d'un faisceau pris isolément, du trajet des diffé- rents
faisceaux
pris collectivement, avec leurs connexions réci
de colorations différentes et qui représentent le trajet de chaque
faisceau
individuellement. Le passage du faisceau au niv
entent le trajet de chaque faisceau individuellement. Le passage du
faisceau
au niveau d'une coupe est indiqué sur celle-ci
sur celle-ci par la même colo- ration en teinte plate que celle du
faisceau
. Quelques mots sur les diverses coupes entrant
énéralement sui- vie dans les autopsies, est plus apte à mettre les
faisceaux
blancs en rapport avec les circonvolutions que
ituent le centre ovale, sont groupées par Pitres en trois ordres de
faisceaux
: supérieur, moyen et inférieur. Faisant précéd
lifi- catif du nom même de la coupe, on a, pour chaque coupe, les
faisceaux
préfrontaux, pédiculo-frontaux et pariétaux : sup
upe de moelle à laquelle nous nous reporterons pour retrouver les
faisceaux
cérébraux, capsulaires, pédonculaires et protubér
nne de cellules, qui n'existe qu'à la moelle dorsale et la coupe du
faisceau
céré- belleux direct par exemple encore, qui di
gu- rées sur les schéma, nous commençons la lecture du trajet des
faisceaux
blancs dans le cerveau et dans les cordons de la
ceaux blancs dans le cerveau et dans les cordons de la moelle. 1°
Faisceau
INTELLECTUEL (violet). Le faisceau intellec- tu
s les cordons de la moelle. 1° Faisceau INTELLECTUEL (violet). Le
faisceau
intellec- tuel, qui répond par son origine cort
rontale de Pitres (PI,. I. fig. 2, 6). Dans la capsule interne*, le
faisceau
intellectuel occupe les deux tiers antérieurs d
du pédoncule et s'arrêteraient à la protubérance. (Voir plus loin,
faisceau
pyramidal.) Dans le pédoncule : on retrouve le
plus loin, faisceau pyramidal.) Dans le pédoncule : on retrouve le
faisceau
intellectuel, à la partie interne de l'étage in
Plus bas enfin, dans la protubérance et au delà, le trajet de ce
faisceau
est à peu près ignoré. Les données sur lesquell
passages dans la capsule in- terne durant le trajet des différents
faisceaux
sur nos cartes de topogra- phie cérébro-spinale
facilite beaucoup la description. DE L'AXE CEREBRO-SPINAL. ZOO du
faisceau
intellectuel sont déduites des résultats anato-
dans ces trois régions aux points assignés plus haut au trajet du
faisceau
de fibres qui nous occupe, la dégénérescence seco
es qui nous occupe, la dégénérescence secon- daire des fibres de ce
faisceau
s'arrête inférieurement au pédoncule dans la pa
simples, sans aucune manifestation paralytique. A propos des deux
faisceaux
, dont nous allons maintenant suivre le trajet,
es deux faisceaux, dont nous allons maintenant suivre le trajet, le
faisceau
de L'aphasie et le faisceau géniculé proprement
allons maintenant suivre le trajet, le faisceau de L'aphasie et le
faisceau
géniculé proprement dit, une discussion s'élève
MM. Raymond et Artaud d'une part et Brissaud d'autre part. Ces deux
faisceaux
sont-ils nettement distincts l'un de l'autre ?
e l'autre ? forment-ils au con- traire, à eux deux, un seul et même
faisceau
? Le second auteur émet cette dernière opinion;
Avec iVIIIL,Raymond et Artaud, nous éta- blirons la distinction du
faisceau
de l'aphasie et du faisceau géniculé proprement
ud, nous éta- blirons la distinction du faisceau de l'aphasie et du
faisceau
géniculé proprement dit. Et nous suivrons indiv
nous suivrons individuellement et successivement chacun de ces deux
faisceaux
dans leur trajet. 2" Faisceau DE l'aphasie (a
successivement chacun de ces deux faisceaux dans leur trajet. 2"
Faisceau
DE l'aphasie (aphémie). C'est le faisceau de fi
ux dans leur trajet. 2" Faisceau DE l'aphasie (aphémie). C'est le
faisceau
de fibres partant des cellules de l'écorce du p
tale gauche et probablement de l'insula de Reil qui prend le nom de
faisceau
de l'aphasie (PL. I, fig. 1, jaune). Au centr
faisceau de l'aphasie (PL. I, fig. 1, jaune). Au centre ovale, le
faisceau
de l'aphasie constitue le faisceau pédiculo-fro
jaune). Au centre ovale, le faisceau de l'aphasie constitue le
faisceau
pédiculo-frontal inférieur sur la coupe pédiculo-
ce du pied de la deuxième frontale, siège de l'agraphie, forment le
faisceau
pédiculo-frontal moyen sur la même coupe de Pit
r la même coupe de Pitres, avec cette diffé- rence que le trajet du
faisceau
de l'aphasie (aphémie) est connu plus loin dans
plus loin dans la capsule et le pédoncule, tandis que le trajet du
faisceau
spécial de l'agraphie reste pour l'heure actuel
299, loc. cit. 256 REVUE CRITIQUE. la coupe pédiculo-frontale, le
faisceau
pédiculo-frontal infé- rieur est considéré par
e point où elles sont réunies la continuité de toutes les fibres du
faisceau
, engendre une aphémie com- plète. Dans la cap
e aphémie com- plète. Dans la capsule interne, nous retrouvons le
faisceau
de l'aphasie, àla partie postérieure du segment
asie, àla partie postérieure du segment lenticulo-optique, entre le
faisceau
intellectuel, situé immédiatement en avant et l
entre le faisceau intellectuel, situé immédiatement en avant et le
faisceau
géniculé au genou de la capsule, immédiatement
iatement en arrière (PL. I, fig. 6, jaune). Dans le pédoncule, le
faisceau
de l'aphasie vient se placer à l'étage inférieu
faisceau de l'aphasie vient se placer à l'étage inférieur, entre le
faisceau
intellectuel en dedans et le faisceau géniculé
l'étage inférieur, entre le faisceau intellectuel en dedans et le
faisceau
géniculé en dehors. Comme le faisceau intellec-
intellectuel en dedans et le faisceau géniculé en dehors. Comme le
faisceau
intellec- tuel, le faisceau de l'aphasie est in
e faisceau géniculé en dehors. Comme le faisceau intellec- tuel, le
faisceau
de l'aphasie est inconnu au delà du pédon- cule
, est insuffisant il est vrai pour déterminer le lieu de passage du
faisceau
de l'aphasie sur la coupe de la protubérance, m
oupe de la protubérance, mais il permet au moins de supposer que ce
faisceau
ne s'arrête pas au pédoncule et doit atteindre
l'aphémie, de l'écorce au pied de la troisième frontale, lésions du
faisceau
pedieulo-frontal inférieur, du carrefour du langa
le pédoncule) sur lesquels on s'est basé pour décrire le trajet du
faisceau
de l'aphasie sont assez nombreux pour qu'il n'y
t actuellement aucun doute sur l'exactitude de sa description. 3°
Faisceau
géniculé (commun au grand hypoglosse, au facial
a branche motrice du trijumeau). Du centre cortical d'origine de ce
faisceau
, au pied de la frontale ' Bitot.- Sur la capsul
. i, vert) partent les fibres essentielle- ment motrices formant ce
faisceau
et qui vont : Dans le centre ovale, constituer
rmant ce faisceau et qui vont : Dans le centre ovale, constituer le
faisceau
frontal inférieur de la coupe frontale de Pitre
ontale de Pitres (PL. I, fig. 4, vert). Dans la capsule interne, le
faisceau
géniculé occupe exacte- ment le genou delà caps
le, d'où son nom (PL.. I, fig. 6, b, vert). Dans le pédoncule, le
faisceau
géniculé se place à l'étage infé- rieur, entre
cule, le faisceau géniculé se place à l'étage infé- rieur, entre le
faisceau
de l'aphasie situé en dedans et le fais- ceau p
, les faits anatomiques sont encore peu probants pour assigner à ce
faisceau
un lieu de passage précis. Trois cas de ramolli
ssement de la protubérance avec glosso- plégie font supposer que le
faisceau
géniculé passe dans la protubérance à la partie
Au bulbe. Enfin, parvenus au bulbe, les fibres centrifuges des deux
faisceaux
de l'hypoglosse, des deux faisceaux géniculés d
les fibres centrifuges des deux faisceaux de l'hypoglosse, des deux
faisceaux
géniculés droit et gauche par conséquent, s'ent
e masticatrice du trijumeau. Unique dans la région pédonculaire, le
faisceau
se divise dans la pro- tubérance pour donner na
racine du trijumeau (branche motrice du trijumeau). Ce trajet du
faisceau
géniculé bien connu aujourd'hui depuis la publi
per- sonnels de glossoplégie protubérantielle qu'ils ont réunis.
Faisceau
pyramidal (Dénomination anato7no'-eliiiique), ou
réunis. Faisceau pyramidal (Dénomination anato7no'-eliiiique), ou
faisceau
moteur (dénomination physiologique*). Le faisce
-eliiiique), ou faisceau moteur (dénomination physiologique*). Le
faisceau
pyramidal a été bien étudié par Flechsig. C'est
aisceau pyramidal a été bien étudié par Flechsig. C'est de tous les
faisceaux
cérébro-médullaires, le mieux connu dans son tr
çons XXVII et XXVIII. 1 Le point de départ, à l'écorce cérébrale du
faisceau
pyramidal, dépasse certainement la limite de la
térieures non mo- trices, entrant néanmoins dans la constitution du
faisceau
pyramidal, que Brissaud, soutenant la vraisembl
représentants bulbaires, où elles aboutissent, constituant ainsi le
faisceau
qui représente dans l'axe cérébro- spinal, le g
e grand système cortico-moteur. Dans le centre ovale, les fibres du
faisceau
pyramidal vien- nent former : 1° Sur la coupe f
yramidal vien- nent former : 1° Sur la coupe frontale de Pitres, le
faisceau
frontal supérieur (fascicule des fibres motrice
otrices du membre infé- rieur en partie' (PL. I, fig. cl, bleu), le
faisceau
frontal moyen (fascicule des fibres motrices du
res motrices du membre supérieur) (PL. I, fig. 4. d. 5, bleu) et le
faisceau
frontal inférieur (faisceau géniculé) (PL. I, f
ieur) (PL. I, fig. 4. d. 5, bleu) et le faisceau frontal inférieur (
faisceau
géniculé) (PL. I, fig. 4. e. 6, bleu). 2o Sur
PL. I, fig. 4. e. 6, bleu). 2o Sur la coupe pariétale de Pitres, le
faisceau
pariétal supé- rieur (fascicule des fibres motr
s du membre inférieur dans sa totalité (PL. I, tg. 5, f, bleu), les
faisceaux
pariétaux moyen et inférieur (PL. I, fig. 5, 5,
pariétaux moyen et inférieur (PL. I, fig. 5, 5, 6, bleu). De là, le
faisceau
pyra- midal se porte vers la capsule interne.
ment lenticulo-optique (PL. I, fig. 6, c, bleu) se plaçant entre le
faisceau
géniculé, qui est en avant et le faisceau sensi
bleu) se plaçant entre le faisceau géniculé, qui est en avant et le
faisceau
sensitif, qui se trouve en arrière2. modératr
très précise de la forme en pyramide que prend dans son ensemble le
faisceau
moteur, pyramide très allongée, à base supérieu
antérieurs du segment postérieur de la capsule, lieu de passage du
faisceau
moteur dans la région, la pyra- mide motrice se
tronquée. 260 - REVUE CRITIQUE. Dans le pédoncule, on retrouve le
faisceau
pyramidal à la partie moyenne de l'étage inféri
artie moyenne de l'étage inférieur (PL. II, fig. 1, bleu), entre le
faisceau
géniculé qui est en dedans et le faisceau sen-
, fig. 1, bleu), entre le faisceau géniculé qui est en dedans et le
faisceau
sen- sitif qui occupe toute la région externe.
u sen- sitif qui occupe toute la région externe. Au pédoncule, le
faisceau
pyramidal commence à se dissocier. Un groupe de
ce à se dissocier. Un groupe de fibres motrices s'isole du tronc du
faisceau
et vient se placer dans, l'étage supérieur en d
nt les cordons antérieurs. Dans la protubérance, la dissociation du
faisceau
pyramidal est complète. Ce faisceau s'y présent
rotubérance, la dissociation du faisceau pyramidal est complète. Ce
faisceau
s'y présente sous l'aspect d'un réseau presque
guer : 1° dans l'étage inférieur de la protubérance, la partie du
faisceau
pyramidal que nous retrouverons, entrant dans la
elle (PL. II, fg. 2, bleu 3). Au bulbe, nous pouvons envisager le
faisceau
moteur en trois points différents : ' 1° Avan
is points différents : ' 1° Avant la décussation des pyramides , le
faisceau
pyramidal dissocié dans le pédoncule et surtout
ue nous trouverons dans la moelle sous le nom de portion directe du
faisceau
moteur, dépendance du cordon antérieur et de po
érieures du bulbe. 2° Au niveau du collet du bulbe, chacun des deux
faisceaux
pyramidaux, auxquels sont venus se joindre les
nt du côté opposé, ou il passe dans le cordon latéral de la moelle (
faisceau
pyra- midal croisé); un autre fascicule antérie
t que le mode de dédoublement au collet du bulbe de chacun des deux
faisceaux
pyramidaux varie propor- tionnellement. La décu
tielle, cas moins fréquent. Ces variétés du mode de décussation des
faisceaux
pyramidaux sont surtout intéressantes à con- na
ois : '1" variété : variété ordinaire, chaque pyramide fournit un
faisceau
direct et un faisceau croisé. Le faisceau croisé
variété ordinaire, chaque pyramide fournit un faisceau direct et un
faisceau
croisé. Le faisceau croisé cons- titue alors pr
haque pyramide fournit un faisceau direct et un faisceau croisé. Le
faisceau
croisé cons- titue alors presque à lui seul la
roisées, si fréquentes. Mais, quelquefois, l'inverse se produit; le
faisceau
direct prime le faisceau croise dans la formation
ais, quelquefois, l'inverse se produit; le faisceau direct prime le
faisceau
croise dans la formation de la couche motrice d
Pierret, Brown-Séquart). 2e variété : Décus- sation totale, pas de
faisceau
direct, variété la plus rare. 3° variété : s'ob
la plus rare. 3° variété : s'observant quelquefois; en tout, trois
faisceaux
, c'est-à-dire une pyramide formée par un faisce
; en tout, trois faisceaux, c'est-à-dire une pyramide formée par un
faisceau
croisé et un faisceau direct; l'autre pyramide
ux, c'est-à-dire une pyramide formée par un faisceau croisé et un
faisceau
direct; l'autre pyramide formée uniquement par un
et un faisceau direct; l'autre pyramide formée uniquement par un
faisceau
croisé, sans faisceau direct. Du reste, autant de
ct; l'autre pyramide formée uniquement par un faisceau croisé, sans
faisceau
direct. Du reste, autant de varié- tés de décus
linique correspondant à chaque variété'. 3° Après la décussation du
faisceau
moteur, les fibres centri- fuges entre-croisées
es se détachent, .selon toute probabilité, pour quelques-uns de ces
faisceaux
. Dans la moelle, à partir de la décussation des
aux. Dans la moelle, à partir de la décussation des pyramides, le
faisceau
moteur est donc définitivement divisé en deux par
faisceau moteur est donc définitivement divisé en deux parties : le
faisceau
pyramidal croisé et le faisceau pyramidal direct.
ivement divisé en deux parties : le faisceau pyramidal croisé et le
faisceau
pyramidal direct. Les faisceaux pyramidaux croi
le faisceau pyramidal croisé et le faisceau pyramidal direct. Les
faisceaux
pyramidaux croisés (PL. II, fig. 3. ; 2 bleu) 1
ig, 1876. * Pitres.0&. ! erua<MMs de décussations variées du
faisceau
moteur, ré- vélées par les dégénérescences seco
sont séparés de la pie-mère spinale par l'épaisseur de la coupe du
faisceau
cérébelleux direct. Ce faisceau cérébelleux dir
nale par l'épaisseur de la coupe du faisceau cérébelleux direct. Ce
faisceau
cérébelleux direct, disons-le en passant, occup
erne, légèrement convexe en dehors et séparée de la pie-mère par le
faisceau
cérébelleux direct; enfin, à la région lombaire
c'est encore un triangle à angles arrondis ; mais, à ce niveau, le
faisceau
cérébelleux direct a disparu, de telle sorte qu
, de telle sorte que la base du triangle que représente la coupe^du
faisceau
pyramidal croisé, touche la pie-mère à la périp
ramidal croisé, touche la pie-mère à la périphérie de la moelle. Le
faisceau
pyramidal croisé diminue donc graduellement de
er en rapport avec les organes cellulaires moteurs de la moelle. Le
faisceau
pyramidal croisé disparaît complètement au nive
oisé disparaît complètement au niveau du renflement lombaire. Les
faisceaux
pyramidaux directs (PL. II, fig. 3 ; 1, bleu),
le interne du cordon antérieur de la moelle. On les appelle encore,
faisceaux
de Turk, à cause de leur importance, démontrée
oelle. Dans quelques cas, cependant, sur des moelles dégénérées, le
faisceau
de Turk n'est révélé que par une bande étroite
cence et appliquée au sillon antérieur. Des régions supérieures les
faisceaux
pyramidaux directs vont en s'amincissant vers l
mité inférieure de l'axe spinal, pour se terminer plus haut que les
faisceaux
DE l'axe cérébro-spinal. 263 pyramidaux crois
la méthode anatomo- clinique, que sont nettement individualisés les
faisceaux
pyra- midaux ainsi du reste que les cornes gris
expérimentale en outre répond toujours à des troubles moteurs ; les
faisceaux
pyramidaux et les cornes grises antérieures rep
qui a donné toute sa per- fection à la description topographique du
faisceau
pyramidal'. Méthode anatomo-clinique. Ne consid
sont assez nombreux pour trancher la question de la topographie du
faisceau
pyramidal. A l'écorce cérébrale, pour qu'il y a
rne, anatomo-pathologiquement par la dégénération des- cendante des
faisceaux
blancs. Le lieu de passage du faisceau pyramida
énération des- cendante des faisceaux blancs. Le lieu de passage du
faisceau
pyramidal dans les différentes régions de l'axe
ouronnement cortical des régions centre-ovalaire ou capsu- laire du
faisceau
pyramidal, faits de dégénérescence que l'on assim
es deux troubles trophiques : la perte de l'excitabilité directe du
faisceau
moteur' . Quant aux dégénérescences secondair
sent au collet du bulbe une décussation plus ou moins complète, les
faisceaux
en dégénérescence se portent en arrière et en d
escendante dans la partie interne du cordon antérieur de la moelle (
faisceau
de Turk)3. ' Fr.-Franck. Fonctions motrices,
f. psch. M. Nerv. Krank, Bd. XIV, H. 1. 180. Charcot, Leçons sur le
faisceau
pyramidal. (Prog. znéd., n° 14, 19, 20, 1879.)
tomiques avancés par Flechsig. DE L'AXE CÉRÉBRO-SPINAL. 267 Si le
faisceau
pyramidal, l'un des éléments du système moteur
ndaire à une pachyméningite spinale par exemple, à une sclérose des
faisceaux
postérieurs, à une myélite centrale chronique,
ophie spinale deuteropathique (sclérose latérale amyotrophique) .
Faisceau
DE l'hémianesthésie6 (dénomination anatomo-rli-
Faisceau DE l'hémianesthésie6 (dénomination anatomo-rli- nique), ou
Faisceau
sensitif (dénomination physiologique). On s'ent
r- convolutions postérieures occipitales comme l'aboutissant d'un
faisceau
de fibres centripètes, les fibres rayonnantes du
ie pour les con- duire à cette zone corticale, Dans la moelle, le
faisceau
sensitif forme dans sa totalité le cordon posté
Art. Sensi- bilité du Dict. Dech. DE l'axe cérébro-spinal. 269
faisceau
sensitif dans le cordon postérieur de la moelle d
de l'ataxie), un fascicule interne (PL. II, fig. 3 ; 5), cordon ou
faisceau
de Goll. Ces deux fascicules du faisceau sensitif
II, fig. 3 ; 5), cordon ou faisceau de Goll. Ces deux fascicules du
faisceau
sensitif sont très distincts dans le cordon pos
de Glarke et la corne poslérietcre, le cnrdon de Goll, ainsi que le
faisceau
cérébelleux direct, que nous avons trouvé à la pa
ct du sys- tème médullaire moteur que nous avons vu formé par les
faisceaux
pyramidaux et les cornes antérieures et dont ils
c.) Au niveau du bulbe, les fibres centripètes qui constituent le
faisceau
sensitif d'un côté s'entre-croisent avec celles d
onde de la pyramide bulbaire antérieure. Dans la protubérance, le
faisceau
sensitif vient occuper l'é- tage moyen (PL. II,
versales du pédoncule cérébelleux moyen, en avant, de la portion du
faisceau
pyramidal qui représente dans la protu- bérance
ance les cordons latéraux de la moelle, en arrière de la portion du
faisceau
pyramidal, qui représente les cordons an- térie
rdons an- térieurs. Dans le pédoncule (PL. II, fig. 1, rose) : le
faisceau
sensitif répond à la partie la plus externe de
itif répond à la partie la plus externe de l'étage inférieur'. Le
faisceau
sensitif n'est pas cependant représenté uniquemen
ui accroît con- sidérablement l'étendue du territoire occupé par le
faisceau
sensitif sur la coupe du pédoncule. Cette porti
ar le faisceau sensitif sur la coupe du pédoncule. Cette portion du
faisceau
sensitif occupant l'étage supérieur siège assez
e. Elle y est séparée en bas de l'étage inférieur et des différents
faisceaux
qui le constituent par le Locus nige ? en haut
haut et en dedans, ce fas- cicule sensitif répond à cette partie du
faisceau
pyramidal correspondant aux cordons antérieurs
de Goll. ' Nous avons pu voir dans l'exposé du trajet successif des
faisceaux
cérébro-spinaux, qu'unmême faisceau partant en
exposé du trajet successif des faisceaux cérébro-spinaux, qu'unmême
faisceau
partant en aboutissant à une région de l'écorce
nfé- rieur du pédoncule une partie d'autant plus interne. Ainsi, le
faisceau
intellectuel, né à la région cortico-frontale,
tico-frontale, se place au segment interne du pied du pédoncule; le
faisceau
sensitif aboutissant à la région cor- tico-occi
E l'axe cérébro-spinal. 2711 Dans la capsule interne, le passage du
faisceau
sensitif est nettement précisé pour les fibres
ssage du faisceau sensitif est nettement précisé pour les fibres du
faisceau
de Meynert au tiers postérieur du segment lenti
encore au carrefour de l'aphasie de Bitot. Dans le centre ovale, le
faisceau
sensitif doit nécessairement correspondre aux f
re ovale, le faisceau sensitif doit nécessairement correspondre aux
faisceaux
occipitaux delà coupe occipitale de Pitres (non
s (non figurée sur la planche I), puisque les fibres rayonnantes du
faisceau
de Meynert se rendent à l'écorce des lobes occi
fibres centripètes pa- raissent être de deux ordres : une partie du
faisceau
sensitif atteignant la couche optique ou fibres
ulo-optique de la capsule n'est assigné qu'au passage des fibres du
faisceau
de Meynert. On tend à ad- mettre toutefois que
e- dans. Enfin la zone sensitive corticale, à laquelle se rend le
faisceau
est, avons-nous dit, assez mal délimitée sur l'
orce des lobes occipitaux. Comme pour la description du trajet du
faisceau
moteur on s'est basé pour établir celle bien mo
on s'est basé pour établir celle bien moins complète du trajet du
faisceau
sensitif sur lesrésultats-anatomiques2 fournis pa
tion physiologique moins précise pour la détermination du trajet du
faisceau
sensitif que la méthode anatomo-clinique est ce
résumé, on a pu voir par la lecture, sur les schémas du trajet des
faisceaux
de fibres conductrices centripètes ou centrifug
est au contraire presque entièrement déterminé pour les autres. Les
faisceaux
, intellectuel de l'aphasie, géniculé sont connu
rtout le dernier, de l'écorce cérébrale au bulbe, ce sont les trois
faisceaux
cortico-bulbaires; les faisceaux moteurs et sen
ébrale au bulbe, ce sont les trois faisceaux cortico-bulbaires; les
faisceaux
moteurs et sensitifs sont à peu près complèteme
trajet de l'écorce cérébrale à la moelle, ils représentent les deux
faisceaux
cortico-médullaires. EXPLICATION DES PLANCHES
et branche motrice du Trijumeau). - VIII. Hé- mianopsie. .Violet,
faisceau
intellectuel. Jaune, faisc. de l'aphasie. Vert,
cire, orbitaires. 5 ; cire, de la face interne du lobe frontal. 6;
faisceaux
préfrontaux du centre ovale. rlc. 3. Coupe pé
s. de Sylvius. 5; extrémité postérieure des circ. orbitaires. - 6 ;
faisceau
pétliculo-frontal supérieur. - 7; faisc. ])éd.-
s de la protit&o'ace. 1, 1 ; étage inférieur (et les différents
faisceaux
qui le constituent). 2, 2 ; locus niger. 3, 3;
la moelle cervicale (face latérale) pour montrer la terminaison des
faisceaux
cortico-bul- baires. A; pédoncule. B; protubéra
onséquent, .l'existence de fibres trophiques ascendantes issues des
faisceaux
- grêles et cunéiformes de la moelle (fibres ar
e, plus elles « prennent le plan externe. Dans le chiasma, voila le
faisceau
non entre- « du chiasma, il gagne graduellement
toujours à un degré moindre. Ordinairement, ce sont les parties des
faisceaux
blancs adjacents à la com- missure postérieure
men non perfectionnées. En effet, là où nous avons eu affaire à des
faisceaux
plus volu- mineux, il était aisé de les reconna
us cmruleus n'est pas encore distinct, des deux côtés, au-dessus du
faisceau
longitudinal postérieur ; atrophie presque comp
s tuméfiés ; dégénérescence secondaire des cordons de Go ! t et des
faisceaux
latéro-pyrami- daux de la moelle lombaire par n
cessoiré de \1'illis, - le noyau postérieur du pneumo-gastrique, le
faisceau
solitaire, le noyau antérieur-moteur du nerf va
ur et branche motrice du Trijumeau). VIII. Hé- mianopsie. Violet,
faisceau
intellectuel. Jaune, faisc. de l'aphasie. Vert,
cire, orbitaires. 5 ; cire. de la face interne du lobe frontal. 6;
faisceaux
préfrontaux du centre ovale. Fis. 3. Coupe pé
ciss. de Sylvius. 5; extrémité postérieure des cire, orbitaires. 6;
faisceau
pédiculo-frontal supérieur. - 7; faisc. péd.-fr
dessus de la protubérance. 1, 1; étage inférieur (et les différents
faisceaux
qui le constituent). 2, 3; locus niger. 3, 3 ;
la moelle cervicale (face latérale) pour montrer la terminaison des
faisceaux
cortico-bul- baires. A; pédoncule. B; protubéra
s et d'excitations organiques. Ces nerfs sont des cordons composés de
faisceaux
plus grêles, formés de fils que composent à leur
. Chaque fibre nerveuse est donc un fil simple, et chaque nerf est un
faisceau
ou tout au plus une tresse dans laquelle chaque f
sion. Le grand cordon antérieur paraît à son tour subdivisé en deux
faisceaux
secondaires. Ces faisceaux sont d'ailleurs peu di
érieur paraît à son tour subdivisé en deux faisceaux secondaires. Ces
faisceaux
sont d'ailleurs peu distincts. L'un d'eux est le
région ils ont complètement disparu. Cette atténuation graduelle des
faisceaux
postérieurs de la région caudale donne l'idée d'u
édiate, et de tout temps les anatomistes ont pu la faire. Ainsi les
faisceaux
blancs, qui sont à la périphérie des deux moitiés
st dans chaque moelle épais et arrondi; il est logé dans le centre du
faisceau
anterolateral. Quant au tranchant postérieur, il
échanges qui ont lieu à chaque instant entre la matière grise et les
faisceaux
blancs qui l'enveloppent. Outre ces faisceaux e
matière grise et les faisceaux blancs qui l'enveloppent. Outre ces
faisceaux
enveloppants, on voit, au centre même de l'axe gr
ux enveloppants, on voit, au centre même de l'axe gris, en regard des
faisceaux
moyens, et dans le point qui sert de transition e
qu'à présent le sujet d'aucune expérience; je leur donnerai le nom de
faisceaux
disséminés. Ces petits faisceaux sont surtout abo
périence; je leur donnerai le nom de faisceaux disséminés. Ces petits
faisceaux
sont surtout abondants dans la région cervicale e
é à l'autre, circonscrivent des interstices où sont compris de petits
faisceaux
longitudinaux, qui se confondent le plus souvent
tance spongieuse. Elles sont surtout abondantes dans le voisinage des
faisceaux
blancs qui servent d'écorce à l'axe gris. C'est a
antérieurs; l'autre, qui touche au cordon moyen dans le voisinage des
faisceaux
disséminés. Outre ces deux amas, on découvre un g
rnes gélatineuses, et dont les prolonge ments vont enfin s'unir aux
faisceaux
postérieurs; ainsi le plexus des cellules de la m
ière ; d'autres prolongements se continuent avec certaines fibres des
faisceaux
moyens et des faisceaux antérieurs; d'autres, mai
ments se continuent avec certaines fibres des faisceaux moyens et des
faisceaux
antérieurs; d'autres, mais en plus petit nombre,
idemment en connexion soit avec fies racines des nerfs, soit avec les
faisceaux
longitudinaux tant antérieurs ou latéraux que pos
verses de la moelle du chat, à la région lombaire des fibres qui, des
faisceaux
et des racines postérieures, se portaient dans le
des axes gris et que celles-ci comnuniquent à leur tour soit avec les
faisceaux
moteurs, soit avec les racines antérieures, il es
postérieurs de l'axe gris, et se continuent avec certaines fibres des
faisceaux
racines et des faiseeaux postérieurs d'une part
et des faiseeaux postérieurs d'une part, et celles des racines et des
faisceaux
antérieurs de l'autre, des relations certaines.
es descendent, dont les autres montent, surtout dans le voisinage des
faisceaux
antérieurs; l'existence de ces anastomoses peut a
rticulièrement aux cellules qui forment les amas situés en regard des
faisceaux
antérieurs et des faisceaux moyens ; mais le plus
qui forment les amas situés en regard des faisceaux antérieurs et des
faisceaux
moyens ; mais le plus souvent les petites cellule
t des fibres très-délicates qui relient ces cellules au tranchant des
faisceaux
postérieurs. Ces observations, dont chacun pour
au renflement cervical ; d'une manière générale dans les animaux, les
faisceaux
blancs s'atténuent d'autant plus à la région dors
renflement lombaire, et l'enveloppe que constituent autour de lui les
faisceaux
blancs est relativement très-mince; mais chez l'a
faisceaux blancs est relativement très-mince; mais chez l'adulte ces
faisceaux
blancs se multiplient, s'épaississent, et les axe
ENFANT NOUVEAU-NÉ homme adulte ENFANT homme Aire totale des
faisceaux
blancs Aire des faisceaux postérieurs Aire to
adulte ENFANT homme Aire totale des faisceaux blancs Aire des
faisceaux
postérieurs Aire totale des faisceaux blancs
s faisceaux blancs Aire des faisceaux postérieurs Aire totale des
faisceaux
blancs Aire des faisceaux postérieurs Aire de
s faisceaux postérieurs Aire totale des faisceaux blancs Aire des
faisceaux
postérieurs Aire des axes gris Aire des axes
rvical. 2000 492 6978 2404 721 1314 Celte réduction des
faisceaux
blancs et des axes gris à la région dorsale de l'
vers le cerveau. On remarquera aussi quelle importance acquièrent les
faisceaux
postérieurs à la région cervicale en regard des r
re au point de vue de la sensibilité intelligente? La réduction des
faisceaux
blancs à la région dorsale est beaucoup moindre d
dans l'homme beaucoup plus que dans les animaux, mais en revanche les
faisceaux
blancs dans la région sous-bulbaire subissent une
e réduction beaucoup moins marquée que celle que présentent ces mêmes
faisceaux
au-dessus du renflement lombaire; tous ces faits
nches appelé protubérance annulaire, se séparent et divergent en deux
faisceaux
très-épais, désignés par les auteurs sous le nom
t qui a été appelée le trou borgne •postérieur de Vicq-d'Azyr. Deux
faisceaux
, ou bandes longitudinales, en forment les marges.
seulement une languette du cordon antérieur, désignée sous le nom de
faisceau
interne de la silique. Quant à la plus grande par
e passe au côté externe de l'olive, et constitue ce qu'on a appelé le
faisceau
externe de la silique. L'extrémité supérieure d
tubercule cendré du bulbe est compris dans l'intervalle qui sépare le
faisceau
moyen d'avec les cordons postérieurs, et par cons
ent naître, se portent avec l'expansion du funicule latéral, vers les
faisceaux
postérieurs du bulbe. Elle est appelée couche des
forment une enveloppe serrée aux pyramides antérieures, à l'olive, au
faisceau
latéral, et ne laissent à découvert que la partie
fibres transversales, qui passent au-devant ou plutôt au-dessous des
faisceaux
longitudinaux de l'axe, et dont les extrémités s'
en plus étroit, et se grou- ii. 4 pent de chaque côté en un gros
faisceau
qui plonge dans la masse du cervelet, sous le nom
its, qui sont aujourd'hui connus de tous les anatomistes. Outre les
faisceaux
décrits par Rolando, M. Arnold (2), et après lui
sous le nom de ruban fibreux oblique. Ces fibres, qui font partie des
faisceaux
les plus antérieurs de la protubérance, s'infléch
celles qui plongent dans la fosse de Malacarne, se continuent avec le
faisceau
moyen du bulbe, et peut-être avec le faisceau pos
, se continuent avec le faisceau moyen du bulbe, et peut-être avec le
faisceau
postérieur. Tiedemann a indiqué cette disposition
chaque côté de plusieurs arcs très-dislincts. la protubérance, les
faisceaux
longitudinaux de l'axe qu'elle cachait aux yeux,
a protubérance, et plus les fibres de cette bande se condensent en un
faisceau
distinct; en ce lieu elles forment un cordon arro
s le cerveau, et plus leur épaisseur augmente; mais en même temps, le
faisceau
qu'elles composent s'aplatit et s'imprime de plus
u condensées, s'écartent, et, en s'écartant, forment un éventail de
faisceaux
rayonnants dont le plan s'enroule en un cornet ou
er cette relation en disant que le pédoncule est perforé, eu égard au
faisceau
de la pyramide, qui est perforant. Quant à Yanse
phérie de l'éventail et se mêlent aux fascicules qui le composent. Un
faisceau
blanc, plus épais, se mêle au plan de ces fibres
porte à la surface du noyau dans la paroi postérieure du cornet 5 ce
faisceau
, composé de fibres d'un blanc nacré, émane d'un
let aux parties antérieures de l'encéphale. Elle est établie par deux
faisceaux
parallèles, séparés par un intervalle quadrilatèr
velet, vers les tubercules quadrijumeaux placés au-devant de lui. Ces
faisceaux
sont les pédoncules supérieurs du cervelet, appel
verrons mieux dans un instant, des parties surajoutées au système des
faisceaux
postérieurs. Au delà, la marche des faisceaux pri
ajoutées au système des faisceaux postérieurs. Au delà, la marche des
faisceaux
primitifs est complètement dissimulée, d'abord pa
. Au delà de ces productions annulaires, on aperçoit de nouveau les
faisceaux
longitudinaux de l'axe sur la convexité de l'éven
ieure du bulbe est immédiatement remarquable par l'écartement que les
faisceaux
postérieurs subissent dans cette région, après s'
s-peu de ce qu'elle était dans la moelle, on y reconnaît aisément les
faisceaux
médians postérieurs du bulbe, semblables par leur
en entier vers le cervelet, sous le nom de pyramides postérieures, de
faisceaux
restiformes, ou de pédoncules postérieurs. Si n
e de la moelle nous a révélés, les conséquences de cet écartement des
faisceaux
postérieurs dans le bulbe seront faciles à prévoi
cordons postérieurs, on doit mettre à découvert le ventricule que ces
faisceaux
recouvraient en arrière. C'est ce qui a lieu dans
masse des tubercules quadrijumeaux. Cette voûte a pour origine deux
faisceaux
qui naissent l'un à droite et l'autre à gauche
toute la vie, les traces d'un raphé médian, M. Cruveilher désigne ces
faisceaux
sous le nom de faisceaux triangulaires latéraux d
d'un raphé médian, M. Cruveilher désigne ces faisceaux sous le nom de
faisceaux
triangulaires latéraux de l'isthme. Un sillon bie
surtout leurs relations, les désigne sous un troisième nom, celui de
faisceaux
olivaires. On peut, avec raison, les considérer c
vaires. On peut, avec raison, les considérer comme une dépendance des
faisceaux
antérieurs ou latéraux du bulbe; et, comme M. Tie
t à propos observé, ils commencent à se distinguer de la masse de ces
faisceaux
latéraux vers la région des olives, mais ils ne s
de ces corps. Quoi qu'il en soit, c'est sous la voûte que ces deux
faisceaux
constituent en formant une arcade, que s'engagent
les pédoncules supérieurs du Cervelet, et toutes les fibres qui, des
faisceaux
postérieurs, se portent vers l'Encéphale. Bien
Les tubercules quadrijumeaux émettent sur le côté de l'axe certains
faisceaux
superficiels qu'il faut mentionner ici. Le prem
aigu. Cette bande fibreuse limite en avant la région superficielle du
faisceau
olivaire. Au point où elle touche au sillon latér
geniculatum internum. Le corps genouillé interne reçoit en outre un
faisceau
des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Plus grê
grêle que le précédent, du moins dans l'homme et dans les singes, ce
faisceau
est le moyen d'une relation dont nous établirons
e de la couche optique. La lame qu'elles constituent, offre plusieurs
faisceaux
distincts. I. Le premier suit la courbe de l'ét
de la commissure postérieure, c'est-à-dire de la commissure des deux
faisceaux
triangulaires latéraux de l'isthme. Ses dimension
périeure de la couche optique d'avec sa face médiane. II. Le second
faisceau
s'étale en une membrane mince autour de la couche
ience, et par une sorte d'intuition orgueilleuse. III. Un troisième
faisceau
, mieux distinct, s'enroule sur le bord externe de
de la couche optique, dans un sillon qui la sépare du corps strié. Ce
faisceau
, connu sous le nom de Tœnia semi-circularis, bord
ieurs autres, ont essayé de distinguer, par la dissection, les divers
faisceaux
longitudinaux qui composent le bulbe. Nous avons
aux résultats suivants. A. Les pyramides antérieures sont les seuls
faisceaux
du bulbe que l'on puisse naturellement isoler. Ce
es seuls faisceaux du bulbe que l'on puisse naturellement isoler. Ces
faisceaux
ne sont point un prolongement des cordons antérie
et naissent dans la profondeur de la moelle, de l'arête centrale des
faisceaux
moyens par des racines qui s'entrecroisent sur la
prises dans les mailles de ce réseau. Les fibres superficielles des
faisceaux
moteurs et la totalité des faisceaux postérieurs
Les fibres superficielles des faisceaux moteurs et la totalité des
faisceaux
postérieurs échappent seules à cet arrangement.
se comportent avec les fibres longitudinales de l'arête centrale des
faisceaux
antérieurs. Ces fibres de la commissure embrassen
a commissure embrassent, en effet, dans leurs interstices, les petits
faisceaux
isolés de cette arête. Or, dans la moelle, la com
ssi vaste ne comprend plus seulement quelques fascicules détachés des
faisceaux
antérieurs; elle embrasse dans ses interstices la
dans ses interstices la presque totalité des fibres qui composent ces
faisceaux
. Cet épaississement de la commissure est le fait
compris sur les côtés du ventricule médian entre la commissure et le
faisceau
antérieur d'une part, et le faisceau postérieur d
médian entre la commissure et le faisceau antérieur d'une part, et le
faisceau
postérieur de l'autre. La commissure augmente-t-e
d à cet amas de cellules multipolaires qui, dans la moelle, touche au
faisceau
antérieur; l'autre externe représente l'amas qui
r; l'autre externe représente l'amas qui correspond dans la moelle au
faisceau
latéral. Ces cellules du bulbe sont fort petites,
de même que les racines antérieures des nerfs spinaux traversent les
faisceaux
antérieurs de la moelle, de même ces nerfs du bul
a moelle, de même ces nerfs du bulbe traversent toute l'épaisseur des
faisceaux
longitudinaux compris dans les interstices d'une
E. Les olives sont de petites poches logées dans une dépression du
faisceau
antérieur. Comme nous avons déjà parlé de leur fo
ée de petits ganglions gris que séparent les uns des autres de petits
faisceaux
de fibres transverses. Chacun de ces petits gangl
1° Les premières résultent d'une expansion du funicule accessoire du
faisceau
moyen qui passe au-devant du tubercule cendré de
corps restiforme des auteurs comprend à la fois des fibres venant des
faisceaux
postérieurs et des fibres qui émanent du faisceau
fibres venant des faisceaux postérieurs et des fibres qui émanent du
faisceau
latéral. Cette expansion du funicule accessoire e
antérieur, enveloppent de chaque côté les pyramides, les olives, les
faisceaux
latéraux et remontent avec les corps restiformes
atéral postérieur. On découvre aisément ainsi la face postérieure des
faisceaux
latéraux. Cette préparation donne immédiatement
ro-postérieures dont nous parlons naissent de la face postérieure des
faisceaux
moyens. Ainsi les fibres arciformes s'étendent de
eure des faisceaux moyens. Ainsi les fibres arciformes s'étendent des
faisceaux
moyens au cervelet, en passant dans le plan média
sorte que, par eux encore, le cervelet se trouve en relation avec les
faisceaux
moyens. Il résulte de ces observations que les
corps restiformes ne comprennent pas seulement des fibres émanées des
faisceaux
postérieurs, mais contiennent en outre une assez
s contiennent en outre une assez grande quantité de fibres venues des
faisceaux
moyens. Nous verrons un peu plus loin, que par le
ens. Nous verrons un peu plus loin, que par les fibres arciformes les
faisceaux
moyens sont surtout en relation avec les parties
r : (a) . Le groupe de la pyramide antérieure que composent de gros
faisceaux
longitudinaux enfermés dans une gaîne cellu-leuse
qu'ils sont constitués dans la moelle épinière. (c) . Le groupe du
faisceau
latéral que composent des fascicules plus petits
en avant. L'olive est encadrée pour ainsi dire entre les fibres de ce
faisceau
. (d). Le groupe du funicule accessoire du faisc
les fibres de ce faisceau. (d). Le groupe du funicule accessoire du
faisceau
ou cordon latéral, qui forme, à la surface du gro
nt la superficie du bulbe au travers de la commissure du bulbe et des
faisceaux
longitudinaux antérieurs. Il y a, entre ces faits
ainsi que nous l'avons déjà dit, viennent de la face postérieure des
faisceaux
moyens, se dirigent sous la couche grise des axes
nt le bulbe d'avant en arrière de chaque côté du raphé entre les deux
faisceaux
antérieurs, émergent du fond du sillon médian ant
l'encéphale dans la région de la protubérance et du pédoncule. Les
faisceaux
qui constituent l'axe du bulbe se continuent dans
irection transversale facile à constater au premier abord ; plusieurs
faisceaux
de ces fibres s'entremêlent et se croisent avec l
née du bulbe. Nous y retrouvons, en effet, une même disposition des
faisceaux
antérieurs de chaque côté du raphé médian, et le
eaux antérieurs de chaque côté du raphé médian, et le même aspect des
faisceaux
qui correspondent aux cordons latéraux. Mais déjà
éelles dont il faut tenir compte. 11 est certain, en effet, que les
faisceaux
postérieurs, tels qu'ils étaient constitués dans
anouissement des masses cérébelleuses ; nouveau mode d'épuisement des
faisceaux
postérieurs, dont la moelle épinière ne nous avai
ondée que sur la connaissance de ces particularités d'organisation du
faisceau
postérieur sur lesquelles nous avons, avec tant d
aux corps restiformes presque toutes leurs fibres, se continuer en un
faisceau
assez large, mais très-mince qui, se glisse sou
ps olfactifs. Chemin faisant il envoie aux tubercules quadrijumaux un
faisceau
très-remarquable, qui se recourbe au-dessous d'eu
ment, en s'unissant au-dessous des tubercules quadrijumaux, les deux
faisceaux
triangulaires latéraux de l'isthme, c'est-à-dire
aphé médian que parcourent, d'arrière en avant, des fibres émanées du
faisceau
moyen. Ces fibres auxquelles ne font point suite
t d'un pédoncule à l'autre. Cet entrecroisement est l'origine de gros
faisceaux
gris qui plongent d'arrière .en avant sous le noy
lle du bulbe au-devant de la protubérance, et forme avec elle un gros
faisceau
fibreux que les anatomistes ont décrit sous le no
ns y adhérer. Parmi les parties intrinsèques nous distinguerons: l°un
faisceau
découvert, je crois, par Vicq-d'Azyr, qui, du cen
ci naissent de l'anneau pédonculaire et sont d'abord divisées en deux
faisceaux
qui circonscrivent l'ouverture du canal qui loge
eurs du cervelet, soit du nerf acoustique. Quant à ce prolongement du
faisceau
postérieur qui se dirige vers les champs olfactif
agne, il se jette directement dans la base du lobe olfactif. Ainsi le
faisceau
postérieur fournit successivement des divisions a
conçoit au premier abord, puisqu'ils naissent sur le prolongement des
faisceaux
qui, du bulbe, se portent dans le cervelet. N'oub
lbe, se portent dans le cervelet. N'oublions pas, d'ailleurs, que ces
faisceaux
comprennent à la fois des fibres des cordons post
organes intellectuels, une dignité bien haute. J'ai déjà dit quels
faisceaux
les rattachent à l'isthme. Par les rubans deRei
les rattachent à l'isthme. Par les rubans deReil, ils tiennent aux
faisceaux
moyens du bulbe ; par certaines divisions, ils se
achent aux pédoncules cérébelleux supérieurs et aux prolongements des
faisceaux
postérieurs vers le cerveau; par deux bandelettes
deur? Malgré l'imperfection des résultats qu'a donnés l'analyse des
faisceaux
blancs des hémisphères, du moins seront-ils en pa
la bandelette est l'ouverture d'un canal dans lequel s'engage un gros
faisceau
transversal. Ce faisceau est une des moitiés de l
ture d'un canal dans lequel s'engage un gros faisceau transversal. Ce
faisceau
est une des moitiés de la commissure antérieure q
e l'hémisphère. Les irradiations occipitales de ce système forment un
faisceau
distinct qui marche parallèlement à la région pos
ampes, dans l'épaisseur du pli qui la limite inférieurement; un autre
faisceau
parallèle, né du genou postérieur du corps calleu
r de l'hémisphère, en suivant l'épaisseur de cette scissure. Ces deux
faisceaux
sont séparés par un intervalle que borne en avant
ement les surfaces de section. Or, si nous suivons avec attention les
faisceaux
isolés de ces surfaces, en agissant sur eux par d
aces, en agissant sur eux par des tractions légères, nous verrons ces
faisceaux
se diriger constamment de l'une des couronnes rad
s. On peut en effet suivre, à partir de chaque couronne radiante, des
faisceaux
grêles qui se rendent au même Côté du cerveau. Ce
nte, des faisceaux grêles qui se rendent au même Côté du cerveau. Ces
faisceaux
directs alternent avec ceux qu'envoie le corps ca
vec ceux qu'envoie le corps calleux. La decussation perpétuelle des
faisceaux
directs avec les faisceaux croises, dans un même
calleux. La decussation perpétuelle des faisceaux directs avec les
faisceaux
croises, dans un même hémisphère, ne permet au ni
orps genouillé interne, naît une division remarquable. C'est un petit
faisceau
blanc qui se porte immédiatement dans l'angle inf
'une expansion continue des bandelettes optiques, mais l'ensemble des
faisceaux
de la bandelette, avant de s'étaler, subit une to
s les singes s'accroît énormément dans les carnassiers, reçoivent des
faisceaux
émanés des lobes optiques en général, mais plus p
s particulièrement des tubercules nates. Les fibres qui composent ces
faisceaux
se terminent-elles dans les corps genouillés inte
. On peut distinguer dans la commissure antérieure deux choses : le
faisceau
transversal, et ses expansions terminales dans le
sal, et ses expansions terminales dans les deux hémisphères. (a) Le
faisceau
transversal passe au travers de l'étage inférieur
ales du nerf optique; 8° Après celles-ci, le plan des expansions du
faisceau
qui naît du corps genouillé interne; 9° Puis le
it partie le système du ruban fibreux de l'ourlet. Un grand nombre de
faisceaux
semblables occupent le bord externe et la face su
sur l'organe de Jacobson (1), je me suis trompé sur la nature de ces
faisceaux
que je croyais en connexion avec les prolongement
es des pédoncules, d'autres fibres qui proviennent du prolongement du
faisceau
postérieur et d'une des racines de la cinquième p
t, des rayons inférieurs de la couronne de Reil, un certain nombre de
faisceaux
blancs dont la distribution est fort simple. Tout
ines sont de deux ordres, les unes se continuent dans l'épaisseur des
faisceaux
blancs antérieurs et latécaux, les autres se port
; les unes se continuent avec les fibres nerveuses qui composent les
faisceaux
postérieurs, les autres, soit directement, soit p
stérieurs, les autres, soit directement, soit par l'intermédiaire des
faisceaux
postérieurs, se portent dans les tranchants posté
ulbe, dans l'épaisseur d'une cloison fibreuse qui sépare la masse des
faisceaux
antérieurs, de celle des faisceaux moyens, et se
n fibreuse qui sépare la masse des faisceaux antérieurs, de celle des
faisceaux
moyens, et se termine dans les noyaux gris à cel-
coupes heureuses on peut les voir se prolonger à travers la masse du
faisceau
moyen, jusqu'aux noyaux à cellules multipolaires
. Bell ont beaucoup insisté, se rattache, à la manière du spinal, aux
faisceaux
moyens du bulbe sur lesquels il s'implante à l'ex
pport qu'ont les insertions du nerf facial avec les prolongements des
faisceaux
moyens dans le bulbe, ajoute: « Les anatomistes q
t pu suivre d'autres filaments radiculaires du facial jusque dans les
faisceaux
ascendants des pédoncules cérébraux. En résumé,
moteurs ; ajoutons entin que ce nerf, inséré sur le prolongement des
faisceaux
moyens, le long des corps restiformes, appartient
eur de la protubérance. On peut suivre ses racines entre la masse des
faisceaux
antérieurs et celle des faisceaux moyens, jusqu'a
ivre ses racines entre la masse des faisceaux antérieurs et celle des
faisceaux
moyens, jusqu'au plancher du quatrième ventricule
pinion, et les font naître des pédoncules cérébelleux supérieurs, des
faisceaux
intermédiaires, des tubercules quadrijumeaux, de
lancher du quatrième ventricule. Leur implantation sur les limites du
faisceau
latéral, oblige d'ailleurs de les rattacher à la
toute l'épaisseur de la partie commissurale du pédoncule entre les
faisceaux
antérieurs, proprement dits, et les faisceaux moy
u pédoncule entre les faisceaux antérieurs, proprement dits, et les
faisceaux
moyens, et se terminent, en partie, dans la subst
tance grise qui forme le plancher de l'aqueduc de Sylvius. Un ou deux
faisceaux
bien distincts de ces fibres se portent dans la s
antérieures des nerfs rachidiens, une série normale intermédiaire aux
faisceaux
antérieurs et aux faisceaux moyens; 2° que le spi
iens, une série normale intermédiaire aux faisceaux antérieurs et aux
faisceaux
moyens; 2° que le spinal, le facial, le pathétiqu
qu'on pourrait dire exceptionnelle. Cette série est intermédiaire aux
faisceaux
moyens proprement dits, et à leurs funicules acce
e pédoncule cérébelleux supérieur, et descend avec un prolongement du
faisceau
postérieur jusque dans les parties grises de l'an
u'on pourrait les considérer comme le résultat de la division en deux
faisceaux
d'une même racine ganglionnaire. M. Longet décrit
nerf, comme les racines postérieures spinales, naît par conséquent du
faisceau
médullaire postérieur qui, parvenu au niveau et e
ourraient bien appartenir à cette expansion du funicule accessoire du
faisceau
latéral, qui enveloppe le corps resti-forme et re
eçu le nom de barbes du calamus. Les plus antérieures forment un gros
faisceau
qui se dirige en avant sous la paroi grise du ven
eau qui se dirige en avant sous la paroi grise du ventricule. 3° Ce
faisceau
est la troisième racine, il suit le prolongement
3° Ce faisceau est la troisième racine, il suit le prolongement du
faisceau
postérieur qui se dirige vers le centre des couch
meau envoie dans la base des lobes olfactifs. Ce prolongement suit le
faisceau
postérieur comme le précédent. Ainsi, de même que
récédent. Ainsi, de même que l'acoustique est lié à la division de ce
faisceau
postérieur qui va vers le cerveau, de même celui-
olfactifs aux renflements primordiaux du cerveau antérieur; enfin les
faisceaux
de la moelle, les pédoncules cérébraux, et toutes
s'infléchissant vers le sillon médian, deux plans fibreux émanés des
faisceaux
moyens. On distinguait, en outre, avec la plus gr
rcusèment tracé, et sa surface était revêtue par des expansions des
faisceaux
moyens du bulbe; quant aux pédoncules moyens du c
re ovale contraste avec la couleur nacrée des pyramides, et celle des
faisceaux
longitudinaux de la moelle qui, par leur apparenc
fr., page 345. en général, dans tous les lieux où elle recouvre des
faisceaux
blancs, l'élément conjonctif l'emporte sur l'élém
nne est à la fois composée de fibres de tissu conjonctif disposées en
faisceaux
longitudinaux et d'un réseau défibres élastiques.
s le crâne. Dans un grand nombre d'animaux elles se décomposent en un
faisceau
d'artérioles formant un réseau admirable bi-polai
Charles Bell, avait ouvert la voie aux hypothèses. On supposa que les
faisceaux
antérieurs étaient le tronc commun des racines mo
aisceaux antérieurs étaient le tronc commun des racines motrices, les
faisceaux
postérieurs étaient celui des racines sensitives.
d du côté de Bellingeri. Mais il n'établit pas clairement le rôle des
faisceaux
blancs. 11 pense toutefois qu'ils servent les uns
et tandis que quelques physiologistes professaient l'opinion que les
faisceaux
antérieurs sont moteurs et les postérieurs sensi-
périmentales et pathologiques sur les propriétés et les fonctions des
faisceaux
de la moelle épinière et des racines des nerfs ra
I, p. 930. avec nos recherches propres. Il est bien certain que les
faisceaux
lombaires des cordons postérieurs s'atténuent de
antérieures, ni dans les corps restiformes , mais seulement dans les
faisceaux
intermédiaires et dans la substance grise qui occ
attribue cette sensibilité aux fibres ascendantes qui proviennent des
faisceaux
postérieurs de la moelle. Ce physiologiste admet
leux sans substance inter- cellulaire. Ces foyers sont entourés des
faisceaux
de tissu conjouctif à noyaux fusiformes. Par pl
grandes cellules sous forme de filaments bien tenus. Par place, les
faisceaux
conjonctifs sont assez larges et constituent un
plus rien à décrire. . Dans les cordons antéro-latéraux on voit des
faisceaux
de libres dégénérés sans aucune systématisation
ne autour de la racine antérieure; presque aussi bien la région des
faisceaux
pyramidaux et celle de Gowers ; le cordon posté
arties antérieure et médiane sont sclérosées, il n'y a que quelques
faisceaux
de fibres tout à fait postérieurs qui se colore
ntérieure. Dans les cordons antéro-latéraux se voient par place des
faisceaux
irréguliers de subs- tance blanche; dans le cor
que plus de fibres myéliniques, sa partie moyenne a encore quelques
faisceaux
myéliniques qui se sont groupés sur la périphér
analogue par ses modifications à celui du côté gauche : on y voit des
faisceaux
raréfiés à la périphérie seulement, et de là le
é). Les mieux conservés restent les cordons postérieurs,surtout les
faisceaux
de Goll ; les faisceaux de Burdach démontrent u
restent les cordons postérieurs,surtout les faisceaux de Goll ; les
faisceaux
de Burdach démontrent une démyélinisation diffu
foyers est ici également assez étrange, et le trajet des différents
faisceaux
prend la forme en zig-zag. Les racines postérie
dons postérieurs de la substance blanche sont sclérosés, surtout le
faisceau
de Goll et la partie voisine du faisceau de Bur
sont sclérosés, surtout le faisceau de Goll et la partie voisine du
faisceau
de Burdach; dans ces foyers sclérosés on trouve
e sa périphérie. En outre, dégénérescence descendante dans les deux
faisceaux
pyramidaux latéraux et antérieurs (fig. 3), mai
paissies, les colorations sur la coupe les montrent comme de larges
faisceaux
rouges dessinant un réseau assez étrange. Le no
poral. On peut très bien distinguer la lame cribreuse au milieu des
faisceaux
nerveux très atrophiés. Les vaisseaux artériels
use est visible dans sa totalité, on ne voit même plus la trace des
faisceaux
nerveux atrophiés. La vue chez Aurélie est comp
raison par les auteurs comme un signe d'irritation non douteuse du
faisceau
pyramidal. Dans la monographie publiée sur les
in, olécranien), il est juste d'admettre chez eux une altération du
faisceau
pyramidal. L'exagération des réflexes osseux que
outre, on constate une dégéné- rescence secondaire ascendante (des
faisceaux
de Goll et de Burdach et dans la zone périphéri
asses noires dispersées dans toute la coupe, surtout groupées dans le
faisceau
pyramidal croisé (droit principalement) et dans
dans le faisceau pyramidal croisé (droit principalement) et dans le
faisceau
de Hoche (gauche). Dans la moelle lombaire, les
. Nulle part les corpuscules amyloïdes ne se disposent le long d'un
faisceau
nerveux. Les coupes longitudinales montrent par c
dhère à la dure- mère. (La localisation de ces masses correspond au
faisceau
postérieur droit et latéral droit voisin du pré
veineuse. Quand la tête se fléchit du côté droit on voit en bas les
faisceaux
sterno-cléido-mastoldiens se tendre. L'omoplate
on note déjà des masses néoplasiques surtout du côté gauche dans le
faisceau
pyramidal croisé, et à la périphérie de la moel
cée (le droit est mieux coloré). Dans les cordons pos- térieurs les
faisceaux
de Goll sont plus fortement colorés, Les cellules
t une coloration normale (excepté 1 ou 2 foyers plus clairs dans le
faisceau
latéral). Dans le cordon antéro-latéral gauche, u
inée par des raies claires (cloisons élargies). Par places (dans le
faisceau
gauche de Burdach, dans la partie postérieure d
ue à laquelle faisait suite une légère dégénérescence secondaire du
faisceau
gauche de Burdach dans les segments supérieurs de
la cause mécanique pour expliquer la dé- générescence secondaire du
faisceau
gauche de Burdach dans les seg- ments cervicaux
xe rotulien : il y a là vraie qui est symptomatique d'une lésion du
faisceau
pyramidal, et la fausse qui s'observe dans un gra
les systèmes anatomiques connus, dans la répartition des fibres dès
faisceaux
pyramidaux par exemple ou dans les centres des mé
présenter leur coupe transversale nor- male, présentent souvent des
faisceaux
myéliniques à direction déviée et tor- tueuse.
égénérescence secondaire peu accentuée des cordons postérieurs des (
faisceaux
de Goll principalement) et une dégénérescence dif
fibres nerveuses dans le cordon latéral gauche, surtout au sein du
faisceau
pyrami- dal latéral (dégénérescence secondaire)
veau des segments dorsaux inférieu rs des masses dégénérées dans le
faisceau
pyramidal gauche latéral. Tandis qu'au niveau des
es contours mal dessinés. On ne voit pas de cellules nerveuses. Les
faisceaux
de la substance blanche présentent des mo- difi
(les zones périphériques des cordons antéro-latéraux, la région de
faisceau
pyramidal croisé, et la zone périphérique postéri
sale, lombaire et sacrée. Dans cette dernière, la dégénérescence du
faisceau
pyramidal gauche est nota- blement moindre. Out
u- dessous (dans le Vie segm. dorsal), on voit de nouveau un- mince
faisceau
des fibres nerveuses qui couronnent la face pos
légère dégénérescence secondaire Fig. 21 · 336 Ô FLATAU t des
faisceaux
pyramidaux latéraux de deux côtés. De plus, des m
. Le pôle inférieur allongé cor- respond au lieu de pénétration des
faisceaux
supérieurs de la Ire racine lom- baire postérie
emment les racines gauches postérieures. Ces fibres s'accumulent en
faisceaux
ronds ou courent en serpent autour de la tumeur
le cervicale la dégénérescence se limite à la partie postérieure du
faisceau
cérébelleux (lig. 26). Dans la direction distal
e est moins prononcée que l'asceudante des cordons pos- térieurs Le
faisceau
pyramidal gauche est plus lésé que le droit (fig.
les cordons (de Goll) postérieurs et dans la partie postérieure du
faisceau
cérébelleux gauche dans la région dorsale et cerv
En descendant on voit un petit nombre de masses dégénérées dans le
faisceau
pyramidal gauche. Les coupes colorées par l'hém
rappe les cordons postérieurs (surtout celui du côté gauche) et le'
faisceau
cérébelleux gauche. La des- cendante frappe les
he) et le' faisceau cérébelleux gauche. La des- cendante frappe les
faisceaux
pyramidaux latéraux (surtout du côté gauche). A
méthode de Marchi (fig. 28) démontrent deux grands foyers dans les
faisceaux
pyramidaux latéraux. Par leur large base, ils s
sont orientés en dehors et de là s'enfoncent dans la moelle par des
faisceaux
et des taches grandes et irrégulières. Le caractè
FLATAU la dégénérescence se déplace vers la ligne médiane, vers les
faisceaux
de Goll, elle reste pourtant sur la ligne de dé
x de Goll, elle reste pourtant sur la ligne de démarcation entre ce
faisceau
et celui de Burdach. Dans tous ces segments cer
lombo-sacrée on constate une faible dégéné- rescence dans les deux
faisceaux
pyramidaux latéraux (dégénérescence des segment
lle lombo-sacrée pour- tant se voyait une faible dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux laté- raux. Méninges molles sans l
cence secondaire, tandis que la lombo-sacrée en présentait dans les
faisceaux
pyramidaux latéraux (la dégénérescence des part
dans l'étude des relations des cellules pyramidales géantes avec le
faisceau
pyramidal qui transmet l'incitation aux muscles
,car elles s'atrophient et disparaissent aussi après les lésions du
faisceau
pyramidal ou de la capsule interne. En effet, le
périeurs ou des membres inférieurs. Pour étudier les relations du
faisceau
pyramidal avec les cellules de Betz, j'ai utili
lloeli (1). Cet auteur en pratiquant des lésions expérimentales des
faisceaux
qui passent par la capsule interne, a observé q
es pyramides sont les seules qui envoient leurs cylindraxes dans le
faisceau
pyramidal. · Ceni (3 a pratiqué des sections et
isparition complète, est un fait constant à la suite des lésions du
faisceau
pyramidal, et qui se produit indifféremment si ce
tions suivantes : 1° De quelle région de l'écorce cérébrale naît le
faisceau
pyramidal ? 2° De quelles cellules de cette rég
s de cette région prend-il son origine ? 3° Cette zone d'origine du
faisceau
pyramidal correspond-elle avec celle dite : zon
a réaction à dis- tance des cellules cérébrales après la section du
faisceau
cérébro-spinal chez les animaux, sacrifiés depu
. L'état des cellules pyramidales géantes à la suite des lésions du
faisceau
pyramidal, Spitalul, 1901, n° 1. (2) GORDON Hol
elte maladie où on a pu suivre la dégénéres- cence ininterrompue du
faisceau
pyramidal delà moelle sacrée jusqu'à l'écorce c
KOFF, Cas de sclérose latérale amyotrophique, la dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux se propageant à travers tout l'encépha
thologiques dont je dispose à présent pour étudier les relations du
faisceau
pyramidal avec les cellules géantes de la zone
ue. Avec la méthode de Weigert-Pal on constate la dégénérescence du
faisceau
pyramidal correspondant. Dans la frontale ascen-
le, coloriés au Weigert-Pal, montrent la dégénérescence complète du
faisceau
pyramidal. Sur des coupes de la frontale ascendan
la méthode de Weigert-Pal on constate la dégénérescence complète du
faisceau
pyramidal et sur des coupes colorées au Nissl o
o- pique. Au Weigert-Pal on voit une dégénérescence très accusée du
faisceau
pyramidal. Au Nissl on constate la disparition
e. Par la méthode Weigert Pal on voit une double dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux croisés et directs. Avec Nissl la dimi
- rées au Weigert-Pal on voit une dégénérescence manifeste des deux
faisceaux
pyramidaux, celle du côté droit est un peu plus
de Weigert-Pal on voit dans la moelle une légère dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux, plus manifeste à droite. On voit ég
amen microscopique. -Avec Weigert-Pal on voit la dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux au-dessous de la compression et la dég
ssion et la dégénérescence ascen- dante des cordons postérieurs, du
faisceau
cérébelleux direct et du faisceau de Gowers au-
dante des cordons postérieurs, du faisceau cérébelleux direct et du
faisceau
de Gowers au-dessus de la compression. Avec la
issent plus de doute sur les relations des cellules de Betz avec le
faisceau
pyramidal et par conséquent avec les mouvements
s, Horsley ne met pas en doute les relations deces cellules avec le
faisceau
pyramidal, au contraire, dans une lettre qu'il
l'élude du mécanisme des mouvements volontaires et des fonctions du
faisceau
pyramidal. Semaine médicale, 1 octobre, 1903. 1
autorisé d'admettre que les relations des cellules de Belz avec le
faisceau
pyramidal et partant avec les mouve- ments volo
de l'influx sensitivo-trophique adultéré, par l'intermé- diaire du
faisceau
sensitivo-moteur de Ramon y Cajal, branche termin
teuses. Ce pigment (sous forme de masses isolées ou agglomérées, de
faisceaux
ou de poudre dispersée) apparaît donc tantôt en
rconvolutions de l'insula (1), le fasciculus arcualus, les premiers
faisceaux
du claustrum ne présentent aucune altération ou d
suit ensuite l'étude des coupes microscopiques sériées et décrit un
faisceau
volumineux dont le trajet se fait dans le sens sa
e ventriculaire. Correspondant au secteur moyen de l'hémisphère, ce
faisceau
est situé au- dessus du noyau caudé, à l'angle
s convergentes du corps calleux. Le trigone est intimement uni à ce
faisceau
et est lui-même recouvert par la substance cortic
t complètement défaut. Pour lui, le tapé- tum est formé par un long
faisceau
sagittal, le faisceau occipilo-frontal, que l'o
Pour lui, le tapé- tum est formé par un long faisceau sagittal, le
faisceau
occipilo-frontal, que l'on ne parvient pas à dé
es de la cou- ronne rayonnante. Lorsque le corps calleux manque, ce
faisceau
se déta-' che alors très nettement. Au dire d'O
exa- men histologique, on constata une dégénérescence très nette du
faisceau
longitudinal sous-jacent au corps calleux, que
longitudinal sous-jacent au corps calleux, que Muratoff appelle le
faisceau
sous-calleux et qui forme cette partie du tapét
dégénérés, le splénium parfaitement sain. A gauche, cette partie du
faisceau
sous-calleux qui se rend au lobe frontal et au
estinée au lobe occipital était demeurée abso- lument intacte. Le
faisceau
sous-calleux décrit chez le chien par Muratoff co
ecouvre les ganglions de la base. L'auteur admet d'ailleurs que son
faisceau
s'identifie en partie avec le faisceau du noyau
eur admet d'ailleurs que son faisceau s'identifie en partie avec le
faisceau
du noyau caudé de Sachs. (1) Muratoff, Secundür
côté correspondant et se cantonne au segment latéral descendant du
faisceau
sous-calleux. Ce fait vient donc à l'appui de l'h
e ce segment fait réelle- ment partie de la couronne rayonnante. Le
faisceau
sous-calleux dégénère à la suite de lésions aus
sclérose n'est pas limitée à la partie descendante, mais envahit le
faisceau
diffusément dans sa totalité. Jamais on n'est-par
est-par- venu à suivre les fibres dégénérées sur toute l'étendue du
faisceau
sous- calleux ; celles-ci, après un trajet anlé
ations calleuses et dis- paraissent dans la zone sous-corticale. Le
faisceau
sous-calleux ne repré- sente pas, par conséquen
blir dans le cerveau normal de l'homme la topographie de ce nouveau
faisceau
, le faisceau occipito-frontal. Pour lui, le faisc
cerveau normal de l'homme la topographie de ce nouveau faisceau, le
faisceau
occipito-frontal. Pour lui, le faisceau d'Onufrow
de ce nouveau faisceau, le faisceau occipito-frontal. Pour lui, le
faisceau
d'Onufrowicz doit être identifié avec la couche
e rayon- nante du noyau caudé », et à ce que Wernicke a appelé le «
faisceau
du corps calleux se rendant à la capsule intern
du reste, en quels termes l'Anatomie des centres nerveux décrit ce
faisceau
: « C'est un long faisceau d'association à dire
l'Anatomie des centres nerveux décrit ce faisceau : « C'est un long
faisceau
d'association à direction sagittale, situé entre
d'association à direction sagittale, situé entre le cingulum et le
faisceau
arqué ou longitudinal supérieur de Burdach ; il e
st séparé du cingulum par toute l'épaisseur du corps calleux, et du
faisceau
longitudi- nal supérieur par le pied de la cour
longitudi- nal supérieur par le pied de la couronne rayonnante. Le
faisceau
occipito- frontal décrit une courbe ouverte en
510 O ARCHAMBAULT laquelle il abandonne de nombreuses fibres, ce
faisceau
longe l'angle ex- terne du ventricule latéral e
tement délimité au niveau de la tête et du tronc du noyau caudé, ce
faisceau
est en partie dissocié au niveau de la queue de
fibres calleuses. Arrivé au niveau du car- refour ventriculaire, ce
faisceau
se recourbe en bas et en avant, et ses fibres s
phénoïdale, en formant le tapétum des anciens auteurs. En avant, le
faisceau
occipito- frontal prend son origine dans toute
es calleuses et les fibres de la couronne rayonnante. De la base du
faisceau
occipito-frontal, on voit se détacher des libres
de la capsule externe. Dans le lobe sphéno-occipital, les fibres du
faisceau
occipito-frontal s'irradient, après avoir formé
r le forceps du corps calleux, mais encore sur le tapétum et sur le
faisceau
occipito- frontal ; or ce dernier faisceau dégé
sur le tapétum et sur le faisceau occipito- frontal ; or ce dernier
faisceau
dégénère partiellement, à la suite de lésions d
s peuvent être suivies dans la substance grise sous-épendymaire. Le
faisceaux
occipito-frontal constitue donc un long faisceau
s-épendymaire. Le faisceaux occipito-frontal constitue donc un long
faisceau
d'associa- tion, qui relie le lobe temporo-occi
a-llémisphé- rique du genou du corps calleux, est recouverte par un
faisceau
dont les fibres constituantes semblent émerger
e temporo-occipitale. Ces fibres, poursuit l'auteur, font partie du
faisceau
d'association fronto- occipital ; certaines d'e
lobe frontal où ils forment un champ quadrangulaire en de- dans du
faisceau
uncinatus et au-dessous de la capsule externe. Au
U CORPS CALLEUX 513 ces fascicules réunis, Zingerle donne le nom de
faisceau
d'association fronto-temporal. Au niveau du l
est formé, selon l'auteur, par les fibres réunies du cingulum et du
faisceau
fronto-occipital. - En faisant l'interprétation
sparition du trigone. Dans l'un et l'autre hémisphère, il existe un
faisceau
sagittal qui sem- ble se dégager du rudiment ca
du rudiment calleux et en représenter la continuation di- recte. Ce
faisceau
, qui se dirige en arrière, est situé entre l'épen
t le corps du trigone. Quant à sa configuration et à son trajet, ce
faisceau
se rapproche beaucoup du fais. ceau fronto-occi
t Hochhaus. Toute- fois, Zingerle n'en veut pas faire uniquement un
faisceau
d'association fronto-occipital ; le fait que ma
lésions si étendues de l'hémisphère gauche, la majeure partie de ce
faisceau
persiste, démontre bien que celui-ci sert égale
ci sert également à relier les régions intermédiaires. Pour lui, ce
faisceau
existe dans le cerveau normal,mais se trouve de b
orsque le corps calleux fait défaut. Au niveau du lobe pariétal, le
faisceau
fronto-occipital est mal délimité du cingulum e
ment à la capsule externe. Dans le lobe occipital, les fibres de ce
faisceau
peuvent être suivies et en dedans et en dehors
le tapétum. Contrairement à l'opinion de Oscar Vogt, une partie du
faisceau
fronto-occipital n'accompagne pas le noyau caudé
mé par des fascicules dérivés du lobe frontal et qui constituent un
faisceau
autonome, le faisceau d'asso- ciation fronto-te
dérivés du lobe frontal et qui constituent un faisceau autonome, le
faisceau
d'asso- ciation fronto-temporal. Au niveau du l
tion. La voie médiane ou interne est constituée par le cingulum, le
faisceau
fronto- occipital et le faisceau fronto-tempora
est constituée par le cingulum, le faisceau fronto- occipital et le
faisceau
fronto-temporal ; elle représente la plus longue
ou externe, qui est une voie d'association plus courte, comprend le
faisceau
arqué deBurdach, le faisceau uncinatus et le fa
d'association plus courte, comprend le faisceau arqué deBurdach, le
faisceau
uncinatus et le faisceau longitudinal inférieur
, comprend le faisceau arqué deBurdach, le faisceau uncinatus et le
faisceau
longitudinal inférieur, lesquels sont tous plus o
ce lobe ainsi que du tapétum de la corne frontale. Il en résulte un
faisceau
assez volu- mineux qui se dirige en arrière en
eau du lobe frontal, il existe au-dessus du corps calleux, un petit
faisceau
sagittal que l'auteur désigne sous le nom de «
x, un petit faisceau sagittal que l'auteur désigne sous le nom de «
faisceau
supracalleux ». Plus en arrière ce fais- ceause
tapétum. A l'un et l'autre de ces piliers Probst donne le nom de «
faisceau
calleux longitudinal » (Balken- lüngsbündel). A
la face ventrale ou inférieure du corps calleux, il existe un autre
faisceau
sagittal qui représente le corps du trigone. La
tum latéral et le tapétum médian de la corne temporo-occipitale. Le
faisceau
sous-calleux de Muratoff, Probst ne l'a jamais ob
sous-calleux de Muratoff, Probst ne l'a jamais observé à l'état de
faisceau
bien défini ; pour lui, il s'agit moins d'un syst
alleux et à la couronne rayonnante. En 1901, dans un article sur le
faisceau
d'association fronto-occipital, - (t) PROBST, Z
de d'une erreur anatomique aussi funeste qu'inutile. 1 Il décrit le
faisceau
du noyau caudé de Sachs et la zone réticulée de l
lée de la couronne rayonnante, lesquels se trouvent compris dans le
faisceau
sous- calleux très compliqué de Muratoff, et da
ns le faisceau sous- calleux très compliqué de Muratoff, et dans le
faisceau
occipito-frontal également intrigant de Dejerin
e interne de l'hémisphère. Les fibres ni de la zone réticulée ni du
faisceau
du noyau caudé ne peuvent être suivies dans le ta
le noyau caudé est séparé du pied de la couronne rayonnante par un
faisceau
sagittal qui renferme en réalité deux espèces d
la reproduction fidèle des coupes originales. Des trois parties du
faisceau
occipito-frontal de Dejerine, une correspond abso
du corps calleux, bien que Sachs en veuille faire une partie de son
faisceau
du noyau caudé. Ce qu'est en réa- lité le faisc
ne partie de son faisceau du noyau caudé. Ce qu'est en réa- lité le
faisceau
du noyau caudé, demeure un problème assez diffici
dant deux objections à cette hypothèse : 1° l'intime relation de ce
faisceau
au noyau caudé qu'il accompagne de la corne fro
i du ventricule, ce qui semble un siège quelque peu étrange pour un
faisceau
d'association cortical. (1) Scunôuec, Das /'ron
il a conclu que le corps calleux devait nécessairement manquer. Le
faisceau
sagittal médian intra-hémisphérique qu'il ne pou-
e rayonnante, il s'est trouvé forcé de le considérer comme étant un
faisceau
d'association. Sachs a chau- dement combattu ce
averser la ligne médiane, elles ont formé dans chaque hémisphère un
faisceau
sagittal reliant le pôle frontal au pôle occipita
de cette malfor- mation. Il n'existe pas dans le cerveau normal de
faisceau
analogue au faisceau sagittal que l'on observe
ion. Il n'existe pas dans le cerveau normal de faisceau analogue au
faisceau
sagittal que l'on observe dans les cas d'agénésie
é que par une lame de faible épaisseur formée, en réalité, par deux
faisceaux
cylindriques accolés l'un à l'autre et retenus
la partie antérieure de ce fragment commissural cependant, les deux
faisceaux
sont intimement unis par l'entrecroisement de l
imement unis par l'entrecroisement de leurs fibres. En arrière, ces
faisceaux
diver- gent progressivement, formant chacun un
aux diver- gent progressivement, formant chacun un pilier sagittal (
faisceau
calleux longitudinal de Probst) qui pénètre dan
dans la capsule ex- terne. Au niveau du carrefour ventriculaire,le
faisceau
calleux longitudinal se sépareen deux feuillets
3. 518 ARCHAMBAULT · I interne de l'hémisphère, on distingue un
faisceau
sagittal bien délimité qui représente sans dout
itudinal de Probst et le corps calleux normal. Comme ce dernier, le
faisceau
calleux longitudinal contourne les cornes frontal
ieure, frontale ascendante et pariétale ascendante.' Le fait que le
faisceau
calleux longitudinal n'existe pas dans le cerveau
inférieure du lobe frontal. On ne trouve pas la moindre trace d'un
faisceau
fronto-occipital. Il convient de dire que cette
aines diminuent également. La racine motrice est représentée par un
faisceau
principal et par plu- sieurs petits fascicules
le voisinage des vaisseaux, dans le tissu conjonctif et autour des
faisceaux
de fibrilles nerveuses (fig.2). On observe la
lles sont dilatées et remplies d'héma- ties et de leucocvtes. Les
faisceaux
de fibrilles nerveuses de l'adventice sont aussi
nu, ayant les caractères habituels de ces productions. De nombreux
faisceaux
de fibrilles conjonctives sont frappés par la dé-
itérés. Quelques fusées leucocytaires s'ob- servent aussi entre les
faisceaux
connectifs et le long des gaines vascu- laires.
es d'hématoï- dine, etc. Immédiatement au-dessous de cette zone, un
faisceau
qui se distin- gue par l'intensité de sa colora
du trigone cérébral qui en occupe environ la moitié inférieure. Ce
faisceau
paraît légère- ment atrophié bien qu'il se colo
que nous n'ayons pas réussi à identifier ces fascicules dérivés du
faisceau
triangu- laire, nous avons cru qu'il pouvait s'
r, soit d'une voie aberrante de la cou- ronne rayonnante, soit d'un
faisceau
appartenant au système olfactif. Le tuber- cule
ons et éviter d'inutiles répétitions, nous appellerons désormais le
faisceau
sagittal médian. Ce fais- ceau reçoit constamme
bres est tel que nous ne saurions établir les confins de ce dernier
faisceau
. Ce qui nous engage à croire que le cingulum fa
lus nette que les fibres voisines sont franchement dégé- nérées. Le
faisceau
sagittal médian se confond au-dessous avec la par
AMBAULT LT '. gouttière à concavité iuterue dans laquelle repose le
faisceau
sagittal médian. La configuration de la couche
la zone sous-épendymaire dans leur trajet de la capsule externe au
faisceau
sagittal médian. Ces fasci- cules renferment, a
nombre toujours croissant de fibres de projection bien colorées. Les
faisceaux
d'association de la région latérale de l'hémisp
s faisceaux d'association de la région latérale de l'hémisphère, le
faisceau
arqué de Bur- dach et le faisceau uncinatus son
gion latérale de l'hémisphère, le faisceau arqué de Bur- dach et le
faisceau
uncinatus sont assez bien définis quoique moins d
ment libre de toute soudure et augmente rapidement de dimension. Le
faisceau
sagittal mé- dian a pris un développement consi
et dont les fibres se colorent relativement bien. On dirait que ce
faisceau
s'est en grande partie dégagé de la profondeur de
ur de leur circonvolution d'origine. La seconde zone, formée par le
faisceau
sagittal médian ou faisceau calleux sagit- 640
origine. La seconde zone, formée par le faisceau sagittal médian ou
faisceau
calleux sagit- 640 ARCHAMBAULT tal, constitue
en dedans la cavité du ventricule latéral. Le trigone est séparé du
faisceau
sagittal sur la ligne médiane par une incisure
orts avec le segment dorsal de la com- missure postérieure, avec le
faisceau
rétro-réflexe de Meynert et avec la strie médul
irconvolution pariétale ascendante et lobule paracentral) envoie au
faisceau
sagittal médian. De même, la couronne rayonnante
-épendymaire les radiations calleuses de la convexité temporale. Le
faisceau
arqué de Burdach se dessine plus nette- ment qu
(pl. LXXIV-Fj et le plein développement du carrefour ventriculaire,le
faisceau
sagittal médian s'accroît avec une rapidité éto
ulaire latérale pour se rendre dans la partie la plus supérieure du
faisceau
sagittal, alors que les fibres dérivées du bord s
n- gulum semble occuper un champ ovalaire situé dans l'épaisseur du
faisceau
sagittal médian et compris entre les prolongeme
pproximatifs, et on ne saurait différencier ses fibres de celles du
faisceau
sagittal médian. Ce dernier est en- core nettem
fascicules qui se dégagent du trigone pour contourner en dehors le
faisceau
sagittal et se recourber en- suite vers l'écorc
suite vers l'écorce de la circonvolution limbique. Cette partie du
faisceau
sa- gittal médian qui côtoie le ventricule, ain
entriculaire atteint son maxi- mum de développement, on voit que le
faisceau
sagittal médian se renfle pour former un forcep
moins loin vers la ligne médiane au-dessous de l'écorce limbique. Le
faisceau
sagittal médian s'étend donc à ce niveau au-del
FIG. 4. AGENÉSIE DU CORPS CALLEUX 643 réunies du trigone et du
faisceau
sagittal médian, entre lesquels il n'existe plus
bres du trigone sont t nettement dégénérées alors que les fibres du
faisceau
sagittal prennent une coloration intense. On ar
gne médiane se laissent suivre à leur tour à travers l'épaisseur du
faisceau
sagittal jusque dans la substance sous-corticale
recroisement entre les fibres constituantes du trigone et celles du
faisceau
sagittal médian ; le trigone qui est sous-ventr
i est sous-ventriculaire en bas devenant sous-cortical en haut, et le
faisceau
sagittal, sous-ventriculaire en haut, devenant
ant sous-cortical en bas. Plus en arrière, cependant, les fibres du
faisceau
sagittal dans leur trajet descendant ne s'inflé
ce niveau en présence de ce fait très intéressant, à savoir, que le
faisceau
sagittal médian entoure complètement la cavité
gées plus ou moins verticalement, sont pour la plupart tributaires du
faisceau
sagittal médian. Cependant au niveau de la part
A ce propos, nous rappellerons que dans une monographie (1) sur le
faisceau
longitudinal inférieur et le faisceau optique c
ns une monographie (1) sur le faisceau longitudinal inférieur et le
faisceau
optique central, nous avons soutenu la thèse qu
et le faisceau optique central, nous avons soutenu la thèse que les
faisceaux
de Sachs et de Vialet, habituellement considérés
ux de Sachs et de Vialet, habituellement considérés comme étant des
faisceaux
propres au lobe occipital, n'étaient que les prol
retrouve pas au niveau actuellement à l'étude, la moindre trace du
faisceau
de Sachs. Plus en arrière, vers la pointe occip
u faisceau de Sachs. Plus en arrière, vers la pointe occipitale, ce
faisceau
finit par se dessiner, assez vaguement du reste
paroi ventriculaire interne a complètement disparu. Par contre, le
faisceau
de Vialet est particulièrement bien différencié
le cingulum supérieur ou pariétal se confond grossièrement avec le
faisceau
sagittal médian, alors que le cingulum inférieu
elief habituel et paraît être situé plus bas qu'à l'état normal. Le
faisceau
perpendiculaire de Werniclie est relativement b
l'on se rapproche du pôle occipital, on constate que les fibres du
faisceau
sagittal médian entourent presque complètement la
ans son segment inférieur. On commence à distinguer à ce niveau, le
faisceau
transverse du cunéus de Sachs. Quant aux faisce
r à ce niveau, le faisceau transverse du cunéus de Sachs. Quant aux
faisceaux
de Vialet et de Wernicke, ils demeurent particu-
e sagittale externe temporale, le trajet ininterrompu des fibres du
faisceau
de Turckdans leur passage à travers le segment
i- rablement. La capsule externe est notablement dégénérée, mais le
faisceau
un- cinatus par contre se colore relativement b
frontal prend un développement considérable et se transforme en un
faisceau
bien conformé qui affecte un trajet horizontal an
terne de la corne frontale. Nous attribuons la majeure partie de ce
faisceau
au système calleux et nous le désignerons désorma
adoptée pour la description de l'hémisphère gauche, sous le nom de
faisceau
sagittal médian. En avant de la corne frontale, l
au sagittal médian. En avant de la corne frontale, les fibres de ce
faisceau
se confondent plus ou moins avec les fibres const
l'épaisseur de la paroi ventriculaire interne et sert à séparer le
faisceau
sagittal médian du pilier antérieur du tri- gon
zone sous-épendymaire de la corne frontale en passant au-dessous du
faisceau
sa- gittal. Il semble donc, par conséquent, qu'
est que sur les coupes suivantes le septum qui sépare le trigone du
faisceau
sagittal médian est remplacé par un sillon dans l
Cie, Editeurs AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX 649 fibres appartenant au
faisceau
sagittal. Toutes ces particularités nous portent
rayonnante, malgré son enchevêtrement avec la partie antérieure du
faisceau
sagittal médian, jusque dans la zone sous-corti
peut être suivie sans difficulté jusqu'au pôle frontal. En dedans du
faisceau
sagittal médian et dans la région sous-cortical
étal du cingulum. Ses fibres affectent le même trajet que celles du
faisceau
sagittal médian et peuvent être suivies en avan
apide et, se prolongeant en avant, se confondent avec les fibres du
faisceau
sagittal médian qui est lui-même devenu très vo
st lui-même devenu très volumineux. De cette union résulte un large
faisceau
dirigé horizontalement d'avant en arrière et qui
zone sous-épendymaire de la corne frontale et l'ergot de Morand. Le
faisceau
sagittal médian (Ballcenlangsbündel de Probst)
corps du trigone. Les relations qui existent entre le trigone et le
faisceau
sagittal médian sont assez complexes et suffisamm
bique qui, pour lui arriver, doivent traverser toute l'épaisseur du
faisceau
sagittal médian. Bien que d'une façon générale ce
lus élevés, on voit que de pair avec le développement progressif du
faisceau
sagit- tal médian et la disparition concomitant
res, ce qui reste du trigone se trans- portant lentement travers le
faisceau
sagittal médian jusque dans la profon- deur de
tion de domaine est d'autant plus facile à suivre que les fibres du
faisceau
sagittal médian se colorent fortement alors que
anchement dégénérées. Lors de sa migration à travers l'épaisseur du
faisceau
sagittal, le trigone affecte la forme d'une lyre
ndymaire à la zone sous-corticale de la circonvolution limbique. Le
faisceau
sagittal médian finit donc par former sur toute l
l'intérêt porte sur le développement ultérieur du système calleux. Le
faisceau
sagittal médiau qui s'élargit de plus en plus c
tricule latéral. En arrière,là où il aborde la corne occipitale, le
faisceau
sagittal médian se renfle pour former un forceps
que l'on observe sur une coupe normale prise au même niveau. Que le
faisceau
sagittal médian n'est autre que le segment homo
incontestable. Au-dessus du ventricule, les fibres constituantes du
faisceau
sagittal médian poursuivent un trajet moins rec
dans le voisinage du ventricule, se réunissent pour former un long
faisceau
sagittal au lieu de traverser la ligne médiane
sphère cérébral ; on re- trouve la même disposition de noyaux et de
faisceaux
qu'à l'état normal. A coup sûr, quant à son vol
de faisceaux qu'à l'état normal. A coup sûr, quant à son volume, le
faisceau
sagittal médian de l'un ou de l'autre hémisphèr
é. Mais il faut bien tenir compte de ce fait que dans notre cas, le
faisceau
sagittal médian et le tapétum ne renferment que l
fussent non seulement généralisées, mais uniformément intenses. Le
faisceau
occipito-frontal d'Onufrowicz n'existe pas dans l
ations que l'on a voulu iden- tinter dans le cerveau normal avec le
faisceau
d'Onufrowicz. se retrouvent facilement dans les
ment dans les cas d'agénésie et qu'elles sont nettement séparées du
faisceau
sagittal atypique. Les cas d'agénésie nous rend
permettent de suivre plus facile- ment le trajet d'un bon nombre de
faisceaux
. Nous avons vu les rapports intimes qui existen
faisceaux. Nous avons vu les rapports intimes qui existent entre le
faisceau
sagit- tal médian et le trigone, et nous avons
emière cir- convolution limbique en traversant toute l'épaisseur du
faisceau
sagittal médian. Il y a longtemps que nous avon
presque le pôle frontal ; en arrière elles se mêlent aux fibres du
faisceau
sagittal médian pour constituer le tapétum de l
il se rend cependant dans le lobe occi- pital où il prend le nom de
faisceau
de Sachs. A l'appui de cette asser- tion, nous
cle mé- canique au développement de la commissure calleuse. 3° Le
faisceau
occipito-frontal ne représente, ainsi que l'a dit
he, tandis qu'il appuie sa main droite sur une hache émergeant d'un
faisceau
de licteur ; le second squelette, en tricorne,
qui va se rendre à un petit ganglion situé près de la bouche. 8.
Faisceau
qui unit le cerveau au ganglion en patte 'd'oie.
. 8. Faisceau qui unit le cerveau au ganglion en patte 'd'oie. 9.
Faisceau
plus large que le précédent et qui, en s'unissa
Section du pont de Varóle. Les points blancs indiquent la section des
faisceaux
de fibres transverses venant du cervelet. /j'"e
ndiquer avec précision les proportions relatives des axes gris et des
faisceaux
blancs qui les enveloppent. 'ig. \. Moelle épin
rijumeaux antérieurs. b. Tubercules quadrijumeaux postérieurs. c.
Faisceau
triangulaire latéral de l'isthme (Gru- veilhier
formes ou pyramides postérieures. k. Tubercule cendré de Rolande l.
Faisceau
moyen dans la région du buîbe. m. Cordons média
estiforme. t. Tubercule cendré de Rolande y. Funicule accessoire du
faisceau
latéral de la moelle. k. Son expansion autour d
rébraux. c. Protubérance. d. Pyramide antérieure. /'. Olive. g.
Faisceau
antéro-îatéral. h. Trou borgne postérieur de Vi
. A. Portion du ronflement cervical. B. Renflement lombaire. à.
Faisceaux
postérieurs dans la région du renfle- ment lomb
central de la moelle. /. Cordons disséminés sur la tête centrale du
faisceau
latéral. g. Cornes postérieures des axes gris d
res des axes gris de la moelle, parcourues d'arrière en avant par des
faisceaux
blancs émanés des cordons postérieurs, et des rac
al. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian postérieur. f.
Faisceaux
disséminés. On peut remarquer les proportions,
la région dorsale. On peut y remarquer une réduction simultanée des
faisceaux
blancs et des axes gris. Fig. 8. Coupe de la mê
, 7 et 8, on pourra constater une proportion relative plus grande des
faisceaux
blancs chez l'adulte, et des axes gris chez l'enf
avec les racines postérieures; 3° avec les fibres longitudinales des
faisceaux
moyens et postérieurs; 4° enfin, avec les fibres
a ligne médiane con- stituant la commissure antérieure. i. Petits
faisceaux
disséminés, formant l'arête centrale des faisce
ure. i. Petits faisceaux disséminés, formant l'arête centrale des
faisceaux
moyens. j. Fibres qui de la face antérieure des
trale des faisceaux moyens. j. Fibres qui de la face antérieure des
faisceaux
postérieurs ou sensitifs se portent dans les cell
entes. I. Commissure grise. A. Faisceaux blancs antérieurs. A'.
Faisceaux
moyens confondus avec les antérieurs. R. Faisce
eaux postérieurs. Fig. 2. Structure d'une feuille du cervelet. a.
Faisceau
central de fibres blanches provenant du novau b
t. D'après le cerveau du Papion (Cynoceplialus spliynx), grossi. à.
Faisceau
antéro «latéral. á. Pyramide antérieure du côté
erminai de l'axe gauche vu par sa face externe (dans le Papion). à.
Faisceau
antérieur. á. Pvramide antérieure. c. Olive.
au antérieur. á. Pvramide antérieure. c. Olive. d. Expansion du
faisceau
latéral qui se porte vers le corps restiforme e
postérieur gauche. k. Tubercule quad ri jumeau antérieur gauche. /.
Faisceau
triangulaire latéral de l'isthme (Cru-veilher). R
isceau triangulaire latéral de l'isthme (Cru-veilher). Ruban, (Reil).
Faisceau
olivaire (Tied.) m. Étage inférieur du pédoncul
es dans le raphé de l'axe et proviennent de la face postérieure des
faisceaux
moyens du bulbe ; elles sont l'origine des fibres
ur du cervelet qui suivent la distribution de l'une des branches du
faisceau
postérieur (g). g. Prolongement interne du fais
des branches du faisceau postérieur (g). g. Prolongement interne du
faisceau
postérieur qui se porte vers l'anse du pédoncul
Bulbe. b. Pyramide antérieure. c. Protubérauce. d. Expansion du
faisceau
latéral qui recouvre les corps restiformes. e
ral qui recouvre les corps restiformes. e. Cinquième paire. /',
Faisceau
triangulaire latéral de l'isthme. g. Tubercule qu
ut. 0. Bulbe. b. Pyramide postérieure coupée. ce. Prolongement du
faisceau
postérieur qui se porte vers la base du lobe olfa
me paire. d\ Sa racine descendante, f/". Sa racine ascendante. e.
Faisceaux
antérieurs de la protubérance. f. Faisceau tria
racine ascendante. e. Faisceaux antérieurs de la protubérance. f.
Faisceau
triangulaire latéral de l'isthme. g. Pédoncule
ion dans l'hémisphère. t. Commissure antérieure. Fig. 8. Marche des
faisceaux
médullaires suivie sur la face interne du demi en
cacas radiatus). a. Bulbe. a'a'. Fibres delà face postérieure des
faisceaux
latéraux qui se portent en avant et en bas dans l
dans le raphé du bulbe, et sont l'origine des fibres arciformes. b.
Faisceau
postérieur du bulbe détaché. b\ Prolongement de
s. b. Faisceau postérieur du bulbe détaché. b\ Prolongement de ce
faisceau
qui se porte vers le centre de la couche optique.
sent en avant les pyramides pédoncu-laires. d. Couche optique. e.
Faisceau
formé par certaines racines de la troi- sième p
écorce blanche au corps strié externe. i. Commissure molle. k.k.
Faisceau
perforé du pédoncule. /. Faisceau perforant du
ne. i. Commissure molle. k.k. Faisceau perforé du pédoncule. /.
Faisceau
perforant du pédoncule. Papion disséqué couche
ent appliquée sur lui, et qui ont déjà été indiquées, g, fig. 1. k.k.
Faisceau
perforé et anse du pédoncule cérébral. /. Faisc
g, fig. 1. k.k. Faisceau perforé et anse du pédoncule cérébral. /.
Faisceau
perforant du pédoncule. n. Commissure antérieur
d'une partie de la voûte et du septum lucidum. q.q.q. Fibres qui du
faisceau
perforé du pédoncule se portent directement dans
du pédoncule à l'hémisphère, a été en partie détaché et enlevé. a.
Faisceau
perforant du pédoncule. b. Son faisceau perforé
tie détaché et enlevé. a. Faisceau perforant du pédoncule. b. Son
faisceau
perforé. c. Anse du pédoncule dont le bord anté
calleux, dans tous les plis de la face externe de l'hémisphère. a.
Faisceau
perforant du pédoncule. b. Faisceau perforé.
e externe de l'hémisphère. a. Faisceau perforant du pédoncule. b.
Faisceau
perforé. c. Corps strié externe. d. Corps str
ges de plis qui occupent la face externe de l'hémisphère. i, i\ in.
Faisceaux
qui de l'éventail pédonculaire se portent directe
is qui occupent la face externe de l'hémisphère et alternent avec les
faisceaux
du système précédent. k.k.k. Commissures propre
a été détaché pour mettre en évidence ses véritables relations. a.
Faisceaux
antérieurs du bulbe. b. Pyramides antérieures.
composent l'hémisphère disséqué de sa base à sa face supérieure. a.
Faisceau
perforé du pédoncule. b. Son faisceau perforant
se à sa face supérieure. a. Faisceau perforé du pédoncule. b. Son
faisceau
perforant. c. Nerf optique soulevé et détaché d
rps strié externe. /. Commissures propres du lobule orbitaire. m.
Faisceau
de l'éventail pédonculaire séparant le corps st
septum avec ses deux feuillets composants. I. Méat de Sylvius. m.
Faisceau
de fibres qui par le corps calleux vient de la mo
alleux vient de la moitié droite de l'axe à l'hémisphère gauche. n.
Faisceau
qui du côté gauche de l'axe se porte à l'hémisphè
he de l'axe se porte à l'hémisphère droit. 0. Racine de l'un de ces
faisceaux
. Fig. 6. Ensemble des expansions cérébrales du
cordons latéraux, celle qu'on désigne aujourd'hui sous le nom de-
faisceau
pyramidal; il met en relation la zone motrice d
ce qui suit : 1° à la région cervicale, il existe de chaque côté un
faisceau
grisâtre comprenant la moitié postérieure des c
re, un fais- ceau gris qui parait dépasser en dehors les limites du
faisceau
de Goll ; 2° sur une coupe faite à la partie mo
ites bandelettes intactes qui représentent, au moins en partie, les
faisceaux
de Goll. Sur la figure 5, qui correspond à l'ex
altérations est la même que sur la coupe précédente. Seulement les
faisceaux
de Goll, tou- jours intacts, se dessinent plus
es, sauf dans la partie qui avoisine immédiatement la pie-mère. Les
faisceaux
de Goll, au contraire, sont dégénérés. Cette dé
le et du bulbe, elle intéresse toute l'épaisseur du cordon latéral (
faisceau
cérébelleux direct, et faisceau pyramidal crois
te l'épaisseur du cordon latéral (faisceau cérébelleux direct, et
faisceau
pyramidal croisé). En dedans, elle est limitée pa
e Duchenne la plus légitime. Comme dans cette dernière affection le
faisceau
de Burdach est envahi dans les parties basses d
amené à tenir pour synonymes les deux expressions cordon latéral et
faisceau
pyramidal. Or, rien n'est plus faux que cette s
connaissons bien aujourd'hui, c'est le système centri- pète ou du
faisceau
cérébelleux direct qui confine à la périphérie
fine à la périphérie de la moelle, et le système centrifuge ou du
faisceau
pyramidal, situé en dedans du premier. Ces 56 P
n latéral affecte-t-elle la même topographie que celle reconnue aux
faisceaux
cérébelleux ou pyrami- daux ? En aucune façon;
forme d'un triangle à base péri- phérique élargie, qui traverse le
faisceau
cérébelleux et empiète sur le système pyramidal
ui respecterait absolument dans toutes les parties de la moelle les
faisceaux
de Türck et les cor- nes antérieures qui font p
systématique et limitée aux cordons latéraux sans participation des
faisceaux
de Türck et de la substance grise; mais de ces
oute la hauteur de la moelle paraissaient bien limitées à l'aire du
faisceau
pyramidal. Toutefois, le début brusque de l'aff
au. Etude sur le tabès dorsal spasmodique (sclérose pri- mitive des
faisceaux
latéraux). Thèse du Paris, 1SS3. * Stofella. Wi
i qu'il en soit, si l'on veut admettre une sclérose systématique du
faisceau
pyra- midal, sans participation du faisceau de
clérose systématique du faisceau pyra- midal, sans participation du
faisceau
de Tùrck et des cornes antérieures, on n'a pour
la sclérose des cordons postérieurs est assez nettement limitée aux
faisceaux
de Goll (PL. II, fin. 11 et 12) pour que nous n
imite pas au cordon de Burdach, elle intéresse en même temps et les
faisceaux
de Goll (ce qui est fréquent) et les faisceaux
en même temps et les faisceaux de Goll (ce qui est fréquent) et les
faisceaux
cérébelleux di- rects. Ces derniers faisceaux s
est fréquent) et les faisceaux cérébelleux di- rects. Ces derniers
faisceaux
sont seuls lésés dans le cordon latéral. Dans l
mment dans le cordon latéral, paraissait très exactement limitée au
faisceau
cérébelleux de chaque côté. 3° type. - Ici il
ndant devoir être envisagée comme une sclérose systématique de ce
faisceau
; car sur quelques points, elle en dépasse de be
une dégénérescence des cordons de Goll, associée ou non à celle des
faisceaux
cérébel- leux ; au-dessous au contraire la lési
contraire la lésion dégénérative intéressera, suivant la règle les
faisceaux
pyramidaux. Les choses nous semblent s'être pas
la sclé- rose commence à la périphérie de la moelle, recouvre les
faisceaux
cérébelleux et une partie des voies pyra- midal
ns les unes ni dans les autres de ces observations, les lésions des
faisceaux
latéraux n'affectaient, dans leur localisation,
ERVEUSE. elle est assez bien localisée aux cordons de Goll et aux
faisceaux
cérébelleux, tandis qu'au niveau des régions do
sont dégénérés dans une partie qui correspond assez exactement aux
faisceaux
pyramidaux. Ce cas est susceptible de trois int
rait affaire à une double dégénérescence du système cen- trifuge (
faisceau
pyramidal) et du système centripète (cordons de
difficilement compatible avec une lésion systématique primitive du
faisceau
pyramidal. Westphal observe, à la vérité, que l
téressant, d'une part, les cor- dons postérieurs ; d'autre part, le
faisceau
pyramidal. Parmi les observations que nous avon
la hauteur de la moelle, d'autre part, dans la même étendue, les
faisceaux
cérébelleux et pyramidaux. De plus, fait import
de Tùrck était lésé du côté droit. Corrélativement la sclérose du
faisceau
pyramidal occupait une étendue moins considérab
moins considérable à gauche que de l'autre côté. Cette lésion du
faisceau
de Tùrck nous semble, comme à MM. Kahler et Pic
ection qu'on pourrait faire à cette manière de voir, c'est que le
faisceau
cérébelleux était lésé au même titre que le pyr
toute la hauteur de la moelle, semblait assez nettement limitée au
faisceau
pyramidal de cha- que côté. L'observation de ce
'association d'une sclérose des cordons latéraux à une sclérose des
faisceaux
postérieurs. On sait que les symptômes d'une
évoir que, dans les cas de sclérose intéressant simultanément les
faisceaux
postérieurs et les latéraux, on se trou- vera e
thésies et anesthésies); celles des cordons latéraux, du moins du
faisceau
pyramidal, par de la paraplégie avec contractur
latéral s'étend dans la plus grande partie de la moelle, celle des
faisceaux
de Burdach fait défaut sur certains points, not
tablir, de rappeler les nombreux cas de sclérose systématique des
faisceaux
postérieurs avec propagation du pro- cessus aux
ertains cas de MM. Charcot et Pierret, dans lesquels la sclérose du
faisceau
de Burdach avait évolué sans son cortège de dou
Coupe de la région dorsale. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du
faisceau
de Burdach. Fig. 9. Coupe de la région dorsale.
r trouva l'atrophie du nerf optique ainsi qu'une faible atrophie du
faisceau
croisé, le tubercule quadrijumeau qui lui corre
a couche grillée, tout à côté, commande en outre à la nutrition des
faisceaux
latéraux du pédoncule cérébral. Ceux-ci, à la s
De sa destruction résulte l'atrophie des fibres des pyramides et du
faisceau
de Vicq d'Azyr en même temps qu'une diminution
rtions de l'étape supérieur des pédoncules cérébraux ainsi que d'un
faisceau
d'association qui rejoint le lobe frontal au lo
le pédoncule et la protubérance ; elle nous a montré de plus que le
faisceau
de l'hypoglosse diffère, au point de vue de son
de vue de son origine corticale et de son trajet intra-cérébral, du
faisceau
dit de l'aphasie. Le présent travail se divise
per- manent avec lésions du pied de la frontale ascendante ou des
faisceaux
blancs sous-jacents. Le tiers inférieur de cett
ré Pitres, le centre ovale est décomposable en un certain nombre de
faisceaux
de fibres blanches, destinées à relier à la pér
on des conducteurs équivaut à la destruction du centre. Parmi les
faisceaux
blancs du centre ovale, deux nous intéressent t
ovale, deux nous intéressent tout particulièrement : ce sont les
faisceaux
sous-jacents à la troisième circonvolution DES
tout corticales; un second, dans lequel les lésions intéressent les
faisceaux
blancs sous-jacents. Au premier groupe appartie
le- fait de Féré existent en même temps des lésions de l'écorce des
faisceaux
blancs, sous-jacents : à gauche, ramollissement
s venons de décrire, on verra que toujours la lésion intéresse le
faisceau
frontal inférieur, c'est-à-dire le faisceau se
la lésion intéresse le faisceau frontal inférieur, c'est-à-dire le
faisceau
se détachant du pied de la frontale ascendante.
u pied de la frontale ascendante. Ainsi, de même que les lésions du
faisceau
pédiculo- frontal inférieur (sous-jacent à la t
frontale) se traduisent par de l'aphasie, de même les lésions du
faisceau
frontal inférieur (sous-jacent à la frontale as
ar le syndrome clinique de la paralysie labio-glosso-laryngée. Le
faisceau
frontal inférieur renferme donc les fibres céré
lade avait de la peine à écarter les mâchoires ». Les lésions de ce
faisceau
, qui donnent lieu au tableau clinique de la par
s, l'absence des phénomènes qui d'ordinaire révèlent une lésion des
faisceaux
pyramidaux consti- tuent déjà une présomption s
là un fait intéressant parce qu'il montre que la dégénération des
faisceaux
latéraux de la moelle n'entraîne pas de troubles
'après la méthode d'I;rlitzhy), démontra les lésions classiques des
faisceaux
latéraux sur toute l'étendue de la moelle, sclé
e la protubérance se limitent quelquefois à la zone que parcourt le
faisceau
volontaire et déterminent alors du côté opposé
ivante : i° Le tiers postérieur du segment postérieur contient le
faisceau
destiné à la transmission des impressions sensi
2° Les deux tiers antérieurs'idu segment postérieur contiennent le
faisceau
destiné à l'innervation des muscles des membres
LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 97 3' Le genou de la capsule contient le
faisceau
des- tiné à donner le mouvement à toutes les pa
r la volonté. 4° Le segment antérieur de la capsule renferme un
faisceau
dont les lésions se traduisent par des troubles
ésions se traduisent par des troubles intellectuels; A ces quatre
faisceaux
peuvent être imposées les dénominations de : fa
A ces quatre faisceaux peuvent être imposées les dénominations de :
faisceau
sensitif, faisceau pyra- midal (faisceau moteur
aux peuvent être imposées les dénominations de : faisceau sensitif,
faisceau
pyra- midal (faisceau moteur des membres), fais
s les dénominations de : faisceau sensitif, faisceau pyra- midal (
faisceau
moteur des membres), faisceau géniculé (faiscea
sceau sensitif, faisceau pyra- midal (faisceau moteur des membres),
faisceau
géniculé (faisceau moteur de la face, de la lan
eau pyra- midal (faisceau moteur des membres), faisceau géniculé (
faisceau
moteur de la face, de la langue, du voile du pa
é (faisceau moteur de la face, de la langue, du voile du palais),
faisceau
intellectuel. De même, la région pédonculaire a
llectuel. De même, la région pédonculaire a été divisée en quatre
faisceaux
qui sont : 1° Un faisceau postérieur faisant su
n pédonculaire a été divisée en quatre faisceaux qui sont : 1° Un
faisceau
postérieur faisant suite au faisceau sensitif;
tre faisceaux qui sont : 1° Un faisceau postérieur faisant suite au
faisceau
sensitif; ' 2° Un faisceau moyen faisant suit
n faisceau postérieur faisant suite au faisceau sensitif; ' 2° Un
faisceau
moyen faisant suite au faisceau pyra- midal ;
ite au faisceau sensitif; ' 2° Un faisceau moyen faisant suite au
faisceau
pyra- midal ; 3° Un faisceau interne faisant
° Un faisceau moyen faisant suite au faisceau pyra- midal ; 3° Un
faisceau
interne faisant suite au faisceau in- tellectue
au faisceau pyra- midal ; 3° Un faisceau interne faisant suite au
faisceau
in- tellectuel ; 4° Un faisceau intermédiaire
faisceau interne faisant suite au faisceau in- tellectuel ; 4° Un
faisceau
intermédiaire au faisceau moyen et au faisceau
uite au faisceau in- tellectuel ; 4° Un faisceau intermédiaire au
faisceau
moyen et au faisceau interne, correspondant au
tellectuel ; 4° Un faisceau intermédiaire au faisceau moyen et au
faisceau
interne, correspondant au faisceau géni- culé.
médiaire au faisceau moyen et au faisceau interne, correspondant au
faisceau
géni- culé. Ces deux derniers faisceaux, ains
interne, correspondant au faisceau géni- culé. Ces deux derniers
faisceaux
, ainsi que l'a montré l'étude des dégénérations
e la face. Les fibres détachées du pied de la troisième frontale (
faisceau
de l'aphasie) et les fibres détachées de la fro
au de l'aphasie) et les fibres détachées de la frontale ascendante (
faisceau
de l'hypoglosse) sont-elles contenues dans le m
ndante (faisceau de l'hypoglosse) sont-elles contenues dans le même
faisceau
pédon- culaire (faisceau géniculé ou faisceau i
losse) sont-elles contenues dans le même faisceau pédon- culaire (
faisceau
géniculé ou faisceau intellectuel) ou daus des
ontenues dans le même faisceau pédon- culaire (faisceau géniculé ou
faisceau
intellectuel) ou daus des faisceaux différents
culaire (faisceau géniculé ou faisceau intellectuel) ou daus des
faisceaux
différents ? Telle est la question ' que nous a
ns de la bandelette la plus interne du pé- doncule (c'est-à-dire du
faisceau
intellectuel) coïn- cident toujours avec des tr
membres, au visage ou à la langue; tandis que les dégénérations du
faisceau
intermédiaire (faisceau géniculé) se rencontrer
la langue; tandis que les dégénérations du faisceau intermédiaire (
faisceau
géniculé) se rencontreraient dans les cas d'aph
u voile du palais. Pour Brissaud, comme on le voit, les fibres du
faisceau
pédiculo-frontal inférieur et celles du faisceau
oit, les fibres du faisceau pédiculo-frontal inférieur et celles du
faisceau
frontal inférieur~se réuniraient dans le même f
et celles du faisceau frontal inférieur~se réuniraient dans le même
faisceau
pédonculaire, le faisceau géniculé. Nous ne s
tal inférieur~se réuniraient dans le même faisceau pédonculaire, le
faisceau
géniculé. Nous ne saurions être du même avis, e
e preuves à fournir, nous pensons qu'il existe dans le pédoncule un
faisceau
de fibres dis- tinctes, intermédiaire au faisce
s le pédoncule un faisceau de fibres dis- tinctes, intermédiaire au
faisceau
géniculé et au fais- ceau intellectuel; la dégé
sceau géniculé et au fais- ceau intellectuel; la dégénération de ce
faisceau
, que l'on pourrait nommer faisceau de l'aphasie
ellectuel; la dégénération de ce faisceau, que l'on pourrait nommer
faisceau
de l'aphasie se montre- rait toutes les fois qu
utes les fois que la troisième circonvolution frontale gauche ou le
faisceau
pédiculo-frontal infé- rieur sous-jacent à cett
genou de la capsule. 2° Dans l'hémiplégie vulgaire par lésion du
faisceau
pyramidal, il y a toujours un certain degré de
er cas, le fais- ceau géniculé est intéressé en même temps que le
faisceau
pyramidal, en avant duquel il se trouve immé- d
avant duquel il se trouve immé- diatement ; dans le second cas, le
faisceau
pyramidal et le faisceau géniculé sont respecté
immé- diatement ; dans le second cas, le faisceau pyramidal et le
faisceau
géniculé sont respectés; seuls, le faisceau de
aisceau pyramidal et le faisceau géniculé sont respectés; seuls, le
faisceau
de l'aphasie et le faisceau intellectuel ont ét
ceau géniculé sont respectés; seuls, le faisceau de l'aphasie et le
faisceau
intellectuel ont été lésés. Nous croyons donc q
et le faisceau intellectuel ont été lésés. Nous croyons donc que le
faisceau
pédiculo-frontal inférieur {faisceau de l'aphas
és. Nous croyons donc que le faisceau pédiculo-frontal inférieur {
faisceau
de l'aphasie) et le faisceau frontal inférieur
e faisceau pédiculo-frontal inférieur {faisceau de l'aphasie) et le
faisceau
frontal inférieur (faisceau de l'hypoglosse, du
inférieur {faisceau de l'aphasie) et le faisceau frontal inférieur (
faisceau
de l'hypoglosse, du facial inférieur, de la bra
e pédoncule un trajet, très voisin, il est vrai, mais différent. Le
faisceau
frontal inférieur ou faisceau de l'hypoglosse t
in, il est vrai, mais différent. Le faisceau frontal inférieur ou
faisceau
de l'hypoglosse traverse la capsule interne au
eau de l'hypoglosse traverse la capsule interne au niveau du genou {
faisceau
géniculé) et se place dans le pédoncule à la fa
isceau géniculé) et se place dans le pédoncule à la face interne du
faisceau
pyramidal. Le faisceau pédiculo-frontal inférie
ace dans le pédoncule à la face interne du faisceau pyramidal. Le
faisceau
pédiculo-frontal inférieur ou faisceau de l'aph
ne du faisceau pyramidal. Le faisceau pédiculo-frontal inférieur ou
faisceau
de l'aphasie traverse la capsule interne dans s
ans son seg- 300 PATHOLOGIE NERVEUSE. ment antérieur, en avant du
faisceau
géniculé, en arrière du faisceau intellectuel,
USE. ment antérieur, en avant du faisceau géniculé, en arrière du
faisceau
intellectuel, et se place dans le pédoncule ent
du faisceau intellectuel, et se place dans le pédoncule entre le
faisceau
géniculé et le faisceau intellectuel. 4° Lésion
uel, et se place dans le pédoncule entre le faisceau géniculé et le
faisceau
intellectuel. 4° Lésions de la protubérance.
ce, sont des troubles dans l'articulation des mots, par lésion du
faisceau
de l'hypoglosse. Mais puisque le faisceau de l'
n des mots, par lésion du faisceau de l'hypoglosse. Mais puisque le
faisceau
de l'aphasie, de même que le faisceau de l'hypo
l'hypoglosse. Mais puisque le faisceau de l'aphasie, de même que le
faisceau
de l'hypoglosse, ne s'arrête qu'au bulbe, il do
au même titre qu'il existe une aphasie par lésion de l'écorce, des
faisceaux
blancs sous-jacents ou de la capsule interne. L
ous manquent donc pour poursuivre dans la protubérance le trajet du
faisceau
de l'aphasie. En ce qui concerne le trajet intr
u vuit un foyer composé de plusieurs petites lacunes occupant les
faisceaux
les plus postérieurs delà pyramide motrice, san
ste un foyer de ramollissement, très étendu, qui a détruit tout les
faisceaux
constituant la moitié postérieure de la pyra- m
ne sont pas altérés. Dans la moelle, dégénérescence secondaire du
faisceau
py- ramidal croisé, à droite, et du cordon de T
le ascen- dante, les fibres cérébrales de l'hypoglosse suivent le
faisceau
frontal inférieur, traversent la capsule in- te
terne au niveau du genou, se placent dans le pédon- cule entre le
faisceau
pyramidal et le faisceau que nous avons nommé f
u, se placent dans le pédon- cule entre le faisceau pyramidal et le
faisceau
que nous avons nommé faisceau de l'aphasie, occ
ule entre le faisceau pyramidal et le faisceau que nous avons nommé
faisceau
de l'aphasie, occupent dans la protubérance la
men histologique de la tumeur 1 démontré qu'elle est formée de gros
faisceaux
de fibres de tissu conjonctif s'entre- croisant
de la paraplégie s'accompa- gnent de lésions systématiques dans les
faisceaux
des pyramides. La multiplicité des groupes de f
istin- guer dans les cordons postérieurs , rapprochée de ceux des
faisceaux
cérébro-médullaires qui nous échappent en dépit d
énétiques. Quoique l'affection cérébrale soit unilatérale, les deux
faisceaux
pyrami- daux sont dégénérés. La dégénérescence
ion, et le cervelet avec l'équilibre, de sorte que, dans ce cas, le
faisceau
en question serait la voie par laquelle notre a
njonctif situé entre la pointe externe de la corne antérieure et le
faisceau
latéral est plus accentué du côté malade; ses m
ient du chevreuil, l'autre de l'homme. Les sections transverses des
faisceaux
sonttrès obscures, le^ sections longitudinales so
les fibres obliques offrent une nuance intermédiaire. On y voit des
faisceaux
clairs s'infléchir dans la substance blanche de l
Coupe de la région dorsale. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du
faisceau
de Burdach. Fig. 9. Coupe de la région dorsale
yse zygomatique, une ligne de démarcation sur laquelle s'insèrent les
faisceaux
inférieurs du muscle temporal et qui n'avait pas
t des rugosités, vraisemblablement destinées à donner insertion à des
faisceaux
musculaires (1). Ces variations morphologiques
re au fond de la rainure et sur la face externe de la bulle, par deux
faisceaux
de libres dont le plus important est celui de la
limite par en haut la logette de Prussak. Helmholtz y considère deux
faisceaux
, l'un antérieur formé de fibres plus courtes, l'a
llius et sur la grande épine tympanique antérieure. Ce ligament et le
faisceau
postérieur du ligament externe constituent la ban
par la partie antérieure du segment postérieur de la capsule interne (
faisceau
génicuié), traversent le cinquième interne du pie
qui se termine dans le bulbe autour des cellules d'un noyau accolé au
faisceau
solitaire. La solidarité anatomique, qui existe
une hémiplégie faciale par compression du noyau bulbaire, et aussi du
faisceau
intra-bulbaire du nerf: c'est la paralysie nucléa
Pflaumer, afin d'établir l'anse anastomotique, en le suturant soit au
faisceau
trapézien du spinal, soit à l'hypoglosse. La re
perdent dans le muscle ou le traversent pour se rendre au trapèze. Ce
faisceau
trapézien doit être disséqué dans une étendue de
la tente du cervelet. « La portion de leur trajet comprise entre les
faisceaux
fibreux de la tente du cervelet leur est ordinair
ndre-axes directs et des fibres collatérales de provenances diverses (
faisceau
de projection, d'association intra-hémisphérique)
projection, d'association et commissurales. Lobe occipito-temporal.—
Faisceaux
de projection. Couronne rayonnante du lobe tempor
anglions infracorticaux et le rhombencéphale. Elle comprend : a) Le
faisceau
temporo-protubérantiel de Tûrck, qui dégénère de
si partie du segment sous-lenticulaire de la capsule interne; c) Le
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold, étendu entre les tro
ibuent avec elles k la formation du champ triangulaire de Wernicke.
