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1 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
ure permanente. La démence était devenue complète avec des périodes d' excitation . Mort le 11 août 1860. A Vautopsie, on trouve u
t excité le feuillet pariétal de l'arachnoïde, et, par suite de cette excitation , il se serait fait une sécrétion plastique, laque
mais déjà ils prennent, cela n'est pas douteux, une certaine part à l' excitation morbide qui s'est emparée du tissu conjonctif qui
e des tubes dont la propriété est de déterminer, sous l'influence des excitations , une sensation perçue ; elle devra se traduire en
e matin. Il y a un peu de délire : pas de somnolence, plutôt un peu d' excitation . Réponsesvagues et embarras notable dans la prono
ent pas, en effet, la piqûre d'une épingle, tandis qu'elle sent cette excitation dans les parties voisines. Les troubles hystériqu
localisée. La contraction du muscle sur les membres persiste après l' excitation , pour peu que celle-ci soit un peu forte et un pe
u prolongée, et se transforme facilement en contracture permanente; l' excitation d'un nerf provoque la contraction des muscles qu'
est-à-dire que la face est dirigée du côté opposé au muscle excité. L' excitation de l'antagoniste, c'est-à-dire du stermo-mastoïdi
tion droite et si l'on insiste, la tourne inversement. Sur un bras, l' excitation des fléchisseurs amène la contracture du membre d
amène la contracture du membre dans la flexion, laquelle cesse par l' excitation des extenseurs et inversement. En résumé, tous le
bles de se contracter ainsi, et, suivant la durée et l'intensité de l' excitation , on obtient à \rolonté une contraction ou une con
Mais la malade, jusque-là inerte, peut, sous l'influence de certaines excitations , entrer dans une seconde phase qui est à propreme
rigidité musculaire; impossibilité de faire contracter le muscle par excitation mécanique. 2° Etat léthargique. — Les yeux sont
u la propriété spéciale désignée sous le nom d'/ryer-excitahililé. —L' excitation des points hystéro épileplogènes ne provoquait au
il existe sur la surface du corps, des points d'hyperesthésie dont l' excitation peut produire une attaque ; ce sont des points hy
chez d'autres, c'est au niveau de la taille qu'il faut produire cette excitation , en pressant un peu, pour déterminer l'attaque. S
scles que je touche légèrement. Si, au contraire, je prolonge cette excitation , si je la renouvelle sur le même point, je produi
ce singulier état. L'hyperesthésie musculaire existe : je fais une excitation légère des extenseurs du bras, et la contracture
duite, etc., comme nous l'avons vu précédemment. Cette longue suite d' excitations de toute sorte n'a d'ailleurs pas d'influence fâc
nfluence d'une émotion morale vive, et surtout sous l'influence d'une excitation religieuse. C'est là un fait qui n'est absolument
reparaît. Ce fait curieux, remarqué par M. Vigouroux, est-il dû a l' excitation de la sensibilité auditive, ou à celle de la sens
té générale ? Nous ne le savons pas ; nous rechercherons bientôt si l' excitation de la sensibilité de l'odorat, du goût, provoque
ment excités de la même façon sur les membres, le tronc, au cou ; les excitations un peu intenses et plongées déterminent la contra
ercussion répétée des tendons. Ces contractures, produites soit par l' excitation des nerfs ou des muscles, soit par la percussion
xercée sur les tendons, se résolvent rapidement sous l'influence de l' excitation des muscles antagonistes. Chez le sujet plongé
le qu'elle a été définie plus haut, n'existe pas, ou autrement dit, l' excitation des nerfs, des muscles eux-mêmes, ou encore la pe
bilité musculaire en ce qu'elle ne se résout pas comme celle-ci par l' excitation mécanique des antagonistes, et de l'immobilité ca
e le muscle (2) à entrer en contracture sous l'influence d'une simple excitation mécanique. L'excitation mécanique peut être porté
en contracture sous l'influence d'une simple excitation mécanique. L' excitation mécanique peut être portée sur le corps du muscle
es griffes radiale, cubitale, médiane caractéristiques, suivant que l' excitation mécanique porte sur le nerf radial, le cubital ou
on soit en conséquence de l'attitude imprimée aux membres, soit par l' excitation faradique des muscles de la face, peuvent se mont
produits pendant l'état hypnotique. — Les contractures produites par excitation mécanique des muscles pendant l'état léthargique,
s eu soin de les faire disparaître, pendant l'état léthargique, par l' excitation des antagonistes. Pour amener la résolution rapid
ptitude particulière du muscle à la contracture sous l'influence de l' excitation mécanique et qui a été désigné par l'un de nous s
convaincre que la contracture musculaire n'est pas due seulement à l' excitation mécanique de la fibre musculaire elle-même, mais
re musculaire elle-même, mais qu'elle se montre également bien, que l' excitation soit portée sur les fibres tendineuses qui sont e
ue donne au point de vue de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire, l' excitation mécanique localisée soit au tendon, soit au ramea
oit au rameau nerveux, soit au corps du muscle lui-même (1). § I. — Excitation du tendon. — étude des réflexes tendineux dans
oquée pendant l'hypnotisme, nous avons tenu à ne faire usage que de l' excitation purement mécanique, telle que le choc, la pressio
u'il soit nécessaire de les soumettre à l'hypnotisation. Tandis que l' excitation purement mécanique n'acquiert d'efficacité que pe
ux, dont il devient, dans le cas particulier où la contracture suit l' excitation du tendon, comme une nouvelle manifestation d'un
ir doit être placé dans un état de tension modérée. En second lieu, l' excitation portée sur le tendon doit consister en un choc br
e. La contraction musculaire réflexe ne peut être produite par aucune excitation électrique ou mécanique autre que la percussion.
tude qui va suivre, nous considérerons successivement les effets de l' excitation mécanique portée sur le tendon, soitau moyen d'un
cune façon aux mouvements réflexes de la jambe sur laquelle portait l' excitation . Mais à peine Bar... était-elle endormie que les
réflexe rotulien paraît plus intense, qu'il s'obtient à l'aide d'une excitation plus légère, il retentit sur les bras et sur tout
e inférieur. D'ailleurs, cette dernière loi de Pfluger qui veut que l' excitation réflexe se propage dans la moelle, toujours de ba
quelque sorte accumulation de force et addition successive de chaque excitation partielle, de telle façon que, tout en conservant
up plus considérables que les premiers. 11 y a donc deux modes de l' excitation par choc : ou l'excitation est intense et unique,
es premiers. 11 y a donc deux modes de l'excitation par choc : ou l' excitation est intense et unique, ou l'excitation estfaible
e l'excitation par choc : ou l'excitation est intense et unique, ou l' excitation estfaible et répétée. Tous deux conduisent au mêm
résente plusieurs ondulations. La malade une fois endormie, la même excitation portée sur les mêmes tendons donne le tracé II da
cylindre) Pour obtenir une simple contraction, il faut user d'une excitation fort légère. En répétant ces excitations très lég
raction, il faut user d'une excitation fort légère. En répétant ces excitations très légères, on arrive également très rapidement
la contracture ainsi que le prouvent les tracés des fig. 3 et h. L' excitation portée sur les muscles fléchisseurs de la main et
le directement excité, de même que celle du muscle éloigné du point d' excitation ) tendre vers la contracture. C'est ce que démon
ge, et l'irradiation au bras du même côté est très marquée. Les trois excitations du tracé II [Fig. 6), ont été portées successivem
), ont été portées successivement, et l'on remarque qu'à la troisième excitation la contraction réflexe du biceps brachial, aussi
établir aussi bien au bras correspondant qu'à la jambe sur laquelle l' excitation avait été directement portée. — En même temps que
demeurée localisée à un seul côté du corps. Mais, la propagation de l' excitation peut dépasser la ligne médiane et la contracture,
est-à-dire de la contracture musculaire obtenue à l'aide d'une simple excitation mécanique, il existe une différence entre les deu
n suivante. Dans ces cas, le phénomène pour se développer exige une excitation intense et répétée. L'ébranlement nerveux qui en
pour produire immédiatement la contracture localisée et dans ce cas l' excitation nrest pas assez vive pour tendre vers la générali
dé de localisation. La contracture suit également d'autres procédés d' excitation mécanique du tendon, tels que la malaxation, la f
ant, ont pour résultat de produire la contracture plus sûrement que l' excitation par choc et d'éviter la généralisation. B. —Eff
'excitation par choc et d'éviter la généralisation. B. —Effets de l' excitation tendineuse par malaxation, friction ou simple pre
. 11 en résulte que, pour la production de la contracture réflexe par excitation tendineuse, non seulement le choc n'est pas néc
du choc et tient, en quelque sorte, le milieu entre les deux modes d' excitation . Le tracé suivant (Fig. 8) montre en effet que,
la contracture obtenue par l'exilation du tendon et celle qui suit l' excitation des nerfs ou le corps du muscle lui-même. Fig.
nal électrique indiquant le moment et la durée de la pression. § IL Excitation des nerfs. L'excitation mécanique des nerfs pro
e moment et la durée de la pression. § IL Excitation des nerfs. L' excitation mécanique des nerfs produit la contracture des mu
eur et pour isoler, autant que possible, ce qui appartient à la seule excitation du nerf, nous avons choisi, pour les soumettre à
on, des troncs nerveux assez volumineux et facilement accessibles à l' excitation mécanique. Griffe cubitale. — Parmi les nerfs q
autre partie molle. 11 est donc facile de l'atteindre sûrement. Son excitation mécanique au moyen d'une simple pression faite av
nnées de l'anatomie et de la physiologie. Sous l'influence de cette excitation , la main se contracture dans une attitude spécial
de variétés anatomiques individuelles, soit du degré d'intensité de l' excitation , soit de la diffusion de l'excitation ou de sa pr
soit du degré d'intensité de l'excitation, soit de la diffusion de l' excitation ou de sa propagation à d'autres muscles par l'int
nerf cubital demande une assez grande intensité du courant pour que l' excitation se transmette à tous les muscles innervés par lui
traction due à l'hyper-excitabilité neuro-musculaire persiste après l' excitation , et imprime de la sorte à la main une attitude qu
t celles du médian, et que, par l'intermédiaire de ces anastomoses, l' excitation portée sur le nerf cubital pourrait s'étendre plu
ou moins aux ramifications voisines du médian. Griffe médiane. — L' excitation du nerf médian un peu au-dessus du pli du coude d
u au-dessus du pli du coude donne des résultats analogues à ceux de l' excitation du cubital. La main prend alors une attitude qui
sation est plus difficile ; entouré de parties molles, le nerf fuit l' excitation si elle n'est faite franchement et au bon endroit
ion combinée de tous les muscles innervés parle médian. A priori, l' excitation du tronc nerveux lui-même produira les mouvements
de sa masse musculaire, paraît même devoir l'emporter. En résumé, l' excitation du médian doit donner lieu aux mouvements suivant
Voici maintenant l'attitude qu'a prise la main sous l'influence de l' excitation mécanique du médian pendant l'état d'hyper-excita
a main prendre complètement l'attitude du poing fermé (FigA2). Si l' excitation a été intense ou prolongée, le mouvement de prona
ire. Griffe radiale. — Le nerf radial n'échappe pas à la loi et son excitation au sortir de la gouîtière de torsion de l'humérus
dial. En effet, l'attitude que prend la main, sous l'influence de l' excitation mécanique du nerf radial au point indiqué, a pour
ntracture est-elle la cotisé Fig. 13. — Griffe radiale. §. III. — Excitation des muscles. quence de l'excitation directe de
. — Griffe radiale. §. III. — Excitation des muscles. quence de l' excitation directe de la fibre musculaire elle-même, ou bien
itation directe de la fibre musculaire elle-même, ou bien suit-elle l' excitation des petits rameaux nerveux et de leurs terminaiso
penser que la contracture est ici, comme ailleurs, le résultat d'une excitation nerveuse de nature réflexe. Quoi qu'il en soit,
se de nature réflexe. Quoi qu'il en soit, la contracture qui suit l' excitation mécanique du muscle est facile à démontrer chez l
our faire cesser cette contracture, il suffit de porter une semblable excitation sur le sterno-mastoïdien du côté opposé, et la tê
es muscles qui, par leur situation superficielle, per-" mettent à l' excitation mécanique de les atteindre facilement, se comport
les atteindre facilement, se comporte delà môme façon. Par exemple, l' excitation portée sur le trapèze sur les côtés du cou, amène
r les muscles larges et fascicules, tel que le deltoïde, que : à) L' excitation portée sur un point, même limité, du muscle produ
tanée des muscles qui lui sont synergiques. Ce qui se passe lors de r excitation portée sur le deltoïde en est un exemple concluan
toïde, ne se produit pas lorsque ce même muscle est contracture par l' excitation mécanique dans l'état de l'hy-perexcitabililé neu
e et grand dentelé, bien que ces derniers muscles n'aient subi aucune excitation directe. Nous reviendrons plus loin sur ces fai
limiter un certain nombre de zones parfaitement circonscrites, dont l' excitation amène, avec le plus de précision et de sûreté, le
désigne en électro-physiologie sous le nom de point d'élection pour l' excitation partielle des muscles. Instruit par une longue
ntes dans la distribution des rameaux nerveux. La localisation de l' excitation mécanique dans les cas d'hyperexcitabilifé neuro-
neuro-musculaire, nous constations ensuite, pendant la veille, avec l' excitation électrique, que l'action de ces mêmes points étai
long extenseur nous a donné les résultats les plus précis. Le point d' excitation commun à l'extenseur du pouce et à celui de l'ind
e Duchenne (de Boulogne) pour que nous y insistions ici. A la main, l' excitation des muscles de l'éminence thénar produit, suivant
uvent un moment de flexion de la phalangette dû vraisemblablement à l' excitation communiquée au tendon du long fléchisseur du pouc
du pouce qui passe sous ces muscles. Quant à Lé-minence hypothénar, l' excitation portée sur la face palmaire amène la flexion du p
e mouvement de l'abduction. Les interosseux ne sont accessibles à l' excitation mécanique qu'à la face dorsale de la main. A la f
plètement recouverts par les tendons des fléchisseurs qui reçoivent l' excitation avant eux. Nous avons vu plus haut que les tendon
Nous avons vu plus haut que les tendons sont également sensibles à l' excitation mécanique. A la face dorsale de la main, l'excita
t sensibles à l'excitation mécanique. A la face dorsale de la main, l' excitation des interos Fig. 14. — Quelques points moteurs
esquelles nous insisterons dans un instant. § IV. Parallèle entre l' excitation mécanique de l'iiyperexcitarilité neuro-musculair
istent entre les résultats de l'électrisa-tion localisée et ceux de l' excitation mécanique dans l'hyperexcitabilité neuro-musculai
es. Les analogies résultent : a) De la possibilité de localiser l' excitation à un muscle ou à un groupe de muscles ; b) De l
du pouce ; 11, long extenseur du pouce ; 12, interosseux. portant l' excitation sur sa fibre elle-même, soit indirectement, en po
l'excitation sur sa fibre elle-même, soit indirectement, en portant l' excitation sur le rameau nerveux qui lui est destiné, en que
. Nous savons en effet que, pour ce qui est des muscles de la face, l' excitation mécanique, pendant l'état d'hyperexcitabilité, ne
les différents faisceaux du même muscle. 11 est facile de localiser l' excitation électrique dans une partie seulement d'un muscle
excitabilité, la contraction totale de ce même muscle suit toujours l' excitation mécanique partielle d'un seul de ces faisceaux;
que partielle d'un seul de ces faisceaux; c) De la propagation de l' excitation . Dans l'état d'hyperexcitabilité, le mouvement d'
airement de l'action des muscles qui lui sont synergiques, sans que l' excitation ait été portée sur ces derniers ; ce qui n'a pas
le à obtenir, dans l'état d'hyperexcitabilité neuro-musculaire, par l' excitation mécanique, que, pendant la veille, par la faradis
ux organes sous-jacents qui pourront, par suite, participer à la même excitation ; que ce soit un autre muscle, un nerf ou un tend
au niveau des espaces interosseux, au point d'élection marqué pour l' excitation électrique, le résultat obtenu paraît, de prime a
l'accuser davantage. En résumé, il existe pour la localisation de l' excitation mécanique dans l'état d'hyperexcitabilité neuro-m
ns que subissent, suivant les individus, les points d'élection pour l' excitation partielle des muscles ; c) De la diffusion de l
vent en une seule couche, et, par là même, facilement accessibles à l' excitation mécanique. De plus, il n'existe pas de tendons do
à l'excitation mécanique. De plus, il n'existe pas de tendons dont l' excitation de voisinage puisse contrarier, masquer ou même e
s, la contraction ainsi provoquée ne persiste pas d'ordinaire après l' excitation et ne se transforme jamais en contracture permane
avons cherché à produire la contraction isolée de chaque muscle par l' excitation des points d'élection indiqués par Duchenne de (B
n modérée, pratiquée avec l'extrémité arrondie d'un petit bâton. Si l' excitation est trop légère, de façon à ne consister qu'en un
etites convulsions cloniques qui se rapprochent du tremblement. — Une excitation trop forte se propage souvent à quelques muscles
la pression. Elle persiste quelquefois très peu de temps après que l' excitation a cessé, surtout si l'on a peu insisté, mais elle
cles des membres et ceux de la face ; 3° Malgré la persistance de l' excitation , l'action produite ne tarde pas à s'épuiser. Tout
-ci s'effacer peu à peu et finir par disparaître complètement. 4° L' excitation unilatérale d'un muscle pair s'obtient le plus so
'obtient le plus souvent fort aisément; mais, il arrive parfois que l' excitation retentit sur le muscle homologue du côté opposé,
t. C'est ce qu'on peut constater sur la Fig. 1 de la Planche VI, où l' excitation du muscle orbiculaire palpébral supérieur n'a été
médiane. En tout cas, nous avons bien des fois remarqué qu'une double excitation , portée à la fois sur les deux muscles pairs, don
cles pairs, donnait lieu à une exagération du mouvement obtenu avec l' excitation unilatérale ; 5° II est possible de faire contr
utre côté, ceux auxquels nous sommes arrivés par l'emploi de la seule excitation mécanique pendant la léthargie provoquée chez nos
is transversaux à la racine du nez. Chez notre malade hypnotisée, l' excitation de ces mêmes muscles, par une simple pression exe
nt et d'une façon absolument conforme à la description de Duchenne. L' excitation sur la Figure 4 de la Planche V et la Figure 1 de
ue du sourcil au point figuré en 3 sur le schéma (Fig. 16). Lorsque l' excitation porte sur un point plus rapproché de la tête du s
re : « Il m'est arrivé quelquefois, dit-il, de localiser exactement l' excitation dans ce muscle... Cette localisation est assez di
ateur commun de la lèvre supérieure et de l'aile du nez participe à l' excitation . C'est ce qu'on peut remarquer sur la figure 3, P
. Dans la figure 4 de la Planche VII, la contraction du muscle suit l' excitation du rameau nerveux qui lui est destiné. Dansla fig
eau nerveux qui lui est destiné. Dansla figure i de la Planche XII, l' excitation est portée sur le corps dumusclelui-mè-me. Duchen
ndividus. La Fig. 4 de la Planche VI montre d'une façon fort nette, l' excitation du transverse du nez chez la nommée Caill..., tan
transverse du nez chez la nommée Caill..., tandis que chez Witt... l' excitation isolée de ce même muscle n'a pu être obtenue. P
re narine participe au mouvement mais à un degré moindre), bien que l' excitation ait été unilatérale. C'est un nouvel exemple de l
ulaire des muscles pairs de la face, dont nous avons déjà parlé. Si l' excitation , tout en demeurant unique, se rapproche de la lig
dilatation une fois produite ne persiste pas uniformément, bien que l' excitation soit maintenue égale ; il se produit une sorte de
de repos. L'oRBicuLAiRE des lèvres répond aussi fort nettement à l' excitation mécanique portée sur différents points de ses fib
en contraction. L'action est encore bien plus vive lorsqu'on porte l' excitation sur le bord libre des lèvres ; il suffit pour cel
es la contraction isolée du triangulaire des lèvres, il faut porter l' excitation un peu en dehors et en bas de la commissure des l
res, comme il est indiqué sur notre Figure 3 de la Planche VIII. Si l' excitation est faite plus bas, en se rapprochant du maxillai
mécanique portée à un centimètre et demi environ en dedans du point d' excitation du triangulaire, et à peu près à la même hauteur
laire, pour devenir superficiel. Sur la Fig. 4 delà Planche VIII, l' excitation portée sur le milieu du menton met en jeu les mus
a malade par un aide, au moment où la contraction était obtenue par l' excitation mécanique des points moteurs musculaires. La mala
de la physionomie, et, la malade étant rendue cataleptique pendant l' excitation d'un muscle, la contraction de ce muscle persiste
la contraction de ce muscle persiste parfois un certain temps après l' excitation , de façon à rappeler la contracture des membres ;
ngulaire des lèvres ou le peaussier d'autre part, etc., etc.. Mais, l' excitation est alors assez difficile à localiser exactement.
ors assez difficile à localiser exactement. La tendance que possède l' excitation d'un seul muscle à retentir sur le muscle homolog
alors insister davantage, et il y a parfois un peu de diffusion de l' excitation dans les muscles voisins. Néanmoins, s'il se prod
présente la Figure 4 de la Planche IX en sont vraiment saisissants. L' excitation du muscle élévateur commun de l'aile du nez et de
pour que tout mouvement cesse de ce côté, malgré la persistance de l' excitation au même point. Nous avons reconnu, dans le cour
si bien excitables à la face qu'ils le sont aux membres. En résumé, l' excitation du muscle est directe ou indirecte. Quelques expé
t péremptoirement. \ Le tronc de la septième paire est accessible à l' excitation électrique par le procédé suivant : « On peut, di
otégé par les os et les cartilages, soit difficilement accessible à l' excitation mécanique. Mais, il n'en est pas de même de ses r
à leurs points d'émergence de la parotide, s'offrent d'eux-mêmes à l' excitation . Dans l'état d'hyperexcitabilité neuro-musculaire
i sont sous la dépendance de ces rameaux est l'indice certain de leur excitation mécanique. On voit alors, sous l'influence de c
leur excitation mécanique. On voit alors, sous l'influence de cette excitation tout un côté de la physionomie se contracter, et,
ut un côté de la physionomie se contracter, et, suivant le point de l' excitation , la contraction s'accuser davantage dans les musc
s et du menton. Dans l'expérience représentée Figure 2 (Planche V), l' excitation porte sur le tronc nerveux lui-même, en avant du
moitié du visage sont entrés en contraction. Cette expérience de l' excitation mécanique du facial, pendant la léthargie hystéri
primer à ses oreilles les mouvements que, dans le sommeil provoqué, l' excitation mécanique provoque facilement. Nous trouverons là
nique provoque facilement. Nous trouverons là un exemple de plus de l' excitation d'un muscle, directement, en agissant sur les fib
on de l'oreille, à la hauteur du tragus, une zone fort limitée dont l' excitation amène infailliblement un mouvement brusque et ass
part, il existe au-dessus de l'oreille une zone assez étendue dont l' excitation produit le même résultat, et qui correspond bien
e musculaire dans la zone située au-dessus de l'oreille, tandis que l' excitation portée au devant du tragus intéresse le rameau ne
ABILITË NEURO-MUSCULAIRE. La contracture musculaire provoquée par l' excitation mécanique pendant la léthargie hypnotique, présen
résente toujours les mêmes caractères, qu'elle ait été produite par l' excitation des tendons, des nerfs ou des muscles eux-mêmes.
