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1 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
stérieur. Les pédoncules cérébraux (PP) sont deux grosses masses de faisceaux nerveux dirigés de dedans en dehors, d'arrière en
pyramide de Sœmmering est traversée d'avant en arrière par les petits faisceaux rayonnants du nerf olfactif; ces faisceaux radicu
en arrière par les petits faisceaux rayonnants du nerf olfactif; ces faisceaux radiculaires se perdent eux-mêmes dans la substan
l'espace perforé; mais elle s'enfonce, en avant et en haut, entre les faisceaux de fibres du nerf olfactif, qui représentent, ain
1. Il s'en faut que la bandelette diagonale consiste toujours en un faisceau régulier, rubanné comme celui qui est indiqué sur
transversalement dans toute la largeur du quadrilatère, au devant du faisceau principal (psp). 2° Le tractus transversus pedu
al (psp). 2° Le tractus transversus pedunculi (Gudden) est un petit faisceau superficiel du pied du pédoncule qui se dirige, a
Le tractus transversus pedunculi a été décrit par Féré sous le nom de faisceau en e'charpe ou d'avant-pont ; il est rare que cet
re que cette variété anato- Schéma 5. TP, le Iraclus pedunculi ou faisceau en écharpe croise obliquement les fibres du pédon
e pathologique : dans les cas de lésion hémisphérique antérieure, les faisceaux internes du pédoncule, susceptibles de dégénérati
int une certaine largeur. Il n'est pas exceptionnel, en effet, que ce faisceau s'étale à la surface du pied sous la forme de ban
plus évidentes. Dans ce cas, les bandes obliques qui constituaient le faisceau en écharpe (TP) ne passaient pas avec les fibres
us. BO, bandelette optique; TP, tractus transversus pedunculi, ou faisceau en écharpe;' GE, corps genouillé externe. Sch
l'aspect extérieur du tractus ¦pedunculi; les rapports profonds de ce faisceau seront étudiés ultérieurement (voy. pl. XXllI, fi
enium (SPL) on voit s'avancer d'arrière en avant et de haut en bas un faisceau régulièrement cylindrique en apparence, mais qui
les dont l'ensemble appartient au ruban de Reil. Le ruban de Reil, ou faisceau triangulaire de l'isthme, est la couche superfici
abénule et à la glande pinéale. CA. La commissure antérieure est un faisceau transversal, compact, divisé sur la ligne médiane
om de pédoncule antérieur du corps calleux. Or, il est certain que le faisceau blanc étudié par Vicq d'Azyr n'émerge pas du bec
eptum, a donné une description remarquablement exacte du trajet de ce faisceau dans l'étendue du quadrilatère. En raison de sa d
les plus précoces répondent, dans la profondeur de l'hémisphère, aux faisceaux de substance blanche dont le développement s'achè
si l'on veut arriver à la détermination exacte du trajet de certains faisceaux . Mais, dans la pratique, il est infiniment préfér
iologiques, par exemple, basées sur les lois de la dégénérescence des faisceaux , les méthodes embryologiques, basées sur les lois
e de l'hémisphère. Mais, de sa partie moyenne, on voit partir un gros faisceau (FOm) dirigé en arrière et en bas, et qui constit
fimbria (Fl). Les fibres du trigone se confondent, en dehors avec les faisceaux les plus externes et les plus inférieurs du corps
ontrer la réflexion du trigone sous le corps calleux, au moment où ce faisceau (le trigone) devient la fimbria. Cette coupe est
ormer la tubérosité du splenium (SPL). Au-dessous du corps calleux le faisceau du trigone (TRI) quille la paroi inférieure du co
Om). Immédiatement au-dessous, la tubérosité du splenium émet un gros faisceau dirigé obliquement en bas 1. Quelques auteurs r
mmédia- ' ment en dehors et au contact du fascia dentata (Fd), est un faisceau homogène, prismatique ou rubanné suivant les suje
entamées par le couteau, qui n'appartiennent pas à l'écorce. FM. Le faisceau de Turck-Meynert est la portion la plus posté rie
ation dans l'hémisphère à la face inférieure de la couche optique. Le faisceau de Tiïrck-Meynert s'enfonce au-dessous et en avan
corps genouillé externe, qu'il masque sur cette préparation. FP. Le faisceau pyramidal est la portion moyenne du pied du pédon
lentifor-mis (DL), sous-jacent lui-môme à la couche optique. FG. Le faisceau géniculé est la moitié postérieure du tiers antér
iculaire est la moitié antérieure du tiers antérieur du pédoncule. Ce faisceau s'enfonce dans l'hémisphère, comme le faisceau gé
rieur du pédoncule. Ce faisceau s'enfonce dans l'hémisphère, comme le faisceau géniculé, d'arrière en avant et de dedans en deho
rebrousse chemin en partie, se porte en dehors et en arrière sous le faisceau géniculé. IS. Le stratum intermedium, de couleu
eau géniculé. IS. Le stratum intermedium, de couleur foncée, est un faisceau qui traverse une masse pigmentée, le locus niger
igmentée, le locus niger de Sœmmering. Il est intermédiaire entre les faisceaux du pédoncule qui viennent d'être énumérés et la c
s calleux, pour se mélanger aux fibres propres de ce lobe. On voit un faisceau clair, situé en dehors de la couronne rayonnante
(RNC), se porter du lobe frontal à la partie interne de l'insula. Ce faisceau sera étudié ultérieurement : nous l'appellerons f
l'insula. Ce faisceau sera étudié ultérieurement : nous l'appellerons faisceau du centre ovale (CO). FS. Le faisceau sensitif
eurement : nous l'appellerons faisceau du centre ovale (CO). FS. Le faisceau sensitif est cette bande claire à direction antér
ans par le tapetum (TAP) et la lame festonnée (LFE); en dehors par le faisceau pariétal vertical (FPV). Le faisceau sensitif dim
estonnée (LFE); en dehors par le faisceau pariétal vertical (FPV). Le faisceau sensitif diminue de largeur à mesure qu'il approc
ous avons déjà signalée plus haut, présente, dans l'intervalle de ses faisceaux , des taches oblongues, effilées en dedans ; ces t
eviendrons, d'ailleurs, à l'occasion des coupes verticales. FPV. Le faisceau pariétal vertical est une masse de fibres d'assoc
et T^) d'une part, et les circonvolutions pariétales d'autre part. Ce faisceau est toujours très nettement distinct du faisceau
les d'autre part. Ce faisceau est toujours très nettement distinct du faisceau sensitif (FS). En avant il semble se confondre av
arrière et formant le plancher convexe du ventricule, repose sur le faisceau longitudinal inférieur (FLI), que nous étudierons
nterne (CIA). Le côté postérieur, très étroit, reçoit les fibres du faisceau sensitif externe (FSe). Ce côté postérieur peut ê
n avant et en dedans, et qui représentent les surfaces de section des faisceaux de la calotte. En arrière et en dehors du tuber
ie nne masse de libres horizontales, dirigées de dedans en dehors, au faisceau sensitif (FSi). Cette masse de fibres n'est autre
n dedans, où son bord est sinueux. C'est la section transversale d'un faisceau bien décrit par Meynert sous le nom de fasciculus
r dans la capsule externe (CE). CO. Le centre ovale. FSe, FSi. Le faisceau sensitif subdivisé en deux lames, .',unc externe,
(TAP), depuis le noyau lenticulaire jusqu'au pôle occipital (PO). Le faisceau sensitif externe (FSe), envisagé d'avant en arriè
ire (MLE); 4° du segment postérieur de la capsule interne (CID). Le faisceau sensitif interne provient du pulvinar, où il repr
le corps genouillé interne et le corps genouillé externe. Les deux faisceaux sensitifs accolés vont ainsi d'avant en arrière j
s abandonnent en efl'et, chemin faisant, un grand nombre de fibres au faisceau longitudinal inférieur (FLI), après s'être recour
en dedans sous la paroi inférieure de la corne occipitale. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur, placé au-dessous du planc
u-dessous du plancher ventriculaire, se compose d(3 libres vernies du faisceau sensitif, de fibres venues du tapetum (TAP), enfi
e circonvolution occipito-temporale, toujours située au-dessous de ce faisceau . TAP. Le tapetum, lame fibreuse adossée à la pa
e de le reconnaître derrière la queue du noyau caudé (NCC). FPV. Le faisceau pariétal vertical est une masse peu compacte de f
lutions temporales. Il fait suite, sans démarcation bien tranchée, au faisceau occipital vertical (FOV). FOV. Le faisceau occi
cation bien tranchée, au faisceau occipital vertical (FOV). FOV. Le faisceau occipital vertical. LFE. La lame festonnée, pla
ue du noyau caudé (NCC); enfin une surface blanche, qui appartient au faisceau sensitif (FS), et qui n'est séparée de celui-ci q
très rares fibres du tapetum. La paroi inférieure est formée par le faisceau longitudinal inférieur (FLI), repoussé en quelque
Arnold (LMA). Il est recouvert en haut et en dehors par un volumineux faisceau triangulaire (FI), qui n'est autre que la fimbria
imbria ou pilier postérieur du trigone. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif qui, sur les deux coupes précédentes, s'
ui représente le tapetum. En dehors, il est séparé de l'écorce par le faisceau pariétal vertical (FPV). FPV. Le faisceau parié
séparé de l'écorce par le faisceau pariétal vertical (FPV). FPV. Le faisceau pariétal vertical, diffus lui-même, établit une a
t aux deuxième et troisième circonvolutions temporales, tandis que le faisceau occipital vertical, visible seulement sur la figu
a figure 2 (FOV), n'appartient qu'à la troisième temporale. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur, dirigé obliquement de hau
ipito-temporal (0^4). En dehors, il se confond insensiblement avec le faisceau sensitif (FS) ; en dedans, il se termine dans la
mbrane épcndymairc qui tapisse le ventricule est très mince, tous les faisceaux qui suivent d'avant en arrière les quatre parois
e disposition, très fréquente d'ailleurs, pour la différentiation des faisceaux de la région cérébrale postérieure. Il est donc
on voisinage, qu'à une distance de trois ou quatre millimètres. Les faisceaux dirigés d'avant en arrière vers le pôle occipital
t le cas qui se présente pour la figure 1 (pl. XI), où l'ensemble des faisceaux postérieurs du lobe occipital se réduisent à un s
t compacte, et dans laquelle sont évidemment mélangées les fibres des faisceaux FOm, FLI, FS, reconnaissables sur la figure 6 de
FOm, FLI, FS, reconnaissables sur la figure 6 de la même planche (ces faisceaux seront étudiés un peu plus loin). Dans quelle r
ipital s'effectuent cette convergence et cette intrication ultime des faisceaux antéro-posté-rieurs? Cette question a une importa
points. Or chacun pourra s'assurer que l'extrémité la plus reculée du faisceau sensitif (FS) aboutit invariablement à l'écorce d
ion occipitale de Broca que vient s'épuiser en arrière le système des faisceaux antéro-postérieurs de l'hémisphère cérébral. Ce
é extrême. Tout y arrive et tout s'y mélange. Il va sans dire que les faisceaux n'y sont pas renfermés dans leur totalité. Venus
est, en outre, un point de repère précieux dans la détermination des faisceaux blancs de la région occipito-temporale. Il limite
ansversal. Mais au milieu de ces fibres blanches on distingue un gros faisceau (FS), représenté par une surface quadrilatérale f
eprésenté par une surface quadrilatérale foncée; c'est l'extrémité du faisceau sensitif, compact surtout en bas et en dedans. Il
et fusiforme (0% 0"). Il est nettement séparé de la calcarine par un faisceau vertical très blanc (LFE), que nous appellerons l
le fond de la calcarine, de façon à empêcher toute connexion entre le faisceau sensitif (FS) et la substance grise du cuneus. La
nsitif (FS) et la substance grise du cuneus. La plus grande partie du faisceau sensitif s'enfonce d'ailleurs dans le gyrus lingu
fig. 1 et 2), formée en partie par le gyrus lingual. La séparation du faisceau sensitif et du cuneus s'augmente encore de la pré
faisceau sensitif et du cuneus s'augmente encore de la présence d'un faisceau antéro-postérieur, nettement représenté ici (FCF)
(FCF), qui vient de la région antéro-inférieure du cerveau : c'est le faisceau compact du fornix. Celui-ci s'épuise en partie da
lement, de place en place, par la lame festonnée (LFE). Deux autres faisceaux antéro-postérieurs se voient encore sur cette cou
sceaux antéro-postérieurs se voient encore sur cette coupe : 1" l'un, faisceau pariéto-frontal (FPF), s'accole et s'insère, selo
e en avant dans le centre ovale où nous le retrouverons ; 2" un petit faisceau à cheval sur le troisième sillon temporal [ot^ qu
ursuivre plus en avant et qui n'est probablement que l'insertion d'un faisceau d'association. Figure 2. COUPE VERTICO-TRANSV
iculaire dans l'aire de section modifie, sur cette coupe, l'aspect du faisceau sensitif (FS). Ce faisceau. plus important au f
tion modifie, sur cette coupe, l'aspect du faisceau sensitif (FS). Ce faisceau . plus important au fur et à mesure qu'on examin
tricule. Dans leur trajet sous-ventriculaire, elles portent le nom de faisceau longitudinal inférieur (FLI). Sous ce nom, qui es
employé, il ne faut donc pas considérer autre chose que la portion du faisceau sensitif (FS), réfléchie sous le ventricule. Et c
(FS), réfléchie sous le ventricule. Et comme la surface totale de ce faisceau diminue constamment d'avant en arrière, on doit a
(0^), par conséquent au-dessous du cuneus. A sa partie supérieure, le faisceau sensitif semble se confondre avec le faisceau com
a partie supérieure, le faisceau sensitif semble se confondre avec le faisceau compact du fornix (FCF) dont les fibres sont égal
dans le sens antéro-postérieur. Mais ce n'est là qu'une apparence. Le faisceau compact du fornix (FCF) établit, au contraire, un
rnix (FCF) établit, au contraire, une démarcation très nette entre le faisceau sensitif et le cuneus. On s'en rend bien compte,
t également facile de reconnaître ici dans les deux plis du cuneus le faisceau compact du fornix, séparé de l'écorce grise, surt
de la lame festonnée (LFE). La cavité ventriculaire est séparée du faisceau sensitif (FS) en dehors, et du faisceau compact d
ventriculaire est séparée du faisceau sensitif (FS) en dehors, et du faisceau compact du fornix en dedans, par une couche clair
stérieur, visibles surtout au-dessus de la paroi supérieure (FOi). Ce faisceau aplati représente les fibres les plus inférieures
ervant sa forme régulière de rectangle. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif est plus épais ; il semble encore se con
pais ; il semble encore se confondre, à,sa partie supérieure, avec le faisceau compact du farnix clinent, le long de la paroi
nt, elles aussi, de dehors en dedans sous le Yentricule, au-dessus du faisceau longitudinal inférieur (FLI) et vont, avec ce der
ure calcarine, qu'elle enveloppe de ses fibres verticales. Quant au faisceau pariéto-frontal (FPF), déjà entrevu sur les figur
rcation assez tranchée entre eux deux. La teinte franchement brune du faisceau compact du fornix indique qu'il suit un trajet an
vu sur la coupe précédente, dans la substance grise de celui-ci. Le faisceau des fibres inférieures du forceps major (FOi) est
que sa continuité est, par places, interrompue par la pénétration du faisceau compact du fornix (FCF). FPF. Le faisceau parié
pue par la pénétration du faisceau compact du fornix (FCF). FPF. Le faisceau pariéto-frontal n'est plus si nettement visible q
us les cas. Elles servent simplcnient à Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif s'isole plus nettement, à sa partie supé
faisceau sensitif s'isole plus nettement, à sa partie supérieure, du faisceau compact du fornix (FCF). Celui-ci, aplati par le
lon du cuneus [sCu), s'accole plus intimement à la face supérieure du faisceau inférieur du fornix (FOi). D'ailleurs l'un et l'a
loin (fig. 12, 13, 14) une exception à cette disposition. Quant au faisceau pariéto-frontal (FPF) situé, sur la coupe précéde
itué, sur la coupe précédente, en dehors du prolongement supérieur du faisceau sensitif (FS), il est ici situé en dedans. Cela p
), il est ici situé en dedans. Cela prouve que les fibres de ces deux faisceaux s'entrc-croisent : le premier, en efïct, est diri
externe, le sillon interpariétal (p) s'avance de haut en bas vers le faisceau sensitif (FS). Le deuxième sillon temporal [ot^)
partie postérieure à la partie moyenne. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif, toujours très foncé, augmente d'importa
ternes sont nettement séparées par le bord très accentué d'un nouveau faisceau de fibres blanches, verticales (FOY), faisceau oc
accentué d'un nouveau faisceau de fibres blanches, verticales (FOY), faisceau occipital vertical qui s'étend de la 3" circonvol
e modifier dans une région plus antérieure, voisine de celle-ci. Le faisceau sensitif, en s'incurvant au-dessous de la paroi i
dans la moitié inférieure du gyrus lingual (0"), après avoir formé le faisceau longitudinal inférieur (FLI). On constatera toujo
gitudinal inférieur (FLI). On constatera toujours que dans ce dernier faisceau (continuation sous-ventriculaire du faisceau sens
ours que dans ce dernier faisceau (continuation sous-ventriculaire du faisceau sensitif), les fdires blanches les plus voisines
voisines de la paroi externe. Ces dernières sont les plus internes du faisceau sensitif (FS). Ce sont elles, par conséquent, qui
rrière jusqu'à la partie la plus reculée du lobe occipital. FCF. Le faisceau compact du fornix traverse encore ici le cuneus (
courbe en fer à cheval autour de la scissure calcarine (K). FPF. Le faisceau pariéto-frontal, obliquement dirigé d'arrière en
en avant et de dehors en dedans, est situé en dedans et au-dessus du faisceau sensitif (FS). A sa partie inférieure, il paraît
tie inférieure, il paraît se continuer insensiblement avec un nouveau faisceau (FOm), situé juste au-dessus de la cavité ventric
itué juste au-dessus de la cavité ventriculaire et interposé entre le faisceau inférieur du forceps (FOi placé au-dessus de lui)
le faisceau inférieur du forceps (FOi placé au-dessus de lui), et le faisceau compact du fornix (FCF placé au-dessus). Ce nouve
), et le faisceau compact du fornix (FCF placé au-dessus). Ce nouveau faisceau (FOm) est le faisceau moyen du forceps. Il est vr
act du fornix (FCF placé au-dessus). Ce nouveau faisceau (FOm) est le faisceau moyen du forceps. Il est vraisemblable que le fai
u (FOm) est le faisceau moyen du forceps. Il est vraisemblable que le faisceau moyen du forceps, venu du splenium du corps calle
eps, venu du splenium du corps calleux, où il est couché au-dessus du faisceau inférieur, se relève ici obliquement et en dehors
ici obliquement et en dehors, pour croiser ses fibres avec celles du faisceau pariéto-frontal (FPF), et aller se jeter dans l'é
r se jeter dans l'écorce du sillon interpariétal (p). FOV. Quant au faisceau occipital vertical, il est représenté par une ban
ment par leur couleur sur les fibres foncées, antéro-postérieures, du faisceau sensitif (FS), situées à sa partie interne. BKI
us ne signalerons que les particularités nouvelles que présentent les faisceaux de la substance blanche. FS. Le faisceau sensit
velles que présentent les faisceaux de la substance blanche. FS. Le faisceau sensitif présente la même disposition générale. :
on voit que sa partie supérieure, effilée, est nettement séparée : du faisceau pariéto-frontal (FPF) et du faisceau inférieur du
ilée, est nettement séparée : du faisceau pariéto-frontal (FPF) et du faisceau inférieur du forceps major (FOi). Le faisceau lon
éto-frontal (FPF) et du faisceau inférieur du forceps major (FOi). Le faisceau longitudinal inférieur (FLI) acquiert plus d'épai
t où il a abandonné moins de fibres au lobule lingual (0"). FCF. Le faisceau compact du fornix s'applique au fond du ; sillon
ubstance grise du cuneus, où elles perdent la ! coloration foncée des faisceaux aiitéro-postérieurs, pour prendre I la coloration
a cavité ventriculaire. Les plus externes, placées juste en dedans du faisceau sensitif, perdent peu à peu leur direction antéro
e façon à passer sous la paroi inférieure du ventricule, au-dessus du faisceau longitudinal inférieur (FLI). Les plus internes,
FE. La lame festonnée conserve sa direction et son épaisseur. FPF. Le faisceau pariéto-frontal se porte eu haut et en dedans. En
cées, au lobule pariétal supérieur (1"), dans toute sa hauLeui'. — Le faisceau occipital vertical (FOV) s'accuse de plus en plus
le latéral. Cette seconde branche est celle au-dessous de laquelle le faisceau compact du fornix (FCF) décrit son anse en fer à
(FCF) décrit son anse en fer à cheval. Elle rétrécit le passage de ce faisceau entre la substance grise et le ventricule. L'inte
iveau, sépare l'écorce de la cavité ventriculaire, contient, outre le faisceau compact du fornix, le faisceau moyen (FOm) et le
vité ventriculaire, contient, outre le faisceau compact du fornix, le faisceau moyen (FOm) et le faisceau inférieur (FOi) du for
t, outre le faisceau compact du fornix, le faisceau moyen (FOm) et le faisceau inférieur (FOi) du forceps major. On voit que ces
t le faisceau inférieur (FOi) du forceps major. On voit que ces trois faisceaux tendent déjà à s'incurver au-dessus du recessus d
éduit d'autant le calibre de la cavité. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif est nettement isolé dans presque toute s
étendue. En haut seulement il semble de nouveau se confondre avec le faisceau pariéto-frontal (FPF). Mais on verra plus loin qu
cette fusion n'est qu'une apparence résultant du croisement des deux faisceaux à ce niveau. FLI. Le faisceau longitudinal infé
nce résultant du croisement des deux faisceaux à ce niveau. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur (voy. lîg. 8) commence à p
s déjà on peut remarquer que ces trois plans de fibres sont, comme le faisceau sensitif dont ils émanent, absolument indépendant
(0^), puisqu'ils ne sont, dans leur ensemble, rien autre chose que le faisceau sensitif lui-même. FCF. Le faisceau compact du
semble, rien autre chose que le faisceau sensitif lui-même. FCF. Le faisceau compact du fornix est représenté, en grande parti
ntéro-postérieure, aplatie entre la substance grise du recessus et le faisceau moyen du forceps major (FOm). Celui-ci, situé au-
e faisceau moyen du forceps major (FOm). Celui-ci, situé au-dessus du faisceau inférieur du forceps (FOi), paraît parfois se con
eau inférieur du forceps (FOi), paraît parfois se confondre avec le faisceau compact du fornix. Mais sur presque tous les cerv
tion figurée ici se retrouve avec luie pai-faite constance. FOi. Le faisceau inférieur du forceps entoure la voûte du ventricu
-gual (0*). LFE. La lame festonnée circonscrit la calcarine (A). Le faisceau pariéto-frontal (FPF) se porte sur le fond de la
ré entre les deux branches externe et interne de cette scissure. — Le faisceau occipital-vertical (FOV) est bien isolé à la pa
ceau occipital-vertical (FOV) est bien isolé à la partie externe du faisceau sensitif (FS), luais ses deux extrémités supérieu
sociation de la région pariétale et de la région temporale. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur se divise ici très netteme
e d'avant en arrière, et qui provient de la partie la plus interne du faisceau sensitif (FS) ; une moyenne (FL2), blanche, à fib
L2), blanche, à fibres transversales, émanées de la partie moyenne du faisceau sensitif (FS); une inférieure (FLs), dont la maje
rieure (FLs), dont la majeure partie provient de la partie externe du faisceau sensitif FS. Cette disposition en trois couches
l'avons déjà dit, de fibres nerveuses qui, faisant d'abord partie du faisceau sensitif (FS), à la partie externe du ventricule,
retrouve au-dessous du ventricule, à la partie la plus postérieure du faisceau longitudinal inférieur (FLI), sont évidemment cel
les fibres antéro-postérieures, formant la couche supérieure (FLi) du faisceau longitu- Figure 8. COUPE VERTICO-TRANSVERSALE
rajet antéro-postérieur. Les fibres de la conche siipérienre (FLi) du faisceau longitudinal inférieur (FLI), n'apparaissant que
nt que tout à fait en arrière, cela signifie que la majeure partie du faisceau qu'elles contribuent à former, se dirige d'avant
us le ventricule. Ce sont les fibres de la coucihe la plus interne du faisceau sensitif (FS). région, et il n'est pas rare que
tendu que les rapports de l'écorce qui double cette incisure avec les faisceaux sous-jacents présentent une constance absolue. C'
'incisure du gyrus lingual que viennent s'étaler en grande partie les faisceaux longitudinaux qui entourent la cavité de ; la cor
ourent la cavité de ; la corne occipitale du ventricule : en haut, le faisceau inférieur du forceps (FOi); en bas, le faisceau l
tricule : en haut, le faisceau inférieur du forceps (FOi); en bas, le faisceau longitudinal inférieur (FLI). Il n'est même pas r
ir l'angle inféro-interne du ventricule se | prolonger entre ces deux faisceaux , presque jusqu'au contact de la substance grise d
encore sur les coupes suivantes. i Substance blanche. i FS. Le faisceau sensitif, toujours compact et bien circonscrit, s
la substance grise du grand sillon occipito-temporal (o^J. FCF. Le faisceau compact du fornix n'est plus représenté, entre i
ion foncée et la netteté de leur contour démontrent qu'il s'agit d'un faisceau compact. Ce faisceau augmente d'importance au fur
eté de leur contour démontrent qu'il s'agit d'un faisceau compact. Ce faisceau augmente d'importance au fur et à mesure que les
arties plus antérieures (voy. fig. 12 et 15, FOi); cela prouve que le faisceau inférieur du forceps abandonne, chemin faisant, d
ure du gyrus lingual (0'). Mais ce qui constitue la majeure partie du faisceau inférieur du forceps arrive et se termine dans un
celle de la corne d'Ammon. Les figures suivantes le démontrent. Le faisceau inférieur du forceps se confond à sa partie supér
isceau inférieur du forceps se confond à sa partie supérieure avec le faisceau moyen (FOm). Au niveau de l'angle supéro-interne
g. 15), leur différentiation est toujours des plus simples. FOm. Le faisceau moyen du forceps major forme la voûte du ventricu
entricule, où elles s'interposent entre la membrane épendymaire et le faisceau sensitif (FS). Mais leur présence dans cette régi
gion ne s'observe pas tout à fait en arrière; plus en avant, c'est le faisceau supérieur du forceps qui forme la paroi externe d
i forme la paroi externe du ventricule (voy. fig. 10, FOs). FOm. Le faisceau moyen du forceps major est nettement limité à sa
cipitale (sQ), dont elle n'est séparée que par le reste des fibres du faisceau compact du fornix (FCF). Nous venons de voir que
). Nous venons de voir que la majeure partie des fibres de ce dernier faisceau s'est déviée, en avant et en dedans, au devant du
lame festonnée du cuneus (0") est située immédiatement en dedans du faisceau inférieur du forceps, immédiatement en dehors d'u
u faisceau inférieur du forceps, immédiatement en dehors d'un nouveau faisceau [Cin), qui n'est autre qu'une partie du faisceau
dehors d'un nouveau faisceau [Cin), qui n'est autre qu'une partie du faisceau de la circonvolution du corps calleux, désigné or
anteau du cuneus ou du pli de passage cunéo-limbique (xO"). FPF. Le faisceau pariéto-frontal se compose de fibres obliques' en
t en arrière de la scissin'e limbique (voy. fig. 10 et il). FOV. Le faisceau occipital vertical se montre plus net au fur et à
ous le plancher de la cavité ventriculaire, dont il est séparé par le faisceau longitudinal inférieur (FLI). A la face externe
rvant toujours sa forme quadrangulaire. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif (fig. 9, 11,12), très compact, séparé, e
et en apparence, intimement confondues. La lame externe sera appelée faisceau sensitif externe, et la laine interne faisceau se
e externe sera appelée faisceau sensitif externe, et la laine interne faisceau sensitif interne. Meynert les étudie dans leur en
cette laine médullaire mérite d'être désignée sous le nom de lame des faisceaux optiques, car elle aboutit à la région analomique
s optiques. Bien au contraire. Aussi leur conserverons-nous le nom de faisceau sensitif, sous lequel elles ont été étudiées par
été étudiées par Charcot et Ballet. Sur les coupes 9, 10,11,12, le faisceau sensitif se continue sous le ventricule avec le f
10,11,12, le faisceau sensitif se continue sous le ventricule avec le faisceau longitudinal inférieur. FLI. Le faisceau longit
sous le ventricule avec le faisceau longitudinal inférieur. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur (fig. 9, 10, 12) divisé en
ure de la cinquième circonvolution occipito-lemporale (O'). FOs. Le faisceau supérieur du forceps (fig. 11, 12) est un nouveau
FOs. Le faisceau supérieur du forceps (fig. 11, 12) est un nouveau faisceau transversal, dirigé de dedans en dehors, superpos
ouveau faisceau transversal, dirigé de dedans en dehors, superposé au faisceau moyen (FOm), et paraissant sortir de l'écorce du
xterne du ventricule. Il est placé au devant du cingulum (Cm) et du faisceau compact du fornix (FCF), au moment où ces deux fa
um (Cm) et du faisceau compact du fornix (FCF), au moment où ces deux faisceaux passent de la partie inférieure à la partie supér
erne s'enfonçant dans l'hémisplière derrière le lobe carré. FCF, le faisceau compact du fornix et (cin) le cingulum décrivent
cavité anléro-interne au devant de laquelle passe transversalement le faisceau supérieur du forceps (FOs.) Ce dernier faisceau,
e transversalement le faisceau supérieur du forceps (FOs.) Ce dernier faisceau , n'étant coupé que dans sa partie postérieure sem
tué au-dessous de la scissure occipitale [Oi). Schéma 52. FCF. Le faisceau compact du fornix (fig. 10), accolé au cul-de-sac
passage pariéto-limbique (xL). Cin. Le cingulum est sous-jacent au faisceau compact du fornix et situé en dehors de lui. Ces
ent au faisceau compact du fornix et situé en dehors de lui. Ces deux faisceaux dirigés de bas en haut, décrivent une courbe à co
as en haut, décrivent une courbe à concavité antérieure où se loge le faisceau supérieur du forceps (FOs). LFE. La lame feston
1, 12) double le fond de la scissure calcarine {K, 10, 11). FPF. Le faisceau pariéto-frontal s'insère à la pariétale ascendant
12) une forte insertion sur le lobule pariétal supérieur (P'). FOV. Faisceau occipital vertical (fig. 9). F'Om. Faisceau moyen
al supérieur (P'). FOV. Faisceau occipital vertical (fig. 9). F'Om. Faisceau moyen du forceps (voy. pl. XIll). FOi. Faisceau i
tical (fig. 9). F'Om. Faisceau moyen du forceps (voy. pl. XIll). FOi. Faisceau inférieur du forceps (voy. pl. Xill). FDF. Faisce
. pl. XIll). FOi. Faisceau inférieur du forceps (voy. pl. Xill). FDF. Faisceau diffus du fornix (voy. pl. XIll). PLANCHE XllI
es transformations s'accomplissent dans la direction et le volume des faisceaux . Figure 13. COUPE VERTICALE PRATIQUÉE A UN DE
rale. Le bord supérieur ou voûte de la corne occipitale correspond au faisceau moyen du forceps (FOm), le bord externe au faisce
ale correspond au faisceau moyen du forceps (FOm), le bord externe au faisceau supérieur (FOs), le bord interne au faisceau infé
FOm), le bord externe au faisceau supérieur (FOs), le bord interne au faisceau inférieur (FOi), le bord inférieur au faisceau lo
s), le bord interne au faisceau inférieur (FOi), le bord inférieur au faisceau longitudinal inférieur (FLI). Substance blanche
faisceau longitudinal inférieur (FLI). Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif est moins compact que sur les figures pr
illeurs. A sa partie interne il est toujours aussi nettement isolé du faisceau supérieur du forceps (FOs). Sa surface de section
franchement blanches sous le plancher ventri-culaire (FL2). FLI. Le faisceau longitudinal inférieur ne présente plus guère que
iv), à l'angle inféro-externe du ventricule, sous la forme d'un petit faisceau compact (FLi), vertical, situé au milieu de la su
u compact (FLi), vertical, situé au milieu de la substance blanche du faisceau supérieur du forceps (FOs). La couche moyenne d
lanche du faisceau supérieur du forceps (FOs). La couche moyenne du faisceau longitudinal inférieur (FL2), immédiatement adjac
, sur la coupe 13, à la paroi ventriculaire, est formée des fibres du faisceau sensitif (FS) qui, à la partie externe du ventric
FS) qui, à la partie externe du ventricule, sont les plus voisines du faisceau supérieur du forceps (FOs). On s'en rend mieux co
d mieux compte en examinant la hgure 17, où la continuité de ces deux faisceaux est des plus évidentes. Elles se réfléchissent au
videntes. Elles se réfléchissent aussi à un niveau plus inférieur; le faisceau qu'elles forment descend en eflet jusque dans le
ual (0^'), où on les voit se terminer dans la substance grise. FDF. Faisceau diffus du fornix. — Un nouveau faisceau a fait so
ns la substance grise. FDF. Faisceau diffus du fornix. — Un nouveau faisceau a fait son apparition sur cette coupe : c'est le
Un nouveau faisceau a fait son apparition sur cette coupe : c'est le faisceau diffus du fornix. Sa situation n'est qu'indiquée
uement en bas et en dehors. Nous le retrouverons plus loin. FCF. Le faisceau compact du fornix, au moment où disparaît le cul-
us-pariétale (voy. fig. 14) {sP)-Mais là il ne s'épuise pas. C'est un faisceau à fibres courtes, qui se renouvelle d'étape en ét
ac de la scissure occipitale irrterne, se présente sous l'aspect d'un faisceau aplati, dout ou ne distingue qu'une partie très f
'une partie très faible, confondue avec ce qui reste, en ce point, du faisceau compact du fornix. Au-dessus et au-dessous de la
x. Au-dessus et au-dessous de la strie foncée qui représente ces deux faisceaux , le cingulum s'étend dans le sens vertical, décri
ostérieure. Un notable changement dans la forme et la direction de ce faisceau se manifestera sur les figures suivantes. FOm.
on de ce faisceau se manifestera sur les figures suivantes. FOm. Le faisceau moyen du forceps, formant toujours la paroi supér
la corne sphénoïdale, est à sa partie interne étroitement adhérent au faisceau inférieur. Il est plus épais que sur les coupes p
ne du ventricule ou tapetum, d'où elles se portent avec les fibres du faisceau sensitif (FS) sous la paroi mférieure du ventricu
ubstance grise du pôle occipital. Le changement de coloration de ce faisceau au-dessus du ventricule montre sur la figure 15 q
en dehors vers la paroi ventriculaire externe, où elles s'accolent au faisceau supérieur du forceps. FOs. Le faisceau supérieu
erne, où elles s'accolent au faisceau supérieur du forceps. FOs. Le faisceau supérieur du forceps, venu de la partie la plus s
d'une région plus antérieure. 11 est, sur la coupe 15, peu isolé des faisceaux voisins, parce qu'il suit une direction sensiblem
ection. — A la partie externe du ventricule, il se place en dehors du faisceau moyen du forceps (FOm) et forme la presque totali
a scissure calcarine (K), et interposée entre le cingulum (Cin) et le faisceau inférieur du forceps major (FOi). En haut ce fais
lum (Cin) et le faisceau inférieur du forceps major (FOi). En haut ce faisceau s'épanouit dans le pli de passage temporo-limbiqu
es de ses fibres se confondent, dans le gyrus lingual, avec celles du faisceau longitudinal inférieur (FLI). C'est d'ailleurs le
s ne soient pas nettement isolées des parties avoisinantes. FPF. Le faisceau pariéto-frontal, peu visible sur cette coupe, où
pariétale ascendante et à la frontale ascendante (P et F). FOV. Le faisceau occipital vertical (FOV, fig. 14), situé en dehor
OV. Le faisceau occipital vertical (FOV, fig. 14), situé en dehors du faisceau sensitif se dirige de la troisième temporale au l
édente (sQ) n'existe plus ici. Il en résulte, dans la disposition des faisceaux du centre ovale, une modification importante qui
re. L'angle supéro-externe est émoussé par une partie des fibres du faisceau supérieur du forceps qui le croisent obliquement.
une petite encoche répond à un changement de direction des fibres du faisceau inférieur du forceps, dont la partie la plus inte
dehors; c'est l'annonce de l'apparition de la corne d'Ammon, dont ce faisceau enveloppe toute la convexité postérieure. Cette e
sphénoïdale dont nous avons déjà parlé. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif, peu compact à sa partie supérieure, se
e condense à sa partie inférieure. Au-dessous de la couche moyenne du faisceau longitudinal inférieur (FL2), sa surface de secti
rconvolution temporale (T4). Une partie des fibres renfermées dans ce faisceau doit en être distraite. Elle appartient, comme no
au doit en être distraite. Elle appartient, comme nous le verrons, au faisceau diffus du fornix (FDF) que nous n'avons étudié en
e région supérieure, et seulement sur la figure précédente. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur ne se compose plus que de
ince lamelle, à peine visible, qui ne renferme môme plus de fibres du faisceau sensitif. Elle se compose exclusivement des fibre
nsitif. Elle se compose exclusivement des fibres les plus externes du faisceau moyen du forceps (FOm), qui, après avoir tapissé
gyrus lingual (T) La couche moyenne (FL2) représente les fibres du faisceau sensitif réfléchi. La couche inférieure (FL3) rep
i. La couche inférieure (FL3) représente également des fibres du même faisceau ; seulement ces dernières sont les plus externes,
s dernières sont les plus externes, et elles se mêlent avec celles du faisceau diffus du fornix (FDF), surtout dans le manteau d
nix (FDF), surtout dans le manteau du gyrus fusiforme (T*). FDF. Le faisceau diffus du fornix est, comme son nom l'indique, un
FDF. Le faisceau diffus du fornix est, comme son nom l'indique, un faisceau dont les fibres, coupées perpendiculairement à le
tion très tranchée. Mais leur direction générale est très précise. Ce faisceau dirigé d'arrière en avant dans le centre ovale, u
il prend de nombreuses insertions, suit assez exactement le trajet du faisceau compact du fornix (FCF) dans la portion supérieur
es se portent obliquement en bas et en dehors, à la partie externe du faisceau supérieur du forceps (FOs), puis à la partie exte
e du faisceau supérieur du forceps (FOs), puis à la partie externe du faisceau sensitif (FS). Devenues verticales, elles ne se d
(FS). Devenues verticales, elles ne se distinguent plus de celles du faisceau occipital vertical (FOV). Mais on les retrouve su
tical (FOV). Mais on les retrouve sur les coupes suivantes. FCF. Le faisceau compact du fornix, venu de la partie infé- 1. I
le plan de sCction. Ses fibres sont blanches et situées au-dessus du faisceau supérieur du forceps (FOs). On ne le retrouve pas
pli de passage temporo-limbique (xT), se présente sous l'aspect d'un faisceau mince et compact. Mais la prochaine apparition du
5 et 16), et sa coloration va devenir rapidement plus pâle. FOi. Le faisceau inférieur du forceps présente une disposition spé
lérieure qui leur donnait sur les coupes précédentes l'apparence d'un faisceau compact, sont repoussées en arrière et en dehors
t en dehors par la corne d'Ammon, située immédiatement en avant. Ce faisceau , venu d'une région antérieure au plan de la coupe
t la substance blanche contre la paroi du ventricule, fait rentrer ce faisceau dans le plan de section. Plus loin, en arrière, c
t-à-dire au niveau de la coupe 14, la corne d'Ammon n'existe plus; le faisceau , devenu compact, reprend son chemin d'avant en ar
min d'avant en arrière, comme nous l'avons vu précédemment. FOm. Le faisceau moyen du forceps change d'aspect; il n'est plus r
cipitale encore visible sur la coupe précédente (sQ), les fibres du faisceau moyen du forceps se portent brusquement en dehors
, ainsi que le démontrent les figures suivantes (17 et 18). FOs. Le faisceau supérieur du forceps, bien séparé du faisceau moy
s (17 et 18). FOs. Le faisceau supérieur du forceps, bien séparé du faisceau moyen (FOm), décrit une grande courbe à concavité
est très claire; elle le parait même d'autant plus que les fibres du faisceau sensitif (FS), qui lui sont immédiatement adjacen
qu'on peut s'en rendre compte sur les coupes horizontales. FPF. Le faisceau pariéto-frontal prend, sur cette coupe, une inser
eur. Une autre, venue de plus loin au-dessous et en arrière, longe le faisceau diffus du fornix (FDF). Sur toutes les coupes sui
s les coupes suivantes on voit ainsi s'étager les plans superposés du faisceau pariéto-frontal, tantôt sombres, tantôt clairs :
vers les circonvolutions frontale et pariétale ascendantes. FOV. Le faisceau occipital vertical, à peine reconnaissais, a disp
lations qui répondent au croisement, à angle très aigu, des fibres du faisceau moyen du forceps. Substance blanche. FS. Le f
es fibres du faisceau moyen du forceps. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif garde les mêmes dimensions et les mêmes
précédente. Cela tient à ce qu'il est entre-croisé, en dehors, par le faisceau diffus du fornix (FDF), dont la proéminence dans
trième circonvolution temporale (T4) devient plus évidente. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur présente ici une seule par
4). A ce niveau, il n'est plus représenté seulement par les fibres du faisceau sensitif (FS) réfléchi sous la paroi du ventricul
lé et, en apparence, intimement mélangé avec la portion inférieure du faisceau diffus du fornix (FDF). FDF. Le faisceau diffus
c la portion inférieure du faisceau diffus du fornix (FDF). FDF. Le faisceau diffus du fornix s'isole des parties adjacentes.
fornix s'isole des parties adjacentes. 11 est limité en dehors par le faisceau pariéto-frontal (FPF), en dedans par le faisceau
ité en dehors par le faisceau pariéto-frontal (FPF), en dedans par le faisceau supérieur du forceps (FOs), puis par le faisceau
F), en dedans par le faisceau supérieur du forceps (FOs), puis par le faisceau sensitif (FS). Il longe ce dernier de haut en bas
apparente. On s'en rend compte sur les coupes horizontales. FCF. Le faisceau compact du fornix, de plus en plus transversal, d
le, en ce sens qu'il rentre dans le plan de section, parallèlement au faisceau supérieur du forceps (EOs), lequel semble mélange
en dedans vers la partie la plus inférieure du lobe carré. FOi. Le faisceau inférieur du forceps s'écarte, comme il a été ind
e du ventricule; il va donc prendre ici un autre aspect. En dedans du faisceau compact signalé sur les coupes plus postérieures,
nterpose entre le faiseau (FOi) et la paroi interne du ventricule. Ce faisceau n'est pas différent du premier ; c'est le môme et
e rendre compte de cette disposition sur cette figure (15). FOm. Le faisceau moyen du forceps se confond en apparence, non seu
e blanche de la circonvolution lim-bique (C), mais avec les fibres du faisceau supérieur du forceps (FOs). Cette dernière confus
ernière confusion de fibres résulte de ce que les plus supérieures du faisceau moyen du forceps se portent obliquement en bas et
du forceps se portent obliquement en bas et en dehors comme celles du faisceau supérieur. Elles entament même l'angle supéro-ext
terne de la cavité ventriculairc et l'émoussent. Une faible partie du faisceau moyen du forceps contribue donc à former le lapet
suivantes démontre qu'elles se portent d'arrière en avant. FOs. Le faisceau supérieur du forceps à sa partie supérieure s'inc
droit, sous la corne sphénoïdale, participant ainsi à la formation du faisceau longitudinal inférieur. LFE. La lame festonnée,
, dont la partie postérieure repousse vers la partie externe tous les faisceaux attenant à l'écorce. La corne d'Ammon n'a pas enc
araître à un millimètre plus loin, en avant (voy. fig. 23). FPF. Le faisceau pariéto-frontal, plus clair que sur la coupe préc
éro-interne se rapproche de la ligne médiane ; cela tient à ce que le faisceau moyen (FOm) du forceps s'écarte plus franchement
e que le faisceau moyen (FOm) du forceps s'écarte plus franchement du faisceau inférieur (FOi). La paroi interne se bombe, forma
de la corne d'Ammon dans le ventricule. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif ne diffère ici de ce qu'il était sur la
ge de son point de réflexion au-dessous du plancher ventriculaire. Le faisceau diffus du fornix (FDF) est mieux séparé de lui à
nférieur, pénétrer dans la quatrième circonvolution temporale. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. La participation du faisc
emporale. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. La participation du faisceau diffus du fornix (FDF) à la formation du faisceau
La participation du faisceau diffus du fornix (FDF) à la formation du faisceau longitudinal inférieur (FLI) s'accuse de plus en
visible sur la figure 14, elle a ici complètement disparu. FDF. Le faisceau diffus du fornix s'isole mieux encore que sur la
à sa partie moyenne. Limité en dedans, d'une façon très nette, par le faisceau supérieur du forceps (FOs) et plus bas, d'une faç
périeur du forceps (FOs) et plus bas, d'une façon moins nette, par le faisceau sensitif (FS), il se dirige verticalement, au mil
e ovale vers la partie inférieure du cerveau. Là, juste au contact du faisceau sensitif, il change de direction : il se porte ob
le manteau du gyrus fusiforme (T4), en dehors de la couche moyenne du faisceau longitudinal inférieur (FLI), et paraît mêler ses
raît mêler ses fibres avec celles de la couche inférieure (FL3) de ce faisceau (voy. fig-17 et 18). Il décrit donc, d'une faço
n générale, une grande courbe à concavité inférieure ; c'est un vaste faisceau arqué, réunissant la substance grise de la scissu
mbique à l'écorce de la quatrième circonvolution temporale. FCF. Le faisceau compact du fornix, qui sur les coupes postérieure
s foncée. A ce niveau il môle une partie de ses fibres avec celles du faisceau compact du fornix (FCF). FOi. Le faisceau infér
ses fibres avec celles du faisceau compact du fornix (FCF). FOi. Le faisceau inférieur du forceps qui, tout d'abord, s'était n
u inférieur du forceps qui, tout d'abord, s'était nettement séparé du faisceau moyen (FOm), change, ici encore, d'aspect. La por
res 17 et 18. Cette partie blanche n'est cependant autre chose que le faisceau inférieur du forceps (FOi), dont les fibres, jusq
e coupe un peu plus antérieure (fig. 25, 24 et suiv., CAM). FOm. Le faisceau moyen du forceps recommence à s'isoler à sa face
ecommence à s'isoler à sa face supérieure. La direction des fibres du faisceau supérieur (FOs) est, en effet, beaucoup plus fran
lle il avait paru se mélanger sur les coupes déjà étudiées. FOs. Le faisceau supérieur du forceps décrit son arc à concavité i
inférieure et interne tout autour de la cavité ventriculaire et du faisceau moyen. C'est dans cette région, sur les coupes ve
corps calleux. LFE. La lame festonnée, amincie, intercalée entre le faisceau inférieur du forceps (FOi) et la partie la plus i
e faisceau inférieur du forceps (FOi) et la partie la plus interne du faisceau longitudinal inférieur (FLT), remonte en dedans d
l'angle supéro-externe change d'aspect. Ce dernier s'enfonce entre le faisceau moyen du forceps (FOm) et le faisceau supérieur (
. Ce dernier s'enfonce entre le faisceau moyen du forceps (FOm) et le faisceau supérieur (FOs). Dorénavant ces deux faisceaux se
du forceps (FOm) et le faisceau supérieur (FOs). Dorénavant ces deux faisceaux seront nettement isolés l'un de l'autre. Substa
eront nettement isolés l'un de l'autre. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif, identique à ce que nous l'avons vu préc
de l'angle inféro-externe du ventricule, avec la portion réfléchie du faisceau moyen du forceps (FOm) ; celle-ci avait déjà fait
eau (FLi), dans une région correspondante. Cette fusion des fibres du faisceau sensitif et des fibres du faisceau moyen du force
ndante. Cette fusion des fibres du faisceau sensitif et des fibres du faisceau moyen du forceps (FOm) n'est qu'apparente. On s'e
-externe du ventricule est le point commun de réflexion des fibres du faisceau sensitif (FS) et des faisceaux supérieur et moyen
point commun de réflexion des fibres du faisceau sensitif (FS) et des faisceaux supérieur et moyen du forceps (FOm et FOs), l'inc
(FOm et FOs), l'incurvation de leurs fibres parait les mélanger en un faisceau unique. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur
de leurs fibres parait les mélanger en un faisceau unique. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur, refoulé vers la paroi inf
te couche inférieure (FL3) est formée en majeure partie des fibres du faisceau sensitif (FS), et spécialement des fibres externe
du faisceau sensitif (FS), et spécialement des fibres externes de ce faisceau . La couche moyenne (FL2) a perdu beaucoup de son
(FL2) a perdu beaucoup de son épaisseur. C'est dire que les fibres du faisceau sensitif qui la composaient ne se réfléchissent p
tricule. Elles continuent leur chemin plus loin en arrière. FDF. Le faisceau diffus du fornix, à sa partie antéro-supérieurc,
sous; en d'autres termes, le nombre des fibres antéro-postérieures du faisceau diffus du fornix (FDF), parcourant la circonvolut
le ascendante, est plus considérable que le nombre des fibres du môme faisceau qui parcourent la circonvolution limbique (C). —
faisceau qui parcourent la circonvolution limbique (C). — En bas, ce faisceau , décrivant sa courbe à concavité antérieure, se m
ourbe à concavité antérieure, se môle aux fibres les plus externes du faisceau sensitif (FS) et s'enfonce d'arrière en avant dan
s le manteau de la quatrième circonvolution temporale (T4). FCF. Le faisceau compact du fornix, en contact avec la substance g
. En dehors et en haut, il parait confondre ses fibres avec celles du faisceau diffus du fornix (FDF). Cm. Le cingulum. Au voi
en dedans de cette bande grise et se confondent partiellement avec le faisceau compact du fornix (FCF) à la face interne de la c
limbique (C); à ce niveau, elles sont toujours placées au-dessous du faisceau compact du fornix. FOi. Le faisceau inférieur d
toujours placées au-dessous du faisceau compact du fornix. FOi. Le faisceau inférieur du forceps, étalé sur l'extrémité posté
n'est plus représenté que par des fibres verticales (FOi) et un petit faisceau de fibres horizontales, antéro-postérieures, dont
ar une strie grise obliquement dirigée en bas et en dehors. FOm. Le faisceau moyen du forceps, momentanément confondu avec les
confondu avec les parties blanches adjacentes (fig. 15), redevient un faisceau isolé sur tout son pourtour. La démarcation s'acc
n pourtour. La démarcation s'accuse surtout dans ses rapports avec le faisceau supérieur et le faisceau inférieur, par ce fait q
n s'accuse surtout dans ses rapports avec le faisceau supérieur et le faisceau inférieur, par ce fait que les deux angles supéri
ion est celle où le ventricule atteint son maximum de largeur. FOs. Faisceau supérieur du forceps. De plus en plus isolé du fa
rgeur. FOs. Faisceau supérieur du forceps. De plus en plus isolé du faisceau moyen par l'encoche de l'angle supéro-externe du
sceau moyen par l'encoche de l'angle supéro-externe du ventricule, le faisceau supérieur du forceps s'élargit dans la portion où
présente le tapetum. C'est qu'il s'y ajoute le trousseau de fibres du faisceau moyen dont il vient d'être question. LFE. La la
a cavité du ventricule, s'accuse davantage. Entre ces deux angles, le faisceau moyen du forceps proemine dans la cavité, dont il
e la corne postérieure (BCP). Elle répond exclusivement aux fibres du faisceau moyen du forceps (FOm). — La face externe s'incur
ne s'incurve en dedans, suivant exactement la direction des fibres du faisceau supérieur du forceps (FOs). Substance blanche.
du faisceau supérieur du forceps (FOs). Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif observe la même direction et les mêmes r
e la même direction et les mêmes rapports que précédemment. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur, réduit à sa couche inféri
à sa couche inférieure, est formé des fibres de la partie externe du faisceau sensitif (FS) et des fibres du faisceau diffus du
ibres de la partie externe du faisceau sensitif (FS) et des fibres du faisceau diffus du fornix (FDF), dont la direction offre i
irection offre ici une particularité digne d'être signalée. FDF. Le faisceau diffus du fornix se compose de fibres anléro-post
déjà insérées à la substance grise de cette circonvolution. FCF. Le faisceau compact du fornix se mêle en partie avec le cingu
ue, s'accuse par une coloration très foncée. Une partie des libres du faisceau compact du fornix (FCF) passe également dans le c
re décrit par le cingulum. Sur une coupe vertico-transversale (x), ce faisceau est divisé seulement une fois; sur une eoupe plus
espond à l'angle supéro-internc de la cavité ventriculaire. FOi. Le faisceau inférieur du forceps devient de plus en plus vert
sens antéro-postérieur. D'ailleurs, quelle que soit sa direction, ce faisceau , dans son ensemble, occupe la totalité de la face
es fibres du forceps, on ne trouve plus que des fibres appartenant au faisceau moyen (FOm). FOm. La proéminence du faisceau mo
fibres appartenant au faisceau moyen (FOm). FOm. La proéminence du faisceau moyen du forceps major dans la cavité ventriculai
eux saillies. La saillie externe se compose des fibres supérieures du faisceau moyen ; la saillie interne se compose des fibres
leur trajet suivant la direction générale indiquée par lastriation du faisceau , qui forme le plafond ventriculaire ; et il est f
e au côté externe, en arrière et en dehors. A sa partie interne, le faisceau moyen du forceps (FOm) est plus foncé qu'à sa par
alleux. On a pu voir, sur toutes les figures de cette planche, que le faisceau moyen du forceps présentait une striation transve
dedans qu'en dehors, plus compactes en arrière qu'en avant. FOs. Le faisceau supérieur du forceps se jette en dedans, dans la
s (FOm). Un peu plus en avant, elle disparaît complètement. FPF. Le faisceau pariéto-frontal se porte du pli courbe et du lobu
nt eu pour but que de fixer d'une façon bien précise les rapports des faisceaux du lobe occipital, dont les changements de direct
dont les changements de direction sont très difficiles à saisir. Ces faisceaux étant actuellement connus, il nous paraît superfl
développée. Elle est doublée dans toute son étendue par le tapetum ou faisceau supérieur du forceps (FOs). La face supérieure
périeur du forceps (FOs). La face supérieure est représentée par le faisceau moyen du forceps, proéminant dans la cavité sous
ueuse (BCP), marquant la section du bulbe de la corne postérieure. Le faisceau moyen du forceps s'épuise à mesure qu'on entame d
largeur; c'est particulièrement (fîg. 22) au point où ce qui reste du faisceau inférieur du forceps (FOi) passe en totalité au-d
Sur la figure 25, on voit apparaître trois taches grises au milieu du faisceau inférieur du forceps (FOi). 11 est à remarquer qu
inférieur du forceps (FOi). 11 est à remarquer que la strialion de ce faisceau , encore très apparente sur la coupe précédente (f
substance grise devient reconnaissable. Donc, à ce moment précis, le faisceau inférieur du forceps (FOi) est vertical. Il passe
droite et à gauche, elles sont en rapport immédiat avec les fibres du Faisceau inférieur du forceps (FOi). Les fibres les plus p
ules qui soient représentées sur la figure 23. Elles consistent en un faisceau triangulaire qui s'insinue en bas et en avant, au
vant, au-dessous delà substance grise godronnée. Sur la figure 24, ce faisceau s'aplatit, et on le verra, plus loin encore. La
la partie inférieure de cette dernière. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif présente la même configuration et les mê
oyenne; il est plus diffus à sa partie supérieure, où il enveloppe le faisceau supérieur du forceps (FOs, 23); enfin, à sa parti
us observerons sur des coupes plus antérieures). Cela signifie que le faisceau sensitif interne (FSi) est dirigé d'avant en arri
u moins à la partie la plus postérieure (fig. 19). La délimitation du faisceau sensitif est toujours plus prononcée, d'ailleurs,
ct du tapetum. Les fibres du tapetum (FOs) sont verticales. Celles du faisceau sensitif sont sagittales; il n'y a qu'apposition
esque toujours, la cassure se fait dans l'interstice du tapetum et du faisceau sensitif interne. Le faisceau externe (FSc) se
it dans l'interstice du tapetum et du faisceau sensitif interne. Le faisceau externe (FSc) se confond insensiblement en dehors
ors avec les autres parties du centre ovale, particulièrement avec le faisceau diffus du fornix (FDF) ; leurs rapports deviennen
au du gyrus fusiforme (T*), où nous les avons déjà étudiés. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur est réduit à deux couches;
renferme les fibres antéro-postérieures, venues en majeure partie du faisceau sensitif externe. La couche moyenne (FL2) représe
des fibres transversales, dirigées de dehors en dedans, provenant du faisceau sensitif interne; elle se perdait, sur les coupes
par la corne d'Àmmon, les fibres des couches inférieure et moyenne du faisceau longitudinal inférieur passent au-dessous de la c
u longitudinal inférieur passent au-dessous de la corne d'Ammon et du faisceau inférieur du forceps (FOi) qui l'enveloppe FDF.
n et du faisceau inférieur du forceps (FOi) qui l'enveloppe FDF. Le faisceau diffus du fornix accompagne, d'une manière généra
. Le faisceau diffus du fornix accompagne, d'une manière générale, le faisceau sensitif (FS) ; mais il est toujours situé en deh
lui. Il observe môme une direction sensiblement parallèle à celle du faisceau sensitif (FS). Parti de la circonvolution limbiqu
e (fig. 20), il se porte en dehors, en bas et en arrière; il longe le faisceau sensitif dans toute sa hauteur; arrivé à l'angle
t en bas, en dedans et en avant. C'est par l'adjonction des fibres du faisceau diffus du fornix que le faisceau longitudinal inf
C'est par l'adjonction des fibres du faisceau diffus du fornix que le faisceau longitudinal inférieur (FLI) augmente momentanéme
FLI) augmente momentanément de calibre. Mais la plupart des fibres du faisceau diffus du fornix (FDF) restent en dehors du grand
cipito-temporal et s'épuisent dans le gyrus fusiforme (T4). FCF. Le faisceau compact du fornix, toujours interposé entre le ci
aisceau compact du fornix, toujours interposé entre le cingulum et le faisceau diffus du fornix (FDF), n'est facilement re-conna
au de la circonvolution limbique (fig. 19, 20). Dorénavant, ces trois faisceaux (faisceau diffus du fornix FDF, faisceau compact
rconvolution limbique (fig. 19, 20). Dorénavant, ces trois faisceaux ( faisceau diffus du fornix FDF, faisceau compact du fornix
20). Dorénavant, ces trois faisceaux (faisceau diffus du fornix FDF, faisceau compact du fornix FCF et cingulum Cin), vont ci
nnaissent pas du premier coup dans le plan de la section. — Les trois faisceaux en question ont une forme et une situation absolu
s poursuivant, en avant d'abord, et en Profil schématique des trois faisceaux de la circonvolution du corps calleux ou circonvo
plus près, par le cingulum (cin) ; plus haut et plus en dehors par le faisceau compact du fornix (FCK); encore plus haut et plus
au compact du fornix (FCK); encore plus haut et plus en dehors par le faisceau diffus du fornix (FDF). Ces trois faisceaux s'ent
t et plus en dehors par le faisceau diffus du fornix (FDF). Ces trois faisceaux s'entrecroisent en arrière avec les faisceaux sup
fornix (FDF). Ces trois faisceaux s'entrecroisent en arrière avec les faisceaux supérieur, moyen et inférieur du forceps (FOs, FO
allèlement à la première. On s'aperçoit ainsi que chacun de ces trois faisceaux représente un arc de cercle à concavité antérieur
sent dans les circonvolutions occipitales et occipito-temporales : le faisceau diffus du fornix se jette dans la quatrième tempo
sceau diffus du fornix se jette dans la quatrième temporale (T4) ; le faisceau compact (FCF) se jette dans le gyrus lingual ou c
dronnée et la cinquième temporale. On remarquera encore : Io que le faisceau diffus du fornix accompagne le faisceau supérieur
remarquera encore : Io que le faisceau diffus du fornix accompagne le faisceau supérieur du forceps (FOs); que le faisceau compa
s du fornix accompagne le faisceau supérieur du forceps (FOs); que le faisceau compact du fornix accompagne le faisceau moyen du
eur du forceps (FOs); que le faisceau compact du fornix accompagne le faisceau moyen du forceps (FOm) ; enfin que le cingulum ac
faisceau moyen du forceps (FOm) ; enfin que le cingulum accompagne le faisceau inférieur du forceps (FOi). Les trois faisceaux d
cingulum accompagne le faisceau inférieur du forceps (FOi). Les trois faisceaux du fornix représentent donc trois systèmes de fib
s de fibres d'association, pour des régions corticales dont les trois faisceaux du forceps représentent les trois systèmes de com
lleux jusqu'à la face inférieure de la corne d'Ammon, les rapports du faisceau compact du fornix (FCF) avec la circonvolution li
pe; mais c'est toujours la même circonvolution, parcourue par un même faisceau , le faisceau compact du fornix (FCF). — De même,
t toujours la même circonvolution, parcourue par un même faisceau, le faisceau compact du fornix (FCF). — De même, la circonvolu
s calleux, et au dessus de ses fibres transversales, on voit les deux faisceaux antéro-poslé-rieurs qui représentent le cingulum.
dessus du corps calleux; et là il se continue avec la portion du même faisceau (Cm) qui longe la face externe de la circonvoluti
bandelette cendrée (Fci), puis (fig. 25 et 24) s'interposer entre le faisceau inférieur du forceps (FOi) et la partie la plus i
e faisceau inférieur du forceps (FOi) et la partie la plus interne du faisceau longitudinal inférieur (FLI). Il se termine donc
dans la circonvolution de l'hippocampe, où il s'entre-croise avec le faisceau longitudinal inférieur, toujours au-dessous du si
sillon inféro-interne du ventricule ou sillon du subiculum. FOi. Le faisceau inférieur du forceps se sépare du faisceau moyen
on du subiculum. FOi. Le faisceau inférieur du forceps se sépare du faisceau moyen (FOm) au milieu de l'angle supéro-interne d
. Ainsi que sur les coupes de la planche précédente, les fibres de ce faisceau , qui restent antéro-postérieures sur tout leur tr
figures 25 et 24 on voit, du fait de cette récurrence, apparaître un faisceau compact qui n'avait été que signalé précédemment
ciable, jusqu'à l'extrémité antérieure de la corne d'Ammon. FOm. Le faisceau moyen du forceps diminue de plus en plus de volum
diminue de plus en plus de volume. 11 n'est plus constitué que par ce faisceau de fibres flottantes qui, juste au-dessus de la b
isphère verticalement sans entamer obliquement, à un moment donné, le faisceau moyen du forceps (FOm), celui des trois faisceaux
un moment donné, le faisceau moyen du forceps (FOm), celui des trois faisceaux du splenium qui forme la voûte de la corne occipi
tres, inclinées en bas, en arrière et en dehors, à la face interne du faisceau supérieur ou tapetum. On voit (fig. 22 et 25) le
e reliquat de ces fibres qui, précédemment, formaient encore un petit faisceau d'une certaine importance, se réfléchissant sous
léchissant sous la paroi du ventricule de dehors en dedans. FOs. Le faisceau supérieur du forceps ne présente, sur cette planc
nt changer de direction et se porter en bas et en dedans. Profil du faisceau supérieur du forceps (FOs) à son insertion sur la
ion sur la partie postérieure du corps calleux (ce). Les fibres de ce faisceau rayonnent en éven tail, mais décrivent clans leur
lutions du lobe carré et la circonvolution de l'hippocampe. FPF. Le faisceau pariéto-frontal ne change ni de forme ni de rappo
rieur (P2). En bas et en dedans, il se confond insensiblement avec le faisceau diffus du fornix (FDF); tout à fait en haut, da
aut, dans le manteau de la première circonvolution frontale, ces deux faisceaux se mélangent d'une manière intime. Quant au fai
ale, ces deux faisceaux se mélangent d'une manière intime. Quant au faisceau occipital vertical (FOV, voy. pl. XIII), il a ces
it en effet et se porte de dehors en dedans au fur et à mesure que le faisceau moyen du forceps (représenté par le bulbe de la c
de l'hippocampe. — ce, corps calleux; TRI, trigone; FI, Fimbria; FLI, faisceau longitudinal inférieur. divise donc le pli de p
rieur dans lequel nous trouverons toujours la corne d'Ammon (Fci), le faisceau inférieur du forceps (FOi) et le cingulum (Cin) ;
tage inférieur dans lequel circulent d'arrière en avant les fibres du faisceau longitudinal inférieur (FLI). L'étage supérieur p
s calleux augmente d'épaisseur. Mais il est surtout représenté par le faisceau supérieur du forceps (FOs, fig. 26 et BRISSAUD.
eau supérieur du forceps (FOs, fig. 26 et BRISSAUD. 10 suiv.). Ce faisceau entre dans sa constitution pour une bonne moitié.
ne encoche assez profonde (fig. 28 et 29) qui marque la séparation du faisceau supérieur du forceps (FOs) et des deux faisceaux
rque la séparation du faisceau supérieur du forceps (FOs) et des deux faisceaux moyen et inférieur (FOm, FOi). A la partie infé
n d'une masse de fibres dirigées d'avant en arrière et appartenant au faisceau inférieur du forceps. On voit plus loin (fig. 30)
cer en dedans, en arrière et en dehors de la corne d'Aminon. FS. Le faisceau sensitif, toujours nettement limité en dedans, de
irection antéro-postérieure de ses fibres. — En haut, il contourne le faisceau supérieur du forceps (FOs) et parait se porter ve
che suivante que cette disposition se prononcera davantage. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur ne se compose que de deux
che inférieure foncée (FLs) est en grande partie formée des fibres du faisceau sensitif externe (FSe) et en faible partie des fi
du faisceau sensitif externe (FSe) et en faible partie des fibres du faisceau diffus du fornix (FDF). Mais ce dernier est déjà
e (FL2, fig. 26, 29), composée de fibres transversales, appartient au faisceau sensitif interne (FSi). Nous verrons, à propos de
iveau de l'angle inféro-externe de la cavité ventriculaire. FDF. Le faisceau diffus du fornix, croisant obliquement le faiscea
culaire. FDF. Le faisceau diffus du fornix, croisant obliquement le faisceau sensitif (fig. 26) de bas en haut et de dehors en
(fig. 30). Sa direction générale reste d'ailleurs la même. FCF. Le faisceau compact du fornix, composé exclusivement de fibre
lleux, se jette dans l'écorce de la circonvolution limbique, entre le faisceau compact du fornix et le cingulum (Cm). Cin. Le
ment reconnaissable (Cm, fig. 26, 27, etc.) au-dessus et en dedans du faisceau inférieur du forceps (FOi). Sur la figure 26 on v
es obliques en bas et en dehors sont claires, et s'insinuent entre le faisceau inférieur du forceps (FOi) et la corne d'Ammon.
le faisceau inférieur du forceps (FOi) et la corne d'Ammon. FOi. Le faisceau inférieur du forceps (fig. 28) se compose de deux
mant, sous le nom iïalveus, la paroi interne du ventricule. FOm. Le faisceau moyen du forceps est représenté (fig. 27, 28) par
ventricule ; et aussi à la partie inférieure du tapetum, par un petit faisceau de fibres, que nous connaissons déjà, dirigées en
n nombre d'entre elles passent sous la paroi ventriculaire. FOs. Le faisceau supérieur du forceps, dirigé de haut en bas et de
. 30) à changer de direction; il s'élargit, ce qui tient à ce que les faisceaux du corps calleux lui arrivent en plus grande quan
réfléchissent sous la paroi inférieure de la corne occipitale. CO. Faisceau du centre ovale. Sur les figures 29 et 30 apparaî
CO. Faisceau du centre ovale. Sur les figures 29 et 30 apparaît un faisceau suffisamment isolé entre le faisceau diffus du fo
les figures 29 et 30 apparaît un faisceau suffisamment isolé entre le faisceau diffus du fornix (FDF) et le faisceau supérieur d
eau suffisamment isolé entre le faisceau diffus du fornix (FDF) et le faisceau supérieur du forceps (FOs). Ce faisceau, qui conc
diffus du fornix (FDF) et le faisceau supérieur du forceps (FOs). Ce faisceau , qui concourt à la formation du centre ovale, est
u plan de la coupe, mais sensiblement parallèles à ce plan. FPF. Le faisceau pariéto-frontal (fig. 25, FPF) a pris une inserti
e l'écorce et la face supérieure du ventricule. Il en résulte que les faisceaux sous-jacents à la scissure limbique, c'est-à-dire
ue les faisceaux sous-jacents à la scissure limbique, c'est-à-dire le faisceau diffus et le faisceau compact du fornix, tassés a
jacents à la scissure limbique, c'est-à-dire le faisceau diffus et le faisceau compact du fornix, tassés au-dessus du corps call
tout cet ensemble, au lieu d'être perdu parmi les fibres blanches du faisceau inférieur du forceps (fîg. 25, 24 et 29), est rel
nterne du ventricule, nous verrons ce qu'il faut en dire, à propos du faisceau inférieur du forceps (FOi). Substance blanche.
orment ainsi une cloison épaisse, le tapetum (TAP, fig. 54), dont les faisceaux se comportent dans cette région comme se sont com
s-unes d'entre elles. Celles-ci forment alors la couche supérieure du faisceau longitudinal inférieur; et c'est parce quelles ne
se réfléchissent pas toutes ensemble que la couche supérieure de ce faisceau est nécessairement moins épaisse que le tapetum l
é des fibres du corps calleux, en dehors de celles qui ont fourni aux faisceaux moyen et inférieur du forceps (FOm* et FOi, fig.
eux (ce). Fci fasciola cincerea devenant taenia tecta (tec). FOs, faisceau supérieur du forceps ; FOm, faisceau moyen du f
ant taenia tecta (tec). FOs, faisceau supérieur du forceps ; FOm, faisceau moyen du forceps. ciablc. Les fibres du forceps
let (ou sple-nium) aux circonvolutions occipitales internes. FS. Le faisceau sensitif, dont les deux couches sont déjà recon-n
iques en haut et en dedans. Ce qu'il faut remarquer ici, c'est que-le faisceau sensitif qui jusqu'à présent n'avait pas été nett
ut en bas, au voisinage de sa réflexion sous-ventriculaire. FLi. Le faisceau longitudinal inférieur change d'aspect; il est ré
ccipito-tamporal. Mais cela ne veut pas dire que les trois couches du faisceau longitudinal inférieur, signalées précédemment, s
FLs) ont fait leur apparition. Elles ne représentent pas de nouveaux faisceaux . Le faisceau longitudinal inférieur est toujours
leur apparition. Elles ne représentent pas de nouveaux faisceaux. Le faisceau longitudinal inférieur est toujours formé des môm
he inférieure. Celles qui formaient la couche inférieure, Proiil du faisceau longitudinal inférieur, vu par transparence à la
férieure encore. On comprend ainsi que les couches (FLs, FL4, FLs) du faisceau longitudinal inférieur (fig. 35) ne soient qu'une
eure, quelque numéro qu'elle porte, répond toujours nécessairement au faisceau diffus du fornix (FDF), une fois qu'il s'est réfl
entre la plus supérieure et la plus inférieure) répondent toujours au faisceau sensitif interne (FSi), et à une partie du faisce
ndent toujours au faisceau sensitif interne (FSi), et à une partie du faisceau sensitif externe (FSe). Il y a d'ailleurs une a
tif externe (FSe). Il y a d'ailleurs une autre raison qui fait que le faisceau sensitif interne (FSi), parvenu au fond du sillon
quée en avant (B), en un point où les trois couches ventriculaires du faisceau longitudinal inférieur s'enfoncent obliquement da
en réalité ces couches elles-mêmes. Toutes les fois, en effet, qu'un faisceau décrit une courbe, et que cette courbe est intére
es, et en général d'autant plus tranchées que le rayon de courbure du faisceau est plus petit. FDF. Le faisceau diffus du forn
nchées que le rayon de courbure du faisceau est plus petit. FDF. Le faisceau diffus du fornix est visible (fig. 52 et suiv.) d
*. Dans la région limbique, aplati entre la substance corticale et le faisceau sensitif du centre ovale (CO), il se confond inse
u sensitif du centre ovale (CO), il se confond insensiblement avec le faisceau compact du fornix (FCF). Dans la région du gyrus
ornix (FCF). Dans la région du gyrus fusiforme (T4), il fait suite au faisceau sensitif externe (FSe) et mêle quelques-unes de s
itif externe (FSe) et mêle quelques-unes de ses fibres avec celles du faisceau sensitif externe qui se réfléchissent sous le ven
u sensitif externe qui se réfléchissent sous le ventricule. FCF. Le faisceau compact du fornix est, comme nous l'avons déjà vu
e étant très voisines de celles de la planche précédente, l'aspect du faisceau compact du fornix ne s'est pas modifié. Ses fibre
une coloration foncée. Ce sont les fibres les plus inférieures de ce faisceau , coupées perpendiculairement à leur axe, au momen
t le cingulum (Cin) au-dessus et au-dessous du corps calleux (ce). Le faisceau du cingulum accompagne la circonvolution limbique
ne blanche, interposée entre la substance grise de l'hippocampe et le faisceau inférieur du forceps (FOi). Là ses fibres, que no
a partie la plus supérieure du manteau du subiculum (Ilip). FOi. Le faisceau inférieur du forceps (fig. 52, 54, 56) occupe la
former, à la face interne du ventricule, ce qu'on appelle Yalveus. Le faisceau inférieur du forceps, dans ce trajet, est accolé
ale. On peut remarquer que dans la région du splenium d'où émane le faisceau inférieur du forceps (FOi), la teinte claire des
ux devient progressivement plus foncée. Il y a en effet, en dedans du faisceau inférieur du forceps, un faisceau diffus de fibre
ncée. Il y a en effet, en dedans du faisceau inférieur du forceps, un faisceau diffus de fibres antéro-postérieures qui, sur les
r les coupes plus antérieures, se détachera nettement de l'alveus. Ce faisceau diffus (FI, fig. 56) représentera l'origine de la
diffus (FI, fig. 56) représentera l'origine de la fimbria. FOm. Le faisceau moyen du forceps est réduit à une sorte de moigno
u ventricule, descend dans la paroi externe de celui-ci, en dedans du faisceau supérieur du forceps et se porte en avant (FOm, f
u supérieur du forceps et se porte en avant (FOm, fig. 55). FOs. Le faisceau supérieur du forceps (FOs, fig. 55, 55) se contin
e du ventricule qu'il tapisse. Dorénavant il ne sera plus question du faisceau supérieur du forceps, mais seulement du tapetum f
ite en dedans sous le plancher de la corne occipitale, au-dessus du faisceau longitudinal inférieur (FLI). CO. Faisceau du c
occipitale, au-dessus du faisceau longitudinal inférieur (FLI). CO. Faisceau du centre ovale. Nous avons vu que le faisceau sc
inférieur (FLI). CO. Faisceau du centre ovale. Nous avons vu que le faisceau scnsitif externe, dirigé d'avant en arrière à sa
rticales, s'effectue dans la région du centre ovale. Nous appellerons faisceau sensitif du centre ovale (CO) l'espace clair, tri
, triangulaire, à sommet dirigé en dedans,, qui parait faire suite au faisceau sensitif externe. Cet espace clair (CO), fîg. 32,
espace clair (CO), fîg. 32, 55, 54, 55, 56) est limité en haut par le faisceau diffus du fornix (F1)F); la démarcation est très
l est limité par le tapetum (TAP) ; ici la distinction entre les deux faisceaux est assez difficile à établir. Le fait est que le
fait est que leurs fibres sont également horizontales. Mais celles du faisceau sensitif du centre ovale se dirigent en avant et
rage de la coupe, on arrive presque toujours à constater que les deux faisceaux en question ne mélangent pas leurs fibres. L'ex
es représentées sur la planche 6 permet de supposer que les fibres du faisceau sensitif du centre ovale (CO) se portent en dedan
dessus du cingulum (Cin) et en s'intriquant finalement avec celles du faisceau compact du fornix (FCF, fig. 54, 55). FPF. Le f
ec celles du faisceau compact du fornix (FCF, fig. 54, 55). FPF. Le faisceau pariéto-frontal, qui est facile à reconnaître sur
e qui séparent réellement les unes des autres les lames imbriquées du faisceau pariéto-frontal. Foville a donné une reproduction
t l'apparition ne change d'ailleurs rien d'essentiel aux rapports des faisceaux du centre ovale avec l'écorce. Sur les figures
terne et la face interne, là seulement où il reste quelques fibres du faisceau moyen du forceps (BCP, fig. 40). C'est en effet d
a plus inférieure du corps calleux (fig. 37, FI), où elles forment un faisceau foncé, isolé, compact, se rapprochant de plus en
us est simplement l'épanouissement des fibres les plus antérieures du faisceau inférieur du forceps (FOi) à la face externe de l
inuer sous la corne d'Ammon, comme ont fait déjà toutes les fibres du faisceau inférieur du forceps et se terminent finalement d
ent, dans le voisinage de l'angle supéro-interne du ventricule, en un faisceau d'abord diffus, qui en devenant compact formera l
nches. En dehors du tapetum courent d'avant en arrière les fibres des faisceaux sensitifs interne et externe (FSi, FSe). Le conta
e de la paroi externe du ventricule. Ici, les fibres du tapetum et du faisceau sensitif ne se mélangent jamais. Il n'en est pas
ême dans la région supérieure et externe du tapetum, où les fibres du faisceau sensitif externe (FSe, fig. 42) rejoignent la par
, fig. 42) rejoignent la partie supérieure du corps calleux. FS. Le faisceau sensitif (fig. 57) esteomposé de ses deux couches
atera d'abord sur les coupes horizontales que cette partie interne du faisceau sensitif n'est pas moins claire que la partie ext
le horizontalement de dedans en dehors. — On pourrait supposer que le faisceau sensitif, sur toutes ces coupes, ne se compose pa
La figure ci-contre explique ce que nous Projection horizontale du faisceau sensitif et changement de direction des fibres de
tale du faisceau sensitif et changement de direction des fibres de ce faisceau . h, portion transversale de son trajet. s, port
llèle à la fente interhémisphérique. Schéma 70. voulons dire : le faisceau sensitif est constitué par des fibres arquées, d'
n'en est rien. La démarcation est très tranchée; et s'il y a dans le faisceau sensitif interne (FSi) une notable quantité de fi
itif interne (FSi) une notable quantité de fibres qui passent dans le faisceau externe (FSe), celui-ci est loin de se composer u
i est loin de se composer uniquement des fibres qui ont déjà formé le faisceau interne. Les coupes horizontales démontrent môme
upes horizontales démontrent môme que la majeure partie des fibres du faisceau externe, venues de beaucoup plus loin en avant, n
, venues de beaucoup plus loin en avant, n'ont rien de commun avec le faisceau interne. FLI. Le faisceau longitudinal inférieu
in en avant, n'ont rien de commun avec le faisceau interne. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur présente ici quatre couche
chies sous le ventricule ; 2° une couche foncée, formée des fibres du faisceau sensitif interne (FSi, fig. 59) et des fibres du
s fibres du faisceau sensitif interne (FSi, fig. 59) et des fibres du faisceau sensitif externe (FSe); 3° une couche claire, for
(FSe); 3° une couche claire, formée d'une bonne partie des fibres du faisceau sensitif externe (FSe), mélangées avec les fibres
ensitif externe (FSe), mélangées avec les fibres les plus internes du faisceau diffus du fornix (FDF) ; 4° une couche foncée (FL
oncée (FLs, fig. 58), qui est la continuation, sous le ventricule, du faisceau diffus du fornix (FDF). Toutes ces couches du fai
ventricule, du faisceau diffus du fornix (FDF). Toutes ces couches du faisceau longitudinal inférieur, sous-jacentes au plancher
Il ne faut pas considérer les stratifications sous-ventriculaires du faisceau longitudinal inférieur comme des faisceaux compac
ions sous-ventriculaires du faisceau longitudinal inférieur comme des faisceaux compacts, absolument séparés les uns des autres.
qui est incontestable, c'est que les couches foncées représentent des faisceaux antéro-postérieurs, et les couches claires des fa
ésentent des faisceaux antéro-postérieurs, et les couches claires des faisceaux transversaux. Les faisceaux antéro-postérieurs fo
o-postérieurs, et les couches claires des faisceaux transversaux. Les faisceaux antéro-postérieurs foncés deviennent clairs au fu
t clairs au fur et à mesure qu'ils deviennent transversaux. FDF. Le faisceau diffus du fornix se reconnaît toujours facilement
totalement épuisé. Mais nous venons de dire qu'une bonne partie de ce faisceau se prolonge dans la couche la plus inférieure du
artie de ce faisceau se prolonge dans la couche la plus inférieure du faisceau longitudinal inférieur (fig. 39, 40, 41). FCF.
ieure du faisceau longitudinal inférieur (fig. 39, 40, 41). FCF. Le faisceau compact du fornix ne présente rien de spécial. La
ge supérieur du subiculum. Leurs plus proches voisines sont celles du faisceau inférieur du forceps (FOi, fig. 37). FOi. Le fa
ont celles du faisceau inférieur du forceps (FOi, fig. 37). FOi. Le faisceau inférieur du forceps que nous avons vu constituer
A présent, il se porte directement en dehors, comme le cingulum, son faisceau satellite. Il a une teinte franchement claire (FO
mbria (FI, fig. 39). FI. La fimbria, qu'on peut considérer comme un faisceau antéro-postérieur du corps calleux (du moins dans
s calleux (du moins dans la région du splenium), entoure en dedans le faisceau inférieur du forceps, dont elle dérive, et s'incl
érive, et s'incline en dehors et en bas (elle accompagne (fig. 42) le faisceau inférieur du forceps, avec lequel elle paraît se
la fimbria n'est pas seulement apparente, elle est réelle. FOm. Le faisceau moyen du forceps a presque totalement disparu. On
ve que sur certaines coupes (fig. 57, 59, 42) le bourgeon blanc de ce faisceau , à son insertion sur le corps calleux, vestige du
le corps calleux, vestige du bulbe de la corne postérieure. CO. Le faisceau sensitif du centre ovale diminue d'épaisseur (fig
le diminue d'épaisseur (fig. 58, 59, 40) entre le tapetum (TAP) et le faisceau diffus du fornix (FDF). Sur les figures 41, 42, o
erme le manteau de la circonvolution limbique (C, fig. 41). FPF. Le faisceau pariéto-frontal devient plus compact, surtout dan
Ce cul-de-sac, plus ou moins profond, repousse toujours en dedans le faisceau sensitif (FSe, FSi), qui décrit une concavité ext
fimbria. ALV, alveus. o£4, grand sillon occipilo- temporal. FLI, faisceau longitudinal inférieur. fascia dentata (Fd). Ce
rapports profonds. Nous avons dit qu'il était le lieu d'insertion du faisceau diffus du fornix, aussi bien dans la région parié
squ'au voisinage du fascia dentata. Elles forment une bonne partie du faisceau oblique qui joint encore le splenium (CR) à la ci
g. 44, 46) est la continuation du corps calleux et de ce qui reste du faisceau supérieur du forceps. On peut remarquer sur cette
du corps calleux (FOi) seront étudiées plus loin (voy. FI). FS. Le faisceau sensitif composé de ses deux couches [faisceau se
in (voy. FI). FS. Le faisceau sensitif composé de ses deux couches [ faisceau sensitif externe (FSe) et faisceau sensitif inter
sitif composé de ses deux couches [faisceau sensitif externe (FSe) et faisceau sensitif interne (FSi)] présente là même disposit
nte. On remarquera seulement qu'une plus notable partie des fibres du faisceau externe semble s'épuiser dans le gyrus fusiforme
(T4) (%. 45, 44 et suiv.). Puis, sur les coupes plus antérieures, ce faisceau perd beaucoup de son importance, et l'on constate
importance, et l'on constate en revanche l'augmentation de surface du faisceau du gyrus fusiforme. — Le faisceau sensitif intern
vanche l'augmentation de surface du faisceau du gyrus fusiforme. — Le faisceau sensitif interne n'a pas délimite supérieure bien
va donc en réalité jusqu'à l'angle supéro-externe du ventricule. — Le faisceau externe (FSe) 1« L'angle supéro-externe de la c
il se dirige obliquement en haut, en dedans et en avant, au-dessus du faisceau supérieur du corps calleux (FOs) vers la circonvo
on. Du moins ses fibres sont en grande partie arrêtées par celles des faisceaux compact et diffus du fornix. FLI. Le faisceau l
êtées par celles des faisceaux compact et diffus du fornix. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur, sur la première figure de
sentée ici est en effet Schéma 80 représentant par transparence les faisceaux constitutifs du faisceau longitudinal inférieur,
Schéma 80 représentant par transparence les faisceaux constitutifs du faisceau longitudinal inférieur, s'insérant à l'écorce de
ppocampe (Hip), nu-dessus du grand sillon occipitotemporal (o£4). Ces faisceaux sont : 1° Le faisceau sensitif externe (FSe); 2"
us du grand sillon occipitotemporal (o£4). Ces faisceaux sont : 1° Le faisceau sensitif externe (FSe); 2" le faisceau sensitif i
4). Ces faisceaux sont : 1° Le faisceau sensitif externe (FSe); 2" le faisceau sensitif interne (FSi) ; 5° le tapelum (TAP). Qua
2" le faisceau sensitif interne (FSi) ; 5° le tapelum (TAP). Quant au faisceau diffus du fornix (FDF),il s'insère à l'écorce de
and sillon occipitotemporal (o4). celle où toutes les couches de ce faisceau convergent et s'épuisent. Elles se portent donc s
hangement de coloration. On remarquera, par exemple (fig. 46), que le faisceau sensitif interne (FSi) se continue sous le ventri
erne (FSi) se continue sous le ventricule avec la troisième couche du faisceau longitudinal infé rieur (FL3), mais qu'il se co
trième couche (FL4). C'est-à-dire que les fibres les plus internes du faisceau sensitif interne se portent encore d'avant en arr
ehors en dedans. En d'autres termes, le point d'arrivée des fibres du faisceau sensitif (FSe, FSi) dans la circonvolution de l'h
I) est toujours, manifestement, la continuation sous-venfriculaire du faisceau sensitif externe (FSe). Quant aux fibres du tap
us avons vues former précédemment la couche la plus' superficielle du faisceau longitudinal inférieur, elles ne sont plus désorm
se (fig. 44, TAP) verticale, située au milieu même du prolongement du faisceau supérieur du forceps (FOs). Elles se dirigent obl
ont sous le ventricule que dans une région plus antérieure. FDF. Le faisceau diffus du fornix perd beaucoup de son épaisseur.
Sur toutes les coupes de la planche VIII il ne garde l'apparence d'un faisceau homogène que dans le manteau de cette circonvolut
s le manteau de cette circonvolution, au-dessus des fibres claires du faisceau compact du fornix (FCF), dirigées transversalemen
laires et se jettent dans l'écorce du gyrus fusiforme (T4). FCF. Le faisceau compact du fornix mélangé au faisceau compact se
gyrus fusiforme (T4). FCF. Le faisceau compact du fornix mélangé au faisceau compact se porte directement en dedans vers l'éco
Dans la circonvolution de l'hippocampe (fig. 44), il se mêle avec le faisceau inférieur du forceps, devenu ici l'alvcus ; et mô
l'hippocampe, on le voit mélanger en partie ses fibres avec celles du faisceau longitudinal inférieur (FLI). FOi. Les fibres i
al (voir plus loin). Sur les figures 46, 47, 48, la partie interne du faisceau inférieur du forceps, réduite à une minceur extrê
couteau ; elle est comme ébarbée. Nous touchons ici à la région où le faisceau inférieur du forceps va disparaître. Il n'en subs
e externe ou fimbria (FI). — FOm (fig. 45) représente ce qui reste du faisceau moyen du forceps. CO. Le faisceau sensitif du c
g. 45) représente ce qui reste du faisceau moyen du forceps. CO. Le faisceau sensitif du centre ovale (fig. 44, 46, 48) diminu
ux, à mesure que celui-ci augmente d'importance. FPF. De nouveau le faisceau pariéto-frontal est devenu diffus. Ses fibres son
le plan même de la coupe. Sur la figure 48 on remarquera toutefois un faisceau compact, très foncé, qui prend une insertion impo
niveau du pédicule de la première circonvolution frontale, on voit le faisceau (FPF) se confondre, sans aucune ligne de démarcat
aisceau (FPF) se confondre, sans aucune ligne de démarcation, avec le faisceau diffus du fornix (FDF). Nous avons déjà signalé l
fornix (FDF). Nous avons déjà signalé l'intime connexion de ces deux faisceaux au-dessous du fond de la scissure limbique. Laq
Laq. Le laqueus ou couche latéral du ruban de Reil (fig. 45) est un faisceau oblique de fibres blanches dont il sera question
en plus profondément. Elle arrive (fig. 50, 51) presque au contact du faisceau sensitif externe (FSe). En même temps le sillon i
s s'insinue de dedans en dehors entre le tapetum (TAP, fig. 52) et le faisceau diffus du fornix (FDF). Sur la première figure
rière en avant. Mais leur nombre est singulièrement diminué. ES. Le faisceau sensitif se modifie d'une façon très appréciable.
ES. Le faisceau sensitif se modifie d'une façon très appréciable. Le faisceau sensitif externe (FSe), toujours plus foncé que l
e la cavité ventricu-laire. Là, il s'incurve légèrement en dedans. Le faisceau sensitif interne (FSi) devient de plus en plus pâ
partie postérieure de la couche optique ou pulvinar (Pul). ELI. Le faisceau longitudinal inférieur ne se compose plus que de
de deux couches. La supérieure, transversale, renferme les fibres du faisceau sensitif interne (FSi) ; l'inférieure renferme le
faisceau sensitif interne (FSi) ; l'inférieure renferme les fibres du faisceau sensitif externe (FSe). Il va sans dire que toute
rne (FSe). Il va sans dire que toutes les fibres de ces deux derniers faisceaux ne passent pas sous le ventricule pour former le
x derniers faisceaux ne passent pas sous le ventricule pour former le faisceau longitudinal inférieur. Nous avons déjà vu que le
former le faisceau longitudinal inférieur. Nous avons déjà vu que le faisceau longitudinal inférieur ne représente qu'une parti
ceau longitudinal inférieur ne représente qu'une partie des fibres du faisceau sensitif, réfléchie sous la corne occipitale. F
s du faisceau sensitif, réfléchie sous la corne occipitale. FDF. Le faisceau diffus du fornix devient de plus en plus mince. I
le sens antéro-postérieur au fond de la scissure limbique. FCF. Le faisceau compact du fornix est perdu dans le manteau de la
substance grise du subiculum avec les fibres les plus antérieures du faisceau longitudinal inférieur (FLI) et avec celles de l'
au longitudinal inférieur (FLI) et avec celles de l'alveus. FOi. Le faisceau inférieur du forceps, devenu l'alveus (fig. 52),
us la corne d'Ammon, de dehors en dedans, et va se terminer, comme le faisceau précédent, dans l'étage supérieur de la circonvol
ous-calleux n'est pas autre chose que la partie la plus antérieure du faisceau inférieur du forceps, entre le corps calleux et l
, entre le corps calleux et l'alveus : c'est à la fois l'alveus et le faisceau inférieur du forceps. Sur la coupe 54, le couteau
le nom de pilier postérieur du trigonc (TRI, fig. 51, 54). FOm. Le faisceau moyen du forceps a complètement disparu. 11 ne re
calleux proprement dit, et l'inférieure au trigone cérébral. CO. Le faisceau sensitif du centre ovale manifeste de plus en plu
ste de plus en plus nettement (fig. 52, 55, 54) sa continuité avec le faisceau sensitif externe. Nous avons vu que celui-ci (FSc
ant et en dedans; c'est la direction que nous avons aussi assignée au faisceau sensitif du centre ovale. 11 n'est pas étonnant d
du centre ovale. 11 n'est pas étonnant de voir la continuité des deux faisceaux s'accuser davantage à mesure que les coupes intér
re que les coupes intéressent des régions plus antérieures. FPF. Le faisceau pariéto-frontal continue de présenter ses inégali
imbriquées qui le composent. Mais ici déjà on peut remarquer que les faisceaux foncés, ceux, en d'autres termes, qui se portent
oin, nous les verrons changer de direction pour constituer un nouveau faisceau , le faisceau rolan-dique ou faisceau arqué, remar
verrons changer de direction pour constituer un nouveau faisceau, le faisceau rolan-dique ou faisceau arqué, remarquable par la
ction pour constituer un nouveau faisceau, le faisceau rolan-dique ou faisceau arqué, remarquable par la constance de sa forme e
ig. 54). Mais en suivant la série des coupes, on s'aperçoit que trois faisceaux principaux entrent dans sa constitution : un infé
ond. Tous les trois convergent vers la partie interne du thalamus. Le faisceau inférieur (fig. 54), clair au-dessous de la couch
ndelette sous-optique (BSO). BSO. La bandelette sous-optique est un faisceau en éventail venu des régions postérieures et laté
us profondément dans l'hémisphère ; elle arrive presque au contact du faisceau sensitif externe (fig. 56, FSe), mais ne l'attein
ujours superposé au fond du grand sillon occipito-tem-poral (otk). Le faisceau longitudinal inférieur (FLI) est toujours sous-ja
(fig. 58, 59) s'accuse bientôt à tel point que le bord externe de ce faisceau se termine par une crête aiguë. Sur les cerveaux
57, 58, 59) se confond en grande partie, vers la périphérie, avec des faisceaux qui, en raison de leur direction oblique, affecte
en raison de leur direction oblique, affectent une teinte foncée. Ces faisceaux , qui seront étudiés plus loin, sont les faisceaux
teinte foncée. Ces faisceaux, qui seront étudiés plus loin, sont les faisceaux de la calotte. QA. Le tubercule quadrijumeau an
: d'abord les fibres antérieures du tapetuin (TAP, fig. 57); puis le faisceau du centre ovale (CO, fig. 57, 60) dont il a déjà
pédoncule cérébelleux supérieur au niveau de sa décussation ; FLP, faisceau longitudinal postérieur; Lem, lemniscus ou couc
ieur, aminci en dehors, et se continuant en haut et en dehors avec un faisceau blanc arqué (Laq). Le faisceau foncé constitué pa
ontinuant en haut et en dehors avec un faisceau blanc arqué (Laq). Le faisceau foncé constitué par des fibres antéro-postérieure
ou lemniscus, ou couche du ruban de Reil (Schleife des Allemands). Le faisceau clair, latéral, constitué par des fibres vertical
entre eux aucune démarcation. Ce sont deux parties d'un seul et même faisceau . Seulement les fibres du lemnisque ou de la couch
érantielle (fig. 58), qui constitue ce qu'on est convenu d'appeler le faisceau triangulaire de l'isthme ou ruban de Reil (RR). L
ppeler le faisceau triangulaire de l'isthme ou ruban de Reil (RR). Le faisceau triangulaire de l'isthme est un cordon blanc, pla
anche suivante, la destination des fibres du ruban de Reil. FLP. Le faisceau longitudinal postérieur, ainsi que le lemnisque,
rébelleux supérieur (fig. 57, 58, 60) est placé exactement entre le faisceau longitudinal postérieur (FLP) et le lemniscus (Le
cs) au niveau de la coupe vortico-transversale 60 (pl. XX). TEG. Le faisceau de la calotte enfin, antéro-postérieur lui-môme,
) ou ruban de Reil proprement dit. BSO. La bandelette sous-optique, faisceau tcmporo-thalamique d'Arnold (fig. 55), issue du s
section vertico-trans-versale est d'un gris clair. Sur la coupe 56 ce faisceau est déjà un peu plus en dehors, il se rapproche d
Sur la coupe 60 la bandelette sous-optique présente l'apparence d'un faisceau très compact. Telle est en effet sa disposition o
ieures du tractus opticus zonalis, prennent quelquefois l'aspect d'un faisceau bien isolé qui va se jeter dans le corps quadriju
au (voy. Pl. XXI, fig. 61, RGI) avec laquelle il se confond. FS. Le faisceau sensitif parait ici se dissocier. Sur toutes les
tte planche il est beaucoup moins compact que sur les précédentes. Le faisceau sensitif externe (FSe) se porte encore plus haut,
; et les coupes horizontales font voir qu'il s'incline en dedans. Le faisceau sensitif interne (FSi) ne se compose plus que de
que (Pul). Un certain nombre d'entre elles passent d'ailleurs dans le faisceau sensitif externe. Elles ne vont pas de la couche
aisceau sensitif externe. Elles ne vont pas de la couche optique à ce faisceau horizontalement ; on peut voir (fig. 58) qu'elles
rsuit jusque sous le ventricule, où elles forment en grande partie le faisceau longitudinal inférieur (FLI). FLI. Le faisceau
en grande partie le faisceau longitudinal inférieur (FLI). FLI. Le faisceau longitudinal inférieur se réduit de plus en plus.
eur se réduit de plus en plus. La couche inférieure, faisant suite au faisceau sensitif externe, se porte en dehors et en avant
avant à la partie inférieure de la circonvolution de l'hippocampe. Le faisceau sensitif interne, directement transversal, se jet
e, juste au-dessous du prolongement du sillon du subiculum. FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 57, 60) n'est plus visible
uatrième circonvolution temporale, on ne le distingue plus. FCF. Le faisceau compact du fornix, insensiblement confondu avec l
irconvolution de l'hippocampe (fig. 59) se confond avec les fibres du faisceau inférieur du forceps (FOi). FOi. Le faisceau in
ond avec les fibres du faisceau inférieur du forceps (FOi). FOi. Le faisceau inférieur du forceps a formé une partie de l'al
'à la paroi interne du ventricule. Ce sont les dernières fibres de ce faisceau que les coupes de la planche 10 représentent. Il
orénavant. On les trouvera en effet toujours mélangées avec celles du faisceau longitudinal inférieur (FLI) et du cingulum (Cin)
g. 58) se poursuit virtuellement jusqu'à la substance grise. CO. Le faisceau sensitif du centre ovale, transversal au-dessus d
ne du ventricule. Là il se continue de plus en plus nettement avec le faisceau sensitif externe(FSe, fig. 59). FPF. Le faiscea
nettement avec le faisceau sensitif externe(FSe, fig. 59). FPF. Le faisceau pariéto-frontal ne se reconnaît plus aussi bien q
s diffuse au-dessous, se distingue très bien, à sa partie externe, du faisceau de Reil (Laq, 65, 65). A sa partie inférieure, qu
partie inférieure, qui se termine en pointe, elle est arrêtée par le faisceau longitudinal pos-rieur (FLP). La teinte de la sub
de la substance grise est toujours beaucoup plus claire que celle des faisceaux adjacents antéro-postérieurs. On pourrait d'abord
cette région et dans d'autres encore ; mais la comparaison avec les faisceaux clairs, comme le faisceau du laqueus (Laq, fig. 6
es encore ; mais la comparaison avec les faisceaux clairs, comme le faisceau du laqueus (Laq, fig. 62, 63), ne peut laisser pl
-postérieures, dont le trajet sera indiqué à l'occasion du trajet des faisceaux de la calotte (voy. plus loin Laq). GI. Sur la
par des fibres blanches très délicates, toutes issues de la région du faisceau sensitif interne (FSi). Le plus grand nombre de c
le aussi, comme la partie supérieure et interne, des fibres issues du faisceau sensitif interne. L'ensemble de ces fibres consti
e (fig. 65), la partie visible à l'extérieur du ruban de Reil (RR) ou faisceau triangulaire de l'isthme. Les fibres verticales (
té en haut par le champ de la calotte (TEC, voy. plus loin) et par le faisceau longitudinal postérieur (FLP, fig. 61, 62, 65). E
l est en contact avec la couche de Reil ou lemniscus (Lem). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (fig. 61, 62, 63, 65) est
des pédoncules cérébelleux supérieurs. FLPi, filtres inférieures du faisceau longitudinal postérieur; elles sont coupées perpe
ées perpendiculairement à leur direction. FLPs, fibres supérieures du faisceau longitudinal postérieur; elles sont obliques en h
II* paire (III). Elles sont pâles sur la coupe. Dans son ensemble, le faisceau longitudinal postérieur a une disposition pirifor
upérieure claire. La couche inférieure, foncée, est constituée par un faisceau aplati de fibres dirigées en avant ; la couche su
e émanation de la précédente. Elle est constituée, elle aussi, par le faisceau inférieur, qui, au fur et à mesure qu'il avance v
Sur la coupe passant par la ligne B, on trouvera encore une partie du faisceau foncée, la partie inférieure. Il résulte de là qu
général, que le ruban de Reil, vu de l'extérieur, se compose de deux faisceaux ou rubans secondaires : l'un destiné à recouvrir
fois — mais en partie seulement — la division admise. Au lieu de deux faisceaux , nous en supposerons quatre et même cinq (on pour
bras du tubercule quadrijumeau antérieur ; BP, bras du pulvinar; FCP, faisceau de la commissure; TEG, faisceau propre de la calo
ntérieur ; BP, bras du pulvinar; FCP, faisceau de la commissure; TEG, faisceau propre de la calotte outegmentum; Pcs, pédoncule
de la calotte outegmentum; Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur; FRF, faisceau rétrograde (voy. plus loin); FLP, faisceau longit
érébelleux supérieur; FRF, faisceau rétrograde (voy. plus loin); FLP, faisceau longitudinal postérieur de la calotte; Laq1, Laq2
correspondant à LM1 ; Lem = Teg, couche du lemniscus correspondant au faisceau propre de la calotte. supérieure, dont les deux
zonale (ZS). Au-dessous et en dehors de la glande pinéale, parmi des faisceaux obliques de fibres blanches, on voit émerger le t
(CP). Elle est au fond d'une cavité à concavité dessein, donnée aux faisceaux obliques. En dehors et en dessous des tubercules
rps genouillé interne, ce dont la figure ne peut rendre compte. Les faisceaux obliques sous-jacents à la glande pinéale recouvr
lle-ci, la lumière de l'aqueduc. Au-dessous et en dehors, deux petits faisceaux dont la section piriforme est caractéristique, fi
ent, de chaque côté de la pointe inférieure de la substance grise, le faisceau longitudinal postérieur (FLP). De la partie inf
'), le traverse et surtout le recouvre, et, du même coup, recouvre le faisceau homologue venu du côté opposé (D); puis, continua
ous de la glande pinéale (G), située sur un plan antérieur. De là, le faisceau LM2 se porte en dehors, pénètre dans le tubercule
bras du tubercule quadrijumeau postérieur gauche (BQP). On l'appelle faisceau de la commissure postérieure (FCP). C'est lui, en
nts, passe sous le ganglion de l'habénule (GH), croise à ce niveau un faisceau descendu de ce ganglion (le pédoncule du ganglion
la plus postérieure et inférieure du ganglion de l'habénule, comme le faisceau précédent recouvrait le tubercule quadrijumeau an
ange de direction (Laq4), elle est en contact, en avant, avec un gros faisceau qui se croise sur la ligne médiane avec son congé
oyau rouge de Stilling (NR). Cette quatrième couche, qu'on appelle le faisceau propre de la calotte (TEC), diffère des précédent
opposé; que les fibres suivantes, encore plus inférieures, forment le faisceau de la commissure et vont se perdre dans le pulvin
ure partie. Cette dernière couche porte un nom spécial : on l'appelle faisceau médian de la couche de Reil. Il nous reste à aj
rofondes que les fibres directes de la couche précédente. Celles du faisceau de la commissure (FCP ou LÎVP) vont en avant et a
au-dessus du corps genouillé externe se confondre avec les fibres du faisceau propre de la calotte (TEG), dans la partie postér
de la région supérieure du pont de Varole (PV). Laq. Le laqueus ou faisceau de Reil proprement dit se porte en haut et en deh
transversales, comme on en peut juger par leur coloration claire. Le faisceau qu'elles constituent se mêle en partie à la subst
Laq) situé à leur partie interne (fig. 64, 65, 66) est précisément le faisceau de Reil dont les fibres formeront, du côté opposé
s la forme d'une lame de hache dont la convexité répond au laqueus ou faisceau latéral de Reil (Laq); la concavité supérieure ci
érébelleux supérieur (Pcs). Le tegmentum peut être considéré comme un faisceau antéro-postérieur ; mais c'est un faisceau qui es
ut être considéré comme un faisceau antéro-postérieur ; mais c'est un faisceau qui est parsemé de tant d'amas superposés de su
la moitié gauche de la calotte, montrant la forme en lame de hache du faisceau du tegmentum (TEG). Laq, le laqueus ; SG, sub
ig. 71, TEG, et pl. XXm, CMT). Schéma 98. l'étudier en tant que faisceau , en spécifiant toutefois qu'il est bien loin de r
isceau, en spécifiant toutefois qu'il est bien loin de représenter un faisceau homogène et compact. C'est à la fois l'aboutissan
notablement la surface de section du champ de la calotte et aussi des faisceaux qui en émanent pour se porter vers l'hémisphère.
s l'hémisphère. Sur la coupe 64 on reconnaît déjà une des origines du faisceau du Rapports de la lamina medialis (Lm) et du le
e Reil (Laq), en dedans et en haut avec le tegmentum (TEG). FCP. Le faisceau de la commissure postérieure est un des faisceaux
tum (TEG). FCP. Le faisceau de la commissure postérieure est un des faisceaux du tegmentum qui s'isolent le plus nettement (fig
aux environs du centre médian (vo.y. plus loin). BP. Les fibres du faisceau de la commissure qui ont franchi la ligne médiane
adrijumeau antérieur. Elles font suite, sur cet hémisphère gauche, au faisceau de la commissure, issu de la calotte de l'hémisph
n plus loin, à l'occasion des coupes de la planche suivante. Lm. Le faisceau médian de la couche de Reil (Lm) est ce petit fai
ante. Lm. Le faisceau médian de la couche de Reil (Lm) est ce petit faisceau isolé, dont nous avons déjà parlé, qui est, de ch
) présente, sur les premières figures de cette planche, l'aspect d'un faisceau compact. Mais déjà, à sa partie externe, il perd
la signifie, en d'autres termes, que le tsenia n'est pas seulement un faisceau antéro-postérieur de fibres longues, étendu comme
étendu comme une bride au fond de la gouttière opto-striée. C'est un faisceau en grande partie composé de fibres courtes, s'épu
(TAP, fig. 63) et de celles, plus superficielles, qui vont former le faisceau du centre ovale (CO, fig. 63). TAP. Le tapetum
es transversales de la portion réfléchie du splenium (SPL). FSe. Le faisceau sensitif externe (fig. 62) se dirige d'arrière en
jusqu'à la voûte de la corne frontale. 11 est limité en dedans par le faisceau sensitif interne dont nous allons parler immédiat
s. Cette substance blanche est la capsule externe (CE, fig. 65). Le faisceau sensitif externe est plus large en haut qu'en bas
il est plus compact en bas qu'en haut. En bas, il se continue avec le faisceau longitudinal inférieur (FLl, fig. 62); en haut, i
ut, il s'étale transversalement entre le tapetum (TAP, fig. 62) et le faisceau du centre ovale (CO); mais ses fibres vont toujou
corps calleux (ce). On voit pénétrer, de dedans en dehors, dans le faisceau sensitif externe (fig. 64), un grand nombre défib
tes de la couche optique forment, comme nous le verrons plus loin, le faisceau sensitif interne (FSi). Les fibres dont il s'agit
sensitif interne (FSi). Les fibres dont il s'agit, qui traversent le faisceau sensitif externe (FSe), ne sont autre chose que l
ensitif externe (FSe), ne sont autre chose que les fibres mêmes de ce faisceau , s'épuisant de dehors en dedans au fur et à mesur
ce faisceau, s'épuisant de dehors en dedans au fur et à mesure que le faisceau marche d'arrière en avant; et nous constaterons e
le putamen et le globus pallidus (pl. XXVI, fig. 92, FSe). FSi. Le faisceau sensitif interne (fig. 62) est composé de fibres
st composé de fibres blanches, dirigées en bas et en dehors, entre le faisceau sensitif externe (FSe) et le tapetum réfléchi (TA
(Th, fig. 62) et plus spécialement du pulvinar, où l'on distingue un faisceau (Rth) situé au-dessus de la bandelette sous-optiq
Rth) situé au-dessus de la bandelette sous-optique (RSO, fig. 65). Ce faisceau est la couronne rayonnante du pulvinar. Arrivées
e, elles se réfléchissent en dedans pour participer à la formation du faisceau longitudinal inférieur (FLl, fig. 62). Rth. La
ont, en décrivant une courbe à concavité inférieure, se jeter dans le faisceau sensitif interne (FSi, fig. 62). On doit appeler
, oblique en bas et en dehors (LML, fig. 64), qui se continue avec le faisceau sensitif interne (FSi). LML. La lame latérale d
xterne du tapetum (TAP, fig. 64) et se perd, après réflexion, dans le faisceau longitudinal inférieur (FLl, fig. 62). La lame la
itudinal inférieur (FLl, fig. 62). La lame latérale du thalamus et le faisceau sensitif interne ne sont donc qu'une seule et mêm
e, du moins J à la partie postérieure de la couche optique. FLl. Le faisceau longitudinal inférieur (fig. 62) ne présente ici
croissant que nous avons déjà signalée (voy. pl. XV, Cin). FCF. Le faisceau compact du fornix (voy. pl. XIV). FDF. Le faisc
Cin). FCF. Le faisceau compact du fornix (voy. pl. XIV). FDF. Le faisceau diffus du fornix (voy. pl. XIV). FPF. Le faisce
. XIV). FDF. Le faisceau diffus du fornix (voy. pl. XIV). FPF. Le faisceau pariéto-frontal (voy. pl. XIH, fig. L4). ARC. L
FPF. Le faisceau pariéto-frontal (voy. pl. XIH, fig. L4). ARC. Le faisceau arqué (fig. 65) est ce large faisceau dirigé d'ab
y. pl. XIH, fig. L4). ARC. Le faisceau arqué (fig. 65) est ce large faisceau dirigé d'abord d'arrière en avant, puis de dehors
dans l'écorce de l'opercule (OP). Il est toujours situé au-dessous du faisceau pariéto-frontal (FPF). Nous l'étudie-rons en déta
différences d'épaisseur très notables. Il est certain que si ce gros faisceau , si remarquablement isolé sur tout son parcours,
(CID, fig. 72). Nous savons que ces fibres font partie du système du faisceau sensitif interne (FSi, fig. 70). Dans cette rég
au interne (NiC, fig. 89) ; il est séparé de la masse commune par des faisceaux de la capsule interne représentant la couronne ra
e commune postérieure (Rth, fig. 70), et provenant par conséquent des faisceaux sensitifs; ils pénètrent dans la substance grise
) présente, au milieu de la striation transversale de ses fibres, des faisceaux longitudinaux (FM) qui ne proviennent pas de la r
itudinaux (FM) qui ne proviennent pas de la région de la calotte. Ces faisceaux , situés tout à fait en dehors, à la surface de l'
nce la conlirmation du ruban de Reil proprement dit (RR, fig. 69), ou faisceau triangulaire de l'isthme. Mais en réalité ils son
de l'isthme. Mais en réalité ils sont tout à fait indépendants de ce faisceau . Ils appartiennent au groupe de fibres que nous d
nnent au groupe de fibres que nous désignons en France sous le nom de faisceau de Meynert (FM) et qu'on appelle en Allemagne fai
sous le nom de faisceau de Meynert (FM) et qu'on appelle en Allemagne faisceau de Tiirck. RR. Partie la plus antérieure du rub
k. RR. Partie la plus antérieure du ruban de Reil proprement dit ou faisceau triangulaire de l'isthme (fig. 69). Pcs. Le péd
roiser avec son congénère sur la ligne médiane, limité en haut par le faisceau longitudinal postérieur (FLP), en bas par la lami
par la concavité inférieure du tegmentum (TEG). Ses rapports avec le faisceau longitudinal postérieur cessent bientôt d'être im
ous-optique. CMT. Commissure de Meynert (voy. plus loin). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (fig. 69) sous-jacent à l
queduc (SG) se présente par places seule- Disposition des libres du faisceau longitudinal postérieur (FLP) sur les côtés de l'
de l'aqueduc de Sylvius prolongé dans la gouttière de Monro [M). Ce faisceau se compose de fibres longues, de fibres courtes e
9) se trouve réduite, ou peu s'en faut, aux fibres qui vont former le faisceau latéral de Reil ou laqueus (Laq). Sur une coupe e
mprunte ici des fibres à la calotte, et que ces fibres sont celles du faisceau de la commissure (FCP). Il est possible qu'il ren
e compose donc principalement, sur les coupes 67 et 69, des fibres du faisceau de la commissure (FCP); il est limité en dedans p
il se confond avec le slralum zonale de ce corps genouillé. TEG. Le faisceau de la calotte ou tegmentum est moins nettement li
limité sur la coupe 67 que sur les précédentes. On en voit surgir le faisceau de la commissure postérieure (Laq = FCP). Plus en
ommissure postérieure (Laq = FCP). Plus en avant, sur la coupe 69, le faisceau du tegmentum se détache plus manifestement de la
commissure de Meynert (Cx^lï, fig. 71 et schéma 95 et 97). FCP. Le faisceau de la commissure postérieure, issu de la partie i
e le fascicu-lus retroflexus (FRF) s'en-tre-croise avec les fibres du faisceau de la commissure (FCP) sans se mélanger avec elle
sure postérieure; il n'en est que momentanément séparé par un nouveau faisceau , descendu du ganglion de l'habénule (le fascicule
cicule rétroflexe FRF), dont il va être question. BP. Les fibres du faisceau de la commissure postérieure forment dans l'hémis
plus facile à constater sur les coupes 73, 74, 76. La continuité du faisceau de la commissure postérieure (FCP) et du bras du
ertaines coupes obliques. Les fibres qui se poursuivent dans ces deux faisceaux sont d'ailleurs très difficiles à isoler. On peut
et Meynert fascicnli marginales aquœducH (voy. plus loin, CTE). Le faisceau de la commissure (FCP) fait donc partie surtout d
aisemblable qu'elles s'y entre-croisent en totalité. Si en efl'et les faisceaux volumineux qui représentent les deux racines anté
umeau antérieur (BQA). Lmd. La lamina lateralis du ruban de Reil ou faisceau direct de la couche de Reil succède au faisceau d
s du ruban de Reil ou faisceau direct de la couche de Reil succède au faisceau de la commissure postérieure dans la région antér
ent (fig. 69) de la couche de Reil ou lemniscus (Lem), comme tous les faisceaux que nous avons vus contribuer à la constitution d
artie la plus postérieure du pied du pédoncule est représentée par le faisceau de Tùrck-Meynert (FM, 69, 71), dont il sera quest
issure postérieure. FRF, fasciculus retroflexus. Schéma lOi. veau faisceau (FRF, fig. 71, 72) qui interrompt la continuité d
i. veau faisceau (FRF, fig. 71, 72) qui interrompt la continuité du faisceau de la commissure (FCP) au-dessous du ganglion de
ommissure (FCP) au-dessous du ganglion de l'habénule (GH). Ce nouveau faisceau , appelé par Meynert fasciculus re-troflex ou retr
aire. Ici (fig. 71, 72) on ne distingue que la portion initiale de ce faisceau , c'est-à-dire la partie de son trajet où il se di
hors de la commissure postérieure et du tegmentum (TEG), en dedans du faisceau de la commissure (FCP). Les figures classiques su
ormes à la réalité. Pour mieux indiquer la réflexion en arrière de ce faisceau au milieu de sa course, on le représente s'avança
'R, noyau rouge de Stilling;. La couclie à convexité antérieure de ce faisceau (FRF) est beaucoup trop accentuée. En réalité, le
plus grand. B. Figure moins schématique (à gauche) montrant que le faisceau rétroflexe est presque vertical. que le faiscea
e) montrant que le faisceau rétroflexe est presque vertical. que le faisceau rétroflexe est situé immédiatement en dedans du n
du fasciculus retroflexus. FM. On désigne en France sous le nom de faisceau de Meynert (FM), la portion des fibres du pied du
terne, pour aller se terminer à la pointe du lobe occipital (c'est le faisceau cortical direct du carrefour sensitif). L'appella
able. On réserve, en eflet, en Allemagne,, en Italie, etc., le nom de faisceau de Meynert au fasciculus 7^etroflexus, que nous v
été découvert et d('crit par le savant professeur de Vienne. Quant au faisceau postérieur du pied du pédoncule (FM), on l'appell
ncule (FM), on l'appelle communément, à rexcmple de Meynert lui-même, faisceau de Tùrck. Si la priorité de la découverte impliqu
Tùrck. Si la priorité de la découverte implique que la désignation de faisceau de Tùrck mérite d'être conservée, il faut reconna
nnaître que Meynert a su, par des dissections remarquables, isoler le faisceau en question des autres portions du pied du pédonc
se et aussi pour éviter toute confusion, nous nommerons dorénavant le faisceau cortical postérieur faisceau de Tùrck-Meynert.
confusion, nous nommerons dorénavant le faisceau cortical postérieur faisceau de Tùrck-Meynert. Le faisceau de Tùrck-Meynert
avant le faisceau cortical postérieur faisceau de Tùrck-Meynert. Le faisceau de Tùrck-Meynert (FM) apparaît dans la protubéran
r la lamina lateralis au contact du corps genouillé interne, c'est le faisceau de Turck-Meyncrt qui forme la surface de la régio
doncule qui limite la surface de section. Une partie des fibres de ce faisceau se confond avec le stratum zonale du corps genoui
ssus de la couche optique (Th) dont il suit les sinuosités. FSe. Le faisceau sensitif externe (fig. 68, 70) perd encore peu à
il s'agit de deux lames parfaitement distinctes en réalité. FSi. Le faisceau sensitif interne (fig. 70) n'est, en apparence, q
BSO) et de la queue du noyau caudé (NCC), pour aller se jeter dans le faisceau sensitif interne (FSi). Plus en avant, lorsque la
ouronne rayonnante du pulvinar. Toutes ces fibres aboutissent dans le faisceau sensitif interne. Il en est de même des fibres so
interne (fig. 72) est donc formé par les fibres les plus internes du faisceau sensitif externe. Mais ces fibres ne parcourront
corps calleux (ce), poursuit son trajet postéro-antérieur. FCF. Le faisceau compact du fornix (fig. 71) prend insertion sur l
coupes de cette planche intéressent donc une portion du trajet de ce faisceau , où l'on reconnaît qu'il est constitué par ! des
'on reconnaît qu'il est constitué par ! des fibres courtes. FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 71) continue son chemin d'
ig. 67 à 70). Il est certain qu'il est en grande partie fondu avec le faisceau compact du fornix (FCF) dans le manteau de la cir
manteau de la circonvolution du corps calleux (C, fig. 70). CO. Le faisceau du centre ovale (fig. 69) remonte dans le lobe fr
ceau du centre ovale (fig. 69) remonte dans le lobe frontal, entre le faisceau diffus du fornix et le fasciculus arcuatus (ARC,
fasciculus arcuatus (ARC, fig. 72). Il est facile de constater que ce faisceau du centre ovale, dans la partie supérieure de l'h
ppartient surtout, à la première circonvolution frontale. | ARC. Le faisceau arqué ou fasciculus arcuatus (fig. 72), issu de '
e de l'hémisphère. Il est, comme nous l'avons déjà vu, sous-jacent au faisceau pariéto-frontal. FPF. Le faisceau pariéto-front
s l'avons déjà vu, sous-jacent au faisceau pariéto-frontal. FPF. Le faisceau pariéto-frontal (fig. 72), repoussé en haut et en
nce grise de la frontale ascendante (F). Sur la figure 67, on voit un faisceau très compact, très foncé, triangulaire, s'insérer
e fond de la scissure de Rolando, la contourne, et court au-dessus du faisceau arqué vers le manteau de la première circonvoluti
manteau de la première circonvolution frontale (F'), où il rejoint le faisceau pariéto-frontal (FPF, fig. 72). PLANCHE XXIII
st séparé, en bas et en dedans, du centre médian (NmC, 75, 74) par un faisceau blanc issu de ce dernier cenlre. NinC. Le centr
8, par exemple — il est en rapport avec la lamina legmenti (LTE, 78), faisceau issu de la calotte. Pul. Le pulvinar est, avons
s et en arrière, il est limité par des fibres qui forment plus bas le faisceau rétrograde (FRF); en bas, il s'arrête à la commis
as du pulvinar (BP), une niasse grise, limitée en dedans par un petit faisceau concave en dehors (TP) et que nous avons déjà étu
fibres transversales de la protubérance (PVT) à la partie interne du faisceau de Tiïrck-Meynert (FM, fig. 75). Celles-ci provie
Arrivées au centre du pont, elles s'écartent pour laisser passer les faisceaux descendus de l'hémisphère (FP), gagnent la ligne
de la protubérance annulaire, passant par le milieu du pont (PV). FP, faisceau pyramidal. A gauche, on aperçoit par transi)aro
prement dit (PV). Les plus profondes, celles qui passent derrière les faisceaux descendus de l'hémisphère et particulièrement der
s faisceaux descendus de l'hémisphère et particulièrement derrière le faisceau pyramidal (FP), arrivées à la ligne médiane, s'en
ion externe de la calotte (TEG). En dehors elles sont limitées par le faisceau de Tùrck-Meynert (FM), qui les sépare delà surfac
t. TP. Parmi les fibres transversales de la protubérance, il est un faisceau qui, parfois, s'isole assez nettement dans le sil
de Varole : c'est le Iractus lransvers7is pedimculi (TP, fig. 73). Ce faisceau appartient h h lamina lateralis (Lmd); il ne fait
res les plus superficielles du pédoncule. Nous avons déjà parlé de ce faisceau (voy. întrod., schéni. 5 et 6), sans préciser son
des coupes successives, à reconnaître qu'il se confond, en dedans du faisceau le plus interne de l'étage inférieur, avec la lam
ec la lamina lateralis (fig. 75) à la partie externe du pédoncule. Le faisceau en question n'est donc pas autre chose qu'une por
ue si le tractus transversus pedunculi est rarement isolé à l'état de faisceau oblique sur le pédoncule gauche, — disposition qu
r le pédoncule gauche, — disposition qui lui a valu la désignation de faisceau en écharpe (Féré), — il n'est pas rare de voir un
res entre la disposition en fascicules dissociés et la disposition en faisceau compact. Lorsque, à la suite d'une lésion hémisph
absence de dégénération est une raison de plus pour admettre que le faisceau dit « en écharpe » n'appartient pas, en réalité,
75), intercalée entre le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) et le faisceau longitudinal postérieur (FLP, fig. 73), réunit au
calotte, réunies par la commissure de Meynert, représentent très le faisceau pyramidal dégénère, le tractus transvcrsus pedunc
ce du pédoncule, peut même empêcher de reconnaître la teinte grise du faisceau moteur dégénéré situé au-dessous de lui. Cette
Mey-nert, sur la ligne mcdiane, à la partie la plus interne des deux faisceaux du teg-irientum (TEG). Aq, aqiiednc de Sylvius;
n encore, jusque dans le noyau lenticulaire du corps strié. FLP. Le faisceau longitudinal postérieur n'est indiqué (pl. XXÏÏl)
duc. Il est facile de s'expliquer cet aspect et cette disposition. Le faisceau longitudinal postérieur (fig. 75) ne se présente
oisinage de l'ouverture de l'aqueduc dans le troisième ventricule, le faisceau longitudinal postérieur se porte en haut et en de
e d'une façon toute schématique cette disposition. Vue de profil du faisceau longitudinal postérieur (VLV) au niveau de la c
érieure (CP) : CP, commissure postérieure; G, glande pinéale ; FLP, faisceau longitudinal postérieur au-dessous de la substanc
sement latéral du lemniscus, se continue en haut et en dedans avec le faisceau de la calotte (TEG), et, en dehors, avec la lamin
ance grise, située plus en avant, n'est pas encore entamée. FCP. Le faisceau de la commissure postérieure (75, 74, 75, 76) est
éveloppement en largeur que prend progressivement, de bas en haut, le faisceau de la calotte. 11 est placé en dedans de la lamin
ex (FRF). BP. Le Bras du pulvinar, qui représente la terminaison du faisceau de la commissure du côté opposé, se perd insensib
n le perd de vue. TEC. Le tegmentum, après avoir donné naissance au faisceau de la commissure postérieure, s'élargit très nota
ions verticales sont plus antérieures. Sur les coupes 73, 74, 75 le faisceau du tegmentum est toujours adjacent à la lamina la
à la lamina lateralis de Reil (Lmd). Il semble en être séparé par le faisceau de la commissure postérieure (FCP); mais nous sav
s les noyaux du tegmentum. CTE. Fasciculi marginales aquseducti, ou faisceaux de la décus-sation antérieure. Il s'agit de fibre
ion antérieure. Il s'agit de fibres issues du tegmentum, en dedans du faisceau de la commissure et faisant d'abord, comme celui-
a commissure et faisant d'abord, comme celui-ci, partie intégrante du faisceau de la calotte. Elles sont assez difficiles à dist
u faisceau de la calotte. Elles sont assez difficiles à distinguer du faisceau de la commissure, puisqu'elles ont la môme direct
puisqu'elles ont la môme direction (fig. 74, 75). Mais, tandis que le faisceau de la commissure se porte au-dessus de l'aqueduc
re se porte au-dessus de l'aqueduc pour franchir la ligne médiane, le faisceau de la décussation antérieure s'épuise en partie d
a racine descendante du nerf trijumeau. 11 n'est pas probable que les faisceaux marginaux antérieurs prennent naissance dans le t
, gang-lion de rhal)énule; SG, substance grise de l'aqueduc; FCP, faisceau de la commissure postérieui'e ; TEG, tegmentum
P, faisceau de la commissure postérieui'e ; TEG, tegmentum ; FLP, faisceau longitudinal postérieur; DV, racine descendante
ongitudinal postérieur; DV, racine descendante du trijumeau. CTE, faisceaux marginaux de l'aqueduc; CF, commissure de Forel
la composent se portent en avant (fig. 76), limités en dedans par le faisceau de la commissure (FCP), en dehors par le faisceau
és en dedans par le faisceau de la commissure (FCP), en dehors par le faisceau de TiJrck-Meynert (FM, fîg. 75, 78); puis, arrivé
il se rapproche de la ligne médiane et se porte en arrière. FM. Le faisceau de Tùrck-Meynert émerge de la protubérance (fig.
couronne rayonnante du noyau caudé, onvoitsorfir du corps calleux un faisceau diffus que nous avons déjà mentionné et qui se ré
i se réfléchit en arrière, en bas et en dehors. Il est certain que ce faisceau est appelé à fournir des fibres à la portion réfl
es de la ligne médiane ont la coloration la plus accentuée. FSe. Le faisceau sensitif externe ((îg. 76) se compose de deux sor
un peu plus loin) ; les autres claires, transversales, qui donnent au faisceau sa striation horizontale, et qui vont se perdre d
erdre dans la lame verticale externe du noyau lenticulaire. FSi. Le faisceau sensitif interne (fig. 76) provient du pulvinar,
dans le thalamus ou dans ce corps genouillé et sa terminaison dans le faisceau longitudinal inférieur (FLl, fig. 76), il travers
, en dehors du noyau caudé et du tapetum. Elles accompagnent alors le faisceau sensitif interne (FSi, fig. 70), dont elles font
e la capsule interne (|jg. 7(j) est représenté : 1" par les fibres du faisceau sensitif externe (FSe) qui vont à la lame externe
térieur de la capsule interne (CfD), puisque celle-ci reçoit aussi du faisceau sensitif externe (FSe, fig. 76) les fibres transv
Cin. Le cingulum (fig. 74, 76, 78, voy. pl. XXÏI, p. 238). ARC. Le faisceau arqué (fig. 73, 77) présente la forme caractérist
direction se modifie dans la région du puta-men, au-dessus duquel le faisceau arqué émet des fibres destinées au claustrum, à l
. Mais tout en émettant ainsi des fibres dans diverses directions, le faisceau arqué ne conserve pas moins sa direction initiale
ion initiale, jusqu'à son complet épuisement. Les premières fibres du faisceau arqué apparaissent dans l'opercule supérieur de l
ent en avant et s'agglomèrent pour constituer, dans leur ensemble, le faisceau dont la coupe vertico-transversale a une forme tr
supérieur présente ainsi une concavité supérieure, en rapport avec le faisceau pariéto-frontal, situé au-dessus d'elle (FPF, fig
rs à distinguer, comme sur la coupe 77, un dédoublement de la base du faisceau arqué, sur la signification duquel nous reviendro
duquel nous reviendrons ultérieureniennt. — L'angle inféro-interne du faisceau arqué se continue, en dehors de la capsula extrem
thalamus (fîg. 76, 78) reçoit, à sa partie inférieure, les fibres du faisceau sensitif interne (FSi) et une partie des fibres d
fibres du faisceau sensitif interne (FSi) et une partie des fibres du faisceau sensitif externe (FSe). En haut, elle se confond
s les verrons, plus loin, se terminer dans le lobe frontal. PCF. Le faisceau compact du fornix (tig. 78) : voy. pl. XIV, p. 15
) qui limite nettement, au-dessous d'elle, l'opercule (OP). FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 78) présente un vasie renf
lles que nous avons déjà étudiées; on peut admettre en efl'et, que le faisceau qui s'accole ainsi à l'écorce est la termi liaiso
ceau qui s'accole ainsi à l'écorce est la termi liaison antérieure du faisceau diffus du fornix, dont nous avons suivi jusqu'à p
ouverons plus loin et auxquelles conviendra tout aussi bien le nom de faisceau diffus du fornix. FPF. Le faisceau pariéto-fron
iendra tout aussi bien le nom de faisceau diffus du fornix. FPF. Le faisceau pariéto-frontal (fig, 78) se comporte de la même
onvolution frontale ascendante. Sm^ la coupe 76, on remarquera que le faisceau arqué est situé au-dessous de lui. FLI. Le fais
marquera que le faisceau arqué est situé au-dessous de lui. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur (fig. 76), voy. pl. XVI, p
eau longitudinal inférieur (fig. 76), voy. pl. XVI, p. 154). CO. Le faisceau du centre ovale (fig. 78), voy. pl. XYI, p. 159.
renforcement des fibres arquées sous-jacentes, en particulier dans le faisceau diffus du fornix. Nous reviendrons sur ce fait ul
à la bandelette sous-optique (RSO), s'entre-croise en partie avec le faisceau de Tùrck-Meynert (FM, 83), déjà signalé. Plus e
g. 82), la substance grise du corps genouillé est séparée de tous les faisceaux qui l'environnent par une véritable capsule blanc
résentera son diamètre maximum. De toutes parts il est entouré par le faisceau de la calotte; nous reviendrons ultérieurement su
mésocéphale, sauf en dehors et en dedans du pédoncule. En dehors, le faisceau de Tùrck-Meynert (FM) et même une partie du faisc
e. En dehors, le faisceau de Tùrck-Meynert (FM) et même une partie du faisceau pyramidal (FP) ne sont pas séparés par le locus n
e le locus niger est un noyau de renforcement très important pour les faisceaux de la calotte; ou, inversement, qu'il est un noya
té opposé, formant la couche de fibres ascendantes qui constituent le faisceau direct du tegmentum (LTE). Nous revoyons plus loi
faisceau direct du tegmentum (LTE). Nous revoyons plus loin ces deux faisceaux (FP et LTE). Pcs. Le pédoncule cérébelleux supé
édoncule cérébelleux supérieur ; FRF, fasciculus retroflcx ; FLP, faisceau longitudinal postérieur ; TEG, tegmentum ; Th
alée entre la masse la plus importante des fibres cérébelleuses et le faisceau longitudinal postérieur (FLP). FLP. Le faisceau
cérébelleuses et le faisceau longitudinal postérieur (FLP). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (fig. 81) redevient plus
bliquement dirigé en bas et en dedans, entre le tegmentum (TEG) et le faisceau longitudinal postérieur (FLP, fig. 81), se place
. 84). On voit sur les coupes 80 et 81 que l'origine supérieure de ce faisceau correspond très exactement au ganglion de l'habén
84, 85. Il est entouré par la substance blanche du stratum zonale. Ce faisceau blanc (IIAP) se confond d'ailleurs avec le stratu
bras du pulvinar représente sur la coupe 79 ce qui reste des anciens faisceaux croisés de l'étage supérieur. S'il ne se perd pas
la couronne rayonnante de la couche optique (Rth, fig. 80). TEG. Le faisceau de la calotte apparaît de plus en plus nettement
Le faisceau de la calotte apparaît de plus en plus nettement comme un faisceau mélangé de noyaux; en d'autres termes, le tegment
mentum proprement dit est un noyau diflùs, interrompant les fibres du faisceau de la calotte. Sur la coupe 79 la masse principal
ôme, sur la coupe 82, où la substance grise commune au thalamus et au faisceau de la calotte est particulièrement chatoyante. C'
s libres directes (BQA) de la deuxième couche du laqueus (Laq*); FCP, faisceau de la commissure, passant au dessus de la ligne m
urnissant des fibres directes au bras du pulvinar gauche (BP); — TEG, faisceau du tegmentum, se jetant dans le noyau rouge (NR).
verticale schématique destinée à montrer les rapports réciproques des faisceaux de la calotte (TEG) du côté gauche. dans divers
côté gauche. dans diverses directions. Sur les coupes 83 et 84, un faisceau cependant s'isole assez nettement (CEO) ; il n'ap
bas. Maintenant il remonte obliquement en dehors pour rejoindre les faisceaux plus antérieurs destinés à traverser le noyau rou
oncule cérébelleux supérieur, qu'on peut appeler, dans leur ensemble, faisceau cérébello-thala-mique, se jettent donc dans le th
leur terminaison antérieure. LTE. La lamina tegmenti est, parmi les faisceaux de la calotte, celui qui présente les rapports le
rapports les plus immédiats avec le pédoncule ln, locus niger FM, faisceau de Tùrck-Meynert LTE, lamina tegmenti ; md, lam
LTE). La difïerenciation de la substance noire de Sœmmering et de ce faisceau est chose impossible. Une partie d'entre elles au
a lame latérale (fig. 79) se dirige de dedans en dehors, au-dessus du faisceau de Tûrck-Mcyncrt (FM), au-dessous de la lame term
oncule cérébelleux supérieur, envoie une partie de ses libres dans le faisceau du laqueus; mais, à sa teinte foncée sur la ligne
ent à la lamina medialis, qui le sépare de la ligne médiane. FM. Le faisceau de Tiirck-Meynert (fig. 79) représente la portion
LN), qui commence ici à faire son apparition. En réalité cependant le faisceau Tiirck-Meynert n'est pas en contact immédiat avec
nous verrons se superposer à lui sur des coupes plus antérieures. Le faisceau pyramidal sur les coupes verticales (FP, fig. 83)
(FP, fig. 83) est, en effet, toujours situé en dedans et au-dessus du faisceau de Tîirck-Meynert. Le faisceau de Tiirck-Meynert
ujours situé en dedans et au-dessus du faisceau de Tîirck-Meynert. Le faisceau de Tiirck-Meynert arrive du pédoncule à la région
rtir de ce moment, ses fibres s'épuisent, d'avant en arrière, dans le faisceau sensitif, auquel il les abandonne à travers la
s la couronne rayonnante du lobe occipital. Il résulte de là que le faisceau de Tûrck-Meynert disparaît de la face interne du
augmente d'importance à la face externe du corps genouillé. FP. Le faisceau pyramidal (fig. 83) commence à s'isoler du faisce
nouillé. FP. Le faisceau pyramidal (fig. 83) commence à s'isoler du faisceau de Tùrck-Meynert dans le pied du pédoncule. Mais
e du corps genouillé externe, ce sont aussi les fibres récurrentes du faisceau de Tùrck-Meynert (FM) dont il vient d'être questi
rieure. ce. Le corps calleux (fig. 80) se divise en dehors en trois faisceaux : un supérieur qui fournit au centre ovale (CO) ;
entricule sphénoïdal. Mais, comme nous l'avons déjà fait observer, le faisceau du centre ovale (CO) et ce faisceau du tapetum
l'avons déjà fait observer, le faisceau du centre ovale (CO) et ce faisceau du tapetum (TAP) tendent de plus en plus à se con
sous le plancher du ventricule, où il se perd au milieu des fibres du faisceau longitudinal inférieur (FLl). TRI. Le trigone c
é (NCC). Nous avons déjà suffisamment insisté sur ce point. FSe. Le faisceau sensitif externe (fig. 79) présente la même dispo
ntamé par les sections vertico-transversales, le nombre des fibres du faisceau sensitif externe qui se porte vers le segment inf
e elles passent à la partie interne de ce noyau et se fondent dans le faisceau de Tùrck-Meynert (FM, fig. 82, 83, 84). FSi. Le
nt dans le faisceau de Tùrck-Meynert (FM, fig. 82, 83, 84). FSi. Le faisceau sensitif interne (fig. 79) forme la majeure porti
passent au-dessus et au-devant du corps genouillé pour constituer le faisceau de Tùrck-Meynert (FM) dans le pied du pédoncule.
reconnaître, attendu qu'elle est traversée d'avant en arrière par le faisceau de Tûrck-Mcynert (FM, fig. 82, 85, 84). GIF. Le
s entre la bandelette sous-optique et le noyau caudé d'une part et le faisceau sensitif externe d'autre part. Elle se continue e
continue en bas et en dedans, sous le ventricule sphénoïdal, avec le faisceau longitudinal inférieur (FLI, fig. 82). En haut el
(FLI, fig. 82). En haut elle se prolonge pour une faible part dans le faisceau de Tiirck-Meynert (FM, fig. 82), et pour une gran
rps genouillé externe. Elle est limitée, au-dessus de la réflexion du faisceau de Tûrck-Meynert, par l'ensemble des fibres qui v
isceau de Tûrck-Meynert, par l'ensemble des fibres qui vont former le faisceau pyramidal (FP, fig. 84), et qui, venues de la rég
On ne peut donc pas considérer la lame latérale du thalamus comme un faisceau lamellaire homogène. C'est une région, et non un
l'on remarquera qu'elle ne renferme plus absolument que les fibres du faisceau longitudinal inférieur (FLI, fig. 86). Cavité v
llares thalami optici) correspondent aux terminaisons successives des faisceaux de la calotte dans la substance grise du thalamus
cation soit complète, puisque la couche optique n'est abordée par les faisceaux de la calotte que dans sa partie postérieure. Cha
edialis de Reil (Lm) ; mais il ne semble pas recevoir de fibres de ce faisceau . Son extrémité externe se perd entre le faisceau
voir de fibres de ce faisceau. Son extrémité externe se perd entre le faisceau de Tûrck-Meynert (FM) et la lamina tegmenti (LTE)
tament ici que son bord postérieur. Elle se confond, en haut, avec le faisceau arqué (ARC), dont les fibres antéro-postérieures
Cet étage inférieur se compose ici des fibres les plus antérieures du faisceau de Tùrck-Meynert (FM) et du faisceau pyramidal (F
s fibres les plus antérieures du faisceau de Tùrck-Meynert (FM) et du faisceau pyramidal (FP). Projection horizontale des pédo
du pédoncule cérébelleux supérieur présente une grande confusion. Tel faisceau , divisé perpendiculairement à la direction de ses
rter vers la face inférieure de la Vue en projection horizontale du faisceau cérébello-thalamique (CEO). Th, thalamus ; NR
nt les fibres se jettent en majeure partie dans le noyau rouge ; CEO, faisceau cérébello-thalamique formé des fibres les plus ex
é des fibres les plus externes du pédoncule cérébelleux supérieur. Ce faisceau s'épanouit en éventail au-dessous de la couche op
diquée par la ligne ponctuée. couche optique. Ces fibres forment un faisceau bien homogène (CEO, fig. 85, 86 et suiv.). On peu
faisceau bien homogène (CEO, fig. 85, 86 et suiv.). On peut l'appeler faisceau cérébello-thalamique (schéma 127). Toujours situé
au plan de section, et déjà, sur la figure 90, on les voit former un faisceau très isolé, qui va se jeter dans la région inféri
limite de séparation de la capsule et de la couche optique : c'est au faisceau cérébello-thalamique qu'appartiennent la plupart
e médullaire latérale du thalamus (LML, pl. XXYI, fig. 95). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (80, 87, 88), dirigé d'ar
de Monro (M), dans lesquels s'arrêtent une n partie des fibres du faisceau longitudinal postérieur (FLP). et le faisceau,
artie des fibres du faisceau longitudinal postérieur (FLP). et le faisceau , par conséquent, semble arriver à la surface même
(n, n', n") du schéma 28 reçoivent précisément les fibres courtes du faisceau longitudinal postérieur (FLP). Sur la coupe 90,
. Sur la coupe 90, on distingue, en dehors du trajet déjà décrit du faisceau longitudinal, une traînée grise (FLP) étalée au-d
du faisceau longitudinal, une traînée grise (FLP) étalée au-dessus du faisceau cérébello-thalamique (CEO). 11 s'agit encore là d
lo-thalamique (CEO). 11 s'agit encore là d'une por-fion des fibres du faisceau longitudinal de la calotte qui revient sur ses pa
ès s'être écartée, de dedans en dehors, de sa direction primitive. Le faisceau longitudinal postérieur, en eflet, de haut en bas
e 90) perpendiculairement à leur axe dans Projection schématique du faisceau longitudinal postérieur (FLP) sur un plan horizon
FLP) sur un plan horizontal. La coupe 90 sectionne les fibres de ce faisceau : en. dedans et en avant, perpendiculairement à l
de l'écorce avec les noyaux de l'aqueduc, grâce à l'interposition du faisceau longitudinal postérieur. FRF. Le fasciculus ret
retroflex (85, 87, 89, 90) descend, dans le plan de section, entre le faisceau longitudinal postérieur situé à sa partie interne
e, et le noyau rouge de la calotte (NR) situé à sa partie externe. Le faisceau longitudinal postérieur (FLP) le sépare toujours
dehors avec la substance noire de Sœmmering (LN, fig. 85). TEG. Le faisceau de la calotte ou tegmentum situé dans le prolonge
ne entamé par le couteau; mais la surface circulaire correspondant au faisceau de la Projection liorizontale du noyau rouge (!
ébelleux supérieur (Pcs), sur la coupe vertico-transversale 85). Le faisceau de la calotte (TEG) enveloppe à la fois le noyau
érieure du noyau rouge efface, aplatit et élargit en quelque sorte le faisceau du tegmentum. Les fibres dont ce dernier se compo
la ligne médiane au niveau de laquelle il a été sectionné (Pcs). Le faisceau de la calotte (TEG) enveloppe à la fois le pédonc
presque totalité du pinceau de la calotte. Elles se divisent en deux faisceaux secondaires : Fun postérieur et inférieur ou la
egmenti (LTE, fig. 80, 88, 89, 90); l'antre antérieur et supérieur ou faisceau tegmento-thalamiquc (CAO) (fig. 96, pl. XXVI). Ce
ée. Cette torsion s'accuse encore davantage sur la coupe 87 ; puis le faisceau se porte en dehors et en haut (fig. 88, 89); deve
particulier (fig. 87, 90), avec le locus niger de Sœmmering. FM. Le faisceau de Tiirck-Meynert (fig. 85), issu du pédoncule, o
que (BSO), se porte en bas et en dehors, et seperdau milieu des FP, faisceau pyramidal dans le pied du pédoncule du côté gau
ant en dehors avec le stratum zonale du corps genouillé externe ; FM, faisceau de Tiirck-Meynert contournant le corps genouillé
t le corps genouillé externe, et se jetant d'avant en arrière dans le faisceau sensitif externe (FSe) ; FSi, faisceau sensitif i
ant d'avant en arrière dans le faisceau sensitif externe (FSe) ; FSi, faisceau sensitif interne. La ligne pointillée indique le
u thalamus. Schéma 152. — Projection horizontale de la réflexion du faisceau Tiirck-Meynert. fibres antéro-postérieures du f
réflexion du faisceau Tiirck-Meynert. fibres antéro-postérieures du faisceau sensitif externe (FSe, fig. 89). Le faisceau de T
s antéro-postérieures du faisceau sensitif externe (FSe, fig. 89). Le faisceau de Tiirck-Meynert, sur les coupes 86, 88, 89, pré
de Tiirck-Meynert, sur les coupes 86, 88, 89, présente, au contact du faisceau pyramidal (FP), une disposition arquée qui tient
ce dernier, dont la direction générale est toute différente. FP. Le faisceau pyramidal, en effet, s'incline en haut en dehors
l, en effet, s'incline en haut en dehors et en avant, au moment où le faisceau de Tùrck-Meynert s'apprête à contourner le corps
signe FP indique la place exacte de la partie la plus postérieure du faisceau pyramidal. Mais dans la striation transversale qu
istinguer deux ordres de fibres. Les stries blanches appartiennent au faisceau pyramidal et correspondent à la partie la plus su
perficielle de l'étage inférieur. Les stries foncées appartiennent au faisceau de Tùrck-Meynert, dont les fibres les plus antéri
r aller doubler le corps genouillé externe. Sur la coupe 90, ces deux faisceaux sont très nettement isolés, grâce à la différence
ès nettement isolés, grâce à la différence de leur teinte. On voit le faisceau pyramidal pénétrer directement dans la capsule in
orme d'une masse compacte de fibres claires, limitée en dehors par le faisceau de Tùrck-Meynert, en dedans par le stratum interm
ermédiaire (IS). Plus haut, dans la capsule interne (CI, fig. 88), le faisceau pyramidal (FP') s'épanouit à la face interne et s
al et présente les variations d'épaisseur qui résultent du passage du faisceau de Tùrck-Meynert (FM, fig. 89, 90) au travers de
ieure du corps genouillé externe (GE) et où les fibres récurrentes du faisceau de Tùrck-Meynert ont à peu près complètement disp
rès exactement limitée en haut par les fibres les plus antérieures du faisceau de Tùrck-Meynert (FM). Elle fait un peu saillie d
présente l'extrémité la plus postérieure du septum lucidum. FSe. Le faisceau sensitif externe (fig. 87) projette en grande abo
d'être encore épuisé. On remarquera même que la portion externe de ce faisceau est de plus en plus nettement arrêtée et qu'elle
ours plus compact à la partie inférieure qu'à la partie supérieure du faisceau sensitif. Nous allons voir bientôt ce que devienn
tif. Nous allons voir bientôt ce que deviennent ces fibres. FSi. Le faisceau sensitif interne (fig. 87) passe au-dessus de la
a bandelette sous-optique (BSO, fig. 89), pour aller se jeter dans le faisceau de Tûrck-Meynert et dans la couronne rayonnante d
s genouillé externe (RGE, fig. 88). Nous savons que ces deux derniers faisceaux paraissent intimement mélangés, du moins sur les
e du corps genouillé externe (fîg. 88), confondue en dedans avec le faisceau de Meynert, entre pour la plus grande part dans l
sceau de Meynert, entre pour la plus grande part dans la formation du faisceau sensitif interne : c'est celui-ci encore qui repr
Coupe schématique vertico-transversale montrant la pénétration des faisceaux corticaux dans la couche oi)tique et leur enlre-c
x corticaux dans la couche oi)tique et leur enlre-cioisement avec les faisceaux de l'étage supérieur, PV. Le pont de Varole;, P
jnia ; Lmd, lamina lateralis; LTE, lamina tegmenti (ces deux derniers faisceaux proviennent de l'étage supérieur des pédoncviles)
fibres cortico-thalamiques et des fibres ])édonculo-thalamiques;—FSe, faisceau sensitif externe ;—FSi, faisceau sensitif interne
fibres ])édonculo-thalamiques;—FSe, faisceau sensitif externe ;—FSi, faisceau sensitif interne. Schéma 133. ceaux, dont les
t aussi le point de départ des fibres qui proviennent directement des faisceaux de la calotte (lamina lateralis, lamina tegmenti)
la calotte (lamina lateralis, lamina tegmenti) ; nous savons que ces faisceaux pénètrent dans la couche optique par sa face infé
é sur les coupes de la planche 25. Mais déjà sa forme se dessine : le faisceau sensitif externe le pénètre d'arrière en avant et
après leur passage à travers le centre ovale (CO, fig. 88). ARC. Le faisceau arqué (fig. 87) se confond avec le claustrum (CL)
prend une insertion. Sa partie interne se continue avec les fibres du faisceau pyramidal (FP', fig. 85) qui sortent de la capsul
ne et vont gagner l'écorce de la région de l'opercule (OP). PAR. Le faisceau parallèle qui apparaît ici pour la première fois
eau parallèle qui apparaît ici pour la première fois (fig. 86) est un faisceau difl'us, étendu d'arrière en avant dans le mantea
s temporales qui le constituent étaient en contact avec les fibres du faisceau sensitif externe. Désormais elles en sont séparée
a capsule externe (CE). Mais il ne faut pas, pour cela, distinguer le faisceau parallèle et la capsule externe et les étudier sé
oute sa région postérieure, n'est pas autre chose qu'une expansion du faisceau parallèle entre le damtruin (CL, fig. 86) et le f
expansion du faisceau parallèle entre le damtruin (CL, fig. 86) et le faisceau sensitif externe. Le faisceau parallèle s'insin
entre le damtruin (CL, fig. 86) et le faisceau sensitif externe. Le faisceau parallèle s'insinue donc dans la capsule externe,
confond en apparence avec la partie inférieure du claustrum, comme le faisceau ûrqué se confond en apparence avec la partie supé
se. Nous verrons plus tard (pl. XXVI, ARC) les connexions de ces deux faisceaux . LFS. La capsula extrema (fig. 89) ou moelle de
du noyau caudé (fig. 88) émerge de la face inférieure de ce noyau par faisceaux d'inégale importance; cela explique que le noyau
ection l'intéresse en pleine substance grise ou dans le plan d'un des faisceaux de sa couronne. Cin. Le cingulum (fig. 87). F
des faisceaux de sa couronne. Cin. Le cingulum (fig. 87). FCF. Le faisceau compact du fornix (fig. 85, 87) varie de couleur
e la circonvolution limbique; il apparaît précisément au moment où le faisceau compact du fornix semblait seulement constitué pa
fornix semblait seulement constitué par des fibres transversales (ce faisceau était clair sur les coupes 87, 88, 89). C'est don
d la direction antéro-postérieure à partir de la coupe 90.* FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 85, 87) devient plus compa
e grande volée, puisque sur les coupes 89 et 90 la ¦ teinte foncée du faisceau diminue rapidement; en d'autres termes, les fd)re
ale pour rejoindre de nouveau la face profonde de l'écorce. FPF. Le faisceau pariéto-frontal (fîg. 87), situé au-dessus du pro
pariéto-frontal (fîg. 87), situé au-dessus du prolongement frontal du faisceau arqué (ARC), se montre également. plus compact au
où elles se terminent dans l'écorce de la première frontale. CO. Le faisceau du centre ovale (fig. 88), fondu à sa partie inte
dé; d'autre part, sur les coupes 89 et 90, nous le voyons émettre des faisceaux , qui divergent en dehors et en haut, vers le lobe
plus difficilement sous l'influence des réactifs chimiques. FLl. Le faisceau longitudinal inférieur (fig. 87), refoulé, comme
on bord supérieur. La ligne sinueuse que décrit la face supérieure du faisceau longitudinal inférieur correspond, ainsi que nous
n bas par le noyau rouge de la calotte (NR) dont il est séparé par le faisceau longitudinal postérieur (FLP), présente encore le
, 95, 96). Elle est située toujours exactement sur le prolongement du faisceau longitudinal postérieur, dont elle semble être l'
alamique ; mais nous ne prétendons pas pour cela qu'il y ait entre ce faisceau et la substance grise de la couche optique plus q
s retroflex (FRF), en bas par la lamina medialis (Lm), en haut par le faisceau longitudinal postérieur (FLP), en dehors par les
coloration plus foncée que lui. Cela tient à ce que ces deux derniers faisceaux (qui le traversent d'arrière en avant) sont coupé
e hauteur. Sa couronne rayonnante (RGE, fig. 92), mêlée aux fibres du faisceau de Tùrck-Meynert (FM, 91, 93, 94), se superpose à
s forment sa couronne rayonnante posté-.„ _rieure. Schéma 135. du faisceau sensitif externe (FSe). Ces fibres, en effet, s'y
sur la coupe 91 une modification importante dans ses rapports avec ce faisceau . Presque toutes ses fibres ont subi la décussatio
a lamina medialis; il va en être question un peu plus loin. CEO. Le faisceau cérébello-thalamique, représentant une bonne part
5), situé toujours au-dessus de la lamina tegmenti (LTE). Aucun autre faisceau ne le sépare encore du thalamus. Mais, à partir d
erpose entre la couche optique et lui. Cette bandelette représente un faisceau en lame horizontale, dirigé d'arrière en avant; i
n plus antérieure : nous le décrirons un peu plus loin sous le nom de faisceau tegmenlo-thalamique (CAO). — Sur les coupes 93, 9
que (CAO). — Sur les coupes 93, 96, il est facile de constater que le faisceau cérébello-thalamique se continue sans transition
avec la lame médullaire externe de la couche optique (LML). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (91, 92, 94, 96) s'insinu
troflex (fig. 92, 93, 94), invariablement accolé à la face externe du faisceau longitudinal postérieur, longe le noyau rouge de
la lamina medialis (Lm) et un prolongement interne en dedans du môme faisceau . Le prolongement externe se confond avec les fibr
ébelleux supérieur (Pcs) ; un étage supérieur qui, sous la forme d'un faisceau à section triangulaire, se prolonge en avant, à l
avec laquelle il se confond. Celle-ci n'est, comme on le sait, qu'un faisceau de la couche de Reil (Lem). Ainsi nous paraît se
vement à l'origine du tractus transversus pedunculi : à savoir que ce faisceau est une portion aberrante de la couche de Reil, p
uquel ces dernières (ANL) sont plus intimement adhérentes. Le nouveau faisceau dont il s'agit est l'anse du noyau lenticulaire (
ne peut plus être reconnu dans la masse des fibres du pied. CAO. Le faisceau tegmento-thalamique, qui s'étend de la région de
NR). Sa'surface de section est transversale; il semble faire suite au faisceau longitudinal postérieur (FLP). En réalité, les co
longitudinal postérieur (FLP). En réalité, les connexions de ces deux faisceaux , juste au-dessus du noyau rouge, sont peut-être t
mpre (pl. XXVll, fig. 08). Alors, en effet, il devient évident que le faisceau longitudinal postérieur (FLP) passe au-dessus du
dent que le faisceau longitudinal postérieur (FLP) passe au-dessus du faisceau tegmento-thalamique (CAO). FM. Le faisceau de T
(FLP) passe au-dessus du faisceau tegmento-thalamique (CAO). FM. Le faisceau de Tùrck-Meynert (fig. 91) remonte d'arrière en a
e le corps genouillé va, en s'amincissant. Projection sagittale .du faisceau de Tiirclc-Meynert (FM), au moment où il double e
ant en arrière à la partie inférieure du corps genouillé externe. FP, faisceau pyramidal. ',)1, coupe vertico-transversale passa
pédonculaire de Gratiolet (RSO, fig. 93, 94) et finalement arrive au faisceau sensitif externe (FSe, fig. 95), au moment où app
u noyau lenticulaire (MLE, fig. 94, 95) (MLE, MLI, fig. 96). FP. Le faisceau pyramidal (fig. 91), formé d'une belle masse de f
pédonculaire où l'on voit le passage des coupes 94 et 96 à travers le faisceau géniculé (FG). FP, faisceau pyramidal ; FM, f
assage des coupes 94 et 96 à travers le faisceau géniculé (FG). FP, faisceau pyramidal ; FM, faisceau de Tiirck-Meynert ;
à travers le faisceau géniculé (FG). FP, faisceau pyramidal ; FM, faisceau de Tiirck-Meynert ; ANL, anse du noyau lenticul
-Meynert ; ANL, anse du noyau lenticulaire. de la capsule, est un faisceau situé en avant du faisceau pyramidal, dans le pie
oyau lenticulaire. de la capsule, est un faisceau situé en avant du faisceau pyramidal, dans le pied du pédoncule, où ses rapp
e, sa direction semble transversale. Sur la coupe 94, par exemple, le faisceau géniculé semble antéro-postérieur et sa teinte es
édoncule. Sur cette dernière coupe, on peut en outre constater que le faisceau pyramidal (FP) est, à sa partie interne, très net
ceau pyramidal (FP) est, à sa partie interne, très nettement isolé du faisceau géniculé (FG). Il y a là un changement de directi
éniculé (FG). Il y a là un changement de direction manifeste. Mais ce faisceau géniculé, sur les coupes suivantes, n'est plus ré
limité, en dehors et en haut, par les fibres les plus antérieures du faisceau de Tùrck-Meynert (FM, 94) ; puis il représente la
ion de la calotte par une petite bande foncée que nous appellerons le faisceau géniculé (FG). FG. Le faisceau géniculé, que no
bande foncée que nous appellerons le faisceau géniculé (FG). FG. Le faisceau géniculé, que nous avons, depuis bien des années,
parce que ses fibres passent par le genou les fibres antérieures du faisceau pyramidal. Les fibres pédonculaires claires, inte
res, intercalées entre ces stries foncées, appartiennent à un nouveau faisceau (ANL) que nous voyons apparaître au-dessus et en
au lenticulaire ANL. ... , ANL. L'anse du noyau lenticulaire est le faisceau le plus interne du pied du pédoncule, k la face i
terne du pied du pédoncule, k la face inférieure du cerveau, c'est ce faisceau qui limite en dehors l'espace perforé postérieur
l'aide du schéma 158 que la coupe 94 intéresse de dehors en dedans le faisceau pyramidal, le faisceau géniculé, l'anse du noyau
e la coupe 94 intéresse de dehors en dedans le faisceau pyramidal, le faisceau géniculé, l'anse du noyau lenticulaire, tandis qu
anse du noyau lenticulaire, tandis que la coupe 96 n'intéresse que le faisceau géniculé et Vanse du Profil do l'anse du noyau
ction à la partie postérieure de ce noyau. La coupe 96 intéresse le faisceau géniculé (FG), le] discus lentiformis (DL) et l'a
et l'anse (ANL) juste au niveau du coude de celle-ci. L'anse et le faisceau géniculé s'entre-croisent au point X.| noyau le
niculé s'entre-croisent au point X.| noyau lenticulaire. Cg dernier faisceau est ainsi désigné parce qu'il provient d'une couc
le pédoncule, son trajet est à peu de chose près le même que celui du faisceau géniculé. Seulement la plupart de ses fibres sont
aux de la protubérance et de la substance grise interpédonculaire. Le faisceau géniculé, au contraire, dirigé plutôt dans le s
de l'hypoglosse. Sur la coupe 96, FG représente les stries foncées du faisceau géniculé, et ANL les fibres de l'anse. Celles-ci
blanche sous-jacente à la lamina tegmenti (LTE) et qui n'est point ua faisceau isolé. C'est une disposition qu'on s'expliquera e
ude de haut en bas pour gagner le bord interne du pédoncule. MF. Le faisceau capsulaire (fig. 94), dont il sera plus longuemen
pl. XXY). TRI. Trigone cérébral (voir pl. XXV et XXVll). FSe. Le faisceau sensitif externe est de plus en plus neltement ar
ifficile de savoir (par exemple sur la coupe 92) ce qui appartient au faisceau sensitif externe et ce qui appartient au putamen
t ce qui appartient au putamen : les fibres antéro-postérieures de ce faisceau , encore très foncées, se confondent avec la teint
du putamen. Ce qui est certain, c'est que les fibres transversales du faisceau sensitif (fig. 92) convergent vers la cloison ext
nne rayonnante du corps genouillé externe (fig. 92), mélangée avec le faisceau de Tùrck-Meynert, est située JIQ.g Prolil du co
corps genouillé, passant au-dessus de lui, et croisée en avant par le faisceau de Tùrck-Meyner (FM). Schéma UO. juste au-des
UO. juste au-dessus du corps genouillé (GE), et juste au-dessous du faisceau pyramidal (FP, fig. 92, 93, 94). Elle se dirige f
importante, plus compa(de, à mesure qu'arrivent dans l'hémisphère les faisceaux du pied du pédoncule (PPS); parmi ces faisceaux,
dans l'hémisphère les faisceaux du pied du pédoncule (PPS); parmi ces faisceaux , celui de Turck-Meynert (FM) se recourbe en arriè
du segment inférieur de la capsule, ou capsule inférieure (CIF). Les faisceaux du pied du pédoncule qui constituent la masse fon
e qui constituent la masse fondamentale de la capsule interne sont le faisceau pyramidal (FP) et le faisceau géniculé (FG). Sur
damentale de la capsule interne sont le faisceau pyramidal (FP) et le faisceau géniculé (FG). Sur la coupe 94 il est aisé de con
géniculé (FG). Sur la coupe 94 il est aisé de constater que ces deux faisceaux pénètrent franchement du pied du pédoncule dans l
de l'écorce une grande quantité de fibres qui font d'abord partie du faisceau arqué (ARC). 11 y a tout lieu d'admettre que ces
é (ARC). 11 y a tout lieu d'admettre que ces fibres sont destinées au faisceau pyramidal (FP, fig. 91 et suiv.). Mais la capsule
la capsule interne ne se compose pas seulement de fibres destinées au faisceau arqué. Elle renferme les fibres les plus externes
la lamina tegmenti (LTE, fig. 96), situées au-dessus et en dedans du faisceau pyramidal; elle renferme aussi lés fibres termina
s du faisceau pyramidal; elle renferme aussi lés fibres terminales du faisceau cérébello-thalamique (CEO, 93, 95), situées au-de
e la lame médullaire externe (LML), situées au-dessus et en dedans du faisceau cérébello-thalamique (fig. 96). CE. La capsule
aire du lobe temporo-sphénoïdal. Elle renferme des fibres qui vont du faisceau parallèle (PAR, fig. 93) au faisceau arqué (ARC).
renferme des fibres qui vont du faisceau parallèle (PAR, fig. 93) au faisceau arqué (ARC). Mais ces fibres ne suivent pas un tr
route par le claustrum et y subissent une forte réduction. PAR. Le faisceau parallèle (fig. 93), que nous appelons ainsi parc
elons ainsi parce qu'il enveloppe le fond du sillon parallèle, est un faisceau diflùs, mais toujours très facile à reconnaître,
claustrum, à l'extrémité inférieure de ce noyau lamellaire, comme le faisceau arqué (ARC) se perd dans son extrémité supérieure
faisceau arqué (ARC) se perd dans son extrémité supérieure. ARC. Le faisceau arqué (fig. 95) occupe toujours la même situation
l'hémisphère gauche où l'on voit la direction générale dos fibres du faisceau arqué .. (ARC) au-dessus de l'insula (IN), dans l
a profondeur de l'opercule (OP). elles ont la même direction que le faisceau , parallèle, on peut considérer ces deux faisceaux
ême direction que le faisceau, parallèle, on peut considérer ces deux faisceaux comme constituant un seul et même appareil de fib
t-mur et s'y terminant. Mais les fibres les plus externes de ces deux faisceaux sont les seules qui entrent en connexion avec le
u putamen. — Où vont ces dernières fibres? Nous verrons que celles du faisceau arqué rejoignent le corps calleux et la commissur
corps calleux et la commissure terminale (voy. pl. XXXI) ; celles du faisceau parallèle rejoignent la commissure terminale et l
commissure terminale et la commissure antérieure. La coloration du faisceau arqué présente son maximum d'intensité au milieu
vers l'extrémité supérieure et externe de la capsule interne (CI), le faisceau arqué devient de plus en plus diflùs; bon nombre
elle pénètre dans le centre ovale, se continue insensiblement avec le faisceau arqué. On comprend donc que ce faisceau ne puis
inue insensiblement avec le faisceau arqué. On comprend donc que ce faisceau ne puisse pas être considéré comme un groupe fibr
ayant seulement deux insertions. Et ce n'est pas tout : en effet, le faisceau arqué se prolonge vers le haut dans la deuxième c
iiiio vertico - transversale destinée à montrer la forme constante du faisceau aniué (ARC). Ce faisceau se confond en bas avec
e destinée à montrer la forme constante du faisceau aniué (ARC). Ce faisceau se confond en bas avec le claustrum (CL). En ha
eau se confond en bas avec le claustrum (CL). En haut il rejoint le faisceau pariéto-frontal (FPF). En dedans il se dédouble
en dedans du noyau lenticulaire (NLe). Th, couche optique ; PAR, faisceau parallèle ; F', F*, F', les trois circonvolutio
F', F*, F', les trois circonvolutions frontales. a aux fibres du faisceau pariéto-frontal; mais on remarquera quil y occupe
econnaître sur toutes les figures de la planche XXll. Les fibres du faisceau arqué qui se jettent dans la capsule interne prov
qui se jettent dans la capsule interne proviennent très souvent d'un faisceau arqué accessoire situé en PLANCHE XXVII COUPE
prendre de grandes proportions sur les coupes 101 et 102; dedans du faisceau principal et déjà visible sur la coupe 91 (AltC).
to-thalamique (CAO, fîg. 96); mais elle a aussi emprunté des hbrcs au faisceau longitudinal postérieur (FLP). A ce propos nous f
gitudinal postérieur (FLP). A ce propos nous ferons remarquer que les faisceaux qui vont de la calotte au tlialanuis pénètrent da
lame médullaire externe; mais que les fibres les plus externes de ces faisceaux atteignent cependant cette lame et s'y entre-croi
transverse (Tt). Cin. Le cingulum (fig. 91, voy. pl. XV). FCF. Le faisceau compact du fornix. . ; ' FDF. Le faisceau diffu
, voy. pl. XV). FCF. Le faisceau compact du fornix. . ; ' FDF. Le faisceau diffus du fornix. (le telle soi'le qu(î la deux
ganglion reçoit, plus en avant, par sa face inférieure, les fibres du faisceau de Yicq-d'Azyr. NiC. Noyau interne du thalamus
de section. Sur la coupe 102 il n'en reste plus rien; à sa place, le faisceau de la calotte (TEG) s'étale transversalement sous
ligne médiane, dont il n'est séparé que par la couronne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur (RFP, fig. 102). Nous a
éjà signalé la striation blanche du noyau de la calotte par de petits faisceaux de fibres dirigés obliquement de haut en bas et d
petite tache foncée, allongée verticalennmt, située sur le trajet du faisceau sensitif externe (FSe, 99, JOO, 101, 102). 11 s'a
u faisceau sensitif externe (FSe, 99, JOO, 101, 102). 11 s'agit là du faisceau sensitif externe lui-même; et la tache, de forme
solument constantes, représente la section transversale des libres du faisceau sensitif externe, qui pénètrent directement dans
s déjà signalé ces fibres et nous avons dit qu'elles constituaient un faisceau important de la couronne rayonnante du noyau lent
pallidus convergent, dans leur ensemble, vers la partie inférieure du faisceau pyramidal (FP, fig. 102). 11 est indubitable que
la capsule interne (CIF) où elles formeront, un peu plus en avant, le faisceau bien isolé, connu sous le nom à\mse du noyau lent
a couche optique, en dehors du noyau rouge, en dedans et au-dessus du faisceau le plus interne du pied du pédoncule. Ce petit no
ncore loin de s'entendre sur ses connexions intimes avec les nombreux faisceaux de la calotte et du pédoncule qui l'environnent.
otte. Il est toujours parfaitement isolé et comme perdu au milieu des faisceaux de la calotte et du pédoncule. La seule région de
a lamina tegmenti (LTE). Il émet par sa face supérieure les fibres du faisceau capsulaire (MF), sur les rapports duquel nous nou
s duquel nous nous expliquerons un peu plus loin (voy. pl. XXYII); ce faisceau capsulaire est-il la continuation de la lamina te
le discus lentiformis est un noyau qui sert de centre de réduction au faisceau capsulaire (MF). Ce dernier, venu de la capsule i
importante de la commissure de Meynert. La difficulté de l'étude des faisceaux sus-jacents au discus lentiformis a valu à cette
a calotte (NR), au niveau de la pénétration des fibres capsulaires du faisceau pyramidal (FP) dans le pédoncule. CEO. Le faisc
s capsulaires du faisceau pyramidal (FP) dans le pédoncule. CEO. Le faisceau cérébello-thalamique (fig. 97) est tout ce qui su
d'une bandelette foncée sur les coupes 101 et 102. A partir de là, le faisceau cérébello-thalamique n'a plus de rapports avec la
uche optique. Il en est séparé par une mince lamelle blanche venue du faisceau tegmento-thalamique (CAO) et qui contribue avec l
e des fibres destinées à l'écorce cérébrale, c'est évidemment dans le faisceau cérébello-thalamique (CEO) qu'il faut les cherche
faut les chercher. En tout cas le plus grand nombre des fibres de ce faisceau se perd préalablement dans la lame médullaire ext
édullaire externe. BO. Bandelette optique (fîg. 98, 101). LFP. Le faisceau longitudinal postérieur, situé au-dessous de la g
Ll', i'aisceau longitudinal postérieur; FLP' fibres inédianes de ce faisceau allant au thalamus ; RFP, fibres inférieures al
nvexité supérieure. La concavité inférieure de cette courbe limite le faisceau tegmento-thalamique (CAO), dirigé d'arrière en av
est immédiatement adhérent au noyau rouge de la calotte; et, comme le faisceau longitudinal postérieur, il s'épuise, au-dessus d
us du noyau rouge, dans la région inférieure du thalamus. Profil du faisceau longitudinal postérieur au niveau du noyau rouge.
yau rouge. 101, coupe vei'ticale de la planclie XXVII. A travers le faisceau longitudinal postérieur (FLP), on reconnaît par t
ssous de ce noyau, RFP indique le trajet de la couronne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur, allant de dedans en deho
oncée FLP'. Th, thalamus; — NR, noyau rouge. Schéma 1-47. _ Mais le faisceau longitudinal postérieur (FLP) ne consiste pas seu
(PL, fig. 101, 102) avec lequel il parait se confondre en partie. Le faisceau longitudinal postérieur, grâce à ce prolongement
erne. Meynert appelle ces fibres inférieures « couronne rayonnante du faisceau postérieur » (radiatio fasciculi poster loris, RF
ciculi posterions (fig. 101, 102) est certainement bien distincte des faisceaux de la calotte qui enveloppent le noyau rouge. On
me avec la lame terminale de Reil (LTE, pl. XXVI, fig. 96) et avec le faisceau d'Arnold (AR, pl. XXXII, fig. 101, 102). Comme il
rnold (AR, pl. XXXII, fig. 101, 102). Comme il est indubitable que le faisceau d'Arnold réunit l'écorce à la région supérieure e
uelque sorte par la logique seule qu'on a pu admettre les rapports du faisceau longitudinal postérieur avec la surface cérébrale
rale. La radiatio fasciculi posterions sert de trait d'union entre le faisceau d'Arnold et le faisceau longitudinal postérieur.
uli posterions sert de trait d'union entre le faisceau d'Arnold et le faisceau longitudinal postérieur. Mais nous avons vu aussi
ceau longitudinal postérieur. Mais nous avons vu aussi que ce dernier faisceau a une radiation (ou couronne rayonnante) au-dessu
ulus retrofiexus de Meynert (fig. 98, 99, 101) se sépare à présent du faisceau longitudinal postérieur auquel il avait été toujo
tudinal postérieur auquel il avait été toujours intimement accolé. Le faisceau longitudinal postérieur, en effet, se porte en ha
. Le faisceau longitudinal postérieur, en effet, se porte en haut, le faisceau rétroflexe se porte en bas ; et si, malgré cette
emble rendre compte assez exactement de cette disposition. Lorsque le faisceau longitudinal postérieur (FLP) et le faisceau ré
isposition. Lorsque le faisceau longitudinal postérieur (FLP) et le faisceau rétroflexe (FRF) se séparent, un nouveau faisceau
rieur (FLP) et le faisceau rétroflexe (FRF) se séparent, un nouveau faisceau s'insinue dans leur angle de divergence : c'est l
n nouveau faisceau s'insinue dans leur angle de divergence : c'est le faisceau tegmento-thala- Figure schématique représentant
-thala- Figure schématique représentant de profil, le croisement du faisceau longitudinal postérieur (FLP) et du fasciculus re
gauche. La coupe 91, vertico-transversale, passe à travers ces deux faisceaux quand ils sont encore accolés l'un à l'autre. L
déjà commencé à diverger. Dans l'angle de divergence, s'insinue le faisceau tegmento-tha-lamique (CAO). miquc (CAO). Du moi
ique (CAO). miquc (CAO). Du moins c'est une partie importante de ce faisceau , la plus interne, celle qui se porte d'arrière en
erne, celle qui se porte d'arrière en avant, limitée en dehors par le faisceau longitudinal postérieur. A ce niveau (pl. XXVIÏ,
aisceau longitudinal postérieur. A ce niveau (pl. XXVIÏ, fig. 101) le faisceau longitudinal postérieur (FLP), le faisceau retro-
u (pl. XXVIÏ, fig. 101) le faisceau longitudinal postérieur (FLP), le faisceau retro-fïex (FRF) et le faisceau tegmento-thalamiq
eau longitudinal postérieur (FLP), le faisceau retro-fïex (FRF) et le faisceau tegmento-thalamiquc (CAO) se confondent, en appar
Lm. La lamina medialis (fig. 98) n'est plus représentée que par son faisceau supérieur, accolé à la partie interne du noyau ro
sversale montrant la division du fasciculus retroflexus (FRF) en deux faisceaux , l'un situé en dedans de la lamina medialis de Re
est toujours située, d'une part, au-dessous du noyau rouge (NR) et du faisceau cérébello-thalamique (CEO), et, d'autre part, au-
noyau lenticulaire (ANL). Nous avons vu s'amincir progressivement le faisceau cérébello-thalamique (CEO) au fur et à mesure qu'
ibres à la lame médullaire externe du thalamus (LML). Mais lorsque le faisceau cérébello-thalamique est épuisé, un autre le remp
sceau cérébello-thalamique est épuisé, un autre le remplace (NL) : le faisceau latéral du noyau rouge de la calotte, au-dessous
rapport, toutefois, n'est que très passager, car dès l'apparition du faisceau latéral du noyau rouge (NL), on voit aussi s'insi
g. 101). Nous avons signalé déjà précédemment ses connexions avec les faisceaux de la région. CAO. Le faisceau tegmento-thalami
récédemment ses connexions avec les faisceaux de la région. CAO. Le faisceau tegmento-thalamique (fig. 98, 99 et suiv.) recouv
perposé dans une bonne partie de la convexité interne de celui-ci. Ce faisceau , dirigé d'arrière en avant, comme en témoigne sa
. 101, CAO), où il n'est séparé de la cavité ventriculaire que par le faisceau longitudinal postérieur (FLP) et le fasciculus re
troflexus (FRF). A ce niveau il s'entre-croisc avec ces deux derniers faisceaux , ainsi que nous l'avons déjà signalé. Il arrive e
flexus (FRF). En dehors, il s'étend d'arrière en avant au-dessus du faisceau rubro-thalamiquc (NL) qui, lui, est dirigé de ded
ons apparaître sur la deuxième coupe de la planche actuelle. NL. Le faisceau rubro-thalamique représente l'ensemble des fibres
de la concision et de la précision, si l'on veut bien admettre que le faisceau ainsi baptisé est constitué exclusivement par des
et non pas d'une autre partie de la région de la calotte. Lorsque le faisceau cérébello-thalamique, venu du pédoncule cérébelle
r (Pcs) qui y avaient pénétré. Ces fibres (NL) font suite à celles du faisceau cérébello-thalamique (CEO) dans le Pcs, le pédo
lamique (CEO) dans le Pcs, le pédoncule cérébelleux supérieur; CEO, faisceau céréhello-t hala m i qu e ne pénétrant pas dans
oyau rouge; TEC, le tegnientum avec la lamina teg- menti\ FLP, le faisceau longitudinal postérieur; FIïF, section transversa
érieur; FIïF, section transversale du fasciculus retroflexus ; CAO. faisceau tegmento-thalamique. pied de la couronne rayonn
s suivent le môme trajet sur un plan antérieur. Elles ne diffèrent du faisceau cérébello-thalamique que parce qu'elles ont pénét
e que parce qu'elles ont pénétré dans le noyau, tandis que ce dernier faisceau a simplement côtoyé le noyau rouge. Les fibres la
passent au devant du noyau rouge (fîg. 102), le tegmentum (TEC) et le faisceau rubro-thalainiquc se confondent. Nous ne saurions
pparente ou réelle. Il est vraisemblable qu'elle est réelle. FM. Le faisceau de Turck-Meynert (fîg. 1)7) est encore reconnais-
re. La direction de ses fibres est, là encore, différente de celle du faisceau pyramidal (FP). FP. Le faisceau pyramidal (fîg.
, là encore, différente de celle du faisceau pyramidal (FP). FP. Le faisceau pyramidal (fîg. 98, 99) entre d'emblée dans la ca
ns des stries rectilignes indique que ses Projection horizontale du faisceau riihro-thalamique (iN'L), à sa sortie du noyau ro
ire et y pénètrent. En (in, en dedans (fig. 100), il est borné par le faisceau géniculé (FG) dont les fibres foncées, antéro-pos
ibres foncées, antéro-postérieures, le repoussent en dehors. FG. Le faisceau géniculé, en effet, à mesure que les coupes devie
sque totalité du pied du pédoncule. Sur la coupe 102, par exemple, le faisceau pyramidal n'est représenté sur la surface de se
ion que par une bandelette de 2 millimètres au maximum, tandis que le faisceau géniculé occupe, avec l'anse du noyau lenticulair
ncule. Sur cette môme coupe (102), les fibres foncées représentent le faisceau géniculé; les fibres claires représentent l'anse
ètre dans la substance grise de l'espace perforé postérieur. MF. Le faisceau capsulaire, que nous avons vu apparaître sur les
'on voit que la coupe vertico-transver-sale (100) n'intéresse plus le faisceau pyramidal (FPj, mais seulement le faisceau génicu
(100) n'intéresse plus le faisceau pyramidal (FPj, mais seulement le faisceau géniculé (FG), et l'anse du noyau lenticulaire (A
02) dont il emprunte la forme. C'est môme à la présence des fibres du faisceau capsulaire que le discus lentiformis doit sa colo
face supérieure du discus lentiformis, ce qui semble démontrer que le faisceau capsulaire aborde le ganglion par sa face supérie
sa face supérieure. On est assez mal renseigné sur les connexions du faisceau et du ganglion (nous venons de dire que la région
été appelée par Forci zona incerta). Ce qui est certain, c'est que le faisceau capsulaire sépare ici le corps de Luys (DL) du fa
c'est que le faisceau capsulaire sépare ici le corps de Luys (DL) du faisceau rubro-thalamique (NL). BSO. La bandelette sous-
t toujours sectionnée de façon à se présenter sur les coupes comme un faisceau à direction postéro-antérieure. Mais il est disso
squ'elles prennent, un peu plus en avant (fig. 102), l'apparence d'un faisceau compact (ThI). ce faisceau est placé en dehors de
plus en avant (fig. 102), l'apparence d'un faisceau compact (ThI). ce faisceau est placé en dehors de la bandelette sous-optique
placera à sa partie externe. Sur la figure 101 on voit une partie du faisceau foncé (BSO) s'épuiser dans la queue du noyau caud
e nous voyons apparaître pour la première fois sur la coupe 99 est un faisceau dont le trajet est fort compliqué; mais il est po
es comparant avec les coupes horizontales. Nous dirons d'abord que ce faisceau appartient à trois régions bien distinctes : 1° l
e inférieure du thalamus s'enchevêtrent, à leurs extrémités, avec les faisceaux adjacents; c'est en outre que cette racine n'est
s; c'est en outre que cette racine n'est pas, à proprement parler, un faisceau , mais une lame de fibres, excessivement mince dan
ion de la racine inférieure du thalamus. Avant d'étudier ce dernier faisceau sur la coupe 99 où nous l'avons vu apparaître, no
(voy. les lignes 101 et 102 sur le schéma 155). On voit aussi que ce faisceau , de forme triangulaire (fig. 102) est situé au-de
dedans vers le pied de la couronne rayonnante, représenté ici par le faisceau pyramidal (FP) et le faisceau géniculé (FG). Mais
ronne rayonnante, représenté ici par le faisceau pyramidal (FP) et le faisceau géniculé (FG). Mais elle passe au-dessous de ces
(FP) et le faisceau géniculé (FG). Mais elle passe au-dessous de ces faisceaux , au-dessus de la bandelette optique (BO, fig. 101
TRI. Le trigone cérébral, fig. 98 (voy. pl. XXIV et XXV). FSe. Le faisceau sensitif externe (fig. 99, 100, 101, 102) se dist
très caractéristique représenté sur ces figures : la teinte foncée du faisceau sensitif externe se confond peu à peu avec la tei
tif externe se confond peu à peu avec la teinte foncée du putamen. Le faisceau sensitif externe abandonne donc des fibres au put
e (BO). Il représente, au voisinage du pied du pédoncule, en avant du faisceau de Türck-Meynert, le faisceau sensitif interne qu
inage du pied du pédoncule, en avant du faisceau de Türck-Meynert, le faisceau sensitif interne que nous avons déjà longuement d
les coupes vertico-transversaies, il est très facile de savoir si les faisceaux capsulaires qu'on a sous les yeux appartiennent a
n (PUT) et le globus pallidus (GLP, fig. 100), il est certain que les faisceaux capsulaires sectionnés appartiennent au segment p
e les trois noyaux (putamen, globus pallidus et globus medialis), les faisceaux capsulaires sectionnés appartiennent à une région
immédiatement en arrière du pilier descendant du trigone (DF), les faisceaux sectionnés appartiennent au genou. Quand la cou
pilier du trigone, à travers la commissure antérieure (CA, 124), les faisceaux capsulaires appartiennent au segment antérieur. E
ous l'avons dit, à sa pénétration par les fibres les plus externes du faisceau sensitif externe (FSe). Cette teinte s'accuse enc
ous la scissure de Sylvius; celte coloration appartient aux libres du faisceau parallèle. PAR. Le faisceau parallèle (fig. 98
lte coloration appartient aux libres du faisceau parallèle. PAR. Le faisceau parallèle (fig. 98 et suiv.) provient de la premi
ou cinquième circonvolutions temporales; il est donc véritablement le faisceau du sillon parallèle; il prend ses insertions post
postérieures dans la substance grise qui double ce sillon. ARC. Le faisceau arqué (fig. 98) est dédoublé dans la région du ce
98) est dédoublé dans la région du centre ovale. Nous savons que son faisceau accessoire (FP') est l'expansion supérieure du fa
avons que son faisceau accessoire (FP') est l'expansion supérieure du faisceau pyramidal au moment où celui-ci émerge de la caps
98, 99) termine en dessous et en dehors de la couche optique tous les faisceaux de la calotte que nous avons énuinérés : la lamin
otte que nous avons énuinérés : la lamina tegmenti (LTE, fig. 98), le faisceau rubro-thalamique (ML), le faisceau teg-mento-thal
lamina tegmenti (LTE, fig. 98), le faisceau rubro-thalamique (ML), le faisceau teg-mento-thalamique (CAO), et môme le faisceau l
o-thalamique (ML), le faisceau teg-mento-thalamique (CAO), et môme le faisceau longitudinal postérieur (FLP). Mais il faut admet
postérieur (FLP). Mais il faut admettre que les deux premiers de ces faisceaux , c'est-à-dire la lamina tegmenti et le faisceau r
deux premiers de ces faisceaux, c'est-à-dire la lamina tegmenti et le faisceau rubro-thalamique se terminent ou plutôt poursuive
plutôt poursuivent leur trajet dans la capsule interne (CID) avec le faisceau cérébcllo-thalamique (CEO, fig. 100 et 101), qu'i
e. RJNC. La couronne rayonnante du noyau caudé (fig. 97). FCF. Le faisceau compact du fornix (fig. 101). FDF. Le faisceau
(fig. 97). FCF. Le faisceau compact du fornix (fig. 101). FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 99). Cin. Le cingulum (f
u diffus du fornix (fig. 99). Cin. Le cingulum (fig. 101). CO. Le faisceau du centre ovale (fig. 102). FLI. Le faisceau lo
m (fig. 101). CO. Le faisceau du centre ovale (fig. 102). FLI. Le faisceau longitudinal inférieur (fig. 97). PLANCHE XXVII
perforé postérieur (EPP). L'espace perforé est toujours limité par le faisceau le plus interne du pédoncule ou anse du noyau len
ule ou anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 104). Plus en avant, les faisceaux blancs du pédoncule se placent au contact de la s
ont il forme la voûte, est longé en dehors par les fibres blanches du faisceau sous-optique (BSO). Il n'est pas immédiatement pé
e à sa partie inférieure et externe les fibres antéro-postérieures du faisceau sensitif externe qui renforcent, sa coloration. C
ieures du faisceau sensitif externe qui renforcent, sa coloration. Ce faisceau sensitif externe (FSe, fig. 107) en est cependant
05, 107). Le globus medialis (fig. 105) est abordé directement par le faisceau pyramidal, qui le pénètre de bas en haut et de de
bas en haut et de dedans en dehors. Plus en avant (fig. 106), le même faisceau semble s'enfoncer dans la capsule interne (CI) sa
vant, il s'insinue de nouveau dans le globus medialis. Les fibres des faisceaux capsulaires qui semblent ainsi éviter le noyau le
insi éviter le noyau lenticulaire n'appartiennent probablement pas au faisceau pyramidal. Elles font partie du système de l'anse
ultérieurement. Il est possible également que, tout en appartenant au faisceau pyramidal, elles suivent un trajet intra-capsulai
t à sa face inférieure, adhérente à la masse de la couche optique, le faisceau de Vicq-d'Azyr (FVA, fig 108, voy. plus loin).
tion antéro-posté-rieure. Elles vont se placer à la partie externe du faisceau de Yicq-d'Azyr (FVA). Ainsi les fibres corticales
s venues de la région de la calotte, en particulier par les fibres du faisceau capsulaire (MF, fig. 108) dont l'extrémité supéri
orps genouillé externe, le putamen offrent un agencement analogue des faisceaux qui les abordent sur les différentes parties de l
lentiformis (le disais lentiformis n'est plus désigné ici que par le faisceau capsulaire (MF, 104, 105, 106) qui vient y épuise
foncée, ce qui tient à la présence des libres antéro-postérieiires du faisceau capsulaire (MF) qui s'y termine (fig. 104, 105, 1
tiennent surtout, sinon exclusivement, à la lamina tegmenti (LTE). Ce faisceau , toutefois, ne s'épuise pas totalement dans le co
transversales de la protubérance. Il est traversé obliquement par les faisceaux de l'anse du noyau lenticulaire (AjNL), qui vont
ivement par les fibres les plus internes du pied, c'est-à-dire par le faisceau géniculé CFG) et l'anse du noyau lenticulaire (AN
isceau géniculé CFG) et l'anse du noyau lenticulaire (ANL). CEO. Le faisceau cérébello-thalamique, que nous avons vu se confon
gent d'avant en arrière entre le thalamus et la capsule interne. Le faisceau longitudinal postérieur (FLP, voy. pl. XXVII) n'e
mme nous l'avons vu, d'une part, dans la couche optique, au-dessus du faisceau tegmento-thalamique (CAO, fig. 101), d'autre part
vrait le chercher dans la substance grise qui recouvre, en dedans, le faisceau tegmento-thalamique (CAO). RFP. La radiatio fas
radiatio fasciculi posterions se prolonge, en avant, plus loin que le faisceau longitudinal postérieur d'où elle émane. On la vo
le tubercule mamillaire (fig. 108) n'est représenté que par le petit faisceau descendant du pilier antérieur (DF) se réfléchiss
et qui peuvent être considérées comme l'épanouissement terminal de ce faisceau . D'autre part, il est vraisemblable que les lames
te façon, il est légitime de décrire le fascicuîus rctroflex comme un faisceau croisé. Il resterait à déterminer d'une manière p
cus niger où elle forme le stratum inter-medium, est réduite ici à un faisceau de très petit calibre dirigé d'avant en arrière,
rise de l'espace PV, pont de Varole ; TM, tubercule mamillaire; FP, faisceau pyramidal dans le pied du pédoncule gauche (vu à
ces fibres, en partie recouvertes par l'anse du noyau lenti- Fl\ Le faisceau pyramidal (fig. 105, 106) est sectionné au-dessus
mme les coupes vertico-transversales en font foi d'autre part, que ce faisceau , avant de se terminer dans la substance grise de
ieur, glisse en dehors du ganglion inlerpédonculaire (GIP). CAO. Le faisceau tegmento-thalamique, repoussé en haut et en dedan
rtie inférieure du noyau thalamiquc interne, dans l'angle rentrant du faisceau de Vicq-d'Azyr (FYA) et du faisceau rubro-thalami
interne, dans l'angle rentrant du faisceau de Vicq-d'Azyr (FYA) et du faisceau rubro-thalamique (NL). NL. Les fibres externes
es s'y sont à peu près complètement épuisées, il en reste toujours un faisceau plus antérieur (fig. 106, 107, NL), superposé au
é au discus lentiformis, et qui se mêle finalement avec les fibres du faisceau d'Arnold. Projection horizontale du faisceau py
ent avec les fibres du faisceau d'Arnold. Projection horizontale du faisceau pyramidal (KP) pénétrant dans le globus medialis
ans le globus medialis (GLM). Les libres les plus antérieures de ce faisceau reviennent sur elles-mêmes. GLP, globus pallidu
ent sur elles-mêmes. GLP, globus pallidus. sente seulement par le faisceau géniculé et l'anse du noyau lenticulaire (FG et A
comme s'il avait dépassé le sommet de ce noyau (schéma 159). FG. Le faisceau géniculé, représenté par les stries foncées de la
hA) et le noyau lenticulaire GLM (fig. 108). En effet, à ce niveau le faisceau géniculé descend d'une région assez élevée de la
ntérieure de la protubérance. Le mélange de ses fibres avec celles du faisceau géniculé est moins intime; elle occupe, à elle to
toute seule, le pied du pédoncule (fig. 107, 108, ANL), tandis que le faisceau géniculé passe au-dessus d'elle dans la capsule i
, croisant à angle presque droit la lamina tegmenli (LTE), lorsque ce faisceau vient s'épuiser dans cette masse ganglionnaire et
l pour s'insinuer sous le noyau lenticulaire du corps strié. MF. Le faisceau capsulaire (fig. 105), encore compact vers le bor
s lentiformis n'existe plus. Mais en même temps, on s'aperçoit que ce faisceau s'étale en largeur, de dedans en dehors, vers la
ur vers la substance grise de la couche optique. Sur la coupe 108, le faisceau rubro-thalamique (qui était encore visible sur la
(schéma 160). Il empochait en quelque sorte l'expansion verticale du faisceau capsulairc. Dorénavant celui-ci s'éta- Projecti
ceau capsulairc. Dorénavant celui-ci s'éta- Projection sagittale du faisceau capsulairc (MF). Ce faisceau est limité en lian
ui-ci s'éta- Projection sagittale du faisceau capsulairc (MF). Ce faisceau est limité en liant par le faisceau latéral des l
du faisceau capsulairc (MF). Ce faisceau est limité en liant par le faisceau latéral des libres de la calotte (faisceau îiibro
est limité en liant par le faisceau latéral des libres de la calotte ( faisceau îiibro-tha-lamique (NL), au-dessous duquel il s'e
la partie la plus inférieure du thalamus. La portion supérieure de ce faisceau restera la plus compacte dans son trajet d'arrièr
dans son trajet d'arrière en ayant. On peut ainsi concevoir que le faisceau capsulairc (MF) est un ensemble de fibres venues
ec quelque précision de quelle partie de la couche optique descend le faisceau capsu-laire. Nous ne pourrions être très précis à
on que nous avons pris la liberté d'appeler cet ensemble de fibres le faisceau capsulairc (MF). Si le faisceau capsulairc vien
d'appeler cet ensemble de fibres le faisceau capsulairc (MF). Si le faisceau capsulairc vient au discus lentiformis de la régi
es stries qui, même à l'état frais, divisent en fascicules isolés les faisceaux du segment postérieur delà capsule. Le faisceau c
ascicules isolés les faisceaux du segment postérieur delà capsule. Le faisceau capsulairc traverse donc la capsule de dedans en
probablement jusqu'à l'écorce cérébrale. A sa partie inférieure le faisceau capsulairc affecte des rapports étroits avec la l
Th) en formant la racine antérieure de la couche optique (ThA), et le faisceau d'Arnold (AU). Le segment postérieur est consti
psule externe; NC, noyau caudé ; NCC, queue du noyau caudé; ES. faisceau sensitif interne. conlinuation des tibrcs les p
if interne. conlinuation des tibrcs les plus externes de ce dernier faisceau ; les fibres internes de la lamina tegrnenti se te
ur des coupes plus antérieures, les fibres antérieures et internes du faisceau capsulairc (MF) se jeter dans la substance grise
tout ce qui précède, n'est donc pas constituée par un seul et unique faisceau , disposé en lamelle à la périphérie de la couche
on de laquelle participent successivement d'arrière en avant tous les faisceaux que nous avons vus émerger de la région de la cal
cule cérébelleux supérieur ne traversant pas le noyau rouge (Pcs); le faisceau rubro-thalamiquc (NL); YM. ventricule moyen; SG
udé; NLe, noyau lenticulaire; ThA, racine antérieure du thalamus; AR, faisceau d'Arnold ; NL, fibres latérales du noyau rouge de
aisceau d'Arnold ; NL, fibres latérales du noyau rouge de la calotte ( faisceau rubro-thalamique) ; CEO, faisceau cérébello-thala
rales du noyau rouge de la calotte (faisceau rubro-thalamique) ; CEO, faisceau cérébello-thalamique ; MF, faisceau médullaire de
faisceau rubro-thalamique) ; CEO, faisceau cérébello-thalamique ; MF, faisceau médullaire de la calotte (appartenant à la zona i
partenant à la zona incerla, voy. ce mot); LTE, lamina tegmenti; CAO, faisceau tegmento-thalamique; Lmd, lamina lateralis. ou fi
ule interne de l'hémisphère droit, occupé, sur le côté gauche, par le faisceau d'Arnold (AU) et par la racine antérieure du thal
eau d'Arnold (AU) et par la racine antérieure du thalamus (ThA). le faisceau cérébello-thalamique (CEO); le faisceau tegmento-
ieure du thalamus (ThA). le faisceau cérébello-thalamique (CEO); le faisceau tegmento-thala-inique (CAO); la lamina tegmcnli (
sceau tegmento-thala-inique (CAO); la lamina tegmcnli (LTE); enfin le faisceau capsulairc (MF). Mais la lame médullaire externe
tale dans la région thalamique inférieure montrant la pénétration des faisceaux de la calotte dans la capsule interne et la couch
du genou delà capsule (Gci), elle est représentée par deux nouveaux faisceaux qui vont être étudiés un peu plus loin : le faisc
r deux nouveaux faisceaux qui vont être étudiés un peu plus loin : le faisceau d'Arnold (AU) et la racine antérieure du thalamus
pourra être envisagée comme un noyau presque absolument isolé par des faisceaux de substance blanche étalés en lames à sa surface
hme de substance grise sus-jacent au noyau rouge de la calotte. Les faisceaux que nous avons passés en revue jusqu'ici et qui c
de là, ils sont accolés aux fibres du pied du pédoncule. En avant du faisceau capsulaire (MF), se trouve le genou de la capsule
ticulaire (NL). Ces fibres sont précisément celles qui vont former le faisceau d'Arnold (AR) et la racine antérieure de la couch
absolument exacte la disposition (représentée sur le schéma 163) des faisceaux qui participent à la formation de la lame médul
la formation de la lame médullaire externe de la couche optique. Ces faisceaux , en effet, ne sont pas rangés dans un ordre si pa
ent pas avec la régularité presque mathématique que Imbrication des faisceaux du teginentuin (TEC), et du faisceau capsulaire (
hématique que Imbrication des faisceaux du teginentuin (TEC), et du faisceau capsulaire (MF), autour du thalamus (Th). où ils
). comporte une figure destinée à une démonstration. En réalité les faisceaux sont constitués par des lamelles imbriquées. Les
e thalamus; tous rayonnent en partie dans la capsule interne. Mais le faisceau capsulaire (MF) est celui qui se distingue le plu
ne antérieure de la couche optique, située immédiatement au-dessus du faisceau capsulaire (MF, fig. 108), est une masse converge
ajet, elles deviennent franchement antéro-postérieures, au contact du faisceau de Vicq-d'Azyr (FVA). Ce changement de direction
gement de coloration qu'on peut constater à la partie interne du môme faisceau sur les coupes 107 et 108. — Sur certaines coupes
res de la racine antérieure de la couche optique se continuer avec le faisceau tegmento-thalamiquc (CAO). La grande épaisseur
iquc (CAO). La grande épaisseur verticale de cette superposition de faisceaux lamellaires, auxquels on a donné le nom de racine
ue, ne permet pas de considérer un pareil ensemble de fibres comme un faisceau proprement dit. Il y aurait des divisions à établ
coupes un peu plus antérieures, est manifestement décomposée en deux faisceaux tout à fait distincts et parfaitement reconnaissa
isceaux tout à fait distincts et parfaitement reconnaissablcs : 1° un faisceau inférieur ou faisceau d'Arnold (pl. XXIX, fig. 10
stincts et parfaitement reconnaissablcs : 1° un faisceau inférieur ou faisceau d'Arnold (pl. XXIX, fig. 109, AR); 2° un faisceau
isceau inférieur ou faisceau d'Arnold (pl. XXIX, fig. 109, AR); 2° un faisceau supérieur, auquel on peut réserver la dénominat
ent accolée à la queue du noyau caudé situé au-dessous d'elle, est un faisceau bien compact, au milieu duquel on distingue des s
oupes précédentes sa teinte foncée (101, 102), cela tient à ce que ce faisceau n'est pas une lamelle ininterrompue. Elle est div
dernière coupe on notera l'apparition de l'extrémité supérieure de ce faisceau , à la face interne de la couche optique, en Sch
escendant de la voûte aboutissant au tubercule mamillaire (TM).— FVA, faisceau de Vicq-d'Azyr émergeant du tubercule mamillaire
les extrémités inférieure et supérieure de cette racine. dedans du faisceau de Yicq-d'Azyr (FVA). A sa coloration on devine q
ilier descendant du trigone aboutissant au tubercule mamillaire; FVA, faisceau de Vicq-d'Azyr remontant du tubercule mamillaire
ns cette dernière portion de son trajet, elle est située en dehors du faisceau descendant du fornix (DF), en dedans du faisceau
située en dehors du faisceau descendant du fornix (DF), en dedans du faisceau de Vicq-d'Azyr (FVA); finalement elle se recourbe
Ces dernières toutefois sont loin de constituer, dans la réalité, un faisceau aussi compact. thalamus, et y croise les fibres
i compact. thalamus, et y croise les fibres les plus antérieures du faisceau de Vicq-d'Azyr, en s'épuisant peu à peu dans la s
tendu que pour passer à la partie postérieure de l'espace perforé, le faisceau (Thl) décrit encore une courbe à convexité antéri
e cette disposition. CA. La commissure antérieure (fig. 107) est un faisceau cornmis-sural qui réunit les troisième et quatriè
thalamus, puis sous le noyau lenticulaire; jusque-là elles forment un faisceau parfaitement homogène et compact, tordu sur son a
ui les séparent du noyau amygdalien, pénètrent avec ces deux derniers faisceaux dans la paroi supérieure du ventricule sphénoïdal
g. 106). C'est seulement sur la figure 107 qu'on trouve de nouveau un faisceau compact (CA) appartenant à la commissure antérieu
eure. Il est situé entre la racine inférieure du thalamus (Thl) et le faisceau sensitif externe (FSe). Puis, sur la figure 108,
TRI. Le trigone cérébral (fig. 104). Voy. pl. XXIV et XXV. FSe. Le faisceau sensitif externe (fig. 107), réduit à une toute p
la substance grise du claustrum même. On peut reconnaître ici que ce faisceau se confond, par sa teinte foncée, avecl'avant-mur
03, 108), étendu sous le noyau lenticulaire, fait suite, en avant, au faisceau sensitif interne. Ce dernier, que nous avons vu p
sième circonvolution temporale. On pourrait donc aussi bien le nommer faisceau de la troisième circonvolution temporale. Il appa
es du noyau lenticulaire (PUT, CLP, GLM); elle contient les fibres du faisceau pyramidal (FP) et du faisceau géniculé (FG). Mais
CLP, GLM); elle contient les fibres du faisceau pyramidal (FP) et du faisceau géniculé (FG). Mais en outre on voit, à son extré
lenticulo-caudées (LCF), un grand,nombre de ces libres rejoignent le faisceau de l'anse (ANL), au niveau du [lied du pédoncule
se mélanger, dans la partie interne de la capsule, avec les fibres du faisceau géniculé (FGr) et de l'anse du noyau lenticulaire
là, elles gagnent le bord interne du pédoncule avec ces deux derniers faisceaux . Mais si telle est leur direction, facile à recon
d'entre elles, au lieu d'aborder le pédoncule directe nient avec le faisceau géniculé (FG) et le faisceau de l'anse (ANL), pre
der le pédoncule directe nient avec le faisceau géniculé (FG) et le faisceau de l'anse (ANL), prennent, avant d'y arriver, un
oration des unes et des autres est la même. Plus en avant, lorsque le faisceau des fibres pédonculaircs se portera presque direc
st donc absolument logique d'admettre que si le noyau caudé envoie au faisceau de l'anse des fibres qui ne traversent pas le n
ig. 106), renforcée à sa partie inférieure par les fibres externes du faisceau sensitif externe (FSe, fig. 107, 108), envoie un
envoie un prolongement au-dessous du putamen, en dedans de ce dernier faisceau (fîg. 107, 108). Le prolongement en question ar
lamelle de la capsule externe, continue avec celte capsule; c'est un faisceau simplement détaché de cette capsule; sur la coupe
des colorations foncées qui démontrent qu'elle fournit des fibres au faisceau arqué (ARC, fig. 104) et au faisceau parallèle (P
nt qu'elle fournit des fibres au faisceau arqué (ARC, fig. 104) et au faisceau parallèle (PAR, fig. 105). A part cela, elle repr
s le système d'association des circonvolutions de l'insula. PAR. Le faisceau parallèle (fig. 105) se confond, en apparence, av
R. Le faisceau parallèle (fig. 105) se confond, en apparence, avec le faisceau sensitif externe. Sur la coupe 108 on voit, en de
dehors de la capsule externe, à l'angle inférieur du putamcn, un gros faisceau antéro-postéricur, où semblent se mélanger les fi
ros faisceau antéro-postéricur, où semblent se mélanger les fibres du faisceau parallèle, du faisceau sensitif externe et même d
téricur, où semblent se mélanger les fibres du faisceau parallèle, du faisceau sensitif externe et même de la commissure antérie
aître que celte fusion de fibres ne s'étend pas plus loin; chacun des faisceaux garde son indépendance. ARC. Le faisceau arqué
pas plus loin; chacun des faisceaux garde son indépendance. ARC. Le faisceau arqué (fig. 105,104), nédansl'écorce de l'opercul
dentes; nous ferons seulement remarquer qu'il est situé au-dessous du faisceau pariéto-fronlal (FPF, fig. 105, 108), connue il l
i ne varie jamais. Sur certains points il semble se confondre avec le faisceau pariéto-frontal; mais c'est le fait du croisement
l; mais c'est le fait du croisement réciproque des fibres de ces deux faisceaux , attendu que le faisceau pariéto-frontal (FPF) es
roisement réciproque des fibres de ces deux faisceaux, attendu que le faisceau pariéto-frontal (FPF) est un faisceau d'associati
deux faisceaux, attendu que le faisceau pariéto-frontal (FPF) est un faisceau d'association entre le lobule pariétal inférieur
iétal inférieur et la première circonvolution frontale, tandis que le faisceau arqué est un faisceau de projection destiné en gr
première circonvolution frontale, tandis que le faisceau arqué est un faisceau de projection destiné en grande partie à la forma
a formation de la capsule interne et de la capsule externe. FPF. Le faisceau pariéto-frontal (fig. 103) est accolé à la deuxiè
celte circonvolution se complique. 11 est immédiatement au-dessus du faisceau arqué (ARC). Cin. Le cingulum (fig. 105) garde
le môme volume. Ses rapports, en tout cas, ne varient pas. FCF. Le faisceau compact du fornix (fig. 105) nous offre ici une c
lles s'épuisent donc, à leur tour, dans la substance grise. FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 105) présente les mêmes va
e couche se confondre insensiblement avec les parties sombres du môme faisceau sur des coupes toutes voisines (105, 108). CO.
du môme faisceau sur des coupes toutes voisines (105, 108). CO. Le faisceau du centre ovale (fig. 105, voy. pl. XXV). FLI.
CO. Le faisceau du centre ovale (fig. 105, voy. pl. XXV). FLI. Le faisceau longitudinal inférieur (fig. 104), sous-jacent au
dont nous avons antérieurement parlé à plusieurs reprises. FVA. Le faisceau de Vicq-d'Azyr, qu'on distingue dans tout son dév
stingue dans tout son développement vertical sur la coupe 108, est ce faisceau blanc, Disposition hélicoïdale du faisceau de V
sur la coupe 108, est ce faisceau blanc, Disposition hélicoïdale du faisceau de Vicq-d'Azyr (FVA). Il remonte vers le tuberc
e optique (NaC). On le voit apparaître sur la coupe 105 au-dessous du faisceau rubro-thalamique. Il n'est séparé de la cavité ve
ons dans un instant la raison de la coloration spéciale de ce dernier faisceau . En bas et en dedans, le faisceau de Vicq-d'Azy
coloration spéciale de ce dernier faisceau. En bas et en dedans, le faisceau de Vicq-d'Azyr semble naître par deux origines de
ventricule (fig. 108). Il existe bien, en réalité, deux origines à ce faisceau , mais la double origine n'est pas dans la substan
sur la coupe 109 de la planche suivante (pl. XXIX, fig. 109, TM). Le faisceau d'origine le plus interne fait suite au pilier an
ne le plus interne fait suite au pilier antérieur du trigone (DF). Le faisceau d'origine externe naît de la substance grise dans
naire qu'on appelle noyau postéro-externe du tubercule mamillaire. Ce faisceau externe, comme on le verra à l'occasion de la cou
nt la paroi inférieure est formée par letapetum (TAP, iîg. 114) et le faisceau longitudinal inférieur (FLI); sa paroi supérieure
ndépendantes. Nous en aurons une preuve plus évidente en étudiant les faisceaux blancs de cette région (voy. BSO, pl. XXIX). Su
s dit à plusieurs reprises, des fibres transversales du tapetum et du faisceau longitudinal inférieur. Dans l'étendue du noyau
LA, fig. 110). C'est dans l'intimité même du globus accessoire que le faisceau géniculé (FG, fig. 113), venu de la capsule inter
aC. Le noyau antérieur du thalamus (fig. 109, 110, 112,113) reçoit le faisceau de Vicq-d'Azyr (FVA, fig. 109) par sa face inféri
um zonale (ZS, fig. 110) dont les fibres se confondent avec celles du faisceau de Yicq-d'Azyr, pour lui constituer une sorte de
ame médullaire externe (LML, fig. 111); en dedans il est borné par le faisceau de Vicq-d'Azyr, qui forme, ainsi que nous l'avons
9), divisé au niveau de son extrémité antérieure, est remplacé par le faisceau capsulaire (MF) sur les cinq dernières coupes de
utit au lunercule mamillaire homonyme, et que de ce dernier part un faisceau compact qui se jette dans le ganglion antérieur d
8 vînt proéminer à la surface de la substance grise (schéma 170). Le faisceau remontant (FVA) est cependant loin de représenter
; 8, fibres du pilier formant la capsule blanche du tubercule; 9, faisceau de Vicq-d'Azyr, sorti du tubercule antérieur (4)
9, faisceau de Vicq-d'Azyr, sorti du tubercule antérieur (4) ; 10, faisceau croisé ou racine croisée du pilier du trigone ;
10, faisceau croisé ou racine croisée du pilier du trigone ; 11, faisceau du tubercule antérieur du thalamus se terminant d
thalamus se terminant dans la région antérieure de la calotte; — 12, faisceau du noyau externe se continuant avec la couche de
rrêter, ni au ganglion interne ni au ganglion externe. Enfin un autre faisceau (10) coupé transversalement sur le schéma 171, s'
lement sur le schéma 171, s'entre-croise sur la ligne médiane avec un faisceau homonyme du côté opposé (racine croisée du pilier
entes se répartiraient de la façon suivante : La plus grande masse du faisceau de Vicq-d'Azyr (9) sortirait du noyau antérieur e
irait du noyau antérieur et interne. Du même noyau partirait un petit faisceau dirigé d'avant en arrière (5) qui se perdrait dan
ait dans la région la plus antérieure et inférieure de la calotte. Un faisceau plus volumineux (12) et situé plus haut, émané du
t, parallèlement au précédent, une direction descendante au milieu du faisceau moyen de la calotte, qu'il accompagnerait jusque
e Reil. Enfin, du ganglion antérieur et interne proviendrait un petit faisceau défibres (15) dirigées en avant, en bas et en deh
ait dans la substance grise de l'espace perforé antérieur. Ce dernier faisceau pourrait s'appeler pédoncule antérieur du tubercu
corps genouillé externe, à l'extrémité de la bandelette optique; FG, faisceau géniculé formant le bord le plus interne du pied
départ, il rencontre la commissure antérieure qui, sous la forme d'un faisceau compact, suit la face inférieure du putamen, d'av
112, 113) se rapproche progressivement de la ligne médiane. FG. Le faisceau géniculé (fig. 111) est tout ce qui reste du pied
au géniculé (fig. 111) est tout ce qui reste du pied du pédoncule. Le faisceau de Turck-Meynert, en effet, a disparu dans le lob
u de Turck-Meynert, en effet, a disparu dans le lobe occipital, et le faisceau pyramidal qu'on distinguait encore sur la coupe 1
es autres éléments de ce gros tronçon fibreux est inextricable). — Le faisceau géniculé se comporte d'ailleurs, à son entrée dan
n entrée dans la capsule interne, comme nous avons vu se comporter le faisceau pyramidal un peu plus en arrière (voy. pl. XXVIÍÍ
e contourner le globus medialis. — D'autre part, nous avons vu que le faisceau géniculé se confond en partie, dans la région int
nticulaire (ANL). Ce qui les différenciait, c'était que les fibres du faisceau géniculé étaient antéro-postérieures et foncées,
t obliques ou transversales et claires. Ici l'isolement de chacun des faisceaux commence à se manifester d'une manière évidente (
sceaux commence à se manifester d'une manière évidente (fig. 113). Le faisceau géniculé aborde le noyau lenticulaire et la capsu
u noyau lenticulaire remonte en dedans et d'arrière en avant, sous le faisceau capsulaire (MF, fig. 113, 114). ANL. L'anse du
qué un peu plus haut le trajet et l'origine (Tmp, fig. 113). MF. Le faisceau capsulaire (fig. 109), dirigé d'arrière en avant
s en avant encore (fig. 113) elles se confondent en apparence avec le faisceau d'Arnold (AR), venu du segment antérieur de la ca
e la capsule interne, mais sans toutefois se mélanger avec ce dernier faisceau . On voit en effet celui-ci se séparer bientôt du
ce dernier faisceau. On voit en effet celui-ci se séparer bientôt du faisceau capsulaire, en formant avec lui (fig. 114) un a
mpose d'un mélange de fibres à peu près inextricables : les fibres du faisceau capsulaire, celles du faisceau d'Arnold, celles d
peu près inextricables : les fibres du faisceau capsulaire, celles du faisceau d'Arnold, celles de la racine antérieure de la co
on de la capsule qui est située en avant du genou, région où tous les faisceaux que nous venons d'énumérer s'entre-croisent; la l
que nous venons d'énumérer s'entre-croisent; la lamina tegmenti et le faisceau capsulaire se dirigent en haut et en dehors; le f
gmenti et le faisceau capsulaire se dirigent en haut et en dehors; le faisceau d'Arnold et la racine antérieure de la couche opt
a couche optique dirigée d'avant en arrière, frêle la face externe du faisceau de Vicq-d'Azyr (FVA, NaC, tubercule ou noyau an
r du thalamus; NeC, tubercule externe; NiC, tubercule interne; FVA, faisceau de Vicq-d'Azyr, venu du tubercule mamillaire (TM)
ieure du thalamus, venue de l'écorce frontale; elle se divise en deux faisceaux : un externe (ThA') qui se perd dans le noyau ext
(ThI). fig. 109). Elle occupe une bonne partie de la hauteur de ce faisceau dans le noyau externe du thalamus (NeC, fig. 110)
le noyau externe du thalamus (NeC, fig. 110). Plus en avant, quand le faisceau de Vicq-d'Azyr est épuisé, ses fibres (fig. 114)
mais elles n'arrivent pas jusqu'à la surface ventrieulaire. AR. Le faisceau d'Arnold consiste d'abord, ainsi que nous l'avons
les coupes sont antérieures, plus s'isolent l'un de l'autre ces deux faisceaux (fîg. 112, 115). Sur la coupe 115 le faisceau d'A
un de l'autre ces deux faisceaux (fîg. 112, 115). Sur la coupe 115 le faisceau d'Arnold forme môme une masse fibreuse très remar
(112), où elles se confondent avec les fibres les plus antérieures du faisceau de Vicq-d'Azyr. Ses fibres antérieures passent de
du faisceau de Vicq-d'Azyr. Ses fibres antérieures passent devant le faisceau de Vicq-d'Azyr et vont se jeter dans la substance
ventricule au-dessus du tubercule (fîg. 114). L'origine corticale du faisceau d'Arnold n'est guère douteuse. On voit sur les co
e. On voit sur les coupes horizontales (pl. XXXVIII, fîg. 1 et 2), le faisceau d'Arnold pénétrer dans la capsule interne, où il
relation avec Pecoree. On peut môme préciser davantage et dire que le faisceau d'Arnold aboutit très probablement à la substance
ntales, plus spécialement de la première et de la deuxième. EVA. Le faisceau de Vicq-d'Azyr (fig. 109) remonte directement de
ond avec le stratum zonalc (ZS) venu du sillon opto-strié. En bas, le faisceau de Vicq-d'Azyr émerge du tubercule mamillaire (TM
n haut, il est média-tement en contact avec l'extrémité inférieure du faisceau capsulaire (MF) ; il n'en est séparé que par les
F) ; il n'en est séparé que par les dernières fibres de projection du faisceau d'Arnold (AR, fig. 109, 110). Il semble même que
ction du faisceau d'Arnold (AR, fig. 109, 110). Il semble même que le faisceau d'Arnold le croise, en se plaçant au-devant de lu
ance grise du troisième ventricule (AR, fig. 113, 114). En dedans, le faisceau de Yicq d'Azyr est croisé par les fibres de la ra
suite à la capsule blanche de ce noyau. Sur la fig. 115 un tout petit faisceau ramifié (FVA) représente l'expansion la plus anté
t faisceau ramifié (FVA) représente l'expansion la plus antérieure du faisceau de Vicq d'Azyr dans le tubercule antérieur. De
ule antérieur. De tout ce qui précède il résulte, en résumé, que le faisceau de Vicq d'Azyr se termine en grande partie dans l
rusquement en bas à une lamelle blanche qui est l'expansion ultime du faisceau longitudinal inférieur (FLI, fig. 112, 113). Au-d
nférieure du thalamus (fig. 109, 110), accolée à la partie interne du faisceau de Vicq d'Azyr, se porte en arrière dans la profo
our aller se perdre en partie dans la capsule externe (CE). FSe. Le faisceau sensitif externe (fig. 114), de plus en plus minc
e. Au niveau de sa pénétration dans le putamen, il représente donc un faisceau de fibres convergentes, auxquelles on a pu donner
RIL. La couronne rayonnante de la base du putamen (fig. 113) est le faisceau le plus compact des irradiations lenticulaires. E
114. La lame blanche qui apparaît et disparaît ainsi pour diviser le faisceau sensitif externe n'est pas une véritable cloison
externe n'est pas une véritable cloison continue; c'est une série de faisceaux blancs, venus de la capsule, mais distants les un
nts les uns des autres, et laissant passer dans leurs intervalles les faisceaux pareillement dissociés du faisceau sensitif exter
passer dans leurs intervalles les faisceaux pareillement dissociés du faisceau sensitif externe (FSe, schéma 178). Sur les cou
Se, schéma 178). Sur les coupes 113, 114 on voit apparaître un gros faisceau compact (FU) accolé à la face externe de la capsu
ule et confondu à son extrémité supérieure avec le claustrum (CL). Ce faisceau — fasciculus uncinatus — semble faire suite au fa
trum (CL). Ce faisceau — fasciculus uncinatus — semble faire suite au faisceau sensitif externe. Il en est cependant bien distin
l est toujours au-dessous et en dehors de la capsule, tandis que le faisceau sensitif externe se termine dans la capsule elle-
psule elle-même. Arrivées dans la capsule, les dernières fibres de ce faisceau , qui sont les plus externes, se terminent, selo
externe (fig. 109) est formée par les fibres les plus inférieures du faisceau arqué (ARC, fig. 112); par les fibres les plus su
aisceau arqué (ARC, fig. 112); par les fibres les plus supérieures du faisceau parallèle ; par la couronne rayonnante du putamen
du lobe frontal. FU. Le fasciculus uncinatus (fig. 115, 114) est un faisceau compact qui apparaît sur les coupes de cette plan
apparaît sur les coupes de cette planche, d'abord Vue de profil du faisceau sensitif externe (FSe) arrivant à la partie posté
ière de Gratiolet (CÀ), se place au contact des fibres inférieures du faisceau sensitif externe (FSe). entremêlé aux fibres de
ent, sectionnées transversalement, les fibres les plus antérieures du faisceau diffus du fornix (FDF). connexion avec les noya
l'on voit par transparence le trajet du fasciculus uncinatus (FU). Ce faisceau nait de l'écorce du pôle sphénoïdal (PS) en avant
ure et une convexité inférieure. Le fasciculus unciriatus est donc un faisceau à fibres convergentes ; ses fibres proviennent de
du lobule de l'hippocampe. Le manche de l'éventail placé en dehors du faisceau sensitif externe, de la commissure antérieure, de
f (schéma 180). Ce qu'il faut ne pas perdre de vue dans l'étude de ce faisceau , c'est sa situation par rapport à la capsule exte
postéro-antérieur au-dessous de la circonvolution limbique. ARC. Le faisceau arqué (fig. 112) devient diffus vers le centre ov
es sont, ici encore, séparées de cette dernière circonvolution par le faisceau pariéto-frontal avec lequel elles paraissent se f
donne issue à un grand nombre de fibres qui semblent se jeter dans le faisceau d'Arnold (AR, fig. 118), mais qui, selon toute vr
un intervalle horizontal qui est l'espace perforé antérieur. FG. Le faisceau géniculé, dont il reste à peine quelques fibres s
il s'agit. ANL. L'anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 115) est un faisceau de fibres transversales, situé immédiatement au-d
alis (GLM). La direction transversale explique la teinte claire de ce faisceau , au moins dans toute la partie qui est sous-jacen
s deviennent foncées ; elles passent ainsi en dessous et en dehors du faisceau géniculé (FG). Puis, quand celui-ci est dépassé e
abord en haut, puis en arrière; elles franchissent donc de nouveau le faisceau géniculé, placées et au-dessus et en dedans de ce
les s'inclinent en bas, en arrière et en dedans, de façon à former le faisceau le plus interne du pédoncule cérébral, limitées e
ceau le plus interne du pédoncule cérébral, limitées en dehors par le faisceau géniculé. Sur cette planche, les coupes passent
e, les coupes passent en avant de l'expansion la plus antérieure du faisceau capsulairc et de la lame médullaire latérale delà
ire latérale delà couche optique (voy. MF et LML, pl. XXIX). Ces deux faisceaux ne figureront donc plus sur les planches suivante
, pont de Varole ; RR; ruban de Reil et sa laine latérale (Lmd) ; FM, faisceau de Tùrck-Meynert; FP, faisceau pyramidal; Lra, la
Reil et sa laine latérale (Lmd) ; FM, faisceau de Tùrck-Meynert; FP, faisceau pyramidal; Lra, lamina medialis de la couche de R
P, région de l'espace perforé postérieur où commence l'irradiation du faisceau longitudinal postérieur; FG, faisceau géniculé; A
ur où commence l'irradiation du faisceau longitudinal postérieur; FG, faisceau géniculé; ANL, anse du noyau lenticulaire. sait
la couche optique (fig. 115 et suiv.) se présente sous l'aspect d'un faisceau très éparpillé au-dessous du tubercule antérieur
térieur du thalamus (NaC). Ce sont les fibres les plus internes de ce faisceau qui se rendent dans cette partie de la couche o
la région sus-jacente au discus lentiformis, où elles accompagnent le faisceau d'Arnold. Mais plus en avant Schéma de la racin
rieur). ThA, racine antérieure de la couche optique formant un seul faisceau dans le segment antérieur de la capsule interne e
ans le segment antérieur de la capsule interne et se divisant en deux faisceaux , un antérieur et un postérieur dans la substance
ur et un postérieur dans la substance grise de la couche optique. AR, faisceau d'Arnold accompagnant les fibres externes et post
faisceau d'Arnold accompagnant les fibres externes et postérieures du faisceau précédent jusque dans la partie postérieure et in
halamus. (fig. 118, 119, 120), la racine antérieure se compose d'un faisceau unique, qui remplit la presque totalité du segmen
alité du segment antérieur de la capsule interne, avec le concours du faisceau d'Arnold. On voit sur toutes les coupes de cette
coupes de cette planche que, à partir de la région du thalamus où le faisceau de Vicq d'Azyr n'existe plus, la racine antérieur
urs fibres au niveau du tubercule antérieur (NaC, fig. 115). AR. Le faisceau d'Arnold, encore très compact sur la coupe 115, o
on n'est cependant pas encore complète. Nous avons vu en effet que ce faisceau , à son extrémité postéro-inférieure, est dirigé o
fig. 116, 117 et suiv.). La masse des fibres foncées de ce dernier faisceau s'en augmente d'autant, au fur et à mesure que le
rtico-transversal sur les coupes 119 et 120 sont les plus externes du faisceau d'Arnold. On voit ainsi que le faisceau d'Arnol
0 sont les plus externes du faisceau d'Arnold. On voit ainsi que le faisceau d'Arnold (AR) et la racine antérieure de la couch
s lenticulo-caudées avec la racine antérieure du thalamus (ThA) et le faisceau d'Arnold (AR) un notable élargissement du segment
la coupe 118 avec les coupes 119 et 120, on constate aisément que ces faisceaux sont tout à fait indépendants l'un de l'autre, et
descendant; il aboutit au tubercule ma-millaire (TM), d'où émerge le faisceau de Vicq d'Azyr (FVA) ; CA, commissure blanche a
anche antérieure ; ThI. racine inférieure du thalamus dont les deux faisceaux constitutifs s'écartent pour livrer passage au pi
en dehors de la bandelette optique (BO). Ici encore la coloration du faisceau est un peu foncée, attendu que la direction des f
ue ses fibres se reportent alors, de nouveau, en arrière; et comme le faisceau de Vicq d'Azyr n'existe Profil de la racine inf
pilier descendant de la voûte; TM, le tubercule mamillaire avec son faisceau émergent (FVA, faisceau de Vicq d'Azyr) allant ab
a voûte; TM, le tubercule mamillaire avec son faisceau émergent (FVA, faisceau de Vicq d'Azyr) allant aboutir au tubercule antér
avoir traversé l'espace perforé antérieur, elles se divisent en deux faisceaux , ou pour mieux dire en deux lames distinctes : un
remarquera sur les coupes 119, 120, que la section elliptique de ce faisceau , juste au-dessous de la cloison externe du thalam
orps calleux sous le corps strié. Sur la même coupe (119), on voit un faisceau arqué, antéro-poslérieur, par conséquent foncé, à
us uncinatus s'entre-croisent avec l'extrémité antéro-inférieure du faisceau diffus du fornix (FDF, fig. 117) qui s'étale dans
me médullaire externe du thalamus (fig. 119), mêlée en partie avec le faisceau d'Arnold (Ail) dont on ne peut la distinguer que
en haut, entre le noyau caudé et la couche optique. Elle forme ici le faisceau le plus interne du segment postérieur de la capsu
occupe exactement l'angle rentrant du genou de la capsule. ARC. Le faisceau arqué (fig. 118) ne diffère pas ici de ce que nou
s l'avons toujours vu jusqu'à présent (voy. pl. XXIX, ARC). FPF. Le faisceau pariéto-frontal, isolé d'abord sous la deuxième c
la deuxième circonvolution frontale (fig. 115), puis confondu avec le faisceau arqué (fig. 117), puis, de nouveau isolé (fig. 11
7), puis, de nouveau isolé (fig. 118), et finalement confondu avec le faisceau arqué (fig. 120), prend ses insertions postérieur
on frontale et ses insertions antérieures dans la première. FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 116) se mêle au faisceau p
a première. FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 116) se mêle au faisceau pariéto-frontal dans la première circonvolution f
u pariéto-frontal dans la première circonvolution frontale (F1) et au faisceau compact du fornix (FCF, fig. 116) dans la circonv
dans la circonvolution limbique. Nous avons dit que ces deux derniers faisceaux appar- tenaient au même système d'association ;
oints seulement, sur la coupe 116 par exemple, on ne sait exacte Ce faisceau circonscrit le faisceau compact (FCF) ; celui-ci
coupe 116 par exemple, on ne sait exacte Ce faisceau circonscrit le faisceau compact (FCF) ; celui-ci à son tour circonscrit l
ci à son tour circonscrit le cin-gulum [Gin) ; Profil d'ensemble du faisceau diffus du fornix (FDF). ment si les fibres anté
ns la circonvolution limbique au-dessus du cingulum, appartiennent au faisceau compact ou au faisceau diffus du fornix (schéma 1
mbique au-dessus du cingulum, appartiennent au faisceau compact ou au faisceau diffus du fornix (schéma 187). Nous avons déjà
u faisceau diffus du fornix (schéma 187). Nous avons déjà décrit le faisceau diffus du fornix comme un grand faisceau arqué, à
Nous avons déjà décrit le faisceau diffus du fornix comme un grand faisceau arqué, à concavité antérieure, dont l'extrémité s
fig. 16, et pl. XVI). Nous savons qu'il se confond en dedans avec le faisceau longitudinal inférieur (FLI, fig. 115). FLI. Le
ns avec le faisceau longitudinal inférieur (FLI, fig. 115). FLI. Le faisceau longitudinal inférieur (fig. 115) se reconnaît ai
son bord supérieur. Nous disons délimitation absolue, attendu que le faisceau longitudinal est arrêté en haut par le diver-ticu
, fig. 110, Dsu). Ce diverticulum va jusqu'à l'écorce ; les fibres du faisceau longitudinal inférieur vont aussi jusqu'à l'écorc
coupes passent au-devant de l'extrémité antérieure du diverticule, le faisceau longitudinal continue, plus loin encore, toujours
l'autre à l'extrémité la plus antérieure du cul-de-sac sphénoïdal. Le faisceau longitudinal inférieur est donc borné en haut par
fig. 115, 116) étalées sous le noyau amygdalien (NA). En tout cas le faisceau longitudinal inférieur n'a aucun rapport avec le
ètement dans l'écorce de la circonvolution de l'hippocampe. FCF. Le faisceau compact du fornix (fig. 116). Cin. Le cingulum (f
ite strie blanche qu'on y aperçoit sur la coupe 126 (Tae) n'est qu'un faisceau aberrant du taenia. Mais en réalité, la continuit
re même qu'il en est à peu près complètement séparé, en haut par le faisceau arqué, en bas par le fasciculus uncinatus et la c
comme le noyau caudé et le putamen, le claustrum reçoit des fibres du faisceau arqué; et comme le putamen, il reçoit des fibres
ibres du faisceau arqué; et comme le putamen, il reçoit des fibres du faisceau sensitif externe. LAT. La lame terminale (fig.
est là une disposition faite pour rendre très difficile l'étude de ce faisceau Coupe verticale montrant l'anse du noyau lentic
L) serrant de près le globus medialis croisé à sa face interne par le faisceau géniculé (FG). dans sa partie la plus antérieur
son coude. En effet, l'anse proprement dite, ou portion recourbée du faisceau , serre de si près le noyau lenticulaire au niveau
la commissure antérieure dans toute l'étendue du trajet de ce dernier faisceau , qui est en rapport avec la face inférieure du no
s pénètrent directement dans sa substance (ou en émergent), parmi les faisceaux de la capsule interne. De là résulte que l'anse d
on de l'anse du noyau caudé, mais sans pouvoir la montrer à l'état de faisceau ou de lame isolée. ThA. La racine antérieure de
nt elle occupe maintenant toute l'épaisseur. Elle remonte de môme, en faisceau compact, vers le taenia (Tae, fig. 125), qui ne f
pace perforé à la commissure, deux tractus blancs (OLC) qui jsont des faisceaux de fibres issues de la racine moyenne du nerf olf
fibres sur les coupes horizontales en série. Tous ont remarqué que ce faisceau , remarquablement compact dans la gouttière de Gra
t donc les relations d'étroite contiguïté qui existent entre tous ces faisceaux . Reste à savoir s'il faut les considérer comme de
idum. Elle fournit donc, comme le noyau caudé lui-môme, des fibres au faisceau lenticulo-caudé que nous avons déjà étudié; or no
Le fasciculus uncinatus, à partir de là, se divise toujours en deux faisceaux secondaires : l'un, externe, s'avance en haut et
olfactive (OLE, fig. 124). Mais le plus grand nombre des fibres de ce faisceau continuent leur course en dedans et en avant, et
de la planche suivante. Cin. Le cingulum (fig. 122, 124). FCF. Le faisceau compact du fornix (fig. 124) présente une disposi
téro-postérieures. 11 est difficile de dire si elles appartiennent au faisceau compact ou au faisceau diffus (FDF). FDF. Le fa
st difficile de dire si elles appartiennent au faisceau compact ou au faisceau diffus (FDF). FDF. Le faisceau diffus du fornix
artiennent au faisceau compact ou au faisceau diffus (FDF). FDF. Le faisceau diffus du fornix(fig. 1 24) se rapproche du corps
rieure du corps calleux qu'il accompagne. Dans le lobe sphénoïdal, ce faisceau (FDF, fig. 123) s'épanouit en tous sens au-dessou
au-dessous de l'isthme'gris fronto-sphénoïdal (schéma 124). CO. Le faisceau du centre ovale (fig. 124) présente ici son maxim
re. OLM. La racine olfactive moyenne (fig. 124), représentée par un faisceau bien compact et dirigé d'avant en arrière, traver
er sur les coupes vertico-transversales de cette région le trajet des faisceaux profonds. La face inférieure du lobe frontal pa
ors de la lame verticale proprement dite, immédiatement en arrière du faisceau compact du fornix (FCF, fig. 128), réfléchi sous
blanche à la partie inférieure du putamen. Cette crête se compose de faisceaux délicats, dont la direction est la même que celle
fibres de l'anse caudée, il est difficile de faire la différence des faisceaux de l'anse et des faisceaux de la racine. ThA. L
l est difficile de faire la différence des faisceaux de l'anse et des faisceaux de la racine. ThA. La racine antérieure du thal
de la racine antérieure du thalamus sont, parmi les conducteurs de ce faisceau , ceux qui se portent le plus loin en avant. Il es
la bandelette sous-optique, pour se joindre aux fibres rayonnantes du faisceau sensitif. ce. Le corps calleux (fig. 127) est d
lement et se.résout en une teinte claire qui se confond avec celle du faisceau du centre ovale (CO). CO. La masse des fibres d
ndre la capsule externe et ne constitue plus, à proprement parler, un faisceau . Elles occupent toujours le plan vertico-transver
transversal, et sont limitées en dehors par les fibres inférieures du faisceau arqué (ARC) qui vont, d'avant en arrière, se perd
en arrière, se perdre dans la lame verticale de l'avant-mur (CL). Le faisceau du centre ovale se môle par conséquent à la capsu
e profonde des circonvolutions orbitaires. La portion supérieure du faisceau du centre ovale (CO, fig. 132), sortie du corps c
la première circonvolution frontale (F'), où il se termine. ARC. Le faisceau arqué (fig. 127, 128, 130, 132) garde, jusque dan
u'il diminue peu à peu dans tous les sens. Mais ses rapports avec les faisceaux voisins ne se modifient pas, non plus que l'étroi
. 129). Cin. Le cingulum (fig. 127) se confond, par places, avec le faisceau compact du fornix (FCF) ; par places il s'en isol
-qui enveloppe le sillon olfactif interne {Soi, fig. 130).. FCF. Le faisceau compact du fornix (FCF, fig. 127), d'abord suf
a branche horizontale. Nous savons qu'il ne faut fisamment isolé du faisceau diffus (FDF), arrive bientôt à ne plus faire qu'u
it sous le corps calleux avec le cingulum, il n'en est pas de môme du faisceau diffus qui se termine, s'épuise totalement dans l
s'épuise totalement dans l'étage supérieur du lobe frontal. FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 127) reste limité à la rég
ontal, nous le verrons se confondre ou plutôt s'entre-croiser avec le faisceau pariéto-frontal (voy. pl. XXX Coupe vertico - t
ur sa couronne rayonnante (RNC, 155), se fond insensiblement avec les faisceaux de cette couronne qui en émanent. Substance bla
rigé d'avant en arrière et de dedans en dehors, ses fibres forment un faisceau légèrement teinté sur les coupes vertico-transver
ement teinté sur les coupes vertico-transversales (CE, fig. 435) : Ce faisceau est déjà la capsule externe. Il est situé immédia
fibres se rapprochent de plus en plus de la direction sagittale : le faisceau qui va former la capsule externe est donc plus fo
les plus antérieures du corps calleux. Elle constitue donc d'abord un faisceau diflus, dirigé obliquement en bas, en arrière et
oyau caudé (lîNG). prennent la forme, l'aspect et la couleur que le faisceau de la couronne rayonnante du noyau caudé nous a p
rayonnante du noyau caudé nous a présentée jusqu'à présent. CO. Le faisceau du centre ovale (fig. 157), issu du corps calleux
frontal (fig. 158) la masse des fibres antéro-postérieures. ARC. Le faisceau arqué (fig. 155, 156), confondu en haut avec le f
s. ARC. Le faisceau arqué (fig. 155, 156), confondu en haut avec le faisceau pariéto-frontal, ne dépasse pas la deuxième circo
en avant, comme l'indique le schéma 202. Une fois recourbées, elles faisceau des deuxième et troisième circonvolutions frontal
olutions frontales. Il n'a rien de commun avec la première. FPF. Le faisceau pariéto-frontal (fig. 135, 136), toujours sous-ja
er sillon frontal (/"J, s'unit, dans son trajet antéro-postérieur, au faisceau arqué et au faisceau diffus du fornix (FDF). 11 a
J, s'unit, dans son trajet antéro-postérieur, au faisceau arqué et au faisceau diffus du fornix (FDF). 11 appartient donc spécia
ec la circonvolution limbique (C, fig. 135, 136, 137, 158). FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 156, 157) continue son tra
de cette circonvolution qui avoisine la scissure limbique. FCF. Le faisceau compact du fornix (fig. 157), confondu avec le fa
ue. FCF. Le faisceau compact du fornix (fig. 157), confondu avec le faisceau diflus (FDF) au-dessous de la scissure limbique,
7) devient tangenle à la convexité du bourrelet. 11 en est de même du faisceau compact du fornix (FCF, 137) lorsque ce faisceau,
11 en est de même du faisceau compact du fornix (FCF, 137) lorsque ce faisceau , ayant franchi le bourrelet au-dessus et en avant
la région du carrefour où l'on voit le cinguhun (Cin) ac-conapagné du faisceau compact du fornix (FCF), contourner le genou du c
verticales : en d'autres termes, cela signifie que le cingulum et le faisceau compact du fornix n'envoient que très peu de fibr
c'est seulement par comparaison avec l'épanouissement postérieur des faisceaux du splenium qu'on a donné ce nom aux fibres du ge
x n'entraînent pas des différences de rapports entre ceux-ci et leurs faisceaux ; enfin les variations de la courbure de l'hémisp
rantielle, au voisinage de la ligne médiane. 11 est enveloppé par les faisceaux de la calotte qui sont : en dedans, le pédoncule
cule cérébelleux supérieur (Pcs), le fasciculus retroflexus (FRF), le faisceau longitudinal postérieur (FLP) ; en dehors, la lam
ngitudinal postérieur (FLP) ; en dehors, la lamina tegmenti (LTE), le faisceau cérébello-thalamique (CEO) et le faisceau médulla
a lamina tegmenti (LTE), le faisceau cérébello-thalamique (CEO) et le faisceau médullaire de la capsule (MF). DL. Le disons le
ns lentiformis apparaît (fig. 2) entre la lamina tegmenti (LTE) et le faisceau médullaire de la capsule (MF). QA. Le tubercule
rs de la ligne médiane, en avant du noyau rouge (NR), reçoit un petit faisceau foncé, oblique en avant et en dehors qui l'aborde
e tubercule mamillaire occupe la région interpédonculaire. On voit le faisceau de Yicq-d'Azyr (FVA) émerger de sa convexité post
e plus complètement le noyau caudé (NC) et le putamen (PUT). C'est le faisceau d'Arnold (AR) qui établit cette démarcation. En
c la substance grise du septum lucidum GSL (fig. 2 et 3) au devant du faisceau de Vicq d'Azyr (FVII), et, en arrière, avec la su
. 2 et 3) se confond avec la substance grise de la base, au devant du faisceau de Yicq d'Azyr (FVA). NCC. La queue du noyau ca
pied du pédoncule proprement dit ; elles contiennent les éléments du faisceau de l'anse, du faisceau géniculé, du faisceau pyra
rement dit ; elles contiennent les éléments du faisceau de l'anse, du faisceau géniculé, du faisceau pyramidal et du faisceau de
tiennent les éléments du faisceau de l'anse, du faisceau géniculé, du faisceau pyramidal et du faisceau de Tiirck-Meynert. Elles
faisceau de l'anse, du faisceau géniculé, du faisceau pyramidal et du faisceau de Tiirck-Meynert. Elles se continuent en haut et
se réunissent avec celles qui ont traversé ce ganglion et forment le faisceau cérébello-thalamique (CEO). FRF. Le fasciculus
hors par le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) et en dedans par le faisceau longitudinal postérieur (FLP). FLP. Le faisceau
et en dedans par le faisceau longitudinal postérieur (FLP). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur sous-jacent à l'aqueduc d
ient de la commissure postérieure; il est constitué par les fibres du faisceau de la commissure, qui, plus loin, en avant et en
région inférieure du thalamus. 11 est en rapport, en dedans, avec le faisceau propre de la calotte (TEG). TEG. Le faisceau pr
rt, en dedans, avec le faisceau propre de la calotte (TEG). TEG. Le faisceau propre de la calotte (fig. 2 et 3), en dehors de
noyau rouge (NR). Elle se porte vers le discus lentiformis. MF. Le faisceau médullaire de la capsule (fig. 2 et 3), au-dessus
du pied du pédoncule (PP, fig. 5). Elles passent alors au-dessous du faisceau médullaire de la capsule (MF, fig. 3), pour about
eur. Elle est au-dessous du noyau de l'anse (Gx4P), et consiste en un faisceau aplati, oblique en avant et en dedans, placé en d
ue en avant et en dedans, placé en dehors de l'anse lenticulaire ; ce faisceau arrive au voisinage du pilier descendant de la vo
y. pl. XXX, fig. 115), du moins sur les coupes horizontales. AR. Le faisceau d'Arnold est constitué (fig. 1 et 2) par les fibr
passant au-dessus de la racine inférieure de ce noyau (Thl). FS. Le faisceau sensitif parcourt d'avant en arrière toute la rég
omposé de deux bandes parallèles (fig. 2), représentant en somme deux faisceaux distincts : le faisceau sensitif externe (FSe) et
allèles (fig. 2), représentant en somme deux faisceaux distincts : le faisceau sensitif externe (FSe) et le faisceau sensitif in
e deux faisceaux distincts : le faisceau sensitif externe (FSe) et le faisceau sensitif interne (FSi). FSe. Le faisceau sensit
nsitif externe (FSe) et le faisceau sensitif interne (FSi). FSe. Le faisceau sensitif externe provient, en grande partie, de l
ance blanche qui double l'écorce de l'insula (IN, fijx. 2). FSi. Le faisceau sensitif interne prend naissance, en avant, dans
puhinar (Pul, fig. 5); il reçoit également la totalité des fibres du faisceau de Tùrck-Meynert (FM, fig. 5), issues du pied du
de Tùrck-Meynert (FM, fig. 5), issues du pied du pédoncule. FM. Le faisceau de Tiirck-Meynert, qui représente le quart postér
assent exactement par la face inférieure du splenium (SPL). FCF. Le faisceau compact du fornix, au contraire, se reconnaît fac
a corne postérieure (BCP, fig. 2) jusq^u'au pôle occipital. FPV. Le faisceau pariétal vertical (fig. 2 et 5), très compacta la
eau pariétal vertical (fig. 2 et 5), très compacta la face externe du faisceau scnsilif (FSe), n'est que la continuation, dans l
nsilif (FSe), n'est que la continuation, dans la région pariétale, du faisceau occipital vertical (FOV, fig. 1). psp. Le pédon
, fig. 1). psp. Le pédoncule du septum lucidum (fig. 2 et 3) est un faisceau horizontal aplati, dirigé obliquement en arrière
rce du lobe sphénoïdal, en avant du lobule de l'hippocampe. FVA. Le faisceau de Vicq d'Azyr (fig. l), sorti du tubercule maini
anglion. NC. Le noyau caudé, séparé du putamen (PUT, fig. 4) par le faisceau d'Arnold (AR), se continue sans démarcation tranc
du noyau caudé (ANC) pour gagner la région pédonculaire, en avant du faisceau géniculé (FG). Les rapports du globus medialis av
artie la plus reculée de la capsule, celle qui renferme les fibres du faisceau de Tùrck-Meynert. Pul. Le pulvinar, rectiligne
rié par les fibres du tegmentum. Sa partie moyenne est occupée par le faisceau pyramidal (FP), et sa partie antérieure par le fa
ccupée par le faisceau pyramidal (FP), et sa partie antérieure par le faisceau géniculé (FG, fîg. 6) ; celui-ci est toujours int
re et en dedans du segment postérieur de la capsule appartiennent aux faisceaux de la calotte, au moment où ceux-ci entrent en co
en connexion avec la face inférieure de la couche optique. FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (fig. 4) est, parmi les'
. FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (fig. 4) est, parmi les' faisceaux de la calotte, le plus voisin de la ligne médiane
axe; situé en dedans du noyau rouge, dont il n'est séparé que par le faisceau rétroflexe (FRF), il partage ses fibres en deux d
ste en arrière du noyau rouge, représentent la couronne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur [Radiatio fasciculi pos-t
y. pl. XXVn, fig. 101, 102, RFP). FRF. Le fasciculus retroflexus ou faisceau rétrograde se dirige, sur la coupe la plus inféri
énule (GII), où il. prend naissance. BP. Le bras du pulvinar est le faisceau le plus supérieur et le plus antérieur de la band
sur les coupes 5 et 6. Lmd. La lamina lateralis de Reil, accolée au faisceau cérébello-thalamique (CEO, fig. 4), s'épanouit au
la capsule interne (CID). Le corps de Luys est limité en avant par le faisceau rubro-thalamique (CAO) et, plus en avant et en ha
faisceau rubro-thalamique (CAO) et, plus en avant et en haut, par le faisceau médullaire de la capsule (MF). MF. Le faisceau
t et en haut, par le faisceau médullaire de la capsule (MF). MF. Le faisceau médullaire de la capsule, foncé au contact du seg
onscrit dans son trajet rétrograde à concavité postérieure. CEO. Le faisceau cérébello-thalamique (fig. 4 et 5) passe, de deda
t claire au-dessus du discus lentiformis, reçoit toutes les fibres du faisceau rubro-thalamique (CAO, fig. 6). ANL. L'anse du
ravers le segment antérieur de la capsule interne (CIA), au-dessus du faisceau d'Arnold (AR, voy. pl. XXXVIII, fig. 3). PLANCH
res de la couronne rayonnante du thalamus (Rth, fig. 7), destinées au faisceau sensitif. NiC. Le noyau interne du thalamus (fi
jet recourbé des fibres en question, qui concourent à la formation du faisceau rétrograde. NeC. Le noyau externe du thalamus (
terne. On le voit émettre des fibres nombreuses destinées (fig. 9) au faisceau géniculé (FG) et au faisceau pyramidal (FP). GL
fibres nombreuses destinées (fig. 9) au faisceau géniculé (FG) et au faisceau pyramidal (FP). GLM. Le globus medialis (fig. 7
nce; en eflet, sur les coupes horizontales supérieures, les fibres du faisceau arqué se rapprochent de l'horizontalité et devien
eptuni et la couche blanche antérieure de la lame terminale. AR. Le faisceau d'Arnold, qui occupe, comme nous l'avons dit so
hï), qui est placée à sa partie interne. Elle s'accole, en dehors, au faisceau géniculé (FG). Nous savons que dans la masse gris
ous savons que dans la masse grise du thalamus elle se divise en deux faisceaux . Ces faisceaux sont plus facilement reconnaissabl
dans la masse grise du thalamus elle se divise en deux faisceaux. Ces faisceaux sont plus facilement reconnaissables sur la figur
lame médullaire latérale n'offrent ici aucune particularité. FP. Le faisceau pyramidal, au fur et à mesure que les coupes s'él
épuisées en grande partie à la face inférieure du thalamus. FG. Le faisceau géniculé. CAO. Le faisceau tegmento-thalamique
la face inférieure du thalamus. FG. Le faisceau géniculé. CAO. Le faisceau tegmento-thalamique (fig. 7) est un de ces fais
culé. CAO. Le faisceau tegmento-thalamique (fig. 7) est un de ces faisceaux de l'étage supérieur qui abandonnent peu à peu, d
ports de contiguïté avec le pied du pédoncule, par conséquent avec le faisceau pyramidal (FP) et le faisceau géniculé (FG). Rt
ed du pédoncule, par conséquent avec le faisceau pyramidal (FP) et le faisceau géniculé (FG). Rth. La couronne rayonnante du t
nt en spirale dans la profondeur du carrefour sensitif pour gagner le faisceau sensitif (ES). BSO. La bandelette sous-optique,
BSO. La bandelette sous-optique, placée immédiatement en dedans du faisceau précédent (fig. 8 et 9) appartient bien, vraiment
nte du thalamus. On voit cependant qu'elle gagne la partie interne du faisceau sensitif, en avant du noyau caudé (NCC). C'est là
(Th) et du noyau caudé en avant (NC) est constituée par les fibres du faisceau sensitif externe (FSe) en arrière, et par les fib
s du faisceau sensitif externe (FSe) en arrière, et par les fibres du faisceau arqué (ARC) en avant. Ces fibres ont une teinte f
sse au milieu de la grande commissure interhénii-sphérique. FOi. Le faisceau inférieur du forceps (fig. 10), issu du splenium
es fibres les plus postérieures en effet se confondent avec celles du faisceau moyen qui sont horizontales). Sur la coupe 12 on
rpendiculaire interne (Oi) : disposition qui est constante. FOs. Le faisceau supérieur du forceps (fig. 12) n'est que l'ensemb
t aussi très facilement que le tapetum (TiVP) n'est que la portion du faisceau supérieur du forceps (FOs) réfléchie dans la paro
chie dans la paroi externe de la corne occipitale du ventricule. — Le faisceau supérieur du forceps (FOs) et le faisceau inférie
ipitale du ventricule. — Le faisceau supérieur du forceps (FOs) et le faisceau inférieur (FOi) forment donc, l'un la paroi exter
ig. 12) qui ferment en haut la cavité ventriculaire, appartiennent au faisceau moyen, dont la direction est transversale et légè
transversale et légèrement oblique en arrière et en dehors. FSi. Le faisceau sensitif interne (fîg. 10), au niveau du carrefou
us dit (voy. pl. XXXVI, fig. 8) rejoignent finalement, en arrière, le faisceau sensitif lui-même. Ce dernier toutefois a des lib
à la surface de la couche optique, au voisinage du taenia. FSe. Le faisceau sensitif externe, foncé sur la figure 11, n'est c
s obliques en bas et en avant. Nous savons en effet que les fibres du faisceau sensitif externe ne répondent qu'à la région du p
ne ne répondent qu'à la région du putamen. Ici ce noyau a disparu; le faisceau sensitif externe s'enfonce donc (au-dessous du pl
postérieur du putamen et la capsule externe. Sur la coupe 12 le même faisceau (FSe) a une coloration claire : Cela lient à ce q
e entre le noyau caudé (NC) et le putamen (PUT), devient adjacente au faisceau arqué (ARC, fig. 11) lorsque le putamen a disparu
la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. il et 12). ARC. Le faisceau arqué dont la partie antérieure seulement est ver
qu'effleurée. Les coupes vertico-transversales nous ont appris que le faisceau arqué vient précisément de l'opercule; transversa
changement de direction fait comprendre la disposition des teintes du faisceau arqué sur les coupes il et 12. On observera éga
es il et 12. On observera également que la partie postérieure de ce faisceau (composé de fibres verticales) s'enfonce en arriè
s verticales) s'enfonce en arrière comme un coin très effilé entre le faisceau sensitif externe (FSe, fig. 12) et le faisceau se
n très effilé entre le faisceau sensitif externe (FSe, fig. 12) et le faisceau sensitif interne (FSi). C'est un rapport dont on
s les coupes pratiquées dans la môme région. Tel cerveau présente des faisceaux remarquablement compacts et parfaitement isolés;
blement compacts et parfaitement isolés; tel autre présente les mômes faisceaux à l'fHat diffus et mal délimités. Ces différences
nce grise de la base du cerveau, qui s'arrête au niveau du passage du faisceau d'Arnold (AR). Pul. Le pulvinar forme la paroi
econnaît la lame médullaire interne (LMl) parcourue par les fibres du faisceau tegmento-thalamique (voy. fig. 2, CAO); le faisce
par les fibres du faisceau tegmento-thalamique (voy. fig. 2, CAO); le faisceau de Tiirck-Meynert (FM), qui se joint à la couronn
ui se joint à la couronne rayonnante du pulvinar (Rth) pour former le faisceau sensitif interne (FSi) ; les fibres commissurales
de la commissure postérieure (CP), placées en arrière et en dehors du faisceau rétrcflexe (FRF). Enfin, juste en avant de la com
r (QA). Elle est ici très peu compacte, et eemble se diviser en trois faisceaux : I" un faisceau antérieur (qui en réalité ne lui
ci très peu compacte, et eemble se diviser en trois faisceaux : I" un faisceau antérieur (qui en réalité ne lui appartient pas e
et qui forme la limite externe du ganglion de l'habénule (GH) ; 2" un faisceau moyen, qui renferme les fibres réellement commiss
I, fig. 07, CP); 5" enfin le bras du pulvinar (BP), qui représente le faisceau le plus supérieur du laqueus. Le faisceau d'Arn
r (BP), qui représente le faisceau le plus supérieur du laqueus. Le faisceau d'Arnold qui, presque à lui seul, constitue dans
ieure du thalamus. Les fibres de la racine postérieure proviennent du faisceau sensitif interne (FSi) et de la bandelette sous-o
inerea (Fci), se porte en bas et en avant, mélangé avec les fibres du faisceau compact du fornix (FCF). FCF. Le faisceau compa
élangé avec les fibres du faisceau compact du fornix (FCF). FCF. Le faisceau compact du fornix intercalé, sur toute son étendu
face externe du gyrus rectus (GR), en avant, et là se confond avec le faisceau diffus du fornix (FDF). FDF. Le faisceau diffus
, et là se confond avec le faisceau diffus du fornix (FDF). FDF. Le faisceau diffus du fornix, toujours à cheval sur le fond d
à la région antérieure de la face interne de l'hémisphère. ARC. Le faisceau arqué se reconnaît à l'extrémité antérieure du cl
térieure du claustrum (CL), en dehors du centre ovale (CO). FOV. Le faisceau occipital vertical est ici, par le fait d'une dis
, par le fait d'une disposition peu commune, complètement distinct du faisceau pariétal vertical (FPV). Figure 2. COUPE HORI
substance grise de la lame terminale (LAT), est strié par de nombreux faisceaux blancs qui traversent le segment antérieur de la
qui traversent le segment antérieur de la capsule interne (CIA) ; ces faisceaux croisent, dans la capsule, les fibres du faisceau
nterne (CIA) ; ces faisceaux croisent, dans la capsule, les fibres du faisceau d'Arnold et aboutissent aux deux segments interne
e la couronne rayonnante du thalamus qui se portent en dehors vers le faisceau sensitif, est limité en avant par le bras du pulv
à la commissure antérieure (CA), à la commissure postérieure (CP), au faisceau d'Arnold (AR), est conforme à ce qui a été dit au
un aspect absolument identique sur la coupe de la figure 1. FS. Le faisceau sensitif s'élargit à son extrémité postérieure. 1
UM Cette figure est destinée à faire voir : 1" La subdivision des faisceaux du segment antérieur de la capsule interne (CIA)
de la précédente, ne divine plus qu'une faible partie des éléments du faisceau d'Arnold (AR). Les fibres de la racine antérieure
psule (CIA), s'enfoncent dans la couche optique sous la forme de deux faisceaux diffus, l'un externe, l'autre interne, placés au-
faisceaux diffus, l'un externe, l'autre interne, placés au-dessus du faisceau d'Arnold, et qui se terminent dans le noyau inter
x couches : les fibres supérieures du splenium (ce) appartiennent aux faisceaux supérieur et moyen du forceps major; les fibres i
moyen du forceps major; les fibres inférieures (BAM) appartiennent au faisceau inférieur du forceps ; elles représentent la base
oyau lenticulaire (ANL, fig. 1) ; 3° L'isolement et la direction du faisceau d'Arnold (AR, fig. 1) qui, à lui seul, constitue
(tec, fig. 2) à la partie antéro-inférieure du splenium, en avant du faisceau inférieur du forceps (FOi). La petite fente trans
ac du sinus du corps calleux; 9° Enfin la forme et la direction des faisceaux inférieur et moyen du forceps (FOi, FOm, fig. 3 e
ontre les rapports de la racine inférieure du thalamus (ïhl) entre le faisceau de Tùrck-Meynert (FM) et la commissure antérieure
a est situé ici, juste au-dessous du corps calleux, dans la région du faisceau inférieur du forceps (FOi). 11 passe au-dessous d
el provient de la partie inférieure du corps calleux, c'est-à-dire du faisceau inférieur du forceps (FOi). La coupe de la figu
caudé. ANL. Anse du noyau lenticulaire. Aq. Aqueduc de Sylvius. AR. Faisceau d'iVrnold (Laminœ corticales antériores pedunculi
AR. Faisceau d'iVrnold (Laminœ corticales antériores pedunculi). ARC. Faisceau arqué, faisceau longitudinal supérieur, fasciculu
Vrnold (Laminœ corticales antériores pedunculi). ARC. Faisceau arqué, faisceau longitudinal supérieur, fasciculus arcuatus (Bu
al supérieur, fasciculus arcuatus (Burdach, Arnold). ARC. Fibres du faisceau arqué destinées à la capsule interne. BAM. Base
llie des fibres moyennes du corps calleux dans le ventricule latéral ( faisceau moyen du forceps). Bf. Fente de Bichat. BGI.
andelette sous-optique, libres temporo-thalamiqucs (Arnold, Meynert), faisceau postérieur de l'ans8 pédonculaire de Gratiolet. j
AO. Fibres de la couche optique allant à la calotte ou inversement, faisceau tegmento-thalamique. CAP. Cap de la troisième cir
bres du pédoncule cérébelleux supérieur allant à la couche optique, faisceau cérébello-thalamique. CEP. Crête épendymairc. C
ébello-thalamique. CEP. Crête épendymairc. CF. Commissure de Forel, faisceaux croisés de la calotte, fasciculi' decussationis
e la capsule interne. CIF. Segment inférieur de la capsule interne, faisceau de la troisième circonvolution temporale. Cin.
e moyenne ou molle. CMT. Commissure de Meynert. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale. COL Commissure infér
frontale ou tète du corps strié). Ct. Coniniissure terminale. CÏE. Faisceau du tegmentum allant à la substance grise du trois
M. Fibres arquées profondes du bulbe. FAL. Gyrus falciforme. FCF. Faisceau compact du fornix. Fci. Fasciola cinerea, bande
ompact du fornix. Fci. Fasciola cinerea, bandelette cendrée. FCP. Faisceau de la commissure postérieure. Fd. Fascia dentat
nvolulion godronnôo sur un plan anléricur au plan de la coupe. FDF. Faisceau diflus du fornix. FG. Faisceau géniculé. | FL
nléricur au plan de la coupe. FDF. Faisceau diflus du fornix. FG. Faisceau géniculé. | FL corps frangé, corps bordé. .j
, FLs. Première, deuxième, troisième, quatrième, cinquième couches du faisceau longitudinal inférieur. ; FLP. Faisceau longitu
rième, cinquième couches du faisceau longitudinal inférieur. ; FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte. FLF. Fib
FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte. FLF. Fibres du faisceau longitudinal postérieur de la calotte allant au t
sceau longitudinal postérieur de la calotte allant au thalamus. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert. FO^ Circonvolution fronto-orb
tué par les fibres moyennes du splenium. FÔm. Fibres moyennes du ou faisceau moyen du forceps' major. FOp. Fibres postérie
érieures du forceps major. FOs. Fibres supérieures du forceps. FOV. Faisceau occipital vertical. \ FP. Faisceau pyramidal.
s supérieures du forceps. FOV. Faisceau occipital vertical. \ FP. Faisceau pyramidal. FP'. Fibres du faisceau pyramidal se
ceau occipital vertical. \ FP. Faisceau pyramidal. FP'. Fibres du faisceau pyramidal se continuant dans le faisceau arqué.
pyramidal. FP'. Fibres du faisceau pyramidal se continuant dans le faisceau arqué. FPF. Faisceau pariéto-frontal. FPV. Fais
es du faisceau pyramidal se continuant dans le faisceau arqué. FPF. Faisceau pariéto-frontal. FPV. Faisceau pariétal vertical.
tinuant dans le faisceau arqué. FPF. Faisceau pariéto-frontal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FRF. Faisceau rétrograde, fa
PF. Faisceau pariéto-frontal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FRF. Faisceau rétrograde, fasciculus reiroflexus (Meynert). F
. FRF. Faisceau rétrograde, fasciculus reiroflexus (Meynert). FS. Faisceau sensitif, faisceau optique, lame des radiations o
étrograde, fasciculus reiroflexus (Meynert). FS. Faisceau sensitif, faisceau optique, lame des radiations optiques. FSe. Fai
ceau sensitif, faisceau optique, lame des radiations optiques. FSe. Faisceau sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif intern
ame des radiations optiques. FSe. Faisceau sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif interne. FSM. Faisceau sous-marginal.
. Faisceau sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif interne. FSM. Faisceau sous-marginal. FSt. Faisceau sensitif dans la p
FSi. Faisceau sensitif interne. FSM. Faisceau sous-marginal. FSt. Faisceau sensitif dans la première circonvolution temporal
dans la première circonvolution temporale. FU. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet. FVA. Faisceau de Vicq d'Azyr. G. Gl
lution temporale. FU. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet. FVA. Faisceau de Vicq d'Azyr. G. Glande pinéale, épiphyse, co
dium. LV. Lyre de David, psalterium. M. Gouttière de Monro. MF. Faisceau médullaire de la capsule, zona incerta (Forel). M
rne du thalamus. NL. Fibres latérales du noyau rouge de la calotte, faisceau rubro-thalamique. NLe. Noyau lenticulaire. NmC. C
Reil. RI'. Rectangle frontal antérieur. RFP. Couronne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur, radialio fasciculi pos
longitudinal (Duverney), induseum griseum. TEG. Tegmentum, calotte, faisceau de la calotte, étage supérieur du pédoncule. Tf
ur du tubercule mamillaire. TP. Tractus transversus peduncuU (Gudden) faisceau en écharpe (Féré). TRII. Triangle de l'habénule
e du corps genouillé interne (RGI)...... 219 Couronne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur (RFP) 515, 555 Couronne
x, 322 Espace perforé postérieur (EPP)..............vni, 533 F Faisceau arqué,/"ascicM/ws aî'cwafws (Burdach, Arnold), (A
sceau arqué,/"ascicM/ws aî'cwafws (Burdach, Arnold), (ARC) 254, 304 Faisceau capsulaire (MF)............. 301, 519, 558 Fais
ARC) 254, 304 Faisceau capsulaire (MF)............. 301, 519, 558 Faisceau cerebello-tlialamique (CEO)............. 267 Fa
1, 519, 558 Faisceau cerebello-tlialamique (CEO)............. 267 Faisceau compact du fornix (FCF)............ 89, 588 Fai
........ 267 Faisceau compact du fornix (FCF)............ 89, 588 Faisceau d'Arnold (AR). . . . ,.. . ,.. ,. ,..... 343, 368
9, 588 Faisceau d'Arnold (AR). . . . ,.. . ,.. ,. ,..... 343, 368 Faisceau de la calotte (TEG)............214, 216, 250 Fa
.. 343, 368 Faisceau de la calotte (TEG)............214, 216, 250 Faisceau de la troisième circonvolution temporale (GIF)...