Faisceaux
d'association.— a) Le faisceau arqué ou longitudi
du champ triangulaire de Wernicke. Faisceaux d'association.— a) Le
faisceau
arqué ou longitudinal supérieur, constitué par un
remières temporales, les trois occipitales et le pli courbe ; b) Le
faisceau
uncinatus, reliant le pôle temporal k la face orb
eliant le pôle temporal k la face orbitaire du lobe frontal ; c) Le
faisceau
longitudinal inférieur, qui se joint aux fibres d
années, Flechsig et plusieurs neuro-logistes ont considéré ces longs
faisceaux
d'association inter-hémisphériques comme de vérit
ongs faisceaux d'association inter-hémisphériques comme de véritables
faisceaux
de projection : les fonctions associatives qui le
ssociatives qui leur étaient dévolues appartiendraient k une série de
faisceaux
courts.) d) Le faisceau occipital vertical de W
t dévolues appartiendraient k une série de faisceaux courts.) d) Le
faisceau
occipital vertical de Wernicke, placé en dehors d
première et la troisième occipitales et le lobule fusiforme ; e) Le
faisceau
occipital transversal du cunéus (Sachs), reliant
liant celui-ci k l'écorce de la convexité du lobe occipital ; f) Le
faisceau
occipital transversal du lobule lingual (Vialet)
eynert (stratum proprium cunei), voies d'association courte ; h) Le
faisceau
occipito-frontai, qui forme le tapetum (Déjerine)
ngement occipito-sphénoïdal du ventricule latéral. (L'existence de ce
faisceau
n'est plus accepté en tant que faisceau d'associa
e latéral. (L'existence de ce faisceau n'est plus accepté en tant que
faisceau
d'association.) Fibres commissurales. — D'après
du recessus occipito-sphénoïdal du ventricule latéral, on trouve deux
faisceaux
d'association com-missurale, l'un supérieur, l'au
forceps major et forceps minor. A l'interruption de ces différents
faisceaux
se rattachent des troubles de la vision, de l'aud
, à des phénomènes réflexes ou de compression, et non à une lésion du
faisceau
pyramidal lui-même. L'opération confirme le diagn
s de Véquilibre (démarche incertaine, vertiges). — Scion Flechsig, le
faisceau
de Turck constituerait une voie motrice qui trans
des noyaux pontiques et de la voie centripète ponto-cérébclleuse, ce
faisceau
intervient aussi dans la coordination des mouveme
ssible de déterminer si ces troubles dépendent d'une lésion centrale (
faisceau
de Turck ou cervelet), ou bien d'une altération d
gments du névraxe, par les voies pédonculaires. Elles constituent des
faisceaux
qu'on peut grouper en différents systèmes: cérébe
tibulaire. i° Système cérébello-médullaire. — Il comprend : a) Le
faisceau
cérébelleux direct (Flechsig) ou spino-cérébelleu
desquelles s'épanouissent les ramifications terminales des fibres du
faisceau
radiculaire médial des racines postérieures. En r
es racines postérieures. En remontant vers le bulbe, les fibres de ce
faisceau
occupent la périphérie de la moelle, derrière le
ibres de ce faisceau occupent la périphérie de la moelle, derrière le
faisceau
de Gowers. Elles pénètrent dans le cervelet, en p
rieure du vermis supérieur (lingula, lobule central, culmen). b) Le
faisceau
de Gowers, ou spino-cérébelleux ventral. — Il réu
supérieur et aux noyaux du toit. (Mott et Tooth, in Thomas.) c) Les
faisceaux
des cordons postérieurs et des noyaux de Goll et
latérales aux noyaux vestibulaires de Deiterset de Bechterew. d) Le
faisceau
cérébelleux descendant, marginal antérieur de Loe
s du même côte de la corne antérieure de la moelle cervicale. e) Le
faisceau
intermédiaire de Marchi. — Marcha, par la méthode
w, par l'étude de la myélinisation, ont démontré l'existence, dans le
faisceau
pyramidal croisé, de libres qui tirent leur origi
le pour se terminer dans les cornes antérieures de la moelle. f) Le
faisceau
en crochet. — Le noyau dentelé et probablement l'
fondamental antérieur par une voie efférente croisée qui constitue le
faisceau
en crochet de Russell. Après une hémi-extirpation
érébelleux supérieur, des libres dégénérées qui occupent le trajet du
faisceau
vestibulo-cérébelleux, se placent dans la substan
aux du vestibulaire. Plusieurs auteurs identifient cette voie avec le
faisceau
de Gowers. Thomas et Marchi ont signalé un fais
te voie avec le faisceau de Gowers. Thomas et Marchi ont signalé un
faisceau
cérébelleux descendant qui, sans relais, irait du
as été confirmée. « Tout porte à croire, dit-il, que les fibres de ce
faisceau
proviendraient du noyau de Deiters ». Ces fibres
s-médullaires sont admises par tous les auteurs. Elles passent par le
faisceau
longitudinal postérieur et par la réticulée. Nous
plus importante serait la voie afférente. Bechterew y distingue deux
faisceaux
qu'il dénomme cérébral et spinal. Le faisceau c
rew y distingue deux faisceaux qu'il dénomme cérébral et spinal. Le
faisceau
cérébral, voie afférente, tire son origine des no
aussi, au vermis supérieur et aux noyaux centraux. (Bechterew.) Le
faisceau
spinal, voie efférente, issue des régions antérie
u cervelet. Bamon y Cajal a vu ces libres ascendantes, groupées en un
faisceau
qu'il nomme vestibulo-cérébelleux, continuer dire
noyaux sphérique et du toit et vers l'écorce du vermis supérieur. Ce
faisceau
fournirait de simples collatérales aux noyaux bul
s ou bulbaires sont l'aboutissant d'une voie d'association longue, le
faisceau
central de la calotte qui descend des cellules cl
es cellules cle la substance réticulée de la calotte. (Bechterew.) Le
faisceau
ou cordon périolivaire, propre à la moelle cervic
moelle cervicale, continue probablement jusqu'à la moelle l'action du
faisceau
central. Les cellules multipolaires des noyaux
fournissent des collatérales, croisent lera-phé et pénètrent dans le
faisceau
longitudinal postérieur, où ils se dichotomisent
l'équilibration (nystagmus, etc.). Le noyau rouge est l'origine du
faisceau
descendant rubro-spinal de Monakow ; il entre aus
xion avec le tubercule quadrijumeau supérieur, par l'intermédiaire du
faisceau
longitudinal prédorsal ou faisceau tecto-bulbaire
supérieur, par l'intermédiaire du faisceau longitudinal prédorsal ou
faisceau
tecto-bulbaire de Pavlow; avec les centres de l'o
bulbaire de Pavlow; avec les centres de l'olfaction par les fibres du
faisceau
rétro-réflexe de Meynert, et, finalement, avec le
e cérébelleuse par la voie tubercules quadrijumeaux-noyaux pontiques (
faisceau
tecto-jrrotubérantiel de Pavlow). Tout ce vaste
oies qui descendent directement du noyau vestibulaire vers la moelle (
faisceau
longitudinal postérieur), et qui ne sont pas inté
indirectement les parties centrales de l'organe, noyaux gris et gros
faisceau
pédonculaire (Luciani), on constate alors les dif
e de ce symptôme : « Les noyaux de Deiters, reliés au cervelet par le
faisceau
vestibulo-cérébelleux, envoient des fibres au noy
s répondent à une lésion sous-corticale qui interrompt les différents
faisceaux
d'association, étendus entre les centres du langa
psule interne, le pédoncule cérébral, le corps calleux ; 4° parmi les
faisceaux
d'association : le cingulum qui appartient au lob
t au lobe limbique supérieur ou circonvolution calloso-mar-ginale, le
faisceau
occipito-frontal, le faisceau arqué étendu entre
u circonvolution calloso-mar-ginale, le faisceau occipito-frontal, le
faisceau
arqué étendu entre la troisième frontale et le lo
ceau arqué étendu entre la troisième frontale et le lobe temporal, le
faisceau
longitudinal inférieur qui unit en partie le lobe
u pont de Varole; 5° parmi les fibres d'association : le cingulum, le
faisceau
occipito-frontal avec le tapetum (Déjerine), le f
cingulum, le faisceau occipito-frontal avec le tapetum (Déjerine), le
faisceau
arqué, le faisceau longitudinal inférieur en part
au occipito-frontal avec le tapetum (Déjerine), le faisceau arqué, le
faisceau
longitudinal inférieur en partie, la capsule exte
aissent dans le pulvinar et le corps genouillé externe, et, enfin, le
faisceau
longitudinal inférieur. Y droite, le sinus laté
u lobule fusiforme, le tapetum, la radiatio optica de Gratiolet et le
faisceau
longitudinal inférieur. La section de la pyrami
eur-postérieur, inférieur-postérieur, inférieur-moyen du cervelet, le
faisceau
longitudinal inférieur et, enfin, les portions ho
stérieure, en détruisant les fibres des radiations de Gratiolet, du
faisceau
longitudinal inférieur et celles du tapetum, surt
roi inférieure de la corne postérieure est sclérosée. Une partie du
faisceau
longi- tudinal inférieur, qui se trouve dans la
usqu'à la paroi externe de la corne postérieure, en détruisant le
faisceau
de Gratiolet et lefaisceau longi- tudinal infér
a sclérose des fibres des radiations de Gratiolet et de celles du
faisceau
longitudinal inférieur, ainsi que la sclérose d
nterruption de la couche des radiations deGratiolet et des fibresdu
faisceau
longitudinal inférieur,surtout dans leur Fig. 8
re visuel cortical dans l'hémisphère droit et par l'interruption du
faisceau
visuel de Gratiolet sur son trajet dans l'hémis
u lobe occipital dans les deux cas, nous n'avons observé ni dans le
faisceau
de Gratiolet, ni dans les fibres du corps calle
ne certaine atrophie des fibres du bourrelet du corps calleux et du
faisceau
de Gratiolet. La sclérose de ce dernier, ainsi
conséquent, il s'agissait dans ces cas d'une lésion surplace de ce
faisceau
et non pas de dégénérescence proprement dite (4.)
ouve sur la tapisserie de Reims : c'est un serviteur zélé armé d'un
faisceau
de verges. Encore un témoignage de la coutume bar
es ascendantes qui portent de chaque côté sur le cordon de Goll, le
faisceau
cérébelleux direct et le faisceau de Go- wers,
ue côté sur le cordon de Goll, le faisceau cérébelleux direct et le
faisceau
de Go- wers, les deux premiers étant atteints d
it en outre une raréfaction des fibres à myé- line dans la zone des
faisceaux
pyramidaux directs et croisés (fig. 3). Les lé-
tement dégénéré que dans les segments sus-jacents. Dans la zone des
faisceaux
pyramidaux croisés la disposition des lé- , sio
atéraux montre encore un léger degré de raréfaction des fibres. Les
faisceaux
pyramidaux croisés sont en état de dégénérescen
appréciable, la forme de la moelle tend - it redevenir normale. Les
faisceaux
pyramidaux croisés seuls sont dégénérés, mais l
faisceaux pyramidaux croisés seuls sont dégénérés, mais les autres
faisceaux
blancs sont encore traversés par des septa conjon
riabilité des conduits sanguins. 4. Substance nerveuse (axe gris et
faisceaux
blancs). - Le relevé topographi- que des lésion
eg- ment dorsal, d'où est partie la dégénérescence secondaire de ce
faisceau
, tandis que pour le cordon de Goll gauche le po
gine des autres dégénéres- cences secondaires. La dégénérescence du
faisceau
pyramidal croisé gauche est au maximum dans la
dans la partie inférieure du 5° segment dorsal (fig. 7) et celle du
faisceau
pyramidal croisé droit dans le 6e segment dorsal
t dans le 6e segment dorsal (fig. 9). Au- dessus de ces régions les
faisceaux
pyramidaux croisés sont éclaircis par une dégén
de ces foyers de lésions destructives dans la substance nerveuse -
faisceaux
blancs et substance grise - coïncide toujours a
lier que les dégénérescences secondaires des cordons de Goll et des
faisceaux
pyramidaux croisés ne débutent pas à la même haut
et qui ne constituent pas un foyer unique. Ces lésions limitées des
faisceaux
blancs et de la substance grise sont- elles le
vertébrale, la moelle épinière a les particularités suivantes : le
faisceau
pyra- midal se trouve seulement dans les cordon
a périphérie par les fibres myéliniques très nettement marquées (le
faisceau
cérébelleux du cordon Nouvelle Iconographie de
ntôt la moelle est comprimée d'avant en arrière ; en conséquence le
faisceau
pyramidal, commençant à la commissure blan- che
nt étendus de côté dans la partie postérieure ; leur subdivision en
faisceaux
de Goll et de Burdach est indiquée. mais pas tr
ur partie dorsale sont mal développés, pâles et étendus de côté. Le
faisceau
pyramidal existe seulement sous forme d'un fais
dus de côté. Le faisceau pyramidal existe seulement sous forme d'un
faisceau
de Turck, disposé à la périphérie du faisceau fon
ement sous forme d'un faisceau de Turck, disposé à la périphérie du
faisceau
fonda- mental du cordon antéro-latéral. Le fais
a périphérie du faisceau fonda- mental du cordon antéro-latéral. Le
faisceau
cérébello-spinal, grâce à la com- pression de l
st-à-dire absolument comme dans la coupe pré- cédente, seulement le
faisceau
de ces. fibres est généralement plus large. Pho
les sont conservées seulement au milieu de l'isthme.' Sous forme de
faisceau
large de fibres horizontales elles se dirigent en
vont dans la périphérie de la moelle en arrière et passent dans le
faisceau
de fibres, placées sur les bords de la moelle all
nce entre la partie antérieure des cordons postérieurs et entre les
faisceaux
fondamentaux du cordon antéro-latéral con- tien
périphérie de minces fibres myéliniques, prenant naissance dans le
faisceau
cérébello-spinal et cou- tribuant à la constitu
iniques, allant de la moelle épinière dans l'al- longée en forme de
faisceau
horizontal, ont maintenant complètement disparu.
elle allongée par de fines fibres myéliniques, qu'on voit partir du
faisceau
cérébelleux du cordon latéral de la moelle épiniè
tructure. Les cordons latéraux ont diminué de volume. Les fibres du
faisceau
fondamental du cordon antérieur dans sa partie po
ramides sont situées un peu en avant et disposées plus en dedans du
faisceau
fondamental du cordon latéral. Le canal central
u son importance et en largeur égale presque la moelle épinière. Le
faisceau
fondamental du cordon antérieur a considérablem
RMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA B1FIDA 125 entre le
faisceau
fondamental du cordon antérieur, lequel est consi
s côtés de la moelle allongée se trouvent^des fibres myéliniques du
faisceau
cérébelleux ; devant elles la racine spinale du n
evant elles la racine spinale du nerf triju- meau ; en dedans de ce
faisceau
on aperçoit la substance gélatineuse de Ro- lan
umeau nous trouvons de petites fibres arcifor- mes, passant dans le
faisceau
cérébelleux. Les pyramides, en vue de deux lame
ns les coupes précédentes, où elles étaient partagées au-devant des
faisceaux
fondamentaux du cordon antérieur et au- devant
nt des faisceaux fondamentaux du cordon antérieur et au- devant des
faisceaux
fondamentaux du cordon latéral ; de cette manière
res sensitives est fini et ses fibres viennent se placer devant les
faisceaux
fondamentaux des cordons antérieurs, qui ont fo
l'olive accessoire interne et à la place de la corne latérale et du
faisceau
fondamental du cordon latéral, l'olive inférieu
ir les fibres sensitives, lesquelles se placent entre les fibres du
faisceau
fondamental du cordon antérieur. De cette manière
figu- ration de la moelle épinière change : en effet (Phot. 15) les
faisceaux
fondamen- taux des cordons antérieurs, déplacés
hent du plancher du 4e ventricule ; avec eux viennent les libres du
faisceau
fondamental du cordon latéral, grâce à quoi la
ent les cordons postérieurs, la sub- stance gélatineuse de Rolando,
faisceau
cérébelleux etc., enfin comment change la parti
nfin comment change la partie antérieure de la moelle épinière, les
faisceaux
fonda- mentaux du cordon antéro-latéral. Oulre
, il faut remarquer que les pyramides dans ce cas se réduisent à un
faisceau
pyramidal antérieur ; l'entrecroisement'des pyr
loniques, limitées le plus souvent il quelques-uns seulement de ses
faisceaux
. Sur le bord externe de l'avant-bras on suit ne
ons postérieurs sont bien développés et on voit leur subdivision en
faisceaux
de Goll et de Burdach. En avant de ces faisceaux
eur subdivision en faisceaux de Goll et de Burdach. En avant de ces
faisceaux
est placée la substance gélatineuse de Rolando.
substance gélatineuse de Rolando. Encore plus en avant se trouve le
faisceau
pyramidal du cordon latéral, limité en dehors et
chaque côté du sillon médian longitudinal anté- rieur se trouve le
faisceau
fondamental du cordon antéro-latéral, en dedans d
e le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral, en dedans de ce
faisceau
un pâle faisceau deTurck. , Plus loin la moelle
damental du cordon antéro-latéral, en dedans de ce faisceau un pâle
faisceau
deTurck. , Plus loin la moelle a augmenté de vo
passent les cordons postérieurs. Encore plus en avant est placé le
faisceau
pyramidal limité à la périphérie par le faiscea
avant est placé le faisceau pyramidal limité à la périphérie par le
faisceau
cérébello-spinal. En dedans du faisceau fondament
mité à la périphérie par le faisceau cérébello-spinal. En dedans du
faisceau
fondamental du cordon an- térieur se trouve le
n dedans du faisceau fondamental du cordon an- térieur se trouve le
faisceau
de Turck, absolument pâle. 252 SOLOVTZOFF La
érieures. Dans la partie antérieure de la moelle épiniere existe le
faisceau
fondamental du cordon antérieur, limité à la péri
térieur, limité à la périphérie par une lame pâle, correspondant au
faisceau
pyramidal. Les cordons latéraux sont couverts s
niques, qui diminue en épais- seur en arrière ; en dedans existe le
faisceau
pyramidal du cordon latéral, privé de myéline.
n arrière passent des fibres myéliniques horizontales formant trois
faisceaux
: l'un d'eux très mince et les deux autres plus l
olume ; on y voit des fibres myé- liniques disposées en deux larges
faisceaux
, suivant les deux côtés de la ligne médiane ; s
a moelle épinière ont passé dans la moelle allongée, présentant des
faisceaux
myéliniques larges et horizontaux, mais à la pé
pinale du nerf trijumeau, la substance géla- tineuse de Rolando, le
faisceau
cérébelleux sont faiblement indiqués. Le canal
presque com- plète. La moelle épinière est beaucoup modifiée : les
faisceaux
fondamentaux des cordons antérieurs se dirigent
ieurs et au devant l'entrecroisement des py- ramides. En dehors des
faisceaux
fondamentaux du cordon antérieur, des deux côté
ême de la moelle passent des fibres myéliniques, correspondant t au
faisceau
cérébelleux. D'autres modifications sont à comp
nué. La racine spinale du nerf trijumeau s'agrandit, de même que le
faisceau
cérébelleux qui est placé en dehors. Le faisceau
it, de même que le faisceau cérébelleux qui est placé en dehors. Le
faisceau
fonda- mental du cordon antérieur passe dans le
dehors. Le faisceau fonda- mental du cordon antérieur passe dans le
faisceau
longitudinal postérieur. En dehors passent les
cordons postérieurs se séparent de la moelle épinière par un petit
faisceau
; après cela la partie antérieure des cordons p
ans les cordons antérieurs, les pyramides cheminent en formant deux
faisceaux
et leur entrecroisement n'existe pas (Phot. 25).
phérie ils sont cou- verts dans les parties postérieures d'un mince
faisceau
, correspondant au faisceau cérébelleux; ce dern
dans les parties postérieures d'un mince faisceau, correspondant au
faisceau
cérébelleux; ce dernier entoure des deux côtés le
s fissures, allant de la périphérie vers la profondeur. En avant du
faisceau
cérébelleux, du côté où les cordons latéraux so
augmenté de volume. De l'un de ses côtés, et du bord même, part un
faisceau
assez large de fibres myéliniques horizontales. I
zontales. Indé- pendamment de celui-ci d'un autre côté s'y joint un
faisceau
incomparablement plus mince, venant aussi de l'
s horizontales correspondant aux cor- dons postérieurs, se joint un
faisceau
myélinique mince coupé dans sa direc- tion tran
fibres se dirigent, réunissant le commencement et l'extrémité de ce
faisceau
. Le long du bord antérieur se trouve la substance
mitée d'un côté par les cordons postérieurs et la périphérie par un
faisceau
étroit nettement coloré de fibres myéliniques, le
e la moelle épinière qui est restée sans changements, présente : le
faisceau
fondamental du cordon antérieur, le faisceau de G
gements, présente : le faisceau fondamental du cordon antérieur, le
faisceau
de Gowers, le cordon latéral, élargi outre mesu
l, élargi outre mesure d'un côté parce que s'y sont placés tous les
faisceaux
pyramidaux, et le canal central quelque peu élarg
ôt après leur apparition disparait et l'autre partie, en formant un
faisceau
horizontal, entoure du côté de la périphérie la m
ée à la périphérie de minces fibres myéliniques, cor- respondant au
faisceau
cérébelleux venant de la moelle épinière. Par le
lando ; encore plus en avant du bord même de la moelle est placé le
faisceau
cérébelleux. Sur le côté opposé dans la moelle
ve la racine spinale du nerf trijumeau, située à la péri- phérie du
faisceau
cérébelleux, lequel va de la moelle épinière au b
tral s'est 258 SOLOVTZOFF aussi quelque peu étendu en arrière. Le
faisceau
cérébelleux, dans la moitié, où sont placées le
des cordons postérieurs. Dans la périphérie elles sont entourées d'un
faisceau
assez mince de fibres myéliniques, allant au fa
ntourées d'un faisceau assez mince de fibres myéliniques, allant au
faisceau
cérébelleux ; ce dernier est placé à l'extrémit
oupe précédente et on peut distinguer les parties correspondant aux
faisceaux
de Goll et de Burdach. En avant de ces fibres
umeau. Eu avant de la substance gélatineuse de Rolando est placé le
faisceau
cérébelleux. En conséquence de sa situation ver
conséquence de sa situation vers l'extérieur de ce côté en arrière du
faisceau
cérébelleux, il existe une fissure, mais elle e
entrecroisant sur la ligne mé- diane. Elles se réunissent entre les
faisceaux
fondamentaux des cordons anté- rieurs, lesquels
ond à la moitié mieux dévelop- pée du bulbe rachidien, est placé le
faisceau
correspondant aux pyramides. A l'extérieur des
st placé le faisceau correspondant aux pyramides. A l'extérieur des
faisceaux
fondamentaux des cordons antérieurs, des deux côt
osé. Il faut dire la même chose du dévelop- pement non identique du
faisceau
cérébelleux dans les deux moitiés. Le reste des
'extérieur des olives inférieures, toujours du même côté, existe un
faisceau
, très nettement distingué, appartenant aux fibr
ortent des noyaux des cor- dons postérieurs et se placent entre les
faisceaux
fondamentaux du cordon antérieur. Ce cas est en
l'entrecroisement des fibres sensitives, et ici nous voyons que les
faisceaux
fondamentaux des cordons antérieurs sont reculé
entre eux est placée la couche du ruban de Reil. Des deux côtés des
faisceaux
fondamentaux marchent les racines antérieures,
servent leur aspect primitif, jusqu'au moment où apparaît entre les
faisceaux
fondamentaux des cordons antérieurs la couche d
. Guillain, penser que « peut-être, à côté des systématisations des
faisceaux
nerveux, il y a une systématisation de la circu
d'un tissu très dense se colorant fortement par l'éosine. Entre les
faisceaux
fibreux, on distingue des cellules allongées dont
othéliale très nette ; ce qui frappe également c'est la présence de
faisceaux
de cellules fusiformes à protoplasma peu abonda
nt infiltrer l'adventice de ces derniers ; on voit également de ces
faisceaux
formant des nappes irrégulières, dans lesquelle
certains points, les noyaux cellulaires ne se colorent plus et les
faisceaux
n'apparaissent plus que d'uue façon très vague.
e Kûhne est négative; la solution, iodo-iodurée teint en acajou les
faisceaux
cellulaires du sarcome mais nullement les paroi
KI rieurs. Dans les cordons antéro-latéraux on voit une sclérose du
faisceau
céré- belleux direct et du faisceau de Gowers.
atéraux on voit une sclérose du faisceau céré- belleux direct et du
faisceau
de Gowers. La sclérose est plus marquée dans le
rect et du faisceau de Gowers. La sclérose est plus marquée dans le
faisceau
de Flechsig que dans celui de Gowers. Région do
te, mais la disparition des fibres y est plus prononcée. La lésion du
faisceau
cérébelleux direct et du faisceau de Gowers est
est plus prononcée. La lésion du faisceau cérébelleux direct et du
faisceau
de Gowers est pareille celles que nous avons si
érieure et cervicale inférieure. Dans les cordons pos- térieurs,les
faisceaux
de Goll sont le siège d'une sclérose. Dans les pa
e sclérose très nette laquelle conflue en avant avec la sclérose du
faisceau
cérébelleux direct. Le faisceau de Gowers est tou
onflue en avant avec la sclérose du faisceau cérébelleux direct. Le
faisceau
de Gowers est toujours le siège d'une sclérose
au de Gowers est toujours le siège d'une sclérose comme le reste du
faisceau
antéro-Iatéral jusque dans le voisinage du fais
mme le reste du faisceau antéro-Iatéral jusque dans le voisinage du
faisceau
de Turck (Fig. 2). Dans les régions cervicales
ce vers le centre. Cette zone de sclérose a la forme d'un cône. Les
faisceaux
céré- belleux directs, ceux de Gowers, présente
téro-Iatéral, comme nous l'avons signalé plus haut. La sclérose des
faisceaux
indiqués n'est pas complète, toutes les fibres n'
u contraire encore beaucoup de saines. Le tissu conjonctif dans les
faisceaux
sclérosés est épais. La sclérose la plus prononcé
aux sclérosés est épais. La sclérose la plus prononcée est celle du
faisceau
cérébelleux où, par place, les fibres ont disparu
(Swilalski) A. Coupe du bulbe au-dessus de l'entre- croisement du
faisceau
pyramidal. Le noyau du faisceau de Goll et le f
-dessus de l'entre- croisement du faisceau pyramidal. Le noyau du
faisceau
de Goll et le faisceau cérébelleux direct sont
roisement du faisceau pyramidal. Le noyau du faisceau de Goll et le
faisceau
cérébelleux direct sont dégénérés. 13. Coupe
ns du bulbe sont très réduites au-dessus de l'entrecroise- ment des
faisceaux
pyramidaux. Diamètre sagittal : 7 mm. 1/2; fronta
é ; on trouve seulement par ci par là une cellule. * La sclérose du
faisceau
cérébelleux direct se laisse poursuivre dans le
oelle, dégénérescence des fibres dans les cordons de Goll, dans les
faisceaux
cérébelleux directs, dans les faisceaux de Gowers
s cordons de Goll, dans les faisceaux cérébelleux directs, dans les
faisceaux
de Gowers. Atrophie de la substance grise de la
avec disparition des cellules. Dans le bulbe, une dégénérescence du
faisceau
cérébelleux direct et du faisceau de Goll. Da
s le bulbe, une dégénérescence du faisceau cérébelleux direct et du
faisceau
de Goll. Dans la protubérance, une atrophie con
onstatait une dégénérescence des fibres des cordons postérieurs des
faisceaux
pyramidaux croisés et des faisceaux cérébelleux
res des cordons postérieurs des faisceaux pyramidaux croisés et des
faisceaux
cérébelleux directs. Les cellules des cornes an
de Goll, de Burdach et des noyaux des cordons latéraux, atrophie du
faisceau
cérébelleux, des nerfs hypoglosse et des noyaux
es de la moelle que dans le cas de Menzel et que dans ce dernier le
faisceau
pyramidal croisé soit atteint. Au point de vue
onformes. Ni dans le cas de Menzel ni dans le noire la sclérose des
faisceaux
indiqués n'est complète puisqu'on Irouve dans l
lent aussi. 384 SWITALSKI Chez Haut nous trouvons des lésions des
faisceaux
cérébelleux di- rects, des noyaux des faisceaux
ons des lésions des faisceaux cérébelleux di- rects, des noyaux des
faisceaux
de Goll ; dans le cas de Menzel, en outre de ce
quoique débiles, suffisent encore à la nutrition. Au moment où les
faisceaux
déjà débiles deviennent plus rigides par suite
niveau de la région prolubéranlielle supérieure. Nous remarquons le
faisceau
sensitif bien conservé situé latéralement. Des fi
la partie médiane (Fig. 1). Nous ne constatons l'existence d'aucun
faisceau
qui rappelle Fig. 1. - Region bulbo-protubérant
E. Fibres motrices émergentes. 392 Vaschide et VURPAS en rien le
faisceau
moteur ; nous n'en voyons aucun vestige. La place
rieure duquel des fibres fines et grêles semblent s'entrecroiser. Ce
faisceau
est traversé de haut en bas et de dedans en deh
porte à la partie inférieure de l'entrecroisement sensitif. Ici les
faisceaux
de Goll et de Burdach sont relativement bien cons
stéro-interne. Mais le plus grand nombre de fibres est conservé et le
faisceau
peut être considéré comme relativement sain et
met de suivre dans leur trajet les libres depuis la partie externe du
faisceau
de Burdach et de Goll jusqu'à leur entrecroisem
bauchées sont donc formées uniquement par des fibres sensitives. De
faisceau
moteur il n'en est pas question, ce dernier sembl
la dégénérescence s'étend davantage au niveau du cordon de Goll. Le
faisceau
antérieur qui correspond au faisceau fondamental
u niveau du cordon de Goll. Le faisceau antérieur qui correspond au
faisceau
fondamental antérieur sem- ble à peu près norma
tal antérieur sem- ble à peu près normalement développé. Quant au
faisceau
latéral à part une mince bande qui présente à son
le reste semble avoir également disparu. Rien ne marque la place du
faisceau
de Gowers et du faisceau pyramidal. Immédiateme
lement disparu. Rien ne marque la place du faisceau de Gowers et du
faisceau
pyramidal. Immédiatement en arrière du sillon a
ge de la corne postérieure. Ici encore on voit que non seulement le
faisceau
pyramidal n'est pas myéli- nisé mais encore que
croisement moteur. F. Faisceau de Burdach. G. Faisceau de Goll.
M. Faisceau
fondamental antérieur. 0. Canal de l'épendyme.
de la corne postérieure. Comme au niveau de la coupe précédente les
faisceaux
moteurs semblent avoir totalement disparu ou pl
ue nous avons donnée du bulbe rachidien, nous n'avons parlé que des
faisceaux
sensitifs et moteurs pour ne pas scinder l'étud
croisement moteur. F. Faisceau de Burdach. G. Faisceau de Goll.
M. Faisceau
fondamental antérieur. O. Canal de l'épendyme.
des mouvements spontanés ou as- sociés malgré une absence totale de
faisceau
pyramidal. Certains auteurs accordent une influ
eu près exclusive dans le méca- nisme fonctionnel des mouvements au
faisceau
pyramidal.D'autres au con- traire prétendent qu
purement inhibitrice. Notons dans notre cas l'intégrité relative du
faisceau
sensitif. Quels seraient alors l'origine et le
nés ou associés observés chez notre sujet ? ° Il semble qu'ici le
faisceau
pyramidal ait eu un rôle manifestement inhibite
oesthésie électro-musculaire dans les muscles cubital antérieur, le
faisceau
interne du fléchisseur profond, l'éminence hypoth
rochléen et le poi- gnet, abolie; muscle cubital antérieur, abolie;
faisceau
interne du fléchisseur profond, diminuée ; addu
CcN > CcP, len- tes et augmentées ; muscles cubital antérieur et
faisceau
interne du fléchisseur profond, CcN < CcP ;
es. Les réactions électriques donnèrent : muscle cubital antérieur,
faisceau
in- terne du fléchisseur profond, adducteur, co
à la faradique; la réaction était très difficile à prendre dans le
faisceau
interne du fléchisseur profond ; il y avait réa
nières phalanges. Cette flexion intense est due à la contracture du
faisceau
interne du fléchisseur profond, parce que c'est
rficiel n'a présenté aucune altéra- tion ; et elle s'est arrêtée au
faisceau
interne parce qu'elle est d'origine névritique,
issu conjonctif d'enve- loppe, et ceux contenus dans l'intérieur du
faisceau
nerveux sont tous notable- ment épaissis, certa
iste à ce niveau à l'état normal. Mais partout les ligaments et les
faisceaux
fibreux interarticulaires avaient leur aspect n
r le tronc ou portidn verticale de la capsule et sur une partie des
faisceaux
antérieurs qui séparent en DE LA CAPSULE INTERN
la partie inférieure du cerveau. Troisième coupe. La plupart des
faisceaux
de la capsule interne sont excisés, donc ils so
gne médiane, la partie postérieure du lobule orbitaire reçoit des
faisceaux
capsulaires. Quatrième coupe. A deux centimètre
s circonvolutions orbitaires ou frontales inférieures. Ces derniers
faisceaux
consti- t ANATOMIE. tuent au-dessus du noyau
eurs terminaisons au lobule orbitaire sont antérieures à celles des
faisceaux
précédents, elles - se trouvent à la rencontre
e sagittal, à deux centimètres en dehors de la ligne médiane. Ces
faisceaux
extrinsèques, qui passent par les couches du ce
étudié dans les trois premières zones frontales. Ce sont donc ces
faisceaux
, qui sont les plus voisins de la ligne fornicat
sent le putamen de Burdach (PL. IV.), on dis- tingue un éventail de
faisceaux
, et, chose digne de remarque, cet éventail n'oc
du ventricule latéral. D'après leur situation et leurdirection, les
faisceaux
de cet éventail paraissent destinés aux régions
jacentes de la partie correspondante de l'insula. De même que les
faisceaux
capsulaires antérieurs, ceux-ci traversent la m
optique (pulvinar et corps genouillés) et secon- dairement par les
faisceaux
les plus reculés du pédon- cule cérébral. Gra
fournies par le pédoncule, Meynert les a désignées sous le nom de
faisceaux
directs, par opposition à tous les autres faisc
ous le nom de faisceaux directs, par opposition à tous les autres
faisceaux
capsulaires qui n'arriveraient au cerveau qu'in
pte que de leurs rap- ports avec les noyaux, ces deux catégories de
faisceaux
n'offrent qu'une différence trompeuse. La diffé
mpeuse. La différence consiste uniquement en ce que, en arrière les
faisceaux
réunis en grand nombre divisent franchement la
grise en deux portions, tandis qu'en avant la disso- ciation des
faisceaux
fait que cette masse est perforée isolément par
n des faisceaux fait que cette masse est perforée isolément par ces
faisceaux
, d'où les stries nombreuses qui font communique
. De là une gerbe à laquelle donne lieu la section sagittale de ces
faisceaux
et le grandissement progressif de cette gerbe a
ici vient corroborer ce que nous savons déjà; à savoir : 1° que les
faisceaux
les plus externes de la partie antérieure de la
eure de ce bord, comme le démontre la coupe sagittale X; 2° que les
faisceaux
postérieurs se dirigent en arrière sous la form
r conséquent au bord externe du ventricule latéral, de même que les
faisceaux
précédents. Cette; lame parallèle à la cavité '
ux, en dehors par les fibres arciformes, intergyraires. Entre les
faisceaux
antérieurs et postérieurs s'en trouvent d'autre
ectionnés perpendiculairement à leur directiom. L'ensemble de ces
faisceaux
fait suite au tiers moyen environ du segment po
r de la capsule coupée dans sa plus grande étendue horizontale. Ces
faisceaux
sont'des- tinés surtout aux circonvolutions cen
NNE rayonnante. On sait que sous ce nom on désigne l'ensemble des
faisceaux
ou fibres dont on constate la présence sur le l
comme on dit, directs. Or, pour nous ce ne sont pas seulement les
faisceaux
sensitifs qui sont directs, mais encore tous le
moteurs sans exception. De même que les fais- ceaux sensitifs, les
faisceaux
moteurs ne subissent ni interruption ni réducti
de répondre pour être à même d'apprécier exactement l'ensemble des
faisceaux
de la couronne rayonnante elle-même, la constit
e Burdach ou segment externe du noyau lenticulaire sont privés de
faisceaux
et ne sont parcourus que par des filaments blan
re à peu près, la couronne rayonnante n'est représentée que par les
faisceaux
courbes, qui procédant de la capsule interne tr
a portion moyenne du cerveau CM aTO ? e/ ! 0<- clale. Groupe des
faisceaux
moyens ou verticaux. -Les coupes sagittales et
xterne du noyau caudé il existe un véritable mélange entre certains
faisceaux
de la capsule interne et ceux du corps calleux.
ble même qu'ils sont continus. Il est impossible de poursuivre les
faisceaux
capsulaires au-dessus des faisceaux transversau
impossible de poursuivre les faisceaux capsulaires au-dessus des
faisceaux
transversaux du corps calleux, par consé- quent
le putamen de Burdach (Pl. VIII). Nous constatons ici de nombreux
faisceaux
rayonnants paraissant des- tinés à la moitié po
la ligne médiane (Pl. III) nous a démontré qu'à ce niveau tous les
faisceaux
de la capsule se portent en avant. D'autre part
nticulaire nous ont démontré en fait l'indépendance d'origine des
faisceaux
capsulaires et de ce noyau. Ici, il est évi- de
dent que le noyau lenticulaire ne reçoit aucune ter- minaison des
faisceaux
rayonnants; il est simplement traversé par eux,
st, comme nous l'avons affirmé et démontré, que le prolongement des
faisceaux
capsu- laires continus eux-mêmes à ceux de l'ét
rique les fibres dites d'association, les fibres de Gra- tiolet, le
faisceau
unciforme et la capsule externe. Les systèmes d
'or- dre établi par Meynert et Huguenin dans la descrip- tion des
faisceaux
d'association. Nous aurons soin de noter ce que
noter ce que la cérébrotomie méthodique produit de spécial. Ces
faisceaux
d'association sont représentés par : DE LA CAPS
ar : DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURONNE RAYONNANTE. 21 1° Le
faisceau
longitudinal sous-jacent au gyrus for- nicatus.
icatus. (Circonvolution du corps calleux ou de l'our- let.) 2° Le
faisceau
longitudinal supérieur ou arqué. 3° Le faisceau
ur- let.) 2° Le faisceau longitudinal supérieur ou arqué. 3° Le
faisceau
unciforme. (Fasciculus uncinatus.) 4° Le faisce
ou arqué. 3° Le faisceau unciforme. (Fasciculus uncinatus.) 4° Le
faisceau
longitudinal inférieur. 5° Le système très éten
ux, se dirige en arrière au dessus de lui jusqu'à son bourrelet. Le
faisceau
lon- gitudinal varie d'épaisseur sur divers poi
rovenant des parties avoisinantes de l'écorce viennent rejoindre ce
faisceau
, pour le quitter après un parcours plus ou moin
ule quadrilatère. B. Faisceau longitudinal supérieur ou arqué. Ce
faisceau
a-t-il été constaté sur le cerveau humain, je l
n, je l'ignore : voici le résultat que j'ai obtenu. Pour avoir ce
faisceau
, la section doit porter à 3 centimètres en deho
ion doit porter à 3 centimètres en dehors de la ligne médiane. Le
faisceau
longitudinal supérieur ou arqué devrait être ap
. Le faisceau longitudinal supérieur ou arqué devrait être appelé
faisceau
longitudinal supérieur externe, par rapport à l
par rapport à la moelle de l'ourlet, qui devrait porter celui de
faisceau
longitudinal supérieur interne. L'un ne mé- rit
tion courbe qui s'harmonise avec la direction de l'hémisphère. Le
faisceau
longitudinal supérieur externe, sensible- ment
Gratiolet, viennent des circonvolutions avoisinantes et quittent le
faisceau
après un trajet plus ou moins long suivant qu'e
oints, DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURONNE RAYONNANTE. 23 les
faisceaux
longitudinaux s'anastomosent et forment une sor
x longitudinaux s'anastomosent et forment une sorte de plexus. C.
Faisceau
longitudinal inférieur. Meynert et Huguenin pla
C. Faisceau longitudinal inférieur. Meynert et Huguenin placent ce
faisceau
après le faisceau unci- forme ; il me parait pl
tudinal inférieur. Meynert et Huguenin placent ce faisceau après le
faisceau
unci- forme ; il me parait plus naturel d'en pa
be occipital à celle du lobe tem- poral. Sa structure est celle des
faisceaux
précédents. Il renferme de longues fibres direc
ans l'insula de Reil. Le contraire nous semble être prouvé. E. Le
faisceau
unciforme et la capsule externe. Pour se faire
s coupes frontales et hori- zontales. Dans les coupes frontales, le
faisceau
unci- forme est en rapport d'avant en arrière :
base cérébrale. Aux connexions que Meynert lui attribue, avec le
faisceau
longitudinal supérieur, il faut ajouter celles
ongitudinal supérieur, il faut ajouter celles qu'il possède avec le
faisceau
longitudinal inférieur. Les coupes horizontales
leinement les données fournies par les coupes frontales au sujet du
faisceau
unciforme : elles démon- trent surtout que ce f
au sujet du faisceau unciforme : elles démon- trent surtout que ce
faisceau
n'est lui-même qu'une por- tion du grand systèm
qui aboutissait en bas à la première temporale, concentriquement au
faisceau
unci- forme. Sur la pi. XX,1.1, ce système d'as
extrémité postérieure ne sont, au con- traire, que des fragments de
faisceaux
dont le com- mencement se trouve au pied même d
ces coupes, l'observateur peut suivre de proche en proche tous les
faisceaux
quels qu'ils soient, supé- rieurs ou inférieurs
. op., bandelette optique. C. c., corps calleux. F. 1. sup. int.,
faisceau
longitudinal supérieur inteine. /'...1 ? faisce
F. 1. sup. int., faisceau longitudinal supérieur inteine. /'...1 ?
faisceau
de Meynert. C. i., genou de la capsule interne.
s calleux. C. i., capsule interne. C. i. f. cz., capsule interne;
faisceaux
antérieurs. C. i. in. e., capsule interne; fais
psule interne; faisceaux antérieurs. C. i. in. e., capsule interne;
faisceaux
moyens externes. C. i. y. M. i., capsule intern
nterne; faisceaux moyens externes. C. i. y. M. i., capsule interne;
faisceaux
moyens internes. N, c, noyau caudé. V. l., no
avant-mur. C. e, capsule externe. C. i. f. M. e, capsule interne,
faisceaux
moyens externes. 1. Iiisula (le Reil. P. B. P
v·. St., noyau rouge de Stilling. P. c. f. s., pédoncule cérébral;
faisceaux
sensitifs. DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURO
. C. g. i., corps genouillé interne. C. i. ? p., capsule interne;
faisceaux
postérieurs. C. i. fl., capsule interne; genou.
r. C. i. s. p., capsule interne; segment postérieur. f. l, s. e.,
faisceau
longitudinal supérieur externe. 1. s. i., faisc
. f. l, s. e., faisceau longitudinal supérieur externe. 1. s. i.,
faisceau
longitudinal supérieur interne. N, c., noyau ca
yau caudé. viii il ` .. f C ? tiLres tlc Grutiolet. f. l. i.,
faisceau
longitudinal inférieur. ' f. l. s., faisceau lo
Grutiolet. f. l. i., faisceau longitudinal inférieur. ' f. l. s.,
faisceau
longitudinal supérieur. · PHYSIOLOGIE PATHOLOGI
nts : cubital antérieur; fléchisseur pro- fond des doigts (les deux
faisceaux
internes destinés au petit doigt et à l'annulai
ameaux nerveux du nerf cubital, le nerf médian inner- vant les deux
faisceaux
externes); interosseux dorsaux et palmaires ; m
r de la main sur l'avant-bras. Fléchisseur profond des doigts (deux
faisceaux
int.). Fléchisseur des dernières phalanges des
tié- 68 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. chisseur profond dont les deux
faisceaux
externes habituellement innervés par le médian
hypothèse, des rameaux du nerf cubital qui in- nerve déjà les deux
faisceaux
internes. On pourrait admettre aussi qu'il exis
e médian, les ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. G9 deux
faisceaux
internes étant innervés par le cubital) ; les d
alangette du pouce. Fléchisseur profond des doigts (dont les deux
faisceaux
qui cor- respondent à l'index et au médius sont
es phalanges et est due à l'action du fléchisseur sublime. Les deux
faisceaux
du flé- chisseur profond dont l'action porte su
-être de la deuxième. Le mouvement d'opposition est exécuté par les
faisceaux
des muscles de l'éminence thénar qui s'attachen
façon à me mettre à l'abri de toute source d'erreur et à réunir un
faisceau
de résultats abso- lument satisfaisants. Tout
sation il est facile de faire con- tracter isolément les différents
faisceaux
d'un même muscle). b). La contracture d'un mu
ocaliser exac- tement l'action électrique sur un muscle ou sur un
faisceau
musculaire. Il put ainsi démontrer clairement l
e ; b) Du degré de localisation de l'excitant dans les différents
faisceaux
d'un même muscle. Il est facile de localiser l'
e suit toujours l'excitation mécanique par- tielle d'un seul de ses
faisceaux
; c) De la propagation de l'excitation. Dans l'
L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 195 moteurs qui se rendent à un
faisceau
musculaire voi- sin, lorsqu'il est' un' peu'' i
-ath76'énie'des réflexes ? C'est ? suivant" lui ? à la 'lésion des"
faisceaux
'latéraux dans lés pyrami d es '6'iiiêdé d'an's
lobe occipital' de conducteurs d'ordre 'sensoriel 'général par lès
faisceaux
posté-' rieurs de la moelle (perception sensori
P. op., bandelette optique. C. c., corps calleux. F. sur. int.,
faisceau
longitudinal supérieur interne. f. 31., faiscea
x. F. sur. int., faisceau longitudinal supérieur interne. f. 31.,
faisceau
de Meynert. g. C. i., genou de la capsule inter
, C ? capsule-interne. ,^,1 ^..^ . w C i. f. a., capsule interne;
faisceaux
antérieurs. ? rvv\t J0 vs C. i. f. m. e., capsu
aisceaux antérieurs. ? rvv\t J0 vs C. i. f. m. e., capsule interne;
faisceaux
moyens extei'nes. C. i. f. m. i., capsule inter
terne; faisceaux moyens extei'nes. C. i. f. m. i., capsule interne;
faisceaux
moyens intemeg.'1., , ^ . N. c., noyau caudé.
capsule externe. '"M'h'Zt. T, ? ? C. i. f. M. e., capsule interne;
faisceaux
moyens externes. Clé" * l. Insula de Reil. .«««
It., noyau rouge de Stilling. 1 - P. c. f. s., pédoncule cérébral;
faisceaux
sensitifs.. , ""Iltz-1 i, n. j uhi t, 'ii, m i
i., corps genouillé interne. f ' ♦ » C. i. f. p., capsule interne;
faisceaux
postérieurs. C. i. g., capsule interne ; genou.
? C. i. s. p., capsule interne; segment postérieur ? , 1. s. e.,
faisceau
longitudinal supérieur externe. /. /. s. i., fa
, 1. s. e., faisceau longitudinal supérieur externe. /. /. s. i.,
faisceau
longitudinal supérieur interne. N. c., noyau ca
i l'i..1\( llli. PLANCHE VIII f G., fibres de Gratiolet. ? 1. i.,
faisceau
longitudinal intérieur. f. 1. s., faisceau long
s de Gratiolet. ? 1. i., faisceau longitudinal intérieur. f. 1. s.,
faisceau
longitudinal supérieur Archives de Neurologie T
ques années, la question a fait de nou- veaux progrès. La lésion du
faisceau
pyramidal dans tout le segment de l'axe cérébro
s du même ordre que celles qui existaient dans les autres points du
faisceau
pyramidal ; mais ces auteurs n'avaient pas cons
breux corps granuleux situés, à n'en pas douter, sur le trajet du
faisceau
pyramidal, ainsi qu'il résulte de la des- cript
nuleux dans les différentes parties du trajet intra-céré- bral du
faisceau
pyramidal était des plus nettes (cap- sule inte
Mort un an après le début. Corps granuleux dans toute la hauteur du
faisceau
pyramidal, y compris les circonvolu- tions motr
aient l'une (l'antérieure) l'épaisseur d'environ quatre ou cinq des
faisceaux
de fibres nerveuses qui se trouvent dans cette
ransversal, n'occupait guère que la largeur de deux ou trois de ces
faisceaux
de fibres. De sorte qu'en somme, la surface occ
leux, ces gauglions ne pré- sentent pas de lésions apparentes ; les
faisceaux
de fibres qui traversent la couche optique sont
ns la région qui est considérée comme donnant passage aux fibres du
faisceau
pyramydal ; ils forment trois groupes qui, d'ai
in des coupes de la moelle : Région cervicale. Outre la sclérose du
faisceau
pyramidal croisé et direct, il existe encore da
la corne anté- rieure, la sclérose est beaucoup moins marquée. Les
faisceaux
de Goll présentent une coloration un peu plus f
résentent une coloration un peu plus foncée qu'à l'état normal. Les
faisceaux
cérébelleux directs sont intacts. Dans la subst
elle se confond avec la substance grise, en dehors laisse libre le
faisceau
cérébelleux. Coloration plus foncée des faiscea
rs laisse libre le faisceau cérébelleux. Coloration plus foncée des
faisceaux
de Goll. Les cellules motrices des cornes antér
rose est presque localisée étroitement à la région occupée par le
faisceau
pyramidal dans ce segment de la moelle. Les cellu
ur les différentes coupes dela moelle les faits suivants : Dans les
faisceaux
pyramidaux, les fibres nerveuses sont moins abo
t à l'union de la moitié anté- rieure avec la moitié postérieure du
faisceau
de Goll, près de la ligne médiane, et s'étendan
ns l'intérieur de ces cordons. Aucune apparence anormale dans les
faisceaux
de Bur- dach. Les coupes faites par congélati
tion ont permis de voir très nettement les corps granuleux dans les
faisceaux
pyramidaux directs et croisés ; dans ces dernie
deux ans après le début. Corps granuleux dans toute la hauteur du
faisceau
pyramidal, y compris les circonvolutions motrices
(trois ou quatre) des espaces ellip- tiques formés par la coupe des
faisceaux
de fibres nerveux et contenus dans la capsule i
de plus, non seulement les corps granuleux existent au niveau des
faisceaux
de fibres coupés en travers, mais encore dans les
orité, sont contenus dans 26 PATHOLOGIE NERVEUSE. l'épaisseur des
faisceaux
elliptiques formés par la section des fibres ne
ns les cornes antérieures. Dans la substance blanche : sclérose des
faisceaux
de Türclc, sclérose des faisceaux latéraux, occ
substance blanche : sclérose des faisceaux de Türclc, sclérose des
faisceaux
latéraux, occupant non seulement le territoire
se des faisceaux latéraux, occupant non seulement le territoire des
faisceaux
pyramidaux, mais encore s'étendant en avant d'u
ci, elle présente aussi de la sclérose, mais moins accentuée. Les
faisceaux
de Goll montrent un certain degré de sclérose d
stérieur avec les deux tiers antérieurs. Rien à signaler dans les
faisceaux
de Burdach. Les coupes faites par congélation e
inoléine montrent les faits suivants : Corps granuleux au niveau du
faisceau
pyramidal croisé, existant aussi, mais en petit
ro-latéral, ces corps granuleux n'existent en abondance que dans le
faisceau
de CAS DE SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 27
lé. Les corps granuleux se retrouvent aussi dans quelques-uns des
faisceaux
de fibres verticales circonscrits parles expansio
. A la périphérie de la moelle, on en trouve quelques-uns dans le
faisceau
cérébelleux direct, depuis une ligne frontale pas
ures jusqu'au point de sortie de la corne postérieure; au niveau du
faisceau
pyramidal croisé proprement dit, ces corps sont
croisé proprement dit, ces corps sont même assez nombreux dans les
faisceaux
cérébelleux. Dans les cordons postérieurs, et n
les cordons postérieurs, et notamment dans la partie sclérosée des
faisceaux
de Goll, nous n'avons jamais vu un seul corps g
si que des fibres nerveuses contenues dans celle-ci. Sclérose des
faisceaux
pyramidaux et un peu aussi des autres parties d
rose des faisceaux pyramidaux et un peu aussi des autres parties du
faisceau
antéro-latéral. Sclérose assez nette des cordon
uleux existent en très grand nombre dans le territoire classique du
faisceau
pyramidal croisé et un peu en dehors de celui-c
ous ses diamètres; de plus, on en trouve dans les autres parties du
faisceau
latéral jusqu'à une ligne frontale passant par
eaucoup plus nombreux, ils sont surtout abondants dans la partie du
faisceau
antérieur située près de la périphérie de la mo
n'y en a pour ainsi dire pas dans la région qui correspondrait aux
faisceaux
de Tilrck. Dans toute l'étendue des faisceaux a
correspondrait aux faisceaux de Tilrck. Dans toute l'étendue des
faisceaux
antéro-latéraux et dans la partie antérieure de
Moelle lombaire. La sclérose occupe très nettement le territoire du
faisceau
pyramidal croisé; il y a, de plus, un très lége
à l'union du tiers postérieur avec les deux tiers antérieurs de ces
faisceaux
. Les cellules des cornes antérieures existent e
noléine, les corps granuleux sont nombreux dans le territoire du
faisceau
pyramidal croisé, quelques-uns, aberrants, se t
ts, se trouvent dans le voisinage de celui-ci. Dans le reste des -
faisceaux
antéro-latéraux, se voient de chaque côté une q
constater dans les deux observations les altérations classiques des
faisceaux
pyramidaux et du noyau de l'hypoglosse. CAS D
dans une même circonvolution, les voir plus abondants dans certains
faisceaux
de fibres que dans d'autres. Quant à leur dispo
ion, elle coïncide très nette- ment avec la direction des fibres du
faisceau
pyrami- dal ; tantôt isolés, tantôt groupés par
a dégénérescence occupait principalement le segment postérieur du
faisceau
de Goll, dont le segment antérieur était moins
ervical et plus haut, présentait une dégénérescence bien accusée du
faisceau
de Goll dans toute son étendue. On constatait u
répond au tra- jet intro-médullaire des racines postérieures. Le
faisceau
de Goll fut trouvé atrophié, la corne anté- rie
oite et aplatie. La corne postérieure était devenue conique, et ses
faisceaux
nerveux transfor- més en tissu scléreux. Les ce
une myélite cicatricielle qui a pour effet de modifier l'aspect des
faisceaux
postérieurs, qui se transforment dans une parti
es régé- nératrices provenant du tissu conjonctif qui entoure les
faisceaux
nerveux des deux bouts central et péri- phériqu
d'abord le long de la fissure longitudinale postérieure, dans le
faisceau
de Goll (Voy. PL. I, fig. 6). De là, l'altéra-
u de Goll (Voy. PL. I, fig. 6). De là, l'altéra- tion se propage au
faisceau
de Burdach, et à la portion intra-médullaire de
state en même temps du côté sain, que les tubes nerveux formant les
faisceaux
de Goll et de Burdach sont parfaitement indemne
dans l'ataxie locomotrice qui, par elle-même, est une sclérose des
faisceaux
de Burdach, c'est-à-dire d'une partie intégrant
léments nerveux sont remplacés par du tissu conjonctif dans tout le
faisceau
de Goll et dans la plus grande partie du faisce
ctif dans tout le faisceau de Goll et dans la plus grande partie du
faisceau
de Burdach. Le cordon postérieur droit mesure 3
euses qui, selon toute probabilité, servent de lieu d'origine à ces
faisceaux
. La polémique, suivant nous, n'enlève rien au m
u -noyau lenticulaire, en sillonnant la capsule interne de nombreux
faisceaux
, jusqu'aux ganglions de la région subthalamique
n mémoire sera publié. Discussion : M. MENDEL. Les altérations du
faisceau
solitaire de Pierret, en relation avec des fibr
ace qui certainement est loin de correspondre à toute la largeur du
faisceau
pyramidal, mais qui est bien situé dans la zone
1 t \ i Ht <.. i i. « 1 . avons pu constater qu'en réalité le
faisceau
pyramidal , r . 'f' ,1 * i,ll ,¥> » » rj z
ns une partie de la moelle située bien en avant du territoire de ce
faisceau
; 170 pathologie NERVEUSE. il est vrai que là
nettement. ' Dans la moelle dorsale, il en était de même pour le
faisceau
pyramidal croisé qui semblait avoir des dimensi
adoptées. Au lieu de retrouver ces corps seulement au niveau des
faisceaux
de Türck; commé dans la' moelle cervicale, nous
ous avons constaté qu'ils existaient dans la plus grande partie des
faisceaux
antéro-latéraux sauf à la région antéro-interne
ut-il considérer ce fait ? Ces corps granuleux appartiennent-ils au
faisceau
pyrami- dal croisé pu au faisceau pyramidal dir
ps granuleux appartiennent-ils au faisceau pyrami- dal croisé pu au
faisceau
pyramidal direct ? 'Nous l'ignorons, et en tout
s, un procédé qui n'est pas à dédaigner pour l'étude du trajet du
faisceau
pyramidal dans la moelle. Dans la région lombai
lombaire, les corps granuleux siégeaient au niveau du territoire du
faisceau
pyramidal peut-être un peu agrandi; dans les fa
territoire du faisceau pyramidal peut-être un peu agrandi; dans les
faisceaux
antérieurs on envoyait encore quelques-uns mais
psies : l'extension de la sclérose à une assez grande étendue des
faisceaux
antéro-latéraux bien au delà des limites du ter
s dont nous avons signalé la présence dans une certaine étendue des
faisceaux
pyramidaux : mais on voit qu'il n'en est rien,
extension existe d'une façon très nette, bien que les fibres des
faisceaux
pyramidaux soient dans cette région presque tou
outes situées dans des territoires bien localisés (cordon de Tùrck,
faisceau
pyramidal croisé) et qu'il n'y ait qu'un très p
les autres régions de la moelle, cette extension de la sclérose aux
faisceaux
antéro- latéraux est infiniment moins marquée q
lésions médullaires sur l'état des fibres nerveuses au niveau des
faisceaux
pyramidaux sclérosés. Ces fibres existent encor
à une preuve que dans la zone de substance blanche qui contient les
faisceaux
pyramidaux,' il existe encore d'autres fibres,
grosses doivent être considérées comme appartenant surtout à ces
faisceaux
. D'autre part en comparant aux préparations de
vons dans nos autopsies, signalé un certain degré de sclérose des
faisceaux
de ,Goll; ce,fait 1 a ¡déjà été noté un certain
NERVEUSE. dorsale où elle occupait même une certaine portion des
faisceaux
de Burdach, où elle avait l'apparence en- N que
e légère bande transversale assez mal marquée d'ailleurs dans les
faisceaux
de Burdach. Quant à la nature même de cette scl
s préparations nous n'avons trouvé un seul corps granuleux dans les
faisceaux
de Goll, tandis qu'ils étaient en très grande a
de Goll, tandis qu'ils étaient en très grande abondance dans les
faisceaux
latéraux. D'autre part cependant, un certain no
x latéraux. D'autre part cependant, un certain nombre de fibres des
faisceaux
de Goll semble avoir disparu ainsi qu'il résult
s granuleux existaient, nous l'avons vu,- dans toute la hauteur des
faisceaux
pyramidaux depuis les circonvolutions jusqu'à'
ès petit nombre. D'autre part, suivant la hauteur des segments du
faisceau
pyramidal que l'on examine, les corps granu- le
bute le processus, il est possible que celui-ci atteigne d'abord le
faisceau
pyramidal sur un point quelconque de sa hauteur,
s de sclérose latérale amyo- trophique dans lesquelles la lésion du
faisceau
pyrami- dal, recherchée seulement au point de v
es coupes. Aussi le fait signalé par cet auteur, que les lésions du
faisceau
, pyramidal ne pouvaient plus être constatées da
coupes. Pendant le déroulement de celles- ci un certain nombre des
faisceaux
longitudinaux coupés en travers et n'adhérant p
bérance s'en détachent, et de plus les pro- priétés optiques de ces
faisceaux
rendent difficile la recherche des corps granul
s, est-il nécessaire pour déclarer s'il y a ou non des lésions du
faisceau
pyramidal au-dessus du bulbe d'examiner des cou
utopsie (lésions des cellules motrices de la substance grise et des
faisceaux
pyramidaux), se refuse à admettre que ce soient
diversité du début n'a rien qui doive sur- prendre. On sait que le
faisceau
pyramidal, tout en présentant une véritable uni
ent et de la pathologie, n'est à proprement parler qu'un composé de
faisceaux
secondaires pro- venant des circonvolutions mot
ions motrices et se rendant soit à la moelle, soit au bulbe; or ces
faisceaux
secondaires conservent pendant la plus grande p
ivant que la lésion primitive siégeait sur telle ou telle partie du
faisceau
pyramidal au niveau des circonvolutions ou de l
yramidal au niveau des circonvolutions ou de la capsule interne. Le
faisceau
secondaire spécialement destiné au bulbe aurait
dance toute particulière, c'est celui qu'il décrit sous le nom de
faisceau
géziculé. Ceci étant donné, si l'on admet que l
le amyotrophique ait son point de départ dans une hauteur donnée du
faisceau
pyramidal, il est aisé de comprendre que suivan
eau pyramidal, il est aisé de comprendre que suivant que tel ou tel
faisceau
secon- daire sera atteint le premier on verra l
ls la durée paraît devoir être plus longue encore. Il semble que le
faisceau
pyrami- dal n'ayant pas ou presque pas de relat
ent rester intacts pendant un temps assez long, alors même que le
faisceau
bulbaire est lésé, et qu'ils ne soient atteints
niveau des éléments moteurs en rapport intime avec les fibres du
faisceau
volontaire. Quelle que soit la raison qu'on en
lenticulaire. C, corps granuleux occupant les interstices entre les
faisceaux
de fibres coupés perpendicu- lairement à leur d
. FiG. 6. Moelle cervicale, Observation II. A, corps granuleux du
faisceau
pyramidal croisé. B, corps granu- leux aberrant
ns les processus radicu- laires antérieurs. - D, corps granuleux du
faisceau
pyramidal direct. CLINIQUE MENTALE DES FAMILL
pose que, chez son malade, il n'y avait pas d'entre-croisement des
faisceaux
pyramidaux : Pas d'autopsie. G. D. XXVIII. NOTE
ncecorrespondante dans la couche optique, le pédoncule cérébral, le
faisceau
pyramidal. Mille asymétries dans la disposition
ce à ses correspondants français et étrangers, concentré en un seul
faisceau
toutes les lumières que les travaux de ce siècle
l'origine apparente des racines de la huitième paire cervicale, le
faisceau
gauche de Goll est plus faiblement atteint que
yen, mais la prolifération du tissu conjonctif s'étend sur tous les
faisceaux
de Goll en les délimitant nettement de ceux de
ostérieure de ces cordons elle remplit tout l'espace qui répond aux
faisceaux
du cervelet et aux faisceaux pyramidaux. Dans l
e remplit tout l'espace qui répond aux faisceaux du cervelet et aux
faisceaux
pyramidaux. Dans les cordons postérieurs la scl
s les cordons postérieurs la sclérose embrasse comme auparavant les
faisceaux
de Goll. , Dans la région de la sortie des raci
féra- tion du tissu conjonctif des cordons latéraux augmente, les
faisceaux
de Goll sont atteints de moins en moins ; de sort
a direction ascendante aussi bien que descen- dande et embrasse les
faisceaux
descendants (pyrami- daux) dans les cordons ant
ordons antérieurs et latéraux presque dans toute leur longueur; les
faisceaux
ascendants (os du cervelet) sont atteints dans
ans notre cas a gros- sièrement franchi les limites anatomiques des
faisceaux
et surtout dans les cordons latéraux, il prenai
une lésion également spéciale, peut-être la sclérose primitive des
faisceaux
pyramidaux, soup- çonnée par M. Erb. Si, au con
n conser- vant la même localisation. Dans la portion lombaire les
faisceaux
pyramidaux latéraux étaient sclérosés. Il resso
oyons que la sclérose quoique em- brassant à peu près la région des
faisceaux
pyrami- daux latéraux, atteignit pourtant « die
ne permit d'expliquer ni son caractère, ni ses relations avec les
faisceaux
sclérosés. De l'état du cerveau on ne dit mot.
lysie spastique; où, à l'autopsie, on a pu constater une lésion des
faisceaux
pyramidaux, mais une analyse attentive du table
ve du tableau anatomique démontre que dans tous ces cas outre des
faisceaux
mentionnés, ceux du cervelet furent atteints et
milieu du pied du pédoncule cérébral la place exacte où passe le
faisceau
pyramidal; il a pu irriter en même temps le faisc
te où passe le faisceau pyramidal; il a pu irriter en même temps le
faisceau
sensitif et les tractus vasomoteurs (voyez dans
circonvolutions motrices du côté droit et englobant une partie du
faisceau
pyramidal d'où les dégénérescences secondaires
ramollissement circonscrit dans la protubérance, qui lèse aussi le
faisceau
pyramidal. En un mot double lésion capable d'ex
inté- grité des racines de gauche. Dégénérescence descendante des
faisceaux
pyramidaux, dans les cordons latéraux. Il s'agit
in, quelquefois on aperçoit, munies de leur gaine de myéline, des
faisceaux
de fibres qui s'épanouissent en forme d'aigreltes
tre que secondaire, qu'il s'agisse de la couronne rayonnante et des
faisceaux
spinaux, ou du faisceau d'association intracort
s'agisse de la couronne rayonnante et des faisceaux spinaux, ou du
faisceau
d'association intracortical, et provenir de la
léments nerveux sont remplacés par du tissu conjonctif dans tout le
faisceau
de Goll et dans la plus grande partie du faisce
ctif dans tout le faisceau de Goll et dans la plus grande partie du
faisceau
de Burdach. Le cordon postérieur droit mesure 1
lenticulaire. C, corps granuleux occupant les interstices entre les
faisceaux
de libres coupées perpendicu- lairement à leur
6. - l4loelle cc.rvicale, OllsntiVATIUNB II. A, corps granuleux du
faisceau
pyramidal cruisé. - H, curps granu- leux aberra
ns les processus radicu- laires autérieurs. - D, corps granuleux du
faisceau
pyramidal direct. 8rcua. (.il th,I\I : 6 : : 1"
t de la l ? paire cervicale. Collet du bulbe. Sclérose marginale du
faisceau
antérolatéral, plus marquée au niveau du sillon a
l, plus marquée au niveau du sillon antérieur. Sclérose marquée des
faisceaux
de Goll et do Burdach. ' Fig. 2. - VIe paire ce
Burdach. ' Fig. 2. - VIe paire cervicale. Grosse dégénération du
faisceau
de Goll et de la bandelette externe du cordon pos
ostérieur. Dégé- nération peu accusée des racines postérieures. Les
faisceaux
de Gowers et cérébelleux direct sont très pris.
ect sont très pris. A remarquer également l'atteinte très nette des
faisceaux
p) ranuclau"\. directs et croisés. FIG. ,. -
e dorsale. Point où les lésions sont au maximum. Grosse atteinte du
faisceau
pyramidal croisé. Grosse tléin3élinis.ition des
ion très prononcée des cordons postérieurs, intéressant surtout les
faisceaux
de Goll. 2° Une dégénération systématique des f
surtout les faisceaux de Goll. 2° Une dégénération systématique des
faisceaux
cérébelleux directs et des faisceaux pyramidaux
dégénération systématique des faisceaux cérébelleux directs et des
faisceaux
pyramidaux croisés, avec intégrité complète des f
ts et des faisceaux pyramidaux croisés, avec intégrité complète des
faisceaux
pyramidaux directs. 3° Une dégénération des c
condaire, sclérose d'origine conjonctivo- vasculaire s'étendant aux
faisceaux
pyramidaux croisés et aux faisceaux cérébelleux
tivo- vasculaire s'étendant aux faisceaux pyramidaux croisés et aux
faisceaux
cérébelleux directs. Cette théorie, qui faisa
ie de Friedreich est celui de savoir s'il y a vraiment sclérose des
faisceaux
pyramidaux croisés. Friedreich ne l'avai pas sign
, tout en convenant qu'il existe des lésions dans le territoire des
faisceaux
pyramidaux croisés, hésite à admettre que les fib
és, hésite à admettre que les fibres altérées soient bien celles du
faisceau
pyramidal. 11 pense au contraire que les fibres
lles du faisceau pyramidal. 11 pense au contraire que les fibres du
faisceau
pyramidal sont intactes, et que l'altération port
, et que l'altération porte sur des fibres dépendant du système des
faisceaux
cérébelleux direct et antéro- latéral de Gowers
et Schultze, de Burr, de Bonnus et Mackay signalent une sclérose du
faisceau
pyramidal direct, sclérose la plupart du temps
instant. Dans les deux, il existe une dégénération accusée des deux
faisceaux
pyramidaux, y compris NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA
iteurs. MALADIE DE FRIEDREICH ET UÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 15 le
faisceau
deïurck. Etant donnés le degré et la topographie
nt, et d'une façon variable, le cordon antéro-latéral et ses divers
faisceaux
. En 1896, je décrivais déjà des formes frustes
e trouve compris : 1° Le tractus moteur du membre inférieur gauche (
faisceau
pyramidal) ; 2° Le tractus thermique du chaud d
la moelle, la substance grise médiane, à mesure qu'elle libérait le
faisceau
moteur gauche, tout en respectant toujours le f
libérait le faisceau moteur gauche, tout en respectant toujours le
faisceau
moteur droit, ainsi que les racines, les méning
nt dans lequel la sclérose envahit tantôt la substance grise ou les
faisceaux
blancs, tantôt se dissémine des deux côtés ou se
en rapport avec la région intéressée. C'est ainsi que lorsque les
faisceaux
postérieurs sont atteints, on observera les sym
lle que les centres du langage sont unis les uns aux autres par des
faisceaux
d'association et que cette union anatomique entra
térieure du lobule du pli courbe (2" pariétale) . - Destruction des
faisceaux
blancs sous-jacents (faisceau longitudinal supé
e (2" pariétale) . - Destruction des faisceaux blancs sous-jacents (
faisceau
longitudinal supérieur, faisceau occipital vertic
des faisceaux blancs sous-jacents (faisceau longitudinal supérieur,
faisceau
occipital vertical de Wer- nicke). - Sont respe
le.En haut le foyer se prolonge sous la Ire parié- tale (section du
faisceau
longitudinal supérieur). 7° Coupe portant sur l
détruite ainsi que celle correspondant au pli courbe (Destruction du
faisceau
longitudinal supérieur etd'unepartiedu faisceau
rbe (Destruction du faisceau longitudinal supérieur etd'unepartiedu
faisceau
occipital vertical deWernieke). La substance bl
ons en présence de 3 lésions : 1) Une lésion du pli courbe et des
faisceaux
sous-jacents (faisceau longi- tudinal supérieur
ésions : 1) Une lésion du pli courbe et des faisceaux sous-jacents (
faisceau
longi- tudinal supérieur), lésions s'étendant v
ers les points du globe occipital (intéressant la substance blanche
faisceau
vertical occipital de Wernicke). 2) Une lésion
ticale (pli courbe, cir- convolution occipitale) et sous-corticale (
faisceau
longitudinal supérieur, faisceau occipital vert
ion occipitale) et sous-corticale (faisceau longitudinal supérieur,
faisceau
occipital vertical de Wernicke). Peut-être est-ce
st aussi le plus médian ; il s'étend du sacrum à l'axis, composé de
faisceaux
obliquement ascen- dants, qui vont de l'apophys
ombaire, le plus externe des deux, se porte de bas en haut, par des
faisceaux
séparés, sur toutes les côtes, au niveau de leur
du petit complexus. Le long dorsal, plus interne, composé de longs
faisceaux
ascendants, dont l'aspect l'a fait comparer à u
ivant les sujets (de la 6° à la 2' côte) ; il donne naissance à des
faisceaux
externes ou costaux, qui s'insèrent entre l'ang
, qui s'insèrent entre l'angle et la tubérosité des côtes, et à des
faisceaux
internes ou trans- versccires, qui sont les plu
contraction soudaine et violente, qui fait saillir à ce moment les
faisceaux
musculaires sous la peau, à la façon d'une corde
la maladie de Friedreich : altérations des cordons postérieurs, des
faisceaux
pyramidaux,des faisceaux cérébelleux directs et
: altérations des cordons postérieurs, des faisceaux pyramidaux,des
faisceaux
cérébelleux directs et des cellules de la colonne
cellules de la colonne de Clarke, et des altérations intéressant le
faisceau
de Goll et le faisceau cérébelleux direct, prin
de Clarke, et des altérations intéressant le faisceau de Goll et le
faisceau
cérébelleux direct, principalement dans la régi
on- cule cérébelleux. Dans le bulbe, il ya a dégénérescence du même
faisceau
et de celui de Goll. Dans la moelle, dont les d
- 130 RAYMOND cence des fibres dans les cordons de Goll, dans les
faisceaux
cérébelleux directs et les faisceaux de Gowers
les cordons de Goll, dans les faisceaux cérébelleux directs et les
faisceaux
de Gowers ; la substance grise de la moelle est
(dégénération partielle des cordons postérieurs, localisée dans les
faisceaux
de Burdach à la région lombo-sacrée, et dans les
dans les faisceaux de Burdach à la région lombo-sacrée, et dans les
faisceaux
de Goll dans la région cervicale - dégénération
ération partielle de tout le fais- ceau antéro-latéral et totale du
faisceau
Gowers - absence du faisceau cérébelleux direct
fais- ceau antéro-latéral et totale du faisceau Gowers - absence du
faisceau
cérébelleux direct). Au bulbe, il existe une dé
ffection, on observe,en général, une dégénération plus complète des
faisceaux
pyramidaux croi- sés et des cordons postérieurs
section, ainsi que des taches scléreuses dans la partie externe du
faisceau
antéro-latéral. Les nerfs périphériques sont pe
iques) portant sur les fibres fines de la couche des grains, sur le
faisceau
axial de chaque lamelle cérébelleuse, sur le cent
très peu abondantes. A noter également la petitesse et la pâleur du
faisceau
solitaire et les lésions dégénératives du noyau
deviennent plus abondantes en fibres, à mesure que l'on s'élève. c)
Faisceau
antéro-latéral. - Lésions, somme toute, assez dif
- Lésions, somme toute, assez diffuses,intéres- sant avant tout le
faisceau
cérébelleux direct et assez légèrement le faiscea
sant avant tout le faisceau cérébelleux direct et assez légèrement le
faisceau
de Gowers, et s'étendant à la région cervicale
et s'étendant à la région cervicale et dorsale sur le territoire du
faisceau
pyramidal croisé. Quant au faisceau de Türk outre
et dorsale sur le territoire du faisceau pyramidal croisé. Quant au
faisceau
de Türk outre une dégénération nette au niveau
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 141 est en effet tout naturel que les
faisceaux
sagittaux et ceux d'association aient dû subir
inution de fibres par suite de la destruction décrite plus haut. Le
faisceau
longitudinal inférieur (Fli) paraît être doué d'u
PADAkI exagérée du tissu cortical. Résistance particulière de. Fli {
faisceau
de projection) à l'invasion par la tumeur. OR
u ambiant. Mais dans le lobe occipital le ventricule est entouré de
faisceaux
de projection (Rth. et Fli.) et d'un long faisc
est entouré de faisceaux de projection (Rth. et Fli.) et d'un long
faisceau
d'association (Tap.). D'autre part les scissures
ventricule beaucoup trop grand. Il en est de même du tapetum et des
faisceaux
sagittaux du lobe occipital. Là la dilatation v
n que la dilatation ventriculaire se fait avant tout aux dépens des
faisceaux
d'association courts. Examen microscopique Coup
e in- terne elles sont allongées et placées de préférence entre les
faisceaux
blancs et les trabécules de substance grise qui
ite de la compression du trac- tus optique et du corps gen. ext. le
faisceau
Fli. se soit trouvé dans des condi- tions parti
es fais- ceaux d'association surtout. Appauvrissement du cerveau en
faisceaux
de cette nature. - Engorgement des vaisseaux, é
- Tro, tractus optique. Tum, tumeur. X F et M, entrecroisement des
faisceaux
de Forel et de Meynert. 152 WEBER ET PAPADAKI -
1. Cge, corps genouillé externe. Cgi, corps genouillé interne. Fld,
faisceau
longitudinal dorsal. N III, noyau III* paire. P
n locus niger. Tm, tumeur. F'iG. 8. Aqs, aqueduc de Sylvius. - Fld,
faisceau
longitudinal dorsal. Gp, tu- bercule quadrijume
compression des pyramides ; bien que le néoplasme fût à droite, le
faisceau
pyramidal gauche ne pouvant faire place, parce
is positif. Nous nous demandons Fm. 10. les, fosse de Sylvius. Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. - Gsm,gyrus supra-margi
ect particulièrement dense : cela est surtout visible dans les gros
faisceaux
coupés transversalement, par exemple Rth. et Fl
ages en soleil de la fibre nerveuse. Nous croyons remarquer que les
faisceaux
d'association ont plus perdu en surface que ceu
cation de ces variétés de démence. 60 Dans la substance blanche les
faisceaux
d'association paraissent souf- frir plus que ce
Voici quelques chiffres : 166 GRUNER ET BEI\TOLOTTl supérieure du
faisceau
sensitif et envahit le tubercule quadrijumeau ant
t refoulée en avant et ses fibres sont raréfiées, du côté gauche le
faisceau
longitudinal postérieur est à peu près intact. Le
lement dégénérées, on voit nettement quelques fibres qui partent du
faisceau
longitu- dinal postérieur, se portent en avant,
rgeur. Le ruban de Reil, les pédoncules cérébelleux supérieurs, les
faisceaux
cen- traux de la calotte sont épargnés des deux
trijumeau à gauche est plus distincte, elle est formée par un petit
faisceau
de fibres pâles et atrophiées. Les cellules de la
versent la ban- delette longitudinale postérieure, qui contient des
faisceaux
radiculaires plus nombreux. ' Dans une coupe
rale de la protubé- 168 GRUNER ET BERTOLOTTI rance, les fibres du
faisceau
pyramidal et les fibres transversales sont quelqu
ruire les fibres d'association entre ces noyaux, qui montent par le
faisceau
longitudinal postérieur. Voyons en dernier lieu
me paire émanent des fibres motrices ascendantes qui montent par le
faisceau
longitudinal postérieur, se croisent sur la lig
e en bas des tubercules quadrijumeaux et vont directement parmi les
faisceaux
radiculaires de la IIIe paire jusqu'au muscle d
s s'occupèrent de cette question et beaucoup d'entre eux nièrent le
faisceau
anastomotique de MM. Duval et Laborde. Toutefoi
de de ses faits histologiques (2),insiste sur le point suivant : le
faisceau
longitudinal postérieur contient des fibres ascen
eu. of. Neur. and Psych., mai 1903. 172 GRUNER ET BERTOLOTTI ' le
faisceau
longitudinal postérieur et aboutissent dans les n
u de la VIe paire ou sur ses fibres ascendantes qui montent par les
faisceaux
de la calotte protubérantielle, peut entraîner un
de la III° paire. Le tubercule était ainsi placé qu'il épargnait le
faisceau
longitudinal postérieur, le noyau rouge et les
. Le Pal montre une légère raréfaction des fibres à myéline dans le
faisceau
pyramidal croisé droit, le picro-carmin y décèle
tout le cordon latéral, sans rester strictement limitée à l'aire du
faisceau
pyramidal croisé, car elle peut même atteindre
e ; c'est plutôt une altération développée primitive- ment dans les
faisceaux
blancs delà moelle épinière. Hislologiquement 1
e ; raréfaction des fibres à myéline dans la moitié postérieure des
faisceaux
latéraux. Drap... Emile, 66 ans, entre à l'asil
myéline dans les deux tiers externes de la partie pos- térieure du
faisceau
latéral. SCLÉROSES COMBINÉES médullaires DES pa
G. Syphilis probable; démence; paraplégie spasmodique; sclérose des
faisceaux
pyramidaux croisés (1). Klém..., 38 ans, ex-gar
médullaire. Au Weigert-Pal, il existe une double dégénérescence des
faisceaux
pyra- midaux croisés avec prédominance d'un côt
cro-carmin on voit une sclérose névroglique dans les aires des deux
faisceaux
pyramidaux croisés. Dans ces mêmes régions, le Pa
contracture en flexion des membres inférieurs ; dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux eroisés et myélite diffuse. Camp...
figure 1. 3. Obs. IV. - Moelle lombaire. Sclérose plus limitée des
faisceaux
pyramidaux croisés 4. Obs. III. moelle cervical
yramidaux croisés 4. Obs. III. moelle cervicale. Dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux croisés et myélite diffuse. 5. Obs
isés et myélite diffuse. 5. Obs. II. Moelle dorsale. Sclérose des
faisceaux
pyramidaux croisés. 6. Obs. XII. Moelle dorsale
ceaux pyramidaux croisés. 6. Obs. XII. Moelle dorsale. Sclérose des
faisceaux
fondamentaux des cordons la- téraux, de la part
es à myéline dans la moitié postérieure de la moelle dans l'aire du
faisceau
fondamental du cordon latéral des deux faisceaux
elle dans l'aire du faisceau fondamental du cordon latéral des deux
faisceaux
pyramidaux croisés et à la limite moyenne des f
al des deux faisceaux pyramidaux croisés et à la limite moyenne des
faisceaux
de Goll et de Burdach (pl. XXXIII, fig. ). Le
es dégénérées que dans un îlot situé à la partie antéro-externe des
faisceaux
pyramidaux croisés. La région lombaire paraît n
ite hémorrhagique suppurée de l'hémis- . phère droit ; sclérose des
faisceaux
pyramidaux (1). . Seig..., 36 ans, entré le 27
e médullaire. Sclérose très dense et bien systématisée au niveau du
faisceau
pyramidal croisé du côté gauche et direct du côté
dense et beaucoup plus diffuse. Elle dépeg,4v,% beaucoup l'aire du
faisceau
pyramidal croisé. A gauche, le faisceau pyramid
g,4v,% beaucoup l'aire du faisceau pyramidal croisé. A gauche, le
faisceau
pyramidal direct est sain. Le Weigert-Pal met e
est sain. Le Weigert-Pal met en évidence cette double sclérose. Le
faisceau
pyramidal croisé est absolument détruit à gauch
ceau pyramidal croisé est absolument détruit à gauche ; à droite le
faisceau
de Turck très bien limité est également détruit
résente pas trace d'in- filtration inflammatoire. La sclérose des 2
faisceaux
pyramidaux se présente au Weigert-Pal avec les
tères que de la moelle cervicale : sclérose limi- tée et dense d'un
faisceau
pyramidal direct et croisé, sclérose plus discrèt
roprement parler. Ce n'est qu'une simple raréfaction des fibres des
faisceaux
pyramidaux croisés seulement sous la dépendance
Mais le cas est déjà plus complexe. A la double dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux d'origine encéphalique s'ajoute la s
est intéressante parce qu'on peut attribuer la dégénéres- cence des
faisceaux
pyramidaux croisé et direct à une pachyméningite
it. Ainsi s'explique l'aspect beaucoup plus dense de la sclérose du
faisceau
pyramidal direct droit et du faisceau pyra- mid
plus dense de la sclérose du faisceau pyramidal direct droit et du
faisceau
pyra- midal croisé gauche qui diffère sensiblem
ffère sensiblement de la sclérose plus diffuse et moins profonde du
faisceau
pyramidal croisé droit. Cette dernière, con- si
la partie postéro-externe des cor- dons latéraux. Weigert-Pal. Le
faisceau
de Burdach est complètement dégénéré. Nissl. Le
ettes externes de Charcot et Pierret sont sclérosées, ainsi que les
faisceaux
cérébelleux directs (pl. XXXIV, fig. 8). Moelle
énérescence mais prédominante à gauche (à droite sur la figure) des
faisceaux
pyramidaux. 3. Obs. IX. Moelle dorsale. Mêmes l
lombaire. Sclérose des bandelettes externes et dégénéres- cence des
faisceaux
.pyramidaux croisés,compacte et bien limitée à
II. Partie inférieure du bulbe. Sclérose des cordons de Goll et des
faisceaux
cérébelleux directs. 9. Obs. VIII. Moelle cervi
t sont entourées de ces mêmes cellules. A la région dorsale dans le
faisceau
latéral se trouve un foyer de méningo- myélite
Weigert, dans la région cervicale, on constate la dégénérescence du
faisceau
pyramidal droit et la dégénérescence symétrique d
e des bandelettes de Pierret, on voit une double dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux, mais du côté gauche la sclérose est
is du côté gauche la sclérose est diffuse et dépasse les limites du
faisceau
pyramidal (pl. XXXIV, (ig : 4). Les reins pré
nal épendymaire est presque complètement obstrué. Dans l'aire des
faisceaux
pyramidaux et des bandelettes externes des cor-
o-latéraux, entre la zone périphé- rique sclérosée et les aires des
faisceaux
pyramidaux se trouve une zone de tissu nerveux
tate : une raréfaction des fibres nerveuses au niveau des aires des
faisceaux
pyramidaux qu'elle déborde peut-être un peu en
Les racines postérieures sont altérées d'une façon particulière : des
faisceaux
tout entiers sont détruits alors que d'autres d
Infiltration de la subs- tance sous-épendymaire. Au Weigert, les
faisceaux
pyramidaux paraissent plus clairs. Moelle. Méni
rps granuleux. Au Weigert, apparence de sclérose combinée. Les deux
faisceaux
pyrami- daux croisés sont dégénérés et de plus
Weigert-Pal. Seuls sont décolorés les zones de Lissauer et quelques
faisceaux
clairsemés des racines. Moelle lombaire. Hémato
la radiculite, une sclérose combinée consistant en décoloration des
faisceaux
fondamentaux des cordons latéraux, de la partie
le sont décolorées la moitié interne des cordons postérieurs et les
faisceaux
fondamentaux des cordons latéraux, ceux-ci sur
elle lombaire, se réduise dans la moelle cervi- cale et le bulbe au
faisceau
cérébelleux direct. Dans le 2° cas, les lésions
l'explication de ces différences d'aspect. La sclérose compacte du
faisceau
pyramidal croisé est sous la dépendance d'un ra
araît évident. Dans Ie4°cas(llau....) il y a à la fois sclérose des
faisceaux
pyramidaux, suite des lésions diffuses de l'enc
omprendre, d'une part, la localisation nette de la sclérose dans le
faisceau
fondamental du cordon latéral, et d'autre part da
ler cette lésion. Nous avons vu aussi la dégénérescence massive des
faisceaux
pyramidaux secondaires à une lésion encéphaliqu
es transversales antérieures de la protubérance du côté gauche. Les
faisceaux
pyramidaux sont atteints des deux côtés d'une lég
toute la hauteur de la'moelle, on observe une légère sclé- rose des
faisceaux
pyramidaux croisés. Pas d'autres lésions des cord
toujours les noyaux prépyramidaux et les fibres plus profondes des
faisceaux
pyramidaux. De plus, le traumatisme physiolo- g
que pour le muscle sterno-cléido-mastoïdien il existe en dehors du
faisceau
sternal nor- mal, des faisceaux qui vont se fix
do-mastoïdien il existe en dehors du faisceau sternal nor- mal, des
faisceaux
qui vont se fixer sur les points de la clavicule
st de même pour le grand pectoral et le deltoïde qui présentent des
faisceaux
claviculaires comme le démontre le déplacement
llaires, l'acuité visuelle sont normaux. Pas de signes de lésion du
faisceau
pyramidal, pas de troubles de la sensibilité. Leu
côté où le rudiment parasternal mesure 4 cent., mais est réduit au
faisceau
sterno-mastoïdien du côté où ce rudiment n'a qu'u
sterno-mastoïdien du côté où ce rudiment n'a qu'un centimètre ; les
faisceaux
occipitaux s'insérant sur le cordon fibreux et le
insérant sur le cordon fibreux et les rudiments sont suffisants, le
faisceau
claviculaire étant cependant moins fort que le
fisants, le faisceau claviculaire étant cependant moins fort que le
faisceau
sternal. 3° La portion claviculaire du trapèze
bablement parmi ces anomalies dues à l'ly-- peractivité de certains
faisceaux
musculaires qu'il faut ranger nos trois cas de
ns les segments les plus élevés de la moelle, une grande partie des
faisceaux
posté- rieurs se trouve ainsi remplacée par un
as en haut. Ces auteurs, néanmoins, préoc- cupés de la destinée des
faisceaux
blancs ou des variations de forme de la subs- t
s inférieure de la moelle, on observe un tissu nerveux fragmenté en
faisceaux
, dans lequel ne se trouve aucun élément cellulair
n faisceaux, dans lequel ne se trouve aucun élément cellulaire. Les
faisceaux
sont envahis par de nombreux vaisseaux sanguins d
ions pas des phénomènes aussi accusés ; bien que la disparition des
faisceaux
blancs y soit infiniment plus lente, divers ind
contraire développée vers l'extérieur ; en particulier, les divers
faisceaux
de fibres radiculaires sont nettement envahis p
les recherches tendant uniquement à établir l'état d'intégrité des
faisceaux
blancs, nous paraissaient des recherches vaines.
cessus dans les cas ordinaires, il est sans intérêt de savoir quels
faisceaux
sont ou ne sont pas atteints. Les lésions im- m
on et Matthew nous renseignent très exactement, en montrant que les
faisceaux
moteurs sont franchement altérés, surtout dans
tissu. Tout autour de la moelle existent de nombreuses sections de
faisceaux
ner- veux, soit à proximité même de la moelle,
nt subi un étalement sur le plancher du canal rachidien ouvert. Ces
faisceaux
nerveux appartiennent aux racines postérieures, a
rs ne montrent plus aucune trace de moelle, mais, au contraire, des
faisceaux
nerveux abondants. Ceux-ci d'ailleurs, ne sont
is sur l'identité duquel il ne saurait y avoir aucun doute. · Les
faisceaux
nerveux reposent directement sur la dure-mère, fo
ns parlé dans le premier chapitre. A ce niveau, existent encore des
faisceaux
de fibres : -. PATHOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE
e fibres ont dû disparaître. La dure-mère sur laquelle reposent ces
faisceaux
, n'a plus son aspect de tissu fibreux épaissi ;
iveau des étranglements, les fibrilles se rapprochent et forment un
faisceau
serré. , C'est en ce point que le cylindraxe es
es cas, quatre seulement montre- raient une dégénération isolée des
faisceaux
pyramidaux : ce sont ceux de Morgan et Dreschfe
le cas de Friedmann il y avait en même temps une atteinte légère du
faisceau
cérébelleux seul, de celui-ci et du faisceau de
une atteinte légère du faisceau cérébelleux seul, de celui-ci et du
faisceau
de Goll dans le cas de Kühne et Strümpell. Le c
l a publié récemment trois nouveaux cas de sclérose systématisée du
faisceau
pyramidal, dont l'un héréditaire. Mais, là encore
encore, un seul paraît pur ; dans les autres, la sclérose d'autres
faisceaux
se sura- joute. C'est encore la sclérose comb
1904 (cas Polster), la sclérose laté- rale excédait les limites du
faisceau
pyramidal et il s'y ajoutait encore une scléros
Deltoïde, 10 m. A., contractions très faibles et seulement dans un
faisceau
des fibres NFC > PFC. Pectoral, contractio
quelques travées osseuses se forment par transformation directe de
faisceaux
périostaux. FiG. 19. Ossification périostale da
perficielle et profonde de l'étage antérieur de la protubérance, le
faisceau
longitudinal inférieur, le ruban de Reil, le stra
contraire, surtout à sa partie supérieure là où prend naissance le
faisceau
central de la calotte, est bien colorée par l'hém
sont très peu nombreuses ; la racine des- cendante du trijumeau, le
faisceau
latéral du bulbe, les fibres radiculaires des X
atéral du bulbe, les fibres radiculaires des XI- et XIIe paires, le
faisceau
solitaire sont bien colorés. L'olive est atrophiq
périphérie très clairs. Seulement à l'endroit où prend naissance le
faisceau
central de la calotte la capsule olivaire est p
ndue. Le ruban de Reil est toujours extrêmement pâle, sauf quelques
faisceaux
par ci par là qui possèdent une coloration asse
réfaction très accentuée des cordons latéraux surtout au niveau des
faisceaux
pyrami- daux et du faisceau de Flechsig gauche;
cordons latéraux surtout au niveau des faisceaux pyrami- daux et du
faisceau
de Flechsig gauche; légère raréfaction des faisce
ami- daux et du faisceau de Flechsig gauche; légère raréfaction des
faisceaux
pyra- midaux directs et des faisceaux de Goll (
auche; légère raréfaction des faisceaux pyra- midaux directs et des
faisceaux
de Goll (PI. LXII). Au niveau des zen racines c
I. LXII). Au niveau des zen racines cervicales à droite, la zone du
faisceau
pyramidal est très claire et contient à peu prè
e lésion que sur les coupes précédentes. A gauche, au contraire, le
faisceau
pyramidal et le faisceau de Flechsig ne contienne
es précédentes. A gauche, au contraire, le faisceau pyramidal et le
faisceau
de Flechsig ne contiennent plus que quelques fi
contiennent plus que quelques fibres isolées. A ce même niveau les
faisceaux
pyramidaux directs sont légèrement raréfiés et
e sont aussi très touchées. ' Au niveau de la moelle dorsale, les
faisceaux
pyramidaux contiennent à peine quelques fibres
midaux contiennent à peine quelques fibres nerveuses normales : les
faisceaux
pyramidaux directs sont un peu raréfiés ; la ra
tres intermédiaires (PI. LXII). Cependant à ce niveau la lésion des
faisceaux
pyramidaux directs est un peu plus évidente. On y
ns des autres. Dans la moelle lombaire la sclérose est limitée aux]
faisceaux
pyramidaux. Méninges spinales. La pie-mère est
C'est surtout à la palpation qu'on a l'impression qu'il manque des
faisceaux
et que ceux qui restent sont plus mous que nor-
Le grand pectoral est petit, surtout dans la partie interne de son
faisceau
claviculaire. Bras. - Le triceps a presque tota
l'exis- tence de quelques symptômes impliquant la participation des
faisceaux
blancs médullaires (exagération ou abolition de
de filaments de toutes longueurs se groupant en quelques points en
faisceaux
remarquables (fig. 1). Notre ligure 1 ne rend q
petites vacuoles, rondes lorsque la coupe est per- pendiculaire au
faisceau
, allongées lorsqu'elle est parallèle. Ces vacuole
n. PSEUDO-TUMEUR CÉRÉBRALE PAR EMPYÈME VENTRICULAIRE 657 Dans les
faisceaux
ainsi raréfiés les fibres elles-mêmes apparaissen
fortement tendu au-dessous de l'angle inférieur de l'omoplate ; le
faisceau
-le plus inférieur peut faci- lement être suivi
re allant des apophyses épineuses au bord spinal de l'omoplate. Les
faisceaux
inférieurs du trapèze existent des deux côtés, la
conjonctif en prolifération. 11 n'y a pas trace d'hémor- rhagie. Le
faisceau
pyramidal gauche présente les altérations class
l y avait une dégénérescence descendante des cordons de Goll et des
faisceaux
cérébelleux des cordons latéraux. Au microscope
n descen- dante avait, à l'examen microscopique, atteint les deux
faisceaux
pyramidaux, le faisceau croisé plus 1 Voy. A¡'c
à l'examen microscopique, atteint les deux faisceaux pyramidaux, le
faisceau
croisé plus 1 Voy. A¡'ch. de Neurologie, n" 51,
n° 52, p. 28; ne 5't, y. 360. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 79 que le
faisceau
direct, et, en outre, quelques fais- ceaux isol
lésion, altération transitoire de l'ouïe et de l'odorat) : outre le
faisceau
pyramidal croisé, la dégé- nérescence avait sur
érés; des cordons de Goll et d'autres cordons postérieurs, quelques
faisceaux
seulement l'étaient chez le chien. Chez le sing
resse sur- tout ici, il n'existe pas d'entre-croisemeut total des
faisceaux
sensitifs ou moteurs : une partie de ces fais-
moïde, dans les cas de destruction du cervelet*. L'existence d'un
faisceau
fronto-cérébelleux, reliant ' Lussana. Sul cerv
aisemblable, que le lobe pariétal est surtout en connexion avec les
faisceaux
du sens musculaire. » A l'appui de cette hypoth
étendant jusqu'à la statiun terminale, dans l'écorce cérébrale, des
faisceaux
sensittfs. Mais le pro- cessus dégénératif atte
longent la substance blanche autour des cornes grises postérieures (
faisceau
cunéi- forme de Burdach et segment postérieur d
partent deux sortes de fibres. Les unes vont dans la profondeur du
faisceau
de Burdach dessiner une sorte d'aile plane qui de
Burdach dessiner une sorte d'aile plane qui deviendra la source du
faisceau
de Goll. Les autres, laissant la substance grise
ent en arrière et en haut, pour aller embrasser cir- culairement le
faisceau
latéropyramidal et fournir les matériaux du cordo
s matériaux du cordon latérocérébelleux. Les cordons de Goll et les
faisceaux
latérocérébelleux, sont donc composés de fibres
stérieures. - De là les propositions de physiologie que voici : Les
faisceaux
de Goll et latéro-cérébelleux étant la prolongati
forment le trajet le plus direct de la sensibilité, tandis que les
faisceaux
de Burdach avec les segments postérieurs du rej
nt des voies sensibles médiates. D'où les altérations aliformes des
faisceaux
de Burdach dans les portions inférieures de la
us avancée de la maladie, la prééminence de la dégéné- rescence des
faisceaux
de Goll, dans les portions supérieures de la moel
lechsi Z, ont observé la dégénérescence des cordons de Goll et des
faisceaux
cérébelleux : Schultze g et Sliùmpell4, ont con
ynert, de lluguenin, de Luys, sur la direc- tion et le parcours des
faisceaux
nerveux ne sont que des schémas imaginaires.
e tuberculose pulmonaire. L'autopsie révèle la dégénéres- cence des
faisceaux
pyramidaux tout le long des cordons latéraux, d
t du bulbe dont les limites sont moins accusées que normalement. Le
faisceau
pyramidal du côté gauche est bien plus étroit q
ostérieurs dans la moelle lombaire qui n'atteint en montant que les
faisceaux
de Goll. Il existe aussi une atrophie des cellu
mourut à 25 ans. Les débris du tissu musculaire se compo- saient de
faisceaux
de fibres arrivées à la dernière période de l'h
oupe à part, ceux dans lesquels un véri- table tabes par lésion des
faisceaux
postérieurs peut s'associer à la glycosurie. Je
s recherches des auteurs sur la différenciation topographique des
faisceaux
blancs de cet organe. L'unité anatomique appare
t de ce travail, de reprendre l'histoire détaillée de chacun de ces
faisceaux
, et il nous suffira d'une des- cription extrême
Fig. 26. 338 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ceau de TÜJ'c ? (FT, 1) ou
faisceau
pyramidal direct qui se trouve à la partie anté
la pyramide antérieure et subit la dégénérescence des- cendante. Le
faisceau
pyramidal croisé (F P, 4) situé à la partie pos
bissant la dégénérescence descendante. La zone marginale externe ou
faisceau
profond du cordon latéral (Z M, 6) qui se trouv
faisceau profond du cordon latéral (Z M, 6) qui se trouve entre le
faisceau
pyramidal croisé et la substance grise. Le fais
trouve entre le faisceau pyramidal croisé et la substance grise. Le
faisceau
cérébelleux direct ou de Flechsig (F G, 5) qui
chsig (F G, 5) qui occupe la partie postérieure et externe entre le
faisceau
pyra- midal croisé et la périphérie. La zone ma
) qui forme un revête- ment triangulaire à la corne postérieure. Le
faisceau
de Gotvers (F G, 3), zone latérale antérieure m
de Gotvers (F G, 3), zone latérale antérieure mixte de Flechsig,
faisceau
périphérique de la région antérieure de Bechter
atéral et se prolongeant en avant jusqu'à l'extrémité antérieure du
faisceau
de Tùrck; il subit la dégénérescence ascendante
l subit la dégénérescence ascendante. La partie fonda- mentale du
faisceau
latéral (P F, 2) constituée par la partie resta
e du faisceau latéral (P F, 2) constituée par la partie restante du
faisceau
antéro-la.téra 1. Les cor- dons postérieurs son
et interne; à sa partie médiane, Flechsig a différencié un autre
faisceau
sous le nom de centre ovale (C 0, 12) en rai- s
inférieure, le cordon de Goll n'est plus représenté que par ce seul
faisceau
); le cordon de Goll subit la dégénération ascen
faisceau); le cordon de Goll subit la dégénération ascendante. Le
faisceau
de Ijccz'clcccla (F 13, 10) ou cordon externe,
ntre la substance grise, formant la partie externe et antérieure du
faisceau
de Burdach. La zone marginale interne de Lissau
pas très régulière, et elle fait défaut dans certaines coupes. Le
faisceau
pyramidal est également sclérosé et sa forme es
e est semblable à la section de P. Y. S du schéma de Flechsig. Le
faisceau
de Turck est intact. Entre la corne postérieure e
brilles de la zone marginale de Lissauer sont presque intactes. Les
faisceaux
de Burdach sont plus altérés dans leur partie m
a partie inférieure de la région lombaire. Le triangle formé par le
faisceau
pyramidal dégénéré montre à sa base une dispari
ubstance spongieuse sont en grande partie détruites. La sclérose du
faisceau
pyramidal gagne un peu plus du côté de la zone
moyenne. - La sclérose porte ici sur les cor- dons postérieurs, le
faisceau
pyramidal et le faisceau de Flechsig. Les colon
orte ici sur les cor- dons postérieurs, le faisceau pyramidal et le
faisceau
de Flechsig. Les colonnes de Clarke sont égalem
s la région dorsale moyenne et supérieure, on voit avant et près du
faisceau
cérébelleux une portion triangulaire fortement
e de Westphall offre une altération très peu prononcée. Le champ du
faisceau
pyramidal est moins atteint que dans la région
ns la région dorsale supérieure. Le cordon de Flechsig, séparé du
faisceau
précédent par une bande de tissu normal, est auss
ntre les altérations de cette région et celles de la précédente. Le
faisceau
cérébelleux, dont la partie antérieure est surtou
re. Le cordon de Goll est un peu plus riche en fibres nerveuses. Le
faisceau
pyramidal présente un minimum d'altération. La
ès peu atteints. La sclérose disparaît presque complètement dans le
faisceau
pyramidal. La lésion est moins marquée dans le
rquée dans le cordon de Burdach, sauf dans sa partie moyenne, et ce
faisceau
offre seulement une raréfaction des fibres nerv
iers postérieur. La sclérose occupe plus régulièrement l'étendue du
faisceau
cérébelleux. Ganglions spinaux. Les ganglions s
ent avoir consisté dans une sclérose des cordons postérieurs et des
faisceaux
pyramidaux avec destruction des fibres nerveuse
uivantes (PL. I, fig. 1) : Dans la région lombaire, elle occupe les
faisceaux
pyramidaux et la presque totalité des faisceaux
re, elle occupe les faisceaux pyramidaux et la presque totalité des
faisceaux
posté- rieurs, excepté la zone (antéro-externe
s fais- ceaux pyramidaux, cérébelleux directs, et la totalité des
faisceaux
postérieurs, sauf une bande relative- ment sain
e (iiq. 30, 31, 32, 33). Dans la région cervicale, elle atteint les
faisceaux
pyramidaux, cérébelleux, et les cordons de Goll
, enfin, on note une sclérose peu prononcée des cordons grêles du
faisceau
cérébelleux et presque négligeable du cordon cu
Fig. 34. Fig. 35. 354 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. mais chacun de ses
faisceaux
en particulier, nous remarquons que la lésion a
riccs. Cette constatation a été faite également par Pitt. Dans le
faisceau
de Burdach, la lésion apparaît au niveau de la
minuer, et elle disparaît dans la partie inférieure du bulbe. Les
faisceaux
pyramidaux présentent une altération Fig. 36.
cérébrale. La lésion diminue à la partie inférieure du bulbe. Les
faisceaux
cérébelleux sont pris à partir de la région dor
la région inférieure du bulbe. A ce niveau la région occupée par ce
faisceau
contient quelques fibres dégénérées. Quant au
pée par ce faisceau contient quelques fibres dégénérées. Quant au
faisceau
de Gowers, il ne paraît pas être atteint, du mo
ar il a été également constaté par Pitt et Rütimeyer la lésion du
faisceau
cérébelleux dépasse les limites normales (/if),
En effet, en s'en rapportant aux travaux de Lissauer lui-même, ces
faisceaux
peuvent être conservés quoique exceptionnelleme
éterminer si celle-ci occupe d'emblée systématiquement les divers
faisceaux
, ou bien si elle représente la propagation dire
irecte ou méningitique d'une altération primitivement localisée aux
faisceaux
postérieurs. Si l'on considère d'abord qu'il s'
s cas relativement à la distribution de la lésion, l'intégrité du
faisceau
de Lissauer qui s'expliquerait difficilement en
es cas de scléroses combinées une dégénérescence aussi typique du
faisceau
pyramidal. Il existe, il est vrai, un groupe de
issus fibrillaire comme dans la maladie de Friedreich, mais bien de
faisceaux
de tissu con- jonctif lamellaire tout à fait an
A cet égard, on peut considérer que les cordons postérieurs et les
faisceaux
pyrami- daux se développent dans la moelle eu d
gulaire fortement dégénérée, située 364 PSYCHOLOGIE. eu avaut clu
faisceau
cérébellem (f. de Cowers ? b, faisceau pyramidal
64 PSYCHOLOGIE. eu avaut clu faisceau cérébellem (f. de Cowers ? b,
faisceau
pyramidal moyennement dégénéré; c, faisceau cér
llem (f. de Cowers ? b, faisceau pyramidal moyennement dégénéré; c,
faisceau
cérébelleux direct ; d, cordon de de Burdach dé
c, cornes antérieures saines ; d, racines antérieures normales; e,
faisceau
de Burdach ; canal épeud\maire ; g, faisceau pyrn
térieures normales; e, faisceau de Burdach ; canal épeud\maire ; g,
faisceau
pyrnnmhl. PI. I, fig. 3. Région de la colonne d
es nerveuses sont bien conservées. En oulre, à la partie externe du
faisceau
grêle de chaque côté, se présente une bande étr
ntactes. Enfin, on constate encore une sclérose bien marquée des
faisceaux
cérébelleux. A la partie inférieure du renfleme
on externe des cordons de Goll ont disparu et la zone dégénérée des
faisceaux
de Burdach est devenue un peu moins étendue.
qu'une légère déco- loration'. Des deux côtés du cordon de Goll, le
faisceau
de Burdach offre une légère zone décolorée qui
toute l'étendue de la moelle dorsale, mais la portion dégénérée des
faisceaux
de Burdach diminue de plus en plus. A l'extré
en, nous dirons que la moelle a présenté une dégénéres- cence des
faisceaux
de Goll, et une dégénérescence des parties inte
s faisceaux de Goll, et une dégénérescence des parties internes des
faisceaux
de Burdach qui a été en diminuant de haut en ba
rescence des cordons latéraux, limitée dans la partie supérieure au
faisceau
cérébel- leux, elle a entrepris, vers le bas, u
ceau cérébel- leux, elle a entrepris, vers le bas, une partie des
faisceaux
pyramidaux. De pareilles constatations se trouv
escence était la moins prononcée dans la région lombaire. Dans le
faisceau
alltéro-latéral, il y avait, à la péri- phérie
lle, une zone annulaire de «sclérose qui s'élargissait au niveau du
faisceau
pyramidal. Dans l'observation de Babesiu2, on c
pyramidal. Dans l'observation de Babesiu2, on constatait que les
faisceaux
postérieurs, surtout près de la surface, étaien
transpa- rente, gris-brunàtre, occupait la moitié postérieure des
faisceaux
latéraux et formait sur les coupes un A A Manua
t Rybaliu' la dégénérescence des cordons latéraux était limitée aux
faisceaux
pyra- midaux : une zone de tissu sain la sépara
dons pos- térieurs (cordons de Goll et cordons de Burdach) et des
faisceaux
cérébelleux ; en outre, une sclérose moins inte
clérose moins intense et probablement plus récente atteignait les
faisceaux
pyramidaux directs et les faisceaux pyra- midau
ent plus récente atteignait les faisceaux pyramidaux directs et les
faisceaux
pyra- midaux croisés. La sclérose des faiscea
ux directs et les faisceaux pyra- midaux croisés. La sclérose des
faisceaux
de Türck présentait son maximum à la partie sup
le haut et vers le bas, elle allait en diminuant. La sclérose des
faisceaux
pyramidaux croisés portait sur une surface ' Zu
cence entreprend une zone étroite correspondant générale- ment au
faisceau
cérébelleux ou s'étendant un peu plus en avant;
s, il fait remarquer que la sclérose ne suit dans son trajet, aucun
faisceau
spécial. Cette interprétation de Déjérine a été
tement limitée et reconnue comme système indépendant, à savoir, les
faisceaux
cérébelleux. Mais, pour apprécier exactement
ant progressivement de haut en bas. - Quant à la dégénérescence des
faisceaux
cérébel- leux, elle se présente sur tout le tra
faisceaux cérébel- leux, elle se présente sur tout le trajet de ces
faisceaux
. Seulement, à partir de la région supérieure de
orsale, il vient s'y ajouter une sclérose de la partie contiguë des
faisceaux
pyramidaux. Cetle sclérose surajoutée s'accentu
e postérieure des cordons latéraux. Cette zone répond à peu près au
faisceau
cérébel- leux et au faisceau pyramidal. Toute
aux. Cette zone répond à peu près au faisceau cérébel- leux et au
faisceau
pyramidal. Toutefois, la portion dégénérée n'ar
nulle part en contact avec les cornes postérieures, tandis que le
faisceau
cérébelleux et le faisceau pyramidal sont conti
c les cornes postérieures, tandis que le faisceau cérébelleux et le
faisceau
pyramidal sont continus à ces cornes. La part
ceau pyramidal sont continus à ces cornes. La partie sclérosée du
faisceau
pyramidal ne cor- respond pas au foyer que l'on
ÉS savantes. réticulaire; les autres demeurent réunies en de petits
faisceaux
que l'on peut suivre jusqu'au voisinage du noya
n : a, portion triangulaire fortement dégénérée, située en avant du
faisceau
cérébelleux (f. de Gowers ? ) b, faisceau pyramid
nérée, située en avant du faisceau cérébelleux (f. de Gowers ? ) b,
faisceau
pyramidal moyennement dégénéré ; c, faisceau cé
x (f. de Gowers ? ) b, faisceau pyramidal moyennement dégénéré ; c,
faisceau
cérébelleux direct ; d, cordon de de Burdach dé
c, cornes antérieures saines ; d, racines antérieures normales; e,
faisceau
de Burdach ; f, canal épendymaire ; g, faisceau p
ieures normales; e, faisceau de Burdach ; f, canal épendymaire ; g,
faisceau
pyramidal. Pl. I, fig. 3. - Région de la colonn
scendantes intéressent : '1) dans les cordons antero-lall1'aux, les
faisceaux
pyramidaux direct et croisé jusque dans les seg
sé jusque dans les segments lomho-sacrés, la zone prépyramidale, le
faisceau
antérolatéral descendant, et quelques fibres des
10 dans les cordons postérieurs, les zones moyennes et externes des
faisceaux
de Burdach et quelques fascicules profonds et cen
e du cordon antérieur. 3° dans le cordon anté1'o-laléral gauche, le
faisceau
fondamental ne 66 LONG contient que quelques
rtes), d'autre part, un déplacement des fibres occupant la zone des
faisceaux
cérébelleux. La raréfaction des fibres ascendan
érieur des cordons antéro-iatéraux ; celles qui occupent la zone du
faisceau
py- ramidal croisé se massent dans la profondeu
s la profondeur, près de la substance grise, celles qui occupent le
faisceau
fondamental vont la périphérie. Les faces ventr
lbe. Dans la moitié gauche de la moelle, les fibres éparses dans le
faisceau
fondamental disparaissent les unes après les au
res qui occupent la partie marginale des cordons latéraux (zone des
faisceaux
cérébelleux) se fait d'avant en arrière (fig. 7
mité de grains noirs qui occupe au niveau du segment C,, la zone du
faisceau
de Gowers (fig.7) atteint par un déplacement prog
0 (segment Ci) cette dégénérescence ascendante semble appartenir au
faisceau
cérébelleux x direct. Or le trajet ultérieur de
eur de ses fibres montre qu'elles sont destinées aussi à la voie du
faisceau
de Gowers. Pour expliquer cette particularité,
C3 Fio. 9. - Segm. C2 Fio. 10. - Segm. CI 68 LONG passage du
faisceau
pyramidal croisé qui, à ce niveau, s'étale jusqu'
n d'après la méthode de Flechsig démontrent aussi ce déplacement du
faisceau
cérébelleux direct dans la moelle cervicale sup
t, d'ailleurs inconstant, ne porte que sur une partie des fibres du
faisceau
cérébelleux direct, et sur un court trajet. Au co
observation, des- fibres qui occupent déjà en Ce et Ci, la zone du
faisceau
de Gowers, sont transférées dans la partie post
faisceau de Gowers, sont transférées dans la partie postérieure du
faisceau
céré- belleux direct, passant ainsi d'un faisce
ie postérieure du faisceau céré- belleux direct, passant ainsi d'un
faisceau
à l'autre. Cette évolution des fibres marginale
car l'arrivée de ces fibres au milieu des fascicules postérieurs du
faisceau
cérébelleux direct n'est pas masquée par la dég
7) arri- vent en contact avec elle (fig. 10) tandis que la zone du
faisceau
.de Go- wers reçoit l'appoint de nouvelles fibre
faisceau.de Go- wers reçoit l'appoint de nouvelles fibres venues du
faisceau
fondamental. - Connexions spino-b¡tlbai1'es.- L
ons (voir Dejerine et André-Thomas, p. 81 et suiv.). Les fibres des
faisceaux
de Goll se terminent les premières dans les noy
terminent les premières dans les noyaux correspondants; celles des
faisceaux
de Burdach, lésées au niveau du renflement cerv
l'arrivée des racines cervicales supérieures ne passent pas dans le
faisceau
de Goll, ; elles se terminent plus haut, dans l
rdons de Burdach et vont jusqu'à la substance grise placée entre le
faisceau
solitaire, le corps j axta-l'esti fonne, et le
décrite par Hoche, Goldstein, etc. b) Dégénérescence ascendante du
faisceau
pyramidal croisé. Parmi le gros paquet de fibre
be, il faut isoler un petit groupe qui occupe la zone pro- fonde du
faisceau
pyramidal croisé ; il arrive au bulbe en passant
protubérance (Seul Chorosko a suivi la dégénérescence ascendante du
faisceau
pyramidal jusqu'à la substance blanche sous-corti
o-hzelbaires par la voie des cordons latéraux. La masse commune aux
faisceaux
cérébelleux et au faisceau fondamental, arrivée
cordons latéraux. La masse commune aux faisceaux cérébelleux et au
faisceau
fondamental, arrivée au faisceau latéral du bul
ne aux faisceaux cérébelleux et au faisceau fondamental, arrivée au
faisceau
latéral du bulbe et au corps restiforme, au-dessu
de bas en haut (fig. 12, 13, 14, 15) on voit des fibres, parties du
faisceau
la- téral du bulbe,occuper la partie antérieure
la substance grise qui entoure le noyau du glosso-pharyngien et le
faisceau
solitaire. D'après ces au- teurs, il existerait
après ces au- teurs, il existerait même, encore plus en arrière, un
faisceau
spino-vesti- bulaire, distinct du plexus dorsal
débuter au pôle inférieur de l'olive bulbaire en continuité avec le
faisceau
fondamental du cordon antérieur de la moelle ;
ordons (1) Ces connexions avec l'olive bulbaire sont différentes du
faisceau
spino-olivaire, décrit par Dydinski, Bechterew,
faisceau spino-olivaire, décrit par Dydinski, Bechterew, Goldstein,
faisceau
qui remonterait le cordon anté- rieur de la moe
coupes. 74 LONG postérieurs. C'est donc bien dé la voie latérale (
faisceau
latéral du bulbe et corps restiforme) qu'ils se
et corps restiforme) qu'ils se détachent. D'après nos coupes, le
faisceau
ou plexus dorsal aboutit à la substance grise,
ec notre collègue et ami Roussy). Fczisceauxspiao-cé·ébelle2sx.- Le
faisceau
cérébelleux direct sui la voie du corps restifo
du cervelet, ses, fibres atteignant la ligne médiane du vermis. Le
faisceau
de Gowers continue son trajet ascendant par le
vermis. Le faisceau de Gowers continue son trajet ascendant par le
faisceau
latéral du bulbe, puis dans la profondeur de la
oncule cérébelleux supérieur et le cervelet. Ce trajet terminal des
faisceaux
spino-cérébelleux répond à la descrip- tion cla
fait, la séparation imparfaite de ces deux systèmes de fibres ; du
faisceau
de Gowers se détachent de place en place des fi
ou- tes ces fibres, il n'est pas possible de distinguer où finit le
faisceau
cé- rébelleux direct et où commence le faisceau
tinguer où finit le faisceau cé- rébelleux direct et où commence le
faisceau
de Gowers. Dans le bulbe et la protubérance la
ulbe et la protubérance la confusion en une seule masse de ces deux
faisceaux
est évidente. Il en est de même plus bas ; nous
16) la zone limitée parle noyau du facial, l'olive supérieure et le
faisceau
central de la calotte. Il chemine parallèlement
e et le faisceau central de la calotte. Il chemine parallèlement au
faisceau
de Gowers (fig. 17), aboutit dans la protubéran
ED. LONG PL. XXI Fic. 20 - ? FlG. 21 1 Fw, 22 78 LONG Les
faisceaux
cérébelleux direct et de Gowers ne sont pas nette
ment des cordons pos- térieurs de la moelle. La masse commune aux
faisceaux
cérébelleux et au reste de la voie ascendante d
LA MOELLE CERVICALE 79 BLUMENAU. - Sur la terminaison supérieure du
faisceau
de Gowers (texte polonais). Anal, in Neurol. Ce
IAS. - Maladies de la moelle épinière, 2e édit., 1909 (anatomie des
faisceaux
de la moelle, p. 55-101). DI'DI\SKr. Ein l3eitr
ne postérieure. Cp, cordon postérieur. Crst, corps restiforme. Fcc,
faisceau
central de la calotte. FG, faisceau de Gowers.
r. Crst, corps restiforme. Fcc, faisceau central de la calotte. FG,
faisceau
de Gowers. Ftp, faisceau longitudinal postérieu
. Fcc, faisceau central de la calotte. FG, faisceau de Gowers. Ftp,
faisceau
longitudinal postérieur. Fil, faisceau latéral du
FG, faisceau de Gowers. Ftp, faisceau longitudinal postérieur. Fil,
faisceau
latéral du bulbe. - IX, IXd, glosso-pharyngien
ALADIE DE RCCKLINGE1AUSLN. - ABSENCE DE DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DES
FAISCEAUX
PYRA- MIDAUX. - Par \11. Am. COYON et A. BA
du cordon antéro-latéral, en particulier celles qui constituent les
faisceaux
pyramidaux direct et croisé ont un aspect norma
intensité, tandis que les fibres de la virgule de Schultze, 'et du
faisceau
de Hoche sont normales ou à peu près. La zone rét
t la méthode de Weigert, plus denses et beaucoup plus noirs que les
faisceaux
latéraux. On peut noter que les zones occupées
e au sein des fibres de volume et de disposition ordinaire de petit
faisceaux
de fibres fines, coupées transversale- ment, ma
u'à gauche jusqu'au niveau des derniers segments dorsaux ; quelques
faisceaux
d'un petit nombre de racines postérieures (droi
; le plus souvent cette altération ne se trouve que sur un seul des
faisceaux
qui constituent la racine. Les différentes ra
tercellulaires. La racine antérieure gauche est constituée par huit
faisceaux
. Six d'entre eux sont presque complètement occu
ieson, le contraste entre les parties normales et pathologiques des
faisceaux
radiculaires antérieurs est mis en valeur d'une
la structure. 4° TtJMEUtt. Au niveau de la tumeur les différents
faisceaux
radiculaires se fusionnent, en une masse unique
moitié gauche de la moelle portant sur la substance grise et sur le
faisceau
antérieur à partir du niveau de la compression
0, on le trouve un jour occupé à se piquer la peau des bras avec un
faisceau
d'épingles assemblées comme pour le tatouage, e
x exagérés offrent tous les caractères produits par l'altération du
faisceau
pyramidal ; ils sont instantanés et ils se limi-
es douleurs dans une région réduite, la contrac- ture de tel ou tel
faisceau
du muscle fléchisseur ou extenseur, la forme pa
, atrophie plus ou moins accusée suivant les muscles et suivant les
faisceaux
considérés, avec tendance à la transformation gra
du noyau rouge, on z ohsema, par contre, une atrophie liés nelte'du
faisceau
thalamique de Forel (Balh. ou Ih) et du champ c
s, au cours de nos recherches sur l'origine el le caractère réel du
faisceau
longitudinal inférieur. Parmi les cas de ramollis
s cas de ramollissement que nous avions utilisés pour l'élude de ce
faisceau
, il en élait un (Cas Roll. 5e ob- servalion[l]
t par le corps genouillé externe. Or, dans ce cas qui nous a (1) Le
faisceau
longitudinal inférieur et le faisceau optique cen
dans ce cas qui nous a (1) Le faisceau longitudinal inférieur et le
faisceau
optique central. Nouvelle Ico- nographie de la
es de tous les cas qui ont servi pour nos travaux antérieurs sur le
faisceau
longitudinal inférieur et la voie géniculo-calc
e avoir déterminé une légère dégénérescence du stratum zonale ou du
faisceau
thalamique dor- sal. Il existe également une ce
noïdal du noyau caudé ; ce territoire, qui appartient avant tout au
faisceau
temporo-tha- lamique d'Arnold, est en effet net
et aborde ensuite le champ p de Wernicke ainsi que la zone dite du
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold. La décoloration in
tion globale du territoire appartenant au champ de Wer- nicke et au
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold est devenue plus sail
rouge est parfaitement saine. La capsule dorsale du corps de Luys (
faisceau
lenticulaire de Forel) par contre est notableme
ment qu'il existe une dégénérescence appréciable dans le domaine du
faisceau
temporo-lhalamique d'Arnold. Uu mince fascicule d
encore visible mais elle est moins accusée. La dégénérescence du
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold se laisse tou- jour
le dorsale. La dégénéres- cence partielle du corps du trigone et du
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold est encore visible.
considérable. Un petit foyer lacunaire occupe l'angle qui sépare le
faisceau
arqué du pied de la couronne rayonnante, et con
dégénérescence assez accentuée de la capsule dorsale ou supérieure (
faisceau
lenticulaire de Forel) du corps de Luys. Ramoll
géné- rés. La dégénérescence temporale aborde on haut le domaine du
faisceau
tem7 poro-thalamique d'Arnold, ainsi que le seg
èrement intense et implique très nettement les fascicules arqués du
faisceau
de Dürch, lesquels se laissent facilement identif
pulvinar. En d'autres termes, elles entrent dans la constitution du
faisceau
temporo-thalamique d'Arnold, traversent le segm
ite la partie supérieure du champ de Wernicke. La dégénérescence du
faisceau
temporo thalamique d'Arnold ne fait jamais défaut
res corticales de la capsule interne, et aussi la dégénérescence du
faisceau
pyramidal dans les cas de parésie spasmodique, l'
dus à la même lésion que celle-ci, c'est-à-dire à une affection du
faisceau
pyramidal. De nos jours cependant, cette concep
les secousses choréifol mes sans qu'il y ait eu trace de lésion des
faisceaux
pyramidaux. Le grand nombre de cas où l'autopsi
noyaux rouges peut provoquer les mêmes symptômes que l'affection du
faisceau
rubro-cérébelleux lui-même. Après les observati
cérébelleux lui-même. Après les observations démontrant le rôle des
faisceaux
pyramidaux dans la genèse de la parésie spasmod
étruisait la zone motrice et provoquait ainsi une dégénérescence du
faisceau
pyramidal. Alors les excitations du noyau caudé
rmal. Par la réduction des traînées de substance grise séparant les
faisceaux
de la capsule interne, celle-ci a un aspect plus
idus, les fascicules sont très serrés. A sa base nous remarquons un
faisceau
volumineux en forme d'écharpe : l'ansa lenticul
lement traversée, prennent la direction médiale et se jettent dans un
faisceau
compact au-dessus du corps de Luys ; c'est le f
tent dans un faisceau compact au-dessus du corps de Luys ; c'est le
faisceau
lenticulaire de Forel. Peut-être est-il moins é
ibres à myéline est plus dense que d'ordinaire. La zone incerta, le
faisceau
thalamique et le faisceau de Vicq d'Azyr ont le
ense que d'ordinaire. La zone incerta, le faisceau thalamique et le
faisceau
de Vicq d'Azyr ont le même aspect que dans la c
teau de fibres à myéline autour de ce noyau se conti- nuant dans un
faisceau
volumineux, qui aboutit dans la base du noyau ext
u fibrillaire. La capsule interne est intacte ; nous remarquons les
faisceaux
fibrillaires entourant le. noyau externe de la
reste rien d'anormal n'est constaté : la capsule interne, dont les
faisceaux
entourent le noyau externe, le stratum zonale,
es lemnisci' latéraux, les pédoncules cérébelleux supérieurs et les
faisceaux
longitudi- naux postérieurs ont dans les coupes
ulaire sta- tique et de l'action dynamique. 296 VAN WOERKOM Les
faisceaux
pyramidaux sont intacts dès leur origine jusqu'à
ehors de toute lésion du cervelet (des pédoncules cérébelleux), des
faisceaux
pyramidaux et des rubans de Reil, une affection d
arésie des muscles antagonistes. Les muscles trapèzes présentent un
faisceau
supérieur acromio-claviculaire en apparence bie
eau supérieur acromio-claviculaire en apparence bien conservé ; les
faisceaux
moyen et inférieur sont par contre très atrophi
y a là par conséquent un contraste frappant entre les diffé- rents
faisceaux
de ces muscles trapèzes. Les muscles de la face
t d'éléments fusiformes, donc net- tement endothéliales, réunies en
faisceaux
qui s'entrecroisent dans tous les sens. Ces cel
est traversée par de nom- breux vaisseaux sanguins et par de petits
faisceaux
ou des trabécules plus larges de tissu conjonct
dégénérescence ascendante des cordons de Goll, moins prononcée aux
faisceaux
cérébelleux et de Gowers. Dans les cordons posté-
sé- minées. La dégénérescence descendante est bien marquée dans les
faisceaux
pyramidaux de la moelle lombaire ; elle est plu
vait s'appuyer sur le siège de la lésion qui comprend le segment du
faisceau
de Burdach gauche où se rendent après leur entre-
de la région blessée. Ce processus sclérogène se serait propagé au
faisceau
pyramidal gauche pour expliquer les troubles mo
suite et fin). Déjà depuis le mois de janvier 1.·Oâ, tandis que les
faisceaux
blancs se maintenaient intacts, de nouveaux sym
t on peul se représenter les lésions commeayantenvabi i d'abord les
faisceaux
blancs, puis, après les avoir libérés, s'être ens
tumeur a, ayant débuté du côté gauche, comprime de ce même côté le
faisceau
pyramidal croisé b et celui de Burdach c, réalisa
s suppléances, troupes de réserve formées pour venir au secours des
faisceaux
médullaires comprimés ou détruits, suppléances qu
dence la fréquence, dans les couches superficielles de l'écorce, de
faisceaux
de fibres névrogliques proliférées, et après lui,
ar Austregesilo, 405. Dégént'mtion. sccondaÎ1'e (Absence de - des
faisceaux
pyramidaux dans un cas de paralysie type Babins
aladie de Recklinghausen" Absence de dégénét-ation secondaire des
faisceaux
pyramidaux, par Coyon et Barré, 81. - Pellagr
maladie de Recklinghausen. Absence de dégénération secondaire des
faisceaux
pyramidaux, 81. HASh'ovEC (Lad.) (de Prague).