e sur quelques particularités de détail. a) La contracture cède à l' excitation des antagonistes.— La contracture ainsi provoquée
ment par la friction ou la malaxation des muscles antagonistes. Cette excitation , que l'on pourrait qualifier d'excitation d'arrêt
muscles antagonistes. Cette excitation, que l'on pourrait qualifier d' excitation d'arrêt, n'exige pas une localisation précise. Po
ance à une seconde contracture localisée. Cette action d'arrêt de l' excitation des antagonistes n'a lieu que pendant la léthargi
mir de nouveau le sujet, et, pendant l'état léthargique, procéder à l' excitation des muscles antagonistes dont l'effet est instant
ns l'expérience décrite plus haut, la main, sous l'influence de cette excitation , se contracture, immobilisée dans une attitude ca
e n'y plus toucher afin d'éviter les complications que de nouvelles excitations musculaires, même fortuites, ne manqueraient pas
nstater le transfert par l'aimant de la contracture localisée due à l' excitation mécanique du nerf ou du corps musculaire lui-même
. Il en est de même lorsque la contracture a été la conséquence d'une excitation tendineuse. La malade endormie est placée dans
n voit aussitôt la contracture se produire d'elle-même, sans nouvelle excitation , au fur et à mesure que la circulation se rétabli
t nous y reviendrons plus loin. Pour le moment, nous constatons que l' excitation mécanique portée sur un muscle anémié ne saurait
aux caractères. Alors, en ayant bien soin de ne porter aucune autre excitation sur le membre anémié, nous froissons avec le doig
cataleptique. La malade est replongée dans l'état léthargique et l' excitation mécanique portée au nerf cubital du membre anémié
u'il suit,, d'après le mode d'apparition de leur efficacité : c'est l' excitation des tendons qui réussit d'abord, puis l'excitatio
ficacité : c'est l'excitation des tendons qui réussit d'abord, puis l' excitation des masses musculaires; en dernier lieu l'excitat
d'abord, puis l'excitation des masses musculaires; en dernier lieu l' excitation des troncs nerveux. Enfin ce n'est que dans les c
e, mais le résultat est complètement négatif. Nous revenons alors à l' excitation des tendons par percussion. Nous constatons de no
flexe tendineux donne lieu à la contracture — contracture réflexe par excitation tendineuse; —3e degré : contracture réflexe par e
éflexe par excitation tendineuse; —3e degré : contracture réflexe par excitation directe des masses musculaires. Dans une second
r la fixité du regard. Sur le bras gauche, contracture facile par l' excitation des tendons, par la malaxation musculaire et par
e par l'excitation des tendons, par la malaxation musculaire et par l' excitation des nerfs. La pression du nerf cubital en arrière
cette expérience est tentée chez cette malade. Sur le bras droit l' excitation des tendons et des masses musculaires nous donne
aires nous donne des résultats semblables, mais nous constatons que l' excitation du nerf cubital au lieu d'élection n'est point su
usculaires. 2° Elle se montre avec plus de facilité à la suite de l' excitation tendineuse. Mais il faut alors répéter les chocs,
s mêmes résultats qu'à gauche. On y arrive cependant. -4° Lorsque l' excitation est insuffisante, on n'obtient qu'une contraction
qui venait de se passer, nous essayons de provoquer une attaque. Une excitation vive portée sur les zones hystérogènes de l'aisse
meil sans hyperexcitabilité neuro-musculaire ou état somnambulique. L' excitation mécanique directe ou indirecte des muscles n'amèn
mbre sur lequel nous opérons est redevenu hyperexcitable. En effet, l' excitation mécanique des nerfs et des muscles amène la contr
détermine aucune contracture. Il en est de même aux poignets poiu' l' excitation mécanique portée sur les tendons, percussion, fri
es. Le sterno-mastoïdien se contracture aussi sous l'influence de l' excitation mécanique, niais les muscles de la face demeurent
ion mécanique, niais les muscles de la face demeurent inexcitables. L' excitation du nerf cubital en arrière de l'épitro-chée provo
vec les mômes caractères que précédemment. De plus la contracture par excitation mécanique directe est toujours possible. Que le
t par la tendance des muscles à la contracture, sous l'influence de l' excitation mécanique soit des tendons, soit des nerfs, soit
ci. a) La production d'une contracture musculaire consécutive à une excitation mécanique portée à la périphérie d'un membre est
cas, d'une contracture, et non d'une contraction, montre que, outre l' excitation et son résultat, l'action spéciale du contre nerv
antagonistes, ce qui s'explique très facilement, si l'on admet que l' excitation portée sur les antagonistes détermine dans la moe
usculaires antagonistes, fléchisseurs et extenseurs, par exemple. « L' excitation des antagonistes, dit M. Vulpian, dans les cas de
celle des muscles fléchisseurs des doigts, par exemple, une certaine excitation se transmet du foyer médullaire d'origine des ner
n action (1) ». C'est un mécanisme analogue que nous invoquons ici. L' excitation , au lieu de venir du cerveau, comme dans l'action
ns l'action volontaire dont parle M. Vulpian, vient de la périphérie ( excitation mécanique, friction). Elle gagne les foyers d'ori
ulaire consécutive au choc du tendon comme directement produite par l' excitation mécanique de la fibre musculaire en continuité av
t des observateurs qui en font un phénomène de nature réflexe. d) L' excitation mécanique, qui produit la contracture dans les ca
t localisée dans le muscle ou le groupe musculaire sur lequel porte l' excitation . Cette propagation de l'excitation n'est pas un s
oupe musculaire sur lequel porte l'excitation. Cette propagation de l' excitation n'est pas un simple fait de voisinage. Elle n'a r
tudiant les phénomènes avec attention, on reconnaît facilement cpae l' excitation ne se propage que suivant certaines lois physiolo
ntracture du grand dentelé qui lui est synergique. (Voy. p. 350). L' excitation du nerf médian produit la griffe médiane. (Voy. p
. (Voy. p. 342). En insistant, une fois la griffe médiane produite, l' excitation sort de la sphère du médian. Ce sont les muscles
muscles pronateurs qui relèvent directement du médian. A la face, l' excitation se propage très facilement d'un muscle au muscle
é opposé. fVoy. p. 360 et 361.) La raison de cette propagation de l' excitation d'un muscle à un autre muscle plus ou moins éloig
ne exagération manifeste de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. L' excitation mécanique la plus légère portée sur un membre en
point corresponde à un tendon, ù un muscle ou à un nerf. Mais si l' excitation même limitée est un peu intense, la contracture s
embre directement excité. Ces contractures très intenses cèdent par l' excitation des antagonistes aussi facilement qu'elles sont p
it un retard très appréciable de plusieurs secondes (2, 3, 4) entre l' excitation et le mouvement réflexe. Par instant l'hyperexc
égèrement stertoreuse, le sommeil chlorofor-mique paraît profond. — L' excitation mécanique, aussi bien à la l'ace qu'aux membres,
remarqué ce premier fait : que les contractions réflexes, lorsque l' excitation qui porte sur un point du tégument cutané n'est p
postérieur de la grenouille, a indiqué des régions de la peau dont l' excitation donne lieu à des mouvements réflexes soit d'exten
tomiques qui sont vraisemblables, on s'explique aisément pourquoi les excitations faites sur les extrémités d'un nerf sensitif tend
à mettre en jeu les fibres motrices de ce nerf (1) ». Ainsi donc l' excitation cutanée pourrait, jusqu'à un certain point, rendr
cadre des réflexes cutanés. Cette expérience est la suivante : Une excitation mécanique qui n'intéresse que la peau comme le pi
sur les parties profondes — n'ont qu'un effet absolument négatif. Une excitation plus légère, comme le frôlement, une pression mod
a peau, demeure également sans résultat. Tandis qu'au même point, une excitation mécanique quelconque qui intéresse, au travers du
o-musculaire, légitime cette manière devoir. —Ainsi donc, lorsque l' excitation mécanique porte sur un tendon, ce sont les nerfs
e sont les nerfs du tendon qui seraient directement intéressés ; si l' excitation porte sur le corps du muscle, ce sont alors les n
musculaire lui-même, s'il en existe. Et en troisième lieu, lorsque l' excitation porte sur le tronc d'un nerf mixte, les nerfs sen
uer, d'après la théorie, de la façon suivante. Il ne s'agit pas d'une excitation mécanique directe des filets moteurs du nerf cubi
ubital, mais bien des filets sensitifs par l'intermédiaire desquels l' excitation est transmise au centre médullaire d'où elle est
, les propriétés d'excitabilité neuro-musculaire sous l'influence des excitations mécaniques cessent tout d'un coup. Vous avez beau
oyens de mettre en jeu l'excitabilité du muscle. Il suffit alors de l' excitation cutanée la plus légère, comme le frôlement, ou de
égorie des contractures de l'état somnambulique; il les obtient par l' excitation cutanée la plus légère, l'action du doigt à dista
s : Pour la production de la contracture de l'état léthargique, les excitations cutanées seules demeurent inefficaces, il faut un
e, les excitations cutanées seules demeurent inefficaces, il faut une excitation mécanique, pression ou malaxation qui intéresse l
racture de l'état somnambulique ne survient crue sous l'influence des excitations cutanées les plus légères; dans ce cas, la pressi
de l'état léthargique ne se résout que par un seul procédé, qui est l' excitation mécanique portée sur les muscles antagonistes; ta
que la contracture somnambulique cède sous l'influence d'une nouvelle excitation cutanée aussi légère que la première, quel que so
tude spéciale des nerfs et des muscles à réagir sous l'influence de l' excitation mécanique qui produit alors, pendant l'état létha
e les parties motrices. Il ne s'agit plus cette fois que de simples excitations mécaniques, mais de l'action du courant galvaniqu
régions de l'encéphale. Il était devenu nécessaire d'établir que l' excitation galvanique extérieure se transmet réellement à tr
périence, on le voit, dépose en faveur de l'opinion qui admet que les excitations galvaniques d'une certaine intensité, appliquées
surtout de mouvements homo-latéraux par rapport au côté du crâne ou l' excitation galvanique était produite. J'ajouterai que, sur l
Ainsi, chez une seule de ces malades, les secousses provoquées par l' excitation galvanique du crâne ont paru propres à l'état hyp
ue, chez d'autres, en nombre égal, ils se produisent du mème çôté ? L' excitation des régions dites motrices de l'encéphale ne saur
all-Hall, Brown-Sôquard, Bochefontaine, Duret, faire intervenir ici l' excitation des régions sensibles de la dure-mère ? Mais, sur
l'hypnotisme chez les hystériques. caractéristiques, suivant que l' excitation mécanique porte sur le nerf radial, le cubital ou
hyperexcitabilité. De plus, les mouvements observés chez elles, par l' excitation galvanique du crâne, consistent en mouvements bru
t ici complètement défaut. Le tégument externe reste insensible aux excitations les plus vives ; mais certains sens, la vision,,
t ajouter que ces actes automatiques développés sous l'influence de l' excitation portée aux centres nerveux par la voie du sens mu
intérêt tout particulier. L'expression donnée à la physionomie par l' excitation électrique demande à être prolongée pendant quelq
nt quelques instants pour réagir sur le centre nerveux. Au début de l' excitation aucun mouvement du corps ne se produit. Le sourci
son immobilité indifférente semble ne pas appartenir au même sujet. L' excitation est alors maintenue pendant quelques minutes — la
s deux états. Ainsi, pendant la léthargie, la contracture succède aux excitations mécaniques profondes portées soit sur les tendons
ndant le somnambulisme, il faut pour amener un résultat analogue, des excitations exclusivement cutanées, légères, superficielles.
. compl. t.ix, Hypnotisme. 2y ne se relève que sous l'influence des excitations cutanées superficielles et présente alors les plu
disparaissait soit d'elle-même, soit sous l'influence d'une nouvelle excitation cutanée. Nous avions sous les yeux un spectacle p
t de veille. Nous ajouterons, pour compléter la ressemblance, que l' excitation mécanique profonde portée sur les tendons, les mu
que dans le cas particulier de la contracture du tibial antérieur, l' excitation réside dans la tension passive du groupe musculai
par Westphal, d'une contracture réflexe d'un muscle à la suite d'une excitation portée sur son antagoniste. M. Westphal (2) rép
ion particulière du muscle à entrer en contracture sous l'influence d' excitations variées et parfois môme des plus légères. Suivant
acer en flexion dorsale et cela à un degré d'autant plus accusé que l' excitation des muscles extenseurs (jumeaux et soléaire) est
n s'accuser sous la prédominance d'action des fléchisseurs bien que l' excitation continue à être portée directement sur les extens
s. D'une façon générale, un groupe antagoniste, qui ne reçoit pas l' excitation , acquiert néanmoins une prédominance d'action par
es groupes musculaires antagonistes sont également intéressés par une excitation exclusivement portée sur l'un d'eux. L'attitude i
ée au membre par la contracture ne dépend pas uniquement du lieu de l' excitation mais encore des circonstances extérieures qui fav
liquer ainsi : La contracture étant toujours réflexe dans ce cas, l' excitation centripète qui doit la produire gagne la moelle o
rigine des nerfs destines aux muscles directement excités. Mais cette excitation n'y reste pas confinée et gagne également les gro
ompte des faits dont il s'agit, il nous suffit alors d'admettre que l' excitation partie d'un groupe musculaire retentit toujours s
rouve sa cause non dans le relâchement brusque du muscle, mais dans l' excitation par distension de son antagoniste. Nous nous rapp
grande facilité. On peut les réaliser par divers procédés, soit par l' excitation des nerfs, soit par l'excitation directe des musc
iser par divers procédés, soit par l'excitation des nerfs, soit par l' excitation directe des muscles ou des tendons (percussion, m
les, permanentes, qui peuvent apparaître sous l'influence de diverses excitations . Récemment seulement, nous les avons reconnues au
nommée G. R..., tous les moyens sont efficaces : traction du membre, excitation des tendons, etc. Cette généralisation possible
Une autre preuve à l'appui de cette vue, c'est que la répétition des excitations musculaires chez un sujet disposé a pour effet de
normal, la mise en jeu de l'arc diastaltique est entre tenue par l' excitation permanente venant des muscles ou de la peau. Si,
é sera représentée par 10, je suppose : de telle sorte que la moindre excitation des nerfs centripètes viendra se surajouter à l'e
On comprend plus difficilement la disparition des contractures sous l' excitation des antagonistes, ou des frictions, etc. Mais i
e, que ces fibres du faisceau pyramidal transmettent, les unes, les excitations à l'action, tandis que d'autres servent à l'inhib
ébrale, la tonicité se change en contracture par l'action, la moindre excitation provocatrice. D'abord, les réflexes sont exaltés,
ellules motrices ; on conçoit ainsi comment, à la suite de la moindre excitation périphérique dans l'hystérie, comme dans le cas d
), auquel nous empruntons quelques passages. —Consulter aussi d'une excitation mécanique directe, les muscles de la vie normale
ue directe, les muscles de la vie normale se contracturent. Le mode d' excitation est variable : on peut employer le massage, la fr
membres, ces paralysies sont, comme on le sait, très fréquentes. L' excitation mécanique des troncs nerveux agit sur les muscles
musculaire. Elle consiste en ce que, sous l'influence de très légères excitations superficielles, comme le frôlement, le souffle bu
ait dans ce cas que renouveler, sous forme d'images, le souvenir de l' excitation cutanée qui a donné lieu une première fois à la c
qu'il serait prouvé que la suggestion peut l'aire tout ce que fait l' excitation périphérique, il resterait à démontrer que la réa
aussi complexes, de faire la part respective de la suggestion et de l' excitation périphérique. Nous reconnaissons même que chez ce
suggestion, amener le développement d'une contracture, alors que les excitations périphériques sont incapables de produire ce résu
t cela ne permet pas de conclure que la suggestion est tout, et que l' excitation périphérique ne sert à rien. C'est aussi par la
e est dans la moelle ou cerveau et dont le point de départ est dans l' excitation périphérique des muscles et des nerfs, et que les
, la suggestion simple n'agissait pas d'une façon plus active que les excitations mécaniques sur le développement des contractures.
iques ont persisté chez elle. N'est-il pas évident dans ce cas qu'une excitation sensorielle a produit ce que la suggestion avait
Fi g: 2 . " î H-, Ë. Fig*. 6. î Fig-. 4. ×7- PLANCHE Y. Excitation des muscles de la face pendant la léthargie hypno
n des muscles de la face pendant la léthargie hypnotique. Fig. 1. — Excitation du muscle sterno-mastoïdien du côté gauche. Contr
sterno-mastoïdien du côté gauche. Contracture du muscle. Fto. 2. — Excitation du nerf facial en avant de l'oreille du côté droi
simultanée des muscles de l'œil, du nez et de la bouche. Fig. 3. — Excitation bilatérale du muscle frontal. Fig. 4. — Excitat
che. Fig. 3. — Excitation bilatérale du muscle frontal. Fig. 4. — Excitation bilatérale du muscle orbiculaire palpebral supéri
aire palpebral supérieur. Fig. i Fig. 2 PLANCHE VI. Fig. 1. — Excitation unilatérale du muscle patpébral supérieur, On peu
ébral supérieur, On peut constater, dans le muscle du côté opposé à l' excitation , un léger degré de contraction. Fig. 2. — Dans
és directement s'est ajoutée celle des pyramidaux du nez. Fig. 3. — Excitation unique et médiane des eux dmuscles dilatateurs de
ique et médiane des eux dmuscles dilatateurs des narines. Fig. 4. — Excitation du transverse du nez du côté gauche, Fig. i F
se du nez du côté gauche, Fig. i Fig. 2 PLANCHE VIL Fig. 1. — Excitation bilatérale du grand zygomatique. Fif. 2. — Exci
L Fig. 1. — Excitation bilatérale du grand zygomatique. Fif. 2. — Excitation unilatérale du grand zygomatique. Fig. 3. — Exc
Fif. 2. — Excitation unilatérale du grand zygomatique. Fig. 3. — Excitation unilatérale du petit zygomatique. Il s'y joint un
scle élévateur de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. Fig. 4. — Excitation unilatérale du muscle élévateur commun du nez et
térale du muscle élévateur commun du nez et de la lèvre supérieure. L' excitation , parfaitement localisée, porte sur le rameau nerv
x destiné à, ce muscle, Fig. 1 Fig. 2 PLANCHE Y HT. Fin. 1. — Excitation bilatérale du muscle élévateur commun de l'aile d
vateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. Fia. 2. — Excitation bilatérale du carré du menton. Fia. 3. —Excitat
ure. Fia. 2. — Excitation bilatérale du carré du menton. Fia. 3. — Excitation bilatérale du triangulaire des lèvres. Fia. 'i.
ia. 3. —Excitation bilatérale du triangulaire des lèvres. Fia. 'i.— Excitation de la houppe du menton. Fig. 1 Fig. 2 PLANC
n de la houppe du menton. Fig. 1 Fig. 2 PLANCHE IX. Fig. 1. — Excitation simultanée des muscles frontaux et pcauciers. — M
'expression de la physionomie ait été modifiée pour cela. Fig. 3. — Excitation simultanée des muscles orbiculaires palpébraux su
t rendue cataleptique du côté gauche par l'ouverture de l'œil gauche.— Excitation bilatérale du muscle élévateur commun delà lèvre
roit du côté léthargique se contracte seul. Du coté cataleptique, une excitation semblable demeure sans PfiU Fig. 1 Fig. 2 P
os musculaire................................................ 312 Excitation du tendon........................................
Excitation du tendon.......................................... 313 Excitation des nerfs...............,........................
Excitation des nerfs...............,........................... 336 Excitation des muscles......................................
cles......................................... 348 Parallèle entre l' excitation mécanique de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire
tinction avec les — organiques spasmodiques, p. 469; — permanente par excitation du tendon, p. 320: ?— par excitation des muscles,
diques, p. 469; — permanente par excitation du tendon, p. 320: ?— par excitation des muscles, p. 848; ?— provoquée par l'hyperexci
par l'hyperexcilabilité neuro-musculaire, p. 377: — modification par excitation des antagonistes, p. 377; —? persistance de la —
; — sur rachromatopsie hystérique, p. 215. Musclus, contracture par excitation des —, p. 348; —expériences, p. 352. Myélites,
ement des —, p. 122; — hemorrhagic, conséquence des—, p. 123. Nerfs, ( Excitation des —), p. 336, Névrite hypertrophique, p. 183.
le, p. 91; — clans certaines affections convulsives, p. 95. Tendon ( Excitation du —), p. 313; — expériences, p. 321 ; — contract
2 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
encore contraction paresseuse, to- nique, longuement persistante. L' excitation des nerfs par de forts courants faradiques, pro
la loi nor- male, toujours et partout brèves et sans persistance. L' excitation labile des nerfs peut provoquer aussi des contr
le domaine du nerf excité se prolonge un peu au delà du temps de l' excitation . L'excitabilité galvanique n'est pas non plus sen
10, 30 secondes et parfois même davantage, après la cessation de l' excitation . En prolongeant les excita- tions, ou en les ré
traction totale, lente, tonique, qui persiste longtemps après que l' excitation a cessé. Si l'on prolonge l'excitation pendant
rsiste longtemps après que l'excitation a cessé. Si l'on prolonge l' excitation pendant 3/4 de minute à 1 minute, les muscles n'a
triquement, on voit se produire pendant les premières secondes de l' excitation quelques secousses isochrones aux mouvements de l
l'intensité du courant et la fréquence des in- ' terruptions. Si l' excitation est interrompue alors, le muscle se décontracte
n du muscle à entrer en état de contraction tonique. Cependant, des excitations fréquemment répétées, ou longtemps prolongées,
mouvements ondulatoires irréguliers, qui se produisent soit pendant l' excitation elle-même, soit après la cessation de l'excitat
t soit pendant l'excitation elle-même, soit après la cessation de l' excitation et se prolongent souvent long- temps après (jus
cles par les courants d'induction, nous distinguerons trois modes d' excitation différents, suivant la fréquence des interrupti
mais les effets produits varient suivant la force du courant. « Les excitations minimales provoquent des contractions qui ressemb
x, sont presque toujours sans durée, et cessent en même temps que l' excitation . Les excitations avec des courants de force mod
ujours sans durée, et cessent en même temps que l'excitation. Les excitations avec des courants de force modérée, produisent de
(Erb, /. c. p. 67.) Il en était ainsi chez notre malade pour les excitations minimales et les excitations modérées. Aussi no
était ainsi chez notre malade pour les excitations minimales et les excitations modérées. Aussi nous n'en reproduirons pas ici de
tractions ainsi produites dans la maladie de Thomsen. Lorsque les excitations faradiques, avec interruptions fréquentes, sont
e mode d'application de l'ex- citation faradique, c'est-à-dire de l' excitation par des courants avec inter- ruptions encore fr
nsister tout particulièrement. Sur des muscles normaux, ce mode d' excitation produit, avec des cou- rants de force modérée,
par des contractions isochrones aux interruptions. Dès que cesse l' excitation , le muscle revient aussitôt à l'état de repos.
dans la maladie de Thomsen; mais les effets produits par ce genre d' excitation diffèrent suivant certaines conditions de l'exp
long (30, 40, 50 secondes). Effet produit : au début de la première excitation (composée d'une série de chocs d'induction se s
isparaît ensuite graduellement au cours de l'ex- citation. Dans les excitations suivantes, répétées en laissant entre chacune d
action énergique et brusque sous l'influence de la volonté.) 9'C. Excitations des muscles qui sont sous l'influence de la fatig
des muscles qui sont sous l'influence de la fatigue, à la suite des excitations précédentes longtemps répétées, ou par suite de
30, 40, 50 secondes. (Apparition du spasme myotonique à la première excitation , sa disparition aux excitations suivantes.) S
n du spasme myotonique à la première excitation, sa disparition aux excitations suivantes.) Si nous excitons un muscle de notre
examiner, voici ce que nous observons : 1° au moment où commence l' excitation , il se produit dans le muscle exploré quelques
ment de se contracter, et il répond comme un muscle normal à chaque excitation du courant; ses contractions sont isochrones av
du trem- bleur et ont une amplitude en rapport avec l'énergie de l' excitation ; 4° si on enlève alors l'électrode excitatrice
ait appliquée sur le point électro-moteur du mus- cle, produisait l' excitation et recevait l'effet produit pour le transmettre a
es, elles atteignent une amplitude assez grande, et lorsque cesse l' excitation , le muscle reprend aussitôt sa ligne de repos. Da
s la minute suivante, après un repos d'une vingtaine de secondes, l' excitation est renou- velée (A, 2°). Dès le début, les sec
ne se produit pas de spasme myotonique. Il en est de même pour les excitations suivan- tes (3° et 4°), répétées après un inter
tées après un intervalle de repos de 4 secondes. A la fin de chaque excitation le muscle reprend aussitôt l'état de repos. Les
CD en 1 FIG. 1. - Bout... (Maladie de Thomsen) 25 juillet {888. - Excitations faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse
ns suivantes. Une vingtaine de secondes après la fin de la première excitation , on renouvelle l'expérience (B, 2°). Cette fois,
myoto- nique, comme l'indique la courbe du tracé. Sur une troisième excitation et sur une quatrième, renouvelées après un repo
ns nos tracés d'un vice dans l'ex- périmentation au début de chaque excitation . En raison de l'instrumenta- tion, dont nous di
termittences de l'inter- rupteur se trouvent plus rapprochées, d'où excitation plus grande du muscle que dans la suite de l'ex
us établissons le rapport qui les relie. Il en est de même pour les excitations physiques et morales, et la fièvre peut apparaîtr
uleur intense de n'importe quelle nature ; il ne s'agit alors que d' excitations plus ou moins vives du système nerveux, transitoi
oprement parler et l'explication ne saurait être trouvée que dans l' excitation fonctionnelle névro-centrale. Jusqu'ici, on tro
agonistes, s'exagèrent comme les mouve- ments athétosiques, par les excitations (essais de mouvements volontaires, émotion, etc
complet des muscles. Que produisent-elles ici ? Au début de la 1 re excitation (2), le muscle répond pendant 1 seconde 1/2 par
paraître un tétanos presque complet, comme pour un muscle normal. L' excitation interrompue, au bout de 47 secondes de durée tota
rée totale, le mus- cle reprend aussitôt l'étal de repos. Les mômes excitations provoquées clans la minute suivante (2° el 3°),
du muscle, comme dans l'état normal. Ici encore, à la fin de chaque excitation , retour rapide et complet du muscle à l'état de
racté au maximum et que la courbe myographique, après les premières excitations du début, s'abaisse et con- serve pendant toute
ans des conditions semblables, afin de pouvoir comparer l'effet des excitations faradiqnes sur les muscles dans la maladie de T
es muscles dans l'état normal. La figure o représente le résultat d' excitations avec des intermittences au nombre de 190 par mi
e). Nous retrouvons ici, A, quelques secousses amples au début de l' excitation ; au bout d'une seconde 1/2 le spasme myotoniqu
imum el disparaît ensuite graduellement. A la fin de celte première excitation , qui n'a été prolongée que pendant 30 secondes,
peu, mais elle est bientôt complète. Cinq secondes après, nouvelle excitation , A 2° ; il n'y a plus de spasme myotonique et l
s musculaires sont normales. Au bout de I 2 secondes cessation de l' excitation , retour immédiat et complet du muscle à l'état
omplet du muscle à l'état de repos. Une minute 1/2 après, troisième excitation pendant 14 se- condes, absence de spasme myoton
yotonique, secousses musculaires normales, el, au moment où cesse l' excitation , trace de décontraction lente. Les exci- tation
aux. La figure suivante (fig. 6) représente en A et A' le tracé des excitations produites sur le droit antérieur de la cuisse g
nces au nombre de 370 par minute (6 1/6 par seconde). A la première excitation le spasme myotonique apparaît presqu'aussitôt.