Faisceau de la troisième circonvolution temporale (GIF)...... 548 Faisceaux de la commissure postérieure (FCP)....... 215, 22
548 Faisceaux de la commissure postérieure (FCP)....... 215, 229 Faisceau du crochet [uncinatus), (FU)............. 575 F
. 215, 229 Faisceau du crochet [uncinatus), (FU)............. 575 Faisceaux croisés de la calotte (voy. Commissure de Forel)
Faisceaux croisés de la calotte (voy. Commissure de Forel) .... 251 Faisceau de Tùrck-Meynert (FM)..............61, 254 Fais
rel) .... 251 Faisceau de Tùrck-Meynert (FM)..............61, 254 Faisceau de Yicq d'Azyr (FVA)................ 353 Faisce
........61, 254 Faisceau de Yicq d'Azyr (FVA)................ 353 Faisceau diffus du gyrus fornicatus ou du fornix (FDF). 11
aisceau diffus du gyrus fornicatus ou du fornix (FDF). 112,156, 406 Faisceau en écharpe (Féré) (TP).................. xi Fai
112,156, 406 Faisceau en écharpe (Féré) (TP).................. xi Faisceau géniculé (FG).............. 61,299, 558 Faiscea
............. xi Faisceau géniculé (FG).............. 61,299, 558 Faisceau latéral du noyau rouge de la calotte (NL)........
58 Faisceau latéral du noyau rouge de la calotte (NL)........ 517 Faisceau longitudinal inférieur (FLI)......... 78,102, 154
.. 517 Faisceau longitudinal inférieur (FLI)......... 78,102, 154 Faisceau longitudinal inférieur (première couche) FLi)....
Faisceau longitudinal inférieur (première couche) FLi)...... 212 Faisceau longitudinal inférieur (deuxième couche) (FL2)...
Faisceau longitudinal inférieur (deuxième couche) (FL2)...... 212 Faisceau longitudinal inférieur (troisième couche) (FLs)..
Faisceau longitudinal inférieur (troisième couche) (FLs)..... 215 Faisceau longitudinal inférieur (quatrième couche) (FL4).
aisceau longitudinal inférieur (quatrième couche) (FL4). . 155, 215 Faisceau longitudinal inférieur (cinquième couche) (FLo).
aisceau longitudinal inférieur (cinquième couche) (FLo). . 155, 213 Faisceau longitudinal postérieur de la calotte (FLP).... 2
Faisceau longitudinal postérieur de la calotte (FLP).... 227, 279 Faisceau longitudinal supérieur (ARC).......... 254, 504
227, 279 Faisceau longitudinal supérieur (ARC).......... 254, 504 Faisceau médian de la couche de Reil (Lm)........... 214
254, 504 Faisceau médian de la couche de Reil (Lm)........... 214 Faisceau médullaire de la capsule (MF)........ 501,519, 55
. 214 Faisceau médullaire de la capsule (MF)........ 501,519, 558 Faisceau inférieur du forceps (FOi).............. 102 Fa
01,519, 558 Faisceau inférieur du forceps (FOi).............. 102 Faisceau moyen du forceps (FOm). ............... 105 Fai
........ 102 Faisceau moyen du forceps (FOm). ............... 105 Faisceau occipital vertical (FOV)............... 97 Fais
......... 105 Faisceau occipital vertical (FOV)............... 97 Faisceaux optiques (voy. Faisceau sensitit)........... 71
occipital vertical (FOV)............... 97 Faisceaux optiques (voy. Faisceau sensitit)........... 71 Faisceau parallèle (PAR
.... 97 Faisceaux optiques (voy. Faisceau sensitit)........... 71 Faisceau parallèle (PAR)................ 287, 326 Faisce
)........... 71 Faisceau parallèle (PAR)................ 287, 326 Faisceau pariétal vertical (FPV)............ 71, 78 Fais
.... 287, 326 Faisceau pariétal vertical (FPV)............ 71, 78 Faisceau pariéto-frontal (FPF)............. 289, 425 Fai
..... 71, 78 Faisceau pariéto-frontal (FPF)............. 289, 425 Faisceau pyramidal (FP).................61, 284 Faisceau
........ 289, 425 Faisceau pyramidal (FP).................61, 284 Faisceau rétrograde (FRF)................. 233 Faisceau
...........61, 284 Faisceau rétrograde (FRF)................. 233 Faisceau rolandique (voy. Faisceau arqué)........... 254
eau rétrograde (FRF)................. 233 Faisceau rolandique (voy. Faisceau arqué)........... 254 Faisceau sensitif (FS). .
.... 233 Faisceau rolandique (voy. Faisceau arqué)........... 254 Faisceau sensitif (FS). ................... 71 Faisceau
ué)........... 254 Faisceau sensitif (FS). ................... 71 Faisceau sensitif externe (FSe)............'/7,221, 372
...... 71 Faisceau sensitif externe (FSe)............'/7,221, 372 Faisceau sensitif interne (FSi).............. 77, 237 Fa
/7,221, 372 Faisceau sensitif interne (FSi).............. 77, 237 Faisceau supérieur du forceps (FOs).............. 108 Fa
... 77, 237 Faisceau supérieur du forceps (FOs).............. 108 Faisceau du tegmentum allant se jeter en haut dans la subs
l'aqueduc de Sylvius, au voisinage de l'anus (GTE).......... 250 Faisceau de la décussation antérieure (GTE)........ 250, 2
250 Faisceau de la décussation antérieure (GTE)........ 250, 250 Faisceau tegmento-thalamique (CAO)............. 297 Fais
.... 250, 250 Faisceau tegmento-thalamique (CAO)............. 297 Faisceau triangulaire de l'isthme......... . xxii, 200, 29
articipant à la formation ÙMsiratum intermedium [Lli^E) 267 Fibres du faisceau arqué destinées à la capsule interne (ARC). . . 5
aisceau arqué destinées à la capsule interne (ARC). . . 505 Fibres du faisceau longitudinal postérieur allant au thalamus (FLP')
sceau longitudinal postérieur allant au thalamus (FLP') 279 Fibres du faisceau pyramidal destinées au faisceau arqué (FP'). . 50
lant au thalamus (FLP') 279 Fibres du faisceau pyramidal destinées au faisceau arqué (FP'). . 505 „ G Gaine de la commissure
Lame blanche de la corne d'Ammon (LMA)...... . . . . . 445 Lame des faisceaux optiques (voy. Faisceau sensitif)....... 71 Lam
d'Ammon (LMA)...... . . . . . 445 Lame des faisceaux optiques (voy. Faisceau sensitif)....... 71 Lame festonnée (LFE).......
.........vu, xxiv, 405 Laminse corticales anteriores pedunculi{\o^. Faisceau d'Arnold). . 545 Laqueus (Laq).............. il
2 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
ulaire de la capsule interne. - CR, couronne rayonnante. - FI'yc, faisceau pyramidal croisé; l ? lcl, faisceau pyramidal d
couronne rayonnante. - FI'yc, faisceau pyramidal croisé; l ? lcl, faisceau pyramidal direct; /7 ? t, fibres py- ramidales
aux fibres de la pyramide antérieure du bulbe (fibres pyramidales, faisceau pyramidal), elles s'entre-croisent incomplèteme
bral, elles s'entre-croisent a angle droit avec les longs et courts faisceaux d'asso- ciation, à angle aigu avec les radiatio
S CENTRES NERVEUX. Concentration des fibres do projection en un faisceau com- pact dans la partie interne du centre
e les fibres de projection affectent un trajet coudé. Aspect du faisceau compact de la cou- ronno rayonnante après d
mince branche collatérale destinée au corps cal- leux ou aux longs faisceaux d'association avoisinants; elles se réunissent
sceaux d'association avoisinants; elles se réunissent ensuite en un faisceau compact, que nous désignerons sous le nom de fa
ensuite en un faisceau compact, que nous désignerons sous le nom de faisceau compact de la couronne rayonnante (CR)et qui décr
aux durcis dans l'alcool, le formol ou les bichromates alcalins, le faisceau compact de la couronne rayonnante se présente s
g. 3, 7, 10). Leur face interne recouvre les fibres calleuses et le faisceau occipito-frontal qui le séparent de l'épendyme ve
coup plus épaisse chez l'adulte que chez l'enfant; chez celui-ci le faisceau compact de la couronne rayonnante touche presque
de la corticalité cérébrale intéresseront toujours chez l'enfant le faisceau compact de la couronne rayonnante, tandis qu'el
la co2c- ronne rayonnante, chacun des segments est recouvert par le faisceau ar- qué ou longitudinal supérieur et croisé par
ar- qué ou longitudinal supérieur et croisé par quelques fibres du faisceau occipito-frontal (Fig. 4, rOr) et par les radia
ne, orbitaire, extrémité frontale). Grâce à la corne frontale et au faisceau occipito-frontal qui la double en avant, les fi
de Pal, le segment antérieur de la couronne rayonnante constitue un faisceau volu- mineux, dont les fibres se disposent en d
s frontales. - f,, /2, premier et deuxième sillons frontaux. - Pli, faisceau longitudinal inférieur. - i, Sillon de l'insula.
' £ " NL" troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. OF, faisceau occipito-frontal, - OF', partie du faisceau occip
noyau lenticulaire. OF, faisceau occipito-frontal, - OF', partie du faisceau occipito-frontal, s'irradiant dans la première
e. - ï'.7n, pilier antérieur du trigone. - llle, tænia thalami. - VA, faisceau de Vicq d'.lryr. - Zr, zone réticulée ou grilla
la couronne rayonnante, son pied, ses deux couches sagittales et le faisceau occipito-frontal vus sur une coupe horizontale pa
entrant à la partie interne du pied de la couronne rayonnante en un faisceau complexe contenant à la fois des fibres occipit
tion( ? +07''), et constituant en dedans des fibres cal- leuses, un faisceau horizontal dont les fibres traversent le pied de
ue. - mF,, face interne de la première circonvolution frontale. - OF, faisceau occipito- frontal. - oF,, partie orbitaire de l
au niveau de la partie supérieure de cette même circonvolution. Le faisceau compact de la cou- ronne rayonnante est surmont
artenant surtout à la couche sagittale interne, prennent la voie du faisceau occipito-frontal (Fig. et 6, OF + Pr), contournen
ule interne sur des plans plus supérieurs et plus posté- rieurs. Le faisceau occipito-fronlal, comme le faisceau longitudinal
ieurs et plus posté- rieurs. Le faisceau occipito-fronlal, comme le faisceau longitudinal infé- rieur, le tapelum, etc., con
sceau longitudinal infé- rieur, le tapelum, etc., constitue donc un faisceau mixte. Il contient des libres d'association et
antérieur de la capsule interne, les autres prennent la voie du faisceau occipito-frontal. 10 ANATOMIE DES CENTRES N
rée occupe la substance blanche non diffé- renciée de la région, le faisceau compact de la couronne rayonnante (CR), le faisce
de la région, le faisceau compact de la couronne rayonnante (CR), le faisceau occipilo-frontal (OF) et le corps calleux (Cc).
occipilo-frontal (OF) et le corps calleux (Cc). La dégénérescence du faisceau compact de la couronne rayonnante peut être sui
vie dans le segment antérieur de la capsule interne (Cia); celle du faisceau occipito-frontal (OF) peut être suivie en partie
erticule du subiculum. - Fa, circonvolution frontale ascendante. Fli, faisceau lon- gitudinal inférieur. - F.11, faisceau rétr
rontale ascendante. Fli, faisceau lon- gitudinal inférieur. - F.11, faisceau rétroflexe de Meynert. - FPoa, fibres antérieures
xe de Meynert. - FPoa, fibres antérieures de la protubérance. - FT, faisceau de Turck et segment sous-lenticulaire de la capsu
t segment sous-lenticulaire de la capsule interne. - FT', partie du faisceau de Tiirck, venant des deuxième et troisième circo
euxième et troisième circonvolutions temporales. - 1'TT,, partie du faisceau de Turck venant de la première circonvolution t
première circonvolution temporale. - ft, fibres tangentielles. Plh, faisceau thalamique de Forel. Pus, lobule fusiforme. V7,
oyau interne du thalamus. - \-L3, putamen, A'7 ! , noyau rouge. - OF, faisceau occipito- frontal. - Opl'a, partie pariétale de
e la corne sphénoldale. - p1'S, sillon prérolandique supérieur. - ? faisceau pyramidal. R, scissure de Rolando. - RC, radiatio
l. R, scissure de Rolando. - RC, radiations de la calotte. - )'/7/, faisceaux radiculaires de la troisième paire. - RTh, radiat
a couche sagittale externe du lobe occipito-temporal sous le nom de faisceau longitudinal inférieur (Fli), et avons montré qu'
Méthode de Weigert. C, cuneus. - Ep, épendyme ventriculaire. - Fbi, faisceau basai interne ou partie inféro-interne de la co
ale externe du segment postérieur de la couronne rayon- nante. Fli, faisceau longitudinal inférieur ou couche sagittale extern
la couronne rayonnante. - Fin, forceps major du corps calleux. Fin', faisceau inférieur ou minor du forceps. - Fus, lobule fu
llon interpariétal; ip', ses incisures. - Lg, lobule lingual. - OF, faisceau occipito-frontal. - ot, sillon collatéral. - Ov,
gual. - OF, faisceau occipito-frontal. - ot, sillon collatéral. - Ov, faisceau occipital vertical.-ou, orifices vasculaires.-
dans la région adjacente au tronc du corps calleux. - Cing (p), son faisceau postérieur. - Cirl, segment rétro- lenticulaire
nte. - ds, diverlicule du subiculum. - Fc, fasciola cinerea. - Fli, faisceau longitudinal inférieur ou couche sagittale exte
nt distinctes, traversées par les fibres calleuses et les fibres du faisceau occipito-frontal qui se rendent dans le tapetum.
sule interne. - Fie, fibres calleuses de l'ergot de Morand. - Fli, faisceau longitudinal infé- rieur. - Fin, forceps major
ds, diverticule du subiculum. - Epa, espace perforé antériem. - Fli. faisceau longitudi- nal inférieur. - Fu, faisceau uncina
e perforé antériem. - Fli. faisceau longitudi- nal inférieur. - Fu, faisceau uncinatus. 77( : ). circonvolution de l'hippocamp
aire de la capsule interne. - coa. commissure anté- rieure. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - Fli, faisceau lon
anté- rieure. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - Fli, faisceau longitudinal inférieur - Flp, faisceau longitud
mmissure postérieure. - Fli, faisceau longitudinal inférieur - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Pli, faisceau uncinatu
gitudinal inférieur - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Pli, faisceau uncinatus. - lc, lame cornée et fibres du tteni
u noyau lenticulaire. O, première circonvolution occipitale.- OF, faisceau oc- ciliLo-frontal. - OF + l'r, faisceau occi
ution occipitale.- OF, faisceau oc- ciliLo-frontal. - OF + l'r, faisceau occipital et libres de projection. - 7'j, deuxi
lenticulaire. - 0,. première circonvolution oc- cipitale. - ouf, faisceau oc- cipito-frontal. 01)11. oper- cule rolandi
oisième circonvolutions frontales. - f4, sillon crn- cial. - Fli, faisceau longi- tudinal inférieur ou couche sagittale
externe du segment postérieur de la couronne rayonnante. - Fmp, faisceau mamillaire principal. - FT, faisceau de Turck
couronne rayonnante. - Fmp, faisceau mamillaire principal. - FT, faisceau de Turck. II, circonvolution de l'hippocampe.
on segment sous-lenticulaire. - coa, commissure anté- rieure. - FT, faisceau de Turck, provenant du segment sous-lenticulaire
? Fig. 282, p. 532). ,4m, avant-mur. AU', avant-mur dissocié par le faisceau uncinatus Arc, faisceau arqué. - Ce, corps call
4m, avant-mur. AU', avant-mur dissocié par le faisceau uncinatus Arc, faisceau arqué. - Ce, corps calleux. - Ce, capsule exter
er sillon frontal. Fa, circonvolution frontale ascen- dante. - Fil, faisceau uncinatus. - Fies, lobule fusiforme. - fl, fibres
L3, 1VI2, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. - OpR, opercule rolandique. -
noyau caudé. - 1YL3, troisième segment du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. OF + Pr, faisceau complexe cont
nt du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. OF + Pr, faisceau complexe contenant à la fois des fibres du fais
ontal. OF + Pr, faisceau complexe contenant à la fois des fibres du faisceau occipito-frontal et des fibres de projection. - P
ent antérieur de la cap- sule interne se divise à ce niveau en deux faisceaux : l'un, formé de fas- cicules de fibres horizon
- Cirl, segment rétro-len- ticulaire de la capsule interne. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - la, insula antérieur.
trigone (fimbria) 7'.V, trou de Monro. - tth, tienia thalami. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - VCrst, veine du corps strié.
zone réticulée ou grillagée. 32 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Lo faisceau géni- culé n'apparaît qui dans la région t6a-
égion thalamique infé- rieure seulement,. qu'il existe un véritable faisceau géniculé. Cette divi- sion du segment antérieur
Cette divi- sion du segment antérieur de la capsule interne en deux faisceaux , est encore très manifeste sur les coupes verti
té antérieure du thalamus (Fig. 23); elles montrent les rapports du faisceau géniculé avec le segment interne du globus pallid
L'étude systématique des dégénérescences secondaires prouve que le faisceau géniculé dégénère à la suite de lésions de l'oper
e FIG. 22. - Coupe horizontale du genou de la capsule interne et du faisceau géniculé · dans la région thalamique inférieure
de Broca. - Cia, segment antérieur; CiCr¡), genou, dans l'es- pèce faisceau géniculé; Cip, segment postérieur de la capsule i
adiées. - tsc, toenia semi-circularis. - 111t, tænia thalami. - VA, faisceau de Vicq d'.lzyr. Bibliothèque des Internes en
CORCE CÉRÉBRALE. 33 Fia. 23. - Le genou de la capsule interne et le faisceau géniculé vus sur une coupe verLico-Lrznsversale
vant-mur. - AU', partie de l'avant-mur mor- celée par les fibres du faisceau uncinatus. - Arc, faisceau arqué. - Ce, corps cal
l'avant-mur mor- celée par les fibres du faisceau uncinatus. - Arc, faisceau arqué. - Ce, corps calleux. - Ce, capsule exter
ule externe. - Cia, segment antérieur de la capsule interne. - Ci(g), faisceau géniculé. - Ci/ ! f7), cingulum. CM, commissure
remier sillon frontal. - Fa, circonvolution frontale ascendante. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - /'l, fibres tangentie
faisceau longitudinal inférieur. - /'l, fibres tangentielles. - Fu, faisceau uncinatus. - Fus, lobule fusiforme. - I, insula
roisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. - OpR, opercule rolan- dique.
eure du segment antérieur (Cia). Dans la région sous-thalamique, ce faisceau occupe le cinquième le plus antérieur du segment
e du pied du pédoncule cérébral. Cette étude montre en outre que le faisceau géniculé est renforcé dans la région thalamique
a région sous-thalamique avec la zona incerta, le corps de Luys, le faisceau lenticulaire de Forel et l'anse lenticulaire. C
s sagittales du seg- ment inférieur de la couronne rayonnante et le faisceau de Turck. (Voy. description de cette coupe T. I
missure postérieure. - Fa, troisième circonvolution frontale. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - Fie. fibres lenticulo-ca
sceau lenticulaire de Forel. - Fie. fibres lenticulo-caudées. -- Fli, faisceau longitudinal 36 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
rs rapports dans la région sous- thalamique. inférieur. - P.1[, faisceau rélrollexe de Meynert. FT, faisceau de Tiirck. hl
thalamique. inférieur. - P.1[, faisceau rélrollexe de Meynert. FT, faisceau de Tiirck. hllz, faisceau thalamique de Forel.
- P.1[, faisceau rélrollexe de Meynert. FT, faisceau de Tiirck. hllz, faisceau thalamique de Forel. - (;11), glande pinéale. -
e. - l'ul, pulvinar. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - lie, faisceau cortical dn noyau rouge passant par les radiati
rieur du trigone. - trou de Monro. - l ? troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'.\zyr.- VI, ventricule latéral.- T'sp
rapport de haut en bas : avec la zona incerla (Zi) qui le sépare du faisceau thalamique de Forel (Fth) et des parties ventra
oyau lenticu- laire (Al) qui contournent sa partie interne; avec le faisceau lenticulaire de Forel (FI) et avec le corps de
. Dans la partie moyenne de la région sous-thalamique (Fig. 24), le faisceau lenticulaire de Forci correspond au tiers inter
érieur. Dans la partie inférieure de la région sous- thalamique, le faisceau lenticulaire de Forel a disparu et le corps de Lu
iculaire de la capsule interne, le pied du pédoncule cérébral et le faisceau de Turck vus sur une coupe horizontale oblique
aire de la capsule interne. Epp, espace perforé postérieur. - Flop, faisceau de la commissure postérieure. - Fli, fais- ceau
missure postérieure. - Fli, fais- ceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. FI', faisceau de Turck
u longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. FI', faisceau de Turck et segment sous-lenticulaire de la cap
de Turck et segment sous-lenticulaire de la capsule interne. - Fu, faisceau uncinatus. - le, lame cornée et libres du taeni
dans la partie externe du pied du pédoncule cérébral en formant le faisceau de Turck. Le segment postérieur de la capsule i
ion thalamique (Fig. 21). Il représente ce dernier segment, plus le faisceau de Turck. Dans leur trajet à travers les région
,il n'est pas rare de rencontrer plusieurs coupes sur lesquelles un faisceau plus ou moins volumineux traverse en diagonale
tre dans le pied du pédoncule cérébral. A un examen superficiel, ce faisceau paraît venir du noyau caudé et représenter le c
rié du pied du pédon- cule cérébral. En réalité, il s'agit ici d'un faisceau cortical qui s'est coudé une première fois au-d
nnée. Cge, corps genouillé externe. - Cing, cingulum : Cingle). son faisceau postérieur. - Cip, segment postérieur; Cirl, se
ale externe du segment inférieur de la couronne rayonnante. - 1 1', faisceau de Turck. Fus, lobule fusiforme. - Gh, ganglion d
NL3, troisième segment du noN au lenticulaire. NR, noyau rouge. OF, faisceau occipito-frontal. - OF + Pi, partie de ce faiscea
noyau rouge. OF, faisceau occipito-frontal. - OF + Pi, partie de ce faisceau qui contient des fibres de projection. - P, pie
tale ascendante ? a, lobule paracentral. - Po, protubérance. - l'y, faisceau pyramidal dans son trajet protubérantiel. - Il, s
enne,\), les autres forment l'anse du noyau lenticulaire (Al) et le faisceau lenticulaire de Forel (FI) (Fig. 21, 28, 312, 3
ans leur en- semble les radiations optiques de Gratiolet (ftTly, ou faisceau visuel cortical. 4. Segment sous-lenticulaire d
e interne. Ses deux couches. 42 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Faisceau de Turck. Faisceau temporo- thalamique d'Arno
couches. 42 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Faisceau de Turck. Faisceau temporo- thalamique d'Arnold deux faisceaux d
Faisceau de Turck. Faisceau temporo- thalamique d'Arnold deux faisceaux de trajet, de direction et de connexion distincts
ceaux de trajet, de direction et de connexion distincts. Ce sont le faisceau de Tiirck et le faisceau temporo-thalamique d'Arn
tion et de connexion distincts. Ce sont le faisceau de Tiirck et le faisceau temporo-thalamique d'Arnold. Le faisceau de Tii
faisceau de Tiirck et le faisceau temporo-thalamique d'Arnold. Le faisceau de Tiirck (FT) Fig. 25) occupe la partie postérie
Cgi) et à la partie ven- trale du thalamus (Fig. 29, p. 30). Le faisceau le2zlo-o- thalamique d'Arnold (J'Tth) s'élale
artie postéro-inférieure du pulvinar (Pul) en se réunissant en un faisceau compact décrit par Ar- nold sous le nom de fa
mique et par Brissaud sous celui i de bandelette sous-optique - faisceau qui passe au- dessous du faisceau de TÜl'ck et
de bandelette sous-optique - faisceau qui passe au- dessous du faisceau de TÜl'ck et du segment rélro-lenliculaire de la
iculaire de la capsule interne et ses deux couches formées par le faisceau de Turck et le faisceau temporo-thala- mique d'
interne et ses deux couches formées par le faisceau de Turck et le faisceau temporo-thala- mique d'Arnold. Cge, corps gen
c le segment inférieur (Si) de la couronne rayonnante et ses deux faisceaux dont l'un, faisceau de Tiirck (FT), forme la pa
eur (Si) de la couronne rayonnante et ses deux faisceaux dont l'un, faisceau de Tiirck (FT), forme la partie externe du pied
la partie externe du pied du pédoncule cérébral, et dont l'autre faisceau temporo-thalamique d'Arnold (fTth) passe au-des
région sous-optique avec le corps de Luys, l'anse lenticulaire et le faisceau lenticu- laire de Forel. Coupe horizontale pass
ticule du subieulum. - 1 ? troisième circonvolution frontale. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - fq, sillon fimb
de la commissure postérieure. - fq, sillon fimbrio-godronné. - ll, faisceau lenticulaire de Forel. - Fli, faisceau longitud
llon fimbrio-godronné. - ll, faisceau lenticulaire de Forel. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudina
lenticulaire de Forel. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. FM, fais- ceau rétrofl
ongitudinal postérieur. FM, fais- ceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Tiirck. - h, sillon de l'hippocampe. la, ins
pilier posté- rieur du trigone. - 1-3, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr, - 1'(, corne frontale du ventri
. FiG. 29. - Le segment sous-lenticulaire de la capsule interne, le faisceau temporo- thalamique d'Arnold, le faisceau de Tu
de la capsule interne, le faisceau temporo- thalamique d'Arnold, le faisceau de Turck et sa fusion avec le segment postérieur
t en avant des corps genouillés et intéressant la corne d'Ammon, le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral et le noy
radia- tions thalamiques et en couche sagittale et externe (Sle) ou faisceau longitudinal inférieur le long de la paroi exte
corne spliénoidale. - F.11, faiscerlU rétroflexe de Meynert. - 1·'T faisceau de Turck formant la couche supérieure du segment
erne et se continuant en bas avec la voie pédonculaire (VI'). - fTlk, faisceau temporo-thalamique d'Arnold, ou couche inférieu
(Fig. 29, 30 et 281) : la couche supérieure comprend les fibres du faisceau de Turck (FT) que l'on peut suivre de la substa
rébral (Fig. 29 et 7). La couche inférieure est con- stituée par le faisceau temporo-thalamique d'Arnold (fTth), faisceau Fi
st con- stituée par le faisceau temporo-thalamique d'Arnold (fTth), faisceau Fig. 30. - Le segment sous-lenticulaire de la c
u Fig. 30. - Le segment sous-lenticulaire de la capsule interne, le faisceau temporo- thalamique d'Arnold et les fibres du f
interne, le faisceau temporo- thalamique d'Arnold et les fibres du faisceau de Tiirck qui s'irradient dans le tha- lamus. C
e rayonnante. fr, fibres radiées du thalamus. - FTth, fibres que le faisceau de Turck envoie au thalamus. - zut, faisceau te
- FTth, fibres que le faisceau de Turck envoie au thalamus. - zut, faisceau temporo-thalamique d'Arnold. - Ln, locus niger. -
segment sous-lenticulaire de la capsule interne (en particulier du faisceau lemporo-thalamidue d'Arnold) à la suite d'une B
s obliques mon trent très nettement l'irradiation dans le pulvinar du faisceau tem- poro-thalamique d'Arnold partiellement dég
rieure. - Ep, épendyme de la voûte de la corne sphénoldale. - h'li, faisceau longitudinal postérieur ou couche sagittale exter
tale externe du segment inférieur de la couronne rayonnante. - Fit, faisceau rétroflexe de Meynert. Fmp, faisceau mamillaire
e la couronne rayonnante. - Fit, faisceau rétroflexe de Meynert. Fmp, faisceau mamillaire principnl.- FTth, faisceau temporo-t
u rétroflexe de Meynert. Fmp, faisceau mamillaire principnl.- FTth, faisceau temporo-thalamique d'Arnold, son irradiation (Fig
aspect que sur les coupes vertico-transversales qui intéressent le faisceau de Turck. En avant de ce faisceau, ce segment (
-transversales qui intéressent le faisceau de Turck. En avant de ce faisceau , ce segment (Cisl) est réduit au faisceau tempo
de Turck. En avant de ce faisceau, ce segment (Cisl) est réduit au faisceau temporo-thalamique dont les fibres, sectionnées
à leur axe, s'étalent sur la voûte sphénoïdale. C'est en arrière du faisceau de Tùrck, sur les coupes vertico-transversales qu
rsales qui intéressent le corps genouillé externe (Fig. 30), que le faisceau temporo-thalamique atteint son plus haut degré
ière et Bras, Fig, 93, p. 108 a 120) on constate | nettement que le faisceau temporo-thalamique, en se continuant avec les f
spond à la partie externe du noyau amygda- lien (Fig. 31 et 32). Le faisceau temporo-thalamique ne relie donc pas le pôle te
que. L'étude des dégénérescences secon- daires nous a montré que ce faisceau tire son origine des circonvolutions ' Son aspe
ules lingual et fusiforme (cas Courrière et Bras, p. 108 à 120). Le faisceau de Tiirck, par contre, ne lire son origine que
t sous-lenticulaire (Cisl) de la capsule interne qui constituent le faisceau de Turck. Les coupes horizontales du cerveau (T
ticule du subiculum. - 7 ? troisième circonvolution frontale. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - Fi, fimbria. -
Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - Fi, fimbria. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. P.11, faisceau rétrollexe
ieure. - Fi, fimbria. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. P.11, faisceau rétrollexe de Meynert. Flp, faisceau longitudin
longitudinal inférieur. P.11, faisceau rétrollexe de Meynert. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - la, Ip, insula antérie
ntérieur et postérieur du trigone. - Il,, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vf, corne frontale du ventric
troisième circon- volution frontale. - f,, sillon olfactif. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - Fli, faisceau l
lon olfactif. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudina
ommissure postérieure. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. 1,ilI. faisceau rétro-
longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. 1,ilI. faisceau rétro- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRA
en. - U, circonvolution du crochet. - V3, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale du ve
iculairement à leur axe, et correspondent : le cinquième interne au faisceau géniculé; les trois cinquièmes moyens au segment
e, caractérisé par ses fibres horizontales, il est constitué par le faisceau de Turck. Sur les coupes plus inférieures, ces
ons inférieures du pied du pédon- cule cérébral. Ils constituent le faisceau du pied à la calotte, le pes lemniscus de Meyne
de Marchi (Fig. 37 et 38), montrent qu'il s'agit ici de véritables faisceaux aberrants de la voie pédonculaire qui, refoulés
zontale des fibres de son cinquième ex- terne constitué par le faisceau de Turck. Formation dos lâ- ches fascicules d
Formation dos lâ- ches fascicules du stratum intormé- dium. Faisceaux aber- rants de la voie pé- donculaire. Pos
, croiser la face libre du pied du pédoncule cérébral en formant le faisceau en écharpe de Féré. Au niveau du sillon pédonculo
nterne du pied du pédoncule cérébral et se placent en dedans de son faisceau interne; dans la protubérance, elles sont refou-
iption de celle coupe, 1110 partie). Aq, aqueduc de Sylvius. - Flp. faisceau longitudinal postérieur. - xF, entre-croisement
Pour éviter toutes espèces de confusion, nous désignerons ces deux faisceaux sous les noms de pes lemniscus superficiel (PLs
elativement rare et il semble exister une vicariance entre ces deux faisceaux aberrants de la voie pédonculaire. Parfois on v
ré en rose. (Voy. description de cette coupe, lll° partie.) Fiée, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
e coupe, lll° partie.) Fiée, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. FPoa, fibres protubéra
-esternes. 54 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Importance do ces faisceaux dans la to- pographie des dégé- nérescences d
l se portent en haut, en arrière et en dehors; elles contournent le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral, puis s'i
le pédoncule du tubercule mamillaire. Dans les dégé- nérescences du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral, on trou-
sous-optique (cas Schweigoffer, Fig. 120, p. 136), en dedans de ce faisceau dégénéré, les fibres horizontales saines de l'a
égion pédonculaire inférieure (Fig. 40), elle s'étale à la surface du faisceau interne et simule une dégénérescence partielle
ce du faisceau interne et simule une dégénérescence partielle de ce faisceau . - Méthode de Weigert. La zone dégénérée est co
R, cap- sule du noyau rouge. - cop, commissure postérieure. - 1 lp, faisceau longitudinal posté- 56 ANATOMIE DES CENTRES NER
ni avec les fibres aberrantes postéro externes. rieur. - r.11, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fmp, faisceau mamillaire
éro externes. rieur. - r.11, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fmp, faisceau mamillaire principal. - Gip, ganglion interpédo
noyau du nerf pathétique. - l', pied du pédoncule cérébral; P', son faisceau interne sain; P(d), sa zone moyenne dégénérée.
protubérance, des fibres saines refouler en arrière et en dehors le faisceau interne dégénéré. Mais le faisceau interne ne s
ouler en arrière et en dehors le faisceau interne dégénéré. Mais le faisceau interne ne se déplace qu'au voisinage immédiat de
se placer en avant, puis en dedans, des fibres verticales saines du faisceau interne. Ces particularités sont très visibles su
raphie de certaines dégénéres- cences, de prime abord anormales, du faisceau moyen du pied du pédon- cule cérébral, telles q
; elle est limitée en dedans et en dehors par les fibres saines des faisceaux interne (P') et externe (P) de la voie pédoncul
P(cl) se déplace : elle se porte en dedans, s'étale à la surface du faisceau interne sain (P') (Fig. 40) et le refoule dans
ondeur du pied du pédoncule, simu- lant ainsi une dégénérescence du faisceau interne, au moins dans ses couches superficiell
formations ganglionnaires dans lesquelles elles s'irradient, en un faisceau compact plus ou moins nettement cir- conscrit,
adiations thalamiques , fibres cortico-lhalamiques appartiennent au faisceau compact de la cou- 1. Nous tenons toutefois, et
re remarquer que la dénomination sous laquelle est connu tel ou tel faisceau encéphalique ou médullaire n'implique point, par
encéphalique ou médullaire n'implique point, par elle-même, que ce faisceau contienne une seule espèce de fibres. Elle indiqu
enne une seule espèce de fibres. Elle indique seulement que dans ce faisceau un système de fibres y existe d'une manière prédo
aisceau un système de fibres y existe d'une manière prédominante. Les faisceaux constitués par une seule espèce de fibres sont
ul3, XL3, les deux segments externes du noyau lenticulaire. - 0/+ ? faisceau occipito-frontal mélangé de fibres de projections
description, on a distingué les radiations tha- lamiques en quatre faisceaux ou pédoncules, connus sous le nom dopé- doncule
, en effet, que les radiations thalamiques soient réunies en quatre faisceaux distincts; non seulement elles sont mélangées d
nférieur est toule fictive. Il s'agit, dans l'espèce, bien moins de faisceaux distincts, que d'un groupement de fibres des di
nte des circonvolu- Leur terminaison. Leur groupement en quatre faisceaux ou pédoncules. Connexions de la corticalité
dont elles forment les fibres radiées (Fig. 42). Elles croisent le faisceau de Vicq d'Azyr (VA) traversent presque sagittal
encéphalique intéressant le noyau antérieur de la couche optique, le faisceau de Vicq d'Azyr, le faisceau rétroflexe de Meyne
oyau antérieur de la couche optique, le faisceau de Vicq d'Azyr, le faisceau rétroflexe de Meynert, le noyau rouge, le pédoncu
sure antérieure. - 1, champ de Forel. - f4, sillon crucial. - F,11, faisceau rétroflexe de Meynert. - fez, fibres perforantes
ance faisant suite à la voie pédonculaire et concourant à former le faisceau pyramidal. - Qa, tubercule quadriju- meau antér
rcule mamillaire accessoire. - tsc, taenia semi-circu- laris. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - T'l, ventricule latéral. - Zr,
odronnée. - Cia, segment antérieur de la capsule interne. - Ci(fl), faisceau géniculé de la capsule interne. - Cip, segment po
sième circonvolution frontale. - f,g, sillon fimbrio-godronné. Fli, faisceau longitudinal infé- rieur. - Gh, ganglion de l'h
cule du subiculum. - F3, troisième circonvolution frontale. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - frl, sillon fimbr
fimbrio-godronné. - Fli, fais- ceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - 7'W, faisceau rétro-
ngitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - 7'W, faisceau rétro- flexe de Meynert. - GQp, ganglion du tub
U, circonvolu- tion du crochet. - 1'3, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale. - Il
ule interne (Cisl) (Fig. 29 et 30). Les unes suivent le trajet du faisceau de Tiirck (FT), traversent la partie postérie
tres, en hicn plus grand nombre, entrent dans la constitution du faisceau tent- poro - thalamique d'Arnold (Voy. pag. 4
r trajet dans le centre ovale, elles appa- raissent sous forme d'un faisceau compact faiblement coloré par la laque hématoxy
à, elles se portent en avant et en dedans,-tandis que les fibres du faisceau temporo-thalamique d'Arnold se portent en arrière
e interne, passent entre le pilier antérieur du trigone (Tga) et le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), puis s'irradient en éven-
s du pul- vinar, et certaines fibres de la bandelette optique et du faisceau temporo- thalamique d'Arnold (p. 47) à la forma
, anse lenticulaire. - ail + 1,'I, union de l'ange lenticulaire et du faisceau lenticulaire de Forel. - Ce, corps calleux. - C
calleux. - CL, corps de Luys. - C.11, commissure de .Meynert. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - Lmi, lame médullaire int
essoire. - lsc, tamia semi-circularis. - lllz, taenia tlialami. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - T'Csl, veine du corps strié.
troisième circonvolution frontale. fj, sillon fimbrio-godronnë. TL, faisceau lenticulaire de Forel. - pli, faisceau longitudin
, sillon fimbrio-godronnë. TL, faisceau lenticulaire de Forel. - pli, faisceau longitudinal inférieur. I·'JI, faisceau rétrofl
nticulaire de Forel. - pli, faisceau longitudinal inférieur. I·'JI, faisceau rétroflexe de Meynert. 7 ? faisceau de Tiirck et
longitudinal inférieur. I·'JI, faisceau rétroflexe de Meynert. 7 ? faisceau de Tiirck et segment sous- lenticulaire de la c
irck et segment sous- lenticulaire de la capsule interne. - 7·'Cle, faisceau thalamique de Forel. - Gh, ganglion de l'habénu
ur du trigone. - Th, couche optique. 3, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vice¡ d'.lzyr. - Vl, ventricule latéral. - IV,
ou fibres aberrantes postéro-externes (]) . 5'1) qui contournentle faisceau externe du pied du pédoncule et abordent le tub
espace perforé antérieur. - Epp, espace perforé postérieur. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli, faisceau longi
oré postérieur. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudi
commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - P.11, faisceau rétrofl
gitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - P.11, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fu, faisceau unci- nat
ongitudinal postérieur. - P.11, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fu, faisceau unci- natus. - 1, insula. - le, lame cornée. -
e la capsule interne (Cisl), suivent dans cette région le trajet du faisceau de Turck et traversent avec lui la partie posté
eur que les radiations du corps genouillé interne. Elles forment un faisceau assez compact (bras du tubercule quadrijumeau pos
en cinq parties égales. 1. La partie interne, cinquième inlerne ou faisceau interne du pied du pédoncule cérébral reçoit se
e (Cia), dans les régions thalamiques moyenne et inférieure, par le faisceau géniculé (Ci(g) et la partie antérieure du segmen
aire, participe à rentre-croisement moteur et à la constitution des faisceaux pyramidaux de la moelle. La méthode des dégénér
sous-lenticulaire do la capsule interne. Origine corticale du faisceau interne. Son trajet. Sa terminaison. 74 ANA
- traînent sa dégéné- rescence. montre que la dégénérescence du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral s'accompa
et 122, p. 136, cas Schweigoffer). Dans son trajet pédonculaire, le faisceau interne du pied du pédoncule est croisé en haut
t-à-dire par les fibres les plus supérieures de la protubérance. Le faisceau interne est limité en dedans par une traînée de s
'au voisinage immédiat de la prote- bérance (Voy. Fig. 3 -i0). Le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral a été ident
(Voy. Historique, p. 81), puis tour à tour désigné sous les noms de faisceau cortico-protubérantiel auté- rieur, faisceau fr
signé sous les noms de faisceau cortico-protubérantiel auté- rieur, faisceau fronto-protubérantiel (frontale Brûckenbahn, Flec
r, faisceau fronto-protubérantiel (frontale Brûckenbahn, Flechsig), faisceau d'Arnold (Meynert), faisceau psychique ou intelle
tiel (frontale Brûckenbahn, Flechsig), faisceau d'Arnold (Meynert), faisceau psychique ou intellectuel (Brissaud). Ce faisce
Arnold (Meynert), faisceau psychique ou intellectuel (Brissaud). Ce faisceau ne correspond pas, comme l'a admis Brissaud. au s
Brissaud. au segment antérieur de la capsule interne, mais bien au faisceau geni ? ulé (Ci(g); il n'est pas constitué par l
cule rolandique et de la partie adjacente de l'opercule frontal. Le faisceau interne est exclusivement formé de neurones corti
res cortico-prolzcbérantielles et de rares fibres pyramidales. Le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral dégénère à
interne (Cia) (cas Cogery, Fig. 174 à 180); dans ce dernier cas le faisceau geniculé (Ci[g]) est lésé; les lésions de la pa
eure du segment antérieur de la capsule interne (Cia) respectent le faisceau geniculé (cas Racle, Fig. 165 à 173), et, parta
g. 165 à 173), et, partant, ne déterminent pas la dégénérescence dn faisceau interne du pied du pédoncule cérébral. Les lési
cas Jouan, Fig. 97 à 100, cas Carré, Fig. 186 à 188), respectent le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral et la dis
ral et la distance qui sépare, dans la région sous-tha- lamique, le faisceau dégénéré du bord interne du segment postérieur de
erne (Cip), est sensiblement égale à celle qui, plus bas, sépare le faisceau dégénéré du bord interne du pied du pédoncule cér
ule céré- bral ; ce sont là autant de preuves qui démontrent que le faisceau inlerne du pied du pédoncule correspond bien au
ent que le faisceau inlerne du pied du pédoncule correspond bien au faisceau geniculé de la capsule interne. Les lésions c
de Cia), n'en- traînent pas toujours une dégénérescence totale, du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral. On y ren
peuvent être suivies du pied de la couronne rayonnante jusque dans le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral. (Voy. ca
usticiables de cette interprétation et l'on peut se demander, si le faisceau interne du pied du pédoncule, en dehors des très
grité parfaite du pied du pédoncule cérébral, en particulier de son faisceau interne. Le cas Mauriceau paraît en contradicti
riceau paraît en contradiction avec le fait de la dégénérescence du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral, obtenu p
e orbi- taire du lobe frontal, bien que dans le cas Rivaud, dont le faisceau interne contenait quelques fibies saines, cette
pédoncule. 76 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Origine cortical du faisceau moyen Son trajet. La topograplm capsulaire
trajet plus ou moins aberrant de la voie normale'et si les fibres du faisceau interne du pied du pédoncule du cas Richard ne
yen de l'hémisphère (Voy. p. 207). 2, 3, 4. La partie moyenne, ou faisceau moyen du pied du pédoncule cérébral, est consti
t, dans le pied du pédon- cule, une région d'autant plus voisine du faisceau interne, qu'elles pro- viennent de régions rola
ral le deuxième cinquième externe et sont limitées en dehors par le faisceau de Tiirck (Fig. t9). Les libres des trois cinqu
s; elles descendent en- suite dans la pyramide bulbaire et dans les faisceaux pyramidaux direct, c/'oeet /to ? MO/6 ! /e ? '6
Ses différentes ca- tégories de fibres ne se groupent pas en faisceaux distincts. corps genouillé externe (Cge), le tu
sous-lenticulaire de la capsule interne. - CL, corps de Luys. - FT, faisceau de Turck. Ln, locus niger. - A'C, noyau caudé. -
yramidales, elles contiennent en outre, dans la partie adjacente au faisceau interne, les neurones corticaux du nerf fa- cia
tes catégories de fibres du pied du pédoncule ne se groupent pas en faisceaux distincts et sont intimement mélangées les unes
pied du pédon- cule cérébral, comme le veulent certains auteurs, un faisceau corlico- protubérantiel distinct, un faisceau d
certains auteurs, un faisceau corlico- protubérantiel distinct, un faisceau des nerfs moteurs crâniens distinct, un faiscea
ntiel distinct, un faisceau des nerfs moteurs crâniens distinct, un faisceau pyramidal distinct. Ces fibres sont intimement en
cinquièmes moyens du pied du pédoncule. 5. - La partie externe ou faisceau externe du pied du pédoncule cérébral ou faisce
partie externe ou faisceau externe du pied du pédoncule cérébral ou faisceau de Türck (FT)tire son origine de la partie moyenn
en occupent le cinquième externe. Dans son trajet pédonculaire, le faisceau de Tiirck n'abandonne que de très rares fibres
politiques. Au- cune fibre ne descend dans la pyramide bulbaire. Le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral ne contie
ro-pro- lubéranlielles et quelques fibres pour le locus niger. Le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral a été désig
xterne du pied du pédoncule cérébral a été désigné sous les noms de faisceau de Turck (Meynert), faisceau sensitif (Charcot, B
érébral a été désigné sous les noms de faisceau de Turck (Meynert), faisceau sensitif (Charcot, Ballet, Brissaud), faisceau
de Turck (Meynert), faisceau sensitif (Charcot, Ballet, Brissaud), faisceau cortico-protubérantiel postérieur (Flechsig), fai
, Brissaud), faisceau cortico-protubérantiel postérieur (Flechsig), faisceau occil)ilo-te21îl)oi,o-pî,otïtbéi-aîtlî'el (Flec
- temporale l3rüc%enGczhzz, Flechsig). D'après tous ces auteurs, le faisceau externe du pied du pédoncule entrait en connexi
ostérieurs de la moelle au lobe occipital (Fig. 51). Pour Charcot, ce faisceau n'était jamais frappé de dégénérescence seconda
rolongeant les fibres sensitives spinales ». Flechsig montra que ce faisceau ne participe pas à la formation de la pyramide bu
mais qu'il s'arrête dans la protubérance ; il le considéra comme un faisceau ncci¡ ¡ ito-l e mp 0 l' 0- pro lubéranl i el.
). Bechterew, Rossolimo, Jelgersma, Zacher, etc., montrèrent que ce faisceau dégénérait, sans toutefois établir son origine co
quièmes internes du piod du pddon- cule. Origine corticale du faisceau externe. ,%il trajet. bes diverses déno- mi
lésions à la fois corticales et capsulaires. L'origine corticale du faisceau de Tiirck fut établie pour la première fois par
l'un de nous, en 1893, dans des recherches qui démon- trent que le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral tire son
tire son origine exclusivement du lobe temporal, qu'il constitue un faisceau leu- p01'o-pl'otubéranliel et que les lésions d
temporale chez le singe ont obtenu de même une dégéné- rescence du faisceau externe du pied du pédoncule (méthode de Marchi).
tive de Munck) constata par la même méthode la dégénérescence de ce faisceau et sa terminaison dans la substance grise de la r
supé- rieure de la protubérance. Quant aux fonctions sensitives du faisceau de Türcl; elles n'existent pas, la chose est ce
aine, aussi bien expérimenta- lement que cliniquement parlant. Le faisceau de Tiirck est donc formé par des neurones de proj
tion du lobe temporal. Il dégénère de haut en bas, comme les autres faisceaux du pied du pédoncule cérébral. « S'il dégénère
ral. « S'il dégénère moins souvent que ces derniers, surtout que le faisceau moyen, cela lient uniquement à ce que les lésions
nérescence secondaire de la partie du pied du pédoncule contigué au faisceau de Tiirck, sans que ce dernier participe à l'al
e hauteur dans le segment postérieur de la capsule interne. Mais ce faisceau dégénère dans toute son étendue lorsque, par une
postérieur de la capsule interne, c'est-à-dire sur la région où le faisceau de Tiirck aborde la capsule in- terne. » (J. De
4 ïG, p. 173; cas Dautriche, Fig. 192 à 19G.) La dégénérescence du faisceau de Tiirck ne peut être suivie, ainsi que nous a
voie pyramidale, mais entraînent une dégé- nérescence rétrograde du faisceau de Tiirck dans son trajet pédonculaire et capsu
s eo)'eo ? ? 'oM6e7'cHze/'<, les neurones corlico- bulbaires (ou faisceau cérébral des nerfs craniens moteurs), les neurone
teurs), les neurones corlico-médullaires plus connus sous le nom de faisceau pyramidal. Les radiations du locus niger tirent
st presque insignifiante lors- qu'il n'y a qu'une dégénérescence du faisceau de Tiirck. Ces faits nous permettent de conclur
rantiels proviennent de tout le sec- teur moyen de l'hémisphère. Le faisceau de Tiirck ne contient pour ainsi dire que des f
ge antérieur de la protubérance. Les neurones cortico-bulbaires (ou faisceau cérébral des nerfs moteurs crâniens) tirent leu
l'opercule frontal, passentpar le genou de la capsule interne et le faisceau interne dupied du pédoncule cérébral, et sont enc
: Charcot, Vulpian. Bouchard. Les neurones cortico-médullaires ( faisceau pyramidal), tirent leur J' origine de la zone r
yramide bulbaire. Ils ne reçoivent pour ainsi dire pas de fibres du faisceau de Turck, mais un petit nombre de fibres du fai
s de fibres du faisceau de Turck, mais un petit nombre de fibres du faisceau interne du pied du pédoncule. En effet, les dég
ceau interne du pied du pédoncule. En effet, les dégénérescences du faisceau de Tiirck n'enlrainent pas d'as- symétrie appré
oy. cas Neumann, Fig. 134 à 136), tandis que les dégénérescences du faisceau interne du pied du pédoncule déterminent toujou
1866. Bouchard, contrairement à l'opinion de Tiirck, montra que les faisceaux direct et croisé de la moelle épinière appartie
ect et croisé de la moelle épinière appartiennent à un seul et même faisceau encéphalique et qu'ils dégénèrent à la suite d'
. Ainsi se trouva donc posé le problème de l'origine corticale du faisceau [pyramidal. Il le fut déjà par Vulpian, lorsque
Char- cot et Vulpian, de Bouchard, le trajet intra- médullaire du faisceau pyramidal était dé- finitivement établi, si l'o
au pyramidal était dé- finitivement établi, si l'on savait que ce faisceau dégénère à la suite de lésions pro- tubérantiel
rales, jusqu'aux travaux de Flechsig basés sur le développement des faisceaux encéphaliques et médullaires, l'opinion des a
ut implicite- ment acceptée et l'on admit, avec j\)eynert, que le faisceau pyramidal, comme du reste la plupart des fibres
- tripètes en brun clair, le système cérébelleux en jaune. Cf, le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral (fibres de
élan- gées avec des fibres du pédoncule cérébelleux moyen. - Cp, le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral ou faisce
x moyen. - Cp, le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral ou faisceau de Turck; il provient de l'écorce des lobes occip
aire, ses rapports avec l'olive bulbaire et sa continuation avec le faisceau latéral du [bulbe (coupe 5) et le cordon latéra
tingent du lo- cus nycr. Découverte de Gudden de l'origine du faisceau de la pyramide dans la cor- ticalité motrice
e du chien. Travaux de Char- cot sur l'origine corti- cale du faisceau pyra- midal chez l'homme. pyramide du bulbe,
hémianesthésie d'origine cérébrale rapportés par Tiirck, désigna ce faisceau sous le nom de faisceau de Tiirck, ou faisceau
cérébrale rapportés par Tiirck, désigna ce faisceau sous le nom de faisceau de Tiirck, ou faisceau sensitif. ' Quant aux
r Tiirck, désigna ce faisceau sous le nom de faisceau de Tiirck, ou faisceau sensitif. ' Quant aux fibres du locus niger (pé
(1879), Meyneit admet dans le pied du pédoncule cérébral, outre les faisceaux du corps strié, du noyau lenticulaire et les fi
les fibres corticales directes temporo-occi- pitales qui forment le faisceau de Tiirck, un [quatrième - - - -- ..... 1 1 -
s passer par les ganglions centraux et qu'il désigne sous le nom de faisceau d'Arnold. En 1872, Gudden montra par voie expér
entale de Gudden, qui prouve impli- citement l'origine corticale du faisceau pyramidal, n'eut aucun retentissement. Ce ne fu
de Charcot (187G) et de Flechsig (1881), que l'origine corticale du faisceau pyramidal fut définitivement admise. Charcot mo
lésions de la substance grise corticale déterminent une sclérose du faisceau pyramidal lorsque le foyer intéresse les deux cir
don- cule. - F. étage inférieur du côté sain.-L, locus ni- ger, faisceau interne de l'étage inférieur du côté ma- lade
opres observations, divisa le pied du pédoncule céré- bral en trois faisceaux : Un faisceau interne, qui correspond à tout le
s, divisa le pied du pédoncule céré- bral en trois faisceaux : Un faisceau interne, qui correspond à tout le segment antérie
a dégénérescence ne peut être suivie au delà de la]protubérance; Un faisceau moyen, ou faisceau pyramidal, qui comprend au moi
peut être suivie au delà de la]protubérance; Un faisceau moyen, ou faisceau pyramidal, qui comprend au moins les deux quarts
térieur de la capsule interne (région pyramidale de la capsule); Un faisceau externe (faisceau sensitif de Meynert), qui jamai
ule interne (région pyramidale de la capsule); Un faisceau externe ( faisceau sensitif de Meynert), qui jamais sous aucune cond
nt postérieur de la capsule interne. En 1880, Brissaud subdivisa le faisceau interne en deux faisceaux inégaux : un petit fa
le interne. En 1880, Brissaud subdivisa le faisceau interne en deux faisceaux inégaux : un petit faisceau externe, contigu au
subdivisa le faisceau interne en deux faisceaux inégaux : un petit faisceau externe, contigu au faisceau pyramidal, qui renfe
e en deux faisceaux inégaux : un petit faisceau externe, contigu au faisceau pyramidal, qui renferme les fibres des noyaux m
facial et hypoglosse) et correspond au genou de la capsule interne ( faisceau géniculé); un faisceau interne, beaucoup plus gra
t correspond au genou de la capsule interne (faisceau géniculé); un faisceau interne, beaucoup plus grand, qui répond au segme
s- ceau psychique »). Plus tard, Brissaud abandonnant l'épithète de faisceau psychique, revient iL l'ancienne opinion de Mey
revient iL l'ancienne opinion de Meynert et identifie tour à tour le faisceau interne du pied du pédoncule avec l'anse du noy
e du pied du pédoncule avec l'anse du noyau lenticulaire et avec le faisceau d'Arnold. Fig. 53. - La région pyramidale de la
rne; 3, coupe transversale du pied du pédon- cule cérébral. a, le faisceau externe de la couche inférieure du pied du pédonc
isceau externe de la couche inférieure du pied du pédoncule cérébral ( faisceau occipito-temporo-protubérantiel non encore myél
eurs crâniens, en particulier du facial et de l'hypoglosse. - c, le faisceau interne de la couche inférieure du pied du pédonc
n encore myélinisée. - g, les radiations de la calotte. Les trois faisceaux du pied du pédoncule d'après Charcot. La su
ceaux du pied du pédoncule d'après Charcot. La subdivision du faisceau interne du pied du pédoncule par Brissaud.
, 1884, étudie, l'aide de l'anatomie de développement, le trajet du faisceau pyramidal dans la moelle épinière et s'occupe p
remiers travaux, il admet encore, avec Meynert, l'origine striée du faisceau pyramidal ; dans ses travaux ultérieurs (1881-188
dal ; dans ses travaux ultérieurs (1881-1883), il étudie le trajet du faisceau pyramidal dans la capsule interne, admet l'exis
, l'autre dorsale ou supérieure. La couche ventrale comprend quatre faisceaux (Fig. 53) : . 1° Le faisceau externe (a), faisc
La couche ventrale comprend quatre faisceaux (Fig. 53) : . 1° Le faisceau externe (a), faisceau cortico-protubérantiel post
comprend quatre faisceaux (Fig. 53) : . 1° Le faisceau externe (a), faisceau cortico-protubérantiel postérieur, faisceau tempo
Le faisceau externe (a), faisceau cortico-protubérantiel postérieur, faisceau temporo- occipito-protubéranliel (Hintere oder
croyait Meynert, l'entre-croisement sensitif; il ne représente pas un faisceau sensitif; il n'atteint pas le bulbe, mais relie
nce giise antérieure du pont à l'écorce occipito-temporale; 2° Le faisceau moyen (p), faisceau pyramidal, occupe dans la rég
du pont à l'écorce occipito-temporale; 2° Le faisceau moyen (p), faisceau pyramidal, occupe dans la région pédonculaire inf
périeure, le troisième quart externe du pied du pédoncule. C'est un faisceau myélinisé à la naissance, très bien délimité en
oyaux;pontidues, forme la pyramide bulbaire et se continue avec les faisceaux pyramidaux direct et croisé de la moelle. Dans la
ulier dans la circonvolution pariétale ascendante ; 3° En dedans du faisceau pyramidal se trouve un faisceau encore peu myélin
iétale ascendante ; 3° En dedans du faisceau pyramidal se trouve un faisceau encore peu myélinisé à la naissance (p'), il n'
occupe dans la capsule interne le segment pos- térieur en avant du faisceau pyramidal et représente les fibres des nerfs mote
eprésente les fibres des nerfs moteurs de la protubérance ; 4° Le faisceau qui comprend les deux cinquièmes internes du pied
ticulaire. a) Les fibres originaires du lobe frontal constituent le faisceau cortico-protubérantiel antérieur ou fron- tal (
se rendent directement dans la capsule interne, passent en avant du faisceau pyramidal et se placent dans le pied du pédoncu
aisceau pyramidal et se placent dans le pied du pédoncule, entre le faisceau cortico-protubérantiel antérieur el le faisceau d
u pédoncule, entre le faisceau cortico-protubérantiel antérieur el le faisceau des neifs moteurs crâniens ; elles occupent ens
autres se rendent dans la couche ventrale et sont situées entre le faisceau des nerfs crâniens moteurs et le faisceau des f
le et sont situées entre le faisceau des nerfs crâniens moteurs et le faisceau des fibres caudées; elles forment avec ce derni
et le faisceau des fibres caudées; elles forment avec ce dernier le faisceau strio-protubéranliel (Slrei- feiilingel-Brücken
ynert; elle est constituée en dedans (Fig. 53 (d) par les fibres du faisceau cortico-protubérantiel antérieur et en dehors p
nakow, Zacher) et admettent dans le pied du pédoncule cérébral : un faisceau cortico-protubérantiel antérieur, un faisceau des
pédoncule cérébral : un faisceau cortico-protubérantiel antérieur, un faisceau des nerfs moteurs crâniens, un faisceau pyramid
rotubérantiel antérieur, un faisceau des nerfs moteurs crâniens, un faisceau pyramidal, un faisceau cortico-protubérantiel pos
, un faisceau des nerfs moteurs crâniens, un faisceau pyramidal, un faisceau cortico-protubérantiel pos- térieur et, dans le
suite de lésions étendues de la corticalité cérébrale; 2° Que le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral tire son or
d'in- sertion de la troisième circonvolution frontale; 3° Que le faisceau externe ou de Tiirck, n'est point, comme le croya
Tiirck, n'est point, comme le croyaient Meynert, Flechsig, etc., un faisceau venant de la région occipito-temporale, mais
deuxième et troisième circonvolutions tempo- rales ; 4° Que le faisceau pyramidal occupe les trois cinquièmes moyens
texture du cerveau el abandon- nant son opinion sur l'origine des faisceaux cortico-protubéranliels antérieur et postérieur
é correspondante du tronc encéphalique, portant sur la totalité des faisceaux blancs et de la substance grise. Elle intéresse
x blancs et de la substance grise. Elle intéresse non seulement les faisceaux de la voie pédonculaire respectés par la dégéné
egment postérieur de la capsule interne en arrière du genou. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FT, faisceau de Turcs
e en arrière du genou. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FT, faisceau de Turcs atteint de dégénérescence rétrograde.
la pyramide bulbaire. Dans la moelle épinière enfin, les fibres du faisceau pyramidal, bien que cantonnées spécialement dan
doncule, de la protubérance, du bulbe et de la moelle épinière, les faisceaux sectionnés dégénèrent dans les deux sens, très
xistence d'un très petit nombre de fibres dégénérées au milieu d'un faisceau sain, résultat que l'on ne peut obtenir avec la
ploi de la méthode de Marchi on peut, d'autre part, établir dans un faisceau complexe la direction des fibres qui le constitue
st un peu moins ré- cente, la dégénérescence rétrograde de ces deux faisceaux survient. On constate alors ( méthode de Marchi
la colonne grise médullaire. D'autres formations ganglionnaires et faisceaux du névraxe bien que n'affectant aucune espèce d
, l'anse du noyau lenticulaire; dans le cerveau intermédiaire : les faisceaux lenticulaire et thalamique de Forel, le faisceau
termédiaire : les faisceaux lenticulaire et thalamique de Forel, le faisceau rétroflexe de Meynert, la substance grise centr
hombencéphale : la formation réticulée et ses fibres arcifonnes, le faisceau longitudinal postérieur , le noyau du ruban de
ions strio-thalamiques et strio-sous-thalamiques, en particulier le faisceau lenticulaire de Forel (FI) qui traversent la caps
se du corps de Luys (CL), du noyau lenticulaire (NL3, NL2, NLi), du faisceau rétroflexe de Meynert (Fi1). (Compa- rez en par
ence complète du segment postérieur de la capsule interne (Cip) et du faisceau de Turck dans son trajet capsulaire (fur) et so
mbreuses fibres saines fortement colorées parl'héma- toxyline. Le faisceau thalamique de Forel (Fth), le ruban de Reil (Rm),
nullement à la dégénérescence (Fig. G7 à 73); il en est de même du faisceau lenticulaire de Forel (FI), de l'anse du noyau le
bulbe qu'elles forment en totalité, puis dans la moelle épi- nière ( faisceau pyramidal direct et croisé) ; 3° Que le ruban d
le moyenne, dorsale inférieure et lom- baire. Dégénérescence du faisceau pyramidal direct gauche et croisé droit. Di-
s-optique. Les fibres horizontales saines mais d'aspect onduleux du faisceau lenticulaire de Forel (FI) segmentent la capsul
ont disparu sans laisser pour ainsi dire de traces; les fibres du faisceau lenticulaire sont si serrées que l'on dis- ting
ourtes fibres d'association et des libres propres du lobe occipital : faisceau occi- pital Iransverse du cunétts (ftcS), faisc
lobe occipital : faisceau occi- pital Iransverse du cunétts (ftcS), faisceau occipital transverse du lobule lingual (ilgl), st
ccipital transverse du lobule lingual (ilgl), stra- tum calcarinum, faisceau propre du cunéus, et une dégénérescence du faisce
tum calcarinum, faisceau propre du cunéus, et une dégénérescence du faisceau occipital vertical (Ov), lorsque la lésion sièg
lorsque la lésion siège à la face externe du lobe occipital; 2° Du faisceau long d'association : faisceau longitudinal inféri
face externe du lobe occipital; 2° Du faisceau long d'association : faisceau longitudinal inférieur (Fli). Les fibres dégéné
faisceau longitudinal inférieur (Fli). Les fibres dégénérées de ce faisceau passent par la couche sagittale externe du lobe t
s le bourrelet du corps calleux (Cc[Spl]), et d'autres fibres dans le faisceau d'association occipito-frontal (OF). Voy. T. I
t sectionnant à ce niveau les couches sagittales (en particulier le faisceau longitudinal inférieur) et le tapetum de la régio
83). D'autre part elle se poursuit dans la couche sagittale externe ( faisceau longitudinal inférieur Fli), du segment inférie
amygdalien (NA) (Fig. 83 à 8)); une partie des fibres dégénérées du faisceau longitudinal inférieur s'irradie dans l'écorce
sous-lenticulaire de la caspule interne (Cisl) et s'irradie avec le faisceau temporo-thalamique d'Arnold (FTth) qu'elle conc
interne (Cgi), les radiations du corps genouillé interne (RCgi), le faisceau de Turck (FT), le pied du pédoncule cérébral (P)
e et interne de la corne occipitale, forment le tapetum (Tap) et le faisceau inférieur du forceps postérieur du corps calleux
calleux, d'autres fibres dégénérées entrent dans la constitution du faisceau occipito-frontal et peuvent être suivi sur les co
long de l'angle externe du ventricule latéral. - La dégénérescence du faisceau inférieur du forceps du corps calleux occupe to
très nette des couches sagittales (radiations thalamiques (RTh) et faisceau longitudinal inférieur (Fli),] du segment rétro
, du bras du tubercule quadrijumeau anté- rieur. Intégrité du faisceau de Turck et du pieddu pédoncule cérébral. 1
gment postérieur de la couronne rayon- nante, en particulier du faisceau longitu- dinal inférieur (Fli), des segments
inar (Pul) et de son stratum zonale (Strz). Dégénéres- cence du faisceau temporo - thalamique d'Arnold (FTth). In- t
egment postérieur de la capsule interne (Cip) en particulier du faisceau deTûrck et du pied du pédon- cule cérébral.
egment postérieur delà couronne rayon- nante, en particulier du faisceau longitu- dinal postérieur (Fli); des segments
tégrité du segment postérieur do la cap- sule interne (Cip), du faisceau de Tiirck et du pied du pédoncule cérébral.
nt détruit le tapetum (Tap), les radiations thalamiques (RTh) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Sur la coupe actuel
érieur (Fli). Sur la coupe actuelle, la lésion n'a sectionné que le faisceau longitudinal inférieur. Dégénérescence extrêmem
eau longitudinal inférieur. Dégénérescence extrêmement accentuée du faisceau longitudinal inférieur, des radiations thalamiq
longitudinal inférieur, des radiations thalamiques, du tapetum, du faisceau inférieur du forceps et du bourrelet du corps c
érescence des couches sagittales (radia- tions thalamiques (RTh) et faisceau longitudinal inférieur (Fli)) s'accompagne d'une
nérescences des couches sagittales (radiations thalamiques (RTh) et faisceau longi- tudinal inférieur) (Fli), du faisceau oc
s thalamiques (RTh) et faisceau longi- tudinal inférieur) (Fli), du faisceau occipital vertical (Ov), de la substance blanche
a capsule interne, le pied du pédoncule cérébral, en particulier le faisceau de Turck sont absolument normaux (Fig. 91) : la b
rieure. La dégénérescence des couches sagittales, en particulier du faisceau longitudinal inférieur, a retenti en outre sur
euses fibres dégénérées (Fig. 91). 3° Une dégénérescence des courts faisceaux d'association du lobe occipital : faisceau occi
dégénérescence des courts faisceaux d'association du lobe occipital : faisceau occipital vertical (Ov), faisceau transverse du
d'association du lobe occipital : faisceau occipital vertical (Ov), faisceau transverse du cuneus, faisceau transverse du lobu
: faisceau occipital vertical (Ov), faisceau transverse du cuneus, faisceau transverse du lobule lingual. 4° Une dégénéresc
econ- daires du tapetum (Tap), des radiations thalamiques (RTh), du faisceau longitudinal inférieur (Fli), de la substance b
ences Cirl, Cisl, \V, Pul, Cge, BrQa, Qa. Intégrité parfaite du faisceau de Turcl : , du pied du pédoncule cérébral
cences Cirl, Cisl, V, Pul, Cge, BrQa, Qa. Intégrité parfaite du faisceau de Turck, du pied du pédoncule cérébral et
es de l'hémi- sphère droit; la zone de dégénérescence qui coiffe le faisceau compact de la couronne rayonnante relève très p
segmen t postérieur de la capsule interne (Cip), en particulier du faisceau de Tiirck (FT) et de la commissure antérieure (
Dégénérescences secondaires des radiations thalamiques (RTh) et du faisceau longitudinal inférieur (Fli) qui doublent la pa
Pul, Cge, \V. Inté- grité du pied du pé- doncule cérébral du faisceau de Tùrck et de la bandelette optique. 120
rescen ces CSgt (T,), Cisl, Pul. Cge, \Y. Intégrité parfaite du faisceau de Turck, du pied du pédoncule cérébral et
doncule cérébral et de la bandelette optique. partie interne du faisceau longitudinal inférieur, la partie externe des rad
précédents, et dans lesquels la lésion corticale n'intéresse pas le faisceau compact du segment postérieur de la couronne ra
la lésion pouvant être suivies dans les radiations thalamiques, le faisceau longitudinal inférieur et la substance blanche
la capsule interne (Cisl) qui, venant du lobe temporal, formenl le faisceau de Turck (FT); dans le pied du pédoncule cérébral
l (Fig. 105), la dégénéres- cence se place en avant et en dedans du faisceau de Turck et correspond au deuxième cinquième ex
e cinquième externe du pied du pédoncule cérébral, intégrité du faisceau de Turck. 126 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
me cinquième externe du pied du pédoncule cérébral Intégrité du faisceau de Turck. FiG. 102, 103 et 104. - Cas Leudot.
ème cin- quième externe du pied du pédoncule cérébral. Intégrité du faisceau de Turck (FT); ce dernier refoule en avant la z
e cinquième externe du pied du pédoncule cérébral. Intégrité du faisceau do 'l'urck. g2g ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
rescence : 1° des courtes fibres d'asso- ciation de la région et du faisceau occipital vertical (Ov), qui recouvre les couches
onge en avant jusqu'à la base du gyrus supra-marginalis; 2« du long faisceau d'association; faisceau longitudinal inférieur (F
base du gyrus supra-marginalis; 2« du long faisceau d'association; faisceau longitudinal inférieur (Fli), qui concourt à form
et et la partie postérieure du tronc du corps calleux, soit dans le faisceau occipito-frontal (OF). Zone rolandique. (Lobe c
cinquième externe du pied du pédoncule cérébral (P(d). Intégrité du faisceau de Tiirck (FT). Méthode de Weigert. 2/1 grandeur
en outre sur les courtes fibies d'association de la région, sur le faisceau arqué ou longitudinal supérieur (Arc), sui le
on, sur le faisceau arqué ou longitudinal supérieur (Arc), sui le faisceau occipito-frontal (OF) et sur le t ronc du corps
au occipito-frontal (OF) et sur le t ronc du corps calleux (Ce). Le faisceau oc- cipito-frontal est toujours partiellement
, Fig. 417 et 118) et la dégénérescence intéresse, non seulement le faisceau en crochet (OF) qui surmonte le noyau caudé et (j
ant en arrière vers le tapetum (Tap), ce qui semble indiquer que le faisceau occipito-frontal reçoit de la zone rolandique plu
ne (Cip (d), Fig. 109) où il est refoulé en dedans et en avant par le faisceau de Turck. Il occupe, dans le pied du pédoncule
céphalie acquiso do l'opercule rolandi- que.Dégénérescence du faisceau arqué, du faisceau occipito- frontal,de la ca
l'opercule rolandi- que.Dégénérescence du faisceau arqué, du faisceau occipito- frontal,de la capsule externe. Dégé
au occipito- frontal,de la capsule externe. Dégénéres- cence du faisceau gé- niculé, de la partie antérieure du thala-
faisceau gé- niculé, de la partie antérieure du thala- mus, du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral. Légè
rieur ou len- ticulo-caudé de la capsule interne. Dégénérescence du faisceau arqué ou longi- tudinal supérieur, de la capsul
capsule externe, de la couche sagittale interne du lobe frontal, du faisceau occipito-frontal (OF-1-Pr) et des fibres (OF) qui
ière et deuxième frontales. Dégénérescence de la'capsule externe du faisceau occipito-frontal (OF + Pl' et OF). Intégrité du s
céphalic acquise de l'opercule rolandi- que. Dégénérescence du faisceau arqué du faisceau occiputo- frontal. de la ca
l'opercule rolandi- que. Dégénérescence du faisceau arqué du faisceau occiputo- frontal. de la capsule externe. lJé
occiputo- frontal. de la capsule externe. lJégéncrcs- cence du faisceau gé- niculé, de la partie antérieure du thala-
faisceau gé- niculé, de la partie antérieure du thala- mus, du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral. Légè
céphalie acquise do l'opercule rolandi- que. Dégénérescence du faisceau arqué, du faisceau occil)tto- frontal, de la
l'opercule rolandi- que. Dégénérescence du faisceau arqué, du faisceau occil)tto- frontal, de la capsulo externe. Dé
occil)tto- frontal, de la capsulo externe. Dégénéres- cence du faisceau gé- mculé, do la partie antérieure du thala-
u faisceau gé- mculé, do la partie antérieure du thala- mus, du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral. Légè
ns. L'étude des coupes mi- croscopiques sériées mon- tre que le faisceau dégénéré FIG. 119 et 4 ? 0. - Cas Schweigoffe
on sous-thalami- que de la capsule in- terne. Dégénérescence du faisceau géniculé (Ci (g) et du bord lenti- culaire de
la capsule interne (Cia) dans la région thalamique moyenne forme le faisceau géniculé et occupe le genou (Ci[g]) et la partie
s son trajet à travers le segment antérieur de la capsule (Cia), ce faisceau est fusionné avec le pédoncule antérieur de la
ain nombre de /tores radiées qui passent en dedans et en avant du faisceau de Vicq d'lzyr (VA) et se rendent dans l'extr
, Ni) (Fig. 119). Dans la région sous-thala- mique (Fig. 120,, le faisceau dégénéré occupe la partie antérieure du segment
car il s'agit ici de libres peu nombreuses, isolées, non réunies en faisceau . La méthode de Marchi donne de meilleurs résultat
al occupent le plus souvent la FiG. 121 et 122. - Dégénérescence du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral et du l
céphalie acquise de l'opercule rolandi- que. Dégénérescence du faisceau arqué, du faisceau occipito- frontal, do la c
l'opercule rolandi- que. Dégénérescence du faisceau arqué, du faisceau occipito- frontal, do la capsule externe. Dég
u occipito- frontal, do la capsule externe. Dégénéres- cence du faisceau gé- mculé, do la partie antérieure du thala-
u faisceau gé- mculé, do la partie antérieure du thala- mus, du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral. Légè
s segments rétro et sous- lenticulaires de la capsule interne et du faisceau de Tiirck. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉR
-capsuleinterno, du pulv1l1ar, du corps genouillé externe et du faisceau de Turck. 140 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
capsule interne, du pulvinar, du corps genouillé externe et du faisceau de Turck. sont atteintes; dans le second (cas L
cielles du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa). Dégénérescence du faisceau temporo-thalamique d'Arnold (Cisl, Fig. 127) et
ence du faisceau temporo-thalamique d'Arnold (Cisl, Fig. 127) et du faisceau de Tiirck (FT) dans son trajet capsulaire et pé
(FT) dans son trajet capsulaire et pédonculaire. Dégénérescence du faisceau uncinatus (Fu), de la substance blanche de la p
du cinquième externe du pied du pédoncule cérébral, c'est-à-dire du faisceau de Tiirck (FT), et dans les lésions de la ire ci
s la région sous-thalamique de la capsule interne apparaît un nouveau faisceau dégénéré, le faisceau de Tiirck (FT), qui refou
que de la capsule interne apparaît un nouveau faisceau dégénéré, le faisceau de Tiirck (FT), qui refoule en avant les fibres s
pédon- cule cérébral, de la partie adjacente du locus niger et du faisceau ex- terne du pied du pédoncule ou faisceau de
du locus niger et du faisceau ex- terne du pied du pédoncule ou faisceau de Tiirck (FT). Il existe dans ce cas une dégén
si- dérable de fibres saines correspon- dant aux fibres saines du faisceau moyen de la voie pédonculaire. Méthode de Wei
s temporales. Dans ce cas, il existe en outre une dégénérescence du faisceau uncinatus (Fu) qui peut être suivie dans la cir
nte temporale relèvent au moins en partie de la dégénérescence du faisceau uncinatus. Cas Le Seguillon (Fig. 129 à 133) :
apsule interne (Cip); elle est séparée de la zone précédente par le faisceau de Tiirck (FT), qui ne contient relativement qu
téro supérieure du noyau rouge. Dégénéres- cence partielle du faisceau de Turck. Dégénérescence du deuxième cinquièm
éro- supérieure du noyau rouge. Dégénéres- cence partielle du faisceau de Turck. Dégénérescence du deuxième cinquièm
eux parties par l'arrivée des fibres en grande partie saines du faisceau de Turck (FT) qui refoulent en avant la zone
ire de la capsule in terne (Cirl) dans la région adja- cente au faisceau de Tiirck : dégénérescence du corps genouillé
t postérieur de la capsule interne située immédiatement en avant du faisceau de Tiirck. Dégé- nérescence du faisceau uncinat
e immédiatement en avant du faisceau de Tiirck. Dégé- nérescence du faisceau uncinatus. Intégrité de la commissure antérieure.
ibres cortico-genozcillées internes, une dégénérescence incomplète du faisceau de Tûrck, et une dégénérescence du deuxième cin
usniger (Ln), du stratum intermedium de Meynert (Stri) (Fig. 133), du faisceau uncinatus (Fu) (Fig. 132) et du faisceau longit
nert (Stri) (Fig. 133), du faisceau uncinatus (Fu) (Fig. 132) et du faisceau longitudinal inférieur (Fli). Ce cas est particul
e cas est particulière- ment démonstratif pour l'étude du trajet du faisceau de Türck. Il démontre que lorsque dans la régio
isée dans la région sous-thalamique en deux parties pour l'arrivée du faisceau de Türcl : : une partie postérieure rétrolentic
Dans la région thalamique moyenne (Fig. 131) on voit, en effet, un faisceau sain se détacher sur les segments pos- térieur
rne (Cisl) et du cinquième externe du pied du pédoncule cérébral ou faisceau de Tûrck (FT). Cette dernière ne peut être suiv
scence du segment sous- lenticulaire de la capsule interne e t du faisceau de TÜrck (FT). Dégénérescence des noyaux pont
lerne (Cip), dans le pied du pédoncule céré- bral, constituent le faisceau de T1ÏI'ck (FT) (cinquième externe du pied du
rescence des courtes fihres d'association de la région, ainsi que des faisceaux longitu-- dinal inférieur (Fli), uncinatus (Fu)
La dégénérescence du tapetum peut être suivie, d'une part, dans le faisceau occipito- Bibliothèque des Internes en Médeci
ieurs de la troisième circonvolution fronlale gauche sectionnant le faisceau compact de la couronne rayonnante. Dégénérescence
e rayonnante. Dégénérescence du genou du corps cal- leux (Cc(r), du faisceau occipito-frontal (OF et Ouf+ Pr), du segment anté
onnante (CII), du segment antérieur de la capsule interne (Cia), du faisceau occipito-frontal (OF) et de l'extrémité antérie
ssus et en avant des fibres du lobe occipital. La dégénérescence du faisceau longitudinal inférieur peut être suivie, d'une pa
terne (Ce), et, d'autre part, jusque a ici pointe uumlm- tale. Ce faisceau dégénère par conséquent dans les deux sens (f
e de la couche sagittale externe. Quant il la dégénérescence du faisceau uncinatus, elle peut être suivie le long de la
Moriceau, IL g. Fig, 137, 138 et 141) sectionnent le plus souvent le faisceau compact de la couronne rayonnante du lobe front
sur les courtes fibres d'association de la région et sur les longs faisceaux d'association : faisceau arqué ou longitudinal su
association de la région et sur les longs faisceaux d'association : faisceau arqué ou longitudinal su- périeur, faisceau occ
isceaux d'association : faisceau arqué ou longitudinal su- périeur, faisceau occipito-frontal (OF) (Fig. 137 et 140), et dans
to-frontal (OF) (Fig. 137 et 140), et dans les lésions de Fa sur le faisceau uncinatus (Fu). La dégénérescence du faisceau occ
lésions de Fa sur le faisceau uncinatus (Fu). La dégénérescence du faisceau occipito-frontal intéresse non seulement les fi
ent les fibres de la substance grise sous-épendymaire, mais encore le faisceau curviligne qui entoure l'angle latéral du ventr
intéressent en même temps, dans la région thalamique inférieure, le faisceau geniculé. Dans l'un et l'autre cas, il existe une
ur de la capsule interne dans la région sous-thalamique. Lorsque le faisceau du genou est lésé (cas Cogery, Fig. 174 à 180),
à 173), la dégénérescence siège en arrière du genou et respecte le faisceau interne du pied du pédoncule. FIBRES DE PROJECT
les lésions situées immédiatement en arrière du genou respectent le faisceau interne du pied du pédon- cule cérébral, et la
me cinquième externe du pied du pédoncule cérébral et respectent le faisceau de Türck. Ce dernier fais- ceau - cinquième ext
interne Cisl et déterminent par conséquent une dégénéres- cence du faisceau de Turck (cas Dautriche, Fig. 192 à 196). Ces c
llaire. Hyper- trophie compensa- trice de la PO ramlde gauche ; faisceau py- ramifIaI homolatéral. et le troisième seg
bre de fibres saines, et dans le pied du pédoncule (P) on trouve un faisceau de Tiirck (FT) très apparent (Fig. 150). Abstra
dullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gaucho, faisceau py- ra midal homolatéral. 154 ANATOMIE DES
ullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gauche ; faisceau py- ramidal homolatéral. Fil. 145et 146.-Cas
la capsule interne (Cisl);dont les fibres saines, en particulier le faisceau de' Turck (FT), abordent, sur la Fig. 149, la par
ines des radiations strio-sous-tlialamiques, strio-luysiennes et du faisceau lenticulaire de Forel. Dégénérescence du pulvinar
stérieur (13r Qlp) (fig. 149). Atrophie secondaire très évidente du faisceau rétroflexe de Meynert (FM) (Fig. 147), du faisc
très évidente du faisceau rétroflexe de Meynert (FM) (Fig. 147), du faisceau de Vicq d'Azyr ou mamillaire principal (Fmp) et d
ullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gauche ; faisceau py- ramidal homolatéral. Bibliothèque des Int
du pied du pédoncule; les fibres saines, en particulier celles du faisceau interne, correspondent aux fascicules épargnés
e la protubérance et les noyaux du toit du'quatrième ventricule. Le faisceau de Turck s'épuise dans la partie supéro-postéro
ullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gaucho ; faisceau py- ramidal homolatéral. 158 ANATOMIE DES C
ullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gauche ; faisceau py- ramidal homolatéral. à l'extension du foy
eitrophiée : elle envoie dans le cordon latéral droit un volumineux faisceau pyramidal croisé (FPyc), et dans le cordon latéra
dullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gauche; faisceau py- ramidal homolatéral. Cas Rivaud. Hé- mi
dullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gauche; faisceau py- ramidal homolatéral. ric. 956,457 et 458.
que les fibres saines du pied du pédoncule cérébral, soit celles du faisceau de Ticrch (FT), soit les rares fibres saines de
; une petite partie se porte dans le cordon latéral du côté croisé ( faisceau pyramidal croisé) (xPy; Fig. 1;¡ ? puis disparaît
ursuivant son trajet descendant le long du sillon médian antérieur ( faisceau pyramidal direct) (FPyd (a) (Fig. 156, 137, 158
137, 158), disparaît à son tour sur des plans plus inférieurs' que le faisceau pyramidal croisé. Au-dessous de la quatrième ra
us de la quatrième racine cervicale, on ne trouve aucun vestige des faisceaux pyramidaux croisé ou direct; le cordon latéral cr
les cas de dégénérescence secondaire de l'adulte, remplacement des faisceaux pyramidaux dégénérés (Comparer ce cas avec le c
ordon antérieur direct une légère tache de sclérose névroglique. Le faisceau pyramidal, au niveau du pied de la couronne rayon
on latéral gauche, que deux petites taches de sclérose, vestiges du faisceau pyramidal droit agénésié. lIémiatrophie de tout
dullaire. Hyper- trophie compensa- trice de la pyramide gauche; faisceau p- ramidal homolatéral. 162 ANATOMIE DES CE
ullaire. Hyper- trophie compensa - trice de la pyramide gauche; faisceau py- ramidal homolatéral. Mieux que ce dernier
période de la vie (12 à 18 mois), où la myélinisation des différents faisceaux n'était pas parachevée; elle réalise par conséq
citer : Y atrophie du trigone cérébral (Tg) (Fig. 61, p. 94) et du faisceau de Vicq d'Azur (Fmp. Fig. 147 à 149), caractérisé
ble celle du trigone (Fig. 61, p. 91). L'atrophie de ces différents faisceaux est cause de la diminution de volume en masse d
amiqucs (anse du noyau lenticulaire [AI], fibres strio- lu y siennes, faisceau lenti- culaire de Forel [F1J etc.), et les fibr
ullaire. Hyper- atrophie compensa- trice de la pyramide gauche, faisceau p3- ramidal homolatéral. 164 ANATOMIE DES CEN
ccusée (voy. cas Richard, Fig. 220). Chez l'adulte, par contre, les faisceaux dégénérés sont tou- jours indiqués nettement pa
indiqués nettement par la sclérose névroglique qui a pris la place du faisceau disparu, tout en occupant une étendue moindre q
Au niveau du collet du bulbe (Fig. loi, 156 et 1G ? ) elle donne un faisceau pyramidal croisé (F'yc),un faisceau pyramidal d
loi, 156 et 1G ? ) elle donne un faisceau pyramidal croisé (F'yc),un faisceau pyramidal direct et des fibres pour le cordon l
, assez peu nombreuses il l'élat normal, for- ment ici un véritable faisceau compact qui se porte en arrière et en dehors, déc
he saine, mais hypertrophiée, abandonne au cordon latéral gauche un faisceau compact de fibres pyramidales homo-latërales (f
les homo-latërales (fPyh), et au cordon latéral droit un volumineux faisceau pyramidal croisé (FPyc). Méthode de Weigert-Pal
ète, du membre inférieur ne tient pas au développement d'un véritable faisceau pyramidal homolatéral. Fil. 163 et 164. - Irr
gment postérieur (Cip) de la capsule interne, sans participation du faisceau géniculé (Ci)g).- Le cerveau du cas Racle (Fig. 1
la partie moyenne du pied du pédoncule. Intégrité partielle du faisceau gé 1 calé. 168 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
la partie moyenne du pied du pédoncule. Intégrité partielle du faisceau géniculé. couronne rayonnante. Dégénérescence
169 et 170), irriguée par l'artère cérébrale antérieure, la région du faisceau géniculé et de l'extrémité antérieure du thalam
nétré dans le corps de Luys (CL) (Fig. 171). Intégrité partielle du faisceau géniculé (Ci(g)). Dégé- nérescence partielle de
radiées des régions antérieure et ventrale du thalamus (Fig. 169), du faisceau lenticulaire de Forel. La Fig. 1G9 permet de su
la partie moyenne du pied du pédoncule. Intégrité partielle du faisceau géniculé. 170 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
la partie moyenne du pied du pédoncule. Intégrité partielle du faisceau géniculé. cher, des fibres anté- rieures du
sceau géniculé. cher, des fibres anté- rieures du trigone, un faisceau 'aberrant (fTga) (Fig. 167) qui . passe en av
r les côtés de la lame terminale em- br5 onnaire, tandis que le faisceau principal du pilier antérieur (Tga) aborde le
tie antérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) un faisceau de fibres saines, le faisceau géniculé (Ci(g)). D
érieur de la capsule interne (Cip) un faisceau de fibres saines, le faisceau géniculé (Ci(g)). Dans toute la hauteur de la r
eur de la capsule interne contient des fibres saines appartenant au faisceau géniculé. Elles peuvent être suivies dans le fa
ppartenant au faisceau géniculé. Elles peuvent être suivies dans le faisceau interne du pied du pédoncule, mais elles y sont
pied du pédoncule ne représentent pas le contingent orbitaire du faisceau interne. Ces fibres passent en effet par la par
pes du pied du pédoncule cérébral passant par le tuber cinereum, le faisceau aberrant du pilier antérieur du trigone et le sil
on moyenne du pied du pédoncule cérébral, conservation partielle du faisceau interne dont les fibres font suite au'faisceau
rrivent seuls à la protubérance ; ces coupes montrent les rapports du faisceau aberrant du pilier antérieur du trigone avec la
le de la partie inférieure de la protu- bérance. Dégénérescence des faisceaux antéro-internes de la voie pédonculaire. Méth
la partie moyenne du pied du pédoncule. Intégrité partielle du faisceau géniculé. 172 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
dique et la partie adjacente de l'opercule frontal envoient dans le faisceau géniculé et le faisceau interne du pied du pédo
acente de l'opercule frontal envoient dans le faisceau géniculé et le faisceau interne du pied du pédoncule (Voy. p. 73). Dans
ule cérébral où elle est limitée en dedans par les fibres saines du faisceau interne (Fi, Fig. 172) jusque dans l'étage anté
dium (Stri), des noyaux pontiques, une dégénérescence très intense du faisceau pyramidal dans son trajet bulbaire et médullair
s rétro (Cirl) et sous (Cisl) lenticulaires de la capsule interne, du faisceau de Tiirck et du tiers externe du pied du pédonc
. 4° Le cas Racle est encore intéressant par la présence d'un petit faisceau aberrant du trigone (fTga) apparent dans l'espa
ente du segment postérieur (Cip) de la capsule interne, respecte le faisceau géniculé (lequel n'est dégénéré que partiel- le
Dégénérescence du segment antérieur de la capsule interne (Cia), du faisceau géniculé (Ci(g), de la zone réticulée (Zr) de la
du segment antérieur de la capsule interne. Dégénérescence du faisceau géniculé et de la partie interne du pied du p
rescence du tiers externe du pied du pédoncule, y compris le faisceau do Turck. Dégénérescence de BrQa, Qa, Tgp, et
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. de la capsule interne sectionnant le faisceau 'géniculé et d'une seconde lésion intéres- sant
t le segment sous-lenticulaire de la capsule interne et détruisant le faisceau de Tiirck et la partie adjacente du segment pos
t interne du pied du pédoncule cérébral avec intégrité partielle du faisceau interne et intégrité complèle du faisceau de Ti
ec intégrité partielle du faisceau interne et intégrité complèle du faisceau de Tiirck et du deuxième cinquième externe du pie
pédonculaire et le pilier postérieur du trigone. Dégénérescence du faisceau de Tiirck et du deuxième cin- quième externe du
1 iculaire (Cirl) de la capsule interne. Dégénérescence partielle du faisceau uncinatus (Fu). Intégrité de la commissure anté
u). Intégrité de la commissure antérieure (coa). 2° Dégénérescence du faisceau in- lerne du pied du pédoncule consécutive à la
a partie inférieure du pé- doncule cérébral. 1° Dégénérescence du faisceau de Turck et de la partie externe adjacente du p
djacente du pied du pédon- cule cérébral. 2° La dégénérescence du faisceau interne du pied du pé- doncule (Pi, d) est refo
erne du pied du pé- doncule (Pi, d) est refoulée en dehors par un faisceau de fibres saines ap- partenant au pes lemniscus
édian. Méthode de Weigert. Cogery il existe une dégénérescence du faisceau interne, du faisceau de Turck et du deuxième se
gert. Cogery il existe une dégénérescence du faisceau interne, du faisceau de Turck et du deuxième segment externe du pi
du segmcnt antérieur de la capsule interne. Dégénérescence du faisceau géniculé et de la partie interne du pied du p
nérescence du tiers externe du pied du pédoncule, y compris le faisceau de Turck. Dégénérescence de BrQa, Qa, 1'gp, e
du segment antérieur delà capsule interne. Dégénérescence du faisceau géniculé et do la partie interne du pied du p
nérescence du tiers externe du pied du pédoncule,)- compris le faisceau de Tiirck. Dégénérescence de BrQa, Qa, Tgp, e
uième interne du segment posté- rieur (Cip) (Fig. 17G), puis le faisceau inlerne du pied du . pédoncule cérébral (Fig.
générescence du segment antérieur de la couronne rayonnante, du faisceau occipilo- frontal (OF) et de la capsule ex- l
u pédoncule cérébral (Fig. 178); elle intéresse, par conséquent, le faisceau de le 2° cinquième externe du pied du pédoncule e
ète sur le 3° cinquième. Une large zone de fibres saines la sépare du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral dégénéré
ement disséminées. La sclérose pyramidale occupe dans la moelle les faisceaux pyramidaux directs et croisés et peut être subi
n de lieil médian (Rm), une diminution de volume considérable de ce faisceau dans son trajet pédonculaire, protubérantiel et
ent en arrière du genou. La dégénérescence pédonculaire respecte le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral, et siège i
la section du quart postérieur de Cip est refoulée en avant par le faisceau de Turck dans la région sous- thalamique, et oc
inquième externe du pied du pédon- cule cérébral Inté- grité du faisceau de Turck. tine de la partie antérieure du pul
uches sagittales du segment pos- térieur de la couronne rayonnante ( faisceau longitudinal inférieur (Fli), radiations thala-
que (Fig. 187), cette zone dégénérée est refoulée en avant par le faisceau de Turck; elle occupe le deuxième cin- quième e
ent postérieur (Cip) delà capsule interne immédiatement en avant du faisceau de Turck, (FT) dégénérescence du deuxième cin
cinquième externe du pied du pédonculo cérébral. Intégrité du faisceau do Turck. 182 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. g
se place dans la région sous- thalamique immédiatement en avant du faisceau de Ttircl\ : (Fig. 191) et occupe le deuxième c
du segment postérieur de la couronne rayonnante (Sge et Sgi) et du faisceau occipito-frontal en amont du foyer primitif. Dé
ales du segment postérieur de lt couronne rayonnante (Sge et Sgi), ( faisceau longitudinal postérieur et radiations thalamiqu
ons thalamiques). Intégrité du tapetum. Dégénérescence partielle du faisceau occipito- frontal, de la capsule externe et de
ns la partie moyenne du pied du pédoncule. Conservation relative du faisceau de Turck. Méthode de Weigert-Pal. 5/4 grandeur na
ectionne les conduc- teurs centraux de la vision. nérescence de faisceaux importants. L'une siège dans la partie postérieur
us-optique, le segment postérieur de la capsule interne en avant du faisceau de Turck, atteint la partie supérieure du pied du
ntérieur de la protubé- rance et une dégénérescence très intense du faisceau pyramidal dans son trajet bulbaire et médullair
tielle des radiations strio-thalamiques, de l'anse lenticulaire, du faisceau lenticulaire de Forel, des radiations strio-luysi
ulaire qu'il ne détruit pas com- plètement et respecte en partie le faisceau de Tiirck. Le faisceau externe du pied du pédon
pas com- plètement et respecte en partie le faisceau de Tiirck. Le faisceau externe du pied du pédoncule contient un certai
e très intense des couches sagittales externe et interne (Sge, Sgi), ( faisceau longitudinal inféiieur, radiations thalamiques)
externe (Ce) en particulier du contingent de fibres fournies par le faisceau longitudinal inférieur; 2° Une dégénérescence du
nies par le faisceau longitudinal inférieur; 2° Une dégénérescence du faisceau occipito-frontal (OF) qui peut être suivie, d'u
s couches sagittales, en dedans par la dégénérescence des fibres du faisceau occipito-frontal. En aval de la lésion primitiv
pédoncule cérébral et du locus niger Dégénérescence incom- plète du faisceau de Tiirck. Intégrité des fibres du tiers interne
sant par les noyaux rouges (NR), le ganglion de l'habenula (Gh), le faisceau rétroflexe (F.1), le pied du pédoncule (P), le
dépourvues de fibres à myé- line dans les régions correspondant aux faisceaux pyramidaux directs et croisés, c'est- 'L-dire l
e lenticulaire 11, Fig.202 côté gauche, et Fig. 203 côté droit), du faisceau lenticulaire de Forel (11, rg. 203 côté gauche,
ig. 204), de la commissure de Meynert (CM, Fig. 202 et 203). Tous ces faisceaux son Fin. 209. - Cas Longery. Coupe passant, par
nia thalami (tth), le ganglion de l'habenula (Gh, Fig.20G) avec son faisceau rétroflexe (Fil), le centré médian de Luys (Nm).
s fibres sti,io-.5otis-thcilaî ? îiqzies : anal lenticulaire (.11), faisceau lenticulaire de Fore (FI), fibres strio-luysien
s et circonscrivant des îlots gris informes (Fig. 206 et 207). Le faisceau thalamique de Forel (Fth, Fig. 203), le champ de
précé- dente se concentrent autour de l'angle supéro-externe en un faisceau volumineux for- tement coloré par l'hémaloxylin
au niveau de l'angle externe du ventricule et qui appartiennent au faisceau occipito-frontal (OF) (Fig. 220, 221, 222 et 22
me ventriculaire très épais, comme il l'est chez l'enfant. - Fc, le faisceau de fibres calleuses situé en dehors du faisceau o
l'enfant. - Fc, le faisceau de fibres calleuses situé en dehors du faisceau occipito-frontal autour de l'angle supéro-exter
halie et se continue en dedans avec l'épendyme ventriculaire. - OF, faisceau occipito-frontal. - Sge, substance grise sous-épe
roi inférieure du ventricule. Les fibres de projection forment deux faisceaux qui affleurent l'épendyme ventriculaire au niveau
épendyme ventriculaire au niveau de la porencéphalie (Fig. 221). Le faisceau supérieur (CR), le plus petit, est l'homologue du
sus d'elles une mince couche de fibres à direction transversale. Le faisceau inférieur (CSgt), très volumineux, forme une épai
ée (Cg) dans la région où elle se continue avec le toenia tecta. Le faisceau des fibres calleux (Fc) occupe encore l'angle e
la base des circonvolutions de la face interne de l'hémisphère en un faisceau a direction sagittale, particulièrement manifes
e, particulièrement manifeste sur la coupe suivante] (Fig. 223). Le faisceau supérieur (pCR) des fibres de projection contourn
ceau supérieur (pCR) des fibres de projection contourne en crochet le faisceau des fibres calleuses (Fc) et tapisse sa face su
a même direction que les fibres de projection et simulent à tort un faisceau d'association anormal reliant les circonvolutions
la cavité ventriculaire unique, cette couche disparait et les deux faisceaux sont complè- tement séparés l'un de l'autre.
Les coupes horizontales obliques montrent (Fig. 229 et 230) que le faisceau inférieur (CSgt) poursuit son trajet antéro-pos
les segments rétro et sous-lenticulaires de la capsule interne. Le faisceau supérieur, très petit, contourne en crochet les f
euses qui convergent sur l'angle externe et la face supé- rieure du faisceau calleux (Fc) ; celles qui proviennent du bord ext
t par la ligne de repère 3 de la Fig. 213. Cing, cingulum. - Fc, le faisceau des fibres calleuses se concentre à la partie i
es calleuses se concentre à la partie interne de l'hémisphère en un faisceau à direction sagittale, l'homologue du forceps p
ttale, l'homologue du forceps postérieur d'un cerveau normal. - Fp, faisceau des fibres de projection recouvrant le faisceau
rveau normal. - Fp, faisceau des fibres de projection recouvrant le faisceau calleux. - pCR, pied de la couronne rayonnante du
vrant le faisceau calleux. - pCR, pied de la couronne rayonnante du faisceau de fibres de projection. - OF, faisceau occipit
e la couronne rayonnante du faisceau de fibres de projection. - OF, faisceau occipito-frontal. - Ll, première circonvolution l
ur axe comme les fibres de la couronne rayonnante qui recouvrent le faisceau calleux et sur les coupes un peu épaisses, parais
un peu épaisses, paraissent ne faire avec elles qu'un seul et même faisceau ; les coupes minces, convenablement colorées, mont
blement colorées, montrent qu'elles appartiennent en réalité à deux faisceaux distincts, et non, comme on pourrait le croire
ncts, et non, comme on pourrait le croire de prime abord, à un long faisceau d'association reliant les circonvolutions de la
onvexité à celles de la face interne de l'hémisphère (Fig. 222). Le faisceau supérieur de la couronne rayonnante (CR) conserve
25). Lorsque l'on s'approche des régions antérieures du manteau, le faisceau supérieur de la couronne rayonnante augmente; l
plus en plus en dedans (Fig. 222), puis se concentrent en un petit faisceau compact à surface de section ovalaire, à trajet s
ard, passant par la ligne de repère 2 de la Fig. 213. Les fibres du faisceau calleux sagittal (Fc) s'infléchissent en dedans e
e, Fig. 225). Au sur à mesure que le tronc calleux se constitue, le faisceau sagittal dimi- nue, puis disparaît, et dans les
entrent à la partie supéro-interne du carrefour ventriculaire en un faisceau volumineux, ova- laire, à direction sagittale,
échissent en dedans pour former le bourrelet du corps calleux. Le faisceau sagittal de notre hydrocéphale peut donc être con
de la région étranglée du lobe frontal (voy. Fig. 2H et 21G). Le faisceau calleux sagittal a disparu, et dans la lame inter
fibres externes peuvent être suivies sur les coupes sériées dans le faisceau supérieur de la couronne rayonnante(CR) du mant
yau externe (ThNe) bien développés, riches en fibres radiées, dont un faisceau important appartient au pédoncule antérieur de
CE CÉRÉBRALE. 211 On pourrait même par analogie se demander si le faisceau sagittal occipito- frontal décrit par Forel et
relativement bien développée et contient les fibres descendantes du faisceau géniculé Ci(g). Tout le reste du segment postérie
large, s'applique contre le globus pallidus (NL2), et les libres du faisceau lenticulaire de Forel (FI). Le segment rétrolen
r, car si l'hypothèse se vérifiait il ne 'faudrait pas confondre le faisceau sagittal occipito- frontal des agénésies calleu
faisceau sagittal occipito- frontal des agénésies calleuses avec le faisceau d'association occipito-frontal du cer- veau nor
normal du reste des fibres de ce segment, sous l'aspect d'un petit faisceau , faisceau géniculé (Cig), Fig. 227), occupent dan
reste des fibres de ce segment, sous l'aspect d'un petit faisceau, faisceau géniculé (Cig), Fig. 227), occupent dans la rég
ntielle supérieure. Quelle est l'origine corticale de ces fibres du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral (Fig. 231
er de la face orbitaire du lobe frontal, ou y arrivent-elles par le faisceau supérieur de la cou- Inc. 230. - Cas Richard. L
que dans sa partie autéro- interne (Ci(g); celles-ci proviennent du faisceau géniculé et descendent dans la partie interne d
moins des fibres de la couronne rayonnante du lobe orbitaire dans le faisceau supérieur de la couronne rayonnante (Voy. plu
s radiations strio-tUalamidues et strio-luysiennes et des fibres du faisceau lenticulaire de Forel qui le cloisonnent. Mais da
e cérébral. Agénésie presque totale de la voie pé- donculaire. Le faisceau interne du pied du pédoncule (Fi) contient seul
ulaire ou n'en sont séparées que par quelques fibres appartenant au faisceau lenticulaire de Forel. Le pied du pédoncule cér
Yonz Baue und Leben des Gehirns. Leipzig, 1819-1826. - Brissaud. Du faisceau dit Bandelette sous- optique dans la racine pos
ibres pyramidales homolatérales el sur la terminaison inférieure du faisceau pyrcnnidtl. Arch. de Physiologie. Avril 1896, p
u pédoncule cérébral, de l'étage antérieur de la protubérance et du faisceau pyra- midal dans son trajet bulbaire et médulla
sommet occupe la voûle du ventricule latéral. Agénésie partielle du faisceau pyramidal (Bicêtre, 1892). (Voy. J. Déjerine. D
L'excitation capsulaire a donné les mômes résultats à ces auteurs, le faisceau capsulaire du facial supérieur d'un côté ayant
elle ou auditive par suite de l'irritation ou de la destruction des faisceaux visuel cortical et auditif cortical sous-jacent a
e macaque, Ilorsley et Beevor ont déterminé le trajet capsulaire du faisceau moteur. Leurs recherches sont basées sur quarante
riences faites toutes sur le macacus sinicus. Elles démontrent que le faisceau moteur présente dans la capsule interne un traj
enne est en connexion à la fois avec les deux hémisphères et que le faisceau maculaire du nerf oplique subit, au niveau du c
ceau pyramidal au niveau du collet du bulbe. Henschen localise le faisceau maculaire dans lapartie anlérieure de lascissure
tre de Ilroca. - F'3, troisième circonvolution frontale droite. - fe, faisceau croisé ou nasal; fol, faisceau direct ou tempor
irconvolution frontale droite. - fe, faisceau croisé ou nasal; fol, faisceau direct ou temporal; fin, faisceau maculaire du ne
e, faisceau croisé ou nasal; fol, faisceau direct ou temporal; fin, faisceau maculaire du nerf optique. - Fin, forceps posté
ptique. - Fin, forceps postérieur ou major du corps calleux. - Fil, faisceau uncinatus réunissant la zone de 'Wernicke (T,,)
s d'association courtes, moyennes et longues, en particulier par le faisceau longitudinal supérieur ou arqué et le faisceau lo
en particulier par le faisceau longitudinal supérieur ou arqué et le faisceau lon- gitudinal inférieur, et forment un tout co
tacts et la lésion siégera en dehors de la zone du langage, sur les faisceaux d'association qui relient : a) la circonvolutio
le corps calleux, par la couche sagittale du lobe occipital, par le faisceau longitudinal inférieur. Dans la surdité verbale
tale. La zone du langage et ses fibres sont colorées en rouge. Arc, faisceau arqué, réunissant le pli courbe et la première ci
périeur Un certain nombre de ces fibres passent probablement par le faisceau occipito-frontal. - C, cuneus. - Cc, corps call
due en profondeur ou rapprochée du centre, elle sectionne les longs faisceaux d'association de la région. C'est lorsque l'on ét
rèrent qu'une lésion siégeant sur une partie quelconque du trajet du faisceau pyramidal peut produire l'hémichorée, et pour c
plus tassées que plus haut, et elles sont refoulées en avan par le faisceau de Tiirck venu de la région temporale. Une lésion
e. (Cas Dautriche, p. 182), sectionne en même temps il ce niveau le faisceau visuel elle déterminera la production d'une hém
e interprétation que nous nous arrêtons. En effet, s'il existait un faisceau sensitif dans la partie postérieure de Cip, les l
res patholo- giques ou expérimentales - nous montre en outre que le faisceau sensitif - ruban de Reil - s'arrête dans le tha
bilité générale que pour la sensibilité spé- ciale. Il n'y a pas de faisceau sensitif venant du pied pédoncule et passant di
ns la partie postérieure du segment postérieur de cette dernière de faisceau compact formé uniquement de fibres à fonctions
1898, p. 229. -- Ballet. Recherches anatomiques et cliniques sur le faisceau sensitif et les troubles de la sensibilité dans
générale observé chez un hémiplégique et relevant d'une atrophie du faisceau rubannè de Reil. Arch. de Phys. norm. et pathol.,
Jluscular sensé. Amer. Journ. of méd. Science, 1894. - J. Soury. Le faisceau sensitif. Rev. gén. des Sciences, 1894, p. 190.
tif et du- septum lucidum constituent les radiations olfactives, le faisceau septo-tltalamiqzte, et le tænia semicircularis ;
pédoncule du septum lucidum et entre ainsi dans la constitution du faisceau olfactif du trigone (Fig. 2(2). Les radiations
ient celle région à la formation ammonique par l'intermé- diaire du faisceau olfactif du trigone. Il s'agirait donc dans l'esp
calleux. - Cia, segment antérieur de la capsule interne. - Cill.'1, faisceau antérieur du cingulum. CL, corps de Luys. - CM,
e ou colliculus du noyau caudé. - coa, commissure antérieure. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - fU, fibres en U ou cou
eux. - Cg, circonvolution godronnée. - Cing, cingulum. Cin,r(p), le faisceau postérieur du cingulum. - coa, com- missure ant
aisceau postérieur du cingulum. - coa, com- missure antérieure, son faisceau olfactif et le contingent] des fibres du tænia se
des fibres du tænia semicircu- laris. - Fc, fasciola cinerea. - FG, faisceau de la calotte de Gudden, ou branche de bifurcat
u de la calotte de Gudden, ou branche de bifurcation postérieure du faisceau mamillaire principal (I·'nah). - Fiel, faisceau l
cation postérieure du faisceau mamillaire principal (I·'nah). - Fiel, faisceau longtlu- dinal dorsal de la substance grise cen
tlu- dinal dorsal de la substance grise centrale de Schutz. - F.11, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fol, faisceau olfactif
centrale de Schutz. - F.11, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fol, faisceau olfactif du trigone. - fp, fibres perforantes cal
calleuses ou fibres extra- ammoniques du corps du trigone. - fslh, faisceau septo-thalamique. fisc, fibres que le toenia se
laris. - llh, taenia thalami. - U, circonvolution du crochet. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr ou branche de bifurcation supéri
VA, faisceau de Vicq d'Azyr ou branche de bifurcation supérieure du faisceau mamillaire principal. Bibliothèque des Internes
roi- sième ordre de la voie olfactive. Elles ne représentent pas un faisceau à origine et à destination uniques, mais contie
bulbe olfactif et dans l'aire olfactive; elles suivent le trajet du faisceau olfactif du trigone (Fol, Fig.252) etunissentle
diaire du taenia semicircularis; 3° au ganglion de l'habenula par le faisceau septo-thalamique et le taenia thalami; 4° au tu
irectes; 5° probablement à la calotte du pédon- cule cérébral. 2. faisceau SEPTO-THALAMIQUE. - Le faisceau septo-thalamique(
lotte du pédon- cule cérébral. 2. faisceau SEPTO-THALAMIQUE. - Le faisceau septo-thalamique(fsth) (Fig. 253) naît des cell
dernières formations à l'aire olfactive et au septum lucidum. Ce faisceau a été décrit chez les reptiles et les oiseaux par
crit chez les reptiles et les oiseaux par IIonegger, sous le nom de faisceau rayonnant du septum (lflarkbündel der Slrahligen
lles constituent des neurones olfac- tifs de troisième ordre. Faisceau septo- thalamique. Son trajet. 268 ANATOMIE
IE DES CENTRES NERVEUX. Scbeidewand) ; par Ad. Meyer, sous celui de faisceau longitudinal basai pour le tsenia thalami (basa
lfacto-habenularis. 0. Yogi l'a décril chez le lapin sous le nom de faisceau sel)lo-ilialaî2îzqzie. Il a montré en outre (méth
qu'il n'en reçoit ou n'y envoie aucune fibre. Il représente donc un faisceau indépendant du système du trigone. Fig. 253. -C
s-thalamique et sectionnant les radiations olfactives profondes, le faisceau septo-thalamique, le faisceau de Vicq d'Azyr et
s radiations olfactives profondes, le faisceau septo-thalamique, le faisceau de Vicq d'Azyr et l'anse lenticulaire (Méthode de
ode de Weigert). Al, anse lenticulaire : Al + FI, son union avec le faisceau lenticulaire de Forel. - Aol, aire olfactive. -
- CNR, capsule du noyau rouge. - coa, commissure antérieure. - FI, faisceau lenticu- laire de Forel. - fsllz, faisceau sept
issure antérieure. - FI, faisceau lenticu- laire de Forel. - fsllz, faisceau septo-thalamique. - Lmi, lame médullaire interne
ssoire. - lac, trenia semicircularis. - lllz, ta;nia thalami. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. VCsl, veine du corps strié. - n,
Al, anse lenticulaire. - Al + FI, union de l'anse lenticulaire et du faisceau thalamique de Forel. - Ce, corps calleux. - CL,
s. C.lf, commissure de Meynert. - coa, commissure antérieure. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - 7 ? première circonvo-
cessoire. - tsc, ttBnia semicircularis. - lllt, taenia thalami. VA, faisceau de Vicq d'.lzyr. l'l, ventri- cule latéral. - 1
ure et de la partie adjacente du septum lucidum, sous l'aspect d'un faisceau large, étalé et ascendant, dont les fibres conver
capsule interne. A la hauteur du trou de Monro (Fig. 41, p. 58), le faisceau se resserre, puis occupe, avec la veine du corp
des de la corne sphénoïdale, et il est séparé du noyau caudé par le faisceau temporo-thalamique d'Ar- nold (fTth) qui affleu
urs sur les connexions du toenia semicircularis. D'après Ganser, ce faisceau naîtrait, chez la taupe et le lapin, de toutes
ircularis. SYSTÈME DU TRIGONE CÉRÉBRAL Le trigone cérébral est un faisceau complexe comme les radiations olfac- tives. Il
segments postérieur el sous-lenticulaire de la capsule interne, le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral et le noy
gi) ou radiations thalamiques, et couche sagittale externe (Sge) ou faisceau longitudinal inférieur. - pli, faisceau rétrofl
sagittale externe (Sge) ou faisceau longitudinal inférieur. - pli, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Turck; i
ongitudinal inférieur. - pli, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Turck; il forme la couche supérieure du segm
e continue en bas avec la voic pédonculaire, en particulier avec le faisceau externe du 'pied du pédoncule cérébral. - (Tilt
r avec le faisceau externe du 'pied du pédoncule cérébral. - (Tilt, faisceau temporo-thalamique d'Arnold ou couche inférieure
(Fig. 41 ) Il et du corps du trigone (Fig. 7,26). Elle constitue un faisceau de fibres lon- gitudinales et parallèles que le
rement à leur axe. Dans son trajet hippocampique, la fimbria est un faisceau volumineux en partie extraventriculaire sur leque
ormant sur les coupes vertico-transversales(fCg, Fig. 256) un petit faisceau de fibres convergentes qui passent par le hile
unissent, tda partie interne du hile du fascia dentata, en un petit faisceau dont les fibres affectent une direction longitu
d'Ammon et du voile terminal. La fimbria n'est d'abord qu'un petit faisceau sectionné perpendiculairement à son axe occupan
eure (Fig. 30, p. 45), et elle se présente sous l'aspect d'un épais faisceau irrégulièrement triangulaire, dont le sommet ex
ll ? GO.)-Lep111e1'pOSL- rieur du trigone (Tgp) forme un volumineux faisceau replié sur lui-même dans le sens de son axe lon
se présente sur les coupes vertico-transversales sous l'aspect d'un faisceau volumineux, tantôt aplati, tantôt replié sur,lui-
al, supérieur ou extraammonique du corps du trigone, l'homologue du faisceau des mammifères macrosmatiques décrit par Forci so
mmoniques du trigone que les précédentes. Elles se réunissent en un faisceau de fibres parallèles, moins denses, moins serré
es, et que les radiations calleuses s'enfoncent dans l'épaisseur du faisceau compact Pic. 262. - Le corps du trigone, son fa
'épaisseur du faisceau compact Pic. 262. - Le corps du trigone, son faisceau olfactif et les fibres du septum lucidum. Coupe
ue pos- térieur de Forel. - P13, fente cérébrale de Bichat. - F,11, faisceau rétroflexe de Meynert. Fmp, faisceau mamillaire
e cérébrale de Bichat. - F,11, faisceau rétroflexe de Meynert. Fmp, faisceau mamillaire principal. - fr, fibres perforantes du
s perforantes du corps calleux abordant le corps du trigone. - Fol, faisceau olfactif du trigone ; fol, fascicules olfactifs d
scicules olfactifs des régions antérieurs du septum lucidum. - fTc, faisceau du tuber cinereum. - LI, première circon- volut
SI, septum lucidum. fSl, fibres du septum lucidum qui s'unissent au faisceau olfactif du trigone et forment le pédoncule du
re antérieure. - sL, strie de Lancisi. - Te, tuber cinereum. - fTc, faisceau du tuber cinereum de Gudden dont les fibres peu
cule. - Tg, corps du trigone. - Tga, son pilier antérieur. - Fol, son faisceau olfactif. - Tna, tubercule mamillaire. - Th, co
corps du trigone s'irradient dans le septum luci- dum en formant le faisceau olfactif du trigone (Fol) qui porte encore le n
le nom de faiseau olfactif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl. Le faisceau olfactif (Fol, Fig. 262) du trigone comprend à la
fibres les plus longues atteignent la circonvolution du crochet. Le faisceau olfactif du trigone constitue donc un grand faisc
du crochet. Le faisceau olfactif du trigone constitue donc un grand faisceau d'as- sociation qui relie la corne d'Ammon, la
t au tubercule olfactif. 4. pilier antérieur. -Après le départ du faisceau olfactif, le corps du Leur liomologie 1\ cc l
rc& q no a circonvolution go- tronncooivooala la fimbria. Faisceau olfactif du trigone. Son origine. Son traje
es médians du troisième ventricule. La fim- bria cesse de former un faisceau distinct ; elle se fusionne intimement avec les
s avec le [tubercule mamillaire et le pédoncule de ce tubercule; le faisceau mamillaire principal et sa division en faisceau
de ce tubercule; le faisceau mamillaire principal et sa division en faisceau de Vicq d'Azyr et faisceau de Gudden. Coupe sagit
u mamillaire principal et sa division en faisceau de Vicq d'Azyr et faisceau de Gudden. Coupe sagittale passant en dehors du
re. - eF, entrecroisement sous-thalamique postérieur de Forel. - FcG, faisceau de la calotte de Gudden. - FM, faisceau rétrofl
postérieur de Forel. - FcG, faisceau de la calotte de Gudden. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fmp, faisceau mamillaire
la calotte de Gudden. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fmp, faisceau mamillaire principal et ses deux branches de bi
isceau mamillaire principal et ses deux branches de bifurcation, le faisceau de Vicq d'Azyr (VA) et le faisceau de la calott
s deux branches de bifurcation, le faisceau de Vicq d'Azyr (VA) et le faisceau de la calotte de Gudden (FcG). - fTc, faisceau
cq d'Azyr (VA) et le faisceau de la calotte de Gudden (FcG). - fTc, faisceau du tuber cinereum de Gudden. - Ln, locus niger.
lamus à la substance innominée sous-lenticulaire de Reichert; 2° le faisceau lenticulaire de Forel (FI) et l'anse du noyau len
tini corporis mamillaris, G. Het- zius). Il est croisé par un petit faisceau de fibres fortement coloré par la laque héma-
eau de fibres fortement coloré par la laque héma- toxylinique, le faisceau du tuber cinereum (fTc) de Gudden (Fig. 2C3 et.
au tubercule mamil- laire. Dans son ensemble, il forme néanmoins un faisceau bien délimité. Toutefois, dans quelques cas rel
e un trajet parallèle bien qu'écarté. Dans certains cas, on voit un faisceau aberrant (fTga) se détacher du corps du Irigone a
le tuber cinereum el aborder le tubercule mamillaire (Fig. 265). Ce faisceau , figuré dans les schémas ('1'. fer, Fig. 202 et
u cas Racle (Fig. 168 à J 72). Il ne doil être confondu, ni avec le faisceau olfactif du trigone, ni avec le faisceau extra-
être confondu, ni avec le faisceau olfactif du trigone, ni avec le faisceau extra- ventriculaire de l'alveus. Il représente e
tra- ventriculaire de l'alveus. Il représente en effet un véritable faisceau aberrant du pilier antérieur, dont il présente du
exions avec le tubercule mamillaire. D'autres fois, un ou plusieurs faisceaux aberrants ne se déta- chent du pilier antérieur
ans la partie de son trajet située dans le tuber cinereum. Tous ces faisceaux aberrants sont le plus souvent superficiels dan
ntérieur avec ces deux ganglions. A priori, il paraît étrange qu'un faisceau aussi volumineux que l'est le pilier antérieur
orps du tri- gone ; du tubercule mamillaire corres- pondant, du faisceau olfactif du trigone et des fibres COnmllSS11-
noldale, du segment sous-lenticulairc do la capsulo interne, du faisceau temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence
la partie hémisphé- rique de la commis- sure antérieure et du faisceau occipito- frontal. 288 ANATOMIE DES CENTRES
postérieur (Tgp, Fig. 2go). Le pilier postérieur reçoit en effet le faisceau commissural sain de la corne Fisc. 267. - Cas C
du segment postérieur de la couronne rayonnante. Dégénérescence du faisceau occipito- frontal (OF), en particulier des fibr
s'irradient dans le septum lucidum et concourent à la formation du faisceau olfactif du trigone (Fig. 2GO et 270); 3e une dég
du segment postérieur de la couronne rayonnante. Dégénérescence du faisceau occipito-frontal (OF) le long des angles inféro-e
orps du tri- gone : du tubercule mamillaire corres- pondant, du faisceau olfactif du trigone et des fibres conumssu-
noïdale, du segment sous-lenticulaire de la capsule interne, du faisceau temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence
la partie hémisphé- rique de la commis- suro antérieure et du faisceau occipito- frontal. 290 ANATOMIE DES CENTRES
eur de l'existence dans le trigone de fibres cortico-habénulaires. Le faisceau de Vicq d'Azyr et le faisceau de la calotte de
ne de fibres cortico-habénulaires. Le faisceau de Vicq d'Azyr et le faisceau de la calotte de Gudden sont normaux. Outre cel
rébral, il existe (Fig. 267 et 268) une dégénérescence partielle du faisceau inférieur ou minor du forceps du corps calleux
surtout de la lésion du pli rétrolimbique. Les fibres dégénérées du faisceau inférieur ou minor du forceps occupent, conform
antérieure. Dégénérescence du pilier antérieur du trigone (Tga), du faisceau olfactif du trigone et du pédoncule du septum l
) avec intégrité delà partie olfactive [coa(ol)]. Dégénérescence du faisceau occipito-frontal (OF) le long de l'angle externe
orps du tri- gone ; du tubercule mamillaire corres- pondant, du faisceau olfactif du trigone et des fibres commissu-
noidale du segment sous-lenticulaire de la capsule interne, du faisceau temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence
la partie himisplié- rique do la commis- sure antérieure et du faisceau occipito- frontal. 292 ANATOMIE DES CENTRES N
corps du tri- one; du tubercule mamillaire corres- pondant, du faisceau olfactif du trigone et des fibres commissu-
noidale. du segment sous-lenticulaire de la capsule interne, du faisceau temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence
la partie hémisphé- rique de la commis- sure antérieure et du faisceau occipito- frontal. nérées des couches sagitta
abandonnent le plancher, F)G.272. - Cas Chab. La dégénérescence du faisceau occipito-frontal le long de l'angle externe du
partie moyenne de la couche optique. La dégénérescence intéresse le faisceau compact formé de fibres d'association et de fib
double l'angle externe du ventricule latéral et les radiations que le faisceau occipito-frontal envoie dans la capsule externe
273. - Dégénérescence du tapetum, sans dégénérescence concomitante du faisceau occipito-frontal consécutive à une lésion en fo
- / : \'C', fibres propres de ce noyau. - Oh", segment temporal du faisceau occipito-frontal, ses libres occupent les couch
fibres conservées du tapetum. S ! lc, couche sagittale externe (ou faisceau longitudinal inférieur). - Sgi, couche sagittale
e segment sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl), occupent le faisceau temporo- thalamique d'Arnold, c'est-à-dire ce c
es fibres dégénérées, dès que la commissure antérieure constitue un faisceau fermé. Dans son trajet sous le noyau lenticulai
res sagittales qui appartiennent, ainsi que 0. YogL' l'a montré, au faisceau occipito-frontal, sont seules dégénérées. Elles
la couronne rayonnante (Fig. S69 à 272). Ce cas montre donc que les faisceaux différenciés du centie ovale des hémisphères ne
ion, d'as- sociation ou commissurales), mais qu'ils constituent des faisceaux mixtes. La couche sagittale externe (faisceau l
'ils constituent des faisceaux mixtes. La couche sagittale externe ( faisceau longitudinal inférieur) du lobe temporo-occipital
u calleuses et des fibres d'association ou occipito-frontales. Le faisceau occipito-frontal constitue de même un faisceau mi
cipito-frontales. Le faisceau occipito-frontal constitue de même un faisceau mixte; le long de l'angle externe du ventricule
extraammoniques ou fornix longus de Forel, elles se groupent en un faisceau distinct qui longe la face inférieure du corps ca
veus extravenlriculaire et psalterium. La fimbria est un volumineux faisceau ^situé à la partie supérieure du segment ven- t
té antérieure de la couche optique et se divise à ce niveau en deux faisceaux d'inégal volume, l'un transversal, l'autre longit
faisceaux d'inégal volume, l'un transversal, l'autre longitudinal. Le faisceau transversal est le plus volumineux; il se poite
x; il se poite en dedans, s'enchevêtre sur la ligne médiane avec le faisceau homologue du côté opposé et forme avec lui, en av
m (Pslv, Fig.274) qui relie entre elles les deux cornes d'Ammon. Le faisceau longitudinal passe en avant du psalterium et co
nd en partie dans le pilier antérieur du trigone, en partie dans le faisceau olfactif (Fol) de la cloison transparente ou pédo
toxylinique et une partie postérieure pâle ou hémisphérique. - FG, faisceau de la calotte de Gudden. - FI, fornix longus. -
- FG, faisceau de la calotte de Gudden. - FI, fornix longus. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fmp, faisceau mamillai
en. - FI, fornix longus. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fmp, faisceau mamillaire principal et ses deux branches de bi
isceau mamillaire principal et ses deux branches de bifurcation, le faisceau de Vicq d'Azyr et le faisceau central de la cal
ses deux branches de bifurcation, le faisceau de Vicq d'Azyr et le faisceau central de la calotte de Gudden. - Fol, faisceau
Vicq d'Azyr et le faisceau central de la calotte de Gudden. - Fol, faisceau olfactif du trigone. - Gh, ganglion de l'habenu
eur du trigone. - Th, thalamus. - Tm, tubercule mamil- laire. - lA, faisceau de Vicq d'Azyr. - II, le nerf optique et le chias
du trigone, fornix longus (forci), fornix superior (Iiôllil : er), faisceau arqué du septum (Bogenbundel des Septum [Ganser])
r]). Le fornix longus forme, de chaque côté de la ligne médiane, un faisceau aplati et compact de fibres fortement colorées
blent relier le pilier antérieur au toenia thalami appartiennent au faisceau septo-thalamique (Voy. p. ? gaz). Notre cas Chab
onculo-protubérantielle du même côté, et surtout du côté opposé. Le faisceau direct, le plus petit, entre dans la constitution
terminaison (Voy. Pédoncule du tuber- cule mamillaire, p. 302). Le faisceau croisé le plus volumineux s'entre-croise au-dessu
rcule mamillaire interne croisé, s'y termine ou se continue dans le faisceau mamillaire principal de Kôlliker et dans le fais-
e ganglion interno du tubercule mamil- laire donne naissance au faisceau mamil- laire principal. TUBERCULE MAMILLAIRE.
sance au faisceau mamil- laire principal. TUBERCULE MAMILLAIRE. FAISCEAU DE LA CALOTTE, FAISCEAU DE VICQ-D'AZYR, PÉDONCU
l- laire principal. TUBERCULE MAMILLAIRE. FAISCEAU DE LA CALOTTE, FAISCEAU DE VICQ-D'AZYR, PÉDONCULE DU TUBERCULE MAMILLAI
eux supérieur. Méthode de Weigert-Pal. F, champ de Forel. - fate, faisceau du tuber cinereum de Gudden. PiTh, pédoncule in
mamillaire. - Tint, ganglion externe du tubercule mamillaire. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr, ou plus exac- tement le tronc d
sceau de Vicq d'Azyr, ou plus exac- tement le tronc d'origine de ce faisceau (ou faisceau mamillaire principal). - VP, voie
d'Azyr, ou plus exac- tement le tronc d'origine de ce faisceau (ou faisceau mamillaire principal). - VP, voie pédonculaire.
artie interne du pied du pédoncule cérébral, du corps de Luys et du faisceau lenticulaire de Forel; dans l'espace compris entr
eur du trigone, le ganglion interne donne naissance à un volumineux faisceau qui représente, comme l'ont montré les recherch
es récentes de Cajal (1895) et Kolliker. (189G), le tronc commun du faisceau de la calotte et du faisceau de Vicq d'Azyr. Av
t Kolliker. (189G), le tronc commun du faisceau de la calotte et du faisceau de Vicq d'Azyr. Avec Kolliker., nous désigneron
zyr. Avec Kolliker., nous désignerons le tronc d'origine commune au faisceau de Vicq d'Azyr et au faisceau de la calotte sou
gnerons le tronc d'origine commune au faisceau de Vicq d'Azyr et au faisceau de la calotte sous le nom de faisceau ma- naill
faisceau de Vicq d'Azyr et au faisceau de la calotte sous le nom de faisceau ma- naillaire principal (fasciculus mamillaris
- naillaire principal (fasciculus mamillaris princeps, Kôlliker). Faisceau mamillaire principal (Fmp). - Ce faisceau lire so
aris princeps, Kôlliker). Faisceau mamillaire principal (Fmp). - Ce faisceau lire son origine des cellules du noyau interne
atre fascicules nettement distincts qui se réunissent bientôt en un faisceau épais arrondi et compact (Fig. 2(j2). Il se dirig
e l'entre-croi- sement sous-thalamique postérieur de Forel (cF), le faisceau mamillaire principal se place ensuite en dedans
émet le pvdonculo dl ! tubercule. Structure de ces ganglions. Faisceau mamil- ]aire principal. Son trajet. 300 A
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ses deux brandies de bifurcation. Le faisceau de la calotte de Gudden Son trajet. Sa term
aison. et de la partie ventrale du thalamus, il se bifurque en deux faisceaux de volume inégal, dont l'un se termine dans le]
e dans le] tubercule antérieur de la couche optique et constitue le faisceau de Vicq cl'I .7 ? (VA), et dont l'autre, mal dé
p de Forel, se rend dans la calotte pédon- culaire et représente le faisceau de la calotte de Gudden (FcG). Le faisceau de V
culaire et représente le faisceau de la calotte de Gudden (FcG). Le faisceau de Vicq d'Azyr el le faisceau de la calotte de Gu
eau de la calotte de Gudden (FcG). Le faisceau de Vicq d'Azyr el le faisceau de la calotte de Gudden naissent donc d'un tron
ères inférieurs (rat, souris, lapin)( Fig. ' : ? 7 4 el 276), où le faisceau de la calotte de Gudden l'emporte par son vol
faisceau de la calotte de Gudden l'emporte par son volume sur le faisceau de Vicq d'Azyr. Faisceau de la calotte de Gud
Gudden l'emporte par son volume sur le faisceau de Vicq d'Azyr. Faisceau de la calotte de Gudden (fasciculus legmenlo -
iker)FG,Fig. 274, 277 et 252). Chez le lapin, la souris, etc., le faisceau de la calotte, mieux déli- m i lé que chez l'ho
rieure el interne de la capsule de ce noyau, se place en avant du faisceau lon- gitudinal postérieur, lui envoie quelque
etit amas ganglionnaire, situé de chaque côté du raphé, en avant du faisceau longitudinal postérieur : le ganglion profond d
omme, le trajet et la ter- minaison dans la calotte pédonculaire du faisceau de la calolle de Gudden, soupçonné et figuré pa
a méthode des coupes microscopiques sériées : dès la bifurcation du faisceau mamillaire principal, le faisceau de la calotte s
s sériées : dès la bifurcation du faisceau mamillaire principal, le faisceau de la calotte s'adossanl en effet au faisceau t
illaire principal, le faisceau de la calotte s'adossanl en effet au faisceau thalamique et au champ de Forel (Fig. 277). Ces
ellules étoilées dont le cylindre axe se continue avec une fibre du faisceau mamillaire principal. - 13, faisceau mamil- l
se continue avec une fibre du faisceau mamillaire principal. - 13, faisceau mamil- laire principal au tronc d'origine commu
13, faisceau mamil- laire principal au tronc d'origine commun au faisceau de Vicq d'Azyr (V) et au faisceau de la calotte
ipal au tronc d'origine commun au faisceau de Vicq d'Azyr (V) et au faisceau de la calotte de Gudden (C). D, faisceau de la
u de Vicq d'Azyr (V) et au faisceau de la calotte de Gudden (C). D, faisceau de la capsule du tubercule mamillaire; a, les b
capsule du tubercule mamillaire; a, les bran- ches collatérales du faisceau . - E, commis- sure intermamillaire. - F, région
l'on peut suivre jusque dans le tubercule mamillaire (Fig. 277). Faisceau de Vicq d'Azyr, VA. Le faisceau de Vicq d'Azyr co
le tubercule mamillaire (Fig. 277). Faisceau de Vicq d'Azyr, VA. Le faisceau de Vicq d'Azyr constitue chez l'homme un faisce
cq d'Azyr, VA. Le faisceau de Vicq d'Azyr constitue chez l'homme un faisceau volumineux, compact et serré, formé de fines fi
gion sous-thalamique de Forel, au niveau du point de bifurcation du faisceau mamillaire principal (Fig. 277), le fais- ceau
avec le tubercule mamillaire et le pédoncule de ce tubercule. - Le faisceau mamillaire principal et sa division en faisceau
ce tubercule. - Le faisceau mamillaire principal et sa division en faisceau de Vicq d' ,\ zYI' et faisceau de Gudden. - Coupe
millaire principal et sa division en faisceau de Vicq d' ,\ zYI' et faisceau de Gudden. - Coupe sagittale passant en dehors
re. - eF, entrecroisement sous-thalamique postérieur de Forel. - FcG, faisceau de la calotte de Gudden. - FM, faisceau rétrofl
postérieur de Forel. - FcG, faisceau de la calotte de Gudden. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Filin, faisceau mamillaire
la calotte de Gudden. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Filin, faisceau mamillaire principal et ses deux branches de bi
isceau mamillaire principal et ses deux branches de bifurcation, le faisceau de Vicq d'Azyr (VA) et le faisceau de la calott
s deux branches de bifurcation, le faisceau de Vicq d'Azyr (VA) et le faisceau de la calotte de Gudden (FcG). - f1'c, faisceau
q d'Azyr (VA) et le faisceau de la calotte de Gudden (FcG). - f1'c, faisceau du tuber cinereum de Gudden. Ln, locus niger. -
re. - l'Sl, pédoncule du septum lucidum. Te, tuber cinereum. - fic, faisceau du tuber cinereum. Tria, pilier antérieur du tr
ne. 1'ml, noyau externe ou latéral du tuber- cule mamillaire. - VA, faisceau de Vice; d'.lzyr. - Il, bandelette optique sectio
les parties latérales du chiasma. ? nerf moteur oculaire commun. Le faisceau de'%'icq d'Azyr. 302 ANATOMIE DES CENTRES NER
254). Arrivé dans la région thalamique supérieure (Fig. 3 I 0), le faisceau de Vicq d'Azyr s'infléchit en avant et en dedan
pour Meynert en particu- lier, le pilier antérieur du trigone et le faisceau de Vicq d'Azyr consti- tuaient un seul el même
igone et le faisceau de Vicq d'Azyr consti- tuaient un seul el même faisceau qui décrivait un 8 de chiffre dans le tubercule
e. Gudden battit cette manière de voir en brèche et démontra que le faisceau de Vicq d'Azyr constitue un faisceau complè- te
r en brèche et démontra que le faisceau de Vicq d'Azyr constitue un faisceau complè- tement indépendant du pilier antérieur
einement l'opinion de Gudden. Mais tandis que Gudden croyait que le faisceau de Vicq d'Azyr prenait son origine dans le noya
origine dans le tuber- cule mamillaire par un tronc commun avec le faisceau de la calotte de Gudden. Pédoncule du tubercu
i renforcé, le pédoncule du tubercule mamillaire constitue un petit faisceau de fibres lâches qui affecte dans l'espace inlerp
nt à la substance grise de l'aqueduc de Sylvius, en tra- versant le faisceau longitudinal postérieur. Chez les mammifères te
etc. (Fig. 2Ci), le pédoncule du tubercule mamillaire constitue un faisceau assez compact dont les fibres, fortement coloré
éventail dans la région du ganglion interpédon- culaire, entoure le faisceau rétroflexe de Meynert en dedans et en dehors, l
(Fig. 252). Le ganglion profond, qui reçoit en outre des fibres du faisceau de la calotte de Gudden, est un petit amas gangli
sur 0 ? de large, situé le long du raphé, immédiatement en avant du faisceau longitudinal postérieur. Il est pro- bablement
la substance grise centrale du quatrième ventricule, en arrière du faisceau longitu- dinal postérieur. C'est un ganglion ar
s la substance grise centrale du quatrième ventricule en formant le faisceau longitudinal dorsal (dorsales Lângsbûndel des cen
et du pli rétrolimbique. Trigone cérébral, com- missure antérieure, faisceau inférieur du forceps du corps calleux, tapetum et
ntérieure, faisceau inférieur du forceps du corps calleux, tapetum et faisceau occi- p ! <o ? )'0)<t. C. R. Soc. de Biol
3allienabsch)iitieîi. Neurol., Centralbl., 189 : i. - Du même. Sur le faisceau septo-thalamique. Sur le pilier antérieur du tr
e fibres sectionnées per pendiculairement à leur axe, correspond au faisceau de Turck et se continue avec le segment rétro-l
l'inférieur comprend les fibres onduleuses à direction sagittale du faisceau temporo-thalamidue d'Arnold. (Compa- rez cette
eur nature. Alv, alveus intraventriculaire. - A,11, avant-mur. Arc, faisceau arqué. CA, corne .d'Ammon. Ce, capsule externe.
eur de la couronne rayonnante. - Us, diverticule du subiculum. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FTth, faisceau Lcmpor
icule du subiculum. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FTth, faisceau Lcmporo-thalamidue d'Arnold. - Fu, faisceau unc
udinal inférieur. - FTth, faisceau Lcmporo-thalamidue d'Arnold. - Fu, faisceau uncinatus. Fus, lobule fusiforme. - oF3, face o
1)CIi, pied du segment antérieur de la couronne rayonnante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fus, lobule fusiforme.
qu'une atrophie en masse. 312 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le faisceau occi- pito-frontal n'est pas un faisceau d'as
ES CENTRES NERVEUX. Le faisceau occi- pito-frontal n'est pas un faisceau d'asso- ciation cortico-strié. Les radiations
n fais- ceau d'association cortico-slrié, et décrivent comme tel le faisceau occipito- frontal ou faisceau sous-calleux de M
tico-slrié, et décrivent comme tel le faisceau occipito- frontal ou faisceau sous-calleux de Mzerato ff. Bien qu'il paraisse é
entricule latéral. Ces fibres appartiennent, en partie au moins, au faisceau occipito-frontal et dégénèrent à la suite de lési
t-Pal, mais encore celles traitées suivant la méthode de Marchi. Le faisceau occipito-fronlal ne doit donc pas être considér
faisceau occipito-fronlal ne doit donc pas être considéré comme un faisceau d'association cortico-striée dont les cellules
les arborisations abou- tissent au corps strié : mais bien comme un faisceau d'association linter- cortical, reliant deux po
t de la pyramide bulbaire, et dans la moelle une dégénérescence des faisceaux pyramidaux direct et croisé, sans dégénérescence
érieur de la capsule interne (Cip). Celte dégénérescence occupe les faisceaux radiés, la lame médullaire externe (Lme) et la su
diations strio-sous-thalamiques (radiations strio-luysiennes (RsL), faisceau lenticulaire de Forel, et traverser la partie a
aminé à la méthode de Marchi, aucune dégénérescence appréciable. Le faisceau de Turck en particulier est absolument normal.
sous-thalamique (Fig. 288), ainsi qu'une dégénérescence partielle du faisceau de Tiirck (FT) (Fig. 289); une dégénérescence d
s externes du pied du pédoncule cérébral peu prononcée au niveau du faisceau de Turcs; une dégénérescence du pes lem- ni,cus
isinante, de la pyramide antérieure du bulbe, et dans la moelle des faisceaux pyramidaux direct, croisé et homo-latéral; ? Une
s aberrantes postéro- externes. Dégéné- rescence partielle du faisceau de Turck. Dégénérescence lé- gère du globus p
s aberrantes postéro- externes. Dégéné- rescence partielle du faisceau de Turck. Dégénérescence lé- gère du globus p
nquième externe du pied du pédon- cule. Dégénérescence partielle du faisceau de Turck (FT), du pes lemniscus profond (PLp),
NL0, de la lame médullaire interne (lme), du corps de Luys (CL), du faisceau lenticulaire de Forel (FI) et des radiations st
s la constitution des radiations strio-thalamiques (en particulier du faisceau lenti- culaire de Forel) et de la partie antéri
en suivant le trajet des libres strio-luysiennes antérieures et du faisceau lenticu- laire de Forel. Connexions du corps
érie des vertébrés. Pris dans son ensemble, ce système constitue le faisceau basai du cerveau antérieur des vertébrés (Eding
intermé- diaire et moyen. Leur importance phylogénétique. Le faisceau basal du cerveau antérieur des vertébrés infé
dier le système des libres striées. Celui-ci constitue un volumineux faisceau , faisceau basal du cerveau antérieur (basales V
ystème des libres striées. Celui-ci constitue un volumineux faisceau, faisceau basal du cerveau antérieur (basales VOI'derhirn
du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - NL3, pu- tamen. Ouf, faisceau occipito-frontal. - OF + l'r, faisceau complexe c
audé. - NL3, pu- tamen. Ouf, faisceau occipito-frontal. - OF + l'r, faisceau complexe contenant à la fois des fibres du fais
al. - OF + l'r, faisceau complexe contenant à la fois des fibres du faisceau occipito-frontal et des fibres de projection. - P
L3, NL2, les deux segments externes du noyau lenticulaire. - OF + Pr, faisceau occipito-frontal, mélangé de fibres de projecti
le interne (Cip); sa partie postérieure com- prend surtout des gros faisceaux enchevêtrés, à direction verticale, dans sa par
région thalamique et intéressant le genou de la capsule interne, le faisceau géniculé, le globus pallidus, les lames médulla
- Cia, segment antérieur de la capsule interne. - Ci (g), genou et faisceau géniculé.- Cip, segment postérieur de la capsule
thalamus. - Ise, tienia semi-circularis. - lih, taenia thalami. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Zi, zona incerta. GANGLIONS
e fibres. Les unes passent au-dessus du corps de Luys et forment le faisceau lenticulaire de Forel (FI); les autres s'irradi
yenne et ventrale), correspondant à nos trois groupes de fibres. Le faisceau lenticulaire de Forel (FI) (faisceau 112 (Forel),
os trois groupes de fibres. Le faisceau lenticulaire de Forel (FI) ( faisceau 112 (Forel), dorsal( ? Antheil der Linsenlcemsc
t postérieur de la capsule interne (Cip), puis se rassemblent en un faisceau large et aplati qui s'étale en avant et au-dess
auteurs. Il se porte ensuite en dedans (Fig. 323, 324), s'adosse au faisceau thalamique de Forel (Fth) dont le sépare la zon
Fig. 21), les coupes horizontales obliques, ses connexions avec le faisceau thalamique de Forel, le pédoncule inféro-interne
anse lenticulaire. Sur ces coupes il se présente sous l'aspect d'un faisceau triangulaire formé de fibres parallèles (Fig. 318
18 T. Ie1'). Les coupes vertico-transversales montrent enfin que ce faisceau n'appartient pas à un seul plan horizontal, mai
323, 324, 325). Les radiations strio-luysiennes (RsL) font suite au faisceau lenti- culaire de Forel, au-dessous et un peu e
noyau lenticulaire (ou anse lenticulaire, ansa lenticularis) est un faisceau volumineux situé au-dessous et en avant des rad
oit en outre par les lames médullaires quelques fibres lenti- 1- La faisceau len- ticulaire de Forel ou la couche dorsale
lidus, les radiations strio-luysiennes, l'anse len- ticulaire et le faisceau de Turck. Méthode de Weigert. 5/1 grandeur nature
e interne ; - CL, corps de Luys. - coa commissure antérieure. - FT, faisceau de Turck. - fTth, faisceau temporo-Lhalamiduc d
Luys. - coa commissure antérieure. - FT, faisceau de Turck. - fTth, faisceau temporo-Lhalamiduc d'Arnold au moment où il abo
mi-circularis. IV, zone de Wernicke. culo-caudées. Contrairement au faisceau lenticulaire de Forel et aux ra diations strio-
t située (Fig. 2f, 4S, 269, 270 el 293). Elle forme avec ce dernier faisceau l'anse pédonculaire de Gratiolet c'est-à-dire c
cule cérébral au niveau de sa pénétration dans le cerveau. Les deux faisceaux constitutifs de l'anse pédonculaire sont séparé
ercule mamillaire (PTm), du pilier antérieur du trigone (Tga) et du faisceau de Vicq d'Azyr (VA) (Fig. 45 et T. le', Fig. 319
du thalamus où elle se termine en s'enchevêtrant avec les fibres du faisceau lenticu- laire de Forel (FI) et du pédoncule in
radiations strio-thalamiques et radiations strio-sous-thalamiques ( faisceau lenticulaire de Forel, radiations strio-luysien
nérescence des radiations strio-thalamiques, strio-luysiennes et du faisceau lenticulaire de Forel, et respectent relativement
lo-striées) épargnent en général l'anse du noyau lenticulaire et le faisceau lenticulaire de Forcl et reten- tissent surtout
audé, soit au putamen ou au globus pallidus. D'après v. Monakow, le faisceau lenticulaire de Forel et les radiations strio-l
on des radiations striées est plutôt régionale que segmentaire ; le faisceau lenticulaire de Forel, les radiations strio- lu
triées parcourant souvent un très long trajet avant de se réunir en faisceaux radiés. En aval de la lésion primitive, la dégé
resse les radia- tions strio-thalamiques et strio-sous-thalamiques ( faisceau lenticulaire de Forel, radiations strio-luysien
mprend en général toute l'étendue de ce corps. La dégénérescence du faisceau lenticulaire de Fore] (FI) (Fig. 297 el 298) es
antérieur de la protubérance, la pyramide antérieure du bulbe et le faisceau pyramidal croisé et direct de la moelle. Les segm
us, des radiations strio-tlia- lamiques, strio-lu3- siennes, du faisceau lenticulaire do Forel, de l'anse lenticu- l
us. des radiations strio-tha- lamiques , strio-luy- siennes, du faisceau lenticulaire de Forel, de l'anse lenticu- l
sule de fibres. externe du pied du pédoncule cérébral, y compris le faisceau de Turck (Fig. 299 et 300) . FIG. 296, 297 et 2
rieure du segment postérieur de la capsule interne, en particulier du faisceau géniculé (Ci(g). Dégénérescence de la zone réti
laire, dégéné- rescence des radiations strio-thalamiques (Rsth), du faisceau lenticulaire de Forel (FI), de l'anse lenticula
scence de la partie antéro-inférieure du thalamus dans la région du faisceau thalamique (Fth) et du champ de Forel (F) (fig.
- cus niger (Ln) et du pes lemniscus profoml(PLp). Intégrité du faisceau in- lerne du pied du pédon- cule, malgré la d
rescence de l'anse lenti- culaire de la figure 297. Intégrité du faisceau de Turck, de la partie adja- cente du pied du
-sous-tliala- miques, en particulier de l'anse lenticulaire et du faisceau lenticulaire de Forel. Méthode de Marchi. 2/1 g
dus, des radiations strto-tlm- lamiques, strio-luy- siennes, du faisceau lenticulaire de Forel, de l'anse lenticu- l
dans le noyau externe du thalamus et dans la région occupée par le faisceau thalamique de Forel (Fth, Fig. 297). La partie
lpêtrière GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 337 ticulier le faisceau géniculé (Cig), puis s'irradient dans la partie a
oie des radiations strio-thalamiques (Rsth), les suivantes la voie du faisceau lenti. culaire de Forel (FI) et envoient un pet
e (Fig. 297, 298); cette dernière relève de la lésion directe de ce faisceau par un des foyers lacunaires. Ce cas démontre
envoie des fibres dans les radiations strio-thala- miques, dans le faisceau lenticulaire de Forel, dans l'anse lenticulaire,
e de Meynert. 2 Que l'anse lenticulaire ne concourt pas à former le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral et n'envo
ntraînent en outre (Méthode de Marchi) la dégénérescence d'un petit faisceau de fibres, qui dans le plancher du troisième ve
e commissure de Meynert (CM). (Cas Ronse, Fig. 297, 298 et 301.) Ce faisceau appartient donc au système des fibres striées.
sécutives aux lésions thala- miques. L'anse lenticulaire (Al) et le faisceau lenticulaire de Forel (FI) peuvent dégénérer à
luysiennes dans les lésions extra-striées par lésion directe de ces faisceaux clans la région antéro-ventrale du thalamus. Le
tte,Fig. 302 à 309), la dégénérescence de l'anse lenticulaire et du faisceau lenticulaire de Forel pouvait être suivie en am
intérieur de la protubérance, la pyramide antérieure du bulbe et les faisceaux pyrami- daux croisé et direct de la moelle. Il
traîné : 1° une dégénérescence des radiations strio-thalamiques, du faisceau lenticulaire de Fore/, de l'anse lenticulaire, du
amus. Dégé- nérescence des ra- diations strio-thala- miques, du faisceau lenticulaire de Forel, de l'anse lenticulaire
gion pédonculaire inférieure. Intégrité du ruban de Reil et du faisceau interne du pied du pédon- cule cérébral. 31
amus. Dégé- nérescence des ra- diations strio-thala- miques, du faisceau lenticulaire de Forel, de l'anse lenticulaire
gion pédonculaire inférieure. Intégrité du ruban de Reil et du faisceau interne du pied du pédon- cule cérébral. th
Li) et ses lames médullaires (Ime, lmi, Imi'). La dégénérescence du faisceau lenticulaire de Forel (FI) est particulièrement m
Luys (Fig. 305), et se présente sous la forme caractéristique d'un faisceau triangulaire, à sommet postérieur, dont les fibre
ques (Rsth) en arrière de la zone capsulaire dégénérée (Cip, d), du faisceau lenticulaire de Forel (FI), du fascicule que ce f
(Cip, d), du faisceau lenticulaire de Forel (FI), du fascicule que ce faisceau envoie au plancher du 3e ventricule (Fig. 30, F
laire, les quelques rares fibres dégénérées que l'on constate dans le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral au voisin
des radiations strio-thalamiques (Rsth) et strio- sous-thalamiques ( faisceau lenticulaire de Forel (FI), anse lenticulaire (Al
. 2° La lésion thalamique a entraîné en outre une dégénérescence du faisceau thala- mique de Forel (Fth) et du champ de Forc
tendant jus- qu'au champ de Forel (Fp, Fig. 306). Dégénérescence du faisceau thalamique (Fth) et du champ de Forel (F), du n
rouge (1\Il) et de sa capsule de fibres (CN13). Dégénérescences du faisceau de Vicq d'Azyr (VA) et de la capsule du tubercule
la capsule du tubercule ma- millaire (Tm) (Fig. 306). Intégrité du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral. (Méthode
amus. Dégé- nérescence des ra- diations strio-thala- nuques, du faisceau lenticulaire de Forel, de l'anse lenticulaire
égion pédonculairo inférieure. Intégrité du ruban do Reil et du faisceau interne du pied du pédon- cule cérébral. 34
amus. Dégé- nérescence des ra- diations strio-thala- miques, du faisceau lenticulaire de Forel, de l'anse lenticulaire
gion pédonculaire inférieure. Intégrité du ruban de Reil et du faisceau interne du pied du pédon- cule cérébral. Il
cule cérébral. Il existe d'autre part une dégénérescence du petit faisceau de fibres que le champ de Forel, en particulier
petit faisceau de fibres que le champ de Forel, en particulier, le faisceau lenticulaire de Forel envoie à la substance gri
s des tubercules maxillaires. Il existe enfin une dégénérescence du faisceau de Vicq d'Azyr (VA) (directement lésé parle foy
g. 306 et 307), malgré la dégénérescence du champ de Forel (F), des faisceaux thalamiques (Fth) et lenticulaire (FI), malgré la
ssent au ruban de Reil médian qu'il existe une dégénérescence de ce faisceau , encore cette dégénérescence ne dépasse-t-elle
s strio-tlialamiques et strio-sous-thalamiqttes (anse lenticulaire, faisceau lenticulaire de Forel) dégénèrent à la suite de l
Reil médian malgré une dégénérescence de l'anse lenticu- laire, des faisceaux lenticulaire et thalamique de Forel. Intégrité du
aire, des faisceaux lenticulaire et thalamique de Forel. Intégrité du faisceau inlerne du pied du pédoncule cérébral, malgré l
re. Les fibres dégénérées qui se trouvent sur la Figure 309 dans le faisceau interne du pied du pédoncule appartiennent au p
e fibres dans le pied du pédoncule cérébral, en particulier dans le faisceau interne de la voie pédonculaire. 4° Que l'anse
au interne de la voie pédonculaire. 4° Que l'anse lenticulaire, les faisceaux thalamique et lenticulaire de Forel n'en- voien
voient pas de fibres au ruban de Reil médian. 5° Que les fibres du faisceau thalamique et du champ de Forel qui dégénèrent à
r la méthode de Marchi. Ruban de Reil, pes lemniscus, locus ni-jer, faisceau lenticulaire de Forel, anse lenticulaire, corps d
rement à l'opinion de Gudden, que ce noyau est le noyau terminal du faisceau de Vicq d'Azyr. Ce faisceau nait d'un tronc com
, que ce noyau est le noyau terminal du faisceau de Vicq d'Azyr. Ce faisceau nait d'un tronc commun avec le faisceau de la c
faisceau de Vicq d'Azyr. Ce faisceau nait d'un tronc commun avec le faisceau de la calotte de Gudden, prend son origine dans
encéphalique intéressant le noyau antérieur de la couche optique, le faisceau de Vicq d'Azyr, le faisceau rétroflexe de Meyne
oyau antérieur de la couche optique, le faisceau de Vicq d'Azyr, le faisceau rétroflexe de Meynert, le noyau rouge, le pédoncu
missure antérieure. - F, champ de Forel. - sillon olfactif. - F.11, faisceau rétroflexe de Meynert. fp, fibres perforantes d
ce faisant suite à la voie pédon- culaire et concourant à former le faisceau pyramidal. - Qa, tubercule quadrijumeau antérie
ercule mamillaire accessoire. - tsc, taenia semi- circularis. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - T'l, ventricule latéral. Zr, zo
interne du thalamus, de l'anse lenticu- laire et quelques fibres du faisceau lenticulaire de Forel. Ces fibres dégé- nèrent
t, ni dans la capsule interne,ni dans la couronne rayonnante, en un faisceau compact et dis- tinct, mais s'entremêlent dans
te le noyau semi-lunaire de Flechsig (NF) et le sépare en dehors du faisceau tlialamique de Forel (Fth). Aux confins de la rég
re dans ses dia- mètres antéro-postérieurs, est située en dehors du faisceau rétroflexe de Meynert (FM) et du ruban de Reil
IQUE 3 : i3 la région sous-optique : les antérieures se joignent au faisceau thalamique de Forel et aux radiations de la cal
rticales. Les fibres verticales et sagittales sont croisées par les faisceaux radiés des régions antéro-externes du thalamus
trémité antérieure du thalamus ; 2° avec la zona incerta (Zi) et le faisceau lenticulaire de Forel (FI) qui correspondent au
F), le corps de Luys (CL), le noyau rouge (NR) et reçoit ou émet le faisceau thalamique de Forel (Flli), les radiations de l
du stratum zonale, et il est traversé dans toute sa hauteur par le faisceau de Vicq d'Azyr (VA, Fig. 310). En arrière, le n
(Na), lui abandonnent des fibres, croisent la partie supérieure du faisceau de Vicq d'Azyr (VA) et la lame médullaire inter
pent toute l'étendue antéro-postérieurc du noyau externe, depuis le faisceau de Vicq d'Azyr jusqu'au corps genouillé interne
appartiennent à la lame médullaire externe (Lme) du thalamus et au faisceau thalamique de Forel (Flh) (Fig. 47, p. 69), fai
thalamus et au faisceau thalamique de Forel (Flh) (Fig. 47, p. 69), faisceau volumineux qui occupe les deux quarts moyens du n
dans les régions infé- rieures ou ventrales où elles s'unissent au faisceau thalamique de Forel (Flh) qu'elles concourent e
aire supplémentaire, la lame médullaire moyenne (Lmm), le sépare du faisceau thalamique de Forel (Fth); en arrière, il ebt en
entrales du noyau externe, elle se place en dehors et au-dessous du faisceau thalamique de Forel (Fth), et se continue avec
ceau lenticulaire de Forel. - Fie, fibres lenticulo-caudées. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétrofle
es lenticulo-caudées. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe de )Ieynert. FT, faisceau de Tûrck. Ft
longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe de )Ieynert. FT, faisceau de Tûrck. Fth, fais- ceau thalamique de Forel.
du trigone (Fimbria). - Th, thalamus. - troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale du ventri
e à la façon d'un coin entre le corps genouillé externe (Cge) et le faisceau de Turck (FT) (Fig. 312). Ces deux segments. de
se rapproche davantage des régions ventrales du noyau externe et du faisceau thalamique de Forel, et impriment au noyau extern
e premier, ou central (centraler Nebenlcern vent. a), correspond au faisceau thalamique deForel; le second, ou postéro-exter
ous-lenticulaire (Cisl) de la capsule interne en particulier par le faisceau temporo-thala- mique d'Arnold (fTth, Fig. 313).
cales, fortement colorées par l'héma- toxyline et qui, disposées en faisceaux serrés, séparés par des intervalles allongés, s
ellules nerveuses du pulvinar. 16 Cing, cingulum; Ciccg(p), son faisceau postérieur. -Cirl, segment rétrolenticulaire de l
ticule du subiculum. - Fa, circonvolution frontale ascendante. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - ft, fibres tangentie
u caudé ; Nc, la partie recourbée de sa queue. NJ.3, putamen. - OF, faisceau occipito-frontal. - Opl>2, opercule pariétal.
ce grise sous-épendymaire. - Sge (Fli), couche sagittale externe ou faisceau longitudinal inférieur du segment inférieur de la
ulvinar reçoit en outre dans sa partie inférieure et postérieure le faisceau temporo-thala- mique d'Arnold (V oy. p. li3) qu
e le segment sous-lenticulaire de la capsule interne et y croise le faisceau de Turck et le faisceau visuel central (radiati
ulaire de la capsule interne et y croise le faisceau de Turck et le faisceau visuel central (radiations optiques de Gratiolet)
segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), sépare le faisceau de Turck des fibres de projection corticale qui p
colorent intensivement par l'héma- toxyline et qui sont réunies en faisceaux très compacts séparés par des fentes allongées.
sition que celles de la bandelette optique; elles se réunissent en faisceaux très compacts séparés par des fentes allongées
iques pourvues d'une arborisation terminale dense et profonde. - E, faisceau des voies optiques centrales. -1 ? fibres se con-
ventrale du noyau externe du tha- lamus (Ne), et en particulier du faisceau thalamique de Forci (FLh), du noyau semilunaire
s, passent en avant du corps genouillé externe, traversent, avec le faisceau de Tiirck (FT), la partie postérieure du segmen
ouillé interne est en connexion avec le ruban de Reil latéral (RI), faisceau auditif par excellence, qui le relie aux centres
ps genouillé interne, elle reçoit le neurone auditif cor- tical; le faisceau de Vicq d'Azyr, le taenia semi-circularis et le g
iculière- ment la région du ruban de Reil médian (rgRm) et celle du faisceau thalamique de Forel (Fth). Elle peut être suivi
ire supérieure, ni au pédoncule cérébelleux supérieur (Pes). Ces deux faisceaux qui se terminent par de nombreuses fibres dans
par l'intermédiaire de fibres passant par la couche optique. Si ces faisceaux diminuent de volume à la suite de lésions corti
us-thala- miques et participent par conséquent à la constitution du faisceau lenticu- laire de Forel et de l'anse lenticulai
contre un très grand nombre, qui l'abordent par l'intermédiaire du faisceau thalamique de Forel, des radia- lions de la cal
le dense feutrage de libres si caractéristique de celle région. Le faisceau thalamique de Forel (1 tlc), qui n'est autre que
portent en haut el en dehors, et abordent le thalamus en arrière du faisceau thalamique de Fore). La région du ruban de Reil
374 ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Elles s'ellectuent t par le faisceau tim- lamique de Forel, les radiations de la c
le centre médian de Luys en arrière, en bas et en dehors. Ces trois faisceaux ne sont pas constitués par une seule et même caté
ère. Le pédoncule cérébelleux supérieur participe à la formation du faisceau thalamique de Forel, des radiations de la calot
ion réticulée de la calotte entrent surtout dans la constitution du faisceau thalamique et des radiations de la calotte et é
cellules du thalamus, empruntent plus particulièrement le trajet du faisceau thalamique de Forel et des radiations de la calot
une striation trans- versale très manifeste (Fig. 339). C'est un faisceau volumineux, formé par une série de gros fascicu
ttière, la commissure postérieure se présente sous l'aspect de deux faisceaux parallèles séparés l'un de l'autre soit par la su
ras du tubercule quadrijumeau antérieur consécutive à une lésion du faisceau visuel intracérébral (méthode de Marchi), nous
antérieur et dans la formation réticulée, en avant et en dehors du faisceau longitudinal postérieur. Malgré les connexion
xes; elles s'établissent : 1° Par le taenia semicircularis (Voy. ce faisceau , p. 265 et fig. 255), donl une parlie des fibre
dalien, la circonvolution du crochet et l'aire olfactive; 2° Par le faisceau de Vicq rl'Ayr qui se termine dans le noyau anté-
u anté- rieur du thalamus et le relie au tubercule mamillaire (Voy. Faisceau de Vicq d'Azyr, p. 299) ; 3° Par les radiatio
d'Azyr, p. 299) ; 3° Par les radiations olfactives profondes et le faisceau septo-tlaalanzique, (Voy. p. 262) qui pénètrent
et en connexion avec l'aire olfactive (Fig. 3 1 9) ; il émet un faisceau com- pact de fibres, le fais- ceau rétroflexe
m- pact de fibres, le fais- ceau rétroflexe (fut) (Meynert), ou faisceau de Meynert ( Forci ) (Fig. 321) qui le relie
; 11 est uni enfin au ganglion de l'habenula du côlé opposé, par un faisceau de fibres transversales, situé à la base de la
ganglion de l'habenula, ses connexions avec le lmnia thalami et le faisceau rélroflexe de Meynert, ne sont bien connues que
externe. - C. coupe transversale des libres du taenia thalami. - D, faisceau rétrollexe de leynert. - (1, cylindre- axes des
chez les mammifères, la dégénérescence secondaire des- cendante du faisceau rétroflexe, à la suite d'extirpation du ganglion
du noyau interne, puis se continue en une fine fibre amyélinique du faisceau rétroflexe de Meynert (Voy. p. 386). Ces cellul
transversale de la partie interne du tænia thalami. - e. origine du faisceau rétroflexe de Meynert. \ oyau interne. 380 AN
tico-transversales, le tamia thalami se présente sous la forme d'un faisceau triangulaire, dont la base se continue avec le st
e renflée du noyau antérieur du thalamus, le tænia thalami forme un faisceau épais, fusionné avec le stratum zonale et impossi
s'amincir de nouveau, au voisinage du ganglion de l'habenula, en un faisceau à surface de section triangulaire. Ces changement
fficile, au moins chez l'homme, l'appréciation de l'épaisseur de ce faisceau dans les différentes parties de son trajet. D'apr
nt en lui formant son revêtement blanc, puis pénètrent soit dans le faisceau rétroflexe, soit dans la commissure interbabénula
de leurs cellules d'origine. Le tamia thalami constitue en effet un faisceau fort complexe, dont les origines sont loin d'êt
t des radial ions olfactives profondes (Rolp) (Fig. `>5't) et du faisceau septo-thalamique (fsth) (Fig. 253), passent au-de
par l'intermédiaire du pilier postérieur et du corps du trigone, un faisceau assez important qui se détache du pilier an- té
er anté- rieur du trigone dans le tuber cinereum. L'existence de ce faisceau niée par Meynert et v. Gudden, admise par Luys,
r antérieur pendant un court trajet, et appartiennent en réalité au faisceau septo-thalamique (voy. p. 267). Les connexions
avec le septum lucidum et l'aire olfactive, par l'intermédiaire du faisceau septo-thalamique ou longitudinal basal, sont du
ire (cih, Fig. 317 et 320). - La commissure interhabénulaire est un faisceau de fibres transversales situé en avant de la gl
e pos- térieure. Sa constitution. Connexions de ses fibres. Faisceau rétro- flexe de Meynert. Son trajet. . Ses
ire reçoit en outre quelques fibres du ganglion de l'habenula et du faisceau rélrotlexc de Meynerl, des fibres radiées du thal
iques primaires), les autres entrent peut-être en connexion avec le faisceau longitudinal postérieur et le noyau de la troisiè
faisceau longitudinal postérieur et le noyau de la troisième paire. Faisceau de Meynert (faisceau rétroflexe) (FM). - Soupçonn
postérieur et le noyau de la troisième paire. Faisceau de Meynert ( faisceau rétroflexe) (FM). - Soupçonné par Stiéda et par
(faisceau rétroflexe) (FM). - Soupçonné par Stiéda et par Luys, le faisceau rétrollexe a été décrit par Meynert. qui le dés
exe a été décrit par Meynert. qui le désigna d'abord sous le nom de faisceau du ganglion de l'habenula à la calotte (lïauben
calotte (lïaubenbûndcl des ganglions habenula;), puis sous celui de faisceau rétroflexe. Il porte depuis Formelle nom de faisc
sous celui de faisceau rétroflexe. Il porte depuis Formelle nom de faisceau de Meynert. C'est un faisceau compact, qui exis
lexe. Il porte depuis Formelle nom de faisceau de Meynert. C'est un faisceau compact, qui existe dans toute la série des verté
Chez les vertébrés inférieurs et chez la plupart des mammifères, ce faisceau décrit un trajet rectiligne et qui semble tiré
hez l'homme, grâce au développement considérable du noyau rouge, le faisceau rélro- Ilexe décrit de chaque côté du troisième
e le noyau rouge et le traverse dans une parlie de son trajet. Le faisceau de Meynert affecte les rapports suivants. Au vois
I\'IRACORTICAU1 : GOUCIIE OPTIQUE. 3si ganglion de l'habenula, ce faisceau est situé (Fig. 47, p. 69) : en dedans du centr
ace en avant du ruban de Reil médian (Rm), en dehors et en avant du faisceau longitudinal postérieur (Fig. 321). Puis il trave
u pédoncule céré- bral. Forel a montré que, chez les mammifères, ce faisceau ne se continue pas avec un faisceau de la calot
ré que, chez les mammifères, ce faisceau ne se continue pas avec un faisceau de la calotte, mais qu'il se termine dans un peti
ransversale un peu oblique en bas et en avant, parallèle au plan du faisceau rétroflexe de Meynert. (Méthode de Weigert.) Cg
Cge, corps genouillé externe. - Cgi, corps genouillé interne. - Flp, faisceau longitu- dinal postérieur. - FM, faisceau rétro
genouillé interne. - Flp, faisceau longitu- dinal postérieur. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - Gh, ganglion de l'habenu
hez les mammifères, ce ganglion est insignifiant chez l'homme. Le faisceau rétroflexe comprend deux sortes de libres. Les un
amyéliniques prédominent et, sur les coupes colorées au carmin, le faisceau rétroflexe présente, selon l'expression de Fore
eau rétroflexe présente, selon l'expression de Forel, l'aspect d'un faisceau sclérosé. Chez l'homme, les fibres fines sont b
grosses fibres myéliniques prédominent et occupent la périphérie du faisceau . Celle disposition est très facile il constater
es horizontales sériées. Au voisinage du ganglion de l'habenula, le faisceau rétroflexe se compose de quatre à cinq fascicules
se retrouve plus bas, ou, par suite de la fusion des fascicules, le faisceau de Meynert se compose seulement d'un ou de deux f
icules, le faisceau de Meynert se compose seulement d'un ou de deux faisceaux . Il est probable que ces deux ordres de fibres,
on inconnue. Il est un fait certain, c'est que chez l'homme : 1° le faisceau de Meynert ne peut être suivi au delà de la parti
partie antéro-interne de la capsule du noyau rouge; 2° le volume du faisceau rétroflexe n'est pas en rapport avec le dévelop
'un ganglion nettement délimité qui sert de noyau de terminaison au faisceau rétroflexe de Meynert et qui ne doit pas être c
osseux, et par Cajal également chez les mammifères. Les fibres du faisceau rétroflexe de Meynert qui abordent le ganglion in
melles. Lorsqu'on éludie attentivement le trajet de chaque fibre du faisceau de Meynert, on FiG. 322. - Coupe vertico-transv
donculaire est limité de chaque côté par la bifurcation des fibres du faisceau rétroflexe de Meynert (A). - il, cellules du ga
édonculaire vues de champ. C, arborisation terminale d'une fibre du faisceau rélroflexe. - a, bifur- cation d'une de ces fib
ent ventral de la calotte. Mode de terminai- sons des fibres du faisceau rétroflexe. 388 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
aient du reste signalé ces dispositions en disant que les fibres du faisceau de Meynert décrivent des 8 de chiffre dans l'ép
anglion interpédonculaire qui entrent en contact avec les fibres du faisceau rétroflexe sont, ou bien de petites cellules étoi
du cervelet (Cajal). Leurs cylindres-axes se réunissent en un petit faisceau signalé par Ganser chez la taupe et la souris d
dont l'existence est confirmée par Kôlliker chez le lapin. C'est le faisceau segmentaire du ganglion interpéclonculaire (Ilaub
u humain et très nette sur les coupes sagittales (Fig. 310) que les faisceaux sagittaux qui traversent la région sous-optique
e correspond à un plan oblique en bas et en avant, qui passe par le faisceau rétroflexe de Meynert. Tout ce qui est situé en
dans l'extrémité antéro-inférieure de la couche optique; 2° avec le faisceau de Vicq d'Azyr qui traverse la partie antérieure
aire de Flechsig; 5° avec la partie ventrale du noyau interne et le faisceau rétroflexe de Meynert; 6° enfin, avec la région
ent le corps de Luys, et la partie du noyau rouge situé en avant du faisceau rétroflexe de Meynert. La face interne est tapi
par la substance grise centrale dont la séparent incomplètement le faisceau de Vicq d'Azyr et les fibres du pédon- cule inf
bres du pédon- cule inféro-interne du thalamus qui passent entre le faisceau de Vicq d'Azyr cl le pilier antérieur du trigon
seur variable suivant les plans ccrtico - transver- saux. Les faisceaux len- ticulaire et thala- mique de Forel. au
len- ticulaire et thala- mique de Forel. auquel s'est joint le faisceau de Turck (FT), c'est-à-dire les éléments con- s
étude. La partie antérieure de la couche dorsale est formée par les faisceaux lenticulaire et thalamique de Forel. Le faiscea
st formée par les faisceaux lenticulaire et thalamique de Forel. Le faisceau lenticulaire (FI, p. 327, Fig. 24, 28, 78, 203,
formation de la capsule de fibres qui entoure le corps de Luys. Le faisceau thalamique (Fth) (Fig. 7, 24, 28, 47, 253, 312,
en réalité que la partie inférieure, épaissie, de ce feutrage. Les faisceaux thalamique et lenticu- GANGLIONS 1\rR.ICOR'l'IC
étroite, est réduite aux faisceanx de Forel (F) en par- ticulier au faisceau lenticulaire (FI) dont les fibres peuvent être su
sous-lenticulaire de la capsule iuterne. - F, champ de Forel. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. Fie, fibres lenticulo-caud
2, .\'G,, les (rois segments du noyau lenticulaire. - OF + ]le-, le faisceau mixte de fibres occipito- frontales et de proje
épendance de la zone réticulée du thalamus qui longe entre les deux faisceaux de Forel la face inférieure du thalamus et se per
et s'insinue entre segment pos- térieur de la capsule interne et le faisceau lenticulaire de Forel, en même temps que les de
ne et le faisceau lenticulaire de Forel, en même temps que les deux faisceaux de la couche dorsale se réunissent en un faisce
mps que les deux faisceaux de la couche dorsale se réunissent en un faisceau volumineux qui occupe, le long de la substance gr
(F) (Fig 203. 204, 324, 325). Celui-ci est surtout constitué par le faisceau thalamique de Forel qui s'épaissit considérable
2, 324, 22); il reçoit en outre la partie postérieure et amincie du faisceau lenticulaire de Forel dont les fibres forment u
e, en connexion avec la zone réti- culée du thalamus, qui sépare le faisceau thalamique du corps de Luys et de sa capsule de
arrière avec le segment de la zone réticulée qui s'insinue entre le faisceau de Tiirck et le segment rétro-lenticulaire de l
aire de la capsule interne (Fig. 312). Le champ de Forel, comme les faisceaux thalamique et lenticulaire, est formé de fibres
res entre-croisées dans tous les sens, il est fusionné en dedans au faisceau de Vicq d'Azyr et au faisceau mamillaire principa
es sens, il est fusionné en dedans au faisceau de Vicq d'Azyr et au faisceau mamillaire principal dont il est difficile à dé
ur les coupes horizontales ou vertico-transver- sales, et reçoit le faisceau de la calotte de Gudden (voy. p. 300 et Fig. 277)
ONS IFRACOUTfCAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 397 ceau thalamique, ni le faisceau lenticulaire de Forel n'abandonnent de fibres a
minue graduellement et. disparaît sur les coupes qui intéressent le faisceau rétroflexe de Meynert. Sur les coupes ho- Sur l
omprend le corps de Luys et la couche dorsale, consti- tuée par les faisceaux thalamique et lenticulaire de Forel et la zona in
ys. - pCR, pied de la couronne rayonnante. - F, champ de Foret. - FI, faisceau lenti- culaire. - Fie, fibres lenticulo-caudées
I, faisceau lenti- culaire. - Fie, fibres lenticulo-caudées. - Fmp, faisceau mamillaire principal. - Flp, faisceau thalamiqu
res lenticulo-caudées. - Fmp, faisceau mamillaire principal. - Flp, faisceau thalamique de Forel. - la, circonvolutions antéri
optique. - 7'm, tubercule mamillaire. - llh, taenia thalami. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vcsl, veine du corps strié. t7,
des radiations strio-sou.s- lhalamiques (p. 326), en particulier au faisceau lenticulaire de Forel. La zona incerta (Zi), si
s, et d'avant en arrière du champ de Forel (F, Fig 2S1. T. Ils), du faisceau thalamique de Forel (Fth, Fig. 324, 24, p. 35)
externe du locus niger. L'extrémité anlérieure est enclavée dans le faisceau lenticulaire de Forel (FI). Cette disposition e
t- tales sériées (Fig. 24, 28, 33, 44, 48, 46, 253, 254, 311). Le faisceau lenticulaire de Forel abandonne quelques fibres a
s fortement colorés par la laque hématoxylinique qui s'irradient en faisceau et dont quelques-uns parcourent toute l'épaisse
nce du corps de Luys, lorsque les fibres à myéline se réunissent en faisceau avant 'de traverser le segment pos- térieur de
nterne dont la séparent le pédoncule inféro-interne du thalamus, le faisceau de Vicq d'Azyr et le faisceau rétroJIoxe de Meyne
oncule inféro-interne du thalamus, le faisceau de Vicq d'Azyr et le faisceau rétroJIoxe de Meynert; elle s'épaissit m niveau
fines, de moyen et de gros calibre, dont beaucoup appartiennent aux faisceaux avoisinants. Telles sont les fibres des parois
ule qui appartiennent au pédoncule inféro-interne du thalamus et au faisceau septo-thalamique ; celles de la commissure moll
de la région sous-optique qui appartiennent au champ de Forel, aux faisceaux thalamique ou lenticulaire cle Forel, au corps de
asma et la bandelette optique, la commissure de Meynert et le petit faisceau du tuber cinereum de Gudden. Ces commissures sont
amique postérieure (Fig. 325) est en rapport de chaque côté avec le faisceau mamillaire principal (Fmp), le corps de Luys (C
le faisceau mamillaire principal (Fmp), le corps de Luys (CL) et le faisceau rétroflexe de Meynert; le pédoncule du tubercule
Luys sous forme de fines fibres parallèles, ne se réunissent pas en faisceaux compacts, mais sont disséminées dans la lame pe
n trouve quel- ques fibres qui proviennent du champ de Forel et des faisceaux thala- lnc. 325. -Coupe vertico-transversale pa
locus niger comprend le corps de Luys et la couche dorsale avec les faisceaux lenticulaire thalamique de Forel, le champ de For
re sous-thalamique postérieure de Forel. - F, champ de Forel. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - Fie, fibres lenticulo-
eau lenticulaire de Forel. - Fie, fibres lenticulo- caudées. - Fmp, faisceau mamillaire principal. - l'lh, faisceau thalamique
s lenticulo- caudées. - Fmp, faisceau mamillaire principal. - l'lh, faisceau thalamique de Forel. - le, lame cornée. - Lme,
, on trouve des fibres qui, se détachant de la partie antérieure du faisceau longitudinal postérieur,longent de haut en bas
rminaison sont encore inconnus. Unis- sent-elles entre eux les deux faisceaux longitudinaux postérieurs ? éta- blissent-elles
itudinaux postérieurs ? éta- blissent-elles une connexion entre ces faisceaux et le champ de Forel croisé ? ou entre ce champ
millaire ; et par des fibres qui appartenant vraisembla- blement au faisceau septo-thalamique et aux radiations olfactives pro
insignifiante; chez la plupart des mammifères, on y trouve de gros faisceaux divergents, fortement colorés par l'hématoxyline,
t sous celui de commissure de la sub- stance grise centrale, est un faisceau formé de lâches fascicules de fibres enclavés d
erveau, en arrière de la bandelette optique, puis pénètre entre les faisceaux de la partie moyenne du pied du pédoncule céréb
nte vraisemblabl e m e n t une commissure m- terlenticulatre. Faisceau du tuber cinereum. \ Sa situation. Ses co
avant des corps genouillés n'en- traînant pas sa dégénérescence. Faisceau du tuber cinereum (fTc). Dans la partie antérieur
on travail sur la région sous-optique, Forel ne fait pas mention du faisceau du tuber cinereum; la commissure qu'il décrit dan
re et mérite seule le nom de com- missure de Forel (p. 40 i.). Le faisceau du tuber cinereum occupe le voisinage immédiat de
tensivement que cette dernière par la laque héma- toxylinique. Le faisceau du tuber cinereum proviendrait, d'après Darkschew
grise centrale comprise entre le pilier antérieur du trigone et le faisceau de Vicq d'Azyr. Sur les coupes sagittales, nous
de Vicq d'Azyr. Sur les coupes sagittales, nous avons pu suivre ce faisceau plus loin jusque dans la substance grise centra
les coupes horizontales obliques, le trajet de la partie croisée du faisceau du tuber cinereum. Celle-ci se porte en effet e
'infundibulum, passe en dedans du pilier antérieur du trigone et du faisceau de Vicq d'Azyr et arrive à. l'aqueduc en longeant
oit en général se perdre entre le pilier antérieur du trigone et le faisceau de Vicq d'Azyr. Le faisceau du tuber cinereum dég
re le pilier antérieur du trigone et le faisceau de Vicq d'Azyr. Le faisceau du tuber cinereum dégé- nère lorsqu'on sectionn
u chiasma (Darkschewitsch et Pribytkow) ; et la dégénérescence d'un faisceau permet de suivre avec grande netteté le trajet
nce d'un faisceau permet de suivre avec grande netteté le trajet du faisceau sain. Nous n'avons pas constaté de dégénérescen
du faisceau sain. Nous n'avons pas constaté de dégénérescence de ce faisceau dans les lésions du noyau lenticulaire qui s'ac
la méthode de Marchai : Ruban de Reil, pes lemniscus, locus niger, faisceau lenticulaire de Forel, anse lenticulaire, corps d
la sous-muqueuse, se réunissent les unes aux autres pour former des faisceaux plus ou moins épais qui convergent vers les can
ent vers les canaux creusés dans la lame criblée de l'ethmoïde. Les faisceaux de la paroi externe des fosses nasales, au nomb
s nasales, au nombre de 6 à 8, présentent un aspect plexiforme; les faisceaux de la cloison sont plus nombreux (8 a 10) et co
ir traversé les canaux osseux de la lame criblée de l'ethmoïde, les faisceaux olfactifs pénètrent dans la cavité du crâne et
és au cerveau moyen par le système du ganglion de l'habenula (Gh) : faisceau septo-thalamique (fsth, Rolp, 2), taenia talami
) : faisceau septo-thalamique (fsth, Rolp, 2), taenia talami (tth), faisceau rétroflexe de Meynert (FM) et par quelques fibr
tubercule mamillaire (Tm), pédoncule du tubercule mamillaire (PTm), faisceau mamillaire principal, faisceau de la calotte de G
ncule du tubercule mamillaire (PTm), faisceau mamillaire principal, faisceau de la calotte de Gudden (FG), les relient à la
PTIQUE. 4.15 tive inlerne (Roli), de la strie de Lancini (sL) et du faisceau olfaclif du Irigone (Fol), d'autre part (Fig. 3
lée de la calotte pédonculaire (Rolp, 4 et 5, Fig. 327) ; b) Par le faisceau septo-lhala- mique (fslh, Rolp, 2) dont les fib
anglion de l'habenula le courant sensoriel olfactif est transmis au faisceau rétroflexe de Meynert (FM) (neurone de lye ordre)
(GGp) et noyau dorsal (GGd)) de la calotte pédonculaire ; enfin au faisceau longitudinal dorsal (Fld) de Schütz (vie neuron
sal (Fld) de Schütz (vie neurone). C'est par l'intermédiaire de ces faisceaux et des fibres longitudinales de la calotte, que
le terminale. - La pointe des flèches indique le sens des courants. Faisceau septo-tha- lamique. Txnia semicurcu- laris.
ux. - Cg, circonvolution godronnée. - Cing, cingulum. - Cing(p), le faisceau postérieur du cingulum. - coa, com- missure ant
aisceau postérieur du cingulum. - coa, com- missure antérieure, son faisceau olfactif et le contingent des fibres du taenia se
es fibres du taenia semicircu- laris. - Fc, fasciola cinerea. - FG, faisceau de la calotte de Gudden, ou branche de bifurcat
u de la calotte de Gudden, ou branche de bifurcation postérieure du faisceau mamillaire principal (Fmp). Fiel, faisceau longit
bifurcation postérieure du faisceau mamillaire principal (Fmp). Fiel, faisceau longitudi- nal dorsal de la substance grise cen
ongitudi- nal dorsal de la substance grise centrale de Schutz. 7'U, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fol, faisceau olfactif
ise centrale de Schutz. 7'U, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fol, faisceau olfactif du trigone. - fp, fibres perforantes cal
calleuses ou fibres extra- ammoniques du corps du trigone. - fsth, faisceau septo-thalamique. fisc, fibres que le taenia se
ive de la com- missure antérieure; 2, avec le taenia thalami par le faisceau septo-thalamique; 3, avec le taenia semicircula
aris. - llle, taenia thalami. - U, circonvolution du crochet. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr ou branche de bifurcation supéri
VA, faisceau de Vicq d'Azyr ou branche de bifurcation supérieure du faisceau mamillaire principal. Bibliothèque des Internes
ripètes terminales des radiations olfactives profondes (Rolp,0), du faisceau olfactif du trigone (Fol) et du taenia semi-circu
ire, le courant sensoriel olfactif est transmis par contact : 1° au faisceau mamil- laire principal (vo neurone) et à ses de
re principal (vo neurone) et à ses deux branches de bifurcation, le faisceau du Vicq d'1 .dr (VA) qui se termine dans le noyau
A) qui se termine dans le noyau antérieur du thalamus (NaTh), et le faisceau de la calolte de Gudden (FG) qui se rend dans d
s fibres perforantes calleuses (fp), le corps du trigone (Tg) et le faisceau olfactif du trigone (Fol), entre en connexion ave
obule lingual, le cuneus et la convexité occipito-lem- poralepar le faisceau longitudinal inférieur. Le faisceau uncinatus, en
xité occipito-lem- poralepar le faisceau longitudinal inférieur. Le faisceau uncinatus, enfin, les relie au pôle temporal et
zone de Broca. F'3, troisième circonvolution frontale droite. - fc, faisceau croisé ou nasal; fcl, faisceau direct ou tempor
irconvolution frontale droite. - fc, faisceau croisé ou nasal; fcl, faisceau direct ou temporal; fin, faisceau maculaire du ne
c, faisceau croisé ou nasal; fcl, faisceau direct ou temporal; fin, faisceau maculaire du nerf optique. - Fin, forceps posté
optique. - Fin, forceps postérieur ou major du corps calleux. - Fu, faisceau uncinatus réunissant la zone de Wernicke il la
nombreuses, s'entassent en 7 à 9 couches et donnent naissance à un faisceau nerveux volumineux, le fais- ceau des fibres ma
x, le fais- ceau des fibres maculaires, connu encore sous le nom de faisceau de la vision distincte, de faisceau maculo-papi
es, connu encore sous le nom de faisceau de la vision distincte, de faisceau maculo-papillaire ou simplement de faisceau mac
la vision distincte, de faisceau maculo-papillaire ou simplement de faisceau maculaire (fm, Fig. 328 et mn, mt, Fig. 329), q
ffectent un trajet moins rectiligne. La présence de la macula et du faisceau macu- laire les obligent à se grouper en deux f
macula et du faisceau macu- laire les obligent à se grouper en deux faisceaux : l'un supérieur, alimenté par les fibres du qu
ieur, constitué par les fibres du quadrant inféro-externe. Ces deux faisceaux se portent en dedans, décrivent, ainsi que Kôll
ure et inférieure et sont séparés l'un de l'autre, en dedans par le faisceau nasal, en dehors par le faisceau maculaire. L
l'un de l'autre, en dedans par le faisceau nasal, en dehors par le faisceau maculaire. Les fibres visuelles ou rétiniennes,
nc. Trajet des fais- ceaux rétiniens dans le nerf optique. Lo faisceau macu- laire. Le faisceau tem- poral. scpt
x rétiniens dans le nerf optique. Lo faisceau macu- laire. Le faisceau tem- poral. scpta névrogliques plus' ou moins
e, au voisinage immédiat de sa gaine pie-mérienne. Groupement des faisceaux rétiniens : 1° Dans le nerf optique. - Les rech
que, dans le segment antérieur de l'ap- pareil nerveux visuel, les faisceaux qui proviennent des différents segments de la r
s faisceaux qui proviennent des différents segments de la rétine, - faisceau maculaire, faisceau temporal, faisceau nasal, -
iennent des différents segments de la rétine, - faisceau maculaire, faisceau temporal, faisceau nasal, - conservent une cert
nts segments de la rétine, - faisceau maculaire, faisceau temporal, faisceau nasal, - conservent une certaine individualité,
nt des fais- ceaux est le même que dans la papille (Fig. 329,1). Le faisceau maculaire (mn, mt) occupe la partie externe et
e sous l'aspect d'un coin à base périphérique et àsommetcentral. Le faisceau nasal (ns, ni) se place en dedans du faisceau mac
et àsommetcentral. Le faisceau nasal (ns, ni) se place en dedans du faisceau maculaire et occupe lé secteur interne du nerf
est occupée par les fascicules supérieur (ts) et inférieur (ti) du faisceau temporal. Dans la partie vasculaire du nerf opt
du faisceau temporal. Dans la partie vasculaire du nerf optique le faisceau maculaire (mn, mt} change de forme : il émigre
intra- cranien du nerf optique (Fig. 329,4). Avec la migration du faisceau maculaire dans la partie centrale du nerf optiq
centrale du nerf optique, les fascicules supérieur et inférieur du faisceau temporal (ts, ti) se réunissent en un seul fais
et inférieur du faisceau temporal (ts, ti) se réunissent en un seul faisceau qui occupe la partie inféro-externe du nerf opt
optique (Fig. 329, 3) et entoure dans la région intra-cranienne le faisceau maculaire d'une sorte de fer à cheval (Fig. 324,4
ulaire d'une sorte de fer à cheval (Fig. 324,4). La fusion des deux faisceaux temporaux s'effectue en général immédiatement en
- La hauteur de ces 7 coupes se trouve repérée sur le schéma B'. Le faisceau maculaire teinté en gris comprend une partie temp
une partie nasale ou croisée 426 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le faisceau nasal. Indépendance de ces faisceaux dé- mo
MIE DES CENTRES NERVEUX. Le faisceau nasal. Indépendance de ces faisceaux dé- montrés par leur dégénérescence. qui se
énérescence. qui se continue dans la bandelette optique croisée; le faisceau temporal se distingue par des hachures IIIII; l
oisée; le faisceau temporal se distingue par des hachures IIIII; le faisceau nasal par des croix + + +. M, la macula lutea o
temporal. - Te, tuber cinereum. - mon, la partie nasale (croisée) du faisceau maculaire. - met, la partie temporale (non croi
du faisceau maculaire. - met, la partie temporale (non croisée) du faisceau maculaire. - ni, le quadrant inférieur du faisc
(non croisée) du faisceau maculaire. - ni, le quadrant inférieur du faisceau nasal; ns, le quadrant supérieur du faisceau nasa
quadrant inférieur du faisceau nasal; ns, le quadrant supérieur du faisceau nasal. - li, le quadrant inférieur du faisceau
uadrant supérieur du faisceau nasal. - li, le quadrant inférieur du faisceau temporal; ts, le quadrant supérieur du faisceau t
adrant inférieur du faisceau temporal; ts, le quadrant supérieur du faisceau temporal. - p, les fibres pupillaires et leur s
tration de l'artère centrale du nerf optique (Henschen). Quant au faisceau nasal, il occupe, après la fusion des deux fascic
r trajet intra-orbitaire, intra-canaliculaire et intra-cranien, les faisceaux du nerf optique ne constituent pas toutefois des
ien, les faisceaux du nerf optique ne constituent pas toutefois des faisceaux rigoureusement fermés et nettement séparés les
rmales. Malgré leurs varia- tions individuelles, l'existence de ces faisceaux est néanmoins indiscutable chez ! 'homme, où il
mme, où ils peuvent dégénérer indépendamment les uns des autres. Le faisceau maculaire, dont l'existence, soupçonnée par Lebel
dégénérescence de toutes les fibres rétiniennes à l'excep- tion du faisceau temporal gauche; ce cas réalise donc l'expérience
énérescence complète des fibres des nerfs optiques à l'exception du faisceau temporal ou direct de l'oeil non énucléé. Dans
rmaux tels que les cas rapportés par Ganser, par Schlagenhaufer, le faisceau temporal ou direct peut même former un faisceau
Schlagenhaufer, le faisceau temporal ou direct peut même former un faisceau aberrant, complètement isolé du reste des fibres
cas de Schlagenhaufer, il ne paraît correspondre qu'à une partie du faisceau temporal, au fascicule temporal inférieur. 2° D
les différents fascicules du nerf optique cessent de se grouper en faisceaux plus ou moins fermés, mais s'enchevêtrent les u
tion incomplète. Les deux tiers des libres rétiniennes, à savoir le faisceau nasal et une partie du faisceau maculaire s'ent
des libres rétiniennes, à savoir le faisceau nasal et une partie du faisceau maculaire s'entre-croisent dans le chiasma avec l
tinuent dans la bandelette optique contralatérale et constituent le faisceau optique croisé. Les autres fibres, c'est-à-dire
uent le faisceau optique croisé. Les autres fibres, c'est-à-dire le faisceau temporal et l'autre partie du faisceau maculaire,
tres fibres, c'est-à-dire le faisceau temporal et l'autre partie du faisceau maculaire, se continuent directement avec la ba
directement avec la bandelette optique homolatérale et for- ment le faisceau optique direct. Si les faisceaux nasal et tempora
ptique homolatérale et for- ment le faisceau optique direct. Si les faisceaux nasal et temporal ne con- tiennent qu'une seule
sal et temporal ne con- tiennent qu'une seule variété de fibres, le faisceau maculaire comprend à la fois des fibres croisée
Les recherches de Bunge, Uhthoff, Thomsen, etc., montrent que le faisceau maculaire conserve dans le chiasma et dans les ba
même situation centrale que dans le nerf optique et qu'il forme un faisceau fermé (Fig. 329, 5, 6, 7). Il n'en est pas de m
e un faisceau fermé (Fig. 329, 5, 6, 7). Il n'en est pas de même du faisceau nasal et du faisceau temporal qui, loin de for-
Fig. 329, 5, 6, 7). Il n'en est pas de même du faisceau nasal et du faisceau temporal qui, loin de for- mer des faisceaux fe
du faisceau nasal et du faisceau temporal qui, loin de for- mer des faisceaux fermés, s'enchevêtrent intimement l'un avec l'aut
ement l'un avec l'autre dans le chiasma et dans la bandelette. Le faisceau nasal (fn Fig. 330), en traversant le chiasma, di
sma avec des fibres analogues du côté opposé. Dans son ensemble, le faisceau nasal se rend de la partie supéro-interne du ne
n, Delbruck, IIenschen, Moeli, se détachent de la partie interne du faisceau nasal, se portent transversalement en de dans,
a et en s'enchevê Leur trajet dans le chiasma. Décussation du faisceau nasal el d'une partie du lais- ceau muculairc
l d'une partie du lais- ceau muculairc. Situation centrale du faisceau macu- laire. Mode de décussa- tion du faisc
on centrale du faisceau macu- laire. Mode de décussa- tion du faisceau na- sal. Les fibres en anse. 428 ANATOMIE D
Les fibres en anse. 428 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Trajet du faisceau temporal ou direct. irant avec les fibres du
Trajet du faisceau temporal ou direct. irant avec les fibres du faisceau temporal. Dans les atrophies unilatérales, comp
se détachent, ainsi que Ploeli l'a montré, de la partie externe du faisceau nasal, se portent d'avant en arrière jusqu'à la h
s de la partie inféro-interne de la bandelette controlalérale. Le faisceau teîzpnî,al(ft, Fig. 330) ne constitue pas, en gén
n général, comme l'admettaient Gudden et la plupart des auteurs, un faisceau fermé lon- geant le bord externe du chiasma et
ui s'enchevêtrent à angle aigu avec les libres les plus externes du faisceau nasal ou croisé et qui décrivent même des courbes
tefois jamais l'atteindre. Malgré cette dissociation des fibres, le faisceau temporal occupe surtout, mais non exclusivement,
comme on l'observe à la suite des lésions de FiG. 330. - Trajet du faisceau nasal et du faisceau temporal dans le chiasma des
la suite des lésions de FiG. 330. - Trajet du faisceau nasal et du faisceau temporal dans le chiasma des nerfs optiques. -C
al et du faisceau temporal dans le chiasma des nerfs optiques. -Ces faisceaux ne forment pas des faisceaux fermés, leurs fibres
ns le chiasma des nerfs optiques. -Ces faisceaux ne forment pas des faisceaux fermés, leurs fibres divergent et décrivent des
ll, chiasma des nerfs optiques. - 7311, bandelettes optiques. - fm, faisceau maculaire. - fn, faisceau nasal ou croisé. - ft,
ques. - 7311, bandelettes optiques. - fm, faisceau maculaire. - fn, faisceau nasal ou croisé. - ft, faisceau temporal ou direc
es. - fm, faisceau maculaire. - fn, faisceau nasal ou croisé. - ft, faisceau temporal ou direct. - p, fibres pupillaires.
sie est caractéristique des lésions du chiasma. La dissociation des faisceaux temporal et nasal et les variétés indivi- duell
rale les plus solidement établis. 3° Dans la bandelette optique, le faisceau nasal ou croisé s'enchevêtre avec le faisceau t
andelette optique, le faisceau nasal ou croisé s'enchevêtre avec le faisceau temporal ou direct, et les dégénérescences de l'u
emporal ou direct, et les dégénérescences de l'un et l'autre de ces faisceaux occupent en général toute la surface de section d
upent en général toute la surface de section de la ban- delette. Le faisceau croisé (ou nasal) toutefois occupe surtout la par
sé (ou nasal) toutefois occupe surtout la partie inféro-interne, le faisceau direct ou (temporal) la partie supéro-externe d
cliniquement aucun cas Dissociation et en- chevêtrement de ces faisceaux dans la bandelette. Et dans les centres gan
nous savons du trajet des fibres macu- laires qui, ramassées en un faisceau distinct dans le nerf optique, le chiasma et la
commissure infé- rieure, de commissure arquée postérieure, un petit faisceau de fibres qui occupe la partie interne de la ba
la bandelette par le lui calibre de ses fibres (C G, Fig. 274). Ce faisceau persiste intact après l'énucléation des deux ye
Meynert et sa parfaite intégrité, mais nous avons en vain cherché un faisceau de fibres pouvant.être homologué avec la commis
genhaufer dans son cas d'atrophie bilatérale des nerfs optiques, avec faisceau aberrant direct sain, décrit sous le nom de com
aberrant direct sain, décrit sous le nom de commissure de Gudden un faisceau qui, à en juger d'après les figures, n'est autr
ue cet auteur désigne sous le nom de commissure de Meynert un petit faisceau qu'il n'a pu suivre au delà de la région du chias
de la région du chiasma et qui évidemment n'est autre que le petit faisceau du tuber cinereum (Voy. p. 410). Chez l'homme,
vermis. - bv, branche verticale de l'arbre de vie du vermis. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - fai, fibres arciform
e (Va). - VI', voie pédonculaire. - W, valvule de Vieussens. - IXd, faisceau solitaire, racine descendante du nerf glossophary
le cérébelleux moyen ; en dedans, elles s'im- plantent sui un épais faisceau de fibres blanches, le pédoncule du flocculus,
é par suite de la dégéné- rescence secondaire ou de l'agénésie du faisceau pyra- midal sous-jacent. Les bourrelets pyram
ent. Les bourrelets pyramidaux sont produits par le passage des faisceaux de la voie pé- donculaire sous les fibres tra
pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) apparaît comme - un volumineux faisceau plus ou moins arrondi, sectionné par la coupe
été enlevé (Fig. 333), ce pé- doncule représente un volu- mineux faisceau triangulaire qui se porte en dehors et en arrière
formol. - Menu pièce que celle des Fig. 338, 342, 318, 3S2.) Fll, faisceau latéral du bulbe. - Floc. Ilocculus - ploc, péd
RVEUX. Aspect de la région pontine. StDaLiontransver- sale. Faisceau oblique. Collier des py ra- mides. Les deux
gent dans le sillon marginal antérieur. On appelle, depuis Rolando, faisceaux supérieurs, ceux qui pas- sent au-dessus de l'é
périeurs, ceux qui pas- sent au-dessus de l'émergence du trijumeau; faisceaux inférieurs, ceux qui sont voisins du sillon bul
nférieurs, ceux qui sont voisins du sillon bulbo-protubérautiel, et faisceaux moyens, ceux qui passent au-dessous du trijumea
oblique- ment vers le nerf facial et le flocculus, el croisent les faisceaux inférieurs qu'ils recouvrent (Fig. 319). Ils co
isceaux inférieurs qu'ils recouvrent (Fig. 319). Ils constituent le faisceau oblique de la pro- tubérance (Fo), le ruban arq
leurs dimensions présentent de grandes variétés individuelles. Les faisceaux supérieurs et inférieurs débordent en haut et en
t guère en bas l'émergence du trijumeau et sont adossées à un épais faisceau transversal, le corps 1 ? -apézoïde, très marqu
, très marqué chez les solipèdes, les ruminants et les rongeurs. Ce faisceau se distingue des fibres transversales de la pro
a protubérance et il semble n'être, dans la majorité des cas, qu'un faisceau détaché, aberrant des fibres trans- versales du
ux) bordent de chaque côté le sillon médian antérieur. Ce sont deux faisceaux arrondis et allongés qui forment à la face anté
dans le cordon latéral du côté opposé de la moelle et constitue le faisceau pyramidal croisé. Un petit fascicule qui occupe l
la moelle dont il longe le sillon médian anté- rieur. On l'appelle faisceau pyramidal direct, faisceau pyramidal de Turck.
sillon médian anté- rieur. On l'appelle faisceau pyramidal direct, faisceau pyramidal de Turck. Enfin la pyramide envoie en
des variétés individuelles. Tantôt l'entre-croisement est total, le faisceau pyramidal direct fait défaut et toutes les fibr
se rendent dans le cor- don latéral croisé de la moelle. Tantôt le faisceau pyramidal direct l'em- porte en volume sur le f
e. Tantôt le faisceau pyramidal direct l'em- porte en volume sur le faisceau croisé, exceptionnellement enfin la décus- sati
latéral de la moelle (Voy. IVe partie, Moelle épinière). Lorsque le faisceau pyramidal est lésé dans son trajet de l'écorce
mité inférieure est plus petite et elle est souvent bri- dée par un faisceau de fibres arciformes qui la recouvre pour passer
sillon médian anté- rieur du bulbe. Ces fibres, que l'on a appelées faisceau arciforme de l'olive, fibres arciformes pré-oli
- Clall, chiasma des nerfs optiques. - Crsl, corps restiforme. Fia, faisceau la- téral du bulbe. - faa, fibres arquées antér
au la- téral du bulbe. - faa, fibres arquées antérieures. - Fora, faisceau oblique de la protubérance. Gp, glande pi- néal
umeau anté- rieur. - Qp, tubercule quadrijumeau postérieur. - RI, faisceau triangulaire de l'isthme ou ruban de Reil laté-
o. Sillon olivaire in- trn. Sillon olivâtre ¡''(terne'. ; Faisceau latéral du bulbe. Sillon bulbo-pro- tttbéra
de l'olive, entre elle et le corps restiforme, on trouve un étroit faisceau longitudinal qui appartient déjà à la face latéra
gitudinal qui appartient déjà à la face latérale du bulbe, c'est le faisceau intermédiaire ou faisceau latéral du bulbe (Fit).
éjà à la face latérale du bulbe, c'est le faisceau intermédiaire ou faisceau latéral du bulbe (Fit). Il est limité en arrièr
rfs mixtes) et représente, eu partie, la continuation supérieure du faisceau de Gowers. En bas, il se fusionne avec le cordo
quadrijumeau postérieur. - cops, commissure posté- rieure. - fai, faisceaux arciformes su- périeurs de l'isthme. - Gp, glan
évaséo et membraneuse. tantôt elles se ramassent en un très fort faisceau qui entoure son extrémité supérieure et la sépa
sthme (fai) de Retzius (Fig. 337 et 351). D'autres fois encore, ces faisceaux sont peu accusés ou masqués par quelques fibres-
édonculaires (voy. chap. IV); elles contiennent des fibres du petit faisceau latéral du bulbe et du faisceau de Gowers, et rep
les contiennent des fibres du petit faisceau latéral du bulbe et du faisceau de Gowers, et représentent, comme les dégénéres
ement des nerfs pathétiques; elle se continue en haut avec un petit faisceau blanc longitudinal et saillant, le frein de la
don de Goll. -Crsl, corps restiforme. - et, eminenlia teres. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - /) ? fossette médiane. - fs
tte médiane. - fsa, fst, fos- sette supérieure ou antérieure. - ft, faisceaux arrondis, funiculi teretes. -Le, locus caeruteu
clli, Strangformige ou Strickfor- mige Korper) sont deux volumineux faisceaux cylindriques ou pyrami- daux, qui occupent les
ostérieure et latérale du bulbe entre la pyramide postérieure et le faisceau latéral du bulbe et qui se continuent sans lign
- né, on remarque en outre, dans le cordon latéral de la moelle, un faisceau myélinisé qui, au-dessus du tubercule cendré, s
sur le corps restiforme avec lequel il pénètre dans le cervelet. Ce faisceau bien décrit et figuré par Foville a été désigné
rit et figuré par Foville a été désigné par Flechsig sous le nom de faisceau cérébelleux direct. Du corps restiforme se déta
ales du bulbe, interrompent le sillon des nerfs mixtes, croisent le faisceau latéral du bulbe, l'olive et la pyramide antéri
doublée dans toute son étendue pai Tubercule rendre de Rolando. Faisceau cérébol- leu x direct. Fibres areifornies e
cordons postérieurs (Ncp); que le funiculus séparons correspond au faisceau solitaire du bulbe ou racine descendante des ne
li ad ponlem. - Les pédoncules céré- belleux moyens (Pcm) sont deux faisceaux épais et volumineux qui se détachent de la part
belleux moyen (Pcm) ne forme pas dans la région protubérantielle un faisceau fermé, mais qu'il se segmente, au Fibres SeIl1H
bérance. Les noyaux d'origine et de terminaison du trijumeau et le faisceau de Gowers. Coupe horizontale un peu oblique en
y. description de cette coupe, p. 627, coupe H3, Fig. 423.) l'ee, faisceau central de la calotte. - FG, faisceau de Gowers.
7, coupe H3, Fig. 423.) l'ee, faisceau central de la calotte. - FG, faisceau de Gowers. - Flop. faisceau longitu- dinal post
ee, faisceau central de la calotte. - FG, faisceau de Gowers. - Flop. faisceau longitu- dinal postérieur. - FII, faisceau laté
sceau de Gowers. - Flop. faisceau longitu- dinal postérieur. - FII, faisceau latéral du bulbe dans son trajet protubérantiel.
II, faisceau latéral du bulbe dans son trajet protubérantiel. - Fo, faisceau oblique de la protubérance. FPoa, fibres protubér
C 1 à C 5, Fig. 361, 362, et 427 il à 3 : ). Lorsqu'il existe un faisceau oblique du pont (Fig. 349), on voit se déta- ch
49), on voit se déta- cher de la couche superficielle un volumineux faisceau qui s'isole plus ou moins complètement des fibr
e. Elle cloisonne, segmente, subdivise en un nombre incalculable de faisceaux , de]volumes et de formes exlrè- mement variable
érantielles Couche superti- cielle du pont. Noyaux pontiques. Faisceau oblique du pont. Coucho profonde Couche 111
este des fibres de la voie pédonculaire se ramasse en un volumineux faisceau irrégulièrement arrondi, entouré par une couche
ulaire de la capsule interne. - CNR, capsule du noyau rouge. 1·'cc, faisceau central de la calotte. fec, feutrage extra-cili
fec, feutrage extra-ciliaire. - fie, feutrage intra-ciliaire. - Flp, faisceau longitudinal pos- térieur. - FM, faisceau rétro
ge intra-ciliaire. - Flp, faisceau longitudinal pos- térieur. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. fsl, feutrage sous-lobaire
) : ils se reconstituent de chaque côté de la ligne médiane en deux faisceaux courts, volumineux et arrondis (Pcs,c) qui abou
t coupes Cl à C5, Fig. 361, 432 à 435). Il ne commence iL former un faisceau nettement distinct que sur les coupes horizonta
supérieur (Pcs) se rapproche de la ligne médiane; il est séparé du faisceau de même nom du côté opposé par la valvule de Vi
aires inle1'Jtes pél'l}Jédollcu/ail'es) et appartiennent en partie au faisceau de Gowers (FG coupe H3, Fig. 362) et au ruban d
e coupe, p. G16, coupe Pi,f ig. r19.) ,ly, aqueduc de Sylvius. Flp, faisceau longitudinal postérieur. xl<', entre-croisemen
éraux et qui s'étend d'avant en arrière, du ruban de Reil médian au faisceau longitu- dinal postérieur (coupe P 1, Fig. 364)
périeures que la partie postérieure du raphé, celle qui avoisinc le faisceau longitudinal postérieur. Pour l'immense majorit
es, s'entre-croise à angle droit ou aigu, immédiatement en avant du faisceau longitudinal postérieur, ainsi que nous l'avons
il médian et en avant de la formation réticulée de la calotte et du faisceau longitudinal postérieur (Fig. 25, p. 37, 26, p.
sa capsule (Fig. 33, p. 49), et plus bas par le raphé médian et le faisceau rétroflexe de Meynert (Fig. 34, p. 50). Ce dern
n et le faisceau rétroflexe de Meynert (Fig. 34, p. 50). Ce dernier faisceau traverse la partie supéro-interne du noyau roug
sa partie interne, une sorte d'échancrure dans laquelle se loge le faisceau rétro- flexe de Meynert, échancrure considérée
n haut dans la région sous-optique où elle constitue le champ et le faisceau thalamique de Forel (coupes sagittales, Fig. 25
oupe, p. 637, coupe H6, Fig. 429.) Cj, corps juxta-restiforme. Fcc, faisceau central de la calotte. - fec, feutrage extracil
fec, feutrage extraciliaire. - fic, feutrage intraciliaire. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - fsme, fsmi, fibres s
ériées, il apparaît d'abord (coupe H4, Fig. 396) sous l'aspect d'un faisceau allongé, en connexion intime avec les fibres se
e en deux segments inégaux : Le segment externe forme un volumineux faisceau qui occupe l'angle postéro-externe de la moitié
étro-trige- mmales Continuation du corps rcstlforffic avec le faisceau cérébel- leux direct. Corps juua-resti- for
Deiters. du bulbe. - fas, fibres arciformes superficielles. - Fcc, faisceau central de la calotte. - fcu, faisceaux cérébel
ormes superficielles. - Fcc, faisceau central de la calotte. - fcu, faisceaux cérébello-vestibulaires. - feo, feutrage extra-ol
fit, fibres arciformes inter-trigéminales. - Floc, flocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fit, faisceau latéra
- Floc, flocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fit, faisceau latéral du bulbe. fpl, fibres arciformes pré-tri-
é-tri- gémmales. - j'd, fibres arciformes rétro-trigéminales. - Fs, faisceau solitaire. - Mo, membrane obturatrice rétro-bul
ent, se porte en avant, en dehors et en bas, et se continue avec un faisceau longitudinal de la moelle épinière, le faisceau d
se continue avec un faisceau longitudinal de la moelle épinière, le faisceau dit acéré- bulleux direct de Flechsig. Le seg
face de sec lion rectangulaire ou rhom- boïdale. Il comprend non un faisceau compact, comme le corps restiforme, mais un gro
ante du nerf vestibulaire, racine descendante du nerf vestibulaire, faisceaux cérébello-veslibulaires (fcv) (voy. Chap. IV). L'
Le feutrage intra-olivaire est presque exclusivement formé de gros faisceaux de fibres horizon laies el transversales qui abor
ux de fibres horizon laies el transversales qui abordent en pinceau Faisceaux ccré- bello-vestibulaires. Ses libres arci-
et qu'au voi- sinage du hile de l'olive que l'on rencontre quelques faisceaux de fibres verticales; ils séparent le hile de l
ses parties postérieure et externe et qui appartiennent surtout au faisceau central de la calotte (Voy. p. Sh). La capsule
10.) . Ci, corps juxta-restiforme. - Crst, corps restiforme. - Fcc, faisceau central de la calotte. - feb, fibres arciformes
pré-trigéminales. frt, fibres arciformes rétro-trigéminales. - Fil. faisceau latéral du bulbe. - l's, faisceau solitaire. - fs
formes rétro-trigéminales. - Fil. faisceau latéral du bulbe. - l's, faisceau solitaire. - fsr, fibres sagittales du raphé ap
se continuant en arrière avec le noyau du raphé (NI'). Srt, noyau du faisceau arrondi (funiculus teres). - Noe, noyau juxta-o
jumeau. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. j33 nombre de faisceaux sectionnés obliquement et de nombreuses libres ho
plus haut (voy. p. 73) le trajet de la voie pédortw- laire dans le faisceau compact de la couronne rayonnante, la capsule i
, où l'on assiste à un changement de direction d'un grand nombre de faisceaux qui s'infléchissent, deviennent obliques ou hor
(Voy. description de cette coupe, p. 619, coupe P3, Fig. 421.) Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
9, coupe P3, Fig. 421.) Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fl'oa, fibres protub
e la voie pédonculaire, sa partie postéro-externe formant encore un faisceau compact (coupe P 4 Fig. 3G9). Ce n'est qu'au vo
(Yoy. description de celle coupe, p. 019, coupe P 4, Fig. z.) Feue, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
9, coupe P 4, Fig. z.) Feue, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FPoa, 11'op,fibres t
s se ras- semblent dans le tiers inférieur de la protubérance en un faisceau com- pact, irrégulièrement arrondi, plongé au s
5, p. 527 et 397, p. 561). Ce fais- ceau compact représente déjà le faisceau pyramidal, il traverse le tiers inférieur de la
raît, la couche des fibres superficielles du pont recouvre seule le faisceau pyramidal, et les noyaux pontiques l'appliquent
ion de la calotte, en particulier sur le ruban de Reil médian et le faisceau central de la calotte. Dans les deux tiers supé
L'étude des dégénérescences secondaires montre que le contingent du faisceau de Türch est minime (Voy. cas Neu- mann, p. 145
e antérieure du pont. Au-dessous du sillon bulbo-protubérantiel, le faisceau pyramidal appa- raît librement à l'extérieur, f
. Fibres de la voie pédonculaire des- cendant dans le bulbe : faisceau pyramidal. 38 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
néral plus ou moins sur toute la hauteur de la face anté- rieure du faisceau pyramidal et peut parfois être suivi sur les coup
qu au niveau de 1 entre-croisement pyramidal. La face antérieure du faisceau pyramidal est en oulre recouverte par les fibre
ig.3U7),et qui passent les unes en avant, les autres en. arrière du faisceau pyramidal; d'autres encore le traversent : elle
cordon de Burdach CG, cordon de Goll. - Crsl, corps restiforme. - PU, faisceau latéral du bulbe. - fil', fibres inter-réticulé
u latéral du bulbe. - fil', fibres inter-réticulées du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Narc, noyau arqué. - NB, noyau de
stries acoustiques (coupe H 10, Fig. 367). La face postérieure du faisceau pyramidal est plane ou légèrement concave. A la
nsi qu'aux fibres longitudinales du ruban de Reil médian (Rm) el du faisceau central de la calotte (Fcc). Un peu plus bas (c
ve bulbaire (Oi) et sa capsule de fibres s'insinuent entre ces deux faisceaux longitudinaux de la calotte, refoulent le ruban d
livaire (SRa, cio, coupe H 9, Fig. 3GG, p. 529). La délimitation du faisceau pyramidal d'avec la couche inler-olivaire est d
nler-olivaire est difficile à établir, et cela d'autant plus que le faisceau pyramidal reçoit sou- vent dans celle région le
antérieure. Col, corne latérale. - Cop, corne postérieure. - FPyc, faisceau pyramidal croisé. - \'I3, noyau de Burdach. - NG,
le cordon antérieur de la moelle. 1\Iode de décussa- trton du faisceau pyramidal. Faisceau pyrami- dal croisé. F
la moelle. 1\Iode de décussa- trton du faisceau pyramidal. Faisceau pyrami- dal croisé. Faisceau pyrami- da dir
- trton du faisceau pyramidal. Faisceau pyrami- dal croisé. Faisceau pyrami- da direct. Fibres pyrami- dales hom
i- da direct. Fibres pyrami- dales homolaterales. p. 565). Le faisceau pyramidal se délimite mieux, en général, de l'oli
ux (Nrp), petits amas irréguliers de substance grise qui bordent le faisceau pyramidal en arrière, et le séparent de la caps
. 438 à 4H., p. 657 à 677). Dans quelques cas toutefois, on voit le faisceau pyramidal s'étaler à la surface de l'olive bulb
en est particulièrement manifeste dans les cas de dégénérescence du faisceau pyramidal traités par la méthode de Marchi (Fig
e l'olive bulbaire (coupes H 16, H 17, fin. 370 et 400, p. 567), le faisceau pyramidal se ramasse en un faisceau plus ou moins
7, fin. 370 et 400, p. 567), le faisceau pyramidal se ramasse en un faisceau plus ou moins arrondi qui s'adosse au segment h
t déjà au cordon antérieur de la moelle épinière. La décussation du faisceau pyramidal est incomplète ; elle commence par le
t forment à la partie postérieure du cordon latéral de la moelle le faisceau pyramidal croisé. Un petit nombre de fascicules
elle le faisceau pyramidal croisé. Un petit nombre de fascicules du faisceau pyramidal, les faisceaux les plus externes, ne
al croisé. Un petit nombre de fascicules du faisceau pyramidal, les faisceaux les plus externes, ne participent pas à la décu
moelle épinière, le long du sillon médian antérieur; ils forment le faisceau pyramidal direct. Le faisceau pyramidal fournit
llon médian antérieur; ils forment le faisceau pyramidal direct. Le faisceau pyramidal fournit enfin au cordon latéral du même
ont bien mises en évidence : 1° Dans les cas de dégénéres- cence du faisceau pyramidal traités par la méthode de Marchi; 3° Da
les plus ou moins nombreux, tantôt elles forment un véritable petit faisceau compact et très bien délimité (Fig. 372 et cas
159, 160 et 1Gi). Dans son trajet bulbaire la surface de section du faisceau pyramidal est irrégulièrement plan-convexe; ell
et enchevêtrés, sectionnés plus ou moins obliquement (Fig. 370). Le faisceau pyramidal conserve cet aspect au delà de sa déc
premiers âges de la vie et s'accompagnant d'une régres- FiG. 372. - Faisceau pyramidal croisé et fibres pyramidales homolatéra
- tubérantielle. Méthode de Weigert. 9/1 Grandeur nature. 1,'Ily, faisceau pyramidal gauche sain. - F7'(), faisceau pyramida
1 Grandeur nature. 1,'Ily, faisceau pyramidal gauche sain. - F7'(), faisceau pyramidal droit complètement dégénéré. - FPyc,
n. - F7'(), faisceau pyramidal droit complètement dégénéré. - FPyc, faisceau pyramidal croisé sain. - FPyc(d), faisceau pyrami
tement dégénéré. - FPyc, faisceau pyramidal croisé sain. - FPyc(d), faisceau pyramidal croisé dégénère ? 7 ? t, fibres pyram
dégénère ? 7 ? t, fibres pyramidales homolatérales se détachant du faisceau pyramidal sain. Agenésie de la vote pedoncula
ficiel et les fibres aberrantes postéro-externes. Les deux premiers faisceaux s'adossent au ruban de Reil médian. Le pes lemn
ace superficielle du pied du pédoncule et se place en dedans de son faisceau interne (voy. p. 52). Les premières fibres transv
postéro-externes (Fpe) elles contournent, lorsqu'elles existent, le faisceau externe du pied du pédoncule et le sillon latér
nterne (Cgi, Fig. 3 in, 37 i) dans le sillon qui sépare ce corps du faisceau do Tiirck et du bras du tuber- cule quadrijumea
Fig, 3-il aL 377). Étant données chez l'homme l'in- constance du. faisceau dé- crit par Gudden sous le nom de ll'aclus j
EURE DU RHOMBENCÉPHALE. 5k7 voie pédonculaire fournit en outre à ce faisceau , dans toule la hauteur de la région protubérant
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. Inc. 385 à 391. - Mode de décussation du faisceau pyramidal; faisceau pyramidal croisé et fibres
RVEUX. Inc. 385 à 391. - Mode de décussation du faisceau pyramidal; faisceau pyramidal croisé et fibres pyramidales homolaté
ramidales homolatérales superficielles (f Pyhs), fusionnées avec le faisceau pyramidal (Py) dans la région moyenne de l'olive
(voy. Fig. 372, p. 5f.1). Au niveau du collet du bulbe enfin, le faisceau pyramidal croisé abandonne parfois quelques fib
e la moelle, à la base de la corne postérieure, puis réintègrent le faisceau pyramidal croisé aux différentes hauteurs de la
auteurs de la moelle cervicale inférieure ou dorsale supérieure. Le faisceau dit de Pick, n'est qu'une modalité anatomique d
ÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 551 tzculée; les autres se condensent en faisceaux compacts, forment le ruban de Reil, le faisceau
s se condensent en faisceaux compacts, forment le ruban de Reil, le faisceau longitudinal postérieur, le faisceau central de l
, forment le ruban de Reil, le faisceau longitudinal postérieur, le faisceau central de la calotte, traversent toute la haut
de la calotte à laquelle elles appartiennent, les amas gris ou les faisceaux dont elles dérivent. Dans la calotte pédonculai
ulaire; d'autres fibres appartiennent à des noyaux spéciaux, tel le faisceau du hile de l'olive supé- rieure ou protubéranti
iens situées dans la formation réti- .Noyaux propres a certains faisceaux de la formation réti- tulue. supérieur, le
aux juxta-olivaires (voy. p. 528); corps juxta-restiforme (p. 530); faisceaux cérébello-bulbaire et cérébello-médullaire descen
faisceaux cérébello-bulbaire et cérébello-médullaire descendants ; faisceaux cérébelleux ascendants (faisceau cérébelleux di
érébello-médullaire descendants ; faisceaux cérébelleux ascendants ( faisceau cérébelleux direct, faisceau de Gowers) (voy. C
ts ; faisceaux cérébelleux ascendants (faisceau cérébelleux direct, faisceau de Gowers) (voy. Chap. IV). La substance gris
certain nombre d'amas cellulaires situés sur le trajet de certains faisceaux auxquels ils appartiennent; tels sont les noyau
médian, les noyaux du corps restiforme, en connexion intime avec ce faisceau , l'olive supérieure ou protubérantielle, CONFIG
ET MORPHOLOGIE GÉNÉRALES DE LA FORMATION RÉTICULÉE. NOYAUX GRIS ET FAISCEAUX COMPACTS 1. Noyaux gris de la formation réticul
e et v la région du ruban de Reil médian; elle est traversée par le faisceau rétroflexe de Meynert et les voies cérébel- leu
roisement dorsal de la calotte ou entre-croisement de Meynert. Flp, faisceau longitudinal postérieur. Lu, locus niger. - NII
nterne de la formation réticulée les trabécules gris diminuent, les faisceaux longitudinaux augmentent en nombre et en volume e
en dehors de la substance grise centrale de l'aqueduc, en un petit faisceau compact, triangulaire ou piriforme, le faisceau l
queduc, en un petit faisceau compact, triangulaire ou piriforme, le faisceau lon- gitudinal postérieur (Flp). Ce faisceau, q
laire ou piriforme, le faisceau lon- gitudinal postérieur (Flp). Ce faisceau , qui se distingue par le gros calibre de ses fi
grise centrale de l'aqueduc et contient en dedans et en arrière le faisceau longitudinal postérieur, dont les fibres se délim
eau de son plus fort diamètre transversal. En arrière, il touche au faisceau longitudinal postérieur; en avant, aux fibres les
(Voy. description de cette coupe, p. 619, Coupe P2, Fig. 420.) Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FPoa, fibres protubéra
udinales clairsemées de la for- mation réticulée qui le séparent du faisceau central de la calotle (Fcc, FiG. 3%. - La forma
. des- criplion de cette coupe, p. 622, coupe Hl, Fig. 423). Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
2, coupe Hl, Fig. 423). Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Le, locus c;erulcus.
ula, a lobe central, axe de la lingula et axe du lobe central. - Fcc, faisceau cen- tral de la calotte. - flip, faisceau longi
e du lobe central. - Fcc, faisceau cen- tral de la calotte. - flip, faisceau longitudinal postérieur. - Fl'oa, FPom, Fi'op, fi
xe qui isole les fibres longitudinales de la formation réticulée du faisceau longitudinal postérieur en dedans, du pédoncule c
t rejetées, d'une part, en arrière et en dedans où elles forment le faisceau longitudinal postérieur (Flp), d'autre part, en
, d'autre part, en avant et en dehors où elles se concentrent en un faisceau compact décrit par Bechterew sous le nom de fai
centrent en un faisceau compact décrit par Bechterew sous le nom de faisceau central de la calotte (Fcc). Très bien délimité e
). Très bien délimité en arrière par le petit noyau circonflexe, le faisceau central de la calotte se continue insensiblemen
ée atteignent le raphé et se fusionnent sur un court trajet avec le faisceau longitudinal en arrière, le faisceau central de
nt sur un court trajet avec le faisceau longitudinal en arrière, le faisceau central de la calotte en dehors, le ruban de Reil
e la calotte en dehors, le ruban de Reil médian en avant; ces trois faisceaux ne se différencient dans la formation réticulée
le cérébelleux supérieur, le hile du cervelet et la face externe du faisceau central de la calotte, les fibres longitudinales
Eca, grand entre-croisement commissural antérieur du vermis. - Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
antérieur du vermis. - Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - fsme, fsme', libres
us en plus à la partie anléro-inlerne de la formation réticulée. Le faisceau central de la calotle (Fcc) se déforme tome il.
ieure. -- Le noyau central inférieur, le ruban de Reil médian et le faisceau central de la calotte. - L'olive supérieure ou
p. 639, coupe H7, Fig. 430.) Cj,' corps ju.\Ia-restiloriiie. - Fec, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitud
ps ju.\Ia-restiloriiie. - Fec, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fit, faisceau latéra
tral de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - fsmi, fibres semi-circulaires
u ruban de Reil médian. Une ligne sagittale oblique, passant par ce faisceau , divise la formation réticulée en deux segments :
t interne présente en arrière du ruban de Reil médian, en dedans du faisceau central de la calotte, un petit noyau transversal
dossé de chaque côté au raphé, ce noyau n'atteint pas en arrière le faisceau longitudinal postérieur (Flp) dont il est const
ôté un prolongement effilé entre le ruban de Reil médian (Rm) et le faisceau de la calotte (Fcc), et sur la ligne médiane un
otte, entre la grosse racine descendante spinale du trijumeau et le faisceau central de la calotte, où elles s'adossent aux de
bulbaire (Oi) s'insinue entre le ruban de Reil mé- dian (Rm) et le faisceau de la calolle (Fcc), augmente rapidement cle vo
ce que l'on considère des régions Imlbai l'es. plus inférieures. Le faisceau central de la calotte (Fcc) se perd et se ter-
supérieure. Le noyau central inférieur, le ruban de Reil médian, le faisceau central de la calotte et.le faisceau 364 ANATOM
eur, le ruban de Reil médian, le faisceau central de la calotte et.le faisceau 364 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. 1 ? rniatio
rmes dorsales ou profondes. - fat, fibres arciformes moyennes. Fcc, faisceau central de la calotte. - Floc, Ilocculus. - Flp
nes. Fcc, faisceau central de la calotte. - Floc, Ilocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fit, faisceau latéral
- Floc, Ilocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fit, faisceau latéral du 1)11]be. - FPoa, fibres transversale
ur (Nci) limite en arrière la couche inter-olivaire et la sépare du faisceau longitudinal postérieur (Flp); plus bas, le noyau
p); plus bas, le noyau disparaît et l'espace compris entre les deux faisceaux est comblé par de nombreux et denses fascicules
bres arciformes cérébello-olivaires, le corps juxta- restiforme, le faisceau solitaire, le noyau de l'hypoglosse. Coupe transv
é-trigéminales. - frl, fibres arciformes rétro-trigéminales. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - fpo, fibres pré-olivaires.
Fit, faisceau latéral du bulbe. - fpo, fibres pré-olivaires. - Fs, faisceau solitaire. - Nab, noyau ambigu. - Narc, noyau arq
- noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive inférieure ou bulbaire. - Py, faisceau pyramidal ; à gauche il s'étale à la surface de l
triangulaire, qui pro- viennent du corps restiforme, constituent le faisceau cérébelleux direct de Flechsig, et se prolongen
se prolongent dans la moelle épinière. La surface de section de ce faisceau augmente de volume à mesure que l'on se rapproche
rdon antéro-latéral de LUI moelle. - Crst, corps restiforme. - Flt, faisceau latéral du bulbe. - fil', fibres interré- üculé
, faisceau latéral du bulbe. - fil', fibres interré- üculées. - Fs, faisceau solitaire. - YB, noyau du cordon de Burdach. - VG
est bientôt séparée du reste de la substance grise centrale par le faisceau pyramidal croisé qui se rend dans le cordon lat
du nerf spinal. · CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 509 faisceau pyramidal croisé el porte le nom de troisième cor
ssus reticulares de Lenhossek (Col, coupe H21, Fig. 451, p. 687). Faisceaux compacts de la formation réticulée. Ruban de Re
torique : En 1809, Reil décrivit sous le nom de ruban (Schleife) un faisceau situé à la partie antérieure de la calotte protub
point de pénétration dans la calotte des nerfs facial et trijumeau, faisceau faisant suite d'après cet auteur aux fibres qui e
des pyramides antérieures du bulbe. Reil montra, en outre, que ce faisceau se divise au-dessus du point de pénétration des
cule. Le segment externe du ruban se diviserait à ce niveau en deux faisceaux divergents ou radiations : l'un se porterait en
erait le long du bord externe du pied du pédoncule cérébral avec le faisceau interne, profond ou vertical, adossé à la face po
lés ; quelques fibres atteindraient la couronne rayonnante. L'autre faisceau se porterait en dedans, s'étalerait en éventail
iedemann), ont désigné le segment interne profond ou vertical de ce faisceau - connu déjà de Haller (1736) - sous le nom de le
laquais (lacet) : la partie infé- rieure ou bulbaire sous le nom de faisceaux olivâtres (Olivcnlvernstrungc, Burdach). Si l'o
iption donnée par Reil, du trajet protubérantiel et pédonculaire du faisceau qui porte son nom, con- corde parfaitement avec
s noms de couche rubanée, Schleifecasc7viclaG, parlie antérieure du faisceau latéral ou intermédiaire du bulbe (Cruveilhier)
el, Flechsig, Edinger, Bechterew) ; partie sensitive des pyramides, faisceau sensitif (Sappey el Duval); médiate (obère) Sch
Schleife (Obersteiner); latéral fillet tract (Ferrier et Turner) ; faisceau acoustique (Charpy). La partie du ruban de Reil
); mediales acceMO'MC/tes l3undel der Schleifenschicht (Bechterew), faisceau interne accessoire de la couche rubanée; mediale
ppelé : pes lemniscus (Flechsig); zerslrcules accessoriches Bùndel, faisceau accessoire disséminé (Bechterew); pédoncule du lo
comme le croyaient Reil et Burdach, mais qu'elle se continue avec les faisceaux sous-olivaires, c'est-à-dire avec toutes ces fi
sous-olivaires, c'est-à-dire avec toutes ces fibres qui forment le faisceau latéral ou inter- médiaire du bulbe, et que Cru
inter- médiaire du bulbe, et que Cruveilhier englobe sous le nom de faisceau de renforcement du bulbe, ou faisceau innominé.
ilhier englobe sous le nom de faisceau de renforcement du bulbe, ou faisceau innominé. Aujourd'hui, le terme de faisceau lat
orcement du bulbe, ou faisceau innominé. Aujourd'hui, le terme de faisceau latéral du bulbe n'est guère appliqué qu'aux fibr
d'hui sous le nom de formation réticulée du bulbe. C'était un vaste faisceau qui s'adossait au niveau du raphé bulbaire à celu
geait dans le cordon postérieur de la moelle, et admettaient que le faisceau latéral ou intermédiaire du bulbe était consti-
ection de la partie inférieure du bulbe du côté opposé. De lous les faisceaux compacts de la formation réticulée, le ruban de
du bord supérieur de l'entre-croisement pini- forme (xpin). - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Nab
isement pini- forme (xpin). - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Nab, noyau ambigu ou noyau antérie
, corne antérieure. fil', fibres arc[formes interréticulées. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - NB, noyau de Burdach. - NG,
enfor- cées, elles parcourent toute la hauteur du bulbe, formant un faisceau complexe, très mal délimité, qui longe la face
il (Rm) se dégage de la formation réticulée blanche et constitue un faisceau distinct, compris entre la pyramide antérieure,
re l'étage antérieur de la protubérance du noyau réticulé (Nrt), du faisceau central de la calotte (Fcc) et d'un petit amas
, p. G31·, coupe H5, Fig. 428.) Cj, corps juta-restiforme. - 7 ? ), faisceau longitudinal postérieur. - fsme, fsmi fibres se
robablement par quelques fibres du ruban de Reil médian. Les deux faisceaux de Reil (Rm et RI) se continuent insensiblement
artant, difficiles il délimiter rigoureusement, comme du reste tout faisceau compact de la formation réticulée. Dans leur tr
ée, soit des petits amas de sub- stance grise situés au sein de ces faisceaux . Le ruban de Iteil médian con- tient, en outre,
t facilement des libres denses, serrées et fortement colorées de ce faisceau . (Coupes H2 et H3. Fig. 395 et 362). Ces fascic
eil latéral (NR1, coupe H2, Fig. 395); ils envoient, en effet, à ce faisceau un con- tingent important de fibres. Le ruban d
les anciens anatomistes sous les noms de ruban de Reil, de laqueus, faisceaux triangulaires de l'isthme. Sur les coupes horiz
, Fig. 391), le ruban de Reil latéral (RI) apparaît sous forme d'un faisceau triangulaire adossé à angle droit contre le rnban
rieur (GQp) par son extrémité antéro-inférieure et s'y épuisent. Ce faisceau représente donc une voie relativement courte reli
ble petit à petit, de telle sorte que'¡a,su'rfcIJdc.-geclioJl de ce faisceau devient très irrégulière au voisinage du,, thalam
de Reil dans les régions pédoncu- laire et sous-opti- que. Le faisceau longi- tudinal postéiieur. Son étendue. que
aire, car elles persistent intactes dans les dégénérescences de ces faisceaux ; elles représentent une forma- lion surajoutée,
ies de la voie pédonculaire (cas Richard, xLn, Fig. 231, p. 204). Faisceau longitudinal postérieur (Flp). S".\O : '\YJIlE :
e posté- rieure des cordons antérieurs de Gratiolet et de Stilling; faisceau longitudinal supérieur de Stieda; Hinteres Lang
e); fasciculus longitudinal is medialis (nomen- clator anatomicus), faisceau longitudinal dorsal (Iibllil : er). (Ne pas confo
rsal (Iibllil : er). (Ne pas confondre cette déno- mination avec le faisceau longitudinal dorsal de Scliütz, situé dans la sub
on avec les funiculi teretes et que Kôlliker désigne sous le nom de faisceau longitudinal de Schiitz.) Le faisceau longitudi
iker désigne sous le nom de faisceau longitudinal de Schiitz.) Le faisceau longitudinal postérieur (Flp) occupe la partie po
on réticulée ; il forme de chaque côté de la ligne médiane un petit faisceau de fibres fortement colorées par la laque héma-
arcation nette avec la formation réticulée. Il s'étend, en tant que faisceau plus ou moins bien délimité, de la commissure pos
e troisième ventricule (coupe n° 6 x, T. ICI', Fig. 321, p. 6H), le faisceau longitudinal postérieur apparaît comme un faisc
321, p. 6H), le faisceau longitudinal postérieur apparaît comme un faisceau mince et aplati, appliqué sur la partie supéro-
1Tm), (coupes n° 7 x et n° 9 x, Fig. 18, p. 71 et Fig. z, p. 37) le faisceau longitudinal postérieur apparaît encore sous l'
faisceau longitudinal postérieur apparaît encore sous l'aspect d'un faisceau obli- que, épais en haut et en dehors, mince en
exactement à la région des tubercules quadrijumeaux antérieurs, le faisceau longitudinal postérieur est croisé et en partie d
aire (coupe n° 12 xbis, Fig. 392, p. 554), la surface de section du faisceau longitudinal postérieur change de forme. Sa par
nit dans la région des tubercules quadrijumeaux antérieurs les deux faisceaux longitudinaux postérieurs, se porte de plus en pl
pont devient transversal et unit les extrémités antéro-inlernes des faisceaux longitudinaux postérieurs. Il conserve cette ap
06 et coupes H2, H3, H4, Fig. 424, 425 à 427, p. 626, 628, 633), le faisceau longitudinal postérieur diminue d'épaisseur. So
r. Son extrémité effilée disparaît ainsi que le pont d'union, et le faisceau se réduit, dans la région du noyau masticateur (N
en arrière parles fibres arciformes profondes (fad), et séparée du faisceau de même nom du côté opposé par les fibres sagit
om du côté opposé par les fibres sagittales du raphé. En dehors, le faisceau longitudinal postérieur se fusionne'sans limite
is constant, qui s'insinue le plus souvent dans l'épaisseur même du faisceau longitudinal postérieur et en dissocie les' fas
635 et 638), ces limites antérieures s'effacent à leur tour, et le faisceau longitu- , dinal postérieur fait corps avec le
coupes. Le genou du facial constitue alors la limite postérieure du faisceau longitudinal postérieur et le sépare de la subs
udinal postérieur et le sépare de la substance grise centrale et du faisceau longitudinal dorsal qu'elle contient. En avant, l
m) et les fibres radiculaires de la VIe paire limitent en dehors le faisceau longitu- dinal postérieur; au-dessus et au-dess
. - La calotte de la région protubérantielle moyenne : ruban de Reil, faisceau longitudinal postérieur, faisceau central de la
antielle moyenne : ruban de Reil, faisceau longitudinal postérieur, faisceau central de la calotte, noyau réticulé, noyau du
f du trijumeau. 8/1 grandeur nature. Méthode de Weigert-Pal. Fcc, faisceau central de la calotte. - fec, feutrage extracilia
otte. - fec, feutrage extraciliaire de l'olive cérébelleuse. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - NFlp, noyau du faiscea
belleuse. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - NFlp, noyau du faisceau longitudinal postérieur se fusionnant en avant
al postérieur se fusionnant en avant avec le noyau réticulé. - Fll, faisceau latéral du bulbe entrant plus haut dans la cons
gion bulbaire. sa fusion avec la iorinationrcttculéo blanche. Faisceau central de la calottc. son aspect Ses rappo
ve bulbaire (Oi) et la disparition du , noyau central inférieur, le faisceau longitudinal postérieur (Flp) cesse d'exister e
faisceau longitudinal postérieur (Flp) cesse d'exister en tant que faisceau plus ou moins nettement délimité. Il est complè
co-transver- sales-de suivre les fibres les plus postérieures de ce faisceau jusque dans la partie postérieure des cordons a
ie postérieure des cordons antérieurs do la moelle dont il procède. Faisceau central de la calotte (Fcc). Des trois faisceaux
le dont il procède. Faisceau central de la calotte (Fcc). Des trois faisceaux com- pacts de la formation réticulée, le faisce
(Fcc). Des trois faisceaux com- pacts de la formation réticulée, le faisceau central de la calotte est le moins bien délimit
capsule du noyau rouge et qu'il est situé en dehors et en avant du faisceau longitudinal postérieur (voy. cas Rauber, Ille
gitudinal postérieur (voy. cas Rauber, Ille partie, chap. IV). Le faisceau central de la calotte (Fcc) apparaît en tant que
. IV). Le faisceau central de la calotte (Fcc) apparaît en tant que faisceau distinct, dans la concavité de la commissure de
nflexe (Nef), en dedans par le noyau central supérieur (nets) et le faisceau longitudinal postérieur (Flp). Au-dessous cle l
yau du facial (Nvu) et se délimite mal en arrière et en dedans, des faisceaux longitudinaux (le la formation réticulée (SR) q
367, p. 532). CONFIGURATION INTÉRIEURE UU RHOMBENCÉPHALE. 585 Le faisceau central de la calotte (Fcc) occupe donc la partie
ieur de la moelle. - fai, fibres arciformes internes du bulbe. Ilp, faisceau longitudinal posté- rieur. - V CI3, noyau du co
V,, quatrième ventricule. - fV,, son diverticule angulaire. - IXd, faisceau solitaire ou racine descendante du nerf glossopha
tudinale des fasci- cules volumineux, lâches et enche- vêtrés, du faisceau ]JYl'all11daL (Py) surmonté du noyau arqué (Nar
gros fascicules enchevêtrés qui appartiennent à la décussation des faisceaux pyramidaux (xPy). L'étage postérieur ou calotte
ant l'entre-croisement piniforme ou sensitif du butbe. .F<</, faisceau longitudinal dorsal. - Flp, faisceau longitudin
ensitif du butbe. .F<</, faisceau longitudinal dorsal. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. ? fibres du laphé s'éten
de Goll.- Np, noyaux pontiques. - Nxn, noyau de l'hypoglosse. 7 ? faisceau pyramidal. - : rI'y, entre-croisement pyramidal
vai7-e (SR) ; en arrière, adossée à la substance grise centrale, le faisceau longitudinal postérieur (Flp); fusionnés en bas,
leurs interstices les fibres sagittales du raphé bulbaire (r). Les faisceaux obliques qui sillonnent la calotte et la substanc
VP), qui ici, sur la coupe S 1, se continuent direc- tement avec le faisceau pyramidal du bulbe et segmententles fibres transv
ruban de Rcil médian (fim) adossé au stratum profun- dum (Strp), du faisceau longitudinal postérieur (Flp) adjacent à la subst
nférieur, appartiennent [au noyau réticulé (Nrt). Dans le bulbe, le faisceau longitudinal postérieur (Flp) peut être suivi jus
à la limite inférieure de la coupe, la pyramide antérieure (Py) du faisceau pyramidal entre-croisé (xPy), facile à reconnaî
'hypoglosse (N xii), puis elle s'épaissit, contient la sec- tion du faisceau solitaire ou racine descendante du nerf glosso-ph
baire (Oi), le noyau du nerf moteur oculaire exte1'lle (NVI), et le faisceau solitaire ou racine sensitive descendante du ne
rième ventricule. - Ils, racine descendante du glosso-pharyngien ou faisceau solitaire. 59fi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
ANTÉRIEUR. - Les connexions de la voie pé- donculaire (VP) avec le faisceau pyramidal (Py) sont excessivement intimes, d'ép
S 1 (Fig. 408), et contiennent la surface de section des innombrables faisceaux protubérantiels transversaux antérieurs, postér
formation réticulée grise, et dans la région protubérantielle par le faisceau central de la calotte dont la fusion avec le ru
ventricule se trouvent les grêles fascicules faiblement colorés du faisceau longitudinal dorsal (Fld), et le noyau d'origin
'hématoxyline que l'on trouve dans cette région, appar- tiennent au faisceau solitaire ou racine sensitive descendante [du 1W'
dian. - Eca, grand entre-croisement commissural du cervelet. - Fcc, faisceau central de la calotte. - NCB, noyau du cordon de
érieure ou bulbaire. - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - Py, faisceau pyramidal. - Rna, ruban de Reil médian. - sef,
pyramide antérieure du bulbe le long de son bord externe : aussi le faisceau pYl'amidal(Py) ne forme-t-il qu'un mince faisce
xterne : aussi le faisceau pYl'amidal(Py) ne forme-t-il qu'un mince faisceau qui se continue en haut avec la voie pédoncu- l
, surtout dans le stratum profundum (Strp), et sépare nettement les faisceaux de fibres transversales. Dans le stratum superf
hématoxylinique, l'entoure; de la partie supé- rieure se détache le faisceau central de la calotte (Fcc). La calotte renferm
du vermis. - fcb, fibres arciformes cérébelto-olivaires. - : feue, faisceau central de la calotte. fc</, faisceau céré-
rébelto-olivaires. - : feue, faisceau central de la calotte. fc</, faisceau céré- belleux direct. Fl'oa, FPom, FPop, fibres
l'olive bulbaire (Oi), entourée d'une épaisse capsule de libres; le faisceau triangulaire situé en arrière et au-dessous de l'
l'olive et qui atteint la périphérie inférieure de la coupe est le faisceau cérébelleux direct (Fcd). Nous nous contentons
descendante du trijumeau, (Vsd) qui se présente sous l'aspect d'un faisceau compact de fibres, situé en avant du pédoncule
pédoncule du flocculus (PFloc). Celui-ci appa- rait sous forme d'un faisceau volumineux fortement coloré par l'hématoxyline,
mais le pes lemniscus JiI'ofond(PLp) est très développé et forme un faisceau compact qui occupe la partie externe du pied et s
coupe N° 13x (Fig. 328, p. 661, T. Ier) : elle s'effectue par deux faisceaux de volumo fort inégal. La plupart des fibres (x
e \Veiert-Pal, 3/1 grandeur nature. Aq, aqueduc de Sylvius. - flip, faisceau longitudinal postérieur. - xF, entre-croisement
é du raphé, s'entre- croise à angle droit immédiatement en avant du faisceau longitudinal postérieur (Flp) et se continue av
Fig. 431, p. 643. Méthode de Weigert-Pal, 3/1 grandeur nature. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fl'oa, fibres protubér
pédoncule cérébelleux supérieur, elle n'est représentée que par le faisceau longitudinal postérieur en arrière (Flp), le ru
e Reil médian se continue avec le ruban de Reil latéral (RI), petit faisceau à surface de section fusiforme qui contient dans
amas gris appartenant aux noyaux du ruban de Reil latéral (NR1). Le faisceau longitudinal postérieur (Flp) est piriforme et re
substance grise centrale de l'aqueduc (SgAq) envoie entre les deux faisceaux longitudinaux postérieurs dans toute la région co
cules médians sont situés sur le même plan que le bord antérieur du faisceau longitudinal postérieur. Cette coupe passe au-des
sous du noyau de la quatrième paire, aussi le bord postérieur de ce faisceau est-il lisse, non excavé; il atteint en dehors
te pédonculaire, la com- missure de Wernekink, le ruban de Reil, le faisceau central de la calotte et le noyau central supér
g. 431, p. G43. Méthode de Weigert-Pal, 3/1 grandeur nature. Fcc, faisceau central de la calotte. Flp, faisceau longitudinal
Pal, 3/1 grandeur nature. Fcc, faisceau central de la calotte. Flp, faisceau longitudinal postérieur.- FPoa, fibres protubér
nt en dehors et en arrière du quatrième ventricule en un volumineux faisceau falci- forme, subdivisé par de nombreuses clois
aire, la commissure de Wer- nekink, le noyau central supérieur, les faisceaux compacts de la formation réti- culée : faisceau
ral supérieur, les faisceaux compacts de la formation réti- culée : faisceau longitudinal postérieur, faisceau central de la c
cts de la formation réti- culée : faisceau longitudinal postérieur, faisceau central de la calotte, ruban de Reil avec les f
ig. 431, p. Gr3. Méthode de Weigerl-Pal, 3/1 grandeur nature. Face, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
, 3/1 grandeur nature. Face, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FPoa, FPop, fibres t
ntral supérieur (Ncs) ; en dehors, les fibres fortement colorées du faisceau central de la calotte (Fcc); en arrière, le long
ng de la substance grise centrale du quatrième ventricule (Sgc), le faisceau longitudinal postérieur (Flp), les cellules pig
e, le ruban de Reil zuédiazt(llm), formé de fibres fines réunies en faisceaux compacts, au milieu desquelles on aperçoit nettem
par- tiennent aux fibres externes du pied du pédoncule cérébral, au faisceau de Turck, et s'épuisent, ainsi que le montre l'
mation réticulée : noyau central supérieur et fais- ceaux compacts ( faisceau longitudinal postérieur, faisceau central de la c
upérieur et fais- ceaux compacts (faisceau longitudinal postérieur, faisceau central de la calotte, ruban de Reil avec les f
Fig. 118, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
l. 3/1 Grandeur nature. Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Le, locus c.eruleus.
atérales de la calotte et se présentent sous l'aspect d'un volumineux faisceau falciforme, subdivisé par des septa névroglique
rment le noyau central supérieur (Ncs), noyau ovalaire qui s'étend du faisceau longitudinal postérieur (Flp) au ruban de Reil
efois sous le nom de segment externe du noyau central supérieur. Le faisceau central de la calotte (Fcc) occupe la même situat
lon latéral, appartiennent au tænia pontis (Tpo) (Voy. trajet de ce faisceau , Fig. 351, p. 487). Coupe H2 (Fig. 2). Cette co
ncule cérébelleux moyen (Pcm). Ce pédoncule forme sur la coupe un faisceau épais et volumineux, sans con- nexion encore av
noyau central supc- rieur (Ncs), son segment externe (Ncs'), et le faisceau central de la calotte (Fcc). TOM ! : Il..\0 6
ée (SR) aux dépens des trabécules gris de cette dernière, sépare le faisceau central (Fce) du pédoncule cérébelleux supérieur
ntral (Fce) du pédoncule cérébelleux supérieur (Y es) en dehors, du faisceau longitudinal postérieur (Flp) et du locus cierule
rmation réticulée, ses noyaux central supérieur et circonflexe, ses faisceaux compacts : faisceau longitudinal postérieur, fais
s noyaux central supérieur et circonflexe, ses faisceaux compacts : faisceau longitudinal postérieur, faisceau cen- tral de
rconflexe, ses faisceaux compacts : faisceau longitudinal postérieur, faisceau cen- tral de la calotte, ruban de Reil avec ses
a Fig. 418 p. 615. Méthode de Weigert-Pal, 3/1 grandeur nature. ? ce, faisceau central supérieur. - Flp, faisceau longitudinal p
rt-Pal, 3/1 grandeur nature. ? ce, faisceau central supérieur. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FPoa, FPom, FPop, fi
ures de la calotte. Du raphé, il se porte en dehors, passe entre le faisceau central de la calotte (Fcc) et le ruban de Reil
ps rectangulaires et constituent les noyaux du corps trapézoïde. Le faisceau longitudinal postérieur (Flp) a perdu son aspect
son aspect piriforme et a diminué de volume; il représente un petit faisceau irrégulier qui limite le noyau central supérieu
icules aberrants de la voie pédonculaire, le corps trapézoide et le faisceau de Gowers dans son trajet autour du pédoncule cér
418, p. 613. Méthode de Weigell-Pal, 3/1 gran- deur nature. Fcc, faisceau central de la calotte.- FG, faisceau de Gowers; i
3/1 gran- deur nature. Fcc, faisceau central de la calotte.- FG, faisceau de Gowers; il suit la voie du faisceau latéral
au central de la calotte.- FG, faisceau de Gowers; il suit la voie du faisceau latéral du bulbe, puis contourne le pédoncule c
l du bulbe, puis contourne le pédoncule cérébelleux supérieur. - Flp, faisceau lon- gitudinal postérieur. - Fil, faisceau laté
elleux supérieur. - Flp, faisceau lon- gitudinal postérieur. - Fil, faisceau latéral du bulbe. - Fo, faisceau oblique de la pr
lon- gitudinal postérieur. - Fil, faisceau latéral du bulbe. - Fo, faisceau oblique de la protu- bérance. - FPoa, FPom, FPo
ule cérébelleux moyen par une cloison névroglique; elles forment le faisceau oblique de la protubérance (Fo) (voy. Fig. 349,
Nrt), noyau irrégulier, mal délimité, adossé au raphé en dedans, au faisceau longitudinal postérieur (Flp) en arrière, et qui
vec les trabécules gris du reste de la formation réticulée (SR). Le faisceau longitudinal postérieur (Flp) est toujours mal
ui dérivent en partie des fibres sagittales du raphé, sillonnent ce faisceau ainsi que le noyau réticulé. Le faisceau cent
du raphé, sillonnent ce faisceau ainsi que le noyau réticulé. Le faisceau central de la calotte (Fcc) s'est adossé au ruban
t sa continuation avec les cordons postérieurs de la moelle. - Fcc, faisceau central de la calotte. - fin, fibres arciformes i
calotte. - fin, fibres arciformes in- terréticulées du bulbe. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - NB, NCB, noyaux du c
érantielle, mais elle contient, en outre, des fibres appartenant au faisceau latéral du bulbe, en particulier au faisceau de G
fibres appartenant au faisceau latéral du bulbe, en particulier au faisceau de Gowers (FG) et quelques fibres originaires d
ncule cérébelleux supé- rieur (Pcs). Ces fibres appartiennent il un faisceau médullaire, le faisceau de Gowers (FG), qui, or
rieur (Pcs). Ces fibres appartiennent il un faisceau médullaire, le faisceau de Gowers (FG), qui, originaire surtout de la s
l de la moelle, en avant du fais- ceau cérébelleux direct, forme le faisceau latéral du bulbe et se place dans la protubéran
s) et pénètre avec lui dans le cervelet. Le trajet horizontal de ce faisceau est très facile à suivre sur cette coupe H3 (FG
e la protubérance; la calotte avec le ruban de Reil médian (Rm), le faisceau central de la calolte (Fcc), le noyau réticulé (N
le faisceau central de la calolte (Fcc), le noyau réticulé (Nrt), le faisceau longitudinal postérieur (Flp) et l'olive supéri
e ruban de Reil médian, le fais- ceau longitudinal postérieur et le faisceau central de la calotte. Les noyaux moteur et sen
Eca, grand entre-croisement cummissural antérieur du vermis. - Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudin
antérieur du vermis. - Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FPoa, FPom, FPop, fi
dehors, de chaque côté du sillon longitudinal, passer en arrière du faisceau longitudinal postérieur (Flp), longer le planch
cervelet. Le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) forme encore le faisceau compact d'aspect piriforme de la coupe précéden
édoncule céré- belleux supérieur (Pcs) ; c'est, sur cette coupe, un faisceau étroit et allongé, adossé en avant au noyau sen
eigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Cj, corps juxta-restiforme. - Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longi- t
corps juxta-restiforme. - Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longi- tudinal postérieur. - fsme, fibres semi-
ifestes. Dans la calotte, les limites du noyau réticulé (Nrt) et du faisceau longitudinal postérieur (Flp) sont très diffuse
et du faisceau longitudinal postérieur (Flp) sont très diffuses; le faisceau central de la calotte (Fcc) et l'olive supérieu
s de la Ve paire. De chaque côté de la ligne médiane, en arrière du faisceau longitu- dinal postérieur (Flp), on trouve la s
dinal postérieur (Flp), on trouve la surface de section arrondie d'un faisceau volumineux, le genou du facial (Vllg) qui se co
coupe précédente. Dans la calotte, on trouve encore, en arrière du faisceau longitudinal postérieur (Flp) la surface de sec
et plus en dehors le quatrième segment de ce nerf (VII;). Ces deux faisceaux ne sont plus en connexion directe comme sur la
upe jusqu'au ruban de Reil médian (Rm). Le noyau réticulé (Nrt), le faisceau central de la calotte (Fcc), l'olive supérieure
leux inférieur (Pci), considérablement augmenté de volume, forme un faisceau arqué, piriforme, qui embrasse la face externe et
es en travers que contient sur cette coupe la partie antérieure de ce faisceau . FiG. 429. - La région protubérantielle inférie
Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Cj, corps juxta-restiforme.- Fcc, faisceau central de la calotte.- fec, feutrage exlra-ci-
c, feutrage exlra-ci- liaire. - fc, feutrage intra-ciliaire. - Flp, faisceau longitunal postérieur. - fsme, fibres semi-circ
que la moitié interne de sa face anté- rieure, s'est ramassé en un faisceau piriforme, plus large que long, adossé au raphé
ance grise antérieure du pont (Np) ; il est limité en dehors par le faisceau central de la calotte (Fcc) et par les fascicules
é et occupe tout l'espace compris entre le ruban de Reis (Rm) et le faisceau longitudinal postérieur (Flp). Le ruban de Reil
n de Reil en fascicules isolés et curvilignes, puis converger en un faisceau compact à trajet sinueux, qui passe en avant du
rger en un faisceau compact à trajet sinueux, qui passe en avant du faisceau central de la calotte (Fcc), de l'olive supé- r
elle inférieure au voisinage du sillon bulbo-protubé- rantiel. - Le faisceau pyramidal, la calotte protubérantielle; le ruban
sceau pyramidal, la calotte protubérantielle; le ruban de Reil,; le faisceau central de la calotte; l'olive supérieure ou prot
igert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Cj, corps juxta-restiforme. - feue, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau lon- git
orps juxta-restiforme. - feue, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau lon- gitudinal postérieur. - Fit, faisceau laté
al de la calotte. - Flp, faisceau lon- gitudinal postérieur. - Fit, faisceau latéral du bulbe. fsmi, fibres semi-circulaires i
Pes, les pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur. - puy, faisceau pyramidal. - r, raphé. - Rm, ruban de Reil médi
e, mais par une lame arquée, repliée sur elle-même, située entre le faisceau central de la calotte (Fee), la grosse racine s
ent, comme le montre la coupe C 5 (Fig. 436, p. 651), en arrière du faisceau longitudinal postérieur (Flp), de chaque côté du
obliquement, à travers le ruban de Reil médian (Rm) et en dehors du faisceau pyramidal (Py). A la partie externe de la calot
grosse racine sensitive descendante du trijumeau (Vsd), on trouve un faisceau de fibres sectionnées parallèlement à leur axe
. Ici les fibres du groupe externe (fsme) forment en avant un large faisceau en con- Fie. 431. - Face latérale du rhombencép
mmissural antérieur du vermis. fec, feutrage extra- ciliaire. - Fo, faisceau oblique de la protubérance. - fsl, feutrage sous-
sement commissural antérieur. - fec, feutrage extra-ciliaire. - Io. faisceau oblique de la protubérance. - fse, feutrage sous-
ge extra-ciliaire (fec) et par le bouchon (Nem), formant ainsi deux faisceaux très nets qui con- vergent en avant pour former
longitudinal médian, et de chaque côté deux éminences répondant aux faisceaux ronds, fasciculi teretes, ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE D
ne du vermis. A droite, le pédoncule cérébelleux inférieur forme un faisceau piriforme volu- mineux, sans connexion manifest
rcule acoustique (Tub.ac) et le pédoncule du flocculus (PFloc), petit faisceau - 6'i(i ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. compact
l'étage anté- rieur représenté par la voie pédonculaire réduite au faisceau pyramidal ; 3° par l'incorporation, dans la cal
ES NERVEUX. forme et les fibres arciformes cérébello-olivaires. Les faisceaux compacts de la for- mation réticulée, le noyau
orsales du bulbe. - fana, fibres arciformes moyennes du bulbe. Fcc, faisceau central de la calotte. - Floc, flocculus. - PFloc
calotte. - Floc, flocculus. - PFloc, pédoncule du flocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Flt, faisceau latéral
ncule du flocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Flt, faisceau latéral du bulbe. - FPoa, fibres trans- versale
ie en particulier, à droite, le long du raphé jusqu'au voisinage du faisceau longitudinal postérieur (Flp). Les noyaux arqué
versales de la protubérance, contiennent, outre les noyaux arqués, le faisceau pyramidal (Py), c'est-à-dire le segment inférie
dire le segment inférieur ou bulbaire de la voie pédoncu- laire. Ce faisceau n'est plus arrondi comme sur les coupes de la rég
rotubérantielle par les fibres du stratum profundum. A gauche, le faisceau pyramidal (Py) est en contact avec le ruban de Re
ramidal (Py) est en contact avec le ruban de Reil médian (Rm) et le faisceau central de la calotte (Fcc). A droite, l'olive bu
tte (Fcc). A droite, l'olive bulbaire (Oi) s'insinue entre ces deux faisceaux sous forme d'une lame circulaire festonnée et d
rectangulaire, gagnant en lon- gueur ce qu'il perd en largeur. Le faisceau central de la calotte (Fcc) occupe la partie exte
culièrement épaisse aux deux extrémités de ce corps. En arrière, le faisceau central de la calotte (Fcc) se confond sans dél
avant par le ruban de Reil médian (Rm), l'olive bulbaire (Oi) et le faisceau central de la calotte (Fcc). En arrière, il est s
le faisceau central de la calotte (Fcc). En arrière, il est séparé du faisceau lon- gitudinal postérieur (Flp) par une couche
rement denses et nom- breuses, et constituent dans leur ensemble le faisceau latéral du bulbe (Flt), fais- ceau complexe et
ehors du ruban de Reil médian (Voy. coups H7, Fig. 430, p. 640). Le faisceau latéral du bulbe (Fit) est formé en grande part
e faisceau latéral du bulbe (Fit) est formé en grande partie par un faisceau médullaire, le faisceau de G'oM6 ? 's; dans la
lbe (Fit) est formé en grande partie par un faisceau médullaire, le faisceau de G'oM6 ? 's; dans la région protubérantielle,
du ruban de Reil médian. Dans la partie fermée du bulbe, reçoit le faisceau cérébelleux direct, faisceau d'origine médullaire
s la partie fermée du bulbe, reçoit le faisceau cérébelleux direct, faisceau d'origine médullaire, con- stitué par les cylin
présente une surface de section irrégulièrement ovalaire; c'est un faisceau volumineux, essentielle- ment constitué par des
comme le montre cette coupe, de la partie antérieure de ce volumineux faisceau . Elles passent en avant de la grosse racine sen
sse racine sensitive descendante du IJ'1j'umeau(Vsd), traversent le faisceau latéral du bulbe *FIL) et le faisceau central de
'1j'umeau(Vsd), traversent le faisceau latéral du bulbe *FIL) et le faisceau central de la calotte (Fcc), passent entre l'ol
tral de la calotte (Fcc), passent entre l'olive bulbaire (Oi) et le faisceau pyramidal, mais sur cette coupe n'atteignent pa
inférieur (Nci) et ne peuvent sur cette coupe être suivies au delà du faisceau central de la calotte (Fcc) ; elles se perdent
(fad) occupent la partie postérieure de la calotte, tra- versent le faisceau longitudinal postérieur (Flp) et les fibres de la
ibres de la formation réticulée situées en avant et en dehors de ce faisceau , et les séparent de la sub- stance grise centra
s ; on voit ses fibres traverser le ruban de Reil médian (Rm) et le faisceau central de la calotte (Fcc), longer le sillon úul
rième ventricule, il existe dans la moitié droite de cette coupe un faisceau volumineux de fibres sectionnées parallèlement
t à leur axe et fortement colorées par la laque hématoxylinique. Ce faisceau qui, à première vue, semble n'être que la prolon-
centrent qu'au voisinage de la périphérie du bulbe, où ils forment le faisceau latéral du bulbe (Fit). La formation réticulée
u raphé (Nr), mince et étroite lame grise qui atteint en arrière le faisceau longitudinal postérieur (Flp) et qui se fusionne
e l'autre, et encore moins à circonscrire dans leur épais- seur des faisceaux déterminés. La myélogénèse et surtout l'étude des
t, à sa partie postérieure, les fibres descendantes et ascendantes du faisceau longitudinal postérieur (Flp) qui se prolongent
- fas, fibres arciformes superficielles antérieures du bulbe. - Fcc, faisceau central de la calotte. - fcv, fibres cérébello-
- fil, fibres arciformes rétrotrigéminales. - Floc, flocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fil, faisceau latéra
- Floc, flocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fil, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Mo,
au longitudinal postérieur. - Fil, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Mo, membrane obturatrice rétrobulb
e. - IX, nerf glosso-pharyngien. motion réticulée grise (SRg) et le faisceau latéral du bulbe (Fit). Elles se réunissent ens
tres passent entre l'olive (Oi) et la pyramide (Py) ou à travers le faisceau pyramidal (Py), puis abordent de même le noyau
itable capsule, renforcée à sa partie postérieure et externe par le faisceau central de la calotte (Fce) qui fait corps avec e
faisceau central de la calotte (Fce) qui fait corps avec elle.' Le faisceau pyramidal (Py) s'est étalé au-devant de l'olive d
formation réticulée blanche (SRa(cio). La partie antéro-interne du faisceau pyramidal (Py) est recouverte par le noyau arqu
sectionnées perpendiculairement ou obliquement à leur direction, le faisceau pyramidal est sillonné par des fibres horizonta
age du sillon longitudinal médian, on les voit passer en avant d'un faisceau arrondi, qui représente la surface de section d
par un petit noyau arrondi pauvre en fibres à myéline, le noyau des faisceaux arrondis, noyau des funiculi teretes (Nft) qui
a-restiforme (Cj) au voisinage du corps restiforme (Crst); d'autres faisceaux du coîI)sjuxta-2,estifoî, ? te (Cj) ont donné nai
cendante de Roller, affecte un trajet descendant et se réunit en un faisceau compact, le faisceau solitaire (Fs), ou racine
ffecte un trajet descendant et se réunit en un faisceau compact, le faisceau solitaire (Fs), ou racine descendante du glosso-p
aisceau solitaire (Fs), ou racine descendante du glosso-pharyngien, faisceau très visible sur les coupes suivantes (Coupes H 1
ature. Cj, corps juxta-restiforme. - Crst, corps restiforme. - Fcc, faisceau central de la calotte. fez, fibres arciformes c
rétrigémmales. - frt, fibres arciformes rétrotrigé- minales. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - fsr
formes rétrotrigé- minales. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - fsr, fibres sagittales du raphé. -
épais et plus dense que sur la coupe précédente, et sa fusion avec le faisceau central de la calotte (Fcc) est complète. Le
ulière ou semi- lunaire et elles ne sont pas encore groupées en ce' faisceau compact si carac- téristique, connu sous le nom
en ce' faisceau compact si carac- téristique, connu sous le nom de faisceau solitaire (Fs) (voy. Coupe ni 1) Le quatrième v
rétrotri- séminales. - fpo, fibres arciformes préolivaires. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - 1
es arciformes préolivaires. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - 1\'a6, noyau ambigu. Narc, noyau arq
juxta-res- tiforme (Cj), d'autres passent en avant ou en arrière du faisceau solitaire (Fs), représenté sur cette coupe par
rière du faisceau solitaire (Fs), représenté sur cette coupe par un faisceau compact de fibres entourées d'une zone de subst
t en arrière vers le plancher du quatrième ventricule, en dedans du faisceau solitaire (Fs). Elles se coudent à ce niveau et
e du noyau du nerf vestibulaire (Nviiiv) en arrière et en dedans du faisceau solitaire (Fs). La partie interne du plancher d
olive. Sur la coupe H 11, comme sur les deux coupes précédentes, le faisceau pyra- rnidal (P3,), mal délimité du ruban de Re
sse racine des- cendante sensitive du trijumeau, puis atteignent le faisceau latéral du bulbe dans lequel elles s'incorporen
éral du bulbe dans lequel elles s'incorporent. Elles constituent le faisceau cérébelleux direct de Flechsig (écu), faisceau
Elles constituent le faisceau cérébelleux direct de Flechsig (écu), faisceau ascendant qui, né des cellules de la colonne de C
t, corps restiforme. - Cp, cordons postérieurs de la moelle. - Fcd, faisceau cérébelleux direct de Flechsig. - fcb, fibres arc
feo, feutrage extra-olivaire. - fio, feutrage intra-olivaire. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - N
o, feutrage intra-olivaire. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Narc, noyau arqué. NCrst, noyaux du
a c nstitution, ni des fibres arciformes cérébello- olivaire, ni du faisceau cérébelleux direct, elles s'épuisent dans les noy
t et deux petits amas allongés et indépendants, situés en dedans du faisceau latéral du bulbe (Fit), et entourée par des fibre
u dorsal du vague ou pneumogastrique (Nxp) sous lequel on trouve le faisceau solitaire (Fs); enfin l'extrémité inférieure de
c les fibres arciformes superficielles péri pyramidales (fas) et le faisceau latéral du bulbe (Fit); les autres se joignent au
interréticulées formant l'en- tre-croisement piniforme du bulbe. ? faisceau latéral du bulbe. -Ts, faisceau solitaire. Nab,
tre-croisement piniforme du bulbe. ? faisceau latéral du bulbe. -Ts, faisceau solitaire. Nab, noyau ambigu. - Narc, noyau arq
e, on trouve le noyau dOl'sallou postérieur du vague (Nxp), puis le faisceau solitaire (Fs) , formé non plus par un gros fas
upe H 13 (Fig. 443), et la suivante, coupe H 15 (Fig. 4 hui) par un faisceau horizontal qui occupe la périphérie du bulbe, e
ns postérieurs (Cp), la racine descendante du trijumeau (Vsd) et le faisceau latéral du bulbe (Fit), et s'effile en avant po
postérieurs et concourant il l'en- (re-croisement piniforme. - Fil, faisceau latéral du bulbe. Fs. faisceau solitaire. Narc,
en- (re-croisement piniforme. - Fil, faisceau latéral du bulbe. Fs. faisceau solitaire. Narc, noyau arqué. - 'Cp..\'cp, noya
-croisemenl piniforme. 678 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. prend le faisceau de Gowers et le faisceau cérébelleux direct de Fl
678 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. prend le faisceau de Gowers et le faisceau cérébelleux direct de Flechsig, mais n'est véri
La pyramide antérieu2,e (Py) s'est ramassée enun épais et volumineux faisceau , presque arrondi, que des septa névrogliques cl
érébello-olivaires. - fil', fibres arciformes intcrréticulées. - Fit, faisceau latéral du bulbe - Fs, faisceau solitaire. - Va
arciformes intcrréticulées. - Fit, faisceau latéral du bulbe - Fs, faisceau solitaire. - Varc, noyau arqué. - sCp, noyaux des
ontrent que la sépara- tion de ces deux noyaux est effectuée par un faisceau de cellules épendymaires. Cette coupe montre tr
corps restiforme. - fil', fibres arciformes interréticulées. - Fs, faisceau solitaire. - Narc, noyau arqué. NI3, noyau du c
1 niers vestiges du corps restiforme (Crst), réduit à un volumineux faisceau lioi i- zontal, étendu des cordons postérieurs
clc (NB). La pyramide anlérieure (Py) du bulbe s'est ramassée en un faisceau arrondi, volumineux, saillant en avant, et sépa
écédente (H 16 Fig. 446), les champs poly- gonaux des fascicules du faisceau pyramidal sectionnés encore perpendiculai- reme
réticulées blanche et grise et peuvent être suivies jusqu'à l'épais faisceau de fibres qui longe la base des noyaux des cord
rouve ainsi plus riche en substance grise et relativement pauvre en faisceaux longitudinaux. Ces derniers se groupent surtout
cielles, dernier vestige du corpi restiforme (Crst), il comprend le faisceau de Gowers et le faisceau cérébelleux direct de Fl
du corpi restiforme (Crst), il comprend le faisceau de Gowers et le faisceau cérébelleux direct de Flechsig, forme le faisceau
eau de Gowers et le faisceau cérébelleux direct de Flechsig, forme le faisceau latéral du bulbe (Fit) et se continue avec le c
ordon anlero-latéral de la moelle. - Crst, corps restiforme. - Fil, faisceau latéral du bulbe. - fil', fibres arciformes inter
cine sensitive descendante du trijumeau (Vsd) est encadrée par deux faisceaux intensivement colorés par la laque héma- toxyli
faisceaux intensivement colorés par la laque héma- toxylinique : le faisceau latéral du bulbe en avant, le cordon postérieur d
ostérieur de la moelle en arrière. Ce dernier forme sur la coupe un faisceau très compact qui coiffe complètement le noyau d
es fibres qui se portent en avant, et forment à la base du noyau un faisceau volumineux et horizontal en connexion avec les
lées et entre-croisement piniforme ou sensitif du bulbe (xpin). - FU, faisceau latéral du bulbe. - NB, noyau du cordon de I !
roisement pyramidal ou entre- croisement Ho/e(xPy). Les fibres du faisceau pyramidal (Py) s'infléchissent en arrière et en d
n sur les coupes H 19 et H20. Ces deux coupes n'intéressent que les faisceaux pyramidaux au moment de leur entre-croisement;
sur les coupes suivantes (H21 et-H22) parmi les fibres croisées du faisceau pyramidal. Dans la substance grise centrale qui
PHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. ss Elles intéressent non seulement, les faisceaux pyramidaux (Py) au niveau de leur entre-croisem
comme la coupe H20 (Fig. 450), mais encore la partie croisée de ces faisceaux (FPyc); on les voit se porter en dehors et en arr
elles étaient. Ainsi s'explique l'aspect si spécial que présente le faisceau pyramidal après son entre- croisement ; il est
infléchissent que plus bas. L'entre-croisement et la translation du faisceau pyramidal croisé (FPyc) dans le cordon latéral
tance grise centrale. De là la multiplicité d'aspects, que revêt le faisceau pyramidal croisé suivant les régions, et dont que
écapitation des deux cornes antérieures (Coa) et intéresse les deux faisceaux pyramidaux croisés (FPyc). A gauche, la déca- p
la déca- pitation de la corne antérieure est complète. A droite, le faisceau pyramidal (FPyc) n'a pas encore atteint complèt
décapitée.- Col, corne latérale. - Col, corne postérieure. - FPyc, faisceau pyramidal croire. NB, noyau du cordon de Burdac
s travées de substance grise qui cloisonnent les gros fascicules du faisceau pyramidal croisé (FPyc). Celui-ci occupe une pr
ance grise centrale par un col mince, étroit et effilé. Les fibres du faisceau pyramidal croisé (FPyc) se sont toutes coudées,
ral (CI). Il ne faut pas, en effet, considérer comme appartenant au faisceau pyramidal croisé les fibres horizontales qui tr
Coa, corne antérieure décapitée. Cop, corne postérieure. Fl' ! fc, faisceau pyramidal croisé. NG, noyau du cordon de Goll. l'
TOPOGRAPHIQUE DU ItH0113ElVGI : PIi.lLl;. 689 intéresse encore le faisceau pyramidal à son entre-croisement. Celui-ci décapi
ré, caractéristique de la région où s'effectue la décussation de ce faisceau . La substance grise centrale de la moitié posté
lati, complète- ment indépendant du reste de la substance grise. Le faisceau pyramidal croisé en occupant le cordon latéral
eCoy, col de la corne postérieure. Cp, cor- don postérieur. f ? c, faisceau pyramidal croisé. SgR, substance gélatineuse de l
econdaires permet d'y reconnaître une texture fort complexe, et des faisceaux plus ou moins compacts et d'origines très diver
uche granuleuse, se réunissent dans l'axe de la lamelle en un mince faisceau de fibres parallèles qui se porte radiairement
e dans la branche horizontale de l'arbre de vie où elles forment un faisceau à direction sagittale, connu sous le nom de couch
a997), puis se placent en arrière du bouchon; elles forment ici un faisceau volumineux, irrégulièrement arrondi (l'Py, Fig. 4
s dentelé. Les fibres dendritiques du flocculus se réunissent en un faisceau de fibres parallèles, fortement colorées par la
nt de direction. (PFloc, Fig. 437 et h<i8, p. 6G3 et 6 : )ï), Ce faisceau , connu sous le nom de pédoncule du flocculus, f
erne, séparées par une zone intermédiaire (innerc et aussere Leur-» faisceaux '\ dIII'éIC.1C.l ? 3. 1° La couche sa- ttit
e direction donnée, en nombre assez considérable pour se grouper en faisceaux ou fascicules comparables aux longs faisceaux d
le pour se grouper en faisceaux ou fascicules comparables aux longs faisceaux d'association des hémisphères cérébraux. S'il n'e
'existe pas dans la substance blanche centrale du cervelet de longs faisceaux d'association comparables à ceux des hémisphère
unes avec les autres. Des libres - non groupés en fascicules ou en faisceaux - relient les faces supérieure et inférieure, l
de Deiters, fibres reliant le noyau du. toit ci l'olive supérieure faisceau sensoriel cérébelleux direct (direckte sensorisch
un de l'aulre, l'entre-croisement commissural est formé en effet de faisceaux presque pa- rallèles, tandis que les fascicules
sural (Eca). Les fibres semi-circulaires externes re- présentent un faisceau différencié analogue au faisceau compact de la
ulaires externes re- présentent un faisceau différencié analogue au faisceau compact de la couronne rayonnante du centre ova
ibre semi-circulaires ex ternes sur les coupes sagittales. Le faisceau falci- forme et ses con- nexions avec le pé-
se présentent dans leur ensemble sous l'aspect caractéristique d'un faisceau falciforme (Fig. 464), mince et effilé en arriè
be à concavité inférieure au-dessus du corps dentelé (Oc) ; mais le faisceau s'amincit et s'effile en avant où il se continu
entelé (Oc) et de la toison (fec) qui l'enveloppe, sous l'aspect de faisceaux presque parallèles qui décrivent des courbes ré
en se portent obliquement en avant et en dehors. Ces deux ordres de faisceaux se trouvent donc sectionnés sous des obliquités
de s'entre-croiser dans le vermis, on comprend aisément que l'épais faisceau de fibres compris sur les coupes horizontales H
enne en réalité aux fibres semi-circulaires externes, tout comme le faisceau qui contourne le corps den- telé en dehors. Les
me le faisceau qui contourne le corps den- telé en dehors. Les deux faisceaux se détachent en effet du pédoncule cérébel- leu
e transition (coupe S5, Fig. rut3, p. 606) sous l'aspect d'un petit faisceau curviligne, situé au- dessus du bouchon (Nem'),
3 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Atlas
u bulbe rachidien. C'est d'elle que dérive l'anatomie descriptive des faisceaux bulbaires. On ne sait rien du trajet et des rappo
On ne sait rien du trajet et des rapports des colonnes grises ou des faisceaux blancs bulbo-protubérantiels, que par la com-para
araison des surfaces de section successives de ces colonnes et de ces faisceaux . Si l'anatomie de l'hémisphère est, à tous les
s qu'un intervalle linéaire. Or la détermination exacte du trajet des faisceaux dans le lobe occipital n'est possible qu'à la con
'est-à-dire la masse de fibres de la capsule interne correspondant au faisceau pyramidal, au niveau de la pénétration de ce fais
orrespondant au faisceau pyramidal, au niveau de la pénétration de ce faisceau dans le centre ovale. Lorsqu'un hémisphère a pr
un grand nombre de cerveaux, on arrive à préciser l'incli-naison des faisceaux stratifiés de la substance médullaire et le traje
ance médullaire et le trajet des fibres qui la composent. Lorsqu'un faisceau est sectionné perpendiculairement à la direction
'autre. Ces con-clusions sont faciles à tirer de l'examen de certains faisceaux nerveux, dont on sait à l'avance la direction : t
eaux nerveux, dont on sait à l'avance la direction : tel est le petit faisceau nerveux qui constitue la bandelette optique ou le
couleur indique avec une précision suffisante l'angle sous lequel un faisceau a été divisé, elle ne fournit aucun renseignement
r la direction anatomique de ses fibres. Supposons, par exemple, un faisceau A, dont les fibres sont inclinées à 45 degrés sur
s sur le plan de section x, y. La teinte de la surface de coupe de ce faisceau correspond à l'inclinaison des fibres, mais elle
s, ou en avant et en haut. Il est facile en effet d'imaginer un autre faisceau (B), dont les fibres ont une direction inverse de
faisceau (B), dont les fibres ont une direction inverse de celles du faisceau A, bien qu'elles soient inclinées, elles aussi, à
érieure à la place de la région postérieure, la surface de section du faisceau sera plus foncée que dans la situation précédente
axe, on verra s'effectuer insensiblement le changement de couleur du faisceau . Inversement, on peut dire que les fibres dirig
c un peu d'habitude on parvient à établir sans peine le parcours d'un faisceau courbe. Par exemple, si un faisceau F, incliné d'
ablir sans peine le parcours d'un faisceau courbe. Par exemple, si un faisceau F, incliné d'abord à angle très obtus sur le plan
s croyons avoir pu fixer avec quelque précision le trajet de certains faisceaux dans la profondeur de l'hémisphère. Les explicati
principaux que nous nous hâterons de signaler. Il s'en faut que les faisceaux nerveux, dans l'hémisphère ou dans n'importe quel
et séparables des parties adjacentes. Surtout dans l'hémisphère, les faisceaux s'entre-croisent. Tel faisceau qui, sur une certa
entes. Surtout dans l'hémisphère, les faisceaux s'entre-croisent. Tel faisceau qui, sur une certaine étendue de son trajet, est
ndue de son trajet, est homogène, rencontre, chemin faisant, un autre faisceau dont les fibres s'enchevêtrent avec les siennes.
es fibres s'enchevêtrent avec les siennes. Dès lors, ce n'est plus un faisceau compact : c'est un faisceau diffus. Pour attribue
c les siennes. Dès lors, ce n'est plus un faisceau compact : c'est un faisceau diffus. Pour attribuer à chacun des deux faisceau
compact : c'est un faisceau diffus. Pour attribuer à chacun des deux faisceaux ainsi confondus la part exacte qui lui revient da
as question ici, et nous conserverons simplement l'usage des termes faisceaux compacts et faisceaux diffus pour désigner, suiva
us conserverons simplement l'usage des termes faisceaux compacts et faisceaux diffus pour désigner, suivant les cas, les deux p
n acquiert des notions très exactes sur la marche et les rapports des faisceaux . A la rigueur, on arrive même à compléter ces not
récis les renseignements qu'elles nous fournissent, sur le trajet des faisceaux blancs ou des colonnes grises. L'avantage bbiss
e, à la planche XXX. Par là seulement on se rend compte du trajet des faisceaux dans la substance blanche et de leurs terminaison
boliques qui sont comme les noms abrégés des organes, plis corticaux, faisceaux d'association, noyaux ou commissures. 11 nous sem
t la disposition des plis corticaux, sont forcément arbitraires ; les faisceaux qu'elles sont censées traverser suivant leur long
inquième circonvolution temporale, 26, 50. TEG. Tegmentum, calotte, faisceau de la calotte, étage supérieur du pédoncule, 16
onvolution frontale. FAI. Fibres arquées profondes du bulbe. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte. G. Gland
é frontale. F1. Première circonvolution frontale. FI. Fimbria. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. G. Glande pinéale, épiphy
F1. Première circonvolution frontale. Fd. Fascia dentata, 58. FG. Faisceau géniculô, 61. FI. Fimbria, 59. FM. Faisceau d
ia dentata, 58. FG. Faisceau géniculô, 61. FI. Fimbria, 59. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert, 61. FP. Faisceau pyramidal, 61.
culô, 61. FI. Fimbria, 59. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert, 61. FP. Faisceau pyramidal, 61. G. Glande pinéale, épiphyse, conar
77. Cin. Cingulum. CL. Claustrum (avant-mur). CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 71, 77. DE. Pilier des
volution frontale, 68, 72, 81. Fd. Fascia dentata, 79,80, 81. FG. Faisceau géniculé. FI. Fimbria, 67, 82. FLI. Faisceau
ta, 79,80, 81. FG. Faisceau géniculé. FI. Fimbria, 67, 82. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 78, 80, 82. FOV. Faisce
a, 67, 82. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 78, 80, 82. FOV. Faisceau occipital vertical, 78, 82. FPV. Faisceau parié
rieur, 78, 80, 82. FOV. Faisceau occipital vertical, 78, 82. FPV. Faisceau pariétal vertical, 71, 78, 82. FRF. Faisceau ré
rtical, 78, 82. FPV. Faisceau pariétal vertical, 71, 78, 82. FRF. Faisceau rétrograde, fasciculus relroflevus. FS. Faiscea
71, 78, 82. FRF. Faisceau rétrograde, fasciculus relroflevus. FS. Faisceau sensitif, 71, 80, 82. FSe. Faisceau sensitif ex
, fasciculus relroflevus. FS. Faisceau sensitif, 71, 80, 82. FSe. Faisceau sensitif externe, 77. FSi. Faisceau sensitif in
au sensitif, 71, 80, 82. FSe. Faisceau sensitif externe, 77. FSi. Faisceau sensitif interne, 77. FU. Fasciculus uncinatus,
77. FSi. Faisceau sensitif interne, 77. FU. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet, 82. FVA. Faisceau de Yicq d'Azyr.
erne, 77. FU. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet, 82. FVA. Faisceau de Yicq d'Azyr. GLM. Globus niedialis, 75. GL
L . IO Héliog. Lemercier G. Masson Edit EP. Épendyme, 91. FCF. Faisceau compact du fornix, 89, 91, 93, 95, 97, 98. FLI.