; M, oeil trop long (myope); 11, oeil trop court (hypermétrope). Un
faisceau
lumineux parallèle F venu d'un point lumineux l
ccommoder d'une certaine quantité proportionnelle il la divergence du
faisceau
itici- dent. En C, le point lumineux 0' est enc
itici- dent. En C, le point lumineux 0' est encore plus proche, le
faisceau
qui en part plus divergent. Pour que l'image de
c, schémas montrant l'action réfringente différente exercée sur un
faisceau
parallèle par les cristallins C, Cs C5 il diver
herche du réflexe pupillaire à- l'aidé de la lentille convergente. Le
faisceau
lumineux divergent f1 qui vient de la lampe A e
t de la lampe A est recueilli par la lentille B et transformé en un
faisceau
convergent f2 très lumineux qu'on envoie dans l'o
Lampe et,l'oeil de l'observé, on fait arriver sur l'un des yeux un
faisceau
lumineux. Aussitôt la pupille se contracte. Mêm
fficile; il est indispensable, en effet, de projeter dans l'oeil un
faisceau
lumineux étroit qui ne puisse diffuser sur la p
n opaque percé d'un orifice étroit au travers duquel passe un petit
faisceau
lumineux peu intense. Les rayons de ce faisceau
quel passe un petit faisceau lumineux peu intense. Les rayons de ce
faisceau
lumineux sont recueillis et con- centrés par un
e électrique et des lentilles disposées de telle façon que le petit
faisceau
lumineux sortant vient converger il 4 centimètres
misphère droit et se termine dans le lobe occipital droit. C'est le
faisceau
direct. L'autre portion vient de la rétine nasa
hémisphère gauche et aboutit à l'écorce occipitale gauche. C'est le
faisceau
croisé. ~ Même trajet pour les fibres du nerf o
OULARD] ] ? r TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. - des deux
faisceaux
venant des rétines nasales (fig. 40, 1), il. y au
lle est pourvue d'une double vascularisation (1<'orstér). ' Le
faisceau
maculaire compact, hien systématisé de l'oeil au
lé externe, il y aurait diffusion des sensations transmises par les
faisceaux
systématisés des voies optiques extra-cérébrales.
re certaines actions morbides attaquent-elles avec prédilection les
faisceaux
temporal ou nasal du nerf optique. Cela n'aurait
uemment des intoxications (alcool, tabac) agir exclusivement sur le
faisceau
maculaire. C'est, dans cette variété topographi
ion protubérantielle touche le M. 0. E. et le facial croisés, les
faisceaux
nerveux des membres non croisés. La connaissa
La, lésion L, (pédonculaire) coupe le M. 0. C. entrecroisé et le
faisceau
moteur de la face et des membres non entre-croi
tubérantielle) coupe le Il. 0. E. et le facial entre-croisés, et le
faisceau
moteur des membres non entre-croisé (syndrome
ctions (alcoolisme, etc.), agir d'une manière élective sur certains
faisceaux
(f. maculaire) du nerf optique; la diphtérie n'at
cipation des fibres centripètes (J. Roux). Dans le centre ovale, le
faisceau
antérieur chemine au voisinage des fibres du fa
le faisceau antérieur chemine au voisinage des fibres du facial; le
faisceau
postérieur est intimement mêlé aux radia- tions
ent mêlé aux radia- tions optiques. , Dans la capsule interne, le
faisceau
antérieur chemine à la partie pos- térieure du
ures des postérieures. Ces fibres ne semblent pas comprises dans le
faisceau
de l'étage inférieur du pédoncule; elles occupent
optiques; d) lésions du pédoncule cérébral dans l'étage supérieur (
faisceau
de la calotte), au voisinage de la couche optiq
res auditives condensées au niveau de l'olive supérieure forment le
faisceau
acoustique qui occupe la partie latérale du ruban
umogastrique (an- goisse, ralentissement du pouls, etc.), celle des
faisceaux
blancs pri- mordiaux (hémiparésie, 1)émianesthé
olongement central; que ces prolongements centraux se réunissent en
faisceaux
qui traversent la lame criblée de l'ethmoïde. C
est plus probable que celle-ci aboutit aux tractus de Lancisi et-au
faisceau
olfactif de la voûte à trois piliers .(Zucl : e
). ce qui impliquerait la certi- tude d'une altération organique du
faisceau
pyramidal. Signalons encore que des renseigneme
les capsules externe et interne, le noyau lenticulaire, les grands
faisceaux
d'association inll'1-11('111161)li('l'Ifllll ? le
econd. En dedans de la zone de Wernicke. tout foyer intéressant les
faisceaux
d'association du cerveau déterminera l'alexie.
de l'écorce cérébrale. On n'admet plus aujourd'hui l'existence d'un
faisceau
sen- sitif distinct dans la partie postérieure
nent l'écorce du cervelet par deux, voies : a) voie directe, par le
faisceau
cérébelleux direct ou ascendant, dont les fibre
et par le pédoncule cérébelleux inférieur ; b) voie croisée, par le
faisceau
de Gowers, qui serait essen- tellement formé pa
ssand font passer les impressions douloureuses et thermiques par le
faisceau
de Gowers : niais les expériences (sur le singe)
roubles de la sensibilité dans les af1('('- tions cérébelleuses (le
faisceau
de Gowers s'étendant de la moelle au ver- mis c
fait passer la sensibilité cutanée par la substance grise et par un
faisceau
accessoire qu'il appelle le faisceau sensitif cro
r la substance grise et par un faisceau accessoire qu'il appelle le
faisceau
sensitif croisé. Celui-ci occupe le cordon anté
s musculaire sont intacts de ce côté, on a voulu localiser dans des
faisceaux
distincts du bulbe la transmission des sensibil
ueue de cheval. On donne le nom de queue de cheval à l'ensemble des
faisceaux
radiculaires qui se trouvent au-des- sous de la
00 des cas (Ganaull) et cela tient non seulement à l'existence d'un
faisceau
pyramidal honiolaléral, mais encore à l'existen
trépidation spinale pour révéler dans la paraplégie l'altération du
faisceau
pyramidal. 4" Dans la paraplégie cérébrale infa
ans la sciatique, etc.. en un mot, dans aucune des affections où le
faisceau
pyramidal est intact. Le signe de Babinski a ét
ont constitués par du tissu conjonctif fibrillaire et ils logent un
faisceau
nerveux qui vient se perdre il l'intérieur en s
du réflexe abdominal et du réflexe crémastérien signifie lésion du
faisceau
pyramidal, et par conséquent a la même valeur q
aisait en extension, cela indiquait l'existence d'une altération du
faisceau
pyra- midal ; la réciproque ne semble pas être
rarement il est vrai, de grandes hémiplégies avec lésion étendue du
faisceau
pyramidal ne pas donner lieu au réflexe plantaire
ntendu, que la portion de la capsule interne dans laquelle passe le
faisceau
pyramidal soit intéressée. Jusque dans ces dern
es détruites, de telle, sorte qu'au niveau de la capsule interne le
faisceau
pyramidal constitue un organe de conduction en ni
de même que dans la capsule interne, par la lésion du segment où le
faisceau
pyramidal se trouve collecté, et il ce point de
bulbe, présente des caractères particuliers, c'est que la lésion du
faisceau
pyramidal à ce niveau s'accompagne de la lésion
lésion du pédoncule, de la protubérance ou du bulbe portant sur le
faisceau
pyramidal, et déterminant par conséquent une hémi
normalement en extension; cela tient au développement incomplet du
faisceau
pyramidal ; depuis l'ege de ou 6 mois jusqu'à l
ffection systématisée des centres nerveux : cela tient à ce que le'
faisceau
pyramidal a subi chez ces enfants un retard de dé
dant, d'autres auteurs font jouer un rôle très grand à la lésion du
faisceau
pyramidal, d'autres admettent la valeur des lés
alysies dépendant de l'irritation, de la sclérose, de l'agénésie du
faisceau
pyra- midal, les paralysies consécutives aux se
a sclérose latérale amyotrophique est une affection systématisée du
faisceau
pyramidal. Elle présente dans son évolution deux
ineux sans signe de Babinsky en général. (Lhermitte.) L'atteinte du
faisceau
pyra- midal se traduit par la paraplégie motric
inférieure, de l'épine de l'omo- plate dans toute son étendue. Les
faisceaux
antérieurs ou claviculaires se portent obliquem
aisceauxpos- térieurs ou spinaux en bas, en dehors et en avant; les
faisceaux
moyens ou acromiaux verticalement en bas. Tous
onflexe, branche terminale du plexus bra- chial. Physiologie. Les
faisceaux
antérieurs du muscle portent l'humérus en avant
portent l'humérus en avant et en dedans jusqu'il l'horizontale, les
faisceaux
postérieurs por- tent l'humérus en arrière, mai
e du bras qui forme un angle de 4J degrés avec l'horizon. Quant aux
faisceaux
moyens, ils élèvent le bras directement en deho
ehors il une hauteur intermé- diaire entre celle déterminée par les
faisceaux
antérieurs et celle déter- minée par les faisce
terminée par les faisceaux antérieurs et celle déter- minée par les
faisceaux
postérieurs. Quand tous les faisceaux du muscle
et celle déter- minée par les faisceaux postérieurs. Quand tous les
faisceaux
du muscle se contractent, il en résulte une abd
exus brachial : 1° le nerf supérieur du sous-scapulaire innerve les
faisceaux
supérieurs du muscle ; 2° le nerf inférieur du
urs du muscle ; 2° le nerf inférieur du sous-scapulaire innerve les
faisceaux
moyens et inférieurs. Physiologie. - Le sous-
Rond pronateur. Insertions. Le rond pronateur nait en haut par deux
faisceaux
: le faisceau epitrochteen s'insère sur la face
Insertions. Le rond pronateur nait en haut par deux faisceaux : le
faisceau
epitrochteen s'insère sur la face antérieure de
ur la cloison intermusculaire qui le sépare du grand pal- maire; le
faisceau
coronoïdien s'insère sur le bord interne de l'apo
en arrière. En bas. le tendon du petit t palmaire se divise en deux
faisceaux
: le faisceau interne plus volumi- neux se fixe
bas. le tendon du petit t palmaire se divise en deux faisceaux : le
faisceau
interne plus volumi- neux se fixe à la face ant
ligament annulaire en se confondant avec 1 aponévrose palmaire, le
faisceau
externe se confond avec l'origine des muscles d
l'origine des muscles de t'eminence thénar, principalement avec les
faisceaux
les plus élevés de l'abducteur du pouce. Inne
ère [G. GUILLAIN.] M8 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE.' en haut par deux
faisceaux
distincts : le faisceau epitrochleeu naît de t
PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE.' en haut par deux faisceaux distincts : le
faisceau
epitrochleeu naît de t epitrochtee et des clois
séparent du petit palmaire et du fléchisseur commun superficiel; le
faisceau
olécranien s'insère sur le bord interne de l'ol
les deux tiers internes du ligament interosseux, enfin par quelques
faisceaux
sur la face antérieure du radius en dedans et a
sseux, donne des rameaux à sa moitié externe, c'est-à-dire aux deux
faisceaux
destinés à l'index et au médius. Le cubital inner
médius. Le cubital innerve la moitié interne, c'est-à-dire les deux
faisceaux
qui se rendent à 1' : lIlIIU- laire et au petit
. Il reçoit en outre dans la moitié des cas sur son bord interne un
faisceau
de renforcement (faisceau accessoire de Gantzer)
la moitié des cas sur son bord interne un faisceau de renforcement (
faisceau
accessoire de Gantzer) ; ce faisceau, variable,
e un faisceau de renforcement (faisceau accessoire de Gantzer) ; ce
faisceau
, variable, dans son volume, provient soit de l'ap
le ligament latéral externe de l'articulation du coude; parfois des
faisceaux
additionnels proviennent de l'épicondyle. Le musc
ième radial externe en dehors. En bas, le muscle se divise en trois
faisceaux
: un faisceau externe pour l'index, un faisceau
erne en dehors. En bas, le muscle se divise en trois faisceaux : un
faisceau
externe pour l'index, un faisceau moyen pour le m
se divise en trois faisceaux : un faisceau externe pour l'index, un
faisceau
moyen pour le médius, un faisceau interne pour
faisceau externe pour l'index, un faisceau moyen pour le médius, un
faisceau
interne pour l'annulaire et le petit doigt. Chacu
r le trapézoïde et le grand os. En bas, le muscle se divise en deux
faisceaux
: l'un, externe, s'insère sur le côté externe d
interne, s'insère sur le côté interne de cette phalange ; ces deux
faisceaux
prennent aussi insertion, avant d'atteindre la
toute son étendue. L'adducteur du pouce s'insère en dedans par des
faisceaux
carpiens et des faisceaux métacarpiens. Les fai
cteur du pouce s'insère en dedans par des faisceaux carpiens et des
faisceaux
métacarpiens. Les faisceaux carpiens prennent ins
edans par des faisceaux carpiens et des faisceaux métacarpiens. Les
faisceaux
carpiens prennent insertion sur la face antérie
ngée du carpe, principalement sur le trapézoïde et le grand os, les
faisceaux
métacarpiens sur la base, le bord antérieur et
ial. Le court fléchisseur reçoit son innervation du médian pour son
faisceau
externe, et de la branche profonde du cubital p
son faisceau externe, et de la branche profonde du cubital pour son
faisceau
interne. L'opposant est innervé par le médian,
nche pro- fonde du cubital. Physiologie. Le court abducteur et le
faisceau
externe du court fléchisseur du pouce amènent l
e en tant qu'opposant que les deux autres muscles (l'opposant et le
faisceau
externe du court flé- chisseur) qui ont aussi c
. Muscle de l'éminence hypothénar. Palmaire cutané. Insertions. Les
faisceaux
du palmaire cutané s'insèrent, d'une part sur l
uvements de latéralité des doigts peuvent encore s'exécuter par les
faisceaux
des extenseurs commun et propre des doigts qui
x, sur la face posté- rieure du grand ligament sacro-sciatique. Les
faisceaux
du muscle se dirigent en bas et en dehors et s'
ligne rugueuse qui s'étend du grand trochanter à la ligne âpre; les
faisceaux
les plus inférieurs du muscle s'insèrent non su
. Nerf fessier supérieur, branche du plexus sacré. Physiologie. Les
faisceaux
antérieurs du moyen fessier sont obliques en ba
la cuisse, sa rotation en dedans et un léger degré de flexion. Les
faisceaux
postérieurs du muscle sont obliques en bas et e
assin s'insère sur la face antérieure du sacrum par trois ou quatre
faisceaux
prenant naissance entre les trous sacrés dans l
ligne innommée entre le trou obtura- teur et l'épine sciatique. Les
faisceaux
du muscle se portent vers la petite échancrure
hion, principalement il sa face antérieure, mais aussi par quelques
faisceaux
à sa face postérieure. En dehors, le tendon du
face antérieure de la tubérosité externe du tibia. Quelques-uns des
faisceaux
terminaux du tenseur du fascia lata s'insèrent
liga- ment rotulien à la tubérosité antérieure du tibia ; quelques
faisceaux
du tendon du quadriceps s'insèrent directement
crural ou tenseur de la synoviale du genou est formé par un ou deux
faisceaux
qui naissent de la face antérieure du fémur dan
isolée du vaste externe, tend à déplacer la rotule en dehors. Le
faisceau
sous-crural attire en haut le cul-de-sac supérieu
elle droit interne; en bas, il se fixe au corps du fémur par deux.
faisceaux
: un faisceau inférieur qui se porte sur la par
erne; en bas, il se fixe au corps du fémur par deux. faisceaux : un
faisceau
inférieur qui se porte sur la partie la plus élev
sur la partie la plus élevée de l'inter- stice de la ligne âpre, un
faisceau
supérieur qui se rend il la branche de bifurcat
t sur les deux tiers inférieurs de la branche ischio-piibienne, ses
faisceaux
s'étalent en un vaste triangle, ils viennent s'
xterne de l'ischion. En bas le ten- don terminal se divise en trois
faisceaux
: le faisceau descendant se fixe il la partie p
hion. En bas le ten- don terminal se divise en trois faisceaux : le
faisceau
descendant se fixe il la partie postérieure de
fixe il la partie postérieure de la tubérosité interne du tibia; le
faisceau
récurrent s'insère en partie sur la coque fibre
le fémur lui-même dans l'espace compris entre les deux condyles; le
faisceau
antérieur ou horizontal contourne, d'arrière en
ligament interosseux; il reçoit dans le voisinage du tarse un petit
faisceau
né sur la face, interne du tibia. En bas il s'i
s. Le court fléchisseur du gros orteil s'insère en arrière par deux
faisceaux
tendineux, l'un sur la face inférieure du cuboï
ôté externe de la première phalange du gros orteil. Innervation. Le
faisceau
interne du court fléchisseur est innervé par un
ameau du nerf plantaire interne (homologue du médian à la main), le
faisceau
externe est innervé soit par un rameau du plantai
homologue de l'adducteur du pouce à la main est constitué par deux
faisceaux
distincts 2l leur origine. Le faisceau obli- qu
main est constitué par deux faisceaux distincts 2l leur origine. Le
faisceau
obli- que (abducteur oblique) s'insère sur la f
4" métatarsiens, sur la gaine fibreuse du long péronier latéral; le
faisceau
transverse (abducteur transverse), situé à la p
es trois ou quatre derniers - orteils. Au niveau du gros orteil, le
faisceau
oblique se porte sur le sésa- moïde externe et
aire se fixe au côté externe de la base de la première phalange; le
faisceau
transverse se partage en deux grou- pes de libr
mouvement d'abduction est princi- p : llell\('l1l déterminé par le
faisceau
transverse : ce faisceau transverse est aussi,
t princi- p : llell\('l1l déterminé par le faisceau transverse : ce
faisceau
transverse est aussi, suivant Duchenne. un véri
ons. L'accessoire du long fléchisseur se compose en arrière de deux
faisceaux
: le faisceau interne s'insère à la face interne
re du long fléchisseur se compose en arrière de deux faisceaux : le
faisceau
interne s'insère à la face interne du calcanéum
ce interne du calcanéum près de la tubérosité interne de cet os, le
faisceau
externe s'insère sur la face inférieure du calc
erne et parfois aussi sur le ligament calcanéo-cuboïdien ; ces deux
faisceaux
se fusionnent et viennent se fixer soit sur le
un, soit sur ses branches de bifurcation. La plus grande partie des
faisceaux
MUSCLES DU 1E}IBHE INFÉRIEUR. 555 de l'access
n. Le muscle reçoit un rameau nerveux du plantaire externe pour son
faisceau
externe, un rameau nerveux du plantaire interne
n faisceau externe, un rameau nerveux du plantaire interne pour son
faisceau
interne. Physiologie. L'accessoire du long fléc
sterno- cteïdo-mastojdicn prend son origine sur le thorax par deux
faisceaux
distincts : le chef sternal se détache de la fa
vexité de laquelle naissent de nom- hreux filets se distribuant aux
faisceaux
du muscle. Parfois le ste1'l1O- mastoïdiell reç
nsverses des sept vertèbres cervicales, en bas il se divise en deux
faisceaux
: le faisceau antérieur vient s'insérer sur la
pt vertèbres cervicales, en bas il se divise en deux faisceaux : le
faisceau
antérieur vient s'insérer sur la face supérieur
r sur la face supérieure et le bord externe de la première côte, le
faisceau
posté- rieur sur le bord supérieur et la face e
avicule et sur le ligament sterno-claviculaire postérieur, quelques
faisceaux
prennent insertion sur le sternum et le premier
trou occipital, si ! porte en bas et en dehors, se divise en quatre
faisceaux
qui se fixent sur les tubercules antérieurs des
rtèbres cervicales. La portion longitudinale est constituée par des
faisceaux
il direction verticale qui s'insèrent sur le co
ue sur la portion osseuse de la sixième ou de la septième. Tous les
faisceaux
constitutifs du muscle convergent vers la lèvre
ntérieur. Physiologie. Il y lieu d'envisager l'action distincte des
faisceaux
supérieurs et inférieurs du muscle. La partie s
ntré expérimentalement que le muscle n'élevait pas les cèles. Les
faisceaux
antérieurs du deltoïde peuvent, dans une certaine
rne de l'angle inférieur de l'omoplate et vient s'insé- rer par des
faisceaux
distincts aux j", (te, 7", ses ne et 10" côtes; l
tincts aux j", (te, 7", ses ne et 10" côtes; les plus élevés de ces
faisceaux
ont une direction transversale, les autres sont
èvre externe du bord supé- rieur de la côte qui est au-dessous. Les
faisceaux
du muscle sont dirigés en bas et en avant. Le
lèvre interne du bord supérieur de la côte, qui est au-dessous. Les
faisceaux
du muscle sont dirigés en bas et en arrière.
région séparant la tubérosité de l'angle. On voit parfois quelques
faisceaux
des surcostaux franchir une côte, et s'insérer
érieure de la sixième côte est transversale et se continue avec les
faisceaux
supérieurs du transverse de l'abdomen, les digi
Nerfs intercostaux. Physiologie. Le triangulaire du sternum par ses
faisceaux
obli- ques peut abaisser les côtes, mais son ac
BDOMEN. à6,) V. MUSCLES DE L'ABDOMEN Diaphragme. -Insertions. Les
faisceaux
charnus du diaphragme se détachent du centre ph
e se détachent du centre phrénique qui a la forme d'un trèfle-. Les
faisceaux
antérieurs ou sternaux naissent de la foliole m
languettes qui s'insèrent sur la base de l'appendice y-phoïcle. Les
faisceaux
latéraux ou costaux naissent sur les côtés de la
r la face interne et le bord supérieur des six dernières côtes. Les
faisceaux
postérieurs ou lombaires se détachent de la parti
de la colonne vertébrale les fibres du diaphragme forment deux gros
faisceaux
, les piliers du diaphragme. Le pilier droit s'ins
ui descend un peu moins bas que lui. Les deux piliers s'envoient un
faisceau
anastonoticlue; ces faisceaux s'entre-croisent
ue lui. Les deux piliers s'envoient un faisceau anastonoticlue; ces
faisceaux
s'entre-croisent et séparent ainsi deux orifi-
pris entre l'épine et l'angle. En haut le muscle se divise en trois
faisceaux
: le faisceau externe s'insère sur le bord infé
ine et l'angle. En haut le muscle se divise en trois faisceaux : le
faisceau
externe s'insère sur le bord inférieur du cartila
sur le bord inférieur du cartilage costal de la cinquième côte, le
faisceau
moyen sur le bord inférieur du cartilage de la
eau moyen sur le bord inférieur du cartilage de la sixième côte, le
faisceau
interne sur le bord inférieur du cartilage de l
côtes par autant de digitations. 11 forme un grand éven- tail, ses
faisceaux
supérieurs ou antérieurs sont à peu près horizont
faisceaux supérieurs ou antérieurs sont à peu près horizontaux, ses
faisceaux
moyens obliques, ses faisceaux inférieurs ou post
urs sont à peu près horizontaux, ses faisceaux moyens obliques, ses
faisceaux
inférieurs ou postérieurs verticaux. En bas les
'insèrent sur la lèvre externe de la crête iliaque. Tous les autres
faisceaux
du muscle, c'est-à-dire ceux qui viennent des 6
dernière vertèbre lom- baire et de la première vertèbre sacrée. Les
faisceaux
du petit oblique divergent ci s'étalent en un v
x du petit oblique divergent ci s'étalent en un vaste éventail. Les
faisceaux
les plus posté- [G. GUILLAIN.] ? (;8 PHYSIOLO
r et le sommet des trois ou quatre derniers cartilages costaux. Les
faisceaux
les plus antérieurs se dirigent en bas et en deda
en dedans et se terminent, en se fusionnant plus ou moins avec les
faisceaux
du transycrse pour former le tendon conjoint, s
pubis, sur l'épine pubienne et jusque sur la crête pectinéale. Les
faisceaux
moyens du petit oblique, ceux qui sont compris
faisceaux moyens du petit oblique, ceux qui sont compris entre les
faisceaux
à insertion costale et ceux à insertion pubienn
la symphyse jusqu'à la crête pectinéale, elle se fusionne avec les
faisceaux
pubiens de l'apnnn- vrosc du petit oblique form
psule articulaire de l'articulation coxo-fémorale. Presque tous les
faisceaux
de ce muscle se terminent sur la face externe du
as qui s'insère à la face postérieure du petit trochanter. Quelques
faisceaux
formant le petit muscle iliaque vont directement
tèbres dorsales et sur les ligaments surépineux correspondants. Les
faisceaux
supérieurs du muscle oblique en bas et en dehor
nsérer sur le tiers externe du bord postérieur de la clavicule. Les
faisceaux
moyens, qui sont plus ou moins transversaux, s'
d postérieur de l'épine de l'omo- plate dans toute son étendue. Les
faisceaux
inférieurs obliques en haut et en dehors s'insè
trapèze peut prendre son point d'insertion lixe sur l'omoplate. Les
faisceaux
supérieurs ctavicutairesinctinen) ta tète de leur
EURE DU TRONC ET DU COU. 571 est portée directement en arrière. Les
faisceaux
moyens inclinent la colonne cervicale de leur c
s faisceaux moyens inclinent la colonne cervicale de leur côté. Les
faisceaux
inférieurs peuvent, dans certaines conditions,
la septième cervicale et des quatre ou cinq premières dorsales. Les
faisceaux
du muscle se dirigent en bas et en dehors et vien
le. En outre il reçoit un filet nerveux du plexus cervical pour ses
faisceaux
supé- rieurs. Physiologie. Le rhomboïde porte
astoïdien ; la portion externe ou splénius du cou s'insère par deux
faisceaux
distincts sur le sommet des apophyses trans- ve
e et de la première dorsale. Dans diflérents points d'insertion les
faisceaux
constitutifs du muscle se portent en haut [G. G
e la région dorsale ; de sa face antérieure naissent la plupart des
faisceaux
charnus des muscles des gouttières. L'ilio-cost
l'ilio-costal laisse échapper le long de son bord externe dix- sept
faisceaux
qui obliquent légèrement en dehors et viennent se
x côtes, celles-ci lui envoient, au niveau de son bord interne, des
faisceaux
de renforcement qui l'empêchent de s'épuiser.
pt groupes vertébro-costaux, le muscle fournit à chacun d'eux trois
faisceaux
: un faisceau interne se portant en dedans et s
ébro-costaux, le muscle fournit à chacun d'eux trois faisceaux : un
faisceau
interne se portant en dedans et se terminant su
t en dedans et se terminant sur l'apophyse épineuse correspondante,
faisceau
épi- neux; un faisceau moyen oblique en dehors
nant sur l'apophyse épineuse correspondante, faisceau épi- neux; un
faisceau
moyen oblique en dehors se fixant sur le sommet d
oblique en dehors se fixant sur le sommet de l'apophyse transverse,
faisceau
transversaire ; un faisceau externe se portant
sur le sommet de l'apophyse transverse, faisceau transversaire ; un
faisceau
externe se portant plus en dehors et s'insérant
ant sur la face externe de la côte, entre l'angle et la tubérosité,
faisceau
costal. A la région lombaire les inser- tions d
région lombaire les inser- tions du long dorsal se modifient : les
faisceaux
épineux font défaut; les faisceaux transversair
u long dorsal se modifient : les faisceaux épineux font défaut; les
faisceaux
transversaires se fixent au tubercule apophysaire
aire, homologue de l'apophyse transverse de la région dorsale : les
faisceaux
costaux s'insèrent au sommet de l'apophyse cosl
eau à la région cervicale. Le muscle est constitué par une série de
faisceaux
qui présentent ce caractère commun de s'étendre
lune apo- physe épineuse. On distingue trois groupes différents de
faisceaux
: les demi-épineux, le multifide du raclas, les
autre pour la région cervicale. Le demi-épineux du dos comprend six
faisceaux
prenant naissance sur le sommet et le bord supé
s cervicales. Le demi-épineux de la nuque se compose de cinq ou six
faisceaux
qui s'insèrent sur le sommet et le bord supérieur
ervicales. Le 11111ltifide du rachis est constitué par une série de
faisceaux
qui prennent naissance à la région sacrée dans
yses articu- laires des quatre dernières cervicales. Ces différents
faisceaux
se portent en haut et en dedans et viennent se
rsale, il n'en décrit que onze. Hughes a signalé l'existence de ces
faisceaux
musculaires sur toute la hauteur de la colonne
ne présentant pas de mouvements de. rotation, il en résulte que ces
faisceaux
musculaires ne sont véritable- ment rotateurs q
t de rota- tion variant suivant les muscles qui se contractent. Les
faisceaux
costaux et transversales du long dorsal, obliqu
l, obliques en haut et en dehors, portent la face de leur côte; les
faisceaux
du transversaire épineux, obliques en liant et
re postérieure. Les intertransversaires du clos sont formes par des
faisceaux
étendus du sommet d'une apophyse transverse au
du dos et l'épineux de la nuque. L'épineux du dos est formé par les
faisceaux
internes ou épineux du long dorsal, il se termine
s ou épineux du long dorsal, il se termine en haut par une série de
faisceaux
sur le sommet des apophyses épineuses des huit
nsère en MUSCLES PEAUCIERS DU COU ET DE LA TÈTE. 579 bas par deux
faisceaux
sur le sommet des apophyses épineuses des deux
tissu cellulaire des régions sous-claviculaire et acro- miale. Les
faisceaux
pâles et plus ou moins écartés les uns des autres
le bord inférieur du maxillaire où ils se terminent ainsi : I" les
faisceaux
internes s'entre-croisent le plus souvent sur la
cher à la face profonde de la peau de la région mentonnière; 2° les
faisceaux
moyens s'insèrent sur le tiers interne de la lign
igne oblique du maxillaire en s'entre-croisant à ce niveau avec les
faisceaux
d'origine du triangulaire des lèvres : 5° les f
au avec les faisceaux d'origine du triangulaire des lèvres : 5° les
faisceaux
externes se confondent en grande, partie avec l
érieure et sur la partie correspondante de l'apophyse mastoïde. Les
faisceaux
se portent en haut et en avant et viennent se ter
ter- miner sur le bord postérieur de l'aponévrose epicranienne, les
faisceaux
les plus externes se dirigent vers le pavillon
nienne par un bord convexe, il se porte en avant vers l'orbite. Les
faisceaux
internes ou médians vont vers la région intersonr
itière et ta semblent se confondre avec les muscles pyramidaux, les
faisceaux
moyens et externes descendent vers le rebord su
qui occupent celte région, l'orbiculaire et le sourcilier. Tons les
faisceaux
du frontal s'attachent à la face pEpfonde de la
bord inférieur et le bord interne des os propres du liez. De la ses
faisceaux
se portent verticalement en haut vers la région
nt en haut vers la région intcrsonrciliere où aboutissent aussi les
faisceaux
internes du frontal. Les deux muscles se pénètren
Muscle de Horner. Borner a décrit connue muscle distinct un petit
faisceau
quadrilatéral situé en arrière du sac lacrymal ;
. En atteignant le trou sous-orbitaire, il se divise en de nombreux
faisceaux
qui s'entre-croisent avec les libres de l'orbic
, en arrière vers le sillon de l'aile du nez, la il se divise : ses
faisceaux
antérieurs se fixent à la face profonde des tég
rieurs se fixent à la face profonde des téguments de la région, ses
faisceaux
postérieurs se continuent avec les faisceaux ex
ents de la région, ses faisceaux postérieurs se continuent avec les
faisceaux
externes du myrtiforme. Innervation. Nerf facia
libres externes contournent ce cartilage et se continuent avec les
faisceaux
postérieurs du transverse. , Innervation. Nerf
nférieure de la face externe de l'os uiatairc un peu au-dessous des
faisceaux
de l'orbiculaire des paupières, il se dirige en
en bas et se divise en atteignant la hase du nez en deux ordres de
faisceaux
: des faisceaux internes s'iuserant à la peau de
vise en atteignant la hase du nez en deux ordres de faisceaux : des
faisceaux
internes s'iuserant à la peau de la partie post
s'iuserant à la peau de la partie postérieure de l'aile du nez, des
faisceaux
externes obliquant un peu en dehors et s'inséra
vres au même point que le canin, d'autre part, à l'aide d'un double
faisceau
irradié à la peau de la lèvre supérieure jusqu'
ïde à l'extrémité postérieure du bord alvéolaire du maxillaire. Les
faisceaux
du buccina- teur convergent vers la commissure
des lèvres, ils semblent là se con- fondre et se continuer avec les
faisceaux
de l'orbiculaire des lèvres, cette continuité n
ans la lèvre inférieure, c'est le demi-orbiculaire inférieur. Les
faisceaux
du demi-orbiculaire supérieur naissent à droite e
demi-orbiculaire inférieur et avec les fibres du buccinateur. Deux
faisceaux
accessoires se réunissent à cette portion princ
cle et ont les mêmes insertions terminales, ces fais- ceaux sont le
faisceau
naso-Iabial qui se détache de la sous-cloison des
o-Iabial qui se détache de la sous-cloison des fosses nasales et le
faisceau
incisif supérieur qui prend son orifice il la p
d son orifice il la partie interne de la fossette myrliforme. Les
faisceaux
du demi-orbiculaire inférieur naissent à droite e
qui le recouvre mais dans ses deux' tiers seu- lement, par quelques
faisceaux
sur la partie moyenne de la face interne de l'a
es. , . Masséter. Insertions. Le masséter est constitué, par deux
faisceaux
, l'un superficiel, l'autre profond. Le faisceau s
onstitué, par deux faisceaux, l'un superficiel, l'autre profond. Le
faisceau
superficiel s'insère en haut sur le bord inféri
la partie inférieure de la face externe de .sa branche montante. Le
faisceau
profond s'insère sur le bord inférieur et sur l
e externe de la branche du maxillaire depuis la zone d'insertion du
faisceau
superficiel jusqu'à la base de l'apophyse coron
rtions. - Le ptérygoïdien externe naît il la base du crâne par deux
faisceaux
, l'un supérieur, l'autre infé- rieur. Le faisce
u crâne par deux faisceaux, l'un supérieur, l'autre infé- rieur. Le
faisceau
supérieur ou sphénoïdal s'insère sur la partie de
dc aile du sphénoïde qui forme la voûte de la fosse zygomatique, le
faisceau
inférieur ou ptérygoïdien s'insère sur la face ex
r la partie externe de l'apophyse pyrami- dale du palatin. Les deux
faisceaux
se fusionnent et viennent se fixer sur le côté
eau du cortex. Depuis quelques années l'aire corticale d'origine du
faisceau
pyra- midal a été modifiée. Grunbaum et Sherrin
nvolutions, étude de la chroma- tolyse de réaction après section du
faisceau
pyramidal), sont arrivés à des conclusions iden
otrophique avec la méthode deMarchi, ont suivi la dégé- nération du
faisceau
pyramidal jusqu'au niveau du cortex; de leurs r
es et expérimentales, il me semble résulter que l'aire corticale du
faisceau
pyramidal est principalement prérolandique. L
le donne lieu au syndrome de Brown-Séquard. Une lésion localisée au
faisceau
pyramidal du cordon latéral se traduit par une
des mouvements élémentaires, si l'on parvient à séparer les divers
faisceaux
qui constituent leur racine. Par exemple, après
eaux qui constituent leur racine. Par exemple, après séparation des
faisceaux
de la 7c cervicale, l'excita- tion de chaque fa
paration des faisceaux de la 7c cervicale, l'excita- tion de chaque
faisceau
produit un mouvement différent : l'excitation d
un troisième la flexion du poignet, d'un quatrième l'extension. Ces
faisceaux
ainsi constitués sont simplement juxtaposés et
malade peut encore élever légèrement le moignon de l'épaule par le
faisceau
supé- rieur du muscle trapèze innervé par le ne
d'une névrite infectieuse, aussi l'on s'explique que les différents
faisceaux
du nerf soient inégalement atteints et parlant
difficulté pour hausser les épaules. Duchenne a noté que parfois le
faisceau
claviculaire du trapèze était paralysé dans rac
sseux, les deux derniers lombricaux, l'adducteur du pouce, les deux
faisceaux
internes du fléchisseur profond, le cubital antér
sseur superficiel des doigts, fléchisseur propre du pouce, les deux
faisceaux
externes du fléchisseur profond, carré pronateur,
alanges sur les secondes est abolie au médius et à l'index, car les
faisceaux
du fléchisseur profond se rendant à ces deux do
on des troisièmes phalanges sur les secondes peut se faire, car les
faisceaux
du fléchisseur profond destinés à ces deux doig
s mouvements actifs on verra souvent se dessiner isolément certains
faisceaux
du muscle, séparés les uns des autres par des gou
r des gout- tières : il est en effet d'observation courante que les
faisceaux
d'un même muscle s'atrophient très inégalement,
s faisceaux d'un même muscle s'atrophient très inégalement, que des
faisceaux
presque sains ou même tout à fait sains se trou
resque sains ou même tout à fait sains se trouvent entremêlés à des
faisceaux
plus ou moins complètement atrophiés. Dans d'au
leur épaisseur, soit dans une partie de leur lon- gueur : certains
faisceaux
peuvent être hypertrophiés en entier au milieu
ertains faisceaux peuvent être hypertrophiés en entier au milieu de
faisceaux
atrophiés et former à l'oeil, à l'état de repos o
t pendant la contraction, des cordes saillantes épaisses ; d'autres
faisceaux
peuvent être hypertrophiés dans une partie seul
de certains mouvements. Le grand pectoral et le trapèze (saul' leur
faisceau
le petit pectoral, le grand dorsal, le grand de
, fait que les malades se voûtent et ne peuvent se tenir droits. Le
faisceau
supérieur du trapèze, qui résiste parfois seul
cause de l'atrophie des extenseurs de la tète, et en particulier du
faisceau
claviculaire du trapèze, l' « ultimum moriens »
chaque muscle suivant la période de l'atrophie, et même pour chaque
faisceau
musculaire, car les t. II. Meunieii. Rev. oaeur
p. 5-45. AMYOTROPHIES TYPE ARAN-DUCHENNE. 701 muscles se prennent
faisceau
par faisceau et parfois presque fibre par fibre
YOTROPHIES TYPE ARAN-DUCHENNE. 701 muscles se prennent faisceau par
faisceau
et parfois presque fibre par fibre. La contra
de myélite avec atteinte progressive des cornes antérieures et des
faisceaux
latéraux. La paralysie iabio-gtosso-taryngée es
u retentissement de la lésion cérébrale, par l'inter- médiaire du
faisceau
pyramidal, sur les fonctions trophiques des c
e se contracte, on sent sous les doigts se dilater et se durcir des
faisceaux
plus volumineux, on voit le muscle former dans
u totale. Partielle, elle atteint dans toute leur longueur certains
faisceaux
seulement du muscle, les autres faisceaux s'atr
te leur longueur certains faisceaux seulement du muscle, les autres
faisceaux
s'atrophiant; ou bien elle atteint sur une partie
t de leur longueur un plus ou moins grand nombre ou la totalité des
faisceaux
du muscle. Dans ce dernier cas, c'est la partie
oit directe, soit par l'intermédiaire des colonnes de Clarke et des
faisceaux
cérébelleux directs. C'est ainsi qu'un certain
ôme est il en réalité un signe de l'atteinte légère concomitante du
faisceau
pyramidal, un signe de la sclérose combinée des
ésulter soit de la lésion des cordons postérieurs mêmes (lésion des
faisceaux
cérébelleux directs en relation avec les fibres r
de la méninge et des vaisseaux (lésions accessoires des différents
faisceaux
, en particulier des faisceaux sous-méningés comme
x (lésions accessoires des différents faisceaux, en particulier des
faisceaux
sous-méningés comme les faisceaux de Flechsig o
nts faisceaux, en particulier des faisceaux sous-méningés comme les
faisceaux
de Flechsig ou de Gowers), soit de la sclérose
nes postérieures, les cordons postérieurs et en même temps d'autres
faisceaux
de la moelle, en particulier les faisceaux pyra
t en même temps d'autres faisceaux de la moelle, en particulier les
faisceaux
pyramidaux ou les faisceaux cérébelleux. Cert
sceaux de la moelle, en particulier les faisceaux pyramidaux ou les
faisceaux
cérébelleux. Certains paraissent pourtant avoir
e soit les cordons latéraux soit, dans les cordons postérieurs, les
faisceaux
endogènes à l'exclusion des fibres radiculaires
postérieurs et les cordons latéraux, et. notamment dans ceux-ci les
faisceaux
cérébelleux directs. b) Dans l'hérédo-ataxie cé
ffaiblir et disparaître par suite de l'atteinte tardive de certains
faisceaux
'médul- laires ; le type cérébelleux évolue alo
tion partielle des cordons postérieurs, des colonnes de Clarke, des
faisceaux
de Gowers et des corps restiformes (P. Marie et
rt corn- plexe. Resserrés dans une aire étroite, les centres et les
faisceaux
de cette région sont fréquemment frappés en mas
ement. Symptômes bulbaires. Au niveau du bulbe se rencontrent les
faisceaux
moteurs direct et croisé, le ruban de Reil, le fa
ntrent les faisceaux moteurs direct et croisé, le ruban de Reil, le
faisceau
céré- belleux direct. On y trouve un certain no
. b Il existe d'autres variétés de paralysies motrices, soit que le
faisceau
pyramidal se trouve atteint des deux côtés, et
ue à quelque foyer de la région supérieure du bulbe intéressant les
faisceaux
ou pédoncules cérébelleux. On peut également obse
usivement sur les noyaux d'origine des nerfs bulbaires et sur leurs
faisceaux
eu'érents. Les grandes voies céréhro-médullaires
ux eu'érents. Les grandes voies céréhro-médullaires (rnban de Reil,
faisceaux
pyramidaux) échappent au processus morbide ou son
to-pharyng('.e avec hémia trophiedroitcdela langue, une atrophie du
faisceau
supérieur du trapèze droit, un complexus analog
névropathes ou des organiques, les secousses n'intéressent que des
faisceaux
isolés des muscles et ne prêtent pas dès lors à c
866 MYOCLONIES. comme le nom l'indique, sont limitées il quelques
faisceaux
ou à des fibrilles musculaires. Tels sont les
andis que Kaliler et Pick la rattachaient seulement à une lésion du
faisceau
pyramidal. - - Aujourd'hui, la lésion de l'hémi
scles de la face; ces contractions envahissent les muscles voisins,
faisceaux
par faisceaux, el croissent en fréquence et en
ce; ces contractions envahissent les muscles voisins, faisceaux par
faisceaux
, el croissent en fréquence et en intensité jusq
face ; elles peuvent atteindre les muscles entiers ou seulement des
faisceaux
musculaires isolés : souvent elles ne provoquen
dans les noyaux gris centraux et peut-être aussi dans quelques gros
faisceaux
de la substance blanche du cerveau (corps calle
rtie du court fléchisseur, des deux lombricaux internes et des deux
faisceaux
internes du fléchisseur commun profond des doig
as et de l'élllinence thénar, sauf le cubital antérieur et les deux
faisceaux
internes du fléchisseur profond, l'adducteur du p
analogue a la première de ces affections; l'atteinte secondaire des
faisceaux
pyramidaux peut amener une exagération des réfl
S VICIEUSES. 1055 comme on le croyait, une agénésie médullaire du
faisceau
pyramidal. La paraplégie spasmodique familiale
n mouvement est entretenu par l'aimantation et la désaimantation du
faisceau
de doux de la bobine inductrice : interrupteur de
creux placé dans l'intérieur de la bobine primaire et recouvrant le
faisceau
de fer doux. Dans ce cylindre se développent de
ématisées qui ne portent que sur les cornes postérieures et sur les
faisceaux
des cordons blancs, telles le tabès (*), l'ataxie
us accentuées dans le voisinage de l'électrode excitatrice, sur les
faisceaux
musculaires exposés à la plus forte densité du
n et aussi suivant l'état des muscles, elles restent localisées aux
faisceaux
musculaires percutés ou s'étendent il la totalité
ons secondaires parmi lesquelles la dégénérescence descen- dante du
faisceau
pyramidal prend un rôle important. Elle entraine
ononcée. Cette sclérose secondaire s'étend sur toute la longueur du
faisceau
pyramidal et elle s'y montre plus ou moins inte
moelle ait une bien grande influence sur la sclérose descendante du
faisceau
pyramidal; mais elle est généralement bien suppor
, par contre. rendent très difficile l'étude des dégénérescences du
faisceau
pyramidal. Les coupes horizontales de Flechsig
n peut, par conséquent, « assister au mode de formation de tous les
faisceaux
de celte dernière « région. » Les coupes z1 p
ques, suivant que l'on veut étudier la dégénération de tels ou tels
faisceaux
<1 direction horizontale, verticale, ou obli
se faire surtout sur les coupes perpendiculaires à la direction des
faisceaux
. Le fait important est de noter les points de r
andique et que l'on désire étudier les dégénérations secondaires du
faisceau
pyramidal, ce qui est un cas fréquent en anatom
le le lendemain de l'autopsie. - Pour les nerfs, la moelle et les
faisceaux
blancs du cerveau, la fixation peut être effect
ngé dans de la glycérine picro-carminée et dissocié « complètement,
faisceau
par faisceau, sur la lame porte-objet, dans « q
a glycérine picro-carminée et dissocié « complètement, faisceau par
faisceau
, sur la lame porte-objet, dans « quelques goutt
DE la MOELLE épinière Er du cerveau. Moelle lombaire (fig. 1). Les
faisceaux
blancs, colorés par la méthode de Weigert-Pal,
. Moelle cervicale. a) Etage inférieur (fig. 6). - L'intégrité du
faisceau
de Goll est ici manifeste. Ses deux portions se d
ins de l'épaisseur du cordon postérieur. Sont également sains les
faisceaux
de Lissaüer et radiculaires postérieurs. La zon
use large et très longue. Elle est comprise de chaque côté entre le
faisceau
de Goll intact et le ruban sain dont il vient d
dont l'axe se dirige vers la zone de Lissauer; cet ergot entame le
faisceau
coniu-radiculaire postérieur. L'ensemble des de
s, droite et gauche, dessine un V ou- vert en arrière comprenant le
faisceau
de Goll entre ses deux bran- ches. La lésion es
ue mais les libres ont surtout disparu en dedans sur les confins du
faisceau
de Goll ; leur absence est plus marquée d'un cô
ulier considérer comme a peu près aiti tout ce qui cor- respond aux
faisceaux
de Goll, aux faisceaux cornu-commissuraux et ra
a peu près aiti tout ce qui cor- respond aux faisceaux de Goll, aux
faisceaux
cornu-commissuraux et radiculaires postérieurs.
de leur groupement : virgule de Schulze, bandelettes périphériques,
faisceaux
triangu- laires) n'est pas absolue. Cette diffu
e unique d'un diagnostic histologique la structure et la forme d'un
faisceau
qui, d'un individu à l'autre, peut présentera c
des fibres endogènes. Dans le même sens, il faut invoquer l'état du
faisceau
de Goll qui apparaît sain, à quelques fibres pr
laire moyenne, lésions peu accusées des racines postérieures et des
faisceaux
de Goll d'une part; -.lésions des éléments cell
premières zones radiculaires dans toute la hauteur de la moelle, du
faisceau
de Goll en entier et la sclérose des champs att
res disparues sont endogènes, qu'elles appar- tiennent ou non à des
faisceaux
constitués, car il est difficile- ment soutenab
dégénération est diffuse, laissant intacte une certaine portion de
faisceaux
. Il est moins aisé au premier abord de se rendr
iels, hémiplégie alterne inférieure (lésion bulbaire intéressant le
faisceau
pyramidal et le noyau de l'hypoglose), hémiplég
de fibres, relativement saines, se des- sine à la partie interne du
faisceau
de Burdach, au centre même du cordon postérieur
quelquefois la suite anatomique de ces lésions. La dégénération du
faisceau
pyramidal est plus marquée et les lésions du co
les lésions du cordon posté- rieur se localisent exactement dans le
faisceau
de Goll. Ces cas sont les plus rares. Plus géné
l. Rare- ment nous avons pu suivre jusqu'au bulbe l'altération du
faisceau
pyramidal et du faisceau cérébelleux direct. La
s pu suivre jusqu'au bulbe l'altération du faisceau pyramidal et du
faisceau
cérébelleux direct. La dégénération atteint que
llon médian antérieur. A ce niveau, elle touche, par conséquent, le
faisceau
de Turck, mais il est très rare qu'elle délimit
erses. Il est plus difficile d'apprécier une lésion des cellules du
faisceau
intermedio-lateralis, des cel- lules de cordon,
- fois très nombreuses, extrêmement divisées dans l'intérieur des
faisceaux
blancs qu'elles semblent enserrer. Elles sont p
s, respectées. Les fibres exogènes, au contraire, c'est-à-dire le
faisceau
pyramidal, surtout et presque exclusivement dans
idal, surtout et presque exclusivement dans ses fibres croisées, le
faisceau
cérébelleux direct, parfois même celui de Gower
postérieures, sont presque toujours atteintes. Prenons d'abord le
faisceau
pyramidal. Sa lésion, à peu près constante, dev
st vrai que l'on peut, dans quelques cas rares, suivre la lésion du
faisceau
pyramidal à travers le bulbe et la protu- béran
tement. Comment s'expliquer aussi que jamais ou presque jamais le
faisceau
de Turck ne soit franchement atteint par la dégén
ation des fibres hété- rogènes qui contribuent à la formation de ce
faisceau
, d'un retentissement, sur une partie du neurone
s bien pour quelle raison la sclérose névroglique se limiterait aux
faisceaux
latéraux et postérieurs, encore moins pourquoi
et postérieurs, encore moins pourquoi elle respecterait, dans ces
faisceaux
postérieurs, précisément, les fibres endogènes
prétendre à résoudre définitivement le problème. La dégénération du
faisceau
cérébelleux direct se com- prend mieux puisqu'e
e. Les fibres moyennes vont, après un trajet à la partie externe du
faisceau
de Burdach, aboutir aux cel- lules de la colonn
struction des cellules de Clarke est plus avancée, que la lésion du
faisceau
cérébel- leux direct, suite anatomique de ce sy
Les fibres radiculaires longues, après un trajet très court dans le
faisceau
de Burdach, où elles semblent abandonner leur b
es semblent abandonner leur branche descendante, se rendent dans le
faisceau
de Goll. Elles sont moins atteintes que les fib
ont un organe de relai entre les fibres radiculaires moyennes et le
faisceau
cérébelleux direct qui se voient également atte
LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 93 de la dégénération du
faisceau
pyramidal, mais la chroma- tolyse très active d
périmentale par le phosphore, Guerrieri note une dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux, s'étendant jusqu'à la région cervic
s. Pal a observé en outre, chez un saturnin, des altérations « du
faisceau
cérébelleux direct et du système pyramidal2 ».
ieur, mais on les voit quelquefois s'étendre 'dans le territoire du
faisceau
latéral, leur topographie rappelant alors celle
es fibres longues, les fibres courtes dans le cordon postérieur; le
faisceau
pyramidal croisé, le faisceau cérébelleux direc
courtes dans le cordon postérieur; le faisceau pyramidal croisé, le
faisceau
cérébelleux direct, rarement le faisceau pyrami
sceau pyramidal croisé, le faisceau cérébelleux direct, rarement le
faisceau
pyramidal direct, plus rarement encore le faisc
ect, rarement le faisceau pyramidal direct, plus rarement encore le
faisceau
de Gowers du cordon antéro-latéral.' La subst
nner à ces faits une interprétation rationnelle. La dégénération du
faisceau
pyra- midal croisé ne peut être considérée, dan
titielle constatée dans les cordons pos- térieurs, surtout dans les
faisceaux
cunéiformes de Goll, au niveau des régions thor
né, [pourrait-on penser pour expliquer sa paralysie, à la lésion du
faisceau
longitudinal supé- rieur en rapport intime, trè
ers plans des noyaux moteurs (nerfs crâniens et nerfs spi- naux) du
faisceau
longitudinal postérieur et des courtes fibres des
eut observer çà et là, telle la dégénérescence du ruban de Reil, du
faisceau
de Gowers et même des cordons postérieurs (Bris
e suit : 1° déchéance du neurone cortical moteur; dégénérescence du
faisceau
pyramidal - jusqu'à sa terminaison. 2° Déchéanc
rales et des fibres commissurales dans l'écorce du cerveau, dans le
faisceau
longitudinal postérieur, et dans les cordons an
té visuelle des deux yeux n'était que très peu affaiblie; donc, les
faisceaux
non croisés étaient fort peu atteints. C'était en
r expliquer l'hémichorée posthémiplégique, admet l'exis- tence d'un
faisceau
spinal hémichoréique ; il lui paraît plus vraisem
osés. Mais comment cette action, en se portant spécialement sur les
faisceaux
de Bur- dach et de Goll, produit-elle l'incoord
moelle : les contours en sont dessinés distinctement par de petits
faisceaux
fibreux formant une ligne ondulée. Mais pas de
hyaline; grande quantité de globules sanguins infiltrés entre les
faisceaux
fibreux, quelques petits foyers hémorrhagiques. O
un peu l'olive du cervelet. Le contour est constitué par de petits
faisceaux
conjonctifs, colorés uniformément en rose; dans
de cavité de forme irrégulière; ses parois sont constituées par des
faisceaux
conjonctifs sinueux et ondulés formant comme de
ieure ; elle est bordée d'un tissu névroglique très dense, riche en
faisceaux
conjonctifs et en vaisseaux. A ce 170 - CLINI
mais dans la moitié opposée de l'organe, dans la partie centrale du
faisceau
de Burdach droit. Les deux processus (gliose et
it. Les deux processus (gliose et sarcomatose) sont séparés par les
faisceaux
de Goll dégénérés (dégénération ascendante).
ieur est détruite par la néoforma- tion, les cordons de Goll et les
faisceaux
cérébelleux directs pré- sentent une dégénérati
centrale, on peut voir comme les fibres conjonctives se rangent en
faisceaux
pour former en- suite un contour rempli d'éléme
s par la moelle de ce malade. A côté d'une lésion insignifiante des
faisceaux
blancs et une légère prolifération névroglique,
depuis les travaux de Charcot que la dégénérescence secondaire des
faisceaux
pyrami- daux, qu'elle soit d'origine cérébrale
la moelle, au-des- sus, la dégénérescence des cordons de Goll, des
faisceaux
cérébel- leux et des faisceaux de Gowers se pro
énérescence des cordons de Goll, des faisceaux cérébel- leux et des
faisceaux
de Gowers se prolongeait jusqu'au bulbe; au- de
s se prolongeait jusqu'au bulbe; au- dessous, la dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux se poursuivait. Si nous nous en étio
des lésions cérébrales sur les lésions médullaires', les lésions du
faisceau
pyramidal n'in- tervenant que consécutivement à
énomène des orteils est lié intime- ment à la lésion des fibres des
faisceaux
pyramidaux, que cette lésion siège dans la part
yramidaux, que cette lésion siège dans la partie encéphalique de ce
faisceau
(hémiplégie, monoplégie) ou dans sa partie spin
crivait jusqu'ici cette couche corticale comme formée uniquement de
faisceaux
de fibres nerveuses à myéline disposés sur des
de fibres nerveuses tangentielles. Tous les auteurs ont décrit ces
faisceaux
de fibres à myéline dirigés parallèlement à la
s de la moelle, on n'ob- serve aucune dégénérescence secondaire des
faisceaux
blancs. L'examen de la tumeur montre qu'elle es
cialement remarquable pour la coupe transverse de la moelle, et les
faisceaux
pyrami- daux. En diminuant méthodiquement la fo
u du facial, de ses racines extra-médul- laires ; dégénérescence du
faisceau
descendant de la cinquième paire et de ses raci
ons microscopiques d'après la méthode de Pal montrent l'absence des
faisceaux
pyramidaux et la disparition presque complète d
nce des faisceaux pyramidaux et la disparition presque complète des
faisceaux
de la couche réticulaire et de la couche supplé
re. Celle-ci ne con- tient alors que les cordons postérieurs et les
faisceaux
fondamen- taux des cordons antérieur et latéral
illimètre d'épaisseur où l'on distingue des cellules nerveuses, les
faisceaux
fondâmes taux des cordons antérieur et latéral,
cines antérieures. Dans tous les cas où l'on constate l'absence des
faisceaux
pyrami- daux, les cellules des cornes antérieur
, lesquelles sont très démons- tratives. IL - M. G. Rossolimo. Le
faisceau
de Gowers, son trajet et sa terminaison dans le
l. Centrbl, n° 8). 344 SOCIÉTÉS savantes. En ce qui concerne le
faisceau
de Gowers, les conclusions de l'auteur sont les
au de Gowers, les conclusions de l'auteur sont les suivantes : Le
faisceau
de Gowers, qui dans la moelle épinière occupe sa
t tourné vers la ligne médiane, et contenu entre le bout ventral du
faisceau
cérébelleux longitudinal (dans la partie caudal
forme (dans la partie proximale), et l'olive. Sur tout ce trajet le
faisceau
de Gowers rend quelques fibres rares au corps res
re de la protubé- rance, dans l'angle formé du côté ventral par les
faisceaux
du corps trapézoïde, du côté latéral par la rac
s la direction dorso-proximale, les fibres arciformes dégénérées du
faisceau
de Gowers se portent en masse de plus en plus v
En s'avançant vers l'éminence postérieure du corps quadrijumeau, le
faisceau
rend un bonne partie de ses fibres (environ un
ire, où elles se terminent. En outre l'auteur a poursuivi : 1° Le
faisceau
cérébelleux direct dans son trajet ordinaire jusq
rect dans son trajet ordinaire jusqu'à l'écorce du vermis ; 2° Le
faisceau
fondamental du cordon antéro-latéral, en haut,
autre; elles n'atteignent souvent qu'une moitié de celui-ci, qu'un
faisceau
de celui-là, pour gagner aussitôt les fibres d'
ent limité aux symptômes résultant de la seule lésion primitive des
faisceaux
pyramidaux ; mais cela ne suffit pas pour en in
laire ; il y a, non pas agénésie, mais dégénérescence secondaire du
faisceau
py- ramdal. A droite, le pourtour de la scissur
née par Lissauer. Dans les trois cas, il y avait dégénérescence des
faisceaux
pyra- midaux depuis les ascendantes jusque dans
l'intégrité des racines et de la subs- tance grise, l'intégrité du
faisceau
de Burdach particulièrement 490 REVUE D'ANATO
pariétal inférieur qui déterminent la sclérose la plus intense des
faisceaux
de Burdach et de Goll. L'étude des lésions du
térale amyolrophique, semblent relever d'une lésion ascen- dante du
faisceau
pyramidal consécutive à une affection des cellule
antérieures; quant au tabès spasmodique, lorsque l'al- tération du
faisceau
pyramidal ne dépasse pas le bulbe et que rien n
ces et peut-être y peut-on voir une dégénérescence rétrograde de ce
faisceau
consécutive une altération légère ou passagère de
es trousseaux disséminés qui imperceptiblement passent de l'aire du
faisceau
pyramidal dans la zone de celle-ci. Dégénéres
dans la zone de celle-ci. Dégénérescence des fibres de la région du
faisceau
pyramidal, qui vont aux noyaux prolubérantiels,
ntmlúl., lVl, 1891.) Observation de dégénérescence descendante d'un
faisceau
pyra- midal à la suite d'une tumeur cer6braie(g
place dans le voisinage immédiat de la corne antérieure droite. Ce
faisceau
du cordon aiitéiietir croisé s'en va tout le lo
scence du REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 808
faisceau
du cordon latéral dans la pyramide du même côté q
e de la pyramide gauche dans les régions élevée*, indiquent que les
faisceaux
antérieurs croisés n'ont pas d'autre origine. L
dégénérescence du cordon latéral dépasse le territoire ordinaire du
faisceau
latéral dé la pyramide, qui normalement demeure
re cervicale : c'est une véritable invasion qui, dans le domaine du
faisceau
de Gowres, gagne la pie-mère; dans toute la moe
moelle cervicale c'eL une invasion irrégu- lière mi-partie dans le
faisceau
de Gowres, mi-partie dans la couche limitante;
jumeaux va cette partie du ruban de Reil qui provient des noyaux du
faisceau
cunéiforme. Une partie des fibres du ruban de R
de Meynert. Une portion notable de ces fibres file à l'intérieur du
faisceau
longitudinal posté- rieur chez l'homme tandis q
rieur chez l'homme tandis que, chez le chat, en avant de ce dernier
faisceau
, elles courent des deux côtés de la ligne médiane
t dans les segments internes de la formation rétiforme, en avant du
faisceau
longitudinal postérieur, et passent avec les fi
et passent avec les fibres de ce dernier dans la portion interne du
faisceau
la- diculaire des cordons antérieurs. Chez l'ho
urs. Chez l'homme ce système de fibres forme partie constituante du
faisceau
longitudinal postérieur et atteint ainsi les co
re de la couche optique, on produit la dégénérescence des fibres du
faisceau
pyramidal, du faisceau longitudinal postérieur
, on produit la dégénérescence des fibres du faisceau pyramidal, du
faisceau
longitudinal postérieur et du système de fibres
t de là passaient dans la moelle où elles se plaçaient en avant des
faisceaux
pyra- midaux ; elles pouvaient être suivies jus
pent pas simultanément ; les libres des cor- dons postérieurs et du
faisceau
de Loewenthat dégénèrent les pre- mièi es ; pui
isceau de Loewenthat dégénèrent les pre- mièi es ; puis ce sont les
faisceaux
directs cérébelleux et antéro- latéraux des cor
belleux et antéro- latéraux des cordons latéraux; enfin ce sont les
faisceaux
latéraux des pyramides; 2° Le processus de dégé
ptement, on peut même dire d'un seul, trait dans toute l'étendue du
faisceau
; 3° Dans les faisceaux de Goll et de Loewentha
ire d'un seul, trait dans toute l'étendue du faisceau ; 3° Dans les
faisceaux
de Goll et de Loewenthal la dégénérescence atte
la section de la moelle (méthode de marche) ; elle atteint dans les
faisceaux
directs cérébelleux et autéro-latëraux des cord
e est à sa période d'acmé à la fin de la quatrième semaine dans les
faisceaux
latéraux des pyramides; 4° Par la méthode de We
rs est certaine; '7° De bas en haut jusqu'à la moelle cervicale les
faisceaux
de Goll reçoivent leurs fibres des racines posté-
le les fibres radiculaires posté- rieures passent non plus dans les
faisceaux
de Goll mais dans les faisceanx de Burdacli ; 8
émilatérdle de la moelle entraîne une dégénérescence bilatérale des
faisceaux
de Goll, de Burdach, de Flechsig, de Gowers et
ement des fais- ceaux de Goll et de Burdach, et en partie celui des
faisceaux
de Flechsig, a lieu dans la commissure postérie
re-croisent de préférence dans la com- missure antérieurs ; 10° Les
faisceaux
anléro-latéraux (de Gowers) atteignent, à la ci
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 509 dans les cordons antérieurs; 11° Les
faisceaux
de Gowers et de Flechsig doivent être anatomiqu
tomiquement tenus pour un seul et même système. Une partie des deux
faisceaux
se termine à n'en pas douter dans le cervelet,
e ces fibres à l'autre côté ; 12° La dégénérescence descendante des
faisceaux
de Gowers et de Flechsig parait douteuse, c'est
Gowers et de Flechsig parait douteuse, c'est plutôt aux libres des
faisceaux
de Loewenthal que doit être attribuée la dégéné
e doit être attribuée la dégénérescence dans le ter- ritoire de ces
faisceaux
; 13° L'existence d'un système descendant séparé
rait plutôt expliquée par le passage dans ces racines de fibres des
faisceaux
de Loewenlhal; 15° La dégénrres- cence ascendan
spluales est produite par le passage en ces dernières de fibres des
faisceaux
directs cérébelleux et antéro-lateraux des cord
timètre à partir du lieu de la section de haut en bas; 17° Dans les
faisceaux
anté- rieurs des pyramides du cerveau humain il
herches sur l'origine réelle du nerf -, par van Gehuchten, 495.
Faisceau
nu Gowers, son trajet, par Rossolino, 33. Fol
Stefani et Mor- purgo, 484. Pyramidal. Variations du trajet du
faisceau
, par Hoche, 504. Racines postérieures. Trajet
région cervicale. Nous trouvons ici ce qui suit (PI. VIII, H) : le
faisceau
pyramidal du cordon latéral manque ; à la place
H) : le faisceau pyramidal du cordon latéral manque ; à la place du
faisceau
cérébelleux du cordon la- téral il y a une gran
enfonçant vers la profondeur de la périphé- rie ; manquent aussi le
faisceau
de Gowers et le faisceau pyramidal du cor- don
eur de la périphé- rie ; manquent aussi le faisceau de Gowers et le
faisceau
pyramidal du cor- don antérieur. S'observent se
faisceau pyramidal du cor- don antérieur. S'observent seulement le
faisceau
fondamental du cordon antéro-latéral, mais mal
eau fondamental du cordon antéro-latéral, mais mal développé, et le
faisceau
de Goll et de Burdach bien développé. A l'exa
es fibres, non plus que lespyramides (PI. VIII, I). Manque aussi le
faisceau
cérébello-spinal. La racine descen- dante du ne
scen- dante du nerf trijumeau n'est pas encore marquée. Le noyau du
faisceau
de Goll et celui de Burdach sont marqués très n
i de Burdach sont marqués très nettement. Ainsi nous avons ici : le
faisceau
fondamental du cordon antéro-latéral, le nerf hyp
e contiennent pas leurs cellules spéciales. Ainsi nous avons ici le
faisceau
longitudinal postérieur, les fibres arciformes
s aplati (Pl. VIII, K). Dans la partie postérieure nous trouvons le
faisceau
longitudinal postérieur, au-dessus le genou du
elés (Pt.VHI, L). Quanta l'axe cérébro-spinal, nous trouvons ici le
faisceau
longitudinal postérieur; en dessous la formation
l'axe cérébro-spinal nous trou- vons ce qui suit (Pl. VIII, M) : le
faisceau
longitudinal postérieur, les fibres arciformes
ulvinar et les corps genouillés manquent). En dessous les fibres du
faisceau
longitu- dinal postérieur qui viennent en conta
ux rouges, ils ne sont presque pas développés ; en dedans il y a le
faisceau
de Meynert. La partie basale est très déformée. T
es ; 50 l'absence de la couche du ruban de Reil ; 6° l'absence du
faisceau
cérébello-spinal, du faisceau de Gowers, des fi
he du ruban de Reil ; 6° l'absence du faisceau cérébello-spinal, du
faisceau
de Gowers, des fibres arciformes externes et an
édoncules cérébelleux inférieurs. Les fibres protubérantielles, les
faisceaux
cortico-protubérantiels et les pédoncules céréb
la forme ordinaire de celle d'un enfant nouveau-né (Pl. IX, N). Le
faisceau
pyramidal du cordon antérieur est très bien dé-
ieur est très bien dé- veloppé et n'a pas de libres myéliniques, le
faisceau
cérébro-spinal latéral manque. Le cordon postér
es stries arciformes de fibres myéliniques rappellent les noyaux du
faisceau
de Goll et du faisceau de Burdach. Plus près du c
fibres myéliniques rappellent les noyaux du faisceau de Goll et du
faisceau
de Burdach. Plus près du cerveau nous voyons qu
e du nerf trijumeau, la racine descendante du glosso-pharyngien, le
faisceau
cérébelleux du cordon latéral, les fibres arcif
ition des cordons posté- rieurs ; de la moelle restait seulement le
faisceau
fondamental du cordon antéro-latéral (tableau o
nt l'.axe spinal. Son action de systématisant en particulier sur le
faisceau
pyra- midal donnait parfois naissance à une var
ants de la myéline, montrent une dégénérescence très nette des deux
faisceaux
pyramidaux croisés sensiblement égale à droite et
ramidaux croisés sensiblement égale à droite et il gauche. Ces deux
faisceaux
sont intéressés dans toute leur étendue ; la zo
ornes postérieures. 2) Par les colorants nucléaires la sclérose des
faisceaux
pyramidaux est très utile. Les autres faiscea
s la sclérose des faisceaux pyramidaux est très utile. Les autres
faisceaux
paraissent sains, toutefois on rencontre irréguli
côtés. Dans les méninges et le long des vaisseaux, surtout dans les
faisceaux
latéraux et les racines postérieures, il y a de
toujours très marquée, bilatérale, complète et bien limitée de deux
faisceaux
pyrami," daux latéraux, on observe une dégénére
aux latéraux, on observe une dégénérescence moins accentuée de deux
faisceaux
cérébelleux directs. A droite seulement, cette dé
cence se prolonge .en avant et intéresse la portion périphérique du
faisceau
de Gorets. Les autres faisceaux blancs sont n
téresse la portion périphérique du faisceau de Gorets. Les autres
faisceaux
blancs sont normaux. 2) Par les colorants nuclé
lancs sont normaux. 2) Par les colorants nucléaires, la sclérose du
faisceau
pyramidal semble plus dense à droite qu'à gauch
ici, peu nombreux dans les cordons postérieurs que dans les autres
faisceaux
blancs, mais ne répon- dent à rien de visible p
myéliniques font ressortir une dégénérescence très intense des deux
faisceaux
pyramidaux croisés. Ici, cette dégénérescence e
escence est plus tendue à droite oit elle- comprend toute l'aire du
faisceau
moteur, qu'à gauche où elle n'intéresse que des
rs postérieurs (PL XVI, A). Dégénérescence, moins intense, des deux
faisceaux
cérébelleux direct qui se prolonge un peu en av
sceaux cérébelleux direct qui se prolonge un peu en avant, dans les
faisceaux
de Gowers. Les autres faisceaux blancs, en part
prolonge un peu en avant, dans les faisceaux de Gowers. Les autres
faisceaux
blancs, en particulier les cordons postérieurs, n
ELLE ÉPINIÈRE 99 2) Par les colorants .nucléaires , la sclérose des
faisceaux
pyramidaux est également très nette. Dans l'air
s faisceaux pyramidaux est également très nette. Dans l'aire de ces
faisceaux
, tous les tubes nerveux ne sont pas, toutefois,
ues la topographie des lésions est la même que plus haut. Les mômes
faisceaux
sont louches, et on observe toujours une prédom
n observe toujours une prédominance de la sclérose à droite dans le
faisceau
pyramidal. 2) Par les colorants nucléaires, par
sent touchés alors que par le Pal ils ne se distinguent en rien des
faisceaux
normaux. Dans cette région, l'infiltration péri
rieure. 1) Colorations myéliniques. Dans le cordon latéral droit le
faisceau
pyramidal présente une dégénérescence très marq
ence très marquée dans toute son éten- due. La portion adjacente du
faisceau
cérébelleux direct et la portion du faisceau de
a portion adjacente du faisceau cérébelleux direct et la portion du
faisceau
de Gowers située immédiatement en avant du faisce
t la portion du faisceau de Gowers située immédiatement en avant du
faisceau
pyramidal, sont également très légèrement touch
sont également très légèrement touchés (PI. XVI, B). A gauche le
faisceau
pyramidal croisé est presque normal, va dégénéres
e moyenne de son aire. 100 GILLES DE LA TOURETTE ET G. DURANTE Le
faisceau
cérébelleux voisin présente aussi une légère dégé
commissure postérieure, se dirige en arrière et se place entre les
faisceaux
de Goll et de Burdach en dessinant la virgule d
une zone de sclérose plus étalée, comprenant le tiers postérieur du
faisceau
de Goll et la moitié interne du tiers postérieu
eur du faisceau de Goll et la moitié interne du tiers postérieur du
faisceau
de Burdach. Les portions intactes des cordons p
es des cordons postérieurs sont donc : les deux tiers antérieurs du
faisceau
de Goll, les deux tiers antérieurs du faisceau
tiers antérieurs du faisceau de Goll, les deux tiers antérieurs du
faisceau
de Burdach, et la moitié externe du tiers posté
nt au maximum à gauche, sont donc croisées par rapport à celles des
faisceaux
pyramidaux dont le droit est plus malade que le
nce à noter ici, est la disparition presque complète des lésions du
faisceau
pyramidal gauche qui ne sont plus représentées qu
RVICALE supérieure. Colorations myéliniques. - La dégénérescence du
faisceau
pyramidal droit est notablement moins étendue e
t moins étendue et moins intense que plus bas. La dégénérescence du
faisceau
pyramidal gauche réduite à quelques fibres alté
ées n'est plus que difficilement reconnaissable. Des deux côtés les
faisceaux
cérébelleux directs de Gowers sont plus forteme
yramides, le Pal, le Weigert, le Kaiser, etc., etc.. mon- trent des
faisceaux
également bien fournis des deux côtés. Par les
peuvent se résumer de la fa- çon suivante : 1) Dégénérescence de
faisceaux
pyramidaux croisés sur toute la hauteur de la m
et à droite, ne dépasse pas l'entrecroisement des pyramides. Les
faisceaux
de Turk sont normaux. 2) Dégénérescence des fai
amides. Les faisceaux de Turk sont normaux. 2) Dégénérescence des
faisceaux
cérébelleux directs des deux exilés et sur tout
teur. Cette dégénérescence est beaucoup moins intense que celle des
faisceaux
pyramidaux. 3) Dégénérescence des faisceaux de
intense que celle des faisceaux pyramidaux. 3) Dégénérescence des
faisceaux
de Gowers en tant que prolongement antérieur de
ence des faisceaux de Gowers en tant que prolongement antérieur des
faisceaux
cérébelleux. Cette dégénérescence également peu
lutôt atrophie des tubes nerveux) intéressant la zone qui sépare le
faisceau
de Goll du faisceau de Burdach dans ses 2/3 ant
ubes nerveux) intéressant la zone qui sépare le faisceau de Goll du
faisceau
de Burdach dans ses 2/3 antérieurs (virgule) ; dé
ses 2/3 antérieurs (virgule) ; dégénérescence du 1/3 postérieur du
faisceau
de Goll et de la portion adjacente du fais- cea
rquée à gauche qu'à droite, est croisée par rapport aux lésions des
faisceaux
pyramidaux. SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE É
ance paraissent sains. Nous n'avons trouvé de lésions ni dans leurs
faisceaux
blancs, ni dans leurs noyaux gris. il) Le cerve
apables d'avoir donné naissance à une dégénérescence secondaire des
faisceaux
pyramidaux. Maintenant quelle interprétation co
façon être attribuées à une affection cérébrale ; une sclérose des
faisceaux
pyramidaux aussi marquée que celle que nous avons
des circonvolutions motrices ou une solution de continuité dans les
faisceaux
moteurs par une hémorrhagie, une tumeur, un foyer
t précédé la mort. Enfin l'absence de toute dégénérescence dans les
faisceaux
blancs du mésen- céphale est à elle seule une r
firmer l'origine pure- ment médullaire de la sclérose constatée des
faisceaux
pyramidaux. L'origine périphérique ou radiculai
ue nous n'ayons pu le constater directement les dégénérescences des
faisceaux
blancs sont assez caractéristiques pour nous perm
cendante classique des cordons posté- rieurs. La dégénérescence des
faisceaux
cérébelleux s'observe sur toute la hauteur de l
également du foyer de myélite cervicale puisque nous savons que ce
faisceau
contient des fibres qui subissent dans quelques
teur paraît plus récente que celle qui a régi la dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux et concorde avec là dégénéres- cence
e des faisceaux pyramidaux et concorde avec là dégénéres- cence des
faisceaux
cérébelleux qui semble également plus jeune et no
y est complète. On ne saurait la rattacher à la dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux, car elle siège précisément du côté
faisceaux pyramidaux, car elle siège précisément du côté opposé au
faisceau
moteur le plus atteint. Il nous reste enfin à p
sibilité d'une dégénérescence ascendante sur une petite hauteur des
faisceaux
moteurs est aujourd'hui, croyons-nous, bien dém
ns plus profondes avant déterminé une dégénérescence secondaire des
faisceaux
pyramidaux de laquelle dépend l'état spasmodiqu
uelle dépend l'état spasmodique relaté dans l'enfance du sujet. Les
faisceaux
pyrami- daux qui n'avaient pas été complètement
rtiellement régénérés. Nous savons en effet que la régénération des
faisceaux
blancs est possible dans certaines li- mites ch
ire accuse un amaigrissement des espaces intercostaux au niveau des
faisceaux
d'i; sertion du grand dentelé. il Le sous-scapu
'une fracture compliquée de rupture du périoste et de déchirure des
faisceaux
musculaires sous-jacents. on n'ob- serve pas de
mentaire des diverses parties de l'écorce, sur l'homologa- tion des
faisceaux
blancs, qui les unissent, avec les commissures co
cervelet, qui vers les tubercules quadriju- meaux, qui vers le gros
faisceaux
des anses pédonculaires après de nom- breux ent
niveau duraphé. Il n'existe plus ici de cordons systématisés, ni de
faisceaux
de fibres parallèles, chaque fibre gagnant iso-
até, également dans un cas de tabes, une atrophie de la plupart des
faisceaux
du nerf vestibulaire au voisinage des gros noya
du nerf vestibulaire au voisinage des gros noyaux postérieurs. Ces
faisceaux
étaient transformés en tissu conjonctif riche e
mes dans des noyaux voisins, unis aux noyaux de la 8e paire par des
faisceaux
commissuraux, comme les noyaux oculomoteurs, ou s
rand dentelé, -une affection complexe dans laquelle un ou plusieurs
faisceaux
musculaires se trouvent ou atrophiés ou paralys
la présence de corps granuleux très nets et très abondants dans le
faisceau
pyramidal croisé du côlé droit et dans le faisc
bondants dans le faisceau pyramidal croisé du côlé droit et dans le
faisceau
pyramidal du côlé droit II existe quelques granul
eau pyramidal du côlé droit II existe quelques granulations dans le
faisceau
pyramidal croisé du côté droit et dans le faiscea
ulations dans le faisceau pyramidal croisé du côté droit et dans le
faisceau
pyra- midal direct du côté gauche. Au niveau
es des cordons postérieurs. Il y a une très légère dégénération des
faisceaux
pyramidaux directs et des deux faisceaux pyrami
ès légère dégénération des faisceaux pyramidaux directs et des deux
faisceaux
pyramidaux croisés. Celle-ci Nouv. Iconographie
s.. de L'AMYOTROPHIE CHARCOT-MARIE 211 n'est plus marquée dans le
faisceau
pyramidal croisé du côté droit. Les racines pos
nu marginal tranche très vivement sur les parties dégénérées. Les
faisceaux
pyramidaux directs présentent des lésions à peine
s lésions à peine appré- ciables. La diminution des fibres dans les
faisceaux
pyramidaux croisés est toujours des plus nettes
fibres colorées est beaucoup plus intense que dans ce dernier. Les
faisceaux
pyramidaux croisés présentent une très légère d
versale celui-ci paraît peu atteint. Cependant un certain nombre de
faisceaux
musculaires sont atrophiés, ces fibres en voie
ès étendues, sur des coupes transversales on aperçoit de très rares
faisceaux
musculaires noyés au milieu d'un tissu scléreux
e côté. Muscle biceps crural. Ce muscle présente peu de lésions des
faisceaux
: atrophie de certains faisceaux musculaires, c
muscle présente peu de lésions des faisceaux : atrophie de certains
faisceaux
musculaires, conservation du plus grand nombre.
oit. Les lésions se montrent à un degré plus accentué; le nombre de
faisceaux
musculaires intacts est encore grand proportion
usculaires intacts est encore grand proportionnellement à celui des
faisceaux
atteints. Le nombre des fais- ceaux atrophiés e
conservée. Mais ici les lésions sont extrêmement diffuses, tous les
faisceaux
sont pris, en ce sens que dans chaque faisceau
diffuses, tous les faisceaux sont pris, en ce sens que dans chaque
faisceau
il existe des fibres atteintes à côté de fibres
il existe des fibres atteintes à côté de fibres restées saines. Les
faisceaux
sont déjà envahis par des cellules adi- NoUV. !
minante dans le cordon de Burdach. b) Une dégénération légère des
faisceaux
pyramidaux des deux côtés. c) Des altérations d
otre cas il existait une dégénération légère mais assez étendue des
faisceaux
pyramidaux, plus prononcée sur l'un des faiscea
assez étendue des faisceaux pyramidaux, plus prononcée sur l'un des
faisceaux
pyramidaux directs, et sur l'autre des faisceau
oncée sur l'un des faisceaux pyramidaux directs, et sur l'autre des
faisceaux
pyramidaux croisés. Il est difficile, dans ce cas
des fibres muscu- laires plus ou moins diffuse dans les différents
faisceaux
, la striation est conservée. Il n'y a que proli
encore la striation. Le tissu conjonctif s'est développé entre les
faisceaux
, des amas de graisse commencent à apparaître en
, et qui ne sont plus constitués que par du tissu adipeux. Quelques
faisceaux
musculaires, dont on ne reconnaît plus la striati
t le tissu cellulaire sous-cutané. Le triceps est réduit à un petit
faisceau
. Le deltoïde presque complètement détruit (Pl.
intactes. Je n'ai pas relevé la zone de dégénérescence partielle du
faisceau
fondamental antérieur, si nette sur les coupes
cordons postérieurs ; disparition dans un certain nombre de tubes du
faisceau
de Goll. Cette altération est déjà signalée dan
les bras en avant ni en arrière, ce qui témoigne de l'impotence des
faisceaux
antérieurs et postérieurs du deltoïde; il a de
à droite et à gauche. Cette diminution est surtout marquée dans le
faisceau
anté- rieur du muscle deltoïde droit dont les c
la lésion importante consiste presque uniquement en une section des
faisceaux
blancs, lésion dont la topographie devra être dét
l'extrémité supérieure du ventricule dilaté. La partie inférieure du
faisceau
longitudinal, des radiations optiques de Gratio
le substance blanche. La lésion a complètement détruit ou coupé les
faisceaux
qui constituent la substance blanche de la 1" tem
du pli courbe, de la pariétale ascendante, et apparemment certains
faisceaux
de la frontale ascendante. Entre le foyer et la c
la capsule externe est détruite dans ses deux tiers supérieurs, le
faisceau
arqué est complètement coupé depuis sa courbure
a courbure postérieure jusqu'à son tiers an- térieur, le système du
faisceau
longitudinal inférieur et des radiations optiqu
is le sont entièrement au niveau de leur extrémité anté- rieure. Le
faisceau
crochu doit être complètement indemne. La capsule
de déterminer une localisation étroite ; le nombre, la variété des
faisceaux
intéressés nous empêche de donner une conclusion
ode des plus petits foyers ». Il y a lieu de noter cependant que le
faisceau
arqué est très profondément lésé, et que ce faisc
pendant que le faisceau arqué est très profondément lésé, et que ce
faisceau
parait avoir été toujours plus ou moins intéres
u contraire une excitabilité notablement diminuée, surtout dans ses
faisceaux
sternaux, du côté droit, où existe le torticolis
onique prédominante,c'est-à-dire de l'action propre du muscle ou du
faisceau
musculaire. » Cette théorie a été géné- ralemen
ique s'accompagne tou- jours d'une sclérose du tissu conjonctif des
faisceaux
musculaires, il était permis de supposer que le
xtension n'est accompagnée des phé- nomènes myotoniques que dans le
faisceau
externe de l'extenseur gauche de la cuisse. L
st altérée a son tour ; elle est effacée, aplatie, surtout dans les
faisceaux
plus minces ; de là résulte l'aspect plus saill
plus dans les muscles de la ceinture scapulo-hu- mérale et dans le
faisceau
externe du muscle extenseur quadriceps gauche. Ic
inution de volume du muscle myotonique dépend- de l'atrophie de ses
faisceaux
, caractérisée par une teinte blanchâtre et par un
MYOTONIE ATROPHIQUE 75. dégénérescence, et que l'état atrophique du
faisceau
est un degré tardif des altérations du faisceau
'état atrophique du faisceau est un degré tardif des altérations du
faisceau
hypertrophié ; on peut noter sur une série des
érations du faisceau hypertrophié ; on peut noter sur une série des
faisceaux
graduellement amincis une teinte blanchâtre de la
uées sur la ligne médiane, elles se trouvent ordinairement en plein
faisceau
moteur soit d'un côté soit de l'autre. Plus on
ce se- ront toujours les mêmes lésions dissociant plus ou moins des
faisceaux
blancs de fibres et des cellules nerveuses. D
s qui se trouve ainsi atteindre la capsule interne. Au niveau de ce
faisceau
de fibres blanches, nous ne voyons naturellement
ses cellules nerveuses puisqu'il n'y en a pas même normalement. Les
faisceaux
blancs sont plutôt séparés et écartés que section
e que dans la capsule interne. C'est en effet assez souvent dans le
faisceau
moteur que se creusent LACUNES DE DÉSINTÉGRATIO
cessaire de faire des coupes longi- tudinales parallèles à l'axe du
faisceau
moteur, tandis que les nôtres ont toujours été
ans le sens de nos coupes,c'est-à-dire perpendiculaires à l'axe des
faisceaux
moteurs, il vaudrait mieux pratiquer des examen
s fais- ceaux costaux sur les cinq ou six premières côtes, mais les
faisceaux
claviculaires paraissent faire défaut, de même
es faisceaux claviculaires paraissent faire défaut, de même que les
faisceaux
sternaux. [D'ailleurs, lorsque le malade ne con
approcher le bras du tronc, ou l'abaisser quand il est soulevé, les
faisceaux
ne soulèvent pas la peau.] , NOUVELLE Iconograp
l fait totalement défaut; du grand pectoral il ne reste qu'un petit
faisceau
de la portion claviculaire et un rudiment de la
réditaire, avec naissance prématurée et développement incomplet des
faisceaux
pyramidaux. Pour d'autres, la naissance avant ter
pas une des conditions essentielles de la maladie et la lésion des
faisceaux
pyramidaux peut provenir d'un manque de dévelop
érieurs en faisaient des affections médullaires. Actuelle- ment, le
faisceau
pyramidal serait surtout atteint, mais cette vue
art bien des examens médullaires ne mention- nent aucune lésion des
faisceaux
pyramidaux, et que d'autre part on voit des lés
gressive». Cette affection serait due au manque de développement du
faisceau
pyramidal. Malheureusement ces différentes cond
rables. SYNDROME DE LITTLE 141 4° Le manque de développement du
faisceau
pyramidal. Ce faisceau ne serait complètement f
LITTLE 141 4° Le manque de développement du faisceau pyramidal. Ce
faisceau
ne serait complètement formé chez l'enfant que
éjerine). Dans un cas de dégénérescence, secondaire il est vrai, du
faisceau
pyra- midal gauche, on avait les symptômes d'un
jambes). Anatomiquement existait une dégénérescence symétrique des
faisceaux
pyramidaux dans tout leur parcours, depuis l'éc
probable que nous nous trouvons en présence de lésions de tous les
faisceaux
médullaires : les membres inférieurs présen- te
tion de chaque masse musculaire, de chaque muscle et même de chaque
faisceau
; et par conséquent celle de nos mouvements ac-
e précise de la quantité de contractions de chaque masse, de chaque
faisceau
musculaire, par Landry, et encore de l'état de
ns d'attitudes segmentaires sont indispensables à la motricité. Des
faisceaux
médullaires d'une part, des faisceaux vestibulair
pensables à la motricité. Des faisceaux médullaires d'une part, des
faisceaux
vestibulaires d'autre part se rendent vers les
eures du cervelet. Par le pédoncule supérieur, le noyau rouge et le
faisceau
décrit par Meynert, cette région s'unit aux zones
n s'unit aux zones pariétales. Il est en outre très probable que le
faisceau
sensitif général apporte aux zones psy- chomotr
stibulaire de l'oreille se dirige vers les zones pariétales, comme le
faisceau
sensitif médullaire qui dessert le sens des att
e occipitale du ventricule (celles qu'on appelle dans leur ensemble
faisceau
sensitif ou radiations optiques) (PI. XXXIV, fi
es sont considérablement réduites d'épaisseur. Il n'en reste que le
faisceau
le plus externe ou faisceau longitudinal inféri
uites d'épaisseur. Il n'en reste que le faisceau le plus externe ou
faisceau
longitudinal inférieur, nettement limité en dehor
faisceau longitudinal inférieur, nettement limité en dehors par le
faisceau
occipital vertical. Le tapetum et le faisceau o
mité en dehors par le faisceau occipital vertical. Le tapetum et le
faisceau
optique proprement dit ont complètement disparu
u optique proprement dit ont complètement disparu. La coloration du
faisceau
longitudinal inférieur parait normale; elle est
occipitale. En dehors de la fente elle même, le tapetum et les deux
faisceaux
de la (1 radiation optique » sont d'une extrême
festonnée ; enfin qu'elle n'atteint ni la radiation optique, ni le
faisceau
longitudinal inférieur de l'hémisphère droit. L
n'existe aucune lésion des fibres d'association représentées par le
faisceau
externe des radiations optiques ou faisceau lon
ion représentées par le faisceau externe des radiations optiques ou
faisceau
longitudinal inférieur. HALLUCINATIONS DE L'OUÏ
es de ces cellules se réunissent à l'autre extrémité du ganglion en
faisceaux
compacts qui,poursuivant leur 292 THOMAS ET HAU
l) et la dure-mère se réfléchissent sur la racine postérieure : ses
faisceaux
chemi- nent alors à l'abri d'une triple gaine :
tabes. D'autre part, la racine est dans son épaisseur subdivisée en
faisceaux
secondaires que séparent des cloisons conjoncti
au périnèvre des nerfs; chaque périnèvre envoie dans l'intérieur du
faisceau
qu'il entoure de fines tra- bécules conjonctive
ques millimètres seulement. Les fibres jusque là groupées en 3 ou 4
faisceaux
se répartissent en un grand nom- bre-de petits
rieure restent encore sur une certaine longueur groupées en petits
faisceaux
avant de se disséminer. Il y a la, à l'extrémit
l'extrémité opposée elles se rassemblent à nouveau en un volumineux
faisceau
qui émerge du pôle périphérique et quitte le gang
euse cavité entourée d'une membrane kystique et contenant de petits
faisceaux
de fibres radiculaires frp), et surtout des ama
Le reste est occupé par des vaisseaux (v), des tractus fibreux, des
faisceaux
de tissu conjonctif adulte, des amas d'éléments
és du ganglion. Le tissu conjonctif s'y pré- sente sous l'aspect de
faisceaux
extrêmement épais, souvent homogènes, d'o- rien
noyaux forment des amas ou sont infiltrés irrégulièrement entre les
faisceaux
du tissu conjonctif : les uns sont ronds, les aut
éments. Il a un aspect amorphe et il est pénétré par places par des
faisceaux
conjonctifs épais, homogènes, très analogues à
racines postérieures. Diminution du nombre des fibres à myéline des
faisceaux
radiculaires. Inflammation du tissu conjonctif de
s autres allongés, disposés soit au centre, soit à la périphérie du
faisceau
radiculaire. Les vaisseaux sont éga- lement mal
asci- cule. Le tissu inter-fasciculaire est également très riche en
faisceaux
fibreux. Dans le pôle central du ganglion la ra
u d'aspect amorphe, contenant cependant quelques noyaux et quelques
faisceaux
conjonctifs, tissu qui fait place plus bas aux ri
ues faisceaux conjonctifs, tissu qui fait place plus bas aux riches
faisceaux
fibreux qui encerclent chaque fascicule.Par con
al de fibres saines. Il n'existe pas de névrite interstitielle, les
faisceaux
radiculaires ne sont pas pénétrés par le tissu
dien, sur les coupes colorées par la méthode de Wei- gert, tous les
faisceaux
, sauf un,sont complètement décolorés. Au-dessous
vrite). - Ilyperplasie du tissu conjonctif interfasciculaire. - Les
faisceaux
radiculaires, très dégénérés, sont, pour la plu
breux plus ou moins épais ; les fibres elles-mêmes sont doublées de
faisceaux
fibreux et écartées l'une de l'autre. Cette hyp
ée par du tissu conjonctif fascicule. Sur certaines coupes un petit
faisceau
nerveux subsiste au centre de cette masse (PI.
, la portion sous-gan- glionnaire des racines postérieures forme un
faisceau
aussi dense, aussi compact qu'à l'état normal.
nt observés en pareil cas et dont la coupe rappelle celle de petits
faisceaux
musculaires tassés et agglomérés. La gaine pial
es à une cause unique, à une perturbation dans le fonctionnement du
faisceau
pyramidal, dont il se déclarait, du reste, incapa
lé é après lui, indice d'une perturbation dans le fonctionnement du
faisceau
pyramidal. l. M. Brissaud et, avec lui, M. Me
la région du pôle central, où les fibres encore groupées par petits
faisceaux
se prêtent mieux à l'observation. C'est ainsi q
plus accentuée. Elle se traduit en général par l'hyperplasie des
faisceaux
fibreux, la formation d'amas embryonnaires, de
séparent (mésonévrite) et des gaines conjonctives qui entourent les
faisceaux
secondaires (périné- vrite),et du tissu conjonc
glion et le cul-de-sac séreux, le nerf radiculaire. A ce niveau les
faisceaux
nerveux des racines postérieu- res et aussi des
ion semble partir du périnèvre pour former un anneau qui étouffe le
faisceau
nerveux. Cet anneau s'accroît par sa face inter
que l'endo et la périnévrite, en dissociant et en écar- z tant les
faisceaux
secondaires, les individualisent plus nettement q
est à peine ébauché et n'atteint que rarement un degré notable. Les
faisceaux
secondaires restent groupés et compacts; ils n'on
n aspect réfringent, vitreux, anhyste qui se manifeste soit sur les
faisceaux
fibreux de la dure-mère, soit sur le feuillet a
léments conjonctifs jeunes (amas nucléaires) qui se transforment en
faisceaux
fibreux, soit en donnant naissance à des masses
elle hyper- plasie conjonctive se présente parfois sous la forme de
faisceaux
ayant un contour arrondi et un calibre qui rapp
ceaux ayant un contour arrondi et un calibre qui rappelle celui des
faisceaux
mus- culaires ; ils ont un aspect homogène, à p
L'épaississement des gaines péri-fasciculaires écarte, dissocie les
faisceaux
secondaires, et modifie profondément l'aspect n
par places et sur une petite étendue, interrompre la continuité des
faisceaux
dégénérés, les points de repère sont restés suf
sseur de la subs- tance réticulée jusque près du plancher, entre le
faisceau
solitaire et le faisceau longitudinal postérieu
éticulée jusque près du plancher, entre le faisceau solitaire et le
faisceau
longitudinal postérieur; il est limité par un sil
pinal ; il interrompt forcément le trajet des fibres ascendantes du
faisceau
antéro-latéral (faisceau de Gowers) ; toutefois l
cément le trajet des fibres ascendantes du faisceau antéro-latéral (
faisceau
de Gowers) ; toutefois le faisceau céré- belleu
ntes du faisceau antéro-latéral (faisceau de Gowers) ; toutefois le
faisceau
céré- belleux direct, qui passe très tôt en arr
ôt en arrière, paraît lui avoir échappé ; les noyaux situés dans le
faisceau
latéral du bulbe sont naturellement englo- bés.
us de lui de dégénérescence répondant au trajet récemment décrit du
faisceau
de Gowers vers le cervelet. Le second foyer (
stance réticulée, quelques fascicules de l'hypoglosse; il entame le
faisceau
longitudinal postérieur et se place au hile de l'
de Reil, respectée par le foyer précé- dent, et l'autre (F4) sur le
faisceau
pyramidal (PI. LVI, fig. K, L, M). Il nous faut
otiques. Nous les étu- dierons en envisageant successivement chaque
faisceau
au-dessus et au- dessous des foyers. T'/T Le
ment chaque faisceau au-dessus et au- dessous des foyers. T'/T Le
faisceau
pyramidal est altéré dans toute la hauteur de la
s. Au-dessus du foyer il existe quelques'fibres,dégénérées dans le*
faisceau
pyramidal ; on peut lesYsuivre°jusqu'à la capsu
yers, présente une dégéné- rescence intense; dans les régions où ce
faisceau
forme un triangle allongé d'avant en arrière (b
n dehors des fascicules dupes leoacaisc2cs profond, dépen- dance du
faisceau
pyramidal, on ne trouve plus de territoires intac
ux antérieurs, la branche transversale se renfle et l'en- semble du
faisceau
dégénéré forme ùmtriangle curviligne, dont la bas
il médian) sont les suivants : en avant la zone dégénérée répond au
faisceau
pyramidal, dont elle est séparée par la partie ex
faisceau pyramidal, dont elle est séparée par la partie externe du
faisceau
thalamique de Forel et de la zona iacertc; en d
ion de la substance'réticulée qui avoi- sine le ruban de Reil et le
faisceau
longitudinal postérieur, on aperçoitdes faiscea
uban de Reil et le faisceau longitudinal postérieur, on aperçoitdes
faisceaux
longitudinaux dégénérés qui cheminent entre les f
rne anté- rieure qu'elles coiffent. Plus bas elles sont séparées du
faisceau
pyrami- dal direct par une mince ligne pâle (PI
la corne antérieure et forment une virgule dont la tête s'adosse au
faisceau
pyramidal direct en touchant à la périphérie de l
riphérie de la moelle, et dont la queue se perd dans l'épaisseur du
faisceau
antéro-latéral, en dedans de la place du faisce
ns l'épaisseur du faisceau antéro-latéral, en dedans de la place du
faisceau
de Gowers. Ces fibres diminuent rapidement de nom
e, mais nous avons pu les suivre jusque dans la ré- gion sacrée. Le
faisceau
répond à la description du faisceau cérébelleux d
que dans la ré- gion sacrée. Le faisceau répond à la description du
faisceau
cérébelleux des- cendant qui, suivant les auteu
tent des fibres d'origines diverses et en particulier des fibres du
faisceau
longitudinal postérieur atteintes par le foyer
eur atteintes par le foyer F2. Au-dessus des foyers on trouve des
faisceaux
dégénérés, en moins grand nombre, épars dans la
res ne représenteraient pas plutôt une dégénérescence ascendante du
faisceau
descendant que nous venons de décrire, comparab
s la formation réticulée blanche, formant un trait d'union entre le
faisceau
longitudinal postérieur et le ru- ban de Reil,
NSKI ET NAGEOTTE sont écartés du raphé médian par l'apparition d'un
faisceau
longitudinal non dégénéré, qui va en se renforç
ruban de Reil et au noyau réticulé ; le côté interne ré- pond à ce
faisceau
médian non dégénéré que nous venons d'indiquer, p
al supérieur qui prend sa place ; le côté externe est limité par le
faisceau
central de la calotte. Dans l'aire ainsi délimi
re à mesure que l'on remonte et disparaissent avec la calotte. Le
faisceau
longitudinal postérieur gauche présente au-dessou
s. En haut il existe un petit nombre de fibres dégé- nérées dans le
faisceau
; par analogie avec ce qui se passe dans le ruban
nérescence centripète qui s'étend jusqu'à l'extrémité supérieure du
faisceau
, sur la face interne du noyau rouge (PI. LVI, f
s- cence des boules beaucoup plus petites que les fibres des autres
faisceaux
. Elles constituent d'abord les fibres pré-,inte
; 4° une interruption des voies ascendantes latérales de la moelle (
faisceau
de Gowers) avec conser- vation probable du fais
s de la moelle (faisceau de Gowers) avec conser- vation probable du
faisceau
cérébelleux direct ; 5° une lésion du fais- cea
e du sens musculaire que l'auteur met sur le compte de la lésion du
faisceau
cérébelleux direct. L'observation de Hun ainsi
endraientà l'appui de l'opinion de Van Gehuch- ten qui considère ce
faisceau
comme destiné au passage des impressions tactil
t supposer avec quelque vraisemblance que ces fibres passent par le
faisceau
longitudinal postérieur, qui a de nombreuses conn
upilles sont en myosis, la droite plus petite que la gauche; or les
faisceaux
longitudinaux postérieurs sont atteints, le dro
'observation detlun, déjà citée, les pupilles étaient égales et les
faisceaux
en question intacts. Quel que soit leur lieu de
étendues que dans le nôtre ; elles englobaient en particu- lier le
faisceau
cérébelleux direct et les corps restiformes et il
on de trois appareils fort importants : 1° la lésion bilatérale des
faisceaux
olivo- ciliaires ; 2° la lésion unilatérale du
térale des faisceaux olivo- ciliaires ; 2° la lésion unilatérale du
faisceau
qui met en rapport le noyau de Deiters avec la
elle ; 3' l'interruption de la .voie centripète consti- tuée par le
faisceau
de» Gowers. C'est bien évidemment dans ces trois
t intentionnel des membres supérieurs ? Le noyau de Deiters dont le
faisceau
efférent vers la moelle est sec- lionné, semble
donc qu'on peut attribuer avec quelque vraisemblance à la lésion du
faisceau
de Marchi, ou faisceau cérébelleux descendant,
er avec quelque vraisemblance à la lésion du faisceau de Marchi, ou
faisceau
cérébelleux descendant, la latéropulsion et le
tait presque limitée à un côté, c'est en réalité, avec la lésion du
faisceau
de Gowers, la seule lésion unilatérale que nous
yons constatée dans le domaine des fibres cérébel- leuses. Quant au
faisceau
de Gowers, faisceau centripète, il est possible
le domaine des fibres cérébel- leuses. Quant au faisceau de Gowers,
faisceau
centripète, il est possible que son altération
etits grains, lignes qui épousent la direction de l'incurvation des
faisceaux
de fibres. En somme, c'est au niveau des systèm
complètement : nulle part on n'en trouve de dégénérées... Là où les
faisceaux
blancs sont le mieux conservés, il y a un grand n
itablement insignifiantes à côté de celles que l'on trouve dans les
faisceaux
médullaires ascendants, dans la substance grise
ales motrices dépendent de l'activité de l'écorce cérébrale (par le
faisceau
pyramidal), exécutant les ordres de cette dernièr
sparu; dans la partie exté- rieure du cordon latéral, qu'on appelle
faisceau
direct du cerve- let, la plus grande partie de
ne dégénéres- cence descendante de certaines fibres, qui forment le
faisceau
pyramidal du côlé gauche. - La région correspon
ascendante dans la région postérieure du cordon de Goll et dans le
faisceau
direct du cervelet jusqu'au bulbe rachidien, et d
rect du cervelet jusqu'au bulbe rachidien, et des- cendante dans le
faisceau
pyramidal latéral. Dans cette opération, ainsi
heureusement rencontré un cas qui m'a conduit dans la bonne voie.
Faisceau
médullaire. Dans ce cas, le pédoncule cérébral
ans ce cas, le pédoncule cérébral présentait sur sa face interne un
faisceau
tel- lement saillant qu'il me frappa. Après avo
mamillaires. Espace olfactif postérieur. - En suivant en arrière le
faisceau
pédonculaire, il allait s'attacher au tubercule
ec cette dernière l'espace perforé postérieur. Les connexions de ce
faisceau
avec le champ olfactif étaient donc bien établi
, et sais combien il est facile de se tromper en croyant suivre des
faisceaux
blancs au milieu d'autres. Je laisse à d'autres
'espace perforé postérieur. Je crois cependant y être arrivé : le
faisceau
peut être suivi assez facilement jusqu'à quelqu
situation des noyaux moteurs par rapport aux noyaux sensitifs. Le
faisceau
, après avoir traversé la protubérance annulaire
ible. Cette séparation contribue à rendre plus nette l'existence du
faisceau
compris ainsi entre deux espaces vàsculaires. C
n, depuis que j'ai terminé mon travail, de voir sans préparation le
faisceau
mamillaire. Des deux côtés, il était représenté
mamillaire dans l'appareil de l'olfaction'. Placé sur le trajet du
faisceau
médullaire, il est l'ana- logue des renflements
interpé- donculaire, c'est-à-dire très probablement avec les deux
faisceaux
qui limitent cet espace (5e mois). De plus, on
. Quoique je ne puisse affirmer l'existence du noyau d'origine du
faisceau
médullaire de l'appareil olfactif, elle ne saur
;' et assez vite par des anato- mistes plus habiles que moi. 1 Le
faisceau
rachidien ne va pas tout entier au tubercule mami
moelle et le carrefour olfactif sont constitués : 1° par quelques
faisceaux
qui apparaissent sur la face inférieure du pédo
pédoncule cérébral et qui sont très probablement une émanation du
faisceau
principal dont quelques fibres ont pénétré dans
quelques fibres ont pénétré dans le pédoncule cérébral; 2° par un
faisceau
principal qui, prenant son origine sur le planc
eur et se met en relations avec le tubercule mamillaire. Les deux
faisceaux
réunis, le principal et les fascicules, passent
ale du noyau cérébral » décrit en dedans du pédoncule cérébral deux
faisceaux
, un postérieur et un moyen, qu'il mène tous deu
p dans son mémoire sur le rattache- ment de l'appareil olfactif aux
faisceaux
inférieurs des pédon- cules cérébraux. On voit
r le pédoncule cérébral. » LEBIEPF, d'après P. BERGER, signale le
faisceau
médullaire, ou du moins une partie de ce faisce
ERGER, signale le faisceau médullaire, ou du moins une partie de ce
faisceau
. Il décrit un faisceau qui partant des cordons
eau médullaire, ou du moins une partie de ce faisceau. Il décrit un
faisceau
qui partant des cordons antérieurs de la moelle
autres, signalent dans l'espace interpédonculaire la présence d'un
faisceau
dis- tinct du pédoncule, mais ils ne parlent ni
ubercule mamillaire. Peut-être faut-il ajouter à l'arc rachidien un
faisceau
de fibres qui, issu aussi des petites masses ga
rieur de cette bande, c'est-à-dire avec les fibres qui viennent du
faisceau
médullaire juxta-pédonculaire qui est décrit pl
blanche et moins accusée, il est des plus faciles d'en démêler les
faisceaux
longitu- dinaux, entre-croisés entre eux et cou
actif et le cerveau intermédiaire, ne me serais-je pas trompé ? Ces
faisceaux
blancs que je décris comme une production à par
e j'avance'. Il est possible, il est probable même, que parmi les
faisceaux
blancs du straturn zonale, tous n'appartiennent
e l'ai dit; nous verrons plus loin qu'à ce niveau, il entremêle ses
faisceaux
avec d'autres faisceaux, dont nous aurons à nou
plus loin qu'à ce niveau, il entremêle ses faisceaux avec d'autres
faisceaux
, dont nous aurons à nous occuper (le faisceau s
sceaux avec d'autres faisceaux, dont nous aurons à nous occuper (le
faisceau
sphénoïdal), séparé de ces faisceaux par la que
nous aurons à nous occuper (le faisceau sphénoïdal), séparé de ces
faisceaux
par la queue du noyau caudé qui s'étend beaucou
avec la partie antérieure et externe de la couche optique. Ces deux
faisceaux
réunis constitueraient l'arc intermédiaire de l
bordant (voir la figure plus loin). 78 ANATOMIE. divise en deux
faisceaux
. La division principale, qui est la continuatio
et du sillon opto-strié. Toenia. La seconde divi- sion est un petit
faisceau
, qui, en remontant, va se placer dans le sillon
moins signalé l'existence de celle-ci. GRATIOLET. «... Le second
faisceau
(le premier est constitué par les Itabenæ) s'ét
essentiellement l'écorce de la couche optique. » « ... Un troisième
faisceau
, mieux distinct, s'enroule sur le bord externe
che optique, dans un sillon qui la sépare de la couche- optique. Ce
faisceau
, connu sous le nom de twijia semi-circulaire, b
que le toenia semi-circulaire... ». Gratiolet distingue ainsi un
faisceau
« qui s'enroule en une membrane mince autour de
llette demi- circulaire. - FOVILLE. « Une partie du prolongement du
faisceau
postérieur (du pédoncule), facile à suivre jusq
du quadrilatère perforé, tandis qu'une émanation supérieure du même
faisceau
postérieur se porte dans l'intervalle du corps
tact au-dessus de la commis- sure antérieure; ils fusionnent; leurs
faisceaux
internes s'entre-croisent de telle façon que le
modernes. Dans quelles proportions se fait l'entre- croisement des
faisceaux
? Très approximativement, je l'évalue au tiers
des faisceaux ? Très approximativement, je l'évalue au tiers de ces
faisceaux
. La fusion est donc intime- au niveau de la par
il y a une apparence de séparation médiane, on trouve un échange de
faisceaux
plus ou moins nombreux. ' Le chiasma ne s'arr
stérieurs et remplie par des cordes transversales, qui seraient les
faisceaux
transversaux du corps calleux. Or, cela n'est p
tôt des fibres dont la direction générale est transver- sale. Ces
faisceaux
de fibres, beaucoup plus fins, plus déliés que
'autres fois, l'entre-croisement est unique- ment représenté par un
faisceau
plus ou moins large de fibres directement trans
ge de fibres directement transversales. (Voir la fiz ? e 13.) Ces
faisceaux
émanent, comme je l'ai déjà dit, de l'écorce de
avant derrière les piliers, comme je l'ai indiqué plus haut; et les
faisceaux
échangés au niveau de la voûte et des piliers a
e. Je dirai aussi qu'une seule fois, il est vrai, j'ai rencontré un
faisceau
très distinct, émanant d'un pilier, et qui, lon
e circonvolution. J'ajou- terai enfin qu'une autre fois, j'ai vu un
faisceau
large de trois millimètres 'se détacher de la p
ns de la terminaison du ruban péri-optique, auquel il s'accolait.