te. Au bout de 17 secondes ces secousses sont très étendues; mais l' excitation , suspendue alors, n'a pas été suffi- samment lo
DE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 95 commence la seconde excitation ; au début il y a une ébauche très incom- é t
ue, qui disparaît totalement après 3 on 4 secon- des. A la fin de l' excitation , qui a duré 13 secondes, le muscle est complè-
reprend aussitôt son état de repos. Une minute 1/2 après, troisième excitation ; là encore ébauche très incomplète du spasme myot
produit au-dessus B, appartenant à un muscle normal). A la fin de l' excitation , prolongée pendant 40 secondes, retour complet
e repos. La figure suivante (fig. 7) représente en A, 1' le tracé d' excitations avec des intermittences encore plus fréquentes
écédents, l'apparition du spasme myotonique au début de la première excitation , -bientôt après le retour graduel des secousses
sculaires, isochrones aux mouvements de l'inter- rupteur ; pour les excitations suivantes disparition de plns en plus com- plèt
de plns en plus com- plète du spasme myotonique, il mesure que les excitations se répètent. Il est il remarquer sur ces tracés
es tracés la façon dont se produit la décontraction lorsque cesse l' excitation . Ici, en effet, les excitations ont été relativem
uit la décontraction lorsque cesse l'excitation. Ici, en effet, les excitations ont été relativement courtes ; la plus longue,
iver graduellement à l'état de repos (b il 2°). Après la pre- mière excitation cette décontraction lente se prolonge pendant une
ion lente se prolonge pendant une 20e de secondes. Après les autres excitations la décontraction se fait plus rapide- ment, ell
tion se fait plus rapide- ment, elle est presque totale après la ae excitation (f). La ligne supé- rieure, B, représente à tit
le ex- citation. A la seconde il n'est qu'ébauché; il disparaît aux excitations sui- vantes, 30, live, 5e. (La 5e excitation es
ché; il disparaît aux excitations sui- vantes, 30, live, 5e. (La 5e excitation est produite avec un courant plus fai- ble, l'é
RAPHIE DU LA SALPÊTRIÈRE. Nous reproduisons ici l'inscription de 14 excitations consécutives pour bien montrer comment se compo
s pour bien montrer comment se comportent les muscles dans le cas d' excitations réitérées. Entre chaque ligne il s'est écoulé u
-Si 100 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP1'l'RIrRE. la première excitation , il fait il peu près complètement défaut aux exci
auche. Là encore le spasme myotonique est très net pour la première excitation ; il fait presque entièrement défaut pour la se
un repos de 2 3 3 minutes. Oir le retrouve aussi en partie il la 6e excitation , après un repos de même durée. Les déconlractions
tions sont traînantes après la première, la seconde el la quatrième excitation , rapides presque complètes après la troisième.
puis se continuent lentement; mais il faut tenir compte de ce que l' excitation ici était relati- vement forte et nous voyons a
. section C. Mouvements ondulatoires).. Les résultats fournis par l' excitation électrique des muscles dans la ma- ladie de Tho
M E Fia. 10. -Bout ... (Maladie de Thomsen) 1" octobre 1888. - Excitations faradiques du biceps huméral gauche. - Bobine à g
al fait bien voir la différence. L'influence de la répétition des excitations électriques sur la diminution et la disparition
. Enfin plus récemment encore, cette influence de la répétition des excitations électriques a été si- gnalée de nouveau par div
l(j4. NOUVELLE lè 1 C 0 i'I 0 G H A P U 1 DIS LA SALPÊTRIÈRE. 15 EXCITATIONS f : ULlil'IW; DURANT UNE, DEUX OU ' ! R01S SECOND
lt;/'f<c<to ? t'<M). . Nous avons vu précédemment que si l' excitation du muscle par le cou- rant faradique. avec inte
contraction tonique du muscle se maintient après la cessation de l' excitation el ne disparaît que graduellement ; la décontrac-
constate, en effet, dans ces conditions, qu'au mo- ment où cesse l' excitation le muscle est gonllé, dur, et dessine fortement
pris avec un courant interrompu 8 fois 1/2 par seconde. La première excitation (A, 4°) dure une seconde 3/li; au moment où ell
le muscle a atteint sa ligne de repos nous 'provoquons une deuxième excitation de près de deux secondes ; aussitôt après le même
revient complètement au repos en a". = Deux minutes après nouvelle excitation (B, 1°) de 1 1/2 seconde. Lorsque cesse l'excit
après nouvelle excitation (B, 1°) de 1 1/2 seconde. Lorsque cesse l' excitation le muscle se décontracté. assez rapidement en 1 1
totale a mis pour se faire 24 secondes et 1/2. A ce moment nouvelle excitation (B, 2°) prolongée cette fois pendant 10 seconde
sme myo- tonique, tel que nous l'avons étudié précédemment, mais, l' excitation ve- m C Li M B M r ti >1 n
. Réactions faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse gauche. Excitations courtes ; décontractions lentes. Interruptions
2.) (La suite des décontractions lentes, qui succèdent aux secondes excitations , se trouve inscrite à gauche de la figure en a',
s après la précédente, montre encore le même phénomène. La première excitation (C, 1°) dure 4 1/2 secondes. Lors- qu'elle cess
ssez rapidement jusqu'en»/, (moins brusquement toutefois que dans l' excitation précédente qui a duré plus longtemps, 10 second
35 secondes à regagner sa ligne de repos. Il en est de môme après l' excitation suivante (C, 2°) qui ne dure que 3 secondes, et à
racé suivant, fig. 13, nous avons recueilli sur la même feuille 2;) excitations différentes du droit antérieur de la cuisse gauch
temps de repos de 2 à 3 minutes; sur chacune d'elles les premières excitations ont été faites il intervalles d'une minute et q
e cylindre avait fait un peu plus d'un tour complel ; les dernières excitations ont été faites, au contraire, pendant le même t
lle seulement. (Les chiffres romains correspondant à chacune de ces excitations indiquent pendant quel tour du cylindre elles o
s.) De plus, dans celte expérience, nous avons recueilli le tracé d' excitations de plus en plus fortes, depuis les excitations mi
recueilli le tracé d'excitations de plus en plus fortes, depuis les excitations minimales, jusqu'à des excitations de force mod
plus en plus fortes, depuis les excitations minimales, jusqu'à des excitations de force modérée (sur tous nos tracés l'ordre de
éloignée de l'induc- teur de 10 centimètres el il n'y avait aucune excitation du muscle; pour les lignes suivantes la distanc
ètres et 7 centimètres. On peut voir que déjà avec les plus faibles excitations il se produit une décontraclion lente qui persi
uit une décontraclion lente qui persiste longtemps. Pour toutes les excitations fai- tes à une minute d'intervalle cetle décont
ensuite et graduelle- ment dans une deuxième. Pour les dernières excitations de chaque ligne, répétées à quelques secondes d
tervalle, et plus longues aussi pour la plupart que les premiè- res excitations , on voit la décontraction lente durer beaucoup mo
m en c Fin. 13. -Boul... (Maladie de Thomsen), 2G sept. 1888. Excitations faradiques de courte durée portant sur le muscle
et presque complè- tement à son état de repos, au moment où cesse l' excitation . Ceci montre bien l'influence des excitations r
, au moment où cesse l'excitation. Ceci montre bien l'influence des excitations répétées ou prolongées sur la disparition du sp
tre la bobine Ù fil gros était la bobine à lil moven. On voil que l' excitation produite par le fil moyen esl plus considérable
remarquer la longue durée de celle décontraction pour les premières excitations de chaque ligne, enpar- liculier pour celle de
H, où celte durée atteint 4S secondes (f à 11). Les deux dernières excitations de celle ligne, répétées aussitôt l'une après l
M M o CC FiG. ho Boul... (Maladie de Thomsen), 26 sept. 1888. Excitations faradiques de courte durée portant sur le muscle
let el instantané du muscle à l'étal de repos, après la der- nière. excitation . La troisième ligne. C, a élé prise dans des cond
tervalle). Nous la reproduisons ici parce qu'elle fait voir que les excitations courtes, suiv ies des décontractions lentes, n'é-
'ulat Ile repos la fin de la première ex- citation et il la fin de^ excitations produites pendant la nlinule snivanle, II. Pour
tions produites pendant la nlinule snivanle, II. Pour ces dernières excitations le spasme myotonique a disparu, comme c'est ta
me pour la ligure 1 1 nous avons enregistré un assez grand nombre d' excitations successives du muscle, depuis les excita- lions
successives du muscle, depuis les excita- lions minimales jusqu'aux excitations de force modérée. Ces excitations sont faites i
excita- lions minimales jusqu'aux excitations de force modérée. Ces excitations sont faites il intervalles d'une minute, except
écontraction diminue de durée et môme devient instantanée après des excitations répétées Ù courts intervalles (dernières excitati
anée après des excitations répétées Ù courts intervalles (dernières excitations des lignes B et C), ou après des excitations pr
intervalles (dernières excitations des lignes B et C), ou après des excitations prolongées pendant un temps plus long (der- uié
s des excitations prolongées pendant un temps plus long (der- uiére excitation cle la ligne E). Nous n'insisterons pas sur ces p
art la fa- çon dont se produit la contraction du muscle pendant ces excitations , et d'autre part ce qui se passe immédiatement
ta- tion. Nous constatons en effet, ici, qu'au moment où commence l' excitation le muscle se contracte brusquement, comme l'ind
relèvement de la courbe. L'abaissement est dû à ce qu'au début de l' excitation il se produit sous l'électrode excitatrice un sil
racés sont, d'une façon générale, plus marqués pour les premiè- res excitations ). Mais bientôt le sillon disparaît, la contractio
lement que sur un grand nombre de ces courbes, au moment où cesse l' excitation , moment indiqué sur la ligure par la lettre f, la
ors le muscle ne commence pas sa décontraction aussitôt que cesse l' excitation , mais qu'auparavant il se contracte davantage,
ntracte davantage, se trouve plus gonflé qu'il ne l'était pendant l' excitation , puis aussitôt après il se décontracte lente- m
ue nous avons déjà indiquée. Ces contractions du muscle la fin de l' excitation ne se produisent ici que lorsque les excita- ti
trer, outre le phénomène de la déconlraction lente, l'influence des excitations répétées à courts intervalles sur ce phénomène, c
arition dans ces conditions. On voit, en effet, qu'à mesure que les excitations se répètent, la décontraction lente diminue de du
ent de plus en plus rapidement à sa ligne de repos, dès que cesse l' excitation . On peut constater ici que le même effet se produ
Nos tracés montrent que, dans les premières secondes qui suivent l' excitation , la décontraction est d'abord assez rapide, mais
deux premières lignes de la figure 16, etc.), au moment où cesse l' excitation , que nous avons dési- gnées du nom de contracti
ans la section suivante (section C. Mouvements ondulatoires). Les excitations courtes n'épuisent que très lentement le désordre
lentement le désordre myo- tonique du muscle. Lorsqu'on répète ces excitations , à intervalles d'une 1-* 01-' sa o C
t; H 58 ? 1" S3 M 1'tc. 16. - Boul... (Maladie de Thomsen). Excitations faradiques du droit antérieur de la cuisse droite
l'on répète coup sur coup, à quelques secondes d'inter- valle, ces excitations courtes que l'on voit la décontraction consécutiv
s, le désordre myotonique reparaît bientôt, et si on renouvelle les excitations courtes après un repos de 2 ou 3 minutes, on co
e la précédente. Au contraire, nous avons déjà vu plus haut que les excitations prolongées pendant 1/2 ou 3/4 de minute, épuisa
une certaine mesure, ces dé- contraclions lentes qui succèdent aux excitations faradiques courtes avec certains troubles myoto
semhlent et présentent l'nn avec l'autre une certaine analogie. C Excitations des muscles fatigués par des excitations précéden
une certaine analogie. C Excitations des muscles fatigués par des excitations précédentes réité- rées, on par des excitations
es fatigués par des excitations précédentes réité- rées, on par des excitations avec des courants forts. Mouvements 0,NDU- lato
s qui nous paraissenl le provoquer sont : la fatigue du muscle, les excitations avec de forts courants, et peut-être aussi le fro
u début de la séance. L'in- fluence de la fatigue provoquée par des excitations électriques répétées ou prolongées est ainsi de
ns eu le soin de laisser reposer les muscles et d'interrompre toute excitation électrique non seulement pendant plusieurs jour
se produisent non seulement pendant le temps où le muscle su- bit l' excitation électrique, comme on parait l'avoir surtout remar
r H M FiG. 17. Bout... (Maladie deThomsen), 28 sept. 1888. - Excitations faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. qu'ici, mais encore qu'ils succèdent il l' excitation et se prolongent après elle, pendant un temps v
fois une minute. Dans cer- tains cas, même, par exemple lorsque les excitations ont été courtes ou peu prolongées, les mouvemen
vons indiqué dans une partie précédente de cette étude. La première excitation cle la ligne A est prolongée pendant six secondes
ables condi- tions, l'apparition du spasme myotonique au début de l' excitation , puis sa disparition graduelle. (A suivre) E.
SEN. (De la Réaction myotonique). - (suite '). Pendant la seconde excitation (2), renouvelée secondes après la fin de la pre
e comporte comme un muscle normal. Il en est de même pour les trois excitations de la ligne suivante, inscrite après un re- pos
de la ligne suivante, inscrite après un re- pos d'une minute ; ces excitations se succèdent pendant la même minute à quelques
au lieu de 9 centimètres comme pour les deux lignes précédentes, l' excitation du muscle est prolongée pendant 27 secondes, to
avec le même nombre d'intermittences (6 1/2 par seconde), pendant l' excitation le muscle est plus fortement tétanisé, quoique
sent des ondulations dans la ligne du tétanos. Au moment où cesse l' excitation , f, le muscle se décontracté seulement en 1res fa
e la courbe cle la décontraclion lente. Pour la ligne D la première excitation , faite après un intervalle de repos d'une minute,
ée pendant plus longtemps, pendant 18 secondes. Au courant de cette excitation le spasme myotonique appa- raît, puis quand ell
te davantage la conlractilité des muscles. Pour la première ligne l' excitation a été prolongée pendant 49 secondes. Au début l
dulations du tracé sont très nelles ici dans la seconde partie de l' excitation , a, ,, oc. Au moment où cesse l'excitation le m
s la seconde partie de l'excitation, a, ,, oc. Au moment où cesse l' excitation le muscle se décontracte faiblement, puis se co
nts ondulatoires.) Pour la seconde ligne, B, au lieu de prolonger l' excitation pendant 3/4 de minute, nous avons, fait une exc
prolonger l'excitation pendant 3/4 de minute, nous avons, fait une excitation courte de 2 secondes seulement. Au moment où ce
une excitation courte de 2 secondes seulement. Au moment où cesse l' excitation le muscle se comporte comme nous l'a- vons vu p
m w FiG. 18. -- Boul .. (Maladie de Thomsen), 28 sept. 1888. - Excitations faradiques du muscle droit antérieur delà cuisse
omporte presque identiquement comme la précédente, à la suite d'une excitation également courte, toutefois avec un écartement
cartée de 8 et de 7 centimètres. Pour les deux pre- mières lignes l' excitation est prolongée de 45 à 50 secondes. On voit d'une
oit d'une part les mouvements ondulatoires apparaître au cours de l' excitation , et se prolonger d'aulre part longtemps après l
urs de l'excitation, et se prolonger d'aulre part longtemps après l' excitation . Au second tour du cylindre ils sont encore trè
ssent qu'après une minute de durée. A la troisième li- gne, C, deux excitations , la première assez longue, la seconde plus courte
s mouvements ondu- latoires ont apparu dans le cours de la première excitation , et se conti- nuent après. Au moment de la seco
mière excitation, et se conti- nuent après. Au moment de la seconde excitation ils sont interrompus momentanément par la tétan
la tétanisation presqne complète du muscle, puis reprennent quand l' excitation a cessé et se continuent pendant tout le se- co
A, B, C, de la figure 20. Le premier tracé, A, a été pris avec une excitation prolongée pendant 45 secondes. A la lin de l'exci
is avec une excitation prolongée pendant 45 secondes. A la lin de l' excitation le muscle reste fortement contracté, et pendant
l- is p Fir. 20. Boni... (Maladie de Thomsen), 28 sept. 1888. - Excitations faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse
ements ondulatoires et sans tremblement. Pour le second tracé, B, l' excitation a été également longue, et prolon- gée pendant
ur le tracé précédent le spasme myo- tonique apparaît au cours de l' excitation ; lorsque celle-ci cesse, le muscle, au lieu de
e, C, représente des tracés de décon- tractions lentes à la suite d' excitations courtes, de quelques secondes seu- lement. Ici
21 en représente des exemples. Nous avons vu, section A, que des excitations prolongées, avec interrup- tions assez peu fréq
fréquentes, 2 à 15 par seconde, produisent au début de la première excitation , lorsque les muscles ont été laissés auparavant s
n isolée et étendue comme le ferait un muscle normal. Pen- dant les excitations suivantes répétées à quelques secondes d'interval
ntinue à se comporter comme un muscle normal ; à la fin de cha- que excitation il se décontracte immédiatement et complètement,
; f ro ..., M l'1' M H FIG. 21. (Maladie de Thomsen). Excitations faradiques du droit antérieur de la cuisse. -Bobi
s au nombre de 4 1 /2 par seconde. Nous voyons ici qu'à la première excitation , le spasme myotonique se produi t, de la façon
et disparaît ensuite progressi- vement. Mais, au moment où cesse l' excitation le muscle au lieu de revenir à l'état de repos
ore dans cet état de demi-contraction, nous provoquons une nouvelle excitation , A' ; il répond à chaque choc fa- radique par d
des contractions distinctes et assez étendues, mais lorsque cesse l' excitation il se comporte comme tout à l'heure, reste à demi
tes, une nouvelle exci- tation est provoquée, B ; à cette troisième excitation le muscle se comporte à peu près comme à la sec
de repos qu'après une vingtaine de secondes. A ce moment quatrième excitation , B', même résultat immédiat, le muscle se comport
comporte à peu près comme un muscle normal ; puis, lorsque cesse l' excitation , on constate le même effet qu'après les excitat
lorsque cesse l'excitation, on constate le même effet qu'après les excitations précédentes, c'est-à-dire des alternatives de g
n lente se prolongeant plus d'une demi-minute. Lors d'une cinquième excitation , C, faite après un repos de deux minutes, et pr
bauche du spasme myo- tonique, qui disparaît bientôt; à la fin de l' excitation gonflement et relâ- chement alternatifs du musc
c'est-à-dire avec un courant plus fort. Ils montrent à la première excitation (ligne D, figure 21), prolongée pendant 39 seco
n du spasme myotonique, sa disparition graduelle, puis, après que l' excitation a pris fin, la persistance de la contraction du
tteint sa ligne de repos, en w, plus d'une minute après la fin de l' excitation . -La ligne suivante E montre comment les muscle
ans les conditions que nous étudions actuellement, lorsqu'au lieu d' excitations prolongées on produit des excitations courtes,
ctuellement, lorsqu'au lieu d'excitations prolongées on produit des excitations courtes, de quelques secondes seulement. En compa
s la maladie de Thomsen. On voit qu'ils peuvent être produits par l' excitation des muscles avec les courants faradiques dans cer
apparaître lorsqu'on em- ploie de forts courants, ou bien après des excitations réitérées d'un même muscle. Certaines autres co
ntinues comme dans l'athétose double. On peut les provoquer par des excitations diverses, pincement de la peau, percussion des
, 1892. Ftc. 27. - Boul... (Maladie de Thomsen), 27 juillet 1888. - Excitations galvaniques du muscle droit antérieur de la cui
e sont là des notions classiques pour les secousses produites par l' excitation galvanique des muscles normaux et il est inutil
liampères) sur notre malade atteint de maladie de Thomsen. Fig. 28. Excitations galvaniques du muscle droit antérieur de la cuiss
PÊTRIÈRE. FiG. 29. - Roui ... (Maladie de Thomsen), 3 aofit 188S. - Excitations galvaniques du muscle droit antérieur de la cui
éduit au 1/3). Pta. 30. Boul... (Maladie de Thomsen), 4 août 1588.- Excitations galvaniques du muscle droit antérieur do la cui
uit pas de secousses à l'ouverture du courant, pour les 2 premières excitations , mais ensuite nous voyons apparaître à chaque o
une secousse petite, lente et tonique. A mesure que se répètent les excitations , les secousses de fermeture de- viennent plus b
tion Ionique du muscle, moins prononcé toutefois pour les dernières excitations de la ligne 1°. Les con- tractions toniques d'o
, mais que cet état de contraction tonique diminue à mesure que les excitations se répètent. Dans la seconde partie de la figur
rnée, après un repos de quel- ques minutes seulement à la suite des excitations du pôle positif. Il est pos- sible que les prem
es excitations du pôle positif. Il est pos- sible que les premières excitations du pôle négatif aient été plus toniques, si ell
le positif, sur un muscle resté pendant 24 heures au repos de toute excitation électrique. Tout en Fin. 31. Boul... (Maladie d
ue. Tout en Fin. 31. Boul... (Maladie de Tliomsen), 13 août 1888. - Excitations galvaniques du muscle droit antérieur de la cui
e tracé nous mon- tre, d'une façon manifeste, que la répétition des excitations produit pour le pôle négatif, comme pour le pôl
et était produit pour les courants faradiques par la répétition des excitations . Mais il est d'autres particularités que la fig
e négatif FiG. 32. - Bout ... (Maladie de Thomsen), 13 août 1888. - Excitations galvaniques du muscle droit antérieur de lacuis
e, absolument comme nous l'avons vu déjà pour les autres tracés des excitations par le pôle négatif. (Nous ferons re- marquer q
isse droite qui, ainsi que nous l'avons déjà constaté il propos des excitations par les courants faradiques, présentait chez notr
lliampères il Cc. 33. - Houl... (Maladie de Tliomsen), Il août 188. Excitations galvaniques du muscle droit antérieur de la cui
u se produire chez Boni..., à la suite de la fatigue ou de for- tes excitations électriques, tend à se maintenir, et il nous para
d'une façon générale, les contractions musculaires du triceps, par excitation mécani- que de son tendon, sont brusques, contr
rement aux contractions volon- taires et aussi aux contractions par excitation directe du muscle lui-même qui sont torpides. P
nt, les contractions du triceps fémoral produites par les premières excitations du tendon avaient une certaine ten- dance à se
prolonger. De plus M. Déléage a constaté que le temps perdu entre l' excitation du tendon et la contraction du muscle était plus
LA SALPÊTRIÈRE. qu'à l'état normal, autrement dit que la période d' excitation latente était augmentée. Signalons aussi, à c
nervés par le nerf présentait une durée se prolongeant au delà de l' excitation , et encore cette persistance était peu marquée, e
e produisait après NFTe. Les secousses musculaires obtenues par l' excitation des nerfs étaient brè- ves, rapides, instantané
e avant NFTe. La forme des secousses reste normalepour toutes les excitations isolées, c'est-à-dire que les contractions prod
isolées, c'est-à-dire que les contractions produites par de telles excitations , aussi bien avec les courants faradiques qu'ave
ont brèves et sans durée consécutive, même après NFTe. Seules les excitations accumulées (courant galvanique labile, courant
e pour l'excita- tion directe des muscles. C'est, en effet, par l' excitation musculaire directe, mécanique ou élec- trique q
RE. variable suivant les muscles, et aussi suivant l'intensité de l' excitation ; elles se prolongent habituellement de 5 à 30 s
nt plus ou moins longtemps (5 à 20 secondes en moyenne) après que l' excitation a cessé, d'autre part dans la production de mouve
ent fréquemment interrompus, de forte intensité, et en prolongant l' excitation , c'est-à-dire les électrodes étant maintenues e
Les décharges isolées d'ouverture, même très fortes, ainsi que les excitations minimales avec les courants fréquem- ment inter
rruptions rares, peu fréquentes, et fréquen- tes), de la durée de l' excitation (excitations prolongées et excitations cour- te
res, peu fréquentes, et fréquen- tes), de la durée de l'excitation ( excitations prolongées et excitations cour- tes) et de la r
équen- tes), de la durée de l'excitation (excitations prolongées et excitations cour- tes) et de la répétition des excitations.
ations prolongées et excitations cour- tes) et de la répétition des excitations . 1° Avec des interruptions rares, espacées l'un
15 in- terruptions par seconde) il se produisait clans le cas d'une excitation pro- longée (de 1/2 à 3/4 de minute) et une int
prochaient de plus en plus des secousses normales, et à la fin de l' excitation le muscle se décontractait comme un muscle normal
actait comme un muscle normal, instantanément et complètement, si l' excitation avait été suffisamment pro- longée et si l'inte
s de contractilité, et, si quelques secondes après on renouvelait l' excitation faradique, il se comportait comme un muscle norma
avec les mêmes courants il interruptions assez peu fréquentes, les excitations étaient courtes (de quelques secondes seulement)
(de quelques secondes seulement) le muscle, au moment où cessait l' excitation , était en état de spasme myotonique, et alors,
t dispa- raître cetle disposition spéciale des muscles soil par uue excitation pro- longée, soit par des excitations courtes r
ciale des muscles soil par uue excitation pro- longée, soit par des excitations courtes répétées fréquemment et coup sur coup.