91. FCF. Faisceau compact du fornix, 89, 91, 93, 95, 97, 98. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 91, 92, 97, 98. FOi. Fi
ceps major, 91, 93, 95, 97, 98. FOm. Fibres moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 97, 98. FOs. Fibres sup
du forceps major, 97, 98. FOs. Fibres supérieures du forceps. FOV. Faisceau occipital vertical, 96, 97, 99. FPF. Faisceau par
ieures du forceps. FOV. Faisceau occipital vertical, 96, 97, 99. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 89, 92, 93, 95, 97, 98. FS. Fais
6, 97, 99. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 89, 92, 93, 95, 97, 98. FS. Faisceau sensitif, faisceau optique, lame des radiations o
sceau pariéto-frontal, 89, 92, 93, 95, 97, 98. FS. Faisceau sensitif, faisceau optique, lame des radiations optiques, 88, 91,
um, 106, 108. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du lobe carré. FCF. Faisceau compact du fornix, 101, 104, 108. FDF. Faisceau d
p du lobe carré. FCF. Faisceau compact du fornix, 101, 104, 108. FDF. Faisceau diffus du fornix. FLI. Faisceau longitudinal in
pact du fornix, 101, 104, 108. FDF. Faisceau diffus du fornix. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 101, 102, 104, 108. FLi
104, 108. FLi, FL2, FLô. Première, deuxième et troisième couches du faisceau longitudinal inférieur, 102. FOi. Fibres inféri
s du forceps major, 101,102, 105. FOm. Fibres moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major. FOs. Fibres supérieur
du forceps major. FOs. Fibres supérieures du forceps, 108. FOY. Faisceau occipital vertical, 102, 106. FPF. Faisceau par
du forceps, 108. FOY. Faisceau occipital vertical, 102, 106. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 101, 102, 106, 108. FS. Faisce
102, 106. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 101, 102, 106, 108. FS. Faisceau sensitif, 101, 102, 104, 107. K. Scissure calca
, 125, 126, 129. F. Circonvolution frontale ascendante, 109. FCF. Faisceau compact du fornix, 112, 116, 120, 125, 125, 129.
5, 129. Fci. Fasciola cinerea, bandelette cendrée, 127, 150. FDF. Faisceau diffus du fornix, 112, 116, 119, 122, 125, 128.
FDF. Faisceau diffus du fornix, 112, 116, 119, 122, 125, 128. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 112, 116, 119, 122, 125,
125, 128. FLi. FLr2, FLs. Première, deuxième, troisième couches du faisceau longitudinal inférieur, 112, 116, 122, 125, 128
115, 117, 120, 125, 126, 129. FOm. Fibres moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 115, 117, 120, 125, 125,
res supérieures du forceps, 114, 118, 121, 125, 125, 126, 150. FOV. Faisceau occipital vertical, 114. FPF. Faisceau pariéto-fr
21, 125, 125, 126, 150. FOV. Faisceau occipital vertical, 114. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 114, 118,121, 150. FS. Faisceau
vertical, 114. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 114, 118,121, 150. FS. Faisceau sensitif, 111, 115, 119, 122, 124, 128. ipc. Inci
gulum, 157, 158. F. Circonvolution frontale ascendante, 151. FCF. Faisceau compact du fornix, 156, 157, 158. Fci. Fasciola
t du fornix, 156, 157, 158. Fci. Fasciola cinerea, 152, 154. FDF. Faisceau diffus du fornix, 156, 137. FL1. Faisceau longi
itudinal inférieur, 156. FLs, Fis. Deuxième et troisième couches du faisceau longitudinal inférieur, 156. FOi. Fibres inféri
du forceps major, 154, 157, 159. FOm. Fibres moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 157, 159. FOs. Fibres s
57, 159. FOs. Fibres supérieures du forceps, 155, 155, 157, 140. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 140. FS. Faisceau sensitif, 155.
forceps, 155, 155, 157, 140. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 140. FS. Faisceau sensitif, 155. FSe. Faisceau sensitif externe, 15
FPF. Faisceau pariéto-frontal, 140. FS. Faisceau sensitif, 155. FSe. Faisceau sensitif externe, 156. FSi. Faisceau sensitif int
FS. Faisceau sensitif, 155. FSe. Faisceau sensitif externe, 156. FSi. Faisceau sensitif interne, 155. L. Scissure limbique, 151.
llie des libres moyennes du corps calleux dans le ventricule latéral ( faisceau moyen du for-ceps), 1-42. C. Circonvolution lim
alleux, 142, 145, 140. Cin. Cingulum, 145, 147. CO. Centre ovale, faisceau ou libres du centre ovale, 148. Dsu. Diverticul
ution frontale ascendante. F1. Première circonvolution frontale. FCF. Faisceau compact du fornix, 147. Fci. Fasciola cinerea, 14
144. Fd. Fascia dentata (Tarin), corps godronné, corps bordant. FDF. Faisceau diffus du fornix, 140. FLI. Faisceau longitudinal
ps godronné, corps bordant. FDF. Faisceau diffus du fornix, 140. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 145, 146. FIA FLo. Deuxiè
udinal inférieur, 145, 146. FIA FLo. Deuxième et troisième couches du faisceau longitudinal inférieur, 146. FOi. Fibres inféri
es fibres moyennes du splenium. FOm. Fibres moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 148. FOs. Fibres supéri
ceps major, 148. FOs. Fibres supérieures du forceps, 142, 148. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 148. FS. Faisceau sensitif, fa
eures du forceps, 142, 148. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 148. FS. Faisceau sensitif, faisceau optique, lame des radiations o
42, 148. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 148. FS. Faisceau sensitif, faisceau optique, lame des radiations opti-ques, 146. FSe.
sensitif, faisceau optique, lame des radiations opti-ques, 146. FSe. Faisceau sensitif externe, 146. FSi. Faisceau sensitif int
radiations opti-ques, 146. FSe. Faisceau sensitif externe, 146. FSi. Faisceau sensitif interne, 146. (Iip. Circonvolution de l'
ique. ce. Corps calleux, 155. Cin. Cingulum, 157. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 159. Dsu. Sillon lat
ral du subiculum, 158. F1. Première circonvolution frontale. FCF. Faisceau compact du fornix, 156. Fci. Fasciola cirierea,
ciola cirierea, 150, 152, 158. Fd. Fascia dentata, 151, 152. FDF. Faisceau diffus du fornix, 156. FI. Fimbria, 158. FLÏ.
52. FDF. Faisceau diffus du fornix, 156. FI. Fimbria, 158. FLÏ. Faisceau longitudinal inférieur, 154. FLr , FLi, FLo. Tr
154. FLr , FLi, FLo. Troisième, quatrième et cinquième couches du faisceau longitudinal inférieur, 155. FOi. Fibres inférieu
l inférieur, 155. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 158. FOm. Faisceau moyen du forceps major, 158. FOs. Fibres supérieu
du forceps major, 158. FOs. Fibres supérieures du forceps, 158. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 159. FS. Faisceau sensitif, fa
upérieures du forceps, 158. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 159. FS. Faisceau sensitif, faisceau des radiations optiques, 154.
ps, 158. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 159. FS. Faisceau sensitif, faisceau des radiations optiques, 154. FSe. Faisceau sen
FS. Faisceau sensitif, faisceau des radiations optiques, 154. FSe. Faisceau sensitif externe, 154, 155, 156. FSi. Faisceau
ptiques, 154. FSe. Faisceau sensitif externe, 154, 155, 156. FSi. Faisceau sensitif interne, 154, 155, 156. Ilip. Circonvo
. ce. Corps calleux, 1G6. Cin. Cingulum, 109. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 170. Dsu. Sillon lat
ascia dentata, sur un plan antérieur à celui de la coupe. 162. FDF. Faisceau diffus du fornix, 168. Fi. Fimbria, 165, 164, 169
r. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 165, 169. FOm. Fibres du faisceau moyen du forceps major, 170. FSc. Faisceau sensit
, 165, 169. FOm. Fibres du faisceau moyen du forceps major, 170. FSc. Faisceau sensitif externe, 167, 168. FSi. Faisceau sensiti
du forceps major, 170. FSc. Faisceau sensitif externe, 167, 168. FSi. Faisceau sensitif interne, 167, 168. C. Glande pinéale, 16
Corps calleux, 170, 180. Cin. Cingulum, 175, 184. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 184. F1. Première circ
bres du centre ovale, 184. F1. Première circonvolution frontale. FCF. Faisceau compact du fornix, 18?. Fd. Fascia dentata, 174.
F'd'. Circonvolution godronnée antérieure au plan de la coupe. FDF. Faisceau diffus du fornix, 185. FI. Fimbria, 171, 176, 1
ceau diffus du fornix, 185. FI. Fimbria, 171, 176, 179, 184. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 182. FLô, FL.4, FLs. Tr
érieures du forceps major, 184. FOm. Fibres moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 184. FOs. Fibres supéri
ps major, 184. FOs. Fibres supérieures du forceps, 182, 185. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 184. FSe. Faisceau sensitif ex
es du forceps, 182, 185. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 184. FSe. Faisceau sensitif externe, 171, 181, 185. FSi. Faisceau
frontal, 184. FSe. Faisceau sensitif externe, 171, 181, 185. FSi. Faisceau sensitif interne, 171, 181, 185. G. Glande piné
185. ce. Corps calleux, 189. Cin. Cingulum, 191. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 192. Dsu. Diverliculum
. Première circonvolution frontale. f. Premier sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix, 191. Fd. Fascia dentata, 187
F. Faisceau compact du fornix, 191. Fd. Fascia dentata, 187. FDF. Faisceau diffus du fornix, 191. FI. Fimbria, 188, 192.
férieur, 190. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 19;. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 192. FSe. Faisceau sensitif ex
s du forceps major, 19;. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 192. FSe. Faisceau sensitif externe, 190. FSi. Faisceau sensitif i
u pariéto-frontal, 192. FSe. Faisceau sensitif externe, 190. FSi. Faisceau sensitif interne, 190. G. Glande pinéale, épiph
196. ce. Corps calleux, 198. Cin. Cingulum, 203. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 198, 204. Dsu. Diverli
emière circonvolution frontale, 204. /i. Premier sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix, 203. FDF. Faisceau diffus du f
i. Premier sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix, 203. FDF. Faisceau diffus du fornix, 203. FI. Fimbria. FLI. Faisce
fornix, 203. FDF. Faisceau diffus du fornix, 203. FI. Fimbria. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 203. FLP. Faisceau long
203. FI. Fimbria. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 203. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 200. FOi
calotte, 200. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 203. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 204. FSe. Faisceau sensitif ex
s du forceps major, 203. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 204. FSe. Faisceau sensitif externe, 205. FSi. Faisceau sensitif i
u pariéto-frontal, 204. FSe. Faisceau sensitif externe, 205. FSi. Faisceau sensitif interne, 205. G. Glande pinéale, épiph
.20 Héliog. Lemercier G. Masson Edit Aq. Aqueduc de Sylvius. ARC. Faisceau arqué, 222. Bf. Fente de Richat, 205, 207. RP. Br
222. Cin. Cingulum, 222. CL. Claustrum, 222. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale. CP. Commissure postéri
ière circonvolution frontale, 205. fj. Premier sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix. FCP. Faisceau de la commissu
fj. Premier sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix. FCP. Faisceau de la commissure postérieure, 217. FDF. Faiscea
du fornix. FCP. Faisceau de la commissure postérieure, 217. FDF. Faisceau diffus du fornix. FI. Firnbria, 205, 220. FLl
7. FDF. Faisceau diffus du fornix. FI. Firnbria, 205, 220. FLl. Faisceau longitudinal inférieur, 221, 222. FLP. Faisceau
a, 205, 220. FLl. Faisceau longitudinal inférieur, 221, 222. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 205, 208.
FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 205, 208. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 222. FSe. Faisceau sensitif ex
de la calotte, 205, 208. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 222. FSe. Faisceau sensitif externe, 221. FSi. Faisceau sensitif i
u pariéto-frontal, 222. FSe. Faisceau sensitif externe, 221. FSi. Faisceau sensitif interne. G. Glande pinéale, êpiphyse,
s de Rauber, racine interne de la bande-lette optique, 226, 232. ARC. Faisceau arqué, 238. BP. Bras du pulvinar, 229. BQA. Bra
ris, 225. GMT. Commissure de Meynert, 227, 229. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 256, 238. CP. Commis
tale ascendante, 239. F1. Première circonvolution frontale, 239. FCF. Faisceau compact du fornix, 238. FCP. Faisceau de la com
nvolution frontale, 239. FCF. Faisceau compact du fornix, 238. FCP. Faisceau de la commissure postérieure, 228, 229, 250. FDF.
38. FCP. Faisceau de la commissure postérieure, 228, 229, 250. FDF. Faisceau diffus du fornix, 258. FI. Fimbria, 225. FLP. F
9, 250. FDF. Faisceau diffus du fornix, 258. FI. Fimbria, 225. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 227. FM. F
225. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 227. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert, 254. FPF. Faisceau pariéto-fron
stérieur de la calotte, 227. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert, 254. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 258. FRF. Faisceau rétrograde,
eau de Tùrck-Meynert, 254. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 258. FRF. Faisceau rétrograde, fasciculus retroflexus (Meynert), 255
RF. Faisceau rétrograde, fasciculus retroflexus (Meynert), 255. FS. Faisceau sensitif. FSe. Faisceau sensitif externe, 257.
asciculus retroflexus (Meynert), 255. FS. Faisceau sensitif. FSe. Faisceau sensitif externe, 257. FSi. Faisceau sensitif i
FS. Faisceau sensitif. FSe. Faisceau sensitif externe, 257. FSi. Faisceau sensitif interne, 257. G. Glande pinéale, 223.
rcier G. Masson Edit ALV. Alveus, 240. Aq. Aqueduc de Sylvius. ARC. Faisceau arqué, 254. BP. Bras du pulvinar, 250. BQA. Bra
Cin. Cingulum. CMT. Commissure de Meynert, 247. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 252. CP. Commissure
ou fibres du centre ovale, 252. CP. Commissure postérieure. CTE. Faisceau du tegmentum allant à la substance grise du troi-
entum allant à la substance grise du troi-sième ventricule, 250. FCF. Faisceau compact du fornix. FCP. Faisceau de la commissure
du troi-sième ventricule, 250. FCF. Faisceau compact du fornix. FCP. Faisceau de la commissure postérieure, 249. Fd. Fascia den
ceau de la commissure postérieure, 249. Fd. Fascia dentata, 240. FDF. Faisceau diffus du fornix, 256. FLI. Faisceau longitudinal
9. Fd. Fascia dentata, 240. FDF. Faisceau diffus du fornix, 256. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. FLP. Faisceau longitudina
eau diffus du fornix, 256. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 248. FM. F
érieur. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 248. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert, 245. FPF. Faisceau pariéto-fron
stérieur de la calotte, 248. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert, 245. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 256. FRF. Faisceau rétrograde, 2
sceau de Tùrck-Meynert, 245. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 256. FRF. Faisceau rétrograde, 249, i52. FSe. Faisceau sensitif exte
isceau pariéto-frontal, 256. FRF. Faisceau rétrograde, 249, i52. FSe. Faisceau sensitif externe, 255, 254. FSi. Faisceau sensiti
rétrograde, 249, i52. FSe. Faisceau sensitif externe, 255, 254. FSi. Faisceau sensitif interne, 255. GH. Ganglion de l'habénule
2. TEG. Tegmentum, 250. TP. Tractus transversus pedunculi (Gudden), faisceau en écharpe (Foré), 245, 245. TRI. Trigone céréb
ISSAUD _ LE CERVEAU PL.23 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ABC. Faisceau arqué. BP. Bras du pulvinar, 265. BQA. Bras d
259, 269. CAM. Corne d'Ammon, 257. ce. Corps calleux, 269. CEO. Faisceau cérébello-thalamique, 267. CGE. Capsule du corp
ps genouillé externe. CIF. Segment inférieur de la capsule interne, faisceau de la troi-sième circonvolution temporale, 271. C
CL. Claustrum. CMT. Commissure de Meynert, 263. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 269. CTE. Faisceau d
. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 269. CTE. Faisceau du tegmentum allant à la substance grise du trois
frontale ascendante, 256. F1. Première circonvolution frontale. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 270, 271. FLP. Faisceau l
lution frontale. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 270, 271. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 263. FM. F
0, 271. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 263. FM. Faisceau de Tiïrck-Meynert, 259, 288, 270 . FP. Faisceau p
la calotte, 263. FM. Faisceau de Tiïrck-Meynert, 259, 288, 270 . FP. Faisceau pyramidal, 262, 269. FRF. Faisceau rétrograde, 25
iïrck-Meynert, 259, 288, 270 . FP. Faisceau pyramidal, 262, 269. FRF. Faisceau rétrograde, 258, 264. FSe. Faisceau sensitif exte
aisceau pyramidal, 262, 269. FRF. Faisceau rétrograde, 258, 264. FSe. Faisceau sensitif externe, 270. FSi. Faisceau sensitif int
sceau rétrograde, 258, 264. FSe. Faisceau sensitif externe, 270. FSi. Faisceau sensitif interne, 270. GE. Corps genouillé extern
NCHE XXV ALV. Alveus, 274, ANC. Anse, du noyau caudé, 274. ARC. Faisceau arqué, 287. RSO. Bandelette sous-optique, 284.
ue, 284. ce. Corps calleux, 285. CF. Capsule externe, 287. CFO. Faisceau cérébello-thalaraique, 278. Cl. Capsule interne
Cin. Cingulum. CL. Claustrum, 27G, 287, 288. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 280. F. Circonvoluti
Première circonvolution frontale. fv Premier sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix, 288. FDF. Faisceau diffus du
remier sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix, 288. FDF. Faisceau diffus du fornix, 288. FG. Faisceau géniculé.
compact du fornix, 288. FDF. Faisceau diffus du fornix, 288. FG. Faisceau géniculé. FI. Fimbria, 274. FLI. Faisceau lon
s du fornix, 288. FG. Faisceau géniculé. FI. Fimbria, 274. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 272, 280. FLP. Faisceau
imbria, 274. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 272, 280. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 278. FM.
80. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 278. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert, 285. FP. Faisceau pyramidal,
rieur de la calotte, 278. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert, 285. FP. Faisceau pyramidal, 284. FP'. Fibres du faisceau pyramid
e Tùrck-Meynert, 285. FP. Faisceau pyramidal, 284. FP'. Fibres du faisceau pyramidal se continuant dans le faisceau arqué,
midal, 284. FP'. Fibres du faisceau pyramidal se continuant dans le faisceau arqué, 284, 287. FPF. Faisceau pariéto-frontal,
ceau pyramidal se continuant dans le faisceau arqué, 284, 287. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 289. FRF. Faisceau rétrograde, 2
faisceau arqué, 284, 287. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 289. FRF. Faisceau rétrograde, 280. FSe. Faisceau sensitif externe,
F. Faisceau pariéto-frontal, 289. FRF. Faisceau rétrograde, 280. FSe. Faisceau sensitif externe, 285. FSi. Fais,-eau sensitif in
n pariétale ascendante. p. Sillon pariétal ou interpariétal. PAR. Faisceau parallèle, occupant le fond du sillon parallèle,
Lemercier G. Masson Edit ANL. Anse du noyau lenticulaire, 500. ABC. Faisceau arqué, 504. ARC. Fibres du faisceau arqué desti
u noyau lenticulaire, 500. ABC. Faisceau arqué, 504. ARC. Fibres du faisceau arqué destinées à la capsule interne, 508. BO. Ba
RSO. Randelette sous-optique, 50 I. CAM. Corne d'Ammon, 291. CAO.. Faisceau tegmento-thalamique, 298, 297, 506. ce. Corps c
98, 297, 506. ce. Corps calleux. CE. Capsule externe, 505. CEO. Faisceau cérébello-thalamiqne, 298, 505. CI, Capsule int
Capsule interne, 505. CIF. Segment inférieur de la capsule interne, faisceau de la troi-sième circonvolution temporale, 501, 5
me circonvolution frontale, 290. f. Deuxième sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix. Fd. Fascia dentata, 291. F
FCF. Faisceau compact du fornix. Fd. Fascia dentata, 291. FDF. Faisceau diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé, 299, 5
x. Fd. Fascia dentata, 291. FDF. Faisceau diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé, 299, 505. FI. Fimbria, corps frangé,
culé, 299, 505. FI. Fimbria, corps frangé, corps bordé, 291. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. FLP. Faisceau longitudi
ngé, corps bordé, 291. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 296, 298,
P. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 296, 298, 506. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert, 295, 298, 505. FP. Faisceau pyr
tte, 296, 298, 506. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert, 295, 298, 505. FP. Faisceau pyramidal, 298, 505. FPF. Faisceau pariéto-fronta
Tùrck-Meynert, 295, 298, 505. FP. Faisceau pyramidal, 298, 505. FPF. Faisceau pariéto-frontal. FRF. Faisceau rétrograde, fasc
. Faisceau pyramidal, 298, 505. FPF. Faisceau pariéto-frontal. FRF. Faisceau rétrograde, fasciculus retroflexus, 296. FSe. F
ntal. FRF. Faisceau rétrograde, fasciculus retroflexus, 296. FSe. Faisceau sensitif externe, 294, 502. GE. Corps genouillé
tegmenti, 292, 295, 297, 501, 505. M. Gouttière de Monro, 290. MF. Faisceau médullaire de. la capsule, zona incerta (Forel),
lvius, opercule d'Arnold P. Circonvolution pariétale ascendante. PAR. Faisceau parallèle, 505. Pcs. Pédoncule cérébelleux supéri
it ALV. Alveus, 507/ ANL. Anse du noyau lenticulaire, 519. ARC. Faisceau arqué, 526. BO. Bandelette optique. RSO. Band
RSO. Bandelette sous-optique, 520. CAM. Corne d'Ammon, 507. CAO. Faisceau tegmento-thalamique, 515, 516, 517, 526. ce. Corp
515, 516, 517, 526. ce. Corps calleux. CE. Capsule externe, 525. CEO. Faisceau cérébello-thalamique, 515, 517. CID. Segment post
a capsule interne, 524. CIF. Segment inférieur de la capsule interne, faisceau de la troi-sième circonvolution temporale, 510, 5
ale, 510, 524. Cin. Cingulum. CL. Claustrum, 511. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale. DL. Discus lenliform
convolution frontale, 506. f%. Deuxième sillon frontal, 507. FCF. Faisceau compact du fornix. Fd. Fascia dentata, 507. F
FCF. Faisceau compact du fornix. Fd. Fascia dentata, 507. FDF. Faisceau diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé, 519.
x. Fd. Fascia dentata, 507. FDF. Faisceau diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé, 519. FLI. Faisceau longitudinal infér
FDF. Faisceau diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé, 519. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. PLP. Faisceau longitudi
aisceau géniculé, 519. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. PLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 526. FM.
ur. PLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 526. FM. Faisceau de Tûrck-Meynert, 518. FP. Faisceau pyramidal,
rieur de la calotte, 526. FM. Faisceau de Tûrck-Meynert, 518. FP. Faisceau pyramidal, 518. FP'. Fibres du faisceau pyramid
e Tûrck-Meynert, 518. FP. Faisceau pyramidal, 518. FP'. Fibres du faisceau pyramidal se continuant dans le faisceau arqué,
midal, 518. FP'. Fibres du faisceau pyramidal se continuant dans le faisceau arqué, 326. FRF. Faisceau rétrograde, 515, 517.
faisceau pyramidal se continuant dans le faisceau arqué, 326. FRF. Faisceau rétrograde, 515, 517. FSe. Faisceau sensitif exte
ns le faisceau arqué, 326. FRF. Faisceau rétrograde, 515, 517. FSe. Faisceau sensitif externe, 510, 523. GE. Corps genouillé e
interme-dium, 512, 517, 519, 526. M. Gouttière de Monro, 515. MF. Faisceau médullaire de la capsule, zona incerta (Forel), 5
u thalamus, 508. NL. Fibres latérales du noyau rouge de la calotte, faisceau rubro- thalamique, 517, 526. NR. Noyau rouge de
, 508, 516. OP. Opercule pariétal de Sylvius, opercule d'Arnold. PAR. Faisceau parallèle, occupant le fond du sillon parallèle,
ique supérieur. PUT. Putamen, 509, 524. RFP. Couronne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur, 509, 515. RNC. Couronn
Alveus, 529. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 554, 558, 549. ARC. Faisceau arqué, 552. Bf. Fente de Bichat, 529. BGI. Ba
. CA. Commissure antérieure, 547. CAM. Corne d'Ammon, 528. CAO. Faisceau tegmento-thalamique, 552, 541. ce. Corps calleu
ue, 552, 541. ce. Corps calleux. CE. Capsule externe, 551. CEO. Faisceau cérébello-thalamique, 554, 541. CC. Couche gril
Capsule interne, 549. GIF. Segment inférieur de la capsule interne, faisceau de la troi-sième circonvolution temporale, 548. C
ale, 548. Cin. Cingulum, 552. CL. Claustrum, 454. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale. DF. Pilier descendan
on frontal, 527. F5. Troisième circonvolution frontale, 522. FCF. Faisceau compact du fornix, 555. FDF. Faisceau diffus du
olution frontale, 522. FCF. Faisceau compact du fornix, 555. FDF. Faisceau diffus du fornix, 555. FG. Faisceau géniculé, 5
compact du fornix, 555. FDF. Faisceau diffus du fornix, 555. FG. Faisceau géniculé, 554, 558, 549. FLI. Faisceau longitud
diffus du fornix, 555. FG. Faisceau géniculé, 554, 558, 549. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 555. FP. Faisceau pyram
lé, 554, 558, 549. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 555. FP. Faisceau pyramidal, 557, 549. FPF. Faisceau pariéto-fron
ngitudinal inférieur, 555. FP. Faisceau pyramidal, 557, 549. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 555. FSe. Faisceau sensitif ex
eau pyramidal, 557, 549. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 555. FSe. Faisceau sensitif externe, 548. FVA. Faisceau de Yicq d'
u pariéto-frontal, 555. FSe. Faisceau sensitif externe, 548. FVA. Faisceau de Yicq d'Azyr, 552, 555. GAP. Ganglion de l'an
thalamus, 552, 559, 540, 343. LTE. Lamina tegmenti, 555, 541. MF. Faisceau médullaire de la capsule, zona incerta, 552, 555,
u noyau caudé, 550. NeC. Noyau externe du thalamus, 552, 545. NL. Faisceau rubro-thalamique, 557, 540. otk. Quatrième sill
occipito-temporal, grand sillon occipito-tem-poral de Pansch. PAR. Faisceau parallèle, occupant le fond du sillon parallèle,
Recessus antérieur de l'hippocampe, 528. RFP. Couronne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur, 555. S'. Branche postéri
dit AL Y. Alveus. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 562, 566 AR. Faisceau d'Arnold, 568. ARC. Faisceau arqué, 575. BO.
du noyau lenticulaire, 562, 566 AR. Faisceau d'Arnold, 568. ARC. Faisceau arqué, 575. BO. Bandelette optique, 565. BSO.
e externe, 575. Cin. Cingulum. CL. Cloustrum. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale. COL Commissure inférie
ution frontale, 555. F3. Troisième circonvolution frontale, 555. FCF. Faisceau compact du fornix. FG. Faisceau géniculé, 557, 56
me circonvolution frontale, 555. FCF. Faisceau compact du fornix. FG. Faisceau géniculé, 557, 565. FLI. Faisceau longitudinal in
CF. Faisceau compact du fornix. FG. Faisceau géniculé, 557, 565. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. FSe. Faisceau sensitif ex
isceau géniculé, 557, 565. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. FSe. Faisceau sensitif externe, 572. FU. Fasciculus uncinatus,
sceau sensitif externe, 572. FU. Fasciculus uncinatus, 572, 575. FYA. Faisceau de Yicq-d'Azyr, 557, 559, 567, 568. GAP. Ganglion
LML. Lame médullaire externe ou latérale du thalamus, 557, 567. MF. Faisceau médullaire de la capsule, 566. MLE. Cloison ver
emercier G. Masson Edit ANL. Anse du noyau lenticulaire, 378. AR. Faisceau d'Arnold, 380. ARC. Faisceau arqué, 388. BO. Rand
NL. Anse du noyau lenticulaire, 378. AR. Faisceau d'Arnold, 380. ARC. Faisceau arqué, 388. BO. Randelette optique, 378. RSO. Ran
Deuxième sillon frontal. F3. Troisième circonvolution frontale. FCF. Faisceau compact du fornix, 588. FDF. Faisceau diffus du f
e circonvolution frontale. FCF. Faisceau compact du fornix, 588. FDF. Faisceau diffus du fornix, 588. FG. Faisceau géniculé, 578
ceau compact du fornix, 588. FDF. Faisceau diffus du fornix, 588. FG. Faisceau géniculé, 578. FLI. Faisceau longitudinal inférie
FDF. Faisceau diffus du fornix, 588. FG. Faisceau géniculé, 578. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 589. FPF. Faisceau pariét
isceau géniculé, 578. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 589. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 588. FU. Fasciculus uncinatus, 5
r de la capsule interne, 405. CL. Claustrum, 592. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 406. DE. Pilier desc
ution frontale, 590. F3. Troisième circonvolution frontale, 590. FCF. Faisceau compact du fornix, 405. FDF. Faisceau diffus du f
convolution frontale, 590. FCF. Faisceau compact du fornix, 405. FDF. Faisceau diffus du fornix, 406. FU. Fasciculus uncinatus,
e du noyau caudé, 411. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 410. ARC. Faisceau arqué, 418. C. Circonvolution limbique, 408.
Cin. Cingulum, 418. CL. Claustrum, 410, 418. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 418. EPA. Espace per
sillon frontal. F3. Troisième circonvolution frontale, 407. FCF. Faisceau compact du fornix, 418. FDF. Faisceau diffus du
olution frontale, 407. FCF. Faisceau compact du fornix, 418. FDF. Faisceau diffus du fornix, 419. FPF. Faisceau pariéto-fr
compact du fornix, 418. FDF. Faisceau diffus du fornix, 419. FPF. Faisceau pariéto-frontal. FF. Fasciculus uncinatus, fais
ix, 419. FPF. Faisceau pariéto-frontal. FF. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet, 417. GAP. Ganglion de l'anse pédonc
AUD _ LE CERVEAU P L . 32 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ARC. Faisceau arqué, 424. G. Circonvolution limbique, 421.
sillon frontal. F3. Troisième circonvolution frontale, 419. FCF. Faisceau compact du fornix, 425. FDF. Faisceau diffus du
olution frontale, 419. FCF. Faisceau compact du fornix, 425. FDF. Faisceau diffus du fornix, 425. FOA. Forceps anterior, o
u fornix, 425. FOA. Forceps anterior, ou forceps minor, 426. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 425. GR. Gyrus reclus, 4H. G
Anse du noyau lenticulaire, 450, 452. Aq. Aqueduc de Sylvius. AR. Faisceau d'Arnold, 450, 455. BCP. Bulbus cornu posterior
d'Ammon, 451. ce. Corps calleux. CE. Capsule externe, 450. CEO. Faisceau cérébello-thalamique, 478, 451, 452. CIA. Segment
xième sillon frontal. F3. Troisième circonvolution frontale. FCF. Faisceau compact du fornix, 434. FLP. Faisceau longitudi
rconvolution frontale. FCF. Faisceau compact du fornix, 434. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 428, 451.
FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 428, 451. FM. Faisceau de Tûrck-Meynert, 454. FOi. Fibres inférieures du
de Tûrck-Meynert, 454. FOi. Fibres inférieures du forceps major. FOV. Faisceau occipital verlical, 454. FPV. Faisceau pariétal v
rieures du forceps major. FOV. Faisceau occipital verlical, 454. FPV. Faisceau pariétal vertical, 454. FRF. Faisceau rétrograd
occipital verlical, 454. FPV. Faisceau pariétal vertical, 454. FRF. Faisceau rétrograde, fasciculus retroflexus (Meynert), 4
au rétrograde, fasciculus retroflexus (Meynert), 428, 429, 451. FS. Faisceau sensitif, 455. FSi. Faisceau sensitif interne, 45
roflexus (Meynert), 428, 429, 451. FS. Faisceau sensitif, 455. FSi. Faisceau sensitif interne, 453. 1 VA. Faisceau de Vicq d'A
S. Faisceau sensitif, 455. FSi. Faisceau sensitif interne, 453. 1 VA. Faisceau de Vicq d'Azyr, 429, 455. GAP. Ganglion de l'anse
LES. Capsula extrema, 455. LTE. Lamina tegmenti, 428, 452. MF. Faisceau médullaire de la capsule, zona incerta, 428, 452.
Anse du noyau caudé. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 431*. AR.f Faisceau d'Arnold. BP. Bras du pulvinar, 457, 439. BQ.
. GA. Commissure antérieure, 439. CAM. Corne d'Ammon, 458. CAO. Faisceau tegmento-thalamique, 459. ce. Corps calleux, 45
lamique, 459. ce. Corps calleux, 458. CE. Capsule externe. CEO. Faisceau cérébello-thalamique, 459. CIA. Segment antérieur
F5. Troisième circonvolution frontale. Fd. Fascia dentata. FDF. Faisceau diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé, 458, F
ontale. Fd. Fascia dentata. FDF. Faisceau diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé, 458, FI. Finibria, corps frangé, 458.
FG. Faisceau géniculé, 458, FI. Finibria, corps frangé, 458. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 458. FP.
58. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 458. FP. Faisceau pyramidal, 458. FPV. Faisceau pariétal vertical
postérieur de la calotte, 458. FP. Faisceau pyramidal, 458. FPV. Faisceau pariétal vertical. FRF. Fasciculus retroflexus,
Faisceau pariétal vertical. FRF. Fasciculus retroflexus, 458. FS. Faisceau sensitif. FSe. Faisceau sensitif externe. GII
. FRF. Fasciculus retroflexus, 458. FS. Faisceau sensitif. FSe. Faisceau sensitif externe. GII. Ganglion de l'habénule,
us, 459. LTE. Lamina legmenti, 459. M. Gouttière de Monro, 455. MF. Faisceau médullaire de la capsule, zona incerta, 459. ML
aire. NC. Noyau caudé, 456. NCC. Queue du noyau caudé, 456. NL. Faisceau rubro-thalamique. NmC. Centre médian, 457. Np
VEAU PL.35 Héliog. Lemercier G. Masson Edit PLANCHE XXXV! AU. Faisceau d'Arnold, 442. APiG. Faisceau arqué. BQ. Bour
G. Masson Edit PLANCHE XXXV! AU. Faisceau d'Arnold, 442. APiG. Faisceau arqué. BQ. Bourrelet du lobe carré. BSO. Band
O. Bandelette sous-optique, 444. C. Circonvolution limbique. CAO. Faisceau tegmento-thalamique, 444. ce. Corps calleux, 44
xième sillon frontal. F5. Troisième circonvolution frontale. FCF. Faisceau compact du fornix. Fd. Fascia dentata, 442. F
FCF. Faisceau compact du fornix. Fd. Fascia dentata, 442. FDF. Faisceau diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé. FI.
x. Fd. Fascia dentata, 442. FDF. Faisceau diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé. FI. Fimbria, 442. FOm. Fibres moyen
u géniculé. FI. Fimbria, 442. FOm. Fibres moyennes du splenium ou faisceau moyen forceps major. FP. Faisceau pyramidal, 44
m. Fibres moyennes du splenium ou faisceau moyen forceps major. FP. Faisceau pyramidal, 444. FS. Faisceau sensilif. GIL Gangli
m ou faisceau moyen forceps major. FP. Faisceau pyramidal, 444. FS. Faisceau sensilif. GIL Ganglion de l'habénule, 440. GLM.
U P L . 36 Héliog. Lemercier G. Masson Edit PLANCHE XXXVII ARC. Faisceau arqué, 448. BQ. Bourrelet du lobe carré. C. Circo
F5. Troisième circonvolution frontale. Fci. Fasciola cinerea. FG. Faisceau géniculé. FOA. Forceps anterior, ou forceps min
érieures du forceps major, 446. FOm. Fibres moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major. FOs. Fibres supérieures
oyen du forceps major. FOs. Fibres supérieures du forceps, 446. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FSe.
FOs. Fibres supérieures du forceps, 446. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FSe. Faisceau sensitif externe
s, 446. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FSe. Faisceau sensitif externe, 446. FSi. Faisceau sensitif i
isceau pariétal vertical. FSe. Faisceau sensitif externe, 446. FSi. Faisceau sensitif interne, 446. Gci. Genou de la capsule
P L . 37 Héliog. Lemercier G. Masson Edit PLANCHE XXXVIII AR. Faisceau d'Arnold, 452. ARC. Faisceau arqué, faisceau lo
G. Masson Edit PLANCHE XXXVIII AR. Faisceau d'Arnold, 452. ARC. Faisceau arqué, faisceau longitudinal supérieur, 454. RA
PLANCHE XXXVIII AR. Faisceau d'Arnold, 452. ARC. Faisceau arqué, faisceau longitudinal supérieur, 454. RAM. Rase de la co
52. CAL. Calcar, ergot de Morand, 454. CAM. Corne d'Ammon. CAO. Faisceau tegmento-thalamique, 452. ce. Corps calleux, 45
xième sillon frontal. F3. Troisième circonvolution frontale. FCF. Faisceau compact du fornix, 453. Fci. Fasciola cinerea,
453. Fci. Fasciola cinerea, 450. Ed. Fascia dentata, 454. FDF. Faisceau diffus du fornix, 455. FG. Faisceau géniculé.
Ed. Fascia dentata, 454. FDF. Faisceau diffus du fornix, 455. FG. Faisceau géniculé. FI. Fimbria, 454. FM. Faisceau de T
us du fornix, 455. FG. Faisceau géniculé. FI. Fimbria, 454. FM. Faisceau de Tûrck-Meynert, 452. FOV. Faisceau occipital ve
iculé. FI. Fimbria, 454. FM. Faisceau de Tûrck-Meynert, 452. FOV. Faisceau occipital vertical, 454. FPF. Faisceau pariéto-fr
au de Tûrck-Meynert, 452. FOV. Faisceau occipital vertical, 454. FPF. Faisceau pariéto-frontal. FPV. Faisceau pariétal vertica
isceau occipital vertical, 454. FPF. Faisceau pariéto-frontal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FRF. Faisceau rétrograde, fa
. Faisceau pariéto-frontal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FRF. Faisceau rétrograde, fasciculus retroflexus, 452. FS. Fa
tical. FRF. Faisceau rétrograde, fasciculus retroflexus, 452. FS. Faisceau sensitif, 456. FSe. Faisceau sensitif externe.
de, fasciculus retroflexus, 452. FS. Faisceau sensitif, 456. FSe. Faisceau sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif intern
FS. Faisceau sensitif, 456. FSe. Faisceau sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif interne, 452. GC. Genou du corps calle
se du noyau caudé, 457. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 457. AR. Faisceau d'Arnold, 457. BO. Bandelette optique, 458. B
F3. Troisième circonvolution frontale. Fci. Fasciola cinerea. FG. Faisceau géniculé. FI. Fimbria. FM. Faisceau de Tùrck-
Fci. Fasciola cinerea. FG. Faisceau géniculé. FI. Fimbria. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert. FOi. Fibres inférieures du forc
nférieures du forceps major, 458. FOm. Fibres moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 458. FOV. Faisceau occi
moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 458. FOV. Faisceau occipital vertical. FP. Faisceau pyramidal. F
oyen du forceps major, 458. FOV. Faisceau occipital vertical. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisceau pariétal vertical. F
FOV. Faisceau occipital vertical. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FS. Faisceau sensitif. FSc
l. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FS. Faisceau sensitif. FSc. Faisceau sensitif externe. FSi
l. FPV. Faisceau pariétal vertical. FS. Faisceau sensitif. FSc. Faisceau sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif intern
al. FS. Faisceau sensitif. FSc. Faisceau sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif interne. GAP. Ganglion de l'anse pédon
convolution frontale. Fd. Fascia dentata. FI. Fimbria, 462. FM. Faisceau de Tûrck-Meynert. FU. Fasciculus uncinatus, fai
ia, 462. FM. Faisceau de Tûrck-Meynert. FU. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet, 459. GAP. Ganglion de l'anse pédonc
dentata. FI. Fimbria. FL1. Faisceau longitudinal inférieur. FOY. Faisceau occipital vertical. FS. Faisceau sensitif. FU
eau longitudinal inférieur. FOY. Faisceau occipital vertical. FS. Faisceau sensitif. FU. Fascicidus uncinatus. GAP. Gang
L.41 Héliog. Lemercier G. Masson Edit AL Y. Alveus, 464. ARC. Faisceau arqué. BGI. Bandelette de Giacomini, 465. BO.
DL. Discus lentiformis. Dsu. Sillon latéral du subiculum. FCF. Faisceau compact dufornix. Fci. Fasciola cinerea, 464.
i. Fasciola cinerea, 464. Fd. Fascin dentata, 463, 464, 465. FDF. Faisceau diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé. FI.
ascin dentata, 463, 464, 465. FDF. Faisceau diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé. FI. Fimbria, 465. FL1. Faisceau lon
lé. FI. Fimbria, 465. FL1. Faisceau longitudinal inférieur. FM. Faisceau de Tûrck-Meynert. FOi. Fibres inférieures du fo
es du forceps major, 464 FOs. Fibres supérieures du forceps. FOV. Faisceau occipital vertical. FP. Faisceau pyramidal. F
res supérieures du forceps. FOV. Faisceau occipital vertical. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisceau pariétal vertical. F
FOV. Faisceau occipital vertical. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FS. Faisceau sensitif. FSe
l. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisceau pariétal vertical. FS. Faisceau sensitif. FSe. Faisceau sensitif externe. FSi
l. FPV. Faisceau pariétal vertical. FS. Faisceau sensitif. FSe. Faisceau sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif intern
al. FS. Faisceau sensitif. FSe. Faisceau sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif interne. GE. Corps genouillô externe,
. ANC Anse du noyau caudé. ANL. Anse du noyau lenticulaire. AR. Faisceau d'Arnold. Bf. Fente de Bichat. BO. Bandelette
Bichat. BO. Bandelette optique. CA. Commissure antérieure. CAO. Faisceau tegmento-thalamique. ce. Corps calleux. CE. C
gmento-thalamique. ce. Corps calleux. CE. Capsule externe. CEO. Faisceau cérébello-thalamique. Cin. Cingulum. DL. Disc
Sillon latéral du subiculum. EPA. Espace perforé antérieur. FCF. Faisceau compact du fornix. Fci. Fasciola cinerea. Fd.
. Fci. Fasciola cinerea. Fd. Fascia dentata. FI. Fimbria. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert. FOi. Fibres inférieures du forc
érieures du forceps major. FOm. Fibres moyennes du forceps major. FP. Faisceau pyramidal. FS. Faisceau sensitif, faisceau opti
FOm. Fibres moyennes du forceps major. FP. Faisceau pyramidal. FS. Faisceau sensitif, faisceau optique, lame des radiations o
es du forceps major. FP. Faisceau pyramidal. FS. Faisceau sensitif, faisceau optique, lame des radiations optiques. FU. Fasc
au optique, lame des radiations optiques. FU. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet. FVA. Faisceau de Vicq-d'Azyr. GAP
ons optiques. FU. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet. FVA. Faisceau de Vicq-d'Azyr. GAP. Ganglion de l'anse pédoncu
is. TAP. Tapetum. TC. Tuber cinereum. tec. Taenia tecta. TEG. Faisceau de la calotte. Tf. Tubercule du fascia dentata.
4 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
ubes médullaires, qui pénètrent dans la snbstance grise sous forme de faisceaux , ne nous arrêteront pas pour le moment ; nous y r
évroglie se rapporterait ici au type du tissu conjonc-tif ordinaire : faisceaux conjonctifs et cellules plates (Ranvier) ; seulem
Outre les cellules, on trouve encore dans cette troisième couche des faisceaux de fibres médullaires qui s'enfoncent perpendicul
inale à mar-che progressive. — Il en est d'autres qui se limitent aux faisceaux latéraux et qui se traduisent par une parésie des
es membres avec tendance à la contracture. Vous n'ignorez.pas que les faisceaux de Goll peuvent être lésés isolément et que la ré
la région des bandelettes externes (Fig. 7, B, B), dans l'aire des faisceaux latéraux, est seule le substratum anatomiqne néce
ents, d'organes secondaires. Fi;/. 7.— A, A, cordons latéraux; — A' faisceaux de Tiirck : —B, B, zonesradi„ culaircspostéricure
— Considérations sur la capsule interne : ses parties constituantes ( faisceaux pédonculaires di-rects; faisceaux pédonculaires i
nterne : ses parties constituantes (faisceaux pédonculaires di-rects; faisceaux pédonculaires indirects ; faisceaux rayonnants).
faisceaux pédonculaires di-rects; faisceaux pédonculaires indirects ; faisceaux rayonnants). Messieurs, J'ai mis, dans la séa
a dissection ; toutefois, il faut rompre, pour l'isoler, les nombreux faisceaux qu'il reçoit par la capsule interne. 3° Le noya
e, avec la plus grande facilité. C'est que, en effet, il n'y a pas de faisceaux médullaires, — et vous verrez qu'il n'y a pas non
vec le pied du pédoncule. La réalité de l'existence de ces derniers faisceaux repose, ainsi que nous le verrons, sur un certain
rches modernes (2), serait constituée ainsi qu'il suit : Io Par des faisceaux pédonculairesdirects qui traversent la capsule sa
qui traversent la capsule sans s'arrêter aux ganglions ; 2° Par des faisceaux pédonculaires indirects. Parmi ceux-ci : les uns
uche optique, celle-ci ne recevant pas du pédoncule cérébral d'autres faisceaux que ceux du tegmentum. Fig. 19. — 1, 2, 3, noya
uches de la substance innominée. [Figure d'après M. Meynert.) A ces faisceaux qui, du pied du pédoncule, se rendent aux noyaux
ntraux, succèdent dans la partie supérieure de la capsule interne des faisceaux qui, prenant origine dans les noyaux gris, vont
ouronne rayonnante et se dirigent vers la couche grise corticale. Ces faisceaux portent le nom de faisceaux rayonnants (Stab-kran
igent vers la couche grise corticale. Ces faisceaux portent le nom de faisceaux rayonnants (Stab-kranzbùnclel). Il y a lieu de di
aux rayonnants (Stab-kranzbùnclel). Il y a lieu de distinguer: 1° les faisceaux rayonnants des corps striés; 2° les faisceaux ray
u de distinguer: 1° les faisceaux rayonnants des corps striés; 2° les faisceaux rayonnants de la couche optique ; 3° les faisceau
rps striés; 2° les faisceaux rayonnants de la couche optique ; 3° les faisceaux rayonnants issus du noyau lenticulaire, lesquels
ième segment (Fie/. 19). Il suit de cet exposé que quatre ordres de faisceaux entrent dans la composition de la couronne rayonn
la capsule interne à l'écorce des circonvolutions. Ce sont : 1° les faisceaux rayonnants de la couche optique ; 2° ceux du corp
2° ceux du corps strié ; 3° ceux du noyaux lenticulaire — ces divers faisceaux rattachent à l'écorce grise les noyaux gris centr
isceaux rattachent à l'écorce grise les noyaux gris centraux ; 4° les faisceaux directs qui, du pied du pédoncule, se rendent à l
s exempte de difficultés ; mais un peu au-dessus de ce point tous les faisceaux s'entrecroisent dans les directions les plus vari
stitielle pourrait avoir pour effet de déterminer la com-pression des faisceaux nerveux qui composent la capsule in-terne et cons
ule in-terne et consécutivement de suspendre le fonctionnement de ces faisceaux . Mais comme, en pareille circonstance, les fibres
pes, crustà), et, plus haut, dans la région de la capsule interne, le faisceau des fibres pédonculaires se ren-dant au noyau cau
noyau lenticulaire, occupent un plan situé au-dessous et en dehors du faisceau précédent. En observant avec attention la partie
des fibres ner-veuses, mises à nu parla préparation, on distingue un faisceau en quelque sorte détaché de l'ensemble, et qui, s
rieur du noyau lenticulaire. (Fiy. 26). C'est là, vous le voyez, un faisceau direct, puisque les fibres Fig. 26. — A, corpus
enticulaire. —C, fibres pédonculaires se rendant au corps strié. — D, faisceau de fibres pédoncu-laires directes se rendant à la
ra-les ; c'est, de plus, ainsi que cela ressort de la description, un faisceau séparé. Quelle est la destination de ces fibres
quelque raison d'ordre anatomique susceptible de faire penser que le faisceau dont il s'agit est réellement composé de fibres c
ues à la protubérance, elles se placeraient àla partie postérieure du faisceau pyramidal, et conserveraient à peu près ce siège
ement. Parvenues à ce point, — contrairement à ce qui a lieu pour les faisceaux les plus internes de la pyramide, lesquels passen
es iraient, après s'être entrecroisées, se mettre en rapport avec les faisceaux spinaux postérieurs. Je ne saurais garantir la pa
inement la description anatomique de M. Meynert en ce qui concerne ce faisceau postérieur (Note de la 2e éd.) nière partie du
tre, dans la partie postérieure de la capsule interne, l'existence de faisceaux de fibres nerveuses centripètes, ayant pour rôle
s du côté opposé du corps. Emanés du pied du pédoncule central, ces faisceaux , au sor-tir delà capsule, vont concourir directem
leur origine, c'est-à-dire à la partie inférieure de la capsule, ces faisceaux , resserrés pour ainsi dire dans un espace étroit,
uoi qu'il en soit, il y a lieu de reconnaître, dès à présent, que les faisceaux qui composent la partie postérieure de la capsule
yopie. me un centre des impressions sensitives et sensorielle?. Ces faisceaux ne peuvent représenter qu'un lieu de passsge, un
erf optique et dans la rétine ; tandis que, dans tous ces points, les faisceaux qui s'entrecroisent (b',a) occuperaient le côté i
occuperaient le côté interne. Il résulte de cette disposition que les faisceaux non-entrecroisés delà bandelette gauche seraient
ple, à la moitié gauche de la rétine de l'œil gauche, tan-dis que les faisceaux entrecroisés de la môme bandelette four-niraient
four-niraient à la moitié gauche de l'œil droit ; la distribution des faisceaux de la bandelette optique droite s'opérant, bien e
près le même principe, mais en sens inverse. En d'autres termes les faisceaux qui composent la bande-lette optique du côté gauc
gau-che (GG) de chaque rétine, et l'inverse aurait lieu (DD) pour les faisceaux nerveux provenant de la bandelette optique du côt
ment l'hémiopie. Je propose d'admettre, au contraire, que seuls les faisceaux de la bandelette qui se sont entrecroisés dans le
et profond, tels quels, sans entrecroi-sement nouveau, tandis que les faisceaux directs subiraient, eux, au-delà des corps genoui
Q), un entrecroisement complet, il résulte de cet arrangement que les faisceaux b\ «' réunis, par exemple, en un point de l'hémis
totalité des fibres provenant de la rétine de l'œil droit, et que les faisceaux b, a, représentent la totalité des fibres provena
rigine cérébrale des nerfs optiques. Couronne rayonnante de Reil. — Faisceaux rayonnants cortico-optiques : Fibres antérieures
entre les amas de substance grise et l'écorce grise de l'encéphale : faisceaux rayonnants cortico-optiques. Effets des lésions
avez pas oublié, a pu trouver sa raison d'être dans l'exis-tence d'un faisceau de fibres centripètes directes, c'est-à-dire ne s
il quelque connexité, quelque rapport plus ou moins immédiat entre ce faisceau sensitif et les faisceaux sen-soriels destinés à
lque rapport plus ou moins immédiat entre ce faisceau sensitif et les faisceaux sen-soriels destinés à mettre en communication l'
n d'une partie delà couronne rayonnante de Reil (1). (1) Les divers faisceaux pédonculaircs ou autres qui forment la couronne r
-striées (Fig. 31, FK). De la sorte se trouve à découvert le plan des faisceaux rayonnants cortico-optiques (FT, Fig. 31 ; hh, ii
kk, Fig. 32). Il est possible de distin-guer alors dans ces derniers faisceaux trois groupes de fibres : 1° Les unes antérieures
èpre-pas la totalité de cette masse. Celle-ci contient, en outre, des faisceaux tout à fait étrangers aux précédents, mais qui s'
ers aux précédents, mais qui s'entremêlent avec ceux-ci. Les derniers faisceaux constituent ce que M. Meynert appelle le système
iation. On peut ramener, d'une façon très générale, à deux ordres les faisceaux qui com-posent ce système. — Les uns consistent e
inge (cercocebus cino-molgus) montre bien la direction des principaux faisceaux de ce système d'as-sociation antéro-postérieure.
de ce système d'as-sociation antéro-postérieure. On voit : en pv, les faisceaux des fibres propres, fibi'œ propriœ, bien décrites
ps calleux s'étendent du lobe occipital au lobe frontal ; — en Ig, le faisceau longitudinal inférieur qui unit le lobe occipital
. Il, p. 181 etsuiv. — Luys, loc. cit. p. 173. Sehstrahlungen.) Les faisceaux du dernier groupe, qui sont l'objet particulier d
r un plan plus profond, que se répandent les expansions cérébrales du faisceau de fibres centripètes dont la lésion détermine Ph
le. Il existe donc une relation de voisinage, de contiguïté entre ces faisceaux et les expansions optiques et cette relation sera
ianesthé-sie et de l'amblyopie croisée s'il était bien établi que les faisceaux qui portent le nom d'expansions optiques sont rée
volumineuse et la plus im-portante. Elle fournit elle-même plusieurs faisceaux qui se mettent en rapport avec divers noyaux gris
en rapport avec divers noyaux gris. 1° On peut dis-tinguer d'abord un faisceau qui s'arrête dans les corps ge-nouillés externes.
représentées dans l'ouvrage de Henle (fig. 177, p. 249). 2° Un second faisceau ,'situé en dedans du précédent, pénètre dans l'éta
lle qui est figurée dans le tra-vail de Meynert (fig. 249, II, R), le faisceau en question est situé entre le corps genouillé ex
le corps genouillé externe et le pied.du pédoncule. L'existence de ce faisceau , affirmée par Gratiolet, est aussi très explicite
xplicitement reconnue par Meynert, Henle et Huguenin. 3° Un troisième faisceau qui, d'après Gratiolet, serait le plus apparent e
st plus au même degré pour le singe et pour l'homme où l'existence du faisceau , parfaitement réelle d'ailleurs, ne peut être ana
Bericht. iïvAkad,, LXV1 Bd. 1872. T. II. fig. 10). (4) Un quatrième faisceau , situé en dehors de celui qui s'arrête dans le co
formation du Stratum zonale. Déjà indique par Arnold et Gratiolet, ce faisceau est décrit et représenté par Meynert, p. 436. b
ue la partie la plus postérieure des radiations de la couche optique ( faisceaux rayonnants cortico-optiques) et qu'on désigne que
ocebuscinomolgus.) (Fig. 33). On voit sur cette planche comment des faisceaux de fibres ou radiations, partant des eorps genoui
nctifs antérieurs, B.s — vont après un trajet récurrent s'associer au faisceau Om, qni n'est autre que l'ensemble des fibres cen
— Ge, corps genouillé externe. — P, pied du pédoncule cérébral. Om, faisceaux médullaires qui, du lobe occipital, vont au pulvi
sibilité commune de tout un côté opposé du corps. A cet ensemble de faisceaux se trouvent mêlées sans doute des fibres provenan
présenté, que les tubercules quadrijumeaux sont le seul point où les faisceaux des nerfs optiques, après leur entre-croisement d
, entre les tubercules quadrijumeaux, de nombreux entrecroisements de faisceaux , constatés anatomiquement. Mais on ne saurait déc
le pédoncule cérébral, la protubérance. la pyramide antérieure et le faisceau latéral de la moelle. Analogies et différences
utives de cause cérébrale et les scléroses fasciculées primitives des faisceaux latéraux. — Symptômes liés aux scléroses secondai
ion avec l'écorce grise. Nous faisons abs-traction, en ce moment, des faisceaux de fibres qui s'étendent de la substance cortical
dis que cela ne saurait plus avoir lieu, dès que la continuité de ces faisceaux aura été décidément inter-rompue. J'ajouterai q
ier, dans la moelle épinière du côté opposé au foyer, tout le long du faisceau latéral, jusque dans le renfle-ment lombaire. n
ites, qui, suivant l'importante remarque de L. Türck, intéressent les faisceaux de la capsule interne, dans leur trajet entre le
d'un hémisphère cérébral occupent toujours une moitié du système des faisceaux latéraux. Elles sont plus ou moins accentuées, pl
us ou moins accentuées, plus ou moins étendues suivant la lar-geur du faisceau ; mais toujours elles l'envahissent dans la to-ta
la moelle, opposée à l'hémisphère lésé et plus explicitement dans le faisceau laté-ral, que l'altération scléreuse doit être ch
n précise, systématique, à l'aire des fais-ceaux latéraux. Les autres faisceaux blancs, et les cornes grises, restent parfaitemen
escendante occuper dans le renflement cervical la partie cervicale du faisceau latéral et devenir superficielle à la région lomb
processus mor-bide. roses fasciculées primitives et symétriques des faisceaux laté-raux que je décrivais l'an passé à propos de
t cervical. région dorsale. lombaire. qu'elle occupe le système des faisceaux latéraux des deux côtés à la fois, et non pas d'u
e consécutive, elle envahit le système des fibres spinales propres au faisceau latéral. (Comparez les Fig. 39, 40 et 41, et les
ande tendance à en-vahir dans les régions spinales voisines, soit les faisceaux blancs, soit surtout les cornes antérieures de su
tes les fibres de la pyramide antérieure, la lésion n'occupe, dans le faisceau latéral de la moelle, qu'une région relativement
ires antérieures, et, en dedans, elle s'avance jusqu'au contact de ce faisceau de fibres nerveuses, peut-être sensitives, qui co
rveuses, peut-être sensitives, qui constituent la partie profonde des faisceaux latéraux. (Voir Fig. 42, 43, 44). Il faut ajouter
é-cutive n'affecte qu'une partie des fibres nerveuses qui forment les faisceaux latéraux, à savoir les fibres cérébro-spinales ;
st au contraire l'existence d'une myélite chronique, produite dans le faisceau latéral, en con-séquence de la lésion du cerveau,
épande au-delà des limites qui lui sont d'habitude assignées dans les faisceaux latéraiix et envahisse dans la moelle des territo
Enfin, l'extension du proces-sus irritatif, soit à toute l'étendue du faisceau latéral du côté correspondant, soit même au fai
e l'étendue du faisceau latéral du côté correspondant, soit même au faisceau latéral du côté opposé, rendra compte sans doute
ME PARTIE Des localisations spinales, (Anatomie et physiologie du faisceau pyramidal). PREMIÈRE LEÇON Introduction. — To
des. Constitution de la moelle épinière. — Lésions systématiques. — Faisceau pyramidal (faisceau direct et faisceau croisé). —
de la moelle épinière. — Lésions systématiques. — Faisceau pyramidal ( faisceau direct et faisceau croisé). — Faisceaux de Goll e
re. — Lésions systématiques. — Faisceau pyramidal (faisceau direct et faisceau croisé). — Faisceaux de Goll et de Burdach. —Celt
atiques. — Faisceau pyramidal (faisceau direct et faisceau croisé). — Faisceaux de Goll et de Burdach. —Celte décomposition des d
n presque partout longitudinale, on y distingue deux régions : 1° les faisceaux antéro-latéraux, limités par le sillon antérieur
s par le sillon antérieur et le sillon collatéral postérieur ; 2° les faisceaux postérieurs, limités par la commissure et les cor
de l'anatomie descriptive dans son analyse de? fonctions des divers faisceaux blancs et des diverses parties de la substance gr
propriétés des fais-ceaux antéro-latéraux pris en bloc (1), celle des faisceaux pos-térieurs, celle des deux grandes régions de l
occuper les lésions systématiques jusqu'ici connues (Fig. 46). Les faisceaux postérieurs, considérés en physiologie comme form
postérieurs la plus voisine des cornes postérieures, c'est-à-dire les faisceaux radiculaires (Pierre!) ou faisceau cunéiforme (Bu
es postérieures, c'est-à-dire les faisceaux radiculaires (Pierre!) ou faisceau cunéiforme (Burdach). Les faisceaux antéro-laté
sceaux radiculaires (Pierre!) ou faisceau cunéiforme (Burdach). Les faisceaux antéro-latéraux peuvent subir une décompo-sition
ail de Woroschiloff, Sachs. Academ., etc. Leipzig, 1875. rieure des faisceaux latéraux, au voisinage du sillon médian une lésio
al) et qui rè-gne depuis le bulbe jusqu'à la moelle dorsale. C'est le faisceau de Turck ou faisceau pyramidal direct. Cette lési
uis le bulbe jusqu'à la moelle dorsale. C'est le faisceau de Turck ou faisceau pyramidal direct. Cette lésion d'un faisceau pyra
le faisceau de Turck ou faisceau pyramidal direct. Cette lésion d'un faisceau pyramidal direct est toujours accompagnée d'une l
d'une lé- sion du même genre et qui occupe la partie postérieure du faisceau latéral du côté opposé dans une région toujours l
ont nous aurons à étudier les limites précises : cet espace répond au faisceau pyramidal croisé. Entre la base du triangle, qu
urface de section transver- Fi/7.46. — A, A, cordons latéraux. — A, faisceaux de Tûrck. —B, C, zones ra culaires postérieures.
es. — P, zone radiculaire antérieure. — E, cordons de Goll. sale du faisceau cérébelleux direct (Flechsig). Ces faisceaux céré
ordons de Goll. sale du faisceau cérébelleux direct (Flechsig). Ces faisceaux cérébelleux, eux aussi, peuvent être lésés systém
s antérieures et qui seule Fie/. 47. (D'après Flechsig).— F. p. d., faisceau pyramidal direct. — P. f. partie fondamentale. —
, faisceau pyramidal direct. — P. f. partie fondamentale. — F. c. d., faisceau cérébelleux direct. — F. p. c. faisceau pyramidal
tie fondamentale. — F. c. d., faisceau cérébelleux direct. — F. p. c. faisceau pyramidal croisé. — F. f., faisceau radiculaire.
au cérébelleux direct. — F. p. c. faisceau pyramidal croisé. — F. f., faisceau radiculaire. — F. G., faisceau de Goll. persist
c. faisceau pyramidal croisé. — F. f., faisceau radiculaire. — F. G., faisceau de Goll. persiste à l'état normal, après cette
l'état normal, après cette dissection opérée parla maladie, dans les faisceaux antéro-latéraux. Cette région a reçu les noms de
e zone radiculaire antérieure (Pierret) et de région fondamentale des faisceaux latéraux (Flechsig). Ajoutons que, en ce qui co
omie pathologique, les anciens cordons postérieurs décomposés en deux faisceaux secondaires et les anciens cordons latéraux divis
aisceaux secondaires et les anciens cordons latéraux divisés en trois faisceaux se-condaires. d) Mais ces faisceaux que la mala
rdons latéraux divisés en trois faisceaux se-condaires. d) Mais ces faisceaux que la maladie peut affecter isolément, comme par
uite, ce sont juste-ment, dans les cordons antéro-latéraux, les mêmes faisceaux pyramidaux croisés et directs que la maladie lèse
n les recherches de M. Flechsig, comme nous le verrons plus tard, ces faisceaux seraient en relation directe avec les régions mot
e, ne sont pas encore développées. 11 s'ensuit que, d'après cela, les faisceaux pyramidaux pourraient être consi-dérés comme une
M. Flechsig sur cet intéressant sujet du développement successif des faisceaux spinaux. Vous pou-vez vous assurer, par vous-même
pinales (Fig. 46). C'est ainsi qu'il vous sera facile de voir que les faisceaux spinaux où siègent les lésions systémati-ques, et
aisemblable, d'après les consi-dérations qui précèdent, que ces mêmes faisceaux doivent être doués encore d'autonomie fonctionnel
. 11 est impossible, à l'expérimentateur le plus habile, d'enlever un faisceau spinal dans toute sa longueur, opération à laquel
diffère en réalité profondé-ment, suivant que la lésion porte sur les faisceaux pyramidaux, sur les faisceaux cunéiformes, sur
, suivant que la lésion porte sur les faisceaux pyramidaux, sur les faisceaux cunéiformes, sur les cornes antérieures de substa
ubstance grise, et aussi suivant le mode, de la lésion qui occupe les faisceaux . Pour le moment, je me borne à relever ce fait
roblèmes pathologiques qui sont de son ressort. DEUXIÈME LEÇON Du faisceau pyramidal. — Développement de ce faisceau. Somm
sort. DEUXIÈME LEÇON Du faisceau pyramidal. — Développement de ce faisceau . Sommaire. —Affections systématiques de la moel
me, à la naissance le cerveau est un organe à peu près indifférent. Faisceaux pyramidaux croisés. — Faisceaux pyramidaux direct
t un organe à peu près indifférent. Faisceaux pyramidaux croisés. — Faisceaux pyramidaux directs (cordons de Tûrck). —Leur traj
erveux est en quelque sorte Fig. 48. — Région cervicale. —F. p. d., Faisceau pyramidal direct. — F.p. c, Faisceau pyramidal cr
. — Région cervicale. —F. p. d., Faisceau pyramidal direct. — F.p. c, Faisceau pyramidal croisé. exclusivement concentrée dans
e, privés de déterminations Fig. 49. — Région lombaire. — F. p. c., Faisceau pyramidal croisé. volontaires : tels, le lapin,
myéline. Or, vous voyez sur cette coupe de moelle épinière que quatre faisceaux bien nettement délimités sont respectés par le ré
mités sont respectés par le réactif, ce qui équivaut à dire que ces faisceaux ne sont pas encore développés. Ce sont : 1° les d
ces faisceaux ne sont pas encore développés. Ce sont : 1° les deux faisceaux dits pyramidaux directs] 2° les deux faisceaux py
Ce sont : 1° les deux faisceaux dits pyramidaux directs] 2° les deux faisceaux pyramidaux croisés. Et précisément ces faisceaux
directs] 2° les deux faisceaux pyramidaux croisés. Et précisément ces faisceaux corres-pondent aux régions occupées par la lésion
us dire l'intérêt qui s'attache pour nous à l'étude anatomique de ces faisceaux . Ils n'appartiennent pas exclusivement à la moe
logie. 1° Voyons donc, Messieurs, quel trajet parcourent ces quatre faisceaux pyramidaux, et commençons, si vous le voulez bien
faisceaux pyramidaux, et commençons, si vous le voulez bien, par les faisceaux croisés (Fig. 48 et 49). Immédiatement au-dessu
a moitié postérieure du cordon latéral où ils sont représentés par un faisceau compact de forme trian-gulaire, touchant en arriè
e nerveuse lui formant une sorte de manteau et cons- tituée par les faisceaux cérébelleux directs. Mais cette disposi-tion n'oc
supérieure du cordon médullaire; au-dessous de la région dorsale, les faisceaux cérébelleux s'épuisent, et, dans la région lombai
uisent, et, dans la région lombaire, où il n'en reste plus trace, les faisceaux pyramidaux croisés touchent à la pie-mère. Sur le
chent à la pie-mère. Sur les coupes transversales, le diamètre de ces faisceaux triangulaires diminue régulièrement de haut en ba
e cette diminution de diamè-re est le plus appréciable. 2° Pour les faisceaux pyramidaux antérieurs ou directs, dé-signés aussi
au contraire, ils descendent jusqu'à la région lombaire. Ces quatre faisceaux sont composés de fibres à direction parallèle, et
es et les cellules nerveuses sont déjà très développées alors que les faisceaux pyramidaux ne le sont pas encore ; elles ne passe
III. Maintenant, Messieurs, nous devons essayer de poursuivre les faisceaux pyramidaux dans la moelle allongée. En premier
oelle allongée. En premier lieu, il est bien facile de voir que les faisceaux pyramidaux spinaux ne sont autre chose qu'une éma
aux spinaux ne sont autre chose qu'une émanation, un prolongement des faisceaux pyramidaux bulbaires. Soit une coupe transversa
filets intra-bulbai-,res des nerfs hypoglosses, et tout le champ des faisceaux antéro-latéraux. Or, chacune des ces pyramides
-latéraux. Or, chacune des ces pyramides donne naissance à deux des faisceaux spinaux, un direct, un croisé. Le faisceau direct
onne naissance à deux des faisceaux spinaux, un direct, un croisé. Le faisceau direct descend dans l'intérieur du cordon antérie
scend dans l'intérieur du cordon antérieur correspondant; l'autre, ou faisceau croisé, s'entrecroise avec le faisceau cor-respon
eur correspondant; l'autre, ou faisceau croisé, s'entrecroise avec le faisceau cor-respondant qui se détache de l'autre pyramide
se détache de l'autre pyramide, et va gagner la partie postérieure du faisceau antéro-latéral où il occupe les rapports de situa
siste dans la Fig. 50 et 51, d'après Plechsig. — a, prédominance du faisceau pyramidal direct. — 6, type de décussation totale
nce du faisceau pyramidal direct. — 6, type de décussation totale. Le faisceau pyramidal direct fait défaut. semi-décussation
défaut. semi-décussation symétrique, chaque pyramide fournissant un faisceau direct et un faisceau croisé. Dans la grande majo
tion symétrique, chaque pyramide fournissant un faisceau direct et un faisceau croisé. Dans la grande majorité des cas, le faisc
eau direct et un faisceau croisé. Dans la grande majorité des cas, le faisceau direct est beaucoup moins important que le faisce
orité des cas, le faisceau direct est beaucoup moins important que le faisceau croisé. Il est représenté par 3,9 0/0 des fibres
l est représenté par 3,9 0/0 des fibres de la pyramide, tandis que le faisceau croisé renferme 97 ou 91 0/0 de ces fibres. Mais,
ffit de renverser les propor-tions que je viens de vous signaler : le faisceau direct est repré-senté par 90 0/0 du chiffre tota
est repré-senté par 90 0/0 du chiffre total des fibres tandis que le faisceau croisé ne contient seulement que 10 0/0 de ces fi
l'on peut le con-sidérer comme tout à fait négligeable ; et alors le faisceau di-rect l'emporte de beaucoup sur le faisceau cro
gligeable ; et alors le faisceau di-rect l'emporte de beaucoup sur le faisceau croisé, circonstance suffisante pour expliquer la
servé 11 fois sur 100. C'est la dé-cussationtotale; autrement dit les faisceaux directs manquent complètement. 36 type. Plus fr
ésigna-tion de type asymétrique. En pareil cas, il n'existe que trois faisceaux : une seule des pyramides se divise en deux faisc
xiste que trois faisceaux : une seule des pyramides se divise en deux faisceaux d'un direct, l'autre croisé ; la seconde, au cont
ler le remarqua-ble rapport de compensation qui existe entre les deux faisceaux issus d'une même pyramide, selon les cas auxquels
-ter dans certains cas à un état pathologique. TROISIÈME LEÇON Du faisceau pyramidal dans les pédoncules céré-braux, la caps
braux, la capsule interne et le centre ovale. Sommaire. — Trajet du faisceau pyramidal au-dessus de la région bulbaire. — Tr
rieur: opinion de M. Plechsig.—Développe-ment relativement précoce du faisceau pyramidal dans le pédoncule. Division de la cap
ntérieur, segment postérieur, genou de la capsule. — Localisa-tion du faisceau pyramidal dans le segment postérieur de la capsul
ceau pyramidal dans le segment postérieur de la capsule interne. Du faisceau pyramidal dans le centre ovale. — Observations ch
s avons re-trouvé dans le bulbe ces cordons pyramidaux réunis en deux faisceaux bien distincts que vous avez appris à connaître e
er plus haut encore et déterminer, autant que possible, le trajet des faisceaux pyramidaux dans les autres parties de l'isthme, c
s chez le nouveau-né (d'après Flechsig). — El, étage inférieur. — FP, faisceau pyramidal. l'heure, composaient les pyramides d
saient les pyramides du bulbe, ne se présentent plus sous l'aspect de faisceaux compactes ; ils se dissocient et s'entremêlent av
où nous allons les voir se reconstituer en quelque sorte à l'état de faisceaux bien limités. 2° Vous connaissez tous, Messieur
es com-muns. En avant de ce point, on distingue les prolongements des faisceaux antérieurs spinaux (partie fondamentale des fais-
ure et surtout dans la précédente, on peut remarquer que la région du faisceau pyraminal n'occupe que la quatrième partie enviro
dant de dedans en dehors). Telle est du moins l'étendue assignée à ce faisceau par M. Flechsig. Je dois dire qu'un certain nombr
fait entendre. Pour ce qui est des dégénérations secondaires dans le faisceau pyra-midal intra-pédonculaire, je suis en mesure
secondaire. — P, étage inférieur du côté sain. — L. locus niger. — P, faisceau interne de l'étage inférieur du côté malade. — D,
e la capsule et occupant une partie du trajet intra-hémis-phérique du faisceau pyramidal. l'adulte, cette partie est nettement
la région àupied; et c'est-là qu'il nous faut rechercher la trace des faisceaux pyramidaux. La section de l'étage inférieur péd
i, d'après M. Flechsig, représente les prolongements reconstitués des faisceaux pyra-midaux (Voy. la légende relative à la figure
ous le voyez, tandis que dans la moelle et le bulbe du nouveau-né les faisceaux pyramidaux se distinguaient des parties voisines
a lieu dans les pédoncules. Les fibres nerveuses qui composent les faisceaux pyrami-daux de l'étage inférieur sont déjà recouv
ement remarquable, puisqu'il semble indiquer que le développement des faisceaux pyramidaux procède du cerveau proprement dit. M.
ie de ses recherches. 3° Suivant M. Flechsig, vous l'avez prévu, le faisceau pyra-midal peut être suivi au-delà du pied dans l
pour une assez bonne partie au moins, n'est autre que l'expansion des faisceaux qui forment l'étage inférieur des pédoncules. A l
près M. Flechsig, chercher l'origine du trajet intra-hômisphérique du faisceau pyramidal. Dès l'époquo à laquelle nous le cons
faisceau pyramidal. Dès l'époquo à laquelle nous le considérons, ce faisceau pourrait être reconnu là, dans le segment postéri
égale étendue, c'est la ré-gion moyenne qui occuperait précisément le faisceau pyra-midal. Mais ce n'est pas tout : plus loin
Mais ce n'est pas tout : plus loin encore que la capsule im terne, le faisceau pyramidal peut être poursuivi jusque dans l'épais
u corps strié. Voilà bien la région où passe, suivant M. Flechsig, le faisceau pyramidal. Parvenues dans le centre ovale, les fi
faisceau pyramidal. Parvenues dans le centre ovale, les fibres de ce faisceau com-mencent àse dissocier, à s'éparpiller en tous
ens et il devient impossible de les suivre. Cependant, une portion du faisceau reste cohérente, et continue son chemin vers l'
corce grise dans laquelle vont se perdre les extrémités terminales du faisceau pyramidal appartient, vous le voyez, à la région
hes de M. Flechsig en ce qui concerne le trajet intra-encéphalique du faisceau pyrami-dal. Surplus d'un point, ces résultats sem
nous l'avons dit tout à l'heure, par bour-geonnement, pour former les faisceaux pyramidaux dans la capsule d'abord, puis dans le
la présence de fibres nerveuses revêtues de myéline. En ce point, les faisceaux du centre ovale se présentent sous la forme de de
grise (M. Parrot l'appelle anse rolandique), et se porte au-devant du faisceau précédent. Ces tractus blancs, vous le voyez bi
a description que donne M. Flechsig du trajet intra-hémisphérique des faisceaux pyrami-daux ; seulement, et c'est ici que l'opini
résultats obtenus par M. Parrot, il exis-terait pour cette partie du faisceau pyramidal, deux centres de formation : l'un siége
tent en rap-port avec le système bulbo-spinal par l'intermédiaire des faisceaux pyramidaux. Ici se terminent, Messieurs, les co
ons que j'ai voulu vous présenter concernant Tanatomie du système des faisceaux pyramidaux, faite d'après les documents fournis p
indispensable poui entreprendre l'étude des lésions systématiques des faisceaux pyramidaux, connues sous le nom de dégénérations
ance, le bulbe, la moelle épinière. — Degeneration excep-tionnelle du faisceau interne du pédoncule. — Divi-sion de l'étage infé
egenerative dans la région opto-striée. — Etudes de M. Flechsig. — Le faisceau pyramidal proprement dit n'est pas seul ca-pable
occupe au moins les deux tiers antérieurs du segment postérieur. — Le faisceau pos-térieur (fibres sensitives de Meynert) ne dég
tes des lésions secon-daires sont celles qui affectent le système des faisceaux pyra-midaux. Je relèverai par avance, Messieurs,
erai par avance, Messieurs, que toutes les lé-sions systématiques des faisceaux pyramidaux ne sont pas se-condaires ; il est des
que. La dégénération est ici de cause périphéri-que et siège dans les faisceaux postérieurs de la moelle épi-Bière. Les exemples
e ont pour carac-tère général d'affecter exclusivement le système des faisceaux pyramidaux et de se limiter, de se cantonner dans
ccupe qu'un des deux hémisphè-res, la dégénération se propage dans le faisceau pyramidal croisé du côté opposé ; si, au contrair
Messieurs, il s'agit là d'une lésion systématique par excellence. Les faisceaux voisins restent toujours indemnes, et (à moins de
doute, mais, Fig. 57. — A, dégénération dans le pédoncule cérébral ( faisceau pyramidal). — B, faisceau pédonculairc interne, d
A, dégénération dans le pédoncule cérébral (faisceau pyramidal). — B, faisceau pédonculairc interne, dégénérant quelquefois, mai
lairc interne, dégénérant quelquefois, mais exceptionnel-lement. — G, faisceau externe (centripète ?), ne dégénérant jamais. — D
re, qu'il s'agit bien là de lésions systématisées dans le domaine des faisceaux pyra-midaux. JV. Prenons la lésion secondaire
lement une asymétrie de la moelle épinière résultant de l'atrophie du faisceau antéro-latéral. C'est sous cet aspect que la lési
divisée en trois régions ; a) une région médiane représentée par le faisceau pyramidal dégénéré ; — b) une ré-gion externe, qu
galement à envisager par la suite, est envahie par la dégénération du faisceau pyramidal, ou même peut dégénérer pour son propre
ou même peut dégénérer pour son propre compte, sans participation du faisceau médian. Lorsqu'on a pratiqué des coupes minces
es de la région pé-donculaire, on peut s'assurer immédiatement que le faisceau médian dégénéré correspond exactement au faisceau
mmédiatement que le faisceau médian dégénéré correspond exactement au faisceau pyrami-dal, que l'anatomie de développement perme
tion topographique exacte de la lésion. 2° Dans la protubérance, le faisceau pyramidal dissocié est plus difficile à reconnaît
opres à la région. Cependant on distingue encore assez facilement les faisceaux secondaires dégénérés, surtout par comparaison
s les régions inférieu-res ou bulbaires de la protubérance, là où ces faisceaux se-condaires commencent à se rapprocher et à se g
procher et à se grouper de nouveau pour constituer un peu plus bas le faisceau pyrami-dal. 3° Dans toute l'étendue du bulbe, l
sversale de la moelle dans la région cervicale. - A, dé-génération du faisceau pyramidal dans un cas de lésion des centres moteu
as de lésion des centres moteurs hémisphériques. — B, dégénération du faisceau direct. -- C, espace de subs-tance blanche corres
faisceau direct. -- C, espace de subs-tance blanche correspondant au faisceau cérébelleux. — D, région intermé-diaire entre la
ébelleux. — D, région intermé-diaire entre la corne postérieure et le faisceau pyramidal ; cette région est toujours respectée d
des olives. La lésion bulbaire est exactement circonscrite dans le faisceau pyramidal du côté de la lésion encéphalique primo
orrespondant à la lésion cérébrale; et du côté opposé à la lésion, le faisceau pyramidal croisé (Fig. 58). Vous voyez, Messieurs
si queje l'avais annoncé, littéralement cantonnée dans le système des faisceaux pyramidaux. V. Après avoir déterminé la topog
blance, en dedans U) Yoy. Première Partie, Leçon VlII, p. 103. du faisceau des fibres pyramidales qui s'entrecroisent au ni-
midales qui s'entrecroisent au ni-veau de la décussation bulbaire, un faisceau de fibres centri-fujes provenant du segment antér
ésen- (l) Voy. p. m, fées dans le pied du pédoncule par les trois faisceaux dont il a été déjà question : 1° en dedans, un fa
ar les trois faisceaux dont il a été déjà question : 1° en dedans, un faisceau correspondant à tout le segment antérieur de la c
e segment antérieur de la capsule (celui-là dégénère rarement); 2° un faisceau médian qui répond aux deux tiers antérieurs du se
sule, sont les seules qui déterminent la dégénération descendante des faisceaux pyramidaux. Or cette région de la capsule est pré
CINQUIÈME LEÇON Dégénérations secondaires [mite). — Délimitation du faisceau pyramidal dans le manteau de l'hémis-phère. Som
olutions. — Hitzig, Ferrier, Betz, Bcvan Lewees. Vue schématique du faisceau pyramidal dans l'hémisphère cérébral, — Région ro
nt intéresser pour qu'il s'en suive une dégénéra-tion descendante des faisceaux pyramidaux. I. Pour atteindre sûrement le but
soit leur étendue, ne pro-duisent pas la dégénération descendante du faisceau pyramidal. II. Telle est, en résumé, Messieur
entral, produisent des dégénérations secon-daires très accentuées des faisceaux pyramidaux. Les lésions en foyer intéressant le
ons superficielles, des dé-générations secondaires très accentuées du faisceau pyrami-dal (2). Pour en finir avec l'histoire p
tion secondaire se produise, est que le foyer intéresse le trajet des faisceaux pyramidaux. S'il en est ainsi, un foyer même très
t par exemple, devra déterminer une dégénération descendante des deux faisceaux pyramidaux. Cette combinaison s'est trouvée réali
amides ; il en est résulté une dégénération secondaire symétrique des faisceaux pyramidaux, qu'on pouvait suivre dans toute l'éte
Amyotrophies consécutives. Sommaire. — Les lésions dégenératives du faisceau pyramidal permettent d'é-tablir nettement les rap
amidal permettent d'é-tablir nettement les rapports anatomiques de ce faisceau . — La terminaison des fibres de ce faisceau dans
apports anatomiques de ce faisceau. — La terminaison des fibres de ce faisceau dans la moelle épinière donne matière à plusieurs
Il existe donc autre chose que des rapports de contiguïté entre le faisceau pyramidal et la substance grise delà moelle épini
ui n'ont pas trouvé place dans l'exposé qui précède. L'anatomie des faisceaux pyramidaux, faite d'après l'étude du développemen
s faisceaux pyramidaux, faite d'après l'étude du développement de ces faisceaux et des dégénérations des-cendantes qui s'y produi
se terminent ces fibres ? Nous avons reconnu que dans la moelle, le faisceau pyra-midal s'amoindrit progressivement à mesure q
es constituent s'épuisent peu à peu dans le parcours descendant de ce faisceau à travers les di-verses régions spinales. D'un au
s qui semblent être une émanation directe des fibres constituantes du faisceau pyramidal, plusieurs hypothèses se présentent: ou
rieures est Fig, 61. — Schéma indiquant l'ensemble de l'appareil du faisceau pyrami-dal depuis les cellules de l'écorce grise
Cylindres axes. — C, Cylindres axes recouverts de myéline formant le faisceau pyramidal dans le cordon latéral de la moelle épi
déjà très avancé. Il n'y a donc pas continuité entre les fibres des faisceaux pyramidaux et les fibres des racines anté-rieures
générations descendantes. En effet, alors même que la lésion d'un des faisceaux pyramidaux est des plus prononcées, il est de règ
La substance grise de la corne antérieure elle-même, au voisinage du faisceau pyramidal dégénéré, ne laisse voir égale-ment, da
physiologie le démontre — des relations médiates avec les fibres des faisceaux pyramidaux. Cette hypothèse, comme vous allez en
artie la plus externe et à la partic antéro-interne. — C, sclérose du faisceau pyramidal dans le cordon latéral. (D'après Pitres
es comme dans ceux qui l'ont précédé, la dégéné-ration descendante du faisceau pyramidal ne présentait au-cune anomalie dans sa
termes, on ne trouvait nulle part d'extension directe de la lésion du faisceau latéral à la corne antérieure correspon-dante.
uivant le trajet et par la voie des fibres nerveu-ses qui, partant du faisceau pyramidal, gagnent les cornes antérieures de subs
e. L'anatomie indique que cette relation s'établit à l'aide de petits faisceaux de fibres nerveu-ses, qui, de distance en distanc
x de fibres nerveu-ses, qui, de distance en distance, se détachent du faisceau pyramidal, une étude attentive permettra peut-êtr
rations secondaires de cause spinale. — Dé-générations ascendantes du faisceau cérébelleux et descendantes du faisceau pyramidal
Dé-générations ascendantes du faisceau cérébelleux et descendantes du faisceau pyramidal. Sommaire. — Degenerations secondaire
descendantes. Dégénérations ascendantes. — Celles-ci portent sur les faisceaux latéraux et sur les faisceaux postérieurs. — Fais
scendantes. — Celles-ci portent sur les faisceaux latéraux et sur les faisceaux postérieurs. — Faisceaux céré-belleux de Flechsig
ortent sur les faisceaux latéraux et sur les faisceaux postérieurs. — Faisceaux céré-belleux de Flechsig. Dégénérations dans le
le. -- Elles n'ont lieu que quand la lésion destructive porte sur les faisceaux blancs . — Cas de l'hémiparaplégie spinale avec a
e cette observation. -- Double entrecroisement de certaines fibres du faisceau pyramidal. Messieurs, Jusqu'à présent, nous n
sieurs, Jusqu'à présent, nous nous sommes exclusivement occu-pés du faisceau pyramidal, et nous n'avons envisagé cet appareil
aires de cause spinale, tout en conservant pour principal objectif le faisceau pyramidal dont l'histoire doit nous occuper parti
n lésée, porte indistinctement sur la substance grise et sur tous les faisceaux blancs tant antérieurs que postérieurs : c'est ce
r, dans l'étendue de un ou deux centimètres au plus, toute l'aire des faisceaux antéro-latéraux est altérée ; seuls les faisceaux
s, toute l'aire des faisceaux antéro-latéraux est altérée ; seuls les faisceaux postérieurs restent indemnes. b) Plus bas, voic
, voici ce que l'on observe : deux bandelettes de sclérose dans les faisceaux antéro-latéraux représentent la lésion dégénérati
les cordons de Tûrck. Dans la portion latérale proprement dite des faisceaux antéro-latéraux, la dégénération n'occupe que les
rdons de Tilrck disparais-sent rapidement, à moins d'anomalie, et les faisceaux pyrami-daux seuls conservent les caractères de la
es. — Les dégénôralions as-cendantes portent sur deux points : a) les faisceaux latéraux ; h) les faisceaux postérieurs. a) La
endantes portent sur deux points : a) les faisceaux latéraux ; h) les faisceaux postérieurs. a) La lésion des faisceaux antéro-
faisceaux latéraux ; h) les faisceaux postérieurs. a) La lésion des faisceaux antéro-latéraux n'a rien de com-mun avec la lésio
x antéro-latéraux n'a rien de com-mun avec la lésion descendante. Les faisceaux pyramidaux sont ici absolument indemnes. Ils ne s
Ils ne sont pas capables de dégénération par en haut, de même que les faisceaux posté-rieurs ne sont pas capables de dégénération
trouve dans les corps restiformes et jusqu'au niveau du cervelet Le faisceau qui subit cette dégénération ascendante en semb
dans les parties inférieures de la moelle dor-sale ou au-dessous. Le faisceau en question, que M. Flechsig désigne sous le nom
sous. Le faisceau en question, que M. Flechsig désigne sous le nom de faisceau cérébelleux direct, augmente Fig. 63.— A, Coupe
e épinière (région dorsale supérieure). — B, Région cervicale. — F c, Faisceau cérébelleux dégénéré au-dessus de la lé-sion spin
ant à présent, fort obscures. Je n'ai rien de plus à vous dire sur ce faisceau dont la lésion ascendante, que l'on sache, ne se
traduit par aucun symptôme particulier. i) La lésion ascendante des faisceaux postérieurs offre plus d'intérêt. A. Immédiatem
sus du foyer, dans l'étendue de deux ou trois centimèties au plus, le faisceau postérieur est lesé dans toute son étendue. B.
res delà moelle épinière (renflement cervico-brachial), correspond au faisceau de Goll. (Voy. Fig. 63, G c.) La dégénération peu
Goll. (Voy. Fig. 63, G c.) La dégénération peut, d'ailleurs, comme le faisceau lui-même, être suivie par en haut dans les pyrami
d dans quelques dé-, veloppements relativement à cette altération des faisceaux postérieurs, que nous rencontrons pour la premièr
escendantes, n'ont lieu que quand la lésion destructive porte sur les faisceaux blancs. Ainsi, les altérations même profondes de
dégé-nérations descendantes, à moins de propagation accidentelle aux faisceaux blancs. 2° Dans les faisceaux blancs, au contra
moins de propagation accidentelle aux faisceaux blancs. 2° Dans les faisceaux blancs, au contraire, la lésion consé-cutive est
mitive est du domaine du cordon antéro-latéral et si elle respecte le faisceau pyramidal, cette dégénération sera peu étendue, c
vient, lorsque la lésion en foyer intéresse uniquement les fibres des faisceaux postérieurs. B. A présent, il nous faut un inst
e vertèbre dorsale (sclérose des deux cordons postérieurs et des deux faisceaux cérébelleux). — 3, Au-dessus, la dégenération n'o
bas, à la hauteur de la 7e ou 8e vertèbre dorsale, la dégénération du faisceau latéral droit est accompagnée d'une dégénération
ation du faisceau latéral droit est accompagnée d'une dégénération du faisceau pyramidal gauche. à savoir une lésion transvers
utopsie démontre que la lé-sion destructive intéressait latotalité du faisceau antéro-latéral gauche et la totalité des faisceau
ssait latotalité du faisceau antéro-latéral gauche et la totalité des faisceaux postérieurs. Au-dessus de ce foyer, circonscrit n
s venons d'indiquer, on constate une dégénération secondaire des deux faisceaux de Goll ; et au-dessous on distingue, dans l'aire
dans l'aire du cordon antéro-latéral, le triangle de dégénération du faisceau pyramidal gauche. C'est ainsi, remarquez-le bien,
le bien, que les choses se pass mt en général pour ce qui concerne le faisceau pyramidal. Mais, voici une exception à la règle
xplication serait autrement assez difficile. J'ai vu parfois les deux faisceaux latéraux affectés par une lésion unilatérale. L'a
lement le cordon antéro-latéral droit dans sa totalité, mais aussi le faisceau pyramidal gauche. (1) Voy. Œuvres complètes. Le
ans la dernière séance, à propos du mode de terminaison des fibres du faisceau pyra-midal dans la substance grise. Je disais que
commissure anté-rieure, surtout dans la région dorsale et gagnent le faisceau la-téral du côté opposé, pour descendre avec lui
foyer. HUITIÈME LEÇON Degenerations ascendantes de cause spinale; faisceaux de Goll et faisceaux de Burdach. — Dégénérations
ON Degenerations ascendantes de cause spinale; faisceaux de Goll et faisceaux de Burdach. — Dégénérations spinales de cause pér
eurs. — Travaux de Pierret, de Kolliker ,—Apparition indépendante des faisceaux de Goll et du faisceau de Burdach. ^D$isron ultér
et, de Kolliker ,—Apparition indépendante des faisceaux de Goll et du faisceau de Burdach. ^D$isron ultérieure des deux appareil
ar les sillons postérieurs intermé-diaires de Sappey. Structure des faisceaux de Goll. — Noyaux de ces faisceaux sur le plan-ch
diaires de Sappey. Structure des faisceaux de Goll. — Noyaux de ces faisceaux sur le plan-cher du quatrième ventricule. — Struc
s faisceaux sur le plan-cher du quatrième ventricule. — Structure des faisceaux de Burdach. Lésions systématiques isolées, soit
s faisceaux de Burdach. Lésions systématiques isolées, soit dans le faisceau de Goll, soit dans le faisceau de Burdach. — Les
ns systématiques isolées, soit dans le faisceau de Goll, soit dans le faisceau de Burdach. — Les lésions du faisceau de Goll ne
faisceau de Goll, soit dans le faisceau de Burdach. — Les lésions du faisceau de Goll ne donnent pas lieu aux symptômes de l'at
mpression de la moelle épi-nière produisant la dégénération totale du faisceau de Goll et la dégénération partielle du faisceau
génération totale du faisceau de Goll et la dégénération partielle du faisceau de Burdach. Dégénérations de cause périphérique
scendantes de cause spinale ; je veux parler surtout de la lésion des faisceaux postérieurs. Mais, au-paravant, vous devez être r
renseignés sur quelques particulari-tés de l'anatomie normale de ces faisceaux . Il s'agit d'abord de reconnaître que, dans tou
de reconnaître que, dans toute la hauteur de la moelle épinière, les faisceaux postérieurs décrits en ana-tomie descriptive ne c
ul et même système. Au contraire, ils doivent être décomposés en deux faisceaux secondaires représentant, en quelque sorte, deux
r sous ma direction. 1 A. Un mot d'abord sur le développement des faisceaux pos-térieurs. a) Chez l'embryon humain de six s
isceaux pos-térieurs. a) Chez l'embryon humain de six semaines, les faisceaux postérieurs ne sont encore représentés que par de
e deux mois. — a,b, c, etc., comme dans les figures précédentes. — l, Faisceau latéral. — 7n, Développement des faisceaux de Col
s figures précédentes. — l, Faisceau latéral. — 7n, Développement des faisceaux de Coll. — n, Développement des faisceaux de Turc
al. — 7n, Développement des faisceaux de Coll. — n, Développement des faisceaux de Turck (faisceaux antérieurs.) Ce sont là les
ent des faisceaux de Coll. — n, Développement des faisceaux de Turck ( faisceaux antérieurs.) Ce sont là les rudiments des faisc
ceaux de Turck (faisceaux antérieurs.) Ce sont là les rudiments des faisceaux de Burdach ; les faisceaux médians ou faisceaux
ntérieurs.) Ce sont là les rudiments des faisceaux de Burdach ; les faisceaux médians ou faisceaux de Goll ne sont pas encore
à les rudiments des faisceaux de Burdach ; les faisceaux médians ou faisceaux de Goll ne sont pas encore développés. Fig, 69.
ui-tième semaine sous forme de deux bourgeons qui semblent émaner des faisceaux de Burdach. Toujours est-il que, vers la dixièm
e la hauteur de la moelle. c) Par les progrès du développement, les faisceaux de Goll, dans certaines régions, se fusionnent av
les faisceaux de Goll, dans certaines régions, se fusionnent avec les faisceaux de Burdach, sans toutefois se confondre avec eux.
ons, sur des pièces durcies, montre à son tour ce qui suit : a) Les faisceaux de Goll sont composés de fibres parallèles, à lon
t sur le'plancher du quatrième ventricule et qu'on appelle noyaux des faisceaux de Goll. Remarquez encore que les faisceaux de Go
qu'on appelle noyaux des faisceaux de Goll. Remarquez encore que les faisceaux de Goll n'ont aucune con-nexion avec le prolongem
ra-spinal des racines posté-rieures. b) Il n'en est pas de même des faisceaux de Burdach qui, eux, au contraire, sont traversés
ris), après avoir traversé, suivant un chemin beaucoup plus long, les faisceaux de Burdach où elles dessinent une courbe à convex
rieures ne constitue pas à lui seul, tant s'en faut, la tota-lité des faisceaux de Burdach. La grande masse de ces fais-ceaux est
ibres verticales, ar-ciformes beaucoup plus courtes que les fibres du faisceau de Goll, et qui s'intriquent dans des directions
rangement des fibres nerveuses, la constitution particulière des deux faisceaux du cordon postérieur. C) Vous venez devoir, Mes
structure concourent à démontrer l'indépendance mutuelle de ces deux faisceaux . Voici mainte-nant une vérification nouvelle, et
i, cette fois, nous est four-nie par l'anatomie pathologique. a) Le faisceau de Goll a pu se montrer,dans certains cas, lésé i
ystématiquement,dans toute son étendue,sans par-ticipation aucune des faisceaux de Burdach : celaaété démon-tré par M. Pierret à
té rencontré depuis par d'autres observateurs, et toujours on a vu le faisceau se dessiner net-tement dans toute la hauteur de l
deux petits nodules, circonscrits de toutes parts par les fibres des faisceaux de Burdach. Ces deux faisceaux ont, en effet, dan
its de toutes parts par les fibres des faisceaux de Burdach. Ces deux faisceaux ont, en effet, dans cette région,une importance
postérieures qu'ils reçoivent. A la région dorsale, au contraire, les faisceaux médians l'empor-tentpar leurs dimensions sur les
raire, les faisceaux médians l'empor-tentpar leurs dimensions sur les faisceaux de Burdacli. Enfin, à la région cervicale, les fa
ions sur les faisceaux de Burdacli. Enfin, à la région cervicale, les faisceaux de Burdacli deviennent de nouveau considérables ;
faisceaux de Burdacli deviennent de nouveau considérables ; mais les faisceaux de Goll ne sont pas pour cela moins volumineux, e
ymptômes observés dans les cas de lésions isolées, systématiques, des faisceaux de Goll, ne sont pas ceux de l'ataxie locomotrice
omotrice progressive. b) Ce qui vient de se présenter, à propos des faisceaux de Goll, se reproduit également pour ce qui a tra
des faisceaux de Goll, se reproduit également pour ce qui a trait aux faisceaux de Burdacli. Ceux-ci peuvent, eux aussi, subir un
tion isolée, autonome en quelque sorte, sans aucune participation des faisceaux de Goll. Ainsi, chez un sujet qui présentait tous
en clans les mem-bres inférieurs que dans les membres supérieurs, les faisceaux de Burdach étaient seuls lésés, et cela dans tout
lésés, et cela dans toute la hauteur de la moelle épinière. Quant aux faisceaux de Goll, ils étaient absolument indemnes : le mêm
e de com-prendre la disposition singulière que présente la lésion des faisceaux postérieurs,quand elle résulte de la compression
effet la destruction, sur un point de leur' parcours, des fibres des faisceaux de Goll et de celles des fais- ceaux do lîurduo
lîurduoh.La lésion, portant sur les fibres commissu-rales courtes du faisceau de Burdadi, détermine par en haut une dégénératio
rdadi, détermine par en haut une dégénération à court trajet dans ces faisceaux , et nous ver-rons tout à l'heure pour quelle rais
ésion, en tant qu'elle porte sur les longues fibres commissurales des faisceaux de Goll, déter-mine une degeneration également as
ceaux de Goll, déter-mine une degeneration également ascendante de ce faisceau , laquelle pourra être suivie dans toute l'étendue
ule. Fig. 71. — A, Sclérose de la totalité des cordons postérieurs ( faisceaux de Goll et zones radicuîaires). — Ataxic locomotr
Fig. 72. — B, Sclérose des deux zones radicuîaires postérieures (les faisceaux de Goll sont respectés). — Ataxic locomotrice.
espectés). — Ataxic locomotrice. Fig. 73. — G, Sclérose limitée aux faisceaux de Goll (dégénération ascen-dante). tl) Si main
us imaginez le cas d'une myélite trans verse partielle et limitée ail faisceau postérieur, le résulLat sera absolument le même a
ations ascendantes. La lésion fondamen-tale porte à l'origine sur les faisceaux radicuîaires dans toute la hauteur de larégion do
, et gagne ainsi, d'un côté, les cornes postérieures, de l'autre, les faisceaux de Goll. La conséquence de celte propagation est
x de Goll. La conséquence de celte propagation est que les fibres des faisceaux de Goll, étant intéressées dans la partie inférie
en une tumeur sarcomateuse ou myxomateuse qui englobe et comprime les faisceaux nerveux. Il n'est pas douteux, Messieurs, que la
ractérisée alors ainsi qu'il suit : 1° elle occupe exclu-sivement les faisceaux postérieurs ; 2° dans la région lom-baire, le fai
-sivement les faisceaux postérieurs ; 2° dans la région lom-baire, le faisceau postérieur est envahi totalement dans son étendue
t dans son étendue transverse ; 3° mais au-dessus de cette région, le faisceau de Goll est seul affecté, et il l'est totalement
suivie dans le trajet intra-spinal, c'est-à-dire dans l'épaisseur des faisceaux de Burdach. La lésion qui, à un moment donné, rev
ctère inflammatoire se communique aux fibres commissurales courtes du faisceau , et, de proche en proche, elle gagne dans la régi
sceau, et, de proche en proche, elle gagne dans la région lombaire le faisceau de Goll, qui, suivant la règle, dégénère par en h
condaire de ce genre, reconnaître à l'autopsie une lésion limitée aux faisceaux de Burdach et n'intéressant pas encore les faisce
sion limitée aux faisceaux de Burdach et n'intéressant pas encore les faisceaux de Goll. L'avenir apprendra s'il en est réellemen
. — Lois de Waller, Dégénérations descendantes et ascendantes — Les faisceaux qui dégé-nèrent par en bas sont comparables aux n
sont comparables aux nerfs centrifuges des racines anté-rieures, Les faisceaux qui dégénèrent par en haut sont assimilables aux
ent de tous points aux dégénérations pathologiques chez l'homme. — Le faisceau pyra-midal n'est pas compact chez le chien. —Diff
xpliqué. Si nous savons, par exemple, que la dégénération de certains faisceaux de la moelle se fait constamment dans le sens asc
mment dans le sens ascendant, tandis que la dégénéra- lion d'autres faisceaux se fait invariablement en sens inverse, nous igno
ation peut être suivie dans toute rétendue du trajet intra-spinal des faisceaux radi-culaires jusqu'à la substance grise ; de tel
de ces données aux dégénérations secondaires spinales. Les fibres des faisceaux qui dégénèrent par en bas, au-dessous du point lé
centrifuges issus des racines antérieures. De ce nombre sont : Io les faisceaux pyramidaux composés de fibres dont le centre trop
de l'écorce grise de la région rolandique ; 2° les fibres courtes des faisceaux laté-raux, dont les origines se superposent de ha
bas dans les divers points du centre gris spinal. Au contraire, les faisceaux qui dégénèrent par en haut sont assimilables aux
dont le centre trophique est périphérique. De ce nombre sont : Io les faisceaux céré-belleux directs dont le cenlre trophique est
, tandis que leur centre de terminaison est dans le cervelet ; 2° les faisceaux de Goll dont le centre trophique occupe la substa
a même interprétation s'applique aux fibres commissurales courtes des faisceaux de Burdach, qui, elles également, dégénèrent de b
oit chez l'homme en pareil cas, à savoir, dégénération ascendante des faisceaux de Goll et de la partie postéro-latérale des fais
ascendante des faisceaux de Goll et de la partie postéro-latérale des faisceaux latéraux qui correspond aux faisceaux cérébelleux
la partie postéro-latérale des faisceaux latéraux qui correspond aux faisceaux cérébelleux directs. 2° Mais ce sont surtout le
f à la partie antérieure où la dégénération est bien circonscrite aux faisceaux de Tùrck. En 13, dégénéra-tion des cordons de Gol
ux faisceaux de Tùrck. En 13, dégénéra-tion des cordons de Goll et du faisceau cérébelleux direct. comparées à ce qu'on voit c
res pyramida-les ne forment pas généralement, comme chez l'homme, des faisceaux compactes (les fibres des faisceaux pyramidaux di
ralement, comme chez l'homme, des faisceaux compactes (les fibres des faisceaux pyramidaux directs font cependant exception); et,
emblait résulter des expériences de MM. Albertoni et Michieli, que le faisceau blanc perd son excitabi-lité quatre jours après l
é de biologie, MM. Franck et Pitres ont établi que la dégêncration du faisceau pyramidal chez le chien peut affecter les m^mcs c
s anatomiques que chez l'homme. Jus-qu'en certain point les fibres du faisceau pyramidal sembleraient donc se réunir en un group
s degenerations secon-daires. Analyse expérimentale des fonctions des faisceaux pyramidaux. Sommarre. — Tous les faisceaux blan
entale des fonctions des faisceaux pyramidaux. Sommarre. — Tous les faisceaux blancs de la moelle sont capables de dégé-nératio
ux blancs de la moelle sont capables de dégé-nération systématique. — Faisceaux à fibres longues. — Faisceaux a fibres courtes. —
pables de dégé-nération systématique. — Faisceaux à fibres longues. — Faisceaux a fibres courtes. — Schéma. Cordons postérieurs
ues. — Faisceaux a fibres courtes. — Schéma. Cordons postérieurs. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach et faisceaux
courtes. — Schéma. Cordons postérieurs. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach et faisceaux du Goll. —Faisceaux extri
dons postérieurs. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach et faisceaux du Goll. —Faisceaux extrinsèques. — Faisceau céré
Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach et faisceaux du Goll. — Faisceaux extrinsèques. — Faisceau cérébelleux direct. Co
Faisceaux de Burdach et faisceaux du Goll. —Faisceaux extrinsèques. — Faisceau cérébelleux direct. Cordons antéro-latéraux. —
insèques. — Faisceau cérébelleux direct. Cordons antéro-latéraux. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux extrin-sèques. — Faisce
elleux direct. Cordons antéro-latéraux. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux extrin-sèques. — Faisceau pyramidal. Résultats
téro-latéraux. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux extrin-sèques. — Faisceau pyramidal. Résultats fournis par l'expérimentat
Faisceau pyramidal. Résultats fournis par l'expérimentation. — Les faisceaux antéro-latéraux sont-ils excitables? L'excitabili
Les faisceaux antéro-latéraux sont-ils excitables? L'excitabilité du faisceau pyramidal est manifeste chez l'homme, dans tout l
est manifeste chez l'homme, dans tout le trajet cérébro-spinal de ce faisceau . — Expériencesz de Vulpian, Schiff. — Hémisection
émisections spinales. — Vivisections de Woros-chiloff. — Influence du faisceau pyramidal sur l'activité réflexe de la moelle épi
aisceau pyramidal sur l'activité réflexe de la moelle épinière. — Les faisceaux pyramidaux sont les conducteurs des incitations v
nière. I. De tout ce qui précède, vous avez pu conclure que les faisceaux blancs qui composent le manteau Ae la moelle épi-
cet égard, il y a deux catégories à établir. A. Quelques-uns de ces faisceaux sont constitués par des fibres longues, c'est-à-d
ondaires qu'on peut appeler à long trajet. De1 ce nombre sont: a) les faisceaux pyramidaux (dégénération. descendante) ; ¡3) le
: a) les faisceaux pyramidaux (dégénération. descendante) ; ¡3) les faisceaux de Goll (dégénération ascen-dante) ; y) les faisc
ante) ; ¡3) les faisceaux de Goll (dégénération ascen-dante) ; y) les faisceaux cérébelleux directs (dégénération ascendante).
aisceaux cérébelleux directs (dégénération ascendante). B. D'autres faisceaux sont constitués par des fibres cour- £ig. 75. —
'autres faisceaux sont constitués par des fibres cour- £ig. 75. —A, faisceaux antérieurs. -- B, faisceaux postérieurs. — R, cir
itués par des fibres cour- £ig. 75. —A, faisceaux antérieurs. -- B, faisceaux postérieurs. — R, circon-; volutions rolandiques.
rvelet. — Ra, racines antérieures. -- Rp, raci-nes postérieures. — F, faisceau pyramidal. — Fc, fibres intrinsèques centri-fuges
ntri-fuges (cordons antérieurs).— K, fibres extrinsèques centripètes ( faisceau céré^ belleux direct). — Fp, fibres intrinsèques
aisceau céré^ belleux direct). — Fp, fibres intrinsèques centripètes ( faisceau de Burdach). - G, fibres longues postérieures (co
gues postérieures (cordon de Goll). tes. De ce nombre sont : a) les faisceaux antéro-latéraux-, ou mieux, ce qui reste de ces f
nt : a) les faisceaux antéro-latéraux-, ou mieux, ce qui reste de ces faisceaux quand on fait abstraction •des faisceaux pyramida
u mieux, ce qui reste de ces faisceaux quand on fait abstraction •des faisceaux pyramidaux et des faisceaux cérébelleux directs.
faisceaux quand on fait abstraction •des faisceaux pyramidaux et des faisceaux cérébelleux directs. Us dégénèrent de haut en bas
ète. Il s'agit d'indiquer la relation de l'axe gris avec les divers faisceaux de fibres blanches, qui com-posent le manteau. 11
osent le manteau. 11 y a lieu de considérer ici, successive-ment, les faisceaux antéro-latéraux et les faisceaux postérieurs. Nou
considérer ici, successive-ment, les faisceaux antéro-latéraux et les faisceaux postérieurs. Nous commencerons par ces derniers.
aisceaux postérieurs. Nous commencerons par ces derniers. Parmi les faisceaux qui composent les cordons postérieurs, les uns pe
Bouchard), Les intrinsèques se ramènent à deux groupes : 1° dans les faisceaux de Burdach, les fibres intrinsèques sont des comm
n bas, et dégénère, vous le savez, dans le sens ascendant. 2° Dans le faisceau de Goll, au contraire, on trouve des fibres commi
r ce qui est des éléments extrinsèques, ils sont représen-tés par les faisceaux cérébelleux directs qui, par leur extrémité infér
ainsi en relation avec la moelle épinière proprement dite. Dans les faisceaux antéro-latéraux, il y a également à con-sidérer d
les dégénèrent de haut en bas. Quant aux fibres extrinsèques de ces faisceaux elles ne sont autres que les faisceaux pyramidaux
aux fibres extrinsèques de ces faisceaux elles ne sont autres que les faisceaux pyramidaux, tant directs que croisés; et, pour ce
des plus fructueuses. II ne paraît pas douteux ac-tuellement que ces faisceaux sont comme un pont, comme une véritable commissur
divers étages de l'axe gris. L'origine des fibres qui constituent ces faisceaux est dans l'écorce des circonvolu-tions, probablem
ie pût nous éclairer sur le fonc-tionnement particulier de chacun des faisceaux secondaires, que l'anatomie de développement et l
faites récemment à cet égard, et qui relèvent le rôle particulier des faisceaux pyramidaux dans la transmission des incitations v
i° En ce qui concerne les dégénérations ôjui se produisent dans les faisceaux antéro-latéraux lorsque leurs fibres sont in-terr
vant les mômes lois que les nerfs périphéri-ques centrifuges. Or, tes faisceaux antéro-latéraux peuvent-ils être rapprochés encor
térieures..ne santpas un simple prolongement des tubes nerveux de ces faisceaux ; _(eiles en sont séparées par les cellules gangl
nc pas identité, et l'on ne doit s'attendre qu'à des analogies. Les faisceaux antéro-latéraux sont-ils excitables comme le sont
Vulpian et par celles plus récentes de MM. Fick et Engelken, que les faisceaux antéro--latéraux sont par eux-mêmes excitables co
rcher si les cordons pyramidaux sont plus ou moins excitables que les faisceaux antérieurs. Or, l'expérimentation dans ces recher
auteurs s'accordent à recon-naître que, chez le chien, c'est dans les faisceaux antérieurs que d'excitabilité est le plus prononc
hez le chien, où, d'après les observations de M. Schiefferdecker, les faisceaux de ïiirck appartenant au système des faisceaux py
. Schiefferdecker, les faisceaux de ïiirck appartenant au système des faisceaux pyramidaux et composés parconséquent de fibres lo
. Cependant, en est-il de même chez l'homme, où, au con-traire, les faisceaux de Tiirck ont peu d'importance, les faisceaux ant
où, au con-traire, les faisceaux de Tiirck ont peu d'importance, les faisceaux antérieurs proprement dits étant composés de. lib
omposés de. libres commis- surales courtes, c'est-à-dire formant un faisceau dont le trajet est interrompu à chaque instant pa
ainsi. D'ailleurs nous connais-sons l'excitabilité du prolongement du faisceau pyramidal dans le manteau de l'écorce cérébrale,
excitabilité doit exister dans toute l'étendue du prolongement de ces faisceaux dans la moelle épinière. 2° A. On convient asse
citations mo-trices volontaires se fait exclusivement par la voie des faisceaux blancs antéro-latéraux. C'est du moins ce que les
ez la gre-nouille (et a fortiori chez les mammifères), la section des faisceaux latéraux à la région dorsale — les faisceaux post
mifères), la section des faisceaux latéraux à la région dorsale — les faisceaux posté-rieurs et la substance grise étant épargnés
érience, mais encore les jours suivants. Au contraire, la section des faisceaux postérieurs et de la substance grise laisse persi
rtain degré. Cela tient à l'existence de commissures qui unissent les faisceaux antéro-latéraux d'un côté aux faisceaux correspon
commissures qui unissent les faisceaux antéro-latéraux d'un côté aux faisceaux correspondants de l'autre côté. Mais, si vous pra
légie complète absolue de la motilité. III. Mais sont-ce bien les faisceaux antéro-latéraux en bloc qui transmettent ainsi le
ainsi les ordres de la volonté, ou sont-ce plus par-ticulièrement les faisceaux pyramidaux? L'expérimentation a presque toujours
ette analyse. « Une vivisection coupant isolément et complètement les faisceaux antérieurs ou les faisceaux latéraux, dit M. Vulp
ion coupant isolément et complètement les faisceaux antérieurs ou les faisceaux latéraux, dit M. Vulpian, n'est pour ainsi dire p
à produire des combinaisons qui lui ont permis de dégager le rôle des faisceaux pyramidaux dans la transmission des incita-tions
dans les expériences de Woroschiloff, de recon-naître l'influencedes faisceaux spinaux sur l'exécution de quel-ques mouvements v
'il s'agit surtout, vous le voyez, de dégager la fonction spéciale du faisceau pyramidal. 1° La section des faisceaux postérie
gager la fonction spéciale du faisceau pyramidal. 1° La section des faisceaux postérieurs ne modifie en rien les mouvements vol
Il n'y a donc pas de fibres longues, directement cérébrales, dans les faisceaux antérieurs (Fig. 77). 3°La substance grise peut
peut être coupée dans toute son éten- Fig. 76. Fig. 77. due, les faisceaux antéro-latéraux subsistant, sans qu'il se produis
78). 4° Si, au contraire, la substance grise est intacte et que les faisceaux antéro-latéraux soient coupés des deux côtés, les
taires (Fig. 79). Fig. 79. Fig. 78. 5° Dans le cas de section des faisceaux latéraux et posté-rieurs, l'animal ne se sert que
ent paralysé (Fig. 80). 6° Enfin, si la section est totale, un seul faisceau latéral étant respecté, le membre inférieur du cô
é sectionné estcom- plètement paralysé. Au contraire, du côté où le faisceau la-téral est épargné, le membre obéit encore à la
si on l'étend, l'animal le retire (Fig. 81). C'est donc bien par les faisceaux pyramidaux que se fait la transmission des incita
n des incitations volontaires. Mais il est possible que ce rôle des faisceaux pyramidaux ne Fig. 81. Fig. 80. soit pas ex
s études relatives au développement nous ont fait reconnaître que les faisceaux pyramidaux doivent être considérés comme de grand
oelle épinière, Celle-ci vit en quelque sorte isolément, tant que ces faisceaux ne sont pas encore développés, jusqu'à cette époq
ont mis au contraire sur le deu-xième plan quand le développememt des faisceaux pyrami-daux est accompti, et ce sont dès lors les
e la moelle. Mais il est facile de montrer que c'est surtout pour les faisceaux antéro-latéraux que cette influence s'exerce. En
conservée; de plus, un seul côté de la moelle peut être affecté, les faisceaux antéro-latéraux sont donc bien les conducteurs de
iologie expérimentale n'a pas encore dé-cidé si c'est par la voie des faisceaux antérieurs ou des fais-ceaux pyramidaux que cette
i cru devoir vous présenter relativement au fonctionnement des divers faisceaux spinaux, tel qu'il se révèle dans les recherches
ONZIÈME LEÇON Séméiologie générale des degenerations secondaires du faisceau pyramidal. Sommaire. — Description de la maladi
oyer est circonscrit ou il a des chances d'agrandir. — L'intégrité du faisceau pyramidal est la condition sine qua non de la gué
que la déchirure porte sur celles de ces fibres qui appartiennent au faisceau pyramidal, le cas est encore des plus sérieux ; n
est réparable. Il ne l'est plus ou ne l'est guère si les fibres de ce faisceau ont été non pas seulement compri-mées, mais détru
ndividus frappés d'hémiplégie depuis quatorze ou quinze jours, que le faisceau pyramidal a été détruit sur un point de son parco
es spasmodiques, et les hémiplégies cérébrales avec dégé-nération des faisceaux pyramidaux appartiennent à ce groupe. Une fois
spinal. Nous n'avons pas oublié, en effet, que chez le nouveau-né les faisceaux pyramidaux ne sont pas encore complètement dévelo
ntrac-tions atteignant successivement et non simultanément les divers faisceaux des muscles; de telle sorte que les uns se repo-s
s lé-sions en foyer de natures diverses, —lorsqu'elles intéressent le faisceau pyramidal dans son trajet intracérébral — sont su
ant au deuxième ou au troi- sième mois, que se manisfestent dans le faisceau pyramidal altéré les marques évidentes d'un proce
on équivaut à peu près, dans les cas très accentués, à une section du faisceau py-ramidal. Cette première phase qui correspond a
e modératrice cérébrale qui, dans le cas de section expérimentale des faisceaux latéraux, tendrait à expliquer l'exagération des
La contracture n'existe pas chez le nouveau-né, et vous savez que les faisceaux pyramidaux du nouveau-né ne sont pas encore dével
s. b) Du reste, la contracture ne se manifeste qu' à l'époque où le faisceau pyramidal est déjà devenu le siège de lésions irr
ns anatorniques établies entre les extrémités des fibres nerveuses du faisceau pyramidal et les cellules motrices de la corne co
nce grise centrale, au contact des extrémités des fibres nerveuses du faisceau pyramidal, on peut se rendre compte de divers phé
endre que la contracture permanente liée à la sclérose consécutive du faisceau pyramidal est, dans l'espèce, un symptôme conting
es, n'est pas, si Von peut ainsi dire, une fonction de la sclérose du faisceau pyramidal. Voilà une donnée dont il est très impo
ils sont localisés de telle façon qu'ils dé-truisent la continuité du faisceau pyramidal ; d'ailleurs, nous verrons la sclérose
isceau pyramidal ; d'ailleurs, nous verrons la sclérose primitive des faisceaux pyramidaux donner naissance à la contracture, alo
ires de la substance grise. QUINZIÈME LEÇON Rôle physiologique du faisceau pyramidal dans la contracture permanente ; hémipl
spasmodique. Sommaire. -- Relations des extrémités périphériques du faisceau pyramidal avec les cellules des cornes antérieure
lite. — Théorie de l'irritation des tubes nerveux mélan gés à ceux du faisceau pyramidal. La cause immédiate de la contracture
ssent exister entre les extrémités terminales des fibres nerveuses du faisceau pyra-midal et les cellules motrices des cornes an
sation, ils sont placés de façon à interrompre le cours des fibres du faisceau pyramidal — circonstance dans laquelle la dégénér
iter au moins un exemple d'une lésion intéressant sytématiquement les faisceaux pyramidaux, primitivement et indépendamment de l'
quelle les éléments cellulaires sont dé-truits sans participation des faisceaux blancs. Je n'insiste pas plus longuement ; il me
qu'elle résulte de l'irritation de tubes nerveux n'appartenant pas au faisceau pyramidal, mais se mêlant à ses fibres. Ces tubes
Je ferai remarquer que les tubes de ce genre sont rares au millieu du faisceau pyramidal ; que quel- (1) Quelques faits récemm
ablissent cependant la possibilité des lésions intra-encéphaliques du faisceau pyramidal. Voy. Charcot, Clini-quedela Salpëtrièr
mmédiate de lacon-tracture est dans la substance grise et non dans le faisceau latéral lui-même. Il s'agit donc là d'une lésion
isse primitivement, ou en conséquence de lésions autres que celle des faisceaux latéraux. Le fait ne me paraît pas avoir été dé-m
^ mée en un mot : la contracture permanente n'est pas une fonction du faisceau pyramidal. IV. Il n'en est pas moins certain
ns certain que partout où dans la patho-logie spinale la sclérose des faisceaux pyramidaux existe à un titre quelconque, la contr
es dans les cordons antéro-latéraux et plus particulièrement dans les faisceaux pyramidaux. Notez bien, Messieurs, ce fait que la
ra une lésion également spéciale, peut-être la sclérose primitive des faisceaux pyramidaux soupçonnée par M. Erb. Si, au contrair
tante ou à peu près d'une lésion soit primitive, soit consécutive des faisceaux pyrami-daux est un trait commun à tous les maladi
sion porte à la fois sur une des colonnes de substance grise, sur les faisceaux postérieurs et sur les faisceaux antéro-latéraux
colonnes de substance grise, sur les faisceaux postérieurs et sur les faisceaux antéro-latéraux ; mais le point essentiel que je
e lésion dégénérative est due à l'interruption du cours des fibres du faisceau pyramidal. 2° Déjà, Messieurs j'ai eu l'occasio
ier, j'ai émis l'hypothèse que quelques-unes des fibres de chacun des faisceaux pyramidaux, déjà entrecroisées à la partie du bul
cours par laprésence d'une cellule gan-glionnaire, et que, venant du faisceau pyramidal du côté droit, elles vont faire partie
enant du faisceau pyramidal du côté droit, elles vont faire partie du faisceau pyramidal du côté gauche. La théorie dont il s'
ubstance grise, franchissent la ligne médiane et vont faire partie du faisceau antérieur du côté opposé. Dans ces descriptions,
, il n'est pas question de fibres mettant en communication directe le faisceau pyramidal du côté opposé. Cependant, à l'aide de
p de soin, prétend avoir reconnu des fibres nerveuses qui, parties du faisceau latéral droit, se porteraient directement à la co
autre côté de la ligne médiane. Ces fibres pénètrent-elles dans les faisceaux antérieurs ou s'arrêtent-elles dans la substance
lable que dans les cas pathologiques on arrive à suivre le trajet des faisceaux dégé-nérés , et si la disposition supposée existe
ment, le fait parfaitement établi d'une sclérose descendante des deux faisceaux pyramidaux dans le cas de lésion unilatérale, mai
n. On croyait que la transmission des incitations volontaires par les faisceaux blancs était exclusivement directe. On sait aujou
: elle ne serait autre que la sclérose symétrique et systématique des faisceaux laté-raux. En ce qui me concerne, tout en reconna
ent gé-néralement dans la moelle, où elles occupent de préférence les faisceaux antéro-latéraux. Il y a lieu de signaler ici un p
pla-ques scléreuses, une fois développées, resteront isolées dans les faisceaux de la moelle, sans donner lieu à la dégénération
tteinte, et les symptômes tabé-tiques quand il existe des lésions des faisceaux postérieurs. Teh sont, en résumé, les signes qui
cependant s'empê-cher de songer qu'à l'époque où la maladie débute le faisceau latéral est en pleine voie de développement et qu
l'adulte, une lésion du même genre, également li-mitée au système des faisceaux latéraux, rendrait compte de tout l'ensemble des
ues spinales — et elles sont nombreuses — où il existe une lésion des faisceaux latéraux. Il importe toute-fois de ne pas oublier
on organique de la moelle épinière car il existe nombre de cas où les faisceaux latéraux sont affec-tés peut-être fonctionnelleme
dans les-quels nous sommes entrés à propos des lésions du système des faisceaux pyramidaux ont justifié, pour une part, ces pro-p
premier coup ces paralysies de celles qui résultent d'une lésion des faisceaux blancs et spécialement des faisceaux latéraux, ca
s qui résultent d'une lésion des faisceaux blancs et spécialement des faisceaux latéraux, cas dans lesquels la nu-trition des mus
m, une formation d'escharres, etc., et si le malade survit et que les faisceaux blancs participent au pro-cessus anafomique morbi
vous l'ai dit, deux éléments anatomo-pathologiques : une lé-sion des faisceaux latéraux et une lésion des cornes antérieu-res. E
musculaires se terminaient en formes d'anses, dans l'in-tervalle des faisceaux primitifs. Mais Doyère a fait une décou-verte cap
un filament unique au niveau d'un monticule qui fait corps avec le faisceau primitif, et qu'on appelle encore à l'heure qu'il
voir que, sous le sarcolemme, c'est-à-dire dans la substance même du faisceau primitif, le monticule de Doyère est formé par un
ion de la substance blanche de la moelle porterait aussi bien sur les faisceaux an-térieurs que sur les faisceaux latéraux (pyram
moelle porterait aussi bien sur les faisceaux an-térieurs que sur les faisceaux latéraux (pyramidaux). Si les faits avancés par
sion n'a rien de spécifique ; elle ne porte pas exclusivement sur les faisceaux latéraux (pyramidaux); les faisceaux antérieurs s
porte pas exclusivement sur les faisceaux latéraux (pyramidaux); les faisceaux antérieurs sont pris, et il faudrait que la lésio
veut dire simplement que la dégénération, primitivement localisée au faisceau pyramidal, a déterminé dans son voisi-nage, par c
des noyaux moteurs, on est bien obligé d'admettre que la sclérose du faisceau pyramidal a des rapports très étroits avec l'alté
— Considérations sur la capsule interne : ses parties constituantes ( faisceaux pédonculaires di-rects; faisceaux pédonculaires i
nterne : ses parties constituantes (faisceaux pédonculaires di-rects; faisceaux pédonculaires indirects ; faisceaux rayonnants)..
faisceaux pédonculaires di-rects; faisceaux pédonculaires indirects ; faisceaux rayonnants).......... 78 HUITIÈME ET NEUVIÈME L
rigine cérébrale des nerfs optiques. Couronne rayonnante de Reil. — Faisceaux rayonnants cortico-opliques : Fibres antérieures
ntre les amas de substance grise et l'écorce grise de l'encéphale : faisceaux rayonnants corlico-optiques. Effets des lésions d
le pédoncule cérébral, la protubérance, la pyramide antérieure et le faisceau latéral de la moelle. Analogies et différences
utives de cause cérébrale et les scléroses fasciculées primitives des faisceaux latéraux. — Symptômes liés aux scléroses secondai
des. Constitution de la moelle épinière. — Lésions systématiques. — Faisceau pyramidal (faisceau direct et faisceau croisé). —
de la moelle épinière. — Lésions systématiques. — Faisceau pyramidal ( faisceau direct et faisceau croisé). — Faisceaux de Goll e
re. — Lésions systématiques. — Faisceau pyramidal (faisceau direct et faisceau croisé). — Faisceaux de Goll et de Burdach. —Cett
atiques. — Faisceau pyramidal (faisceau direct et faisceau croisé). — Faisceaux de Goll et de Burdach. —Cette décomposition des d
Localisations bulbaires et médullaires____ 177 DEUXIÈME LEÇON. Du faisceau pyramidal. — développement de ce faisceau. | So
177 DEUXIÈME LEÇON. Du faisceau pyramidal. — développement de ce faisceau . | Sommaire. —Affections systématiques de la mo
me, à la naissance le cerveau est un organe à peu près indifférent. Faisceaux pyramidaux croisés. — Faisceaux pyramidaux direct
t un organe à peu près indifférent. Faisceaux pyramidaux croisés. — Faisceaux pyramidaux directs (cordons de Tûrck). —Leur traj
n des faits pathologiques................ 191 TROISIÈME LEÇON, Du faisceau pyramidal dans les pédoncules cérébraux, la capsu
braux, la capsule interne et le centre ovale. Sommaire. — Trajet du faisceau pyramidal au-dessus de la région bulbaire. — Tr
rieur: opinion de M. Flechsig.—Développe-ment relativement précoce du faisceau pyramidal dans le pédoncule. Division de la cap
ntérieur, segment postérieur, genou de la capsule. — Localisa-tion du faisceau pyramidal dans le segment postérieur de la capsul
ceau pyramidal dans le segment postérieur de la capsule interne. Du faisceau pyramidal dans le centre ovale. — Observations ch
203 QUATRIÈME LEÇON. Degenerations secondaires. — Dégénération du faisceau pyramidal dans le pédoncule, la protubérance, le
ance, le bulbe, la moelle épi-nière. — degeneration exceptionnelle du faisceau interne du pédoncule. —. Division de l'étage infé
egenerative dans la région opto-striée. — Etudes de M. Flechsig. — Le faisceau pyramidal proprement dit n'est pas seul ca-pable
occupe au moins les deux tiers antérieurs du segment postérieur. — Le faisceau pos-térieur (fibres sensitives de Meynert) ne dég
NQUIÈME LEÇON. dégénérations secondaires (suite). — délimitation du faisceau pyramidal dans lè manteau de l'hémisphère. Somm
olutions. — Hitzig, Ferrier, Betz, Bevan Lewees. Vue schématique du faisceau pyramidal dans l'hémisphère cérébral. — Région ro
Amyotrophies consécutives. Sommaire. — Les lésions dégenératives du faisceau pyramidal permettent d'é-tablir nettement les rap
amidal permettent d'é-tablir nettement les rapports anatomiques de ce faisceau . — La terminaison des fibres de ce faisceau dans
apports anatomiques de ce faisceau. — La terminaison des fibres de ce faisceau dans la moelle épinière donne matière à plusieurs
Il existe donc antre chose que des rapports de contiguïté entre le faisceau pyramidal et la substance grise delà moelle épini
érations secondaires de cause spinale. — Dégénérations ascendantes du faisceau cérébelleux et descendantes du faisceau pyramidal
Dégénérations ascendantes du faisceau cérébelleux et descendantes du faisceau pyramidal. Sommaire. — Degenerations secondaire
escendantes. — Dégénérations ascendantes. — Celles-ci portent sur les faisceaux latéraux et sur les faisceaux postérieurs. — Fais
scendantes. — Celles-ci portent sur les faisceaux latéraux et sur les faisceaux postérieurs. — Faisceaux céré-belleux de Flechsig
ortent sur les faisceaux latéraux et sur les faisceaux postérieurs. — Faisceaux céré-belleux de Flechsig. Dégénérations dans le
lle. — Elles n'ont lieu que quand la lésion destructive porte sur les faisceaux blancs. —Cas de l'hémiparaplégie spinale avec ane
de celte observation. — Double entrecroisement de certaines fibres du faisceau pyramidal................................ 250 H
250 HUITIÈME LEÇON. Dégénérations ascendantes de cause spinale. — Faisceaux de Goll et faisceau de Burdach. — Degenerations s
Dégénérations ascendantes de cause spinale. — Faisceaux de Goll et faisceau de Burdach. — Degenerations spinales de cause pér
rs. — Travaux de Pierret, de Kolliker — Apparition indépendante des faisceaux de Goll et du faisceau de Burdach. — Division u
, de Kolliker — Apparition indépendante des faisceaux de Goll et du faisceau de Burdach. — Division ultérieure des deux appa
parles sillons postérieurs intermé-diaires de Sappey. Structure des faisceaux de Goll. — Noyaux de ces faisceaux sur le plan-ch
diaires de Sappey. Structure des faisceaux de Goll. — Noyaux de ces faisceaux sur le plan-cher du quatrième ventricule. — Struc
s faisceaux sur le plan-cher du quatrième ventricule. — Structure des faisceaux de Burdach. Lésions systématiques isolées, soit
s faisceaux de Burdach. Lésions systématiques isolées, soit dans le faisceau de Goll, soit dans le faisceau de Burdach. — Les
ns systématiques isolées, soit dans le faisceau de Goll, soit dans le faisceau de Burdach. — Les lésions du faisceau de Goll ne
faisceau de Goll, soit dans le faisceau de Burdach. — Les lésions du faisceau de Goll ne donnent pas lieu aux symptômes de l'at
mpression de la moelle épi-nière produisant la dégénération totale du faisceau de Goll et la dégénération partielle du faisceau
génération totale du faisceau de Goll et la dégénération partielle du faisceau de Burdach. Dégénérations de cause périphérique
Lois de Waller. Dégénérations descendantes et . ascendantes . — Les faisceaux qui dégé-nèrent par en bas sont comparables aux n
ont comparables aux nerfs centrifuges des racines anté-rieures. — Les faisceaux qui dégénèrent par en haut sont assimilables aux
ent de tous points aux dégénérations pathologiques chez l'homme. — Le faisceau pyra-midal n'est pas compact chez le chien. —Diff
.................. 270 DIXIÈME LEÇON. Détermination du trajet des faisceaux blancs de la moelle épinière par l'étude dés dégé
dégénérations secondaires. — analyse expérimen-tale des fonctions des faisceaux pyramidaux. Sommaire. —Tous les faisceaux blanc
en-tale des fonctions des faisceaux pyramidaux. Sommaire. —Tous les faisceaux blancs de la moelle sont capables de dégé-nératio
ux blancs de la moelle sont capables de dégé-nération systématique. — Faisceaux à fibres longues. — Faisceaux à fibres courtes. —
pables de dégé-nération systématique. — Faisceaux à fibres longues. — Faisceaux à fibres courtes. — Schéma. Cordons postérieurs
ues. — Faisceaux à fibres courtes. — Schéma. Cordons postérieurs. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach et faisceaux
courtes. — Schéma. Cordons postérieurs. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach et faisceaux du Goll. — Faisceaux extr
dons postérieurs. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach et faisceaux du Goll. — Faisceaux extrinsèques. — Faisceau cér
aisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach et faisceaux du Goll. — Faisceaux extrinsèques. — Faisceau cérébelleux direct. Co
aisceaux de Burdach et faisceaux du Goll. — Faisceaux extrinsèques. — Faisceau cérébelleux direct. Cordons antéro-latéraux. —
insèques. — Faisceau cérébelleux direct. Cordons antéro-latéraux. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux extrin-sèques. — Faisce
elleux direct. Cordons antéro-latéraux. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux extrin-sèques. — Faisceau pyramidal. Résultats
téro-latéraux. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux extrin-sèques. — Faisceau pyramidal. Résultats fournis par l'expérimentat
Faisceau pyramidal. Résultats fournis par l'expérimentation. — Les faisceaux antéro-latéraux sont-ils excitables? L'excitabili
Les faisceaux antéro-latéraux sont-ils excitables? L'excitabilité du faisceau pyramidal est manifeste chez l'homme dans tout le
l est manifeste chez l'homme dans tout le trajet cérébro-spinal de ce faisceau . — Expériences de Vulpian, Schiff. — Hémisections
émisections spinales. — Vivisections de Woros-chiloff. — Influence du faisceau pyramidal sur l'activité réflexe de la moelle épi
aisceau pyramidal sur l'activité réflexe de la moelle épinière. — Les faisceaux pyramidaux sont les conducteurs des incitations v
ONZIÈME LEÇON. séméiologie générale des générations secondaires du faisceau pyramidal. Sommaire. — Description de la mala
er est circonscrit où il a des chances de s'agrandir. —L'intégrité du faisceau pyramidal esta la condition sine qua non de la gu
lérose descendante.... 335 QUINZIÈME LEÇON. RÔLE physiologique du faisceau pyramidal dans la contracture per-manente ; hémip
spas-modique. Sommaire. — Relations des extrémités périphériques du faisceau pyramidal avec les cellules des cornes antérieure
lite. — Théorie de l'irritation des tubes nerveux mélan-gés à ceux du faisceau pyramidal. La cause immédiate de la contracture
sur le développement des dégénérations secondaires. 151 ; — Trajet du faisceau pyra-midal dans la —, 210 ; — Genou de la —, 210,
ordons médullaires, 184 ; — de Goll, de Burdach, pyramidaux, etc. (V. Faisceaux ); — postérieurs (dé-génération), 261. Cornes an
de cause spinale, 218, 250; —descendantes et ascendantes 253,254 ; — Faisceaux de Goll et de Burdach, 267 ; — reproduites par l'
E Etage supérieur, 113. Etage inférieur, 6 ; — sa division, en faisceaux distincts, 112 ; — Fais-ceau centripète de Meyner
s, 112 ; — Fais-ceau centripète de Meynert, 113, 229 ; — rôle de ce faisceau , 116 ; — Faisceau pyramidal dans V —, 204 ; — S
centripète de Meynert, 113, 229 ; — rôle de ce faisceau, 116 ; — Faisceau pyramidal dans V —, 204 ; — Structure et développ
spinale pbovoquée, 807. Erythème des fesses, 296. Excitabilité du faisceau pyramidal, 287. Expansion pédonculaire, 206. F
bilité du faisceau pyramidal, 287. Expansion pédonculaire, 206. F Faisceaux spinaux, 183 ; leur auto-monie, 187 ; — leur déve
pé-donculaires directes et fibres pé-donculaires indirectes, 170 ; — Faisceau pyramidal dans le —, 205 ; Pédoncules cérébraux
5 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
rveux central est avant tout une ana- tomie de texture : suivre les faisceaux qui le constituent, en établir l'origine, le tr
a pathologie expérimentale, à savoir : que la dégé- nérescence d'un faisceau encéphalique ou médullaire suit un trajet a i
suit un trajet a il ( PRÉFACE. déterminé, ne se propage pas aux faisceaux voisins et respecte les cellules nerveuses neur
s de 2", 3e, 4° ordre, etc., - autour des- quelles les fibres de ce faisceau se terminent en s'arborisant. Si, pour ce qui c
donner une représentation simple et commode du trajet de tel ou tel faisceau nettement déterminé, il faut bien reconnaître que
'heure actuelle, l'origine cellulaire et la terminaison de tous les faisceaux encéphaliques et médullaires sont encore loin d
s, l'origine cellulaire, le trajet et la terminaison des différents faisceaux du névraxe, constituent donc le chapitre le plu
G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. rhtndcronvragc. certain nombre de faisceaux encéphalo-médullaires. Le résultat de ces re- c
ment en revue l'origine, le trajet et la terminaison des différents faisceaux du cerveau : faisceaux d'association qui relient
, le trajet et la terminaison des différents faisceaux du cerveau : faisceaux d'association qui relient deux régions plus ou
relient deux régions plus ou moins éloignées de l'écorce cérébrale, faisceaux commissu- raux qui unissent les deux hémisphère
isceaux commissu- raux qui unissent les deux hémisphères entre eux, faisceaux de projection enfin, dont les connexions sont b
sériées, nous abor- derons l'étude synthétique de leurs différenls faisceaux , ainsi que l'origine de leurs nerfs respectifs.
is Reil sous le nom de capsule interne, et avait réussi à suivre le faisceau que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de
suivre le faisceau que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de faisceau pyramidal, depuis les pyramides du bulbe, jusqu
ans l'encéphale ou dans la moelle épinière, le trajet de tel ou tel faisceau déterminé, depuis son origine jusqu'à sa terminai
développement, étude de l'apparition de la myéline dans tel ou tel faisceau ou méthode de Flechsig; l'Anatomie comparée, co
dégénérescences permet de suivro la partie fondamentale d'un faisceau beau- coup mieux que le trajet des fibres col
méthode a été employée plus d'une fois, pour élucider le trajet de faisceaux nerveux traversant des plexus ou s'anastomosant e
s dégénérescences secondaires, et partant d'étu- dier le trajet des faisceaux altérés, mais ici l'anatomie pathologique avait
us savons aujourd'hui, de par l'anatomie pathologique, que certains faisceaux dégénèrent dans toute leur longueur à la suite
sériées - à l'étude de ces dégénérescences, a permis d'étudier des faisceaux à trajet plus ou moins compliqué. Mais, et no
ouvrent de myéline, à une époque déterminée et variable suivant les faisceaux . Les anatomo-pathologistes et les embryogéniste
toute différente de celle qu'il présentera par la suite, et que les faisceaux de la moelle épinière, ne présentent pas encore t
rtie postérieure des cordons latéraux de la moelle et en dehors des faisceaux pyramidaux, l'existence d'un faisceau distinct
e la moelle et en dehors des faisceaux pyramidaux, l'existence d'un faisceau distinct contenant des fibres blanches. Parrot,
acide osmique, et toutes les parties des coupes correspondant à des faisceaux non encore développés (c'est-à-dire dont les tu
en général dans le sys- tème nerveux central le trajet de certains faisceaux . Mais cette méthode ne présente pas une sécurit
loc si, basée sur 'ut,o que d'apparition d la myéline dans le faisceaux . I Foville. ! ! Anse rolandique d. Parrot
rnir de précieux renseignements. Mais au point de vue du trajet des faisceaux , l'anatomie comparée a rendu relativement moins
ec succès, pour étudier au moyen des dégénérescences, le trajet des faisceaux dans le système nerveux cen- tral, et, on a pra
re une méthode importante de recherches, en montrant que tel ou tel faisceau cérébral ou médullaire, fait défaut à la suite
ment dite du cerveau, mais les masses ganglionnaires, ainsi que les faisceaux de subs- tance blanche qui le constituent, il f
liquide de Millier. Sous l'action de l'imprégnation chromique, les faisceaux de la substance blanche apparaissent en effet ave
, et les différents lobes du manteau cérébral Différenciation des faisceaux par le dur- cissement au bichro- hlatC-\ "
centre ovale, à la suite de lésions de la corticalité. L'étude des faisceaux d'association et de projection des lobes frontaux
es frontaux et occipitaux-pédoncule antérieur de la couche optique, faisceau uncinatus, faisceau arqué, faisceau longitudina
itaux-pédoncule antérieur de la couche optique, faisceau uncinatus, faisceau arqué, faisceau longitudinal inférieur, radiation
antérieur de la couche optique, faisceau uncinatus, faisceau arqué, faisceau longitudinal inférieur, radiations optiques, etc.
Cu, hémisphères du cervelet. Epa, espace per- foré antérieur. - Fe, faisceau en écharpe de Férié. - 1, insula. - i, sillon d
eut par conséquent, assister au mode de formation de tous les faisceaux de cette dernière région. Du reste, quand
que la disposition des dégénérescences secondaires de certains gros faisceaux . Mais cette méthode a donné depuis longtemps to
ce de section de la protubérance, s'il existe une dégénérescence du faisceau pyramidal ou du ruban de Reil, puis on sépare l
principe qu'en anatomie pathologique comme en anatomie normale, les faisceaux nerveux doivent être étudiés de préférence, sur d
ion très grande, mais on peut étudier dans tout l leur trajet les faisceaux at- teints de dégénérescence, ce qu'il est im
les dégénérescences vraiment importantes à étudier, sont celles des faisceaux de la capsule interne et de la région de la calot
t après l'autopsie. Dans ce cas, pour étudier la dégénérescence des faisceaux en coupes sériées, on aura recours à la coupe d
D'une manière générale, il faut rapprocher les numéros, dès que les faisceaux approchent d'une région où ils changent de dire
nent sous son influence une coloration beaucoup moins foncée que le faisceau longitudinal inférieur, et ces différences d'inte
araît être un peu inférieure à cette dernière pour différencier les faisceaux les uns des autres. Avec la méthode de Weigert
les uns des autres. Avec la méthode de Weigert on obtient dans les faisceaux de l'encéphale, une gamme de colorations allant
eaux de l'encéphale, une gamme de colorations allant, . suivant les faisceaux , du bleu noir intense au brun noirâtre, plus va
longé dans de la glycérine picro-carminée et dissocié complètement, faisceau par faisceau, sur la lame porte-objet, dans quelq
la glycérine picro-carminée et dissocié complètement, faisceau par faisceau , sur la lame porte-objet, dans quelques gouttes d
de Weigert ou de Pal, méthodes qui, en différenciant fortement les faisceaux de fibres à myéline, fournissent une image autre-
es contours très justes, et une mise en place absolument exacte des faisceaux nerveux ainsi que des noyaux gris. Toutefois, c
- tiques pour se porter de la rétine au chiasma (crête basilaire, faisceau optique croisé) et de la rétine aux centres opt
respond au fais- . ccau optique croi- se ; la crête latérale au faisceau optique 9 direct. j - i FIG. 18. Encéphale
ron quatre semaines et - ' mesurant 6,9 mm. (D'après W. His.) Fo, faisceau , ovalaire ou postérieur. LA, lame alaire. - LF, l
- nal central.- CL, corno latérale.- Fa, formation arlplée. - Fa, faisceau ovalairo postérieur. Le. lame épondyniairo. Lge
tifs. Ces racines forment, en abordant la moelle épinière, un petit faisceau longitudinal, à section ovalaire, le cordon pos
rieure élargie du canal central et s'é- tend du bord antérieur du faisceau ova- laire, dont elle est séparée par le sillon
IIinterseitenstrang). Dans celte région apparaîtront plus tard le faisceau pyramidal croisé et le fais- ceau cérébelleux d
atérale. - Cpl, cordon postéro-latéral. Fa, formation arquée. Fo, faisceau ovalaire postérieur ? p,lame dpendymaire.- Lge,
siquement,ni morphologi quement. Entre le septum postérieur et le faisceau ovalaire, apparaît le cor- don de Goll, dont le
nal central. - CL, corne late- rale. - CP, corne postérieure. - Fo, faisceau ova- laire postérieur. - Rm, racine motrice. -R
nal central. - CL, corne latérale. -CI', corne postérieure. - 1·G, faisceau de Goll. - Fo, faisceau ovalaire postérieur. -
e latérale. -CI', corne postérieure. - 1·G, faisceau de Goll. - Fo, faisceau ovalaire postérieur. - Le, lame épendymairc. -
le. - CP, corne posté- ricuro. - Cpl, cordon postéro-latéral. - FG, faisceau de Goll. - Fo (1,'B), faisceau on-alaire postér
- Cpl, cordon postéro-latéral. - FG, faisceau de Goll. - Fo (1,'B), faisceau on-alaire postérieur ou faisceau do Burdach. -
FG, faisceau de Goll. - Fo (1,'B), faisceau on-alaire postérieur ou faisceau do Burdach. - Le. lame élxn<lynaire. - Rm, r
,2 âgé d'environ quatre semaines et demie. (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fs, faisceau soli- t
e. (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fs, faisceau soli- taire. LA, lame alaire. - LF, lame fondam
DES CENTRES NERVEUX. Couche grise de la . substance réticulée. Faisceau longitu- dinal postérieur ' et formation blan
cordon antérieur primitif de His (primâre Vorderstrangfeld), le futur faisceau longitudinal postérieur de la calotte, l'homolo
Mis s'étend d'avant en arrière, et on y peut alors distinguer deux faisceaux , le faisceau longitu- dinal posté1'Íew' en arri
'avant en arrière, et on y peut alors distinguer deux faisceaux, le faisceau longitu- dinal posté1'Íew' en arrière, et la fo
ricule, forment à la surface extérieure de la lame alaire, un petit faisceau longitudinal à section ova- laire, connu sous l
t faisceau longitudinal à section ova- laire, connu sous le nota de faisceau solitaire (Tractussolitarius), faisceau. FiG. 3
laire, connu sous le nota de faisceau solitaire (Tractussolitarius), faisceau . FiG. 32. - Coupe transversale de la vésicule e
l, âgé d'environ quatre semaines et demie. (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal postérieur. Fs, faisceau solitaire.
demie. (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal postérieur. Fs, faisceau solitaire. - LA, lame alaire. - tir, lèvre rhom
E NERVEUX. 87 respiratoire (fib. 33, Fs), et qui est l'homologue du faisceau de Burdach de la moelle épinière. Dans la rég
n de 13mm,S, âgé d'environ cinq semaines. (D'après \V. His.) Plp, faisceau longitudinal postérieur. Fs, faisceau solitaire.
ines. (D'après \V. His.) Plp, faisceau longitudinal postérieur. Fs, faisceau solitaire. LA, lamo alaire. (r. lèvro rhom- boï
dedans; elles passent, les unes en avant, les autres en arrière du faisceau solitaire, et viennent se placer en avant de la
in de f3mm,6, âgé d'environ cinq semaines. (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fs, faisceau solitaire
nes. (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fs, faisceau solitaire. LA, lame alaire. LF, lame fonda- men
forme au niveau de la substance gélatineuse de Iiolando, un second faisceau ovalaire, l'homologue du faisceau solitaire, s'
élatineuse de Iiolando, un second faisceau ovalaire, l'homologue du faisceau solitaire, s'unit intimement au début au faisce
e, l'homologue du faisceau solitaire, s'unit intimement au début au faisceau cérébelleux direct de Flechsig, et forme avec lui
de Flechsig, et forme avec lui le tractus inter- medius de Mis. Ces faisceaux sont bientôt recouverts par les fibres arquées
les. La région de la calotte précède donc dans son développement le faisceau pyramidal. Les parties constituantes du bulbe e
His.) Cio, couche inter-olivaire. - Crst, corps restiforme. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fs, faisceau solitai
t, corps restiforme. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fs, faisceau solitaire. - LA, lame alaire. lrs, lèvre rhomboïd
fibres se portent en avant et en dedans, et s'entrecroisent avec le faisceau pyramidal pour former Y étage antérieur de la p
ux n'atteignent leur aspect définitif, qu'après le développement du faisceau pyramidal, c'est-il-dire vers le milieu du cin-
ercule quadrijumeau postérieur fournit le ruban de Reil latéral, ou faisceau triangulaire de l'isthme de l'encéphale, ainsi qu
d'un côté à la région de la calotte du côté opposé, de là le nom de faisceau croisé de la calotte (Gekreutzer Haubentractus, T
ement exagéré des fibres tangentielles de l'écorce et représente le faisceau olfactif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl. (V
tion frontale ascendante. - Fi, première circonvolution frontale.-FT, faisceau de Tlirck. - Fus, lobule fusiforme. - GP, globu
en dedans de la bandelette optique. Ces dernières libres forment un faisceau i volumineux, qui se porte en dedans et en bas,
e à la partie externe du pied du pédon- cule cérébral et forment le faisceau de Tiirck (J. Dejerine). Les fibres du pied du
ent au niveau du collet du bulbe avec les fibres du côté opposé. Le faisceau direct, le plus petit, se rend dans le cordon ant
ns le cordon anté- rieur de la moelle du même côté, et constitue le faisceau pyramidal direct; le faisceau croisé se rend da
moelle du même côté, et constitue le faisceau pyramidal direct; le faisceau croisé se rend dans le cordon latéral du côté opp
dans le cordon latéral du côté opposé de la moelle, où il forme le faisceau pyramidal croisé. § 3. Développement du septum
et envoie dans les régions encéphaliques inférieures un volumineux faisceau de fibres. Le manteau cérébral ou pallium, persis
gement central ou interne des cellules épithéliales et constitue un faisceau de fibrilles, une sorte de colonne ou de pilas-
dans la zone des corps spon- gioblastiques, on trouve, entre les faisceaux de co- lonnes de la zone interne, des interva
nombre de cordons médul- laires longitudinaux, on re- FiG. 78. - Faisceau de spongioblastes et leur insertion dans la mem
quatre semaines environ et mesurant Gmm,9. (D'après W. His.) ro, faisceau ovalairc ou postérieur. - LA, lame alaire. - LF,
postérieure. - CL, corne- latérale. - p'a; formation arquée. - ro, faisceau ovalaire postérieur. - Le, lame épendymaires. - L
la surface de la moelle, où la plupart se bifurquent et forment un faisceau longitudinal, le cordon postérieur primitif; sur
surface de section plus ou moins arrondie qui lui a valu le nom de faisceau ovalaire (His) (fig. 84 et 85). Après un trajet a
gue (x° paire), forment, comme les fibres des ganglions spinaux, un faisceau longitudinal, qui descend plus ou moins bas dan
en g. va, fihre motrice se rendant dans un rameau sympathique. - j, faisceau longitudinal sectionné obliquement et dans lequel
bulbe la racine caudale du glosso-pharyngien connue sous le nom de faisceau solitaire, ainsi que la racine correspondante du
oi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cône épendymaire postérieur. 1 Faisceau épcndy- mairc antérieur. Sillon postérieur et
en arrière le canal central définitif, se réunis- sent en un épais faisceau sagittal, le faisceau épendymaire postérieur, ou
entral définitif, se réunis- sent en un épais faisceau sagittal, le faisceau épendymaire postérieur, ou septum postérieur, q
es les collatérales. La commissure postérieure est formée par un seul faisceau . Méthode rapide de Golgi. (D'après v. Gehuchten
trajet dans les masses blanches encéphalo-mé- dullaires de certains faisceaux de fibres nerveuses. (Voy. méthode des dégénére
e et Sottas), ainsi que de la dégénérescence rétrograde de certains faisceaux médullaires, du faisceau pyramidal entre autres (
la dégénérescence rétrograde de certains faisceaux médullaires, du faisceau pyramidal entre autres (Sottas). Mais cette atr
er, Hensen et Vignal l'ont démontré, et se présentent sous forme de faisceaux de fines fibrilles, noyées au sein d'une matièr
même nerf périphérique se groupent ensemble, de telle sorte que le faisceau de fibrilles qui s'en détache et qui constitue
u premier mois chez l'embryon hu- main (llis), la périphérie de ces faisceaux de fibrilles est recouverte par des cellules co
mbryonnaires qui prolifèrent, pénètrent dans l'in- térieur même des faisceaux nerveux, s'y multiplient et divisent les fibrille
veux, s'y multiplient et divisent les fibrilles nerveuses en petits faisceaux qu'elles recouvrent (fig. 116). Ces cellules co
l) (fig. -lu7); elles s'appliquent en effet à la surface des petits faisceaux de fibrilles nerveuses, se modèlent sur Arboris
très intime, puis se soudent à elles-mêmes et constituent ainsi aux faisceaux de fibrilles une enveloppe spéciale, connue sou
parties essentielles de la fibre nerveuse sont consti- tuées : le faisceau de fibrilles en forme le cylindre-axe ; il est en
ryon de brebis de Om,3d5 de long. (D'après Vignal.) F, portion d'un faisceau du nerf sciatiqne. -a, fibres nerveuses. - b, cel
rf du centre à la périphé- rie (Vignal). FIa. 116. - Coupe d'un faisceau du sciatique d'un embryon de vache de 25 millim
b, cellules con- nectives embryonnaires recouvrant la périphérie du faisceau . Fig. 117. - fibres nerveuses (['un embryon de
yau en voie de di- vision, cette dernière est en partie détachée du faisceau . c, cellules connectives complètement détachées
chée du faisceau. c, cellules connectives complètement détachées du faisceau . 186 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. allongées
ale à la sub- stance grise centrale et qui comprend entre autres le faisceau pyramidal. Le cervelet enfin présente des systè
belleux, ainsi que dans la substance blanche de la moelle, d'autres faisceaux de fibres; les unes commissurales, celles du corp
sentant sur leur trajet de petites varicosités, et formant un gros faisceau , une sorte de panache, dont les fibres enchevêt
e-axile unique, on trouve encore, dans le ganglion sympathique, des faisceaux compacts de libres, qui tra- versent le ganglio
est formé par un amas de fibrilles de toute longueur, réunies en un faisceau cylindrique. Sur le nerf vivant comme sur le nerf
n. Ai : Quant à sa structure intime, le cylindre-axe est formé d'un faisceau de w$ fibrilles, plongées au sein d'une substan
lindre-axes nus, dépourvus de gaine de Schwann et groupés en petits faisceaux . De distance en distance, ces fibres sont recou
ernier tissu par l'emploi du rouge d'aniline, qui ne colore pas les faisceaux connectifs, tandis qu'il imprègne fortement les
lles présentent un aspect variqueux très pro- noncé, tandis que les faisceaux conjonctifs traités de la même manière conserve
onstituées par des cylindres-axes qui, parleur réunion, forment des faisceaux de diamètre variable, s'entrecroisant entre eux,
ui entoure un certain nombre de tubes nerveux, en les réunissant en faisceaux , le tissu conjonctif péi-1-fasci- culaire qui u
en faisceaux, le tissu conjonctif péi-1-fasci- culaire qui unit ces faisceaux , soit entre eux, soit au tissu conjonctif voisin,
et le tissu conjonctif iutra-fasciculaire situé dans l'intérieur des faisceaux et entre les tubes nerveux. La gaine lamelleu
gaine lamelleuse possède une structure d'autant plus simple, que le faisceau qu'elle circonscrit contient moins de tubes nerve
s en plus d'épaisseur. C'est ainsi que la gaine lamelleuse des gros faisceaux du nerf sciatique du chien peut présenter jusqu
paisseur de la gaine lamelleuse est d'au- tant plus marquée que les faisceaux nerveux sont plus gros; elle est éga- lement pl
rités. C'est ainsi qu'au lieu d'être entrecroisés en tous sens, les faisceaux affectent presque exclusivement la direction long
if illtra-fas- ciczclai·e. Ce tissu, qui existe à l'intérieur des faisceaux ner- veux et qui constitue le lissu de soutèn
ur y conduire les vaisseaux san- guins, soit pour cloisonner un faisceau et le diviser en deux. Quant aux fibres du tiss
ntent des crêtes et des dépressions ;orrespondant à l'empreinte des faisceaux conjonctifs et des tubes nerveux ;ur lesquels e
servation de la pré- paration dans la glycérine. - 150 diam. /'n, faisceau nerveux. - gl, gaine lamelleuse. - a, cloison d
ceau nerveux. - gl, gaine lamelleuse. - a, cloison de division d'un faisceau nerveux. - n, un faisceau nerveux très grêle. -
lamelleuse. - a, cloison de division d'un faisceau nerveux. - n, un faisceau nerveux très grêle. - v, vaisseau sanguin. - fe
istent pas à l'état de vaisseaux distincts, ni dans l'épaisseur des faisceaux nerveux, ni dans la gaine lamelleuse qui les en
ence terminale, la gaine de Henle se continue avec le sarcolemme du faisceau mus- culaire qui recouvre l'éminence terminale;
lontohlastes et atteint la surface do la domine. Fic. 144. - Deux faisceaux des muscles intercostaux du lapin, dis- sociés
'une de face, l'autre de profil. (D'après Ranvier.) N, nerf. - ¡11, faisceau musculaire. - p, plaque motrice vue do profil. -
orps calleux (Cc), qui se présente sous l'aspect de gros tractus de faisceaux blancs, dirigés transver- salement, et croisés
foré antérieur pour former la bandelette diagonale de Broca (bd) ou faisceau olfactif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl, et
e olfactif (Toi), dont les angles latéraux donnent naissance à deux faisceaux blancs, connus sous le nom de racine blanche ex
ame de substance blanche, la bandelette diagonale de Broca (bd), ou faisceau olfactif de la corne d'Ammon de Zuc1ccrkandl (R
et microscopiques.) ') Les bandelettes diagonales de Broca (bd) ou faisceaux olfactifs des cornes d'Ammon de Zuckerkandl, se
le bord adhérent du lobe sphénoïdal, en formant le plus souvent un faisceau unique, plus rarement dédoublé ou étalé à la su
s par un bord tranchant, libre, au- dessous duquel se dégagent deux faisceaux blancs d'aspect rubané, qui se MORPHOLOGIE CÉRÉ
n frontal. - f,, sillon olfactif ou quatrième sillon frontal. - Fe, faisceau externe du pédoncule cérébral. - Fin,. faisceau i
sillon frontal. - Fe, faisceau externe du pédoncule cérébral. - Fin,. faisceau interne du pédoncule cérébral. Fus, lobule fusi
iasma et chacune des bandelettes optiques con- tiennent en effet un faisceau visuel direct, un faisceau visuel ou optique ev
ettes optiques con- tiennent en effet un faisceau visuel direct, un faisceau visuel ou optique evoisé et un faisceau commiss
faisceau visuel direct, un faisceau visuel ou optique evoisé et un faisceau commissural ou azciforme; ce dernier occupe le bo
rieure de la base du cerveau ou commissure de Gudden (fig. 184). Le faisceau visuel croisé, le plus volumineux, occupe la face
a partie interne et supé- rieure du nerf optique du côté opposé. Le faisceau visuel direct, beaucoup moins volumineux, situé
isuel direct, beaucoup moins volumineux, situé dans la concavité du faisceau visuel croisé, atteint le bord externe de la ba
externe du nerf optique du même côté. Faiscoau visuel croisé. Faisceau visuel direct. F ! G. 184. - Isthme de l'encé
lette optique. Ca, étage supérieur ou calotte du pédoncule (région du faisceau triangulaire de l'isthme do l'encéphale). CG, c
ère paire ccrvic;tle. - C : 11, con- missure de Meynert séparant le faisceau externe 1'e, du pied du pédoncule du faisceau i
de Meynert séparant le faisceau externe 1'e, du pied du pédoncule du faisceau interne Pi. 1·'11, fasciculus l'ctl'utl0.Xl1 de
situé en dedans du sillon du nerf moteur oculaire commun 1/ entre le faisceau interne du pied du pédoncule Pi et le fasciculu
acine externe de la bandelette op- tique est constituée par les faisceaux vi- suels croisé et di- rect. La racine int
genouillés in- ternes. Commissure de Meynert. ! L'atrophie du faisceau croisé se manifeste par une coloration grise de
a face inférieure ou libre de la bandelette, limitée en dehors par le faisceau direct blanc et non dégénéré. Lorsque l'atrophi
aisceau direct blanc et non dégénéré. Lorsque l'atrophie atteint le faisceau direct, la lame grise dégénérée est située le l
externe du nerf optique du même côté. (Voy. Nerf optique, II.) Les faisceaux visuels croisé et direct constituent la racine ex
au postérieur. La commissure de Gudden se loge dans la concavité du faisceau visuel direct; convexe par sa face supérieure,
, et la commis- sure de Gudden se présente sous l'as- pect d'un faisceau ar- ciforme blanc, étendu d'un corps genouill
de la base, on trouve au-dessus de la bande- lette optique un autre faisceau commissural, la commissure de Meynert. Accolée
inage du chias- '' ma. (D'après Gudden.) Bll, bandelette optique ( faisceaux visuels direct et croisé). CG, commissure de Gu
Guddpn. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 317 . missure de Meynert, un petit faisceau décrit par Gudden sous le nom de fais- ceau du
a substance grise située entre le pilier antérieur du trigone et le faisceau de Vicq d'Azyr. 2° La lame grise sus-optique ou
eure et médiane d'un cerveau durci dans le bichromate (fig. 188). Faisceau du tuber cinereum. Lame grise sus- optique
ge oplo-pédonculaire de l'homme, tractus pédonculaire transverse et faisceau aberrant du pilier antérieur du trigone. (D'après
. Cge, corps genouillé externe. Cgi, corps genouillé interne. fTga, faisceau aberrant du pilier antérieur du trigone. - If, in
pituitaire. La structure de ce lobe est rudimentaire : au milieu de faisceaux de fibres entrecroisées en tous sens et dont la |
provenant en grande partie des piliers antérieurs du trigone et du faisceau de Vicq d'Azyr, et d'un noyau gris central, qui
- ceau de Vicq d'Azyr (fig. 193), l'autre interne qui émet un petit faisceau de fibres longitudinales, le faisceau de la cal
tre interne qui émet un petit faisceau de fibres longitudinales, le faisceau de la calotte du tubercule mamillaire (Hau- ben
e la calotte du tubercule mamillaire (Hau- benbündel) de Gudden. Ce faisceau , parallèle à son origine au faisceau de ? i ? z,y
(Hau- benbündel) de Gudden. Ce faisceau, parallèle à son origine au faisceau de ? i ? z,yr, se porte en arrière vers la calott
ous croyons être les premiers à figurer chez l'homme, émet un petit faisceau qui se porte en arrière et en bas pour gagner d
pédoncule du tubercule mamillaire latéral (PTml, fig. 184 et 193), faisceau blanc, légèrement sail- 21 Existence rhoz l
cule mamillaire latéral est traversé par la plus grande partie des faisceaux radiculaires de la troisième paire. Le sommet d
hez ce dernier la voûte de l'espace perforé postérieur et reçoit le faisceau l'étroflexe de Meynert [fasciculus ? o/7p;E ? )
étroflexe de Meynert [fasciculus ? o/7p;E ? ). Chez les rongeurs ce faisceau forme, de chaque côté de la ligne médiane, une
ces vasculaires et remarquable par sa disposition fasci- culée. Les faisceaux affectent quelquefois une disposition parallèle e
postérieur. - Fcop, fais- ceau de la commissure postérieure. - Ftp, faisceau longitudinal postérieur. - Gip, ganglion inter-
rébelleux supérieur. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 32u accentué dans les faisceaux internes que dans les externes, de telle sorte
ne, la face super- ficielle du pied du pédoncule, et constituent le faisceau arciforme ou fais- ceau en écharpe de Féoé (fig
le faisceau arciforme ou fais- ceau en écharpe de Féoé (fig. 4). Ce faisceau représente une variété ana- tomique assez rare.
Chez les animaux tels que le lapin, où le mouvement de torsion du faisceau interne du pédoncule est peu accentué, la séparat
u pédoncule est peu accentué, la séparation du pied du pédoncule en faisceau interne et en faisceau externe est en général a
entué, la séparation du pied du pédoncule en faisceau interne et en faisceau externe est en général assez nette; elle est ét
point de pénétration de la commissure do : \Icyncrt s(pal.e 10 faisceau interne du faisceau externe. lnc. 190. - Losa
n de la commissure do : \Icyncrt s(pal.e 10 faisceau interne du faisceau externe. lnc. 190. - Losange opto-pédonculaire,
190. - Losange opto-pédonculaire, tractus pédonculaire transverse et faisceau aberrant du pilier antérieur du trigone. (D'apr
, corps genouillé externe. - Cgi, corps genouillé interne. - fT,ga, faisceau aberrant du pilier antérieur du trigone. - lf, in
, on voit la commissure de Meynert se diviser en un grand nombre de faisceaux , qui traversent de part en part le faisceau ext
en un grand nombre de faisceaux, qui traversent de part en part le faisceau externe du pédoncule. Plus le faisceau interne du
raversent de part en part le faisceau externe du pédoncule. Plus le faisceau interne du pédoncule s'étale à la surface du fa
cule. Plus le faisceau interne du pédoncule s'étale à la surface du faisceau externe, plus le point de pénétration de la commi
ulum. - Nu, nerf optique. - Oi, olive inférieure ou bulbaire. - Pe, faisceau externe du pied du pédoncule. - Pi, faisceau inte
ieure ou bulbaire. - Pe, faisceau externe du pied du pédoncule. - Pi, faisceau interne du pied du pédoncule. - Po, protubéranc
eaux, ou au niveau des pédoncules cérébelleux supérieurs. Parmi ces faisceaux de fibres, plus ou moins variables comme nombre
, qui l'ont désigné sous le nom d'entrelacement transversal du gros faisceau fibreux, il a été bien décrit en 1870 par Gudden.
ination de ses fibres. L'origine cellulaire et la terminaison de ce faisceau formé de fines fibres nerveuses sont encore inc
oisement partiel du tractus peduncularis transversus (Gudden). Le faisceau transverse du pédoncule de Gudden ne doit donc pa
verse du pédoncule de Gudden ne doit donc pas être confondu avec le faisceau en écharpe de Féré ; ce dernier est un faisceau
re confondu avec le faisceau en écharpe de Féré ; ce dernier est un faisceau aberrant, plus ou moins volumineux et inconstan
e tractus peduncularis l1'anSVel'SIlS de Gudden représente un petit faisceau spécial, qui apparaît au voisinage, du tubercul
rfau- cularis l1'ansuerslis no doit pas être confon- du avec le faisceau en écharpe de Féru Tamia ]Jontis 011 bandel
ombre de petits fascicules disséminés, renforcés quelquefois par un faisceau qui se détache du sillon latéral de l'isthme de
té de la substance perforée posté- rieure, sous la forme d'un petit faisceau de substance blanche, le péclota- cule du tuber
h(l, chiasma des nerfs opti- ques. - Crst, corps restiforme. - rla, faisceau latéral du bulbe. - fat, libres arquées antérie
aisceau latéral du bulbe. - fat, libres arquées antérieures. - Fob, faisceau oblique de la protubérance. - Gp, glande pinéal
drijumeau antérieur. - Qp, tubercule quadrijumeau postérieur. - RI, faisceau triangulaire de l'isthme ou ruban de Reil latér
postérieur (BrQp) et une surface triangulaire décrite par Reil, le faisceau triangulaire de l'isthme, le ruban de Reil (1î,
érales de l'aqueduc de Sylvius. On y trouve, en outre, d'importants faisceaux de fibres nerveuses et un noyau volumineux bien
u rouge ou du pédon- cule cérébelleux supérieur, il existe un petit faisceau triangulaire, le faisceau longitudinal postérie
cérébelleux supérieur, il existe un petit faisceau triangulaire, le faisceau longitudinal postérieur (Flp), au voisinage duque
Xoyau rouge de Stilling. Pédoncule cérébel- leux supérieur. Faisceau longitu- dinal postérieur. Noyaux de la troi-
éphale : elle est connue sous le nom de ruban de Reil laté- ral, de faisceau triangulaire de l'isthme (RI, fig. 189). Dans la
, cap- sule du noyau rouge. - Cgi, corps genouillé interne. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - Flp, faisceau l
illé interne. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FM, faisceau rètrof1ex
missure postérieure. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FM, faisceau rètrof1exe de Meynerl. . Ln, locus niger. - /Vm
m, tubercule mamillaire. -Tml, tubercule mamillaire latéral. - Tpl, faisceau transverse du pédoncule de Gudden. 1'a, troisième
ransverse du pédoncule de Gudden. 1'a, troisième . ventricule. -VA, faisceau de Vicq d'Azyr. x, entre-croisement de Forel ? 7,
Qp), le sillon longitudinal est bordé, de chaque côté, par un petit faisceau de fibres blan- ches qui appartient à la valvul
ntricule latéral. (Pièce durcie au bichromate.) Alv, alveus. - Arc, faisceau arqué. - AM, avant-mur. - CA, corne d'Ammon. - Ce
Lancisi. - i\L3,-2, noyau lenticulaire et ses trois segments. - OF, faisceau occipito.frontal. ot, sillon collatéral. - ot + t
ommissure antérieure. - com, commissure molle. - Cv, cervelet. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Gh, ganglion de l'lm
us du corps calleux, le t<7'nia tecta (tec), et en dehors un petit faisceau de fibres blanches, dirigées d'avant en arrière
petit faisceau de fibres blanches, dirigées d'avant en arrière. Ce faisceau , qui n'est visible que sur la coupe du centre o
es les plus inférieures du cingulum (Cing), c'est-à-dire parle long faisceau d'associa- tion du lobe limbique. D'après Beevo
latéraux qui appartiennent à la circonvolu- tion godronnée, de gros faisceaux de fibres transversales.de 1 millimètre . \ L
ce striée. Ces stries, qui correspondent aux limites des différents faisceaux qui le constituent, affectent une disposition ver
(fig. 201 à 203). Le trigone est essentiellement constitué par deux faisceaux de fibres longitudinales, aplatis de haut en pa
fig. 200). En arrière MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 34"; et en avant ces faisceaux sont distincts, et forment les piliers postérieur
- NC (T), tronc du noyau caudé. - \'C', queue du noyau caudé. - OF, faisceau occipito-frontal.- pcn, picd de la couronne ray
ère de la commissure antérieure; d'autrefois il se dédouble en deux faisceaux de volume égal ou inégal, qui embrassent cette co
ceaux de volume égal ou inégal, qui embrassent cette commissure. Le faisceau antérieur est en général le plus grêle (fige02);
grêle (fige02); exceptionnelle- ment il est plus volumineux que le faisceau postérieur (zig. 203). Jusqu'aux travaux de Gud
c. gone ; aussi 1'orel a-t-il proposé de la designer sous le nom de faisceau de Vicq d'Azyr (VA). Celui-ci constitue en effe
nom de faisceau de Vicq d'Azyr (VA). Celui-ci constitue en effet un faisceau indépendant du tri- gone cérébral ; il nait de
e termine dans le tubercule antérieur de la couche optique (Na). Le faisceau de Vicq d'Azyr relie donc le tubercule mamillai
sversales propres au trigone, le fornix transverse de Forel, ou wmi faisceau commissural des deux cornes d'Ammon. La lyre et
conséquent, ainsi que nous le verrons plus loin, dans le groupe des faisceaux de projection qui unissent l'hémisphère cérébra
ent à la substance perforée anté- rieure. Ces fibres constituent le faisceau olfactif de la corne d'Ammon qui Fin. 20 : i· C
g, circonvolution godronnée. - Cge, corps ge- nouillé externe. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fus, lobule fusiforme.
a, l'op, libres antérieures et postérieures de la protubérance. Py, faisceau pyramidal. Rrrt, ruban de Reil médian. Rp, partie
la 3- paire. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 35t représente, un véritable faisceau d'association, reliant deux régions du rhi- nen
illé externe. Ci, capsule interne. coa, commissure antérieure. - Fli, faisceau longi- tudinal inférieur. - Fus, lobule fusifor
, l'op, fibres antérieures et postérieures de la protubérance. l'y, faisceau pyramidal.- RC, radiations de la calotte. Rm, r
u rhinen- céphalon, car le fornix transverse de Forel représente un faisceau commis- sural jeté entre les deux cornes d'Ammo
e. cop, commissure postérieure. C V, hé- misphère cérébelleux. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - fs, fissura serotina
en arrière, les fibres longitudinales du trigone qui constituent le faisceau olfactif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl ; ces
le. - NC(T), tronc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. OF, faisceau occipito-frontal. - pCli, pied de la couronne r
inbus postc- l'iol' corporis slriati de 1\'illis (le), estun petit faisceau de libres nerveuses qui occupe la partie inféro
un grand nombre de libres de la couche optique et s'épanouit en un faisceau de libres qui parcourant, la voûte de la corne
droit. Carrefour ventriculaire, noyau caudé, couronne rayonnante et faisceau uncinatus. (D'après la photographie d'une pièce d
e, diverticule du cunéus. - dlg, aiverticule du lobule lingual. Fu, faisceau uncinatus.-iep, insertion de l'épendyme ventricul
'avec celles appartenant au système calleux, et de les rattacher au faisceau d'association que nous décrirons plus loin sous l
faisceau d'association que nous décrirons plus loin sous le nom de faisceau occipito-fontccl de Forel et Onufrowicz (OF). L
es et toile choroïdienne sont colorés en rouge. Alv, alvéus. - Arc, faisceau arqué. - AJl, avant,-mur. - CA, corne d'Ammon, -
Lancisi. - NL"NL"NL" noyau lenticulaire et ses trois segments. OF, faisceau occipito-frontal. - ot, sillon collatéral. - ot +
- Th, couche optique (tha- lamus). 11, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. VG, veine de Galien. Vl, ventricu
noyau caudé. NC", partie recourbée delà queue du noyau caudé. - OF, faisceau occipito-frontal. Pclel, plexus choroïdes. Pul,
ne ; celle-ci traverse sa substance sous forme de stries ou de gros faisceaux blancs, et le divise en deux parties ou noyaux, l
dant au segment rétro-lenticulaire delà capsule interne (Cirl). Les faisceaux de la capsule interne passent par les intervalles
ourbée de la queue du noyau caudé (NC"). Ces libres appartiennent, au faisceau de Tiirck et à la couronne rayonnante du lobe t
Ses rapports avec . la substance grise sous-opendymaire et le faisceau occipito- frontal. { 1 tronc, la face inf
blanche comprenant la .couronne rayon- nante du lobe temporal et le faisceau de.TÜl'ck.. (Voy..Coupe,s vertico-t1'aTlS- vers
droit. Carrefour ventriculaire, noyau caudé, couronne rayonnante et faisceau uncinatus. (D'après la photographie d'une pièce d
! c, diverticule du cunéus. dlg, diverticule dulobule lingual. Fu, faisceau uneinatus. - iep, insertion de l'épendyme ventric
Sge) particulièrement épaisse à ce niveau (fig. 241 et suiv.) et du faisceau d'association occipito-fl'ontal de Forel (OF).
se en arrière sur la couronne rayonnante du lobe temporal et sur le faisceau de 7M ? 'cZ' qui occupe le segment externe du p
olet, ou substance inno- minée de Reichert (Sti) qui contient trois faisceaux importants : la partie externe de la commissure
du genou du corps calleux et en dehors par la capsule externe et le faisceau uncinatus (Fu) (fig. 242 et 243). Les bords du
Le bord supérieur est longé par les fibres les plus inférieures du faisceau arcifo1'11le (Arc). Le bord interne se voit sur
le segment postérieur de la capsule interne, concourent à former le faisceau lenticulaire cle Forel (FI) (désigné par Forel
sceau lenticulaire cle Forel (FI) (désigné par Forel sous le nom de faisceau IL). D'autres fibres enfin se rendent au corps
entent un fais- ceau constant dans toute la série des Vertébrés, le faisceau basai du cerveau antérieur d'Edinger (basales V
au caudé. j NC", partie recourbée de la queue du noyau caudé. - OF, faisceau occipito-frontal. l'chl, plexus choroïdes. - 13
commissure de Gudden. Ces deux corps genouillés sont réunis par un faisceau blanc, l'anse M<<e ? yeMpM ! 7/ee de Raub
te du noyau caudé. Les coupes horizontales montrent qu'elle émet un faisceau volumi- neux, qui la sépare du noyau caudé et q
e partie des fibres du segment antérieur de, la capsule interne; ce faisceau porte le , nom de pédoncule antérieur de la cou
elles de l'insula. Le pédoncule antérieur est constitué par un gros faisceau de libres qui proviennent du lobe frontal, se d
des noyaux externe et interne. Il reçoit au niveau de ; sa tête le faisceau de Vicq d'Azyr (VA) qui l'entoure à la façon d'un
près de la face supérieure de la couche optique, dans la région du faisceau de Vicq d'Azyr, où ces deux noyaux ne font qu'u
e à la pénétration de nombreuses stries blanches transversales, les faisceaux radiés de Meynert, qui proviennent des pédoncul
lenticulaire. Région sous-thala- mique de la capsule interne. Faisceau externe du pédoncule ou 1\ de Türclc e. Dis
postérieure du segment postérieur de la capsule, et constituent le faisceau dit « de l'i1-ek ». Ce faisceau prend peu à peu
ur de la capsule, et constituent le faisceau dit « de l'i1-ek ». Ce faisceau prend peu à peu en descendant une direction verti
terne se déployer en un vaste éventail. D'abord amassées en un gros faisceau au niveau du pédoncule cérébral, les fibres se dé
espond aux fibres de projection du lobe temporal, en particulier au faisceau de Tiirck. (Voy. fig. 214.) . BIBLIOGRAPHIE.
grande, suivant laquelle sont sectionnées les fibres de tel ou tel faisceau de la substance blanche, mais encore il l'angle d
blanche, mais encore il l'angle d'incidence des rayons lumineux. Un faisceau sectionné perpendiculairement il la direction d
erpendiculairement il la direction de ses fibres apparaît foncé, un faisceau sectionné parallèlement à la direction de ses f
dans une partie plus ou moins grande de leur trajet principal, les faisceaux encé- phaliques d'un certain volume. Mais, pour
Mais, pour une étude complète soit de l'origine et du trajet de ces faisceaux , soit des rapports que ces derniers affectent a
capsule interne et de la région sous-optique, de même que celle des faisceaux commissuraux, d'association et de pro- jection,
e sillon interpariétal (ip), paraissent plus profonds que la - Arc, faisceau arqué. C, cunéus. Ce, corps calleux. Cing, cingul
ion des fibres nerveuses il ce niveau. On y reconnaît cependant les faisceaux suivants : 1° Le long de la première cil'- conv
e long de la première cil'- convolution limbique (L,), se trouve le faisceau d'association du lobe limbique ou cingulum (Cin
es d'association klllpol'o-occipito-j'I'oniales, qui constituent le faisceau arqué de Burdach ou faisceau longitudinal supérie
cipito-j'I'oniales, qui constituent le faisceau arqué de Burdach ou faisceau longitudinal supérieur (Arc). Le faisceau arqué
sceau arqué de Burdach ou faisceau longitudinal supérieur (Arc). Le faisceau arqué est mal délimité sur ces coupes; il se prés
eure de ses fibres section- nées parallèlement il leur axe. Mais ce faisceau est traversé par toutes les fibres, frontale as
cette grande intrication de fibres explique les limites diffuses du faisceau . En dehors du faisceau arqué, on trouve les fibre
n de fibres explique les limites diffuses du faisceau. En dehors du faisceau arqué, on trouve les fibres Arc, faisceau arque
du faisceau. En dehors du faisceau arqué, on trouve les fibres Arc, faisceau arque.C, cuncus ? Ce, corps calleux.-Ce, capsule
ntale. NC, noyau caudé.- 0" première circonvolution occipitale. - OF, faisceau occipito- frontal. - Pu, circonvolution pariéta
La substance grise sous-épendymaire (Sge, Sé), est embrassée par un faisceau compact de fibres obliquement sectionnées sur l
au compact de fibres obliquement sectionnées sur la coupe, c'est le faisceau occipito- frontal de Forel (OF), la couronne ra
de Forel (OF), la couronne rayonnante du noyau caudé de Meynert. Ce faisceau n'a très probablement rien faire avec le noyau ca
faisceau n'a très probablement rien faire avec le noyau caudé (voy. Faisceau occipito-frontal, Chap. IV). Il possède une d
es, dans l'absence congénitale du corps calleux, en particulier, le faisceau occipito- frontal se réunit au cingulum (Cing)
cipito- frontal se réunit au cingulum (Cing) et forme un volumineux faisceau à direction antéro-postérieure, dont la surface
ution limbique (gyrus for ni- . catus) toujours très déformée (voy. faisceau oécipito-fl'ontal), En avant, ce faisceau se re
jours très déformée (voy. faisceau oécipito-fl'ontal), En avant, ce faisceau se retrouve dans- toute la série des coupes horiz
e pied de la couronne . rayonnante (pCR) (Ji-. 228). En arrière, le faisceau occipito-frontal recouvre de môme la substance
e tapetum (Tap) des auteurs anciens. Entre les deux extrémités du faisceau occ ? <o-/7'o);/f<, on trouve le noyau ca
blanc, situé en dehors de la couronne rayonnante, est constitué parle faisceau , arqué ou faisceau longitudinal supérieur de Bu
s de la couronne rayonnante, est constitué parle faisceau, arqué ou faisceau longitudinal supérieur de Burdach (Arc), qui se c
angulaire du cingulum (Cing), qui forme, en ayanl et en arrière, un faisceau foncé nettement délimité, correspondant aux extré
imité, correspondant aux extrémités antérieure et postérieure de ce faisceau , dont la coupe 25 (Iig. c ? 19) intéresse les lib
en- tourée par la substance grise sous-épendymaire (Sge) et par le faisceau ocei/ilo- frontal (OF), son extrémité postérieu
x (Ce), qui recouvre et masque peut-être l'extrémité postérieure du faisceau occipito- frontal. En dedans, le ventricule est
l'insula (ms), on trouve une lame blanche, formée par les fibres du faisceau arqué ou longitudinal supérieur (Arc), et la pa
son bord externe. 394 ANATOMIE DES CENTRES'»N KRVEUX. ? A part le faisceau arqué nettement limité en; ùeda ",0 ? '1J.2 peut
recon- naître dans la masse blanche sous-jacente à l'écorce, aucun faisceau distinct. Les fibres courtes d'association de l
nvexité présentent pour la'plupart une direc- Alfl, avant-mur. Arc, faisceau arque. - C, cunéus. - Cc, corps calleux. - Ce, ca
piquement, ni microscopiquement, il n'est possible, de délimiter un faisceau dans l'intrication des fibres blanches sous-jacen
ing) et la substance grise sU/ls-l;pl'nd ! l1/wirl ! (Sge) coiffée du faisceau occipito- frontal (OF). Le bourrelet limite en
rtient ainsi que le montrent les cas d'agénesie du corps calleux au faisceau occipito-frontal (OF), se distingue nettement du
sillons frontaux. - Fa, circonvolution frontalc ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. /, insula. - ip, sillon i
eue du noyau caudé. - 0,, première circonvolution occipitale. - OF, faisceau uccipito-fruntal. P>, circonvolution pariétale
des fig. -217 et 218. (Gran- deur naturelle.) AU, avant-mur. Arc, faisceau arqué. - C, cunéus. - Ce (y), genou du corps call
me sillons frontaux. Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - /, insula. - la, Ip,
eue du noyau caudé. - 0., première circonvolution occipitale. - OF, faisceau occipito-frontal. - Pa, cir- convolution pariét
récé- demment le ventricule latéral (VI), entourée en dehors par le faisceau occipito- frontal (OF). Corps opto-striés. La
formée par la capsule externe (Ce) qui se continue en arrière avec le faisceau , longitudinal inférieur (Fli) et sépare le pu/a
me sillons frontaux. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli, faisceau longitu- . dinal inférieur,- I, insula. - if, i
re. - 0" 0" première et deuxième circonvolutions occipitales. - OF, faisceau occipito-frontal. OpF" opercule de la troisième
. 392), ou encore par le carmin, on y reconnaît l'existence de deux faisceaux : l'un interne appartenant au système dés radiati
s thalamiques (RTh), l'autre externe, faisant partie du système des faisceaux d'association et constitué par le faisceau long
t partie du système des faisceaux d'association et constitué par le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Dans le lobe fron
comme précédemment la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau occipito-fiontal (Or). Noyaux opto-striés. - La
eur, les radiations optiques de Gratiolet (l,Tli), et les fibres du faisceau longitudinal infënic.2cr (Fli). Coupe n° 58 (fi
sillons frontaux. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fm, forceps major. I, i
utions occipitales. oa, sillon occipital antérieur de Wernicke. OF, faisceau occipito-frontal. - OpF,, opercule de la troisièm
lution frontale. f,, f2, premier et deuxième sillons frontaux. - pli, faisceau longitudinal inférieur. Fm', faisceau inférieur
ième sillons frontaux. - pli, faisceau longitudinal inférieur. Fm', faisceau inférieur ou minor du forceps. l, insul : t. ifop
s occipitales. - oa, sillon occipital anté- rieur dcWcrnicke. - OF, faisceau occipito-froutal. OhR, opercule rolandique. po.
ptique (Th). La corne occipitale (Voc) est limitée en dedans par le faisceau inférieur du forceps du corps calleux (Fm'), et
sure calcarine (K), par une couche de fibres foncées appartenant au faisceau postérieur du cingulum (Cing); en dehors, la co
ée par les radiations thalamiques (RTh) et la partie externe par le faisceau longitu- COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 407
de la capsule interne. Ci(g), genou de la capsule interne. - Cing, faisceau horizontal du COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU.
stance grise sous-épendymaine du ventricule latéral (Sge) et par le faisceau , occipi/o-fror7tal (OF). Son angle interne est en
e qu'elle est sur les coupes nos55, 58 et 63 (fig. 4, 225, 227). Le faisceau arqué a disparu, les cil'- convolutions frontal
t assez nettement le centre ovale (CO). Le cingulum (Cing) forme un faisceau compacte, sectionné transversalement, qui entou
ar sa coloration foncée d'avec les fibres d'association voisines; son faisceau postérieur (Cingfp]) se trouve sectionné dans l
ctionné dans l'isthme du lobe limbique (Len arrière et en dedans du faisceau , inférieur du forceps du corps calleux (Fin').
outre les fibres d'association propres des cir- cingulum. Cing(p), faisceau postérieur du cingulum. Cip, segment postérieur d
ntaux. - F3{c), cap de la troisième circonvolution frontale. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe
irconvolution frontale. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe de Nlcy·nert. - Fin', faisceau infér
itudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe de Nlcy·nert. - Fin', faisceau inférieur ou minor du forceps. - Gh, ganglion de
tions occipitales. - oa, sillon occipital -antérieur de Wernicke. OF, faisceau occipito-frontal. - oi, sillon intcr-occipital.
tions, la couche sagittale du lobe occipital, formée en dehors par le faisceau longitudinal inférieur (Fli), en dedans par les
i), en dedans par les radiations thalamiques de Gratiolet (RTh). Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) prend son origine da
a première circonvolution temporale (T,) et dont on peut suivre les faisceaux jusqu'à la pointe temporale, et une partie antéri
ire (putamen) (NL.,) et se confond avec la capsule externe (Ce). Le faisceau longitudinal inférieur constitue donc un faisce
externe (Ce). Le faisceau longitudinal inférieur constitue donc un faisceau d'association occipito-tezyoonal, qui dégénère da
diations thalamiques (RTh) qui passent entre le tapetum (Tap) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli) et qui s'irradient p
ulaire (lmi, Finie). Ils sont sillonnés par un très grand nombre de faisceaux de fibres blanches, qui traversent les trois se
culus retroflexus de jlleynert (FM) qui apparaît sous l'aspect d'un faisceau foncé; en dedans, le ganglion de l'habénula est
le noyau lenticulaire en arrière, où il sépare le pulvinar (Pul) du faisceau longitudinal inférieur (Fli). On peut donc le div
gt;71a tecta (tec) et le cingulum (Cing), qui affecte la forme d'un faisceau triangulaire nettement délimité. La face profonde
ventricule, avec la substance grise soo.s-r·pendyrzaire (Sge) et le faisceau occipito-frontal (OF). Cette coupe passe comme
four ventriculaire par la saillie de la corne d ? blt1non (CA) et le faisceau inférieur du forceps du corps calleux (Fm')en d
ieur du forceps du corps calleux (Fm')en dedans duquel on trouve le faisceau postérieur du cingulum (Cing [p]). Au niveau du
onde par les fibres d'association longues appartenant au système du faisceau longitudinal inférieur (Fli), la troisième par
tions thalamiques de Gratiolet (RTh), la quatrième interne. - Cing, faisceau horizontal du cingulum. Cing(p) [faisceau postéri
uatrième interne. - Cing, faisceau horizontal du cingulum. Cing(p) [ faisceau postérieur du cingu- lum. - Cip, segment postér
on frontale. - fi, fi, premier et deuxième sillons frontaux. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Fm', forceps minor. - f,,
circonvolutions occipitales. - oa, sillon occipital antérieur. - OF, faisceau occipito- frontal.O/Fj, opercule de la troisièm
oral profond. - V3, troisième ventricule. ? ruban de Vicq d'Azyr. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vif, corne frontale du ventri
es quatre couches sont ici très nettes, immédiatement en arrière du faisceau inférieur du forceps. Elles s'effacent peuà peu
les fibres coupées perpendiculairement appartiennent au système du faisceau d'association occipito-frontal (OF). (Voy. Faisce
t au système du faisceau d'association occipito-frontal (OF). (Voy. Faisceau occipito- frontal.) En dehors du tapetum se tro
par les radiations optiques de Gratiolet (RTh) en dedans et par le faisceau longitudinal inférieur (Fli) en dehors. Corps o
- rieur de la. couche optique, on trouve la section transversale du faisceau de Vicq d'Azyr (VA). La couche optique est réun
t'l, t'" fi, premier, deuxième et troisième sillons frontaux. - FI, faisceau lenticulaire de Forci. - Fli, faisceau longitudin
ième sillons frontaux. - FI, faisceau lenticulaire de Forci. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Il, hippocampe. - h,
. - 0,, 0 ? première et deuxième circonvolutions occipitales. - OF, faisceau occipito-frontal. oa, sillon occipital antérieur
mporaux. - V3, troisième ventricule. V, ruban de Vicq d'Azyr. - VA, faisceau de Vicqd'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale. - Voc,
nt parallè- lement à sa longueur, et se présente sous la forme d'un faisceau blanc qui double l'extrémité antérieure du lobe
suit dans toute l'étendue de la corne sphénoïdale, il est coiffé du faisceau postérieur du cingulum (Voy. Cingulum). En arri
,le tapetum (Tap), les radiations optiques de Gratiolet (RTh) et le faisceau longitudinal (Fli). Corps opto-striés.-Le noyau
o-interne du segment postérieur de la capsule (Cip), pour former un faisceau allongé, oblique en avant et en dedans, le faisce
pour former un faisceau allongé, oblique en avant et en dedans, le faisceau leur ticulaire de Forel (FI), qui appartient au
el (FI), qui appartient au système de la capsule du noyau rouge. Ce faisceau appartient déjà à la région sous-thalamique de Fo
s. f,, f" f3, premier, deuxième et troisième sillons frontaux. - FOI, faisceau de Meynert. FT, faisceau de Türck. - FU, faisce
ième et troisième sillons frontaux. - FOI, faisceau de Meynert. FT, faisceau de Türck. - FU, faisceau uncinatus. - Fli, faisce
frontaux. - FOI, faisceau de Meynert. FT, faisceau de Türck. - FU, faisceau uncinatus. - Fli, faisceau longitudinal inférie
de Meynert. FT, faisceau de Türck. - FU, faisceau uncinatus. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Gh, ganglion de l'lia
ions occipitales.-oa, sillon occipital antérieur de Wernicke. - OF, faisceau occipito-frontal. - ol, sillon collatéral. - Qa,
u trigone. - troisième ventricule. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphenoïdale du ventri
aux. A sa partie externe, on trouve encore les derniers vestiges du faisceau occipito-frontal (OF) qui se confond avec la ma
t la surface de section présente l'aspect strié caractéristique des faisceaux de fibres qui le composent. Le cingulum (Cing)
es qui le composent. Le cingulum (Cing) apparaît sous la forme d'un faisceau triangulaire, dont le sommet se dirige en arriè
irige en arrière et se confond avec les fibres horizontales du même faisceau , situées entre le genou du corps calleux Cc[gJ)
res des lames médullaires du noyau lenticulaire se réunissent en un faisceau , l'anse du noyau lenticulaire (Al), qui contour
nterne de la région : sous-optique et présente à sa partie interne un faisceau sectionné transversale- ment, nettement délimit
ne un faisceau sectionné transversale- ment, nettement délimité, le faisceau 9-et ? ,oflexus de Meynert (FM). Le corps genou
e quadrijumeau antérieur. (Qa) et de son bras connectif (BrQa). Les faisceaux blancs de la région sous-optique de Forel sont co
par la capsule du noyau rouge qui sur la coupe précédente reçoit le faisceau lenticulaire de Forel (FI, coupe n° 65 [fig. z28p
grise centrale (Sge), on trouve la section perpendiculaire de deux faisceaux , l'antérieur plus volumineux est situé en arriè
cule mamillaire. Il se pré- sente sur les coupes sous la forme d'un faisceau lâchement fasciculé. Le pos- térieur, le faisce
ous la forme d'un faisceau lâchement fasciculé. Le pos- térieur, le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), se présente sous l'aspect d'
ieur, le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), se présente sous l'aspect d'un faisceau de fibres compactes et fines. Ces deux faisceau
sous l'aspect d'un faisceau de fibres compactes et fines. Ces deux faisceaux sont séparés l'un de l'autre par un assez grand
e ; le pilier antérieur du trigone se termine dans ce tubercule, le faisceau de Vicq d'Azyr y naît. - Le tubercule quadrijum
enticulaire au corps de Luys et appartenant en partie au système du faisceau lenticulaire de 422 ANATOMIE DES CENTRES NERVEU
et troisième circonvolutions temporales; ces fibres constituent le faisceau de Tiil'ck (FT) et des- cendent avec le segment
oncule dont elles forment environ le cinquième externe. Ces fibres du faisceau , de Tiil'ck dégénèrent, ainsi que l'un de nous
é et morcelé par des fibres blanches qui appartiennent en partie au faisceau , uncinalus (Fuj. La substance grise .eou.e-nlrc
circonvolution, limbique (L,), on trouve les fibres horizontales du faisceau antérieur du cill ! lulwn(Cing [a]) qui ne se d
elle ne dépasse guère la deuxième circonvolution temporale (T,). Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) est très mal délim
, corps genouillé externe. - Cgi, corps genouillé interne. Cingla), faisceau antérieur du cingulum. - Cing(p), faisceau post
ouillé interne. Cingla), faisceau antérieur du cingulum. - Cing(p), faisceau postérieur du cingulum. CL, corps de Luys. CM,
s'frontalcs. - f,, (" premier et troisième sillons frontaux. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudi
me sillons frontaux. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - fs, sillon tardif (f
, incisure du sillon inter-occipital. - Ip, insula postérieur. - Fil, faisceau uncinalus. Fus, lobule fusiforme. H, hippocampe
mporal. \'3, troisième ventricule. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale. - IV, zo
édian (Rm), et près du raphé, en. avant de l'aqueduc de Sylvius, le faisceau longitudinal postérieur (Flp). La partie antéro
nt dans la région du noyau supérieur de la troisième paire, avec le faisceau longitudinal postérieur (Flp). La substance inn
mée de Reichert (Sti) est limitée, en avant et en arrière, par deux faisceaux larges et volumineux de coloration blanc nacré; l
ieure du lobe temporal droit il celle du lobe temporal gauche. Le faisceau postérieur appartient au système de la bandelette
conte- nant le noyau rouge (NR), le ruban de lcil médian (Rm) et le faisceau longitudinal postérieur (Flp) ; la région infér
ouve la surface de section du ruban de /<'e<7 médian (Rm), du faisceau loccifrcdi.ual postreriezcr(Iilp), ainsi que de
(Rm), du faisceau loccifrcdi.ual postreriezcr(Iilp), ainsi que des faisceaux radiculaires de la 3° paire (III); 3° l'étage sup
ce triangle gris est englobé, frontal. - 1·', champ de Forel. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longi-
. - 1·', champ de Forel. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longi- tudinal postérieur. - Fu, faisceau uncin
tudinal inférieur. - Flp, faisceau longi- tudinal postérieur. - Fu, faisceau uncinatus. - Fus, lobule fusiforme. - fa, troisiè
amillaire. - Va, troisième ventricule. V, ruban de Vicq d'Azyr. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale du ve
aux, on trouve les derniers vestiges de l'avat7t-nexc· (AM), que le faisceau uncinatus (Fu) sépare en avant et en arrière de
(Fu) sépare en avant et en arrière de l'écorce de l'insula (I). Ce faisceau , qui apparaît déjà sur les coupes précédentes,
aisceau, qui apparaît déjà sur les coupes précédentes, constitue le faisceau d'association des circon- valu/ions de l'entrée
précédemment, les fibres de projection du lobe splu;- noïdal et le faisceau longitudinal inférieur (Fli). En dedans, la corne
ce prolongement est entouré par les fibres du trigone et celles du faisceau postérieur du cingulum.. Dans cette région, la
sième circonvolutions frontales. - troisième sillon frontal. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudi
isième sillon frontal. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudi- nal postérieur. - Fu, faisceau uncin
tudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudi- nal postérieur. - Fu, faisceau uncinatus. - Fus, lobule fusiforme. 11, hippocamp
e. - st, velum terminale d'.Eby. Il, ]¡Iln- dclette optique. - Il], faisceaux radiculaires de la troisième paire. ) - 430 A
apparte- nant au système des radiations thalamiques (RTh) et par le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Les libres d'as
niveau du dernier vestige de l'insula (I), on trouve les fibres du faisceau uncinatus (Fu), situées de chaque côté de l'éco
gnes 82 des fig. 217 et 218. sillon frontal ou sillon olfactif. - ? faisceau longitudinal inférieur. Fu, faisceau unci- natu
frontal ou sillon olfactif. - ? faisceau longitudinal inférieur. Fu, faisceau unci- natus. - Fus, lobule fusiforme. - Il, hip
rontales. - fa, troisième sillon frontal. - ? sillon olfactif. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - COUPES MACROSCOPIQUES
s avec l'écorce de la cir- convolution du crochet (U). En avant, le faisceau uncinalus (Fu) le sépare de l'écorce temporale.
ïdale est limitée par le tapetum (Tap), en dehors duquel on trouve le faisceau longitudinal inférieur (Fli). La couche des fib
nd ici avec celle des fibres d'association appartenant au 28 Fil. faisceau uncinatus. - Fils, lobule fusiforme. - H, circonv
"ç'\\ v \ . '' ? $' 434 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. système du faisceau longitudinal inférieur (Fli). La paroi interne de
- mi" face interne de la première circonvolu- tion frontale. - OF, faisceau occipito-frontal. - oF,, partie orbitairc de la
volution limbique. - ¡¡¡F" circonvolution frontale ' interne. - OF, faisceau occipito-frontal. oF,, partie orbitaire de la p
tal. Lignes 37 des fig. `>3 et 236. (Grandeur naturelle.) Arc, faisceau arqué. - Cet ! ]), genou du corps calleux. - Ci
ic, incisure du cap. L,, première cir- convolution limbique. - OF, faisceau occipito-frontal. mF,, face interne de la premi
ntricule latéral (VL), ce système est en rapport en dedans, avec le faisceau occipito-frontal (OF), qui le sépare sur la cou
deuxième et troisième sillons frontaux. - fi, sillon olfactif. Fu, faisceau uncinatus. - ic, incisure du cap. LI, première
ace interne de la première circonvolution. - NC, noyau caudé. - OF, faisceau occipito-frontal. - oF,, partie orbitaire de la
e frontal. Lignes 43 des fig. 23 et 236. (Grandeur naturelle.) Arc, faisceau arciforme. - Ce, corps calleux. - Cc', bec du cor
deuxième et troisième sillons frontaux. - fa, sillon olfactif. - Fu, faisceau unci- natus. - ic, incisure du cap. - L,, premi
audé. NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - OF, faisceau occipito-frontal.- oF,, partie orbitaire de la pr
es fi- bi-es d'association com- prend : les longs et les courts faisceaux d'asso- cialiuu; les premiers sont représenté
és par le cingulum (Cin),le/ûis- ceau occipito-frontal (OF), le faisceau arqué (Arc) et le faisceau uncinalus (Fu).
/ûis- ceau occipito-frontal (OF), le faisceau arqué (Arc) et le faisceau uncinalus (Fu). Le cingulum (Cing) appartient
46 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) AM, avant-mur. - Arc, faisceau arciforme. Ce, corps calleux. Ce', bec du corps
audé. - Nul" troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). OF, faisceau occipito-frontal. - oF,, partie orbi- taire de
UES DU CERVEAU. 443 corps calleux (sec) et le tania tecta (tec). Ce faisceau est intéressé deux fois sur ces coupes, ainsi d
rme dans toute la série des coupes vertico- transversales, un épais faisceau , qui présente, sur les coupes de cerveaux dur-
ux (Foa) de l'écorce de la première circonvolution limbique (LI), Faisceau occipito-frontal (OF). Ce faisceau qui met en con
circonvolution limbique (LI), Faisceau occipito-frontal (OF). Ce faisceau qui met en connexion le lobe 1l'oil- tal avec l
leux (Ce). Dans les cas d'agénésie du corps calleux, le cingulum elle faisceau ncciyilr>-fnorrtal ne forment qu'un seul et
m elle faisceau ncciyilr>-fnorrtal ne forment qu'un seul et môme faisceau , volumineux, 11 direc- tion antéro-postérieure,
du lobe limbique, qui dans ces cas est plus ou moins défiguré. Le faisceau arqué ou longitudinal supérieur de Burdach (Arc)
qué ou longitudinal supérieur de Burdach (Arc) pourrait êlre appelé faisceau de l'opercule il réunit la troisième circonvoluti
e coupes vertico-transver- sales il se présente, sous l'aspect d'un faisceau foncé, mal délimité en dehors, où il se confond
volution frontale (F.,), en bas, il s'effile et se continue avec le faisceau uncinalus (Fu) d'une part (coupes nos 40 et 43, ü
erne (C), d'autre part (coupes nos 43 et 46, fi. c ? .g.l- 3). Le faisceau , uncinalus (Fu) constitue un faisceau fortement a
et 46, fi. c ? .g.l- 3). Le faisceau, uncinalus (Fu) constitue un faisceau fortement arqué, qui réunit la partie orbitaire
euil de l'insula. Il se présente sur ces coupes, sous l'aspect d'un faisceau foncé, irrégulier, qui est limité en dedans par
on des circonvolutions voisines. 11 est impossible de décrire des faisceaux distincts, dans l'ensemble des fibres d'associa
fibres en U du fond des sillons on ne peut en effet décrire, comme faisceau distinct, un faisceau d'association de la premi
es sillons on ne peut en effet décrire, comme faisceau distinct, un faisceau d'association de la première (F,) ou de la deux
55 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) AM, avant-mur. - Arc, faisceau arqué, - Cc, corps calleux. - Ce', bec du corps c
ier sillon frontal. - Fa, cir- convolution frontale ascendante. Fu, faisceau uncinatus. - l, insula. - it, incisure temporal
caudé. NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). OF, faisceau occipito-frontal. oF, (G,'), partie orbitaire de
des fig. 233 et 236. (Grandeur naturelle.) AM, avant-mur. -11 Arc, faisceau arqué. Ce, corps calleux. - Ce, capsule externe.
premier sillon frontal. Fa, circonvolution frontale ascendante. Pu, faisceau uncinatus. - Fus, lobule fusiforme. - Il, circonv
3, NL ? troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. - oI.1, partie orbi- taire de
blanches, formées d'abord par des fibres du système d'association, faisceau uncinatus (Fu), puis par des fibres du système co
paré de l'écorce de l'insula (1) par la capsule extrême (Cex) et le faisceau uncinatus (Fu). Il reste néanmoins au niveau de s
uré de la substance grise sous-épen- dymaire (Sge) qui le sépare du faisceau occipito-frontal (OF). ' . La masse blanche de
de la pré- cédente (n° 46) (fig. 242). Nous y. retrouvons les longs faisceaux d'association : le cingulum (Cing), le faisceau
trouvons les longs faisceaux d'association : le cingulum (Cing), le faisceau occipito-frontal (OF), le faisceau arqué ou longi
ciation : le cingulum (Cing), le faisceau occipito-frontal (OF), le faisceau arqué ou longitudi- nal supérieur Arc) et le fa
ntal (OF), le faisceau arqué ou longitudi- nal supérieur Arc) et le faisceau uncinatus (Fu). Dans le lobe temporal on ne peut
u uncinatus (Fu). Dans le lobe temporal on ne peut distinguer aucun faisceau . Les fibres courtes, comme les fibres longues d'a
naturelle.) Al, anse du noyau lenticulaire. - AM, avant-mur. - Arc, faisceau arqué. - Ce, corps calleux. - Cia, segment anté
emier sillon frontal. Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fu, faisceau uncinatus. Fus, lobule fusiforme.- I, insula.-
i. troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. OF, faisceau occipito- frontal. - OpR, opercule rolandique.
) est recouvert par la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau occipito-f1'ontal (OF). Au niveau de l'angle infé
e au putamen (NL3) quelques ponts de substance grise et de nombreux faisceaux blancs, constituant les fibres lenticulo-caudée
me) (Cex); en bas il s'étale, s'élargit et entre en rapport avec le faisceau uncinatus. (Fu) qui s'épanouit dans l'extrémité
ert en haut par la substance grise sous" : épendymaÎ7'e (Sge) et le faisceau occipilo-froaztal (OF); en bas, il est en rappo
naturelle.) Al, anse du noyau lenticulaire. - AM, avant-mur. - Arc, faisceau arqué. - Ce, corps .calleux. Ce, capsule extern
utions fron- tales. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fu, faisceau uncinatus. - Fus, lobule fusi- forme. H, circon
s seg- ments. - NA, noyau amygdalien. NC, tronc du noyau caudé. OF, faisceau occipito-frontal . - OpR, opercule rolandique..
aire, la capsule externe (Ce) et l'ava ? -tt-72%u ? (AM), en bas le faisceau uncinatus (Fu) dont les fibres les plus supérie
cule inféro-interne de la couche optique (PiTh), on trouve un autre faisceau de fibres sectionnées parallèlement, l'anse du
(Vsph). La coupe n° 71, intéresse le tubercule mamillaÍi'e (Tm), le faisceau de Vicq d'Azyr (VA) et la corne d'Ammon (CA).
xterne est coiffé par la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau 454 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. occipito-fr
aturelle.) Al, anse du noyau lenticulaire. - AM, avant-inur. - Arc, faisceau arqué. - CA, corne d'Ammon. Cc, corps calleux.
ier sillon frontal. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - Flh, faisceau thalamique
n frontale ascendante. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - Flh, faisceau thalamique de Forel. - Fus, lobule fusiforme.-
. - NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. - OF, faisceau occipito-frontal. - OpR, opercule rolandique. - o
tubercule mamillaire. - Tp, circonvolution temporale profonde. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - troisième ventricule. - l'est,
g. 235 et 236. (Grandeur nature.) Alv, alvéus.-Adl, avant-mur. Arc, faisceau arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux.
F, champ de Forel. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fus, lobule fusiforme.
halamus. NL3, 2, ,, les trois segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. - OpR, opercule rolandique. -
ercule mamillaire. - Tp, circonvolu- tion temporale profonde. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - VI, ventricule latéral. - Vsph,
repose sur la région sous-optique dans laquelle on trouve les deux faisceaux de Forel : le faisceau supérieur ou thalamique
sous-optique dans laquelle on trouve les deux faisceaux de Forel : le faisceau supérieur ou thalamique (Fth) et le faisceau in
aisceaux de Forel : le faisceau supérieur ou thalamique (Fth) et le faisceau inférieur ou lenticulaire (FI), séparés par une
en bas, avec le tubercule mamillaire (Tm), dans lequel on trouve un faisceau blanc, le pilier antérieur du trigone (Tga). Sur
lier antérieur du trigone (Tga). Sur la coupe n° 71 (fig. 248), les faisceaux lenticulaire et thalamique de Forel sont réunis
aisceaux lenticulaire et thalamique de Forel sont réunis en un seul faisceau et constituent le champ de Forci (F) situé au-des
de Luys (CL). Du noyau antérieur de la couche optique (Na) part un faisceau volumineux, le faisceau de Vicq d'Azyr (Va), qu
antérieur de la couche optique (Na) part un faisceau volumineux, le faisceau de Vicq d'Azyr (Va), que la coupe n° 69 intéresse
et se termine dans le noyau antérieur de la couche optique (Na). Ce faisceau fut décrit à tort sous le nom de pilier ascendant
rien il faire avec le pilier antérieur du trigone, et constitue un faisceau indépendant, ainsi que Gudden l'a montré il l'a
, sur le système des fibres d'association. Le cingulum (Cing) et le faisceau arqué (Arc), présentent ici leurs mêmes caractè
le faisceau arqué (Arc), présentent ici leurs mêmes caractères. Le faisceau uncinatus a dispat ? 1-il ! ! l. ! l)ar- tient
35 et 230. (Grandeur naturelle.) Alv, alvéus.- AM, avant-mur. -Are, faisceau arqué. Ce, corps calleux. - Ce, cap- sule exter
rconvolution frontale. Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FT, faisceau de Tiirc
frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FT, faisceau de Tiirck. - Fus, lobule fusiforme. - 11, hippoca
me segments du noyau lenticulaire (putamen et globus medialis). - OF, faisceau occi- pito-rrontal. - OpR, opercule rolandique.
central. l'a, protubérance. pms, sillon prérolandique supérieur. P, faisceau pyramidal. - R, scissure de Rolando. - /i77t, rad
ricule en dehors : Tapetum (Tapi. radiations thala- miques (RTh) et faisceau longitudinal inférieur (Fli). La paroi interne es
s 78 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) AM, avant-mur. Arc, faisceau arqué. Ce, capsule externe. - Cg, circonvolution
erforé postérieur. - Fa, circonvolution frontale ascen- dante. -fi, faisceau longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe
frontale ascen- dante. -fi, faisceau longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - fut, fais- ceau de Tii
e du thalamus. - Ni, noyau interne du thalamus. - NL3, putamen. OF, faisceau occipito-frontal. - OpR, opercule rolandique. -
cornée : 1c) et les libres du txnia semicircu- lares qui forment un faisceau d'autant plus large que l'on se rapproche davan-
35 et 236. (Grandeur naturelle.) Aln, alvéus - ADf, avant-mur. Arc, faisceau arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux.
cule du subicu- lum. Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétrofle
frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. FT, faisceau de Turck. -Fu
u longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. FT, faisceau de Turck. -Fus, lobule fusiforme.- Gsm, gyrus s
dian du thalamus (centre médian de Luys). - A'R, noyau rouge. - Or, faisceau occipito-frontal. OpR, oper- cule rolandique. -
Au-dessus du noyau muge on trouve sur la coupe n° 78 (lit, 250) le faisceau de Meynert (FM), qui déprime légèrement la face i
. 253). ' , Substance blanche. - Le corps calleux (Ce) et les longs faisceaux d'asso- ciation, tels que le cingulum (Cing), l
es longs faisceaux d'asso- ciation, tels que le cingulum (Cing), le faisceau occipito-j'I'olltal (OF) el le faisceau arqué (
ls que le cingulum (Cing), le faisceau occipito-j'I'olltal (OF) el le faisceau arqué (Arc) ne présentent rien de particulier i
ulier il noter. La capsule externe (Ce) se continue en bas, avec un faisceau provenant du lobe telllp°l'o-occipital qui conc
tal qui concourt il former toute sa partie inférieure. Il s'agit du faisceau longitudinal inférieur (Fli) qui constitue la cou
.o-0f;c)'/a/. En arrière, les limites externes et inférieures de ce faisceau sont extrêmement nettes; elles le sont moins en a
faisceau sont extrêmement nettes; elles le sont moins en avant, où ce faisceau s'irradie, pour se porter d'une part (coupes ne
ule (P) se continue avec la capsule interne (du) et se divise en deux faisceaux de volume inégal. Le faisceau supérieur et inte
le interne (du) et se divise en deux faisceaux de volume inégal. Le faisceau supérieur et interne continue la direction du pie
9) et des radiations de la calotte (RC) (coupe n° 78 (fig. 250). Le faisceau inférieur beaucoup moins considé- rable, se por
lame cornée (le) et de la queue recourbée du noyau caudé (NC'). Ce faisceau représente le faisceau de T'ürcl, (FT) (fig. 24
la queue recourbée du noyau caudé (NC'). Ce faisceau représente le faisceau de T'ürcl, (FT) (fig. 24H, 251). Il se porte en
251). Il se porte en bas et en dehors entre le tapetum (Tap ! et le faisceau longitudinal inférieur (Fli) et semble se confond
ière avec les radiations optiques de Gratiolet (RTh). En réalité ce faisceau vient de l'écorce temporale. (Voy. Coupes horiz
Lignes 83 des 235 et 236. (Grau deur naturelle. .V, avant-mur. Arc, faisceau arqué. CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. Ce
le du subiculum. - 1·'ct, circonvolution frontale ascendante. P.1[, faisceau retrotlexe de \Ieyncrt.- Fli, fais- ceau longit
Ne, Ni, noyaux externe et interne du thalamus. - NL3, putamen. - OF, faisceau occipito- - frontal. - OpR, opercule rolandique
g. 235 et 2jô. (Grandeur naturelle.) Aq, aqueduc de Sylvius. - Arc, faisceau arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps cal- - le
ticule du subiculum ? Fa, circonvolution frontale ascendante. C'li, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe
ion frontale ascendante. C'li, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Mcynert.- Fus, lobule fusiforme. -
ième segment du noyau lenticulaire (putamcn).- NR, noyau rouge. OF, faisceau occipito-frontal. - Opp" opercule pariétal. ot,
g. 35 et 236. (Grandeur naturelle.) ils, aqueduc de Sylvius. - Arc, faisceau arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps cal- leux
icule du subiculum. Fla, circonvolution frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur.- Fus, lobule fusiforme.
udé. - XL" troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - OF, faisceau occipito-frontal. - OI)P.2, opercule pariétal. -
uge (NR), en dedans des radiations de la calotte (RC), on trouve le faisceau rétroflexe de Illerlner't (FM) qui atteint sur
S MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 469 optiques de Gratiolet (RTll) et le faisceau longitudinal Sur la coupe n° 89 (fig. 255) enfi
Hg. 235 et 236. (Grandeur naturelle. Aq, aqueduc de Sylvius. - Arc, faisceau arqué. - CA, corne d' : lnunon. - Cc, corps cal
ssure postérieure. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. l'2ts, lobule fusiforme
tronc du noyau caudé.- \'C', queue du noyau caudé. NL3, putamen.OF, faisceau occipito-frontal. ot, sillon collatéral. P.{Gsm),
entriques : le tapetum (Tap), les radia- lions optiques (RTh) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Ce dernier nette-
nt diffus en haut. Sur les coupes précédentes, nous avons vu que ce faisceau entrait dans la constitution de la capside exte
r (AM). Sur les coupes nos 86, 88 et 89 (fig. 2;;3,2;;4 et 255), ce faisceau se perd en haut dans le centre ovale (CO), en ded
centre ovale (CO), en dedans du fais- ceau arqué (Arc). Ce dernier faisceau occupe la même situation que sur les coupes pré
frontal. Lignes 92 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) Arc, faisceau arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. -
cule du subiculum. Fa, circonvolu- tion frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Fus, lobule fusiforme.
ticule du subiculum. - Fa, circonvolution frontale ascendante. Fli, faisceau longitudinal infé- rieur. L Fus, lobule fusifor
a, circonvolution frontale ascendante. Fc, fasciola cinerea, - 1·'li, faisceau lon- gitudinal inférieur. - Fin', forceps minor
a, circonvolution frontale ascendante. - Fc, fasciola cinerea. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fin, forceps major. F
calloso-marginal. - CO, centre ovale. - Fc, fasciola cinerea. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Fm', forceps minor. Fus,
ui se confondent au-dessus de la queue du noyau caudé (NC') avec le faisceau d'association occi- pito-frnutal (coupes nos 92
effet, comme les cas d'agénésie du corps calleux le démontrent, au faisceau occipito-frontal (OF), grand faisceau d'associati
rps calleux le démontrent, au faisceau occipito-frontal (OF), grand faisceau d'association qui relie le lobe frontal au lobe
érieur de la corne sphénoïdale, se place entre le tapetum (Tap) et le faisceau , longitudinal inférieur (Fli), et envoie une mi
la partie principale de ce fais- veau, entre le tapetum (Tap) et le faisceau longitudinal inférieur (FIii. Le faisceau longi
re le tapetum (Tap) et le faisceau longitudinal inférieur (FIii. Le faisceau longitudinal inférieur (flip, se perd insensiblem
rconvolution temporale (TJ, l'interne au lobule fusiforme (Fus). Ce faisceau forme la couche sagittale externe du lobe occip
a couche sagittale externe du lobe occipital; il représente un long faisceau d'association, qui relie le lobe occipital au l
sécutivement aux lésions du lobe occipital. Quant aux autres longs faisceaux d'association, le cingulum. (Cing) ne change gu
, le cingulum. (Cing) ne change guère sur cette série de coupes; le faisceau arqué (Arc), n'est intéressé que sur la coupe n
e l'indique le petit îlot d'écorce cérébrale situé au-dessous de ce faisceau ; sur les coupes n°5 93 et suivantes, le faisceau
é au-dessous de ce faisceau; sur les coupes n°5 93 et suivantes, le faisceau arqué n'existe plus il l'état de faisceau plus
s n°5 93 et suivantes, le faisceau arqué n'existe plus il l'état de faisceau plus ou moins distinct, mais se confond avec le
ie verticale du sillon calloso-margiual. - CO, centre ovale. ? Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fm, forceps major. - Fm
CO, centre ovale. Fm, forceps major. ri ? i', forceps minor. F/<, faisceau longitudi- nal inférieur. - Fus, lobule fusifor
es fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) EM, ergot de Morand. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fin, forceps major. F
la coupe n° 105 et qui, sur la coupe n° 107, se réunit en un petit faisceau situé à l'angle inféro- interne du ventricule.
6. (Grandeur naturelle.) . C, cunéus. - EM, ergot de Dlorand. -Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fin, forceps major.-F
AU. 483 les radiations optiques de Gratiole (IlTli) en dedans et le faisceau longitudinal inférieur (Fli) en dehors. La paro
t 236. (Grandeur naturelle.) C, cunéus. - EM, ergot de Morand. Fli, faisceau longitu- dinal inférieur. - Ficus, faisceau tra
, ergot de Morand. Fli, faisceau longitu- dinal inférieur. - Ficus, faisceau transverse du cunéus de Sachs. - Fus + 03, unio
et forment le tapetum (Tap). En dedans elles se confondent avec le faisceau inférieur du forceps (Fm'), qui présente de m
. 362), les fibres du forceps major (Fm) sont réunies en un épais faisceau il direction antéro-posté- rieure, très foncé
et 137 (fig. 265, 266), le forceps major a disparu en tant que faisceau distinct, et la cavité ventriculaire est simple
implement bordée par une mince cou- che de fibres calleuses. Le faisceau inférieur du forceps (Fm') qui occupe l'angle i
xiste, tapisse la paroi ventriculaire et se continue en avant avec le faisceau occipito-fro>ztal. (Voy. Faisceau occijilu-f
t se continue en avant avec le faisceau occipito-fro>ztal. (Voy. Faisceau occijilu-frunlcrl.)ln dehors du tapetum, nous t
dehors du tapetum, nous trouvons les radiations otiques (RTh) et le faisceau longitudinal in fi·ri.n,zcr(>;li), ce dernie
137 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) C, cunéus. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fus 03, union du lobu
u radiations thalamiques (RTh) et les longues fibres d'association ( faisceau longitudinal irrfé- rieur) (Fli). Ces trois cou
on (faisceau longitudinal irrfé- rieur) (Fli). Ces trois couches de faisceaux , très distinctes à la face externe et inférieur
ent donc un cercle complet, quoique très irrégulier. En dehors du faisceau longitudinal inférieur et du ces coupes n'inté-
ænia tecta (tec). Toutes les autres coupes passent en arrière de ce faisceau . Dans la pointe occipitale (coupe n° 133, fig. 26
33, fig. 265), au niveau de la partie moyenne du CtliU : us (C), un faisceau foncé, reconnaissable surtout sur les coupes mi
coupes microscopiques, coiffe le sommet des couches sagittales. Ce faisceau , décrit par Sachs sous le nom de faisceau trans
es couches sagittales. Ce faisceau, décrit par Sachs sous le nom de faisceau transvase du cunéus (FteS), appartient au lobe
- F, champ de Forel. Fa, circonvolution frontale ascendante. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - fil ! , sillon fronto-
us. - pi-s, sillon prérolandique supérieur. - Piil, pulvinar. - Py, faisceau pyramidal. Tt/7, pli fronto-limbique. - 7ul)la,
e la commissure antérieure (coa) qui se présente sous l'aspect d'un faisceau ovalaire très foncé. En arrière du corps strié
le noyau interne (Ni). Au-dessous du noyau antérieur (Na), se voit un faisceau de fibres (PiTh) qui semble venir de la région
iTh) qui semble venir de la région du tubercule mamillaire (Tm). Ce faisceau s'irradie en pinceau et appartient au pédoncule i
tique (Th) est séparée des tubercules quadrijumeaux (Qa, Qp) par un faisceau de fibres d'un blanc éclatant, qui se dirige obli
nt en haut et en arrière, et qui représente la partie supérieure du faisceau rétroflexe de Jfe ! JneJ't (FM), au moment où i
de fibres blanches, qui répond au ruban de 1 ? (il latéral (RI) ou faisceau triangulaire de l'isthme. Ces coupes sagittales m
'étage antérieur de la protubérance (Po), qui concourent il former le faisceau ]JY- mmidal (Py). La région de la calotte se co
au. A la place de la première circonvolution limbique, il existe un faisceau blanc arciforme, qui entoure complètement le corp
issure antérieure (coa) qui se présente toujours sous l'aspect d'un faisceau ovalaire très foncé; elle est entourée de subst
a partie supérieure de la commissure antérieure (coa), on trouve un faisceau de fibres blanches, qui apparaissent nacrées et r
nacrées et resplendissantes sur les cerveaux durcis au bichromate, faisceau qui s'étend, du premier indice de séparation du
(\L.,), vers la couche optique (Th) dans laquelle il s'irradie. Ce faisceau fait partie de la couche la plus interne du péd
ale ascen- dante. - Fc, fasciola cinere : v. - Floc, flocculus. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. A, sillon de l'hippocamp
éus. - prs, sillon prérolandique supérieur. - Pul, pulvinar. - l1j, faisceau pyramidal. - 7z/'l, pli fronto-limltiquc. 7cplc
rébral (P) se prolonge dans la protubérance (Po) pour constituer le faisceau pyramidal (Py). La prolubé- rance (Po) est sect
s calleux s'est déplissé ; il donne naissance en avant et en bas au faisceau inférieur du forceps (Fin'). Cavités ventricula
, ,). Le putamen (NL.,) et le noyau caudé (NC) sont séparés par des faisceaux de fibres blanches, qui donnent il ces noyaux l
s très obli- quement, se présentent par conséquent sous l'aspect de faisceaux plus ou moins foncés et qui se confondent avec
édoncule (P) dont elle est séparée par le corps de Lui/s (CL) et le faisceau thalamique de Foret (Fth) qui appartiennent il
ent seules sur celte coupe ; elles se présentent sous la forme d'un faisceau blanc, nacré, res- plendissant, il direction pr
blanc, nacré, res- plendissant, il direction presque verticale; ce faisceau , qui correspond au genou de la capsule interne
. Fm, forceps major. - fm, sillon fronto-marginal de Wernicke. Fth, faisceau thalamiquo de Forci. Il, circonvolution de l'hipp
icule occipital (Voc), au-dessus du pli rélro-limbique il existe un faisceau triangulaire, qui appartient au système du forc
gulaire, qui appartient au système du forceps dont il représente le faisceau inférieur ou minor (Fm'). Ventricule latéral. L
ntérieures du pied du pédoncule céréGnal (P) se continuent avec des faisceaux de fibres il direction verticale, qui passent ent
convolution frontale ascendante.f ? ? ? , forceps major; 1·nz', son faisceau inférieur on minor. Fus, lobule fusiforme. H, h
circonvolution frontale ascendante. - Fm, forceps major; F2)2',son faisceau inférieur ou minor. - fm, sillon fronto- margin
rconvolution frontale ascendante. - fg, sillon fimbrio-godrohné. Fli, faisceau longitudinal inférieur. fm, sillon fronto-margi
i, faisceau longitudinal inférieur. fm, sillon fronto-marginal. Fu, faisceau uncinatus. Fus, lobule fusiforme. - Il, hippoca
Tap), la couche des radiations thalamiques de Gratiolet (RTh) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Toute la paroi su
ième sillons frontaux, Fa, circonvolution frontale ascendante. Fit, faisceau longitudinal inférieur/ fm, sillon fronto- marg
ongitudinal inférieur/ fm, sillon fronto- marginal de Wernicke. Fu, faisceau uncinatus. =Fus, lobule fusiforme. H, hippocampe.
s, auxquelles s'est ajoutée une troisième couche, constituée par le faisceau lonrli- tudinal inférieur (Fli). Très accentuée
s organes on trouve la capsule (Ce) et l'avanrl-mzc (ANI) doublé du faisceau uncinatus (Fu) ; celui-ci, situé il la partie ant
me sillons frontaux. Fa, circonvo- lution frontale ascendante. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FT, faisceau de Tttrck.
lution frontale ascendante. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FT, faisceau de Tttrck. Pu, faisceau .uncinatus. - Fus, lobu
. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FT, faisceau de Tttrck. Pu, faisceau .uncinatus. - Fus, lobule. fusiforme. H, circonvo
rconvolution frontale.-Fa, circonvolution frontale ascendante. Fli, faisceau longitudinal infrieur.-1'evs, lobule fusiforme. -
tale. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. ;13 (RTh) et par celle du faisceau longitudinal inférieur (Fli). Sa paroi inférieure
longée par un noyau gris, mince et étroit, interrompu par quelques faisceaux de fibres blanches et qui appartient ¡lia la queu
nt lie it- laire de la capsule interne (Cirl); elles contiennent le faisceau de Turc (fur) qui passe dans la région sous-opt
u lenticulaire. Il est séparé des circonvolutions insulaires par un faisceau d'association interlobaire, le faisceau uncinat
onvolutions insulaires par un faisceau d'association interlobaire, le faisceau uncinatus (Fu). Il est séparé [du noyau lenticu
-nombreuses fibres d'association, qui ne semblent pas se grouper en faisceaux distincts. Dans le lobe lemp°l'O-pa1'iélO-occip
cule, le tapetum (Tap), puis les radiations thalamiques (RTh) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Ce dernier est part
sente rien de particulier il noter. Elle n'intéresse en effet aucun faisceau différencié, si ce n'est les courtes fibres d'ass
fois pas pour élucider le trajet souvent fort compliqué de certains faisceaux du névraxe; il faut de toute nécessité lui adjo
ur longueur. 2° La constitution du centre ovale de Yieussezz.s. Les faisceaux courts et longs d'association; leur intrication
llement de la partie infé- rieure de l' avant-mur par les fibres du faisceau uncinatus. 4° La constitution des noyaux gris c
- tent les fibres du corps calleux, de la couronne rayonnante et du faisceau occipito-frontal, en avant et au-dessous de la
s la couche optique. La coupe D est intéressante au point de vue du faisceau uncinalus et de l'anse du noyau lenticulaire. C
u faisceau uncinalus et de l'anse du noyau lenticulaire. Ce dernier faisceau est sectionné parallèlement a la direction de s
e de la capsule du noyau rouge. La coupe E indique la façon dont le faisceau uncinalus se prolonge dans la capsule externe,
e faisceau uncinalus se prolonge dans la capsule externe, s'unit au faisceau longitudinal inférieur et dissocie la substance
elle passe au-dessous du lobe fron- tal et montre les connexions du faisceau longitudinal inférieur avec le noyau amygdalien
culaire de la capsule interne, de l'anse du noyau lenticulaire, des faisceaux tlwlamlquc (II,) et lenticulaire (IL) de Forci,
t lenticulaire (IL) de Forci, de la commissure de Meynert, du petit faisceau du tuber cillercllln de Gudden et de la substan
sous-épendymaire (Sge), autour de laquelle viennent se grouper les faisceaux importants de celte coupe, affecte une forme irré
tl(,s, qui la sillonnent dans tous les sens et qui appartiennent au faisceau occipito-fronlal (Voy. fig. 295). Cette grande
ntraux. Autour de la substance grise sous-épendymaire, on trouve un faisceau volumineux, fortement coloré par l'hérnatoyline,
- ' mF,, face interne de la première circonvolution frontale. - OF, faisceau occipito-frontal. - ouf., partie orbitaire de l
et qui appartiennent, ainsi que les coupes sériées le montrent, au faisceau occiilo-f i·oz7tal de Forel (OF). Ce faisceau se
riées le montrent, au faisceau occiilo-f i·oz7tal de Forel (OF). Ce faisceau se distingue des fibres calleuses par la colora
rieures se réunissent aux fibres calleuses réfléchies et forment un faisceau allongé, qui se prolonge dans la partie orbitai
a partie orbitaire de la première circonvolution frontale (oF,). Ce faisceau est toujours séparé du fond du sillon olfactif (1
ibres sectionnées perpendicu- lairement il leur axe, qui forment un faisceau volumineux et allongé au niveau de la partie or
CENTRES NERVEUX. En dedans des fibres calleuses (Cc), on trouve un faisceau volumineux, fortement coloré, formé de fibres v
en s'effilant sur sa paroi externe, où elles se placent en dehors du faisceau occipito-for7tal (OF) et de la substance grise
es libres inférieures se portent également en dehors, et forment un faisceau compacte, qui se coude brusquement au niveau de l
S DU CERVEAU. 52S la première circonvolution frontale (oF,). Là, le faisceau calleux inférieur s'effile comme le faisceau su
frontale (oF,). Là, le faisceau calleux inférieur s'effile comme le faisceau supérieur, et entoure la paroi externe de la. cor
corne frontale d'une couche de fibres continues. Mais tandis que le faisceau supérieur, que le faisceau inférieur et que le
de fibres continues. Mais tandis que le faisceau supérieur, que le faisceau inférieur et que le genou sont formés de fibres p
que. mF" face interne de la première circonvolution frontale. - OF, faisceau occipito-frontal. oFi, partie orbitaire do la p
e (Voy. Coupe horizontale microscopique C, fig. ? 95, p. 369). Le faisceau occipito-frontal (OF), situé en dedans des fibres
ne s'entre-croisant dans tous les sens, et appartenant en partie au faisceau occipito-frontal; elles dégé- nèrent comme ce f
en partie au faisceau occipito-frontal; elles dégé- nèrent comme ce faisceau à la suite de lésions corticales. , En dehors d
ie interne [mu;], ou partie orbitaire [oF,]) on ne distingue pas de faisceaux d'association nettement circonscrits et méritant
dessus du genou du corps calleux, le cingulum affecte la forme d'un faisceau triangulaire ou pyriforme, dont le sommet regar
xyline. Au- dessous du genou du corps calleux, le cingulum forme un faisceau beaucoup plus petit (Cing'), dont les fibres so
29 en pointe en dehors de la substance grise sous-épendymaire et du faisceau occi- pito-frontal (OF) et elles donnent naissa
res calleuses (Ce), la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau occipito- frontal (OF). Elles s'entre-croisent
re circonvolution frontale (F : ,) reçoit au contraire un très beau faisceau , de projection, qui concourt il la formation des
l la formation des fibres radiées de cette circonvolution. Un petit faisceau de fibres rayonnantes se porte en dedans vers l
et limite en dehors le cingulum. Le cingulum (Cing) constitue un faisceau volumineux, formé de fibres sec- tionnées en tr
a; au niveau de son angle saillant, on trouve la section oblique du faisceau uncinalus (Vu); au niveau de sa partie inférieure
lles des couches profondes de l'écorce prédominent . En dedans du faisceau uncinalus (Fn) et des fibres propres de on 3t
circonvolution frontale ascendante. - fl, fibres tangentielles. - Fu, faisceau uncinatus. - l, insula. - ig, induseum griseum.
au caudé. NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). OF, faisceau occipito-frontal. - OpF3, opercule de la troisi
a cou- ronne rayonnante (pCR) et se portent en dedans, soit vers le faisceau occipito- frontal (OF), soit vers la partie rec
ules appartiennent au système de l'anse du noyau lenticulaire et du faisceau lenticulaire de Forel, qui prendra sur les coup
tante dans toute la série des Vertébrés, où elles portent le nom de faisceau basai du cerveau antérieur d'Edinger. Le corps
eau basai du cerveau antérieur d'Edinger. Le corps calleux (Ce), le faisceau occipito-frontal (OF), le pied de la couronne r
u niveau de la partie inférieure de l'insula (I) quelques fibres du faisceau auci- nalus (Fu). Ainsi renforcées, elles se po
de la figure 244. , AM, avant-mur. 4M', avant-mur dissocié par le faisceau uncinatus. - Arc, faisceau arqué. Ce, corps cal
avant-mur. 4M', avant-mur dissocié par le faisceau uncinatus. - Arc, faisceau arqué. Ce, corps calleux. Ce, capsule externe.
vec les fibres calleuses les plus inférieures et avec les fibres du faisceau occipito-fron lai. Elles sont parallèles aux fibr
les fibres du pied de la couronne rayonnante et avec les fibres du faisceau occipito-frontal. En dehors de la capsule exter
nt-mur (AM), morcelé au niveau de sa partie inférieure (AM') par le faisceau uncinalus (Fu) et par les fibres de la capsule
ans la face sylvienne de l'opercule, rolandique (OpR) au-dessous du faisceau arqué de 7;urdaclc (Arc) et d'autre part dans l
) et d'autre part dans la circonvolution antérieure de l'insula. Le faisceau uncinatus (Fu) se pro- longe dans le lobe tempo
de la corne sphénoïdale du ventricule latéral et n'intéresse que des faisceaux d'association ou des faisceaux de projection no
icule latéral et n'intéresse que des faisceaux d'association ou des faisceaux de projection non encore différenciés. Au niveau
orce de la circon- volution du crochet (U), la partie inférieure du faisceau uncinalus (Fu) est disso- ciée par des languett
e la région et appartiennent il la bandelette diagonale de Broca ou faisceau olfactif de la corne d'Ammon de Zucl : erkandl,
e Broca ou faisceau olfactif de la corne d'Ammon de Zucl : erkandl, faisceau qui prend son origine dans la corne d ? xxtnort
et dans la paroi inférieure de la corne sphénoïdale. Ses libres Fu, faisceau uncinatus. Fus, lobule fusiforme. fi, fibres tage
, NL" trui- sième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipiLn-17·nt : rl. 0/j/f, opercule rolandique
uveau au niveau de l'angle antérieur du septum,- sous la forme d'un faisceau assez compact connu sous le nom de bandelette ou
sphénoïdale du ventricule latéral (Vsph). Le corps calleux (Ce), le faisceau occipito-frontal (OF), la masse blanche des cir
'angle interne du globus palli- -, dus sans se grouper toutefois en faisceaux distincts; elles s'entre-croisent en effet avec
ibrillaire du globus pallidus. Ces fibres foncées se groupent en un faisceau volumineux, qui sort du bord inférieur et de l'an
putamen (NL3). La lame médullaire interne (lini) est formée par des faisceaux plus épais et plus nombreux. Ils sont sectionné
genou de la capsule (Ci [g]) et forment dans cette région un petit faisceau assez isolé, situé au-dessus de l'anse du noyau l
ection oblique de la commissure antérieure (coa) qui forme un petit faisceau ovalaire, entouré de nombreux ori- fices vascul
e même aspect que sur la coupe pré- cédente ; elles sont formées de faisceaux onduleux, sectionnés presque parallè- lement le
tllm zonale de la couche optique (strz); la partie moyenne forme un faisceau allongé et effilé qui atteint presque le pilier a
qui constitue le pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh). Le faisceau 1,x;[I'I'I/(', onduleux, beaucoup moins volumin
on de l'insula (1), et une partie inférieure (AM'), morcelée par le faisceau uncinatus (Fn) et qui se con- fond en dedans av
u de la paroi inférieure de la corne sphénoïdale (Vsph), ce dernier faisceau est formé de libres sectionnées en tra- vers; a
relient le pédoncule du putamen (PNL.,I au noyau amygdalien (NA). Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) est séparé de la p
séparé de la partie morcelée de l'avant-mur (AM') par les fibres du faisceau uncinatus. Are, faisceau arqué. Ce, corps calleux
lée de l'avant-mur (AM') par les fibres du faisceau uncinatus. Are, faisceau arqué. Ce, corps calleux. Ce. cap- sule externe
remier sillon frontal. - Fa, circonvolution frontale ascendante. Fli, faisceau longitudinal inférieur. j't, libres tangentiell
i, faisceau longitudinal inférieur. j't, libres tangentielles. -Fu, faisceau uncinatus. Fus, lobule fusiforme. l, insula. LI
troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. OF, faisceau occipito-frontal. OpR, opercule rolandique. ot, s
J/, bandelette opt ique. 538 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. et du faisceau uncinalus (Fu) par le pédoncule inférieur de la c
erne du veutoi- cule latéral et s'entre-croisent avec les fibres du faisceau occipito-frontal (OF) et de la couronne rayonna
fibres du tapetum (Tap). En dehors, cette couche est limitée par un faisceau de fibres foncées, dirigées obliquement en haut
et s'entre- croisent au niveau de la zone réticulée. (Zr), avec des faisceaux semblables venus des différentes parties de l'é
noyau C,x : tl ! l'l1C (Ne), où elles se réunissent pour former un faisceau qui descend dans la région sous-optique, où il
aisceau qui descend dans la région sous-optique, où il constitue le faisceau thalamique de Forel. Le noyau interne (Ni) est
e de ce noyau interne (Ni) on trouve la section transver- sale d'un faisceau fortement coloré, qui longe d'avant en arrière le
du noyau interne, au-dessus du sillon de Monro, on trouve un autre faisceau de libres il direction transversale, appartenan
bres il direction transversale, appartenant il la commissure molle, faisceau qui reçoit un certain nombre de fibres de la la
ntal.-F, champ de Forel. Fa, circonvolution frontale ascendante FI, faisceau lenticulaire de Forel. ? fibres tangentielles.
u noyau lenticulaire, le premier segment est subdivisé en deux. OF, faisceau occipito-frontal. - Opta, opercule de la troisièm
t se mélangent au feutrage dense de ce noyau, les autres forment un faisceau qui enveloppe, soit la face inférieure, soit la f
it la face inférieure, soit la face supérieure du corps de Luys. Le faisceau supérieur, particulièrement dense, se porte en
amp de Forel (F). Ces fibres bien décrites par Forel constituent le faisceau (H2) de cet auteur, faisceau que nous désignerons
bien décrites par Forel constituent le faisceau (H2) de cet auteur, faisceau que nous désignerons sous le nom de faisceau le
au (H2) de cet auteur, faisceau que nous désignerons sous le nom de faisceau lenticulaire de Forel, et entrent dans la constit
noyau externe (Ne), forment il la limite inférieure de ce noyau un faisceau assez compacte, le faisceau lhalamique de Forel (
il la limite inférieure de ce noyau un faisceau assez compacte, le faisceau lhalamique de Forel ( 1· th) (faisceau I-I,) eoup
faisceau assez compacte, le faisceau lhalamique de Forel ( 1· th) ( faisceau I-I,) eoupe n° VIII (firi. 286), puis entrent d
86), puis entrent dans le champ de Forel (F) où elles s'unissent au faisceau lenticulaire (FI) du même auteur. Réunis en dedan
faisceau lenticulaire (FI) du même auteur. Réunis en dedans, ces deux faisceaux divergent en dehors et sont séparés l'un de l'a
peu en avant de celle-ci, le champ de Forel est adossé en dedans au faisceau de Vicq d'Azyr (VA) qui relie le tubercule anté
iveau de la substance perforée postérieure, et constituent le petit faisceau désigné par Forel sous la lettre y, et que nous
orce de la région rolandique, dont un grand nombre va constituer le faisceau pyramidal du bulbe. Dans la partie supérieure d
it par les fibres de projection thalamiques; elles se grou- pent en faisceaux parallèles dans la partie inférieure, de telle so
mier sillon frontal. Fa, cir- convolution frontale ascendante. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétro- fle
lution frontale ascendante. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétro- flexe de Meynert. l'l, fibres tangentiel
re (putamen1. Nm, noyau médian du thalamus. - XII, noyau rouge. OF, faisceau occipitn-fmntal. OpR, opercule rolandique. ot,
a protubérance. Pop, fibres postérieures de la pro- tubérance. Pi/, faisceau pyramidal. - R, scissure de Rolando. RC, radiatio
i \ o i i i>i" 541 ! ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. dedans. Ce faisceau prend son origine dans les cellules du ganglion d
qui appartiennent à la capsule du noyau rouge et en particulier au faisceau longitudinal postérieur. \ Le segment postérieu
t dans la protubérance (Po) où elles s'entre-croisent avec les gros faisceaux de fibres transversales du pédoncule cérébelleux
isamment en arrière du pôle frontal, pour qu'on puisse déjà voir le faisceau de 7'M)'c/c s'irradier dans le pied du pédoncule.
optiques de Graliolel (RTh) et la couche de fibres plus épaisses du faisceau lonuiludi1l1lIinfi'- rieur (Fli). De ces deux c
ES DU CERVEAU. 347 au niveau de sa partie externe, formant ainsi le faisceau externe du pédoncule ou « faisceau de TÜrck ».
partie externe, formant ainsi le faisceau externe du pédoncule ou « faisceau de TÜrck ». Coupe n° VIII (fig. 286) passant pa
calleuses (Ce) dans les circonvolutions l'olalldiques (Fa, Pa). Le faisceau occipito-frontal (OF) présente encore le même v
ante et entrent dans la constitution de la capsule externe (Ce). Le faisceau occipito-frontal fournit en effet à cette dernièr
particulier dans sa lame médullaire externe (Lme). Au-dessus de ce faisceau se trouve un petit noyau aplati, légèrement recou
Flechsi ! 1 (NF). Du noyau rouge (NR) ha1'tent un certain nombre de faisceaux volumineux, onduleux, qui se portent en haut et e
lleux supérieur (Pcs); en dedans, on trouve les dernières fibres de faisceau longitudinal postérieur, ainsi que le faisceau 1"
dernières fibres de faisceau longitudinal postérieur, ainsi que le faisceau 1"i[I'o(le : CI ? de Meynert (FM), recouvert pa
cule du subiculum. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FAf, faisceau rétrofl
frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FAf, faisceau rétroflexe de Meynert. l'Poa, fibres antérieures
e de Meynert. l'Poa, fibres antérieures de la protubé- rance. - FT, faisceau de Tiit'ck. FT', partie du faisceau de Tiirck, ve
res de la protubé- rance. - FT, faisceau de Tiit'ck. FT', partie du faisceau de Tiirck, venant des deuxième et troisième cir
deuxième et troisième circonvolutions temporales. - Fut" partie du faisceau de Tiirck venant, de la pre- mière circonvoluti
e- mière circonvolution temporale. ft, fibres tangentielles. - Fth, faisceau thalamique de Fo- - rel. - Fus. lobule fusiform
Ni, noyau interne du thalamus. XL3, putamen. A'R, noyau rouge. OF. faisceau occipito- frontal. - Coppa. partie pariétale de
idal. R, scissure de Rolando. - RC, radiations de la calotte. - rlll, faisceaux radiculaires de la troisième paire. - {7'/<,
ed du pédoncule cérébral (P). Ces dernières fibres se réunissent en faisceaux qui s'enchevêtrent les uns avec les autres et c
bres, qui constituent la couronne rayonnante du lobe temporal et le faisceau de 7'M ! 'c ? (FT) ou faisceau externe du pied du
ne rayonnante du lobe temporal et le faisceau de 7'M ! 'c ? (FT) ou faisceau externe du pied du pédon- cule cérébral. Ces fi
e en particulier, dans la première temporale (F1''1\). La partie du faisceau de Tiirck, qui vient des deuxième et troisième
s, qui proviennent de la zone claire de fibres situées en dedans du faisceau de 7'ürcl, : (FT) et qui se continuent avec la
alamiques ou ? 7 ? Mto)'o ? t/))fM.s' s'enchevêtrent avec celles du faisceau de Tùrck, traversent la région thalamique de la c
e rendent il la partie inférieure de la couche optique. Les fibres du faisceau de 7'M/'c/- (FT) se portent au contraire en bas
erne environ du pied du pédoncule cérébral et que par conséquent le faisceau .de y'tt;'c/)' tire son origine corticale exclusiv
de la couche formée par les radiations thalamiques (RTh), un petit faisceau de fibres sectionnées perpendi- culairement et
onnées en travers et dont la partie supérieure est traversée par le faisceau de 7'ür·cl, : avec lequel elles paraissent se con
l, : avec lequel elles paraissent se confondre en dehors : c'est le faisceau longitudinal inférieur (Fli), séparé de la cavité
se comportent comme sur la coupe précédente n° VIII (fin. 286). Le faisceau occipito-frontal (OF) est formé de faisceaux ap
n° VIII (fin. 286). Le faisceau occipito-frontal (OF) est formé de faisceaux aplatis et sectionnés parallèlement à leur axe qu
ventricule sphénoïdal (Vsph) en dehors, et s'entre-croisent avec le faisceau longitudinal inri·rieur (lli), puis elles se po
, fig. 292, 293). Les fibres des radiations thalamiques (RTh) et du faisceau longitudinal infé- rieur (Fli) sont traversées
ction est particulièrement nelle au niveau du coude que présente le faisceau longitu- dual inférieur (Fli), il la base de la
que sur les coupes pré- cédentes et se différencient des fibres du faisceau longitudinal inférieur (Fli) par leur coloratio
veau de la paroi inférieure du diverlicule du stcbiculunc (ds), le faisceau longitu- dinal infé1'iew' (Fli) se confond avec
ds), le faisceau longitu- dinal infé1'iew' (Fli) se confond avec le faisceau postérieur du cingulum. Quant il la paroi inter
lv), qui se continuent graduellement en haut avec les fibres - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - l'lp, faisceau longitud
aut avec les fibres - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - l'lp, faisceau longitudinal postérieur. - ft. fibres tangentie
tique. NU, troisième segment du noyau lenticu- laire (putamen). OF, faisceau occipito-frontal. OpP-2, opercule pariétal. - ot,
ostérieures de la protubérance. - pour, sillon post-rolandique. Py, faisceau pyramidal. - /in : , ruban de Reil médian. RTla,
tance grise de l'aqueduc qui se porte un peu en avant, on trouve le faisceau longitudinal postérieur (l11) divisé en gros fa
e du noyau caudé. Le bourrelet du corps calleux (Ce), formé de gros faisceaux de fibres enche- vêtrées, se divise au niveau d
rent que le tapetum appartient, non pas au système calleux, mais au faisceau d'association occipito-frorztal de Forel et Onnfr
eau d'association occipito-frorztal de Forel et Onnfrowicz (Voy. ce faisceau , chap. IV). Arrivées au niveau de l'angle inférie
rayonnante.-ds,diverticule du subiodum.Fe, fasciola cincrea.- Fli, faisceau longitudinal inférieur. - ft, fibres tangentielle
on trouve, au niveau de l'angle inférieur du ventricule latéral, un faisceau fortement coloré et volumineux : c'est le fais-
fusiforme (Fus) un coude très accentué. Il entoure, comme les deux faisceaux précédents, le diverticule du subiculum, mais i
u subiculum de la corne d ? 1lll1non où elles se confondent avec le faisceau postérieur du cingulum. Nettement déli- mité au
gulum. Nettement déli- mité au niveau du lobule fusiforme (Fus), le faisceau longitudinal inférieur se perd peu à peu, à mes
er forme, au niveau de l'angle supérieur de la corne occipitale, un faisceau volumineux et très épais, fortement coloré par
our de la corne frontale les fibres du genou du corps calleux et du faisceau oceipito ? f1'ontal (Voy. fig. 279 et 280). De
sse en avant -de la coupe macroscopique de la figure 263. - 1'li, faisceau longitudinal inférieur. Fm, forceps major. - ftcS
- 1'li, faisceau longitudinal inférieur. Fm, forceps major. - ftcS, faisceau transverse du cunéus de- Sachs. Fus, lobule fus
ématoxyline, c'est la couche des fibres longues d'association ou du faisceau longitudinal inférieur (Fli). De même que les d
rquent au niveau du sillon marginal postérieur de l'insula, en deux faisceaux : Le fais- ceau inférieur suit l'angle inféro-e
ions occipitales (Voy. Coupes horizontales, fig. 392, 293 et 298). Le faisceau supérieur traverse le segment rétro-lenticulair
ment postérieur de la capsule exlcrvre (Voy. coupes 296 et 297). Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) constitue donc un lo
7). Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) constitue donc un long faisceau d'association lemporo-occipilal. Il dégénère il l
et dont les fibres se terminent dans l'écorce du lobe temporal. Ce faisceau a probablement des fonctions très importantes : i
bres d'association propres de ce lobe Coiffant l'angle supérieur du faisceau longitudinal inférieur, on trouve un faisceau a
nt l'angle supérieur du faisceau longitudinal inférieur, on trouve un faisceau assez volumineux formé de fibres parallèles ou
umineux formé de fibres parallèles ou légèrement obliques, c'est le faisceau transverse, du cunéus de Sachs (flcS), qui relie
on compte quatre couches de fibres : 1° le stratum calcarinum; 2° le faisceau longitudinal inférieur ; 3° la mince couche des
près à la coupe macroscopique de la figure 265. - C, cunéus. Fli, faisceau longitudinal inférieur. ^- ftcS, faisceau transve
re 265. - C, cunéus. Fli, faisceau longitudinal inférieur. ^- ftcS, faisceau transverse du cunéus de Sachs. tlgV, faisceau t
l inférieur. ^- ftcS, faisceau transverse du cunéus de Sachs. tlgV, faisceau transverse du lobule lingual de Vialet. - Fus, lo
ieure et qui ne présente ici rien de particulier il noter. Quant au faisceau longitudinal inférieur (Fli), très mince au niv
ettement délimitées. Au-dessous de cette couche, on trouve un court faisceau d'association de la région, le faisceau transvers
couche, on trouve un court faisceau d'association de la région, le faisceau transverse du lobule lingual, de Vialet (IIbV).
gual, de Vialet (IIbV). Entrevu par Sachs, bien décrit par Vialet, ce faisceau est formé de fibres parallèles qui se dirigent
itales inférieures (0 ? 03), qu'elles relient au lobule lingual. Ce faisceau représente la moitié inférieure de l'important
occipital. La moitié supérieure de ce système est constituée par le faisceau transverse du cunéus de Sachs, plus épais et pl
transverse du cunéus de Sachs, plus épais et plus volumineux que le faisceau transverse du lobule lingual de Vialet. Né de l
e la scissure calcarine (K) et de la face interne du cunéus (C), le faisceau de Sachs (ftcS) passe au-dessus de la partie su
faisceau de Sachs (ftcS) passe au-dessus de la partie supérieure du faisceau longitudinal inférieur (Fli) qu'il coiffe à la fa
ie. Quelques-unes de ses fibres atteignent le pli courbe (Pc). Ce faisceau , toujours facile il reconnaître, est limité en de
relient la base du lobe occipital la convexité et consti- tuent le faisceau occipital vertical de Wernicke (Ov, fig. 389) (fa
i- tuent le faisceau occipital vertical de Wernicke (Ov, fig. 389) ( faisceau perpendi- culaire de la convexité de Sachs).
leur tour et, à un centimètre en arrière de la corne occipitale, le faisceau longitudinal inférieur (Fli) n'existe plus en t
le faisceau longitudinal inférieur (Fli) n'existe plus en tant que faisceau distinct. Toutes les coupes passant en arrière
isceau distinct. Toutes les coupes passant en arrière de ce dernier faisceau n'intéressent que les fibres d'association courte
des radiations thalamiques et du fais- ceau longitudinal inférieur, faisceaux dont aucun n'a conservé son individualité. II.