Faisceau
supplémentaire sphénoïdal. A cet appa- reil pri
tripète, j'ai à ajouter une autre voie de communication. C'est un
faisceau
fibreux qui part de l'extrémité antérieure de l
e l'écorce de la tubérosité du renflement de la corne d'Ammon. Le
faisceau
, né de cette muraille, se dirige en arrière, sé
NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 87 Î Je reprends le trajet de notre
faisceau
. Appliqué sur la face inférieure du tapetum, il
le pilier et envoie des fila- ments dans l'intérieur de la lyre. Ce
faisceau
supplé- mentaire de renforcement pourrait être
septum et, comme on le verra plus loin, la continuité directe du
faisceau
à faisceau entre le pilier antérieur et la bande
comme on le verra plus loin, la continuité directe du faisceau à
faisceau
entre le pilier antérieur et la bande diagonale
; mais il en est une autre, supplémentaire probablement. C'est le
faisceau
sphénoïdal qui, partant du pilier pos- térieur,
ceux des animaux) dans le cer- veau de l'homme, nous voyons que ces
faisceaux
sont fort petits et en rapport avec le peu de d
t-être. - Je ne m'explique guère la note suivante de Ferré : « Le
faisceau
qui descend dans la paroi du septum lucidum s'éta
laire, la capsule interne et l'avant-mur. » D'après VICQ D'AZYR, le
faisceau
originel du pilier antérieur peut être suivi pa
érie des vertébrés est proportionnel à celui de l'hippo- campe. »
Faisceau
sphénoïdal. - VICQ D'AZYR. «... La concavité de
ndique en effet les fibril- les que je considère comme l'origine du
faisceau
supplémen- taire sphénoïdal. Les lames de la
épileptogène, il déterminait des accès d'épilepsie en excitant les
faisceaux
pédonculaires. Aussi l'écorce du cerveau n'étai
l'intelligence ne soit, comme l'enseigne Meynert, une fonction des
faisceaux
d'association qui unissent d'une manière si com
es lobes cérébraux les plus éloi- gnés' . Il faut surtout songer au
faisceau
unciforme et au faisceau arqué, qui unissent le
us éloi- gnés' . Il faut surtout songer au faisceau unciforme et au
faisceau
arqué, qui unissent le lobe frontal aux lobes t
ssent le lobe frontal aux lobes temporal, pariétal et occipital, au
faisceau
longitudinal inférieur, au faisceau du cingulum
oral, pariétal et occipital, au faisceau longitudinal inférieur, au
faisceau
du cingulum. Quoique les lobes frontaux et préf
nce grise, elles peuvent aussi intéresser à la fois l'écorce et les
faisceaux
blancs sous-jacents, mais qu'il est très rare q
ait très faible dans toute cette zone. L'écorce, aussi bien que les
faisceaux
médullaires, était transformée en un tissu fibr
par des grains de pigment accumulés. En outre, dégénérescence du
faisceau
pyramidal droit, que l'on suivait dans la capsule
latéraux; par FUEIiSTNEB. (Neurol. Cen- tralbl., 1889.) Quand les
faisceaux
pyramidaux sont dans les cordons latéraux plus
logique avec histologie. On y trouve deux cas de dégénérescence des
faisceaux
latéropyrami- daux, six observations de dégénér
ons postérieurs, quatre faits de dégénérescense des deux espèces de
faisceaux
, un cas d'hydromyélie, soit 5B p. 100 d'altérat
escence de la moitié du nerf optique droit; ici il y a intégrité du
faisceau
droit non entre-croisé, dans le chiasma et la ban
ou si elle constitue une seconde voie motrice adjacente à celle des
faisceaux
pyramidaux. P. K. XXIV. DEUX ALTÉRATIONS REMARQ
vants, seuls vrais, d'après lui, I. Il y a plus de deux systèmes de
faisceaux
ascendants de la moelle au cervelet. D'abord, l
itie des fibres des cordons latéraux. Il. Il existe des systèmes de
faisceaux
descendants du cervelet. D'a- bord, le faisceau
te des systèmes de faisceaux descendants du cervelet. D'a- bord, le
faisceau
spinal du pédoncule cérébelleux moyen, qui entre,
5, 107) et les zones voisines de la formation réticulaire. Puis, le
faisceau
unissant les noyaux du toit cérébelleux avec les
GIE pathologiques. rieures; de ces olives part, vers le cerveau, le
faisceau
central de la cas lotte de Bechterew qui prend
atéraux. Il s'agirait dans - le cas présent d'une altération de ces
faisceaux
dans la région dorso-lombaire. Le membre infé
es, dont l'ascendante se localise dans le cordon de Goll et dans le
faisceau
direct du cer- velet du côté de la section (gau
ion a été coupée toute la moitié gauche de la moelle épinière et le
faisceau
antérieur du côté droit a été un peu touché (il
té de fibres dans l'angle le plus antérieur et le plus intérieur du
faisceau
antérieur : donc le cobaye n° 15 qui a subi une h
(la première est destinée à l'ourlet et aux nerfs de Lancisi), à un
faisceau
qui tantôt passe au-devant de la commissure bla
ère (ce cas m'a paru le plus fréquent), et va à la rencontre d'un
faisceau
également volumineux qui vient du pilier antéri
is même ils sont directement reliés à ce niveau par des échanges de
faisceaux
blancs'. 1. - Pour terminer ce chapitre, je n
eurs de la circonvolution godronnée ; le ruban péri-optique et le
faisceau
sphénoïdal; les pédoncules olfactifs rachidiens
ns par la bande dia ! Jo- nale d'abord avec la moelle prolongée. Un
faisceau
médullaire, qui prend très probablement son ori
uée par les piliers du trigone (bandelettes olfactives), dont les
faisceaux
s'entre-croisent en partie (chiasma olfactif).
ties ventriculaires ont lieu précisément entre lui et l'ensemble de
faisceaux
et de membranes que nous avons présentées comme
Les barbes du calamus sont, non pas, comme le croit Monakow, des
faisceaux
secondaires de l'auditif, mais des trousseaux qui
u même côté, dans la substance blanche de laquelle ils forment deux
faisceaux
séparés. M. BAGINSKY. Note sur la coloration de
t entraîne une dégénérescence secondaire de la couche optique et du
faisceau
latéral du pédoncule cérébral. Le mémoire sera
le produit de décomposition des fibrilles. P. KERAVAL. XXXII. Du
FAISCEAU
ANORMAL DU BULBE DE HENLE ET PICE; parK. SCDAF-
FAISCEAU ANORMAL DU BULBE DE HENLE ET PICE; parK. SCDAF- FER. - Des
faisceaux
anormaux du bulbe; par P. I(noNTUAL. (Neurol. C
I(noNTUAL. (Neurol. Centralbl., 1890.) Tout ce que Pick a dit du
faisceau
de Henle et du sien est vrai, excepté quant à l
isceau de Henle et du sien est vrai, excepté quant à l'origine. Son
faisceau
vient non des derniers ves- tiges des cordons l
ite des fibres arciformes postéro-externes qui viennent du noyau du
faisceau
de Goll, il reçoit des fibres émanées du noyau
noyau du faisceau de Goll, il reçoit des fibres émanées du noyau du
faisceau
de Burdach. Voici des coupes du bulbe d'un indi
thal.) Au milieu du noyau d'origine de l'hypoglosse ressorlent deux
faisceaux
(techniques de Weigert) cylindriques. Le plus v
ation plus profonde dans la substance nerveuse. Plus haut, ces deux
faisceaux
se rapprochent et fusionnent en un cordon dont
nt à divers systèmes : Il 0 ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. A. Des
faisceaux
de fibres blanches fines allant au ruban de Reil
THOLOGIE MENTALE. 411 et peut-être aussi des fibres qui coupent les
faisceaux
de la cou- ronne rayonnante. Endartérite circon
ostérieurs des deux côtés. Atrophie excessive du noyau d'origine du
faisceau
grêle du côté opposé; atrophie marquée de la gr
loppement. Les insulas ne sont qu'incom- plètement recouvertes; les
faisceaux
pyramidaux sont, des deux côtés, dans le bulbe,
Max Simon, 442 ; - Les morphinomanes, par Guimbail, 443. Bulbe,
faisceaux
anormaux du , par Schaffer, Kronthal. 399. Bu
ONDAIRES DE LA MOELLE; Par le D Mabtial HUBLÉ La connaissance des
faisceaux
moteurs, notamment celle du faisceau pyramidal,
l HUBLÉ La connaissance des faisceaux moteurs, notamment celle du
faisceau
pyramidal, a été remarquablement éclairée par l
ard, Flechsig, Brissaud, etc., sont arrivés à suivre entièrement ce
faisceau
dans sa distribution. C'est à l'appui de ces po
en avons observé : 1 G. Le Blat. Rech. anatom. et cliniques sur le
faisceau
sensitif. DES ZONES cérébrales motrices. 33 1
sphère, produisent ordinai- rement des dégénérations secondaires du
faisceau
pyramidal. On explique plus facilement encore q
qzie); lésion dégénérative secon- duire du pédoncule cérébral et du
faisceau
pyramidal correspon- dant ; hémiplégie motrice
évidemment prises de dégé- nération secondaire. La lésion occupe le
faisceau
pédonculaire moyen qui, parsa couleur gris-perl
e distingue de la façon la plus nette du tissu nerveux environnant (
faisceaux
interne et externe) : l'altération semble toute
ne) : l'altération semble toutefois empiéter sur quelques fibres du
faisceau
interne; elle affecte une forme régu- lière, un
anche des hémi- sphères sont le trajet et le rôle physiologique des
faisceaux
nerveux constitués par l'épanouissement des péd
, si l'on se rappelle que, plus loin encore que cette capsule, « le
faisceau
pyramidal peut être poursuivi jusque dans l'épa
ulbo-spinal, par l'inter- médiaire du trajet intra-encéphalique des
faisceaux
pyramidaux. Important donc est le fait de l'int
même titre que les myélites primitives des cordons latéraux ou des
faisceaux
de Tiirck) ; 5° Qu'une lésion en foyer du centr
respectant la capsule interne, une dégénérescence bien constatée du
faisceau
pyramidal, ce qui est plus fréquent lors- qu'il
subaiguë avec quelques altérations des cornes postérieures ou des
faisceaux
radiculaires postérieurs. P. K. 78 revue DE pat
l'intermédiaire des tractus nerveux dont le trajet se fait dans le
faisceau
pyramidal ou par leur passage dans les voies co
le ganglion médian du tubercule mamillaire, d'où part un se- cond
faisceau
qui, confondu pendant une certaine étendue avec
cond faisceau qui, confondu pendant une certaine étendue avec le
faisceau
de Vicq d'Azyr, affecte un trajet médian par rapp
re dans l'étage supérieur des pédoncules cérébraux (calotte) : Ce
faisceau
de la calotte des tubercules mamillaires ne doit
alotte des tubercules mamillaires ne doit pas être confondu avec le
faisceau
de la calotte de Meynert nommé par de Gudden pé
que l'on peut suivre à la base de l'encéphale, en arrière, entre le
faisceau
de Meynert et le pédoncule cérébral. Enlevez un
ez un hémisphère cérébral à un lapin, vous obtiendrez l'atrophie du
faisceau
de l'hémisphère qui se rend au tubercule antéri
hémisphère qui se rend au tubercule antérieur de la couche optique,
faisceau
dont le trajet n'est pas encore empreint d'une
oupe de cellules nerveuses du tubercule antérieur correspondant, du
faisceau
de Vicq d'Azyr, du ganglion médian du corps mam
isceau de Vicq d'Azyr, du ganglion médian du corps mamillaire et du
faisceau
de la calotte qui en part. Mais l'ablation d'un
sans le corps strié, n'entraîne jamais la dispa- rition de tout le
faisceau
de Vicq d'Azyr, notamment dans le voi- sinage i
Archives, t. XL 7 98 SOCIÉTÉS SAVANTES. Irai postérieur dépend du
faisceau
deVicqd'Azyr, il disparait avec ce dernier. Mai
al antérieur, qui en est indépendant, persiste; il est le centre du
faisceau
de la calotte qui demeure conservé pour cette r
e qui demeure conservé pour cette raison. Pour faire disparaître le
faisceau
de la calotte, il faut, après avoir énucléé un
rronée. Après l'ablation d'un hémis- phère, disait M. de Gudden, le
faisceau
de la calotte s'atrophie aussi, il n'en reste q
lle du nerf lui-même. Le ganglion ventral postérieur meurt après le
faisceau
de Vicq d'Azyr correspondant; celui de l'autre
trophie parallèle des trous- seaux de fibres correspondantes de son
faisceau
de la calotte. Par conséquent, le faisceau de l
s correspondantes de son faisceau de la calotte. Par conséquent, le
faisceau
de la calotte du corps mamillaire est au milieu
ceau de la calotte du corps mamillaire est au milieu par rapport au
faisceau
de Vicq'd'Azyr, il accompagne ce dernier pendan
long trajet, puis s'infléchit en arrière ets'en- trecroise avec le
faisceau
de Meynert,qui unit le ganglion del'habe- nula
udden'. Il n'est pas exact, comme l'avait annoncé de Gudden, que le
faisceau
de Meynert soit croisé sur le côté par le faiscea
e Gudden, que le faisceau de Meynert soit croisé sur le côté par le
faisceau
de la calotte ; l'entrecroisement a lieu sur la
ticales et transversales d'encéphales de la- pins, on voit ces deux
faisceaux
, s'avançant en arrière entre les faisceaux de M
pins, on voit ces deux faisceaux, s'avançant en arrière entre les
faisceaux
de Meynert, laisser de côté les racines de l'ocul
commun, subir un commencement de dissociation lissurale de par les
faisceaux
d'entre-croisement à la calotte, former une série
s assez volumineux placés à côté du raphé, sur la face ventrale de»
faisceaux
longitudinaux postérieurs. Dans la même région,
longitudinaux postérieurs. Dans la même région, mais sur le dos du
faisceau
longitudinal postérieur, il y a deux ganglions
récité entraine la mort du gan- glion placé sur la face ventrale du
faisceau
longitudinal posté- rieur, en arrière du grand
ère du grand entrecroisement de la calotte ; en même temps meurt le
faisceau
de la calotte. L'ablation d'un hé- misphère cér
ntérieure de la couche optique, détermine l'atrophie des tractus du
faisceau
de la calotte situés inférieurement, ainsi que
ue de la portion ventrale du ganglion qui occupe le plan ventral du
faisceau
longitudinal postérieur. (Voyez supra l'atrophie
Gudden propose de donner son nom au ganglion situé sur le ventre du
faisceau
longitudinal postérieur ; le faisceau de la cal
nglion situé sur le ventre du faisceau longitudinal postérieur ; le
faisceau
de la calotte, dont le commencement avait du rest
Quant aux piliers antérieurs du trigone, ils se composent de trois
faisceaux
: un inférieur(postérieur) entrecroisé ; un latér
ésente des anomalies uniques constituées gi-osso )a0(GO par d'épais
faisceaux
de fibres affectant d'abord une direction trans
ci existe une aire claire, sorte d'éventail constitué par de larges
faisceaux
de fibres nerveuses transversales qui, en ellet
, trigone) présente une lacune très prononcée, le développement des
faisceaux
pyra- midaux et des cordons de Goll souffre un
ait sem- blable à celle qu'on observe dans des cas de lésions des
faisceaux
latéraux de la moelle épinière. Cette tré- pida
use ou incomplètement systématisée qu'avec celle d'une sclérose des
faisceaux
postérieurs; mais les autres symptômes et la ma
u de les tous réunir (comme nous essayons de le faire) en un seul
faisceau
. C'est du reste un travail beaucoup plus ana- t
pposé, fournissant ainsi à la moitié nasale de la rétine : c'est le
faisceau
croisé. L'autre, pluspetite, ne s'entre-croise
ême côté, fournissant à la moitié temporale de la rétine : c'est le
faisceau
latéral. Chaque rétine reçoit dans des fibres n
e nerf optique contient des fibres destinées aux deux rétines. Le
faisceau
interrétinien d'Hanover est purement imagi- nai
ultanément sur les côtés du chiasma, produira, en altérant les deux
faisceaux
latéraux, l'hémianopsie nasale dans les deux ye
ra l'hémianopsie temporale dans les deux yeux, en altérant les deux
faisceaux
croisés. 7. Toutes ces lésions peuvent s'accomp
tion pariétale ascendante. Elle avait pénétré de façon à léser le
faisceau
optique dans son trajet vers le coin (fig. 1). ).
centes au sujet de la localisation du centre visuel cortical et des
faisceaux
blancs en connexion avec lui ? Les idées de Mun
e d'un centre visuel cortical dans le gyrus angularis. C'est que le
faisceau
optique de Gratiolet et Wernicke, dans son traj
même du lobule pariétal inférieur, atteint presque certainement le
faisceau
optique et coupe ainsi toute communication entr
dinale, après durcissement dans le bichromate de potasse, montre le
faisceau
optique visible sous l'aspect d'une bande blanc
nale peuvent aisément pénétrer assez profondément pour altérer ce
faisceau
. Il me semble qu'avec ces données anatomiques,
a rétine aux centres visuels représente une seconde décussation des
faisceaux
laté- raux à travers les tubercules quadrijumea
t accompli un certain trajet dans la capsule interne, les fibres du
faisceau
latéral croisent encore la ligne médiane de faç
nt dans la substance blanche de la portion occipitale du cerveau un
faisceau
homo- gène qui passe le long des fibres du corp
S., nerf optique gauche.-N. 0. 17., ncif optique droit. - F. C. S.,
faisceau
croisé gauche. - F. C. 1)., faisceau croisé dio
cif optique droit. - F. C. S., faisceau croisé gauche. - F. C. 1).,
faisceau
croisé dioit. - C.. chiasma ou décussation des fa
- F. C. 1)., faisceau croisé dioit. - C.. chiasma ou décussation des
faisceaux
croi- sés. - T. 0. 1). , bandelette optique dro
e, le coi l)s geiiotiillê latéral et le pulvinar d'un coté. - F. 0.
faisceau
optique de Gratiolet dans la capsule interne. C.P
evra se contracter à la lumière, lorsqu'il y aura interruption d'un
faisceau
optique. Il désigna ce fait sous le nom de « réac
la lésion de la partie postéro-latérale de la couche optique ou du
faisceau
postérieur de division de la capsule interne.
us-jacente, pénétrant assez profondément pour léser ou comprimer le
faisceau
optique dans son trajet en arrière vers le cent
pressé, ne répond pas, mais se contracture par le frottement de son
faisceau
sternal ou claviculaire; les membres supérieur
es A la connaissance des VOIES d'union DU CERVELET ET au trajet DES
faisceaux
grêles ET cunéiformes; par P. EJAS (i1'Ch. f. P
nte-quatorzième jour après l'extraction du cordon grêle droit et du
faisceau
cunéiforme du même côté à la hauteur de leurs n
u même côté à la hauteur de leurs noyaux : ablation complète de ces
faisceaux
, presque complète de leurs noyaux ; 2° rat tué
cule cérébelleux inférieur. Proviendrait principalement du noyau du
faisceau
cunéiforme. 11 est en tous cas probable que certa
tre le cervelet et le cerveau, on ferait mieux de penser aux autres
faisceaux
, au pédoncule cérébelleux moyen ; mais l'expérien
pêchent tout autre atrophie au sein de ce pédoncule. B. Trajet du
faisceau
grêle. Il prend part à la formation des cordons
formation des cordons postérieurs d'une façon plus saillante que le
faisceau
cunéiforme. 11 prend une part importante à la f
possible d'en déterminer la quotité. Les mêmes fibres arciformes du
faisceau
grêle et leurs prolongements dans la couche int
édiaire des olives s'atrophient, et après l'extirpation du noyau du
faisceau
grêle et après l'extirpation de l'écorce du lobe
s dès qu'on a dépassé le corps trapézoïde. Les libres arciformes du
faisceau
grêle ne sont pas en connexion avec les olives
e sont pas en connexion avec les olives inférieures. C. Trajet du
faisceau
cunéiforme. Il ne participe pas à la formation
formation du corps restiforme. La partie supérieure du noyau de ce
faisceau
donne naissance à la partie interne du pédoncul
partie interne du pédoncule cérébelleux inférieur. Les rapports du
faisceau
cunéiforme et du noyau de Dehors (externe de l'a-
est en relation avec le cordon latéral. il est très probable que le
faisceau
cunéiforme possède des fibres commissurales lon
de rien dire quant aux relations de ces dernières avec le noyau du
faisceau
en question : nous tendrions à REVUE D'ANATOMIE
PHYSIOLOGIE. 237 rejeter cette dernière connexion-là. Les fibres du
faisceau
cunéiforme ne sont pas en connexion avec les ol
es centres optiques primaires, la zone As plus de rapports avec les
faisceaux
du nerf optique entrecroisés, la zone A2, avec
ec les faisceaux du nerf optique entrecroisés, la zone A2, avec les
faisceaux
du nerf optique non entrecroisés; la zone A' est
recroisés; la zone A' est pro- bablement en connexion avec les deux
faisceaux
d'une manière assez égale. L'atrophie des centr
ne de la sphère visuelle entraîne l'atrophie de toute l'étendue des
faisceaux
conducteurs jusqu'au nerf op- tique sans intére
oyaux des nerfs crâniens, sinon tous, reçoivent d'autres tractus du
faisceau
longi- tudinal postérieur. Jusqu'au septième mo
tudinal postérieur. Jusqu'au septième mois de l'époque foetale, ce
faisceau
ne peut être suivi en avant, sur les côtés du tro
ces fibres affectent une direction latérale et inférieure); avec le
faisceau
longitudinal postérieur,ainsi qu'avec des fibre
es ainsi atrophiés sont assez abondants, et constituent parfois des
faisceaux
entiers. A côté de ces fibres, il en est d'autr
on des cellules, l'irritation ainsi provoquée peut descendre par le
faisceau
pyramidal et arriver aux racines antérieures :
qu'elles doivent être rapportées à l'excitation des irradiations du
faisceau
pyramidal au niveau du foyer de ramollissement.
aires, par la dispa- rition parfois complète de la myéline dans les
faisceaux
scléro- rés, la sclérose tabétique se rapproche
psychoses, 443. Face (tic de la et élongation du facial), 441.
Faisceaux
grêles et cunéiformes, 234. Folie aiguë morte
éjerine, 78. MY% me, par Harhnann, 84. Nerfs crâniens (trajet des
faisceaux
centraux des), par Edinner, 313. Nerveux (str
ésion siège soit sur les circonvolutions ro- landiques, soit sur le
faisceau
moteur qui partant de ces centres se dirige ver
isphérique est toujours du côté opposé à l'hémiplégie, parce que le
faisceau
moteur cérébral s'entrecroise au niveau du bulbe
le pathétique). Or, au niveau des noyaux de ces nerfs se trouve le
faisceau
moteur cérébral, ou faisceau pyramidal qui n'a
u des noyaux de ces nerfs se trouve le faisceau moteur cérébral, ou
faisceau
pyramidal qui n'a pas encore effectué son entre
protubérance ou du bulbe, peut donc tout à la fois intéresser et le
faisceau
pyramidal non encore en- trecroisé, et l'un des
tantes, on pourra rencontrer, soit : dans le bulbe, une lé- sion du
faisceau
pyramidal non encore entrecroisé, et du nerf hypo
intra-bulbaire ; dans la protubérance, une lésion intéres- sant le
faisceau
pyramidal et le noyau ou le nerf du facial, ou en
externe ; dans le pédoncule, une lésion atteignant simultanément le
faisceau
pyramidal (le pied) et le nerf moteur oculaire
a lésion siège dans le bulbe, au niveau des olives, et intéresse le
faisceau
pyramidal et l'hypoglosse ? L'observation d'un
laissant subsister que quelques vestiges de l'olive, intéressant le
faisceau
pyrami- dal et coupant dans leur trajet intra-b
faisceau pyrami- dal et coupant dans leur trajet intra-bulbaire les
faisceaux
de l'hypo- glosse. (Fig. 2, 3, Il..) L'examen
à la lésion, c'est-à-dire une hémiplégie droite, puisque c'était le
faisceau
pyra- midal gauche qui était lésé au-dessus de
oyer de ramollissement dans la région olivaire gauche, intéressant le
faisceau
pyramidal et les fibres de ^hypoglosse (cas de
ns la partie inférieure de la protubérance atteint simultanément le
faisceau
py- ramidal (qui s'entrecroise à la partie infé
et inférieur, sont paralysés du côté opposé à la lésion, puisque le
faisceau
pyramidal ne s'entrecroise qu'au-dessous de cet
compressive ou destructive atteigne dans le pied du pédon- cule le
faisceau
pyramidal, il vous sera très facile de concevoir
ques auteurs ont revendiqué ces faits pour prouver l'existence d'un
faisceau
spécial, qu'ils dénommaient faisceau de l'aphas
pour prouver l'existence d'un faisceau spécial, qu'ils dénommaient
faisceau
de l'aphasie, et dont les fibres partant de la
de l'aphasie mo- trice dans ces cas, de même que je n'admets pas ce
faisceau
spécial de l'a- phasie ; je pense que lorsqu'il
llatérales dans la partie antérieure des bande- lettes optiques, le
faisceau
spécial de niveau, a pu avoir ses fonctions sus
DE WEBER AVEC lIÉnLIOPIE PERMANENTE 15 suspension de la fonction du
faisceau
de la macula et donner lieu à l'ab- sence tempo
profonde, il a égale- ment comprimé la substance blanche, dont les
faisceaux
étaient aplatis, mais non détruits. Ce corps du
' constituant des centres distincts et séparés ? Je ne connais pas un
faisceau
d'observations anatomo-cliniques bien démonstra
raisemblable que le lobe pariétal est surtout en connexion avec les
faisceaux
du sens musculaire» (1). Notre observation est
ction, d'association ou commissurales), mais qu'ils constituent des
faisceaux
mixtes. En face de l'aulorité incontestée qui s
la 90 o CE. ACIIARD ET L. LÉ VI corne postérieure, les fibres du
faisceau
réfléxo-moteur, ainsi que les collaté- rales du
es. Les lésions sont en outre disséminées dans la partie moyenne du
faisceau
de Bur- dach et dans le cinquième du champ post
commissurale devenue plus externe, la partie moyenne et interne du
faisceau
de Burdach, enfin une couche de fibres limitant
nféi ieiue. Sclérose des zones de Lissauer, de la partie moyenne du
faisceau
de Burdach, et du 5* du champ postéro-interue. Lé
servées : la zone cornu-commissurale, la partie interne et moyenne du
faisceau
de Burdach. C. (Méthode de Pal.) Région cervi
upe, qui donne lieu à des bifurcations, émanent les collatérales du
faisceau
réflexo-moteur de cet auteur. Nous venons de vo
de l'enfance; on lit aisément sous la peau leurs insertions, leurs
faisceaux
, leurs reliefs el les méplats qui les séparent.
; le muscle s'épaissit ainsi, augmente de volume, et ses différents
faisceaux
sont comme submergés dans un tissu embryonnaire
ilieu de la por- tion musculaire envahie, on voit çà et là quelques
faisceaux
restés intacts ; d'autres fois le muscle est at
tissu intermusculaire ; celui-ci apparaît d'abord élargi entre les
faisceaux
dis- joints, plus loin il perd de plus en plus
aisseur et finalement il se résout en fines ramifications entre les
faisceaux
musculaires devenus, eux, de plus en-plus épais
ns la zone transitoire, un périmysium externe élargi aux dépens des
faisceaux
musculaires ; les fibres musculaires elles- mêm
llules embryonnaires nombreuses par la prolifération desquelles les
faisceaux
tendineux semblent pressés les uns contre les aut
mme nous l'avons vu plus haut, elles sont dues à l'étranglement des
faisceaux
musculaires par le tissu con- jonctif rétractil
s sont fixés dans l'extension par transformation d'un des puissants
faisceaux
qui entre dans la composition du quadriceps : l
sence de reproduction une fois leur ablation opérée, constituent un
faisceau
de traits propres aux exostoses ostéogénidues, qu
omoplates écartés de la ligne médiane, et limitée, en haut, par les
faisceaux
inférieurs du trapèze, également ossifiés, de sor
veau du cordon de Goll et dans les cordons antérieurs, au niveau du
faisceau
de Turck. ' NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRI
existe une légère sclérose au niveau de la région qu'occuperait le
faisceau
pyramidal croisé, mais là la sclérose est moins a
fibres saines. Dans les cordons latéraux il existe une sclérose du
faisceau
pyramidal croisé. (PI. XXII, D.) Région dorsale
téraux, la lésion est plus diffuse ; elle occupe le terri- toire du
faisceau
pyramidal croisé, celui du faisceau cérébelleux d
elle occupe le terri- toire du faisceau pyramidal croisé, celui du
faisceau
cérébelleux direct, mais moins marquée dans ce
' - Dans les cordons antérieurs, on constate une sclérose nette du
faisceau
py- ramidal direct. Les cellules de la corne
a zone radiculaire antérieure possède beaucoup de fibres saines. Le
faisceau
pyramidal direct est très altéré et la sclérose p
très altéré et la sclérose paraît se prolonger sur le territoire du
faisceau
de Gowers. (PI. XXI, B.) Bulbe. Sclérose des no
sacrée la région cervicale supérieure, occupant les territoires des
faisceaux
pyramidal croisé, cérébelleux direct et faiscea
s territoires des faisceaux pyramidal croisé, cérébelleux direct et
faisceau
pyramidal direct : peut-être même, à la région
dal direct : peut-être même, à la région cervicale, atteint-elle le
faisceau
de Gowers ? " ! C'est là un cas de Maladie de F
celles que l'on ren- contre ordinairement, bien que la sclérose du
faisceau
de Turck ne soit pas signalée dans tous les cas
deux racines) sur une section transversale, on distingue un ou deux
faisceaux
constitués entièrement par des fibres grosses qui
quement les prolongements de la racine antérieure; à côté, d'autres
faisceaux
composés de fibres grosses et petites et provenan
re on ne voit que des os et le long de la ligne médiane courent des
faisceaux
qui commen- cent entre les os frontaux et s'att
icroscopique du cerveau, on constata un manque pres- que complet de
faisceaux
pyramidaux. C'est Flechsig, qui le premier sign
ff décrit dans un cas d'anencéphalie un* arrêt de développement des
faisceaux
antéro-latéraux et aussi de la grande cérébelle
qu'elle ne l'aurait dû être eu égard à de l'enfant ; puis, dans le
faisceau
pyramidal croisé nous avons observé une fissure
t l'existence de la fissure dans la moelle épinière, à l'endroit du
faisceau
croisé (PI. XXIV. C). Un fait très intéressant
connexion entre la cellule pyramidale de l'é- (1) Van GEIIUCIITEY,
Faisceau
pyramidal et maladie de Little. Journal ne Neurol
ew. 8, ruban de Reil. - 9, racines inférieures des trijumeaux.- 10,
faisceaux
pyramidaux (Raymond, Cliniques des maladies du
sales. Il existe des travées épaisses de tissu conjonctif entre les
faisceaux
secondaires et ter- tiaires. En outre, par plac
ullaire en rapport avec une ankylose du genou intéressait aussi les
faisceaux
blancs. (1) Vaslaib, Altérations nerveuses comp
; la diminution de volume portait à gauche et sur l'olive et sur le
faisceau
sous-olivaire. Pour expliquer les atrophies de
partie moyenne est complète; il ne reste de chaque muscle que deux
faisceaux
: l'un costal supérieur et claviculaire, horizont
ortement soudée au reste du cerveau ; on en voit la preuve dans ces
faisceaux
fibreux épais qui recouvrent les couches optiques
provoquer l'hydrocéphalie dans ces cas, on devra considérer que les
faisceaux
fibreux qui vont du tronc cérébral vers la surf
fais- ceau pyramidal ne sont pas encore recouvertes de myéline. Ce
faisceau
offre l'aspect d'une bande claire située au mil
ns antérieurs. Dans notre cas, chez l'enfant qui a vécu 4 jours, le
faisceau
pyramidal qui aurait dû apparaître nettement, m
urait dû apparaître nettement, manquait complètement. A la place du
faisceau
pyramidal du cordon latéral, nous trouvons de deu
la périphérie vers la profondeur et limitée exté- rieurementpar le
faisceau
cérébelleux du cordon latéral. Nous reviendrons
uent tout à fait; à leur place apparaissent seulement les noyaux du
faisceau
de Burdach, la racine spinale du trijumeau, la
don latéral, la racine spinale du trijumeau, le nerf hypoglosse, le
faisceau
longitudinal posté- rieur, le noyau central inf
le nerf hypoglosse, le noyau olivaire, les olives accessoires, les
faisceaux
longitudinaux postérieurs, le noyau central inf
F bral en deux étages la calotte et la base, on n'y trouve point de
faisceaux
accessoires disséminés (PI. XLIV, T) ; en outre
iques étaient très peu développées, outre qu'il ne possédait pas de
faisceaux
accessoires disséminés, le ruban de Reil princi
(Cas I), le ruban de Reil principal était bien développé, mais les
faisceaux
disséminés manquaient; le faisceau interne de la
était bien développé, mais les faisceaux disséminés manquaient; le
faisceau
interne de la couche du ruban de Reil, manquait
u pédoncule, comme nous l'avons déjà men- tionné, manquent aussi.Le
faisceau
accessoire du ruban de Reil et les fais- ceaux
de l'entrecroisement des neifs pathétiques. Absence de pyramides, des
faisceaux
disséminés et accessoires, du faisceau interne
. Absence de pyramides, des faisceaux disséminés et accessoires, du
faisceau
interne accessoire de la couche du ruban de Keil.
° le ruban de Reil peu développé, ouplus exactement, l'absence du
faisceau
interne de la couche du ruban de Reil et de ses f
absence du faisceau interne de la couche du ruban de Reil et de ses
faisceaux
acces- soires (le ruban de Reil principal et la
fibres qui unissent le pont de Varole au cerveau) et l'absence des
faisceaux
disséminés de la couche du ruban de Reil et des
sence des faisceaux disséminés de la couche du ruban de Reil et des
faisceaux
internes accessoires. Passant maintenant à l'ex
eurs et latéraux, ils n'avaient de myéline que sur leurs bords ; le
faisceau
pyramidal du cordon latéral n'était pas dévelop
ulement, les cordons postérieurs sont plus accusés, on voit ici les
faisceaux
de Goll et le faisceau de Bur- dach. Les faisce
térieurs sont plus accusés, on voit ici les faisceaux de Goll et le
faisceau
de Bur- dach. Les faisceaux pyramidaux latéraux
on voit ici les faisceaux de Goll et le faisceau de Bur- dach. Les
faisceaux
pyramidaux latéraux et antérieurs manquent, ainsi
insi que la voie cérébelleuse directe et la racine du trijumeau, le
faisceau
fon- damental du cordon antérieur et du cordon
riphérie cette membrane était recou- verte de myéline. En outre les
faisceaux
antérieurs pénétraient des deux côtés dans la m
e ? ti ornement atrophiée. d. Cas 1-. Moelle allongée. Absence des
faisceaux
de Goll, des pyramides, des olives, de la voie
nerf trijumeau, les voies cérébel- leuses des cordons latéraux. Le
faisceau
de Burdach et le faisceau fonda- mental du cord
cérébel- leuses des cordons latéraux. Le faisceau de Burdach et le
faisceau
fonda- mental du cordon latéral et antérieur pe
s, du système frontal et du système temporal du pont de Varole, des
faisceaux
dissémi- nés de la couche du ruhan de Reil et d
le, des faisceaux dissémi- nés de la couche du ruhan de Reil et des
faisceaux
internes accessoires. II. Si le processus morbi
e épinière seulement et nous ne trouvons dans celle dernière que le
faisceau
fondamental du cordon antéro-latéral et les cor-
ntre certains troubles nerveux et les lésions dés divers centres ou
faisceaux
dont se compose la moelle. Jusque- là, on se bo
allant du rachis au bord spinal du sca- pulum, vestiges de quelques
faisceaux
musculaires trapéziens (PI.XL VIII,E. F.), A no
un sillon profond, large d'un travers de doigt environ, parallèle au
faisceau
claviculaire et allant du rachis à l'acromion ;
culaire et allant du rachis à l'acromion ; il est dù à l'atrophie des
faisceaux
acromiaux du trapèze. - (Dans l'élévation du br
éforma- tion manifeste, caractérisée à droite par la disparition du
faisceau
inférieur du trapèze et la saillie nette du rho
eau de la région lombaire. Au niveau du cou, on voit une saillie du
faisceau
claviculaire du trapèze qui se contracte énergi
re du mastoïdo-huméral s'unit au trapèze supérieur dont il forme le
faisceau
occipito-claviculaire. Quant au trapèze inférieur
nique que la partie de la branche externe du spinal, qui innerve le
faisceau
acromial du trapèze provient des bran- ches du
des bran- ches du plexus cervical. Quand le spinal est paralysé, ce
faisceau
reste in- tact, ce qui suffit, ajoute-t il, à e
lysie de la por- tion moyenne du trapèze. cc Lorsqu'à l'atrophie du
faisceau
inférieur du trapèze, di t Duchenne (1), et des
trophie du faisceau inférieur du trapèze, di t Duchenne (1), et des
faisceaux
qui s'attachen à il la moi Lié in telï1e de l'é
t tellement vrai « qu'il suffit de la conservation d'une portion du
faisceau
acromial du tra- pèze pour empêcher ce mouvemen
me l'a montré Duchenne qui en explique ainsi le mécanisme : 1° Le
faisceau
du deltoïde, qui va de l'empreinte deltoïdienne l
ue de dehors en dedans et d'avant en carrière. En se contractant ce
faisceau
fera donc tourner l'omoplate sur un axe vertical
antpar l'angle externe, et écarter son bord spinal du thorax. 2° Le
faisceau
du deltoïde qui va de l'empreinte delloïdienne à
si oblique de bas en haut et de dedans en dehors. Autrement dit, le
faisceau
deltoïdien qui s'insère à l'épine du scapulum t
rd spinal fixé contre la paroi thoracique, se trouve para- lysé, le
faisceau
deltoïdien en question, privé de son antagoniste,
normalement, sur l'angle inférieur du scapulum, en sens inverse du
faisceau
acromial du deltoïde. Si le muscle grand dentelé
raison de cette différence est facile à comprendre. D'une part, le
faisceau
deltoïdien qui s'insère à l'épine de l'omoplate s
t dans l'élévation en avant que dans l'élévation en de- hors, Or ce
faisceau
a pour fonction de faire tourner le scapulum sur
e premier cas. D'autre part, dans l'élévation du bras en dehors, le
faisceau
acromial du deltoïde agit avec plus de force qu
me paraît moins connu, c'est la contraction indépendante des divers
faisceaux
d'un même muscle. Ces contractions dissociées p
ïdes dans un cas de chorée variable. A. Courbes des contractions du
faisceau
antérieur du deltoïde droit. - B. Courbes des con
aisceau antérieur du deltoïde droit. - B. Courbes des contractions du
faisceau
postérieur du même muscle C. Métronome battant
oi thoracique et fait saillie sous la peau. En appliquant sur les
faisceaux
antérieurs et sur les faisceaux postérieurs du
us la peau. En appliquant sur les faisceaux antérieurs et sur les
faisceaux
postérieurs du deltoïde un tambour myographique
peut se rendre compte de l'alternance des contractions de ces deux
faisceaux
(Fig. 1), qui provoquent des déplace- ments ano
accès aux deux deltoïdes, et la discor- dance des contractions des
faisceaux
de ces muscles. On peut trouver la preuve de l'
lysie du grand dentelé. La contraction, indépendante des différents
faisceaux
des muscles, n'est qu'un cas particulier, en so
ales, en avant et en bas, qui correspondent au grand dentelé et aux
faisceaux
du grand dorsal DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRE
son volume ; on en enlève une portion. 10 jours après, on enlève le
faisceau
musculaire très douloureux du grand dorsal gauc
. La tête est attirée en avant et sur le côté par la contracture du
faisceau
claviculaire du trapèze et par une cyphose de l
a; mais ce schéma n'a rien d'artificiel, chaque ligne y résumant un
faisceau
de lignes naturelles. De ta l'impression de la
- cessus pathologique qui se poursuit. Dans ce cas peu importe le
faisceau
et la localisation; le tube nerveux est le même
n se retrouvait avec des caractères semblables, plus loin, dans des
faisceaux
atteints de dégénérescences descendantes. La
sans atteindre la substance grise. Dégénéres- cence ascendante des
faisceaux
de Goll, de Gowers, et antérieurs; dégénérescen
x de Goll, de Gowers, et antérieurs; dégénérescence descendante des
faisceaux
pyramidaux. Peut-être s'agit-il d'une infection
était impossible. Le forceps minor était complètement détruit, le
faisceau
optique était en grande partie ramolli et dégénér
ero-ex- terne et complètement dégénéré dans sa partie médiane. Le
faisceau
longitudinal inférieur est aussi ramolli dans ses
dinal inférieur est aussi ramolli dans ses parties postérieures; ce
faisceau
important d'association est presque com- plètem
sur les coupes antérieures, mais elle présente une atrophie de ses
faisceaux
. Le fornix gauche présente des signes de dégéné
cation du territoire visuel gauche avec le droit qui est intact. Le
faisceau
longitudinal inférieur qui établit une communic
rectaux; jamais d'ataxie. L'autopsie révèle : une dégénérescence du
faisceau
latéral gauche et du faisceau anté- rieur droit
topsie révèle : une dégénérescence du faisceau latéral gauche et du
faisceau
anté- rieur droit dans les pyramides; un foyer
ptique. Le système des fibres, qui relève de celle-ci, contient des
faisceaux
excitateurs et coercileurs; ils servent à transme
s, soit par arrêt d'excitations modéra- trices, soit par action des
faisceaux
et centres excitateurs des pleurs. P. Keraval.
l'auteur, dégage des effluves sédatives. On peut aussi employer un
faisceau
de chiendent qui donne une médecine sociale. 11
n cas pareil. Il avait constaté dans son observation la lésion 'des
faisceaux
de Goll, dans la moelle épinière ainsi que dans
petites hémorragies. M71llç.in constata dans son cas une lésion de
faisceaux
pos- térieurs, surtout auprès de la périphérie
fut constaté le développement très fort du tissu conjonctif dans le
faisceau
de Goll. Dans l'ouvrage de M. le professeur Koj
de Goll, la zone marginale de Lissauer, la voie cérébelleuse et le
faisceau
de Gowers contenaient le plus grand nombre des
Quant au quatrième cas, la lésion était plus remarquable dans le
faisceau
de Burdach, dans celui de Goll et dans la zone
ion de la portion interne des cordons posté- rieurs qui se nomme le
faisceau
de Goll. Un regardant sous divers grossissement
eté des esquisses des cordons de Goll dépend encore de ce que les
faisceaux
de Burdach sont lésés dans le renflement cervical
t cervical très peu comparativement à la région lombaire. Dans le
faisceau
de Burdach, la région qui est adjacente aux rac
ons microscopiques traitées par la méthode de Weigert la lésion des
faisceaux
de Goll se remarque aussi, bien qu'elle ne soit
es colorées par le carmin, de la région du renflement cervical, les
faisceaux
de Goll ont nue autre coloration que le reste d
aux et une congestion. Nous observons ce tableau seulement dans les
faisceaux
de Goll, Fit. 16. Région cervicale. Prépara
Marchi et prises de la région au-dessus du renflement cervical, les
faisceaux
de Goll ont souffert tout autant que ceux du re
ont souffert tout autant que ceux du renflement cervical. Dans les
faisceaux
de Burdach, la quantité des fibres dégénérées est
ach, la quantité des fibres dégénérées est plus grande que dans les
faisceaux
antérieurs et latéraux. A la périphérie de la m
périphérie de la moelle épinière, plus près du bord extérieur du
faisceau
dégénéré de Goll que de l'entrée de la racine pos
ulus g1'acilis. Cette dernière est. la continuation de la lésion du
faisceau
de Goll. Les fibres dégénérées pénètrent à tout
térieurs que la portion antéro-interne ; dans la région dorsale les
faisceaux
posté- rieurs sont altérés plus également et da
ns l'intumescence cer- vicale et plus haut ont souffert le plus les
faisceaux
de Goll et leur continuation immédiate dans le
e de la portion externe des cor- dons postérieurs, c'est-à-dire des
faisceaux
de Burdach, n'est pas égal sur les différentes
Cette diminution est, en général, à peu près égale dans les divers
faisceaux
constitutifs du nerf, mais il arrive quelquefoi
terne; gomme dans les tubercules qua- drijumeaux. P. K. XXIV. LES
faisceaux
sensitifs DE la moelle d'après LES recherches D
que la limite antérieure de la coupe se trouve un peu en avant des
faisceaux
pyramidaux; si la destruction de la partie post
ansversalement, aux noyaux rouges de la calotte ; 3° à la région du
faisceau
longitudinal posté- rieur ; 4° au noyau de l'oc
° d'enlever un centre nerveux des organes centraux ou de couper les
faisceaux
qui sortent de ce centre; dans les cellules ner
a neuvième paire, à droite, n'est que très légère- ment atteint. Le
faisceau
respiratoire est complètement dégénère à droite
érescence légère des noyaux adjacents, ' dégénérescence complète du
faisceau
respiratoire. L'interprétation des faits est ic
ers filets naissent du noyau de l'hypoglosse, et montent le long du
faisceau
respiratoire jusqu'au noyau propre, d'où ils ém
es centres corticaux et les noyaux de la substance grise, jusqu'aux
faisceaux
isolés des muscles. Exagération dans la transmiss
omo-pathologique permet de constater : a). Sclé- rose bilatérale du
faisceau
pyramidal direct et croisé ; b.) Sclérose bilat
du faisceau pyramidal direct et croisé ; b.) Sclérose bilatérale du
faisceau
cérébelleux direct ;c). Sclérose du faisceau de
Sclérose bilatérale du faisceau cérébelleux direct ;c). Sclérose du
faisceau
de Lissauer ; d). Légère sclérose du cordon de
otubérance, en ce lieu où l'on voit passer, en étroit voisinage, le
faisceau
pyramidal et les fibres des nerfs facial et mot
les reliées entre elles par des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. "355
faisceaux
d'association bien exercés et se transmettant les
pupillaire ; la partie droite de la rétine gauche, éclairée par un
faisceau
lumineux réfléchi, provo- quait une contraction
e phénomène podnlzqzte est-il dû à la dégénérescence secondaire des
faisceaux
pyramidaux ? Pas plus que le phénomène du genou
association, etc.; 2° La sphère visuelle est le lieu qui reçoit les
faisceaux
de la cou- ronne rayonnante émanés du corps gen
ion pariétal. 3° La sphère auditive, formée par la continuation des
faisceaux
de la couronne rayonnante émanés du corps genou
x de la couronne rayonnante émanés du corps genouillé interne, du
faisceau
cortical auditif direct, du ruban de Reil latéral
meau antérieur de la capsule, viennent dans le lobe frontal, et les
faisceaux
que le noyau lenticulaire jette dans la calotte
rière; 2° il est plus que probable qu'il faut chercher l'origine du
faisceau
latéro-céréhelleux dans les cellules de Clarke-
périphérique contient dans toute son étendue, avec des fibres de ce
faisceau
, un très grand nombre de tuyaux nerveux myélogè
ent de la moelle, isolé par la section double ; ces longues fibres (
faisceau
de Gowers, faisceau intermé- diaire du cordon l
olé par la section double ; ces longues fibres (faisceau de Gowers,
faisceau
intermé- diaire du cordon latéral de Loewenthal
e Gowers, faisceau intermé- diaire du cordon latéral de Loewenthal,
faisceau
sulcomarginal ascendant de Marie) s'épanouissen
me et les fibres de projection. 11 contiendrait autant de fibres dn
faisceau
subcalleux que de fibres du corps calleux lui-m
rosses fibres sombres. Les fibres minces appartiennentau système du
faisceau
subcalleux; les fibres épaisses sont commissurale
cle du noyau caudé est le point de concours de toutes les fibres du
faisceau
subcalleuxqui proviennent des lobes temporal et
le noyau même des éléments, plus épais et plus sombres que ceux du
faisceau
subcalleux, constituant un système d'associatio
iation unissant entre elles les diverses régions du noyau caudé. Le
faisceau
subcalleux entoure la tête du noyau caudé à la
PATHOLOGIQUES. tance blanche du gynts subcallosus ; là s'y joint un
faisceau
qui, en haut, seconfond avec le segment antérie
ord, une dégéné-' rescence secondaire des cordons de Goll, puis des
faisceaux
pyra- midaux, finalement une dégénérescence des
égénérescence descendante des cordons postérieurs et ascendante des
faisceaux
cérébelleux et du trousseau de Gowers. Des expé
ne dégénérescence ascendante des cordons de Goll et descendante des
faisceaux
marginaux etintermédiaires du cordon latéral (L
l, qu'il se produit en outre le sixième jour, une dégénérescence du
faisceau
latéro-cérébelleux, que le quatorzième jour, il
rafbl., XIV, 1895.) » De ses expériences l'auteur conclut : 1 Les
faisceaux
pyramidaux du chien ne jouent dans la locomo- .
u niveau de la dixième racine dorsale, dégénérescence typique des
faisceaux
pyramidaux croisés jusqu'au-dessous du renflement
grise du même côté et aucune d'elles ne gagnerait le cervelet, le
faisceau
de Stcherbak ne serait pas flocculaire, mais vien
va de l'écorce à la moelle et dont le prolon- gement neural suit le
faisceau
pyramidal, entraîne des symptômes qui correspon
toutes Jes affections qui frappent les neurones qui constituent le
faisceau
pyramidal et l'on sait combien est fréquente ce
nte du prolongement neural de ce neurone, c'est-à-dire la lésion du
faisceau
pyramidal. Eh bien, dans ce cas, le téléneurone
(archineurone) ? Il n'est pas rare d'observer la dégénérescence du
faisceau
pyramidal à la suite des atrophies des neurones
la corne antérieure des neurones dont le cylindraxe remonte dans le
faisceau
pyramidal. On s'explique facilement de la sorte
la sorte les dégénérescences ascendantes de quelques fibres de ce
faisceau
pyramidal dans toute poliomyélite. Mais il y a be
pyramidal dans toute poliomyélite. Mais il y a beau- coup plus; le
faisceau
pyramidal peut dégénérer presque com- plètement
égénérescence limitée à certaines zones des cordons postérieurs, au
faisceau
virgule de Schultze, au centre ovale de Flischi
colonne de Clarke dont les fibres iraient en grand nombre former le
faisceau
cérébelleux direct de Flechsig et dont peut-êtr
irect de Flechsig et dont peut-être quelques-unes se mêleraient aux
faisceaux
de Burdach et de Goll ; tels sont les neurones
Goll ; tels sont les neurones dont les prolonge- ments forment les
faisceaux
de Gowers ou faisceaux céré- belleux ventral de
eurones dont les prolonge- ments forment les faisceaux de Gowers ou
faisceaux
céré- belleux ventral de Loewenthal et de Mott.
s des neurones qui com- mandent les dégénérescences ascendantes des
faisceaux
pyra- midaux, des faisceaux cérébelleux, du fai
ent les dégénérescences ascendantes des faisceaux pyra- midaux, des
faisceaux
cérébelleux, du faisceau de Gowers, ce sont ces
cendantes des faisceaux pyra- midaux, des faisceaux cérébelleux, du
faisceau
de Gowers, ce sont ces lésions qui constituent
apport avec les faits suivants : Dans les scléroses combinées, le
faisceau
pyramidal ne dégénère pas jusqu'à l'écorce et l
inées, le faisceau pyramidal ne dégénère pas jusqu'à l'écorce et le
faisceau
pyramidal croisé est intact. Les zones de Lissa
ur Joffroy chez les paralytiques généraux, sauf une exception où le
faisceau
de Turck était lésé. Mais il est des cas où la
réticulaire qui constituent le prolongement direct et supérieur des
faisceaux
fondamentaux des cordons antérieurs et latéraux d
tout près de l'entre-croisement des pyra- mides, l'angle latéral du
faisceau
pyramidal, et, dans cet angle, continuent à se
ue voici : plus latéraux sont les plans qu'elles occu- pent dans le
faisceau
pyramidal, plus tard elles abordent l'entre- cr
s de la corne antérieure de l'autre côté. P. Keraval. LXXVIII. LE
faisceau
CÉftÉBftO-CEftÉBELLEUX croisé; par G. itIINGAZZ1N
travaux récents, de laquelle l'auteur déduit que : il n'y a pas de
faisceau
cérébro-cérébelleux croisé direct. Sans doute,
reçoit aussi des fibres du noyau du pathétique voisin, ainsi que du
faisceau
longitudinal postérieur du bulbe duquel, d'autre
la rétine à l'état de ramuscules terminaux. P. KERAVAL.. LXXXII.
Faisceaux
cérébelleux descendants; par A. BIEDL (Neul'ol.
Le corps restiforme donne naissance à des fibres qui vont aux deux
faisceaux
longitudinaux postérieurs et, s'infléchissant à l
er en bas, en forment les parties constitutives, La dénomination de
faisceau
longitudinal postérieur n'est usitée que jusque
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. question s'appelle
faisceau
radiculaire antérieur. Ici, nous trouvons dans
; on peut les suivre jusque dans la moelle cervicale supérieure. Le
faisceau
lon- gitudinal postérieur du côté lésé se trouv
e, sont la conséquence dés altérations dégénératives, soit dans les
faisceaux
longitudinaux postérieurs, soit dans le cordon
t en arrière, sous les noyaux gris du ventricule et entrent dans le
faisceau
longitudinal postérieur. Les secondes se dirigent
nche réticulaire qui, sur une coupe transverse, est située entre le
faisceau
longitudinal postérieur et l'olive supérieure.
s sont donc représentées dans le bulbe par deux écheveaux. Celui du
faisceau
longitudinal postérieur et le vestige du cordon
ntre le cervelet et le bulbe; les nerfs craniens en rapport avec Je
faisceau
longitudinal postérieur con- tiennent quelques
contiennent aussi des fibres cérébelleuses cen- trifuges. Entre le
faisceau
longitudinal postérieur et le cordon antéro-lat
dans le second des fibres du pre- mier, continuité et analogie. Le
faisceau
longitudinal postérieur joue vis-à-vis des nerf
réalablement extirpé la zone motrice (dégénérescence consécutive du
faisceau
pyramidal), les courants électriques de force m
corps et leur propension à tomber a lieu par suite de la lésion du
faisceau
cérébelleux dans les cordons latéraux de la moe
ébelleux dans les cordons latéraux de la moelle. L'excitation de ce
faisceau
dans la région du vermis, et à l'extrémité centra
opposé tandis que la tête regarde l'épaule correspondante. Donc le
faisceau
cérébelleux des cordons latéraux est un système
19. Symp- tômes des affections - par Krauss, 272. Cérébelleux.
Faisceaux
- descen- dants par Bield, 475. Cérébrale, 'l
avec hémianesthésie, par illaclcay, 287. CÉRÉBRO-CÉltEl3E[,LI'UX.
Faisceau
croisé, par 111mgazzini, 473. Cenenno-semo..
suc gastrique chez les -, par Agostini, 484. Equilibre. Rôle des
faisceaux
grêles et cérébelleux dans la fonction de l ?
e la de Bernhardl à la cuisse, pat Freud, 389. . Sensitifs. Les
faisceaux
de la moelle d'après les recherches d'llolzin
on origine il se disperse à la surface du néoplasme sous forme d'un
faisceau
étalé de fibrilles grêles. Le facial et l'acous
érieurs, lésion des cordons postérieurs exclusivement au niveau des
faisceaux
de Goll avec prédominance très nette de dégénér
protubérance au niveau de la racine ascendante du trijumeau et du
faisceau
intermédio-latéral, si l'on admet que ce faisceau
u trijumeau et du faisceau intermédio-latéral, si l'on admet que ce
faisceau
fasse partie du système sympathique médullaire.
e, et quand on considère que dans l'état actuel de la science les
faisceaux
vaso-moteurs qui se rendent au cerveau sont préci
t; on en vint à parler de dégénérescence protopathique primilive du
faisceau
pyramidal croisé, invoquée d'abord par Charcot
admettait la possibilité de la sclérose primitive et symétrique des
faisceaux
latéraux de la moelle épinière et demandait le co
aire, deutéropathique ou bien associée à des altéra- tions d'autres
faisceaux
de la moelle. Le tabes spasmodique étant rayé d
.Marie qui lui assigne comme lésion l'absence de développement du
faisceau
pyramidal et comme étiologie la naissance avant t
illon, d'Otto, de Déjerine, montre que l'arrêt de développement des
faisceaux
pyramidaux est toujours sous la dépendance d'une
soit REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Où achevé le développement des
faisceaux
pyramidaux ne présentent pas de rigidité spasmo
nce, que des autopsies enfin ont montré le parfait développement du
faisceau
pyramidal chez des enfants atteints de maladie
ant avec une dégénération primitive ou un arrêt de développement du
faisceau
pyramidal. Ce qu'on a décrit sous les noms de m
rigidité musculaire il se refuse à voir dans la sclérose isolée du
faisceau
pyramidal son explication suffisante et rappela
onnaires des cornes antérieures de la moelle sans participation des
faisceaux
blancs latéraux ou des fais- ceaux pyramidaux,
in nombre de noyaux bulbaires sans la moindre trace de sclérose des
faisceaux
blancs. Les négations de Vulpian, REVUE DE PATH
ions spasmodiques ne sont pas sous la dépendance de la sclérose des
faisceaux
pyramidaux, cela ne devait pas lui permettre de
consiste à dire : dans les cas de contracture posthémiplégique le
faisceau
latéral du côté contracturé est en état de dégéné
La réponse à la première question est donc facile; la lésion des
faisceaux
pyramidaux n'est pas responsable des manifestatio
lgré leur état spasmodique, l'existence d'une dégénération de leurs
faisceaux
pyramidaux. Dl' G. Gsvr. III. Synergies fonciio
ales et cervicales ; une alté- ration dans les parties internes des
faisceaux
de Goll et dans la zone radiculaire des colonne
on siège est dans les cellules des cornes anté- rieures et dans les
faisceaux
pyramidaux. Sa lésion anato- mique est une sclé
musculaire encore, mais plus pure, type Aran-Duchenne, non liée aux
faisceaux
pyramidaux, donc sans exagération des réflexes
tendineux; c'est la poliomyélite chronique seule sans sclérose des
faisceaux
pyramidaux; c'est une autre espèce d'atrophie m
utopsie nous intéresse seule; elle nous montre : 1° la sclérose des
faisceaux
postérieurs de la moelle; 2° des plaques fibreu
urquoi soustraire à la sclérose multiple disséminée la sclérose des
faisceaux
médul- laires postérieurs alors qu'on lui attri
ssus inflammatoire et succédant soit aux dégénérations secondaires (
faisceaux
pyramidaux) soit aux lésions primitives du pare
rieures et la corne postérieure gauche. Dégénérescence mar- quée du
faisceau
pyramidal croisé et du faisceau antérolatéral des
gauche. Dégénérescence mar- quée du faisceau pyramidal croisé et du
faisceau
antérolatéral des- cendant gauches. Ces cas mon
ch. XXIII. p, 397.) confirmé, dit-il, par Biedl, d'après lequel le
faisceau
pyramidal des cordons latéraux n'appartient pas e
pas exclu- sivement au grand trajet musculo-motuur entrecroisé. Ce
faisceau
latéro-pyramfdal contient aussi des fibres non
s la topographie des lésions médullaires tabétiques par rapport aux
faisceaux
de fibres nerveuses des cordons postérieurs et
ces travaux ont montré que les cordons postérieurs se composent de
faisceaux
distincts et isolés, dont l'autonomie égale cel
t de faisceaux distincts et isolés, dont l'autonomie égale celle du
faisceau
pyramidal ' Cl. Philippe. Contribution il l'élu
iuaug. Paris, 1897.) )8 : 2 . PATHOLOGIE NERVEUSE. croisé, ou du
faisceau
cérébelleux direct par exemple. Ces faisceaux é
VEUSE. croisé, ou du faisceau cérébelleux direct par exemple. Ces
faisceaux
étant bien connus, il suffit de repérer sur chacu
ue, séparé de son centre trophique, dégé- nère. » Supposons donc un
faisceau
de fibres nerveuses com- plètement séparé de sa
forme d'une tache dite scléreuse, facile à distin- guer des autres
faisceaux
restés sains. La méthode des dégé- nérations se
qui permet de suivre la topographie, le trajet, les connexions d'un
faisceau
nerveux ; elle est précieuse surtout avec la te
s. De même, supposons un foyer de myélite transverse : cer- tains
faisceaux
des cordons postérieurs vont être remplacés par
r des taches scléreuses, au-de-sus ou au-dessous de la lésion ; ces
faisceaux
seront situés en dehors des champs dits radicul
its radiculaires (fibres des racines postérieures); ce seront des
faisceaux
endogènes, ascendants ou descendants, suivant la
normale qui nous occupe. Il nous faut examiner successivement : les
faisceaux
exogènes (fibres radiculaires postérieures, fib
res postérieures, fibres centripètes du protoneurone sensitif), les
faisceaux
endogènes (libres intrinsèques, fibres de cordo
faisceaux endogènes (libres intrinsèques, fibres de cordons). 1°
Faisceaux
exogènes des cordons postérieurs de la moelle h
sceaux exogènes des cordons postérieurs de la moelle humaine. - Ces
faisceaux
constituent les champs dits radiculaires. Pour
puis, nous ferons la synthèse de ces trajets. Nous aurons ainsi les
faisceaux
exo- gènes ou les champs radiculaires des cordo
elle suit le cordon postérieur. Au niveau du sillon collatéral, son
faisceau
à fibres grêles occupe la zone dite de Lissauer
eau à fibres grêles occupe la zone dite de Lissauer, tandis que son
faisceau
à grosses fibres se place tout contre le bord i
devenu une bandelette à cause des pressions subies au contact des
faisceaux
voisins ; cette bandelette, comme le disait déjà
ne distance du sillon médian postérieur dont il reste séparé par un
faisceau
spécial, endo- gène (b). Ce vaste espace est oc
térieure qui pénètre à ce niveau ; en a (zone cornu-radiculaire) le
faisceau
à grosses, fibres, de la même racine, se dispos
régions sacrée et lombaire; mais il faut noter l'interposition d'un
faisceau
spécial, dit virgule de Schulre, que nous aurons
la moelle cervicale. Les anciens auteurs désignaient sous ce nom un
faisceau
de substance blanche, individualisé à partir de
remplir l'espace laissé libre par les triangles lombo-sacrés. 2°
Faisceaux
endogènes des cordons postérieurs de la moelle
pas en entier ; ils respectent' certaines zones remplies par les
faisceaux
endogènes. Dans cette étude des faisceaux endog
zones remplies par les faisceaux endogènes. Dans cette étude des
faisceaux
endogènes des cordons postérieurs de la moelle
yons qu'il est permis de distinguer dans le cordon postérieur, deux
faisceaux
endogènes : l'un descendant, le plus important,
gènes : l'un descendant, le plus important, l'autre ascendant. Le
faisceau
endogène descendant du cordon postérieur existe
érieure est souvent renflée (fig. 9). Dans la région lombaire, le
faisceau
endogène descendant se place de chaque côté du
peu effilée à ses deux Fig. 9 destinée à montrer la topographie du
faisceau
endogène descen- dant dit « virgule de Schulze
ie du faisceau endogène descen- dant dit « virgule de Schulze ». Ce
faisceau
apparaît, dans chaque moitié du cordon postérie
nner sa vraie signification (l'tg. 5, 6). Dans la région sacrée, le
faisceau
descendant reste situé tout contre le sillon mé
continuité entre la virgule de Schultze (portion cervico-dorsale du
faisceau
endogène descendant), et le centre ovale de Fle
vir- gule de Schulze et avant que ne commence le centre ovale. Le
faisceau
endogène descendant du cordon postérieur existe
érieur existe donc dans toute la hauteur de la moelle. Comme tout
faisceau
commissural, il reçoit et perd des fascicules à c
- Cette figure est destinée à montrer la forme et les dimensions du
faisceau
endogène descendant, dit « faisceau triangu- la
r la forme et les dimensions du faisceau endogène descendant, dit «
faisceau
triangu- laire médian » de la "ég-ion sacrée in
LOCALISATIONS MÉDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 191 J postérieure. Ce
faisceau
endogène descendant contient donc, à tous les é
iphé- rique, est ainsi projeté à tous les étages de la moelle. Le
faisceau
endogène ascendant des cordons postérieurs para
tes, sur le point de pénétrer dans ia moelle ; B, zone de Lissauer (
faisceau
grêle) ; C, corne postérieure et son réseau plexi
: E, commissure grise ; F, colonnes de Claire. Zones radiculaires (
faisceau
à grosses fibre*). - En a, zone cornu-radiculaire
ostérieurs). Zones endogènes. - En b, zones endogènes descendantes (
faisceau
triangulaire mé- dian, centre ovale, bandelette
1 e, 1, lG, 1 i. Ces figures sont destinées a montrer la prise des
faisceaux
endogènes, descendants ou ascendants, au cours d'
Fig. 14 (point d'cntrée (le I.l cinquip.me ¡'.lClne flcl'éc). - Le
faisceau
triangulaire médiau (b) est décoloré, presque a
ine cervicale). La virgule de Schulze (6) n'existe plus à l'état de
faisceau
compact. radiculaire. Au niveau des racines, il
ent les fibres endogènes. Ainsi, sur une moelle de tabes avancé, le
faisceau
endogène descendant est pris dans toute la haut
au endogène descendant est pris dans toute la hauteur de la moelle (
faisceau
triangulaire médian, centre ovale, bandelette p
mais à un degré moindre et plus tardivement. Cet envahissement des
faisceaux
endo- gènes, à une période plus ou moins avancé
ndogènes. Nous pouvons cependant conclure que cet envahissement des
faisceaux
endogènes est assez constant, assez généralisé
ment justifiée par l'importance anatomo-physio- logique de ce grand
faisceau
des fibres radiculaires longues (lombo-sacrées
corps granuleux, soit en plein cordon de Burdach, soit au niveau du
faisceau
de Goll, et ces corps granuleux occupaient les
de lui. - 6° Il en est de même pour les fibres radicu- laires ; les
faisceaux
latéraux sont destinés au droit supérieur et à
ux sont destinés au droit supérieur et à l'oblique inférieur ; 'les
faisceaux
médians, au droit interne, au droit inférieur,
l'autre côté, paraissent occuper les parties latéro-antérieures du
faisceau
longitudinal postérieur, sur le côté du noyau d
aralysie spinale spastique. Il s'agit là de lésions intéressant les
faisceaux
pyramidaux qui ont existé avec leur développement
i montrent que la lésion ne s'est pas exclu- sivement localisée aux
faisceaux
pyramidaux ; on pourrait les réu- nir provisoir
avait aucune lésion du cerveau ni de la moelle, en particulier des
faisceaux
pyramidaux. Après avoir éliminé l'hypothèse d
alement chez ces derniers une dégénération de la substance blanche (
faisceau
de Burdach) avec raréfaction de la myéline. A l
e péri- vasculaire. La moelle paraît légèrement atteinte dans les
faisceaux
descen- dants, la région antéro-latérale et le
de tous les systèmes de ses libres de ce côté. La dégénérescence du
faisceau
longitudi- nal postérieur ne va pas loin; ce sy
tion des pyramides ; il est très possible qu'elles appartiennent au
faisceau
dit déclinant t (M onako tU) , La voie centrale
n ascendante ; dans la couche interolivaire se trouvent aussi des
faisceaux
isolés, dégénérés dans la direction descendante;
faisceaux isolés, dégénérés dans la direction descendante; mais ces
faisceaux
, d'après l'avis du rapporteur, appartiennent au s
ceaux, d'après l'avis du rapporteur, appartiennent au sys- tème des
faisceaux
pyramidaux. En direction descendante se dégé- S
n direction descendante se dégé- SOCIÉTÉS SAVANTES. 345 nèrent le
faisceau
médian supplémentaire du ruban de Reil et la pa
dian supplémentaire du ruban de Reil et la partie principale de ces
faisceaux
, que l'on nomme disséminés. Ces faisceaux dissé
partie principale de ces faisceaux, que l'on nomme disséminés. Ces
faisceaux
disséminés contiennent des fibres ascendantes de
res s'achèvent dans l'écorce cérébrale. Les fibres descendantes des
faisceaux
disséminés s'épuisent vers le niveau des région
les cellules situées de son côté potéro-médian concernant le petit
faisceau
des fibres, qui se trouve en dedans du « dorsale
son suivent totalement la direction principale du ruban de Reil. Ce
faisceau
n'a pas de dénomination spéciale ; il est pos-
ulaire des fais- ceaux de Burdach de la partie cervicale ; dans les
faisceaux
de Goll elle est plus faible. En s'abaissant,
nce secondaire. Dans des cas, où la lésion est plus forte, dans les
faisceaux
posté- rieurs on peut voir aussi une dégénéresc
certains endroits se trouvent des accumulations de leucocytes. Les
faisceaux
de filaments névrogli- ques sont fades et prése
e du peaucier est très marquée et on n'y voit que la contraction du
faisceau
médian. Le changement des con- tractions électr
nerveuses afférentes : l'épaisseur de l'organe dépend du nombre des
faisceaux
ascendants et descendants dont les directions o
de l'écorce, centre le plus élevé de terminaison et d'origine des
faisceaux
de projection afférents et efférents. Les gan-
ONVOLUTIONS DU CERVEAU, ETC. 399 de terminaison ou d'origine de ces
faisceaux
dans l'écorce : leur rôle physiologique divers
elles) et où s'arborisent (centres d'association) les fibres de ces
faisceaux
. Pour le mécanisme de coordination dont la comp
complexité morphologique des territoires corticaux d'ori- gine des
faisceaux
centrifuges de projection. Outre les surfaces s
nd directement de la structure et des fonctions de l'écorce ; les
faisceaux
de projection ascendants et descendants sont en
ec la puissance et la diffé- renciation des appareils moteurs ; les
faisceaux
d'association sont l'expression anatomique de l
traversant le collet de la cellule, se présentent sous l'aspect de
faisceaux
rayonnants, et leurs fibrilles se dirigent en p
il existe uue prolifération insolite du tissu conjonctif entre les
faisceaux
et les fibres de nerfs ; les fibres nerveuses s
trouvée aussi bien dans les centres (dégénérescences ascendantes du
faisceau
pyramidal, certains faits de sclérose com- biné
que peut provo- quer une dégénérescence rétrograde, qui s'étend aux
faisceaux
des racines postérieures. ' Dans la moelle, c
oelle, ces modifications se localisent dans la zone d'expansion des
faisceaux
des racines postérieures. Les modifications des
anglions inter-vertébraux, dans cette dégénérescence ascendante des
faisceaux
sensitifs, paraissent être de l'atrophie simple
antérieures, qu'on rencontre dans la dégénérescence rétrograde des
faisceaux
moteurs. L'atropie des cellules des cornes anté
e des cellules des cornes antérieures résulte de la mor- bidité des
faisceaux
moteurs périphériques. La leptoméningite, qui p
qu'elles se bornent il quelques muscles ou simplement à quelques
faisceaux
musculaires. Excepté les muscles de l'oeil, tous
tension rapide du pro- cessus cavitaire aux cornes antérieures, aux
faisceaux
antero-laléraux, aux cornes postérieures et aux
N.1GEOTTC et Lenoble, Note sur une plaque de myélite siégeant dans le
faisceau
antéro-latéral chez un tabétique paralytique gé
fectent des rapports analogues avec les éléments voisins, méninges,
faisceaux
blancs, colonne grise, racines. Nous ne décriro
aphie des faisceauxblancsestégalement très modifiée : à droite, les
faisceaux
antéro-latéraux subsistent avec leurs rapports et
érale; mais à gauche, ils ont été détruits presque en totalité : le
faisceau
pyramidal di- rect est englobé dans la tumeur,
ité : le faisceau pyramidal di- rect est englobé dans la tumeur, le
faisceau
pyramidal croisé est presque complètement détru
l qu'une zone fatciforme périphérique, qui correspond à peu près au
faisceau
cérébelleux direct. Telle est la topographie gé
rdre suivant : dure-mère, arachnoïde, pie-mère, vaisseaux, tumeurs,
faisceaux
blancs, substance grise, racines. I. Dure-mère.
es embryonnaires et par le refoulement qu'elles déterminent sur les
faisceaux
blancs voisins, sa limite est moins nette dans
antes, mômes zones de dégénérescence caséeuse, même refoulement des
faisceaux
blancs voisins, mêmes végétations extra-médulla
le, à 2 centimètres au-dessous de la tumeur (Pl. X, D, E, F). VI.
Faisceaux
blancs. En général, les lésions de dégénérescence
al, les lésions de dégénérescence sont peu marquées dans les divers
faisceaux
blancs ; la raison en est sans doute dans l'ext
de dégénérescence secondaire. Dans notre cas, la dégénérescence des
faisceaux
blancs est limitée au voisinage immédiat de la
ées par la réaction inflammatoire intense du processus local. Les
faisceaux
postérieurs sont les moins atteints; dans l'étage
nos coupes supérieures nous n'en retrouvons plus trace. Les autres
faisceaux
de dégénération ascendante, tels que le faisceau
trace. Les autres faisceaux de dégénération ascendante, tels que le
faisceau
cé- rébelleux direct et le faisceau de Gowers,n
ération ascendante, tels que le faisceau cé- rébelleux direct et le
faisceau
de Gowers,ne sont pas non plus dégénérés sys- t
les premiers à l'influence de l'in- flammation pie-mérienne. Les
faisceaux
de dégénération descendante, faisceaux pyramidaux
flammation pie-mérienne. Les faisceaux de dégénération descendante,
faisceaux
pyramidaux direct et croisé, ne présentent, com
serve assez nettement, sur les coupes colorées au Wei- gert, que le
faisceau
pyramidal direct gauche est dégénéré immédiatemen
end qu'un peu plus bas; au-dessous de l'étage des tumeurs, ces deux
faisceaux
sont décolorés sur un court trajet (Pl. X, D, E,
aisceaux sont décolorés sur un court trajet (Pl. X, D, E, F). - Les
faisceaux
pyramidaux croisés, qui sont particulièrement int
rose conjonctive trabéculaire. Dans l'interstice des mailles de ces
faisceaux
, on reconnaît à peine les tubes nerveux disso-
ajets vasculaires ; certains amas cellulaires s'observent entre les
faisceaux
de tubes nerveux et peuvent expliquer un début de
er que les cornes anté- rieures sur un point limité, respectant les
faisceaux
pyramidaux et le cor- don postérieur, dont l'al
aplégie menaçait sans doute d'apparaître d'une heure à l'autre; les
faisceaux
pyramidaux, singuliè- rement comprimés, refoulé
C'est ainsi que la tumeur gauche détermine par la destruction des
faisceaux
pyramidaux direct et croisé la paralysie de la mo
ur ne pas trop com- pliquer le dessin, schématiser non seulement le
faisceau
pyramidal que nous identifions avec la colonne
i le cordon sensitif, que nous avons simplifié sous les traits d'un
faisceau
unique continu (col. sensitive) : il nous'eût é
urs sensitifs : colonne de Clarke, colonne des cornes postérieures,
faisceaux
commissuraux variés des cordons posté- rieurs.
s motrices de la Ire paire, la corne antérieure tout en- tière, les
faisceaux
pyramidaux direct et croisé : de cette hémisectio
rsale : T et T' : gommes gauche et droite. Cl, CM, colonne motrice (
faisceaux
pyramidaux et corne antérieure), dont les porti
, sont couvertes de hachures obliques. De cette colonne émanent les
faisceaux
d'entrecroisement sensitif : deux d'entre eux, co
i que l'in- terruption de la colonne motrice (cornes antérieures et
faisceaux
pyrami- daux droits) au niveau de la 2e paire d
'entrecroisement des pyramides, un changement de coloration dans le
faisceau
latéral gauche, immédiatement dans l'angle qui
icu- lier,présente de nombreux espaces vides au niveau desquels des
faisceaux
entiers de fibres sont détruits. Le canal cen
LES DÉMONIAQUES DANS L'ART 103 A gauche, un jeune homme, armé d'un
faisceau
de verges, vient certai- nement de fustiger d'i
que cette lésion ait été limitée, interrompant ainsi le passage du
faisceau
cortico-crural des deux côtés et respectant pre
cortico-crural des deux côtés et respectant presque entièrement le
faisceau
cortico-bra- chial. « L'hypothèse d'une tumeu
thalité, le nanisme, le strabisme, les lésions dentaires forment un
faisceau
de preuves très concluantes. ' Ce qu'il faut su
éniqlles. Th. 1896. 1 - - IX ' 14 LA TERMINAISON CORTICALE DU
FAISCEAU
LATÉRAL PÉDONCULAIRE . .. {FAISCEAU DE TU1CI).
LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU LATÉRAL PÉDONCULAIRE . .. {
FAISCEAU
DE TU1CI). . .. PAR 1 P. C. J. VAN BRERO,
us les jours une attaque d'épilepsie. LA TERMINAISON CORTICALE DU
FAISCEAU
LATÉRAL PÉDONCULAIRE 207 L'autopsie n'ayant pas
Hémisphère droit. Hémisphère gauche. LA TERMINAISON CORTICALE DU
FAISCEAU
LATÉRAL PÉDONCULAIRE 209 l'encéphale faites à l
édoncule cérébral gauche, qui s'est ré- LA TERMINAISON CORTICALE DU
FAISCEAU
LATÉRAL PÉDONCULAIRE 211 pandue également sur t
toutes les parties ; nous attirons l'attention sur ce fait que les
faisceaux
latéraux ne sont pas plus atrophiés que les média
de la protubérance, moins il est possible, par l'entrelacement des
faisceaux
protubérantiels de reconnaître cette différence.
faisceaux protubérantiels de reconnaître cette différence. Ni les
faisceaux
transversaux, ni les cellules de la protubérance
n'of- frent aucune différence dans les deux moitiés.. "- Les deux
faisceaux
pyramidaux ont le même volume. FiG. 25, 26, 27,
E DE LA SALPÊTRIÈRE · térieurs du bulbe, les noyaux de ces derniers
faisceaux
n'offrent aucune anomalie. lies ! , très diffic
culi des auteurs, est généralement divisée en trois par- ties : les
faisceaux
médian, central et latéral. , Le faisceau centr
trois par- ties : les faisceaux médian, central et latéral. , Le
faisceau
central, dénommé faisceau pyramidal, entre en rel
aisceaux médian, central et latéral. , Le faisceau central, dénommé
faisceau
pyramidal, entre en relation en haut avec les d
a protubérance. Tous les auteurs sont d'accord pour admettre que le
faisceau
médian entre en connexion avec le lobe frontal
Cfr. Fimmeh, Thèse inaug. Utrecht. 1889 LA TERMINAISON CORTICALE DU
FAISCEAU
LATÉRAL PÉDONCULAIRE '213 Cependant Zacher (1)
l3eclite·eta (7) avec la moitié proximale de la protubérance'. Le
faisceau
latéral auquel selon Flechsig (8) Aleynerl donnai
ductibi- lité, qu'on a accepté comme centrifuge uniquement pour les
faisceaux
centraux et internes. Aleynel't prétendait que
lusieurs observateurs. 1 - La terminaison proximale et distale du
faisceau
latéral est encore l'ob- jet de beaucoup de con
lobes pariétaux comme origine ; il admet néanmoins qu'une partie du
faisceau
dégénéré peut être suivi à travers la capsule int
m. Zeitschrifl fiii, Psychiatrie, 1889. LA TERMINAISON CORTICALE DU
FAISCEAU
LATÉRAL PÉDONCULAIRE 2l t que les fibres du pie
a- riétal qui puisse être considéré comme région de contact pour le
faisceau
latéral. Cette interprétation est d'autant plus
petites parties des circonvolutions centrales sans dégénération du
faisceau
latéral. II. La deuxième observation du même au
e si l'on ne perd pas de vue la dégénération descen- dante citée du
faisceau
pyramidal, car n'est pas impossible que la durée
al entier et de la capsule interne sans dégénération consécutive du
faisceau
. La durée de la lé- sion n'est pas citée. Les
incipale de la surface cérébrale était suivie d'une dégénération du
faisceau
latéral. II. Winkler (1886). Comme ci-dessus.
s*'sont restées en connexion avec la capsule interne, néanmoins' le
faisceau
latéral est détruit t (1). (1) Il me reste enco
un peu. Au niveau des cuisses, on voit encore se dessiner quelques
faisceaux
musculaires ; la peau est un peu épaissie, indu
l'entrecrpisement des pyramides un changement dans la coloration du
faisceau
latéral gauche, immédiatement dans l'angle qui sé
cu- lier, présente de nombreux espaces vides au niveau desquels des
faisceaux
entiers de fibres sont détruits. Le canal centr
ortionnellement à l'étendue des lésions des enveloppes. De nombreux
faisceaux
radiculaires antérieurs sont normaux, d'autres et
culaires antérieurs sont normaux, d'autres et la majeure partie des
faisceaux
postérieurs sont atteints en ce que le périuèvre
t de plus gros fais- ceaux de fibres nerveuses dissociant ainsi les
faisceaux
qui forment la racine. En outre des noyaux isol
t aussi au niveau du renllement cer- - vicia) qu'on trouve quelques
faisceaux
dans les racines postérieures qui pré- sentent
onjonctives voisines. Certaines coupes montrent dans cet espace les
faisceaux
déjà réunis des racines. Notons ici que la gain
sse, de même que les prolongemen ts qu'elle envoie entre les divers
faisceaux
, notamment le prolongement qui sépare le groupe d
pace sous- arachnoïdien, les racines sont absolument libres, chaque
faisceau
séparé des autres par un espace vide et les tra
ents bientôt débor- dent de toutes parts, couvrent complètement les
faisceaux
conjonctifs et viennent se confondre avec ceux
notre numéro XVII la tumeur a refoulé en avant un certain nombre de
faisceaux
radiculaires des racines postérieures mais le p
rs caractères nor- maux, elles forment des travées séparées par les
faisceaux
des racines pos- térieures qui se prolongent en
côté opposé elle déborde la corne et est directement bordée par les
faisceaux
blancs. La moelle dorsale et la moelle lombaire
nt presque complètement disparu dans la masse néoplasique, quelques
faisceaux
des racines antérieures sont encore nettement vis
infiltration embryonnaire abondante mais les tractus formés par les
faisceaux
de tubes nerveux ne se voient plus avec la nettet
entières, quelques fascicules ont été repoussés en avant auprès des
faisceaux
respectés des racines antérieures. La pie-mère
ar un processus embryonnaire intense, l'arachnoïde se moule sur les
faisceaux
lès plus périphériques, elle est très nette en av
ornes grises ont été notées souvent altérées, la dégénérescence des
faisceaux
blancs, rarement étendue, paraît plutôt sous la d
démoniaques dans l'art} par PAUL Rrcrrux et Henry .11EIGE, 99.
Faisceau
latéral pédonculaire (faisceau de 1'zzrelc,sa t
PAUL Rrcrrux et Henry .11EIGE, 99. Faisceau latéral pédonculaire (
faisceau
de 1'zzrelc,sa terminaison corticale), par P.
ns la blennorrhagie, 27. BRERO (VAN). La terminaison corticale du
faisceau
latéral pédonculaire (faisceau de Turck), 206.
O (VAN). La terminaison corticale du faisceau latéral pédonculaire (
faisceau
de Turck), 206. Charcot (J.-B.) et DUFOUR (HE
enus avec le clonographe, 4, 5,6,7, 8,9. Terminaison corticale du
faisceau
latéral pédonculaire (coupes), 22, 23, 24, 25,
c pas surprenant que, sur cette zone la ligne en question coupe les
faisceaux
, au lieu de les effleurer, du côté gauche, puis
n 'travail, nous verrons quelle est la disposition respective des
faisceaux
capsulaires à ce niveau et comment ils fonc- ti
lésions situées sur la région que nous venons de décrire : l' Les
faisceaux
capsulaires; 2° La substance médullaire compris
antéro-postérieure du cerveau. La partie active de ce centre ovale (
faisceaux
capsu- laires frontaux extra-nucléaires) est no
uble de la parole, tandis que l'hémorrhagie limitée aux rameaux des
faisceaux
cap- sulaires extra-nucléaires amènera la perte
mble d'hiatus de diverses grandeurs qui transforment la section des
faisceaux
capsulaires en une surface criblée. - Enfin,
is; 3° Quand l'intégrité de la totalité de la troisième frontale (
faisceau
et écorce), et de l'insula est conser- vée ;
Dans cette observation, la lésion occupe sans doute plus que les
faisceaux
capsulaires que nous étudions, elle empiète sur
ier étaient en dehors et en avant du corps strié, sur le trajet des
faisceaux
capsulaires en question, tandis que celles du s
dans l'observation de Gintrac, la lésion siégeait sur le sommet du
faisceau
de la troisième frontale; dans l'observation de
a été absolue, permanente dans le fait de M. Boinet, parce que les
faisceaux
capsulaires extra-nucléaires ont été détruits.
qu'une influence de voisinage. En fait d'éléments actifs, seuls les
faisceaux
chargés de transmettre la parole ont été interc
bord externe du ventricule latéral. 2. Section transversale de ce
faisceau
. 3, Noyau caudé. PLANCHE II Coupe anléro-po
le de la capsule interne se recourbant vers le lobe orbitaire. 2,
Faisceaux
intra-nucléaires. PLANCHE III a, Fond de la d
c, Noyau caudé. il, Dentelures formées par l'extrémité interne des
faisceaux
de la cap suie interne. g, G; rus fornicatus
re cérébrale antérieure. C m, 4, Centre moyen de Luys. 1 F. 1. i,
Faisceau
longitudinal inférieur. 0. g. n. o, Origine gri
e l'olive, c'est elles .qui formentle nucleus cuneatus. Quant aux
faisceaux
de Goll, ils renfermeraient, au niveau du bulbe
2.) I. Quels sont chez les mammifères les rapports anatomiques du
faisceau
de fibres qui subit l'entrecroisement et du faisc
anatomiques du faisceau de fibres qui subit l'entrecroisement et du
faisceau
de fibres direct, dans la bandelette optique, l
sma et le nerf optique ? Quel est le mode d'irradiation de ces deux
faisceaux
dans la rétine ? Quelle part prennent-ils tous
du (situation des axes oculairessensiblementégale àcellede l'homme;
faisceau
croisé remarquablement volumineux) ; sa rétine
ptique. Cet arrachement doit avoir pour résultat la destruction des
faisceaux
croisés des deux yeux, du faisceau direct de l'
our résultat la destruction des faisceaux croisés des deux yeux, du
faisceau
direct de l'oeil enlevé et de toute la commissure
érieure, de sorte que l'oeil conservé n'a plus à son service que le
faisceau
direct. Les allures de l'animal , au moment où
constituent autant de moyens de contrôles pour la distribution des
faisceaux
en question. Voici les résultats : chez le chat
du fais- ceau croisé, mais c'est à peine s'il existe entre les deux
faisceaux
une petite zone noyée de fibres mixtes. Le fais
entre les deux faisceaux une petite zone noyée de fibres mixtes. Le
faisceau
de fibres directes se distribue exclusivement à
t à la moitié temporale de la rétine. On est tenté de croire que le
faisceau
entrecroisé fournit, lui aussi, des fibres à l'
est plus prononcée sur le nerf du côté opposé : par conséquent, le
faisceau
qui ne s'entrecroise pas est, chez le chat, plu
ieur du même côté. Une petite partie du cordon latéral constitue un
faisceau
compact qui, affectant toujours la même directi
on réticulaire, qui concourent à la formation du stratum zonale. Le
faisceau
cunéiforme du même côté lui envoie également un
. Une partie assez importante des fibres du corps restiforme, ou du
faisceau
cunéiforme qui marche avec lui, trouve une fin
les grandes cellules du noyau externe de l'acoustique. Peut-être le
faisceau
cunéiforme fournit-il encore au cervelet, mais
rps restiforme comprend tout à fait en dedans, des fibres issues du
faisceau
cunéi- forme ; une couche moyenne formée des co
épend bien plus de la moelle et doit être regardé comme un noyau du
faisceau
cunéiforme. Le segment in- terne du pédoncule c
plus récemment encore, s'appuyant sur les cas de M. Pierret, où les
faisceaux
cunéiformes en relation immédiate avec le noyau
uche, mais encore DES irradiations CAPSULAIRES. 151 Lt i de son
faisceau
médullaire sous-jacent. Dans la doctrine 1 - Ig
d'autre part, la lésion interceptant "un1 plus'1 grand nombre de
faisceaux
capsulaires moteurs, fi- 1 ive nombre de faisce
rand nombre de faisceaux capsulaires moteurs, fi- 1 ive nombre de
faisceaux
capsu]aires l'héniiplég ' ' * n i ^ '. < ' J
rrait exister seulement dans l'altération granuleuse de ces mêmes
faisceaux
, ainsi que M. Pitres l'a constaté, avons-nous d
- ,< ? " . , nr . Intégrité de la troisième frontale, lésion du
faisceau
pédiculo- frontal inférieur, du noyau lenticula
fit pas de dire, par exemple, qu'une lésiond'un point quelconque du
faisceau
pédiculo-fronlal inférieur du côté gauche donne
district, le résultat sera différent ou plutôt nul, parce que les
faisceaux
conducteurs de la parole en seront distants de-
surtout se manifestera à cause du voisinage (5 milli- mètres) des
faisceaux
qui forment le^coude supérieur de la capsulé in
ranlement, de nature congestive ou par trouble de voisinage sur les
faisceaux
capsulai- y7rèswextrâ : rïucléairéV,r'et aphaie
ttfL attt ? j ? )Vi01)J)/numf3 lifaitelentement;,entécarta4nt t les
faisceaux
, les . uns ? des Il l 2d0 ,OE; u I J , li8t f3»
uisque le tubercule était cnucléable. L'intégrité fonctionnelle des
faisceaux
capsulaires extra-nucléaires n'a donc pas lieu
e centre doit se trouver dans l'endroit vers lequel se dirigent les
faisceaux
vecteurs de la parole, c'est-à- dire à la parti
tion. Cette manière, de faire, qui.a a l'avantage' d'associer deux^
faisceaux
d'une même, branche, a l'in- convénient de ^dis
postérieur de la capsule·interne; danslla'rériôri'-oit passent les
faisceaux
, de 6Gratiotet,.se traduisait, d'un côté part f
des'cellules pyramidales géantes. - La secLioti(elicz un chat) du `
faisceau
pyramidal au-dessous de la capsule interne, déter
tractus cortico-thalamiques, ou à la fois de ces derniers et des
faisceaux
pyramidaux. Discussion. M. Hitzig rappelle les
l continuera5 ses recherches. "w s ' ^ 1> ? » ? J M. fait sur le
faisceau
solitaire une communication ap- Or- M ,1 il-i-I
les troubles vaso-moteurs et trophiques émanaient, de la lésion du
faisceau
solitaire. Ce faisceau, 'pour le professeur fra
urs et trophiques émanaient, de la lésion du faisceau solitaire. Ce
faisceau
, 'pour le professeur français, prend son origin
e faisceau, 'pour le professeur français, prend son origine dans le
faisceau
intermé- diaire latéral; il fournit des libres
chien, est arrivé aux résultais suivants. On reconnaît d'abord ce
faisceau
à la hauteur de la deuxième paire cervicale ; div
on , voit à l'extrémité antérieure du noyau du pneumogastrique île
faisceau
s'amincir extrêmement vite; sur des coupes vert
sième et quatrième paires cervicales, dès i-e^tions transverses, de
faisceaux
nerveux dont la forme' ressemble énormément à cel
faisceaux nerveux dont la forme' ressemble énormément à celles du
faisceau
solitaire. Renie' qui 'seul ? les a signalées, bl
Renie' qui 'seul ? les a signalées, blés figure sous la rubrique de
faisceau
originel du faisceau solitaire ? or, ils n'ont
s a signalées, blés figure sous la rubrique de faisceau originel du
faisceau
solitaire ? or, ils n'ont certainement aucune r
rjet;met en lumière' la ma- nière de voir de I : \\eriricl : e.· Le
faisceau
en question'serait, pour lui, en rapport avec'
nées du segment du cercle p.sLéi-0- interne (seclion^transyersu du,,
faisceau
solitaire), on observerait des tractus qui pass
aux membres supérieurs, on note l'aspect pseudo-hypertrophique des
faisceaux
claviculaires des tra- pèzes, des deltoïdes, et
, en forme de sillon étroit et profond, indiquant la contraction du
faisceau
musculaire sous-jacent. Cette dépression persis
on interrompt, dans la partie postérieure de la capsule interne les
faisceaux
de fibres de pro- jection de la sphère visuelle
t cinquième couches. Deuxième expérience. La destruction, dans le
faisceau
pyra- midat de la capsule interne, des fibres q
e chiasma, que celles qui ne s'en- tre-croisent pas, constituent le
faisceau
externe de la bandelette optique et parviennent
moyen du bras antérieur, le tuber- cule quadrijumeau antérieur. Le
faisceau
interne de la bande- 1 Voy. Archives de Neurolo
c le nerf scia- tique occupe surtout le segment postéro-interne des
faisceaux
de Goll; que l'étendue et le volume de la zone
cines sensitives postérieures destinées aux extrémités intérieures (
faisceaux
longs). A côté de cela, les cordons posté- rieu
endante atteint, bien que fai- hlement, les cordons latéraux et les
faisceaux
radiculaires des cordons antéueurs. Elle semble
sion de la queue du cheval. Si l'on considérait les deux espèces de
faisceaux
comme deux systèmes défibres distincts, on pour
audrait prouver qu'il existe une différence fonctionnelle entre les
faisceaux
longs qui se rendent aux pédoncules cérébelleux
qui se rendent aux pédoncules cérébelleux inférieurs (clava) et les
faisceaux
courts qui, dans leur trajet, sont situés parmi l
uses cellules granuleuses, prolifération interstitielle modérée) du
faisceau
pyramidal des cordons latéraux depuis la portio
rs et des muscles. L'auteur fait remarquer que la dégénérescence du
faisceau
pyramidal ne s'observe ni dans la moelle allong
ion des cornes antérieures est la plus âgée. Le plus, l'atteinte du
faisceau
pyramidal avait déterminé une paralysie flasque
es longitudinales, un peu de compression du cordon cunéiforme et du
faisceau
grêle. Pour l'auteur, le tubercule de la moelle a
atholo- gique sur certains systèmes déterminés, si ce n'est sur les
faisceaux
pyramidaux. L'auteur croit, tant au point de vu
corticales dans la zone motrice, et qui se rencontre dans certains
faisceaux
du même côté de la moelle, quand les pertes de
etrouvent enfin dans la moelle cervicale (exclusivement bornées aux
faisceaux
de Goll).-111. llfoses fait remarquer que ce fa
bord externe du ventricule latéral. 2, Section transversale de ce
faisceau
. 3, Noyau caudé. hâves de Neurologie . ' T. V
le de la capsule interne se recourbant vers le lobe orbitaire. 2,
Faisceaux
intra-nucléaires. 406 EXPLICATION DES PLANCHES.
c, Noyau caudé. d, Dentelures formées par l'extrémité interne des
faisceaux
de la cap- sule interne. ' ' g, Gyrus fornica
issure eérebiale antérieure. C na, 4, Centre moyen de I,uys. F.l.
Faisceau
longitudinal inférieur. 0. g. n. o, Origine gri
/, noyau de l'hypoglosse. NXd, noyau dorsal du vague. Fcv + NdcR,
faisceaux
céréhello-vestibu- laires (Thomas), plus noyau
ite el à gauche. Vils, racine descendante de la vue paire. Fcd,
faisceau
cérébelleux direct. i\amb, noyau ambigu. NU,
x direct. i\amb, noyau ambigu. NU, noyau du cordon latéral. FG,
faisceau
de Gouers. Fee, faisceau central de la calotte.
bigu. NU, noyau du cordon latéral. FG, faisceau de Gouers. Fee,
faisceau
central de la calotte. Oi, olive inférieure.
a-olivaire interne. Oia, olive inférieure gauche atrophiée. Fcca,
faisceau
central de la calotte atro- phié. Nlld, noyau
lotte atro- phié. Nlld, noyau du cordon latéral dégénéré. (ebo.
faisceaux
cérébello-olivaires. fai, fibres arciformes int
isceaux cérébello-olivaires. fai, fibres arciformes internes. fs,
faisceau
solitaire : NclcRd, noyau dorsal du corps resti
(bouchon). Ndt, noyau dentelé. Stras, stries acoustiques. Fcv,
faisceaux
cérébello-vestibulaires (Tho mas). 'Fuel, tub
trapézoide. NVI, noyau du nerf moteur oculaire ex- terne. Fli),
faisceau
longitudinal postérieur. Pyg, pyramide gauche d
lleux moyen. Ctrap, corps trapézoïde. NPt, noyaux du pont. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. Rm, ruban de Reil médi
formation réticulée aplatie et atrophiée en partie à gauche. Flp,
faisceau
longitudinal postérieur. Cal, calotte ou tegmen
ions apparentes. On constate des fibres à myéline normales dans les
faisceaux
radiculaires des 9° et 10e pai- res qui sont un
proximale du noyau dorsal du vague) est normal des deux côtés. Le
faisceau
solitaire présente les mêmes dimensions à droite
nant de l'olive droite intacte (la plus grande partie des fibres du
faisceau
cérébelleux direct étant détruites de ce côté)
forme est presque uni- quement composé de fibres qui proviennent du
faisceau
cérébelleux direct de droite, et de celles qui
ement dégénérée, mais seulement partiellement. Il en est de même du
faisceau
cérébelleux direct gauche qui est presque entière
cérébelleux direct gauche qui est presque entière- ment détruit. Le
faisceau
de (jokers est plus petit qu'à droite et en parti
noyau ventral n'a pu être examiné. Remarquons enfin que tous les
faisceaux
qui enveloppent latéralement l'olive gauche ont
leurs fibres et sont dégénérés. C'est le cas en particulier pour le
faisceau
central de la calotte de Bechterew qui prend na
ont disparu en grand nombre, surtout dans les parties dorsales. Les
faisceaux
des fibres transversales au pédoncule cérébelleux
nstate partout une diminu- tion considérable de ses fibres. ' Les
faisceaux
des fibres transversales de la protubérance venan
s ou proximales) de la protubérance, ce qui résulte du fait que les
faisceaux
des pédoncules cérébelleux moyens se sont déjà
de leurs racines (PI. II, D, et PI. III, E). La partie latérale du
faisceau
longitudinal postérieur gauche est atrophiée pa
ut à fait analogues dans les radiations de la ca- lotte et dans les
faisceaux
de fibres du noyau ventral, de même que dans la
e ne renferment pas de foyers primaires et paraissent normaux. Le
faisceau
Bath de Forel est diminué à droite. Les artères
Les capillaires sont gonflés de sang. On constate une atrophie des
faisceaux
de fibres et des lacunes dans la substance blan
pas assez grave pour entraîner un trouble des fonctions des divers
faisceaux
nerveux touchés, des voies pyramidales, par exe
gissait pas seulement ici d'une interruption dans la continuité des
faisceaux
, mais encore des effets de la compression sur la
modifie du reste dans ce nouveau travail sa première description du
faisceau
sensoriel cérébelleux, en disant que ses connexio
es. Dans un travail tout récent, Edinger (1) reprend l'étude de son
faisceau
sensoriel et conclut qu'il existe deux voies sens
ébelleux inférieur de Meynert), et dans lequel se trouvent quelques
faisceaux
de la racine descendante de la VI lie paire (raci
nsibles du bulbe et de la protubérance. La substance gélatineuse du
faisceau
solitaire et celle de la racine descendante du tr
i- jumeau étaient spécialement tout à l'ait normales. ..Quant aux
faisceaux
vestibulaires descendants ilsétaienl.peut-êtrecom
dans les radiations de la calotte qui se rendent au noyau ventral (
faisceaux
médullaires frontal et latéral du noyau rouge,
u mémoire de Edinger on constate une différence dans la largeur des
faisceaux
des radiations de la calotte; celui de gauche est
sale d'un rameau du nerf du demi-membraneux droit avec ses divers
faisceaux
1, 2, 3, 4. Dans le faisceau 1 s'est développé
mi-membraneux droit avec ses divers faisceaux 1, 2, 3, 4. Dans le
faisceau
1 s'est développé un fibrome qui a dissocié les
D Coupe longitudinale du nerf brachial cu- tané interne ; trois-
faisceaux
1, 2, 3, sont intéressés par la coupe. On suit
par la coupe. On suit les fibres nerveuses de la partie saine du
faisceau
1 dans la partie envahie par la néoplasie 11.
ut sans lé- sion, d'autres montrent sur le trajet d'un ou plusieurs
faisceaux
de petits fibro- mes que seul l'examen histolog
mé comme le sciatique par exem- ple (Planche V) on trouve à côté de
faisceaux
normaux, des faisceaux frappés par la néoplasie
ar exem- ple (Planche V) on trouve à côté de faisceaux normaux, des
faisceaux
frappés par la néoplasie ; c'est d'ailleurs le
troncs nerveux. Le nodule est constitué par la réunion de tous les
faisceaux
du nerf, chaque faisceau ayant réagi per- sonne
est constitué par la réunion de tous les faisceaux du nerf, chaque
faisceau
ayant réagi per- sonnellement, indépendamment d
ses voisins. Autrement dit un nodule tron- culaire est constitué de
faisceaux
nerveux normaux et de nodules fibromateux fasci
njonc- tifs banaux. Le centre du nodule est constitué par de gros
faisceaux
conjonctifs très irrégulièrement agencés. Ils n
riphérie. Sur les coupes longitudinales on peut étudier l'entrée du
faisceau
nerveuxdans le nodule. (Planche VI,D.) Le faisc
dier l'entrée du faisceau nerveuxdans le nodule. (Planche VI,D.) Le
faisceau
normal reste d'abord compact et cen- tré dans l
vers un secteur de la périphérie du nodule. Sur d'autres coupes le
faisceau
dissocié est représenté par quelques fibres allon
t irrégulièrement distribuée des fibres muscu- laires. Dans un même
faisceau
musculaire on peut trouver une fibre normale a
tissu sont d'assez nombreux noyaux, des fins vaisseaux et quelques
faisceaux
nerveux. Les nerfs extra-musculàires sont les u
d'atrophie. Cette atrophie frappe inégalement les fibres d'un même
faisceau
, res- pectant certaines fibres alors que les vo
oplasie fibreuse intra-fasciculaire, au milieu de laquelle court le
faisceau
dissocié des fibres nerveuses intactes. Quelque
oplasie (nous répétons que la néoplasie respecte l'élément noble du
faisceau
nerveux), c'est que la coupe a porté sur un segme
coupe a porté sur un segmenl du neurofibrome que ne traverse pas le
faisceau
nerveux dissocié. Les autres * tumeurs au contr
fibromatose intra-fasciculaire encerclée par la gaine lamelleuse du
faisceau
nerveux ? Ne doit-on pas considérer qu'à côté de
abes. A l'autopsie, il existait en elfe[ une scléi,pse évidente des
faisceaux
postérieurs delà moelle. Ou vérifia l'étal du rac
uses, production de petites nodosités fusiformes ou perlées sur les
faisceaux
radiculaires ; les nerfs atteints les premiers
rt, dans le pédoncule gauche, le foyer détruit une minime partie du
faisceau
pyramidal et effleure quelques libres du moteur
e sont beau- coup moins nombreuses : on n'y distingue pas les beaux
faisceaux
de fibres qui, normalement, prennent leur origi
stitué par les fibres du vermis, se continue en partie avec un beau
faisceau
qui contourne le noyau dentelé en 338 ' J. DEJE
trajet horizontal ou oblique qui appartiennent vraisemblablement au
faisceau
de Gowers et peut-être en partie au faisceau en
t vraisemblablement au faisceau de Gowers et peut-être en partie au
faisceau
en crochet. 2° Examen DES pédoncules cérébelleu
résultats négatifs : il n'existe pas de dégénérescence, ni dans les
faisceaux
, ni dans les racines; la substance grise est norm
scence est symé- trique, située en avant de la limite antérieure du
faisceau
de Gowers et ré- l'atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBEL
vicales (PI. XLIX, KM). b) Bulbe. - Les prolongements bulbaires des
faisceaux
de la moelle ne sont pas dégénérés ; sur les co
nt pas dégénérés ; sur les coupes colorées par le procédé de Pal le
faisceau
céré- belleux direct et le faisceau de Gowers n
lorées par le procédé de Pal le faisceau céré- belleux direct et le
faisceau
de Gowers ne sont pas décolorés ; mais la dégéné-
ence bilatérale qui a été décrite en'avant de la place occupée par le
faisceau
de Gowers, au niveau de la moelle cervicale sup
u, surtout en arrière et en dehors, ces fibres qui appartiennent au
faisceau
central de la calotte contribuent à former en d
'olive la couche externe de la subs- tance blanche périolivaire. Le
faisceau
central se dégage ensuite peu à peu, il est moi
a moitié supérieure que dans sa moitié inférieure ; d'autre part le
faisceau
central est plus petit d'un côté et l'olive du mê
olive du même côté est moins développée. La diminution de volume du
faisceau
central est due peut-être à un certain degré d'
nterne et qui forment le segment interne du corps restiforme ou les
faisceaux
cérébello-vestibulaires sont peu nombreuses : cet
s : cette atrophie peut être poursuivie sur toute la hauteur de ces
faisceaux
jusqu'aux noyaux de Deiters et de Bechterew.
ulées et sont groupées de chaque côté de la ligne médiane, en un gros
faisceau
unique, circulaire. La substance réticulée de
s grande d'un côté, ce qui explique le volume moins considérable du
faisceau
central de la calotte correspondant. L'atrophie
rvelet) ont des dimensions assez exiguës. La plupart des fibres des
faisceaux
cérébello-vestihulaires se conti- nuent avec le
inter-trigéminales et rétro-trigéminales du corps restiforme. Le
faisceau
longitudinal postérieur et le ruban de Reil média
ne, mais on n'y découvre pas de dégé- nérescence. Les noyaux et les
faisceaux
sont simplement plus petits, mais bien proporti
. DEJERINE ET A. THOMAS cence des fibres rétro-olivaires etdu petit
faisceau
dégénéré danslecordon antéro- latéral de la moe
latéral de la moelle cervicale supérieure ; par sa topographie, ce
faisceau
rap- pelle la disposition du faisceau cérébelle
eure ; par sa topographie, ce faisceau rap- pelle la disposition du
faisceau
cérébelleux descendant chez l'animal (Thomas) :
trajet cérébello-protubérantiel ces libres ne sont pas groupées en
faisceau
. L'atrophie des fibres semi-circulaires interne
édoncule cérébelleux supérieur et l'absence de dégénération dans ce
faisceau
; la réduction du noyau dentelé est proportionn
rentes du cer- velet sont nettement dégénérés : colonnes de Clarke,
faisceaux
cérébelleux et faisceaux de Gowers (Menzel, Arn
nettement dégénérés : colonnes de Clarke, faisceaux cérébelleux et
faisceaux
de Gowers (Menzel, Arndt, Thomas, obs. V) : enfin
port avec le cervelet ont subi l'atrophie ou la dégénérescence, les
faisceaux
pyramidaux sont plus pâles et les cordons posté
rement prononcées dans la région cer- vicale ; elles intéressent le
faisceau
de Goll, le faisceau cérébelleux direct; les ce
s la région cer- vicale ; elles intéressent le faisceau de Goll, le
faisceau
cérébelleux direct; les cellules des colonnes d
eures sont relative- ment moins malades que dans le tabes, mais les
faisceaux
cérébelleux directs et les colonnes de Clarke s
a raison d'être dans la dispa- rition des fibres qui constituent le
faisceau
cérébelleux descendant; avec cette réserve que
sceau cérébelleux descendant; avec cette réserve que l'existence du
faisceau
cérébelleux descendant chez l'hom- me n'est enc
omme pouvant déterminer l'hémianopsie. D'ailleurs il suffit que les
faisceaux
de la substance blanche qui se rendent à la sphèr
(lésion atteignait le segment antérieur de la capsule interne et le
faisceau
interne du pied du pédoncule, puisque les fibre
uche d'origine centrale. On exprima la probabilité d'une lésion des
faisceaux
moteurs depuis le centre psychomoteur jusqu'au ce
que peu du point où les fibres des bandelettes optiques sortent en
faisceau
de la substance blanche, traversent^ ventricule l
ent profond. L'anomalie consistant dans l'absence de croisement des
faisceaux
pyrami- daux (Ledderhose) bien que très rare po
érieurs peut s'ajou- ter l'altération des cornes antérieures et des
faisceaux
blancs qui y pren- nent naissance. La.marche
its foyers de ramollissement et beaucoup de fibres dégé- nérées. Le
faisceau
pyramidal dégénéré peut être suivi à travers la c
e dégénérescence très marquée dans la région du cordon pyramidal du
faisceau
latéral ; l'endroit t de cette dégénérescence r
phérie de la moelle épinière (Voyez Pl. LXXI, C). En outre, dans le
faisceau
de Türck et presque dans toute la périphérie de l
la moelle épi- nière on voit aussi une raie noire étroite ; dans le
faisceau
pyramidal du cordon latéral gauche on remarque
fibres qui ne contiennent point de blocs noirs. Dans le domaine du
faisceau
gauche de Ttirck existe une accumulation très mar
tre plus de blocs noirs menus sur la péri- phérie dans la région du
faisceau
droit de B1t1'dach,du faisceau cérébelleux gau-
ur la péri- phérie dans la région du faisceau droit de B1t1'dach,du
faisceau
cérébelleux gau- che, du faisceau gauche de Gow
du faisceau droit de B1t1'dach,du faisceau cérébelleux gau- che, du
faisceau
gauche de Gowers et aussi sur la périphérie des d
che, du faisceau gauche de Gowers et aussi sur la périphérie des deux
faisceaux
pyramidaux antérieurs.Dans le faisceau cérébell
sur la périphérie des deux faisceaux pyramidaux antérieurs.Dans le
faisceau
cérébelleux droit et dans le faisceau py- ramid
pyramidaux antérieurs.Dans le faisceau cérébelleux droit et dans le
faisceau
py- ramidal latéral gauche on observe un grand
haut, apparaît ici comme coupé. L'endroit de dégénérescence dans le
faisceau
de Türck est un peu plus rapproché du canal cen
. Les fibres dégénérées sont devenues bien moins nombreuses dans le
faisceau
de Tùrck. Les cellules de Clarke con- tiennent
val on voit un nombre assez grand de fibres dégénérées ; il y a des
faisceaux
qui en contiennent plus. d'autres moins. VI. Co
co- lorées en noir, se disposent auprès des vaisseaux. Parmi les
faisceaux
dégénérés de la moelle épinière dans le cas donné
ux dégénérés de la moelle épinière dans le cas donné la lé- sion du
faisceau
pyramidal du cordon latéral droit, dont nous avon
ébrale et de la substance sous-corticale de l'hémisphère gauche. Le
faisceau
de Tiircli du côté opposé est plus dégénéré que
i du côté gauche. Déjà dans la région dorsale la dégénérescence des
faisceaux
de Tùrck devient bien plus raréfiée ; la dégéné
aisceaux de Tùrck devient bien plus raréfiée ; la dégénérescence du
faisceau
pyramidal latéral dans la partie lombaire inférie
erminale de la moelle épinière. Concernant l'endroit, occupé par le
faisceau
pyramidal dégénéré dans les régions dorsale et ce
LXXI, E).- Déjà à l'oeil nu on remarque une dégénérescence des deux
faisceaux
pyramidaux latéraux, des deux faisceaux de Türc
une dégénérescence des deux faisceaux pyramidaux latéraux, des deux
faisceaux
de Türck et par la périphérie des cordons de Goll
saines : ensuite, on voit une dégénérescence assez marquée dans le
faisceau
pyramidal latéral gauche, par la périphérie de
iii 32 490 SOUKHANOFF ET GEIER quée que du côté opposé) ; dans le
faisceau
de Türclc gauche la dégénérescence est un peu p
décrites plus haut, quoique la figure de la dégénérescence dans le
faisceau
pyramidal latéral a un peu changé ; on voit aus
ns postérieurs. A l'examen microscopique la dégénérescence dans les
faisceaux
pyramidaux latéraux, dans les cordons de Türck
oscopique on peut noter la diminution de la dégénérescence dans les
faisceaux
pyramidaux latéraux. La dégénérescence dans les
dans les faisceaux pyramidaux latéraux. La dégénérescence dans les
faisceaux
de Túrck est peu marquée et porte un caractère
s le cas donné démontre une dégénéres- cence très sensible des deux
faisceaux
pyramidaux latéraux et des faisceaux de Türck ;
- cence très sensible des deux faisceaux pyramidaux latéraux et des
faisceaux
de Türck ; il apparaît comme continuation de la
llules corticales d'origine. Les fibres dégénérées isolées dans les
faisceaux
de Turck descendent jusqu'à la partie lombaire su
ent jusqu'à la partie lombaire supérieure, où la dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux latéraux peut être distinguée même à
ologiques à savoir : la dégénérescence secondaire très prononcée du
faisceau
pyra- midal latéral, en commençant de l'hémisph
nt moins grandes que dans le premier cas ; ici la dégénérescence du
faisceau
latéral droit dans la moelle épinière était moins
emble avec cela il y avait aussi une dé- générescence égale dans le
faisceau
pyramidal latéral du côté opposé. Dans les deux
es cordons postérieurs de la moelle épinière. La dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux dépend de la modification des cellules
ugmente le soir lorsqu'elle a été longtemps debout. Malgré quelques
faisceaux
de varices superficielles, la peau a un aspect
e; elle est alors très lente, très régulièrement étendue à tous les
faisceaux
de la moelle, et, si les cellules nerveuses sou
ose bien remarquable, la myélite, au lieu d'être étendue à tous les
faisceaux
de la moelle, comme c'est l'habitude, se canton
nts nerveux : les cellules des noyaux gris et les fibres des divers
faisceaux
sont complètement intacts. Les noyaux multiples
escence de cordon de Goll s'épuiser dans le noyau grêle et celle du
faisceau
de Bur- dach former autour du noyau cunéiforme
init 1,'ig. J3. Moelle cervicale; sclérose des cordons de Goll, des
faisceaux
de Burdach et d'une bandelette qui leur est int
i, ici, aboutit à son noyau; sclérose en forme de croissant dans le
faisceau
cunéiforme. Coloration de Pal. 30 PATHOLOGIE NE
l'intensité Fig. 15. Moelle cervicale; lésions vasculaires dans les
faisceaux
posté- rieurs (les noyaux des cellules sont seu
lymphatique tout particulier situé entre la gaine lamelleuse et le
faisceau
nerveux propre- ment dit, enveloppant ce dernie
la face interne se trouve logée dans une encoche longitu- dinale du
faisceau
. Les mailles'du treillis sont remplies d'un liq
ltant de la' stratification avec fonte hyaline du tissu connectif à
faisceaux
grêles dont se compose la paroi des" alvéoles.
rtains points. dune. méta- morphose hyaline 缭 des 'filaments ou des
faisceaux
circons- crivant les espaces lymphatiques primi
tion intermé- diaire entre le périnëvre et la masse endoneuriale du
faisceau
nerveux ? J'ajouterai qu'un vocable univoque te
'existence des foyers mésoneuriaux ; il les a rencontrés 'dans les'
faisceaux
du facial. Mais c'est à Fr.' Schultze que l'on
Beaucoup plus rarement ils se rencontrent dans l'intérieur même du
faisceau
; ils affectent alors la forme d'ilôts accolés
nt, comme les foyers alvéolaires de Renaut, sur un seul côté de ces
faisceaux
: celui qui regarde la sur- face extérieure du
s, du côté où'le nodule vient,en,contact avec la masse, nerveuse du
faisceau
. (PL. I,-fg.,3,·g.LPL. II, 9' 12; n).-a.-i;-I4
s, du premier type sont toujours reliés au périnèvre d'une part, au
faisceau
nerveux de l'autre, tantôt par un,pur réticulum
actus partant de,la face profonde de la gaine, et de .la surface du
faisceau
pour aller se .fixer à la périphérie du foyer n
conti-' nuité de tissu entre la gaine et le'foyer, que du côté du
faisceau
nerveux on ne constaté au contraire l'interpositi
tissu réticulo-alvéo- laire et qui.se trouvent en, outre reliés-au
faisceau
nerveux par une couche du même tissu. " ' . Q
upant non plus l'espace méso- neurial, niais" l'intérieur même, du ^
faisceau
-nerveux. Nulle .- ri- tint, , ,-y -u ' t.. 4J-
ion de volume de ces éléments, amènerait entre le péri- nèvre et le
faisceau
nerveux la formation d'un vide que tendrait à c
te de barrière entre la formation hyperplas- tique et la surface du
faisceau
. Que l'on compare d'ailleurs le dessin' de ces
uniquement de mésos rares et délicats allant de la face externe du
faisceau
nerveux à la face pro- fonde dti*périèvre. Dans
e, où l'appareil nbro-hyalin forme un véritable manchon autour du
faisceau
nerveux. Les fuseaux surtout contribueraient à at
masses contractiles dont le jeu déplace et comprime sans cesse, les
faisceaux
nerveux^ Si chez l'homme et le chien, comparés
'assurément qu'il existe une corrélation entre la.vulnérabilité du
faisceau
ner- veux et la situation topographique des \ f
nveloppe périneu- riale paraisse'^ étroitement appliquée' contre le
faisceau
ner- veux, on sait qu'entre la , face profonde
cette antilogie de la'gaine'lamelleuse sur la face extérieure du
faisceau
nerveux relativement immobile. Que"" ce déplaceme
tion des foyers comme s'il était formé par la juxtaposition de deux
faisceaux
complètement individualisés. , Fig. 2 . - 1/70.
m, m) bien distincte, laquelle est surtout développée dans le petit
faisceau
(A) annexé au névricule de gauche : elle formel
i-même se montre enveloppé de toutes parts, mais surtout du côté du
faisceau
nerveux, par une zone alvéolaire. Lestroma inte
ué par un réseau lâche (e) fortement nucléé surtout au voisinage du
faisceau
nerveux (g), représentant une des formes diffus
ue à la condensation de l'endonèvre dans la couche superficielle du
faisceau
. En b deux cellules indifférentes. , Fig. 13.
ymphe coagulée ou détritus cellulaire ? ). Fig. 15. 1/500. Un petit
faisceau
nerveux aplati (f) pris entre deux couches méso
ris entre deux couches mésoneuriales. Les fibres renfermées dans ce
faisceau
ont subi un certain degré d'atrophie, et l'endo
ent volumineux (a). -' Comme dans- les figures 21,' 25,' 26, 27, le
faisceau
nerveux n'est représenté que par le contour de se
cences fasciculées habituelles et, en plus, sclérose ascendante des
faisceaux
pyramidaux croisés, remontant jusqu'ci la parti
lérose du cordon de Goll peu étendue,' et une sclérose annulaire du
faisceau
antéro-laléral, avec, une pointe saillante en,d
llante en,dedans au niveau d'une ligne qui passe'par la commissure (
faisceaux
céréheiteux direct et latéral passe par la t .n
oupes de haut en bas, on voit appa- raître une teinte grise dans le
faisceau
pyramidal dès le milieu du renflement cervical
a surface de coup a,, puis.PILI's b>as elle sevéanlonüe dans les
faisceaux
pyra- midaux.' Un examen rapide'^ l'état frais
minent" dans les cordons postérieurs et la partie posté- rieure des
faisceaux
latéraux. { » > .'^-. 1, il - 1' 'UoJu.r o f
sale; myélite scléreuse diffuse, avec prédominance au niveau des .,
faisceaux
pyramidaux et des cordons de Goll."Codo·aliozz de
e, au niveati, de la, sixième racine, dorsale; dégénérescence, des,
faisceaux
pyramidaux, plus marquée à''gauche. ETUDE DE LA
ILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 117 Î i' t ? 1 ] '' . . dante intense du
faisceau
pyramidal croisé. A gauche cette dégé- nérescen
outre, une dégénérescence beaucoup plus légère qui s'avance dans le
faisceau
antéro-latéral. A droite la dégénérescence est
res de la lésion primi- tive ; de ce. côté la partie postérieure du
faisceau
pyramidal est moins lésée que sa partie antérie
myélite transverse, on observe une dégé- nérescence ascendante des
faisceaux
de Goll, de Gowers et cérébel- leux direct ;'ou
une diminution considérable de fibres à myéline dans la région du
faisceau
pyramidal croisé, constituant une sclérose très r
plus visible dans les pyramides. "'--»-. Des dégénérescences des
faisceaux
cérébelleux direct et latéral ** ascendant il n
ral ** ascendant il n'y a rien à dire ; elles se fusionnent dans le
faisceau
latéral du bulbe où une partie des fibres dégén
éral du bulbe où une partie des fibres dégénérées parait s'arrêter (
faisceau
de Gowers) tandis que l'autre contourne en arrièr
acine cervicale; dégénérescence ascendante des cordons de Goll, des
faisceaux
céré- belleux'directs et des, faisceaux de Gowe
te des cordons de Goll, des faisceaux céré- belleux'directs et des,
faisceaux
de Gowers; myélite ascendante des faisceaux pyr
belleux'directs et des, faisceaux de Gowers; myélite ascendante des
faisceaux
pyramidaux« 1 ? 1. »- , - J ' 118 PATHOLOGIE NE
édoncule céré- belleux inférieur, ou elle devient 1res peu visible (
faisceau
cérébel- leux direct).. ? · , , ? 4 , , ? La
faisceau cérébel- leux direct).. ? · , , ? 4 , , ? La sclérose du
faisceau
de Goll n'atteint pas toutes les fibres de t..
t.. - OU I" *" l ? l, ? Il '1111U1 ( . TU ' uv- * I-' 'J ? v t- ce
faisceau
; elle se limite, comme dans les dégénérescences
" commissure postérieure en un point du renflement cervicale Le*
faisceau
droit est moins'atteint'que'le"gauche et tous deu
rigine.*»' -M W1 tlWf 41l ti- fin Quanta la sclérose ascendante des
faisceaux
pyramidaux croisés,' f'r elle est beaucoup moin
te des cordons de Goli,"des'faiscpaux céré ? belleux directs et des
faisceaux
de Gowers; la myélite ascendante' des""1 faisce
x directs et des faisceaux de Gowers; la myélite ascendante' des""1
faisceaux
pyramidaux a disparu; presque complètement.'tq sf
sion primitive; or, si l'on compare l'in- tensité de la sclérose du
faisceau
pyramidal au-dessus et au des- sous du foyer tr
us qu'il n'en est resté au-dessous. Ce sont donc bien les fibres du
faisceau
pyramidal croisé, des fibres descendantes par c
croisé, des fibres descendantes par conséquent, qui sont lésées. Le
faisceau
pyramidal direct est abso- lument intact. ,- '
he. ,, iiH,. ? ..., ,t ... , . , .... z La sclérose, ascendante des
faisceaux
de Goll, de Gowers et céré- belleux direct ne,
énérescence secondaire. 11 n'en est pas de même pour la sclérose du
faisceau
pyramidal qui présente des détails intéressants
saisit la nature de ce processus; dans les 'régions supérieures du
faisceau
pyramidal on voit les cellules de la névroglie
s par, for- 1'a. 21.j^ ? Coupe- longitudinale pratiquée -dans; le.,
faisceau
pyramidal droit au niveau de la quatrième racin
ésion inters Litielle,'Ies cylindres d'axe qui persistent 'dans' lé
faisceau
pyramidal sont'malâdes`poür la plupart ; ils pré-
semé de petits frag- Fig. 22. Coupe longitudinale pratiquée dans le
faisceau
pyramidal dioit au niveau de la première racine
trait au sujet qui nous occupe. Les dégénérescences ascendantes des
faisceaux
de Goll, de Gowers et cérébelleux direct, n'off
cérébelleux direct, n'offrent rien d'intéressant, mais la lésion du
faisceau
pyramidal croisé se présente sous un aspect ins
ente sous un aspect insolite ; il existe une double sclérose de ce'
faisceau
: l'une; au-dessous du foyer, est descendante,
égénérescence; mais - cette supposition tombe devant ce fait que le
faisceau
pyrami- - dal direct n'est pas atteint ; et la
ect singulier que prennent les cellules de.' la névroglie dans le
faisceau
pyramidal; il semble qu'il y ait là un processus
dons pour les voies pyramidales. 2 Une dégénérescence analogue du
faisceau
pyramidal vient d'être 'décrite par il. Sottas
néraux,' on trouve soit le tabes vrai, soit la dégéné- rescence dès
faisceaux
pyramidaux, soit ces deux lésions com- binées.
d'hémichorée posthémiplégique du côté gauche avec dégénérescence du
faisceau
pyramidal. - La malade éprouve, dans tout le cô
is, au lieu d'être liées à un arrêt congénital de développement des
faisceaux
pyramidaux,' ces paralysies sont apparues consé
ont restées identiques à celles des enfants atteints d'atrophie des
faisceaux
pyramidaux (contrac- tures spasmodiques congéni
- sant le lobe occipital droit indemne aux'centres commandant aux
faisceaux
moteurs de l'écriture et à ceux qui reçoivent les
'ë'dù '-tissu connectif dans' les cordons' latéraux comprenant' lès
faisceaux
pyra- "/inidâ'ux"'niàis non' les'' faisceaux' '
s ! racines sous-jacentes et' se. réunissant, en cet en- droit,' au
faisceau
de Goll.ilU . 1 : - ojsi v ? 11 ,r - - ? a Dans
tes. Il a°moius défibres' dégéné- rées dans la partie antérieure du
faisceau
de Goll (moelle cervicale), parce'que'Ià au fai
antérieure du faisceau de Goll (moelle cervicale), parce'que'Ià au
faisceau
de Goll s'ajoutent des' fibres de la corne post
coeruleus fouïvissédèsfibres,âu,riôyau.sensitif du trijumeau et au
faisceau
cérébelleux ? 9,~, Jr< e' 1· a : ,J^ti''fD'· °
THOLOGIQUES : 205 tié droite de la protubérance un foyer englobe le
faisceau
d'émer- gence du facial et du trijumeau; il a d
es segments postérieurs-, des .noyaux de l'oculo-moteur commun, des
faisceaux
longitudinaux postérieurs, du ruban de Reil du
ipfc< in n ' i. ,HD- . - «i.. Voici maintenant les, rapports du
faisceau
, pyramidal, de la portion corticale. du- - ruba
-corticaux. En avant d'elles s'infléchit dans la capsule interne le
faisceau
cortical du ruban deReil avec le faisceau pyra-
ans la capsule interne le faisceau cortical du ruban deReil avec le
faisceau
pyra- midal ; ces deux trousseaux se sont réuni
mblable à l'écorce, avec laquelle elle est en communication par des
faisceaux
de substance blanche. Cette substance grise inc
r, des -trois, quarts -internes du ;pédondule cérébral y compris le
faisceau
pyramidal, les fibres qui vont de l'écorce à à
drijumeaux; la bandelette optique; le corps genouillé externe : les
faisceaux
irradiant de la couche optique; le pulvinar. To
majeure partielle grand axe, est parallèle à l'axe longitudinal du
faisceau
* radiculaire il eîi'èst de circulaires ou ovale
e cortical non seulement pour les cordons antérieurs'jet latéraux' (
faisceau
pyramidal ' de Flechsi- mais aussi pour les cor
e ' locus coeruleus, formée' aussi des fibres au noyau sënsitifetau
faisceau
cérébelleux. Les racines motrices se composent*
LA C.4LOTTE dans LA PROTUBERANCE avec remarques SUR LE trajet' DES
faisceaux
de' la '"sensibilité cutanée; par MocLÉ et'1VIA
o-médiane, du système latéral de la zone radiculaire moyenne et des
faisceaux
de Goll. Intégrité de la zone radiculaire antér
que,, depuis longtemps, elleb ne réagitxrj plus sous l'action d'un
faisceau
lumineux, ou dans. l'obscurité oq Il importe, e
des foyers^comme' s'il "était formé par' la juxtaposition de deux'
faisceaux
complètement individualisés ? ' ,' Fig. 14 1 IT
z,'m)bieii distincte, laquelle est surtout développée dans le petit
faisceau
(A) annexé au névricule de gauche : elle formel
i-même se montre enveloppé de toutes parts; mais surtout du côté du
faisceau
nerveux,'par une zone alvéolaire. Lestroma inte
ué par un réseau lâche (e) fortement nucléé surtout au voisinage du
faisceau
nerveux (9), représentant une des formes diffus
ue à la condensation de l'endonèvre dans la couche superficielle du
faisceau
. En b deux cellules indifférentes. Fig. 13. 1
ymphe coagulée ou détritus cellulaire ? ). Fig. 15. 1/500. Un petit
faisceau
nerveux aplati (y) pris entre deux couches xnés
is entre deux couches xnésoneuriales. Les fibres renfermées dans ce
faisceau
ont subi un certain degré d'atrophie et l'endon
volumineux (a) ? Comme dans'les figures1 21 ? >' 25;, 26, 27,'le
faisceau
nerveux n'est représenté que par le contour de se
émiplégies toutes récentes, dans les cas où les fibres nerveuses du
faisceau
pyramidal étaient détruites et dans d'autres (s
où l'altération n'était que superficielle, où les cylindraxes de ce
faisceau
étaient conservés, sur des sujets chez lesquels
ceau étaient conservés, sur des sujets chez lesquels les lésions du
faisceau
pyramidal devaient être très étendues et sur d'
n, aux lésions des arcs tendino-réflexes s'associe une sclérose des
faisceaux
pyramidaux, les réflexes tendineux paraissent t
r des réflexes en particulier sous l'influence d'une altération des
faisceaux
pyramidaux (hémiplégie) l'irréflectivité est to
psycho-motrice du cerveau exerçant sur eux, par l'intermédiaire du
faisceau
pyramidal, un pouvoir frénateur. Bruns, Dejerin
atement au-dessous; en effet, sauf dans cette région, les fibres du
faisceau
pyra- midal sont partout tellement rapprochées
ssements, tumeurs, etc., atteignant directement ou indirectement le
faisceau
pyramidal, provoquent des troubles de motilité
ve en foyer ayant pour consé- quence une dégénération secondaire du
faisceau
pyramidal. Dans la phase où la dégénération est
ation secondaire, un cas de néoplasme intra-crânien qui comprime le
faisceau
pyramidal sans le détruire. La surréflectivité,
dérer successivement l'hémi- plégie sans dégénération secondaire du
faisceau
pyramidal et l'hémiplégie avec dégénération sec
ération secondaire ? Assurément cela est possible si à la lésion du
faisceau
pyramidal s'associent des altérations dans les ar
a couche optique ou du corps strié, associées à une alté- ration du
faisceau
pyramidal, peuvent-elles entraver la surréflectiv
, en pareil cas, la couche opto-striée seule est atteinte et que le
faisceau
pyramidal est intact. , En ce qui concerne le
ans les lésions de la moelle (') De la paralysie par compression du
faisceau
pyramidal sans dégénération secondaire, par J.
illeurs aisé- ment en raison de la place importante occupée par les
faisceaux
pyrami- daux dans cette partie du système nerve
e entité nosologique conditionnée par une sclérose systématique des
faisceaux
pyramidaux, sans lésion en foyer, ou bien d'un sy
se maintient; c'est qu'il y avait de la dégénération secondaire des
faisceaux
pyramidaux. Dans les autres, la surréflectivité
idaux. Dans les autres, la surréflectivité elle-même disparaît; les
faisceaux
pyramidaux étaient alors simplement comprimés,
is avant l'hémiplégie. Le plus souvent, en pareil cas, la lésion du
faisceau
pyramidal n'influencera pas les réflexes. On conç
olis, mais simplement affaiblis. Sous l'influence d'une sclérose du
faisceau
pyramidal la subréflectivité peut s'atténuer, d
reich, où à des lésions des arcs réflexes se joint une sclérose des
faisceaux
pyramidaux, les causes de l'irréflectivité prév
ition des réflexes rotuliens. Si cette lésion irrite ou détruit les
faisceaux
pyramidaux, elle aura, comme autre conséquence,
e, maldePott, ou tumeur). Supposons que cette lésion exerce sur les
faisceaux
pyramidaux une action destruc- tive ou simpleme
atteint de paraplégie liée à une affection spinale intéressant les
faisceaux
pyramidaux, siégeant vers le milieu de la moell
ordinairement présent et constitue le témoi- gnage d'une lésion des
faisceaux
pyramidaux. C'est ce qu'on observe, en particul
is ne peut-il pas se développer aussi, au cours d'affections où les
faisceaux
pyramidaux sont intéressés, quelque autre espèce
surréflectivité tendineuse et elle est liée à une dégéné- ration du
faisceau
pyramidal ; l'autre a des analogies cliniques ave
cette affection les réflexes tendineux ne sont pas exagérés et les
faisceaux
pyramidaux sont intacts. e) Voir : a) Sur une f
e, quand ils sont très caractérisés, la dégénération secondaire des
faisceaux
pyramidaux fait défaut ou bien est très légère ;
rme déterminée par des lésions ner- veuses centrales atteignant les
faisceaux
pyramidaux, et pourtant absolu- ment indépendan
resterait pour moi un signe mystique et inexplicable d'affection du
faisceau
pyramidal. Je répondrai à cela que, si je n'ai pa
'existence d'une affection organique de la moelle inté- ressant les
faisceaux
pyramidaux est incontestable, on observe une co
r sclérose spinale dans lesquels les .I4o SÉMIOLOGIE nératives du
faisceau
pyramidal font défaut ou sont peu prononcées. P
e, quand ils sont très caractérisés, la dégénération secondaire des
faisceaux
pyramidaux fait défaut ou bien est très légère ;
forme déterminée par des lésions nerveuses centrales atteignant les
faisceaux
pyramidaux, et pourtant absolument indépendante
ment (centre des réflexes de posture). Une lésion cantonnée dans le
faisceau
pyramidal exalte à la fois l'activité réflexe d
le asynergique, le constater en l'absence de signes d'altération du
faisceau
pyramidal. On doit s'assurer par avance que le
des Hôpitaux, 24 mars 18qq). 6) De la paralysie par compression du
faisceau
pyramidal, sans dégénération secondaire. Contri
ce, d'aspect nacré à la coupe, elles paraissent constituées par des
faisceaux
entrecroisés en tous sens ; leur consistance est
ceps bra- chial gauche, qui semble bien dénoter une irritation du
faisceau
pyramidal. Si on l'admet, il reste encore à dét
rbation du système pyramidal, mais, a-t-il dit : « si un trouble du
faisceau
pyramidal intervient à un titre quelconque dans
pposer qu'elle occupe une région des centres nerveux avoisinant ces
faisceaux
, par exem- ple le corps opto-strié. Le phénomèn
gauche prédominant au membre supérieur. 2° Des signes de lésion des
faisceaux
pyramidaux plus marqués du côté gauche. 3° Des
in Destruction des fibres cérébelleuses remontant de la moelle par le
faisceau
latéral et qui constituent le contingent médull
par places et sur une petite étendue, interrompre la continuité des
faisceaux
dégénérés, les points de repère sont restés suf
aisseur de la substance réticulée jusque près du plancher, entre le
faisceau
solitaire et le faisceau longitudinal postérieur
éticulée jusque près du plancher, entre le faisceau solitaire et le
faisceau
longitudinal postérieur ; il est limité par un si
spinal; il interrompt forcément le trajet des fibres ascendantes du
faisceau
antéro-latéral (faisceau de Gowers); toutefois
cément le trajet des fibres ascendantes du faisceau antéro-latéral (
faisceau
de Gowers); toutefois le faisceau cérébelleux dir
antes du faisceau antéro-latéral (faisceau de Gowers); toutefois le
faisceau
cérébelleux direct, qui passe très tôt en arriè
ôt en arrière, paraît lui avoir échappé ; les noyaux situés dans le
faisceau
latéral du bulbe sont naturellement englobés. T
us de lui de dégénérescence répondant au trajet récemment décrit du
faisceau
de Gowers vers le cervelet. Le second foyer est
nce réticulée, quelques fascicules de l'hypo- glosse ; il entame le
faisceau
longitudinal postérieur et se place au hile de l'
ruban de Reil, respectée par le foyer précédent, et l'autre sur le
faisceau
pyramidal. Nous étudierons les dégénérescences
es dégénérescences secondaires en envisageant successivement chaque
faisceau
au-dessus et au-dessous des foyers. Le faisceau
essivement chaque faisceau au-dessus et au-dessous des foyers. Le
faisceau
pyramidal est altéré dans toute la hauteur de la
ses.deux portions qui est classique, sinon que la limite externe du
faisceau
pyramidal direct ne peut être fixée avec certitud
direct ne peut être fixée avec certitude à cause de la présence du
faisceau
cérébelleux descendant qui lui est immédiatement
sé. Au-dessus du foyer il existe quelques fibres dégénérées dans le
faisceau
pyramidal; on peut les suivre jusqu'à la capsul
l médian; elles se disséminent bientôt dans toute l'épaisseur de ce
faisceau
. Arrivées dans la couche optique, les fibres dé
es des autres et se raréfient rapidement ; elles ne forment plus de
faisceau
compact et occupent toute la région désignée par
ge, mais parfaitement nette, qui permet CAn. Corne antérieure. FCC.