les se trouvaient fatigués par des explorations répétées ou par des excitations avec des courants forts, on voyait apparaître d
ondulatoires qui, non seulement se montraient pendant le temps de l' excitation , mais encore se prolongeaient souvent longtemps
apides. Là encore, cependant, il faut tenir compte de la durée de l' excitation et de la répétition des excitations. Lorsque le
ut tenir compte de la durée de l'excitation et de la répétition des excitations . Lorsque les excitations sont assez prolongées
ée de l'excitation et de la répétition des excitations. Lorsque les excitations sont assez prolongées (pendant 1/2 à 3/4 de minut
érée, on voit encore le spasme myotonique se produire au début de l' excitation , puis, à mesure que ce spasme se résout, il fai
que, la décontraction se produit immédiatement et tota- lement. Des excitations reproduites quelques secondes après provoquent la
cle se fait de nouveau instantanément et totalement dès que cesse l' excitation , et ainsi de suite, tant qu'on n'a pas laissé le
muscle au point de produire des mouvements ondulatoires. Avec des excitations courtes (de quelques secondes seulement) on pro-
vent être reproduites ici encore un assez grand nombre de fois, ces excitations courtes épuisant lentement la disposition des m
ses et toniques, comme les précédentes. La répétition fréquente des excitations produit avec les courants galva- niques le même
Aussi, ces mouvements ondulatoires, qu'ils soient provoqués par des excitations mécaniques, faradiques ou galvaniques, doivent
sonl il leur maximum au début de l'exploration ; la répétition des excitations produit des effets semblables à ceux qui se pas
a contractilité. Par une abstention suffisamment prolongée de toute excitation , les modifications premières de la contractilité
ications premières de la contractilité se reproduisent bientôt. Des excitations prolongées ou des excitations violentes, capables
actilité se reproduisent bientôt. Des excitations prolongées ou des excitations violentes, capables de produire la fatigue des
a-t-on facilement (1) Dans certains cas de névrites périphériques l' excitation mécanique et électrique des muscles provoque de
otion, le tiraillement d'un membre, parfois par la compression ou l' excitation de points hystérogènes ; souvent elle peut être
rogènes ; souvent elle peut être arrêtée par un procédé analogue, l' excitation de zones hystéro-frénatrices. , Dans l'interv
appelle (1) N» du 19 février 1881, p. 149 (2) Nerve vibration and excitation as agents in the treatment of funclionnal disorde
intervient que pour déterminer des vibrations mécaniques et non des excitations électriques. GILLES DE la TOURETTE, Ancien ch
apeutique. Cela ne nous doit pas paraître étonnant : 1° parce que l' excitation du grand sympathique ne peut provoquer autre chos
ie nous indique deux endroits pour poser les rhéophores en vue de l' excitation des nerfs vaso-moteurs qui se rendent à l'artèr
pneumo- gastrique doit être aussi atteint par le courant ; mais son excitation ne se manifeste par aucun phénomène (la faradis
). Le pouls est plus fréquent qu'au repos à l'état normal grâce à l' excitation des nerfs cardia- ques accélérateurs provenant
de ce mode de faradi- sation (on doit attribuer ce phénomène il une excitation accidentelle du nerf facial). Il nous fut bie
ation locale irritante. Le courant faradique traversant le cou, l' excitation des fibres vaso-mo- trices de la carotide exter
l ; cependant, dès que ces fibres sont sclé- rosées, la source de l' excitation des cellules motrices en question doit être épu
, parce que la fréquence des contractions du coeur engendrées par l' excitation du sympathique épuise bientôt la force du coeur
résultats qu'on peut trouver incroyables, sans l'intervention de l' excitation du pneumo-gastrique, ce qui est d'autant plus a
ives qu'à l'état ordinaire. On peut attribuer tous ces facteurs à l' excitation du pneumo-gastrique. L'évacuation des mucosités
sujets accusent des an- goisses qu'il faut attribuer peut-être à l' excitation des fibres en question. Pour éviter ces angoiss
ous la dépendance des ganglions dugrand sympathique. Je crois que l' excitation est portée jusqu'à ces ganglions par les fibres n
geant dans les cordons postérieurs excite certaines fibres et que l' excitation est portée aux cellules motrices de la moelle e
3 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
e donne, au point de vue de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire, l' excitation mécanique localisée soit au tendon, soit au ram
soit au rameau nerveux, soit au corps du muscle lui-même '. § 1. EXCITATION DU TENDON. ÉTUDE DES RÉFLEXES TENDINEUX DANS LA
uée pendant l'hypnotisme, nous avons tenu à ne faire usage que de l' excitation purement mécani- que, telle que le choc, la pre
l soit nécessaire de les soumettre à 1'liypnotisation. Tandis que l' excitation purement mécanique n'acquiert d'efficacité que
, dont il devient, dans le cas particulier où la contracture suit l' excitation du tendon, comme une nouvelle manifestation d'u
La contraction musculaire réflexe ne peut être produite par aucune excitation électrique ou mécanique autre que la percussion
éflexe rotulien paraît plus intense, qu'il s'obtient a l'aide d'une excitation plus légère, il retentit sur les bras et sur to
inférieur. D'ailleurs, cette dernière loi de Pflùger qui veut que l' excitation réflexe se pro- page dans la moelle, toujours d
uelque sorte accumulation de force et addition successive de chaque excitation partielle, de telle façon que, tout en conserva
plus considérables que les premiers. Il y a donc deux modes de l' excitation par choc : ou l'excitation est intense et uniqu
premiers. Il y a donc deux modes de l'excitation par choc : ou l' excitation est intense et unique, ou l'excitation est faib
l'excitation par choc : ou l'excitation est intense et unique, ou l' excitation est faible et répétée. Tous deux conduisent au
résente plusieurs ondulations. La malade une fois endormie, la même excitation portée sur les mêmes tendons donne le tracé II
ture. Pour obtenir une simple contraction, il faut user d'une excitation fort lé- gère. En répétant ces excitations
il faut user d'une excitation fort lé- gère. En répétant ces excitations trèslégè- ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉR
contracture ainsi que le prouvent les tracés de la Fig. 3 et 4. L' excitation portée sur les muscles fléchisseurs de la main et
directement excité, de même que celle du muscle éloigné du point d' excitation ) tendre vers la contrac- ture. C'est ce que d
et l'irradiation au bras du même côté est très marquée. Les trois excitations du tracé 11, 1'ig. 6, ont été portées succes- s
nt été portées succes- sivement, et l'on remarque qu'à la troisième excitation la contraction réflexe du biceps brachial, auss
ir aussi bien au bras "correspon- dant qu'à la jambe sur laquelle l' excitation avait été directement portée. En même temps que
dire de la con- tracture musculaire obtenue à l'aide d'une simple excitation mécanique, il existe une différence entre les d
ivante. . Dans ces cas, le phénomène pour se développer exige une excitation intense et répétée. L'ébranlement ner- veux qui
r produire immédiatement la contracture localisée, et dans ce cas l' excitation n'est pas assez vive pour tendre vers la généra
loca- lisation. La contracture suit également d'autres procédés d' excitation mécanique du tendon, tels que la malaxa- tion,
cita- tion par choc et d'éviter la généralisation. B. Effets de l' excitation tendineuse par malaxation, friction ou simple p
en résulte que, pour la pro- duction de la contracture réflexe par excitation tendi- neuse, non seulement le choc n'est pas n
relations qui peuvent exister entre la contrac- ture obtenue par l' excitation du tendon et celle qui suit l'excitation des ne
trac- ture obtenue par l'excitation du tendon et celle qui suit l' excitation des nerfs ou du corps du muscle lui- même. §
suit l'excitation des nerfs ou du corps du muscle lui- même. § IL EXCITATION DES NERFS. L'excitation mécanique des nerfs pro
s ou du corps du muscle lui- même. § IL EXCITATION DES NERFS. L' excitation mécanique des nerfs produit la contrac- ture de
r et pour isoler, autant que possible, ce qui appartient à la seule excitation du nerf, nous avons choisi, pour les soumettre
des troncs nerveux assez volumineux et faci- lement accessibles à l' excitation mécanique. Griffe cubitale. Parmi les nerfs qui
tre partie molle. Il est donc facile de l'atteindre sûrement. Son excitation mécanique au moyen d'une simple pression faite
logie. 62 ? PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Sous l'influence de cette excitation , la main se con- tracture dans une attitude spé
variétés anatomiques individuelles, soit du degré d'intensité de l' excitation , soit de la dif- fusion de l'excitation ou de s
t du degré d'intensité de l'excitation, soit de la dif- fusion de l' excitation ou de sa propagation à d'autres muscles par l'i
rf cubital demande une assez grande intensité du courant pour que l' excitation se transmette à tous les muscles innervés par l
raction due à l'hyperexcitabilité neuro-musculaire persiste après l' excitation , et imprime delà sorteàla main une attitude qu'
lles du médian, et que, par l'inter- médiaire de ces anastomoses, l' excitation portée sur le nerf cubital pourrait s'étendre p
u moins aux ra- mifications voisines du médian. Griffe médiane. L' excitation du nerf médian un peu au dessus du pli du coude
dessus du pli du coude donne des résultats ana- logues à ceux de l' excitation du cubital. La main prend alors une attitude qu
ation est plus difficile; entouré de parties molles, le nerf fuit l' excitation si elle n'est faite franchement et au bon endro
om- binée de tous les muscles innervés par le médian. A priori, l' excitation du tronc nerveux lui-même pro- duira les mouvem
e sa masse musculaire paraît même devoir l'emporter. En résumé, l' excitation du médian doit donner lieu aux mouvements suiva
oici maintenant l'attitude qu'a prise la main sous l'influence de l' excitation mécanique du médian pen- dant l'état d'hyperexc
n prendre complètement l'attitude du poing fermé (Fig. 12) - Si l' excitation a été intense ou prolongée, le mouve- ment de p
ire. Griffe radiale. Le nerf radial n'échappe pas à la loi et son excitation au sortir de la gouttière de torsion de l'humér
: ri/Jé radiale. ÉTUDE SUR LES ARTHROPATHIES TABÉTIQUES. 75 de l' excitation mécanique du nerf radial au point in- diqué, a
point de produire l'oedème du membre. Dans ces cas, il y avait une excitation mécanique que l'on sait propre à faire disparaî
la disparité dessesthésiogenes, on serait enclin à supposer qu'une excitation quelconque est seule néces- leurs aucun intérêt
onsidère le relâchement du muscle comme agissant à la manière d'une excitation ; or, il est constant que la tension du même mu
ue dans le cas particulier de la contracture du tibial antérieur, l' excitation réside dans la tension passive du groupe muscul
bles et moyens sur la dilatation des capillaires du côté opposé à l' excitation , tandis que l'inverse se produisait par des cou
ort avec les réflexes vascu- laires. En effet, il a observé que les excitations cutanées du même agent électrique déterminaient
est tout prêt pour une nouvelle explo- sion, sous l'influence d'une excitation appropriée. Si nous examinons un « sauteur» cin
phère, elles disparaissent et meurent complètement avecles causes d' excitation qui leur avaient donné naissance, de même qu'elle
n certain sens, nous sommes tous « jnmpers »,sous l'influence d'une excitation soudaine, d'une détonnation violente et inatten
URO-MUSCULAIRE (Suite) « ; Par MM. CHARCOT et Paul RICHER. § III. EXCITATION DES MUSCLES. L'expérience a montré que la malax
tés. Mais, dans ce cas, la contracture est-elle la conséquence de l' excitation di- recte de la fibre musculaire elle-même, ou
di- recte de la fibre musculaire elle-même, ou bien suit- elle l' excitation des petits rameaux nerveux et de leurs terminai
enser que la contracture est ici, comme ailleurs, le résultat d'une excitation nerveuse de nature réflexe. . Quoi qu'il en s
de nature réflexe. . Quoi qu'il en soit, la contracture qui suit l' excitation mécanique du muscle est facile à démontrer chez
r faire cesser cette contracture, il suffit de porter une semblable excitation sur le sterno-mastoïdien du côté opposé, et la
S HYSTÉRIQUES. 175 par leur situation superficielle, permettent à l' excitation mécanique de les atteindre facilement, se compo
eindre facilement, se compor- tent de la même façon. Par exemple, l' excitation por- tée sur le trapèze sur les côtés du cou, a
s muscles larges et fasciculés, tels que le deltoïde, que : a). L' excitation portée sur un point, même limité, du muscle pro
née des muscles qui lui sont synergiques. Ce qui se passe lors de l' excitation portée sur le deltoïde en est un exemple conclu
ne se produit pas lorsque ce même muscle est contrac- ture par l' excitation mécanique dans l'état de l'hyperex- citabilité
et grand dentelé, bien que ces derniers muscles n'aient subi aucune excitation directe. Nous reviendrons plus loin sur ces fai
igne en électro-physiologie sous le nom de points d'élection pour l' excitation partielle des muscles. - Instruit par une longu
ntes dans la distribution des rameaux nerveux. La localisation de l' excitation mécanique dans les cas d'hyperexcitabilité neur
d'une hystérique, par exemple, un certain nombre de points dont l' excitation électrique produisait une action bien limitée ;
herches, nous l'endormions et nous pouvions constater, alors, que l' excitation mécanique des mêmes points moteurs amenait des
- musculaire, nous constations ensuite, pendant la veille, avec l' excitation électrique, que l'action de ces mêmes points ét
enseur nous a donné les résultats les plus précis. Le point d' excitation com- mun à l'extenseur du pouce et à celui
E CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 181 Les interosseux ne sont accessibles à l' excitation mé- canique qu'à la face dorsale de la main. A
ement recouverts par les ten- dons des fléchisseurs qui reçoivent l' excitation avant eux. Nous avons vu plus haut que les tend
ous avons vu plus haut que les tendons sont également sensibles à l' excitation mécanique. A la face dorsale de la main, l'exci
sensibles à l'excitation mécanique. A la face dorsale de la main, l' excitation des interosseux présente quelques particularité
quelles nous insisterons dans un instant. § IV. PARALLÈLE ENTRE L' EXCITATION MÉCANIQUE DE L'HY- PEREXCITABILITË NEURO-MUSCUL
s. Les analogies résultent : ' a) Delà possibilité de localiser l' excitation à un muscle ou à un groupe de muscles; b) De
a possibilité d'exciter un muscle, soit directe- ment, en portant l' excitation sur sa fibre elle-même, soit indirectement, en
excitation sur sa fibre elle-même, soit indirectement, en portant l' excitation sur le rameau nerveux qui lui est destiné, en q
Nous savons en effet que, pour ce qui est des muscles de la face, l' excitation mécanique, pen- dant l'état d'hyperexcitabilité
différents faisceaux d'un même muscle. Il est facile de localiser l' excitation électrique dans une partie seu- lement d'un mus
citabilité, la contraction totale de ce même muscle suit toujours l' excitation mécanique par- tielle d'un seul de ses faisceau
ar- tielle d'un seul de ses faisceaux ; c) De la propagation de l' excitation . Dans l'état d'hyperexcitabilité, le mouvement
rement de l'action des muscles qui lui sont synergiques, sans que l' excitation ait été portée sur ces derniers ; ce qui n'a pa
à obtenir, dans l'état d'hyperexcitabilité neuro- musculaire, par l' excitation mécanique, que, pendant la veille, par la farad
ticiper ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 183 à la même excitation , que ce soit un autre muscle, un nerf ou un ten
niveau des espaces interosseux, au point d'élection marqué pour l' excitation électrique, le résultat obtenu paraît, de prime
que subissent, suivant les individus, les points d'élection pour l' excitation partielle des muscles; . c) De la diffusion d
nt en une seule couche, et, par là même, facilement accessibles à l' excitation mécanique. De plus, il n'existe pas de tendons
la contraction ainsi provoquée ne persiste pas d'ordinaire après l' excitation et ne se transforme jamais en contracture perma
ction isolée 186 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. de chaque muscle par l' excitation des points d'élection indiqués par Duchenne (de
dérée, pratiquée avec l'extrémité ar- rondie d'un petit bâton. Si l' excitation est trop légère, de façon à ne consister qu'en
tes convulsions cloniques qui se rap- prochent du tremblement. -Une excitation trop forte se propage souvent à quelques muscle
a pression. Elle persiste quelquefois très peu de temps après que l' excitation a cessé, sur- tout si l'on a un peu insisté, ma
es des membres et ceux de la face;' 3° Malgré la persistance de l' excitation , l'action pro- duite ne tarde pas à s'épuiser.
'effacer peu à peu et finir par disparaître complè- tement ; 4° L' excitation unilatérale d'un muscle pair s'obtient le plus
ent le plus souvent fort aisément ; mais, il arrive parfois que l' excitation retentit sur le muscle homologue du côté opposé
C'est ce qu'on peut constater sur la Figure 1 de la Planche X, où l' excitation du muscle orbiculaire palpébral supérieur n'a é
ane. En tout cas, nous avons bien des fois remarqué qu'une double excitation , portée à la fois sur les deux muscles pairs, d
pairs, donnait lieu à une exagération du mou- vement obtenu avec l' excitation unilatérale ; 5° Il est possible de faire contr
re côté, ceux auxquels nous sommes arrivés par l'emploi de la seule excitation mécanique pendant la léthargie provoquée chez n
is transversaux à la racine du nez. Chez notre malade hypnotisée, l' excitation de ces mêmes muscles, par une simple pression e
et d'une façon absolument conforme à la description de Duchenne. L' excitation sur la Figure 4 de la Planche IX et la Figure d
sourcil au point figuré en 3 sur le schéma (1'ig. 16). Lorsque l' excitation porte sur un point plus rapproché de la tête du
: « II m'est arrivé quelquefois, dit-il, de localiser exactement l' excitation dans ce muscle... Cette localisation est assez
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. périeure et de l'aile du nez participe à l' excitation . C'est ce qu'on peut remarquer sur la Figure 3,
L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 197 contraction du muscle suit l' excitation du rameau ner- veux qui lui est destiné. Dans l
veux qui lui est destiné. Dans la Figure' 1 de la Plan- CHE XII,- l' excitation est portée sur le corps du muscle - lui-même. D
us. /La Figure 4 de la PLnNCnE'X montre, d'une façon fort, nette, l' excitation du trànsverse'du nez'chez la nommée Cait)...',
rànsverse'du nez'chez la nommée Cait)...', tandis que chezWitt... l' excitation isolée de ce même muscle n'a pu être'obtenue. t
narine participe au mouvement (mais à un degré moindre)/ bien que l' excitation ait été''unilatérale. C'est un nouvel exemple d
e des muscles pairs de la' face, dont nous avons déjà parlé. Si l' excitation ,' tout en demeurant' unique, se rap- proche de
tation une fois produite ne persiste pas uniformé- ment, bien que l' excitation soit maintenue égale; il se' produit une sorte
"' ' L'orbiculaire, des lèvres répond'aussi fort nette- ment à l' excitation mécanique' portée sur' différents' points de se
la contraction isolée du triangulaire .des lèvres, il faut porter l' excitation un peu en- dehors ,et( en bas de,la, commissure
es, comme,il,,est indiqué sur notre Figure 3 de la Planche XIL"Si l' excitation , est faite plus bas, en, se rapprochant du^maxi
e , .inférieure en bas et en . dehors en la renversant, succède à l' excitation mécani- que portée à un centimètre et demi envi
- que portée à un centimètre et demi environ en dedans du point d' excitation du triangulaire, et à peu près à la Fig. ? 5.
superficiel. , , Sur la 1 Figiire-4 q 4 t de . 1 la Planche XII, l' excitation por- tée sur le milieu du menton met en jeu les
lade par un aide, au moment où la contraction était obtenue par l' excitation mécanique des points moteurs musculaires. La ma
la physionomie, et, la malade- étant rendue cataleptique pendant l' excitation d'un muscle, la contraction de ce muscle persiste
contraction de ce muscle persiste parfois un certain temps après l' excitation , de façon à rappeler la con- tracture des membr
ulaire des, lèvres ouïe peaussier d'autre part, etc, etc.. (Mais, l' excitation est alors assez difficile à-localiser exactemen
assez difficile à-localiser exactement. La tendance que possède l' excitation d'un seul muscle- à 'retentir sur le muscle hom
sister davantage,' et> il y a parfois un peu- de diffusion de, l' excitation dans les muscles voisins. -Néanmoins ? s'ilnse
te la Figure 4 de la Planche XIII en' sont vraiment» saisissants. L' excitation du muscle.-élévateur commun ÉTUDE DE L'HYPNOTIS
que tout mouvement- cesse de ce côté, malgré la persistance ! de l' excitation au même point. Nous avons reconnu,- dans le cou
toiremenf. Le tronc de''la'septième paire est ac- ' i cessible. à l' excitation *1 électrique par le procédé suri- vant : « On p
gé par les os et les cartilages,- soit' difficilement accessible) l' excitation * mécanique. ^Mais, il»,n'en-,est pas de-même^de
ur excitation-mécanique. On voit alors, sous l'influence de cette excitation ,- tout un côté de la physionomie se contracter,
n côté de la physionomie se contracter, ! et, suivant le point de l' excitation , la con- traction s'accuser, davantage dans les
du menton. -Dans l'expérience représentée Figure 2, PLANCIIE IY, l' excitation porte sur le -tronc nerveux- lui-même, en avant
n contraction ? «o u u»/- 't ' " '" . ' . . Cette expérience de l' excitation mécanique du facial, pendant la léthargie hysté
à'ses oreilles les- mouvements que, dans le sommeil provo- qué, l' excitation mécanique provoque facilement ? Nous trouverons
ue provoque facilement ? Nous trouverons là un exemple de plus de l' excitation d'un muscle, directement1, ! en agissant sur le
de l'oreille, à la hauteur du tragus, une zone fort limitée dont l' excitation amène infailliblement un mou- vement brusque et
ré en haut et un peu en arrière; Aucun mouvement ne se produit si l' excitation n'est pas exactement portée au point voulu. D'a
- il' existe au-dessus de l'oreille une zone assez étendue dont l' excitation produit le même-résultat, et qui cor- respond b
dans la zone située. au : dessus- de l'o- reille, , tandis, que) l' excitation -portée au, devant du tragus intéresse le ramea
uelques; particularités de détail. ' ? ' a) La contracture cède à l' excitation des antagonistes. 206 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
la friction ou la ma- laxation des muscles anta- agonistes. Cette excitation , 'que l'on* pourrait qualifier 4 d'excitation
agonistes. Cette excitation, 'que l'on* pourrait qualifier 4 d' excitation d'arrêt, n'exige ) pas une localisation précise
onde ' contracture localisée.' '' Cette ' action - d'arrêt de ! l' excitation des antagonis- tes n'a lieu que-pendant la '
nouveau le sujet, et, pendant l'état léthargique, procé- der à l' excitation des muscles antagonistes dont l'effet est insta
l'expérience décrite plus haut, la main, sous l'influence de cette excitation , se contracture, immobilisée dans une attitude
y plus tou- cher afin d'éviter les complications que de nouvelles excitations musculaires, même fortuites, ne manque- raient
tater le transfert par l'aimant de la contracture localisée due à l' excitation mécani- que du nerf ou du corps musculaire lui-
n est de même lorsque la contracture a été la consé- quence d'une excitation tendineuse. , 1 La malade endormie est placée d
t aussitôt la contracture se produire d'elle-même, sans 'nouvelle excitation , au sur et à mesure que la circu- lation se rét
y re- viendrons plus loin. Pour le moment, nous constatons que l' excitation mécanique portée sur un muscle ané- mié ne saur
caractères, Alors, en ayant bien soin de ne porter, au- cune autre excitation sur le membre anémié, nous frois- sons avec le
ue... n ? La malade est "replongée ''dans l'état léthargique . et l' excitation mécanique portée au nerf cubital du i membre an
tous les cas connus, comme ? un symptôme qui se manifeste dès qu'une excitation conti- - nueliement grandissante a violenté le
du corps, il admet que toute maladie de cette région engendrera des excitations cen- trales incessantes ; celles-ci, excentriqu
allucinations senso- rielles, par exemple,'agiront à la manière des excitations périphériques (cicatrices irritées ou autres lé
ceux qu'auraient donnés des saignées -faites pendant les périodes d' excitation antérieures, aux, autres, chez, les mêmes indiv
ments, de l'incertitude dans la démarche, de la gloutonnerie et des excitations sexuelles sans érection. La parole devient traî
s de la racine ascendante de la cin- quième paire ; on sait que les excitations portées directement sur cette région donnent li
. 4° Les hallucinations périphériques, celles qui dépendent de, l' excitation Ides nerfs sensoriels') (tels les'éblouissements'
;par l'épui-gmentf, physiolooique,lèles 0 - perceptions issues de l' excitation spontanée des centres parvien- ' nent à la'conn
ortical dont'l'activité m'est plus r-régulariséet par créco"rce ? L' excitation première'peut aussiprovenir,du;nerfelui- s.linê
saurait supposer l'inverse, c'est-à-dire un courant centrifuge par excitation spontanée 'des centres supérieurs^descendant au
ur, c'est-à-dire modérer directement la température animale par l' excitation de la zone de Hitzig. M. Wood a eu recours (Ex-
L'invasion brusque est souvent marquée chez les alcooliques par une excitation maniaque intense, par un embarras de la parole
rig. 0. fig. 4. EXPLICATION DES PLANCHES. ; ! 2'J PLANCHE IX . Excitation mécanique des muscles de la face pendant la létha
modeleur du musée anatomo-patholojique de la Salpêtrière.) Fig. 1. Excitation du muscle sterno-mastoidien du côté gauche. Con
erno-mastoidien du côté gauche. Contraction du muscle. Fig. 12. - Excitation du nerf facial en avant de l'oreille du côté droi
on simultanée des muscles de l'mil, du nez et de la bouche. Fig. 3. Excitation bilatérale du muscle frontal. Fig. 4. Excitatio
bouche. Fig. 3. Excitation bilatérale du muscle frontal. Fig. 4. Excitation bilatérale du muscle nrbiculaire palpébral supé-
é- 1 leti Il. 33H EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE X Fig. t. Excitation unilatérale du muscle palpébral supérieur. On peu
supérieur. On peut constater dans le même muscle du côté opposé à l' excitation , un léger degré de contraction. Fig. 2. Dans
s directement, s'est ajoutée celle des pyramidaux du nez. Fig. 3. Excitation unique et médiane des deux muscles dilatateurs
nique et médiane des deux muscles dilatateurs des narines. Fig 4. Excitation du transverse du nez du côté gauche. Archives d
3. Fig. 4. EXPLICATION DES PLANCHES. 331 1 PLANCHE XI Fig. I. Excitation bilatérale du grand zygomatique. Fi.q. 2. Excit
E XI Fig. I. Excitation bilatérale du grand zygomatique. Fi.q. 2. Excitation unilatérale du grand zygomatique. Fig. 3. Excit
ue. Fi.q. 2. Excitation unilatérale du grand zygomatique. Fig. 3. Excitation unilatérale du petit zygomatique. Il s'y joint un
cle élévateur de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. Fig. 4. Excitation unilatérale du muscle élévateur commun du nez e
rale du muscle élévateur commun du nez et de la lèvre supérieure. L' excitation , parfaitement localisée, porte sur le rameau ne
à ce muscle. 132 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE XII Fig. 1. Excitation bilatérale du muscle élévateur commun de l'aile
scle élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. L' excitation porte sur le corps même du muscle. Fig. 2. Ex
périeure. L'excitation porte sur le corps même du muscle. Fig. 2. Excitation bilatérale du carré du menton. Fig. 3. Excitati
muscle. Fig. 2. Excitation bilatérale du carré du menton. Fig. 3. Excitation bilatérale du triangulaire des lèvres. Fig. 4.