MICROSCOPIQUES Cette série, destinée à l'étude du trajet des longs faisceaux d'associa- tion, comprend 6 coupes; les deux pr
poro-oecipilal ne présente, en dehors des couches sagittales, aucun faisceau nettement distinct. L'enchevêtrement des fibres d
nt, en allant de la masse blanche vers la cavité ventriculaire : le faisceau longitudinal inférieur (Fli) et les radiations lh
et (RTh); en dedans de ces fibres on trouve le tapetum (Tap). 1° Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) qui représente les l
bule lingual (Lg), fibres qui alimentent l'extrémité postérieure du faisceau longitudinal inférieur. Limité en dehors par le
ar les deuxième et première-circonvolutions temporales (T=,T, ), le faisceau longitudinal inférieur présente un coude au nivea
s la crête de la première circonvolution temporale (T,). En avant, le faisceau longitudinal inférieur peut être suivi jusque d
zontale, fortement colorées par l'hématoxyline et qui appartient au faisceau longitudinal in firicrtr (1 li). En arrière, ces
ricrtr (1 li). En arrière, ces fibres se continuent avec ce dernier faisceau au niveau de la base du lobule lingual; en avant
imbique ( ? cl). , 2" Radial ions thalamiques (IlTli). En dedans du faisceau longitudinal inférieur, on trouve le long de la
ointe occipitale (0,) on les voit traverser la couche des fibres du faisceau longitudinal inférieur (Fli) et s'irradier dans
apisse d'une mince couche de fibres peu colorées, comprise entre le faisceau longitudinal inférieur et la mince couche des f
fibres des circonvolutions temporales (T,, T ? T3) qui traversent le faisceau longitudinal inférieur (Fli) : il est probable
, peu colo- rées, que l'on constate à un fort grossissement dans le faisceau longitudinal infé- rieur appartiennent aux radi
diations thalamiques s'entre-croisent à angle aigu avec de nombreux faisceaux ondulés et fortement colorés qui s'irradient da
nt colorés qui s'irradient dans la couche optique. L'origine de ces faisceaux n'est pas élucidée. Repré- sentent-ils, comme n
? Appartiennent-ils, comme l'admettent la majorité des auteurs, au faisceau longitudinal inférieur dont quel- ques fibres s
diations thalamiques (RTh) et se présentent sous l'aspect d'un gros faisceau de fibres sectionnées perpendiculai- rement à l
au de fibres sectionnées perpendiculai- rement à leur direction. Ce faisceau s'arrête brusquement au niveau de la queue du n
ment postérieur de la capsule interne. Fc, fibres calleuses. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Fm, forceps major. /7;, l
ant en connexion la région occipitale avec la région frontale (Voy. faisceau occ ? ) ! '<o-/<'0)i<a7). En avant, le
niveau du tronc du corps calleux (Ce), elles sont disposées en gros faisceaux à direction transversale. Le trigone (Tg) est i
sule interne. CL, corps de Luys. cop, commissure postérieure. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. Fli, faisceau longitudin
p, commissure postérieure. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe
au lenticulaire de Forel. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert FT, faisceau de Tiirck. G
ceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert FT, faisceau de Tiirck. GP, globus pallidus. - H, hippocampe
u trigone. - tu sillon parallèle. - V,, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Voe, corne occipitale du vent
la bandelette optique et forment le champ de Wernicke (W). Quant au faisceau longitudinal inféoiczt· (Fli), formé de fibres
ment du noyau lenticulaire f\L") et s'entre-croise avec les fibres du faisceau de Tiirck (FT), faisceau qui entre dans la cons
f\L") et s'entre-croise avec les fibres du faisceau de Tiirck (FT), faisceau qui entre dans la constitution de la partie posté
ent au cingulum et semble se continuer en dehors avec le système du faisceau longitudinal inférieur (Fli); la couche des fib
, NI,2, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. OF', partie du faisceau occip
noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. OF', partie du faisceau occipito-frontal, s'irradiant dans ltroi circonvo
En avant et en dedans du pied de la couronne rayonnante, on trouve le faisceau ocr.ipilo-fionlal (OF), formé de fibres peu col
la substance grise sous-épendymaire (Sge). Une partie des fibres du faisceau occipilo-fronlal (OF') se porte en avant et en de
n (NL3) un contingent assez important de fibres qui lui viennent du faisceau longitudinal inférieur (Fli). OpF3, opercule de
tique. - Tga, pilier antérieur du trigone. tth, toenia thalami. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Zr, zone réticulée ou grillagée
frontale (F3) et de l'insula (la, Ip), on constate l'existence d'un faisceau fortement coloré, sectionné parallèlement à la
t qui contourne le sillon marginal antérieur de l'insula : c'est le faisceau uncinatus (Fu) qui appar- tient au seuil de l'i
de l'insula. Sur la coupe suivante (coupe E, fib. 297) il s'unit au faisceau longitu- dinal inférieur et morcelle la partie
le de l'avant-mur. En dehors du sillon olfactif (1'1.) il existe un faisceau antéro-postérieur, formé de fibres fortement co
nvolution frontale (F,). Ces fibres se portent en avant, formant un faisceau unique, qui se dédouble en avant du sillon olfact
ne rayonnante (CR), on trouve une couche de fibres claires, puis un faisceau à direction sagittale, qui appartient au faisce
claires, puis un faisceau à direction sagittale, qui appartient au faisceau occipito-frontal (OF). En avant on voit ces fibre
partie postérieure de la capsule externe (Ce) reçoit, en effet, le faisceau longitudinal inférieur que l'on voit, sur les c
utamen (NL3), dissocier l'avant-mur (AM) et s'entre-croiser avec le faisceau uncinatus (Fu) (Voy. coupe E, fig. 297). Les
rées de la partie antérieure de la capsule externe appartiennent au faisceau uncinatus (Fu), dont quelques fibres se portent e
dehors du sillon olfactif (f4). Le plus grand nombre des fibres du faisceau unci- na lus (Fu) se porte en dehors et s'irrad
, alvéus. - ail, avant-mur. ADI', avant-mur morcelé par les-fibres du faisceau uncina- tus (Fu). -bcl, bandelette diagonale de
lon frontal. - f, quatrième sillon frontal ou sillon olfactif. Flp, faisceau longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe
ntal ou sillon olfactif. Flp, faisceau longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Türck.
longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Türck. - Fu, faisceau uncinatus. la, Ip, insul
FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Türck. - Fu, faisceau uncinatus. la, Ip, insula antérieur et postérieur
érieur du trigone (Tga), se recourbe en arrière, passe en dehors du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), en dedans du corps de Luys (
érieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) reçoit le faisceau , de 7'M)'eA (FT) qui passe au-dessous du putamen
FT) qui passe au-dessous du putamen (\La) et s'entre-croise avec le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Entre l'anse du noy
inal inférieur (Fli). Entre l'anse du noyau lenticulaire (Al) et le faisceau , de TiiJ'ck (FT), les fibres verticales du segmen
du segment postérieur de la capsule interne (Cip) sont divisées en faisceaux plus ou moins gros, par de nom- breuses fibres
,, noyau lenticulaire et ses trois segments.-NR, noyau rouge. - 01, faisceau occipito-frontat. RC,radiations de la calotte.-
lon olfactif. - fAc, libres d'association externes de Meynert. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudina
ion externes de Meynert. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. Il, libres tangentiell
lp, faisceau longitudinal postérieur. Il, libres tangentielles. -Fu faisceau uncinatus. - le, lame cornée et fibres du taenia,
ns frontales (oF uoF 3)' En arrière elles se réunissent en un épais faisceau , situé dans la capsule externe (Ce) en dehors d
eau, situé dans la capsule externe (Ce) en dehors du putamen (NL3), faisceau que l'on peut suivre jusqu'au niveau de la corn
usqu'au niveau de la corne sphénoïdale. Ces fibres appartiennent au faisceau uncinalus (Fu). Le faisceau longitudinal inféri
sphénoïdale. Ces fibres appartiennent au faisceau uncinalus (Fu). Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) s'entre-croise en
isceau longitudinal inférieur (Fli) s'entre-croise en avant avec le faisceau uncinatus (Fu) en arrière (NI,) avec les radiat
illaire latéral (PTrnl). En dedans du noyau rouge (NR) se trouve le faisceau longitudinal posté- rieur (Flp), le noyau et le
uni à l'écorce temporale. Ces gros fascicules appartiennent soit au faisceau longitudinal inférieur (Fli), soit au faisceau un
ppartiennent soit au faisceau longitudinal inférieur (Fli), soit au faisceau uncinatus (Fu). Le fais- ceau longitudinal infé
le noyau amygdalien. (NA) et s'irradie dans l'écorce adjacente. Les faisceaux qui sillonnent les parties morcelées de l'avant
sillonnent les parties morcelées de l'avant-mur (AM) appartiennent au faisceau uncinalus (Fu). En dedans des radiations thalam
ge du noyau amygdalien (NA). Les radiations thalamiques (RTh) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli) sont tra- versés p
ds, diverticule du subiculum. Epa, espace perforé antérieur. - Fli, faisceau longitudi- nal inférieur.- Fu, faisceau uncinat
e perforé antérieur. - Fli, faisceau longitudi- nal inférieur.- Fu, faisceau uncinatus. H(L2), circonvolution de l'hippocampe
orrespondent aux fibres d'association de la région, en particulier au faisceau postérieur du cingulum. Les fibres tangentielle
Dans la partie centrale seule de la coupe, il existe de véritables faisceaux de fibres, plus ou moins nettement circonscrits
ince couche de fibres propres à cette circonvolution, un volumineux faisceau qui se dirige d'avant en arrière, et dont les e
s extrémités se perdent dans la niasse blanche du lobe limbique. Ce faisceau , fortement coloré par l'hématoxyline, constitue l
s d'association courtes. En dehors du cingulum, on trouve un second faisceau vo- lumineux, épais, formé en grande partie de
ne 1 (lig. 300) qui intéresse le centre ovale de Vieussel1s, trois faisceaux nettement délimités el caractéristiques par la
ction verticale, et qui se présentent sur cette coupe sous forme de faisceaux de fibres coupés en travers. Entre le cingulum et
illon inter-pariétal. L,, pre- mière circonvolution limbique. - OF, faisceau occipito-frontal. - P2, deuxième circon- . volu
dans leur ensemble, elles se présentent toujours sous la forme d'un faisceau large il sa partie moyenne, effilé à ses extrém
fibres d'association est toujours extrêmement considé- rable ; les faisceaux différenciés se délimitent cependant mieux que su
la même hauteur que la coupe macroscopique de la figure 220. Arc, faisceau arqué. Cc, corps calleux. - Cing, cingulum en : ,
n- volution limbique. - NC, noyau caudé. NL, nerf de Lancisi. - OF, faisceau occipito- frontal. P», deuxième circonvolution
re de fibres il direc- tion antéro-poslérieure qui appartiennent au faisceau arqué, ou longitudinal supérieur de l3rcrdacla
rdacla (Arc). En dedans, le cingulum (Cing) se réduit à deux petits faisceaux qui entourent le sinus du corps calleux (sec), et
de partie, par des fibres sectionnées parallèlement et disposées en faisceaux qui se dirigent transver- salement en dehors. E
n faisceaux qui se dirigent transver- salement en dehors. Entre ces faisceaux , on aperçoit un assez grand nombre de fibres se
nt par la méthode de W(igert que les fibres appartenant il d'autres faisceaux . Grâce il cette différenciation, on peut suivre d
u noyau caudé, ces fibres Ümticulo-caudécs s'entre-croisent avec le faisceau occipilo- frontal (OF), faisceau à direction sa
o-caudécs s'entre-croisent avec le faisceau occipilo- frontal (OF), faisceau à direction sagittale, qui borde l'angle externe
borde l'angle externe du f'tt- tricule latéral (VI) et constitue un faisceau d'association reliant le lobe occipital au lobe
l supérieur de l'insula, puis les circonvolutions de l'insula. Le faisceau arqué (Arc), qui limite la masse blanche de l'ope
et qui occupent tout le tiers interne de la préparation. Entre les faisceaux de libres transversales, on aperçoit un certain
épendymaire du ventricule latéral (Sge) et dissocient les libres du faisceau occipito-frontal (OF), ainsi que celles du pied
ans la queue du noyau caudé (NC'), on voit un assez grand nombre de faisceaux de fibres, sectionnées obliquement ou perpendicul
nd du bord externe du noyau caudé (NC)et du thalamus (Th), jusqu'au faisceau arqué de Iturdach (Arc), et se continue insensi
la même hauteur que la coupe macroscopique de la figure 221. Arc, faisceau arqué. - Ce, corps calleux. - Ce, capsule externe
or, ces dernières fibres appartiennent presque toutes au système du faisceau pyramidal. Dès la première apparition de la cap
ent l'homologue des fibres du segment, antérieur, et constituent un faisceau assez large, situé en dehors de fibres calleuses,
onvolution frontale. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - la, insula antérieur.
noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. - Ara, putamen. - OF, faisceau occipito-- frontal. - Pa, circonvolution pariét
l (VI) par la substance grise slHl.HlpelldYl/1,flÎ1'e (Sge) et par le faisceau occipito-li'lil11al (OF). En arrière, elle est
es des radiations thalamiques (RTh), qui forment sur cette coupe un faisceau nettement délimité en dehors par les fibres du
te coupe un faisceau nettement délimité en dehors par les fibres du faisceau longitudinal infé- rieur (Fli). Ce dernier fais
r les fibres du faisceau longitudinal infé- rieur (Fli). Ce dernier faisceau est formé par des fascicules de fibres compactes
lenticulaire (putamen) (NL'I); elle ne donne à ce noyau aucun gros faisceau de fibres. Cependant lorsqu'on examine à l'aide
, ces fibres peuvent être comparées aux fibres qui appartiennent au faisceau longitudinal inférieur (Fli). Dans la partie an
e de la capsule externe (Ce), on trouve de même, un petit nombre de faisceaux foncés, fortement colorés, qui ne font que traver
. - Cirl,. segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. i, sillon de l'insula. la
ement au niveau de sa paroi antérieure, on rencontre quelques rares faisceaux de fibres à direc- tion horizontale, étendus du
r les coupes plus inférieures. Ces deux couches sont formées par le faisceau , longitudinal iujhicul' (Fli) confondu avec les
e réticulée est beaucoup plus large; on y distingue la sec- tion de faisceaux de fibres, non seulement horizontales et pénétran
seulement horizontales et pénétrant dans la couche optique, mais de faisceaux il direction verticale, et qui entrent dans la
alamus (Ne). Ce noyau externe (Ne) renferme un très grand nombre de faisceaux , sectionnés per- pendiculairement ; il forme la
du corps strié (VCrst), et dans la lame cornée (le) on rencontre un faisceau de libres fines, mal colorées par la méthode de
lamus (Ne). Les fibres internes chemi- nent sous la forme d'un gros faisceau , jusqu'à la partie antérieure de ce noyau exter
que. Le segment postérieur de la capsule (Cip) est surtout formé de faisceaux de libres à direction verticale, traversées par
rne. Cirl, segment rétro-len- ticulaire de la capsule interne. Fli, faisceau longitudinal inférieur. la, insula antérieur. -
r du trigone (fimbria). TM, trou de Monro. tih, taenia thalami. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. VCrst, veine du corps strié. 1V
l (Tap), les libres des radiations thalamiques (RTh), les fibres du faisceau longitudinal inférieur (Fli) et les fibres prop
les, fines, fortement colorées par l'hématoxyline et dispo- sées en faisceaux extrêmement serrés ; elles appartiennent au corps
également dans la constitution du champ de Wer- nicke (W). 3° Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) est formé de libres
ées par l'hématoxyline, qui occupent tout l'espace compris entre le faisceau longitudinal inférieur (Fli) et l'écorce cérébr
recouvrent l'extrémité antérieure de la couche optique constituent un faisceau volumineux, épais, à direction antéro-postérieu
ro-externe de ce noyau. 600 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. part un faisceau conique et compacte, de fines fibres à direction
, de fines fibres à direction horizontale ou légèrement oblique; ce faisceau , qui correspond à l'origine du faisceau de Vicq
e ou légèrement oblique; ce faisceau, qui correspond à l'origine du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), aborde par sa base le noya
surtout formé de substance grise, dans laquelle apparaissent de gros faisceaux de. fibres qui affectent une disposition arbori
iculaire (NL,) présente un aspect pointillé, qui lient aux nombreux faisceaux de fibres sectionnés transversalement qui le trav
oisième circonvolu- tion frontale. fq, sillon mnbrio-godronne. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Gh, gan- glion de l'hab
, trou de Monro. tlh, taenia thalami. Va, troisième ventricule. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. VCrst, veine du corps strié. VI
clc crf- 1'IJbml vers la capsule, il esl facile de constater que le faisceau , dit du genou de la capsule, ne dépasse guère e
l'un de nous a constaté (1893) l'existence d'une dégénérescence du faisceau du genou, dégénérescence qu'il a pu suivre, il
males étudiées en séries rendait déjà probables, démontrent que le faisceau du genou de la capsule (Ci[g]) correspond au se
face de section du tzenia semi-circularis, sous la forme d'un petit faisceau ovalaire; recouvert par la suú- stance grise so
ale des radiations thalamiques postérieures (RTh); 3° les libres du faisceau longitudinal inférieur (Fli), à direction sagitta
fibres radiaires, on trouve la surface de section transversale d'un faisceau ovalaire, formé de libres fines et serrées et que
serrées et que nous retrouverons sur les coupes qui vont suivre. Ce faisceau représente le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), que
etrouverons sur les coupes qui vont suivre. Ce faisceau représente le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), que nous avons vu sur la c
médullaire interne du thalamus (Lmi) n'est plus formée ici par des faisceaux sectionnés perpendiculairement à leur axe, mais b
). Les fibres externes colorées aussi intensivement que les libres du faisceau , longitudinal inférieur entourent les amas ou n
sur les coupes suivantes, elles se portent en dehors, et forment un faisceau de libres for- tement colorées, le fasciculus r
roisième circonvolution frontale. fpl, sillon fimbrio-godronné. FI, faisceau lenticulaire do Foret. Fli, faisceau longitudinal
, sillon fimbrio-godronné. FI, faisceau lenticulaire do Foret. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe
au lenticulaire do Foret. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. FT, faisceau de Türck. - F
eau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. FT, faisceau de Türck. - Fllt, faisceau thalamique de Forel.
FM, faisceau rétroflexe de Meynert. FT, faisceau de Türck. - Fllt, faisceau thalamique de Forel. Gh, ganglion de l'habénula
rieur du trigone. Th, couche optique. V3, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. VI, ventricule latéral. Il ? zo
es sont beau- coup plus clairsemées; elles s'entre-croisent avec un faisceau , qui apparaît ici pour la première fois, et qui
ui relie la couche optique (Th) avec la région de la Cll- lotte. Ce faisceau découvert par Forel faisceau (H,) (Markfeld H,) d
h) avec la région de la Cll- lotte. Ce faisceau découvert par Forel faisceau (H,) (Markfeld H,) de cet au- teur et que nous
Markfeld H,) de cet au- teur et que nous désignerons sous le nom de faisceau lhalamique de, Forel (fla), occupe la partie mo
oupe, sous l'aspect d'un champ triangulaire, dont la base embrasse le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), dont le bord externe recou
(Lmi). Cette dernière lame (Lmi) se dédouble un peu en ar- rière du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), et embrasse un noyau aplati
l'habénula (Gh) el du tubercule quadri jumeau antérieur (Qa) par le faisceau 1'étJ'Oflexe de Meynert (FM) (fasciculus retrof
s le pulvinar (Pul), les fibres moyennes se réunissent pour former un faisceau volumineux, le bras du tubercule quadrijumeau a
rps genouillé interne (Cgi) et le centre médian de Luys (Nm); 3° le faisceau lIlI/lamique de Forel (Fth), qui fait partie de
r est composé de libres vues en section transversale, sous forme de faisceaux ou de fascicules, séparés les uns des autres par
face externe de la capsule, pour constituer la première ébauche du faisceau 112 de Forel, faisceau que nous désignerons sou
apsule, pour constituer la première ébauche du faisceau 112 de Forel, faisceau que nous désignerons sous le nom de faisceau le
faisceau 112 de Forel, faisceau que nous désignerons sous le nom de faisceau lenticulaire de Forel (FI) et que l'on retrouve
de la partie postérieure du si'Ullll'nl pos- térieur constituent le faisceau de 7';«'cA' (FT). Ce faisceau, que nous allons re
'Ullll'nl pos- térieur constituent le faisceau de 7';«'cA' (FT). Ce faisceau , que nous allons re- trouver sur les coupes plu
ttement jus- qu'ici. Beaucoup d'auteurs considèrent avec Meynert le faisceau de Turck. comme étant la continuation dans Vêla
lobe occipital (radiations optiques postérieures ou de Graliolel et faisceau longitudinal inférieur [fiv]). Cette interprétati
ntraires en effet à cette manière de voir. Si, en effet, on étudie le faisceau de 7'üncl, : sur des coupes vertico-transversal
er (voy. fig. 285, 286 et t. II), on constate très nettement que ce faisceau est formé par des fibres de projection qui, ven
t elles occupent le bord externe. L'étude des dégénérescences de ce faisceau , il la suite de lésions corticales, est extrême
t démonstrative. Le segment postérieur de, la capsule interne el le faisceau externe du pédoncule cérébral persistent en effet
psule interne (Cirl) est seul dégénéré (J. Dejerine, N. Vialet). Le faisceau de 7'ürcl : , par contre, dégénère dans toute sa
fibres qui constituent ce segment rétro-lenticulaire, se séparer du faisceau de 7'« ? 'c/; et se recourber en arrière, sous fo
sent au niveau de la face interne de cette dernière, pour former le faisceau lenticulaire de Forel (FI), faisceau de fines fib
cette dernière, pour former le faisceau lenticulaire de Forel (FI), faisceau de fines fibres obliques en avant et en dedans,
vant et en dedans, fortement colorées par la méthode de Weigert. Ce faisceau entre dans la constitution des radiations de la c
ieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip), on voit le faisceau de Tiirck (FT), formé de fibres sectionnées très
yau externe du thalamus a disparu également, il est remplacé par le faisceau découvert par Forel (faisceau H,) et que nous d
aru également, il est remplacé par le faisceau découvert par Forel ( faisceau H,) et que nous désignerons sous le nom de faisce
vert par Forel (faisceau H,) et que nous désignerons sous le nom de faisceau thalamique de Forel (Fth). Ce faisceau, 'allong
s désignerons sous le nom de faisceau thalamique de Forel (Fth). Ce faisceau , 'allongé dans, le sens antéro-postérieur, est sé
en avant du pédoncule antérieur de la couche optique (Path) par le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), en dedans il est séparé du
quièmes postérieurs du segment postérieur de la capside (Cip) et du faisceau lenticulaire 612 1 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
p, commissure postérieure. F3, troisième circonvolution frontale. FI, faisceau lenticu- laire de Forel. Flc, fibres lenticuo-c
aisceau lenticu- laire de Forel. Flc, fibres lenticuo-caudées. Fli, faisceau longitudinal, inférieur. FM, faisceau rétroflex
fibres lenticuo-caudées. Fli, faisceau longitudinal, inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. FT, faisceau de Turck. Fth
au longitudinal, inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. FT, faisceau de Turck. Fth, faisceau thalamique de Forel. Gh
ur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. FT, faisceau de Turck. Fth, faisceau thalamique de Forel. Gh, ganglion de l'habénula
eure (cop) et le dernier vestige du ganglion de l'habénula (Gh). Le faisceau rélroflexe de 1lcriuert (FM) très facile à reco
eur du trigone (Fimbria). Th, thalamus. Va, troisième ventricule. VA. faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph. corne sphénoïdale du vent
commissure postérieure. 1%a, troisième circonvolution frontale. FI. faisceau lenticulaire de Forel. 1%le, libres lenticulo-cau
aisceau lenticulaire de Forel. 1%le, libres lenticulo-caudées. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe
bres lenticulo-caudées. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de \Ieynert. FT, faisceau de Tiirck. F
au longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de \Ieynert. FT, faisceau de Tiirck. Fth, faisceau thalamique de Forel. G
ur. FM, faisceau rétroflexe de \Ieynert. FT, faisceau de Tiirck. Fth, faisceau thalamique de Forel. Glp, glande pinéale. Il, h
ptique. - l'ul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. Rc, faisceau cortical du noyau rouge passant par les radiati
érieur du trigone. TM, trou de Monro. V3, troisième ventricule. VA. faisceau de Vicq d'Azyr. VI, ventricule latéral. Vsph, c
S NERVEUX. de la capsule; le cinquième postérieur est occupé par le faisceau de 7'M<'e& (FT); formé de fibres horizon
tiques postérieures ou de Grafiolet(RTb), limitées en dehors par le faisceau longitudinal inférieur (Fli) et en arrière par
croisant avec les fibres du corps genouillé externe (Cge). Quant au faisceau longitudinal izzfi·r°icvr(lli), tout, en ayant
eures, après avoir traversé la capsule interne, se réunissent en un faisceau rectangulaire, formé de fibres entre-croisées dan
i lesquelles dominent les libres obliques en avant et en dedans. Ce faisceau constitue le faisceau lenticulaire de Forel (FI),
les libres obliques en avant et en dedans. Ce faisceau constitue le faisceau lenticulaire de Forel (FI), dont nous avons vu
, le segment postérieur de la capsule (Cip) esl entouré par un gros faisceau de fibres horizontales, l'anse du noyau lenticula
rd antéro-interne de. la capsule, et s'unis- sent en dedans avec le faisceau lenticulaire de Forel (FI). En arrière du faisc
n dedans avec le faisceau lenticulaire de Forel (FI). En arrière du faisceau de 7'ürc%, le segment postérieur de la capsule in
c le corps genouillé interne (Cgi), dont il est séparé par un petit faisceau triangulaire de fibres horizontales (Rc), qui s
triangulaire de fibres horizontales (Rc), qui s'insinuent entre le faisceau de 7'Mt'cA (FT) et le corps genouillé externe (Cg
le faisceau de 7'Mt'cA (FT) et le corps genouillé externe (Cge). Ce faisceau (Rc), représente la partie corticale des radiatio
I). Le ruban de Reil (Rm) forme sur cette coupe n° 11 (fig. 310) un faisceau irrégulier, aplati dans sa partie postérieure,
le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa) d'une part et le faisceau thalamique de Forel (Fth) d'autre part. Il est su
m), entre ce ruban et la commissure postérieure (cop), on trouve le faisceau réiroflexe de Meynert (FM), facile à reconnaître,
ros diamètre de ses fibres. En avant du ruban de Reil, on trouve le faisceau thalamique de Forel (Fth), dont les limites sont
ites sont devenues moins distinctes que sur la coupe précédente. Ce faisceau , né des libres verticales des lames médullaires
es des lames médullaires du thalamus, embrasse toujours en avant le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), et il est séparé du faisce
jours en avant le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), et il est séparé du faisceau lenticulaire de Forel (FI) et du corps de Luys
ticule du subiculum. - Fa, troisième circonvolution frontale. Fcon, faisceau de la commissure postérieure. sillon fimbrio-gocl
aisceau de la commissure postérieure. sillon fimbrio-goclronné. FI, faisceau lenticulaire. de Forel. Fli, faisceau longitudina
sillon fimbrio-goclronné. FI, faisceau lenticulaire. de Forel. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, fais- ceau longitu
ongitudinal inférieur. Flp, fais- ceau longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Türck
au longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Türck : - h, sillon de l'hippocampe. la, ins
noyau caudé (NC), elle est formée de fibres parallèles, disposées en faisceaux serrés. Elle se coude au niveau des fibres qui
la capsule externe (Ce), et avec les fibres les plus antérieures du faisceau longitudinal inférieur (Fli). En dedans, elle e
(NC) et avec le noyau alllygdoliell. Elle est située au-dessous du faisceau de 7'M;'c ? (FT) qui croise salace supérieure,
segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), séparé du faisceau de l'iil'ck (FT) par toute l'épaisseur de la band
Tgp, pilier postérieur du trigone. V3, troisième ven- tricule. VA, faisceau de Vicq d'A/yr. Vif, corne frontale du ventricule
s fibres des radiations thalamiques (RTh). La plupart des libres du faisceau longitudinal inférieur (Fli) se rendent en effe
Ces fibres viennent de l'écorce temporale et appartiennent encore au faisceau de Tùrck (FT) dont elles sont séparées sur cett
ieur de la capsule interne (Cip) et entrent dans la constitution du faisceau lenticulaire de Forel (FI), très accusé snr cet
endiculairement à leur axe; son sixième postérieur, qui représente le faisceau de ! 'ürck(1T), est seul formé de fibres couchées
yenouillés interne (Cgi) et externe (Cgi), en avant, avec un petit faisceau de fibres fines, le pédonculeinjëro-inlc1'Ile d
COPIQUES DU CERVEAU. 621 ment en allant d'avant en arrière, avec le faisceau lenticulaire de Forel (FI), le corps de Luys (C
avant des radiations de la calotte (RC) nous trouvons en dehors : le faisceau , thalamique de Forel (Fth) et le corps de Luys
au, thalamique de Forel (Fth) et le corps de Luys (CL), en avant le faisceau lenticu- laire de Forel (FI) et le faisceau de
Luys (CL), en avant le faisceau lenticu- laire de Forel (FI) et le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), puis la substance grise du
en dehors et forme dans la concavité du ruban delleil médian(Hm)nn faisceau de fibres, le faisceau de la com- missure posté
s la concavité du ruban delleil médian(Hm)nn faisceau de fibres, le faisceau de la com- missure postérieure (Fcop) qui desce
d dans la calotte ou étage supérieur du pédon- cule. En avant de ce faisceau on trouve, d'une part, le faisceau 1'1 ! II'oflex
r du pédon- cule. En avant de ce faisceau on trouve, d'une part, le faisceau 1'1 ! II'oflexc de Oletl- lied (FM), et entre c
tie ventrale de la commissure postérieure (cop), le commencement du faisceau longitudinal postérieur (Flp), qui apparaît sous
ceau longitudinal postérieur (Flp), qui apparaît sous la forme d'un faisceau triangulaire constitué par de gros fascicules for
squ'à la partie antérieure du 622 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. faisceau longitudinal inférieur (Fli), c'est-à-dire jusqu'
inal inférieur (Fli), c'est-à-dire jusqu'au niveau du coude, que ce faisceau forme à la base de la première circonvolution tem
ticule du subiculum. - Po, troisième circonvolution frontale. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - Fi, fimbria. Fl
e. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - Fi, fimbria. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe d
stérieure. - Fi, fimbria. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert, Fl, faisceau longitudina
sceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert, Fl, faisceau longitudinal postérieur. - la, Ip, insula antér
stéro-interne de la tête du noyau candi; est en rapport avec un petit faisceau de fibres diffuses, sectionnées transversalemen
res apparte- nant aux radiations thalamiques de Gratiolet (HTh). Le faisceau longitudinal infé- rieur (Fli) recouvre en deho
s antérieur et postérieur du trigone. V3, troisième ventricule. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vf, corne frontale du ventri- c
RVEUX. quelques fibres peuvent être suivies il la partie externe du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), le long du bord interne du
), le long du bord interne du noyau rouge (NR), jusqu'au voisinage du faisceau longitudinal postérieur (Flp). Le pied du péd
de fibres constituée sur la coupe précédente (voy. fig. 311) par le faisceau thalamique de Forci et les radiations de la calot
. Le bord interne du noyau rouge (NR) est légèrement déprimé par un faisceau de libres foncées, vues en section transversale
ncées, vues en section transversale, et qui sont la continuation du faisceau rétroflexe de J/eynl1'l (FM). En arrière et e
avec la substance grise de l'aqueduc de 8yl- J,ius (SgAqj, un petit faisceau triangulaire, formé de libres sectionnées perpen-
é de libres sectionnées perpen- diculairement il leur axe, c'est le faisceau longitudinal postérieur (Flp), auquel aboutisse
ent du lobe temporal, et s'entre-croisent avec les libres venant du faisceau lonyilu- dinal inférieur (Fli) et des radsatic
n° 13 (lig. 313), nous avons pu suivre l'extrémité antérieure de ce faisceau , en dehors du pilier zanté- rieur du trigone (T
e faisceau, en dehors du pilier zanté- rieur du trigone (Tga) et du faisceau de Vicq d ? L.r/r (VA). La commissure antérieur
t l'écorce grise de la première circonvolution limbique, se trouve un faisceau de fibres fines, peu serrées, qui appartient il
erne du pied Au pédoncule, se porte en avant et en dedans, entre le faisceau de Vicq d ? l;.r/r(VA) et le noyau rouge (NR), et
e suivante n° 15 (lin. 3l4); d'autres semblent se continuer avec le faisceau longitudinal postérieur (Fin). En dehors de l'a
énètrent dans le dernier, vestige [du corps de Luys (CL). Entre ces faisceaux et l'anse du noyau lenticulaire (Al), apparaît un
s faisceaux et l'anse du noyau lenticulaire (Al), apparaît un petit faisceau de fibres fortement colorées, dont l'origine se v
rigine se voit nettement sur la coupe suivante n° 15 (fig. 314). Ce faisceau constitue le pédoncule du tubér- FIG. 313. Coup
iverticule du subiculum. F3, troisième circonvolution frontale. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. ' fg, sillon fimb
u de la commissure postérieure. ' fg, sillon fimbrio-godronné. Fli, faisceau longitudinal infé- rieur. -1'lp, faisceau longi
on fimbrio-godronné. Fli, faisceau longitudinal infé- rieur. -1'lp, faisceau longitudinal postérieur. FM, faisceau rétrofiexe
gitudinal infé- rieur. -1'lp, faisceau longitudinal postérieur. FM, faisceau rétrofiexe de Meynert. - GQp, gan- glion du tub
lui donnent un aspect bilobé. Le bile de ce lobe est occupé par le faisceau rétro- flexc de Meynert (FM). En dehors du noya
igone. U, circonvolution du crochet. 171, troisième ventricule. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphé- noïdalc. Il,
tapetum (Tap), les radiations thalamiques de Gratiolet (RTh) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Ce dernier faisceau
iolet (RTh) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Ce dernier faisceau présente un coude au niveau de la base de chacu
). Ces fibres des radiations optiques (RTh) sont recouvertes par le faisceau longitudinal inférieur (Fli), dont les fibres a
ivement il l'aide de la méthode de Weigert. En avant, les fibres du faisceau longitudinal inférieur entrent dans la constituti
. F3, troisième circonvolution frontale. f4, sillon olfactif. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli, faisceau longi
sillon olfactif. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Fp, fais- ceau longitud
longitudinal inférieur. Fp, fais- ceau longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Fus, lobule fusiforme. G
Gudden. - U, circonvolution dû crochet. V3, troisième ventricule. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale du vent
sont portées en dedans, le pilier antérieur du trigone (Tga ! et le faisceau de Vicq d'Azyr (VA) se sont rapprochés. Le tube
térieur du trigone (Tga) l'aborde dans sa partie antéro-externe, le faisceau de Vicq d'Azyr (VA) par sa face interne; en arriè
le faisceau de Vicq d'Azyr (VA) par sa face interne; en arrière du faisceau de Vicq d'Azyr, on trouve un faisceau de fibres
a face interne; en arrière du faisceau de Vicq d'Azyr, on trouve un faisceau de fibres lâches, fines, il direction transversal
de la calotte. Le noyau rouge (NR) a encore augmenté de volume. Le faisceau rétroflexe de Meynert (FM) s'est porté en avant
scription démette série ; aussi n'insisterons-nous que sur quelques faisceaux dont l'étude est singulièrement facilitée par l'o
interne. - coa, commissure antérieure. - com, commissure molle. FI, faisceau lenticulaire de Forel. - Fic, fibres lenticulo-ca
faisceau lenticulaire de Forel. - Fic, fibres lenticulo-caudées. Fli, faisceau longitudi- nal inférieur. - I, insula. iPchl, i
(couche optique). Ilh, twnia thalami. ! '3, troisième ventricule. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. VI, ventricule latéral. z ? zon
aires du noyau externe (Ne), on trouve la section trans- versale du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), séparé du pilier antérieur d
d du t<t'nia semi-circularis et de la lame cornée (le), jusqu'au faisceau de Vicq d'Azyr (VA). En avant, la zone grillagé
Lmi) et du globus pallidus (NL ? NL,), et qui appartiennent déjà au faisceau lenticulaire de Forel et il 1'(I ? r du noyau len
e du noyau caudé (NC"), soit un peu plus en avant et en formant des faisceaux nettement ondulés. En dehors des radiations thala
isceaux nettement ondulés. En dehors des radiations thalamiques, le faisceau longitudinal inférieur (Fli) envoie le plus grand
l'extrémité postérieure de ce noyau. Un certain nombre de fibres du faisceau longitudinal inférieur (Fli) peu- vent être sui
ans sa partie moyenne, on trouve la section transversale d'un petit faisceau , qui appartient a la bandelette diagonale de Br
interne. coa, commissure anté- rieure. - com, commissure molle. FI, faisceau lenticulaire de Forel. Fle, fibres lenti- culo-
isceau lenticulaire de Forel. Fle, fibres lenti- culo-caudées. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fth, faisceau thalamiqu
s lenti- culo-caudées. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fth, faisceau thalamique de Forel. - Gh, ganglion de l'habénu
ptique (thalamus). llh, trenia thalami. Pa, troisième ventricule. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Zi, zona incerta de Forel. Zn,
rise, dans lesquels nous verrons naître sur les coupes suivantes le faisceau rélroflexe de Meynert. Les fibres de la lame, m
U en avant et en arrière de la commissure molle (com). En dehors du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), en dedans de la lame médul
edans de la lame médullaire externe du thalamus (Lme), on trouve un faisceau d'aspect triangulaire, très allongé, formé de fib
rent dans la constitution de la lame médul- laire externe; c'est le faisceau thalamique, de Forel (Fth). En avant et séparé de
lui par la zone incerta (Zi) du même auteur, on voit apparaître le faisceau lenticu- laire de Forel (FI), qui naît du segme
lame médullaire interne du noyau lenticulaire (lmi), se détache un faisceau de fibres parallèles, oblique également en arri
rne. coa, commissure anté- rieure. cop. commissure postérieure. rl, faisceau lenticulaire de Foret. Fie, libres lenticulo-ca
isceau lenticulaire de Foret. Fie, libres lenticulo-caudées. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexc d
bres lenticulo-caudées. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexc de Meynert. Fllz, faisceau thalamiqu
u longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexc de Meynert. Fllz, faisceau thalamique de Forel. Gh, ganglion de l'habénula.
ga, pilier antérieur du trigone. Th, thalamus (couche optique). VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - i'3, troisième ventricule. Zi,
bres transversales de la commissure postérieure (cop), en dehors au faisceau rétroflexe de Meynert (FM), qui apparaît formé pa
- lunaire de Flechsig (NF), situé entre le centre médian (Nm) et le faisceau tlcalre- miquc de Forel (Fth). L'extrémité post
les fibres des radiations thalamiques postérieures (RTh) et par le faisceau longitudinal inférieur (Fli). On voit les radiati
e de la capsule interne (Cirl), tandis que la plupart des fibres du faisceau longitudinal inférieur coiffent l'extrémité pos
t au niveau de la face postérieure de cette dernière, et forment un faisceau triangulaire il base interne, constitué presque
es horizontales dirigées de dehors en dedans. Ces libres forment le faisceau lenticulaire de Forel (FI). La base de ce faisc
ibres forment le faisceau lenticulaire de Forel (FI). La base de ce faisceau est traversée par le pédoncule inféro-interne de
inféro-interne de la couche optique (PiTh), qui croise également le faisceau thalamique de, Forel (1 lUl en dehors du faisce
oise également le faisceau thalamique de, Forel (1 lUl en dehors du faisceau de Vicq d'Azyr (VA). A l'angle antéro-interne du
dehors du faisceau de Vicq d'Azyr (VA). A l'angle antéro-interne du faisceau len- ticulaire de Forel (FI) arrivent les libre
érieure. F, champ de Forel. - floc, fibres lenticulo-caudées.. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe d
ibres lenticulo-caudées.. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. la, insula anté- rieur.
antérieur du trigone. Th, thalamus. V3, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Fiv, zone de Wernicke. Zi, zona
). Les fibres qui traversent le corps de Luys appartiennent encore au faisceau lenticulaire de Forel (FI). On les voit netteme
s le pr·donccclcit7 fi·ro-iztter·nc de la couche optique (PiTh) et le faisceau de Vicq d'Azyr (VA). Ce dernier est encore asse
au semi-lunaire de Flechsig (NF), le centre médian de Luys (Nm), le faisceau rétroflexe de Meynert, (FM), la partie inférieu
space perforé postérieur. fi, première circonvolution frontale. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli, faisceau lon
olution frontale. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe
la commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Fth, faisceau thalamique
au longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Fth, faisceau thalamique de Forel. Fu, faisceau uncinatus. la,
sceau rétroflexe de Meynert. Fth, faisceau thalamique de Forel. Fu, faisceau uncinatus. la, insula antérieur. Ip, insula pos
- gone. Th, couche optique. Tznl, tubercule mamillaire latéral. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. V" troisième ventricule. 11', z
cule quadrijumeau antérieur (Qa), relié au pulvinar par de nombreux faisceaux , qui appartiennent au segment dorsal de la commis
avant et en dedans et forme de chaque côté du ventri- cule un petit faisceau , sectionné perpendiculairement, le faisceau de la
u ventri- cule un petit faisceau, sectionné perpendiculairement, le faisceau de la commis- sure postérieure (Fcop). En avant
ent, le faisceau de la commis- sure postérieure (Fcop). En avant du faisceau de la commissure postérieure , on trouve le noy
ouge (NR), entouré de sa capsule de fibres; il reçoit en arrière le faisceau rétroflexe de Meynert (FM) sectionné obliquement
partie posléro-in terne de la capsule du noyau rouge est formée de faisceaux de fibres sectionnées perpendiculairement; la par
s à direction antéro-postérieure, enfin la partie externe reçoit le faisceau thalamique de Forel (Fth); de la partie centrale
u segment postérieur de la capsule (Cip), puis la partie externe du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), et se perdent au voisinage d
morcelée de l'avanl-azeccr (AM), limité en dehors par les fibres du faisceau unci- nalus (Fu). COUPES MICROSCOPIQUES DU CE
e portent en dehors vers la lame médullaire externe du thalamus. Le faisceau rétroflexe de Meynert (FM), tou- jours sectionn
es du pilier antérieur du trigone (Tga), en arrière et en dedans le faisceau de Vicq d'Azyr (VA). La capsule interne s'élarg
de la commissure de Meynert, sur la ligne médiane, on trouve un petit faisceau de fibres qui se perd dans la substance grise,
, du tuber cinereum (Te); il a été décrit par Gudden sous le nom de faisceau du tuber cinereum (fTc). La commis- sure de Mey
l'es- pace perforé postérieur. Fle, libres lenticulo-caudées. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe
libres lenticulo-caudées. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. fUe, fascicule du tuber ci
flexe de Meynert. fUe, fascicule du tuber cinereum de Gudden. - Fu, faisceau uncinatus. I; insula. le, lame cornée et fibres d
ire latéral. Toi, tubercule olfactif. Va, troisième ventricule. ]A, faisceau de Vicq d'Azyr. 1V, champ ou zone de Wernicke.
s de fibres qui appartiennent aux radiations de la calotte (RC). Le faisceau rétroflexe de Meynert (FM), qui sur la coupe pr
substance grise de l'aqueduc de Sylvius, qui s'in- sinue entre les faisceaux longitudinaux postérieurs (Flp), pour se confondr
CENTRES NERVEUX. libres sont limitées en dedans et en arrière parle faisceau longitudinal postérieur (Flp), qui fait sur cet
fait sur cette coupe sa première apparition, sous forme d'un petit faisceau triangulaire dont le sommet très effilé se dirige
pa, espace perforé antérieur. Epp, espace perforé postérieur. Fcoh, faisceau de la commissure postérieure. Fli, faisceau longi
rforé postérieur. Fcoh, faisceau de la commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur. -Flp, faisceau longitud
commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur. -Flp, faisceau longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe
longitudinal inférieur. -Flp, faisceau longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Fil, faisceau unci- natu
eau longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Fil, faisceau unci- natus. 1, insula. le, lame cornée et fibr
r un fais- ceau de libres parallèles et très serrées, les fibres du faisceau longitudinal in fn- 1'iew' (Fli). Ces dernières
us grand nombre coiffe l'extrémité postérieure du putamen (NL3). Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) forme la limite exte
res peu colorées, obliques en avant et en dedans, et appartenant au faisceau uncinalus (Fu). Coupe n° 8 x (fig. 323) passant
e n° 7 x (tig. 3) que par l'apparition des premiers fascicules d'un faisceau , situé immédiatement en arrière de la commissur
rrière de la commissure de Meynert, (CM), et qui n'est autre que le faisceau de 7'ürc%(h'T), que nous décrirons sur la coupe
Luys. CM, commissure de Meynert, coa, commissure antérieure. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli, faisceau lon
missure antérieure. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudi
commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe
longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe do Meynert. FT, faisceau de Turck. F
au longitudinal postérieur. FM, faisceau rétroflexe do Meynert. FT, faisceau de Turck. Fu, faisceau uncinatus. ? insula. le, l
eur. FM, faisceau rétroflexe do Meynert. FT, faisceau de Turck. Fu, faisceau uncinatus. ? insula. le, lame cornée et fibres
capsule externe (Ce) et V avant-mur (AM), morcelé par les fibres du faisceau unci- nalus (Fu). La bandelette optique (II)
i de ce qu'il était sur la coupe précédente (n° 8 x, fig. 323). Les faisceaux de la commissure postérieure (Fcop) forment en
mité et compris dans la concavité du ruban de Reil médian. (Rm). Le faisceau longitudinal posléJoiew' (Flp) a augmenté de volu
e, et dans la substance grise de l'aqueduc (Aq) qui sépare ces deux faisceaux l'un de l'autre, on trouve les noyaux de la tro
ir, allongé, formant le noyau central; en dehors, de chaque côté du faisceau longitudinal postérieur (Flp), on trouve deux aut
ce grise de. l'aqueduc (Aq), au voisinage de l'extrémité effilée du faisceau longitudinal postérieur. Il forme le groupe ven
sième paire. Le groupe dorsal, de ce même noyau siège il la base du faisceau longitudinal posté- rieur (Flp), dans la petite
itudinal posté- rieur (Flp), dans la petite excavation que forme ce faisceau au niveau de la subs- tance grise de l'aqueduc.
rticulière que présente le ruban de Reil médian (Rm), qui reçoit un faisceau extrêmement net de fibres, qui lui viennent du se
xll), la partie supé- rieure du corps genouillé interne (Cgi) et le faisceau de TÜJ'ck (FT). Le pulvinar (Pul) s'est encore
ulaire de la capsule interne. Epp, espace perforé postérieur. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli, fais- ceau l
ommissure postérieure. Fli, fais- ceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FT, faisceau de Tiirck
longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FT, faisceau de Tiirck. Fu, faisceau uncinatus. le, lame cor
lp, faisceau longitudinal postérieur. - FT, faisceau de Tiirck. Fu, faisceau uncinatus. le, lame cornée et libres du taenia se
portent en avant et en dedans, s'entre-croisent avec les fibres du faisceau longitudinal postérieur (Flp), avec les fibres de
groupe de fibres plus colorées qui s'en détache nettement. Ce petit faisceau se porte en dehors et en arrière, parallèlement
ule quadrijumeau antérieur (Qa), le ruban de Reil médian (Rm) et le faisceau longi- ludinal postérieur (Flp). Ces fibres app
sième segment du noyau lenticulaire (pulamen) (nul,,) un volumineux faisceau de fibres à direction transversale : le faiscea
l,,) un volumineux faisceau de fibres à direction transversale : le faisceau de Türck (FT), qui vient du lobe temporal ainsi
res et passe au-dessous de la face inférieure du putamen (NL,,). Le faisceau de Tiil'ck aborde le segment postérieur de. la
est réduit il une petite bande de substance grise comprise entre le faisceau de l'iirclc (FT) et la capsule, externe (Ce), ren
FT) et la capsule, externe (Ce), renforcée par des fibres venant du faisceau longitudinal inférieur (Fli). En avant, le putame
en dehors, il est en rapport avec l'avanl-1Jwl' (AM), coiffe par le faisceau uncinatus (Fu) et par l'écorce grise qui double l
e. CM, commissure de Meynert. Epp, espace perforé postérieur. Feop, faisceau de la commissure postérieure. Fi, fimbria. Fli, f
eur. Feop, faisceau de la commissure postérieure. Fi, fimbria. Fli, faisceau longitudinal in- férieur. Flp, faisceau longitu
térieure. Fi, fimbria. Fli, faisceau longitudinal in- férieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. FT, faisceau de Türclc.
ongitudinal in- férieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. FT, faisceau de Türclc. - Fu, faisceau unci- natus. le, lame
Flp, faisceau longitudinal postérieur. FT, faisceau de Türclc. - Fu, faisceau unci- natus. le, lame cornée et fibres du toeni
ns la concavité du bord interne du putamen, et qui appartiennent au faisceau de Vth'cA (FT) décrit sur la coupe précédente (n°
nt rétro-lenticulaire de la capsule (Cirl), on trouve encore ici le faisceau longitudinal inférieur (Fli), avec ses fibres dis
ème segment du noyau lenticulaire (putamen) (NL3), compris entre le faisceau de 7'Mt'c/b (FT) et le faisceau longitudinal infé
e (putamen) (NL3), compris entre le faisceau de 7'Mt'c/b (FT) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli), se fusionne en av
vement par des fibres horizontales, qui appar- tiennent les unes au faisceau de Tùrck (FT), les autres à la commissure de Meyn
avant-mur apparaissent nettement détachés. A ce niveau apparait un faisceau volumineux, fortement coloré, dont les libres se
iculaire de la capsule interne. coa, commissure anté- rieure. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli, faisceau longi
ure anté- rieure. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur Flp, faisceau longitudin
a commissure postérieure. Fli, faisceau longitudinal inférieur Flp, faisceau longitudinal postérieur. Fu, faisceau uncinatus.
u longitudinal inférieur Flp, faisceau longitudinal postérieur. Fu, faisceau uncinatus. le, lame cornée et fibres du taenia
ulaires de la troisième paire. 6;i8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. faisceau de fibres parallèles fortement colorées, le bras
yau rouge (NR).Dans la concavité du ruban de Reil médian se loge le faisceau de la commissure postérieure (Fcop). Le noyau r
est très réduite en dehors, tandis qu'en dedans elle forme un gros faisceau de fibres très serrées, sectionnées transversal
partie supérieure du 1)(doil- cule cérébelleux supérieur (Pcs). Ce faisceau augmente de volume et refoule en dehors le noya
et en dedans Au pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs), on trouve le faisceau longitudinal postérieur (Flp), qui en est séparé
par les libres de l'eil- de la caloltede Meynert (xM En dedans, le faisceau longitudinal posté- rieur s'insinue dans le mpl
de l'en.le-croisenze>7 t de la calotte de Meynert. En dehors, le faisceau longitudinal postérieur se confond insensiblement
les coupes suivantes une extension de plus en plus considérable. Le faisceau longitudinal postérieur (Flp), le pédoncule céréb
bres radiculaires internes de la troisième paire, les fascicules du faisceau longitudinal posté/leur (Flp), Ventre-croisemen
u postérieur. - Feop, fais- ceau de la commissure postérieure. Flp, faisceau longitudinal postérieur. Ln, locus niger.- V7tl
andis que la troisième paire (III) n'est plus représentée que par ses faisceaux radiculaires les plus externes, qui émergent au
sont extrêmement nets, et limités en arrière par les fascicules du faisceau longitudinal postérieur (Flp), qui envoie dans
ant presque la partie moyenne de ce raphé. Le bord postérieur de ce faisceau est légèrement excavé, et embrasse la partie in
cellules, dont l'aspect vésiculeux a été décrit par Forel. Ce petit faisceau représente la racine cérébrale ou la petite rac
xiPcs), qui occupe presque toute l'étendue de la calotte, depuis le faisceau longitudinal postérieur (Flp) jusqu'au locus] nig
eau postérieur. Fcop, fais- ceau de la commissure postérieure. rlp, faisceau longitudinal postérieur. Gip, ganglion inter-pé
t dans la masse de fibres Au pédoncule, cérébelleux supérieur. Le faisceau longitudinal postérieur (Flp) ne se présente plus
portant en/l'e-cl'oi- sement du pédoncule cérébelleux supérieur, le faisceau longitudinal postérieur n'envoie plus en avant
es fais- ceaux longitudinaux postérieurs. Le bord postérieur de ces faisceaux est légè- rement échancré, et embrasse un petit
umeau postérieur, du pédoncule cérébelleux supérieur. En dehors, le faisceau longitudinal postérieur se confond insensiblement
faisceau longitudinal postérieur se confond insensiblement avec les faisceaux de la substance réticulée de la calotte (SR). Dan
cette substance 'réticulée du ruban de Reil médian (Rm), on trouve le faisceau , de la commissure postérieure (Fcop), dont les
érébral, En dedans, le pied Au pédoncule cérébral est limité par un faisceau arci forme (Tpo), composé de fibres horizontale
ente le taenia pontis ou bandelette de la protubérance de Henle. Ce faisceau se coude ensuite brusquement au niveau du bord po
rectiligne, se réunit à d'autres cylindres-axes pour constituer les faisceaux de libres radiées, puis arrive dans la substanc
ig. 342). Les fibres radiées (fig. 342 et fig. 347, fr) forment des faisceaux régu- lièrement espacés, qui traversent la couc
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Leur direction. Leur origine. Les faisceaux ra- diés contiennent tou- tes les libres d'as
es libres ! terminales venant de la substance blanche. ! 11 Ces faisceaux de libres radiées augmentent de volume à mesure q
e que l'on se rapproche de la substance blanche, et constituent des faisceaux - compacts et serrés, entre lesquels les cellul
géantes, on en trouve en effet d'autres beaucoup plus fines. Ces faisceaux radiés naissent de préférence de la crête et des
- nant ces circonvolutions sous un angle plus ou moins oblique, les faisceaux radiés se présentent sous l'aspect d'ilôts poin
s perpendiculairement à leur direction (lig. 29o,T V" p ? 6). Ces faisceaux radiés contiennent toutes les fibres du système d
s clairsemées, formant un feutrage à mailles très lâches. Comme les faisceaux des fibres radiées ne dépassent guère la strie ex
t sous l'aspect de fibres parallèles, qui s'entre-croisent avec les faisceaux de fibres radiées, et qui s'étendent en hauteur
ux libres en U; celles-ci entrent en effet dans la constitution des faisceaux radiés, les premiers, au contraire, poursuivent
re, poursuivent leur trajet tangentiel et s'entre-croisent avec les faisceaux radiés au niveau de la crète des circonvolutions,
a couronne rayonnante et de la capsule interne le long du trajet du faisceau pyramidal. Sur une coupe sagittale, les fibres
se rendent par le chemin de la capsule externe soit en haut vers le faisceau occiito-frozztal et le corps calleux, soit en bas
ant-mur. Cge, Cgi, corps genouillés externe et interne. - Cing (p), faisceau postérieur du cingulum. - Cip, segment postérie
du cingulum. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. Fli, faisceau longitudinal inférieur. ? fibres radiées du tha
édoncule cérébral. - l'es, pédoncule céré- belleux supérieur. - Py, faisceau pyramidal.- RCge, radiations du corps genouillé e
'autant plus appréciable que du sommet des festons se détachent des faisceaux de fibres radiées, qui des- cendent jusque dans
n parallèle au grand axe de la circonvolution, fibres grou- pées en faisceaux , et qui, sur des coupes vertico-transversales tra
artiennent au système des fibres d'associa- tion, en particulier au faisceau postérieur du cingulum, dont les fibres mettent
er postérieur du trigone. Cg, circonvolu- tion godronnée. Cing (p), faisceau postérieur du cingulum, (,le, diverticule du subi
, diverticule du subiculum. 1 : '1, sillon fimbrio-godronné. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - fin, fibres moussues
C, couche moléculaire de la portion terminale de la corne d'Ammon. L, faisceau longitu- dinal des fibres moussues ou cylindres
fimbria. F, fimbria. G, petite cellule pyramidale ou supérieure. ? faisceau formé de grosses collatérales nerveuses ascendant
Les fibres moussues des grains dufascia dentata se réunissent en un faisceau horizontal, signalé par Sala et Scbaiffer, et q
e toute la région godron- née de la corne d'Ammon. D'après Sala, ce faisceau , arrivé au niveau de la région hippocampique de
s et l'autre avec la lamina medullaris involuta. Pour Sclniffer, ce faisceau traverse toute la région hip- pocampique de la
qui constitue le stratum lucidum de Honegger. Pour Cajal enfin, ce faisceau de fibres moussues ne dépasse pas la région god
couche moléculaire de la portion terminale de la corne d'Ammon. - D, faisceau longitu dinal des fibres moussues ou cylindres-
bria. - F, fimbria. G, petite cellule pyramidale ou suhéricure.-1/, faisceau formé de grosses collatérales nerveuses ascendant
ne naissent en éventail du bulbe olfactif et se continuent avec les faisceaux de la couche des grains, elles sont toujours su
ulbe olfactif émet, outre les fibres de la racine externe, un autre faisceau profondément situé, formé de libres plus grêles e
ou des cellules polymorphes, riche en fibres à myéline disposées en faisceaux à direction verticale, horizontale ou oblique,
e II de 1 Golgi. 4° La substance blanche, simple condensation des faisceaux de la couche précédente, se continue profondéme
aisceaux de la couche précédente, se continue profondément avec les faisceaux plexi- formes du corps strié. Ses fibres, qui s
dyme ventriculaire ordinaire. Ces libres a myéline appartiennent au faisceau olfactif de la corne d'Am- mon de Zucl : erl :
tangen- tiellcs. Ses lier- vouscs. Sa substance Man- che. Faisceau olfactif de la corne d'Ammon. Septum lucidum
niveau du centre ovale de Vieussens, est essentiellement formée de faisceaux de fibres nerveuses à myéline, à trajet plus ou m
i relient entre elles soit deux circonvolutions voisines, soit deux FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 743 circonvoluti
l'écorce grise et les fibres longues les plus profondes. Les longs faisceaux d'association eux-mêmes ne présentent qu'un petit
présentent qu'un petit nombre de fibres ayant toute la longueur du faisceau ; ils se composent en effet de fibres plus ou m
gues, sensiblement parallèles entre elles, et n'appartenant au long faisceau d'association que dans une partie de leur traje
nation du trajet des fibres d'association, en particulier des longs faisceaux d'association, est-il absolument nécessaire d'avo
i qu'il n'existe dans la substance blanche, pour ainsi dire, pas de faisceaux qui ne soient dissociés ou entre-croisés par d'
j ment, par la direction des fibres, la prédominance de tel ou tel faisceau de fibres. En règle générale on peut dire : q
n se présentent dans une certaine partie de leur trajet à l'état de faisceaux compactes, isolés pour ainsi dire, ? s et non e
les pyramidales petites et moyennes et des cellules polymorphes. Le FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSE» AUX. 745 cylindre-ax
s trans- versales du trigone cérébral (fornix transversus de Forel, faisceau commis- sural de la corne d'Ammon). Le fornix t
res et représentent vraisemblablement des fibres sensitives, senso- FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 747 rielles ou c
s comprennent : A. Les courtes fibres d'association; B. Les longs faisceaux d'association; C. Les fibres propres des lobes
e microscopique, on voulait les désigner plus spécialement, il nous FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7M semble que le
ns multiples d'idées, de mouvements, de sensations, etc. B. Longs faisceaux d'association. - Les longs faisceaux d'as- soci
de sensations, etc. B. Longs faisceaux d'association. - Les longs faisceaux d'as- sociation sont ou nombre de cinq, ce sont
x d'as- sociation sont ou nombre de cinq, ce sont : le cingulum, le faisceau arqué ou longitudinal supérieur, le faisceau lo
sont : le cingulum, le faisceau arqué ou longitudinal supérieur, le faisceau longitudinal inférieur, le faisceau uncinatus e
é ou longitudinal supérieur, le faisceau longitudinal inférieur, le faisceau uncinatus et le faisceau nccipito-frozatal de F
ur, le faisceau longitudinal inférieur, le faisceau uncinatus et le faisceau nccipito-frozatal de Forel et Onufrowic : s. Le
cipito-frozatal de Forel et Onufrowic : s. Le cingulum constitue le faisceau d'association du rhinencéphalon; il relie la pr
re de la face externe (Beevor) de l'hémisphère. Les quatre autres faisceaux appartiennent au manteau cérébral dont ils reli
nnent au manteau cérébral dont ils relient les différents lobes. Le faisceau longitudinal supérieur ou faisceau arqué relie
s relient les différents lobes. Le faisceau longitudinal supérieur ou faisceau arqué relie le lobe frontal aux lobes pariétal
riétal et temporal, en passant au- dessus de l'opercule sylvien; le faisceau uncinatus passe par le seuil de l'insula et uni
l de l'insula et unit la pointe temporale à la pointe frontale ; le faisceau longi- tudinal inférieur relie le lobe temporal
ngi- tudinal inférieur relie le lobe temporal au lobe occipital; le faisceau occipito- frontal de Forci et Onufrowicz concou
be occipito-temporal et le lobe frontal. Cingulum (Burdach) (Cing), faisceau longitudinal du gyrus 107'llicatus,(or- nix per
t microscopiques, chap. II et III). - Le cingulum constitue le long faisceau d'association du rhinencéphalon. C'est un faiscea
onstitue le long faisceau d'association du rhinencéphalon. C'est un faisceau arqué, à direction sagittale, situé à la face i
fornix intérims, le cingulum Fonctions des fi- bres en U. Longs faisceaux d'association. Cingulum. Le cingulum repré-
ère circonvolution limbidue (L,). Il se présente sous la forme d'un faisceau arqué, qui contourne le bec, le genou, le tronc e
ant en bas et en avant vers l'extrémité anté- Fig. 373. - cingulum, faisceau longitudinal inférieur, faisceau basai interne et
rémité anté- Fig. 373. - cingulum, faisceau longitudinal inférieur, faisceau basai interne et stratnn) calcarinum. L'écorce
bique et celle du lobule fusiforme ont été enlevées pour mettre ces faisceaux à nu. [D'après la dissection d'un cerveau durci d
corps calleux (splénium). Cg, circonvolution godronnée. - Cing(a), faisceau antérieur du cingulum. Cing(h), faisceau horizo
lution godronnée. - Cing(a), faisceau antérieur du cingulum. Cing(h), faisceau horizontal ou supérieur du cingulum. - Cing(p),
. Cing(h), faisceau horizontal ou supérieur du cingulum. - Cing(p), faisceau postérieur du cingulum. - cm, sillon calloso-ma
poral. - fa(ci), fibres arciformes du sillon calloso-marginal. zizi, faisceau basai interne de Burdach. - je, sillon fimbrio-
sceau basai interne de Burdach. - je, sillon fimbrio-godronné. Fli, faisceau longitudinal inférieur. f m, fais- ceau uncinat
ostérieur du trigone. - Th, thalamus. U, circonvolution du crochet. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7;ii .1 ri rieur
e le cingulum n'est pas formé de fibres ayant, toute la longueur du faisceau , mais de fibres relativement courtes, qui se re
partie de leur trajet font seules partie du cingulum de Burdach. Ce faisceau reçoit et émet en effet des fibres pour la premiè
8 à 261 et 280 à 288), le cingulum se présente sous l'as- pect d'un faisceau foncé pyriforme, nettement délimité, qui occupe l
naison du cingulum. il ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les trois faisceaux du cingulum d'après Becvor. cingulum à une
noyau amygdalien. Pour Beevor enfin le cingulum comprendrait trois faisceaux indépen- dants les uns des autres : le faisceau
comprendrait trois faisceaux indépen- dants les uns des autres : le faisceau antérieur, le faisceau horizontal et le faiscea
ceaux indépen- dants les uns des autres : le faisceau antérieur, le faisceau horizontal et le faisceau postérieur (fig. 373,
ns des autres : le faisceau antérieur, le faisceau horizontal et le faisceau postérieur (fig. 373, 374). Le faisceau antérieur
e faisceau horizontal et le faisceau postérieur (fig. 373, 374). Le faisceau antérieur (Cing[a]), situé au- dessous du genou
avant du genou du corps calleux pour entrer dans la constitution du faisceau horizontal. Le faisceau horizontal (Cing[h]) lo
lleux pour entrer dans la constitution du faisceau horizontal. Le faisceau horizontal (Cing[h]) longe la face supérieure du
la face interne et probablement il celles de la face externe. Le faisceau postérieur (Cing[p J), enfin, occupe la circonvol
l'liip- FiG. 374. - Face interne de l'hémisphère gauche. Cingulum, faisceau basai interne et faisceau longitudinal inférieu
interne de l'hémisphère gauche. Cingulum, faisceau basai interne et faisceau longitudinal inférieur, vus par transparence. C
longitudinal inférieur, vus par transparence. C, cunéus. - Cing(a), faisceau antérieur du cingulum. - Cill ! )(h), faisceau ho
C, cunéus. - Cing(a), faisceau antérieur du cingulum. - Cill ! )(h), faisceau horizontal ou supérieur du cingulum. - Cino7(p)
l ! )(h), faisceau horizontal ou supérieur du cingulum. - Cino7(p), faisceau postérieur du cingulum. - cm, sillon calloso- m
- marginal. -cm', partie verticale du sillon calloso-marginal. Fbi, faisceau basai interne de Burdach. - l·'li, faisceau lon
calloso-marginal. Fbi, faisceau basai interne de Burdach. - l·'li, faisceau longitudinal inférieur. - Fus, lobule fusiforme.
carinum. - 1'3, troisième circonvolution temporale. - Th, thalamus. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSUHAUX. 753 , pocampe (H
e dégénérescence portant sur les fibres de la partie postérieure du faisceau horizontal; toutes les fibres de cette partie n
s qui, dans une partie seulement de leur trajet, appartiennent à ce faisceau . Faisceau uncinatus. (Fu) (fig. 37a, 3 in, 377
une partie seulement de leur trajet, appartiennent à ce faisceau. Faisceau uncinatus. (Fu) (fig. 37a, 3 in, 377 et 381). Déc
ncinatus. (Fu) (fig. 37a, 3 in, 377 et 381). Découvert par Reil, le faisceau uncinatus ou crochu, fasciculus uncil'ormis de Bu
asciculus uncil'ormis de Burdach, constitue le plus court des longs faisceaux d'association du manteau céré- bral. Facile à m
rès rapprochée du pôle temporal, les fibres les plus internes de ce faisceau sont aussi arquées que les libres en U qui tapi
es sillons; c'est cette incurvation si pro- noncée qui a valu il ce faisceau son nom de fascicules uncinatus. Mais les libre
eur et par conséquent plus on considère des fibres plus externes du faisceau , plus la courbure se redresse, de telle sorte q
, mais affectent mème une courbure en sens inverse (fig. 376). Le faisceau uncinatus se colore peu intensivement par l'hémat
pes vertico-transversales (fig. 281 à 283) il affecte la forme d'un faisceau irrégulicr, compris entre la capsule extrême (C
u voisinage du sillon marginal postérieur de l'insula (mp), avec le faisceau longitudinal inférieur (Fli) et morcelle la par
s plus inférieures, les plus internes et les plus superficielles du faisceau uncifol'lne, se portent en avant, et en dedans,
.48 Les fonctions du cingulum sont encore indéterminées. I Faisceau uncina- tus. Le faisceau unci- natus relie
gulum sont encore indéterminées. I Faisceau uncina- tus. Le faisceau unci- natus relie le lobe temporal à la face
et du taiscea : : uncinatus. Son entre-erois ! 1 - meut avec le faisceau longitudinal inférieur au niveau du sillon
ième circonvolutions frontales, la partie morcelée de l'avant-mur, le faisceau uncinatus et la substance innommée de Reichert.
on olfactif. jilc, fibres d'association externes de Meynert. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudi
externes de Meynert. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - ft, libres tan- gent
isceau longitudinal postérieur. - ft, libres tan- gentielles. - Fu, faisceau uncinatus. - le, lame cornée et libres du ttenia
a, sillon marginal antérieur. mF,(G1'), face interne de la première FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 733 circonvoluti
on frontale (OF3' F3[c]). A leur extrémité temporale, les libres du faisceau uncinatus morcellent la substance grise qui rel
ont été enlevées pour montrer les fibres de la capsule externe, le faisceau uncinatns et le faisceau arqué ou longitudinal
ntrer les fibres de la capsule externe, le faisceau uncinatns et le faisceau arqué ou longitudinal supérieur. (Demi-schématiqu
faisceau arqué ou longitudinal supérieur. (Demi-schématique.) .tre, faisceau arqué ou longitudinal supérieur. Ce. capsule exte
ri), libres arciformes du sillon pré-rolandique inférieur. ' - Fit. faisceau uncinatus. - io. sillon intcr-occipital. - ip, si
1'S, vallée de Sylvius. il 75G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. 1 Faisceau longitu- dinal supérieur ou faisceau arqué.
E DES CENTRES NERVEUX. 1 Faisceau longitu- dinal supérieur ou faisceau arqué. Son trajet. à l'écorce temporale au ni
e perforée antérieure (fig. 283) ; , elles s'entre-croisent avec le faisceau longitudinal inférieur dont elles se distinguen
temporales (T,, '1'2); elles s'entre- croisent à ce niveau avec le faisceau longitudinal supérieur (Arc). Le faisceau uncin
isent à ce niveau avec le faisceau longitudinal supérieur (Arc). Le faisceau uncinatus est souvent intéressé dans les lésions
ns la partie orbitaire du lobc frontal (Yoy. chap. suiv., t. II). Faisceau longitudinal supérieur ou faisceau arqué (Arc) ((
tal (Yoy. chap. suiv., t. II). Faisceau longitudinal supérieur ou faisceau arqué (Arc) ((ascicuills arcualus de Burdach) (
u arqué (Arc) ((ascicuills arcualus de Burdach) (fig. 376. 377). Le faisceau arqué est à la face ex- terne de l'hémisphère c
Coupes vertico-lransversales macroscopiques, Ilg. 247 à 250), v ce faisceau décrit, comme le cingulum et le faisceau uncinatu
ues, Ilg. 247 à 250), v ce faisceau décrit, comme le cingulum et le faisceau uncinatus, une courbe ouverte en bas et en avan
sections de cerveaux durcis dans le bichromate ou dans l'alcool, le faisceau arqué ne se présente sous forme de faisceau [co
te ou dans l'alcool, le faisceau arqué ne se présente sous forme de faisceau [compact, que dans la région pariétale de l'operc
iveau de la limite postérieure de la scissure de Sylvius (S[p]), le faisceau arqué décrit une courbe il concavité antérieure
es plus superficielles se portent en avant, recouvrent en dehors le faisceau unci- natus (fut, et s'irradient dans la crète
ins (voy. fig. 382 et Coupes macroscopiques, fig. ? r`3 il 2(5), la FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7.=i7 7 surface
SCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7.=i7 7 surface de section du faisceau arqué est triangulaire; son angle inféro- inter
avec la masse blanche des circonvolutions de l'opercule sylvien, le faisceau arqué est très bien délimité en dedans, où il est
ion des fibres rayonnantes. Au niveau du gyrus supra-marginalis, le faisceau arqué se recourbe en bas et en avant pour se po
ticales de la convexité des régions occipitale et pariéto-tempo- Le faisceau u'lJu présente une forme tl'iallg'ulail'c SUI
été écarlés pour montrer l'insula et la région rétro-insulaire. Les faisceaux uncina- lus, arqué ou longitudinal supérieur et
al supérieur et occipital vertical, sont vus par transparence. Arc, faisceau arqué ou longitudinal supérieur. - Fi, F3, deuxiè
olution frontale. - Fa, circonvolution frontale ascen- dante. - Fu, faisceau uncinatus. - la, la, la, circonvolutions antérieu
frontales.- OPR, opercule rolandique/ 0/.) ? opercule pariétal. Ov, faisceau occipital vertical. - PI, 1 ? première et deuxièm
de Sylvius. 7 : i8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Terminaison du faisceau arqué. Opinion de Mcy- nert. Opinion de Scl
ué est formé par un système de courtes fibres d'asso- dation. Faisceau occipito- frontal. Travaux de Forci et Onuf
sur l'agénésie du corps calleux. raie, couche constituée par le faisceau occipital vertical (Ov, fig. 377) de Wernicke.
s microscopiques traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, le faisceau arqué se colore faiblement par l'hématoxyline et
irconvolutions de l'opercule sylvien. , Le mode de terminaison du faisceau arqué en avant est très discuté. D'après Meyner
de la troisième circonvolution frontale (Opr3), et constituerait un faisceau d'association reliant la face externe des régions
à la convexité du lobe frontal. Pour Schnopfhagen, au contraire, le faisceau arqué ou longitudinal su- périeur ne se termine
terminer dans le lobe frontal de l'hémis- phère du côté opposé. Le faisceau arqué appartiendrait donc pour cet auteur, au s
raissent pas militer en faveur de l'hypothèse de Schnopfhagen. Le faisceau arqué ne semble du reste être composé que de cour
lution, relient deux circonvolutions un peu plus éloignées. Mais le faisceau arqué ne parait pas contenir des fibres de toute
s, par la méthode des coupes microscopiques sériées, que lorsque le faisceau arqué ou longitudinal supérieur de Bur- dach se
res dégénérées au delà du voisinage immédiat du foyer pri- mitif. Faisceau occipito-frontal (Forel et Onufrowicz) (OF). - Fo
pitale est nor- malement développé, et se continue en avant avec un faisceau à direction FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSU
ent développé, et se continue en avant avec un faisceau à direction FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 730 9 sagittale,
ux, comme on le croyait jusqu'à Forel et Onufrowicz, mais bien à un faisceau d'association intra- hémisphérique, au faisceau
icz, mais bien à un faisceau d'association intra- hémisphérique, au faisceau désigné par ces auteurs sous le nom de fais- ce
par ces auteurs sous le nom de fais- ceau occipito-frontal. A quel faisceau correspond dans l'hémisphère nor- mal ce faisce
o-frontal. A quel faisceau correspond dans l'hémisphère nor- mal ce faisceau occipito-frontal, qui forme au niveau du carrefou
m des anciens auteurs ? Forel et Onufrowicz l'ont identifié avec le faisceau longitudinal supé- rieur ou arqué de Burdach, e
nous rallier à cette opinion. Nous venons de voir, en effet, que le faisceau longitudinal supérieur de Burdach est situé en
es les plus inférieures recouvrent en dehors la capsule externe; le faisceau occipito- frontal est situé par contre en dedan
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Interprétation per- sonucllc. Le faisceau occi- pito-frontal corres- pond au faisceau d
per- sonucllc. Le faisceau occi- pito-frontal corres- pond au faisceau dé- crit par Meynert sous le nom de couronne
ne rayonnante du noyau caudé, et par Wer- nicke sous celui de faisceau calleux des- tin6 à la capsule in- terne. e
des- tin6 à la capsule in- terne. et se transformeraient en un faisceau à direction sagittale. Or on ne com prend guère
, que nous avons désigné dans nos séries de coupes sous le nom de faisceau occipito-frontal (OF), correspond au fai- sceau
couronne rayonnante du noyau caudé et par Wernicke, sous le nom de faisceau du corps calleux se rendant à la capsule intern
cule du subiculum. Ec, bord d'arrêt de l'écorce cérébrale. ? Fli, faisceau longitudinal inférieur. - ? circonvolution de l'h
noyau caudé. - NLi, troisième segment du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal de Fore] et Onufrowicz. - ot,
e (lim- bria). VI, ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 761 .. fibres n'
er dans le noyau caudé. D'après Wernicke, ces fibres constituent un faisceau défibres calleuses se l'endant el la capsule in
alleux et de la masse blanche du lobe frontal; se réuniraient en un faisceau comnact mesurant un centimètre et demi d'épaisseu
du putamen, au niveau de la partie moyenne de la couche optique; ce faisceau ne s'identifierait donc pas avec le segment t
vons pu nous convaincre à maintes reprises, qu'aucune fibre de ce faisceau n'entre en connexion avec le noyau caudé; or, c
ant dans la capsule interne, nous avons cru pouvoir identifier ce faisceau avec le faisceau occi- pito-frontal décrit par
sule interne, nous avons cru pouvoir identifier ce faisceau avec le faisceau occi- pito-frontal décrit par Forel et Onufrowi
ns les cas d'agéné- sie du corps calleux, le cingulum s'unisse au faisceau occipito-frontal; mais le cingulum ne constitue
u occipito-frontal; mais le cingulum ne constitue pas à lui seul ce faisceau . Le cingulum longe en effet la première circon-
rnes occipitale et sphénoïdale. Nous décrirons donc, sous le nom de faisceau occipito-frontczl, un long faisceau d'associati
décrirons donc, sous le nom de faisceau occipito-frontczl, un long faisceau d'association à direction sagittale, situé entre
d'association à direction sagittale, situé entre le cingulum et le faisceau arqué ou longitudinal supérieur de Burdach; il es
séparé du cin- gulum par toute l'épaisseur du corps calleux, et du faisceau longitudinal supérieur par le pied de la couron
le pied de la couronne rayonnante (Iib. 3S1, 382). Comme les longs faisceaux d'association que nous venons d'étudier, le faisc
mme les longs faisceaux d'association que nous venons d'étudier, le faisceau occipito-frontal décrit une courbe ouverte on a
l décrit une courbe ouverte on avant et en bas. Recouvert Trajot du faisceau occipito-frontal. Fig. 380. - Coupe lits ve
107, fig. 262, p. 480. C, cunéus. - EM, ergot de Mo- rand. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - li, scissure calcarin
eau longitudinal inférieur. - li, scissure calcarine. - OF (Tap), faisceau occipito- frontal de Forel et Onufrowicz, for
ous-épen- dymaire, à laquelle il abandonne de nombreuses fibres, ce faisceau longe - l'angle externe du ventricule latéral e
tement délimité au niveau de la tète et du tronc du noyau caudé, ce faisceau est en partie dissocié au niveau de la queue de
r les fibres de la couronne rayonnante et par les libres FIG. 381. - Faisceau occipito-frontal, trenia semi-circularis et faisc
res FIG. 381. -Faisceau occipito-frontal, trenia semi-circularis et faisceau uncinalus. Le corps calleux et le cingulum ont
Cgi, corps genouillé interne. coa, commissure anté- rieure. - F2t, faisceau uncinatus. - Gh, ganglion de l'hab("l1nla. .VA, n
? -NC', queue du noyau caudé. - NC(T), tronc du noyau caudé. - OF, faisceau occipito-frontal. 0(7'f7), partie du fais- ceau
ns la lame cornée. - ltlt, ténia thalami. - ? bandelette optique. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. ÍI)3 calleuses.
AUX. ÍI)3 calleuses. Arrivé au niveau du carrefour ventriculaire ce faisceau se recourbe en bas et en avant, et ses fibres s
oïdale, en formant le tapetum des anciens - auteurs. En avant, le faisceau occipito-frontal prend son origine dans toute l
296), traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal. Les fibres du faisceau occipito-fron- tal se groupent en effet en fasc
ue les fibres calleuses ou que celles de la couronne rayonnante. Du faisceau principal on voit se détacher un grand nombre de
adient dans l'extrémité anté- rieure du lobe frontal. De la base du faisceau occipito-frontal, on voit en outre se détacher
de la capsule externe. Dans le lobe sphéno-occipital, les fibres du faisceau occipito-f1'Ontal s'irradient, après avoir form
r le forceps du corps calleux, mais encore sur le tapetum et sur le faisceau occipito-frontal; or ce dernier faisceau dégénère
e sur le tapetum et sur le faisceau occipito-frontal; or ce dernier faisceau dégénère partiellement, à la suite de lésions d
oral et de la convexité de Origine de ce fais ceau en avant. Le faisceau occi- pito-frontal forme le tapotum et s'irra
s'irradie dans la face externe du lobe temporo- occipital. Le faisceau occi- pito-frnntal dégénère à la suite des lé
poral en avant du noyau amyg- dalien. Elle intéresse les principaux faisceaux d'association : cingulum, faisceaux occipito-fr
en. Elle intéresse les principaux faisceaux d'association : cingulum, faisceaux occipito-frontal, longitudinal supérieur et unc
. 330, coupe n° IV. AM, avant-mur. - AM', avant-mur dissocié par le faisceau uncinatus. Arc, faisceau arqué. - Cc, corps cal
avant-mur. - AM', avant-mur dissocié par le faisceau uncinatus. Arc, faisceau arqué. - Cc, corps calleux. - Ce, capsule exter
lon calloso-marginal. - coa, commissure antérieure. CI ! . couronne FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 763 1,; rayonnan
emier sillon frontal. Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fu, faisceau uncinatus. Fus, lobule fusiforme. ft, fibres ta
ia, NL" troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. - OpR, opercule rolandique. ot,
cherches expérimentales de Muratoff pratiquées sur le chien, que le faisceau occipito-frontal de Forel et Onufrowicz (fascicll
a destruction des circonvolutions frontales ou occipitales. Mais ce faisceau , et en particulier le tapetum, demeure intact a
s calleuses, d'association et de projection dégénèrent ensemble. Le faisceau occipito-f7'ontal constitue -donc un long faiscea
ent ensemble. Le faisceau occipito-f7'ontal constitue -donc un long faisceau d'associa- tion, qui relie le lobe temporo-occi
r les fibres se rendant à la capsule externe). Comme tous les longs faisceaux d'association, il est formé de fibres d'iné- ga
- gale longueur n'appartenant que dans une partie de leur trajet au faisceau occiht.'lo-fiotztal : celui-ci ne se distingue
u faisceau occiht.'lo-fiotztal : celui-ci ne se distingue des longs faisceaux d'association que par sa situation profonde et
fet en dedans du système de projection, tandis que les autres longs faisceaux d'association occupent une position excentrique
ciation occupent une position excentrique par rapport à ce système. Faisceau longitudinal inférieur (Burdach) (Fli). - Couches
s du lobe occipital (Wernicke). Stratum sagittale externwn (Sachs). Faisceau sensitif (Charcol, Ballet) (iig. 373,374, 383,
Faisceau sensitif (Charcol, Ballet) (iig. 373,374, 383, etc.). Le faisceau longitudinal inférieur de Burdach est un faisceau
4, 383, etc.). Le faisceau longitudinal inférieur de Burdach est un faisceau à direc- tion antéro-postérieure, situé au nive
be occipito-temporal et il est extrê- Travaux de Mura- toff. Le faisceau occi- pito-frontal relie le lobe temporo-occi
pito-frontal relie le lobe temporo-occipi- tal au lobe frontal. Faisceau longitu- dinal inférieur. Sa forme dans le*
res qui le recouvrent (fig. 383 et 389). Pris dans son ensemble, ce faisceau forme, ainsi que Burdachl'amontru, une sorte de
me (Fus) et du lobule lingual (Lg), et se confond en dedans avec le faisceau postérieur du cingulum (Cing [p]) situé dans la
ng [p]) situé dans la circonvolution de l'hippocampe (II[L2]). Le faisceau longitudinal inférieur ne présente toutefois cett
ère sont si rapprochés, qu'ils se réunis- " sent et transforment ce faisceau en une sorte de cône creux, dont le som- met ef
e cette disposition que, sur les coupes vertico-transversales. le à faisceau longitudinal inférieur affecte dans le lobe occip
temporal, la forme d'une gouttière fortement coudée (fig. 383. Le . faisceau longitudinal inférieur constitue donc un faisceau
e (fig. 383. Le . faisceau longitudinal inférieur constitue donc un faisceau nettement défi- mité, et c'est à tort que quelq
dyme ventriculaire et l'écorce du sillon collatéral. L'épaisseur du faisceau longitudinal inférieur varie suivant, les régions
d inféro-externe du carrefour ventriculaire, où il se ramasse en un faisceau compacte de fibres très serrées, tandis qu'il se
uche sagittale interne, de radiations thalamiques, et qui sépare le faisceau longitudinal inférieur, du tapetum (tau) et de
volutions qui la limitent une saillie, sorte de crête, produite par FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 767 1'tc. 383.-C
ayonnante. ds, diverticule du subiculum. Fc, fasciola cinerea. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - ft, fibres tangentielle
; 768 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les crêtes de cette face. Faisceau basai in- terne de Burdach. l'entre-croisemen
. 384, 385, voy. aussi lig. 223 a 228, 2S1 à ° ? GG, 273 à zig). Le faisceau longitudinal inférieur aban- donne en effet à c
Pour la description de cette coupe, voy. p. 551, coupe n° XI. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FM, forceps major. fles
I. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - FM, forceps major. fles, faisceau transverse du cunéus de Sachs. - Fus, lobule fu
iolet. - Tap, tapetum. Voc, corne occipitale du ventricule latéral. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7G ! ) à la part
D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7G ! ) à la partie inféro-interne du faisceau longitudinal inférieur, renforce en avant, au n
l inférieur, renforce en avant, au niveau du pli rétro-11mbique, le faisceau postérieur du cingulum situé dans la circonvolu
pli rétro-limbique. Les crêtes qui sillonnent la face convexe du faisceau longitudinal infé- rieur sont très nettes sur l
onvolutions temporales (fig. 385 et 293). Dans le lobe temporal, le faisceau longitudinal inférieur est mal déli- mité en ha
, 385 et p. 532, fig. 287). Il résulte de cette disposition, que ce faisceau ne se dispose en couche net- tement distincte,
vant du segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), le faisceau longitudinal inférieur entoure l'extrémité postér
a partie externe du noyau amygdalien (NA), où il mor- celle avec le faisceau uncinatus, la substance grise qui relie l'avant-m
iques de Gratiolet, et 2° par des fibres foncées qui, traversant le faisceau longitudinal inférieur perpendiculairement à la
, entrent dans la consti- tution du tapetum. Comme tous les longs faisceaux d'association, le faisceau longitudinal inférie
tution du tapetum. Comme tous les longs faisceaux d'association, le faisceau longitudinal inférieur comprend un système très
cales limitées du lobe occipital, nous ont toutefois montré, que ce faisceau con- tient un grand nombre de fibres longues, d
suivie dans la substance blanche du lobe temporal. Les libres du faisceau longitudinal inférieur prennent leur origine dans
ubstance blanche de ce z19 Rapports de son bord supérieur. Le faisceau longi- tudinal inférieur se différencie des r
ant par le cunéus, le lobule lingual, l'ergot de Morand et le tiers FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. ï71 t supérieur
postérieur de la capsule ' " interne. - Fc, fibres calleuses. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - F-II, forceps major.
upent de bonne heure en arrière de la corne occipitale, en un mince faisceau annulaire, facile à distinguer sur les coupes tra
par la méthode de Weigert (p. 60 fig. 290, et p. 768 fig. 384). Ce faisceau reçoit chemin faisant un grand nombre de fibres
ccipitale. Toutes ces fibres se rapprochent donc de plus en plus du faisceau compacte de fibres sagittales qui longe le bord i
la formc d'une gouttière. ' Arrivé au niveau du lobe temporal, le faisceau longitudinal inférieur abandonne aux circonvolu
e-croisent Direction de ses fibres. Terminaison des fibres du faisceau longitudinal inte- rieur. Terminaisons an-
inaisons an- térieures. " 772 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. De- faisceau lon- gitudinal inférieur fournit des fibres à
roise- ment avec les fibres de la commissure intérieure et du faisceau uncinatus. avec les fibres du faisceau arqué ou
missure intérieure et du faisceau uncinatus. avec les fibres du faisceau arqué ou. longitudinal supérieur de Burdach et
sceau arqué ou. longitudinal supérieur de Burdach et avec celles du faisceau uncinatus. ' . Un petit nombre de fibres entren
re-croisent avec les. fibres de la commissure antérieure et avec le faisceau uncinatus, mais s'en . distinguent par leur plus
- ds, diverticule du subiculum. Epa, espace perforé antérieur. - Fli, faisceau longitudinal - inférieur Fu, faisceau uncinatus
ace perforé antérieur. - Fli, faisceau longitudinal - inférieur Fu, faisceau uncinatus. H (L2), circonvolution de l'hippocampe
on du crochet. rsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - - FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSE MAUX. 773 Ces termina
D'ASSOCIATION ET COMMISSE MAUX. 773 Ces terminaisons antérieures du faisceau longitudinal inférieur et son intrication avec
eures du faisceau longitudinal inférieur et son intrication avec le faisceau uncinatus sont faciles à constater sur les coupes
fig. 375). Au voisinage de la première circonvolution temporale, le faisceau lon- gitudinal inférieur présente, sur les coup
nt rétro-lenticulaire de la capsule interne, appartiennent-elles au faisceau longitudinal inférieur dont une partie entrerai
de pro- jection du lobe temporal, qui ne feraient que traverser le faisceau longitu- dinal inférieur pour se rendre à leur
soudre, car elle implique en même temps, la nature des fonctions du faisceau longitudinal inférieur. Dans le deuxième cas ce f
férieur. Dans le deuxième cas ce fais- ceau serait exclusivement un faisceau d'association, dans le premier cas il contiendr
ion et des libres de projection. Pour les auteurs qui assimilent ce faisceau aux fibres de projection du lobe occipital et l
ernières sous les noms de radiations optiques (Gratiolet), lame des faisceaux optiques (Meynert), substance sa- yittccle du l
ues (Meynert), substance sa- yittccle du lobe occipital (Wernicke), faisceau sensitif (Charcot, Ballet, Bris- saud), le fais
tal (Wernicke), faisceau sensitif (Charcot, Ballet, Bris- saud), le faisceau longitudinal inférieur ne serait formé que de fib
it nombre de fibres de projection. Il est incontestable que dans le faisceau longitudinal inférieur, le départ des fibres de
com- parée ou d'autres méthodes. Pour nous, la partie inférieure du faisceau longitudinal inférieur constitue exclusivement
ieure du faisceau longitudinal inférieur constitue exclusivement un faisceau d'association; ([liant il sa partie supérieure,
tique, corps genouillé externe, globus pallidus, etc.). Aspect du faisceau longitudinal infé- rieur, au niveau de iapr
apretnierecit'cou- volution temporale. Rapports des li- bres du faisceau 1011- gitudinal inférieur avec les fibres des
al inférieur avec les fibres des radiations thalami- ques. Le faisceau longi- tudinal inférieur est exclusivement un
es. Le faisceau longi- tudinal inférieur est exclusivement un faisceau d'associa- tion dans sa partie inférieure.
M, avant-mur. CA, corne d'Ammon. - Ce, corps calleux. - Ce, capsule FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 77o externe. Cg,
cule du subiculum. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - 7·'li, faisceau longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétrofle
rontale ascendante. - 7·'li, faisceau longitudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - FPoa, fibres antérieures
de Meynert. - FPoa, fibres antérieures de la protubé- rance. - FT, faisceau de Tlirck. - FT', partie du faisceau de Tiirck. v
es de la protubé- rance. - FT, faisceau de Tlirck. - FT', partie du faisceau de Tiirck. venant des deuxième et troisième cir
deuxième et troisième circonvolutions temporales. - FTTt, partie du faisceau de Tiirck, venant de la pre- mière circonvoluti
e- mière circonvolution temporale. - Il, libres tangentielles. Flh, faisceau thalamiquo de Forci. - Fus, lobule fusiforme. -
, noyau interne du thalamus. Axa, putamen. - NR, noyau rouge. - OF, faisceau occipito-frontal. - OpPa, partie pariétale de l'o
e la corne sphénoïdale. - pl'S, sillon pré-rolandiduo suprienr.-Pg, faisceau pyramidal.-R, scissure de Rolando. - RC, radiatio
al.-R, scissure de Rolando. - RC, radiations de la calotte. - rlll, faisceaux radiculaires de la troisième paire. - RTh, radiat
, troisième paire. Nous avons insisté plus haut sur ce fait, que le faisceau longitudinal inférieur est traversé, dans toute
Nous croyons qu'il en est de même dans la partie tem- porale de ce faisceau , et que la plupart des fibres que l'on voit se dé
etc., que ces fibres, disons-nous, n'appartiennent pas en propre au faisceau longitudinal inférieur, qu'elles ne font que le t
elle doit donc nécessai- rement. traverser la partie supérieure du faisceau longitudinal inférieur avant d'arriver à sa des
pied du pédoncule cérébral. 116 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le faisceau ex- terne du pied du pé- doncule cérébral ou
EUX. Le faisceau ex- terne du pied du pé- doncule cérébral ou faisceau « de Tiirck » ne reçoit pas de fi- bres des r
» ne reçoit pas de fi- bres des radiations thalamiques ni du faisceau longitudinal inférieur. Le faisceau de Türc
iations thalamiques ni du faisceau longitudinal inférieur. Le faisceau de Türck naît de l'écor- ce temporale (J. De-
entis- sent pas sur. le pied du pédoncule c{ : l'é- ])val. Le faisceau de Tiirck n'est pas un faisceau de sen si hi-
pédoncule c{ : l'é- ])val. Le faisceau de Tiirck n'est pas un faisceau de sen si hi- lité générale. En étudiant à l'
ron du pied du pédoncule cérébral, c'est-à-dire que les fibres du « faisceau dit de Tüuclc » proviennent, non pas du lobe oc
ke, Charcot, Ballet, Brissaud, etc., mais bien du lobe temporal. Le faisceau de Türc7 dégénère en effet à la suite de lésion
as, on voit ses fibres dégénérées traverser la partie supérieure du faisceau longitudinal inférieur, passer sous le troisième
de la corticalité occipitale confirme encore l'origine temporale du faisceau de Turck. Les recherches faites par l'un de nou
inion de Meynert admise par Huguenin, Charcot, Ballet, Brissaud, le faisceau longitudinal inférieur, de même que les radiation
du pédoncule cérébral. Isolé ou associé aux radiations optiques, le faisceau longitudinal inférieur ne joue aucun rôle dans
is Meynert, Charcot et Ballet. Pour ces deux der- niers auteurs, le faisceau longitudinal inférieur représentait, avec les F
auteurs, le faisceau longitudinal inférieur représentait, avec les FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 777 -1 radiation
IATION ET COMMISSURAUX. 777 -1 radiations optiques de Gratiolet, le faisceau conducteur de la sensibilité générale, le faisc
de Gratiolet, le faisceau conducteur de la sensibilité générale, le faisceau sensitif, qui s'épanouissait dans le lobe occipit
if, qui s'épanouissait dans le lobe occipital et qui constituait le faisceau externe du pédoncule cérébral. Pour Brissaud, q
ral. Pour Brissaud, qui adopte les idées des auteurs précédents, le faisceau longitudinal infé- rieur représenterait un fais
précédents, le faisceau longitudinal infé- rieur représenterait un faisceau sensitif externe et les radiations optiques un
enterait un faisceau sensitif externe et les radiations optiques un faisceau sensitif interne, aboutissant tous deux au faisce
ons optiques un faisceau sensitif interne, aboutissant tous deux au faisceau externe du pédoncule cérébral ou faisceau de Ti
aboutissant tous deux au faisceau externe du pédoncule cérébral ou faisceau de Tiirck. Cette conception ne peut plus être a
ujourd'hui car, d'une part, ainsi que nous venons de l'indiquer, le faisceau de Türch ne vient pas du lobe occipital et d'au
rale. (Voy. t. II, Ruban de Reil et Localisations cérébrales.) Le faisceau de Tùrck n'est pas le seul faisceau de projection
t Localisations cérébrales.) Le faisceau de Tùrck n'est pas le seul faisceau de projection du lobe temporal, qui s'entre-cro
faisceau de projection du lobe temporal, qui s'entre-croise avec le faisceau longitudinal inférieur. D'autres fibres de la c
au noyau externe de la couche optique, etc., traversent de même le faisceau lon- gitudinal inférieur et contribuent à donne
oyau amygdalielt, s'entre-croisent dans toute leur longueur avec le faisceau longitudinal inférieur, passent sous le noyau len
trajet est très facile à suivre dans les cas de dégénéres- cence du faisceau longitudinal inférieur (Voy. t. II, les coupes ho
de troubles de la sensibilité é- nérale. Entre-croisement du faisceau lon¡ : ritu- dinal inférieur avec les fibres
uadriju- mcau antérieur. Ce, capsule externe. - Ce(h'li), fibres du faisceau longitudinal inférieur se rendant à la capsule
e la scissure calcarine. I· ? deuxième circonvolution frontale. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - Fli, faisceau longitud
rconvolution frontale. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudina
lenticulaire de Forel. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. Fth, faisceau thalamiq
longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. Fth, faisceau thalamique de Forel. - Il, circonvolution de l'hi
de Forel. - Il, circonvolution de l'hippocampe ou deuxième circon- FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSU 11 AUX. ï0 (voy. fig.
fusion des radiations thalamiques (couche sagittale interne) et du faisceau longitudinal inférieur (couche sagittale extern
cette couche de fibres fortement colorées par l'hématoxyline et le faisceau occipilo-vertical de Wernicke (voy. fib. 388, O
nal inférieur de l'homme. Sur des coupes microscopiques sériées, ce faisceau naît en arrière des circonvolutions occipitales
éressant les corps opto-striés, la plus grande partie des fibres du faisceau longitudinal inférieur s'irradient en avant dans
it volume et sa faible coloration par la laque hématoxy- linique le faisceau longitudinal inférieur se comporte donc ici comme
ur se comporte donc ici comme chez l'homme. La faible coloration du faisceau longitudinal inférieur par l'hé- Le faisceau lo
a faible coloration du faisceau longitudinal inférieur par l'hé- Le faisceau longi- tudinal chez le singe. Chez le singe,
- Le faisceau longi- tudinal chez le singe. Chez le singe, ce faisceau est très ré- duit de volume, tau- dis que les
que les radiations thalaniiquessonttrès j; Origine et trajet du faisceau longitu- dinal chez le singe. volution limbiq
- off, partie orbitaire de la première circonvolution frontale. Ov, faisceau occipital vertical de Wernicke. - ! 'iTk, pédon
bercule quadrijumeau antérieur. - RC, radiations de la calotte. Re, faisceau cortical du noyau rouge, passant par les radiat
e. - Fiv, carrefour ventriculaire. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vif, corne frontale du ventri
l in- férieur relie lo lobe )ccipital au lobe tem- l)Qral. Le faisceau longi- tudinal inférieur dé- géiiûro dans les
érescences secondaires et l'anatomie comparée montrent donc, que le faisceau longitudinal inférieur est avant tout un faisce
rent donc, que le faisceau longitudinal inférieur est avant tout un faisceau d'association qui relie le lobe occipital, et en
occipital, et en particulier la zone visuelle, au lobe temporal. Ce faisceau dégénère à la suite des lésions du lobe occipit
rite sous le nom de cécité verbale pure. Mais, de même que tous les faisceaux d'association, il est formé de fibres d'inégale l
l est formé de fibres d'inégale lon- gueur qui n'appartiennent à ce faisceau que dans une partie de leur trajet; il en résul
cences n'intéressent pour ainsi dire jamais toute l'épaisseur de ce faisceau , et qu'à mesure que l'on s'éloigne du foyer des
res dégénérées. Lorsque l'on étudie la dégénérescence secondaire du faisceau longitu- dinal inférieur, à la suite des lésion
er de la couche sagittale du lobe tcmporo-occipital, on voit que ce faisceau , de même que les radiations optiques, dégénère
nettement dans deux cas. On peut par conséquent se demander, si le faisceau longi- tudinal inférieur ne contient pas, outre
ce occipitale et qui constituent du reste presque la totalité de ce faisceau , un certain nombre d'autres fibres qui, lui ven
en (voy. p. 12 et 178) et de par l'ana- tomie pathologique, que les faisceaux encéphaliques ou médullaires s'al- tèrent dans
ésente une sécurité absolue pour déterminer le trajet de tel ou tel faisceau , est en effet beaucoup moins sûre, lorsqu'il s'ag
'il s'agit de reconnaître l'origine cellulaire de tel ou tel de ces faisceaux . Fibres d'association propres au lobe occipital
au lobe occipital (Stratum pro- prium corlicis de Sachs). Autour du faisceau longitudinal inférieur se groupent les fibres p
se groupent les fibres propres au lobe occipital, disposées en cinq faisceaux plus ou moins nettement délimités. Ce sont : en
délimités. Ce sont : en dedans le stratum calcarinum, en dehors le faisceau occipital vertical de Wernicke, enbas le faisceau
num, en dehors le faisceau occipital vertical de Wernicke, enbas le faisceau trans- verse du lobule lingual de Vialet, en ha
as le faisceau trans- verse du lobule lingual de Vialet, en haut le faisceau transverse du cunéus et le faisceau propre du c
e lingual de Vialet, en haut le faisceau transverse du cunéus et le faisceau propre du cunéus de Sachs. Le faisceau occipital
u transverse du cunéus et le faisceau propre du cunéus de Sachs. Le faisceau occipital vertical, le stratum calcarinum et le
Sachs. Le faisceau occipital vertical, le stratum calcarinum et le faisceau propre du cunéus sont formés de libres plus ou
lobe occipital à ses parties moyenne et inférieure; les fibres des faisceaux transverses du cunéus et du lobule lingual se d
ent les connexions entre les faces interne et externe de ce lobe. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. -78t Le stratum
verticales, qui double l'écorce de l'ergot de Morand, la sépare du faisceau longitudinal inférieur et forme à elle seule la m
e) au pli rétro-limbique de Broca, et renforce dans cette région le faisceau postérieur du cingulum. Elle repré- sente en d'
macroscopiques sont in- suffisantes pour déterminer le trajet d'un faisceau ; ici comme dans toutes les autres régions de l
nt ou plus ou moins obliquement la couche des fibres en U, puis les faisceaux d'association plus ou moins longs, et concourir
t d'arriver la couche des fibres sagittales du lobe occipital. Le faisceau occipital vertical ou occipital perpendiculaire d
opres du sillon parallèle. En arrière du gyrus supra-marginalis, le faisceau occipital vertical de Stratum calcari- Ullll1
Son origine et son trajct. 782 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Faisceau occipital transvcrse du cu- néus. Ce faisce
ENTRES NERVEUX. Faisceau occipital transvcrse du cu- néus. Ce faisceau relie le cunéus à la convexité du lobe occipi
a convexité du lobe occipital et à son bord infére-ex- terne. Faisceau occipital transverse du lobule lingual de Via
Faisceau occipital transverse du lobule lingual de Vialet. Ce faisceau met la région calcarinienne en communication
gitudinal supérieur de Burdach. : Dans leur ensemble, les fibres du faisceau occipito-frontal constituent - donc une sorte d
ersée par les nombreuses fibres qui entrent dans la constitution du faisceau lon- gitudinal inférieur, des radiations thalam
emporal et du tapetum; elle est encore traversée par les fibres des faisceaux trans- verses du cunéus et du lobule lingual. G
dehors, elle est au contraire nettement délimitée en dedans par le faisceau longitudinal inférieur, et ses fibres se distin
on et leur coloration moins foncée par la laque hématoxylinique. Le faisceau occipital transverse du cunéus (stratum cllnei tr
, passent au-dessus du cône creux formé par la partie occipitale du faisceau longitudinal inférieur, puis tra- versent le fa
occipitale du faisceau longitudinal inférieur, puis tra- versent le faisceau occipital vertical, se mélangent intimement aux f
le lobule pariétal supé- rieur et dans le pli courbe (Sachs). Le faisceau occipital transverse du lobule lingual de Vialet
de Vialet (fig. 290 et 389, fllgV) est au lobule lingual ce que le faisceau précédent est au cunéus. Entre- vu par Sachs, b
dent est au cunéus. Entre- vu par Sachs, bien étudié par Vialet, ce faisceau naît de la lèvre inférieure de la scissure calc
arine, se porte transversalement en dehors, puis recouvre en bas le faisceau longitudinal inférieur qu'il tapisse; ses libres
une première fois au niveau du diverticule du lobule lingual et du faisceau basai interne de Burdach, une seconde fois au niv
es libres dégénérées de la région, et ces cas sont particulièrement FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 83 instructifs p
UX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 83 instructifs pour l'étude de ce faisceau (fig. 394) (Voy. Th. de Vialet, Obs. III). Outr
ur origine comme celles de cette dernière couche et comme celles du faisceau transverse du cunéus, dans la lèvre supérieure de
. (Demi- schématique.) , C, cunéus. - far, fibres arquées. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - fll,gi', faisceau tra
r, fibres arquées. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - fll,gi', faisceau transverse du lobule lingual de Vialet. - ftcS,
- fll,gi', faisceau transverse du lobule lingual de Vialet. - ftcS, faisceau transverse du cunéus de Sachs. Fus, lobule fusi
irconvolu- tions occipitales.- os, deuxième sillon occipital. - Or, faisceau occipital vertical.-at, si1lon collatéral. po,
re, que Brissaud a désignée sous le nom de fais- ceau compact et de faisceau diffus du fornix. Il ne peut être question dans
question dans l'espèce, ainsi que nous venons de le voir, d'un long faisceau d'as- sociation, analogue au cingulum et étendu
on des circonvolutions de la face interne de l'hémisphère le nom de faisceaux du fornix, c'est, selon nous, employer un terme p
s, immédiatement en avant de la tête du noyau caudé et autour de la FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 785 substance gr
s calleuses émanées du genou (Ce), il est complété en dehors par le faisceau occipilo-frontal (OF). Autour de ce premier systè
e. - mF,, face interne delà première cir- convolution frontale. OF, faisceau occipito-frontal. - oF,, partie orbitaire de la p
et s'entre- croisent avec les extrémités antérieures des libres du faisceau uncinatus, qui viennent s'irradier dans les fac
ommissure antérieure et le fornix trans- verse de Forel. Ce dernier faisceau ne peut être séparé du trigone cérébral, FAISCE
Forel. Ce dernier faisceau ne peut être séparé du trigone cérébral, FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 787 aussi renvoy
l'angle externe du ventricule latéral, où elles se réunissent en un faisceau compact qui augmente rapidement de volume, se dir
ses sont connues sous le nom de raclia- tions calleuses (RCc); leur faisceau compact, qui forme la voûte des ven- tricules l
s, décrivent une courbe à concavité inféro-interne et traversent le faisceau arqué de Bur- dach (Arc), le pied de la couronn
87), le tronc du corps calleux se présente sous l'aspect d'un épais faisceau , effilé en dehors, où il entoure en crochet l'a
ngle externe du ventricule latéral. < ? Son sommet correspond au faisceau occipito-frontal (OF). Sa face infé- rieure est
issocier; mais, ainsi que le montrent les coupes microscopiques, de faisceaux plus ou moins enchevêtrés qui s'entre-croisent
sent dans tous les sens, au niveau de la *&* ligne médiane. Les faisceaux superficiels deviennent profonds de l'autre côt
n d'autres termes, le plus volu- mineux et le mieux circonscrit des faisceaux d'association et, « en reliant les régions asym
ronc. Nées des faces externe, orbitaire et interne du lobe frontal, FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET CO\I111SSI;R : 1U1. 789 elles
is se coudent au-devant de la corne frontale et se réunissent en un faisceau compact, qui se réfléchit en avant du ventricul
compact, qui se réfléchit en avant du ventricule latéral, comme le faisceau du tronc du corps cal- leux se réfléchit autour
s cal- leux se réfléchit autour de son angle externe (fig. 391). Ce faisceau compact augmente rapidement de volume grâce à l
ontiendrait encore d'autres fibres : nous avons vu plus haut que le faisceau longitudinal supérieur ou arqué de Bur- dach (f
ôté opposé. Nous avons vu en outre (p. 760), que Wernicke décrit un faisceau d'un centimètre et demi d'épaisseur, le faiscea
Wernicke décrit un faisceau d'un centimètre et demi d'épaisseur, le faisceau calleux de la capsule interne (Bal- kcnbuudcl d
u caudé et se rend dans la capsule interne. Nous avons identifié ce faisceau avec le fais- ceau d'association occipito-front
obe sphénoïdal (fig. 381, p. 760). Schwalbe émet l'hypothèse que le faisceau décrit par Wernicke serait un faisceau commissura
albe émet l'hypothèse que le faisceau décrit par Wernicke serait un faisceau commissural reliant les deux noyaux caudés entr
externe et interne du thalamus. - NC, tète du noyau caudé. - \'La, FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. TUt pouvons que
coupes vertico-transversales ou sagittales, aucun fas- cicule de ce faisceau pénétrer dans le noyau caudé et s'y irradier, que
erne (Ce) (Schnopfhagen). - Ces radiations s'entre-croisent avec le faisceau uncinatus (Fu), puis se réunissent en un petit
ent avec le faisceau uncinatus (Fu), puis se réunissent en un petit faisceau compact, qui se dirige obliquement en dedans et
d dans la cavité ventriculaire, elles se condensent bientôt en deux faisceaux compactes, l'un inférieur, plus petit, qui reço
x. s NLi, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. OF, faisceau occipito-frontal. - OF', partie du faisceau occ
noyau lenticulaire. OF, faisceau occipito-frontal. - OF', partie du faisceau occipito-frontal, s'irradiant dans les trois circ
que. - 7'ltt, pilier antérieur du trigone. tth, taenia thalami. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Zr, zone réticulée ou grillagée
er. }11lll'e de la partie inférieure ou minor du forceps. V faisceaux sont reliés l'un à l'autre, dans toute l'étendue
de la cavité ventriculaire. En avant de l'ergot de Morand, les deux faisceaux s'unissent intimement l'un à l'autre et constitue
t constituent le forceps du corps calleux de Reil et de Burdach. Le faisceau inférieur porte le nom de petite partie, faisce
et de Burdach. Le faisceau inférieur porte le nom de petite partie, faisceau accessoire ou minor du forceps (Fm') ; le faiscea
e petite partie, faisceau accessoire ou minor du forceps (Fm') ; le faisceau supérieur celui de grande partie, faisceau prin
or du forceps (Fm') ; le faisceau supérieur celui de grande partie, faisceau principal ou major du forceps (Fm). Ce dernier
nde partie, faisceau principal ou major du forceps (Fm). Ce dernier faisceau détermine à la partie supéro-interne de la corne
ar les couches concentriques des radiations thalamiques (RTh) et du faisceau longitudinal inférieur (Fli). Sur les coupes
externe du ventricule, traversent les épaisses couches de fibres du faisceau longitudinal inférieur (Fli) et des radiations tl
parallèlement il la paroi externe du ventricule, puis rejoignent le faisceau principal du forceps dont elles sont tributaire
'angle supérieur de la corne occipitale, traversent les couches des faisceaux d'association et de projection, puis se recourb
directement dans la constitution du forceps major. Les fibres du faisceau supérieur ou major du forceps (Fm) affectent une
fibres du faisceau supérieur ou major du forceps (Fm) affectent une FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 793 direction ne
lui vient du cunéus et de la première circonvolution occipitale, ce faisceau se porte en avant et reçoit dans les régions an
onvolution pariétale (P,) et du pli courbe (I'e). Les fascicules du faisceau major du forceps s'enchevêtrent intimement en a
nt intimement en avant de l'ergot de Morand, avec les fascicules du faisceau inférieur ou minor. Puis ils se recourbent en d
es concentriques, formés par les radiations thalamiques (RTh) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Par sa base, le c
u bourrelet du corps calleux. Les fascicules respectifs de ces deux faisceaux s'intriquent les uns dans les autres, et c'est
res d'association, des fibres de projection ainsi que les fibres du faisceau occipito-frontal (off, puis se coudent et se réun
sceau occipito-frontal (off, puis se coudent et se réunissent en un faisceau compact, qui se porte en dedans vers le bourrelet
ue le tapetum n'appartient pas au système du corps calleux, mais au faisceau occipito-frontal de Forel et Onufrowicz. Ces fa
tum n'ap- partient pas au sys- tème du corps cal- leux, mais au faisceau occipito-frontal. 11 ri 794 ANATOMIE DES'
ns la constitution de la paroi externe de la corne occipitale (voy. Faisceau occipito-frontal et fig. 384); sur les coupes v
bre de fibres de la paroi externe de la corne occipitale aborder le faisceau principal ou major du forceps. Le départ, dans
ccipitale du cunéus (C), le tiers antérieur de ce dernier et le pli FAISCEAUX D'ASSOCIATION' ET COMMISSURAUX. 79o cunéo-limbi
li cunéo-lim- bique, le forceps minor. Après la réunion de ces deux faisceaux , la zone dégénérée s'enfonce dans la profondeur
e inférieure du ventricule, mais elle se cantonne peu à peu dans le faisceau inférieur du forceps ou forceps minor, et occup
Th), le tapetum (Tap) et le forceps major du corps calleux (Fm). Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) est très peu touché,
). Les courtes fibres d'association du lobe occipital telles que le faisceau transverse du cunéus de Sachs (ftcS), le faisce
tal telles que le faisceau transverse du cunéus de Sachs (ftcS), le faisceau transverse du lobule lingual de Vialet (ftlgY),
cS), le faisceau transverse du lobule lingual de Vialet (ftlgY), le faisceau occipital perpendiculaire ou vertical de Wernicke
r naturelle. Détails dessinés à un grossissement de 12 diamètres. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 797 thalamiques
du pédoncule et en particulier son cinquième externe, formé par le faisceau de Turck, dé- génère non à la suite de lésions
de. Dégénérescence du bourrelet du corps calleux (Voy. fig. 398). FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 799 souvent beau
tance blanche, fusent sous la cavité ventriculaire, sectionnent des faisceaux importants, et il ne fau- drait pas, dans ces c
orter à la lésion corticale, la dégénérescence due à la section des faisceaux sous-jacents. - En résumé, le corps calleux est
étruit le tapetum (Tap), les radiations tha- lamiques (litai) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Sur la coupe actuel
érieur (Fli). Sur la coupe actuelle, la lésion n'a sectionné que le faisceau longitudinal inférieur et a entraîné : 1° une d
r et a entraîné : 1° une dégénérescence extrêmement accentuée de ce faisceau qui peut être suivie en avant jusqu'au delà du
res calleuses, qui sur les coupes sériées, peut être suivie dans le faisceau inférieur ou minor du forceps (Fm'). Sur la coupe
paroi interne de la corne occipitale, se rassembler pour former le faisceau inférieur du forceps et s'enchevêtrer intimement
t de 12 diamètres. Les parties dégénérées sont teintées en jaune. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 801 du I)otrrele
che verticale du sillon calloso-marginM. - Fc, fasciola cinerca. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Fli', faisceau longitud
- Fc, fasciola cinerca. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Fli', faisceau longitudinal inférieur au voisinage du sillon col
, forceps minor ou petite partie d ïorceps, dont on peut suivre les faisceaux dégénérés s'enchevêtrant avec les faisceaux du
, dont on peut suivre les faisceaux dégénérés s'enchevêtrant avec les faisceaux du forc ]s major et du bourrelet du corps calle
rps calleux. Fpa, foyer de ramollissement ancien, ayant sectic ; le faisceau longitudinal inférieur. Il, fibres tangentielles.
oenia lccta. - Tg(Gg), lyre de David et trigone ventricule latéral. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 803 systèmc d'as
recte de celui du manteau cérébral. La commissure antérieure est un faisceau blanc très apparent, assez régulièrement cylind
rieure de la capsule externe (fig. 312, 401), s'cnlre-croise avec le faisceau longitudinal inférieur et limite en dehors le n
erticule du subiculum. F3, troisième circonvolution frontale. flop, faisceau de la commissure postérieure. zig, sillon nmbrio-
isceau de la commissure postérieure. zig, sillon nmbrio-godronne. FI, faisceau lenticulaire de Forel. Fli, faisceau longitudin
g, sillon nmbrio-godronne. FI, faisceau lenticulaire de Forel. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudina
u lenticulaire de Forel. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. Full, faisceau rétrofl
ongitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. Full, faisceau rétroflexe de \Ieyncrt. FT, faisceau de Tiirck. h
longitudinal postérieur. Full, faisceau rétroflexe de \Ieyncrt. FT, faisceau de Tiirck. h, sillon de l'hippocampe. la, insul
s. (Voy. pour la description de cette coupe p. 616, coupe n° 12.) FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 800 1 laircinter
- TriP, pilier postérieur du trigone. 1, troisième ventricule. VA, faisceau de Vicq-d'A/.yr. 1"(, corne frontale du ventric
eigert l'intensité de coloration des radiations tha- lamiques et du faisceau uncinatus; ses fibres se distinguent par conséque
; ses fibres se distinguent par conséquent facilement des fibres du faisceau longitudinal inférieur. Au niveau de la partie
,, O) et en particulier les deux lèvres des scissures calcarine (K) FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 807 et collatéra
sule extrême (Ce, fig. 375) dont la base, croisée par les fibres du faisceau arqué ou lon- gitudinal supérieur, décrit une c
plexes. Les libres de la partie moyenne proviennent probablement du faisceau occipito-frontal et de la partie moyenne du tro
pas être très considérable. Les fibres antérieures proviennent du faisceau uncinatus et, d'après Schnopfhagen, du genou et
a couronne rayonnante. Les fibres postérieures sont fournies par le faisceau longitudinal inférieur, par la commissure antér
inférieur, par la commissure antérieure et les fibres temporales du faisceau uncinatus. Ce dernier faisceau occupe toute la
térieure et les fibres temporales du faisceau uncinatus. Ce dernier faisceau occupe toute la région de la capsule externe situ
es externe et extrême, à l'exception de celles qui appartiennent au faisceau longitudinal inférieur, se colorent faiblement
, sauf toutefois celle des fibres de la commissure antérieure et du faisceau uncinatus, ne peut guère être suivie au delà du
du voisinage immédiat du foyer primitif. Cette particularité prouve FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 800 qu'un grand
nschen, 1.81î1 ? Ballet. Recherches anatomiques et cliniques sur le faisceau sensitif et les troublés de la sensibilité dans l
Note sur l'existence à la partie inférieure du lobe occipital d'un faisceau d'association distinct, le faisceau transverse du
férieure du lobe occipital d'un faisceau d'association distinct, le faisceau transverse du lobule lingual. Soc. de Biologie,
6 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
que je groupai artificiellement pour cette étude en quatre ordres de faisceaux : fibres frontales, fibres pariétales, fibres occ
r volume, leur situation; leurs rapports entre eux, ainsi qu'avec les faisceaux de fibres blanches, la substance grise des circon
veuses et quelle est l'origine, la direction et la terminaison de ces faisceaux de fibres nerveuses qui constituent la substance
1), disposés suivant un plan déterminé, reliés intérieurement par des faisceaux de fibres blanches, à deux noyaux de substance gr
plètement séparée en deux portions inégales par le passage d'un large faisceau de fibres nerveuses (Pl. X, 4 et XVIII, 6) aplati
rs et le sommet en dedans. Elle est divisée en trois segments par des faisceaux blancs verti-caux {laminœ meclullares) ; des fibr
aires. Elles se juxtaposent pour consti- tuer dans certains cas des faisceaux de fibres, entre lesquelles on trouve des cor-pus
ode dans la substance grise. Les fibres nerveuses se réunissent en un faisceau blanc au centre de la circonvolution, puis elles
écrit, tout au moins sur le cerveau de l'homme ; on ne connaît que le faisceau désigné sous le nom de ftbrœ propriœ de Gra-tiole
hère. A la région antérieure d'un hémisphère cérébral, on trouve un faisceau curviligne, le faisceau arciforme frontal (Pl. XI
rieure d'un hémisphère cérébral, on trouve un faisceau curviligne, le faisceau arciforme frontal (Pl. XII, 1), qui se porte des
aux régions pariétales supérieures; à la région postérieure, un autre faisceau , le faisceau arciforme occipital (Pl. XII, 5), dé
ariétales supérieures; à la région postérieure, un autre faisceau, le faisceau arciforme occipital (Pl. XII, 5), décrit une anse
xtremus de l'occipital vers le lobe pariétal supérieur ; un troisième faisceau , situé à la région médiane, le faisceau longitudi
étal supérieur ; un troisième faisceau, situé à la région médiane, le faisceau longitudinal supérieur (Pl. VI, 1), réunit la rég
u lobule paracentral et au lobule quadrilatère; du lobe occipital, un faisceau de fibres, le faisceau longitudinal inférieur (Pl
au lobule quadrilatère; du lobe occipital, un faisceau de fibres, le faisceau longitudinal inférieur (Pl. XII, 4), pénètre dans
érieure, en reliant les circonvolutions de l'insula de Reil. Enfin un faisceau , les fibres arciformes occipito-frontales unissen
ver les fibres de la substance médullaire, ainsi qu'on le ferait d'un faisceau de fibres ligneuses (1). § 2. Les fibres commis
dedans, tournent sur leur axe d'arrière en dedans, se groupent en un faisceau arrondi qui se dirige en avant, passe sous la fac
du corps strié, traverse la scissure interhémisphérique et rejoint le faisceau homologue du côté opposé. Ce groupe de fibres,
l. II, 6; XXVII-XXVIII, 10, 10; XLVIII, 14). Chez les mammifères un faisceau très distinct part du lobe olfactif et se réunit
du lobe olfactif et se réunit à la commissure blanche antérieure. Ce faisceau n'apparaît pas très nettement chez l'homme; son e
lanc dans la tête du corps strié, présentant quelque analogie avec le faisceau que Gratiolet décrit sur les animaux. : § 3. Le
is s'en séparent au voisinage des noyaux opto-striés, pour plonger en faisceaux rayonnes dans la substance grise de ces noyaux. E
. X-Xl-XII). Ces divers groupes de fibres se juxtaposent en un gros faisceau qui plonge dans la substance grise du corps strié
r groupes isolés, sous des dénominations différentes, comme autant de faisceaux distincts. Burdach a désigné le faisceau interméd
ifférentes, comme autant de faisceaux distincts. Burdach a désigné le faisceau intermédiaire aux noyaux opto-striés sous le nom
de capsule interne; Reil appelle couronne rayonnante l'en-semble des faisceaux irradiés des régions moyennes ; le groupe des fib
les unes vers le noyau lenticulaire ; les autres, sous la forme d'un faisceau conoide, contournent la face interne et antérieur
ion antérieure et supérieure de la couche optique. Meynert donne à ce faisceau le nom de racine inférieure de la couche optique
condensent sur le côté antéro-externe de la couche optique en un gros faisceau spiroïde, aplati d'avant en arrière, appelé capsu
, aplati d'avant en arrière, appelé capsule interne. La coupe de ce faisceau , faite suivant un plan horizontal, présente une p
ésignée sous le nom de région lenticulo-striée. L'autre portion de ce faisceau se dirige d'arrière en avant et en dedans; elle e
différents points de la subs-tance corticale, se sont condensés en un faisceau . Ces fibres se séparent de nouveau pour gagner le
à la paroi du troisième ventriculaire. L'autre partie se détache du faisceau principal, se sépare en deux groupes de fibres :
ations dans les maladies du cerveau. térieure des ventricules en un faisceau blanc à direction antéro-postérieure légèrement c
doute le groupe de libres qui a été décrit par Meynert sous le nom de faisceau direct sensitif du pédoncule. D'après le mode d
du pédoncule. D'après le mode de constitution et de groupement des faisceaux de fibres conver-gentes des régions postérieures,
oi du ventricule moyen ; que les fibres externes et inférieures de ce faisceau gagnent la région externe du pédoncule cérébral.
riées. En dehors de ce système de fibres convergentes, il existe un faisceau de fibres d'une forme particulière, qui suit un t
rme particulière, qui suit un trajet différent de ce plan général. Ce faisceau relie aux régions centrales la masse de substance
les nerveuses qu'elle renferme (Pl. III). - Vicq-d'Azyr a décrit un faisceau spiroïde de fibres blanches, verticalement dirigé
optique, ou centre antérieur, jusqu'aux tubercules mamillaires. Ce faisceau prend son origine dans les cellules mêmes que ren
Pl. III; Pl. XLIV, 17) (Microphotographie, Pl. B, fig. I à 111). Le faisceau de Vicq-d'Azyr relie par conséquent le centre ant
ptique. Au niveau de la région antérieure de la couche optique, les faisceaux cylindriques des fibres convergentes de Fhippocam
leur sont propres (Pl. XXXIV, 9). Arrivées au corps rhomboïdal, les faisceaux qu'elles forment se décomposent en fascicules qui
fibres nerveuses effèrentes, qui se portent, sous forme de trois gros faisceaux désignés sous le nom de pédoncules cérébelleux, d
séparent en deux groupes. Le groupe externe, sous l'aspect d'un gros faisceau désigné sous le nom de corps restiforme, se porte
ncules cérébelleux inférieurs vient aboutir, sous la forme d'un petit faisceau , dans la substance grise du noyau des cordons grê
leux moyens, en se séparant des pédoncules inférieurs, constituent un faisceau , nettement distinct sur les parties latérales et
raphé médian, gagnent le côté opposé, traversent les interstices des faisceaux ascendants et vont s'amortir dans les cellules de
rtie du corps rhom-boïdal, se séparent très nettement des deux autres faisceaux de fibres efférentes. Elles se dirigent en haut,
ntourée d'une écorce blanche for-mée de fibres nerveuses, groupées en faisceaux longitudinaux prismatiques et trian-gulaires, dis
le bulbe et la protubérance jusqu'à la base du ventricule moyen. Les faisceaux blancs, qui forment les cordons de la moelle, pré
du plancher du quatrième ventricule. Ce noyau est en rapport avec le faisceau moyen du facial, auquel il envoie quelques fibres
et supérieures viennent se réunir à la racine bulbaire pour former le faisceau sensitif du trijumeau. Ce noyau est formé de gros
e ventricule, se réunir en fascicules (barbes du calamus), puis en un faisceau (1) Math. Duval, Société de Biologie, 30 mars 1
re. Ces fibres constituent par leur groupement, à la protubérance, un faisceau en forme de croissant, dont la concavité, tournée
iculier, qui partent du chiasma des nerfs optiques sous la forme d'un faisceau unique. Ce faisceau contourne le bord supérieur d
du chiasma des nerfs optiques sous la forme d'un faisceau unique. Ce faisceau contourne le bord supérieur des pédoncules cérébr
En traversant le collet du bulbe, les fibres nerveuses groupées en faisceaux pris-matiques autour de la colonne grise centrale
es uns aux autres, donnent à la section perpendiculaire à l'axe de ce faisceau un aspect fascicule très caractéristique (Pl. IV,
sensitive de ces pyramides. Les fibres nerveuses, plus fines dans ce faisceau , se juxtaposent longitudinalement sans se grouper
icule; un grand nombre de fibres transversales s'entremêlent avec ces faisceaux . Ces trois cordons se groupent par conséquent dan
ns antéro-latéraux n'a pas suivi le mouvement de flexion en dedans du faisceau . Elle est restée en avant et en contact avec l'ex
e son trajet ascendant en arrière de l'olive bulbaire, sous le nom de faisceau latéral du bulbe, demeure juxtaposée au tubercule
cordons postérieurs de la moelle sont prolongés dans le bulbe par un faisceau appelé cordon grêle par Burdach et cordon cunéifo
cordon grêle par Burdach et cordon cunéiforme de Gollpar Kôlliker. Ce faisceau constitue les pyramides postérieures du bulbe; il
Burdach appelle cordon cunéiforme la portion externe seulement de ce faisceau postérieur du bulbe ; Meynert désigne également l
n motrice des pyramides pénètre dans le bulbe sous la forme d'un gros faisceau fascicule, à peu près arrondi, situé en arrière d
es cérébelleux moyens, de chaque côté du raphé médian. Plus haut, ces faisceaux , très faciles à distinguer et très nets sur une c
ce des pyramides. Elle se porte en dehors et en arrière, en dedans du faisceau formé par la grosse racine du trijumeau. Elle pre
25). Les intervalles compris dans la protubérance entre ces divers faisceaux de fibres nerveuses longitudinales sont remplis p
Les fibres les plus internes du pédoncule cérébral se détachent du faisceau principal, se groupent sous la forme d'un faiscea
al se détachent du faisceau principal, se groupent sous la forme d'un faisceau volumineux parfaitement distinct, possédant un tr
dant un trajet et un mode de distribution qui leur sont propres. Ce faisceau antéro-interne pédonculaire est sous-jacent aux n
ns la protubérance et paraît former dans le bulbe le prolongement des faisceaux de la moelle que M. Charcot (1) désigne sous le n
moelle que M. Charcot (1) désigne sous le nom de cordons de Türck. Ce faisceau mettrait par conséquent directement en connexion
érieures de la moelle épinière (Pl. XXVI, 9; XXX, 14; XLIV, 18). Le faisceau antéro-interne pédonculaire constitue le plan le
s de la moelle allongée. Il irait par conséquent se confondre avec le faisceau que Meynert nomme faisceau longitudinal postérieu
irait par conséquent se confondre avec le faisceau que Meynert nomme faisceau longitudinal postérieur de la calotte, et se term
ne s'est pas épuisée dans le corps strié et le noyau lenticulaire. Un faisceau , situé vers la partie externe de cette portion du
va aboutir aux régions latérales et postérieures du lobe frontal. Ce faisceau met en connexion immédiate la substance corticale
isphère et le pédoncule, sans traverser le corps strié. Il est appelé faisceau direct moteur du pédoncule (Pl. VII; XLIV). (1)
es nerveuses des différents noyaux qu'elle renferme (PL XL1I, 21). Un faisceau s'incline en dehors, se recourbe en arrière et en
r rapport aux deux autres cordons du bulbe. Ils cons-tituent alors le faisceau longitudinal postérieur. Ce faisceau franchit l
lbe. Ils cons-tituent alors le faisceau longitudinal postérieur. Ce faisceau franchit la protubérance en suivant la. paroi du
es cellules nerveuses de cette région. Dans ce trajet ascendant, le faisceau longitudinal postérieur affecte des rapports inti
ent, comme la deuxième couche de l'anse pédon-culaire, sous le nom de faisceau longitudinal postérieur de la calotte. Ils lui as
les cordons antéro-latéraux de la moelle. Ils le considèrent comme un faisceau moteur. Le faisceau latéral du bulbe, faisceau
éraux de la moelle. Ils le considèrent comme un faisceau moteur. Le faisceau latéral du bulbe, faisceau intermédiaire, impropr
considèrent comme un faisceau moteur. Le faisceau latéral du bulbe, faisceau intermédiaire, improprement désigné aussi sous le
be, faisceau intermédiaire, improprement désigné aussi sous le nom de faisceau sous-olivaire, chemine entre la corne postérieure
es noyaux rouges de Stilling reçoivent par leur segment postérieur un faisceau de fibres afférentes fourni par les pédoncules cé
s, qui con-servent la direction verticale ascendante et antérieure du faisceau cérébelleux. Ils s'effilent, se perdent dans le r
nerveuses que renferme sa masse grise et émergent sous la forme d'un faisceau efférent conoïde, ayant l'aspect ondulé d'une fla
'un faisceau efférent conoïde, ayant l'aspect ondulé d'une flamme. Ce faisceau se dirige en haut et en avant; il se sépare en de
Luysii reçoit un fascicule de fibres cérébelleuses qui se détache du faisceau principal que les pédoncules cérébelleux supérieu
spinales antérieures, dont elles partagent la distribution. Ce même faisceau principal cérébelleux envoie également un fascicu
t le noyau central de la substance grise des lobes du cervelet. Les faisceaux de fibres cérébelleuses moyennes se dissocient en
uvelle formation, qui ont augmenté considérablement le volume de leur faisceau . Ces fibres nouvelles ont pris naissance dans les
les formations cellulaires accessoires répandues sur le parcours des faisceaux de fibres nerveuses, indiquent que la portion enc
évroglie. b. Vaisseaux capillaires nombreux dans cette région. c. Faisceau médullaire central de la circonvolution. Fig. I
ig. I. — Tubercule mamillaire. a. Pilier antérieur du trigone. b. Faisceau de Vicq-d'Azyr. c. Substance grise du tubercule
Fig. II. — Mode d'émergence ries fibres efférenles du tubercule. a. Faisceau des fibres afférentes (pilier antérieur du trigon
a. Faisceau des fibres afférentes (pilier antérieur du trigone). b. Faisceau des fibres efférentes (faisceau de Vicq-d'Azyr).
s (pilier antérieur du trigone). b. Faisceau des fibres efférentes ( faisceau de Vicq-d'Azyr). c. Substance grise du tubercul
Fig. III. — Mode cVimmersion des fibres afférentes au tubercule. a. Faisceau de fibres afférentes (pilier antérieur du trigone
bres nerveuses longitudinales de la substance médullaire, groupées en faisceaux par les cloisonnements que forment les prolongeme
. Corne postérieure, séparée de sa base et déjetée latéralement. f. Faisceau latéral du bulbe. g. Corne antérieure séparée d
deux portions ; l'une donne naissance aux fibres radiculaires. d. Faisceau nerveux. e. Substance grise appartenant à l'aco
isposition aréolaire. Le muscle occipito-frontal est formé par deux faisceaux musculaires réunis par la portion antéro-postérie
be rachi-dien (15). Ces deux faces sont unies entre elles par un gros faisceau aplati de fibres blanches, nommé corps calleux (1
, elle se termine par un crochet nommé bec du corps calleux. Un petit faisceau blanc, désigné sous le nom de pédoncule du corps
à la partie postérieure par la commissure blanche postérieure, petit faisceau de fibres blanches disposé transversalement, et p
riger en dehors et en avant. Ces pédoncules sont formés par deux gros faisceaux de fibres blanches émergeant de la protubérance ;
rmes du raphé médian, la substance grise centrale du bulbe (18) et un faisceau blanc à la région pos-térieure, les pyramides pos
présente sous un aspect foliacé, lamellaire, dû à la dissociation des faisceaux des fibres commissurantes. A la région postérieur
ce grise de ce petit noyau, d'où elles émergent ensuite en formant le faisceau de Vicq-d'Azyr (13, Pl. IV). En avant du tuberc
ance grise ; le premier prend le nom de centre antérieur et reçoit le faisceau de Vicq-d'Azyr, le deuxième est appelé centre pos
quadrijumeaux apparaît le noyau rouge de Stilling, en rapport avec un faisceau de fibres blanches, formépar les pédoncules céréb
stance grise, traversé horizontalement et verticalement par de petits faisceaux de fibres blanches ; elle est séparée de la cavit
lle est séparée de la cavité du quatrième ventricule par un groupe de faisceaux de fibres blanches, qui s'étend du bulbe rachidie
llaires prennent chacune une direction propre qui les sépare en trois faisceaux distincts, désignés sous le nom de pédoncule céré
de la commissure blanche antérieure (6) et le mode de péné-tration du faisceau (7) des fibres convergentes des régions inférieur
he optique suivant son grand diamètre antéro-postérieur. Il reçoit le faisceau de Vicq-d'Azyr (13), dont l'extrémité inférieure
tre médian (12). 14. — Noyau rouge de Stilling; il émet en avant un faisceau de fibres efe-rentes (15) et reçoit un groupe de
bstance grise corticale, des fibres de la substance médullaire, et le faisceau longitudinal supérieur qui circonscrit la surface
orps strié. La bandelette optique (8, Pl. IV) est réduite à un étroit faisceau blanc ; la coupe de la commissure blanche antérie
en filaments blancs dont l'extrémité devient de plus en plus fine. Ce faisceau reçoit le contingent des fibres efîérentes du noy
s la gouttière du sinus corporis callosi, que borde supérieurement le faisceau longitudinal supérieur, dont on distingue netteme
— Le noyau rouge est réduit à son segment externe ; en avant est son faisceau de fibres efférentes (12) se dirigeant vers le co
perçoit le noyau jaune du noyau lenticulaire (segment moyen). 15. — Faisceau des fibres spinales antérieures émergeant de la s
ers les noyaux jaunes; un autre continue son trajet di-rect; c'est le faisceau direct moteur du pédoncule cérébral. Le groupe po
ers la substance grise plissée du corps rhomboïdal, d'où part un gros faisceau de fibres qui se dirigent d'abord en avant, puis
au lenticulaire, dont on aperçoit ici les deux noyaux jaunes. 11. — Faisceau spiroïde, tourbillonné, constitué par les divers
res médullaires efférentes se di-rigent en avant sous forme d'un gros faisceau . Le corps rhomboïdal (20) est réduit à un petit c
es deux noyaux sont isolés de la couche optique par le groupement des faisceaux divers des fibres couvergentes cons-tituant la ca
lobe latéral du cervelet comprend la substance grise corticale et les faisceaux de fibres médullaires qui vont s'y distribuer sou
ment semblable. Ces divers ordres de fibres viennent se grouper en un faisceau commun désigné sous le nom de pied de la couronne
bstance grise des noyaux opto-striés suivant le sens de la marche des faisceaux principaux auxquels elles appartiennent. Les fi
relient les circonvolutions de ces deux lobes les unes aux autres. Le faisceau arciforme frontal croise la direction des fibres
s circonvolutions du lobule orbitaire avec celles du lobe frontal. Le faisceau arciforme longitudinal inférieur part de l'extrém
re de Sylvius. Le lobe frontal est réuni au lobule orbitaire par le faisceau arciforme frontal; les fibres convergentes des ré
ures et des régions posté-rieures de chaque hémisphère se groupent en faisceaux curvilignes, qui dessinent à chacun des angles du
re la bandelette demi-circulaire ou taenia semi-circularis ; ce petit faisceau de fibres blanches prend son origine au ganglion
l'ouverture de la cavité sphénoïdale. 9. — Plexus choroïde. 10. — Faisceau de fibres commissurantes des régions postérieures
te la corne occipitale du corps calleux ; il est en rapport avec un faisceau à direction antéro-postérieure, constitué par le
fibres convergentes des régions postérieures sont groupées en un gros faisceau qui aboutit à la partie postérieure de la couche
ement frontal de la cavité des ventricules latéraux. 6. — Groupe de faisceaux de fibres convergentes, fibres cortico-thalamique
tions au pourtour de la couche optique. A travers l'écartement de ces faisceaux , on aperçoit la substance grise du noyau lenticul
é. 7. — Fibres convergentes des régions postérieures groupées en un faisceau conique, se dirigeant vers la région postérieure
e l'on aperçoit sur la coupe précédente (6, Pl. XVIII), à travers les faisceaux médullaires. Les fibres convergentes antérieure
'intersection des deux plans forme le genou de la capsule interne. Le faisceau des fibres convergentes postérieures vient abou-t
rié, appelée avant-mur; elle est séparée du noyau lenticulaire par un faisceau de fibres convergentes que l'on nomme capsule ext
Point de séparation des fibres convergentes et commissurantes. 6. — Faisceau de fibres convergentes antérieures, cortico-strié
e bord externe de la couche op-tique (6, Pl. XVIII). Cette portion du faisceau de fibres blanches, intermédiaire aux deux substa
. La région postérieure de la capsule interne est occupée par le gros faisceau formé par le groupement des fibres convergentes d
es convergentes sont groupées entre les noyaux opto-striés en un gros faisceau blanc appelé capsule interne : ces fibres pénètre
e de la couche optique (Région moyenne de la capsule interne). 8. — Faisceau formé par le groupement des fibres convergentes d
ar le groupement des fibres convergentes des régions postérieures. Ce faisceau suit la direction de l'axe du lobe occipital, con
des fibres qui ont traversé la couche optique et, en dedans, un petit faisceau qui paraît provenir de la commissure blanche. 1
ommissure blanche. 17. — Centre postérieur de la couche optique. Le faisceau des fibres convergentes postérieures plonge et s'
e et s'épanouit en partie dans sa masse. Le fascicule antérieur de ce faisceau se dirige vers le centre médian et la paroi du ve
ule interne pour se répandre en-suite dans les noyaux opto-striés. Le faisceau des fibres convergentes des régions pos-térieures
commissure blanche postérieure. Cette commissure est formée par un faisceau de fibres qui s'étend de la couche optique d'un c
omprenant entre eux la substance grise de la valvule de Vieussens. Un faisceau blanc relie la commissure blanche postérieure ave
int de dissociation des fibres convergentes et commissurantes. 3. — Faisceau de fibres convergentes antérieures divisant en de
res divisant en deux noyaux la substance grise du corps strié. 4. — Faisceau formant la capsule externe. Les fibres de ce fais
s strié. 4. — Faisceau formant la capsule externe. Les fibres de ce faisceau n'ont que des rapports de contact avec la face ex
che optique. — Région lenticulo-optique de la capsule interne. 6. — Faisceau formé par le contingent des fibres convergentes d
ntriculaire du corps strié, parcourue par des fibrilles provenant des faisceaux convergents cortico-striés et des faisceaux spina
s fibrilles provenant des faisceaux convergents cortico-striés et des faisceaux spinaux. 8. — Noyau lenticulaire composé de tro
antérieur ; quelques fibres transversales représen-tent l'arrivée du faisceau de Vicq-d'Azyr (Pl. III). 12. — Segment inférie
e (13) est parcourue par des fibrilles transversales appartenant au faisceau convergent postérieur, issues des circonvolutions
nes du lobe occipital. 14. — En dedans du centre médian apparaît le faisceau des fibres efférentes des noyaux rouges de Stiili
ng se dirigeant en avant, où il se confond avec les divers groupes de faisceaux qui forment le genou de la capsule interne. 15.
rps genouillé interne, plus petit que le précédent. 11 est uni par un faisceau blanc aux tubercules quadrijumeaux postérieurs ;
ntérieures, faite au-dessous des couches optiques. En dedans de ces faisceaux apparaît le corpus Luysii (12, Pl. XXVI) et le se
ent supérieur des noyaux rouges de Stilling, qui émettent en avant un faisceau de fibres efférentes et reçoivent en arrière des
es parois du ven-tricule moyen. Sur ces parois on trouve la coupe des faisceaux de Vicq d'Azyr et celle des piliers antérieurs du
plonge dans la corne frontale des ventricules latéraux qui l'isole du faisceau des fibres commissu-rantes (corps calleux). Quelq
(4) se porte le long de la face externe du noyau lenticulaire. 5. — Faisceau des fibres convergentes des régions postérieures.
5. — Faisceau des fibres convergentes des régions postérieures. Ce faisceau croise la bandelette optique, passe à l'angle pos
laire et plonge dans le pédoncule cérébral en dehors et en arrière du faisceau des fibres spinales antérieures, entre le corps g
met par son bord antéro-externe des fibres nerveuses qui se mêlent au faisceau des fibres spinales antérieures. 13. — Noyaux r
résentent un hile tourné en haut vers la ligne mé-diane (14). 15. — Faisceau de fibres efférentes issu des noyaux rouges de St
e sur les parois du ventricule moyen. 18. — Section transversale du faisceau de Vicq-d'Azyr. 19 — Section transversale des p
quelques fascicules isolés dans la substance grise du corps strié. Le faisceau qui forme la capsule externe suit la face externe
rme la capsule externe suit la face externe du noyau lenticulaire. Le faisceau des fibres convergentes des régions postérieures
Ces fibres se groupent à leur sortie des lobes sphénoïdaux en un gros faisceau arrondi, qui pénètre, sous l'aspect d'un cordon b
edans, passe en avant des piliers anté-rieurs du trigone et s'unit au faisceau homologue qui émane du côté opposé. Ce fais-ceau
orment à leur sortie, sur un point opposé à celui de leur arrivée, le faisceau de fibres efférentes (15, PL XXVI). Gavoy. — En
ériphérie du corps rhomboïdal. Sa surface interne donne naissance aux faisceaux efférents cérébelleux; le groupe supérieur forme
s de là se portent vers les noyaux rouges de Stilling, sous le nom de faisceaux afférents de ces noyaux. La cavité du quatrième
oyaux. La cavité du quatrième ventricule est ouverte entre les deux faisceaux des pédon-cules cérébelleux supérieurs ; à l'entr
ibres de la capsule externe, la substance grise de Pavant-mur. 5. — Faisceau de fibres convergentes du lobe sphénoïdal, sectio
12. — Sustance grise du locus niger de Sœmmering. En arrière est le faisceau latéral qui fait suite à son homologue du bulbe.
ulbe. 13. —Segment inférieur des noyaux rouges de Stilling. 14. — Faisceau de fibres efférentes des noyaux rouges de Stillin
Faisceau de fibres efférentes des noyaux rouges de Stilling. 15. — Faisceau de fibres efférentes appartenant aux pédoncules c
centrale tapissant les parois du ventricule moyen. 17. — Section du faisceau de Vicq-d'Azyr. 18 — Section des piliers antéri
et. 22. — Section du corps rhomboïdal, recevant à sa superficie les faisceaux de fibres convergentes. 23. — Fibres efférentes
la face interne du corps rhomboïdal. 24. — Entre-croisement de ces faisceaux au raphé médian. Après avoir gagné le côté opposé
fibres se dirigent vers les noyaux rouges de Stilling, sous le nom de faisceaux afférents. XXIX. — Encéphale dont on a détaché
es fibres spinales postérieures ou étage supérieur ; en dehors est le faisceau latéral qui fait suite au faisceau latéral du bul
étage supérieur ; en dehors est le faisceau latéral qui fait suite au faisceau latéral du bulbe. En dedans apparaît le dernier s
l. XXVIII); le petit groupe de fibres efférentes qu'il émet s'unit au faisceau antéro-interne des fibres spinales et semble ains
interne des fibres spinales et semble ainsi constituer unique-ment le faisceau qui se porte au corps strié (14. Pl. XXX). Entr
e du corps strié, traversée par de longues fibrilles grêles issues du faisceau spinal. En dehors du corps strié, apparaît le der
iverses fibres. 6. — Pédoncule du corps calleux. Ce sont les petits faisceaux minces qui prolongent le bec du corps calleux ver
férieurement, ils entrent en connexion avec la capsule interne, et le faisceau antér o-interne des fibres spinales antérieures,
e de la substance grise du ganglion olfactif, elles se groupent en un faisceau qui gagne la partie postérieure du sillon intermé
trajet descendant vers les tubercules mamillaires. 13. — Section du faisceau de Vicq-d'Azyr, à un millimètre au-dessus des tub
n millimètre au-dessus des tubercules mamillaires. 14. — Section du faisceau antéro-interne des fibres spinales antérieures, a
nterne les pédoncules cérébelleux supérieurs (24), et, au-dessous, un faisceau de fibres à direction antéro-postérieure, les péd
t des cellules, se rapprochent, se groupent et sortent sous le nom de faisceau de Vicq-d'Azyr. La coupe du névraxe est formée
ction trans-versale . Ces fibres protubérancielles appartiennent au faisceau moyen des fibres efférentes cérébelleuses. La sec
plongent à travers ce pédoncule, dont elles croisent obliquement les faisceaux de fibres, et disparaissent dans la cavité du qua
au chiasma, les fibres de ces deux bandelettes se dissocient en trois faisceaux : un premier faisceau, postero-interne, se porte
de ces deux bandelettes se dissocient en trois faisceaux : un premier faisceau , postero-interne, se porte dans la bandelette opp
porte dans la bandelette opposée (fibres commissurantes) ; un second faisceau , médian, croise, sur la région centrale du chiasm
du nerf optique du côté opposé à celui d'où il dérive ; un troisième faisceau , latéro-antérieur, suit le bord externe du chiasm
isent sur la ligne médiane, où elles forment un raphé médian. 14. — Faisceaux moyens des fibres efférentes émergeant du corps r
e du plancher du quatrième ventricule. 17. — Fibres radiculaires du faisceau bulbaire du nerf trijumeau ou grosse racine (voir
-lairement à leur direction. Les fibres commissurantes se groupent en faisceaux juxta-posés, formant une lame de 6 à 8 millimètre
es régions moyennes et inférieures. 5. — Section perpendiculaire du faisceau formé par le groupement de fibres con-vergentes d
groupement de fibres con-vergentes des régions postérieures (voir ce faisceau sur la série de planches horizontales), 6. — Se
bulbe ou collet du bulbe. A ce niveau a lieu l'entre-croi-sement des faisceaux des fibres nerveuses qui constituent les cordons
bercules quadrijumeaux postérieurs. A ce niveau, on aperçoit un petit faisceau blanc, arrondi, qui décrit une courbe descendante
issus de la base de la substance grise corticale, se réunissent en un faisceau de fibres qui convergent toutes vers le centre mé
re s'étend transversale-ment d'un côté à l'autre et semble émettre un faisceau dans la région inférieure des couches optiques. A
stance grise du noyau lenticulaire aperçue à travers l'écartement des faisceaux des fibres convergentes. 10. — Centre antérieur
édoncules cérébelleux moyens dans la protubé-rance annulaire. 18. — Faisceau triangulaire de l'isthme ou ruban de Reil. 19.
e. 18. — Faisceau triangulaire de l'isthme ou ruban de Reil. 19. — Faisceau de fibres cérébelleuses ascendantes, appartenant
cendantes, appartenant aux pédoncules cérébelleux supérieurs. 20. — Faisceau de fibres cérébelleuses se dirigeant en avant, fa
t en avant, faisant partie des pédoncules cérébelleux moyens. 21. — Faisceau de fibres cérébelleuses descendantes, provenant d
onvergentes, vers la région postérieure de la capsule interne. 23. — Faisceaux postérieurs du bulbe continuant les cordons antér
de la moelle continuant dans le bulbe le trajet direct ascendant. Ce faisceau est en rapport avec la tête de la corne postérieu
ions moyennes se portent en dedans et laissent apercevoir entre leurs faisceaux la sub-stance grise du noyau lenticulaire; les fi
res se condensent sur le bord externe de la couche optique en un gros faisceau appelé capsule interne; elles pénètrent ensuite d
tes, après leur enroulement à la périphérie du noyau. Ils émettent un faisceau antéro-latéral de fibres efférentes (15; Pl. XXXV
fibres efférentes (15; Pl. XXXVI, 14; Pl. XXXVIII); Ils reçoivent un faisceau afférent formé par le prolongement des pédon-cule
cus niger de Sœmmering fait son apparition. En dehors se trouvent les faisceaux latéraux et les fibres spinales postérieures, qui
les fibres transversales des pédoncules cérébelleux moyens, jusqu'aux faisceaux qui représentent dans le bulbe la portion sensiti
ui représentent dans le bulbe la portion sensitive des pyramides. Ces faisceaux , entre-croisés plus bas, sont formés par les cord
les côtés du raphé. Volive bulbaire occupe les bords externes de ces faisceaux ; en bas et en dedans est le noyau juxta-olivaire
la substance grise du corps rhom-boïdal, en sortent en formant trois faisceaux divergents. Le" faisceau moyen, ou pédoncule céré
ps rhom-boïdal, en sortent en formant trois faisceaux divergents. Le" faisceau moyen, ou pédoncule cérébelleux moyen, se porte d
igne médiane avec leurs homologues issues du lobe du côté opposé; ces faisceaux décrivent donc une courbe en forme de fer à cheva
ise du noyau lenticulaire ouputamen, séparée de Pavant-mur (6) par le faisceau de fibres qui forme la capsule externe (7). 8.
ng. Les fibres afférentes pénè-trent par le hile, puis émergent en un faisceau efférent antéro-latéral (19) qui pénètre dans la
le segment moyen sont traversés par des fibres ramifiées, issues des faisceaux spi-naux. Le centre antérieur de la couche opti
us antérieure. Les noyaux rouges sont également moins développés, les faisceaux de fibres afférentes sont plus apparents et se di
st plus étendu; il reçoit par sa facu interne des fibres nerveuses du faisceau cérébelleux supérieur. En dehors de la substanc
supérieur. En dehors de la substance grise du locus niger sont les faisceaux des fibres spinales postérieures ; elles se termi
par la coupe. Sur les côtés, apparaissent la corne postérieure et les faisceaux antéro-latéraux de la moelle. La membrane du co
ntérieure ou segment antérieur des noyaux rouges de Stilling. 15. — Faisceau de fibres efférentes antéro-latéral des noyaux ro
uges se portant dans la capsule interne. En bas et en dedans sont les faisceaux afférents à ces noyaux. 16. — Corpus Luysii (ba
grise interpédonculaire ou substance perforée de Vicq-d'Azyr. 21. — Faisceau de fibres spinales postérieures. Ces fibres se po
e moyen tend à s'effacer; au-dessous est la section d'une portion des faisceaux de Vicq-d'Azyr ; en dehors de ceux-ci, apparaît u
tion des faisceaux de Vicq-d'Azyr ; en dehors de ceux-ci, apparaît un faisceau formé par les fibres antérieures les plus interne
s des pédoncules cérébraux (voir Pl. XXVI, PL XXIX et 14, PL XXX), le faisceau antéro-interne, qui s'épanouit dans le corps stri
ments du noyau lenticulaire et la substance grise du noyau caudé. Ces faisceaux traversent la substance grise de la protubérance
m du cordons latéraux. En dessous du lieu d'entre-croisement de ces faisceaux est la coupe des cordons antérieurs de la moelle,
mite du bulbe et de la protubérance ; dans l'espace compris entre les faisceaux des pyramides antérieures, apparaît une fossette
ule interne. h\ — Substance grise de l'avant-mur, dissociée par les faisceaux de fibres arci-formes occipito-frontales. 6. —
ée par les faisceaux de fibres arci-formes occipito-frontales. 6. — Faisceau qui forme la capsule externe. 7. — Segment exte
et XXVI). 8. — Section de la bandelette optique. 9. — Section du faisceau arrondi, formé par le groupement des fibres commi
st moindre que sur la coupe précédente. 16. — Centre moyen. 17. — Faisceaux de Vicq-d'Azyr (voir Pl. III). Ils mettent en con
s nerveuses de la substance grise des tubercules mamillaires. 18. — Faisceau antéro-interne des fibres spinales antérieures (v
le du lobe frontal (voir Pl. VII). Les fibres spinales constituent un faisceau qui descend de chaque côté de la ligne médiane, à
ux ; les fibres commissurantes du lobe sphénoïdal sont groupées en un faisceau arrondi sur le bord du segment externe du noyau l
ine du corps strié ; il est en rapport par sa face inférieure avec le faisceau de Vicq-d'Azyr, dont la partie postérieure est dé
achée par la section. Le centre moyen montre son dernier segment. Les faisceaux spinaux antéro-internes sont sectionnés, ainsi qu
; sa masse est sillonnée de petits filaments très déliés provenant du faisceau spinal antérieur, qui se terminent en pointe effi
ntricule moyen où vont s'amortir des groupes de fibrilles, issues des faisceaux convergents. 16. — Substance grise du tuber cin
ns; celles des régions postérieures de ce lobe se sont groupées en un faisceau arrondi que la section a coupé entre le putamen e
intra-ventriculaire du trigone, bandelettes géminées, se groupe en un faisceau arrondi, les piliers antérieurs du trigone, qui p
psule externe. 6. — Substance grise de l'avant-mur dissociée par le faisceau de fibres arciformes occipito-frontales. 7. — F
érales (10') avec la substance médullaire des lobes sphénoïdaux. Le faisceau radiculaire des fibres olfactives est sectionné à
es, auxquelles la lamelle de la cloison transpa-rente les réunit. Ces faisceaux constituent la partie en crochet ou bec du corps
frontale de la cavité des ven-tricules latéraux et plus bas avec les faisceaux des fibres commissurantes des régions inférieures
concavité tournée en bas pour les fibres des régions inférieures. Ces faisceaux curvilignes s'adossent sur la ligne médiane où il
7 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
iés ; la plupart présentaient seu- lement une ossification de leurs faisceaux supérieur et inférieur, de beau- coup les plus
beau- coup les plus forts, qui se rendent aux corps vertébraux, le faisceau moyen faible qui se rend au disque, étant respe
- Ossification des ligaments costo-verté- braux, surtout de leurs faisceaux supé- rieur et inférieur. Ossification des li
Fig. 3. Colonne dorsale moyenne. - Ossification costo-vertébrale ( faisceaux supérieur et inférieur) et costo-transver- sa
ielle ou totale de leur ligament rayonné; en général les deux forts faisceaux supérieur et inférieur, qui joi- gnent la côte
e aux deux corps vertébraux voisins, sont ossifiés à l'exclusion du faisceau moyen, beaucoup plus mince, qui l'unit au disque
t au disque intervertébral (PI. IX, fig. 1, 2, 3 A) ; l'un des deux faisceaux , supérieur ou inférieur, est seul ossifié au ni
HOSPICE DE BICÈTRE TRAVAIL DU LABORATOIRE ,DE M. PIERRE MARIE. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
E ,DE M. PIERRE MARIE. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL. QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR LE
rnières années de nombreux travaux consa- crés à l'étude des grands faisceaux de l'hémisphère cérébral, la question de l'orig
hère cérébral, la question de l'origine et de la terminaison de ces faisceaux est encore très discutée et la di- vergence d'o
réaction dans la conception anatomique et physiologique des grands faisceaux de l'hémisphère ; les études remarquables de Fl
plus récemment émises et sur l'origine et sur la nature de certains faisceaux , surtout du faisceau longitudinal inférieur.
et sur l'origine et sur la nature de certains faisceaux, surtout du faisceau longitudinal inférieur. Prenons d'abord conna
rieur. Prenons d'abord connaissance de tout ce qui a été dit sur ce faisceau parles nombreux auteurs qui s'en sont occupés.
sur ce faisceau parles nombreux auteurs qui s'en sont occupés. Le faisceau longitudinal inférieur était connu de Reil qui, e
en 1822 par Burdach (1) qui lui donna le nom de qui lui est resté, « faisceau longitudinal inférieur ». Pour Bnrdach, ce fais
ui est resté, « faisceau longitudinal inférieur ». Pour Bnrdach, ce faisceau était formé de fibres d'asso- ciation, prenait
ans le corps quadrijumeau antérieur. Meynert (4) considère que le faisceau longitudinal ne constitue pas un seul faisceau,
(4) considère que le faisceau longitudinal ne constitue pas un seul faisceau , mais plusieurs ; il renferme surtout des fibres
des fibres de projection. Il le dé- crit sous le nom de « lame des faisceaux optiques ». Cette opinion est admise par Wernic
; Ueber Flechsig's Verstandcentren, Monat. sur Psychiatrie, Bd I. FAISCEAUX LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL 105 c
INFÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL 105 ceau longitudenal inférieur est un faisceau d'association qui provient de la totalité de l'
e et deuxième circonvolutions tempo- rales. La partie interne de ce faisceau se confond avec le cingulum et partie supérieur
Ballet (2) réunissent les deux couches sagittales sous le nom de « faisceau sensitif ce serait un faisceau de la sensibilité
couches sagittales sous le nom de « faisceau sensitif ce serait un faisceau de la sensibilité générale qui formerait la par
ccipital. ' Brissaud (3) admet ces mêmes idées, mais subdivise le « faisceau sensitif » en « faisceau sensitif externe » (fa
admet ces mêmes idées, mais subdivise le « faisceau sensitif » en « faisceau sensitif externe » (faisceau longitudinal inférie
ubdivise le « faisceau sensitif » en « faisceau sensitif externe » ( faisceau longitudinal inférieur) et « faisceau sensitif
« faisceau sensitif externe » (faisceau longitudinal inférieur) et « faisceau sensitif interne» (radiations optiques). C'es
jours, a fait la description la plus détaillée, la plus complète du faisceau longitudinal inférieur. Pour cet auteur, le faisc
plus complète du faisceau longitudinal inférieur. Pour cet auteur, le faisceau longitudinal est un faisceau d'association ayan
tudinal inférieur. Pour cet auteur, le faisceau longitudinal est un faisceau d'association ayant son origine dans l'écorce du
origine dans l'écorce du pôle et de la totalité du lobe occipal. Ce faisceau présente à la base de chaque circonvolution qui
lu- tion occipitale et des lobules lingual et fusiforme auxquels le faisceau longitu- dinal inférieur abandonne un grand nom
ro-lenticulaire de la capsule interne (qu'il recouvre en dehors) ce faisceau est mal délimité et ses fibres s'enchevêtrent ave
En avant du segment rétro-lenti- culaire de la capsule interne, le faisceau longitudinal inférieur entoure l'extré- mité po
tteint la partie externe du noyau amygdalien où il morcelle avec le faisceau uncinatus la substance grise qui relie l'avant-mu
s'entrecroi- sent avec les fibres de la commissure antérieure et du faisceau uncinatus. D'au- tres fibres enfin s'irradient
Paris, 1816. (2) Ballet, Recherches analomiques et cliniques sur le faisceau semitif, etc., Th. Paris, 1881. (3) BRISSAUD,
SALLE AHCHAMBAULT . Au voisinage de la circonvolution temporale, le faisceau longitudinal infé- rieur est traversé par un gr
ncule cérébral dont elles concourent à former le cinquième externe ( faisceau de Turck). Le faisceau longitudinal est traversé
es concourent à former le cinquième externe (faisceau de Turck). Le faisceau longitudinal est traversé également par les fib
le traverser avant d'arriver à destination. La partie inférieure du faisceau longitudinal constitue exclusivement un fais- c
cette dégénérescence ne se poursuit pas sur une longue étendue. Ce faisceau dégénère parfois dans les deux sens... il est d
fibres nerveuses chez les nouveau-nés, Flechsig (1) prétend que le faisceau longitudinal inférieur ne renferme que des fibr
s le lobe occipital et particulièrement dans la sphère visuelle. Ce faisceau provient de la partie inférieure du noyau'latér
ion du stratum zonale. Après son émergence de la couche optique, le faisceau longitudinal est accompagné de fibres venant de
ditive. - La couche sagittale externe de Sachs ne représente pas un faisceau d'asso- ciation reliant le lobe occipital au lo
e exclusivement de fibres de projection. Pour von Alonakow (2) le faisceau longitudinal inférieur (qu'il identifie avec la
gel's, Specielle Pathologie und Therapie, IX, Band. Wien, 1905. · FAISCEAUX LONGITUDINAL INTÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL 107 c
la couche des radiations thalamiques qu'il recou- vre en dehors. Le faisceau longitudinal commence à se dessiner au niveau du
-lenticulaire de la capsule interne. La majorité des fibres dont ce faisceau est constitué appartiennent au système d'associ
le sens inverse, et qui proviennent de l'écorce occipitale. Mais le faisceau longitudinal inférieur renferme aussi un certain
sa- gittale interne, mais elles occupent aussi la partie dorsale du faisceau longitu- dinal inférieur. D'autres fibres tiren
s optiques, mais cette dégénérescence occupe aussi le territoire du faisceau longitudinal inférieur. Les radiations optiques
olutions occipitales et à la partie postérieure du pli courbe. Le faisceau longitudinal contient donc des fibres appartenant
nt, sont des fibres d'association. · Obersteiner (1) admet que le faisceau longitudinal inférieur (stratum sagittale occip
al inférieur (stratum sagittale occipito-temporale externum) est un faisceau d'association provenant surtout de la sphère vi
e et qui se rend au lobe temporal ; mais la partie supérieure de ce faisceau renferme des fibres qui passent dans la partie po
e la capsule interne. ' Sehellenberg pense que la majeure partie du faisceau longitudinal repré- sente un faisceau d'associa
ense que la majeure partie du faisceau longitudinal repré- sente un faisceau d'association reliant entre elles les circonvolut
Stiel) du corps genouillé. , Probst (2) fait des conclusions sur le faisceau longitudinal supérieur (qui, pour lui aussi, co
es qui entrent dans sa constitution, mais n'admet nulle part que ce faisceau renferme de fibres d'association. Dans ses prem
krocephalie und 114acro,gyrte. Ar- chiv. f. Psych., Bd. 38, 1904. FAISCEAUX LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRALE 109
osses modifications. Il a observé une dégéné- rescence partielle du faisceau longitudinal inférieur qui s'épuise et dans le lo
rme, ces dernières fibres se rendent au pédoncule cérébral. 1. Le faisceau longitudinal inférieur renferme donc des fibres t
vinar de la couche optique et au corps quadriju- meau antérieur. Le faisceau longitudinal n'envoie aucune fibre à la capsule e
es par la méthode de Marchi, Probst a observé une dégénérescence du faisceau lon- gitudinal qu'il a pu suivre jusque dans l'
optique mais aussi la capsule interne et le noyau lenticulaire. Le faisceau longitudinal inférieur est en grande partie dég
ans la constitu- tion de la couche sagittale externe. Une partie du faisceau longitudinal, allant au lobe occipital est cepe
gitudinal, allant au lobe occipital est cependant respectée, car ce faisceau reçoit aussi des fibres du pulvinar et du corps
fibres au corps quadrijumeau an- térieur, ces fibres constituent le faisceau cortico-tectal. Ecdinger (` ? ) considère que l
ituent le faisceau cortico-tectal. Ecdinger (` ? ) considère que le faisceau longitudinal inférieur est un long (1) PROBST,
Archiv sur klinisch Medizin, Bd. 13, 110 LA SALLE AHCHAMBAULT ' faisceau d'association qui relie le lobe occipital au lobe
temporal, l'exàmèn 'démontra qu'une dégÕ'ér'es¿èdèè-considérable du faisceau longitudi ? nal avait résulté de l'intervention
t à l'appui' de/l'origine tempo- rale d'un bon'nombre des fibres dû faisceau longitudinal inférieur.' Scla7ttz (1) fait la d
e expression à des idées très personnelles sur la cons- titution du faisceau longitudinal. Ce faisceau contiendrait : a)@des f
rès personnelles sur la cons- titution du faisceau longitudinal. Ce faisceau contiendrait : a)@des fibres qui lui viennent d
teurs des régions inférieures du névraxe. Ainsi serait constitué un faisceau dont les fibres iraient dans le deux sens, ce f
constitué un faisceau dont les fibres iraient dans le deux sens, ce faisceau représenterait une seconde voie motrice. ' -1 ,
' 1° Les radiations optiques primaires de Flechsig correspondent au faisceau longitudinal inférieur, à la couche sagittale e
ciculus longiludinalis inferior, Archiv f. Psych., Bd. 31,1903. · FAISCEAUX LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL lit ,
. , Siarokotlitzki (1) se range parmi les auteurs qui attribuent au faisceau lon- gitudinal inférieur, un caractère mixte. P
caractère mixte. Pour lui, la partie dorsale ou supé- rieure de ce faisceau renferme, au niveau des ganglions de la base, des
ical ainsi que la totalité de son segment horizontal constituent un faisceau d'association passant de l'écorce occipitale à
ibres se détachent z de la partie supérieure du segment vertical du faisceau longitudinal inférieur, abordent le segment rét
t des deuxième et troisième circonvolutions temporales, à former un faisceau à part, le « faisceau de Türelc ); ce faisceau ne
sième circonvolutions temporales, à former un faisceau à part, le « faisceau de Türelc ); ce faisceau ne recevrait aucun con
porales, à former un faisceau à part, le « faisceau de Türelc ); ce faisceau ne recevrait aucun contingent de l'écorce occip
aucun contingent de l'écorce occipitale, ne fait nullement partie du faisceau longitudinal, mais le traverse tout simplement
cinquième externe. Starokotlitzki admet parfaitement l'existence du faisceau de Türck ; il n'est pas démontré que le lobe te
s sa constitution, mais pour l'autenr, la majorité des fibres de ce faisceau lui viennent du lobe occipital, et, de plus, el
u lui viennent du lobe occipital, et, de plus, elles font partie du faisceau longitudinal inférieur. (1) Starokotlitzki, Das
LE ARCHAMBAULT D'ailleurs, les libres de projection que renferme le faisceau longitudinal dans la partie supérieure de son s
de recherches sur la myélinisation des fibres nerveuses des grands faisceaux de l'hémisphère, insiste sur l'apparition précoce
llé externe et la couche des radiations optiques. Il conclut que le faisceau longitu- dinal inférieur est un faisceau de pro
ptiques. Il conclut que le faisceau longitu- dinal inférieur est un faisceau de projection, qu'il représente la continuation
erne. Schaffer (2) donne expression à des idées très spéciales ; le faisceau longitu- dinal inférieur renfermerait un bon no
e précuneus. A l'ensemble de ces fibres, l'auteur donne le nom de « faisceau temporo-pré- occipital » ; ce serait un faiscea
donne le nom de « faisceau temporo-pré- occipital » ; ce serait un faisceau d'association, Redlich (3) a fait de longues re
sur le faiscean longitudinal chez l'homme et chez les animaux. Le faisceau longitudinal inférieur représente en partie la vo
rieures de la convexité pariéto-occipale. Dans le lobe temporal, le faisceau longitudinal n'abandonne aucun contingent netteme
ns dont il constitue la substance profonde. La partie dorsale de ce faisceau se confond avec les radiations thalamiques et f
he optique ces relations ont lieu. Quant au segment horizontal du faisceau longitudinal inférieur, situé au- dessous de la
ventriculaire sphénoïdale, il représente également pour Redlich, un faisceau de projection et assure les connexions entre les
rbeitem aus dém Neurolog. lnst (Prof. OBERSTEINER) XII. Bd. 1905. FAISCEAUX LONGITUDINAL INTÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL 113 b
cite un exemple : il a observé chez le singe une dégénérescence du faisceau longitudinal à la suite d'une lésion occipitale
ique sont beaucoup moins accusées. Dans ce même cas cette partie du faisceau longitudinal qui s'engage dans la profondeur de
vec le lobe occipital. Plus loin, l'auteur revient sur l'origine du faisceau longitudinal et dit que les fibres qui provienn
sent dans la capsule interne. Il semble donc que, pour l'auteur, le faisceau longitudinal in- férieur renferme avant tout «
e corps genouillé externe, cependant Redlich parle de fibres que le faisceau longitudinal envoie à la calcarine,au pôle occi
faire une idée exacte des convictions de l'auteur sur l'origine du faisceau longitudinal. A un endroit, il dit que ce faisc
sur l'origine du faisceau longitudinal. A un endroit, il dit que ce faisceau provient de la sphère visuelle corticale et, aprè
nom de « Stratum sagittale occipitale » à l'ensemble des fibres du faisceau longitudinal et des radiations optiques (Sehstrah
. Quoi qu'il en soit, l'auteur considère que la presque totalité du faisceau lon- gitudinal inférieur représente un faisceau
presque totalité du faisceau lon- gitudinal inférieur représente un faisceau de projection, et que son segmeat XIX 8 114 L
partie de la couronne rayonnante, qu'il ne peut guère 's'agir d'un faisceau d'association. ' Toutefois, Redlich ne nie pas
d'un faisceau d'association. ' Toutefois, Redlich ne nie pas que le faisceau longitudinal renferme des fibres d'association,
eprises sur la grande difficulté qu'il y a à distinguer les fibres du faisceau de Turck de celles du faisceau longitudinal inf
qu'il y a à distinguer les fibres du faisceau de Turck de celles du faisceau longitudinal inférieur. Enfin Redlich n'admet p
e légère sclérose, ou bien en amenant un arrêt de développement des faisceaux pyramidaux ? L'hypothèse d'une sclérose acquise
berculeuse a pu agir en même temps en entravant le développement du faisceau pyramidal,dont on con- naît l'apparition tardiv
miscroscopique, elles se montrent exclusivement constituées par des faisceaux fibreux, serrés les uns contre les autres et disp
, analogues à de faux névromes ; 2° des lésions dé- génératives des faisceaux nerveux ; 3 une stase de la lymphe dans le conjon
OSPICE DE B1CÉTRE TRAVAIL DU LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE. ~ LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
DE M. PIERRE MARIE. ~ LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL. QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR LE
ication de certains termes actuellement en usage ; pour nous le mot « faisceau » ne doit s'appliquer qu'à un ensemble de fibre
fibres aberrantes),comme par exemple, le faiseau pyramidal. Le mot faisceau n'est pas l'équivalent du terme « couche de fibre
e du lobe temporo-occipital l'une et l'autre de ces dénominations : faisceau longitudinal inférieur, couche sagittale externe.
rieure et se confond en dehors avec les fibres les plus internes du faisceau uncinatus. , Il ressort nettement de toutes ces
mble, elle ne correspond aucunement à la description clas- sique du faisceau longitudinal inférieur. LE FAISCEAU LONGITUDINA
la description clas- sique du faisceau longitudinal inférieur. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
au longitudinal inférieur. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 179 Le but que nous avons en vu
démontrer : que, la couche sagittale externe du lobe occipital, le faisceau longitudinal inférieur tel qu'il existe dans ce
pe frontale normale de la partie antérieure du lobe occipital. Fs : faisceau du cuneus de Sachs. Foc : faisceau optique cent
rieure du lobe occipital. Fs : faisceau du cuneus de Sachs. Foc : faisceau optique central. Fv : faisceau de Vialet. Fic
faisceau du cuneus de Sachs. Foc : faisceau optique central. Fv : faisceau de Vialet. Fic. 2. - Coupe verticale au niveau
ticale au niveau du carrefour ventriculaire. Cg : cingulum. Foc : faisceau optique central. 180 LASALLE-ARCHAMBAULT cour
deux lèvres de la scissure calcarine. Nous lui proposons le nom de faisceau optique central afin d'éviter tout malentendu.
nous indiquerons, chemin faisant, la disposi- tion qu'affecte le « faisceau optique central » par rapport à la couche sagitta
Fio. 3. - Coupe frontale au niveau du corps genouillé externe. FA : faisceau arqué de Burdach. Foc : faisceau optique centra
du corps genouillé externe. FA : faisceau arqué de Burdach. Foc : faisceau optique central, Cg (pointillé) : cingulum infé
ptique central, Cg (pointillé) : cingulum inférieur de Beevor. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
gulum inférieur de Beevor. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 181 une courte étendue. De nouv
du pôle occipital. Coupe frontale. C : scissure calcarine. Foc : faisceau optique central. 182 LASALLU-ARCT1A111BAULT m
eant la partie supérieure de la paroi ventriculaire on reconnaît un faisceau qui se continue à l'angle inféro-externe du ventr
inféro-externe du ventricule avec la couche sagittale externe. A ce faisceau on a donné le nom de fais- ceau temporo-thalami
e antérieure du lobe temporal et serait accompagné de fibres que le faisceau de Türclt envoie à la couche opti- que. Or, ce
bres que le faisceau de Türclt envoie à la couche opti- que. Or, ce faisceau est en grande partie respecté sur cette coupe, ma
rtient à la couronne rayonnante corticipète et qu'il fait partie du faisceau optique central que nous décrirons plus loin. A c
die, grandement dégénérée, située entre la bandelette optique et le faisceau normal ; cette zone est peu considérable et rep
s corticifuges destinées à la couche optique » et faisant partie du faisceau temporo-thalamique d'Arnold. En dehors de la ba
sceau temporo-thalamique d'Arnold. En dehors de la bandelette et du faisceau normal, on voit un bon nombre de fibres dégé- n
fais- ceaux qu'il recouvre. Ces fibres dégénérées appartiennent au faisceau de Türck et passent dans le pied du pédoncule c
faisceau de Türck et passent dans le pied du pédoncule cérébral. Le faisceau normal ne se continue pas directement avec la c
blanchâtre qui se détache nettement du tissu environnant. C'est le faisceau optique cen- NOUVELLE ICOOGRAPII1E DE LA SALPÊT
1' XIX Yl. X\\'ÎI1 Rth Sye 1 Syc 2 2 Cfje L Sile 3 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
yc 2 2 Cfje L Sile 3 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL (Lasalle- A rclJtl11/ lia IIlt)
ne avec lésion de son angle supéro-emerne. . `r ? ao., 1 ? A ? LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
rne. . `r ? ao., 1 ? A ? LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 183 tral dont les fibres sont t
upant le lobule lingual et qui représente le contingent non lésé du faisceau optique. Le forceps major du corps* calleux est
lièrement 'conformées ; elles représentent les fibres dégénérées du faisceau optique central qui se rendent à la scissure ca
orme contient de petites lésions corticales et sous- corticales. Le faisceau optique central (couche sagittale externe de cett
de la région que représente cette coupe, et comprend des fibres du faisceau optique central, des radiations thalamiques et
iforme. Cette dégénérescence de la substance profonde porte sur les faisceaux de Sachs, de Vialet et de Wernicke (pâleur de l
qu'à l'épen- dyme et sectionne les couches sagittales profondes. Le faisceau optique central est anormal le long de la paroi
sphère ; cette décoloration tient à la dégénérescence des fibres du faisceau perpendiculaire de Wernicke. Ce faisceau contient
générescence des fibres du faisceau perpendiculaire de Wernicke. Ce faisceau contient des fibres allant dans les deux sens e
rès limité, ce foyer a entraîné une dégénérescence diffuse, mais LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
générescence diffuse, mais LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 185 appréciable de la partie in
il n'existe aucune dégénéres- cence dans le territoire qu'occupe le faisceau optique central au niveau de la partie moyenne
ex- ception d'une partie du lobule lingual ; cependant il existe un faisceau ré- gulièrement conformé, c'est le seul qui ait
ectement atteint par la lésion dans son seg- ment externe, c'est le faisceau optique central, la couche sagittale externe du
optique central, la couche sagittale externe du lobe occipital, le faisceau longitudinal inférieur des auteurs classiques.- L
itudinal inférieur des auteurs classiques.- La partie interne de ce faisceau a disparu avec les autres fibres situées au nivea
riculaire interne. Sur cette coupe comme sur la précédente, un seul faisceau est reconnaissable, c'est le faisceau optique c
me sur la précédente, un seul faisceau est reconnaissable, c'est le faisceau optique central, le faisceau longitudinal infér
faisceau est reconnaissable, c'est le faisceau optique central, le faisceau longitudinal inférieur du lobe occipital; il est
alpêtrière. T. XIX. PI. XXIX Suc 4 4 Sue 5 S fie 6 6 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
4 Sue 5 S fie 6 6 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL (Gasalle-drcl.znz6aull) S¡ ?
. 6, on voit la zone dégénérée se confondre avec il ....... .1 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
ondre avec il ....... .1 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 187 ici on constate l'existence
ne rayonnante du lobe occipital et, en particulier, à une partie du faisceau optique central. A priori, cette constatation s
entraîne une dégénérescence si peu considérable. Nous avons vu- ce faisceau persister intact partout où il n'était lui-même a
tue intégralement sur les coupes antérieures. Il est évident que ce faisceau ne tire pas son ori- gine du lobe occipital, au
ème. Nous avons dit que cette zone dégénérée renferme les fibres du faisceau optique central ; cela est vrai d'une façon gén
i se détache nettement des parties environnantes et qui se porte LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
ironnantes et qui se porte LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 189 vers le cunéus. Cette strie
IQUE CENTRAL 189 vers le cunéus. Cette strie renferme les fibres du faisceau optique central des- tinées à la lèvre supérieu
et au-dessus et au- dessous de la lésion, la section des fibres du faisceau de Wernicke a déter- miné une pâleur appréciabl
T. XIX. PI. XXX S go 7 S ! JI' Ci/ y 8 Sfle L Put 9 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFERIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
1'11 ;ntfr'I)4; : <J ? nir t ? inl1 ? .......J ? T- l ? I ? . LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CNN
? .......J ? T- l ? I ? . LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CNNTRAL 191 auxquelles elles ont donné
rticipète du lobe occipital. Nous croyons qu'elles font partie d'un faisceau à part, que ce sont des fibres-géniculo-cal- ca
male. Parmi ces fibres saines, il en est qui concourent à former un faisceau à part, « le faisceau optique central » ; elles
saines, il en est qui concourent à former un faisceau à part, « le faisceau optique central » ; elles constituent la presqu
e la substance profonde ; la lésion a entraîné la dégénérescence du faisceau de Wernicke avec décoloration con- sécutive des
se porte vers le lobule lingual ; cette zone renferme les fibres du faisceau de Vialet (cin- gulum inférieur occipital) qui
e Beevor. Comme sur la coupe précédente, la lésion a retenti sur le faisceau de Wer- nicke ; il existe une décoloration nota
XXXI 1 Foc ( : y if 10 CIl Cgi 11 . ! JI Foc cga 1 ? LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFERIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL - . (Lasa lle- A r(ha 111 ba ! llt) Foc. Faisceau optique central. Cg. Cingulum. - Cgi. Partie encl
n considérable des conciles UlJL'1 f1cieJJe<; et J110VèI11H ? LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
ieJJe<; et J110VèI11H ? LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 193 volution limbique, le lobul
au du pôle temporal, car ce segment ne renferme plus de fibres du « faisceau optique central », il n'est formé que de fibres
icule la couche sagittale externe (qui est aussi, à cet endroit, le faisceau longitudinal inférieur des auteurs clas- siques
disparition de la majeure partie des Schéma n° VI. Cas Gir... LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
Schéma n° VI. Cas Gir... LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 195 fibres d'association de la
tion de vouloir délimiter absolument le territoire de tel ou de tel faisceau , nous n'avons nullement cette prétention ; mais
l est indubitable que dans l'esprit des auteurs, il s'agissait d'un faisceau longitudinal volumineux et d'un cingulum plutôt g
ieure de la couche sagit- tale externe. Ce fascicule fait partie du faisceau optique central et renferme des fibres qui nais
ostérieure du corps genouillé externe. A ce niveau les fibres de ce faisceau occupent le segment horizontal de la couche ext
les occupent. Elles sont donc nécessairement mê- lées aux fibres du faisceau de Turck, aux radiations thalamiques et genouil-
ales sont plus volumineuses et l'on ne saurait isoler maintenant le faisceau optique central. Les couches sagittales externe
t interne se confondent, l'ensemble des deux renferme les fibres du faisceau optique, du faisceau de Tûrck et les radiations
nt, l'ensemble des deux renferme les fibres du faisceau optique, du faisceau de Tûrck et les radiations thalamiques provenan
bon nombre de fibres saines ; ces fibres appartiennent en partie au faisceau optique, en partie au fais- ceau de Tilrck. La
angulaire de Wernicke est normale et renferme surtout des fibres du faisceau optique ; sa partie inférieure est grandement d
au postérieur, mais elle renferme aussi des libres qui font partie du faisceau optique central ; nous avons vu en effet, que l
ral ; nous avons vu en effet, que le corps genouillé externe est LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
orps genouillé externe est LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 197 légèrement touché par un fo
particulièrement sur la couche sagittale externe occipitale, sur le faisceau longitudinal inférieur (que nous avons aussi dé
ur le faisceau longitudinal inférieur (que nous avons aussi dénommé faisceau optique central) ; c'est la considération de cett
au optique central) ; c'est la considération de cette couche, de ce faisceau qui a réclamé la majeure partie de notre attentio
ous a fourni des rensei- gnements fort précieux sur certains autres faisceaux , sur les fibres appartenant aux autres systèmes
tale, à l'étude du tapetum, des fibres d'association en général, du faisceau de Türck, etc. Ce n'est pas uniquement à l'aide
que l'on pourra apprécier les particularités de tel ou de tel autre faisceau , particularités qui portent sur l'ori- gine, le
sur lequel nous reviendrons plus loin en faisant la description du faisceau optique central. La couche sagittale interne se
re et externe du pulvinar et dans la partie postérieure du noyau LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISSEAU OPTIQUE CEN
s, nous devons le dire, les ramollissements favorables à l'étude du faisceau de Türck sont rela- tivement rares. De nos hu
qui se soit caractérisé par une dégénéres- cence appréciable de ce faisceau ; il s'agit (cas Gir...) d'un ramollissement de
e dégénérescence du fais- ceau de Türck. Nous croyons donc que ce faisceau provient surtout de la partie moyenne de la deu
ion temporale, et en partie de la troisième tempo- rale. Quant au faisceau de Wernicke, nos cas nous ont démontré qu'il dégé
al, qu'il acquiert son maxi- mum de développement. Les fibres de ce faisceau proviennent en grande partie du pli courbe et d
du ventricule et s'irradient dans le lobule fusiforme; de plus, ce faisceau renferme un nombre considéra- ble de fibres qui
escence de la couche saggittale interne du lobe fronlo-pariétal, du faisceau occipito- frontal. Il existe au niveau de l'ang
au caudé et en dedans du pied de la couronne rayon- nante, un petit faisceau assez bien délimité qui a été, dans ces dernières
n d'un cas d'absence de la commissure calleuse, on a décrit un long faisceau d'associa- tion à direction antéro-postérieure
a- tion à direction antéro-postérieure auquel a été donné le nom de faisceau occi- pito-frontal. Pour Dejerine, ce faiscea
té donné le nom de faisceau occi- pito-frontal. Pour Dejerine, ce faisceau existe également dans le cerveau normal ; il fo
t au niveau du lobe fronto-pariétal, il est représenté par le petit faisceau que nous venons de décrire brièvement, et qui e
est situé au-dessus du noyau caudé. On a donné plusieurs noms à ce faisceau : « Couronne rayonnante du noyau caudé » (Meyne
à ce faisceau : « Couronne rayonnante du noyau caudé » (Meynert),« faisceau du corps calleux se rendant à la capsule intern
ou- ronne rayonnante » (Anton, Zingerle). . Nous avons dit que ce faisceau ne dégénère pas à la suite de lésions tem- poro
abondantes et c'est à leur ensemble qu'où a appliqué le terme de « faisceau occipito-frontal ». Nous croyons que toutes ces
la SALPÊTRIÈRE. T. XIX, PI. XXXII 13 14 15 16 17 18 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
3 14 15 16 17 18 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL (Lasa 1 Jc-Archarn ba rr 11)
SALPftTlllÈRE T. XIX. PI. XXXIII 19 20 21 , 22 23 24 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
20 21 , 22 23 24 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRI
E FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
E FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 201 i mêmes circonvolutions. Po
projection, pour la plupart corticipètes. Nous n'avons jamais vu ce faisceau dégénérer à la suite de lésions du lobe frontal
vêtrement de ses fibres avec celles de la commissure cal- leuse, ce faisceau est en grande partie respecté au-dessous, vers le
a couche optique. Occupons-nous maintenant tout particulièrement du faisceau longitudinal inférieur, de la couche sagittale
ouche sagittale externe du lobe occipital, car c'est surtout sur ce faisceau que portent nos conclusions. Nous avons vu que
llissement, de sorte qu'en plein tissu infiltré et décoloré le seul faisceau reconnaissable était le faisceau longitudinal in-
tissu infiltré et décoloré le seul faisceau reconnaissable était le faisceau longitudinal in- férieur des auteurs (fig. 4 et
point intermédiaire, au niveau du corps ge- nouillé externe, que le faisceau longitudinal inférieur n'accuse qu'une légère d
.XXXII, 15). Z) Nous n'avons jamais constaté de dégénérescence du faisceau longitudinal inférieur, soit à la suite de lési
es sagittales pro- fondes). Par contre, nous avons toujours vu le faisceau longitudinal inférieur dégé- nérer à la suite d
, nous ne pouvons plus admettre l'opinion classique qui veut que le faisceau longitudinal inférieur soit essentiellement un lo
que le faisceau longitudinal inférieur soit essentiellement un long faisceau d'association. Pour nous, il représente un faisce
llement un long faisceau d'association. Pour nous, il représente un faisceau de projection, la couronne rayonnante corticipè
en grande partie, surtout dans son trajet et dans ses relations, au faisceau longitudinal tel qu'il est décrit dans les traité
traités d'anatomie. C'est pourquoi nous l'avons appelé jusqu'ici « faisceau longitudinal inférieur». Mais il existe parmi l
grande diversité d'opinions sur la disposition topographique de ce faisceau que, pour éviter toute erreur d'in- terprétatio
toute erreur d'in- terprétation, nous parlerons dès maintenant du « faisceau optique central ». Le faisceau^ optique central
, nous parlerons dès maintenant du « faisceau optique central ». Le faisceau ^ optique central prend son origine dans la partie
yau se portent obliquement en bas et en dehors, longent la paroi LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR. ET LE FAISCEAU OPTIQUE CE
dehors, longent la paroi LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR. ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 203 externe de l'extrémité anté
phénoïdale, où elles se Confondent plus ou moins avec les fibres du faisceau uncinatus, les fibres de la commissure antérieu
ittale interne, elles s'enchevêtrent à ce niveau avec les fibres du faisceau de Türck et avec les fibres corticipètes et cor
nt dans le pulvinar de la couche optique. Nous voyons donc que ce faisceau optique central, à l'exemple des autres parties
refour sensitif». FiG. 5 - Coupe frontale du lobe occipital. Foc, faisceau optique central. 204 LASALLE-ARCHAMBAULT Im
ement après son émergence du corps genouillé externe, les fibres du faisceau optique central sont refoulées, par les fibres co
à former la presque totalité de ce qu'on a décrit sous le nom de « faisceau temporo-thalamique d'Arnold », mais il existe à c
ues de la partie antérieure du lobe temporal. Suivons maintenant le faisceau optique central depuis le lobe occipital jus- q
te aux différents niveaux. Sur des coupes vertico-transversales, ce faisceau cons- titue dans le lobe occipital la couche sa
titue dans le lobe occipital la couche sagittale externe de Sachs, le faisceau longitudinal inférieur des auteurs (f1g. 1) ; s
e contient que quel- ques fibres et le long de la paroi interne, ce faisceau n'est décelable qu'au mi- croscope. Des angles
l qui constitue la scissure calcarine. Au-dessous du ventricule, le faisceau optique central se confond en partie avec le fa
entricule, le faisceau optique central se confond en partie avec le faisceau de Vialet ; le faisceau de Vialet proviendrait de
ptique central se confond en partie avec le faisceau de Vialet ; le faisceau de Vialet proviendrait de la lèvre infé- rieure
s. Pour nous, ce Fio. 6. - Coupe frontale du lobe occipital. Fs : faisceau du cuneus de Sachs. Foc : faisceau optique cent
ontale du lobe occipital. Fs : faisceau du cuneus de Sachs. Foc : faisceau optique central. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉR
: faisceau du cuneus de Sachs. Foc : faisceau optique central. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
faisceau optique central. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAI. 205 fait démontre que parmi le
FAISCEAU OPTIQUE CENTRAI. 205 fait démontre que parmi les fibres du faisceau de Vialet existe un bon nombre de fibres de pro
la face externe du lobe occipital et que d'autres appartiennent au faisceau de Wernicke, contournent l'angle inféro-externe
cupe la profondeur du lobule lingual. Ce que nous avons dit pour le faisceau de Vialet s'applique également au « faisceau tr
nous avons dit pour le faisceau de Vialet s'applique également au « faisceau transverse du cunéus » de Sach ; que ce faisceau
que également au « faisceau transverse du cunéus » de Sach ; que ce faisceau soit composé surtout de fibres d'association c'
rne du lobe occipital ; elle en diffère sensiblement. Les fibres du faisceau optique central se resserrent et n'occupent que
infé- rieur et moyen de la couche sagittale externe, les fibres du faisceau optique central commencent à se porter en haut
apparaît le long de la paroi ventri- culaire externe, les fibres du faisceau optique se groupent en fascicules com- pacts et
pacts et entourent sa partie inférieure. Quelques fibres éparses du faisceau optique, cependant, occupent encore la partie m
uxième circonvolutions temporales, et en plus, quel- ques fibres du faisceau optique central. c) Le tiers inférieur : les fi
du faisceau optique central. c) Le tiers inférieur : les fibres du faisceau optique central. d) Le tiers moyen de la couche
rne contient un bon nombre de 206 LASALLE-AL1CHA11BAULT fibres du faisceau optique intimement mêlées aux radiations thalamiq
, c'est-à-dire que la couche externe comprend surtout les fibres du faisceau opti- que central et la couche interne des fibr
be temporal, au niveau du pulvinar, une grande partie des fibres du faisceau optique central s'est portée en dedans et corresp
la capsule interne.. On pourrait dire qu'à ce niveau les fibres du faisceau optique central se divisent en deux fascicules
tro-lenticulaire de la capsule interne et que cette dissociation du faisceau optique est nécessitée par le passage des radia
s du corps quadrijumeau antérieur et du corps genouillé interne, du faisceau de Türck, etc. Nous voulons insister davantag
rck, etc. Nous voulons insister davantage sur cette dissociation du faisceau optique central, car nous croyons qu'elle, a pr
able d'un bon nombre d'erreurs devenues classiques. En décrivant ce faisceau au niveau du carrefour ventriculaire, nous avons
s sagittales. Il se fait un véritable entrecroisement des fibres du faisceau optique et des radiations thalamiques, entrecro
t verticales, et alors on constate que les plus externes (fibres du faisceau optique) se portent obliquement en haut LE FAIS
rnes (fibres du faisceau optique) se portent obliquement en haut LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTQUE CENT
ortent obliquement en haut LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTQUE CENTRAL 207 et en dedans, côtoient le bo
nt en haut et légèrement en dehors, traversent l'amas des fibres du faisceau optique central, se cuudent fortement au niveau d
é externe. Enfin, au niveau du bord antérieur de ce noyau, c'est le faisceau de Turck qui établit la limite antérieure de ce
de fibres corticipètes et corticifuges. En arrière du pulvinar, le faisceau de Türck occupait encore la couche sagittale ex
r dans les noyaux centraux, elles sont remplacées par les fibres du faisceau deTürck ; et sur les coupes intéressant la partie
ntéressant la partie antérieure dû corps genouillé externe,c'est ce faisceau qui constitue la plus grande partie e du segmen
le interne : c'est peut-être ce qui a porté Flechig à considérer ce faisceau de Türck comme partie des radiations optiques.
par l'hématoxyline, il en est un bon nombre qui appar- tiennent au faisceau optique central, d'autres au faisceau de Türck et
nombre qui appar- tiennent au faisceau optique central, d'autres au faisceau de Türck et aux ra- diations du corps genouillé
s corticifuges, surtout les radiations thalamiques et les fibres du faisceau de Türck, prennent une coloration nettement plu
nes (40- 60 fi- environ). Revenons à la répartition des fibres du faisceau optique central au niveau' du corps genouillé e
rps genouillé interne, au pied du pédoncule cérébral, ces fibres du faisceau optique qui longent encore la paroi ventriculai
e corps ge- nouilllé externe. Nous avons déjà décrit le trajet du faisceau optique central après son émer- gence du corps
'avons pas suffisamment insisté sur la disposition des fibres de ce faisceau dans la par- tie antérieure du lobe temporal ai
ions avec les fibres d'as- sociation de la région. En parlant de ce faisceau optique au niveau du lobe occi- pital, nous avo
cule et l'écorce, il existe un vaste champ des- tiné à recevoir les faisceaux d'association ; la preuve, c'est que l'on a décri
d'association ; la preuve, c'est que l'on a décrit un bon nombre de faisceaux d'association propres au lobe occipital. Personne
propres au lobe occipital. Personnelle- ment nous admettons que ces faisceaux , surtout par l'intermédiaire de leurs fibres pr
uisse donner à l'ensem- ble de ces deux couches de fibres le nom de faisceau longitudinal inférieur ; s'il en était autremen
en était autrement on ne se serait pas donné la peine de décrire un faisceau de Sachs, un faisceau de Wernicke et un faiscea
ne se serait pas donné la peine de décrire un faisceau de Sachs, un faisceau de Wernicke et un faisceau de Vialet. La descript
eine de décrire un faisceau de Sachs, un faisceau de Wernicke et un faisceau de Vialet. La description à part LK FAISCEAU LO
ONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 91) : ) de ces faisceaux est une excellente garantie que dans l'esprit, de
ux est une excellente garantie que dans l'esprit, des auteurs ? ces faisceaux étaient bien indépendants de la couche sagittale
mité de voi- sinage. Mais ce que nous ne croyons pas, c'est que ces faisceaux soient propres au lobe occipital. Nous devons
cipital et occupe le cunéus et le précuneus, il prend ici le nom de faisceau transverse du cunéus de Sachs et comprend en ré
ngulum. Or, la même chose se passe au niveau du lobe occipital,' le faisceau transverse de Sachs est l'analogue du cingulum.
circonvolutions médianes et supérieures du lobe occipital. Ces deux faisceaux font partie d'un seul système, constituent le c
ingual au niveau de la scissure calcarine, on lui a donné le nom de faisceau de Vialet, mais pour nous il représente le cing
ibres et en reçoit également de ces mêmes circonvolutions. Tous ces faisceaux , ou plutôt toutes ces subdivi- sions d'un seul
es faisceaux, ou plutôt toutes ces subdivi- sions d'un seul et même faisceau , se délimitent plus ou moins nettement selon le
exposés, à condition que l'axe de leurs fibres diffère de celui des faisceaux voisins. C'est ainsi que l'on reconnaît facile-
nsi que l'on reconnaît facile- ment le stratum calcarinum et que le faisceau perpendiculaire de Wernicke, qui est difficile
qui est difficile à suivre sur une coupe normale, se transforme en faisceau régu- z xix 14 ' 210 0 LASALLE-ABCF11MBA UB'r
la dilatation ventriculaire au niveau de la corne occipitale. Les faisceaux de Sachs et de Vialet contiennent des fibres sect
e calcarine. Par contre vers les parties moyennes et latérales, les faisceaux de Vialet et de Sachs ne contiennent que quelqu
ttale externe et cette ombre immédiatement en dehors représente les faisceaux de Sachs et de Vialet (Fig. 1 et 6). Si nous
ication pratique de ces considérations en étudiant les relations du faisceau optique central au niveau de la partie antérieure
ital, il existe un fais- ceau d'association, absolument analogue au faisceau de Vialet, dont les fibres les plus internes so
us inférieures ont une direction antéro-postérieure comme celles du faisceau optique central ; mais à ce niveau, en raison d
ensemble des deux représente pour nous la continuation temporale du faisceau de Vialet. Or, quel parcours allons- nous accor
partition des fibres appartenant à chacun.Nous avons (PI.IV) une LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
cun.Nous avons (PI.IV) une LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 211 lésion de la circonvolution
s (fron- tales). , Allons-nous dire que ces fibres font partie du faisceau optique ceutral, ou même du faisceau longitudin
que ces fibres font partie du faisceau optique ceutral, ou même du faisceau longitudinal inférieur ? Nous ne croyons pas qu'i
'il convienne de grouper ainsi les choses, pas plus que de faire du faisceau de Vialet et de la couche sagittale externe occ
Vialet et de la couche sagittale externe occipitale un seul et même faisceau . Or, comme on n'a jamais songé à cette union po
, . elles ne sont pas disposées de façon à constituer de véritables faisceaux ; au- trement ces faisceaux auraient depuis lon
ées de façon à constituer de véritables faisceaux ; au- trement ces faisceaux auraient depuis longtemps trouvé leur place dans
avons dit que, pour nous, elles représentent un système analogue au faisceau de Vialet ; de mêmes, les fibres du lobe fronto
ialet ; de mêmes, les fibres du lobe fronto-pariétal constituent un faisceau de Sachs de cellobe. , On ne .se rend pas com
ayonnante, mais nous n'irons pas dire qu'elles en font partie. Le faisceau arqué de Burdach n'est bien délimité qu'en avant
poro-occipital. Au niveau du corps genouillé externe, les fibres du faisceau optique central longent surtout la paroi ventri
rtout la paroi ventriculaire externe et occupent encore en grand LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
t occupent encore en grand LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 213 nombre la partie inférieure
r et à mesure que l'on se rapproche du pôle temporal, les fibres du faisceau optique abandonnent le segment horizontal de la
icale peu différenciée de la région. De pair avec le déplacement du faisceau optique, s'est opéré le rétrécissement de l'ext
te et les fibres d'association se sont de nouveau rassemblées en un faisceau situé au-dessous du ventricule ; ces fibres d'a
ar- tiennent surtout au cingulum inférieur de Beevor, mais aussi au faisceau uncina- tus ; il représente au niveau de la par
; il représente au niveau de la partie antérieure du lobe temporal le faisceau de Vialet du lobe occipital. Nous nous sommes
onstituée la couche sagittale externe du lobe temporo-occipital, un faisceau à part, qui est, à notre sens, extrêmement impo
ement décrit jusqu'à ce jour. Si nous avons fait usage du terme « faisceau optique central », ce n'est pas que nous ayons
en est pas moins vrai que dans son trajet et dans ses relations, le faisceau optique central s'iden- tifie en grande partie
le faisceau optique central s'iden- tifie en grande partie avec le faisceau longitudinal des auteurs ; seulement le faiscea
nde partie avec le faisceau longitudinal des auteurs ; seulement le faisceau longitudinal prend son origine dans lobe occipita
ital et se termine dans l'écorce du lobe temporal, tandis que notre faisceau optique tire son origine du corps genouillé ext
t (2), Red- lich (3) et autres, qui comme nous, n'admettent dans le faisceau longitudinal inférieur ou dans la couche sagitt
214 LASALLE-ARCHAMBAULT mais ces auteurs parlent indifféremment de faisceau ou de couche sagittale. Pour nous, ainsi que no
ble entre ces deux termes ; la couche sagittale externe contient le faisceau longitudinal inférieur des auteurs classiques et
tudinal inférieur des auteurs classiques et en plus : des fibres du faisceau de Turck, des fibres qui passent de la première c
nterne, etc. Les auteurs qui ont fait la meilleure des- cription du faisceau longitudinalinférieur ont eu le soin d'insister q
u le soin d'insister que toutes ces fibres ne font que traverser le faisceau longitudinal et qu'elles n'en font nullement pa
erne et dans le noyau latéral de la couche optique. Pour nous, le faisceau optique central ne provient que du corps genouill
é aucune dégénérescence appréciable dans le territoire qu'occupe le faisceau optique central. Quant à la couche sagittale ex
iques. Après avoir exposé en détail les multiples particularités du faisceau optique central, nous nous trouvons en présence
ouvons en présence de faits qui ne prêtent guère à aucun doute le « faisceau optique central » s'identifie, d'une façon remarq
au optique central » s'identifie, d'une façon remarquable avec le « faisceau longitudinal inférieur », - nous croyons que ces
oyons que ces deux fais- ceaux ne font qu'un. On nous dira que le faisceau longitudinal est un faisceau fort bien développé
aux ne font qu'un. On nous dira que le faisceau longitudinal est un faisceau fort bien développé et que le corps genouillé e
uère représenter son noyau d'origine. A cela nous répondrons que le faisceau longitudinal est beaucoup plus petit que l'on n
ne pense. Il est facile de se créer des illusions sur le volume d'un faisceau dont le territoire est constamment traversé par
ulus longitudinalis inferior. Arch. f. Psych., 1903, t XXXVII. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
Psych., 1903, t XXXVII. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 215 verser le faisceau longitud
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 215 verser le faisceau longitudinal inférieur. Ce passage de fibres débu
la couche sagittale interne, mais se confondent avec les fibres du faisceau longitudinal et concourent avec ces dernières à f
l est donc évi- dent que sur des coupes normales, on ne voit pas le faisceau longitudinal tel qu'il existe en réalité; mais
uche, elles représentent l'ensemhle des fibres qui consti- tuent le faisceau optique central, le faisceau longitudinal. Ce fai
semhle des fibres qui consti- tuent le faisceau optique central, le faisceau longitudinal. Ce faisceau existe alors à l'état
ti- tuent le faisceau optique central, le faisceau longitudinal. Ce faisceau existe alors à l'état de pureté et il diffère s
sceau existe alors à l'état de pureté et il diffère sensiblement du faisceau longitudinal d'une coupe normale. Nous nous c
rations les conclusions suivantes : CONCLUSIONS 1) Il existe un faisceau qui, dans le lobe temporal, occupe en partie la c
pital, constitue la presque totalité de couche sagittale externe. Ce faisceau qui représente la couronne rayonnante corticipè
carine, mais surtout dans sa lèvre inférieure. Nous proposons pour ce faisceau le nom de « faisceau optique central », ou mieu
ns sa lèvre inférieure. Nous proposons pour ce faisceau le nom de « faisceau optique central », ou mieux encore, celui de « fa
le nom de « faisceau optique central », ou mieux encore, celui de « faisceau géniculo-calcarinien ». 2) Ce faisceau doit ê
u mieux encore, celui de « faisceau géniculo-calcarinien ». 2) Ce faisceau doit être séparé des fibres d'association qui env
mplicité, l'usage veut que l'on considère comme faisant partie d'un faisceau tout ce qui ne fait que le tra- verser, nous di
isceau tout ce qui ne fait que le tra- verser, nous dirons que le « faisceau longitudinal inférieur » des auteurs clas- siqu
ongitudinal inférieur » des auteurs clas- siques comprend : a) le « faisceau optique central » et, en plus, b) un certain no
fIAMBA ULT nuent dans le lobe occipital où ils prennent les-noms de faisceaux de Sachs et de Vialet. 5) Les faisceaux de Sa
ils prennent les-noms de faisceaux de Sachs et de Vialet. 5) Les faisceaux de Sachs et de Vialet ne sont pas propres au lobe
u'en raison de la configuration particulière de cette région. 6) Le faisceau perpendiculaire ou vertical de Wernicke n'est pas
i- gine de la couche optique. 10) Il n'existe pas chez l'homme de faisceau d'association occipito-frontal. 11) Aucune fibr
de la troisième circonvolution temporale. Ces fibres constituent le faisceau de Turck. Le gérant : P. BOUCIIEZ. Imp. J. Th
sclérose à la fois annulaire et insulaire ; mais il n'existe pas de faisceaux de régénération, ce qui indique l'absence de lé
r la méthode de Pal, au niveau de la Ire sacrée,qu'une sclérose des faisceaux pyramidaux et une lésion à peine perceptible d'
, qui épargne complètement certaines fibres très fines groupées, en faisceaux riches en noyaux allongés (Pl. XXXV, fig. 3). La
ouve des lésions de ces libres, qui s'accusent par la pré- sence de faisceaux de régénération ; la relation proportionnelle qui
, puis elle se recourbe pour se placer parallèlement aux fibres des faisceaux radiculaires, le long des- quels elle remonte ;
venu aux dépens de la substance blanche et plus particulièrement des faisceaux d'association. Ceux de projection paraissent av
très petites, de direction parallèle aux libres, arrondies dans les faisceaux coupés en biais ou transversalement. Dans cette
e. Le noyau du pathétique se retrouve parfaitement, enclavé dans le faisceau longitudinal pos- térieur. xix 17 Fia. 1. C
rt peu détruit directement ; il a seulement repoussé et déformé les faisceaux , que l'on retrouve tous. La planche XL, fig. 1
it pas les varicosités et les dégénérescences très prononcées de ce faisceau . 3. Il est remarquable que, la tumeur étant à g
e(PI.LX) qui va grandis- sant, à limites irrégulières, traversée de faisceaux qui prennent encore le Weigert. Cette région es
alleux, dans l'intégrité relative des masses grises de la base, des faisceaux de projection par rapport à ceux d'association ?
-ci ne sont le siège d'aucun phénomène dégénératif, enfin entre les faisceaux musculaires n'existent que de très rares vésicu
très limitée de la moelle cervicale une sclérose légère touchant le faisceau pyramidal croisé. Les cornes antérieures étaient
t difficile à cause des larges brides fibreuses qui cloisonnent les faisceaux musculaires ; leur couleur tire sur le gris pâl
de Goll étaient un peu sclérosés à la ré- gion cervicale, mais les faisceaux pyramidaux sont toujours respectés. Comme les g
épaisses renfer- mant peu de noyaux allongés entoure des paquets de faisceaux musculaires et envoie des expansions qui se per
fibres striées, amincies à leurs extrémités se continuent avec des faisceaux connectifs, ou bien se perdent dans des traînées
s ténu, les granulations sont sériées en files régulières entre les faisceaux primitifs ; plus rarement, on observe PARAPLÉGI
même délai, Vegas (2) trouva dans les nerfs périphériques quelques faisceaux étroits, et mal colorés. Quatre mois après la s
tte. - A gauche, destruction du pédoncule cérébelleux supérieur, du faisceau longitudinal postérieur, de la petite racine motr
descendante du trijumeau, de l'entrecroisement de la IVe paire, du faisceau central de la calotte, du ruban de Reil médian,
e ruban- de Reil médian, le pédoncule cérébel- leux supérieur et le faisceau central de Bechterew. Une partie aussi du lem-
par le ruban de Reil médian et sa partie latérale, à une partie du faisceau cen- tral de la calotte et du pédoncule cérébel
u cen- tral de la calotte et du pédoncule cérébelleux supérieur, au faisceau loncitu : dinal postérieur, sauf quelques fibre
tum superficiale et du pédoncule cérébelleux supérieur et moyen. Le faisceau pyramidal contient peu de fibres à gaîne myéliniq
s superficielle du corps restiforme et le tubercule acoustique. Les faisceaux latéraux du bulbe sont plus clairs que d'ordina
ve, le noyau rétropyramidal, la racine descendante du trijumeau, le faisceau latéral du bulbe, le corps restiforme et le faisc
trijumeau, le faisceau latéral du bulbe, le corps restiforme et le faisceau solitaire sont complètement remplacés par des z
s normales situées à peu près au niveau de la partie postérieure du faisceau de Burdach. La moitié droite, au contraire, est b
peu près normaux, sauf una légère sclérose .sy- métrique bornée aux faisceaux pyramidaux (fig. 9). En conclusion, à partir de
d'un mince anneau plus clair. Cette ra- réfaction s'étend aussi au faisceau de Goll (fig. 1). Au niveau de la 3e racine cer
de la 3e racine cervicale existe une plaque scléreuse qui occupe le faisceau de Goll et un peu le faisceau de Burdach, l'ann
te une plaque scléreuse qui occupe le faisceau de Goll et un peu le faisceau de Burdach, l'anneau de raréfaction périphérique,
issance dans l'hémipont droit et a dé- truit presque entièrement le faisceau moteur de droite et le septum mé- dian, mais s'
ent du ruban de Reil est atteint. Le pes lemniscus est détruit. Les faisceaux trans- verses du pédoncule cérébelleux moyen fo
illie pulpeuse : c'est là ce qui reste de la plus grande partie des faisceaux moteurs. Nulle part le foyer hémorrhagique n'es
dans l'hémipont droit, intéressant surtout la partie postérieure du faisceau moteur, laissant libre plus de sa moitié antérieu
plus de sa moitié antérieure. La calotte est légèrement entamée. Le faisceau de Reil est atteint dans ses deux tiers interne
lésion n'a plus que à 6 6 millimètres. A cet endroit d'ailleurs, le faisceau moteur cesse d'être intéressé, la lésion lui est
raphie des lésions justifie ce syndrome : des- truction de certains faisceaux , compression ou'irritation d'autres groupes de
du cerveau. Il décrit, au voisinage de ces tumeurs l'apparition de faisceaux de cylindraxe de nouvelle formation, dépourvus
re à certains endroits un riche tissu embryonnaire où pullulent les faisceaux de fibres nerveuses se terminant par des bouton
nent à tous les cordons, mais elles sont plus abondan- tes dans les faisceaux de la région antérieure des cordons postérieurs.
s nerfs sectionnés. Ce névrome est constitué par un grand nombre de faisceaux nerveux sans myéline, disposés en plexus et dis
, on en trouve d'autres, fusiformes, longues, isolées ou réunies en faisceaux et analogues à celles que nous avons décrites d
rieur, se détachent des colonies de cellules fusiformes, réunies en faisceaux assez compacts, qui s'étendent comme des ponts
rection des cellules-satellites. Ces fibres sont parfois réunies en faisceaux peu denses, mais leur nombre diminue à me- sure
ent parfois nais- sance à un véritable plexus. Nous avons trouvé un faisceau de fibres fines égaré dans ces ponts cellulaire
cellules apotrophiques, fusiformes, à noyaux oblongs constituant des faisceaux réunis entre eux par des traînées de ces cellul
nsidérables. Puis, des colonies de cellules fusiformes disposées en faisceaux plus ou moins volumineux entre lesquels siègent
dans la cicatrice en suivant le trajet des cellules-satellites ou des faisceaux qu'elles forment. De plus, on remarque que cert
escendent les fibres de nouvelle formation. Le cône est bordé par des faisceaux de fibres fines et épaisses, présentant parfois
érieur on voit pas mal de fibres nerveuses, iso- lées ou réunies en faisceaux , affectant des directions variables. Certaines d'
rajet des fibres. p. pinceau, cp, cp', petit cône de croissance, f, faisceau des fibres. 426 MARINESCO ET MINEA massues te
de fibres de nouvelle formation. Ces fibres isolées ou réu- nies en faisceaux descendent à travers les cellules [émigrées dans
uvelles provenant des fibres préexistantes sous forme de plexus, de faisceaux , ou simplement isolées se dirigeant en bas. Cepen
rares fibres nerveuses de nouvelle formation et rarement réunies en faisceaux . Ces fibres pénètrent dans les fentes du tissu
veau d'une extrémité. Il rentre dans la cicatrice des fibres et des faisceaux de fibres de nouvelle for- mation qui s'infiltr
elles il y a des fibroblarts, fb, fb' fb". On y voit, en outre, des faisceaux de fibres de nouvelle formation (F) affectant des
DE LA MOELLE 429 logent les fibres nerveuses, isolées ou réunies en faisceaux , fibres assez épais- ses, sans myéline, habitue
des fibres fines sans myéline, réunies pour la plupart du temps en faisceaux . 430 MARINESCO ET MINEA de la compression où
if- férents points de la région de la substance blanche partent des faisceaux et des FiG. 6. Coupe destinée à montrer la rela
ns les régions où ils possèdent une paroi épaisse, sont entourés de faisceaux de fibres qui constituent parfois de véritables p
bstance blanche fortement altérée ne présentent pas de fibres ni de faisceaux nerveux de nouvelle formation. Il y a d'autres
linéaires accumulés en groupes ou disséminés, parfois même dans les faisceaux nerveux les corps granuleux sont en grande abon
n due à la fracture de la première vertèbre lombaire. On y voit des faisceaux et des libres de nouvelle formation entre lesquel
générescence. C'est ainsi qu'on y voit des libres fines disposées en faisceaux et présentant les caractères de fibres de Remac
minales capsulées, du reste, on peut suivre la continuité entre les faisceaux de la racine et certains de ces cordons cellulair
s régions où les vaisseaux de uuu- velle formation sont entourés de faisceaux nerveux disposés parfois en plexus. A l'extrémi
es de nouvelle formation, épaisses ou minces, isolées ou réunies en faisceaux ; elles suivent plus ou moins le trajet des vai
te un cordon de fibres fines qui s'entremêlent de toutes fio. aU. - faisceau de libres nerveuses de nouvelle formation dont qu
l'épaisseur de la pie-mère et entre ses lamelles des fibres et des faisceaux de fibres de nouvelle formation, il est à suppo
pression, on constate qu'elle est constituée principalement par des faisceaux nerveux, volumineux,visibles la loupe; se divis
e (Fig H). A mesure qn'on se rapproche de la partie supérieure, ces faisceaux se réunis- sent par groupes, changent de direct
lique, mais un grand nombre paraissent coupés transversalement. Ces faisceaux isolés ou par groupes, sont séparés par des tract
pact, très pauvre en cellules. Là où ce tissu est trop abondant les faisceaux nerveux diminuent de nombre et ils apparaissent c
eur de la moelle est constituée au niveau de la compression par des faisceaux de fibres de nouvelle formation généralementdép
la première lombaire. Elle est constituée presque exclusivement de faisceaux nerveux de dimensions à peu près égales, à direc-
s courbes.Cer- tains d'entr'eux se bifurquent, fnb, fszb'. Quelques faisceaux sont coupés transver- salement ft, Il'. 438 M
it que peu de fibres de nouvelle formation. On rencontre encore des faisceaux nerveux autour des vaisseaux qui se trouvent da
son voisinage. Il est curieux de remarquer la préférence qu'ont les faisceaux ner- veux de nouvelle formation pour la paroi v
à ses extrémités, il existe dans le tissu interstitiel et entre les faisceaux uerveux un nombre plus ou moins considérable d'
uerveux un nombre plus ou moins considérable d'hématophages. Les faisceaux nerveux de nouvelle formation que nous avons décr
disparus. Fia. 12. Même cas que la figure précédente. Portion d'un faisceau de fibres de nouvelle formation dessinée à un f
", v"') dilatés. Dans leurs adventices, il existe par ci, par là, des faisceaux de fibres de nouvelle formation fng, fnp, lisp'
de fibres de nouvelle formation fng, fnp, lisp'. En (l117 on voit un faisceau nerveux, assez considérable, compact, constitué
urones préposés à la conduction centripète et cen- trifuge. Or, les faisceaux et les libres de nouvelle formation ne parviennen
rajet qu'ils ont à parcourir d'un bout ;i l'autre de la moelle, les faisceaux et les fibres nerveuses s'égarent et malgré leu
ement abondants et en certains points pres- quejuxtaposés. Certains faisceaux semblent complètement disparus et rem- placés p
plus, sur toutes les coupes examinées, on constate qu'une bande de faisceaux sous-aponévrotiques est beaucoup moins dégénéré
prolifération excessive des noyaux. On constate aussi sur quelques faisceaux mieux conservés comme volume, les caractères de
euse. Muscle demi-membraneux gauches On constate sur la plupart des faisceaux des lésions extrêmement marquées d'atrophie sim
comme dans les muscles ci-dessus étudiés, mais on trouve à côté des faisceaux malades, quelques faisceaux dont l'intégrité est
ssus étudiés, mais on trouve à côté des faisceaux malades, quelques faisceaux dont l'intégrité est presque absolue. Sur les c
bondante. Il existe des es- paces conjonctifs plus larges entre les faisceaux . Certains faisceaux présentent l'aspect vitreux
des es- paces conjonctifs plus larges entre les faisceaux. Certains faisceaux présentent l'aspect vitreux homogène avec dispa
ur origine intramédullaire, s'accompa- gnant d'atrophie de certains faisceaux des nerfs mixtes et d'atrophie géné- ralisée et
iation : nous n'avons pu recourir à cette méthode que pour quelques faisceaux du sciatique, pour les racines antérieures et pos
re eux et de l'épinèvro par un tissu fibreux très abondant dont les faisceaux sont irrégulièrement dissociés par un tissu cel
rveuse, mais ce sont des différences à peine appréciables. Quelques faisceaux du nerf sciatique ont été dissociés après fixatio
ur d'autres groupes l'aspect est tout différent, ce sont des petits faisceaux que les aiguilles n'ont pas réussi à dissocier,
rares fibres à myéline enroulées en spirale autour de l'axe de cea faisceaux ; quelques-uns de ces faisceaux donnent au premi
es en spirale autour de l'axe de cea faisceaux; quelques-uns de ces faisceaux donnent au premier abord l'aspect de fibres envoi
présentent un aspect un peu différent des racines antérieures : les faisceaux de fibres enchevêtrées figurant des nattes, son
existe des amas de gros noyaux ou de tissu con- jonctif ; plusieurs faisceaux paraissent constitués par une fibre nerveuse ento
bre, des vacuoles, du tissu conjonctif et des noyaux, répondent aux faisceaux enchevêtrés, en nattes, que nous avons vus plus a
ctives tassées les unes contre les autres, correspondent aux petits faisceaux dans lesquels il ne nous a pas toujours été possi
ù elles se confondent avec celles des zones cornu-commissurales. Le faisceau de Bur- dach est au contraire relativement bien
é de la périphérie par une mince bande de fibres à myéline. Dans le faisceau de Burdach, la dégéné- ration prédomine toujour
mprimé. Au-dessus, on trouve simplement une dégénération intense du faisceau de Goll remontant jusqu'au bulbe ; au-dessous,
eau de Goll remontant jusqu'au bulbe ; au-dessous, dégénération des faisceaux pyramidaux direct et croisé, avec pâleur diffus
très accentuées, ascendantes et descendantes des fibres longues des faisceaux blancs (cordons de Goll, cérébelleux direct, py-
oblitéré,souvent méconnais- sable. Les lésions dégénératives des faisceaux blancs pyramidaux (cordons de Golf) semblent en
articulière- ment nette dans la partie inférieure (lombo-sacrée) du faisceau . Dans ces 3 cas, la compression osseuse faisait
plus indiqué que par trois taches d'infiltration sanguine dans les faisceaux moyens de la voie pédonculaire et la couche trans
uniformément infiltrées dans le parenchyme et détruisant plusieurs faisceaux de la voie pédonculaire, sans trace d'ancienne
x supérieur, la formation réticulée, le noyau central supérieur, le faisceau longitudinal postérieur, le faisceau central de l
le noyau central supérieur, le faisceau longitudinal postérieur, le faisceau central de la calotte,et le ruban de Reil avec
sinent schématiquement, dans le pédoncule cérébelleux inférieur, le faisceau cérébello-olivaire. De plus, le peu d'intensité
mpêchent donc d'admettre l'opinion de Kôlliker (3) qui considère le faisceau olivaire du corps restiforme comme prenant son
atives de l'hémiasynergie et de la latéropulsion : 4° la lésion des faisceaux olivo- ciliaires ; 2° la lésion unilatérale du
lésion des faisceaux olivo- ciliaires ; 2° la lésion unilatérale du faisceau qui met en rapport le noyau de Detiers avec la
du faisceau qui met en rapport le noyau de Detiers avec la moelle, faisceau de Marchi, faisceau cérébelleux descen- dant ;
en rapport le noyau de Detiers avec la moelle, faisceau de Marchi, faisceau cérébelleux descen- dant ; 3° l'interruption de
n- dant ; 3° l'interruption de la voie centripète constituée par le faisceau de Gowerss. Dans notre cas,de ces trois lésio
mettre que l'hémiasynergie eut pour principal facteur, la lésion du faisceau olivo-ciliaire du même côté. Nous pensons d'ail
septa conjonctifs qui s'enfoncent dans la substance médullaire. Les faisceaux postérieurs et latéraux sont sclérosés avec dim
de Med., 1881-1885. Léri : XVIO Congrès de Lille, 7 août 1906. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR . ET LE FAISCEAU OPTIQUE
de Lille, 7 août 1906. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR . ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL PAR R LASALLE ARCHAMBAULT (
bre 1905, les résultats de nos recherches anatomiques sur certains faisceaux de l'hémisphère cérébral et nous n'avons pas pe
1111) Mme Dejerine fait remarquer : « M. Archainbault admet que le faisceau longitudinal inférieur, c'est-à-dire, la couche s
ment tolérée. Nous transcrivons textuellement : « Pour nous, le mot faisceau ne doit s'appliquer qu'à un en- semble de fibre
pant un territoire assez nettement déterminé, comme par exemple, le faisceau pyra- midal. Le mot faisceau n'est pas l'équiva
ement déterminé, comme par exemple, le faisceau pyra- midal. Le mot faisceau n'est pas l'équivalent du terme « couches défibre
du lobe temporo-occipital, l'une et l'autre de ces dénominations : faisceau longitudinal inférieur, couche sagittale externe.
e démontrer : que la couche sagittale externe du lobe occipital, le faisceau longitudinal inférieur tel qu'il existe dans ce l
nouillés externe et interne, etc., n'appartiennent pas en propre au faisceau longitudinal inférieur, qu'elles ne font que le
s clair ; malgré son enchevêtrement avec la couronne rayonnante, le faisceau longitudinal était un faisceau à part, car on ne
ment avec la couronne rayonnante, le faisceau longitudinal était un faisceau à part, car on ne voulait reconnaître alors qu'
, car on ne voulait reconnaître alors qu'un seul caractère à chaque faisceau . Les auteurs de l'Anatomie des centres nerveux
rs le privilège de chacun) puisqu'ils disent aujourd'hui : « Que le faisceau longitudinal inférieur, reçoive des fibres du c
n n'y trouve que la défense acharnée de l'indépen- dance absolue du faisceau longitudinal et de la couronne rayonnante. Peut-
miques postérieures, les radiations optiques de Gratiolet. Elles LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU . OPTIQUE C
tiques de Gratiolet. Elles LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU . OPTIQUE CENTRAL TJG3 prennent leur origine da
sagittale externe (en insistant sur la disposition topographique du faisceau longitudinal inférieur qu'elle renferme) et nou
e corps genouillé externe ; il ne s'agissait pas de soutenir que le faisceau longitudinal reçoit des fibres du corps genouil
s étudié dans le tome I, la couche sagittale externe sous le nom de faisceau longitudinal inférieur et avons mon- tré qu'ell
de projection (mais que en 1895, on avait soigneusement séparées du faisceau longitudinal) destinées aux ganglions infracortic
e, l'arrivée, au niveau du carre- four ventriculaire, des fibres du faisceau de Turck, des radiations cortico-ge- jouillées
chs,Weber, etc., c'est-à-dire tous les auteurs qui reconnaissent au faisceau longitudinal in- férieur, un fort contingent d'
corticaux (de la région sous-optique du rhombencéphale, etc.) LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
e du rhombencéphale, etc.) LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 565 Nous ne parlons, bien enten
uches sagit- tales du segment postérieur de la couronne rayonnante ( faisceau longitudinal et radiations thalamiques) pouvant
es importantes du névraxe entier, que le pulvinar offre passage aux faisceaux qui se rendent du tronc encéphali- que à l'hémi
sions du lobe occipital, « elles entraînent une dégé- nérescence du faisceau longitudinal inférieur pouvant être suivie d'une
sectionnant à ce niveau, les couches sagittales (en particulier, le faisceau longitudinal) et le tapétum. On observe (Anat
erne de la corne occipitale et du carrefour ventriculaire. Cette LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
efour ventriculaire. Cette LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 567 dégénérescence se poursuit
AL 567 dégénérescence se poursuit dans la couche sagittale externe ( faisceau longitu- dinal inférieur) du segment inférieur
e jusqu'au noyau amygda- lien ; une partie des fibres dégénérées du faisceau longitudinal inférieur s'ir- radie dans l'écorc
yer ancien sectionne, au niveau du bourrelet du corps cal- leux, le faisceau longitudina linférieur dans son segment sous-vent
ianes non lésées, et reconnaître l'intégrité du segment limbique du faisceau longitu- dinal inférieur (longues fibres d'asso
énérescence très intense des couches sagittales (en particulier, du faisceau longitudinal) qui tapissent la paroi inférieure e
yau amygdalien, elle tient (croyons-nous) à la section - non pas du faisceau longitudinal mais des fibres d'association qui
ont au contraire des fibres corticipètes et qu'elles'font partie du faisceau optique central que nous avons décrit. Leur local
ouvelle Iconographie, 1906, n° 2, pep.205-208). Enfin d'où vient ce faisceau longitudinal vigoureux qui occupe la circonvo-
mbique ? provient-il de cette région même ? Ce serait accorder à ce faisceau une origine nouvelle, car nous ne la lui connaiss
nne sert de trait d'union à deux parties sai- nes d'un seul et même faisceau qui existerait dans sa totalité si le trait d'uni
scence très nette des couches sagittales (radiations thalamiques et faisceau longitudinal inférieur). » Cela nous paraît trè
fusiforme sur une étendue antéro-postérieure de 6 centimètres ; LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
érieure de 6 centimètres ; LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 569 cette dernière plaque comme
'est pas ». Quand l'on songe que c'est au niveau du pulvinar que le faisceau génicuto- calcarinien (que nous croyons digne d
e rapportent nos distingués contradicteurs : « la dégénérescence du faisceau longitudinal infé- rieur (il s'agit vraisemblab
volu- tions temporales se traduise par une grosse dégénérescence du faisceau longi- 570 LASALLE ARCHAMBAULT tudiual (dans'
, pouvait être suivie presque dans la pointe occipitale, etc. ». LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
pointe occipitale, etc. ». LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 571 Nous tenons à faire remarqu
nous ne voyons pas très bien comment le cas de dégénérescence du « faisceau longitudinal inférieur » (se faisant d'avant en a
énérescence très intense des couches sagittales externe et interne ( faisceau longitudinal inférieur et radiations tha- lamiq
ipitale ? 2 Est-il juste d'affirmer la dégénérescence rétrograde de faisceaux , dont l'ori- gine réelle, le trajet exact et le
qui se rapportent aux cas très instructifs que l'on met à notre LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
ctifs que l'on met à notre LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL z disposition, laissent certain
dégénérescence rétrograde, cellulipète, des radiations thalamiques, faisceau de Türck, etc. Or, un pareil cas n'a pas encore
maine exclusif des fibres qui constituent au niveau de la moelle les faisceaux pyramidal direct et pyramidal croisé. La démons
nce durable, car la préci- sion est l'essence même du progrès. Le faisceau longitudinal inférieur de Burdach est un autre ex
llement cons- tante que nous l'avons individualisé sous le nom de « faisceau optique central ou encore de « faisceau génicul
ividualisé sous le nom de « faisceau optique central ou encore de « faisceau géniculo-calcarinien, » conformément à la nomencl
corticale. On nous a reproché- on nous reproche encore de donner au faisceau longitudinal inférieur une origine exclusivemen
ues considérations nouvelles qui nous paraissent dé- montrer que le faisceau optique central possède réellement une parfaite i
vi- dualité. A priori, l'opinion qui accorderait à la totalité du faisceau longitudinal infé- rieur un caractère uniquemen
rquer que dès le début nous avons eu le soin : 1° de ne comparer le faisceau longitudinal avec la couche externe qu'au nivea
séparation. Cela nous entraînerait trop loin d'insister de noua LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
op loin d'insister de noua LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 57H veau sur cette inépuisable
uteurs qui reconnaissent comme nous (mais longtemps avant nous), au faisceau longitudinal, un contingent considérable de fibre
élément d'association à même titre que le cingulum inférieur et le faisceau uncinatus en avant, les faisceaux de Sachs, de Vi
re que le cingulum inférieur et le faisceau uncinatus en avant, les faisceaux de Sachs, de Vialet et de Wernicke dans le lobe
s à le dire, « toutes les fibres d'association que l'on attribue au faisceau longitudinal depuis Burdach jusqu'à nos jours,
squ'à nos jours, ne sont autres que les fibres profondes des divers faisceaux qui l'entourent et que l'on a affranchis ». Le
des divers faisceaux qui l'entourent et que l'on a affranchis ». Le faisceau longitudinal se contracte alors i vue d'oeil et
présente le thalamus. Nous voilà réduit à ce qui reste de l'ancien faisceau longitudinal inférieur, à savoir, le « laisceau
eur que l'on considérait autrefois comme étant « ex- clusivement un faisceau d'association », et la partie supérieure « intime
urs. Nous n'avons pas l'intention de préciser ici le pourcentage du faisceau op- tique central dans la constitution de la co
constitution de la couche sagittale externe. La descrip- tion de ce faisceau est déjà faite (Rev. Neurol., 190â, n° ` ? ` ? et
samment claire. Il ressort nettement de ces considérations que le « faisceau optique central » est de souche longitudinale,
asciner par cette proposi- tion synthétique de notre mémoire : « Le faisceau optique central s'identifie d'une façon remarqu
aisceau optique central s'identifie d'une façon remarquable avec le faisceau longitudinal inférieur ; nous croyons que ces d
avec le faisceau longitudinal inférieur ; nous croyons que ces deux faisceaux ne font qu'un. » Admis ! ce fut très imprudent, m
aduisent. Nous avions transgressé en désignant par le néologisme. « faisceau optique central », le contingent ge- nouillé (q
le contingent ge- nouillé (qui mérite d'avoir sou propre cachet) du faisceau primitif. Mais, ar- rivé au moment décisif, il
les éléments si opposés que 576 ,LASALLE ARCIIAMBAULT renferme le faisceau de Burdach, et nous pourrions nous justifier en f
sur le voisinage des fibres d'associa- tion ; sur le volume réel du faisceau longitudinal dans les cas de lésions super- fic
ue, nous tenons à dire que s'il l'était, si nous -avions dit que le faisceau longitudinal inférieur pro- vient exclusivement
centres nerveux demeure fidèle à ses principes. C'est pourquoi, le faisceau longitudinal inférieur, pure- ment d'associatio
uis un contingent de projection en 1901, dut sacrifier son titre de faisceau et se laisser englober par la couche sagittale
i- gueur on leur refusa de partager le domaine et la physiologie du faisceau py- ramidal direct d'origine corticale ? Nous d
er que l'on a établi une comparaison entre la voie pyramidale et le faisceau longitudinal inférieur; que l'on a même rapproc
c- corde à la terminologie, quand nous dirons que la similitude des faisceaux py- ramidal et optique central (ou géniculo-c31
.de foi », que nous le premier, tenons à hautement respecter. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
ons à hautement respecter. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 577 Que l'on veuille bien nous
son secteur occipital qui est également (pour nous) à ce niveau, le faisceau longitudinal inférieur (pris dans sa phase de pur
pûmes plus étaler sur toute l'é- tendue du domaine qu'avait reçu le faisceau classique, les fibres que la dégé- nérescence s
tout « occipital ». Il s'était produit en effet un fendillement du faisceau 'primitif aux dépens des couches superficielles
egments inférieur et iriféro-latéral ; il en ré- sulta une série de faisceaux secondaires dont les fibres sont courtes et de lo
et de lon- gueur intermédiaire. Or,ces fibres ne constituent pas un faisceau dans le sens propre du mot, mais une suite de f
tuent pas un faisceau dans le sens propre du mot, mais une suite de faisceaux ; de plus, l'ensemble de ces fibres n'appartient
e prime importance que (pour ne rien préjuger) nous avons dénommé « faisceau optique central » Or, ce contingent est le seul
qui rencontre, non pas toutes, mais la majorité des obligations du faisceau longitudinal inférieur. Le faisceau optique cen
is la majorité des obligations du faisceau longitudinal inférieur. Le faisceau optique central est la seule image fidèle du lo
ieur. Le faisceau optique central est la seule image fidèle du long faisceau dont avait rêvé notre antiquité. Suivons main
g faisceau dont avait rêvé notre antiquité. Suivons maintenant le faisceau optique central d'une région à l'autre et voyon
en fait, au niveau de l'hémisphère, l'équivalent sensoriel du grand faisceau mo- teur du tronc encéphalique. Avant de proc
'observe entre les divers niveaux correspondants que traversent ces faisceaux , nous devrons présenter les choses sous un aspect
légitime qu'il répond à la réalité des faits. En premier lieu, le faisceau optique central représente pour nous une entité
une entité anatomo-fonctionnelle qui mérite d'être connue. C'est un faisceau sensoriel corticipète, c'est donc en sens exact
ainsi dire, le revers de la médaille. 578 LASALLE ARCHAMBAULT Le faisceau optique central tire son origine du plus importan
nte très émoussée et dirigée en arrière, cor- respoud au passage du faisceau de Türck dans la capsule interne. Bien que cela
ela ne soit pas rigoureusement exact, nous croyons que la couche LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
nous croyons que la couche LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 579 externe de ces fibres verti
e lame que nous voulons faire un pied de pédoncule provisoire. Le faisceau de Tùrck passe dans le pied du pédoncule en arriè
s le pied du pédoncule en arrière et au-dessous (coupe frontale) du faisceau pyramidal et constitue son cinquième externe ; il
terne ; il passe dans la capsule interne en arrière et au-dessus du faisceau optique qu'il sépare du faisceau pyramidal et c
interne en arrière et au-dessus du faisceau optique qu'il sépare du faisceau pyramidal et concourt également à former le cinqu
ns les localisations capsulaires. Nous ajouterons que les fibres du faisceau optique central occupent environ les deux cinquiè
e que dans un travail ultérieur. Passons à la protubérance de notre faisceau optique central, que nous em- prunterons à cett
ux. Ainsi que nous l'avons dit dès notre première des- cription, le faisceau optique est grandement dissocié dans cette partie
éro-interne et externe de l'hémisphère (que nous avons comparées au faisceau de Vialet), et dont un bon nombre rappellent le
is- ceau optique central se dispose en fascicules, comme le fait le faisceau pyramidal dans l'étage antérieur de la protubér
uperficielle des fibres transverses ponto-cérébelleuses, de même le faisceau optique central est-il séparé de- l'épendyme vent
entricule latéral. Au-dessous de la paroi inférieure, les fibres du faisceau optique ne se localisent pas entièrement dans l
laire. Enfin en arrière du bourrelet du corps èalleux les fibres du faisceau optique 580 ' LASALLE ARCHAMBAULT central se
ptique ; elle est excavée mais non moins précieuse. Les fibres du faisceau optique central se terminent surtout dans les deu
e à part, et en plus, si l'on considère que nous n'avons qu'un seul faisceau et non deux ; si l'on ne néglige pas ces par- t
segment péri- phérique ou extra-cérébral de l'un et de l'autre des faisceaux que nous com- parons. Nous tenons à dire que l'
riphérique et ses terminaisons muscu- laires (plaques motrices). Le faisceau pyramidal ne s'entrecroise qu'en arri- vant prè
es racines motrices dont l'ensemble représente, pour ainsi dire, le faisceau moteur périphérique ou trophique. Nous savons c
mental prend naissance en dehors de l'hémisphère cérébral ; s'il LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
hémisphère cérébral ; s'il LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 581 n'est pas périphérique dans
s genouillé et la zone réticulée), pédoncule; mais sont séparées du faisceau de Tûrck et de la voie pyramidale par la zone r
eur sont considérés par certains auteurs comme point de départ d'un faisceau descen- dant du tronc encéphalique ; par exempl
d'un faisceau descen- dant du tronc encéphalique ; par exemple le « faisceau optique descendant » de Van Gehuchten qui tire
phérique, mais ne représente qu'un simple récepteur sensoriel. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
imple récepteur sensoriel. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 583 On serait douc en présence
disant qu'il cor- respond, au point de vue de notre comparaison des faisceaux pyramidal et optique central, aux cellules des
hésie dans des cas de lésions purement corticales, le fait n'est LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
corticales, le fait n'est LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL S85 guère douteux ; mais nous c
ive corticale. Le corps genouillé externe est le noyau d'origine du faisceau optique central et c'est dans sa partie postérieu
s vu que ce ganglion optique primaire est le point de dé- part d'un faisceau corticipète, qui présente aux différents niveaux
nt à établir sa ressemblance avec l'entrecroisement pyramidal. Le faisceau nasal (faisceau pyramidal croisé) est supéro-inte
ressemblance avec l'entrecroisement pyramidal. Le faisceau nasal ( faisceau pyramidal croisé) est supéro-interne dans le ch
ro-interne dans le chiasma, inféro-interne dans la bandelette. Le faisceau temporal (faisceau pyramidal direct) est inféro-e
chiasma, inféro-interne dans la bandelette. Le faisceau temporal ( faisceau pyramidal direct) est inféro-externe dans le ch
féro-externe dans le chiasma, supéro-externe dans la bandelette. Le faisceau maculaire central est l'équivalent du contingen
eau maculaire central est l'équivalent du contingent homolatéral du faisceau pyramidal croisé. Il suffit d'observer l'entrec
optique et la décussation pyramidale.Un seul changement, c'est que le faisceau optique'direct est latéral et le faisceau pyram
changement, c'est que le faisceau optique'direct est latéral et le faisceau pyramidal direct est, au contraire, dé- placé v
le. Que devient le contingent temporal non-croisé qui correspond au faisceau pyramidal direct ? La physiologie et la cliniqu
ssible de préciser le lieu de terminaison de l'un ou de l'autre des faisceaux rétiniens. Quoi qu'il en soit, toutes les fibre
téral ; enfin, de simples fibres agenouil- lées commissurales. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
uil- lées commissurales. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL S87 D'après les auteurs le fais
INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL S87 D'après les auteurs le faisceau maculaire se termine essentiellement dans le co
intra-cérébrale. Pour notre part, nous sommes plutôt d'avis que le faisceau maculaire n'abandonne que le moindre nombre de
ouillée du neurone visuel intra-cérébral, que nous avons dénommé, « faisceau optique central » ou « faisceau géniculo-calcarin
cérébral, que nous avons dénommé, « faisceau optique central » ou « faisceau géniculo-calcarinien ». Ce faisceau est la cont
« faisceau optique central » ou « faisceau géniculo-calcarinien ». Ce faisceau est la continuation de la proportion 80 0/0 de
rébrale. Ainsi que l'ensemble des racines motrice, constituerait un faisceau plus volumineux que le faisceau pyramidal, de m
s racines motrice, constituerait un faisceau plus volumineux que le faisceau pyramidal, de même le faisceau optique central
t un faisceau plus volumineux que le faisceau pyramidal, de même le faisceau optique central est-il certainement plus dévelo
e terminent dans les noyaux des cordons postérieurs. Cependant le faisceau optique central est sensiblement moins volumineux
l ne paraît. La configuration de l'hémisphère prête à l'illusion, les faisceaux . sont étalés sur une étendue beaucoup plus cons
; Nouvelle Iconog., 1906, n° 2, p. 205-208 et Cas Roll, p. 190). Le faisceau optique central prend naissance au niveau de la b
e temporo-occipital pour s'irradier dans l'écorce calcarinienne. Ce faisceau visuel central ressemble beaucoup à la voie pyr
rtir de l'hémisphère ou de lui donner un caractère moteur. C'est un faisceau sensoriel 88 LASALLE ARCHAMBAULT corticipète
vons voulu démontrer qu'il possède absolument la caractéristique du faisceau py- ramidal ; il y a entre ces deux faisceaux u
la caractéristique du faisceau py- ramidal ; il y a entre ces deux faisceaux une similitude de disposition fascicu- laire qu
rait remarquable. Ceci nous ramène il la considération du trajet du faisceau optique central au niveau du lobe occipital ; i
ème ex- terne du pied du pédoncule cérébral. En d'autres termes, le faisceau pyramidal a parcouru le long trajet cortico-bul
ifications de volume ou de qualité. Il en est absolument ainsi du faisceau optique central. Ses fibres font partie intégra
ou moins avec les autres fibres de la couronne rayonnante, mais ce faisceau traverse la totalité du lobe temporo-occipilal
ion de notre cas Roll. (Nouvelle Iconog., 1906, n° 2, p. 190). Le faisceau optique central se termine uniquement dans l'écor
galement ici que se dessine une moelle assez véritable. Les fibres du faisceau optique se déploient lentement et forment un an
ble qui est situé au-dessous et en dehors de la corne occipitale LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
ors de la corne occipitale LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 589 représente le faisceau pyra
ITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 589 représente le faisceau pyramidal croisé (en tant que morphologie), le mi
tant que morphologie), le mince complément supéro-interne égale le faisceau pyramidal direct. Que ces notions sont plus rée
du contingent qui répond (au point de vue de notre comparaison) au faisceau pyramidal direct. Evidemment nous n'attachons a
autre fait qui invite à établir cette similitude de trajet entre le faisceau optique central et les faisceaux médullaires de l
cette similitude de trajet entre le faisceau optique central et les faisceaux médullaires de la voie pyramidale. Une fois que
sse en arrière la corne occipitale, on cons- tate la disparition du faisceau optique direct ; il ne reste au niveau de la poin
lame, la continuation de ce que nous avons appelé (par analogie) le faisceau optique croisé. Cette lame s'épuise rapidement, g
rition à un niveau variable (le plus souvent dor- sal supérieur) du faisceau direct et irradiation rapide dès que l'on aborde
t irradiation rapide dès que l'on aborde le renflement lombaire. Le faisceau optique central présente les mêmes variations d
riations de trajet, de volume et de disposition fasciculaire que le faisceau moteur. Il importe d'insister sur ce fait, que
ontal (coupe frontale) des couches sagittales. Ces deux segments du faisceau optique central sont exposés comme le sont les
nts du faisceau optique central sont exposés comme le sont les deux faisceaux de la voie pyramidale à être refoulés, déplacés ;
cette comparaison ; nous croyons avoir démontré suffisamment que le faisceau optique central est au niveau de l'hémisphère c
nsitif. Nous revenons sur ce fait que, jusqu'à ce jour,il n'est aucun faisceau de projection corticipète qui ait été individua
al et corticipète de la voie visuelle, nous avons donné le nom de « faisceau optique central » afin de rendre au contingent tr
e renferme un ensemble classique, son cachet véritable. Quel est ce faisceau dont les fibres de toute longueur existent à l'ét
'une lésion cérébrale se traduit par une réaction médullaire qui LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CEN
ne réaction médullaire qui LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 591 n'intéresse que le,, faisce
L INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 591 n'intéresse que le,, faisceaux pyramidal direct et pyramidal croisé, de même u
Mme Dejerine terminent leur réponse en nous reprochant de donner au faisceau longitudinal inférieur une origine exclusivement
ance. Nous tenterons de démontrer, dans un prochain article, que le faisceau optique central existe tel que nous l'avons rep
présenté au début, et qu'il est aussi individualisable que l'est le faisceau pyramidal. QUELQUES PHOTOGRAPHIES D'ARABES SY
cence médullaire (1 pl., 9 dess.), 539. Lasalle-Arciiambault. Le faisceau longitu- dinal inférieur et le faisceau optique
Lasalle-Arciiambault. Le faisceau longitu- dinal inférieur et le faisceau optique central (suite et fin) (6 pl.. G sch.,
flg.), 1031118. 598 TABLE DES AUTEURS LASALLE-ARCIL131BABLT. Le faisceau longitu- dinal inférieur et le faisceau optique
LASALLE-ARCIL131BABLT. Le faisceau longitu- dinal inférieur et le faisceau optique cen- tral, 561. Lejonne et Chartier.