Faisceau
central de calotte. FCd. Faisceau cérébelleux dir
ermet CAn. Corne antérieure. FCC. Faisceau central de calotte. FCd.
Faisceau
cérébelleux direct. FD. Faisceau cérébelleux de
Faisceau central de calotte. FCd. Faisceau cérébelleux direct. FD.
Faisceau
cérébelleux descendant (f. de Marchi). Flp. Faisc
ux direct. FD. Faisceau cérébelleux descendant (f. de Marchi). Flp.
Faisceau
longitudinal postérieur. FlF2FaF. Foyers de ram
égion de la substance réticulée qui avoisine le ruban de Reil et le
faisceau
longitudinal postérieur, on aperçoit des faisceau
ruban de Reil et le faisceau longitudinal postérieur, on aperçoit des
faisceaux
longi- Fig.. 2 1. Fig. 17, 18, 19, 20. Coupes
corne antérieure qu'elles coiffent. Plus bas elles sont séparées du
faisceau
pyramidal direct par une mince ligne pâle, puis c
la corne antérieure et forment une virgule dont la tête s'adosse au
faisceau
pyramidal direct en touchant à la périphérie de
riphérie de la moelle, et dont la queue se perd dans l'épaisseur du
faisceau
antéro-latéral, en dedans de la place du faisceau
ns l'épaisseur du faisceau antéro-latéral, en dedans de la place du
faisceau
de Gowers. Ces fibres diminuent rapidement de n
ale, mais nous avons pu les suivre jusque dans la région sacrée. Le
faisceau
répond à la description du faisceau cérébelleux
jusque dans la région sacrée. Le faisceau répond à la description du
faisceau
cérébelleux descendant qui, suivant les auteurs
oyau de Deiters. Au-dessus des foyers on trouve à la même place des
faisceaux
dégénérés, en moins grand nombre, épars dans la
Nous supposons qu'il s'agit là d'une dégé- nérescence centripète du
faisceau
descendant, originaire du noyau de Deiters, plutô
rencontrent jusque dans les régions supérieures de la calotte. Le
faisceau
longitudinal postérieur gauche présente au-dessou
bas. En haut il existe un petit nombre de fibres dégénérées dans le
faisceau
; par analogie avec ce qui se passe dans le ruba
- rescence centripète qui s'étend jusqu'à l'extrémité supérieure du
faisceau
, sur la face interne du noyau rouge. Enfin no
rescence des boules beaucoup plus petites que les fibres des autres
faisceaux
. Elles constituent d'abord les fibres pré-, inter
la dépendance des lésions du ruban de Reil et probablement aussi du
faisceau
de Gowers ; il est à remarquer toutefois que le
aiblissement de la contractilité volontaire, dépend de la lésion du
faisceau
pyramidal. La perturbation dans l'asynergie mus
e. Il y a tout lieu de faire jouer un rôle important à la lésion du
faisceau
cérébelleux descendant, ou à celle des fibres cér
descendant, ou à celle des fibres cérébelleuses conte- nues dans le
faisceau
de Gowers. Il est à remarquer que comme dans l'
où siège la lésion qui donne lieu à ce trouble ? Serait-ce dans le
faisceau
longitudinal postérieur ? Nous ferons observer en
ulaires, par la disparition parfois complète de la myéline dans les
faisceaux
sclérosés, la sclérose tabétique se rapproche d
e a montré qu'il n'existe aucune dégénérescence dans les différents
faisceaux
, môme dans les points qui sont directement en con
in, l'on ne voit pas de dégénérescence secondaire appréciable des
faisceaux
à long trajet. Par la méthode de Marchi, la pla
faisceaux à long trajet. Par la méthode de Marchi, la place de ces
faisceaux
n'est indiquée que par un nombre très restreint
picrocar- min. Il n'existe pas de dé- générescence visible des
faisceaux
pyramidaux. SUR UNE FORME DE PARAPLÉGIE SPASMOD
la moelle qu'une large plaque de sclérose siégeant à droite dans le
faisceau
antéro-latéral, au niveau des émergences des ra
ites ; les autres sont plus étendues, elles peuvent même occuper le
faisceau
latéral tout entier, mais la sclérose y est plus
que l'affection consistait en un néoplasme intra-crânien et que les
faisceaux
pyramidaux de la moelle n'étaient aucunement al
hez l'adulte, une paraplégie spasmodique perma- nente, sans que les
faisceaux
pyramidaux aient subi de dégénérescence seconda
, Deulsches Archiv f. Illin. nlect., XXIII Band, p. 343. 2° Etal du
faisceau
pyramidal dans quatre cas de contracture spasmodi
ant la zone rolandique gauche; hémiplégie permanente ; intégrité du
faisceau
pyramidal, par Cestan. Société anatomique, févrie
mes trois observations, à savoir que la dégénération secondaire des
faisceaux
pyramidaux fait défaut; dans les observations I e
ation du sys- tème pyramidal n'aboutissant pas à la destruction des
faisceaux
qui le constituent Q. A l'appui de cette idée
ompte rendu de l'examen anatomique, l'absence de dégénérescence des
faisceaux
latéraux au-dessous de la g" dorsale est notée
ement peut être indépen- dante de toute dégénération secondaire des
faisceaux
pyramidaux, mais semble même dénoter que ces fa
condaire des faisceaux pyramidaux, mais semble même dénoter que ces
faisceaux
sont normaux ou ne sont tout au plus que partie
expé- rimentale, 18gi. III DE LA PARALYSIE PAR COMPRESSION DU
FAISCEAU
PYRAMIDAL SANS DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE (Contr
araît être le suivant : artérite céré- PARALYSIE PAR COMPRESSION DU
FAISCEAU
PYRAMIDAL 327 brale avec thrombose; ramollissem
trois mois qu'a duré l'hémi- plégie, une dégénération secondaire du
faisceau
pyramidal aurait dû se produire et que cette dé
et, outre la difficulté que le malade PARALYSIE PAR COMPRESSION DU
FAISCEAU
PYRAMIDAL 329 éprouve à trouver ses mots, il pr
de l'hémiplé- gie. On sait, en effet, qu'une lésion destructive du
faisceau
pyramidal a pour conséquence habituelle une mod
ncipale qui se dégage de ce qui précède c'est qu'une compression du
faisceau
pyramidal peut engendrer une paralysie avec con
s signes rendant l'hypothèse de tumeur PARALYSIE PAR COMPRESSION DU
FAISCEAU
PYRAMIDAL 3 ? cérébrale acceptable, cette forme
le ou le bulbe) n'aboutissant pas à une dégénération secondaire des
faisceaux
pyramidaux. .. L'observation de faits nouveaux
seulement lorsque l'anesthésie fait défaut ou est très minime, les
faisceaux
pyramidaux ne sont pas dégé- nérés ou ne le son
ait difficile de l'admettre. S'il en était ainsi, si les fibres des
faisceaux
pyramidaux correspondant au membre supérieur ét
MOELLE De plus, tandis que la contracture liée à une irritation des
faisceaux
pyramidaux s'accompagne ordinairement d'une exa
deux homolatérales, une dans le cordon postérieur, l'autre dans le
faisceau
cérébelleux direct. 36o PARAPLÉGIES - AFFECTION
ones radiculaires externes dans les cordons postérieurs au niveau des
faisceaux
de Burdach : A. arachnoïde; CB. faisceau de Bur
postérieurs au niveau des faisceaux de Burdach : A. arachnoïde; CB.
faisceau
de Burdach; D. dure-mère; P. pie-mère; Zm. zone m
- sation marginale Zm ; et des grains noirs abondants dans les deux
faisceaux
pyramidaux croisés Py. c. et dans le faisceau d
ndants dans les deux faisceaux pyramidaux croisés Py. c. et dans le
faisceau
de Burdach C. B. le faisceau de Goll étant intact
x pyramidaux croisés Py. c. et dans le faisceau de Burdach C. B. le
faisceau
de Goll étant intact. : COMPRESSIONS MÉDULLAIRE
ux (fig. 5o et 4g) une assez grande quantité de grains noirs dans les
faisceaux
pyramidaux croisés, mais on n'en retrouve déjà
es de la moelle. Il n'existe pas en effet de dégénérescences de ses
faisceaux
longs et cliniquement la sensibilité était cons
altérées que la moelle (état clair, dégéné- rescence ascendante du
faisceau
de Burdach), ont fait preuve d'une tolé- rance
érescences des cordons postérieurs s'atténuent ainsi que celles des
faisceaux
pyramidaux ; la zone de démyélinisation marginale
iques, est liée généralement à une irritation non destruc- tive des
faisceaux
pyramidaux, sans dégénération descendante seconda
eut pas porter de pronostic. Il est impossible aussi de dire si les
faisceaux
pyra- midaux sont dégénérés ou simplement compr
une perturbation et non pas nécessairement une dégénération de ces
faisceaux
. En ce qui concerne l'amyotrophie, elle a été c
remiers mois de la maladie, il y a une lésion destructive et que le
faisceau
pyramidal a subi une altération suivie de dégén
re igo6). RADIOTHÉRAPIE DANS LES PARALYSIES SPASMODIQUES S Giâ le
faisceau
pyramidal n'est pas dégénéré. Quoi qu'il en soit,
petit hypnotisme (Archives de Neurologie, 1889, ne, 49 et 5o). 24.
Faisceaux
neuro-musculaires (Archives de Médecine expérimen
eurologie, 5 juillet igo6). 127. De la paralysie par compression du
faisceau
pyramidal, sans dégénération secondaire (Id.).
on du système pyramidal 315 III. De la paralysie par compression du
faisceau
pyramidal sans dégénération secondaire 326 IV
on lui commande d'élever le moignon de son épaule iso- lément. Les
faisceaux
claviculaires du deltoïde ne sont pas moins par
sie spinale, ils sont déterminés par une dégénération incomplète du
faisceau
pyramidal droit, consécutivement au foyer de my
de lui une zone diffuse plus foncée que les parties adjacentes du
faisceau
pyramidal et latéro-cérébelleux et formée par des
rses parties des cordons postérieurs et la perte de fibres dans les
faisceaux
cérébelleux et pyramidaux ; en même temps atrop
ieur. - Dans la première, absence de dégénérescence secondaire du
faisceau
pyramidal. Dans la seconde, dégénérescence secon-
arée des régions voisines, se divisent, comme on le sait, en deux
faisceaux
: l'interne ou celui de Goll, qui se dis- tingu
fines, adhère à la scissure postérieure et se détache nettement du
faisceau
externe de la partie cervicale, où sa limite ex
, prend naissance au sulcus intermedius posterior (l3elliujeri); le
faisceau
externe, dit faisceau de Bur- dach, occupe le r
ulcus intermedius posterior (l3elliujeri); le faisceau externe, dit
faisceau
de Bur- dach, occupe le reste des cordons antér
ne; mais ce n'est que quatre mois plus tard que les fibres de ces
faisceaux
reçoivent leur enveloppe de myéline. Quant aux
s de ces faisceaux reçoivent leur enveloppe de myéline. Quant aux
faisceaux
de Goll, d'après Flechsig, ils ne se forment qu
t d'exac- titude, ces derniers consistant de trois et non de deux
faisceaux
. Il se base sur le fait que les foetus de cinq
jusqu'à la commissure postérieure. Une division de cette nature des
faisceaux
de Burdach était encore à observer chez des foe
ois de la vie intra-uterine) dans les cordons postérieurs, où les
faisceaux
de Goll étaient encore dépourvus de myé- line.
ont l'enveloppe à myéline était déjà sensible- ment développée, les
faisceaux
postéro-périphériques, contigus à ceux de Goll,
l'opinion de Bechtereff par rapport aux élé- ments constituants des
faisceaux
de Burdach, mais sur des coupes de la moelle ép
mois de leur vie utérine, que les fibres des parties internes des
faisceaux
de Goll possédaient déjà une couche de myéline
sque dénués. Dans la partie cervicale de la moelle épinière, où les
faisceaux
de Goll sont les plus accentués, ce phénomène s
conjonctif sus- A, Scptiiin posterius. J ! , La poition interne du
faisceau
de Goll. - C, 1 a porlion externe du faisceau d
La poition interne du faisceau de Goll. - C, 1 a porlion externe du
faisceau
de Goll. I). Le faisceau de Burdach. - 1)' Lu por
sceau de Goll. - C, 1 a porlion externe du faisceau de Goll. I). Le
faisceau
de Burdach. - 1)' Lu portion posléio- penphen&l
S DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 181 mentionnée, servant de limite avec les
faisceaux
de Goll et à ceux de Burdach, donne la possibib
ue les portions dépourvues de myéline font -partie du territoire de
faisceaux
grêles (flq. 3 et 4). Sur les coupes de la pa
est moins précis, bien qu'on puisse y observer que les parties des
faisceaux
de Goll avoisinant la scissure postérieure, pos
aut, la même différence entre les portions externes et internes des
faisceaux
de Goll sur les coupes de la moelle épinière de
nt du neuvième mois de la vie utérine, mais la limite externe des
faisceaux
de cordons de Goll, privés de myéline, ne tranc
. DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA MOELLE. atteint ainsi la région des
faisceaux
de Goll ; la seconde partie de fibres forme ava
e, offrant le même volume que celles de la por- tion antérieure des
faisceaux
de Goll (fiq. 5, 6, 7). Me basant là-dessus, je
. Me basant là-dessus, je suis enclin à croire que les fibres des
faisceaux
de Goll, qui débouchent des cor- dons de Clark,
des cor- dons de Clark, se trouvent dans l'intérieur même de ces
faisceaux
, tandis que les fibres de la commissure postéri
u'elles la trouvent simultanément dans le bulbe, dans les noyaux de
faisceaux
grêles. PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'
tomique. Terminaisons centrales du nerf vague et constitution du
faisceau
solitaire du bulbe. Le D1' Bechterew a étudié par
a étudié par la méthode de Weigert les origines du nerf vague et le
faisceau
solitaire du bulbe. Il s'est servi d'embryons h
ambiguus du même côté. Le reste des fibres radiculaires gagne le
faisceau
solitaire du bulbe. Ce faisceau s'étend de la par
te des fibres radiculaires gagne le faisceau solitaire du bulbe. Ce
faisceau
s'étend de la partie supérieure du bulbe à l'en
de myéline, on cons- tate que ces fibres ne forment que le tiers du
faisceau
solitaire. Constitution du corps restiforme. Da
suivant la date d'apparition de la myéline : Il fibres venant du
faisceau
cérébelleux direct ; 2" fibres venant du noyau du
ant du faisceau cérébelleux direct ; 2" fibres venant du noyau du
faisceau
de Burdach du même côté; 30 fibres sortant du nov
; 30 fibres sortant du novau REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 215 du
faisceau
latéral du même côté; 10 fibres arciformes extern
ôté; 10 fibres arciformes externes, antérieures et postérieures, du
faisceau
grêle du même côté et du côté opposé; 5° fibres
l'olive inférieure du côté opposé. Toutes ces fibres forment trois
faisceaux
. Lé premier contient trois systèmes de fibres :
ux. Lé premier contient trois systèmes de fibres : 10 des fibres du
faisceau
cérébelleux; 2° des fibres du noyau du faisceau
: 10 des fibres du faisceau cérébelleux; 2° des fibres du noyau du
faisceau
cunéiforme;' 3° des fibres du faisceau latéral.
x; 2° des fibres du noyau du faisceau cunéiforme;' 3° des fibres du
faisceau
latéral. Toutes ces fibres montent en haut et e
u vermis supérieur, une partie allant au côté opposé. Le deuxième
faisceau
, constitué par les fibres du cordon grêle, se sép
rrespondante de la région moyenne du vermis supérieur. Le troisième
faisceau
, constitué par les fibres de l'olive infé- rieu
ons les faits suivants, publiés en langue russe. 'Constitution du
faisceau
longitudinal postérieur. D'après Flechsig, le f
stitution du faisceau longitudinal postérieur. D'après Flechsig, le
faisceau
longitudinal postérieur, s'il n'est pas le prol
faisceau longitudinal postérieur, s'il n'est pas le prolongement du
faisceau
basal, est en tout cas son homo- logue ; il rel
akovenkô,' en. relatant le premier cas connu de dégénérescense du
faisceau
longitudinal postérieur, a exposé ses recherches
dinal postérieur, a exposé ses recherches sur la constitution de ce
faisceau
qui contient, selon cet auteur : 1° des fibres
et la couche optique, traversent la commis- sure postérieure et le
faisceau
longitudinal postérieur, pour-, se terminer dan
se séparent à leur entrée dans la corne postérieure et forment deux
faisceaux
: un faisceau interne si grosses fibres et un f
eur entrée dans la corne postérieure et forment deux faisceaux : un
faisceau
interne si grosses fibres et un faisceau extern
orment deux faisceaux : un faisceau interne si grosses fibres et un
faisceau
externe à fibres grêles. Les grosses fibres se
traversent le cordon latéral vers sa périphérie pour constituer le
faisceau
cérébelleux direct; 2° d'autres vont à la parti
la colonne de Clarke,' traversent la commissure grise et forment le
faisceau
limitant du cordon antéro-latéral. D'autres fib
nt naissance à la partie périphérique des cordons de Burdach, et au
faisceau
cérébel- leux direct ; 2° les minces fibres ext
erew se fondant sur les résultats de la vivisection, admet que le
faisceau
externe dessert la sensibilité cutanée, tandis qu
le faisceau externe dessert la sensibilité cutanée, tandis que le
faisceau
interne remplit des fonctions réflexes (par les f
réunissent la corne postérieure-à la corne antérieure). Ce dernier
faisceau
servirait aussi à la conduction du sens mus- cu
e du cervelet prouve que ce sens n'a pas pour voie de conduction le
faisceau
cérébelleux direct; il reste donc la région pér
es prouvent que la sensibilité cutanée est croisée. C'est donc le
faisceau
formant la région limitante du cordon antéro-laté
Bechterew les montrent encore mieux. Excitabilité des différents
faisceaux
de la moelle chez les animaux nouveau-nés. L'ex
montre l'excitabilité propre de ses fibres. . De même les fibres du
faisceau
pyramidal qui se couvrent de myéline dix à douz
assez long- temps. Il a constaté les dégénérescences classiques du
faisceau
pyramidal des cordons de Goll et du faisceau cé
escences classiques du faisceau pyramidal des cordons de Goll et du
faisceau
cérébelleux direct. Il n'a pas observé la dégén
en sont dépourvues; donc le cor- don de Goll contient au moins deux
faisceaux
particuliers. M. Popoff soutient que les fibres
compression ultérieure de la moelle. Myélite ititersti. tielle des
faisceaux
pyramidaux (d'où paralysie avec exagération des
ntient trois systèmes : A, un système intellectuel qui est formé de
faisceaux
conducteurs et d'oasis de cellules dégé- nérant
si le premier relai central des nerfs auditifs et op- tiques et les
faisceaux
de conjonction des divers centres primitifs.' *'
me des pyramides et le ruban dé Réil, il, dans le cervelet : par le
faisceau
iatéropyramidal et les fibres cérébellobulbaire
e la corne postérieure à la cloison de la pie-mère intermédiaire au
faisceau
de Goll et au faisceau de Burdach. P, K , ',
à la cloison de la pie-mère intermédiaire au faisceau de Goll et au
faisceau
de Burdach. P, K , ', SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉ
étrique bilatérale associée). Géné- ralement les zones d'entrée des
faisceaux
radiculaires dans les cordons postérieurs sont
et systématique des manches de myéline. Voici ce qu'il a trouvé. Le
faisceau
longitudinal postérieur s'en- toure de très bon
fascicules irra- diant de la formation réticulaire de la base, les
faisceaux
qui, issus de la commissure inférieure (de Gudd
rtie posté- rieure du nerf optique, de la dissociation terminale du
faisceau
longitudinal postérieur, d'un fascicule origina
oyau vésiculaire. Parmi les fibres ascendantes, il faut, en sus des
faisceaux
longitudinaux postérieurs qui perdent une partie
ie. L'oeuvre qui la résume, et qui sert de lien en quelque sorte au
faisceau
de doctrines nées ou élaborées à ce sujet en It
st pas une preuve par- lante contre la possibilité d'une lésion des
faisceaux
postérieurs, et que même, au contraire, dans le
ent qu'on ne le croit en général, ou bien encore par une lésion des
faisceaux
postérieurs, de la moelle épinière ou bien enco
moelle épinière; ainsi Fuczek cite déjà des cas de lé- sion de ces
faisceaux
jiost-puerperium, après l'enahoi- sonnenaeot pa
ption faite ces temps derniers par M. Vierordt de troubles dans les
faisceaux
postérieurs de la moelle épinière dans un cas à
arquée et, sans doute possible, primitive dans toute la longueur de
faisceaux
de Goll (la queue de cheval était intacte). J'a
dans la littérature, l'existence des troubles 'pathologiques des
faisceaux
postérieurs dans l'anémie. Tous ces faits font
ordons postérieurs et d'une zone périphérique du cordon latéral, le
faisceau
pyra- midal avait été touché par le processus p
ttentif nous a montré d'autres plaques échelonnées tout le long des
faisceaux
pyramidaux. M. Minor nous a fait aussi examiner
HOLOGIE NERVEUSE. 47S 5 Bechtérew. De l'excitabilité des diflérenls
faisceaux
de la moelle épinière chez les animaux nouveau-
odique. Le Médecin, no 48, 1887. Jakovenko. De la constitution du
faisceau
longitudinal posté- rieur. -Journ. de Dlierjiem
t du côté de la lésion, avec entre-croisement ,. presque complet du
faisceau
pyramidal). Le Médecin, n°39, 1886. Pasternat
RTIE HISTOLOGIE NORMALE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE
FAISCEAUX
NEURO-MUSCULAIRES En 1886, j j'ai fait paraître
à établir qu'à l'étal normal il existe dans les muscles striés des
faisceaux
spéciaux constitués par des gaines lamelleuses
émentaire sur ce sujet. Voici la description que j'ai donnée de ces
faisceaux
neuro-muscu- laires. « Lorsqu'on examine, sur
rve par places. dans l'épaisseur du tissu conjonctif qui sépare les
faisceaux
de fibres, de petits îlots plus ou moins réguli
parties du muscle, et présentant généralement un plus grand FIG. i.
Faisceau
nouro musculaire. a,a. Fibres musculaires qui a
isceau nouro musculaire. a,a. Fibres musculaires qui a-voisinent le
faisceau
neuro-muscu- l,iier; b Gaine lamelleuse de ce f
voisinent le faisceau neuro-muscu- l,iier; b Gaine lamelleuse de ce
faisceau
. Dans l'espace délimi- tée par cette gaine on v
e unique cloisonnée, sont contenus dans des gaines indépendantes.
FAISCEAUX
\IEURO-MUSCULAIHES il « Ces figures corresponde
FAISCEAUX \IEURO-MUSCULAIHES il « Ces figures correspondent à des
faisceaux
musculaires, bien dis- tincts des faisceaux voi
res correspondent à des faisceaux musculaires, bien dis- tincts des
faisceaux
voisins par la dimension des fibres et la gaine
destinés. » Ayant constaté pour la première fois la présence de ces
faisceaux
sur des muscles atrophiés dans un cas d'amyotro
890. pp. 3 13-3 1 Il. b) Blocq et Marinesco, Sur la morphologie des
faisceaux
neuro-musculaires. C. R. Société de Biologie, &
, > 8go, p. 3g8). Il a contribué tout au moins à établir que les
faisceaux
neuro-musculaires constituent une disposition n
es anatomo-patholojistes, pas plus à l'étranger qu'en France. Ces
faisceaux
avaient été considérés par eux comme le résultat
sépare du sarcolemme la substance striée ; celle- ci, dans certains
faisceaux
, est extrêmement réduite et le protoplasma remp
émiplégies toutes récentes, dans des cas où les fibres nerveuses du
faisceau
pyra- midal étaient détruites et dans d'autres
l'altération n'était que superficielle, où les cylindres-axes de ce
faisceau
étaient conservés, sur des sujets chez lesquels l
ceau étaient conservés, sur des sujets chez lesquels les lésions du
faisceau
pyramidal devaient être très étendues et sur d'au
e que j'ai décrit. L'auteur attire l'attention sur ce point que les
faisceaux
pyramidaux dans la région dorsale ne sont que l
rter de diagnostic précis. Il est impos- sible aussi de dire si les
faisceaux
pyramidaux sont dégénérés ou sim- plement compr
ne per- turbation et non pas nécessairement une dégénération de ces
faisceaux
. En ce qui concerne l'amyotrophie, elle a été p
odiques, est généralement liée à une irritation non destructive des
faisceaux
pyramidaux, sans dégénération descen- dante sec
de la moelle; il n'existait pas, en effet, de dégénérescence de ses
faisceaux
longs, et l'examen clinique avait montré que la
altérées que la moelle (état clair, dégé- nérescence ascendante du
faisceau
de Burdach), ont fait preuve d'une tolérance tr
ulbe. 27. Coupe de la Protubérance. CAn. Corne antérieure. - FCC.
Faisceau
central de la calotte. FCd. Faisceau cérébelleux
CAn. Corne antérieure. - FCC. Faisceau central de la calotte. FCd.
Faisceau
cérébelleux : direct. FD. Faisceau cérébelleux
ceau central de la calotte. FCd. Faisceau cérébelleux : direct. FD.
Faisceau
cérébelleux descendant (f. de Marchi). Flp Faisce
ement et les fibres olivaires droites après leur décussation; b) le
faisceau
cérébelleux descendant qui proviendrait en part
he interolivaire ; d) les voies ascendantes latérales de la moelle (
faisceau
de Gowers), le faisceau cérébelleux direct étan
s voies ascendantes latérales de la moelle (faisceau de Gowers), le
faisceau
cérébelleux direct étant probablement intact ;
), le faisceau cérébelleux direct étant probablement intact ; e) le
faisceau
longitudinal posté- rieur ; f) les nerfs mixtes
upille gauche semble dû à l'altération du SYNDROMES BULBAIRES 163
faisceau
longitudinal postérieur par lequel passent vraise
et la latéropulsion sont ici sous la dépendance de l'altération du
faisceau
cérébelleux descendant (les lésions du faisceau
de l'altération du faisceau cérébelleux descendant (les lésions du
faisceau
longitudinal postérieur pourraient aussi être i
t légitime de la rattacher, principalement au moins, à la lésion du
faisceau
cérébelleux descendant, mais il est permis aussi
endant, mais il est permis aussi de supposer que les altérations du
faisceau
de Gowers (et peut-être aussi celles de la voie
égion de la substance réticulée qui avoisine le ruban de Reil et le
faisceau
longitudinal postérieur, il existe des faisceau
ruban de Reil et le faisceau longitudinal postérieur, il existe des
faisceaux
longitudinaux de fibres dégénérées que l'on peut
jusque dans les régions inférieures de la moelle ; elles forment un
faisceau
qui coiffe la corne antérieure et qui, à un certa
e antérieure et qui, à un certain niveau, est nettement distinct du
faisceau
pyramidal direct également dégé- néré : c'est l
stinct du faisceau pyramidal direct également dégé- néré : c'est le
faisceau
cérébelleux descendant. Au-dessus des foyers, o
ce sont probablement des fibres du 161 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE
faisceau
cérébelleux descendant qui ont subi la dégénéresc
rescence des boules beaucoup plus petites que les fibres des autres
faisceaux
. Elles constituent d'abord les fibres pré-, int
poser qu'elle occupe une région des centres nerveux avoisinant ces
faisceaux
, par exemple le corps opto-strié. Le phénomène de
lexes de la moelle, telle que peut la produire la dégénérescence du
faisceau
pyramidal «M. Babinski n'admet pas les troubles
petit hypnotisme (Archives de Neurologie, 1889, nO' 4tJ et 5o). 24.
Faisceaux
neuro-musculaires (Archives de Médecine expérimen
eurologie, 5 juillet 1906). 127. De la paralysie par compression du
faisceau
pyramidal, sans dégénération secondaire (Id.).
RTIE Histologie normale et Physiologie. Pathologie expérimentale.
Faisceaux
neuro-musculaires................... (j Des mod
cherchant à en établir l'authenticité par de faux certificats. Le
faisceau
de toutes ces circonstances eût été suffisant déj
premier en se basant sur des observations célèbres l'existence d'un
faisceau
sensitif situé dans la capsule interne en arriè
d'un faisceau sensitif situé dans la capsule interne en arrière du
faisceau
pyramidal, soit dans la dernière moitié du bras
te par Ballet 3. C'est ainsi qu'il attribua au sens mus- culaire un
faisceau
spécial situé en avant du faisceau sensitif pro-
attribua au sens mus- culaire un faisceau spécial situé en avant du
faisceau
sensitif pro- prement dit attribué à la sensibi
tribué à la sensibilité tactile, et répondant par suite en avant au
faisceau
pyramidal. Ces notions sont encore classiques à
e la voie sensitive directe (Flechsig) et ceux de l'interruption du
faisceau
sensitif dans la couche optique (Von Monakow et
ésie de cause cérébrale. Thèse de Paris, 1874. i. ' G. Ballet. Le
faisceau
sensitif. Thèse de Paris, 1877. * Flechsig. Nol
ques ascendantes. Mais ces fibres ne forment pas dans la capsule un
faisceau
distinct; elles occuperaient intimement mêlées au
postérieure depuis le genou jusqu'au faiseau rétro-lenticulaire. Ce
faisceau
rétro-lenticulaire est composé de fibres visuel
couvertes anatomiques récentes sur le trajet et les terminaisons du
faisceau
sensitif. Tout concorde à montrer que le siège
e et rolandique avec dégénération totale du pied du pédoncule et du
faisceau
pyramidal des deux côtés. Deux cas de méralgie
nsi- dérer comme des stigmates de dégénérescence. L'asymétrie des
faisceaux
pyramidaux est très apparente dans le bulbe. A
-croisement des pyramides fait suite immédiatement du côté droit un
faisceau
pyramidal direct très développé et bien délimit
des pédoncules cérébraux à l'exception des fibres radiculaires des
faisceaux
centraux du même étage; de presque toute la rég
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. rescence des deux pyramides, des
faisceaux
aberrants, d'une por- tion considérable des fib
procédés d'examen de cet observateur. P. Keraval. XVI. Maturité des
faisceaux
conducteurs de l'encéphale des animaux; par DOE
au neuvième jour on constate la myélinisa- tion successive : 1° de
faisceaux
de la capsule interne qui vont au gyrus coronai
rtie de la circonvolution du corps calleux (cingulum) ; 2° un mince
faisceau
allant de la capsule interne dans le gyrus ecto
e lamelle située dans la partie moyenne du gyrus marginal; 2° des
faisceaux
qui vont de la capsule interne dans le gyrus ecto
ème circonvolutions arquées. Le quatorzième jour se dessinent les
faisceaux
allant du corps genouillé externe au gyrus margin
Tels les lapins, les rats, les souris, les cobayes. La maturité de
faisceaux
déterminés n'a pas non plus lieu exactement le mê
que des systèmes de fibres isolés. Et la maturité suit pour chaque
faisceau
la loi de succes- sion formulée. P. Keraval.
atéral, et que dans la moelle des mammifères où il n'existe que des
faisceaux
latéropyramidaux l'entre-croisement est non tot
t est non total mais partiel (Sherrington). La semi décussation des
faisceaux
pyramidaux et, par suite, l'action de la sphère
à une embolie de la sylvienne ayant entraîné un ramollissement des
faisceaux
moteurs de la capsule interne. On constate une
ie la plus élevée de la moelle cervicale, au niveau de la région du
faisceau
pyramidal, quelques mottes noires disséminées,
ue, chargée d'unir le cerveau à la moelle, quel- que chose comme le
faisceau
sulco-marginal de Marie ou le fais- ceau margin
générescence ascendante insignifiante. Il est donc possible que ces
faisceaux
, intersegmen- taires chez l'homme et quelques m
en partie en longs cordons. P. Keraval. XVIII. Du trajet central du
faisceau
de Gowers; par G.-J. ROSSOLIMO. (1\'etsroLog. C
constate une dégénérescence ascendante, tout à fait symétrique, des
faisceaux
de Goll, des faisceaux latéro-cérébelleux, et des
ence ascendante, tout à fait symétrique, des faisceaux de Goll, des
faisceaux
latéro-cérébelleux, et des fais- ceaux de Gower
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. rieures une dégénérescence ascendante du
faisceau
fondamental du cordon antérolatéral. Figures.
tal du cordon antérolatéral. Figures. La description détaillée du
faisceau
de Gowers peut se résumer ainsi. Au niveau du d
elques-unes de ses fibres tendent à pénétrer dans le territoire des
faisceaux
latéro-cérébel- leux ; des noyaux du cordon de
ême côté, quelques libres dégénérées s'en vont en arc de cercle aux
faisceaux
de Gowers. Tout le long du territoire des olive
de cercle plus brusques pour se rendre au territoire dégénéré des
faisceaux
latéro-cérébelleux. A la hauteur des fibres du co
téro-cérébelleux. A la hauteur des fibres du corps tra- pézoïde, le
faisceau
de Gowers, s'éloignant de la périphérie, se pla
riphérie, se place à la face postérieure de celui-ci, et devient un
faisceau
allongé à fibres un peu obliques ; quelques fib
oire du corps restiforme est absorbé par le cervelet, tandis que le
faisceau
de Gowers devient de plus en plus postéro-externe
du noyau latéral de l'étage supérieur des pédoncules cérébraux, le
faisceau
de Gowers décrit une courbe brusque pour pénétrer
roisement du pathétique. Ici une partie de ses fibres s'unissent au
faisceau
de Gowers de l'autre côté en formant un entrecr
demeurés normaux. Dans la région des tubercules quadrijumeaux, le
faisceau
de Gowers, composé de fibres des deux côtés, occu
exécute une rotation à direction antéro-externe, et pénètre dans le
faisceau
longitudinal intermédiaire pour s'éparpiller da
, en haut, les parties antérieures. Par conséquent, les fibres du
faisceau
de Gowers, originaires de la moelle lombaire, t
globus pallidus (ou segments internes du noyau lenticulaire). Le
faisceau
latéro-cérébelleux a le trajet et la situation qu
niveau eu du noyau de ce dernier, dans le corps restiforme, dans le
faisceau
de Gowers et dans les faisceaux latéro-cérébell
r, dans le corps restiforme, dans le faisceau de Gowers et dans les
faisceaux
latéro-cérébelleux. Enfin les mêmes pièces anat
réticulaire du bulbe, la zone radiculaire du territoire dégénéré du
faisceau
fondamental antéro-latéral ; au niveau de la fo
atoxyline de Weigert; il donne une coloration jaune d'ocre clair du
faisceau
dégénéré qui tranche sur le ton brun sépia des
ontractures. L'ancienne hypothèse des propriétés excito-motrices du
faisceau
pyramidal a été combattue en particulier par Pi
e la moelle par l'intermédiaire des fibres cérébello-spinales et du
faisceau
longitudinal postérieur. Quand l'action cortica
vision renferme des discussions approfondies sur les centres et les
faisceaux
de projection de la vue, sur les hémianopsies,
poral, la structure histologique spéciale du gyrus forni- catus, le
faisceau
d'association de la corne d'Ammon et de la fascia
s histologiques consi- dérés isolément, mais qu'elles dépendent des
faisceaux
d'associa- tion, unissant les divers centres cé
se reporte aux lésions nombreuses qui ont été cons- tatées dans les
faisceaux
sensoriels de la moelle, on sera amené à croire
ctif de persécu- tion, à l'autopsie duquel on trouva des lésions du
faisceau
posté- rieur. M. Anglade insiste sur ce fait qu
séparée par une large raie de substance blanche normale, occupe le
faisceau
cunéiforme REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE P
érieure du pédoncule cérébral, le ruban de Reil se partage en trois
faisceaux
peu distincts. Le faisceau le plus externe comm
l, le ruban de Reil se partage en trois faisceaux peu distincts. Le
faisceau
le plus externe commence à s'éparpiller et se p
artie du ruban, pas plus que les autres s'unisse au noyau rouge. Le
faisceau
moyen, composé de fibres très fines, ou ruban d
optique n'est pas tout à fait médian (Détails dans le mémoire). Le
faisceau
interne ou médian du ruban de Reil s'en va, par
au qu'elles traversent ; ces trousseaux proviennent de la région du
faisceau
longitudinal postérieur et du noyau rouge. Les
on du faisceau longitudinal postérieur et du noyau rouge. Les trois
faisceaux
du ruban de Reil paraissent échanger des fibres
rnis avec les pédoncules cérébelleux supérieurs. Peut-être déjà aux
faisceaux
du ruban de Reil les premiers parus qui vont au
e, apparaît dans le pied du pédoncule cérébral un premier et unique
faisceau
qui doit être attribué au ruban.de Reil. Tout p
antérieure, en se rendant en bas, à la protubérance où il gagne le
faisceau
pyramidal. Peut-être une partie de ce trous- se
érance. On voit aussi chez les foetus humains de six à sept mois un
faisceau
myélinique allant du corps de Luys à la capsule
capsule interne, en se dirigeant vers la couronne rayonnante, et un
faisceau
qui va du noyau lenticulaire à la capsule inter
rayonnante. Mais, plus tard, dans la capsule interne appa- raît un
faisceau
myélinique qui, du globus pallidus, par-dessus la
ents ne se myélinisent que lorsque depuis longtemps est organisé le
faisceau
qui va au noyau lenticulaire et à l'écorce; il
de Reil principal au corps de Luys (Bechterew et Tschermak). Les
faisceaux
de Reil corticaux de la couche optique n'appa-
he optique à la capsule interne. Nous avons vu l'exemple anormal du
faisceau
de la partie posté- rieure de la capsule intern
e Reil sises entre le corps de Luys et le territoire originaire des
faisceaux
pyramidaux occupent une place à part; leur cali
du réflexe rotulien, elle est difficile en l'absence de lésions du
faisceau
pyramidal (le phénomène des orteils faisant défau
s forment jusque dans les régions frontales du cerveau antérieur un
faisceau
longitudinal visible dans le manche de l'éventa
'en arrière de la limite inférieure du renfle- ment olfactif que ce
faisceau
s'épuise sur les côtés et en arrière de cet org
rescence, intraspinale, a produit ladégénéres- cence ascendante des
faisceaux
de Burdach, surtout à droite; dans le champ du
ndante des faisceaux de Burdach, surtout à droite; dans le champ du
faisceau
de Burdach, la dégénérescence est le moins accu
ant limitée à la moelle cervicale, les parties latérales droites du
faisceau
de Burdach ne tardent pas à apparaitre saines d
ostérieur. Il demeure en revanche un reste de grains noirs entre le
faisceau
de Burdach et le faisceau de Goll; cette zone d
evanche un reste de grains noirs entre le faisceau de Burdach et le
faisceau
de Goll; cette zone de dégénérescence est REVUE
s postérieures. Quel rapport affecte la virgule de Schultze avec le
faisceau
postèro- médian de la moelle lombaire et sacrée
dorsale, mais dont l'évolution clinique n'a pas été communiquée. Le
faisceau
de Schultze est fortement dégénéré des deux côt
euxième paire lombaire, elles occupent très nette- ment la place du
faisceau
postéro-inédian. Plus bas, rareté des grains no
de la deuxième,paire lombaire.- Ce qui veut dire qu'il y a bien un
faisceau
posléro-médian des deux côtés delà ligne médiane
s conclurons avec f31schofi qu'une partie des fibres constituant le
faisceau
posléro-médian occupe les plans supérieurs de l
ons ou de simples épaississe- ments diffus, dans l'écorce, dans les
faisceaux
blancs, au voisinage des ventricules, à la surf
ction musculaire, quand on pratique l'excitation sous-corticale. Le
faisceau
pyra- midal amyélinique, non développé, ne para
ndent à la pariétale ascendante de l'homme, h en serait de même des
faisceaux
bien plus riches en fibres qui subissent une in
stème du cordon latéral des pyramides, autrement dit une partie des
faisceaux
cortico-musculaires (Marchi, Algheri, Tschermak
; par S.-E. Henschen. (Neurolog. Centralblatt., XVII, 1898.) Les
faisceaux
optiques ou visuels qui commencent à la rétine et
ps genouillé est de première importance. Il y a homonymie entre les
faisceaux
visuels rétiniens et les éléments de la rétine.
la rétine. Le quadrant supérieur de la rétine serait innervé par le
faisceau
supérieur du nerf optique et de la bandelette opt
optique et de la bandelette optique; son quadrant inférieur par le
faisceau
inférieur de ces organes (Mar- chand, Narris, H
ces organes (Mar- chand, Narris, Henschen, Pick). En arrière, les
faisceaux
visuels occupent deux plans. Le plan visuel cor
genouillé détruit en ce point, mais a respecté la bandelette et le
faisceau
visuel occipital; ce qui prouve que le segment
9 supérieures dps deux rétines, mais jusqu'au corps genouillé les
faisceaux
des deux yeux ont un trajet complètement séparé.
la troisième fron- tale, suivent un trajet plus ou moins voisin du
faisceau
géniculé. MM. Dide et Weil relatent une observa
dre degré, les cordons latéraux sont atteints surtout au niveau des
faisceaux
pyramidaux croisés. Les cornes antérieures sont
urs. L'intéressante autopsie de l'auteur (destruction étendue des
faisceaux
blancs, avec intégrité presque complète du cortex
histologique méticuleux, mettant en lumière la dégé- nérescence des
faisceaux
pyramidaux croisés, des faisceaux céré- belleux
n lumière la dégé- nérescence des faisceaux pyramidaux croisés, des
faisceaux
céré- belleux directs et des faisceaux de Gower
eaux pyramidaux croisés, des faisceaux céré- belleux directs et des
faisceaux
de Gowers, l'intégrité absolue des cordons post
apables d'avoir donné naissance à une dégénérescence secondaire des
faisceaux
pyramidaux, qui ne pût non plus résulter de lés
e, par Roux, 59. Facial. Origines dn -, par Mai 1- nesco, 51 i.
Faisceau
DE GowERS. Trajet central du -, par liossollmo,
ation de volume notable (PI. VI, C). b) Dans les nerfs mixtes les
faisceaux
qui vus à un faible grossissement (PI. V, B) pa
ce grise du pont, de l'olive bul- baire et à une atrophie nette des
faisceaux
cérébelleux directs, des colon- nes de Clarke,
te des faisceaux cérébelleux directs, des colon- nes de Clarke, des
faisceaux
de Gowers. A part déjà que dans notre cas la su
es sillons du cordon antéro-latéral par lesquels passent, en riches
faisceaux
, les fibres radi- culaires antérieures, sont pr
tat nor- mal, et aussi bien à gauche qu'à droite. Dans aucun de ses
faisceaux
il n'existe de dégénérescence ni de sclérose. D
l'affection du côté en apparence sain, avec participation légère du
faisceau
pyramidal croisé, soit d'une lésion cérébrale con
/'médinu. - Ce nerf est notablement hypertrophié (fig. D), mais les
faisceaux
nerveux ne participent pas à cette augmentation d
interfasciculaire qui ont subi un dévelop- pement excessif. Chaque
faisceau
possède une gaine lamelleuse qui lui est propre
mi- neuse assez régulièrement cylindrique contenant un ou plusieurs
faisceaux
ner- veux.Une autre lame de tissu conjonctif pl
s adipeuses vient encore s'interposer en- tre les divers groupes de
faisceaux
nerveux et augmenter ainsi le volume total du n
'arrête à la gaine externe et à l'intérieur de celle-ci on voit des
faisceaux
nerveux rap- prochés les uns des autres ; chacu
deux nerfs se voit encore mieux sur des coupes longitudinales. Les
faisceaux
du nerf médian sont plus espacés que ceux du ne
sent pas ainsi subdivisés régulièrement en un aussi grand nombre de
faisceaux
. « Sous ces réserves, cette statue est fort int
t toutes les fibres qui le compo- sent, et ne respecte que quelques
faisceaux
isolés de sa portion interne. Dans la calotte,
s par la lésion. Sur ces mêmes coupes (fig. 8 et 9) on voit que les
faisceaux
extra-pédonculaires de la Ill- paire gauche sont
nté par du tissu de sclérose au sein duquel per- , sistent quelques
faisceaux
de la voie pyramidale et quelques fibres transver
u pied du pédoncule et coupe complètement à ce niveau les fibres du
faisceau
de Turck. 3° Dans tout le reste du pédoncule, j
ue toutes les fibres qui le composent,en ne respectant que quelques
faisceaux
isolés de sa portion interne. Le foyer se termi
légère prolifération interstitielle. La couche sagittale ex- terne (
faisceau
longitudinal inférieur) de ce côté présente le mê
latéral (fig. 13, 14, 15, 16); une dégénération presque complète du
faisceau
pyramidal croisé droit et enfin un éclaircissem
uche. A remarquer en outre, ainsi que le montre les figures, que le
faisceau
pyramidal direct gauche n'est pas dégénéré mais q
ns optiques), mais évidente aussi pour la couche sagittale externe (
faisceau
longitudinal infé- rieur). Ici, comme nous l'av
bas tout le pied du pédoncule, exception faite pour quelques petits
faisceaux
les plus internes. Le lobe occipital est indemn
de Luys. CNR. Capsule du noyau rouge. F. Foyer primitif. Fli. -
Faisceau
longitudinal inférieur. fir. Fibres arciformes
écrose située entre les cordons de Goll et de Burdach à la place du
faisceau
en virgule de Schultze. Dans les cordons postérie
s latéraux la nécrose est nettement circonscrite ; elle atteint les
faisceaux
cérébelleux, les pyramidaux croisés et de Gowers,
uction presque complète des cordons et des cornes postérieures, des
faisceaux
cérébelleux et pyramidaux croisés, de la partie p
eaux cérébelleux et pyramidaux croisés, de la partie postérieure du
faisceau
de Gowers, elde la plus grande partie des cordons
ytaires moins intenses. Dégéné- rescence descendante secondaire des
faisceaux
pyramidaux croisés. Les lésions dans la région
.du noyau du triju- meau traversent la ligne médiane pour gagner le
faisceau
sensitif (2). Il existe donc, à droile, un prol
ies conductrices des diverses sensibilités dans la moelle. Les deux
faisceaux
pyramidaux sont comprimés et irrités (paraplégie
xis- tantes que de formations récentes (Iconogr., n° 3,1906). Les
faisceaux
sagittaux du lobe occipital droit sont particuliè
IONS.- i" Avant de vouloir attribuer à l'interruption de tel ou tel
faisceau
les phénomènes psychiques accompagnant l'évolutio
nt, au niveau de la partie moyenne du bras, à la face profonde d'un
faisceau
apo- névrotique et un peu charnu, parti du bord
sculaire interne. Le nerf médian passe sur la face antérieure de ce
faisceau
; dans toute l'étendue du bras, le nerf est fra
du biceps, les vais- seaux numéraux perforent d'arrière en avant le
faisceau
musculo-aponévro- tique du brachial antérieur s
ute inférieure du bras, alors que le tendon est déjà constitué ; un
faisceau
, dont nous avons parlé plus haut, s'insère sur
ng supinateur ; b, Court supinateur ; c, Deuxième radial externe ; d,
Faisceau
profond du rond pronateur ; e, Artère radiale ;
T BOUCHET mement accolée au périoste. Elle est représentée par deux
faisceaux
muscu- laires dont la disposition est la suivan
de la face antérieure, assez étroite, du corps du radius ; l'autre
faisceau
musculaire (c), fort mince, mais étalé, part de
face antérieure du cubitus, près de l'épiphyse inférieure. Ces deux
faisceaux
représentent une partie de la couche profonde d
rt supinateur ; j, Muscle anormal ; k, Son tendon inférieur ; l, m,
Faisceaux
musculaires anormaux représentant la couche pro
superficiels dont nous avons parlé ; le nerf cubital innerve les deux
faisceaux
musculaires internes profonds ; dès la partie m
ant-bras, ces nerfs envoient des filets à la peau et s'éparpillent en
faisceaux
ténus ; leurs troncs cessent d'exister. L'art
re lesquels elle passe, pour perforer bientôt d'arrière en avant le
faisceau
tendineux superficiel du rond pronateur ; la ra
a ensuite contourner le bord externe du radius, et passe entre deux
faisceaux
tendineux appartenant au long Fig. 4. a, Nerf
ve son dédoublement au niveau de sa partie tendineuse (fig. 6) : un
faisceau
solide, en forme de gros cordon, s'attache à la
on se reporte aux dimensions des os dans le cas présent ; un autre
faisceau
, étalé, continue son trajet vertical et aborde
et sur l'arcade fibreuse épicondylo-radiale, ainsi que sur un petit
faisceau
tendineux qui le sépare du muscle longitndinal vo
ieur. La portion supérieure du triceps est assez développée, et les
faisceaux
musculaires, très courts, s'insèrent sur le fra
ant-bras, le fléchisseur commun superficiel est représenté par deux
faisceaux
charnus qui seraient destinés à l'index et à l'au
, il y a une autre masse musculaire qui représenterait pour nous le
faisceau
coronoïdien du fléchisseur. Cette masse muscula
xe à la partie inférieure de l'apophyse coro- noïde. A peine né, ce
faisceau
se bifurque et donne deux chefs descendant pa-
breux qui comblent l'espace des deux doigts de la pince. 3° Le 3"
faisceau
est constitué par la masse la plus interne. Il s'
t le long fléchisseur propre du pouce, qui n'offre de spécial qu'un
faisceau
de renforce- ment qui lui vient du muscle fléch
s inférieur de l'avant-bras. Le tendon le plus externe fournit deux
faisceaux
, dont l'un va à la face dorsale du pouce jusqu'à
ge. Peut-être cependant y a-t-il un pédieux représenté par quelques
faisceaux
musculaires qui partent des couches aponévrotiq
terne est ici le moins développé et il reçoit du demi-membraneux un
faisceau
musculaire effilé qui part de la partie moyenne
n est très ténu ; il innerve ses muscles normaux, et aussi les deux
faisceaux
anormaux décrits sous les noms de fléchisseur s
t obliquement en dehors en passant derrière la partie supérieure du
faisceau
coracoïdien du biceps, pour s'engager entre la
à la surface de ces prolongements papillaires est normal. Entre les
faisceaux
fibreux dermiques, dans les deux tubercules les
léchisseur profond. Même disposition du tendon en ruban cannelé. Le
faisceau
d'insertion épitrochléenne est très marqué. Recou
erdre sur l'aponévrose du moignon. Le fléchisseur profond envoie un
faisceau
tendineux qui se perd sur le fléchisseur superfic
xterne par le médian et l'artère humérale que bordent en dehors les
faisceaux
terminaux du deltoïde. De là part un tendon assez
la partie postérieure du bras, il est impossible de différencier un
faisceau
musculaire; à la partie inférieure seulement un t
nution est encore plus notable si on considère individuellement les
faisceaux
, car l'a- trophie totale est en partie masquée
extenseur propre de l'index manquent. L'extenseur commun donne deux
faisceaux
: l'externe se divise tardivement en deux larges
rges tendons pour le 2° et le 3e, et envoie une expansion longue au
faisceau
interne ; l'interne donne deux tendons pour le
UPÉRIEURES. HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE BILATÉRALE PAR COMPRESSION DES
FAISCEAUX
PYRAMIDAUX, PAR A. SOUQUES. L'observation s
toute la coupe, plus nombreuses cepen- dant dans le territoire des
faisceaux
pyramidaux. En résumé, il s'agit d'un sarcome t
et les poussées congestives. Dans les paralysiespar compression du
faisceau
pyramidal, il peut donc y avoir quelques signes
e sarcome actuel. (1) BABIft561, De la paralysie par compression du
faisceau
pyramidal sans dégenê- ration secondaire. Socié
désintégration, avec démyélinisation légère, diffuse. Intégrité du
faisceau
pyramidal. Masson & Cie, éditeurs NOUVELL
s ; d'autres plus petites sont disséminées notamment entre les deux
faisceaux
pyramidaux. D. Lacunes plus petites, dont plusi
oquent une démyélinisation diffuse, assez mar- quée, des principaux
faisceaux
d'association, notamment du faisceau longitu- d
sez mar- quée, des principaux faisceaux d'association, notamment du
faisceau
longitu- dinal supérieur et de l'occipito-front
lésions légères, diffuses, pâleur de la myé- line, surtout dans les
faisceaux
pyramidaux croisés, mais aussi de la partie cen-
s observés dans le cerveau,dé- myélinisation diffuse et étendue des
faisceaux
d'association, expliquant bien le gros déficit
blanche. - D'une manière générale, on peut dire qu'il n'est pas un
faisceau
qui n'ait été touché plus ou moins par le process
hé plus ou moins par le processus gliomateux. Au niveau deC. IV les
faisceaux
postérieurs sont dégénérés, aussi bien Goll 1 q
artie la plus externe de ce dernier cordon. Au niveau de C. VII, le
faisceau
de Gowers, le faisceau cérébelleux direct, le U
e ce dernier cordon. Au niveau de C. VII, le faisceau de Gowers, le
faisceau
cérébelleux direct, le UN CA.S DE SYRINGOMYÉLIE
lleux direct, le UN CA.S DE SYRINGOMYÉLIE AVEC CIIEIROMÉGALIE 379
faisceau
fondamental latéral sont intéressés, les lésions
topographie que dans les régions sus-jacentes. La dégénération des
faisceaux
antérieurs et latéraux augmente de haut en bas,
de la VIe cer-, vicale l'existence de corps granuleux dans tous les
faisceaux
spinaux. Racines rachidiennes. - Les racines an
ésentait dans le derme des fibres conjonctives très épaisses et des
faisceaux
ressemblant à ceux du tissu tendineux, le tissu
du brachial an- térieur qui va avec l'énorme apophyse coronoïde. Le
faisceau
qui va à la cloison inter-musculaire interne et
s du brachial antérieur ; toutefois il s'agit, dans notre cas, d'un
faisceau
surnuméraire proprement dit qui rejoint en bas
, Gruber, Hildebrandt, Müller, Henle ont attiré l'attention sur ces
faisceaux
. L'absence du coraco-brachial a été signalée pa
nts extenseurs dont les tendons inférieurs se scindent en autant de
faisceaux
que de doigts ; que se différencient chacun des
un assez grand nombre de vaisseaux anormalement dilatés, réunis en
faisceau
et formant comme un riche plexus destiné à la n
de l'hémisphère cérébral gauche, une absence à peu près complète du
faisceau
pyramidal dans le pédoncule cérébral, dans le p
dans le pont et dans le bulbe du côté gauche, une forte aplasie du
faisceau
sensitif (ruban de Reil) dans le pédoncule céré
. Un examen soigneux et méthodique ne décèle aucune perturbation du
faisceau
pyramidal. Depuis le retour du malade à l'Hôt
solu. Il importe de noter ici les contractions limitées à de petits
faisceaux
musculaires que le malade qualifie de «pulsatio
que dans le premier cas. On s'était exercé à décontracter certains
faisceaux
musculaires, d'autres sont arrivés à la res- co
es de la nuque, s'exécute maintenant d'une façon complète ; quelque
faisceau
musculaire a cédé pendant que d'autres sont ent
eures du noyau de l'oculo-mo- teur du même côté et qu'il va dans le
faisceau
longitudinal au genou du facial pour s'unir là
isé le centre de la IVe paire dans le noyau conlenu dans le sein du
faisceau
longitudinal postérieur, considérant, cependant
a partie dystale du noyau de la IIIe paire, située dans le sinus du
faisceau
longi- tudinal postérieur, le noyau du facial s
e la IV° paire (toute la chaîne cellulaire comprise dans le sein du
faisceau
longitudinal postérieur) l'origine de ce nerf e
la III. paire, et non pas si elle se trouve ou non dans le sein du
faisceau
longitudinal postérieur, cependant l'indication d
atrophie bien marquée du noyau placé dans une excavation dorsale du
faisceau
longitu- dinal postérieur, au niveau de la régi
iées les libres qui en émanaient et qui semblaient se jeter dans le
faisceau
longitudinal. Ce noyau qui pour Kôlliker est le
ibres qui partent du noyau dont nous avons parlé descendent dans le
faisceau
longitudinal et se jettent dans le genou du facia
, que les anatomistes se soient mis d'accord sur les centres ou les
faisceaux
d'association. Cf. M. et Mme 0. Vogt. L'anatomie
ngent de fibres vers l'entrecroisement bien moindre qu'à gauche. Le
faisceau
longitudinal postérieur du côté droit est netteme
rieur à gauche est très appa- rente. On voit toujours l'atrophie du
faisceau
longitudinal postérieur et la disparition presq
aisceau longitudinal postérieur et la disparition presque totale du
faisceau
central de la calotte à droite (Plan- che XVII)
al de la calotte à droite (Plan- che XVII). Cette dégénération du^
faisceau
central de la calotte et l'atrophie du fais- ce
s moyenne et inférieure. On voit sur les coupes plus bas situées le
faisceau
central de la calotte se diriger vers l'olive b
s, ce qui s'explique par ce fait qu'elles sont en connexion avec le
faisceau
central de la calotte. L'atrophie du faisceau lon
en connexion avec le faisceau central de la calotte. L'atrophie du
faisceau
longitudinal postérieur qui était très apparent
st très difficile à retrouver sur les coupes du bulbe, alors que ce
faisceau
est venu se con- fondre avec les fibres de la f
fibres cérébello-olivaires. M. Thomas (1) dans un cas de lésion du
faisceau
central de la calotte a fait récemment une consta
nt py- ramidal ne laissent plus voir de tractus de dégénération. Le
faisceau
de Ilelweg ne nous a pas paru dégénéré. Les c
foyer a déterminé les dégénéralions secondaires classiques des deux
faisceaux
pyramidaux au-dessous de la lésion et des cordo
es de la protubérance et du bulbe s'il existait une dégénération du
faisceau
de Von Monakow dans les régions où les auteurs
faisceau de Von Monakow dans les régions où les auteurs figurent ce
faisceau
, nous ne l'avons pas rencon- trée. Il convient
l'avons pas rencon- trée. Il convient de remarquer toutefois que le
faisceau
de Von Mona- kow, à supposer qu'il existe chez
ona- kow, à supposer qu'il existe chez l'homme, ne doit pas être un
faisceau
bien dense et partant, qu'avec la méthode de We
es autres fibres restées saines. (1) A. Thomas, Recherches sur le
faisceau
longitudinal postérieur el la substance réticul
nal postérieur el la substance réticulée bulbo-protubérantielle, le
faisceau
central de la calotte el le faisceau de Helweq.
culée bulbo-protubérantielle, le faisceau central de la calotte el le
faisceau
de Helweq. Revue Neurologique, 1903, p. 94. L
les différentes coupes, dégénérations du pédoncule cérébelleux, du
faisceau
central de la calotte, du faisceau longitudinal
ons du pédoncule cérébelleux, du faisceau central de la calotte, du
faisceau
longitudinal postérieur. Le cas que nous publio
s loin de leur position normale, ont leur gaine très infiltrée. Les
faisceaux
sont intacts ; c'est à peine si quelques noyaux p
sont intacts ; c'est à peine si quelques noyaux pénètrent entre les
faisceaux
les plus superficiels, quelqu'intense que soit l'
ement indemne. Elles sont pour la plupart complètement isolées, les
faisceaux
pie- mériens disparaissent dans la masse des no
il est impossible de dire si ces fibres appartiennent à tel ou tel
faisceau
; on ne \ peut reconnaître aucun groupe de fibr
reconnaître aucun groupe de fibres qui puisse être rattaché soit au
faisceau
longitudinal inférieur, soit aux radiations optiq
certain nombre de fibres à direction antéro- postérieure, reste du
faisceau
longitudinal inférieur : du même côté, l'angle
rieur : du même côté, l'angle supérieur du ventricule, au niveau du
faisceau
transverse du cunéus, il existe un foyer de ram
ions électriques, l'absence de contractions fibrillaires forment un
faisceau
d'arguments cliniques en faveur de celte affectio
une zone de dégénérescence. Les parties claires corres- pondent aux
faisceaux
, aux réseaux fibrillaires les plus purs. On renco
suivant leur grand axe, c'est-à- dire quand la section intéresse le
faisceau
dont elles font partie, parallèlement aw Il O
lique. , Il existe une relation très nette entre la disposition des
faisceaux
cellulaires de la tumeur, et l'orientation des
iomateux. : < Le gliome contient le plus souvent passablement de
faisceaux
nerveux et de cellules ganglionnaires encore en
e rapi- dement par son développement excentrique la destruction des
faisceaux
nerveux environnants et une interruption plus o
es- soirement le sous-épineux, le grand rond, le grand dorsal et le
faisceau
claviculaire du grand pectoral ; la parésie du
sée d'une part par une atrophie légère du biceps avec effacement du
faisceau
claviculaire du grand pectoral, et, d'autre par
essus formateurs. Il est entendu que l'absence d'une artère ou d'un
faisceau
musculaire se produit à l'état isolé et l'on se
placé par un tractus fibreux sur lequel prennent insertion quelques
faisceaux
des muscles tibiaux. Le cordon fibreux dont il
u'en largeur, en réunissant étroitement leurs cellules en de petits
faisceaux
(fibres) au moyen de leurs peri1ftysia. Ceci ne s
t en toute sa surface, s'est déve- loppé segmentairement en de gros
faisceaux
de fibres bien différenciés entre eux depuis sa
icielles de la portion supérieure de l'organe. Cette séparation des
faisceaux
qui, ori- ginairement, dans l'embryon, a dû êtr
éraux sont bien celles du tabes vrai, et il explique les lésions du
faisceau
pyramidal par l'état de vulnérabilité que provoqu
la trace sous forme d'une infil- tration graisseuse dissociant les
faisceaux
. . Observation clinique. Grâce à une heureuse c
est épaissie et scléreuse. Le tissu adipeux siège surtout entre les
faisceaux
et ne pénètre pas dans le tissu intra-fascicula
e diffus dissociant avec sclérose fasciculée du nerf. Au centre des
faisceaux
, les tubes nerveux, pressés les uns contre les
ta- tion. Il est constitué par le feutrage d'une infinité de petits
faisceaux
nerveux entourés chacun d'une gaine fibreuse pr
aisceaux nerveux entourés chacun d'une gaine fibreuse propre. Ces
faisceaux
sont incomparablement plus petits que ceux que no
ration (voy. pl. LXII, fig. B). 2° Au niveau du col du névrome, ces
faisceaux
deviennent plus volumi- neux et moins nombreux
es sont indiquées par des points noirs bien marqués, tandis que les
faisceaux
de fibres grêles et de cylindraxes nus forment
étendus qui séparent ou entourent les fibres larges. Dans chaque
faisceau
, ces fibres se réunissent en fascicules dont les
e leur aire, le reste étant occupé par un espace incolore (Voy. les
faisceaux
de droite dans la fig. C). Il semble qu'à cette h
Plus on s'élève, moins le tissu lâche cellulo- adipeux séparant les
faisceaux
nerveux devient abondant. Ces faisceaux présent
llulo- adipeux séparant les faisceaux nerveux devient abondant. Ces
faisceaux
présentent, du reste, ici, des dimensions norma
ales montrent les mêmes éléments disposés à l'in- térieur de larges
faisceaux
. Les tubes nerveux y paraissent plus nombreux q
mbreuses, disséminées entre les fibres larges ou réunies en -petits
faisceaux
, s'y distinguent plus nettement. Les fibres son
upes longitudinales, le tissu cellulo- adipeux est dissocié par des
faisceaux
d'aspect fibreux beaucoup plus lar- ges que hau
isposés. Ces noyaux paraissent répondre, surtout dans le centre des
faisceaux
, soit à des fibres cylindriques, homogènes, rég
e erreur de technique. Mais ils ne siègent que dans l'épaisseur des
faisceaux
. Ils sont, en outre, disposé par amas limités e
etite. qu'une cellule adipeuse. Sur les coupes transversales, ces
faisceaux
d'aspect fibreux se montrent comme de larges fa
ersales, ces faisceaux d'aspect fibreux se montrent comme de larges
faisceaux
nerveux, d'un diamètre à peu près normal, et in
rmal, et infiniment plus volumineux, par conséquent, que les minces
faisceaux
onduleux que nous avons retrouvés dans le névro
ous avons retrouvés dans le névrome terminal du bout central. Ces
faisceaux
sont entourés d'un épais périnèvre qui envoie à l
laire considérable de l'endonè- vre. A un faible grossissement, ces
faisceaux
paraissent formés d'un tissu fibreux compact da
fig. F, G, II), les fibres nerveuses myélinisées sont, suivant les
faisceaux
, tantôt assez serrées, tantôt assez espacées. D
nciation. Sur les coupes transversales (voy. pl. LXIV, fig. I), les
faisceaux
ner- veux sont de dimension normale et entourés
I delapl. LXIV, le nombre des éléments nerveux est assez grand. Les
faisceaux
paraissent formés de fibres plus serrées que ne
vec la fig. G de la pl. LXIII, qui toutes deux représentent le même
faisceau
coupé dans les deux sens, on se rend compte que
DURANTE fibreux concentriques, et qui pourrait représenter un petit
faisceau
ner- veux étouffé par son périnèvre exubérant.
comme le bout central. Histologiquement, le bout central montre ses
faisceaux
dissociés par.du tissu cellulaire lâche et du t
ux dissociés par.du tissu cellulaire lâche et du tissu adipeux. Ces
faisceaux
, petits, éparpillés et en tourbillons dans le n
res à myéline. Mais les coupes transversales montrent la section de
faisceaux
beaucoup plus larges que ceux du névrome central
ns coloration élective. Près du col de ce moignon périphérique, les
faisceaux
nerveux sont, sur les coupes longitudinales, fo
olorer de cylin- draxes bien nets.Sur les coupes transversales, ces
faisceaux
ont un diamètre presque normal, mais présentant
t le cylindraxe souvent interrompu. Il existe également de nombreux
faisceaux
de fibres homogènes encore non différenciées. L
eprésente une cellule nerveuse ayant différencié, selon son axe, un
faisceau
de fibrilles conductrices, tandis que le reste
rome terminal du bout central, montrant l'en- chevêtrement des fins
faisceaux
onduleux qui le constituent. Ces faisceaux sont
n- chevêtrement des fins faisceaux onduleux qui le constituent. Ces
faisceaux
sont d'autant plus grêles que l'on se rapproche
s du col du névrome terminal. Forte infiltration adipeuse entre les
faisceaux
. Le gros faisceau de gauche montre des fibres a
terminal. Forte infiltration adipeuse entre les faisceaux. Le gros
faisceau
de gauche montre des fibres assez dissociées. Les
fibres à myéline sont inégalement disséminées, rarement réunies en
faisceaux
compacts. Elles sont souvent entourées d'un pet
nies en faisceaux compacts. Elles sont souvent entourées d'un petit
faisceau
de fibres amyéliniques se présentant comme un p
e un petit polygone grisâtre sur la figure. A droite, plus petits
faisceaux
possédant moins de tubes à myéline. L'un d'eux es
tiers supérieur, près de son col. Forte infiltration adipeuse. Les
faisceaux
nerveux sont beaucoup plus gros que ceux de la
vrome terminal. La figure J de la planche LXIV représente un de ces
faisceaux
à un plus fort gros- sissement. Planche LXIII
ale du tronc du bout périphérique, correspondant environ à l'un des
faisceaux
de la fig. I. Les fibres nerveuses sont abondam
asmique incolore. Planche LXIV. Fis. I. Coupe transversale d'un des
faisceaux
nerveux de la figure D à un très fort grossisse
par des points grisâtres (roses sur la coupe) et souvent réunies en
faisceaux
. Epaississement du périnèvre. FiG. K. Coupe lon
onique, l'inégalité de poids des hémisphères céré- braux, l'état du
faisceau
pyramidal dans 4 cas de contracture spasmodique
travaux antérieurs, vient nous révéler avec certitude la lésion du
faisceau
pyramidal. D'autre part, nos 110 0 PATHOLOGIE N
avec signe d'Argyll et persistance des reflexes ten- dineux ; leur
faisceau
pyramidal va se scléroser, ils seront des lors
rs des spasmodiques avec signe d'Argyll. Très rarement la lésion du
faisceau
pyramidal siégera dans le cerveau, créant ainsi
trépidation spinale et le signe des orteils, de Babinski, celle du
faisceau
pyramidal. L'anatomie pathologique est seule ca
à un trauma- tisme obstétrical, il y avait une sclérose intense des
faisceaux
pyramidaux de la moelle, et aucune trace de cet
130 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Passant aux
faisceaux
calleux croisés, l'auteur conclut de l'étude de
clut de l'étude des faits comme celui dont il s'agit que, outre les
faisceaux
qui montent des ganglions de la base vers l'éco
e la base vers l'écorce du côté opposé au travers du corps calleux,
faisceaux
dont l'existence à été démon- trée par Ferrier
chez l'adulte, la cause de la roideur tardive est l'irritation des
faisceaux
moteurs parla cicatrisation qui s'effectue au s
n qui s'effectue au siège de la lésion et se propage le long de ces
faisceaux
. D'autres auteurs ont montré que la section com
A. BRUCE. (Drain, vol. 20, p. 262.) Sur un cas d'ataxie où tous les
faisceaux
ascendants des cor- dons postérieurs étaient co
la moelle, l'auteur a suivi de bas en haut avec une netteté rare le
faisceau
cornu commissural et le faisceau septo-marginal
s en haut avec une netteté rare le faisceau cornu commissural et le
faisceau
septo-marginal ou faisceaux descendants restés
rare le faisceau cornu commissural et le faisceau septo-marginal ou
faisceaux
descendants restés sains. Au niveau du cinquièm
uée contre la cloison ; dès le cinquième segment lombaire, les deux
faisceaux
sont distincts, mais le cornu commissural plus
d'importance. Enfin r.u-dessus du dernier segment dorsal, les tleux
faisceaux
tendent à se diffuser en fibres isolées semées
Bruce croit que le « champ ovale » de Flechsig est constitué par le
faisceau
cornu commissural au niveau où il s'applique cont
ique contre la cloison formant avec son congénère du côté opposé un
faisceau
ovale coupé en deux par le septum, ce qui expli
e. L'auteur n'ose pas se prononcer sur les cellules d'où émanent ce
faisceau
qu'il considère comme probable- ment destiné au
s engendrées par la section de la moelle ou par l'interruption du
faisceau
pyramidal dans son trajet intra-cérébral. L'équil
t lenticulo-optique. Dégénérescence, au contraire, très franche des
faisceaux
de l'anse du noyau lenticu- laire qui traversen
es corps granuleux noirs disséminés dans la partie dorso-médiane du
faisceau
longitudinal postérieur des deux côtés. En deho
rine, fascicules aberrants superficiels externes de Long. Outre ces
faisceaux
de fibres dégénérées issues du pédoncule cérébr
cérébral on voit encore, après l'extirpation du centre pariétal, un
faisceau
dégénéré, qui se rend directement aux tubercules
travers la capsule interne. Voici en quelques mots le trajet de ce
faisceau
: sur les coupes pratiquées en avant du ganglio
les coupes pratiquées en avant du ganglion de l'habénula on voit ce
faisceau
dégénéré sortir de la capsule interne, se dirig
en- trale et dorsale du corps genouillé externe se fusionnent, le
faisceau
dégénéré s'est déjà notablement éloigné du corps
externe), dans une partie de la couche optique, située au-dessus du
faisceau
de Vicq d'Azyr, dans les noyaux de la IIIe pair
espondant était plus marquée que celle-là du noyau opposé), dans le
faisceau
longitu- dinal postérieur des deux côtés, dans
ines de la IVe paire. Guerver décrit encore une dégéné- rescence du
faisceau
pyramidal et du ruban de Reil du côté opposé, e
i, les centres corticaux tard myélinisés, sont en relation avec les
faisceaux
de projection tard myélinisés. En somme, il y a
stance blanche que dans sa subs- tance grise, et en particulier les
faisceaux
postérieurs sont aussi richement pourvus de fib
fonctions des racines antérieures, des racines postérieures et des
faisceaux
blancs dont se compose la moelle, les travaux d
se d'une partie des cordons laté- raux, de celle qui est devenue le
faisceau
pyramidal croisé. Charcot nous fit ensuite conn
ètement ou étaient dans un état de très faible développement. Les
faisceaux
radiés, assez bien développés dans le cas de Mona
ltent d'une lésion des neurones de pro- jection qui constituent les
faisceaux
moteurs de l'appareil de la phonation. Il exist
nétiques des circonvolutions rolan- diques des deux hémisphères. Le
faisceau
d'association qui relie le pied de la'troisième
ce n'est pas, comme on l'a enseigné, le siège de la lésion dans les
faisceaux
blancs sous-jacents à l'écorce du pied de la tr
ts à l'écorce du pied de la troisième circonvolu- tion frontale (le
faisceau
pédiculo-frontal inférieur de Pitres), mais c'e
nférieur de Pitres), mais c'est plutôt la lésion localisée dans les
faisceaux
d'association que nous pourrions appeler faisce
calisée dans les faisceaux d'association que nous pourrions appeler
faisceaux
d'association psycho-moteurs pho- nétiques, aus
classer les aphasies motrices d'après le siège des lésions dans les
faisceaux
d'association qui aboutissent à la circonvoluti
sans agraphie, ni autre complication motrice corticale. Lésion des
faisceaux
de neurones qui mettent le centre de Broca en c
avec les centres phonétiques des opercules frontaux et rolandiques (
faisceaux
d'association psycho- moteurs phonétiques). 2
ni complication motrice ou sensorielle corticales ( ? ). Lésion du
faisceau
des neurones qui relient le centre de Broca au
ue.) B. Aphasies motrices complexes. Lésions combinées des divers
faisceaux
qui partent du centre de Broca ou qui y aboutisse
(type Bouillaud-Broca). Lésion plus ou moins complète de plusieurs
faisceaux
des neurones d'as- sociation reliant la circonv
nes phoné- tiques de projection des opercules, combinée à celle des
faisceaux
phonétiques d'association de la circonvolution
tiers moyen (méthode de Weigert Pal). Des deux côtés les fibres du
faisceau
pyramidal sont primi- tivement et partiellement
rophiées dans leur trajet bulbo-protu- bérantiel et dans la moelle (
faisceaux
pyramidaux croisés). Les noyaux des nerfs crani
des fibres nerveuses équivalentes (c'est-à-dire appartenant au même
faisceau
) reçoivent leur gaine de myéline sensiblement à
à plus forte raison d'une couronne rayonnante de fibres groupées en
faisceaux
, unissant l'écorce cérébrale aux organes termin
, bien que très rarement, on trouve sur ces zones périphériques des
faisceaux
atypiques de la couronne rayonnante, qui représ
isolées ne prouvent en rien la présence générale et régu- lière de
faisceaux
de la couronne rayonnante dans les zones péri-
ur l'anatomie du ceiveau et l'histoire de son développement, sur le
faisceau
pyramidal et son trajet dans le cerveau, (1881)
andes différences individuelles. Dans les régions primordiales, les
faisceaux
de projection sont très probablement beaucoup p
s dans le mode de succes- sion du revêtement de la myéline dans les
faisceaux
de fibres ner- veuses, on jugera que le matérie
l'épendune. Spécialement, nous avons pu constater l'existence d'un
faisceau
longitudinal inférieur, d'un fais- ceau longitu
gitudinal inférieur, d'un fais- ceau longitudinal supérieur et d'un
faisceau
occipito-frontal. Seu- lement, ces faisceaux on
dinal supérieur et d'un faisceau occipito-frontal. Seu- lement, ces
faisceaux
ont des limites moins nettes qu'on ne l'a ensei
le cerveau adulte, observation des rapports entre les tra- jets des
faisceaux
très difficile. Les préparations Weigert donnent
u liquide de différenciation d'un même système de fibres, d'un même
faisceau
, est régulière, constante, répétée dans les mêm
s nouvelle; Dejerine la connaît. Rappelez-vous la couleur foncée du
faisceau
longitudinal inférieur en contraste avec la clart
isphère entier, car tout de suite on voit réunis une multi- tude de
faisceaux
qui se comportent différemment.- Vous allez voi
ide (de ces conditions fait partie l'adhérence intime des fibres en
faisceaux
aussi denses que le corps de la fibre elle-même
que le corps de la fibre elle-même) ; 3° Direction de la coupe. Un
faisceau
prend un aspect tout dif- férent coupé en long
ion pénètre bien plus difficilement dans une coupe longitudinale de
faisceau
; 4° Le ton de la couleur. On traite une coupe
araît un bleu encore plus intense ; et il arrive alors que quelques
faisceaux
, avant de se décolorer, se teintent d'un brun,
tique, se distinguant très légèrement du bleu et du gris des autres
faisceaux
. Ce brun, je le répète, est constant pour certa
autres faisceaux. Ce brun, je le répète, est constant pour certains
faisceaux
; par exemple : commissure antérieure, faisceau
stant pour certains faisceaux; par exemple : commissure antérieure,
faisceau
uncinatus et une partie de la couronne rayonnan
a couronne rayonnante qui va du lobe temporal au pied du pédoncule (
faisceaux
de Tùrck, de Dejerine). J'ajoute incidemment qu
aisceaux de Tùrck, de Dejerine). J'ajoute incidemment que ces trois
faisceaux
émergent ensemble du lobe temporal. Sur des pho
e rétro-lenticulaire de la capsule interne en jaune clair, et 3° le
faisceau
de Tiirck dont les fibres viennent surtout des
ent jaune. Derrière, un champ étroit beaucoup plus sombre ; puis le
faisceau
brun de Türclc et enfin la limite de la partie
n, voici comment dans tous les lobes du cerveau se compor- tent les
faisceaux
différents. Le lobe temporal se décolore le plus
e, l'existence du signe de Babinski vient révéler une altération du
faisceau
moteur volontaire, qui aurait sans lui passé in
, il existerait un trouble unilatéral ou bilatéral des fonctions du
faisceau
pyra- midal. Ce trouble relèverait, évidemment,
euse localisée, ayant amené un certain degré de dégéné- rescence du
faisceau
moteur volontaire. Ceci démontrerait donc nette
ancienne - outre la dégénérescence de la voie pédonculaire et du
faisceau
pyramidal une diminution de volume du ruban de Re
frappe non seulement le ruban de Reil médian, mais encore tous les
faisceaux
de la moitié du tronc encéphalique du côté corr
bres pyramidales homolulérnles superficielles qui se déta- chent du
faisceau
pyramidal dans la région moyenne du bulbe, pass
a région 504 congrès international DE médecine. qui correspond au
faisceau
pyramidal croisé et au faisceau pré- pyramidal.
onal DE médecine. qui correspond au faisceau pyramidal croisé et au
faisceau
pré- pyramidal. c) Les fibres aberrantes pyra
dans la substance grise centrale de la moelle, puis réintègrent le
faisceau
pyramidal croisé aux différentes hauteurs de la m
auteurs de la moelle cervicale inférieure ou dorsale supérieure. Le
faisceau
dit de Pu/; k n'est qu'une modalité anatomique
e, puis s'entremêle au niveau du collet du bulbe a\ec les fibres du
faisceau
pyramidal croisé de la moelle épinière. La conn
, le nombre et l'éten- due des lésions de la corticalité et sur les
faisceaux
sous-jacents intéressés. IL est en effet de pet
la continuité des cordons, 3" les lésions de la substance grise.
Faisceaux
exogènes. La distinction entre les cordons de Gol
descendantes des régions cervico- dorsales occupent la position du
faisceau
en virgule de Schullze, dans une partie de leur
s des régions dorsale inférieure, lombaire et sacrée entourent le
faisceau
septo-marginal (centre ovale, triangle médian).
ian). Fauceaux endogènes. La zone cornu-commissurale de P. Marie,
faisceau
en virgule de Schullze, faisceau septo-marginal
ne cornu-commissurale de P. Marie, faisceau en virgule de Schullze,
faisceau
septo-marginal (centre ovale de Flechsig et tri
e ovale de Flechsig et triangle médian de Gombault et Philippe), le
faisceau
descendant de Hoche, la zone radiculaire postér
le sont courtes et entrent en dégénérescence ascendante ; celles du
faisceau
en virgule dégénèrent en descen- dant à travers
dégénèrent en descen- dant à travers plusieurs segments; celles du
faisceau
septo-mar- ginal dérivent des segments jusqu'à
a névroglie, dont les fibrilles sont disposées en tourbillons et en
faisceaux
entrelacés. Elle envahit la plus grande partie
'liyslérie, la neurasthénie, est très active quand il y a lésion du
faisceau
pyramidal ; il suffit alors, pour produire une
titude du travail joindre l'intensité de l'action, le cerveau et le
faisceau
pyramidal apportent l'excitation ; le cervelet et
au (parésies temporaires) et surtout des cordons postérieurs et des
faisceaux
pyramidaux (la moelle étant surtout en jeu ici)
ernes du noyau qui sont disséminées dans l'épaisseur et en avant du
faisceau
longitudinal postérieur. Enfin l'oculomoteur co
lésions du cerveau qui atteignent directement ou indi- rectement le
faisceau
pyramidal, dans sa totalité ou dans sa plus gra
ndice, p. 4'i6. Progrès médical 1882, p. 'il.3. REVUE CRITIQUE LE
FAISCEAU
SENSITIF ET LES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS
clinique à la Faculté de médecine. BIBLIOGRAPHIE : 1. Anatomie du
faisceau
sensitif. Gratiolet et Leuret, Ana- tomie compa
ses maladies. G. Ballet, Recherches anatomiques et cliniques sur le
faisceau
sensitif et les troubles de la sensibilité dans
Toutes celles qui sont susceptibles d'être interprétées en vue DU
FAISCEAU
SENSITIF. 69 du but qui nous a préoccupé, vienn
Les impressions recueillies à la périphérie par les nerfs de · DU
FAISCEAU
SENSITIF. 71 1 sensibilité générale ou spéciale
se groupent à la partie externe de l'étage inférieur, en dehors des
faisceaux
moteurs (pyramidal et autres). C'est là que com
amidal et autres). C'est là que commence, à proprement parler, le
faisceau
sensitif1. Telles sont en deux mots les voies p
nous avons maintenant à suivre dans l'intérieur de cet organe le
faisceau
que nous venons de voir longer le bord externe du
ion, on savait déjà par les faits cliniques et expérimentaux que le
faisceau
sensitif occupe 1 Dans les descriptions de Meyn
ptions de Meynert, auquel on peut attribuer la pater- nité du mot :
faisceau
sensitif, ce terme sert à désigner seulement le
ipètes dans leur trajet medullo-cérébral, par opposition aux termes
faisceau
moteur, ou faisceau pyramidal. 72 REVUE CRITI
jet medullo-cérébral, par opposition aux termes faisceau moteur, ou
faisceau
pyramidal. 72 REVUE CRITIQUE. la partie pos
de la capsule interne, situé qu'il est immédiatement en arrière du
faisceau
pyramidal. On possédait d'autre part une intére
interne à l'écorce; Meynert-indique avec précision l'existence d'un
faisceau
de fibres qui se détache du pédoncule cérébral,
s genouillés et de la couche optique côtoieraient celles du premier
faisceau
, en dedans et au-dessous desquelles elles sont
volutions temporales. Meynert, on le voit, a simplement envisagé le
faisceau
sensitif sur des coupes horizontales ; de là la
lle soit, aie défaut de ne rien nous apprendre sur la façon dont ce
faisceau
se comporte en haut, en bas, latéralement, en u
dans ce dernier but, du bichromate associé à l'acide phénique. DU
FAISCEAU
SENSITIF. 73 pique des coupes du cerveau, et d'
st facile de se convaincre que la teinte gris brun corres- pond aux
faisceaux
de fibres coupées perpendiculairement à leur ax
rs ; une étude analytique des coupes qui nous ont servi à suivre le
faisceau
sensitif serait ici déplacée. Nous rappellerons
cette méthode nous a conduits. Nous avons étudié la disposition du
faisceau
sensitif successivement sur une coupe horizonta
r trois coupes verticales. La première nous a permis d'envisager le
faisceau
suivant sa longueur depuis son origine au tiers
n examinant un hémisphère, on se convainct qu'elle tombe en plein
faisceau
sensitif, sur le point même que, dans leurs exp
mus, et intéresse la partie la plus reculée du corps calleux ; le
faisceau
sensitif, qui atteint là ses plus grandes dimensi
ous sommes ar- rivé aux conclusions suivantes sur la disposition du
faisceau
sensitif et sa distribution. Ce faisceau situ
es sur la disposition du faisceau sensitif et sa distribution. Ce
faisceau
situé sur le bord externe du pied du pédoncule cé
tres fibres se recourbent en arrière et constituent un volumineux
faisceau
, d'abord plus haut que large, dont les dimensions
faisceau, d'abord plus haut que large, dont les dimensions en DU
FAISCEAU
SENSITIF. 75 hauteur diminuent à mesure qu'on a
'on approche de la pointe du lobe occipital. La forme du corps du
faisceau
peut être assez exactement comparée à celle d'u
yramide quadrangulaire à base anté- rieure, à sommet postérieur. Ce
faisceau
s'amoindrit en pro- o-ressant, parce qu'il aban
nvolutions cérébrales auxquelles vont aboutir les fibres émanées du
faisceau
sensitif (c'est la pathologie surtout qui doit
aisem- blable, en tenant compte des rapports et des connexions du
faisceau
, et en restant sur le terrain de l'anatomie pure,
ribution générale du fais- ceau sensitif et de ses irradiations. A,
Faisceau
pyramidal au niveau de la capsule. B, Le même f
diations. A, Faisceau pyramidal au niveau de la capsule. B, Le même
faisceau
au voisinage (tescirconvo- lutions motrices. -
Le même faisceau au voisinage (tescirconvo- lutions motrices. - C,
Faisceau
sensitif au niveau de la capsule. - D, Corps du
ices. - C, Faisceau sensitif au niveau de la capsule. - D, Corps du
faisceau
sensitif dont les fibres se dirigent horizontalem
DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ CONSÉCUTIFS AUX DIVERSES LÉSIONS DU
FAISCEAU
SENSITIF, DANS SON TRAJET INTRA- CÉRÉBRAL. La
possédons, d'après les détails qui précèdent, de la distribution du
faisceau
sensitif dans son tra- jet intra-cérébral, nous
nature et à symptomatologie variables susceptibles d'intéresser ce
faisceau
. Ces lésions siègent, suivant les cas, au nivea
te, c'est-à-dire cette région où toutes les fibres constitutives du
faisceau
sont réunies, condensées dans un étroit espace,
nt ou d'hémorrhagie même minime, suffit alors pour interrompre DU
FAISCEAU
SENSITIF. 77 i complètement les rapports normau
osition aux lésions ou désordres qui affectent tous les éléments du
faisceau
sensitif intra-cérébral, il en est d'autres qui
l. Les cas nombreux réunis, depuis ces travaux, par divers ob- DU
FAISCEAU
SENSITIF. 79 servateurs, par Veyssière et Raymo
l'inté- resserde différentes manières. Tantôt il y a destruction du
faisceau
sensitif à son passage au niveau du carrefour.
indéfiniment persistante. Tantôt, il y a simplement compression du
faisceau
par une lésion de voisinage (couche optique, no
pparente des sens, avec la perte de la sensi- bilité générale. DU
FAISCEAU
SENSITIF. 81 Quant au cas qui nous est personne
s et surtout les fibres externes de la partie intra-capsu- laire du
faisceau
sensitif. Nous nous sommes demandé s'il ne sera
plus plausible que, en étudiant anatomiquement la disposition du
faisceau
sensitif, au niveau de la capsule interne, nous a
se rapprochent des expansions optiques pour constituer une sorte de
faisceau
spécial qui serait difficilement touché par les
plus du siège des lésions du cerveau ; elles seraient commandées DU
FAISCEAU
SENSITIF. 83 directement par l'innervation spin
s' de la peau. Nous croyons avoir établi, en nous appuyant sur DU
FAISCEAU
SENSITIF. 85 un assez grand nombre de faits, qu
avec pièces à l'appui. Il s'agit d'une lésion des cordons latéraux (
faisceau
latéral dans les pyramides et le cervelet) ayan
s l'in-, fluence de la pression exercée par la tumeur, en un simple
faisceau
) de fibres parallèles dont la direction était l
stance grise. La .tumour,sne tenait à la,pie- mère que par un petit
faisceau
de tissu conjonctif parcburu' de SARCOME DE LA
eux, sur des coupes frontales et sagittales, apparaissent entre les
faisceaux
nerveux sous les formes suivantes ; tantôt ils so
. La commissure est pauvre en vaisseaux ; ils sont parallèles à ses
faisceaux
nerveux ; la substance gélatineuse centrale en
é : «Les artères radiculaires an- térieures accompagnent chacun des
faisceaux
des racines anté- rieures, et se portent en dro
tères radiculaires postérieures sont situées les unes au milieu des
faisceaux
radiculaires, les autres en de- dans, les autre
e. Les artères externes passent entre les 3C I· REVUE d'anatomie.
faisceaux
blancs pour se ramifier un peu plus haut jusque d
e de la racine postérieure que M. Pierret a désignée sous le nom de
faisceau
radiculaire interne. » C'est à ces trois artère
nt.. Toutefois nous accordons une importance plus grande que lui au
faisceau
radiculaire interne qu'il appelle arteriw cornu
artérioles coexistantes qui passent entre les cordons de Goll et le
faisceau
externe des cordons postérieurs. c Parmi les ar
erne des cordons postérieurs. c Parmi les artères périphériques des
faisceaux
blancs, nous distinguions comme l'auteur allema
s les travées les plus épaisses de la pie-mère entre les principaux
faisceaux
nerveux. Les plus externes atteignent la partie
es réseaux capillaires qui s'étendent dans le sens des principaux
faisceaux
. » Nous nous empressons de reconnaître d'ailleurs
car avant lui nous disions : « On sait que M. Pierret a indiqué le
faisceau
radiculaire interne comme étant la plupart du tem
des cordons de Goll dans la moelle dorsale et cervicale; lésions du
faisceau
pyramidal dans la moelle lombaire. Le process
t-ce bien là une affection systématique ne portant que sur certains
faisceaux
de fibres ? Voici le résumé de l'observation, b
te des cordons de Goll dans la moelle allon- gée. Faible lésion des
faisceaux
cunéiformes. Altérations mar- ginées en toute l
s perversions sexuelles, par Charcot et Magnan, 296. Sensitif (le
faisceau
), et les troubles de la sensibilité dans les ca
e transmet à la région motrice de l'hémisphère gauche, et de la aux
faisceaux
pyramidaux droits, c'est-à-dire aux membres droit
tion, elle se dirige vers le centre leur gauche de l'écorce, où les
faisceaux
pyramidaux entrent en jeu etproa duisent (puisq
ation du centre acouslique au centre cortical moteur, et par là aux
faisceaux
pyramidaux. Dans un chapitre spécial, il a été
enseur du fascia lata, au milieu le moyen fessier, et en arrière le
faisceau
supérieur du grand fessier. Le tronc tout entie
u muscle se dessine avec son obliquité naturelle. A la surface, les
faisceaux
musculaires secondaires apparaissent quelque- f
PYTHIE DE DELPHES D'après une gravure de R. de IIOOGE (1688). DU
FAISCEAU
DIT « BANDELETTE SOUS-OPTIQUE » DANS LA. RACINE
Nous avons décrit sous le nom de « bandelette sous-optique » (1) un
faisceau
épanoui en éventail, au-dessous de l'écorce des r
avoir voulu décrire le même corps de fibres sous la désignation de
faisceau
tempoJ'o-tJ¡alami- que. La forme et les rapport
seulement dans la région inférieure du thalamus qu'elles forment un
faisceau
assez compact et homogène pour être différencié
oto- graphiques peuvent donner une idée assez nette du trajet de ce
faisceau
sur les coupes vertico-transversales de l'hémis
fibres du stratum zonale du' pulvinar se condensent pour former le
faisceau
incrusté dans la'concavité externe du corps genou
res, avant de diverger, restent encore quelque temps groupées en un
faisceau
compact : c'est le tra- jet de ce faisceau' que
us, se rapproche de dehors en dedans de la lame grise de l'uncus DU
FAISCEAU
DIT « BANDELETTE SOUS-OPTIQUE » 101 (Unc). On r
ale. A ce ni- veau, la bandelette sous-optique est sous-,jacente au
faisceau
unciforme (FU), dont les libres semblent claire
son de leur direction antéro-postérieure. Il est a présumer'que le'
faisceau
unciforme sépare complètement 'cette' extrémité
que ne remonte vers la cap- sule externe, au-dessus et en dehors du
faisceau
'unciforme. Enfin, il est il peu près certain q
ce lobe et la convexité antérieure du noyau amygdalien. Le nom de
faisceau
temporo-thalamidue adopté par Arnold mériterait
ar Arnold mériterait donc à notre avis d'être remplacé par celui'du
faisceau
sphénoïdo-lhala- 1nque . Les deux ligures 30
dant de la voûte aboutis- sant au tubercule mamillaire (tir1). FVA,
faisceau
de Vicq d'Azyr émergeant du tu- bercule mamilla
e sont des méplats très accentués. Cela tient ;i la conservation du
faisceau
deltoï- dien médian, les portions antérieure et
la station debout., I-. ' ' ? ` La conservation d'un seul des trois
faisceaux
qui è ? attlyséttle', ileltoïrle est intéressan
s de 85mm ; il 8O ? n C. encore très faibles et seulement clans les
faisceaux
externes ; a gauche : C. minima à 95mm ; à 85mm
nima à 95mm ; à 85mm C. encore faibles, apparentes surtout dans les
faisceaux
externes. La partie postérieure est aussi très
s. La partie postérieure est aussi très atrophiée, surtout dans ses
faisceaux
internes ; l'atrophie semble à peu près aussi p
). Dans la partie élévatrice de faibles C., soulevant seulement les
faisceaux
mus- culaires, apparaissent à 30mm à droite, et
centrifuge, jusqu'aux racines antérieures de la région excitée. Le
faisceau
pyra- midal n'est pas autre chose qu'un segment
e ce grand arc réllexe sont respectées, en d'autres ter- mes, si le
faisceau
pyramidal continue d'exercer son influence motric
rale. Le faisceaau pyramidal, appelé quelquefois, et à juste titre,
faisceau
volon- taire, n'exerce aucune inlluence sur ces
accomoder. L'accomodation exige donc l'intégrité d'une fraction du
faisceau
pyramidal. VA de même qu'on voit chez certains
) nous semblent confirmer cette interprétation. D'autres importants
faisceaux
médullaires doivent également aboutir aux zones
e et se trouve en arrière des olives inférieures, sur le passage du
faisceau
vestibulaire décrit par Bruce. Sa proximité d'un
neumogastrique par des fibres qui s'associent en partie à celles du
faisceau
solitaire et remontent avec elles (Bechterew).
ce qui semble prouver qu'elle est occasionnée par la destruction du
faisceau
de l'aphasie (Raymond et Artaud). Nous ferons r
imples, a la signification d'un épendyme. La gaine lamelleuse des
faisceaux
qui constituent le tronc du nerf laby- rinthiqu
ral segmenté, celles-ci sont des centres trophiques pour leurs deux
faisceaux
de prolon- gements périphériques et centraux, c
arpa, ou ganglion vestibulaire, en autant de ganglions qu'il y a de
faisceaux
se rendant aux taches criblées. Il nous suffira d
es criblées. Il nous suffira de retrouver dans la fragmentation des
faisceaux
et du ganglion un vestige de la fragmen- tation
double (Ayers). Il n'en reste guère de trace el c'est bien un seul
faisceau
qui part de la macule utriculaire, s'adjoignant
aisceau qui part de la macule utriculaire, s'adjoignant deux autres
faisceaux
issus, l'un de la crête ampullaire transversale
re, formant le ra- meau supérieur de Scli2ctclGe. 2° Un quatrième
faisceau
se détache de la macule sacculaire par la tache
it auriculaire interne, le ganglion s'étirant sous t'écartement des
faisceaux
vestibulaires divisés au niveau des biles osseu
on supéro-postérieure; c'est le nerf vestibulaire. L'autre forme un
faisceau
compact de fibres d'une épaisseur de moitié moind
elle, forment à leur entrée dans le tronc bulbo-protubérantiel deux
faisceaux
distincts et séparés par une 348 NOUVELLE ICONO
rf cochléaire sera la racine postéro-externe. Nous étudierons leurs
faisceaux
constituants après avoir décrit les noyaux primai
ors après sa décapitation, est repoussée en avant il mesure que les
faisceaux
il destination cérébelleuse s'unissent pour for
acoustique. Quanta la substance gélatineuse, on la suit le long du
faisceau
inférieur, du trijumeau, puis elle semble dispa
pondance entre les grosses fibres de la ra- cine vestibulaire et un
faisceau
cérébelleux direct qui aboutit au vermis supéri
I i)(Fig.90). D'après Edin- ger, d'antres fibres se détachent de ce
faisceau
principal, traversent le corps' restiforme et p
ervelet jusqu'aux noyaux du toit (NT) et au noyau globuleux (G). Ce
faisceau
n'est pas admis par tous les auteurs (Bechterew
Deiters, on voit partir, mais surtout de ce, dernier, un important
faisceau
qui se dirige vers le vermis supérieur du cerve
ant faisceau qui se dirige vers le vermis supérieur du cervelet. Ce
faisceau
est l'homologue du faisceau cérébelleuxdirectdehl
ers le vermis supérieur du cervelet. Ce faisceau est l'homologue du
faisceau
cérébelleuxdirectdehlecll- sig, qui des cellule
e même vermis supérieur. De ce noyau de Deiters partent encore deux
faisceaux
cérébel- leux, l'un vers ]'embolus (E) et le co
s les fibres issues de la base des cornes médullaires et qui par le
faisceau
de Burdach et le noyau des cordons cunéiformes
art, par la commissure antérieure, où elles s'entrecroisent, par le
faisceau
fondamen- tal antéro-latéral (Bechterew), d'aut
el point de l'écorce pariétale desservent-elles ? Dans le bulbe, un
faisceau
part du noyau de Deiters et aboutit au noyau de l
iner les remarquables connexions. Signalons seulement maintenant le
faisceau
décrit par Edinger, unissant cette olive supéri
oyau de Deiters et d'îlots situés en dedans de lui, descend un fort
faisceau
de fibres que nous n'avons pu figurer, parallèl
rt faisceau de fibres que nous n'avons pu figurer, parallèlement au
faisceau
longitudinal postérieur, jusqu'au ni- veau de l
Ce n'est donc pas une racine réelle du nerf labyrinthique, mais un
faisceau
cérébelleux des cor- dons postérieurs qui trave
raverse le noyau de Deiters (Edinger, Bechterew). Bruce a décrit un
faisceau
unissant le noyau de Deiters à l'olive infé- ri
et de là vers l'écorce temporale. Ces libres ont pour homologue le
faisceau
qui part de la tête de la corne postérieure, tr
e postérieure, traverse la commissure postérieure,. rejoint dans le
faisceau
interne de l'anse latérale les fibres médullair
à l'écorce temporale sans interception nucléaire ont également leur
faisceau
homologue dans l'appareil optique. La tactilité
s'en- gagent à travers les noyaux de la base et se divisent en deux
faisceaux
dont l'un postérieur se dirige obliquement vers
atteignent l'olive supé- rieure du côté opposé. Koelliker admet un
faisceau
parallèle au dernier et qui semble aboutir au n
le au dernier et qui semble aboutir au noyau du facial. Un second
faisceau
se dirige en arrière et en dedans, et gagne, d'ap
ld), un sixième aboutit au noyau trapézoïde correspondant. Enfin un
faisceau
entre également dans la composition du corps trap
pposée, et remonte dans l'anse latérale vers l'écorce temporale. Ce
faisceau
qui unit t directement le noyau antérieur à l'é
orce pariétale op- posée. De l'olive supérieure part un important
faisceau
qui atteint le noyau du toit du même côté (Edin
es rapports que nous avons vus plus haut. De ce noyau part un autre
faisceau
qui passe dans l'hémisphère opposé et aboutit vra
enfin en rapport avec le nerf oculomoteur externe par un important
faisceau
(Edinger, Bechterew), et sans doute aussi, par
mportant faisceau (Edinger, Bechterew), et sans doute aussi, par le
faisceau
longitudinal postérieur, avec tout l'appareil de
ulaire. C'est également là qu'aboutissent les fibres originaires du
faisceau
de Goll, par l'intermédiaire du noyau des cordons
rurgicale, par A. CHIPAULT, 371. TABLE DES AUTEURS BRISSAUD. Du
faisceau
dit : Bandelette sous- optique, 99. Arthropat
e les tubercules quadri- jumeaux, les couches optiques, etc., « les
faisceaux
de fibres issus des circonvolutions cérébrales
e vue expérimental, non seulement qu'une lésion inté- ressant les
faisceaux
qui, du pulvinar de la couche optique, viennent
rieurs, des corps genouillés externes, de la couche optique, et des
faisceaux
qui s'irradient dans le lobe occipital. Je dois
nes, et non uniquement avec la rétine de l'oeil du côté opposé, les
faisceaux
croisés des nerfs optiques l'emportant seulemen
roisés des nerfs optiques l'emportant seulement en quantité sur les
faisceaux
directs. » Ainsi, une destruction unilatérale d
a réaction inflammatoire du lobe occipital, surtout à la lésion des
faisceaux
optiques qui, des ganglions d'origine des tractus
e centre visuel cortical soutient des rapports plus étendus avec le
faisceau
croisé qu'avec le faisceau direct. On connaît l
utient des rapports plus étendus avec le faisceau croisé qu'avec le
faisceau
direct. On connaît la doc- trine de Munk sur ce
il du côté correspondant. Chez les singes, comme chez l'homme, le
faisceau
direct serait presque aussi fort que le fais- c
ianopsie bilatérale homonyme. Mais Munk soutient, en outre, que les
faisceaux
optiques ' I corpi gellicolati dei mammiferi st
centre de la vision mentale y est en rapport avec les fibres des
faisceaux
croisés et des faisceaux directs du nerf optiqu
ntale y est en rapport avec les fibres des faisceaux croisés et des
faisceaux
directs du nerf optique. Loin de conserver leur
irects du nerf optique. Loin de conserver leur individualité, les
faisceaux
optiques se confondraient dans leurs trajets ve
iani (fig. 1) montre bien quel se- rait ce mode de distribution des
faisceaux
croisés et directs de l'écorce. Les points noir
e repré- senté ici, font voir quel rapport les fibres optiques du
faisceau
croisé, issues du segment interne de la rétine
és, plus clair-semés, indiquent les rapports des fibres optiques du
faisceau
direct , issues du segment externe de la rétine
substance blanche (2 cas), ou inté- resse à la fois l'écorce et les
faisceaux
sous-jacents (6 cas). Le pli courbe n'a été tro
tre- croisement des fibres optiques varie parfois comme celui des
faisceaux
moteurs des pyramides, ainsi que l'ont montré l
laquelle il existerait un rapport fixe et déter- miné, au moyen des
faisceaux
du nerf optique, entre » chaque segment de la r
de chaque oreille avec les deux hémisphères cérébraux au moyen d'un
faisceau
croisé et d'un faisceau direct. Quoiqu'on ne sa
deux hémisphères cérébraux au moyen d'un faisceau croisé et d'un
faisceau
direct. Quoiqu'on ne sache encore rien du mode
e un problème à l'anatomiste. Que celui-ci parvienne à suivre les
faisceaux
de l'acoustique dans leur trajet vers les centr
et les points hachés indiquent le mode supposé de distribution des
faisceaux
croisés et directs du nerf acoustique dans l'éc
comme un symptôme de lésion en foyer, soit de l'écorce, soit des
faisceaux
sous-jacents, bref, comme un phénomène de défic
ion par- tielle dans leur parcours intracéphalique. Toutefois les
faisceaux
directs seraient ici plus forts que les fais- c
spondant, sans subir d'entrecroisement. L'activité prépondérante du
faisceau
olfactif direct sur le faisceau croisé aurait c
sement. L'activité prépondérante du faisceau olfactif direct sur le
faisceau
croisé aurait créé cette illusion. C'est ainsi
s par la prédominance fonctionnelle des fais- ceaux croisés sur les
faisceaux
directs, il avait d'abord cru' à l'activité cro
he, les points hachés, les plus nombreux, indiquent les rapports du
faisceau
olfactif direct avec l'écorce cérébrale, les po
avec l'écorce cérébrale, les points noirs, moins nombreux, ceux du
faisceau
croisé avec les mêmes régions. Giuseppe Fasol
nt de se distribuer aux territoires rétiniens, avec prévalence du
faisceau
croisé sur le faisceau direct; 3° de même pour
ux territoires rétiniens, avec prévalence du faisceau croisé sur le
faisceau
direct; 3° de même pour les fibres acoustiques
ne observation caractérisée par - de l'hypertrophie musculaire; les
faisceaux
primitifs n'occupent cependant que le milieu de
er ensemble le pied du pédoncule. Le lobe occipital n'envoie pas de
faisceaux
directs dans le pied du pédoncule; c'est au pul
orientées en colonne, les unes au-dessus des autres, parce que les
faisceaux
de fibres de la couronne de Reil qui vont jusqu
nche, assez difficile à débrouiller à cause de l'épanouissement des
faisceaux
de fibres et de la substance blanche, qui s'éca
Pour cela, nous n'avons qu'à profiter de la disposition normale des
faisceaux
de fibres qui montent dans la substance grise,
çoivent très suffisamment sur les pièces traitées par l'alcool. Ces
faisceaux
se DE LA SUBSTANCE GRISE. 183 divisent, au ni
les intervalles en colonne de cellules; en voyant leurs fibres aux
faisceaux
qui leurs sont contigus. Cette disposition est
e naturellement dans la profondeur de la substance grise, là où les
faisceaux
sont plus gros, et c'est pourquoi les grandes c
sens horizontale, par la sériation des cellules et les travées des
faisceaux
dans le sens ver- tical. Il sera donc presque a
riation dans le sens longitudinal indiquera soit une diminution des
faisceaux
blancs, soit un morcel- lement des couches, par
ndiquer. La seule chose qui le puisse troubler c'est la présence de
faisceaux
blancs coupés obliquement, mais leurs surfaces
ascendantes du trijumeau des deux côtés, sur toute leur étendue, du
faisceau
solitaire (racine ascendante du système mixte)
oisonnent le muscle, les petites travées ne sont pas modifiées. Les
faisceaux
muscu- laires eux-mêmes ne paraissent pas altér
uche des grandes cellules pyramidales ne se com- posent plus que de
faisceaux
fibrillaires descendants avec de nombreuses cel
de Clarhe sont conservés. Cette lésion est symétrique. La partie du
faisceau
latéral comprise dans la concavité des cornes e
amellaire et les cylindres-axes sont normaux; il en est de même des
faisceaux
musculaires, qui, sous les coupes transverses,
trois couches : la plus superficielle, mince et homogène, formée de
faisceaux
parallèles de fibres fines, avec de pelits noya
s un tissu fibrillaire dont les fibrilles convergent en bas par des
faisceaux
distincts. La troisième couche est occupée par
ar des faisceaux distincts. La troisième couche est occupée par ces
faisceaux
et un certain nombre de cellules. Ces masses de
par ces faisceaux et un certain nombre de cellules. Ces masses de
faisceaux
fibrillaires accompagnent les vaisseaux et formen
tes. Dans les cornes antérieures, le tissu interstitiel forme des
faisceaux
fibrillaires volumineux et entrecroisés autour de
port au centre du mou- vement (centres médullaires) » (1). Aussi le
faisceau
pyramidal, qui transmet aux centres moteurs bul
rice : 1° celle des centres psychomoteurs corticaux; 2° celle des
faisceaux
blancs qui, sans aucun doute (indubitu- mente),
IE. D'autre part, il y a beau temps qu'on ne fait plus passer les
faisceaux
pyramidaux il travers les masses grises des cor
re revendiquées, à titre de simple conduction, il est vrai, par les
faisceaux
blancs du tiers postérieur de la capsule intern
am- burini, hypothèse qui repose sur l'existence indémon- trée de
faisceaux
de projection reliant directement les corps str
ît avoir au- cune connexion directe avec l'écorce du cerveau. Des
faisceaux
de fibres isolées pénètrent bien de la subs- ta
. 1. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 3ïH ) laire, mais on ignore si ces
faisceaux
sont en relation réelle avec la substance grise
moyen d'un système défibres de la couronne rayonnante (distinct du
faisceau
pyramidal), et s'atrophie secondairement aux lé
ment des centres moteurs corticaux, et par conséquent du volume du
faisceau
pyramidal, a des limites : elle permet la resti
cordons postérieurs de la moelle épinière, et d'où decendraient les
faisceaux
pyrami- daux, ces deux sortes de fibres, sensit
dination et à l'équilibre de ces mouvements. Le point où ces deux
faisceaux
de fibres ascendantes et descendantes se rencon
rnières imaginations de Maurice Schiff. Pourquoi, demande-t-il, ces
faisceaux
de fibres se donneraient-ils rendez-vous sous l
citables de l'écorce ne fussent que les prolongements cérébraux des
faisceaux
sensitifs des cordons postérieurs de la moelle,
erte des réactions motrices de l'écorce est due à une lésion 'des
faisceaux
latéraux des pyramides; d'après Schiff, .la zon
dégénération ou influence dégénérative ascendante, car, lorsque le
faisceau
pyramidal est intact, les résultats négatifs de
-dire au gyrus sigmoïde, où se distribuent uniquement les fibres du
faisceau
pyramidal. Les mouvements que ces centres déter
t situés en dehors de l'aire corticale où s'irradient les fibres du
faisceau
pyra- midal, ces centres, pour être excités, ex
Bechterew, des centres moteurs véritables, des points d'origine de
faisceaux
moteurs indépendants, dont les fibres centrifug
iculièrement considérées comme psycho- motrices, pour atteindre les
faisceaux
en rapport avec les noyaux gris moteurs de la m
A vrai dire, si cela n'est pas exact même pour le chien, dont le
faisceau
pyramidal direct est sans doute très grêle, cel
erfs moteurs symétriques : l'impulsion volontaire, transmise par le
faisceau
pyramidal croisé, retentirait là, à un certain
ant. Dario Maragliano avait même invoqué, chez l'homme, l'action du
faisceau
pyramidal direct pour expliquer les suppléances
u pyramidal direct pour expliquer les suppléances cérébrales'. Ce
faisceau
, le faisceau de Tùrck, a d'ailleurs été trouvé
direct pour expliquer les suppléances cérébrales'. Ce faisceau, le
faisceau
de Tùrck, a d'ailleurs été trouvé lésé chez les
ité volontaire, qui succèdent aux lésions de la zone motrice ou des
faisceaux
pyramidaux croisés, ne sont pas limités au côté
noms d'Albertoni et Michieli (1876). La perte de l'excitabilité des
faisceaux
blancs du centre ovale a lieu au bout d'un cert
DE SARCOME DU CERVEAU. 11 est celle d'un sarcome fasciculé dont les
faisceaux
sont enchevêtrés dans toutes les directions. Le
ions. Les cellules appartiennent au type fusi- forme. Dans certains
faisceaux
elles sont fibro-plastiques et l'on voit interp
res conjonctives plus ou moins grêles ou larges. Mais dans d'autres
faisceaux
les cellules extrêmement grosses et nombreuses
nes grises postérieures soient le territoire par lequel passent les
faisceaux
conducteurs des sensations douloureuses. La moiti
cule gauche, ce qui tend à con- firmer la réalité de l'existence du
faisceau
de l'aphasie. SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS ANNU
sclérose ayant détruit la substance blanche avec dégénérescence des
faisceaux
postérieurs, antérieurs et latéraux de la moell
postérieurs, antérieurs et latéraux de la moelle par altération des
faisceaux
antérieurs dans les pyramides. P. K. III. ETUDE
leur maximum de netteté dans la zone qui correspond à peu près aux
faisceaux
latéraux des pyramides. Suivant la hauteur de la
médullaires ou acoustiques (barbes du calamus) se composent de deux
faisceaux
: un gros faisceau appartenant à la région céré
tiques (barbes du calamus) se composent de deux faisceaux : un gros
faisceau
appartenant à la région cérébrale, un faisceau
faisceaux : un gros faisceau appartenant à la région cérébrale, un
faisceau
plus petit apparte- tenant au plan inférieur (c
u plus petit apparte- tenant au plan inférieur (caudal). A. Le gros
faisceau
vient du tubel cule acoustique, contourne le co
ssi au tubercule quadriju- meau inférieur du même côté. B. Le petit
faisceau
vient du noyau antérieur. Il commence, comme le
stiques (barbes du calamus) imposent l'idée qu'elles constituent un
faisceau
d'association cen- tral, affectant des rapports
sociation externes y compris la raie de Baillarger. P. K. XIV. DU
FAISCEAU
OLIVAIRE DE LA PORTION CERVICALE DE LA MOELLE É
part. DE BECHTEREW. (Neurolog. CeH< ! 'a/6<., XIII, 1894.) Le
faisceau
central de la calotte de l'auteur (1885), qui par
885), qui part des olives inférieures et va au cerveau, est bien le
faisceau
triangulaire REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
rt de ces 'fibres ne prennent leurs manchons de myéline qu'après le
faisceau
pyramidal. Il appartient à la moelle cervicale
extrémité inférieure de la grosse olive. Le segment inférieur de ce
faisceau
se trouve entre le cordon antérieur et le cordo
s ou olives inférieures indiquent la légitimité de sa désignation :
faisceau
olivaire de la moelle cer- vicale. Comme de l'a
e l'autre côté de ces olives part, dans la direction du cerveau, le
faisceau
central de la calotte, il est évident que celui
tardif chez le nouveau-né, permet de le voir très nettement dans le
faisceau
antéro-externe de Gowers et Bechterew. Ce derni
ortants de son étude, l'homologation du nerf labyrin- thique et des
faisceaux
nerveux divers qui le composent. C'est ainsi qu
. Comme c'est là également qu'aboutissent les fibres originaires du
faisceau
de Goll, il est facile de déduire le rôle de ce
mogastrique. Le tronc du facial reçoit un large apport de fibres du
faisceau
longitudinal postérieur du côté opposé, qui vie
e de ceux de Flechsig, Mott, Tooth et autres d'après les- quels les
faisceaux
cérébelleux directs étaient considérés comme ce
en 1879, le même auteur3 communique un cas de tuberculose dans les
faisceaux
pyramidaux et, discutant de nouveau son premier
sâtre contraste clairement avec celle du tissu voisin (fig. 6). Les
faisceaux
de Goll ont la périphérie de même coloration. Les
celle d'un anneau. Elles sont surtout marquées à la périphérie des'
faisceaux
de Goll et de Burdach. Les deux racines postéri
péri et endonèvre est parsemé de noyaux et de leucocytes. Dans les
faisceaux
latéraux on distingue une pro- lifération de la
n de la névroglie est surtout plus prononcée du côté droit dans les
faisceaux
cérébelleux et dans ceux de Gôwers. Elle se tro
rs. Elle se trouve même dans le cordon antérieur et surtout dans le
faisceau
pyramidal direct. Le canal central est oblité
ie autour du canal central. A côté de ces lésions, on voit, dans le
faisceau
de Burdach, du côté droit, à la périphérie, dan
gglomérations de leucocytes qui sont plus ou moins isolées. Dans le
faisceau
droit de Goll se trouve, à la périphérie, un tube
e l'on peut suivre dans beaucoup de coupes. La dégénérescence des
faisceaux
de Gol estplus étendue que nous ne l'avons vu p
e Gol estplus étendue que nous ne l'avons vu plus haut, et c'est le
faisceau
gauche qui est plus atteint que le faisceau dro
plus haut, et c'est le faisceau gauche qui est plus atteint que le
faisceau
droit. La dégénérescence des fibres nerveuses d
nent des dimensions plus considérables et se trouvent même dans les
faisceaux
pyramidaux des cordons extérieurs. Ils se prése
fines hémorragies capil- laires dans les cordons latéraux. Dans les
faisceaux
de Goll et dans ceux de Burdach, on observe un
et deviennent plus nombreuses; c'est ce qui se passe aussi dans les
faisceaux
de Goll ou de Burdach. Dans le segment correspo
ostérieure gauche. Sur les mêmes coupes nous voyons encore, dans le
faisceau
py- ramidal croisé droit, deux nodules confluen
ense et allongée, près de laquelle se trouve un nodule logé dans le
faisceau
de Burdach. Les endroits où nous avons vu les n
orsal, la pie-mère adhère à la dure-mère sur le côté antérieur. Les
faisceaux
de Goll dans la partie supérieure de la moelle
cette partie, la moelle est tachetée. Dans la partie lombaire, les
faisceaux
pyramidaux latéraux sont plus pâles que les aut
é dans la partie supérieure de la moelle cervicale une sclérose des
faisceaux
de Goll, dont il reste encoie à la périphérie q
st conservée. On trouve pourtant, après un examen soigneux, dansles
faisceaux
cérébelleux une partie sclérosée qui est nettem
tie dorsale de la moelle a été plus atteinte. Presque dans tous les
faisceaux
, on voit, à côté des processus anciens, des dég
ivité scientifique et d'activité commerciale, réunissant en un seul
faisceau
sa richesse matérielle et sa grandeur intellect
reuse présente des lésions en foyer. M. VOGT lit un travail sur les
faisceaux
de fibres des corps calleux. Séance du 22 sep
férence, est épaissie par l'adjonction, à sa surface externe, de
faisceaux
conjonctifs longitudinaux pour la plupart; au-des
sur le point de s'organiser en tissu fibreux. Dans ces points les
faisceaux
conjonctifs prennent un aspect réfringent spécial
tion I. COUPE DE la région dorsale SUPÉRIEURE, méninge au niveau du
faisceau
latéral. Lésion d'une veine, dégénérescence des
e dégénérescence, l'une autour du noyau de Goll, comprenant tout le
faisceau
grêle, l'autre en croissant autour et à distanc
ie sur toule sa circonférence, sans être plus intense au niveau des
faisceaux
lésés. La pie-mère est épaissie; les faisceaux
ntense au niveau des faisceaux lésés. La pie-mère est épaissie; les
faisceaux
fibreux qui la forment, par- ticulièrement dan,
ent plus nombreux et plus volumineux ,qu'à l'état normal. Entre ces
faisceaux
on aperçoit une infiltration très régulière de
ieurs n'est pas plus altérée que le reste; c'est même au niveau des
faisceaux
latéraux que la mé- ninge offre la plus grande
oelle; la pie-mère est farcie de noyaux ronds, disséminés enlre les
faisceaux
conjonctifs et particulière- ment autour des va
rale; méningo-myélite diffuse; plaque de myélite vasculaire dans le
faisceau
latéral. - H... J., trente-sept ans, maître d'h
te plus haut. Le point le plus remarquable est la présence, dans le
faisceau
latéral gauche, à la hauteur de la quatrième pa
iphérie de la moelle et semble répondre à l'extrémité antérieure du
faisceau
cérébelleux direct et à la partie postérieure d
rieure du faisceau cérébelleux direct et à la partie postérieure du
faisceau
de Gowers; en réalité, elle ne répond à aucune
rofesseur Raymond, tantôt elle est également répartie dans tous les
faisceaux
; enfin nous avons vu que les lésions vasculair
élite de l'ob- servation IV et la sclérose lente des vaisseaux d'un
faisceau
pyramidal dégénéré à quelque période qu'on l'ex
ès étendues intéressant le cordon de Burdach, le cordon de Goll, le
faisceau
cérébelleux direct, le faisceau pyramidal crois
n de Burdach, le cordon de Goll, le faisceau cérébelleux direct, le
faisceau
pyramidal croisé et les cellules de Clarke, on
ière à intéresser la sixième paire d'une part, et, d'autre part, le
faisceau
pyramidal avant l'entre-croisement du faisceau
et, d'autre part, le faisceau pyramidal avant l'entre-croisement du
faisceau
géniculé ; ou bien siéger dans l'épaisseur de l
le tronc nerveux de la sixième paire en comprimant ou altérant les
faisceaux
pyramidal et géniculé avant leur entre-croiseme
que et anatomiquement par une sclé- rose systématique primitive des
faisceaux
pyramidaux, soit isolée, soit plutôt combinée a
oit plutôt combinée avec la dégénération des cordons de Goll et des
faisceaux
cérébelleux décrits : c'est l'ancien tabes dorsal
XXIX. Cas DE SCLÉROSE latérale AMYOTROPHIQOE AVEC dégénérescence DU
faisceau
pyramidal DE l'écorce A la PÉRIPHÉRIE; par Fred..
ment et progressivement le tractus moteur dans sa totalité, écorce,
faisceau
pyramidal, cornes anté- rieures et fibres motri
érose occupant le pourtour de la corne antérieure dans la région du
faisceau
fondamental. Cette zone dégénérée varie d'aspec
à l'atrophie, des cellules de la substance grise. Elle respecte les
faisceaux
avoisinants : pyramidaux, croisés et directs, f
especte les faisceaux avoisinants : pyramidaux, croisés et directs,
faisceaux
de Gowers, cérébelleux directs, car elle est l'ex
LE CERVEAU ET LA MOELLE, AVEC REMARQUES SUR LA LOCALISATION ET LES
FAISCEAUX
DE TRANSMISSION DES CONVULSIONS DE L'ÉPILEPSIE AB
ntacte, la décharge se fait par cette zone et est transmise par les
faisceaux
pyramidaux. Quand l'irritation est extrême, il y
lles ou de leurs noyaux, des fibres de transmis- sion motrices, des
faisceaux
pyramidaux ou des cordons latéraux. En d'autres
iels sont ceux qui, outre des fibres d'association, contiennent des
faisceaux
de la couronne rayonnante composés de fibres se
che à la substance grise centrale; il y a deslructioll'parlielle du
faisceau
longitudinal postérieur et des bras des tubercu
es coupes des deux hémisphères ont montré les lésions suivantes des
faisceaux
d'association (méthode de Pal) : à gauche, dégéné
cence des fibres du corps calleux, diminution notable des fibres du
faisceau
sagittal interne, dégénérescence complète du fais
des fibres du faisceau sagittal interne, dégénérescence complète du
faisceau
sagittal externe, disparition du faisceau trans
égénérescence complète du faisceau sagittal externe, disparition du
faisceau
transverse du cunéus. A droite, dégénérescence
mé : lésion en foyer du centre visuel du côté gauche et rupture des
faisceaux
d'association des deux lobes occipitaux; dégé-
eux lobes occipitaux; dégé- 478 sociétés savantes. nérescence des
faisceaux
optiques du côté gauche, des voies reliant le c
deux circonvolutions temporales, les deux lobes occipitaux. De ces
faisceaux
un grand nombre ont été détruits par la dégénér
tie sensitive de la moitié gauche du pont. La pyramide gauche et le
faisceau
pyramidal du côté droit sont moins volumineux,
externes gauches sont plus rares qu'à droite; il en est de même des
faisceaux
du pont. Un des foyers de ramollissement s'éten
Tedeschi, 467. Etat mental de S... Clément par Sieraccmi, 51 .