Fig. 3. Excitation bilatérale du triangulaire des lèvres. Fig. 4. Excitation de la houppe du menton. Archives de Neurologie
Fig. 4. EXPLICATION DES PLANCHES. 33 : ! PLANCHE XIII Fig. 1. Excitation simultanée des muscles frontaux et peaussiers.
xpression de la phy- sionomie ait été modifiée pour cela. Fig. 3. Excitation simulatanée des muscles orbiculaires palpébraux
due cataleptique du côté gauche par l'ou- verture de l'oeil gauche. Excitation bilatérale du muscle élévateur commun de la lèv
it du côté léthargique se contracte seul. Du côté cataleptique, une excitation semblable demeure sans effet. 1'.h. Hemsser.
4 (1911) La pratique neurologique
- rage. 5° Réflexe consensuel. A l'état physiologique normal; l' excitation lu- mineuse d'une rétine amène la con- tracti
taine à la vision rapprochée la pupille se contracte. Réflexes aux excitations cutanées. Le malade regardant au loin, on inspe
, on inspecte la pupille tandis que sont pratiquées sur la peau des excitations diverses (piqûres, pincement, cha- louillcmuut,
chercher les divers, réflexes palpébraux : réflexes d'occlusion à l' excitation cornéenne ; à la projection de lumière vive; à
diminution d'éclairage l'augmente. Il est encore modifiable par les excitations cutanées, à moins, dit-on, que la portion du té
ge au delà des noyaux du mésocépliaie, entre ceux-ci et l'écorce, l' excitation lumineuse de la moitié aveugle de la rétine doit
veugle de la rétine doit logi- quement provoquer le réflexe comme l' excitation lumineuse de la moitié voyante. Si, au contrair
t la rétine, comme c'est le cas pour une lésion de la bandelette, l' excitation lumineuse de la moitié aveugle de la rétine ne
constricteur amène l'irido- dilatation (mydriase paralytique) ; son excitation amène l'irido-consiric- tion (myosis spasmodiqu
ou du bulbe, amène l'irido-constriction (myosis paralytique) ; son excitation donne l'irido-dilatation (mydriase spastique).
e action tonique irido-conslrictive sur l'iris. Autre exemple : l' excitation du tronc du M. 0. C. produit un resserre- ment
ronc du M. 0. C. produit un resserre- ment pupillaire très léger; l' excitation des nerfs ciliaires en avant du ganglion donne
sphincter, la pupille, dit-on, peut réagir avec la convergence. Les excitations sensitives, sensorielles et psychiques donnent de
à la période finale, au moment de l'agonie.. Mydriase spastique ( excitation du grand sympathique). - La lumière, la converg
ir la pupille, parfois cependant d'une manière moins prononcée. Les excitations sensitives, sensorielles ou psychiques : ne don
dérable. La lumière, la convergence peuvent encore l'augmenter. Les excitations douloureuses n'ont plus d'action. Agents chimiq
ilement l'action difté- rente de la lumière, de la convergence, des excitations sensitives, sensorielles ou psychiques, suivant
'accommodation (Voir Accommodation). Affections du système nerveux. Excitation du sympathique cervical. Dans certaines affecti
es, hystérie, épilepsie, certaines maladies mentales aux périodes d' excitation . Des alternatives de dilatation et de rétrécisse-
ie convulsive. C'est encore une mydriase spasmodique que provoque l' excitation des nerfs sensitifs périphériques. Importance p
bascule. Frenkel pense qu'il s'agit d'une mydriase spasmodique par excitation directe ou réflexe du sympathique oculaire. On
e avec amaurose, etc. L'amaurose complète est nécessaire pour que l' excitation lumineuse provocatrice du réflexe pupillaire ne s
alement, on constate néanmoins l'absence du réflexe pupillaire il l' excitation lumineuse, tandis que le réflexe persiste pour
citation lumineuse, tandis que le réflexe persiste pour toute autre excitation (convergence, irritation cutanée, etc ). Dans c
and l'excitant réflexe (lumière) agit sur un seul oeil (fîg. 59). L' excitation recueillie par l'un des deux yeux est transmise
es. Ce mouvement réflexe bilatéral de l'iris sous l'influence d une excitation lumineuse unilatérale, c'est le réflexe consensue
t dans le tabès, dans la paralysie générale. Réflexe pupillaire aux excitations cutanées. Son existence démontre l'intégrité de
myosis peut se produire ou s'augmenter. Mais après disparition de l' excitation , le myosis ne disparaît que lentement, la dilat
. La section ou paralysie du M. U. C. supprime l'accommodation; son excitation l'exagère. Le sym- pathique aurait aussi une ac
excitation l'exagère. Le sym- pathique aurait aussi une action, son excitation produirait une diminu- tion, sa section une aug
troubles de, inutilité des globes. Affections du système nerveux. Excitation du sympathique cer- vical. Si l'on en croit les
e cer- vical. Si l'on en croit les expériences de Moral et Doyen, l' excitation du sympathique produirait une diminution de cou
nstitue la voie centripète de l'arc réflexe lacrynialo-séeréteur. L' excitation du trijumeau (cornée, conjonctive, etc.) amène du
'appui de cette opinion : l'hypersécrétion lacrymale résultant de l' excitation du bout périphérique du nerf lacrymal, aussi bi
citation du bout périphérique du nerf lacrymal, aussi bien que de l' excitation du rameau orbitaire du nerf maxillaire supérieu
ld a constaté directement de la vasoconstriction dans la caisse par excitation du sympathique et j'ai trouvé de la vaso-d datati
xcès d'activité ou de réceptivité sous l'influence d'une plus forte excitation . La cZ1J}lacOllSie est une forme de paracousie
dique le nom sous lequel on les classe. A) Réflexes otopathiques. L' excitation des branches du trijumeau, surtout au pourtour
nt sur l'organe de l'ouïe : on a noté des bruits subjectifs par les excitations lumineuses, et d'Arsonval a observé la surdité
que qui s'épanouit a la partie postoro-inférieure du conduit et à l' excitation réflexe du larynx. Certains cas qui avaient pu
ntané. S'il se montre à la suite de certaines manoeuvres (rotation, excitation galvanique, injection d'eau chaude ou d'eau fro
ulaires ayant disparu, il ne pouvait plus y avoir de transmission d' excitations au noyau de Deiters et par lui aux. noyaux mote
ystagmus spontané est dirigé vers l'oreille malade, c'est qu'il y a excitation du canal semi-. circulaire horizontal; que s'il
il est plutôt de la nature des réflexes de produire des troubles d' excitation que des phénomènes de déficit. On a signalé des
res : on a signalé cependant de la céphalée, des vomissements, de l' excitation et des palpitations et même de l'asthme. Elle n
les lésions du nez portent surtout sur la sphère sensitive, et les excitations sensorielles sont exceptionnelles. Toutes les-lés
espiration par l'application d'eau froide sur la muqueuse nasale; l' excitation de la pituitaire détermine des trouilles du ryt
toire. Paul Bert et surtout François Frank ont -fait voir que cette excitation , indépendamment de l'hydrorrhée et de l'éternueme
erveuses- d'un nerf spécial, le nerf vestibulaire, qui transmet les excitations au. cervelet, organe central de la coordination
ation directe des centres nerveux; pour d'autres, il dépendait de l' excitation du labyrinthe et des extrémités du nerf vestibu
ensuite que le phéno- mène était notablement plus prononcé quand l' excitation était bilatérale, que quand elle était unilatér
positif détermine une inclination de la tête, du côté excité, que l' excitation par le pôle négatif détermine une inclination d
igeon, chacune des parties du labyrinthe, Babinski a constaté que l' excitation du vestibule et des ampoules semble jouer un rô
urs années de suite. Les causes occa- sionnelles semblent, être des excitations visuelles vives, des contractions musculaires v
arrête et il présente du nys- tagmus. Au syndrome de Ménière. par excitation du labyrinthe, il faut opposer le syndrome vest
es extrémités du pneumogastrique et du sympathique transmettant une excitation jusqu'aux centres (llilzi). Pourtant ce vertige
issements particulière- ment importants, peut être provoqué par des excitations exclusivement sensorielles ou morales, la vue d
es anciens), on arrache le malade it sa torpeur par des appels. des excitations répétées. Dans les états profonds ou carus, il y
fin, des alternatives de torpeur et de lucidité, de dépression et d' excitation , de repos et de délire ou de convulsions se rép
du réflexe abdominal et la flexion des orteils, parfois enfin, par excitation d'une zone hystérogène, couper d'une crise conv
causés par les aliments, par les champignons sont de deux ordres : excitation ou dépression. Il existe nettement deux catégorie
e de cauchemars terri- fiants.. L'insomnie résulte toujours d'une excitation anormale du système ner- veux; mais elle peut ê
l en est ainsi chez les prurigineux, chez les sujets présentant une excitation génitale anormale, ehez tous ceux qui souffrent
ion des aliénés est souvent modifiée. Dans la paralysie générale, l' excitation maniaque, les délires mégalonianiaques on observe
pensée. ' La mimique émotive peut être exagérée (hypermimie) dans l' excitation maniaque, les délires hallucinatoires ; elle pe
peut être exagéré, c'est l'hyper- sémie des états d'expansion, de l' excitation maniaque; il peut être di- minué ou aboli, c'es
n- de l'appareil sen- soriel qui leur correspond. Suivant que cette excitation se produit dans l'appareil sensoriel lui-même o
ons périphériques subjectives ou objectives, . . [G. GUILLAIN.] l' excitation première peut porter sur l'appareil sensoriel cor
s caractères semblables se consta- tent chez les débiles atteints d' excitation maniaque et dans la lsezt.clo- paralysie généra
otiques avec attitudes lascives, paroles obscènes, se voient dans l' excitation maniaque, la manie puerpérale, etc. Les alcooliqu
s minutes, puis le malade sera entouré par un drap sec. Les états d' excitation maniaque seront calmés parfois par l'applicatio
ilité réflexe du système cerchro- spinal et par là est utile dans l' excitation maniaque prolongée. Les hains froids doivent êt
ents vaso-constricteurs ayant une action favorable dans les étals d' excitation dus à la congestion encépha- 11(lue. Anglade fa
réception, qui, au moyen des conducteurs nerveux, transmettent les excitations périphériques aux centres de réception, médulla
thode expérimentale chez le singe (C. et 0. Vogt, Brodniann), par l' excitation du cortex chez l'homme (Krause, Mills, , . \
fonc- tionnement physiologique normal de l'appareil nerveux. Toute excitation violente d'un nerf sensitif provoque une sensat
Pour d'autres, la douleur est bien, d'une façon globale, due à une excitation forte dont le mécanisme intime nous échappe enc
tion forte dont le mécanisme intime nous échappe encore, mais cette excitation est recueillie par des nerfs spécialement affec
act) et la pré- sence de points des téguments ne réagissant à toute excitation que par la douleur (points de douleur, Goldschc
orpuscules de Ruffini pour le chaud. - 5° Voies de conduction des excitations périphériques. On admet, depuis les expériences
s différents modes de sensibilité superficielle et profonde par des excitations appropriées à chacune d'elles et on note soigne
ène légèrement sur les téguments, en provoquant non pas plu- sieurs excitations rapides et rapprochées, mais une seule, qu'on ren
.), puis de montrer avec son index le point exact où il croit que l' excitation a porté ; c'est la topoest/¡c'sie ou sens du lieu
ns hémiplégiques par exemple loca- lisent à la paume de la main les excitations portant sur les doigts, ou a lavant-bras celles
uloureuses qui sont perçues sur certains points du corps à propos d' excitations arrivant de points plus ou moins éloignés, et qui
ewarl) C) une. perversion du sens du lieu qui consiste en ce qu'une excitation tactile, une piqûre 1. Les stnrt ! ésie.s et le
e l'impression périphérique. Le médecin doit aussi s'assurer qu'une excitation tactile est bien perçue comme telle par le mala
ose des sensations. Lorsque le malade interprète comme-multiple une excitation unique, on dit qu'il y a polyesthésie; il multi
ne sensation'; celle-ci persiste pendant, quelques secondes après l' excitation qui l'a provoquée. C'est la l'exagéra- tion d'u
iologique, à savoir que la durée de la sensation dépasse celle de l' excitation , surtout lorsque celle-ci a été prolongée. Deux
oter la fusion des sensations, le malade ne ressentant qu'une seule excitation tactile, bien qu'on l'ait louché plusieurs fois,
mais d'une façon trop rapprochée. Le phénomène de la sommation des excitations dérive de ce dernier. Il arrive, en effet, que
alade sur lequel on répète plusieurs fois, au même endroit, la même excitation , les premières excitations ne soient pas perçue
plusieurs fois, au même endroit, la même excitation, les premières excitations ne soient pas perçues, puis que la quatrième ou
effilée, ou encore en pinçant la peau entre le pouce et l'index. L' excitation faradique de la peau est un bon moyen pour étud
leur, parce qu'elle permet de graduer et de mesurer 1 mtenstte de l' excitation périphérique nécessaire il la production de la
aître aucune douleur; inversement, lors- qu'il y a hyperesthésie, l' excitation électrique la plus faible devient dou- loureuse
car il faut tenir compte de la participation des nerfs cutanés à l' excitation électrique. La sensibilité électro-musculaire p
ociation d'idées (souvenirs visuels) acquises par l'expérience. Une excitation périphérique (mouvement, pression, choc, etc.)
pté- gique soit hors d'état de démêler et d'indiquer la nature de l' excitation douloureuse portée sur ses membres paralysés et
peuvent être causées aussi bien par des phénomènes d'ischémie ou d' excitation à distance que par les lésions même des fibres
de la couche optique; la présence de l'aphasie ou les phénomènes d' excitation corticale lais- seront supposer une lésion du c
ux troubles de la sensibilité objec- tive qui sont éveillés par une excitation extérieure, les troubles de la sensibilité subj
xtérieure, les troubles de la sensibilité subjective relèvent d'une excitation intérieure, spontanée. Le malade perçoit ces se
ée. Le malade perçoit ces sensations subjectives en dehors de toute excitation périphérique; mais certaines manoeuvres, au cou
quelconque de leur tra- jet. De même qu'il existe des douleurs par excitation du neurone sensitif périphérique, de même il en
citation du neurone sensitif périphérique, de même il en existe par excitation du neurone central. Cette seconde hypothèse par
mastication, d'où l'inanition possible. Le diagnostic du siège des excitations algésiogènes est important, surtout quand il s'
, dorsale, lombaire et sacrée. Pitres, pour déterminer le siège des excitations algésiogènes, conseille de comparer les effets
S. 585 une injection de cocaïne au-dessus du point d'où partent les excitations algésiogènes, on arrêtera brusquement la produc
sée au voisinage du tronc nerveux au-dessus du point où siègent les excitations algésiogènes. Si, dans ces névralgies, la névro-
t déterminés souvent par la déglutition, la mastication, la moindre excitation . Le tic douloureux de la face persiste un temps t
: TROUBLES DES RÉFLEXES par le DU 0. CROUZON Un réflexe est une excitation périphérique transmise par les voies cen- tripè
i la renvoie par les voies centrifuges à la périphérie sous forme d' excitation motrice. Si le point de départ de l'excitation
iphérie sous forme d'excitation motrice. Si le point de départ de l' excitation périphérique est. un tendon, on dit que le réfl
tème nerveux. Les réflexes rotuliens sont, augmentés, par les vives excitations sensorielles, les rêves violents. La musique les
a jambe, et des orteils sur le métatarse. « Du côté paralysé, une excitation semblable donne lieu aussi à une flexion de la
ment des muscles de la jambe et de la cuisse. On procède alors il l' excitation de la plante du pied; on se servira dans ce but
de crayon, ou plus simplement de l'ongle, de la pulpe du doigt. L' excitation doit porter de préférence sur le bord externe du
érence sur le bord externe du pied : on pratiquera tout d'abord une excitation très légère, et, si les orteils restent immobil
rès légère, et, si les orteils restent immobiles, on pratiquera des excitations de plus en plus fortes. Si le réflexe est norma
eils avec certains mouvements volontaires de défense. Eu effet, une excitation trop vive chez certains sujets chatouilleux amè
xtension lente du gros orteil.- On a pu observer en dehors de toute excitation la persistance de l'extension des orteils ; cet
une communication à la Société de Neurologie. (juillet 1905) que l' excitation de la plante du pied pouvait non seulement amen
au repos. - ; [Revue Neurol. 1903.) Fig. 10. Pied au moment de l' excitation . Abduction des orteils, d'une intensité moyenne
e des troubles de la sensibilité de la plante du pied qui empêche l' excitation , point de départ du réflexe. Dans 1 hémiplégie
ucteur du pied, décrit par Hirschberg, réflexe qui se produit après excitation de la plante dn pied et qui se traduit par l'addu
he beaucoup du réflexe plantaire, il est provo- que comme lui par l' excitation de la plante du pied. Si l'on examine, en effet
du pied. Si l'on examine, en effet, les mouvements produits par une excitation vive de la plante du pied, on voit qu'ils consi
eur du fascia lata et des abducteurs de la cuisse. Si l'on réduit l' excitation de la plante du pied à un minimum on ne verra a
oint de départ extra-plantaire. Il démontre seulement que la zone d' excitation du réflexe de Babinski n'est pas limitée la pla
r. II consiste dans la contraction des muscles "-rands fessiers par excitation de la peau qui les recouvre. Réflexe anal. Il c
contraction des ar redores pi lorum produits sous l'influence d'une excitation cu- tanée : on voit alors se produire le phénom
aso-moteur d'origine cutanée. Haillon et Comte ont pu, à la suite d' excitations cutanées portant sur une région quelconque, pro
traduisant par la diminu- tion du volume des doigts explorés. Cette excitation n'est pas suivie du réflexe quand elle porte su
tendineux ou cutané est un réflexe dont le point de départ est une excitation spéciale portant sur les organes sensitifs conten
articulier du réflexe rotulien, la percussion du tendon constitue l' excitation normale. Cette excitation porte sur des organes
lien, la percussion du tendon constitue l'excitation normale. Cette excitation porte sur des organes de réception périphériques
e la moelle abdominale. Nous avons suivi jusqu'ici la marche de l' excitation qui a porté sur les tendons patellaires et nous
ures, elle passe dans ces dernières qui réa- g ! ssentatenr tour; l' excitation se transmet alors suivant la voie centri- [CROU
nt, en effet, il la théorie de l'arc nerveux réflexe, ce fait que l' excitation du tendon se propage aux muscles mécaniquement,
ale progressive des aliénés). C) Sa production par la sommation des excitations (Jarisch et Schiff) à condition que ces percuss
estion que le tiraillement du muscle par les tendons maintienne une excitation et une compression idio-inusculaire, puisque la
percussion d'un tendon rotulien, indique nécessairement non pas une excitation mécanique directe, mais l'intervention du systè
cte, mais l'intervention du système nerveux central qui réfléchit l' excitation nerveuse vers les nerfs et les muscles du côté op
I.. 30 [CROUZON.] 4M HÉMIPLÉGIE. une agnosie pure et simple des excitations cutanées douloureuses. On peut encore mieux se
Le pincement prolongé, nous l'avons dit, les plonge dans un état d' excitation très singulier, mais, quelle que soit la douleu
ment observés lui firent constater cette abduction des orteils ou l' excitation du mouvement combiné de Ik'.xion de la cuisse et
spéciale, une amplitude particulière, la généralisation rapide de l' excitation provoquée dans un muscle aux muscles proches et m
atteinte du centre cilio-spinal (l r" dorsale) se traduira en cas d' excitation par de la mydriase, en cas de destruction par d
les observations d'épilepsie. jack-sonieniie et les résultats de l' excitation électrique de la zone corticale motrice, les au
zier, Lloyld, Cushing, à la suite de constatations anatomiques et d' excitations faites sur le cerveau humain, admettent égaleme
arrivent à une conclusion un peu différente. Pour Ferrier et Yeo l' excitation d'une racine donnée [G GUILLAIN.] 600 SÉlItIO
ène des mouvenients parfaitement coordonnés. Par exemple, lors de l' excitation de la première thoracique, on voit les membres su
la sixième paire cervicale, le bras s'approche de la bouche; par l' excitation de la septième l'animal fait le geste de se redre
nimal fait le geste de se redresser en se servant de la main; par l' excitation de la huitième, il se gratte )esnh- stratum ana
l'inflammation ou de la suppuration; il montre que le procédé de l' excitation en masse des racines est à rejeter parce qu'il
ctions trop complexes. Aussi adopte-t-it la méthode qu'il appelle l' excitation dissociée des racines. Il dénude le plexus sans
ionnées pour supprimer les mouvements réflexes, puis il procède à l' excitation isolée, des filets différents qui constituent l
que l'on ne puisse s'expliquer avec logique leur production par une excitation uui-I'éldiculail'(" ? Ouand on pense il la mult
'excita- tion de chaque faisceau produit un mouvement différent : l' excitation de l'un d'eux produit la flexion, du coude, d'u
elher décrit dans la région sus-claviculaire un point précis dont l' excitation électrique détermine une contraction simultanée
face de l'apophyse transverse de la 6° ver- tèbre cervicale. Par l' excitation du point de Erb, Secrétan a trouvé con- stammen
ge, ou du mouvement réflexe d'occlusion des paupières il la suite d' excitation conjonctivale ; dans la paralysie faciale périp
par ifermann Krause qui, à la suite d'expériences bien conduites d' excitation et d'ablation delà corticalité, le localisa à l
ces centres du larynx présentent une particularité remarquable : l' excitation d'un seul centre est toujours accompagné de mou
en maintenant l'opinion classique des mouve- ments bilatéraux par l' excitation unilatérale de l'écorce, a vu trois fois une co
e du cerveau. Si l'on s'en rap- porte il ce que nous avons dit de l' excitation expérimentale du centre z cortical de la phonat
ne moteur central, c'est-à-dire de la voie pyramidale qui conduit l' excitation dynamique des cellules corticales aux cellules
s se contractant d'une manière indé- pendante, sous l'influence des excitations électriques, quand l'excitabilité électrique de
cles ou propagées en ondes, spontanées et réveillées par la moindre excitation , pincement, frottement, impression de froid, elle
ction de l'hypertrophie; quand on pratique sur certains muscles des excitations répétées, l'afflux sanguin fait défaut aussi bien
tations répétées, l'afflux sanguin fait défaut aussi bien quand les excitations sont excessives que quand elles sont insuffisante
mais ces contractions sont lentes, torpides, prolongées alors que l' excitation a cessé; aussi n'y a-t-il pas de secousses d'ou
ormales et courtes, mais si l'on pro- longe ou si l'on accumule les excitations par un courant galvanique labile ou par un cour
t, comme celles de la contractilité volontaire, quand on répète les excitations sur le même muscle. La maladie de Thomsen est e
isolée d'un muscle né peut être produite qu'artificiellement, par l' excitation mécanique ou électrique de ce muscle par exemple.