Petit, 458. Eunuchisme et érolisme (2 pi.), par A. Marie, 412. Faisceau longitudinal et faisceau optique central, par L
et érolisme (2 pi.), par A. Marie, 412. Faisceau longitudinal et faisceau optique central, par LASALLE-ARCHAMBAULT, 561.
udinal et faisceau optique central, par LASALLE-ARCHAMBAULT, 561. Faisceau longitudinal inférieur el faisceau optique cent
l, par LASALLE-ARCHAMBAULT, 561. Faisceau longitudinal inférieur el faisceau optique central (tuile et fin) (6 pl., 6 sch.,
et fin) (6 pl., 6 sch., 7 lig.), par L.1S\LLE-1RCII111OULT, 978· Faisceau lo«ltlmlrnal et faisceau optique rentrai, par L
7 lig.), par L.1S\LLE-1RCII111OULT, 978· Faisceau lo«ltlmlrnal et faisceau optique rentrai, par L \5 \LLf;-AHCII,UIU,\ULT,
erte à M. Paul nicher, LXII. Eunuchisme (A. Marie), LXVIII, LXIX. Faisceau longitudinal inférieur et le fais- ceau optique
8 (1891) Anatomie pathologique de la moëlle épinière : 45 planches en héliogravure avec texte explicatif
it alors principalement de reconnaître d'une façon exacte, dans les faisceaux blancs ou dans les divers départements de la su
'on appelle la moelle épinière, il n'existe, pour ne parler que des faisceaux blancs, plusieurs régions répondant en quelque
par exemple, à certains groupes de cellules nerveuses, à cer- tains faisceaux de fibres. Il est permis d'en douter. La maladie
ision; elle nous permet de constater quel groupe de cellules, quels faisceaux de fibres nerveux ont été irrités, atrophiés ou
t singulièrement rétréci l'aire des terres inconnues. Les anciens faisceaux postérieurs, par l'étude des lésions systématique
iques, avaient été décomposés déjà en deux régions distinctes : les faisceaux de Goll et les zones radiculaires postérieures;
: les faisceaux de Goll et les zones radiculaires postérieures; les faisceaux antéro-latéraux des auteurs avaient été à leur
raux des auteurs avaient été à leur tour divisés en trois régions : faisceaux pyramidaux, faisceaux de Turck, zones radiculai
nt été à leur tour divisés en trois régions : faisceaux pyramidaux, faisceaux de Turck, zones radiculaires antérieures; aujou
aurions à énumérer en plus bien d'autres découvertes, à savoir : les faisceaux de Gowers, les zones de Lissauer, les zones mar
vale de Flechsig, etc., etc. Et cette multiplication des zones, des faisceaux , des régions plus ou moins autonomes qu'on vient
sur nos indica- tions par M. Paul Richer. Il résume la division des faisceaux blancs et des parties différenciées de la subst
térieure (grise). N. Sillon antérieur. 0. Sillon postérieur. P. Faisceau de Tii1'li, ou pyramidal direct. Q. Faisceau an
rect. T. Faisceau pyramidal croisé. U. Zone marginale externe, ou faisceau profond du cordon latéral. V. Zone externe de
erne de Westplrol. Y. Faisceau de Burdach, ou zone radiculaire du faisceau postérieur. Z. Faisceau de Goll, ou cordon grèl
méthode de Pull. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Faisceau antérieur. D. Faisceau latéral. E. Sillon pos
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Faisceau antérieur. D. Faisceau latéral. E. Sillon postérieur. F. Sillon anté
ne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racines antérieures. D. Faisceau latéral. E. Sillon postérieur. F. Sillon anté
ntérieure. J. Commissure postérieure. K. Racine postérieure. L. Faisceau antérieur. Figure 4. MOELLE NORMALE. Canal ce
sceau antérieur. F. Sillon antérieur. G. Cordon postérieur. II. Faisceau latéral. I. Sillon postérieur. J. Racine post
Sillon postérieur. J. Racine postérieure. Figure 6. Portion du faisceau latéral de la coupe précédente, vue à un fort gro
postérieure. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieur. 7J. Faisceau antérieur. I. Faisceau latéral. J. Faisceau p
ure antérieure. G. Sillon antérieur. 7J. Faisceau antérieur. I. Faisceau latéral. J. Faisceau postérieur. Figure 8.
Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Cordon antérieur. D. Faisceau latéral. E. Faisceau postérieur. F. Sillon po
ine postérieure. F. Sillon postérieur. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau postérieur sain. 1-J. Zones enflammées des cor-
térieur gauche. Les altérations vasculaires sont remarquables dans le faisceau latéral gauche. A. Corne antérieure. B. Cor
latéral gauche. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Faisceau latéral droit un peu altéré. D. Commissure an
ostérieur. JI, Racine postérieure. 1. Cordon antérieur sain. /. Faisceau latéral altéré. K. Coupe de vaisseau altéré.
n. /. Faisceau latéral altéré. K. Coupe de vaisseau altéré. L'. Faisceau postérieur sclérosé. CI. Corne postérieure gauc
F. Corne postérieure. G. Cordon latéral. ? Racine postérieure. I. Faisceau postérieur. J. Commissure antérieure. PLANCHE
che. L. Cavité pathologique de la corne antérieure droite. ,Il. Faisceau latéral. Figure 18. MYÉLITE CAVITAIRE. -- Rég
L. Partie moins altérée de la même plaque. M. Zone sclérosée du faisceau postérieur. Ces deux préparations sont prises
llon antérieur. H. Faisceau postérieur sain. I. Zone respectée du faisceau antéro-latéral droit. J. Plaque sclérosée du
espectée du faisceau antéro-latéral droit. J. Plaque sclérosée du faisceau antérieur gauche. K. Partie de la corne gauch
r la plaque de sclérose. L. Partie de cette plaque située dans le faisceau lat. gauche. M. Zone sclérosée du faisceau po
plaque située dans le faisceau lat. gauche. M. Zone sclérosée du faisceau postérieur. N. Zone sclérosée du faisceau l
M. Zone sclérosée du faisceau postérieur. N. Zone sclérosée du faisceau latéral droit. Figure 24. SCLÉROSE EN PLAQU
on latéral sain. J. Zone très altérée du cordon postérieur. IC. Faisceau latéral gauche sclé- rosé. G-61. Partie sclér
. Partie sclérosée des cor- dons antérieurs. N. Zone sclérosée du faisceau latéral gauche. Les figures 23, 25 et 26 repr
La sclérose occupe les cordons postérieurs et la presque totalité des faisceaux anléro- latéraux. A. Corne antérieure. B. C
ne du cordon latéral. K. Partie saine du cordon anté- rieur. L. Faisceau de Gowers sclérosé. if. Faisceau cérébelleux sc
aine du cordon anté- rieur. L. Faisceau de Gowers sclérosé. if. Faisceau cérébelleux sclérosé. N. Faisceau postérieur sc
aisceau cérébelleux sclérosé. N. Faisceau postérieur sclérosé. 0. Faisceau pyramidal sclérosé. FIGURE 32. SCLÉROSE COMBI
sure antérieure. G. Sillon postérieur. Il. Sillon antérieur. 1. Faisceau antérieur respecté. J. Faisceau de Gowers sclér
. Faisceau de Gowers sclérosé. K. Faisceau pyramidal sclérosé. L. Faisceau postérieur sclérosé. M. Zone de Westphal respec
e et colorée par la méthode au carmin. On y voit la dégénération du faisceau pyramidal direct et du faisceau pyramidal croisé
armin. On y voit la dégénération du faisceau pyramidal direct et du faisceau pyramidal croisé correspondant. 1 A. Corne an
e antérieure. G. Sillon antérieur. H. Cordon antérieur sain. I. Faisceau postérieur sain. J. Faisceau cérébelleux direct
croisé dégénéré. J. Faisceau pyramidal direct dé- généré. K'. Faisceau symétrique in- demne. FIGURE 34. DÉGÉNÉRATI
orée par la méthode de Pall. On voit la dégénération portant sur le faisceau pyramidal. A. Corne antérieure. B. Corne post
sure antérieure. G. Sillon antérieur. H. Faisceau antérieur. I. Faisceau postérieur sain. J. Faisceau cérébelleux direct
érébelleux direct sain. K. Faisceau pyramidal dégé- nère. K'. Faisceau symétrique in- demne. Les pièces qui ont four
égie et contracture secondaire, liée à la dégénération consécutive du faisceau pyra- midal. PLANCHE XVIII Figure 35. DÉG
t. La dégénération plus ancienne est très prononcée à gauche, où le faisceau pyramidal croisé et le faisceau pyramidal direc
est très prononcée à gauche, où le faisceau pyramidal croisé et le faisceau pyramidal direct sont très affectés; elle est à p
dal direct sont très affectés; elle est à peine marquée sur le seul faisceau pyramidal croisé droit. A. Corne antérieure.
r. H. Faisceau pyramidal croisé gauche tout à fait dégénéré. I. Faisceau pyramidal direct dé- généré. J. Faisceau pyra
E DESCENDANTE. - Région cervicale. La figure représente un point du faisceau pyramidal croisé gauche dégénéré, de la prépara
t. La dégénération plus ancienne est très prononcée à gauche, où le faisceau pyramidal croisé et le faisceau pyramidal direc
est très prononcée à gauche, où le faisceau pyramidal croisé et le faisceau pyramidal direct sont très affectés; elle est à p
dal direct sont très affectés; elle est à peine marquée sur le seul faisceau pyramidal croisé droit. .ri. Corne antérieure.
G. Sillon postérieur. H. Faisceau de Turck droit dé- généré. I. Faisceau pyramidal gauche dégénéré. J. Faisceau pyrami
AIRE DESCENDANTE. Région dorsale. La préparation montre un point du faisceau pyramidal gauche dégénéré, coupé longi- tudinal
issement. On ne distingue guère que du tissu fibrillaire disposé en faisceaux plus ou moins ondulés. A-A. Faisceaux scléreux.
r le plus ancien (droit) correspond la dégénération très accusée du faisceau pyramidal gauche. PLANCHE XX Figure 39. DÉG
êmement intense sur les cordons de Goll, et à peine marquée sur les faisceaux cérébelleux directs, et de Gowers. A. Corne ant
postérieure. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau pyramidal intact. I. Faisceau postérieur normal
érieure. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau pyramidal intact. I. Faisceau postérieur normal. J. Cordon de Goll dégénéré.
I. Faisceau postérieur normal. J. Cordon de Goll dégénéré. IC. Faisceau cérébelleux direct peu altéré. FIGURE 40. D
ar la méthode de Weigert. La dégénération occupe symétriquement les faisceaux pyramidaux croisés. A. Corne antérieure. B. C
térieur. ? Racine antérieure. /. Cordon postérieur indemne. .1-J. Faisceaux pyramidaux dé- générés. IL Partie respectée d
.1-J. Faisceaux pyramidaux dé- générés. IL Partie respectée du faisceau Il anléro-latéral. PLANCHE XXI Figure 41.
ode de Weigert. La dégénération siège dans les cordons de Goll, les faisceaux cérébelleux directs et de Gowers. A. Corne an
Commissure antérieure. G. Sillon antérieur. H. Partie indemne du faisceau antéro-latéral. 1. Partie indemne du faisceau
. Partie indemne du faisceau antéro-latéral. 1. Partie indemne du faisceau postérieur. J. Faisceau de Gowers dégénéré.
de Gowers dégénéré. K. Faisceau cérébelleux direct dégénéré. L. Faisceau de Goll dégénéré. Figure 42. DÉGÉNÉRATION SEC
sains. D. Cavité d'un vaisseau altéré. E. Paroi épaissie du môme faisceau . Les préparations qui ont fourni les planches X
es cornes antérieures, et la légère dégénération correspondante des faisceaux pyramidaux. A-.4'. Cornes antérieures alté- r
re antérieure. G. Sillon antérieur. II-II. Parties indemnes des faisceaux antéro-latéraux. J. Faisceau postérieur. J-J.
les lésions des cornes antérieures et la dégénéralion secondaire des faisceaux pyramidaux. A. Région peu altérée. A'. Régi
G. Sillon antérieur. II. Cordon postérieur. 1. Partie indemne du faisceau antéro-latéral. J. Faisceau cérébelleux indem
faisceau antéro-latéral. J. Faisceau cérébelleux indemne. K-K'. Faisceaux pyramidaux dégénérés. Les préparations qui no
postérieure. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau postérieur. /. Faisceau antéro-latéral. J. Ra
re antérieure. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau postérieur. /. Faisceau antéro-latéral. J. Racines antérieures. PLANC
on de Goll respecté. I. Zone de Lissauer et zone pos- térieure du faisceau de Bur- dach indemne. .1. Zone de Westphal no
antérieure. F. Commissure postérieure. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau latéral. - I. Zone antéro-externe de West- ph
t. Cas classique dans lequel on voit la sclérose presque totale des faisceaux postérieurs. A. Corne antérieure. B. Corne po
antérieure. F. Commissure postérieure. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau antéro-latéral. I. Cordon postérieur sclérosé.
llon postérieur. G. Sillon antérieur. H. Faisceau antérieur. 1. Faisceau latéral. J. Zone antéro-externe de West- phal
ontre-t-elle surtout les lésions secondaires du cordon de Goll, les faisceaux de Burdach étant relativement peu altérés. A. C
sure antérieure. G. Sillon antérieur. R. Faisceau antérieur. I. Faisceau latéral. J. Faisceau de Burdach. K. Cordon de
eur. G. Cordon latéral. IL Zone de Westphal moins altérée. I. Faisceau de Burdach altéré. J. Zone de Lissaüer altérée.
elle de la figure précédente, a épargné la partie posté- rieure des faisceaux de Burdach, et les zones de Lissauer. Seul le cor
postérieure. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieur. IL Faisceau latéral. I. Zone antérieure de Westphal. J. Z
nes de Lissaüer indemnes se confondant avec la zone postérieure des faisceaux de Bur- dach. J7. Zone antéro-externe de West
icale supérieure et colorée par la méthode de Pall. La sclérose des faisceaux pyramidaux est très nettement dessinée. A. Corn
orée par la méthode de Pall. La lésion est visible dans la zone des faisceaux pyramidaux. A. Corne antérieure. B. Corne pos
Figure 62. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Faisceaux pyramidaux. La figure représente un point de la
yramidaux. La figure représente un point de la région sclérosée des faisceaux latéraux colorée au picrocarmin, vue à un gross
ar la méthode de Pall. La lésion est strictement cantonnée dans les faisceaux pyramidaux et les cornes anté- rieures. A. Co
lorée par la méthode de Pall. La lésion occupe toujours la zone des faisceaux pyramidaux, elle se remarque aussi dans la régi
Figure 66. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Faisceau pyramidal. Coupe longitudinale de la région scl
eu de développement du manteau blanc de la moelle, et notamment des faisceaux postérieurs, et des faisceaux pyramidaux. Ces der
blanc de la moelle, et notamment des faisceaux postérieurs, et des faisceaux pyramidaux. Ces derniers n'existent pas encore.
J, Partie fondamentale du fais- ceau antéro-latéral. 1. Région du faisceau pyramidal. FIGURE 68. MOELLE DE FOETUS DE CIN
la méthode de Weigert. L'absence presque complète de la myéline des faisceaux pyramidaux est très nettement visible, ainsi qu
x est très nettement visible, ainsi que le faible développement des faisceaux de Burdach. A. Corne antérieure. a-a-a. Cellu
ieur. Il. Partie fondamentale des cor- dons antéro-latéraux. 1. Faisceau pyramidal croisé. J. Cordon cérébelleux direct.
J. Cordon cérébelleux direct. K. Faisceau pyramidal direct. L. Faisceau de Burdach. ,Il. Faisceau de Goll. Nous avons
ect. K. Faisceau pyramidal direct. L. Faisceau de Burdach. ,Il. Faisceau de Goll. Nous avons reproduit ici ces préparati
t beaucoup plus accentuée dans les cordons postérieurs que dans les faisceaux latéraux où elle occupe les faisceaux pyramidaux,
dons postérieurs que dans les faisceaux latéraux où elle occupe les faisceaux pyramidaux, cérébelleux directs, et une petite
es faisceaux pyramidaux, cérébelleux directs, et une petite zone du faisceau de Gowers. A. Corne antérieure. B. Corne post
e fondamentale du fais- ceau antéro-latéral. 1. Zone sclérosée du faisceau de Gowers. J. Colonne de Clarke altérée. K.
rée. K. Faisceau pyramidal altéré. L. Cordon postérieur altéré. M. Faisceau cérébelleux direct altéré. Figure 70. MALAD
au cérébelleux direct altéré. Figure 70. MALADIE DE FRIEDREICH. Faisceau pyramidal. La préparation montre un point du fa
E FRIEDREICH. Faisceau pyramidal. La préparation montre un point du faisceau pyramidal faisant partie de la coupe représenté
ndemne. J. Zone de Lissauer peu altérée. K. Partie non altérée du faisceau latéral. L. Partie altérée du faisceau de G
K. Partie non altérée du faisceau latéral. L. Partie altérée du faisceau de Gowers. ill. Faisceau pyramidal altéré.
isceau latéral. L. Partie altérée du faisceau de Gowers. ill. Faisceau pyramidal altéré. If. Faisceau cérébelleux dire
érée du faisceau de Gowers. ill. Faisceau pyramidal altéré. If. Faisceau cérébelleux direct altéré. 0. Faisceau de Gol
au pyramidal altéré. If. Faisceau cérébelleux direct altéré. 0. Faisceau de Goll altéré. P. Faisceau de Burdach altéré.
sceau cérébelleux direct altéré. 0. Faisceau de Goll altéré. P. Faisceau de Burdach altéré. FIGURE 72. MALADIE DE FRIE
MALADIE DE FRIEDREICH. Vue à un fort grossissement d'une partie du faisceau de Burdach sclérosé, coloré par la méthode de P
. Faisceau pyramidal. K. Faisceau cérébelleux direct altéré. L. Faisceau postérieur altéré. Figure 74. MALADIE DE FRIE
et relativement considérable, ainsi que la sclérose secondaire des faisceaux pyramidaux. A. Corne antérieure. B. Corne pos
sure antérieure. G. Faisceau postérieur. IL Partie non altérée du faisceau latéral. I. Cavité pathologique. J. Paroi de
pathologique. J. Paroi de la cavité. IL Substance du gliome. L. Faisceau pyramidal dégénéré. FIGURE 76. SYRINGOMYÉLIE
sure antérieure. G. Cordon postérieur. 11. Partie non altérée des faisceaux latéraux. I. Cavité pathologique. J. Paroi de
pathologique. J. Paroi de la cavité. K. Substance du gliome. L. Faisceau pyramidal dégénéré. PLANCHE XXXIX Figure 77.
Sillon postérieur. E. Sillon antérieur. F. Partie non altérée du faisceau latéral. G. Faisceau postérieur. IL Cavité pa
e antérieure. J. Paroi de la cavité. K. Substance du glieme. L. Faisceau pyramidal altéré. FIGURE 78. SYRINGOMYÉLIE GL
. Racine postérieure. C. Sillon postérieur. D. Partie restante du faisceau antéro-latéral. E. Cordon postérieur. F. Fais
postérieur. E. Commissure antérieure. F. Sillon antérieur. (1. Faisceau antérieur. IL Cavité pathologique. Il'. Canal
sceau antérieur. IL Cavité pathologique. Il'. Canal central. /. Faisceau latéral. J. Paroi de la cavité. K. Masse glio
algré retendue de la lésion, il n'y a pas de dégénération nette des faisceaux blancs. A. Corne antérieure. B. Corne postéri
orne antérieure. B. Corne postérieure. C. Cordon postérieur. D. Faisceau antérieur. E. Faisceau latéral. F. Sillon ant
les deux énormes masses gliomaleuses non excavées situées dans les faisceaux antéro-latéraux et qui ont relativement épargné l
substance grise. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Faisceau antérieur. Û. Rariue postérieure. E. Sillon a
stance du gliome central. K-K. Masses gliomateuses situées dans les faisceaux antéro-latéraux. Cette coupe provient de la c
de substance gliomateuse, et il existe une sclérose remarquable des faisceaux pyramidaux directs et croisés. A. Corne antérie
postérieure. G. Sillon antérieur. IL Processus réticulaire. I. Faisceau cérébelleux direct indemne. J. Faisceau pyram
u de la partie intermédiaire entre les deux cornes. La sclérose des faisceaux pyramidaux est également manifeste. .1. Corne a
érieur. E. Sillon antérieur. F. Faisceau cérébelleux direct. n. Faisceau postérieur. Il. Cavité pathologique. 1". Subs
Sillon antérieur. F. Cordon antérieur. G. Faisceau latéral. Il. Faisceau postérieur. J. Tumeur. Les pièces de tumeur d
lle Iconographie de la Salpélrière, 1890). Sur la morphologie des faisceaux neuro-musculaires, en collaboration avec M. Marln
9 (1844) Traité complet de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux cérébro-spinal. Première partie. Anatomie
nerveux allant jusqu'à la ligne médiane. A F, relief longitudinal du faisceau moyen de la moelle allongée le long de la ligne m
rifice du ven-tricule de la moelle, ft, corps rhomboïdal. X, corps ou faisceau resti-forme. Y, pyramides postérieures; le sommet
ides se continue à droite et à gauche de la ligne médiane en un petit faisceau distinct qu'on peut suivre jusque dans la région
ZZZZ, lignes d'origine des racines postérieures des nerfs spinaux. M, faisceau latéral de la moelle épinière. FIGURE 3e. Cet
. de faire voir sur la face latérale fie la moelle épinière un petit faisceau qu'on peut suivre sans interruption depuis l'ex
leux, qu'il pénètre. Dans la moelle épinière du nouveau-né ce petit faisceau se distingue, par sa couleur franchement blanche,
cérébelleux. B, lobule céré-belleux auquel tient le nerf auditif. R, faisceau externe du pédoncule céré-belleux. Cette région d
n oblique a été relevé pour laisser voir, en h, l'endroit où le petit faisceau latéral de la moelle épinière entre dans le pédon
le pédoncule cérébelleux. E , protubérance annulaire. H hf h', petit faisceau latéral de la moelle épinière. V, éminence olivai
eprésente une vue postérieure de la moelle épinière, sur laquelle les faisceaux restiformes ont été coupés de chaque côté du cala
section jusqu'à l'extrémité de la région lom-baire de la moelle, ces faisceaux postérieurs ont été enlevés jusqu'à l'axe de la m
coupe du pédon-cule cérébelleux. C, coupe du corps restiforme Y'. A, faisceau latéral saillant à la surface du plancher du vent
à l'extrémité du renflement lombaire on voit se prolonger deux petits faisceaux conjugués sur la ligne médiane. Ces petits faisce
nger deux petits faisceaux conjugués sur la ligne médiane. Ces petits faisceaux font partie de l'axe de la moelle épinière. Dans
sversales qui vont de l'axe aux parties excentriques de la moelle. E, faisceau latéral. J J, renflement brachial. J'J' , renflem
te figure est destinée principalement à faire voir la continuation du faisceau postérieur de la moelle épinière dans le faisceau
la continuation du faisceau postérieur de la moelle épinière dans le faisceau restiforme de la moelle allongée ; la continuatio
ontinuité de cette région postérieure du tronçon pédonculaire avec le faisceau postérieur de la moelle, on a coupé le pédoncule
qui forment la région externe du pédoncule cérébelleux. U', coupe des faisceaux internes du pédoncule cérébelleux. H, nerf de la
cule cérébelleux. H, nerf de la cinquième paire prolongé à travers le faisceau externe du pédoncule cérébelleux jusqu'au faiscea
longé à travers le faisceau externe du pédoncule cérébelleux jusqu'au faisceau postérieur de la moelle allongée avec lequel il s
érieurs de la protubérance annulaire. Y, E, U', diverses régions du faisceau postérieur. H, fascicules pas-sant du faisceau po
', diverses régions du faisceau postérieur. H, fascicules pas-sant du faisceau postérieur dans les arcs transverses les plus éle
, petite portion de ce nerf. R R', grosse racine de ce nerf allant au faisceau postérieur et à Ja protubérance. QQ/ couches fibr
vert sur la ligne médiane.NN, Région fasciculée du pédoncule. UU' U", faisceau interne, faisceau moyen, faisceau externe du pédo
médiane.NN, Région fasciculée du pédoncule. UU' U", faisceau interne, faisceau moyen, faisceau externe du pédoncule cérébelleux.
on fasciculée du pédoncule. UU' U", faisceau interne, faisceau moyen, faisceau externe du pédoncule cérébelleux. E, racine de l'
antérieure gauche passés dans le côté droit de la moelle épinière. B, faisceau antérieur. B' faisceau latéral de cette moelle.
s dans le côté droit de la moelle épinière. B, faisceau antérieur. B' faisceau latéral de cette moelle. FIGURE 6e. Cette fig
er avec leur congénères et remonter après cet entrecroisement dans le faisceau moyen de l'autre côté qu'ils constituent. K, chia
ique, couche optique, corps géniculés. M, éminences mamillaires. NN', faisceaux de la région fasciculée du pédoncule. W, pyramide
lée du pédoncule. W, pyramide antérieure. V, éminence olivaire. Y, Z, faisceau postérieur. 0, noyau cérébelleux. PL.2 PL. 3
, coupe du chiasma. K', tuber cinereum. M, éminence mamillaire. U U', faisceau postérieur de la moelle épinière. P, faisceau moy
nence mamillaire. U U', faisceau postérieur de la moelle épinière. P, faisceau moyen. N, région fasciculée du pédon-cule cérébra
u moyen. N, région fasciculée du pédon-cule cérébral faisant suite au faisceau antérieur de la moelle. E, e, divi-sion de cette
uadrijumeaux. G, aqueduc de Sylvius. F, valvule de Vieussens. U U U', faisceau postérieur de la moelle allongée. B, fais-ceau an
deux moitiés de la moelle allongée. On voit en C" la coupe d'un gros faisceau d'entrecroisement de la pyramide antérieure. Au-d
yramide antérieure. Au-des-sus du signe on voit également la coupe de faisceaux assez gros qui s'entrecroisaient dans cette régio
ciculée du pédoncule droit au niveau du tractus optique. U, débris du faisceau pos-térieur. 0 0, fibres du faisceau moyen. Ces f
du tractus optique. U, débris du faisceau pos-térieur. 0 0, fibres du faisceau moyen. Ces fibres, qui procèdent par en-trecroise
e côté se portent de la ligne médiane en dehors et en arrière dans le faisceau moyen de la moelle épi-nière. V, olive. X Y, corp
figure on a enlevé en arrière de la région fasciculée du pédoncule le faisceau moyen et le faisceau postérieur du tronçon pédonc
arrière de la région fasciculée du pédoncule le faisceau moyen et le faisceau postérieur du tronçon pédonculaire. Cette séparat
ée en contact avec le corps noir de Sœmmering. N'', coupe de quelques faisceaux de la région fasciculée qui s'entrecroisaient sur
et à gauche, en dehors de ce raphé, une gouttière que remplissait le faisceau latéral ou moyen. P, bord externe de la protubéra
FIGURE 5e. En même temps qu'elle montre en dehors la séparation du faisceau moyen, indiqué par les lettres A A A, d'avec le f
éparation du faisceau moyen, indiqué par les lettres A A A, d'avec le faisceau postérieur, dont les lettres YYSD marquent différ
quent différentes régions, cette figure fait voir en A' des fibres du faisceau moyen détournées dans la protubérance et for-mant
cette figure la combinaison dans l'épaisseur de la protubé-rance des faisceaux W N" de la région fasciculée du pédoncule cérébra
sceaux W N" de la région fasciculée du pédoncule cérébral N, avec les faisceaux de la région fasciculée du pédoncule cérébelleux
eprésente un cervelet renversé. La protubérance est en haut; tous les faisceaux qui de la moelle épinière se prolongeaient dans c
l s'engage la pyramide antérieure. 2, canal dans lequel s'engage le faisceau latéral de la moelle allongée. 3, canal dans le
eau latéral de la moelle allongée. 3, canal dans lequel s'engage le faisceau postérieur (corps restiforme) F F, nerfs de la se
les étaient attachés les lobules digastriques. A, face postérieure du faisceau externe du pédoncule cérébelleux du côté gauche.
ex-terne de ce pédoncule. A' A' A', ramifications périphériques de ce faisceau . T, corps rhomboïdal du côté gauche mis à découve
t l'arbre de vie des éminences vermiformes dont la tige appartient au faisceau antérieur interne du pédoncule cérébelleux. La su
ingue dans le tronc de l'arbre de vie des éminences vermiformes trois faisceaux qui se portent dans la direction des tubercules q
ans la direction des tubercules quadrijumeaux. Le plus interne de ces faisceaux , n° l, se porte de la couche fibreuse à laquelle
B indiquent une membrane nerveuse très-délicate qui, de la surface du faisceau antérieur du pédoncule cérébelleux, se porte sous
hors le pédon-cule cérébelleux pour s'unir au trijumeau. F, relief du faisceau moyen de la moelle allongée à la surface du planc
cher ventriculaire. X, pyra-mide postérieure, Y, corps restiforme. I, faisceau latéral de la moelle épinière. FIGURE 3. Le c
tte figure est destinée à montrer le prolonge-ment dans une partie du faisceau antérieur du pédoncule cérébelleux de la tige fib
erne du pédoncule cérébelleux antérieur. 0' 0' 0', prolongement de ce faisceau dans les tiges des lobules adjacents au nerf andi
nerf dans le noyau cé-rébelleux. H", Prolongement de ce nerf dans le faisceau restiforme. h, émanations de ce prolongement alla
rticale. De cette manière, les rayonnements les plus su-perficiels du faisceau externe du pédoncule cérébelleux ont été mis à dé
antérieur ; en Q, la coupe du fais-ceau postérieur; en P, la coupe du faisceau moyen, séparée comme le fais-ceau postérieur par
rforé, dont la face adhérente se voit en A. M, éminence mamillaire et faisceau qui de cette éminence se prolonge sous la coque s
t du lobe temporal de la grande circonvolution de deuxième ordre. -+- faisceaux obliques des côtés de la protubérance venant du c
du cer-velet. P, protubérance. N, région fasciculée du pédoncule. Y, faisceau moyen. X X', deux régions distinctes du faisceau
lée du pédoncule. Y, faisceau moyen. X X', deux régions distinctes du faisceau postérieur. Y, couche blanche qui sépare ces deux
faisceau postérieur. Y, couche blanche qui sépare ces deux régions du faisceau postérieur l'une de l'au-tre, et la plus interne
gions du faisceau postérieur l'une de l'au-tre, et la plus interne du faisceau moyen. Sur la ligne médiane à la hauteur d'Y, o
-né , tenant à la protubérance coupée en travers. P, protubérance. V, faisceau moyen. Y, faisceau postérieur. A, ventricule céré
rotubérance coupée en travers. P, protubérance. V, faisceau moyen. Y, faisceau postérieur. A, ventricule cérébelleux. B, portion
-tricule. N L, saillie centrale des faces latérales du noyau. R', faisceau fibreux qui se porte de cette saillie centrale da
ée pour mon-trer dans une vue d'ensemble les connexions distinctes du faisceau pos-térieur et du faisceau antérieur de la moelle
ue d'ensemble les connexions distinctes du faisceau pos-térieur et du faisceau antérieur de la moelle avec différentes régions d
représente notre figure. P', bulbe rachidien. P , protubérance. Le faisceau postérieur de la moelle se prolonge de Y Y' en G
ments, dans les parties supé-rieures du cervelet, de cette portion du faisceau postérieur qu'on appelle le corps restiforme. q q
essus ad testes bientôt réuni en G avec les prolongements di-rects du faisceau postérieur Y'. On voit en— des prolongements radi
ements radiculaires du nerf optique prolongés dans la di-rection G du faisceau postérieur, ou bien les fibres de ce faisceau pro
dans la di-rection G du faisceau postérieur, ou bien les fibres de ce faisceau prolon-gées de G en L dans les racines du nerf op
ntriculaires enlevés pour laisser voir derrière G L, prolongements du faisceau postérieur de la moelle N N', les prolongements d
ts du faisceau postérieur de la moelle N N', les prolongements de son faisceau antérieur. I, nerf olfactif. Z, por-tion de la su
re perforé sont disséqués de manière à montrer les rapports des trois faisceaux qui entrent dans la composition du pédoncule, et
entrent dans la composition du pédoncule, et des prolongements de ces faisceaux avec le quadrilatère. N, région fasciculée du p
aux avec le quadrilatère. N, région fasciculée du pédoncule. M, son faisceau moyen retourné dans le quadrilatère, où il est ca
e, où il est caché par le tractus optique et les racines grises. P, faisceau postérieur, se retournant sur l'arête interne du
t sur l'arête interne du quadrilatère perforé. P', prolongement de ce faisceau à la partie moyenne de l'espace perforé. On voi
+ des fibres de la saillie centrale S rattachées à la bran-che P' du faisceau postérieur. 0, commissure antérieure. TT, fibres
rieur. 0, commissure antérieure. TT, fibres qui, des prolongements du faisceau postérieur et du faisceau moyen dans la région de
ieure. TT, fibres qui, des prolongements du faisceau postérieur et du faisceau moyen dans la région de l'espace perforé, se port
des mêmes éléments que dans la précédente. N, région fasciculée. M, faisceau moyen. P, faisceau postérieur pro-longé en P' dan
que dans la précédente. N, région fasciculée. M, faisceau moyen. P, faisceau postérieur pro-longé en P' dans l'espace perforé,
r r, radicules blanches de l'olfactif rat-tachées à la branche P' du faisceau postérieur. On voit, de plus que dans la figure
les précédentes, N désigne la région fas-ciculée du pédoncule; M, son faisceau moyen; P, une branche du fais-ceau postérieur dét
'espace perforé. L'on voit en B un prolongement de cette branche du faisceau dans le crochet de la tubérosité temporale ; en V
à leur sortie du corps strié. FIGURE 7e. N, région fasciculée. M, faisceau moyen. P P, faisceau postérieur. P7, prolongement
s strié. FIGURE 7e. N, région fasciculée. M, faisceau moyen. P P, faisceau postérieur. P7, prolongement de ce faisceau dans
. M, faisceau moyen. P P, faisceau postérieur. P7, prolongement de ce faisceau dans l'espace perforé. 0 , angle antérieur de la
space perforé. 0 , angle antérieur de la couche optique rattaché à ce faisceau postérieur. A A A, bandelette demi-circulaire éma
faisceau postérieur. A A A, bandelette demi-circulaire émanée du même faisceau , séparée de la couche optique, et relevée. R R, r
10 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
es lésions et les symptômes. — Mode de propa-gation de la sclérose. — Faisceaux radiculaires internes.— Envahissement des cornes
trouve, dans certains points bien déterminés du système nerveux — les faisceaux postérieurs de la moelle épinière — des lésions f
ontre toujours, en pareil cas, exactement limitée à la surface de ces faisceaux , fournirait encore au besoin un nouvel argument e
on reste confinée, en quelque sorte systématiquement, dans l'aire des faisceaux postérieurs, dont elle ne franchit les limites qu
principalement, de reconnaître d'une façon exacte, dans l'aire des faisceaux blancs, ou dans les di-vers départements de la su
e qu'on appelle la moelle épinière, il existe, pour ne parler que des faisceaux blancs, plusieurs ré-gions répondant à autant d'o
gré l'analogie de composition, sont tout à fait distinctes. Ainsi les faisceaux latéraux sont tout à fait distincts physiologique
s faisceaux latéraux sont tout à fait distincts physiologiquement des faisceaux postérieurs. Dans la substance grise elle-même, i
es, par exemple, à certains groupes de cellules nerveuses, à certains faisceaux de fibres? Il est permis d'en douter. La maladie,
cision ; elle nous permet de constater quel groupe de cellules, quels faisceaux de fibres nerveuses ont été irrités, atrophiés ou
locomotrice, n'affecte pas indistinctement toutes les parties de ces faisceaux , mais occupe nécessai-rement certaines régions qu
puis longtemps, remarqué que la sclérose fascicidée et ascendante des faisceaux postérieurs, telle qu'elle s'observe, par exemple
ysiologie, 1872, p. 364.) — Notes sur un cas de sclérose primitive du faisceau médian des cordons postérieurs. {Ibid., 1873, p.
rvicale de la moelle, que par les deux minces bandelettes grises ; le faisceau médian était exempt de toute altération (Planchk
-teur de la moelle et à cela se bornait, dans ce cas, la sclérose des faisceaux postérieurs. Vous voyez, Messieurs, qu'en somme
gnement d'incoordination motrice ; alors elle peut exister seule, les faisceaux de Goll ne présen-tant encore aucune altération.
doute, La vérité est que la sclérose des bandelettes latérales des faisceaux postérieurs est la seule lésion constante dans l'
ines spinales postérieures, qu'on dési-gne communément sous le nom de faisceaux radiculaires inter- Fig. 5. — A, Racines postér
ces points. 11 est rendu par là très vraisemblable que, en outre des faisceaux radiculaires internes, il existe en cette région
ires internes, il existe en cette région des cordons postérieurs, des faisceaux de fibres, éta-blissant sans doute, dans le sens
e, que leur lésion produit l'incoordination, tandis que la lésion des faisceaux de fibres qui composent les cordons mé-dians ne p
aît pas avoir cet effet. La relation qui existe entre le trajet des faisceaux radiculai-res internes et le siège des lésions de
n de Kôlliker, un certain nombre des filets nerveux qui composent les faisceaux radiculaires internes se dirigent vers les cornes
ntérieures. — Des symptômes récurrents ou rétrogrades. — Sclérose des faisceaux médians postérieurs ; propagation de la sclérose
l'intermédiaire de ce réseau, et non pas d'une façon directe, que les faisceaux radiculaires postérieurs entreraient en connexion
dor-sale reste strictement limitée, dans les cordons postérieurs, aux faisceaux médians ; telle est du moins la règle ; or, ainsi
insi que nous l'avons démontré dans la dernière séance, la lésion des faisceaux médians n'a pas pour effet, lorsqu'elle occupe le
ées, elle envahisse dans cer-tains cas, les bandelettes latérales des faisceaux postérieurs, dont la lésion, vous le savez, produ
ose secondaire ascendante de-meure, comme c'est la règle, limitée aux faisceaux médians des cordons postérieurs, on n'observe dan
en tant, du moins, que la lésion a envahi le trajet intra-spinal des faisceaux radiculaires internes (bandelettes externes des f
-spinal des faisceaux radiculaires internes (bandelettes externes des faisceaux postérieurs). Cette réserve était nécessaire. Vou
e réserve était nécessaire. Vous n'avez pas oublié, en effet, que les faisceaux médians (cordons de Goll) peuvent être sclérosés
-tent, alors que la lésion scléreuse est restée limitée au trajet des faisceaux radiculaires. Seule, la sclérose des rubans exter
ologie de diverses maladies, autres que l'ataxie, dans lesquelles les faisceaux postérieurs peuvent être envahis, d'une façon pou
doivent certainement être rattachés, dans ce cas, aux altérations des faisceaux pos-térieurs qui, ainsi que l'ont montré M. Magna
gressive. Je ne doute pas que, chez eux, les bandelettes externes des faisceaux postérieurs fussent déjà atteintes à l'époque où
l. III, Fi g. 1). Au-dessus et au-dessous de ce rétrécissement, les faisceaux blancs, dans le sens des dégénérations secondaire
qui indiquent déjà qu'une cause d'excitation a élu domi-cile dans ses faisceaux . Ce sont là, en somme, les premiers symptômes qu'
oiser sur la ligne médiane. 11 y a lieu d'admettre, en outre, que les faisceaux qui, après l'entre-croisement, remontent vers l'e
c'est une conséquence facile à prévoir de l'interruption subie par le faisceau latéral correspondant, les fibres qui constituent
par le faisceau latéral correspondant, les fibres qui constituent ce faisceau ne s'entre-croisant nulle part dans la moelle ave
opposé. J'avais soin de vous faire remarquer tout à l'heure que les faisceaux — en supposant que ce soit véritablement des fais
'étendant pas rigoureu-sement jusqu'à la ligne médiane, épargnant des faisceaux dont il s'agit, n'aurait pas pour effet de déterm
e la lésion transverse hémilatérale, et du même côté que celle-ci, le faisceau latéral soit à un moment donné atteint dans toute
de son extension, pour ainsi dire fatale à un instant donné, soit aux faisceaux blancs, soit aux régions postérieures de la subst
es muscles font défaut. D'a-près ce qu'on sait, la majeure partie des faisceaux primitifs subirait, dans cette première période,
'examen microscopique fait recon-naître, en effet, un grand nombre de faisceaux d'un très pe-tit diamètre qui ont conservé cepend
et qui ne présentent pas traces de granulations graisseuses. D'autres faisceaux , encore en grand nombre, entremêlés aux précédent
ux du sarcolemme. On rencontre enfin, çà et là, un troisième ordre de faisceaux , le plus souvent en très petit nombre, lesquels o
uses s'accumulent dans les gaînes du sarcolemme et s'y substituent au faisceau primitif qui disparaît en totalité ou dont on ne
massent en dehors du sarcolemme dans les intervalles qui séparent les faisceaux primitifs !. Ce tissu adipeux interposé est parfo
t être, jusqu'à un cer-tain point, conservés, bien que la plupart des faisceaux primi-tifs aient disparu. Il est même des cas — e
là quelques gaines du sarcolemme renfer-ment des amas de noyaux. Ces faisceaux primitifs, atrophiés, sont séparés les uns des au
a corne antérieure du côté droit, émaciation consé-cutive de tous les faisceaux blancs dans la moitié correspondante de la moelle
imitivement les tubes nerveux qui entrent dans la compo-sition de ces faisceaux . Il est des circonstances, d'ailleurs, — et l'o
re, l'extension, observée dans certains cas, du processus morbide aux faisceaux antéro-latéraux. La lésion en question des cell
ée de tous les diamètres; mais cette lésion évidemment secondaire des faisceaux blancs n'est pas nécessaire. Elle peut faire défa
nd tou-jours, en outre, çà et là, d'une façon inégale, sur les divers faisceaux blancs. Le débat s'opère souvent brusquement, e
e lésions inflammatoires qui, intéressant à la fois l'axe gris et les faisceaux blancs, n'occupent cependant 1 Observations de
nt de la région dorsale ; la propagation en question se fait dans les faisceaux blancs, suivant une loi bien connue, le long des
t dans les faisceaux blancs, suivant une loi bien connue, le long des faisceaux latéraux tandis que, dans la substance grise, ce
éropathique : pachyméningite spinale hypertrophi-que ; — sclérose des faisceaux postérieurs ; myélite centrale chronique ; hydrom
ure, sur la ligne médiane, de manière à intéresser à la fois les deux faisceaux blancs postérieurs, l'autre en partie dans la cor
l'autre en partie dans la corne postérieure droite, en partie dans le faisceau postérieur du côté droit. Ces derniers canaux se
érisée anatomiquement par une sclérose qui affecte symétriquement les faisceaux latéraux de la moelle épinière, dans toute la hau
tivement développée dans le centre gris envahisse consécutivement les faisceaux blancs ; mais je ne crois pas, quant à présent, q
la diminution du nombre ou de l'atrophie plus ou moins pro-noncée des faisceaux musculaires. Ce fait contraste avec ce que l'on
éropathiques, en raison de la combinaison habituelle d'une lésion des faisceaux blancs avec la lésion de la substance grise, il e
ystématiquement circonscrite dans les cornes grises antérieures : les faisceaux blancs sont absolu-ment respectés. La lésion de
e désintégration granuleuse dans l'aire des cornes antérieures. — Les faisceaux blancs, et en particulier les faisceaux latéraux,
des cornes antérieures. — Les faisceaux blancs, et en particulier les faisceaux latéraux, ne présentent pas la moindre trace d-al
par la voie des racines nerveuses et des nerfs centrifuges, jusqu'aux faisceaux musculaires qui, sous cette influence, subissent
ai seulement que l'atrophie granulo-graisseuse d'un certain nombre de faisceaux est le fait qui avait frappé surtout les premiers
avec raison que beaucoup des granulations qui ap-paraissent dans les faisceaux ne sont pas de nature graisseuse, puisqu'elles se
'ailleurs, que la graisse ne prend pas naissance seulement au sein du faisceau musculaire, mais qu'elle envahit aussi parfois le
granulo-protéique, de même que la dégénération granulo-graisseuse des faisceaux musculaires n'est qu'un phénomène accessoire. C'e
rière. Le fait capital, dans l'espèce, c'est une atrophie simple du faisceau musculaire avec conservation delastriation en tra
ée des éléments cellulaires du sar-colemme. Dans un certain nombre de faisceaux musculaires, la multiplication peut être poussée
oppement de la moelle épinière. — Formation des cordons latéraux, des faisceaux de Col] et des faisceaux de Tiirck. Sclérose laté
nière. — Formation des cordons latéraux, des faisceaux de Col] et des faisceaux de Tiirck. Sclérose latérale consécutive à une lé
cornes antérieu-res, soit la substance grise postérieure, soit divers faisceaux blancs. Nous sommes convenus, vous ne l'avez pa
stance grise antérieure avec une sclérose symétrique et primitive des faisceaux blancs latéraux. 1. Envisageons, tout d'abord
en premier lieu, dans la description de cette singu-lière lésion des faisceaux blancs. Rien n'est plus original assu-rément et p
on circonscrite en quelque sorte géomé-triquement dans une région des faisceaux blancs qui à l'état normal, du moins chez l'adult
extra-utérine, un système à part, distinct anatomiquement des autres faisceaux de la moelle épinière. C'est là, Messieurs, un
ntreront, chez l'adulte, pour une bonne part dans la constitution des faisceaux anléro-latéraux ; les autres s'appellent zones ra
zones radiculaires postérieures (Fig. 12, tt). Avec l'adjonction des faisceaux de Goll, non encore développés à cette époque,
qu'on dési-gne d'ordinaire sous le nom de cordons postérieurs. Les faisceaux latéraux n'existent pas encore ; on les voit appa
pare les zones radiculaires antérieures. Elle est relative aux petits faisceaux que j'ai proposé de désigner sous Fig. 13. — Co
main âgé de deux mois. — a, b, c, etc., comme dans la figure 12. — l, faisceau latéral. — m, développement des faisceaux de Goll
omme dans la figure 12. — l, faisceau latéral. — m, développement des faisceaux de Goll. — n, dé-veloppement des faisceaux de Tiï
al. — m, développement des faisceaux de Goll. — n, dé-veloppement des faisceaux de Tiïrck (faisceaux antérieurs). le nom de fai
t des faisceaux de Goll. — n, dé-veloppement des faisceaux de Tiïrck ( faisceaux antérieurs). le nom de faisceaux de Tùrck (Fia.
loppement des faisceaux de Tiïrck (faisceaux antérieurs). le nom de faisceaux de Tùrck (Fia. 14, 15, n}) et qui ne peu-vent êtr
moins intimes, com-poseront, à une époque plus avancée de la vie, les faisceaux antéro-latéraux tels qu'on les connaît chez l'adu
x antéro-latéraux tels qu'on les connaît chez l'adulte. B. Mais les faisceaux latéraux devant, seuls nous occuper au-jourd'hui,
la naissance, chez le nouveau né on reconnaît encore, dans l'aire des faisceaux blancs, à certains caractères histologiques qui a
éveloppement relati-vement moins avancé, la région qui appartient aux faisceaux latéraux proprement dits. Cette région se voit en
15 semaines. — Môme signification des lettres. plus postérieure du faisceau anléro-laléral. Dans cet espace, la substance bla
le jeune enfant, à l'extérieur de la moelle une séparation entre les faisceaux latéraux proprement dits et les faisceaux antérie
le une séparation entre les faisceaux latéraux proprement dits et les faisceaux antérieurs. Mais, chez l'adulte, toute distinctio
de reconnaître que, même chez lui, les ré-gions qui correspondent aux faisceaux latéraux sont marquées encore par le diamètre rel
èdent, sans conteste, dans les premiers temps de la vie au moins, les faisceaux latéraux de la moelle épinière ; je dois compléte
de l'isthme de l'en-céphale et du bulbe qui sont en relation avec les faisceaux laté-raux se distinguent, comme ceux-ci, chez le
ccompli au moment de la naissance. L'individualité, l'autonomie des faisceaux latéraux, déjà ren-due manifeste par les considér
certains départements de l'encéphale, toute une moitié du système des faisceaux latéraux subit isolément, à la fois dans le pédon
lle occupe dans la moelle le côté opposé. Cette lésion du système des faisceaux latéraux est, en pareil cas, absolument isolée ;
nément les points correspondants des deux hémisphères, le système des faisceaux latéraux serait naturellement lésé des deux côtés
tive à une lésion cérébrale. Mais la sclérose symétrique totale des faisceaux latéraux peut survenir protopathiquement, primiti
tération de la substance grise s'associe à la sclérose symétrique des faisceaux latéraux. Or, la combinaison de ces deux ordres d
s occuper successivement : 1° des lésions que présente le système des faisceaux latéraux dans les diverses régions de la moelle,
IV, Fig. 1, 2,3; Pl. Y, Fig. 1 et 2). Toutes les autres parties des faisceaux blancs sont respec-tées, à l'exception des petits
rties des faisceaux blancs sont respec-tées, à l'exception des petits faisceaux de Tiïrck qui, dans cer-tains cas, sont lésés sym
aux de Tiïrck qui, dans cer-tains cas, sont lésés symétriquement. Ces faisceaux , je le rap- l'isthme de l'encéphale ; — 2° des
la pelle en passant, paraissent appartenir au même système que les faisceaux latéraux. b) A la région dorsale, la lésion est
tant que les fibres, provenant des pyramides, sont encore réunies en faisceaux ; mais, plus haut encore, lorsque ces fibres se d
érieures sclérosées. Voilà pour ce qui concerne les altérations des faisceaux blancs. Il importe de relever actuellement, Messi
des lésions musculaires consécutives. nière, de même que celles des faisceaux blancs, ont leur pen-dant dans le bulbe. Vous n'i
abio-glosso-laryngée. souvent. Dans ces diverses circonstances, les faisceaux mus-culaires y sont atrophiés. Cette conservation
eux ordres: les uns sont en relation avec l'altération symétrique des faisceaux latéraux ; les autres relèvent de la lésion conco
surabondamment que c'est bien la sclérose symétrique et primitive des faisceaux la-téraux avec lésions concomitantes de la substa
le en est la conséquence ; — d) enfin, dans la sclérose primitive des faisceaux latéraux sans atrophie musculaire. 2° La parési
a lésion de la substance grise vient-elle se combiner à la lésion des faisceaux blancs? S'agit-il d'une simple propagation par
, vous le savez, établis-sent normalement une communication entre les faisceaux la-téraux et les cornes antérieures. Le système
e les faisceaux la-téraux et les cornes antérieures. Le système des faisceaux latéraux tend à s'affecter dans son entier et cel
qui est en rapport avec les membres inférieurs ; enfin le groupe des faisceaux cérébro-bulbaires est envahi à son tour. Il est
des symptômes parétiques. Il n'en est pas de même pour le système de faisceaux relatif aux membres inférieurs : dans ces dernier
phénomène consécutif. La propagation de la lésion inflam-matoire des faisceaux blancs à la substance grise s'opère très vraisemb
bjecté, les scléroses dites descendantes, qui se pro-duisent dans les faisceaux latéraux à la suite de diverses lésions en foyer,
et pouvant attaquer indifféremment la substance grise centrale ou les faisceaux blancs. c) Les nerfs périphériques sont atteint
ée. des cornes antérieures. L'irritation se propage par la voie des faisceaux radiculaires internes, dont le trajet peut être a
cas où les plaques scléreuses qui, dans la règle, prédominent sur les faisceaux antéro-latéraux, envahissent les cornes grises et
le résultat a été absolument négatif; partout, nous avons,trouvé les faisceaux blancs antéro-latéraux et postérieurs dans un éta
ntelle, cell s des régions de la moelle (cornes grisés antérieures et faisceaux radiculaires antérieurs) qui seuls ont une influe
es degrés divers, les caractères de la substitution graisseuse. Les faisceaux musculaires offraient : les uns, les altérations
Il restait, d'ailleurs, en plusieurs points, dans l'intervalle de ces faisceaux , un certain degré d'hyperplasie consécutive. L'ex
examen de la moelle épinière fournit des résultats intéressants : Les faisceaux latéraux étaient sclérosés, symétriquement, dans
nt duperymisium internum — qui, à l'état normal, séparent à peine les faisceaux musculaires primitifs et les laissent presque en
es travées dont le petit diamètre égale sur certains points celui des faisceaux musculaires, et même le dépasse (Fig. 27). Ces tr
es fibres lamineuses, dirigées surtout parallèlement au grand axe des faisceaux musculaires, sont entremêlées souvent avec des ce
lules sont discrètes d'abord, isolées et comme perdues au mi-lieu des faisceaux de fibrilles ; mais leur nombre s'accroît sur cer
du processus). — I, I, Ilots de tissu conjonctif. — M, M, Coupes des faisceaux musculaires. — G, G, Cellules adipeuses. montre
ut conti-guës et que la pression réciproque a ren-dues polyédriques.— Faisceaux musculaires isolés, dépouillés de leur enveloppe
et mis en rapport immédiat avec les cellules du tissu adipeux. — Les faisceaux musculaires, même les plus grêles, ont conservé l
n du tissu adipeux, on rencontre soit des îlots composés de plusieurs faisceaux musculaires primitifs (de 2 à 8, 10, 12 au plus),
fibril- Ciiarcot. Œuvres complètes, t. h. 19 laires isolés, sans faisceaux musculaires ; soit enfin, — et ce dernier cas est
musculaires ; soit enfin, — et ce dernier cas est le plus rare,— des faisceaux musculaires isolés, dépouillés de leur enveloppe
progresse, le tissu fibrillaire de formation nouvelle, ainsi que les faisceaux musculaires, tendent à disparaître *. Pour ce q
ste en une réduction de diamètre plus ou moins prononcée; beaucoup de faisceaux sont tellement atro-phiés qu'il faut user de la p
udiées, c'est que l'hyperplasie du tissu conjonctif et l'atrophie des faisceaux musculaires marchent pour ainsi dire du même pas
ous disposons aujourd'hui. Fig. 29. — A, A, cordons latéraux; — A', faisceaux de liirck. — B, B, zones radiculaires postérieure
atives d'un Strabon ou d'un Pom-ponius Mêla. Vous voyez les anciens faisceaux postérieurs décomposés en deux régions bien disti
sceaux postérieurs décomposés en deux régions bien distinctes: 1° les faisceaux deGoil (Fig. 29, E) dont la lésion isolée a été d
B), substratum anatomique de l'ataxie locomotrice progressive. Les faisceaux ante'ro-latéraux des auteurs doivent à leur tour
auteurs doivent à leur tour être décomposés en trois régions : 1° les faisceaux laté-raux proprement dits, A, A ; ils se montrent
ante consécutive aux lésions cérébrales ou spinales en foyer ; 2° les faisceaux de Tùrck, A ; — leur pathologie se confond presqu
rck, A ; — leur pathologie se confond presque toujours avec celle des faisceaux latéraux ; Fig. 30. — Coupe transversale de la
symptômes, que celte lésion porte particulièrement son action sur les faisceaux spinaux latéraux. 11 est possible enfin que, conf
depuis longtemps, sous le nom de sclérose symétrique et primitive des faisceaux laté-raux de la moelle épinière. Mais, il importe
gine, à la condi-tion seulement qu'elles intéresseront le système des faisceaux latéraux dans une certaine étendue ; soit qu'il s
z figurer dans la symptomatologie des affections très diverses où les faisceaux en question sont en cause : contractures hémiplég
le chronique avec dégénération scléreuse descen-dante consécutive des faisceaux latéraux. Il me paraît inutile d'insister pour fa
idien, et occupant, dans la moelle épinière, sur certains points, les faisceaux postérieurs (région cervicale), sur d'autres les
oints, les faisceaux postérieurs (région cervicale), sur d'autres les faisceaux latéraux 'région dor-sale inférieure). Les hémisp
ésions de la dégé-nération grise. Celle-ci occupe, en pareil cas, les faisceaux spinaux postérieurs. Le fait a été mis en évidenc
ion, ici, à la trémulation qui ne manque guère d'apparaître quand les faisceaux latéraux de la moelle sont affectés de sclérose à
. Il est vraisemblable, déjà, d'après cela, que les éléments nerveux, faisceaux de fibres ou corpuscules ganglionnaires, dont la
som- mes efforcé de le montrer ailleurs, relève de l'altération des faisceaux les plus postérieurs du pied de la couronne rayon
e rayonnante, servent de voie aux impres-sions sensitives, il est des faisceaux de fibres douées de proprié-tés motrices particul
xacte les régions limitrophes qui cor-respondent à ces deux ordres de faisceaux . À côté de l'hémichorée post-hémiplégique, il y
uelques tubes nerveux à cylindre d'axe volumineux, non plus réunis en faisceaux comme les précédents, mais disséminés et isolés a
al, les cylindres d'axe se tuméfier, çà et là, soit sur le trajet des faisceaux postérieurs, soit sur celui des faisceaux latérau
là, soit sur le trajet des faisceaux postérieurs, soit sur celui des faisceaux latéraux. Tout porte à croire d'ailleurs que l'ir
te la partie postérieure du trapèze ont subi une atrophie extrême. Le faisceau claviculaire de ce dernier muscle est au contrair
t le péritoine, voir de nombreuses stries jau-nes correspondant à des faisceaux de fibres malades, alterner avec des stries rouge
te l'étendue de la moelle, les cordons latéraux propre-ment dits, les faisceaux de Tiirck, les faisceaux postérieurs sont intacts
, les cordons latéraux propre-ment dits, les faisceaux de Tiirck, les faisceaux postérieurs sont intacts. Seuls les grands tractu
ngements tandis qu'à la région dorsale elle est limitée au trajet des faisceaux radi-culaires et à la zone corticale. De plus, au
one de sclérose corticale ayant son maximum d'épaisseur au niveau des faisceaux radicu-laires antérieurs, allant en s'atténuant s
forme de ronds ou de petits po-lygones très semblables à la coupe des faisceaux du tissu con-jonctif fascicule. Il se colore en r
elle procède avec un certain ordre et le détruit, pour ainsi dire par faisceau . En effet, les tubes conservés sont groupés les u
usage. Dans tous, la lésion prédominante est une atrophie simple des faisceaux pri-mitifs, avec augmentation purement relative d
à la substance des cornes antérieures ; elle avait, en passant parles faisceaux radiculaires, produit un cer- tain degré de mén
apillaires, pro-lifération des cellules de la névroglie, sclérose des faisceaux blancs dans les points où ils sont envahis ; tous
tion des racines antérieures. Elles sont constitués par la réunion de faisceaux nerveux presque réduits à des filaments, de sor
rdinaire; elle rappelle celle du tissu conjonctif. Dansla plupart des faisceaux musculaires, il existe de fines granulations fonc
ou fusiformes. En outre des altérations précédentes, la plupart des faisceaux musculaires présentaient un aspect fendillé, très
teurs, fait reconnaître des alté-rations qui portent les unes sur les faisceaux antéro-latéraux de la moelle, les autres sur la s
ent les surfaces de section de tubes nerveux, lesquels, au niveau des faisceaux antérieurs et sur la partie antérieure des faisce
s, au niveau des faisceaux antérieurs et sur la partie antérieure des faisceaux latéraux, ont conservé à peu de de chose près leu
point qui cor-respond à la partie la plus postérieure de ces derniers faisceaux et dans toute l'étendue d'une région qui, en deda
cordons, immédiatement en dehors des cornes grises postérieures. Les faisceaux blancs postérieurs ne présentaient aucune altérat
u porter que sur les 2/3 supé-rieurs de cette région. La sclérose des faisceaux latéraux se mon-trait à toutes les hauteurs, au m
ée, l'examen microscopique révélait la présence d'un grand nom-bre de faisceaux primitifs dégénérés. Dans les éminences thénar et
te et se colorent vivement par le car-min. On peut la suivre dans ses faisceaux , depuis le point où ils émergent de la protubéran
-térieur gauche de la partie cervicale de ce muscle. En ce point, les faisceaux musculaires sont très pâles, très friables et sép
les fibres musculaires étaient le plus pâles, la moitié peut-être des faisceaux primitifs présentaient, sans avoir subi une réduc
de préparations colorées par le car-min, sur un très grand nombre de faisceaux primitifs, une multi-plication très évidente des
e des noyaux du sarcolemme. Le tissu con-jonctif, interposé entre ces faisceaux , présente à peu près partout des noyaux plus nomb
noyaux du sarco-lemme est peut-être plus prononcée sur les gaines des faisceaux qui ont conservé la striation en travers et qui n
qu'à un très faible degré par la dégénération granuleuse que sur les faisceaux où cette dégénération est le plus marquée. Çà e
aisseuse ou des amas de noyaux. L'altération granulo-graisseuse des faisceaux primitifs, l'ab- sence de lastriation en traver
muscles extrinsèques de la langue présentent tous, çà et là, quelques faisceaux primitifs où l'on reconnaît très évidemment l'alt
, présen-taient cependant, à l'examen microscopique, un bon nombre de faisceaux primitifs ayant perdu la striation en travers, et
tre l'altération granulo-graisseuse étendue à un très grand nombre de faisceaux primitifs, offraient une accumulation de gouttele
tion de gouttelettes graisseuses, volumineuses, interposées entre les faisceaux primi-tifs. Les muscles des membres inférieurs
s points. On y a constaté l'altération granulo-graisseuse de quelques faisceaux pri-mitifs d'une manière très manifeste. Mais les
quelques faisceaux pri-mitifs d'une manière très manifeste. Mais les faisceaux ainsi al-térés étaient là moins nombreux qu'aux p
pratiquées sur divers points du renflement tom-ba ire. L'examen des faisceaux blancs ne fait reconnaître ni diminution dans le
appé du mode singulier qu'affectait la répartition de ces lésions des faisceaux , sur les divers points du corps. Evi-demment, il
'un cas ordinaire d'atrophie musculaire-progressive ; les lésions des faisceaux primitifs sont bien celles qui appartiennent à ce
ntôt la dégénération granulo-graisseuse, tantôt l'atrophie simple des faisceaux avec prolifération des noyaux du sarcolemme. Mais
es régions les plus variées, des fibres malades entremêlées parmi des faisceaux parfaitement sains. Elles sont cependant plus acc
bien que ses muscles propres contins-sent, en assez grand nombre, des faisceaux primitifs dégéné-rés ou atrophiés, et que ses mou
euses, d'où nous avons fait procéder déjà l'altération nutri-tive des faisceaux musculaires, et il est difficile de comprendre pa
les plus simples et alors qu'il n'existe aucun signe d'une lésion des faisceaux blancs de la moelle épinière. 3 Voir, entre aut
x caractérisée, peut parvenir jusqu'à son dernier terme, sans que les faisceaux primitifs aient perdu la striation en travers et
réduction plus ou moins pronon-cée du diamètre d'un certain nombre de faisceaux primitifs sont alors les seules altérations muscu
du perimysiitm internum), qui, à l'état normal, séparent à peine les faisceaux musculaires primitifs, et les laissent presque en
es tra-vées dont le petit diamètreégale sur certains points celui des faisceaux musculaires ou même le dépasse. Ces travées, ains
es fibres lamineuses, dirigées surtout parallèlement au grand axe des faisceaux musculaires, sont entremêlées avec des noyaux emb
oir disparu, et les tra-vées sont à peu près exclusivement formées de faisceaux de longues fibrilles onduleuses, disposées parall
seuses sont discrètes d'abord, isolées et comme perdues au milieu des faisceaux de fibrilles ; mais leur nom-bre s'accroît, sur c
du processus). — 1, I, îlots de tissu conjonctif. — M, M, coupes des faisceaux mus-culaires. — G, G, -cellules adi-peuses. dis
du tissu adipeux, on rencontre, soit des îlots composés de plusieurs faisceaux musculaires primitifs (de 2 à 8,10, 12 au plus),
parts par les fibrilles, soit des tractus fibril-laires isolés, sans faisceaux mus-culaires; soit enfin, et ce dernier cas est l
aux mus-culaires; soit enfin, et ce dernier cas est le plus rare, des faisceaux musculaires isolés, dépouillés de leur enveloppe
prédomine. Les îlots com-posés de tissu conjonctif fîbril-laire et de faisceaux musculaires primitifs ne se voient que çà et là,
t con-tiguës et que la pression réci-proque a rendues polyédriques. — Faisceaux musculaires isolés, dépouillés de leur enveloppe
et mis en rapport immédiat avec les cellules du tissu adi-peux. — Les faisceaux muscu-laires, même les plus grêles, ont conservé
es plus grêles, ont conservé la striation en travers. ainsi que les faisceaux musculaires tendent à disparaître. Il convient de
hercher actuellement suivant quel mode s'o-père cette disparition des faisceaux musculaires : elle s'accuse déjà dès la première
n graisseuse. Ainsi, dans le psoas, sur les coupes transversales, les faisceaux musculaires, entourés de tous cô-tés par les trav
n moins superficiel fait bientôt recon-naître qu'un bon nombre de ces faisceaux ont subi une réduc-tion de diamètre plus ou moins
r dilacération complètent ces renseignements : la ma-jeure partie des faisceaux musculaires, ceux-là mêmes qui ont subi une atrop
seuse. Telle est la règle : onrencon-tre cependant çà et là, quelques faisceaux , à la vérité en petit nombre, où les stries trans
qu'une striation longitudinale y est devenue très apparente; d'autres faisceaux absolument privés de toute striation, soit transv
istendent la gaîne du sarcolemme. Mais, en somme, il est rare que les faisceaux musculaires, en voie de destruction, présentent l
t avec persistance delà slriation en travers. Dans le deltoïde, les faisceaux musculaires se retrouvent avec les mêmes apparenc
l'hyper-plasie connective et l'atrophie simple d'un certain nombre de faisceaux musculaires sont les lésions qu'on observe. A cet
it de l'byperplasie con- 1 Les mensurations ont donné : 1° pour les faisceaux primitifs, dans le mus-cle psoas, diamètre transv
fiées, c'est que l'hy-perplasie du tissu conjonctif et l'atrophie des faisceaux mus-culaires marchent pour ainsi dire, du même pa
le résultat a été absolument négatif: partout, nous avons trouvé les faisceaux blancs antéro-latéraux et postérieurs clans un ét
des degrés divers, les caractè-res de la substitution graisseuse, Les faisceaux musculaires offrirent les uns, les altérations de
. Il existe d'ailleurs, en plusieurs points, dans l'intervalle de ces faisceaux , un certain degré d'hyperplasie conjonctive. L'ex
rchiv der Heilkunde. Leipzig, 1871, p. 120. tats intéressants : les faisceaux latéraux étaient sclérosés, sy-métriquement, clan
ophie musculaire progressive avec lésion de la substance grise et des faisceaux antéro-latêraux de la moelle èpinière, par MM. Gh
— a, Portion interne offrant des amas de noyaux dans l'intervalle des faisceaux de libres. — d, Coupe de vaisseau. — e, Coupe du
mplètement disparu. — L, Cordon latéral. — P, Cordon postérieur. — T, Faisceau de Tiirck. — Ces trois faisceaux sont tout à fait
latéral. — P, Cordon postérieur. — T, Faisceau de Tiirck. — Ces trois faisceaux sont tout à fait sains. Fig. 2. — Coupe transve
olorée en noir par l'osmium, séparés les uns des autivs par de larges faisceaux conjonctifs. Fig 6. — Petit vaisseau pris dtans
UE Fig. 1. — Coupe transversale du nerf phrénique. — a, a, Coupe de faisceaux , où les tubes nerveux conservés sont encore assez
rconscriptions spinales. — Cordon de Goll. — Bandelettes externes des faisceaux postérieurs ; leur altération paraît constante da
les lésions et les symptômes. — Mode de pro-pagation de la sclérose.— Faisceaux radiculaires internes.— Envahissement des cornes
ntérieures. — Des symptômes récurrents ou rétrogrades. — Sclérose des faisceaux médians postérieurs : propagation de la sclérose
éropathique : pachyméningite spinale hypertrophi-que ; — sclérose des faisceaux postérieurs ; myélite centrale chronique ; hydrom
oppement de la moelle épinière. — Formation des cordons latéraux, des faisceaux de Göll et des faisceaux de Tiirck. Sclérose laté
nière. — Formation des cordons latéraux, des faisceaux de Göll et des faisceaux de Tiirck. Sclérose latérale consécutive à une lé
9 ; — motrice, 374 : — laryn-gée, 412. B Bandelettes externes des faisceaux postérieurs de la moelle, 14, 24. Bromure de po
érébrales, 52, 55. (V. Mé-ninges, Moelle.) Turgk (Développement des faisceaux de), 237. U Urèthre, Urines, Utérus. (V. Para
11 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
lexion de l'ensemble des quatre derniers doigts, qui sont réunis en faisceau , avec extension de leurs deux dernières phalanges
auteur note la sclérose des cordons postérieurs, principalement du faisceau de Burdach, avec pigmentation des cellules des
de l'arachnoïde, au niveau de la région dorsale postérieure, et des faisceaux pyramidaux; des lésions des cellules de la moel
s fibres tangentielles. Il pense, en définitive, que l'atrophie des faisceaux pyramidaux et les lésions corti- cales peuvent
il est respecté. Dans les travaux récents, il s'est établi entre ce faisceau et le suivant, une con- fusion que je m'efforce
fforcerai de dissiper. En haut, le centre ovale se continue avec un faisceau cunéiforme adossé à la périphérie dans la zone de
ransi- tion entre le renflement lombaire et la région dorsale. Le faisceau médio-périphérique, faisceau de Hoche à sa partie
ment lombaire et la région dorsale. Le faisceau médio-périphérique, faisceau de Hoche à sa partie supérieure, triangle média
u triangle de Gombault et Philippe à sa partie in- férieure, est un faisceau endogène descendant à fibres longues, qui, dans
de Flechsig, avec lequel il est à tort confondu. Nous appellerons faisceaux radiculaires verticaux de la corne postérieure
lerons faisceaux radiculaires verticaux de la corne postérieure des faisceaux arrondis, séparés par un réticulum de substance g
iers internes, en avant de la substance gélatineuse de Rolando. Ces faisceaux sont d'au- tant plus volumineux et plus serrés
ines de la région sont elles-mêmes plus volumi- neuses. Ce sont les faisceaux verticaux de la corne postérieure de Kôllikei.
ent beaucoup de ces fibres. Les fibres collatérales réflexes et les faisceaux radiculaires verticaux, sont détruits, mais les z
toute l'étendue du septum médian et se confond en arrière avec des faisceaux de fibres conservées qui occupent l'angle antér
ieures. ' te Sacrée. L'aspect est semblable, mais le triangle et le faisceau conservé de la zone cornu-commissurale ont enco
ce gélatineuse ; par contre la bandelette qui réunit le triangle à ce faisceau est devenue plus pâle, par suite de son mélange
. 1 et 2). lre Sacrée. La séparatiou entre le triangle médian et le faisceau conservé de la zone cornu-radiculaire tend à s'
ornu-commissurale ont augmenté de nombre; elles tendent à former un faisceau dense dans qui sépare la commissure du bord de
an a beaucoup diminué de volume ; il forme maintenant un tout petit faisceau linéaire situé au niveau du I/o moyen du septum
nsi que les gros- ses fibres du réseau des cornes postérieures; les faisceaux radiculaires ver- ticaux de la corne postérieur
u'à tous les autres niveaux de la moelle. Ont également disparu les faisceaux radiculaires verticaux de la corne postérieure.
eur maximum d'étendue. 3* Lombaire. Le centre ovale fait place à un faisceau cunéiforme dont la base est périphérique et don
r est situé sur le septum médian, un peu en avant de son milieu. Ce faisceau médian de fibres radiculaires con- servées pren
res abandonnaient les champs postéro-externes pour pénétrer dans le faisceau cunéiforme. A ce niveau on voit très nettement qu
bonne partie de nature exogène. Le grand côté postérieur limite le faisceau cunéiforme, ici très agrandi. De l'angle antéro-e
assez mal délimitée, qui se dirige ou arrière dans l'épaisseur des faisceaux cunéiformes. 4r° Lombaire. Les deux zones sclér
crée (dessin fait en négligeant les débris de myéline altérée). Zm, faisceau endogène de la zone marginale de Westphal ; 1'G,
re, sauf en ce qui concerne l'origine des libres ; il crut voir des faisceaux de fibres fines passer direc- tement des racine
e triangle médian sacré, ou triangle de Gombault et Philippe, et un faisceau situé dans la région cornu- commissurale ou zon
res, le triangle sacré médian, est seule dégénérée à l'exclusion du faisceau de la zone cornu-commissurale. Je reproduis ici
es et Marinesco, et surtout celles de Hoche, nous ont montré que ce faisceau , individualisé en 1894 par Gombault et Philippe
ire (durée un an). Comparer avec les figures de la planche l, où le faisceau médian, qui est dégénéré ici, est au contraire co
g du septum médian. Fio. 7. Ire sacrée. Augmentation du volume du faisceau sclérosé. FIG. 8. 110 sacrée. Transition entre
olume du faisceau sclérosé. FIG. 8. 110 sacrée. Transition entre le faisceau fusiforme des coupes précédentes et le faisceau
Transition entre le faisceau fusiforme des coupes précédentes et le faisceau triangulaire des coupes suivantes. Fia. 9. - I(
a continuité entre la portion périphérique et la portion médiane du faisceau de Hoche, mais souvent on voit débuter la sclér
, dans les cas de lésion transverse de la moelle, par un tout petit faisceau qui semble naître sur la ligne médiane aux envi
nt pro- gressivement d'être 'conglomérées à la Il,, sacrée et où le faisceau semble disparaître complètement à la 4re lombai
médiane se fait, en totalité ou en partie, par l'intermédiaire d'un faisceau de fibres conglomérées. Je n'insisterai pas sur
'insisterai pas sur ces différences individuelles de morphologie du faisceau médio-périphérique qui est plus ou moins conglomé
égion sacrée. Mais il me faut dis- cuter les rapports qu'affecte ce faisceau avec le centre ovale de Flechsig, car il existe
centre ovale de Flechsig, car il existe actuellement entre ces deux faisceaux une confusion qu'il importe de faire cesser. L'
cesser. L'opinion qui tend à devenir classique est la suivante : le faisceau de Hoche devient centre ovale de Flechsig à la ré
sisté sur la distinction radicale qu'il faut établir entre ces deux faisceaux ; nous nous appuyions, pour soutenir cette opinio
a thèse de Guize.Foetus de 9 mois, Ire lombaire ; il existe en 0 un faisceau cunéiforme qui se continue de chaque côté avec
ésente la prolongation par en haut du centre ovale de Flechsig (Les faisceaux sont d'autant moins foncés que leur myélinisati
au niveau de la 1° lombaire (1), est traversé de haut en bas par le faisceau médio-périphérique, dont il reste en réalité, ent
sig est constitué par des fibres exogènes, tandis que les fibres du faisceau médio- périphérique sont endogènes, ainsi que l
; il existe sans doute quelques fibres radiculaires éparses dans ce faisceau , mais l'immense majorité de ses fibres est de nat
à la délimitation des zones endogènes dans le cône ter- minal. b) Faisceau de la zone cornu-commissurale ou zone marginale d
ne cornu-commissurale ou zone marginale de West- plial. L'étudedece faisceau ne peut naturellement être faite que dans les p
l'observation I on peut constater que, sauf dans la région sacrée, ce faisceau est constitué par des fihres éparses au milieu
zontales des cordons postérieurs. Du côté de la substance grise les faisceaux qu'elles forment se perdent bientôt dans le résea
chsig dans les cordons postérieurs ; les collatérales réflexes, les faisceaux radiculaires verticaux de la corne postérieure et
t probable que le centre ovale de Flechsig, continué en haut par un faisceau cunéiforme périphérique, est rempli par les fib
stérieurs et que le trajet des fibres n'est pas rectiligne entre le faisceau cunéiforme périphérique et le cordon de Goll.
u niveau de la 4° lombaire. Les zones endogènes sont en noir ; Z m, faisceau endogène de la zone marginale de Westphal ou zone
cré, ou triangle de Gombault et Philippe (terminaison inférieure du faisceau 111édio-pé1'iphé/'igue ou faisceau de Ho- clze)
hilippe (terminaison inférieure du faisceau 111édio-pé1'iphé/'igue ou faisceau de Ho- clze) ; Z L, zone de Lissauer, coupée en
aires). A droite sont re- présentés, dans la corne postérieure, les faisceaux radiculaires verticaux de la corne postérieure.
es endogènes fines. B. Les fibres endogènes grosses forment : 1° un faisceau dans la zone cornu-commissurale; 2° le triangle
périphérique, dont le trajet supérieur forme à la région dorsale le faisceau de Hoche. C. Le triangle médian est entièrement
an est entièrement distinct du centre ovale de Flechsig, qui est un faisceau radiculaire. D. Les fibres endogènes fines sont
téraux des zones répondant d'une façon seulement approximative à un faisceau : elles n'ont que l'apparence systématique. Leu
tabes classique systématisées, associées à des dégénérescences des faisceaux pyramidaux consécutives à des lésions encéphaliqu
dépendance des lésions radiculaires ; dans les cordons latéraux le faisceau cérébelleux direct peut dégénérer sous l'influe
ation des lésions systématisées du tabes vulgaire et des lésions du faisceau cérébelleux direct par altération de la colonne d
Clarke. Cette association des lésions du tabes aveè les lésions des faisceaux cérébelleux directs est déjà mentionnée par Bal
e plus accentuée. La sclérose du cordon latéral occupe la région du faisceau cérébelleux direct et une partie de la zone pyra-
répondant à la périphé- rie de la moelle, c'est-à-dire occupant le faisceau cérébelleux direct. La colonne de Clarke, au ni
escence du cordon de Goll jusqu'au niveau des noyaux. La lésion des faisceaux cérébelleux a pu être poursuivie jusqu'au pédoncu
être systématiques, liées aux lésions des racines et de lésions des faisceaux cérébelleux directs qui semblent dépendre des l
condaires. Cependant les lésions ne sont pas absolument limitées au faisceau cérébelleux direct, elles occu- pent non seulem
elles occu- pent non seulement la bordure de la moelle au niveau du faisceau céré- belleux direct, mais encore en arrière de
cines posté- rieures. De même elles peuvent se prolonger au delà du faisceau cérébel- leux'direct et tendre à la sclérose ma
nulaire. Enfin même dans la profondeur, elles s'étendent au delà du faisceau cérébelleux direct et occupent la zone pyramida
de la zone marginale de Lissauer, dans le territoire qui répond au faisceau cérébelleux direct, une légère bande marginale
us limitée au cordon de Goll. Sur la ligne médiane, au milieu de ce faisceau , on constate une fente vasculaire dilatée. La l
se diffuse dans la partie postérieure du cordon postérieur entre le faisceau de Goll et la substance gélatineuse de Rolando.
dominant à la partie postérienre du cordon ; elle occupe la zone du faisceau cérébelleux direct et commence à envahir la zon
inale. Fig. 2. La sclérose latérale occupe surtout le territoire du faisceau cérébelleux direct. Fig. 3. La sclérose latéral
faisceau cérébelleux direct. Fig. 3. La sclérose latérale occupe le faisceau cérébelleux direct et la zone pyramidale. Fig.
sauer et l'angle du cordou latéral ; elle a détruit complètement le faisceau cérébelleux direct et une grande partie du faisce
complètement le faisceau cérébelleux direct et une grande partie du faisceau pyramidal. 4e dorsale. - La moelle est déplus
très épaissie. Latéralement, la sclérose occupe toute la région du faisceau cérébelleux direct et s'étend jusqu'au delà de l'
ans l'observation I, la sclérose occupait surtout le territoire des faisceaux cérébelleux directs. Cependant il est à remarquer
faisceaux cérébelleux directs. Cependant il est à remarquer que le faisceau cérébelleux direct n'est pas dégénéré à la part
ale, ce qui va un peu à rencontre d'une sclérose systématique de ce faisceau . De plus, elle s'étend comme chez Salins, en deho
De plus, elle s'étend comme chez Salins, en dehors des li- mites du faisceau cérébelleux; elle prend à certaines hauteurs le f
- mites du faisceau cérébelleux; elle prend à certaines hauteurs le faisceau pyramidal en partie, et occupe la zone prééapex
i, atteintes, mais il ne s'ensuit pas forcément que les lésions des faisceaux cérébelleux directs soient sous leur dépendance
s, des lésions diffuses des cordons latéraux et ces altérations des faisceaux latéraux seraient « la conséquence de la sclérose
t par Kattwinkel qui a retrouvé les ésions du cordon postérieur, du faisceau cérébelleux et du faisceau pyramidal croisé jus
ouvé les ésions du cordon postérieur, du faisceau cérébelleux et du faisceau pyramidal croisé jusqu'au niveau de la décussat
yramidal croisé jusqu'au niveau de la décussation des pyramides. Le faisceau pyramidal lui a paru un peu dégénéré dans la ré
la sclérose revêt le môme type, s'étend dans tout le territoire, du faisceau cérébelleux et du faisceau pyramidal croisé.
ype, s'étend dans tout le territoire, du faisceau cérébelleux et du faisceau pyramidal croisé. Au niveau de la région dors
al, la sclérose affecte toujours la forme triangulaire, occupant le faisceau cérébelleux et le faisceau pyramidal croisé Mai
oujours la forme triangulaire, occupant le faisceau cérébelleux et le faisceau pyramidal croisé Mais, en outre, à certaines ha
escence du cordon de Goll jusqu'à la décussation des pyramides. Les faisceaux pyrami- daux étaient dégénérés au niveau du bul
e, il s'agit là d'une sclérose com- binée du cordon postérieur, des faisceaux pyramidaux croisés et du faisceau cérébelleux d
binée du cordon postérieur, des faisceaux pyramidaux croisés et du faisceau cérébelleux direct dans les cordons latéraux. H
ogénie, mais qui présente en outre une dégénération systématique du faisceau pyramidal direct d'un seul côté qui semble liée
es postérieures. Dans les cordons latéraux, elle occupe la zone des faisceaux pyramidaux et des faisceaux cérébelleux directs
rdons latéraux, elle occupe la zone des faisceaux pyramidaux et des faisceaux cérébelleux directs. On peut sur l'un des cordo
seul côté, ou note la présence de la sclérose dans le territoire du faisceau pyramidal direct dans une zone affectant la forme
au pyramidal direct dans une zone affectant la forme et le siège du faisceau en croissant de P. Marie et Guillain. Dans cette
bution ; on constate aussi dans les cordons latéraux la sclérose du faisceau py- ramidal croisé et du faisceau' cérébelleux
u moins atteintes. Le cordon antérieur présente la même sclérose du faisceau en croissant, mais la partie postérieure du fai
me sclérose du faisceau en croissant, mais la partie postérieure du faisceau pyramidal direct semble plus atteinte qu'au-des
tribution topographique des lésions : la séparation 64 CROUZON du faisceau pyramidal croisé et cérébelleux direct s'est acce
un des cordons latéraux. -- 5e Cervicale. La bande de sclérose du faisceau cérébelleux direct s'étale en bordure plus en a
ons latéraux, la sclérose occupe une zone triangulaire englobant le faisceau pyramidal et le faisceau cérébelleux direct, mais
occupe une zone triangulaire englobant le faisceau pyramidal et le faisceau cérébelleux direct, mais se pro- longeant peu e
ouveau une bande qui se prolonge en avant en suivant la bordure. Le faisceau pyramidal du cordon antérieur n'est que très peu
u pyramidal du cordon antérieur n'est que très peu sclérosé dans le faisceau en croissant : la sclérose est marquée seulement
- Même remarque que dans la] coupe précédente en ce qui concerne le faisceau pyramidal antérieur. 10 il Fig. 8, 9, 10, 11.
pyramidale. Les figures 8 et 9 montrent l'existence d'une lésion du faisceau sulcomarginal droit. scléroses combinées tabéti
laire occupant la plus grande partie de la région postérieure de ce faisceau et englobant le fais- ceau pyramidal direct et
re de ce faisceau et englobant le fais- ceau pyramidal direct et le faisceau cérébelleux direct. Le cordon postérieur est co
e encore dans la portion ventrale et dans la por- tion marginale du faisceau de Burdach. Dans les cordons latéraux, sclérose
forme triangulaire occupant presque exclusivement le territoire du faisceau pyramidal ; très légère sclérose en bordure de
térieur, sclérose empiétant à la fois sur les deux territoi- res du faisceau pyramidal antérieur. 4° et 5- Dorsales. Même as
térieur du cordon et occupent le territoire du cordon de Goll. Le faisceau pyramidal antérieur est moins atteint : un plus g
dans le cordon de Goll et dans la région ventrale. La sclérose des faisceaux pyramidaux croisés est toujours très nette et bea
on postérieur. Région dorso-lonzbaire. Il n'y a plus de sclérose du faisceau pyramidal du cordon antérieur. La sclérose de
lérose du faisceau pyramidal du cordon antérieur. La sclérose des faisceaux pyramidaux croisés est toujours très nette. La
Les cordons latéraux présentent la même sclérose des extrémités des faisceaux pyramidaux. La coloration de Nissl a été pratiq
iveau de la diminution des pyramides, on constate la sclé- rose des faisceaux pyramidaux du cordon latéral et de l'une des deux
réflexes était symétrique, constatation en faveur de l'intégrité du faisceau moteur. L'altération de l'hémisphère cérébelleu
ar une altération analogue des fibres centrales de l'hypoglosse. Le faisceau géniculé qui réunit ces deux ordres de fibres e
généralisés, tels qu'une hémiplégie, ne se soient pas produits, le faisceau moteur se trouvant hors de son atteinte. Au sur
ner : elle relève de phénomènes de compression et de destruction de faisceaux nerveux. Mais, dit Klippel (2), toute tu- meur
ers la commissure grise par un renflement en tête de clou. Dans les faisceaux latéraux ou remar- que 3 noyaux de sclérose gri
dons pos- térieurs, et, qui semblent répondre à peu près, le 1er au faisceau cérébelleux direct et le 26 au faisceau pyramid
ondre à peu près, le 1er au faisceau cérébelleux direct et le 26 au faisceau pyramidal croisé. Cerveau. - Présente un ramoll
n- dant au noyau de Burdach. Intégrité complète du ruban de Roi, du faisceau NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE la Salpêtrière. T :
IE DE FRIEDREICH 131 cérébelleux latéral, des fibres arciformes, du faisceau solitaire, et des olives. Ces lésions se retrou
bulbe. On constate également une sclérose intense des noyaux et des faisceaux de Goll, une com- mençante et moins accentuée^
aux de Goll, une com- mençante et moins accentuée^ des noyaux et du faisceau de Burdach. Enfin, on commence à voir une légèr
isceau de Burdach. Enfin, on commence à voir une légère sclérose du faisceau cérébelleux latéral. Le fais- ceau de Gowers es
gèrement épaissies. On constate nettement une sclérose complète des faisceaux de Goll : il n'y reste plus que de rares fibres
eaux de Goll : il n'y reste plus que de rares fibres nerveuses. Les faisceaux de Burdach sont moins alté- rés, ils se disting
moins alté- rés, ils se distinguent par des limites très nettes du faisceau de Goll : on y re- trouve un certain nombre dé
e relativement saine. A ce niveau également : sclérose complète des faisceaux pyramidaux croisés, et du faisceau cérébelleux
alement : sclérose complète des faisceaux pyramidaux croisés, et du faisceau cérébelleux latéral. Enfin les cornes postérieure
nt diminué. Par contre intégrité absolue des cordons antérieurs, du faisceau de Gowers, des cornes antérieures ainsi que des
rsale, les mêmes lésions se poursuivent. Cependant la sclé- rose du faisceau de Burdach est plus accentuée et dans tout le cor
retrouve que quelques rares cylindraxes disséminés. Les lésions des faisceaux pyramidaux croisés et des faisceaux cérébelleux l
xes disséminés. Les lésions des faisceaux pyramidaux croisés et des faisceaux cérébelleux latéraux se poursuivent, de même qu
la moelle sacrée, la sclérose est beaucoup moins accentuée dans les faisceaux de Goll et de Burdach, on y trouve beaucoup de
ouve beaucoup de cylindraxes à peu près sains. Il en est de même du faisceau pyramidal croisé. Le faisceau cérébelleux laté-
peu près sains. Il en est de même du faisceau pyramidal croisé. Le faisceau cérébelleux laté- ral a disparu. Mais on retrou
on rachidien de la 5° paire dorsale. A son inté- rieur, à côté d'un faisceau à peu près sain, on en voit un autre complètement
cordons de Burdach, plus marquée dans la moelle dorsale ; dans les faisceaux latéraux, la sclérose du faisceau pyramidal cro
ans la moelle dorsale ; dans les faisceaux latéraux, la sclérose du faisceau pyramidal croisé, et du faisceau cérébelleux laté
faisceaux latéraux, la sclérose du faisceau pyramidal croisé, et du faisceau cérébelleux latéral, plus accusée dans la moell
laires. Coeur. - Myocardite interstitielle extrêmement intense. les faisceaux mus- culaires sont séparés les uns des autres,
des cordons postérieurs et surtout des cordons de Goll, sclérose du faisceau pyramidal croisé et du faisceau cérébelleux dir
ut des cordons de Goll, sclérose du faisceau pyramidal croisé et du faisceau cérébelleux direct, atrophie des cornes postéri
s antérieurs, des racines et des cornes antérieures, de même que du faisceau de Gowers, faisceaux qui ont été trouvés lésés
cines et des cornes antérieures, de même que du faisceau de Gowers, faisceaux qui ont été trouvés lésés dans quelques observa
ré, la portion sous-ganglionnaire des racines postérieures forme un faisceau aussi dense, aussi compact qu'à l'état normal.
zone antéro-interne de Westphall et de la partie antéro-interne du faisceau de Goll. Fio, c. Coupe passant par le bord supé
it une infiltration sanguine envahir les deux tiers anté- rieurs du faisceau de Goll gauche. FiG. f. Coupe passant par le bo
e et de la région cervicale. Une sclérose du cordon de Gowers et du faisceau cérébelleux direct, qui commence dans la moelle
n des vaisseaux dans la substance grise, leur paroi est épaissie. Faisceau cérébelleux direct dégénéré dans la région cervic
au cérébelleux direct dégénéré dans la région cervicale supérieure. Faisceau de Gowers dégénéré à partir de la région lombaire
ties inférieures on trouve une dégénérescence dans la périphérie du faisceau de Burdach, dans les parties supérieures une dé
ceau de Burdach, dans les parties supérieures une dégénérescence du faisceau de Goll dans sa partie postérieure. Pas de lési
dégénération banale du cordon de Goll, une autre dans le domaine du faisceau de Burdach, qui occupe surtout son tiers moyen,
dégénérés. Dans les segments cervicaux moyens cette dégénération du faisceau de Burdach perd de plus en plus en étendue, sur
ions cervicales les plus élevées on trouve outre la dégénération du faisceau de Goll, une autre, moins intense, située dans
de Goll, une autre, moins intense, située dans la moitié externe du faisceau de Burdach, tandis que l'autre moitié de ce fais-
e restent tout à fait intactes. Cette dégénération reste séparée du faisceau de Goll par une bande même de fibres complètement
mplètement intactes ; elle est formée visiblement par ces fibres du faisceau de Burdach, que nous avons rencontrées dans la
ès distinctement que la partie de la dégénération qui correspond au faisceau cérébelleux direct, longe de sa partie postérie
génération forme une courbe dont une des extrémités se perd dans le faisceau de Gowers, l'autre s'appuie sur la par- XVII 19
côté de la moitié antérieure de la corne. La partie postérieure du faisceau de Gowers, la partie élargie, augmente en expan
expansion dans ce sens que l'espace situé en avant et en dedans du faisceau pyramidal croisé montre dans cette hauteur une
de la moelle dorsale ; seulement elle augmente d'intensité dans le faisceau de Gowers et diminue dans le faisceau cérébelle
augmente d'intensité dans le faisceau de Gowers et diminue dans le faisceau cérébelleux direct. En outre la raréfaction dans
de la corne postérieure. La partie située en avant et en dedans du faisceau pyramidal reste toujours raréfiée et en connexion
mêmes dans les cordons antérieurs et dans le faisseau de Gowers. Le faisceau cérébelleux direct présente de plus en plus des
érieure de la moelle. A partir de cette même hauteur la sclérose du faisceau de Gowers devient dans sa partie antérieure not
ntensité de la dégénération continue de façon qu'au niveau de Ci le faisceau de Gowers montre seulement dans sa partie posté-
ntérieure se pré- sente seulement raréfiée. Par contre la lésion du faisceau cérébelleux direct, après avoir presque tout à
ne explication plausible de cette subite et complète disparition du faisceau cérébelleux ni de la diminution si UNE FORME D'
fortement sclérosée et qui correspond tout à fait à la position du faisceau de Gowers et du faisceau cérébelleux direct à c
qui correspond tout à fait à la position du faisceau de Gowers et du faisceau cérébelleux direct à cette hauteur. Dans les
s situées entre ces noyaux et la périphérie sont raréfiées (dans le faisceau de Goll beaucoup plus que dans celui de Burdach),
érieures, l'espace dans laquelle on est habitué à voir le trajet du faisceau longitudinal postérieur (ou dorsal) est très nota
us que, d'après l'é- tude de la moelle, on pourrait supposer que le faisceau longitudinal postérieur montrera une dégénérati
que sa partie centrale est fortement dégénérée, ce qui correspond au faisceau cérébelleux direct. La raréfaction des fibres a
s lésions des olives et de leurs fibres, de même que la sclérose du faisceau de Gowers restent les mêmes que dans les coupes
Dans la moelle on trouve une ressemblance complète des lésions : le faisceau cérébelleux direct et celui de Gowers y sont dégé
rsale d'un des muscles, on observe qu'il est divisé eu une série de faisceaux de dimensions très inégales ; (1) L'encéphalite
et C'c, Éditeurs. UN cas DE myopathie avec rétractions 345 chaque faisceau est entouré d'une gaine conjonctive (périmysium)
uses, plus rarement les grosses fibres formant la majeure partie du faisceau . A un fort grossissement, on peut distinguer da
es fibres de 20 et même de 10 de diamètre (PL LVI11. A). Certains faisceaux paraissent exclusivement composés de fibres norma
remment les fibres grosses et les fibres fines, et même parfois les faisceaux neuro-musculaires. Nulle part on ne trouve d'ét
ins considérable dans le triceps où l'élément adipeux domine. Les faisceaux neuro-musculaires sont en général intacts, toutef
toire précédant leur atrophie définitive : en effet, c'est dans les faisceaux les plus malades que nous avons observé les fibre
tiques étaient très petits, surtout près du globe oculaire; un seul faisceau inféro-interne et quelques fibres éparses étaie
s par l'extrémité terminale du nerf et à l'atteinte prédominante du faisceau direct. Pour Moxter (1) comme pour Popoff la ma
es normales. Mais il y a plus, et dans l'intérieur même de tous les faisceaux , dans les cas récents, on voit poin- dre de sem
... par exemple, des fibres nerveuses existent encore dans tous les faisceaux , mais assez peu nombreu- Fig. 3. , Nerf optiq
l'espace qui les joint le tissu est semblable à celui du reste des faisceaux , mais cet espace ne contient plus aucune fibre.
nt les bandes conjonctives, les parties claires sont les restes des faisceaux nerveux contenant quelques rares fibres éparses
les travées conjonctives sont épaissies relativement au volume des faisceaux nerveux vidés, mais la fasciculation est restée l
es bandes de sclérose qui enkystent, pour ainsi dire, et séparent les faisceaux super- ficiels du nerf. m) Nerf de Uegr .. Ty
nnent que des vaisseaux peu nombreux et plus ou moins obturés ; les faisceaux , vides de fibres nerveuses, ont un aspect finemen
sion distincte : il est probable que le quadrant sclérosé répond au faisceau maculaire. t' u) Début de la sclérose dans la p
cyu 37 i ques serait fort importante et éminemment favorable si les faisceaux conservaient dans le nerf optique toujours la m
servaient dans le nerf optique toujours la même situation, et si le faisceau maculaire, faisceau de la vision distincte, resta
rf optique toujours la même situation, et si le faisceau maculaire, faisceau de la vision distincte, restait, comme l'ont pe
Mais il n'en est pas ainsi ; d'après les recherches de Henschen, le faisceau maculaire quitterait l'axe du nerf au-niveau de
rtion vasculaire.toute la partie inféro-externe; la localisation du faisceau ma- culaire dans une partie de la périphérie ex
le reste du nerf était à peu près complètement sain : assurément le faisceau de la vision distincte était une des rares port
distincte était une des rares portions sclérosées. Mais tous les faisceaux du nerf, au moins les faisceaux périphériques,
portions sclérosées. Mais tous les faisceaux du nerf, au moins les faisceaux périphériques, peuvent être pris au même titre
les faisceaux périphériques, peuvent être pris au même titre que le faisceau maculaire par la sclérose d'origine méningée et
ceau maculaire par la sclérose d'origine méningée et vasculaire, ce faisceau est sans doute bien rarement pris seul; -et l'o
ion la plus rapprochée du chiasma ne pré- sente plus la division en faisceaux de la portion orbitaire, les modifica- tions pa
épare et engaine, enkyste souvent sur la face inférieure quel- ques faisceaux périphériques du nerf. Quant à la localisation
endre que le tissu conjonctif ne fait que se rétracter au- tour des faisceaux vidés de leurs fibres nerveuses (nerf de Faur...,
te dès cette première période tient vraisemblablement au passage du faisceau maculaire à la péri- phériedunerf immédiatement
ns de la moelle à ces différents niveaux. Noter la dégénérescence des faisceaux pyramidaux croisés, sur toute la hauteur. 4 1
nt une cavité, libre en avant. A la base de la corne, remarquer les faisceaux de tissu conjonctif qui entourent les deux vaisse
ubans delteil sont intacts. Sur toute la hauteur de la moelle les faisceaux pyramidaux croisés sont dé- générés ; quant à l
e. Dans le voisinage se rencontrent presque toujours disséminés des faisceaux conjonctifs onduleux de même nature. En quelque
anifestation de leur tendance végétative ; il suffit de supposer un faisceau rubané s'allongeant toujours, et faute de pouvoir
cause de la forme parfois si régulièrement gaufrée et godronnée des faisceaux conjonctifs dans l'existence des fibres élastique
; des néo-vais- seaux, se développant en un point et s'entourant de faisceaux conjonctifs, écar- tent la substance nerveuse e
sérer perpendiculairement à la face externe de cette membrane ; les faisceaux conjonctifs, au contraire, lui sont parallèles
, même lorsqu'il est le moins évident, est toujours attesté par les faisceaux onduleux périvasculaires et surtout par la membra
diffuse, mais en tout cas, il n'y a dégénérescence complète d'aucun faisceau . 66 cervicale (Voir Planche LVIII, A). - Le reb
hie DE la Salpêtrière. T. XVII. Pl. LX J. Nerf cubital droit. Les faisceaux semblent intacts, sauf dégénérescence de quelques
générescence de quelques fibres isolées, mais dans l'intervalle des faisceaux notable prolifération conjonctive et adipeuse.
fération conjonctive et adipeuse. K. Nerf sciatique droit. Quelques faisceaux contiennent d'assez nombreuses fibres dégénérées
tration conjonctivo-graisseuse très notable dans l'in- tervalle des faisceaux nerveux. L. Muscles nrrléro-externes de la jambe
s dont on voit les gaines dis- séminées ; pas de dégénérescence des faisceaux . ' Pas de prolifération conjonctive intra-fasci
ement.très modérées, mais ma- nifestes, plus marquées dans certains faisceaux que dans d'autres. Le tissu interfasciculaire e
brachial droit. - La plus grande partie de ce muscle est saine, ses faisceaux et ses fibres sont normaux, ses fibres n'ont pas
u'il peut se faire des contractures localisées sur la longueur d'un faisceau musculaire, aux membres inférieurs surtout : pour
12 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es thenars du côté gauche on observe des mouve- ments continuels de faisceaux volumineux isolés. La langue pré- sente aussi d
accidentelles. Mais il y a lieu de remarquer la coparticipation des faisceaux de Tdrclc et, dans la moelle lombaire, celle de
erculose pulmonaire. Anatomie patholo- gique : lésion primitive des faisceaux pyramidaux portant en même temps mais faiblemen
faisceaux pyramidaux portant en même temps mais faiblement sur les faisceaux latéraux qui vont au cervelet, et les cordons d
a parésie des extrémités inférieures. C'est à la dégénérescence des faisceaux latéraux des pyramides qu'il faut attribuer l'e
ruempell conclut que : Il semble que presque toujours ce soient les faisceaux pyramidaux qui soient les premiers lésés, la lé
Les dégénérescences secondaires qui suivent la lésion primitive des faisceaux pyramidaux sont descendantes; celles qui suiven
idaux sont descendantes; celles qui suivent la lésion primitive des faisceaux latéraux cérébelleux et des cordons de Goll sont
ologique. En ce qui concerne le tabes dorsal, la dégénérescence des faisceaux cunéiformes n'est pas primitive, n'est pas prim
optique où il se termine. Ce ganglion donne naissance à un nouveau faisceau . Immédiatement en avant de la couche optique, o
nt de la couche optique, on trouve une commissure qui unit les deux faisceaux basilaires du cerveau antérieur : tel est le no
nom que M. Edinger donne aux trousseaux issus du corps strié. Ce faisceau basilaire du cerveau antérieur a été jusqu'ici re
a substance blanche corticale, mais ayant plus ou moins respecté le faisceau des fibres d'association de Meynert; on trouve,
scence limitée, dans la moelle cervicale et dans la supérieure, aux faisceaux de (joli occupant, dorsale partie moyenne de la
e, maisune pupille s'élargissait plus que l'autre, de sorte que ses faisceaux sympa- thiques avaient été légèrement atteints.
'écorce encore mal définie, que Meynert. fait aboutir les fibres du faisceau , qui provient du carrefour sensi- tif. Les fait
rôle de zone sensitive n'est qu'en partie vrai et seulement pour le faisceau de Meynert, dont nous parlons plus loin. Enfin
80.) 3 Ballet. Voir les Recherches anatonziques et cliniques sur le faisceau sensitif. In th. Paris, 1881, et art. Sensibili
s du centre ovale, selon la fonction res- pective attachée à chaque faisceau des fibres. Nous prendrons donc à l'écorce céré
et la protubérance et enfin dans le bulbe et la moelle, chacun des faisceaux de fibres centripètes ou centrifuges. Nous colo
sur les dessins, de la même teinte la zone cortico-cérébrale et le faisceau cérébro-médul- laire correspondant. De telle so
ple examen du schéma, de prendre une idée d'ensemble du trajet d'un faisceau pris isolément, du trajet des diffé- rents fais
du trajet d'un faisceau pris isolément, du trajet des diffé- rents faisceaux pris collectivement, avec leurs connexions réci
de colorations différentes et qui représentent le trajet de chaque faisceau individuellement. Le passage du faisceau au niv
entent le trajet de chaque faisceau individuellement. Le passage du faisceau au niveau d'une coupe est indiqué sur celle-ci
sur celle-ci par la même colo- ration en teinte plate que celle du faisceau . Quelques mots sur les diverses coupes entrant
énéralement sui- vie dans les autopsies, est plus apte à mettre les faisceaux blancs en rapport avec les circonvolutions que
ituent le centre ovale, sont groupées par Pitres en trois ordres de faisceaux : supérieur, moyen et inférieur. Faisant précéd
lifi- catif du nom même de la coupe, on a, pour chaque coupe, les faisceaux préfrontaux, pédiculo-frontaux et pariétaux : sup
upe de moelle à laquelle nous nous reporterons pour retrouver les faisceaux cérébraux, capsulaires, pédonculaires et protubér
nne de cellules, qui n'existe qu'à la moelle dorsale et la coupe du faisceau céré- belleux direct par exemple encore, qui di
gu- rées sur les schéma, nous commençons la lecture du trajet des faisceaux blancs dans le cerveau et dans les cordons de la
ceaux blancs dans le cerveau et dans les cordons de la moelle. 1° Faisceau INTELLECTUEL (violet). Le faisceau intellec- tu
s les cordons de la moelle. 1° Faisceau INTELLECTUEL (violet). Le faisceau intellec- tuel, qui répond par son origine cort
rontale de Pitres (PI,. I. fig. 2, 6). Dans la capsule interne*, le faisceau intellectuel occupe les deux tiers antérieurs d
du pédoncule et s'arrêteraient à la protubérance. (Voir plus loin, faisceau pyramidal.) Dans le pédoncule : on retrouve le
plus loin, faisceau pyramidal.) Dans le pédoncule : on retrouve le faisceau intellectuel, à la partie interne de l'étage in
Plus bas enfin, dans la protubérance et au delà, le trajet de ce faisceau est à peu près ignoré. Les données sur lesquell
passages dans la capsule in- terne durant le trajet des différents faisceaux sur nos cartes de topogra- phie cérébro-spinale
facilite beaucoup la description. DE L'AXE CEREBRO-SPINAL. ZOO du faisceau intellectuel sont déduites des résultats anato-
dans ces trois régions aux points assignés plus haut au trajet du faisceau de fibres qui nous occupe, la dégénérescence seco
es qui nous occupe, la dégénérescence secon- daire des fibres de ce faisceau s'arrête inférieurement au pédoncule dans la pa
simples, sans aucune manifestation paralytique. A propos des deux faisceaux , dont nous allons maintenant suivre le trajet,
es deux faisceaux, dont nous allons maintenant suivre le trajet, le faisceau de L'aphasie et le faisceau géniculé proprement
allons maintenant suivre le trajet, le faisceau de L'aphasie et le faisceau géniculé proprement dit, une discussion s'élève
MM. Raymond et Artaud d'une part et Brissaud d'autre part. Ces deux faisceaux sont-ils nettement distincts l'un de l'autre ?
e l'autre ? forment-ils au con- traire, à eux deux, un seul et même faisceau ? Le second auteur émet cette dernière opinion;
Avec iVIIIL,Raymond et Artaud, nous éta- blirons la distinction du faisceau de l'aphasie et du faisceau géniculé proprement
ud, nous éta- blirons la distinction du faisceau de l'aphasie et du faisceau géniculé proprement dit. Et nous suivrons indiv
nous suivrons individuellement et successivement chacun de ces deux faisceaux dans leur trajet. 2" Faisceau DE l'aphasie (a
successivement chacun de ces deux faisceaux dans leur trajet. 2" Faisceau DE l'aphasie (aphémie). C'est le faisceau de fi
ux dans leur trajet. 2" Faisceau DE l'aphasie (aphémie). C'est le faisceau de fibres partant des cellules de l'écorce du p
tale gauche et probablement de l'insula de Reil qui prend le nom de faisceau de l'aphasie (PL. I, fig. 1, jaune). Au centr
faisceau de l'aphasie (PL. I, fig. 1, jaune). Au centre ovale, le faisceau de l'aphasie constitue le faisceau pédiculo-fro
jaune). Au centre ovale, le faisceau de l'aphasie constitue le faisceau pédiculo-frontal inférieur sur la coupe pédiculo-
ce du pied de la deuxième frontale, siège de l'agraphie, forment le faisceau pédiculo-frontal moyen sur la même coupe de Pit
r la même coupe de Pitres, avec cette diffé- rence que le trajet du faisceau de l'aphasie (aphémie) est connu plus loin dans
plus loin dans la capsule et le pédoncule, tandis que le trajet du faisceau spécial de l'agraphie reste pour l'heure actuel
299, loc. cit. 256 REVUE CRITIQUE. la coupe pédiculo-frontale, le faisceau pédiculo-frontal infé- rieur est considéré par
e point où elles sont réunies la continuité de toutes les fibres du faisceau , engendre une aphémie com- plète. Dans la cap
e aphémie com- plète. Dans la capsule interne, nous retrouvons le faisceau de l'aphasie, àla partie postérieure du segment
asie, àla partie postérieure du segment lenticulo-optique, entre le faisceau intellectuel, situé immédiatement en avant et l
entre le faisceau intellectuel, situé immédiatement en avant et le faisceau géniculé au genou de la capsule, immédiatement
iatement en arrière (PL. I, fig. 6, jaune). Dans le pédoncule, le faisceau de l'aphasie vient se placer à l'étage inférieu
faisceau de l'aphasie vient se placer à l'étage inférieur, entre le faisceau intellectuel en dedans et le faisceau géniculé
l'étage inférieur, entre le faisceau intellectuel en dedans et le faisceau géniculé en dehors. Comme le faisceau intellec-
intellectuel en dedans et le faisceau géniculé en dehors. Comme le faisceau intellec- tuel, le faisceau de l'aphasie est in
e faisceau géniculé en dehors. Comme le faisceau intellec- tuel, le faisceau de l'aphasie est inconnu au delà du pédon- cule
, est insuffisant il est vrai pour déterminer le lieu de passage du faisceau de l'aphasie sur la coupe de la protubérance, m
oupe de la protubérance, mais il permet au moins de supposer que ce faisceau ne s'arrête pas au pédoncule et doit atteindre
l'aphémie, de l'écorce au pied de la troisième frontale, lésions du faisceau pedieulo-frontal inférieur, du carrefour du langa
le pédoncule) sur lesquels on s'est basé pour décrire le trajet du faisceau de l'aphasie sont assez nombreux pour qu'il n'y
t actuellement aucun doute sur l'exactitude de sa description. 3° Faisceau géniculé (commun au grand hypoglosse, au facial
a branche motrice du trijumeau). Du centre cortical d'origine de ce faisceau , au pied de la frontale ' Bitot.- Sur la capsul
. i, vert) partent les fibres essentielle- ment motrices formant ce faisceau et qui vont : Dans le centre ovale, constituer
rmant ce faisceau et qui vont : Dans le centre ovale, constituer le faisceau frontal inférieur de la coupe frontale de Pitre
ontale de Pitres (PL. I, fig. 4, vert). Dans la capsule interne, le faisceau géniculé occupe exacte- ment le genou delà caps
le, d'où son nom (PL.. I, fig. 6, b, vert). Dans le pédoncule, le faisceau géniculé se place à l'étage infé- rieur, entre
cule, le faisceau géniculé se place à l'étage infé- rieur, entre le faisceau de l'aphasie situé en dedans et le fais- ceau p
, les faits anatomiques sont encore peu probants pour assigner à ce faisceau un lieu de passage précis. Trois cas de ramolli
ssement de la protubérance avec glosso- plégie font supposer que le faisceau géniculé passe dans la protubérance à la partie
Au bulbe. Enfin, parvenus au bulbe, les fibres centrifuges des deux faisceaux de l'hypoglosse, des deux faisceaux géniculés d
les fibres centrifuges des deux faisceaux de l'hypoglosse, des deux faisceaux géniculés droit et gauche par conséquent, s'ent
e masticatrice du trijumeau. Unique dans la région pédonculaire, le faisceau se divise dans la pro- tubérance pour donner na
racine du trijumeau (branche motrice du trijumeau). Ce trajet du faisceau géniculé bien connu aujourd'hui depuis la publi
per- sonnels de glossoplégie protubérantielle qu'ils ont réunis. Faisceau pyramidal (Dénomination anato7no'-eliiiique), ou
réunis. Faisceau pyramidal (Dénomination anato7no'-eliiiique), ou faisceau moteur (dénomination physiologique*). Le faisce
-eliiiique), ou faisceau moteur (dénomination physiologique*). Le faisceau pyramidal a été bien étudié par Flechsig. C'est
aisceau pyramidal a été bien étudié par Flechsig. C'est de tous les faisceaux cérébro-médullaires, le mieux connu dans son tr
çons XXVII et XXVIII. 1 Le point de départ, à l'écorce cérébrale du faisceau pyramidal, dépasse certainement la limite de la
térieures non mo- trices, entrant néanmoins dans la constitution du faisceau pyramidal, que Brissaud, soutenant la vraisembl
représentants bulbaires, où elles aboutissent, constituant ainsi le faisceau qui représente dans l'axe cérébro- spinal, le g
e grand système cortico-moteur. Dans le centre ovale, les fibres du faisceau pyramidal vien- nent former : 1° Sur la coupe f
yramidal vien- nent former : 1° Sur la coupe frontale de Pitres, le faisceau frontal supérieur (fascicule des fibres motrice
otrices du membre infé- rieur en partie' (PL. I, fig. cl, bleu), le faisceau frontal moyen (fascicule des fibres motrices du
res motrices du membre supérieur) (PL. I, fig. 4. d. 5, bleu) et le faisceau frontal inférieur (faisceau géniculé) (PL. I, f
ieur) (PL. I, fig. 4. d. 5, bleu) et le faisceau frontal inférieur ( faisceau géniculé) (PL. I, fig. 4. e. 6, bleu). 2o Sur
PL. I, fig. 4. e. 6, bleu). 2o Sur la coupe pariétale de Pitres, le faisceau pariétal supé- rieur (fascicule des fibres motr
s du membre inférieur dans sa totalité (PL. I, tg. 5, f, bleu), les faisceaux pariétaux moyen et inférieur (PL. I, fig. 5, 5,
pariétaux moyen et inférieur (PL. I, fig. 5, 5, 6, bleu). De là, le faisceau pyra- midal se porte vers la capsule interne.
ment lenticulo-optique (PL. I, fig. 6, c, bleu) se plaçant entre le faisceau géniculé, qui est en avant et le faisceau sensi
bleu) se plaçant entre le faisceau géniculé, qui est en avant et le faisceau sensitif, qui se trouve en arrière2. modératr
très précise de la forme en pyramide que prend dans son ensemble le faisceau moteur, pyramide très allongée, à base supérieu
antérieurs du segment postérieur de la capsule, lieu de passage du faisceau moteur dans la région, la pyra- mide motrice se
tronquée. 260 - REVUE CRITIQUE. Dans le pédoncule, on retrouve le faisceau pyramidal à la partie moyenne de l'étage inféri
artie moyenne de l'étage inférieur (PL. II, fig. 1, bleu), entre le faisceau géniculé qui est en dedans et le faisceau sen-
, fig. 1, bleu), entre le faisceau géniculé qui est en dedans et le faisceau sen- sitif qui occupe toute la région externe.
u sen- sitif qui occupe toute la région externe. Au pédoncule, le faisceau pyramidal commence à se dissocier. Un groupe de
ce à se dissocier. Un groupe de fibres motrices s'isole du tronc du faisceau et vient se placer dans, l'étage supérieur en d
nt les cordons antérieurs. Dans la protubérance, la dissociation du faisceau pyramidal est complète. Ce faisceau s'y présent
rotubérance, la dissociation du faisceau pyramidal est complète. Ce faisceau s'y présente sous l'aspect d'un réseau presque
guer : 1° dans l'étage inférieur de la protubérance, la partie du faisceau pyramidal que nous retrouverons, entrant dans la
elle (PL. II, fg. 2, bleu 3). Au bulbe, nous pouvons envisager le faisceau moteur en trois points différents : ' 1° Avan
is points différents : ' 1° Avant la décussation des pyramides , le faisceau pyramidal dissocié dans le pédoncule et surtout
ue nous trouverons dans la moelle sous le nom de portion directe du faisceau moteur, dépendance du cordon antérieur et de po
érieures du bulbe. 2° Au niveau du collet du bulbe, chacun des deux faisceaux pyramidaux, auxquels sont venus se joindre les
nt du côté opposé, ou il passe dans le cordon latéral de la moelle ( faisceau pyra- midal croisé); un autre fascicule antérie
t que le mode de dédoublement au collet du bulbe de chacun des deux faisceaux pyramidaux varie propor- tionnellement. La décu
tielle, cas moins fréquent. Ces variétés du mode de décussation des faisceaux pyramidaux sont surtout intéressantes à con- na
ois : '1" variété : variété ordinaire, chaque pyramide fournit un faisceau direct et un faisceau croisé. Le faisceau croisé
variété ordinaire, chaque pyramide fournit un faisceau direct et un faisceau croisé. Le faisceau croisé cons- titue alors pr
haque pyramide fournit un faisceau direct et un faisceau croisé. Le faisceau croisé cons- titue alors presque à lui seul la
roisées, si fréquentes. Mais, quelquefois, l'inverse se produit; le faisceau direct prime le faisceau croise dans la formation
ais, quelquefois, l'inverse se produit; le faisceau direct prime le faisceau croise dans la formation de la couche motrice d
Pierret, Brown-Séquart). 2e variété : Décus- sation totale, pas de faisceau direct, variété la plus rare. 3° variété : s'ob
la plus rare. 3° variété : s'observant quelquefois; en tout, trois faisceaux , c'est-à-dire une pyramide formée par un faisce
; en tout, trois faisceaux, c'est-à-dire une pyramide formée par un faisceau croisé et un faisceau direct; l'autre pyramide
ux, c'est-à-dire une pyramide formée par un faisceau croisé et un faisceau direct; l'autre pyramide formée uniquement par un
et un faisceau direct; l'autre pyramide formée uniquement par un faisceau croisé, sans faisceau direct. Du reste, autant de
ct; l'autre pyramide formée uniquement par un faisceau croisé, sans faisceau direct. Du reste, autant de varié- tés de décus
linique correspondant à chaque variété'. 3° Après la décussation du faisceau moteur, les fibres centri- fuges entre-croisées
es se détachent, .selon toute probabilité, pour quelques-uns de ces faisceaux . Dans la moelle, à partir de la décussation des
aux. Dans la moelle, à partir de la décussation des pyramides, le faisceau moteur est donc définitivement divisé en deux par
faisceau moteur est donc définitivement divisé en deux parties : le faisceau pyramidal croisé et le faisceau pyramidal direct.
ivement divisé en deux parties : le faisceau pyramidal croisé et le faisceau pyramidal direct. Les faisceaux pyramidaux croi
le faisceau pyramidal croisé et le faisceau pyramidal direct. Les faisceaux pyramidaux croisés (PL. II, fig. 3. ; 2 bleu) 1
ig, 1876. * Pitres.0&. ! erua<MMs de décussations variées du faisceau moteur, ré- vélées par les dégénérescences seco
sont séparés de la pie-mère spinale par l'épaisseur de la coupe du faisceau cérébelleux direct. Ce faisceau cérébelleux dir
nale par l'épaisseur de la coupe du faisceau cérébelleux direct. Ce faisceau cérébelleux direct, disons-le en passant, occup
erne, légèrement convexe en dehors et séparée de la pie-mère par le faisceau cérébelleux direct; enfin, à la région lombaire
c'est encore un triangle à angles arrondis ; mais, à ce niveau, le faisceau cérébelleux direct a disparu, de telle sorte qu
, de telle sorte que la base du triangle que représente la coupe^du faisceau pyramidal croisé, touche la pie-mère à la périp
ramidal croisé, touche la pie-mère à la périphérie de la moelle. Le faisceau pyramidal croisé diminue donc graduellement de
er en rapport avec les organes cellulaires moteurs de la moelle. Le faisceau pyramidal croisé disparaît complètement au nive
oisé disparaît complètement au niveau du renflement lombaire. Les faisceaux pyramidaux directs (PL. II, fig. 3 ; 1, bleu),
le interne du cordon antérieur de la moelle. On les appelle encore, faisceaux de Turk, à cause de leur importance, démontrée
oelle. Dans quelques cas, cependant, sur des moelles dégénérées, le faisceau de Turk n'est révélé que par une bande étroite
cence et appliquée au sillon antérieur. Des régions supérieures les faisceaux pyramidaux directs vont en s'amincissant vers l
mité inférieure de l'axe spinal, pour se terminer plus haut que les faisceaux DE l'axe cérébro-spinal. 263 pyramidaux crois
la méthode anatomo- clinique, que sont nettement individualisés les faisceaux pyra- midaux ainsi du reste que les cornes gris
expérimentale en outre répond toujours à des troubles moteurs ; les faisceaux pyramidaux et les cornes grises antérieures rep
qui a donné toute sa per- fection à la description topographique du faisceau pyramidal'. Méthode anatomo-clinique. Ne consid
sont assez nombreux pour trancher la question de la topographie du faisceau pyramidal. A l'écorce cérébrale, pour qu'il y a
rne, anatomo-pathologiquement par la dégénération des- cendante des faisceaux blancs. Le lieu de passage du faisceau pyramida
énération des- cendante des faisceaux blancs. Le lieu de passage du faisceau pyramidal dans les différentes régions de l'axe
ouronnement cortical des régions centre-ovalaire ou capsu- laire du faisceau pyramidal, faits de dégénérescence que l'on assim
es deux troubles trophiques : la perte de l'excitabilité directe du faisceau moteur' . Quant aux dégénérescences secondair
sent au collet du bulbe une décussation plus ou moins complète, les faisceaux en dégénérescence se portent en arrière et en d
escendante dans la partie interne du cordon antérieur de la moelle ( faisceau de Turk)3. ' Fr.-Franck. Fonctions motrices,
f. psch. M. Nerv. Krank, Bd. XIV, H. 1. 180. Charcot, Leçons sur le faisceau pyramidal. (Prog. znéd., n° 14, 19, 20, 1879.)
tomiques avancés par Flechsig. DE L'AXE CÉRÉBRO-SPINAL. 267 Si le faisceau pyramidal, l'un des éléments du système moteur
ndaire à une pachyméningite spinale par exemple, à une sclérose des faisceaux postérieurs, à une myélite centrale chronique,
ophie spinale deuteropathique (sclérose latérale amyotrophique) . Faisceau DE l'hémianesthésie6 (dénomination anatomo-rli-
Faisceau DE l'hémianesthésie6 (dénomination anatomo-rli- nique), ou Faisceau sensitif (dénomination physiologique). On s'ent
r- convolutions postérieures occipitales comme l'aboutissant d'un faisceau de fibres centripètes, les fibres rayonnantes du
ie pour les con- duire à cette zone corticale, Dans la moelle, le faisceau sensitif forme dans sa totalité le cordon posté
Art. Sensi- bilité du Dict. Dech. DE l'axe cérébro-spinal. 269 faisceau sensitif dans le cordon postérieur de la moelle d
de l'ataxie), un fascicule interne (PL. II, fig. 3 ; 5), cordon ou faisceau de Goll. Ces deux fascicules du faisceau sensitif
II, fig. 3 ; 5), cordon ou faisceau de Goll. Ces deux fascicules du faisceau sensitif sont très distincts dans le cordon pos
de Glarke et la corne poslérietcre, le cnrdon de Goll, ainsi que le faisceau cérébelleux direct, que nous avons trouvé à la pa
ct du sys- tème médullaire moteur que nous avons vu formé par les faisceaux pyramidaux et les cornes antérieures et dont ils
c.) Au niveau du bulbe, les fibres centripètes qui constituent le faisceau sensitif d'un côté s'entre-croisent avec celles d
onde de la pyramide bulbaire antérieure. Dans la protubérance, le faisceau sensitif vient occuper l'é- tage moyen (PL. II,
versales du pédoncule cérébelleux moyen, en avant, de la portion du faisceau pyramidal qui représente dans la protu- bérance
ance les cordons latéraux de la moelle, en arrière de la portion du faisceau pyramidal, qui représente les cordons an- térie
rdons an- térieurs. Dans le pédoncule (PL. II, fig. 1, rose) : le faisceau sensitif répond à la partie la plus externe de
itif répond à la partie la plus externe de l'étage inférieur'. Le faisceau sensitif n'est pas cependant représenté uniquemen
ui accroît con- sidérablement l'étendue du territoire occupé par le faisceau sensitif sur la coupe du pédoncule. Cette porti
ar le faisceau sensitif sur la coupe du pédoncule. Cette portion du faisceau sensitif occupant l'étage supérieur siège assez
e. Elle y est séparée en bas de l'étage inférieur et des différents faisceaux qui le constituent par le Locus nige ? en haut
haut et en dedans, ce fas- cicule sensitif répond à cette partie du faisceau pyramidal correspondant aux cordons antérieurs
de Goll. ' Nous avons pu voir dans l'exposé du trajet successif des faisceaux cérébro-spinaux, qu'unmême faisceau partant en
exposé du trajet successif des faisceaux cérébro-spinaux, qu'unmême faisceau partant en aboutissant à une région de l'écorce
nfé- rieur du pédoncule une partie d'autant plus interne. Ainsi, le faisceau intellectuel, né à la région cortico-frontale,
tico-frontale, se place au segment interne du pied du pédoncule; le faisceau sensitif aboutissant à la région cor- tico-occi
E l'axe cérébro-spinal. 2711 Dans la capsule interne, le passage du faisceau sensitif est nettement précisé pour les fibres
ssage du faisceau sensitif est nettement précisé pour les fibres du faisceau de Meynert au tiers postérieur du segment lenti
encore au carrefour de l'aphasie de Bitot. Dans le centre ovale, le faisceau sensitif doit nécessairement correspondre aux f
re ovale, le faisceau sensitif doit nécessairement correspondre aux faisceaux occipitaux delà coupe occipitale de Pitres (non
s (non figurée sur la planche I), puisque les fibres rayonnantes du faisceau de Meynert se rendent à l'écorce des lobes occi
fibres centripètes pa- raissent être de deux ordres : une partie du faisceau sensitif atteignant la couche optique ou fibres
ulo-optique de la capsule n'est assigné qu'au passage des fibres du faisceau de Meynert. On tend à ad- mettre toutefois que
e- dans. Enfin la zone sensitive corticale, à laquelle se rend le faisceau est, avons-nous dit, assez mal délimitée sur l'
orce des lobes occipitaux. Comme pour la description du trajet du faisceau moteur on s'est basé pour établir celle bien mo
on s'est basé pour établir celle bien moins complète du trajet du faisceau sensitif sur lesrésultats-anatomiques2 fournis pa
tion physiologique moins précise pour la détermination du trajet du faisceau sensitif que la méthode anatomo-clinique est ce
résumé, on a pu voir par la lecture, sur les schémas du trajet des faisceaux de fibres conductrices centripètes ou centrifug
est au contraire presque entièrement déterminé pour les autres. Les faisceaux , intellectuel de l'aphasie, géniculé sont connu
rtout le dernier, de l'écorce cérébrale au bulbe, ce sont les trois faisceaux cortico-bulbaires; les faisceaux moteurs et sen
ébrale au bulbe, ce sont les trois faisceaux cortico-bulbaires; les faisceaux moteurs et sensitifs sont à peu près complèteme
trajet de l'écorce cérébrale à la moelle, ils représentent les deux faisceaux cortico-médullaires. EXPLICATION DES PLANCHES
et branche motrice du Trijumeau). - VIII. Hé- mianopsie. .Violet, faisceau intellectuel. Jaune, faisc. de l'aphasie. Vert,
cire, orbitaires. 5 ; cire, de la face interne du lobe frontal. 6; faisceaux préfrontaux du centre ovale. rlc. 3. Coupe pé
s. de Sylvius. 5; extrémité postérieure des circ. orbitaires. - 6 ; faisceau pétliculo-frontal supérieur. - 7; faisc. ])éd.-
s de la protit&o'ace. 1, 1 ; étage inférieur (et les différents faisceaux qui le constituent). 2, 2 ; locus niger. 3, 3;
la moelle cervicale (face latérale) pour montrer la terminaison des faisceaux cortico-bul- baires. A; pédoncule. B; protubéra
onséquent, .l'existence de fibres trophiques ascendantes issues des faisceaux - grêles et cunéiformes de la moelle (fibres ar
e, plus elles « prennent le plan externe. Dans le chiasma, voila le faisceau non entre- « du chiasma, il gagne graduellement
toujours à un degré moindre. Ordinairement, ce sont les parties des faisceaux blancs adjacents à la com- missure postérieure
men non perfectionnées. En effet, là où nous avons eu affaire à des faisceaux plus volu- mineux, il était aisé de les reconna
us cmruleus n'est pas encore distinct, des deux côtés, au-dessus du faisceau longitudinal postérieur ; atrophie presque comp
s tuméfiés ; dégénérescence secondaire des cordons de Go ! t et des faisceaux latéro-pyrami- daux de la moelle lombaire par n
cessoiré de \1'illis, - le noyau postérieur du pneumo-gastrique, le faisceau solitaire, le noyau antérieur-moteur du nerf va
ur et branche motrice du Trijumeau). VIII. Hé- mianopsie. Violet, faisceau intellectuel. Jaune, faisc. de l'aphasie. Vert,
cire, orbitaires. 5 ; cire. de la face interne du lobe frontal. 6; faisceaux préfrontaux du centre ovale. Fis. 3. Coupe pé
ciss. de Sylvius. 5; extrémité postérieure des cire, orbitaires. 6; faisceau pédiculo-frontal supérieur. - 7; faisc. péd.-fr
dessus de la protubérance. 1, 1; étage inférieur (et les différents faisceaux qui le constituent). 2, 3; locus niger. 3, 3 ;
la moelle cervicale (face latérale) pour montrer la terminaison des faisceaux cortico-bul- baires. A; pédoncule. B; protubéra
13 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
s et d'excitations organiques. Ces nerfs sont des cordons composés de faisceaux plus grêles, formés de fils que composent à leur
. Chaque fibre nerveuse est donc un fil simple, et chaque nerf est un faisceau ou tout au plus une tresse dans laquelle chaque f
sion. Le grand cordon antérieur paraît à son tour subdivisé en deux faisceaux secondaires. Ces faisceaux sont d'ailleurs peu di
érieur paraît à son tour subdivisé en deux faisceaux secondaires. Ces faisceaux sont d'ailleurs peu distincts. L'un d'eux est le
région ils ont complètement disparu. Cette atténuation graduelle des faisceaux postérieurs de la région caudale donne l'idée d'u
édiate, et de tout temps les anatomistes ont pu la faire. Ainsi les faisceaux blancs, qui sont à la périphérie des deux moitiés
st dans chaque moelle épais et arrondi; il est logé dans le centre du faisceau anterolateral. Quant au tranchant postérieur, il
échanges qui ont lieu à chaque instant entre la matière grise et les faisceaux blancs qui l'enveloppent. Outre ces faisceaux e
matière grise et les faisceaux blancs qui l'enveloppent. Outre ces faisceaux enveloppants, on voit, au centre même de l'axe gr
ux enveloppants, on voit, au centre même de l'axe gris, en regard des faisceaux moyens, et dans le point qui sert de transition e
qu'à présent le sujet d'aucune expérience; je leur donnerai le nom de faisceaux disséminés. Ces petits faisceaux sont surtout abo
périence; je leur donnerai le nom de faisceaux disséminés. Ces petits faisceaux sont surtout abondants dans la région cervicale e
é à l'autre, circonscrivent des interstices où sont compris de petits faisceaux longitudinaux, qui se confondent le plus souvent
tance spongieuse. Elles sont surtout abondantes dans le voisinage des faisceaux blancs qui servent d'écorce à l'axe gris. C'est a
antérieurs; l'autre, qui touche au cordon moyen dans le voisinage des faisceaux disséminés. Outre ces deux amas, on découvre un g
rnes gélatineuses, et dont les prolonge ments vont enfin s'unir aux faisceaux postérieurs; ainsi le plexus des cellules de la m
ière ; d'autres prolongements se continuent avec certaines fibres des faisceaux moyens et des faisceaux antérieurs; d'autres, mai
ments se continuent avec certaines fibres des faisceaux moyens et des faisceaux antérieurs; d'autres, mais en plus petit nombre,
idemment en connexion soit avec fies racines des nerfs, soit avec les faisceaux longitudinaux tant antérieurs ou latéraux que pos
verses de la moelle du chat, à la région lombaire des fibres qui, des faisceaux et des racines postérieures, se portaient dans le
des axes gris et que celles-ci comnuniquent à leur tour soit avec les faisceaux moteurs, soit avec les racines antérieures, il es
postérieurs de l'axe gris, et se continuent avec certaines fibres des faisceaux racines et des faiseeaux postérieurs d'une part
et des faiseeaux postérieurs d'une part, et celles des racines et des faisceaux antérieurs de l'autre, des relations certaines.
es descendent, dont les autres montent, surtout dans le voisinage des faisceaux antérieurs; l'existence de ces anastomoses peut a
rticulièrement aux cellules qui forment les amas situés en regard des faisceaux antérieurs et des faisceaux moyens ; mais le plus
qui forment les amas situés en regard des faisceaux antérieurs et des faisceaux moyens ; mais le plus souvent les petites cellule
t des fibres très-délicates qui relient ces cellules au tranchant des faisceaux postérieurs. Ces observations, dont chacun pour
au renflement cervical ; d'une manière générale dans les animaux, les faisceaux blancs s'atténuent d'autant plus à la région dors
renflement lombaire, et l'enveloppe que constituent autour de lui les faisceaux blancs est relativement très-mince; mais chez l'a
faisceaux blancs est relativement très-mince; mais chez l'adulte ces faisceaux blancs se multiplient, s'épaississent, et les axe
ENFANT NOUVEAU-NÉ homme adulte ENFANT homme Aire totale des faisceaux blancs Aire des faisceaux postérieurs Aire to
adulte ENFANT homme Aire totale des faisceaux blancs Aire des faisceaux postérieurs Aire totale des faisceaux blancs
s faisceaux blancs Aire des faisceaux postérieurs Aire totale des faisceaux blancs Aire des faisceaux postérieurs Aire de
s faisceaux postérieurs Aire totale des faisceaux blancs Aire des faisceaux postérieurs Aire des axes gris Aire des axes
rvical. 2000 492 6978 2404 721 1314 Celte réduction des faisceaux blancs et des axes gris à la région dorsale de l'
vers le cerveau. On remarquera aussi quelle importance acquièrent les faisceaux postérieurs à la région cervicale en regard des r
re au point de vue de la sensibilité intelligente? La réduction des faisceaux blancs à la région dorsale est beaucoup moindre d
dans l'homme beaucoup plus que dans les animaux, mais en revanche les faisceaux blancs dans la région sous-bulbaire subissent une
e réduction beaucoup moins marquée que celle que présentent ces mêmes faisceaux au-dessus du renflement lombaire; tous ces faits
nches appelé protubérance annulaire, se séparent et divergent en deux faisceaux très-épais, désignés par les auteurs sous le nom
t qui a été appelée le trou borgne •postérieur de Vicq-d'Azyr. Deux faisceaux , ou bandes longitudinales, en forment les marges.
seulement une languette du cordon antérieur, désignée sous le nom de faisceau interne de la silique. Quant à la plus grande par
e passe au côté externe de l'olive, et constitue ce qu'on a appelé le faisceau externe de la silique. L'extrémité supérieure d
tubercule cendré du bulbe est compris dans l'intervalle qui sépare le faisceau moyen d'avec les cordons postérieurs, et par cons
ent naître, se portent avec l'expansion du funicule latéral, vers les faisceaux postérieurs du bulbe. Elle est appelée couche des
forment une enveloppe serrée aux pyramides antérieures, à l'olive, au faisceau latéral, et ne laissent à découvert que la partie
fibres transversales, qui passent au-devant ou plutôt au-dessous des faisceaux longitudinaux de l'axe, et dont les extrémités s'
en plus étroit, et se grou- ii. 4 pent de chaque côté en un gros faisceau qui plonge dans la masse du cervelet, sous le nom
its, qui sont aujourd'hui connus de tous les anatomistes. Outre les faisceaux décrits par Rolando, M. Arnold (2), et après lui
sous le nom de ruban fibreux oblique. Ces fibres, qui font partie des faisceaux les plus antérieurs de la protubérance, s'infléch
celles qui plongent dans la fosse de Malacarne, se continuent avec le faisceau moyen du bulbe, et peut-être avec le faisceau pos
, se continuent avec le faisceau moyen du bulbe, et peut-être avec le faisceau postérieur. Tiedemann a indiqué cette disposition
chaque côté de plusieurs arcs très-dislincts. la protubérance, les faisceaux longitudinaux de l'axe qu'elle cachait aux yeux,
a protubérance, et plus les fibres de cette bande se condensent en un faisceau distinct; en ce lieu elles forment un cordon arro
s le cerveau, et plus leur épaisseur augmente; mais en même temps, le faisceau qu'elles composent s'aplatit et s'imprime de plus
u condensées, s'écartent, et, en s'écartant, forment un éventail de faisceaux rayonnants dont le plan s'enroule en un cornet ou
er cette relation en disant que le pédoncule est perforé, eu égard au faisceau de la pyramide, qui est perforant. Quant à Yanse
phérie de l'éventail et se mêlent aux fascicules qui le composent. Un faisceau blanc, plus épais, se mêle au plan de ces fibres
porte à la surface du noyau dans la paroi postérieure du cornet 5 ce faisceau , composé de fibres d'un blanc nacré, émane d'un
let aux parties antérieures de l'encéphale. Elle est établie par deux faisceaux parallèles, séparés par un intervalle quadrilatèr
velet, vers les tubercules quadrijumeaux placés au-devant de lui. Ces faisceaux sont les pédoncules supérieurs du cervelet, appel
verrons mieux dans un instant, des parties surajoutées au système des faisceaux postérieurs. Au delà, la marche des faisceaux pri
ajoutées au système des faisceaux postérieurs. Au delà, la marche des faisceaux primitifs est complètement dissimulée, d'abord pa
. Au delà de ces productions annulaires, on aperçoit de nouveau les faisceaux longitudinaux de l'axe sur la convexité de l'éven
ieure du bulbe est immédiatement remarquable par l'écartement que les faisceaux postérieurs subissent dans cette région, après s'
s-peu de ce qu'elle était dans la moelle, on y reconnaît aisément les faisceaux médians postérieurs du bulbe, semblables par leur
en entier vers le cervelet, sous le nom de pyramides postérieures, de faisceaux restiformes, ou de pédoncules postérieurs. Si n
e de la moelle nous a révélés, les conséquences de cet écartement des faisceaux postérieurs dans le bulbe seront faciles à prévoi
cordons postérieurs, on doit mettre à découvert le ventricule que ces faisceaux recouvraient en arrière. C'est ce qui a lieu dans
masse des tubercules quadrijumeaux. Cette voûte a pour origine deux faisceaux qui naissent l'un à droite et l'autre à gauche
toute la vie, les traces d'un raphé médian, M. Cruveilher désigne ces faisceaux sous le nom de faisceaux triangulaires latéraux d
d'un raphé médian, M. Cruveilher désigne ces faisceaux sous le nom de faisceaux triangulaires latéraux de l'isthme. Un sillon bie
surtout leurs relations, les désigne sous un troisième nom, celui de faisceaux olivaires. On peut, avec raison, les considérer c
vaires. On peut, avec raison, les considérer comme une dépendance des faisceaux antérieurs ou latéraux du bulbe; et, comme M. Tie
t à propos observé, ils commencent à se distinguer de la masse de ces faisceaux latéraux vers la région des olives, mais ils ne s
de ces corps. Quoi qu'il en soit, c'est sous la voûte que ces deux faisceaux constituent en formant une arcade, que s'engagent
les pédoncules supérieurs du Cervelet, et toutes les fibres qui, des faisceaux postérieurs, se portent vers l'Encéphale. Bien
Les tubercules quadrijumeaux émettent sur le côté de l'axe certains faisceaux superficiels qu'il faut mentionner ici. Le prem
aigu. Cette bande fibreuse limite en avant la région superficielle du faisceau olivaire. Au point où elle touche au sillon latér
geniculatum internum. Le corps genouillé interne reçoit en outre un faisceau des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Plus grê
grêle que le précédent, du moins dans l'homme et dans les singes, ce faisceau est le moyen d'une relation dont nous établirons
e de la couche optique. La lame qu'elles constituent, offre plusieurs faisceaux distincts. I. Le premier suit la courbe de l'ét
de la commissure postérieure, c'est-à-dire de la commissure des deux faisceaux triangulaires latéraux de l'isthme. Ses dimension
périeure de la couche optique d'avec sa face médiane. II. Le second faisceau s'étale en une membrane mince autour de la couche
ience, et par une sorte d'intuition orgueilleuse. III. Un troisième faisceau , mieux distinct, s'enroule sur le bord externe de
de la couche optique, dans un sillon qui la sépare du corps strié. Ce faisceau , connu sous le nom de Tœnia semi-circularis, bord
ieurs autres, ont essayé de distinguer, par la dissection, les divers faisceaux longitudinaux qui composent le bulbe. Nous avons
aux résultats suivants. A. Les pyramides antérieures sont les seuls faisceaux du bulbe que l'on puisse naturellement isoler. Ce
es seuls faisceaux du bulbe que l'on puisse naturellement isoler. Ces faisceaux ne sont point un prolongement des cordons antérie
et naissent dans la profondeur de la moelle, de l'arête centrale des faisceaux moyens par des racines qui s'entrecroisent sur la
prises dans les mailles de ce réseau. Les fibres superficielles des faisceaux moteurs et la totalité des faisceaux postérieurs
Les fibres superficielles des faisceaux moteurs et la totalité des faisceaux postérieurs échappent seules à cet arrangement.
se comportent avec les fibres longitudinales de l'arête centrale des faisceaux antérieurs. Ces fibres de la commissure embrassen
a commissure embrassent, en effet, dans leurs interstices, les petits faisceaux isolés de cette arête. Or, dans la moelle, la com
ssi vaste ne comprend plus seulement quelques fascicules détachés des faisceaux antérieurs; elle embrasse dans ses interstices la
dans ses interstices la presque totalité des fibres qui composent ces faisceaux . Cet épaississement de la commissure est le fait
compris sur les côtés du ventricule médian entre la commissure et le faisceau antérieur d'une part, et le faisceau postérieur d
médian entre la commissure et le faisceau antérieur d'une part, et le faisceau postérieur de l'autre. La commissure augmente-t-e
d à cet amas de cellules multipolaires qui, dans la moelle, touche au faisceau antérieur; l'autre externe représente l'amas qui
r; l'autre externe représente l'amas qui correspond dans la moelle au faisceau latéral. Ces cellules du bulbe sont fort petites,
de même que les racines antérieures des nerfs spinaux traversent les faisceaux antérieurs de la moelle, de même ces nerfs du bul
a moelle, de même ces nerfs du bulbe traversent toute l'épaisseur des faisceaux longitudinaux compris dans les interstices d'une
E. Les olives sont de petites poches logées dans une dépression du faisceau antérieur. Comme nous avons déjà parlé de leur fo
ée de petits ganglions gris que séparent les uns des autres de petits faisceaux de fibres transverses. Chacun de ces petits gangl
1° Les premières résultent d'une expansion du funicule accessoire du faisceau moyen qui passe au-devant du tubercule cendré de
corps restiforme des auteurs comprend à la fois des fibres venant des faisceaux postérieurs et des fibres qui émanent du faisceau
fibres venant des faisceaux postérieurs et des fibres qui émanent du faisceau latéral. Cette expansion du funicule accessoire e
antérieur, enveloppent de chaque côté les pyramides, les olives, les faisceaux latéraux et remontent avec les corps restiformes
atéral postérieur. On découvre aisément ainsi la face postérieure des faisceaux latéraux. Cette préparation donne immédiatement
ro-postérieures dont nous parlons naissent de la face postérieure des faisceaux moyens. Ainsi les fibres arciformes s'étendent de
eure des faisceaux moyens. Ainsi les fibres arciformes s'étendent des faisceaux moyens au cervelet, en passant dans le plan média
sorte que, par eux encore, le cervelet se trouve en relation avec les faisceaux moyens. Il résulte de ces observations que les
corps restiformes ne comprennent pas seulement des fibres émanées des faisceaux postérieurs, mais contiennent en outre une assez
s contiennent en outre une assez grande quantité de fibres venues des faisceaux moyens. Nous verrons un peu plus loin, que par le
ens. Nous verrons un peu plus loin, que par les fibres arciformes les faisceaux moyens sont surtout en relation avec les parties
r : (a) . Le groupe de la pyramide antérieure que composent de gros faisceaux longitudinaux enfermés dans une gaîne cellu-leuse
qu'ils sont constitués dans la moelle épinière. (c) . Le groupe du faisceau latéral que composent des fascicules plus petits
en avant. L'olive est encadrée pour ainsi dire entre les fibres de ce faisceau . (d). Le groupe du funicule accessoire du faisc
les fibres de ce faisceau. (d). Le groupe du funicule accessoire du faisceau ou cordon latéral, qui forme, à la surface du gro
nt la superficie du bulbe au travers de la commissure du bulbe et des faisceaux longitudinaux antérieurs. Il y a, entre ces faits
ainsi que nous l'avons déjà dit, viennent de la face postérieure des faisceaux moyens, se dirigent sous la couche grise des axes
nt le bulbe d'avant en arrière de chaque côté du raphé entre les deux faisceaux antérieurs, émergent du fond du sillon médian ant
l'encéphale dans la région de la protubérance et du pédoncule. Les faisceaux qui constituent l'axe du bulbe se continuent dans
irection transversale facile à constater au premier abord ; plusieurs faisceaux de ces fibres s'entremêlent et se croisent avec l
née du bulbe. Nous y retrouvons, en effet, une même disposition des faisceaux antérieurs de chaque côté du raphé médian, et le
eaux antérieurs de chaque côté du raphé médian, et le même aspect des faisceaux qui correspondent aux cordons latéraux. Mais déjà
éelles dont il faut tenir compte. 11 est certain, en effet, que les faisceaux postérieurs, tels qu'ils étaient constitués dans
anouissement des masses cérébelleuses ; nouveau mode d'épuisement des faisceaux postérieurs, dont la moelle épinière ne nous avai
ondée que sur la connaissance de ces particularités d'organisation du faisceau postérieur sur lesquelles nous avons, avec tant d
aux corps restiformes presque toutes leurs fibres, se continuer en un faisceau assez large, mais très-mince qui, se glisse sou
ps olfactifs. Chemin faisant il envoie aux tubercules quadrijumaux un faisceau très-remarquable, qui se recourbe au-dessous d'eu
ment, en s'unissant au-dessous des tubercules quadrijumaux, les deux faisceaux triangulaires latéraux de l'isthme, c'est-à-dire
aphé médian que parcourent, d'arrière en avant, des fibres émanées du faisceau moyen. Ces fibres auxquelles ne font point suite
t d'un pédoncule à l'autre. Cet entrecroisement est l'origine de gros faisceaux gris qui plongent d'arrière .en avant sous le noy
lle du bulbe au-devant de la protubérance, et forme avec elle un gros faisceau fibreux que les anatomistes ont décrit sous le no
ns y adhérer. Parmi les parties intrinsèques nous distinguerons: l°un faisceau découvert, je crois, par Vicq-d'Azyr, qui, du cen
ci naissent de l'anneau pédonculaire et sont d'abord divisées en deux faisceaux qui circonscrivent l'ouverture du canal qui loge
eurs du cervelet, soit du nerf acoustique. Quant à ce prolongement du faisceau postérieur qui se dirige vers les champs olfactif
agne, il se jette directement dans la base du lobe olfactif. Ainsi le faisceau postérieur fournit successivement des divisions a
conçoit au premier abord, puisqu'ils naissent sur le prolongement des faisceaux qui, du bulbe, se portent dans le cervelet. N'oub
lbe, se portent dans le cervelet. N'oublions pas, d'ailleurs, que ces faisceaux comprennent à la fois des fibres des cordons post
organes intellectuels, une dignité bien haute. J'ai déjà dit quels faisceaux les rattachent à l'isthme. Par les rubans deRei
les rattachent à l'isthme. Par les rubans deReil, ils tiennent aux faisceaux moyens du bulbe ; par certaines divisions, ils se
achent aux pédoncules cérébelleux supérieurs et aux prolongements des faisceaux postérieurs vers le cerveau; par deux bandelettes
deur? Malgré l'imperfection des résultats qu'a donnés l'analyse des faisceaux blancs des hémisphères, du moins seront-ils en pa
la bandelette est l'ouverture d'un canal dans lequel s'engage un gros faisceau transversal. Ce faisceau est une des moitiés de l
ture d'un canal dans lequel s'engage un gros faisceau transversal. Ce faisceau est une des moitiés de la commissure antérieure q
e l'hémisphère. Les irradiations occipitales de ce système forment un faisceau distinct qui marche parallèlement à la région pos
ampes, dans l'épaisseur du pli qui la limite inférieurement; un autre faisceau parallèle, né du genou postérieur du corps calleu
r de l'hémisphère, en suivant l'épaisseur de cette scissure. Ces deux faisceaux sont séparés par un intervalle que borne en avant
ement les surfaces de section. Or, si nous suivons avec attention les faisceaux isolés de ces surfaces, en agissant sur eux par d
aces, en agissant sur eux par des tractions légères, nous verrons ces faisceaux se diriger constamment de l'une des couronnes rad
s. On peut en effet suivre, à partir de chaque couronne radiante, des faisceaux grêles qui se rendent au même Côté du cerveau. Ce
nte, des faisceaux grêles qui se rendent au même Côté du cerveau. Ces faisceaux directs alternent avec ceux qu'envoie le corps ca
vec ceux qu'envoie le corps calleux. La decussation perpétuelle des faisceaux directs avec les faisceaux croises, dans un même
calleux. La decussation perpétuelle des faisceaux directs avec les faisceaux croises, dans un même hémisphère, ne permet au ni
orps genouillé interne, naît une division remarquable. C'est un petit faisceau blanc qui se porte immédiatement dans l'angle inf
'une expansion continue des bandelettes optiques, mais l'ensemble des faisceaux de la bandelette, avant de s'étaler, subit une to
s les singes s'accroît énormément dans les carnassiers, reçoivent des faisceaux émanés des lobes optiques en général, mais plus p
s particulièrement des tubercules nates. Les fibres qui composent ces faisceaux se terminent-elles dans les corps genouillés inte
. On peut distinguer dans la commissure antérieure deux choses : le faisceau transversal, et ses expansions terminales dans le
sal, et ses expansions terminales dans les deux hémisphères. (a) Le faisceau transversal passe au travers de l'étage inférieur
ales du nerf optique; 8° Après celles-ci, le plan des expansions du faisceau qui naît du corps genouillé interne; 9° Puis le
it partie le système du ruban fibreux de l'ourlet. Un grand nombre de faisceaux semblables occupent le bord externe et la face su
sur l'organe de Jacobson (1), je me suis trompé sur la nature de ces faisceaux que je croyais en connexion avec les prolongement
es des pédoncules, d'autres fibres qui proviennent du prolongement du faisceau postérieur et d'une des racines de la cinquième p
t, des rayons inférieurs de la couronne de Reil, un certain nombre de faisceaux blancs dont la distribution est fort simple. Tout
ines sont de deux ordres, les unes se continuent dans l'épaisseur des faisceaux blancs antérieurs et latécaux, les autres se port
; les unes se continuent avec les fibres nerveuses qui composent les faisceaux postérieurs, les autres, soit directement, soit p
stérieurs, les autres, soit directement, soit par l'intermédiaire des faisceaux postérieurs, se portent dans les tranchants posté
ulbe, dans l'épaisseur d'une cloison fibreuse qui sépare la masse des faisceaux antérieurs, de celle des faisceaux moyens, et se
n fibreuse qui sépare la masse des faisceaux antérieurs, de celle des faisceaux moyens, et se termine dans les noyaux gris à cel-
coupes heureuses on peut les voir se prolonger à travers la masse du faisceau moyen, jusqu'aux noyaux à cellules multipolaires
. Bell ont beaucoup insisté, se rattache, à la manière du spinal, aux faisceaux moyens du bulbe sur lesquels il s'implante à l'ex
pport qu'ont les insertions du nerf facial avec les prolongements des faisceaux moyens dans le bulbe, ajoute: « Les anatomistes q
t pu suivre d'autres filaments radiculaires du facial jusque dans les faisceaux ascendants des pédoncules cérébraux. En résumé,
moteurs ; ajoutons entin que ce nerf, inséré sur le prolongement des faisceaux moyens, le long des corps restiformes, appartient
eur de la protubérance. On peut suivre ses racines entre la masse des faisceaux antérieurs et celle des faisceaux moyens, jusqu'a
ivre ses racines entre la masse des faisceaux antérieurs et celle des faisceaux moyens, jusqu'au plancher du quatrième ventricule
pinion, et les font naître des pédoncules cérébelleux supérieurs, des faisceaux intermédiaires, des tubercules quadrijumeaux, de
lancher du quatrième ventricule. Leur implantation sur les limites du faisceau latéral, oblige d'ailleurs de les rattacher à la
toute l'épaisseur de la partie commissurale du pédoncule entre les faisceaux antérieurs, proprement dits, et les faisceaux moy
u pédoncule entre les faisceaux antérieurs, proprement dits, et les faisceaux moyens, et se terminent, en partie, dans la subst
tance grise qui forme le plancher de l'aqueduc de Sylvius. Un ou deux faisceaux bien distincts de ces fibres se portent dans la s
antérieures des nerfs rachidiens, une série normale intermédiaire aux faisceaux antérieurs et aux faisceaux moyens; 2° que le spi
iens, une série normale intermédiaire aux faisceaux antérieurs et aux faisceaux moyens; 2° que le spinal, le facial, le pathétiqu
qu'on pourrait dire exceptionnelle. Cette série est intermédiaire aux faisceaux moyens proprement dits, et à leurs funicules acce
e pédoncule cérébelleux supérieur, et descend avec un prolongement du faisceau postérieur jusque dans les parties grises de l'an
u'on pourrait les considérer comme le résultat de la division en deux faisceaux d'une même racine ganglionnaire. M. Longet décrit
nerf, comme les racines postérieures spinales, naît par conséquent du faisceau médullaire postérieur qui, parvenu au niveau et e
ourraient bien appartenir à cette expansion du funicule accessoire du faisceau latéral, qui enveloppe le corps resti-forme et re
eçu le nom de barbes du calamus. Les plus antérieures forment un gros faisceau qui se dirige en avant sous la paroi grise du ven
eau qui se dirige en avant sous la paroi grise du ventricule. 3° Ce faisceau est la troisième racine, il suit le prolongement
3° Ce faisceau est la troisième racine, il suit le prolongement du faisceau postérieur qui se dirige vers le centre des couch
meau envoie dans la base des lobes olfactifs. Ce prolongement suit le faisceau postérieur comme le précédent. Ainsi, de même que
récédent. Ainsi, de même que l'acoustique est lié à la division de ce faisceau postérieur qui va vers le cerveau, de même celui-
olfactifs aux renflements primordiaux du cerveau antérieur; enfin les faisceaux de la moelle, les pédoncules cérébraux, et toutes
s'infléchissant vers le sillon médian, deux plans fibreux émanés des faisceaux moyens. On distinguait, en outre, avec la plus gr
rcusèment tracé, et sa surface était revêtue par des expansions des faisceaux moyens du bulbe; quant aux pédoncules moyens du c
re ovale contraste avec la couleur nacrée des pyramides, et celle des faisceaux longitudinaux de la moelle qui, par leur apparenc
fr., page 345. en général, dans tous les lieux où elle recouvre des faisceaux blancs, l'élément conjonctif l'emporte sur l'élém
nne est à la fois composée de fibres de tissu conjonctif disposées en faisceaux longitudinaux et d'un réseau défibres élastiques.
s le crâne. Dans un grand nombre d'animaux elles se décomposent en un faisceau d'artérioles formant un réseau admirable bi-polai
Charles Bell, avait ouvert la voie aux hypothèses. On supposa que les faisceaux antérieurs étaient le tronc commun des racines mo
aisceaux antérieurs étaient le tronc commun des racines motrices, les faisceaux postérieurs étaient celui des racines sensitives.
d du côté de Bellingeri. Mais il n'établit pas clairement le rôle des faisceaux blancs. 11 pense toutefois qu'ils servent les uns
et tandis que quelques physiologistes professaient l'opinion que les faisceaux antérieurs sont moteurs et les postérieurs sensi-
périmentales et pathologiques sur les propriétés et les fonctions des faisceaux de la moelle épinière et des racines des nerfs ra
I, p. 930. avec nos recherches propres. Il est bien certain que les faisceaux lombaires des cordons postérieurs s'atténuent de
antérieures, ni dans les corps restiformes , mais seulement dans les faisceaux intermédiaires et dans la substance grise qui occ
attribue cette sensibilité aux fibres ascendantes qui proviennent des faisceaux postérieurs de la moelle. Ce physiologiste admet
14 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
leux sans substance inter- cellulaire. Ces foyers sont entourés des faisceaux de tissu conjouctif à noyaux fusiformes. Par pl
grandes cellules sous forme de filaments bien tenus. Par place, les faisceaux conjonctifs sont assez larges et constituent un
plus rien à décrire. . Dans les cordons antéro-latéraux on voit des faisceaux de libres dégénérés sans aucune systématisation
ne autour de la racine antérieure; presque aussi bien la région des faisceaux pyramidaux et celle de Gowers ; le cordon posté
arties antérieure et médiane sont sclérosées, il n'y a que quelques faisceaux de fibres tout à fait postérieurs qui se colore
ntérieure. Dans les cordons antéro-latéraux se voient par place des faisceaux irréguliers de subs- tance blanche; dans le cor
que plus de fibres myéliniques, sa partie moyenne a encore quelques faisceaux myéliniques qui se sont groupés sur la périphér
analogue par ses modifications à celui du côté gauche : on y voit des faisceaux raréfiés à la périphérie seulement, et de là le
é). Les mieux conservés restent les cordons postérieurs,surtout les faisceaux de Goll ; les faisceaux de Burdach démontrent u
restent les cordons postérieurs,surtout les faisceaux de Goll ; les faisceaux de Burdach démontrent une démyélinisation diffu
foyers est ici également assez étrange, et le trajet des différents faisceaux prend la forme en zig-zag. Les racines postérie
dons postérieurs de la substance blanche sont sclérosés, surtout le faisceau de Goll et la partie voisine du faisceau de Bur
sont sclérosés, surtout le faisceau de Goll et la partie voisine du faisceau de Burdach; dans ces foyers sclérosés on trouve
e sa périphérie. En outre, dégénérescence descendante dans les deux faisceaux pyramidaux latéraux et antérieurs (fig. 3), mai
paissies, les colorations sur la coupe les montrent comme de larges faisceaux rouges dessinant un réseau assez étrange. Le no
poral. On peut très bien distinguer la lame cribreuse au milieu des faisceaux nerveux très atrophiés. Les vaisseaux artériels
use est visible dans sa totalité, on ne voit même plus la trace des faisceaux nerveux atrophiés. La vue chez Aurélie est comp
raison par les auteurs comme un signe d'irritation non douteuse du faisceau pyramidal. Dans la monographie publiée sur les
in, olécranien), il est juste d'admettre chez eux une altération du faisceau pyramidal. L'exagération des réflexes osseux que
outre, on constate une dégéné- rescence secondaire ascendante (des faisceaux de Goll et de Burdach et dans la zone périphéri
asses noires dispersées dans toute la coupe, surtout groupées dans le faisceau pyramidal croisé (droit principalement) et dans
dans le faisceau pyramidal croisé (droit principalement) et dans le faisceau de Hoche (gauche). Dans la moelle lombaire, les
. Nulle part les corpuscules amyloïdes ne se disposent le long d'un faisceau nerveux. Les coupes longitudinales montrent par c
dhère à la dure- mère. (La localisation de ces masses correspond au faisceau postérieur droit et latéral droit voisin du pré
veineuse. Quand la tête se fléchit du côté droit on voit en bas les faisceaux sterno-cléido-mastoldiens se tendre. L'omoplate
on note déjà des masses néoplasiques surtout du côté gauche dans le faisceau pyramidal croisé, et à la périphérie de la moel
cée (le droit est mieux coloré). Dans les cordons pos- térieurs les faisceaux de Goll sont plus fortement colorés, Les cellules
t une coloration normale (excepté 1 ou 2 foyers plus clairs dans le faisceau latéral). Dans le cordon antéro-latéral gauche, u
inée par des raies claires (cloisons élargies). Par places (dans le faisceau gauche de Burdach, dans la partie postérieure d
ue à laquelle faisait suite une légère dégénérescence secondaire du faisceau gauche de Burdach dans les segments supérieurs de
la cause mécanique pour expliquer la dé- générescence secondaire du faisceau gauche de Burdach dans les seg- ments cervicaux
xe rotulien : il y a là vraie qui est symptomatique d'une lésion du faisceau pyramidal, et la fausse qui s'observe dans un gra
les systèmes anatomiques connus, dans la répartition des fibres dès faisceaux pyramidaux par exemple ou dans les centres des mé
présenter leur coupe transversale nor- male, présentent souvent des faisceaux myéliniques à direction déviée et tor- tueuse.
égénérescence secondaire peu accentuée des cordons postérieurs des ( faisceaux de Goll principalement) et une dégénérescence dif
fibres nerveuses dans le cordon latéral gauche, surtout au sein du faisceau pyrami- dal latéral (dégénérescence secondaire)
veau des segments dorsaux inférieu rs des masses dégénérées dans le faisceau pyramidal gauche latéral. Tandis qu'au niveau des
es contours mal dessinés. On ne voit pas de cellules nerveuses. Les faisceaux de la substance blanche présentent des mo- difi
(les zones périphériques des cordons antéro-latéraux, la région de faisceau pyramidal croisé, et la zone périphérique postéri
sale, lombaire et sacrée. Dans cette dernière, la dégénérescence du faisceau pyramidal gauche est nota- blement moindre. Out
u- dessous (dans le Vie segm. dorsal), on voit de nouveau un- mince faisceau des fibres nerveuses qui couronnent la face pos
légère dégénérescence secondaire Fig. 21 · 336 Ô FLATAU t des faisceaux pyramidaux latéraux de deux côtés. De plus, des m
. Le pôle inférieur allongé cor- respond au lieu de pénétration des faisceaux supérieurs de la Ire racine lom- baire postérie
emment les racines gauches postérieures. Ces fibres s'accumulent en faisceaux ronds ou courent en serpent autour de la tumeur
le cervicale la dégénérescence se limite à la partie postérieure du faisceau cérébelleux (lig. 26). Dans la direction distal
e est moins prononcée que l'asceudante des cordons pos- térieurs Le faisceau pyramidal gauche est plus lésé que le droit (fig.
les cordons (de Goll) postérieurs et dans la partie postérieure du faisceau cérébelleux gauche dans la région dorsale et cerv
En descendant on voit un petit nombre de masses dégénérées dans le faisceau pyramidal gauche. Les coupes colorées par l'hém
rappe les cordons postérieurs (surtout celui du côté gauche) et le' faisceau cérébelleux gauche. La des- cendante frappe les
he) et le' faisceau cérébelleux gauche. La des- cendante frappe les faisceaux pyramidaux latéraux (surtout du côté gauche). A
méthode de Marchi (fig. 28) démontrent deux grands foyers dans les faisceaux pyramidaux latéraux. Par leur large base, ils s
sont orientés en dehors et de là s'enfoncent dans la moelle par des faisceaux et des taches grandes et irrégulières. Le caractè
FLATAU la dégénérescence se déplace vers la ligne médiane, vers les faisceaux de Goll, elle reste pourtant sur la ligne de dé
x de Goll, elle reste pourtant sur la ligne de démarcation entre ce faisceau et celui de Burdach. Dans tous ces segments cer
lombo-sacrée on constate une faible dégéné- rescence dans les deux faisceaux pyramidaux latéraux (dégénérescence des segment
lle lombo-sacrée pour- tant se voyait une faible dégénérescence des faisceaux pyramidaux laté- raux. Méninges molles sans l
cence secondaire, tandis que la lombo-sacrée en présentait dans les faisceaux pyramidaux latéraux (la dégénérescence des part
dans l'étude des relations des cellules pyramidales géantes avec le faisceau pyramidal qui transmet l'incitation aux muscles
,car elles s'atrophient et disparaissent aussi après les lésions du faisceau pyramidal ou de la capsule interne. En effet, le
périeurs ou des membres inférieurs. Pour étudier les relations du faisceau pyramidal avec les cellules de Betz, j'ai utili
lloeli (1). Cet auteur en pratiquant des lésions expérimentales des faisceaux qui passent par la capsule interne, a observé q
es pyramides sont les seules qui envoient leurs cylindraxes dans le faisceau pyramidal. · Ceni (3 a pratiqué des sections et
isparition complète, est un fait constant à la suite des lésions du faisceau pyramidal, et qui se produit indifféremment si ce
tions suivantes : 1° De quelle région de l'écorce cérébrale naît le faisceau pyramidal ? 2° De quelles cellules de cette rég
s de cette région prend-il son origine ? 3° Cette zone d'origine du faisceau pyramidal correspond-elle avec celle dite : zon
a réaction à dis- tance des cellules cérébrales après la section du faisceau cérébro-spinal chez les animaux, sacrifiés depu
. L'état des cellules pyramidales géantes à la suite des lésions du faisceau pyramidal, Spitalul, 1901, n° 1. (2) GORDON Hol
elte maladie où on a pu suivre la dégénéres- cence ininterrompue du faisceau pyramidal delà moelle sacrée jusqu'à l'écorce c
KOFF, Cas de sclérose latérale amyotrophique, la dégénérescence des faisceaux pyramidaux se propageant à travers tout l'encépha
thologiques dont je dispose à présent pour étudier les relations du faisceau pyramidal avec les cellules géantes de la zone
ue. Avec la méthode de Weigert-Pal on constate la dégénérescence du faisceau pyramidal correspondant. Dans la frontale ascen-
le, coloriés au Weigert-Pal, montrent la dégénérescence complète du faisceau pyramidal. Sur des coupes de la frontale ascendan
la méthode de Weigert-Pal on constate la dégénérescence complète du faisceau pyramidal et sur des coupes colorées au Nissl o
o- pique. Au Weigert-Pal on voit une dégénérescence très accusée du faisceau pyramidal. Au Nissl on constate la disparition
e. Par la méthode Weigert Pal on voit une double dégénérescence des faisceaux pyramidaux croisés et directs. Avec Nissl la dimi
- rées au Weigert-Pal on voit une dégénérescence manifeste des deux faisceaux pyramidaux, celle du côté droit est un peu plus
de Weigert-Pal on voit dans la moelle une légère dégénérescence des faisceaux pyramidaux, plus manifeste à droite. On voit ég
amen microscopique. -Avec Weigert-Pal on voit la dégénérescence des faisceaux pyramidaux au-dessous de la compression et la dég
ssion et la dégénérescence ascen- dante des cordons postérieurs, du faisceau cérébelleux direct et du faisceau de Gowers au-
dante des cordons postérieurs, du faisceau cérébelleux direct et du faisceau de Gowers au-dessus de la compression. Avec la
issent plus de doute sur les relations des cellules de Betz avec le faisceau pyramidal et par conséquent avec les mouvements
s, Horsley ne met pas en doute les relations deces cellules avec le faisceau pyramidal, au contraire, dans une lettre qu'il
l'élude du mécanisme des mouvements volontaires et des fonctions du faisceau pyramidal. Semaine médicale, 1 octobre, 1903. 1
autorisé d'admettre que les relations des cellules de Belz avec le faisceau pyramidal et partant avec les mouve- ments volo
de l'influx sensitivo-trophique adultéré, par l'intermé- diaire du faisceau sensitivo-moteur de Ramon y Cajal, branche termin
teuses. Ce pigment (sous forme de masses isolées ou agglomérées, de faisceaux ou de poudre dispersée) apparaît donc tantôt en
rconvolutions de l'insula (1), le fasciculus arcualus, les premiers faisceaux du claustrum ne présentent aucune altération ou d
suit ensuite l'étude des coupes microscopiques sériées et décrit un faisceau volumineux dont le trajet se fait dans le sens sa
e ventriculaire. Correspondant au secteur moyen de l'hémisphère, ce faisceau est situé au- dessus du noyau caudé, à l'angle
s convergentes du corps calleux. Le trigone est intimement uni à ce faisceau et est lui-même recouvert par la substance cortic
t complètement défaut. Pour lui, le tapé- tum est formé par un long faisceau sagittal, le faisceau occipilo-frontal, que l'o
Pour lui, le tapé- tum est formé par un long faisceau sagittal, le faisceau occipilo-frontal, que l'on ne parvient pas à dé
es de la cou- ronne rayonnante. Lorsque le corps calleux manque, ce faisceau se déta-' che alors très nettement. Au dire d'O
exa- men histologique, on constata une dégénérescence très nette du faisceau longitudinal sous-jacent au corps calleux, que
longitudinal sous-jacent au corps calleux, que Muratoff appelle le faisceau sous-calleux et qui forme cette partie du tapét
dégénérés, le splénium parfaitement sain. A gauche, cette partie du faisceau sous-calleux qui se rend au lobe frontal et au
estinée au lobe occipital était demeurée abso- lument intacte. Le faisceau sous-calleux décrit chez le chien par Muratoff co
ecouvre les ganglions de la base. L'auteur admet d'ailleurs que son faisceau s'identifie en partie avec le faisceau du noyau
eur admet d'ailleurs que son faisceau s'identifie en partie avec le faisceau du noyau caudé de Sachs. (1) Muratoff, Secundür
côté correspondant et se cantonne au segment latéral descendant du faisceau sous-calleux. Ce fait vient donc à l'appui de l'h
e ce segment fait réelle- ment partie de la couronne rayonnante. Le faisceau sous-calleux dégénère à la suite de lésions aus
sclérose n'est pas limitée à la partie descendante, mais envahit le faisceau diffusément dans sa totalité. Jamais on n'est-par
est-par- venu à suivre les fibres dégénérées sur toute l'étendue du faisceau sous- calleux ; celles-ci, après un trajet anlé
ations calleuses et dis- paraissent dans la zone sous-corticale. Le faisceau sous-calleux ne repré- sente pas, par conséquen
blir dans le cerveau normal de l'homme la topographie de ce nouveau faisceau , le faisceau occipito-frontal. Pour lui, le faisc
cerveau normal de l'homme la topographie de ce nouveau faisceau, le faisceau occipito-frontal. Pour lui, le faisceau d'Onufrow
de ce nouveau faisceau, le faisceau occipito-frontal. Pour lui, le faisceau d'Onufrowicz doit être identifié avec la couche
e rayon- nante du noyau caudé », et à ce que Wernicke a appelé le « faisceau du corps calleux se rendant à la capsule intern
du reste, en quels termes l'Anatomie des centres nerveux décrit ce faisceau : « C'est un long faisceau d'association à dire
l'Anatomie des centres nerveux décrit ce faisceau : « C'est un long faisceau d'association à direction sagittale, situé entre
d'association à direction sagittale, situé entre le cingulum et le faisceau arqué ou longitudinal supérieur de Burdach ; il e
st séparé du cingulum par toute l'épaisseur du corps calleux, et du faisceau longitudi- nal supérieur par le pied de la cour
longitudi- nal supérieur par le pied de la couronne rayonnante. Le faisceau occipito- frontal décrit une courbe ouverte en
510 O ARCHAMBAULT laquelle il abandonne de nombreuses fibres, ce faisceau longe l'angle ex- terne du ventricule latéral e
tement délimité au niveau de la tête et du tronc du noyau caudé, ce faisceau est en partie dissocié au niveau de la queue de
fibres calleuses. Arrivé au niveau du car- refour ventriculaire, ce faisceau se recourbe en bas et en avant, et ses fibres s
phénoïdale, en formant le tapétum des anciens auteurs. En avant, le faisceau occipito- frontal prend son origine dans toute
es calleuses et les fibres de la couronne rayonnante. De la base du faisceau occipito-frontal, on voit se détacher des libres
de la capsule externe. Dans le lobe sphéno-occipital, les fibres du faisceau occipito-frontal s'irradient, après avoir formé
r le forceps du corps calleux, mais encore sur le tapétum et sur le faisceau occipito- frontal ; or ce dernier faisceau dégé
sur le tapétum et sur le faisceau occipito- frontal ; or ce dernier faisceau dégénère partiellement, à la suite de lésions d
s peuvent être suivies dans la substance grise sous-épendymaire. Le faisceaux occipito-frontal constitue donc un long faisceau
s-épendymaire. Le faisceaux occipito-frontal constitue donc un long faisceau d'associa- tion, qui relie le lobe temporo-occi
a-llémisphé- rique du genou du corps calleux, est recouverte par un faisceau dont les fibres constituantes semblent émerger
e temporo-occipitale. Ces fibres, poursuit l'auteur, font partie du faisceau d'association fronto- occipital ; certaines d'e
lobe frontal où ils forment un champ quadrangulaire en de- dans du faisceau uncinatus et au-dessous de la capsule externe. Au
U CORPS CALLEUX 513 ces fascicules réunis, Zingerle donne le nom de faisceau d'association fronto-temporal. Au niveau du l
est formé, selon l'auteur, par les fibres réunies du cingulum et du faisceau fronto-occipital. - En faisant l'interprétation
sparition du trigone. Dans l'un et l'autre hémisphère, il existe un faisceau sagittal qui sem- ble se dégager du rudiment ca
du rudiment calleux et en représenter la continuation di- recte. Ce faisceau , qui se dirige en arrière, est situé entre l'épen
t le corps du trigone. Quant à sa configuration et à son trajet, ce faisceau se rapproche beaucoup du fais. ceau fronto-occi
t Hochhaus. Toute- fois, Zingerle n'en veut pas faire uniquement un faisceau d'association fronto-occipital ; le fait que ma
lésions si étendues de l'hémisphère gauche, la majeure partie de ce faisceau persiste, démontre bien que celui-ci sert égale
ci sert également à relier les régions intermédiaires. Pour lui, ce faisceau existe dans le cerveau normal,mais se trouve de b
orsque le corps calleux fait défaut. Au niveau du lobe pariétal, le faisceau fronto-occipital est mal délimité du cingulum e
ment à la capsule externe. Dans le lobe occipital, les fibres de ce faisceau peuvent être suivies et en dedans et en dehors
le tapétum. Contrairement à l'opinion de Oscar Vogt, une partie du faisceau fronto-occipital n'accompagne pas le noyau caudé
mé par des fascicules dérivés du lobe frontal et qui constituent un faisceau autonome, le faisceau d'asso- ciation fronto-te
dérivés du lobe frontal et qui constituent un faisceau autonome, le faisceau d'asso- ciation fronto-temporal. Au niveau du l
tion. La voie médiane ou interne est constituée par le cingulum, le faisceau fronto- occipital et le faisceau fronto-tempora
est constituée par le cingulum, le faisceau fronto- occipital et le faisceau fronto-temporal ; elle représente la plus longue
ou externe, qui est une voie d'association plus courte, comprend le faisceau arqué deBurdach, le faisceau uncinatus et le fa
d'association plus courte, comprend le faisceau arqué deBurdach, le faisceau uncinatus et le faisceau longitudinal inférieur
, comprend le faisceau arqué deBurdach, le faisceau uncinatus et le faisceau longitudinal inférieur, lesquels sont tous plus o
ce lobe ainsi que du tapétum de la corne frontale. Il en résulte un faisceau assez volu- mineux qui se dirige en arrière en
eau du lobe frontal, il existe au-dessus du corps calleux, un petit faisceau sagittal que l'auteur désigne sous le nom de «
x, un petit faisceau sagittal que l'auteur désigne sous le nom de « faisceau supracalleux ». Plus en arrière ce fais- ceause
tapétum. A l'un et l'autre de ces piliers Probst donne le nom de « faisceau calleux longitudinal » (Balken- lüngsbündel). A
la face ventrale ou inférieure du corps calleux, il existe un autre faisceau sagittal qui représente le corps du trigone. La
tum latéral et le tapétum médian de la corne temporo-occipitale. Le faisceau sous-calleux de Muratoff, Probst ne l'a jamais ob
sous-calleux de Muratoff, Probst ne l'a jamais observé à l'état de faisceau bien défini ; pour lui, il s'agit moins d'un syst
alleux et à la couronne rayonnante. En 1901, dans un article sur le faisceau d'association fronto-occipital, - (t) PROBST, Z
de d'une erreur anatomique aussi funeste qu'inutile. 1 Il décrit le faisceau du noyau caudé de Sachs et la zone réticulée de l
lée de la couronne rayonnante, lesquels se trouvent compris dans le faisceau sous- calleux très compliqué de Muratoff, et da
ns le faisceau sous- calleux très compliqué de Muratoff, et dans le faisceau occipito-frontal également intrigant de Dejerin
e interne de l'hémisphère. Les fibres ni de la zone réticulée ni du faisceau du noyau caudé ne peuvent être suivies dans le ta
le noyau caudé est séparé du pied de la couronne rayonnante par un faisceau sagittal qui renferme en réalité deux espèces d
la reproduction fidèle des coupes originales. Des trois parties du faisceau occipito-frontal de Dejerine, une correspond abso
du corps calleux, bien que Sachs en veuille faire une partie de son faisceau du noyau caudé. Ce qu'est en réa- lité le faisc
ne partie de son faisceau du noyau caudé. Ce qu'est en réa- lité le faisceau du noyau caudé, demeure un problème assez diffici
dant deux objections à cette hypothèse : 1° l'intime relation de ce faisceau au noyau caudé qu'il accompagne de la corne fro
i du ventricule, ce qui semble un siège quelque peu étrange pour un faisceau d'association cortical. (1) Scunôuec, Das /'ron
il a conclu que le corps calleux devait nécessairement manquer. Le faisceau sagittal médian intra-hémisphérique qu'il ne pou-
e rayonnante, il s'est trouvé forcé de le considérer comme étant un faisceau d'association. Sachs a chau- dement combattu ce
averser la ligne médiane, elles ont formé dans chaque hémisphère un faisceau sagittal reliant le pôle frontal au pôle occipita
de cette malfor- mation. Il n'existe pas dans le cerveau normal de faisceau analogue au faisceau sagittal que l'on observe
ion. Il n'existe pas dans le cerveau normal de faisceau analogue au faisceau sagittal que l'on observe dans les cas d'agénésie
é que par une lame de faible épaisseur formée, en réalité, par deux faisceaux cylindriques accolés l'un à l'autre et retenus
la partie antérieure de ce fragment commissural cependant, les deux faisceaux sont intimement unis par l'entrecroisement de l
imement unis par l'entrecroisement de leurs fibres. En arrière, ces faisceaux diver- gent progressivement, formant chacun un
aux diver- gent progressivement, formant chacun un pilier sagittal ( faisceau calleux longitudinal de Probst) qui pénètre dan
dans la capsule ex- terne. Au niveau du carrefour ventriculaire,le faisceau calleux longitudinal se sépareen deux feuillets
3. 518 ARCHAMBAULT · I interne de l'hémisphère, on distingue un faisceau sagittal bien délimité qui représente sans dout
itudinal de Probst et le corps calleux normal. Comme ce dernier, le faisceau calleux longitudinal contourne les cornes frontal
ieure, frontale ascendante et pariétale ascendante.' Le fait que le faisceau calleux longitudinal n'existe pas dans le cerveau
inférieure du lobe frontal. On ne trouve pas la moindre trace d'un faisceau fronto-occipital. Il convient de dire que cette
aines diminuent également. La racine motrice est représentée par un faisceau principal et par plu- sieurs petits fascicules
le voisinage des vaisseaux, dans le tissu conjonctif et autour des faisceaux de fibrilles nerveuses (fig.2). On observe la
lles sont dilatées et remplies d'héma- ties et de leucocvtes. Les faisceaux de fibrilles nerveuses de l'adventice sont aussi
nu, ayant les caractères habituels de ces productions. De nombreux faisceaux de fibrilles conjonctives sont frappés par la dé-
itérés. Quelques fusées leucocytaires s'ob- servent aussi entre les faisceaux connectifs et le long des gaines vascu- laires.
es d'hématoï- dine, etc. Immédiatement au-dessous de cette zone, un faisceau qui se distin- gue par l'intensité de sa colora
du trigone cérébral qui en occupe environ la moitié inférieure. Ce faisceau paraît légère- ment atrophié bien qu'il se colo
que nous n'ayons pas réussi à identifier ces fascicules dérivés du faisceau triangu- laire, nous avons cru qu'il pouvait s'
r, soit d'une voie aberrante de la cou- ronne rayonnante, soit d'un faisceau appartenant au système olfactif. Le tuber- cule
ons et éviter d'inutiles répétitions, nous appellerons désormais le faisceau sagittal médian. Ce fais- ceau reçoit constamme
bres est tel que nous ne saurions établir les confins de ce dernier faisceau . Ce qui nous engage à croire que le cingulum fa
lus nette que les fibres voisines sont franchement dégé- nérées. Le faisceau sagittal médian se confond au-dessous avec la par
AMBAULT LT '. gouttière à concavité iuterue dans laquelle repose le faisceau sagittal médian. La configuration de la couche
la zone sous-épendymaire dans leur trajet de la capsule externe au faisceau sagittal médian. Ces fasci- cules renferment, a
nombre toujours croissant de fibres de projection bien colorées. Les faisceaux d'association de la région latérale de l'hémisp
s faisceaux d'association de la région latérale de l'hémisphère, le faisceau arqué de Bur- dach et le faisceau uncinatus son
gion latérale de l'hémisphère, le faisceau arqué de Bur- dach et le faisceau uncinatus sont assez bien définis quoique moins d
ment libre de toute soudure et augmente rapidement de dimension. Le faisceau sagittal mé- dian a pris un développement consi
et dont les fibres se colorent relativement bien. On dirait que ce faisceau s'est en grande partie dégagé de la profondeur de
ur de leur circonvolution d'origine. La seconde zone, formée par le faisceau sagittal médian ou faisceau calleux sagit- 640
origine. La seconde zone, formée par le faisceau sagittal médian ou faisceau calleux sagit- 640 ARCHAMBAULT tal, constitue
en dedans la cavité du ventricule latéral. Le trigone est séparé du faisceau sagittal sur la ligne médiane par une incisure
orts avec le segment dorsal de la com- missure postérieure, avec le faisceau rétro-réflexe de Meynert et avec la strie médul
irconvolution pariétale ascendante et lobule paracentral) envoie au faisceau sagittal médian. De même, la couronne rayonnante
-épendymaire les radiations calleuses de la convexité temporale. Le faisceau arqué de Burdach se dessine plus nette- ment qu
(pl. LXXIV-Fj et le plein développement du carrefour ventriculaire,le faisceau sagittal médian s'accroît avec une rapidité éto
ulaire latérale pour se rendre dans la partie la plus supérieure du faisceau sagittal, alors que les fibres dérivées du bord s
n- gulum semble occuper un champ ovalaire situé dans l'épaisseur du faisceau sagittal médian et compris entre les prolongeme
pproximatifs, et on ne saurait différencier ses fibres de celles du faisceau sagittal médian. Ce dernier est en- core nettem
fascicules qui se dégagent du trigone pour contourner en dehors le faisceau sagittal et se recourber en- suite vers l'écorc
suite vers l'écorce de la circonvolution limbique. Cette partie du faisceau sa- gittal médian qui côtoie le ventricule, ain
entriculaire atteint son maxi- mum de développement, on voit que le faisceau sagittal médian se renfle pour former un forcep
moins loin vers la ligne médiane au-dessous de l'écorce limbique. Le faisceau sagittal médian s'étend donc à ce niveau au-del
FIG. 4. AGENÉSIE DU CORPS CALLEUX 643 réunies du trigone et du faisceau sagittal médian, entre lesquels il n'existe plus
bres du trigone sont t nettement dégénérées alors que les fibres du faisceau sagittal prennent une coloration intense. On ar
gne médiane se laissent suivre à leur tour à travers l'épaisseur du faisceau sagittal jusque dans la substance sous-corticale
recroisement entre les fibres constituantes du trigone et celles du faisceau sagittal médian ; le trigone qui est sous-ventr
i est sous-ventriculaire en bas devenant sous-cortical en haut, et le faisceau sagittal, sous-ventriculaire en haut, devenant
ant sous-cortical en bas. Plus en arrière, cependant, les fibres du faisceau sagittal dans leur trajet descendant ne s'inflé
ce niveau en présence de ce fait très intéressant, à savoir, que le faisceau sagittal médian entoure complètement la cavité
gées plus ou moins verticalement, sont pour la plupart tributaires du faisceau sagittal médian. Cependant au niveau de la part
A ce propos, nous rappellerons que dans une monographie (1) sur le faisceau longitudinal inférieur et le faisceau optique c
ns une monographie (1) sur le faisceau longitudinal inférieur et le faisceau optique central, nous avons soutenu la thèse qu
et le faisceau optique central, nous avons soutenu la thèse que les faisceaux de Sachs et de Vialet, habituellement considérés
ux de Sachs et de Vialet, habituellement considérés comme étant des faisceaux propres au lobe occipital, n'étaient que les prol
retrouve pas au niveau actuellement à l'étude, la moindre trace du faisceau de Sachs. Plus en arrière, vers la pointe occip
u faisceau de Sachs. Plus en arrière, vers la pointe occipitale, ce faisceau finit par se dessiner, assez vaguement du reste
paroi ventriculaire interne a complètement disparu. Par contre, le faisceau de Vialet est particulièrement bien différencié
le cingulum supérieur ou pariétal se confond grossièrement avec le faisceau sagittal médian, alors que le cingulum inférieu
elief habituel et paraît être situé plus bas qu'à l'état normal. Le faisceau perpendiculaire de Werniclie est relativement b
l'on se rapproche du pôle occipital, on constate que les fibres du faisceau sagittal médian entourent presque complètement la
ans son segment inférieur. On commence à distinguer à ce niveau, le faisceau transverse du cunéus de Sachs. Quant aux faisce
r à ce niveau, le faisceau transverse du cunéus de Sachs. Quant aux faisceaux de Vialet et de Wernicke, ils demeurent particu-
e sagittale externe temporale, le trajet ininterrompu des fibres du faisceau de Turckdans leur passage à travers le segment
i- rablement. La capsule externe est notablement dégénérée, mais le faisceau un- cinatus par contre se colore relativement b
frontal prend un développement considérable et se transforme en un faisceau bien conformé qui affecte un trajet horizontal an
terne de la corne frontale. Nous attribuons la majeure partie de ce faisceau au système calleux et nous le désignerons désorma
adoptée pour la description de l'hémisphère gauche, sous le nom de faisceau sagittal médian. En avant de la corne frontale, l
au sagittal médian. En avant de la corne frontale, les fibres de ce faisceau se confondent plus ou moins avec les fibres const
l'épaisseur de la paroi ventriculaire interne et sert à séparer le faisceau sagittal médian du pilier antérieur du tri- gon
zone sous-épendymaire de la corne frontale en passant au-dessous du faisceau sa- gittal. Il semble donc, par conséquent, qu'
est que sur les coupes suivantes le septum qui sépare le trigone du faisceau sagittal médian est remplacé par un sillon dans l
Cie, Editeurs AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX 649 fibres appartenant au faisceau sagittal. Toutes ces particularités nous portent
rayonnante, malgré son enchevêtrement avec la partie antérieure du faisceau sagittal médian, jusque dans la zone sous-corti
peut être suivie sans difficulté jusqu'au pôle frontal. En dedans du faisceau sagittal médian et dans la région sous-cortical
étal du cingulum. Ses fibres affectent le même trajet que celles du faisceau sagittal médian et peuvent être suivies en avan
apide et, se prolongeant en avant, se confondent avec les fibres du faisceau sagittal médian qui est lui-même devenu très vo
st lui-même devenu très volumineux. De cette union résulte un large faisceau dirigé horizontalement d'avant en arrière et qui
zone sous-épendymaire de la corne frontale et l'ergot de Morand. Le faisceau sagittal médian (Ballcenlangsbündel de Probst)
corps du trigone. Les relations qui existent entre le trigone et le faisceau sagittal médian sont assez complexes et suffisamm
bique qui, pour lui arriver, doivent traverser toute l'épaisseur du faisceau sagittal médian. Bien que d'une façon générale ce
lus élevés, on voit que de pair avec le développement progressif du faisceau sagit- tal médian et la disparition concomitant
res, ce qui reste du trigone se trans- portant lentement travers le faisceau sagittal médian jusque dans la profon- deur de
tion de domaine est d'autant plus facile à suivre que les fibres du faisceau sagittal médian se colorent fortement alors que
anchement dégénérées. Lors de sa migration à travers l'épaisseur du faisceau sagittal, le trigone affecte la forme d'une lyre
ndymaire à la zone sous-corticale de la circonvolution limbique. Le faisceau sagittal médian finit donc par former sur toute l
l'intérêt porte sur le développement ultérieur du système calleux. Le faisceau sagittal médiau qui s'élargit de plus en plus c
tricule latéral. En arrière,là où il aborde la corne occipitale, le faisceau sagittal médian se renfle pour former un forceps
que l'on observe sur une coupe normale prise au même niveau. Que le faisceau sagittal médian n'est autre que le segment homo
incontestable. Au-dessus du ventricule, les fibres constituantes du faisceau sagittal médian poursuivent un trajet moins rec
dans le voisinage du ventricule, se réunissent pour former un long faisceau sagittal au lieu de traverser la ligne médiane
sphère cérébral ; on re- trouve la même disposition de noyaux et de faisceaux qu'à l'état normal. A coup sûr, quant à son vol
de faisceaux qu'à l'état normal. A coup sûr, quant à son volume, le faisceau sagittal médian de l'un ou de l'autre hémisphèr
é. Mais il faut bien tenir compte de ce fait que dans notre cas, le faisceau sagittal médian et le tapétum ne renferment que l
fussent non seulement généralisées, mais uniformément intenses. Le faisceau occipito-frontal d'Onufrowicz n'existe pas dans l
ations que l'on a voulu iden- tinter dans le cerveau normal avec le faisceau d'Onufrowicz. se retrouvent facilement dans les
ment dans les cas d'agénésie et qu'elles sont nettement séparées du faisceau sagittal atypique. Les cas d'agénésie nous rend
permettent de suivre plus facile- ment le trajet d'un bon nombre de faisceaux . Nous avons vu les rapports intimes qui existen
faisceaux. Nous avons vu les rapports intimes qui existent entre le faisceau sagit- tal médian et le trigone, et nous avons
emière cir- convolution limbique en traversant toute l'épaisseur du faisceau sagittal médian. Il y a longtemps que nous avon
presque le pôle frontal ; en arrière elles se mêlent aux fibres du faisceau sagittal médian pour constituer le tapétum de l
il se rend cependant dans le lobe occi- pital où il prend le nom de faisceau de Sachs. A l'appui de cette asser- tion, nous
cle mé- canique au développement de la commissure calleuse. 3° Le faisceau occipito-frontal ne représente, ainsi que l'a dit
he, tandis qu'il appuie sa main droite sur une hache émergeant d'un faisceau de licteur ; le second squelette, en tricorne,
15 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
qui va se rendre à un petit ganglion situé près de la bouche. 8. Faisceau qui unit le cerveau au ganglion en patte 'd'oie.
. 8. Faisceau qui unit le cerveau au ganglion en patte 'd'oie. 9. Faisceau plus large que le précédent et qui, en s'unissa
Section du pont de Varóle. Les points blancs indiquent la section des faisceaux de fibres transverses venant du cervelet. /j'"e
ndiquer avec précision les proportions relatives des axes gris et des faisceaux blancs qui les enveloppent. 'ig. \. Moelle épin
rijumeaux antérieurs. b. Tubercules quadrijumeaux postérieurs. c. Faisceau triangulaire latéral de l'isthme (Gru- veilhier
formes ou pyramides postérieures. k. Tubercule cendré de Rolande l. Faisceau moyen dans la région du buîbe. m. Cordons média
estiforme. t. Tubercule cendré de Rolande y. Funicule accessoire du faisceau latéral de la moelle. k. Son expansion autour d
rébraux. c. Protubérance. d. Pyramide antérieure. /'. Olive. g. Faisceau antéro-îatéral. h. Trou borgne postérieur de Vi
. A. Portion du ronflement cervical. B. Renflement lombaire. à. Faisceaux postérieurs dans la région du renfle- ment lomb
central de la moelle. /. Cordons disséminés sur la tête centrale du faisceau latéral. g. Cornes postérieures des axes gris d
res des axes gris de la moelle, parcourues d'arrière en avant par des faisceaux blancs émanés des cordons postérieurs, et des rac
al. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian postérieur. f. Faisceaux disséminés. On peut remarquer les proportions,
la région dorsale. On peut y remarquer une réduction simultanée des faisceaux blancs et des axes gris. Fig. 8. Coupe de la mê
, 7 et 8, on pourra constater une proportion relative plus grande des faisceaux blancs chez l'adulte, et des axes gris chez l'enf
avec les racines postérieures; 3° avec les fibres longitudinales des faisceaux moyens et postérieurs; 4° enfin, avec les fibres
a ligne médiane con- stituant la commissure antérieure. i. Petits faisceaux disséminés, formant l'arête centrale des faisce
ure. i. Petits faisceaux disséminés, formant l'arête centrale des faisceaux moyens. j. Fibres qui de la face antérieure des
trale des faisceaux moyens. j. Fibres qui de la face antérieure des faisceaux postérieurs ou sensitifs se portent dans les cell
entes. I. Commissure grise. A. Faisceaux blancs antérieurs. A'. Faisceaux moyens confondus avec les antérieurs. R. Faisce
eaux postérieurs. Fig. 2. Structure d'une feuille du cervelet. a. Faisceau central de fibres blanches provenant du novau b
t. D'après le cerveau du Papion (Cynoceplialus spliynx), grossi. à. Faisceau antéro «latéral. á. Pyramide antérieure du côté
erminai de l'axe gauche vu par sa face externe (dans le Papion). à. Faisceau antérieur. á. Pvramide antérieure. c. Olive.
au antérieur. á. Pvramide antérieure. c. Olive. d. Expansion du faisceau latéral qui se porte vers le corps restiforme e
postérieur gauche. k. Tubercule quad ri jumeau antérieur gauche. /. Faisceau triangulaire latéral de l'isthme (Cru-veilher). R
isceau triangulaire latéral de l'isthme (Cru-veilher). Ruban, (Reil). Faisceau olivaire (Tied.) m. Étage inférieur du pédoncul
es dans le raphé de l'axe et proviennent de la face postérieure des faisceaux moyens du bulbe ; elles sont l'origine des fibres
ur du cervelet qui suivent la distribution de l'une des branches du faisceau postérieur (g). g. Prolongement interne du fais
des branches du faisceau postérieur (g). g. Prolongement interne du faisceau postérieur qui se porte vers l'anse du pédoncul
Bulbe. b. Pyramide antérieure. c. Protubérauce. d. Expansion du faisceau latéral qui recouvre les corps restiformes. e
ral qui recouvre les corps restiformes. e. Cinquième paire. /', Faisceau triangulaire latéral de l'isthme. g. Tubercule qu
ut. 0. Bulbe. b. Pyramide postérieure coupée. ce. Prolongement du faisceau postérieur qui se porte vers la base du lobe olfa
me paire. d\ Sa racine descendante, f/". Sa racine ascendante. e. Faisceaux antérieurs de la protubérance. f. Faisceau tria
racine ascendante. e. Faisceaux antérieurs de la protubérance. f. Faisceau triangulaire latéral de l'isthme. g. Pédoncule
ion dans l'hémisphère. t. Commissure antérieure. Fig. 8. Marche des faisceaux médullaires suivie sur la face interne du demi en
cacas radiatus). a. Bulbe. a'a'. Fibres delà face postérieure des faisceaux latéraux qui se portent en avant et en bas dans l
dans le raphé du bulbe, et sont l'origine des fibres arciformes. b. Faisceau postérieur du bulbe détaché. b\ Prolongement de
s. b. Faisceau postérieur du bulbe détaché. b\ Prolongement de ce faisceau qui se porte vers le centre de la couche optique.
sent en avant les pyramides pédoncu-laires. d. Couche optique. e. Faisceau formé par certaines racines de la troi- sième p
écorce blanche au corps strié externe. i. Commissure molle. k.k. Faisceau perforé du pédoncule. /. Faisceau perforant du
ne. i. Commissure molle. k.k. Faisceau perforé du pédoncule. /. Faisceau perforant du pédoncule. Papion disséqué couche
ent appliquée sur lui, et qui ont déjà été indiquées, g, fig. 1. k.k. Faisceau perforé et anse du pédoncule cérébral. /. Faisc
g, fig. 1. k.k. Faisceau perforé et anse du pédoncule cérébral. /. Faisceau perforant du pédoncule. n. Commissure antérieur
d'une partie de la voûte et du septum lucidum. q.q.q. Fibres qui du faisceau perforé du pédoncule se portent directement dans
du pédoncule à l'hémisphère, a été en partie détaché et enlevé. a. Faisceau perforant du pédoncule. b. Son faisceau perforé
tie détaché et enlevé. a. Faisceau perforant du pédoncule. b. Son faisceau perforé. c. Anse du pédoncule dont le bord anté
calleux, dans tous les plis de la face externe de l'hémisphère. a. Faisceau perforant du pédoncule. b. Faisceau perforé.
e externe de l'hémisphère. a. Faisceau perforant du pédoncule. b. Faisceau perforé. c. Corps strié externe. d. Corps str
ges de plis qui occupent la face externe de l'hémisphère. i, i\ in. Faisceaux qui de l'éventail pédonculaire se portent directe
is qui occupent la face externe de l'hémisphère et alternent avec les faisceaux du système précédent. k.k.k. Commissures propre
a été détaché pour mettre en évidence ses véritables relations. a. Faisceaux antérieurs du bulbe. b. Pyramides antérieures.
composent l'hémisphère disséqué de sa base à sa face supérieure. a. Faisceau perforé du pédoncule. b. Son faisceau perforant
se à sa face supérieure. a. Faisceau perforé du pédoncule. b. Son faisceau perforant. c. Nerf optique soulevé et détaché d
rps strié externe. /. Commissures propres du lobule orbitaire. m. Faisceau de l'éventail pédonculaire séparant le corps st
septum avec ses deux feuillets composants. I. Méat de Sylvius. m. Faisceau de fibres qui par le corps calleux vient de la mo
alleux vient de la moitié droite de l'axe à l'hémisphère gauche. n. Faisceau qui du côté gauche de l'axe se porte à l'hémisphè
he de l'axe se porte à l'hémisphère droit. 0. Racine de l'un de ces faisceaux . Fig. 6. Ensemble des expansions cérébrales du
16 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cordons latéraux, celle qu'on désigne aujourd'hui sous le nom de- faisceau pyramidal; il met en relation la zone motrice d
ce qui suit : 1° à la région cervicale, il existe de chaque côté un faisceau grisâtre comprenant la moitié postérieure des c
re, un fais- ceau gris qui parait dépasser en dehors les limites du faisceau de Goll ; 2° sur une coupe faite à la partie mo
ites bandelettes intactes qui représentent, au moins en partie, les faisceaux de Goll. Sur la figure 5, qui correspond à l'ex
altérations est la même que sur la coupe précédente. Seulement les faisceaux de Goll, tou- jours intacts, se dessinent plus
es, sauf dans la partie qui avoisine immédiatement la pie-mère. Les faisceaux de Goll, au contraire, sont dégénérés. Cette dé
le et du bulbe, elle intéresse toute l'épaisseur du cordon latéral ( faisceau cérébelleux direct, et faisceau pyramidal crois
te l'épaisseur du cordon latéral (faisceau cérébelleux direct, et faisceau pyramidal croisé). En dedans, elle est limitée pa
e Duchenne la plus légitime. Comme dans cette dernière affection le faisceau de Burdach est envahi dans les parties basses d
amené à tenir pour synonymes les deux expressions cordon latéral et faisceau pyramidal. Or, rien n'est plus faux que cette s
connaissons bien aujourd'hui, c'est le système centri- pète ou du faisceau cérébelleux direct qui confine à la périphérie
fine à la périphérie de la moelle, et le système centrifuge ou du faisceau pyramidal, situé en dedans du premier. Ces 56 P
n latéral affecte-t-elle la même topographie que celle reconnue aux faisceaux cérébelleux ou pyrami- daux ? En aucune façon;
forme d'un triangle à base péri- phérique élargie, qui traverse le faisceau cérébelleux et empiète sur le système pyramidal
ui respecterait absolument dans toutes les parties de la moelle les faisceaux de Türck et les cor- nes antérieures qui font p
systématique et limitée aux cordons latéraux sans participation des faisceaux de Türck et de la substance grise; mais de ces
oute la hauteur de la moelle paraissaient bien limitées à l'aire du faisceau pyramidal. Toutefois, le début brusque de l'aff
au. Etude sur le tabès dorsal spasmodique (sclérose pri- mitive des faisceaux latéraux). Thèse du Paris, 1SS3. * Stofella. Wi
i qu'il en soit, si l'on veut admettre une sclérose systématique du faisceau pyra- midal, sans participation du faisceau de
clérose systématique du faisceau pyra- midal, sans participation du faisceau de Tùrck et des cornes antérieures, on n'a pour
la sclérose des cordons postérieurs est assez nettement limitée aux faisceaux de Goll (PL. II, fin. 11 et 12) pour que nous n
imite pas au cordon de Burdach, elle intéresse en même temps et les faisceaux de Goll (ce qui est fréquent) et les faisceaux
en même temps et les faisceaux de Goll (ce qui est fréquent) et les faisceaux cérébelleux di- rects. Ces derniers faisceaux s
est fréquent) et les faisceaux cérébelleux di- rects. Ces derniers faisceaux sont seuls lésés dans le cordon latéral. Dans l
mment dans le cordon latéral, paraissait très exactement limitée au faisceau cérébelleux de chaque côté. 3° type. - Ici il
ndant devoir être envisagée comme une sclérose systématique de ce faisceau ; car sur quelques points, elle en dépasse de be
une dégénérescence des cordons de Goll, associée ou non à celle des faisceaux cérébel- leux ; au-dessous au contraire la lési
contraire la lésion dégénérative intéressera, suivant la règle les faisceaux pyramidaux. Les choses nous semblent s'être pas
la sclé- rose commence à la périphérie de la moelle, recouvre les faisceaux cérébelleux et une partie des voies pyra- midal
ns les unes ni dans les autres de ces observations, les lésions des faisceaux latéraux n'affectaient, dans leur localisation,
ERVEUSE. elle est assez bien localisée aux cordons de Goll et aux faisceaux cérébelleux, tandis qu'au niveau des régions do
sont dégénérés dans une partie qui correspond assez exactement aux faisceaux pyramidaux. Ce cas est susceptible de trois int
rait affaire à une double dégénérescence du système cen- trifuge ( faisceau pyramidal) et du système centripète (cordons de
difficilement compatible avec une lésion systématique primitive du faisceau pyramidal. Westphal observe, à la vérité, que l
téressant, d'une part, les cor- dons postérieurs ; d'autre part, le faisceau pyramidal. Parmi les observations que nous avon
la hauteur de la moelle, d'autre part, dans la même étendue, les faisceaux cérébelleux et pyramidaux. De plus, fait import
de Tùrck était lésé du côté droit. Corrélativement la sclérose du faisceau pyramidal occupait une étendue moins considérab
moins considérable à gauche que de l'autre côté. Cette lésion du faisceau de Tùrck nous semble, comme à MM. Kahler et Pic
ection qu'on pourrait faire à cette manière de voir, c'est que le faisceau cérébelleux était lésé au même titre que le pyr
toute la hauteur de la moelle, semblait assez nettement limitée au faisceau pyramidal de cha- que côté. L'observation de ce
'association d'une sclérose des cordons latéraux à une sclérose des faisceaux postérieurs. On sait que les symptômes d'une
évoir que, dans les cas de sclérose intéressant simultanément les faisceaux postérieurs et les latéraux, on se trou- vera e
thésies et anesthésies); celles des cordons latéraux, du moins du faisceau pyramidal, par de la paraplégie avec contractur
latéral s'étend dans la plus grande partie de la moelle, celle des faisceaux de Burdach fait défaut sur certains points, not
tablir, de rappeler les nombreux cas de sclérose systématique des faisceaux postérieurs avec propagation du pro- cessus aux
ertains cas de MM. Charcot et Pierret, dans lesquels la sclérose du faisceau de Burdach avait évolué sans son cortège de dou
Coupe de la région dorsale. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du faisceau de Burdach. Fig. 9. Coupe de la région dorsale.
r trouva l'atrophie du nerf optique ainsi qu'une faible atrophie du faisceau croisé, le tubercule quadrijumeau qui lui corre
a couche grillée, tout à côté, commande en outre à la nutrition des faisceaux latéraux du pédoncule cérébral. Ceux-ci, à la s
De sa destruction résulte l'atrophie des fibres des pyramides et du faisceau de Vicq d'Azyr en même temps qu'une diminution
rtions de l'étape supérieur des pédoncules cérébraux ainsi que d'un faisceau d'association qui rejoint le lobe frontal au lo
le pédoncule et la protubérance ; elle nous a montré de plus que le faisceau de l'hypoglosse diffère, au point de vue de son
de vue de son origine corticale et de son trajet intra-cérébral, du faisceau dit de l'aphasie. Le présent travail se divise
per- manent avec lésions du pied de la frontale ascendante ou des faisceaux blancs sous-jacents. Le tiers inférieur de cett
ré Pitres, le centre ovale est décomposable en un certain nombre de faisceaux de fibres blanches, destinées à relier à la pér
on des conducteurs équivaut à la destruction du centre. Parmi les faisceaux blancs du centre ovale, deux nous intéressent t
ovale, deux nous intéressent tout particulièrement : ce sont les faisceaux sous-jacents à la troisième circonvolution DES
tout corticales; un second, dans lequel les lésions intéressent les faisceaux blancs sous-jacents. Au premier groupe appartie
le- fait de Féré existent en même temps des lésions de l'écorce des faisceaux blancs, sous-jacents : à gauche, ramollissement
s venons de décrire, on verra que toujours la lésion intéresse le faisceau frontal inférieur, c'est-à-dire le faisceau se
la lésion intéresse le faisceau frontal inférieur, c'est-à-dire le faisceau se détachant du pied de la frontale ascendante.
u pied de la frontale ascendante. Ainsi, de même que les lésions du faisceau pédiculo- frontal inférieur (sous-jacent à la t
frontale) se traduisent par de l'aphasie, de même les lésions du faisceau frontal inférieur (sous-jacent à la frontale as
ar le syndrome clinique de la paralysie labio-glosso-laryngée. Le faisceau frontal inférieur renferme donc les fibres céré
lade avait de la peine à écarter les mâchoires ». Les lésions de ce faisceau , qui donnent lieu au tableau clinique de la par
s, l'absence des phénomènes qui d'ordinaire révèlent une lésion des faisceaux pyramidaux consti- tuent déjà une présomption s
là un fait intéressant parce qu'il montre que la dégénération des faisceaux latéraux de la moelle n'entraîne pas de troubles
'après la méthode d'I;rlitzhy), démontra les lésions classiques des faisceaux latéraux sur toute l'étendue de la moelle, sclé
e la protubérance se limitent quelquefois à la zone que parcourt le faisceau volontaire et déterminent alors du côté opposé
ivante : i° Le tiers postérieur du segment postérieur contient le faisceau destiné à la transmission des impressions sensi
2° Les deux tiers antérieurs'idu segment postérieur contiennent le faisceau destiné à l'innervation des muscles des membres
LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 97 3' Le genou de la capsule contient le faisceau des- tiné à donner le mouvement à toutes les pa
r la volonté. 4° Le segment antérieur de la capsule renferme un faisceau dont les lésions se traduisent par des troubles
ésions se traduisent par des troubles intellectuels; A ces quatre faisceaux peuvent être imposées les dénominations de : fa
A ces quatre faisceaux peuvent être imposées les dénominations de : faisceau sensitif, faisceau pyra- midal (faisceau moteur
aux peuvent être imposées les dénominations de : faisceau sensitif, faisceau pyra- midal (faisceau moteur des membres), fais
s les dénominations de : faisceau sensitif, faisceau pyra- midal ( faisceau moteur des membres), faisceau géniculé (faiscea
sceau sensitif, faisceau pyra- midal (faisceau moteur des membres), faisceau géniculé (faisceau moteur de la face, de la lan
eau pyra- midal (faisceau moteur des membres), faisceau géniculé ( faisceau moteur de la face, de la langue, du voile du pa
é (faisceau moteur de la face, de la langue, du voile du palais), faisceau intellectuel. De même, la région pédonculaire a
llectuel. De même, la région pédonculaire a été divisée en quatre faisceaux qui sont : 1° Un faisceau postérieur faisant su
n pédonculaire a été divisée en quatre faisceaux qui sont : 1° Un faisceau postérieur faisant suite au faisceau sensitif;
tre faisceaux qui sont : 1° Un faisceau postérieur faisant suite au faisceau sensitif; ' 2° Un faisceau moyen faisant suit
n faisceau postérieur faisant suite au faisceau sensitif; ' 2° Un faisceau moyen faisant suite au faisceau pyra- midal ;
ite au faisceau sensitif; ' 2° Un faisceau moyen faisant suite au faisceau pyra- midal ; 3° Un faisceau interne faisant
° Un faisceau moyen faisant suite au faisceau pyra- midal ; 3° Un faisceau interne faisant suite au faisceau in- tellectue
au faisceau pyra- midal ; 3° Un faisceau interne faisant suite au faisceau in- tellectuel ; 4° Un faisceau intermédiaire
faisceau interne faisant suite au faisceau in- tellectuel ; 4° Un faisceau intermédiaire au faisceau moyen et au faisceau
uite au faisceau in- tellectuel ; 4° Un faisceau intermédiaire au faisceau moyen et au faisceau interne, correspondant au
tellectuel ; 4° Un faisceau intermédiaire au faisceau moyen et au faisceau interne, correspondant au faisceau géni- culé.
médiaire au faisceau moyen et au faisceau interne, correspondant au faisceau géni- culé. Ces deux derniers faisceaux, ains
interne, correspondant au faisceau géni- culé. Ces deux derniers faisceaux , ainsi que l'a montré l'étude des dégénérations
e la face. Les fibres détachées du pied de la troisième frontale ( faisceau de l'aphasie) et les fibres détachées de la fro
au de l'aphasie) et les fibres détachées de la frontale ascendante ( faisceau de l'hypoglosse) sont-elles contenues dans le m
ndante (faisceau de l'hypoglosse) sont-elles contenues dans le même faisceau pédon- culaire (faisceau géniculé ou faisceau i
losse) sont-elles contenues dans le même faisceau pédon- culaire ( faisceau géniculé ou faisceau intellectuel) ou daus des
ontenues dans le même faisceau pédon- culaire (faisceau géniculé ou faisceau intellectuel) ou daus des faisceaux différents
culaire (faisceau géniculé ou faisceau intellectuel) ou daus des faisceaux différents ? Telle est la question ' que nous a
ns de la bandelette la plus interne du pé- doncule (c'est-à-dire du faisceau intellectuel) coïn- cident toujours avec des tr
membres, au visage ou à la langue; tandis que les dégénérations du faisceau intermédiaire (faisceau géniculé) se rencontrer
la langue; tandis que les dégénérations du faisceau intermédiaire ( faisceau géniculé) se rencontreraient dans les cas d'aph
u voile du palais. Pour Brissaud, comme on le voit, les fibres du faisceau pédiculo-frontal inférieur et celles du faisceau
oit, les fibres du faisceau pédiculo-frontal inférieur et celles du faisceau frontal inférieur~se réuniraient dans le même f
et celles du faisceau frontal inférieur~se réuniraient dans le même faisceau pédonculaire, le faisceau géniculé. Nous ne s
tal inférieur~se réuniraient dans le même faisceau pédonculaire, le faisceau géniculé. Nous ne saurions être du même avis, e
e preuves à fournir, nous pensons qu'il existe dans le pédoncule un faisceau de fibres dis- tinctes, intermédiaire au faisce
s le pédoncule un faisceau de fibres dis- tinctes, intermédiaire au faisceau géniculé et au fais- ceau intellectuel; la dégé
sceau géniculé et au fais- ceau intellectuel; la dégénération de ce faisceau , que l'on pourrait nommer faisceau de l'aphasie
ellectuel; la dégénération de ce faisceau, que l'on pourrait nommer faisceau de l'aphasie se montre- rait toutes les fois qu
utes les fois que la troisième circonvolution frontale gauche ou le faisceau pédiculo-frontal infé- rieur sous-jacent à cett
genou de la capsule. 2° Dans l'hémiplégie vulgaire par lésion du faisceau pyramidal, il y a toujours un certain degré de
er cas, le fais- ceau géniculé est intéressé en même temps que le faisceau pyramidal, en avant duquel il se trouve immé- d
avant duquel il se trouve immé- diatement ; dans le second cas, le faisceau pyramidal et le faisceau géniculé sont respecté
immé- diatement ; dans le second cas, le faisceau pyramidal et le faisceau géniculé sont respectés; seuls, le faisceau de
aisceau pyramidal et le faisceau géniculé sont respectés; seuls, le faisceau de l'aphasie et le faisceau intellectuel ont ét
ceau géniculé sont respectés; seuls, le faisceau de l'aphasie et le faisceau intellectuel ont été lésés. Nous croyons donc q
et le faisceau intellectuel ont été lésés. Nous croyons donc que le faisceau pédiculo-frontal inférieur {faisceau de l'aphas
és. Nous croyons donc que le faisceau pédiculo-frontal inférieur { faisceau de l'aphasie) et le faisceau frontal inférieur
e faisceau pédiculo-frontal inférieur {faisceau de l'aphasie) et le faisceau frontal inférieur (faisceau de l'hypoglosse, du
inférieur {faisceau de l'aphasie) et le faisceau frontal inférieur ( faisceau de l'hypoglosse, du facial inférieur, de la bra
e pédoncule un trajet, très voisin, il est vrai, mais différent. Le faisceau frontal inférieur ou faisceau de l'hypoglosse t
in, il est vrai, mais différent. Le faisceau frontal inférieur ou faisceau de l'hypoglosse traverse la capsule interne au
eau de l'hypoglosse traverse la capsule interne au niveau du genou { faisceau géniculé) et se place dans le pédoncule à la fa
isceau géniculé) et se place dans le pédoncule à la face interne du faisceau pyramidal. Le faisceau pédiculo-frontal inférie
ace dans le pédoncule à la face interne du faisceau pyramidal. Le faisceau pédiculo-frontal inférieur ou faisceau de l'aph
ne du faisceau pyramidal. Le faisceau pédiculo-frontal inférieur ou faisceau de l'aphasie traverse la capsule interne dans s
ans son seg- 300 PATHOLOGIE NERVEUSE. ment antérieur, en avant du faisceau géniculé, en arrière du faisceau intellectuel,
USE. ment antérieur, en avant du faisceau géniculé, en arrière du faisceau intellectuel, et se place dans le pédoncule ent
du faisceau intellectuel, et se place dans le pédoncule entre le faisceau géniculé et le faisceau intellectuel. 4° Lésion
uel, et se place dans le pédoncule entre le faisceau géniculé et le faisceau intellectuel. 4° Lésions de la protubérance.
ce, sont des troubles dans l'articulation des mots, par lésion du faisceau de l'hypoglosse. Mais puisque le faisceau de l'
n des mots, par lésion du faisceau de l'hypoglosse. Mais puisque le faisceau de l'aphasie, de même que le faisceau de l'hypo
l'hypoglosse. Mais puisque le faisceau de l'aphasie, de même que le faisceau de l'hypoglosse, ne s'arrête qu'au bulbe, il do
au même titre qu'il existe une aphasie par lésion de l'écorce, des faisceaux blancs sous-jacents ou de la capsule interne. L
ous manquent donc pour poursuivre dans la protubérance le trajet du faisceau de l'aphasie. En ce qui concerne le trajet intr
u vuit un foyer composé de plusieurs petites lacunes occupant les faisceaux les plus postérieurs delà pyramide motrice, san
ste un foyer de ramollissement, très étendu, qui a détruit tout les faisceaux constituant la moitié postérieure de la pyra- m
ne sont pas altérés. Dans la moelle, dégénérescence secondaire du faisceau py- ramidal croisé, à droite, et du cordon de T
le ascen- dante, les fibres cérébrales de l'hypoglosse suivent le faisceau frontal inférieur, traversent la capsule in- te
terne au niveau du genou, se placent dans le pédon- cule entre le faisceau pyramidal et le faisceau que nous avons nommé f
u, se placent dans le pédon- cule entre le faisceau pyramidal et le faisceau que nous avons nommé faisceau de l'aphasie, occ
ule entre le faisceau pyramidal et le faisceau que nous avons nommé faisceau de l'aphasie, occupent dans la protubérance la
men histologique de la tumeur 1 démontré qu'elle est formée de gros faisceaux de fibres de tissu conjonctif s'entre- croisant
de la paraplégie s'accompa- gnent de lésions systématiques dans les faisceaux des pyramides. La multiplicité des groupes de f
istin- guer dans les cordons postérieurs , rapprochée de ceux des faisceaux cérébro-médullaires qui nous échappent en dépit d
énétiques. Quoique l'affection cérébrale soit unilatérale, les deux faisceaux pyrami- daux sont dégénérés. La dégénérescence
ion, et le cervelet avec l'équilibre, de sorte que, dans ce cas, le faisceau en question serait la voie par laquelle notre a
njonctif situé entre la pointe externe de la corne antérieure et le faisceau latéral est plus accentué du côté malade; ses m
ient du chevreuil, l'autre de l'homme. Les sections transverses des faisceaux sonttrès obscures, le^ sections longitudinales so
les fibres obliques offrent une nuance intermédiaire. On y voit des faisceaux clairs s'infléchir dans la substance blanche de l
Coupe de la région dorsale. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du faisceau de Burdach. Fig. 9. Coupe de la région dorsale
17 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
yse zygomatique, une ligne de démarcation sur laquelle s'insèrent les faisceaux inférieurs du muscle temporal et qui n'avait pas
t des rugosités, vraisemblablement destinées à donner insertion à des faisceaux musculaires (1). Ces variations morphologiques
re au fond de la rainure et sur la face externe de la bulle, par deux faisceaux de libres dont le plus important est celui de la
limite par en haut la logette de Prussak. Helmholtz y considère deux faisceaux , l'un antérieur formé de fibres plus courtes, l'a
llius et sur la grande épine tympanique antérieure. Ce ligament et le faisceau postérieur du ligament externe constituent la ban
par la partie antérieure du segment postérieur de la capsule interne ( faisceau génicuié), traversent le cinquième interne du pie
qui se termine dans le bulbe autour des cellules d'un noyau accolé au faisceau solitaire. La solidarité anatomique, qui existe
une hémiplégie faciale par compression du noyau bulbaire, et aussi du faisceau intra-bulbaire du nerf: c'est la paralysie nucléa
Pflaumer, afin d'établir l'anse anastomotique, en le suturant soit au faisceau trapézien du spinal, soit à l'hypoglosse. La re
perdent dans le muscle ou le traversent pour se rendre au trapèze. Ce faisceau trapézien doit être disséqué dans une étendue de
la tente du cervelet. « La portion de leur trajet comprise entre les faisceaux fibreux de la tente du cervelet leur est ordinair
ndre-axes directs et des fibres collatérales de provenances diverses ( faisceau de projection, d'association intra-hémisphérique)
projection, d'association et commissurales. Lobe occipito-temporal.— Faisceaux de projection. Couronne rayonnante du lobe tempor
anglions infracorticaux et le rhombencéphale. Elle comprend : a) Le faisceau temporo-protubérantiel de Tûrck, qui dégénère de
si partie du segment sous-lenticulaire de la capsule interne; c) Le faisceau temporo-thalamique d'Arnold, étendu entre les tro
ibuent avec elles k la formation du champ triangulaire de Wernicke. Faisceaux d'association.— a) Le faisceau arqué ou longitudi
du champ triangulaire de Wernicke. Faisceaux d'association.— a) Le faisceau arqué ou longitudinal supérieur, constitué par un
remières temporales, les trois occipitales et le pli courbe ; b) Le faisceau uncinatus, reliant le pôle temporal k la face orb
eliant le pôle temporal k la face orbitaire du lobe frontal ; c) Le faisceau longitudinal inférieur, qui se joint aux fibres d
années, Flechsig et plusieurs neuro-logistes ont considéré ces longs faisceaux d'association inter-hémisphériques comme de vérit
ongs faisceaux d'association inter-hémisphériques comme de véritables faisceaux de projection : les fonctions associatives qui le
ssociatives qui leur étaient dévolues appartiendraient k une série de faisceaux courts.) d) Le faisceau occipital vertical de W
t dévolues appartiendraient k une série de faisceaux courts.) d) Le faisceau occipital vertical de Wernicke, placé en dehors d
première et la troisième occipitales et le lobule fusiforme ; e) Le faisceau occipital transversal du cunéus (Sachs), reliant
liant celui-ci k l'écorce de la convexité du lobe occipital ; f) Le faisceau occipital transversal du lobule lingual (Vialet)
eynert (stratum proprium cunei), voies d'association courte ; h) Le faisceau occipito-frontai, qui forme le tapetum (Déjerine)
ngement occipito-sphénoïdal du ventricule latéral. (L'existence de ce faisceau n'est plus accepté en tant que faisceau d'associa
e latéral. (L'existence de ce faisceau n'est plus accepté en tant que faisceau d'association.) Fibres commissurales. — D'après
du recessus occipito-sphénoïdal du ventricule latéral, on trouve deux faisceaux d'association com-missurale, l'un supérieur, l'au
forceps major et forceps minor. A l'interruption de ces différents faisceaux se rattachent des troubles de la vision, de l'aud
, à des phénomènes réflexes ou de compression, et non à une lésion du faisceau pyramidal lui-même. L'opération confirme le diagn
s de Véquilibre (démarche incertaine, vertiges). — Scion Flechsig, le faisceau de Turck constituerait une voie motrice qui trans
des noyaux pontiques et de la voie centripète ponto-cérébclleuse, ce faisceau intervient aussi dans la coordination des mouveme
ssible de déterminer si ces troubles dépendent d'une lésion centrale ( faisceau de Turck ou cervelet), ou bien d'une altération d
gments du névraxe, par les voies pédonculaires. Elles constituent des faisceaux qu'on peut grouper en différents systèmes: cérébe
tibulaire. i° Système cérébello-médullaire. — Il comprend : a) Le faisceau cérébelleux direct (Flechsig) ou spino-cérébelleu
desquelles s'épanouissent les ramifications terminales des fibres du faisceau radiculaire médial des racines postérieures. En r
es racines postérieures. En remontant vers le bulbe, les fibres de ce faisceau occupent la périphérie de la moelle, derrière le
ibres de ce faisceau occupent la périphérie de la moelle, derrière le faisceau de Gowers. Elles pénètrent dans le cervelet, en p
rieure du vermis supérieur (lingula, lobule central, culmen). b) Le faisceau de Gowers, ou spino-cérébelleux ventral. — Il réu
supérieur et aux noyaux du toit. (Mott et Tooth, in Thomas.) c) Les faisceaux des cordons postérieurs et des noyaux de Goll et
latérales aux noyaux vestibulaires de Deiterset de Bechterew. d) Le faisceau cérébelleux descendant, marginal antérieur de Loe
s du même côte de la corne antérieure de la moelle cervicale. e) Le faisceau intermédiaire de Marchi. — Marcha, par la méthode
w, par l'étude de la myélinisation, ont démontré l'existence, dans le faisceau pyramidal croisé, de libres qui tirent leur origi
le pour se terminer dans les cornes antérieures de la moelle. f) Le faisceau en crochet. — Le noyau dentelé et probablement l'
fondamental antérieur par une voie efférente croisée qui constitue le faisceau en crochet de Russell. Après une hémi-extirpation
érébelleux supérieur, des libres dégénérées qui occupent le trajet du faisceau vestibulo-cérébelleux, se placent dans la substan
aux du vestibulaire. Plusieurs auteurs identifient cette voie avec le faisceau de Gowers. Thomas et Marchi ont signalé un fais
te voie avec le faisceau de Gowers. Thomas et Marchi ont signalé un faisceau cérébelleux descendant qui, sans relais, irait du
as été confirmée. « Tout porte à croire, dit-il, que les fibres de ce faisceau proviendraient du noyau de Deiters ». Ces fibres
s-médullaires sont admises par tous les auteurs. Elles passent par le faisceau longitudinal postérieur et par la réticulée. Nous
plus importante serait la voie afférente. Bechterew y distingue deux faisceaux qu'il dénomme cérébral et spinal. Le faisceau c
rew y distingue deux faisceaux qu'il dénomme cérébral et spinal. Le faisceau cérébral, voie afférente, tire son origine des no
aussi, au vermis supérieur et aux noyaux centraux. (Bechterew.) Le faisceau spinal, voie efférente, issue des régions antérie
u cervelet. Bamon y Cajal a vu ces libres ascendantes, groupées en un faisceau qu'il nomme vestibulo-cérébelleux, continuer dire
noyaux sphérique et du toit et vers l'écorce du vermis supérieur. Ce faisceau fournirait de simples collatérales aux noyaux bul
s ou bulbaires sont l'aboutissant d'une voie d'association longue, le faisceau central de la calotte qui descend des cellules cl
es cellules cle la substance réticulée de la calotte. (Bechterew.) Le faisceau ou cordon périolivaire, propre à la moelle cervic
moelle cervicale, continue probablement jusqu'à la moelle l'action du faisceau central. Les cellules multipolaires des noyaux
fournissent des collatérales, croisent lera-phé et pénètrent dans le faisceau longitudinal postérieur, où ils se dichotomisent
l'équilibration (nystagmus, etc.). Le noyau rouge est l'origine du faisceau descendant rubro-spinal de Monakow ; il entre aus
xion avec le tubercule quadrijumeau supérieur, par l'intermédiaire du faisceau longitudinal prédorsal ou faisceau tecto-bulbaire
supérieur, par l'intermédiaire du faisceau longitudinal prédorsal ou faisceau tecto-bulbaire de Pavlow; avec les centres de l'o
bulbaire de Pavlow; avec les centres de l'olfaction par les fibres du faisceau rétro-réflexe de Meynert, et, finalement, avec le
e cérébelleuse par la voie tubercules quadrijumeaux-noyaux pontiques ( faisceau tecto-jrrotubérantiel de Pavlow). Tout ce vaste
oies qui descendent directement du noyau vestibulaire vers la moelle ( faisceau longitudinal postérieur), et qui ne sont pas inté
indirectement les parties centrales de l'organe, noyaux gris et gros faisceau pédonculaire (Luciani), on constate alors les dif
e de ce symptôme : « Les noyaux de Deiters, reliés au cervelet par le faisceau vestibulo-cérébelleux, envoient des fibres au noy
s répondent à une lésion sous-corticale qui interrompt les différents faisceaux d'association, étendus entre les centres du langa
psule interne, le pédoncule cérébral, le corps calleux ; 4° parmi les faisceaux d'association : le cingulum qui appartient au lob
t au lobe limbique supérieur ou circonvolution calloso-mar-ginale, le faisceau occipito-frontal, le faisceau arqué étendu entre
u circonvolution calloso-mar-ginale, le faisceau occipito-frontal, le faisceau arqué étendu entre la troisième frontale et le lo
ceau arqué étendu entre la troisième frontale et le lobe temporal, le faisceau longitudinal inférieur qui unit en partie le lobe
u pont de Varole; 5° parmi les fibres d'association : le cingulum, le faisceau occipito-frontal avec le tapetum (Déjerine), le f
cingulum, le faisceau occipito-frontal avec le tapetum (Déjerine), le faisceau arqué, le faisceau longitudinal inférieur en part
au occipito-frontal avec le tapetum (Déjerine), le faisceau arqué, le faisceau longitudinal inférieur en partie, la capsule exte
aissent dans le pulvinar et le corps genouillé externe, et, enfin, le faisceau longitudinal inférieur. Y droite, le sinus laté
u lobule fusiforme, le tapetum, la radiatio optica de Gratiolet et le faisceau longitudinal inférieur. La section de la pyrami
eur-postérieur, inférieur-postérieur, inférieur-moyen du cervelet, le faisceau longitudinal inférieur et, enfin, les portions ho
18 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
stérieure, en détruisant les fibres des radiations de Gratiolet, du faisceau longitudinal inférieur et celles du tapetum, surt
roi inférieure de la corne postérieure est sclérosée. Une partie du faisceau longi- tudinal inférieur, qui se trouve dans la
usqu'à la paroi externe de la corne postérieure, en détruisant le faisceau de Gratiolet et lefaisceau longi- tudinal infér
a sclérose des fibres des radiations de Gratiolet et de celles du faisceau longitudinal inférieur, ainsi que la sclérose d
nterruption de la couche des radiations deGratiolet et des fibresdu faisceau longitudinal inférieur,surtout dans leur Fig. 8
re visuel cortical dans l'hémisphère droit et par l'interruption du faisceau visuel de Gratiolet sur son trajet dans l'hémis
u lobe occipital dans les deux cas, nous n'avons observé ni dans le faisceau de Gratiolet, ni dans les fibres du corps calle
ne certaine atrophie des fibres du bourrelet du corps calleux et du faisceau de Gratiolet. La sclérose de ce dernier, ainsi
conséquent, il s'agissait dans ces cas d'une lésion surplace de ce faisceau et non pas de dégénérescence proprement dite (4.)
ouve sur la tapisserie de Reims : c'est un serviteur zélé armé d'un faisceau de verges. Encore un témoignage de la coutume bar
es ascendantes qui portent de chaque côté sur le cordon de Goll, le faisceau cérébelleux direct et le faisceau de Go- wers,
ue côté sur le cordon de Goll, le faisceau cérébelleux direct et le faisceau de Go- wers, les deux premiers étant atteints d
it en outre une raréfaction des fibres à myé- line dans la zone des faisceaux pyramidaux directs et croisés (fig. 3). Les lé-
tement dégénéré que dans les segments sus-jacents. Dans la zone des faisceaux pyramidaux croisés la disposition des lé- , sio
atéraux montre encore un léger degré de raréfaction des fibres. Les faisceaux pyramidaux croisés sont en état de dégénérescen
appréciable, la forme de la moelle tend - it redevenir normale. Les faisceaux pyramidaux croisés seuls sont dégénérés, mais l
faisceaux pyramidaux croisés seuls sont dégénérés, mais les autres faisceaux blancs sont encore traversés par des septa conjon
riabilité des conduits sanguins. 4. Substance nerveuse (axe gris et faisceaux blancs). - Le relevé topographi- que des lésion
eg- ment dorsal, d'où est partie la dégénérescence secondaire de ce faisceau , tandis que pour le cordon de Goll gauche le po
gine des autres dégénéres- cences secondaires. La dégénérescence du faisceau pyramidal croisé gauche est au maximum dans la
dans la partie inférieure du 5° segment dorsal (fig. 7) et celle du faisceau pyramidal croisé droit dans le 6e segment dorsal
t dans le 6e segment dorsal (fig. 9). Au- dessus de ces régions les faisceaux pyramidaux croisés sont éclaircis par une dégén
de ces foyers de lésions destructives dans la substance nerveuse - faisceaux blancs et substance grise - coïncide toujours a
lier que les dégénérescences secondaires des cordons de Goll et des faisceaux pyramidaux croisés ne débutent pas à la même haut
et qui ne constituent pas un foyer unique. Ces lésions limitées des faisceaux blancs et de la substance grise sont- elles le
vertébrale, la moelle épinière a les particularités suivantes : le faisceau pyra- midal se trouve seulement dans les cordon
a périphérie par les fibres myéliniques très nettement marquées (le faisceau cérébelleux du cordon Nouvelle Iconographie de
ntôt la moelle est comprimée d'avant en arrière ; en conséquence le faisceau pyramidal, commençant à la commissure blan- che
nt étendus de côté dans la partie postérieure ; leur subdivision en faisceaux de Goll et de Burdach est indiquée. mais pas tr
ur partie dorsale sont mal développés, pâles et étendus de côté. Le faisceau pyramidal existe seulement sous forme d'un fais
dus de côté. Le faisceau pyramidal existe seulement sous forme d'un faisceau de Turck, disposé à la périphérie du faisceau fon
ement sous forme d'un faisceau de Turck, disposé à la périphérie du faisceau fonda- mental du cordon antéro-latéral. Le fais
a périphérie du faisceau fonda- mental du cordon antéro-latéral. Le faisceau cérébello-spinal, grâce à la com- pression de l
st-à-dire absolument comme dans la coupe pré- cédente, seulement le faisceau de ces. fibres est généralement plus large. Pho
les sont conservées seulement au milieu de l'isthme.' Sous forme de faisceau large de fibres horizontales elles se dirigent en
vont dans la périphérie de la moelle en arrière et passent dans le faisceau de fibres, placées sur les bords de la moelle all
nce entre la partie antérieure des cordons postérieurs et entre les faisceaux fondamentaux du cordon antéro-latéral con- tien
périphérie de minces fibres myéliniques, prenant naissance dans le faisceau cérébello-spinal et cou- tribuant à la constitu
iniques, allant de la moelle épinière dans l'al- longée en forme de faisceau horizontal, ont maintenant complètement disparu.
elle allongée par de fines fibres myéliniques, qu'on voit partir du faisceau cérébelleux du cordon latéral de la moelle épiniè
tructure. Les cordons latéraux ont diminué de volume. Les fibres du faisceau fondamental du cordon antérieur dans sa partie po
ramides sont situées un peu en avant et disposées plus en dedans du faisceau fondamental du cordon latéral. Le canal central
u son importance et en largeur égale presque la moelle épinière. Le faisceau fondamental du cordon antérieur a considérablem
RMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA B1FIDA 125 entre le faisceau fondamental du cordon antérieur, lequel est consi
s côtés de la moelle allongée se trouvent^des fibres myéliniques du faisceau cérébelleux ; devant elles la racine spinale du n
evant elles la racine spinale du nerf triju- meau ; en dedans de ce faisceau on aperçoit la substance gélatineuse de Ro- lan
umeau nous trouvons de petites fibres arcifor- mes, passant dans le faisceau cérébelleux. Les pyramides, en vue de deux lame
ns les coupes précédentes, où elles étaient partagées au-devant des faisceaux fondamentaux du cordon antérieur et au- devant
nt des faisceaux fondamentaux du cordon antérieur et au- devant des faisceaux fondamentaux du cordon latéral ; de cette manière
res sensitives est fini et ses fibres viennent se placer devant les faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs, qui ont fo
l'olive accessoire interne et à la place de la corne latérale et du faisceau fondamental du cordon latéral, l'olive inférieu
ir les fibres sensitives, lesquelles se placent entre les fibres du faisceau fondamental du cordon antérieur. De cette manière
figu- ration de la moelle épinière change : en effet (Phot. 15) les faisceaux fondamen- taux des cordons antérieurs, déplacés
hent du plancher du 4e ventricule ; avec eux viennent les libres du faisceau fondamental du cordon latéral, grâce à quoi la
ent les cordons postérieurs, la sub- stance gélatineuse de Rolando, faisceau cérébelleux etc., enfin comment change la parti
nfin comment change la partie antérieure de la moelle épinière, les faisceaux fonda- mentaux du cordon antéro-latéral. Oulre
, il faut remarquer que les pyramides dans ce cas se réduisent à un faisceau pyramidal antérieur ; l'entrecroisement'des pyr
loniques, limitées le plus souvent il quelques-uns seulement de ses faisceaux . Sur le bord externe de l'avant-bras on suit ne
ons postérieurs sont bien développés et on voit leur subdivision en faisceaux de Goll et de Burdach. En avant de ces faisceaux
eur subdivision en faisceaux de Goll et de Burdach. En avant de ces faisceaux est placée la substance gélatineuse de Rolando.
substance gélatineuse de Rolando. Encore plus en avant se trouve le faisceau pyramidal du cordon latéral, limité en dehors et
chaque côté du sillon médian longitudinal anté- rieur se trouve le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral, en dedans d
e le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral, en dedans de ce faisceau un pâle faisceau deTurck. , Plus loin la moelle
damental du cordon antéro-latéral, en dedans de ce faisceau un pâle faisceau deTurck. , Plus loin la moelle a augmenté de vo
passent les cordons postérieurs. Encore plus en avant est placé le faisceau pyramidal limité à la périphérie par le faiscea
avant est placé le faisceau pyramidal limité à la périphérie par le faisceau cérébello-spinal. En dedans du faisceau fondament
mité à la périphérie par le faisceau cérébello-spinal. En dedans du faisceau fondamental du cordon an- térieur se trouve le
n dedans du faisceau fondamental du cordon an- térieur se trouve le faisceau de Turck, absolument pâle. 252 SOLOVTZOFF La
érieures. Dans la partie antérieure de la moelle épiniere existe le faisceau fondamental du cordon antérieur, limité à la péri
térieur, limité à la périphérie par une lame pâle, correspondant au faisceau pyramidal. Les cordons latéraux sont couverts s
niques, qui diminue en épais- seur en arrière ; en dedans existe le faisceau pyramidal du cordon latéral, privé de myéline.
n arrière passent des fibres myéliniques horizontales formant trois faisceaux : l'un d'eux très mince et les deux autres plus l
olume ; on y voit des fibres myé- liniques disposées en deux larges faisceaux , suivant les deux côtés de la ligne médiane ; s
a moelle épinière ont passé dans la moelle allongée, présentant des faisceaux myéliniques larges et horizontaux, mais à la pé
pinale du nerf trijumeau, la substance géla- tineuse de Rolando, le faisceau cérébelleux sont faiblement indiqués. Le canal
presque com- plète. La moelle épinière est beaucoup modifiée : les faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs se dirigent
ieurs et au devant l'entrecroisement des py- ramides. En dehors des faisceaux fondamentaux du cordon antérieur, des deux côté
ême de la moelle passent des fibres myéliniques, correspondant t au faisceau cérébelleux. D'autres modifications sont à comp
nué. La racine spinale du nerf trijumeau s'agrandit, de même que le faisceau cérébelleux qui est placé en dehors. Le faisceau
it, de même que le faisceau cérébelleux qui est placé en dehors. Le faisceau fonda- mental du cordon antérieur passe dans le
dehors. Le faisceau fonda- mental du cordon antérieur passe dans le faisceau longitudinal postérieur. En dehors passent les
cordons postérieurs se séparent de la moelle épinière par un petit faisceau ; après cela la partie antérieure des cordons p
ans les cordons antérieurs, les pyramides cheminent en formant deux faisceaux et leur entrecroisement n'existe pas (Phot. 25).
phérie ils sont cou- verts dans les parties postérieures d'un mince faisceau , correspondant au faisceau cérébelleux; ce dern
dans les parties postérieures d'un mince faisceau, correspondant au faisceau cérébelleux; ce dernier entoure des deux côtés le
s fissures, allant de la périphérie vers la profondeur. En avant du faisceau cérébelleux, du côté où les cordons latéraux so
augmenté de volume. De l'un de ses côtés, et du bord même, part un faisceau assez large de fibres myéliniques horizontales. I
zontales. Indé- pendamment de celui-ci d'un autre côté s'y joint un faisceau incomparablement plus mince, venant aussi de l'
s horizontales correspondant aux cor- dons postérieurs, se joint un faisceau myélinique mince coupé dans sa direc- tion tran
fibres se dirigent, réunissant le commencement et l'extrémité de ce faisceau . Le long du bord antérieur se trouve la substance
mitée d'un côté par les cordons postérieurs et la périphérie par un faisceau étroit nettement coloré de fibres myéliniques, le
e la moelle épinière qui est restée sans changements, présente : le faisceau fondamental du cordon antérieur, le faisceau de G
gements, présente : le faisceau fondamental du cordon antérieur, le faisceau de Gowers, le cordon latéral, élargi outre mesu
l, élargi outre mesure d'un côté parce que s'y sont placés tous les faisceaux pyramidaux, et le canal central quelque peu élarg
ôt après leur apparition disparait et l'autre partie, en formant un faisceau horizontal, entoure du côté de la périphérie la m
ée à la périphérie de minces fibres myéliniques, cor- respondant au faisceau cérébelleux venant de la moelle épinière. Par le
lando ; encore plus en avant du bord même de la moelle est placé le faisceau cérébelleux. Sur le côté opposé dans la moelle
ve la racine spinale du nerf trijumeau, située à la péri- phérie du faisceau cérébelleux, lequel va de la moelle épinière au b
tral s'est 258 SOLOVTZOFF aussi quelque peu étendu en arrière. Le faisceau cérébelleux, dans la moitié, où sont placées le
des cordons postérieurs. Dans la périphérie elles sont entourées d'un faisceau assez mince de fibres myéliniques, allant au fa
ntourées d'un faisceau assez mince de fibres myéliniques, allant au faisceau cérébelleux ; ce dernier est placé à l'extrémit
oupe précédente et on peut distinguer les parties correspondant aux faisceaux de Goll et de Burdach. En avant de ces fibres
umeau. Eu avant de la substance gélatineuse de Rolando est placé le faisceau cérébelleux. En conséquence de sa situation ver
conséquence de sa situation vers l'extérieur de ce côté en arrière du faisceau cérébelleux, il existe une fissure, mais elle e
entrecroisant sur la ligne mé- diane. Elles se réunissent entre les faisceaux fondamentaux des cordons anté- rieurs, lesquels
ond à la moitié mieux dévelop- pée du bulbe rachidien, est placé le faisceau correspondant aux pyramides. A l'extérieur des
st placé le faisceau correspondant aux pyramides. A l'extérieur des faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs, des deux côt
osé. Il faut dire la même chose du dévelop- pement non identique du faisceau cérébelleux dans les deux moitiés. Le reste des
'extérieur des olives inférieures, toujours du même côté, existe un faisceau , très nettement distingué, appartenant aux fibr
ortent des noyaux des cor- dons postérieurs et se placent entre les faisceaux fondamentaux du cordon antérieur. Ce cas est en
l'entrecroisement des fibres sensitives, et ici nous voyons que les faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs sont reculé
entre eux est placée la couche du ruban de Reil. Des deux côtés des faisceaux fondamentaux marchent les racines antérieures,
servent leur aspect primitif, jusqu'au moment où apparaît entre les faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs la couche d
. Guillain, penser que « peut-être, à côté des systématisations des faisceaux nerveux, il y a une systématisation de la circu
d'un tissu très dense se colorant fortement par l'éosine. Entre les faisceaux fibreux, on distingue des cellules allongées dont
othéliale très nette ; ce qui frappe également c'est la présence de faisceaux de cellules fusiformes à protoplasma peu abonda
nt infiltrer l'adventice de ces derniers ; on voit également de ces faisceaux formant des nappes irrégulières, dans lesquelle
certains points, les noyaux cellulaires ne se colorent plus et les faisceaux n'apparaissent plus que d'uue façon très vague.
e Kûhne est négative; la solution, iodo-iodurée teint en acajou les faisceaux cellulaires du sarcome mais nullement les paroi
KI rieurs. Dans les cordons antéro-latéraux on voit une sclérose du faisceau céré- belleux direct et du faisceau de Gowers.
atéraux on voit une sclérose du faisceau céré- belleux direct et du faisceau de Gowers. La sclérose est plus marquée dans le
rect et du faisceau de Gowers. La sclérose est plus marquée dans le faisceau de Flechsig que dans celui de Gowers. Région do
te, mais la disparition des fibres y est plus prononcée. La lésion du faisceau cérébelleux direct et du faisceau de Gowers est
est plus prononcée. La lésion du faisceau cérébelleux direct et du faisceau de Gowers est pareille celles que nous avons si
érieure et cervicale inférieure. Dans les cordons pos- térieurs,les faisceaux de Goll sont le siège d'une sclérose. Dans les pa
e sclérose très nette laquelle conflue en avant avec la sclérose du faisceau cérébelleux direct. Le faisceau de Gowers est tou
onflue en avant avec la sclérose du faisceau cérébelleux direct. Le faisceau de Gowers est toujours le siège d'une sclérose
au de Gowers est toujours le siège d'une sclérose comme le reste du faisceau antéro-Iatéral jusque dans le voisinage du fais
mme le reste du faisceau antéro-Iatéral jusque dans le voisinage du faisceau de Turck (Fig. 2). Dans les régions cervicales
ce vers le centre. Cette zone de sclérose a la forme d'un cône. Les faisceaux céré- belleux directs, ceux de Gowers, présente
téro-Iatéral, comme nous l'avons signalé plus haut. La sclérose des faisceaux indiqués n'est pas complète, toutes les fibres n'
u contraire encore beaucoup de saines. Le tissu conjonctif dans les faisceaux sclérosés est épais. La sclérose la plus prononcé
aux sclérosés est épais. La sclérose la plus prononcée est celle du faisceau cérébelleux où, par place, les fibres ont disparu
(Swilalski) A. Coupe du bulbe au-dessus de l'entre- croisement du faisceau pyramidal. Le noyau du faisceau de Goll et le f
-dessus de l'entre- croisement du faisceau pyramidal. Le noyau du faisceau de Goll et le faisceau cérébelleux direct sont
roisement du faisceau pyramidal. Le noyau du faisceau de Goll et le faisceau cérébelleux direct sont dégénérés. 13. Coupe
ns du bulbe sont très réduites au-dessus de l'entrecroise- ment des faisceaux pyramidaux. Diamètre sagittal : 7 mm. 1/2; fronta
é ; on trouve seulement par ci par là une cellule. * La sclérose du faisceau cérébelleux direct se laisse poursuivre dans le
oelle, dégénérescence des fibres dans les cordons de Goll, dans les faisceaux cérébelleux directs, dans les faisceaux de Gowers
s cordons de Goll, dans les faisceaux cérébelleux directs, dans les faisceaux de Gowers. Atrophie de la substance grise de la
avec disparition des cellules. Dans le bulbe, une dégénérescence du faisceau cérébelleux direct et du faisceau de Goll. Da
s le bulbe, une dégénérescence du faisceau cérébelleux direct et du faisceau de Goll. Dans la protubérance, une atrophie con
onstatait une dégénérescence des fibres des cordons postérieurs des faisceaux pyramidaux croisés et des faisceaux cérébelleux
res des cordons postérieurs des faisceaux pyramidaux croisés et des faisceaux cérébelleux directs. Les cellules des cornes an
de Goll, de Burdach et des noyaux des cordons latéraux, atrophie du faisceau cérébelleux, des nerfs hypoglosse et des noyaux
es de la moelle que dans le cas de Menzel et que dans ce dernier le faisceau pyramidal croisé soit atteint. Au point de vue
onformes. Ni dans le cas de Menzel ni dans le noire la sclérose des faisceaux indiqués n'est complète puisqu'on Irouve dans l
lent aussi. 384 SWITALSKI Chez Haut nous trouvons des lésions des faisceaux cérébelleux di- rects, des noyaux des faisceaux
ons des lésions des faisceaux cérébelleux di- rects, des noyaux des faisceaux de Goll ; dans le cas de Menzel, en outre de ce
quoique débiles, suffisent encore à la nutrition. Au moment où les faisceaux déjà débiles deviennent plus rigides par suite
niveau de la région prolubéranlielle supérieure. Nous remarquons le faisceau sensitif bien conservé situé latéralement. Des fi
la partie médiane (Fig. 1). Nous ne constatons l'existence d'aucun faisceau qui rappelle Fig. 1. - Region bulbo-protubérant
E. Fibres motrices émergentes. 392 Vaschide et VURPAS en rien le faisceau moteur ; nous n'en voyons aucun vestige. La place
rieure duquel des fibres fines et grêles semblent s'entrecroiser. Ce faisceau est traversé de haut en bas et de dedans en deh
porte à la partie inférieure de l'entrecroisement sensitif. Ici les faisceaux de Goll et de Burdach sont relativement bien cons
stéro-interne. Mais le plus grand nombre de fibres est conservé et le faisceau peut être considéré comme relativement sain et
met de suivre dans leur trajet les libres depuis la partie externe du faisceau de Burdach et de Goll jusqu'à leur entrecroisem
bauchées sont donc formées uniquement par des fibres sensitives. De faisceau moteur il n'en est pas question, ce dernier sembl
la dégénérescence s'étend davantage au niveau du cordon de Goll. Le faisceau antérieur qui correspond au faisceau fondamental
u niveau du cordon de Goll. Le faisceau antérieur qui correspond au faisceau fondamental antérieur sem- ble à peu près norma
tal antérieur sem- ble à peu près normalement développé. Quant au faisceau latéral à part une mince bande qui présente à son
le reste semble avoir également disparu. Rien ne marque la place du faisceau de Gowers et du faisceau pyramidal. Immédiateme
lement disparu. Rien ne marque la place du faisceau de Gowers et du faisceau pyramidal. Immédiatement en arrière du sillon a
ge de la corne postérieure. Ici encore on voit que non seulement le faisceau pyramidal n'est pas myéli- nisé mais encore que
croisement moteur. F. Faisceau de Burdach. G. Faisceau de Goll. M. Faisceau fondamental antérieur. 0. Canal de l'épendyme.
de la corne postérieure. Comme au niveau de la coupe précédente les faisceaux moteurs semblent avoir totalement disparu ou pl
ue nous avons donnée du bulbe rachidien, nous n'avons parlé que des faisceaux sensitifs et moteurs pour ne pas scinder l'étud
croisement moteur. F. Faisceau de Burdach. G. Faisceau de Goll. M. Faisceau fondamental antérieur. O. Canal de l'épendyme.
des mouvements spontanés ou as- sociés malgré une absence totale de faisceau pyramidal. Certains auteurs accordent une influ
eu près exclusive dans le méca- nisme fonctionnel des mouvements au faisceau pyramidal.D'autres au con- traire prétendent qu
purement inhibitrice. Notons dans notre cas l'intégrité relative du faisceau sensitif. Quels seraient alors l'origine et le
nés ou associés observés chez notre sujet ? ° Il semble qu'ici le faisceau pyramidal ait eu un rôle manifestement inhibite
oesthésie électro-musculaire dans les muscles cubital antérieur, le faisceau interne du fléchisseur profond, l'éminence hypoth
rochléen et le poi- gnet, abolie; muscle cubital antérieur, abolie; faisceau interne du fléchisseur profond, diminuée ; addu
CcN > CcP, len- tes et augmentées ; muscles cubital antérieur et faisceau interne du fléchisseur profond, CcN < CcP ;
es. Les réactions électriques donnèrent : muscle cubital antérieur, faisceau in- terne du fléchisseur profond, adducteur, co
à la faradique; la réaction était très difficile à prendre dans le faisceau interne du fléchisseur profond ; il y avait réa
nières phalanges. Cette flexion intense est due à la contracture du faisceau interne du fléchisseur profond, parce que c'est
rficiel n'a présenté aucune altéra- tion ; et elle s'est arrêtée au faisceau interne parce qu'elle est d'origine névritique,
issu conjonctif d'enve- loppe, et ceux contenus dans l'intérieur du faisceau nerveux sont tous notable- ment épaissis, certa
iste à ce niveau à l'état normal. Mais partout les ligaments et les faisceaux fibreux interarticulaires avaient leur aspect n
19 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
r le tronc ou portidn verticale de la capsule et sur une partie des faisceaux antérieurs qui séparent en DE LA CAPSULE INTERN
la partie inférieure du cerveau. Troisième coupe. La plupart des faisceaux de la capsule interne sont excisés, donc ils so
gne médiane, la partie postérieure du lobule orbitaire reçoit des faisceaux capsulaires. Quatrième coupe. A deux centimètre
s circonvolutions orbitaires ou frontales inférieures. Ces derniers faisceaux consti- t ANATOMIE. tuent au-dessus du noyau
eurs terminaisons au lobule orbitaire sont antérieures à celles des faisceaux précédents, elles - se trouvent à la rencontre
e sagittal, à deux centimètres en dehors de la ligne médiane. Ces faisceaux extrinsèques, qui passent par les couches du ce
étudié dans les trois premières zones frontales. Ce sont donc ces faisceaux , qui sont les plus voisins de la ligne fornicat
sent le putamen de Burdach (PL. IV.), on dis- tingue un éventail de faisceaux , et, chose digne de remarque, cet éventail n'oc
du ventricule latéral. D'après leur situation et leurdirection, les faisceaux de cet éventail paraissent destinés aux régions
jacentes de la partie correspondante de l'insula. De même que les faisceaux capsulaires antérieurs, ceux-ci traversent la m
optique (pulvinar et corps genouillés) et secon- dairement par les faisceaux les plus reculés du pédon- cule cérébral. Gra
fournies par le pédoncule, Meynert les a désignées sous le nom de faisceaux directs, par opposition à tous les autres faisc
ous le nom de faisceaux directs, par opposition à tous les autres faisceaux capsulaires qui n'arriveraient au cerveau qu'in
pte que de leurs rap- ports avec les noyaux, ces deux catégories de faisceaux n'offrent qu'une différence trompeuse. La diffé
mpeuse. La différence consiste uniquement en ce que, en arrière les faisceaux réunis en grand nombre divisent franchement la
grise en deux portions, tandis qu'en avant la disso- ciation des faisceaux fait que cette masse est perforée isolément par
n des faisceaux fait que cette masse est perforée isolément par ces faisceaux , d'où les stries nombreuses qui font communique
. De là une gerbe à laquelle donne lieu la section sagittale de ces faisceaux et le grandissement progressif de cette gerbe a
ici vient corroborer ce que nous savons déjà; à savoir : 1° que les faisceaux les plus externes de la partie antérieure de la
eure de ce bord, comme le démontre la coupe sagittale X; 2° que les faisceaux postérieurs se dirigent en arrière sous la form
r conséquent au bord externe du ventricule latéral, de même que les faisceaux précédents. Cette; lame parallèle à la cavité '
ux, en dehors par les fibres arciformes, intergyraires. Entre les faisceaux antérieurs et postérieurs s'en trouvent d'autre
ectionnés perpendiculairement à leur directiom. L'ensemble de ces faisceaux fait suite au tiers moyen environ du segment po
r de la capsule coupée dans sa plus grande étendue horizontale. Ces faisceaux sont'des- tinés surtout aux circonvolutions cen
NNE rayonnante. On sait que sous ce nom on désigne l'ensemble des faisceaux ou fibres dont on constate la présence sur le l
comme on dit, directs. Or, pour nous ce ne sont pas seulement les faisceaux sensitifs qui sont directs, mais encore tous le
moteurs sans exception. De même que les fais- ceaux sensitifs, les faisceaux moteurs ne subissent ni interruption ni réducti
de répondre pour être à même d'apprécier exactement l'ensemble des faisceaux de la couronne rayonnante elle-même, la constit
e Burdach ou segment externe du noyau lenticulaire sont privés de faisceaux et ne sont parcourus que par des filaments blan
re à peu près, la couronne rayonnante n'est représentée que par les faisceaux courbes, qui procédant de la capsule interne tr
a portion moyenne du cerveau CM aTO ? e/ ! 0<- clale. Groupe des faisceaux moyens ou verticaux. -Les coupes sagittales et
xterne du noyau caudé il existe un véritable mélange entre certains faisceaux de la capsule interne et ceux du corps calleux.
ble même qu'ils sont continus. Il est impossible de poursuivre les faisceaux capsulaires au-dessus des faisceaux transversau
impossible de poursuivre les faisceaux capsulaires au-dessus des faisceaux transversaux du corps calleux, par consé- quent
le putamen de Burdach (Pl. VIII). Nous constatons ici de nombreux faisceaux rayonnants paraissant des- tinés à la moitié po
la ligne médiane (Pl. III) nous a démontré qu'à ce niveau tous les faisceaux de la capsule se portent en avant. D'autre part
nticulaire nous ont démontré en fait l'indépendance d'origine des faisceaux capsulaires et de ce noyau. Ici, il est évi- de
dent que le noyau lenticulaire ne reçoit aucune ter- minaison des faisceaux rayonnants; il est simplement traversé par eux,
st, comme nous l'avons affirmé et démontré, que le prolongement des faisceaux capsu- laires continus eux-mêmes à ceux de l'ét
rique les fibres dites d'association, les fibres de Gra- tiolet, le faisceau unciforme et la capsule externe. Les systèmes d
'or- dre établi par Meynert et Huguenin dans la descrip- tion des faisceaux d'association. Nous aurons soin de noter ce que
noter ce que la cérébrotomie méthodique produit de spécial. Ces faisceaux d'association sont représentés par : DE LA CAPS
ar : DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURONNE RAYONNANTE. 21 1° Le faisceau longitudinal sous-jacent au gyrus for- nicatus.
icatus. (Circonvolution du corps calleux ou de l'our- let.) 2° Le faisceau longitudinal supérieur ou arqué. 3° Le faisceau
ur- let.) 2° Le faisceau longitudinal supérieur ou arqué. 3° Le faisceau unciforme. (Fasciculus uncinatus.) 4° Le faisce
ou arqué. 3° Le faisceau unciforme. (Fasciculus uncinatus.) 4° Le faisceau longitudinal inférieur. 5° Le système très éten
ux, se dirige en arrière au dessus de lui jusqu'à son bourrelet. Le faisceau lon- gitudinal varie d'épaisseur sur divers poi
rovenant des parties avoisinantes de l'écorce viennent rejoindre ce faisceau , pour le quitter après un parcours plus ou moin
ule quadrilatère. B. Faisceau longitudinal supérieur ou arqué. Ce faisceau a-t-il été constaté sur le cerveau humain, je l
n, je l'ignore : voici le résultat que j'ai obtenu. Pour avoir ce faisceau , la section doit porter à 3 centimètres en deho
ion doit porter à 3 centimètres en dehors de la ligne médiane. Le faisceau longitudinal supérieur ou arqué devrait être ap
. Le faisceau longitudinal supérieur ou arqué devrait être appelé faisceau longitudinal supérieur externe, par rapport à l
par rapport à la moelle de l'ourlet, qui devrait porter celui de faisceau longitudinal supérieur interne. L'un ne mé- rit
tion courbe qui s'harmonise avec la direction de l'hémisphère. Le faisceau longitudinal supérieur externe, sensible- ment
Gratiolet, viennent des circonvolutions avoisinantes et quittent le faisceau après un trajet plus ou moins long suivant qu'e
oints, DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURONNE RAYONNANTE. 23 les faisceaux longitudinaux s'anastomosent et forment une sor
x longitudinaux s'anastomosent et forment une sorte de plexus. C. Faisceau longitudinal inférieur. Meynert et Huguenin pla
C. Faisceau longitudinal inférieur. Meynert et Huguenin placent ce faisceau après le faisceau unci- forme ; il me parait pl
tudinal inférieur. Meynert et Huguenin placent ce faisceau après le faisceau unci- forme ; il me parait plus naturel d'en pa
be occipital à celle du lobe tem- poral. Sa structure est celle des faisceaux précédents. Il renferme de longues fibres direc
ans l'insula de Reil. Le contraire nous semble être prouvé. E. Le faisceau unciforme et la capsule externe. Pour se faire
s coupes frontales et hori- zontales. Dans les coupes frontales, le faisceau unci- forme est en rapport d'avant en arrière :
base cérébrale. Aux connexions que Meynert lui attribue, avec le faisceau longitudinal supérieur, il faut ajouter celles
ongitudinal supérieur, il faut ajouter celles qu'il possède avec le faisceau longitudinal inférieur. Les coupes horizontales
leinement les données fournies par les coupes frontales au sujet du faisceau unciforme : elles démon- trent surtout que ce f
au sujet du faisceau unciforme : elles démon- trent surtout que ce faisceau n'est lui-même qu'une por- tion du grand systèm
qui aboutissait en bas à la première temporale, concentriquement au faisceau unci- forme. Sur la pi. XX,1.1, ce système d'as
extrémité postérieure ne sont, au con- traire, que des fragments de faisceaux dont le com- mencement se trouve au pied même d
ces coupes, l'observateur peut suivre de proche en proche tous les faisceaux quels qu'ils soient, supé- rieurs ou inférieurs
. op., bandelette optique. C. c., corps calleux. F. 1. sup. int., faisceau longitudinal supérieur inteine. /'...1 ? faisce
F. 1. sup. int., faisceau longitudinal supérieur inteine. /'...1 ? faisceau de Meynert. C. i., genou de la capsule interne.
s calleux. C. i., capsule interne. C. i. f. cz., capsule interne; faisceaux antérieurs. C. i. in. e., capsule interne; fais
psule interne; faisceaux antérieurs. C. i. in. e., capsule interne; faisceaux moyens externes. C. i. y. M. i., capsule intern
nterne; faisceaux moyens externes. C. i. y. M. i., capsule interne; faisceaux moyens internes. N, c, noyau caudé. V. l., no
avant-mur. C. e, capsule externe. C. i. f. M. e, capsule interne, faisceaux moyens externes. 1. Iiisula (le Reil. P. B. P
v·. St., noyau rouge de Stilling. P. c. f. s., pédoncule cérébral; faisceaux sensitifs. DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURO
. C. g. i., corps genouillé interne. C. i. ? p., capsule interne; faisceaux postérieurs. C. i. fl., capsule interne; genou.
r. C. i. s. p., capsule interne; segment postérieur. f. l, s. e., faisceau longitudinal supérieur externe. 1. s. i., faisc
. f. l, s. e., faisceau longitudinal supérieur externe. 1. s. i., faisceau longitudinal supérieur interne. N, c., noyau ca
yau caudé. viii il ` .. f C ? tiLres tlc Grutiolet. f. l. i., faisceau longitudinal inférieur. ' f. l. s., faisceau lo
Grutiolet. f. l. i., faisceau longitudinal inférieur. ' f. l. s., faisceau longitudinal supérieur. · PHYSIOLOGIE PATHOLOGI
nts : cubital antérieur; fléchisseur pro- fond des doigts (les deux faisceaux internes destinés au petit doigt et à l'annulai
ameaux nerveux du nerf cubital, le nerf médian inner- vant les deux faisceaux externes); interosseux dorsaux et palmaires ; m
r de la main sur l'avant-bras. Fléchisseur profond des doigts (deux faisceaux int.). Fléchisseur des dernières phalanges des
tié- 68 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. chisseur profond dont les deux faisceaux externes habituellement innervés par le médian
hypothèse, des rameaux du nerf cubital qui in- nerve déjà les deux faisceaux internes. On pourrait admettre aussi qu'il exis
e médian, les ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. G9 deux faisceaux internes étant innervés par le cubital) ; les d
alangette du pouce. Fléchisseur profond des doigts (dont les deux faisceaux qui cor- respondent à l'index et au médius sont
es phalanges et est due à l'action du fléchisseur sublime. Les deux faisceaux du flé- chisseur profond dont l'action porte su
-être de la deuxième. Le mouvement d'opposition est exécuté par les faisceaux des muscles de l'éminence thénar qui s'attachen
façon à me mettre à l'abri de toute source d'erreur et à réunir un faisceau de résultats abso- lument satisfaisants. Tout
sation il est facile de faire con- tracter isolément les différents faisceaux d'un même muscle). b). La contracture d'un mu
ocaliser exac- tement l'action électrique sur un muscle ou sur un faisceau musculaire. Il put ainsi démontrer clairement l
e ; b) Du degré de localisation de l'excitant dans les différents faisceaux d'un même muscle. Il est facile de localiser l'
e suit toujours l'excitation mécanique par- tielle d'un seul de ses faisceaux ; c) De la propagation de l'excitation. Dans l'
L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 195 moteurs qui se rendent à un faisceau musculaire voi- sin, lorsqu'il est' un' peu'' i
-ath76'énie'des réflexes ? C'est ? suivant" lui ? à la 'lésion des" faisceaux 'latéraux dans lés pyrami d es '6'iiiêdé d'an's
lobe occipital' de conducteurs d'ordre 'sensoriel 'général par lès faisceaux posté-' rieurs de la moelle (perception sensori
P. op., bandelette optique. C. c., corps calleux. F. sur. int., faisceau longitudinal supérieur interne. f. 31., faiscea
x. F. sur. int., faisceau longitudinal supérieur interne. f. 31., faisceau de Meynert. g. C. i., genou de la capsule inter
, C ? capsule-interne. ,^,1 ^..^ . w C i. f. a., capsule interne; faisceaux antérieurs. ? rvv\t J0 vs C. i. f. m. e., capsu
aisceaux antérieurs. ? rvv\t J0 vs C. i. f. m. e., capsule interne; faisceaux moyens extei'nes. C. i. f. m. i., capsule inter
terne; faisceaux moyens extei'nes. C. i. f. m. i., capsule interne; faisceaux moyens intemeg.'1., , ^ . N. c., noyau caudé.
capsule externe. '"M'h'Zt. T, ? ? C. i. f. M. e., capsule interne; faisceaux moyens externes. Clé" * l. Insula de Reil. .«««
It., noyau rouge de Stilling. 1 - P. c. f. s., pédoncule cérébral; faisceaux sensitifs.. , ""Iltz-1 i, n. j uhi t, 'ii, m i
i., corps genouillé interne. f ' ♦ » C. i. f. p., capsule interne; faisceaux postérieurs. C. i. g., capsule interne ; genou.