Faisceau
OLIVIIRE de la portion cer- vicale de la moelle
illard, 1. Sclérose latérale amyotrophique avec de générescence d
faisceau
pyramidal, par Mott, 321. ilisto- logie de la
ces, des cellules polymorphes. Pas de libres élastiques nettes. Les
faisceaux
fibreux sont tantôt disposés pal'alli' ! plIlel1l
par des cellules analogues à celles du sarcome vrai (rig, 3) ;. les
faisceaux
ont, une paroi formée d'éléments jeu- nes, fusi
d avec le tissu fibreux am- biant et cesse d'être perceptible ; les
faisceaux
nerveux sont dis- sociés par le tissu fibreux ;
vre les libres nerveuses. En plein centre de la tumeur, un seul des
faisceaux
du nerf -facial est encore nettement dilférenci
a traversée parotidienne, présente une atrophie considérable de se*
faisceaux
, qui, sur une coupe transversale, sont moitié i
La branche temporale du facial présente une atropine nota- ble des
faisceaux
de fibres nerveuses, avec sclérose bien moins c
erveux sont dissociés et comme étouffés par le tis- su fibreux ; un
faisceau
nerveux, demeuré visible au cen- 8 CLINIQUE NER
rétation. En tout cas il est impossible de décider s'il s'agit d'un
faisceau
détaché du cordon des pyramides ou d'un long tr
ersales continues. L'étude des dégénérescences indique le hajef des
faisceaux
qui mettent en communication le centre cor- tic
oyaux. Par contre, des deux côtés dans la partie postéro-interne du
faisceau
longitudinal postérieur, il a été trouvé des mott
des segments antérieur et postérieur du corps genouillé externe, ce
faisceau
dégénéré a quitté le corps genouillé externe et
a moelle. Il existe une dégénérescence des colonnes de Clarke et du
faisceau
latéral du cervelet ; celle- ci tient peut-être
criabot'atory... Philllllel- phie 1900. l'. hE121 ? 1L. \'111. Le
faisceau
antéro-latéral direct des pyramides ; par W. G.
eurolog. Centralbl" XXI, 1902.) L'auteur rappelle qu'il a décrit un
faisceau
qui se détache de la partie latérale la plus ex
un faisceau qui se détache de la partie latérale la plus externe du
faisceau
ly ramiclal, un peu au- dessous du plan d'entré
ubérance, il se porte brutalement en arrière et un peu en dehors du
faisceau
jnramidal, pour pénétrer dans le corps Ira- IIé
de sorte qu'a l'endroit où elle possède le plus fort diamètre, le
faisceau
en question occupe la périphérie postérieure et e
ntrecroisé. Dans le bulbe, il occupe une place semblable à celle du
faisceau
de Govvers. Il doit naître au niveau de la caps
andis que celui-ci occupe le cotepostero-externe de celle olive. Le
faisceau
de Rus- sel semble, dans la moelle cervicale, ê
el semble, dans la moelle cervicale, être plus en avant que lui. Le
faisceau
d'Jleh\eg ou lnri-olivairu de Gechlcrovv est dans
de Gechlcrovv est dans la moelle situé un peu plus en avant que le
faisceau
de 5[Iiller. SI. liâmes (Emin, XXIV, p. 4G3) ap
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 51 et cessent de constituer un
faisceau
dans la région cervicale infé- rieure : parfois
les peut suivre jusque dans la région lombaire. 11 existe donc : un
faisceau
pyramidal direct, un faisceau antéro-latéral di
région lombaire. 11 existe donc : un faisceau pyramidal direct, un
faisceau
antéro-latéral direct des pyramides, nn faiceau 1
t le metazoon se trouve altérée. P. Keraval. X. Trajet anormal du
faisceau
pyramidal ; pur E. Straeussler. (Neurolog. Cent
is on a, par la méthode de llarclti, cturlic la dé- générescence du
faisceau
ly ramitlal, dans le pédoncule cérébral, la pro
s limites normalesenavant, mais, latéralement, il envoie nombre (le
faisceaux
jusqu'à la périphérie, envahissant ainsi le cha
ne pointe ininterrompue en avant et en dehors dans le territoire du
faisceau
de Go\Yers dont elle occupe la plus grande part
e zone étroite assez purement conservée. Dans la moelle dorsale, le
faisceau
pyramidal se colle étroite- ment aux cornes pos
le n'en est pas du tout distincte. La dégénérescence dans l'aire du
faisceau
de Gowers diminue fortement d'étendue en descen
escendante des pyramides, surtout des cordons latéraux, moindre des
faisceaux
de Gowers et des faisceaux cérébelleux. Les cor
urtout des cordons latéraux, moindre des faisceaux de Gowers et des
faisceaux
cérébelleux. Les cordons postérieurs, notamment
Dans la chorée chronique le trouble hyperkinélique est fonction du
faisceau
extra-pyramidal et de ses centres : rien ne s'o
ne de l'excitation du noyau du fa- cial oculaire qui irradie par le
faisceau
longitudinal postérieur. » P. Keraval. IV. Op
es mêmes noyaux des nerfs abducteurs parle moyen, chez l'animal, du
faisceau
longitu- dinal prédorsal, et, chez l'homme, du
'animal, du faisceau longitu- dinal prédorsal, et, chez l'homme, du
faisceau
longitudinal pos- Lorieur ; ce centre occupe Le
nlin l'écorce des lobes frontaux. Ces voies empruntent le trajet du
faisceau
10ngiLudi- nal supérieur. Elles vont il toutes
en parlant de la face externe de l'écorce de la région occipitale (
faisceau
longitudinal inférieur). Les voies commissu- ra
us optique explique, par le détail du chiasma, de la répartition du
faisceau
maculairr, des faisceaux de Gratiolet, ainsi qu
le détail du chiasma, de la répartition du faisceau maculairr, des
faisceaux
de Gratiolet, ainsi que par le trajet des voies
fondément dans la substance blanche ((if]. 4.) portant atteinte aux
faisceaux
sagit- taux (Tap. Rtli. Fli.) dès leur appariti
la partie médiane du lobe occipi- tal doit léser en même temps les
faisceaux
de la vision. Cela a pu être constaté dans les
res surtout. : 1° Fibres parlant en éventail du bord de c. g. e. Un
faisceau
plus serré à concavité médiane se dirige vers l
lissement de la région calca- rinc nous constatons que : z 1. Les
faisceaux
sagittaux ont également été lésés di- rectement
fet également des travaux de notre maître que la partie dorsale des
faisceaux
sagittaux du lobe occi- pital relie axant tout
cunéus, le lobe lin- gual et 02. D'après lI. de 1\Ionakow aussi, le
faisceau
qui unit la sphère corticale visuelle aux centr
nérescences secondaires et l'anatomie comparée montrent donc que le
faisceau
longitudinal in- férieur est avant tout un fais
ent donc que le faisceau longitudinal in- férieur est avant tout un
faisceau
d'association qui relie le lobe occipital et en
e 33) et de Sachs. Flechsig au contraire est d'avis que Fli. est un
faisceau
de projection reliant le Thalamus opt. il la zo
dillé- rents plans, arrive à conclure : I. Que Fli. est en partie
faisceau
d'association et en par- tie de projection. Sa
iatrie, Vol. 37. Vom fasciculus long. inf.). d'après laquelle Fli.,
faisceau
de projection, partant avant tout de c. g. e.,
mportant, le ramollis- sement a lésé directement et profondément le
faisceau
sagittal Fli. Nous émettons l'avis que la loc
cences secondaires dépend sans doute plus des lésions directes des
faisceaux
que de l'étendue du foyer cortical. Ceci s'appl
d du pédoncule une dégénérescence des- cendante située en dedans du
faisceau
pyramidal proprement dit, tout àfait indemne ;
s nerfs crâniens moteurs, et que ceux-ci sont situés en dedans du
faisceau
pyramidal proprement dit dans le pédoncule cérébr
ne) de la calotte de Meynerl ; ces fibres tendraient ensuite par le
faisceau
longitudinal postérieur, à gagner le cordon ant
ijumeau partent des libres qui s'appliquent à la face antérieure du
faisceau
longitudinal posté- rieur et paraissent passer
toit, noyau intrat¡'igc ! ¡1Ú¡wl, Ell bien ! les fibres qui \ont au
faisceau
longitudinal postérieur contiennent-elles celle
oyau (frontal) spinal du frijumeau donne naissance à un analogue du
faisceau
latéro-cérébelleux. P. KERAVAL. 234 REVUE d'.
UES. LU. Observation de dégénérescence ascendante des fi- bres du
faisceau
pyramidal ; contribution à l'interpré- tation d
v. 11, 1901, n° 14.) On constate une dégénérescence descendante des
faisceaux
py- ramidaux, tant dans les cordons latéraux qu
s. En outre, au-dessus de la lésion, tout le territoire des mêmes
faisceaux
contient une quantité anormale de grosses molles
. Bien que le nombre de ces fibres dégénérées soif assez faible, le
faisceau
pyramidal tranche du fait (le leur présence sur
ransverse non dégénérée. Il y a lieu de croire que le territoire du
faisceau
pyramidal con- tient un nombre modéré de fibres
la branche auriculaire du troi- sième nerf cervical, tandis que les
faisceaux
musculaires en ques- tion reçoivent la branche
et organe à l'appareil du Bois-Heymond, avec ou sans l'intégrité du
faisceau
pyramidal : en ce dernier cas, celui-ci est cur
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 293 sion de l'action du
faisceau
pyramidal, montre également l'élé- vation infim
eur. La cause doit en être cherchée dans la lésion d'une partie des
faisceaux
céré- belleux. Les dégénérescences sont nombreu
don latéral de la moelle cervicale. Ce territoire correspondrait au
faisceau
marginal all- térieur de Loewenthal, qui reçoit
rine-Mayor, c'est le groupe antero-interne. P. Keraval. LXV1. Du
faisceau
X à la région cervicale la plus infé- rieure de
- tre/. XXI. 1902.) 1 L'auteur revendique la paternité d'un petit
faisceau
décrit par lui dans le Brain en D01, p. 222, qu
faisceau décrit par lui dans le Brain en D01, p. 222, qu'il a nommé
faisceau
X. Il occupe les 7° et 8e segments cervicaux et
continue pas dans la moelle dorsale. Situé en avant et en dehors du
faisceau
pyramidal croisé, il en est séparé par un certa
s endogènes Iines,-I1. Les libres endogènes grosses forment : a. un
faisceau
dans la zone cornu-commissu- rale ; h. le trian
angle médio-sacré ou triangle de GomhaulL et Phi- lippe. Ce dernier
faisceau
est l'extrémité inférieure d'un faisceau descen
et Phi- lippe. Ce dernier faisceau est l'extrémité inférieure d'un
faisceau
descendant médio-périphérique dont le trajet su
-périphérique dont le trajet supérieur forme à la région dorsale le
faisceau
de Hoche. - Il ! . Le triangle médian est entiè
est entièrement distinct du centre ovale de Fleschsig, qui est un
faisceau
radiculaires IV. Les fibres endogènes fines sont
s lésions porLantsur les cordons latéraux, les cordons de Goll, les
faisceaux
cérébelleux directs qui constituent les sclé- r
cérébral de un centimètre et demi. Il se trouvait sur le trajet du
faisceau
des radiations opti- ques. Le pus de l'abcès co
<y.C<';t- tralblatt, XXII, 1903.) ,. Le trajet ascendant du
faisceau
pyramidal de la vesperugo noctula est celui qu'
essous du facial on ne trouve plusrien qui puisse être tenu ppur le
faisceau
pyramidal. Sans doute les coupes inférieures du b
avant, mais il est im- possible de décider s'il s'agit de libres du
faisceau
pyramidal. C'est un entrelacement qui se prolon
yer localisé à la base de la corne postérieure droite détruisant le
faisceau
pyramidal au-dessous de la racine C7. Hémiplégi
e médecine. Confé- rence de médecine légale psychiatrique, 256.
Faisceau
antéro-latéral. Le - TABLE DES MATIÈRES. - 501
pouy, 331. Psychothérapie. Voir Ergothé- rapie. Pyramides. Voir
Faisceau
anti- rolatéral. Pyridine. Action de la sur l
iplégies avec contracture tardive, il existe une dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux et qu'à la place de ces fais- ceaux,
ndant, d'où le phénomène de contracture. Que la dégéné- rescence du
faisceau
pyramidal existe et joue un grand rôle dans le ph
ns retenir c'est la découverte de cette lésion (dégénéres- cence du
faisceau
pyramidal) et celle idée physiologique que pour q
ices des cornes anté- rieures soient excilées. La dégénérescence du
faisceau
pyramidal a une grande importance dans le phéno
llules cérébrales, d'où parlent ces fibres, soient lésées ou que le
faisceau
soit interrompu dans son trajet et l'organisme
compagnent de contracture, on voit une lésion de dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux. On a cru un moment que le phénomène
nt les cas de paraplégie spasmodique sans lésions dégénératives des
faisceaux
pyramidaux de Babinski, Sc1mlt ? e, Fraenkel, P
erod, Bowlby, Sano, Se7ator, etc., etc. Donc la dégénérescence du
faisceau
pyramidal n'est pas la cause de la contracture.
grande majorité des cas de contracture on trouve cette lé- sion du
faisceau
pyramidal ; croit-on qu'on puisse contester son i
u que la contracture, quoique coïncidant avec une dégénérescence du
faisceau
pyramidal,n'est pas la conséquence de celle-ci,
ut à la dégé- nérescence secondaire ou à la sclérose descendante du
faisceau
pyramidal. Mais d'après Charcot, cette contract
'est pas, si l'on peut s'exprimer ainsi, fonction de la sclérose du
faisceau
, pyramidal. La contracture est un symptôme cont
ontingent et non pas un symptôme nécessaire de la dégénérescence du
faisceau
pyramidal. Dans la règle il est toujours présen
t et Vulpian poussent plus loin la question et reconnaissent que le
faisceau
pyramidal contient aussi des fibres inhibitrices,
e (1). « N'y aurait-il pas lieu de se demander plutôt si le rôle du
faisceau
pyramidal ne serait pas un rôle d'arrêt analogu
ine motrice toujours sous pression, toujours apte à fonctionner. Le
faisceau
pyramidal aurait pour mission de servir de frei
rrdre temporairement cette action inhibitrice dans les fibres de ce
faisceau
qui correspondent aux centres de la substance g
e d'une façon permanente, par suite de la destruction des fibres du
faisceau
pyramidal, la machine privée de son frein fonctio
ire est une véritable machine motrice sous pression, l'autre que le
faisceau
pyramidal joue le rôle d'inhibiteur, rôle qui lui
lpian ; il ne croit pas à une excitation par le tissu conjonctif du
faisceau
pyramidal dégénéré ; pour M. Marie le centre mé
ntracture tardive on constate à l'autop- sie une dégénérescence des
faisceaux
PY1 anidaicx. Passons maintenant à l'étude des
mouvements associés chez des personnes non atteintes de lésions du
faisceau
pyramidal, était la preuve la plus évidente que
e de l'irritation du tissu conjonctif qui suit la dégénérescence du
faisceau
pyramidal, ou simplement de celle-ci. D'où, d'a
contracture. Journ. de neurologie, 1897. xxi 3 ' 34 N01CA le
faisceau
en virgule de Schultze et une voie diffuse à trav
ones du téléencéphale qui sont les cellules d'origine des fibres du
faisceau
pyramidal, et abandonnées aux stimulations des
e tissu conjonctif de cicatrice qui remplaçait la dégénérescence du
faisceau
pyramidal et qui irritait les cellules médullai
arginal, en entamant un peu la circonvolution limbique et aussi les
faisceaux
les plus élevés de la partie convexe du corps c
é supéro-antérieure du noyau caudé ; il atteint au passage quelques
faisceaux
du segment antérieur de la capsule interne. B
ig. 10. 5 5 LONG se répartissent moins régulièrement. En avant du
faisceau
de Turck dont le volume normal fait contraste a
es et, au-dessous de l'entrecroisement inférieur du bulbe, les deux
faisceaux
pyramidaux croisés restent asymétriques. (Le FP
l de la figure A (gr. : 1 io D) grosses fibres ondulées enserrant les
faisceaux
nerveux dont la myéline a disparu. SYNDROME DE
e interne de larges travées scléreu- ses, qui s'insinuent entre les
faisceaux
de fibres nerveuses, qu'elles morcellent et éto
dans la partie postéro-laté2 raie droite de la préparation que les
faisceaux
de fibres, cerclés de sclérose,' Fis. 4. Symphy
n'ont plus de gaines myéliniques, tandis qu'en avant et à gauche les
faisceaux
sont normaux. En examinant le détail des fais
t à gauche les faisceaux sont normaux. En examinant le détail des
faisceaux
pris dans la sclérose, on voit que quel- ques f
cornu-commissurale, extrémité inférieure du centre oval de Fleschsig,
faisceau
de Hoche, triangle de Aubenet et Philippe. Su
interfibrillaires et les cellules rondes. Auprès de la méninge des
faisceaux
de fibres sont complètement détruits par la scl
méningite du sang épanché à la face interne de la dure-mère, et des
faisceaux
nerveux sclé- rosés, serrés dans le syphilome,
. Le 12e segment dorsal, au Pal, montre la décoloration complète du
faisceau
postérieur droit, sauf une mince bande de subst
aire, au Marchi, montre trois systèmes de dégénéres- cence dans les
faisceaux
postérieurs droit et gauche et dans le faisceau a
es- cence dans les faisceaux postérieurs droit et gauche et dans le
faisceau
antéro- latéral gauche (PI. XXIII). La dégéné
z Enfin l'aire de granulations noires dans la moitié postérieure du
faisceau
latéral gauche représente la dégénération desce
u faisceau latéral gauche représente la dégénération descendante du
faisceau
pyramidal croisé en rapport avec le foyer de ra
l'hémisphère droit. Au Van Gieson, on voit une sclérose massive du
faisceau
postérieur droit. A l'hématoxyline-éosine, la c
extrémité supérieure de la ménin- gite scléreuse engainant quelques
faisceaux
des racines postérieures de la 4° paire lombair
ostéro-interne du cordon de Burdach et tout le cordon de Goll sauf le
faisceau
de Hoche continué en avant par la zone cornu-co
trée dans la corne. La dégénérescence existe aussi à gauche dans le
faisceau
pyramidal croisé formant un petit triangle touc
la moitié antérieure du sillon médian postérieur, correspondant au
faisceau
de Hoche (1) (PI. XXIII). (1) Hoche, Ueber Verl
ersistance de la zone cornu-commissurale et extension en arrière du
faisceau
de Hoche qui devient le triangle de Gombault et P
ombault et Philippe. Ainsi ces régions, zone marginale de Westphal,
faisceau
de Hoche et trian- gle de Gambault et Philippe,
rmédiaire de la bande allongée le long du sillon médian postérieur (
faisceau
de Hoche), la continuité du fais- ceau médian d
établissent une fois de plus l'unité systématique de ces formations :
faisceau
médian du centre ovale de Flechsig,faisceau de
que de ces formations : faisceau médian du centre ovale de Flechsig,
faisceau
de Hoche et triangle de Gombault et Philippe.
dessin net de la zone marginale de Westphal, cornu-commissurale, du
faisceau
médian du centre ovale de Fleschsig (3) (faisceau
-commissurale, du faisceau médian du centre ovale de Fleschsig (3) (
faisceau
de Ho- che) (4) dans la moelle lombaire et du t
ssurale à me- sure que l'on descend dans la moelle sacrée et que le
faisceau
de Hoche d'abord, le triangle de Gombault et Ph
des cordons postérieurs. Les grosses libres de la substance grise (
faisceaux
verticaux de la corne postérieure de Ki1- liker
est figuré par une lésion. Ceci s'explique facilement. L'aire d'un
faisceau
est éta- blie soit par sa dégénérescence au mil
aisceau est éta- blie soit par sa dégénérescence au milieu d'autres
faisceaux
sains, soit par son intégrité au milieu d'une l
moelle lombo-sacrée, son aire se modifiant aux dépens de celles du
faisceau
de Hoche et du triangle de Gombault et Philippe
Hoche et du triangle de Gombault et Philippe. Enfin l'absence du
faisceau
de Hoche au-dessus de VI montre que l'ana- tomi
e, mais au 2° type de Nageotte qui a eu le mérite d'affirmer que le
faisceau
ascendant à fibres longues, dit faisceau de Hoche
e mérite d'affirmer que le faisceau ascendant à fibres longues, dit
faisceau
de Hoche, n'a pas tou- jours la disposition auj
ifférence se rend surtout évidente entre 138 G. CATOLA la zone du
faisceau
pyramidal croisé et la partie plus antérieure du
les cornes postérieures qui se montrent parcourues par de nombreux
faisceaux
des fibres nerveuses teintes en noir, entrelacées
ieurs étaient plus accentuées dans la moelle cervicale ; celles des
faisceaux
pyramidaux,au niveau de la moelle lombaire supé
ièrement accusée dans les cor- dons postérienrs et ensuite dans les
faisceaux
pyramidaux latéraux et dans le faisceau de Flec
rienrs et ensuite dans les faisceaux pyramidaux latéraux et dans le
faisceau
de Flechsig. Ils considérèrent ces lésions centra
et les racines postérieures, mais d'autres systèmes, et surtout le
faisceau
pyramidal et le faisceau de Flechsig, prenaient
res, mais d'autres systèmes, et surtout le faisceau pyramidal et le
faisceau
de Flechsig, prenaient parfois part au même pro-
'exsudat. Ils sont toujours disposés à la surface des fibres et des
faisceaux
conjonctifs sous-arachnoïdiens. Ils sont accumu
tion dans le fonctionnement du système pyra- midal » : aussi, si le
faisceau
pyramidal est dégénéré, le réflexe en ex- tensi
u côté malade, l'ordre mo- teur redescend du cerveau par la voie du
faisceau
pyramidal dégénéré : l'orteil se redresse. Si o
même manoeuvre du côté sain, l'influx moteur redescend le long d'un
faisceau
pyramidal qui n'est pas en état de « perturbati
a se fléchir mainte- nant, car l'influx moteur n'a pas passé par le
faisceau
pyramidal dégé- néré. Cette transmission, à tra
eure de la moelle, de l'ordre de flexion descendu du cerveau par le
faisceau
pyramidal soi- disant sain, s'explique par l'ex
s'explique par l'excitabilité exagérée, chez les hémiplégiques, du
faisceau
pyramidal situé du côté opposé à la paralysie : c
remier abord, peuvent s'expli- quer assez facilement selon nous. Le
faisceau
pyramidal correspondant au membre inférieur gau
é paralysé, et l'absence de mouvement du pied du côté sain. L'autre
faisceau
pyramidal au contraire est peu lésé, mais sa «
de l'orteil (nous savons combien légère est parfois l'altération du
faisceau
pyramidal qui suffit pour provoquer ce réflexe)
l'on puisse avancer que l'exagération légère de l'excitabilité d'un
faisceau
pyramidal provoque le réflexe plantaire control
clinique ; que l'exagération plus marquée de l'ex- citabilité de ce
faisceau
provoque le réflexe plantaire controlatéral d'ex-
olatéral d'ex- tension (rare) ; que la dégénérescence profonde d'un
faisceau
pyramidal s'oppose à la production de tout réfl
raux permettrait donc de dire quel est le degré d'al- tération d'un
faisceau
pyramidal. I. ÉTUDE D'UNE COLONNE VERTÉBRALE
fiés ; la plupart présentaient seulement une ossification de leurs
faisceaux
supérieurs et inférieurs, de beaucoup les plus
beaucoup les plus forts, qui se rendaient aux corps vertébraux, le
faisceau
moyen, qui se rend au disque, était respecté. L
out cela pénètre jusqu'à proximité du ventricule, s'infiltre dans les
faisceaux
sagittaux du lobe occipital et augmente rapidem
la plus frontale du corps calleux, dont il n'existe plus ici qu'un
faisceau
de fibres basales. Déjà a la hauteur de la comm
culaires dilatés occupent bientôt toute la surface de la coupe. Les
faisceaux
sagittaux sont mal dessinés. Avec la pointe du
du lobe temporal. Destruction de l'apport de Co. a. et de celui des
faisceaux
passant par l'insula. On remarque que la loca
toutes de nature biologique. Il y a donc lieu de réunir en un seul
faisceau
toutes les pro- ductions névrosiques actuelleme
lement les saillies de la partie supérieure du grand pectoral et du
faisceau
claviculaire du deltoïde ; latéra- lement l'acr
ique de moyenne intensité. Il y a dans les méninges molles de longs
faisceaux
fibreux abondants, colorés en (1) Nous remercio
e et Llhu. Dans le tabès avec cécité, il subsiste toujours un petit
faisceau
intact dans les bandelettes optiques, alors mêm
lors même qu'il n'y a plus dans les nerfs aucune fibre nerveuse. Ce
faisceau
résiduaire ne représente ni la commissure deMeyne
ique basai de Meynert. Il se-prolonge parfois sous forme d'un petit
faisceau
dans la partie supéro-externe du chiasma. Par
elle (artérite ou gomme) atteignant les noyaux 111 et IV coupant le
faisceau
facial au-dessus de son entrecroise- ment. h. B
efois complète. En outre, la lésion atteint, généralement, pour les
faisceaux
de la même racine, des degrés très variables pa
rvicale inférieure, légère décoloration de la moitié postérieure du
faisceau
de Goll, qui dans le 2°-3° est envahie en dedan
r- ciformes s'accompagne fréquemment d'autres anomalies du bulbe (
faisceau
de Pick, olives accessoires surnuméraires, etc.)
nt péri- phérie latérale de ce cordon, suivant toute probabilité le
faisceau
de GoN%ei-s. 6. Deux neurones président à la co
ute lésion du cordon latéral y compris sa périphérie latérale où le
faisceau
de Gowers en- gendre constamment une thermo-ana
ne lésion de la substance blanche ou du cordon latéral y compris le
faisceau
de 126 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
te par une lésion de la périphérie latérale du cordon latéral ou du
faisceau
de Go- wers est environ à six' ou sept vertèbre
d'une hémiplégie ou d'une hémiparaplégie possibles, affirmer que le
faisceau
latéral des pyramides n'a pas été sectionné, qu
ionnelle des éléments inlra-ner- veux (tissu conjonctif, vaisseaux,
faisceaux
nerveux) et celle delà réaction inflammatoire é
gnes indique bien qu'il y a lésion des méninges rachidiennes ou des
faisceaux
pyramidaux. Chez les 10 femmes présentant le si
s, se sépare déjà très nettement sur la fin de son parcours en deux
faisceaux
de fibres, fais- ceau antérieur et faisceau pos
e son parcours en deux faisceaux de fibres, fais- ceau antérieur et
faisceau
postérieur, simplement accolés et bien distinct
bien distincts sur la dernière portion du trajet radiculaire. Les
faisceaux
postérieurs de C , CVI, CVII, par leur fusion,
on, constituent le tronc radio-circonflexe qui vient renforcer le
faisceau
postérieur émané du tronc commun de CVIII, et Di.
le faisceau postérieur émané du tronc commun de CVIII, et Di. Les
faisceaux
antérieurs de Cv , Cn, Vif, forment par leurfu-
lo-cutané (dit racine externe du tronc) que vient renforcer un gros
faisceau
UN CAS D'HYSTÉRIE SIMULANT LA SCLÉROSE EN PLAQU
d'autre mérite, a du moins celui de réunir et de grouper en un seul
faisceau
toutes les anomalies et aberrations des sensati
stituées. Il ne peut y avoir de conscience du corps en l'absence de
faisceaux
moteurs, car notre conception toute schématique
l'étude du mécanisme des mouvements volontaires et des fonctions du
faisceau
pyramidal. (Sv",aiue médicale, 7 oclobre 1903,
niques ou cérébrales est imputé par les auteurs à des lésions du
faisceau
pyramidal. Tout en considérant cette interpréta
dû, comme on pourrait le sup- poser, à des troubles secondaires du
faisceau
pyramidal, puisque ce même faisceau conduit nor
, à des troubles secondaires du faisceau pyramidal, puisque ce même
faisceau
conduit normalement les mou- vements commandés
el, suite d'une lésion organique du cerveau, la lésion elle-même du
faisceau
pyramidal, qu'il fau- drait rapporter le phénom
de l3altinski : tltl>nr : al au cours d'une lésion organique du
faisceau
pyramidal, il n'est pas dû à la lésion même, ni
ionnelle des antagonistes des orteils. Aussi la lésion organique du
faisceau
pyramidal n'est pas indispen- sable, pas même n
e considéré comme l'expression immédiate d'une lésion matérielle du
faisceau
pyrami- dal, mais qu'il résulte d'un trouble fo
ceau pyrami- dal, mais qu'il résulte d'un trouble fonctionnel de ce
faisceau
. » (I\RIXESCO, ibidem, p. 120. Revue Neurologiq
ver, moins nets il est vrai, dans des cas de troubles organiques du
faisceau
pyra- midal. L'organe central, le seul qui nous
que les centres et les voies des mouvements volontaires, cortex et
faisceau
pyramidal, sont, à celte époque, et seu- lement
durée relativement longue de son existence, le sujet n'ayant pas de
faisceau
pyramidal qui implique une absencedecor- tex, c
tle bulbe et la protubérance de l'anencéphale, on note l'absence de
faisceau
pyramidal. Il en est d'ail- leurs ainsi jusqu'a
u bas de la moelle, mais, dans la région cervicale, tous les autres
faisceaux
existent et en outre les faisceaux sensitifs, l
ion cervicale, tous les autres faisceaux existent et en outre les
faisceaux
sensitifs, le faisceau fondamental antérieur et
s autres faisceaux existent et en outre les faisceaux sensitifs, le
faisceau
fondamental antérieur et les fibres courtes d'a
es fibres courtes d'associations motrices et sensitives. Le rôle du
faisceau
fondamental antérieur doit être rappelé ici, ca
rappelé ici, car il apparaît comme très important en l'absence du
faisceau
pyramidal dont l'activité physiologique voile,
les impressions qui semblent reçues par les nerfs rachidiens.De ce
faisceau
naissent dans la moelle des fibres en relation
ce faisceau naissent dans la moelle des fibres en relation avec les
faisceaux
posté- rieurs. Il envoie aussi des collatérales
l'oculo-moteur com- mun (2). D'autre part Spitzka a démontré que ce
faisceau
a beaucoup de fibres descendantes.Il met en rel
es chiens nouveau-nés, est très affirmatif sur le rôle moteur de ce
faisceau
.. « On sait, dit-il, d'une façon certaine que l
ion ventrale des cordons latéraux, c'est- à-dire, en somme, dans le
faisceau
fondamental (4) ». La moelle est donc suffisamm
ui sont en état d'intégrité physiologi- que. Chez l'anencéphale, ce
faisceau
n'existait que dans la partie inférieure de la
z le monstre de M. Vurpas. Si dans son bulbe on ne rencontre pas de
faisceaux
moteurs, les fibres sensitives y sont bien cons
es grêles. Caractères histologiqucs semblables : dégénérescence des
faisceaux
cérébelleux direct et de Gov ers, des cordons de
andiqueVroite,etle 1111ll'chi pratiqué sur la portion supérieure du
faisceau
pyramidal de la moelle ne révèlent aucune lésion.
E d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. qu'à l'extrémité. Les
faisceaux
musculaires sont constitués de libres plus ou m
ns latémllE; Zone de dégénérafion correspondant au territoire, du
faisceau
pyramidal croisé, c). Cordons postérieurs : Quelq
cordon de (;011 ni dr la portion la plus et la plus po-lérieure du
faisceau
de La dégénération allailjusf[u'à la commissure
ue bande périphérique correspondant dans sa parti" pus- térieure au
faisceau
, cérébelleuxilirecf et dans sa partie antérieure
ure au faisceau, cérébelleuxilirecf et dans sa partie antérieure au
faisceau
de (.owcr·. l. ( : .taatcn. XXXVHt. Rôle des
sement cortical in- téressant le pli courbe gauche, destruction des
faisceaux
blancs nus-jacnl : (faisceau longitudinal supér
le pli courbe gauche, destruction des faisceaux blancs nus-jacnl : (
faisceau
longitudinal supérieur, faisceau occipital vert
des faisceaux blancs nus-jacnl : (faisceau longitudinal supérieur,
faisceau
occipital vertical le \\-cruicl : e.) Il exis
du segment 1)5,' on retrouve, nettement et fortement, dégénérés, le
faisceau
pyrami- dal croisé, qui est séparé de la périph
paré de la périphérie par une mince bande de libres conservées : le
faisceau
de '1·url : ,sous forme d'une bande située le l
n antéro-latéral. une dégénération difluse, moins forte que dans le
faisceau
pyramidal croisé et le faisceau Uo '1·url : . '
difluse, moins forte que dans le faisceau pyramidal croisé et le
faisceau
Uo '1·url : . 'r r '1" ·.. , .1 Dans les cordon
du segment D 10, elle n'est plus visible. - La dégénération dans le
faisceau
pyramidal croisé. qui en descen- dant s'approch
a moitié postérieure du cordon latéral. ... La dégénération dans le
faisceau
de Turk est toujours de moins en moins évidente
niveau du segment D '2, il existe une dégénérescence nette dans le
faisceau
de Goll, dans le f. cérébelleux direct el dans
belleux direct el dans le f. de GO\\ ers. La dégénérescence dans le
faisceau
de Goll s'étend de la périphérie il la commissu
riphérie il la commissure postérieure ; il existe toutefois dans le
faisceau
de Goll une légère bande adjacente, au tiers po
nservées. Faiblement dégénérée aussi, apparaît la moitié interne du
faisceau
de ! 1lI1'dach adjacente au septum paramfdian.
; au niveau du segment C 8, elle est circonscripte précisément au
faisceau
de Goll qu'elle occupe entièrement de la périphér
s segments C 5, G 4, elle est réduite aux deux tiers postérieurs du
faisceau
de Goll. qui est envahi en dedans du septum par
ns antéro-postérieure presclne seulement la moitié postérieure du
faisceau
lIe' (i011, sons la forme d'un triangle acheva) s
riangle acheva) sur le sopLumpostérieur,la, dégénérescence dans les
faisceaux
cérébelleux directe et de Gowers se continue à
mbaire. Au-dessus, les dégénérescences typiques ascendantes dans le
faisceau
de Goll, dans le faisceau cérébelleux direct et
énérescences typiques ascendantes dans le faisceau de Goll, dans le
faisceau
cérébelleux direct et dans le faisceau de Go,ve
le faisceau de Goll, dans le faisceau cérébelleux direct et dans le
faisceau
de Go,vers. La dégéliéi,itiou diffuse des cordo
les cou- pus précédentes : cofnpictumcnf respecté est toutefois un
faisceau
de la moelle s'étend jusqu'à l'union des deux t
wrcle Liera antériuur llu sepLum.1u nivcau tlt ermunls L` ? -LI, le
faisceau
central conservé reprend une forme à peu près tri
lfuse, qui dans la région dorsale supé- rieure semble se limiter au
faisceau
de Goll. Mais le Marchi ayant été négatif, les
veau du 3- segment cervical, légère décoloration presque limitée au
faisceau
du Goll. - ' . Les cellules radiculaires au-des
lilruses'; elles prédominent, surtout dans le segment L ,i, dans le
faisceau
pyramidal croisé ; dans les cordons postérieurs
ée des cordons postérieurs tend tou- jours d'avantage se limiterait
faisceau
de Goll : les cordons antéro-laléraux sont de p
U, <III 1'1'11'UII\e Sl'u ! t'llll'nt l'aihll'lIll'ntdé("néré le
faisceau
de Goll : au niveau du segment C8,la ZOlll' de
triangle donllahase périphérique correspond aux '2/3 internes du
faisceau
de (;011 'el dont le sommet, antérieur et médian,
lérieurs en largeur. Dans la région dorsale supérieure, c'est le
faisceau
de Goll qui parait licitement, bien que discrètem
ilité mentale. Lésion cérébelleuse probablement limitée ;t certains
faisceaux
. ' Syndrome de l3asedoxv chez une goitreuse.
- culaires, absence de douleurs objectives, aspect des lésions. 1
Faisceau
longitudinal inférieur. M. ARCHAMBAUT. Ce faisc
des lésions. 1 Faisceau longitudinal inférieur. M. ARCHAMBAUT. Ce
faisceau
qui ne dégénère pas à la suite de lésions impor
a que le stroma-nucléaire était plus pauvre en. 4919G nécrologie.
faisceaux
du côté malade que du côté sain ; les cellules ga
ue. Voir Obsédé. Facultés mentales. Voir 8111,- tème nerveux. -
Faisceau
longitudinal info- rienr, Pat' \rcliambault, p,
u pourtour exté- rieur du corps strié et de la couche optique. e,
faisceau
convergent de cette membrane, dans . les oiseau
de trans- versale pour la communication des deux labyrinthes.-p. l.
faisceau
de jonction du labyrinthe avec la couverture du
athique.-7r,. G. nerfs latéraux.-c. d. leurs cordons dorsaux.-f. s.
faisceau
stomacal dugraud sym- pathique.-f. 0. -faisceau
dons dorsaux.-f. s. faisceau stomacal dugraud sym- pathique.-f. 0. -
faisceau
pour l'ovaire. c. i. grand canal qui règne sous l
- 7 ? 7..éminences maxillaires. p e. pédoncules du cerveau. s. petits
faisceaux
de filaments médullaires nés de la face interne
gane montrant la structure des olives et delà protubérance.a ? , y.
faisceaux
du cordon inférieur de la moelle, qui se croisent
deux figures précédentes. Fig. ! i. Mêmes organes chez le veau.-x,
faisceau
de jonction des tubercules quadri- jumeaux avec
-jumeaux, vus en- dessus chez l'homme. j. glande pinéale. + Petit
faisceau
médullaire formant une espèce de commissure aux t
rième ventricule ; c'est la ter- minaison des replis supérieurs des
faisceaux
gris de la moelle qui ont formé latéra- lement
formé latéra- lement les tubercules cendrés.-o. lame de réunion des
faisceaux
gris. Fig. 6. Coupe transversale de la protubér
upe du même organe un peu au-devant du milieu de sa longueur.-c. p.
faisceau
de fibres médullaires de l'étage inférieur, qui s
te au-dessus de l'origine de la cinquième paire dans le boeuf.p. a.
faisceaux
des pyramides, passant entre les fibres de l'étag
avant ou en haut, et en arrière ou en bas avec la jonction des deux
faisceaux
cendrés de la moelle épinière. Fig. il. (Elle e
de la queue de la moelle allongée à l'origine des pyramides. c. g.
faisceaux
gris latéraux de la moelle avec leur lame de ré
d'un veau, vu en-dessous. e. lige de la glande pituitaire. - ¡ : a.
faisceaux
des cordons antérieurs de la moelle épinière. ? S
ar la face inférieure. il. lobe olfactif; il. son pédoncule; a'. le
faisceau
externe de ce pédoncule; it". son faisceau in-
il. son pédoncule; a'. le faisceau externe de ce pédoncule; it". son
faisceau
in- terne; 11 ? faisceau moyen du pédoncule ; /
faisceau externe de ce pédoncule; it". son faisceau in- terne; 11 ?
faisceau
moyen du pédoncule ; / continuation du faisceau i
eau in- terne; 11 ? faisceau moyen du pédoncule ; / continuation du
faisceau
intérieur avcc les fibres du bord antérieur du
cc les fibres du bord antérieur du corps calleux ; g. continuation du
faisceau
moyen dans la commissure antérieure. Extrait
liaison pour les canaux vasculaires eux-mêmes, qu'elles réunissent en
faisceaux
, et organes de séparation de ces canaux avec les
t, multiples pour les tendons et les muscles, dont elles séparent les
faisceaux
et les fibres. 4° Les tissus propres organiques
s'insèrent au pourtour des articulations et donnent implantation aux
faisceaux
musculaires tenseurs des aponévroses. L'autre pla
eaux el des nerfs composent une succession de cylindres réunissant en
faisceaux
les canaux vasculaires ctu'ils isolent des partie
qui offrent autant de dédoublemens successifs que ces organes ont de
faisceaux
et de fibres. La texture intime de toutes les m
es vaisseaux, aqueducs des fluides, constituent, parleur réunion, les
faisceaux
renfermés dans les gaines vasculaires. Par eux-mê
les mou-vcmens de dilatation ou de resserrement de chacun d'eux. Les
faisceaux
vasculaires, pour les troncs principaux, se compo
muscle lui-même; le sillon aponévrotique intermédiaire entre les deux
faisceaux
, et qui prend le nom de gouttière lombaire, joue
de tumeurs de diverses natures ou au travers des foyers purulens, des
faisceaux
vasculaires isolés des tissus malades, et qui n'o
sions, dans la profondeur de tous les organes. Pour la continuité des
faisceaux
vasculaires, il a fallu des trous et des canaux d
sseaux à [extérieur. Envisagés comme cylindres, par leurs parois, les
faisceaux
vasculaires se transforment en agens conducteurs
es acceptant au passage à mesure qu'ils forment avec ces derniers des
faisceaux
vasculaires communs. D'un autre côté, la circulat
et à la veine cave inférieure, préludent à l'organisation commune aux
faisceaux
vas- T. VI. culaires, en dehors des grandes c
ette gaine elle-même, revêtue par l'aponévrose d'enveloppe, isole les
faisceaux
vasculaires de la cavité viscérale, en les rattac
un petit entonnoir membraneux, fixé circulaircmentsur l'enveloppe du
faisceau
spermatique, dont il achève de fermer l'orifice.
seaux tégunien-taires et des canaux lymphatiques de communication, le
faisceau
vasculaire fémoral n'aurait pas été suffisamment
ogent les groupes musculaires, sont réunis à l'ensemble chacun par un
faisceau
vasculaire commun, à double courant, artère, vein
s organiques. A la naissance des deux membres, au tronc, chacun des
faisceaux
vasculaires communs est enveloppé d'une gaine don
u-dessous d'eux. Dans les deux premières fractions des membres, les
faisceaux
vasculaires sont renfermés dans le sillon interne
ines, les plaies etles maladies des vaisseaux. C'est le long du grand
faisceau
vasculaire commun, considéré extérieurement comme
nctions ; ces agens communs sont les vaisseaux et les nerfs logés par
faisceaux
d'un petit volume dans les polyèdres celluleux ou
ose n'est autre que lepéricrâne, tendon membraneux, qui unit les deux
faisceaux
de l'occipito-frontal. 4° Vaisseaux sanguins. Les
très prononcées chez les vieillards, et produites par la saillie des
faisceaux
du peaucier. 2° Couche cellulo-grais-seuse. Assez
e ou quatrième à la huitième. Le plan costal, complété par les petits
faisceaux
aponévrotiques des muscles intermédiaires, est do
adipeux. 3° Couche musculaire. Elle est formée seulement par les deux
faisceaux
supérieurs des muscles sterno-pubiens, engaînés d
t dont les bords, unis fortement à ce dernier, sont formés par quatre
faisceaux
entrecroisés. La grande résistance de l'anneau om
llet moyen très résistant de l'aponévrose du transverse, fixé par des
faisceaux
convergens au sommet des apophyses transverses lo
eure du sacro-spinal, et, dans la gouttière sacro-vertébrale, le gros
faisceau
d'origine du transversaire épineux ou le muscle s
Les troncs principaux sont l'artère et la veine axillaires formant un
faisceau
commun avec les nerfs du plexus brachial ; l'artè
l'aponévrose brachiale postérieure qui revêt les gros vaisseaux et le
faisceau
scapulaire du triceps. 4° Vaisseaux et Nerfs. Les
re, est, en chirurgie, le plus important des muscles de la cuisse. Le
faisceau
vasculaire fémoral, dont la direction est sensibl
simples ou réunis en cordonnet cylindrique ou en ruban, et accolés en
faisceau
avec de la poix ou de la cire, et on les enduit d
aumatiques au travers de masses charnues, il est assez commun que des
faisceaux
de fibres viennent faire issue à travers la divis
isseau sanguin, Ambroise Paré saisissait avec un bec à corbin tout le
faisceau
vasculaire, artère, veines et nerfs, plus ou moin
une anse qui étranglait en commun toutes les parties situées entre le
faisceau
vasculaire et les tégumens. Desault a opéré une r
près du nœud, on rassemble les fils simples de chaque ligature en un
faisceau
qued'on fixe à l'angle déclive de la plaie, vers
temps ou en un seul étant réservée pour les cas extrêmes où les deux
faisceaux
musculaires participent à la rétraction. M. Gué
évateur propre de la lèvre supérieure, au-dessous duquel se dégage le
faisceau
vasculaire, entre ce muscle et l'attache supérieu
milieu et sur le diamètre vertical de l'aire du trou se rencontre le
faisceau
composé du nerf, de l'artère et de la veine denta
d'entrée du canal dentaire inférieur. Derrière le disque se trouve le
faisceau
des vaisseaux dentaires, artère, veine et nerf. I
e et la pharyngienne supérieure; enfin plus profondément, derrière le
faisceau
des muscles styliens, la veine jugulaire interne
e, l'isoler et placer la ligature. Recherche et mise à découvert du
faisceau
vasculaire. i° Rechercher, d'après les données
chirurgien se trouve égaré au travers des tissus, et ne trouve pas le
faisceau
vasculaire, au lieu de fouiller au hasard dans la
d'une fausse route dans laquelle on s'est engagé. 6° Parvenu sur le
faisceau
vasculaire, on le reconnaît à sa couleur d'un jau
, veines et nerfs, qui le composent. Isolement de l'artère. i° Le
faisceau
vasculaire reconnu et mis à découvert, faire écar
rte qu'un mouvement accidentel inconsidéré ne puisse faire blesser le
faisceau
vasculaire. La gaîne ouverte, sans lâcher le pli
ale ; guidé par le tendon en dedans, reconnaître en dehors le premier
faisceau
du pédieux et inciser à plat son feuillet de revê
longé à son côté externe par le nerf tibial postérieur, l'ensemble du
faisceau
vasculaire est dirigé de haut en bas, avec une lé
malléolaire et le bord interne du tendon d'Achille. En profondeur le
faisceau
vasculaire est recouvert par la peau, l'aponévros
d'Achille étant, dans l'adulte, d'environ quatre centimètres, dont le
faisceau
vasculaire occupe sensiblement le milieu. C'est d
urs et que l'on incise avec précaution comme il est dit plus haut. Le
faisceau
vasculaire s'offre côtoyé, en dedans, par les tro
l a été dit plus haut, pour ne pas risquer de léser les vaisseaux. Le
faisceau
vasculaire étant mis à découvert, côtoyé en dehor
tion de l'incision, objet essentiel, donne la certitude de trouver le
faisceau
vasculaire dans la plaie, et prévient toute erreu
he des vaisseaux. Mais cette dernière manœuvre est très difficile; le
faisceau
vasculaire se trouvant situé très profondément so
ent, sur la sonde cannelée, l'aponévrose profonde intermusculaire. Le
faisceau
vasculaire mis à nu dans toute la longueur de la
postérieure, qui s'enfonce en haut dans le creux du jarret. Ainsi le
faisceau
vasculaire poplité traverse verticalement la losa
plitée. A deux centimètres plus profondément en haut, on tombe sur le
faisceau
vasculaire principal; la veine étant postérieure
en dehors de l'angle interne et postérieur du tibia , se rencontre le
faisceau
vasculaire, la veine en dedans et recouvrant pour
gs muscles fléchisseurs clans le relâchement, aller à la recherche du
faisceau
vasculaire, dontla profondeur, terme moyen, est d
urier, qui la recouvre dans sa moitié intermédiaire : de sorte que le
faisceau
vasculaire, à son quart supérieur, est placé en d
ue du tissu jaune rend extensible; tandis qu'à son quart inférieur le
faisceau
, appliqué profondément sur le fémur, est placé en
du vaste interne au tendon du grand adducteur, au fond duquel est le
faisceau
vasculaire fémoral partie au -dessus et partie da
même au point de vue anatomique, et c'est la différence de rapport du
faisceau
vasculaire avec le couturier dans cette région qu
l'Anatomie topographique (planche 7): si l'on étudie les rapports du
faisceau
vasculaiie fémoral avec le couturier, on voit que
e, le muscle coupant la face antérieure de la cuisse en diagonale, le
faisceau
vasculaire plus profond et presque vertical crois
travers ou peut-être mieux en diagonale suivant le plan vertical. Le
faisceau
vasculaire mis à découvert dans la plaie, se cond
ver avec le doigt le bord du couturier, le refouler en dehors, et, le
faisceau
vasculaire mis à nu, l'artère antérieure, la vein
ure de la cuisse (espace sous-aponé-vrotique). Procédé deScarpa. Le
faisceau
vasculaire à cette hauteur traverse verticalement
tronc de la veine-saphène placé à un centimètre en dedans de l'axe du
faisceau
vasculaire profond; diviser ensuite l'aponévrose
mme précédemment. 4° Ligature à l'arcade fémorale (pl. i\q '.) Le
faisceau
vasculaire, à l'arcade fémorale et jusqu'à quatre
n doit l'isoler, l'écarter un peu en dehors; au-dessous de lui est le
faisceau
vasculaire, l'artère supérieure et plus profonde,
de la sonde cannelée les veinules et les filamens du nerf radial; le
faisceau
vasculaire mis à découvert au-dessus du premier e
s en dedans et parallèlement au tendon long supinateur se présente le
faisceau
vasculaire, l'artère entre ses deux veines, et pl
en dehors le bord interne du long supinatcur et parvient ainsi sur le
faisceau
vaseul aire. B. M. Marjolin déprime la peau, de
des supinateurs et des pronateurs, au fond se présente le t. vi.
faisceau
vasculaire, l'artère entre ses deux veines, et, p
nelée l'aponévrose superficielle à laquelle s'implante ce muscle : le
faisceau
vasculaire étant mis à nu, isoler, avec le bec de
lime, en dedans celui du cubital antérieur : au fond du sillon est le
faisceau
vasculaire; diviser la capsule, dénuder l'artère
t, le précepte est de dénuder, soulever et écarter en dehors le grand
faisceau
du fléchisseur sublime, qui s'attache à l'épitroc
et de l'avant-bras sur le bras. Mais chez les hommes très musclés le
faisceau
du sublime s'étend beaucoup trop en dedans pour p
le rond pronatcur relâché, on tombe exactement sur le bord externe du
faisceau
humerai du sublime où l'artère cubitale se présen
t lui est externe en haut, antérieur au milieu, et interne en bas. Le
faisceau
vasculaire, profond d'environ un centimètre et de
rs se présente l'aponévrose d'enveloppe, fortifiée en ce point par le
faisceau
d'expansion du tendon du biceps et appelée aponév
deux temps, vers l'un et l'autre angle de la plaie. Alors apparaît le
faisceau
vasculaire profond ; en premier plan le nerf médi
le nerf médian et l'artère sensible à ses battemens. La direction du
faisceau
vasculaire est suivant une ligne verticale niais
veine en dedans. Suivant la longueur de la plaie, se présente a nu le
faisceau
des vaisseaux et des nerfs. Abaisser alors un peu
biant, très lâche, permet le déplacement des vaisseaux en arrière. Le
faisceau
vasculaire se trouvant au milieu de la plaie, c'e
gle compris entre le petit pectoral et le sous-clavier se présente le
faisceau
vasculaire et nerveux dans l'ordre qui suit : en
très vague: enfin, pour peu que la disposition des divers cordons du
faisceau
vasculaire et nerveux n'ait pas été reconnue de p
n à deux centimètres , en dehors du bord antérieur du trapèze, sur le
faisceau
claviculaire du sterno-cléido-mastoïdien. Dans ce
ulaires supérieurs, en haut les vaisseaux cervico - transverses et le
faisceau
inférieur du seapulo-hyoïdien , puis faire soulev
un centimètre au-dessus. Diviser , après le peaucier , la portion du
faisceau
claviculaire du sterno-cléido-mastoïdien saillant
point de ralliement : cette glande repoussée en haut, reconnaître le
faisceau
musculaire du digastrique et du stylo-hyoïdien so
ans, puis isoler et écarter en arrière la veine jugulaire externe. Le
faisceau
formé par le ventre postérieur du digastrique et
lulaire en écartant les ganglions lymphatiques. On tombe alors sur le
faisceau
vasculaire : en premier plan le nerf hypoglosse,
d'aller chercher l'artère à la partie inférieure clu cou, derrière le
faisceau
sternal du muscle sterno-mastoïdien. La tête étan
ètres à partir de la clavicule clans le sillon intermédiaire aux deux
faisceaux
du sterno-mastoïdien. La peau, l'aponévrose et le
ose et le peaucier étant divisés, inciser avec lenteur entre les deux
faisceaux
musculaires , puis incliner la tête vers le côté
rter les fibres avec lenteur et précaution : rejeter de côté les deux
faisceaux
, en avant le faisceau sternal, en arrière le fais
nteur et précaution : rejeter de côté les deux faisceaux, en avant le
faisceau
sternal, en arrière le faisceau claviculairc, et
côté les deux faisceaux, en avant le faisceau sternal, en arrière le
faisceau
claviculairc, et les faire maintenir dans cette p
position par des crochets mousses ; derrière le muscle se présente le
faisceau
vasculaire : d'abord la veine jugulaire interne,
ui reproche sur le vivant la difficulté de maintenir écartés les deux
faisceaux
musculaires; mais on pourrait y obvier, si besoin
usculaires; mais on pourrait y obvier, si besoin était, en coupant le
faisceau
sternal sur la sonde cannelée. Procédé de M, Ke
simple incision le long du tendon sternal clu sterno-mastoïdien etdu
faisceau
qui lui lait suite ; mais comme les vaisseaux se
bligation, que nous avons signalée plus haut, de couper en travers le
faisceau
sternal. Le reste n'offre aucune difficulté. Pr
ouvent les vaisseaux : mais la plaie n'en est pas moins bridée par le
faisceau
sternal du sterno-mastoïdien, que M. Key a été cl
sterno-mastoïdien. La peau et le peaucier étant divisés , dénuder le
faisceau
sternal du steiiio-mastoïdien, glisser dessous la
o-mastoïdien, glisser dessous la sonde cannelée, couper en travers ce
faisceau
et les deux tiers environ clu faisceau claviculai
cannelée, couper en travers ce faisceau et les deux tiers environ clu
faisceau
claviculaire, puis renverser le muscle en haut et
nerveux parallèle et antérieur à l'artère. Au dehors de la gaîne, le
faisceau
vasculaire est enveloppé par les nombreux chapele
ns le sillon celluleux le mouvement imprimé pour aller reconnaître le
faisceau
vas-culaire, et en particulier l'artère à ses bat
ndis que l'angle externe est abaissé par des crochets mousses , et le
faisceau
vasculaire se trouvant ainsi à découvert, ouvrir
le pouce et l'indicateur de la main droite jusqu'à pouvoir saisir le
faisceau
vasculaire entre le pouce et l'incli- cateur. S
les ligatures d'artères, écarter les espaces inter-organiques ou les
faisceaux
musculaires et s'y frayer un trajet suffisant en
rcu-lairement à sa base jusque sur le pédicule formé par le principal
faisceau
vasculaire de nutrition, en faire la section et p
rtie de peau intacte qui occupe le dos du poignet et protège ainsi le
faisceau
des tendons extenseurs. — Troisième temps. Extirp
beaux écartés, divisé les ligamens acromio-clavicu-laires et quelques
faisceaux
d'origine du deltoïde et du trapèze, j'ai pu, à l
qui embrassera une masse charnue antérieure composée par la peau, le
faisceau
des tendons des muscles extenseurs et court péron
tendon rotulien, la capsule, les ligamens latéraux, et en arrière les
faisceaux
des muscles jumeaux avec les vaisseaux et les ner
e la peau. 2. Section de l'aponévrose dorsale du pied. 3. Premier
faisceau
du muscle pédieux, écarté en dehors. 4. Tendon
stoïdien, coupé en travers dans son attache sterno-claviculaire. 4.
Faisceau
des muscles sterno-hyoïdien et sterno-thyroïdien,
le le lambeau cutané triangulaire. Un crochet (a) écarte en dehors un
faisceau
de parties molles comprenant : l'aponévrose, la v
e du triceps brachial. B. Bord supérieur de la plaie formé par le
faisceau
interne coupé du triceps brachial. C. Bord in
de trois quarts par son côté interne. (a) . Lambeau cutané. (b) .
Faisceau
des tendons antérieurs, extenseurs des orteils et
bier antérieur, renfermant les vaisseaux et nerfs tibiaux. ( c ).
Faisceau
postérieur. Il renferme les tendons et les muscle
s artères radiale, cubitale et interosseuse antérieure, rassemblés en
faisceau
vers la partie inférieure de la plaie. La figure
te de l'os , un aide a saisi entre le pouce et les doigts opposans le
faisceau
vasculaire dans l'épaisseur des chairs, et le chi
postérieurs et surtout de leur partie externe (zones radiculaires,
faisceaux
de Bur- ' Voy. t. XI, p. 156 et 380.. ". .. 2
ntractures) veut dire lésions des cordons laté- raux et surtout des
faisceaux
pyramidaux. , Cette dernière proposition n'est
taxie locomotrice dans lesquels la lésion atteint non seulement les
faisceaux
de Bur- dach, mais aussi les faisceaux cérébell
on atteint non seulement les faisceaux de Bur- dach, mais aussi les
faisceaux
cérébelleux, qui, quoique dans les cordons laté
thétique etplus générale en disant : Dans une lésion combinée des
faisceaux
pyramidaux et postérieurs, les phénomènes spast
moelle. llIéningo-périencéphalit0. Dégénérescence secon- daire des
faisceaux
pyramidaux dans les cordons anléro-latéraw et d
and ce der- nier organe est intact, il y a lieu de supposer que les
faisceaux
temporo-occipitaux mentionnés sont indemnes. Un
temporo-occipitaux mentionnés sont indemnes. Une autre partie des
faisceaux
temporo-occipitaux inférieurs gagne, suivant tout
rapport intime. - 2° Le ruban de Reil inférieur (Forel) possède des
faisceaux
dont un premier se relie aux lacis de substance
ses et inférieures de l'S de l'étage supérieur; un troisième enfin (
faisceau
aberrant du cordon latéral) se dirige dans les pa
bstance grise de la moelle épinière. La plus grande somme des trois
faisceaux
pro- vient sans aucun doute du tubercule bijume
u- tions pariétales d'après Monakow), conservant, par rapport aux
faisceaux
pyramidaux, la situation dorso-latérale, jusqu'à
u côté opposé, ainsi que dans le segment médian du noyau opposé des
faisceaux
de Burdach et s'unissent aux cellules nerveuses
Parmi les prolongements indirects de ces racines, on voit : 1° des
faisceaux
qui joignent le ganglion acoustique au noyau in
'entrecroisement des noyaux du toit du quatrième ventricule; 3° des
faisceaux
qui, par- tis du noyau interne, dépassent le ra
nt avec le noyau commun au facial et à l'auditif ; ainsi qu'avec le
faisceau
longitudinal postérieur (faisceaux arqués); 4°
et à l'auditif ; ainsi qu'avec le faisceau longitudinal postérieur (
faisceaux
arqués); 4° des fibres arci- formes allant du n
au interne de l'acoustique du mêmecôté lui apporte un contingent de
faisceaux
bien dessinés. P. K. IV. QUELQUES remarques SUR
ique, pas plus qu'avec le REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 105
faisceau
solitaire ou avec la formation réticulaire : mais
és du raphé, qui occupe presque toute l'étendue com- posée entre le
faisceau
longitudinal postérieur et le ruban de Reil. 1.
ibres de la moelle. De la substance blanche spinale il n'y a que le
faisceau
radiculaire du cordon antérieur et ce qui reste
t aux olives supérieures (fibres issues de la partie postérieure du
faisceau
radiculaire' du cordon latéral), au noyau centr
u cordon latéral), au noyau central de Roller (fibres du reste du
faisceau
radiculaire du cordon latéral et du faisceau radi
er (fibres du reste du faisceau radiculaire du cordon latéral et du
faisceau
radiculaire du cordon antérieur), au noyau réti
e du cordon antérieur), au noyau réticulaire (les deux espèces de
faisceaux
radiculaires mais surtout celui du cordon antérie
ais surtout celui du cordon antérieur), au noyau central supérieur (
faisceau
radiculaire du cordon anté- rolatéral). Le syst
décrivant une courbe à convexité antérieure, jusqu'à la région des
faisceaux
longitudinaux postérieurs ; elles se per- dent
aux fibreux avec le réel noyau de l'oculo-moteur commun, avec les
faisceaux
longitudinaux postérieurs, eux-mêmes traversés pa
moteur oculaire commun. Au-dessus de la commissure postérieure, les
faisceaux
lon- gitudinaux postérieurs, réduits à de rarés
ention sur le noyau réticu- laire tegmenti pontis de Flechsig ; les
faisceaux
raphéiques sont chargés de transmettre aux nerf
les olives ;des olives part de chaque côté un trousseau compact de
faisceaux
(voie centrale de la calotte de l'auteur) qui,
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 109 restiforme contient au moins deux
faisceaux
séparés. L'un se garnit de myéline de très bonn
it du quatrième ventricule (lobe central du cervelet); tel est le
faisceau
spinal qui ne s'entrecroise jamais. Le faisceau
rvelet); tel est le faisceau spinal qui ne s'entrecroise jamais. Le
faisceau
le plus précoce du faisceau cérébral placé en d
spinal qui ne s'entrecroise jamais. Le faisceau le plus précoce du
faisceau
cérébral placé en dehors et avant du faisceau s
le plus précoce du faisceau cérébral placé en dehors et avant du
faisceau
spinal, monte entre les petites cellules sus-ment
la méthode de de Gudden 2. L'ablation du lobe pariétal droit et des
faisceaux
blancs de la couronne rayonnante qui se rattach
dégénérescence est sur le chemin des al- térations descendantes du
faisceau
pyramidal dans le cordon latéral au niveau du s
es les cellules qui nous occupent, est épaissie. Par conséquent, le
faisceau
py- ramidal fournit des fibres aux cellules des
généres- cence s'étendait dans l'espèce jusqu'au noyau opposé des
faisceaux
grêles; seulement, les altérations primitives éta
hez les chats mutilés, la destruction atteignait-elle le' noyau des
faisceaux
de Burdach. Chez les animaux en expé- rience, o
rieures est consécutive à une altération organique du cerveau et du
faisceau
pyramidal, tandis que, dans le second cas, les
s sont les suivants, à l'examen microscopique. Dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux croisés dans toute la hauteur de la
yramidaux croisés dans toute la hauteur de la moelle. Intégrité des
faisceaux
cérébelleux et des cordons latéraux limitant le
grité des faisceaux cérébelleux et des cordons latéraux limitant le
faisceau
pyramidal. Absence complète de toute altération
ure et la lésion de la substance grise serait due à la sclérose des
faisceaux
et cornes posté- rieures. Dans le tableau cli
sibilité et avec une dégénérescence presque complète des cordons et
faisceaux
postérieurs et la perle du sens musculaire avec
e bilatérale périphérique, par excitation névritique ascendante des
faisceaux
pyramidaux. Ce diagnostic est vivement critiqué
trifuges spéciaux qui veillent à la conductibilité coor- dinatrice (
faisceaux
coordinateurs). Quant à la théorie par trouble
rne du corps strié gauche et descendant dans la capsule interne; le
faisceau
pyramidal du cordon latéral droit présente la d
accompagne alors de l'altération des cordons de Goll et bientôt des
faisceaux
cunéiformes. Il y a donc eu, dans l'espèce, deu
érations connues sur toute la hauteur de l'or- gane ; intégrité des
faisceaux
blancs, quoique le cordon latéral droit paraiss
lroncs radiculaires, pour se disposer à entrer dans la moelle; les
faisceaux
ainsi produits, composés exclusivement de fibres
t la fibre nerveuse dont elle tuerait d'abord la myéline dans les
faisceaux
de T3mdacli. Il se sert dans ses recherches de la
Ccnt1'aLlil. f. Nervenheilk., 188.) Sous-litre : Dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux dans tout le il ll ? I1'l el de du c
bres appartenant aux pédoncules cérébelleux moyens, des olives, des
faisceaux
pyramidaux; destruction des fibres du faisceau
ns, des olives, des faisceaux pyramidaux; destruction des fibres du
faisceau
longitudinal postérieur sur une grande étendue
dans la partie postérieure de la capsule interne gauche et dans le
faisceau
pyramidal du même côté, à travers la protubéran
ent étendue inférieure- ment, puis elle avait monté, avait gagné le
faisceau
respiratoire de Krause qui s'étend jusque dans
Des nerfs optiques, des bandelettes optiques, des rapports de leurs
faisceaux
entrecroisés ou non et de leurs fibres optiques
e Neurologie, t. XI, p. 96. 400 SOCIÉTÉS SAVANTES. Pour isoler le
faisceau
non entrecroisé on fait pénétrer à travers la s
éparations et planches sont présentées au Congrès. La situation des
faisceaux
entrecroisés ou non est dans la bandelette optiqu
de la coupe transverse du nerf optique émer- geant du chiasma, ces
faisceaux
se séparent peu à peu dans le trajet du nerf en
es respectives. I.e rapport de masse de chacune des deux espèces de
faisceaux
est sur une coupe transverse, comme (fais- ceau
r une coupe transverse, comme (fais- ceau non entrecroisé) est à 3 (
faisceau
entrecroisé). L'oie ne pos- sède pas de faiscea
recroisé) est à 3 (faisceau entrecroisé). L'oie ne pos- sède pas de
faisceau
croisé. A Eisenach 2, de Gudden a prouvé l'exis
paisses présentent le même rapport de volume en ce qui concerne les
faisceaux
croisés ou non que les fibres minces. M. GIIASH
ostérieurs et de la moitié dorsale des cordons latéraux surtout des
faisceaux
latéraux qui se rendent au cervelet ; les cordo
che, comme le montreront les dévelop- pements ultérieurs, à tout un
faisceau
de problèmes soulevés par l'idée fixe, nous a e
ie, mars 1899.) E. B. VI. Les contractures et la portion spinale du
faisceau
pyramidal; par le professeur Grasset. - De to
e sont en rapport constant avec la lésion de la partie spi- nale du
faisceau
pyramidal. Les preuves démonstratives de cette
les contractures (et l'état spasmodique) d'une part et la lésion du
faisceau
pyramidal, de l'autre, par quel mécanisme la lé
yramidal, de l'autre, par quel mécanisme la lésion ou l'absence des
faisceaux
pyramidaux entraine-t-elle la contracture perma
se double et antagoniste : une action inhibitrice qui passe par les
faisceaux
pyramidaux (Anton., P. Marie) et une action exc
n inhibitrice (des- truction pathologique ou absence congénitale du
faisceau
pyra- midal) avec conservation de l'action exci
lle que quand la lésion atteint la partie sous-protubérantielles du
faisceau
pyramidal ? Pour résoudre cette difficulté, il
bien liée à l'alté- ration où à l'absence de la portion spinale du
faisceau
pyrami- dal ; cette altération déterminant la c
i part de la protubérance et vient aux cellules radiculaires par le
faisceau
pyramidal. (Revue neuro- logique, février 1899.
bercule. Il existait, dans la moelle, de la sclérose descendante du
faisceau
pyramidal. Les poumons et le foie présentaient
qui fait habi- tuellement défaut en pareil cas, et la sclérose des
faisceaux
pyra- midaux ; peut-être faut-il aussi lui attr
l'ent à gauche de ce qu'il est il droite : cependant la masse des
faisceaux
musculaires est moins épaisse à gauche, la dé-
e l'inégal développement des muscles de l'épaule. Le deltoïde a des
faisceaux
plus courts 'du côté gauche, et de ce côté le f
toïde a des faisceaux plus courts 'du côté gauche, et de ce côté le
faisceau
antérieur est plus fort tandis que les faisceaux
e, et de ce côté le faisceau antérieur est plus fort tandis que les
faisceaux
moyen et postérieur sont plus grêles. Le tricep
ptiques ; il est donc naturel de considérer comme appartenant à des
faisceaux
de cette nature les innombrables fibres myéliniqu
ue toute l'épaisseur de la substance grise. Cajal a vu un véritable
faisceau
de filaments axiles s'appliquer aux tiges proto
a bandelette de Reil et le trijumeau, d'une part, ou ayant gagné le
faisceau
pyramidal, d'autre part, ou faut-il admettre deux
au de Deiter), cérébelleuse (Thomas), protubérantielle (lésion du
faisceau
longitudinal postérieur), pédonculaire, capsulair
de de Hasch. Voici les conclusions de V... : 1° 11 existe un seul
faisceau
descendant droit spinal, lequel prend son origi
'olive; au niveau de la partie inférieure de l'olive inférieure, ce
faisceau
s'écarte de plus en plus en dehors, pour se log
suivre sur toute la hauteur de la moelle, où il occupe la place du
faisceau
marginal antérieur de Lo\venthal ; les fibres de
ace du faisceau marginal antérieur de Lo\venthal ; les fibres de ce
faisceau
se mettent en rapport avec les cornes antérieures
noyaux de la protubérance des deux côtés, en partie sous forme d'un
faisceau
vertical qui remonte le long du raphé et rejoin
ontre pas de fibres non entrecroisées ; 8° Par l'intermédiaire du
faisceau
longitudinal postérieur s'éta- blit la connexio
diaire des fibres se détachant du noyau « tecti globosi »; 10° Le «
faisceau
en crochet » sert à la connexion du cervelet av
elle aux centres encé- phaliques de perception, probablement par le
faisceau
latéral mixte. Mais la perception ne se faisant
au bulbe, sans doute à l'endroit de l'entrecroisement des fibres du
faisceau
latéral mixte ; là, par des fibres commissurale
du tissu conjonctif interfasciculaire et de la gaine lamelleuse des
faisceaux
nerveux par des streptocopes et des leucocytes; 2
ître, mais l'infiltration leucocytaire persistait dans la gaine des
faisceaux
nerveux, dans lestravées conjonctives intra et
e à une lésion des cellules motrices cérébrales ou tout au moins du
faisceau
pyramidal intra- cranien, les vertiges. Ces sym
diplégies infantiles. C'est la dégéuération primitive et isolée du
faisceau
pyramidal due à la naissance avant terme. C'est
affection d'origine médullaire, exclu- sivement due à l'absence de
faisceaux
pyramidaux dans la moelle épinière, à cause de
, fort intéressantes, sur le développement et le parachèvement du
faisceau
pyramidal : recherches qui complètent, tout en le
nts, les données publiées par Ilervouet en 1881. A la naissance, le
faisceau
pyramidal est très spécial par la finesse de se
es les formules pathologi- ques, qu'on peut rencontrer au niveau du
faisceau
pyramidal; il étudie successivement la simple d
use (Weigert, Pal, Nissl, Marchi, etc ). La con- clusion est que le
faisceau
pyramidal se trouve atteint de façon très varia
iables comme siège, comme intensité, comme extension. Souvent les
faisceaux
blancs de la moelle sont atteints en même temps
périphériques on ne trouve pas, dans la substance grise et dans les
faisceaux
blancs des cen- tres nerveux, de voie indispens
pyramidale, allant jusqu'à son atrophie à la suite des lésions du
faisceau
pyramidal dans la capsule interne, n'est qu'un ca
ves. Parmi celles-ci, les plus facilement atteintes, sont celles du
faisceau
de Gowers, que M. Van Gehuchten consi- dère com
thermo-anesthésie, permet de penser qu'il existe peut- être dans le
faisceau
de Gowers des fibres distinctes pour la trans-
transmission de la température. Après la compression des fibres du
faisceau
de Gowers, on voit la lésion médullaire amener
er la perte de la sensibilité musculaire (compression des fibres du
faisceau
cérébelleux ou des fibres des cordons postérieu
La sensibilité tactile (fibres des cordons postérieurs ou fibres du
faisceau
cérébelleux ? ) persiste le plus longtemps. Il
remarquer que, de toutes les fibres de la moelle, ce sont celles du
faisceau
cérébelleux et celles des cor- dons postérieurs
voir s'il y a des fibres cérébelleuses descendantes. Résumé. - I.
Faisceaux
qui à la suite de l'hémisection latérale de la
voir dans la plu- part des conducteurs de la moelle des oiseaux des
faisceaux
dans les deux sens. Mais c'est moins accusé dan
un cordon postérieur médian et un cordon postérieur latéral ; 2° le
faisceau
cérébelleux des cordons latéraux dégénère toujour
OGIQUES. 405 il se trouve cependant aussi parmi elles, un nombre de
faisceaux
originaires du cervelet qui méritent le nom de
rent en bas avec elles. Il est probable qu'il faut ranger parmi les
faisceaux
endogènes (intraspinaux) un long faisceau qui o
faut ranger parmi les faisceaux endogènes (intraspinaux) un long
faisceau
qui occupe les cordons antérieurs et ne peut être
ordons antérieurs et ne peut être suivi jusque dans le bulbe. II.
Faisceaux
qui après l'Ieémisectiott latérale de la moelle d
rent dans le cervelet. - Dans le cervelet ne se prolongent que les
faisceaux
de la moelle qui occupent la périphérie du cordon
ervelet ; grêle, il correspond probablement au segment antérieur du
faisceau
cérébelleux du cordon latéral (lî-(icizis céréb
aux, en partie également dans l'écorce inférieure du vermis. III.
Faisceaux
qui dégénèrent en descendant à la suite d'une lés
n descendant à la suite d'une lésion du cervelet. A côté des courts
faisceaux
qui dégénèrent du côté correspondant à l'opérat
ourts faisceaux qui dégénèrent du côté correspondant à l'opération (
faisceaux
d'association) et du côté opposé (faisceaux com
spondant à l'opération (faisceaux d'association) et du côté opposé (
faisceaux
commissuraux) et qui sont les faisceaux propre-
ciation) et du côté opposé (faisceaux commissuraux) et qui sont les
faisceaux
propre- ment dits du cervelet on constate la dé
propre- ment dits du cervelet on constate la dégérescence d'un long
faisceau
croisé. Une petite partie de ce faisceau rayonn
la dégérescence d'un long faisceau croisé. Une petite partie de ce
faisceau
rayonne dans la région de la zone acoustique d'
belleux inférieur, dans le bulbe et dans le cordon latéral. Ce long
faisceau
correspond au tractus céré6ellospiual, composé
céré6ellospiual, composé de fibres antérieures et posté- rieures du
faisceau
cérébelleux du cordon latéral. Les libres posté-
le segment cérébral du corps restiforme; les fibres antérieures (ou
faisceau
de Gowers) sont représentées par les fibres qui
st la dégénérescence en virgule de Schultze qui occupe le milieu du
faisceau
de Burdach. Celle-ci a déjà cessé au niveau de
nts sur une étendue de 2 centimètres. Dégénérescence ascendante des
faisceaux
de Goll, indistincte des faisceaux latéro-céréb
Dégénérescence ascendante des faisceaux de Goll, indistincte des
faisceaux
latéro-cérébelleux; dégénérescence descendante de
L'intérêt principal des dégénérescences ascendantes réside dans le
faisceau
de Gowers auquel s'attachent les noms de Patrick,
Bruns, Pa- trick, Hoche, de Soelder. Dans notre cas particulier, le
faisceau
412 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
parties postérieures du noyau antérieur de la couche optique, notre
faisceau
était presque seul conservé alors qu'il y avait
le malade ne s'expose plus au sulfure de carbone. P. K. XXIII. Le
faisceau
optique médian du pigeon; par A. WALLEXBERG. (N
térieur (Jelgersma). Mais, la preuve de l'origine des fibres de ce
faisceau
dans le gan- glion de l'isthme ? En détruisant
i puissent être certainement tenues pour dégénérées. Du chiasma, le
faisceau
optique médian gagne d'abord le bord externe du n
coupe du nerf optique, bien perpendiculaire à l'axe, montre que le
faisceau
en question est bien un groupe médian à faible ex
supérieur et un compartiment postérieur, externe, inférieur. Or, le
faisceau
optique médian se répand presque complètement d
comme par les branches d'une pince. Le territoire in- nervé par le
faisceau
optique médian commence donc bien en dehors de
papille, on ne constate que quelques dégénérescences éparses. Le
faisceau
optique médian vient donc de l'isthme et se termi
forment quelques rameaux se ras- semblant en bas et au milieu en un
faisceau
compact qui, en avant de l'angle externe de la
a substance grise des cavités centrales de l'isthme, s'incorpore au
faisceau
longitudinal latéral, et se dirige en bas ; par
épand. C'est le tractus isthinotectal. Les fibres originelles de ce
faisceau
dans la substance blanche profonde du lobe opti
ian qui représentent la branche efférente centri- fuge de l'arc. Le
faisceau
optique médian se terminant dans la rétine et d
des cellules motrices, un kyste hémorragique, la dégénérescence des
faisceaux
de Goll. P. IERA ? 1L. LVII. Observation de n
s a nui aux fibres subordonnées. D'où l'atrophie prédominante des
faisceaux
d'association supérieurs, des fibres arciformes,
lus tard et possèdent des fonctions exclusive- ment psychiques. Les
faisceaux
conducteurs et le système des libres du corps c
ard, 77. HxniBti' ! 0.\ ! < ! srE.Prese ! )tation()'un, 150.
Faisceau
optique. Le - médian du pigeon, par Wallenberg,
. Faisceau optique. Le - médian du pigeon, par Wallenberg, 424.
Faisceau
pyramidal. Les contrac- tures et la portion spi
rnes antérieures de la substance grise avec ou sans participation des
faisceaux
blancs : paralysie infantile spinale, para-lysie
degré d'amaigrissement. Il est vraisemblable qu'un certain nombre de
faisceaux
musculaires s'atrophient et disparaissent ; dans
do paralysie consécutive à lasec-tion des nerfs, outre l'atrophie des
faisceaux
primitifs qui se produit à la longue, M. Vulpian
x dusarcolemme. En même temps que ces altérations se développent, les
faisceaux
musculaires subis-sent une diminution très pronon
our la plupart, leur striation.La dégénération granulo-graisseuse des
faisceaux
musculaires se rencontre rarement en pareil cas e
loisons de tissu eonjonclif nouvellement formé, interposées entre les
faisceaux
musculaire? primitifs. Ces derniers ont subi une
hiées : sur d'autres elle est à peine distincte. Un certain nombre de
faisceaux
primitifs offrenl les caractères de l'altération
jour, les muscles déjà pâles, le tissu con-jonctif intermédiaire aux
faisceaux
primitifs manifestement hypertrophié, les faiscea
intermédiaire aux faisceaux primitifs manifestement hypertrophié, les
faisceaux
eux-mêmes diminués de volume, présentant une mult
, mais ayant conservé la striation transversale. Un bon nombre de ces
faisceaux
offraient l'aspect granuleux, mais les granula-ti
olog., t. II, p. 572, 1869). L'absence de dégénération graisseuse des
faisceaux
primitifs, l'atrophie de ces faisceaux avec persi
de dégénération graisseuse des faisceaux primitifs, l'atrophie de ces
faisceaux
avec persistance de la striation transversale et
longée, disparaissent et font place à du tissu conjonctif ondulé. Les
faisceaux
musculaires ne commencent à présenter d'alté- 1
emaine. A cette époque, on peut constater déjà que le diamètre de ces
faisceaux
s'est amoindri ; cette atrophie va rapidement en
les. Elles ont un caractère com-mun : toutes tendent à se limiter aux
faisceaux
de substance blanche, et si, parfois, l'axe gris
veau ou de la moelle épinière : qu'elle occupe exclusivement soit les
faisceaux
postérieurs, soif les faisceaux latéraux, ou, sim
qu'elle occupe exclusivement soit les faisceaux postérieurs, soif les
faisceaux
latéraux, ou, simultanément, ces deux ordres de f
ux cas d'atrophie musculaire avec lésion de la substance grise et des
faisceaux
antéro-laléraux de la moelle épinière. (Ar-chives
ituellement assignées, le processus irritatif ve-nait à s'étendre des
faisceaux
blancs aux cornes antérieures de la substance gri
ne antérieure de substance grise du côté droit en suivant la voie des
faisceaux
radi-culaires internes du côté correspondant. L'a
ère faiie dans le renflement lombaire — A, racines postérieures. — B,
faisceaux
radiculaires internes traversant l'aire des cordo
t la sclérose limitée dans les cordons postérieurs au parcours de ces
faisceaux
. A droite, le parcours phlegmasique s'est étendu
roite, le parcours phlegmasique s'est étendu en suivant le trajet des
faisceaux
radiculaires jusqu'à la corne antérieure droite.
ordons blancs, occuperait la partie de ces cordons que traversent les
faisceaux
de tubes nerveux d'oùémanent les racines antérieu
de tubes nerveux d'oùémanent les racines antérieures. Pour peu queces
faisceaux
prissent part à l'altération, il se produirait là
s masses musculaires s'accuse bientôt ; les lésions histologïques des
faisceaux
primitifs deviennent promptement appréciables. D'
nt la marque d'un processus irritatif. La dégénération graisseuse des
faisceaux
primitifs est là, encore, un fait exceptionnel. Q
pas encore fourni l'oc-casion de constater la lésion histologique des
faisceaux
primitifs et l'atrophie des masses musculaires qu
re, l'extension, observée dans certains cas, du processus-morbide aux
faisceaux
antéro-laté-raux dans le voisinage immédiat des c
mitifsavec conservation de la striation en travers, et, sur quel-ques
faisceaux
isolés, les marques d'une prolifération plus ou m
rare que les troubles trophiques portent simultané-ment sur tous les
faisceaux
primitifs d'un muscle ; il en résulte que celui-c
raire, affectée que secondairement, con-sécutivement à une lésion des
faisceaux
blancs, par exemple, et pour ainsi dire d'une man
le bulbe comme dans la moelle épi-nière, les lésions irritatives des
faisceaux
blancs n'ont pas d'in-fluence directe sur la nutr
ouve intéressé. D'un autre côté, l'absence de toute participation des
faisceaux
blancs et des cornes posté-rieures de la substanc
tandis que les altérations irri-tatives, même les plus profondes, des
faisceaux
blancs, n'ont aucune influence directe sur la nut
abord, que la nutrition des muscles ne soit pas affectée lorsque les
faisceaux
blancs de la moelle sont occupés par l'inflammati
me la continuation directe de ceux qui, par leur réunion, forment les
faisceaux
blancs. Ces faisceaux paraissent presque entièrem
ecte de ceux qui, par leur réunion, forment les faisceaux blancs. Ces
faisceaux
paraissent presque entièrementcomposésde fibres q
pinal. 11 était à prévoir, d'aprèscela, que, à beaucoup d'égards, les
faisceaux
blancs de la moelle, sous l'influence des lésions
s tubes nerveux émanant des racines postérieures, qui, sous le nom de
faisceaux
radiculaires internes (masses fibreuses inter-nes
spinales. D'après cela, ce serait dans l'altération irritative des
faisceaux
postérieurs de la moelle épinière qu'il faudrait
ataxiques. Mais il est peu vraisembable que toutes les parties de ces
faisceaux
puissent à cet égard être mises en cause indistin
anormale ?I1 est certain que les fibres nerveuses qui constituent les
faisceaux
radiculaires internes ne sont pas toutes sensitiv
des affections vésiculeuses, pustuleuses ou enfin gangreneuses. Les
faisceaux
postérieurs sont-ils les seuls départements de-là
égard, un rôle prédominant, et ce rôle est partagé sans doute par les
faisceaux
blancs postérieurs, car nous savons que les irrit
rieurs, car nous savons que les irritations de certaines partiesdeces
faisceaux
ont pour effet de déterminer la production non se
ies centrales et postérieures de la subs-tance grise, soit encore les
faisceaux
blancs postérieurs. A ce point de vue particulier
ou pemphi-goïdes, du zona, en conséquence de lésions portant sur les
faisceaux
postérieurs de la moelle ou sur les racines spina
euses des cornes antérieures, seront transmises quelquefois jusqu'aux
faisceaux
musculaires, par la voie des filets nerveux qui t
dimension. De ces mailles, les plus larges réunissent, sous forme de
faisceaux
, huit, dix tubes nerveux, ou même un plus grand n
tes, des cellules nombreuses se retrouvent aussi dans les parties des
faisceaux
blancs où n'existent pas de tubes nerveux, dans l
démie des sciences, décembre 1873.) La névroglie se compose de petits
faisceaux
conjonctifs de 0""".001 à 0mm,002 de diamètre. «
issu conjonctif. Au-dessous et au-dessus de cette cellule, les petits
faisceaux
se poursuivent. Il ne me paraît pas dou-teux, ajo
est là un fait \rraiment fondamental — elles sont rem-placées par des
faisceaux
de longues et minces fibrilles, fort analogues à
ois de petits groupes dans les intervalles que laissent entre eux les
faisceaux
de fibrilles. Celles-ci, d'ailleurs, ont tout env
fait ressembler aux fibres élastiques, leur agence-ment sous forme de
faisceaux
légèrement ondulés et toujours parallèles. En dil
aisceaux légèrement ondulés et toujours parallèles. En dilacérant ces
faisceaux
, on reconnaît que les fibrilles qui les composent
es, ainsi altérées, on croirait \roir, sur le champ du microscope, un
faisceau
de tissu 1. Frey. — Handbuch der Histologie, et
trabécules du réticulum qui se sont épaissies, et plus tard, par les
faisceaux
fibrillaires qui tendent à envahir les alvéoles,
articularité frappante est, suivant M. Ranvier, le petit diamètre des
faisceaux
librillaires. (Note de la 2' édition.) SEPTIÈME
a dégénérescence graisseuse : la lésion avait envahi quelques-uns des
faisceaux
musculaires de la base de l'organe. — Chez une ma
cas, peuvent être, dans ces cas-là, rapportées à l'envahissement des
faisceaux
postérieurs de la moelle épinière dans une certai
ou spontanée l\i\)led se montre dans les circonstances variées, oùles
faisceaux
latéraux de la moelle épinière sont devenus, dans
lérose enplaques, toutes les fois que les foyers spinaux occupent les
faisceaux
latéraux dans une étendue de plusieurs cen-timètr
rnes antérieures de la substance grise avec ou sans participation des
faisceaux
blancs : paralysie infantile spinale, para-lysie
de 1'), 51. Expériences de MM. Erb, Ziemm-sen, O. Weiss, 53. F
Faisceaux
racliculaires internes, 79. — Irritation des— dan
celle des vaisseaux, ce n'est jamais un tronc qui se ramifie, mais un
faisceau
commun qui se divise en fascicules. Les fibres ca
ssion, aucun globule médullaire, tandis que les autres, réunies en un
faisceau
central, laissent s'é- chapper avee abondance l
du ver de terre, mais la structure en est la même ; ce sont, pour les
faisceaux
longitudinaux, des fibres longitudinales , et pou
ères, et, de plus, une matière globuleuse environnant ces fibres. Les
faisceaux
longitudinaux sont plus nombreux que dans les ani
s de chaque côté ; en tout six pour la moelle ventrale. Toutefois ces
faisceaux
quoique distincts ne sont pas séparés les uns des
au côté gauche. 2. Les fibres longitudinales sont disposées en deux
faisceaux
latéraux distincts l'un de l'autre, et ordinairem
dans la colonne épinière; il consiste, pour les poissons, en un long
faisceau
médullaire surmonté, à l'une de ses extrémités, d
ns et ceux des organes les plus importans à l'entretien de la vie. Le
faisceau
, c'est la moelle épinière; la réunion des lobes,
régnent le long de la moelle, et divisent ainsi cet organe en quatre
faisceaux
latéraux. Le défaut de profondeur de ces sillons
irconscrivent des parties bien distinctes les unes des autres, chaque
faisceau
étant réuni aux faisceaux voisins dans la plus gr
bien distinctes les unes des autres, chaque faisceau étant réuni aux
faisceaux
voisins dans la plus grande partie de son épaisse
ns dans la plus grande partie de son épaisseur, excepté toutefois les
faisceaux
spinaux médians qui sont simplement réunis par un
trant du dehors de la moelle dans le canal central de cet organe. Ces
faisceaux
spinaux médians existent dans tous les poissons,
anchiaux ou pneuino-gastri- (i) Op. cit. p, 140. ques. Les autres
faisceaux
n'existent pas aussi constamment, et M. Serres qu
t jusqu'auprès du sillon médian, les racines fulcrales étalées sur le
faisceau
médullaire, les racines spinales pénétrant direct
xante-quatre paires, tous, d'une grande ténuité, étaient réunis en un
faisceau
logé dans le canal rachidien (1). Le ietrodon que
êmes animaux. 7. La moelle épinière des poissons se compose de huit
faisceaux
, quatre de chaque côté. 8. Elle est creusée par
de tubes, l'un à droite et l'autre à gauche, appartenant à chacun des
faisceaux
latéraux de la moelle. Le diamètre de ces tubes e
-lune et chez la baudroie, ces filets également isolés sont réunis en
faisceaux
, et de même que pour les mollusques, il y a un né
nerveuse. Ce névri-lème manque chez les autres poissons, et alors le
faisceau
formant la moelle épinière est constitué, non plu
c M. Serres, que la moelle épinière des poissons se compose de quatre
faisceaux
fibreux dont la réunion forme un canal situé dans
rieur de cet organe. A l'extrémité céphalique de la moelle , les deux
faisceaux
spinaux supérieurs s'écartent les uns des autres
ement résulte le quatrième ventricule dont le fond est formée par les
faisceaux
fulcraux. Les faisceaux spinaux qui ne sont autre
me ventricule dont le fond est formée par les faisceaux fulcraux. Les
faisceaux
spinaux qui ne sont autre chose que les pyramides
anglions postérieurs de la moelle et dans le cervelet, tandis que les
faisceaux
fulcraux se prolongent directement en avant et
eure ou céphalique des fibres de la moelle épinière qui composent les
faisceaux
spinaux;les fibres des faisceaux fulcraux vont au
la moelle épinière qui composent les faisceaux spinaux;les fibres des
faisceaux
fulcraux vont aux lames optiques, aux tubercules
inférieurs. Commençons par ce qui concerne la lame optique : un gros
faisceau
se dirige en bas et en dehors de la lame optique,
delà de ce ganglion, on les retrouve suivant la même direction que le
faisceau
primitif et s'épanouissant en un large éventail d
rieur et externe , l'autre supérieur et interne , et y forment deux
faisceaux
qui se joignent tout-à-fait à la partie antérieur
elle épinière, car le nerf optique a un volume d'environ le double du
faisceau
qui émane de la moelle, de façon que le ganglion
la voûte à trois ou plutôt à quatre piliers. Après avoir fourni le
faisceau
qui va aux tubercules qua-drijumeaux et à la lame
nt antérieur de la moelle épinière s'avance et se divise en autant de
faisceaux
secondaires qu'il y a de ganglions ; ainsi un fai
en autant de faisceaux secondaires qu'il y a de ganglions ; ainsi un
faisceau
pour le ganglion inférieur, un autre pour le gang
ce ganglion olfactif est double. Dans chacun de ces gan glions, le
faisceau
fulcral se perd au milieu de la substance granulé
les ganglions, ¡I existe un point où se rendent les fibres de chaque
faisceau
fulcral, c'est de là que ces commissures prennent
s fibres nerveuses de la moelle épinière se continuent directement du
faisceau
fulcral de cette moelle dans les nerfs qui en éma
'intermédiaire d'un ganglion. 6. Il n'y a aucun entrecroisement des
faisceaux
médullaires, fulcraux ou spinaux, chez les poisso
ux ganglions cérébraux et aux ganglions olfactifs, vont se rendre les
faisceaux
fulcraux de la moelle. On voit les fibres du fais
se rendre les faisceaux fulcraux de la moelle. On voit les fibres du
faisceau
fulcral qui se rendent au lobe optique, se contin
d on a enlevé le cervelet et ouvert l'aqueduc de Sylvius, on voit les
faisceaux
de la moelle épinière se prolonger sous les gangl
s se confondre, ni passer d'un côté à l'autre : et, en travers de ces
faisceaux
, on voit de très nombreuses fibres médullaires, a
le épinière par un certain nombre de filets qui se réunissent en deux
faisceaux
principaux avant de sortir du crâne. » Je n'ai pu
céphale. 10. La moelle épinière des reptiles se compose de quatre
faisceaux
, deux de chaque côté; elle a un canal central rev
ité céphalique de la moelle épinière se termine dans l'encéphale. Les
faisceaux
spinaux de la moelle épinière, se portent en deho
ritables dilatations variqueuses; elles ne sont nulle part réunies en
faisceau
, elles forment au contraire, une lame très mince
lame très mince analogue à celle des lames optiques. La portion des
faisceaux
fulcraux qui va aux lames optiques , se porte un
end aux lobes cérébraux , elle se comporte d'une manière analogue aux
faisceaux
qui se rendent aux lames optiques et rencontrent
y a pas d'entrecroisement des fibres nerveuses de la moelle. 7. Les
faisceaux
fulcraux de la moelle épinière se rendent au cerv
ptique, où elles vont former le nerf optique et le corps calleux; les
faisceaux
spinaux se continuent dans le cervelet, et quelqu
es médullaires pénétrer dans l'organe, et s'y diviser à l'infini ; un
faisceau
de fibres dont les premiers anatomisles qui ont d
nterne du lobe, dans le bord supérieur duquel il se termine. Un autre
faisceau
blanc se remarque à la base du cerveau et sur les
ure comme chez les mammifères. La substance blanche est distribuée en
faisceaux
qui sont entourés de substance d'un gris rosé, da
olume qu'elle présente en cet endroit. Les autres fibres viennent des
faisceaux
spinaux de la moelle. La moelle allongée, placé
trième ventricule, dont le plancher montre, en relief, une partie des
faisceaux
fulcraux, l'aqueduc de Sylvius et les couches opt
t un renflement considérable de toute sa masse, et un écarte-ment des
faisceaux
spinaux, correspondant à la naissance (i) Le de
oir à découvert la partie supérieure de la portion correspondante des
faisceaux
fulcraux; les deux autres situés de chaque côté e
e ventricule, s'ouvre dans le lieu où se séparent l'un de l'autre les
faisceaux
spinaux, et se termine au coccyx. II ne faudrai
chidiens proviennent, les inférieures ou fulcrales, de la surface des
faisceaux
fulcraux ; les supérieures ou spinales, du sillon
disposition analogue à celle des corps pyramidaux des mammifères. Les
faisceaux
spinaux s'éloignent l'un de l'autre, et laissant
du quatrième ventricule, ils se rendent au cervelet. Une portion des
faisceaux
latéraux se rend également au cervelet, tandis qu
sé de substance grisâtre, dans laquelle pénètrent et se ramifient des
faisceaux
de substance blanche venant de la moelle allongée
. Au-delà des deux corps striés, le pédoncule cérébral sé paré en
faisceaux
fibreux, s'étale en rayonnant dans l'intérieur du
s quadrijumeaux, et sur sa partie interne et supérieure, l'on voit un
faisceau
de fibres blanches, qui se portent de la glande p
la couche optique se trouvent, dans l'épaisseur même de l'organe, des
faisceaux
fibreux bien décrits par Gall, mais qui avaient d
mais qui avaient déjà été indiqués par Sabatier (1) et Reil (2); ces
faisceaux
qui descendent en convergeant, viennent former le
s fibres du côté droit et celles du côté gauche, réunies en un double
faisceau
suivent une même direction; mais là, elles diverg
genouillé interne est en rapport avec le tubercule postérieur, par un
faisceau
que M. Cruveilhier appelle faisceau triangulaire
c le tubercule postérieur, par un faisceau que M. Cruveilhier appelle
faisceau
triangulaire latéral de l'isthme; et le corps g
transversales du cervelet, devenues très nombreuses, et le volume des
faisceaux
longitudinaux n'ayant pas augmenté dans la même p
uelques au teurs ont donné à la partie supérieure ou céphalique des
faisceaux
spinaux de la moelle. Ce sont deux saillies perpe
e qui régnent le long du sillon spinal, et sont plus blanches que les
faisceaux
de fibres environnantes. Eminences transverses.
eures de la moelle épinière se rendent vers le cerveau et forment les
faisceaux
inférieurs de la moelle allongée, ainsi que les p
s cérébrales; l'association des idées se fait par l'intermédiaire des
faisceaux
qui unissent les circonvolutions entre elles; le
ofonde de ce muscle. Recouvert qu'il est, en grande partie, par les
faisceaux
posté- 1G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
is et fibreux. . DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 37 Le
faisceau
pyramidal croisé, surtout du côté droit, le faisc
ABÉTIQUE 37 Le faisceau pyramidal croisé, surtout du côté droit, le
faisceau
latéral profond, le faisceau de Gowers et même
idal croisé, surtout du côté droit, le faisceau latéral profond, le
faisceau
de Gowers et même un peu le faisceau intermédiair
e faisceau latéral profond, le faisceau de Gowers et même un peu le
faisceau
intermédiaire présentent des altérations analog
l qui entoure les capillaires est plus abondant que d'habitude. Les
faisceaux
de Burdach, le faisceau cérébelleux direct, le fa
ires est plus abondant que d'habitude. Les faisceaux de Burdach, le
faisceau
cérébelleux direct, le faisceau fondamental, le
itude. Les faisceaux de Burdach, le faisceau cérébelleux direct, le
faisceau
fondamental, le faisceau pyramidal direct, les
urdach, le faisceau cérébelleux direct, le faisceau fondamental, le
faisceau
pyramidal direct, les cornes antérieures et posté
e long du septum médian un espace linéaire moins scléreux. Dans les
faisceaux
de Burdach existe, surtout à droite, une autre ba
térieure sur la- quelle va s'insérer son extrémité antérieure. Le
faisceau
pyramidal, le faisceau latéral profond, le faisce
le va s'insérer son extrémité antérieure. Le faisceau pyramidal, le
faisceau
latéral profond, le faisceau de Gowers ainsi qu
antérieure. Le faisceau pyramidal, le faisceau latéral profond, le
faisceau
de Gowers ainsi que le faisceau intermédiaire s
al, le faisceau latéral profond, le faisceau de Gowers ainsi que le
faisceau
intermédiaire sont sclérosés comme dans la coupe
ent se terminer en pointe sur tête de la corne postérieure. ` Les
faisceaux
antéro-latéraux ne présentent plus, comme à la ré
os tractus péri- vasculaires sont épaissis à peu près partout et le
faisceau
pyramidal n'est ~pas plus altéré que le reste.
oute leur étendue avec prédomi- nance dans la partie postérieure du
faisceau
de Goll et dans la zone radiculaire postérieure
lisé des tractus de tout ordre, avec un peu de prédominance dans le
faisceau
pyramidal. Cet épaississement est encore plus m
ions ici sont beaucoup moindres que dans la coupe précédente. Les
faisceaux
pyramidaux présentent à peine un léger degré de s
artères. On trouve de la sclérose au niveau de la prolongation des
faisceaux
de Goll, avec intégrité des faisceaux de Burdac
niveau de la prolongation des faisceaux de Goll, avec intégrité des
faisceaux
de Burdach excepté la périphérie où l'on voit u
excitations électriques, étant recouvert, en grande partie, par les
faisceaux
du deltoïde postérieur, très développés chez ce m
partir de la première ou de la deuxième ver- tèbre lombaire. / Ce
faisceau
est formé par les derniers/nerfs rachidiens, lomb
muscle lui- même. Elle est, en outre, grandement inlluencée par les
faisceaux
et plans fi- breux périmusculaires. Nous avons
les corps charnus musculaires, de la part de cette enveloppe et des
faisceaux
qui la doublent en certains points, ont pour ef
endi- culaire à la direction des fibres charnues. Par contre, les
faisceaux
musculaires eux-mêmes, lorsqu'ils se contractent
d'autant plus uniforme qu'il est composé d'un moins grand nombre de
faisceaux
musculaires distincts. Par exemple le deltoïde
iers moyen est marqué d'un grand nombre de sillons qui limitent les
faisceaux
dis- tincts dont il est composé. Mais, en out
s fibres charnues et correspon- dant aux cloisons de séparation des
faisceaux
secondaires. 3° Enfin la contraction est l'état
par la saillie de ses fibres charnues et par le relief distinct des
faisceaux
secondaires qui le composent. La forme d'un mus
n, c'est-à-dire qu'il se distingue par l'accen- tuation des divers,
faisceaux
, dont il se compose, et par un relief des fibres
e la face et des membres du même côté, comme l'indique le trajet dn
faisceau
moteur. Prenant son origine réelle au pied de l
pied de la circonvolution ascendante, la XII0 paire chemine avec le
faisceau
fion- tal inférieur, passe dans le genou de la
se dans le genou de la capsule interne, dans le'pédoncule, entre le
faisceau
de la parole et le faisceau pyramidal, pour arriv
le interne, dans le'pédoncule, entre le faisceau de la parole et le
faisceau
pyramidal, pour arriver après son entrecroiseme
ne pouvait exister qu'au delà du point où le facial est dissocié du
faisceau
des membres. La contracture des membres, qui ét
écoce pour une dégénération descendante, indiquait également que le
faisceau
pyramidal devait être intéressé sur un poinl très
dans un point, qui intéressait ;1 la fois l'hypoglosse gauche et le
faisceau
moteur droit ; ce point né pouvait donc être aill
ment reconnaître à l'oeil nu du côté du cordon latéral droit et du
faisceau
de Turk du côté gauche, une région blanchâtre,
a substance bilan- che de la moelle, il l'exception de la partie du
faisceau
latéral droit qui déjà il l'oeil nu se distingu
e précoce des membres paralysés el la dégénérescence descendante du
faisceau
pyramidal, symptômes et lésions qui existaient dé
co- piques consistant dans l'hyperplasie de la gaîne lamelleuse des
faisceaux
nerveux et dans l'augmentation du tissu conjonc
et dans l'augmentation du tissu conjonctif intra-fasciculaire. Les
faisceaux
nerveux qui se trouvent disséminés dans le tissu
ves qui partent de la face interne des gaines lamelleuses en 2 ou 3
faisceaux
se- condaires. La gaîne lamelleuse présente une
hie concentrique et constitue quelquefois un gros anneau autour des
faisceaux
nerveux. Le tissu conjonctif qui se trouve à la
e sont pas altérées ou sont plus clairsemées à l'in- térieur de ces
faisceaux
nerveux. La lésion que nous avons constatée mac
ane, sont presque au contact. N'oubliez pas enfin que les fibres du
faisceau
pyramidal s'épanouissent dans la protubé- rance
l'aqueduc, de manière à intéresser les noyaux gris et les fibres du
faisceau
pyramidal gauche. Dans cette supposition, les c
eil foyer altérera par compression ou par destruction les fibres du
faisceau
pyramidal gauche et en consé- quence surviendra
uches et sur les artères médianes donnera lieu à des altérations du
faisceau
pyramidal gauche et des noyaux situés au-dessou
qui pénètre dans la scissure antérieure. Par rapport aux différents
faisceaux
de la moelle, on constate que les cordons antér
près complètement envahis par la lésion ; il en est de même pour le
faisceau
pyramidal droit et pour le cordon postérieur du
part de très légères bandes postérieure et interne) ; par contre le
faisceau
pyramidal gauche et toute la moitié postérieure
infiltration leucocytique discrète, mais très régulière; entre les
faisceaux
conjonctifs on aperçoit des leucocytes dissémin
ta- bles lacs autour des vaisseaux, en écartant et en refoulant les
faisceaux
conjonctifs. Dans la partie inférieure de la mo
le, d'où la paraplégie absolue, malgré l'intégrité d'une portion de
faisceau
pyramidal gauche. Il faut remarquer que, malgré
ioïde. Vers le milieu du foyer on aperçoit de chaque côté, dans les
faisceaux
antéro-latéraux, un ou deux petits triangles ma
oyaux ronds dont il a été question plus haut, se glissent entre les
faisceaux
conjonctifs, en formant des lignes par place de
ur la figure 5 une légère dégénérescence irrégulière dans l'aire du
faisceau
pyramidal ; celte dégénérescence, dont la signi
raît bientôt au-dessous. Enfin les figures 1 et 2 montrent dans les
faisceaux
de Burdach une très légère dégénérescence symétri
r un méplat, quand on le fait contracter on sent seulement quelques
faisceaux
tendus au milieu d'une masse de consistance mol
s abaissé de ce côté sem- ble presque complètement disparu dans ses
faisceaux
supérieurs, et le malade ne peut résister lorsq
des réflexes et des réactions électriques, sur la per- sistance de
faisceaux
contractiles dans les masses dégénérées, sur l'ap
ues ou antagonistes, les muscles apparaissent raidis, dessinant les
faisceaux
se- condaires dont ils sont composés et séparés
d fessier, le del- toïde - pour ne citer que ceux-là - dessiner les
faisceaux
divers dont ils se composent. On dirait autant
u ramollissement ancien par thrombose et avec dégéné- z rescence du
faisceau
pyramidal, ces phénomènes irritatifs devront fa
largeur jusqu'au facial du même côté, et en profondeur atteindre le
faisceau
pyramidal pour déterminer des troubles moteurs
à admettre une lésion limitée atteignant à la fois l'abducens et le
faisceau
pyramidal. En effet, une telle lésion devrait r
it respecter la face du côté de l'hémiplégie puisqu'elle atteint le
faisceau
pyra- midal après qu'il s'est débarrassé des fi
, - Mal. du syst. nerveux, 1896, p. 363. 20 CLINIQUE NERVEUSE. Le
faisceau
pyramidal étant atteint-avant d'avoir abandonné
facial, il faut invoquer, ou bien une double lésion (l'une pour le
faisceau
pyramidal au-dessus de la pro- tubérance, l'aut
cens, remontant en haut jusqu'au niveau du pédoncule, pour léser le
faisceau
pyramidal. Raymond penche pour cette dernière i
t à la fois la sixième et la septième paire, en même temps que le
faisceau
pyramidal. On connaît des observations semblables
de l'ischémie de la corticalité. Pour l'expliquer par une lésion du
faisceau
pyramidal au niveau du bord inférieur de la pro
teur ont dégénéré, ainsi que les cellules latérales placées dans le
faisceau
longitudinal postérieur. Il a cons- taté qu'il
les disséminées sur tout le côté du noyau homolatéral qui occupe le
faisceau
longitudinal postérieur. Ce sont : la plupart des
os du nez et la région maxillaire ; 2° La partie postérolatérale du
faisceau
de Burdach paraît ( ? ) être en rapport avec l'
; 4° il n'y a donc point chez le chien de fibres homolatérales du
faisceau
pyramidal subissant, comme le veut Unverricht, un
exagérée par suite même de la suspension de l'action frénatrice du
faisceau
pyramidal. (Revue neurologique. Juillet 1897.) E.
ure. La branche inférieure furme le cordon de Schultz qui, entre le
faisceau
de Goll et le faisceau de Burdach, gagne, entre
ure furme le cordon de Schultz qui, entre le faisceau de Goll et le
faisceau
de Burdach, gagne, entre les deux, la ligue lim
e les deux, la ligue limitante. La branche supérieure monte dans le
faisceau
de Burdach et surtout dans le faisceau de Gel]
che supérieure monte dans le faisceau de Burdach et surtout dans le
faisceau
de Gel] jusqu'au bulbe, pour se terminer dans l
isceau de Gel] jusqu'au bulbe, pour se terminer dans les centres du
faisceau
grêle et du faisceau cunéiforme. La branche asc
au bulbe, pour se terminer dans les centres du faisceau grêle et du
faisceau
cunéiforme. La branche ascendante (par le faisc
au grêle et du faisceau cunéiforme. La branche ascendante (par le
faisceau
de Burdach) et la branche descendante éJl1E'.lteu
ne canaliculaire, avant de rejoindre son congénère, se résolvait en
faisceaux
de plus en plus petits qui se perdaient Archive
stérieurs, une altération du noyau de l'hypoglosse, l'altération du
faisceau
de Couvas. L'auteur conclut à une psychose hérédi
nlie que dans les cordons postérieurs. Oe ne sait pas encore si les
faisceaux
pyramidaux croisés ne sont pas primitivement af
adie telle la déformation du pied qui est sous la dépendance de ces
faisceaux
. ' A. V. 228 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. X.
ion cervicale, le processus destructif se restreint à un segment du
faisceau
de Goll. En somme, il est exceptionnel de voir
u centre, dans une direction cellulipète. Les vaisseaux propres des
faisceaux
nerveux plaident déjà pour une nutrition autono
nerveux plaident déjà pour une nutrition autonome des fibres de ces
faisceaux
; en clinique, l'anesthésie et la paralysie résu
mps en bon état. Dans les paralysies relevant d'une dégénération du
faisceau
py- ramidal, l'état fonctionnel du neurone mote
optiques, donc, dans une direction opposée à celle des fibres de ce
faisceau
. Avant Cajal, von Monakow avait déjà pu conclure
érable de la cellule, les prolongements nerveux qui passent dans le
faisceau
des fibres optiques, suivant une direction opposé
ose pseudo-systématique d'origine vasculaire à prédominance sur les
faisceaux
de Goll et les faisceaux pyramidaux. La discus-
'origine vasculaire à prédominance sur les faisceaux de Goll et les
faisceaux
pyramidaux. La discus- sion du cas et sa compar
es on obtient une dégéné- rescence ascendante et descendante; 2° le
faisceau
ascendant dégénéré constitue un faisceau plus v
ante et descendante; 2° le faisceau ascendant dégénéré constitue un
faisceau
plus volumineux qui occupe la zone de Lissauer
ur, ni du côté opposé, ni en d'autres points de la moelle ; - 4° le
faisceau
descendant constitue un faisceau plus grêle, pl
tres points de la moelle ; - 4° le faisceau descendant constitue un
faisceau
plus grêle, plus mince, situé en grande partie
piétant un peu sur la zone radiculaire postéro-interne ; 5° pour le
faisceau
descendant, on n'a pas non plus de dégénéres- c
e,ican journal of MS(HK<</, avril 1897). E. B. LXV111. D'UN
faisceau
spécial de la zone latérale DE la moelle épiniè
' Alexandre BRUCE. Les cordons latéraux de la moelle se divisent en
faisceau
fonda- mental du cordon latéral, faisceau de Go
la moelle se divisent en faisceau fonda- mental du cordon latéral,
faisceau
de Gowers, faisceau pyramidal croisé, faisceau
nt en faisceau fonda- mental du cordon latéral, faisceau de Gowers,
faisceau
pyramidal croisé, faisceau cérébelleux direct,
l du cordon latéral, faisceau de Gowers, faisceau pyramidal croisé,
faisceau
cérébelleux direct, zone externe de Lissauer et
issauer et zone limitante latérale, aussi appelée zone marginale ou
faisceau
profond du cordon latéral. Dans un cas de scl
trophique, l'auteur a pu constater que ce ne sont pas seulement les
faisceaux
pyramidaux, les cellules des nerfs moteurs de l
es la plus grande. partie des cordons latéraux, à l'excep- tion des
faisceaux
ascendants, notamment le faisceau cérébelleux d
ns latéraux, à l'excep- tion des faisceaux ascendants, notamment le
faisceau
cérébelleux direct et le faisceau atitéro-latér
aisceaux ascendants, notamment le faisceau cérébelleux direct et le
faisceau
atitéro-latéral ascendant de Gowers, qui sont e
ie antérieure montre une dégénérescence aussi avancée que celle des
faisceaux
fondamentaux antérieurs et latéraux, tandis que
ulo-moteur commun, le dépassent, traversent la protubérance dans le
faisceau
géniculé, s'entrecroisent là sur la ligne média
oelle, c'est-à-dire dans les cornes antérieures et latérales et les
faisceaux
fondamen- taux des cordons antérieurs et latéra
érés : les corps restiformes jusqu'au vermis, les prolongements des
faisceaux
fondamentaux des cordons antérieurs et latéraux
des cordons antérieurs et latéraux jusqu'aux couches optiques, les
faisceaux
de Gowers jusqu'à la protubérance. Il s'agit év
x mouvements volontaires et spasmes,dégéné- ration et irritation du
faisceau
pyramidal (Kahler-Pick); 2°mouve- ments forcés
endue de deux segments. Dans la direction ascendante. en dehors des
faisceaux
habituels, on trouve dégénérés les fais- ceaux
des pédoncules cérébraux; on peut suivre de la dégénération de ces
faisceaux
jusqu'aux couches optiques. De ces observations
es descendantes des racines postérieures ; 4° la prolongation des
faisceaux
fondamentaux des cordons antérieurs et latéraux p
n. M. Weidenhamer fait remarquer que la dégénération ascendante des
faisceaux
fondamentaux des cordons antérieurs et latéraux
ostérieurs et assez uniformément, sans prédominance marquée pour le
faisceau
de Goll ou celui de Burdach. l'explication de c
eurs. Dans les cordons antéro-latéraux, le cérébelleux direct et le
faisceau
de Gowers, seuls offrent des fibres dégénérées.
la quatrième racine dorsale) sauf une prédominance marquée dans le
faisceau
pyra- midal croisé, les fibres dégénérées sont
énérées sont à peu près uniformément réparties dans tous les autres
faisceaux
. Cette observation nous paraît intéressante au
médullaire. La lésion devait donc être recherchée plus haut, sur le
faisceau
pyramidal pour les troubles moteurs, sur les vo
tre observation ceux-ci paraissaient en effet les moins altérés des
faisceaux
blancs. La dissociation des sensibilités cutané
hent des fibres qui vont dans la bandelette du même côté. Comme les
faisceaux
précédents, ils président aux mouvements associ
agération des réflexes est due à un retard dans le développement du
faisceau
pyramidal, trouble évolutif caractéristique de
te d'une lésion à la hauteur, des racines de la cinquième paire, du
faisceau
longitudinal postérieur, on observe nettement c
génique et ontogénique. Voici quelques détails précis relatifs au
faisceau
acoustique ou cochléaire chez un enfant né à se
ent les stations terminales des fibres conductrices cochléaires; le
faisceau
cortical acoustique direct de Held fusionne ave
u quart antérieur des cordons postérieurs, cette zone disparaît. Le
faisceau
du cordon latéro-cérébelleux est fortement dégé
à la zone marginale de Lissauer. Dégénérescence assez mar- quée du
faisceau
de Gowers. Faisceau radiculaire des cordons ant
de Lissauer. Dégénérescence assez mar- quée du faisceau de Gowers.