TION ATAXIQUE. 7(il et des troubles psychiques, en particulier de l' excitation maniaque. Il n'y a pas de troubles oculaires, p
s, il peut perdre seulement la notion du siège et de la nature de l' excitation dou- loureuse (P. Marie) ; la sensibilité est t
as- thénique (Jolly) est caractérisée par un épuisement rapide de l' excitation et par une diminution (pouvant aller jusqu'au z
effet, avec un courant modéré, un muscle en ne lançant qu'une seule excitation très courte : nous aurons une simple secousse m
lontaire normale avec, sur le cylindre enregistreur, la pé- riode d' excitation latente, la phase d'ascension correspondant au ra
ogressif. Avec un courant plus intense et surtout la répétition des excitations , l'am- plitude des contractions augmente par un
ons des convulsions cloniques. - Supposons maintenant qu'au, lieu d' excitations séparées comme précédemment par un intervalle sup
supé- rieur à la durée de la secousse elle-même, nous lancions des excitations très rapprochées, atteignant le muscle il toute
ent les centres et amènent les convulsions réflexes. Tantôt enfin l' excitation bulbo-spinale ne fait que refléter l'excitation
xes. Tantôt enfin l'excitation bulbo-spinale ne fait que refléter l' excitation des centres nerveux de l'écorce cérébrale. Ce d
nt des mouvements simples des membres dn côté opposé. Lorsque cette excitation dépasse une certaine intensité et une certaine
sité et une certaine durée, il a contracture. Enfin, une très forte excitation détermine une véritable attaque d'épilepsie ave
cérébrales, des toxines microbiennes, des toxiques agissent comme l' excitation élec- trique et suivant les mêmes lois. Descr
gite tuberculeuse), la convulsion est remplacée par la paralysie, l' excitation de l'écorce cérébrale à un mo- ment donné arriv
us souvent elles s'étendent il tout un côté ou aux deux, comme si l' excitation corticale, partie du centre correspondant à la
ement sur la luette, dans l'un des yeux, dans l'une des narines, en excitation génitale insolite, etc. Quand elles précèdent i
suite de prodromes plus ou moins éloignés, consistant en tristesse, excitation , besoin irrésistible de marcher, de gesticuler,
stingué sous le nom de délire choréique et qui se caractérise par l' excitation maniaque, par la mélancolie ou par le délire de
peut se présenter sous la forme de la mélancolie anxieuse ou d'une excitation maniaque. L'état général dans la chorée de Syde
uilibre sensitif apparaît dans la disproportion fréquente entre les excitations douloureuses et les manifestations de douleur que
et il les terroriser, il n'a pas de raison d'être pour les formes d' excitation ou d'atonie musculaire, et, dans la 1'01'1111'
nitaux sont variables. Au début on observe SPEMIATOJuuOE. non une excitation anormale, des désirs vénériens exagérés, suivis d
vu des tabétiques conserver longtemps leur puis- sance et même leur excitation génitale, la règle est de les voir rapide- ment
et surtout dans le tabès à l'a période initiale, sou- vent même les excitations génitales apparaissent avant tout autre signe et
légie, etc., l'impuissance succède presque toujours à une période d' excitation sexuelle exagérée. Cette succession est surtout b
ent le matin ou le soir, plus souvent encore se répètent Ù propos d' excitations diverses. Fréquemment tout se borne à une gêne,
érature. Plus tard, il y a parfois un peu de fièvre. Ici encore les excitations sensorielles (treillages, mosaïques, odeurs div
elle peut être paralytique (para- lysie intestinale), spasmodique ( excitation solaire) pu liée à de l'anes- thésie rectale [h
" lombaire, région tatero-poste- rieurc). D'autres fois (syndrome d' excitation ), il y a constipation, douleur épigastrique et
us utiliserons généralement en électro- diagnostic pour localiser l' excitation électrique sur les nerfs et sur les muscles. On
n état permanent, ne parait guère produire directement des effets d' excitation . Avec de forts courants, cependant, on peut voir
ntractions galvano-loniqucs. Il y a lieu de croire que ces effets d' excitation des organes moteurs sont en grande partie dus i
la cause en est vraisemblablement complexe, due non seulement il l' excitation des nerfs sécréteurs, mais aussi à une action r
de l'organisme, etc. COURANT GALVANIQUE DANS SES ÉTATS VARIABLES ( Excitations de fermeture et d'ouverture.) Au lieu d'appliqu
ro-i prieté d'exciter les nerfs et les muscles. Sur le muscle cette excitation ;* lorsqu'elle est suffisante, c'est-à-dire lors
manifeste par la contraction du muscle. Sur un; nerf moteur, cette excitation se traduit par la contraction des muscles animé
traction des muscles animés par ce nerf. Sur un nerf sensitif cette excitation éveille des sen-, sations, soit de sensibilité
de sensibilité spéciale, suivant ! c, la nature du nerf excité. L' excitation n'est pas tont il fait la même au moment de l'éta
sm LES MUSCLES. Pour le moment, nous nous occuperons seulement de l' excitation des nerfs moteurs et des muscles, et nous expos
muscles, et nous exposerons les résultats obtenus avec la méthode d' excitation polaire. Dans cette méthode, l'une des électrod
ermanent, puis au moment de l'ouverture. Sur les nerfs moteurs, l' excitation produite peut être résumée par le tableau suiva
avec le pôle négatif et au moment de la fermeture, NFC ('). Aucune excitation ne se manifeste avec le pôle négatif pendant le
endant le passage du courant ni au moment de l'ouver- ture ; aucune excitation avec le pôle positif ni au moment de la ferme-
usieurs m. A., 5, 4, 5 ou davantage, suivant le nerf con- sidéré) l' excitation produite avec le pôle N, au moment de la fermetur
au moment de la fermeture,. 1\lû, devient plus forte; aucune autre excitation n'est encore manifeste,- avec ce pôle, soit pen
endant le passage du courant, soit au moment de l'ouverture. Mais l' excitation avec le pôle P commence à être efficace,, génér
nt de l'ouverture apparaît avec un courant de même, intensité que l' excitation au moment de la fermeture, 110(- : = Fl'C; quel-;
on au moment de la fermeture, 110(- : = Fl'C; quel-; quefois même l' excitation produite au pôle P, au moment de l'ouverture, a
et le langage, on a pris l'habitude de traduire les résultats de l' excitation électrique par une notation spéciale, en désignan
. 1217 POC > PFC. Pendant la durée de passage du courant, aucune excitation ne se manifeste avec le pôle P. " , . L'appar
issus. (courants de forte intensité, pas- sage prolongé du courant, excitations répétées avec la .même direction du courant), d
sation (exploration avec la double clef, par exemple) développent l' excitation produite l'ouverture du courant prin- PfUTI.JCE
e de polarisation qui joue le principal rôle dans la production des excitations d'ouverture.) 5" Avec des courants forts (varia
riant suivant les cas entre 5, 10, 15 mjlliampères ou davantage), l' excitation produite avec le pôle N, au moment de la fermet
NFTe; au moment de l'ouverture, on peut voir apparaître une légère excitation , 10c; celle-ci n'apparaît souvent qu'avec des c
traction, la cessation de la tétanisation du muscle. Au pôle P, les excitations produites augmentent aussi avec l'in- tensité d
cas pathologiques. En sommé, les réactions normales produites par l' excitation des nerfs uvec les courants galvaniques peuvent
accusée que pour les nerfs; NFTe est plus difficile à obtenir; les excitations se produisent surtout à la fer- meture du coura
s petite, de forme et de dimensions appropriées, sert à provoquer l' excitation des nerfs ou des muscles. Cette dernière, électro
souvent des courants heauconp plus forts pour obtenir le seuil de l' excitation ; de plus, quand l'électrode n'est pas suffisam-
f étant celui qui dans l'état normal produit le plus faci- lement l' excitation , on commence habituellement l'examen avec ce pôle
inue, suivant l'effet obtenu, on recherche avec. quelle intensité l' excitation la plus faible se manifeste; c'est le seuil de l'
rsant alors le courant, on recherche de la même façon le seuil de l' excitation à la fermeture avec le pôle positif. En compara
nt les valeurs des intensités nécessaires pour obtenir les seuils d excitation , on se rend compte de l'action propre de chaq
compte de l'action propre de chaque pôle dans la produc- tion des excitations de fermeture. Au moment où l'on vient de renv
à l'examen avec le pôle positif, après avoir obtenu le seuil de l' excitation avec le pôle négatif, il peut arriver qu'on o
ectrodiagnostique on peut se contenter de rechercher les seuils des excitations ' de fermeture à la cathode et à l'anode. Si l'
nte que celle des milliampères pour prendre notion des valeurs de l' excitation . Pour nous, nous croyons préférable de tenir av
1 . i 1924 . APPLICATIONS -DE L'ÉLECTRICITÉ. manifestations des excitations d'ouverture avec L'anode et parfois aussi avec
ison sans qu'il soit nécessaire de rechercher les seuils mêmes de l' excitation . Assez souvent, ce- pendant, à la compa- ra
pourra se contenter -de déter- miner le seuil le plus nas de 1 excitation en notant avec quel pote u est omenu. Lorsque ou
complet ou détermine, comme il a été dit plus haut, les seuils de l' excitation avec l'un et l'autre pôle à la fermeture. Si l'
on veut un examen plus complet encore, on recherche les seuils de l' excitation à l'ouverture. Enfin, on peut rechercher aussi, c
ec la clef simple, il quel moment les contractions provoquées par l' excitation deviennent tétaniques. Il convient de remarqu
t, en abaissant alternativement 1 une et l'autre clef, de faire les excitations avec alternatives volliennes dans de très bonne
tions. Le métronome inverseur convient très bien aussi à ce genre d' excitations . - COtlltA\1' GALVANIQUE LABILE On appelle ga
de. On voit aussi, lorsque l'intensité est suffisamment élevée, des excitations se manifester du côté des nerfs et des muscles
té subit des variations continuelles, des effets se rapprochant des excitations de l'état variable du courant et dus aux fluctuat
ite d'ouverture provoque facilement la contraction des muscles ou l' excitation des nerfs, tandis que l'onde. induite de fermet
ce; il faut augmenter beaucoup l'énergie du courant pour voir cette excitation apparaître avec cette dernière onde. Ces pro- p
de quelques millièmes à un centième de seconde; c'est la période d' excitation latente; puis, la contraction commence, la cour
de trois à cinq centièmes de seconde. Si l'on produit une nouvelle excitation du muscle après qu'il a terminé sa décontraction
à l'état de repos, les mêmes phénomènes se reproduisent : période d' excitation latente, période d'énergie croissante et période
d'énergie décroissante, et ainsi de même tant qu'on renouvelle les excitations dans les mêmes conditions. On provoque ainsi de
et ils varient suivant les conditions dans lesquelles s'effectue l' excitation du muscle on du nerf. Si la fréquence des ondes
e des ondes induites est un peu augmentée, de façon qu'une nouvelle excitation se trouve produite lorsque le muscle est dans l
ssante, celui-ci, après le temps perdu correspondant à la période d' excitation latente, entre de nouveau en contraction avant
int le maximum, puis recommence sa décontraction. Mais une nouvelle excitation lui arrivant avant que la décontraction ne soit
e, il entre de nouveau en contraction et ainsi de même tant que les excitations sont renouvelées. On voit que, dans ces conditi
se rapprochent, elles tendent à se fusionner d'autant plus que les excitations sont elles-mêmes plus 1 ? 11'- FIG, 3J, , , F
Temps en 'l/l00e de se- conde ; E Signal de Dépretz; A B Période d' excitation latente ou temps perdu : - B C Période d'énergi
ET TRAITEMENT FARADIQUE. 125 prociiees ; dans l'intervalle de ces excitations successivement répétées, le muscle n'atteint pa
quence des ondes induites est plus grande, et telle qu'une nouvelle excitation atteigne le muscle e dans sa période d'éner
aître d'ailleurs que l'intensité moyenne du courant, et la valeur d' excitation de celui-ci dépend encore d'autres facteurs, pa
c. C'est pourquoi on se contente généralement d'estimer la valeur d' excitation du courant faradique on mesurant en centimètres
nterruptions, etc. EXPLORATION ET TRAITEMENT FARADIQUE. 1255 de l' excitation . Le procédé du rhéostat en tension est quelquefoi
re des effets nuisibles. On évite ces inconvénients en rythmant les excitations au moyen d'un interrupteur (clef de Morse, péda
et l'on continue, en renouvelant et suspendant de la même façon les excitations un nombre de fois plus ou moins grand, suivant
On se sert parfois aussi d'onduleurs de courants pour rythmer les excitations faradiques tétanisantes dans les applications thé
peutiques. Ces appareils ont l'avantage de provoquer chaque série d' excitations avec des courants dont l'énergie va graduelleme
scle soumis il son action, soit qu'il permette de mieux localiser l' excitation en produisant. [E. HUET ] 1256 . APPLICATIONS
isant. [E. HUET ] 1256 . APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. moins d' excitations de voisinage. Aussi, au point de vue pratique, pe
mployer la double clef pour rechercher le pote donnant la meilleure excitation et pour l'utiliser ensuite dans l'application du
ec les courants faradiques à intermittences espacées, on voit que l' excitation est plus ou moins efficace suivant les points o
réquentes. On peut employer l'électrisation labile pour rythmer les excitations sans recourir à un interrupteur. Après avoir fa
soulève et on la tient éloignée le temps que l'on veut suspendre l' excitation ; on la replace alors sur la peau pour la faire ro
moins complet, il faut, comme dans la méthode polaire, rythmer les excitations avec le métronome ou avec un interrupteur tel q
ilement et rapidement l'orientation du courant donnant la meilleure excitation . La méthode de faradisation bipolaire a été trè
tiqué avec la méthode polaire. Elle permet de localiser davantage l' excitation et elle doit être employée surtout lorsque l'ex
naître convenable- ment ; dans les applications thérapeutiques, ces excitations il distance ont l'inconvénient de faire contrac
s qu'il y aurait avantage il ne pas exciter. Localisant davantage l' excitation , la méthode bipolaire permet d'éviter ou de dim
excitation, la méthode bipolaire permet d'éviter ou de diminuer ces excitations il distance. Les courants faradiques peuvent êt
augmente la force du courant. Au moment où commencent les premières excitations , on observe souvent de la vaso-constrielion, la
urants sont suffisamment faibles et que la peau est bien sèche, les excitations sensi- tives peuvent être seules en jeu. Avec d
ules en jeu. Avec des courants un peu plus forts, il s'y ajoute des excitations des nerfs moteurs et des muscles, surtout lorsq
es points électro- moteurs ; avec des courants encore plus forts, l' excitation se diffuse z [E HUET ] Fic.. : 'iL - Méthode
diffuse z [E HUET ] Fic.. : 'iL - Méthode hipoiairc localisée, - Excitation de la partie externe du triceps hrachial - avec
rtie externe du triceps hrachial - avec 2 tampons de 10 enie; - Il. Excitation du biceps brachial avec deux grosses .olives ;
tion du biceps brachial avec deux grosses .olives ; jttjjjjjc- III. Excitation de l'opposant du pouce avec deux petites olives.
culièrement à ceux qui se trouvent dans le trajet interpolairc. L' excitation des nerfs sensitifs, pratiquée comme il vient d'ê
istance dans l'espace interpolaire et les sensations accompagnant l' excitation des muscles peuvent gêner pour estimer l'état d
assage du courant on détermine ainsi avec le courant galvanique une excitation de fermeture suivie de l'action du courant dans
meture suivie de l'action du courant dans son étal continu puis une excitation d'ouverture; aux effets pro- duits par le coura
ure; aux effets pro- duits par le courant galvanique s'ajoutent les excitations du courant faradique produisant, lorsque l'éner
la fré- quence des intermittences. Comme dans le cas précédent, les excitations faradiques se montrent plus fortes que les exci
écédent, les excitations faradiques se montrent plus fortes que les excitations produites par le courant faradique seul, résult
e se reconnaît pour les cou- iants faradiques lorsque le seuil de l' excitation apparaît avec des cou- rants plus faibles que d
xcitabilité galvanique se reconnaît également lorsque le seuil de l' excitation se montre avec des courants dont l'inten- sité
ffet de les rapprocher de la peau, les rendent plus accessibles à l' excitation et peuvent donner lieu aussi il une augmentation
té électrique est souvent très prononcée, au point que la formule d' excitation , sans présenter d'al- térations qualitatives pr
ch. L'augmentation de l'excita- bilité ne se manifeste que pour les excitations d'ouverture et elle est telle que non seulement
oyons pas que cette hyperexcitabilité galvanique des nerfs pour les excitations d'ou- verture dans la réaction de Geigel dépend
ent des courants de polarisa- tion dont on connaît le rôle dans les excitations d'ouverture. Avec les courants faradiques qui n
avec les courants faradiques et galvaniques, lorsque le seuil de l' excitation n'apparaît qu'avec des courants plus forts que
ortant de faire mettre dans le relâchement les muscles sur lesquels l' excitation doit produire des contractions. Il faut donc do
s. Souvent même cette diminution n'est bien manifeste que pour' les excitations portées sur le nerf au-dessus du point qui a été
es sur le nerf au-dessus du point qui a été comprimé. alors que les excitations du nerf portées au-dessous, ou les excitations
primé. alors que les excitations du nerf portées au-dessous, ou les excitations des muscles, donnent lieu à des réactions peu d
ontractions que par les changements dans l'apparition du seuil de l' excitation . Les mêmes particularités peuvent se rencontrer d
ntraction musculaire, et, d'autre part, sur la formule polaire de l' excitation . La contraction, au lieu d'être vive et rapide co
ent bien accusées dans les processus aigus. La formule polaire de l' excitation se trouve inversée; au lieu que l'exci- 1. La l
e à la cathode apparaisse la première et se montre plus forte que l' excitation de fermeture à l'anode (NFC> PFC), on voit l'e
FC), on voit l'exci- tation de fermeture à l'anode prédominer sur l' excitation de fermeture à la cathode (PFC > NFC) ('). P
par le courant excitateur. Lorsqu'il existe de la DR, on voit que l' excitation longitudinale produite de cette façon est plus
s forte que dans l'état normal, et que souvent elle prédomine sur l' excitation produite au niveau du point moteur; de plus, el
qualitativement,' les contractions,' en effet, sont lentes, mais l' excitation 1. Il faut éviter de prendre pour l'inversion p
t de déplacer légèrement l'électrode excita- trice pour retrouver l' excitation normale NFC > PFC; de plus, on peut remarquer
r assez vive et prédominer à la fermeture de la cathode au seuil de l' excitation , tandis qu'avec des courants plus forts les con
NÉRESCENCE. 12f de la cathode reste habituellement plus forte que l' excitation de l'anode, NFC>PFC('). Cet état de la réa
néralement pas altérée en qualité, les contractions produites par l' excitation du nerf restent en effet vives (2) et sont conf
t NFC reste prédomi- nante sur PFC. 1. Dans certains cas de DU, l' excitation longitudinale est parfois plus forte à l'anode
. la DU. on observe parfois des contractions lentes produites par l' excitation galvanique sur un on plusieurs muscles tributai
trait souvent une erreur en rapportant ces contractions lentes il l' excitation du nerf : on peut les observer alors même que l
alors même que le nerf est inexcitable, Elles s'expliquent par une excitation directe du muscle distance et. s'observent surt
du nerf facial en étal de dégénérescence, on observe fréquemment l' excitation avec contractions lentes du trian- gulaire des
50 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. La lenteur de la contraction provoquée par l' excitation galvanique du muscle est donc aussi la manifest
n voit parfois la lenteur de la contraction manifeste seulement à l' excitation avec le pôle positif, tandis que la contraction
le pôle positif, tandis que la contraction reste assez vive pour l' excitation avec le pôle négatif. Les modifications de l'
l'augmentation des secousses d'ouverture, mais elle s'observe dans l' excitation du nerf et non dans l'excitation des muscles ;
erture, mais elle s'observe dans l'excitation du nerf et non dans l' excitation des muscles ; elle est produite dans des conditio
des secousses d'ouverture s'observe dans des muscles et non dans l' excitation du nerf; les contractions ainsi obtenues sont a
le nerf, mais aussi sur les muscles, souvent plus diminuées dans l' excitation des muscles que dans l'excitation du nerf, et,
es, souvent plus diminuées dans l'excitation des muscles que dans l' excitation du nerf, et, à ce moment, l'excitabilité galvan
tate parfois une augmentation de l'excitabilité électrique par leur excitation directe et par leur excitation indirecte avec l
e l'excitabilité électrique par leur excitation directe et par leur excitation indirecte avec les courants faradiques et avec le
us- culaires, soit par des modifications de la formule polaire de l' excitation . Dans les paralysies et atrophies musculaires r
ns de l'excitabilité des muscles. Les contractions provoquées par l' excitation électrique des muscles deviennent, en effet, fa
es et plus ou moins persistantes : elles se prolongent au delà de l' excitation pendant un temps variable souvent assez long. D
nces fréquentes) le tétanos musculaire ne persiste pas au delà de l' excitation , lorsqu'il s'agit des excitations minimales; en
laire ne persiste pas au delà de l'excitation, lorsqu'il s'agit des excitations minimales; en augmentant l'énergie des courants
eu de retard dans l'apparition de N F Te; cependant, en sommant les excitations par la répétition fréquente des fermetures du c
t observer aussi la persistance des contractions. Muscles. Dans l' excitation directe des muscles les modifications caractéri
iée dans ses qualités. Avec les chocs faradiques isolés et avec les excitations minimales des courants tétanisants, les contrac
oires plus ou moins fréquents non seule- ment pendant le temps de l' excitation , mais encore pendant la dècoutiac- tion lente q
t. Eu renouvelant convenablement avec les courants faradiques les excitations du muscle, on voit la répétition des excitations
nts faradiques les excitations du muscle, on voit la répétition des excitations produire le* mêmes effets que la répétition des
paraître, de sorte que la contraction ne persiste plus au delà de l' excitation et la décontrac- tion s'effectue rapidement.
s fréquentes) prendre des courants d'énergie modérée et répéter des excitations assez courtes, de quelques secondes de durée se
ans le cas de réaction myotonique, si l'on prolonge quelque temps l' excitation , on voit se produire d'abord un spasme myotoniq
ion myotonique, on voit souvent ces courants produire au début de l' excitation une tétanisa- tion incomplète, puis celle-ci se
res comme elles l'auraient été dans l'état normal dès le début de l' excitation . L'excitabilité galvanique des muscles est géné
, un demi, un milliampère, provoquent souvent des contractions et l' excitation s'étend facilement aux muscles voisins. Au poin
prédominante de. l'anode n'existe pas toujours, cependant, pour les excitations minimales; elle est souvent plus manifeste et p
imales; elle est souvent plus manifeste et plus constante, avec les excitations un peu plus fortes, pour la produc- tion des co
ns se trouvent, en effet, modifiées dans leur forme : au seuil de l' excitation , les contractions restent quelquefois assez brève
aires exposés à la plus forte densité du courant. La répétition des excitations de fermeture, avec les courants galvaniques, pr
ourants galvaniques, produit les mêmes effets que la répétition des excitations avec les courants faradiques, c'est-à-dire la dim
u moins modifiée dans sa qualité. Les contractions provoquées par l' excitation mécanique des muscles se montrent lentes et plu
montrent lentes et plus ou moins durables; suivant l'intensité de l' excitation et aussi suivant l'état des muscles, elles resten
ant l'exploration électrique, sous l'influence de la répétition des excitations , divers carac- tères de la réaction myotonique
observe parfois, en dehors même de tout état pathologique, avec des excitations faradiques fortes, surtout lorsqu'elles sont do
uaient par le fait qu'elles se montraient surtout à l'occasion de l' excitation des nerfs au lieu de dépendre princi- palement
de l'excitation des nerfs au lieu de dépendre princi- palement de l' excitation des muscles. La réaction neurotonique reste enc
équentes, courant tétani- sant, en prolongeant convenablement cette excitation , on voit la contrac- tion musculaire s'affaibli
ntinue a s'affaiblir pour disparaître de nouveau. Si, au lieu d'une excitation tétanisantes soutenue, on emploie des excitatio
Si, au lieu d'une excitation tétanisantes soutenue, on emploie des excitations tétanisantes rythmées, séparées par des interva
puisement de la contrac- tion se produit moins rapidement; avec des excitations suffisamment énergiques, assez prolongées, et p
la contraction finit cependant par apparaître, au début de chaque excitation le muscle se contracte, mais le tétanos ne se mai
ndant la durée de i . [E. HUET.] 1268 . ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. l' excitation ; avec la répétition des excitations la tétanisati
] 1268 . ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. l'excitation; avec la répétition des excitations la tétanisation musculaire s'affaiblit de plus
voir reparaître l'excita- bilité ; en prolongeant convenablement l' excitation , ou en répétant suffi- samment les excitations,
eant convenablement l'excitation, ou en répétant suffi- samment les excitations , l'excitabilité s'épuise de nouveau. De même, l
on en peut provoquer l'épuisement en prolongeant ou en répétant les excitations . Par un repos suffisamment prolongé les nerfs e
l'excitabilité, redeviennent excitables. En renouvelant alors leur excitation on provoque de nouveau l'épuise- ment de leur e
loigne l'électrode, excitatrice du nerf excité, dimi- nuant ainsi l' excitation de ce nerf ou même la faisant cesser complètement
animés par le nerf entrer en contraction au moment où on établit l' excitation , et aussitôt après leur contraction diminue ou di
nomènes se reproduisent, et ainsi de même tant qu'on renouvelle les excitations . Lorsqu'au lieu d'exciter un nerf on excite un
comme c'est au niveau de ces rameaux nerveux que se produit surtout l' excitation fara- dique du muscle, on comprend ' que des ef
' que des effets semblables il ceux que nous venons de voir pour l' excitation môme des nerfs puissent se manifester. Il ne s'ag
mme dans la réaction myasthé- nique, mais d'un affaiblissement de l' excitation produit par l'éloigncment de l'électrode des po
e l'excitabilité pour produire la diminution ou la cessa- tion de l' excitation efficace. Dans ces cas, on diminue ou l'on fait m
n, par exemple, de bien placer l'électrode aux points d'élection où l' excitation est la meilleure, en ayant, soin aussi d'appuye
. 1'I : li'l'IGI, 'UI'l' : IlyUl ? 12Glt Il en est de même pour les excitations galvaniques de fermeture même fréquemment répét
; cependant j'ai vu dans un cas de paralysie asthé- nique grave des excitations galvaniques assez fréquemment réitérées pro- du
s déve- loppée l'épuisement de la contractilité musculaire avec les excitations faradiques suffisamment prolongées peut être co
es physiologistes ont trouvé pour les nerfs sensitifs une formule d' excitation assez semblable à celle des nerfs moteurs. Ils
blable à celle des nerfs moteurs. Ils ont vu ainsi que les effets d' excitation des nerfs sensitifs se produisent d'ahord à la
nsi- bilité en recherchant la manière dont se comporte la formule d' excitation polaire par suite de la difficulté d'obtenir de
est augmentée ou diminuée ou si elle reste peu près normale. ' L' excitation faradique de la peau, avec des électrodes humides
continue, constric- tive, désagréable et bientôt douloureuse. Si l' excitation porte au niveau d'un tronc ou d'un rameau nerve
on n'emploie pas des électrodes humides, qui étendent facilement l' excitation aux parties profondes; on se sert plutôt d'élec
se sert plutôt d'électrodes métalliques qui localisent davantage l' excitation à la surface soit avec la méthode polaire, soit
ives, bruissements ou bourdon- nements, qui semblent moins dues à l' excitation même du nerf auditif. qu'à l'excitation des mus
qui semblent moins dues à l'excitation même du nerf auditif. qu'à l' excitation des muscles de la chaîne des osselets; les bruits
oyer de forts courants qui le plus souvent provoquent, à distance l' excitation du nerf optique, des nerfs du goût et du nerf f
es provoquées par les courants galvaniques paraissent dépendre de l' excitation même des terminaisons du nerf acoustique. Pour
le bien, en effet, actuellement que le vertige voltaïque est dû à l' excitation des organes du labyrinthe, où se termine la branc
forts, avec intermittences fréquentes, en leur faisant produire des excitations un peu prolongées. Duchennc de Boulogne a signalé
de Boulogne a signalé il y a longtemps déjà ces inconvénients. Les excitations ainsi provoquées à la HÉMIPLÉGIE CÉRÉBRALE. 129
quelques mois. Avec les courants faradiques on pourra provoquer des excitations assez peu nombreuses et peu prolongées des musc
membres inférieurs sur les extenseurs). On pourra aussi diriger ces excitations sur des muscles plus ou moins atrophiés (malgré
ourants donnant un tétanos complet ou incomplet), on ryth- mera les excitations en les faisant courtes, de une à deux secondes de
repos au moins égaux ou plus longs. On emploiera soit la méthode d' excitation polaire, soit la méthode bipolaire, soit l'exci
la méthode d'excitation polaire, soit la méthode bipolaire, soit l' excitation avec le rouleau ainsi qu'il a été dit précédemm
modérée en s'éloi- gnant peu de l'énergie produisant le seuil de l' excitation . Sur chaque muscle, ou sur un même groupe muscu
raitement fara- dique avec le courant de la bobine à fil lin et des excitations faites avec le pinceau ou avec un rouleau métal
92 ÉLECTROTHÉRAPIE. sations qu'il éprouve lui-même de l'énergie des excitations pro- duites. Le traitement faradique conduit
il 2 ou 5 minutes sur chacun des groupes musculaires choisis. Les excitations des nerfs et des muscles par les courants galvani
des courants faibles, voisins de ceux qui produisent le seuil de l' excitation , et en applications peu prolongées. Le traite
porter davantage sur certains muscles ou groupes musculaires. Les excitations par courants galvaniques avec interruptions simpl
rant il faut avoir soin d'abaisser t intcu- sité de manière que les excitations ne soient pas trop fortes; on donne au courant
iomyélite peut être comprise en moyenne entre 5 et 11. A. Après ces excitations on laisse généralement passer quelques minutes
s de ce traitement il y a lieu souvent d'insister davantage sur les excitations des muscles, soit en continuant encore les appl
u, soit en les remplaçant par des séances uniquement consacrées aux excitations musculaires. 1 ce moment il y a généralement in
y a généralement indication de localiser plus particulièrement les excitations sur les muscles que l'électrodiagnoslic montre le
petites dimensions en forme de plaque ou de tampon on localise les excitations sur les muscles que l'on se propose d'exciter,
urant galvanique interrompu et renversé. Il y a avantage à agir par excitation longitudinale en plaçant l'électrode sur la par
nférieure du muscle ou sur son tendon; on peut faire aussi quelques excitations sur le corps du muscle, et d'autres au niveau de
inter- rompue c'est la cathode qu'il convient de faire agir dans l' excitation longitudinale et le plus souvent, au contraire,
tion longitudinale et le plus souvent, au contraire, l'anode dans l' excitation au point d'élection. Dans la galvanisation inte
tive on donne au courant une intensité suffisante pour produire des excitations assez faibles. A une époque pas très éloignée e
rfois davantage; nous évitons généralement de dépasser 15 m. A. Les excitations ne doivent pas non plus être trop prolongées; sur
tera l'élec- trisation à une durée de 1 à 2 minutes en répétant les excitations à intervalles de 1 à secondes. Lorsqu'on doit e
econdes. Lorsqu'on doit employer des intensités un peu élevées, les excitations avec la méthode polaire se diffusent parfois su
ent dans les périodes de la poliomyélite auxquelles s'adressent les excitations des muscles dont il vient, d'être question. On la
ermittences espacées et [E HUET.] 1 1500 ÉLECTROTHÉRAPIE. , des excitations modérées des muscles, soit par la méthode polaire
agements, les courants faradiques à intermittences fréquentes, avec excitations rythmées courtes et séparées les unes des autres
. De plus, il vaut mieux éviter, le plus souvent, de faire porter l' excitation électrique sur les muscles peu atteints ou sains
loiera que plus tard les courants- à intermittences fréquentes avec excitations rythmées. Dans ces cas il y à souvent avantage à
inants; le bain électrode con- vient très souvent dans ces cas. Les excitations des nerfs et des muscles se montrent également
ou moins généralisée quand elle est bien supportée, parfois aussi l' excitation des muscles avec étincelles. Les résultats de c
[E MUET] 1Ô04 1 : ;U<;.cTHOTlIÉRAPIE. quentes, en rythmant les excitations ; celles-ci doivent être faites avec des courant
urc de potassium. A la galvanisation continue on ajoute bientôt des excitations des muscles paralysés et plus ou moins atrophié
rants faradiques ou galvano-faradiques peuvent être utilisés pour l' excitation des muscles. Lorsque la DRn'est que partielle,
re plus rapide. En pareil cas, le traitement peut être fait.par des excitations faradiques des muscles, de préférence avec des
les, de préférence avec des courants à intermitlences espacées; ces excitations doivent être très modérées et assez peu prolong
ourant galvanique interrompu et renversé. C'est à ce dernier mode d' excitations , au moyen de la clef double, que nous donnons la
séance d'éjectrisatiou nous croyons préférable de commencer par les excitations des muscles. Celles-ci sont faites avec une petit
xcitatrice est placée sur les PARALYSIE FACIALE. 1307 points où l' excitation des muscles est le plus facilement obtenue, point
lection normaux en raison du déplacement de ces points. D'abord les excitations faites sur chaque muscle sont peu nombreuses, d
nts faradiques peuvent être employés pour exciter les muscles ; ces excitations doivent toujours être très modérées, peu prolon
repos, soit surtout à l'occasion des mouvements ou à l'occa- sion d' excitations cutanées ou électriques) ; à ces signes s'ajouten
mais avec intensités plus faibles de 5 à 5 lu. : 1., et parfois des excitations par courants faradiques modérés avec intermitte
cées ou avec intermittences fréquentes en ayant soin de rythmer les excitations dans ce dernier cas. Paralysies de la langue.