? C. i. s. p., capsule interne; segment postérieur ? , 1. s. e., faisceau longitudinal supérieur externe. /. /. s. i., fa
, 1. s. e., faisceau longitudinal supérieur externe. /. /. s. i., faisceau longitudinal supérieur interne. N. c., noyau ca
i l'i..1\( llli. PLANCHE VIII f G., fibres de Gratiolet. ? 1. i., faisceau longitudinal intérieur. f. 1. s., faisceau long
s de Gratiolet. ? 1. i., faisceau longitudinal intérieur. f. 1. s., faisceau longitudinal supérieur Archives de Neurologie T
20 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ques années, la question a fait de nou- veaux progrès. La lésion du faisceau pyramidal dans tout le segment de l'axe cérébro
s du même ordre que celles qui existaient dans les autres points du faisceau pyramidal ; mais ces auteurs n'avaient pas cons
breux corps granuleux situés, à n'en pas douter, sur le trajet du faisceau pyramidal, ainsi qu'il résulte de la des- cript
nuleux dans les différentes parties du trajet intra-céré- bral du faisceau pyramidal était des plus nettes (cap- sule inte
Mort un an après le début. Corps granuleux dans toute la hauteur du faisceau pyramidal, y compris les circonvolu- tions motr
aient l'une (l'antérieure) l'épaisseur d'environ quatre ou cinq des faisceaux de fibres nerveuses qui se trouvent dans cette
ransversal, n'occupait guère que la largeur de deux ou trois de ces faisceaux de fibres. De sorte qu'en somme, la surface occ
leux, ces gauglions ne pré- sentent pas de lésions apparentes ; les faisceaux de fibres qui traversent la couche optique sont
ns la région qui est considérée comme donnant passage aux fibres du faisceau pyramydal ; ils forment trois groupes qui, d'ai
in des coupes de la moelle : Région cervicale. Outre la sclérose du faisceau pyramidal croisé et direct, il existe encore da
la corne anté- rieure, la sclérose est beaucoup moins marquée. Les faisceaux de Goll présentent une coloration un peu plus f
résentent une coloration un peu plus foncée qu'à l'état normal. Les faisceaux cérébelleux directs sont intacts. Dans la subst
elle se confond avec la substance grise, en dehors laisse libre le faisceau cérébelleux. Coloration plus foncée des faiscea
rs laisse libre le faisceau cérébelleux. Coloration plus foncée des faisceaux de Goll. Les cellules motrices des cornes antér
rose est presque localisée étroitement à la région occupée par le faisceau pyramidal dans ce segment de la moelle. Les cellu
ur les différentes coupes dela moelle les faits suivants : Dans les faisceaux pyramidaux, les fibres nerveuses sont moins abo
t à l'union de la moitié anté- rieure avec la moitié postérieure du faisceau de Goll, près de la ligne médiane, et s'étendan
ns l'intérieur de ces cordons. Aucune apparence anormale dans les faisceaux de Bur- dach. Les coupes faites par congélati
tion ont permis de voir très nettement les corps granuleux dans les faisceaux pyramidaux directs et croisés ; dans ces dernie
deux ans après le début. Corps granuleux dans toute la hauteur du faisceau pyramidal, y compris les circonvolutions motrices
(trois ou quatre) des espaces ellip- tiques formés par la coupe des faisceaux de fibres nerveux et contenus dans la capsule i
de plus, non seulement les corps granuleux existent au niveau des faisceaux de fibres coupés en travers, mais encore dans les
orité, sont contenus dans 26 PATHOLOGIE NERVEUSE. l'épaisseur des faisceaux elliptiques formés par la section des fibres ne
ns les cornes antérieures. Dans la substance blanche : sclérose des faisceaux de Türclc, sclérose des faisceaux latéraux, occ
substance blanche : sclérose des faisceaux de Türclc, sclérose des faisceaux latéraux, occupant non seulement le territoire
se des faisceaux latéraux, occupant non seulement le territoire des faisceaux pyramidaux, mais encore s'étendant en avant d'u
ci, elle présente aussi de la sclérose, mais moins accentuée. Les faisceaux de Goll montrent un certain degré de sclérose d
stérieur avec les deux tiers antérieurs. Rien à signaler dans les faisceaux de Burdach. Les coupes faites par congélation e
inoléine montrent les faits suivants : Corps granuleux au niveau du faisceau pyramidal croisé, existant aussi, mais en petit
ro-latéral, ces corps granuleux n'existent en abondance que dans le faisceau de CAS DE SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 27
lé. Les corps granuleux se retrouvent aussi dans quelques-uns des faisceaux de fibres verticales circonscrits parles expansio
. A la périphérie de la moelle, on en trouve quelques-uns dans le faisceau cérébelleux direct, depuis une ligne frontale pas
ures jusqu'au point de sortie de la corne postérieure; au niveau du faisceau pyramidal croisé proprement dit, ces corps sont
croisé proprement dit, ces corps sont même assez nombreux dans les faisceaux cérébelleux. Dans les cordons postérieurs, et n
les cordons postérieurs, et notamment dans la partie sclérosée des faisceaux de Goll, nous n'avons jamais vu un seul corps g
si que des fibres nerveuses contenues dans celle-ci. Sclérose des faisceaux pyramidaux et un peu aussi des autres parties d
rose des faisceaux pyramidaux et un peu aussi des autres parties du faisceau antéro-latéral. Sclérose assez nette des cordon
uleux existent en très grand nombre dans le territoire classique du faisceau pyramidal croisé et un peu en dehors de celui-c
ous ses diamètres; de plus, on en trouve dans les autres parties du faisceau latéral jusqu'à une ligne frontale passant par
eaucoup plus nombreux, ils sont surtout abondants dans la partie du faisceau antérieur située près de la périphérie de la mo
n'y en a pour ainsi dire pas dans la région qui correspondrait aux faisceaux de Tilrck. Dans toute l'étendue des faisceaux a
correspondrait aux faisceaux de Tilrck. Dans toute l'étendue des faisceaux antéro-latéraux et dans la partie antérieure de
Moelle lombaire. La sclérose occupe très nettement le territoire du faisceau pyramidal croisé; il y a, de plus, un très lége
à l'union du tiers postérieur avec les deux tiers antérieurs de ces faisceaux . Les cellules des cornes antérieures existent e
noléine, les corps granuleux sont nombreux dans le territoire du faisceau pyramidal croisé, quelques-uns, aberrants, se t
ts, se trouvent dans le voisinage de celui-ci. Dans le reste des - faisceaux antéro-latéraux, se voient de chaque côté une q
constater dans les deux observations les altérations classiques des faisceaux pyramidaux et du noyau de l'hypoglosse. CAS D
dans une même circonvolution, les voir plus abondants dans certains faisceaux de fibres que dans d'autres. Quant à leur dispo
ion, elle coïncide très nette- ment avec la direction des fibres du faisceau pyrami- dal ; tantôt isolés, tantôt groupés par
a dégénérescence occupait principalement le segment postérieur du faisceau de Goll, dont le segment antérieur était moins
ervical et plus haut, présentait une dégénérescence bien accusée du faisceau de Goll dans toute son étendue. On constatait u
répond au tra- jet intro-médullaire des racines postérieures. Le faisceau de Goll fut trouvé atrophié, la corne anté- rie
oite et aplatie. La corne postérieure était devenue conique, et ses faisceaux nerveux transfor- més en tissu scléreux. Les ce
une myélite cicatricielle qui a pour effet de modifier l'aspect des faisceaux postérieurs, qui se transforment dans une parti
es régé- nératrices provenant du tissu conjonctif qui entoure les faisceaux nerveux des deux bouts central et péri- phériqu
d'abord le long de la fissure longitudinale postérieure, dans le faisceau de Goll (Voy. PL. I, fig. 6). De là, l'altéra-
u de Goll (Voy. PL. I, fig. 6). De là, l'altéra- tion se propage au faisceau de Burdach, et à la portion intra-médullaire de
state en même temps du côté sain, que les tubes nerveux formant les faisceaux de Goll et de Burdach sont parfaitement indemne
dans l'ataxie locomotrice qui, par elle-même, est une sclérose des faisceaux de Burdach, c'est-à-dire d'une partie intégrant
léments nerveux sont remplacés par du tissu conjonctif dans tout le faisceau de Goll et dans la plus grande partie du faisce
ctif dans tout le faisceau de Goll et dans la plus grande partie du faisceau de Burdach. Le cordon postérieur droit mesure 3
euses qui, selon toute probabilité, servent de lieu d'origine à ces faisceaux . La polémique, suivant nous, n'enlève rien au m
u -noyau lenticulaire, en sillonnant la capsule interne de nombreux faisceaux , jusqu'aux ganglions de la région subthalamique
n mémoire sera publié. Discussion : M. MENDEL. Les altérations du faisceau solitaire de Pierret, en relation avec des fibr
ace qui certainement est loin de correspondre à toute la largeur du faisceau pyramidal, mais qui est bien situé dans la zone
1 t \ i Ht <.. i i. « 1 . avons pu constater qu'en réalité le faisceau pyramidal , r . 'f' ,1 * i,ll ,¥> » » rj z
ns une partie de la moelle située bien en avant du territoire de ce faisceau ; 170 pathologie NERVEUSE. il est vrai que là
nettement. ' Dans la moelle dorsale, il en était de même pour le faisceau pyramidal croisé qui semblait avoir des dimensi
adoptées. Au lieu de retrouver ces corps seulement au niveau des faisceaux de Türck; commé dans la' moelle cervicale, nous
ous avons constaté qu'ils existaient dans la plus grande partie des faisceaux antéro-latéraux sauf à la région antéro-interne
ut-il considérer ce fait ? Ces corps granuleux appartiennent-ils au faisceau pyrami- dal croisé pu au faisceau pyramidal dir
ps granuleux appartiennent-ils au faisceau pyrami- dal croisé pu au faisceau pyramidal direct ? 'Nous l'ignorons, et en tout
s, un procédé qui n'est pas à dédaigner pour l'étude du trajet du faisceau pyramidal dans la moelle. Dans la région lombai
lombaire, les corps granuleux siégeaient au niveau du territoire du faisceau pyramidal peut-être un peu agrandi; dans les fa
territoire du faisceau pyramidal peut-être un peu agrandi; dans les faisceaux antérieurs on envoyait encore quelques-uns mais
psies : l'extension de la sclérose à une assez grande étendue des faisceaux antéro-latéraux bien au delà des limites du ter
s dont nous avons signalé la présence dans une certaine étendue des faisceaux pyramidaux : mais on voit qu'il n'en est rien,
extension existe d'une façon très nette, bien que les fibres des faisceaux pyramidaux soient dans cette région presque tou
outes situées dans des territoires bien localisés (cordon de Tùrck, faisceau pyramidal croisé) et qu'il n'y ait qu'un très p
les autres régions de la moelle, cette extension de la sclérose aux faisceaux antéro- latéraux est infiniment moins marquée q
lésions médullaires sur l'état des fibres nerveuses au niveau des faisceaux pyramidaux sclérosés. Ces fibres existent encor
à une preuve que dans la zone de substance blanche qui contient les faisceaux pyramidaux,' il existe encore d'autres fibres,
grosses doivent être considérées comme appartenant surtout à ces faisceaux . D'autre part en comparant aux préparations de
vons dans nos autopsies, signalé un certain degré de sclérose des faisceaux de ,Goll; ce,fait 1 a ¡déjà été noté un certain
NERVEUSE. dorsale où elle occupait même une certaine portion des faisceaux de Burdach, où elle avait l'apparence en- N que
e légère bande transversale assez mal marquée d'ailleurs dans les faisceaux de Burdach. Quant à la nature même de cette scl
s préparations nous n'avons trouvé un seul corps granuleux dans les faisceaux de Goll, tandis qu'ils étaient en très grande a
de Goll, tandis qu'ils étaient en très grande abondance dans les faisceaux latéraux. D'autre part cependant, un certain no
x latéraux. D'autre part cependant, un certain nombre de fibres des faisceaux de Goll semble avoir disparu ainsi qu'il résult
s granuleux existaient, nous l'avons vu,- dans toute la hauteur des faisceaux pyramidaux depuis les circonvolutions jusqu'à'
ès petit nombre. D'autre part, suivant la hauteur des segments du faisceau pyramidal que l'on examine, les corps granu- le
bute le processus, il est possible que celui-ci atteigne d'abord le faisceau pyramidal sur un point quelconque de sa hauteur,
s de sclérose latérale amyo- trophique dans lesquelles la lésion du faisceau pyrami- dal, recherchée seulement au point de v
es coupes. Aussi le fait signalé par cet auteur, que les lésions du faisceau , pyramidal ne pouvaient plus être constatées da
coupes. Pendant le déroulement de celles- ci un certain nombre des faisceaux longitudinaux coupés en travers et n'adhérant p
bérance s'en détachent, et de plus les pro- priétés optiques de ces faisceaux rendent difficile la recherche des corps granul
s, est-il nécessaire pour déclarer s'il y a ou non des lésions du faisceau pyramidal au-dessus du bulbe d'examiner des cou
utopsie (lésions des cellules motrices de la substance grise et des faisceaux pyramidaux), se refuse à admettre que ce soient
diversité du début n'a rien qui doive sur- prendre. On sait que le faisceau pyramidal, tout en présentant une véritable uni
ent et de la pathologie, n'est à proprement parler qu'un composé de faisceaux secondaires pro- venant des circonvolutions mot
ions motrices et se rendant soit à la moelle, soit au bulbe; or ces faisceaux secondaires conservent pendant la plus grande p
ivant que la lésion primitive siégeait sur telle ou telle partie du faisceau pyramidal au niveau des circonvolutions ou de l
yramidal au niveau des circonvolutions ou de la capsule interne. Le faisceau secondaire spécialement destiné au bulbe aurait
dance toute particulière, c'est celui qu'il décrit sous le nom de faisceau géziculé. Ceci étant donné, si l'on admet que l
le amyotrophique ait son point de départ dans une hauteur donnée du faisceau pyramidal, il est aisé de comprendre que suivan
eau pyramidal, il est aisé de comprendre que suivant que tel ou tel faisceau secon- daire sera atteint le premier on verra l
ls la durée paraît devoir être plus longue encore. Il semble que le faisceau pyrami- dal n'ayant pas ou presque pas de relat
ent rester intacts pendant un temps assez long, alors même que le faisceau bulbaire est lésé, et qu'ils ne soient atteints
niveau des éléments moteurs en rapport intime avec les fibres du faisceau volontaire. Quelle que soit la raison qu'on en
lenticulaire. C, corps granuleux occupant les interstices entre les faisceaux de fibres coupés perpendicu- lairement à leur d
. FiG. 6. Moelle cervicale, Observation II. A, corps granuleux du faisceau pyramidal croisé. B, corps granu- leux aberrant
ns les processus radicu- laires antérieurs. - D, corps granuleux du faisceau pyramidal direct. CLINIQUE MENTALE DES FAMILL
pose que, chez son malade, il n'y avait pas d'entre-croisement des faisceaux pyramidaux : Pas d'autopsie. G. D. XXVIII. NOTE
ncecorrespondante dans la couche optique, le pédoncule cérébral, le faisceau pyramidal. Mille asymétries dans la disposition
ce à ses correspondants français et étrangers, concentré en un seul faisceau toutes les lumières que les travaux de ce siècle
l'origine apparente des racines de la huitième paire cervicale, le faisceau gauche de Goll est plus faiblement atteint que
yen, mais la prolifération du tissu conjonctif s'étend sur tous les faisceaux de Goll en les délimitant nettement de ceux de
ostérieure de ces cordons elle remplit tout l'espace qui répond aux faisceaux du cervelet et aux faisceaux pyramidaux. Dans l
e remplit tout l'espace qui répond aux faisceaux du cervelet et aux faisceaux pyramidaux. Dans les cordons postérieurs la scl
s les cordons postérieurs la sclérose embrasse comme auparavant les faisceaux de Goll. , Dans la région de la sortie des raci
féra- tion du tissu conjonctif des cordons latéraux augmente, les faisceaux de Goll sont atteints de moins en moins ; de sort
a direction ascendante aussi bien que descen- dande et embrasse les faisceaux descendants (pyrami- daux) dans les cordons ant
ordons antérieurs et latéraux presque dans toute leur longueur; les faisceaux ascendants (os du cervelet) sont atteints dans
ans notre cas a gros- sièrement franchi les limites anatomiques des faisceaux et surtout dans les cordons latéraux, il prenai
une lésion également spéciale, peut-être la sclérose primitive des faisceaux pyramidaux, soup- çonnée par M. Erb. Si, au con
n conser- vant la même localisation. Dans la portion lombaire les faisceaux pyramidaux latéraux étaient sclérosés. Il resso
oyons que la sclérose quoique em- brassant à peu près la région des faisceaux pyrami- daux latéraux, atteignit pourtant « die
ne permit d'expliquer ni son caractère, ni ses relations avec les faisceaux sclérosés. De l'état du cerveau on ne dit mot.
lysie spastique; où, à l'autopsie, on a pu constater une lésion des faisceaux pyramidaux, mais une analyse attentive du table
ve du tableau anatomique démontre que dans tous ces cas outre des faisceaux mentionnés, ceux du cervelet furent atteints et
milieu du pied du pédoncule cérébral la place exacte où passe le faisceau pyramidal; il a pu irriter en même temps le faisc
te où passe le faisceau pyramidal; il a pu irriter en même temps le faisceau sensitif et les tractus vasomoteurs (voyez dans
circonvolutions motrices du côté droit et englobant une partie du faisceau pyramidal d'où les dégénérescences secondaires
ramollissement circonscrit dans la protubérance, qui lèse aussi le faisceau pyramidal. En un mot double lésion capable d'ex
inté- grité des racines de gauche. Dégénérescence descendante des faisceaux pyramidaux, dans les cordons latéraux. Il s'agit
in, quelquefois on aperçoit, munies de leur gaine de myéline, des faisceaux de fibres qui s'épanouissent en forme d'aigreltes
tre que secondaire, qu'il s'agisse de la couronne rayonnante et des faisceaux spinaux, ou du faisceau d'association intracort
s'agisse de la couronne rayonnante et des faisceaux spinaux, ou du faisceau d'association intracortical, et provenir de la
léments nerveux sont remplacés par du tissu conjonctif dans tout le faisceau de Goll et dans la plus grande partie du faisce
ctif dans tout le faisceau de Goll et dans la plus grande partie du faisceau de Burdach. Le cordon postérieur droit mesure 1
lenticulaire. C, corps granuleux occupant les interstices entre les faisceaux de libres coupées perpendicu- lairement à leur
6. - l4loelle cc.rvicale, OllsntiVATIUNB II. A, corps granuleux du faisceau pyramidal cruisé. - H, curps granu- leux aberra
ns les processus radicu- laires autérieurs. - D, corps granuleux du faisceau pyramidal direct. 8rcua. (.il th,I\I : 6 : : 1"
21 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
t de la l ? paire cervicale. Collet du bulbe. Sclérose marginale du faisceau antérolatéral, plus marquée au niveau du sillon a
l, plus marquée au niveau du sillon antérieur. Sclérose marquée des faisceaux de Goll et do Burdach. ' Fig. 2. - VIe paire ce
Burdach. ' Fig. 2. - VIe paire cervicale. Grosse dégénération du faisceau de Goll et de la bandelette externe du cordon pos
ostérieur. Dégé- nération peu accusée des racines postérieures. Les faisceaux de Gowers et cérébelleux direct sont très pris.
ect sont très pris. A remarquer également l'atteinte très nette des faisceaux p) ranuclau"\. directs et croisés. FIG. ,. -
e dorsale. Point où les lésions sont au maximum. Grosse atteinte du faisceau pyramidal croisé. Grosse tléin3élinis.ition des
ion très prononcée des cordons postérieurs, intéressant surtout les faisceaux de Goll. 2° Une dégénération systématique des f
surtout les faisceaux de Goll. 2° Une dégénération systématique des faisceaux cérébelleux directs et des faisceaux pyramidaux
dégénération systématique des faisceaux cérébelleux directs et des faisceaux pyramidaux croisés, avec intégrité complète des f
ts et des faisceaux pyramidaux croisés, avec intégrité complète des faisceaux pyramidaux directs. 3° Une dégénération des c
condaire, sclérose d'origine conjonctivo- vasculaire s'étendant aux faisceaux pyramidaux croisés et aux faisceaux cérébelleux
tivo- vasculaire s'étendant aux faisceaux pyramidaux croisés et aux faisceaux cérébelleux directs. Cette théorie, qui faisa
ie de Friedreich est celui de savoir s'il y a vraiment sclérose des faisceaux pyramidaux croisés. Friedreich ne l'avai pas sign
, tout en convenant qu'il existe des lésions dans le territoire des faisceaux pyramidaux croisés, hésite à admettre que les fib
és, hésite à admettre que les fibres altérées soient bien celles du faisceau pyramidal. 11 pense au contraire que les fibres
lles du faisceau pyramidal. 11 pense au contraire que les fibres du faisceau pyramidal sont intactes, et que l'altération port
, et que l'altération porte sur des fibres dépendant du système des faisceaux cérébelleux direct et antéro- latéral de Gowers
et Schultze, de Burr, de Bonnus et Mackay signalent une sclérose du faisceau pyramidal direct, sclérose la plupart du temps
instant. Dans les deux, il existe une dégénération accusée des deux faisceaux pyramidaux, y compris NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA
iteurs. MALADIE DE FRIEDREICH ET UÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 15 le faisceau deïurck. Etant donnés le degré et la topographie
nt, et d'une façon variable, le cordon antéro-latéral et ses divers faisceaux . En 1896, je décrivais déjà des formes frustes
e trouve compris : 1° Le tractus moteur du membre inférieur gauche ( faisceau pyramidal) ; 2° Le tractus thermique du chaud d
la moelle, la substance grise médiane, à mesure qu'elle libérait le faisceau moteur gauche, tout en respectant toujours le f
libérait le faisceau moteur gauche, tout en respectant toujours le faisceau moteur droit, ainsi que les racines, les méning
nt dans lequel la sclérose envahit tantôt la substance grise ou les faisceaux blancs, tantôt se dissémine des deux côtés ou se
en rapport avec la région intéressée. C'est ainsi que lorsque les faisceaux postérieurs sont atteints, on observera les sym
lle que les centres du langage sont unis les uns aux autres par des faisceaux d'association et que cette union anatomique entra
térieure du lobule du pli courbe (2" pariétale) . - Destruction des faisceaux blancs sous-jacents (faisceau longitudinal supé
e (2" pariétale) . - Destruction des faisceaux blancs sous-jacents ( faisceau longitudinal supérieur, faisceau occipital vertic
des faisceaux blancs sous-jacents (faisceau longitudinal supérieur, faisceau occipital vertical de Wer- nicke). - Sont respe
le.En haut le foyer se prolonge sous la Ire parié- tale (section du faisceau longitudinal supérieur). 7° Coupe portant sur l
détruite ainsi que celle correspondant au pli courbe (Destruction du faisceau longitudinal supérieur etd'unepartiedu faisceau
rbe (Destruction du faisceau longitudinal supérieur etd'unepartiedu faisceau occipital vertical deWernieke). La substance bl
ons en présence de 3 lésions : 1) Une lésion du pli courbe et des faisceaux sous-jacents (faisceau longi- tudinal supérieur
ésions : 1) Une lésion du pli courbe et des faisceaux sous-jacents ( faisceau longi- tudinal supérieur), lésions s'étendant v
ers les points du globe occipital (intéressant la substance blanche faisceau vertical occipital de Wernicke). 2) Une lésion
ticale (pli courbe, cir- convolution occipitale) et sous-corticale ( faisceau longitudinal supérieur, faisceau occipital vert
ion occipitale) et sous-corticale (faisceau longitudinal supérieur, faisceau occipital vertical de Wernicke). Peut-être est-ce
st aussi le plus médian ; il s'étend du sacrum à l'axis, composé de faisceaux obliquement ascen- dants, qui vont de l'apophys
ombaire, le plus externe des deux, se porte de bas en haut, par des faisceaux séparés, sur toutes les côtes, au niveau de leur
du petit complexus. Le long dorsal, plus interne, composé de longs faisceaux ascendants, dont l'aspect l'a fait comparer à u
ivant les sujets (de la 6° à la 2' côte) ; il donne naissance à des faisceaux externes ou costaux, qui s'insèrent entre l'ang
, qui s'insèrent entre l'angle et la tubérosité des côtes, et à des faisceaux internes ou trans- versccires, qui sont les plu
contraction soudaine et violente, qui fait saillir à ce moment les faisceaux musculaires sous la peau, à la façon d'une corde
la maladie de Friedreich : altérations des cordons postérieurs, des faisceaux pyramidaux,des faisceaux cérébelleux directs et
: altérations des cordons postérieurs, des faisceaux pyramidaux,des faisceaux cérébelleux directs et des cellules de la colonne
cellules de la colonne de Clarke, et des altérations intéressant le faisceau de Goll et le faisceau cérébelleux direct, prin
de Clarke, et des altérations intéressant le faisceau de Goll et le faisceau cérébelleux direct, principalement dans la régi
on- cule cérébelleux. Dans le bulbe, il ya a dégénérescence du même faisceau et de celui de Goll. Dans la moelle, dont les d
- 130 RAYMOND cence des fibres dans les cordons de Goll, dans les faisceaux cérébelleux directs et les faisceaux de Gowers
les cordons de Goll, dans les faisceaux cérébelleux directs et les faisceaux de Gowers ; la substance grise de la moelle est
(dégénération partielle des cordons postérieurs, localisée dans les faisceaux de Burdach à la région lombo-sacrée, et dans les
dans les faisceaux de Burdach à la région lombo-sacrée, et dans les faisceaux de Goll dans la région cervicale - dégénération
ération partielle de tout le fais- ceau antéro-latéral et totale du faisceau Gowers - absence du faisceau cérébelleux direct
fais- ceau antéro-latéral et totale du faisceau Gowers - absence du faisceau cérébelleux direct). Au bulbe, il existe une dé
ffection, on observe,en général, une dégénération plus complète des faisceaux pyramidaux croi- sés et des cordons postérieurs
section, ainsi que des taches scléreuses dans la partie externe du faisceau antéro-latéral. Les nerfs périphériques sont pe
iques) portant sur les fibres fines de la couche des grains, sur le faisceau axial de chaque lamelle cérébelleuse, sur le cent
très peu abondantes. A noter également la petitesse et la pâleur du faisceau solitaire et les lésions dégénératives du noyau
deviennent plus abondantes en fibres, à mesure que l'on s'élève. c) Faisceau antéro-latéral. - Lésions, somme toute, assez dif
- Lésions, somme toute, assez diffuses,intéres- sant avant tout le faisceau cérébelleux direct et assez légèrement le faiscea
sant avant tout le faisceau cérébelleux direct et assez légèrement le faisceau de Gowers, et s'étendant à la région cervicale
et s'étendant à la région cervicale et dorsale sur le territoire du faisceau pyramidal croisé. Quant au faisceau de Türk outre
et dorsale sur le territoire du faisceau pyramidal croisé. Quant au faisceau de Türk outre une dégénération nette au niveau
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 141 est en effet tout naturel que les faisceaux sagittaux et ceux d'association aient dû subir
inution de fibres par suite de la destruction décrite plus haut. Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) paraît être doué d'u
PADAkI exagérée du tissu cortical. Résistance particulière de. Fli { faisceau de projection) à l'invasion par la tumeur. OR
u ambiant. Mais dans le lobe occipital le ventricule est entouré de faisceaux de projection (Rth. et Fli.) et d'un long faisc
est entouré de faisceaux de projection (Rth. et Fli.) et d'un long faisceau d'association (Tap.). D'autre part les scissures
ventricule beaucoup trop grand. Il en est de même du tapetum et des faisceaux sagittaux du lobe occipital. Là la dilatation v
n que la dilatation ventriculaire se fait avant tout aux dépens des faisceaux d'association courts. Examen microscopique Coup
e in- terne elles sont allongées et placées de préférence entre les faisceaux blancs et les trabécules de substance grise qui
ite de la compression du trac- tus optique et du corps gen. ext. le faisceau Fli. se soit trouvé dans des condi- tions parti
es fais- ceaux d'association surtout. Appauvrissement du cerveau en faisceaux de cette nature. - Engorgement des vaisseaux, é
- Tro, tractus optique. Tum, tumeur. X F et M, entrecroisement des faisceaux de Forel et de Meynert. 152 WEBER ET PAPADAKI -
1. Cge, corps genouillé externe. Cgi, corps genouillé interne. Fld, faisceau longitudinal dorsal. N III, noyau III* paire. P
n locus niger. Tm, tumeur. F'iG. 8. Aqs, aqueduc de Sylvius. - Fld, faisceau longitudinal dorsal. Gp, tu- bercule quadrijume
compression des pyramides ; bien que le néoplasme fût à droite, le faisceau pyramidal gauche ne pouvant faire place, parce
is positif. Nous nous demandons Fm. 10. les, fosse de Sylvius. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Gsm,gyrus supra-margi
ect particulièrement dense : cela est surtout visible dans les gros faisceaux coupés transversalement, par exemple Rth. et Fl
ages en soleil de la fibre nerveuse. Nous croyons remarquer que les faisceaux d'association ont plus perdu en surface que ceu
cation de ces variétés de démence. 60 Dans la substance blanche les faisceaux d'association paraissent souf- frir plus que ce
Voici quelques chiffres : 166 GRUNER ET BEI\TOLOTTl supérieure du faisceau sensitif et envahit le tubercule quadrijumeau ant
t refoulée en avant et ses fibres sont raréfiées, du côté gauche le faisceau longitudinal postérieur est à peu près intact. Le
lement dégénérées, on voit nettement quelques fibres qui partent du faisceau longitu- dinal postérieur, se portent en avant,
rgeur. Le ruban de Reil, les pédoncules cérébelleux supérieurs, les faisceaux cen- traux de la calotte sont épargnés des deux
trijumeau à gauche est plus distincte, elle est formée par un petit faisceau de fibres pâles et atrophiées. Les cellules de la
versent la ban- delette longitudinale postérieure, qui contient des faisceaux radiculaires plus nombreux. ' Dans une coupe
rale de la protubé- 168 GRUNER ET BERTOLOTTI rance, les fibres du faisceau pyramidal et les fibres transversales sont quelqu
ruire les fibres d'association entre ces noyaux, qui montent par le faisceau longitudinal postérieur. Voyons en dernier lieu
me paire émanent des fibres motrices ascendantes qui montent par le faisceau longitudinal postérieur, se croisent sur la lig
e en bas des tubercules quadrijumeaux et vont directement parmi les faisceaux radiculaires de la IIIe paire jusqu'au muscle d
s s'occupèrent de cette question et beaucoup d'entre eux nièrent le faisceau anastomotique de MM. Duval et Laborde. Toutefoi
de de ses faits histologiques (2),insiste sur le point suivant : le faisceau longitudinal postérieur contient des fibres ascen
eu. of. Neur. and Psych., mai 1903. 172 GRUNER ET BERTOLOTTI ' le faisceau longitudinal postérieur et aboutissent dans les n
u de la VIe paire ou sur ses fibres ascendantes qui montent par les faisceaux de la calotte protubérantielle, peut entraîner un
de la III° paire. Le tubercule était ainsi placé qu'il épargnait le faisceau longitudinal postérieur, le noyau rouge et les
. Le Pal montre une légère raréfaction des fibres à myéline dans le faisceau pyramidal croisé droit, le picro-carmin y décèle
tout le cordon latéral, sans rester strictement limitée à l'aire du faisceau pyramidal croisé, car elle peut même atteindre
e ; c'est plutôt une altération développée primitive- ment dans les faisceaux blancs delà moelle épinière. Hislologiquement 1
e ; raréfaction des fibres à myéline dans la moitié postérieure des faisceaux latéraux. Drap... Emile, 66 ans, entre à l'asil
myéline dans les deux tiers externes de la partie pos- térieure du faisceau latéral. SCLÉROSES COMBINÉES médullaires DES pa
G. Syphilis probable; démence; paraplégie spasmodique; sclérose des faisceaux pyramidaux croisés (1). Klém..., 38 ans, ex-gar
médullaire. Au Weigert-Pal, il existe une double dégénérescence des faisceaux pyra- midaux croisés avec prédominance d'un côt
cro-carmin on voit une sclérose névroglique dans les aires des deux faisceaux pyramidaux croisés. Dans ces mêmes régions, le Pa
contracture en flexion des membres inférieurs ; dégénérescence des faisceaux pyramidaux eroisés et myélite diffuse. Camp...
figure 1. 3. Obs. IV. - Moelle lombaire. Sclérose plus limitée des faisceaux pyramidaux croisés 4. Obs. III. moelle cervical
yramidaux croisés 4. Obs. III. moelle cervicale. Dégénérescence des faisceaux pyramidaux croisés et myélite diffuse. 5. Obs
isés et myélite diffuse. 5. Obs. II. Moelle dorsale. Sclérose des faisceaux pyramidaux croisés. 6. Obs. XII. Moelle dorsale
ceaux pyramidaux croisés. 6. Obs. XII. Moelle dorsale. Sclérose des faisceaux fondamentaux des cordons la- téraux, de la part
es à myéline dans la moitié postérieure de la moelle dans l'aire du faisceau fondamental du cordon latéral des deux faisceaux
elle dans l'aire du faisceau fondamental du cordon latéral des deux faisceaux pyramidaux croisés et à la limite moyenne des f
al des deux faisceaux pyramidaux croisés et à la limite moyenne des faisceaux de Goll et de Burdach (pl. XXXIII, fig. ). Le
es dégénérées que dans un îlot situé à la partie antéro-externe des faisceaux pyramidaux croisés. La région lombaire paraît n
ite hémorrhagique suppurée de l'hémis- . phère droit ; sclérose des faisceaux pyramidaux (1). . Seig..., 36 ans, entré le 27
e médullaire. Sclérose très dense et bien systématisée au niveau du faisceau pyramidal croisé du côté gauche et direct du côté
dense et beaucoup plus diffuse. Elle dépeg,4v,% beaucoup l'aire du faisceau pyramidal croisé. A gauche, le faisceau pyramid
g,4v,% beaucoup l'aire du faisceau pyramidal croisé. A gauche, le faisceau pyramidal direct est sain. Le Weigert-Pal met e
est sain. Le Weigert-Pal met en évidence cette double sclérose. Le faisceau pyramidal croisé est absolument détruit à gauch
ceau pyramidal croisé est absolument détruit à gauche ; à droite le faisceau de Turck très bien limité est également détruit
résente pas trace d'in- filtration inflammatoire. La sclérose des 2 faisceaux pyramidaux se présente au Weigert-Pal avec les
tères que de la moelle cervicale : sclérose limi- tée et dense d'un faisceau pyramidal direct et croisé, sclérose plus discrèt
roprement parler. Ce n'est qu'une simple raréfaction des fibres des faisceaux pyramidaux croisés seulement sous la dépendance
Mais le cas est déjà plus complexe. A la double dégénérescence des faisceaux pyramidaux d'origine encéphalique s'ajoute la s
est intéressante parce qu'on peut attribuer la dégénéres- cence des faisceaux pyramidaux croisé et direct à une pachyméningite
it. Ainsi s'explique l'aspect beaucoup plus dense de la sclérose du faisceau pyramidal direct droit et du faisceau pyra- mid
plus dense de la sclérose du faisceau pyramidal direct droit et du faisceau pyra- midal croisé gauche qui diffère sensiblem
ffère sensiblement de la sclérose plus diffuse et moins profonde du faisceau pyramidal croisé droit. Cette dernière, con- si
la partie postéro-externe des cor- dons latéraux. Weigert-Pal. Le faisceau de Burdach est complètement dégénéré. Nissl. Le
ettes externes de Charcot et Pierret sont sclérosées, ainsi que les faisceaux cérébelleux directs (pl. XXXIV, fig. 8). Moelle
énérescence mais prédominante à gauche (à droite sur la figure) des faisceaux pyramidaux. 3. Obs. IX. Moelle dorsale. Mêmes l
lombaire. Sclérose des bandelettes externes et dégénéres- cence des faisceaux .pyramidaux croisés,compacte et bien limitée à
II. Partie inférieure du bulbe. Sclérose des cordons de Goll et des faisceaux cérébelleux directs. 9. Obs. VIII. Moelle cervi
t sont entourées de ces mêmes cellules. A la région dorsale dans le faisceau latéral se trouve un foyer de méningo- myélite
Weigert, dans la région cervicale, on constate la dégénérescence du faisceau pyramidal droit et la dégénérescence symétrique d
e des bandelettes de Pierret, on voit une double dégénérescence des faisceaux pyramidaux, mais du côté gauche la sclérose est
is du côté gauche la sclérose est diffuse et dépasse les limites du faisceau pyramidal (pl. XXXIV, (ig : 4). Les reins pré
nal épendymaire est presque complètement obstrué. Dans l'aire des faisceaux pyramidaux et des bandelettes externes des cor-
o-latéraux, entre la zone périphé- rique sclérosée et les aires des faisceaux pyramidaux se trouve une zone de tissu nerveux
tate : une raréfaction des fibres nerveuses au niveau des aires des faisceaux pyramidaux qu'elle déborde peut-être un peu en
Les racines postérieures sont altérées d'une façon particulière : des faisceaux tout entiers sont détruits alors que d'autres d
Infiltration de la subs- tance sous-épendymaire. Au Weigert, les faisceaux pyramidaux paraissent plus clairs. Moelle. Méni
rps granuleux. Au Weigert, apparence de sclérose combinée. Les deux faisceaux pyrami- daux croisés sont dégénérés et de plus
Weigert-Pal. Seuls sont décolorés les zones de Lissauer et quelques faisceaux clairsemés des racines. Moelle lombaire. Hémato
la radiculite, une sclérose combinée consistant en décoloration des faisceaux fondamentaux des cordons latéraux, de la partie
le sont décolorées la moitié interne des cordons postérieurs et les faisceaux fondamentaux des cordons latéraux, ceux-ci sur
elle lombaire, se réduise dans la moelle cervi- cale et le bulbe au faisceau cérébelleux direct. Dans le 2° cas, les lésions
l'explication de ces différences d'aspect. La sclérose compacte du faisceau pyramidal croisé est sous la dépendance d'un ra
araît évident. Dans Ie4°cas(llau....) il y a à la fois sclérose des faisceaux pyramidaux, suite des lésions diffuses de l'enc
omprendre, d'une part, la localisation nette de la sclérose dans le faisceau fondamental du cordon latéral, et d'autre part da
ler cette lésion. Nous avons vu aussi la dégénérescence massive des faisceaux pyramidaux secondaires à une lésion encéphaliqu
es transversales antérieures de la protubérance du côté gauche. Les faisceaux pyramidaux sont atteints des deux côtés d'une lég
toute la hauteur de la'moelle, on observe une légère sclé- rose des faisceaux pyramidaux croisés. Pas d'autres lésions des cord
toujours les noyaux prépyramidaux et les fibres plus profondes des faisceaux pyramidaux. De plus, le traumatisme physiolo- g
que pour le muscle sterno-cléido-mastoïdien il existe en dehors du faisceau sternal nor- mal, des faisceaux qui vont se fix
do-mastoïdien il existe en dehors du faisceau sternal nor- mal, des faisceaux qui vont se fixer sur les points de la clavicule
st de même pour le grand pectoral et le deltoïde qui présentent des faisceaux claviculaires comme le démontre le déplacement
llaires, l'acuité visuelle sont normaux. Pas de signes de lésion du faisceau pyramidal, pas de troubles de la sensibilité. Leu
côté où le rudiment parasternal mesure 4 cent., mais est réduit au faisceau sterno-mastoïdien du côté où ce rudiment n'a qu'u
sterno-mastoïdien du côté où ce rudiment n'a qu'un centimètre ; les faisceaux occipitaux s'insérant sur le cordon fibreux et le
insérant sur le cordon fibreux et les rudiments sont suffisants, le faisceau claviculaire étant cependant moins fort que le
fisants, le faisceau claviculaire étant cependant moins fort que le faisceau sternal. 3° La portion claviculaire du trapèze
bablement parmi ces anomalies dues à l'ly-- peractivité de certains faisceaux musculaires qu'il faut ranger nos trois cas de
ns les segments les plus élevés de la moelle, une grande partie des faisceaux posté- rieurs se trouve ainsi remplacée par un
as en haut. Ces auteurs, néanmoins, préoc- cupés de la destinée des faisceaux blancs ou des variations de forme de la subs- t
s inférieure de la moelle, on observe un tissu nerveux fragmenté en faisceaux , dans lequel ne se trouve aucun élément cellulair
n faisceaux, dans lequel ne se trouve aucun élément cellulaire. Les faisceaux sont envahis par de nombreux vaisseaux sanguins d
ions pas des phénomènes aussi accusés ; bien que la disparition des faisceaux blancs y soit infiniment plus lente, divers ind
contraire développée vers l'extérieur ; en particulier, les divers faisceaux de fibres radiculaires sont nettement envahis p
les recherches tendant uniquement à établir l'état d'intégrité des faisceaux blancs, nous paraissaient des recherches vaines.
cessus dans les cas ordinaires, il est sans intérêt de savoir quels faisceaux sont ou ne sont pas atteints. Les lésions im- m
on et Matthew nous renseignent très exactement, en montrant que les faisceaux moteurs sont franchement altérés, surtout dans
tissu. Tout autour de la moelle existent de nombreuses sections de faisceaux ner- veux, soit à proximité même de la moelle,
nt subi un étalement sur le plancher du canal rachidien ouvert. Ces faisceaux nerveux appartiennent aux racines postérieures, a
rs ne montrent plus aucune trace de moelle, mais, au contraire, des faisceaux nerveux abondants. Ceux-ci d'ailleurs, ne sont
is sur l'identité duquel il ne saurait y avoir aucun doute. · Les faisceaux nerveux reposent directement sur la dure-mère, fo
ns parlé dans le premier chapitre. A ce niveau, existent encore des faisceaux de fibres : -. PATHOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE
e fibres ont dû disparaître. La dure-mère sur laquelle reposent ces faisceaux , n'a plus son aspect de tissu fibreux épaissi ;
iveau des étranglements, les fibrilles se rapprochent et forment un faisceau serré. , C'est en ce point que le cylindraxe es
es cas, quatre seulement montre- raient une dégénération isolée des faisceaux pyramidaux : ce sont ceux de Morgan et Dreschfe
le cas de Friedmann il y avait en même temps une atteinte légère du faisceau cérébelleux seul, de celui-ci et du faisceau de
une atteinte légère du faisceau cérébelleux seul, de celui-ci et du faisceau de Goll dans le cas de Kühne et Strümpell. Le c
l a publié récemment trois nouveaux cas de sclérose systématisée du faisceau pyramidal, dont l'un héréditaire. Mais, là encore
encore, un seul paraît pur ; dans les autres, la sclérose d'autres faisceaux se sura- joute. C'est encore la sclérose comb
1904 (cas Polster), la sclérose laté- rale excédait les limites du faisceau pyramidal et il s'y ajoutait encore une scléros
Deltoïde, 10 m. A., contractions très faibles et seulement dans un faisceau des fibres NFC > PFC. Pectoral, contractio
quelques travées osseuses se forment par transformation directe de faisceaux périostaux. FiG. 19. Ossification périostale da
perficielle et profonde de l'étage antérieur de la protubérance, le faisceau longitudinal inférieur, le ruban de Reil, le stra
contraire, surtout à sa partie supérieure là où prend naissance le faisceau central de la calotte, est bien colorée par l'hém
sont très peu nombreuses ; la racine des- cendante du trijumeau, le faisceau latéral du bulbe, les fibres radiculaires des X
atéral du bulbe, les fibres radiculaires des XI- et XIIe paires, le faisceau solitaire sont bien colorés. L'olive est atrophiq
périphérie très clairs. Seulement à l'endroit où prend naissance le faisceau central de la calotte la capsule olivaire est p
ndue. Le ruban de Reil est toujours extrêmement pâle, sauf quelques faisceaux par ci par là qui possèdent une coloration asse
réfaction très accentuée des cordons latéraux surtout au niveau des faisceaux pyrami- daux et du faisceau de Flechsig gauche;
cordons latéraux surtout au niveau des faisceaux pyrami- daux et du faisceau de Flechsig gauche; légère raréfaction des faisce
ami- daux et du faisceau de Flechsig gauche; légère raréfaction des faisceaux pyra- midaux directs et des faisceaux de Goll (
auche; légère raréfaction des faisceaux pyra- midaux directs et des faisceaux de Goll (PI. LXII). Au niveau des zen racines c
I. LXII). Au niveau des zen racines cervicales à droite, la zone du faisceau pyramidal est très claire et contient à peu prè
e lésion que sur les coupes précédentes. A gauche, au contraire, le faisceau pyramidal et le faisceau de Flechsig ne contienne
es précédentes. A gauche, au contraire, le faisceau pyramidal et le faisceau de Flechsig ne contiennent plus que quelques fi
contiennent plus que quelques fibres isolées. A ce même niveau les faisceaux pyramidaux directs sont légèrement raréfiés et
e sont aussi très touchées. ' Au niveau de la moelle dorsale, les faisceaux pyramidaux contiennent à peine quelques fibres
midaux contiennent à peine quelques fibres nerveuses normales : les faisceaux pyramidaux directs sont un peu raréfiés ; la ra
tres intermédiaires (PI. LXII). Cependant à ce niveau la lésion des faisceaux pyramidaux directs est un peu plus évidente. On y
ns des autres. Dans la moelle lombaire la sclérose est limitée aux] faisceaux pyramidaux. Méninges spinales. La pie-mère est
C'est surtout à la palpation qu'on a l'impression qu'il manque des faisceaux et que ceux qui restent sont plus mous que nor-
Le grand pectoral est petit, surtout dans la partie interne de son faisceau claviculaire. Bras. - Le triceps a presque tota
l'exis- tence de quelques symptômes impliquant la participation des faisceaux blancs médullaires (exagération ou abolition de
de filaments de toutes longueurs se groupant en quelques points en faisceaux remarquables (fig. 1). Notre ligure 1 ne rend q
petites vacuoles, rondes lorsque la coupe est per- pendiculaire au faisceau , allongées lorsqu'elle est parallèle. Ces vacuole
n. PSEUDO-TUMEUR CÉRÉBRALE PAR EMPYÈME VENTRICULAIRE 657 Dans les faisceaux ainsi raréfiés les fibres elles-mêmes apparaissen
fortement tendu au-dessous de l'angle inférieur de l'omoplate ; le faisceau -le plus inférieur peut faci- lement être suivi
re allant des apophyses épineuses au bord spinal de l'omoplate. Les faisceaux inférieurs du trapèze existent des deux côtés, la
22 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
conjonctif en prolifération. 11 n'y a pas trace d'hémor- rhagie. Le faisceau pyramidal gauche présente les altérations class
l y avait une dégénérescence descendante des cordons de Goll et des faisceaux cérébelleux des cordons latéraux. Au microscope
n descen- dante avait, à l'examen microscopique, atteint les deux faisceaux pyramidaux, le faisceau croisé plus 1 Voy. A¡'c
à l'examen microscopique, atteint les deux faisceaux pyramidaux, le faisceau croisé plus 1 Voy. A¡'ch. de Neurologie, n" 51,
n° 52, p. 28; ne 5't, y. 360. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 79 que le faisceau direct, et, en outre, quelques fais- ceaux isol
lésion, altération transitoire de l'ouïe et de l'odorat) : outre le faisceau pyramidal croisé, la dégé- nérescence avait sur
érés; des cordons de Goll et d'autres cordons postérieurs, quelques faisceaux seulement l'étaient chez le chien. Chez le sing
resse sur- tout ici, il n'existe pas d'entre-croisemeut total des faisceaux sensitifs ou moteurs : une partie de ces fais-
moïde, dans les cas de destruction du cervelet*. L'existence d'un faisceau fronto-cérébelleux, reliant ' Lussana. Sul cerv
aisemblable, que le lobe pariétal est surtout en connexion avec les faisceaux du sens musculaire. » A l'appui de cette hypoth
étendant jusqu'à la statiun terminale, dans l'écorce cérébrale, des faisceaux sensittfs. Mais le pro- cessus dégénératif atte
longent la substance blanche autour des cornes grises postérieures ( faisceau cunéi- forme de Burdach et segment postérieur d
partent deux sortes de fibres. Les unes vont dans la profondeur du faisceau de Burdach dessiner une sorte d'aile plane qui de
Burdach dessiner une sorte d'aile plane qui deviendra la source du faisceau de Goll. Les autres, laissant la substance grise
ent en arrière et en haut, pour aller embrasser cir- culairement le faisceau latéropyramidal et fournir les matériaux du cordo
s matériaux du cordon latérocérébelleux. Les cordons de Goll et les faisceaux latérocérébelleux, sont donc composés de fibres
stérieures. - De là les propositions de physiologie que voici : Les faisceaux de Goll et latéro-cérébelleux étant la prolongati
forment le trajet le plus direct de la sensibilité, tandis que les faisceaux de Burdach avec les segments postérieurs du rej
nt des voies sensibles médiates. D'où les altérations aliformes des faisceaux de Burdach dans les portions inférieures de la
us avancée de la maladie, la prééminence de la dégéné- rescence des faisceaux de Goll, dans les portions supérieures de la moel
lechsi Z, ont observé la dégénérescence des cordons de Goll et des faisceaux cérébelleux : Schultze g et Sliùmpell4, ont con
ynert, de lluguenin, de Luys, sur la direc- tion et le parcours des faisceaux nerveux ne sont que des schémas imaginaires.
e tuberculose pulmonaire. L'autopsie révèle la dégénéres- cence des faisceaux pyramidaux tout le long des cordons latéraux, d
t du bulbe dont les limites sont moins accusées que normalement. Le faisceau pyramidal du côté gauche est bien plus étroit q
ostérieurs dans la moelle lombaire qui n'atteint en montant que les faisceaux de Goll. Il existe aussi une atrophie des cellu
mourut à 25 ans. Les débris du tissu musculaire se compo- saient de faisceaux de fibres arrivées à la dernière période de l'h
oupe à part, ceux dans lesquels un véri- table tabes par lésion des faisceaux postérieurs peut s'associer à la glycosurie. Je
s recherches des auteurs sur la différenciation topographique des faisceaux blancs de cet organe. L'unité anatomique appare
t de ce travail, de reprendre l'histoire détaillée de chacun de ces faisceaux , et il nous suffira d'une des- cription extrême
Fig. 26. 338 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ceau de TÜJ'c ? (FT, 1) ou faisceau pyramidal direct qui se trouve à la partie anté
la pyramide antérieure et subit la dégénérescence des- cendante. Le faisceau pyramidal croisé (F P, 4) situé à la partie pos
bissant la dégénérescence descendante. La zone marginale externe ou faisceau profond du cordon latéral (Z M, 6) qui se trouv
faisceau profond du cordon latéral (Z M, 6) qui se trouve entre le faisceau pyramidal croisé et la substance grise. Le fais
trouve entre le faisceau pyramidal croisé et la substance grise. Le faisceau cérébelleux direct ou de Flechsig (F G, 5) qui
chsig (F G, 5) qui occupe la partie postérieure et externe entre le faisceau pyra- midal croisé et la périphérie. La zone ma
) qui forme un revête- ment triangulaire à la corne postérieure. Le faisceau de Gotvers (F G, 3), zone latérale antérieure m
de Gotvers (F G, 3), zone latérale antérieure mixte de Flechsig, faisceau périphérique de la région antérieure de Bechter
atéral et se prolongeant en avant jusqu'à l'extrémité antérieure du faisceau de Tùrck; il subit la dégénérescence ascendante
l subit la dégénérescence ascendante. La partie fonda- mentale du faisceau latéral (P F, 2) constituée par la partie resta
e du faisceau latéral (P F, 2) constituée par la partie restante du faisceau antéro-la.téra 1. Les cor- dons postérieurs son
et interne; à sa partie médiane, Flechsig a différencié un autre faisceau sous le nom de centre ovale (C 0, 12) en rai- s
inférieure, le cordon de Goll n'est plus représenté que par ce seul faisceau ); le cordon de Goll subit la dégénération ascen
faisceau); le cordon de Goll subit la dégénération ascendante. Le faisceau de Ijccz'clcccla (F 13, 10) ou cordon externe,
ntre la substance grise, formant la partie externe et antérieure du faisceau de Burdach. La zone marginale interne de Lissau
pas très régulière, et elle fait défaut dans certaines coupes. Le faisceau pyramidal est également sclérosé et sa forme es
e est semblable à la section de P. Y. S du schéma de Flechsig. Le faisceau de Turck est intact. Entre la corne postérieure e
brilles de la zone marginale de Lissauer sont presque intactes. Les faisceaux de Burdach sont plus altérés dans leur partie m
a partie inférieure de la région lombaire. Le triangle formé par le faisceau pyramidal dégénéré montre à sa base une dispari
ubstance spongieuse sont en grande partie détruites. La sclérose du faisceau pyramidal gagne un peu plus du côté de la zone
moyenne. - La sclérose porte ici sur les cor- dons postérieurs, le faisceau pyramidal et le faisceau de Flechsig. Les colon
orte ici sur les cor- dons postérieurs, le faisceau pyramidal et le faisceau de Flechsig. Les colonnes de Clarke sont égalem
s la région dorsale moyenne et supérieure, on voit avant et près du faisceau cérébelleux une portion triangulaire fortement
e de Westphall offre une altération très peu prononcée. Le champ du faisceau pyramidal est moins atteint que dans la région
ns la région dorsale supérieure. Le cordon de Flechsig, séparé du faisceau précédent par une bande de tissu normal, est auss
ntre les altérations de cette région et celles de la précédente. Le faisceau cérébelleux, dont la partie antérieure est surtou
re. Le cordon de Goll est un peu plus riche en fibres nerveuses. Le faisceau pyramidal présente un minimum d'altération. La
ès peu atteints. La sclérose disparaît presque complètement dans le faisceau pyramidal. La lésion est moins marquée dans le
rquée dans le cordon de Burdach, sauf dans sa partie moyenne, et ce faisceau offre seulement une raréfaction des fibres nerv
iers postérieur. La sclérose occupe plus régulièrement l'étendue du faisceau cérébelleux. Ganglions spinaux. Les ganglions s
ent avoir consisté dans une sclérose des cordons postérieurs et des faisceaux pyramidaux avec destruction des fibres nerveuse
uivantes (PL. I, fig. 1) : Dans la région lombaire, elle occupe les faisceaux pyramidaux et la presque totalité des faisceaux
re, elle occupe les faisceaux pyramidaux et la presque totalité des faisceaux posté- rieurs, excepté la zone (antéro-externe
s fais- ceaux pyramidaux, cérébelleux directs, et la totalité des faisceaux postérieurs, sauf une bande relative- ment sain
e (iiq. 30, 31, 32, 33). Dans la région cervicale, elle atteint les faisceaux pyramidaux, cérébelleux, et les cordons de Goll
, enfin, on note une sclérose peu prononcée des cordons grêles du faisceau cérébelleux et presque négligeable du cordon cu
Fig. 34. Fig. 35. 354 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. mais chacun de ses faisceaux en particulier, nous remarquons que la lésion a
riccs. Cette constatation a été faite également par Pitt. Dans le faisceau de Burdach, la lésion apparaît au niveau de la
minuer, et elle disparaît dans la partie inférieure du bulbe. Les faisceaux pyramidaux présentent une altération Fig. 36.
cérébrale. La lésion diminue à la partie inférieure du bulbe. Les faisceaux cérébelleux sont pris à partir de la région dor
la région inférieure du bulbe. A ce niveau la région occupée par ce faisceau contient quelques fibres dégénérées. Quant au
pée par ce faisceau contient quelques fibres dégénérées. Quant au faisceau de Gowers, il ne paraît pas être atteint, du mo
ar il a été également constaté par Pitt et Rütimeyer la lésion du faisceau cérébelleux dépasse les limites normales (/if),
En effet, en s'en rapportant aux travaux de Lissauer lui-même, ces faisceaux peuvent être conservés quoique exceptionnelleme
éterminer si celle-ci occupe d'emblée systématiquement les divers faisceaux , ou bien si elle représente la propagation dire
irecte ou méningitique d'une altération primitivement localisée aux faisceaux postérieurs. Si l'on considère d'abord qu'il s'
s cas relativement à la distribution de la lésion, l'intégrité du faisceau de Lissauer qui s'expliquerait difficilement en
es cas de scléroses combinées une dégénérescence aussi typique du faisceau pyramidal. Il existe, il est vrai, un groupe de
issus fibrillaire comme dans la maladie de Friedreich, mais bien de faisceaux de tissu con- jonctif lamellaire tout à fait an
A cet égard, on peut considérer que les cordons postérieurs et les faisceaux pyrami- daux se développent dans la moelle eu d
gulaire fortement dégénérée, située 364 PSYCHOLOGIE. eu avaut clu faisceau cérébellem (f. de Cowers ? b, faisceau pyramidal
64 PSYCHOLOGIE. eu avaut clu faisceau cérébellem (f. de Cowers ? b, faisceau pyramidal moyennement dégénéré; c, faisceau cér
llem (f. de Cowers ? b, faisceau pyramidal moyennement dégénéré; c, faisceau cérébelleux direct ; d, cordon de de Burdach dé
c, cornes antérieures saines ; d, racines antérieures normales; e, faisceau de Burdach ; canal épeud\maire ; g, faisceau pyrn
térieures normales; e, faisceau de Burdach ; canal épeud\maire ; g, faisceau pyrnnmhl. PI. I, fig. 3. Région de la colonne d
es nerveuses sont bien conservées. En oulre, à la partie externe du faisceau grêle de chaque côté, se présente une bande étr
ntactes. Enfin, on constate encore une sclérose bien marquée des faisceaux cérébelleux. A la partie inférieure du renfleme
on externe des cordons de Goll ont disparu et la zone dégénérée des faisceaux de Burdach est devenue un peu moins étendue.
qu'une légère déco- loration'. Des deux côtés du cordon de Goll, le faisceau de Burdach offre une légère zone décolorée qui
toute l'étendue de la moelle dorsale, mais la portion dégénérée des faisceaux de Burdach diminue de plus en plus. A l'extré
en, nous dirons que la moelle a présenté une dégénéres- cence des faisceaux de Goll, et une dégénérescence des parties inte
s faisceaux de Goll, et une dégénérescence des parties internes des faisceaux de Burdach qui a été en diminuant de haut en ba
rescence des cordons latéraux, limitée dans la partie supérieure au faisceau cérébel- leux, elle a entrepris, vers le bas, u
ceau cérébel- leux, elle a entrepris, vers le bas, une partie des faisceaux pyramidaux. De pareilles constatations se trouv
escence était la moins prononcée dans la région lombaire. Dans le faisceau alltéro-latéral, il y avait, à la péri- phérie
lle, une zone annulaire de «sclérose qui s'élargissait au niveau du faisceau pyramidal. Dans l'observation de Babesiu2, on c
pyramidal. Dans l'observation de Babesiu2, on constatait que les faisceaux postérieurs, surtout près de la surface, étaien
transpa- rente, gris-brunàtre, occupait la moitié postérieure des faisceaux latéraux et formait sur les coupes un A A Manua
t Rybaliu' la dégénérescence des cordons latéraux était limitée aux faisceaux pyra- midaux : une zone de tissu sain la sépara
dons pos- térieurs (cordons de Goll et cordons de Burdach) et des faisceaux cérébelleux ; en outre, une sclérose moins inte
clérose moins intense et probablement plus récente atteignait les faisceaux pyramidaux directs et les faisceaux pyra- midau
ent plus récente atteignait les faisceaux pyramidaux directs et les faisceaux pyra- midaux croisés. La sclérose des faiscea
ux directs et les faisceaux pyra- midaux croisés. La sclérose des faisceaux de Türck présentait son maximum à la partie sup
le haut et vers le bas, elle allait en diminuant. La sclérose des faisceaux pyramidaux croisés portait sur une surface ' Zu
cence entreprend une zone étroite correspondant générale- ment au faisceau cérébelleux ou s'étendant un peu plus en avant;
s, il fait remarquer que la sclérose ne suit dans son trajet, aucun faisceau spécial. Cette interprétation de Déjérine a été
tement limitée et reconnue comme système indépendant, à savoir, les faisceaux cérébelleux. Mais, pour apprécier exactement
ant progressivement de haut en bas. - Quant à la dégénérescence des faisceaux cérébel- leux, elle se présente sur tout le tra
faisceaux cérébel- leux, elle se présente sur tout le trajet de ces faisceaux . Seulement, à partir de la région supérieure de
orsale, il vient s'y ajouter une sclérose de la partie contiguë des faisceaux pyramidaux. Cetle sclérose surajoutée s'accentu
e postérieure des cordons latéraux. Cette zone répond à peu près au faisceau cérébel- leux et au faisceau pyramidal. Toute
aux. Cette zone répond à peu près au faisceau cérébel- leux et au faisceau pyramidal. Toutefois, la portion dégénérée n'ar
nulle part en contact avec les cornes postérieures, tandis que le faisceau cérébelleux et le faisceau pyramidal sont conti
c les cornes postérieures, tandis que le faisceau cérébelleux et le faisceau pyramidal sont continus à ces cornes. La part
ceau pyramidal sont continus à ces cornes. La partie sclérosée du faisceau pyramidal ne cor- respond pas au foyer que l'on
ÉS savantes. réticulaire; les autres demeurent réunies en de petits faisceaux que l'on peut suivre jusqu'au voisinage du noya
n : a, portion triangulaire fortement dégénérée, située en avant du faisceau cérébelleux (f. de Gowers ? ) b, faisceau pyramid
nérée, située en avant du faisceau cérébelleux (f. de Gowers ? ) b, faisceau pyramidal moyennement dégénéré ; c, faisceau cé
x (f. de Gowers ? ) b, faisceau pyramidal moyennement dégénéré ; c, faisceau cérébelleux direct ; d, cordon de de Burdach dé
c, cornes antérieures saines ; d, racines antérieures normales; e, faisceau de Burdach ; f, canal épendymaire ; g, faisceau p
ieures normales; e, faisceau de Burdach ; f, canal épendymaire ; g, faisceau pyramidal. Pl. I, fig. 3. - Région de la colonn
23 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
scendantes intéressent : '1) dans les cordons antero-lall1'aux, les faisceaux pyramidaux direct et croisé jusque dans les seg
sé jusque dans les segments lomho-sacrés, la zone prépyramidale, le faisceau antérolatéral descendant, et quelques fibres des
10 dans les cordons postérieurs, les zones moyennes et externes des faisceaux de Burdach et quelques fascicules profonds et cen
e du cordon antérieur. 3° dans le cordon anté1'o-laléral gauche, le faisceau fondamental ne 66 LONG contient que quelques
rtes), d'autre part, un déplacement des fibres occupant la zone des faisceaux cérébelleux. La raréfaction des fibres ascendan
érieur des cordons antéro-iatéraux ; celles qui occupent la zone du faisceau py- ramidal croisé se massent dans la profondeu
s la profondeur, près de la substance grise, celles qui occupent le faisceau fondamental vont la périphérie. Les faces ventr
lbe. Dans la moitié gauche de la moelle, les fibres éparses dans le faisceau fondamental disparaissent les unes après les au
res qui occupent la partie marginale des cordons latéraux (zone des faisceaux cérébelleux) se fait d'avant en arrière (fig. 7
mité de grains noirs qui occupe au niveau du segment C,, la zone du faisceau de Gowers (fig.7) atteint par un déplacement prog
0 (segment Ci) cette dégénérescence ascendante semble appartenir au faisceau cérébelleux x direct. Or le trajet ultérieur de
eur de ses fibres montre qu'elles sont destinées aussi à la voie du faisceau de Gowers. Pour expliquer cette particularité,
C3 Fio. 9. - Segm. C2 Fio. 10. - Segm. CI 68 LONG passage du faisceau pyramidal croisé qui, à ce niveau, s'étale jusqu'
n d'après la méthode de Flechsig démontrent aussi ce déplacement du faisceau cérébelleux direct dans la moelle cervicale sup
t, d'ailleurs inconstant, ne porte que sur une partie des fibres du faisceau cérébelleux direct, et sur un court trajet. Au co
observation, des- fibres qui occupent déjà en Ce et Ci, la zone du faisceau de Gowers, sont transférées dans la partie post
faisceau de Gowers, sont transférées dans la partie postérieure du faisceau céré- belleux direct, passant ainsi d'un faisce
ie postérieure du faisceau céré- belleux direct, passant ainsi d'un faisceau à l'autre. Cette évolution des fibres marginale
car l'arrivée de ces fibres au milieu des fascicules postérieurs du faisceau cérébelleux direct n'est pas masquée par la dég
7) arri- vent en contact avec elle (fig. 10) tandis que la zone du faisceau .de Go- wers reçoit l'appoint de nouvelles fibre
faisceau.de Go- wers reçoit l'appoint de nouvelles fibres venues du faisceau fondamental. - Connexions spino-b¡tlbai1'es.- L
ons (voir Dejerine et André-Thomas, p. 81 et suiv.). Les fibres des faisceaux de Goll se terminent les premières dans les noy
terminent les premières dans les noyaux correspondants; celles des faisceaux de Burdach, lésées au niveau du renflement cerv
l'arrivée des racines cervicales supérieures ne passent pas dans le faisceau de Goll, ; elles se terminent plus haut, dans l
rdons de Burdach et vont jusqu'à la substance grise placée entre le faisceau solitaire, le corps j axta-l'esti fonne, et le
décrite par Hoche, Goldstein, etc. b) Dégénérescence ascendante du faisceau pyramidal croisé. Parmi le gros paquet de fibre
be, il faut isoler un petit groupe qui occupe la zone pro- fonde du faisceau pyramidal croisé ; il arrive au bulbe en passant
protubérance (Seul Chorosko a suivi la dégénérescence ascendante du faisceau pyramidal jusqu'à la substance blanche sous-corti
o-hzelbaires par la voie des cordons latéraux. La masse commune aux faisceaux cérébelleux et au faisceau fondamental, arrivée
cordons latéraux. La masse commune aux faisceaux cérébelleux et au faisceau fondamental, arrivée au faisceau latéral du bul
ne aux faisceaux cérébelleux et au faisceau fondamental, arrivée au faisceau latéral du bulbe et au corps restiforme, au-dessu
de bas en haut (fig. 12, 13, 14, 15) on voit des fibres, parties du faisceau la- téral du bulbe,occuper la partie antérieure
la substance grise qui entoure le noyau du glosso-pharyngien et le faisceau solitaire. D'après ces au- teurs, il existerait
après ces au- teurs, il existerait même, encore plus en arrière, un faisceau spino-vesti- bulaire, distinct du plexus dorsal
débuter au pôle inférieur de l'olive bulbaire en continuité avec le faisceau fondamental du cordon antérieur de la moelle ;
ordons (1) Ces connexions avec l'olive bulbaire sont différentes du faisceau spino-olivaire, décrit par Dydinski, Bechterew,
faisceau spino-olivaire, décrit par Dydinski, Bechterew, Goldstein, faisceau qui remonterait le cordon anté- rieur de la moe
coupes. 74 LONG postérieurs. C'est donc bien dé la voie latérale ( faisceau latéral du bulbe et corps restiforme) qu'ils se
et corps restiforme) qu'ils se détachent. D'après nos coupes, le faisceau ou plexus dorsal aboutit à la substance grise,
ec notre collègue et ami Roussy). Fczisceauxspiao-cé·ébelle2sx.- Le faisceau cérébelleux direct sui la voie du corps restifo
du cervelet, ses, fibres atteignant la ligne médiane du vermis. Le faisceau de Gowers continue son trajet ascendant par le
vermis. Le faisceau de Gowers continue son trajet ascendant par le faisceau latéral du bulbe, puis dans la profondeur de la
oncule cérébelleux supérieur et le cervelet. Ce trajet terminal des faisceaux spino-cérébelleux répond à la descrip- tion cla
fait, la séparation imparfaite de ces deux systèmes de fibres ; du faisceau de Gowers se détachent de place en place des fi
ou- tes ces fibres, il n'est pas possible de distinguer où finit le faisceau cé- rébelleux direct et où commence le faisceau
tinguer où finit le faisceau cé- rébelleux direct et où commence le faisceau de Gowers. Dans le bulbe et la protubérance la
ulbe et la protubérance la confusion en une seule masse de ces deux faisceaux est évidente. Il en est de même plus bas ; nous
16) la zone limitée parle noyau du facial, l'olive supérieure et le faisceau central de la calotte. Il chemine parallèlement
e et le faisceau central de la calotte. Il chemine parallèlement au faisceau de Gowers (fig. 17), aboutit dans la protubéran
ED. LONG PL. XXI Fic. 20 - ? FlG. 21 1 Fw, 22 78 LONG Les faisceaux cérébelleux direct et de Gowers ne sont pas nette
ment des cordons pos- térieurs de la moelle. La masse commune aux faisceaux cérébelleux et au reste de la voie ascendante d
LA MOELLE CERVICALE 79 BLUMENAU. - Sur la terminaison supérieure du faisceau de Gowers (texte polonais). Anal, in Neurol. Ce
IAS. - Maladies de la moelle épinière, 2e édit., 1909 (anatomie des faisceaux de la moelle, p. 55-101). DI'DI\SKr. Ein l3eitr
ne postérieure. Cp, cordon postérieur. Crst, corps restiforme. Fcc, faisceau central de la calotte. FG, faisceau de Gowers.
r. Crst, corps restiforme. Fcc, faisceau central de la calotte. FG, faisceau de Gowers. Ftp, faisceau longitudinal postérieu
. Fcc, faisceau central de la calotte. FG, faisceau de Gowers. Ftp, faisceau longitudinal postérieur. Fil, faisceau latéral du
FG, faisceau de Gowers. Ftp, faisceau longitudinal postérieur. Fil, faisceau latéral du bulbe. - IX, IXd, glosso-pharyngien
ALADIE DE RCCKLINGE1AUSLN. - ABSENCE DE DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DES FAISCEAUX PYRA- MIDAUX. - Par \11. Am. COYON et A. BA
du cordon antéro-latéral, en particulier celles qui constituent les faisceaux pyramidaux direct et croisé ont un aspect norma
intensité, tandis que les fibres de la virgule de Schultze, 'et du faisceau de Hoche sont normales ou à peu près. La zone rét
t la méthode de Weigert, plus denses et beaucoup plus noirs que les faisceaux latéraux. On peut noter que les zones occupées
e au sein des fibres de volume et de disposition ordinaire de petit faisceaux de fibres fines, coupées transversale- ment, ma
u'à gauche jusqu'au niveau des derniers segments dorsaux ; quelques faisceaux d'un petit nombre de racines postérieures (droi
; le plus souvent cette altération ne se trouve que sur un seul des faisceaux qui constituent la racine. Les différentes ra
tercellulaires. La racine antérieure gauche est constituée par huit faisceaux . Six d'entre eux sont presque complètement occu
ieson, le contraste entre les parties normales et pathologiques des faisceaux radiculaires antérieurs est mis en valeur d'une
la structure. 4° TtJMEUtt. Au niveau de la tumeur les différents faisceaux radiculaires se fusionnent, en une masse unique
moitié gauche de la moelle portant sur la substance grise et sur le faisceau antérieur à partir du niveau de la compression
0, on le trouve un jour occupé à se piquer la peau des bras avec un faisceau d'épingles assemblées comme pour le tatouage, e
x exagérés offrent tous les caractères produits par l'altération du faisceau pyramidal ; ils sont instantanés et ils se limi-
es douleurs dans une région réduite, la contrac- ture de tel ou tel faisceau du muscle fléchisseur ou extenseur, la forme pa
, atrophie plus ou moins accusée suivant les muscles et suivant les faisceaux considérés, avec tendance à la transformation gra
du noyau rouge, on z ohsema, par contre, une atrophie liés nelte'du faisceau thalamique de Forel (Balh. ou Ih) et du champ c
s, au cours de nos recherches sur l'origine el le caractère réel du faisceau longitudinal inférieur. Parmi les cas de ramollis
s cas de ramollissement que nous avions utilisés pour l'élude de ce faisceau , il en élait un (Cas Roll. 5e ob- servalion[l]
t par le corps genouillé externe. Or, dans ce cas qui nous a (1) Le faisceau longitudinal inférieur et le faisceau optique cen
dans ce cas qui nous a (1) Le faisceau longitudinal inférieur et le faisceau optique central. Nouvelle Ico- nographie de la
es de tous les cas qui ont servi pour nos travaux antérieurs sur le faisceau longitudinal inférieur et la voie géniculo-calc
e avoir déterminé une légère dégénérescence du stratum zonale ou du faisceau thalamique dor- sal. Il existe également une ce
noïdal du noyau caudé ; ce territoire, qui appartient avant tout au faisceau temporo-tha- lamique d'Arnold, est en effet net
et aborde ensuite le champ p de Wernicke ainsi que la zone dite du faisceau temporo-thalamique d'Arnold. La décoloration in
tion globale du territoire appartenant au champ de Wer- nicke et au faisceau temporo-thalamique d'Arnold est devenue plus sail
rouge est parfaitement saine. La capsule dorsale du corps de Luys ( faisceau lenticulaire de Forel) par contre est notableme
ment qu'il existe une dégénérescence appréciable dans le domaine du faisceau temporo-lhalamique d'Arnold. Uu mince fascicule d
encore visible mais elle est moins accusée. La dégénérescence du faisceau temporo-thalamique d'Arnold se laisse tou- jour
le dorsale. La dégénéres- cence partielle du corps du trigone et du faisceau temporo-thalamique d'Arnold est encore visible.
considérable. Un petit foyer lacunaire occupe l'angle qui sépare le faisceau arqué du pied de la couronne rayonnante, et con
dégénérescence assez accentuée de la capsule dorsale ou supérieure ( faisceau lenticulaire de Forel) du corps de Luys. Ramoll
géné- rés. La dégénérescence temporale aborde on haut le domaine du faisceau tem7 poro-thalamique d'Arnold, ainsi que le seg
èrement intense et implique très nettement les fascicules arqués du faisceau de Dürch, lesquels se laissent facilement identif
pulvinar. En d'autres termes, elles entrent dans la constitution du faisceau temporo-thalamique d'Arnold, traversent le segm
ite la partie supérieure du champ de Wernicke. La dégénérescence du faisceau temporo thalamique d'Arnold ne fait jamais défaut
res corticales de la capsule interne, et aussi la dégénérescence du faisceau pyramidal dans les cas de parésie spasmodique, l'
dus à la même lésion que celle-ci, c'est-à-dire à une affection du faisceau pyramidal. De nos jours cependant, cette concep
les secousses choréifol mes sans qu'il y ait eu trace de lésion des faisceaux pyramidaux. Le grand nombre de cas où l'autopsi
noyaux rouges peut provoquer les mêmes symptômes que l'affection du faisceau rubro-cérébelleux lui-même. Après les observati
cérébelleux lui-même. Après les observations démontrant le rôle des faisceaux pyramidaux dans la genèse de la parésie spasmod
étruisait la zone motrice et provoquait ainsi une dégénérescence du faisceau pyramidal. Alors les excitations du noyau caudé
rmal. Par la réduction des traînées de substance grise séparant les faisceaux de la capsule interne, celle-ci a un aspect plus
idus, les fascicules sont très serrés. A sa base nous remarquons un faisceau volumineux en forme d'écharpe : l'ansa lenticul
lement traversée, prennent la direction médiale et se jettent dans un faisceau compact au-dessus du corps de Luys ; c'est le f
tent dans un faisceau compact au-dessus du corps de Luys ; c'est le faisceau lenticulaire de Forel. Peut-être est-il moins é
ibres à myéline est plus dense que d'ordinaire. La zone incerta, le faisceau thalamique et le faisceau de Vicq d'Azyr ont le
ense que d'ordinaire. La zone incerta, le faisceau thalamique et le faisceau de Vicq d'Azyr ont le même aspect que dans la c
teau de fibres à myéline autour de ce noyau se conti- nuant dans un faisceau volumineux, qui aboutit dans la base du noyau ext
u fibrillaire. La capsule interne est intacte ; nous remarquons les faisceaux fibrillaires entourant le. noyau externe de la
reste rien d'anormal n'est constaté : la capsule interne, dont les faisceaux entourent le noyau externe, le stratum zonale,
es lemnisci' latéraux, les pédoncules cérébelleux supérieurs et les faisceaux longitudi- naux postérieurs ont dans les coupes
ulaire sta- tique et de l'action dynamique. 296 VAN WOERKOM Les faisceaux pyramidaux sont intacts dès leur origine jusqu'à
ehors de toute lésion du cervelet (des pédoncules cérébelleux), des faisceaux pyramidaux et des rubans de Reil, une affection d
arésie des muscles antagonistes. Les muscles trapèzes présentent un faisceau supérieur acromio-claviculaire en apparence bie
eau supérieur acromio-claviculaire en apparence bien conservé ; les faisceaux moyen et inférieur sont par contre très atrophi
y a là par conséquent un contraste frappant entre les diffé- rents faisceaux de ces muscles trapèzes. Les muscles de la face
t d'éléments fusiformes, donc net- tement endothéliales, réunies en faisceaux qui s'entrecroisent dans tous les sens. Ces cel
est traversée par de nom- breux vaisseaux sanguins et par de petits faisceaux ou des trabécules plus larges de tissu conjonct
dégénérescence ascendante des cordons de Goll, moins prononcée aux faisceaux cérébelleux et de Gowers. Dans les cordons posté-
sé- minées. La dégénérescence descendante est bien marquée dans les faisceaux pyramidaux de la moelle lombaire ; elle est plu
vait s'appuyer sur le siège de la lésion qui comprend le segment du faisceau de Burdach gauche où se rendent après leur entre-
de la région blessée. Ce processus sclérogène se serait propagé au faisceau pyramidal gauche pour expliquer les troubles mo
suite et fin). Déjà depuis le mois de janvier 1.·Oâ, tandis que les faisceaux blancs se maintenaient intacts, de nouveaux sym
t on peul se représenter les lésions commeayantenvabi i d'abord les faisceaux blancs, puis, après les avoir libérés, s'être ens
tumeur a, ayant débuté du côté gauche, comprime de ce même côté le faisceau pyramidal croisé b et celui de Burdach c, réalisa
s suppléances, troupes de réserve formées pour venir au secours des faisceaux médullaires comprimés ou détruits, suppléances qu
dence la fréquence, dans les couches superficielles de l'écorce, de faisceaux de fibres névrogliques proliférées, et après lui,
ar Austregesilo, 405. Dégént'mtion. sccondaÎ1'e (Absence de - des faisceaux pyramidaux dans un cas de paralysie type Babins
aladie de Recklinghausen" Absence de dégénét-ation secondaire des faisceaux pyramidaux, par Coyon et Barré, 81. - Pellagr
maladie de Recklinghausen. Absence de dégénération secondaire des faisceaux pyramidaux, 81. HASh'ovEC (Lad.) (de Prague).
24 (1911) La pratique neurologique
; M, oeil trop long (myope); 11, oeil trop court (hypermétrope). Un faisceau lumineux parallèle F venu d'un point lumineux l
ccommoder d'une certaine quantité proportionnelle il la divergence du faisceau itici- dent. En C, le point lumineux 0' est enc
itici- dent. En C, le point lumineux 0' est encore plus proche, le faisceau qui en part plus divergent. Pour que l'image de
c, schémas montrant l'action réfringente différente exercée sur un faisceau parallèle par les cristallins C, Cs C5 il diver
herche du réflexe pupillaire à- l'aidé de la lentille convergente. Le faisceau lumineux divergent f1 qui vient de la lampe A e
t de la lampe A est recueilli par la lentille B et transformé en un faisceau convergent f2 très lumineux qu'on envoie dans l'o
Lampe et,l'oeil de l'observé, on fait arriver sur l'un des yeux un faisceau lumineux. Aussitôt la pupille se contracte. Mêm
fficile; il est indispensable, en effet, de projeter dans l'oeil un faisceau lumineux étroit qui ne puisse diffuser sur la p
n opaque percé d'un orifice étroit au travers duquel passe un petit faisceau lumineux peu intense. Les rayons de ce faisceau
quel passe un petit faisceau lumineux peu intense. Les rayons de ce faisceau lumineux sont recueillis et con- centrés par un
e électrique et des lentilles disposées de telle façon que le petit faisceau lumineux sortant vient converger il 4 centimètres
misphère droit et se termine dans le lobe occipital droit. C'est le faisceau direct. L'autre portion vient de la rétine nasa
hémisphère gauche et aboutit à l'écorce occipitale gauche. C'est le faisceau croisé. ~ Même trajet pour les fibres du nerf o
OULARD] ] ? r TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. - des deux faisceaux venant des rétines nasales (fig. 40, 1), il. y au
lle est pourvue d'une double vascularisation (1<'orstér). ' Le faisceau maculaire compact, hien systématisé de l'oeil au
lé externe, il y aurait diffusion des sensations transmises par les faisceaux systématisés des voies optiques extra-cérébrales.
re certaines actions morbides attaquent-elles avec prédilection les faisceaux temporal ou nasal du nerf optique. Cela n'aurait
uemment des intoxications (alcool, tabac) agir exclusivement sur le faisceau maculaire. C'est, dans cette variété topographi
ion protubérantielle touche le M. 0. E. et le facial croisés, les faisceaux nerveux des membres non croisés. La connaissa
La, lésion L, (pédonculaire) coupe le M. 0. C. entrecroisé et le faisceau moteur de la face et des membres non entre-croi
tubérantielle) coupe le Il. 0. E. et le facial entre-croisés, et le faisceau moteur des membres non entre-croisé (syndrome
ctions (alcoolisme, etc.), agir d'une manière élective sur certains faisceaux (f. maculaire) du nerf optique; la diphtérie n'at
cipation des fibres centripètes (J. Roux). Dans le centre ovale, le faisceau antérieur chemine au voisinage des fibres du fa
le faisceau antérieur chemine au voisinage des fibres du facial; le faisceau postérieur est intimement mêlé aux radia- tions
ent mêlé aux radia- tions optiques. , Dans la capsule interne, le faisceau antérieur chemine à la partie pos- térieure du
ures des postérieures. Ces fibres ne semblent pas comprises dans le faisceau de l'étage inférieur du pédoncule; elles occupent
optiques; d) lésions du pédoncule cérébral dans l'étage supérieur ( faisceau de la calotte), au voisinage de la couche optiq
res auditives condensées au niveau de l'olive supérieure forment le faisceau acoustique qui occupe la partie latérale du ruban
umogastrique (an- goisse, ralentissement du pouls, etc.), celle des faisceaux blancs pri- mordiaux (hémiparésie, 1)émianesthé
olongement central; que ces prolongements centraux se réunissent en faisceaux qui traversent la lame criblée de l'ethmoïde. C
est plus probable que celle-ci aboutit aux tractus de Lancisi et-au faisceau olfactif de la voûte à trois piliers .(Zucl : e
). ce qui impliquerait la certi- tude d'une altération organique du faisceau pyramidal. Signalons encore que des renseigneme
les capsules externe et interne, le noyau lenticulaire, les grands faisceaux d'association inll'1-11('111161)li('l'Ifllll ? le
econd. En dedans de la zone de Wernicke. tout foyer intéressant les faisceaux d'association du cerveau déterminera l'alexie.
de l'écorce cérébrale. On n'admet plus aujourd'hui l'existence d'un faisceau sen- sitif distinct dans la partie postérieure
nent l'écorce du cervelet par deux, voies : a) voie directe, par le faisceau cérébelleux direct ou ascendant, dont les fibre
et par le pédoncule cérébelleux inférieur ; b) voie croisée, par le faisceau de Gowers, qui serait essen- tellement formé pa
ssand font passer les impressions douloureuses et thermiques par le faisceau de Gowers : niais les expériences (sur le singe)
roubles de la sensibilité dans les af1('('- tions cérébelleuses (le faisceau de Gowers s'étendant de la moelle au ver- mis c
fait passer la sensibilité cutanée par la substance grise et par un faisceau accessoire qu'il appelle le faisceau sensitif cro
r la substance grise et par un faisceau accessoire qu'il appelle le faisceau sensitif croisé. Celui-ci occupe le cordon anté
s musculaire sont intacts de ce côté, on a voulu localiser dans des faisceaux distincts du bulbe la transmission des sensibil
ueue de cheval. On donne le nom de queue de cheval à l'ensemble des faisceaux radiculaires qui se trouvent au-des- sous de la
00 des cas (Ganaull) et cela tient non seulement à l'existence d'un faisceau pyramidal honiolaléral, mais encore à l'existen
trépidation spinale pour révéler dans la paraplégie l'altération du faisceau pyramidal. 4" Dans la paraplégie cérébrale infa
ans la sciatique, etc.. en un mot, dans aucune des affections où le faisceau pyramidal est intact. Le signe de Babinski a ét
ont constitués par du tissu conjonctif fibrillaire et ils logent un faisceau nerveux qui vient se perdre il l'intérieur en s
du réflexe abdominal et du réflexe crémastérien signifie lésion du faisceau pyramidal, et par conséquent a la même valeur q
aisait en extension, cela indiquait l'existence d'une altération du faisceau pyra- midal ; la réciproque ne semble pas être
rarement il est vrai, de grandes hémiplégies avec lésion étendue du faisceau pyramidal ne pas donner lieu au réflexe plantaire
ntendu, que la portion de la capsule interne dans laquelle passe le faisceau pyramidal soit intéressée. Jusque dans ces dern
es détruites, de telle, sorte qu'au niveau de la capsule interne le faisceau pyramidal constitue un organe de conduction en ni
de même que dans la capsule interne, par la lésion du segment où le faisceau pyramidal se trouve collecté, et il ce point de
bulbe, présente des caractères particuliers, c'est que la lésion du faisceau pyramidal à ce niveau s'accompagne de la lésion
lésion du pédoncule, de la protubérance ou du bulbe portant sur le faisceau pyramidal, et déterminant par conséquent une hémi
normalement en extension; cela tient au développement incomplet du faisceau pyramidal ; depuis l'ege de ou 6 mois jusqu'à l
ffection systématisée des centres nerveux : cela tient à ce que le' faisceau pyramidal a subi chez ces enfants un retard de dé
dant, d'autres auteurs font jouer un rôle très grand à la lésion du faisceau pyramidal, d'autres admettent la valeur des lés
alysies dépendant de l'irritation, de la sclérose, de l'agénésie du faisceau pyra- midal, les paralysies consécutives aux se
a sclérose latérale amyotrophique est une affection systématisée du faisceau pyramidal. Elle présente dans son évolution deux
ineux sans signe de Babinsky en général. (Lhermitte.) L'atteinte du faisceau pyra- midal se traduit par la paraplégie motric
inférieure, de l'épine de l'omo- plate dans toute son étendue. Les faisceaux antérieurs ou claviculaires se portent obliquem
aisceauxpos- térieurs ou spinaux en bas, en dehors et en avant; les faisceaux moyens ou acromiaux verticalement en bas. Tous
onflexe, branche terminale du plexus bra- chial. Physiologie. Les faisceaux antérieurs du muscle portent l'humérus en avant
portent l'humérus en avant et en dedans jusqu'il l'horizontale, les faisceaux postérieurs por- tent l'humérus en arrière, mai
e du bras qui forme un angle de 4J degrés avec l'horizon. Quant aux faisceaux moyens, ils élèvent le bras directement en deho
ehors il une hauteur intermé- diaire entre celle déterminée par les faisceaux antérieurs et celle déter- minée par les faisce
terminée par les faisceaux antérieurs et celle déter- minée par les faisceaux postérieurs. Quand tous les faisceaux du muscle
et celle déter- minée par les faisceaux postérieurs. Quand tous les faisceaux du muscle se contractent, il en résulte une abd
exus brachial : 1° le nerf supérieur du sous-scapulaire innerve les faisceaux supérieurs du muscle ; 2° le nerf inférieur du
urs du muscle ; 2° le nerf inférieur du sous-scapulaire innerve les faisceaux moyens et inférieurs. Physiologie. - Le sous-
Rond pronateur. Insertions. Le rond pronateur nait en haut par deux faisceaux : le faisceau epitrochteen s'insère sur la face
Insertions. Le rond pronateur nait en haut par deux faisceaux : le faisceau epitrochteen s'insère sur la face antérieure de
ur la cloison intermusculaire qui le sépare du grand pal- maire; le faisceau coronoïdien s'insère sur le bord interne de l'apo
en arrière. En bas. le tendon du petit t palmaire se divise en deux faisceaux : le faisceau interne plus volumi- neux se fixe
bas. le tendon du petit t palmaire se divise en deux faisceaux : le faisceau interne plus volumi- neux se fixe à la face ant
ligament annulaire en se confondant avec 1 aponévrose palmaire, le faisceau externe se confond avec l'origine des muscles d
l'origine des muscles de t'eminence thénar, principalement avec les faisceaux les plus élevés de l'abducteur du pouce. Inne
ère [G. GUILLAIN.] M8 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE.' en haut par deux faisceaux distincts : le faisceau epitrochleeu naît de t
PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE.' en haut par deux faisceaux distincts : le faisceau epitrochleeu naît de t epitrochtee et des clois
séparent du petit palmaire et du fléchisseur commun superficiel; le faisceau olécranien s'insère sur le bord interne de l'ol
les deux tiers internes du ligament interosseux, enfin par quelques faisceaux sur la face antérieure du radius en dedans et a
sseux, donne des rameaux à sa moitié externe, c'est-à-dire aux deux faisceaux destinés à l'index et au médius. Le cubital inner
médius. Le cubital innerve la moitié interne, c'est-à-dire les deux faisceaux qui se rendent à 1' : lIlIIU- laire et au petit
. Il reçoit en outre dans la moitié des cas sur son bord interne un faisceau de renforcement (faisceau accessoire de Gantzer)
la moitié des cas sur son bord interne un faisceau de renforcement ( faisceau accessoire de Gantzer) ; ce faisceau, variable,
e un faisceau de renforcement (faisceau accessoire de Gantzer) ; ce faisceau , variable, dans son volume, provient soit de l'ap
le ligament latéral externe de l'articulation du coude; parfois des faisceaux additionnels proviennent de l'épicondyle. Le musc
ième radial externe en dehors. En bas, le muscle se divise en trois faisceaux : un faisceau externe pour l'index, un faisceau
erne en dehors. En bas, le muscle se divise en trois faisceaux : un faisceau externe pour l'index, un faisceau moyen pour le m
se divise en trois faisceaux : un faisceau externe pour l'index, un faisceau moyen pour le médius, un faisceau interne pour
faisceau externe pour l'index, un faisceau moyen pour le médius, un faisceau interne pour l'annulaire et le petit doigt. Chacu
r le trapézoïde et le grand os. En bas, le muscle se divise en deux faisceaux : l'un, externe, s'insère sur le côté externe d
interne, s'insère sur le côté interne de cette phalange ; ces deux faisceaux prennent aussi insertion, avant d'atteindre la
toute son étendue. L'adducteur du pouce s'insère en dedans par des faisceaux carpiens et des faisceaux métacarpiens. Les fai
cteur du pouce s'insère en dedans par des faisceaux carpiens et des faisceaux métacarpiens. Les faisceaux carpiens prennent ins
edans par des faisceaux carpiens et des faisceaux métacarpiens. Les faisceaux carpiens prennent insertion sur la face antérie
ngée du carpe, principalement sur le trapézoïde et le grand os, les faisceaux métacarpiens sur la base, le bord antérieur et
ial. Le court fléchisseur reçoit son innervation du médian pour son faisceau externe, et de la branche profonde du cubital p
son faisceau externe, et de la branche profonde du cubital pour son faisceau interne. L'opposant est innervé par le médian,
nche pro- fonde du cubital. Physiologie. Le court abducteur et le faisceau externe du court fléchisseur du pouce amènent l
e en tant qu'opposant que les deux autres muscles (l'opposant et le faisceau externe du court flé- chisseur) qui ont aussi c
. Muscle de l'éminence hypothénar. Palmaire cutané. Insertions. Les faisceaux du palmaire cutané s'insèrent, d'une part sur l
uvements de latéralité des doigts peuvent encore s'exécuter par les faisceaux des extenseurs commun et propre des doigts qui
x, sur la face posté- rieure du grand ligament sacro-sciatique. Les faisceaux du muscle se dirigent en bas et en dehors et s'
ligne rugueuse qui s'étend du grand trochanter à la ligne âpre; les faisceaux les plus inférieurs du muscle s'insèrent non su
. Nerf fessier supérieur, branche du plexus sacré. Physiologie. Les faisceaux antérieurs du moyen fessier sont obliques en ba
la cuisse, sa rotation en dedans et un léger degré de flexion. Les faisceaux postérieurs du muscle sont obliques en bas et e
assin s'insère sur la face antérieure du sacrum par trois ou quatre faisceaux prenant naissance entre les trous sacrés dans l
ligne innommée entre le trou obtura- teur et l'épine sciatique. Les faisceaux du muscle se portent vers la petite échancrure
hion, principalement il sa face antérieure, mais aussi par quelques faisceaux à sa face postérieure. En dehors, le tendon du
face antérieure de la tubérosité externe du tibia. Quelques-uns des faisceaux terminaux du tenseur du fascia lata s'insèrent
liga- ment rotulien à la tubérosité antérieure du tibia ; quelques faisceaux du tendon du quadriceps s'insèrent directement
crural ou tenseur de la synoviale du genou est formé par un ou deux faisceaux qui naissent de la face antérieure du fémur dan
isolée du vaste externe, tend à déplacer la rotule en dehors. Le faisceau sous-crural attire en haut le cul-de-sac supérieu
elle droit interne; en bas, il se fixe au corps du fémur par deux. faisceaux : un faisceau inférieur qui se porte sur la par
erne; en bas, il se fixe au corps du fémur par deux. faisceaux : un faisceau inférieur qui se porte sur la partie la plus élev
sur la partie la plus élevée de l'inter- stice de la ligne âpre, un faisceau supérieur qui se rend il la branche de bifurcat
t sur les deux tiers inférieurs de la branche ischio-piibienne, ses faisceaux s'étalent en un vaste triangle, ils viennent s'
xterne de l'ischion. En bas le ten- don terminal se divise en trois faisceaux : le faisceau descendant se fixe il la partie p
hion. En bas le ten- don terminal se divise en trois faisceaux : le faisceau descendant se fixe il la partie postérieure de
fixe il la partie postérieure de la tubérosité interne du tibia; le faisceau récurrent s'insère en partie sur la coque fibre
le fémur lui-même dans l'espace compris entre les deux condyles; le faisceau antérieur ou horizontal contourne, d'arrière en
ligament interosseux; il reçoit dans le voisinage du tarse un petit faisceau né sur la face, interne du tibia. En bas il s'i
s. Le court fléchisseur du gros orteil s'insère en arrière par deux faisceaux tendineux, l'un sur la face inférieure du cuboï
ôté externe de la première phalange du gros orteil. Innervation. Le faisceau interne du court fléchisseur est innervé par un
ameau du nerf plantaire interne (homologue du médian à la main), le faisceau externe est innervé soit par un rameau du plantai
homologue de l'adducteur du pouce à la main est constitué par deux faisceaux distincts 2l leur origine. Le faisceau obli- qu
main est constitué par deux faisceaux distincts 2l leur origine. Le faisceau obli- que (abducteur oblique) s'insère sur la f
4" métatarsiens, sur la gaine fibreuse du long péronier latéral; le faisceau transverse (abducteur transverse), situé à la p
es trois ou quatre derniers - orteils. Au niveau du gros orteil, le faisceau oblique se porte sur le sésa- moïde externe et
aire se fixe au côté externe de la base de la première phalange; le faisceau transverse se partage en deux grou- pes de libr
mouvement d'abduction est princi- p : llell\('l1l déterminé par le faisceau transverse : ce faisceau transverse est aussi,
t princi- p : llell\('l1l déterminé par le faisceau transverse : ce faisceau transverse est aussi, suivant Duchenne. un véri
ons. L'accessoire du long fléchisseur se compose en arrière de deux faisceaux : le faisceau interne s'insère à la face interne
re du long fléchisseur se compose en arrière de deux faisceaux : le faisceau interne s'insère à la face interne du calcanéum
ce interne du calcanéum près de la tubérosité interne de cet os, le faisceau externe s'insère sur la face inférieure du calc
erne et parfois aussi sur le ligament calcanéo-cuboïdien ; ces deux faisceaux se fusionnent et viennent se fixer soit sur le
un, soit sur ses branches de bifurcation. La plus grande partie des faisceaux MUSCLES DU 1E}IBHE INFÉRIEUR. 555 de l'access
n. Le muscle reçoit un rameau nerveux du plantaire externe pour son faisceau externe, un rameau nerveux du plantaire interne
n faisceau externe, un rameau nerveux du plantaire interne pour son faisceau interne. Physiologie. L'accessoire du long fléc
sterno- cteïdo-mastojdicn prend son origine sur le thorax par deux faisceaux distincts : le chef sternal se détache de la fa
vexité de laquelle naissent de nom- hreux filets se distribuant aux faisceaux du muscle. Parfois le ste1'l1O- mastoïdiell reç
nsverses des sept vertèbres cervicales, en bas il se divise en deux faisceaux : le faisceau antérieur vient s'insérer sur la
pt vertèbres cervicales, en bas il se divise en deux faisceaux : le faisceau antérieur vient s'insérer sur la face supérieur
r sur la face supérieure et le bord externe de la première côte, le faisceau posté- rieur sur le bord supérieur et la face e
avicule et sur le ligament sterno-claviculaire postérieur, quelques faisceaux prennent insertion sur le sternum et le premier
trou occipital, si ! porte en bas et en dehors, se divise en quatre faisceaux qui se fixent sur les tubercules antérieurs des
rtèbres cervicales. La portion longitudinale est constituée par des faisceaux il direction verticale qui s'insèrent sur le co
ue sur la portion osseuse de la sixième ou de la septième. Tous les faisceaux constitutifs du muscle convergent vers la lèvre
ntérieur. Physiologie. Il y lieu d'envisager l'action distincte des faisceaux supérieurs et inférieurs du muscle. La partie s
ntré expérimentalement que le muscle n'élevait pas les cèles. Les faisceaux antérieurs du deltoïde peuvent, dans une certaine
rne de l'angle inférieur de l'omoplate et vient s'insé- rer par des faisceaux distincts aux j", (te, 7", ses ne et 10" côtes; l
tincts aux j", (te, 7", ses ne et 10" côtes; les plus élevés de ces faisceaux ont une direction transversale, les autres sont
èvre externe du bord supé- rieur de la côte qui est au-dessous. Les faisceaux du muscle sont dirigés en bas et en avant. Le
lèvre interne du bord supérieur de la côte, qui est au-dessous. Les faisceaux du muscle sont dirigés en bas et en arrière.
région séparant la tubérosité de l'angle. On voit parfois quelques faisceaux des surcostaux franchir une côte, et s'insérer
érieure de la sixième côte est transversale et se continue avec les faisceaux supérieurs du transverse de l'abdomen, les digi
Nerfs intercostaux. Physiologie. Le triangulaire du sternum par ses faisceaux obli- ques peut abaisser les côtes, mais son ac
BDOMEN. à6,) V. MUSCLES DE L'ABDOMEN Diaphragme. -Insertions. Les faisceaux charnus du diaphragme se détachent du centre ph
e se détachent du centre phrénique qui a la forme d'un trèfle-. Les faisceaux antérieurs ou sternaux naissent de la foliole m
languettes qui s'insèrent sur la base de l'appendice y-phoïcle. Les faisceaux latéraux ou costaux naissent sur les côtés de la
r la face interne et le bord supérieur des six dernières côtes. Les faisceaux postérieurs ou lombaires se détachent de la parti
de la colonne vertébrale les fibres du diaphragme forment deux gros faisceaux , les piliers du diaphragme. Le pilier droit s'ins
ui descend un peu moins bas que lui. Les deux piliers s'envoient un faisceau anastonoticlue; ces faisceaux s'entre-croisent
ue lui. Les deux piliers s'envoient un faisceau anastonoticlue; ces faisceaux s'entre-croisent et séparent ainsi deux orifi-
pris entre l'épine et l'angle. En haut le muscle se divise en trois faisceaux : le faisceau externe s'insère sur le bord infé
ine et l'angle. En haut le muscle se divise en trois faisceaux : le faisceau externe s'insère sur le bord inférieur du cartila
sur le bord inférieur du cartilage costal de la cinquième côte, le faisceau moyen sur le bord inférieur du cartilage de la
eau moyen sur le bord inférieur du cartilage de la sixième côte, le faisceau interne sur le bord inférieur du cartilage de l
côtes par autant de digitations. 11 forme un grand éven- tail, ses faisceaux supérieurs ou antérieurs sont à peu près horizont
faisceaux supérieurs ou antérieurs sont à peu près horizontaux, ses faisceaux moyens obliques, ses faisceaux inférieurs ou post
urs sont à peu près horizontaux, ses faisceaux moyens obliques, ses faisceaux inférieurs ou postérieurs verticaux. En bas les
'insèrent sur la lèvre externe de la crête iliaque. Tous les autres faisceaux du muscle, c'est-à-dire ceux qui viennent des 6
dernière vertèbre lom- baire et de la première vertèbre sacrée. Les faisceaux du petit oblique divergent ci s'étalent en un v
x du petit oblique divergent ci s'étalent en un vaste éventail. Les faisceaux les plus posté- [G. GUILLAIN.] ? (;8 PHYSIOLO
r et le sommet des trois ou quatre derniers cartilages costaux. Les faisceaux les plus antérieurs se dirigent en bas et en deda
en dedans et se terminent, en se fusionnant plus ou moins avec les faisceaux du transycrse pour former le tendon conjoint, s
pubis, sur l'épine pubienne et jusque sur la crête pectinéale. Les faisceaux moyens du petit oblique, ceux qui sont compris
faisceaux moyens du petit oblique, ceux qui sont compris entre les faisceaux à insertion costale et ceux à insertion pubienn
la symphyse jusqu'à la crête pectinéale, elle se fusionne avec les faisceaux pubiens de l'apnnn- vrosc du petit oblique form
psule articulaire de l'articulation coxo-fémorale. Presque tous les faisceaux de ce muscle se terminent sur la face externe du
as qui s'insère à la face postérieure du petit trochanter. Quelques faisceaux formant le petit muscle iliaque vont directement
tèbres dorsales et sur les ligaments surépineux correspondants. Les faisceaux supérieurs du muscle oblique en bas et en dehor
nsérer sur le tiers externe du bord postérieur de la clavicule. Les faisceaux moyens, qui sont plus ou moins transversaux, s'
d postérieur de l'épine de l'omo- plate dans toute son étendue. Les faisceaux inférieurs obliques en haut et en dehors s'insè
trapèze peut prendre son point d'insertion lixe sur l'omoplate. Les faisceaux supérieurs ctavicutairesinctinen) ta tète de leur
EURE DU TRONC ET DU COU. 571 est portée directement en arrière. Les faisceaux moyens inclinent la colonne cervicale de leur c
s faisceaux moyens inclinent la colonne cervicale de leur côté. Les faisceaux inférieurs peuvent, dans certaines conditions,
la septième cervicale et des quatre ou cinq premières dorsales. Les faisceaux du muscle se dirigent en bas et en dehors et vien
le. En outre il reçoit un filet nerveux du plexus cervical pour ses faisceaux supé- rieurs. Physiologie. Le rhomboïde porte
astoïdien ; la portion externe ou splénius du cou s'insère par deux faisceaux distincts sur le sommet des apophyses trans- ve
e et de la première dorsale. Dans diflérents points d'insertion les faisceaux constitutifs du muscle se portent en haut [G. G
e la région dorsale ; de sa face antérieure naissent la plupart des faisceaux charnus des muscles des gouttières. L'ilio-cost
l'ilio-costal laisse échapper le long de son bord externe dix- sept faisceaux qui obliquent légèrement en dehors et viennent se
x côtes, celles-ci lui envoient, au niveau de son bord interne, des faisceaux de renforcement qui l'empêchent de s'épuiser.
pt groupes vertébro-costaux, le muscle fournit à chacun d'eux trois faisceaux : un faisceau interne se portant en dedans et s
ébro-costaux, le muscle fournit à chacun d'eux trois faisceaux : un faisceau interne se portant en dedans et se terminant su
t en dedans et se terminant sur l'apophyse épineuse correspondante, faisceau épi- neux; un faisceau moyen oblique en dehors
nant sur l'apophyse épineuse correspondante, faisceau épi- neux; un faisceau moyen oblique en dehors se fixant sur le sommet d
oblique en dehors se fixant sur le sommet de l'apophyse transverse, faisceau transversaire ; un faisceau externe se portant
sur le sommet de l'apophyse transverse, faisceau transversaire ; un faisceau externe se portant plus en dehors et s'insérant
ant sur la face externe de la côte, entre l'angle et la tubérosité, faisceau costal. A la région lombaire les inser- tions d
région lombaire les inser- tions du long dorsal se modifient : les faisceaux épineux font défaut; les faisceaux transversair
u long dorsal se modifient : les faisceaux épineux font défaut; les faisceaux transversaires se fixent au tubercule apophysaire
aire, homologue de l'apophyse transverse de la région dorsale : les faisceaux costaux s'insèrent au sommet de l'apophyse cosl
eau à la région cervicale. Le muscle est constitué par une série de faisceaux qui présentent ce caractère commun de s'étendre
lune apo- physe épineuse. On distingue trois groupes différents de faisceaux : les demi-épineux, le multifide du raclas, les
autre pour la région cervicale. Le demi-épineux du dos comprend six faisceaux prenant naissance sur le sommet et le bord supé
s cervicales. Le demi-épineux de la nuque se compose de cinq ou six faisceaux qui s'insèrent sur le sommet et le bord supérieur
ervicales. Le 11111ltifide du rachis est constitué par une série de faisceaux qui prennent naissance à la région sacrée dans
yses articu- laires des quatre dernières cervicales. Ces différents faisceaux se portent en haut et en dedans et viennent se
rsale, il n'en décrit que onze. Hughes a signalé l'existence de ces faisceaux musculaires sur toute la hauteur de la colonne
ne présentant pas de mouvements de. rotation, il en résulte que ces faisceaux musculaires ne sont véritable- ment rotateurs q
t de rota- tion variant suivant les muscles qui se contractent. Les faisceaux costaux et transversales du long dorsal, obliqu
l, obliques en haut et en dehors, portent la face de leur côte; les faisceaux du transversaire épineux, obliques en liant et
re postérieure. Les intertransversaires du clos sont formes par des faisceaux étendus du sommet d'une apophyse transverse au
du dos et l'épineux de la nuque. L'épineux du dos est formé par les faisceaux internes ou épineux du long dorsal, il se termine
s ou épineux du long dorsal, il se termine en haut par une série de faisceaux sur le sommet des apophyses épineuses des huit
nsère en MUSCLES PEAUCIERS DU COU ET DE LA TÈTE. 579 bas par deux faisceaux sur le sommet des apophyses épineuses des deux
tissu cellulaire des régions sous-claviculaire et acro- miale. Les faisceaux pâles et plus ou moins écartés les uns des autres
le bord inférieur du maxillaire où ils se terminent ainsi : I" les faisceaux internes s'entre-croisent le plus souvent sur la
cher à la face profonde de la peau de la région mentonnière; 2° les faisceaux moyens s'insèrent sur le tiers interne de la lign
igne oblique du maxillaire en s'entre-croisant à ce niveau avec les faisceaux d'origine du triangulaire des lèvres : 5° les f
au avec les faisceaux d'origine du triangulaire des lèvres : 5° les faisceaux externes se confondent en grande, partie avec l
érieure et sur la partie correspondante de l'apophyse mastoïde. Les faisceaux se portent en haut et en avant et viennent se ter
ter- miner sur le bord postérieur de l'aponévrose epicranienne, les faisceaux les plus externes se dirigent vers le pavillon
nienne par un bord convexe, il se porte en avant vers l'orbite. Les faisceaux internes ou médians vont vers la région intersonr
itière et ta semblent se confondre avec les muscles pyramidaux, les faisceaux moyens et externes descendent vers le rebord su
qui occupent celte région, l'orbiculaire et le sourcilier. Tons les faisceaux du frontal s'attachent à la face pEpfonde de la
bord inférieur et le bord interne des os propres du liez. De la ses faisceaux se portent verticalement en haut vers la région
nt en haut vers la région intcrsonrciliere où aboutissent aussi les faisceaux internes du frontal. Les deux muscles se pénètren
Muscle de Horner. Borner a décrit connue muscle distinct un petit faisceau quadrilatéral situé en arrière du sac lacrymal ;
. En atteignant le trou sous-orbitaire, il se divise en de nombreux faisceaux qui s'entre-croisent avec les libres de l'orbic
, en arrière vers le sillon de l'aile du nez, la il se divise : ses faisceaux antérieurs se fixent à la face profonde des tég
rieurs se fixent à la face profonde des téguments de la région, ses faisceaux postérieurs se continuent avec les faisceaux ex
ents de la région, ses faisceaux postérieurs se continuent avec les faisceaux externes du myrtiforme. Innervation. Nerf facia
libres externes contournent ce cartilage et se continuent avec les faisceaux postérieurs du transverse. , Innervation. Nerf
nférieure de la face externe de l'os uiatairc un peu au-dessous des faisceaux de l'orbiculaire des paupières, il se dirige en
en bas et se divise en atteignant la hase du nez en deux ordres de faisceaux : des faisceaux internes s'iuserant à la peau de
vise en atteignant la hase du nez en deux ordres de faisceaux : des faisceaux internes s'iuserant à la peau de la partie post
s'iuserant à la peau de la partie postérieure de l'aile du nez, des faisceaux externes obliquant un peu en dehors et s'inséra
vres au même point que le canin, d'autre part, à l'aide d'un double faisceau irradié à la peau de la lèvre supérieure jusqu'
ïde à l'extrémité postérieure du bord alvéolaire du maxillaire. Les faisceaux du buccina- teur convergent vers la commissure
des lèvres, ils semblent là se con- fondre et se continuer avec les faisceaux de l'orbiculaire des lèvres, cette continuité n
ans la lèvre inférieure, c'est le demi-orbiculaire inférieur. Les faisceaux du demi-orbiculaire supérieur naissent à droite e
demi-orbiculaire inférieur et avec les fibres du buccinateur. Deux faisceaux accessoires se réunissent à cette portion princ
cle et ont les mêmes insertions terminales, ces fais- ceaux sont le faisceau naso-Iabial qui se détache de la sous-cloison des
o-Iabial qui se détache de la sous-cloison des fosses nasales et le faisceau incisif supérieur qui prend son orifice il la p
d son orifice il la partie interne de la fossette myrliforme. Les faisceaux du demi-orbiculaire inférieur naissent à droite e
qui le recouvre mais dans ses deux' tiers seu- lement, par quelques faisceaux sur la partie moyenne de la face interne de l'a
es. , . Masséter. Insertions. Le masséter est constitué, par deux faisceaux , l'un superficiel, l'autre profond. Le faisceau s
onstitué, par deux faisceaux, l'un superficiel, l'autre profond. Le faisceau superficiel s'insère en haut sur le bord inféri
la partie inférieure de la face externe de .sa branche montante. Le faisceau profond s'insère sur le bord inférieur et sur l
e externe de la branche du maxillaire depuis la zone d'insertion du faisceau superficiel jusqu'à la base de l'apophyse coron
rtions. - Le ptérygoïdien externe naît il la base du crâne par deux faisceaux , l'un supérieur, l'autre infé- rieur. Le faisce
u crâne par deux faisceaux, l'un supérieur, l'autre infé- rieur. Le faisceau supérieur ou sphénoïdal s'insère sur la partie de
dc aile du sphénoïde qui forme la voûte de la fosse zygomatique, le faisceau inférieur ou ptérygoïdien s'insère sur la face ex
r la partie externe de l'apophyse pyrami- dale du palatin. Les deux faisceaux se fusionnent et viennent se fixer sur le côté
eau du cortex. Depuis quelques années l'aire corticale d'origine du faisceau pyra- midal a été modifiée. Grunbaum et Sherrin
nvolutions, étude de la chroma- tolyse de réaction après section du faisceau pyramidal), sont arrivés à des conclusions iden
otrophique avec la méthode deMarchi, ont suivi la dégé- nération du faisceau pyramidal jusqu'au niveau du cortex; de leurs r
es et expérimentales, il me semble résulter que l'aire corticale du faisceau pyramidal est principalement prérolandique. L
le donne lieu au syndrome de Brown-Séquard. Une lésion localisée au faisceau pyramidal du cordon latéral se traduit par une
des mouvements élémentaires, si l'on parvient à séparer les divers faisceaux qui constituent leur racine. Par exemple, après
eaux qui constituent leur racine. Par exemple, après séparation des faisceaux de la 7c cervicale, l'excita- tion de chaque fa
paration des faisceaux de la 7c cervicale, l'excita- tion de chaque faisceau produit un mouvement différent : l'excitation d
un troisième la flexion du poignet, d'un quatrième l'extension. Ces faisceaux ainsi constitués sont simplement juxtaposés et
malade peut encore élever légèrement le moignon de l'épaule par le faisceau supé- rieur du muscle trapèze innervé par le ne
d'une névrite infectieuse, aussi l'on s'explique que les différents faisceaux du nerf soient inégalement atteints et parlant
difficulté pour hausser les épaules. Duchenne a noté que parfois le faisceau claviculaire du trapèze était paralysé dans rac
sseux, les deux derniers lombricaux, l'adducteur du pouce, les deux faisceaux internes du fléchisseur profond, le cubital antér
sseur superficiel des doigts, fléchisseur propre du pouce, les deux faisceaux externes du fléchisseur profond, carré pronateur,
alanges sur les secondes est abolie au médius et à l'index, car les faisceaux du fléchisseur profond se rendant à ces deux do
on des troisièmes phalanges sur les secondes peut se faire, car les faisceaux du fléchisseur profond destinés à ces deux doig
s mouvements actifs on verra souvent se dessiner isolément certains faisceaux du muscle, séparés les uns des autres par des gou
r des gout- tières : il est en effet d'observation courante que les faisceaux d'un même muscle s'atrophient très inégalement,
s faisceaux d'un même muscle s'atrophient très inégalement, que des faisceaux presque sains ou même tout à fait sains se trou
resque sains ou même tout à fait sains se trouvent entremêlés à des faisceaux plus ou moins complètement atrophiés. Dans d'au
leur épaisseur, soit dans une partie de leur lon- gueur : certains faisceaux peuvent être hypertrophiés en entier au milieu
ertains faisceaux peuvent être hypertrophiés en entier au milieu de faisceaux atrophiés et former à l'oeil, à l'état de repos o
t pendant la contraction, des cordes saillantes épaisses ; d'autres faisceaux peuvent être hypertrophiés dans une partie seul
de certains mouvements. Le grand pectoral et le trapèze (saul' leur faisceau le petit pectoral, le grand dorsal, le grand de
, fait que les malades se voûtent et ne peuvent se tenir droits. Le faisceau supérieur du trapèze, qui résiste parfois seul
cause de l'atrophie des extenseurs de la tète, et en particulier du faisceau claviculaire du trapèze, l' « ultimum moriens »
chaque muscle suivant la période de l'atrophie, et même pour chaque faisceau musculaire, car les t. II. Meunieii. Rev. oaeur
p. 5-45. AMYOTROPHIES TYPE ARAN-DUCHENNE. 701 muscles se prennent faisceau par faisceau et parfois presque fibre par fibre
YOTROPHIES TYPE ARAN-DUCHENNE. 701 muscles se prennent faisceau par faisceau et parfois presque fibre par fibre. La contra
de myélite avec atteinte progressive des cornes antérieures et des faisceaux latéraux. La paralysie iabio-gtosso-taryngée es
u retentissement de la lésion cérébrale, par l'inter- médiaire du faisceau pyramidal, sur les fonctions trophiques des c
e se contracte, on sent sous les doigts se dilater et se durcir des faisceaux plus volumineux, on voit le muscle former dans
u totale. Partielle, elle atteint dans toute leur longueur certains faisceaux seulement du muscle, les autres faisceaux s'atr
te leur longueur certains faisceaux seulement du muscle, les autres faisceaux s'atrophiant; ou bien elle atteint sur une partie
t de leur longueur un plus ou moins grand nombre ou la totalité des faisceaux du muscle. Dans ce dernier cas, c'est la partie
oit directe, soit par l'intermédiaire des colonnes de Clarke et des faisceaux cérébelleux directs. C'est ainsi qu'un certain
ôme est il en réalité un signe de l'atteinte légère concomitante du faisceau pyramidal, un signe de la sclérose combinée des
ésulter soit de la lésion des cordons postérieurs mêmes (lésion des faisceaux cérébelleux directs en relation avec les fibres r
de la méninge et des vaisseaux (lésions accessoires des différents faisceaux , en particulier des faisceaux sous-méningés comme
x (lésions accessoires des différents faisceaux, en particulier des faisceaux sous-méningés comme les faisceaux de Flechsig o
nts faisceaux, en particulier des faisceaux sous-méningés comme les faisceaux de Flechsig ou de Gowers), soit de la sclérose
nes postérieures, les cordons postérieurs et en même temps d'autres faisceaux de la moelle, en particulier les faisceaux pyra
t en même temps d'autres faisceaux de la moelle, en particulier les faisceaux pyramidaux ou les faisceaux cérébelleux. Cert
sceaux de la moelle, en particulier les faisceaux pyramidaux ou les faisceaux cérébelleux. Certains paraissent pourtant avoir
e soit les cordons latéraux soit, dans les cordons postérieurs, les faisceaux endogènes à l'exclusion des fibres radiculaires
postérieurs et les cordons latéraux, et. notamment dans ceux-ci les faisceaux cérébelleux directs. b) Dans l'hérédo-ataxie cé
ffaiblir et disparaître par suite de l'atteinte tardive de certains faisceaux 'médul- laires ; le type cérébelleux évolue alo
tion partielle des cordons postérieurs, des colonnes de Clarke, des faisceaux de Gowers et des corps restiformes (P. Marie et
rt corn- plexe. Resserrés dans une aire étroite, les centres et les faisceaux de cette région sont fréquemment frappés en mas
ement. Symptômes bulbaires. Au niveau du bulbe se rencontrent les faisceaux moteurs direct et croisé, le ruban de Reil, le fa
ntrent les faisceaux moteurs direct et croisé, le ruban de Reil, le faisceau céré- belleux direct. On y trouve un certain no
. b Il existe d'autres variétés de paralysies motrices, soit que le faisceau pyramidal se trouve atteint des deux côtés, et
ue à quelque foyer de la région supérieure du bulbe intéressant les faisceaux ou pédoncules cérébelleux. On peut également obse
usivement sur les noyaux d'origine des nerfs bulbaires et sur leurs faisceaux eu'érents. Les grandes voies céréhro-médullaires
ux eu'érents. Les grandes voies céréhro-médullaires (rnban de Reil, faisceaux pyramidaux) échappent au processus morbide ou son
to-pharyng('.e avec hémia trophiedroitcdela langue, une atrophie du faisceau supérieur du trapèze droit, un complexus analog
névropathes ou des organiques, les secousses n'intéressent que des faisceaux isolés des muscles et ne prêtent pas dès lors à c
866 MYOCLONIES. comme le nom l'indique, sont limitées il quelques faisceaux ou à des fibrilles musculaires. Tels sont les
andis que Kaliler et Pick la rattachaient seulement à une lésion du faisceau pyramidal. - - Aujourd'hui, la lésion de l'hémi
scles de la face; ces contractions envahissent les muscles voisins, faisceaux par faisceaux, el croissent en fréquence et en
ce; ces contractions envahissent les muscles voisins, faisceaux par faisceaux , el croissent en fréquence et en intensité jusq
face ; elles peuvent atteindre les muscles entiers ou seulement des faisceaux musculaires isolés : souvent elles ne provoquen
dans les noyaux gris centraux et peut-être aussi dans quelques gros faisceaux de la substance blanche du cerveau (corps calle
rtie du court fléchisseur, des deux lombricaux internes et des deux faisceaux internes du fléchisseur commun profond des doig
as et de l'élllinence thénar, sauf le cubital antérieur et les deux faisceaux internes du fléchisseur profond, l'adducteur du p
analogue a la première de ces affections; l'atteinte secondaire des faisceaux pyramidaux peut amener une exagération des réfl
S VICIEUSES. 1055 comme on le croyait, une agénésie médullaire du faisceau pyramidal. La paraplégie spasmodique familiale
n mouvement est entretenu par l'aimantation et la désaimantation du faisceau de doux de la bobine inductrice : interrupteur de
creux placé dans l'intérieur de la bobine primaire et recouvrant le faisceau de fer doux. Dans ce cylindre se développent de
ématisées qui ne portent que sur les cornes postérieures et sur les faisceaux des cordons blancs, telles le tabès (*), l'ataxie
us accentuées dans le voisinage de l'électrode excitatrice, sur les faisceaux musculaires exposés à la plus forte densité du
n et aussi suivant l'état des muscles, elles restent localisées aux faisceaux musculaires percutés ou s'étendent il la totalité
ons secondaires parmi lesquelles la dégénérescence descen- dante du faisceau pyramidal prend un rôle important. Elle entraine
ononcée. Cette sclérose secondaire s'étend sur toute la longueur du faisceau pyramidal et elle s'y montre plus ou moins inte
moelle ait une bien grande influence sur la sclérose descendante du faisceau pyramidal; mais elle est généralement bien suppor
, par contre. rendent très difficile l'étude des dégénérescences du faisceau pyramidal. Les coupes horizontales de Flechsig
n peut, par conséquent, « assister au mode de formation de tous les faisceaux de celte dernière « région. » Les coupes z1 p
ques, suivant que l'on veut étudier la dégénération de tels ou tels faisceaux <1 direction horizontale, verticale, ou obli
se faire surtout sur les coupes perpendiculaires à la direction des faisceaux . Le fait important est de noter les points de r
andique et que l'on désire étudier les dégénérations secondaires du faisceau pyramidal, ce qui est un cas fréquent en anatom
le le lendemain de l'autopsie. - Pour les nerfs, la moelle et les faisceaux blancs du cerveau, la fixation peut être effect
ngé dans de la glycérine picro-carminée et dissocié « complètement, faisceau par faisceau, sur la lame porte-objet, dans « q
a glycérine picro-carminée et dissocié « complètement, faisceau par faisceau , sur la lame porte-objet, dans « quelques goutt
25 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
DE la MOELLE épinière Er du cerveau. Moelle lombaire (fig. 1). Les faisceaux blancs, colorés par la méthode de Weigert-Pal,
. Moelle cervicale. a) Etage inférieur (fig. 6). - L'intégrité du faisceau de Goll est ici manifeste. Ses deux portions se d
ins de l'épaisseur du cordon postérieur. Sont également sains les faisceaux de Lissaüer et radiculaires postérieurs. La zon
use large et très longue. Elle est comprise de chaque côté entre le faisceau de Goll intact et le ruban sain dont il vient d
dont l'axe se dirige vers la zone de Lissauer; cet ergot entame le faisceau coniu-radiculaire postérieur. L'ensemble des de
s, droite et gauche, dessine un V ou- vert en arrière comprenant le faisceau de Goll entre ses deux bran- ches. La lésion es
ue mais les libres ont surtout disparu en dedans sur les confins du faisceau de Goll ; leur absence est plus marquée d'un cô
ulier considérer comme a peu près aiti tout ce qui cor- respond aux faisceaux de Goll, aux faisceaux cornu-commissuraux et ra
a peu près aiti tout ce qui cor- respond aux faisceaux de Goll, aux faisceaux cornu-commissuraux et radiculaires postérieurs.
de leur groupement : virgule de Schulze, bandelettes périphériques, faisceaux triangu- laires) n'est pas absolue. Cette diffu
e unique d'un diagnostic histologique la structure et la forme d'un faisceau qui, d'un individu à l'autre, peut présentera c
des fibres endogènes. Dans le même sens, il faut invoquer l'état du faisceau de Goll qui apparaît sain, à quelques fibres pr
laire moyenne, lésions peu accusées des racines postérieures et des faisceaux de Goll d'une part; -.lésions des éléments cell
premières zones radiculaires dans toute la hauteur de la moelle, du faisceau de Goll en entier et la sclérose des champs att
res disparues sont endogènes, qu'elles appar- tiennent ou non à des faisceaux constitués, car il est difficile- ment soutenab
dégénération est diffuse, laissant intacte une certaine portion de faisceaux . Il est moins aisé au premier abord de se rendr
iels, hémiplégie alterne inférieure (lésion bulbaire intéressant le faisceau pyramidal et le noyau de l'hypoglose), hémiplég
de fibres, relativement saines, se des- sine à la partie interne du faisceau de Burdach, au centre même du cordon postérieur
quelquefois la suite anatomique de ces lésions. La dégénération du faisceau pyramidal est plus marquée et les lésions du co
les lésions du cordon posté- rieur se localisent exactement dans le faisceau de Goll. Ces cas sont les plus rares. Plus géné
l. Rare- ment nous avons pu suivre jusqu'au bulbe l'altération du faisceau pyramidal et du faisceau cérébelleux direct. La
s pu suivre jusqu'au bulbe l'altération du faisceau pyramidal et du faisceau cérébelleux direct. La dégénération atteint que
llon médian antérieur. A ce niveau, elle touche, par conséquent, le faisceau de Turck, mais il est très rare qu'elle délimit
erses. Il est plus difficile d'apprécier une lésion des cellules du faisceau intermedio-lateralis, des cel- lules de cordon,
- fois très nombreuses, extrêmement divisées dans l'intérieur des faisceaux blancs qu'elles semblent enserrer. Elles sont p
s, respectées. Les fibres exogènes, au contraire, c'est-à-dire le faisceau pyramidal, surtout et presque exclusivement dans
idal, surtout et presque exclusivement dans ses fibres croisées, le faisceau cérébelleux direct, parfois même celui de Gower
postérieures, sont presque toujours atteintes. Prenons d'abord le faisceau pyramidal. Sa lésion, à peu près constante, dev
st vrai que l'on peut, dans quelques cas rares, suivre la lésion du faisceau pyramidal à travers le bulbe et la protu- béran
tement. Comment s'expliquer aussi que jamais ou presque jamais le faisceau de Turck ne soit franchement atteint par la dégén
ation des fibres hété- rogènes qui contribuent à la formation de ce faisceau , d'un retentissement, sur une partie du neurone
s bien pour quelle raison la sclérose névroglique se limiterait aux faisceaux latéraux et postérieurs, encore moins pourquoi
et postérieurs, encore moins pourquoi elle respecterait, dans ces faisceaux postérieurs, précisément, les fibres endogènes
prétendre à résoudre définitivement le problème. La dégénération du faisceau cérébelleux direct se com- prend mieux puisqu'e
e. Les fibres moyennes vont, après un trajet à la partie externe du faisceau de Burdach, aboutir aux cel- lules de la colonn
struction des cellules de Clarke est plus avancée, que la lésion du faisceau cérébel- leux direct, suite anatomique de ce sy
Les fibres radiculaires longues, après un trajet très court dans le faisceau de Burdach, où elles semblent abandonner leur b
es semblent abandonner leur branche descendante, se rendent dans le faisceau de Goll. Elles sont moins atteintes que les fib
ont un organe de relai entre les fibres radiculaires moyennes et le faisceau cérébelleux direct qui se voient également atte
LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 93 de la dégénération du faisceau pyramidal, mais la chroma- tolyse très active d
périmentale par le phosphore, Guerrieri note une dégénérescence des faisceaux pyramidaux, s'étendant jusqu'à la région cervic
s. Pal a observé en outre, chez un saturnin, des altérations « du faisceau cérébelleux direct et du système pyramidal2 ».
ieur, mais on les voit quelquefois s'étendre 'dans le territoire du faisceau latéral, leur topographie rappelant alors celle
es fibres longues, les fibres courtes dans le cordon postérieur; le faisceau pyramidal croisé, le faisceau cérébelleux direc
courtes dans le cordon postérieur; le faisceau pyramidal croisé, le faisceau cérébelleux direct, rarement le faisceau pyrami
sceau pyramidal croisé, le faisceau cérébelleux direct, rarement le faisceau pyramidal direct, plus rarement encore le faisc
ect, rarement le faisceau pyramidal direct, plus rarement encore le faisceau de Gowers du cordon antéro-latéral.' La subst
nner à ces faits une interprétation rationnelle. La dégénération du faisceau pyra- midal croisé ne peut être considérée, dan
titielle constatée dans les cordons pos- térieurs, surtout dans les faisceaux cunéiformes de Goll, au niveau des régions thor
né, [pourrait-on penser pour expliquer sa paralysie, à la lésion du faisceau longitudinal supé- rieur en rapport intime, trè
ers plans des noyaux moteurs (nerfs crâniens et nerfs spi- naux) du faisceau longitudinal postérieur et des courtes fibres des
eut observer çà et là, telle la dégénérescence du ruban de Reil, du faisceau de Gowers et même des cordons postérieurs (Bris
e suit : 1° déchéance du neurone cortical moteur; dégénérescence du faisceau pyramidal - jusqu'à sa terminaison. 2° Déchéanc
rales et des fibres commissurales dans l'écorce du cerveau, dans le faisceau longitudinal postérieur, et dans les cordons an
té visuelle des deux yeux n'était que très peu affaiblie; donc, les faisceaux non croisés étaient fort peu atteints. C'était en
r expliquer l'hémichorée posthémiplégique, admet l'exis- tence d'un faisceau spinal hémichoréique ; il lui paraît plus vraisem
osés. Mais comment cette action, en se portant spécialement sur les faisceaux de Bur- dach et de Goll, produit-elle l'incoord
moelle : les contours en sont dessinés distinctement par de petits faisceaux fibreux formant une ligne ondulée. Mais pas de
hyaline; grande quantité de globules sanguins infiltrés entre les faisceaux fibreux, quelques petits foyers hémorrhagiques. O
un peu l'olive du cervelet. Le contour est constitué par de petits faisceaux conjonctifs, colorés uniformément en rose; dans
de cavité de forme irrégulière; ses parois sont constituées par des faisceaux conjonctifs sinueux et ondulés formant comme de
ieure ; elle est bordée d'un tissu névroglique très dense, riche en faisceaux conjonctifs et en vaisseaux. A ce 170 - CLINI
mais dans la moitié opposée de l'organe, dans la partie centrale du faisceau de Burdach droit. Les deux processus (gliose et
it. Les deux processus (gliose et sarcomatose) sont séparés par les faisceaux de Goll dégénérés (dégénération ascendante).
ieur est détruite par la néoforma- tion, les cordons de Goll et les faisceaux cérébelleux directs pré- sentent une dégénérati
centrale, on peut voir comme les fibres conjonctives se rangent en faisceaux pour former en- suite un contour rempli d'éléme
s par la moelle de ce malade. A côté d'une lésion insignifiante des faisceaux blancs et une légère prolifération névroglique,
depuis les travaux de Charcot que la dégénérescence secondaire des faisceaux pyrami- daux, qu'elle soit d'origine cérébrale
la moelle, au-des- sus, la dégénérescence des cordons de Goll, des faisceaux cérébel- leux et des faisceaux de Gowers se pro
énérescence des cordons de Goll, des faisceaux cérébel- leux et des faisceaux de Gowers se prolongeait jusqu'au bulbe; au- de
s se prolongeait jusqu'au bulbe; au- dessous, la dégénérescence des faisceaux pyramidaux se poursuivait. Si nous nous en étio
des lésions cérébrales sur les lésions médullaires', les lésions du faisceau pyramidal n'in- tervenant que consécutivement à
énomène des orteils est lié intime- ment à la lésion des fibres des faisceaux pyramidaux, que cette lésion siège dans la part
yramidaux, que cette lésion siège dans la partie encéphalique de ce faisceau (hémiplégie, monoplégie) ou dans sa partie spin
crivait jusqu'ici cette couche corticale comme formée uniquement de faisceaux de fibres nerveuses à myéline disposés sur des
de fibres nerveuses tangentielles. Tous les auteurs ont décrit ces faisceaux de fibres à myéline dirigés parallèlement à la
s de la moelle, on n'ob- serve aucune dégénérescence secondaire des faisceaux blancs. L'examen de la tumeur montre qu'elle es
cialement remarquable pour la coupe transverse de la moelle, et les faisceaux pyrami- daux. En diminuant méthodiquement la fo
u du facial, de ses racines extra-médul- laires ; dégénérescence du faisceau descendant de la cinquième paire et de ses raci
ons microscopiques d'après la méthode de Pal montrent l'absence des faisceaux pyramidaux et la disparition presque complète d
nce des faisceaux pyramidaux et la disparition presque complète des faisceaux de la couche réticulaire et de la couche supplé
re. Celle-ci ne con- tient alors que les cordons postérieurs et les faisceaux fondamen- taux des cordons antérieur et latéral
illimètre d'épaisseur où l'on distingue des cellules nerveuses, les faisceaux fondâmes taux des cordons antérieur et latéral,
cines antérieures. Dans tous les cas où l'on constate l'absence des faisceaux pyrami- daux, les cellules des cornes antérieur
, lesquelles sont très démons- tratives. IL - M. G. Rossolimo. Le faisceau de Gowers, son trajet et sa terminaison dans le
l. Centrbl, n° 8). 344 SOCIÉTÉS savantes. En ce qui concerne le faisceau de Gowers, les conclusions de l'auteur sont les
au de Gowers, les conclusions de l'auteur sont les suivantes : Le faisceau de Gowers, qui dans la moelle épinière occupe sa
t tourné vers la ligne médiane, et contenu entre le bout ventral du faisceau cérébelleux longitudinal (dans la partie caudal
forme (dans la partie proximale), et l'olive. Sur tout ce trajet le faisceau de Gowers rend quelques fibres rares au corps res
re de la protubé- rance, dans l'angle formé du côté ventral par les faisceaux du corps trapézoïde, du côté latéral par la rac
s la direction dorso-proximale, les fibres arciformes dégénérées du faisceau de Gowers se portent en masse de plus en plus v
En s'avançant vers l'éminence postérieure du corps quadrijumeau, le faisceau rend un bonne partie de ses fibres (environ un
ire, où elles se terminent. En outre l'auteur a poursuivi : 1° Le faisceau cérébelleux direct dans son trajet ordinaire jusq
rect dans son trajet ordinaire jusqu'à l'écorce du vermis ; 2° Le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral, en haut,
autre; elles n'atteignent souvent qu'une moitié de celui-ci, qu'un faisceau de celui-là, pour gagner aussitôt les fibres d'
ent limité aux symptômes résultant de la seule lésion primitive des faisceaux pyramidaux ; mais cela ne suffit pas pour en in
laire ; il y a, non pas agénésie, mais dégénérescence secondaire du faisceau py- ramdal. A droite, le pourtour de la scissur
née par Lissauer. Dans les trois cas, il y avait dégénérescence des faisceaux pyra- midaux depuis les ascendantes jusque dans
l'intégrité des racines et de la subs- tance grise, l'intégrité du faisceau de Burdach particulièrement 490 REVUE D'ANATO
pariétal inférieur qui déterminent la sclérose la plus intense des faisceaux de Burdach et de Goll. L'étude des lésions du
térale amyolrophique, semblent relever d'une lésion ascen- dante du faisceau pyramidal consécutive à une affection des cellule
antérieures; quant au tabès spasmodique, lorsque l'al- tération du faisceau pyramidal ne dépasse pas le bulbe et que rien n
ces et peut-être y peut-on voir une dégénérescence rétrograde de ce faisceau consécutive une altération légère ou passagère de
es trousseaux disséminés qui imperceptiblement passent de l'aire du faisceau pyramidal dans la zone de celle-ci. Dégénéres
dans la zone de celle-ci. Dégénérescence des fibres de la région du faisceau pyramidal, qui vont aux noyaux prolubérantiels,
ntmlúl., lVl, 1891.) Observation de dégénérescence descendante d'un faisceau pyra- midal à la suite d'une tumeur cer6braie(g
place dans le voisinage immédiat de la corne antérieure droite. Ce faisceau du cordon aiitéiietir croisé s'en va tout le lo
scence du REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 808 faisceau du cordon latéral dans la pyramide du même côté q
e de la pyramide gauche dans les régions élevée*, indiquent que les faisceaux antérieurs croisés n'ont pas d'autre origine. L
dégénérescence du cordon latéral dépasse le territoire ordinaire du faisceau latéral dé la pyramide, qui normalement demeure
re cervicale : c'est une véritable invasion qui, dans le domaine du faisceau de Gowres, gagne la pie-mère; dans toute la moe
moelle cervicale c'eL une invasion irrégu- lière mi-partie dans le faisceau de Gowres, mi-partie dans la couche limitante;
jumeaux va cette partie du ruban de Reil qui provient des noyaux du faisceau cunéiforme. Une partie des fibres du ruban de R
de Meynert. Une portion notable de ces fibres file à l'intérieur du faisceau longitudinal posté- rieur chez l'homme tandis q
rieur chez l'homme tandis que, chez le chat, en avant de ce dernier faisceau , elles courent des deux côtés de la ligne médiane
t dans les segments internes de la formation rétiforme, en avant du faisceau longitudinal postérieur, et passent avec les fi
et passent avec les fibres de ce dernier dans la portion interne du faisceau la- diculaire des cordons antérieurs. Chez l'ho
urs. Chez l'homme ce système de fibres forme partie constituante du faisceau longitudinal postérieur et atteint ainsi les co
re de la couche optique, on produit la dégénérescence des fibres du faisceau pyramidal, du faisceau longitudinal postérieur
, on produit la dégénérescence des fibres du faisceau pyramidal, du faisceau longitudinal postérieur et du système de fibres
t de là passaient dans la moelle où elles se plaçaient en avant des faisceaux pyra- midaux ; elles pouvaient être suivies jus
pent pas simultanément ; les libres des cor- dons postérieurs et du faisceau de Loewenthat dégénèrent les pre- mièi es ; pui
isceau de Loewenthat dégénèrent les pre- mièi es ; puis ce sont les faisceaux directs cérébelleux et antéro- latéraux des cor
belleux et antéro- latéraux des cordons latéraux; enfin ce sont les faisceaux latéraux des pyramides; 2° Le processus de dégé
ptement, on peut même dire d'un seul, trait dans toute l'étendue du faisceau ; 3° Dans les faisceaux de Goll et de Loewentha
ire d'un seul, trait dans toute l'étendue du faisceau ; 3° Dans les faisceaux de Goll et de Loewenthal la dégénérescence atte
la section de la moelle (méthode de marche) ; elle atteint dans les faisceaux directs cérébelleux et autéro-latëraux des cord
e est à sa période d'acmé à la fin de la quatrième semaine dans les faisceaux latéraux des pyramides; 4° Par la méthode de We
rs est certaine; '7° De bas en haut jusqu'à la moelle cervicale les faisceaux de Goll reçoivent leurs fibres des racines posté-
le les fibres radiculaires posté- rieures passent non plus dans les faisceaux de Goll mais dans les faisceanx de Burdacli ; 8
émilatérdle de la moelle entraîne une dégénérescence bilatérale des faisceaux de Goll, de Burdach, de Flechsig, de Gowers et
ement des fais- ceaux de Goll et de Burdach, et en partie celui des faisceaux de Flechsig, a lieu dans la commissure postérie
re-croisent de préférence dans la com- missure antérieurs ; 10° Les faisceaux anléro-latéraux (de Gowers) atteignent, à la ci
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 509 dans les cordons antérieurs; 11° Les faisceaux de Gowers et de Flechsig doivent être anatomiqu
tomiquement tenus pour un seul et même système. Une partie des deux faisceaux se termine à n'en pas douter dans le cervelet,
e ces fibres à l'autre côté ; 12° La dégénérescence descendante des faisceaux de Gowers et de Flechsig parait douteuse, c'est
Gowers et de Flechsig parait douteuse, c'est plutôt aux libres des faisceaux de Loewenthal que doit être attribuée la dégéné
e doit être attribuée la dégénérescence dans le ter- ritoire de ces faisceaux ; 13° L'existence d'un système descendant séparé
rait plutôt expliquée par le passage dans ces racines de fibres des faisceaux de Loewenlhal; 15° La dégénrres- cence ascendan
spluales est produite par le passage en ces dernières de fibres des faisceaux directs cérébelleux et antéro-lateraux des cord
timètre à partir du lieu de la section de haut en bas; 17° Dans les faisceaux anté- rieurs des pyramides du cerveau humain il
herches sur l'origine réelle du nerf -, par van Gehuchten, 495. Faisceau nu Gowers, son trajet, par Rossolino, 33. Fol
Stefani et Mor- purgo, 484. Pyramidal. Variations du trajet du faisceau , par Hoche, 504. Racines postérieures. Trajet
26 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
région cervicale. Nous trouvons ici ce qui suit (PI. VIII, H) : le faisceau pyramidal du cordon latéral manque ; à la place
H) : le faisceau pyramidal du cordon latéral manque ; à la place du faisceau cérébelleux du cordon la- téral il y a une gran
enfonçant vers la profondeur de la périphé- rie ; manquent aussi le faisceau de Gowers et le faisceau pyramidal du cor- don
eur de la périphé- rie ; manquent aussi le faisceau de Gowers et le faisceau pyramidal du cor- don antérieur. S'observent se
faisceau pyramidal du cor- don antérieur. S'observent seulement le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral, mais mal
eau fondamental du cordon antéro-latéral, mais mal développé, et le faisceau de Goll et de Burdach bien développé. A l'exa
es fibres, non plus que lespyramides (PI. VIII, I). Manque aussi le faisceau cérébello-spinal. La racine descen- dante du ne
scen- dante du nerf trijumeau n'est pas encore marquée. Le noyau du faisceau de Goll et celui de Burdach sont marqués très n
i de Burdach sont marqués très nettement. Ainsi nous avons ici : le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral, le nerf hyp
e contiennent pas leurs cellules spéciales. Ainsi nous avons ici le faisceau longitudinal postérieur, les fibres arciformes
s aplati (Pl. VIII, K). Dans la partie postérieure nous trouvons le faisceau longitudinal postérieur, au-dessus le genou du
elés (Pt.VHI, L). Quanta l'axe cérébro-spinal, nous trouvons ici le faisceau longitudinal postérieur; en dessous la formation
l'axe cérébro-spinal nous trou- vons ce qui suit (Pl. VIII, M) : le faisceau longitudinal postérieur, les fibres arciformes
ulvinar et les corps genouillés manquent). En dessous les fibres du faisceau longitu- dinal postérieur qui viennent en conta
ux rouges, ils ne sont presque pas développés ; en dedans il y a le faisceau de Meynert. La partie basale est très déformée. T
es ; 50 l'absence de la couche du ruban de Reil ; 6° l'absence du faisceau cérébello-spinal, du faisceau de Gowers, des fi
he du ruban de Reil ; 6° l'absence du faisceau cérébello-spinal, du faisceau de Gowers, des fibres arciformes externes et an
édoncules cérébelleux inférieurs. Les fibres protubérantielles, les faisceaux cortico-protubérantiels et les pédoncules céréb
la forme ordinaire de celle d'un enfant nouveau-né (Pl. IX, N). Le faisceau pyramidal du cordon antérieur est très bien dé-
ieur est très bien dé- veloppé et n'a pas de libres myéliniques, le faisceau cérébro-spinal latéral manque. Le cordon postér
es stries arciformes de fibres myéliniques rappellent les noyaux du faisceau de Goll et du faisceau de Burdach. Plus près du c
fibres myéliniques rappellent les noyaux du faisceau de Goll et du faisceau de Burdach. Plus près du cerveau nous voyons qu
e du nerf trijumeau, la racine descendante du glosso-pharyngien, le faisceau cérébelleux du cordon latéral, les fibres arcif
ition des cordons posté- rieurs ; de la moelle restait seulement le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral (tableau o
nt l'.axe spinal. Son action de systématisant en particulier sur le faisceau pyra- midal donnait parfois naissance à une var
ants de la myéline, montrent une dégénérescence très nette des deux faisceaux pyramidaux croisés sensiblement égale à droite et
ramidaux croisés sensiblement égale à droite et il gauche. Ces deux faisceaux sont intéressés dans toute leur étendue ; la zo
ornes postérieures. 2) Par les colorants nucléaires la sclérose des faisceaux pyramidaux est très utile. Les autres faiscea
s la sclérose des faisceaux pyramidaux est très utile. Les autres faisceaux paraissent sains, toutefois on rencontre irréguli
côtés. Dans les méninges et le long des vaisseaux, surtout dans les faisceaux latéraux et les racines postérieures, il y a de
toujours très marquée, bilatérale, complète et bien limitée de deux faisceaux pyrami," daux latéraux, on observe une dégénére
aux latéraux, on observe une dégénérescence moins accentuée de deux faisceaux cérébelleux directs. A droite seulement, cette dé
cence se prolonge .en avant et intéresse la portion périphérique du faisceau de Gorets. Les autres faisceaux blancs sont n
téresse la portion périphérique du faisceau de Gorets. Les autres faisceaux blancs sont normaux. 2) Par les colorants nuclé
lancs sont normaux. 2) Par les colorants nucléaires, la sclérose du faisceau pyramidal semble plus dense à droite qu'à gauch
ici, peu nombreux dans les cordons postérieurs que dans les autres faisceaux blancs, mais ne répon- dent à rien de visible p
myéliniques font ressortir une dégénérescence très intense des deux faisceaux pyramidaux croisés. Ici, cette dégénérescence e
escence est plus tendue à droite oit elle- comprend toute l'aire du faisceau moteur, qu'à gauche où elle n'intéresse que des
rs postérieurs (PL XVI, A). Dégénérescence, moins intense, des deux faisceaux cérébelleux direct qui se prolonge un peu en av
sceaux cérébelleux direct qui se prolonge un peu en avant, dans les faisceaux de Gowers. Les autres faisceaux blancs, en part
prolonge un peu en avant, dans les faisceaux de Gowers. Les autres faisceaux blancs, en particulier les cordons postérieurs, n
ELLE ÉPINIÈRE 99 2) Par les colorants .nucléaires , la sclérose des faisceaux pyramidaux est également très nette. Dans l'air
s faisceaux pyramidaux est également très nette. Dans l'aire de ces faisceaux , tous les tubes nerveux ne sont pas, toutefois,
ues la topographie des lésions est la même que plus haut. Les mômes faisceaux sont louches, et on observe toujours une prédom
n observe toujours une prédominance de la sclérose à droite dans le faisceau pyramidal. 2) Par les colorants nucléaires, par
sent touchés alors que par le Pal ils ne se distinguent en rien des faisceaux normaux. Dans cette région, l'infiltration péri
rieure. 1) Colorations myéliniques. Dans le cordon latéral droit le faisceau pyramidal présente une dégénérescence très marq
ence très marquée dans toute son éten- due. La portion adjacente du faisceau cérébelleux direct et la portion du faisceau de
a portion adjacente du faisceau cérébelleux direct et la portion du faisceau de Gowers située immédiatement en avant du faisce
t la portion du faisceau de Gowers située immédiatement en avant du faisceau pyramidal, sont également très légèrement touch
sont également très légèrement touchés (PI. XVI, B). A gauche le faisceau pyramidal croisé est presque normal, va dégénéres
e moyenne de son aire. 100 GILLES DE LA TOURETTE ET G. DURANTE Le faisceau cérébelleux voisin présente aussi une légère dégé
commissure postérieure, se dirige en arrière et se place entre les faisceaux de Goll et de Burdach en dessinant la virgule d
une zone de sclérose plus étalée, comprenant le tiers postérieur du faisceau de Goll et la moitié interne du tiers postérieu
eur du faisceau de Goll et la moitié interne du tiers postérieur du faisceau de Burdach. Les portions intactes des cordons p
es des cordons postérieurs sont donc : les deux tiers antérieurs du faisceau de Goll, les deux tiers antérieurs du faisceau
tiers antérieurs du faisceau de Goll, les deux tiers antérieurs du faisceau de Burdach, et la moitié externe du tiers posté
nt au maximum à gauche, sont donc croisées par rapport à celles des faisceaux pyramidaux dont le droit est plus malade que le
nce à noter ici, est la disparition presque complète des lésions du faisceau pyramidal gauche qui ne sont plus représentées qu
RVICALE supérieure. Colorations myéliniques. - La dégénérescence du faisceau pyramidal droit est notablement moins étendue e
t moins étendue et moins intense que plus bas. La dégénérescence du faisceau pyramidal gauche réduite à quelques fibres alté
ées n'est plus que difficilement reconnaissable. Des deux côtés les faisceaux cérébelleux directs de Gowers sont plus forteme
yramides, le Pal, le Weigert, le Kaiser, etc., etc.. mon- trent des faisceaux également bien fournis des deux côtés. Par les
peuvent se résumer de la fa- çon suivante : 1) Dégénérescence de faisceaux pyramidaux croisés sur toute la hauteur de la m
et à droite, ne dépasse pas l'entrecroisement des pyramides. Les faisceaux de Turk sont normaux. 2) Dégénérescence des fai
amides. Les faisceaux de Turk sont normaux. 2) Dégénérescence des faisceaux cérébelleux directs des deux exilés et sur tout
teur. Cette dégénérescence est beaucoup moins intense que celle des faisceaux pyramidaux. 3) Dégénérescence des faisceaux de
intense que celle des faisceaux pyramidaux. 3) Dégénérescence des faisceaux de Gowers en tant que prolongement antérieur de
ence des faisceaux de Gowers en tant que prolongement antérieur des faisceaux cérébelleux. Cette dégénérescence également peu
lutôt atrophie des tubes nerveux) intéressant la zone qui sépare le faisceau de Goll du faisceau de Burdach dans ses 2/3 ant
ubes nerveux) intéressant la zone qui sépare le faisceau de Goll du faisceau de Burdach dans ses 2/3 antérieurs (virgule) ; dé
ses 2/3 antérieurs (virgule) ; dégénérescence du 1/3 postérieur du faisceau de Goll et de la portion adjacente du fais- cea
rquée à gauche qu'à droite, est croisée par rapport aux lésions des faisceaux pyramidaux. SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE É
ance paraissent sains. Nous n'avons trouvé de lésions ni dans leurs faisceaux blancs, ni dans leurs noyaux gris. il) Le cerve
apables d'avoir donné naissance à une dégénérescence secondaire des faisceaux pyramidaux. Maintenant quelle interprétation co
façon être attribuées à une affection cérébrale ; une sclérose des faisceaux pyramidaux aussi marquée que celle que nous avons
des circonvolutions motrices ou une solution de continuité dans les faisceaux moteurs par une hémorrhagie, une tumeur, un foyer
t précédé la mort. Enfin l'absence de toute dégénérescence dans les faisceaux blancs du mésen- céphale est à elle seule une r
firmer l'origine pure- ment médullaire de la sclérose constatée des faisceaux pyramidaux. L'origine périphérique ou radiculai
ue nous n'ayons pu le constater directement les dégénérescences des faisceaux blancs sont assez caractéristiques pour nous perm
cendante classique des cordons posté- rieurs. La dégénérescence des faisceaux cérébelleux s'observe sur toute la hauteur de l
également du foyer de myélite cervicale puisque nous savons que ce faisceau contient des fibres qui subissent dans quelques
teur paraît plus récente que celle qui a régi la dégénérescence des faisceaux pyramidaux et concorde avec là dégénéres- cence
e des faisceaux pyramidaux et concorde avec là dégénéres- cence des faisceaux cérébelleux qui semble également plus jeune et no
y est complète. On ne saurait la rattacher à la dégénérescence des faisceaux pyramidaux, car elle siège précisément du côté
faisceaux pyramidaux, car elle siège précisément du côté opposé au faisceau moteur le plus atteint. Il nous reste enfin à p
sibilité d'une dégénérescence ascendante sur une petite hauteur des faisceaux moteurs est aujourd'hui, croyons-nous, bien dém
ns plus profondes avant déterminé une dégénérescence secondaire des faisceaux pyramidaux de laquelle dépend l'état spasmodiqu
uelle dépend l'état spasmodique relaté dans l'enfance du sujet. Les faisceaux pyrami- daux qui n'avaient pas été complètement
rtiellement régénérés. Nous savons en effet que la régénération des faisceaux blancs est possible dans certaines li- mites ch
ire accuse un amaigrissement des espaces intercostaux au niveau des faisceaux d'i; sertion du grand dentelé. il Le sous-scapu
'une fracture compliquée de rupture du périoste et de déchirure des faisceaux musculaires sous-jacents. on n'ob- serve pas de
mentaire des diverses parties de l'écorce, sur l'homologa- tion des faisceaux blancs, qui les unissent, avec les commissures co
cervelet, qui vers les tubercules quadriju- meaux, qui vers le gros faisceaux des anses pédonculaires après de nom- breux ent
niveau duraphé. Il n'existe plus ici de cordons systématisés, ni de faisceaux de fibres parallèles, chaque fibre gagnant iso-
até, également dans un cas de tabes, une atrophie de la plupart des faisceaux du nerf vestibulaire au voisinage des gros noya
du nerf vestibulaire au voisinage des gros noyaux postérieurs. Ces faisceaux étaient transformés en tissu conjonctif riche e
mes dans des noyaux voisins, unis aux noyaux de la 8e paire par des faisceaux commissuraux, comme les noyaux oculomoteurs, ou s
rand dentelé, -une affection complexe dans laquelle un ou plusieurs faisceaux musculaires se trouvent ou atrophiés ou paralys
la présence de corps granuleux très nets et très abondants dans le faisceau pyramidal croisé du côlé droit et dans le faisc
bondants dans le faisceau pyramidal croisé du côlé droit et dans le faisceau pyramidal du côlé droit II existe quelques granul
eau pyramidal du côlé droit II existe quelques granulations dans le faisceau pyramidal croisé du côté droit et dans le faiscea
ulations dans le faisceau pyramidal croisé du côté droit et dans le faisceau pyra- midal direct du côté gauche. Au niveau
es des cordons postérieurs. Il y a une très légère dégénération des faisceaux pyramidaux directs et des deux faisceaux pyrami
ès légère dégénération des faisceaux pyramidaux directs et des deux faisceaux pyramidaux croisés. Celle-ci Nouv. Iconographie
s.. de L'AMYOTROPHIE CHARCOT-MARIE 211 n'est plus marquée dans le faisceau pyramidal croisé du côté droit. Les racines pos
nu marginal tranche très vivement sur les parties dégénérées. Les faisceaux pyramidaux directs présentent des lésions à peine
s lésions à peine appré- ciables. La diminution des fibres dans les faisceaux pyramidaux croisés est toujours des plus nettes
fibres colorées est beaucoup plus intense que dans ce dernier. Les faisceaux pyramidaux croisés présentent une très légère d
versale celui-ci paraît peu atteint. Cependant un certain nombre de faisceaux musculaires sont atrophiés, ces fibres en voie
ès étendues, sur des coupes transversales on aperçoit de très rares faisceaux musculaires noyés au milieu d'un tissu scléreux
e côté. Muscle biceps crural. Ce muscle présente peu de lésions des faisceaux : atrophie de certains faisceaux musculaires, c
muscle présente peu de lésions des faisceaux : atrophie de certains faisceaux musculaires, conservation du plus grand nombre.
oit. Les lésions se montrent à un degré plus accentué; le nombre de faisceaux musculaires intacts est encore grand proportion
usculaires intacts est encore grand proportionnellement à celui des faisceaux atteints. Le nombre des fais- ceaux atrophiés e
conservée. Mais ici les lésions sont extrêmement diffuses, tous les faisceaux sont pris, en ce sens que dans chaque faisceau
diffuses, tous les faisceaux sont pris, en ce sens que dans chaque faisceau il existe des fibres atteintes à côté de fibres
il existe des fibres atteintes à côté de fibres restées saines. Les faisceaux sont déjà envahis par des cellules adi- NoUV. !
minante dans le cordon de Burdach. b) Une dégénération légère des faisceaux pyramidaux des deux côtés. c) Des altérations d
otre cas il existait une dégénération légère mais assez étendue des faisceaux pyramidaux, plus prononcée sur l'un des faiscea
assez étendue des faisceaux pyramidaux, plus prononcée sur l'un des faisceaux pyramidaux directs, et sur l'autre des faisceau
oncée sur l'un des faisceaux pyramidaux directs, et sur l'autre des faisceaux pyramidaux croisés. Il est difficile, dans ce cas
des fibres muscu- laires plus ou moins diffuse dans les différents faisceaux , la striation est conservée. Il n'y a que proli
encore la striation. Le tissu conjonctif s'est développé entre les faisceaux , des amas de graisse commencent à apparaître en
, et qui ne sont plus constitués que par du tissu adipeux. Quelques faisceaux musculaires, dont on ne reconnaît plus la striati
t le tissu cellulaire sous-cutané. Le triceps est réduit à un petit faisceau . Le deltoïde presque complètement détruit (Pl.
intactes. Je n'ai pas relevé la zone de dégénérescence partielle du faisceau fondamental antérieur, si nette sur les coupes
cordons postérieurs ; disparition dans un certain nombre de tubes du faisceau de Goll. Cette altération est déjà signalée dan
les bras en avant ni en arrière, ce qui témoigne de l'impotence des faisceaux antérieurs et postérieurs du deltoïde; il a de
à droite et à gauche. Cette diminution est surtout marquée dans le faisceau anté- rieur du muscle deltoïde droit dont les c
la lésion importante consiste presque uniquement en une section des faisceaux blancs, lésion dont la topographie devra être dét
l'extrémité supérieure du ventricule dilaté. La partie inférieure du faisceau longitudinal, des radiations optiques de Gratio
le substance blanche. La lésion a complètement détruit ou coupé les faisceaux qui constituent la substance blanche de la 1" tem
du pli courbe, de la pariétale ascendante, et apparemment certains faisceaux de la frontale ascendante. Entre le foyer et la c
la capsule externe est détruite dans ses deux tiers supérieurs, le faisceau arqué est complètement coupé depuis sa courbure
a courbure postérieure jusqu'à son tiers an- térieur, le système du faisceau longitudinal inférieur et des radiations optiqu
is le sont entièrement au niveau de leur extrémité anté- rieure. Le faisceau crochu doit être complètement indemne. La capsule
de déterminer une localisation étroite ; le nombre, la variété des faisceaux intéressés nous empêche de donner une conclusion
ode des plus petits foyers ». Il y a lieu de noter cependant que le faisceau arqué est très profondément lésé, et que ce faisc
pendant que le faisceau arqué est très profondément lésé, et que ce faisceau parait avoir été toujours plus ou moins intéres
27 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
u contraire une excitabilité notablement diminuée, surtout dans ses faisceaux sternaux, du côté droit, où existe le torticolis
onique prédominante,c'est-à-dire de l'action propre du muscle ou du faisceau musculaire. » Cette théorie a été géné- ralemen
ique s'accompagne tou- jours d'une sclérose du tissu conjonctif des faisceaux musculaires, il était permis de supposer que le
xtension n'est accompagnée des phé- nomènes myotoniques que dans le faisceau externe de l'extenseur gauche de la cuisse. L
st altérée a son tour ; elle est effacée, aplatie, surtout dans les faisceaux plus minces ; de là résulte l'aspect plus saill
plus dans les muscles de la ceinture scapulo-hu- mérale et dans le faisceau externe du muscle extenseur quadriceps gauche. Ic
inution de volume du muscle myotonique dépend- de l'atrophie de ses faisceaux , caractérisée par une teinte blanchâtre et par un
MYOTONIE ATROPHIQUE 75. dégénérescence, et que l'état atrophique du faisceau est un degré tardif des altérations du faisceau
'état atrophique du faisceau est un degré tardif des altérations du faisceau hypertrophié ; on peut noter sur une série des
érations du faisceau hypertrophié ; on peut noter sur une série des faisceaux graduellement amincis une teinte blanchâtre de la
uées sur la ligne médiane, elles se trouvent ordinairement en plein faisceau moteur soit d'un côté soit de l'autre. Plus on
ce se- ront toujours les mêmes lésions dissociant plus ou moins des faisceaux blancs de fibres et des cellules nerveuses. D
s qui se trouve ainsi atteindre la capsule interne. Au niveau de ce faisceau de fibres blanches, nous ne voyons naturellement
ses cellules nerveuses puisqu'il n'y en a pas même normalement. Les faisceaux blancs sont plutôt séparés et écartés que section
e que dans la capsule interne. C'est en effet assez souvent dans le faisceau moteur que se creusent LACUNES DE DÉSINTÉGRATIO
cessaire de faire des coupes longi- tudinales parallèles à l'axe du faisceau moteur, tandis que les nôtres ont toujours été
ans le sens de nos coupes,c'est-à-dire perpendiculaires à l'axe des faisceaux moteurs, il vaudrait mieux pratiquer des examen
s fais- ceaux costaux sur les cinq ou six premières côtes, mais les faisceaux claviculaires paraissent faire défaut, de même
es faisceaux claviculaires paraissent faire défaut, de même que les faisceaux sternaux. [D'ailleurs, lorsque le malade ne con
approcher le bras du tronc, ou l'abaisser quand il est soulevé, les faisceaux ne soulèvent pas la peau.] , NOUVELLE Iconograp
l fait totalement défaut; du grand pectoral il ne reste qu'un petit faisceau de la portion claviculaire et un rudiment de la
réditaire, avec naissance prématurée et développement incomplet des faisceaux pyramidaux. Pour d'autres, la naissance avant ter
pas une des conditions essentielles de la maladie et la lésion des faisceaux pyramidaux peut provenir d'un manque de dévelop
érieurs en faisaient des affections médullaires. Actuelle- ment, le faisceau pyramidal serait surtout atteint, mais cette vue
art bien des examens médullaires ne mention- nent aucune lésion des faisceaux pyramidaux, et que d'autre part on voit des lés
gressive». Cette affection serait due au manque de développement du faisceau pyramidal. Malheureusement ces différentes cond
rables. SYNDROME DE LITTLE 141 4° Le manque de développement du faisceau pyramidal. Ce faisceau ne serait complètement f
LITTLE 141 4° Le manque de développement du faisceau pyramidal. Ce faisceau ne serait complètement formé chez l'enfant que
éjerine). Dans un cas de dégénérescence, secondaire il est vrai, du faisceau pyra- midal gauche, on avait les symptômes d'un
jambes). Anatomiquement existait une dégénérescence symétrique des faisceaux pyramidaux dans tout leur parcours, depuis l'éc
probable que nous nous trouvons en présence de lésions de tous les faisceaux médullaires : les membres inférieurs présen- te
tion de chaque masse musculaire, de chaque muscle et même de chaque faisceau ; et par conséquent celle de nos mouvements ac-
e précise de la quantité de contractions de chaque masse, de chaque faisceau musculaire, par Landry, et encore de l'état de
ns d'attitudes segmentaires sont indispensables à la motricité. Des faisceaux médullaires d'une part, des faisceaux vestibulair
pensables à la motricité. Des faisceaux médullaires d'une part, des faisceaux vestibulaires d'autre part se rendent vers les
eures du cervelet. Par le pédoncule supérieur, le noyau rouge et le faisceau décrit par Meynert, cette région s'unit aux zones
n s'unit aux zones pariétales. Il est en outre très probable que le faisceau sensitif général apporte aux zones psy- chomotr
stibulaire de l'oreille se dirige vers les zones pariétales, comme le faisceau sensitif médullaire qui dessert le sens des att
e occipitale du ventricule (celles qu'on appelle dans leur ensemble faisceau sensitif ou radiations optiques) (PI. XXXIV, fi
es sont considérablement réduites d'épaisseur. Il n'en reste que le faisceau le plus externe ou faisceau longitudinal inféri
uites d'épaisseur. Il n'en reste que le faisceau le plus externe ou faisceau longitudinal inférieur, nettement limité en dehor
faisceau longitudinal inférieur, nettement limité en dehors par le faisceau occipital vertical. Le tapetum et le faisceau o
mité en dehors par le faisceau occipital vertical. Le tapetum et le faisceau optique proprement dit ont complètement disparu
u optique proprement dit ont complètement disparu. La coloration du faisceau longitudinal inférieur parait normale; elle est
occipitale. En dehors de la fente elle même, le tapetum et les deux faisceaux de la (1 radiation optique » sont d'une extrême
festonnée ; enfin qu'elle n'atteint ni la radiation optique, ni le faisceau longitudinal inférieur de l'hémisphère droit. L
n'existe aucune lésion des fibres d'association représentées par le faisceau externe des radiations optiques ou faisceau lon
ion représentées par le faisceau externe des radiations optiques ou faisceau longitudinal inférieur. HALLUCINATIONS DE L'OUÏ
es de ces cellules se réunissent à l'autre extrémité du ganglion en faisceaux compacts qui,poursuivant leur 292 THOMAS ET HAU
l) et la dure-mère se réfléchissent sur la racine postérieure : ses faisceaux chemi- nent alors à l'abri d'une triple gaine :
tabes. D'autre part, la racine est dans son épaisseur subdivisée en faisceaux secondaires que séparent des cloisons conjoncti
au périnèvre des nerfs; chaque périnèvre envoie dans l'intérieur du faisceau qu'il entoure de fines tra- bécules conjonctive
ques millimètres seulement. Les fibres jusque là groupées en 3 ou 4 faisceaux se répartissent en un grand nom- bre-de petits
rieure restent encore sur une certaine longueur groupées en petits faisceaux avant de se disséminer. Il y a la, à l'extrémit
l'extrémité opposée elles se rassemblent à nouveau en un volumineux faisceau qui émerge du pôle périphérique et quitte le gang
euse cavité entourée d'une membrane kystique et contenant de petits faisceaux de fibres radiculaires frp), et surtout des ama
Le reste est occupé par des vaisseaux (v), des tractus fibreux, des faisceaux de tissu conjonctif adulte, des amas d'éléments
és du ganglion. Le tissu conjonctif s'y pré- sente sous l'aspect de faisceaux extrêmement épais, souvent homogènes, d'o- rien
noyaux forment des amas ou sont infiltrés irrégulièrement entre les faisceaux du tissu conjonctif : les uns sont ronds, les aut
éments. Il a un aspect amorphe et il est pénétré par places par des faisceaux conjonctifs épais, homogènes, très analogues à
racines postérieures. Diminution du nombre des fibres à myéline des faisceaux radiculaires. Inflammation du tissu conjonctif de
s autres allongés, disposés soit au centre, soit à la périphérie du faisceau radiculaire. Les vaisseaux sont éga- lement mal
asci- cule. Le tissu inter-fasciculaire est également très riche en faisceaux fibreux. Dans le pôle central du ganglion la ra
u d'aspect amorphe, contenant cependant quelques noyaux et quelques faisceaux conjonctifs, tissu qui fait place plus bas aux ri
ues faisceaux conjonctifs, tissu qui fait place plus bas aux riches faisceaux fibreux qui encerclent chaque fascicule.Par con
al de fibres saines. Il n'existe pas de névrite interstitielle, les faisceaux radiculaires ne sont pas pénétrés par le tissu
dien, sur les coupes colorées par la méthode de Wei- gert, tous les faisceaux , sauf un,sont complètement décolorés. Au-dessous
vrite). - Ilyperplasie du tissu conjonctif interfasciculaire. - Les faisceaux radiculaires, très dégénérés, sont, pour la plu
breux plus ou moins épais ; les fibres elles-mêmes sont doublées de faisceaux fibreux et écartées l'une de l'autre. Cette hyp
ée par du tissu conjonctif fascicule. Sur certaines coupes un petit faisceau nerveux subsiste au centre de cette masse (PI.
, la portion sous-gan- glionnaire des racines postérieures forme un faisceau aussi dense, aussi compact qu'à l'état normal.
nt observés en pareil cas et dont la coupe rappelle celle de petits faisceaux musculaires tassés et agglomérés. La gaine pial
es à une cause unique, à une perturbation dans le fonctionnement du faisceau pyramidal, dont il se déclarait, du reste, incapa
lé é après lui, indice d'une perturbation dans le fonctionnement du faisceau pyramidal. l. M. Brissaud et, avec lui, M. Me
la région du pôle central, où les fibres encore groupées par petits faisceaux se prêtent mieux à l'observation. C'est ainsi q
plus accentuée. Elle se traduit en général par l'hyperplasie des faisceaux fibreux, la formation d'amas embryonnaires, de
séparent (mésonévrite) et des gaines conjonctives qui entourent les faisceaux secondaires (périné- vrite),et du tissu conjonc
glion et le cul-de-sac séreux, le nerf radiculaire. A ce niveau les faisceaux nerveux des racines postérieu- res et aussi des
ion semble partir du périnèvre pour former un anneau qui étouffe le faisceau nerveux. Cet anneau s'accroît par sa face inter
que l'endo et la périnévrite, en dissociant et en écar- z tant les faisceaux secondaires, les individualisent plus nettement q
est à peine ébauché et n'atteint que rarement un degré notable. Les faisceaux secondaires restent groupés et compacts; ils n'on
n aspect réfringent, vitreux, anhyste qui se manifeste soit sur les faisceaux fibreux de la dure-mère, soit sur le feuillet a
léments conjonctifs jeunes (amas nucléaires) qui se transforment en faisceaux fibreux, soit en donnant naissance à des masses
elle hyper- plasie conjonctive se présente parfois sous la forme de faisceaux ayant un contour arrondi et un calibre qui rapp
ceaux ayant un contour arrondi et un calibre qui rappelle celui des faisceaux mus- culaires ; ils ont un aspect homogène, à p
L'épaississement des gaines péri-fasciculaires écarte, dissocie les faisceaux secondaires, et modifie profondément l'aspect n
par places et sur une petite étendue, interrompre la continuité des faisceaux dégénérés, les points de repère sont restés suf
sseur de la subs- tance réticulée jusque près du plancher, entre le faisceau solitaire et le faisceau longitudinal postérieu
éticulée jusque près du plancher, entre le faisceau solitaire et le faisceau longitudinal postérieur; il est limité par un sil
pinal ; il interrompt forcément le trajet des fibres ascendantes du faisceau antéro-latéral (faisceau de Gowers) ; toutefois l
cément le trajet des fibres ascendantes du faisceau antéro-latéral ( faisceau de Gowers) ; toutefois le faisceau céré- belleu
ntes du faisceau antéro-latéral (faisceau de Gowers) ; toutefois le faisceau céré- belleux direct, qui passe très tôt en arr
ôt en arrière, paraît lui avoir échappé ; les noyaux situés dans le faisceau latéral du bulbe sont naturellement englo- bés.
us de lui de dégénérescence répondant au trajet récemment décrit du faisceau de Gowers vers le cervelet. Le second foyer (
stance réticulée, quelques fascicules de l'hypoglosse; il entame le faisceau longitudinal postérieur et se place au hile de l'
de Reil, respectée par le foyer précé- dent, et l'autre (F4) sur le faisceau pyramidal (PI. LVI, fig. K, L, M). Il nous faut
otiques. Nous les étu- dierons en envisageant successivement chaque faisceau au-dessus et au- dessous des foyers. T'/T Le
ment chaque faisceau au-dessus et au- dessous des foyers. T'/T Le faisceau pyramidal est altéré dans toute la hauteur de la
s. Au-dessus du foyer il existe quelques'fibres,dégénérées dans le* faisceau pyramidal ; on peut lesYsuivre°jusqu'à la capsu
yers, présente une dégéné- rescence intense; dans les régions où ce faisceau forme un triangle allongé d'avant en arrière (b
n dehors des fascicules dupes leoacaisc2cs profond, dépen- dance du faisceau pyramidal, on ne trouve plus de territoires intac
ux antérieurs, la branche transversale se renfle et l'en- semble du faisceau dégénéré forme ùmtriangle curviligne, dont la bas
il médian) sont les suivants : en avant la zone dégénérée répond au faisceau pyramidal, dont elle est séparée par la partie ex
faisceau pyramidal, dont elle est séparée par la partie externe du faisceau thalamique de Forel et de la zona iacertc; en d
ion de la substance'réticulée qui avoi- sine le ruban de Reil et le faisceau longitudinal postérieur, on aperçoitdes faiscea
uban de Reil et le faisceau longitudinal postérieur, on aperçoitdes faisceaux longitudinaux dégénérés qui cheminent entre les f
rne anté- rieure qu'elles coiffent. Plus bas elles sont séparées du faisceau pyrami- dal direct par une mince ligne pâle (PI
la corne antérieure et forment une virgule dont la tête s'adosse au faisceau pyramidal direct en touchant à la périphérie de l
riphérie de la moelle, et dont la queue se perd dans l'épaisseur du faisceau antéro-latéral, en dedans de la place du faisce
ns l'épaisseur du faisceau antéro-latéral, en dedans de la place du faisceau de Gowers. Ces fibres diminuent rapidement de nom
e, mais nous avons pu les suivre jusque dans la ré- gion sacrée. Le faisceau répond à la description du faisceau cérébelleux d
que dans la ré- gion sacrée. Le faisceau répond à la description du faisceau cérébelleux des- cendant qui, suivant les auteu
tent des fibres d'origines diverses et en particulier des fibres du faisceau longitudinal postérieur atteintes par le foyer
eur atteintes par le foyer F2. Au-dessus des foyers on trouve des faisceaux dégénérés, en moins grand nombre, épars dans la
res ne représenteraient pas plutôt une dégénérescence ascendante du faisceau descendant que nous venons de décrire, comparab
s la formation réticulée blanche, formant un trait d'union entre le faisceau longitudinal postérieur et le ru- ban de Reil,
NSKI ET NAGEOTTE sont écartés du raphé médian par l'apparition d'un faisceau longitudinal non dégénéré, qui va en se renforç
ruban de Reil et au noyau réticulé ; le côté interne ré- pond à ce faisceau médian non dégénéré que nous venons d'indiquer, p
al supérieur qui prend sa place ; le côté externe est limité par le faisceau central de la calotte. Dans l'aire ainsi délimi
re à mesure que l'on remonte et disparaissent avec la calotte. Le faisceau longitudinal postérieur gauche présente au-dessou
s. En haut il existe un petit nombre de fibres dégé- nérées dans le faisceau ; par analogie avec ce qui se passe dans le ruban
nérescence centripète qui s'étend jusqu'à l'extrémité supérieure du faisceau , sur la face interne du noyau rouge (PI. LVI, f
s- cence des boules beaucoup plus petites que les fibres des autres faisceaux . Elles constituent d'abord les fibres pré-,inte
; 4° une interruption des voies ascendantes latérales de la moelle ( faisceau de Gowers) avec conser- vation probable du fais
s de la moelle (faisceau de Gowers) avec conser- vation probable du faisceau cérébelleux direct ; 5° une lésion du fais- cea
e du sens musculaire que l'auteur met sur le compte de la lésion du faisceau cérébelleux direct. L'observation de Hun ainsi
endraientà l'appui de l'opinion de Van Gehuch- ten qui considère ce faisceau comme destiné au passage des impressions tactil
t supposer avec quelque vraisemblance que ces fibres passent par le faisceau longitudinal postérieur, qui a de nombreuses conn
upilles sont en myosis, la droite plus petite que la gauche; or les faisceaux longitudinaux postérieurs sont atteints, le dro
'observation detlun, déjà citée, les pupilles étaient égales et les faisceaux en question intacts. Quel que soit leur lieu de
étendues que dans le nôtre ; elles englobaient en particu- lier le faisceau cérébelleux direct et les corps restiformes et il
on de trois appareils fort importants : 1° la lésion bilatérale des faisceaux olivo- ciliaires ; 2° la lésion unilatérale du
térale des faisceaux olivo- ciliaires ; 2° la lésion unilatérale du faisceau qui met en rapport le noyau de Deiters avec la
elle ; 3' l'interruption de la .voie centripète consti- tuée par le faisceau de» Gowers. C'est bien évidemment dans ces trois
t intentionnel des membres supérieurs ? Le noyau de Deiters dont le faisceau efférent vers la moelle est sec- lionné, semble
donc qu'on peut attribuer avec quelque vraisemblance à la lésion du faisceau de Marchi, ou faisceau cérébelleux descendant,
er avec quelque vraisemblance à la lésion du faisceau de Marchi, ou faisceau cérébelleux descendant, la latéropulsion et le
tait presque limitée à un côté, c'est en réalité, avec la lésion du faisceau de Gowers, la seule lésion unilatérale que nous
yons constatée dans le domaine des fibres cérébel- leuses. Quant au faisceau de Gowers, faisceau centripète, il est possible
le domaine des fibres cérébel- leuses. Quant au faisceau de Gowers, faisceau centripète, il est possible que son altération
etits grains, lignes qui épousent la direction de l'incurvation des faisceaux de fibres. En somme, c'est au niveau des systèm
complètement : nulle part on n'en trouve de dégénérées... Là où les faisceaux blancs sont le mieux conservés, il y a un grand n
itablement insignifiantes à côté de celles que l'on trouve dans les faisceaux médullaires ascendants, dans la substance grise
ales motrices dépendent de l'activité de l'écorce cérébrale (par le faisceau pyramidal), exécutant les ordres de cette dernièr
28 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sparu; dans la partie exté- rieure du cordon latéral, qu'on appelle faisceau direct du cerve- let, la plus grande partie de
ne dégénéres- cence descendante de certaines fibres, qui forment le faisceau pyramidal du côlé gauche. - La région correspon
ascendante dans la région postérieure du cordon de Goll et dans le faisceau direct du cervelet jusqu'au bulbe rachidien, et d
rect du cervelet jusqu'au bulbe rachidien, et des- cendante dans le faisceau pyramidal latéral. Dans cette opération, ainsi
heureusement rencontré un cas qui m'a conduit dans la bonne voie. Faisceau médullaire. Dans ce cas, le pédoncule cérébral
ans ce cas, le pédoncule cérébral présentait sur sa face interne un faisceau tel- lement saillant qu'il me frappa. Après avo
mamillaires. Espace olfactif postérieur. - En suivant en arrière le faisceau pédonculaire, il allait s'attacher au tubercule
ec cette dernière l'espace perforé postérieur. Les connexions de ce faisceau avec le champ olfactif étaient donc bien établi
, et sais combien il est facile de se tromper en croyant suivre des faisceaux blancs au milieu d'autres. Je laisse à d'autres
'espace perforé postérieur. Je crois cependant y être arrivé : le faisceau peut être suivi assez facilement jusqu'à quelqu
situation des noyaux moteurs par rapport aux noyaux sensitifs. Le faisceau , après avoir traversé la protubérance annulaire
ible. Cette séparation contribue à rendre plus nette l'existence du faisceau compris ainsi entre deux espaces vàsculaires. C
n, depuis que j'ai terminé mon travail, de voir sans préparation le faisceau mamillaire. Des deux côtés, il était représenté
mamillaire dans l'appareil de l'olfaction'. Placé sur le trajet du faisceau médullaire, il est l'ana- logue des renflements
interpé- donculaire, c'est-à-dire très probablement avec les deux faisceaux qui limitent cet espace (5e mois). De plus, on
. Quoique je ne puisse affirmer l'existence du noyau d'origine du faisceau médullaire de l'appareil olfactif, elle ne saur
;' et assez vite par des anato- mistes plus habiles que moi. 1 Le faisceau rachidien ne va pas tout entier au tubercule mami
moelle et le carrefour olfactif sont constitués : 1° par quelques faisceaux qui apparaissent sur la face inférieure du pédo
pédoncule cérébral et qui sont très probablement une émanation du faisceau principal dont quelques fibres ont pénétré dans
quelques fibres ont pénétré dans le pédoncule cérébral; 2° par un faisceau principal qui, prenant son origine sur le planc
eur et se met en relations avec le tubercule mamillaire. Les deux faisceaux réunis, le principal et les fascicules, passent
ale du noyau cérébral » décrit en dedans du pédoncule cérébral deux faisceaux , un postérieur et un moyen, qu'il mène tous deu
p dans son mémoire sur le rattache- ment de l'appareil olfactif aux faisceaux inférieurs des pédon- cules cérébraux. On voit
r le pédoncule cérébral. » LEBIEPF, d'après P. BERGER, signale le faisceau médullaire, ou du moins une partie de ce faisce
ERGER, signale le faisceau médullaire, ou du moins une partie de ce faisceau . Il décrit un faisceau qui partant des cordons
eau médullaire, ou du moins une partie de ce faisceau. Il décrit un faisceau qui partant des cordons antérieurs de la moelle
autres, signalent dans l'espace interpédonculaire la présence d'un faisceau dis- tinct du pédoncule, mais ils ne parlent ni
ubercule mamillaire. Peut-être faut-il ajouter à l'arc rachidien un faisceau de fibres qui, issu aussi des petites masses ga
rieur de cette bande, c'est-à-dire avec les fibres qui viennent du faisceau médullaire juxta-pédonculaire qui est décrit pl
blanche et moins accusée, il est des plus faciles d'en démêler les faisceaux longitu- dinaux, entre-croisés entre eux et cou
actif et le cerveau intermédiaire, ne me serais-je pas trompé ? Ces faisceaux blancs que je décris comme une production à par
e j'avance'. Il est possible, il est probable même, que parmi les faisceaux blancs du straturn zonale, tous n'appartiennent
e l'ai dit; nous verrons plus loin qu'à ce niveau, il entremêle ses faisceaux avec d'autres faisceaux, dont nous aurons à nou
plus loin qu'à ce niveau, il entremêle ses faisceaux avec d'autres faisceaux , dont nous aurons à nous occuper (le faisceau s
sceaux avec d'autres faisceaux, dont nous aurons à nous occuper (le faisceau sphénoïdal), séparé de ces faisceaux par la que
nous aurons à nous occuper (le faisceau sphénoïdal), séparé de ces faisceaux par la queue du noyau caudé qui s'étend beaucou
avec la partie antérieure et externe de la couche optique. Ces deux faisceaux réunis constitueraient l'arc intermédiaire de l
bordant (voir la figure plus loin). 78 ANATOMIE. divise en deux faisceaux . La division principale, qui est la continuatio
et du sillon opto-strié. Toenia. La seconde divi- sion est un petit faisceau , qui, en remontant, va se placer dans le sillon
moins signalé l'existence de celle-ci. GRATIOLET. «... Le second faisceau (le premier est constitué par les Itabenæ) s'ét
essentiellement l'écorce de la couche optique. » « ... Un troisième faisceau , mieux distinct, s'enroule sur le bord externe
che optique, dans un sillon qui la sépare de la couche- optique. Ce faisceau , connu sous le nom de twijia semi-circulaire, b
que le toenia semi-circulaire... ». Gratiolet distingue ainsi un faisceau « qui s'enroule en une membrane mince autour de
llette demi- circulaire. - FOVILLE. « Une partie du prolongement du faisceau postérieur (du pédoncule), facile à suivre jusq
du quadrilatère perforé, tandis qu'une émanation supérieure du même faisceau postérieur se porte dans l'intervalle du corps
tact au-dessus de la commis- sure antérieure; ils fusionnent; leurs faisceaux internes s'entre-croisent de telle façon que le
modernes. Dans quelles proportions se fait l'entre- croisement des faisceaux ? Très approximativement, je l'évalue au tiers
des faisceaux ? Très approximativement, je l'évalue au tiers de ces faisceaux . La fusion est donc intime- au niveau de la par
il y a une apparence de séparation médiane, on trouve un échange de faisceaux plus ou moins nombreux. ' Le chiasma ne s'arr
stérieurs et remplie par des cordes transversales, qui seraient les faisceaux transversaux du corps calleux. Or, cela n'est p
tôt des fibres dont la direction générale est transver- sale. Ces faisceaux de fibres, beaucoup plus fins, plus déliés que
'autres fois, l'entre-croisement est unique- ment représenté par un faisceau plus ou moins large de fibres directement trans
ge de fibres directement transversales. (Voir la fiz ? e 13.) Ces faisceaux émanent, comme je l'ai déjà dit, de l'écorce de
avant derrière les piliers, comme je l'ai indiqué plus haut; et les faisceaux échangés au niveau de la voûte et des piliers a
e. Je dirai aussi qu'une seule fois, il est vrai, j'ai rencontré un faisceau très distinct, émanant d'un pilier, et qui, lon
e circonvolution. J'ajou- terai enfin qu'une autre fois, j'ai vu un faisceau large de trois millimètres 'se détacher de la p
ns de la terminaison du ruban péri-optique, auquel il s'accolait. Faisceau supplémentaire sphénoïdal. A cet appa- reil pri
tripète, j'ai à ajouter une autre voie de communication. C'est un faisceau fibreux qui part de l'extrémité antérieure de l
e l'écorce de la tubérosité du renflement de la corne d'Ammon. Le faisceau , né de cette muraille, se dirige en arrière, sé
NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 87 Î Je reprends le trajet de notre faisceau . Appliqué sur la face inférieure du tapetum, il
le pilier et envoie des fila- ments dans l'intérieur de la lyre. Ce faisceau supplé- mentaire de renforcement pourrait être
septum et, comme on le verra plus loin, la continuité directe du faisceau à faisceau entre le pilier antérieur et la bande
comme on le verra plus loin, la continuité directe du faisceau à faisceau entre le pilier antérieur et la bande diagonale
; mais il en est une autre, supplémentaire probablement. C'est le faisceau sphénoïdal qui, partant du pilier pos- térieur,
ceux des animaux) dans le cer- veau de l'homme, nous voyons que ces faisceaux sont fort petits et en rapport avec le peu de d
t-être. - Je ne m'explique guère la note suivante de Ferré : « Le faisceau qui descend dans la paroi du septum lucidum s'éta
laire, la capsule interne et l'avant-mur. » D'après VICQ D'AZYR, le faisceau originel du pilier antérieur peut être suivi pa
érie des vertébrés est proportionnel à celui de l'hippo- campe. » Faisceau sphénoïdal. - VICQ D'AZYR. «... La concavité de
ndique en effet les fibril- les que je considère comme l'origine du faisceau supplémen- taire sphénoïdal. Les lames de la
épileptogène, il déterminait des accès d'épilepsie en excitant les faisceaux pédonculaires. Aussi l'écorce du cerveau n'étai
l'intelligence ne soit, comme l'enseigne Meynert, une fonction des faisceaux d'association qui unissent d'une manière si com
es lobes cérébraux les plus éloi- gnés' . Il faut surtout songer au faisceau unciforme et au faisceau arqué, qui unissent le
us éloi- gnés' . Il faut surtout songer au faisceau unciforme et au faisceau arqué, qui unissent le lobe frontal aux lobes t
ssent le lobe frontal aux lobes temporal, pariétal et occipital, au faisceau longitudinal inférieur, au faisceau du cingulum
oral, pariétal et occipital, au faisceau longitudinal inférieur, au faisceau du cingulum. Quoique les lobes frontaux et préf
nce grise, elles peuvent aussi intéresser à la fois l'écorce et les faisceaux blancs sous-jacents, mais qu'il est très rare q
ait très faible dans toute cette zone. L'écorce, aussi bien que les faisceaux médullaires, était transformée en un tissu fibr
par des grains de pigment accumulés. En outre, dégénérescence du faisceau pyramidal droit, que l'on suivait dans la capsule
latéraux; par FUEIiSTNEB. (Neurol. Cen- tralbl., 1889.) Quand les faisceaux pyramidaux sont dans les cordons latéraux plus
logique avec histologie. On y trouve deux cas de dégénérescence des faisceaux latéropyrami- daux, six observations de dégénér
ons postérieurs, quatre faits de dégénérescense des deux espèces de faisceaux , un cas d'hydromyélie, soit 5B p. 100 d'altérat
escence de la moitié du nerf optique droit; ici il y a intégrité du faisceau droit non entre-croisé, dans le chiasma et la ban
ou si elle constitue une seconde voie motrice adjacente à celle des faisceaux pyramidaux. P. K. XXIV. DEUX ALTÉRATIONS REMARQ
vants, seuls vrais, d'après lui, I. Il y a plus de deux systèmes de faisceaux ascendants de la moelle au cervelet. D'abord, l
itie des fibres des cordons latéraux. Il. Il existe des systèmes de faisceaux descendants du cervelet. D'a- bord, le faisceau
te des systèmes de faisceaux descendants du cervelet. D'a- bord, le faisceau spinal du pédoncule cérébelleux moyen, qui entre,
5, 107) et les zones voisines de la formation réticulaire. Puis, le faisceau unissant les noyaux du toit cérébelleux avec les
GIE pathologiques. rieures; de ces olives part, vers le cerveau, le faisceau central de la cas lotte de Bechterew qui prend
atéraux. Il s'agirait dans - le cas présent d'une altération de ces faisceaux dans la région dorso-lombaire. Le membre infé
es, dont l'ascendante se localise dans le cordon de Goll et dans le faisceau direct du cer- velet du côté de la section (gau
ion a été coupée toute la moitié gauche de la moelle épinière et le faisceau antérieur du côté droit a été un peu touché (il
té de fibres dans l'angle le plus antérieur et le plus intérieur du faisceau antérieur : donc le cobaye n° 15 qui a subi une h
(la première est destinée à l'ourlet et aux nerfs de Lancisi), à un faisceau qui tantôt passe au-devant de la commissure bla
ère (ce cas m'a paru le plus fréquent), et va à la rencontre d'un faisceau également volumineux qui vient du pilier antéri
is même ils sont directement reliés à ce niveau par des échanges de faisceaux blancs'. 1. - Pour terminer ce chapitre, je n
eurs de la circonvolution godronnée ; le ruban péri-optique et le faisceau sphénoïdal; les pédoncules olfactifs rachidiens
ns par la bande dia ! Jo- nale d'abord avec la moelle prolongée. Un faisceau médullaire, qui prend très probablement son ori
uée par les piliers du trigone (bandelettes olfactives), dont les faisceaux s'entre-croisent en partie (chiasma olfactif).
ties ventriculaires ont lieu précisément entre lui et l'ensemble de faisceaux et de membranes que nous avons présentées comme
Les barbes du calamus sont, non pas, comme le croit Monakow, des faisceaux secondaires de l'auditif, mais des trousseaux qui
u même côté, dans la substance blanche de laquelle ils forment deux faisceaux séparés. M. BAGINSKY. Note sur la coloration de
t entraîne une dégénérescence secondaire de la couche optique et du faisceau latéral du pédoncule cérébral. Le mémoire sera
le produit de décomposition des fibrilles. P. KERAVAL. XXXII. Du FAISCEAU ANORMAL DU BULBE DE HENLE ET PICE; parK. SCDAF-
FAISCEAU ANORMAL DU BULBE DE HENLE ET PICE; parK. SCDAF- FER. - Des faisceaux anormaux du bulbe; par P. I(noNTUAL. (Neurol. C
I(noNTUAL. (Neurol. Centralbl., 1890.) Tout ce que Pick a dit du faisceau de Henle et du sien est vrai, excepté quant à l
isceau de Henle et du sien est vrai, excepté quant à l'origine. Son faisceau vient non des derniers ves- tiges des cordons l
ite des fibres arciformes postéro-externes qui viennent du noyau du faisceau de Goll, il reçoit des fibres émanées du noyau
noyau du faisceau de Goll, il reçoit des fibres émanées du noyau du faisceau de Burdach. Voici des coupes du bulbe d'un indi
thal.) Au milieu du noyau d'origine de l'hypoglosse ressorlent deux faisceaux (techniques de Weigert) cylindriques. Le plus v
ation plus profonde dans la substance nerveuse. Plus haut, ces deux faisceaux se rapprochent et fusionnent en un cordon dont
nt à divers systèmes : Il 0 ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. A. Des faisceaux de fibres blanches fines allant au ruban de Reil
THOLOGIE MENTALE. 411 et peut-être aussi des fibres qui coupent les faisceaux de la cou- ronne rayonnante. Endartérite circon
ostérieurs des deux côtés. Atrophie excessive du noyau d'origine du faisceau grêle du côté opposé; atrophie marquée de la gr
loppement. Les insulas ne sont qu'incom- plètement recouvertes; les faisceaux pyramidaux sont, des deux côtés, dans le bulbe,
Max Simon, 442 ; - Les morphinomanes, par Guimbail, 443. Bulbe, faisceaux anormaux du , par Schaffer, Kronthal. 399. Bu
29 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ONDAIRES DE LA MOELLE; Par le D Mabtial HUBLÉ La connaissance des faisceaux moteurs, notamment celle du faisceau pyramidal,
l HUBLÉ La connaissance des faisceaux moteurs, notamment celle du faisceau pyramidal, a été remarquablement éclairée par l
ard, Flechsig, Brissaud, etc., sont arrivés à suivre entièrement ce faisceau dans sa distribution. C'est à l'appui de ces po
en avons observé : 1 G. Le Blat. Rech. anatom. et cliniques sur le faisceau sensitif. DES ZONES cérébrales motrices. 33 1
sphère, produisent ordinai- rement des dégénérations secondaires du faisceau pyramidal. On explique plus facilement encore q
qzie); lésion dégénérative secon- duire du pédoncule cérébral et du faisceau pyramidal correspon- dant ; hémiplégie motrice
évidemment prises de dégé- nération secondaire. La lésion occupe le faisceau pédonculaire moyen qui, parsa couleur gris-perl
e distingue de la façon la plus nette du tissu nerveux environnant ( faisceaux interne et externe) : l'altération semble toute
ne) : l'altération semble toutefois empiéter sur quelques fibres du faisceau interne; elle affecte une forme régu- lière, un
anche des hémi- sphères sont le trajet et le rôle physiologique des faisceaux nerveux constitués par l'épanouissement des péd
, si l'on se rappelle que, plus loin encore que cette capsule, « le faisceau pyramidal peut être poursuivi jusque dans l'épa
ulbo-spinal, par l'inter- médiaire du trajet intra-encéphalique des faisceaux pyramidaux. Important donc est le fait de l'int
même titre que les myélites primitives des cordons latéraux ou des faisceaux de Tiirck) ; 5° Qu'une lésion en foyer du centr
respectant la capsule interne, une dégénérescence bien constatée du faisceau pyramidal, ce qui est plus fréquent lors- qu'il
subaiguë avec quelques altérations des cornes postérieures ou des faisceaux radiculaires postérieurs. P. K. 78 revue DE pat
l'intermédiaire des tractus nerveux dont le trajet se fait dans le faisceau pyramidal ou par leur passage dans les voies co
le ganglion médian du tubercule mamillaire, d'où part un se- cond faisceau qui, confondu pendant une certaine étendue avec
cond faisceau qui, confondu pendant une certaine étendue avec le faisceau de Vicq d'Azyr, affecte un trajet médian par rapp
re dans l'étage supérieur des pédoncules cérébraux (calotte) : Ce faisceau de la calotte des tubercules mamillaires ne doit
alotte des tubercules mamillaires ne doit pas être confondu avec le faisceau de la calotte de Meynert nommé par de Gudden pé
que l'on peut suivre à la base de l'encéphale, en arrière, entre le faisceau de Meynert et le pédoncule cérébral. Enlevez un
ez un hémisphère cérébral à un lapin, vous obtiendrez l'atrophie du faisceau de l'hémisphère qui se rend au tubercule antéri
hémisphère qui se rend au tubercule antérieur de la couche optique, faisceau dont le trajet n'est pas encore empreint d'une
oupe de cellules nerveuses du tubercule antérieur correspondant, du faisceau de Vicq d'Azyr, du ganglion médian du corps mam
isceau de Vicq d'Azyr, du ganglion médian du corps mamillaire et du faisceau de la calotte qui en part. Mais l'ablation d'un
sans le corps strié, n'entraîne jamais la dispa- rition de tout le faisceau de Vicq d'Azyr, notamment dans le voi- sinage i
Archives, t. XL 7 98 SOCIÉTÉS SAVANTES. Irai postérieur dépend du faisceau deVicqd'Azyr, il disparait avec ce dernier. Mai
al antérieur, qui en est indépendant, persiste; il est le centre du faisceau de la calotte qui demeure conservé pour cette r
e qui demeure conservé pour cette raison. Pour faire disparaître le faisceau de la calotte, il faut, après avoir énucléé un
rronée. Après l'ablation d'un hémis- phère, disait M. de Gudden, le faisceau de la calotte s'atrophie aussi, il n'en reste q
lle du nerf lui-même. Le ganglion ventral postérieur meurt après le faisceau de Vicq d'Azyr correspondant; celui de l'autre
trophie parallèle des trous- seaux de fibres correspondantes de son faisceau de la calotte. Par conséquent, le faisceau de l
s correspondantes de son faisceau de la calotte. Par conséquent, le faisceau de la calotte du corps mamillaire est au milieu
ceau de la calotte du corps mamillaire est au milieu par rapport au faisceau de Vicq'd'Azyr, il accompagne ce dernier pendan
long trajet, puis s'infléchit en arrière ets'en- trecroise avec le faisceau de Meynert,qui unit le ganglion del'habe- nula
udden'. Il n'est pas exact, comme l'avait annoncé de Gudden, que le faisceau de Meynert soit croisé sur le côté par le faiscea
e Gudden, que le faisceau de Meynert soit croisé sur le côté par le faisceau de la calotte ; l'entrecroisement a lieu sur la
ticales et transversales d'encéphales de la- pins, on voit ces deux faisceaux , s'avançant en arrière entre les faisceaux de M
pins, on voit ces deux faisceaux, s'avançant en arrière entre les faisceaux de Meynert, laisser de côté les racines de l'ocul
commun, subir un commencement de dissociation lissurale de par les faisceaux d'entre-croisement à la calotte, former une série
s assez volumineux placés à côté du raphé, sur la face ventrale de» faisceaux longitudinaux postérieurs. Dans la même région,
longitudinaux postérieurs. Dans la même région, mais sur le dos du faisceau longitudinal postérieur, il y a deux ganglions
récité entraine la mort du gan- glion placé sur la face ventrale du faisceau longitudinal posté- rieur, en arrière du grand
ère du grand entrecroisement de la calotte ; en même temps meurt le faisceau de la calotte. L'ablation d'un hé- misphère cér
ntérieure de la couche optique, détermine l'atrophie des tractus du faisceau de la calotte situés inférieurement, ainsi que
ue de la portion ventrale du ganglion qui occupe le plan ventral du faisceau longitudinal postérieur. (Voyez supra l'atrophie
Gudden propose de donner son nom au ganglion situé sur le ventre du faisceau longitudinal postérieur ; le faisceau de la cal
nglion situé sur le ventre du faisceau longitudinal postérieur ; le faisceau de la calotte, dont le commencement avait du rest
Quant aux piliers antérieurs du trigone, ils se composent de trois faisceaux : un inférieur(postérieur) entrecroisé ; un latér
ésente des anomalies uniques constituées gi-osso )a0(GO par d'épais faisceaux de fibres affectant d'abord une direction trans
ci existe une aire claire, sorte d'éventail constitué par de larges faisceaux de fibres nerveuses transversales qui, en ellet
, trigone) présente une lacune très prononcée, le développement des faisceaux pyra- midaux et des cordons de Goll souffre un
ait sem- blable à celle qu'on observe dans des cas de lésions des faisceaux latéraux de la moelle épinière. Cette tré- pida
use ou incomplètement systématisée qu'avec celle d'une sclérose des faisceaux postérieurs; mais les autres symptômes et la ma
u de les tous réunir (comme nous essayons de le faire) en un seul faisceau . C'est du reste un travail beaucoup plus ana- t
pposé, fournissant ainsi à la moitié nasale de la rétine : c'est le faisceau croisé. L'autre, pluspetite, ne s'entre-croise
ême côté, fournissant à la moitié temporale de la rétine : c'est le faisceau latéral. Chaque rétine reçoit dans des fibres n
e nerf optique contient des fibres destinées aux deux rétines. Le faisceau interrétinien d'Hanover est purement imagi- nai
ultanément sur les côtés du chiasma, produira, en altérant les deux faisceaux latéraux, l'hémianopsie nasale dans les deux ye
ra l'hémianopsie temporale dans les deux yeux, en altérant les deux faisceaux croisés. 7. Toutes ces lésions peuvent s'accomp
tion pariétale ascendante. Elle avait pénétré de façon à léser le faisceau optique dans son trajet vers le coin (fig. 1). ).
centes au sujet de la localisation du centre visuel cortical et des faisceaux blancs en connexion avec lui ? Les idées de Mun
e d'un centre visuel cortical dans le gyrus angularis. C'est que le faisceau optique de Gratiolet et Wernicke, dans son traj
même du lobule pariétal inférieur, atteint presque certainement le faisceau optique et coupe ainsi toute communication entr
dinale, après durcissement dans le bichromate de potasse, montre le faisceau optique visible sous l'aspect d'une bande blanc
nale peuvent aisément pénétrer assez profondément pour altérer ce faisceau . Il me semble qu'avec ces données anatomiques,
a rétine aux centres visuels représente une seconde décussation des faisceaux laté- raux à travers les tubercules quadrijumea
t accompli un certain trajet dans la capsule interne, les fibres du faisceau latéral croisent encore la ligne médiane de faç
nt dans la substance blanche de la portion occipitale du cerveau un faisceau homo- gène qui passe le long des fibres du corp
S., nerf optique gauche.-N. 0. 17., ncif optique droit. - F. C. S., faisceau croisé gauche. - F. C. 1)., faisceau croisé dio
cif optique droit. - F. C. S., faisceau croisé gauche. - F. C. 1)., faisceau croisé dioit. - C.. chiasma ou décussation des fa
- F. C. 1)., faisceau croisé dioit. - C.. chiasma ou décussation des faisceaux croi- sés. - T. 0. 1). , bandelette optique dro
e, le coi l)s geiiotiillê latéral et le pulvinar d'un coté. - F. 0. faisceau optique de Gratiolet dans la capsule interne. C.P
evra se contracter à la lumière, lorsqu'il y aura interruption d'un faisceau optique. Il désigna ce fait sous le nom de « réac
la lésion de la partie postéro-latérale de la couche optique ou du faisceau postérieur de division de la capsule interne.
us-jacente, pénétrant assez profondément pour léser ou comprimer le faisceau optique dans son trajet en arrière vers le cent
pressé, ne répond pas, mais se contracture par le frottement de son faisceau sternal ou claviculaire; les membres supérieur
es A la connaissance des VOIES d'union DU CERVELET ET au trajet DES faisceaux grêles ET cunéiformes; par P. EJAS (i1'Ch. f. P
nte-quatorzième jour après l'extraction du cordon grêle droit et du faisceau cunéiforme du même côté à la hauteur de leurs n
u même côté à la hauteur de leurs noyaux : ablation complète de ces faisceaux , presque complète de leurs noyaux ; 2° rat tué
cule cérébelleux inférieur. Proviendrait principalement du noyau du faisceau cunéiforme. 11 est en tous cas probable que certa
tre le cervelet et le cerveau, on ferait mieux de penser aux autres faisceaux , au pédoncule cérébelleux moyen ; mais l'expérien
pêchent tout autre atrophie au sein de ce pédoncule. B. Trajet du faisceau grêle. Il prend part à la formation des cordons
formation des cordons postérieurs d'une façon plus saillante que le faisceau cunéiforme. 11 prend une part importante à la f
possible d'en déterminer la quotité. Les mêmes fibres arciformes du faisceau grêle et leurs prolongements dans la couche int
édiaire des olives s'atrophient, et après l'extirpation du noyau du faisceau grêle et après l'extirpation de l'écorce du lobe
s dès qu'on a dépassé le corps trapézoïde. Les libres arciformes du faisceau grêle ne sont pas en connexion avec les olives
e sont pas en connexion avec les olives inférieures. C. Trajet du faisceau cunéiforme. Il ne participe pas à la formation
formation du corps restiforme. La partie supérieure du noyau de ce faisceau donne naissance à la partie interne du pédoncul
partie interne du pédoncule cérébelleux inférieur. Les rapports du faisceau cunéiforme et du noyau de Dehors (externe de l'a-
est en relation avec le cordon latéral. il est très probable que le faisceau cunéiforme possède des fibres commissurales lon
de rien dire quant aux relations de ces dernières avec le noyau du faisceau en question : nous tendrions à REVUE D'ANATOMIE
PHYSIOLOGIE. 237 rejeter cette dernière connexion-là. Les fibres du faisceau cunéiforme ne sont pas en connexion avec les ol
es centres optiques primaires, la zone As plus de rapports avec les faisceaux du nerf optique entrecroisés, la zone A2, avec
ec les faisceaux du nerf optique entrecroisés, la zone A2, avec les faisceaux du nerf optique non entrecroisés; la zone A' est
recroisés; la zone A' est pro- bablement en connexion avec les deux faisceaux d'une manière assez égale. L'atrophie des centr
ne de la sphère visuelle entraîne l'atrophie de toute l'étendue des faisceaux conducteurs jusqu'au nerf op- tique sans intére
oyaux des nerfs crâniens, sinon tous, reçoivent d'autres tractus du faisceau longi- tudinal postérieur. Jusqu'au septième mo
tudinal postérieur. Jusqu'au septième mois de l'époque foetale, ce faisceau ne peut être suivi en avant, sur les côtés du tro
ces fibres affectent une direction latérale et inférieure); avec le faisceau longitudinal postérieur,ainsi qu'avec des fibre
es ainsi atrophiés sont assez abondants, et constituent parfois des faisceaux entiers. A côté de ces fibres, il en est d'autr
on des cellules, l'irritation ainsi provoquée peut descendre par le faisceau pyramidal et arriver aux racines antérieures :
qu'elles doivent être rapportées à l'excitation des irradiations du faisceau pyramidal au niveau du foyer de ramollissement.
aires, par la dispa- rition parfois complète de la myéline dans les faisceaux scléro- rés, la sclérose tabétique se rapproche
psychoses, 443. Face (tic de la et élongation du facial), 441. Faisceaux grêles et cunéiformes, 234. Folie aiguë morte
éjerine, 78. MY% me, par Harhnann, 84. Nerfs crâniens (trajet des faisceaux centraux des), par Edinner, 313. Nerveux (str
30 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
ésion siège soit sur les circonvolutions ro- landiques, soit sur le faisceau moteur qui partant de ces centres se dirige ver
isphérique est toujours du côté opposé à l'hémiplégie, parce que le faisceau moteur cérébral s'entrecroise au niveau du bulbe
le pathétique). Or, au niveau des noyaux de ces nerfs se trouve le faisceau moteur cérébral, ou faisceau pyramidal qui n'a
u des noyaux de ces nerfs se trouve le faisceau moteur cérébral, ou faisceau pyramidal qui n'a pas encore effectué son entre
protubérance ou du bulbe, peut donc tout à la fois intéresser et le faisceau pyramidal non encore en- trecroisé, et l'un des
tantes, on pourra rencontrer, soit : dans le bulbe, une lé- sion du faisceau pyramidal non encore entrecroisé, et du nerf hypo
intra-bulbaire ; dans la protubérance, une lésion intéres- sant le faisceau pyramidal et le noyau ou le nerf du facial, ou en
externe ; dans le pédoncule, une lésion atteignant simultanément le faisceau pyramidal (le pied) et le nerf moteur oculaire
a lésion siège dans le bulbe, au niveau des olives, et intéresse le faisceau pyramidal et l'hypoglosse ? L'observation d'un
laissant subsister que quelques vestiges de l'olive, intéressant le faisceau pyrami- dal et coupant dans leur trajet intra-b
faisceau pyrami- dal et coupant dans leur trajet intra-bulbaire les faisceaux de l'hypo- glosse. (Fig. 2, 3, Il..) L'examen
à la lésion, c'est-à-dire une hémiplégie droite, puisque c'était le faisceau pyra- midal gauche qui était lésé au-dessus de
oyer de ramollissement dans la région olivaire gauche, intéressant le faisceau pyramidal et les fibres de ^hypoglosse (cas de
ns la partie inférieure de la protubérance atteint simultanément le faisceau py- ramidal (qui s'entrecroise à la partie infé
et inférieur, sont paralysés du côté opposé à la lésion, puisque le faisceau pyramidal ne s'entrecroise qu'au-dessous de cet
compressive ou destructive atteigne dans le pied du pédon- cule le faisceau pyramidal, il vous sera très facile de concevoir
ques auteurs ont revendiqué ces faits pour prouver l'existence d'un faisceau spécial, qu'ils dénommaient faisceau de l'aphas
pour prouver l'existence d'un faisceau spécial, qu'ils dénommaient faisceau de l'aphasie, et dont les fibres partant de la
de l'aphasie mo- trice dans ces cas, de même que je n'admets pas ce faisceau spécial de l'a- phasie ; je pense que lorsqu'il
llatérales dans la partie antérieure des bande- lettes optiques, le faisceau spécial de niveau, a pu avoir ses fonctions sus
DE WEBER AVEC lIÉnLIOPIE PERMANENTE 15 suspension de la fonction du faisceau de la macula et donner lieu à l'ab- sence tempo
profonde, il a égale- ment comprimé la substance blanche, dont les faisceaux étaient aplatis, mais non détruits. Ce corps du
' constituant des centres distincts et séparés ? Je ne connais pas un faisceau d'observations anatomo-cliniques bien démonstra
raisemblable que le lobe pariétal est surtout en connexion avec les faisceaux du sens musculaire» (1). Notre observation est
ction, d'association ou commissurales), mais qu'ils constituent des faisceaux mixtes. En face de l'aulorité incontestée qui s
la 90 o CE. ACIIARD ET L. LÉ VI corne postérieure, les fibres du faisceau réfléxo-moteur, ainsi que les collaté- rales du
es. Les lésions sont en outre disséminées dans la partie moyenne du faisceau de Bur- dach et dans le cinquième du champ post
commissurale devenue plus externe, la partie moyenne et interne du faisceau de Burdach, enfin une couche de fibres limitant
nféi ieiue. Sclérose des zones de Lissauer, de la partie moyenne du faisceau de Burdach, et du 5* du champ postéro-interue. Lé
servées : la zone cornu-commissurale, la partie interne et moyenne du faisceau de Burdach. C. (Méthode de Pal.) Région cervi
upe, qui donne lieu à des bifurcations, émanent les collatérales du faisceau réflexo-moteur de cet auteur. Nous venons de vo
de l'enfance; on lit aisément sous la peau leurs insertions, leurs faisceaux , leurs reliefs el les méplats qui les séparent.
; le muscle s'épaissit ainsi, augmente de volume, et ses différents faisceaux sont comme submergés dans un tissu embryonnaire
ilieu de la por- tion musculaire envahie, on voit çà et là quelques faisceaux restés intacts ; d'autres fois le muscle est at
tissu intermusculaire ; celui-ci apparaît d'abord élargi entre les faisceaux dis- joints, plus loin il perd de plus en plus
aisseur et finalement il se résout en fines ramifications entre les faisceaux musculaires devenus, eux, de plus en-plus épais
ns la zone transitoire, un périmysium externe élargi aux dépens des faisceaux musculaires ; les fibres musculaires elles- mêm
llules embryonnaires nombreuses par la prolifération desquelles les faisceaux tendineux semblent pressés les uns contre les aut
mme nous l'avons vu plus haut, elles sont dues à l'étranglement des faisceaux musculaires par le tissu con- jonctif rétractil
s sont fixés dans l'extension par transformation d'un des puissants faisceaux qui entre dans la composition du quadriceps : l
sence de reproduction une fois leur ablation opérée, constituent un faisceau de traits propres aux exostoses ostéogénidues, qu
omoplates écartés de la ligne médiane, et limitée, en haut, par les faisceaux inférieurs du trapèze, également ossifiés, de sor
veau du cordon de Goll et dans les cordons antérieurs, au niveau du faisceau de Turck. ' NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRI
existe une légère sclérose au niveau de la région qu'occuperait le faisceau pyramidal croisé, mais là la sclérose est moins a
fibres saines. Dans les cordons latéraux il existe une sclérose du faisceau pyramidal croisé. (PI. XXII, D.) Région dorsale
téraux, la lésion est plus diffuse ; elle occupe le terri- toire du faisceau pyramidal croisé, celui du faisceau cérébelleux d
elle occupe le terri- toire du faisceau pyramidal croisé, celui du faisceau cérébelleux direct, mais moins marquée dans ce
' - Dans les cordons antérieurs, on constate une sclérose nette du faisceau py- ramidal direct. Les cellules de la corne
a zone radiculaire antérieure possède beaucoup de fibres saines. Le faisceau pyramidal direct est très altéré et la sclérose p
très altéré et la sclérose paraît se prolonger sur le territoire du faisceau de Gowers. (PI. XXI, B.) Bulbe. Sclérose des no
sacrée la région cervicale supérieure, occupant les territoires des faisceaux pyramidal croisé, cérébelleux direct et faiscea
s territoires des faisceaux pyramidal croisé, cérébelleux direct et faisceau pyramidal direct : peut-être même, à la région
dal direct : peut-être même, à la région cervicale, atteint-elle le faisceau de Gowers ? " ! C'est là un cas de Maladie de F
celles que l'on ren- contre ordinairement, bien que la sclérose du faisceau de Turck ne soit pas signalée dans tous les cas
deux racines) sur une section transversale, on distingue un ou deux faisceaux constitués entièrement par des fibres grosses qui
quement les prolongements de la racine antérieure; à côté, d'autres faisceaux composés de fibres grosses et petites et provenan
re on ne voit que des os et le long de la ligne médiane courent des faisceaux qui commen- cent entre les os frontaux et s'att
icroscopique du cerveau, on constata un manque pres- que complet de faisceaux pyramidaux. C'est Flechsig, qui le premier sign
ff décrit dans un cas d'anencéphalie un* arrêt de développement des faisceaux antéro-latéraux et aussi de la grande cérébelle
qu'elle ne l'aurait dû être eu égard à de l'enfant ; puis, dans le faisceau pyramidal croisé nous avons observé une fissure
t l'existence de la fissure dans la moelle épinière, à l'endroit du faisceau croisé (PI. XXIV. C). Un fait très intéressant
connexion entre la cellule pyramidale de l'é- (1) Van GEIIUCIITEY, Faisceau pyramidal et maladie de Little. Journal ne Neurol
ew. 8, ruban de Reil. - 9, racines inférieures des trijumeaux.- 10, faisceaux pyramidaux (Raymond, Cliniques des maladies du
sales. Il existe des travées épaisses de tissu conjonctif entre les faisceaux secondaires et ter- tiaires. En outre, par plac
ullaire en rapport avec une ankylose du genou intéressait aussi les faisceaux blancs. (1) Vaslaib, Altérations nerveuses comp
; la diminution de volume portait à gauche et sur l'olive et sur le faisceau sous-olivaire. Pour expliquer les atrophies de
partie moyenne est complète; il ne reste de chaque muscle que deux faisceaux : l'un costal supérieur et claviculaire, horizont
ortement soudée au reste du cerveau ; on en voit la preuve dans ces faisceaux fibreux épais qui recouvrent les couches optiques
provoquer l'hydrocéphalie dans ces cas, on devra considérer que les faisceaux fibreux qui vont du tronc cérébral vers la surf
fais- ceau pyramidal ne sont pas encore recouvertes de myéline. Ce faisceau offre l'aspect d'une bande claire située au mil
ns antérieurs. Dans notre cas, chez l'enfant qui a vécu 4 jours, le faisceau pyramidal qui aurait dû apparaître nettement, m
urait dû apparaître nettement, manquait complètement. A la place du faisceau pyramidal du cordon latéral, nous trouvons de deu
la périphérie vers la profondeur et limitée exté- rieurementpar le faisceau cérébelleux du cordon latéral. Nous reviendrons
uent tout à fait; à leur place apparaissent seulement les noyaux du faisceau de Burdach, la racine spinale du trijumeau, la
don latéral, la racine spinale du trijumeau, le nerf hypoglosse, le faisceau longitudinal posté- rieur, le noyau central inf
le nerf hypoglosse, le noyau olivaire, les olives accessoires, les faisceaux longitudinaux postérieurs, le noyau central inf
F bral en deux étages la calotte et la base, on n'y trouve point de faisceaux accessoires disséminés (PI. XLIV, T) ; en outre
iques étaient très peu développées, outre qu'il ne possédait pas de faisceaux accessoires disséminés, le ruban de Reil princi
(Cas I), le ruban de Reil principal était bien développé, mais les faisceaux disséminés manquaient; le faisceau interne de la
était bien développé, mais les faisceaux disséminés manquaient; le faisceau interne de la couche du ruban de Reil, manquait
u pédoncule, comme nous l'avons déjà men- tionné, manquent aussi.Le faisceau accessoire du ruban de Reil et les fais- ceaux
de l'entrecroisement des neifs pathétiques. Absence de pyramides, des faisceaux disséminés et accessoires, du faisceau interne
. Absence de pyramides, des faisceaux disséminés et accessoires, du faisceau interne accessoire de la couche du ruban de Keil.
° le ruban de Reil peu développé, ouplus exactement, l'absence du faisceau interne de la couche du ruban de Reil et de ses f
absence du faisceau interne de la couche du ruban de Reil et de ses faisceaux acces- soires (le ruban de Reil principal et la
fibres qui unissent le pont de Varole au cerveau) et l'absence des faisceaux disséminés de la couche du ruban de Reil et des
sence des faisceaux disséminés de la couche du ruban de Reil et des faisceaux internes accessoires. Passant maintenant à l'ex
eurs et latéraux, ils n'avaient de myéline que sur leurs bords ; le faisceau pyramidal du cordon latéral n'était pas dévelop
ulement, les cordons postérieurs sont plus accusés, on voit ici les faisceaux de Goll et le faisceau de Bur- dach. Les faisce
térieurs sont plus accusés, on voit ici les faisceaux de Goll et le faisceau de Bur- dach. Les faisceaux pyramidaux latéraux
on voit ici les faisceaux de Goll et le faisceau de Bur- dach. Les faisceaux pyramidaux latéraux et antérieurs manquent, ainsi
insi que la voie cérébelleuse directe et la racine du trijumeau, le faisceau fon- damental du cordon antérieur et du cordon
riphérie cette membrane était recou- verte de myéline. En outre les faisceaux antérieurs pénétraient des deux côtés dans la m
e ? ti ornement atrophiée. d. Cas 1-. Moelle allongée. Absence des faisceaux de Goll, des pyramides, des olives, de la voie
nerf trijumeau, les voies cérébel- leuses des cordons latéraux. Le faisceau de Burdach et le faisceau fonda- mental du cord
cérébel- leuses des cordons latéraux. Le faisceau de Burdach et le faisceau fonda- mental du cordon latéral et antérieur pe
s, du système frontal et du système temporal du pont de Varole, des faisceaux dissémi- nés de la couche du ruhan de Reil et d
le, des faisceaux dissémi- nés de la couche du ruhan de Reil et des faisceaux internes accessoires. II. Si le processus morbi
e épinière seulement et nous ne trouvons dans celle dernière que le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral et les cor-
ntre certains troubles nerveux et les lésions dés divers centres ou faisceaux dont se compose la moelle. Jusque- là, on se bo
allant du rachis au bord spinal du sca- pulum, vestiges de quelques faisceaux musculaires trapéziens (PI.XL VIII,E. F.), A no
un sillon profond, large d'un travers de doigt environ, parallèle au faisceau claviculaire et allant du rachis à l'acromion ;
culaire et allant du rachis à l'acromion ; il est dù à l'atrophie des faisceaux acromiaux du trapèze. - (Dans l'élévation du br
éforma- tion manifeste, caractérisée à droite par la disparition du faisceau inférieur du trapèze et la saillie nette du rho
eau de la région lombaire. Au niveau du cou, on voit une saillie du faisceau claviculaire du trapèze qui se contracte énergi
re du mastoïdo-huméral s'unit au trapèze supérieur dont il forme le faisceau occipito-claviculaire. Quant au trapèze inférieur
nique que la partie de la branche externe du spinal, qui innerve le faisceau acromial du trapèze provient des bran- ches du
des bran- ches du plexus cervical. Quand le spinal est paralysé, ce faisceau reste in- tact, ce qui suffit, ajoute-t il, à e
lysie de la por- tion moyenne du trapèze. cc Lorsqu'à l'atrophie du faisceau inférieur du trapèze, di t Duchenne (1), et des
trophie du faisceau inférieur du trapèze, di t Duchenne (1), et des faisceaux qui s'attachen à il la moi Lié in telï1e de l'é
t tellement vrai « qu'il suffit de la conservation d'une portion du faisceau acromial du tra- pèze pour empêcher ce mouvemen
me l'a montré Duchenne qui en explique ainsi le mécanisme : 1° Le faisceau du deltoïde, qui va de l'empreinte deltoïdienne l
ue de dehors en dedans et d'avant en carrière. En se contractant ce faisceau fera donc tourner l'omoplate sur un axe vertical
antpar l'angle externe, et écarter son bord spinal du thorax. 2° Le faisceau du deltoïde qui va de l'empreinte delloïdienne à
si oblique de bas en haut et de dedans en dehors. Autrement dit, le faisceau deltoïdien qui s'insère à l'épine du scapulum t
rd spinal fixé contre la paroi thoracique, se trouve para- lysé, le faisceau deltoïdien en question, privé de son antagoniste,
normalement, sur l'angle inférieur du scapulum, en sens inverse du faisceau acromial du deltoïde. Si le muscle grand dentelé
raison de cette différence est facile à comprendre. D'une part, le faisceau deltoïdien qui s'insère à l'épine de l'omoplate s
t dans l'élévation en avant que dans l'élévation en de- hors, Or ce faisceau a pour fonction de faire tourner le scapulum sur
e premier cas. D'autre part, dans l'élévation du bras en dehors, le faisceau acromial du deltoïde agit avec plus de force qu
me paraît moins connu, c'est la contraction indépendante des divers faisceaux d'un même muscle. Ces contractions dissociées p
ïdes dans un cas de chorée variable. A. Courbes des contractions du faisceau antérieur du deltoïde droit. - B. Courbes des con
aisceau antérieur du deltoïde droit. - B. Courbes des contractions du faisceau postérieur du même muscle C. Métronome battant
oi thoracique et fait saillie sous la peau. En appliquant sur les faisceaux antérieurs et sur les faisceaux postérieurs du
us la peau. En appliquant sur les faisceaux antérieurs et sur les faisceaux postérieurs du deltoïde un tambour myographique
peut se rendre compte de l'alternance des contractions de ces deux faisceaux (Fig. 1), qui provoquent des déplace- ments ano
accès aux deux deltoïdes, et la discor- dance des contractions des faisceaux de ces muscles. On peut trouver la preuve de l'
lysie du grand dentelé. La contraction, indépendante des différents faisceaux des muscles, n'est qu'un cas particulier, en so
ales, en avant et en bas, qui correspondent au grand dentelé et aux faisceaux du grand dorsal DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRE
son volume ; on en enlève une portion. 10 jours après, on enlève le faisceau musculaire très douloureux du grand dorsal gauc
. La tête est attirée en avant et sur le côté par la contracture du faisceau claviculaire du trapèze et par une cyphose de l
a; mais ce schéma n'a rien d'artificiel, chaque ligne y résumant un faisceau de lignes naturelles. De ta l'impression de la
31 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- cessus pathologique qui se poursuit. Dans ce cas peu importe le faisceau et la localisation; le tube nerveux est le même
n se retrouvait avec des caractères semblables, plus loin, dans des faisceaux atteints de dégénérescences descendantes. La
sans atteindre la substance grise. Dégénéres- cence ascendante des faisceaux de Goll, de Gowers, et antérieurs; dégénérescen
x de Goll, de Gowers, et antérieurs; dégénérescence descendante des faisceaux pyramidaux. Peut-être s'agit-il d'une infection
était impossible. Le forceps minor était complètement détruit, le faisceau optique était en grande partie ramolli et dégénér
ero-ex- terne et complètement dégénéré dans sa partie médiane. Le faisceau longitudinal inférieur est aussi ramolli dans ses
dinal inférieur est aussi ramolli dans ses parties postérieures; ce faisceau important d'association est presque com- plètem
sur les coupes antérieures, mais elle présente une atrophie de ses faisceaux . Le fornix gauche présente des signes de dégéné
cation du territoire visuel gauche avec le droit qui est intact. Le faisceau longitudinal inférieur qui établit une communic
rectaux; jamais d'ataxie. L'autopsie révèle : une dégénérescence du faisceau latéral gauche et du faisceau anté- rieur droit
topsie révèle : une dégénérescence du faisceau latéral gauche et du faisceau anté- rieur droit dans les pyramides; un foyer
ptique. Le système des fibres, qui relève de celle-ci, contient des faisceaux excitateurs et coercileurs; ils servent à transme
s, soit par arrêt d'excitations modéra- trices, soit par action des faisceaux et centres excitateurs des pleurs. P. Keraval.
l'auteur, dégage des effluves sédatives. On peut aussi employer un faisceau de chiendent qui donne une médecine sociale. 11
n cas pareil. Il avait constaté dans son observation la lésion 'des faisceaux de Goll, dans la moelle épinière ainsi que dans
petites hémorragies. M71llç.in constata dans son cas une lésion de faisceaux pos- térieurs, surtout auprès de la périphérie
fut constaté le développement très fort du tissu conjonctif dans le faisceau de Goll. Dans l'ouvrage de M. le professeur Koj
de Goll, la zone marginale de Lissauer, la voie cérébelleuse et le faisceau de Gowers contenaient le plus grand nombre des
Quant au quatrième cas, la lésion était plus remarquable dans le faisceau de Burdach, dans celui de Goll et dans la zone
ion de la portion interne des cordons posté- rieurs qui se nomme le faisceau de Goll. Un regardant sous divers grossissement
eté des esquisses des cordons de Goll dépend encore de ce que les faisceaux de Burdach sont lésés dans le renflement cervical
t cervical très peu comparativement à la région lombaire. Dans le faisceau de Burdach, la région qui est adjacente aux rac
ons microscopiques traitées par la méthode de Weigert la lésion des faisceaux de Goll se remarque aussi, bien qu'elle ne soit
es colorées par le carmin, de la région du renflement cervical, les faisceaux de Goll ont nue autre coloration que le reste d
aux et une congestion. Nous observons ce tableau seulement dans les faisceaux de Goll, Fit. 16. Région cervicale. Prépara
Marchi et prises de la région au-dessus du renflement cervical, les faisceaux de Goll ont souffert tout autant que ceux du re
ont souffert tout autant que ceux du renflement cervical. Dans les faisceaux de Burdach, la quantité des fibres dégénérées est
ach, la quantité des fibres dégénérées est plus grande que dans les faisceaux antérieurs et latéraux. A la périphérie de la m
périphérie de la moelle épinière, plus près du bord extérieur du faisceau dégénéré de Goll que de l'entrée de la racine pos
ulus g1'acilis. Cette dernière est. la continuation de la lésion du faisceau de Goll. Les fibres dégénérées pénètrent à tout
térieurs que la portion antéro-interne ; dans la région dorsale les faisceaux posté- rieurs sont altérés plus également et da
ns l'intumescence cer- vicale et plus haut ont souffert le plus les faisceaux de Goll et leur continuation immédiate dans le
e de la portion externe des cor- dons postérieurs, c'est-à-dire des faisceaux de Burdach, n'est pas égal sur les différentes
Cette diminution est, en général, à peu près égale dans les divers faisceaux constitutifs du nerf, mais il arrive quelquefoi
terne; gomme dans les tubercules qua- drijumeaux. P. K. XXIV. LES faisceaux sensitifs DE la moelle d'après LES recherches D
que la limite antérieure de la coupe se trouve un peu en avant des faisceaux pyramidaux; si la destruction de la partie post
ansversalement, aux noyaux rouges de la calotte ; 3° à la région du faisceau longitudinal posté- rieur ; 4° au noyau de l'oc
° d'enlever un centre nerveux des organes centraux ou de couper les faisceaux qui sortent de ce centre; dans les cellules ner
a neuvième paire, à droite, n'est que très légère- ment atteint. Le faisceau respiratoire est complètement dégénère à droite
érescence légère des noyaux adjacents, ' dégénérescence complète du faisceau respiratoire. L'interprétation des faits est ic
ers filets naissent du noyau de l'hypoglosse, et montent le long du faisceau respiratoire jusqu'au noyau propre, d'où ils ém
es centres corticaux et les noyaux de la substance grise, jusqu'aux faisceaux isolés des muscles. Exagération dans la transmiss
omo-pathologique permet de constater : a). Sclé- rose bilatérale du faisceau pyramidal direct et croisé ; b.) Sclérose bilat
du faisceau pyramidal direct et croisé ; b.) Sclérose bilatérale du faisceau cérébelleux direct ;c). Sclérose du faisceau de
Sclérose bilatérale du faisceau cérébelleux direct ;c). Sclérose du faisceau de Lissauer ; d). Légère sclérose du cordon de
otubérance, en ce lieu où l'on voit passer, en étroit voisinage, le faisceau pyramidal et les fibres des nerfs facial et mot
les reliées entre elles par des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. "355 faisceaux d'association bien exercés et se transmettant les
pupillaire ; la partie droite de la rétine gauche, éclairée par un faisceau lumineux réfléchi, provo- quait une contraction
e phénomène podnlzqzte est-il dû à la dégénérescence secondaire des faisceaux pyramidaux ? Pas plus que le phénomène du genou
association, etc.; 2° La sphère visuelle est le lieu qui reçoit les faisceaux de la cou- ronne rayonnante émanés du corps gen
ion pariétal. 3° La sphère auditive, formée par la continuation des faisceaux de la couronne rayonnante émanés du corps genou
x de la couronne rayonnante émanés du corps genouillé interne, du faisceau cortical auditif direct, du ruban de Reil latéral
meau antérieur de la capsule, viennent dans le lobe frontal, et les faisceaux que le noyau lenticulaire jette dans la calotte
rière; 2° il est plus que probable qu'il faut chercher l'origine du faisceau latéro-céréhelleux dans les cellules de Clarke-
périphérique contient dans toute son étendue, avec des fibres de ce faisceau , un très grand nombre de tuyaux nerveux myélogè
ent de la moelle, isolé par la section double ; ces longues fibres ( faisceau de Gowers, faisceau intermé- diaire du cordon l
olé par la section double ; ces longues fibres (faisceau de Gowers, faisceau intermé- diaire du cordon latéral de Loewenthal
e Gowers, faisceau intermé- diaire du cordon latéral de Loewenthal, faisceau sulcomarginal ascendant de Marie) s'épanouissen
me et les fibres de projection. 11 contiendrait autant de fibres dn faisceau subcalleux que de fibres du corps calleux lui-m
rosses fibres sombres. Les fibres minces appartiennentau système du faisceau subcalleux; les fibres épaisses sont commissurale
cle du noyau caudé est le point de concours de toutes les fibres du faisceau subcalleuxqui proviennent des lobes temporal et
le noyau même des éléments, plus épais et plus sombres que ceux du faisceau subcalleux, constituant un système d'associatio
iation unissant entre elles les diverses régions du noyau caudé. Le faisceau subcalleux entoure la tête du noyau caudé à la
PATHOLOGIQUES. tance blanche du gynts subcallosus ; là s'y joint un faisceau qui, en haut, seconfond avec le segment antérie
ord, une dégéné-' rescence secondaire des cordons de Goll, puis des faisceaux pyra- midaux, finalement une dégénérescence des
égénérescence descendante des cordons postérieurs et ascendante des faisceaux cérébelleux et du trousseau de Gowers. Des expé
ne dégénérescence ascendante des cordons de Goll et descendante des faisceaux marginaux etintermédiaires du cordon latéral (L
l, qu'il se produit en outre le sixième jour, une dégénérescence du faisceau latéro-cérébelleux, que le quatorzième jour, il
rafbl., XIV, 1895.) » De ses expériences l'auteur conclut : 1 Les faisceaux pyramidaux du chien ne jouent dans la locomo- .
u niveau de la dixième racine dorsale, dégénérescence typique des faisceaux pyramidaux croisés jusqu'au-dessous du renflement
grise du même côté et aucune d'elles ne gagnerait le cervelet, le faisceau de Stcherbak ne serait pas flocculaire, mais vien
va de l'écorce à la moelle et dont le prolon- gement neural suit le faisceau pyramidal, entraîne des symptômes qui correspon
toutes Jes affections qui frappent les neurones qui constituent le faisceau pyramidal et l'on sait combien est fréquente ce
nte du prolongement neural de ce neurone, c'est-à-dire la lésion du faisceau pyramidal. Eh bien, dans ce cas, le téléneurone
(archineurone) ? Il n'est pas rare d'observer la dégénérescence du faisceau pyramidal à la suite des atrophies des neurones
la corne antérieure des neurones dont le cylindraxe remonte dans le faisceau pyramidal. On s'explique facilement de la sorte
la sorte les dégénérescences ascendantes de quelques fibres de ce faisceau pyramidal dans toute poliomyélite. Mais il y a be
pyramidal dans toute poliomyélite. Mais il y a beau- coup plus; le faisceau pyramidal peut dégénérer presque com- plètement
égénérescence limitée à certaines zones des cordons postérieurs, au faisceau virgule de Schultze, au centre ovale de Flischi
colonne de Clarke dont les fibres iraient en grand nombre former le faisceau cérébelleux direct de Flechsig et dont peut-êtr
irect de Flechsig et dont peut-être quelques-unes se mêleraient aux faisceaux de Burdach et de Goll ; tels sont les neurones
Goll ; tels sont les neurones dont les prolonge- ments forment les faisceaux de Gowers ou faisceaux céré- belleux ventral de
eurones dont les prolonge- ments forment les faisceaux de Gowers ou faisceaux céré- belleux ventral de Loewenthal et de Mott.
s des neurones qui com- mandent les dégénérescences ascendantes des faisceaux pyra- midaux, des faisceaux cérébelleux, du fai
ent les dégénérescences ascendantes des faisceaux pyra- midaux, des faisceaux cérébelleux, du faisceau de Gowers, ce sont ces
cendantes des faisceaux pyra- midaux, des faisceaux cérébelleux, du faisceau de Gowers, ce sont ces lésions qui constituent
apport avec les faits suivants : Dans les scléroses combinées, le faisceau pyramidal ne dégénère pas jusqu'à l'écorce et l
inées, le faisceau pyramidal ne dégénère pas jusqu'à l'écorce et le faisceau pyramidal croisé est intact. Les zones de Lissa
ur Joffroy chez les paralytiques généraux, sauf une exception où le faisceau de Turck était lésé. Mais il est des cas où la
réticulaire qui constituent le prolongement direct et supérieur des faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs et latéraux d
tout près de l'entre-croisement des pyra- mides, l'angle latéral du faisceau pyramidal, et, dans cet angle, continuent à se
ue voici : plus latéraux sont les plans qu'elles occu- pent dans le faisceau pyramidal, plus tard elles abordent l'entre- cr
s de la corne antérieure de l'autre côté. P. Keraval. LXXVIII. LE faisceau CÉftÉBftO-CEftÉBELLEUX croisé; par G. itIINGAZZ1N
travaux récents, de laquelle l'auteur déduit que : il n'y a pas de faisceau cérébro-cérébelleux croisé direct. Sans doute,
reçoit aussi des fibres du noyau du pathétique voisin, ainsi que du faisceau longitudinal postérieur du bulbe duquel, d'autre
la rétine à l'état de ramuscules terminaux. P. KERAVAL.. LXXXII. Faisceaux cérébelleux descendants; par A. BIEDL (Neul'ol.
Le corps restiforme donne naissance à des fibres qui vont aux deux faisceaux longitudinaux postérieurs et, s'infléchissant à l
er en bas, en forment les parties constitutives, La dénomination de faisceau longitudinal postérieur n'est usitée que jusque
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. question s'appelle faisceau radiculaire antérieur. Ici, nous trouvons dans
; on peut les suivre jusque dans la moelle cervicale supérieure. Le faisceau lon- gitudinal postérieur du côté lésé se trouv
e, sont la conséquence dés altérations dégénératives, soit dans les faisceaux longitudinaux postérieurs, soit dans le cordon
t en arrière, sous les noyaux gris du ventricule et entrent dans le faisceau longitudinal postérieur. Les secondes se dirigent
nche réticulaire qui, sur une coupe transverse, est située entre le faisceau longitudinal postérieur et l'olive supérieure.
s sont donc représentées dans le bulbe par deux écheveaux. Celui du faisceau longitudinal postérieur et le vestige du cordon
ntre le cervelet et le bulbe; les nerfs craniens en rapport avec Je faisceau longitudinal postérieur con- tiennent quelques
contiennent aussi des fibres cérébelleuses cen- trifuges. Entre le faisceau longitudinal postérieur et le cordon antéro-lat
dans le second des fibres du pre- mier, continuité et analogie. Le faisceau longitudinal postérieur joue vis-à-vis des nerf
réalablement extirpé la zone motrice (dégénérescence consécutive du faisceau pyramidal), les courants électriques de force m
corps et leur propension à tomber a lieu par suite de la lésion du faisceau cérébelleux dans les cordons latéraux de la moe
ébelleux dans les cordons latéraux de la moelle. L'excitation de ce faisceau dans la région du vermis, et à l'extrémité centra
opposé tandis que la tête regarde l'épaule correspondante. Donc le faisceau cérébelleux des cordons latéraux est un système
19. Symp- tômes des affections - par Krauss, 272. Cérébelleux. Faisceaux - descen- dants par Bield, 475. Cérébrale, 'l
avec hémianesthésie, par illaclcay, 287. CÉRÉBRO-CÉltEl3E[,LI'UX. Faisceau croisé, par 111mgazzini, 473. Cenenno-semo..
suc gastrique chez les -, par Agostini, 484. Equilibre. Rôle des faisceaux grêles et cérébelleux dans la fonction de l ?
e la de Bernhardl à la cuisse, pat Freud, 389. . Sensitifs. Les faisceaux de la moelle d'après les recherches d'llolzin
32 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on origine il se disperse à la surface du néoplasme sous forme d'un faisceau étalé de fibrilles grêles. Le facial et l'acous
érieurs, lésion des cordons postérieurs exclusivement au niveau des faisceaux de Goll avec prédominance très nette de dégénér
protubérance au niveau de la racine ascendante du trijumeau et du faisceau intermédio-latéral, si l'on admet que ce faisceau
u trijumeau et du faisceau intermédio-latéral, si l'on admet que ce faisceau fasse partie du système sympathique médullaire.
e, et quand on considère que dans l'état actuel de la science les faisceaux vaso-moteurs qui se rendent au cerveau sont préci
t; on en vint à parler de dégénérescence protopathique primilive du faisceau pyramidal croisé, invoquée d'abord par Charcot
admettait la possibilité de la sclérose primitive et symétrique des faisceaux latéraux de la moelle épinière et demandait le co
aire, deutéropathique ou bien associée à des altéra- tions d'autres faisceaux de la moelle. Le tabes spasmodique étant rayé d
.Marie qui lui assigne comme lésion l'absence de développement du faisceau pyramidal et comme étiologie la naissance avant t
illon, d'Otto, de Déjerine, montre que l'arrêt de développement des faisceaux pyramidaux est toujours sous la dépendance d'une
soit REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Où achevé le développement des faisceaux pyramidaux ne présentent pas de rigidité spasmo
nce, que des autopsies enfin ont montré le parfait développement du faisceau pyramidal chez des enfants atteints de maladie
ant avec une dégénération primitive ou un arrêt de développement du faisceau pyramidal. Ce qu'on a décrit sous les noms de m
rigidité musculaire il se refuse à voir dans la sclérose isolée du faisceau pyramidal son explication suffisante et rappela
onnaires des cornes antérieures de la moelle sans participation des faisceaux blancs latéraux ou des fais- ceaux pyramidaux,
in nombre de noyaux bulbaires sans la moindre trace de sclérose des faisceaux blancs. Les négations de Vulpian, REVUE DE PATH
ions spasmodiques ne sont pas sous la dépendance de la sclérose des faisceaux pyramidaux, cela ne devait pas lui permettre de
consiste à dire : dans les cas de contracture posthémiplégique le faisceau latéral du côté contracturé est en état de dégéné
La réponse à la première question est donc facile; la lésion des faisceaux pyramidaux n'est pas responsable des manifestatio
lgré leur état spasmodique, l'existence d'une dégénération de leurs faisceaux pyramidaux. Dl' G. Gsvr. III. Synergies fonciio
ales et cervicales ; une alté- ration dans les parties internes des faisceaux de Goll et dans la zone radiculaire des colonne
on siège est dans les cellules des cornes anté- rieures et dans les faisceaux pyramidaux. Sa lésion anato- mique est une sclé
musculaire encore, mais plus pure, type Aran-Duchenne, non liée aux faisceaux pyramidaux, donc sans exagération des réflexes
tendineux; c'est la poliomyélite chronique seule sans sclérose des faisceaux pyramidaux; c'est une autre espèce d'atrophie m
utopsie nous intéresse seule; elle nous montre : 1° la sclérose des faisceaux postérieurs de la moelle; 2° des plaques fibreu
urquoi soustraire à la sclérose multiple disséminée la sclérose des faisceaux médul- laires postérieurs alors qu'on lui attri
ssus inflammatoire et succédant soit aux dégénérations secondaires ( faisceaux pyramidaux) soit aux lésions primitives du pare
rieures et la corne postérieure gauche. Dégénérescence mar- quée du faisceau pyramidal croisé et du faisceau antérolatéral des
gauche. Dégénérescence mar- quée du faisceau pyramidal croisé et du faisceau antérolatéral des- cendant gauches. Ces cas mon
ch. XXIII. p, 397.) confirmé, dit-il, par Biedl, d'après lequel le faisceau pyramidal des cordons latéraux n'appartient pas e
pas exclu- sivement au grand trajet musculo-motuur entrecroisé. Ce faisceau latéro-pyramfdal contient aussi des fibres non
s la topographie des lésions médullaires tabétiques par rapport aux faisceaux de fibres nerveuses des cordons postérieurs et
ces travaux ont montré que les cordons postérieurs se composent de faisceaux distincts et isolés, dont l'autonomie égale cel
t de faisceaux distincts et isolés, dont l'autonomie égale celle du faisceau pyramidal ' Cl. Philippe. Contribution il l'élu
iuaug. Paris, 1897.) )8 : 2 . PATHOLOGIE NERVEUSE. croisé, ou du faisceau cérébelleux direct par exemple. Ces faisceaux é
VEUSE. croisé, ou du faisceau cérébelleux direct par exemple. Ces faisceaux étant bien connus, il suffit de repérer sur chacu
ue, séparé de son centre trophique, dégé- nère. » Supposons donc un faisceau de fibres nerveuses com- plètement séparé de sa
forme d'une tache dite scléreuse, facile à distin- guer des autres faisceaux restés sains. La méthode des dégé- nérations se
qui permet de suivre la topographie, le trajet, les connexions d'un faisceau nerveux ; elle est précieuse surtout avec la te
s. De même, supposons un foyer de myélite transverse : cer- tains faisceaux des cordons postérieurs vont être remplacés par
r des taches scléreuses, au-de-sus ou au-dessous de la lésion ; ces faisceaux seront situés en dehors des champs dits radicul
its radiculaires (fibres des racines postérieures); ce seront des faisceaux endogènes, ascendants ou descendants, suivant la
normale qui nous occupe. Il nous faut examiner successivement : les faisceaux exogènes (fibres radiculaires postérieures, fib
res postérieures, fibres centripètes du protoneurone sensitif), les faisceaux endogènes (libres intrinsèques, fibres de cordo
faisceaux endogènes (libres intrinsèques, fibres de cordons). 1° Faisceaux exogènes des cordons postérieurs de la moelle h
sceaux exogènes des cordons postérieurs de la moelle humaine. - Ces faisceaux constituent les champs dits radiculaires. Pour
puis, nous ferons la synthèse de ces trajets. Nous aurons ainsi les faisceaux exo- gènes ou les champs radiculaires des cordo
elle suit le cordon postérieur. Au niveau du sillon collatéral, son faisceau à fibres grêles occupe la zone dite de Lissauer
eau à fibres grêles occupe la zone dite de Lissauer, tandis que son faisceau à grosses fibres se place tout contre le bord i
devenu une bandelette à cause des pressions subies au contact des faisceaux voisins ; cette bandelette, comme le disait déjà
ne distance du sillon médian postérieur dont il reste séparé par un faisceau spécial, endo- gène (b). Ce vaste espace est oc
térieure qui pénètre à ce niveau ; en a (zone cornu-radiculaire) le faisceau à grosses, fibres, de la même racine, se dispos
régions sacrée et lombaire; mais il faut noter l'interposition d'un faisceau spécial, dit virgule de Schulre, que nous aurons
la moelle cervicale. Les anciens auteurs désignaient sous ce nom un faisceau de substance blanche, individualisé à partir de
remplir l'espace laissé libre par les triangles lombo-sacrés. 2° Faisceaux endogènes des cordons postérieurs de la moelle
pas en entier ; ils respectent' certaines zones remplies par les faisceaux endogènes. Dans cette étude des faisceaux endog
zones remplies par les faisceaux endogènes. Dans cette étude des faisceaux endogènes des cordons postérieurs de la moelle
yons qu'il est permis de distinguer dans le cordon postérieur, deux faisceaux endogènes : l'un descendant, le plus important,
gènes : l'un descendant, le plus important, l'autre ascendant. Le faisceau endogène descendant du cordon postérieur existe
érieure est souvent renflée (fig. 9). Dans la région lombaire, le faisceau endogène descendant se place de chaque côté du
peu effilée à ses deux Fig. 9 destinée à montrer la topographie du faisceau endogène descen- dant dit « virgule de Schulze
ie du faisceau endogène descen- dant dit « virgule de Schulze ». Ce faisceau apparaît, dans chaque moitié du cordon postérie
nner sa vraie signification (l'tg. 5, 6). Dans la région sacrée, le faisceau descendant reste situé tout contre le sillon mé
continuité entre la virgule de Schultze (portion cervico-dorsale du faisceau endogène descendant), et le centre ovale de Fle
vir- gule de Schulze et avant que ne commence le centre ovale. Le faisceau endogène descendant du cordon postérieur existe
érieur existe donc dans toute la hauteur de la moelle. Comme tout faisceau commissural, il reçoit et perd des fascicules à c
- Cette figure est destinée à montrer la forme et les dimensions du faisceau endogène descendant, dit « faisceau triangu- la
r la forme et les dimensions du faisceau endogène descendant, dit « faisceau triangu- laire médian » de la "ég-ion sacrée in
LOCALISATIONS MÉDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 191 J postérieure. Ce faisceau endogène descendant contient donc, à tous les é
iphé- rique, est ainsi projeté à tous les étages de la moelle. Le faisceau endogène ascendant des cordons postérieurs para
tes, sur le point de pénétrer dans ia moelle ; B, zone de Lissauer ( faisceau grêle) ; C, corne postérieure et son réseau plexi
: E, commissure grise ; F, colonnes de Claire. Zones radiculaires ( faisceau à grosses fibre*). - En a, zone cornu-radiculaire
ostérieurs). Zones endogènes. - En b, zones endogènes descendantes ( faisceau triangulaire mé- dian, centre ovale, bandelette
1 e, 1, lG, 1 i. Ces figures sont destinées a montrer la prise des faisceaux endogènes, descendants ou ascendants, au cours d'
Fig. 14 (point d'cntrée (le I.l cinquip.me ¡'.lClne flcl'éc). - Le faisceau triangulaire médiau (b) est décoloré, presque a
ine cervicale). La virgule de Schulze (6) n'existe plus à l'état de faisceau compact. radiculaire. Au niveau des racines, il
ent les fibres endogènes. Ainsi, sur une moelle de tabes avancé, le faisceau endogène descendant est pris dans toute la haut
au endogène descendant est pris dans toute la hauteur de la moelle ( faisceau triangulaire médian, centre ovale, bandelette p
mais à un degré moindre et plus tardivement. Cet envahissement des faisceaux endo- gènes, à une période plus ou moins avancé
ndogènes. Nous pouvons cependant conclure que cet envahissement des faisceaux endogènes est assez constant, assez généralisé
ment justifiée par l'importance anatomo-physio- logique de ce grand faisceau des fibres radiculaires longues (lombo-sacrées
corps granuleux, soit en plein cordon de Burdach, soit au niveau du faisceau de Goll, et ces corps granuleux occupaient les
de lui. - 6° Il en est de même pour les fibres radicu- laires ; les faisceaux latéraux sont destinés au droit supérieur et à
ux sont destinés au droit supérieur et à l'oblique inférieur ; 'les faisceaux médians, au droit interne, au droit inférieur,
l'autre côté, paraissent occuper les parties latéro-antérieures du faisceau longitudinal postérieur, sur le côté du noyau d
aralysie spinale spastique. Il s'agit là de lésions intéressant les faisceaux pyramidaux qui ont existé avec leur développement
i montrent que la lésion ne s'est pas exclu- sivement localisée aux faisceaux pyramidaux ; on pourrait les réu- nir provisoir
avait aucune lésion du cerveau ni de la moelle, en particulier des faisceaux pyramidaux. Après avoir éliminé l'hypothèse d
alement chez ces derniers une dégénération de la substance blanche ( faisceau de Burdach) avec raréfaction de la myéline. A l
e péri- vasculaire. La moelle paraît légèrement atteinte dans les faisceaux descen- dants, la région antéro-latérale et le
de tous les systèmes de ses libres de ce côté. La dégénérescence du faisceau longitudi- nal postérieur ne va pas loin; ce sy
tion des pyramides ; il est très possible qu'elles appartiennent au faisceau dit déclinant t (M onako tU) , La voie centrale
n ascendante ; dans la couche interolivaire se trouvent aussi des faisceaux isolés, dégénérés dans la direction descendante;
faisceaux isolés, dégénérés dans la direction descendante; mais ces faisceaux , d'après l'avis du rapporteur, appartiennent au s
ceaux, d'après l'avis du rapporteur, appartiennent au sys- tème des faisceaux pyramidaux. En direction descendante se dégé- S
n direction descendante se dégé- SOCIÉTÉS SAVANTES. 345 nèrent le faisceau médian supplémentaire du ruban de Reil et la pa
dian supplémentaire du ruban de Reil et la partie principale de ces faisceaux , que l'on nomme disséminés. Ces faisceaux dissé
partie principale de ces faisceaux, que l'on nomme disséminés. Ces faisceaux disséminés contiennent des fibres ascendantes de
res s'achèvent dans l'écorce cérébrale. Les fibres descendantes des faisceaux disséminés s'épuisent vers le niveau des région
les cellules situées de son côté potéro-médian concernant le petit faisceau des fibres, qui se trouve en dedans du « dorsale
son suivent totalement la direction principale du ruban de Reil. Ce faisceau n'a pas de dénomination spéciale ; il est pos-
ulaire des fais- ceaux de Burdach de la partie cervicale ; dans les faisceaux de Goll elle est plus faible. En s'abaissant,
nce secondaire. Dans des cas, où la lésion est plus forte, dans les faisceaux posté- rieurs on peut voir aussi une dégénéresc
certains endroits se trouvent des accumulations de leucocytes. Les faisceaux de filaments névrogli- ques sont fades et prése
e du peaucier est très marquée et on n'y voit que la contraction du faisceau médian. Le changement des con- tractions électr
nerveuses afférentes : l'épaisseur de l'organe dépend du nombre des faisceaux ascendants et descendants dont les directions o
de l'écorce, centre le plus élevé de terminaison et d'origine des faisceaux de projection afférents et efférents. Les gan-
ONVOLUTIONS DU CERVEAU, ETC. 399 de terminaison ou d'origine de ces faisceaux dans l'écorce : leur rôle physiologique divers
elles) et où s'arborisent (centres d'association) les fibres de ces faisceaux . Pour le mécanisme de coordination dont la comp
complexité morphologique des territoires corticaux d'ori- gine des faisceaux centrifuges de projection. Outre les surfaces s
nd directement de la structure et des fonctions de l'écorce ; les faisceaux de projection ascendants et descendants sont en
ec la puissance et la diffé- renciation des appareils moteurs ; les faisceaux d'association sont l'expression anatomique de l
traversant le collet de la cellule, se présentent sous l'aspect de faisceaux rayonnants, et leurs fibrilles se dirigent en p
il existe uue prolifération insolite du tissu conjonctif entre les faisceaux et les fibres de nerfs ; les fibres nerveuses s
trouvée aussi bien dans les centres (dégénérescences ascendantes du faisceau pyramidal, certains faits de sclérose com- biné
que peut provo- quer une dégénérescence rétrograde, qui s'étend aux faisceaux des racines postérieures. ' Dans la moelle, c
oelle, ces modifications se localisent dans la zone d'expansion des faisceaux des racines postérieures. Les modifications des
anglions inter-vertébraux, dans cette dégénérescence ascendante des faisceaux sensitifs, paraissent être de l'atrophie simple
antérieures, qu'on rencontre dans la dégénérescence rétrograde des faisceaux moteurs. L'atropie des cellules des cornes anté
e des cellules des cornes antérieures résulte de la mor- bidité des faisceaux moteurs périphériques. La leptoméningite, qui p
qu'elles se bornent il quelques muscles ou simplement à quelques faisceaux musculaires. Excepté les muscles de l'oeil, tous
33 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
tension rapide du pro- cessus cavitaire aux cornes antérieures, aux faisceaux antero-laléraux, aux cornes postérieures et aux
N.1GEOTTC et Lenoble, Note sur une plaque de myélite siégeant dans le faisceau antéro-latéral chez un tabétique paralytique gé
fectent des rapports analogues avec les éléments voisins, méninges, faisceaux blancs, colonne grise, racines. Nous ne décriro
aphie des faisceauxblancsestégalement très modifiée : à droite, les faisceaux antéro-latéraux subsistent avec leurs rapports et
érale; mais à gauche, ils ont été détruits presque en totalité : le faisceau pyramidal di- rect est englobé dans la tumeur,
ité : le faisceau pyramidal di- rect est englobé dans la tumeur, le faisceau pyramidal croisé est presque complètement détru
l qu'une zone fatciforme périphérique, qui correspond à peu près au faisceau cérébelleux direct. Telle est la topographie gé
rdre suivant : dure-mère, arachnoïde, pie-mère, vaisseaux, tumeurs, faisceaux blancs, substance grise, racines. I. Dure-mère.
es embryonnaires et par le refoulement qu'elles déterminent sur les faisceaux blancs voisins, sa limite est moins nette dans
antes, mômes zones de dégénérescence caséeuse, même refoulement des faisceaux blancs voisins, mêmes végétations extra-médulla
le, à 2 centimètres au-dessous de la tumeur (Pl. X, D, E, F). VI. Faisceaux blancs. En général, les lésions de dégénérescence
al, les lésions de dégénérescence sont peu marquées dans les divers faisceaux blancs ; la raison en est sans doute dans l'ext
de dégénérescence secondaire. Dans notre cas, la dégénérescence des faisceaux blancs est limitée au voisinage immédiat de la
ées par la réaction inflammatoire intense du processus local. Les faisceaux postérieurs sont les moins atteints; dans l'étage
nos coupes supérieures nous n'en retrouvons plus trace. Les autres faisceaux de dégénération ascendante, tels que le faisceau
trace. Les autres faisceaux de dégénération ascendante, tels que le faisceau cé- rébelleux direct et le faisceau de Gowers,n
ération ascendante, tels que le faisceau cé- rébelleux direct et le faisceau de Gowers,ne sont pas non plus dégénérés sys- t
les premiers à l'influence de l'in- flammation pie-mérienne. Les faisceaux de dégénération descendante, faisceaux pyramidaux
flammation pie-mérienne. Les faisceaux de dégénération descendante, faisceaux pyramidaux direct et croisé, ne présentent, com
serve assez nettement, sur les coupes colorées au Wei- gert, que le faisceau pyramidal direct gauche est dégénéré immédiatemen
end qu'un peu plus bas; au-dessous de l'étage des tumeurs, ces deux faisceaux sont décolorés sur un court trajet (Pl. X, D, E,
aisceaux sont décolorés sur un court trajet (Pl. X, D, E, F). - Les faisceaux pyramidaux croisés, qui sont particulièrement int
rose conjonctive trabéculaire. Dans l'interstice des mailles de ces faisceaux , on reconnaît à peine les tubes nerveux disso-
ajets vasculaires ; certains amas cellulaires s'observent entre les faisceaux de tubes nerveux et peuvent expliquer un début de
er que les cornes anté- rieures sur un point limité, respectant les faisceaux pyramidaux et le cor- don postérieur, dont l'al
aplégie menaçait sans doute d'apparaître d'une heure à l'autre; les faisceaux pyramidaux, singuliè- rement comprimés, refoulé
C'est ainsi que la tumeur gauche détermine par la destruction des faisceaux pyramidaux direct et croisé la paralysie de la mo
ur ne pas trop com- pliquer le dessin, schématiser non seulement le faisceau pyramidal que nous identifions avec la colonne
i le cordon sensitif, que nous avons simplifié sous les traits d'un faisceau unique continu (col. sensitive) : il nous'eût é
urs sensitifs : colonne de Clarke, colonne des cornes postérieures, faisceaux commissuraux variés des cordons posté- rieurs.
s motrices de la Ire paire, la corne antérieure tout en- tière, les faisceaux pyramidaux direct et croisé : de cette hémisectio
rsale : T et T' : gommes gauche et droite. Cl, CM, colonne motrice ( faisceaux pyramidaux et corne antérieure), dont les porti
, sont couvertes de hachures obliques. De cette colonne émanent les faisceaux d'entrecroisement sensitif : deux d'entre eux, co
i que l'in- terruption de la colonne motrice (cornes antérieures et faisceaux pyrami- daux droits) au niveau de la 2e paire d
'entrecroisement des pyramides, un changement de coloration dans le faisceau latéral gauche, immédiatement dans l'angle qui
icu- lier,présente de nombreux espaces vides au niveau desquels des faisceaux entiers de fibres sont détruits. Le canal cen
LES DÉMONIAQUES DANS L'ART 103 A gauche, un jeune homme, armé d'un faisceau de verges, vient certai- nement de fustiger d'i
que cette lésion ait été limitée, interrompant ainsi le passage du faisceau cortico-crural des deux côtés et respectant pre
cortico-crural des deux côtés et respectant presque entièrement le faisceau cortico-bra- chial. « L'hypothèse d'une tumeu
thalité, le nanisme, le strabisme, les lésions dentaires forment un faisceau de preuves très concluantes. ' Ce qu'il faut su
éniqlles. Th. 1896. 1 - - IX ' 14 LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU LATÉRAL PÉDONCULAIRE . .. {FAISCEAU DE TU1CI).
LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU LATÉRAL PÉDONCULAIRE . .. { FAISCEAU DE TU1CI). . .. PAR 1 P. C. J. VAN BRERO,
us les jours une attaque d'épilepsie. LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU LATÉRAL PÉDONCULAIRE 207 L'autopsie n'ayant pas
Hémisphère droit. Hémisphère gauche. LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU LATÉRAL PÉDONCULAIRE 209 l'encéphale faites à l
édoncule cérébral gauche, qui s'est ré- LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU LATÉRAL PÉDONCULAIRE 211 pandue également sur t
toutes les parties ; nous attirons l'attention sur ce fait que les faisceaux latéraux ne sont pas plus atrophiés que les média
de la protubérance, moins il est possible, par l'entrelacement des faisceaux protubérantiels de reconnaître cette différence.
faisceaux protubérantiels de reconnaître cette différence. Ni les faisceaux transversaux, ni les cellules de la protubérance
n'of- frent aucune différence dans les deux moitiés.. "- Les deux faisceaux pyramidaux ont le même volume. FiG. 25, 26, 27,
E DE LA SALPÊTRIÈRE · térieurs du bulbe, les noyaux de ces derniers faisceaux n'offrent aucune anomalie. lies ! , très diffic
culi des auteurs, est généralement divisée en trois par- ties : les faisceaux médian, central et latéral. , Le faisceau centr
trois par- ties : les faisceaux médian, central et latéral. , Le faisceau central, dénommé faisceau pyramidal, entre en rel
aisceaux médian, central et latéral. , Le faisceau central, dénommé faisceau pyramidal, entre en relation en haut avec les d
a protubérance. Tous les auteurs sont d'accord pour admettre que le faisceau médian entre en connexion avec le lobe frontal
Cfr. Fimmeh, Thèse inaug. Utrecht. 1889 LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU LATÉRAL PÉDONCULAIRE '213 Cependant Zacher (1)
l3eclite·eta (7) avec la moitié proximale de la protubérance'. Le faisceau latéral auquel selon Flechsig (8) Aleynerl donnai
ductibi- lité, qu'on a accepté comme centrifuge uniquement pour les faisceaux centraux et internes. Aleynel't prétendait que
lusieurs observateurs. 1 - La terminaison proximale et distale du faisceau latéral est encore l'ob- jet de beaucoup de con
lobes pariétaux comme origine ; il admet néanmoins qu'une partie du faisceau dégénéré peut être suivi à travers la capsule int
m. Zeitschrifl fiii, Psychiatrie, 1889. LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU LATÉRAL PÉDONCULAIRE 2l t que les fibres du pie
a- riétal qui puisse être considéré comme région de contact pour le faisceau latéral. Cette interprétation est d'autant plus
petites parties des circonvolutions centrales sans dégénération du faisceau latéral. II. La deuxième observation du même au
e si l'on ne perd pas de vue la dégénération descen- dante citée du faisceau pyramidal, car n'est pas impossible que la durée
al entier et de la capsule interne sans dégénération consécutive du faisceau . La durée de la lé- sion n'est pas citée. Les
incipale de la surface cérébrale était suivie d'une dégénération du faisceau latéral. II. Winkler (1886). Comme ci-dessus.
s*'sont restées en connexion avec la capsule interne, néanmoins' le faisceau latéral est détruit t (1). (1) Il me reste enco
un peu. Au niveau des cuisses, on voit encore se dessiner quelques faisceaux musculaires ; la peau est un peu épaissie, indu
l'entrecrpisement des pyramides un changement dans la coloration du faisceau latéral gauche, immédiatement dans l'angle qui sé
cu- lier, présente de nombreux espaces vides au niveau desquels des faisceaux entiers de fibres sont détruits. Le canal centr
ortionnellement à l'étendue des lésions des enveloppes. De nombreux faisceaux radiculaires antérieurs sont normaux, d'autres et
culaires antérieurs sont normaux, d'autres et la majeure partie des faisceaux postérieurs sont atteints en ce que le périuèvre
t de plus gros fais- ceaux de fibres nerveuses dissociant ainsi les faisceaux qui forment la racine. En outre des noyaux isol
t aussi au niveau du renllement cer- - vicia) qu'on trouve quelques faisceaux dans les racines postérieures qui pré- sentent
onjonctives voisines. Certaines coupes montrent dans cet espace les faisceaux déjà réunis des racines. Notons ici que la gain
sse, de même que les prolongemen ts qu'elle envoie entre les divers faisceaux , notamment le prolongement qui sépare le groupe d
pace sous- arachnoïdien, les racines sont absolument libres, chaque faisceau séparé des autres par un espace vide et les tra
ents bientôt débor- dent de toutes parts, couvrent complètement les faisceaux conjonctifs et viennent se confondre avec ceux
notre numéro XVII la tumeur a refoulé en avant un certain nombre de faisceaux radiculaires des racines postérieures mais le p
rs caractères nor- maux, elles forment des travées séparées par les faisceaux des racines pos- térieures qui se prolongent en
côté opposé elle déborde la corne et est directement bordée par les faisceaux blancs. La moelle dorsale et la moelle lombaire
nt presque complètement disparu dans la masse néoplasique, quelques faisceaux des racines antérieures sont encore nettement vis
infiltration embryonnaire abondante mais les tractus formés par les faisceaux de tubes nerveux ne se voient plus avec la nettet
entières, quelques fascicules ont été repoussés en avant auprès des faisceaux respectés des racines antérieures. La pie-mère
ar un processus embryonnaire intense, l'arachnoïde se moule sur les faisceaux lès plus périphériques, elle est très nette en av
ornes grises ont été notées souvent altérées, la dégénérescence des faisceaux blancs, rarement étendue, paraît plutôt sous la d
démoniaques dans l'art} par PAUL Rrcrrux et Henry .11EIGE, 99. Faisceau latéral pédonculaire (faisceau de 1'zzrelc,sa t
PAUL Rrcrrux et Henry .11EIGE, 99. Faisceau latéral pédonculaire ( faisceau de 1'zzrelc,sa terminaison corticale), par P.
ns la blennorrhagie, 27. BRERO (VAN). La terminaison corticale du faisceau latéral pédonculaire (faisceau de Turck), 206.
O (VAN). La terminaison corticale du faisceau latéral pédonculaire ( faisceau de Turck), 206. Charcot (J.-B.) et DUFOUR (HE
enus avec le clonographe, 4, 5,6,7, 8,9. Terminaison corticale du faisceau latéral pédonculaire (coupes), 22, 23, 24, 25,
34 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
c pas surprenant que, sur cette zone la ligne en question coupe les faisceaux , au lieu de les effleurer, du côté gauche, puis
n 'travail, nous verrons quelle est la disposition respective des faisceaux capsulaires à ce niveau et comment ils fonc- ti
lésions situées sur la région que nous venons de décrire : l' Les faisceaux capsulaires; 2° La substance médullaire compris
antéro-postérieure du cerveau. La partie active de ce centre ovale ( faisceaux capsu- laires frontaux extra-nucléaires) est no
uble de la parole, tandis que l'hémorrhagie limitée aux rameaux des faisceaux cap- sulaires extra-nucléaires amènera la perte
mble d'hiatus de diverses grandeurs qui transforment la section des faisceaux capsulaires en une surface criblée. - Enfin,
is; 3° Quand l'intégrité de la totalité de la troisième frontale ( faisceau et écorce), et de l'insula est conser- vée ;
Dans cette observation, la lésion occupe sans doute plus que les faisceaux capsulaires que nous étudions, elle empiète sur
ier étaient en dehors et en avant du corps strié, sur le trajet des faisceaux capsulaires en question, tandis que celles du s
dans l'observation de Gintrac, la lésion siégeait sur le sommet du faisceau de la troisième frontale; dans l'observation de
a été absolue, permanente dans le fait de M. Boinet, parce que les faisceaux capsulaires extra-nucléaires ont été détruits.
qu'une influence de voisinage. En fait d'éléments actifs, seuls les faisceaux chargés de transmettre la parole ont été interc
bord externe du ventricule latéral. 2. Section transversale de ce faisceau . 3, Noyau caudé. PLANCHE II Coupe anléro-po
le de la capsule interne se recourbant vers le lobe orbitaire. 2, Faisceaux intra-nucléaires. PLANCHE III a, Fond de la d
c, Noyau caudé. il, Dentelures formées par l'extrémité interne des faisceaux de la cap suie interne. g, G; rus fornicatus
re cérébrale antérieure. C m, 4, Centre moyen de Luys. 1 F. 1. i, Faisceau longitudinal inférieur. 0. g. n. o, Origine gri
e l'olive, c'est elles .qui formentle nucleus cuneatus. Quant aux faisceaux de Goll, ils renfermeraient, au niveau du bulbe
2.) I. Quels sont chez les mammifères les rapports anatomiques du faisceau de fibres qui subit l'entrecroisement et du faisc
anatomiques du faisceau de fibres qui subit l'entrecroisement et du faisceau de fibres direct, dans la bandelette optique, l
sma et le nerf optique ? Quel est le mode d'irradiation de ces deux faisceaux dans la rétine ? Quelle part prennent-ils tous
du (situation des axes oculairessensiblementégale àcellede l'homme; faisceau croisé remarquablement volumineux) ; sa rétine
ptique. Cet arrachement doit avoir pour résultat la destruction des faisceaux croisés des deux yeux, du faisceau direct de l'
our résultat la destruction des faisceaux croisés des deux yeux, du faisceau direct de l'oeil enlevé et de toute la commissure
érieure, de sorte que l'oeil conservé n'a plus à son service que le faisceau direct. Les allures de l'animal , au moment où
constituent autant de moyens de contrôles pour la distribution des faisceaux en question. Voici les résultats : chez le chat
du fais- ceau croisé, mais c'est à peine s'il existe entre les deux faisceaux une petite zone noyée de fibres mixtes. Le fais
entre les deux faisceaux une petite zone noyée de fibres mixtes. Le faisceau de fibres directes se distribue exclusivement à
t à la moitié temporale de la rétine. On est tenté de croire que le faisceau entrecroisé fournit, lui aussi, des fibres à l'
est plus prononcée sur le nerf du côté opposé : par conséquent, le faisceau qui ne s'entrecroise pas est, chez le chat, plu
ieur du même côté. Une petite partie du cordon latéral constitue un faisceau compact qui, affectant toujours la même directi
on réticulaire, qui concourent à la formation du stratum zonale. Le faisceau cunéiforme du même côté lui envoie également un
. Une partie assez importante des fibres du corps restiforme, ou du faisceau cunéiforme qui marche avec lui, trouve une fin
les grandes cellules du noyau externe de l'acoustique. Peut-être le faisceau cunéiforme fournit-il encore au cervelet, mais
rps restiforme comprend tout à fait en dedans, des fibres issues du faisceau cunéi- forme ; une couche moyenne formée des co
épend bien plus de la moelle et doit être regardé comme un noyau du faisceau cunéiforme. Le segment in- terne du pédoncule c
plus récemment encore, s'appuyant sur les cas de M. Pierret, où les faisceaux cunéiformes en relation immédiate avec le noyau
uche, mais encore DES irradiations CAPSULAIRES. 151 Lt i de son faisceau médullaire sous-jacent. Dans la doctrine 1 - Ig
d'autre part, la lésion interceptant "un1 plus'1 grand nombre de faisceaux capsulaires moteurs, fi- 1 ive nombre de faisce
rand nombre de faisceaux capsulaires moteurs, fi- 1 ive nombre de faisceaux capsu]aires l'héniiplég ' ' * n i ^ '. < ' J
rrait exister seulement dans l'altération granuleuse de ces mêmes faisceaux , ainsi que M. Pitres l'a constaté, avons-nous d
- ,< ? " . , nr . Intégrité de la troisième frontale, lésion du faisceau pédiculo- frontal inférieur, du noyau lenticula
fit pas de dire, par exemple, qu'une lésiond'un point quelconque du faisceau pédiculo-fronlal inférieur du côté gauche donne
district, le résultat sera différent ou plutôt nul, parce que les faisceaux conducteurs de la parole en seront distants de-
surtout se manifestera à cause du voisinage (5 milli- mètres) des faisceaux qui forment le^coude supérieur de la capsulé in
ranlement, de nature congestive ou par trouble de voisinage sur les faisceaux capsulai- y7rèswextrâ : rïucléairéV,r'et aphaie
ttfL attt ? j ? )Vi01)J)/numf3 lifaitelentement;,entécarta4nt t les faisceaux , les . uns ? des Il l 2d0 ,OE; u I J , li8t f3»
uisque le tubercule était cnucléable. L'intégrité fonctionnelle des faisceaux capsulaires extra-nucléaires n'a donc pas lieu
e centre doit se trouver dans l'endroit vers lequel se dirigent les faisceaux vecteurs de la parole, c'est-à- dire à la parti
tion. Cette manière, de faire, qui.a a l'avantage' d'associer deux^ faisceaux d'une même, branche, a l'in- convénient de ^dis
postérieur de la capsule·interne; danslla'rériôri'-oit passent les faisceaux , de 6Gratiotet,.se traduisait, d'un côté part f
des'cellules pyramidales géantes. - La secLioti(elicz un chat) du ` faisceau pyramidal au-dessous de la capsule interne, déter
tractus cortico-thalamiques, ou à la fois de ces derniers et des faisceaux pyramidaux. Discussion. M. Hitzig rappelle les
l continuera5 ses recherches. "w s ' ^ 1> ? » ? J M. fait sur le faisceau solitaire une communication ap- Or- M ,1 il-i-I
les troubles vaso-moteurs et trophiques émanaient, de la lésion du faisceau solitaire. Ce faisceau, 'pour le professeur fra
urs et trophiques émanaient, de la lésion du faisceau solitaire. Ce faisceau , 'pour le professeur français, prend son origin
e faisceau, 'pour le professeur français, prend son origine dans le faisceau intermé- diaire latéral; il fournit des libres
chien, est arrivé aux résultais suivants. On reconnaît d'abord ce faisceau à la hauteur de la deuxième paire cervicale ; div
on , voit à l'extrémité antérieure du noyau du pneumogastrique île faisceau s'amincir extrêmement vite; sur des coupes vert
sième et quatrième paires cervicales, dès i-e^tions transverses, de faisceaux nerveux dont la forme' ressemble énormément à cel
faisceaux nerveux dont la forme' ressemble énormément à celles du faisceau solitaire. Renie' qui 'seul ? les a signalées, bl
Renie' qui 'seul ? les a signalées, blés figure sous la rubrique de faisceau originel du faisceau solitaire ? or, ils n'ont
s a signalées, blés figure sous la rubrique de faisceau originel du faisceau solitaire ? or, ils n'ont certainement aucune r
rjet;met en lumière' la ma- nière de voir de I : \\eriricl : e.· Le faisceau en question'serait, pour lui, en rapport avec'
nées du segment du cercle p.sLéi-0- interne (seclion^transyersu du,, faisceau solitaire), on observerait des tractus qui pass
aux membres supérieurs, on note l'aspect pseudo-hypertrophique des faisceaux claviculaires des tra- pèzes, des deltoïdes, et
, en forme de sillon étroit et profond, indiquant la contraction du faisceau musculaire sous-jacent. Cette dépression persis
on interrompt, dans la partie postérieure de la capsule interne les faisceaux de fibres de pro- jection de la sphère visuelle
t cinquième couches. Deuxième expérience. La destruction, dans le faisceau pyra- midat de la capsule interne, des fibres q
e chiasma, que celles qui ne s'en- tre-croisent pas, constituent le faisceau externe de la bandelette optique et parviennent
moyen du bras antérieur, le tuber- cule quadrijumeau antérieur. Le faisceau interne de la bande- 1 Voy. Archives de Neurolo
c le nerf scia- tique occupe surtout le segment postéro-interne des faisceaux de Goll; que l'étendue et le volume de la zone
cines sensitives postérieures destinées aux extrémités intérieures ( faisceaux longs). A côté de cela, les cordons posté- rieu
endante atteint, bien que fai- hlement, les cordons latéraux et les faisceaux radiculaires des cordons antéueurs. Elle semble
sion de la queue du cheval. Si l'on considérait les deux espèces de faisceaux comme deux systèmes défibres distincts, on pour
audrait prouver qu'il existe une différence fonctionnelle entre les faisceaux longs qui se rendent aux pédoncules cérébelleux
qui se rendent aux pédoncules cérébelleux inférieurs (clava) et les faisceaux courts qui, dans leur trajet, sont situés parmi l
uses cellules granuleuses, prolifération interstitielle modérée) du faisceau pyramidal des cordons latéraux depuis la portio
rs et des muscles. L'auteur fait remarquer que la dégénérescence du faisceau pyramidal ne s'observe ni dans la moelle allong
ion des cornes antérieures est la plus âgée. Le plus, l'atteinte du faisceau pyramidal avait déterminé une paralysie flasque
es longitudinales, un peu de compression du cordon cunéiforme et du faisceau grêle. Pour l'auteur, le tubercule de la moelle a
atholo- gique sur certains systèmes déterminés, si ce n'est sur les faisceaux pyramidaux. L'auteur croit, tant au point de vu
corticales dans la zone motrice, et qui se rencontre dans certains faisceaux du même côté de la moelle, quand les pertes de
etrouvent enfin dans la moelle cervicale (exclusivement bornées aux faisceaux de Goll).-111. llfoses fait remarquer que ce fa
bord externe du ventricule latéral. 2, Section transversale de ce faisceau . 3, Noyau caudé. hâves de Neurologie . ' T. V
le de la capsule interne se recourbant vers le lobe orbitaire. 2, Faisceaux intra-nucléaires. 406 EXPLICATION DES PLANCHES.
c, Noyau caudé. d, Dentelures formées par l'extrémité interne des faisceaux de la cap- sule interne. ' ' g, Gyrus fornica
issure eérebiale antérieure. C na, 4, Centre moyen de I,uys. F.l. Faisceau longitudinal inférieur. 0. g. n. o, Origine gri
35 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
/, noyau de l'hypoglosse. NXd, noyau dorsal du vague. Fcv + NdcR, faisceaux céréhello-vestibu- laires (Thomas), plus noyau
ite el à gauche. Vils, racine descendante de la vue paire. Fcd, faisceau cérébelleux direct. i\amb, noyau ambigu. NU,
x direct. i\amb, noyau ambigu. NU, noyau du cordon latéral. FG, faisceau de Gouers. Fee, faisceau central de la calotte.
bigu. NU, noyau du cordon latéral. FG, faisceau de Gouers. Fee, faisceau central de la calotte. Oi, olive inférieure.
a-olivaire interne. Oia, olive inférieure gauche atrophiée. Fcca, faisceau central de la calotte atro- phié. Nlld, noyau
lotte atro- phié. Nlld, noyau du cordon latéral dégénéré. (ebo. faisceaux cérébello-olivaires. fai, fibres arciformes int
isceaux cérébello-olivaires. fai, fibres arciformes internes. fs, faisceau solitaire : NclcRd, noyau dorsal du corps resti
(bouchon). Ndt, noyau dentelé. Stras, stries acoustiques. Fcv, faisceaux cérébello-vestibulaires (Tho mas). 'Fuel, tub
trapézoide. NVI, noyau du nerf moteur oculaire ex- terne. Fli), faisceau longitudinal postérieur. Pyg, pyramide gauche d
lleux moyen. Ctrap, corps trapézoïde. NPt, noyaux du pont. Flp, faisceau longitudinal postérieur. Rm, ruban de Reil médi
formation réticulée aplatie et atrophiée en partie à gauche. Flp, faisceau longitudinal postérieur. Cal, calotte ou tegmen
ions apparentes. On constate des fibres à myéline normales dans les faisceaux radiculaires des 9° et 10e pai- res qui sont un
proximale du noyau dorsal du vague) est normal des deux côtés. Le faisceau solitaire présente les mêmes dimensions à droite
nant de l'olive droite intacte (la plus grande partie des fibres du faisceau cérébelleux direct étant détruites de ce côté)
forme est presque uni- quement composé de fibres qui proviennent du faisceau cérébelleux direct de droite, et de celles qui
ement dégénérée, mais seulement partiellement. Il en est de même du faisceau cérébelleux direct gauche qui est presque entière
cérébelleux direct gauche qui est presque entière- ment détruit. Le faisceau de (jokers est plus petit qu'à droite et en parti
noyau ventral n'a pu être examiné. Remarquons enfin que tous les faisceaux qui enveloppent latéralement l'olive gauche ont
leurs fibres et sont dégénérés. C'est le cas en particulier pour le faisceau central de la calotte de Bechterew qui prend na
ont disparu en grand nombre, surtout dans les parties dorsales. Les faisceaux des fibres transversales au pédoncule cérébelleux
nstate partout une diminu- tion considérable de ses fibres. ' Les faisceaux des fibres transversales de la protubérance venan
s ou proximales) de la protubérance, ce qui résulte du fait que les faisceaux des pédoncules cérébelleux moyens se sont déjà
de leurs racines (PI. II, D, et PI. III, E). La partie latérale du faisceau longitudinal postérieur gauche est atrophiée pa
ut à fait analogues dans les radiations de la ca- lotte et dans les faisceaux de fibres du noyau ventral, de même que dans la
e ne renferment pas de foyers primaires et paraissent normaux. Le faisceau Bath de Forel est diminué à droite. Les artères
Les capillaires sont gonflés de sang. On constate une atrophie des faisceaux de fibres et des lacunes dans la substance blan
pas assez grave pour entraîner un trouble des fonctions des divers faisceaux nerveux touchés, des voies pyramidales, par exe
gissait pas seulement ici d'une interruption dans la continuité des faisceaux , mais encore des effets de la compression sur la
modifie du reste dans ce nouveau travail sa première description du faisceau sensoriel cérébelleux, en disant que ses connexio
es. Dans un travail tout récent, Edinger (1) reprend l'étude de son faisceau sensoriel et conclut qu'il existe deux voies sens
ébelleux inférieur de Meynert), et dans lequel se trouvent quelques faisceaux de la racine descendante de la VI lie paire (raci
nsibles du bulbe et de la protubérance. La substance gélatineuse du faisceau solitaire et celle de la racine descendante du tr
i- jumeau étaient spécialement tout à l'ait normales. ..Quant aux faisceaux vestibulaires descendants ilsétaienl.peut-êtrecom
dans les radiations de la calotte qui se rendent au noyau ventral ( faisceaux médullaires frontal et latéral du noyau rouge,
u mémoire de Edinger on constate une différence dans la largeur des faisceaux des radiations de la calotte; celui de gauche est
sale d'un rameau du nerf du demi-membraneux droit avec ses divers faisceaux 1, 2, 3, 4. Dans le faisceau 1 s'est développé
mi-membraneux droit avec ses divers faisceaux 1, 2, 3, 4. Dans le faisceau 1 s'est développé un fibrome qui a dissocié les
D Coupe longitudinale du nerf brachial cu- tané interne ; trois- faisceaux 1, 2, 3, sont intéressés par la coupe. On suit
par la coupe. On suit les fibres nerveuses de la partie saine du faisceau 1 dans la partie envahie par la néoplasie 11.
ut sans lé- sion, d'autres montrent sur le trajet d'un ou plusieurs faisceaux de petits fibro- mes que seul l'examen histolog
mé comme le sciatique par exem- ple (Planche V) on trouve à côté de faisceaux normaux, des faisceaux frappés par la néoplasie
ar exem- ple (Planche V) on trouve à côté de faisceaux normaux, des faisceaux frappés par la néoplasie ; c'est d'ailleurs le
troncs nerveux. Le nodule est constitué par la réunion de tous les faisceaux du nerf, chaque faisceau ayant réagi per- sonne
est constitué par la réunion de tous les faisceaux du nerf, chaque faisceau ayant réagi per- sonnellement, indépendamment d
ses voisins. Autrement dit un nodule tron- culaire est constitué de faisceaux nerveux normaux et de nodules fibromateux fasci
njonc- tifs banaux. Le centre du nodule est constitué par de gros faisceaux conjonctifs très irrégulièrement agencés. Ils n
riphérie. Sur les coupes longitudinales on peut étudier l'entrée du faisceau nerveuxdans le nodule. (Planche VI,D.) Le faisc
dier l'entrée du faisceau nerveuxdans le nodule. (Planche VI,D.) Le faisceau normal reste d'abord compact et cen- tré dans l
vers un secteur de la périphérie du nodule. Sur d'autres coupes le faisceau dissocié est représenté par quelques fibres allon
t irrégulièrement distribuée des fibres muscu- laires. Dans un même faisceau musculaire on peut trouver une fibre normale a
tissu sont d'assez nombreux noyaux, des fins vaisseaux et quelques faisceaux nerveux. Les nerfs extra-musculàires sont les u
d'atrophie. Cette atrophie frappe inégalement les fibres d'un même faisceau , res- pectant certaines fibres alors que les vo
oplasie fibreuse intra-fasciculaire, au milieu de laquelle court le faisceau dissocié des fibres nerveuses intactes. Quelque
oplasie (nous répétons que la néoplasie respecte l'élément noble du faisceau nerveux), c'est que la coupe a porté sur un segme
coupe a porté sur un segmenl du neurofibrome que ne traverse pas le faisceau nerveux dissocié. Les autres * tumeurs au contr
fibromatose intra-fasciculaire encerclée par la gaine lamelleuse du faisceau nerveux ? Ne doit-on pas considérer qu'à côté de
abes. A l'autopsie, il existait en elfe[ une scléi,pse évidente des faisceaux postérieurs delà moelle. Ou vérifia l'étal du rac
uses, production de petites nodosités fusiformes ou perlées sur les faisceaux radiculaires ; les nerfs atteints les premiers
rt, dans le pédoncule gauche, le foyer détruit une minime partie du faisceau pyramidal et effleure quelques libres du moteur
e sont beau- coup moins nombreuses : on n'y distingue pas les beaux faisceaux de fibres qui, normalement, prennent leur origi
stitué par les fibres du vermis, se continue en partie avec un beau faisceau qui contourne le noyau dentelé en 338 ' J. DEJE
trajet horizontal ou oblique qui appartiennent vraisemblablement au faisceau de Gowers et peut-être en partie au faisceau en
t vraisemblablement au faisceau de Gowers et peut-être en partie au faisceau en crochet. 2° Examen DES pédoncules cérébelleu
résultats négatifs : il n'existe pas de dégénérescence, ni dans les faisceaux , ni dans les racines; la substance grise est norm
scence est symé- trique, située en avant de la limite antérieure du faisceau de Gowers et ré- l'atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBEL
vicales (PI. XLIX, KM). b) Bulbe. - Les prolongements bulbaires des faisceaux de la moelle ne sont pas dégénérés ; sur les co
nt pas dégénérés ; sur les coupes colorées par le procédé de Pal le faisceau céré- belleux direct et le faisceau de Gowers n
lorées par le procédé de Pal le faisceau céré- belleux direct et le faisceau de Gowers ne sont pas décolorés ; mais la dégéné-
ence bilatérale qui a été décrite en'avant de la place occupée par le faisceau de Gowers, au niveau de la moelle cervicale sup
u, surtout en arrière et en dehors, ces fibres qui appartiennent au faisceau central de la calotte contribuent à former en d
'olive la couche externe de la subs- tance blanche périolivaire. Le faisceau central se dégage ensuite peu à peu, il est moi
a moitié supérieure que dans sa moitié inférieure ; d'autre part le faisceau central est plus petit d'un côté et l'olive du mê
olive du même côté est moins développée. La diminution de volume du faisceau central est due peut-être à un certain degré d'
nterne et qui forment le segment interne du corps restiforme ou les faisceaux cérébello-vestibulaires sont peu nombreuses : cet
s : cette atrophie peut être poursuivie sur toute la hauteur de ces faisceaux jusqu'aux noyaux de Deiters et de Bechterew.
ulées et sont groupées de chaque côté de la ligne médiane, en un gros faisceau unique, circulaire. La substance réticulée de
s grande d'un côté, ce qui explique le volume moins considérable du faisceau central de la calotte correspondant. L'atrophie
rvelet) ont des dimensions assez exiguës. La plupart des fibres des faisceaux cérébello-vestihulaires se conti- nuent avec le
inter-trigéminales et rétro-trigéminales du corps restiforme. Le faisceau longitudinal postérieur et le ruban de Reil média
ne, mais on n'y découvre pas de dégé- nérescence. Les noyaux et les faisceaux sont simplement plus petits, mais bien proporti
. DEJERINE ET A. THOMAS cence des fibres rétro-olivaires etdu petit faisceau dégénéré danslecordon antéro- latéral de la moe
latéral de la moelle cervicale supérieure ; par sa topographie, ce faisceau rap- pelle la disposition du faisceau cérébelle
eure ; par sa topographie, ce faisceau rap- pelle la disposition du faisceau cérébelleux descendant chez l'animal (Thomas) :
trajet cérébello-protubérantiel ces libres ne sont pas groupées en faisceau . L'atrophie des fibres semi-circulaires interne
édoncule cérébelleux supérieur et l'absence de dégénération dans ce faisceau ; la réduction du noyau dentelé est proportionn
rentes du cer- velet sont nettement dégénérés : colonnes de Clarke, faisceaux cérébelleux et faisceaux de Gowers (Menzel, Arn
nettement dégénérés : colonnes de Clarke, faisceaux cérébelleux et faisceaux de Gowers (Menzel, Arndt, Thomas, obs. V) : enfin
port avec le cervelet ont subi l'atrophie ou la dégénérescence, les faisceaux pyramidaux sont plus pâles et les cordons posté
rement prononcées dans la région cer- vicale ; elles intéressent le faisceau de Goll, le faisceau cérébelleux direct; les ce
s la région cer- vicale ; elles intéressent le faisceau de Goll, le faisceau cérébelleux direct; les cellules des colonnes d
eures sont relative- ment moins malades que dans le tabes, mais les faisceaux cérébelleux directs et les colonnes de Clarke s
a raison d'être dans la dispa- rition des fibres qui constituent le faisceau cérébelleux descendant; avec cette réserve que
sceau cérébelleux descendant; avec cette réserve que l'existence du faisceau cérébelleux descendant chez l'hom- me n'est enc
omme pouvant déterminer l'hémianopsie. D'ailleurs il suffit que les faisceaux de la substance blanche qui se rendent à la sphèr
(lésion atteignait le segment antérieur de la capsule interne et le faisceau interne du pied du pédoncule, puisque les fibre
uche d'origine centrale. On exprima la probabilité d'une lésion des faisceaux moteurs depuis le centre psychomoteur jusqu'au ce
que peu du point où les fibres des bandelettes optiques sortent en faisceau de la substance blanche, traversent^ ventricule l
ent profond. L'anomalie consistant dans l'absence de croisement des faisceaux pyrami- daux (Ledderhose) bien que très rare po
érieurs peut s'ajou- ter l'altération des cornes antérieures et des faisceaux blancs qui y pren- nent naissance. La.marche
its foyers de ramollissement et beaucoup de fibres dégé- nérées. Le faisceau pyramidal dégénéré peut être suivi à travers la c
e dégénérescence très marquée dans la région du cordon pyramidal du faisceau latéral ; l'endroit t de cette dégénérescence r
phérie de la moelle épinière (Voyez Pl. LXXI, C). En outre, dans le faisceau de Türck et presque dans toute la périphérie de l
la moelle épi- nière on voit aussi une raie noire étroite ; dans le faisceau pyramidal du cordon latéral gauche on remarque
fibres qui ne contiennent point de blocs noirs. Dans le domaine du faisceau gauche de Ttirck existe une accumulation très mar
tre plus de blocs noirs menus sur la péri- phérie dans la région du faisceau droit de B1t1'dach,du faisceau cérébelleux gau-
ur la péri- phérie dans la région du faisceau droit de B1t1'dach,du faisceau cérébelleux gau- che, du faisceau gauche de Gow
du faisceau droit de B1t1'dach,du faisceau cérébelleux gau- che, du faisceau gauche de Gowers et aussi sur la périphérie des d
che, du faisceau gauche de Gowers et aussi sur la périphérie des deux faisceaux pyramidaux antérieurs.Dans le faisceau cérébell
sur la périphérie des deux faisceaux pyramidaux antérieurs.Dans le faisceau cérébelleux droit et dans le faisceau py- ramid
pyramidaux antérieurs.Dans le faisceau cérébelleux droit et dans le faisceau py- ramidal latéral gauche on observe un grand
haut, apparaît ici comme coupé. L'endroit de dégénérescence dans le faisceau de Türck est un peu plus rapproché du canal cen
. Les fibres dégénérées sont devenues bien moins nombreuses dans le faisceau de Tùrck. Les cellules de Clarke con- tiennent
val on voit un nombre assez grand de fibres dégénérées ; il y a des faisceaux qui en contiennent plus. d'autres moins. VI. Co
co- lorées en noir, se disposent auprès des vaisseaux. Parmi les faisceaux dégénérés de la moelle épinière dans le cas donné
ux dégénérés de la moelle épinière dans le cas donné la lé- sion du faisceau pyramidal du cordon latéral droit, dont nous avon
ébrale et de la substance sous-corticale de l'hémisphère gauche. Le faisceau de Tiircli du côté opposé est plus dégénéré que
i du côté gauche. Déjà dans la région dorsale la dégénérescence des faisceaux de Tùrck devient bien plus raréfiée ; la dégéné
aisceaux de Tùrck devient bien plus raréfiée ; la dégénérescence du faisceau pyramidal latéral dans la partie lombaire inférie
erminale de la moelle épinière. Concernant l'endroit, occupé par le faisceau pyramidal dégénéré dans les régions dorsale et ce
LXXI, E).- Déjà à l'oeil nu on remarque une dégénérescence des deux faisceaux pyramidaux latéraux, des deux faisceaux de Türc
une dégénérescence des deux faisceaux pyramidaux latéraux, des deux faisceaux de Türck et par la périphérie des cordons de Goll
saines : ensuite, on voit une dégénérescence assez marquée dans le faisceau pyramidal latéral gauche, par la périphérie de
iii 32 490 SOUKHANOFF ET GEIER quée que du côté opposé) ; dans le faisceau de Türclc gauche la dégénérescence est un peu p
décrites plus haut, quoique la figure de la dégénérescence dans le faisceau pyramidal latéral a un peu changé ; on voit aus
ns postérieurs. A l'examen microscopique la dégénérescence dans les faisceaux pyramidaux latéraux, dans les cordons de Türck
oscopique on peut noter la diminution de la dégénérescence dans les faisceaux pyramidaux latéraux. La dégénérescence dans les
dans les faisceaux pyramidaux latéraux. La dégénérescence dans les faisceaux de Túrck est peu marquée et porte un caractère
s le cas donné démontre une dégénéres- cence très sensible des deux faisceaux pyramidaux latéraux et des faisceaux de Türck ;
- cence très sensible des deux faisceaux pyramidaux latéraux et des faisceaux de Türck ; il apparaît comme continuation de la
llules corticales d'origine. Les fibres dégénérées isolées dans les faisceaux de Turck descendent jusqu'à la partie lombaire su
ent jusqu'à la partie lombaire supérieure, où la dégénérescence des faisceaux pyramidaux latéraux peut être distinguée même à
ologiques à savoir : la dégénérescence secondaire très prononcée du faisceau pyra- midal latéral, en commençant de l'hémisph
nt moins grandes que dans le premier cas ; ici la dégénérescence du faisceau latéral droit dans la moelle épinière était moins
emble avec cela il y avait aussi une dé- générescence égale dans le faisceau pyramidal latéral du côté opposé. Dans les deux
es cordons postérieurs de la moelle épinière. La dégénérescence des faisceaux pyramidaux dépend de la modification des cellules
ugmente le soir lorsqu'elle a été longtemps debout. Malgré quelques faisceaux de varices superficielles, la peau a un aspect
36 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e; elle est alors très lente, très régulièrement étendue à tous les faisceaux de la moelle, et, si les cellules nerveuses sou
ose bien remarquable, la myélite, au lieu d'être étendue à tous les faisceaux de la moelle, comme c'est l'habitude, se canton
nts nerveux : les cellules des noyaux gris et les fibres des divers faisceaux sont complètement intacts. Les noyaux multiples
escence de cordon de Goll s'épuiser dans le noyau grêle et celle du faisceau de Bur- dach former autour du noyau cunéiforme
init 1,'ig. J3. Moelle cervicale; sclérose des cordons de Goll, des faisceaux de Burdach et d'une bandelette qui leur est int
i, ici, aboutit à son noyau; sclérose en forme de croissant dans le faisceau cunéiforme. Coloration de Pal. 30 PATHOLOGIE NE
l'intensité Fig. 15. Moelle cervicale; lésions vasculaires dans les faisceaux posté- rieurs (les noyaux des cellules sont seu
lymphatique tout particulier situé entre la gaine lamelleuse et le faisceau nerveux propre- ment dit, enveloppant ce dernie
la face interne se trouve logée dans une encoche longitu- dinale du faisceau . Les mailles'du treillis sont remplies d'un liq
ltant de la' stratification avec fonte hyaline du tissu connectif à faisceaux grêles dont se compose la paroi des" alvéoles.
rtains points. dune. méta- morphose hyaline 缭 des 'filaments ou des faisceaux circons- crivant les espaces lymphatiques primi
tion intermé- diaire entre le périnëvre et la masse endoneuriale du faisceau nerveux ? J'ajouterai qu'un vocable univoque te
'existence des foyers mésoneuriaux ; il les a rencontrés 'dans les' faisceaux du facial. Mais c'est à Fr.' Schultze que l'on
Beaucoup plus rarement ils se rencontrent dans l'intérieur même du faisceau ; ils affectent alors la forme d'ilôts accolés
nt, comme les foyers alvéolaires de Renaut, sur un seul côté de ces faisceaux : celui qui regarde la sur- face extérieure du
s, du côté où'le nodule vient,en,contact avec la masse, nerveuse du faisceau . (PL. I,-fg.,3,·g.LPL. II, 9' 12; n).-a.-i;-I4
s, du premier type sont toujours reliés au périnèvre d'une part, au faisceau nerveux de l'autre, tantôt par un,pur réticulum
actus partant de,la face profonde de la gaine, et de .la surface du faisceau pour aller se .fixer à la périphérie du foyer n
conti-' nuité de tissu entre la gaine et le'foyer, que du côté du faisceau nerveux on ne constaté au contraire l'interpositi
tissu réticulo-alvéo- laire et qui.se trouvent en, outre reliés-au faisceau nerveux par une couche du même tissu. " ' . Q
upant non plus l'espace méso- neurial, niais" l'intérieur même, du ^ faisceau -nerveux. Nulle .- ri- tint, , ,-y -u ' t.. 4J-
ion de volume de ces éléments, amènerait entre le péri- nèvre et le faisceau nerveux la formation d'un vide que tendrait à c
te de barrière entre la formation hyperplas- tique et la surface du faisceau . Que l'on compare d'ailleurs le dessin' de ces
uniquement de mésos rares et délicats allant de la face externe du faisceau nerveux à la face pro- fonde dti*périèvre. Dans
e, où l'appareil nbro-hyalin forme un véritable manchon autour du faisceau nerveux. Les fuseaux surtout contribueraient à at
masses contractiles dont le jeu déplace et comprime sans cesse, les faisceaux nerveux^ Si chez l'homme et le chien, comparés
'assurément qu'il existe une corrélation entre la.vulnérabilité du faisceau ner- veux et la situation topographique des \ f
nveloppe périneu- riale paraisse'^ étroitement appliquée' contre le faisceau ner- veux, on sait qu'entre la , face profonde
cette antilogie de la'gaine'lamelleuse sur la face extérieure du faisceau nerveux relativement immobile. Que"" ce déplaceme
tion des foyers comme s'il était formé par la juxtaposition de deux faisceaux complètement individualisés. , Fig. 2 . - 1/70.
m, m) bien distincte, laquelle est surtout développée dans le petit faisceau (A) annexé au névricule de gauche : elle formel
i-même se montre enveloppé de toutes parts, mais surtout du côté du faisceau nerveux, par une zone alvéolaire. Lestroma inte
ué par un réseau lâche (e) fortement nucléé surtout au voisinage du faisceau nerveux (g), représentant une des formes diffus
ue à la condensation de l'endonèvre dans la couche superficielle du faisceau . En b deux cellules indifférentes. , Fig. 13.
ymphe coagulée ou détritus cellulaire ? ). Fig. 15. 1/500. Un petit faisceau nerveux aplati (f) pris entre deux couches méso
ris entre deux couches mésoneuriales. Les fibres renfermées dans ce faisceau ont subi un certain degré d'atrophie, et l'endo
ent volumineux (a). -' Comme dans- les figures 21,' 25,' 26, 27, le faisceau nerveux n'est représenté que par le contour de se
cences fasciculées habituelles et, en plus, sclérose ascendante des faisceaux pyramidaux croisés, remontant jusqu'ci la parti
lérose du cordon de Goll peu étendue,' et une sclérose annulaire du faisceau antéro-laléral, avec, une pointe saillante en,d
llante en,dedans au niveau d'une ligne qui passe'par la commissure ( faisceaux céréheiteux direct et latéral passe par la t .n
oupes de haut en bas, on voit appa- raître une teinte grise dans le faisceau pyramidal dès le milieu du renflement cervical
a surface de coup a,, puis.PILI's b>as elle sevéanlonüe dans les faisceaux pyra- midaux.' Un examen rapide'^ l'état frais
minent" dans les cordons postérieurs et la partie posté- rieure des faisceaux latéraux. { » > .'^-. 1, il - 1' 'UoJu.r o f
sale; myélite scléreuse diffuse, avec prédominance au niveau des ., faisceaux pyramidaux et des cordons de Goll."Codo·aliozz de
e, au niveati, de la, sixième racine, dorsale; dégénérescence, des, faisceaux pyramidaux, plus marquée à''gauche. ETUDE DE LA
ILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 117 Î i' t ? 1 ] '' . . dante intense du faisceau pyramidal croisé. A gauche cette dégé- nérescen
outre, une dégénérescence beaucoup plus légère qui s'avance dans le faisceau antéro-latéral. A droite la dégénérescence est
res de la lésion primi- tive ; de ce. côté la partie postérieure du faisceau pyramidal est moins lésée que sa partie antérie
myélite transverse, on observe une dégé- nérescence ascendante des faisceaux de Goll, de Gowers et cérébel- leux direct ;'ou
une diminution considérable de fibres à myéline dans la région du faisceau pyramidal croisé, constituant une sclérose très r
plus visible dans les pyramides. "'--»-. Des dégénérescences des faisceaux cérébelleux direct et latéral ** ascendant il n
ral ** ascendant il n'y a rien à dire ; elles se fusionnent dans le faisceau latéral du bulbe où une partie des fibres dégén
éral du bulbe où une partie des fibres dégénérées parait s'arrêter ( faisceau de Gowers) tandis que l'autre contourne en arrièr
acine cervicale; dégénérescence ascendante des cordons de Goll, des faisceaux céré- belleux'directs et des, faisceaux de Gowe
te des cordons de Goll, des faisceaux céré- belleux'directs et des, faisceaux de Gowers; myélite ascendante des faisceaux pyr
belleux'directs et des, faisceaux de Gowers; myélite ascendante des faisceaux pyramidaux« 1 ? 1. »- , - J ' 118 PATHOLOGIE NE
édoncule céré- belleux inférieur, ou elle devient 1res peu visible ( faisceau cérébel- leux direct).. ? · , , ? 4 , , ? La
faisceau cérébel- leux direct).. ? · , , ? 4 , , ? La sclérose du faisceau de Goll n'atteint pas toutes les fibres de t..
t.. - OU I" *" l ? l, ? Il '1111U1 ( . TU ' uv- * I-' 'J ? v t- ce faisceau ; elle se limite, comme dans les dégénérescences
" commissure postérieure en un point du renflement cervicale Le* faisceau droit est moins'atteint'que'le"gauche et tous deu
rigine.*»' -M W1 tlWf 41l ti- fin Quanta la sclérose ascendante des faisceaux pyramidaux croisés,' f'r elle est beaucoup moin
te des cordons de Goli,"des'faiscpaux céré ? belleux directs et des faisceaux de Gowers; la myélite ascendante' des""1 faisce
x directs et des faisceaux de Gowers; la myélite ascendante' des""1 faisceaux pyramidaux a disparu; presque complètement.'tq sf
sion primitive; or, si l'on compare l'in- tensité de la sclérose du faisceau pyramidal au-dessus et au des- sous du foyer tr
us qu'il n'en est resté au-dessous. Ce sont donc bien les fibres du faisceau pyramidal croisé, des fibres descendantes par c
croisé, des fibres descendantes par conséquent, qui sont lésées. Le faisceau pyramidal direct est abso- lument intact. ,- '
he. ,, iiH,. ? ..., ,t ... , . , .... z La sclérose, ascendante des faisceaux de Goll, de Gowers et céré- belleux direct ne,
énérescence secondaire. 11 n'en est pas de même pour la sclérose du faisceau pyramidal qui présente des détails intéressants
saisit la nature de ce processus; dans les 'régions supérieures du faisceau pyramidal on voit les cellules de la névroglie
s par, for- 1'a. 21.j^ ? Coupe- longitudinale pratiquée -dans; le., faisceau pyramidal droit au niveau de la quatrième racin
ésion inters Litielle,'Ies cylindres d'axe qui persistent 'dans' lé faisceau pyramidal sont'malâdes`poür la plupart ; ils pré-
semé de petits frag- Fig. 22. Coupe longitudinale pratiquée dans le faisceau pyramidal dioit au niveau de la première racine
trait au sujet qui nous occupe. Les dégénérescences ascendantes des faisceaux de Goll, de Gowers et cérébelleux direct, n'off
cérébelleux direct, n'offrent rien d'intéressant, mais la lésion du faisceau pyramidal croisé se présente sous un aspect ins
ente sous un aspect insolite ; il existe une double sclérose de ce' faisceau : l'une; au-dessous du foyer, est descendante,
égénérescence; mais - cette supposition tombe devant ce fait que le faisceau pyrami- - dal direct n'est pas atteint ; et la
ect singulier que prennent les cellules de.' la névroglie dans le faisceau pyramidal; il semble qu'il y ait là un processus
dons pour les voies pyramidales. 2 Une dégénérescence analogue du faisceau pyramidal vient d'être 'décrite par il. Sottas
néraux,' on trouve soit le tabes vrai, soit la dégéné- rescence dès faisceaux pyramidaux, soit ces deux lésions com- binées.
d'hémichorée posthémiplégique du côté gauche avec dégénérescence du faisceau pyramidal. - La malade éprouve, dans tout le cô
is, au lieu d'être liées à un arrêt congénital de développement des faisceaux pyramidaux,' ces paralysies sont apparues consé
ont restées identiques à celles des enfants atteints d'atrophie des faisceaux pyramidaux (contrac- tures spasmodiques congéni
- sant le lobe occipital droit indemne aux'centres commandant aux faisceaux moteurs de l'écriture et à ceux qui reçoivent les
'ë'dù '-tissu connectif dans' les cordons' latéraux comprenant' lès faisceaux pyra- "/inidâ'ux"'niàis non' les'' faisceaux' '
s ! racines sous-jacentes et' se. réunissant, en cet en- droit,' au faisceau de Goll.ilU . 1 : - ojsi v ? 11 ,r - - ? a Dans
tes. Il a°moius défibres' dégéné- rées dans la partie antérieure du faisceau de Goll (moelle cervicale), parce'que'Ià au fai
antérieure du faisceau de Goll (moelle cervicale), parce'que'Ià au faisceau de Goll s'ajoutent des' fibres de la corne post
coeruleus fouïvissédèsfibres,âu,riôyau.sensitif du trijumeau et au faisceau cérébelleux ? 9,~, Jr< e' 1· a : ,J^ti''fD'· °
THOLOGIQUES : 205 tié droite de la protubérance un foyer englobe le faisceau d'émer- gence du facial et du trijumeau; il a d
es segments postérieurs-, des .noyaux de l'oculo-moteur commun, des faisceaux longitudinaux postérieurs, du ruban de Reil du
ipfc< in n ' i. ,HD- . - «i.. Voici maintenant les, rapports du faisceau , pyramidal, de la portion corticale. du- - ruba
-corticaux. En avant d'elles s'infléchit dans la capsule interne le faisceau cortical du ruban deReil avec le faisceau pyra-
ans la capsule interne le faisceau cortical du ruban deReil avec le faisceau pyra- midal ; ces deux trousseaux se sont réuni
mblable à l'écorce, avec laquelle elle est en communication par des faisceaux de substance blanche. Cette substance grise inc
r, des -trois, quarts -internes du ;pédondule cérébral y compris le faisceau pyramidal, les fibres qui vont de l'écorce à à
drijumeaux; la bandelette optique; le corps genouillé externe : les faisceaux irradiant de la couche optique; le pulvinar. To
majeure partielle grand axe, est parallèle à l'axe longitudinal du faisceau * radiculaire il eîi'èst de circulaires ou ovale
e cortical non seulement pour les cordons antérieurs'jet latéraux' ( faisceau pyramidal ' de Flechsi- mais aussi pour les cor
e ' locus coeruleus, formée' aussi des fibres au noyau sënsitifetau faisceau cérébelleux. Les racines motrices se composent*
LA C.4LOTTE dans LA PROTUBERANCE avec remarques SUR LE trajet' DES faisceaux de' la '"sensibilité cutanée; par MocLÉ et'1VIA
o-médiane, du système latéral de la zone radiculaire moyenne et des faisceaux de Goll. Intégrité de la zone radiculaire antér
que,, depuis longtemps, elleb ne réagitxrj plus sous l'action d'un faisceau lumineux, ou dans. l'obscurité oq Il importe, e
des foyers^comme' s'il "était formé par' la juxtaposition de deux' faisceaux complètement individualisés ? ' ,' Fig. 14 1 IT
z,'m)bieii distincte, laquelle est surtout développée dans le petit faisceau (A) annexé au névricule de gauche : elle formel
i-même se montre enveloppé de toutes parts; mais surtout du côté du faisceau nerveux,'par une zone alvéolaire. Lestroma inte
ué par un réseau lâche (e) fortement nucléé surtout au voisinage du faisceau nerveux (9), représentant une des formes diffus
ue à la condensation de l'endonèvre dans la couche superficielle du faisceau . En b deux cellules indifférentes. Fig. 13. 1
ymphe coagulée ou détritus cellulaire ? ). Fig. 15. 1/500. Un petit faisceau nerveux aplati (y) pris entre deux couches xnés
is entre deux couches xnésoneuriales. Les fibres renfermées dans ce faisceau ont subi un certain degré d'atrophie et l'endon
volumineux (a) ? Comme dans'les figures1 21 ? >' 25;, 26, 27,'le faisceau nerveux n'est représenté que par le contour de se
37 (1934) Oeuvre scientifique
émiplégies toutes récentes, dans les cas où les fibres nerveuses du faisceau pyramidal étaient détruites et dans d'autres (s
où l'altération n'était que superficielle, où les cylindraxes de ce faisceau étaient conservés, sur des sujets chez lesquels
ceau étaient conservés, sur des sujets chez lesquels les lésions du faisceau pyramidal devaient être très étendues et sur d'
n, aux lésions des arcs tendino-réflexes s'associe une sclérose des faisceaux pyramidaux, les réflexes tendineux paraissent t
r des réflexes en particulier sous l'influence d'une altération des faisceaux pyramidaux (hémiplégie) l'irréflectivité est to
psycho-motrice du cerveau exerçant sur eux, par l'intermédiaire du faisceau pyramidal, un pouvoir frénateur. Bruns, Dejerin
atement au-dessous; en effet, sauf dans cette région, les fibres du faisceau pyra- midal sont partout tellement rapprochées
ssements, tumeurs, etc., atteignant directement ou indirectement le faisceau pyramidal, provoquent des troubles de motilité
ve en foyer ayant pour consé- quence une dégénération secondaire du faisceau pyramidal. Dans la phase où la dégénération est
ation secondaire, un cas de néoplasme intra-crânien qui comprime le faisceau pyramidal sans le détruire. La surréflectivité,
dérer successivement l'hémi- plégie sans dégénération secondaire du faisceau pyramidal et l'hémiplégie avec dégénération sec
ération secondaire ? Assurément cela est possible si à la lésion du faisceau pyramidal s'associent des altérations dans les ar
a couche optique ou du corps strié, associées à une alté- ration du faisceau pyramidal, peuvent-elles entraver la surréflectiv
, en pareil cas, la couche opto-striée seule est atteinte et que le faisceau pyramidal est intact. , En ce qui concerne le
ans les lésions de la moelle (') De la paralysie par compression du faisceau pyramidal sans dégénération secondaire, par J.
illeurs aisé- ment en raison de la place importante occupée par les faisceaux pyrami- daux dans cette partie du système nerve
e entité nosologique conditionnée par une sclérose systématique des faisceaux pyramidaux, sans lésion en foyer, ou bien d'un sy
se maintient; c'est qu'il y avait de la dégénération secondaire des faisceaux pyramidaux. Dans les autres, la surréflectivité
idaux. Dans les autres, la surréflectivité elle-même disparaît; les faisceaux pyramidaux étaient alors simplement comprimés,
is avant l'hémiplégie. Le plus souvent, en pareil cas, la lésion du faisceau pyramidal n'influencera pas les réflexes. On conç
olis, mais simplement affaiblis. Sous l'influence d'une sclérose du faisceau pyramidal la subréflectivité peut s'atténuer, d
reich, où à des lésions des arcs réflexes se joint une sclérose des faisceaux pyramidaux, les causes de l'irréflectivité prév
ition des réflexes rotuliens. Si cette lésion irrite ou détruit les faisceaux pyramidaux, elle aura, comme autre conséquence,
e, maldePott, ou tumeur). Supposons que cette lésion exerce sur les faisceaux pyramidaux une action destruc- tive ou simpleme
atteint de paraplégie liée à une affection spinale intéressant les faisceaux pyramidaux, siégeant vers le milieu de la moell
ordinairement présent et constitue le témoi- gnage d'une lésion des faisceaux pyramidaux. C'est ce qu'on observe, en particul
is ne peut-il pas se développer aussi, au cours d'affections où les faisceaux pyramidaux sont intéressés, quelque autre espèce
surréflectivité tendineuse et elle est liée à une dégéné- ration du faisceau pyramidal ; l'autre a des analogies cliniques ave
cette affection les réflexes tendineux ne sont pas exagérés et les faisceaux pyramidaux sont intacts. e) Voir : a) Sur une f
e, quand ils sont très caractérisés, la dégénération secondaire des faisceaux pyramidaux fait défaut ou bien est très légère ;
rme déterminée par des lésions ner- veuses centrales atteignant les faisceaux pyramidaux, et pourtant absolu- ment indépendan
resterait pour moi un signe mystique et inexplicable d'affection du faisceau pyramidal. Je répondrai à cela que, si je n'ai pa
'existence d'une affection organique de la moelle inté- ressant les faisceaux pyramidaux est incontestable, on observe une co
r sclérose spinale dans lesquels les .I4o SÉMIOLOGIE nératives du faisceau pyramidal font défaut ou sont peu prononcées. P
e, quand ils sont très caractérisés, la dégénération secondaire des faisceaux pyramidaux fait défaut ou bien est très légère ;
forme déterminée par des lésions nerveuses centrales atteignant les faisceaux pyramidaux, et pourtant absolument indépendante
ment (centre des réflexes de posture). Une lésion cantonnée dans le faisceau pyramidal exalte à la fois l'activité réflexe d
le asynergique, le constater en l'absence de signes d'altération du faisceau pyramidal. On doit s'assurer par avance que le
des Hôpitaux, 24 mars 18qq). 6) De la paralysie par compression du faisceau pyramidal, sans dégénération secondaire. Contri
ce, d'aspect nacré à la coupe, elles paraissent constituées par des faisceaux entrecroisés en tous sens ; leur consistance est
ceps bra- chial gauche, qui semble bien dénoter une irritation du faisceau pyramidal. Si on l'admet, il reste encore à dét
rbation du système pyramidal, mais, a-t-il dit : « si un trouble du faisceau pyramidal intervient à un titre quelconque dans
pposer qu'elle occupe une région des centres nerveux avoisinant ces faisceaux , par exem- ple le corps opto-strié. Le phénomèn
gauche prédominant au membre supérieur. 2° Des signes de lésion des faisceaux pyramidaux plus marqués du côté gauche. 3° Des
in Destruction des fibres cérébelleuses remontant de la moelle par le faisceau latéral et qui constituent le contingent médull
par places et sur une petite étendue, interrompre la continuité des faisceaux dégénérés, les points de repère sont restés suf
aisseur de la substance réticulée jusque près du plancher, entre le faisceau solitaire et le faisceau longitudinal postérieur
éticulée jusque près du plancher, entre le faisceau solitaire et le faisceau longitudinal postérieur ; il est limité par un si
spinal; il interrompt forcément le trajet des fibres ascendantes du faisceau antéro-latéral (faisceau de Gowers); toutefois
cément le trajet des fibres ascendantes du faisceau antéro-latéral ( faisceau de Gowers); toutefois le faisceau cérébelleux dir
antes du faisceau antéro-latéral (faisceau de Gowers); toutefois le faisceau cérébelleux direct, qui passe très tôt en arriè
ôt en arrière, paraît lui avoir échappé ; les noyaux situés dans le faisceau latéral du bulbe sont naturellement englobés. T
us de lui de dégénérescence répondant au trajet récemment décrit du faisceau de Gowers vers le cervelet. Le second foyer est
nce réticulée, quelques fascicules de l'hypo- glosse ; il entame le faisceau longitudinal postérieur et se place au hile de l'
ruban de Reil, respectée par le foyer précédent, et l'autre sur le faisceau pyramidal. Nous étudierons les dégénérescences
es dégénérescences secondaires en envisageant successivement chaque faisceau au-dessus et au-dessous des foyers. Le faisceau
essivement chaque faisceau au-dessus et au-dessous des foyers. Le faisceau pyramidal est altéré dans toute la hauteur de la
ses.deux portions qui est classique, sinon que la limite externe du faisceau pyramidal direct ne peut être fixée avec certitud
direct ne peut être fixée avec certitude à cause de la présence du faisceau cérébelleux descendant qui lui est immédiatement
sé. Au-dessus du foyer il existe quelques fibres dégénérées dans le faisceau pyramidal; on peut les suivre jusqu'à la capsul
l médian; elles se disséminent bientôt dans toute l'épaisseur de ce faisceau . Arrivées dans la couche optique, les fibres dé
es des autres et se raréfient rapidement ; elles ne forment plus de faisceau compact et occupent toute la région désignée par
ge, mais parfaitement nette, qui permet CAn. Corne antérieure. FCC. Faisceau central de calotte. FCd. Faisceau cérébelleux dir
ermet CAn. Corne antérieure. FCC. Faisceau central de calotte. FCd. Faisceau cérébelleux direct. FD. Faisceau cérébelleux de
Faisceau central de calotte. FCd. Faisceau cérébelleux direct. FD. Faisceau cérébelleux descendant (f. de Marchi). Flp. Faisc
ux direct. FD. Faisceau cérébelleux descendant (f. de Marchi). Flp. Faisceau longitudinal postérieur. FlF2FaF. Foyers de ram
égion de la substance réticulée qui avoisine le ruban de Reil et le faisceau longitudinal postérieur, on aperçoit des faisceau
ruban de Reil et le faisceau longitudinal postérieur, on aperçoit des faisceaux longi- Fig.. 2 1. Fig. 17, 18, 19, 20. Coupes
corne antérieure qu'elles coiffent. Plus bas elles sont séparées du faisceau pyramidal direct par une mince ligne pâle, puis c
la corne antérieure et forment une virgule dont la tête s'adosse au faisceau pyramidal direct en touchant à la périphérie de
riphérie de la moelle, et dont la queue se perd dans l'épaisseur du faisceau antéro-latéral, en dedans de la place du faisceau
ns l'épaisseur du faisceau antéro-latéral, en dedans de la place du faisceau de Gowers. Ces fibres diminuent rapidement de n
ale, mais nous avons pu les suivre jusque dans la région sacrée. Le faisceau répond à la description du faisceau cérébelleux
jusque dans la région sacrée. Le faisceau répond à la description du faisceau cérébelleux descendant qui, suivant les auteurs
oyau de Deiters. Au-dessus des foyers on trouve à la même place des faisceaux dégénérés, en moins grand nombre, épars dans la
Nous supposons qu'il s'agit là d'une dégé- nérescence centripète du faisceau descendant, originaire du noyau de Deiters, plutô
rencontrent jusque dans les régions supérieures de la calotte. Le faisceau longitudinal postérieur gauche présente au-dessou
bas. En haut il existe un petit nombre de fibres dégénérées dans le faisceau ; par analogie avec ce qui se passe dans le ruba
- rescence centripète qui s'étend jusqu'à l'extrémité supérieure du faisceau , sur la face interne du noyau rouge. Enfin no
rescence des boules beaucoup plus petites que les fibres des autres faisceaux . Elles constituent d'abord les fibres pré-, inter
la dépendance des lésions du ruban de Reil et probablement aussi du faisceau de Gowers ; il est à remarquer toutefois que le
aiblissement de la contractilité volontaire, dépend de la lésion du faisceau pyramidal. La perturbation dans l'asynergie mus
e. Il y a tout lieu de faire jouer un rôle important à la lésion du faisceau cérébelleux descendant, ou à celle des fibres cér
descendant, ou à celle des fibres cérébelleuses conte- nues dans le faisceau de Gowers. Il est à remarquer que comme dans l'
où siège la lésion qui donne lieu à ce trouble ? Serait-ce dans le faisceau longitudinal postérieur ? Nous ferons observer en
ulaires, par la disparition parfois complète de la myéline dans les faisceaux sclérosés, la sclérose tabétique se rapproche d
e a montré qu'il n'existe aucune dégénérescence dans les différents faisceaux , môme dans les points qui sont directement en con
in, l'on ne voit pas de dégénérescence secondaire appréciable des faisceaux à long trajet. Par la méthode de Marchi, la pla
faisceaux à long trajet. Par la méthode de Marchi, la place de ces faisceaux n'est indiquée que par un nombre très restreint
picrocar- min. Il n'existe pas de dé- générescence visible des faisceaux pyramidaux. SUR UNE FORME DE PARAPLÉGIE SPASMOD
la moelle qu'une large plaque de sclérose siégeant à droite dans le faisceau antéro-latéral, au niveau des émergences des ra
ites ; les autres sont plus étendues, elles peuvent même occuper le faisceau latéral tout entier, mais la sclérose y est plus
que l'affection consistait en un néoplasme intra-crânien et que les faisceaux pyramidaux de la moelle n'étaient aucunement al
hez l'adulte, une paraplégie spasmodique perma- nente, sans que les faisceaux pyramidaux aient subi de dégénérescence seconda
, Deulsches Archiv f. Illin. nlect., XXIII Band, p. 343. 2° Etal du faisceau pyramidal dans quatre cas de contracture spasmodi
ant la zone rolandique gauche; hémiplégie permanente ; intégrité du faisceau pyramidal, par Cestan. Société anatomique, févrie
mes trois observations, à savoir que la dégénération secondaire des faisceaux pyramidaux fait défaut; dans les observations I e
ation du sys- tème pyramidal n'aboutissant pas à la destruction des faisceaux qui le constituent Q. A l'appui de cette idée
ompte rendu de l'examen anatomique, l'absence de dégénérescence des faisceaux latéraux au-dessous de la g" dorsale est notée
ement peut être indépen- dante de toute dégénération secondaire des faisceaux pyramidaux, mais semble même dénoter que ces fa
condaire des faisceaux pyramidaux, mais semble même dénoter que ces faisceaux sont normaux ou ne sont tout au plus que partie
expé- rimentale, 18gi. III DE LA PARALYSIE PAR COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL SANS DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE (Contr
araît être le suivant : artérite céré- PARALYSIE PAR COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL 327 brale avec thrombose; ramollissem
trois mois qu'a duré l'hémi- plégie, une dégénération secondaire du faisceau pyramidal aurait dû se produire et que cette dé
et, outre la difficulté que le malade PARALYSIE PAR COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL 329 éprouve à trouver ses mots, il pr
de l'hémiplé- gie. On sait, en effet, qu'une lésion destructive du faisceau pyramidal a pour conséquence habituelle une mod
ncipale qui se dégage de ce qui précède c'est qu'une compression du faisceau pyramidal peut engendrer une paralysie avec con
s signes rendant l'hypothèse de tumeur PARALYSIE PAR COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL 3 ? cérébrale acceptable, cette forme
le ou le bulbe) n'aboutissant pas à une dégénération secondaire des faisceaux pyramidaux. .. L'observation de faits nouveaux
seulement lorsque l'anesthésie fait défaut ou est très minime, les faisceaux pyramidaux ne sont pas dégé- nérés ou ne le son
ait difficile de l'admettre. S'il en était ainsi, si les fibres des faisceaux pyramidaux correspondant au membre supérieur ét
MOELLE De plus, tandis que la contracture liée à une irritation des faisceaux pyramidaux s'accompagne ordinairement d'une exa
deux homolatérales, une dans le cordon postérieur, l'autre dans le faisceau cérébelleux direct. 36o PARAPLÉGIES - AFFECTION
ones radiculaires externes dans les cordons postérieurs au niveau des faisceaux de Burdach : A. arachnoïde; CB. faisceau de Bur
postérieurs au niveau des faisceaux de Burdach : A. arachnoïde; CB. faisceau de Burdach; D. dure-mère; P. pie-mère; Zm. zone m
- sation marginale Zm ; et des grains noirs abondants dans les deux faisceaux pyramidaux croisés Py. c. et dans le faisceau d
ndants dans les deux faisceaux pyramidaux croisés Py. c. et dans le faisceau de Burdach C. B. le faisceau de Goll étant intact
x pyramidaux croisés Py. c. et dans le faisceau de Burdach C. B. le faisceau de Goll étant intact. : COMPRESSIONS MÉDULLAIRE
ux (fig. 5o et 4g) une assez grande quantité de grains noirs dans les faisceaux pyramidaux croisés, mais on n'en retrouve déjà
es de la moelle. Il n'existe pas en effet de dégénérescences de ses faisceaux longs et cliniquement la sensibilité était cons
altérées que la moelle (état clair, dégéné- rescence ascendante du faisceau de Burdach), ont fait preuve d'une tolé- rance
érescences des cordons postérieurs s'atténuent ainsi que celles des faisceaux pyramidaux ; la zone de démyélinisation marginale
iques, est liée généralement à une irritation non destruc- tive des faisceaux pyramidaux, sans dégénération descendante seconda
eut pas porter de pronostic. Il est impossible aussi de dire si les faisceaux pyra- midaux sont dégénérés ou simplement compr
une perturbation et non pas nécessairement une dégénération de ces faisceaux . En ce qui concerne l'amyotrophie, elle a été c
remiers mois de la maladie, il y a une lésion destructive et que le faisceau pyramidal a subi une altération suivie de dégén
re igo6). RADIOTHÉRAPIE DANS LES PARALYSIES SPASMODIQUES S Giâ le faisceau pyramidal n'est pas dégénéré. Quoi qu'il en soit,
petit hypnotisme (Archives de Neurologie, 1889, ne, 49 et 5o). 24. Faisceaux neuro-musculaires (Archives de Médecine expérimen
eurologie, 5 juillet igo6). 127. De la paralysie par compression du faisceau pyramidal, sans dégénération secondaire (Id.).
on du système pyramidal 315 III. De la paralysie par compression du faisceau pyramidal sans dégénération secondaire 326 IV
38 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on lui commande d'élever le moignon de son épaule iso- lément. Les faisceaux claviculaires du deltoïde ne sont pas moins par
sie spinale, ils sont déterminés par une dégénération incomplète du faisceau pyramidal droit, consécutivement au foyer de my
de lui une zone diffuse plus foncée que les parties adjacentes du faisceau pyramidal et latéro-cérébelleux et formée par des
rses parties des cordons postérieurs et la perte de fibres dans les faisceaux cérébelleux et pyramidaux ; en même temps atrop
ieur. - Dans la première, absence de dégénérescence secondaire du faisceau pyramidal. Dans la seconde, dégénérescence secon-
arée des régions voisines, se divisent, comme on le sait, en deux faisceaux : l'interne ou celui de Goll, qui se dis- tingu
fines, adhère à la scissure postérieure et se détache nettement du faisceau externe de la partie cervicale, où sa limite ex
, prend naissance au sulcus intermedius posterior (l3elliujeri); le faisceau externe, dit faisceau de Bur- dach, occupe le r
ulcus intermedius posterior (l3elliujeri); le faisceau externe, dit faisceau de Bur- dach, occupe le reste des cordons antér
ne; mais ce n'est que quatre mois plus tard que les fibres de ces faisceaux reçoivent leur enveloppe de myéline. Quant aux
s de ces faisceaux reçoivent leur enveloppe de myéline. Quant aux faisceaux de Goll, d'après Flechsig, ils ne se forment qu
t d'exac- titude, ces derniers consistant de trois et non de deux faisceaux . Il se base sur le fait que les foetus de cinq
jusqu'à la commissure postérieure. Une division de cette nature des faisceaux de Burdach était encore à observer chez des foe
ois de la vie intra-uterine) dans les cordons postérieurs, où les faisceaux de Goll étaient encore dépourvus de myé- line.
ont l'enveloppe à myéline était déjà sensible- ment développée, les faisceaux postéro-périphériques, contigus à ceux de Goll,
l'opinion de Bechtereff par rapport aux élé- ments constituants des faisceaux de Burdach, mais sur des coupes de la moelle ép
mois de leur vie utérine, que les fibres des parties internes des faisceaux de Goll possédaient déjà une couche de myéline
sque dénués. Dans la partie cervicale de la moelle épinière, où les faisceaux de Goll sont les plus accentués, ce phénomène s
conjonctif sus- A, Scptiiin posterius. J ! , La poition interne du faisceau de Goll. - C, 1 a porlion externe du faisceau d
La poition interne du faisceau de Goll. - C, 1 a porlion externe du faisceau de Goll. I). Le faisceau de Burdach. - 1)' Lu por
sceau de Goll. - C, 1 a porlion externe du faisceau de Goll. I). Le faisceau de Burdach. - 1)' Lu portion posléio- penphen&l
S DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 181 mentionnée, servant de limite avec les faisceaux de Goll et à ceux de Burdach, donne la possibib
ue les portions dépourvues de myéline font -partie du territoire de faisceaux grêles (flq. 3 et 4). Sur les coupes de la pa
est moins précis, bien qu'on puisse y observer que les parties des faisceaux de Goll avoisinant la scissure postérieure, pos
aut, la même différence entre les portions externes et internes des faisceaux de Goll sur les coupes de la moelle épinière de
nt du neuvième mois de la vie utérine, mais la limite externe des faisceaux de cordons de Goll, privés de myéline, ne tranc
. DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA MOELLE. atteint ainsi la région des faisceaux de Goll ; la seconde partie de fibres forme ava
e, offrant le même volume que celles de la por- tion antérieure des faisceaux de Goll (fiq. 5, 6, 7). Me basant là-dessus, je
. Me basant là-dessus, je suis enclin à croire que les fibres des faisceaux de Goll, qui débouchent des cor- dons de Clark,
des cor- dons de Clark, se trouvent dans l'intérieur même de ces faisceaux , tandis que les fibres de la commissure postéri
u'elles la trouvent simultanément dans le bulbe, dans les noyaux de faisceaux grêles. PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'
tomique. Terminaisons centrales du nerf vague et constitution du faisceau solitaire du bulbe. Le D1' Bechterew a étudié par
a étudié par la méthode de Weigert les origines du nerf vague et le faisceau solitaire du bulbe. Il s'est servi d'embryons h
ambiguus du même côté. Le reste des fibres radiculaires gagne le faisceau solitaire du bulbe. Ce faisceau s'étend de la par
te des fibres radiculaires gagne le faisceau solitaire du bulbe. Ce faisceau s'étend de la partie supérieure du bulbe à l'en
de myéline, on cons- tate que ces fibres ne forment que le tiers du faisceau solitaire. Constitution du corps restiforme. Da
suivant la date d'apparition de la myéline : Il fibres venant du faisceau cérébelleux direct ; 2" fibres venant du noyau du
ant du faisceau cérébelleux direct ; 2" fibres venant du noyau du faisceau de Burdach du même côté; 30 fibres sortant du nov
; 30 fibres sortant du novau REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 215 du faisceau latéral du même côté; 10 fibres arciformes extern
ôté; 10 fibres arciformes externes, antérieures et postérieures, du faisceau grêle du même côté et du côté opposé; 5° fibres
l'olive inférieure du côté opposé. Toutes ces fibres forment trois faisceaux . Lé premier contient trois systèmes de fibres :
ux. Lé premier contient trois systèmes de fibres : 10 des fibres du faisceau cérébelleux; 2° des fibres du noyau du faisceau
: 10 des fibres du faisceau cérébelleux; 2° des fibres du noyau du faisceau cunéiforme;' 3° des fibres du faisceau latéral.
x; 2° des fibres du noyau du faisceau cunéiforme;' 3° des fibres du faisceau latéral. Toutes ces fibres montent en haut et e
u vermis supérieur, une partie allant au côté opposé. Le deuxième faisceau , constitué par les fibres du cordon grêle, se sép
rrespondante de la région moyenne du vermis supérieur. Le troisième faisceau , constitué par les fibres de l'olive infé- rieu
ons les faits suivants, publiés en langue russe. 'Constitution du faisceau longitudinal postérieur. D'après Flechsig, le f
stitution du faisceau longitudinal postérieur. D'après Flechsig, le faisceau longitudinal postérieur, s'il n'est pas le prol
faisceau longitudinal postérieur, s'il n'est pas le prolongement du faisceau basal, est en tout cas son homo- logue ; il rel
akovenkô,' en. relatant le premier cas connu de dégénérescense du faisceau longitudinal postérieur, a exposé ses recherches
dinal postérieur, a exposé ses recherches sur la constitution de ce faisceau qui contient, selon cet auteur : 1° des fibres
et la couche optique, traversent la commis- sure postérieure et le faisceau longitudinal postérieur, pour-, se terminer dan
se séparent à leur entrée dans la corne postérieure et forment deux faisceaux : un faisceau interne si grosses fibres et un f
eur entrée dans la corne postérieure et forment deux faisceaux : un faisceau interne si grosses fibres et un faisceau extern
orment deux faisceaux : un faisceau interne si grosses fibres et un faisceau externe à fibres grêles. Les grosses fibres se
traversent le cordon latéral vers sa périphérie pour constituer le faisceau cérébelleux direct; 2° d'autres vont à la parti
la colonne de Clarke,' traversent la commissure grise et forment le faisceau limitant du cordon antéro-latéral. D'autres fib
nt naissance à la partie périphérique des cordons de Burdach, et au faisceau cérébel- leux direct ; 2° les minces fibres ext
erew se fondant sur les résultats de la vivisection, admet que le faisceau externe dessert la sensibilité cutanée, tandis qu
le faisceau externe dessert la sensibilité cutanée, tandis que le faisceau interne remplit des fonctions réflexes (par les f
réunissent la corne postérieure-à la corne antérieure). Ce dernier faisceau servirait aussi à la conduction du sens mus- cu
e du cervelet prouve que ce sens n'a pas pour voie de conduction le faisceau cérébelleux direct; il reste donc la région pér
es prouvent que la sensibilité cutanée est croisée. C'est donc le faisceau formant la région limitante du cordon antéro-laté
Bechterew les montrent encore mieux. Excitabilité des différents faisceaux de la moelle chez les animaux nouveau-nés. L'ex
montre l'excitabilité propre de ses fibres. . De même les fibres du faisceau pyramidal qui se couvrent de myéline dix à douz
assez long- temps. Il a constaté les dégénérescences classiques du faisceau pyramidal des cordons de Goll et du faisceau cé
escences classiques du faisceau pyramidal des cordons de Goll et du faisceau cérébelleux direct. Il n'a pas observé la dégén
en sont dépourvues; donc le cor- don de Goll contient au moins deux faisceaux particuliers. M. Popoff soutient que les fibres
compression ultérieure de la moelle. Myélite ititersti. tielle des faisceaux pyramidaux (d'où paralysie avec exagération des
ntient trois systèmes : A, un système intellectuel qui est formé de faisceaux conducteurs et d'oasis de cellules dégé- nérant
si le premier relai central des nerfs auditifs et op- tiques et les faisceaux de conjonction des divers centres primitifs.' *'
me des pyramides et le ruban dé Réil, il, dans le cervelet : par le faisceau iatéropyramidal et les fibres cérébellobulbaire
e la corne postérieure à la cloison de la pie-mère intermédiaire au faisceau de Goll et au faisceau de Burdach. P, K , ',
à la cloison de la pie-mère intermédiaire au faisceau de Goll et au faisceau de Burdach. P, K , ', SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉ
étrique bilatérale associée). Géné- ralement les zones d'entrée des faisceaux radiculaires dans les cordons postérieurs sont
et systématique des manches de myéline. Voici ce qu'il a trouvé. Le faisceau longitudinal postérieur s'en- toure de très bon
fascicules irra- diant de la formation réticulaire de la base, les faisceaux qui, issus de la commissure inférieure (de Gudd
rtie posté- rieure du nerf optique, de la dissociation terminale du faisceau longitudinal postérieur, d'un fascicule origina
oyau vésiculaire. Parmi les fibres ascendantes, il faut, en sus des faisceaux longitudinaux postérieurs qui perdent une partie
ie. L'oeuvre qui la résume, et qui sert de lien en quelque sorte au faisceau de doctrines nées ou élaborées à ce sujet en It
st pas une preuve par- lante contre la possibilité d'une lésion des faisceaux postérieurs, et que même, au contraire, dans le
ent qu'on ne le croit en général, ou bien encore par une lésion des faisceaux postérieurs, de la moelle épinière ou bien enco
moelle épinière; ainsi Fuczek cite déjà des cas de lé- sion de ces faisceaux jiost-puerperium, après l'enahoi- sonnenaeot pa
ption faite ces temps derniers par M. Vierordt de troubles dans les faisceaux postérieurs de la moelle épinière dans un cas à
arquée et, sans doute possible, primitive dans toute la longueur de faisceaux de Goll (la queue de cheval était intacte). J'a
dans la littérature, l'existence des troubles 'pathologiques des faisceaux postérieurs dans l'anémie. Tous ces faits font
ordons postérieurs et d'une zone périphérique du cordon latéral, le faisceau pyra- midal avait été touché par le processus p
ttentif nous a montré d'autres plaques échelonnées tout le long des faisceaux pyramidaux. M. Minor nous a fait aussi examiner
HOLOGIE NERVEUSE. 47S 5 Bechtérew. De l'excitabilité des diflérenls faisceaux de la moelle épinière chez les animaux nouveau-
odique. Le Médecin, no 48, 1887. Jakovenko. De la constitution du faisceau longitudinal posté- rieur. -Journ. de Dlierjiem
t du côté de la lésion, avec entre-croisement ,. presque complet du faisceau pyramidal). Le Médecin, n°39, 1886. Pasternat
39 (1913) Exposé des travaux scientifiques
RTIE HISTOLOGIE NORMALE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE FAISCEAUX NEURO-MUSCULAIRES En 1886, j j'ai fait paraître
à établir qu'à l'étal normal il existe dans les muscles striés des faisceaux spéciaux constitués par des gaines lamelleuses
émentaire sur ce sujet. Voici la description que j'ai donnée de ces faisceaux neuro-muscu- laires. « Lorsqu'on examine, sur
rve par places. dans l'épaisseur du tissu conjonctif qui sépare les faisceaux de fibres, de petits îlots plus ou moins réguli
parties du muscle, et présentant généralement un plus grand FIG. i. Faisceau nouro musculaire. a,a. Fibres musculaires qui a
isceau nouro musculaire. a,a. Fibres musculaires qui a-voisinent le faisceau neuro-muscu- l,iier; b Gaine lamelleuse de ce f
voisinent le faisceau neuro-muscu- l,iier; b Gaine lamelleuse de ce faisceau . Dans l'espace délimi- tée par cette gaine on v
e unique cloisonnée, sont contenus dans des gaines indépendantes. FAISCEAUX \IEURO-MUSCULAIHES il « Ces figures corresponde
FAISCEAUX \IEURO-MUSCULAIHES il « Ces figures correspondent à des faisceaux musculaires, bien dis- tincts des faisceaux voi
res correspondent à des faisceaux musculaires, bien dis- tincts des faisceaux voisins par la dimension des fibres et la gaine
destinés. » Ayant constaté pour la première fois la présence de ces faisceaux sur des muscles atrophiés dans un cas d'amyotro
890. pp. 3 13-3 1 Il. b) Blocq et Marinesco, Sur la morphologie des faisceaux neuro-musculaires. C. R. Société de Biologie, &
, > 8go, p. 3g8). Il a contribué tout au moins à établir que les faisceaux neuro-musculaires constituent une disposition n
es anatomo-patholojistes, pas plus à l'étranger qu'en France. Ces faisceaux avaient été considérés par eux comme le résultat
sépare du sarcolemme la substance striée ; celle- ci, dans certains faisceaux , est extrêmement réduite et le protoplasma remp
émiplégies toutes récentes, dans des cas où les fibres nerveuses du faisceau pyra- midal étaient détruites et dans d'autres
l'altération n'était que superficielle, où les cylindres-axes de ce faisceau étaient conservés, sur des sujets chez lesquels l
ceau étaient conservés, sur des sujets chez lesquels les lésions du faisceau pyramidal devaient être très étendues et sur d'au
e que j'ai décrit. L'auteur attire l'attention sur ce point que les faisceaux pyramidaux dans la région dorsale ne sont que l
rter de diagnostic précis. Il est impos- sible aussi de dire si les faisceaux pyramidaux sont dégénérés ou sim- plement compr
ne per- turbation et non pas nécessairement une dégénération de ces faisceaux . En ce qui concerne l'amyotrophie, elle a été p
odiques, est généralement liée à une irritation non destructive des faisceaux pyramidaux, sans dégénération descen- dante sec
de la moelle; il n'existait pas, en effet, de dégénérescence de ses faisceaux longs, et l'examen clinique avait montré que la
altérées que la moelle (état clair, dégé- nérescence ascendante du faisceau de Burdach), ont fait preuve d'une tolérance tr
ulbe. 27. Coupe de la Protubérance. CAn. Corne antérieure. - FCC. Faisceau central de la calotte. FCd. Faisceau cérébelleux
CAn. Corne antérieure. - FCC. Faisceau central de la calotte. FCd. Faisceau cérébelleux : direct. FD. Faisceau cérébelleux
ceau central de la calotte. FCd. Faisceau cérébelleux : direct. FD. Faisceau cérébelleux descendant (f. de Marchi). Flp Faisce
ement et les fibres olivaires droites après leur décussation; b) le faisceau cérébelleux descendant qui proviendrait en part
he interolivaire ; d) les voies ascendantes latérales de la moelle ( faisceau de Gowers), le faisceau cérébelleux direct étan
s voies ascendantes latérales de la moelle (faisceau de Gowers), le faisceau cérébelleux direct étant probablement intact ;
), le faisceau cérébelleux direct étant probablement intact ; e) le faisceau longitudinal posté- rieur ; f) les nerfs mixtes
upille gauche semble dû à l'altération du SYNDROMES BULBAIRES 163 faisceau longitudinal postérieur par lequel passent vraise
et la latéropulsion sont ici sous la dépendance de l'altération du faisceau cérébelleux descendant (les lésions du faisceau
de l'altération du faisceau cérébelleux descendant (les lésions du faisceau longitudinal postérieur pourraient aussi être i
t légitime de la rattacher, principalement au moins, à la lésion du faisceau cérébelleux descendant, mais il est permis aussi
endant, mais il est permis aussi de supposer que les altérations du faisceau de Gowers (et peut-être aussi celles de la voie
égion de la substance réticulée qui avoisine le ruban de Reil et le faisceau longitudinal postérieur, il existe des faisceau
ruban de Reil et le faisceau longitudinal postérieur, il existe des faisceaux longitudinaux de fibres dégénérées que l'on peut
jusque dans les régions inférieures de la moelle ; elles forment un faisceau qui coiffe la corne antérieure et qui, à un certa
e antérieure et qui, à un certain niveau, est nettement distinct du faisceau pyramidal direct également dégé- néré : c'est l
stinct du faisceau pyramidal direct également dégé- néré : c'est le faisceau cérébelleux descendant. Au-dessus des foyers, o
ce sont probablement des fibres du 161 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE faisceau cérébelleux descendant qui ont subi la dégénéresc
rescence des boules beaucoup plus petites que les fibres des autres faisceaux . Elles constituent d'abord les fibres pré-, int
poser qu'elle occupe une région des centres nerveux avoisinant ces faisceaux , par exemple le corps opto-strié. Le phénomène de
lexes de la moelle, telle que peut la produire la dégénérescence du faisceau pyramidal «M. Babinski n'admet pas les troubles
petit hypnotisme (Archives de Neurologie, 1889, nO' 4tJ et 5o). 24. Faisceaux neuro-musculaires (Archives de Médecine expérimen
eurologie, 5 juillet 1906). 127. De la paralysie par compression du faisceau pyramidal, sans dégénération secondaire (Id.).
RTIE Histologie normale et Physiologie. Pathologie expérimentale. Faisceaux neuro-musculaires................... (j Des mod
40 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cherchant à en établir l'authenticité par de faux certificats. Le faisceau de toutes ces circonstances eût été suffisant déj
premier en se basant sur des observations célèbres l'existence d'un faisceau sensitif situé dans la capsule interne en arriè
d'un faisceau sensitif situé dans la capsule interne en arrière du faisceau pyramidal, soit dans la dernière moitié du bras
te par Ballet 3. C'est ainsi qu'il attribua au sens mus- culaire un faisceau spécial situé en avant du faisceau sensitif pro-
attribua au sens mus- culaire un faisceau spécial situé en avant du faisceau sensitif pro- prement dit attribué à la sensibi
tribué à la sensibilité tactile, et répondant par suite en avant au faisceau pyramidal. Ces notions sont encore classiques à
e la voie sensitive directe (Flechsig) et ceux de l'interruption du faisceau sensitif dans la couche optique (Von Monakow et
ésie de cause cérébrale. Thèse de Paris, 1874. i. ' G. Ballet. Le faisceau sensitif. Thèse de Paris, 1877. * Flechsig. Nol
ques ascendantes. Mais ces fibres ne forment pas dans la capsule un faisceau distinct; elles occuperaient intimement mêlées au
postérieure depuis le genou jusqu'au faiseau rétro-lenticulaire. Ce faisceau rétro-lenticulaire est composé de fibres visuel
couvertes anatomiques récentes sur le trajet et les terminaisons du faisceau sensitif. Tout concorde à montrer que le siège
e et rolandique avec dégénération totale du pied du pédoncule et du faisceau pyramidal des deux côtés. Deux cas de méralgie
nsi- dérer comme des stigmates de dégénérescence. L'asymétrie des faisceaux pyramidaux est très apparente dans le bulbe. A
-croisement des pyramides fait suite immédiatement du côté droit un faisceau pyramidal direct très développé et bien délimit
des pédoncules cérébraux à l'exception des fibres radiculaires des faisceaux centraux du même étage; de presque toute la rég
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. rescence des deux pyramides, des faisceaux aberrants, d'une por- tion considérable des fib
procédés d'examen de cet observateur. P. Keraval. XVI. Maturité des faisceaux conducteurs de l'encéphale des animaux; par DOE
au neuvième jour on constate la myélinisa- tion successive : 1° de faisceaux de la capsule interne qui vont au gyrus coronai
rtie de la circonvolution du corps calleux (cingulum) ; 2° un mince faisceau allant de la capsule interne dans le gyrus ecto
e lamelle située dans la partie moyenne du gyrus marginal; 2° des faisceaux qui vont de la capsule interne dans le gyrus ecto
ème circonvolutions arquées. Le quatorzième jour se dessinent les faisceaux allant du corps genouillé externe au gyrus margin
Tels les lapins, les rats, les souris, les cobayes. La maturité de faisceaux déterminés n'a pas non plus lieu exactement le mê
que des systèmes de fibres isolés. Et la maturité suit pour chaque faisceau la loi de succes- sion formulée. P. Keraval.
atéral, et que dans la moelle des mammifères où il n'existe que des faisceaux latéropyramidaux l'entre-croisement est non tot
t est non total mais partiel (Sherrington). La semi décussation des faisceaux pyramidaux et, par suite, l'action de la sphère
à une embolie de la sylvienne ayant entraîné un ramollissement des faisceaux moteurs de la capsule interne. On constate une
ie la plus élevée de la moelle cervicale, au niveau de la région du faisceau pyramidal, quelques mottes noires disséminées,
ue, chargée d'unir le cerveau à la moelle, quel- que chose comme le faisceau sulco-marginal de Marie ou le fais- ceau margin
générescence ascendante insignifiante. Il est donc possible que ces faisceaux , intersegmen- taires chez l'homme et quelques m
en partie en longs cordons. P. Keraval. XVIII. Du trajet central du faisceau de Gowers; par G.-J. ROSSOLIMO. (1\'etsroLog. C
constate une dégénérescence ascendante, tout à fait symétrique, des faisceaux de Goll, des faisceaux latéro-cérébelleux, et des
ence ascendante, tout à fait symétrique, des faisceaux de Goll, des faisceaux latéro-cérébelleux, et des fais- ceaux de Gower
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. rieures une dégénérescence ascendante du faisceau fondamental du cordon antérolatéral. Figures.
tal du cordon antérolatéral. Figures. La description détaillée du faisceau de Gowers peut se résumer ainsi. Au niveau du d
elques-unes de ses fibres tendent à pénétrer dans le territoire des faisceaux latéro-cérébel- leux ; des noyaux du cordon de
ême côté, quelques libres dégénérées s'en vont en arc de cercle aux faisceaux de Gowers. Tout le long du territoire des olive
de cercle plus brusques pour se rendre au territoire dégénéré des faisceaux latéro-cérébelleux. A la hauteur des fibres du co
téro-cérébelleux. A la hauteur des fibres du corps tra- pézoïde, le faisceau de Gowers, s'éloignant de la périphérie, se pla
riphérie, se place à la face postérieure de celui-ci, et devient un faisceau allongé à fibres un peu obliques ; quelques fib
oire du corps restiforme est absorbé par le cervelet, tandis que le faisceau de Gowers devient de plus en plus postéro-externe
du noyau latéral de l'étage supérieur des pédoncules cérébraux, le faisceau de Gowers décrit une courbe brusque pour pénétrer
roisement du pathétique. Ici une partie de ses fibres s'unissent au faisceau de Gowers de l'autre côté en formant un entrecr
demeurés normaux. Dans la région des tubercules quadrijumeaux, le faisceau de Gowers, composé de fibres des deux côtés, occu
exécute une rotation à direction antéro-externe, et pénètre dans le faisceau longitudinal intermédiaire pour s'éparpiller da
, en haut, les parties antérieures. Par conséquent, les fibres du faisceau de Gowers, originaires de la moelle lombaire, t
globus pallidus (ou segments internes du noyau lenticulaire). Le faisceau latéro-cérébelleux a le trajet et la situation qu
niveau eu du noyau de ce dernier, dans le corps restiforme, dans le faisceau de Gowers et dans les faisceaux latéro-cérébell
r, dans le corps restiforme, dans le faisceau de Gowers et dans les faisceaux latéro-cérébelleux. Enfin les mêmes pièces anat
réticulaire du bulbe, la zone radiculaire du territoire dégénéré du faisceau fondamental antéro-latéral ; au niveau de la fo
atoxyline de Weigert; il donne une coloration jaune d'ocre clair du faisceau dégénéré qui tranche sur le ton brun sépia des
ontractures. L'ancienne hypothèse des propriétés excito-motrices du faisceau pyramidal a été combattue en particulier par Pi
e la moelle par l'intermédiaire des fibres cérébello-spinales et du faisceau longitudinal postérieur. Quand l'action cortica
vision renferme des discussions approfondies sur les centres et les faisceaux de projection de la vue, sur les hémianopsies,
poral, la structure histologique spéciale du gyrus forni- catus, le faisceau d'association de la corne d'Ammon et de la fascia
s histologiques consi- dérés isolément, mais qu'elles dépendent des faisceaux d'associa- tion, unissant les divers centres cé
se reporte aux lésions nombreuses qui ont été cons- tatées dans les faisceaux sensoriels de la moelle, on sera amené à croire
ctif de persécu- tion, à l'autopsie duquel on trouva des lésions du faisceau posté- rieur. M. Anglade insiste sur ce fait qu
séparée par une large raie de substance blanche normale, occupe le faisceau cunéiforme REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE P
érieure du pédoncule cérébral, le ruban de Reil se partage en trois faisceaux peu distincts. Le faisceau le plus externe comm
l, le ruban de Reil se partage en trois faisceaux peu distincts. Le faisceau le plus externe commence à s'éparpiller et se p
artie du ruban, pas plus que les autres s'unisse au noyau rouge. Le faisceau moyen, composé de fibres très fines, ou ruban d
optique n'est pas tout à fait médian (Détails dans le mémoire). Le faisceau interne ou médian du ruban de Reil s'en va, par
au qu'elles traversent ; ces trousseaux proviennent de la région du faisceau longitudinal postérieur et du noyau rouge. Les
on du faisceau longitudinal postérieur et du noyau rouge. Les trois faisceaux du ruban de Reil paraissent échanger des fibres
rnis avec les pédoncules cérébelleux supérieurs. Peut-être déjà aux faisceaux du ruban de Reil les premiers parus qui vont au
e, apparaît dans le pied du pédoncule cérébral un premier et unique faisceau qui doit être attribué au ruban.de Reil. Tout p
antérieure, en se rendant en bas, à la protubérance où il gagne le faisceau pyramidal. Peut-être une partie de ce trous- se
érance. On voit aussi chez les foetus humains de six à sept mois un faisceau myélinique allant du corps de Luys à la capsule
capsule interne, en se dirigeant vers la couronne rayonnante, et un faisceau qui va du noyau lenticulaire à la capsule inter
rayonnante. Mais, plus tard, dans la capsule interne appa- raît un faisceau myélinique qui, du globus pallidus, par-dessus la
ents ne se myélinisent que lorsque depuis longtemps est organisé le faisceau qui va au noyau lenticulaire et à l'écorce; il
de Reil principal au corps de Luys (Bechterew et Tschermak). Les faisceaux de Reil corticaux de la couche optique n'appa-
he optique à la capsule interne. Nous avons vu l'exemple anormal du faisceau de la partie posté- rieure de la capsule intern
e Reil sises entre le corps de Luys et le territoire originaire des faisceaux pyramidaux occupent une place à part; leur cali
du réflexe rotulien, elle est difficile en l'absence de lésions du faisceau pyramidal (le phénomène des orteils faisant défau
s forment jusque dans les régions frontales du cerveau antérieur un faisceau longitudinal visible dans le manche de l'éventa
'en arrière de la limite inférieure du renfle- ment olfactif que ce faisceau s'épuise sur les côtés et en arrière de cet org
rescence, intraspinale, a produit ladégénéres- cence ascendante des faisceaux de Burdach, surtout à droite; dans le champ du
ndante des faisceaux de Burdach, surtout à droite; dans le champ du faisceau de Burdach, la dégénérescence est le moins accu
ant limitée à la moelle cervicale, les parties latérales droites du faisceau de Burdach ne tardent pas à apparaitre saines d
ostérieur. Il demeure en revanche un reste de grains noirs entre le faisceau de Burdach et le faisceau de Goll; cette zone d
evanche un reste de grains noirs entre le faisceau de Burdach et le faisceau de Goll; cette zone de dégénérescence est REVUE
s postérieures. Quel rapport affecte la virgule de Schultze avec le faisceau postèro- médian de la moelle lombaire et sacrée
dorsale, mais dont l'évolution clinique n'a pas été communiquée. Le faisceau de Schultze est fortement dégénéré des deux côt
euxième paire lombaire, elles occupent très nette- ment la place du faisceau postéro-inédian. Plus bas, rareté des grains no
de la deuxième,paire lombaire.- Ce qui veut dire qu'il y a bien un faisceau posléro-médian des deux côtés delà ligne médiane
s conclurons avec f31schofi qu'une partie des fibres constituant le faisceau posléro-médian occupe les plans supérieurs de l
ons ou de simples épaississe- ments diffus, dans l'écorce, dans les faisceaux blancs, au voisinage des ventricules, à la surf
ction musculaire, quand on pratique l'excitation sous-corticale. Le faisceau pyra- midal amyélinique, non développé, ne para
ndent à la pariétale ascendante de l'homme, h en serait de même des faisceaux bien plus riches en fibres qui subissent une in
stème du cordon latéral des pyramides, autrement dit une partie des faisceaux cortico-musculaires (Marchi, Algheri, Tschermak
; par S.-E. Henschen. (Neurolog. Centralblatt., XVII, 1898.) Les faisceaux optiques ou visuels qui commencent à la rétine et
ps genouillé est de première importance. Il y a homonymie entre les faisceaux visuels rétiniens et les éléments de la rétine.
la rétine. Le quadrant supérieur de la rétine serait innervé par le faisceau supérieur du nerf optique et de la bandelette opt
optique et de la bandelette optique; son quadrant inférieur par le faisceau inférieur de ces organes (Mar- chand, Narris, H
ces organes (Mar- chand, Narris, Henschen, Pick). En arrière, les faisceaux visuels occupent deux plans. Le plan visuel cor
genouillé détruit en ce point, mais a respecté la bandelette et le faisceau visuel occipital; ce qui prouve que le segment
9 supérieures dps deux rétines, mais jusqu'au corps genouillé les faisceaux des deux yeux ont un trajet complètement séparé.
la troisième fron- tale, suivent un trajet plus ou moins voisin du faisceau géniculé. MM. Dide et Weil relatent une observa
dre degré, les cordons latéraux sont atteints surtout au niveau des faisceaux pyramidaux croisés. Les cornes antérieures sont
urs. L'intéressante autopsie de l'auteur (destruction étendue des faisceaux blancs, avec intégrité presque complète du cortex
histologique méticuleux, mettant en lumière la dégé- nérescence des faisceaux pyramidaux croisés, des faisceaux céré- belleux
n lumière la dégé- nérescence des faisceaux pyramidaux croisés, des faisceaux céré- belleux directs et des faisceaux de Gower
eaux pyramidaux croisés, des faisceaux céré- belleux directs et des faisceaux de Gowers, l'intégrité absolue des cordons post
apables d'avoir donné naissance à une dégénérescence secondaire des faisceaux pyramidaux, qui ne pût non plus résulter de lés
e, par Roux, 59. Facial. Origines dn -, par Mai 1- nesco, 51 i. Faisceau DE GowERS. Trajet central du -, par liossollmo,
41 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
ation de volume notable (PI. VI, C). b) Dans les nerfs mixtes les faisceaux qui vus à un faible grossissement (PI. V, B) pa
ce grise du pont, de l'olive bul- baire et à une atrophie nette des faisceaux cérébelleux directs, des colon- nes de Clarke,
te des faisceaux cérébelleux directs, des colon- nes de Clarke, des faisceaux de Gowers. A part déjà que dans notre cas la su
es sillons du cordon antéro-latéral par lesquels passent, en riches faisceaux , les fibres radi- culaires antérieures, sont pr
tat nor- mal, et aussi bien à gauche qu'à droite. Dans aucun de ses faisceaux il n'existe de dégénérescence ni de sclérose. D
l'affection du côté en apparence sain, avec participation légère du faisceau pyramidal croisé, soit d'une lésion cérébrale con
/'médinu. - Ce nerf est notablement hypertrophié (fig. D), mais les faisceaux nerveux ne participent pas à cette augmentation d
interfasciculaire qui ont subi un dévelop- pement excessif. Chaque faisceau possède une gaine lamelleuse qui lui est propre
mi- neuse assez régulièrement cylindrique contenant un ou plusieurs faisceaux ner- veux.Une autre lame de tissu conjonctif pl
s adipeuses vient encore s'interposer en- tre les divers groupes de faisceaux nerveux et augmenter ainsi le volume total du n
'arrête à la gaine externe et à l'intérieur de celle-ci on voit des faisceaux nerveux rap- prochés les uns des autres ; chacu
deux nerfs se voit encore mieux sur des coupes longitudinales. Les faisceaux du nerf médian sont plus espacés que ceux du ne
sent pas ainsi subdivisés régulièrement en un aussi grand nombre de faisceaux . « Sous ces réserves, cette statue est fort int
t toutes les fibres qui le compo- sent, et ne respecte que quelques faisceaux isolés de sa portion interne. Dans la calotte,
s par la lésion. Sur ces mêmes coupes (fig. 8 et 9) on voit que les faisceaux extra-pédonculaires de la Ill- paire gauche sont
nté par du tissu de sclérose au sein duquel per- , sistent quelques faisceaux de la voie pyramidale et quelques fibres transver
u pied du pédoncule et coupe complètement à ce niveau les fibres du faisceau de Turck. 3° Dans tout le reste du pédoncule, j
ue toutes les fibres qui le composent,en ne respectant que quelques faisceaux isolés de sa portion interne. Le foyer se termi
légère prolifération interstitielle. La couche sagittale ex- terne ( faisceau longitudinal inférieur) de ce côté présente le mê
latéral (fig. 13, 14, 15, 16); une dégénération presque complète du faisceau pyramidal croisé droit et enfin un éclaircissem
uche. A remarquer en outre, ainsi que le montre les figures, que le faisceau pyramidal direct gauche n'est pas dégénéré mais q
ns optiques), mais évidente aussi pour la couche sagittale externe ( faisceau longitudinal infé- rieur). Ici, comme nous l'av
bas tout le pied du pédoncule, exception faite pour quelques petits faisceaux les plus internes. Le lobe occipital est indemn
de Luys. CNR. Capsule du noyau rouge. F. Foyer primitif. Fli. - Faisceau longitudinal inférieur. fir. Fibres arciformes
écrose située entre les cordons de Goll et de Burdach à la place du faisceau en virgule de Schultze. Dans les cordons postérie
s latéraux la nécrose est nettement circonscrite ; elle atteint les faisceaux cérébelleux, les pyramidaux croisés et de Gowers,
uction presque complète des cordons et des cornes postérieures, des faisceaux cérébelleux et pyramidaux croisés, de la partie p
eaux cérébelleux et pyramidaux croisés, de la partie postérieure du faisceau de Gowers, elde la plus grande partie des cordons
ytaires moins intenses. Dégéné- rescence descendante secondaire des faisceaux pyramidaux croisés. Les lésions dans la région
.du noyau du triju- meau traversent la ligne médiane pour gagner le faisceau sensitif (2). Il existe donc, à droile, un prol
ies conductrices des diverses sensibilités dans la moelle. Les deux faisceaux pyramidaux sont comprimés et irrités (paraplégie
xis- tantes que de formations récentes (Iconogr., n° 3,1906). Les faisceaux sagittaux du lobe occipital droit sont particuliè
IONS.- i" Avant de vouloir attribuer à l'interruption de tel ou tel faisceau les phénomènes psychiques accompagnant l'évolutio
nt, au niveau de la partie moyenne du bras, à la face profonde d'un faisceau apo- névrotique et un peu charnu, parti du bord
sculaire interne. Le nerf médian passe sur la face antérieure de ce faisceau ; dans toute l'étendue du bras, le nerf est fra
du biceps, les vais- seaux numéraux perforent d'arrière en avant le faisceau musculo-aponévro- tique du brachial antérieur s
ute inférieure du bras, alors que le tendon est déjà constitué ; un faisceau , dont nous avons parlé plus haut, s'insère sur
ng supinateur ; b, Court supinateur ; c, Deuxième radial externe ; d, Faisceau profond du rond pronateur ; e, Artère radiale ;
T BOUCHET mement accolée au périoste. Elle est représentée par deux faisceaux muscu- laires dont la disposition est la suivan
de la face antérieure, assez étroite, du corps du radius ; l'autre faisceau musculaire (c), fort mince, mais étalé, part de
face antérieure du cubitus, près de l'épiphyse inférieure. Ces deux faisceaux représentent une partie de la couche profonde d
rt supinateur ; j, Muscle anormal ; k, Son tendon inférieur ; l, m, Faisceaux musculaires anormaux représentant la couche pro
superficiels dont nous avons parlé ; le nerf cubital innerve les deux faisceaux musculaires internes profonds ; dès la partie m
ant-bras, ces nerfs envoient des filets à la peau et s'éparpillent en faisceaux ténus ; leurs troncs cessent d'exister. L'art
re lesquels elle passe, pour perforer bientôt d'arrière en avant le faisceau tendineux superficiel du rond pronateur ; la ra
a ensuite contourner le bord externe du radius, et passe entre deux faisceaux tendineux appartenant au long Fig. 4. a, Nerf
ve son dédoublement au niveau de sa partie tendineuse (fig. 6) : un faisceau solide, en forme de gros cordon, s'attache à la
on se reporte aux dimensions des os dans le cas présent ; un autre faisceau , étalé, continue son trajet vertical et aborde
et sur l'arcade fibreuse épicondylo-radiale, ainsi que sur un petit faisceau tendineux qui le sépare du muscle longitndinal vo
ieur. La portion supérieure du triceps est assez développée, et les faisceaux musculaires, très courts, s'insèrent sur le fra
ant-bras, le fléchisseur commun superficiel est représenté par deux faisceaux charnus qui seraient destinés à l'index et à l'au
, il y a une autre masse musculaire qui représenterait pour nous le faisceau coronoïdien du fléchisseur. Cette masse muscula
xe à la partie inférieure de l'apophyse coro- noïde. A peine né, ce faisceau se bifurque et donne deux chefs descendant pa-
breux qui comblent l'espace des deux doigts de la pince. 3° Le 3" faisceau est constitué par la masse la plus interne. Il s'
t le long fléchisseur propre du pouce, qui n'offre de spécial qu'un faisceau de renforce- ment qui lui vient du muscle fléch
s inférieur de l'avant-bras. Le tendon le plus externe fournit deux faisceaux , dont l'un va à la face dorsale du pouce jusqu'à
ge. Peut-être cependant y a-t-il un pédieux représenté par quelques faisceaux musculaires qui partent des couches aponévrotiq
terne est ici le moins développé et il reçoit du demi-membraneux un faisceau musculaire effilé qui part de la partie moyenne
n est très ténu ; il innerve ses muscles normaux, et aussi les deux faisceaux anormaux décrits sous les noms de fléchisseur s
t obliquement en dehors en passant derrière la partie supérieure du faisceau coracoïdien du biceps, pour s'engager entre la
à la surface de ces prolongements papillaires est normal. Entre les faisceaux fibreux dermiques, dans les deux tubercules les
léchisseur profond. Même disposition du tendon en ruban cannelé. Le faisceau d'insertion épitrochléenne est très marqué. Recou
erdre sur l'aponévrose du moignon. Le fléchisseur profond envoie un faisceau tendineux qui se perd sur le fléchisseur superfic
xterne par le médian et l'artère humérale que bordent en dehors les faisceaux terminaux du deltoïde. De là part un tendon assez
la partie postérieure du bras, il est impossible de différencier un faisceau musculaire; à la partie inférieure seulement un t
nution est encore plus notable si on considère individuellement les faisceaux , car l'a- trophie totale est en partie masquée
extenseur propre de l'index manquent. L'extenseur commun donne deux faisceaux : l'externe se divise tardivement en deux larges
rges tendons pour le 2° et le 3e, et envoie une expansion longue au faisceau interne ; l'interne donne deux tendons pour le
UPÉRIEURES. HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE BILATÉRALE PAR COMPRESSION DES FAISCEAUX PYRAMIDAUX, PAR A. SOUQUES. L'observation s
toute la coupe, plus nombreuses cepen- dant dans le territoire des faisceaux pyramidaux. En résumé, il s'agit d'un sarcome t
et les poussées congestives. Dans les paralysiespar compression du faisceau pyramidal, il peut donc y avoir quelques signes
e sarcome actuel. (1) BABIft561, De la paralysie par compression du faisceau pyramidal sans dégenê- ration secondaire. Socié
désintégration, avec démyélinisation légère, diffuse. Intégrité du faisceau pyramidal. Masson & Cie, éditeurs NOUVELL
s ; d'autres plus petites sont disséminées notamment entre les deux faisceaux pyramidaux. D. Lacunes plus petites, dont plusi
oquent une démyélinisation diffuse, assez mar- quée, des principaux faisceaux d'association, notamment du faisceau longitu- d
sez mar- quée, des principaux faisceaux d'association, notamment du faisceau longitu- dinal supérieur et de l'occipito-front
lésions légères, diffuses, pâleur de la myé- line, surtout dans les faisceaux pyramidaux croisés, mais aussi de la partie cen-
s observés dans le cerveau,dé- myélinisation diffuse et étendue des faisceaux d'association, expliquant bien le gros déficit
blanche. - D'une manière générale, on peut dire qu'il n'est pas un faisceau qui n'ait été touché plus ou moins par le process
hé plus ou moins par le processus gliomateux. Au niveau deC. IV les faisceaux postérieurs sont dégénérés, aussi bien Goll 1 q
artie la plus externe de ce dernier cordon. Au niveau de C. VII, le faisceau de Gowers, le faisceau cérébelleux direct, le U
e ce dernier cordon. Au niveau de C. VII, le faisceau de Gowers, le faisceau cérébelleux direct, le UN CA.S DE SYRINGOMYÉLIE
lleux direct, le UN CA.S DE SYRINGOMYÉLIE AVEC CIIEIROMÉGALIE 379 faisceau fondamental latéral sont intéressés, les lésions
topographie que dans les régions sus-jacentes. La dégénération des faisceaux antérieurs et latéraux augmente de haut en bas,
de la VIe cer-, vicale l'existence de corps granuleux dans tous les faisceaux spinaux. Racines rachidiennes. - Les racines an
ésentait dans le derme des fibres conjonctives très épaisses et des faisceaux ressemblant à ceux du tissu tendineux, le tissu
du brachial an- térieur qui va avec l'énorme apophyse coronoïde. Le faisceau qui va à la cloison inter-musculaire interne et
s du brachial antérieur ; toutefois il s'agit, dans notre cas, d'un faisceau surnuméraire proprement dit qui rejoint en bas
, Gruber, Hildebrandt, Müller, Henle ont attiré l'attention sur ces faisceaux . L'absence du coraco-brachial a été signalée pa
nts extenseurs dont les tendons inférieurs se scindent en autant de faisceaux que de doigts ; que se différencient chacun des
un assez grand nombre de vaisseaux anormalement dilatés, réunis en faisceau et formant comme un riche plexus destiné à la n
de l'hémisphère cérébral gauche, une absence à peu près complète du faisceau pyramidal dans le pédoncule cérébral, dans le p
dans le pont et dans le bulbe du côté gauche, une forte aplasie du faisceau sensitif (ruban de Reil) dans le pédoncule céré
. Un examen soigneux et méthodique ne décèle aucune perturbation du faisceau pyramidal. Depuis le retour du malade à l'Hôt
solu. Il importe de noter ici les contractions limitées à de petits faisceaux musculaires que le malade qualifie de «pulsatio
que dans le premier cas. On s'était exercé à décontracter certains faisceaux musculaires, d'autres sont arrivés à la res- co
es de la nuque, s'exécute maintenant d'une façon complète ; quelque faisceau musculaire a cédé pendant que d'autres sont ent
eures du noyau de l'oculo-mo- teur du même côté et qu'il va dans le faisceau longitudinal au genou du facial pour s'unir là
isé le centre de la IVe paire dans le noyau conlenu dans le sein du faisceau longitudinal postérieur, considérant, cependant
a partie dystale du noyau de la IIIe paire, située dans le sinus du faisceau longi- tudinal postérieur, le noyau du facial s
e la IV° paire (toute la chaîne cellulaire comprise dans le sein du faisceau longitudinal postérieur) l'origine de ce nerf e
la III. paire, et non pas si elle se trouve ou non dans le sein du faisceau longitudinal postérieur, cependant l'indication d
atrophie bien marquée du noyau placé dans une excavation dorsale du faisceau longitu- dinal postérieur, au niveau de la régi
iées les libres qui en émanaient et qui semblaient se jeter dans le faisceau longitudinal. Ce noyau qui pour Kôlliker est le
ibres qui partent du noyau dont nous avons parlé descendent dans le faisceau longitudinal et se jettent dans le genou du facia
42 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
, que les anatomistes se soient mis d'accord sur les centres ou les faisceaux d'association. Cf. M. et Mme 0. Vogt. L'anatomie
ngent de fibres vers l'entrecroisement bien moindre qu'à gauche. Le faisceau longitudinal postérieur du côté droit est netteme
rieur à gauche est très appa- rente. On voit toujours l'atrophie du faisceau longitudinal postérieur et la disparition presq
aisceau longitudinal postérieur et la disparition presque totale du faisceau central de la calotte à droite (Plan- che XVII)
al de la calotte à droite (Plan- che XVII). Cette dégénération du^ faisceau central de la calotte et l'atrophie du fais- ce
s moyenne et inférieure. On voit sur les coupes plus bas situées le faisceau central de la calotte se diriger vers l'olive b
s, ce qui s'explique par ce fait qu'elles sont en connexion avec le faisceau central de la calotte. L'atrophie du faisceau lon
en connexion avec le faisceau central de la calotte. L'atrophie du faisceau longitudinal postérieur qui était très apparent
st très difficile à retrouver sur les coupes du bulbe, alors que ce faisceau est venu se con- fondre avec les fibres de la f
fibres cérébello-olivaires. M. Thomas (1) dans un cas de lésion du faisceau central de la calotte a fait récemment une consta
nt py- ramidal ne laissent plus voir de tractus de dégénération. Le faisceau de Ilelweg ne nous a pas paru dégénéré. Les c
foyer a déterminé les dégénéralions secondaires classiques des deux faisceaux pyramidaux au-dessous de la lésion et des cordo
es de la protubérance et du bulbe s'il existait une dégénération du faisceau de Von Monakow dans les régions où les auteurs
faisceau de Von Monakow dans les régions où les auteurs figurent ce faisceau , nous ne l'avons pas rencon- trée. Il convient
l'avons pas rencon- trée. Il convient de remarquer toutefois que le faisceau de Von Mona- kow, à supposer qu'il existe chez
ona- kow, à supposer qu'il existe chez l'homme, ne doit pas être un faisceau bien dense et partant, qu'avec la méthode de We
es autres fibres restées saines. (1) A. Thomas, Recherches sur le faisceau longitudinal postérieur el la substance réticul
nal postérieur el la substance réticulée bulbo-protubérantielle, le faisceau central de la calotte el le faisceau de Helweq.
culée bulbo-protubérantielle, le faisceau central de la calotte el le faisceau de Helweq. Revue Neurologique, 1903, p. 94. L
les différentes coupes, dégénérations du pédoncule cérébelleux, du faisceau central de la calotte, du faisceau longitudinal
ons du pédoncule cérébelleux, du faisceau central de la calotte, du faisceau longitudinal postérieur. Le cas que nous publio
s loin de leur position normale, ont leur gaine très infiltrée. Les faisceaux sont intacts ; c'est à peine si quelques noyaux p
sont intacts ; c'est à peine si quelques noyaux pénètrent entre les faisceaux les plus superficiels, quelqu'intense que soit l'
ement indemne. Elles sont pour la plupart complètement isolées, les faisceaux pie- mériens disparaissent dans la masse des no
il est impossible de dire si ces fibres appartiennent à tel ou tel faisceau ; on ne \ peut reconnaître aucun groupe de fibr
reconnaître aucun groupe de fibres qui puisse être rattaché soit au faisceau longitudinal inférieur, soit aux radiations optiq
certain nombre de fibres à direction antéro- postérieure, reste du faisceau longitudinal inférieur : du même côté, l'angle
rieur : du même côté, l'angle supérieur du ventricule, au niveau du faisceau transverse du cunéus, il existe un foyer de ram
ions électriques, l'absence de contractions fibrillaires forment un faisceau d'arguments cliniques en faveur de celte affectio
une zone de dégénérescence. Les parties claires corres- pondent aux faisceaux , aux réseaux fibrillaires les plus purs. On renco
suivant leur grand axe, c'est-à- dire quand la section intéresse le faisceau dont elles font partie, parallèlement aw Il O
lique. , Il existe une relation très nette entre la disposition des faisceaux cellulaires de la tumeur, et l'orientation des
iomateux. : < Le gliome contient le plus souvent passablement de faisceaux nerveux et de cellules ganglionnaires encore en
e rapi- dement par son développement excentrique la destruction des faisceaux nerveux environnants et une interruption plus o
es- soirement le sous-épineux, le grand rond, le grand dorsal et le faisceau claviculaire du grand pectoral ; la parésie du
sée d'une part par une atrophie légère du biceps avec effacement du faisceau claviculaire du grand pectoral, et, d'autre par
essus formateurs. Il est entendu que l'absence d'une artère ou d'un faisceau musculaire se produit à l'état isolé et l'on se
placé par un tractus fibreux sur lequel prennent insertion quelques faisceaux des muscles tibiaux. Le cordon fibreux dont il
u'en largeur, en réunissant étroitement leurs cellules en de petits faisceaux (fibres) au moyen de leurs peri1ftysia. Ceci ne s
t en toute sa surface, s'est déve- loppé segmentairement en de gros faisceaux de fibres bien différenciés entre eux depuis sa
icielles de la portion supérieure de l'organe. Cette séparation des faisceaux qui, ori- ginairement, dans l'embryon, a dû êtr
éraux sont bien celles du tabes vrai, et il explique les lésions du faisceau pyramidal par l'état de vulnérabilité que provoqu
la trace sous forme d'une infil- tration graisseuse dissociant les faisceaux . . Observation clinique. Grâce à une heureuse c
est épaissie et scléreuse. Le tissu adipeux siège surtout entre les faisceaux et ne pénètre pas dans le tissu intra-fascicula
e diffus dissociant avec sclérose fasciculée du nerf. Au centre des faisceaux , les tubes nerveux, pressés les uns contre les
ta- tion. Il est constitué par le feutrage d'une infinité de petits faisceaux nerveux entourés chacun d'une gaine fibreuse pr
aisceaux nerveux entourés chacun d'une gaine fibreuse propre. Ces faisceaux sont incomparablement plus petits que ceux que no
ration (voy. pl. LXII, fig. B). 2° Au niveau du col du névrome, ces faisceaux deviennent plus volumi- neux et moins nombreux
es sont indiquées par des points noirs bien marqués, tandis que les faisceaux de fibres grêles et de cylindraxes nus forment
étendus qui séparent ou entourent les fibres larges. Dans chaque faisceau , ces fibres se réunissent en fascicules dont les
e leur aire, le reste étant occupé par un espace incolore (Voy. les faisceaux de droite dans la fig. C). Il semble qu'à cette h
Plus on s'élève, moins le tissu lâche cellulo- adipeux séparant les faisceaux nerveux devient abondant. Ces faisceaux présent
llulo- adipeux séparant les faisceaux nerveux devient abondant. Ces faisceaux présentent, du reste, ici, des dimensions norma
ales montrent les mêmes éléments disposés à l'in- térieur de larges faisceaux . Les tubes nerveux y paraissent plus nombreux q
mbreuses, disséminées entre les fibres larges ou réunies en -petits faisceaux , s'y distinguent plus nettement. Les fibres son
upes longitudinales, le tissu cellulo- adipeux est dissocié par des faisceaux d'aspect fibreux beaucoup plus lar- ges que hau
isposés. Ces noyaux paraissent répondre, surtout dans le centre des faisceaux , soit à des fibres cylindriques, homogènes, rég
e erreur de technique. Mais ils ne siègent que dans l'épaisseur des faisceaux . Ils sont, en outre, disposé par amas limités e
etite. qu'une cellule adipeuse. Sur les coupes transversales, ces faisceaux d'aspect fibreux se montrent comme de larges fa
ersales, ces faisceaux d'aspect fibreux se montrent comme de larges faisceaux nerveux, d'un diamètre à peu près normal, et in
rmal, et infiniment plus volumineux, par conséquent, que les minces faisceaux onduleux que nous avons retrouvés dans le névro
ous avons retrouvés dans le névrome terminal du bout central. Ces faisceaux sont entourés d'un épais périnèvre qui envoie à l
laire considérable de l'endonè- vre. A un faible grossissement, ces faisceaux paraissent formés d'un tissu fibreux compact da
fig. F, G, II), les fibres nerveuses myélinisées sont, suivant les faisceaux , tantôt assez serrées, tantôt assez espacées. D
nciation. Sur les coupes transversales (voy. pl. LXIV, fig. I), les faisceaux ner- veux sont de dimension normale et entourés
I delapl. LXIV, le nombre des éléments nerveux est assez grand. Les faisceaux paraissent formés de fibres plus serrées que ne
vec la fig. G de la pl. LXIII, qui toutes deux représentent le même faisceau coupé dans les deux sens, on se rend compte que
DURANTE fibreux concentriques, et qui pourrait représenter un petit faisceau ner- veux étouffé par son périnèvre exubérant.
comme le bout central. Histologiquement, le bout central montre ses faisceaux dissociés par.du tissu cellulaire lâche et du t
ux dissociés par.du tissu cellulaire lâche et du tissu adipeux. Ces faisceaux , petits, éparpillés et en tourbillons dans le n
res à myéline. Mais les coupes transversales montrent la section de faisceaux beaucoup plus larges que ceux du névrome central
ns coloration élective. Près du col de ce moignon périphérique, les faisceaux nerveux sont, sur les coupes longitudinales, fo
olorer de cylin- draxes bien nets.Sur les coupes transversales, ces faisceaux ont un diamètre presque normal, mais présentant
t le cylindraxe souvent interrompu. Il existe également de nombreux faisceaux de fibres homogènes encore non différenciées. L
eprésente une cellule nerveuse ayant différencié, selon son axe, un faisceau de fibrilles conductrices, tandis que le reste
rome terminal du bout central, montrant l'en- chevêtrement des fins faisceaux onduleux qui le constituent. Ces faisceaux sont
n- chevêtrement des fins faisceaux onduleux qui le constituent. Ces faisceaux sont d'autant plus grêles que l'on se rapproche
s du col du névrome terminal. Forte infiltration adipeuse entre les faisceaux . Le gros faisceau de gauche montre des fibres a
terminal. Forte infiltration adipeuse entre les faisceaux. Le gros faisceau de gauche montre des fibres assez dissociées. Les
fibres à myéline sont inégalement disséminées, rarement réunies en faisceaux compacts. Elles sont souvent entourées d'un pet
nies en faisceaux compacts. Elles sont souvent entourées d'un petit faisceau de fibres amyéliniques se présentant comme un p
e un petit polygone grisâtre sur la figure. A droite, plus petits faisceaux possédant moins de tubes à myéline. L'un d'eux es
tiers supérieur, près de son col. Forte infiltration adipeuse. Les faisceaux nerveux sont beaucoup plus gros que ceux de la
vrome terminal. La figure J de la planche LXIV représente un de ces faisceaux à un plus fort gros- sissement. Planche LXIII
ale du tronc du bout périphérique, correspondant environ à l'un des faisceaux de la fig. I. Les fibres nerveuses sont abondam
asmique incolore. Planche LXIV. Fis. I. Coupe transversale d'un des faisceaux nerveux de la figure D à un très fort grossisse
par des points grisâtres (roses sur la coupe) et souvent réunies en faisceaux . Epaississement du périnèvre. FiG. K. Coupe lon
43 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
onique, l'inégalité de poids des hémisphères céré- braux, l'état du faisceau pyramidal dans 4 cas de contracture spasmodique
travaux antérieurs, vient nous révéler avec certitude la lésion du faisceau pyramidal. D'autre part, nos 110 0 PATHOLOGIE N
avec signe d'Argyll et persistance des reflexes ten- dineux ; leur faisceau pyramidal va se scléroser, ils seront des lors
rs des spasmodiques avec signe d'Argyll. Très rarement la lésion du faisceau pyramidal siégera dans le cerveau, créant ainsi
trépidation spinale et le signe des orteils, de Babinski, celle du faisceau pyramidal. L'anatomie pathologique est seule ca
à un trauma- tisme obstétrical, il y avait une sclérose intense des faisceaux pyramidaux de la moelle, et aucune trace de cet
130 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Passant aux faisceaux calleux croisés, l'auteur conclut de l'étude de
clut de l'étude des faits comme celui dont il s'agit que, outre les faisceaux qui montent des ganglions de la base vers l'éco
e la base vers l'écorce du côté opposé au travers du corps calleux, faisceaux dont l'existence à été démon- trée par Ferrier
chez l'adulte, la cause de la roideur tardive est l'irritation des faisceaux moteurs parla cicatrisation qui s'effectue au s
n qui s'effectue au siège de la lésion et se propage le long de ces faisceaux . D'autres auteurs ont montré que la section com
A. BRUCE. (Drain, vol. 20, p. 262.) Sur un cas d'ataxie où tous les faisceaux ascendants des cor- dons postérieurs étaient co
la moelle, l'auteur a suivi de bas en haut avec une netteté rare le faisceau cornu commissural et le faisceau septo-marginal
s en haut avec une netteté rare le faisceau cornu commissural et le faisceau septo-marginal ou faisceaux descendants restés
rare le faisceau cornu commissural et le faisceau septo-marginal ou faisceaux descendants restés sains. Au niveau du cinquièm
uée contre la cloison ; dès le cinquième segment lombaire, les deux faisceaux sont distincts, mais le cornu commissural plus
d'importance. Enfin r.u-dessus du dernier segment dorsal, les tleux faisceaux tendent à se diffuser en fibres isolées semées
Bruce croit que le « champ ovale » de Flechsig est constitué par le faisceau cornu commissural au niveau où il s'applique cont
ique contre la cloison formant avec son congénère du côté opposé un faisceau ovale coupé en deux par le septum, ce qui expli
e. L'auteur n'ose pas se prononcer sur les cellules d'où émanent ce faisceau qu'il considère comme probable- ment destiné au
s engendrées par la section de la moelle ou par l'interruption du faisceau pyramidal dans son trajet intra-cérébral. L'équil
t lenticulo-optique. Dégénérescence, au contraire, très franche des faisceaux de l'anse du noyau lenticu- laire qui traversen
es corps granuleux noirs disséminés dans la partie dorso-médiane du faisceau longitudinal postérieur des deux côtés. En deho
rine, fascicules aberrants superficiels externes de Long. Outre ces faisceaux de fibres dégénérées issues du pédoncule cérébr
cérébral on voit encore, après l'extirpation du centre pariétal, un faisceau dégénéré, qui se rend directement aux tubercules
travers la capsule interne. Voici en quelques mots le trajet de ce faisceau : sur les coupes pratiquées en avant du ganglio
les coupes pratiquées en avant du ganglion de l'habénula on voit ce faisceau dégénéré sortir de la capsule interne, se dirig
en- trale et dorsale du corps genouillé externe se fusionnent, le faisceau dégénéré s'est déjà notablement éloigné du corps
externe), dans une partie de la couche optique, située au-dessus du faisceau de Vicq d'Azyr, dans les noyaux de la IIIe pair
espondant était plus marquée que celle-là du noyau opposé), dans le faisceau longitu- dinal postérieur des deux côtés, dans
ines de la IVe paire. Guerver décrit encore une dégéné- rescence du faisceau pyramidal et du ruban de Reil du côté opposé, e
i, les centres corticaux tard myélinisés, sont en relation avec les faisceaux de projection tard myélinisés. En somme, il y a
stance blanche que dans sa subs- tance grise, et en particulier les faisceaux postérieurs sont aussi richement pourvus de fib
fonctions des racines antérieures, des racines postérieures et des faisceaux blancs dont se compose la moelle, les travaux d
se d'une partie des cordons laté- raux, de celle qui est devenue le faisceau pyramidal croisé. Charcot nous fit ensuite conn
ètement ou étaient dans un état de très faible développement. Les faisceaux radiés, assez bien développés dans le cas de Mona
ltent d'une lésion des neurones de pro- jection qui constituent les faisceaux moteurs de l'appareil de la phonation. Il exist
nétiques des circonvolutions rolan- diques des deux hémisphères. Le faisceau d'association qui relie le pied de la'troisième
ce n'est pas, comme on l'a enseigné, le siège de la lésion dans les faisceaux blancs sous-jacents à l'écorce du pied de la tr
ts à l'écorce du pied de la troisième circonvolu- tion frontale (le faisceau pédiculo-frontal inférieur de Pitres), mais c'e
nférieur de Pitres), mais c'est plutôt la lésion localisée dans les faisceaux d'association que nous pourrions appeler faisce
calisée dans les faisceaux d'association que nous pourrions appeler faisceaux d'association psycho-moteurs pho- nétiques, aus
classer les aphasies motrices d'après le siège des lésions dans les faisceaux d'association qui aboutissent à la circonvoluti
sans agraphie, ni autre complication motrice corticale. Lésion des faisceaux de neurones qui mettent le centre de Broca en c
avec les centres phonétiques des opercules frontaux et rolandiques ( faisceaux d'association psycho- moteurs phonétiques). 2
ni complication motrice ou sensorielle corticales ( ? ). Lésion du faisceau des neurones qui relient le centre de Broca au
ue.) B. Aphasies motrices complexes. Lésions combinées des divers faisceaux qui partent du centre de Broca ou qui y aboutisse
(type Bouillaud-Broca). Lésion plus ou moins complète de plusieurs faisceaux des neurones d'as- sociation reliant la circonv
nes phoné- tiques de projection des opercules, combinée à celle des faisceaux phonétiques d'association de la circonvolution
tiers moyen (méthode de Weigert Pal). Des deux côtés les fibres du faisceau pyramidal sont primi- tivement et partiellement
rophiées dans leur trajet bulbo-protu- bérantiel et dans la moelle ( faisceaux pyramidaux croisés). Les noyaux des nerfs crani
des fibres nerveuses équivalentes (c'est-à-dire appartenant au même faisceau ) reçoivent leur gaine de myéline sensiblement à
à plus forte raison d'une couronne rayonnante de fibres groupées en faisceaux , unissant l'écorce cérébrale aux organes termin
, bien que très rarement, on trouve sur ces zones périphériques des faisceaux atypiques de la couronne rayonnante, qui représ
isolées ne prouvent en rien la présence générale et régu- lière de faisceaux de la couronne rayonnante dans les zones péri-
ur l'anatomie du ceiveau et l'histoire de son développement, sur le faisceau pyramidal et son trajet dans le cerveau, (1881)
andes différences individuelles. Dans les régions primordiales, les faisceaux de projection sont très probablement beaucoup p
s dans le mode de succes- sion du revêtement de la myéline dans les faisceaux de fibres ner- veuses, on jugera que le matérie
l'épendune. Spécialement, nous avons pu constater l'existence d'un faisceau longitudinal inférieur, d'un fais- ceau longitu
gitudinal inférieur, d'un fais- ceau longitudinal supérieur et d'un faisceau occipito-frontal. Seu- lement, ces faisceaux on
dinal supérieur et d'un faisceau occipito-frontal. Seu- lement, ces faisceaux ont des limites moins nettes qu'on ne l'a ensei
le cerveau adulte, observation des rapports entre les tra- jets des faisceaux très difficile. Les préparations Weigert donnent
u liquide de différenciation d'un même système de fibres, d'un même faisceau , est régulière, constante, répétée dans les mêm
s nouvelle; Dejerine la connaît. Rappelez-vous la couleur foncée du faisceau longitudinal inférieur en contraste avec la clart
isphère entier, car tout de suite on voit réunis une multi- tude de faisceaux qui se comportent différemment.- Vous allez voi
ide (de ces conditions fait partie l'adhérence intime des fibres en faisceaux aussi denses que le corps de la fibre elle-même
que le corps de la fibre elle-même) ; 3° Direction de la coupe. Un faisceau prend un aspect tout dif- férent coupé en long
ion pénètre bien plus difficilement dans une coupe longitudinale de faisceau ; 4° Le ton de la couleur. On traite une coupe
araît un bleu encore plus intense ; et il arrive alors que quelques faisceaux , avant de se décolorer, se teintent d'un brun,
tique, se distinguant très légèrement du bleu et du gris des autres faisceaux . Ce brun, je le répète, est constant pour certa
autres faisceaux. Ce brun, je le répète, est constant pour certains faisceaux ; par exemple : commissure antérieure, faisceau
stant pour certains faisceaux; par exemple : commissure antérieure, faisceau uncinatus et une partie de la couronne rayonnan
a couronne rayonnante qui va du lobe temporal au pied du pédoncule ( faisceaux de Tùrck, de Dejerine). J'ajoute incidemment qu
aisceaux de Tùrck, de Dejerine). J'ajoute incidemment que ces trois faisceaux émergent ensemble du lobe temporal. Sur des pho
e rétro-lenticulaire de la capsule interne en jaune clair, et 3° le faisceau de Tiirck dont les fibres viennent surtout des
ent jaune. Derrière, un champ étroit beaucoup plus sombre ; puis le faisceau brun de Türclc et enfin la limite de la partie
n, voici comment dans tous les lobes du cerveau se compor- tent les faisceaux différents. Le lobe temporal se décolore le plus
e, l'existence du signe de Babinski vient révéler une altération du faisceau moteur volontaire, qui aurait sans lui passé in
, il existerait un trouble unilatéral ou bilatéral des fonctions du faisceau pyra- midal. Ce trouble relèverait, évidemment,
euse localisée, ayant amené un certain degré de dégéné- rescence du faisceau moteur volontaire. Ceci démontrerait donc nette
ancienne - outre la dégénérescence de la voie pédonculaire et du faisceau pyramidal une diminution de volume du ruban de Re
frappe non seulement le ruban de Reil médian, mais encore tous les faisceaux de la moitié du tronc encéphalique du côté corr
bres pyramidales homolulérnles superficielles qui se déta- chent du faisceau pyramidal dans la région moyenne du bulbe, pass
a région 504 congrès international DE médecine. qui correspond au faisceau pyramidal croisé et au faisceau pré- pyramidal.
onal DE médecine. qui correspond au faisceau pyramidal croisé et au faisceau pré- pyramidal. c) Les fibres aberrantes pyra
dans la substance grise centrale de la moelle, puis réintègrent le faisceau pyramidal croisé aux différentes hauteurs de la m
auteurs de la moelle cervicale inférieure ou dorsale supérieure. Le faisceau dit de Pu/; k n'est qu'une modalité anatomique
e, puis s'entremêle au niveau du collet du bulbe a\ec les fibres du faisceau pyramidal croisé de la moelle épinière. La conn
, le nombre et l'éten- due des lésions de la corticalité et sur les faisceaux sous-jacents intéressés. IL est en effet de pet
la continuité des cordons, 3" les lésions de la substance grise. Faisceaux exogènes. La distinction entre les cordons de Gol
descendantes des régions cervico- dorsales occupent la position du faisceau en virgule de Schullze, dans une partie de leur
s des régions dorsale inférieure, lombaire et sacrée entourent le faisceau septo-marginal (centre ovale, triangle médian).
ian). Fauceaux endogènes. La zone cornu-commissurale de P. Marie, faisceau en virgule de Schullze, faisceau septo-marginal
ne cornu-commissurale de P. Marie, faisceau en virgule de Schullze, faisceau septo-marginal (centre ovale de Flechsig et tri
e ovale de Flechsig et triangle médian de Gombault et Philippe), le faisceau descendant de Hoche, la zone radiculaire postér
le sont courtes et entrent en dégénérescence ascendante ; celles du faisceau en virgule dégénèrent en descen- dant à travers
dégénèrent en descen- dant à travers plusieurs segments; celles du faisceau septo-mar- ginal dérivent des segments jusqu'à
a névroglie, dont les fibrilles sont disposées en tourbillons et en faisceaux entrelacés. Elle envahit la plus grande partie
'liyslérie, la neurasthénie, est très active quand il y a lésion du faisceau pyramidal ; il suffit alors, pour produire une
titude du travail joindre l'intensité de l'action, le cerveau et le faisceau pyramidal apportent l'excitation ; le cervelet et
au (parésies temporaires) et surtout des cordons postérieurs et des faisceaux pyramidaux (la moelle étant surtout en jeu ici)
ernes du noyau qui sont disséminées dans l'épaisseur et en avant du faisceau longitudinal postérieur. Enfin l'oculomoteur co
44 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lésions du cerveau qui atteignent directement ou indi- rectement le faisceau pyramidal, dans sa totalité ou dans sa plus gra
ndice, p. 4'i6. Progrès médical 1882, p. 'il.3. REVUE CRITIQUE LE FAISCEAU SENSITIF ET LES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS
clinique à la Faculté de médecine. BIBLIOGRAPHIE : 1. Anatomie du faisceau sensitif. Gratiolet et Leuret, Ana- tomie compa
ses maladies. G. Ballet, Recherches anatomiques et cliniques sur le faisceau sensitif et les troubles de la sensibilité dans
Toutes celles qui sont susceptibles d'être interprétées en vue DU FAISCEAU SENSITIF. 69 du but qui nous a préoccupé, vienn
Les impressions recueillies à la périphérie par les nerfs de · DU FAISCEAU SENSITIF. 71 1 sensibilité générale ou spéciale
se groupent à la partie externe de l'étage inférieur, en dehors des faisceaux moteurs (pyramidal et autres). C'est là que com
amidal et autres). C'est là que commence, à proprement parler, le faisceau sensitif1. Telles sont en deux mots les voies p
nous avons maintenant à suivre dans l'intérieur de cet organe le faisceau que nous venons de voir longer le bord externe du
ion, on savait déjà par les faits cliniques et expérimentaux que le faisceau sensitif occupe 1 Dans les descriptions de Meyn
ptions de Meynert, auquel on peut attribuer la pater- nité du mot : faisceau sensitif, ce terme sert à désigner seulement le
ipètes dans leur trajet medullo-cérébral, par opposition aux termes faisceau moteur, ou faisceau pyramidal. 72 REVUE CRITI
jet medullo-cérébral, par opposition aux termes faisceau moteur, ou faisceau pyramidal. 72 REVUE CRITIQUE. la partie pos
de la capsule interne, situé qu'il est immédiatement en arrière du faisceau pyramidal. On possédait d'autre part une intére
interne à l'écorce; Meynert-indique avec précision l'existence d'un faisceau de fibres qui se détache du pédoncule cérébral,
s genouillés et de la couche optique côtoieraient celles du premier faisceau , en dedans et au-dessous desquelles elles sont
volutions temporales. Meynert, on le voit, a simplement envisagé le faisceau sensitif sur des coupes horizontales ; de là la
lle soit, aie défaut de ne rien nous apprendre sur la façon dont ce faisceau se comporte en haut, en bas, latéralement, en u
dans ce dernier but, du bichromate associé à l'acide phénique. DU FAISCEAU SENSITIF. 73 pique des coupes du cerveau, et d'
st facile de se convaincre que la teinte gris brun corres- pond aux faisceaux de fibres coupées perpendiculairement à leur ax
rs ; une étude analytique des coupes qui nous ont servi à suivre le faisceau sensitif serait ici déplacée. Nous rappellerons
cette méthode nous a conduits. Nous avons étudié la disposition du faisceau sensitif successivement sur une coupe horizonta
r trois coupes verticales. La première nous a permis d'envisager le faisceau suivant sa longueur depuis son origine au tiers
n examinant un hémisphère, on se convainct qu'elle tombe en plein faisceau sensitif, sur le point même que, dans leurs exp
mus, et intéresse la partie la plus reculée du corps calleux ; le faisceau sensitif, qui atteint là ses plus grandes dimensi
ous sommes ar- rivé aux conclusions suivantes sur la disposition du faisceau sensitif et sa distribution. Ce faisceau situ
es sur la disposition du faisceau sensitif et sa distribution. Ce faisceau situé sur le bord externe du pied du pédoncule cé
tres fibres se recourbent en arrière et constituent un volumineux faisceau , d'abord plus haut que large, dont les dimensions
faisceau, d'abord plus haut que large, dont les dimensions en DU FAISCEAU SENSITIF. 75 hauteur diminuent à mesure qu'on a
'on approche de la pointe du lobe occipital. La forme du corps du faisceau peut être assez exactement comparée à celle d'u
yramide quadrangulaire à base anté- rieure, à sommet postérieur. Ce faisceau s'amoindrit en pro- o-ressant, parce qu'il aban
nvolutions cérébrales auxquelles vont aboutir les fibres émanées du faisceau sensitif (c'est la pathologie surtout qui doit
aisem- blable, en tenant compte des rapports et des connexions du faisceau , et en restant sur le terrain de l'anatomie pure,
ribution générale du fais- ceau sensitif et de ses irradiations. A, Faisceau pyramidal au niveau de la capsule. B, Le même f
diations. A, Faisceau pyramidal au niveau de la capsule. B, Le même faisceau au voisinage (tescirconvo- lutions motrices. -
Le même faisceau au voisinage (tescirconvo- lutions motrices. - C, Faisceau sensitif au niveau de la capsule. - D, Corps du
ices. - C, Faisceau sensitif au niveau de la capsule. - D, Corps du faisceau sensitif dont les fibres se dirigent horizontalem
DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ CONSÉCUTIFS AUX DIVERSES LÉSIONS DU FAISCEAU SENSITIF, DANS SON TRAJET INTRA- CÉRÉBRAL. La
possédons, d'après les détails qui précèdent, de la distribution du faisceau sensitif dans son tra- jet intra-cérébral, nous
nature et à symptomatologie variables susceptibles d'intéresser ce faisceau . Ces lésions siègent, suivant les cas, au nivea
te, c'est-à-dire cette région où toutes les fibres constitutives du faisceau sont réunies, condensées dans un étroit espace,
nt ou d'hémorrhagie même minime, suffit alors pour interrompre DU FAISCEAU SENSITIF. 77 i complètement les rapports normau
osition aux lésions ou désordres qui affectent tous les éléments du faisceau sensitif intra-cérébral, il en est d'autres qui
l. Les cas nombreux réunis, depuis ces travaux, par divers ob- DU FAISCEAU SENSITIF. 79 servateurs, par Veyssière et Raymo
l'inté- resserde différentes manières. Tantôt il y a destruction du faisceau sensitif à son passage au niveau du carrefour.
indéfiniment persistante. Tantôt, il y a simplement compression du faisceau par une lésion de voisinage (couche optique, no
pparente des sens, avec la perte de la sensi- bilité générale. DU FAISCEAU SENSITIF. 81 Quant au cas qui nous est personne
s et surtout les fibres externes de la partie intra-capsu- laire du faisceau sensitif. Nous nous sommes demandé s'il ne sera
plus plausible que, en étudiant anatomiquement la disposition du faisceau sensitif, au niveau de la capsule interne, nous a
se rapprochent des expansions optiques pour constituer une sorte de faisceau spécial qui serait difficilement touché par les
plus du siège des lésions du cerveau ; elles seraient commandées DU FAISCEAU SENSITIF. 83 directement par l'innervation spin
s' de la peau. Nous croyons avoir établi, en nous appuyant sur DU FAISCEAU SENSITIF. 85 un assez grand nombre de faits, qu
avec pièces à l'appui. Il s'agit d'une lésion des cordons latéraux ( faisceau latéral dans les pyramides et le cervelet) ayan
s l'in-, fluence de la pression exercée par la tumeur, en un simple faisceau ) de fibres parallèles dont la direction était l
stance grise. La .tumour,sne tenait à la,pie- mère que par un petit faisceau de tissu conjonctif parcburu' de SARCOME DE LA
eux, sur des coupes frontales et sagittales, apparaissent entre les faisceaux nerveux sous les formes suivantes ; tantôt ils so
. La commissure est pauvre en vaisseaux ; ils sont parallèles à ses faisceaux nerveux ; la substance gélatineuse centrale en
é : «Les artères radiculaires an- térieures accompagnent chacun des faisceaux des racines anté- rieures, et se portent en dro
tères radiculaires postérieures sont situées les unes au milieu des faisceaux radiculaires, les autres en de- dans, les autre
e. Les artères externes passent entre les 3C I· REVUE d'anatomie. faisceaux blancs pour se ramifier un peu plus haut jusque d
e de la racine postérieure que M. Pierret a désignée sous le nom de faisceau radiculaire interne. » C'est à ces trois artère
nt.. Toutefois nous accordons une importance plus grande que lui au faisceau radiculaire interne qu'il appelle arteriw cornu
artérioles coexistantes qui passent entre les cordons de Goll et le faisceau externe des cordons postérieurs. c Parmi les ar
erne des cordons postérieurs. c Parmi les artères périphériques des faisceaux blancs, nous distinguions comme l'auteur allema
s les travées les plus épaisses de la pie-mère entre les principaux faisceaux nerveux. Les plus externes atteignent la partie
es réseaux capillaires qui s'étendent dans le sens des principaux faisceaux . » Nous nous empressons de reconnaître d'ailleurs
car avant lui nous disions : « On sait que M. Pierret a indiqué le faisceau radiculaire interne comme étant la plupart du tem
des cordons de Goll dans la moelle dorsale et cervicale; lésions du faisceau pyramidal dans la moelle lombaire. Le process
t-ce bien là une affection systématique ne portant que sur certains faisceaux de fibres ? Voici le résumé de l'observation, b
te des cordons de Goll dans la moelle allon- gée. Faible lésion des faisceaux cunéiformes. Altérations mar- ginées en toute l
s perversions sexuelles, par Charcot et Magnan, 296. Sensitif (le faisceau ), et les troubles de la sensibilité dans les ca
45 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
e transmet à la région motrice de l'hémisphère gauche, et de la aux faisceaux pyramidaux droits, c'est-à-dire aux membres droit
tion, elle se dirige vers le centre leur gauche de l'écorce, où les faisceaux pyramidaux entrent en jeu etproa duisent (puisq
ation du centre acouslique au centre cortical moteur, et par là aux faisceaux pyramidaux. Dans un chapitre spécial, il a été
enseur du fascia lata, au milieu le moyen fessier, et en arrière le faisceau supérieur du grand fessier. Le tronc tout entie
u muscle se dessine avec son obliquité naturelle. A la surface, les faisceaux musculaires secondaires apparaissent quelque- f
PYTHIE DE DELPHES D'après une gravure de R. de IIOOGE (1688). DU FAISCEAU DIT « BANDELETTE SOUS-OPTIQUE » DANS LA. RACINE
Nous avons décrit sous le nom de « bandelette sous-optique » (1) un faisceau épanoui en éventail, au-dessous de l'écorce des r
avoir voulu décrire le même corps de fibres sous la désignation de faisceau tempoJ'o-tJ¡alami- que. La forme et les rapport
seulement dans la région inférieure du thalamus qu'elles forment un faisceau assez compact et homogène pour être différencié
oto- graphiques peuvent donner une idée assez nette du trajet de ce faisceau sur les coupes vertico-transversales de l'hémis
fibres du stratum zonale du' pulvinar se condensent pour former le faisceau incrusté dans la'concavité externe du corps genou
res, avant de diverger, restent encore quelque temps groupées en un faisceau compact : c'est le tra- jet de ce faisceau' que
us, se rapproche de dehors en dedans de la lame grise de l'uncus DU FAISCEAU DIT « BANDELETTE SOUS-OPTIQUE » 101 (Unc). On r
ale. A ce ni- veau, la bandelette sous-optique est sous-,jacente au faisceau unciforme (FU), dont les libres semblent claire
son de leur direction antéro-postérieure. Il est a présumer'que le' faisceau unciforme sépare complètement 'cette' extrémité
que ne remonte vers la cap- sule externe, au-dessus et en dehors du faisceau 'unciforme. Enfin, il est il peu près certain q
ce lobe et la convexité antérieure du noyau amygdalien. Le nom de faisceau temporo-thalamidue adopté par Arnold mériterait
ar Arnold mériterait donc à notre avis d'être remplacé par celui'du faisceau sphénoïdo-lhala- 1nque . Les deux ligures 30
dant de la voûte aboutis- sant au tubercule mamillaire (tir1). FVA, faisceau de Vicq d'Azyr émergeant du tu- bercule mamilla
e sont des méplats très accentués. Cela tient ;i la conservation du faisceau deltoï- dien médian, les portions antérieure et
la station debout., I-. ' ' ? ` La conservation d'un seul des trois faisceaux qui è ? attlyséttle', ileltoïrle est intéressan
s de 85mm ; il 8O ? n C. encore très faibles et seulement clans les faisceaux externes ; a gauche : C. minima à 95mm ; à 85mm
nima à 95mm ; à 85mm C. encore faibles, apparentes surtout dans les faisceaux externes. La partie postérieure est aussi très
s. La partie postérieure est aussi très atrophiée, surtout dans ses faisceaux internes ; l'atrophie semble à peu près aussi p
). Dans la partie élévatrice de faibles C., soulevant seulement les faisceaux mus- culaires, apparaissent à 30mm à droite, et
centrifuge, jusqu'aux racines antérieures de la région excitée. Le faisceau pyra- midal n'est pas autre chose qu'un segment
e ce grand arc réllexe sont respectées, en d'autres ter- mes, si le faisceau pyramidal continue d'exercer son influence motric
rale. Le faisceaau pyramidal, appelé quelquefois, et à juste titre, faisceau volon- taire, n'exerce aucune inlluence sur ces
accomoder. L'accomodation exige donc l'intégrité d'une fraction du faisceau pyramidal. VA de même qu'on voit chez certains
) nous semblent confirmer cette interprétation. D'autres importants faisceaux médullaires doivent également aboutir aux zones
e et se trouve en arrière des olives inférieures, sur le passage du faisceau vestibulaire décrit par Bruce. Sa proximité d'un
neumogastrique par des fibres qui s'associent en partie à celles du faisceau solitaire et remontent avec elles (Bechterew).
ce qui semble prouver qu'elle est occasionnée par la destruction du faisceau de l'aphasie (Raymond et Artaud). Nous ferons r
imples, a la signification d'un épendyme. La gaine lamelleuse des faisceaux qui constituent le tronc du nerf laby- rinthiqu
ral segmenté, celles-ci sont des centres trophiques pour leurs deux faisceaux de prolon- gements périphériques et centraux, c
arpa, ou ganglion vestibulaire, en autant de ganglions qu'il y a de faisceaux se rendant aux taches criblées. Il nous suffira d
es criblées. Il nous suffira de retrouver dans la fragmentation des faisceaux et du ganglion un vestige de la fragmen- tation
double (Ayers). Il n'en reste guère de trace el c'est bien un seul faisceau qui part de la macule utriculaire, s'adjoignant
aisceau qui part de la macule utriculaire, s'adjoignant deux autres faisceaux issus, l'un de la crête ampullaire transversale
re, formant le ra- meau supérieur de Scli2ctclGe. 2° Un quatrième faisceau se détache de la macule sacculaire par la tache
it auriculaire interne, le ganglion s'étirant sous t'écartement des faisceaux vestibulaires divisés au niveau des biles osseu
on supéro-postérieure; c'est le nerf vestibulaire. L'autre forme un faisceau compact de fibres d'une épaisseur de moitié moind
elle, forment à leur entrée dans le tronc bulbo-protubérantiel deux faisceaux distincts et séparés par une 348 NOUVELLE ICONO
rf cochléaire sera la racine postéro-externe. Nous étudierons leurs faisceaux constituants après avoir décrit les noyaux primai
ors après sa décapitation, est repoussée en avant il mesure que les faisceaux il destination cérébelleuse s'unissent pour for
acoustique. Quanta la substance gélatineuse, on la suit le long du faisceau inférieur, du trijumeau, puis elle semble dispa
pondance entre les grosses fibres de la ra- cine vestibulaire et un faisceau cérébelleux direct qui aboutit au vermis supéri
I i)(Fig.90). D'après Edin- ger, d'antres fibres se détachent de ce faisceau principal, traversent le corps' restiforme et p
ervelet jusqu'aux noyaux du toit (NT) et au noyau globuleux (G). Ce faisceau n'est pas admis par tous les auteurs (Bechterew
Deiters, on voit partir, mais surtout de ce, dernier, un important faisceau qui se dirige vers le vermis supérieur du cerve
ant faisceau qui se dirige vers le vermis supérieur du cervelet. Ce faisceau est l'homologue du faisceau cérébelleuxdirectdehl
ers le vermis supérieur du cervelet. Ce faisceau est l'homologue du faisceau cérébelleuxdirectdehlecll- sig, qui des cellule
e même vermis supérieur. De ce noyau de Deiters partent encore deux faisceaux cérébel- leux, l'un vers ]'embolus (E) et le co
s les fibres issues de la base des cornes médullaires et qui par le faisceau de Burdach et le noyau des cordons cunéiformes
art, par la commissure antérieure, où elles s'entrecroisent, par le faisceau fondamen- tal antéro-latéral (Bechterew), d'aut
el point de l'écorce pariétale desservent-elles ? Dans le bulbe, un faisceau part du noyau de Deiters et aboutit au noyau de l
iner les remarquables connexions. Signalons seulement maintenant le faisceau décrit par Edinger, unissant cette olive supéri
oyau de Deiters et d'îlots situés en dedans de lui, descend un fort faisceau de fibres que nous n'avons pu figurer, parallèl
rt faisceau de fibres que nous n'avons pu figurer, parallèlement au faisceau longitudinal postérieur, jusqu'au ni- veau de l
Ce n'est donc pas une racine réelle du nerf labyrinthique, mais un faisceau cérébelleux des cor- dons postérieurs qui trave
raverse le noyau de Deiters (Edinger, Bechterew). Bruce a décrit un faisceau unissant le noyau de Deiters à l'olive infé- ri
et de là vers l'écorce temporale. Ces libres ont pour homologue le faisceau qui part de la tête de la corne postérieure, tr
e postérieure, traverse la commissure postérieure,. rejoint dans le faisceau interne de l'anse latérale les fibres médullair
à l'écorce temporale sans interception nucléaire ont également leur faisceau homologue dans l'appareil optique. La tactilité
s'en- gagent à travers les noyaux de la base et se divisent en deux faisceaux dont l'un postérieur se dirige obliquement vers
atteignent l'olive supé- rieure du côté opposé. Koelliker admet un faisceau parallèle au dernier et qui semble aboutir au n
le au dernier et qui semble aboutir au noyau du facial. Un second faisceau se dirige en arrière et en dedans, et gagne, d'ap
ld), un sixième aboutit au noyau trapézoïde correspondant. Enfin un faisceau entre également dans la composition du corps trap
pposée, et remonte dans l'anse latérale vers l'écorce temporale. Ce faisceau qui unit t directement le noyau antérieur à l'é
orce pariétale op- posée. De l'olive supérieure part un important faisceau qui atteint le noyau du toit du même côté (Edin
es rapports que nous avons vus plus haut. De ce noyau part un autre faisceau qui passe dans l'hémisphère opposé et aboutit vra
enfin en rapport avec le nerf oculomoteur externe par un important faisceau (Edinger, Bechterew), et sans doute aussi, par
mportant faisceau (Edinger, Bechterew), et sans doute aussi, par le faisceau longitudinal postérieur, avec tout l'appareil de
ulaire. C'est également là qu'aboutissent les fibres originaires du faisceau de Goll, par l'intermédiaire du noyau des cordons
rurgicale, par A. CHIPAULT, 371. TABLE DES AUTEURS BRISSAUD. Du faisceau dit : Bandelette sous- optique, 99. Arthropat
46 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e les tubercules quadri- jumeaux, les couches optiques, etc., « les faisceaux de fibres issus des circonvolutions cérébrales
e vue expérimental, non seulement qu'une lésion inté- ressant les faisceaux qui, du pulvinar de la couche optique, viennent
rieurs, des corps genouillés externes, de la couche optique, et des faisceaux qui s'irradient dans le lobe occipital. Je dois
nes, et non uniquement avec la rétine de l'oeil du côté opposé, les faisceaux croisés des nerfs optiques l'emportant seulemen
roisés des nerfs optiques l'emportant seulement en quantité sur les faisceaux directs. » Ainsi, une destruction unilatérale d
a réaction inflammatoire du lobe occipital, surtout à la lésion des faisceaux optiques qui, des ganglions d'origine des tractus
e centre visuel cortical soutient des rapports plus étendus avec le faisceau croisé qu'avec le faisceau direct. On connaît l
utient des rapports plus étendus avec le faisceau croisé qu'avec le faisceau direct. On connaît la doc- trine de Munk sur ce
il du côté correspondant. Chez les singes, comme chez l'homme, le faisceau direct serait presque aussi fort que le fais- c
ianopsie bilatérale homonyme. Mais Munk soutient, en outre, que les faisceaux optiques ' I corpi gellicolati dei mammiferi st
centre de la vision mentale y est en rapport avec les fibres des faisceaux croisés et des faisceaux directs du nerf optiqu
ntale y est en rapport avec les fibres des faisceaux croisés et des faisceaux directs du nerf optique. Loin de conserver leur
irects du nerf optique. Loin de conserver leur individualité, les faisceaux optiques se confondraient dans leurs trajets ve
iani (fig. 1) montre bien quel se- rait ce mode de distribution des faisceaux croisés et directs de l'écorce. Les points noir
e repré- senté ici, font voir quel rapport les fibres optiques du faisceau croisé, issues du segment interne de la rétine
és, plus clair-semés, indiquent les rapports des fibres optiques du faisceau direct , issues du segment externe de la rétine
substance blanche (2 cas), ou inté- resse à la fois l'écorce et les faisceaux sous-jacents (6 cas). Le pli courbe n'a été tro
tre- croisement des fibres optiques varie parfois comme celui des faisceaux moteurs des pyramides, ainsi que l'ont montré l
laquelle il existerait un rapport fixe et déter- miné, au moyen des faisceaux du nerf optique, entre » chaque segment de la r
de chaque oreille avec les deux hémisphères cérébraux au moyen d'un faisceau croisé et d'un faisceau direct. Quoiqu'on ne sa
deux hémisphères cérébraux au moyen d'un faisceau croisé et d'un faisceau direct. Quoiqu'on ne sache encore rien du mode
e un problème à l'anatomiste. Que celui-ci parvienne à suivre les faisceaux de l'acoustique dans leur trajet vers les centr
et les points hachés indiquent le mode supposé de distribution des faisceaux croisés et directs du nerf acoustique dans l'éc
comme un symptôme de lésion en foyer, soit de l'écorce, soit des faisceaux sous-jacents, bref, comme un phénomène de défic
ion par- tielle dans leur parcours intracéphalique. Toutefois les faisceaux directs seraient ici plus forts que les fais- c
spondant, sans subir d'entrecroisement. L'activité prépondérante du faisceau olfactif direct sur le faisceau croisé aurait c
sement. L'activité prépondérante du faisceau olfactif direct sur le faisceau croisé aurait créé cette illusion. C'est ainsi
s par la prédominance fonctionnelle des fais- ceaux croisés sur les faisceaux directs, il avait d'abord cru' à l'activité cro
he, les points hachés, les plus nombreux, indiquent les rapports du faisceau olfactif direct avec l'écorce cérébrale, les po
avec l'écorce cérébrale, les points noirs, moins nombreux, ceux du faisceau croisé avec les mêmes régions. Giuseppe Fasol
nt de se distribuer aux territoires rétiniens, avec prévalence du faisceau croisé sur le faisceau direct; 3° de même pour
ux territoires rétiniens, avec prévalence du faisceau croisé sur le faisceau direct; 3° de même pour les fibres acoustiques
ne observation caractérisée par - de l'hypertrophie musculaire; les faisceaux primitifs n'occupent cependant que le milieu de
er ensemble le pied du pédoncule. Le lobe occipital n'envoie pas de faisceaux directs dans le pied du pédoncule; c'est au pul
orientées en colonne, les unes au-dessus des autres, parce que les faisceaux de fibres de la couronne de Reil qui vont jusqu
nche, assez difficile à débrouiller à cause de l'épanouissement des faisceaux de fibres et de la substance blanche, qui s'éca
Pour cela, nous n'avons qu'à profiter de la disposition normale des faisceaux de fibres qui montent dans la substance grise,
çoivent très suffisamment sur les pièces traitées par l'alcool. Ces faisceaux se DE LA SUBSTANCE GRISE. 183 divisent, au ni
les intervalles en colonne de cellules; en voyant leurs fibres aux faisceaux qui leurs sont contigus. Cette disposition est
e naturellement dans la profondeur de la substance grise, là où les faisceaux sont plus gros, et c'est pourquoi les grandes c
sens horizontale, par la sériation des cellules et les travées des faisceaux dans le sens ver- tical. Il sera donc presque a
riation dans le sens longitudinal indiquera soit une diminution des faisceaux blancs, soit un morcel- lement des couches, par
ndiquer. La seule chose qui le puisse troubler c'est la présence de faisceaux blancs coupés obliquement, mais leurs surfaces
ascendantes du trijumeau des deux côtés, sur toute leur étendue, du faisceau solitaire (racine ascendante du système mixte)
oisonnent le muscle, les petites travées ne sont pas modifiées. Les faisceaux muscu- laires eux-mêmes ne paraissent pas altér
uche des grandes cellules pyramidales ne se com- posent plus que de faisceaux fibrillaires descendants avec de nombreuses cel
de Clarhe sont conservés. Cette lésion est symétrique. La partie du faisceau latéral comprise dans la concavité des cornes e
amellaire et les cylindres-axes sont normaux; il en est de même des faisceaux musculaires, qui, sous les coupes transverses,
trois couches : la plus superficielle, mince et homogène, formée de faisceaux parallèles de fibres fines, avec de pelits noya
s un tissu fibrillaire dont les fibrilles convergent en bas par des faisceaux distincts. La troisième couche est occupée par
ar des faisceaux distincts. La troisième couche est occupée par ces faisceaux et un certain nombre de cellules. Ces masses de
par ces faisceaux et un certain nombre de cellules. Ces masses de faisceaux fibrillaires accompagnent les vaisseaux et formen
tes. Dans les cornes antérieures, le tissu interstitiel forme des faisceaux fibrillaires volumineux et entrecroisés autour de
port au centre du mou- vement (centres médullaires) » (1). Aussi le faisceau pyramidal, qui transmet aux centres moteurs bul
rice : 1° celle des centres psychomoteurs corticaux; 2° celle des faisceaux blancs qui, sans aucun doute (indubitu- mente),
IE. D'autre part, il y a beau temps qu'on ne fait plus passer les faisceaux pyramidaux il travers les masses grises des cor
re revendiquées, à titre de simple conduction, il est vrai, par les faisceaux blancs du tiers postérieur de la capsule intern
am- burini, hypothèse qui repose sur l'existence indémon- trée de faisceaux de projection reliant directement les corps str
ît avoir au- cune connexion directe avec l'écorce du cerveau. Des faisceaux de fibres isolées pénètrent bien de la subs- ta
. 1. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 3ïH ) laire, mais on ignore si ces faisceaux sont en relation réelle avec la substance grise
moyen d'un système défibres de la couronne rayonnante (distinct du faisceau pyramidal), et s'atrophie secondairement aux lé
ment des centres moteurs corticaux, et par conséquent du volume du faisceau pyramidal, a des limites : elle permet la resti
cordons postérieurs de la moelle épinière, et d'où decendraient les faisceaux pyrami- daux, ces deux sortes de fibres, sensit
dination et à l'équilibre de ces mouvements. Le point où ces deux faisceaux de fibres ascendantes et descendantes se rencon
rnières imaginations de Maurice Schiff. Pourquoi, demande-t-il, ces faisceaux de fibres se donneraient-ils rendez-vous sous l
citables de l'écorce ne fussent que les prolongements cérébraux des faisceaux sensitifs des cordons postérieurs de la moelle,
erte des réactions motrices de l'écorce est due à une lésion 'des faisceaux latéraux des pyramides; d'après Schiff, .la zon
dégénération ou influence dégénérative ascendante, car, lorsque le faisceau pyramidal est intact, les résultats négatifs de
-dire au gyrus sigmoïde, où se distribuent uniquement les fibres du faisceau pyramidal. Les mouvements que ces centres déter
t situés en dehors de l'aire corticale où s'irradient les fibres du faisceau pyra- midal, ces centres, pour être excités, ex
Bechterew, des centres moteurs véritables, des points d'origine de faisceaux moteurs indépendants, dont les fibres centrifug
iculièrement considérées comme psycho- motrices, pour atteindre les faisceaux en rapport avec les noyaux gris moteurs de la m
A vrai dire, si cela n'est pas exact même pour le chien, dont le faisceau pyramidal direct est sans doute très grêle, cel
erfs moteurs symétriques : l'impulsion volontaire, transmise par le faisceau pyramidal croisé, retentirait là, à un certain
ant. Dario Maragliano avait même invoqué, chez l'homme, l'action du faisceau pyramidal direct pour expliquer les suppléances
u pyramidal direct pour expliquer les suppléances cérébrales'. Ce faisceau , le faisceau de Tùrck, a d'ailleurs été trouvé
direct pour expliquer les suppléances cérébrales'. Ce faisceau, le faisceau de Tùrck, a d'ailleurs été trouvé lésé chez les
ité volontaire, qui succèdent aux lésions de la zone motrice ou des faisceaux pyramidaux croisés, ne sont pas limités au côté
noms d'Albertoni et Michieli (1876). La perte de l'excitabilité des faisceaux blancs du centre ovale a lieu au bout d'un cert
47 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
DE SARCOME DU CERVEAU. 11 est celle d'un sarcome fasciculé dont les faisceaux sont enchevêtrés dans toutes les directions. Le
ions. Les cellules appartiennent au type fusi- forme. Dans certains faisceaux elles sont fibro-plastiques et l'on voit interp
res conjonctives plus ou moins grêles ou larges. Mais dans d'autres faisceaux les cellules extrêmement grosses et nombreuses
nes grises postérieures soient le territoire par lequel passent les faisceaux conducteurs des sensations douloureuses. La moiti
cule gauche, ce qui tend à con- firmer la réalité de l'existence du faisceau de l'aphasie. SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS ANNU
sclérose ayant détruit la substance blanche avec dégénérescence des faisceaux postérieurs, antérieurs et latéraux de la moell
postérieurs, antérieurs et latéraux de la moelle par altération des faisceaux antérieurs dans les pyramides. P. K. III. ETUDE
leur maximum de netteté dans la zone qui correspond à peu près aux faisceaux latéraux des pyramides. Suivant la hauteur de la
médullaires ou acoustiques (barbes du calamus) se composent de deux faisceaux : un gros faisceau appartenant à la région céré
tiques (barbes du calamus) se composent de deux faisceaux : un gros faisceau appartenant à la région cérébrale, un faisceau
faisceaux : un gros faisceau appartenant à la région cérébrale, un faisceau plus petit apparte- tenant au plan inférieur (c
u plus petit apparte- tenant au plan inférieur (caudal). A. Le gros faisceau vient du tubel cule acoustique, contourne le co
ssi au tubercule quadriju- meau inférieur du même côté. B. Le petit faisceau vient du noyau antérieur. Il commence, comme le
stiques (barbes du calamus) imposent l'idée qu'elles constituent un faisceau d'association cen- tral, affectant des rapports
sociation externes y compris la raie de Baillarger. P. K. XIV. DU FAISCEAU OLIVAIRE DE LA PORTION CERVICALE DE LA MOELLE É
part. DE BECHTEREW. (Neurolog. CeH< ! 'a/6<., XIII, 1894.) Le faisceau central de la calotte de l'auteur (1885), qui par
885), qui part des olives inférieures et va au cerveau, est bien le faisceau triangulaire REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
rt de ces 'fibres ne prennent leurs manchons de myéline qu'après le faisceau pyramidal. Il appartient à la moelle cervicale
extrémité inférieure de la grosse olive. Le segment inférieur de ce faisceau se trouve entre le cordon antérieur et le cordo
s ou olives inférieures indiquent la légitimité de sa désignation : faisceau olivaire de la moelle cer- vicale. Comme de l'a
e l'autre côté de ces olives part, dans la direction du cerveau, le faisceau central de la calotte, il est évident que celui
tardif chez le nouveau-né, permet de le voir très nettement dans le faisceau antéro-externe de Gowers et Bechterew. Ce derni
ortants de son étude, l'homologation du nerf labyrin- thique et des faisceaux nerveux divers qui le composent. C'est ainsi qu
. Comme c'est là également qu'aboutissent les fibres originaires du faisceau de Goll, il est facile de déduire le rôle de ce
mogastrique. Le tronc du facial reçoit un large apport de fibres du faisceau longitudinal postérieur du côté opposé, qui vie
e de ceux de Flechsig, Mott, Tooth et autres d'après les- quels les faisceaux cérébelleux directs étaient considérés comme ce
en 1879, le même auteur3 communique un cas de tuberculose dans les faisceaux pyramidaux et, discutant de nouveau son premier
sâtre contraste clairement avec celle du tissu voisin (fig. 6). Les faisceaux de Goll ont la périphérie de même coloration. Les
celle d'un anneau. Elles sont surtout marquées à la périphérie des' faisceaux de Goll et de Burdach. Les deux racines postéri
péri et endonèvre est parsemé de noyaux et de leucocytes. Dans les faisceaux latéraux on distingue une pro- lifération de la
n de la névroglie est surtout plus prononcée du côté droit dans les faisceaux cérébelleux et dans ceux de Gôwers. Elle se tro
rs. Elle se trouve même dans le cordon antérieur et surtout dans le faisceau pyramidal direct. Le canal central est oblité
ie autour du canal central. A côté de ces lésions, on voit, dans le faisceau de Burdach, du côté droit, à la périphérie, dan
gglomérations de leucocytes qui sont plus ou moins isolées. Dans le faisceau droit de Goll se trouve, à la périphérie, un tube
e l'on peut suivre dans beaucoup de coupes. La dégénérescence des faisceaux de Gol estplus étendue que nous ne l'avons vu p
e Gol estplus étendue que nous ne l'avons vu plus haut, et c'est le faisceau gauche qui est plus atteint que le faisceau dro
plus haut, et c'est le faisceau gauche qui est plus atteint que le faisceau droit. La dégénérescence des fibres nerveuses d
nent des dimensions plus considérables et se trouvent même dans les faisceaux pyramidaux des cordons extérieurs. Ils se prése
fines hémorragies capil- laires dans les cordons latéraux. Dans les faisceaux de Goll et dans ceux de Burdach, on observe un
et deviennent plus nombreuses; c'est ce qui se passe aussi dans les faisceaux de Goll ou de Burdach. Dans le segment correspo
ostérieure gauche. Sur les mêmes coupes nous voyons encore, dans le faisceau py- ramidal croisé droit, deux nodules confluen
ense et allongée, près de laquelle se trouve un nodule logé dans le faisceau de Burdach. Les endroits où nous avons vu les n
orsal, la pie-mère adhère à la dure-mère sur le côté antérieur. Les faisceaux de Goll dans la partie supérieure de la moelle
cette partie, la moelle est tachetée. Dans la partie lombaire, les faisceaux pyramidaux latéraux sont plus pâles que les aut
é dans la partie supérieure de la moelle cervicale une sclérose des faisceaux de Goll, dont il reste encoie à la périphérie q
st conservée. On trouve pourtant, après un examen soigneux, dansles faisceaux cérébelleux une partie sclérosée qui est nettem
tie dorsale de la moelle a été plus atteinte. Presque dans tous les faisceaux , on voit, à côté des processus anciens, des dég
ivité scientifique et d'activité commerciale, réunissant en un seul faisceau sa richesse matérielle et sa grandeur intellect
reuse présente des lésions en foyer. M. VOGT lit un travail sur les faisceaux de fibres des corps calleux. Séance du 22 sep
férence, est épaissie par l'adjonction, à sa surface externe, de faisceaux conjonctifs longitudinaux pour la plupart; au-des
sur le point de s'organiser en tissu fibreux. Dans ces points les faisceaux conjonctifs prennent un aspect réfringent spécial
tion I. COUPE DE la région dorsale SUPÉRIEURE, méninge au niveau du faisceau latéral. Lésion d'une veine, dégénérescence des
e dégénérescence, l'une autour du noyau de Goll, comprenant tout le faisceau grêle, l'autre en croissant autour et à distanc
ie sur toule sa circonférence, sans être plus intense au niveau des faisceaux lésés. La pie-mère est épaissie; les faisceaux
ntense au niveau des faisceaux lésés. La pie-mère est épaissie; les faisceaux fibreux qui la forment, par- ticulièrement dan,
ent plus nombreux et plus volumineux ,qu'à l'état normal. Entre ces faisceaux on aperçoit une infiltration très régulière de
ieurs n'est pas plus altérée que le reste; c'est même au niveau des faisceaux latéraux que la mé- ninge offre la plus grande
oelle; la pie-mère est farcie de noyaux ronds, disséminés enlre les faisceaux conjonctifs et particulière- ment autour des va
rale; méningo-myélite diffuse; plaque de myélite vasculaire dans le faisceau latéral. - H... J., trente-sept ans, maître d'h
te plus haut. Le point le plus remarquable est la présence, dans le faisceau latéral gauche, à la hauteur de la quatrième pa
iphérie de la moelle et semble répondre à l'extrémité antérieure du faisceau cérébelleux direct et à la partie postérieure d
rieure du faisceau cérébelleux direct et à la partie postérieure du faisceau de Gowers; en réalité, elle ne répond à aucune
rofesseur Raymond, tantôt elle est également répartie dans tous les faisceaux ; enfin nous avons vu que les lésions vasculair
élite de l'ob- servation IV et la sclérose lente des vaisseaux d'un faisceau pyramidal dégénéré à quelque période qu'on l'ex
ès étendues intéressant le cordon de Burdach, le cordon de Goll, le faisceau cérébelleux direct, le faisceau pyramidal crois
n de Burdach, le cordon de Goll, le faisceau cérébelleux direct, le faisceau pyramidal croisé et les cellules de Clarke, on
ière à intéresser la sixième paire d'une part, et, d'autre part, le faisceau pyramidal avant l'entre-croisement du faisceau
et, d'autre part, le faisceau pyramidal avant l'entre-croisement du faisceau géniculé ; ou bien siéger dans l'épaisseur de l
le tronc nerveux de la sixième paire en comprimant ou altérant les faisceaux pyramidal et géniculé avant leur entre-croiseme
que et anatomiquement par une sclé- rose systématique primitive des faisceaux pyramidaux, soit isolée, soit plutôt combinée a
oit plutôt combinée avec la dégénération des cordons de Goll et des faisceaux cérébelleux décrits : c'est l'ancien tabes dorsal
XXIX. Cas DE SCLÉROSE latérale AMYOTROPHIQOE AVEC dégénérescence DU faisceau pyramidal DE l'écorce A la PÉRIPHÉRIE; par Fred..
ment et progressivement le tractus moteur dans sa totalité, écorce, faisceau pyramidal, cornes anté- rieures et fibres motri
érose occupant le pourtour de la corne antérieure dans la région du faisceau fondamental. Cette zone dégénérée varie d'aspec
à l'atrophie, des cellules de la substance grise. Elle respecte les faisceaux avoisinants : pyramidaux, croisés et directs, f
especte les faisceaux avoisinants : pyramidaux, croisés et directs, faisceaux de Gowers, cérébelleux directs, car elle est l'ex
LE CERVEAU ET LA MOELLE, AVEC REMARQUES SUR LA LOCALISATION ET LES FAISCEAUX DE TRANSMISSION DES CONVULSIONS DE L'ÉPILEPSIE AB
ntacte, la décharge se fait par cette zone et est transmise par les faisceaux pyramidaux. Quand l'irritation est extrême, il y
lles ou de leurs noyaux, des fibres de transmis- sion motrices, des faisceaux pyramidaux ou des cordons latéraux. En d'autres
iels sont ceux qui, outre des fibres d'association, contiennent des faisceaux de la couronne rayonnante composés de fibres se
che à la substance grise centrale; il y a deslructioll'parlielle du faisceau longitudinal postérieur et des bras des tubercu
es coupes des deux hémisphères ont montré les lésions suivantes des faisceaux d'association (méthode de Pal) : à gauche, dégéné
cence des fibres du corps calleux, diminution notable des fibres du faisceau sagittal interne, dégénérescence complète du fais
des fibres du faisceau sagittal interne, dégénérescence complète du faisceau sagittal externe, disparition du faisceau trans
égénérescence complète du faisceau sagittal externe, disparition du faisceau transverse du cunéus. A droite, dégénérescence
mé : lésion en foyer du centre visuel du côté gauche et rupture des faisceaux d'association des deux lobes occipitaux; dégé-
eux lobes occipitaux; dégé- 478 sociétés savantes. nérescence des faisceaux optiques du côté gauche, des voies reliant le c
deux circonvolutions temporales, les deux lobes occipitaux. De ces faisceaux un grand nombre ont été détruits par la dégénér
tie sensitive de la moitié gauche du pont. La pyramide gauche et le faisceau pyramidal du côté droit sont moins volumineux,
externes gauches sont plus rares qu'à droite; il en est de même des faisceaux du pont. Un des foyers de ramollissement s'éten
Tedeschi, 467. Etat mental de S... Clément par Sieraccmi, 51 . Faisceau OLIVIIRE de la portion cer- vicale de la moelle
illard, 1. Sclérose latérale amyotrophique avec de générescence d faisceau pyramidal, par Mott, 321. ilisto- logie de la
48 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ces, des cellules polymorphes. Pas de libres élastiques nettes. Les faisceaux fibreux sont tantôt disposés pal'alli' ! plIlel1l
par des cellules analogues à celles du sarcome vrai (rig, 3) ;. les faisceaux ont, une paroi formée d'éléments jeu- nes, fusi
d avec le tissu fibreux am- biant et cesse d'être perceptible ; les faisceaux nerveux sont dis- sociés par le tissu fibreux ;
vre les libres nerveuses. En plein centre de la tumeur, un seul des faisceaux du nerf -facial est encore nettement dilférenci
a traversée parotidienne, présente une atrophie considérable de se* faisceaux , qui, sur une coupe transversale, sont moitié i
La branche temporale du facial présente une atropine nota- ble des faisceaux de fibres nerveuses, avec sclérose bien moins c
erveux sont dissociés et comme étouffés par le tis- su fibreux ; un faisceau nerveux, demeuré visible au cen- 8 CLINIQUE NER
rétation. En tout cas il est impossible de décider s'il s'agit d'un faisceau détaché du cordon des pyramides ou d'un long tr
ersales continues. L'étude des dégénérescences indique le hajef des faisceaux qui mettent en communication le centre cor- tic
oyaux. Par contre, des deux côtés dans la partie postéro-interne du faisceau longitudinal postérieur, il a été trouvé des mott
des segments antérieur et postérieur du corps genouillé externe, ce faisceau dégénéré a quitté le corps genouillé externe et
a moelle. Il existe une dégénérescence des colonnes de Clarke et du faisceau latéral du cervelet ; celle- ci tient peut-être
criabot'atory... Philllllel- phie 1900. l'. hE121 ? 1L. \'111. Le faisceau antéro-latéral direct des pyramides ; par W. G.
eurolog. Centralbl" XXI, 1902.) L'auteur rappelle qu'il a décrit un faisceau qui se détache de la partie latérale la plus ex
un faisceau qui se détache de la partie latérale la plus externe du faisceau ly ramiclal, un peu au- dessous du plan d'entré
ubérance, il se porte brutalement en arrière et un peu en dehors du faisceau jnramidal, pour pénétrer dans le corps Ira- IIé
de sorte qu'a l'endroit où elle possède le plus fort diamètre, le faisceau en question occupe la périphérie postérieure et e
ntrecroisé. Dans le bulbe, il occupe une place semblable à celle du faisceau de Govvers. Il doit naître au niveau de la caps
andis que celui-ci occupe le cotepostero-externe de celle olive. Le faisceau de Rus- sel semble, dans la moelle cervicale, ê
el semble, dans la moelle cervicale, être plus en avant que lui. Le faisceau d'Jleh\eg ou lnri-olivairu de Gechlcrovv est dans
de Gechlcrovv est dans la moelle situé un peu plus en avant que le faisceau de 5[Iiller. SI. liâmes (Emin, XXIV, p. 4G3) ap
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 51 et cessent de constituer un faisceau dans la région cervicale infé- rieure : parfois
les peut suivre jusque dans la région lombaire. 11 existe donc : un faisceau pyramidal direct, un faisceau antéro-latéral di
région lombaire. 11 existe donc : un faisceau pyramidal direct, un faisceau antéro-latéral direct des pyramides, nn faiceau 1
t le metazoon se trouve altérée. P. Keraval. X. Trajet anormal du faisceau pyramidal ; pur E. Straeussler. (Neurolog. Cent
is on a, par la méthode de llarclti, cturlic la dé- générescence du faisceau ly ramitlal, dans le pédoncule cérébral, la pro
s limites normalesenavant, mais, latéralement, il envoie nombre (le faisceaux jusqu'à la périphérie, envahissant ainsi le cha
ne pointe ininterrompue en avant et en dehors dans le territoire du faisceau de Go\Yers dont elle occupe la plus grande part
e zone étroite assez purement conservée. Dans la moelle dorsale, le faisceau pyramidal se colle étroite- ment aux cornes pos
le n'en est pas du tout distincte. La dégénérescence dans l'aire du faisceau de Gowers diminue fortement d'étendue en descen
escendante des pyramides, surtout des cordons latéraux, moindre des faisceaux de Gowers et des faisceaux cérébelleux. Les cor
urtout des cordons latéraux, moindre des faisceaux de Gowers et des faisceaux cérébelleux. Les cordons postérieurs, notamment
Dans la chorée chronique le trouble hyperkinélique est fonction du faisceau extra-pyramidal et de ses centres : rien ne s'o
ne de l'excitation du noyau du fa- cial oculaire qui irradie par le faisceau longitudinal postérieur. » P. Keraval. IV. Op
es mêmes noyaux des nerfs abducteurs parle moyen, chez l'animal, du faisceau longitu- dinal prédorsal, et, chez l'homme, du
'animal, du faisceau longitu- dinal prédorsal, et, chez l'homme, du faisceau longitudinal pos- Lorieur ; ce centre occupe Le
nlin l'écorce des lobes frontaux. Ces voies empruntent le trajet du faisceau 10ngiLudi- nal supérieur. Elles vont il toutes
en parlant de la face externe de l'écorce de la région occipitale ( faisceau longitudinal inférieur). Les voies commissu- ra
us optique explique, par le détail du chiasma, de la répartition du faisceau maculairr, des faisceaux de Gratiolet, ainsi qu
le détail du chiasma, de la répartition du faisceau maculairr, des faisceaux de Gratiolet, ainsi que par le trajet des voies
fondément dans la substance blanche ((if]. 4.) portant atteinte aux faisceaux sagit- taux (Tap. Rtli. Fli.) dès leur appariti
la partie médiane du lobe occipi- tal doit léser en même temps les faisceaux de la vision. Cela a pu être constaté dans les
res surtout. : 1° Fibres parlant en éventail du bord de c. g. e. Un faisceau plus serré à concavité médiane se dirige vers l
lissement de la région calca- rinc nous constatons que : z 1. Les faisceaux sagittaux ont également été lésés di- rectement
fet également des travaux de notre maître que la partie dorsale des faisceaux sagittaux du lobe occi- pital relie axant tout
cunéus, le lobe lin- gual et 02. D'après lI. de 1\Ionakow aussi, le faisceau qui unit la sphère corticale visuelle aux centr
nérescences secondaires et l'anatomie comparée montrent donc que le faisceau longitudinal in- férieur est avant tout un fais
ent donc que le faisceau longitudinal in- férieur est avant tout un faisceau d'association qui relie le lobe occipital et en
e 33) et de Sachs. Flechsig au contraire est d'avis que Fli. est un faisceau de projection reliant le Thalamus opt. il la zo
dillé- rents plans, arrive à conclure : I. Que Fli. est en partie faisceau d'association et en par- tie de projection. Sa
iatrie, Vol. 37. Vom fasciculus long. inf.). d'après laquelle Fli., faisceau de projection, partant avant tout de c. g. e.,
mportant, le ramollis- sement a lésé directement et profondément le faisceau sagittal Fli. Nous émettons l'avis que la loc
cences secondaires dépend sans doute plus des lésions directes des faisceaux que de l'étendue du foyer cortical. Ceci s'appl
d du pédoncule une dégénérescence des- cendante située en dedans du faisceau pyramidal proprement dit, tout àfait indemne ;
s nerfs crâniens moteurs, et que ceux-ci sont situés en dedans du faisceau pyramidal proprement dit dans le pédoncule cérébr
ne) de la calotte de Meynerl ; ces fibres tendraient ensuite par le faisceau longitudinal postérieur, à gagner le cordon ant
ijumeau partent des libres qui s'appliquent à la face antérieure du faisceau longitudinal posté- rieur et paraissent passer
toit, noyau intrat¡'igc ! ¡1Ú¡wl, Ell bien ! les fibres qui \ont au faisceau longitudinal postérieur contiennent-elles celle
oyau (frontal) spinal du frijumeau donne naissance à un analogue du faisceau latéro-cérébelleux. P. KERAVAL. 234 REVUE d'.
UES. LU. Observation de dégénérescence ascendante des fi- bres du faisceau pyramidal ; contribution à l'interpré- tation d
v. 11, 1901, n° 14.) On constate une dégénérescence descendante des faisceaux py- ramidaux, tant dans les cordons latéraux qu
s. En outre, au-dessus de la lésion, tout le territoire des mêmes faisceaux contient une quantité anormale de grosses molles
. Bien que le nombre de ces fibres dégénérées soif assez faible, le faisceau pyramidal tranche du fait (le leur présence sur
ransverse non dégénérée. Il y a lieu de croire que le territoire du faisceau pyramidal con- tient un nombre modéré de fibres
la branche auriculaire du troi- sième nerf cervical, tandis que les faisceaux musculaires en ques- tion reçoivent la branche
et organe à l'appareil du Bois-Heymond, avec ou sans l'intégrité du faisceau pyramidal : en ce dernier cas, celui-ci est cur
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 293 sion de l'action du faisceau pyramidal, montre également l'élé- vation infim
eur. La cause doit en être cherchée dans la lésion d'une partie des faisceaux céré- belleux. Les dégénérescences sont nombreu
don latéral de la moelle cervicale. Ce territoire correspondrait au faisceau marginal all- térieur de Loewenthal, qui reçoit
rine-Mayor, c'est le groupe antero-interne. P. Keraval. LXV1. Du faisceau X à la région cervicale la plus infé- rieure de
- tre/. XXI. 1902.) 1 L'auteur revendique la paternité d'un petit faisceau décrit par lui dans le Brain en D01, p. 222, qu
faisceau décrit par lui dans le Brain en D01, p. 222, qu'il a nommé faisceau X. Il occupe les 7° et 8e segments cervicaux et
continue pas dans la moelle dorsale. Situé en avant et en dehors du faisceau pyramidal croisé, il en est séparé par un certa
s endogènes Iines,-I1. Les libres endogènes grosses forment : a. un faisceau dans la zone cornu-commissu- rale ; h. le trian
angle médio-sacré ou triangle de GomhaulL et Phi- lippe. Ce dernier faisceau est l'extrémité inférieure d'un faisceau descen
et Phi- lippe. Ce dernier faisceau est l'extrémité inférieure d'un faisceau descendant médio-périphérique dont le trajet su
-périphérique dont le trajet supérieur forme à la région dorsale le faisceau de Hoche. - Il ! . Le triangle médian est entiè
est entièrement distinct du centre ovale de Fleschsig, qui est un faisceau radiculaires IV. Les fibres endogènes fines sont
s lésions porLantsur les cordons latéraux, les cordons de Goll, les faisceaux cérébelleux directs qui constituent les sclé- r
cérébral de un centimètre et demi. Il se trouvait sur le trajet du faisceau des radiations opti- ques. Le pus de l'abcès co
<y.C<';t- tralblatt, XXII, 1903.) ,. Le trajet ascendant du faisceau pyramidal de la vesperugo noctula est celui qu'
essous du facial on ne trouve plusrien qui puisse être tenu ppur le faisceau pyramidal. Sans doute les coupes inférieures du b
avant, mais il est im- possible de décider s'il s'agit de libres du faisceau pyramidal. C'est un entrelacement qui se prolon
yer localisé à la base de la corne postérieure droite détruisant le faisceau pyramidal au-dessous de la racine C7. Hémiplégi
e médecine. Confé- rence de médecine légale psychiatrique, 256. Faisceau antéro-latéral. Le - TABLE DES MATIÈRES. - 501
pouy, 331. Psychothérapie. Voir Ergothé- rapie. Pyramides. Voir Faisceau anti- rolatéral. Pyridine. Action de la sur l
49 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
iplégies avec contracture tardive, il existe une dégénérescence des faisceaux pyramidaux et qu'à la place de ces fais- ceaux,
ndant, d'où le phénomène de contracture. Que la dégéné- rescence du faisceau pyramidal existe et joue un grand rôle dans le ph
ns retenir c'est la découverte de cette lésion (dégénéres- cence du faisceau pyramidal) et celle idée physiologique que pour q
ices des cornes anté- rieures soient excilées. La dégénérescence du faisceau pyramidal a une grande importance dans le phéno
llules cérébrales, d'où parlent ces fibres, soient lésées ou que le faisceau soit interrompu dans son trajet et l'organisme
compagnent de contracture, on voit une lésion de dégénérescence des faisceaux pyramidaux. On a cru un moment que le phénomène
nt les cas de paraplégie spasmodique sans lésions dégénératives des faisceaux pyramidaux de Babinski, Sc1mlt ? e, Fraenkel, P
erod, Bowlby, Sano, Se7ator, etc., etc. Donc la dégénérescence du faisceau pyramidal n'est pas la cause de la contracture.
grande majorité des cas de contracture on trouve cette lé- sion du faisceau pyramidal ; croit-on qu'on puisse contester son i
u que la contracture, quoique coïncidant avec une dégénérescence du faisceau pyramidal,n'est pas la conséquence de celle-ci,
ut à la dégé- nérescence secondaire ou à la sclérose descendante du faisceau pyramidal. Mais d'après Charcot, cette contract
'est pas, si l'on peut s'exprimer ainsi, fonction de la sclérose du faisceau , pyramidal. La contracture est un symptôme cont
ontingent et non pas un symptôme nécessaire de la dégénérescence du faisceau pyramidal. Dans la règle il est toujours présen
t et Vulpian poussent plus loin la question et reconnaissent que le faisceau pyramidal contient aussi des fibres inhibitrices,
e (1). « N'y aurait-il pas lieu de se demander plutôt si le rôle du faisceau pyramidal ne serait pas un rôle d'arrêt analogu
ine motrice toujours sous pression, toujours apte à fonctionner. Le faisceau pyramidal aurait pour mission de servir de frei
rrdre temporairement cette action inhibitrice dans les fibres de ce faisceau qui correspondent aux centres de la substance g
e d'une façon permanente, par suite de la destruction des fibres du faisceau pyramidal, la machine privée de son frein fonctio
ire est une véritable machine motrice sous pression, l'autre que le faisceau pyramidal joue le rôle d'inhibiteur, rôle qui lui
lpian ; il ne croit pas à une excitation par le tissu conjonctif du faisceau pyramidal dégénéré ; pour M. Marie le centre mé
ntracture tardive on constate à l'autop- sie une dégénérescence des faisceaux PY1 anidaicx. Passons maintenant à l'étude des
mouvements associés chez des personnes non atteintes de lésions du faisceau pyramidal, était la preuve la plus évidente que
e de l'irritation du tissu conjonctif qui suit la dégénérescence du faisceau pyramidal, ou simplement de celle-ci. D'où, d'a
contracture. Journ. de neurologie, 1897. xxi 3 ' 34 N01CA le faisceau en virgule de Schultze et une voie diffuse à trav
ones du téléencéphale qui sont les cellules d'origine des fibres du faisceau pyramidal, et abandonnées aux stimulations des
e tissu conjonctif de cicatrice qui remplaçait la dégénérescence du faisceau pyramidal et qui irritait les cellules médullai
arginal, en entamant un peu la circonvolution limbique et aussi les faisceaux les plus élevés de la partie convexe du corps c
é supéro-antérieure du noyau caudé ; il atteint au passage quelques faisceaux du segment antérieur de la capsule interne. B
ig. 10. 5 5 LONG se répartissent moins régulièrement. En avant du faisceau de Turck dont le volume normal fait contraste a
es et, au-dessous de l'entrecroisement inférieur du bulbe, les deux faisceaux pyramidaux croisés restent asymétriques. (Le FP
l de la figure A (gr. : 1 io D) grosses fibres ondulées enserrant les faisceaux nerveux dont la myéline a disparu. SYNDROME DE
e interne de larges travées scléreu- ses, qui s'insinuent entre les faisceaux de fibres nerveuses, qu'elles morcellent et éto
dans la partie postéro-laté2 raie droite de la préparation que les faisceaux de fibres, cerclés de sclérose,' Fis. 4. Symphy
n'ont plus de gaines myéliniques, tandis qu'en avant et à gauche les faisceaux sont normaux. En examinant le détail des fais
t à gauche les faisceaux sont normaux. En examinant le détail des faisceaux pris dans la sclérose, on voit que quel- ques f
cornu-commissurale, extrémité inférieure du centre oval de Fleschsig, faisceau de Hoche, triangle de Aubenet et Philippe. Su
interfibrillaires et les cellules rondes. Auprès de la méninge des faisceaux de fibres sont complètement détruits par la scl
méningite du sang épanché à la face interne de la dure-mère, et des faisceaux nerveux sclé- rosés, serrés dans le syphilome,
. Le 12e segment dorsal, au Pal, montre la décoloration complète du faisceau postérieur droit, sauf une mince bande de subst
aire, au Marchi, montre trois systèmes de dégénéres- cence dans les faisceaux postérieurs droit et gauche et dans le faisceau a
es- cence dans les faisceaux postérieurs droit et gauche et dans le faisceau antéro- latéral gauche (PI. XXIII). La dégéné
z Enfin l'aire de granulations noires dans la moitié postérieure du faisceau latéral gauche représente la dégénération desce
u faisceau latéral gauche représente la dégénération descendante du faisceau pyramidal croisé en rapport avec le foyer de ra
l'hémisphère droit. Au Van Gieson, on voit une sclérose massive du faisceau postérieur droit. A l'hématoxyline-éosine, la c
extrémité supérieure de la ménin- gite scléreuse engainant quelques faisceaux des racines postérieures de la 4° paire lombair
ostéro-interne du cordon de Burdach et tout le cordon de Goll sauf le faisceau de Hoche continué en avant par la zone cornu-co
trée dans la corne. La dégénérescence existe aussi à gauche dans le faisceau pyramidal croisé formant un petit triangle touc
la moitié antérieure du sillon médian postérieur, correspondant au faisceau de Hoche (1) (PI. XXIII). (1) Hoche, Ueber Verl
ersistance de la zone cornu-commissurale et extension en arrière du faisceau de Hoche qui devient le triangle de Gombault et P
ombault et Philippe. Ainsi ces régions, zone marginale de Westphal, faisceau de Hoche et trian- gle de Gambault et Philippe,
rmédiaire de la bande allongée le long du sillon médian postérieur ( faisceau de Hoche), la continuité du fais- ceau médian d
établissent une fois de plus l'unité systématique de ces formations : faisceau médian du centre ovale de Flechsig,faisceau de
que de ces formations : faisceau médian du centre ovale de Flechsig, faisceau de Hoche et triangle de Gombault et Philippe.
dessin net de la zone marginale de Westphal, cornu-commissurale, du faisceau médian du centre ovale de Fleschsig (3) (faisceau
-commissurale, du faisceau médian du centre ovale de Fleschsig (3) ( faisceau de Ho- che) (4) dans la moelle lombaire et du t
ssurale à me- sure que l'on descend dans la moelle sacrée et que le faisceau de Hoche d'abord, le triangle de Gombault et Ph
des cordons postérieurs. Les grosses libres de la substance grise ( faisceaux verticaux de la corne postérieure de Ki1- liker
est figuré par une lésion. Ceci s'explique facilement. L'aire d'un faisceau est éta- blie soit par sa dégénérescence au mil
aisceau est éta- blie soit par sa dégénérescence au milieu d'autres faisceaux sains, soit par son intégrité au milieu d'une l
moelle lombo-sacrée, son aire se modifiant aux dépens de celles du faisceau de Hoche et du triangle de Gombault et Philippe
Hoche et du triangle de Gombault et Philippe. Enfin l'absence du faisceau de Hoche au-dessus de VI montre que l'ana- tomi
e, mais au 2° type de Nageotte qui a eu le mérite d'affirmer que le faisceau ascendant à fibres longues, dit faisceau de Hoche
e mérite d'affirmer que le faisceau ascendant à fibres longues, dit faisceau de Hoche, n'a pas tou- jours la disposition auj
ifférence se rend surtout évidente entre 138 G. CATOLA la zone du faisceau pyramidal croisé et la partie plus antérieure du
les cornes postérieures qui se montrent parcourues par de nombreux faisceaux des fibres nerveuses teintes en noir, entrelacées
ieurs étaient plus accentuées dans la moelle cervicale ; celles des faisceaux pyramidaux,au niveau de la moelle lombaire supé
ièrement accusée dans les cor- dons postérienrs et ensuite dans les faisceaux pyramidaux latéraux et dans le faisceau de Flec
rienrs et ensuite dans les faisceaux pyramidaux latéraux et dans le faisceau de Flechsig. Ils considérèrent ces lésions centra
et les racines postérieures, mais d'autres systèmes, et surtout le faisceau pyramidal et le faisceau de Flechsig, prenaient
res, mais d'autres systèmes, et surtout le faisceau pyramidal et le faisceau de Flechsig, prenaient parfois part au même pro-
'exsudat. Ils sont toujours disposés à la surface des fibres et des faisceaux conjonctifs sous-arachnoïdiens. Ils sont accumu
tion dans le fonctionnement du système pyra- midal » : aussi, si le faisceau pyramidal est dégénéré, le réflexe en ex- tensi
u côté malade, l'ordre mo- teur redescend du cerveau par la voie du faisceau pyramidal dégénéré : l'orteil se redresse. Si o
même manoeuvre du côté sain, l'influx moteur redescend le long d'un faisceau pyramidal qui n'est pas en état de « perturbati
a se fléchir mainte- nant, car l'influx moteur n'a pas passé par le faisceau pyramidal dégé- néré. Cette transmission, à tra
eure de la moelle, de l'ordre de flexion descendu du cerveau par le faisceau pyramidal soi- disant sain, s'explique par l'ex
s'explique par l'excitabilité exagérée, chez les hémiplégiques, du faisceau pyramidal situé du côté opposé à la paralysie : c
remier abord, peuvent s'expli- quer assez facilement selon nous. Le faisceau pyramidal correspondant au membre inférieur gau
é paralysé, et l'absence de mouvement du pied du côté sain. L'autre faisceau pyramidal au contraire est peu lésé, mais sa «
de l'orteil (nous savons combien légère est parfois l'altération du faisceau pyramidal qui suffit pour provoquer ce réflexe)
l'on puisse avancer que l'exagération légère de l'excitabilité d'un faisceau pyramidal provoque le réflexe plantaire control
clinique ; que l'exagération plus marquée de l'ex- citabilité de ce faisceau provoque le réflexe plantaire controlatéral d'ex-
olatéral d'ex- tension (rare) ; que la dégénérescence profonde d'un faisceau pyramidal s'oppose à la production de tout réfl
raux permettrait donc de dire quel est le degré d'al- tération d'un faisceau pyramidal. I. ÉTUDE D'UNE COLONNE VERTÉBRALE
fiés ; la plupart présentaient seulement une ossification de leurs faisceaux supérieurs et inférieurs, de beaucoup les plus
beaucoup les plus forts, qui se rendaient aux corps vertébraux, le faisceau moyen, qui se rend au disque, était respecté. L
out cela pénètre jusqu'à proximité du ventricule, s'infiltre dans les faisceaux sagittaux du lobe occipital et augmente rapidem
la plus frontale du corps calleux, dont il n'existe plus ici qu'un faisceau de fibres basales. Déjà a la hauteur de la comm
culaires dilatés occupent bientôt toute la surface de la coupe. Les faisceaux sagittaux sont mal dessinés. Avec la pointe du
du lobe temporal. Destruction de l'apport de Co. a. et de celui des faisceaux passant par l'insula. On remarque que la loca
toutes de nature biologique. Il y a donc lieu de réunir en un seul faisceau toutes les pro- ductions névrosiques actuelleme
lement les saillies de la partie supérieure du grand pectoral et du faisceau claviculaire du deltoïde ; latéra- lement l'acr
ique de moyenne intensité. Il y a dans les méninges molles de longs faisceaux fibreux abondants, colorés en (1) Nous remercio
50 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e et Llhu. Dans le tabès avec cécité, il subsiste toujours un petit faisceau intact dans les bandelettes optiques, alors mêm
lors même qu'il n'y a plus dans les nerfs aucune fibre nerveuse. Ce faisceau résiduaire ne représente ni la commissure deMeyne
ique basai de Meynert. Il se-prolonge parfois sous forme d'un petit faisceau dans la partie supéro-externe du chiasma. Par
elle (artérite ou gomme) atteignant les noyaux 111 et IV coupant le faisceau facial au-dessus de son entrecroise- ment. h. B
efois complète. En outre, la lésion atteint, généralement, pour les faisceaux de la même racine, des degrés très variables pa
rvicale inférieure, légère décoloration de la moitié postérieure du faisceau de Goll, qui dans le 2°-3° est envahie en dedan
r- ciformes s'accompagne fréquemment d'autres anomalies du bulbe ( faisceau de Pick, olives accessoires surnuméraires, etc.)
nt péri- phérie latérale de ce cordon, suivant toute probabilité le faisceau de GoN%ei-s. 6. Deux neurones président à la co
ute lésion du cordon latéral y compris sa périphérie latérale où le faisceau de Gowers en- gendre constamment une thermo-ana
ne lésion de la substance blanche ou du cordon latéral y compris le faisceau de 126 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
te par une lésion de la périphérie latérale du cordon latéral ou du faisceau de Go- wers est environ à six' ou sept vertèbre
d'une hémiplégie ou d'une hémiparaplégie possibles, affirmer que le faisceau latéral des pyramides n'a pas été sectionné, qu
ionnelle des éléments inlra-ner- veux (tissu conjonctif, vaisseaux, faisceaux nerveux) et celle delà réaction inflammatoire é
gnes indique bien qu'il y a lésion des méninges rachidiennes ou des faisceaux pyramidaux. Chez les 10 femmes présentant le si
s, se sépare déjà très nettement sur la fin de son parcours en deux faisceaux de fibres, fais- ceau antérieur et faisceau pos
e son parcours en deux faisceaux de fibres, fais- ceau antérieur et faisceau postérieur, simplement accolés et bien distinct
bien distincts sur la dernière portion du trajet radiculaire. Les faisceaux postérieurs de C , CVI, CVII, par leur fusion,
on, constituent le tronc radio-circonflexe qui vient renforcer le faisceau postérieur émané du tronc commun de CVIII, et Di.
le faisceau postérieur émané du tronc commun de CVIII, et Di. Les faisceaux antérieurs de Cv , Cn, Vif, forment par leurfu-
lo-cutané (dit racine externe du tronc) que vient renforcer un gros faisceau UN CAS D'HYSTÉRIE SIMULANT LA SCLÉROSE EN PLAQU
d'autre mérite, a du moins celui de réunir et de grouper en un seul faisceau toutes les anomalies et aberrations des sensati
stituées. Il ne peut y avoir de conscience du corps en l'absence de faisceaux moteurs, car notre conception toute schématique
l'étude du mécanisme des mouvements volontaires et des fonctions du faisceau pyramidal. (Sv",aiue médicale, 7 oclobre 1903,
niques ou cérébrales est imputé par les auteurs à des lésions du faisceau pyramidal. Tout en considérant cette interpréta
dû, comme on pourrait le sup- poser, à des troubles secondaires du faisceau pyramidal, puisque ce même faisceau conduit nor
, à des troubles secondaires du faisceau pyramidal, puisque ce même faisceau conduit normalement les mou- vements commandés
el, suite d'une lésion organique du cerveau, la lésion elle-même du faisceau pyramidal, qu'il fau- drait rapporter le phénom
de l3altinski : tltl>nr : al au cours d'une lésion organique du faisceau pyramidal, il n'est pas dû à la lésion même, ni
ionnelle des antagonistes des orteils. Aussi la lésion organique du faisceau pyramidal n'est pas indispen- sable, pas même n
e considéré comme l'expression immédiate d'une lésion matérielle du faisceau pyrami- dal, mais qu'il résulte d'un trouble fo
ceau pyrami- dal, mais qu'il résulte d'un trouble fonctionnel de ce faisceau . » (I\RIXESCO, ibidem, p. 120. Revue Neurologiq
ver, moins nets il est vrai, dans des cas de troubles organiques du faisceau pyra- midal. L'organe central, le seul qui nous
que les centres et les voies des mouvements volontaires, cortex et faisceau pyramidal, sont, à celte époque, et seu- lement
durée relativement longue de son existence, le sujet n'ayant pas de faisceau pyramidal qui implique une absencedecor- tex, c
tle bulbe et la protubérance de l'anencéphale, on note l'absence de faisceau pyramidal. Il en est d'ail- leurs ainsi jusqu'a
u bas de la moelle, mais, dans la région cervicale, tous les autres faisceaux existent et en outre les faisceaux sensitifs, l
ion cervicale, tous les autres faisceaux existent et en outre les faisceaux sensitifs, le faisceau fondamental antérieur et
s autres faisceaux existent et en outre les faisceaux sensitifs, le faisceau fondamental antérieur et les fibres courtes d'a
es fibres courtes d'associations motrices et sensitives. Le rôle du faisceau fondamental antérieur doit être rappelé ici, ca
rappelé ici, car il apparaît comme très important en l'absence du faisceau pyramidal dont l'activité physiologique voile,
les impressions qui semblent reçues par les nerfs rachidiens.De ce faisceau naissent dans la moelle des fibres en relation
ce faisceau naissent dans la moelle des fibres en relation avec les faisceaux posté- rieurs. Il envoie aussi des collatérales
l'oculo-moteur com- mun (2). D'autre part Spitzka a démontré que ce faisceau a beaucoup de fibres descendantes.Il met en rel
es chiens nouveau-nés, est très affirmatif sur le rôle moteur de ce faisceau .. « On sait, dit-il, d'une façon certaine que l
ion ventrale des cordons latéraux, c'est- à-dire, en somme, dans le faisceau fondamental (4) ». La moelle est donc suffisamm
ui sont en état d'intégrité physiologi- que. Chez l'anencéphale, ce faisceau n'existait que dans la partie inférieure de la
z le monstre de M. Vurpas. Si dans son bulbe on ne rencontre pas de faisceaux moteurs, les fibres sensitives y sont bien cons
es grêles. Caractères histologiqucs semblables : dégénérescence des faisceaux cérébelleux direct et de Gov ers, des cordons de
andiqueVroite,etle 1111ll'chi pratiqué sur la portion supérieure du faisceau pyramidal de la moelle ne révèlent aucune lésion.
E d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. qu'à l'extrémité. Les faisceaux musculaires sont constitués de libres plus ou m
ns latémllE; Zone de dégénérafion correspondant au territoire, du faisceau pyramidal croisé, c). Cordons postérieurs : Quelq
cordon de (;011 ni dr la portion la plus et la plus po-lérieure du faisceau de La dégénération allailjusf[u'à la commissure
ue bande périphérique correspondant dans sa parti" pus- térieure au faisceau , cérébelleuxilirecf et dans sa partie antérieure
ure au faisceau, cérébelleuxilirecf et dans sa partie antérieure au faisceau de (.owcr·. l. ( : .taatcn. XXXVHt. Rôle des
sement cortical in- téressant le pli courbe gauche, destruction des faisceaux blancs nus-jacnl : (faisceau longitudinal supér
le pli courbe gauche, destruction des faisceaux blancs nus-jacnl : ( faisceau longitudinal supérieur, faisceau occipital vert
des faisceaux blancs nus-jacnl : (faisceau longitudinal supérieur, faisceau occipital vertical le \\-cruicl : e.) Il exis
du segment 1)5,' on retrouve, nettement et fortement, dégénérés, le faisceau pyrami- dal croisé, qui est séparé de la périph
paré de la périphérie par une mince bande de libres conservées : le faisceau de '1·url : ,sous forme d'une bande située le l
n antéro-latéral. une dégénération difluse, moins forte que dans le faisceau pyramidal croisé et le faisceau Uo '1·url : . '
difluse, moins forte que dans le faisceau pyramidal croisé et le faisceau Uo '1·url : . 'r r '1" ·.. , .1 Dans les cordon
du segment D 10, elle n'est plus visible. - La dégénération dans le faisceau pyramidal croisé. qui en descen- dant s'approch
a moitié postérieure du cordon latéral. ... La dégénération dans le faisceau de Turk est toujours de moins en moins évidente
niveau du segment D '2, il existe une dégénérescence nette dans le faisceau de Goll, dans le f. cérébelleux direct el dans
belleux direct el dans le f. de GO\\ ers. La dégénérescence dans le faisceau de Goll s'étend de la périphérie il la commissu
riphérie il la commissure postérieure ; il existe toutefois dans le faisceau de Goll une légère bande adjacente, au tiers po
nservées. Faiblement dégénérée aussi, apparaît la moitié interne du faisceau de ! 1lI1'dach adjacente au septum paramfdian.
; au niveau du segment C 8, elle est circonscripte précisément au faisceau de Goll qu'elle occupe entièrement de la périphér
s segments C 5, G 4, elle est réduite aux deux tiers postérieurs du faisceau de Goll. qui est envahi en dedans du septum par
ns antéro-postérieure presclne seulement la moitié postérieure du faisceau lIe' (i011, sons la forme d'un triangle acheva) s
riangle acheva) sur le sopLumpostérieur,la, dégénérescence dans les faisceaux cérébelleux directe et de Gowers se continue à
mbaire. Au-dessus, les dégénérescences typiques ascendantes dans le faisceau de Goll, dans le faisceau cérébelleux direct et
énérescences typiques ascendantes dans le faisceau de Goll, dans le faisceau cérébelleux direct et dans le faisceau de Go,ve
le faisceau de Goll, dans le faisceau cérébelleux direct et dans le faisceau de Go,vers. La dégéliéi,itiou diffuse des cordo
les cou- pus précédentes : cofnpictumcnf respecté est toutefois un faisceau de la moelle s'étend jusqu'à l'union des deux t
wrcle Liera antériuur llu sepLum.1u nivcau tlt ermunls L` ? -LI, le faisceau central conservé reprend une forme à peu près tri
lfuse, qui dans la région dorsale supé- rieure semble se limiter au faisceau de Goll. Mais le Marchi ayant été négatif, les
veau du 3- segment cervical, légère décoloration presque limitée au faisceau du Goll. - ' . Les cellules radiculaires au-des
lilruses'; elles prédominent, surtout dans le segment L ,i, dans le faisceau pyramidal croisé ; dans les cordons postérieurs
ée des cordons postérieurs tend tou- jours d'avantage se limiterait faisceau de Goll : les cordons antéro-laléraux sont de p
U, <III 1'1'11'UII\e Sl'u ! t'llll'nt l'aihll'lIll'ntdé("néré le faisceau de Goll : au niveau du segment C8,la ZOlll' de
triangle donllahase périphérique correspond aux '2/3 internes du faisceau de (;011 'el dont le sommet, antérieur et médian,
lérieurs en largeur. Dans la région dorsale supérieure, c'est le faisceau de Goll qui parait licitement, bien que discrètem
ilité mentale. Lésion cérébelleuse probablement limitée ;t certains faisceaux . ' Syndrome de l3asedoxv chez une goitreuse.
- culaires, absence de douleurs objectives, aspect des lésions. 1 Faisceau longitudinal inférieur. M. ARCHAMBAUT. Ce faisc
des lésions. 1 Faisceau longitudinal inférieur. M. ARCHAMBAUT. Ce faisceau qui ne dégénère pas à la suite de lésions impor
a que le stroma-nucléaire était plus pauvre en. 4919G nécrologie. faisceaux du côté malade que du côté sain ; les cellules ga
ue. Voir Obsédé. Facultés mentales. Voir 8111,- tème nerveux. - Faisceau longitudinal info- rienr, Pat' \rcliambault, p,
51 (1825) Anatomie des systèmes nerveux des animaux à vertèbres, appliquée à la physiologie et à la zoologie : Atlas
u pourtour exté- rieur du corps strié et de la couche optique. e, faisceau convergent de cette membrane, dans . les oiseau
de trans- versale pour la communication des deux labyrinthes.-p. l. faisceau de jonction du labyrinthe avec la couverture du
athique.-7r,. G. nerfs latéraux.-c. d. leurs cordons dorsaux.-f. s. faisceau stomacal dugraud sym- pathique.-f. 0. -faisceau
dons dorsaux.-f. s. faisceau stomacal dugraud sym- pathique.-f. 0. - faisceau pour l'ovaire. c. i. grand canal qui règne sous l
- 7 ? 7..éminences maxillaires. p e. pédoncules du cerveau. s. petits faisceaux de filaments médullaires nés de la face interne
gane montrant la structure des olives et delà protubérance.a ? , y. faisceaux du cordon inférieur de la moelle, qui se croisent
deux figures précédentes. Fig. ! i. Mêmes organes chez le veau.-x, faisceau de jonction des tubercules quadri- jumeaux avec
-jumeaux, vus en- dessus chez l'homme. j. glande pinéale. + Petit faisceau médullaire formant une espèce de commissure aux t
rième ventricule ; c'est la ter- minaison des replis supérieurs des faisceaux gris de la moelle qui ont formé latéra- lement
formé latéra- lement les tubercules cendrés.-o. lame de réunion des faisceaux gris. Fig. 6. Coupe transversale de la protubér
upe du même organe un peu au-devant du milieu de sa longueur.-c. p. faisceau de fibres médullaires de l'étage inférieur, qui s
te au-dessus de l'origine de la cinquième paire dans le boeuf.p. a. faisceaux des pyramides, passant entre les fibres de l'étag
avant ou en haut, et en arrière ou en bas avec la jonction des deux faisceaux cendrés de la moelle épinière. Fig. il. (Elle e
de la queue de la moelle allongée à l'origine des pyramides. c. g. faisceaux gris latéraux de la moelle avec leur lame de ré
d'un veau, vu en-dessous. e. lige de la glande pituitaire. - ¡ : a. faisceaux des cordons antérieurs de la moelle épinière. ? S
ar la face inférieure. il. lobe olfactif; il. son pédoncule; a'. le faisceau externe de ce pédoncule; it". son faisceau in-
il. son pédoncule; a'. le faisceau externe de ce pédoncule; it". son faisceau in- terne; 11 ? faisceau moyen du pédoncule ; /
faisceau externe de ce pédoncule; it". son faisceau in- terne; 11 ? faisceau moyen du pédoncule ; / continuation du faisceau i
eau in- terne; 11 ? faisceau moyen du pédoncule ; / continuation du faisceau intérieur avcc les fibres du bord antérieur du
cc les fibres du bord antérieur du corps calleux ; g. continuation du faisceau moyen dans la commissure antérieure. Extrait
52 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
liaison pour les canaux vasculaires eux-mêmes, qu'elles réunissent en faisceaux , et organes de séparation de ces canaux avec les
t, multiples pour les tendons et les muscles, dont elles séparent les faisceaux et les fibres. 4° Les tissus propres organiques
s'insèrent au pourtour des articulations et donnent implantation aux faisceaux musculaires tenseurs des aponévroses. L'autre pla
eaux el des nerfs composent une succession de cylindres réunissant en faisceaux les canaux vasculaires ctu'ils isolent des partie
qui offrent autant de dédoublemens successifs que ces organes ont de faisceaux et de fibres. La texture intime de toutes les m
es vaisseaux, aqueducs des fluides, constituent, parleur réunion, les faisceaux renfermés dans les gaines vasculaires. Par eux-mê
les mou-vcmens de dilatation ou de resserrement de chacun d'eux. Les faisceaux vasculaires, pour les troncs principaux, se compo
muscle lui-même; le sillon aponévrotique intermédiaire entre les deux faisceaux , et qui prend le nom de gouttière lombaire, joue
de tumeurs de diverses natures ou au travers des foyers purulens, des faisceaux vasculaires isolés des tissus malades, et qui n'o
sions, dans la profondeur de tous les organes. Pour la continuité des faisceaux vasculaires, il a fallu des trous et des canaux d
sseaux à [extérieur. Envisagés comme cylindres, par leurs parois, les faisceaux vasculaires se transforment en agens conducteurs
es acceptant au passage à mesure qu'ils forment avec ces derniers des faisceaux vasculaires communs. D'un autre côté, la circulat
et à la veine cave inférieure, préludent à l'organisation commune aux faisceaux vas- T. VI. culaires, en dehors des grandes c
ette gaine elle-même, revêtue par l'aponévrose d'enveloppe, isole les faisceaux vasculaires de la cavité viscérale, en les rattac
un petit entonnoir membraneux, fixé circulaircmentsur l'enveloppe du faisceau spermatique, dont il achève de fermer l'orifice.
seaux tégunien-taires et des canaux lymphatiques de communication, le faisceau vasculaire fémoral n'aurait pas été suffisamment
ogent les groupes musculaires, sont réunis à l'ensemble chacun par un faisceau vasculaire commun, à double courant, artère, vein
s organiques. A la naissance des deux membres, au tronc, chacun des faisceaux vasculaires communs est enveloppé d'une gaine don
u-dessous d'eux. Dans les deux premières fractions des membres, les faisceaux vasculaires sont renfermés dans le sillon interne
ines, les plaies etles maladies des vaisseaux. C'est le long du grand faisceau vasculaire commun, considéré extérieurement comme
nctions ; ces agens communs sont les vaisseaux et les nerfs logés par faisceaux d'un petit volume dans les polyèdres celluleux ou
ose n'est autre que lepéricrâne, tendon membraneux, qui unit les deux faisceaux de l'occipito-frontal. 4° Vaisseaux sanguins. Les
très prononcées chez les vieillards, et produites par la saillie des faisceaux du peaucier. 2° Couche cellulo-grais-seuse. Assez
e ou quatrième à la huitième. Le plan costal, complété par les petits faisceaux aponévrotiques des muscles intermédiaires, est do
adipeux. 3° Couche musculaire. Elle est formée seulement par les deux faisceaux supérieurs des muscles sterno-pubiens, engaînés d
t dont les bords, unis fortement à ce dernier, sont formés par quatre faisceaux entrecroisés. La grande résistance de l'anneau om
llet moyen très résistant de l'aponévrose du transverse, fixé par des faisceaux convergens au sommet des apophyses transverses lo
eure du sacro-spinal, et, dans la gouttière sacro-vertébrale, le gros faisceau d'origine du transversaire épineux ou le muscle s
Les troncs principaux sont l'artère et la veine axillaires formant un faisceau commun avec les nerfs du plexus brachial ; l'artè
l'aponévrose brachiale postérieure qui revêt les gros vaisseaux et le faisceau scapulaire du triceps. 4° Vaisseaux et Nerfs. Les
re, est, en chirurgie, le plus important des muscles de la cuisse. Le faisceau vasculaire fémoral, dont la direction est sensibl
simples ou réunis en cordonnet cylindrique ou en ruban, et accolés en faisceau avec de la poix ou de la cire, et on les enduit d
aumatiques au travers de masses charnues, il est assez commun que des faisceaux de fibres viennent faire issue à travers la divis
isseau sanguin, Ambroise Paré saisissait avec un bec à corbin tout le faisceau vasculaire, artère, veines et nerfs, plus ou moin
une anse qui étranglait en commun toutes les parties situées entre le faisceau vasculaire et les tégumens. Desault a opéré une r
près du nœud, on rassemble les fils simples de chaque ligature en un faisceau qued'on fixe à l'angle déclive de la plaie, vers
temps ou en un seul étant réservée pour les cas extrêmes où les deux faisceaux musculaires participent à la rétraction. M. Gué
évateur propre de la lèvre supérieure, au-dessous duquel se dégage le faisceau vasculaire, entre ce muscle et l'attache supérieu
milieu et sur le diamètre vertical de l'aire du trou se rencontre le faisceau composé du nerf, de l'artère et de la veine denta
d'entrée du canal dentaire inférieur. Derrière le disque se trouve le faisceau des vaisseaux dentaires, artère, veine et nerf. I
e et la pharyngienne supérieure; enfin plus profondément, derrière le faisceau des muscles styliens, la veine jugulaire interne
e, l'isoler et placer la ligature. Recherche et mise à découvert du faisceau vasculaire. i° Rechercher, d'après les données
chirurgien se trouve égaré au travers des tissus, et ne trouve pas le faisceau vasculaire, au lieu de fouiller au hasard dans la
d'une fausse route dans laquelle on s'est engagé. 6° Parvenu sur le faisceau vasculaire, on le reconnaît à sa couleur d'un jau
, veines et nerfs, qui le composent. Isolement de l'artère. i° Le faisceau vasculaire reconnu et mis à découvert, faire écar
rte qu'un mouvement accidentel inconsidéré ne puisse faire blesser le faisceau vasculaire. La gaîne ouverte, sans lâcher le pli
ale ; guidé par le tendon en dedans, reconnaître en dehors le premier faisceau du pédieux et inciser à plat son feuillet de revê
longé à son côté externe par le nerf tibial postérieur, l'ensemble du faisceau vasculaire est dirigé de haut en bas, avec une lé
malléolaire et le bord interne du tendon d'Achille. En profondeur le faisceau vasculaire est recouvert par la peau, l'aponévros
d'Achille étant, dans l'adulte, d'environ quatre centimètres, dont le faisceau vasculaire occupe sensiblement le milieu. C'est d
urs et que l'on incise avec précaution comme il est dit plus haut. Le faisceau vasculaire s'offre côtoyé, en dedans, par les tro
l a été dit plus haut, pour ne pas risquer de léser les vaisseaux. Le faisceau vasculaire étant mis à découvert, côtoyé en dehor
tion de l'incision, objet essentiel, donne la certitude de trouver le faisceau vasculaire dans la plaie, et prévient toute erreu
he des vaisseaux. Mais cette dernière manœuvre est très difficile; le faisceau vasculaire se trouvant situé très profondément so
ent, sur la sonde cannelée, l'aponévrose profonde intermusculaire. Le faisceau vasculaire mis à nu dans toute la longueur de la
postérieure, qui s'enfonce en haut dans le creux du jarret. Ainsi le faisceau vasculaire poplité traverse verticalement la losa
plitée. A deux centimètres plus profondément en haut, on tombe sur le faisceau vasculaire principal; la veine étant postérieure
en dehors de l'angle interne et postérieur du tibia , se rencontre le faisceau vasculaire, la veine en dedans et recouvrant pour
gs muscles fléchisseurs clans le relâchement, aller à la recherche du faisceau vasculaire, dontla profondeur, terme moyen, est d
urier, qui la recouvre dans sa moitié intermédiaire : de sorte que le faisceau vasculaire, à son quart supérieur, est placé en d
ue du tissu jaune rend extensible; tandis qu'à son quart inférieur le faisceau , appliqué profondément sur le fémur, est placé en
du vaste interne au tendon du grand adducteur, au fond duquel est le faisceau vasculaire fémoral partie au -dessus et partie da
même au point de vue anatomique, et c'est la différence de rapport du faisceau vasculaire avec le couturier dans cette région qu
l'Anatomie topographique (planche 7): si l'on étudie les rapports du faisceau vasculaiie fémoral avec le couturier, on voit que
e, le muscle coupant la face antérieure de la cuisse en diagonale, le faisceau vasculaire plus profond et presque vertical crois
travers ou peut-être mieux en diagonale suivant le plan vertical. Le faisceau vasculaire mis à découvert dans la plaie, se cond
ver avec le doigt le bord du couturier, le refouler en dehors, et, le faisceau vasculaire mis à nu, l'artère antérieure, la vein
ure de la cuisse (espace sous-aponé-vrotique). Procédé deScarpa. Le faisceau vasculaire à cette hauteur traverse verticalement
tronc de la veine-saphène placé à un centimètre en dedans de l'axe du faisceau vasculaire profond; diviser ensuite l'aponévrose
mme précédemment. 4° Ligature à l'arcade fémorale (pl. i\q '.) Le faisceau vasculaire, à l'arcade fémorale et jusqu'à quatre
n doit l'isoler, l'écarter un peu en dehors; au-dessous de lui est le faisceau vasculaire, l'artère supérieure et plus profonde,
de la sonde cannelée les veinules et les filamens du nerf radial; le faisceau vasculaire mis à découvert au-dessus du premier e
s en dedans et parallèlement au tendon long supinateur se présente le faisceau vasculaire, l'artère entre ses deux veines, et pl
en dehors le bord interne du long supinatcur et parvient ainsi sur le faisceau vaseul aire. B. M. Marjolin déprime la peau, de
des supinateurs et des pronateurs, au fond se présente le t. vi. faisceau vasculaire, l'artère entre ses deux veines, et, p
nelée l'aponévrose superficielle à laquelle s'implante ce muscle : le faisceau vasculaire étant mis à nu, isoler, avec le bec de
lime, en dedans celui du cubital antérieur : au fond du sillon est le faisceau vasculaire; diviser la capsule, dénuder l'artère
t, le précepte est de dénuder, soulever et écarter en dehors le grand faisceau du fléchisseur sublime, qui s'attache à l'épitroc
et de l'avant-bras sur le bras. Mais chez les hommes très musclés le faisceau du sublime s'étend beaucoup trop en dedans pour p
le rond pronatcur relâché, on tombe exactement sur le bord externe du faisceau humerai du sublime où l'artère cubitale se présen
t lui est externe en haut, antérieur au milieu, et interne en bas. Le faisceau vasculaire, profond d'environ un centimètre et de
rs se présente l'aponévrose d'enveloppe, fortifiée en ce point par le faisceau d'expansion du tendon du biceps et appelée aponév
deux temps, vers l'un et l'autre angle de la plaie. Alors apparaît le faisceau vasculaire profond ; en premier plan le nerf médi
le nerf médian et l'artère sensible à ses battemens. La direction du faisceau vasculaire est suivant une ligne verticale niais
veine en dedans. Suivant la longueur de la plaie, se présente a nu le faisceau des vaisseaux et des nerfs. Abaisser alors un peu
biant, très lâche, permet le déplacement des vaisseaux en arrière. Le faisceau vasculaire se trouvant au milieu de la plaie, c'e
gle compris entre le petit pectoral et le sous-clavier se présente le faisceau vasculaire et nerveux dans l'ordre qui suit : en
très vague: enfin, pour peu que la disposition des divers cordons du faisceau vasculaire et nerveux n'ait pas été reconnue de p
n à deux centimètres , en dehors du bord antérieur du trapèze, sur le faisceau claviculaire du sterno-cléido-mastoïdien. Dans ce
ulaires supérieurs, en haut les vaisseaux cervico - transverses et le faisceau inférieur du seapulo-hyoïdien , puis faire soulev
un centimètre au-dessus. Diviser , après le peaucier , la portion du faisceau claviculaire du sterno-cléido-mastoïdien saillant
point de ralliement : cette glande repoussée en haut, reconnaître le faisceau musculaire du digastrique et du stylo-hyoïdien so
ans, puis isoler et écarter en arrière la veine jugulaire externe. Le faisceau formé par le ventre postérieur du digastrique et
lulaire en écartant les ganglions lymphatiques. On tombe alors sur le faisceau vasculaire : en premier plan le nerf hypoglosse,
d'aller chercher l'artère à la partie inférieure clu cou, derrière le faisceau sternal du muscle sterno-mastoïdien. La tête étan
ètres à partir de la clavicule clans le sillon intermédiaire aux deux faisceaux du sterno-mastoïdien. La peau, l'aponévrose et le
ose et le peaucier étant divisés, inciser avec lenteur entre les deux faisceaux musculaires , puis incliner la tête vers le côté
rter les fibres avec lenteur et précaution : rejeter de côté les deux faisceaux , en avant le faisceau sternal, en arrière le fais
nteur et précaution : rejeter de côté les deux faisceaux, en avant le faisceau sternal, en arrière le faisceau claviculairc, et
côté les deux faisceaux, en avant le faisceau sternal, en arrière le faisceau claviculairc, et les faire maintenir dans cette p
position par des crochets mousses ; derrière le muscle se présente le faisceau vasculaire : d'abord la veine jugulaire interne,
ui reproche sur le vivant la difficulté de maintenir écartés les deux faisceaux musculaires; mais on pourrait y obvier, si besoin
usculaires; mais on pourrait y obvier, si besoin était, en coupant le faisceau sternal sur la sonde cannelée. Procédé de M, Ke
simple incision le long du tendon sternal clu sterno-mastoïdien etdu faisceau qui lui lait suite ; mais comme les vaisseaux se
bligation, que nous avons signalée plus haut, de couper en travers le faisceau sternal. Le reste n'offre aucune difficulté. Pr
ouvent les vaisseaux : mais la plaie n'en est pas moins bridée par le faisceau sternal du sterno-mastoïdien, que M. Key a été cl
sterno-mastoïdien. La peau et le peaucier étant divisés , dénuder le faisceau sternal du steiiio-mastoïdien, glisser dessous la
o-mastoïdien, glisser dessous la sonde cannelée, couper en travers ce faisceau et les deux tiers environ clu faisceau claviculai
cannelée, couper en travers ce faisceau et les deux tiers environ clu faisceau claviculaire, puis renverser le muscle en haut et
nerveux parallèle et antérieur à l'artère. Au dehors de la gaîne, le faisceau vasculaire est enveloppé par les nombreux chapele
ns le sillon celluleux le mouvement imprimé pour aller reconnaître le faisceau vas-culaire, et en particulier l'artère à ses bat
ndis que l'angle externe est abaissé par des crochets mousses , et le faisceau vasculaire se trouvant ainsi à découvert, ouvrir
le pouce et l'indicateur de la main droite jusqu'à pouvoir saisir le faisceau vasculaire entre le pouce et l'incli- cateur. S
les ligatures d'artères, écarter les espaces inter-organiques ou les faisceaux musculaires et s'y frayer un trajet suffisant en
rcu-lairement à sa base jusque sur le pédicule formé par le principal faisceau vasculaire de nutrition, en faire la section et p
rtie de peau intacte qui occupe le dos du poignet et protège ainsi le faisceau des tendons extenseurs. — Troisième temps. Extirp
beaux écartés, divisé les ligamens acromio-clavicu-laires et quelques faisceaux d'origine du deltoïde et du trapèze, j'ai pu, à l
qui embrassera une masse charnue antérieure composée par la peau, le faisceau des tendons des muscles extenseurs et court péron
tendon rotulien, la capsule, les ligamens latéraux, et en arrière les faisceaux des muscles jumeaux avec les vaisseaux et les ner
e la peau. 2. Section de l'aponévrose dorsale du pied. 3. Premier faisceau du muscle pédieux, écarté en dehors. 4. Tendon
stoïdien, coupé en travers dans son attache sterno-claviculaire. 4. Faisceau des muscles sterno-hyoïdien et sterno-thyroïdien,
le le lambeau cutané triangulaire. Un crochet (a) écarte en dehors un faisceau de parties molles comprenant : l'aponévrose, la v
e du triceps brachial. B. Bord supérieur de la plaie formé par le faisceau interne coupé du triceps brachial. C. Bord in
de trois quarts par son côté interne. (a) . Lambeau cutané. (b) . Faisceau des tendons antérieurs, extenseurs des orteils et
bier antérieur, renfermant les vaisseaux et nerfs tibiaux. ( c ). Faisceau postérieur. Il renferme les tendons et les muscle
s artères radiale, cubitale et interosseuse antérieure, rassemblés en faisceau vers la partie inférieure de la plaie. La figure
te de l'os , un aide a saisi entre le pouce et les doigts opposans le faisceau vasculaire dans l'épaisseur des chairs, et le chi
53 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
postérieurs et surtout de leur partie externe (zones radiculaires, faisceaux de Bur- ' Voy. t. XI, p. 156 et 380.. ". .. 2
ntractures) veut dire lésions des cordons laté- raux et surtout des faisceaux pyramidaux. , Cette dernière proposition n'est
taxie locomotrice dans lesquels la lésion atteint non seulement les faisceaux de Bur- dach, mais aussi les faisceaux cérébell
on atteint non seulement les faisceaux de Bur- dach, mais aussi les faisceaux cérébelleux, qui, quoique dans les cordons laté
thétique etplus générale en disant : Dans une lésion combinée des faisceaux pyramidaux et postérieurs, les phénomènes spast
moelle. llIéningo-périencéphalit0. Dégénérescence secon- daire des faisceaux pyramidaux dans les cordons anléro-latéraw et d
and ce der- nier organe est intact, il y a lieu de supposer que les faisceaux temporo-occipitaux mentionnés sont indemnes. Un
temporo-occipitaux mentionnés sont indemnes. Une autre partie des faisceaux temporo-occipitaux inférieurs gagne, suivant tout
rapport intime. - 2° Le ruban de Reil inférieur (Forel) possède des faisceaux dont un premier se relie aux lacis de substance
ses et inférieures de l'S de l'étage supérieur; un troisième enfin ( faisceau aberrant du cordon latéral) se dirige dans les pa
bstance grise de la moelle épinière. La plus grande somme des trois faisceaux pro- vient sans aucun doute du tubercule bijume
u- tions pariétales d'après Monakow), conservant, par rapport aux faisceaux pyramidaux, la situation dorso-latérale, jusqu'à
u côté opposé, ainsi que dans le segment médian du noyau opposé des faisceaux de Burdach et s'unissent aux cellules nerveuses
Parmi les prolongements indirects de ces racines, on voit : 1° des faisceaux qui joignent le ganglion acoustique au noyau in
'entrecroisement des noyaux du toit du quatrième ventricule; 3° des faisceaux qui, par- tis du noyau interne, dépassent le ra
nt avec le noyau commun au facial et à l'auditif ; ainsi qu'avec le faisceau longitudinal postérieur (faisceaux arqués); 4°
et à l'auditif ; ainsi qu'avec le faisceau longitudinal postérieur ( faisceaux arqués); 4° des fibres arci- formes allant du n
au interne de l'acoustique du mêmecôté lui apporte un contingent de faisceaux bien dessinés. P. K. IV. QUELQUES remarques SUR
ique, pas plus qu'avec le REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 105 faisceau solitaire ou avec la formation réticulaire : mais
és du raphé, qui occupe presque toute l'étendue com- posée entre le faisceau longitudinal postérieur et le ruban de Reil. 1.
ibres de la moelle. De la substance blanche spinale il n'y a que le faisceau radiculaire du cordon antérieur et ce qui reste
t aux olives supérieures (fibres issues de la partie postérieure du faisceau radiculaire' du cordon latéral), au noyau centr
u cordon latéral), au noyau central de Roller (fibres du reste du faisceau radiculaire du cordon latéral et du faisceau radi
er (fibres du reste du faisceau radiculaire du cordon latéral et du faisceau radiculaire du cordon antérieur), au noyau réti
e du cordon antérieur), au noyau réticulaire (les deux espèces de faisceaux radiculaires mais surtout celui du cordon antérie
ais surtout celui du cordon antérieur), au noyau central supérieur ( faisceau radiculaire du cordon anté- rolatéral). Le syst
décrivant une courbe à convexité antérieure, jusqu'à la région des faisceaux longitudinaux postérieurs ; elles se per- dent
aux fibreux avec le réel noyau de l'oculo-moteur commun, avec les faisceaux longitudinaux postérieurs, eux-mêmes traversés pa
moteur oculaire commun. Au-dessus de la commissure postérieure, les faisceaux lon- gitudinaux postérieurs, réduits à de rarés
ention sur le noyau réticu- laire tegmenti pontis de Flechsig ; les faisceaux raphéiques sont chargés de transmettre aux nerf
les olives ;des olives part de chaque côté un trousseau compact de faisceaux (voie centrale de la calotte de l'auteur) qui,
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 109 restiforme contient au moins deux faisceaux séparés. L'un se garnit de myéline de très bonn
it du quatrième ventricule (lobe central du cervelet); tel est le faisceau spinal qui ne s'entrecroise jamais. Le faisceau
rvelet); tel est le faisceau spinal qui ne s'entrecroise jamais. Le faisceau le plus précoce du faisceau cérébral placé en d
spinal qui ne s'entrecroise jamais. Le faisceau le plus précoce du faisceau cérébral placé en dehors et avant du faisceau s
le plus précoce du faisceau cérébral placé en dehors et avant du faisceau spinal, monte entre les petites cellules sus-ment
la méthode de de Gudden 2. L'ablation du lobe pariétal droit et des faisceaux blancs de la couronne rayonnante qui se rattach
dégénérescence est sur le chemin des al- térations descendantes du faisceau pyramidal dans le cordon latéral au niveau du s
es les cellules qui nous occupent, est épaissie. Par conséquent, le faisceau py- ramidal fournit des fibres aux cellules des
généres- cence s'étendait dans l'espèce jusqu'au noyau opposé des faisceaux grêles; seulement, les altérations primitives éta
hez les chats mutilés, la destruction atteignait-elle le' noyau des faisceaux de Burdach. Chez les animaux en expé- rience, o
rieures est consécutive à une altération organique du cerveau et du faisceau pyramidal, tandis que, dans le second cas, les
s sont les suivants, à l'examen microscopique. Dégénérescence des faisceaux pyramidaux croisés dans toute la hauteur de la
yramidaux croisés dans toute la hauteur de la moelle. Intégrité des faisceaux cérébelleux et des cordons latéraux limitant le
grité des faisceaux cérébelleux et des cordons latéraux limitant le faisceau pyramidal. Absence complète de toute altération
ure et la lésion de la substance grise serait due à la sclérose des faisceaux et cornes posté- rieures. Dans le tableau cli
sibilité et avec une dégénérescence presque complète des cordons et faisceaux postérieurs et la perle du sens musculaire avec
e bilatérale périphérique, par excitation névritique ascendante des faisceaux pyramidaux. Ce diagnostic est vivement critiqué
trifuges spéciaux qui veillent à la conductibilité coor- dinatrice ( faisceaux coordinateurs). Quant à la théorie par trouble
rne du corps strié gauche et descendant dans la capsule interne; le faisceau pyramidal du cordon latéral droit présente la d
accompagne alors de l'altération des cordons de Goll et bientôt des faisceaux cunéiformes. Il y a donc eu, dans l'espèce, deu
érations connues sur toute la hauteur de l'or- gane ; intégrité des faisceaux blancs, quoique le cordon latéral droit paraiss
lroncs radiculaires, pour se disposer à entrer dans la moelle; les faisceaux ainsi produits, composés exclusivement de fibres
t la fibre nerveuse dont elle tuerait d'abord la myéline dans les faisceaux de T3mdacli. Il se sert dans ses recherches de la
Ccnt1'aLlil. f. Nervenheilk., 188.) Sous-litre : Dégénérescence des faisceaux pyramidaux dans tout le il ll ? I1'l el de du c
bres appartenant aux pédoncules cérébelleux moyens, des olives, des faisceaux pyramidaux; destruction des fibres du faisceau
ns, des olives, des faisceaux pyramidaux; destruction des fibres du faisceau longitudinal postérieur sur une grande étendue
dans la partie postérieure de la capsule interne gauche et dans le faisceau pyramidal du même côté, à travers la protubéran
ent étendue inférieure- ment, puis elle avait monté, avait gagné le faisceau respiratoire de Krause qui s'étend jusque dans
Des nerfs optiques, des bandelettes optiques, des rapports de leurs faisceaux entrecroisés ou non et de leurs fibres optiques
e Neurologie, t. XI, p. 96. 400 SOCIÉTÉS SAVANTES. Pour isoler le faisceau non entrecroisé on fait pénétrer à travers la s
éparations et planches sont présentées au Congrès. La situation des faisceaux entrecroisés ou non est dans la bandelette optiqu
de la coupe transverse du nerf optique émer- geant du chiasma, ces faisceaux se séparent peu à peu dans le trajet du nerf en
es respectives. I.e rapport de masse de chacune des deux espèces de faisceaux est sur une coupe transverse, comme (fais- ceau
r une coupe transverse, comme (fais- ceau non entrecroisé) est à 3 ( faisceau entrecroisé). L'oie ne pos- sède pas de faiscea
recroisé) est à 3 (faisceau entrecroisé). L'oie ne pos- sède pas de faisceau croisé. A Eisenach 2, de Gudden a prouvé l'exis
paisses présentent le même rapport de volume en ce qui concerne les faisceaux croisés ou non que les fibres minces. M. GIIASH
ostérieurs et de la moitié dorsale des cordons latéraux surtout des faisceaux latéraux qui se rendent au cervelet ; les cordo
54 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
che, comme le montreront les dévelop- pements ultérieurs, à tout un faisceau de problèmes soulevés par l'idée fixe, nous a e
ie, mars 1899.) E. B. VI. Les contractures et la portion spinale du faisceau pyramidal; par le professeur Grasset. - De to
e sont en rapport constant avec la lésion de la partie spi- nale du faisceau pyramidal. Les preuves démonstratives de cette
les contractures (et l'état spasmodique) d'une part et la lésion du faisceau pyramidal, de l'autre, par quel mécanisme la lé
yramidal, de l'autre, par quel mécanisme la lésion ou l'absence des faisceaux pyramidaux entraine-t-elle la contracture perma
se double et antagoniste : une action inhibitrice qui passe par les faisceaux pyramidaux (Anton., P. Marie) et une action exc
n inhibitrice (des- truction pathologique ou absence congénitale du faisceau pyra- midal) avec conservation de l'action exci
lle que quand la lésion atteint la partie sous-protubérantielles du faisceau pyramidal ? Pour résoudre cette difficulté, il
bien liée à l'alté- ration où à l'absence de la portion spinale du faisceau pyrami- dal ; cette altération déterminant la c
i part de la protubérance et vient aux cellules radiculaires par le faisceau pyramidal. (Revue neuro- logique, février 1899.
bercule. Il existait, dans la moelle, de la sclérose descendante du faisceau pyramidal. Les poumons et le foie présentaient
qui fait habi- tuellement défaut en pareil cas, et la sclérose des faisceaux pyra- midaux ; peut-être faut-il aussi lui attr
l'ent à gauche de ce qu'il est il droite : cependant la masse des faisceaux musculaires est moins épaisse à gauche, la dé-
e l'inégal développement des muscles de l'épaule. Le deltoïde a des faisceaux plus courts 'du côté gauche, et de ce côté le f
toïde a des faisceaux plus courts 'du côté gauche, et de ce côté le faisceau antérieur est plus fort tandis que les faisceaux
e, et de ce côté le faisceau antérieur est plus fort tandis que les faisceaux moyen et postérieur sont plus grêles. Le tricep
ptiques ; il est donc naturel de considérer comme appartenant à des faisceaux de cette nature les innombrables fibres myéliniqu
ue toute l'épaisseur de la substance grise. Cajal a vu un véritable faisceau de filaments axiles s'appliquer aux tiges proto
a bandelette de Reil et le trijumeau, d'une part, ou ayant gagné le faisceau pyramidal, d'autre part, ou faut-il admettre deux
au de Deiter), cérébelleuse (Thomas), protubérantielle (lésion du faisceau longitudinal postérieur), pédonculaire, capsulair
de de Hasch. Voici les conclusions de V... : 1° 11 existe un seul faisceau descendant droit spinal, lequel prend son origi
'olive; au niveau de la partie inférieure de l'olive inférieure, ce faisceau s'écarte de plus en plus en dehors, pour se log
suivre sur toute la hauteur de la moelle, où il occupe la place du faisceau marginal antérieur de Lo\venthal ; les fibres de
ace du faisceau marginal antérieur de Lo\venthal ; les fibres de ce faisceau se mettent en rapport avec les cornes antérieures
noyaux de la protubérance des deux côtés, en partie sous forme d'un faisceau vertical qui remonte le long du raphé et rejoin
ontre pas de fibres non entrecroisées ; 8° Par l'intermédiaire du faisceau longitudinal postérieur s'éta- blit la connexio
diaire des fibres se détachant du noyau « tecti globosi »; 10° Le « faisceau en crochet » sert à la connexion du cervelet av
elle aux centres encé- phaliques de perception, probablement par le faisceau latéral mixte. Mais la perception ne se faisant
au bulbe, sans doute à l'endroit de l'entrecroisement des fibres du faisceau latéral mixte ; là, par des fibres commissurale
du tissu conjonctif interfasciculaire et de la gaine lamelleuse des faisceaux nerveux par des streptocopes et des leucocytes; 2
ître, mais l'infiltration leucocytaire persistait dans la gaine des faisceaux nerveux, dans lestravées conjonctives intra et
e à une lésion des cellules motrices cérébrales ou tout au moins du faisceau pyramidal intra- cranien, les vertiges. Ces sym
diplégies infantiles. C'est la dégéuération primitive et isolée du faisceau pyramidal due à la naissance avant terme. C'est
affection d'origine médullaire, exclu- sivement due à l'absence de faisceaux pyramidaux dans la moelle épinière, à cause de
, fort intéressantes, sur le développement et le parachèvement du faisceau pyramidal : recherches qui complètent, tout en le
nts, les données publiées par Ilervouet en 1881. A la naissance, le faisceau pyramidal est très spécial par la finesse de se
es les formules pathologi- ques, qu'on peut rencontrer au niveau du faisceau pyramidal; il étudie successivement la simple d
use (Weigert, Pal, Nissl, Marchi, etc ). La con- clusion est que le faisceau pyramidal se trouve atteint de façon très varia
iables comme siège, comme intensité, comme extension. Souvent les faisceaux blancs de la moelle sont atteints en même temps
périphériques on ne trouve pas, dans la substance grise et dans les faisceaux blancs des cen- tres nerveux, de voie indispens
pyramidale, allant jusqu'à son atrophie à la suite des lésions du faisceau pyramidal dans la capsule interne, n'est qu'un ca
ves. Parmi celles-ci, les plus facilement atteintes, sont celles du faisceau de Gowers, que M. Van Gehuchten consi- dère com
thermo-anesthésie, permet de penser qu'il existe peut- être dans le faisceau de Gowers des fibres distinctes pour la trans-
transmission de la température. Après la compression des fibres du faisceau de Gowers, on voit la lésion médullaire amener
er la perte de la sensibilité musculaire (compression des fibres du faisceau cérébelleux ou des fibres des cordons postérieu
La sensibilité tactile (fibres des cordons postérieurs ou fibres du faisceau cérébelleux ? ) persiste le plus longtemps. Il
remarquer que, de toutes les fibres de la moelle, ce sont celles du faisceau cérébelleux et celles des cor- dons postérieurs
voir s'il y a des fibres cérébelleuses descendantes. Résumé. - I. Faisceaux qui à la suite de l'hémisection latérale de la
voir dans la plu- part des conducteurs de la moelle des oiseaux des faisceaux dans les deux sens. Mais c'est moins accusé dan
un cordon postérieur médian et un cordon postérieur latéral ; 2° le faisceau cérébelleux des cordons latéraux dégénère toujour
OGIQUES. 405 il se trouve cependant aussi parmi elles, un nombre de faisceaux originaires du cervelet qui méritent le nom de
rent en bas avec elles. Il est probable qu'il faut ranger parmi les faisceaux endogènes (intraspinaux) un long faisceau qui o
faut ranger parmi les faisceaux endogènes (intraspinaux) un long faisceau qui occupe les cordons antérieurs et ne peut être
ordons antérieurs et ne peut être suivi jusque dans le bulbe. II. Faisceaux qui après l'Ieémisectiott latérale de la moelle d
rent dans le cervelet. - Dans le cervelet ne se prolongent que les faisceaux de la moelle qui occupent la périphérie du cordon
ervelet ; grêle, il correspond probablement au segment antérieur du faisceau cérébelleux du cordon latéral (lî-(icizis céréb
aux, en partie également dans l'écorce inférieure du vermis. III. Faisceaux qui dégénèrent en descendant à la suite d'une lés
n descendant à la suite d'une lésion du cervelet. A côté des courts faisceaux qui dégénèrent du côté correspondant à l'opérat
ourts faisceaux qui dégénèrent du côté correspondant à l'opération ( faisceaux d'association) et du côté opposé (faisceaux com
spondant à l'opération (faisceaux d'association) et du côté opposé ( faisceaux commissuraux) et qui sont les faisceaux propre-
ciation) et du côté opposé (faisceaux commissuraux) et qui sont les faisceaux propre- ment dits du cervelet on constate la dé
propre- ment dits du cervelet on constate la dégérescence d'un long faisceau croisé. Une petite partie de ce faisceau rayonn
la dégérescence d'un long faisceau croisé. Une petite partie de ce faisceau rayonne dans la région de la zone acoustique d'
belleux inférieur, dans le bulbe et dans le cordon latéral. Ce long faisceau correspond au tractus céré6ellospiual, composé
céré6ellospiual, composé de fibres antérieures et posté- rieures du faisceau cérébelleux du cordon latéral. Les libres posté-
le segment cérébral du corps restiforme; les fibres antérieures (ou faisceau de Gowers) sont représentées par les fibres qui
st la dégénérescence en virgule de Schultze qui occupe le milieu du faisceau de Burdach. Celle-ci a déjà cessé au niveau de
nts sur une étendue de 2 centimètres. Dégénérescence ascendante des faisceaux de Goll, indistincte des faisceaux latéro-céréb
Dégénérescence ascendante des faisceaux de Goll, indistincte des faisceaux latéro-cérébelleux; dégénérescence descendante de
L'intérêt principal des dégénérescences ascendantes réside dans le faisceau de Gowers auquel s'attachent les noms de Patrick,
Bruns, Pa- trick, Hoche, de Soelder. Dans notre cas particulier, le faisceau 412 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
parties postérieures du noyau antérieur de la couche optique, notre faisceau était presque seul conservé alors qu'il y avait
le malade ne s'expose plus au sulfure de carbone. P. K. XXIII. Le faisceau optique médian du pigeon; par A. WALLEXBERG. (N
térieur (Jelgersma). Mais, la preuve de l'origine des fibres de ce faisceau dans le gan- glion de l'isthme ? En détruisant
i puissent être certainement tenues pour dégénérées. Du chiasma, le faisceau optique médian gagne d'abord le bord externe du n
coupe du nerf optique, bien perpendiculaire à l'axe, montre que le faisceau en question est bien un groupe médian à faible ex
supérieur et un compartiment postérieur, externe, inférieur. Or, le faisceau optique médian se répand presque complètement d
comme par les branches d'une pince. Le territoire in- nervé par le faisceau optique médian commence donc bien en dehors de
papille, on ne constate que quelques dégénérescences éparses. Le faisceau optique médian vient donc de l'isthme et se termi
forment quelques rameaux se ras- semblant en bas et au milieu en un faisceau compact qui, en avant de l'angle externe de la
a substance grise des cavités centrales de l'isthme, s'incorpore au faisceau longitudinal latéral, et se dirige en bas ; par
épand. C'est le tractus isthinotectal. Les fibres originelles de ce faisceau dans la substance blanche profonde du lobe opti
ian qui représentent la branche efférente centri- fuge de l'arc. Le faisceau optique médian se terminant dans la rétine et d
des cellules motrices, un kyste hémorragique, la dégénérescence des faisceaux de Goll. P. IERA ? 1L. LVII. Observation de n
s a nui aux fibres subordonnées. D'où l'atrophie prédominante des faisceaux d'association supérieurs, des fibres arciformes,
lus tard et possèdent des fonctions exclusive- ment psychiques. Les faisceaux conducteurs et le système des libres du corps c
ard, 77. HxniBti' ! 0.\ ! < ! srE.Prese ! )tation()'un, 150. Faisceau optique. Le - médian du pigeon, par Wallenberg,
. Faisceau optique. Le - médian du pigeon, par Wallenberg, 424. Faisceau pyramidal. Les contrac- tures et la portion spi
55 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
rnes antérieures de la substance grise avec ou sans participation des faisceaux blancs : paralysie infantile spinale, para-lysie
degré d'amaigrissement. Il est vraisemblable qu'un certain nombre de faisceaux musculaires s'atrophient et disparaissent ; dans
do paralysie consécutive à lasec-tion des nerfs, outre l'atrophie des faisceaux primitifs qui se produit à la longue, M. Vulpian
x dusarcolemme. En même temps que ces altérations se développent, les faisceaux musculaires subis-sent une diminution très pronon
our la plupart, leur striation.La dégénération granulo-graisseuse des faisceaux musculaires se rencontre rarement en pareil cas e
loisons de tissu eonjonclif nouvellement formé, interposées entre les faisceaux musculaire? primitifs. Ces derniers ont subi une
hiées : sur d'autres elle est à peine distincte. Un certain nombre de faisceaux primitifs offrenl les caractères de l'altération
jour, les muscles déjà pâles, le tissu con-jonctif intermédiaire aux faisceaux primitifs manifestement hypertrophié, les faiscea
intermédiaire aux faisceaux primitifs manifestement hypertrophié, les faisceaux eux-mêmes diminués de volume, présentant une mult
, mais ayant conservé la striation transversale. Un bon nombre de ces faisceaux offraient l'aspect granuleux, mais les granula-ti
olog., t. II, p. 572, 1869). L'absence de dégénération graisseuse des faisceaux primitifs, l'atrophie de ces faisceaux avec persi
de dégénération graisseuse des faisceaux primitifs, l'atrophie de ces faisceaux avec persistance de la striation transversale et
longée, disparaissent et font place à du tissu conjonctif ondulé. Les faisceaux musculaires ne commencent à présenter d'alté- 1
emaine. A cette époque, on peut constater déjà que le diamètre de ces faisceaux s'est amoindri ; cette atrophie va rapidement en
les. Elles ont un caractère com-mun : toutes tendent à se limiter aux faisceaux de substance blanche, et si, parfois, l'axe gris
veau ou de la moelle épinière : qu'elle occupe exclusivement soit les faisceaux postérieurs, soif les faisceaux latéraux, ou, sim
qu'elle occupe exclusivement soit les faisceaux postérieurs, soif les faisceaux latéraux, ou, simultanément, ces deux ordres de f
ux cas d'atrophie musculaire avec lésion de la substance grise et des faisceaux antéro-laléraux de la moelle épinière. (Ar-chives
ituellement assignées, le processus irritatif ve-nait à s'étendre des faisceaux blancs aux cornes antérieures de la substance gri
ne antérieure de substance grise du côté droit en suivant la voie des faisceaux radi-culaires internes du côté correspondant. L'a
ère faiie dans le renflement lombaire — A, racines postérieures. — B, faisceaux radiculaires internes traversant l'aire des cordo
t la sclérose limitée dans les cordons postérieurs au parcours de ces faisceaux . A droite, le parcours phlegmasique s'est étendu
roite, le parcours phlegmasique s'est étendu en suivant le trajet des faisceaux radiculaires jusqu'à la corne antérieure droite.