Faisceau
radiculaire des cordons antéro-latéraux faiblem
aiblement dégénéré. En montant vers le cerveau, on constate que les
faisceaux
de Goll s'irradient directement dans le cervele
l s'irradient directement dans le cervelet (Hoche); qu'il existe un
faisceau
du cordon postérieurcérébelleux direct qui tient
r, et peuvent être suivis jusqu'à la couche optique. Le trajet du
faisceau
de Gowers est, d'après les fibres dégénérées qu
t disséminé sur une aire large. En entrant dans la protubérance, le
faisceau
longitudinal, qui contient des fibres dégénérée
ruban de ltell latéral, dès qu'il es ! formé, se place en dedans du
faisceau
de Gowers, dont il ne sera plus nettement REVUE
mospinal partirait, près du bord externe des cornes antérieures, du
faisceau
radiculaire des cordons laté- raux, gagnerait l
ie et phy- siologie. Les questions restées dans l'urne étaient : 10
Faisceau
pyramidal, anatomie et physiologie; 2° Pie-mère
i, 401. Dégénérescence secondaire de la -. par Soukhanofï, 402.
Faisceau
spécial de la zone laté- rale de la -, par BrLi
ties latérales de ces cordons, région des ban- delettes externes du
faisceau
fondamental des cordons postérieurs de Flechsig
elet, inclinait à localiser les « fibres coordina- trices » dans le
faisceau
cérébelleux direct de Fleclisig, par consé- que
elle allongés, noyaux d'où part, après entre-croisement, un nouveau
faisceau
afférent, physiologiquement identique à celui d
e dans des centres sous-corticaux, en d'autres termes, que tous les
faisceaux
afférents du cordon postérieur ne servent point
es sensations conscientes, et qu'une partie des excitations que ces
faisceaux
transmettent est élaborée dans des centres sous-c
rait bien revenir ici aux excitations centripètes transmises par le
faisceau
cérébelleux direct. Or ces excitations sont en
mêmes de ces colonnes sont dégénérées, aussi bien que les fibres du
faisceau
cérébelleux direct. Le caractère cérébelleux de l
'ataxie, je le ferais dériver ici de cette participation étendue du
faisceau
cérébelleux de la moelle épinière (et vraisembl
érimentale établit en effet que l'ir- ritation du trajet central du
faisceau
sensitif ne détermine aucune douleur (si ce n'e
tion doit donc en souffrir d'autant. Les collatérales réflexes, les
faisceaux
ascendants des cordons postérieurs, etc., repré
nsverse, les auteurs ont constaté une véritable continuité entre le
faisceau
en vir- gule et le triangle cornu-marginal. Or,
ntérieur de la capsule interne gauche un morcel- lement anormal des
faisceaux
blancs parla substance grise. Observation II. M
ure qu'on s'élève dans l'échelle des ver- tébrés, d'autres centres (
faisceaux
ou centres annexes ou associés) se développent
sections de la moelle, non seulement les différents tubes d'un même
faisceau
, mais aussi les différents faisceaux ne s'altèr
les différents tubes d'un même faisceau, mais aussi les différents
faisceaux
ne s'altèrent pas en même temps, mais dans un c
agit d'un proces- sus dégénératif qui affecte d'abord et surtout le
faisceau
posté- rieur ; ensuite, le faisceau latéral et
i affecte d'abord et surtout le faisceau posté- rieur ; ensuite, le
faisceau
latéral et plus spécialement le faisceau pyrami
posté- rieur ; ensuite, le faisceau latéral et plus spécialement le
faisceau
pyramidal. La maladie se développe en foyers,
oyers secondaires, ou du moins ne le sont pas entièrement. Dans les
faisceaux
postérieurs, les zones radiculaires et les fibr
giques. Elle ne se règle donc pas uniquement sur la topographie des
faisceaux
; il s'agit d'une fausse systématisation. D'emb
ellulaires; les atrophies cellulaires amènent l'atrophie simple des
faisceaux
blancs, mais non leur sclérose. Présentation de
ordons antéro-latéraux empiétant dans un cas très légèrement sur le
faisceau
pyramidal, mais sans l'intensité observée dans
ntracture serait, par excellence, le symptôme de la dégénération du
faisceau
pyramidal. Quand on envisage les choses à un poin
ibres commissu- rales du cerveau, la zone rolandique, les fibres du
faisceau
pyra- midal, peut-être même les voies cérébelle
cture permanente peut exister indépendamment de toute altération du
faisceau
pyramidal, et que ce faisceau peut être dégénér
indépendamment de toute altération du faisceau pyramidal, et que ce
faisceau
peut être dégénéré, sans qu'il y ait contractur
qu'on les rencontre dans la maladie de Charcot. Elle intéressait le
faisceau
de Turc);, le faisceau pyra- midal croisé et le
s la maladie de Charcot. Elle intéressait le faisceau de Turc);, le
faisceau
pyra- midal croisé et le restant du faisceau an
faisceau de Turc);, le faisceau pyra- midal croisé et le restant du
faisceau
antéro-latéral. Seulement, comme tous les phéno
t seul dans des cas semblables de mettre en évidence la sclérose du
faisceau
pyramidal, puisque cette dernière ne peut se ma
du tapetum gauche et de la radiation optique gauche, sans lésion du
faisceau
longitudinal inférieur, sans lésions de l'écorc
comprise entre le sillon antérieur en avant, et le bord externe du
faisceau
de Goll en arrière, du côté gauche. Au-dessous
au de Goll en arrière, du côté gauche. Au-dessous de la lésion, les
faisceaux
, p. direct et p. croisé du même côté, dégénèren
suit jusqu'à la partie inférieure du bulbe la dégénérescence des
faisceaux
de Golle, de Burdach et du faisceau cérébelleux.
du bulbe la dégénérescence des faisceaux de Golle, de Burdach et du
faisceau
cérébelleux. Les faisceaux de Gowers sont pris
es faisceaux de Golle, de Burdach et du faisceau cérébelleux. Les
faisceaux
de Gowers sont pris des deux côtés avec prédomina
moelle épinière. Pour Van Gehurthen la douleur se trans- met par le
faisceau
fondamental du cordon antéro-latéral et par le
met par le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral et par le
faisceau
deGawert. D'après M. Richet le centre de la per
fibres appartenant au second neurone. Mais la dégénérescence des
faisceaux
de fibres de gros calibre qui partent du cordon p
endogènes des colonnes de Clarke, dont le cylindraxe passe dans le
faisceau
cérébelleux direct. Marinesco a trouvé que, dan
colonnes de Clarke et leurs prolonge- ments nerveux constituant le
faisceau
cérébelleux direct - a été trouvé dégénéré dans
ée comme secondaire aux altérations des cellules z d'origine de ces
faisceaux
. Redlich était d'avis, et Schaffer est con- vai
rieurs serait bien localisée dans les cellules d'origine, dont ces
faisceaux
ne sont que les prolongements iniraméclullaÍ1'es.
ruction des éléments de l'écorce qui sont les cellules d'origine du
faisceau
pyramidal, entraîne la dégénération de ce faisc
les d'origine du faisceau pyramidal, entraîne la dégénération de ce
faisceau
, ne provoque-t-elle pas la même lésion dans d'aut
HOLOGIQUES DU TABES. 13L déterminent les dégénérations, de certains
faisceaux
nerveux, comme le fait le plomb, etc, On en est
re aux^ cordons postérieurs, et qu'après des lésions du cervelet le
faisceau
céré- belleux peut aussi peut-être dégénérer de
e que cette région représente une partie de l'extrémité centrale du
faisceau
pyramidal dont le grand développement est essen
o-sacrée chez l'homme que la lésion traumatique ou nécrobiotique du
faisceau
pyramidal dans sa partie médullaire peut amener
histologique de la moelle montre une diminution des fibres dans les
faisceaux
pyramidaux, surtout dans les faisceaux croisés
minution des fibres dans les faisceaux pyramidaux, surtout dans les
faisceaux
croisés : le cordon latéral dans le reste de so
sceaux croisés : le cordon latéral dans le reste de son étendue, le
faisceau
cérébelleux en particulier parait indemne. Pe
sen- sitivo-sensorielle. ' Dans l'hémiplégie due à des lésions du
faisceau
sensitif de la capsule interne, l'anesthésie es
r ». Dans l'hémiplégie organique, et dans toutes les affections des
faisceaux
pyramidaux, le réflexe plantaire est du type «
racture attaque isolément les différents muscles et même différents
faisceaux
musculaires. De là vient la différence dans le
mine une excitation qui peut sans doute aller jusqu'à la lésion des
faisceaux
pyrami- daux. ' M. Babinski demande si la tré
, Strumpel a trouvé une sclérose combinée primitive portant sur les
faisceaux
pyramidaux , cérébelleux directs et de Goll. L'
e peut consister en un ou plusieurs petits foyers répartis dans les
faisceaux
blancs médullaires sans aucune systématisation.
scopique d'un fragment de muscle excisé montra une hypertrophie des
faisceaux
. musculaires, avec raréfaction des fibrilles pr
lai moelle cervicale; Westphall combat cette théorie : comment les
faisceaux
sen- sitifs resteraient-ils intacts ? -Cousot e
moins été profonde. Qu'il y ait eu une dégénérescence localisée des
faisceaux
médullaires, que quelques-unes des cellules de
ne dégéné- rescence de la partie interne des cordons de Goll et des
faisceaux
cérébelleux avec agénésie accentuée de l'écorce
delette à gauche dans la protubérance et dans le bulbe; sclérose du
faisceau
pyramidal direct à gauche et du croisé à droite
e. Intégrité des ganglions de la base. En conséquence : atrophie du
faisceau
descendant correspondant dans la protubé- rance
inférieure BIBLIOGRAPHIE. · 355 de la région motrice gauche et du
faisceau
efférent correspondant dans la protubérance, le
interolivaire dans le bulbe du même côté, en sus de la sclérose du
faisceau
efférent. A cette dernière correspond la raréfa
cela ne formeraient pas une connexion inter-neuronique entre les
faisceaux
efférents supérieurs et inférieurs. Enfin tandis
rébelleuse pos- térieure inférieure gauche; étude sur le trajet des
faisceaux
sensoriels et coordinateurs dans la moelle allo
ns antéro-latéraux, mais intéressant aussi les cordons postérieurs (
faisceaux
de Goll et de Burdach), ainsi que l'atrophie du
les, de la protu- bérance et de la moelle montra une diminution des
faisceaux
pyramidaux à gauche. Ce travail est accompagné
térations vasculaires des gros vaisseaux et les dégénérescences des
faisceaux
de la moelle ou des tractus optiques. Si l'on
'adulte est géné- ralement l'effet de la dégénération secondaire du
faisceau
HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE INFANTILE. 465 pyramid
ue chez l'adulte), on ne peut pas établir une relation de l'état du
faisceau
pyramidal déduite de la lésion cérébrale. Ces
z l'enfant, de manière qu'il n'est pas possible d'induire l'état du
faisceau
pyramidal, quelque intense que soit la rigidité
trouve presque toujours une sclérose descendante assez prononcée du
faisceau
pyramidal, quelquefois, au contraire, celle-ci
résentés par le malade (contracture très pro- noncée). Au niveau du
faisceau
pyramidal croisé, les tubes nerveux étaient moi
que l'autre, il ne fut pas possible de vérifier la dégénération du
faisceau
pyramidal droit en haut de l'entre-croisement.
agè- rent pas immédiatement après la séparation de l'écorce et du
faisceau
pyramidal, écueil'des théories encéphaliques auta
ptées, ou l'action 468 THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. inhibitrice du
faisceau
pyramidal supposée par Marie, peu- vent expliqu
caux (fit. et 6) une assez grande quantité de grains noirs dans les
faisceaux
pyramidaux croisés, mais on n'en retrouve déjà
es de la moelle. Il n'existe pas en effet de dégénérescences de ses
faisceaux
longs et cliniquement la sensibilité était cons
altérées que la moelle (état clair, dégéné- rescence ascendante du
faisceau
de Burdach), ont fait preuve d'une tolé- rance
es radiculaires externes dans les cordons postérieurs au niveau des
faisceaux
de Burdach : A. arachnoïde ; CB. faisceau de Bu
postérieurs au niveau des faisceaux de Burdach : A. arachnoïde ; CB.
faisceau
de Burdach; D. dure-mère; P. pie-mère; Zm. zone
nisation marginale Zm ; et des grains noirs abondants dans les deux
faisceaux
pyramidaux croisés Py. c. et dans le fais- ceau
pyramidaux croisés Py. c. et dans le fais- ceau ne Burdach C. B. le
faisceau
de Goll étant intact. PLANCHE VIII. FiG. 7. 4
nérescences des cordons postéiieurs s'atténuent ainsi que celles des
faisceaux
pyra- midaux ; la zone de démyélinisation margi
sie motrice grâce à ce fait qu'elles atteignent presque toujours le
faisceau
uncinatus. L'analyse impartiale des faits qui n
e qui ne possèdent pas de gaine de Schwann forment au contraire des
faisceaux
dont le réseau névroglique avec ses travées par
s les racines. Les substances blanche et grise sont hyperémiées. Le
faisceau
pyra- midal latéral est d'une coloration pâle.
pas de caractère systématisé, et les différentes parties des mêmes
faisceaux
ont pris une coloration différente. Deuxième ca
sculaires et péricellulaires sont dilatés. La partie périphérique des
faisceaux
cérébelleux, ainsi que les faisceaux pyramidaux
és. La partie périphérique des faisceaux cérébelleux, ainsi que les
faisceaux
pyramidaux directs et la partie médiane des cor
lupart des vaisseaux sont thromboses. Excepté la moitié dorsale des
faisceaux
posté- rieurs, toute la préparation présente un
faible coloration d'une intensité iné- gale. Des fibres isolées des
faisceaux
sont tuméfiées et raréfiées. On rencontre parfo
dans la pie-mère. On note aussi des fibres tuméfiées dans tous les
faisceaux
, ils abondent surtout dans les faisceaux pyrami
es tuméfiées dans tous les faisceaux, ils abondent surtout dans les
faisceaux
pyramidaux latéraux. Les. cellules ne présentent
le degré différent des modifications des fibres appartenant au même
faisceau
, nous permet à croire que ces modifications dan
même faisceau, nous permet à croire que ces modifications dans les
faisceaux
ne dépend pas du tout de la pression ou de la d
3, 1890.' 252 RA1MISTE ET NEIDING des racines postérieures et des
faisceaux
. Cette dégénérescence avait le caractère tabéti
le, mais dans le quatrième cas ils ont trouvé la dégénérescence des
faisceaux
antérieurs et latéraux, et dans les régions isolé
racines postérieures ne furent pas examinées. La dégénérescence des
faisceaux
postérieurs fut trois fois assez marquée dans les
Ce n'est que dans un seul cas qu'on a trouvé la dégé- nérescence du
faisceau
pyramidal et du faisceau cérébelleux direct dans
cas qu'on a trouvé la dégé- nérescence du faisceau pyramidal et du
faisceau
cérébelleux direct dans un autre. Il est intére
ntôt vides, tantôt gorgés de sang. Wollenberg a noté que cer- tains
faisceaux
des racines postérieures, appartenant à la partie
e cas de Wollenberg (dégénérescence des racines postérieures et des
faisceaux
postérieure). Dans un cas de Batten et Col- lie
s étaient absents, on a noté une dégénéres- cence insignifiante des
faisceaux
postérieurs ; dans deux autres cas, où la dégén
sceaux postérieurs ; dans deux autres cas, où la dégénérescence des
faisceaux
postérieurs était plus prononcée, les réflexes
micros- cope, nous apprit que dans la peau scrolaleentre les larges
faisceaux
mus- (1) D'après une démonstration faite le 1"
ar les trousseaux fibreux. Dans une même coupe on peut observer des
faisceaux
fibro-conjonctifs coupés en long, en travers ou
issu névromateux. Outre les fibres nerveuses suivant fidèlement les
faisceaux
fibreux, s'obser- vent de nombreuses fibres ner
sseaux fibreux issus du tissu conjonctif interstitiel de chacun des
faisceaux
nerveux du sciati- que et d'autre part d'une co
bout central du sciatique, après la première névrectomie. Un petit
faisceau
nerveux prolifère énergique- ment ; ses cylindr
t en profondeur, lésions corticales ou sous-corticales, section des
faisceaux
d'association, participation du corps calleux ;
cérébral, l'étage inférieur est très rétréci ; la partie externe ou
faisceau
de Turck a ses dimensions normales et se colore
r la méthode de Weigert-Pal, le bord interne contient un très petit
faisceau
de fibres bien colorées, le reste est dépourvu de
fibres et peut être considéré comme totalement dégénéré Le petit
faisceau
interne peut être suivi plus haut dans le segment
e qui est complètement atrophiée. B. Faisceaux d'association . - Le
faisceau
longitudinal supérieur ou arqué a été complètem
omplètement détruit dans sa portion fronto-pariétale. Les fibres du
faisceau
longitudinal inférieur ont été partiellement atte
oursuivie en arrière jusqu'au niveau de la scissure calcarine. Le
faisceau
uncinatus est un peu plus pâle dans les étages su
ement qui est limité en avant par l'avant- mur, et en dedans par un
faisceau
compact qui comprend les fibres du faisceau lon
mur, et en dedans par un faisceau compact qui comprend les fibres du
faisceau
longitudinal inférieur et les radiations thalam
a limite postérieure de la lésion, les radiations thalamiques et le
faisceau
longi- tudinal inférieur sont très amincis. U
ibres à myéline, qui appartiennent aux radiations thalamiques et au
faisceau
longitudinal inférieur, de sorte que dans les cou
sons-thalamique, la cavité est limitée, dans la profondeur, par le
faisceau
longitudinal inférieur dont les fibres les plus e
par la lésion. Sur les coupes passant par la région thalamique, le
faisceau
reste épargné et constitue le fond même de la cav
: il n'en subsiste que-1'extrémité antérieure. Plus en arrière, le
faisceau
longitudinal inférieur forme le fond de la cavité
u tiers supérieur de la couche optique et du noyau lenticulaire, le
faisceau
longitudinal inférieur et les radiations thalamiq
xtrêmement dilaté sur toute son étendue. Dégénérations SECONDAIRES.
Faisceaux
d'association. - Le faisceau lon- gitudinal sup
n étendue. Dégénérations SECONDAIRES. Faisceaux d'association. - Le
faisceau
lon- gitudinal supérieur ou arqué a été compris
ion. DE LA RESTAURATION DU LANGAGE DANS L'APHASIE DE BROCA 351 Le
faisceau
longitudinal inférieur a étii sectionné en plusie
qù il a été interrompu. C'est par la dégéuération partielle de. ce
faisceau
qu'il faut expliquer la pâleur de la substance
dans le lobe occipital, au niyeau de la scissure calcarine. - Le
faisceau
uncinatus a été coupé au niveau du pôle antérieur
est dé- généré dans sa partie moyenne (le tiers moyen environ). Le
faisceau
interne est intact et volumineux. Le faisceau e
rs moyen environ). Le faisceau interne est intact et volumineux. Le
faisceau
externe dépasse de beaucoup la zone du faisceau
t et volumineux. Le faisceau externe dépasse de beaucoup la zone du
faisceau
de Türcl. En réalité la dégénérescence est beauco
qui se produit et de l'atrophie secondaire de l'étage inférieur. Le
faisceau
externe comprend le faisceau de Tùrck plus un ass
ie secondaire de l'étage inférieur. Le faisceau externe comprend le
faisceau
de Tùrck plus un assez grand nombre de fibres q
à l'intégrité du tiers pos- térieur de la couronne rayonnante. Le
faisceau
interne du pédoncule cérébral passe par le segmen
té antérieure de l'opercule de la 2- circonvolution pariétale. - Le
faisceau
longitudinal inférieur es t intéressé au niveau
- térieure est au contraire relativement épargnée et correspond aux
faisceaux
conservés dans le segment postérieur de la caps
volontaires, brusques, brèves, n'intéressant que quelques fibres ou
faisceaux
des muscles dans lesquels elles se montrent, fr
consistent en petites contractions parcellaires occupant tantôt un
faisceau
, tantôt plusieurs, tantôt quelques fibres seuleme
omme tous ces muscles ne sont pas également hypertoniques, certains
faisceaux
ou quel- ques fibres se contractent à l'exclusi
en- nement paralysée, ce ne seront plus quelques fibres ou quelques
faisceaux
, mais le muscle tout entier ou plusieurs groupe
i d'une nouvelle fossette. Au point 4, se contractent deux ou trois
faisceaux
verticaux ou obliques du peaucier ; cette contr
apparaissent, sont constituées par la contraction de deux ou trois
faisceaux
obliques très apparents. Au point 7, ce n'est q
ent. Le point 8 est constitué par la contraction de trois ou quatre
faisceaux
obliques généralement très bien dessinés sous l
ractérisée par sa richesse en fibrilles névrogliques s'étendant en
faisceaux
(PI. LXII, fig. 4). Les cellules faisant partie
les fibrilles présentent des éléments indépendants et s'étendent en
faisceaux
dans l'exoplasma des cellules névrogliques et e
s'étendent dans le protoplasme de plusieurs cellules. En outre, un
faisceau
de fibrilles d'une cellule s'unit au faisceau d
ellules. En outre, un faisceau de fibrilles d'une cellule s'unit au
faisceau
d'une autre cellule, ce qui sert à la formation
modifiée. Nous voyons comment les fibres collagènes se dirigent en
faisceaux
dans la substance cérébrale et là, en se débarr
es conjonctives. On peut noter que les fibrilles élé- mentaires des
faisceaux
conjonctifs collagènes, après s'être débarrassées
re ; en particulier toute la partie postérieure de la moelle et les
faisceaux
pyramidaux sont remplacés par des zones de scléro
s pâle, depuis les cornes anté- rieures jusqu'aux postérieures. Les
faisceaux
pyramidaux sont sclérosés et la zone non coloré
La coupe du renflement lombaire est normale. A part la sclérose des
faisceaux
pyramidaux on ne distingue pas de dégénérescence.
Le 4e segment dorsal donne une coupe assez réduite et aplatie. Les
faisceaux
pyramidaux sont en grande partie sclérosés (dégén
La périphérie de la moelle est pâle (fais- ceau cérébelleux direct,
faisceau
de Gowers). Les cordons de Burdach sont forteme
la hauteur de la 2° paire de racines dorsales, la dégénération des
faisceaux
pyramidaux tend à s'effacer, le cordon de Goll es
du 8e segment cervical montre encore un peu de dégé- nérescence des
faisceaux
pyramidaux ; la moelle est pâle à la périphérie
ux pyramidaux ; la moelle est pâle à la périphérie correspondant au
faisceau
cérébelleux et au faisceau de Gowers. Plus ha
st pâle à la périphérie correspondant au faisceau cérébelleux et au
faisceau
de Gowers. Plus haut, les coupes delà région
nde étendue en surface et en hauteur (dégénéra- tion ascendante des
faisceaux
pyramidaux, dégénération descendante des faisce
n ascendante des faisceaux pyramidaux, dégénération descendante des
faisceaux
de Gowers et de la totalité des cordons postéri
nt, ainsi que l'avait soutenu M. Van Gehutchten ? par les libres du
faisceau
de Gowers. Mais le contenu du canal rachidien n
elle-même n'est pas faite exclusive- ment de substance grise et de
faisceaux
blancs; chaque racine (la postérieure au moins)
pathologique (5 figures la sclérose s'étendant à toute l'étendue du
faisceau
pyramidal avec atrophie des cellules ganglionna
hmaun que cette zone de dégénéres- cence tend à atteindre l'aire du
faisceau
latéro-cérébelleux, et que, si une partie consi
molle cervicale, d'autres libres de ce cordon se continuent avec le
faisceau
latéro-cérébelleux dorsal jusque dans le bulbe,
e l'embolie médullaire, produisent une dégénérescence secondaire du
faisceau
latéro-cérébelleux sacro-lombaire, dont l'exist
est ainsi prouvée chez le chien ; 3° une partie considérable de ce
faisceau
, qui subit la dégénérescence ascendante, se ter
ieure et dans la moelle cervicale, tandis que d'autres fibres dudit
faisceau
peuvent être suivies jusque dans le bulbe, dans
faisceau peuvent être suivies jusque dans le bulbe, dans l'aire du
faisceau
latéro-cérébelleux ; 4° la dégénérescence ascen-
cérébelleux ; 4° la dégénérescence ascen- dante atteint en outre le
faisceau
sulco-marginal ascendant (Marie), et des fibres
scendante du cordon postérieur.se manifeste par une décoloration du
faisceau
de Goll; elle n'est nette qu'au niveau de la mo
ection longitudinale du vaisseau. Les fibres sont tantôt réunies en
faisceaux
, dont les fibrilles sont transverses ou oblique
et l'externe de libriles transverses : par places on voit plusieurs
faisceaux
, les uns à fibres obliques ou transverses, les
lésions cortico-occipitales, de dégéné- rescence secondaire dans le
faisceau
de Gratiolet ni dansle corps calleux. La scléro
ns le faisceau de Gratiolet ni dansle corps calleux. La sclérose du
faisceau
de Gratiolet, dans les deux cas, dépendait de p
s fibres spinales ascendantes croisées et de leurs rapports avec le
faisceau
de Gowers; par 0. Kohnstamm. (A'(;Uî-0109. Cen-
eau de la portion supérieure de la moelle cervicale, qu'un puissant
faisceau
s'entrecroise dans la commissure antérieure et
rcles à concavité postéro-externe, à la couche médiane de l'aire du
faisceau
de REVUE D'ANATOMIE ET DE/ PHYSIOLOGIE PATHOLOG
LOGIE PATHOLOGIQUES. 1 53 Gowers : une partie de ces fibres, par le
faisceau
spino-cérébelleux postérieur, une autre partie,
le faisceau spino-cérébelleux postérieur, une autre partie, par le
faisceau
spino-cérébelleux antérieur, arrivent au cervel
autres massifs gris. Du côté lésé, nos fibres forment une partie du
faisceau
de Gowers, qui affecte exactement les mêmes rap
tie supérieure de la moelle cervicale, forment la couche médiane du
faisceau
de Gowers. 11 est aussi prouvé que les portions
Gowers. 11 est aussi prouvé que les portions externes de l'aire du
faisceau
de Gowers, au niveau de la moelle cervicale con
e côté éloignées du centre, tandis que les couches médianes du même
faisceau
sont en grande partie constituées des neurones
oisins du centre. Quant aux fibres botnolatérales qui se rendent au
faisceau
de Gowers, il a été impossible de les détermine
cependant il est avéré qu'à la suite d'une section hémilatérale le
faisceau
de Gowers dégénère et du même côté et du côté o
upes, surtout dans la forma- tion réticulaire. Il existe aussi un
faisceau
antéro-latéral descendant. Un peu au-dessous de
n arrière paral- lèlement à la périphérie du cordon antéro-latéral (
faisceau
antéro- latéral descendant crucial), et qui, da
ceau antéro- latéral descendant crucial), et qui, dans la région du
faisceau
latéral des pyramides, s'unit aux libres proven
aux libres provenant de la formation réticulaire et constituant un
faisceau
latéral endogène descendant (faisceau spino-spi
réticulaire et constituant un faisceau latéral endogène descendant (
faisceau
spino-spinal latéral descendant). Il y a donc l
al latéral descendant). Il y a donc lieu de désigner sous le nom de
faisceau
antéro- latéral ascendant, toute la masse des l
res ascendantes du cordon antéro-latéral qui n'appartiennent pas au
faisceau
latéral du cer- velet postérieur, ni au système
substance grise et dans les mailles de la formation réticulaire. Le
faisceau
antéro-latéral ascendant a une structure imbiiqué
des fibres spirzo-cérébelleuses anléro- postérieures, qui, avec le
faisceau
latéro-cérébelleux postérieur, s'en vont au cer
no-cérébelleuses antérieures, qui cor- respondent rigoureusement au
faisceau
de Gowers; 3° des fibres spino-tectiiles et des
ionnées et extirpées de leur trajet (voy. comparativement P. Marie,
faisceau
sulco-marginal ascen- dant et Sherrington). Tou
les de Purkinje, d'une étonnante régularité. Quoi qu'il en soit, le
faisceau
sensitif, con- trairement au faisceau moteur, s
arité. Quoi qu'il en soit, le faisceau sensitif, con- trairement au
faisceau
moteur, se divise en énormément de neu- rones :
et comme questions orales : lobe frontal, branches du nerf facial,
faisceau
pyramidal, technique du cathé- térisme de 1'1l1
de la cloison médiane posté- rieure, elle s'étend, à l'intérieur du
faisceau
de Goll, en montant jusqu'au niveau du cinquièm
sion maxima (cinquième segment cervical), demeure en l'état dans le
faisceau
de Goll jusqu'à la partie la plus élevée de la
LOGIE PATHOLOGIQUES. 305' , Il faut encore penser que les fibres du
faisceau
de Goll ne s'ont eh' quelque sorte guère groupé
sylvienne datant de quinze ans (ramollissement) ladégé- nération du
faisceau
pyramydal croisé est très complète, celle du py
own-Séquard). Au-dessous de cet endroit commence la dégénération du
faisceau
pyramidal. Dans les ventricules cérébraux (4°.
vements de l'articulation du coude ne sont pas du tout troublés. Le
faisceau
externe du brachial antérieur, innervé par le rad
à côté du long supinateur, au point où il en croise l'insertion, ce
faisceau
peut avec le long supi- nateur compenser les fo
re ont guéri. D'autre part, l'hypertrophie du long supinateur et du
faisceau
externe du brachial antérieur compense complète
écanique de la substance mus- culaire : du reste on peut suivre les
faisceaux
musculaires en train de se contracter tant vers
- v, ergot de 111oran. - Tp, Tapent RO, radiations optiques. - lli,
faisceau
longitudi- nal inferieur. Cal, scissure calcari
ngements longs des cellules nerveuses de la rétine formeraient deux
faisceaux
distincts : -. Les unes se termineraient par
ie postérieure de la capsule interne. Là, elles se condensent en un
faisceau
désigné sous les noms de radiations optiques de
- Ily, hypocampe. -Ta, tapetum. - RO, radiations optiques. - Fli,
faisceau
longitudinal inférieur. Cal, scissure calcarine.
rine. 454 CLINIQUE NERVEUSE. .postérieur de la couche optique, de
faisceau
optique intra- cérébral (Testut). ' A son ori
qui émanent du corps calleux. En dehors, il est en rapport avec le
faisceau
longitudinal inférieur, composé de fibres d'ass
du lobe Lem-, poral. D'abord compact et ramassé sur lui-même, le
faisceau
des radiations optiques va en s'élargissant, au
que, où les fibres consti- tuantes de cette voie sont tassées en un
faisceau
compact. Il faut donc admettre que, chez cette
le, pro- duira une hémianopsie homonyme, pour peu qu'il entame le
faisceau
optique intra-cérébral, représenté par les radia-
ppé à la suite d'une hémorrhagie de l'artère sylvienne, a entamé le
faisceau
des radiations optiques. Supposons qu'il en f
re sylvienne, de l'artère cérébrale moyenne, ayant retenti sur le
faisceau
cérébral optique, par voie de compression et d'is
elle dépend, intéresse la voie optique, en amont de la naissance du
faisceau
des radia- tions de Gratiolet. - Je vous rapp
v, ergot de Moran. - - Tp, Tapelum. - RO, radiations optiques. Fli,
faisceau
longitudi- nal inférieur. - Cal, scissure calca
gération de tous les réflexes tendineux, signe de Babinski. Le seul
faisceau
nettement dégénéré était le faisceau allant du
ux, signe de Babinski. Le seul faisceau nettement dégénéré était le
faisceau
allant du noyau rouge à l'olive cérébelleuse. L
croi- sées et de leurs rapports avec le TABLE DES MATIÈRES. J31
faisceau
de Gowers, par 0. Kohns- - tau,nn, 152. ltLec
muscles avoisinant le globe oculaire; dans les deux cas encore, les
faisceaux
musculaires en rapport immédiat avec les cicatr
e scientifique où les faits bien et sincèrement étudiés, groupés en
faisceau
pour conclure, sont les seuls arguments que l'o
és, le membre né reprendra sa force et son volume que lorsque les
faisceaux
musculaires se seront régénérés, et cette régéné-
ui appartiennent à la bandelette du même côté et du côté opposé, le
faisceau
direct occupant rigoureusement la périphérie ex
du tronc du nerf, de même que dans le chiasma et la bandelette. Le
faisceau
entre- croisé occupe le centre du nerf optique,
erveau et en dilate les capillaires. P. K. V. Du noyau externe du
faisceau
cunéiforme dans LE bulbe ; par L. 13LUfENAU. -
; par L. 13LUfENAU. - QUELQUES REMARQUES SUR LE noyau EXTERNE du
faisceau
cunéiforme; par le même. (Neurolog. Centralbl., 1
u externe en question appa- raît d'abord à la région bulbaire où le
faisceau
latéro-cérébelleux direct donne naissance à des
colonnes de Clarke réunissent les fibres des cordons postérieurs au
faisceau
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
UES. 107 latéro-cérébelleux. Il est même probable que les noyaux du
faisceau
cunéiforme sont en communication avec le corps
aru, celle du côté droit était rudimentaire. Les noyaux internes du
faisceau
cunéi- forme étaient bien développés; mais les
ériphérique de l'arc ré- flexe (nerf optique, nerf oculomoleur). Le
faisceau
des fibres lon- gitudinales qui couvre comme d'
glosse, pour longer plus tard les côtés du pneumogastrique, est un
faisceau
dorso-longitudinal ; à la hauleur du noyau de l'a
mpte quatre trous- seaux de fibres : 1° Le prolongement direct du
faisceau
dorso-longitudinal, occupe la région de l'infun
dans le corps de Luys, dans l'anse du noyau lenticulaire ; 3° Le
faisceau
dorso-longiludinal occupe la substance principale
gagne le segment latéral du pied du pédoncule cérébral et un autre
faisceau
, plus gros, qui va directement dans la couche o
s dugenou de la capsule. Cette raie, qui correspond à une partie du
faisceau
pyramidal de Flechsig, aboutit à la masse cicat
de la circonvolution temporale supé- rieure). La dégénérescence du
faisceau
latéral du pied du pédon- cule cérébral se ratt
Psychiat., XXIII, 1.) Observation de destruction chez l'enfant des
faisceaux
moteurs de la capsule interne. Le faisceau pyra
ction chez l'enfant des faisceaux moteurs de la capsule interne. Le
faisceau
pyramidal dans la protubérance, le bulbe, la mo
eur aspect normal, elles ne le cèdent point en grosseur à celles du
faisceau
normal. seulement elles sont moins abondantes d
t les régions privilégiées (périphérie des cordons postérieurs, des
faisceaux
de Goll, etc.). P. K. XIX. Démonstration A l'ac
tre-croisement de - Fore ! n'ont pas de rapports avec la rétine; le
faisceau
de Flechsig (allant de l'entre-croisement à la
aussi. Quant aux bandelettes optiques, le rapporteur n'admet pas de
faisceau
optiqué directe allant à l'écorce des hémisphèr
le corps géniculé interne. Il ne peut aussi observer l'existence du
faisceau
allant au ganglion habenulaë, que le D'' Darksc
au ganglion habenulaë, que le D'' Darkschevitsch envisage comme un
faisceau
de fibres optiques qui réunissent la rétine de
ns le «tegmentum»; une partie des fibres optiques, y parviennent en
faisceau
distinct que Gudden a décrit sous le nom de « t
affection spinale à évolution lente, qui occupant primitivement les
faisceaux
blancs ou les régions de la substance grise, au
la longue les cornes antérieures, retentit secondai- rement sur les
faisceaux
blancs, et en particulier sur les cordons latér
cceptée par tout le monde. Eh bien, je ne puis l'admettre malgré ce
faisceau
de preuves venant d'hommes compétents, et voici
sont le long supinateur, les deux muscles radiaux, ainsi qu'un des
faisceaux
de l'extenseur commun. Tous les autres muscles
prendre la place du tissu musculaire en voie de disparition. Les
faisceaux
neuro-musculaires sont tout il fait indemnes, il
ent des aires qui tranchent par leur couleur claire sur le reste du
faisceau
nerveux.. Leur forme est irrégulièrement ovoïde
ovoïde; elles sont situées sur une même partie de la périphérie des
faisceaux
nerveux, et regardent toutes du même côté, tant
it là d'un appareil de perfectionnement dont le rôle par rapport au
faisceau
primitif, serait identique à celui que joue la
dans la Revue scientifique. D'après M. l\Ietchnikofi' 2, dans les
faisceaux
musculaires, ce seraient les cellules musculair
stance contractile -- myoplasma s'entoure du plasma interstitiel du
faisceau
sarcoplasma ; celui-ci englobe et digère les fi
t auteur a constaté la formation de phagocytes : le sarcoplasma des
faisceaux
se différencie en cellules amiboïdes qui englob
issu conjonctif des muscles est remar- quable par la minceur de ses
faisceaux
; on y observe souvent des cellules adipeuses, e
ste cavité lymphatique cloison- née, dans laquelle sont plongés les
faisceaux
musculaires, de telle façon que c'est dans la l
tubérance; méningite spinale postérieure; faible dégénérescence des
faisceaux
de Goll avec dégénérescence marginale, dégénére
ui ont été faites jusqu'ici en ce que l'on y voit non seulement les
faisceaux
et leurs émanations avec les divers centres micro
tions qui existent à cet égard entre les fibres du segment interne (
faisceau
de Goll) et du segment externe (faisceau de Bur
fibres du segment interne (faisceau de Goll) et du segment externe (
faisceau
de Burdach) du cordon postérieur dans la moelle
eur dans la moelle dorsale et cervi- cale inférieure, les fibres du
faisceau
de Goll sont pourvues de leurs gaines myéliniqu
éliniques, aux mêmes époques et aux mêmes intervalles que celles du
faisceau
de Burdach. Or, dans le faisceau de Goll, il y
ux mêmes intervalles que celles du faisceau de Burdach. Or, dans le
faisceau
de Goll, il y a des fibres à long trajet; dans
dans le faisceau de Goll, il y a des fibres à long trajet; dans le
faisceau
de Burdach existent des fibres à court trajet;
régions dorsale et cervicale inférieure, la lésion occupe, dans le
faisceau
de Goll, un segment situé près de la cloison po
loison postérieure tandis qu'elle respecte le segment postérieur du
faisceau
de Burdach. Il est d'autres observations de tab
s des deuxième et troisième stades, lésée dans la partie moyenne du
faisceau
de Goll; il y a altération des segments postéri
du faisceau de Goll; il y a altération des segments postérieurs du
faisceau
de Burdach. Le tabès est donc aussi au point de
ou en fauchant) se rencontre dans les dégénérations descendantes du
faisceau
pyramidal. La marche bilatérale, rectiligne, no
st élevé à l'horizontale sans que l'omoplate bas- cule. On voit les
faisceaux
du deltoïde se contracter. De même on sent le g
on de l'odorat, de l'ouïe. Les premiers accom- pagnent la lésion du
faisceau
pyramidal ou manifestent l'alté- ration dynamiq
e; 5° la capsule interne ne prend aucune part à ce processus; 6° le
faisceau
d'association fronto-occipital, découvert par O
loi dans ces phénomènes, et que nous rassem- blions ces faits en un
faisceau
, en un groupe séparé, spécial. Mais ce n'est là
ces atfections, quoique différentes entre elles, appartiennent à un
faisceau
commun. Ce sont des ma- ladies de la première e
s qu'elle se partage dans la partie anté- rieure, orbitale, en deux
faisceaux
à peu près égaux, l'un plus (latéro-) ventral,
blesse il ritable d'origine psvcltu- motrice, par Fuerstner, 277.
Faisceau
cunéiforme, noyau externe du -, par Blumenau, 1
pyra- midales sont dégénérées, surtout dans la zone motrice. Les
faisceaux
pyramidaux sont également dégénérés sur tout leur
rcours; il existe un commencement d'altération dégénérative sur les
faisceaux
de Gowers. Les ventricules latéraux et le quatr
ssues des circonvolutions orbilaires, surtout de la latérale 4° les
faisceaux
d'association antéropostérieurs du lobe frontal
s issues de la base des petites pyramides commencent à se réunir en
faisceaux
qui passent en grossissant toujours entre les g
Gerlach lui-même, dans l'intrication fibrillaire des plus délicats
faisceaux
, Meynert n'a pu apercevoir qu'un feutrage, non
- ment où ces cellules se trouvent de la surface de l'écorce. Les
faisceaux
de fibres à myéline de l'écorce cérébrale n'avaie
. Dans la troisième couche, ces fibres commencent à se grouper en
faisceaux
descendants, quoique beaucoup d'entre elles se di
uge de la calotte, viennent alors les renforcer. L'auteur isole ces
faisceaux
des fibres qu'il considère comme autonomes et l
L'anse du noyau len- ticulaire se compose de trois parties : 1° le
faisceau
dorsal qui vient du putamen, traverse l'épaisse
s et se rend aux noyaux optiques antérieurs et inférieurs ; 2° Le
faisceau
moyen a la même origine et le même trajet à tra
écédent ; il pénètre dans la partie inférieure du corps de Luys. Ce
faisceau
a été considéré à tort par Stilling comme une r
tilling comme une racine de la bandelette optique. 3° Le volumineux
faisceau
antérieur (anse pédonculaire des auteurs) naît
ntérieurs de la couche optique en se confondant avec les fibres des
faisceaux
pré- cédents. La substance innommée de Meynert
DE l'homme; par P. FLECHSIC. (Neurolog. Centralbl.,XV, 1896.) Les
faisceaux
de la couronne rayonnante s'échappent générale-
certains de leurs segments font des détours remar- quables. 10 Le
faisceau
longitudinal inférieur de Burdach, connu sous l
ous le nom de système d'assooiation occipito-temporal, qui est le
faisceau
de la substance blanche du cerveau le plus tôt re
du lobe frontal, jusqu'à 2 il 3 centimètres du pôle frontal. 3° Le
faisceau
subcalleux contient des trousseaux des fibres de
es occipito-tem- poraux ; il ne s'y mêle qu'un très petit nombre de
faisceaux
de la couche des fibres arciformes. Il n'y a
as en haut, de sorte que dans le segment cervical, il n'y a que les
faisceaux
de Goll qui soient dégé- nérés ; on enpeutsuivr
s du bulbe. Celles des fibres dégénérées qui n'atteignent point les
faisceaux
de Goll s'arrêtent principalement au segment in
inférieur de la moelle. Les autres vont, sans interruption, par les
faisceaux
de Goll, dans les noyaux de ces derniers où elles
des fibres sensitives des racines de la moelle avec les noyaux des
faisceaux
de Goll. Les racines postérieures qui viennent
t de bas en haut, apparaîtra avant tout dans la zone radiculaire du
faisceau
de Burdach du segment transverse correspondant,
i sont donc, au point de vue anatomique, adé- quates aux noyaux des
faisceaux
de Goll. Les noyaux des fais- ceaux de Goll son
r, dans les régions plus élevées de la protubérance, s'appliquer au
faisceau
pyramidal; modifiant alors leur direction; ils
à côté du raphé, un trousseau de fibres, qui pourrait bien être le
faisceau
qui va du ruban Reil au pied ou étage inférieur
dons postérieurs. Il est également probable qu'elles constituent un
faisceau
commissural d'une longueur considérable. P. KÉR
par L. Schulmeister, de Vienne. P. K. IX. DE la dégénérescence DES
faisceaux
pyramidaux A la SUITE ' de l'extirpation unilat
s membres d'un côté détermine une dégénérescence très marquée des
faisceaux
du cordon latéral dans les pyramides du côté oppo
cordons, dont les prolongements nerveux constituent les fibres des
faisceaux
ou cordons antérieur, latéral et postérieur du
fibres qui dans des directions opposées vont se mêler aux fibres du
faisceau
tangentiel (Veratti). Les cellules spéciales
la substance blanche, où il devient une fibre nerveuse à myéline du
faisceau
de projection. Mais, pendant son trajet dans la
s ce sens. Au cas où ces fibres seraient l'irradiation terminale du
faisceau
sen- sitif, on connaîtrait le point du névraxe
velet, la partie interne de la moelle allongée), tantôt ce sont des
faisceaux
entiers (partie externe de la moelle allongée).
i entrent dans l'hémisphère gauche et participent à la formation de
faisceaux
commissuraux. De sorte que nous voyons partout
ères. 1 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXII.
Faisceau
pyramidal et maladie DE LITTLE par M. VAN GEHUCHT
un arrêt, ou à un retard momenlané dans la croissance des fibres du
faisceau
pyra- midal. Ces enfants sont des spasmodiques,
les étant en connexion avec nos organes périphériques par un double
faisceau
de fibres ner- veuses, centripètes ou sensitive
pe, grâce auxquels Tootk et Schultze ont pu décrire et localiser le
faisceau
GO en virgule » qui s'étend dans le cordon post
uvième vertèbre dorsale). Un doute per- sistait donc à savoir si ce
faisceau
de Schultze avait réellement sa terminaison en
lequel la région dorsale présentait la dégénérescence classique du
faisceau
en virgule et la région lombo-sacrée une bande
descendant déter- miné dans cette région. Mais était-ce la suite du
faisceau
en vir- gule ? 2 - MM. Bruce et Muir pensent
ite d'une lésion cervicale d'une part la dégénérescence continue du
faisceau
en virgule tout le long des régions cervicale e
se recourbant en avant pour pénétrer dans la substance grise. Or ce
faisceau
pouvait dans ce cas être pour- suivi en haut au
s ces parties supérieures beaucoup plus diffus. Il y aurait donc un
faisceau
descendant autre que le faisceau en virgule dan
p plus diffus. Il y aurait donc un faisceau descendant autre que le
faisceau
en virgule dans le cordon postérieur. Conclus
en virgule dans le cordon postérieur. Conclusions : 1° Il y a un
faisceau
descendant distinct dans le cordon postérieur à
distinct dans le cordon postérieur à la région lombo-sacrée; 2° ce
faisceau
existe aussi, mais irrégulièrement diffus au-de
base de la corne postérieure du même côté. Il est probable que ce
faisceau
n'est pas en continuité directe avec les fibres
ostérieures de la région correspon- dante, qu'il est indépendant du
faisceau
« en virgule » et du fais- ceau de Marie. Les f
mble correspondre dans sa position au champ ovale de Flechsig et au
faisceau
dorso-médian de Obers- teiner. Enfin on pourrai
faisceau dorso-médian de Obers- teiner. Enfin on pourrait l'appeler
faisceau
descendant septo-mar- ginal. F. 1301SSIER. XX
dégénération descendante du cordon de Lôwen- thal, autrement dit du
faisceau
marginal antérieur et de l'intermé- diaire laté
diaire latéral; 3° Vers le sixième jour commencent 2 dégénérer les
faisceaux
cérébelleux directs : la dégénération porte tou
re ; 4° Le septième jour apparaît la dégénération descendante des
faisceaux
pyramidaux latéraux; 5° Le maximum de développe
de Goll et de Lowenthal vers le huitième ou dizième jour, dans les
faisceaux
cérébelleux vers le quatorzième ou seizième jou
ale ou jacksonienne, par lésion en foyer des centres moteurs ou des
faisceaux
qui en émanent. Cette forme ne s'accompagne pas
ce. A noter une teinte grisâtre de deux cordons posté- rieurs et du
faisceau
pyramidal droit. Au point de vue des vais- seau
reuses et thermiques entourent le canal central et sont reliés au
faisceau
de Gowers, tandis que les conducteurs des sensati
ragies. La moelle lombaire est indemne. Dégénération descendante du
faisceau
pyramidal. Suivent des considérations générales
ne, démontre que les cordons postérieurs possèdent deux systèmes de
faisceaux
. Le premier système comprend les fibres des rac
bres de cordon. Chaque système occupe une place définie et forme un
faisceau
individualisé. Ainsi, le système radiculaire po
a moelle lombo-sacrée, il devient le centre ovale de Flechsig et le
faisceau
triangulaire de la région sacrée et du cône ter
bandelette périphérique dorso-lombaire ; centra ovale de Flechsig;
faisceau
triangulaire médian du cône terminal;, et des z
substance blanche de la moelle par Darkschewitschsch, 132. - des
faisceaux
pyramidaux à la suite de l'extirpation unilatér
tubercu- leuse spinale et - aiguë, par Jacobaus, 462. c LiTTLe.
Faisceau
pyramidal et ma- ladie de-, par van Gehuchten,3
on, 150. Nature des - cho- réiques, par Rousseau, 153. Pyramidal.
Faisceau
- et maladie de Little, par van Gehuc))t3n, 353
tème, non en même temps, mais par étapes successives, par séries de
faisceaux
de diverses sortes. On constate que la myéline
e que la myéline apparaît d'abord dans la partie antéro-externe des
faisceaux
de Burdach, qui limite la corne postérieure et
e). Elle se montre ensuite dans la portion postéro-périphérique des
faisceaux
de Burdach. Enfin, les faisceaux de Goll s'en t
portion postéro-périphérique des faisceaux de Burdach. Enfin, les
faisceaux
de Goll s'en trouvent pourvus. L'embryogénie des
t à ce que la lésion se localise d'abord à tel ou tel seg- ment des
faisceaux
de Burdach. P. K.. II. CONTRIBUTION A la connai
yramides, vers l'extrémité supé- rinire de cet entrecroisement, les
faisceaux
de Burdach donnent des fibres qui, en s'arquant
ème des olives et d'un nombre croissant de fibres réticulaires, les
faisceaux
des cordons postérieurs tracent ils travers la
ôté opposé des fibres issues du cordon postérieur (exclusivement du
faisceau
de Burdach ? ) une .petite partie des fibres du
rtie des fibres du cordon postérieur (exclusivement em- pruntées au
faisceau
de Goll ? ) arrive sous le nom de fibres ar- ci
oins de celles de l'acoustique et du trijumeau. (Ces deux sortes de
faisceaux
gagnent le verrais); 3° des fibres issues des o
sent dans le bulbe entrent toutes en rela- tion avec les noyaux des
faisceaux
grêles (de Goll) et cunéiformes de Burdach). De
noyaux émanent une série de tractus ascen- dants : 1° le noyau des
faisceaux
cunéiformes (Burdach) fournit des fibres qui ap
traversée,, et se terminent dans le ruban de Reil ; 2o le noyau des
faisceaux
grêles (Goll) donne un trousseau qui côtoie l'e
t de l'eutrecroissement supérieur des pyra- mides ou des noyaux des
faisceaux
grêles et cunéiformes. Les cordons postérieurs
fibres arciformes du bulbe, le 'pédoncule cérébelleux supérieur, le
faisceau
longitudinal pos- térieur, les fibres radicùlai
ées dans le raphé (Meynert), les connexions de l'acoustique avec le
faisceau
longitudinal postérieur (lieynert) et avec le p
eux lobes pariélo-occipltauX; dégéné- rescence des deux systèmes de
faisceaux
optiques y compris les deux nerfs. Par conséque
pport non avec le' lobe occipital, mais avec le lobe temporal ; les
faisceaux
de la couronne rayonnante, s'abouchent aux masses
vaisseaux, et l'existence de cellules granuleuses sur le trajet des
faisceaux
de Gratiolet depuis la perte de substance). En
ise de la cavité encéphalo-médullaire, immédiate- ment en dehors du
faisceau
longitudinal postérieur. Il occuperait donc de
t éviter de confondre ce cordon central de la calotte avec un petit
faisceau
visible dans les segments inférieurs de la prot
ts inférieurs de la protubérance, sis au-dessus mais contre lui; ce
faisceau
, pourvu de myéline bien plus tôt que le cordon
Les trousseaux de fibres, envoyés par la commissure postérieure au
faisceau
longitudinal postérieur, s'en- chevêtrent avec
re plus que quelques cellules du groupe antérieur collées contre le
faisceau
radiculaire le plus interne, et la partie posté
es aux cellules, ce qui doit tenir au développement remarquable des
faisceaux
pyra- midaux, tandis que chez le verrat de mer,
phie de la bandelette optique du côté opposé, .à l'exclusion de son
faisceau
non entre-croisé. Du reste, chez cet animal, le
ion de son faisceau non entre-croisé. Du reste, chez cet animal, le
faisceau
non entre-croisé est si petit et si peu importa
tubercule quadrijumeau antérieur, qui est le vrai centre visuel. Le
faisceau
pédonculaire transverse 1 s'atrophie quand le n
donne des résultats identiques, mais plus nets des deux côtés, les
faisceaux
non entre-croisés de la bandelette disparaissan
tituantes des hémisphères cérébraux. La bandelette olfactive est un
faisceau
de projection dans le sens de Meynert; ce qu'on
mblables recherches chez les chiens et les chats, mais chez eux les
faisceaux
optiques non entre-croisés sont trop puissants,
oujours, la base du lobe olfactif. L'autopsie révèle encore que les
faisceaux
pyramidaux sont complètement (lapin) ou incompl
suture coronaire, présenta identiquement les mêmes phénomènes; les
faisceaux
pyramidaux étaient radicalement atrophiés. Jamais
frontal, et cette ablation seule, entraîne l'atrophie complète des
faisceaux
pyramidaux. L'ablation des lobes pariétaux et occ
ne lésant que le moins possible l'écorce, d'agir sur les centres et
faisceaux
qui dépendent d'elle et, par conséquent, de se
s cetteintervention, des effets de la destruction de ces centres et
faisceaux
sur l'écorce. C'était un pas de plus, des nerfs à
psule interne, et d'abord dans sa partie moyenne, en plein dans les
faisceaux
pyramidaux. J'y ai réussi, ainsi que le prouven
IÉTÉS SAVANTES. présentait plus d'intact qu'un tout petit reste des
faisceaux
pyra- midaux, l'écorce cérébrale révélait une a
ait réussi par lésion du lobe frontal à atrophier radica- lement le
faisceau
pyramidal, les grandes cellules pyramidales s'é
à l'étude de l'anatomie fine permet de distinguer les principaux
faisceaux
de fibres qui parcourent les diverses parties de
9 et smv., 1879, et G. Ballet, Re- cherches a2tat. et clin, sur le
faisceau
sensitif. Pans, 1881. 180 PATHOLOGIE NERVEUSE.
viennent aboutir sans doute des fibres pédonculaires appartenant au
faisceau
sen- sitif occupe le même point qu'un centre mo
! ceaM MKS/< ? 'Voir G. Ballet. Rech. anat. et cliniques sur le
faisceau
sensitif, 1881, et Cli. l'Wé. Ti-aité élément,
pénétrant en Au suit le trajet in- tracérébral bmp appartenant' au
faisceau
sensitif; en mp, il y a formation des images or
une lésion des cordons postérieurs à disposition spéciale, entreles
faisceaux
de Goll et les faisceaux de Burdach (v. le text
stérieurs à disposition spéciale, entreles faisceaux de Goll et les
faisceaux
de Burdach (v. le texte) du haut en bas de la m
ro- fuses surtout autour de la corne postérieure gauche, dans les
faisceaux
pyramidaux des cordons latéraux et dans les faisc
che, dans les faisceaux pyramidaux des cordons latéraux et dans les
faisceaux
cunéiformes externes; tuméfaction des fibres ne
a parole jusqu'au centre des images orales (fibres appartenant au
faisceau
cérébral sensitif). Il sera toujours bon, pour
aboutissant au centre auditif des mots doivent appartenir toutes au
faisceau
sensitif et doivent être très voisines les unes
n doit attribuer cette surdité verbale à une lésion de la partie du
faisceau
sensitif affectée à la conduction de la parole
ITS OBSERVATION DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE SANS LÉSION DU
FAISCEAU
PYRAMIDAL AU NIVEAU DES PÉDONCULES; Par Pierr
Tronc. Les pectoraux sont diminués de volume, surtout dans leurs
faisceaux
claviculaires, mais forment encore une saillie tr
vions tout particulière- ment insisté sur ce que la dégénération du
faisceau
pyramidal existait aussi bien dans le cerveau q
faitement nettes'. Il semble donc au premier abord que la lésion du
faisceau
pyramidal siège uniquement dans le trajet médul
té et remontant progressivement, on comprendrait que les lésions du
faisceau
pyramidal fussent d'abord visibles dans la moel
niennes surtout) , puis des deux nerfs optiques. La destruction des
faisceaux
blancs émanés du lobe temporal a provoqué l'atr
e des cordons de Goll avec exten- sion consécutive, selon les longs
faisceaux
centripètes, vers les racines. Les douleurs lan
térieure et inférieure; l'autre postérieure et supérieure. Ces deux
faisceaux
se. distinguent par le caractère de leurs tubes
tableausuivant : La portion moindre de la coupe, correspondant au
faisceau
du nerf localisé à la région supérieure et pos-
nèvre, et l'endonèvre, se présentait en forme de trabécules et de
faisceaux
parcourant par endroits la coupe transversale d
tif diffère tant soit peu d'avec la précédente. Les cloisons et les
faisceaux
en sont plus courts et ne contiennenent guère d
vées dans le tronc du nerf auditif, correspondent, la première au
faisceau
du nerf vestibulaire, la seconde au faisceau du
ondent, la première au faisceau du nerf vestibulaire, la seconde au
faisceau
du nerf cochléaire. Sur les coupes du tronc, pr
de tissu cunjonctif de plus en plus accentuée, qui sépare les deux
faisceaux
de fibres nerveuses. Immédiatement avant l'entr
ison se renforce encore davan- tage, et sépare entièrement les deux
faisceaux
en deux nerfs bien distincts (PL. V, g. 5), d'u
nerfs bien distincts (PL. V, g. 5), d'un volume presque, égal. Le
faisceau
supéro-postérieur se compose de tubes nerveux a
y a plus de fibres nerveuses transversales. 9- Pour ce qui est du
faisceau
antérieur et inférieur,' il se compose exacteme
s (PL. V, f. 6 et 7), autrement dit, se trouvent toujours dans le
faisceau
du nerf vestibulaire. Il arrive cepen- dant que
laire. Il arrive cepen- dant que l'îlot s'approche plus ou moins du
faisceau
à fibres grêles (le nerf cochléaire); mais dans
ANATOMIE. nerveuses longitudinales éparses, en formant de minces
faisceaux
. Le second réseau, dit nerveux, est constitué p
les ganglionnaires, contenus dans le tronc du nerf auditif (dans le
faisceau
vestibulaire), se trouve en re- lation directe
es. J'ai déjà fait observer que les grosses fibres ner- veuses du
faisceau
postérieur et supérieur du nerf au- ditif, s'am
en conservant une diffé- rence marquée d'avec les fibres grêles du
faisceau
an- térieur et inférieur. Notons que l'aminciss
ans les ganglions microscopiques enclavés dans le nerf au- ditif (
faisceau
vestibulaire); 2° que d'après Schwalbe' et plus
ansversale du tronc du nerf auditif traitée par le picro-carminate.
Faisceau
postérieur supérieur montrantdes tubes nerveux
orés vivement. Fig. 2.-3/7 Hart. : Trois tubes nerveux à myéline du
faisceau
postérieur supérieur du nerf auditif soumis à l
sversale du tronc du nerf auditif trai- tée par le picro-carminate.
Faisceau
antéro-inférieur montrant des tubes nerveux de
sversale du tronc du nerf auditif trai- tée par le picro-carminate.
Faisceau
postéro-supérieur montrant parmi Archives de ph
uvait être dueàuno lésion ducentre ovale, si eelle-ci correspond au
faisceau
pédiculo-frontal inférieur. N'a-t-on pas quelqu
t amincie ; et sur le plancher de cette cavité, on voit se lever un
faisceau
de vaisseaux sanguins. (Fig. 10). Sur la coupe
leuse localisée, surtout aux cordons postérieurs, à l'exclusion des
faisceaux
de Goll, mais atteignant principale- ment les r
s préparations de Uiiusmu et bandelette optique dans lesquelles les
faisceaux
non croisés sont les plus nombreux ; puis vienn
adrijumeaux et à la racine descendante, où se rendent également des
faisceaux
croisés et non croisés ; mais l'auteur n'a pu l
ettent d'attribuer la sensibilité. Inversement l'interrup- tion des
faisceaux
moteurs, la moelle segmentée conservant, dans les
ndant un temps assez long. Cette action conservatrice exclusive des
faisceaux
nerveux moteurs, émanerait des plaques terminal
de anatomique des nerfs optiques, du chiasma, des bandelettes et du
faisceau
sensitif de la capsule interne ne ' 22 338 RE
Dl Bumm fournit la preuve expérimentale et ophthalmoscopique que le
faisceau
non croisé de ce système REVUE d'anatomie. 3t5
ibres dans les noyaux du 4° ventricule, il conclut en disant que le
faisceau
en question représente un trajet direct entre l
t entrepris une série d'expériences dans le but de déterminer si ce
faisceau
subissait la décussation, et dans ce cas où cel
autres enfin vont former la partie externe du pied du pédoncule, le
faisceau
sensitif de Tiirck. Ce dernier faisceau peut êt
ne du pied du pédoncule, le faisceau sensitif de Tiirck. Ce dernier
faisceau
peut être suivi dans la partie externe et infér
partie externe et inférieure du pont de Varole; il se distingue des
faisceaux
moteurs en ce que ses fibres au lieu d'être rec
pied du pédoncule. Du tubercule quadrijumeau postérieur sortent des
faisceaux
qui vont dans la partie externe du pied du pédo
la partie externe du pied du pédoncule, immédiatement en dedans du
faisceau
de Tiirck. Presque toute la partie interne du p
capsule interne et du noyau lenticulaire du corps strié. Tous les
faisceaux
qui passent du tegmentum dans le pes du pédoncu
° du tubercule quadrijumeau postérieur, 4° du pied du pédoncule. Le
faisceau
de Türck est tout à fait libre de toute connexi
cas où l'on observe une certaine rigidité musculaire (scléroses du
faisceau
pyramidal primitives ou con- sécutives, contrac
1. Mmrninc ophthalmique, liar Cli. Féré, 331. Moelle allongée (
faisceau
longitu- tlmnl postérieur de la calotte dans
ansversale du tronc du neif auditif traitée par le picro-carnmaate.
Faisceau
postétteur supérieur montrant des tubes nerveux
nsversale du tronc du nerf auditif trai- tée par le hicro-carmmate.
Faisceau
iiloiitrliit des tubes nerveux de diverse dimen
e picro-carmin. Fit. fi. 3/7Hart. : Deux tubes nerveux à mvéline du
faisceau
antéro- inférieur du nerf acoustique soumis l'a
sversale du tronc du nerf auditif trai- tée par le picro-cainmiate.
Faisceau
postéro-supéiieur montrant parmi des tubes nerv
plus de tendance aux mono- plégies, c'est parce que le diamètre du
faisceau
conducteur brachial, crural, etc., va en croiss
presqu'en totalité par des fibrilles termi- nales (collatérales des
faisceaux
pyramidaux) qui mettent en 54 REVUE D'ANATOMIE
ont en rapport direct seulement avec les fibrilles collatérales des
faisceaux
pyramidaux : tandis que le groupe postéro latér
se dans la direction dorsale à partir du corps trapézoïdal, avec le
faisceau
identique du côté opposé et se termine en parti
t une partie des cornes antérieures. Dégénérescence descendante des
faisceaux
latéraux. Je ne me dissimulai pas que l'ensembl
complètement isolé, de tissu néopla- sique diffus. A ce niveau, le
faisceau
latéral profond est envahi, à gauche, par l'inf
en arrière, à gauche de la scissure postérieure. Dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux. DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOEL
on diffuse rayonne dans les cordons postérieurs. Dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux. 110 PATHOLOGIE NERVEUSE. La figur
ent etètirement des cornes à son pourtour. Dégénérescence intense des
faisceaux
pyramidaux croisés et des faisceaux cerebelleux
our. Dégénérescence intense des faisceaux pyramidaux croisés et des
faisceaux
cerebelleux directs; dégénérescence moins visible
des faisceaux cerebelleux directs; dégénérescence moins visible des
faisceaux
de Gowers. DES TUMEURS NÉVROGL1QUES DE LA MOELL
s, et les zones radiculaires des deux côtés. La partie profonde des
faisceaux
laté- raux est même envahie, surtout à droite ;
ent la périphérie de la tumeur est cir- conscrite par de semblables
faisceaux
qui se disposent en cercles plus ou moins paral
bre de trou ou quatre, pour cheminer dans le tissu néoplasique; ces
faisceaux
vasculaires sont accompagnés d'une gaine conjon
rer perpendiculaire- ment à la face externe de cette membrane ; les
faisceaux
conjonctifs au contraire. lui sont parallèles e
ieure n'est détruite que dans la région cer- vicale supérieure. Les
faisceaux
pyramidaux sont atteints par l'in- filtration d
les effets de l,a compression, amène une dégé- nération intense des
faisceaux
pyramidaux dans toute l'étendue de la moelle.
e des faisceaux pyramidaux dans toute l'étendue de la moelle. Les
faisceaux
pyramidaux directs sont parfaitement intacts. L
. Les faisceaux pyramidaux directs sont parfaitement intacts. Les
faisceaux
latéraux profonds sont naturellement lésés de l
sion ne parait pas donner lieu à une dégénérescence secondaire. Les
faisceaux
postérieurs sont complètement détruits vers la
u noyau grêle. Un peu plus haut toute trace de dégénérescence de ce
faisceau
disparait com- plètement. Au contraire la scl
ce faisceau disparait com- plètement. Au contraire la sclérose du
faisceau
cunéiforme, qui est aussi absolument totale, re
t complètement qu'un peu au-dessus du bec du calamus. Du noyau du
faisceau
cunéiforme partent également, en avant, des fibre
s exlernes (fig. 12). On remarquera com- bien cette dégénération du
faisceau
cunéiforme, produite par une destruction très h
e l'entre-croisement du ruban de Reil. Dégénérescence ascendante du
faisceau
grêle, du faisceau cunéiforme, dans sa totalité
t du ruban de Reil. Dégénérescence ascendante du faisceau grêle, du
faisceau
cunéiforme, dans sa totalité, et du faisceau la
du faisceau grêle, du faisceau cunéiforme, dans sa totalité, et du
faisceau
latéral du bulbe (faisceau cérébelleux direct e
ceau cunéiforme, dans sa totalité, et du faisceau latéral du bulbe (
faisceau
cérébelleux direct et faisceau de Gowers). DE
té, et du faisceau latéral du bulbe (faisceau cérébelleux direct et
faisceau
de Gowers). DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOEL
. Enfin, ainsi qu'on peut le voir sur les figures précédentes, le
faisceau
cérébelleux direct est le siège d'une sclérose in
plètement détruite à gauche et fortement entamée à droite. Quant au
faisceau
de Gowers, il participe large- ment à cette scl
rtout dans sa portion postérieure. Au niveau du collet du bulbe, le
faisceau
cérébelleux direct et le fais- ceau de Gowers s
atement en avant de la racine ascendante du trijumeau : c'est là le
faisceau
latéral du bulbe. En remontant dans le bulbe, o
nes postérieures. Pour terminer ce qui a trait à la physiologie des
faisceaux
ascendants, je ferai remarquer que rien dans le
f' , '1 .<. u '" 'j..1 ,t l, Il 1 1 La lésion considérable du
faisceau
pyramidal, attaqué direc- tement à la région' c
d'articulation .verbale. On pourrait aussi penser à [une lésion des
faisceaux
qui joignent les centres des images d'articula-
nce des fibres de la substance blanche du lobe frontal gauche et du
faisceau
d'association sous-jacent à la circonvolution de
4° des filets nerveux amyéliniques qui forment des feutrages ou des
faisceaux
serrés. - 1 - 1 , , . , , 'Les cellules ganglio
formé exclusivement par' des filaments nerveux isolés ou groupés en
faisceaux
. Neuroblastes dessé- minés. Inclusion à la para
le externe, et je n'ai pas pu m'assurer si elle répond au trajet du
faisceau
unciforme, comme son siège pourrait le faire supp
ion de l'ourlet. Ce prolongement occupe très exactement la place du
faisceau
d'as- sociation longitudinal qui est sous-jacen
sphère que celle du cingulum ; cette dégénéres- cence montre que ce
faisceau
d'association part de la face interne du lobe f
ion de la maladie permet donc de préciser et de dire que différents
faisceaux
sont atteints. Ce n'est qu'à l'égard des cordons
avoir exclu ceux de sclérose disséminée, affec- tions combinées des
faisceaux
de la moelle, etc. '} - M. Jolly vient de dire
ient de ranger sous ce nom, comme l'a fait Vulpian, les lésions des
faisceaux
de la moelle; sans doute l'idée du système phys
de Clarke, atrophie du cordon pos- térieur gauche, mais limitée au
faisceau
de Burdach; intégrité du faisceau de Goll dans
térieur gauche, mais limitée au faisceau de Burdach; intégrité du
faisceau
de Goll dans la moelle cervicale et dorsale. L'
e l'hypoglosse; 6, parolive antérieure; - 7, parolive postérieure; 8,
faisceau
grêle de Pierret (slender column de Clarke); 9,
e; 10, émergence du tronc du pneumogastrique; Il, pyramide avec ses
faisceaux
conjonctifs antéro-pos- térieurs. SUR UNE LÉS
tre en évidence leurs altérations (fig. 36). On y reconnaît en 8 le
faisceau
solitaire de Stilling, en 9 l'olive malade, en
. Coupe au niveau de la partie supérieure de la protubérance. . 1
faisceaux
nerveux des voies pyramidales; 2, 2', faisceaux t
a protubérance. . 1 faisceaux nerveux des voies pyramidales; 2, 2',
faisceaux
transversaux sclérosés. SUR UNE LÉSION SYSTÉMAT
udroyante en quatre semaines. Autopsie. Dégénérescence marginale du
faisceau
pyramidal. Après une étude critique approfondie
e rayonnante et se diri- gent en bas dans la capsule interne et les
faisceaux
pédonculaires. 5° Sous le corps calleux, on peu
des fibres nerveuses et, par suite, pour l'élude expérimentale des
faisceaux
conducteurs et systèmes, voici en quoi il consist
cence secondaire est en tout semblable à celle qui se voit dans les
faisceaux
pyramidaux; en outre de celle-ci, il y a des lé
-dessous de ce trous- seau, un peu plus en avant, on constate trois
faisceaux
qui se dirigent en dedans. L'un va dans le bras
ues sus-jacent à celui du coin et du lobule lingual. Entre ces deux
faisceaux
blancs il existe une zone de transition qui con
lulaire correspondant. Dans la couronne rayonnante, on retrouve les
faisceaux
de fibres qui vont des centres corticaux aux gr
ion refuse la question motrice à la zone rolandique et admet que le
faisceau
pyramidal n'est pas efférant, mais bien indiffé
e, ert,avaut..il est limité. en arrière par la partiel externe'' du
faisceau
longitudino-dorsal de Schutz ? -jen dehors, par
paré pari deux trousseaux'dé fibres. Un, de ces trousseaux vient du
faisceau
longi- ludino-dorsal(fibresradiaires-,de; Seliu
sse, le noyau dorsal est situé entre le noyau de l'hypoglosse et le
faisceau
longitudino-dorsal. Son volume augmente en mont
antérieur.de la, glande pinéale..Le gan- glion de l'habénule et les
faisceaux
de Meynert qui se, confondent avec lui, sont, d
bservation. Fibres musculaires épaissies, très faciles à dissocier;
faisceaux
primitifs durs, raides, très résis- tants à la
flés, incisés, sil- lonnés, fissures sur les bords et les faces des
faisceaux
, corpuscules cellulaires rappelant les noyaux d
iagnostique : tumeur cérébrale avec com- pression et excitation des
faisceaux
pyramidaux. On trouve un gliome de la glande pi
u pédoncule et la pyramide du côté opposé d'où elle descend dans le
faisceau
pyramidal du cordon latéral de la moelle : cet
ent est caractéristique, il-contraste nettement avec l'intégrité du
faisceau
sain. Par conséquent, en respectant les fibres
à la même région par un système spécial ; le centre cortical et sou
faisceau
pyramidal ont bien réellement une fonction motr
ration. Dans ces trois cas, on ne trouve que la dé- générescence du
faisceau
pyramidal qui, après s'être entre-croisé, gague
amidal qui, après s'être entre-croisé, gague le cordon latéral ; le
faisceau
pyramidal non entre-croisé est demeuré intact,
cence secondaire ascendante dans les cordons laté- raux en avant du
faisceau
pyramidal. Il s'agit d'un cas de frac- ture ave
cordon lésé est des plus épais en avant du point de contiguïté du
faisceau
latéro-pyramidal et du faisceau latéro-cérébelleu
en avant du point de contiguïté du faisceau latéro-pyramidal et du
faisceau
latéro-cérébelleux. Voici 90 REVUE D'ANATOMIE E
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. comment Gowers décrit le trajet de son
faisceau
cantéro-latéral ascendant : 1° A la partie su
e la région cervicale, à la hauteur de Ja troisième paire, là où le
faisceau
cérébelleux est fort en avant, où aussi le fais
paire, là où le faisceau cérébelleux est fort en avant, où aussi le
faisceau
pyramidal gagne, derrière lui Ja superficie, le
ù aussi le faisceau pyramidal gagne, derrière lui Ja superficie, le
faisceau
autéro-ldteral ascendant occupe la même situation
me situation que beaucoup plus bas, mais il s'étend encore entre le
faisceau
céré- belleux et le faisceau pyramidal, comme u
s bas, mais il s'étend encore entre le faisceau céré- belleux et le
faisceau
pyramidal, comme un ruban très mince, presque j
esque jusqu'à la surface de la moelle ; 2° A la région lombaire, le
faisceau
antéru-latéral ascendant est en entier contenu
ascendant est en entier contenu dans le cordon latéral en avant du
faisceau
pyramidal. Il forme un long ruban à la hauteur
de la queue de cheval, l'auteur ne put trouver la dégénérescence du
faisceau
antéro-latéral ascendant. P. KERAVAL.. XIII. Ex
a glande pinéale au noyau supérieur de l'ocu- lomoteur commun et au
faisceau
longitudinal supérieur Le sys- tème dorsal repr
'hypoglosse, contient aux diverses phases du développement, avec le
faisceau
longitudinal postérieur, des fibres longitudinale
e champ externe du bulbe forment les fibres les plus supérieures du
faisceau
lon- gitudinal supérieur à peine plus de l'imit
ss signale l'atrophie de la base de la corne postérieure cervicale (
faisceaux
d'irradiation et fin reliculum), ainsi que la d
nées : 1° de la capsule in- terne ; 2° des strioe medullares; 3° du
faisceau
de Meynert; 4° de la bandelette optique; 5° de
ers la pro- tubérance et le long des fibres pyramidales, gagnant le
faisceau
de Turck gauche et le cordon latéral droit. L'i
somme toute, relativement faibles. A rapprocher de ce fait que les
faisceaux
latéro-pyramidaux ne se développent que très ta
5). Voici la confirmation du diagnostic. Les cordons de Goll et les
faisceaux
pyramidaux témoignent d'une sorte d'arrêt de dé
muscles jambier antérieur, extenseur commun des orteils (sauf le
faisceau
du deuxième) extenseur propre du gros orteil, cou
Secousses fibrillaires fréquentes et contraction isolée de quelques
faisceaux
musculaires. - Sens musculaire affaibli des deu
toïde,qui se développe à la suite des scléroses sys- tématiques des
faisceaux
pyramidaux. Ils ont la même ampli- ; tude, la.
t envoie en bas à travers la capsule interne et la calotte un autre
faisceau
de fibres au centre de la moelle. Ce centre vés
n'a décidément rien à voir avec le corps calleux ; il appartient au
faisceau
longitudinal supérieur. L'obser- vation est en
ntérieure, la dissociation de la circonvolution du corps calleux en
faisceaux
radiés, l'absence complète des nerfs de Lancisi
XVI, p. 70). M. A Cramer (d'Eberswalde) a retrouvé dans le bulbe le
faisceau
anormal décrit par A. Ylctt. Il présente des pi
anormal décrit par A. Ylctt. Il présente des pièces à l'appui. Ce
faisceau
commence à l'extrémité supérieure de l'entrecrois
n noyau nerveux, avec aucune racine, il se distingue nette- ment du
faisceau
solitaire lui-même très apparent. Il représente
te la hauteur de l'écorce, des fibres myéliniques indépendantes des
faisceaux
ascen- dants de la substance blanche dans les c
a lésion n'y manque jamais, surtout dans le gyrus rectus. Enfin les
faisceaux
ascendants sont, quand l'alté- ration en questi
he vient de la partie antérieure de cette écorce. Enfin, quelques
faisceaux
provenant de la moelle ne s'arrêtent pas à la s
space perforé, elle est, d'au- tres fois, réduite à quelques petits
faisceaux
; mais ces faisceaux sont toujours très apparen
, d'au- tres fois, réduite à quelques petits faisceaux ; mais ces
faisceaux
sont toujours très apparents et très faciles à
plantations des filets olfactifs sur son bord antérieur. Tous les
faisceaux
provenant des nerfs olfactif vont donc aboutir
n réalité que la partie apparente, superficielle d'un ensemble de
faisceaux
profonds qui se continuent soit avec les fibres
'à cette surface on ajoute : 1° la bande diagonale, qui n'est qu'un
faisceau
destiné à raccorder la zone radiculaire aux dif
iculaires dans le cordon posté- rieur gagne sur la ligne médiane le
faisceau
de Goll ; la section des racines du plexus brac
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. n'est que coutiguë au
faisceau
de G011. Dansles parties supérieures de la moel
ieures de la moitié supérieure du corps ne se prolonge que dans les
faisceaux
de Burdach. La résection unilatérale des racines
exe. P. K. XLIX. Un cas DE DÉGÉNÉRESCENCE secondaire descendante DU
faisceau
EXTERNE DU PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL ; par C.
sque profondément dans la moelle cervicale et en descendant dans le
faisceau
postérieur latéral du côté opposé. Obs. de Jelg
mogastrique et du glosso-pharyngien, du noyau de l'hypoglosse, du
faisceau
solitaire. P. K. LUI. UN KJNÉS1OESTHÉSIOMÈTRE a
xes cutanés et tendineux basée sur la nature fonctionnelle des deux
faisceaux
pyramidal et intra pyramidal ; par le Dur IIELD
nten- ses dans le troisième segment cervical, et avec agénésie du
faisceau
pyramidal pouvant être suivie jusque dans la régi
e des leucocytes polynucléaires. Lestroma choroïdien, très riche en
faisceaux
de fibres conjoncti- ves, et en cellules fortem
ue typique, et la maladie de Basedow symp- tomatique, par lésion du
faisceau
solitaire ( ? ) : 3 cas. P. Keraval. XV. Obse
au contraire très commun et très intense dans les cas de lésion du
faisceau
pyramidal. Il est fréquent aussi chez le nouvea
aisceau pyramidal. Il est fréquent aussi chez le nouveau né dont le
faisceau
pvramidat est encre incomplètement développé. C
es nettement applicables à l'exception de la double dégénération du
faisceau
de lülweg. Ces altérations limitées aux olives
ux olives ne sont pas en rapport avec des lésions du cervelet ou du
faisceau
central de la calotte, il ne s'agit pas là de t
ait excepi ioiinelles. Madame Dnai : nmE fait observer que quand le
faisceau
central de la calotte est lésé, la dégénérescen
même valeur que chez l'adulte SOCIÉTÉS SAVANTES. 181 parce que le
faisceau
pyramidal à peine achevé parait être beau- coup
aire dans presque tous les cas un retard dans le développe- ment du
faisceau
pyramidal. 4° C'est vers 5 ou 6 mois que semble
des nouveaux- nés : tous deux marquant l'incomplet développement du
faisceau
pyramidal et, s'il se prolonge, constituent le
es tubercules quadrijumeaux supérieurs (contra Majano), ni par le
faisceau
longitudinal postérieur du noyau d'origine du ner
tronc du nerf facial est formé exclusivement de fibres directes. Le
faisceau
de fibres nerveuses que la plupart des auteurs
après entrecroisement dans le raphé, des fibres constituantes du
faisceau
longitudinal postérieur. Nerf pneumogastrique.
ormé exclusivement de fibres directes. Celles-ci, réunies en petits
faisceaux
distincts, sortent de la face latérale de la mo
e apparente jus- qu'à leur origine réelle, on voit que chaque petit
faisceau
de fibres radiculaires traverse transversalemen
es en trois ou quatre petits fascicules nettement distincts. De ces
faisceaux
radi- culaires à direction verticale, part ensu
aires à direction verticale, part ensuite un nombre considérable de
faisceaux
plus petits, à direction antéro-postérieure pouva
end que l'altération puisse gagner en profon- deur et atteindre les
faisceaux
pyramidaux ; c'est sans doute ce qui a pu donne
scles du visage qui entrent en jeu : quelques fibrilles de l'un, un
faisceau
de l'autre, un troisième en totalité. Les contr
gré de la lésion ; quand elle présente l'aspect flou, on trouve les
faisceaux
de fibres ner- veuses à peu près intacts simple
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. une courbe transversale, constituent un
faisceau
de rayons ayant pour centre les confins de la s
e du canal encéphalomédullaire, envoient quelques-unes des leurs au
faisceau
longitudinal postérieur ainsi qu'aux noyaux de
de Stilling : elles se collent, à l'intérieur du cerveau moyen, au
faisceau
de Monakowissu de l'entrecroisement anténeur de l
ntrecroisement anténeur de la calotte de Forel, et arrivent avec ce
faisceau
au cordon latéral de la moelle. C'est l'origine
sceau au cordon latéral de la moelle. C'est l'origine thalamique du
faisceau
de. Nloiiiilom,, ou voie thalamique du eorclon
inférieure assez bien conservées : à ce niveau on voit de puissants
faisceaux
arqués pénétrer du cordon postérieur dans la co
t antérolatéral de la moelle cervicale, par V. de ËKCHTE- REw. * Le
faisceau
d'Helweg, par H. Obersteiner. (1 ? 2(OOLU, Cent
Helweg, par H. Obersteiner. (1 ? 2(OOLU, Centralbl. XX. 1901). Le
faisceau
olivaire de 13echterew, faisceau triangulaire d'f
2(OOLU, Centralbl. XX. 1901). Le faisceau olivaire de 13echterew,
faisceau
triangulaire d'fiel- weg (voy. Archives de Neur
(voy. Archives de Neurologie 189;), t. XXX, p. 15'r) : n'est pas un
faisceau
ascendant, c'est un faisceau descendant, comme en
189;), t. XXX, p. 15'r) : n'est pas un faisceau ascendant, c'est un
faisceau
descendant, comme en témoignent les observation
érieures; mais il eu est voisin, et par suite, mieux vaut l'appeler
faisceau
périoliaaire. Ses rapports avec les olives en q
al et de l'oculomoteur externe s'accompagner de dégénérescence du
faisceau
central de la calotte, de la grosse olive et du s
es qui nous intéresse (Meyer), du côté correrpoudaut au l'oyei ; ce
faisceau
a encore été trouvé dégénéré en un cas d'hémorrha
tus de fibres qui, dans la région protubérantielle, était à côté du
faisceau
pyramidal, et plus bas descendait à la moelle e
et plus bas descendait à la moelle en dehors des grosses olives. Ce
faisceau
n'a en tout cas pas de relation avec le faisceau
grosses olives. Ce faisceau n'a en tout cas pas de relation avec le
faisceau
pyra- midal, car il se revêt de fibres myéliniq
is que celui-ci se compose de fibres myétiniques assez épaisses, le
faisceau
périolivaire contient des libres extrême- ment
fournit une nouvelle observation de dégénéres- cence descendante du
faisceau
d'tletweg. Il s'agit d'une tumeur sphérique de
-ci (ligures). L'analyse montre une dégénérescence descen- dénte du
faisceau
d'ileiweg : on la peut suivre jusqu'au début de
postérieur, seraient des fibres descendantes appartenant à l'olive (
faisceau
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
OGIQUES. 433 central de la calotte` ? ), plutôt que des éléments du
faisceau
d'Hel- weg. P. Keraval. XXX. Coloration des c
e foyers superficiels et un peu plus profonds. La dégénérescence du
faisceau
pyramidal, nette, mais peu intense, cesse à l'e
com- plètement. Le bulbe présente uniquement la dégénérescence du
faisceau
pyramidal correspondant : intégrité du ruban de R
cet organe (iloclie). Dégénérescence étendue mais non profonde du
faisceau
pyramidal droit de la protubérance : un très gran
t la ligne médiane pour se perdre entre les trousseaux de fibres du
faisceau
pyramidal du côté opposé. Le genou et la bran
dégénérescence habituelle des hémi- plégies, bien que les fibres du
faisceau
pyramidal destinées au membre inférieur n'aient
Ce tissu est constitué, d'une façon assez homogène, surtout bar des
faisceaux
conjonctifs adultes. La plupart de ces faisceaux'
remarquable par la densité de sa fibrose et par l'importance de ses
faisceaux
conjonctifs, plus hyperplasiés que dans les sim
stitue des granulations isolées,' placées bout à bout à travers les
faisceaux
conjonctifs,et souvent prédominantes dans la zo
masses granuleuses. Plus rarement, elles constituent de véritables
faisceaux
plus ou moins denses, des bandes, des placards,
évroglique contenant encore un certain nombre de tubes nerveux. Les
faisceaux
conjoncttfs de cette sclé- rose sont pour la pl
le cordon antéro-latéral, la dégénérescence également secondaire du
faisceau
cérébelleux direct, et la dégé- nérescence rétr
. 11ÉM1SECTI0N TRAUMATIQUE DE LA MOELLE. 477 Nous avons vu que le
faisceau
pyramidal du côté droit était L dégénéré au-des
tion des réflexes allant jusqu'à l'opportunité de contracture.- Les
faisceaux
posté- rieurs et les faisceaux cérébelleux dire
à l'opportunité de contracture.- Les faisceaux posté- rieurs et les
faisceaux
cérébelleux directs ont présenté, comme c'est l
rattachée à une lésion siégeant à la protubérance et intéressant le
faisceau
pyra- midal (signe de l'abduction des orteils d
- de l'ouïe chez un paralytique général, par Vallon, 526. Z Le
faisceau
d' par Ober- steiner, 432. IIÉ611CÉPH1LIE. Vo
s t,t tendineux. rie ries - basée sur la nature fonctionnelle des
faisceaux
pyra- midal et-intra-pyramidal, par Ileldenbe
nerveuses qui constituent la papille apparaissent bien groupées en
faisceaux
du côté interne et elles ne semblent pas LE FON
gine sclérotique est formée, comme à l'état normal, par de nombreux
faisceaux
de fibres conjonctives ne semblant pas présente
njonctives ne semblant pas présenter d'altérations notables, et les
faisceaux
de fibres nerveuses qui la traversent ne nous sem
nt, se trouvent rangées en séries le long de la surface externe des
faisceaux
nerveux, sont beaucoup plus impor- tantes que n
ment, d'après Gowers, on ne trouve, dans la coupe transversale d'un
faisceau
de fibres nerveuses du nerf optique, que quelques
es fibres nerveuses dans leur ensemble paraissent normales et leurs
faisceaux
qui ne sont pas noyés parmi les cellules de sou
njonctives dominent et nous ne voyons point à leur pourtour d'épais
faisceaux
de cellules conjonctives se dirigeant dans tout
conjonctives existent autour d'elles; et il s'en irradie quel- ques
faisceaux
très denses, dans des directions transversales pa
nous avons en o représenté un spécimen. On voit, en outre, que les
faisceaux
nerveux sont très riches en cellules de névrogl
a lésion revêt la même intensité; c'est en vain qu'on recherche les
faisceaux
nerveux constitutifs, tout élément noble a disp
ntourées de myéline, étant très raréfiées, c'est à peine si pour un
faisceau
on trouve une quin- zaine de grosses fibres à m
une caractéristique ; elles ne sont pas également réparties, et les
faisceaux
périphériques sont plus Fig. 8. Coupe longitu
YTIQUES GENERAUX. Il Î riches en fibres d'apparence normale que les
faisceaux
centraux. Dans la partie inférieure de la figur
hode de Weigert pour la mjélme. travées conjonctives épaissies ; n,
faisceaux
, nerveux complètement remplis de cellules de né
ules de névroglie dont les uojau\ sont représentés par des points; m,
faisceaux
nerveux où. nous avons figuré les fibres à myél
; le nombre de ces fibres altérées est beaucoup plus grand dans les
faisceaux
centraux que dans les fais- ceaux périphériques
ibution topographique très irrégulière s'étendant plus ou moins aux
faisceaux
cérébelleux directs, aux cordons de Goll, de Bu
es mouvements spontanés ou asso- ciés, malgré une absence totale du
faisceau
pyramidal ; 2° il se manifesterait des réaction
ale fort accentuée, accompagnée de la dégénérescence habituelle. du
faisceau
pyramidal correspondant et de l'atrophie de l'h
f du droit inférieur) et une perturbation dans le fonctionnement du
faisceau
pyramidal droit, caractérisée par une parésie d
l, sauf le second cinquième interne SOCIÉTÉS SAVANTES. '199 et du
faisceau
pyramidal dans la moelle. Le tremblement inten-
on siégeait au niveau du genou du nerf facial. La dégénérescence du
faisceau
pyramidal était légère au-dessous, par contre l
lement du côté de la lésion (fibres déjà entrecroisées). L'état des
faisceaux
dégénérés viendrait en outre à l'appui de l'ori-
x dégénérés viendrait en outre à l'appui de l'ori- gine olivaire du
faisceau
de la calotte. Tics, stéréotypies, aérophagisme
érieures, région externe des cordons postérieurs, envahissement des
faisceaux
de Goit(dans la moelle cervicale), telle est la
n du tiers supérieur de la protubérance, ayant inté- ressé les deux
faisceaux
longitudinaux postérieurs et s'étant tra- duit
se de jour en jour davantage dans le sens d'une lésion organique du
faisceau
pyramidal. G. D, XLII. La genèse des tics ; par
, prédominante dans le cordon de Bur- dach, dégénération légère des
faisceaux
pyramidaux, altérations de la colonne de Clarke
du pédoncule cérébral. M. Cestan insiste sur la dégénérescence du
faisceau
longitudinal postérieur et sur la dégénérescenc
ine dans le cordon antérieur de la moelle d'une dégénérescence d'un
faisceau
qui est distinct de la voie pyramidale. 0 M.
ivement et nécessairement sous la dépendance de la dégénération du.
faisceau
pyramidal. Clonisme du pied chez un neurasthéni
évroses (l'hystérie et la neurasthénie) et en dehors des lésions du
faisceau
pyramidal. MM. G. Ballet et L. Delherm présente
que sans aucun signe de lésion ou* d'irritation perma- nente de ce
faisceau
, on peut rencontrer la trépidation spinale. Il
SOCIÉTÉS SAVANTES. 295 indemne de tout signe dedésion organique du
faisceau
pyramidal, on peut rencontrer le clonisme du pi
à la suite de laquelle la dégé- nérescence secondaire a atteint le
faisceau
central de la calotte dans le pédoncule, la pro
ule, la protubérance et le bulbe, avec les fibres périolivaires. Le
faisceau
central de la calotte irait donc bien de la cap
ntré des lésions des cordons postérieurs combinées à des lésions du
faisceau
cérébelleux direct Les auteurs attribuent aussi
fait complètement défaut, il ne reste du grand pectoral qu'un petit
faisceau
de la portion claviculaire : il s'agit d'un arr
rotubé- rantiels, centres opto-striés, cérébelleux et corticaux. Le
faisceau
sensitif parcourant tous ces centres leur appor
ériphérie se trouve interrompu déjà au niveau du premier neurone du
faisceau
sensitif, comme c'estle cas, parle bain, aucund
t une désorientation et une incoordination maxima. Si par contre le
faisceau
sensitif se trouve détruit seulement dans son d
i place la contracture organique sous la dépendance d'une lésion du
faisceau
pyramidal et la con- tracture hystérique sous l
ture hystérique sous la dépendance d'un trouble fonc- tionnel de ce
faisceau
,. M. Babinski énumère les raisons qui lui font
sa malade. En premier lieu compression de la moelle, irritation des
faisceaux
descendants (faisceau pyramidal, de Monakow, et
ieu compression de la moelle, irritation des faisceaux descendants (
faisceau
pyramidal, de Monakow, etc.) mise en état d'exc
ibres de projections isolées. Mais de très bonne heures apparaît un
faisceau
radiaire qui se porte dans la direction de la c
ayonnante de la circonvo- lution de l'ourlet, en arrière ; c'est un
faisceau
du corps calleux, dont le développement précoce
veloppent, c'est-à-dire s'entourent de myéline extrêmement tard. Ce
faisceau
calleux de la circonvolution sus-angulaire ou cha
eux de la circonvolution sus-angulaire ou champ 210 14 n'est pas un
faisceau
de la couronne rayonnante . 3° La partie supéri
rce semble satisfaire à cette dualité. La radiation tactile et ' le
faisceau
pyramidal, la radiation optique primaire et secon
posés de ce genre. Même réflextion pour la radiation auditive et le
faisceau
de '1·ïrrl : , pour la racine antérieure de la
de '1·ïrrl : , pour la racine antérieure de la couche optique et le
faisceau
d'Arnold. L'étude approfondie des dégénérescenc
secondaires montrent que Déjerine se trompe en faisant provenir les
faisceaux
d'Arnold de l'opercule, les faisceaux de Turck
mpe en faisant provenir les faisceaux d'Arnold de l'opercule, les
faisceaux
de Turck des 2° et 3° temporales. 7° Causes de
llons précoces. » Les coupes en séries donnent l'impression que les
faisceaux
de la couronne rayonnante, dans les zones où il
ux l'écorce, et que, partout où on trouve la maturité pré- coce des
faisceaux
de la couronne rayonnante, apparaît également d
constate l'apparition tardive de sillons dans les zones où de longs
faisceaux
d'association nombreux et puissants (à développ
fibres arciformes internes, avoisinant l'olive, le noyau ambigu, le
faisceau
de Gowers et la racine ascen- dante du trijumea
ronc cérébral des voies particulières, ne correspondant pas avec le
faisceau
de Govers, mais probablement s'élevant du faisc
dant pas avec le faisceau de Govers, mais probablement s'élevant du
faisceau
fondamental du cordon antéro-latéral et destiné
de Clarke); le glosso-pha- ryngien émanerait du cordon cunéiforme (
faisceau
grêle in- terne) ; l'acoustique aurait une raci
u grêle in- terne) ; l'acoustique aurait une racine spinale dans le
faisceau
cunéiforme 1 PlJ'oprement dit; enfin,, le.nerf
t dit; enfin,, le.nerf optique aboutirait, par le ruban de lieu, au
faisceau
propre du cordon antérieur qui doit être distin
, au faisceau propre du cordon antérieur qui doit être distingué du
faisceau
pyramidal de Flechsig. Tel est le squelette de
e la conscience lui paraissent être concluantes, au cas même où les
faisceaux
en question contiendraient égale- ment des fibr
s cette direction, ,se replie en dehors, et'.va constituer un-large
faisceau
, 'qui se porte dans le cordon latéral; =rrJrlnu
i"d r : J" d 'rt,.I'I(,fi(ll : 'J ? J'" 1"1 11 ce Iules malades, le
faisceau
pyramidal., indemne ne peut trans-, ? , ? rl v. n
? ' (j , - ) autour des veinules d'âbord, iü;peu9â a peu autour'des
faisceaux
! 1 primitifs' ;' la gainé la.m&Oeuse'se ju
dégénérescence symétrique des cordons postérieurs a la limite des,
faisceaux
de, Goll et de Durdach dans le segment dorsal s
e) 1 et le domaine 'du' ruban' 1 de' Beil' (HoUor) '; intégrité' du
faisceau
pyramidal ! Destruction du noyau du facial et de
des feuillets médian et latéral du ruban de Reil, à l'exception du
faisceau
qui l'unit au pédoncule 'cérébral : l'altératio
a région inférieure de la moelle allongée (entrecroi- . 'sèment des
faisceaux
sensitifs), on rencontre;' à'1 droite, en'arrière
e à toute la hauteur de la moelle, se limitait symétriquement, aux,
faisceaux
- .r. ? t ? S ? ? {II"; IUI U ? )..) ? JJ ? J,.
des rapports "éj ? Jcqn ! 1us'[lvee le noyau» deTabducens,1 par le
faisceau
trâns- yerse' 4u, pédoncule, de : Gqddell(' r L
x.,envoienttrleurs bras-dans la couronne rayonnante,'let -lest deux
faisceaux
! du'ruban'de Reil dans'la'cal6tte;.vdie réflex
, d excéption qu,en,, ce qui. çopçqrne peut- êtré,lé cervélet et,le
faisceau
`x de la calotte unissânt.àll'ahdu-, cens les tu
omate de potasse dans la gomme et l'alcool, on ne dis- tingue aucun
faisceau
atrophié. Les fibres sectionnées perpen- dicula
renferment une assez grande proportion de fibres saines, à côté de
faisceaux
de fibres tout à fait atrophiées (type 5). Les
ut dépenser beaucoup de peine pour séparer les uns des autres les
faisceaux
nerveux et pour les détacher du tissu conjonctif
s et convenablement dissociés, il est facile de reconnaître que ces
faisceaux
sont presque uniquement composés par des fibres
é des fibres sont normales. Mais on trouve de loin en loin quelques
faisceaux
de fibres atrophiées (type 5) ou des petits gro
uliers. Le reste est uniquement composé de gaines vides, réunies en
faisceaux
serrés, légèrement ondulés, de couleur sépia. L
ouve un certain nombre de gaines vides isolées ou réunies en minces
faisceaux
, pàles et renfermant des noyaux nombreux assez
trochantél'/ennes et sacrées. Toutes les préparations provenant des
faisceaux
nerveux recueillis dans la peau, au voisinage d
profondes des libres nerveuses. Toutes les fibres qui composent ces
faisceaux
sont atrophiées, réduites à l'état de gaines vi
Nous nous sommes astreints, en effet, à examiner un à un tous les
faisceaux
du sciatique et du crural. Nous avons pour cela
icate aurait exigé plusieurs semaines de travail assidu) chacun des
faisceaux
cons- tituant le tronc du sciatique et le tronc
un seul, et, dans ces examens multipliés, nous n'avons trouvé aucun
faisceau
altéré. Ce n'est pas là évidemment une démonstr
'alcool, nous n'avons découvert aucune altéra- tion appréciable des
faisceaux
ni des fibres de ces troncs nerveux. L'étude
s, 1883. Etude sur tabes dorsal spasmodique, sclérose primitive des
faisceaux
latéraux; par Jabineau. Thèse de Paris, 1883.
rs et substance grise - il n'y en avait pas du tout ; mais dans les
faisceaux
latéraux, ces corps granuleux étaient en très g
aux, avait diminué. Ces corps granuleux étaient dis- posés dans les
faisceaux
latéraux des deux côtés d'une manière tout à fa
en sorte que, même dans sa portion cervicale, la partie interne des
faisceaux
antérieurs (faisceaux de Tùrk) était intacte (c
sa portion cervicale, la partie interne des faisceaux antérieurs (
faisceaux
de Tùrk) était intacte (ce qui nous fait penser q
à un entrecroisement complet des pyra- mides). Ainsi, c'étaient les
faisceaux
pyramidaux qui étaient atteints et l'examen ult
s'émiettant sous le rasoir. Dans notre cas, la dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux allait donc de l'extrémité inférieur
tout l'hémisphère qu'elles y constituent le prolongement des mêmes
faisceaux
pyramidaux, qui descendent sans interruption de
rance, le bulbe et toute la moelle épinière. Outre l'altération des
faisceaux
pyramidaux, on pouvait ob- server chez notre su
elles des muscles, étaient beaucoup moins prononcées que celles des
faisceaux
pyramidaux, ce qui était, du reste, en harmonie
ssus morbide commence dans les fibres nerveuses qui constituent les
faisceaux
pyramidaux et ne passe que plus tard dans la su
t notre cas consiste, à notre avis, en ce que la dégénérescence des
faisceaux
pyrami- daux se propageait à travers tout l'enc
à notre connaissance, la description de cette dégéné- rescence des
faisceaux
pyramidaux à travers tout l'encéphale, n'a été
nion que, dans un des cas étudiés par eux, la dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux passait à travers tout l'encéphale :
staté la dégénérescence, constituent en effet la continuation des
faisceaux
pyramidaux de la moelle épinière (ce dont on ne
e peut guère douter), notre cas offre une nouvelle preuve que les
faisceaux
pyramidaux vont des pédoncules cérébraux à tra-
es : En entrant des pédoncules du cerveau dans les hémisphères, les
faisceaux
pyramidaux vont, t, sous la forme d'un faisceau
s hémisphères, les faisceaux pyramidaux vont, t, sous la forme d'un
faisceaux
compacte dans la capsule; ils occupent le trois
nous avions affaire à la dégénérescence d'une partie seulement des
faisceaux
pyrami- daux, car chez M..., les mouvements vol
rne. C. c., Corps calleux. N. c., Noyau caudé. X, Direction des
faisceaux
pyramidaux indiquée schématiquement. X', Fibres
es faisceaux pyramidaux indiquée schématiquement. X', Fibres de ces
faisceaux
, qui se terminent au fond de la scissure de Rol
due au foyer de ramollissement; l'auteur fait la supposition qu'un
faisceau
de nerfs vaso-moteurs se trouve juste à cet end
Cérébrales (variétés des circonvolu- tions), 97. Cerveau (sur un
faisceau
de subs- tauce blanche jusqu'alors rare- ment
s laisceaux pyramidaux indiquée seltematiquement. 1', Fibres de ces
faisceaux
, qui se terminent au fond de la scissure de Rol
ui atteignent non pas un muscle en totalité, mais soit isolément un
faisceau
, soit succes- sivement plusieurs faisceaux dès
é, mais soit isolément un faisceau, soit succes- sivement plusieurs
faisceaux
dès muscles larges de la racine des membres.
le siège de contractions fasciculaires lentes : on voit ses divers
faisceaux
se soulever alternativement et entraîner l'omop
se soulever alternativement et entraîner l'omoplate en dedans. Le
faisceau
inférieur se contracte plus énergiquement que les
et fait basculer l'os dans- sa totalité. Lorsque la contraction du
faisceau
inférieur du rhomboïde est très énergique, le f
ntraction du faisceau inférieur du rhomboïde est très énergique, le
faisceau
homologue du côté opposé se contracte quel- que
- quefois en même temps (pl. XIV). ' On voit quelquefois aussi le
faisceau
supérieur du grand dorsal gauche s'animer de co
s plus ou. moins éloignés, sont àpeu'pi'ès constantes : on. voit un
faisceau
large de'3 à 4 cçnli- mètres se contracter pend
faisceau large de'3 à 4 cçnli- mètres se contracter pendant que les
faisceaux
voisins sont' complète- ment immobiles; quelque
faisceaux voisins sont' complète- ment immobiles; quelquefois deux
faisceaux
éloignés se 'contractent 1. ensemble, de sorte
PHIE DE LA SALI'l : Tli1);ItG. sivemenl -ou simultanément plusieurs
faisceaux
de certains muscles larges mérite d'être rappro
lésion des centres .corticaux régissant les muscles des yeux et des
faisceaux
cortico-nucléaires, ou encore des faisceaux allan
muscles des yeux et des faisceaux cortico-nucléaires, ou encore des
faisceaux
allant des noyaux au tronc nerveux basai; rnais
r Charcot, à la paralysie bulbaire inférieure sans participation du
faisceau
pyramidal. On a pré- tendu bien à tort et fort
e de la paralysie glosso-labio-laryngée dégagée de toute lésion des
faisceaux
latéraux, il faut ajouter aujourd'hui deux nouv
sement : a, cornes antérieures altérées; b, cornes postérieures; c,
faisceau
pyramidal dégénéré; d, cordon postérieur sain; e,
éline ; c, c, espaces vides laissés par les fibres musculaires ; /,
faisceau
neuro-musculaire ; g, ses filets nerveux; h, se
moelle, le côté droit est plus intensément intéressé. t ' y Le
faisceau
pyramidal est atteint d'une sclérose systématique
orrha- giques. Les commissures blanche et grise sont indemnes. Le
faisceau
pyramidal est atteint d'une sclérose naissante sy
rations de névrite parenchymateuse simple. Muscles. - Les divers
faisceaux
d'un même muscle offrent des lésions très inéga
t la dégénération 198 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. du
faisceau
pyramidal par la destruction des fibres d'associa
contractilité nulle. Grand oblique : quelques contractions dans les
faisceaux
supérieurs. Muscles latéraux : contractilité co
s interosseux. a. Sur les coupes transversales, on constate que les
faisceaux
mus- culaires présentent des dimensions variabl
e résulte de ce que le tissu conjonctif proliféré pénètre entre les
faisceaux
musculaires et les partage en groupes inégaux.
: ce sont surtout les très petits ramuscules qui sont lésés. Les
faisceaux
neuro-musculaires (décrits par MM. Babinski et Ro
e. de Bucarest. (A suivre.) 1. Nous avons décrit spécialement ces
faisceaux
neuro-musculaires dans une note com- muniquée à
mme, les lésions des nerfs sont tout à fait parallèles à celles des
faisceaux
musculaires, et ne s'étendent pour ainsi dire pas
allélisme des altérations des petits nerfs intra-musculaires et des
faisceaux
des muscles eux-mêmes nous semble plaider plutôt
ur destruction chez les adultes. Il pense que ce n'est pas dans les
faisceaux
blancs de la moelle eux-mêmes qu'il faut cherch
altérée; a, Partie saine; b, Zone mar- ginale peu sclérosée; c, c',
Faisceaux
latéraux très altérés; d, Région du faisceau de T
e peu sclérosée; c, c', Faisceaux latéraux très altérés; d, Région du
faisceau
de Turck sclérosée; e, Partie postérieure du co
, Paroi de la cavité; d, Substance du gliome; e, Corne postérieure; ?
Faisceau
pyramidal dégénéré. , Planche \G1'lll. - Syri
v ité du gliome ; c, Paroi de la cavité ; d, Substance du gliome; e,
Faisceau
pyramidal dégé- néré ; ? Corne postérieure; g,
roi de la cavité; ti, Substance du gliome; e, Corne postérieure; (,
Faisceau
pyramidal dégénéré. Planche G.- Syringomyélie.
avité du gliome; c, Paroi de la cavité; et. Substance du gliome; e,
Faisceau
pyramidal dégénéré; ? Corne postérieure. Planch
sions qu'ils ont constatées sont en effet très diffuses, lésant les
faisceaux
pyramidaux directs et croisés, les faisceaux cé
s diffuses, lésant les faisceaux pyramidaux directs et croisés, les
faisceaux
cérébelleux directs, les cordons postérieurs, la
le triangle de Gomhault et Philippe,le champ ovale de Flechsig, le
faisceau
en virgule de Seliultze sont à peu près indemnes.
nelle du chef claviculaire du muscle sterno-cléido-mas- toïdien, du
faisceau
cléido-occipital du trapèze et des muscles supéri
nt se terminer à l'acromion et qui constituent tout ce qui reste du
faisceau
cléido-occipital du trapèze. L'atrophie muscula
la fossette normale de la nuque formée par la saillie bilatérale du
faisceau
cléido- occipital du trapèze et du splénium est
n de la ceinture scapulo-humé1'ale et des membres supérieurs . - Le
faisceau
postérieur du deltoïde, les muscles pectoraux (pl
culaire très profonde. Cette ensellure est donnée par l'atrophie du
faisceau
claviculaire du trapèze (V. PI XII, 5). En re
m. Amp. à droite et 2,5 m. Amp. à gauche (Ka CHC = An CHC). ' Le
faisceau
postérieur du deltoïde est très peu excitable au
30 mm), au galvanique on trouve Ka CHC = An CHC avec 8 m. Amp. Le
faisceau
antérieur est un peu mieux conservé (Ka CHC >
cas nous avons bien démontré que l'amyotrophie avait débuté par le
faisceau
cléido-occipital du trapèze et par les muscles in
ait été impossible de déceler le moindre signe d'une altération du
faisceau
pyramidal, mais chez notre malade la XIIe comme
rapèze sont complètement atrophiés ; il persiste seulement un grêle
faisceau
horizontal qui réunit l'acromion aux apophyses
ux et cutanés sont normaux, il n'existe aucun signe d'altération du
faisceau
pyramidal. L'examen électrique des muscles inne
cale postérieure. Il fait remarquer dans son cas la conservation du
faisceau
de Schlodtmann. On se rappelle que Schlodtmann
eitschrift f. Nervenheilk., vol. V, p. 463,894. 58 RERTOL01"rf un
faisceau
horizontal qui s'attache d'un côté à l'acromion e
vertèbres cervicales.De ce fait, Schlodt- mann avait conclu que ce
faisceau
n'est pas innervé par la XIe paire, mais plutôt
chlodtmann. Dans notre cas nous n'avons pu mettre en évidence aucun
faisceau
superstite analogue à celui de Schlodtmann et F
Schlodtmann, de Remak et de Ferrio (1), il est bien démontré que le
faisceau
cléido-occipital du trapèze est innervé presque e
esque exclusivement par le spinal et il y aurait seulement un petit
faisceau
de [la portion acro- miale où l'innervation ser
on motrice du larynx qui au contraire serait sous la dépendance des
faisceaux
plus bas de la XI paire préposés aussi à l'inne
une contraction douloureuse, involontaire et passagère de certains
faisceaux
musculaires striés ». Ce mot de crampe professi
teurs communs, en empiétant vers la droite pour au moins toucher le
faisceau
sensitif respectif et le cordon moteur du pédoncu
VATIONS DE RIRE ET DE PLEURER SPASMODIQUES 125 dre au thalamus ; le
faisceau
géniculé qui est un faisceau moteur ; le fais-
SPASMODIQUES 125 dre au thalamus ; le faisceau géniculé qui est un
faisceau
moteur ; le fais- ceau d'Arnold ou faisceau psy
eau géniculé qui est un faisceau moteur ; le fais- ceau d'Arnold ou
faisceau
psychique, véritable trait d'union entre le cen-
e (1) et il n'y a pas bien longtemps Roussy dans sa thèse (2). Le
faisceau
psychique passe dans la partie antérieure de la c
térieure de la capsule in- terne, c'est une voie volontaire et tout
faisceau
volontaire étant un fais- ceau d'inhibition, on
ion est uni ou bilatérale, et, si elle se complique d'une lésion du
faisceau
géniculé, il y aura,en plus,abolition partielle
paralysie fonctionnelle des muscles de l'épaule, en particulier du
faisceau
moyen du deltoïde, et si l'on venait à exciter
Goyrand en 1832 émit l'opinion qu'il s'agit là de la formation d'un
faisceau
dans le tissu cellulaire sous-cutané. Cénas décri
ent devint complet quand le tendon fut délivré de tissu fibreux. Le
faisceau
fibreux extirpé était assez épais et long de deux
cas légers, applique le massage ou bien l'incision sous-cutanée du
faisceau
tendu. Dans d'autres cas plus tenaces, il recom-
u. Dans d'autres cas plus tenaces, il recom- mande l'extirpation du
faisceau
fibreux ; -l'incision doit dépasser le ten- don
ue totale de tubes à myéline, réguliers, cylindriques juxtaposés en
faisceaux
les uns contre les autres. Le nerf rappelle l'a
me sur les coupes colorées an Weigert-Pal, de la dégénération de ce
faisceau
; un coup d'oeil jeté sur nos photogra- phies m
utres parties de la moelle, par exemple aux colonnes de Clarke, aux
faisceaux
latéraux et aux méninges. On sait aussi que la
ve bien développée à gauche ; à droite on peut également sentir des
faisceaux
musculaires contractés, mais la masse du muscle
ficulté à conclure que nous avons affaire à une lésion complète des
faisceaux
pyra- midaux dans la partie supérieure de la mo
ne, passent dans les cordons latéraux et montent dans la région des
faisceaux
de Gowers. Pour ces sensibilités, cette opinion
téral croisé, et l'autre est celle du cordon postérieur, j'entends le
faisceau
long, non croisé, de ce cordon. C'est là que pa
i t être expliqué par une extension de cette myélite secondaire aux
faisceaux
pyramidaux également. C'est là une des deux pos
- minés dans toute la substance blanche, mais surtout au niveau des
faisceaux
pyramidaux latéraux (un peu plus à gauche). Les
thode de Wei- gert une certaine raréfaction de fibres à myéline des
faisceaux
latéraux pyra- midaux et dans la région ventral
des faisceaux latéraux pyra- midaux et dans la région ventrale des
faisceaux
postérieurs, ainsi qu'une di- minution notable
s posté- rieures, des cellules des ganglions intervertébraux et des
faisceaux
de Collet deBurdach. Les fibres musculaires pré
laire pseudo-systématique d'origine vascullaire prédominant sur les
faisceaux
de Goll et Burdach et semblables en tout aux lési
clairsemées; on peut cependant en suivre quelques- unes formant un
faisceau
grêle à la face interne du noyau dentelé. Ce fais
unes formant un faisceau grêle à la face interne du noyau dentelé. Ce
faisceau
est en dehors des fibres venues des noyaux de D
até ; les pédoncules cérébelleux supérieurs sont réduits à quelques
faisceaux
de fibres bien colorées, mais peu nombreuses ; be
fié ; dans le hile il existe encore quelques fibres qui sortent en
faisceaux
. Au point de vue histologique on constate la di
olivaires et dans le hile, les fibres névro- gliques s'unissent en
faisceaux
qui sortent du bile. On y rencontre là de nombr
e le noyau arciforme est plus réduit; malgré cela on peut suivre un
faisceau
de fibres arciformes antéro-externes jusqu'au niv
rme ; il est un peu plus faible que du côté droit; de même on suit un
faisceau
postérieur assez bien développé. Fibres céréb
entent aucune altération appréciable. Le noyau latéral du bulbe, le
faisceau
latéral du bulbe sont normaux. Pédoncules céréb
nterne du ruban de Reil médian ; il se prolonge en arrière jusqu'au
faisceau
longitudinal postérieur qu'il coupe. A sa parti
oncule cérébelleux supérieur gauche qui déçussent à ce niveau et le
faisceau
longitudinal postérieur. A sa partie supérieure
emblable des deux côtés et ne parait pas présenter d'atrophie. Le
faisceau
longitudinal postérieur est complètement dégénéré
é du côté gauche, on n'y constate plus aucune fibre à myéline. Le
faisceau
central de la calotte est nettement réduit de vol
ur gauche,c'est-à-dire dans le champ attribué par les classiques au
faisceau
pyramidal direct ; en revanche le faisceau pyra-
ué par les classiques au faisceau pyramidal direct ; en revanche le
faisceau
pyra- midal croisé, du côté droit, présente une
et sacrée, elle occupe la zone que l'on assigne classique- ment au
faisceau
pyramidal croisé. L'examen anatomique nous a do
rébral gauche, avec à son niveau destruction complète des fibres du
faisceau
pyrami- dal et section presque complète des fib
e gauche, il s'accompagnait d'une dégénération rétrograde légère du
faisceau
pyra- midal, d'une dégénération ascendante du q
de Reil médian, enfin et surtout d'une dégénération descendante du
faisceau
py- ramidal, occupant dans la moelle le territo
e du faisceau py- ramidal, occupant dans la moelle le territoire du
faisceau
pyramidal croisé, respectant au contraire le te
faisceau pyramidal croisé, respectant au contraire le territoire du
faisceau
pyramidal direct. Ce foyer avait en outre secti
u pyramidal direct. Ce foyer avait en outre sectionné les fibres du
faisceau
longiludinalpos- térieur gauche et une partie d
aisceau longiludinalpos- térieur gauche et une partie des fibres du
faisceau
central de la calotte. En face de ces lésions c
érescence de la voie motrice, du nerf moteur oculaire commun et des
faisceaux
d'association : faisceau central de la calotte et
ce, du nerf moteur oculaire commun et des faisceaux d'association :
faisceau
central de la calotte et faisceau longitu- dina
et des faisceaux d'association : faisceau central de la calotte et
faisceau
longitu- dinal postérieur. Il n'y a donc aucu
LLEUSE 615 différents niveaux ; vraisemblablement la décussation du
faisceau
pyra- midal devait être totale dans le cas qui
t du développement. D'ailleurs il n'existe pas de dégénérescence du
faisceau
pyramidal. Dans les cas d'hydrocéphalie accompa
royances de la jeunesse, enserrées de toute part sous un formidable
faisceau
d'arguments qui les ruinent, mal à l'aise d'abord
on le verra plus loin, grâce à des lésions exactement limitées aux
faisceaux
moteurs. Avant d'exposer nos propres recherches
lésion qui n'offre point d'intérêt dans le cas particulier. - Le
faisceau
latéral ou moteur était sclérosé, non ' Sappey
u bulbe à la partie moyenne de l'entrecroisement sensitif. - F S A,
Faisceau
sensitif postérieur et externe, qui ne pénètre pa
r s'en convaincre de jeter les yeux sur la figure , représentant un
faisceau
du nerf sciatique chez un cochon d'Inde soumis
çon générale les fibres malades ont de la tendance à se grouper par
faisceaux
. Mais, de même que dans les faisceaux les plus
a tendance à se grouper par faisceaux. Mais, de même que dans les
faisceaux
les plus profondément atteints, on trouve toujo
e plusieurs segments qui se suivent (fig. 15) soit qu'on examine un
faisceau
de fibres parallèles et ayant par conséquent to
sa disparition. Dans la figure 5, planche XXVII, qui représente un
faisceau
de tubes ner- veux légèrement dissociés, on con
vant et soumis immédiatement à l'action de l'acide osmique. Fig. 1.
Faisceau
de tubes nerveux examiné à un faible grossis- s
en faveur de la thermométrie véritablement cérébrale; il y a là un
faisceau
d'observations dont nous avons cherché à montre
bérance d'un chat, avaient été frappés par la présence de quelques
faisceaux
nerveux qui paraissaient établir une connexion
auteurs arrivent à démontrer : anatomiquement ; I. Que chacun des
faisceaux
de l'isthme connus sous le nom de bandelette lo
des fibres qui vont, par un trajet croisé, former une partie des
faisceaux
radiculaires du nerf pathétique du côté opposé. C
ent de la même masse que les noyaux sensitifs du trijumeau; 3° Le
faisceau
en rapport avec ces ganglions peut être suivi j
e étude histologique des couches qui les constituent, il décrit des
faisceaux
blancs qui s'étendent jusqu'à la moelle, y form
ient une assez longue étude histologique et anatomique des autres
faisceaux
des tubercules antérieurs. Puis il termine, en^fa
e dans le Journal of nervous and mental disease, à savoir que les
faisceaux
qui vont sans interruption aux ganglions supérieu
inière est alors découverte et l'on pratique l'hémisection d'un des
faisceaux
latéraux à la réunion -des régions dorsale et l
ducteurs d'impressions sensitives. » H. D'O. IV. RECHERCHES SUR LES
faisceaux
conducteurs dans la moelle chez LE chien; par N
r jusqu'à la paroi antérieure du canal vertébral et la division des
faisceaux
au bistouri. L'auteur prétend qu'en procédant d
en, il sec- tionne la moelle de manière à ne laisser intacts que le
faisceau
latéral gauche et le cordon antérieur gauche, t
t for- més de fibres à myéline et de fibres de Remak ; autour des
faisceaux
nerveux, on distingue nettement une gaîne de péri
E NERVEUSE XL. Tableau CLINIQUE DES dégénérations secondaires DES
faisceaux
CÉRÉBRO-SPINAUX (cortico-muscularen) ; par M. Mi-
vec M. Charcot, l'auteur admet que la dégénération descen- dante du
faisceau
pyramidal détermine une irritation perma- nente
de M. Lion : Les centres spinaux auxquels aboutissent les fibres du
faisceau
volontaire sont irritées par la dégénéra- tion
tion corticale transmise aux cornes antérieures, de ce côté, par le
faisceau
pyramidal du côté sain et par les com- missures
e innombrable série de modes différents; que, dans certains cas, le
faisceau
pyramidal s'entrecroise totalement avec son con
une sorte d'appareil vicariant propre à suppléer aux fonc- tions du
faisceau
pyramidal dégénéré. Dans les observations de co
t leur lésion (du moins pour les trois segments antérieurs), car le
faisceau
postérieur du pédoncule correspon- dant au tier
mais la dégénération lors des lésions de celle-ci à ce niveau. Le
faisceau
pédonculaire moyen est destiné à l'innervation
iers antérieurs du segment postérieur do la capsule in- terne. Un
faisceau
un peu plus interne, de très petites dimensions
rne. Un faisceau un peu plus interne, de très petites dimensions (
faisceau
géniculé, Brissaud), correspond au genou de la ca
ssaud), correspond au genou de la capsule et contient les fibres du
faisceau
pyramidal qui actionnent les muscles de la tête
ctionnent les muscles de la tête et du visage ; dans l'aphasie ce
faisceau
est généralement dégénéré sur le pédoncule cérébr
au est généralement dégénéré sur le pédoncule cérébral gauche. Le
faisceau
interne du pédoncule correspond au segment anté
ouvent qu'avec des troubles intellectuels. Puis, l'auteur étudie le
faisceau
de dégénération dans la moelle et met en lumièr
gie elle est consécutive à un processus irritatif développé dans le
faisceau
pyramidal et aug- mentant le pouvoir excito-mot
`olées;a enrr quelque 19sôrt'e`; études gang)ipnsGërébrau ? iYt3des
faisceaux
de fibres qui traversent ilailèapshle) inteTnët
oupe sagittale ' 'X,4ï *11;(, JnouaO'Tjq 0b jSni"if}9 comment les
faisceaux
qui la constituent se comportent if ? ) tif) 41
r v : =q » - r& » » .^l ? vuelle reçoit, en bas et en dedans un
faisceau
9381,id,21-j ); /laifasb 91 ai0 : iiC'> : :
-Hc-r.y. ,verrôns ne7tement proéédért dnlnoÿa Tnroue J btilling. (
Faisceau
de M^)1;0^* jjii ™ <™r&la- ]f ^ .(Faisce
ue J btilling. (Faisceau de M^)1;0^* jjii ™ <™r&la- ]f ^ .(
Faisceau
de Meynert) ? ? i 'y t j r91<1 > ! ' 8R0
yl JW, 9.·,Utmj· ? Ji.l `JIbT"IIT <,(' o)"' t , r ? r1 entre, le
faisceau
de Meynert et le ruban de Vicqf d Azyr a ix. j»
nt'Irmèrel ou- par, zone .1 La dis- : sociation-de,sesiéléments;ou,
faisceaux
s'effectue donc ? < ? iJ ? ? liijt' j'J ? J'ii
-t » ' -. ? vJ , jx.j^h.j jujuiiiaiijj.'lJ *'jU vient dejce.oueles
faisceaux
.y, sont plus,rapproches et vient dfep&.que,
tumeur intra-rachidienne, lorsque les racines pos- térieures ou les
faisceaux
postérieurs de la moelle sont compromises. « Si
é. Comment le travail irritatif, qui porte sur les racines et les
faisceaux
blancs postérieurs delà moelle, amène- t-il, en
ésultant du retentisse- ment, par voie réflexe, de l'irritation des
faisceaux
radiculaires postérieurs sur les nerfs voso-mot
s : I. De sclérose latérale amyotrophique (affection combinée des
faisceaux
pyramidaux et de certains systèmes de fibres des
cellules dans les pyramides de Clarke). , IL De dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux, surtout dans la moelle dorsale infé
érieurs, de l'ensemble des cordons latéraux dans le cervelet et des
faisceaux
pyramidaux (moelle dorsolombaire). Méningite ch
des os (nerfs de la), par Va- riot et Remy, 430. Moelle épinièro (
faisceaux
conduc- teurs de la), chez le chien, par Weis
vant et soumis immédiatement à l'action de l'acide osmique. Fig. 1.