es muscles atrophiés, galvanisation tahiie dirigée sur ces muscles, excitations modérées des muscles atrophiés ou en voie d'atr
ts faradiques à intermittences fréquentes. Dans le premier cas, les excitations sont plus douces et ménagent davantage les musc
e l'électrode tampon ou de l'électrode rouleau, il faut rythmer les excitations , de la manière indiquée dans la première partie d
cée d'une façon stable au niveau du point d'élection du muscle, les excitations sont rythmées au moyen d'un interrupteur ou d'u
avec l'électrode rouleau et la méthode labile d'électrisation, les excitations sont rythmées en soulevant le rouleau lorsqu'il
isation statique a été aussi employée soit avec le bain statique et excitations des muscles par étincelles médiates ou immédiates
ations des muscles par étincelles médiates ou immédiates, soit avec excitations des muscles par le wave current ou par les couran
lation le permet, on peut à la galva- nisation continue ajouter des excitations avec les courants galvaniques simplement interr
t cepen- dant toute exagération dans la durée et dans l'énergie des excitations . L'électrisation pourrait être au besoin renouv
rf et sur tout le trajet de celui-ci. On peut y ajouter ensuite des excitations et une révulsion plus énergiques en promenant dir
ssement et à l'atrophie des muscles en portant sur ces derniers des excitations comme il a été indiqué pour le traitement des lés
achine statique un débit faible ou très modéré, et en évitant toute excitation intempestive comme celle qui résulterait d'une
r les malades à supporter la faradisation on peut commencer par des excitations avec des courants faradiques il intermittences es
contracter. On a soin de rythmer plus ou moins régulière- ment les excitations pour ne pas fatiguer les muscles, d'autant plus q
ion fonctionnelle des mouvements et il provoquer ou compléter par l' excitation faradique les mouvements que l'on demande aux m
, suivant les indications spé- ciales, la durée et l'intensité de l' excitation sur telle ou telle région. D'après Dard et la f
imètre environ en dehors et au-dessous de la queue du sourcil, où l' excitation provoque la pro- pulsion en avant du globe ocul
la pro- pulsion en avant du globe oculaire, vraisemblablement par l' excitation du grand oblique. Celte faradisation est prolon
ropriétés phy- siologiques de l'onde faradique, 1250. - Période d' excitation latente, période d'énergie croissante, 1251. -
nostic et au traite- ment, 1235. - Graduation des courants, 1254. Excitations rythmées, ondula- teurs des courants, 1255. - M
alytiques, 1215. " Courant galvanique dans les états va- riables. Excitations de fermeture et d'ouverture, il 5. - lfets des
d'ouverture sur les nerfs moteurs et sur. les muscles,. méthode d' excitation polaire, 1214. Courants faibles, 1215. Courants
galvanique, 1219. Points moteurs, 1220. Re- cherche du seuil de l' excitation , inter- rupteurs, 1225. Rcnverseurs, 1226. Ap
ge de la vision loin- taine -Il la vision rapprochée, 50, 95. aux excitations cutanées, 50, 95. - - l'occlusion des paupières
xcitants. 278. - Organes périphériques. - Voies de conduction des excitations périphéri- ques, 279. Voile du palais, 985. -
5 (1934) Oeuvre scientifique
n des réflexes; de même l'extension du gros orteil, à la suite de l' excitation plantaire, pourrait être obtenue sous l'influen
r la jambe et des orteils sur le méta- tarse. Du côté paralysé, une excitation semblable donne lieu aussi à une flexion de la
clusivement ici. Il faut que vous sachiez que dans ces conditions l' excitation de la plante du pied provoque ordinairement, entr
ention. Il est des individus normaux chez lesquels, à la suite de l' excitation de la plante du pied, les orteils restent, au moi
r ici spécialement en vue. Or, dans certains états pathologiques, l' excitation de la plante du pied provoque l'extension des o
a partie interne de la plante du 3o SÉMIOLOGIE pied que lorsque l' excitation porte sur la partie externe et c'est l'inverse
tie physiologiques. En voici des exemples : chez certains sujets, l' excitation de la plante du pied ne provoque d'extension qu
s orteils ; dans ce dernier cas, ce sont généralement les premières excitations qui donnent lieu à de la flexion. Cela dit, je
ieur étant placé dans cette attitude, on attendra pour procéder à l' excitation que les muscles paraissent bien relâchés. Il
uiller simplement ou de piquer la plante du pied. Ce dernier mode d' excitation est nécessaire chez certains sujets pour faire ap
cte de la volonté ; il faut, dans des cas de ce genre, renouveler l' excitation en la pratiquant superficielle- ment. Il y a
le mouvement de flexion qu'il exécute sur la jambe à la suite de l' excitation de la plante ; si donc PHÉNOMÈNE DES ORTEILS ET
e normal du côté droit et une extension des orteils à la suite de l' excitation de la plante du pied gauche. La troisième malad
t et le mettait dans l'impossibilité absolue de se tenir debout ; l' excitation de la plante du pied provoquait alors, d'une fa
on des réflexes tendineux et la trépidation réflexe per- sistent. L' excitation de la plante du pied détermine maintenant d'abord
détermine maintenant d'abord la flexion des orteils, mais, si cette excitation est répétée plusieurs fois de suite, les orteil
i, mais à un degré bien moins élevé, des troubles de la motilité, l' excitation de la plante du pied détermine une extension très
s réflexes tendineux faisant défaut à ce moment comme auparavant, l' excitation de la plante du pied provoquait ainsi qu'au pre
e datant de plusieurs années, j'ai noté le fait curieux suivant : l' excitation de la plante du pied paralysé donnait lieu de c
yant examiné le malade immédiatement après une crise, j'ai vu que l' excitation de la plante du pied donnait lieu à de l'extensio
I)ES ORTEILS ET SA VALEUR SÉMIOLOGIQUE 35 mon interne M. Cestan, l' excitation de la plante du pied ne provoquait aucun mouvem
de la Société de Neurologie de Paris, séance du 2 juillet igo3. L' excitation de la plante du pied provoque parfois, entre autr
ffet, notamment chez certains paraplégiques, sous l'influence d'une excitation de la peau des membres inférieurs, des mou- RÉF
cussion du tendon rotulien occasionne indirectement, par suite de l' excitation de la peau dans la zone du tendon du quadriceps,
fin les réflexes de défense peuvent d'habitude être provoqués par l' excitation de diverses parties des membres inférieurs. E
elle est pratiquée au niveau du tendon du triceps, les effets de l' excitation de ce tendon l'emportant alors sur ceux qui rés
orsque, le sujet ne contrac- tant pas volontairement ses muscles, l' excitation d'un tendon détermine dans le groupe musculaire
ion épileptoïde que nous venons de décrire sont déterminées par une excitation tendineuse persistante ou renouvelée à courts i
percussion de la face dorsale du pied. A l'état physiologique cette excitation provoque une extension des quatre derniers orte
Claude en a rapporté un cas). Il est possible qu'il s'agisse d'une excitation du système pyramidal par des toxines résorbées,
tension énergique de l'avant-bras. S'il est violent, il produit une excitation osseuse déterminant une contraction des fléchisse
elques mots d'abord sur ces réflexes à l'état normal. On sait que l' excitation de la peau à la partie supéro-interne de la cuiss
du testicule de bas en haut ; c'est le réflexe cré- mastérien. L' excitation des téguments de la paroi abdominale détermine un
aux : l'inférieur, le moyen et le supérieur. z4 si SÉMIOLOGIE Une excitation légère de la plante du pied donne lieu généraleme
résulte que l'absence de toute réaction motrice appréciable, après excitation de la paroi abdominale ou de la plante du pied,
e anal, consistant en une contraction du sphincter produite par une excitation de la marge de l'anus ; il est pour ainsi dire
sculaire se maintient 10, 15 secondes, davantage même, surtout si l' excitation qui a provoqué le mouvement est continue, et il
les réflexes de défense peuvent être provoqués non seulement par l' excitation de la peau, mais aussi au moyen de tractions ou
neurologie de Paris, 7 mars 1912). (') Dans certaines attitudes, l' excitation des téguments de la cuisse ou du tronc, au lieu d
tenues ainsi ne diffèrent pas de celles qu'on peut déterminer par l' excitation des téguments. Je tiens à ajouter que le degré
amidal, j'ai fait remarquer que chez quelques malades, tandis que l' excitation de la plante du pied déter- mine de l'extension
, particulièrement le gros orteil, s'étendent sous l'influence de l' excitation de la plante du pied et parfois, en même temps,
organique avec exagération incontestable des réflexes tendineux, l' excitation plan- taire est suivie d'une flexion des orteil
OGIE Enfin, la contractilité réflexe pouvant être mise en jeu par l' excitation des tendons ou celle des téguments est suscepti
que j'ai examinés j'ai constaté un mouvement réflexe consécutif à l' excitation de la peau de l'abdomen. Néanmoins, chez quelqu
oit, l'absence de mouvement de la paroi abdominale à la suite d'une excitation de la peau de l'abdomen dans un cas d'hémiplégie
ue l'abolition du réflexe abdominal. Les mouvements consécutifs à l' excitation de la plante du pied sont, dans bien des cas d'
il y a déjà plusieurs années, qu'à l'état normal, chez l'adulte, l' excitation de la plante du pied provoque entre autres mouvem
re part, quand il y a une perturbation dans le système pyramidal, l' excitation de la plante du pied donne lieu généralement à de
blis ou abolis. Le mouvement réflexe des orteils consé- cutif à l' excitation de la plante du pied subit ordinairement une in
n sont ordinairement normaux. Le mouvement réflexe consécutif à l' excitation de la plante du pied ne subit pas d'inversion d
ouvement reproduit assez exactement celui qu'effectue, sous la même excitation , une grenouille dont la moelle est intacte et qui
s'agiter quand on les découvre et se contracter sous l'influence d' excitations variées. Analysons ces phénomènes. Ils consiste
le, il s'étend pour se fléchir de nouveau à la suite d'une nouvelle excitation . Tel est le type général des réflexes de défens
d'un examen une certaine proportion- nalité entre l'intensité de l' excitation et celle de la réaction, le rapport entre ces d
ofondes, les tractions constituent encore d'excellents procé- dés d' excitation . Bechterew, puis Pierre Marie et Foix ont recom
sont spontanés; en réalité, il doit toujours avoir à leur origine une excitation faible ou forte, portant sur le tégument ou ven
nt d'un réflexe cutané. » la vessie, par exemple, est la source d' excitations qui entrainent, jusqu'au moment où le réservoir s
voque, chez les malades atteints de lésion de la voie pyramidale, l' excitation de la partie interne de la jambe. Il nous res
Il n'est pas rare, en effet, d'observer des malades chez lesquels l' excitation du tégument du dos du pied ou de la jambe provo-
nférieur et une flexion plantaire du gros orteil. Parfois alors une excitation légère de la plante du pied détermine une exten
très amples et très brusques ; parfois le territoire cutané, dont l' excitation est susceptible de les pro- voquer, est très va
s la réapparition des phénomènes spasmodiques sous l'influence de l' excitation de la peau éta- (') Les réflexes de défense pou
') Les réflexes de défense pouvant être provoqués non seulement par l' excitation des téguments, mais aussi par la compression de
un mouvement spasmodique « spontané » risque d'être attribué à une excitation provoquée par l'expérimentateur s'il coïncide ave
. On saisit immédiatement la portée d'une telle confusion, si cette excitation a été appliquée au-dessus du territoire des réfle
la piqûre. Dans chaque cas particulier, il faut employer le mode d' excitation qui constitue le réactif le plus sensible. On v
que j'ai en vue. Il s'agit de réactions motrices consécutives à des excitations cutanées ou à des excitations profondes. Pour c
réactions motrices consécutives à des excitations cutanées ou à des excitations profondes. Pour commencer, j'envisagerai unique-
cuisse. Voici en quoi consistent ces réactions : sous l'influence d' excitations du mem- bre inférieur telles que le frottement
ction musculaire dure 10, 15 secondes, davantage même, surtout si l' excitation qui a provoqué le mouvement est continue, et il e
ode de réaction (triple flexion) susceptible d'être obtenue par des excitations portant sur diverses parties du membre inférieur
rties profondes, les tractions constituent aussi de bons procédés d' excitation . Bechterew, puis Pierre Marie et Foix ont recom-
ndrons ultérieurement sur ce point. Dans certains cas, tandis que l' excitation du pied et de la jambe donne lieu au mouvement
ées par moi en demi-flexion. Il m'est arrivé aussi de voir ceci : l' excitation , provoquant toujours une flexion du pied, accen
conditionné en partie par la position où se trouvent au moment de l' excitation les segments du membre les uns par rapport aux
s d'un examen, une certaine proportionnalité entre l'intensité de l' excitation et celle de la réaction, le rapport entre ces d
r comment chez eux les membres inférieurs se comportent vis-à-vis d' excitations diverses. Or, voici ce qui parait bien établi.
is d'excitations diverses. Or, voici ce qui parait bien établi. Une excitation de la plante du pied telle que le frottement av
s malades dont il est question, l'attitude en flexion obtenue par l' excitation plantaire RÉFLEXES DE DÉFENSE 129 se maintien
ique de l'état pathologique est le suivant : chez l'homme normal, l' excitation d'une région quelconque du membre, hors de la pla
nd simple la solution du problème. La flexion du pied obtenue par l' excitation d'une autre région que la plante du pied permet
être celui-ci : la possibilité presque constante d'obtenir, par une excitation plantaire un peu forte ou répétée, ou encore mi
a cuisse associé à la flexion nette de tous les orteils, et par une excitation minimale du bord plantaire externe le signe de
ouvement reproduit assez exactement celui qu'effectue, sous la même excitation , une grenouille dont la moelle est intacte et qui
n nouvelle, dont j'ai fait ressortir précédemment l'intérêt, qu'une excitation du membre inférieur, hors de la zone plantaire, i
ques aux précédentes. Voici en quoi elles consistent : tandis que l' excitation des téguments de la partie interne de la jambe pr
réflexe, ou seulement une flexion des quatre petits orteils, cette excitation , dans les cas où il y a une lésion de la voie p
toire seulement, du moins quand la paraplégie est très marquée, une excitation peut provoquer des réflexes de défense. On poss
un mouvement spasmodique « spontané » risque d'être attribué à une excitation provoquée par l'expérimentateur, s'il coïncide av
. On saisit immédiatement la portée d'une telle confusion, si cette excitation a été appliquée au-dessus du territoire des réfle
la piqûre. Dans chaque cas particulier, il faut employer le mode d' excitation qui constitue le réactif le plus sensible. « On
se sont fortement exagérés et peuvent être pro- voqués même par des excitations très légères. Leur forme varie suivant la posit
Leur forme varie suivant la position des membres et l'endroit de l' excitation , mais elle est sensi- blement pareille à celle
je dois compléter ce que j'ai dit sur les réactions obtenues par l' excitation du membre inférieur, m'étant borné d'abord, afin
et, à décrire celles qui se produisent dans le membre excité. Or, l' excitation d'un des membres inférieurs peut déter- miner a
eils on provoque d'un seul côté le phénomène des raccourcisseurs. L' excitation doit, pour déterminer le réflexe croisé, être for
e produire en un premier temps la flexion du membre excité, puis, l' excitation persistant toujours, se pro- duit en un deuxièm
seraient différentes suivant les points excités. Si, par exemple, l' excitation de la plante du pied, selon qu'elle porte sur s
e peut mouvoir volontairement ses membres inférieurs et cependant l' excitation de l'abdomen avec un tube de glace provoque une
bérée des centres supérieurs; or, chez ce malade, bien souvent, des excitations diverses déterminaient en même temps que des réfl
e la peau de la face dorsale du pied ne provoque aucun mouvement; l' excitation de la plante du pied détermine une forte extens
flexes qui la caractérisent peuvent être aussi bien provoqués par l' excitation de la sensibilité profonde que par celle de la
porte que les réactions motrices puissent être obtenues aussi par l' excitation des parties profondes ; il suffit que l'excitatio
nues aussi par l'excitation des parties profondes ; il suffit que l' excitation de la peau seule puisse y donner naissance pour
présence d'un même phénomène dont voici les traits essentiels : une excitation telle que le pincement de la peau du côté de la l
vants : chez certains hémiplégiques présentant de l'hyperalgésie, l' excitation des téguments du membre inférieur est suivie d'
nnent que chez l'homme, dans les sections totales de la moelle, les excitations nociceptives d'un côté, quand elles provoquent
ai tracé un parallèle entre les réactions motrices consécutives aux excitations périphériques, suivant qu'elles sont pathologiq
aux réactions physiologiques, c'est qu'on ne les obtient que par l' excitation de la zone plantaire et que les mouvements sont
fuit l'objet vulnérant (retrait du membre, raccourcissement) et une excitation peut déterminer, loin du point où elle a eu lie
e fuite ; c'est ainsi que la triple flexion peut être provoquée par excitation de l'abdomen ou du thorax. A l'état physiologiq
servir. Or, il est évident que la triple flexion consécutive à une excitation de la jambe, de la cuisse ou de l'abdomen ne po
ense s'effectuent avec rapidité et ne se produisent que lorsque les excitations portent sur la région plantaire. Il me semble
Mais il est à remarquer qu'à l'état physiolo- gique chez l'homme, l' excitation de la plante du pied, qui provoque la flexion d
ongée, les orteils ne réagissent plus du tout sous l'influence de l' excitation de la plante du pied : ils restent immobiles. M
quelle que soit la région de la plante du pied sur laquelle porte l' excitation ). Plus ordinairement, le signe des orteils ne s
inairement, le signe des orteils ne se modifie que partiellement; l' excitation du bord interne de la plante du pied provoque l
anière notable les réflexes cutanés de défense, et alors la moindre excitation de la peau provoque momentanément une contrac-
du corps ; on prévient le sujet en expérience qu'on pratiquera des excitations diverses à droite et à gauche de cette ligne ;
e variant, suivant.les individus, de 2 à 3 centimètres environ, les excitations sont toujours bien localisées, quelle que soit
sont d'habitude parfaites au début ; mais après un certain nombre d' excitations elles deviennent inexactes. Bien souvent le malad
s elles deviennent inexactes. Bien souvent le malade déclare qu'une excitation porte sur la ligne médiane, tandis que le point e
res. Cette erreur est surtout commune quand on pratique une série d' excitations successives de dehors en dedans, et qu'on recom
itants sont placés dans la région hypoesthésiée, une seule des deux excitations est perçue ; le 166 SÉMIOLOGIE sujet les perç
de lésions du névraxe, on peut voir se produire, sous l'influence d' excitations périphériques, des mouvements réactionnels qui, s
esthésie n'est que quantitative : le malade reconnaît bien toutes les excitations thermiques, mais accuse une sensation moins net
es de défense. Revue neurol. 1910, p. 145, par Babinski). Ce mode d' excitation n'est suivi d'aucune sorte de réaction quand on p
reste immobile; on trouve donc là un réflexe croisé provoqué par l' excitation de la peau du côté de la lésion et se traduisan
ralgésie. On peut même obtenir des effets sem- blables en portant l' excitation sur la partie du corps située au-dessus de la lés
nes sacrées gauches où l'hyperalgésie fait défaut ; l'intensité des excitations doit être ici considérablement accrue pour que
contenterons de noter que si les réactions motrices consécutives aux excitations n'ont pas été analysées là d'une manière aussi
one, on trouve de l'hypoesthé- sie thermique avec hyperalgésie; les excitations thermiques sont plus ou moins bien perçues, sui
ion dorsale du pied lente et continue. Ce mouvement peut résulter d' excitations sur diverses parties du tégument jusqu'à une li
mais cette réaction est inconstante et relativement faible. ' Les excitations de la peau du côté droit ne sont suivies d'aucun
gauche, sans accompagnement de flexion dorsale du pied. De plus, ces excitations douloureuses, sont suivies immédiatement de gri
e, mais les mêmes réactions peuvent être parfois provoquées par des excitations sur des territoires à sensibilité normale, soit d
s sacrées droites, soit au-dessus de la lésion, à condition que ces excitations soient bien plus vives. Dans les trois cas de
encore été mis en lumière et dont voici les traits essentiels : une excitation telle que le pincement de la peau du côté de la
nder s'il ne s'agit pas de réactions volontaires provoquées par des excitations déter- minant de la douleur, laquelle paraît se
ue, semblant traduire de la souffrance, et le cri consécutifs à des excitations périphériques chez les animaux décérébrés (pseu
s mêmes caractères et qu'il se produit sous le même aspect à chaque excitation . Il nous semble inadmissible qu'un phénomène au
ement différente des réactions voulues qu'on exécute à la suite des excitations douloureuses, soit un phénomène volontaire. Il no
s que les réflexes dits de défense peuvent se produire à la suite d' excitations à peine perçues ou même non perçues, les réflexes
ction motrice est d'autant plus forte que la douleur produite par l' excitation est plus vive et, comme on l'a vu dans l'observat
ons motrices du membre inférieur peuvent être déclen- chées par une excitation dans le domaine du trijumeau. Si le membre infé
cipe pas à la réaction motrice, c'est vraisemblablement parce que l' excitation , après s'être réfléchie dans le centre encéphal
son retour par le barrage que lui oppose la lésion spinale. Et si l' excitation de la zone anesthésiée ne provoque aucune réact
e par certains procédés. Nous avons obtenu ce résultat soit par des excitations électriques provoquant d'énergiques mouvements
et intervalle dans la pièce obscure, je constatais cette fois que l' excitation lumineuse provo- quait une contraction pupillai
sement complet du réflexe n'apparaît parfois qu'après deux ou trois excitations suivies encore d'une réaction pupillaire ; c'es
pourrait se demander si cette mydriase est sous la dépendance d'une excitation du sympathique par la poche anévrismale. Je cro
canisme de ce phénomène ; certains supposaient qu'il était dû à une excitation du labyrinthe, d'autres pensaient qu'il dépendait
s pigeons, a tou- jours donné le même résultat. J'ai cherché si l' excitation électrique de chacun des trois canaux semi- cir
. Je puis dire seulement que dans la genèse du vertige voltaïque, l' excitation du vestibule et des ampoules me semble jouer un
sa nourriture. Il faut le gaver si l'on veut le conserver. Par l' excitation galvanique on peut provoquer des deux côtés la ro
t d'emblée une contre-déviation inverse de la déviation prévue. Les excitations portant directement sur le vestibule ne sont pas.