ordons blancs, occuperait la partie de ces cordons que traversent les faisceaux de tubes nerveux d'oùémanent les racines antérieu
de tubes nerveux d'oùémanent les racines antérieures. Pour peu queces faisceaux prissent part à l'altération, il se produirait là
s masses musculaires s'accuse bientôt ; les lésions histologïques des faisceaux primitifs deviennent promptement appréciables. D'
nt la marque d'un processus irritatif. La dégénération graisseuse des faisceaux primitifs est là, encore, un fait exceptionnel. Q
pas encore fourni l'oc-casion de constater la lésion histologique des faisceaux primitifs et l'atrophie des masses musculaires qu
re, l'extension, observée dans certains cas, du processus-morbide aux faisceaux antéro-laté-raux dans le voisinage immédiat des c
mitifsavec conservation de la striation en travers, et, sur quel-ques faisceaux isolés, les marques d'une prolifération plus ou m
rare que les troubles trophiques portent simultané-ment sur tous les faisceaux primitifs d'un muscle ; il en résulte que celui-c
raire, affectée que secondairement, con-sécutivement à une lésion des faisceaux blancs, par exemple, et pour ainsi dire d'une man
le bulbe comme dans la moelle épi-nière, les lésions irritatives des faisceaux blancs n'ont pas d'in-fluence directe sur la nutr
ouve intéressé. D'un autre côté, l'absence de toute participation des faisceaux blancs et des cornes posté-rieures de la substanc
tandis que les altérations irri-tatives, même les plus profondes, des faisceaux blancs, n'ont aucune influence directe sur la nut
abord, que la nutrition des muscles ne soit pas affectée lorsque les faisceaux blancs de la moelle sont occupés par l'inflammati
me la continuation directe de ceux qui, par leur réunion, forment les faisceaux blancs. Ces faisceaux paraissent presque entièrem
ecte de ceux qui, par leur réunion, forment les faisceaux blancs. Ces faisceaux paraissent presque entièrementcomposésde fibres q
pinal. 11 était à prévoir, d'aprèscela, que, à beaucoup d'égards, les faisceaux blancs de la moelle, sous l'influence des lésions
s tubes nerveux émanant des racines postérieures, qui, sous le nom de faisceaux radiculaires internes (masses fibreuses inter-nes
spinales. D'après cela, ce serait dans l'altération irritative des faisceaux postérieurs de la moelle épinière qu'il faudrait
ataxiques. Mais il est peu vraisembable que toutes les parties de ces faisceaux puissent à cet égard être mises en cause indistin
anormale ?I1 est certain que les fibres nerveuses qui constituent les faisceaux radiculaires internes ne sont pas toutes sensitiv
des affections vésiculeuses, pustuleuses ou enfin gangreneuses. Les faisceaux postérieurs sont-ils les seuls départements de-là
égard, un rôle prédominant, et ce rôle est partagé sans doute par les faisceaux blancs postérieurs, car nous savons que les irrit
rieurs, car nous savons que les irritations de certaines partiesdeces faisceaux ont pour effet de déterminer la production non se
ies centrales et postérieures de la subs-tance grise, soit encore les faisceaux blancs postérieurs. A ce point de vue particulier
ou pemphi-goïdes, du zona, en conséquence de lésions portant sur les faisceaux postérieurs de la moelle ou sur les racines spina
euses des cornes antérieures, seront transmises quelquefois jusqu'aux faisceaux musculaires, par la voie des filets nerveux qui t
dimension. De ces mailles, les plus larges réunissent, sous forme de faisceaux , huit, dix tubes nerveux, ou même un plus grand n
tes, des cellules nombreuses se retrouvent aussi dans les parties des faisceaux blancs où n'existent pas de tubes nerveux, dans l
démie des sciences, décembre 1873.) La névroglie se compose de petits faisceaux conjonctifs de 0""".001 à 0mm,002 de diamètre. «
issu conjonctif. Au-dessous et au-dessus de cette cellule, les petits faisceaux se poursuivent. Il ne me paraît pas dou-teux, ajo
est là un fait \rraiment fondamental — elles sont rem-placées par des faisceaux de longues et minces fibrilles, fort analogues à
ois de petits groupes dans les intervalles que laissent entre eux les faisceaux de fibrilles. Celles-ci, d'ailleurs, ont tout env
fait ressembler aux fibres élastiques, leur agence-ment sous forme de faisceaux légèrement ondulés et toujours parallèles. En dil
aisceaux légèrement ondulés et toujours parallèles. En dilacérant ces faisceaux , on reconnaît que les fibrilles qui les composent
es, ainsi altérées, on croirait \roir, sur le champ du microscope, un faisceau de tissu 1. Frey. — Handbuch der Histologie, et
trabécules du réticulum qui se sont épaissies, et plus tard, par les faisceaux fibrillaires qui tendent à envahir les alvéoles,
articularité frappante est, suivant M. Ranvier, le petit diamètre des faisceaux librillaires. (Note de la 2' édition.) SEPTIÈME
a dégénérescence graisseuse : la lésion avait envahi quelques-uns des faisceaux musculaires de la base de l'organe. — Chez une ma
cas, peuvent être, dans ces cas-là, rapportées à l'envahissement des faisceaux postérieurs de la moelle épinière dans une certai
ou spontanée l\i\)led se montre dans les circonstances variées, oùles faisceaux latéraux de la moelle épinière sont devenus, dans
lérose enplaques, toutes les fois que les foyers spinaux occupent les faisceaux latéraux dans une étendue de plusieurs cen-timètr
rnes antérieures de la substance grise avec ou sans participation des faisceaux blancs : paralysie infantile spinale, para-lysie
de 1'), 51. Expériences de MM. Erb, Ziemm-sen, O. Weiss, 53. F Faisceaux racliculaires internes, 79. — Irritation des— dan
56 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
celle des vaisseaux, ce n'est jamais un tronc qui se ramifie, mais un faisceau commun qui se divise en fascicules. Les fibres ca
ssion, aucun globule médullaire, tandis que les autres, réunies en un faisceau central, laissent s'é- chapper avee abondance l
du ver de terre, mais la structure en est la même ; ce sont, pour les faisceaux longitudinaux, des fibres longitudinales , et pou
ères, et, de plus, une matière globuleuse environnant ces fibres. Les faisceaux longitudinaux sont plus nombreux que dans les ani
s de chaque côté ; en tout six pour la moelle ventrale. Toutefois ces faisceaux quoique distincts ne sont pas séparés les uns des
au côté gauche. 2. Les fibres longitudinales sont disposées en deux faisceaux latéraux distincts l'un de l'autre, et ordinairem
dans la colonne épinière; il consiste, pour les poissons, en un long faisceau médullaire surmonté, à l'une de ses extrémités, d
ns et ceux des organes les plus importans à l'entretien de la vie. Le faisceau , c'est la moelle épinière; la réunion des lobes,
régnent le long de la moelle, et divisent ainsi cet organe en quatre faisceaux latéraux. Le défaut de profondeur de ces sillons
irconscrivent des parties bien distinctes les unes des autres, chaque faisceau étant réuni aux faisceaux voisins dans la plus gr
bien distinctes les unes des autres, chaque faisceau étant réuni aux faisceaux voisins dans la plus grande partie de son épaisse
ns dans la plus grande partie de son épaisseur, excepté toutefois les faisceaux spinaux médians qui sont simplement réunis par un
trant du dehors de la moelle dans le canal central de cet organe. Ces faisceaux spinaux médians existent dans tous les poissons,
anchiaux ou pneuino-gastri- (i) Op. cit. p, 140. ques. Les autres faisceaux n'existent pas aussi constamment, et M. Serres qu
t jusqu'auprès du sillon médian, les racines fulcrales étalées sur le faisceau médullaire, les racines spinales pénétrant direct
xante-quatre paires, tous, d'une grande ténuité, étaient réunis en un faisceau logé dans le canal rachidien (1). Le ietrodon que
êmes animaux. 7. La moelle épinière des poissons se compose de huit faisceaux , quatre de chaque côté. 8. Elle est creusée par
de tubes, l'un à droite et l'autre à gauche, appartenant à chacun des faisceaux latéraux de la moelle. Le diamètre de ces tubes e
-lune et chez la baudroie, ces filets également isolés sont réunis en faisceaux , et de même que pour les mollusques, il y a un né
nerveuse. Ce névri-lème manque chez les autres poissons, et alors le faisceau formant la moelle épinière est constitué, non plu
c M. Serres, que la moelle épinière des poissons se compose de quatre faisceaux fibreux dont la réunion forme un canal situé dans
rieur de cet organe. A l'extrémité céphalique de la moelle , les deux faisceaux spinaux supérieurs s'écartent les uns des autres
ement résulte le quatrième ventricule dont le fond est formée par les faisceaux fulcraux. Les faisceaux spinaux qui ne sont autre
me ventricule dont le fond est formée par les faisceaux fulcraux. Les faisceaux spinaux qui ne sont autre chose que les pyramides
anglions postérieurs de la moelle et dans le cervelet, tandis que les faisceaux fulcraux se prolongent directement en avant et
eure ou céphalique des fibres de la moelle épinière qui composent les faisceaux spinaux;les fibres des faisceaux fulcraux vont au
la moelle épinière qui composent les faisceaux spinaux;les fibres des faisceaux fulcraux vont aux lames optiques, aux tubercules
inférieurs. Commençons par ce qui concerne la lame optique : un gros faisceau se dirige en bas et en dehors de la lame optique,
delà de ce ganglion, on les retrouve suivant la même direction que le faisceau primitif et s'épanouissant en un large éventail d
rieur et externe , l'autre supérieur et interne , et y forment deux faisceaux qui se joignent tout-à-fait à la partie antérieur
elle épinière, car le nerf optique a un volume d'environ le double du faisceau qui émane de la moelle, de façon que le ganglion
la voûte à trois ou plutôt à quatre piliers. Après avoir fourni le faisceau qui va aux tubercules qua-drijumeaux et à la lame
nt antérieur de la moelle épinière s'avance et se divise en autant de faisceaux secondaires qu'il y a de ganglions ; ainsi un fai
en autant de faisceaux secondaires qu'il y a de ganglions ; ainsi un faisceau pour le ganglion inférieur, un autre pour le gang
ce ganglion olfactif est double. Dans chacun de ces gan glions, le faisceau fulcral se perd au milieu de la substance granulé
les ganglions, ¡I existe un point où se rendent les fibres de chaque faisceau fulcral, c'est de là que ces commissures prennent
s fibres nerveuses de la moelle épinière se continuent directement du faisceau fulcral de cette moelle dans les nerfs qui en éma
'intermédiaire d'un ganglion. 6. Il n'y a aucun entrecroisement des faisceaux médullaires, fulcraux ou spinaux, chez les poisso
ux ganglions cérébraux et aux ganglions olfactifs, vont se rendre les faisceaux fulcraux de la moelle. On voit les fibres du fais
se rendre les faisceaux fulcraux de la moelle. On voit les fibres du faisceau fulcral qui se rendent au lobe optique, se contin
d on a enlevé le cervelet et ouvert l'aqueduc de Sylvius, on voit les faisceaux de la moelle épinière se prolonger sous les gangl
s se confondre, ni passer d'un côté à l'autre : et, en travers de ces faisceaux , on voit de très nombreuses fibres médullaires, a
le épinière par un certain nombre de filets qui se réunissent en deux faisceaux principaux avant de sortir du crâne. » Je n'ai pu
céphale. 10. La moelle épinière des reptiles se compose de quatre faisceaux , deux de chaque côté; elle a un canal central rev
ité céphalique de la moelle épinière se termine dans l'encéphale. Les faisceaux spinaux de la moelle épinière, se portent en deho
ritables dilatations variqueuses; elles ne sont nulle part réunies en faisceau , elles forment au contraire, une lame très mince
lame très mince analogue à celle des lames optiques. La portion des faisceaux fulcraux qui va aux lames optiques , se porte un
end aux lobes cérébraux , elle se comporte d'une manière analogue aux faisceaux qui se rendent aux lames optiques et rencontrent
y a pas d'entrecroisement des fibres nerveuses de la moelle. 7. Les faisceaux fulcraux de la moelle épinière se rendent au cerv
ptique, où elles vont former le nerf optique et le corps calleux; les faisceaux spinaux se continuent dans le cervelet, et quelqu
es médullaires pénétrer dans l'organe, et s'y diviser à l'infini ; un faisceau de fibres dont les premiers anatomisles qui ont d
nterne du lobe, dans le bord supérieur duquel il se termine. Un autre faisceau blanc se remarque à la base du cerveau et sur les
ure comme chez les mammifères. La substance blanche est distribuée en faisceaux qui sont entourés de substance d'un gris rosé, da
olume qu'elle présente en cet endroit. Les autres fibres viennent des faisceaux spinaux de la moelle. La moelle allongée, placé
trième ventricule, dont le plancher montre, en relief, une partie des faisceaux fulcraux, l'aqueduc de Sylvius et les couches opt
t un renflement considérable de toute sa masse, et un écarte-ment des faisceaux spinaux, correspondant à la naissance (i) Le de
oir à découvert la partie supérieure de la portion correspondante des faisceaux fulcraux; les deux autres situés de chaque côté e
e ventricule, s'ouvre dans le lieu où se séparent l'un de l'autre les faisceaux spinaux, et se termine au coccyx. II ne faudrai
chidiens proviennent, les inférieures ou fulcrales, de la surface des faisceaux fulcraux ; les supérieures ou spinales, du sillon
disposition analogue à celle des corps pyramidaux des mammifères. Les faisceaux spinaux s'éloignent l'un de l'autre, et laissant
du quatrième ventricule, ils se rendent au cervelet. Une portion des faisceaux latéraux se rend également au cervelet, tandis qu
sé de substance grisâtre, dans laquelle pénètrent et se ramifient des faisceaux de substance blanche venant de la moelle allongée
. Au-delà des deux corps striés, le pédoncule cérébral sé paré en faisceaux fibreux, s'étale en rayonnant dans l'intérieur du
s quadrijumeaux, et sur sa partie interne et supérieure, l'on voit un faisceau de fibres blanches, qui se portent de la glande p
la couche optique se trouvent, dans l'épaisseur même de l'organe, des faisceaux fibreux bien décrits par Gall, mais qui avaient d
mais qui avaient déjà été indiqués par Sabatier (1) et Reil (2); ces faisceaux qui descendent en convergeant, viennent former le
s fibres du côté droit et celles du côté gauche, réunies en un double faisceau suivent une même direction; mais là, elles diverg
genouillé interne est en rapport avec le tubercule postérieur, par un faisceau que M. Cruveilhier appelle faisceau triangulaire
c le tubercule postérieur, par un faisceau que M. Cruveilhier appelle faisceau triangulaire latéral de l'isthme; et le corps g
transversales du cervelet, devenues très nombreuses, et le volume des faisceaux longitudinaux n'ayant pas augmenté dans la même p
uelques au teurs ont donné à la partie supérieure ou céphalique des faisceaux spinaux de la moelle. Ce sont deux saillies perpe
e qui régnent le long du sillon spinal, et sont plus blanches que les faisceaux de fibres environnantes. Eminences transverses.
eures de la moelle épinière se rendent vers le cerveau et forment les faisceaux inférieurs de la moelle allongée, ainsi que les p
s cérébrales; l'association des idées se fait par l'intermédiaire des faisceaux qui unissent les circonvolutions entre elles; le
57 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
ofonde de ce muscle. Recouvert qu'il est, en grande partie, par les faisceaux posté- 1G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
is et fibreux. . DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 37 Le faisceau pyramidal croisé, surtout du côté droit, le faisc
ABÉTIQUE 37 Le faisceau pyramidal croisé, surtout du côté droit, le faisceau latéral profond, le faisceau de Gowers et même
idal croisé, surtout du côté droit, le faisceau latéral profond, le faisceau de Gowers et même un peu le faisceau intermédiair
e faisceau latéral profond, le faisceau de Gowers et même un peu le faisceau intermédiaire présentent des altérations analog
l qui entoure les capillaires est plus abondant que d'habitude. Les faisceaux de Burdach, le faisceau cérébelleux direct, le fa
ires est plus abondant que d'habitude. Les faisceaux de Burdach, le faisceau cérébelleux direct, le faisceau fondamental, le
itude. Les faisceaux de Burdach, le faisceau cérébelleux direct, le faisceau fondamental, le faisceau pyramidal direct, les
urdach, le faisceau cérébelleux direct, le faisceau fondamental, le faisceau pyramidal direct, les cornes antérieures et posté
e long du septum médian un espace linéaire moins scléreux. Dans les faisceaux de Burdach existe, surtout à droite, une autre ba
térieure sur la- quelle va s'insérer son extrémité antérieure. Le faisceau pyramidal, le faisceau latéral profond, le faisce
le va s'insérer son extrémité antérieure. Le faisceau pyramidal, le faisceau latéral profond, le faisceau de Gowers ainsi qu
antérieure. Le faisceau pyramidal, le faisceau latéral profond, le faisceau de Gowers ainsi que le faisceau intermédiaire s
al, le faisceau latéral profond, le faisceau de Gowers ainsi que le faisceau intermédiaire sont sclérosés comme dans la coupe
ent se terminer en pointe sur tête de la corne postérieure. ` Les faisceaux antéro-latéraux ne présentent plus, comme à la ré
os tractus péri- vasculaires sont épaissis à peu près partout et le faisceau pyramidal n'est ~pas plus altéré que le reste.
oute leur étendue avec prédomi- nance dans la partie postérieure du faisceau de Goll et dans la zone radiculaire postérieure
lisé des tractus de tout ordre, avec un peu de prédominance dans le faisceau pyramidal. Cet épaississement est encore plus m
ions ici sont beaucoup moindres que dans la coupe précédente. Les faisceaux pyramidaux présentent à peine un léger degré de s
artères. On trouve de la sclérose au niveau de la prolongation des faisceaux de Goll, avec intégrité des faisceaux de Burdac
niveau de la prolongation des faisceaux de Goll, avec intégrité des faisceaux de Burdach excepté la périphérie où l'on voit u
excitations électriques, étant recouvert, en grande partie, par les faisceaux du deltoïde postérieur, très développés chez ce m
partir de la première ou de la deuxième ver- tèbre lombaire. / Ce faisceau est formé par les derniers/nerfs rachidiens, lomb
muscle lui- même. Elle est, en outre, grandement inlluencée par les faisceaux et plans fi- breux périmusculaires. Nous avons
les corps charnus musculaires, de la part de cette enveloppe et des faisceaux qui la doublent en certains points, ont pour ef
endi- culaire à la direction des fibres charnues. Par contre, les faisceaux musculaires eux-mêmes, lorsqu'ils se contractent
d'autant plus uniforme qu'il est composé d'un moins grand nombre de faisceaux musculaires distincts. Par exemple le deltoïde
iers moyen est marqué d'un grand nombre de sillons qui limitent les faisceaux dis- tincts dont il est composé. Mais, en out
s fibres charnues et correspon- dant aux cloisons de séparation des faisceaux secondaires. 3° Enfin la contraction est l'état
par la saillie de ses fibres charnues et par le relief distinct des faisceaux secondaires qui le composent. La forme d'un mus
n, c'est-à-dire qu'il se distingue par l'accen- tuation des divers, faisceaux , dont il se compose, et par un relief des fibres
e la face et des membres du même côté, comme l'indique le trajet dn faisceau moteur. Prenant son origine réelle au pied de l
pied de la circonvolution ascendante, la XII0 paire chemine avec le faisceau fion- tal inférieur, passe dans le genou de la
se dans le genou de la capsule interne, dans le'pédoncule, entre le faisceau de la parole et le faisceau pyramidal, pour arriv
le interne, dans le'pédoncule, entre le faisceau de la parole et le faisceau pyramidal, pour arriver après son entrecroiseme
ne pouvait exister qu'au delà du point où le facial est dissocié du faisceau des membres. La contracture des membres, qui ét
écoce pour une dégénération descendante, indiquait également que le faisceau pyramidal devait être intéressé sur un poinl très
dans un point, qui intéressait ;1 la fois l'hypoglosse gauche et le faisceau moteur droit ; ce point né pouvait donc être aill
ment reconnaître à l'oeil nu du côté du cordon latéral droit et du faisceau de Turk du côté gauche, une région blanchâtre,
a substance bilan- che de la moelle, il l'exception de la partie du faisceau latéral droit qui déjà il l'oeil nu se distingu
e précoce des membres paralysés el la dégénérescence descendante du faisceau pyramidal, symptômes et lésions qui existaient dé
co- piques consistant dans l'hyperplasie de la gaîne lamelleuse des faisceaux nerveux et dans l'augmentation du tissu conjonc
et dans l'augmentation du tissu conjonctif intra-fasciculaire. Les faisceaux nerveux qui se trouvent disséminés dans le tissu
ves qui partent de la face interne des gaines lamelleuses en 2 ou 3 faisceaux se- condaires. La gaîne lamelleuse présente une
hie concentrique et constitue quelquefois un gros anneau autour des faisceaux nerveux. Le tissu conjonctif qui se trouve à la
e sont pas altérées ou sont plus clairsemées à l'in- térieur de ces faisceaux nerveux. La lésion que nous avons constatée mac
ane, sont presque au contact. N'oubliez pas enfin que les fibres du faisceau pyramidal s'épanouissent dans la protubé- rance
l'aqueduc, de manière à intéresser les noyaux gris et les fibres du faisceau pyramidal gauche. Dans cette supposition, les c
eil foyer altérera par compression ou par destruction les fibres du faisceau pyramidal gauche et en consé- quence surviendra
uches et sur les artères médianes donnera lieu à des altérations du faisceau pyramidal gauche et des noyaux situés au-dessou
qui pénètre dans la scissure antérieure. Par rapport aux différents faisceaux de la moelle, on constate que les cordons antér
près complètement envahis par la lésion ; il en est de même pour le faisceau pyramidal droit et pour le cordon postérieur du
part de très légères bandes postérieure et interne) ; par contre le faisceau pyramidal gauche et toute la moitié postérieure
infiltration leucocytique discrète, mais très régulière; entre les faisceaux conjonctifs on aperçoit des leucocytes dissémin
ta- bles lacs autour des vaisseaux, en écartant et en refoulant les faisceaux conjonctifs. Dans la partie inférieure de la mo
le, d'où la paraplégie absolue, malgré l'intégrité d'une portion de faisceau pyramidal gauche. Il faut remarquer que, malgré
ioïde. Vers le milieu du foyer on aperçoit de chaque côté, dans les faisceaux antéro-latéraux, un ou deux petits triangles ma
oyaux ronds dont il a été question plus haut, se glissent entre les faisceaux conjonctifs, en formant des lignes par place de
ur la figure 5 une légère dégénérescence irrégulière dans l'aire du faisceau pyramidal ; celte dégénérescence, dont la signi
raît bientôt au-dessous. Enfin les figures 1 et 2 montrent dans les faisceaux de Burdach une très légère dégénérescence symétri
r un méplat, quand on le fait contracter on sent seulement quelques faisceaux tendus au milieu d'une masse de consistance mol
s abaissé de ce côté sem- ble presque complètement disparu dans ses faisceaux supérieurs, et le malade ne peut résister lorsq
des réflexes et des réactions électriques, sur la per- sistance de faisceaux contractiles dans les masses dégénérées, sur l'ap
ues ou antagonistes, les muscles apparaissent raidis, dessinant les faisceaux se- condaires dont ils sont composés et séparés
d fessier, le del- toïde - pour ne citer que ceux-là - dessiner les faisceaux divers dont ils se composent. On dirait autant
58 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u ramollissement ancien par thrombose et avec dégéné- z rescence du faisceau pyramidal, ces phénomènes irritatifs devront fa
largeur jusqu'au facial du même côté, et en profondeur atteindre le faisceau pyramidal pour déterminer des troubles moteurs
à admettre une lésion limitée atteignant à la fois l'abducens et le faisceau pyramidal. En effet, une telle lésion devrait r
it respecter la face du côté de l'hémiplégie puisqu'elle atteint le faisceau pyra- midal après qu'il s'est débarrassé des fi
, - Mal. du syst. nerveux, 1896, p. 363. 20 CLINIQUE NERVEUSE. Le faisceau pyramidal étant atteint-avant d'avoir abandonné
facial, il faut invoquer, ou bien une double lésion (l'une pour le faisceau pyramidal au-dessus de la pro- tubérance, l'aut
cens, remontant en haut jusqu'au niveau du pédoncule, pour léser le faisceau pyramidal. Raymond penche pour cette dernière i
t à la fois la sixième et la septième paire, en même temps que le faisceau pyramidal. On connaît des observations semblables
de l'ischémie de la corticalité. Pour l'expliquer par une lésion du faisceau pyramidal au niveau du bord inférieur de la pro
teur ont dégénéré, ainsi que les cellules latérales placées dans le faisceau longitudinal postérieur. Il a cons- taté qu'il
les disséminées sur tout le côté du noyau homolatéral qui occupe le faisceau longitudinal postérieur. Ce sont : la plupart des
os du nez et la région maxillaire ; 2° La partie postérolatérale du faisceau de Burdach paraît ( ? ) être en rapport avec l'
; 4° il n'y a donc point chez le chien de fibres homolatérales du faisceau pyramidal subissant, comme le veut Unverricht, un
exagérée par suite même de la suspension de l'action frénatrice du faisceau pyramidal. (Revue neurologique. Juillet 1897.) E.
ure. La branche inférieure furme le cordon de Schultz qui, entre le faisceau de Goll et le faisceau de Burdach, gagne, entre
ure furme le cordon de Schultz qui, entre le faisceau de Goll et le faisceau de Burdach, gagne, entre les deux, la ligue lim
e les deux, la ligue limitante. La branche supérieure monte dans le faisceau de Burdach et surtout dans le faisceau de Gel]
che supérieure monte dans le faisceau de Burdach et surtout dans le faisceau de Gel] jusqu'au bulbe, pour se terminer dans l
isceau de Gel] jusqu'au bulbe, pour se terminer dans les centres du faisceau grêle et du faisceau cunéiforme. La branche asc
au bulbe, pour se terminer dans les centres du faisceau grêle et du faisceau cunéiforme. La branche ascendante (par le faisc
au grêle et du faisceau cunéiforme. La branche ascendante (par le faisceau de Burdach) et la branche descendante éJl1E'.lteu
ne canaliculaire, avant de rejoindre son congénère, se résolvait en faisceaux de plus en plus petits qui se perdaient Archive
stérieurs, une altération du noyau de l'hypoglosse, l'altération du faisceau de Couvas. L'auteur conclut à une psychose hérédi
nlie que dans les cordons postérieurs. Oe ne sait pas encore si les faisceaux pyramidaux croisés ne sont pas primitivement af
adie telle la déformation du pied qui est sous la dépendance de ces faisceaux . ' A. V. 228 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. X.
ion cervicale, le processus destructif se restreint à un segment du faisceau de Goll. En somme, il est exceptionnel de voir
u centre, dans une direction cellulipète. Les vaisseaux propres des faisceaux nerveux plaident déjà pour une nutrition autono
nerveux plaident déjà pour une nutrition autonome des fibres de ces faisceaux ; en clinique, l'anesthésie et la paralysie résu
mps en bon état. Dans les paralysies relevant d'une dégénération du faisceau py- ramidal, l'état fonctionnel du neurone mote
optiques, donc, dans une direction opposée à celle des fibres de ce faisceau . Avant Cajal, von Monakow avait déjà pu conclure
érable de la cellule, les prolongements nerveux qui passent dans le faisceau des fibres optiques, suivant une direction opposé
ose pseudo-systématique d'origine vasculaire à prédominance sur les faisceaux de Goll et les faisceaux pyramidaux. La discus-
'origine vasculaire à prédominance sur les faisceaux de Goll et les faisceaux pyramidaux. La discus- sion du cas et sa compar
es on obtient une dégéné- rescence ascendante et descendante; 2° le faisceau ascendant dégénéré constitue un faisceau plus v
ante et descendante; 2° le faisceau ascendant dégénéré constitue un faisceau plus volumineux qui occupe la zone de Lissauer
ur, ni du côté opposé, ni en d'autres points de la moelle ; - 4° le faisceau descendant constitue un faisceau plus grêle, pl
tres points de la moelle ; - 4° le faisceau descendant constitue un faisceau plus grêle, plus mince, situé en grande partie
piétant un peu sur la zone radiculaire postéro-interne ; 5° pour le faisceau descendant, on n'a pas non plus de dégénéres- c
e,ican journal of MS(HK<</, avril 1897). E. B. LXV111. D'UN faisceau spécial de la zone latérale DE la moelle épiniè
' Alexandre BRUCE. Les cordons latéraux de la moelle se divisent en faisceau fonda- mental du cordon latéral, faisceau de Go
la moelle se divisent en faisceau fonda- mental du cordon latéral, faisceau de Gowers, faisceau pyramidal croisé, faisceau
nt en faisceau fonda- mental du cordon latéral, faisceau de Gowers, faisceau pyramidal croisé, faisceau cérébelleux direct,
l du cordon latéral, faisceau de Gowers, faisceau pyramidal croisé, faisceau cérébelleux direct, zone externe de Lissauer et
issauer et zone limitante latérale, aussi appelée zone marginale ou faisceau profond du cordon latéral. Dans un cas de scl
trophique, l'auteur a pu constater que ce ne sont pas seulement les faisceaux pyramidaux, les cellules des nerfs moteurs de l
es la plus grande. partie des cordons latéraux, à l'excep- tion des faisceaux ascendants, notamment le faisceau cérébelleux d
ns latéraux, à l'excep- tion des faisceaux ascendants, notamment le faisceau cérébelleux direct et le faisceau atitéro-latér
aisceaux ascendants, notamment le faisceau cérébelleux direct et le faisceau atitéro-latéral ascendant de Gowers, qui sont e
ie antérieure montre une dégénérescence aussi avancée que celle des faisceaux fondamentaux antérieurs et latéraux, tandis que
ulo-moteur commun, le dépassent, traversent la protubérance dans le faisceau géniculé, s'entrecroisent là sur la ligne média
oelle, c'est-à-dire dans les cornes antérieures et latérales et les faisceaux fondamen- taux des cordons antérieurs et latéra
érés : les corps restiformes jusqu'au vermis, les prolongements des faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs et latéraux
des cordons antérieurs et latéraux jusqu'aux couches optiques, les faisceaux de Gowers jusqu'à la protubérance. Il s'agit év
x mouvements volontaires et spasmes,dégéné- ration et irritation du faisceau pyramidal (Kahler-Pick); 2°mouve- ments forcés
endue de deux segments. Dans la direction ascendante. en dehors des faisceaux habituels, on trouve dégénérés les fais- ceaux
des pédoncules cérébraux; on peut suivre de la dégénération de ces faisceaux jusqu'aux couches optiques. De ces observations
es descendantes des racines postérieures ; 4° la prolongation des faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs et latéraux p
n. M. Weidenhamer fait remarquer que la dégénération ascendante des faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs et latéraux
ostérieurs et assez uniformément, sans prédominance marquée pour le faisceau de Goll ou celui de Burdach. l'explication de c
eurs. Dans les cordons antéro-latéraux, le cérébelleux direct et le faisceau de Gowers, seuls offrent des fibres dégénérées.
la quatrième racine dorsale) sauf une prédominance marquée dans le faisceau pyra- midal croisé, les fibres dégénérées sont
énérées sont à peu près uniformément réparties dans tous les autres faisceaux . Cette observation nous paraît intéressante au
médullaire. La lésion devait donc être recherchée plus haut, sur le faisceau pyramidal pour les troubles moteurs, sur les vo
tre observation ceux-ci paraissaient en effet les moins altérés des faisceaux blancs. La dissociation des sensibilités cutané
hent des fibres qui vont dans la bandelette du même côté. Comme les faisceaux précédents, ils président aux mouvements associ
agération des réflexes est due à un retard dans le développement du faisceau pyramidal, trouble évolutif caractéristique de
te d'une lésion à la hauteur, des racines de la cinquième paire, du faisceau longitudinal postérieur, on observe nettement c
génique et ontogénique. Voici quelques détails précis relatifs au faisceau acoustique ou cochléaire chez un enfant né à se
ent les stations terminales des fibres conductrices cochléaires; le faisceau cortical acoustique direct de Held fusionne ave
u quart antérieur des cordons postérieurs, cette zone disparaît. Le faisceau du cordon latéro-cérébelleux est fortement dégé
à la zone marginale de Lissauer. Dégénérescence assez mar- quée du faisceau de Gowers. Faisceau radiculaire des cordons ant
de Lissauer. Dégénérescence assez mar- quée du faisceau de Gowers. Faisceau radiculaire des cordons antéro-latéraux faiblem
aiblement dégénéré. En montant vers le cerveau, on constate que les faisceaux de Goll s'irradient directement dans le cervele
l s'irradient directement dans le cervelet (Hoche); qu'il existe un faisceau du cordon postérieurcérébelleux direct qui tient
r, et peuvent être suivis jusqu'à la couche optique. Le trajet du faisceau de Gowers est, d'après les fibres dégénérées qu
t disséminé sur une aire large. En entrant dans la protubérance, le faisceau longitudinal, qui contient des fibres dégénérée
ruban de ltell latéral, dès qu'il es ! formé, se place en dedans du faisceau de Gowers, dont il ne sera plus nettement REVUE
mospinal partirait, près du bord externe des cornes antérieures, du faisceau radiculaire des cordons laté- raux, gagnerait l
ie et phy- siologie. Les questions restées dans l'urne étaient : 10 Faisceau pyramidal, anatomie et physiologie; 2° Pie-mère
i, 401. Dégénérescence secondaire de la -. par Soukhanofï, 402. Faisceau spécial de la zone laté- rale de la -, par BrLi
59 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ties latérales de ces cordons, région des ban- delettes externes du faisceau fondamental des cordons postérieurs de Flechsig
elet, inclinait à localiser les « fibres coordina- trices » dans le faisceau cérébelleux direct de Fleclisig, par consé- que
elle allongés, noyaux d'où part, après entre-croisement, un nouveau faisceau afférent, physiologiquement identique à celui d
e dans des centres sous-corticaux, en d'autres termes, que tous les faisceaux afférents du cordon postérieur ne servent point
es sensations conscientes, et qu'une partie des excitations que ces faisceaux transmettent est élaborée dans des centres sous-c
rait bien revenir ici aux excitations centripètes transmises par le faisceau cérébelleux direct. Or ces excitations sont en
mêmes de ces colonnes sont dégénérées, aussi bien que les fibres du faisceau cérébelleux direct. Le caractère cérébelleux de l
'ataxie, je le ferais dériver ici de cette participation étendue du faisceau cérébelleux de la moelle épinière (et vraisembl
érimentale établit en effet que l'ir- ritation du trajet central du faisceau sensitif ne détermine aucune douleur (si ce n'e
tion doit donc en souffrir d'autant. Les collatérales réflexes, les faisceaux ascendants des cordons postérieurs, etc., repré
nsverse, les auteurs ont constaté une véritable continuité entre le faisceau en vir- gule et le triangle cornu-marginal. Or,
ntérieur de la capsule interne gauche un morcel- lement anormal des faisceaux blancs parla substance grise. Observation II. M
ure qu'on s'élève dans l'échelle des ver- tébrés, d'autres centres ( faisceaux ou centres annexes ou associés) se développent
sections de la moelle, non seulement les différents tubes d'un même faisceau , mais aussi les différents faisceaux ne s'altèr
les différents tubes d'un même faisceau, mais aussi les différents faisceaux ne s'altèrent pas en même temps, mais dans un c
agit d'un proces- sus dégénératif qui affecte d'abord et surtout le faisceau posté- rieur ; ensuite, le faisceau latéral et
i affecte d'abord et surtout le faisceau posté- rieur ; ensuite, le faisceau latéral et plus spécialement le faisceau pyrami
posté- rieur ; ensuite, le faisceau latéral et plus spécialement le faisceau pyramidal. La maladie se développe en foyers,
oyers secondaires, ou du moins ne le sont pas entièrement. Dans les faisceaux postérieurs, les zones radiculaires et les fibr
giques. Elle ne se règle donc pas uniquement sur la topographie des faisceaux ; il s'agit d'une fausse systématisation. D'emb
ellulaires; les atrophies cellulaires amènent l'atrophie simple des faisceaux blancs, mais non leur sclérose. Présentation de
ordons antéro-latéraux empiétant dans un cas très légèrement sur le faisceau pyramidal, mais sans l'intensité observée dans
ntracture serait, par excellence, le symptôme de la dégénération du faisceau pyramidal. Quand on envisage les choses à un poin
ibres commissu- rales du cerveau, la zone rolandique, les fibres du faisceau pyra- midal, peut-être même les voies cérébelle
cture permanente peut exister indépendamment de toute altération du faisceau pyramidal, et que ce faisceau peut être dégénér
indépendamment de toute altération du faisceau pyramidal, et que ce faisceau peut être dégénéré, sans qu'il y ait contractur
qu'on les rencontre dans la maladie de Charcot. Elle intéressait le faisceau de Turc);, le faisceau pyra- midal croisé et le
s la maladie de Charcot. Elle intéressait le faisceau de Turc);, le faisceau pyra- midal croisé et le restant du faisceau an
faisceau de Turc);, le faisceau pyra- midal croisé et le restant du faisceau antéro-latéral. Seulement, comme tous les phéno
t seul dans des cas semblables de mettre en évidence la sclérose du faisceau pyramidal, puisque cette dernière ne peut se ma
du tapetum gauche et de la radiation optique gauche, sans lésion du faisceau longitudinal inférieur, sans lésions de l'écorc
comprise entre le sillon antérieur en avant, et le bord externe du faisceau de Goll en arrière, du côté gauche. Au-dessous
au de Goll en arrière, du côté gauche. Au-dessous de la lésion, les faisceaux , p. direct et p. croisé du même côté, dégénèren
suit jusqu'à la partie inférieure du bulbe la dégénérescence des faisceaux de Golle, de Burdach et du faisceau cérébelleux.
du bulbe la dégénérescence des faisceaux de Golle, de Burdach et du faisceau cérébelleux. Les faisceaux de Gowers sont pris
es faisceaux de Golle, de Burdach et du faisceau cérébelleux. Les faisceaux de Gowers sont pris des deux côtés avec prédomina
moelle épinière. Pour Van Gehurthen la douleur se trans- met par le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral et par le
met par le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral et par le faisceau deGawert. D'après M. Richet le centre de la per
fibres appartenant au second neurone. Mais la dégénérescence des faisceaux de fibres de gros calibre qui partent du cordon p
endogènes des colonnes de Clarke, dont le cylindraxe passe dans le faisceau cérébelleux direct. Marinesco a trouvé que, dan
colonnes de Clarke et leurs prolonge- ments nerveux constituant le faisceau cérébelleux direct - a été trouvé dégénéré dans
ée comme secondaire aux altérations des cellules z d'origine de ces faisceaux . Redlich était d'avis, et Schaffer est con- vai
rieurs serait bien localisée dans les cellules d'origine, dont ces faisceaux ne sont que les prolongements iniraméclullaÍ1'es.
ruction des éléments de l'écorce qui sont les cellules d'origine du faisceau pyramidal, entraîne la dégénération de ce faisc
les d'origine du faisceau pyramidal, entraîne la dégénération de ce faisceau , ne provoque-t-elle pas la même lésion dans d'aut
HOLOGIQUES DU TABES. 13L déterminent les dégénérations, de certains faisceaux nerveux, comme le fait le plomb, etc, On en est
re aux^ cordons postérieurs, et qu'après des lésions du cervelet le faisceau céré- belleux peut aussi peut-être dégénérer de
e que cette région représente une partie de l'extrémité centrale du faisceau pyramidal dont le grand développement est essen
o-sacrée chez l'homme que la lésion traumatique ou nécrobiotique du faisceau pyramidal dans sa partie médullaire peut amener
histologique de la moelle montre une diminution des fibres dans les faisceaux pyramidaux, surtout dans les faisceaux croisés
minution des fibres dans les faisceaux pyramidaux, surtout dans les faisceaux croisés : le cordon latéral dans le reste de so
sceaux croisés : le cordon latéral dans le reste de son étendue, le faisceau cérébelleux en particulier parait indemne. Pe
sen- sitivo-sensorielle. ' Dans l'hémiplégie due à des lésions du faisceau sensitif de la capsule interne, l'anesthésie es
r ». Dans l'hémiplégie organique, et dans toutes les affections des faisceaux pyramidaux, le réflexe plantaire est du type «
racture attaque isolément les différents muscles et même différents faisceaux musculaires. De là vient la différence dans le
mine une excitation qui peut sans doute aller jusqu'à la lésion des faisceaux pyrami- daux. ' M. Babinski demande si la tré
, Strumpel a trouvé une sclérose combinée primitive portant sur les faisceaux pyramidaux , cérébelleux directs et de Goll. L'
e peut consister en un ou plusieurs petits foyers répartis dans les faisceaux blancs médullaires sans aucune systématisation.
scopique d'un fragment de muscle excisé montra une hypertrophie des faisceaux . musculaires, avec raréfaction des fibrilles pr
lai moelle cervicale; Westphall combat cette théorie : comment les faisceaux sen- sitifs resteraient-ils intacts ? -Cousot e
moins été profonde. Qu'il y ait eu une dégénérescence localisée des faisceaux médullaires, que quelques-unes des cellules de
ne dégéné- rescence de la partie interne des cordons de Goll et des faisceaux cérébelleux avec agénésie accentuée de l'écorce
delette à gauche dans la protubérance et dans le bulbe; sclérose du faisceau pyramidal direct à gauche et du croisé à droite
e. Intégrité des ganglions de la base. En conséquence : atrophie du faisceau descendant correspondant dans la protubé- rance
inférieure BIBLIOGRAPHIE. · 355 de la région motrice gauche et du faisceau efférent correspondant dans la protubérance, le
interolivaire dans le bulbe du même côté, en sus de la sclérose du faisceau efférent. A cette dernière correspond la raréfa
cela ne formeraient pas une connexion inter-neuronique entre les faisceaux efférents supérieurs et inférieurs. Enfin tandis
rébelleuse pos- térieure inférieure gauche; étude sur le trajet des faisceaux sensoriels et coordinateurs dans la moelle allo
ns antéro-latéraux, mais intéressant aussi les cordons postérieurs ( faisceaux de Goll et de Burdach), ainsi que l'atrophie du
les, de la protu- bérance et de la moelle montra une diminution des faisceaux pyramidaux à gauche. Ce travail est accompagné
térations vasculaires des gros vaisseaux et les dégénérescences des faisceaux de la moelle ou des tractus optiques. Si l'on
'adulte est géné- ralement l'effet de la dégénération secondaire du faisceau HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE INFANTILE. 465 pyramid
ue chez l'adulte), on ne peut pas établir une relation de l'état du faisceau pyramidal déduite de la lésion cérébrale. Ces
z l'enfant, de manière qu'il n'est pas possible d'induire l'état du faisceau pyramidal, quelque intense que soit la rigidité
trouve presque toujours une sclérose descendante assez prononcée du faisceau pyramidal, quelquefois, au contraire, celle-ci
résentés par le malade (contracture très pro- noncée). Au niveau du faisceau pyramidal croisé, les tubes nerveux étaient moi
que l'autre, il ne fut pas possible de vérifier la dégénération du faisceau pyramidal droit en haut de l'entre-croisement.
agè- rent pas immédiatement après la séparation de l'écorce et du faisceau pyramidal, écueil'des théories encéphaliques auta
ptées, ou l'action 468 THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. inhibitrice du faisceau pyramidal supposée par Marie, peu- vent expliqu
60 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
caux (fit. et 6) une assez grande quantité de grains noirs dans les faisceaux pyramidaux croisés, mais on n'en retrouve déjà
es de la moelle. Il n'existe pas en effet de dégénérescences de ses faisceaux longs et cliniquement la sensibilité était cons
altérées que la moelle (état clair, dégéné- rescence ascendante du faisceau de Burdach), ont fait preuve d'une tolé- rance
es radiculaires externes dans les cordons postérieurs au niveau des faisceaux de Burdach : A. arachnoïde ; CB. faisceau de Bu
postérieurs au niveau des faisceaux de Burdach : A. arachnoïde ; CB. faisceau de Burdach; D. dure-mère; P. pie-mère; Zm. zone
nisation marginale Zm ; et des grains noirs abondants dans les deux faisceaux pyramidaux croisés Py. c. et dans le fais- ceau
pyramidaux croisés Py. c. et dans le fais- ceau ne Burdach C. B. le faisceau de Goll étant intact. PLANCHE VIII. FiG. 7. 4
nérescences des cordons postéiieurs s'atténuent ainsi que celles des faisceaux pyra- midaux ; la zone de démyélinisation margi
sie motrice grâce à ce fait qu'elles atteignent presque toujours le faisceau uncinatus. L'analyse impartiale des faits qui n
e qui ne possèdent pas de gaine de Schwann forment au contraire des faisceaux dont le réseau névroglique avec ses travées par
s les racines. Les substances blanche et grise sont hyperémiées. Le faisceau pyra- midal latéral est d'une coloration pâle.
pas de caractère systématisé, et les différentes parties des mêmes faisceaux ont pris une coloration différente. Deuxième ca
sculaires et péricellulaires sont dilatés. La partie périphérique des faisceaux cérébelleux, ainsi que les faisceaux pyramidaux
és. La partie périphérique des faisceaux cérébelleux, ainsi que les faisceaux pyramidaux directs et la partie médiane des cor
lupart des vaisseaux sont thromboses. Excepté la moitié dorsale des faisceaux posté- rieurs, toute la préparation présente un
faible coloration d'une intensité iné- gale. Des fibres isolées des faisceaux sont tuméfiées et raréfiées. On rencontre parfo
dans la pie-mère. On note aussi des fibres tuméfiées dans tous les faisceaux , ils abondent surtout dans les faisceaux pyrami
es tuméfiées dans tous les faisceaux, ils abondent surtout dans les faisceaux pyramidaux latéraux. Les. cellules ne présentent
le degré différent des modifications des fibres appartenant au même faisceau , nous permet à croire que ces modifications dan
même faisceau, nous permet à croire que ces modifications dans les faisceaux ne dépend pas du tout de la pression ou de la d
3, 1890.' 252 RA1MISTE ET NEIDING des racines postérieures et des faisceaux . Cette dégénérescence avait le caractère tabéti
le, mais dans le quatrième cas ils ont trouvé la dégénérescence des faisceaux antérieurs et latéraux, et dans les régions isolé
racines postérieures ne furent pas examinées. La dégénérescence des faisceaux postérieurs fut trois fois assez marquée dans les
Ce n'est que dans un seul cas qu'on a trouvé la dégé- nérescence du faisceau pyramidal et du faisceau cérébelleux direct dans
cas qu'on a trouvé la dégé- nérescence du faisceau pyramidal et du faisceau cérébelleux direct dans un autre. Il est intére
ntôt vides, tantôt gorgés de sang. Wollenberg a noté que cer- tains faisceaux des racines postérieures, appartenant à la partie
e cas de Wollenberg (dégénérescence des racines postérieures et des faisceaux postérieure). Dans un cas de Batten et Col- lie
s étaient absents, on a noté une dégénéres- cence insignifiante des faisceaux postérieurs ; dans deux autres cas, où la dégén
sceaux postérieurs ; dans deux autres cas, où la dégénérescence des faisceaux postérieurs était plus prononcée, les réflexes
micros- cope, nous apprit que dans la peau scrolaleentre les larges faisceaux mus- (1) D'après une démonstration faite le 1"
ar les trousseaux fibreux. Dans une même coupe on peut observer des faisceaux fibro-conjonctifs coupés en long, en travers ou
issu névromateux. Outre les fibres nerveuses suivant fidèlement les faisceaux fibreux, s'obser- vent de nombreuses fibres ner
sseaux fibreux issus du tissu conjonctif interstitiel de chacun des faisceaux nerveux du sciati- que et d'autre part d'une co
bout central du sciatique, après la première névrectomie. Un petit faisceau nerveux prolifère énergique- ment ; ses cylindr
t en profondeur, lésions corticales ou sous-corticales, section des faisceaux d'association, participation du corps calleux ;
cérébral, l'étage inférieur est très rétréci ; la partie externe ou faisceau de Turck a ses dimensions normales et se colore
r la méthode de Weigert-Pal, le bord interne contient un très petit faisceau de fibres bien colorées, le reste est dépourvu de
fibres et peut être considéré comme totalement dégénéré Le petit faisceau interne peut être suivi plus haut dans le segment
e qui est complètement atrophiée. B. Faisceaux d'association . - Le faisceau longitudinal supérieur ou arqué a été complètem
omplètement détruit dans sa portion fronto-pariétale. Les fibres du faisceau longitudinal inférieur ont été partiellement atte
oursuivie en arrière jusqu'au niveau de la scissure calcarine. Le faisceau uncinatus est un peu plus pâle dans les étages su
ement qui est limité en avant par l'avant- mur, et en dedans par un faisceau compact qui comprend les fibres du faisceau lon
mur, et en dedans par un faisceau compact qui comprend les fibres du faisceau longitudinal inférieur et les radiations thalam
a limite postérieure de la lésion, les radiations thalamiques et le faisceau longi- tudinal inférieur sont très amincis. U
ibres à myéline, qui appartiennent aux radiations thalamiques et au faisceau longitudinal inférieur, de sorte que dans les cou
sons-thalamique, la cavité est limitée, dans la profondeur, par le faisceau longitudinal inférieur dont les fibres les plus e
par la lésion. Sur les coupes passant par la région thalamique, le faisceau reste épargné et constitue le fond même de la cav
: il n'en subsiste que-1'extrémité antérieure. Plus en arrière, le faisceau longitudinal inférieur forme le fond de la cavité
u tiers supérieur de la couche optique et du noyau lenticulaire, le faisceau longitudinal inférieur et les radiations thalamiq
xtrêmement dilaté sur toute son étendue. Dégénérations SECONDAIRES. Faisceaux d'association. - Le faisceau lon- gitudinal sup
n étendue. Dégénérations SECONDAIRES. Faisceaux d'association. - Le faisceau lon- gitudinal supérieur ou arqué a été compris
ion. DE LA RESTAURATION DU LANGAGE DANS L'APHASIE DE BROCA 351 Le faisceau longitudinal inférieur a étii sectionné en plusie
qù il a été interrompu. C'est par la dégéuération partielle de. ce faisceau qu'il faut expliquer la pâleur de la substance
dans le lobe occipital, au niyeau de la scissure calcarine. - Le faisceau uncinatus a été coupé au niveau du pôle antérieur
est dé- généré dans sa partie moyenne (le tiers moyen environ). Le faisceau interne est intact et volumineux. Le faisceau e
rs moyen environ). Le faisceau interne est intact et volumineux. Le faisceau externe dépasse de beaucoup la zone du faisceau
t et volumineux. Le faisceau externe dépasse de beaucoup la zone du faisceau de Türcl. En réalité la dégénérescence est beauco
qui se produit et de l'atrophie secondaire de l'étage inférieur. Le faisceau externe comprend le faisceau de Tùrck plus un ass
ie secondaire de l'étage inférieur. Le faisceau externe comprend le faisceau de Tùrck plus un assez grand nombre de fibres q
à l'intégrité du tiers pos- térieur de la couronne rayonnante. Le faisceau interne du pédoncule cérébral passe par le segmen
té antérieure de l'opercule de la 2- circonvolution pariétale. - Le faisceau longitudinal inférieur es t intéressé au niveau
- térieure est au contraire relativement épargnée et correspond aux faisceaux conservés dans le segment postérieur de la caps
volontaires, brusques, brèves, n'intéressant que quelques fibres ou faisceaux des muscles dans lesquels elles se montrent, fr
consistent en petites contractions parcellaires occupant tantôt un faisceau , tantôt plusieurs, tantôt quelques fibres seuleme
omme tous ces muscles ne sont pas également hypertoniques, certains faisceaux ou quel- ques fibres se contractent à l'exclusi
en- nement paralysée, ce ne seront plus quelques fibres ou quelques faisceaux , mais le muscle tout entier ou plusieurs groupe
i d'une nouvelle fossette. Au point 4, se contractent deux ou trois faisceaux verticaux ou obliques du peaucier ; cette contr
apparaissent, sont constituées par la contraction de deux ou trois faisceaux obliques très apparents. Au point 7, ce n'est q
ent. Le point 8 est constitué par la contraction de trois ou quatre faisceaux obliques généralement très bien dessinés sous l
ractérisée par sa richesse en fibrilles névrogliques s'étendant en faisceaux (PI. LXII, fig. 4). Les cellules faisant partie
les fibrilles présentent des éléments indépendants et s'étendent en faisceaux dans l'exoplasma des cellules névrogliques et e
s'étendent dans le protoplasme de plusieurs cellules. En outre, un faisceau de fibrilles d'une cellule s'unit au faisceau d
ellules. En outre, un faisceau de fibrilles d'une cellule s'unit au faisceau d'une autre cellule, ce qui sert à la formation
modifiée. Nous voyons comment les fibres collagènes se dirigent en faisceaux dans la substance cérébrale et là, en se débarr
es conjonctives. On peut noter que les fibrilles élé- mentaires des faisceaux conjonctifs collagènes, après s'être débarrassées
61 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re ; en particulier toute la partie postérieure de la moelle et les faisceaux pyramidaux sont remplacés par des zones de scléro
s pâle, depuis les cornes anté- rieures jusqu'aux postérieures. Les faisceaux pyramidaux sont sclérosés et la zone non coloré
La coupe du renflement lombaire est normale. A part la sclérose des faisceaux pyramidaux on ne distingue pas de dégénérescence.
Le 4e segment dorsal donne une coupe assez réduite et aplatie. Les faisceaux pyramidaux sont en grande partie sclérosés (dégén
La périphérie de la moelle est pâle (fais- ceau cérébelleux direct, faisceau de Gowers). Les cordons de Burdach sont forteme
la hauteur de la 2° paire de racines dorsales, la dégénération des faisceaux pyramidaux tend à s'effacer, le cordon de Goll es
du 8e segment cervical montre encore un peu de dégé- nérescence des faisceaux pyramidaux ; la moelle est pâle à la périphérie
ux pyramidaux ; la moelle est pâle à la périphérie correspondant au faisceau cérébelleux et au faisceau de Gowers. Plus ha
st pâle à la périphérie correspondant au faisceau cérébelleux et au faisceau de Gowers. Plus haut, les coupes delà région
nde étendue en surface et en hauteur (dégénéra- tion ascendante des faisceaux pyramidaux, dégénération descendante des faisce
n ascendante des faisceaux pyramidaux, dégénération descendante des faisceaux de Gowers et de la totalité des cordons postéri
nt, ainsi que l'avait soutenu M. Van Gehutchten ? par les libres du faisceau de Gowers. Mais le contenu du canal rachidien n
elle-même n'est pas faite exclusive- ment de substance grise et de faisceaux blancs; chaque racine (la postérieure au moins)
pathologique (5 figures la sclérose s'étendant à toute l'étendue du faisceau pyramidal avec atrophie des cellules ganglionna
hmaun que cette zone de dégénéres- cence tend à atteindre l'aire du faisceau latéro-cérébelleux, et que, si une partie consi
molle cervicale, d'autres libres de ce cordon se continuent avec le faisceau latéro-cérébelleux dorsal jusque dans le bulbe,
e l'embolie médullaire, produisent une dégénérescence secondaire du faisceau latéro-cérébelleux sacro-lombaire, dont l'exist
est ainsi prouvée chez le chien ; 3° une partie considérable de ce faisceau , qui subit la dégénérescence ascendante, se ter
ieure et dans la moelle cervicale, tandis que d'autres fibres dudit faisceau peuvent être suivies jusque dans le bulbe, dans
faisceau peuvent être suivies jusque dans le bulbe, dans l'aire du faisceau latéro-cérébelleux ; 4° la dégénérescence ascen-
cérébelleux ; 4° la dégénérescence ascen- dante atteint en outre le faisceau sulco-marginal ascendant (Marie), et des fibres
scendante du cordon postérieur.se manifeste par une décoloration du faisceau de Goll; elle n'est nette qu'au niveau de la mo
ection longitudinale du vaisseau. Les fibres sont tantôt réunies en faisceaux , dont les fibrilles sont transverses ou oblique
et l'externe de libriles transverses : par places on voit plusieurs faisceaux , les uns à fibres obliques ou transverses, les
lésions cortico-occipitales, de dégéné- rescence secondaire dans le faisceau de Gratiolet ni dansle corps calleux. La scléro
ns le faisceau de Gratiolet ni dansle corps calleux. La sclérose du faisceau de Gratiolet, dans les deux cas, dépendait de p
s fibres spinales ascendantes croisées et de leurs rapports avec le faisceau de Gowers; par 0. Kohnstamm. (A'(;Uî-0109. Cen-
eau de la portion supérieure de la moelle cervicale, qu'un puissant faisceau s'entrecroise dans la commissure antérieure et
rcles à concavité postéro-externe, à la couche médiane de l'aire du faisceau de REVUE D'ANATOMIE ET DE/ PHYSIOLOGIE PATHOLOG
LOGIE PATHOLOGIQUES. 1 53 Gowers : une partie de ces fibres, par le faisceau spino-cérébelleux postérieur, une autre partie,
le faisceau spino-cérébelleux postérieur, une autre partie, par le faisceau spino-cérébelleux antérieur, arrivent au cervel
autres massifs gris. Du côté lésé, nos fibres forment une partie du faisceau de Gowers, qui affecte exactement les mêmes rap
tie supérieure de la moelle cervicale, forment la couche médiane du faisceau de Gowers. 11 est aussi prouvé que les portions
Gowers. 11 est aussi prouvé que les portions externes de l'aire du faisceau de Gowers, au niveau de la moelle cervicale con
e côté éloignées du centre, tandis que les couches médianes du même faisceau sont en grande partie constituées des neurones
oisins du centre. Quant aux fibres botnolatérales qui se rendent au faisceau de Gowers, il a été impossible de les détermine
cependant il est avéré qu'à la suite d'une section hémilatérale le faisceau de Gowers dégénère et du même côté et du côté o
upes, surtout dans la forma- tion réticulaire. Il existe aussi un faisceau antéro-latéral descendant. Un peu au-dessous de
n arrière paral- lèlement à la périphérie du cordon antéro-latéral ( faisceau antéro- latéral descendant crucial), et qui, da
ceau antéro- latéral descendant crucial), et qui, dans la région du faisceau latéral des pyramides, s'unit aux libres proven
aux libres provenant de la formation réticulaire et constituant un faisceau latéral endogène descendant (faisceau spino-spi
réticulaire et constituant un faisceau latéral endogène descendant ( faisceau spino-spinal latéral descendant). Il y a donc l
al latéral descendant). Il y a donc lieu de désigner sous le nom de faisceau antéro- latéral ascendant, toute la masse des l
res ascendantes du cordon antéro-latéral qui n'appartiennent pas au faisceau latéral du cer- velet postérieur, ni au système
substance grise et dans les mailles de la formation réticulaire. Le faisceau antéro-latéral ascendant a une structure imbiiqué
des fibres spirzo-cérébelleuses anléro- postérieures, qui, avec le faisceau latéro-cérébelleux postérieur, s'en vont au cer
no-cérébelleuses antérieures, qui cor- respondent rigoureusement au faisceau de Gowers; 3° des fibres spino-tectiiles et des
ionnées et extirpées de leur trajet (voy. comparativement P. Marie, faisceau sulco-marginal ascen- dant et Sherrington). Tou
les de Purkinje, d'une étonnante régularité. Quoi qu'il en soit, le faisceau sensitif, con- trairement au faisceau moteur, s
arité. Quoi qu'il en soit, le faisceau sensitif, con- trairement au faisceau moteur, se divise en énormément de neu- rones :
et comme questions orales : lobe frontal, branches du nerf facial, faisceau pyramidal, technique du cathé- térisme de 1'1l1
de la cloison médiane posté- rieure, elle s'étend, à l'intérieur du faisceau de Goll, en montant jusqu'au niveau du cinquièm
sion maxima (cinquième segment cervical), demeure en l'état dans le faisceau de Goll jusqu'à la partie la plus élevée de la
LOGIE PATHOLOGIQUES. 305' , Il faut encore penser que les fibres du faisceau de Goll ne s'ont eh' quelque sorte guère groupé
sylvienne datant de quinze ans (ramollissement) ladégé- nération du faisceau pyramydal croisé est très complète, celle du py
own-Séquard). Au-dessous de cet endroit commence la dégénération du faisceau pyramidal. Dans les ventricules cérébraux (4°.
vements de l'articulation du coude ne sont pas du tout troublés. Le faisceau externe du brachial antérieur, innervé par le rad
à côté du long supinateur, au point où il en croise l'insertion, ce faisceau peut avec le long supi- nateur compenser les fo
re ont guéri. D'autre part, l'hypertrophie du long supinateur et du faisceau externe du brachial antérieur compense complète
écanique de la substance mus- culaire : du reste on peut suivre les faisceaux musculaires en train de se contracter tant vers
- v, ergot de 111oran. - Tp, Tapent RO, radiations optiques. - lli, faisceau longitudi- nal inferieur. Cal, scissure calcari
ngements longs des cellules nerveuses de la rétine formeraient deux faisceaux distincts : -. Les unes se termineraient par
ie postérieure de la capsule interne. Là, elles se condensent en un faisceau désigné sous les noms de radiations optiques de
- Ily, hypocampe. -Ta, tapetum. - RO, radiations optiques. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Cal, scissure calcarine.
rine. 454 CLINIQUE NERVEUSE. .postérieur de la couche optique, de faisceau optique intra- cérébral (Testut). ' A son ori
qui émanent du corps calleux. En dehors, il est en rapport avec le faisceau longitudinal inférieur, composé de fibres d'ass
du lobe Lem-, poral. D'abord compact et ramassé sur lui-même, le faisceau des radiations optiques va en s'élargissant, au
que, où les fibres consti- tuantes de cette voie sont tassées en un faisceau compact. Il faut donc admettre que, chez cette
le, pro- duira une hémianopsie homonyme, pour peu qu'il entame le faisceau optique intra-cérébral, représenté par les radia-
ppé à la suite d'une hémorrhagie de l'artère sylvienne, a entamé le faisceau des radiations optiques. Supposons qu'il en f
re sylvienne, de l'artère cérébrale moyenne, ayant retenti sur le faisceau cérébral optique, par voie de compression et d'is
elle dépend, intéresse la voie optique, en amont de la naissance du faisceau des radia- tions de Gratiolet. - Je vous rapp
v, ergot de Moran. - - Tp, Tapelum. - RO, radiations optiques. Fli, faisceau longitudi- nal inférieur. - Cal, scissure calca
gération de tous les réflexes tendineux, signe de Babinski. Le seul faisceau nettement dégénéré était le faisceau allant du
ux, signe de Babinski. Le seul faisceau nettement dégénéré était le faisceau allant du noyau rouge à l'olive cérébelleuse. L
croi- sées et de leurs rapports avec le TABLE DES MATIÈRES. J31 faisceau de Gowers, par 0. Kohns- - tau,nn, 152. ltLec
62 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
muscles avoisinant le globe oculaire; dans les deux cas encore, les faisceaux musculaires en rapport immédiat avec les cicatr
e scientifique où les faits bien et sincèrement étudiés, groupés en faisceau pour conclure, sont les seuls arguments que l'o
és, le membre né reprendra sa force et son volume que lorsque les faisceaux musculaires se seront régénérés, et cette régéné-
ui appartiennent à la bandelette du même côté et du côté opposé, le faisceau direct occupant rigoureusement la périphérie ex
du tronc du nerf, de même que dans le chiasma et la bandelette. Le faisceau entre- croisé occupe le centre du nerf optique,
erveau et en dilate les capillaires. P. K. V. Du noyau externe du faisceau cunéiforme dans LE bulbe ; par L. 13LUfENAU. -
; par L. 13LUfENAU. - QUELQUES REMARQUES SUR LE noyau EXTERNE du faisceau cunéiforme; par le même. (Neurolog. Centralbl., 1
u externe en question appa- raît d'abord à la région bulbaire où le faisceau latéro-cérébelleux direct donne naissance à des
colonnes de Clarke réunissent les fibres des cordons postérieurs au faisceau REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
UES. 107 latéro-cérébelleux. Il est même probable que les noyaux du faisceau cunéiforme sont en communication avec le corps
aru, celle du côté droit était rudimentaire. Les noyaux internes du faisceau cunéi- forme étaient bien développés; mais les
ériphérique de l'arc ré- flexe (nerf optique, nerf oculomoleur). Le faisceau des fibres lon- gitudinales qui couvre comme d'
glosse, pour longer plus tard les côtés du pneumogastrique, est un faisceau dorso-longitudinal ; à la hauleur du noyau de l'a
mpte quatre trous- seaux de fibres : 1° Le prolongement direct du faisceau dorso-longitudinal, occupe la région de l'infun
dans le corps de Luys, dans l'anse du noyau lenticulaire ; 3° Le faisceau dorso-longiludinal occupe la substance principale
gagne le segment latéral du pied du pédoncule cérébral et un autre faisceau , plus gros, qui va directement dans la couche o
s dugenou de la capsule. Cette raie, qui correspond à une partie du faisceau pyramidal de Flechsig, aboutit à la masse cicat
de la circonvolution temporale supé- rieure). La dégénérescence du faisceau latéral du pied du pédon- cule cérébral se ratt
Psychiat., XXIII, 1.) Observation de destruction chez l'enfant des faisceaux moteurs de la capsule interne. Le faisceau pyra
ction chez l'enfant des faisceaux moteurs de la capsule interne. Le faisceau pyramidal dans la protubérance, le bulbe, la mo
eur aspect normal, elles ne le cèdent point en grosseur à celles du faisceau normal. seulement elles sont moins abondantes d
t les régions privilégiées (périphérie des cordons postérieurs, des faisceaux de Goll, etc.). P. K. XIX. Démonstration A l'ac
tre-croisement de - Fore ! n'ont pas de rapports avec la rétine; le faisceau de Flechsig (allant de l'entre-croisement à la
aussi. Quant aux bandelettes optiques, le rapporteur n'admet pas de faisceau optiqué directe allant à l'écorce des hémisphèr
le corps géniculé interne. Il ne peut aussi observer l'existence du faisceau allant au ganglion habenulaë, que le D'' Darksc
au ganglion habenulaë, que le D'' Darkschevitsch envisage comme un faisceau de fibres optiques qui réunissent la rétine de
ns le «tegmentum»; une partie des fibres optiques, y parviennent en faisceau distinct que Gudden a décrit sous le nom de « t
affection spinale à évolution lente, qui occupant primitivement les faisceaux blancs ou les régions de la substance grise, au
la longue les cornes antérieures, retentit secondai- rement sur les faisceaux blancs, et en particulier sur les cordons latér
cceptée par tout le monde. Eh bien, je ne puis l'admettre malgré ce faisceau de preuves venant d'hommes compétents, et voici
sont le long supinateur, les deux muscles radiaux, ainsi qu'un des faisceaux de l'extenseur commun. Tous les autres muscles
prendre la place du tissu musculaire en voie de disparition. Les faisceaux neuro-musculaires sont tout il fait indemnes, il
ent des aires qui tranchent par leur couleur claire sur le reste du faisceau nerveux.. Leur forme est irrégulièrement ovoïde
ovoïde; elles sont situées sur une même partie de la périphérie des faisceaux nerveux, et regardent toutes du même côté, tant
it là d'un appareil de perfectionnement dont le rôle par rapport au faisceau primitif, serait identique à celui que joue la
dans la Revue scientifique. D'après M. l\Ietchnikofi' 2, dans les faisceaux musculaires, ce seraient les cellules musculair
stance contractile -- myoplasma s'entoure du plasma interstitiel du faisceau sarcoplasma ; celui-ci englobe et digère les fi
t auteur a constaté la formation de phagocytes : le sarcoplasma des faisceaux se différencie en cellules amiboïdes qui englob
issu conjonctif des muscles est remar- quable par la minceur de ses faisceaux ; on y observe souvent des cellules adipeuses, e
ste cavité lymphatique cloison- née, dans laquelle sont plongés les faisceaux musculaires, de telle façon que c'est dans la l
tubérance; méningite spinale postérieure; faible dégénérescence des faisceaux de Goll avec dégénérescence marginale, dégénére
ui ont été faites jusqu'ici en ce que l'on y voit non seulement les faisceaux et leurs émanations avec les divers centres micro
tions qui existent à cet égard entre les fibres du segment interne ( faisceau de Goll) et du segment externe (faisceau de Bur
fibres du segment interne (faisceau de Goll) et du segment externe ( faisceau de Burdach) du cordon postérieur dans la moelle
eur dans la moelle dorsale et cervi- cale inférieure, les fibres du faisceau de Goll sont pourvues de leurs gaines myéliniqu
éliniques, aux mêmes époques et aux mêmes intervalles que celles du faisceau de Burdach. Or, dans le faisceau de Goll, il y
ux mêmes intervalles que celles du faisceau de Burdach. Or, dans le faisceau de Goll, il y a des fibres à long trajet; dans
dans le faisceau de Goll, il y a des fibres à long trajet; dans le faisceau de Burdach existent des fibres à court trajet;
régions dorsale et cervicale inférieure, la lésion occupe, dans le faisceau de Goll, un segment situé près de la cloison po
loison postérieure tandis qu'elle respecte le segment postérieur du faisceau de Burdach. Il est d'autres observations de tab
s des deuxième et troisième stades, lésée dans la partie moyenne du faisceau de Goll; il y a altération des segments postéri
du faisceau de Goll; il y a altération des segments postérieurs du faisceau de Burdach. Le tabès est donc aussi au point de
ou en fauchant) se rencontre dans les dégénérations descendantes du faisceau pyramidal. La marche bilatérale, rectiligne, no
st élevé à l'horizontale sans que l'omoplate bas- cule. On voit les faisceaux du deltoïde se contracter. De même on sent le g
on de l'odorat, de l'ouïe. Les premiers accom- pagnent la lésion du faisceau pyramidal ou manifestent l'alté- ration dynamiq
e; 5° la capsule interne ne prend aucune part à ce processus; 6° le faisceau d'association fronto-occipital, découvert par O
loi dans ces phénomènes, et que nous rassem- blions ces faits en un faisceau , en un groupe séparé, spécial. Mais ce n'est là
ces atfections, quoique différentes entre elles, appartiennent à un faisceau commun. Ce sont des ma- ladies de la première e
s qu'elle se partage dans la partie anté- rieure, orbitale, en deux faisceaux à peu près égaux, l'un plus (latéro-) ventral,
blesse il ritable d'origine psvcltu- motrice, par Fuerstner, 277. Faisceau cunéiforme, noyau externe du -, par Blumenau, 1
63 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pyra- midales sont dégénérées, surtout dans la zone motrice. Les faisceaux pyramidaux sont également dégénérés sur tout leur
rcours; il existe un commencement d'altération dégénérative sur les faisceaux de Gowers. Les ventricules latéraux et le quatr
ssues des circonvolutions orbilaires, surtout de la latérale 4° les faisceaux d'association antéropostérieurs du lobe frontal
s issues de la base des petites pyramides commencent à se réunir en faisceaux qui passent en grossissant toujours entre les g
Gerlach lui-même, dans l'intrication fibrillaire des plus délicats faisceaux , Meynert n'a pu apercevoir qu'un feutrage, non
- ment où ces cellules se trouvent de la surface de l'écorce. Les faisceaux de fibres à myéline de l'écorce cérébrale n'avaie
. Dans la troisième couche, ces fibres commencent à se grouper en faisceaux descendants, quoique beaucoup d'entre elles se di
uge de la calotte, viennent alors les renforcer. L'auteur isole ces faisceaux des fibres qu'il considère comme autonomes et l
L'anse du noyau len- ticulaire se compose de trois parties : 1° le faisceau dorsal qui vient du putamen, traverse l'épaisse
s et se rend aux noyaux optiques antérieurs et inférieurs ; 2° Le faisceau moyen a la même origine et le même trajet à tra
écédent ; il pénètre dans la partie inférieure du corps de Luys. Ce faisceau a été considéré à tort par Stilling comme une r
tilling comme une racine de la bandelette optique. 3° Le volumineux faisceau antérieur (anse pédonculaire des auteurs) naît
ntérieurs de la couche optique en se confondant avec les fibres des faisceaux pré- cédents. La substance innommée de Meynert
DE l'homme; par P. FLECHSIC. (Neurolog. Centralbl.,XV, 1896.) Les faisceaux de la couronne rayonnante s'échappent générale-
certains de leurs segments font des détours remar- quables. 10 Le faisceau longitudinal inférieur de Burdach, connu sous l
ous le nom de système d'assooiation occipito-temporal, qui est le faisceau de la substance blanche du cerveau le plus tôt re
du lobe frontal, jusqu'à 2 il 3 centimètres du pôle frontal. 3° Le faisceau subcalleux contient des trousseaux des fibres de
es occipito-tem- poraux ; il ne s'y mêle qu'un très petit nombre de faisceaux de la couche des fibres arciformes. Il n'y a
as en haut, de sorte que dans le segment cervical, il n'y a que les faisceaux de Goll qui soient dégé- nérés ; on enpeutsuivr
s du bulbe. Celles des fibres dégénérées qui n'atteignent point les faisceaux de Goll s'arrêtent principalement au segment in
inférieur de la moelle. Les autres vont, sans interruption, par les faisceaux de Goll, dans les noyaux de ces derniers où elles
des fibres sensitives des racines de la moelle avec les noyaux des faisceaux de Goll. Les racines postérieures qui viennent
t de bas en haut, apparaîtra avant tout dans la zone radiculaire du faisceau de Burdach du segment transverse correspondant,
i sont donc, au point de vue anatomique, adé- quates aux noyaux des faisceaux de Goll. Les noyaux des fais- ceaux de Goll son
r, dans les régions plus élevées de la protubérance, s'appliquer au faisceau pyramidal; modifiant alors leur direction; ils
à côté du raphé, un trousseau de fibres, qui pourrait bien être le faisceau qui va du ruban Reil au pied ou étage inférieur
dons postérieurs. Il est également probable qu'elles constituent un faisceau commissural d'une longueur considérable. P. KÉR
par L. Schulmeister, de Vienne. P. K. IX. DE la dégénérescence DES faisceaux pyramidaux A la SUITE ' de l'extirpation unilat
s membres d'un côté détermine une dégénérescence très marquée des faisceaux du cordon latéral dans les pyramides du côté oppo
cordons, dont les prolongements nerveux constituent les fibres des faisceaux ou cordons antérieur, latéral et postérieur du
fibres qui dans des directions opposées vont se mêler aux fibres du faisceau tangentiel (Veratti). Les cellules spéciales
la substance blanche, où il devient une fibre nerveuse à myéline du faisceau de projection. Mais, pendant son trajet dans la
s ce sens. Au cas où ces fibres seraient l'irradiation terminale du faisceau sen- sitif, on connaîtrait le point du névraxe
velet, la partie interne de la moelle allongée), tantôt ce sont des faisceaux entiers (partie externe de la moelle allongée).
i entrent dans l'hémisphère gauche et participent à la formation de faisceaux commissuraux. De sorte que nous voyons partout
ères. 1 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXII. Faisceau pyramidal et maladie DE LITTLE par M. VAN GEHUCHT
un arrêt, ou à un retard momenlané dans la croissance des fibres du faisceau pyra- midal. Ces enfants sont des spasmodiques,
les étant en connexion avec nos organes périphériques par un double faisceau de fibres ner- veuses, centripètes ou sensitive
pe, grâce auxquels Tootk et Schultze ont pu décrire et localiser le faisceau GO en virgule » qui s'étend dans le cordon post
uvième vertèbre dorsale). Un doute per- sistait donc à savoir si ce faisceau de Schultze avait réellement sa terminaison en
lequel la région dorsale présentait la dégénérescence classique du faisceau en virgule et la région lombo-sacrée une bande
descendant déter- miné dans cette région. Mais était-ce la suite du faisceau en vir- gule ? 2 - MM. Bruce et Muir pensent
ite d'une lésion cervicale d'une part la dégénérescence continue du faisceau en virgule tout le long des régions cervicale e
se recourbant en avant pour pénétrer dans la substance grise. Or ce faisceau pouvait dans ce cas être pour- suivi en haut au
s ces parties supérieures beaucoup plus diffus. Il y aurait donc un faisceau descendant autre que le faisceau en virgule dan
p plus diffus. Il y aurait donc un faisceau descendant autre que le faisceau en virgule dans le cordon postérieur. Conclus
en virgule dans le cordon postérieur. Conclusions : 1° Il y a un faisceau descendant distinct dans le cordon postérieur à
distinct dans le cordon postérieur à la région lombo-sacrée; 2° ce faisceau existe aussi, mais irrégulièrement diffus au-de
base de la corne postérieure du même côté. Il est probable que ce faisceau n'est pas en continuité directe avec les fibres
ostérieures de la région correspon- dante, qu'il est indépendant du faisceau « en virgule » et du fais- ceau de Marie. Les f
mble correspondre dans sa position au champ ovale de Flechsig et au faisceau dorso-médian de Obers- teiner. Enfin on pourrai
faisceau dorso-médian de Obers- teiner. Enfin on pourrait l'appeler faisceau descendant septo-mar- ginal. F. 1301SSIER. XX
dégénération descendante du cordon de Lôwen- thal, autrement dit du faisceau marginal antérieur et de l'intermé- diaire laté
diaire latéral; 3° Vers le sixième jour commencent 2 dégénérer les faisceaux cérébelleux directs : la dégénération porte tou
re ; 4° Le septième jour apparaît la dégénération descendante des faisceaux pyramidaux latéraux; 5° Le maximum de développe
de Goll et de Lowenthal vers le huitième ou dizième jour, dans les faisceaux cérébelleux vers le quatorzième ou seizième jou
ale ou jacksonienne, par lésion en foyer des centres moteurs ou des faisceaux qui en émanent. Cette forme ne s'accompagne pas
ce. A noter une teinte grisâtre de deux cordons posté- rieurs et du faisceau pyramidal droit. Au point de vue des vais- seau
reuses et thermiques entourent le canal central et sont reliés au faisceau de Gowers, tandis que les conducteurs des sensati
ragies. La moelle lombaire est indemne. Dégénération descendante du faisceau pyramidal. Suivent des considérations générales
ne, démontre que les cordons postérieurs possèdent deux systèmes de faisceaux . Le premier système comprend les fibres des rac
bres de cordon. Chaque système occupe une place définie et forme un faisceau individualisé. Ainsi, le système radiculaire po
a moelle lombo-sacrée, il devient le centre ovale de Flechsig et le faisceau triangulaire de la région sacrée et du cône ter
bandelette périphérique dorso-lombaire ; centra ovale de Flechsig; faisceau triangulaire médian du cône terminal;, et des z
substance blanche de la moelle par Darkschewitschsch, 132. - des faisceaux pyramidaux à la suite de l'extirpation unilatér
tubercu- leuse spinale et - aiguë, par Jacobaus, 462. c LiTTLe. Faisceau pyramidal et ma- ladie de-, par van Gehuchten,3
on, 150. Nature des - cho- réiques, par Rousseau, 153. Pyramidal. Faisceau - et maladie de Little, par van Gehuc))t3n, 353
64 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tème, non en même temps, mais par étapes successives, par séries de faisceaux de diverses sortes. On constate que la myéline
e que la myéline apparaît d'abord dans la partie antéro-externe des faisceaux de Burdach, qui limite la corne postérieure et
e). Elle se montre ensuite dans la portion postéro-périphérique des faisceaux de Burdach. Enfin, les faisceaux de Goll s'en t
portion postéro-périphérique des faisceaux de Burdach. Enfin, les faisceaux de Goll s'en trouvent pourvus. L'embryogénie des
t à ce que la lésion se localise d'abord à tel ou tel seg- ment des faisceaux de Burdach. P. K.. II. CONTRIBUTION A la connai
yramides, vers l'extrémité supé- rinire de cet entrecroisement, les faisceaux de Burdach donnent des fibres qui, en s'arquant
ème des olives et d'un nombre croissant de fibres réticulaires, les faisceaux des cordons postérieurs tracent ils travers la
ôté opposé des fibres issues du cordon postérieur (exclusivement du faisceau de Burdach ? ) une .petite partie des fibres du
rtie des fibres du cordon postérieur (exclusivement em- pruntées au faisceau de Goll ? ) arrive sous le nom de fibres ar- ci
oins de celles de l'acoustique et du trijumeau. (Ces deux sortes de faisceaux gagnent le verrais); 3° des fibres issues des o
sent dans le bulbe entrent toutes en rela- tion avec les noyaux des faisceaux grêles (de Goll) et cunéiformes de Burdach). De
noyaux émanent une série de tractus ascen- dants : 1° le noyau des faisceaux cunéiformes (Burdach) fournit des fibres qui ap
traversée,, et se terminent dans le ruban de Reil ; 2o le noyau des faisceaux grêles (Goll) donne un trousseau qui côtoie l'e
t de l'eutrecroissement supérieur des pyra- mides ou des noyaux des faisceaux grêles et cunéiformes. Les cordons postérieurs
fibres arciformes du bulbe, le 'pédoncule cérébelleux supérieur, le faisceau longitudinal pos- térieur, les fibres radicùlai
ées dans le raphé (Meynert), les connexions de l'acoustique avec le faisceau longitudinal postérieur (lieynert) et avec le p
eux lobes pariélo-occipltauX; dégéné- rescence des deux systèmes de faisceaux optiques y compris les deux nerfs. Par conséque
pport non avec le' lobe occipital, mais avec le lobe temporal ; les faisceaux de la couronne rayonnante, s'abouchent aux masses
vaisseaux, et l'existence de cellules granuleuses sur le trajet des faisceaux de Gratiolet depuis la perte de substance). En
ise de la cavité encéphalo-médullaire, immédiate- ment en dehors du faisceau longitudinal postérieur. Il occuperait donc de
t éviter de confondre ce cordon central de la calotte avec un petit faisceau visible dans les segments inférieurs de la prot
ts inférieurs de la protubérance, sis au-dessus mais contre lui; ce faisceau , pourvu de myéline bien plus tôt que le cordon
Les trousseaux de fibres, envoyés par la commissure postérieure au faisceau longitudinal postérieur, s'en- chevêtrent avec
re plus que quelques cellules du groupe antérieur collées contre le faisceau radiculaire le plus interne, et la partie posté
es aux cellules, ce qui doit tenir au développement remarquable des faisceaux pyra- midaux, tandis que chez le verrat de mer,
phie de la bandelette optique du côté opposé, .à l'exclusion de son faisceau non entre-croisé. Du reste, chez cet animal, le
ion de son faisceau non entre-croisé. Du reste, chez cet animal, le faisceau non entre-croisé est si petit et si peu importa
tubercule quadrijumeau antérieur, qui est le vrai centre visuel. Le faisceau pédonculaire transverse 1 s'atrophie quand le n
donne des résultats identiques, mais plus nets des deux côtés, les faisceaux non entre-croisés de la bandelette disparaissan
tituantes des hémisphères cérébraux. La bandelette olfactive est un faisceau de projection dans le sens de Meynert; ce qu'on
mblables recherches chez les chiens et les chats, mais chez eux les faisceaux optiques non entre-croisés sont trop puissants,
oujours, la base du lobe olfactif. L'autopsie révèle encore que les faisceaux pyramidaux sont complètement (lapin) ou incompl
suture coronaire, présenta identiquement les mêmes phénomènes; les faisceaux pyramidaux étaient radicalement atrophiés. Jamais
frontal, et cette ablation seule, entraîne l'atrophie complète des faisceaux pyramidaux. L'ablation des lobes pariétaux et occ
ne lésant que le moins possible l'écorce, d'agir sur les centres et faisceaux qui dépendent d'elle et, par conséquent, de se
s cetteintervention, des effets de la destruction de ces centres et faisceaux sur l'écorce. C'était un pas de plus, des nerfs à
psule interne, et d'abord dans sa partie moyenne, en plein dans les faisceaux pyramidaux. J'y ai réussi, ainsi que le prouven
IÉTÉS SAVANTES. présentait plus d'intact qu'un tout petit reste des faisceaux pyra- midaux, l'écorce cérébrale révélait une a
ait réussi par lésion du lobe frontal à atrophier radica- lement le faisceau pyramidal, les grandes cellules pyramidales s'é
à l'étude de l'anatomie fine permet de distinguer les principaux faisceaux de fibres qui parcourent les diverses parties de
9 et smv., 1879, et G. Ballet, Re- cherches a2tat. et clin, sur le faisceau sensitif. Pans, 1881. 180 PATHOLOGIE NERVEUSE.
viennent aboutir sans doute des fibres pédonculaires appartenant au faisceau sen- sitif occupe le même point qu'un centre mo
! ceaM MKS/< ? 'Voir G. Ballet. Rech. anat. et cliniques sur le faisceau sensitif, 1881, et Cli. l'Wé. Ti-aité élément,
pénétrant en Au suit le trajet in- tracérébral bmp appartenant' au faisceau sensitif; en mp, il y a formation des images or
une lésion des cordons postérieurs à disposition spéciale, entreles faisceaux de Goll et les faisceaux de Burdach (v. le text
stérieurs à disposition spéciale, entreles faisceaux de Goll et les faisceaux de Burdach (v. le texte) du haut en bas de la m
ro- fuses surtout autour de la corne postérieure gauche, dans les faisceaux pyramidaux des cordons latéraux et dans les faisc
che, dans les faisceaux pyramidaux des cordons latéraux et dans les faisceaux cunéiformes externes; tuméfaction des fibres ne
a parole jusqu'au centre des images orales (fibres appartenant au faisceau cérébral sensitif). Il sera toujours bon, pour
aboutissant au centre auditif des mots doivent appartenir toutes au faisceau sensitif et doivent être très voisines les unes
n doit attribuer cette surdité verbale à une lésion de la partie du faisceau sensitif affectée à la conduction de la parole
ITS OBSERVATION DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE SANS LÉSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL AU NIVEAU DES PÉDONCULES; Par Pierr
Tronc. Les pectoraux sont diminués de volume, surtout dans leurs faisceaux claviculaires, mais forment encore une saillie tr
vions tout particulière- ment insisté sur ce que la dégénération du faisceau pyramidal existait aussi bien dans le cerveau q
faitement nettes'. Il semble donc au premier abord que la lésion du faisceau pyramidal siège uniquement dans le trajet médul
té et remontant progressivement, on comprendrait que les lésions du faisceau pyramidal fussent d'abord visibles dans la moel
niennes surtout) , puis des deux nerfs optiques. La destruction des faisceaux blancs émanés du lobe temporal a provoqué l'atr
e des cordons de Goll avec exten- sion consécutive, selon les longs faisceaux centripètes, vers les racines. Les douleurs lan
65 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
térieure et inférieure; l'autre postérieure et supérieure. Ces deux faisceaux se. distinguent par le caractère de leurs tubes
tableausuivant : La portion moindre de la coupe, correspondant au faisceau du nerf localisé à la région supérieure et pos-
nèvre, et l'endonèvre, se présentait en forme de trabécules et de faisceaux parcourant par endroits la coupe transversale d
tif diffère tant soit peu d'avec la précédente. Les cloisons et les faisceaux en sont plus courts et ne contiennenent guère d
vées dans le tronc du nerf auditif, correspondent, la première au faisceau du nerf vestibulaire, la seconde au faisceau du
ondent, la première au faisceau du nerf vestibulaire, la seconde au faisceau du nerf cochléaire. Sur les coupes du tronc, pr
de tissu cunjonctif de plus en plus accentuée, qui sépare les deux faisceaux de fibres nerveuses. Immédiatement avant l'entr
ison se renforce encore davan- tage, et sépare entièrement les deux faisceaux en deux nerfs bien distincts (PL. V, g. 5), d'u
nerfs bien distincts (PL. V, g. 5), d'un volume presque, égal. Le faisceau supéro-postérieur se compose de tubes nerveux a
y a plus de fibres nerveuses transversales. 9- Pour ce qui est du faisceau antérieur et inférieur,' il se compose exacteme
s (PL. V, f. 6 et 7), autrement dit, se trouvent toujours dans le faisceau du nerf vestibulaire. Il arrive cepen- dant que
laire. Il arrive cepen- dant que l'îlot s'approche plus ou moins du faisceau à fibres grêles (le nerf cochléaire); mais dans
ANATOMIE. nerveuses longitudinales éparses, en formant de minces faisceaux . Le second réseau, dit nerveux, est constitué p
les ganglionnaires, contenus dans le tronc du nerf auditif (dans le faisceau vestibulaire), se trouve en re- lation directe
es. J'ai déjà fait observer que les grosses fibres ner- veuses du faisceau postérieur et supérieur du nerf au- ditif, s'am
en conservant une diffé- rence marquée d'avec les fibres grêles du faisceau an- térieur et inférieur. Notons que l'aminciss
ans les ganglions microscopiques enclavés dans le nerf au- ditif ( faisceau vestibulaire); 2° que d'après Schwalbe' et plus
ansversale du tronc du nerf auditif traitée par le picro-carminate. Faisceau postérieur supérieur montrantdes tubes nerveux
orés vivement. Fig. 2.-3/7 Hart. : Trois tubes nerveux à myéline du faisceau postérieur supérieur du nerf auditif soumis à l
sversale du tronc du nerf auditif trai- tée par le picro-carminate. Faisceau antéro-inférieur montrant des tubes nerveux de
sversale du tronc du nerf auditif trai- tée par le picro-carminate. Faisceau postéro-supérieur montrant parmi Archives de ph
uvait être dueàuno lésion ducentre ovale, si eelle-ci correspond au faisceau pédiculo-frontal inférieur. N'a-t-on pas quelqu
t amincie ; et sur le plancher de cette cavité, on voit se lever un faisceau de vaisseaux sanguins. (Fig. 10). Sur la coupe
leuse localisée, surtout aux cordons postérieurs, à l'exclusion des faisceaux de Goll, mais atteignant principale- ment les r
s préparations de Uiiusmu et bandelette optique dans lesquelles les faisceaux non croisés sont les plus nombreux ; puis vienn
adrijumeaux et à la racine descendante, où se rendent également des faisceaux croisés et non croisés ; mais l'auteur n'a pu l
ettent d'attribuer la sensibilité. Inversement l'interrup- tion des faisceaux moteurs, la moelle segmentée conservant, dans les
ndant un temps assez long. Cette action conservatrice exclusive des faisceaux nerveux moteurs, émanerait des plaques terminal
de anatomique des nerfs optiques, du chiasma, des bandelettes et du faisceau sensitif de la capsule interne ne ' 22 338 RE
Dl Bumm fournit la preuve expérimentale et ophthalmoscopique que le faisceau non croisé de ce système REVUE d'anatomie. 3t5
ibres dans les noyaux du 4° ventricule, il conclut en disant que le faisceau en question représente un trajet direct entre l
t entrepris une série d'expériences dans le but de déterminer si ce faisceau subissait la décussation, et dans ce cas où cel
autres enfin vont former la partie externe du pied du pédoncule, le faisceau sensitif de Tiirck. Ce dernier faisceau peut êt
ne du pied du pédoncule, le faisceau sensitif de Tiirck. Ce dernier faisceau peut être suivi dans la partie externe et infér
partie externe et inférieure du pont de Varole; il se distingue des faisceaux moteurs en ce que ses fibres au lieu d'être rec
pied du pédoncule. Du tubercule quadrijumeau postérieur sortent des faisceaux qui vont dans la partie externe du pied du pédo
la partie externe du pied du pédoncule, immédiatement en dedans du faisceau de Tiirck. Presque toute la partie interne du p
capsule interne et du noyau lenticulaire du corps strié. Tous les faisceaux qui passent du tegmentum dans le pes du pédoncu
° du tubercule quadrijumeau postérieur, 4° du pied du pédoncule. Le faisceau de Türck est tout à fait libre de toute connexi
cas où l'on observe une certaine rigidité musculaire (scléroses du faisceau pyramidal primitives ou con- sécutives, contrac
1. Mmrninc ophthalmique, liar Cli. Féré, 331. Moelle allongée ( faisceau longitu- tlmnl postérieur de la calotte dans
ansversale du tronc du neif auditif traitée par le picro-carnmaate. Faisceau postétteur supérieur montrant des tubes nerveux
nsversale du tronc du nerf auditif trai- tée par le hicro-carmmate. Faisceau iiloiitrliit des tubes nerveux de diverse dimen
e picro-carmin. Fit. fi. 3/7Hart. : Deux tubes nerveux à mvéline du faisceau antéro- inférieur du nerf acoustique soumis l'a
sversale du tronc du nerf auditif trai- tée par le picro-cainmiate. Faisceau postéro-supéiieur montrant parmi des tubes nerv
66 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
plus de tendance aux mono- plégies, c'est parce que le diamètre du faisceau conducteur brachial, crural, etc., va en croiss
presqu'en totalité par des fibrilles termi- nales (collatérales des faisceaux pyramidaux) qui mettent en 54 REVUE D'ANATOMIE
ont en rapport direct seulement avec les fibrilles collatérales des faisceaux pyramidaux : tandis que le groupe postéro latér
se dans la direction dorsale à partir du corps trapézoïdal, avec le faisceau identique du côté opposé et se termine en parti
t une partie des cornes antérieures. Dégénérescence descendante des faisceaux latéraux. Je ne me dissimulai pas que l'ensembl
complètement isolé, de tissu néopla- sique diffus. A ce niveau, le faisceau latéral profond est envahi, à gauche, par l'inf
en arrière, à gauche de la scissure postérieure. Dégénérescence des faisceaux pyramidaux. DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOEL
on diffuse rayonne dans les cordons postérieurs. Dégénérescence des faisceaux pyramidaux. 110 PATHOLOGIE NERVEUSE. La figur
ent etètirement des cornes à son pourtour. Dégénérescence intense des faisceaux pyramidaux croisés et des faisceaux cerebelleux
our. Dégénérescence intense des faisceaux pyramidaux croisés et des faisceaux cerebelleux directs; dégénérescence moins visible
des faisceaux cerebelleux directs; dégénérescence moins visible des faisceaux de Gowers. DES TUMEURS NÉVROGL1QUES DE LA MOELL
s, et les zones radiculaires des deux côtés. La partie profonde des faisceaux laté- raux est même envahie, surtout à droite ;
ent la périphérie de la tumeur est cir- conscrite par de semblables faisceaux qui se disposent en cercles plus ou moins paral
bre de trou ou quatre, pour cheminer dans le tissu néoplasique; ces faisceaux vasculaires sont accompagnés d'une gaine conjon
rer perpendiculaire- ment à la face externe de cette membrane ; les faisceaux conjonctifs au contraire. lui sont parallèles e
ieure n'est détruite que dans la région cer- vicale supérieure. Les faisceaux pyramidaux sont atteints par l'in- filtration d
les effets de l,a compression, amène une dégé- nération intense des faisceaux pyramidaux dans toute l'étendue de la moelle.
e des faisceaux pyramidaux dans toute l'étendue de la moelle. Les faisceaux pyramidaux directs sont parfaitement intacts. L
. Les faisceaux pyramidaux directs sont parfaitement intacts. Les faisceaux latéraux profonds sont naturellement lésés de l
sion ne parait pas donner lieu à une dégénérescence secondaire. Les faisceaux postérieurs sont complètement détruits vers la
u noyau grêle. Un peu plus haut toute trace de dégénérescence de ce faisceau disparait com- plètement. Au contraire la scl
ce faisceau disparait com- plètement. Au contraire la sclérose du faisceau cunéiforme, qui est aussi absolument totale, re
t complètement qu'un peu au-dessus du bec du calamus. Du noyau du faisceau cunéiforme partent également, en avant, des fibre
s exlernes (fig. 12). On remarquera com- bien cette dégénération du faisceau cunéiforme, produite par une destruction très h
e l'entre-croisement du ruban de Reil. Dégénérescence ascendante du faisceau grêle, du faisceau cunéiforme, dans sa totalité
t du ruban de Reil. Dégénérescence ascendante du faisceau grêle, du faisceau cunéiforme, dans sa totalité, et du faisceau la
du faisceau grêle, du faisceau cunéiforme, dans sa totalité, et du faisceau latéral du bulbe (faisceau cérébelleux direct e
ceau cunéiforme, dans sa totalité, et du faisceau latéral du bulbe ( faisceau cérébelleux direct et faisceau de Gowers). DE
té, et du faisceau latéral du bulbe (faisceau cérébelleux direct et faisceau de Gowers). DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOEL
. Enfin, ainsi qu'on peut le voir sur les figures précédentes, le faisceau cérébelleux direct est le siège d'une sclérose in
plètement détruite à gauche et fortement entamée à droite. Quant au faisceau de Gowers, il participe large- ment à cette scl
rtout dans sa portion postérieure. Au niveau du collet du bulbe, le faisceau cérébelleux direct et le fais- ceau de Gowers s
atement en avant de la racine ascendante du trijumeau : c'est là le faisceau latéral du bulbe. En remontant dans le bulbe, o
nes postérieures. Pour terminer ce qui a trait à la physiologie des faisceaux ascendants, je ferai remarquer que rien dans le
f' , '1 .<. u '" 'j..1 ,t l, Il 1 1 La lésion considérable du faisceau pyramidal, attaqué direc- tement à la région' c
d'articulation .verbale. On pourrait aussi penser à [une lésion des faisceaux qui joignent les centres des images d'articula-
nce des fibres de la substance blanche du lobe frontal gauche et du faisceau d'association sous-jacent à la circonvolution de
4° des filets nerveux amyéliniques qui forment des feutrages ou des faisceaux serrés. - 1 - 1 , , . , , 'Les cellules ganglio
formé exclusivement par' des filaments nerveux isolés ou groupés en faisceaux . Neuroblastes dessé- minés. Inclusion à la para
le externe, et je n'ai pas pu m'assurer si elle répond au trajet du faisceau unciforme, comme son siège pourrait le faire supp
ion de l'ourlet. Ce prolongement occupe très exactement la place du faisceau d'as- sociation longitudinal qui est sous-jacen
sphère que celle du cingulum ; cette dégénéres- cence montre que ce faisceau d'association part de la face interne du lobe f
ion de la maladie permet donc de préciser et de dire que différents faisceaux sont atteints. Ce n'est qu'à l'égard des cordons
avoir exclu ceux de sclérose disséminée, affec- tions combinées des faisceaux de la moelle, etc. '} - M. Jolly vient de dire
ient de ranger sous ce nom, comme l'a fait Vulpian, les lésions des faisceaux de la moelle; sans doute l'idée du système phys
de Clarke, atrophie du cordon pos- térieur gauche, mais limitée au faisceau de Burdach; intégrité du faisceau de Goll dans
térieur gauche, mais limitée au faisceau de Burdach; intégrité du faisceau de Goll dans la moelle cervicale et dorsale. L'
e l'hypoglosse; 6, parolive antérieure; - 7, parolive postérieure; 8, faisceau grêle de Pierret (slender column de Clarke); 9,
e; 10, émergence du tronc du pneumogastrique; Il, pyramide avec ses faisceaux conjonctifs antéro-pos- térieurs. SUR UNE LÉS
tre en évidence leurs altérations (fig. 36). On y reconnaît en 8 le faisceau solitaire de Stilling, en 9 l'olive malade, en
. Coupe au niveau de la partie supérieure de la protubérance. . 1 faisceaux nerveux des voies pyramidales; 2, 2', faisceaux t
a protubérance. . 1 faisceaux nerveux des voies pyramidales; 2, 2', faisceaux transversaux sclérosés. SUR UNE LÉSION SYSTÉMAT
udroyante en quatre semaines. Autopsie. Dégénérescence marginale du faisceau pyramidal. Après une étude critique approfondie
e rayonnante et se diri- gent en bas dans la capsule interne et les faisceaux pédonculaires. 5° Sous le corps calleux, on peu
des fibres nerveuses et, par suite, pour l'élude expérimentale des faisceaux conducteurs et systèmes, voici en quoi il consist
cence secondaire est en tout semblable à celle qui se voit dans les faisceaux pyramidaux; en outre de celle-ci, il y a des lé
-dessous de ce trous- seau, un peu plus en avant, on constate trois faisceaux qui se dirigent en dedans. L'un va dans le bras
ues sus-jacent à celui du coin et du lobule lingual. Entre ces deux faisceaux blancs il existe une zone de transition qui con
lulaire correspondant. Dans la couronne rayonnante, on retrouve les faisceaux de fibres qui vont des centres corticaux aux gr
ion refuse la question motrice à la zone rolandique et admet que le faisceau pyramidal n'est pas efférant, mais bien indiffé
e, ert,avaut..il est limité. en arrière par la partiel externe'' du faisceau longitudino-dorsal de Schutz ? -jen dehors, par
paré pari deux trousseaux'dé fibres. Un, de ces trousseaux vient du faisceau longi- ludino-dorsal(fibresradiaires-,de; Seliu
sse, le noyau dorsal est situé entre le noyau de l'hypoglosse et le faisceau longitudino-dorsal. Son volume augmente en mont
antérieur.de la, glande pinéale..Le gan- glion de l'habénule et les faisceaux de Meynert qui se, confondent avec lui, sont, d
67 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bservation. Fibres musculaires épaissies, très faciles à dissocier; faisceaux primitifs durs, raides, très résis- tants à la
flés, incisés, sil- lonnés, fissures sur les bords et les faces des faisceaux , corpuscules cellulaires rappelant les noyaux d
iagnostique : tumeur cérébrale avec com- pression et excitation des faisceaux pyramidaux. On trouve un gliome de la glande pi
u pédoncule et la pyramide du côté opposé d'où elle descend dans le faisceau pyramidal du cordon latéral de la moelle : cet
ent est caractéristique, il-contraste nettement avec l'intégrité du faisceau sain. Par conséquent, en respectant les fibres
à la même région par un système spécial ; le centre cortical et sou faisceau pyramidal ont bien réellement une fonction motr
ration. Dans ces trois cas, on ne trouve que la dé- générescence du faisceau pyramidal qui, après s'être entre-croisé, gague
amidal qui, après s'être entre-croisé, gague le cordon latéral ; le faisceau pyramidal non entre-croisé est demeuré intact,
cence secondaire ascendante dans les cordons laté- raux en avant du faisceau pyramidal. Il s'agit d'un cas de frac- ture ave
cordon lésé est des plus épais en avant du point de contiguïté du faisceau latéro-pyramidal et du faisceau latéro-cérébelleu
en avant du point de contiguïté du faisceau latéro-pyramidal et du faisceau latéro-cérébelleux. Voici 90 REVUE D'ANATOMIE E
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. comment Gowers décrit le trajet de son faisceau cantéro-latéral ascendant : 1° A la partie su
e la région cervicale, à la hauteur de Ja troisième paire, là où le faisceau cérébelleux est fort en avant, où aussi le fais
paire, là où le faisceau cérébelleux est fort en avant, où aussi le faisceau pyramidal gagne, derrière lui Ja superficie, le
ù aussi le faisceau pyramidal gagne, derrière lui Ja superficie, le faisceau autéro-ldteral ascendant occupe la même situation
me situation que beaucoup plus bas, mais il s'étend encore entre le faisceau céré- belleux et le faisceau pyramidal, comme u
s bas, mais il s'étend encore entre le faisceau céré- belleux et le faisceau pyramidal, comme un ruban très mince, presque j
esque jusqu'à la surface de la moelle ; 2° A la région lombaire, le faisceau antéru-latéral ascendant est en entier contenu
ascendant est en entier contenu dans le cordon latéral en avant du faisceau pyramidal. Il forme un long ruban à la hauteur
de la queue de cheval, l'auteur ne put trouver la dégénérescence du faisceau antéro-latéral ascendant. P. KERAVAL.. XIII. Ex
a glande pinéale au noyau supérieur de l'ocu- lomoteur commun et au faisceau longitudinal supérieur Le sys- tème dorsal repr
'hypoglosse, contient aux diverses phases du développement, avec le faisceau longitudinal postérieur, des fibres longitudinale
e champ externe du bulbe forment les fibres les plus supérieures du faisceau lon- gitudinal supérieur à peine plus de l'imit
ss signale l'atrophie de la base de la corne postérieure cervicale ( faisceaux d'irradiation et fin reliculum), ainsi que la d
nées : 1° de la capsule in- terne ; 2° des strioe medullares; 3° du faisceau de Meynert; 4° de la bandelette optique; 5° de
ers la pro- tubérance et le long des fibres pyramidales, gagnant le faisceau de Turck gauche et le cordon latéral droit. L'i
somme toute, relativement faibles. A rapprocher de ce fait que les faisceaux latéro-pyramidaux ne se développent que très ta
5). Voici la confirmation du diagnostic. Les cordons de Goll et les faisceaux pyramidaux témoignent d'une sorte d'arrêt de dé
muscles jambier antérieur, extenseur commun des orteils (sauf le faisceau du deuxième) extenseur propre du gros orteil, cou
Secousses fibrillaires fréquentes et contraction isolée de quelques faisceaux musculaires. - Sens musculaire affaibli des deu
toïde,qui se développe à la suite des scléroses sys- tématiques des faisceaux pyramidaux. Ils ont la même ampli- ; tude, la.
t envoie en bas à travers la capsule interne et la calotte un autre faisceau de fibres au centre de la moelle. Ce centre vés
n'a décidément rien à voir avec le corps calleux ; il appartient au faisceau longitudinal supérieur. L'obser- vation est en
ntérieure, la dissociation de la circonvolution du corps calleux en faisceaux radiés, l'absence complète des nerfs de Lancisi
XVI, p. 70). M. A Cramer (d'Eberswalde) a retrouvé dans le bulbe le faisceau anormal décrit par A. Ylctt. Il présente des pi
anormal décrit par A. Ylctt. Il présente des pièces à l'appui. Ce faisceau commence à l'extrémité supérieure de l'entrecrois
n noyau nerveux, avec aucune racine, il se distingue nette- ment du faisceau solitaire lui-même très apparent. Il représente
te la hauteur de l'écorce, des fibres myéliniques indépendantes des faisceaux ascen- dants de la substance blanche dans les c
a lésion n'y manque jamais, surtout dans le gyrus rectus. Enfin les faisceaux ascendants sont, quand l'alté- ration en questi
he vient de la partie antérieure de cette écorce. Enfin, quelques faisceaux provenant de la moelle ne s'arrêtent pas à la s
space perforé, elle est, d'au- tres fois, réduite à quelques petits faisceaux ; mais ces faisceaux sont toujours très apparen
, d'au- tres fois, réduite à quelques petits faisceaux ; mais ces faisceaux sont toujours très apparents et très faciles à
plantations des filets olfactifs sur son bord antérieur. Tous les faisceaux provenant des nerfs olfactif vont donc aboutir
n réalité que la partie apparente, superficielle d'un ensemble de faisceaux profonds qui se continuent soit avec les fibres
'à cette surface on ajoute : 1° la bande diagonale, qui n'est qu'un faisceau destiné à raccorder la zone radiculaire aux dif
iculaires dans le cordon posté- rieur gagne sur la ligne médiane le faisceau de Goll ; la section des racines du plexus brac
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. n'est que coutiguë au faisceau de G011. Dansles parties supérieures de la moel
ieures de la moitié supérieure du corps ne se prolonge que dans les faisceaux de Burdach. La résection unilatérale des racines
exe. P. K. XLIX. Un cas DE DÉGÉNÉRESCENCE secondaire descendante DU faisceau EXTERNE DU PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL ; par C.
sque profondément dans la moelle cervicale et en descendant dans le faisceau postérieur latéral du côté opposé. Obs. de Jelg
mogastrique et du glosso-pharyngien, du noyau de l'hypoglosse, du faisceau solitaire. P. K. LUI. UN KJNÉS1OESTHÉSIOMÈTRE a
68 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
xes cutanés et tendineux basée sur la nature fonctionnelle des deux faisceaux pyramidal et intra pyramidal ; par le Dur IIELD
nten- ses dans le troisième segment cervical, et avec agénésie du faisceau pyramidal pouvant être suivie jusque dans la régi
e des leucocytes polynucléaires. Lestroma choroïdien, très riche en faisceaux de fibres conjoncti- ves, et en cellules fortem
ue typique, et la maladie de Basedow symp- tomatique, par lésion du faisceau solitaire ( ? ) : 3 cas. P. Keraval. XV. Obse
au contraire très commun et très intense dans les cas de lésion du faisceau pyramidal. Il est fréquent aussi chez le nouvea
aisceau pyramidal. Il est fréquent aussi chez le nouveau né dont le faisceau pvramidat est encre incomplètement développé. C
es nettement applicables à l'exception de la double dégénération du faisceau de lülweg. Ces altérations limitées aux olives
ux olives ne sont pas en rapport avec des lésions du cervelet ou du faisceau central de la calotte, il ne s'agit pas là de t
ait excepi ioiinelles. Madame Dnai : nmE fait observer que quand le faisceau central de la calotte est lésé, la dégénérescen
même valeur que chez l'adulte SOCIÉTÉS SAVANTES. 181 parce que le faisceau pyramidal à peine achevé parait être beau- coup
aire dans presque tous les cas un retard dans le développe- ment du faisceau pyramidal. 4° C'est vers 5 ou 6 mois que semble
des nouveaux- nés : tous deux marquant l'incomplet développement du faisceau pyramidal et, s'il se prolonge, constituent le
es tubercules quadrijumeaux supérieurs (contra Majano), ni par le faisceau longitudinal postérieur du noyau d'origine du ner
tronc du nerf facial est formé exclusivement de fibres directes. Le faisceau de fibres nerveuses que la plupart des auteurs
après entrecroisement dans le raphé, des fibres constituantes du faisceau longitudinal postérieur. Nerf pneumogastrique.
ormé exclusivement de fibres directes. Celles-ci, réunies en petits faisceaux distincts, sortent de la face latérale de la mo
e apparente jus- qu'à leur origine réelle, on voit que chaque petit faisceau de fibres radiculaires traverse transversalemen
es en trois ou quatre petits fascicules nettement distincts. De ces faisceaux radi- culaires à direction verticale, part ensu
aires à direction verticale, part ensuite un nombre considérable de faisceaux plus petits, à direction antéro-postérieure pouva
end que l'altération puisse gagner en profon- deur et atteindre les faisceaux pyramidaux ; c'est sans doute ce qui a pu donne
scles du visage qui entrent en jeu : quelques fibrilles de l'un, un faisceau de l'autre, un troisième en totalité. Les contr
gré de la lésion ; quand elle présente l'aspect flou, on trouve les faisceaux de fibres ner- veuses à peu près intacts simple
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. une courbe transversale, constituent un faisceau de rayons ayant pour centre les confins de la s
e du canal encéphalomédullaire, envoient quelques-unes des leurs au faisceau longitudinal postérieur ainsi qu'aux noyaux de
de Stilling : elles se collent, à l'intérieur du cerveau moyen, au faisceau de Monakowissu de l'entrecroisement anténeur de l
ntrecroisement anténeur de la calotte de Forel, et arrivent avec ce faisceau au cordon latéral de la moelle. C'est l'origine
sceau au cordon latéral de la moelle. C'est l'origine thalamique du faisceau de. Nloiiiilom,, ou voie thalamique du eorclon
inférieure assez bien conservées : à ce niveau on voit de puissants faisceaux arqués pénétrer du cordon postérieur dans la co
t antérolatéral de la moelle cervicale, par V. de ËKCHTE- REw. * Le faisceau d'Helweg, par H. Obersteiner. (1 ? 2(OOLU, Cent
Helweg, par H. Obersteiner. (1 ? 2(OOLU, Centralbl. XX. 1901). Le faisceau olivaire de 13echterew, faisceau triangulaire d'f
2(OOLU, Centralbl. XX. 1901). Le faisceau olivaire de 13echterew, faisceau triangulaire d'fiel- weg (voy. Archives de Neur
(voy. Archives de Neurologie 189;), t. XXX, p. 15'r) : n'est pas un faisceau ascendant, c'est un faisceau descendant, comme en
189;), t. XXX, p. 15'r) : n'est pas un faisceau ascendant, c'est un faisceau descendant, comme en témoignent les observation
érieures; mais il eu est voisin, et par suite, mieux vaut l'appeler faisceau périoliaaire. Ses rapports avec les olives en q
al et de l'oculomoteur externe s'accompagner de dégénérescence du faisceau central de la calotte, de la grosse olive et du s
es qui nous intéresse (Meyer), du côté correrpoudaut au l'oyei ; ce faisceau a encore été trouvé dégénéré en un cas d'hémorrha
tus de fibres qui, dans la région protubérantielle, était à côté du faisceau pyramidal, et plus bas descendait à la moelle e
et plus bas descendait à la moelle en dehors des grosses olives. Ce faisceau n'a en tout cas pas de relation avec le faisceau
grosses olives. Ce faisceau n'a en tout cas pas de relation avec le faisceau pyra- midal, car il se revêt de fibres myéliniq
is que celui-ci se compose de fibres myétiniques assez épaisses, le faisceau périolivaire contient des libres extrême- ment
fournit une nouvelle observation de dégénéres- cence descendante du faisceau d'tletweg. Il s'agit d'une tumeur sphérique de
-ci (ligures). L'analyse montre une dégénérescence descen- dénte du faisceau d'ileiweg : on la peut suivre jusqu'au début de
postérieur, seraient des fibres descendantes appartenant à l'olive ( faisceau REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
OGIQUES. 433 central de la calotte` ? ), plutôt que des éléments du faisceau d'Hel- weg. P. Keraval. XXX. Coloration des c
e foyers superficiels et un peu plus profonds. La dégénérescence du faisceau pyramidal, nette, mais peu intense, cesse à l'e
com- plètement. Le bulbe présente uniquement la dégénérescence du faisceau pyramidal correspondant : intégrité du ruban de R
cet organe (iloclie). Dégénérescence étendue mais non profonde du faisceau pyramidal droit de la protubérance : un très gran
t la ligne médiane pour se perdre entre les trousseaux de fibres du faisceau pyramidal du côté opposé. Le genou et la bran
dégénérescence habituelle des hémi- plégies, bien que les fibres du faisceau pyramidal destinées au membre inférieur n'aient
Ce tissu est constitué, d'une façon assez homogène, surtout bar des faisceaux conjonctifs adultes. La plupart de ces faisceaux'
remarquable par la densité de sa fibrose et par l'importance de ses faisceaux conjonctifs, plus hyperplasiés que dans les sim
stitue des granulations isolées,' placées bout à bout à travers les faisceaux conjonctifs,et souvent prédominantes dans la zo
masses granuleuses. Plus rarement, elles constituent de véritables faisceaux plus ou moins denses, des bandes, des placards,
évroglique contenant encore un certain nombre de tubes nerveux. Les faisceaux conjoncttfs de cette sclé- rose sont pour la pl
le cordon antéro-latéral, la dégénérescence également secondaire du faisceau cérébelleux direct, et la dégé- nérescence rétr
. 11ÉM1SECTI0N TRAUMATIQUE DE LA MOELLE. 477 Nous avons vu que le faisceau pyramidal du côté droit était L dégénéré au-des
tion des réflexes allant jusqu'à l'opportunité de contracture.- Les faisceaux posté- rieurs et les faisceaux cérébelleux dire
à l'opportunité de contracture.- Les faisceaux posté- rieurs et les faisceaux cérébelleux directs ont présenté, comme c'est l
rattachée à une lésion siégeant à la protubérance et intéressant le faisceau pyra- midal (signe de l'abduction des orteils d
- de l'ouïe chez un paralytique général, par Vallon, 526. Z Le faisceau d' par Ober- steiner, 432. IIÉ611CÉPH1LIE. Vo
s t,t tendineux. rie ries - basée sur la nature fonctionnelle des faisceaux pyra- midal et-intra-pyramidal, par Ileldenbe
69 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nerveuses qui constituent la papille apparaissent bien groupées en faisceaux du côté interne et elles ne semblent pas LE FON
gine sclérotique est formée, comme à l'état normal, par de nombreux faisceaux de fibres conjonctives ne semblant pas présente
njonctives ne semblant pas présenter d'altérations notables, et les faisceaux de fibres nerveuses qui la traversent ne nous sem
nt, se trouvent rangées en séries le long de la surface externe des faisceaux nerveux, sont beaucoup plus impor- tantes que n
ment, d'après Gowers, on ne trouve, dans la coupe transversale d'un faisceau de fibres nerveuses du nerf optique, que quelques
es fibres nerveuses dans leur ensemble paraissent normales et leurs faisceaux qui ne sont pas noyés parmi les cellules de sou
njonctives dominent et nous ne voyons point à leur pourtour d'épais faisceaux de cellules conjonctives se dirigeant dans tout
conjonctives existent autour d'elles; et il s'en irradie quel- ques faisceaux très denses, dans des directions transversales pa
nous avons en o représenté un spécimen. On voit, en outre, que les faisceaux nerveux sont très riches en cellules de névrogl
a lésion revêt la même intensité; c'est en vain qu'on recherche les faisceaux nerveux constitutifs, tout élément noble a disp
ntourées de myéline, étant très raréfiées, c'est à peine si pour un faisceau on trouve une quin- zaine de grosses fibres à m
une caractéristique ; elles ne sont pas également réparties, et les faisceaux périphériques sont plus Fig. 8. Coupe longitu
YTIQUES GENERAUX. Il Î riches en fibres d'apparence normale que les faisceaux centraux. Dans la partie inférieure de la figur
hode de Weigert pour la mjélme. travées conjonctives épaissies ; n, faisceaux , nerveux complètement remplis de cellules de né
ules de névroglie dont les uojau\ sont représentés par des points; m, faisceaux nerveux où. nous avons figuré les fibres à myél
; le nombre de ces fibres altérées est beaucoup plus grand dans les faisceaux centraux que dans les fais- ceaux périphériques
ibution topographique très irrégulière s'étendant plus ou moins aux faisceaux cérébelleux directs, aux cordons de Goll, de Bu
es mouvements spontanés ou asso- ciés, malgré une absence totale du faisceau pyramidal ; 2° il se manifesterait des réaction
ale fort accentuée, accompagnée de la dégénérescence habituelle. du faisceau pyramidal correspondant et de l'atrophie de l'h
f du droit inférieur) et une perturbation dans le fonctionnement du faisceau pyramidal droit, caractérisée par une parésie d
l, sauf le second cinquième interne SOCIÉTÉS SAVANTES. '199 et du faisceau pyramidal dans la moelle. Le tremblement inten-
on siégeait au niveau du genou du nerf facial. La dégénérescence du faisceau pyramidal était légère au-dessous, par contre l
lement du côté de la lésion (fibres déjà entrecroisées). L'état des faisceaux dégénérés viendrait en outre à l'appui de l'ori-
x dégénérés viendrait en outre à l'appui de l'ori- gine olivaire du faisceau de la calotte. Tics, stéréotypies, aérophagisme
érieures, région externe des cordons postérieurs, envahissement des faisceaux de Goit(dans la moelle cervicale), telle est la
n du tiers supérieur de la protubérance, ayant inté- ressé les deux faisceaux longitudinaux postérieurs et s'étant tra- duit
se de jour en jour davantage dans le sens d'une lésion organique du faisceau pyramidal. G. D, XLII. La genèse des tics ; par
, prédominante dans le cordon de Bur- dach, dégénération légère des faisceaux pyramidaux, altérations de la colonne de Clarke
du pédoncule cérébral. M. Cestan insiste sur la dégénérescence du faisceau longitudinal postérieur et sur la dégénérescenc
ine dans le cordon antérieur de la moelle d'une dégénérescence d'un faisceau qui est distinct de la voie pyramidale. 0 M.
ivement et nécessairement sous la dépendance de la dégénération du. faisceau pyramidal. Clonisme du pied chez un neurasthéni
évroses (l'hystérie et la neurasthénie) et en dehors des lésions du faisceau pyramidal. MM. G. Ballet et L. Delherm présente
que sans aucun signe de lésion ou* d'irritation perma- nente de ce faisceau , on peut rencontrer la trépidation spinale. Il
SOCIÉTÉS SAVANTES. 295 indemne de tout signe dedésion organique du faisceau pyramidal, on peut rencontrer le clonisme du pi
à la suite de laquelle la dégé- nérescence secondaire a atteint le faisceau central de la calotte dans le pédoncule, la pro
ule, la protubérance et le bulbe, avec les fibres périolivaires. Le faisceau central de la calotte irait donc bien de la cap
ntré des lésions des cordons postérieurs combinées à des lésions du faisceau cérébelleux direct Les auteurs attribuent aussi
fait complètement défaut, il ne reste du grand pectoral qu'un petit faisceau de la portion claviculaire : il s'agit d'un arr
rotubé- rantiels, centres opto-striés, cérébelleux et corticaux. Le faisceau sensitif parcourant tous ces centres leur appor
ériphérie se trouve interrompu déjà au niveau du premier neurone du faisceau sensitif, comme c'estle cas, parle bain, aucund
t une désorientation et une incoordination maxima. Si par contre le faisceau sensitif se trouve détruit seulement dans son d
i place la contracture organique sous la dépendance d'une lésion du faisceau pyramidal et la con- tracture hystérique sous l
ture hystérique sous la dépendance d'un trouble fonc- tionnel de ce faisceau ,. M. Babinski énumère les raisons qui lui font
sa malade. En premier lieu compression de la moelle, irritation des faisceaux descendants (faisceau pyramidal, de Monakow, et
ieu compression de la moelle, irritation des faisceaux descendants ( faisceau pyramidal, de Monakow, etc.) mise en état d'exc
ibres de projections isolées. Mais de très bonne heures apparaît un faisceau radiaire qui se porte dans la direction de la c
ayonnante de la circonvo- lution de l'ourlet, en arrière ; c'est un faisceau du corps calleux, dont le développement précoce
veloppent, c'est-à-dire s'entourent de myéline extrêmement tard. Ce faisceau calleux de la circonvolution sus-angulaire ou cha
eux de la circonvolution sus-angulaire ou champ 210 14 n'est pas un faisceau de la couronne rayonnante . 3° La partie supéri
rce semble satisfaire à cette dualité. La radiation tactile et ' le faisceau pyramidal, la radiation optique primaire et secon
posés de ce genre. Même réflextion pour la radiation auditive et le faisceau de '1·ïrrl : , pour la racine antérieure de la
de '1·ïrrl : , pour la racine antérieure de la couche optique et le faisceau d'Arnold. L'étude approfondie des dégénérescenc
secondaires montrent que Déjerine se trompe en faisant provenir les faisceaux d'Arnold de l'opercule, les faisceaux de Turck
mpe en faisant provenir les faisceaux d'Arnold de l'opercule, les faisceaux de Turck des 2° et 3° temporales. 7° Causes de
llons précoces. » Les coupes en séries donnent l'impression que les faisceaux de la couronne rayonnante, dans les zones où il
ux l'écorce, et que, partout où on trouve la maturité pré- coce des faisceaux de la couronne rayonnante, apparaît également d
constate l'apparition tardive de sillons dans les zones où de longs faisceaux d'association nombreux et puissants (à développ
fibres arciformes internes, avoisinant l'olive, le noyau ambigu, le faisceau de Gowers et la racine ascen- dante du trijumea
ronc cérébral des voies particulières, ne correspondant pas avec le faisceau de Govers, mais probablement s'élevant du faisc
dant pas avec le faisceau de Govers, mais probablement s'élevant du faisceau fondamental du cordon antéro-latéral et destiné
70 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de Clarke); le glosso-pha- ryngien émanerait du cordon cunéiforme ( faisceau grêle in- terne) ; l'acoustique aurait une raci
u grêle in- terne) ; l'acoustique aurait une racine spinale dans le faisceau cunéiforme 1 PlJ'oprement dit; enfin,, le.nerf
t dit; enfin,, le.nerf optique aboutirait, par le ruban de lieu, au faisceau propre du cordon antérieur qui doit être distin
, au faisceau propre du cordon antérieur qui doit être distingué du faisceau pyramidal de Flechsig. Tel est le squelette de
e la conscience lui paraissent être concluantes, au cas même où les faisceaux en question contiendraient égale- ment des fibr
s cette direction, ,se replie en dehors, et'.va constituer un-large faisceau , 'qui se porte dans le cordon latéral; =rrJrlnu
i"d r : J" d 'rt,.I'I(,fi(ll : 'J ? J'" 1"1 11 ce Iules malades, le faisceau pyramidal., indemne ne peut trans-, ? , ? rl v. n
? ' (j , - ) autour des veinules d'âbord, iü;peu9â a peu autour'des faisceaux ! 1 primitifs' ;' la gainé la.m&Oeuse'se ju
dégénérescence symétrique des cordons postérieurs a la limite des, faisceaux de, Goll et de Durdach dans le segment dorsal s
e) 1 et le domaine 'du' ruban' 1 de' Beil' (HoUor) '; intégrité' du faisceau pyramidal ! Destruction du noyau du facial et de
des feuillets médian et latéral du ruban de Reil, à l'exception du faisceau qui l'unit au pédoncule 'cérébral : l'altératio
a région inférieure de la moelle allongée (entrecroi- . 'sèment des faisceaux sensitifs), on rencontre;' à'1 droite, en'arrière
e à toute la hauteur de la moelle, se limitait symétriquement, aux, faisceaux - .r. ? t ? S ? ? {II"; IUI U ? )..) ? JJ ? J,.
des rapports "éj ? Jcqn ! 1us'[lvee le noyau» deTabducens,1 par le faisceau trâns- yerse' 4u, pédoncule, de : Gqddell(' r L
x.,envoienttrleurs bras-dans la couronne rayonnante,'let -lest deux faisceaux ! du'ruban'de Reil dans'la'cal6tte;.vdie réflex
, d excéption qu,en,, ce qui. çopçqrne peut- êtré,lé cervélet et,le faisceau `x de la calotte unissânt.àll'ahdu-, cens les tu
omate de potasse dans la gomme et l'alcool, on ne dis- tingue aucun faisceau atrophié. Les fibres sectionnées perpen- dicula
renferment une assez grande proportion de fibres saines, à côté de faisceaux de fibres tout à fait atrophiées (type 5). Les
ut dépenser beaucoup de peine pour séparer les uns des autres les faisceaux nerveux et pour les détacher du tissu conjonctif
s et convenablement dissociés, il est facile de reconnaître que ces faisceaux sont presque uniquement composés par des fibres
é des fibres sont normales. Mais on trouve de loin en loin quelques faisceaux de fibres atrophiées (type 5) ou des petits gro
uliers. Le reste est uniquement composé de gaines vides, réunies en faisceaux serrés, légèrement ondulés, de couleur sépia. L
ouve un certain nombre de gaines vides isolées ou réunies en minces faisceaux , pàles et renfermant des noyaux nombreux assez
trochantél'/ennes et sacrées. Toutes les préparations provenant des faisceaux nerveux recueillis dans la peau, au voisinage d
profondes des libres nerveuses. Toutes les fibres qui composent ces faisceaux sont atrophiées, réduites à l'état de gaines vi
Nous nous sommes astreints, en effet, à examiner un à un tous les faisceaux du sciatique et du crural. Nous avons pour cela
icate aurait exigé plusieurs semaines de travail assidu) chacun des faisceaux cons- tituant le tronc du sciatique et le tronc
un seul, et, dans ces examens multipliés, nous n'avons trouvé aucun faisceau altéré. Ce n'est pas là évidemment une démonstr
'alcool, nous n'avons découvert aucune altéra- tion appréciable des faisceaux ni des fibres de ces troncs nerveux. L'étude
s, 1883. Etude sur tabes dorsal spasmodique, sclérose primitive des faisceaux latéraux; par Jabineau. Thèse de Paris, 1883.
rs et substance grise - il n'y en avait pas du tout ; mais dans les faisceaux latéraux, ces corps granuleux étaient en très g
aux, avait diminué. Ces corps granuleux étaient dis- posés dans les faisceaux latéraux des deux côtés d'une manière tout à fa
en sorte que, même dans sa portion cervicale, la partie interne des faisceaux antérieurs (faisceaux de Tùrk) était intacte (c
sa portion cervicale, la partie interne des faisceaux antérieurs ( faisceaux de Tùrk) était intacte (ce qui nous fait penser q
à un entrecroisement complet des pyra- mides). Ainsi, c'étaient les faisceaux pyramidaux qui étaient atteints et l'examen ult
s'émiettant sous le rasoir. Dans notre cas, la dégénérescence des faisceaux pyramidaux allait donc de l'extrémité inférieur
tout l'hémisphère qu'elles y constituent le prolongement des mêmes faisceaux pyramidaux, qui descendent sans interruption de
rance, le bulbe et toute la moelle épinière. Outre l'altération des faisceaux pyramidaux, on pouvait ob- server chez notre su
elles des muscles, étaient beaucoup moins prononcées que celles des faisceaux pyramidaux, ce qui était, du reste, en harmonie
ssus morbide commence dans les fibres nerveuses qui constituent les faisceaux pyramidaux et ne passe que plus tard dans la su
t notre cas consiste, à notre avis, en ce que la dégénérescence des faisceaux pyrami- daux se propageait à travers tout l'enc
à notre connaissance, la description de cette dégéné- rescence des faisceaux pyramidaux à travers tout l'encéphale, n'a été
nion que, dans un des cas étudiés par eux, la dégénérescence des faisceaux pyramidaux passait à travers tout l'encéphale :
staté la dégénérescence, constituent en effet la continuation des faisceaux pyramidaux de la moelle épinière (ce dont on ne
e peut guère douter), notre cas offre une nouvelle preuve que les faisceaux pyramidaux vont des pédoncules cérébraux à tra-
es : En entrant des pédoncules du cerveau dans les hémisphères, les faisceaux pyramidaux vont, t, sous la forme d'un faisceau
s hémisphères, les faisceaux pyramidaux vont, t, sous la forme d'un faisceaux compacte dans la capsule; ils occupent le trois
nous avions affaire à la dégénérescence d'une partie seulement des faisceaux pyrami- daux, car chez M..., les mouvements vol
rne. C. c., Corps calleux. N. c., Noyau caudé. X, Direction des faisceaux pyramidaux indiquée schématiquement. X', Fibres
es faisceaux pyramidaux indiquée schématiquement. X', Fibres de ces faisceaux , qui se terminent au fond de la scissure de Rol
due au foyer de ramollissement; l'auteur fait la supposition qu'un faisceau de nerfs vaso-moteurs se trouve juste à cet end
Cérébrales (variétés des circonvolu- tions), 97. Cerveau (sur un faisceau de subs- tauce blanche jusqu'alors rare- ment
s laisceaux pyramidaux indiquée seltematiquement. 1', Fibres de ces faisceaux , qui se terminent au fond de la scissure de Rol
71 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
ui atteignent non pas un muscle en totalité, mais soit isolément un faisceau , soit succes- sivement plusieurs faisceaux dès
é, mais soit isolément un faisceau, soit succes- sivement plusieurs faisceaux dès muscles larges de la racine des membres.
le siège de contractions fasciculaires lentes : on voit ses divers faisceaux se soulever alternativement et entraîner l'omop
se soulever alternativement et entraîner l'omoplate en dedans. Le faisceau inférieur se contracte plus énergiquement que les
et fait basculer l'os dans- sa totalité. Lorsque la contraction du faisceau inférieur du rhomboïde est très énergique, le f
ntraction du faisceau inférieur du rhomboïde est très énergique, le faisceau homologue du côté opposé se contracte quel- que
- quefois en même temps (pl. XIV). ' On voit quelquefois aussi le faisceau supérieur du grand dorsal gauche s'animer de co
s plus ou. moins éloignés, sont àpeu'pi'ès constantes : on. voit un faisceau large de'3 à 4 cçnli- mètres se contracter pend
faisceau large de'3 à 4 cçnli- mètres se contracter pendant que les faisceaux voisins sont' complète- ment immobiles; quelque
faisceaux voisins sont' complète- ment immobiles; quelquefois deux faisceaux éloignés se 'contractent 1. ensemble, de sorte
PHIE DE LA SALI'l : Tli1);ItG. sivemenl -ou simultanément plusieurs faisceaux de certains muscles larges mérite d'être rappro
lésion des centres .corticaux régissant les muscles des yeux et des faisceaux cortico-nucléaires, ou encore des faisceaux allan
muscles des yeux et des faisceaux cortico-nucléaires, ou encore des faisceaux allant des noyaux au tronc nerveux basai; rnais
r Charcot, à la paralysie bulbaire inférieure sans participation du faisceau pyramidal. On a pré- tendu bien à tort et fort
e de la paralysie glosso-labio-laryngée dégagée de toute lésion des faisceaux latéraux, il faut ajouter aujourd'hui deux nouv
sement : a, cornes antérieures altérées; b, cornes postérieures; c, faisceau pyramidal dégénéré; d, cordon postérieur sain; e,
éline ; c, c, espaces vides laissés par les fibres musculaires ; /, faisceau neuro-musculaire ; g, ses filets nerveux; h, se
moelle, le côté droit est plus intensément intéressé. t ' y Le faisceau pyramidal est atteint d'une sclérose systématique
orrha- giques. Les commissures blanche et grise sont indemnes. Le faisceau pyramidal est atteint d'une sclérose naissante sy
rations de névrite parenchymateuse simple. Muscles. - Les divers faisceaux d'un même muscle offrent des lésions très inéga
t la dégénération 198 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. du faisceau pyramidal par la destruction des fibres d'associa
contractilité nulle. Grand oblique : quelques contractions dans les faisceaux supérieurs. Muscles latéraux : contractilité co
s interosseux. a. Sur les coupes transversales, on constate que les faisceaux mus- culaires présentent des dimensions variabl
e résulte de ce que le tissu conjonctif proliféré pénètre entre les faisceaux musculaires et les partage en groupes inégaux.
: ce sont surtout les très petits ramuscules qui sont lésés. Les faisceaux neuro-musculaires (décrits par MM. Babinski et Ro
e. de Bucarest. (A suivre.) 1. Nous avons décrit spécialement ces faisceaux neuro-musculaires dans une note com- muniquée à
mme, les lésions des nerfs sont tout à fait parallèles à celles des faisceaux musculaires, et ne s'étendent pour ainsi dire pas
allélisme des altérations des petits nerfs intra-musculaires et des faisceaux des muscles eux-mêmes nous semble plaider plutôt
ur destruction chez les adultes. Il pense que ce n'est pas dans les faisceaux blancs de la moelle eux-mêmes qu'il faut cherch
altérée; a, Partie saine; b, Zone mar- ginale peu sclérosée; c, c', Faisceaux latéraux très altérés; d, Région du faisceau de T
e peu sclérosée; c, c', Faisceaux latéraux très altérés; d, Région du faisceau de Turck sclérosée; e, Partie postérieure du co
, Paroi de la cavité; d, Substance du gliome; e, Corne postérieure; ? Faisceau pyramidal dégénéré. , Planche \G1'lll. - Syri
v ité du gliome ; c, Paroi de la cavité ; d, Substance du gliome; e, Faisceau pyramidal dégé- néré ; ? Corne postérieure; g,
roi de la cavité; ti, Substance du gliome; e, Corne postérieure; (, Faisceau pyramidal dégénéré. Planche G.- Syringomyélie.
avité du gliome; c, Paroi de la cavité; et. Substance du gliome; e, Faisceau pyramidal dégénéré; ? Corne postérieure. Planch
72 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
sions qu'ils ont constatées sont en effet très diffuses, lésant les faisceaux pyramidaux directs et croisés, les faisceaux cé
s diffuses, lésant les faisceaux pyramidaux directs et croisés, les faisceaux cérébelleux directs, les cordons postérieurs, la
le triangle de Gomhault et Philippe,le champ ovale de Flechsig, le faisceau en virgule de Seliultze sont à peu près indemnes.
nelle du chef claviculaire du muscle sterno-cléido-mas- toïdien, du faisceau cléido-occipital du trapèze et des muscles supéri
nt se terminer à l'acromion et qui constituent tout ce qui reste du faisceau cléido-occipital du trapèze. L'atrophie muscula
la fossette normale de la nuque formée par la saillie bilatérale du faisceau cléido- occipital du trapèze et du splénium est
n de la ceinture scapulo-humé1'ale et des membres supérieurs . - Le faisceau postérieur du deltoïde, les muscles pectoraux (pl
culaire très profonde. Cette ensellure est donnée par l'atrophie du faisceau claviculaire du trapèze (V. PI XII, 5). En re
m. Amp. à droite et 2,5 m. Amp. à gauche (Ka CHC = An CHC). ' Le faisceau postérieur du deltoïde est très peu excitable au
30 mm), au galvanique on trouve Ka CHC = An CHC avec 8 m. Amp. Le faisceau antérieur est un peu mieux conservé (Ka CHC >
cas nous avons bien démontré que l'amyotrophie avait débuté par le faisceau cléido-occipital du trapèze et par les muscles in
ait été impossible de déceler le moindre signe d'une altération du faisceau pyramidal, mais chez notre malade la XIIe comme
rapèze sont complètement atrophiés ; il persiste seulement un grêle faisceau horizontal qui réunit l'acromion aux apophyses
ux et cutanés sont normaux, il n'existe aucun signe d'altération du faisceau pyramidal. L'examen électrique des muscles inne
cale postérieure. Il fait remarquer dans son cas la conservation du faisceau de Schlodtmann. On se rappelle que Schlodtmann
eitschrift f. Nervenheilk., vol. V, p. 463,894. 58 RERTOL01"rf un faisceau horizontal qui s'attache d'un côté à l'acromion e
vertèbres cervicales.De ce fait, Schlodt- mann avait conclu que ce faisceau n'est pas innervé par la XIe paire, mais plutôt
chlodtmann. Dans notre cas nous n'avons pu mettre en évidence aucun faisceau superstite analogue à celui de Schlodtmann et F
Schlodtmann, de Remak et de Ferrio (1), il est bien démontré que le faisceau cléido-occipital du trapèze est innervé presque e
esque exclusivement par le spinal et il y aurait seulement un petit faisceau de [la portion acro- miale où l'innervation ser
on motrice du larynx qui au contraire serait sous la dépendance des faisceaux plus bas de la XI paire préposés aussi à l'inne
une contraction douloureuse, involontaire et passagère de certains faisceaux musculaires striés ». Ce mot de crampe professi
teurs communs, en empiétant vers la droite pour au moins toucher le faisceau sensitif respectif et le cordon moteur du pédoncu
VATIONS DE RIRE ET DE PLEURER SPASMODIQUES 125 dre au thalamus ; le faisceau géniculé qui est un faisceau moteur ; le fais-
SPASMODIQUES 125 dre au thalamus ; le faisceau géniculé qui est un faisceau moteur ; le fais- ceau d'Arnold ou faisceau psy
eau géniculé qui est un faisceau moteur ; le fais- ceau d'Arnold ou faisceau psychique, véritable trait d'union entre le cen-
e (1) et il n'y a pas bien longtemps Roussy dans sa thèse (2). Le faisceau psychique passe dans la partie antérieure de la c
térieure de la capsule in- terne, c'est une voie volontaire et tout faisceau volontaire étant un fais- ceau d'inhibition, on
ion est uni ou bilatérale, et, si elle se complique d'une lésion du faisceau géniculé, il y aura,en plus,abolition partielle
paralysie fonctionnelle des muscles de l'épaule, en particulier du faisceau moyen du deltoïde, et si l'on venait à exciter
Goyrand en 1832 émit l'opinion qu'il s'agit là de la formation d'un faisceau dans le tissu cellulaire sous-cutané. Cénas décri
ent devint complet quand le tendon fut délivré de tissu fibreux. Le faisceau fibreux extirpé était assez épais et long de deux
cas légers, applique le massage ou bien l'incision sous-cutanée du faisceau tendu. Dans d'autres cas plus tenaces, il recom-
u. Dans d'autres cas plus tenaces, il recom- mande l'extirpation du faisceau fibreux ; -l'incision doit dépasser le ten- don
ue totale de tubes à myéline, réguliers, cylindriques juxtaposés en faisceaux les uns contre les autres. Le nerf rappelle l'a
me sur les coupes colorées an Weigert-Pal, de la dégénération de ce faisceau ; un coup d'oeil jeté sur nos photogra- phies m
utres parties de la moelle, par exemple aux colonnes de Clarke, aux faisceaux latéraux et aux méninges. On sait aussi que la
ve bien développée à gauche ; à droite on peut également sentir des faisceaux musculaires contractés, mais la masse du muscle
ficulté à conclure que nous avons affaire à une lésion complète des faisceaux pyra- midaux dans la partie supérieure de la mo
ne, passent dans les cordons latéraux et montent dans la région des faisceaux de Gowers. Pour ces sensibilités, cette opinion
téral croisé, et l'autre est celle du cordon postérieur, j'entends le faisceau long, non croisé, de ce cordon. C'est là que pa
i t être expliqué par une extension de cette myélite secondaire aux faisceaux pyramidaux également. C'est là une des deux pos
- minés dans toute la substance blanche, mais surtout au niveau des faisceaux pyramidaux latéraux (un peu plus à gauche). Les
thode de Wei- gert une certaine raréfaction de fibres à myéline des faisceaux latéraux pyra- midaux et dans la région ventral
des faisceaux latéraux pyra- midaux et dans la région ventrale des faisceaux postérieurs, ainsi qu'une di- minution notable
s posté- rieures, des cellules des ganglions intervertébraux et des faisceaux de Collet deBurdach. Les fibres musculaires pré
laire pseudo-systématique d'origine vascullaire prédominant sur les faisceaux de Goll et Burdach et semblables en tout aux lési
clairsemées; on peut cependant en suivre quelques- unes formant un faisceau grêle à la face interne du noyau dentelé. Ce fais
unes formant un faisceau grêle à la face interne du noyau dentelé. Ce faisceau est en dehors des fibres venues des noyaux de D
até ; les pédoncules cérébelleux supérieurs sont réduits à quelques faisceaux de fibres bien colorées, mais peu nombreuses ; be
fié ; dans le hile il existe encore quelques fibres qui sortent en faisceaux . Au point de vue histologique on constate la di
olivaires et dans le hile, les fibres névro- gliques s'unissent en faisceaux qui sortent du bile. On y rencontre là de nombr
e le noyau arciforme est plus réduit; malgré cela on peut suivre un faisceau de fibres arciformes antéro-externes jusqu'au niv
rme ; il est un peu plus faible que du côté droit; de même on suit un faisceau postérieur assez bien développé. Fibres céréb
entent aucune altération appréciable. Le noyau latéral du bulbe, le faisceau latéral du bulbe sont normaux. Pédoncules céréb
nterne du ruban de Reil médian ; il se prolonge en arrière jusqu'au faisceau longitudinal postérieur qu'il coupe. A sa parti
oncule cérébelleux supérieur gauche qui déçussent à ce niveau et le faisceau longitudinal postérieur. A sa partie supérieure
emblable des deux côtés et ne parait pas présenter d'atrophie. Le faisceau longitudinal postérieur est complètement dégénéré
é du côté gauche, on n'y constate plus aucune fibre à myéline. Le faisceau central de la calotte est nettement réduit de vol
ur gauche,c'est-à-dire dans le champ attribué par les classiques au faisceau pyramidal direct ; en revanche le faisceau pyra-
ué par les classiques au faisceau pyramidal direct ; en revanche le faisceau pyra- midal croisé, du côté droit, présente une
et sacrée, elle occupe la zone que l'on assigne classique- ment au faisceau pyramidal croisé. L'examen anatomique nous a do
rébral gauche, avec à son niveau destruction complète des fibres du faisceau pyrami- dal et section presque complète des fib
e gauche, il s'accompagnait d'une dégénération rétrograde légère du faisceau pyra- midal, d'une dégénération ascendante du q
de Reil médian, enfin et surtout d'une dégénération descendante du faisceau py- ramidal, occupant dans la moelle le territo
e du faisceau py- ramidal, occupant dans la moelle le territoire du faisceau pyramidal croisé, respectant au contraire le te
faisceau pyramidal croisé, respectant au contraire le territoire du faisceau pyramidal direct. Ce foyer avait en outre secti
u pyramidal direct. Ce foyer avait en outre sectionné les fibres du faisceau longiludinalpos- térieur gauche et une partie d
aisceau longiludinalpos- térieur gauche et une partie des fibres du faisceau central de la calotte. En face de ces lésions c
érescence de la voie motrice, du nerf moteur oculaire commun et des faisceaux d'association : faisceau central de la calotte et
ce, du nerf moteur oculaire commun et des faisceaux d'association : faisceau central de la calotte et faisceau longitu- dina
et des faisceaux d'association : faisceau central de la calotte et faisceau longitu- dinal postérieur. Il n'y a donc aucu
LLEUSE 615 différents niveaux ; vraisemblablement la décussation du faisceau pyra- midal devait être totale dans le cas qui
t du développement. D'ailleurs il n'existe pas de dégénérescence du faisceau pyramidal. Dans les cas d'hydrocéphalie accompa
royances de la jeunesse, enserrées de toute part sous un formidable faisceau d'arguments qui les ruinent, mal à l'aise d'abord
73 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
on le verra plus loin, grâce à des lésions exactement limitées aux faisceaux moteurs. Avant d'exposer nos propres recherches
lésion qui n'offre point d'intérêt dans le cas particulier. - Le faisceau latéral ou moteur était sclérosé, non ' Sappey
u bulbe à la partie moyenne de l'entrecroisement sensitif. - F S A, Faisceau sensitif postérieur et externe, qui ne pénètre pa
r s'en convaincre de jeter les yeux sur la figure , représentant un faisceau du nerf sciatique chez un cochon d'Inde soumis
çon générale les fibres malades ont de la tendance à se grouper par faisceaux . Mais, de même que dans les faisceaux les plus
a tendance à se grouper par faisceaux. Mais, de même que dans les faisceaux les plus profondément atteints, on trouve toujo
e plusieurs segments qui se suivent (fig. 15) soit qu'on examine un faisceau de fibres parallèles et ayant par conséquent to
sa disparition. Dans la figure 5, planche XXVII, qui représente un faisceau de tubes ner- veux légèrement dissociés, on con
vant et soumis immédiatement à l'action de l'acide osmique. Fig. 1. Faisceau de tubes nerveux examiné à un faible grossis- s
en faveur de la thermométrie véritablement cérébrale; il y a là un faisceau d'observations dont nous avons cherché à montre
bérance d'un chat, avaient été frappés par la présence de quelques faisceaux nerveux qui paraissaient établir une connexion
auteurs arrivent à démontrer : anatomiquement ; I. Que chacun des faisceaux de l'isthme connus sous le nom de bandelette lo
des fibres qui vont, par un trajet croisé, former une partie des faisceaux radiculaires du nerf pathétique du côté opposé. C
ent de la même masse que les noyaux sensitifs du trijumeau; 3° Le faisceau en rapport avec ces ganglions peut être suivi j
e étude histologique des couches qui les constituent, il décrit des faisceaux blancs qui s'étendent jusqu'à la moelle, y form
ient une assez longue étude histologique et anatomique des autres faisceaux des tubercules antérieurs. Puis il termine, en^fa
e dans le Journal of nervous and mental disease, à savoir que les faisceaux qui vont sans interruption aux ganglions supérieu
inière est alors découverte et l'on pratique l'hémisection d'un des faisceaux latéraux à la réunion -des régions dorsale et l
ducteurs d'impressions sensitives. » H. D'O. IV. RECHERCHES SUR LES faisceaux conducteurs dans la moelle chez LE chien; par N
r jusqu'à la paroi antérieure du canal vertébral et la division des faisceaux au bistouri. L'auteur prétend qu'en procédant d
en, il sec- tionne la moelle de manière à ne laisser intacts que le faisceau latéral gauche et le cordon antérieur gauche, t
t for- més de fibres à myéline et de fibres de Remak ; autour des faisceaux nerveux, on distingue nettement une gaîne de péri
E NERVEUSE XL. Tableau CLINIQUE DES dégénérations secondaires DES faisceaux CÉRÉBRO-SPINAUX (cortico-muscularen) ; par M. Mi-
vec M. Charcot, l'auteur admet que la dégénération descen- dante du faisceau pyramidal détermine une irritation perma- nente
de M. Lion : Les centres spinaux auxquels aboutissent les fibres du faisceau volontaire sont irritées par la dégénéra- tion
tion corticale transmise aux cornes antérieures, de ce côté, par le faisceau pyramidal du côté sain et par les com- missures
e innombrable série de modes différents; que, dans certains cas, le faisceau pyramidal s'entrecroise totalement avec son con
une sorte d'appareil vicariant propre à suppléer aux fonc- tions du faisceau pyramidal dégénéré. Dans les observations de co
t leur lésion (du moins pour les trois segments antérieurs), car le faisceau postérieur du pédoncule correspon- dant au tier
mais la dégénération lors des lésions de celle-ci à ce niveau. Le faisceau pédonculaire moyen est destiné à l'innervation
iers antérieurs du segment postérieur do la capsule in- terne. Un faisceau un peu plus interne, de très petites dimensions
rne. Un faisceau un peu plus interne, de très petites dimensions ( faisceau géniculé, Brissaud), correspond au genou de la ca
ssaud), correspond au genou de la capsule et contient les fibres du faisceau pyramidal qui actionnent les muscles de la tête
ctionnent les muscles de la tête et du visage ; dans l'aphasie ce faisceau est généralement dégénéré sur le pédoncule cérébr
au est généralement dégénéré sur le pédoncule cérébral gauche. Le faisceau interne du pédoncule correspond au segment anté
ouvent qu'avec des troubles intellectuels. Puis, l'auteur étudie le faisceau de dégénération dans la moelle et met en lumièr
gie elle est consécutive à un processus irritatif développé dans le faisceau pyramidal et aug- mentant le pouvoir excito-mot
`olées;a enrr quelque 19sôrt'e`; études gang)ipnsGërébrau ? iYt3des faisceaux de fibres qui traversent ilailèapshle) inteTnët
oupe sagittale ' 'X,4ï *11;(, JnouaO'Tjq 0b jSni"if}9 comment les faisceaux qui la constituent se comportent if ? ) tif) 41
r v : =q » - r& » » .^l ? vuelle reçoit, en bas et en dedans un faisceau 9381,id,21-j ); /laifasb 91 ai0 : iiC'> : :
-Hc-r.y. ,verrôns ne7tement proéédért dnlnoÿa Tnroue J btilling. ( Faisceau de M^)1;0^* jjii ™ <™r&la- ]f ^ .(Faisce
ue J btilling. (Faisceau de M^)1;0^* jjii ™ <™r&la- ]f ^ .( Faisceau de Meynert) ? ? i 'y t j r91<1 > ! ' 8R0
yl JW, 9.·,Utmj· ? Ji.l `JIbT"IIT <,(' o)"' t , r ? r1 entre, le faisceau de Meynert et le ruban de Vicqf d Azyr a ix. j»
nt'Irmèrel ou- par, zone .1 La dis- : sociation-de,sesiéléments;ou, faisceaux s'effectue donc ? < ? iJ ? ? liijt' j'J ? J'ii
-t » ' -. ? vJ , jx.j^h.j jujuiiiaiijj.'lJ *'jU vient dejce.oueles faisceaux .y, sont plus,rapproches et vient dfep&.que,
tumeur intra-rachidienne, lorsque les racines pos- térieures ou les faisceaux postérieurs de la moelle sont compromises. « Si
é. Comment le travail irritatif, qui porte sur les racines et les faisceaux blancs postérieurs delà moelle, amène- t-il, en
ésultant du retentisse- ment, par voie réflexe, de l'irritation des faisceaux radiculaires postérieurs sur les nerfs voso-mot
s : I. De sclérose latérale amyotrophique (affection combinée des faisceaux pyramidaux et de certains systèmes de fibres des
cellules dans les pyramides de Clarke). , IL De dégénérescence des faisceaux pyramidaux, surtout dans la moelle dorsale infé
érieurs, de l'ensemble des cordons latéraux dans le cervelet et des faisceaux pyramidaux (moelle dorsolombaire). Méningite ch
des os (nerfs de la), par Va- riot et Remy, 430. Moelle épinièro ( faisceaux conduc- teurs de la), chez le chien, par Weis
vant et soumis immédiatement à l'action de l'acide osmique. Fig. 1. Faisceau de tubes nerveux examiné à un faible grossis- s
commissure cérébrale antérieure. c m L, centre moyen de Luys. si faisceau longitudinal inférieur. o ! ln o, origine grise
, ruban paracentral. /{ V, ruban de Yicl[ d'Azyr. f l. sup, ext., faisceau longitudinal externe. J' t. sup. int" faisceau
r. f l. sup, ext., faisceau longitudinal externe. J' t. sup. int" faisceau longitudinal supérieur interne. f in{., faiscea
J' t. sup. int" faisceau longitudinal supérieur interne. f in{., faisceau longitudinal inférieur. f Al., faisceau de Meyn
upérieur interne. f in{., faisceau longitudinal inférieur. f Al., faisceau de Meynert. gr. c. op., gril de la couche optiq
. gr., gril de la couche optique. F, fasciculus uncinatus. F 111, faisceau de lleynert. F v, fibres d'association veltlcal
74 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
cordons postérieurs est indemne de dégénération ; même au bulbe les faisceaux de Goll et de Burdach existent, .on reconnaît leu
ramidal lui aussi est intact. Seul dans les cordons de la moelle le faisceau cérébelleux direct paraît avoir un volume inférie
dans le tabès,c'est quand il n'y a pas de dégénérescence grise des faisceaux postérieurs dans la partie dorso-lombaire de la
llon médian postérieur; ce territoire intact occupe la situation du faisceau ovale de Flechsig. L'autre branche verticale de
a moelle, sauf au niveau du sillon médian postérieur, respectant le faisceau ovale de Fleclisig ; elle reste très loiu de la c
eure, toutes régions considérées comme endogènes, sont indemnes. Le faisceau ovale de )'lecllsi est regardé par les classiques
faisceau ovale de )'lecllsi est regardé par les classiques comme un faisceau endogène ; pour Nageotte (I), il serait exogène e
fibres longues des racines sacrées inférieures. Dans notre cas, ce faisceau était intact, mais ce fait ne saurait apporter
rotuliens, comme le fait habituellement par exemple l'irritation du faisceau pyramidal consécutive à la lésion cérébrale qui c
lée chez un tabélique, serait un effet de l'irritation que subit le faisceau pyramidal à la suite de la lésion cérébrale, et q
ion cérébrale et la vascularisation ont subi des modifications, des faisceaux de vaisseaux importants ayant été détruits et d
lumière, mais l'amplitude de contraction esl assez faible' pour les faisceaux lumi- neux puissants. A l'examen du champ vis
rine il faut, dansce cas, que la destruction ait atteint aussi « le faisceau arqué, qui réu- nit le pli courbe et la premièr
icule, les vaisseaux, les noyaux de la substance glise, ni dans les faisceaux de la substance blanche du bulbe. L'examen de
fibres normales, ou des fibres fines, ou des fibres agglutinées en faisceaux ; un assez grand nombre de fibres sont réduites
tologique : Dans la moelle, sclérose des cordons postérieurs et des faisceaux cérébelleux, diminution des fibres des racines
téro-latéraux, parfois systématisées et siégeant dans les zones des faisceaux pyrami- daux ou des faisceaux cérébelleux, parf
tisées et siégeant dans les zones des faisceaux pyrami- daux ou des faisceaux cérébelleux, parfois diffuses sous la forme d'un
coupes passant à ce niveau, la substance grise paraît intacte, les faisceaux des cordons antéro-latéraux ne présentent aucur
on suit dans la moelle dorsale et cervicale les dégénérescences des faisceaux ascendants intéressés par la lésion, mais il es
érescences comparativement il l'intensité dos lésions décrites. Les faisceaux antéro-latéraux présentent sur toute la zone marg
-latéraux c. a. l. et de la partie interne des cordons postérieurs, faisceau de Goll c. G. qui est nettement plus clair que
érieurs, faisceau de Goll c. G. qui est nettement plus clair que le faisceau de Burdach c. B. le cordon de Goll gauche est d
a phagocytose, due à Metchnikoff, d'après lequel le sarcoplasme des faisceaux musculaires se (1) 111AncvLSCO, loc. cil. 332
é relativede la corne postérieure ellïnlégl ilé presque absolue des faisceaux blancs. Les lésions ménino-vasculair sont celle
ment sur les cordons latéraux, ce qui explique la dégénéra lion des faisceaux pyramidaux croisés, qu'on observe sur toute la
ant la région centrale, la base des cornes, les zones adjacentes du faisceau pyramidal et la corne postérieure. Elle peut at
ense, elle est comme raréfiée. Les fibrilles se groupent parfois en faisceaux onduleux ou en faisceaux (VD) qui s'enfoncent d
fiée. Les fibrilles se groupent parfois en faisceaux onduleux ou en faisceaux (VD) qui s'enfoncent dans les plis des membranes
s musculai- res striées. Ces éléments, qui ne sont autres que des faisceaux primitifs, se présen- tent avec une telle nette
s petites. La commis- sure postérieure dévie à droite, le sommet du faisceau postérieur gauche avance par dessus celui de dr
essus celui de droite, se recourbe à droite, et couvre le sommet du faisceau droit postérieur. L'aplatissement de la moelle
ig. 4. CARIE DES VEIUÈBRES 39U nent une structure régulière ; les faisceaux postérieurs retournent à la ligue médiane. La d
ire du fais- ceau latéral et la zone antérieure de la périphérie du faisceau antérieur; à droite par contre la pression s'ex
n degré moindre, la par- tie postérieure de la zone périphérique du faisceau latéral. Sur la dure-mère hypertrophiée à l'end
oelle du côté de la partie postérieure de la zone péri- phérique du faisceau latéral gauche. L'examen microscopique constate
l une transparence sous forme de filament dans la moitié gauche des faisceaux postérieurs entre le faisceau de Goll et celui
e filament dans la moitié gauche des faisceaux postérieurs entre le faisceau de Goll et celui de Burdach. On constate égalemen
t celui de Burdach. On constate également dans la moitié droite des faisceaux postérieurs une transparence de développe- ment
corpuscules amylacés que l'on aperçoit égale- ment isolés dans les faisceaux antérieurs, antéro-latéraux et postérieurs. Les e
egment cervical, la transparence commence dans la moitié gauche des faisceaux postérieurs, sur le devant un peu plus bas et sou
s limites sus-indiquées. Toutefois la compa- raison avec les autres faisceaux démontre que déjà tout le champ des faisceaux p
raison avec les autres faisceaux démontre que déjà tout le champ des faisceaux postérieurs est un peu transparent (à part quel
s des deux côtés, à l'endroit où elles pénètrent du dehors dans les faisceaux postérieurs, on constate l'absence des fibres n
postérieurs, on constate l'absence des fibres nerveuses isolées. Le faisceau de Goll dans sa partie postérieure présente une
- parence des fibres apparaît surtout dans la zone périphérique des faisceaux postérieurs, là où pénètrent les racines postér
érieures, dans la zone radiculaire et dans la partie postérieure du faisceau de Burdach. On constate une certaine raréfactio
ntérieure et dans la moitié postérieure de la zone périphérique des faisceaux latéraux. Dans les racines antérieures on constat
que le cas pathologique ait un caractère de processus nouveau ; les faisceaux internes des racines postérieures sont plus dég
eure est bien conservée. La transparence frappe aussi le centre des faisceaux posté- rieurs. Aussi bien dans les racines lésé
75 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
rudimentaires, lés pelotons sudori- pares sont peu développés. Les faisceaux connectifs du derme et les cloisons qui circons
ux sous-cutané sont à peu près à l'état normal. La fibrillation des faisceaux conjonctifs est seulement moins marquée dans le
conjonctifs est seulement moins marquée dans les endroits où i ces faisceaux sont épais, principalement autour des glandes su-
Les lésions des fibres à myéline dans la couche corticale, dans les faisceaux descendants do la substance grise, et dans la s
orientées en colonne, les unes au-dessus des autres, parce que les faisceaux de fibres de la couronne de Reil qui vont jusqu
nche, assez difficile à débrouiller à cause de l'épanouissement des faisceaux de fibres et de la substance blanche, qui s'éca
Pour cela, nous n'avons qu'à profiter de la disposition normale des faisceaux de fibres qui montent dans la substance grise,
çoivent très suffisamment sur les pièces traitées par l'alcool. Ces faisceaux se LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE.
les intervalles en colonne de cellules; en voyant leurs fibres aux faisceaux qui leurs sont contigus. Cette disposition est
e naturellement dans la profondeur de la substance grise, là où les faisceaux sont plus gros, et c'est pourquoi les grandes c
sens horizontale, par la sériation des cellules et les travées des faisceaux dans le sens ver- tical. Il sera donc presque a
riation dans le sens longitudinal indiquera soit une diminution des faisceaux blancs, soit un morcel- lement des couches, par
ndiquer. La seule chose qui le puisse troubler c'est la présence de faisceaux blancs coupés obliquement, mais leurs surfaces
oisonnent le muscle, les petites travées ne sont pas modifiées. Les faisceaux muscu- laires eux-mêmes ne paraissent pas altér
uche des grandes cellules pyramidales ne se com- posent plus que de faisceaux fibrillaires descendants avec de nombreuses cel
de Clarke sont conservés. Cette lésion est symélriquc. La partie du faisceau latéral comprise dans la concavité des cornes e
amellaire et les cylindres-axes sont nurmaux; il en est de même des faisceaux musculaires, qui, sous les coupes transverses,
trois couches : la plus superficielle, mince et homogène, formée de faisceaux parallèles de fibres fines, avec de petits noya
s un tissu fibrillaire dont les fibrilles convergent en bas par des faisceaux distincts. La troisième couche est occupée par
ar des faisceaux distincts. La troisième couche est occupée par ces faisceaux et un certain nombre de cellules. Ces masses de
par ces faisceaux et un certain nombre de cellules. Ces masses de faisceaux fibrillaires accompagnent les vaisseaux et formen
tes. Dans les cornes antérieures, le tissu interstitiel forme des faisceaux fibrillaires volumineux et entre-croisés autour d
76 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
présenter seulement un état strié, ondu-leux, rappelant l'aspect d'un faisceau de tissu cellulaire sous-cutané; mais cet aspect
asculaire. Sa substance est striée longïtudinalement, à la façon d'un faisceau de tissu conjonctif disposé dans le sens de l'axe
et là, en une sorte de boue brunâtre. Au microscope, les fragments de faisceaux primitifs provenant des parties altérées du muscl
eaux primitifs provenant des parties altérées du muscle, comparés aux faisceaux pris sur les parties saines, offraient en général
le était quel quefois encore apparente ; mais, pour la plupart, les faisceaux primitifs, sombres, opaques, étaient chargés de g
substance finement granuleuse, amorphe. Le tissu conjonctif offre des faisceaux fibrillaires nombreux, dont les fibrilles sont le
iiignes et les autres diversement contournées, ondu-leuses. Outre ces faisceaux filamenteux, il y a de nombreux noyaux, d'un diam
re plus clairement les noyaux embryo-plastiques, et il fait pâlir les faisceaux de tissu conjonctif. La soude ne détruit non plus
ces pratiquées perpendiculairement à la direction des fibres, que les faisceaux primitifs du biceps droit offrent une surface de
s gauche, au contraire,les intervalles sont plus considérables et les faisceaux primitifs, d'ailleurs très-notablement plus volum
normal. Les noyaux clu sarcolemme paraissent dans les intervalles des faisceaux plus nombreux à droite qu'à gauche. D'ailleurs, l
s, la transparence et l'aspect grenu des surfaces de section de ces faisceaux sont exactement les mêmes des deux côtés. Exame
et peut-être aussi dans les cloisons du tissu lamineux interposé aux faisceaux tendineux. Les douleurs articulaires étaient ic
je provoque également ces trois phénomènes classiques delà lésion des faisceaux latéraux de la moelle. Il faut donc chercher aill
ivants : cubital antérieur ; fléchisseur profond des doigts (les deux faisceaux internes destinés au petit doigt et à l'annulaire
urs rameaux nerveux du nerf cubital le nerf médian innervant les deux faisceaux externes) ; interosseux dorsaux et palmaires ; mu
r de la main sur l'avant-bras. Fléchisseur profond des doigts (deux faisceaux int.). —Fléchisseur des dernières phalanges des d
s étendue du nerf cubital au muscle fléchisseur profond dont les deux faisceaux externes habituellement innervés par le médian re
ette hypothèse, des rameaux du nerf cubital qui innerve déjà les deux faisceaux internes. On pourrait admettre aussi qu'il existe
léchisseur propre du pouce ; fléchisseur profond des doigts (les deux faisceaux externes sont seuls innervés par le médian, les d
s deux faisceaux externes sont seuls innervés par le médian, les deux faisceaux internes étant innervés par le cubital) ; les deu
phalangette du pouce. Fléchisseur profond des doigts (dont les deux faisceaux qui correspondent à l'index et au médius sont seu
èmes phalanges et est due à l'action du fléchisseur sublime. Les deux faisceaux du fléchisseur profond dont l'action porte sur le
-être de la deuxième. — Le mouvement d'opposition est exécuté par les faisceaux des muscles de l'éminence thénar qui s'attachent
radisation il est facile de faire contracter isolément les différents faisceaux d'un même muscle.) b) La contracture d'un muscl
de localiser exactement l'action électrique sur un muscle ou sur un faisceau musculaire. 11 put ainsi démontrer clairement l'a
ure ; b) Du degré de localisation de l'excitant dans les différents faisceaux du même muscle. 11 est facile de localiser l'exci
uscle suit toujours l'excitation mécanique partielle d'un seul de ces faisceaux ; c) De la propagation de l'excitation. Dans l'é
rique rencontre souvent un ou deux filets moteurs qui se rendent à un faisceau musculaire voisin, lorsqu'il est un peu intense o
écorce grise, siège des phénomènes psychiques, à l'aide des fibres du faisceau pyramidal qui représente, en quelque sorte, une g
emble de faits sur lesquels je ne puis m'étendre, que ces fibres du faisceau pyramidal transmettent, les unes, les excitations
d'autres servent à l'inhibition. On sait, en outre, que la section du faisceau pyramidal a pour effet d'exalter, chez un sujet n
cela se voit, par exemple, dans le cas de dégénération secondaire du faisceau pyramidal, à la suite de certaines lésions en foy
que, dans l'hystérie, il y a un état purement dynamique des filets du faisceau pyramidal et des cellules où ils prennent origine
s les centres moteurs centraux, et en conséquence, dans les fibres du faisceau pyramidal. Par suite, rétablissement de l'inhibit
ède. Si la pointe est approchée à G ou 8 centimètres, on a Vaigretïe, faisceau de fines stries lumineuses, noyées dans une sorte
77 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r de myélite transverse, qui constitue, avec la dégénérescence du faisceau pyramidal consécutive à la myélite, une sclérose
une dégénération nettement localisée au pédoncule céré- belleux, au faisceau central de la calotte et au faisceau longitudi-
au pédoncule céré- belleux, au faisceau central de la calotte et au faisceau longitudi- nal postérieur. Les lésions médullai
ées vasculo- conjonctives que l'on trouve à l'état normal entre les faisceaux nerveux. Les nerfs de volume très réduit ne pré
t au-dessous de la pie-mère, à la périphérie du nerf. Le passage dp faisceau maculaire, faisceau de la vision distincte, à l
ie-mère, à la périphérie du nerf. Le passage dp faisceau maculaire, faisceau de la vision distincte, à la périphérie du nerf
médian de ]3eclitei-ev, le noyau inomiaé de Hechterew, le noyau du faisceau pédonculaire- transverse de Becll- terew et Kir
rieur, c'est-à-dire celles qui représen- tent les prolongements des faisceaux essentiels du cordon latéral de la moelle. Auss
l est le réflexe du muscle sous-épineux. Il faut frapper non où les faisceaux musculaires convergent vers la tête de l'humérus,
ntraction du grand pectoral s'accompagne non seulement de celle des faisceaux antérieurs du deltoïde, mais parfois même de; c
lésion du pli courbe. C'est aux dégénérations secondaires dans les faisceaux d'association que les auteurs attribuent l'apha
vement aux lésious cérébrales très vastes le tractus de sclérose du faisceau pyramidal direct, non seulement n'occupe pas la
cendent des fibres « parapyramidales » qui n'appar- tiennent pas au faisceau pyramidal d'origine corticale bien qu'elles occ
tion des mouvements, apparurent des tiraillements involontaires des faisceaux muscu- laires, de la parésie du nerf facial dro
quel apparaissent de temps en temps des contractions tétaniques des faisceaux musculaires isolés, de la durée de quelques -se
éférenciellement des contractions plus lentes, se pro- pageant d'un faisceau musculaire à l'autre, et envahissant tout le mu
consiste dans cela que les contractions variables involontaires des faisceaux musculaires ne sont pas les tiraillements « fib
t trouver dans la moelle des noyaux répondant à chacun des grands faisceaux du muscle. Il est remarquable de voir que la di
Au point le plus éloigné de l'axe des noyaux qui appartiennent aux faisceaux de Goll et de Burdach, les fibres dégénérées se
égénérées se groupent dans toutes la substance blanche restante des faisceaux de Goll ainsi que dans l'angle posiél'o- médian
e des faisceaux de Goll ainsi que dans l'angle posiél'o- médian des faisceaux de Burdach : il y en a autant des deux côtés. -
nce, les fibres de l'auditif s'entrecroisent et se groupent en deux faisceaux de forme arrondie presque régulière qui apparti
eau précisé tout à l'heure, on trouve des fibres dégénérées dans le faisceau longitudinal posté- rieur. On les suit dans le
plètement altérée : il existe encore quelques fibres indemnes et le faisceau pyramidal n'est pas totalement dégénéré. D'aill
berg. Ce dernier auteur croit avoir trouvé que la pile de noyaux du faisceau solitaire reçoit par devant les fibres du goût
hez certains individus, prendre une part exagérée à la formation du faisceau solitaire. Au moment de son départ, le malade a
e témoignent a un faible grossisse- ment de la coloration rouge des faisceaux pyramidaux et des olives qui contraste avec la
en arrière, se rappro- chent, où les fibres diminuent fortement. Le faisceau latéral du cervelet du côté gauche et le noyau
urs des tubercules quadriju- meaux, avec remarques sur le trajet du faisceau central de la calotte; par J. SORCO. (Neurol. C
iste dans la région des tubercules quadrijumeaux, non seulement des faisceaux moteurs, mais des centres moteurs qui commanden
aire de la couche opti- que. ' P. KKHAYAL. LXXV. Des relations du faisceau longitudinal inférieur avec le ruban de Reil et
son lobe temporal et de son lobe occipital a cependant conservé son faisceau longitudinal inférieur : il est facile de voir
au lobe temporal, comme le prétendent les auteurs qui en font un faisceau d'association, mais au cervean moyen. Fleclisig d
sur l'enfant âgé de six semaines, il résulterait ce qui suit. Le faisceau longitudinal inférieur a son plus gros volume au
let est myélinisée. Dans la région du corps genouillé externe, ce faisceau se com- pose de deux espèces de fibres. 1° En d
t un éventail. Cet éventail affecte quatre directions : a) celle du faisceau longitudinal inférieur avec lequel il se confon
ion il résulte que la partie ex- terne du ruban de Reil projette un faisceau rayonnant qui s'épa- nouit dans le noyau amygda
e temporale, dans les ascen- dantes, le gyrus lingual, le coin. 'Ce faisceau , identique aux fais- ceaux protubérantiels de S
au, identique aux fais- ceaux protubérantiels de Schlesinger, ou au faisceau moteur du Ruban de Reil de Hoche, émané des cen
centres olfactifs, optiques, auditifs, sensitifs du cerveau, est un faisceau primaire moteur rayonnant. P. KEHAVAL. Du poi
mmatoires) portant plus particulière- ment sur certains systèmes de faisceaux . Par l'époque de son appa- rition, son aspect c
on du cerveau sans altération de l'écorce, et, dans un autre, où le faisceau sensitivo-moteur était complète- ment détruit.
eur était complète- ment détruit. Il semble donc que les lésions du faisceau moteur seul n'exercent sur la-production de ce
isent souvent par de la diminution; que les lésions destructives du faisceau sensoriel peuvent anéantir ce réflexe et enfin
sont plutôt un peu diffuses dans le cordon latéral et même dans les faisceaux postérieurs. Ces lésions sont variables d'étend
lepsie. par Ossipow et Borischpolsky,-325 Face. Voir Paralysie. Faisceau longitudinal. Voir Reil. Fibres. De la quotité
de et Chénals, 405. Regard. Voir Phobie. HEIL. Des relations du faisceau lon- gmulmal mférieur avec le ruban de - et d
des tubei- cules quadrijumeaux avec remar- ques sur le trajet du faisceau central de la calotte, par Sorgo, 397. Cas in
78 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
clérose cérébrale; d'autres fois on a soup- çonné une altération du faisceau postérieur du segment posté- rieur de la capsul
ne pouvant exister qu'au delà du point où le facial est dissocié du faisceau des membres. En outre, paralysie complète avec
n résumé, la lésion intéressait à la fois l'hypoglosse gauche et le faisceau moteur droit, elle ne pouvait donc se rencon- t
M. LEVET (le'), SANTE- noise (2e) et Lalanne (3°). Epreuve écrite : Faisceau pyramidal ; .épreuve orale : Formes cliniques d
escriptions des auteurs, 'quant à la situation topographique de ces faisceaux , on s'aperçoit rapidement que l'accord- est loi
posés de la moelle, il semble que jusqu'ici on n'ait attribué à'ces faisceaux qu'un trajet assez court, d'où le nom de fibres
nous attirons l'attention non seule- ment sur la topographie de ces faisceaux , mais aussi sur la longueur du trajet de quelqu
nu nous avons été amené à la suite de cette étude sur le trajet des faisceaux endogènes dans les cordons postérieurs à fourni
s une étude plus complexe. lorsqu'il s'agit de fibres endogènes, de faisceaux dont la topo- graphie, la longueur, l'existence
sposition à un réseau plus élevé de porter ici le nom de zone ou de faisceau sulco- commi=sural postérieur ou encore seplo-c
u rapprochées de la périphérie et pour la deuxième fois, forment le faisceau angu- laire dont nous avons parlé plus haut.
ajet inlra-médullaire des racines postérieures de ce qui releve des faisceaux endogènes. Toutes ces fibres sont en con- tact
uparavant et puisque nous allons parler de fibres endo- gènes et de faisceaux commissuraux des cordons postérieurs, il 1 Hoch
é d'établir par des documents ou des opi- nions antérieures que ces faisceaux ne peuvent être ni des filets radiculaires desc
être vus au moins pour le second que microsco- piquement. 1° Les faisceaux endogènes des cordons postérieure ne doi- vent
res descendants existent, ils ne sauraient être conl'ondus avec les faisceaux endogènes anté- rieur ou postérieur. Ils n'en o
topographie, ni la longueur au moins pour le postérieur. ' 2° Les faisceaux dits endogènes dans les cordons postérieurs ne
eprésenté Hoche. Dans les régions inférieures de la moelle, seul le faisceau postérieur a subi la dégénérescence, la zone an
ence au voisinage du septum dans le cône médullaire, d'où le nom de faisceau sulco-commissural. Dans la région sacrée nous l
t intact lors de lésions localisées aux racines postérieures. Les faisceaux de ce système n'atteignant pas la périphérie de
sale infé- rieure. Plus haut, c'est à ce système qu'appartient le faisceau virgule de Schultze.. , D'une façon générale
. 96 AN1'r0lZI. considère placées à la région cervicale entre les faisceaux de Burdach et de .Goll ; à la région sacrée à l
s sont au contraire retrouvées intactes. i Le trajet suivi par ce faisceau varie suivant la hauteur de son parcours, mais
me de triangle médian décrit par 11OI. Gombault et Philippe. Donc faisceau postérieur, faisceau angulaire, centre ovale de
décrit par 11OI. Gombault et Philippe. Donc faisceau postérieur, faisceau angulaire, centre ovale de Flechsig, triangle m
ogène à long trajet des cordons postérieurs. Le déplacement de ce faisceau ne s'opérant qu'à la péri- phérie, on comprend
icale jusqu'à la partie terminale de la moelle. La continuité de ce faisceau peut facilement échapper à cause de sa situatio
ervicale ou dorsale supé- rieure se traduira par la dégénération du faisceau virgule de Schultze, accompagnée sur toute la h
ute la hauteur de la moelle de la dégénération descendante de notre faisceau à long trajet. Si la compression siège plus bas
TOMIE. ' indiqué les différentes positions et il y aura toujours le faisceau à long trajet. Au point de vue des lésions ta
sition topographique, ne représentent nullement le volume exact des faisceaux que nous étudions. BIBLIOGRAPHIE. 1. Barbac
e des cordons postérieurs ou des nerfs qui sont en rapport avec ces faisceaux . M. Koppen émet des doutes, en raison des consi
ette lésion à celle qu'a signalée M. Parisot (partie postérieure du faisceau géniculé), l'auteur conclut que le. passage du
térieure du faisceau géniculé), l'auteur conclut que le. passage du faisceau facial dans la capsule interne n'est pas identi
des réflexes et des réactions électriques, sur la persis- tance de faisceaux contractiles dans les muscles dégénérés et sur
sser que les cornes antérieures sur un point limité, respectant les faisceaux pyrami- daux et le cordon postérieur. L'ictus s
mieux connues- sont celles de la troisième frontale qui forment le faisceau pédiculo- frontal de Pitres, occupent le genou
de surdité psy- chique, la localisation de la lésion serait sur le faisceau unissant le centre de réception commun des sens
e, entre le cervelet et les cellules du « tegmentum pontis » ; 4° Faisceau interne du pied du podoncule. - D'après les reche
rmant quelques fibres arquées internes; 6° Fibres collatérales du faisceau longitudinal postérieur : elles passent en part
s à la contraction simultanée de plusieurs muscles, ou de plusieurs faisceaux de fibres musculaires appartenant à des muscles
ieure chronique dans la partie cervicale; plus bas, degénératlon du faisceau pyramidal fauche et du vaisseau de Turck droit.
les différentes méthodes employées en histologie cérébrale et les faisceaux qui composent le cerveau et la moelle épinière. L
périphérique, il semble très commode de décrire la marche de chaque faisceau en le suivant à travers les régions qu'il est a
rieures et antérieures; les fibres du tronc cérébral ainsi que les faisceaux qui unissent les différentes parties de cette rég
in, les fibres des hémisphères cérébraux qui com- prennent : a, les faisceaux unissant l'écorce hémisphérique et les noyaux c
noyaux du tronc cérébral (système des libres de projection), et b, faisceaux reliant entre eux les divers territoires des hé
79 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es premières : or celles-ci correspondent presque exclusivement aux faisceaux ^ sensoriels centraux, c'est-à-dire aux compart
e, saillie qui parait tenir elle-même à la prédominance d'action du faisceau supérieur (claviculaire) du muscle par suite de
inière avait conservé son volume normal, il y avait des lésions des faisceaux de Bur- dach dans la région dorsolombaire et du
quer la fonction précise de l'une ou l'autre partie, noyau rouge ou faisceau pyramidal. A ce point de vue, notre cas devient
fibres) ; 2° en totalité, le noyau rouge ; 3° la moitié interne du faisceau sensitif. B, à droite : 11 la partie interne du
nté ensuite par la méthode de Marchi de rechercher l'existence d'un faisceau rubro-spinal qui établirait des relations entre
et la protubérance dans une région située immédiatement en avant du faisceau longitudinal pos- térieur, en petit nombre dans
petit nombre dans les fibres du ruban de Reil et dans la région du faisceau de la calotte ; mais la voie pyramidale médullair
médullaire était intacte et il nous u été impossible de trouver un faisceau rubro- spinal. Au surplus, on peut faire des ré
t n'ayant pu ainsi créer une dégénérescence immédiate et massive de faisceau comme le font un ramollissement et une hémorrag
t que dans ces circonstances la méthode de Marchi n'a pas montré un faisceau dégénéré dans la moelle cervicale. Le cas que n
épidation spinale et contracture, signature de la dégénérescence du faisceau pyramidal. En elfet, les méthodes de coloration
son dans la des- truction de certaines parties du pédoncule. 1 Le faisceau sensitif médian du côté droit est altéré. Cette
ndre de grosses lésions pédonculaires, de déficit, ayant atteint le faisceau géniculé du pied du pédon- cule, d'autant plus
. Aussi, chez notre malade, sans nier absolument la perturbation du faisceau géniculé gauche par le néoplasme si voisin.de c
bation du faisceau géniculé gauche par le néoplasme si voisin.de ce faisceau , puisqu'il a détruit la zone de sortie de la tr
iendrait à la moelle par la voie cérébelleuse descendante et par un faisceau rubro-spinal. La deuxième aurait son centre d'o
d'origine dans l'écorce motrice et parviendrait à la moelle par le faisceau pyramidal. On comprend dès lors que la lésion d
protopathique, par exemple. On sait depuis Kôlliker que les divers faisceaux blancs de la moelle ne sont pas tous engainés d
fec- tant d'ailleurs une topographie radiculaire. Hypertrophie du faisceau pyramidal. M. et 11 ? DÉaemE montrent les prépa
à peine diminué de volume et remplissait toutes ses fonctions, le faisceau homolatéral de ce côté étant intact et volumineux
sectionnées, pas même lors- qu'il y a dégénérescence secondaire des faisceaux pyramidaux, - qui peuvent contenir un certain n
nt ou détruisant la première racine dorsale gauche, interrompant le faisceau de Cowers, comprimant en arrière le faisceau py
auche, interrompant le faisceau de Cowers, comprimant en arrière le faisceau pyramidal croisé et en dedans les groupes des c
e varole ; en arière, par la formation réticulaire qui la sépare du faisceau longitudinal pos- térieur ; sur les côtés, le n
longitudinal pos- térieur ; sur les côtés, le néoplasme touche les faisceaux les plus médians du ruban de Reil et les fibres
observés et les lésions trouvées. En effet, pas une seule fibre du faisceau pyramidal gauche n'a été interrompue, pas une seu
bles d'irrigation que la tumeur a engendrés dans le territoire du faisceau pyramidal, au niveau du pont. - E. B. REVUE DE
ent les racines anté- .rieures, entre la moelle et la dure-mère. Le faisceau pyramidal, dans le cordon latéral, n'offre rien
excite les parties postérieures du cordon latéral. Le territoire du faisceau pyramidal ne présente aucune particularité. Un
appliqué sur n'importe quel cordon postérieur et sur n'importe quel faisceau de ce cordon, engendre un mouvement bilatéral s
s grand nombre si l'on excite simultanément un plus grand nombre de faisceaux radiculaires postérieurs, en enfonçant les aigu
s fibres du REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 493 faisceau pyramidal ne possèdent pas d'excitabilité individ
amp d'investigations plus large. P. Keraval. XXX. La destruction du faisceau pyramidal à l'entrecroisement ; par M. ROTIDIAN
errompre complètement la transmission du cerveau à la moelle par le faisceau pyramidal. L'entrecroisement des pyramides git,
struction totale de l'entrecroisement des pyramides avec lésion des faisceaux constitutifs des cordons antérieurs. Inté- grit
s. Mais il est, d'autre part, établi qu'une partie considérable des faisceaux de Goll et de Burdach, après avoil été interrom
ieurs et des cordons latéraux. C'est une affection systématique des faisceaux centripètes et centrifuges du cervelet, entée s
corps optostriés, et du cervelet. On y trouve la dégénérescence du faisceau cérébelleux des cordons postérieurs, chargé d'exp
ofondes, celle des cordons latéraux du cervelet et d'une portion du faisceau de Gowers et Bechterew qui transmet au cervelet
choréiformes. Alors le cervelet est atrophié dans sa totalité, ses faisceaux centrifuges sont lésés sous la forme de dégé- n
séminée dans la région du reliquat des cordons antérolatéraux et du faisceau intermédiaire du cordon latéral des pyramides.
riedreich ou du tabès est cérébelleuse. Elle tient à une lésion des faisceaux des cor- dons postérieurs et latéraux dans le c
n'est pas tout ; en dehors de ces preuves directes on rencontre un faisceau de preuves morales (âge, sexe, hérédité, profes
i, qui n'existe pas de l'avis de son auteur dans tons les cas où le faisceau pyramidal est lésé, qui, d'autre part, ne sembl
s du pied indiquerait une perturbation de cette autre fonc- tion du faisceau pyramidal, qui consiste à maintenir un certain
Maladies ? 7 : en- tales. Exicitation électrique. Voir Moelle. Faisceau pyramidal. Hypertrophie du ; par) ? Z 177 La
80 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'apparence du tissu normal, et se laissant difficilement diviser en faisceaux de libres. Les aponévroses sontmincesut sans
nt dit était très épaissi et composé d'élé- ments conjonctifs el de faisceaux fibreux, se groupant de façon à constituer deux
col de la corne postérieure (figure) soient identiques à celles du faisceau anormal sus-décrit : on aurait alors une dispos
es qui apparaissent inopinément dans la portion anté- rolatérale du faisceau cunéiforme (figure). Le petit faisceau dispersé
ortion anté- rolatérale du faisceau cunéiforme (figure). Le petit faisceau dispersé dans le cordon postérieur se divise en
s pénètrent peu à peu ; en la traver- sant elles viennent toutes au faisceau latéral des pyramides au- quel elles appartienn
oie de décadence des deux côtés. Au niveau de l'entrecroisement, un faisceau anormalement rirronscrit occupe la portion anté
ndante. Les branches ascendantes occupent d'abord le territoire des faisceaux de IIl11'darh ; puis, graduelle- ment, poussées
s et de toutes les racines cervicales passent exclusivement dans le faisceau de Burdach. C'est au milieu des cellules des no
s en ramuscules arbori- l'ormes. Mais toutes les libres de ces deux faisceaux ne vont pas aux noyaux correspondants ; une par
irectement dans les corps restiformes et de la au cervelet. , Les faisceaux latèro-cèrèbelleux et les faisceaux de Gozovrs so
s et de la au cervelet. , Les faisceaux latèro-cèrèbelleux et les faisceaux de Gozovrs sont L si voisins, si étroitement un
over de myélite, à peu près au niveau de la 3e paire cervicale, les faisceaux en question se groupent en longs trousseau prés d
a partie postérieure, la plus étroite et la plus compacte, forme le faisceau latéro-cérébelleux, la partie antérieure, plus
ceau latéro-cérébelleux, la partie antérieure, plus large, c'est le faisceau de Gowers. En montant, ces deux faisceaux se se
eure, plus large, c'est le faisceau de Gowers. En montant, ces deux faisceaux se serrent l'un contre l'autre et pénètrent da-
dans la substance blanche. En même temps la portion postérieure, du faisceau latéro-cérébellcux émet un étroit fascicule de
de libres issues des racines postérieures qui, occupant d'abord les faisceaux latéro- cérébelleux, avoisinenl, dans les régio
postérieurs, pour se terminer avec ces derniers dans les noyaux des faisceaux de Goll et de Burdaclt. Une partie des libres d
r le reste de la des- cription, c'est à peu près celle de Solder. Faisceau olivaire. - Petit faisceau des cordons antérieurs
ption, c'est à peu près celle de Solder. Faisceau olivaire. - Petit faisceau des cordons antérieurs par- lant du foyer el lo
iennent ces libres ? Des racines posté- rieures ou des cellules des faisceaux ? L'interruption transversale et totale de la m
encéphale par les libres terminales de la bandelette olfac- tive ou faisceau conduc'cur centripète rhinencéphalo-hippocam- p
portent davantage sur la substance blanche que sur l'écorce, et les faisceaux d'associa- tion paraissent souffrir plus que ce
giquementcontrôlée, du noyau oculo-moteur commun, et l'intégrité du faisceau longitudinal postérieur ainsi que de quel- ques
ssent aux auteurs pu argu- ment probant en faveur de l'existence du faisceau anftSL0111(11111U1' décrit par lluval et Labord
111U1' décrit par lluval et Labordo lu noyau de l'abducens et les faisceaux radiculaires du moteur commun. 1 ? l'ISSOT. 1X\
afférente de lleld abandonne à l'élément cellulaire de soutien des faisceaux de, fibrilles qui s'anastomosent entre elles et
e, dans des travaux précédents, on trouvait que, parmi les nombreux faisceaux de fibrilles d'un calice, une partie seulement
s noyaux, la tunique moyenne a un aspect hya- lin. Quelques rares faisceaux lien eu.\. visibles ne montrent- aucune altérat
, de rigidité d'origine purement spinale, et que les altérations du faisceau moteur vn- lontaire sont la conséquence des lés
deux imbéciles (l planche), - 1. S\[.LE A<;)[\Mt ! ! )\rr.T. Le faisceau longitudinal inférieur elle faisceau optique ce
.LE A<;)[\Mt ! ! )\rr.T. Le faisceau longitudinal inférieur elle faisceau optique central. 1 t : nF. Contribution expérimen
e de Babinski il est indépendant d'une dégénéra- lion quelconque du faisceau pyramidal,; d'ailleurs, l'atrophie de la corne
aduit par la contraction de tout le ventre du muscle ou d'un de Ces faisceaux Sur toute sa longueur, diffère de la contrac- t
pargnant, d'une part, une zone marginale latérale correspondant aux faisceaux cérébelleux, devenant plus intense, d'autre par
x cérébelleux, devenant plus intense, d'autre part, au niveau des faisceaux pyramidaires directs et croisés. Les lésions des
âillement, au prurit, sont d'autant plus prononcés que la lésion du faisceau pyramidal est cliniquement plus évi- dente et p
sont le tabès et la paralysie générale : : - simple raréfaction des faisceaux pyramidaux consé- cutive aux lésions d'encéphal
aux lésions d'encéphalite diffuse ; dégénérescence mas- sive de ces faisceaux secondaire à une lésion encéphalique en foyer o
yotrophique, mais s'étendent sou- vent aux fibres centrovalaires du faisceau pyramidal et jusque dans l'écorce grise (1). ,
u, presque au complet, des psychopathies dites organiques avec leur faisceau de symptômes de diminu- tion et de perturbation
issu lâche de cellules fusiformes, enfin vient la couche propre des faisceaux de la capsule. A l'extérieur, une zone en dégén
observe des cellules névrogliques gonflées, et des altérations des faisceaux myéliniques. Mais tous ces processus irritatifs
81 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ction tonique partielle, per- sistant pendant quelques instants, du faisceau percuté. Plus récemment encore, Pétrone (Bivisl
ont bien développés, le mollet a une circonférence de 31 cent. Un faisceau musculaire du biceps fémoral, enlevé pour l'obs
chronique avec dé- génération scléreuse descendante consécutive des faisceaux latéraux ? L'enchaînement et l'apparition progr
ait pas mention. Leurs branches se dirigent en dehors, couvrent les faisceaux latéraux de leurs ramifications et four- nissen
cheminent sur la face antérieure des cordons latéraux au milieu des faisceaux des racines, tantôt formant des sortes d'anses
thode est celle de Gudden, consistant à rechercher les atrésies des faisceaux infracorticaux qui succèdent à des mu- tilation
visuelle devrait être considérée comme noyau purement optique. Les faisceaux de la couronne rayonnante et de la cap- sule in
blllalamique, des pé- doncules cérébraux, de la moelle allongée, du faisceau pyra- midal. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 97
deux dernières observations témoigne de l'action conductrice des faisceaux blancs émanés de la région de Broca, celle-ci é
stérieurs à la région lombaire ; les segments les plus externes des faisceaux cunéiformes, et les cordons postérieurs à la ré-
n-persistance de l'ataxie malgré la lésion du trousseau externe des faisceaux cunéiformes, tendant à admet- tre que, si le su
u cubital gauche, en corrélation probable avec la forte atteinte du faisceau cunéiforme cervical du même côté, - sur l'absen
aussi spontanés. L'élongation détermine-t-elle la régénération des faisceaux atro- phiés dans les organes centraux ? pour M.
systèmes atteints, no- tamment la coïncidence des lésions dans les faisceaux posté- rieurs et latéraux (Westphal) et en même
des cornes antérieures à l'envahissement des cordons latéraux et du faisceau pyramidal, l'une étant pour lui le point de dépar
roite, difficile à expliquer, car 1'liémorrhagie était trop loin du faisceau pyramidal pour en rendre compte. Élongation d
n PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 165 quatre 'ou cinq faisceaux ; son tronc ne paraît du reste nulle- ment dégé
'état isolé, se dis- socient mal d'ordinaire et restent groupées en faisceaux ondulés et cohérents. Alors elles apparaissent
s vive. Cette apparence rappelle jusqu'à un certain point celle des faisceaux conjonctifs; aussi peut-on dénommer cette varié
re 4 repro- duit l'une d'elles); de loin en loin existent aussi des faisceaux de gaines vides (type 5) avec apparence conjonc
épaissies qui sillonnent le nerf en tout sens et circonscrivent les faisceaux altérés. De ces travées partent des cloisons se
i contiennent encore de la myéline, c'est à peine si, dans certains faisceaux , on en peut trouver trois ou quatre présentant
nt des nerfs du voisinage de l'escliare fessière (Obs. I); fig. 16, faisceau de fibres non dissociées; / : y. 17, fibres iso
e allongée, n'intéressant que les segments les plus postérieurs des faisceaux de Goll. On est, par conséquent, en droit de supp
urs qui atteint une partie bien plus étendue de ces organes que les faisceaux de Goll.Par suite, laportion interne des cordons
courts tractus. Il faut remarquer que la dégénérescence stricte des faisceaux de Goll n'entraîne en apparence aucun symptôme.
ante des cordons latéraux occupe généralement non pas seulement les faisceaux latéraux cérébelleux de Fleclisig, mais encore
la sclérose latérale amyotro- phique. Il y, existe en tout cas des faisceaux mixtes. Quelques fibres disséminées des cordons
séminées des cordons latéraux dégénèrent aussi en bas en dehors des faisceaux pyramidaux. Séance du 4 juin 1882. La communi
ons conjonctives dans la profon- deur du nerf entourant d'abord les faisceaux , puis les comprimant et finalement les atrophia
'r lt ') 1 ' 1 1 t 4 à 1 Recherches analomiques et cliniques sur le faisceau sensilif et les troubles de la sensibilité dans
ême.du sciatique gauche. On aperçoit distinctement, au milieu des . faisceaux nerveux, un certain nombre de libres altérées e
-m ? 01, obturateur interne; FS, fessier supérieur; 1, 2, les deux' faisceaux du iombo-sacre'a.Dant, l'un au sciatique poplité,
us pourrions les répéter pour les paires lombaires et sacrées : les faisceaux qui.se rendent aux différents nerfs offrent des
) ; bien que, dans l'observation II, les deux cordons de Türclc, le faisceau pyramidal dans les cordons latéraux, la portion
aisceau pyramidal dans les cordons latéraux, la portion interne des faisceaux cunéiformes à la région cervicale supérieure, l
erne des faisceaux cunéiformes à la région cervicale supérieure, le faisceau pyramidal et les deux cordons posté- rieurs à l
lle ail décelé d'altération dans les cordons latéraux. Intégrité du faisceau pyramidal jusque dans les tractus intraccrebrau
que sa, systématisation minutieuse et .9 a Ite ,,ou tel .ordre de,, faisceaux ,,(de Goll, ,Ldté LBur; dach, etc..) s'oppose à
nt des nerfs du voisinage de l'eschare fessière (Obs. I) ; fig. 16, faisceau de fibres non dissociées; fig. 17, fibres isolé
82 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eures et ne saisit plus les limites entre le Moi et le non-Moi. Les faisceaux d'association exercés à la coordination habitue
eil. Il y avait des kystes dans le foie et le rein. Dégénération du faisceau pyramidal gauche; dimi- nution de nombre des ce
sé; il existe une dé- générescence ou un arrêt de développement des faisceaux pyrami- daux et des cordons de Goll. M. Bruns
et en bas vers.la première dorsale. La lésion porte surtout sur le faisceau de Burdach et mieux encore sur la portion de ce
se la zone radiculaire postérieure. Parallèlement à cette lésion du faisceau de Burdach, on observe une autre lésion qui cor
due à des lésions dans cha- que capsule interne; dégénérescence des faisceaux pyramidaux directs et croisés; par COL31AN. Iir
segment postérieur et le segment rétro- lenticulaire, les fibres du faisceau de Furet qui constituent le cin- quième externe
r l'étude de la substance blanche des hémisphères, c'est-à-dire des faisceaux d'association et commissuraux. Quant aux fibres
générescence secondaire est là d'une utilité remarquable. Parmi ces faisceaux , que l'étude préalable des coupes microscopiques
isés à comprendre, il en est un nouveau, décrit par les auteurs, le faisceau occipito-frontal, reliant le lobe temporo-occip
raduit dans les Archiv f. Psych., t. X1X') dans lequel il décrit ce faisceau sous le nom de faisceau' ovale de la calotte, s
u postérieur, sur les côtés et sur la face antérieure (ventrale) du faisceau longitudinal postérieur. En cet endroit, la cou
eau longitudinal postérieur. En cet endroit, la coupe transverse du faisceau de la calotte mérite le nom de coupe de la comm
n rapport avec la commissure postérieure. Pour ce dernier auteur le faisceau central en question cesse dans les territoires
res qui avoisineut le troisième ventricule. Quant au trajet dudit faisceau , il n'y a que son tiers interne qui s'en aille
onner ensuite avec la première partie. Une troisième partie du même faisceau suit la portion médiane du ruban de Reil qui la
t-être, plus tard, à nouveau avec les deux autres tiers ( ? ). Le faisceau central de la calotte est donc bien le trait d'un
cervelet et qui, suivant Bechterew, doivent être la prolongation du faisceau central de la calotte. Sur ce dernier point AI.
i de l'olive inférieure, va jusqu'à la 4e paire cervicale; c'est le faisceau triangulaire de la moelle cervicale. En outre,
ieur de ces segments. La dégénérescence descendante intéresse , les faisceaux pyramidaux croisés, le bord des cordons antéro-
sceaux pyramidaux croisés, le bord des cordons antéro-latéraux, les faisceaux latéro-cérébelleux, les faisceaux de Gowers, le
des cordons antéro-latéraux, les faisceaux latéro-cérébelleux, les faisceaux de Gowers, les faisceaux de Goll et les faiscea
aux, les faisceaux latéro-cérébelleux, les faisceaux de Gowers, les faisceaux de Goll et les faisceaux de Burdach. En cet end
-cérébelleux, les faisceaux de Gowers, les faisceaux de Goll et les faisceaux de Burdach. En cet endroit, dégénérescence très
t en bas). En haut, la dégénérescence se limite graduel- lement aux faisceaux de Goll et à une petite partie des faisceaux de
te graduel- lement aux faisceaux de Goll et à une petite partie des faisceaux de Burdacb ainsi qu'aux faisceaux de Gowers et
e Goll et à une petite partie des faisceaux de Burdacb ainsi qu'aux faisceaux de Gowers et aux faisceaux laléro-cérébelleux;
ie des faisceaux de Burdacb ainsi qu'aux faisceaux de Gowers et aux faisceaux laléro-cérébelleux; on la poursuit jusqu'à la t
isième paire cervi- cale. En ce cas la dégénérescence porte sur les faisceaux pyrami- daux croisés et les bords des cordons a
lombaire restant intacte, malgré la dégénérescence descendante des faisceaux pyramidaux, tous les réflexes cutanés et tendin
elques fibres rayé- litiqu'es sous-jacentes à la pie-mère, dans les faisceaux postérieurs de la moelle'dorsale et lombaire su
'appareil vascu- laire. Malgré cela, il n'y avait pas de lésion des faisceaux pyramidaux (observation I) tandis que les cordo
urtout moteur, constaté pendant la vie. L'atteinte plus spéciale du faisceau pyramidal doit s'expliquer par l'arrêt de dével
moelle émane donc de celle de l'écorce. L'arrêt de développement du faisceau pyramidal explique l'arrêt de dévelop- pement d
al postérieur de l'oculomoteur commun, qui occupe une dépression du faisceau longitudinal postérieur; 3° le noyau prin- cipa
; 3° le noyau prin- cipal du pathétique de Westphal, situé entre le faisceau longitu- dinal postérieur et l'aqueduc de Sylvi
de rattacher la parésie'spasmodique des extrémités à la lésion des faisceaux pyramidaux; l'intégrité des zones d'entrée radi
spèce à l'altération de la substance grise, et à l'interruption des faisceaux conducteurs. C'est à la lésion des cordons post
brales, liées à l'arrêt de développement ou à la dégénérescence des faisceaux pyramidaux ne peuvent pas toujours être mis sur
face, montre que le traumatisme a porté sur la partie antérieure du faisceau moteur; l'absence d'hémianopsie et de tout symp
as très bien où et comment, en s'étendant à la partie antérieure du faisceau psy- chique, cette inflammation aurait coupé le
83 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uelle que soit leur durée, elles n'envahissent jamais la région des faisceaux endogènes, en particulier celle des faisceaux e
jamais la région des faisceaux endogènes, en particulier celle des faisceaux endogènes des- cendants (triangle de Gombault e
nce en pleine substance grise, même quelques fibres de la région du faisceau pyramidal croisé. Mais toutes ces lésions sont
Goll, présentait des iésionsétendues, ce qui démontre qu'un même faisceau de fibres peut être sain dans une région de la mo
e région de la moelle et malade dans une autre. Bien plus, dans les faisceaux malades il n'est pas rare de rencontrer beaucou
e fibres qui pren- nent naissance dans le corps de l'organe. 1 Le faisceau tecto-bulbaire prédorsal transmet par ses collaté
dent des excitations lumineuses. Une série de colla-, térales de ce faisceau , qui vontau noyaul'oufJe, transmettent parcon-
tact l'agent lumineux aux éléments cellulaires de ce dernier. Le. faisceau rubrospinal le porte à la moelle où, par voie de
utes les fibres sensibles de la moelle, (voie cérébelleuse directe, faisceau de Gowers, etc.) qui lui rendent comple des rel
n est de là, à l'insu de la volonté, trans- mise aux muscles par le faisceau rubrospinal. Ainsi est maintenu, sans la partic
s la participation de la volonté, {'équilibre constant du corps. Le faisceau tectobulbaire prédorsal se termine graduellement
rmédiaire entre les noyaux de l'auditif et de l'hypoglosse. '. Le faisceau tecto-protubérantiel sert à la transmission des e
ux cellules nerveuses des masses grises de la protubérance, près du faisceau pyramidal. Ces cellules sont munies d'une énorm
se demander si la formation réti- culaire n'est pas une réserve de faisceaux de remplacement de second ordre destinés à tran
tubercule quadrijumeau antérieur est lui-même en relation avec les faisceaux de l'ouïe. Le tubercule quadrijumeau antérieur
que, dans le segment sacré, une certaine irri- tation des fibres du faisceau postéro-interne d'Obersteiner. La ré- gion radi
ures et aussi de celles des nerfs craniens. 6. La dégénérescence du faisceau pyramidal commence au segment sacré inférieur;
ment moyen du pédoncule cérébral, point où se fait la jonction d'un faisceau supplémentaire du ruban de Reil, qui apporte les
ents du pédoncule cérébelleux anté- rieur ; f) le noyau rouge; c)le faisceau qui pénètre dans la couche optique, et notammen
oncule cérébelleux moyen sont peu marquées. 8. La dégénérescence du faisceau fondamental du cor- don antéro-latéral et du fa
nérescence du faisceau fondamental du cor- don antéro-latéral et du faisceau de Gowers-Bechterew se poursuit jusqu'au niveau
se poursuit jusqu'au niveau de l'entrecroisement des pyramides. Le faisceau interne du cordon latéral est partout intact. 9
es cliniques obser- vés sont expliqués par la lésion bilatérale des faisceaux olivo- ciliaires, par la lésion unilatérale du
térale des faisceaux olivo- ciliaires, par la lésion unilatérale du faisceau qui met en rapport le noyau de Deiters avec la
a moelle par l'interruption de la voie centripète constituée par le faisceau de Gowers. L'auteur insiste sur l'importance de
om- portant quelques moyens nouveaux de technique (séparation des faisceaux , coupes longitudinales), ont pu déterminer avec u
neux, etc. En présence de ces accidents révélateurs d'une lésion du faisceau pyramidal, l'auteur estime qu'il s'agit d'un ca
lée du lobule lingual, dégénérescence du splenium, du tapetum et du faisceau optique à gauche et du tapetum à droite. Confir
férieure de la protubérance. Il n'y avait pas de dégénérescence des faisceaux blancs. Les auteurs pensent que la symptomatolo
rticale du cerveau, probablement associée à la dégéné- rescence des faisceaux pyramidaux et des tractus cérébelleux des- cend
e de l'équilibre de tonus entre antagonistes), dépend de lésions du faisceau extra-pyramidal et doit être rangé à côté des m
nt plus loin, et l'on peut constater la sclérose totale de quelques faisceaux ner- veux. Mais, eu égard à la compression inte
génicnlé. 1, B, envahissement de la gaine de Heule et du contre du faisceau nerveux ; c, cel- lules ganglionnaires entourée
es fibres arciformes cérébello-olivaires, une partie de l'olive, le faisceau central de la calotte, le noyau ambigu et les l
racines des IXc et Xe paires dans leur trajet intra-bul- baire, le faisceau latéral du bulbe et la racine descendante de la
t. A la section des muscles, on trouvait des cysticerques entre les faisceaux ; ils étaient surtout abondants dans les muscles
ion moléculaire, ce qui vient à l'appui des faits de M. Egger. Le faisceau pyramidal direct dans le cordon antérieur de la
oral gauche vu par en dessous était aussi de volume insuffisant. Le faisceau longitudinal inférieur gauche était altéré; 2"
nt a lésé ces zones vaso- motrices en même temps qu'il a atteint le faisceau pyramidal et la voie sensitive. Préparations
trophie très marquée il rencon- tra des altérations musculaires des faisceaux neuro-musculaires; il décrit une lésion 1° voca
es musculaires se retrouvaient aussi quelquefois indépendamment des faisceaux neuro-muscu- laires ; cette division fibrillair
re se réduit dans la moelle cervicale et le bulbe à une sclérose du faisceau cérébelleux direct et est, sous la dépendance d
épinière chez les vertébrés su- périeurs, par Geier. 262. - Voir Faisceau pyramidal. Sur les mo- difications du canal cen
84 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e qui est dû, sans doute, à l'existence des fibres croisées dans le faisceau tua- lamo-facial. La substitution du pleurer
conduclion thalamo-lmtlltaire du rire et du pleurer se fait par un faisceau unique dont les fibres gouvernent des groupemen
une altération du système nerveux de l'écorce, dos pédoncule ou des faisceaux pyramidaux. On est donc en droit de se de- mand
rdinairement la face, et qui provoque la dégénération secondaire du faisceau pyrami- dal. Dans les paralysies générales ah p
42 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. dégénérescence systématique du faisceau pyramidal gauche. Il est rare de trouvera cette
la partie postérieure de la base de ce dernier, part un volumineux faisceau blanc (fig. 4 et 5), concave en bas et dont le
u bulbe et de la protubérance. Ce 6S A1';ATm[lJ PATHOLOGIQUE. faisceau blanc, qui remplace les trois pédoncules cérébe
qu'à l'état normal ; sa paroi su- périeure est formée, en dedans du faisceau blanc qui aboutit au ilocculus gauche, par le v
protubérance et du cervelet, intéressant, sur toute sa longueur, le faisceau blanc étencîu en arrière du (locculus gauche.
e semble présenter que des connexions de contiguïté avec le large faisceau blanc qui est visible sur la face gau- che du c
t une grande analogie entre ce cas et celui de Des. ; mais le large faisceau blanc qui borde en haut et il droite la cavité
pontet l'existence de lamelles ou lobules sur toute la longueur du faisceau blanc en question rendent la persistance du flo
éphale, que le flocculus, en connexion immédiate avec le volumineux faisceau blanc remplaçant les pédoncules cérébelleux du
cules cérébelleux moyens et difficiles à distinguer à l'oeil nu des faisceaux de fibres pyramidales coupés transversalement.
n, notre Congrès a toujours compris qu'il devait grouper en un seul faisceau et faire utilement collaborer les aliénistes et
paracentraux. D'un autre côté, dans certains cas où les lésions des faisceaux pyrami. daux dépendent manifestement des lacune
: cela tient, sans doute, à une sorte de condensation des fibres du faisceau pyramidal dans les régions inférieures, plus ou
es nerveuses comme d'origine toxique. Les lésions systématiques des faisceaux pyramidaux et des cordons postérieurs sont prod
de la Tourelle). 1'll. Atrophie musculaire par lésion d'un point du faisceau pyra- mitlal. avec lésions consécutives des cel
eurs, des arthropathios fréquentes.-\l. La lésion de l'écorce ou du faisceau pyramidal amène des altérations trophiques non
ren- 1 l'ale" du noyau de ])eileI's et des masses grises voisines ( Faisceau yestibl1lo-spinal. Faisceau lnniriludinul posté
)eileI's et des masses grises voisines (Faisceau yestibl1lo-spinal. Faisceau lnniriludinul postérieur, SI rie- médul- VARI
eptiles. 6° A Van Gehuchten. Le fais- ceau en crochet de Itussel ou faisceau cvrlbolbo-buhaire ; 1) ? z de Buch et Deroubaix
SSION DE LA .MOELLE. 171 présente des lésions de dégénérescence des faisceaux pyramidaux, en clinique encore, quand on se tro
fonctionnel, ou encore si tels autres traduisent une lé- sion des faisceaux nerveux. Nous nous sommes heurtés il cette diff
arce que la compression n'a pas été suivie d'une dégénérescence des faisceaux pyramidaux, autre- ment dit il rentre dans la c
vement et nécessairement sous la dépendance de la dégénérescence du faisceau pyramidal. Pour Westphal et Strümpel, l'exagéra
dique consécutive il une lésion or- ganique et sans dégénération du faisceau pyramidal. (2) Oiehl es eine primnre Sklerose d
che mcdicinische Wochenschrift, 1899, n" 28, 29 und 30. (4) Etat du faisceau pyramidal dans quatre cas de contracture spasmo
spasmodicité ne coïncident pas toujours avec une dégénérescence des faisceaux pyramidaux, et par con- séquent,dans les cas de
de dégé- nérescence, mais tout au plus un trouble fonctionnel du faisceau pyramidal. (1) Tumeur cérébrale comprimant la l
mant la loue rolandique gauche, hémiplégie permanente, intégrité du faisceau pyramidal, par Cestan. (Soc. anatomique, févrie
e considérable des fibres tangentielles d'Exner, la destruction des faisceaux longitudinal supérieur et occipito-frontal et d
ostérieur de la capsule interne, les radia- tions thalamiques et le faisceau longitudinal inférieur. Les cellules pyramidale
vraisemblable l'hypothèse formulée par ces auteurs, à savoir que le faisceau pyramidal se termine dans la moelle, sui- vant
galement très nette. La trame conjonctive est repré- sentée par des faisceaux de tissu conjonctif adulte, soit nor- maux, soi
85 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
annegrâce. Lannegrâce regarde globe oculaire comme innervé par deux faisceaux de fibres, sensorielles ou optiques propres, et
trophié Mais dans ses dernières recher- ches il conclut qu'un petit faisceau de fibres non croisées ou di- rectes existe aus
nt aussi qu'il y a une décussation partielle chez le lapin, mais le faisceau non croisé ne se présente pas comme une bande s
fines surtout dans la couche zonulaire, et que, des deux côtés, les faisceaux pyramidaux ont dégénéré. Planche à l'appui. P.
oupes antéro-poslérieures, où l'on eu constate la ramification, des faisceaux qui subsistent ont encolle une certaine épaisseur
s descendent dans la base de cet organe. En dedans d'elles sont des faisceaux longitudinaux postérieurs, des fibres commissur
segment latéral et en un segment médian, passe de l'autre côté; ce faisceau entre-croisé descend en s'entre-croisant avec l
les quadrijumeaux se compose donc d'un fai-ceau homolatéral et d'un faisceau croisé. Discussion. M. STCINER. Les résultats d
ales. Plus en dedans est le second secteur par lequel passe tout le faisceau pyramidal. Dans le troisième secteur se trouvent
nticulaire, et des fibres originaires de l'insula. A l'exception du faisceau pyramidal, toutes les fibres du pied du pédoncu
vous signaler le tabes ataxique et la dégénération hémiplégique du faisceau pyramidal. Donc chez les ataxiques comme chez l
une atrophie mus- culaire, c'est que la dégénération descendante du faisceau pyramidal a pénétré en quelque sorte, jusque da
tance grise sont absolument subordonnés à la lésion dégénérative du faisceau pyramidal. Mais voici où les faits semblent vou
ésion qui engendre la contracture c'est la sclérose dégénérative du faisceau pyramidal. Mais, je vous l'ai déjà dit dans une
pyramidal. Mais, je vous l'ai déjà dit dans une autre occasion, le faisceau pyramidal ne renferme pas la vingtième partie d
ûte, invoquer l'influence de la substance grise interposée entre le faisceau pyramidal et les DES CENTRES TROPHIQUES DE LA M
ties ventriculaires ont lieu précisément entre lui et l'ensemble de faisceaux et de membranes que nous avons présentés comme
ches anatomo-pathologiques sur les dégéné- rations descendantes des faisceaux pyramidaux consé- cutives aux lésions en foyer
) commun ' au pneumogastrique et au glossophary;ien ; les fibres du faisceau solitaire avaient considérablement diminué. Nou
riginaire du cordon latéral, innerve les muscles du larynx. - 6° Le faisceau solitaire doit être considéré comme une racine
fibres émanées des noyaux du pneumogastrique. - 8° Les cellulesdes faisceaux originels des cordons grêles ne donnent pas de
te des cornes postérieures, au milieu de la région moins tassée des faisceaux longitudinaux postérieurs. n M. Pick a retrouvé
au de l'extrémité supérieure du bulbe, dans le corps restiforme. Ce faisceau unilatéral, qui n'est pas identique au faisceau r
orps restiforme. Ce faisceau unilatéral, qui n'est pas identique au faisceau respi- ratoire de Krause, établit une connexion
tiges du cordon latéral, passer dans le ruban de Reil inférieur; ce faisceau , chez l'homme, va jusqu'à l'olive supérieure et
e termine dans la substance grise du noyau postérieur d'origine des faisceaux pyramidaux, noyau relié lui-même au cervelet. Les
Reil, une intégrité complète gau- che, une sclérose descendante du faisceau pyramidal gauche. Pas de lésions de la substanc
coupes, on ne trouve aucune trace de dégénérescence descendante du faisceau pyramidal. Les racines médullaires présentent u
tité considérable de granulations conglomérées dans le domaine du faisceau pyramidal seulement. Dans la moelle épinière, l
s les cas qui ne s'accompagnent pas d'une destruction complète du faisceau pyramidal; enlise ces cas extrêmes, il faut admet
ue cette atro- phie peut coïncider avec une sclérose descendante du faisceau py- hamidal ou exister sans la moindre lésion m
stance blanche, on peut direqu'il a été le précurseur anatomique du faisceau d'association sous-cortical deMeynert. Qu'on en
deuxbandelettes interne et moyenne, celle-ci renferme les fibres du faisceau pyramidal, celle-là les filets cortico-bulbaire
SYNDROME DE WEBER. 331 1 rantiel, ces deux nerfs affectent, avec le faisceau py- ramidal, d'étroits rapports de voisinage qu
n peut atteindre simultané- ment le nerf de la septième paire et le faisceau pyra- midal, et vous aurez ainsi imaginé la par
localisation qui atteindra les deux nerfs précédents sans léser le faisceau pyramidal^ et réalisera des accidents morbides
86 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
t, deux constatations sont absolument convaincantes : d'abord, le faisceau pyramidal croisé gauche, a un volume ordinaire no
sant par une infériorité de poids de 222 gr., enfin l'agénésie du faisceau pyramidal droit. V. A quelle époque est apparue
nt été employées dans l'observation précédente (V. p. 54). Les deux faisceaux pyramidaux nous ont paru intacts, à tous les ni
n très' grand nombre ; de plus, le renflement lombaire possède un faisceau moteur croisé suffisamment riche. - Pour inter-
Sur toutes les coupes, on note, de prime abord, l'altéra- tion du faisceau pyramidal croisé des deux côtés, avec une légèr
a suite de la destruction des circonvolutions rolancliques ou des faisceaux blancs de la capsule interne, par exemple. D'ai
t de l'arachnoïde. Cet épaississement est dû il la présence de gros faisceaux conjonctifs néo- formés qui s'intriquent les un
ncore, la lésion paraît être de date ancienne. Par contre, si les faisceaux blancs et les méninges paraissent altérés il de
s et des méninges molles. Elles sont diffusément répandues dans les faisceaux blancs, tout en présentant une apparence de sys
s, tout en présentant une apparence de systématisation au niveau du faisceau pyramidal croisé, dans toute sa hauteur. Cerv
couches externes ou superficielles des méninges ; il est formé de faisceaux assez lâches, ondulés, à fibrilles peu tassées.
de faisceaux assez lâches, ondulés, à fibrilles peu tassées. Ces faisceaux se disposent souvent de façon à former des tent
s et capillaires). Parallèlement à l'infiltra- tion cellulaire, les faisceaux névrogliques sont devenus partout plus denses.
corticales. - Ailleurs, l'examen a dû être borné à l'écorce et aux faisceaux blancs sous-jacents. - Les coupes, faites après
e- ment en rouge par le picro-carmin ; elle se compose surtout de faisceaux conjonctifs denses, tassés les uns contre les a
tres, et disposés tangentiellement à la surface générale. Entre ces faisceaux , se montrent des éléments cellulaires, en petit
ne présente guère que des lésions d'ordre dégé- nératif. Ainsi, le faisceau pyramidal est légèrement sclé- rosé des deux cô
histologique de la moelle, si nous ajoutons que, çà et là, dans les faisceaux blancs, se rencontrent quelques vaisseaux épais
artie posté- rieure, présentent un développement anormal de leurs faisceaux conjonctifs, et des vaisseaux néoformés, dont l
87 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ants les uns des autres, communiquent néanmoins entre eux par des faisceaux de fibres d'association qui établis- sent une c
opager soit aux autres parties de la substance grise, soit même aux faisceaux de la substance blanche. La maladie perd alors,
l central de la moelle, multiplication du tissu conjonctif dans les faisceaux de Goll et les cordons latéraux, du côté droit.
clusion. Sixième forme clinique de Lichtheim ' : interrup- tion des faisceaux nerveux qui unissent le centre des images pho-
, cette atrophie n'impliquant pas nécessai- rement une atrophie des faisceaux pyramidaux. Or, une lésion de ceux-ci est la co
s ans après l'accident. Au cours de l'opération, il brisa plusieurs faisceaux fibreux entre les méninges. Au point de vue chiru
iquide aqueux. Incision cruciale de la dure-mère. Introduction d'un faisceau de 8 à 10 crins de cheval jusque dans la cavité
ter à nouveau cettebranche de la science, de penser qu'il existe un faisceau de recherches devant la réalité desquelles l'es
ent, il s'y forme des cellules nerveuses, tandis que le système des faisceaux conducteurs centraux cioit moins vite. Puis le
e loculomoteur commun. B. Dans la substance blanche. 1° Sclérose du faisceau pyra- midal dans toute son étendue; 2° atrophie
nsus parfait avec les altérations des noyaux ; 3° dégénérescence du faisceau fondamental du cordon antérieur ; 4° dégénéresc
erne, du pathétique, de l'ocu- lo-moteur commun, dégénérescence des faisceaux pyramidaux REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE p
de cette méninge, entre ses lamelles, et çà et là, jusque dans les faisceaux radiculaires descendants. Elles n'ont pas les c
au travail intitulé : Des différentes situations et dimen- sions du faisceau pyramidal; par W. Bechterew. (Neurol. Cen- tral
gues. Toutefois, la priorité lui appartient quant à la situation du faisceau pyramidal chez les ron- geurs, dans les segment
r- chant parallèlement au chiasma. La commissure de Meynert et le faisceau ou entre-croisement de Forel. Un troisième occupe
entre-croisement de Forel. Un troisième occupe le chiasma, c'est le faisceau indépendant ou commissure de De Gudden. L'indé-
re de De Gudden. L'indé- pendance de la commissure de Meynert et du faisceau de Forel est démontrée par l'étude des cerveaux
de Forel est démontrée par l'étude des cerveaux des nouveau-nés. Le faisceau de Forel se garnit de myéline plus tard que la
ar l'interruption, dans le bulbe, de ces tractus d'association. Ces faisceaux de ]a pal ole et de la déglutition sont voisins
ple des cornes grises antérieures de la moelle; légère sclérose des faisceaux radiculaires antérieurs ; hypertrophie de quelq
travers toute la protubérance, dans le bulbe où elle gagne tout le faisceau pyramidal antérieur et s'étend au faisceau pyrami
be où elle gagne tout le faisceau pyramidal antérieur et s'étend au faisceau pyramidal laté- ral sur toute son étendue. Inté
Dans les muscles atrophiés, on trouve une diminution de volume des faisceaux primitifs; la substance inter- médiaire a proli
térale amyotrophique, avec absence presque complète de sclérose des faisceaux blancs. Au point de vue des lésions cérébrales,
es altérations de la moelle elle-même. En deux cas, les lésions des faisceaux pyrami- daux dominent, mais, lors de lésions de
moins bien connues, portant sur les par- ties intra-pyramidales des faisceaux médullaires : dégénération du faisceau en virgu
ties intra-pyramidales des faisceaux médullaires : dégénération du faisceau en virgule de Schültze, dans les cordons postérie
irgule de Schültze, dans les cordons postérieurs, dégé- nération du faisceau intermédiaire du cordon latéral, et d'un fas- c
rdon latéral, et d'un fas- cicule auquel M. Marie propose le nom de faisceau sulco-murginal descendant, dans les cordons ant
delette, du chiasma ou du nerf optique, nous admettons que les deux faisceaux appartenant à chaque oeil, dont se compose la b
il s'agissait d'une aphasie motrice transcorticale avec lésion des faisceaux sensoriels transcorticaux. On trouva à l'autops
alysie géné- rale. Au microscope, on rencontra la dégénérescence du faisceau de Krause, celle des fibres qui en sortent pour
ution, du noyau du pathétique par un groupe nucléaire placé dans le faisceau longitudinal postérieur lui-même. Ce groupe de
cordons laté- raux, des pyramides jusqu'à la moelle dorsale, et des faisceaux de Goll dans la partie moyenne de la moelle dor
e manière plus lente ou exagérée, on n'obtient aucun résultat ni du faisceau d'étincelles ni des effluves obscures. Un seul
incelles électriques, les muscles se contractèrent len tement en un faisceau des plus nets (réaction dégénérative de Fran- k
TES. 507 topsie ne révéla qu'une atrophie du corps restiforme et du faisceau solitaire droit. Or les expériences de Filehne,
l'espèce, j'ai quelquefois rencontré dans le tabès une atrophie du faisceau solitaire, quelquefois aussi l'atrophie du corp
'histologie. 508 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Oppenheim. La petitesse du faisceau solitaire d'un côté ne prouve pas qu'il y ait a
olitaire d'un côté ne prouve pas qu'il y ait atrophie. En effet, ce faisceau se compose de substance blanche et de substance
éthode de coloration de Weigert (à l'hématoxyline) fait paraître le faisceau (la partie colorée en noir) plus petit que celu
88 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s calibre, après un court trajet, disparaître brusquement entre les faisceaux du nerf et s'y perdre, semble-t-il. La suit-on
ciser en long la gaine fibreuse d'un nerf et d'en dissocier les faisceaux , pour se rendre compte du fait : les arté-
cial supérieur pris. Cette complication provient de l'altération du faisceau pyramidal entier. Action favorable des courants c
hénar. Intégrité des nerfs et des muscles. C'est à l'altération des faisceaux pyra- midaux qu'il faut attribuer ces phénomène
: dégénérescence des cordons postérieurs et de la zone d'entrée des faisceaux radiculaires, épais- sissement des os du crâne.
E. LACROIX. (Lyon méd., 1890, t. LXV.) z On sait que les lésions du faisceau pédiculo-frontal inférieur du côté gauche déter
ntale gauche. Si la lésion est très exactement limitée à ce premier faisceau , l'aphasie est le seul symptôme appréciable, ma
ymptôme appréciable, mais le plus souvent la lésion s'étend dans le faisceau voisin, et l'aphasie est accompagnée d'hémiplég
nie et les phthisiques, sans qu'on soit autorisé à admettre que Jes faisceaux pyramidaux sont affectés. Quatre fois, M. Sch
1" . l ! t ' ' " - 1° Un foyer d'inflammation dans le territoire du faisceau pyramidal provoque-t-il une hémiplégie chez le
endante du bulbe et de la moelle, bien qu'évidemment le système des faisceaux pyramidaux soit l'intermédiaire obligé de la pa
au point de vue anatomique ou physiologique, soit l'homologue du faisceau pyramidal de l'homme et des autres vertébrés. Il
ur, malgré la destruction étendue du cerveau, tienne à l'absence de faisceau pyramidal. ' Il y a en somme analogie entre l
syphilitique de vingt-huit ans, atteint d'une sclérose combinée des faisceaux pyramidaux, des faisceaux de Goll et, en partie,
ans, atteint d'une sclérose combinée des faisceaux pyramidaux, des faisceaux de Goll et, en partie, des faisceaux de Burdach
des faisceaux pyramidaux, des faisceaux de Goll et, en partie, des faisceaux de Burdach. Il y avait en outre de petits foyers
hériques. Atrophie à un haut degré et dégénérescence granuleuse des faisceaux musculaires avec prolifération des noyaux. '
S CHEZ L'HOMME ET LES animaux ; DE LA PRÉSENCE A L'INTÉRIEUR DE CES FAISCEAUX DE FIBRES QUI SONT CARAC- TÉRISÉES PAR UN DÉVEL
Flechsig a démontré qu'il y a un rapport de réci- procité entre le faisceau direct des pyramides dans les cordons antérieur
direct des pyramides dans les cordons antérieurs de la moelle et le faisceau croisé du cordon latéral ; de sorte que, quand
le et le faisceau croisé du cordon latéral ; de sorte que, quand le faisceau pyramidal d'un cordon latéral est très développ
faisceau pyramidal d'un cordon latéral est très développé, le même faisceau pyramidal du cordon antérieur de l'autre côté e
verset. On constate égale- ment des variations de position quant au faisceau pyramidal du cordon latéral, mais elles ne dépa
lumineuse que la pyramide droite; ce volume s'explique par celui du faisceau qui gagne le cordon laté- ral du côté opposé et
isceau qui gagne le cordon laté- ral du côté opposé et par celui du faisceau direct qui gagne le cordon antérieur homonyme;
ide la plus grosse. Il existe aussi des différences de longueur, le faisceau pyramidal s'en allant parfois jusqu'au milieu de
ntérieur des cordons postérieurs de la moelle; elle est à l'état de faisceau compact immédiatement en arrière de la com- mis
âgés, à une époque où sont déjà revêtues de myé- line les fibres du faisceau fondamental, du faisceau cérébello- latéral dir
t déjà revêtues de myé- line les fibres du faisceau fondamental, du faisceau cérébello- latéral direct de la moelle, du trou
oral et occipital à la protubérance. Le quart voisin con- tient les faisceaux des pyramides. Dans la troisième zone adja- cen
tion méthodique. Il enlève la substance grise et suit pas à pas les faisceaux qui se présentent comme s'il s'agissait de groupe
es territoires voisins de l'autre hémisphère par l'intermédiaire du faisceau arciforme sous-claus- tral qui occupe le territ
re dont l'origine est le rein droit. Dégénérescence descendante des faisceaux moteurs de la moitié droite de la moelle. Et c'
89 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
il est constitué de nombreuses cellules nerveuses d'où partent des faisceaux de -projection et autour desquelles se ramifien
les vertébrés inférieurs, les termi- naisons du nerf olfactif. Les faisceaux optiques s'irradièrent ensuite, chez les oiseau
ibres nerveuses extrêmement nombreuses, dans lequel s'irradient ces faisceaux de projec- tion. L'impression qui s'impose,' c'
ossède la propriété de conserver les impressions transmises par les faisceaux ner- veux de projection; 2° les voies d'associa
spécialement sur les cordons antéro-latéraux ; par consé- quent les faisceaux pyramidaux latéraux, les cérébelleux directs, l
, les cérébelleux directs, les fondamenteux antéro-latéraux, et les faisceaux de Gowers, des deux côtés, sont profondément at
nt atteints. Par contre les cordons postérieurs sont intacts et les faisceaux pyramidaux directs ne sont que peu altérés. A
le second cas il y a une destruction de la substance grise, et des faisceaux cérébelleux directs et des faisceaux de Gowers
de la substance grise, et des faisceaux cérébelleux directs et des faisceaux de Gowers tandis que les cordons postérieurs so
haud, du froid et de la douleur suivent la substance grise dans les faisceaux de Gowers ; tandis que, la sensibilité tactile
ésions de la syringomyélie comme démontrant cette marche des divers faisceaux sensitifs.Dans notre premier cas, cette disposi
mpressions de douleur, de chaud et de froid sont transmises par les faisceaux de Gowers. Comme ces faisceaux sont formés en g
t de froid sont transmises par les faisceaux de Gowers. Comme ces faisceaux sont formés en grande partie de fibres provenant
i passer par la substance grise, et attein- dre l'encéphale par les faisceaux cérébelleux directs. L'auteur pense que cette c
par une véritable inflamma- tion de la substance cérébrale (écorce, faisceaux blancs, même noyaux opto-striés) ; encéphalite
ose la maladie. Il existe chez le malade des signes d'irritation du faisceau pyramidal. MM. LAIGNEL-LAVASTINL et Vigouroux r
sclérose des cordons anlé1'o-laléruux., depuis l'atteinte légère du faisceau pyra- midal croisé jusqu'à la prise considérabl
isceau pyra- midal croisé jusqu'à la prise considérable de tous les faisceaux (f. moteur; f. de Gowers; f. cérébelleux direct
erfs sciatique poplité externe, où sur les coupes transversales des faisceaux nerveux on ne voit pas beaucoup de fibres saine
s et avec la même proportion dans le cas de maladies intéressant le faisceau pyramidal ,dans la moelle; 4° Le réflexe de B
e réflexe^ est souvent le premier à apparaître dans les maladies du faisceau pyramidal; par exemple, au début d'une attaque
es discussions si intéressantes, si fructueuses, constitue- ront un faisceau de documents scientifiques et administratifs où
question si complexe du délire aigu-LA. ,Carriera- su réunir en un faisceau compact et avec la plus grande** clarté les dif
les d'un cas à l'autre, tantôt au centre, tantôt à la périphérie du faisceau des radicelles lombo-sacrées, dont le groupemen
agie cérébrale limitée, qui s'est effectuée tout près des fibres du faisceau pyramidal ; celles-ci sont assez comprimées pou
capsule interne, où passent les fibres pyramidales sous forme d'un faisceau compact. Deux des observations permettent de pe
le montre l'observation I. Les deux observations prouvent que les faisceaux du centre de Wernicke, qui vont au centre d'assoc
centre de Broca, et servent à l'écriture et à la lecture, tous ces faisceaux passent près les uns des autres. C'est pourquoi i
s uns des autres. C'est pourquoi ils sont frappés simultanément. Le faisceau arciforme doit être la clef de voûte de ces tra
le est plus marquée que chez les animaux; 5° chez le nouveau-ne, le faisceau pyramidal n'existe pas fonctionnellement; le to
, noyaux centraux), dont nous connaissons et des voies centripètes ( faisceau cérébel- leux ascendant, ruban de Goll) et des
u cérébel- leux ascendant, ruban de Goll) et des voies centrifuges ( faisceau cérébelleux descendant, faisceau rubro-spiual,
de Goll) et des voies centrifuges (faisceau cérébelleux descendant, faisceau rubro-spiual, etc.). Enfin, le troisième étage
interne ayant séparé la corticalité de la moelle, ayant détruit le faisceau pyramidal, et cependant ayant déterminé'une con
al. D'autre part, nous possédons des cas de destruction complète du faisceau pyramidal suivie cependant de contracture spasm
ocq attribue la contracture à l'irritation des cylindres-axes de ce faisceau pyramidal. J'apporte en collaboration avec le pro
miner la contracture, mais je puis dire que dans ces deux cas, les faisceaux pyramidaux ont complètement disparu au-dessous de
e, 1901, n° 2.) Ce travail contient huit observations de lésions du faisceau pyra- midal soit dans sa portion cérébrale, soi
90 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
t tout d'abord la substance grise des cornes antérieures et aussi les faisceaux latéraux, car il existe une paralysie avec atroph
l existe une paralysie avec atrophie ; les cornes postérieures et les faisceaux postérieurs, puisqu'il y a une anesihésie totale
7). Il s'agissait seulement d'une myélite scléreuse des cornes et des faisceaux postérieurs et des parties centrales de la moelle
des muscles jambier antérieur, extenseur commun des orteils (sauf le faisceau du deuxième), extenseur propre du gros orteil, co
— Secousses fibrillaires fréquentes et contraction isolée de quelques faisceaux musculaires. —• Sens musculaire affaibli des deux
allusion ici à la paralysie bulbaire inférieure sans participation du faisceau pyramidal. On a prétendu bien à tort et fort légè
nce de la paralysie glosso-labio-laryngée dégagée de toute lésion des faisceaux latéraux, il faut ajouter aujourd'hui deux nouvea
henne-Aran (polyomyélite antérieure chronique, sans participation des faisceaux latéraux et par conséquent sans exagération des r
60 millim. = néant pour la partie moyenne. 80 — =r contraction du faisceau claviculaire. 12 élém., 45o = KS néant. 12 élém.,
ans laquelle il n'existe au contraire aucun symptôme de la lésion des faisceaux pyramidaux. Il n'est pas besoin d'insister plus l
rise ; 2° extrinsèques s'ils dépendent de l'extension des lésions aux faisceaux blancs. Les symptômes intrinsèques peuvent être d
tandis que la sensibilité au tact, d'après Schiff, passerait par les faisceaux postérieurs; or l'histoire anatomo-clinique de la
nsèques ou leucomyéliques, selon qu'ils représentent l'altération des faisceaux latéraux ou postérieurs, ils se rattachent, ceux-
n groupe à part, ceux dans lesquels un véritable tabès par lésion des faisceaux postérieurs peut s'associer à la glycosurie. Je p
érébral intéressant les fibres du moteur oculaire commun et celles du faisceau pyramidal. L'hystérie peut simuler le syndrome
x deuxbandelettes interne et moyenne, celle-ci renferme les fibres du faisceau pyramidal, celle-là les filets cortico-bulbaires
ans ce trajet intraprotubé-rantiel, ces deux nerfs affectent, avec le faisceau pyramidal, d'étroits rapports de voisinage qui ex
éoion peut atteindre simultanément le nerf de la septième paire et le faisceau pyramidal, et vous aurez ainsi imaginé la paralys
le localisation qui atteindra les deux nerfs précédents sans léser le faisceau pyramidal et réalisera des accidents morbides ana
ns latéraux. Il s'agirait dans le cas présent d'une altération de ces faisceaux dans la région dorso-lombaire. Le membre inféri
omatose, localisée d'abord et pendant très longtemps sur le trajet du faisceau pyramidal du côté gauche, sans toucher à la corne
ultérieurement dans la direction de la commissure grise. La lésion du faisceau pyramidal a produit la contracture ; l'intégrité
ablement profonde, ineffaçable; elle a, pour ainsi dire, sectionné le faisceau moteur et entraîné la dégénération secondaire. Et
ice peut-être. C'est que, dans l'espèce, la lésion prédomine dans les faisceaux postérieurs de la moelle, car on n'a pas signalé,
érébral intéressant les fibres du moteur oculaire commun et celles du faisceau pyramidal. L'hystérie peut simuler le syndrome
234; — myopathique, 236. Fracture vertébrale, 346. G Gauchers: faisceau pyramidal chez les—, 428. Globe oculaire : enfo
91 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
des muscles font défaut. D'après ce qu'on sait, la majeure partie des faisceaux primitifs subirait dans celte première période, l
et qui ne présentent pas traces de granulations graisseuses. D'autres faisceaux encore en grand nombre, entremêlés aux précédents
ux du sarcolemme. On rencontre, enfin, çà et là un troisième ordre de faisceaux , le plus souvent en très-petit nombre, lesquels o
massent en dehors du sarcolemme dans les intervalles qui séparent les faisceaux primitifs2. Ce tissu adipeux interposé est parfoi
vent être jusqu'à un certain point conservés, bien que la plupart des faisceaux primitifs aient dis-paru. Il est même des cas— et
complètement défaut1. On ne trouve dans ces derniers muscles que des faisceaux primitifs d'un très-petit diamè-tre, mais ayant c
t là quelques gaines du sarcolemme renferment des amas de noyaux. Ces faisceaux primitifs atrophiés sont séparés les uns des autr
imi-tivement les tubes nerveux qui entrent dans la composition de ces faisceaux . Il est des circonstances, d'ailleurs, — et l'o
ire, l'extension observée dans certains cas, du processus morbide aux faisceaux antéro-latéraux. La lésion en question des cell
de la couche dermique est de nature conjonctive. Il est formé : 1° de faisceaux de substance conjonctive s'entre-croisant en tous
2° de fibres élastiques, assez nom-breuses, entourant en spirale les faisceaux conjonctifs ; 5° de cel-lules de tissu conjonctif
muscle cubital antérieur, nous a offert des stries très-nettes. Un faisceau du muscle petit adducteur du petit doigt, qui reç
lement, la névrite était encore plus accusée. En effet, on voyait les faisceaux de tubes entourés de tissus fibreux ; celui-ci le
fibreuse très-épaisse et distincte. Sur une coupe de nerf normal, les faisceaux primitifs ont une forme arrondie; ici, l'épaissis
presque tout le champ du microscope, conservant peu sa disposition en faisceaux primitifs et secondaires. On voit çà et là des tu
des autres par des traînées hyalines et qui ne sont pas colorées. Les faisceaux formés par l'accumulation des éléments fu-siforme
x rudimentaire. Dans des coupes perpendiculaires à la direction des faisceaux , on peut reconnaître que chaque élément fortement
e la jambe présentent une coloration jaune très-prononcée ; à côté de faisceaux ayant encore conservé l'apparence de fibres muscu
nces aiguilles osseuses reliées au foyer de la fracture par autant de faisceaux fibreux assez longs. La malléole externe, extrême
étudiée dans le numéro de mars (page 71). J'ai, en effet, trouvé le faisceau interne du court fléchisseur du pouce complètemen
ites de muscles graisseux, j'ai acquis la certitude de l'a-trophie du faisceau interne du court fléchisseur, parce que, si, infé
ie la plus supérieure du grand os; enfin, la direction générale de ce faisceau graisseux différait de la direction des fibres vo
le. 2° En arrière,\e muscle sterno-cléido-mastoïdien, dont quelques faisceaux ont été détruits par le galvano-cautère ; 5° En
ent les dimensions d'une tête d'épingle. Au microscope, on voit les faisceaux musculaires séparés par de larges traînées de tis
le d'affirmer qu'il n'y ait eu néoformation ; la largeur de cer-tains faisceaux musculaires varie, il est vrai, entre 0,18 et 0,0
à muscles distincts, et les parois molles du thorax, formées par des faisceaux musculaires épars dans la masse connective, après
la paroi thoracique et des membres supérieurs sont formés de rares faisceaux séparés par de nombreux éléments connectifs, œdé-
92 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
pais et irréguliers. En face d'elle, et reliée à sa cavité par un faisceau ligamenteux, se trouve un noyau dur, arrondi, d
des lésions prédominantes au niveau des cordons postérieurs et des faisceaux latéraux. D'une façon générale, qu'il s'agiss
En ce qui concerne la moelle elle-même on note que les lésions des faisceaux blancs laissent intacts les cordons antérieurs
ne partie des cordons laté- raux. Elles sont prédominantes dans les faisceaux postéro-iatéraux. Pour ce qui est de la substan
s au niveau du cordon antérieur (sauf dans la zone limitante) et du faisceau de Gowers. Le faisceau pyramidal direct n'est p
ntérieur (sauf dans la zone limitante) et du faisceau de Gowers. Le faisceau pyramidal direct n'est pas atteint. Elles sont ac
Dans les cordons latéraux, la lésion est prédominante au niveau des faisceaux pyramidaux, surtout d'un côté, mais elle n'est
aux pyramidaux, surtout d'un côté, mais elle n'est pas limitée à ce faisceau pyra- midal. Elle le dépasse surtout en dehors.
ée à ce faisceau pyra- midal. Elle le dépasse surtout en dehors. Le faisceau cérébelleux direct est éga- lement le siège d'a
de Goll, elles sont accentuées dans les fais- ceaux pyramidaux, les faisceaux cérébelleux directs. La méninge est épaissie. E
rquées dans les ! i/4 postérieurs et contre la corne postérieure. Les faisceaux pyramidaux sont altérés dans toute leur étendue
se pseudo-systématique d'origine vasculaire, à prédominance sur les faisceaux de Goll et les faisceaux pyra- midaux (Fig. 1).
origine vasculaire, à prédominance sur les faisceaux de Goll et les faisceaux pyra- midaux (Fig. 1). La sclérose est pseudo
vant par MM. Ballet et Minor (1) dans leur mémoire classique. Si le faisceau pyramidal croisé est atteint de lésions, le fai
assique. Si le faisceau pyramidal croisé est atteint de lésions, le faisceau pyramidal direct est intact. Ce n'est pas au fais
e lésions, le faisceau pyramidal direct est intact. Ce n'est pas au faisceau pyramidal (1) Ballet et Minor, Arcli. neurol.,
localisées, mais elles le dépassent, gagnent la partie externe, le faisceau cérébelleux direct. Les cylindres-axes ne sont
envahies par la sclérose. La sclérose est d'origine vasculaire. Les faisceaux sont ici atteints de lésions très accusées, et
rs, d'après les planches, diffuses aux fais- ceaux antéro-latéraux ( faisceaux pyramidaux, cérébelleux directs, zone li- mitan
ée à un foyer de myélite traumatique, ou aune insulte mécanique des faisceaux pyramidaux gauches. Les deux observations don
i la zone spinale cubitale est envahie, la lésion retentira sur les faisceaux blancs les plus proches, c'est- à-dire sur les
oire nerveux périphérique, de lésions médul- laires intéressant son faisceau pendant son trajet dans la moelle.Plusieurs de
ant son faisceau pendant son trajet dans la moelle.Plusieurs de ces faisceaux médullaires voisins, déjà systématisés, peuvent ê
s cellules motrices, sous l'influence de la sclérose descendante du faisceau latéral. Notre intention n'est pas de discuter
urtrissent il tour de bras la chair nue du condamné, l'un avec un faisceau de verges, l'antre avec un martinet de cuir, ta
pliquer. En effet une hémisection droite de la moelle interrompt le faisceau pyramidal de ce même côté. Or les fibres qui co
faisceau pyramidal de ce même côté. Or les fibres qui composent ce faisceau pyramidal conduisent les incitations motrices q
est en communication avec la voie motrice par l'intermé- diaire du faisceau de Laewental, et avec la voie sensitive de la moi
ive de la moitié correspondante de la moelle par l'intermédiaire du faisceau cérébelleux direct; c'est par celte voie sans d
93 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
etc. . VARIA. 91 La 13e leçon « de la maladie de Friedreich et du faisceau céré- belleux des cordons postérieurs de la moe
ée systématisée, des voies cérébelleuses et d'au- tres systèmes, du faisceau pyramidal par exemple ; encasd'alfec- tion syst
à l'Auteur : « A la théorie dupliste d'aucuns objecteront que des faisceaux nerveux relient ensemble la droite et la gauche
résumés que possible. FAITS DIVERS Epreuve orale de 15 minutes : Faisceau pyramidal. {les- taient dans l'urne : Pneumogas
, viscéraux et vaso-moteurs, réunis entre eux par des fibres et des faisceaux d'association. C'est à cette région la plus con
ond dessillons ; moyenne de ces mensurations et des numérations des faisceaux des radiations médullaires. La topographie- en
u système profond. Fibres arquées de lleynert ou fibne pi,opiit,. Faisceaux radiaires de projection. L'examen porta sur les
latérales des circonvolutions, fond des sillons), nombre moyen des faisceaux de projection pour toute la face externe de cha
couche zonale et de la ,ouche paucicellulaire, enfin le nombre des faisceaux radiaires par mil- limètre. Une deuxième séri
en outre des troubles mo- teurs et réflexes indiquant une lésion du faisceau pyramidal. Les auteurs admettent comme vraisemb
urs admettent comme vraisemblable un arrêt de développe- ment de ce faisceau , reconnaissant la même cause que la mal- format
cet effet de beaucoup supérieures aux lorgnons. F. T. XXXII.- Le faisceau longitudinal inférieur et le faisceau optique c
ux lorgnons. F. T. XXXII.- Le faisceau longitudinal inférieur et le faisceau optique central ; quelques considérations sur l
es notions classiques admises sur l'origme et la nature de certains faisceaux , en particu- lier du faisceau longtitudinal inf
ur l'origme et la nature de certains faisceaux, en particu- lier du faisceau longtitudinal inférieur. D'abord ce faisceau ne
x, en particu- lier du faisceau longtitudinal inférieur. D'abord ce faisceau ne doit pas être confondu avec la couche sagitt
titue en effet qu'une partie de cette couche, au même titre que les faisceaux de Sachs, de Wernicke, de Vialet. Selon l'op- n
ux de Sachs, de Wernicke, de Vialet. Selon l'op- nion classique, le faisceau longitudinal inférieur est un long fais- ceau d
oral. Dans ses recherches l'auteur n'a jamais vu de dégénération du faisceau longitudinal inférieur consécutive à des lésion
he optique immédiatement attenante. Il le consi- dère donc comme un faisceau de projection, la couronne rayon- nante cortici
x lèvres de la scis- sure calcarine (sphère visuelle corticale). Ce faisceau , que l'auteur, propose d'appeler « faisceau opt
visuelle corticale). Ce faisceau, que l'auteur, propose d'appeler « faisceau optique central », apparaît ainsi comme une par
er « faisceau optique central », apparaît ainsi comme une partie du faisceau longitudinal inférieur des classiques c'est ce
sociation qui encombrent son territoire. Dans la capsule interne le faisceau optique central, comme d'ailleurs les autres fa
le interne le faisceau optique central, comme d'ailleurs les autres faisceaux de la couronne rayonnante, est dissocié par les
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 491 le lobe occipital sous les noms de faisceaux de Sachs et' de Vialet, ces deux derniers vaiss
stent également dans le lobe pariéto-temporal. Il en est de même du faisceau vertical- de Wernicke qu'on retrouve dans le lo
nferme pas de fibres d'association. Il n'existe pas chez l'homme de faisceau d'associa- tion occipito-frontal. Aucune fibre
temporale et en partie de la troisième : ces fibres constituent le faisceau de Turck. F. TISSOT. XXXIII. Rachitisme tardif
s par la méthode de Donaggio. par Scarpini, p. 253. Cerveau. Voir Faisceau longi- tuclinal. Cervelet. Voir Hémiplégie.
s dans la pre- mière, et seconde enfance ; par Rayner, p. 1 15. Faisceau . Le longitudinal in- férieur et le optique cent
94 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
flg. 1, 2, 3, 4, et Pl. II, fig. 3.) (1) Les cellules plates et les faisceaux fibriilaires composent la capsule de Glisson dans
'existence dans l'épaisseur de la membrane muqueuse, de très nombreux faisceaux de fibres musculaires de la vie organique, entrec
observe deux couches de tissu fibroïde, com-posées principalement de faisceaux de tissu conjonctif et de fibres élastiques. Dans
e. D'autres, enfin, comme Kolliker, accordent l'existence de quelques faisceaux de fibres-cellules musculaires; mais ces faisceau
stence de quelques faisceaux de fibres-cellules musculaires; mais ces faisceaux seraient très clair-semés et partant on ne saurai
lleurs, à cet égard, de très grandes variétés suivant les sujets. Les faisceaux musculaires peuvent faire complètement défaut : c
s sont doués d'une forte musculature ; chez le chien, la présence des faisceaux mus-culaires dans les parois de ces canaux est in
llards, il nous a été impossible de mettre en évidence l'existence de faisceaux de fibres musculaires. En revanche, ces faisceaux
ence l'existence de faisceaux de fibres musculaires. En revanche, ces faisceaux étaient très apparents, et même assez multipliés
un homme de 30 ans. Il en était de même chez un enfant de 40 ans. Ces faisceaux qui occupent la partie la plus profonde de la tun
ndelettes. Sur les coupes transversales, la surface de section de ces faisceaux apparaît sous la forme d'espaces arrondis. Il n
ndis. Il n'existe pas, ainsi que M. Renaut l'avait déjà signalé, de faisceaux dirigés en travers. La disposition que nous venon
ique. En résumé, de tout ce qui précède, il semble résulter que les faisceaux de fibres musculaires existent normalement dans l
es sujets. On est porté à croire que chez les vieillards surtout, ces faisceaux sont habituellement très peu prononcés ou même fo
is abdomina-les et probablement aussi la contraction spasmodique des. faisceaux musculaires des parois du conduit lui-même. Mai
pasme du canal cholédoque est rendue vraisemblable par la présence de faisceaux musculaires dans les parois de ce conduit au mo
d'apparence fusiforme qui devien-nent des cellules plates ; — 6. des faisceaux de fibrilles plus ou moins denses. Consécutivemen
tif est plus développé, mieux formé, composé de cellules plates et de faisceaux fibrillaires bien dessinés ; il s'ensuit que le l
zone la plus voisine, du lobule; au lieu de ces cellules, ce sont des faisceaux de lissu conjonctif, de formation nouvelle, qu'on
contre plus particulièrement les cellules embryonnaires ou encore les faisceaux conjonctifs de nouvelle formation et les cellules
95 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
e de toute lésion cérébrale qui s'accom- pagne de dégénérescence du faisceau pyramidal et qui aboutit à une incu- rable infi
de l'écorce cérébrale, et il s'ensuit une dégénérescence totale du faisceau pyramidal. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE C
veau de la protubérance que se fait l'entrecroisement des fibres du faisceau pyramidal, tandis qu'au même niveau le trajet est
les autres en amas compacts, elles remplissent les intervalles des faisceaux conjonctifs de la pie-mère, et s'accumulent surto
n reconnaît tous les éléments de la paroi veineuse; mais, entre les faisceaux conjonctifs onduleux qui en cons- tituent la ch
des ; tout au pourtour, celles-ci font irruption au milieu même des faisceaux blancs, abandonnant les travées con- jonctives
disposés en chapelet. Nous n'avons trouvé ces bacilles que dans les faisceaux nerveux ; l'épi- 134 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
ssissement très net de l'épinèvre qui est constitué par de nombreux faisceaux fibreux entrelacés, coupés çà et là de libres éla
lamelleuses sont manifestement hypertrophiées. Dans l'intimité des faisceaux nerveux, le tissu conjonctif s'est en grande pa
méninges. Par endroits celles-ci font irrup- tion au sein même des faisceaux nerveux, et les fibres, comprimées, refou- lées
ou moinspro- fondément. N'est-il pas tout naturel d'admettre qu'un faisceau de tubes du cordon latéral ainsi détruit sur un
re au-dessous ou au- dessus ? et ne doit-il pas en être de même des faisceaux détruits par l'infil- tration méningée propagée
ce d'un véritable petit foyer gommeux, microscopique situé en plein faisceau latéral gauche (Fig. 18). Ce foyer, qui prése
urtout. Dans l'une d'entre elles, un foyer de ce genre a détruit un faisceau volumineux en entier : les globules sanguins y so
ors, car elle touche en un point à la périphérie, sans respecter le faisceau cérébelleux direct. Du côlé des méninges, léger
d'une poussée méningitique antérieure, ayant irrité légèrement les faisceaux mé- dullaires sous-jacents. Observation X.
D'ici l'excitation passe il l'écorce motrice gauche et puisque les faisceaux pyramidaux se croisent 316 NOUVELLE ICONOGRAPHI
tés en même temps. Par suite le réflexe suit en même temps les deux faisceaux pyramidaux : le résultat ne peut être qu'une cont
puyant sur nos résultats ; et cela de la manière suivante. tv) Le faisceau non-croisé du nerf optique droit occupe par la pl
tine, mais occupe seulement la région centrale de celle-ci. b) Le faisceau croisé de l'opticus droit occupe par la plupart d
occupe seulement la région centrale. c) Le passage réciproque du faisceau croisé et non-croisé de l'opticus droit (démont
rétine. Pour résumer, j'exprimerai mon opinion en ces termes. Le faisceau non croisé de l'opticus droit pourvoit à la moiti
96 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
(ou ayant plutôt empêché son développement), et qui empiète sur le faisceau croisé de la bandelette optique du même côté, qui
cholz (G4) a constaté la même chose chez les crétins jeunes on a un faisceau assez important de faits permettant de conclure
: LA Sl'ONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 139 une complète dégénérescence des faisceaux postérieurs (un état semblable a été décrit par
arque que sur l'un l'angle inféro-externe de Fli et la partie de ce faisceau qui tapisse la paroi inféro- interne du ventric
on tient compte du fait que les tumeurs refoulent fréquem- ment les faisceaux nerveux, en altérant la disposition sans les détr
I et la figure 1 montrent ce qui est resté plus ou moins intact des faisceaux sagittaux : seulement la partie inférieure de Fli
sion. On ne peut que s'étonner de la puissance de résistance de ces faisceaux de projection. Dans un cas précédent (obs. VIII
arce qu'il y a peu de destructions totales, que parce que les mêmes faisceaux sont touchés en plusieurs endroits et de façon
latéral des deux côtés et à droite dans la protubérance, entre les faisceaux de substance blanche. Ce sont des amas,de forme
e les parties profondes de la nappe cellulaire, enfoncées entre les faisceaux musculai- res,possédent un pouvoir absorbant su
e vaste ulcération de 13 centimètres sur 13 au fond de laquelle les faisceaux du 160 CUAltoN ET COUltl3OiN muscle grand fes
émiplégiques n'est jamais complètement sain ». Toutes les libres du faisceau pyramidal, organe dont la lésion con- ditionne
ement récent, rose, du noyau lenticulaire gauche, empiétant sur les faisceaux blancs des capsules externe et interne. 3° Sous
uvait pas réunir les doigts par le même bout comme pour en faire un faisceau , etc. Eu juillet 1908, la flexion des doigts se
ces éléments sont formés de tissu osseux, les autres sont formés de faisceaux tendineux qui sortent de la substance fondamen-
rcelles cartilagineuses encore conservées quoique transformées. Ces faisceaux tendineux se continuent dans les bâtonnets osseux
se former à la place du cartilage, apparaît une grande quantité de faisceaux collagènes, surtout autour des vaisseaux sanguins
nt probablement d'une formation plus récente et occupent le haut du faisceau arborescent ; d'autres papilles sont plus pe- t
s pe- tites, d'une formation ultérieure et sont posées à la base du faisceau . x.xiv 16 242 LLDARUFP La capsule articulai
ion calcaire qui sont posées sur l'os sans inter- médiaire (B). Les faisceaux des fibres conjonctives traversent par endroits
a préparation microscopique ; elle est un peu plus intense dans les faisceaux de Goll de la région cervi- cale. Une dégénéres
ctif et une soudure des surfaces arti- culaires entre elles par les faisceaux de ce tissu conjonctif; il résulte de ces modif
on remarque que : 1° le protoplasma de ces cellules suit un peu les faisceaux de fibres névrogliques, ce qui ne se voit jamais
le tissu conjonctif; ce n'est qu'à la base de la glande qu'un petit faisceau nerveux, venant de la commissure pos térieure,
ôté gauche l'omoplate reste éloignée de la ligne médiane. Ce sont les faisceaux du rhomboïde que l'on aperçoit tendu, entre l'o
eur une moyenne de 70 à 80 fibres par champ de microscope. Dans les faisceaux pyramidaux dégénérés, nous trouvons la moitié d
rait pas de provoquer la dégé- nération parenchymateuse de tous les faisceaux . Or cela n'existe pas dans notre cas. Dans la
du pouce et des autres doigts soient mises en contact et réunies en faisceau . Dans ce but, pour pouvoir réussir, il faut éte
procher et serrer sur la pulpe du pouce les autres doigts réunis en faisceau , le fléchisseur commun des doigts intervient et
97 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
nce des résultats obtenus dans Fig. 1. — AA, cordons latéraux. — A, faisceau de Tiïrck. — BB, zones radiculaires postérieures.
s spéciales à chacune des régions affectées. On apprend ainsi que les faisceaux pyramidaux sont presque exclusivement composés de
Ainsi nous savons, de science certaine, que la lésion destructive du faisceau pyramidal, dans son trajet capsulaire en arrière
à une lésion du cerveau, occupant la capsule interne sur le trajet du faisceau pyramidal, les membres peuvent rester flasques; m
marqué de la fesse du côlé correspondant résultant de l'atrophie des faisceaux inférieurs du grand fessier peut aussi être consi
de l'atrophie, qui atteint à des degrés différents non seulement les faisceaux d'un même muscle, mais, même les fibres d'un même
ement les faisceaux d'un même muscle, mais, même les fibres d'un même faisceau , et la sclérose du tissu conjonctif interstitiel.
la substance grise centrale. Il n'y a aucune raison de croire que les faisceaux blancs antérieurs ou postérieurs soient envahis.
'est la compression, et il en résulte une dégénération descendante du faisceau pyramidal que l'on peut retrouver jusqu'à la part
des cornes antérieures, mais seulement à l'altération dégénérative de faisceaux pyramidaux. C'est donc d'une paraplégie spasmodi-
ndent. En second lieu, viennent les cas dans lesquels la lésion des faisceaux blancs est primitive mais toujours nécessairement
ssairement suivie d'une lésion de la substance grise. Ici ce sont les faisceaux pyramidaux qui sont pris les premiers, puis, en s
le fait unique, ou tout au moins primitif. S'il y a participation des faisceaux blancs, ce n'est que secondairement et accessoire
nt correspondante, selon toute probabilité, au degré d'altération des faisceaux musculaires. A côté de cette hypertrophie, vous p
plus récemment M. Sfarr 3 ont rassemblé un certain 1. G. Ballet, Le faisceau sensitif et les troubles de la sensibilité dans l
que avec coagulation de la myosine 1 se produirait ici, dans ceux des faisceaux musculaires qui se sont trouvés soumis au plus ha
trouvés soumis au plus haut degré de l'ischémie ; tandis que dans les faisceaux musculaires moins profondément intéressés survien
d'entraîner avec elles la production de la dégénération secondaire du faisceau pyramidal. Dans les deux cas, en effet, la rigidi
térieures est consécutive à une altération organique du cerveau et du faisceau pyramidal, tandis que, dans le second cas, les mo
98 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
microscope on trouva une infiltration de cellules rondes entre les faisceaux nerveux et les cellules gan- glionnaires. Les v
urol. Centralbl., 4886.) Paralysie générale avec dégénérescence des faisceaux pyrami- daux dans les cordons latéraux depuis l
te ne se sont pas étendues de proche en proche des ascen- dantes au faisceau pyramidal du centre ovale, puisque au-dessus de
ontraire, sont exclusivement caractérisés par la dégénérescence des faisceaux pyramidaux (dégénérescence primitive, d'après W
observations dans lesquelles il y avait dégénérescence limitée aux faisceaux pyramidaux se signala par une évolution assez r
groupe comprend les faits dans lesquels la lésion atteint avec les faisceaux pyramidaux, les tractus latéraux cérébelleux, en
au maximum ; émaciation extrêmement rapide. Quatrième groupe : les faisceaux pyramidaux sont lésés, mais non dans tous les s
bres qu'ils renferment. Cinquième groupe : lé- sions en plaques des faisceaux pyramidaux. Sixième groupe : lésion des tractus
daux. Sixième groupe : lésion des tractus latéraux cérébelleux, des faisceaux pyramidaux, des cordons postérieurs. - Septième
des cordons postérieurs. - Septième groupe : lésion combinée des faisceaux pyramidaux et des cordons postérieurs, etc. En ex
ers faits, on arrive à cette constatation que, malgré la lésion des faisceaux pyramidaux, il ne se produit pas de phénomènes
et présente-t-elle alors des particu- larités spéciales, quand les faisceaux pyramidaux ont concurrem- ment dégénéré ? Preno
Zacher 2 caracté- risé par des accidents spasmodiques extrêmes, les faisceaux pyra- midaux étant demeurés indemnes; les altér
ns lesquels les anamnestiques révélaient la syphilis; ce furent les faisceaux pyramidaux et non les cordons postérieurs qui fur
fournil des libres au glosso-pharyngien et au pneumogastrique : ce faisceau qui n'a rien à voir avec l'auditif est identiqu
consistance plus molle et non uniforme, parce qu'ils sont formés de faisceaux pins solides mollement réunis entre eux. Sur le
sitif, cette région, qui renferme non pas des nerfs mixtes mais des faisceaux mixtes de nerfs, est fréquemment intéressée. Al
la cessation des injections hypo- dermiques. » Tout cela forme un faisceau de faits dont nous verrons en- core l'importanc
persis- tant plus d'un mois (jusqu'à la mort), sans que tous les faisceaux nerveux participent à la dégénération. En d'aut
mêmes régions contiennent un grand nombre de tubes nerveux fins en faisceaux isolés ou en petits groupes; 3° les racines de la
ennent un très grand nombre de petites fibres réunies en assez gros faisceaux qui cheminent entre les fibres larges. Séance
q centres distincts dans le pied de la couronne rayonnante de Reil, faisceaux blancs correspondants à la zone motrice et seul
ques soit à la sur- face des circonvolutions, soit sur la coupe des faisceaux blancs, on constate : 1° lorsque l'excitation e
99 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
immédiat, et viennent se placer dans le pédoncule cérébral avec le faisceau bulbaire en dedans du faisceau pyramidal ». Réc
r dans le pédoncule cérébral avec le faisceau bulbaire en dedans du faisceau pyramidal ». Récemment MM. Pugliese et V. Milla
courent en ram- pant soit parmi les fibrilles, soit parmi les gros faisceaux , soit dans toute la masse des muscles épargnés
nticu- laire ; 2° un autre trousseau, plus tardif, sortant, avec le faisceau pyramidal, de la capsule interne, gagnant le pi
te les deux variétés de trajet que voici, a) Il peut accompagner le faisceau pyramidal jusque dans la protubérance et même j
e du pied du pédon- cule cérébral en dedans, se placer en dedans du faisceau d'Arnold (cortico-protubérantiel de Flechsig) e
es qui, d'ordinaire, sont fournies par la partie la plus interne du faisceau d'Arnold. C'est l'étude de la myélinisation qui
ème ventricule). Elle peut encore émaner du tabes avancé; lésion du faisceau solitaire de Mendel. La théorie de la modificat
stèmes de fibres. Ainsi l'absence du cervelet entraine l'absence du faisceau cgrébelleux direct, des fibres arciformes, etc !
ccupant avec une prédilection particulière les cordons de Goll, les faisceaux en virgule, les Uiangles cornu-marginaux; 2° ce
èmes frontal et temporal du pont de Varole, du ruban de Reil et des faisceaux internes accessoires; 2° à un degré plus accent
terne correspon- dante. Malgré cette destruction très étendue des faisceaux capsulaires, le malade n'avait pas d'aphasie ;
u même côté où pénétra l'arme, seulement une lésion circonscrite au faisceau pyramidal, d'où l'hémiparaplégie du membre abdo
atteindre, c'est-à-dire, la région intéro-latérale, qui comprend le faisceau pyramidal. Avec de pareilles lésions, comment e
e du machete arriva à blesser dans la moitié gauche de la moelle le faisceau pyra- midal, blessure qui a engendré dans ledit
moelle le faisceau pyra- midal, blessure qui a engendré dans ledit faisceau une dégé- néralioii descendante et, comme suite
ache scléreuse ne respectant que le pyra- midal croisé et, dans les faisceaux postérieurs, plaque égale- ment symétrique, ne
ment symétrique, ne laissant indemnes que les parties latérales du faisceau de Burdach. Au niveau du renflement brachial et a
en rapport avec le siège de la lésion dans les centres ou dans les faisceaux de communication. Kussmaul qui donnait plus d'i
blessure du médian : l'auteur conclut de cette particularité que le faisceau qui contient les libres motrices au niveau du p
sensitives du nerf vague pénètrent dans le bulbe jusqu'au niveau du faisceau solitaire. Là, elles se recour- bent en bas pou
se recour- bent en bas pour devenir les éléments constituants de ce faisceau . Ces fibres peuvent se poursuivre jusque dans l
e voisine. Celle-ci représente donc le noyau terminal des fibres du faisceau solitaire ainsi que le noyau sensitif du nerf de
, il ne s'agit pas, dans ce cas, d'un défaut de dévelop- pement des faisceaux pyramidaux. La syphilis doit aussi être éli- mi
à l'absence ou à l'arrêt de développement de la portion spinale du faisceau pyramidal. Très bonne observation qui aurait pu
100 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent : 1° Région cervicale. -Légère sclérose des cordons latéraux ( faisceau pyramidal croisé). La coupe, examinée par trans-
r gaine lymphatique distendue et contenant quelques leucocytes. Les faisceaux du tissu con- jonctif y sont plus épais ; ces t
substance blanche ; de place en place, au point d'intersection des faisceaux conjonctifs, existent des cellules conjonctives
lésions constatées sont les suivantes : lo Sclérose commençante du faisceau latéral; 2° Dégénération granuleuse des cellule
). Schéma indiquant la région envahie par la sclérose qui occupe le faisceau pyramidal croisé A des deux côtés. (Contraire
breuses, disséminées; situées au point de jonction de deux ou trois faisceaux de tissu conjonctif, elles présentent des prolo
sence constitue un des caractères les plus évidents de la lésion du faisceau pyramidal croisé. Fi(;. 4.- Celliles nerveuses
veau, c'est-à-dire après la puberté. La dégénérescence porto sur le faisceau pyramidal, sur les fibres issues du genou de la
uhan de Reil et de la couche intermédiaire des olives. Intégrité du faisceau longitudinal postérieur et des noyaux des nerfs
en faveur de cette opinion, c'est qu'en renforçant l'élongation des faisceaux par une charge modérée, on rend le tonus éviden
e n'est pas pur, qu'il se complique d'altérations périphériques des faisceaux résultant d'une exagération de la tonicité datant
nes (D); 3, protuh(rmcu;-3, pjramide gauche dégénérée; 4, olive; 3, faisceau latéral. 25 ! 6 ' RECUEIL DE FAITS, Les deux
es travées de nouvelle formation ayant graduelle- ment atrophié les faisceaux contractiles; la substitution de la graisse se
r le trajet des fibres du nerf optique dans le chiasma. De plus, le faisceau entrecroisé parait presque exclu- sivement uni
exclu- sivement uni à la moitié médiane de la sphère visuelle, le faisceau non entrecroisé se rendant à la moitié latérale d
possibilité d'une dégénérescence isolée des cordons latéraux ou des faisceaux pyramidaux ; plus tard : passage de la dégénére
tèmes où se forment le plus tardivement les manchons de myéline ( faisceaux pyramidaux, puis cordons postérieurs et faisceaux
chons de myéline (faisceaux pyramidaux, puis cordons postérieurs et faisceaux laté- raux cérébelleux) sont ceux qui rétrocède
). Schéma indiquant la région envahie par la sclérose qui occupe le faisceau pyramidal croisé, A, des deux côtés. (Contrai
breuses, disséminées; situées au point de jonction de deux ou trois faisceaux de tissu conjonctif, elles présentent des prolo
sence constitue un des caractères les plus évidents de la lésion du faisceau pyramidal croisé. FtG. 4.- Cellules nerveuses d
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