Faisceau
de tubes nerveux examiné à un faible grossis- s
commissure cérébrale antérieure. c m L, centre moyen de Luys. si
faisceau
longitudinal inférieur. o ! ln o, origine grise
, ruban paracentral. /{ V, ruban de Yicl[ d'Azyr. f l. sup, ext.,
faisceau
longitudinal externe. J' t. sup. int" faisceau
r. f l. sup, ext., faisceau longitudinal externe. J' t. sup. int"
faisceau
longitudinal supérieur interne. f in{., faiscea
J' t. sup. int" faisceau longitudinal supérieur interne. f in{.,
faisceau
longitudinal inférieur. f Al., faisceau de Meyn
upérieur interne. f in{., faisceau longitudinal inférieur. f Al.,
faisceau
de Meynert. gr. c. op., gril de la couche optiq
. gr., gril de la couche optique. F, fasciculus uncinatus. F 111,
faisceau
de lleynert. F v, fibres d'association veltlcal
cordons postérieurs est indemne de dégénération ; même au bulbe les
faisceaux
de Goll et de Burdach existent, .on reconnaît leu
ramidal lui aussi est intact. Seul dans les cordons de la moelle le
faisceau
cérébelleux direct paraît avoir un volume inférie
dans le tabès,c'est quand il n'y a pas de dégénérescence grise des
faisceaux
postérieurs dans la partie dorso-lombaire de la
llon médian postérieur; ce territoire intact occupe la situation du
faisceau
ovale de Flechsig. L'autre branche verticale de
a moelle, sauf au niveau du sillon médian postérieur, respectant le
faisceau
ovale de Fleclisig ; elle reste très loiu de la c
eure, toutes régions considérées comme endogènes, sont indemnes. Le
faisceau
ovale de )'lecllsi est regardé par les classiques
faisceau ovale de )'lecllsi est regardé par les classiques comme un
faisceau
endogène ; pour Nageotte (I), il serait exogène e
fibres longues des racines sacrées inférieures. Dans notre cas, ce
faisceau
était intact, mais ce fait ne saurait apporter
rotuliens, comme le fait habituellement par exemple l'irritation du
faisceau
pyramidal consécutive à la lésion cérébrale qui c
lée chez un tabélique, serait un effet de l'irritation que subit le
faisceau
pyramidal à la suite de la lésion cérébrale, et q
ion cérébrale et la vascularisation ont subi des modifications, des
faisceaux
de vaisseaux importants ayant été détruits et d
lumière, mais l'amplitude de contraction esl assez faible' pour les
faisceaux
lumi- neux puissants. A l'examen du champ vis
rine il faut, dansce cas, que la destruction ait atteint aussi « le
faisceau
arqué, qui réu- nit le pli courbe et la premièr
icule, les vaisseaux, les noyaux de la substance glise, ni dans les
faisceaux
de la substance blanche du bulbe. L'examen de
fibres normales, ou des fibres fines, ou des fibres agglutinées en
faisceaux
; un assez grand nombre de fibres sont réduites
tologique : Dans la moelle, sclérose des cordons postérieurs et des
faisceaux
cérébelleux, diminution des fibres des racines
téro-latéraux, parfois systématisées et siégeant dans les zones des
faisceaux
pyrami- daux ou des faisceaux cérébelleux, parf
tisées et siégeant dans les zones des faisceaux pyrami- daux ou des
faisceaux
cérébelleux, parfois diffuses sous la forme d'un
coupes passant à ce niveau, la substance grise paraît intacte, les
faisceaux
des cordons antéro-latéraux ne présentent aucur
on suit dans la moelle dorsale et cervicale les dégénérescences des
faisceaux
ascendants intéressés par la lésion, mais il es
érescences comparativement il l'intensité dos lésions décrites. Les
faisceaux
antéro-latéraux présentent sur toute la zone marg
-latéraux c. a. l. et de la partie interne des cordons postérieurs,
faisceau
de Goll c. G. qui est nettement plus clair que
érieurs, faisceau de Goll c. G. qui est nettement plus clair que le
faisceau
de Burdach c. B. le cordon de Goll gauche est d
a phagocytose, due à Metchnikoff, d'après lequel le sarcoplasme des
faisceaux
musculaires se (1) 111AncvLSCO, loc. cil. 332
é relativede la corne postérieure ellïnlégl ilé presque absolue des
faisceaux
blancs. Les lésions ménino-vasculair sont celle
ment sur les cordons latéraux, ce qui explique la dégénéra lion des
faisceaux
pyramidaux croisés, qu'on observe sur toute la
ant la région centrale, la base des cornes, les zones adjacentes du
faisceau
pyramidal et la corne postérieure. Elle peut at
ense, elle est comme raréfiée. Les fibrilles se groupent parfois en
faisceaux
onduleux ou en faisceaux (VD) qui s'enfoncent d
fiée. Les fibrilles se groupent parfois en faisceaux onduleux ou en
faisceaux
(VD) qui s'enfoncent dans les plis des membranes
s musculai- res striées. Ces éléments, qui ne sont autres que des
faisceaux
primitifs, se présen- tent avec une telle nette
s petites. La commis- sure postérieure dévie à droite, le sommet du
faisceau
postérieur gauche avance par dessus celui de dr
essus celui de droite, se recourbe à droite, et couvre le sommet du
faisceau
droit postérieur. L'aplatissement de la moelle
ig. 4. CARIE DES VEIUÈBRES 39U nent une structure régulière ; les
faisceaux
postérieurs retournent à la ligue médiane. La d
ire du fais- ceau latéral et la zone antérieure de la périphérie du
faisceau
antérieur; à droite par contre la pression s'ex
n degré moindre, la par- tie postérieure de la zone périphérique du
faisceau
latéral. Sur la dure-mère hypertrophiée à l'end
oelle du côté de la partie postérieure de la zone péri- phérique du
faisceau
latéral gauche. L'examen microscopique constate
l une transparence sous forme de filament dans la moitié gauche des
faisceaux
postérieurs entre le faisceau de Goll et celui
e filament dans la moitié gauche des faisceaux postérieurs entre le
faisceau
de Goll et celui de Burdach. On constate égalemen
t celui de Burdach. On constate également dans la moitié droite des
faisceaux
postérieurs une transparence de développe- ment
corpuscules amylacés que l'on aperçoit égale- ment isolés dans les
faisceaux
antérieurs, antéro-latéraux et postérieurs. Les e
egment cervical, la transparence commence dans la moitié gauche des
faisceaux
postérieurs, sur le devant un peu plus bas et sou
s limites sus-indiquées. Toutefois la compa- raison avec les autres
faisceaux
démontre que déjà tout le champ des faisceaux p
raison avec les autres faisceaux démontre que déjà tout le champ des
faisceaux
postérieurs est un peu transparent (à part quel
s des deux côtés, à l'endroit où elles pénètrent du dehors dans les
faisceaux
postérieurs, on constate l'absence des fibres n
postérieurs, on constate l'absence des fibres nerveuses isolées. Le
faisceau
de Goll dans sa partie postérieure présente une
- parence des fibres apparaît surtout dans la zone périphérique des
faisceaux
postérieurs, là où pénètrent les racines postér
érieures, dans la zone radiculaire et dans la partie postérieure du
faisceau
de Burdach. On constate une certaine raréfactio
ntérieure et dans la moitié postérieure de la zone périphérique des
faisceaux
latéraux. Dans les racines antérieures on constat
que le cas pathologique ait un caractère de processus nouveau ; les
faisceaux
internes des racines postérieures sont plus dég
eure est bien conservée. La transparence frappe aussi le centre des
faisceaux
posté- rieurs. Aussi bien dans les racines lésé
rudimentaires, lés pelotons sudori- pares sont peu développés. Les
faisceaux
connectifs du derme et les cloisons qui circons
ux sous-cutané sont à peu près à l'état normal. La fibrillation des
faisceaux
conjonctifs est seulement moins marquée dans le
conjonctifs est seulement moins marquée dans les endroits où i ces
faisceaux
sont épais, principalement autour des glandes su-
Les lésions des fibres à myéline dans la couche corticale, dans les
faisceaux
descendants do la substance grise, et dans la s
orientées en colonne, les unes au-dessus des autres, parce que les
faisceaux
de fibres de la couronne de Reil qui vont jusqu
nche, assez difficile à débrouiller à cause de l'épanouissement des
faisceaux
de fibres et de la substance blanche, qui s'éca
Pour cela, nous n'avons qu'à profiter de la disposition normale des
faisceaux
de fibres qui montent dans la substance grise,
çoivent très suffisamment sur les pièces traitées par l'alcool. Ces
faisceaux
se LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE.
les intervalles en colonne de cellules; en voyant leurs fibres aux
faisceaux
qui leurs sont contigus. Cette disposition est
e naturellement dans la profondeur de la substance grise, là où les
faisceaux
sont plus gros, et c'est pourquoi les grandes c
sens horizontale, par la sériation des cellules et les travées des
faisceaux
dans le sens ver- tical. Il sera donc presque a
riation dans le sens longitudinal indiquera soit une diminution des
faisceaux
blancs, soit un morcel- lement des couches, par
ndiquer. La seule chose qui le puisse troubler c'est la présence de
faisceaux
blancs coupés obliquement, mais leurs surfaces
oisonnent le muscle, les petites travées ne sont pas modifiées. Les
faisceaux
muscu- laires eux-mêmes ne paraissent pas altér
uche des grandes cellules pyramidales ne se com- posent plus que de
faisceaux
fibrillaires descendants avec de nombreuses cel
de Clarke sont conservés. Cette lésion est symélriquc. La partie du
faisceau
latéral comprise dans la concavité des cornes e
amellaire et les cylindres-axes sont nurmaux; il en est de même des
faisceaux
musculaires, qui, sous les coupes transverses,
trois couches : la plus superficielle, mince et homogène, formée de
faisceaux
parallèles de fibres fines, avec de petits noya
s un tissu fibrillaire dont les fibrilles convergent en bas par des
faisceaux
distincts. La troisième couche est occupée par
ar des faisceaux distincts. La troisième couche est occupée par ces
faisceaux
et un certain nombre de cellules. Ces masses de
par ces faisceaux et un certain nombre de cellules. Ces masses de
faisceaux
fibrillaires accompagnent les vaisseaux et formen
tes. Dans les cornes antérieures, le tissu interstitiel forme des
faisceaux
fibrillaires volumineux et entre-croisés autour d
présenter seulement un état strié, ondu-leux, rappelant l'aspect d'un
faisceau
de tissu cellulaire sous-cutané; mais cet aspect
asculaire. Sa substance est striée longïtudinalement, à la façon d'un
faisceau
de tissu conjonctif disposé dans le sens de l'axe
et là, en une sorte de boue brunâtre. Au microscope, les fragments de
faisceaux
primitifs provenant des parties altérées du muscl
eaux primitifs provenant des parties altérées du muscle, comparés aux
faisceaux
pris sur les parties saines, offraient en général
le était quel quefois encore apparente ; mais, pour la plupart, les
faisceaux
primitifs, sombres, opaques, étaient chargés de g
substance finement granuleuse, amorphe. Le tissu conjonctif offre des
faisceaux
fibrillaires nombreux, dont les fibrilles sont le
iiignes et les autres diversement contournées, ondu-leuses. Outre ces
faisceaux
filamenteux, il y a de nombreux noyaux, d'un diam
re plus clairement les noyaux embryo-plastiques, et il fait pâlir les
faisceaux
de tissu conjonctif. La soude ne détruit non plus
ces pratiquées perpendiculairement à la direction des fibres, que les
faisceaux
primitifs du biceps droit offrent une surface de
s gauche, au contraire,les intervalles sont plus considérables et les
faisceaux
primitifs, d'ailleurs très-notablement plus volum
normal. Les noyaux clu sarcolemme paraissent dans les intervalles des
faisceaux
plus nombreux à droite qu'à gauche. D'ailleurs, l
s, la transparence et l'aspect grenu des surfaces de section de ces
faisceaux
sont exactement les mêmes des deux côtés. Exame
et peut-être aussi dans les cloisons du tissu lamineux interposé aux
faisceaux
tendineux. Les douleurs articulaires étaient ic
je provoque également ces trois phénomènes classiques delà lésion des
faisceaux
latéraux de la moelle. Il faut donc chercher aill
ivants : cubital antérieur ; fléchisseur profond des doigts (les deux
faisceaux
internes destinés au petit doigt et à l'annulaire
urs rameaux nerveux du nerf cubital le nerf médian innervant les deux
faisceaux
externes) ; interosseux dorsaux et palmaires ; mu
r de la main sur l'avant-bras. Fléchisseur profond des doigts (deux
faisceaux
int.). —Fléchisseur des dernières phalanges des d
s étendue du nerf cubital au muscle fléchisseur profond dont les deux
faisceaux
externes habituellement innervés par le médian re
ette hypothèse, des rameaux du nerf cubital qui innerve déjà les deux
faisceaux
internes. On pourrait admettre aussi qu'il existe
léchisseur propre du pouce ; fléchisseur profond des doigts (les deux
faisceaux
externes sont seuls innervés par le médian, les d
s deux faisceaux externes sont seuls innervés par le médian, les deux
faisceaux
internes étant innervés par le cubital) ; les deu
phalangette du pouce. Fléchisseur profond des doigts (dont les deux
faisceaux
qui correspondent à l'index et au médius sont seu
èmes phalanges et est due à l'action du fléchisseur sublime. Les deux
faisceaux
du fléchisseur profond dont l'action porte sur le
-être de la deuxième. — Le mouvement d'opposition est exécuté par les
faisceaux
des muscles de l'éminence thénar qui s'attachent
radisation il est facile de faire contracter isolément les différents
faisceaux
d'un même muscle.) b) La contracture d'un muscl
de localiser exactement l'action électrique sur un muscle ou sur un
faisceau
musculaire. 11 put ainsi démontrer clairement l'a
ure ; b) Du degré de localisation de l'excitant dans les différents
faisceaux
du même muscle. 11 est facile de localiser l'exci
uscle suit toujours l'excitation mécanique partielle d'un seul de ces
faisceaux
; c) De la propagation de l'excitation. Dans l'é
rique rencontre souvent un ou deux filets moteurs qui se rendent à un
faisceau
musculaire voisin, lorsqu'il est un peu intense o
écorce grise, siège des phénomènes psychiques, à l'aide des fibres du
faisceau
pyramidal qui représente, en quelque sorte, une g
emble de faits sur lesquels je ne puis m'étendre, que ces fibres du
faisceau
pyramidal transmettent, les unes, les excitations
d'autres servent à l'inhibition. On sait, en outre, que la section du
faisceau
pyramidal a pour effet d'exalter, chez un sujet n
cela se voit, par exemple, dans le cas de dégénération secondaire du
faisceau
pyramidal, à la suite de certaines lésions en foy
que, dans l'hystérie, il y a un état purement dynamique des filets du
faisceau
pyramidal et des cellules où ils prennent origine
s les centres moteurs centraux, et en conséquence, dans les fibres du
faisceau
pyramidal. Par suite, rétablissement de l'inhibit
ède. Si la pointe est approchée à G ou 8 centimètres, on a Vaigretïe,
faisceau
de fines stries lumineuses, noyées dans une sorte
r de myélite transverse, qui constitue, avec la dégénérescence du
faisceau
pyramidal consécutive à la myélite, une sclérose
une dégénération nettement localisée au pédoncule céré- belleux, au
faisceau
central de la calotte et au faisceau longitudi-
au pédoncule céré- belleux, au faisceau central de la calotte et au
faisceau
longitudi- nal postérieur. Les lésions médullai
ées vasculo- conjonctives que l'on trouve à l'état normal entre les
faisceaux
nerveux. Les nerfs de volume très réduit ne pré
t au-dessous de la pie-mère, à la périphérie du nerf. Le passage dp
faisceau
maculaire, faisceau de la vision distincte, à l
ie-mère, à la périphérie du nerf. Le passage dp faisceau maculaire,
faisceau
de la vision distincte, à la périphérie du nerf
médian de ]3eclitei-ev, le noyau inomiaé de Hechterew, le noyau du
faisceau
pédonculaire- transverse de Becll- terew et Kir
rieur, c'est-à-dire celles qui représen- tent les prolongements des
faisceaux
essentiels du cordon latéral de la moelle. Auss
l est le réflexe du muscle sous-épineux. Il faut frapper non où les
faisceaux
musculaires convergent vers la tête de l'humérus,
ntraction du grand pectoral s'accompagne non seulement de celle des
faisceaux
antérieurs du deltoïde, mais parfois même de; c
lésion du pli courbe. C'est aux dégénérations secondaires dans les
faisceaux
d'association que les auteurs attribuent l'apha
vement aux lésious cérébrales très vastes le tractus de sclérose du
faisceau
pyramidal direct, non seulement n'occupe pas la
cendent des fibres « parapyramidales » qui n'appar- tiennent pas au
faisceau
pyramidal d'origine corticale bien qu'elles occ
tion des mouvements, apparurent des tiraillements involontaires des
faisceaux
muscu- laires, de la parésie du nerf facial dro
quel apparaissent de temps en temps des contractions tétaniques des
faisceaux
musculaires isolés, de la durée de quelques -se
éférenciellement des contractions plus lentes, se pro- pageant d'un
faisceau
musculaire à l'autre, et envahissant tout le mu
consiste dans cela que les contractions variables involontaires des
faisceaux
musculaires ne sont pas les tiraillements « fib
t trouver dans la moelle des noyaux répondant à chacun des grands
faisceaux
du muscle. Il est remarquable de voir que la di
Au point le plus éloigné de l'axe des noyaux qui appartiennent aux
faisceaux
de Goll et de Burdach, les fibres dégénérées se
égénérées se groupent dans toutes la substance blanche restante des
faisceaux
de Goll ainsi que dans l'angle posiél'o- médian
e des faisceaux de Goll ainsi que dans l'angle posiél'o- médian des
faisceaux
de Burdach : il y en a autant des deux côtés. -
nce, les fibres de l'auditif s'entrecroisent et se groupent en deux
faisceaux
de forme arrondie presque régulière qui apparti
eau précisé tout à l'heure, on trouve des fibres dégénérées dans le
faisceau
longitudinal posté- rieur. On les suit dans le
plètement altérée : il existe encore quelques fibres indemnes et le
faisceau
pyramidal n'est pas totalement dégénéré. D'aill
berg. Ce dernier auteur croit avoir trouvé que la pile de noyaux du
faisceau
solitaire reçoit par devant les fibres du goût
hez certains individus, prendre une part exagérée à la formation du
faisceau
solitaire. Au moment de son départ, le malade a
e témoignent a un faible grossisse- ment de la coloration rouge des
faisceaux
pyramidaux et des olives qui contraste avec la
en arrière, se rappro- chent, où les fibres diminuent fortement. Le
faisceau
latéral du cervelet du côté gauche et le noyau
urs des tubercules quadriju- meaux, avec remarques sur le trajet du
faisceau
central de la calotte; par J. SORCO. (Neurol. C
iste dans la région des tubercules quadrijumeaux, non seulement des
faisceaux
moteurs, mais des centres moteurs qui commanden
aire de la couche opti- que. ' P. KKHAYAL. LXXV. Des relations du
faisceau
longitudinal inférieur avec le ruban de Reil et
son lobe temporal et de son lobe occipital a cependant conservé son
faisceau
longitudinal inférieur : il est facile de voir
au lobe temporal, comme le prétendent les auteurs qui en font un
faisceau
d'association, mais au cervean moyen. Fleclisig d
sur l'enfant âgé de six semaines, il résulterait ce qui suit. Le
faisceau
longitudinal inférieur a son plus gros volume au
let est myélinisée. Dans la région du corps genouillé externe, ce
faisceau
se com- pose de deux espèces de fibres. 1° En d
t un éventail. Cet éventail affecte quatre directions : a) celle du
faisceau
longitudinal inférieur avec lequel il se confon
ion il résulte que la partie ex- terne du ruban de Reil projette un
faisceau
rayonnant qui s'épa- nouit dans le noyau amygda
e temporale, dans les ascen- dantes, le gyrus lingual, le coin. 'Ce
faisceau
, identique aux fais- ceaux protubérantiels de S
au, identique aux fais- ceaux protubérantiels de Schlesinger, ou au
faisceau
moteur du Ruban de Reil de Hoche, émané des cen
centres olfactifs, optiques, auditifs, sensitifs du cerveau, est un
faisceau
primaire moteur rayonnant. P. KEHAVAL. Du poi
mmatoires) portant plus particulière- ment sur certains systèmes de
faisceaux
. Par l'époque de son appa- rition, son aspect c
on du cerveau sans altération de l'écorce, et, dans un autre, où le
faisceau
sensitivo-moteur était complète- ment détruit.
eur était complète- ment détruit. Il semble donc que les lésions du
faisceau
moteur seul n'exercent sur la-production de ce
isent souvent par de la diminution; que les lésions destructives du
faisceau
sensoriel peuvent anéantir ce réflexe et enfin
sont plutôt un peu diffuses dans le cordon latéral et même dans les
faisceaux
postérieurs. Ces lésions sont variables d'étend
lepsie. par Ossipow et Borischpolsky,-325 Face. Voir Paralysie.
Faisceau
longitudinal. Voir Reil. Fibres. De la quotité
de et Chénals, 405. Regard. Voir Phobie. HEIL. Des relations du
faisceau
lon- gmulmal mférieur avec le ruban de - et d
des tubei- cules quadrijumeaux avec remar- ques sur le trajet du
faisceau
central de la calotte, par Sorgo, 397. Cas in
clérose cérébrale; d'autres fois on a soup- çonné une altération du
faisceau
postérieur du segment posté- rieur de la capsul
ne pouvant exister qu'au delà du point où le facial est dissocié du
faisceau
des membres. En outre, paralysie complète avec
n résumé, la lésion intéressait à la fois l'hypoglosse gauche et le
faisceau
moteur droit, elle ne pouvait donc se rencon- t
M. LEVET (le'), SANTE- noise (2e) et Lalanne (3°). Epreuve écrite :
Faisceau
pyramidal ; .épreuve orale : Formes cliniques d
escriptions des auteurs, 'quant à la situation topographique de ces
faisceaux
, on s'aperçoit rapidement que l'accord- est loi
posés de la moelle, il semble que jusqu'ici on n'ait attribué à'ces
faisceaux
qu'un trajet assez court, d'où le nom de fibres
nous attirons l'attention non seule- ment sur la topographie de ces
faisceaux
, mais aussi sur la longueur du trajet de quelqu
nu nous avons été amené à la suite de cette étude sur le trajet des
faisceaux
endogènes dans les cordons postérieurs à fourni
s une étude plus complexe. lorsqu'il s'agit de fibres endogènes, de
faisceaux
dont la topo- graphie, la longueur, l'existence
sposition à un réseau plus élevé de porter ici le nom de zone ou de
faisceau
sulco- commi=sural postérieur ou encore seplo-c
u rapprochées de la périphérie et pour la deuxième fois, forment le
faisceau
angu- laire dont nous avons parlé plus haut.
ajet inlra-médullaire des racines postérieures de ce qui releve des
faisceaux
endogènes. Toutes ces fibres sont en con- tact
uparavant et puisque nous allons parler de fibres endo- gènes et de
faisceaux
commissuraux des cordons postérieurs, il 1 Hoch
é d'établir par des documents ou des opi- nions antérieures que ces
faisceaux
ne peuvent être ni des filets radiculaires desc
être vus au moins pour le second que microsco- piquement. 1° Les
faisceaux
endogènes des cordons postérieure ne doi- vent
res descendants existent, ils ne sauraient être conl'ondus avec les
faisceaux
endogènes anté- rieur ou postérieur. Ils n'en o
topographie, ni la longueur au moins pour le postérieur. ' 2° Les
faisceaux
dits endogènes dans les cordons postérieurs ne
eprésenté Hoche. Dans les régions inférieures de la moelle, seul le
faisceau
postérieur a subi la dégénérescence, la zone an
ence au voisinage du septum dans le cône médullaire, d'où le nom de
faisceau
sulco-commissural. Dans la région sacrée nous l
t intact lors de lésions localisées aux racines postérieures. Les
faisceaux
de ce système n'atteignant pas la périphérie de
sale infé- rieure. Plus haut, c'est à ce système qu'appartient le
faisceau
virgule de Schultze.. , D'une façon générale
. 96 AN1'r0lZI. considère placées à la région cervicale entre les
faisceaux
de Burdach et de .Goll ; à la région sacrée à l
s sont au contraire retrouvées intactes. i Le trajet suivi par ce
faisceau
varie suivant la hauteur de son parcours, mais
me de triangle médian décrit par 11OI. Gombault et Philippe. Donc
faisceau
postérieur, faisceau angulaire, centre ovale de
décrit par 11OI. Gombault et Philippe. Donc faisceau postérieur,
faisceau
angulaire, centre ovale de Flechsig, triangle m
ogène à long trajet des cordons postérieurs. Le déplacement de ce
faisceau
ne s'opérant qu'à la péri- phérie, on comprend
icale jusqu'à la partie terminale de la moelle. La continuité de ce
faisceau
peut facilement échapper à cause de sa situatio
ervicale ou dorsale supé- rieure se traduira par la dégénération du
faisceau
virgule de Schultze, accompagnée sur toute la h
ute la hauteur de la moelle de la dégénération descendante de notre
faisceau
à long trajet. Si la compression siège plus bas
TOMIE. ' indiqué les différentes positions et il y aura toujours le
faisceau
à long trajet. Au point de vue des lésions ta
sition topographique, ne représentent nullement le volume exact des
faisceaux
que nous étudions. BIBLIOGRAPHIE. 1. Barbac
e des cordons postérieurs ou des nerfs qui sont en rapport avec ces
faisceaux
. M. Koppen émet des doutes, en raison des consi
ette lésion à celle qu'a signalée M. Parisot (partie postérieure du
faisceau
géniculé), l'auteur conclut que le. passage du
térieure du faisceau géniculé), l'auteur conclut que le. passage du
faisceau
facial dans la capsule interne n'est pas identi
des réflexes et des réactions électriques, sur la persis- tance de
faisceaux
contractiles dans les muscles dégénérés et sur
sser que les cornes antérieures sur un point limité, respectant les
faisceaux
pyrami- daux et le cordon postérieur. L'ictus s
mieux connues- sont celles de la troisième frontale qui forment le
faisceau
pédiculo- frontal de Pitres, occupent le genou
de surdité psy- chique, la localisation de la lésion serait sur le
faisceau
unissant le centre de réception commun des sens
e, entre le cervelet et les cellules du « tegmentum pontis » ; 4°
Faisceau
interne du pied du podoncule. - D'après les reche
rmant quelques fibres arquées internes; 6° Fibres collatérales du
faisceau
longitudinal postérieur : elles passent en part
s à la contraction simultanée de plusieurs muscles, ou de plusieurs
faisceaux
de fibres musculaires appartenant à des muscles
ieure chronique dans la partie cervicale; plus bas, degénératlon du
faisceau
pyramidal fauche et du vaisseau de Turck droit.
les différentes méthodes employées en histologie cérébrale et les
faisceaux
qui composent le cerveau et la moelle épinière. L
périphérique, il semble très commode de décrire la marche de chaque
faisceau
en le suivant à travers les régions qu'il est a
rieures et antérieures; les fibres du tronc cérébral ainsi que les
faisceaux
qui unissent les différentes parties de cette rég
in, les fibres des hémisphères cérébraux qui com- prennent : a, les
faisceaux
unissant l'écorce hémisphérique et les noyaux c
noyaux du tronc cérébral (système des libres de projection), et b,
faisceaux
reliant entre eux les divers territoires des hé
es premières : or celles-ci correspondent presque exclusivement aux
faisceaux
^ sensoriels centraux, c'est-à-dire aux compart
e, saillie qui parait tenir elle-même à la prédominance d'action du
faisceau
supérieur (claviculaire) du muscle par suite de
inière avait conservé son volume normal, il y avait des lésions des
faisceaux
de Bur- dach dans la région dorsolombaire et du
quer la fonction précise de l'une ou l'autre partie, noyau rouge ou
faisceau
pyramidal. A ce point de vue, notre cas devient
fibres) ; 2° en totalité, le noyau rouge ; 3° la moitié interne du
faisceau
sensitif. B, à droite : 11 la partie interne du
nté ensuite par la méthode de Marchi de rechercher l'existence d'un
faisceau
rubro-spinal qui établirait des relations entre
et la protubérance dans une région située immédiatement en avant du
faisceau
longitudinal pos- térieur, en petit nombre dans
petit nombre dans les fibres du ruban de Reil et dans la région du
faisceau
de la calotte ; mais la voie pyramidale médullair
médullaire était intacte et il nous u été impossible de trouver un
faisceau
rubro- spinal. Au surplus, on peut faire des ré
t n'ayant pu ainsi créer une dégénérescence immédiate et massive de
faisceau
comme le font un ramollissement et une hémorrag
t que dans ces circonstances la méthode de Marchi n'a pas montré un
faisceau
dégénéré dans la moelle cervicale. Le cas que n
épidation spinale et contracture, signature de la dégénérescence du
faisceau
pyramidal. En elfet, les méthodes de coloration
son dans la des- truction de certaines parties du pédoncule. 1 Le
faisceau
sensitif médian du côté droit est altéré. Cette
ndre de grosses lésions pédonculaires, de déficit, ayant atteint le
faisceau
géniculé du pied du pédon- cule, d'autant plus
. Aussi, chez notre malade, sans nier absolument la perturbation du
faisceau
géniculé gauche par le néoplasme si voisin.de c
bation du faisceau géniculé gauche par le néoplasme si voisin.de ce
faisceau
, puisqu'il a détruit la zone de sortie de la tr
iendrait à la moelle par la voie cérébelleuse descendante et par un
faisceau
rubro-spinal. La deuxième aurait son centre d'o
d'origine dans l'écorce motrice et parviendrait à la moelle par le
faisceau
pyramidal. On comprend dès lors que la lésion d
protopathique, par exemple. On sait depuis Kôlliker que les divers
faisceaux
blancs de la moelle ne sont pas tous engainés d
fec- tant d'ailleurs une topographie radiculaire. Hypertrophie du
faisceau
pyramidal. M. et 11 ? DÉaemE montrent les prépa
à peine diminué de volume et remplissait toutes ses fonctions, le
faisceau
homolatéral de ce côté étant intact et volumineux
sectionnées, pas même lors- qu'il y a dégénérescence secondaire des
faisceaux
pyramidaux, - qui peuvent contenir un certain n
nt ou détruisant la première racine dorsale gauche, interrompant le
faisceau
de Cowers, comprimant en arrière le faisceau py
auche, interrompant le faisceau de Cowers, comprimant en arrière le
faisceau
pyramidal croisé et en dedans les groupes des c
e varole ; en arière, par la formation réticulaire qui la sépare du
faisceau
longitudinal pos- térieur ; sur les côtés, le n
longitudinal pos- térieur ; sur les côtés, le néoplasme touche les
faisceaux
les plus médians du ruban de Reil et les fibres
observés et les lésions trouvées. En effet, pas une seule fibre du
faisceau
pyramidal gauche n'a été interrompue, pas une seu
bles d'irrigation que la tumeur a engendrés dans le territoire du
faisceau
pyramidal, au niveau du pont. - E. B. REVUE DE
ent les racines anté- .rieures, entre la moelle et la dure-mère. Le
faisceau
pyramidal, dans le cordon latéral, n'offre rien
excite les parties postérieures du cordon latéral. Le territoire du
faisceau
pyramidal ne présente aucune particularité. Un
appliqué sur n'importe quel cordon postérieur et sur n'importe quel
faisceau
de ce cordon, engendre un mouvement bilatéral s
s grand nombre si l'on excite simultanément un plus grand nombre de
faisceaux
radiculaires postérieurs, en enfonçant les aigu
s fibres du REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 493
faisceau
pyramidal ne possèdent pas d'excitabilité individ
amp d'investigations plus large. P. Keraval. XXX. La destruction du
faisceau
pyramidal à l'entrecroisement ; par M. ROTIDIAN
errompre complètement la transmission du cerveau à la moelle par le
faisceau
pyramidal. L'entrecroisement des pyramides git,
struction totale de l'entrecroisement des pyramides avec lésion des
faisceaux
constitutifs des cordons antérieurs. Inté- grit
s. Mais il est, d'autre part, établi qu'une partie considérable des
faisceaux
de Goll et de Burdach, après avoil été interrom
ieurs et des cordons latéraux. C'est une affection systématique des
faisceaux
centripètes et centrifuges du cervelet, entée s
corps optostriés, et du cervelet. On y trouve la dégénérescence du
faisceau
cérébelleux des cordons postérieurs, chargé d'exp
ofondes, celle des cordons latéraux du cervelet et d'une portion du
faisceau
de Gowers et Bechterew qui transmet au cervelet
choréiformes. Alors le cervelet est atrophié dans sa totalité, ses
faisceaux
centrifuges sont lésés sous la forme de dégé- n
séminée dans la région du reliquat des cordons antérolatéraux et du
faisceau
intermédiaire du cordon latéral des pyramides.
riedreich ou du tabès est cérébelleuse. Elle tient à une lésion des
faisceaux
des cor- dons postérieurs et latéraux dans le c
n'est pas tout ; en dehors de ces preuves directes on rencontre un
faisceau
de preuves morales (âge, sexe, hérédité, profes
i, qui n'existe pas de l'avis de son auteur dans tons les cas où le
faisceau
pyramidal est lésé, qui, d'autre part, ne sembl
s du pied indiquerait une perturbation de cette autre fonc- tion du
faisceau
pyramidal, qui consiste à maintenir un certain
Maladies ? 7 : en- tales. Exicitation électrique. Voir Moelle.
Faisceau
pyramidal. Hypertrophie du ; par) ? Z 177 La
'apparence du tissu normal, et se laissant difficilement diviser en
faisceaux
de libres. Les aponévroses sontmincesut sans
nt dit était très épaissi et composé d'élé- ments conjonctifs el de
faisceaux
fibreux, se groupant de façon à constituer deux
col de la corne postérieure (figure) soient identiques à celles du
faisceau
anormal sus-décrit : on aurait alors une dispos
es qui apparaissent inopinément dans la portion anté- rolatérale du
faisceau
cunéiforme (figure). Le petit faisceau dispersé
ortion anté- rolatérale du faisceau cunéiforme (figure). Le petit
faisceau
dispersé dans le cordon postérieur se divise en
s pénètrent peu à peu ; en la traver- sant elles viennent toutes au
faisceau
latéral des pyramides au- quel elles appartienn
oie de décadence des deux côtés. Au niveau de l'entrecroisement, un
faisceau
anormalement rirronscrit occupe la portion anté
ndante. Les branches ascendantes occupent d'abord le territoire des
faisceaux
de IIl11'darh ; puis, graduelle- ment, poussées
s et de toutes les racines cervicales passent exclusivement dans le
faisceau
de Burdach. C'est au milieu des cellules des no
s en ramuscules arbori- l'ormes. Mais toutes les libres de ces deux
faisceaux
ne vont pas aux noyaux correspondants ; une par
irectement dans les corps restiformes et de la au cervelet. , Les
faisceaux
latèro-cèrèbelleux et les faisceaux de Gozovrs so
s et de la au cervelet. , Les faisceaux latèro-cèrèbelleux et les
faisceaux
de Gozovrs sont L si voisins, si étroitement un
over de myélite, à peu près au niveau de la 3e paire cervicale, les
faisceaux
en question se groupent en longs trousseau prés d
a partie postérieure, la plus étroite et la plus compacte, forme le
faisceau
latéro-cérébelleux, la partie antérieure, plus
ceau latéro-cérébelleux, la partie antérieure, plus large, c'est le
faisceau
de Gowers. En montant, ces deux faisceaux se se
eure, plus large, c'est le faisceau de Gowers. En montant, ces deux
faisceaux
se serrent l'un contre l'autre et pénètrent da-
dans la substance blanche. En même temps la portion postérieure, du
faisceau
latéro-cérébellcux émet un étroit fascicule de
de libres issues des racines postérieures qui, occupant d'abord les
faisceaux
latéro- cérébelleux, avoisinenl, dans les régio
postérieurs, pour se terminer avec ces derniers dans les noyaux des
faisceaux
de Goll et de Burdaclt. Une partie des libres d
r le reste de la des- cription, c'est à peu près celle de Solder.
Faisceau
olivaire. - Petit faisceau des cordons antérieurs
ption, c'est à peu près celle de Solder. Faisceau olivaire. - Petit
faisceau
des cordons antérieurs par- lant du foyer el lo
iennent ces libres ? Des racines posté- rieures ou des cellules des
faisceaux
? L'interruption transversale et totale de la m
encéphale par les libres terminales de la bandelette olfac- tive ou
faisceau
conduc'cur centripète rhinencéphalo-hippocam- p
portent davantage sur la substance blanche que sur l'écorce, et les
faisceaux
d'associa- tion paraissent souffrir plus que ce
giquementcontrôlée, du noyau oculo-moteur commun, et l'intégrité du
faisceau
longitudinal postérieur ainsi que de quel- ques
ssent aux auteurs pu argu- ment probant en faveur de l'existence du
faisceau
anftSL0111(11111U1' décrit par lluval et Labord
111U1' décrit par lluval et Labordo lu noyau de l'abducens et les
faisceaux
radiculaires du moteur commun. 1 ? l'ISSOT. 1X\
afférente de lleld abandonne à l'élément cellulaire de soutien des
faisceaux
de, fibrilles qui s'anastomosent entre elles et
e, dans des travaux précédents, on trouvait que, parmi les nombreux
faisceaux
de fibrilles d'un calice, une partie seulement
s noyaux, la tunique moyenne a un aspect hya- lin. Quelques rares
faisceaux
lien eu.\. visibles ne montrent- aucune altérat
, de rigidité d'origine purement spinale, et que les altérations du
faisceau
moteur vn- lontaire sont la conséquence des lés
deux imbéciles (l planche), - 1. S\[.LE A<;)[\Mt ! ! )\rr.T. Le
faisceau
longitudinal inférieur elle faisceau optique ce
.LE A<;)[\Mt ! ! )\rr.T. Le faisceau longitudinal inférieur elle
faisceau
optique central. 1 t : nF. Contribution expérimen
e de Babinski il est indépendant d'une dégénéra- lion quelconque du
faisceau
pyramidal,; d'ailleurs, l'atrophie de la corne
aduit par la contraction de tout le ventre du muscle ou d'un de Ces
faisceaux
Sur toute sa longueur, diffère de la contrac- t
pargnant, d'une part, une zone marginale latérale correspondant aux
faisceaux
cérébelleux, devenant plus intense, d'autre par
x cérébelleux, devenant plus intense, d'autre part, au niveau des
faisceaux
pyramidaires directs et croisés. Les lésions des
âillement, au prurit, sont d'autant plus prononcés que la lésion du
faisceau
pyramidal est cliniquement plus évi- dente et p
sont le tabès et la paralysie générale : : - simple raréfaction des
faisceaux
pyramidaux consé- cutive aux lésions d'encéphal
aux lésions d'encéphalite diffuse ; dégénérescence mas- sive de ces
faisceaux
secondaire à une lésion encéphalique en foyer o
yotrophique, mais s'étendent sou- vent aux fibres centrovalaires du
faisceau
pyramidal et jusque dans l'écorce grise (1). ,
u, presque au complet, des psychopathies dites organiques avec leur
faisceau
de symptômes de diminu- tion et de perturbation
issu lâche de cellules fusiformes, enfin vient la couche propre des
faisceaux
de la capsule. A l'extérieur, une zone en dégén
observe des cellules névrogliques gonflées, et des altérations des
faisceaux
myéliniques. Mais tous ces processus irritatifs
ction tonique partielle, per- sistant pendant quelques instants, du
faisceau
percuté. Plus récemment encore, Pétrone (Bivisl
ont bien développés, le mollet a une circonférence de 31 cent. Un
faisceau
musculaire du biceps fémoral, enlevé pour l'obs
chronique avec dé- génération scléreuse descendante consécutive des
faisceaux
latéraux ? L'enchaînement et l'apparition progr
ait pas mention. Leurs branches se dirigent en dehors, couvrent les
faisceaux
latéraux de leurs ramifications et four- nissen
cheminent sur la face antérieure des cordons latéraux au milieu des
faisceaux
des racines, tantôt formant des sortes d'anses
thode est celle de Gudden, consistant à rechercher les atrésies des
faisceaux
infracorticaux qui succèdent à des mu- tilation
visuelle devrait être considérée comme noyau purement optique. Les
faisceaux
de la couronne rayonnante et de la cap- sule in
blllalamique, des pé- doncules cérébraux, de la moelle allongée, du
faisceau
pyra- midal. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 97
deux dernières observations témoigne de l'action conductrice des
faisceaux
blancs émanés de la région de Broca, celle-ci é
stérieurs à la région lombaire ; les segments les plus externes des
faisceaux
cunéiformes, et les cordons postérieurs à la ré-
n-persistance de l'ataxie malgré la lésion du trousseau externe des
faisceaux
cunéiformes, tendant à admet- tre que, si le su
u cubital gauche, en corrélation probable avec la forte atteinte du
faisceau
cunéiforme cervical du même côté, - sur l'absen
aussi spontanés. L'élongation détermine-t-elle la régénération des
faisceaux
atro- phiés dans les organes centraux ? pour M.
systèmes atteints, no- tamment la coïncidence des lésions dans les
faisceaux
posté- rieurs et latéraux (Westphal) et en même
des cornes antérieures à l'envahissement des cordons latéraux et du
faisceau
pyramidal, l'une étant pour lui le point de dépar
roite, difficile à expliquer, car 1'liémorrhagie était trop loin du
faisceau
pyramidal pour en rendre compte. Élongation d
n PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 165 quatre 'ou cinq
faisceaux
; son tronc ne paraît du reste nulle- ment dégé
'état isolé, se dis- socient mal d'ordinaire et restent groupées en
faisceaux
ondulés et cohérents. Alors elles apparaissent
s vive. Cette apparence rappelle jusqu'à un certain point celle des
faisceaux
conjonctifs; aussi peut-on dénommer cette varié
re 4 repro- duit l'une d'elles); de loin en loin existent aussi des
faisceaux
de gaines vides (type 5) avec apparence conjonc
épaissies qui sillonnent le nerf en tout sens et circonscrivent les
faisceaux
altérés. De ces travées partent des cloisons se
i contiennent encore de la myéline, c'est à peine si, dans certains
faisceaux
, on en peut trouver trois ou quatre présentant
nt des nerfs du voisinage de l'escliare fessière (Obs. I); fig. 16,
faisceau
de fibres non dissociées; / : y. 17, fibres iso
e allongée, n'intéressant que les segments les plus postérieurs des
faisceaux
de Goll. On est, par conséquent, en droit de supp
urs qui atteint une partie bien plus étendue de ces organes que les
faisceaux
de Goll.Par suite, laportion interne des cordons
courts tractus. Il faut remarquer que la dégénérescence stricte des
faisceaux
de Goll n'entraîne en apparence aucun symptôme.
ante des cordons latéraux occupe généralement non pas seulement les
faisceaux
latéraux cérébelleux de Fleclisig, mais encore
la sclérose latérale amyotro- phique. Il y, existe en tout cas des
faisceaux
mixtes. Quelques fibres disséminées des cordons
séminées des cordons latéraux dégénèrent aussi en bas en dehors des
faisceaux
pyramidaux. Séance du 4 juin 1882. La communi
ons conjonctives dans la profon- deur du nerf entourant d'abord les
faisceaux
, puis les comprimant et finalement les atrophia
'r lt ') 1 ' 1 1 t 4 à 1 Recherches analomiques et cliniques sur le
faisceau
sensilif et les troubles de la sensibilité dans
ême.du sciatique gauche. On aperçoit distinctement, au milieu des .
faisceaux
nerveux, un certain nombre de libres altérées e
-m ? 01, obturateur interne; FS, fessier supérieur; 1, 2, les deux'
faisceaux
du iombo-sacre'a.Dant, l'un au sciatique poplité,
us pourrions les répéter pour les paires lombaires et sacrées : les
faisceaux
qui.se rendent aux différents nerfs offrent des
) ; bien que, dans l'observation II, les deux cordons de Türclc, le
faisceau
pyramidal dans les cordons latéraux, la portion
aisceau pyramidal dans les cordons latéraux, la portion interne des
faisceaux
cunéiformes à la région cervicale supérieure, l
erne des faisceaux cunéiformes à la région cervicale supérieure, le
faisceau
pyramidal et les deux cordons posté- rieurs à l
lle ail décelé d'altération dans les cordons latéraux. Intégrité du
faisceau
pyramidal jusque dans les tractus intraccrebrau
que sa, systématisation minutieuse et .9 a Ite ,,ou tel .ordre de,,
faisceaux
,,(de Goll, ,Ldté LBur; dach, etc..) s'oppose à
nt des nerfs du voisinage de l'eschare fessière (Obs. I) ; fig. 16,
faisceau
de fibres non dissociées; fig. 17, fibres isolé
eures et ne saisit plus les limites entre le Moi et le non-Moi. Les
faisceaux
d'association exercés à la coordination habitue
eil. Il y avait des kystes dans le foie et le rein. Dégénération du
faisceau
pyramidal gauche; dimi- nution de nombre des ce
sé; il existe une dé- générescence ou un arrêt de développement des
faisceaux
pyrami- daux et des cordons de Goll. M. Bruns
et en bas vers.la première dorsale. La lésion porte surtout sur le
faisceau
de Burdach et mieux encore sur la portion de ce
se la zone radiculaire postérieure. Parallèlement à cette lésion du
faisceau
de Burdach, on observe une autre lésion qui cor
due à des lésions dans cha- que capsule interne; dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux directs et croisés; par COL31AN. Iir
segment postérieur et le segment rétro- lenticulaire, les fibres du
faisceau
de Furet qui constituent le cin- quième externe
r l'étude de la substance blanche des hémisphères, c'est-à-dire des
faisceaux
d'association et commissuraux. Quant aux fibres
générescence secondaire est là d'une utilité remarquable. Parmi ces
faisceaux
, que l'étude préalable des coupes microscopiques
isés à comprendre, il en est un nouveau, décrit par les auteurs, le
faisceau
occipito-frontal, reliant le lobe temporo-occip
raduit dans les Archiv f. Psych., t. X1X') dans lequel il décrit ce
faisceau
sous le nom de faisceau' ovale de la calotte, s
u postérieur, sur les côtés et sur la face antérieure (ventrale) du
faisceau
longitudinal postérieur. En cet endroit, la cou
eau longitudinal postérieur. En cet endroit, la coupe transverse du
faisceau
de la calotte mérite le nom de coupe de la comm
n rapport avec la commissure postérieure. Pour ce dernier auteur le
faisceau
central en question cesse dans les territoires
res qui avoisineut le troisième ventricule. Quant au trajet dudit
faisceau
, il n'y a que son tiers interne qui s'en aille
onner ensuite avec la première partie. Une troisième partie du même
faisceau
suit la portion médiane du ruban de Reil qui la
t-être, plus tard, à nouveau avec les deux autres tiers ( ? ). Le
faisceau
central de la calotte est donc bien le trait d'un
cervelet et qui, suivant Bechterew, doivent être la prolongation du
faisceau
central de la calotte. Sur ce dernier point AI.
i de l'olive inférieure, va jusqu'à la 4e paire cervicale; c'est le
faisceau
triangulaire de la moelle cervicale. En outre,
ieur de ces segments. La dégénérescence descendante intéresse , les
faisceaux
pyramidaux croisés, le bord des cordons antéro-
sceaux pyramidaux croisés, le bord des cordons antéro-latéraux, les
faisceaux
latéro-cérébelleux, les faisceaux de Gowers, le
des cordons antéro-latéraux, les faisceaux latéro-cérébelleux, les
faisceaux
de Gowers, les faisceaux de Goll et les faiscea
aux, les faisceaux latéro-cérébelleux, les faisceaux de Gowers, les
faisceaux
de Goll et les faisceaux de Burdach. En cet end
-cérébelleux, les faisceaux de Gowers, les faisceaux de Goll et les
faisceaux
de Burdach. En cet endroit, dégénérescence très
t en bas). En haut, la dégénérescence se limite graduel- lement aux
faisceaux
de Goll et à une petite partie des faisceaux de
te graduel- lement aux faisceaux de Goll et à une petite partie des
faisceaux
de Burdacb ainsi qu'aux faisceaux de Gowers et
e Goll et à une petite partie des faisceaux de Burdacb ainsi qu'aux
faisceaux
de Gowers et aux faisceaux laléro-cérébelleux;
ie des faisceaux de Burdacb ainsi qu'aux faisceaux de Gowers et aux
faisceaux
laléro-cérébelleux; on la poursuit jusqu'à la t
isième paire cervi- cale. En ce cas la dégénérescence porte sur les
faisceaux
pyrami- daux croisés et les bords des cordons a
lombaire restant intacte, malgré la dégénérescence descendante des
faisceaux
pyramidaux, tous les réflexes cutanés et tendin
elques fibres rayé- litiqu'es sous-jacentes à la pie-mère, dans les
faisceaux
postérieurs de la moelle'dorsale et lombaire su
'appareil vascu- laire. Malgré cela, il n'y avait pas de lésion des
faisceaux
pyramidaux (observation I) tandis que les cordo
urtout moteur, constaté pendant la vie. L'atteinte plus spéciale du
faisceau
pyramidal doit s'expliquer par l'arrêt de dével
moelle émane donc de celle de l'écorce. L'arrêt de développement du
faisceau
pyramidal explique l'arrêt de dévelop- pement d
al postérieur de l'oculomoteur commun, qui occupe une dépression du
faisceau
longitudinal postérieur; 3° le noyau prin- cipa
; 3° le noyau prin- cipal du pathétique de Westphal, situé entre le
faisceau
longitu- dinal postérieur et l'aqueduc de Sylvi
de rattacher la parésie'spasmodique des extrémités à la lésion des
faisceaux
pyramidaux; l'intégrité des zones d'entrée radi
spèce à l'altération de la substance grise, et à l'interruption des
faisceaux
conducteurs. C'est à la lésion des cordons post
brales, liées à l'arrêt de développement ou à la dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux ne peuvent pas toujours être mis sur
face, montre que le traumatisme a porté sur la partie antérieure du
faisceau
moteur; l'absence d'hémianopsie et de tout symp
as très bien où et comment, en s'étendant à la partie antérieure du
faisceau
psy- chique, cette inflammation aurait coupé le
uelle que soit leur durée, elles n'envahissent jamais la région des
faisceaux
endogènes, en particulier celle des faisceaux e
jamais la région des faisceaux endogènes, en particulier celle des
faisceaux
endogènes des- cendants (triangle de Gombault e
nce en pleine substance grise, même quelques fibres de la région du
faisceau
pyramidal croisé. Mais toutes ces lésions sont
Goll, présentait des iésionsétendues, ce qui démontre qu'un même
faisceau
de fibres peut être sain dans une région de la mo
e région de la moelle et malade dans une autre. Bien plus, dans les
faisceaux
malades il n'est pas rare de rencontrer beaucou
e fibres qui pren- nent naissance dans le corps de l'organe. 1 Le
faisceau
tecto-bulbaire prédorsal transmet par ses collaté
dent des excitations lumineuses. Une série de colla-, térales de ce
faisceau
, qui vontau noyaul'oufJe, transmettent parcon-
tact l'agent lumineux aux éléments cellulaires de ce dernier. Le.
faisceau
rubrospinal le porte à la moelle où, par voie de
utes les fibres sensibles de la moelle, (voie cérébelleuse directe,
faisceau
de Gowers, etc.) qui lui rendent comple des rel
n est de là, à l'insu de la volonté, trans- mise aux muscles par le
faisceau
rubrospinal. Ainsi est maintenu, sans la partic
s la participation de la volonté, {'équilibre constant du corps. Le
faisceau
tectobulbaire prédorsal se termine graduellement
rmédiaire entre les noyaux de l'auditif et de l'hypoglosse. '. Le
faisceau
tecto-protubérantiel sert à la transmission des e
ux cellules nerveuses des masses grises de la protubérance, près du
faisceau
pyramidal. Ces cellules sont munies d'une énorm
se demander si la formation réti- culaire n'est pas une réserve de
faisceaux
de remplacement de second ordre destinés à tran
tubercule quadrijumeau antérieur est lui-même en relation avec les
faisceaux
de l'ouïe. Le tubercule quadrijumeau antérieur
que, dans le segment sacré, une certaine irri- tation des fibres du
faisceau
postéro-interne d'Obersteiner. La ré- gion radi
ures et aussi de celles des nerfs craniens. 6. La dégénérescence du
faisceau
pyramidal commence au segment sacré inférieur;
ment moyen du pédoncule cérébral, point où se fait la jonction d'un
faisceau
supplémentaire du ruban de Reil, qui apporte les
ents du pédoncule cérébelleux anté- rieur ; f) le noyau rouge; c)le
faisceau
qui pénètre dans la couche optique, et notammen
oncule cérébelleux moyen sont peu marquées. 8. La dégénérescence du
faisceau
fondamental du cor- don antéro-latéral et du fa
nérescence du faisceau fondamental du cor- don antéro-latéral et du
faisceau
de Gowers-Bechterew se poursuit jusqu'au niveau
se poursuit jusqu'au niveau de l'entrecroisement des pyramides. Le
faisceau
interne du cordon latéral est partout intact. 9
es cliniques obser- vés sont expliqués par la lésion bilatérale des
faisceaux
olivo- ciliaires, par la lésion unilatérale du
térale des faisceaux olivo- ciliaires, par la lésion unilatérale du
faisceau
qui met en rapport le noyau de Deiters avec la
a moelle par l'interruption de la voie centripète constituée par le
faisceau
de Gowers. L'auteur insiste sur l'importance de
om- portant quelques moyens nouveaux de technique (séparation des
faisceaux
, coupes longitudinales), ont pu déterminer avec u
neux, etc. En présence de ces accidents révélateurs d'une lésion du
faisceau
pyramidal, l'auteur estime qu'il s'agit d'un ca
lée du lobule lingual, dégénérescence du splenium, du tapetum et du
faisceau
optique à gauche et du tapetum à droite. Confir
férieure de la protubérance. Il n'y avait pas de dégénérescence des
faisceaux
blancs. Les auteurs pensent que la symptomatolo
rticale du cerveau, probablement associée à la dégéné- rescence des
faisceaux
pyramidaux et des tractus cérébelleux des- cend
e de l'équilibre de tonus entre antagonistes), dépend de lésions du
faisceau
extra-pyramidal et doit être rangé à côté des m
nt plus loin, et l'on peut constater la sclérose totale de quelques
faisceaux
ner- veux. Mais, eu égard à la compression inte
génicnlé. 1, B, envahissement de la gaine de Heule et du contre du
faisceau
nerveux ; c, cel- lules ganglionnaires entourée
es fibres arciformes cérébello-olivaires, une partie de l'olive, le
faisceau
central de la calotte, le noyau ambigu et les l
racines des IXc et Xe paires dans leur trajet intra-bul- baire, le
faisceau
latéral du bulbe et la racine descendante de la
t. A la section des muscles, on trouvait des cysticerques entre les
faisceaux
; ils étaient surtout abondants dans les muscles
ion moléculaire, ce qui vient à l'appui des faits de M. Egger. Le
faisceau
pyramidal direct dans le cordon antérieur de la
oral gauche vu par en dessous était aussi de volume insuffisant. Le
faisceau
longitudinal inférieur gauche était altéré; 2"
nt a lésé ces zones vaso- motrices en même temps qu'il a atteint le
faisceau
pyramidal et la voie sensitive. Préparations
trophie très marquée il rencon- tra des altérations musculaires des
faisceaux
neuro-musculaires; il décrit une lésion 1° voca
es musculaires se retrouvaient aussi quelquefois indépendamment des
faisceaux
neuro-muscu- laires ; cette division fibrillair
re se réduit dans la moelle cervicale et le bulbe à une sclérose du
faisceau
cérébelleux direct et est, sous la dépendance d
épinière chez les vertébrés su- périeurs, par Geier. 262. - Voir
Faisceau
pyramidal. Sur les mo- difications du canal cen
e qui est dû, sans doute, à l'existence des fibres croisées dans le
faisceau
tua- lamo-facial. La substitution du pleurer
conduclion thalamo-lmtlltaire du rire et du pleurer se fait par un
faisceau
unique dont les fibres gouvernent des groupemen
une altération du système nerveux de l'écorce, dos pédoncule ou des
faisceaux
pyramidaux. On est donc en droit de se de- mand
rdinairement la face, et qui provoque la dégénération secondaire du
faisceau
pyrami- dal. Dans les paralysies générales ah p
42 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. dégénérescence systématique du
faisceau
pyramidal gauche. Il est rare de trouvera cette
la partie postérieure de la base de ce dernier, part un volumineux
faisceau
blanc (fig. 4 et 5), concave en bas et dont le
u bulbe et de la protubérance. Ce 6S A1';ATm[lJ PATHOLOGIQUE.
faisceau
blanc, qui remplace les trois pédoncules cérébe
qu'à l'état normal ; sa paroi su- périeure est formée, en dedans du
faisceau
blanc qui aboutit au ilocculus gauche, par le v
protubérance et du cervelet, intéressant, sur toute sa longueur, le
faisceau
blanc étencîu en arrière du (locculus gauche.
e semble présenter que des connexions de contiguïté avec le large
faisceau
blanc qui est visible sur la face gau- che du c
t une grande analogie entre ce cas et celui de Des. ; mais le large
faisceau
blanc qui borde en haut et il droite la cavité
pontet l'existence de lamelles ou lobules sur toute la longueur du
faisceau
blanc en question rendent la persistance du flo
éphale, que le flocculus, en connexion immédiate avec le volumineux
faisceau
blanc remplaçant les pédoncules cérébelleux du
cules cérébelleux moyens et difficiles à distinguer à l'oeil nu des
faisceaux
de fibres pyramidales coupés transversalement.
n, notre Congrès a toujours compris qu'il devait grouper en un seul
faisceau
et faire utilement collaborer les aliénistes et
paracentraux. D'un autre côté, dans certains cas où les lésions des
faisceaux
pyrami. daux dépendent manifestement des lacune
: cela tient, sans doute, à une sorte de condensation des fibres du
faisceau
pyramidal dans les régions inférieures, plus ou
es nerveuses comme d'origine toxique. Les lésions systématiques des
faisceaux
pyramidaux et des cordons postérieurs sont prod
de la Tourelle). 1'll. Atrophie musculaire par lésion d'un point du
faisceau
pyra- mitlal. avec lésions consécutives des cel
eurs, des arthropathios fréquentes.-\l. La lésion de l'écorce ou du
faisceau
pyramidal amène des altérations trophiques non
ren- 1 l'ale" du noyau de ])eileI's et des masses grises voisines (
Faisceau
yestibl1lo-spinal. Faisceau lnniriludinul posté
)eileI's et des masses grises voisines (Faisceau yestibl1lo-spinal.
Faisceau
lnniriludinul postérieur, SI rie- médul- VARI
eptiles. 6° A Van Gehuchten. Le fais- ceau en crochet de Itussel ou
faisceau
cvrlbolbo-buhaire ; 1) ? z de Buch et Deroubaix
SSION DE LA .MOELLE. 171 présente des lésions de dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux, en clinique encore, quand on se tro
fonctionnel, ou encore si tels autres traduisent une lé- sion des
faisceaux
nerveux. Nous nous sommes heurtés il cette diff
arce que la compression n'a pas été suivie d'une dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux, autre- ment dit il rentre dans la c
vement et nécessairement sous la dépendance de la dégénérescence du
faisceau
pyramidal. Pour Westphal et Strümpel, l'exagéra
dique consécutive il une lésion or- ganique et sans dégénération du
faisceau
pyramidal. (2) Oiehl es eine primnre Sklerose d
che mcdicinische Wochenschrift, 1899, n" 28, 29 und 30. (4) Etat du
faisceau
pyramidal dans quatre cas de contracture spasmo
spasmodicité ne coïncident pas toujours avec une dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux, et par con- séquent,dans les cas de
de dégé- nérescence, mais tout au plus un trouble fonctionnel du
faisceau
pyramidal. (1) Tumeur cérébrale comprimant la l
mant la loue rolandique gauche, hémiplégie permanente, intégrité du
faisceau
pyramidal, par Cestan. (Soc. anatomique, févrie
e considérable des fibres tangentielles d'Exner, la destruction des
faisceaux
longitudinal supérieur et occipito-frontal et d
ostérieur de la capsule interne, les radia- tions thalamiques et le
faisceau
longitudinal inférieur. Les cellules pyramidale
vraisemblable l'hypothèse formulée par ces auteurs, à savoir que le
faisceau
pyramidal se termine dans la moelle, sui- vant
galement très nette. La trame conjonctive est repré- sentée par des
faisceaux
de tissu conjonctif adulte, soit nor- maux, soi
annegrâce. Lannegrâce regarde globe oculaire comme innervé par deux
faisceaux
de fibres, sensorielles ou optiques propres, et
trophié Mais dans ses dernières recher- ches il conclut qu'un petit
faisceau
de fibres non croisées ou di- rectes existe aus
nt aussi qu'il y a une décussation partielle chez le lapin, mais le
faisceau
non croisé ne se présente pas comme une bande s
fines surtout dans la couche zonulaire, et que, des deux côtés, les
faisceaux
pyramidaux ont dégénéré. Planche à l'appui. P.
oupes antéro-poslérieures, où l'on eu constate la ramification, des
faisceaux
qui subsistent ont encolle une certaine épaisseur
s descendent dans la base de cet organe. En dedans d'elles sont des
faisceaux
longitudinaux postérieurs, des fibres commissur
segment latéral et en un segment médian, passe de l'autre côté; ce
faisceau
entre-croisé descend en s'entre-croisant avec l
les quadrijumeaux se compose donc d'un fai-ceau homolatéral et d'un
faisceau
croisé. Discussion. M. STCINER. Les résultats d
ales. Plus en dedans est le second secteur par lequel passe tout le
faisceau
pyramidal. Dans le troisième secteur se trouvent
nticulaire, et des fibres originaires de l'insula. A l'exception du
faisceau
pyramidal, toutes les fibres du pied du pédoncu
vous signaler le tabes ataxique et la dégénération hémiplégique du
faisceau
pyramidal. Donc chez les ataxiques comme chez l
une atrophie mus- culaire, c'est que la dégénération descendante du
faisceau
pyramidal a pénétré en quelque sorte, jusque da
tance grise sont absolument subordonnés à la lésion dégénérative du
faisceau
pyramidal. Mais voici où les faits semblent vou
ésion qui engendre la contracture c'est la sclérose dégénérative du
faisceau
pyramidal. Mais, je vous l'ai déjà dit dans une
pyramidal. Mais, je vous l'ai déjà dit dans une autre occasion, le
faisceau
pyramidal ne renferme pas la vingtième partie d
ûte, invoquer l'influence de la substance grise interposée entre le
faisceau
pyramidal et les DES CENTRES TROPHIQUES DE LA M
ties ventriculaires ont lieu précisément entre lui et l'ensemble de
faisceaux
et de membranes que nous avons présentés comme
ches anatomo-pathologiques sur les dégéné- rations descendantes des
faisceaux
pyramidaux consé- cutives aux lésions en foyer
) commun ' au pneumogastrique et au glossophary;ien ; les fibres du
faisceau
solitaire avaient considérablement diminué. Nou
riginaire du cordon latéral, innerve les muscles du larynx. - 6° Le
faisceau
solitaire doit être considéré comme une racine
fibres émanées des noyaux du pneumogastrique. - 8° Les cellulesdes
faisceaux
originels des cordons grêles ne donnent pas de
te des cornes postérieures, au milieu de la région moins tassée des
faisceaux
longitudinaux postérieurs. n M. Pick a retrouvé
au de l'extrémité supérieure du bulbe, dans le corps restiforme. Ce
faisceau
unilatéral, qui n'est pas identique au faisceau r
orps restiforme. Ce faisceau unilatéral, qui n'est pas identique au
faisceau
respi- ratoire de Krause, établit une connexion
tiges du cordon latéral, passer dans le ruban de Reil inférieur; ce
faisceau
, chez l'homme, va jusqu'à l'olive supérieure et
e termine dans la substance grise du noyau postérieur d'origine des
faisceaux
pyramidaux, noyau relié lui-même au cervelet. Les
Reil, une intégrité complète gau- che, une sclérose descendante du
faisceau
pyramidal gauche. Pas de lésions de la substanc
coupes, on ne trouve aucune trace de dégénérescence descendante du
faisceau
pyramidal. Les racines médullaires présentent u
tité considérable de granulations conglomérées dans le domaine du
faisceau
pyramidal seulement. Dans la moelle épinière, l
s les cas qui ne s'accompagnent pas d'une destruction complète du
faisceau
pyramidal; enlise ces cas extrêmes, il faut admet
ue cette atro- phie peut coïncider avec une sclérose descendante du
faisceau
py- hamidal ou exister sans la moindre lésion m
stance blanche, on peut direqu'il a été le précurseur anatomique du
faisceau
d'association sous-cortical deMeynert. Qu'on en
deuxbandelettes interne et moyenne, celle-ci renferme les fibres du
faisceau
pyramidal, celle-là les filets cortico-bulbaire
SYNDROME DE WEBER. 331 1 rantiel, ces deux nerfs affectent, avec le
faisceau
py- ramidal, d'étroits rapports de voisinage qu
n peut atteindre simultané- ment le nerf de la septième paire et le
faisceau
pyra- midal, et vous aurez ainsi imaginé la par
localisation qui atteindra les deux nerfs précédents sans léser le
faisceau
pyramidal^ et réalisera des accidents morbides
t, deux constatations sont absolument convaincantes : d'abord, le
faisceau
pyramidal croisé gauche, a un volume ordinaire no
sant par une infériorité de poids de 222 gr., enfin l'agénésie du
faisceau
pyramidal droit. V. A quelle époque est apparue
nt été employées dans l'observation précédente (V. p. 54). Les deux
faisceaux
pyramidaux nous ont paru intacts, à tous les ni
n très' grand nombre ; de plus, le renflement lombaire possède un
faisceau
moteur croisé suffisamment riche. - Pour inter-
Sur toutes les coupes, on note, de prime abord, l'altéra- tion du
faisceau
pyramidal croisé des deux côtés, avec une légèr
a suite de la destruction des circonvolutions rolancliques ou des
faisceaux
blancs de la capsule interne, par exemple. D'ai
t de l'arachnoïde. Cet épaississement est dû il la présence de gros
faisceaux
conjonctifs néo- formés qui s'intriquent les un
ncore, la lésion paraît être de date ancienne. Par contre, si les
faisceaux
blancs et les méninges paraissent altérés il de
s et des méninges molles. Elles sont diffusément répandues dans les
faisceaux
blancs, tout en présentant une apparence de sys
s, tout en présentant une apparence de systématisation au niveau du
faisceau
pyramidal croisé, dans toute sa hauteur. Cerv
couches externes ou superficielles des méninges ; il est formé de
faisceaux
assez lâches, ondulés, à fibrilles peu tassées.
de faisceaux assez lâches, ondulés, à fibrilles peu tassées. Ces
faisceaux
se disposent souvent de façon à former des tent
s et capillaires). Parallèlement à l'infiltra- tion cellulaire, les
faisceaux
névrogliques sont devenus partout plus denses.
corticales. - Ailleurs, l'examen a dû être borné à l'écorce et aux
faisceaux
blancs sous-jacents. - Les coupes, faites après
e- ment en rouge par le picro-carmin ; elle se compose surtout de
faisceaux
conjonctifs denses, tassés les uns contre les a
tres, et disposés tangentiellement à la surface générale. Entre ces
faisceaux
, se montrent des éléments cellulaires, en petit
ne présente guère que des lésions d'ordre dégé- nératif. Ainsi, le
faisceau
pyramidal est légèrement sclé- rosé des deux cô
histologique de la moelle, si nous ajoutons que, çà et là, dans les
faisceaux
blancs, se rencontrent quelques vaisseaux épais
artie posté- rieure, présentent un développement anormal de leurs
faisceaux
conjonctifs, et des vaisseaux néoformés, dont l
ants les uns des autres, communiquent néanmoins entre eux par des
faisceaux
de fibres d'association qui établis- sent une c
opager soit aux autres parties de la substance grise, soit même aux
faisceaux
de la substance blanche. La maladie perd alors,
l central de la moelle, multiplication du tissu conjonctif dans les
faisceaux
de Goll et les cordons latéraux, du côté droit.
clusion. Sixième forme clinique de Lichtheim ' : interrup- tion des
faisceaux
nerveux qui unissent le centre des images pho-
, cette atrophie n'impliquant pas nécessai- rement une atrophie des
faisceaux
pyramidaux. Or, une lésion de ceux-ci est la co
s ans après l'accident. Au cours de l'opération, il brisa plusieurs
faisceaux
fibreux entre les méninges. Au point de vue chiru
iquide aqueux. Incision cruciale de la dure-mère. Introduction d'un
faisceau
de 8 à 10 crins de cheval jusque dans la cavité
ter à nouveau cettebranche de la science, de penser qu'il existe un
faisceau
de recherches devant la réalité desquelles l'es
ent, il s'y forme des cellules nerveuses, tandis que le système des
faisceaux
conducteurs centraux cioit moins vite. Puis le
e loculomoteur commun. B. Dans la substance blanche. 1° Sclérose du
faisceau
pyra- midal dans toute son étendue; 2° atrophie
nsus parfait avec les altérations des noyaux ; 3° dégénérescence du
faisceau
fondamental du cordon antérieur ; 4° dégénéresc
erne, du pathétique, de l'ocu- lo-moteur commun, dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE p
de cette méninge, entre ses lamelles, et çà et là, jusque dans les
faisceaux
radiculaires descendants. Elles n'ont pas les c
au travail intitulé : Des différentes situations et dimen- sions du
faisceau
pyramidal; par W. Bechterew. (Neurol. Cen- tral
gues. Toutefois, la priorité lui appartient quant à la situation du
faisceau
pyramidal chez les ron- geurs, dans les segment
r- chant parallèlement au chiasma. La commissure de Meynert et le
faisceau
ou entre-croisement de Forel. Un troisième occupe
entre-croisement de Forel. Un troisième occupe le chiasma, c'est le
faisceau
indépendant ou commissure de De Gudden. L'indé-
re de De Gudden. L'indé- pendance de la commissure de Meynert et du
faisceau
de Forel est démontrée par l'étude des cerveaux
de Forel est démontrée par l'étude des cerveaux des nouveau-nés. Le
faisceau
de Forel se garnit de myéline plus tard que la
ar l'interruption, dans le bulbe, de ces tractus d'association. Ces
faisceaux
de ]a pal ole et de la déglutition sont voisins
ple des cornes grises antérieures de la moelle; légère sclérose des
faisceaux
radiculaires antérieurs ; hypertrophie de quelq
travers toute la protubérance, dans le bulbe où elle gagne tout le
faisceau
pyramidal antérieur et s'étend au faisceau pyrami
be où elle gagne tout le faisceau pyramidal antérieur et s'étend au
faisceau
pyramidal laté- ral sur toute son étendue. Inté
Dans les muscles atrophiés, on trouve une diminution de volume des
faisceaux
primitifs; la substance inter- médiaire a proli
térale amyotrophique, avec absence presque complète de sclérose des
faisceaux
blancs. Au point de vue des lésions cérébrales,
es altérations de la moelle elle-même. En deux cas, les lésions des
faisceaux
pyrami- daux dominent, mais, lors de lésions de
moins bien connues, portant sur les par- ties intra-pyramidales des
faisceaux
médullaires : dégénération du faisceau en virgu
ties intra-pyramidales des faisceaux médullaires : dégénération du
faisceau
en virgule de Schültze, dans les cordons postérie
irgule de Schültze, dans les cordons postérieurs, dégé- nération du
faisceau
intermédiaire du cordon latéral, et d'un fas- c
rdon latéral, et d'un fas- cicule auquel M. Marie propose le nom de
faisceau
sulco-murginal descendant, dans les cordons ant
delette, du chiasma ou du nerf optique, nous admettons que les deux
faisceaux
appartenant à chaque oeil, dont se compose la b
il s'agissait d'une aphasie motrice transcorticale avec lésion des
faisceaux
sensoriels transcorticaux. On trouva à l'autops
alysie géné- rale. Au microscope, on rencontra la dégénérescence du
faisceau
de Krause, celle des fibres qui en sortent pour
ution, du noyau du pathétique par un groupe nucléaire placé dans le
faisceau
longitudinal postérieur lui-même. Ce groupe de
cordons laté- raux, des pyramides jusqu'à la moelle dorsale, et des
faisceaux
de Goll dans la partie moyenne de la moelle dor
e manière plus lente ou exagérée, on n'obtient aucun résultat ni du
faisceau
d'étincelles ni des effluves obscures. Un seul
incelles électriques, les muscles se contractèrent len tement en un
faisceau
des plus nets (réaction dégénérative de Fran- k
TES. 507 topsie ne révéla qu'une atrophie du corps restiforme et du
faisceau
solitaire droit. Or les expériences de Filehne,
l'espèce, j'ai quelquefois rencontré dans le tabès une atrophie du
faisceau
solitaire, quelquefois aussi l'atrophie du corp
'histologie. 508 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Oppenheim. La petitesse du
faisceau
solitaire d'un côté ne prouve pas qu'il y ait a
olitaire d'un côté ne prouve pas qu'il y ait atrophie. En effet, ce
faisceau
se compose de substance blanche et de substance
éthode de coloration de Weigert (à l'hématoxyline) fait paraître le
faisceau
(la partie colorée en noir) plus petit que celu
s calibre, après un court trajet, disparaître brusquement entre les
faisceaux
du nerf et s'y perdre, semble-t-il. La suit-on
ciser en long la gaine fibreuse d'un nerf et d'en dissocier les
faisceaux
, pour se rendre compte du fait : les arté-
cial supérieur pris. Cette complication provient de l'altération du
faisceau
pyramidal entier. Action favorable des courants c
hénar. Intégrité des nerfs et des muscles. C'est à l'altération des
faisceaux
pyra- midaux qu'il faut attribuer ces phénomène
: dégénérescence des cordons postérieurs et de la zone d'entrée des
faisceaux
radiculaires, épais- sissement des os du crâne.
E. LACROIX. (Lyon méd., 1890, t. LXV.) z On sait que les lésions du
faisceau
pédiculo-frontal inférieur du côté gauche déter
ntale gauche. Si la lésion est très exactement limitée à ce premier
faisceau
, l'aphasie est le seul symptôme appréciable, ma
ymptôme appréciable, mais le plus souvent la lésion s'étend dans le
faisceau
voisin, et l'aphasie est accompagnée d'hémiplég
nie et les phthisiques, sans qu'on soit autorisé à admettre que Jes
faisceaux
pyramidaux sont affectés. Quatre fois, M. Sch
1" . l ! t ' ' " - 1° Un foyer d'inflammation dans le territoire du
faisceau
pyramidal provoque-t-il une hémiplégie chez le
endante du bulbe et de la moelle, bien qu'évidemment le système des
faisceaux
pyramidaux soit l'intermédiaire obligé de la pa
au point de vue anatomique ou physiologique, soit l'homologue du
faisceau
pyramidal de l'homme et des autres vertébrés. Il
ur, malgré la destruction étendue du cerveau, tienne à l'absence de
faisceau
pyramidal. ' Il y a en somme analogie entre l
syphilitique de vingt-huit ans, atteint d'une sclérose combinée des
faisceaux
pyramidaux, des faisceaux de Goll et, en partie,
ans, atteint d'une sclérose combinée des faisceaux pyramidaux, des
faisceaux
de Goll et, en partie, des faisceaux de Burdach
des faisceaux pyramidaux, des faisceaux de Goll et, en partie, des
faisceaux
de Burdach. Il y avait en outre de petits foyers
hériques. Atrophie à un haut degré et dégénérescence granuleuse des
faisceaux
musculaires avec prolifération des noyaux. '
S CHEZ L'HOMME ET LES animaux ; DE LA PRÉSENCE A L'INTÉRIEUR DE CES
FAISCEAUX
DE FIBRES QUI SONT CARAC- TÉRISÉES PAR UN DÉVEL
Flechsig a démontré qu'il y a un rapport de réci- procité entre le
faisceau
direct des pyramides dans les cordons antérieur
direct des pyramides dans les cordons antérieurs de la moelle et le
faisceau
croisé du cordon latéral ; de sorte que, quand
le et le faisceau croisé du cordon latéral ; de sorte que, quand le
faisceau
pyramidal d'un cordon latéral est très développ
faisceau pyramidal d'un cordon latéral est très développé, le même
faisceau
pyramidal du cordon antérieur de l'autre côté e
verset. On constate égale- ment des variations de position quant au
faisceau
pyramidal du cordon latéral, mais elles ne dépa
lumineuse que la pyramide droite; ce volume s'explique par celui du
faisceau
qui gagne le cordon laté- ral du côté opposé et
isceau qui gagne le cordon laté- ral du côté opposé et par celui du
faisceau
direct qui gagne le cordon antérieur homonyme;
ide la plus grosse. Il existe aussi des différences de longueur, le
faisceau
pyramidal s'en allant parfois jusqu'au milieu de
ntérieur des cordons postérieurs de la moelle; elle est à l'état de
faisceau
compact immédiatement en arrière de la com- mis
âgés, à une époque où sont déjà revêtues de myé- line les fibres du
faisceau
fondamental, du faisceau cérébello- latéral dir
t déjà revêtues de myé- line les fibres du faisceau fondamental, du
faisceau
cérébello- latéral direct de la moelle, du trou
oral et occipital à la protubérance. Le quart voisin con- tient les
faisceaux
des pyramides. Dans la troisième zone adja- cen
tion méthodique. Il enlève la substance grise et suit pas à pas les
faisceaux
qui se présentent comme s'il s'agissait de groupe
es territoires voisins de l'autre hémisphère par l'intermédiaire du
faisceau
arciforme sous-claus- tral qui occupe le territ
re dont l'origine est le rein droit. Dégénérescence descendante des
faisceaux
moteurs de la moitié droite de la moelle. Et c'
il est constitué de nombreuses cellules nerveuses d'où partent des
faisceaux
de -projection et autour desquelles se ramifien
les vertébrés inférieurs, les termi- naisons du nerf olfactif. Les
faisceaux
optiques s'irradièrent ensuite, chez les oiseau
ibres nerveuses extrêmement nombreuses, dans lequel s'irradient ces
faisceaux
de projec- tion. L'impression qui s'impose,' c'
ossède la propriété de conserver les impressions transmises par les
faisceaux
ner- veux de projection; 2° les voies d'associa
spécialement sur les cordons antéro-latéraux ; par consé- quent les
faisceaux
pyramidaux latéraux, les cérébelleux directs, l
, les cérébelleux directs, les fondamenteux antéro-latéraux, et les
faisceaux
de Gowers, des deux côtés, sont profondément at
nt atteints. Par contre les cordons postérieurs sont intacts et les
faisceaux
pyramidaux directs ne sont que peu altérés. A
le second cas il y a une destruction de la substance grise, et des
faisceaux
cérébelleux directs et des faisceaux de Gowers
de la substance grise, et des faisceaux cérébelleux directs et des
faisceaux
de Gowers tandis que les cordons postérieurs so
haud, du froid et de la douleur suivent la substance grise dans les
faisceaux
de Gowers ; tandis que, la sensibilité tactile
ésions de la syringomyélie comme démontrant cette marche des divers
faisceaux
sensitifs.Dans notre premier cas, cette disposi
mpressions de douleur, de chaud et de froid sont transmises par les
faisceaux
de Gowers. Comme ces faisceaux sont formés en g
t de froid sont transmises par les faisceaux de Gowers. Comme ces
faisceaux
sont formés en grande partie de fibres provenant
i passer par la substance grise, et attein- dre l'encéphale par les
faisceaux
cérébelleux directs. L'auteur pense que cette c
par une véritable inflamma- tion de la substance cérébrale (écorce,
faisceaux
blancs, même noyaux opto-striés) ; encéphalite
ose la maladie. Il existe chez le malade des signes d'irritation du
faisceau
pyramidal. MM. LAIGNEL-LAVASTINL et Vigouroux r
sclérose des cordons anlé1'o-laléruux., depuis l'atteinte légère du
faisceau
pyra- midal croisé jusqu'à la prise considérabl
isceau pyra- midal croisé jusqu'à la prise considérable de tous les
faisceaux
(f. moteur; f. de Gowers; f. cérébelleux direct
erfs sciatique poplité externe, où sur les coupes transversales des
faisceaux
nerveux on ne voit pas beaucoup de fibres saine
s et avec la même proportion dans le cas de maladies intéressant le
faisceau
pyramidal ,dans la moelle; 4° Le réflexe de B
e réflexe^ est souvent le premier à apparaître dans les maladies du
faisceau
pyramidal; par exemple, au début d'une attaque
es discussions si intéressantes, si fructueuses, constitue- ront un
faisceau
de documents scientifiques et administratifs où
question si complexe du délire aigu-LA. ,Carriera- su réunir en un
faisceau
compact et avec la plus grande** clarté les dif
les d'un cas à l'autre, tantôt au centre, tantôt à la périphérie du
faisceau
des radicelles lombo-sacrées, dont le groupemen
agie cérébrale limitée, qui s'est effectuée tout près des fibres du
faisceau
pyramidal ; celles-ci sont assez comprimées pou
capsule interne, où passent les fibres pyramidales sous forme d'un
faisceau
compact. Deux des observations permettent de pe
le montre l'observation I. Les deux observations prouvent que les
faisceaux
du centre de Wernicke, qui vont au centre d'assoc
centre de Broca, et servent à l'écriture et à la lecture, tous ces
faisceaux
passent près les uns des autres. C'est pourquoi i
s uns des autres. C'est pourquoi ils sont frappés simultanément. Le
faisceau
arciforme doit être la clef de voûte de ces tra
le est plus marquée que chez les animaux; 5° chez le nouveau-ne, le
faisceau
pyramidal n'existe pas fonctionnellement; le to
, noyaux centraux), dont nous connaissons et des voies centripètes (
faisceau
cérébel- leux ascendant, ruban de Goll) et des
u cérébel- leux ascendant, ruban de Goll) et des voies centrifuges (
faisceau
cérébelleux descendant, faisceau rubro-spiual,
de Goll) et des voies centrifuges (faisceau cérébelleux descendant,
faisceau
rubro-spiual, etc.). Enfin, le troisième étage
interne ayant séparé la corticalité de la moelle, ayant détruit le
faisceau
pyramidal, et cependant ayant déterminé'une con
al. D'autre part, nous possédons des cas de destruction complète du
faisceau
pyramidal suivie cependant de contracture spasm
ocq attribue la contracture à l'irritation des cylindres-axes de ce
faisceau
pyramidal. J'apporte en collaboration avec le pro
miner la contracture, mais je puis dire que dans ces deux cas, les
faisceaux
pyramidaux ont complètement disparu au-dessous de
e, 1901, n° 2.) Ce travail contient huit observations de lésions du
faisceau
pyra- midal soit dans sa portion cérébrale, soi
t tout d'abord la substance grise des cornes antérieures et aussi les
faisceaux
latéraux, car il existe une paralysie avec atroph
l existe une paralysie avec atrophie ; les cornes postérieures et les
faisceaux
postérieurs, puisqu'il y a une anesihésie totale
7). Il s'agissait seulement d'une myélite scléreuse des cornes et des
faisceaux
postérieurs et des parties centrales de la moelle
des muscles jambier antérieur, extenseur commun des orteils (sauf le
faisceau
du deuxième), extenseur propre du gros orteil, co
— Secousses fibrillaires fréquentes et contraction isolée de quelques
faisceaux
musculaires. —• Sens musculaire affaibli des deux
allusion ici à la paralysie bulbaire inférieure sans participation du
faisceau
pyramidal. On a prétendu bien à tort et fort légè
nce de la paralysie glosso-labio-laryngée dégagée de toute lésion des
faisceaux
latéraux, il faut ajouter aujourd'hui deux nouvea
henne-Aran (polyomyélite antérieure chronique, sans participation des
faisceaux
latéraux et par conséquent sans exagération des r
60 millim. = néant pour la partie moyenne. 80 — =r contraction du
faisceau
claviculaire. 12 élém., 45o = KS néant. 12 élém.,
ans laquelle il n'existe au contraire aucun symptôme de la lésion des
faisceaux
pyramidaux. Il n'est pas besoin d'insister plus l
rise ; 2° extrinsèques s'ils dépendent de l'extension des lésions aux
faisceaux
blancs. Les symptômes intrinsèques peuvent être d
tandis que la sensibilité au tact, d'après Schiff, passerait par les
faisceaux
postérieurs; or l'histoire anatomo-clinique de la
nsèques ou leucomyéliques, selon qu'ils représentent l'altération des
faisceaux
latéraux ou postérieurs, ils se rattachent, ceux-
n groupe à part, ceux dans lesquels un véritable tabès par lésion des
faisceaux
postérieurs peut s'associer à la glycosurie. Je p
érébral intéressant les fibres du moteur oculaire commun et celles du
faisceau
pyramidal. L'hystérie peut simuler le syndrome
x deuxbandelettes interne et moyenne, celle-ci renferme les fibres du
faisceau
pyramidal, celle-là les filets cortico-bulbaires
ans ce trajet intraprotubé-rantiel, ces deux nerfs affectent, avec le
faisceau
pyramidal, d'étroits rapports de voisinage qui ex
éoion peut atteindre simultanément le nerf de la septième paire et le
faisceau
pyramidal, et vous aurez ainsi imaginé la paralys
le localisation qui atteindra les deux nerfs précédents sans léser le
faisceau
pyramidal et réalisera des accidents morbides ana
ns latéraux. Il s'agirait dans le cas présent d'une altération de ces
faisceaux
dans la région dorso-lombaire. Le membre inféri
omatose, localisée d'abord et pendant très longtemps sur le trajet du
faisceau
pyramidal du côté gauche, sans toucher à la corne
ultérieurement dans la direction de la commissure grise. La lésion du
faisceau
pyramidal a produit la contracture ; l'intégrité
ablement profonde, ineffaçable; elle a, pour ainsi dire, sectionné le
faisceau
moteur et entraîné la dégénération secondaire. Et
ice peut-être. C'est que, dans l'espèce, la lésion prédomine dans les
faisceaux
postérieurs de la moelle, car on n'a pas signalé,
érébral intéressant les fibres du moteur oculaire commun et celles du
faisceau
pyramidal. L'hystérie peut simuler le syndrome
234; — myopathique, 236. Fracture vertébrale, 346. G Gauchers:
faisceau
pyramidal chez les—, 428. Globe oculaire : enfo
des muscles font défaut. D'après ce qu'on sait, la majeure partie des
faisceaux
primitifs subirait dans celte première période, l
et qui ne présentent pas traces de granulations graisseuses. D'autres
faisceaux
encore en grand nombre, entremêlés aux précédents
ux du sarcolemme. On rencontre, enfin, çà et là un troisième ordre de
faisceaux
, le plus souvent en très-petit nombre, lesquels o
massent en dehors du sarcolemme dans les intervalles qui séparent les
faisceaux
primitifs2. Ce tissu adipeux interposé est parfoi
vent être jusqu'à un certain point conservés, bien que la plupart des
faisceaux
primitifs aient dis-paru. Il est même des cas— et
complètement défaut1. On ne trouve dans ces derniers muscles que des
faisceaux
primitifs d'un très-petit diamè-tre, mais ayant c
t là quelques gaines du sarcolemme renferment des amas de noyaux. Ces
faisceaux
primitifs atrophiés sont séparés les uns des autr
imi-tivement les tubes nerveux qui entrent dans la composition de ces
faisceaux
. Il est des circonstances, d'ailleurs, — et l'o
ire, l'extension observée dans certains cas, du processus morbide aux
faisceaux
antéro-latéraux. La lésion en question des cell
de la couche dermique est de nature conjonctive. Il est formé : 1° de
faisceaux
de substance conjonctive s'entre-croisant en tous
2° de fibres élastiques, assez nom-breuses, entourant en spirale les
faisceaux
conjonctifs ; 5° de cel-lules de tissu conjonctif
muscle cubital antérieur, nous a offert des stries très-nettes. Un
faisceau
du muscle petit adducteur du petit doigt, qui reç
lement, la névrite était encore plus accusée. En effet, on voyait les
faisceaux
de tubes entourés de tissus fibreux ; celui-ci le
fibreuse très-épaisse et distincte. Sur une coupe de nerf normal, les
faisceaux
primitifs ont une forme arrondie; ici, l'épaissis
presque tout le champ du microscope, conservant peu sa disposition en
faisceaux
primitifs et secondaires. On voit çà et là des tu
des autres par des traînées hyalines et qui ne sont pas colorées. Les
faisceaux
formés par l'accumulation des éléments fu-siforme
x rudimentaire. Dans des coupes perpendiculaires à la direction des
faisceaux
, on peut reconnaître que chaque élément fortement
e la jambe présentent une coloration jaune très-prononcée ; à côté de
faisceaux
ayant encore conservé l'apparence de fibres muscu
nces aiguilles osseuses reliées au foyer de la fracture par autant de
faisceaux
fibreux assez longs. La malléole externe, extrême
étudiée dans le numéro de mars (page 71). J'ai, en effet, trouvé le
faisceau
interne du court fléchisseur du pouce complètemen
ites de muscles graisseux, j'ai acquis la certitude de l'a-trophie du
faisceau
interne du court fléchisseur, parce que, si, infé
ie la plus supérieure du grand os; enfin, la direction générale de ce
faisceau
graisseux différait de la direction des fibres vo
le. 2° En arrière,\e muscle sterno-cléido-mastoïdien, dont quelques
faisceaux
ont été détruits par le galvano-cautère ; 5° En
ent les dimensions d'une tête d'épingle. Au microscope, on voit les
faisceaux
musculaires séparés par de larges traînées de tis
le d'affirmer qu'il n'y ait eu néoformation ; la largeur de cer-tains
faisceaux
musculaires varie, il est vrai, entre 0,18 et 0,0
à muscles distincts, et les parois molles du thorax, formées par des
faisceaux
musculaires épars dans la masse connective, après
la paroi thoracique et des membres supérieurs sont formés de rares
faisceaux
séparés par de nombreux éléments connectifs, œdé-
pais et irréguliers. En face d'elle, et reliée à sa cavité par un
faisceau
ligamenteux, se trouve un noyau dur, arrondi, d
des lésions prédominantes au niveau des cordons postérieurs et des
faisceaux
latéraux. D'une façon générale, qu'il s'agiss
En ce qui concerne la moelle elle-même on note que les lésions des
faisceaux
blancs laissent intacts les cordons antérieurs
ne partie des cordons laté- raux. Elles sont prédominantes dans les
faisceaux
postéro-iatéraux. Pour ce qui est de la substan
s au niveau du cordon antérieur (sauf dans la zone limitante) et du
faisceau
de Gowers. Le faisceau pyramidal direct n'est p
ntérieur (sauf dans la zone limitante) et du faisceau de Gowers. Le
faisceau
pyramidal direct n'est pas atteint. Elles sont ac
Dans les cordons latéraux, la lésion est prédominante au niveau des
faisceaux
pyramidaux, surtout d'un côté, mais elle n'est
aux pyramidaux, surtout d'un côté, mais elle n'est pas limitée à ce
faisceau
pyra- midal. Elle le dépasse surtout en dehors.
ée à ce faisceau pyra- midal. Elle le dépasse surtout en dehors. Le
faisceau
cérébelleux direct est éga- lement le siège d'a
de Goll, elles sont accentuées dans les fais- ceaux pyramidaux, les
faisceaux
cérébelleux directs. La méninge est épaissie. E
rquées dans les ! i/4 postérieurs et contre la corne postérieure. Les
faisceaux
pyramidaux sont altérés dans toute leur étendue
se pseudo-systématique d'origine vasculaire, à prédominance sur les
faisceaux
de Goll et les faisceaux pyra- midaux (Fig. 1).
origine vasculaire, à prédominance sur les faisceaux de Goll et les
faisceaux
pyra- midaux (Fig. 1). La sclérose est pseudo
vant par MM. Ballet et Minor (1) dans leur mémoire classique. Si le
faisceau
pyramidal croisé est atteint de lésions, le fai
assique. Si le faisceau pyramidal croisé est atteint de lésions, le
faisceau
pyramidal direct est intact. Ce n'est pas au fais
e lésions, le faisceau pyramidal direct est intact. Ce n'est pas au
faisceau
pyramidal (1) Ballet et Minor, Arcli. neurol.,
localisées, mais elles le dépassent, gagnent la partie externe, le
faisceau
cérébelleux direct. Les cylindres-axes ne sont
envahies par la sclérose. La sclérose est d'origine vasculaire. Les
faisceaux
sont ici atteints de lésions très accusées, et
rs, d'après les planches, diffuses aux fais- ceaux antéro-latéraux (
faisceaux
pyramidaux, cérébelleux directs, zone li- mitan
ée à un foyer de myélite traumatique, ou aune insulte mécanique des
faisceaux
pyramidaux gauches. Les deux observations don
i la zone spinale cubitale est envahie, la lésion retentira sur les
faisceaux
blancs les plus proches, c'est- à-dire sur les
oire nerveux périphérique, de lésions médul- laires intéressant son
faisceau
pendant son trajet dans la moelle.Plusieurs de
ant son faisceau pendant son trajet dans la moelle.Plusieurs de ces
faisceaux
médullaires voisins, déjà systématisés, peuvent ê
s cellules motrices, sous l'influence de la sclérose descendante du
faisceau
latéral. Notre intention n'est pas de discuter
urtrissent il tour de bras la chair nue du condamné, l'un avec un
faisceau
de verges, l'antre avec un martinet de cuir, ta
pliquer. En effet une hémisection droite de la moelle interrompt le
faisceau
pyramidal de ce même côté. Or les fibres qui co
faisceau pyramidal de ce même côté. Or les fibres qui composent ce
faisceau
pyramidal conduisent les incitations motrices q
est en communication avec la voie motrice par l'intermé- diaire du
faisceau
de Laewental, et avec la voie sensitive de la moi
ive de la moitié correspondante de la moelle par l'intermédiaire du
faisceau
cérébelleux direct; c'est par celte voie sans d
etc. . VARIA. 91 La 13e leçon « de la maladie de Friedreich et du
faisceau
céré- belleux des cordons postérieurs de la moe
ée systématisée, des voies cérébelleuses et d'au- tres systèmes, du
faisceau
pyramidal par exemple ; encasd'alfec- tion syst
à l'Auteur : « A la théorie dupliste d'aucuns objecteront que des
faisceaux
nerveux relient ensemble la droite et la gauche
résumés que possible. FAITS DIVERS Epreuve orale de 15 minutes :
Faisceau
pyramidal. {les- taient dans l'urne : Pneumogas
, viscéraux et vaso-moteurs, réunis entre eux par des fibres et des
faisceaux
d'association. C'est à cette région la plus con
ond dessillons ; moyenne de ces mensurations et des numérations des
faisceaux
des radiations médullaires. La topographie- en
u système profond. Fibres arquées de lleynert ou fibne pi,opiit,.
Faisceaux
radiaires de projection. L'examen porta sur les
latérales des circonvolutions, fond des sillons), nombre moyen des
faisceaux
de projection pour toute la face externe de cha
couche zonale et de la ,ouche paucicellulaire, enfin le nombre des
faisceaux
radiaires par mil- limètre. Une deuxième séri
en outre des troubles mo- teurs et réflexes indiquant une lésion du
faisceau
pyramidal. Les auteurs admettent comme vraisemb
urs admettent comme vraisemblable un arrêt de développe- ment de ce
faisceau
, reconnaissant la même cause que la mal- format
cet effet de beaucoup supérieures aux lorgnons. F. T. XXXII.- Le
faisceau
longitudinal inférieur et le faisceau optique c
ux lorgnons. F. T. XXXII.- Le faisceau longitudinal inférieur et le
faisceau
optique central ; quelques considérations sur l
es notions classiques admises sur l'origme et la nature de certains
faisceaux
, en particu- lier du faisceau longtitudinal inf
ur l'origme et la nature de certains faisceaux, en particu- lier du
faisceau
longtitudinal inférieur. D'abord ce faisceau ne
x, en particu- lier du faisceau longtitudinal inférieur. D'abord ce
faisceau
ne doit pas être confondu avec la couche sagitt
titue en effet qu'une partie de cette couche, au même titre que les
faisceaux
de Sachs, de Wernicke, de Vialet. Selon l'op- n
ux de Sachs, de Wernicke, de Vialet. Selon l'op- nion classique, le
faisceau
longitudinal inférieur est un long fais- ceau d
oral. Dans ses recherches l'auteur n'a jamais vu de dégénération du
faisceau
longitudinal inférieur consécutive à des lésion
he optique immédiatement attenante. Il le consi- dère donc comme un
faisceau
de projection, la couronne rayon- nante cortici
x lèvres de la scis- sure calcarine (sphère visuelle corticale). Ce
faisceau
, que l'auteur, propose d'appeler « faisceau opt
visuelle corticale). Ce faisceau, que l'auteur, propose d'appeler «
faisceau
optique central », apparaît ainsi comme une par
er « faisceau optique central », apparaît ainsi comme une partie du
faisceau
longitudinal inférieur des classiques c'est ce
sociation qui encombrent son territoire. Dans la capsule interne le
faisceau
optique central, comme d'ailleurs les autres fa
le interne le faisceau optique central, comme d'ailleurs les autres
faisceaux
de la couronne rayonnante, est dissocié par les
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 491 le lobe occipital sous les noms de
faisceaux
de Sachs et' de Vialet, ces deux derniers vaiss
stent également dans le lobe pariéto-temporal. Il en est de même du
faisceau
vertical- de Wernicke qu'on retrouve dans le lo
nferme pas de fibres d'association. Il n'existe pas chez l'homme de
faisceau
d'associa- tion occipito-frontal. Aucune fibre
temporale et en partie de la troisième : ces fibres constituent le
faisceau
de Turck. F. TISSOT. XXXIII. Rachitisme tardif
s par la méthode de Donaggio. par Scarpini, p. 253. Cerveau. Voir
Faisceau
longi- tuclinal. Cervelet. Voir Hémiplégie.
s dans la pre- mière, et seconde enfance ; par Rayner, p. 1 15.
Faisceau
. Le longitudinal in- férieur et le optique cent
flg. 1, 2, 3, 4, et Pl. II, fig. 3.) (1) Les cellules plates et les
faisceaux
fibriilaires composent la capsule de Glisson dans
'existence dans l'épaisseur de la membrane muqueuse, de très nombreux
faisceaux
de fibres musculaires de la vie organique, entrec
observe deux couches de tissu fibroïde, com-posées principalement de
faisceaux
de tissu conjonctif et de fibres élastiques. Dans
e. D'autres, enfin, comme Kolliker, accordent l'existence de quelques
faisceaux
de fibres-cellules musculaires; mais ces faisceau
stence de quelques faisceaux de fibres-cellules musculaires; mais ces
faisceaux
seraient très clair-semés et partant on ne saurai
lleurs, à cet égard, de très grandes variétés suivant les sujets. Les
faisceaux
musculaires peuvent faire complètement défaut : c
s sont doués d'une forte musculature ; chez le chien, la présence des
faisceaux
mus-culaires dans les parois de ces canaux est in
llards, il nous a été impossible de mettre en évidence l'existence de
faisceaux
de fibres musculaires. En revanche, ces faisceaux
ence l'existence de faisceaux de fibres musculaires. En revanche, ces
faisceaux
étaient très apparents, et même assez multipliés
un homme de 30 ans. Il en était de même chez un enfant de 40 ans. Ces
faisceaux
qui occupent la partie la plus profonde de la tun
ndelettes. Sur les coupes transversales, la surface de section de ces
faisceaux
apparaît sous la forme d'espaces arrondis. Il n
ndis. Il n'existe pas, ainsi que M. Renaut l'avait déjà signalé, de
faisceaux
dirigés en travers. La disposition que nous venon
ique. En résumé, de tout ce qui précède, il semble résulter que les
faisceaux
de fibres musculaires existent normalement dans l
es sujets. On est porté à croire que chez les vieillards surtout, ces
faisceaux
sont habituellement très peu prononcés ou même fo
is abdomina-les et probablement aussi la contraction spasmodique des.
faisceaux
musculaires des parois du conduit lui-même. Mai
pasme du canal cholédoque est rendue vraisemblable par la présence de
faisceaux
musculaires dans les parois de ce conduit au mo
d'apparence fusiforme qui devien-nent des cellules plates ; — 6. des
faisceaux
de fibrilles plus ou moins denses. Consécutivemen
tif est plus développé, mieux formé, composé de cellules plates et de
faisceaux
fibrillaires bien dessinés ; il s'ensuit que le l
zone la plus voisine, du lobule; au lieu de ces cellules, ce sont des
faisceaux
de lissu conjonctif, de formation nouvelle, qu'on
contre plus particulièrement les cellules embryonnaires ou encore les
faisceaux
conjonctifs de nouvelle formation et les cellules
e de toute lésion cérébrale qui s'accom- pagne de dégénérescence du
faisceau
pyramidal et qui aboutit à une incu- rable infi
de l'écorce cérébrale, et il s'ensuit une dégénérescence totale du
faisceau
pyramidal. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE C
veau de la protubérance que se fait l'entrecroisement des fibres du
faisceau
pyramidal, tandis qu'au même niveau le trajet est
les autres en amas compacts, elles remplissent les intervalles des
faisceaux
conjonctifs de la pie-mère, et s'accumulent surto
n reconnaît tous les éléments de la paroi veineuse; mais, entre les
faisceaux
conjonctifs onduleux qui en cons- tituent la ch
des ; tout au pourtour, celles-ci font irruption au milieu même des
faisceaux
blancs, abandonnant les travées con- jonctives
disposés en chapelet. Nous n'avons trouvé ces bacilles que dans les
faisceaux
nerveux ; l'épi- 134 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
ssissement très net de l'épinèvre qui est constitué par de nombreux
faisceaux
fibreux entrelacés, coupés çà et là de libres éla
lamelleuses sont manifestement hypertrophiées. Dans l'intimité des
faisceaux
nerveux, le tissu conjonctif s'est en grande pa
méninges. Par endroits celles-ci font irrup- tion au sein même des
faisceaux
nerveux, et les fibres, comprimées, refou- lées
ou moinspro- fondément. N'est-il pas tout naturel d'admettre qu'un
faisceau
de tubes du cordon latéral ainsi détruit sur un
re au-dessous ou au- dessus ? et ne doit-il pas en être de même des
faisceaux
détruits par l'infil- tration méningée propagée
ce d'un véritable petit foyer gommeux, microscopique situé en plein
faisceau
latéral gauche (Fig. 18). Ce foyer, qui prése
urtout. Dans l'une d'entre elles, un foyer de ce genre a détruit un
faisceau
volumineux en entier : les globules sanguins y so
ors, car elle touche en un point à la périphérie, sans respecter le
faisceau
cérébelleux direct. Du côlé des méninges, léger
d'une poussée méningitique antérieure, ayant irrité légèrement les
faisceaux
mé- dullaires sous-jacents. Observation X.
D'ici l'excitation passe il l'écorce motrice gauche et puisque les
faisceaux
pyramidaux se croisent 316 NOUVELLE ICONOGRAPHI
tés en même temps. Par suite le réflexe suit en même temps les deux
faisceaux
pyramidaux : le résultat ne peut être qu'une cont
puyant sur nos résultats ; et cela de la manière suivante. tv) Le
faisceau
non-croisé du nerf optique droit occupe par la pl
tine, mais occupe seulement la région centrale de celle-ci. b) Le
faisceau
croisé de l'opticus droit occupe par la plupart d
occupe seulement la région centrale. c) Le passage réciproque du
faisceau
croisé et non-croisé de l'opticus droit (démont
rétine. Pour résumer, j'exprimerai mon opinion en ces termes. Le
faisceau
non croisé de l'opticus droit pourvoit à la moiti
(ou ayant plutôt empêché son développement), et qui empiète sur le
faisceau
croisé de la bandelette optique du même côté, qui
cholz (G4) a constaté la même chose chez les crétins jeunes on a un
faisceau
assez important de faits permettant de conclure
: LA Sl'ONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 139 une complète dégénérescence des
faisceaux
postérieurs (un état semblable a été décrit par
arque que sur l'un l'angle inféro-externe de Fli et la partie de ce
faisceau
qui tapisse la paroi inféro- interne du ventric
on tient compte du fait que les tumeurs refoulent fréquem- ment les
faisceaux
nerveux, en altérant la disposition sans les détr
I et la figure 1 montrent ce qui est resté plus ou moins intact des
faisceaux
sagittaux : seulement la partie inférieure de Fli
sion. On ne peut que s'étonner de la puissance de résistance de ces
faisceaux
de projection. Dans un cas précédent (obs. VIII
arce qu'il y a peu de destructions totales, que parce que les mêmes
faisceaux
sont touchés en plusieurs endroits et de façon
latéral des deux côtés et à droite dans la protubérance, entre les
faisceaux
de substance blanche. Ce sont des amas,de forme
e les parties profondes de la nappe cellulaire, enfoncées entre les
faisceaux
musculai- res,possédent un pouvoir absorbant su
e vaste ulcération de 13 centimètres sur 13 au fond de laquelle les
faisceaux
du 160 CUAltoN ET COUltl3OiN muscle grand fes
émiplégiques n'est jamais complètement sain ». Toutes les libres du
faisceau
pyramidal, organe dont la lésion con- ditionne
ement récent, rose, du noyau lenticulaire gauche, empiétant sur les
faisceaux
blancs des capsules externe et interne. 3° Sous
uvait pas réunir les doigts par le même bout comme pour en faire un
faisceau
, etc. Eu juillet 1908, la flexion des doigts se
ces éléments sont formés de tissu osseux, les autres sont formés de
faisceaux
tendineux qui sortent de la substance fondamen-
rcelles cartilagineuses encore conservées quoique transformées. Ces
faisceaux
tendineux se continuent dans les bâtonnets osseux
se former à la place du cartilage, apparaît une grande quantité de
faisceaux
collagènes, surtout autour des vaisseaux sanguins
nt probablement d'une formation plus récente et occupent le haut du
faisceau
arborescent ; d'autres papilles sont plus pe- t
s pe- tites, d'une formation ultérieure et sont posées à la base du
faisceau
. x.xiv 16 242 LLDARUFP La capsule articulai
ion calcaire qui sont posées sur l'os sans inter- médiaire (B). Les
faisceaux
des fibres conjonctives traversent par endroits
a préparation microscopique ; elle est un peu plus intense dans les
faisceaux
de Goll de la région cervi- cale. Une dégénéres
ctif et une soudure des surfaces arti- culaires entre elles par les
faisceaux
de ce tissu conjonctif; il résulte de ces modif
on remarque que : 1° le protoplasma de ces cellules suit un peu les
faisceaux
de fibres névrogliques, ce qui ne se voit jamais
le tissu conjonctif; ce n'est qu'à la base de la glande qu'un petit
faisceau
nerveux, venant de la commissure pos térieure,
ôté gauche l'omoplate reste éloignée de la ligne médiane. Ce sont les
faisceaux
du rhomboïde que l'on aperçoit tendu, entre l'o
eur une moyenne de 70 à 80 fibres par champ de microscope. Dans les
faisceaux
pyramidaux dégénérés, nous trouvons la moitié d
rait pas de provoquer la dégé- nération parenchymateuse de tous les
faisceaux
. Or cela n'existe pas dans notre cas. Dans la
du pouce et des autres doigts soient mises en contact et réunies en
faisceau
. Dans ce but, pour pouvoir réussir, il faut éte
procher et serrer sur la pulpe du pouce les autres doigts réunis en
faisceau
, le fléchisseur commun des doigts intervient et
nce des résultats obtenus dans Fig. 1. — AA, cordons latéraux. — A,
faisceau
de Tiïrck. — BB, zones radiculaires postérieures.
s spéciales à chacune des régions affectées. On apprend ainsi que les
faisceaux
pyramidaux sont presque exclusivement composés de
Ainsi nous savons, de science certaine, que la lésion destructive du
faisceau
pyramidal, dans son trajet capsulaire en arrière
à une lésion du cerveau, occupant la capsule interne sur le trajet du
faisceau
pyramidal, les membres peuvent rester flasques; m
marqué de la fesse du côlé correspondant résultant de l'atrophie des
faisceaux
inférieurs du grand fessier peut aussi être consi
de l'atrophie, qui atteint à des degrés différents non seulement les
faisceaux
d'un même muscle, mais, même les fibres d'un même
ement les faisceaux d'un même muscle, mais, même les fibres d'un même
faisceau
, et la sclérose du tissu conjonctif interstitiel.
la substance grise centrale. Il n'y a aucune raison de croire que les
faisceaux
blancs antérieurs ou postérieurs soient envahis.
'est la compression, et il en résulte une dégénération descendante du
faisceau
pyramidal que l'on peut retrouver jusqu'à la part
des cornes antérieures, mais seulement à l'altération dégénérative de
faisceaux
pyramidaux. C'est donc d'une paraplégie spasmodi-
ndent. En second lieu, viennent les cas dans lesquels la lésion des
faisceaux
blancs est primitive mais toujours nécessairement
ssairement suivie d'une lésion de la substance grise. Ici ce sont les
faisceaux
pyramidaux qui sont pris les premiers, puis, en s
le fait unique, ou tout au moins primitif. S'il y a participation des
faisceaux
blancs, ce n'est que secondairement et accessoire
nt correspondante, selon toute probabilité, au degré d'altération des
faisceaux
musculaires. A côté de cette hypertrophie, vous p
plus récemment M. Sfarr 3 ont rassemblé un certain 1. G. Ballet, Le
faisceau
sensitif et les troubles de la sensibilité dans l
que avec coagulation de la myosine 1 se produirait ici, dans ceux des
faisceaux
musculaires qui se sont trouvés soumis au plus ha
trouvés soumis au plus haut degré de l'ischémie ; tandis que dans les
faisceaux
musculaires moins profondément intéressés survien
d'entraîner avec elles la production de la dégénération secondaire du
faisceau
pyramidal. Dans les deux cas, en effet, la rigidi
térieures est consécutive à une altération organique du cerveau et du
faisceau
pyramidal, tandis que, dans le second cas, les mo
microscope on trouva une infiltration de cellules rondes entre les
faisceaux
nerveux et les cellules gan- glionnaires. Les v
urol. Centralbl., 4886.) Paralysie générale avec dégénérescence des
faisceaux
pyrami- daux dans les cordons latéraux depuis l
te ne se sont pas étendues de proche en proche des ascen- dantes au
faisceau
pyramidal du centre ovale, puisque au-dessus de
ontraire, sont exclusivement caractérisés par la dégénérescence des
faisceaux
pyramidaux (dégénérescence primitive, d'après W
observations dans lesquelles il y avait dégénérescence limitée aux
faisceaux
pyramidaux se signala par une évolution assez r
groupe comprend les faits dans lesquels la lésion atteint avec les
faisceaux
pyramidaux, les tractus latéraux cérébelleux, en
au maximum ; émaciation extrêmement rapide. Quatrième groupe : les
faisceaux
pyramidaux sont lésés, mais non dans tous les s
bres qu'ils renferment. Cinquième groupe : lé- sions en plaques des
faisceaux
pyramidaux. Sixième groupe : lésion des tractus
daux. Sixième groupe : lésion des tractus latéraux cérébelleux, des
faisceaux
pyramidaux, des cordons postérieurs. - Septième
des cordons postérieurs. - Septième groupe : lésion combinée des
faisceaux
pyramidaux et des cordons postérieurs, etc. En ex
ers faits, on arrive à cette constatation que, malgré la lésion des
faisceaux
pyramidaux, il ne se produit pas de phénomènes
et présente-t-elle alors des particu- larités spéciales, quand les
faisceaux
pyramidaux ont concurrem- ment dégénéré ? Preno
Zacher 2 caracté- risé par des accidents spasmodiques extrêmes, les
faisceaux
pyra- midaux étant demeurés indemnes; les altér
ns lesquels les anamnestiques révélaient la syphilis; ce furent les
faisceaux
pyramidaux et non les cordons postérieurs qui fur
fournil des libres au glosso-pharyngien et au pneumogastrique : ce
faisceau
qui n'a rien à voir avec l'auditif est identiqu
consistance plus molle et non uniforme, parce qu'ils sont formés de
faisceaux
pins solides mollement réunis entre eux. Sur le
sitif, cette région, qui renferme non pas des nerfs mixtes mais des
faisceaux
mixtes de nerfs, est fréquemment intéressée. Al
la cessation des injections hypo- dermiques. » Tout cela forme un
faisceau
de faits dont nous verrons en- core l'importanc
persis- tant plus d'un mois (jusqu'à la mort), sans que tous les
faisceaux
nerveux participent à la dégénération. En d'aut
mêmes régions contiennent un grand nombre de tubes nerveux fins en
faisceaux
isolés ou en petits groupes; 3° les racines de la
ennent un très grand nombre de petites fibres réunies en assez gros
faisceaux
qui cheminent entre les fibres larges. Séance
q centres distincts dans le pied de la couronne rayonnante de Reil,
faisceaux
blancs correspondants à la zone motrice et seul
ques soit à la sur- face des circonvolutions, soit sur la coupe des
faisceaux
blancs, on constate : 1° lorsque l'excitation e
immédiat, et viennent se placer dans le pédoncule cérébral avec le
faisceau
bulbaire en dedans du faisceau pyramidal ». Réc
r dans le pédoncule cérébral avec le faisceau bulbaire en dedans du
faisceau
pyramidal ». Récemment MM. Pugliese et V. Milla
courent en ram- pant soit parmi les fibrilles, soit parmi les gros
faisceaux
, soit dans toute la masse des muscles épargnés
nticu- laire ; 2° un autre trousseau, plus tardif, sortant, avec le
faisceau
pyramidal, de la capsule interne, gagnant le pi
te les deux variétés de trajet que voici, a) Il peut accompagner le
faisceau
pyramidal jusque dans la protubérance et même j
e du pied du pédon- cule cérébral en dedans, se placer en dedans du
faisceau
d'Arnold (cortico-protubérantiel de Flechsig) e
es qui, d'ordinaire, sont fournies par la partie la plus interne du
faisceau
d'Arnold. C'est l'étude de la myélinisation qui
ème ventricule). Elle peut encore émaner du tabes avancé; lésion du
faisceau
solitaire de Mendel. La théorie de la modificat
stèmes de fibres. Ainsi l'absence du cervelet entraine l'absence du
faisceau
cgrébelleux direct, des fibres arciformes, etc !
ccupant avec une prédilection particulière les cordons de Goll, les
faisceaux
en virgule, les Uiangles cornu-marginaux; 2° ce
èmes frontal et temporal du pont de Varole, du ruban de Reil et des
faisceaux
internes accessoires; 2° à un degré plus accent
terne correspon- dante. Malgré cette destruction très étendue des
faisceaux
capsulaires, le malade n'avait pas d'aphasie ;
u même côté où pénétra l'arme, seulement une lésion circonscrite au
faisceau
pyramidal, d'où l'hémiparaplégie du membre abdo
atteindre, c'est-à-dire, la région intéro-latérale, qui comprend le
faisceau
pyramidal. Avec de pareilles lésions, comment e
e du machete arriva à blesser dans la moitié gauche de la moelle le
faisceau
pyra- midal, blessure qui a engendré dans ledit
moelle le faisceau pyra- midal, blessure qui a engendré dans ledit
faisceau
une dégé- néralioii descendante et, comme suite
ache scléreuse ne respectant que le pyra- midal croisé et, dans les
faisceaux
postérieurs, plaque égale- ment symétrique, ne
ment symétrique, ne laissant indemnes que les parties latérales du
faisceau
de Burdach. Au niveau du renflement brachial et a
en rapport avec le siège de la lésion dans les centres ou dans les
faisceaux
de communication. Kussmaul qui donnait plus d'i
blessure du médian : l'auteur conclut de cette particularité que le
faisceau
qui contient les libres motrices au niveau du p
sensitives du nerf vague pénètrent dans le bulbe jusqu'au niveau du
faisceau
solitaire. Là, elles se recour- bent en bas pou
se recour- bent en bas pour devenir les éléments constituants de ce
faisceau
. Ces fibres peuvent se poursuivre jusque dans l
e voisine. Celle-ci représente donc le noyau terminal des fibres du
faisceau
solitaire ainsi que le noyau sensitif du nerf de
, il ne s'agit pas, dans ce cas, d'un défaut de dévelop- pement des
faisceaux
pyramidaux. La syphilis doit aussi être éli- mi
à l'absence ou à l'arrêt de développement de la portion spinale du
faisceau
pyramidal. Très bonne observation qui aurait pu
ent : 1° Région cervicale. -Légère sclérose des cordons latéraux (
faisceau
pyramidal croisé). La coupe, examinée par trans-
r gaine lymphatique distendue et contenant quelques leucocytes. Les
faisceaux
du tissu con- jonctif y sont plus épais ; ces t
substance blanche ; de place en place, au point d'intersection des
faisceaux
conjonctifs, existent des cellules conjonctives
lésions constatées sont les suivantes : lo Sclérose commençante du
faisceau
latéral; 2° Dégénération granuleuse des cellule
). Schéma indiquant la région envahie par la sclérose qui occupe le
faisceau
pyramidal croisé A des deux côtés. (Contraire
breuses, disséminées; situées au point de jonction de deux ou trois
faisceaux
de tissu conjonctif, elles présentent des prolo
sence constitue un des caractères les plus évidents de la lésion du
faisceau
pyramidal croisé. Fi(;. 4.- Celliles nerveuses
veau, c'est-à-dire après la puberté. La dégénérescence porto sur le
faisceau
pyramidal, sur les fibres issues du genou de la
uhan de Reil et de la couche intermédiaire des olives. Intégrité du
faisceau
longitudinal postérieur et des noyaux des nerfs
en faveur de cette opinion, c'est qu'en renforçant l'élongation des
faisceaux
par une charge modérée, on rend le tonus éviden
e n'est pas pur, qu'il se complique d'altérations périphériques des
faisceaux
résultant d'une exagération de la tonicité datant
nes (D); 3, protuh(rmcu;-3, pjramide gauche dégénérée; 4, olive; 3,
faisceau
latéral. 25 ! 6 ' RECUEIL DE FAITS, Les deux
es travées de nouvelle formation ayant graduelle- ment atrophié les
faisceaux
contractiles; la substitution de la graisse se
r le trajet des fibres du nerf optique dans le chiasma. De plus, le
faisceau
entrecroisé parait presque exclu- sivement uni
exclu- sivement uni à la moitié médiane de la sphère visuelle, le
faisceau
non entrecroisé se rendant à la moitié latérale d
possibilité d'une dégénérescence isolée des cordons latéraux ou des
faisceaux
pyramidaux ; plus tard : passage de la dégénére
tèmes où se forment le plus tardivement les manchons de myéline (
faisceaux
pyramidaux, puis cordons postérieurs et faisceaux
chons de myéline (faisceaux pyramidaux, puis cordons postérieurs et
faisceaux
laté- raux cérébelleux) sont ceux qui rétrocède
). Schéma indiquant la région envahie par la sclérose qui occupe le
faisceau
pyramidal croisé, A, des deux côtés. (Contrai
breuses, disséminées; situées au point de jonction de deux ou trois
faisceaux
de tissu conjonctif, elles présentent des prolo
sence constitue un des caractères les plus évidents de la lésion du
faisceau
pyramidal croisé. FtG. 4.- Cellules nerveuses d
▲