sont moins constants et moins amples que ceux qui sont obtenus par excitation vestibulaire directe. ÉLECTROLOGIE XIX DE L
rs complètement soustrait à l'influence du système nerveux et que l' excitation électrique ne porte (') Traité d'Électrothérapi
lacer la division i 1 ou II 1/2. Quand on avait dépassé le seuil de l' excitation , à intensité égale, la contraction consécutive
de l'excitation, à intensité égale, la contraction consécutive de l' excitation du nerf ou des muscles était toujours plus fort
faciaux du côté paralysé sont aussi hyperexcitables vis- à-vis des excitations mécaniques. Observation II. Jeune fille de 23 a
deux côtés, réagit à 3 milliampères. Quand on a dépassé le seuil de l' excitation , à intensité égale, le côté malade réagit plus
procher ce phénomène de la lenteur de la secousse provo- quée par l' excitation directe du muscle, et de la lenteur de la secouss
os faradique, conséquence de la fusion des secousses, nécessite des excitations électriques d'autant moins rap- prochées que le
en effet, c'est alors que la lenteur de la secousse provoquée par l' excitation directe du muscle est surtout marquée, or, lenteu
re réflexe, l'exitabilité mécanique des muscles qui est connexe à l' excitation voltaïque. Ils ont insisté sur la (') Quand il
er 1917. ÉLECTROLOGIE 227 lenteur de la secousse déterminée par l' excitation mécanique et sur ses relations avec l'hypotherm
est toujours impossible d'obtenir de contraction musculaire par. l' excitation du nerf sciatique poplité externe. Cette réac
'attention de la Société sur l'état du réflexe cutané plantaire ; l' excitation de la plante du pied donne lieu à de la flexion
procédés nous ont paru faciliter le déclenchement de la parole : l' excitation faradique des muscles de la face, la respiratio
u, du côté droit, à de la flexion des orteils; du côté gauche cette excitation n'est parfois suivie d'aucun mouvement réflexe
mps un mouvement semblable, un peu moins énergique du côté droit. L' excitation de la conjonctive du côté droit n'est suivie d'
njonctive du côté droit n'est suivie d'aucun mouvement réflexe. L' excitation de la fosse nasale gauche provoque une contractio
uscles de la face du côté correspondant; du côté droit une pareille excitation ne donne lieu à aucun mouvement. Organes des
région et le côté sur lesquels a porté l'impression du froid. Une excitation psychique engendre les mêmes réflexes vasculaires
ctifs ; La résistance au courant voltaïque - ou plus exactement à l' excitation provoquée par ce 'courant est ordinairement exa
contractures ni atrophiés , les muscles réagissent normalement aux excitations électriques et les réflexes tendineux ainsi que l
ion provoque une contraction analogue à celle qui résulterait d'une excitation électrique ; on observe les mômes phénomènes, m
t l'on provoque aisément de la trépidation épileptoïde du pied. L' excitation de la plante du pied donne lieu au phénomène des
s membres les uns sur les autres. De plus, je ferai remarquer que l' excitation des téguments des cuisses ou des jambes par le pi
peuvent varier dans leur forme suivant le point sur lequel porte l' excitation et suivant la position du membre ('), mais ce s
ont pour caractère de pouvoir être indistinctement produits par des excitations portant sur divers points de la surface cutanée
ise devraient être mis alors sur le compte d'un retentissement de l' excitation sympathique sur les segments médullaires dorsau
de distinguer objectivement cette lésion de la sclérose du tabes. L' excitation lumineuse de l'oeil gauche ne provoque de contr
le des pupilles; mais cette excitabilité s'épuise après deux ou trois excitations successives et ne reparait que si on laisse l'o
(signe de Robertson uni- latéral), ce qui est rare, il est vrai, l' excitation lumineuse de l'oeil atteint provoque, comme à l
nt le plus faci- lement ; le malade avait du reste remarqué que les excitations du côté anesthésié provoquaient ces mouvements
réflexes cutanés abdominaux supérieurs et inférieurs sont abolis. L' excitation de la plante du pied provoque l'extension du gros
ent, ainsi que les rotuliens qui sont forts. A droite et à gauche l' excitation de la plante du pied provoque l'extension franche
des réflexes fessiers montre la par- ticularité suivante : quand l' excitation porte au-dessous du pli fessier ou à la fesse à
servation des achilléens, clonus du pied, extension de l'orteil par excitation de la plante du pied). Examen de la sensibilité
btient parfois d'autres mouvements ('). Le territoire cutané dont l' excitation peut provoquer ces réflexes a une hauteur qui v
flexes de défense. Voici un exemple du premier genre d'erreur : une excitation de la peau au-dessus de la zone en question peu
éfense. Si l'on n'y prend pas garde, on attribuera ces réflexes à l' excitation que l'on a pratiquée et on leur fixera une limite
à délimiter le domaine des réflexes de défense en prati- quant des excitations successives d'abord de bas en haut, puis de haut
3) Nous faisons ici abstractioe des réllexes de défense obtenus par l' excitation des membres supé- rieurs, qui s'observent plus
scence. La sensibilité objective est très peu troublée : toutes les excitations tactiles, dou- loureuses et thermiques sont per
sentis moins nettement dans le territoire des 2e et 3e dorsales, les excitations déterminent plutôt une impression douloureuse.
rés ultérieurement et il est possible de les faire apparaître par l' excitation des téguments du tronc jusqu'au-dessus de la li
sont le siège d'une anesthésie totale pour tous les modes ; aucune excitation n'est perçue dans ce territoire. On a beau répéte
e trouble peut passer inaperçu ; le malade reconnait ici toutes les excitations , mais il les perçoit moins bien qu'en territoire
is il les perçoit moins bien qu'en territoire nor- mal : toutes les excitations sont comme émoussées. Nous avons pu, avec Jumen
porairement, à un degré plus ou moins marqué, la sensibi- lité. Une excitation nullement perçue à un moment donné le sera quel-
ense sont fortement exagérés et peuvent être provoqués même par des excitations très légères. Leur forme varie suivant la positio
Leur forme varie suivant la position des membres et l'endroit de l' excitation , mais elle est sensiblement pareille à celle des
celle des spasmes invo- lontaires spontanés. Le territoire dont l' excitation est capable d'engendrer ces réflexes de défense,
ers de doigt au-dessus de l'ombilic. Au-dessus de cette limite, les excitations , même très fortes, ne donnent naissance à aucun
u près à égale distance entre l'apophyse xyphoïde et l'ombilic, les excitations (surtout après un examen quelque peu prolongé)
sont partout sentis ; à gauche, la malade reconnaît moins bien ces excitations . La pression n'est pas sentie aux membres infér
ents des membres inférieurs, sont plus difficiles à provoquer par l' excitation de la peau au-dessus du pli de l'aine. Toutefois,
stant en une extension de la jambe et de la cuisse et provoquée par l' excitation du tronc jusqu'à la limite indiquée dans le tex
réflexe achilléen; le réflexe plantaire se fait en flexion ; les excitations diverses du membre inférieur droit, pratiquées
e cutanéo-réflexe, la triple flexion spontanée ou provoquée par les excitations périphériques fait défaut. Il y a lieu de penser,
ouvrer partiellement la sensibilité d'une manière transitoire ; une excitation nullement perçue à un moment donné le sera quelqu
ins malades, tout en percevant et en localisant même assez bien les excitations , telles que le pincement, la piqûre dans une part
usieurs secondes ; c'est comme si ces contractions étaient dues à l' excitation électrique du nerf facial par un courant induit
ssemblance qu'ils présentent avec les contractions provoquées par l' excitation électrique du nerf facial. M. Meige a noté auss
'irritation du nerf trijumeau et résulteraient par conséquent d'une excitation de la voie centripète de cet arc. J'avoue n'ê
ois le dire, le plus grand nombre, reconnaissent qu'ils ont senti l' excitation pratiquée ; je renouvelle alors l'expérience en l
se développent sous une influence purement psychique, tandis qu'une excitation des tendons ou des tégu- ments est nécessaire à
ployer une grande force. Mais l'hypnoti- seur n'a qu'à produire une excitation sur le muscle antagoniste (l'exten- seur commun
mmun en l'espèce) pour faire disparaître la contracture. De même, l' excitation mécanique d'un nerf moteur (facial, radial, cubit
ste qu'un sujet qui a réagi à la première ou aux quelques premières excitations cutanées ne présente plus de réaction si l'on r
ations cutanées ne présente plus de réaction si l'on renouvelle ces excitations et s'il est, en quelque sorte, sur ses gar- des
ment et isolément, avec autant de précision qu'on le ferait par une excitation élec- trique, sur les différents muscles et obt
on de l'excitabilité des masses musculaires qui répondent alors aux excitations mécaniques par des contractions étendues mais trè
rs. Ces troubles de la sensibilité existaient pour tous les modes d' excitation : tact, piqûre, chaleur. On notait aussi des trou
lquefois une accentuation de l'attitude vicieuse pendant la phase d' excitation de la narcose chloroformique ; chez deux sujets
chez quelques malades nous avons été frappés, durant cette phase d' excitation , par le phénomène suivant : tandis que du côté sa
n jeu de trois facteurs au moins (en dehors du point de départ de l' excitation et de l'effet produit) : 1° d'un nerf centripète
n et de l'effet produit) : 1° d'un nerf centripète qui transporte l' excitation à un centre nerveux ; 20 d'un centre nerveux qui
ation à un centre nerveux ; 20 d'un centre nerveux qui reçoit cette excitation et la transforme en indication motrice ; 3° d'un
trois facteurs dans les cas d'atrophie musculaire, dite réflexe ? L' excitation produite par la lésion périphérique est bien tran
se trouverait donc en présence d'une sorte d'action d'arrêt due à l' excitation périphérique portant sur les fonctions motrice et
e veille. Parfois, alors même que la surréflectivité fait défaut, l' excitation des centres médullaires et l'incitation centrif
EXE 5 (à de nos observations oscillométriques. Il s'agit donc d'une excitation du sympathique. Mais comment cette excitation s
Il s'agit donc d'une excitation du sympathique. Mais comment cette excitation se produit-elle ? Deux hypo- thèses peuvent êtr
faible quelques instants auparavant. Le point de départ de cette excitation réflexe ne peut être cherché que dans l'irritat
sent immédiatement sous l'influence des variations d'intensité de l' excitation . Ici au contraire le passage des phénomènes dans
8" entre la température du côté malade et celle du côté sain, toute excitation mécanique, fut-elle légère, provoque une contract
e que les troubles de motilité puissent dépendre tantôt d'un état d' excitation ou de stupeur des centres moteurs spinaux, comme
contractures de la tétanie qui, de l'avis unanime, dépendent d'une excitation des centres nerveux par un poison qui les imprè
cyto- diagnostic, m'avait montré que d'ordinaire la résistance à l' excitation électrique diminuait après l'opération. Il y
aires, limites de l'anesthésie, limites du territoire cutané dont l' excitation provoque des réflexes de défense, etc.. C'est ain
embres inférieurs et de la partie sous-ombilicale de l'abdomen. Des excitations semblables portant sur les téguments au-dessus de
; mais, à maintes reprises, il a été possible d'en provoquer par l' excitation du territoire cutané s'étendant jusqu'à la sixi
dans les réactions correspondant à des différences dans le siège d' excitation (Id.). 1 4 1 Emotion, suggestion et hystérie (I
ociélé de Neurologie, 6 mai igi5). 63o INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 221. Excitation faradique bilatérale de la plante du pied (Sociét
6 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
activité volitive propre de l'individu, servent d'issue aux états d' excitation , aux décharges motrices du cerveau. » Ces mouve
et qui se reproduisent toujours les mêmes, consécutive- ment à l' excitation de leurs centres respectifs. On peut les répart
le, que les associations psychiques sont moins complexes et que les excitations peuvent suivre sans encombre les voies de moind
par Buccola, font comprendre la pathogénie de ces troubles ; 4° par excitations fonctionnelles des résidus moteurs (résidui di
association évidents', sica- ractéristiques dans certaines formes d' excitation de la paralysie générale. La diffusion des impu
r. itnl. In novara. Set t. 1889. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 43 l' excitation d'un centre quelconque de l'écorce doit provoqu
uvement. La sensation d'innertion motrice, c'est la conscience de l' excitation fonctionnelle des éléments nerveux sensitifs d'
des éléments nerveux sensitifs d'un cen- tre de l'écorce cérébrale, excitation qui a lieu en même temps que celle des éléments
nations de la vision, par exemple, tel qu'il a déjà été expliqué. L' excitation , normale ou pathologique, du centre cortical de
ononcée en réalité. Toute- fois, avec ! a durée et l'intensité de l' excitation du cen- tre cortical, une émission de mots pour
é ces modifications de la circulation cérébrale déterminées par des excitations extérieures. Seppilli et Tamburini, dans leurs
blable aux malades atteints de spasme saltatoire, chez lesquels une excitation , même légère, des membres, détermine le spasme
ntenant attirer votre attention sur les phé- nomènes produits par l' excitation électrique du cerveau des singes et plus spécia
u sillon précentral) ne répond pas ou d'une façon très douteuse à l' excitation électrique. Entre cette ligne et celle du sillo
ne ré' : ion ou un centre Ci. 2. fig. 1 ; fig. % et 3, tête) dont l' excitation produit l'ouverture des yeux, la dilatation de
or et Hors- ley, suivant les mouvements primaires qui résultent des excitations minima des points indiqués dans leur diagramme
ion marginale ou du lobule paracentral, se trouve une région dont l' excitation pro- duit des mouvements de l'exlrémité inférie
sont combinés avec la flexion de la jambe et de la cuisse. Avec des excitations minima, on peut encore différencier davantage l
lier, on peut pro- duire des mouvements du gros orteil seul par une excitation de l'extrémité supérieure de la scissure de Rol
quarts des circonvolu- tions centrales, se trouve une région dont l' excitation produit les mouvements du membre supérieur (3.
émité du membre, doigts et pouces. dans la partie inférieure. Une excitation minima à l'extrémité inférieure du sillon intra-
ur l'extrémité antérieure de la seconde circonvolution interne. L' excitation de ce dernier point produit la sortie des griffes
, action comparable aux mouvements du poignet et des doigts par l' excitation de la partie inférieure de la circonvolution pari
nférieur des circonvolutions centrales, se trouve une région dont l' excitation produit des mouvements de la face, de la bouche
r les mêmes numéros chez le chat (fig. 6) chez le lapin (fig. 7). L' excitation de la partie inférieure a produit ! des mouvement
gue, la propulsion de la langue étant géné- ralement produite par l' excitation de la partie antérieure (9, fig. i) et la réact
xcitation de la partie antérieure (9, fig. i) et la réaction, par l' excitation de la partie postérieure (10, fig. 1). Semon
térieure (10, fig. 1). Semon et Horsley' ontdémontréde plus que l' excitation de l'extré- mité inférieure de la frontale asce
éjà', une démonstra. tion (par l'ouïe) du même fait, montrant que l' excitation dans ce voisinage cause assez souvent 1 aboieme
nage cause assez souvent 1 aboiement et des effets semblables par l' excitation de la région homologue chez le chat (miaulement).
t (miaulement). J'ai aussi montré que les mouvements produits par l' excitation de cette région étaient dislinctementbilatéraux
été faite pour la première fois par llorsley et Schæ- fer'. 2. L' excitation de cette circonvolution d'avant en arrière (voir
és de mouvements secondaires des différents segments du membre. L' excitation du gyrus angulaire, pli courbe (13', 13, fig. 1),
indiquées par les mêmes chiffres. Dans mes premières expériences, l' excitation du lobe occipital ne m'a donné aucun résultat.
fois obtenu des mouvements des yeux semblables à ceux obtenus par l' excitation du pli courbe, quoique moins marqués. Et Schmfe
Schmfer 2 décrit des mouvements semblables se produisant après l' excitation des différentes parties du lobe occipital et des
oique les mouvements du globe oculaire, puissent être obtenus par l' excitation du lobe occipital, ils sont, en règle générale,
gle générale, moins constants et moins facilement obtenus que par l' excitation du pli courbe. L'excitation de la circonvolutio
et moins facilement obtenus que par l'excitation du pli courbe. L' excitation de la circonvolution temporale supérieure (14, fi
yeux du côté opposé. Précisément on obtient le même résultat par l' excitation postérieure de la troisième circonvolution extern
nimal essaie de bondir de la table, comme soudainement effrayé. L' excitation du lobule de l'hippocampe ou de l'extrémité anté-
ats, c'est- à-dire, la torsion des narines du même côté, comme si l' excitation était placée sur la narine elle-même. Parfois l
mme si l'excitation était placée sur la narine elle-même. Parfois l' excitation de la circonvolution de l'hippocampe donne des
88. 74 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. , bles à ceux produits par une excitation directe des membres opposés. A part cela, je n'
sés. A part cela, je n'ai pas pu obtenir une réaction constante a l' excitation du reste du lobe temporal et des autres portions
istincte des doigts et dit poignet. En con- tinuant et en forçant l' excitation à ce dernier point, les doigts, le pouce, le po
ns quatre cas de Nancréde , on obtint des mouvements du pouce par l' excitation d'une région correspondant au second quart infé
ous ces résultats sont en parfaite harmonie avec ceux obtenus par l' excitation de l'écorce cérébrale des singes, et nous avons
ont identiques à celles des animaux inférieurs. Par la méthode de l' excitation , nous pouvons dire que si des segments individu
és les uns des autres. Aucun mouvement de la jambe ne provient de l' excitation du centre de la face ni les mouvements de la fa
l'excitation du centre de la face ni les mouvements de la face de l' excitation du centre de la jambe. Les centres de la jambe
est sans doute vrai des centres près l'un de l'autre. Le fait que l' excitation du bord ' Am. Journ. nled. Sciences, nov. 1888.
face. La véritable explication me semble être que la méthode de l' excitation est incapable de différencier complètement les li
oiqu'on puisse fréquemment isoler un mouvement particulier, par une excitation minime d'un point défini dans le centre général
sente la vérité. Car les réactions des mem- bres qui résultent de l' excitation de l'écorce ne sont pas seulement des contracti
re, soit par la méthode de la destruction, soit par la méthode de l' excitation , soit par les deux. ' The functionnal relations
ée de la signification des, réactions motrices qui ré- sultent de l' excitation électrique des différentes régions corticales.
ou bien ils peuvent être moteurs dans le sens qu'ils sont dus à une excitation de parties en rapport direct avec les tractus m
moteurs, ou bien ils peuvent être l'un ou l'autre. La méthode de l' excitation ne peutelle-même résoudre le problème et demand
plément une destruction strictement localisée de ces centres dont l' excitation donne lieu à des réactions motrices définies.
x, et ce fait que l'on peut obtenir des mouvements semblables par l' excitation de différentes régions corticales en certains c
et, je forme cette hypothèse, que quelques-uns peuvent être dus à l' excitation des régions motrices proprement dites, tandis q
s d'abord appeler votre attention sur les réactions produites par l' excitation de la région occipito-angulaire chez les singes
se produisaient plus facilement et d'une façon plus uniforme par l' excitation de la partie antérieure et postérieure du pli c
les premiers Luc- cani et Tamburini, les mouvements des yeux par l' excitation du lobe occipital. Schæfer, qui oublie le segme
xcitable que le reste, obtient des mouvements en bas des yeux par l' excitation , non seulement du segment postérieur, du pli co
pariélo occipitale interne. Il obtient des mouvements en haut par l' excitation de la surface sous-jacente du lobe occipital, l
Schoefer sur la période latente des mouvements oculaires suivant l' excitation respectivement des Fig. 5. - Hémisphère gauche
ente est plus longue de quelques centièmes de seconde dans le cas d' excitation du lobe occipital que dans le cas d'excita- tio
cts. Le fait qu'on obtient toujours les » mouvements des yeux par l' excitation de la région occipito-angu- laire, après l'abla
ntinuaient toujours après l'abla- tion de la substance grise, car l' excitation des fibres médullaires serait équivalente à l'e
ise, car l'excitation des fibres médullaires serait équivalente à l' excitation de l'écorce elle-même. Nous pou- vons supposer
ifuges entre l'écorce occipitale et les centres oculo-moteurs, et l' excitation de l'expansion centrale de ces tractus produira
n centrale de ces tractus produira pratiquement le même effet que l' excitation des centres avec lesquels ils sont en relation.
entres visuels avec la rétine d'après les phénomènes produits par l' excitation électrique et d'autres faits nécessitent une pa
émiopie temporaire il la suite de lésions de la région ' Eleclrical excitation of the fMKa ! area. (Brain, april 1888.) , Brai
sont purement auto- matiques. II. Ceux qui tiennent à l'agitation ( excitation des centres sus-corticaux par irradiation corti
l ; par 0. SCHWARZ, (Arc1t. f. Psychiat., XXI, 2.) Etude. A. De l' excitation galvanique de l'oeil; B. Du courant continu sur
s vrais (tristesse, crainte, désespoir) et d'élé- ments surajoutés ( excitation etconfusion intellectuelle). Elle peut ten- dre
ique de Erb chez un de ces malades. Si l'on répète plusieurs fois l' excitation cette réaction diminue. Que l'on provo- que la
le en déterminant la persistance de la contraction musculaire par t' excitation directe de ce dernier, le résultat reste le mêm
sultat reste le même. Le muscle réagit donc sous l'influence de ces excitations comme sous l'influence de l'excitation volontai
onc sous l'influence de ces excitations comme sous l'influence de l' excitation volontaire. Celle-ci, en effet, se traduit d'ab
isée par deux périodes régulières, 1 une de dépression et l'autre d' excitation , et il donna soit sur ces périodes soit sur le
ant parfois à des velléités de suicide; c'est enfin l'insomnie ou l' excitation céré- brale pendant le sommeil. Notre malade, v
es du cer- veau ? Etaient-ce des sensations ou des émotions ? Les excitations auxquelles étaient soumis les animaux en expéri
es au galvanomètre résul- taient, non d'une simple transmission des excitations sous forme sensitive ou sensorielle, mais de le
miques, ce qui implique que le processus fonctionnel provoqué par l' excitation se propageait à toute la substance corticale. L
dans l'équilibre chimique et ther- mique de l'écorce. En somme, les excitations les plus variées, pourvu qu'elles soient capabl
iff, qui n'a plus vu se produire d'élévation thermique à la suite d' excitations psychiques et senso- rielles, lorsque les nerfs
nsieur le président, Messieurs, Parmi les réactions que produit l' excitation électrique de l'écorce il en est une ou plutôt
hode destructive. La réac- tion en question est celle que produit l' excitation de la première circonvolution temporale supérie
e son. Les lésultats sont tou- jours' plus caractéristiques après l' excitation de la région liomolo- i Voy. Arei. de Neurolog.
les autres facteurs varient en intensité. Chez le lapin oreillard l' excitation de cette région produit une élévation soudaine
rayé. Si on peut considérer les mouvements des yeux à la suite de l' excitation de la région occipito-angulaire comme un indice
IOLOGIE PATHOLOGIQUES. 281 sain que sous l'influence de très fortes excitations mécaniques. C'est un phénomène en tout comparab
, les segments supérieurs des couches optiques (centres d'arrêt). L' excitation du gyrus sigmoide (principalement de son segmen
souvent des contractions généralisées de l'anneau en question. L' excitation de la séreuse intestino-péntonéale arrête les rhy
onéale arrête les rhythmes pyloriques, il en est ainsi des diverses excitations cutanées (dou- leur - piqûre eau chaude). L'irr
tant l'anneau oesophagien. La même action d'arrêt est exercée par l' excitation péritonéale et cutanée sur les mouvements de l'
laquelle ils répondent immédiate- tement par des mouvements à toute excitation qui les a frappés, sans l'intervention interméd
lie ; elle est aujourd'hui atteinte de folie circulaire (six mois d' excitation et six mois de dépression, dans le courant de l
ne anomalie de réaction. PATHOLOGIE NERVEUSE DE L'INFLUENCE DES EXCITATIONS DES ORGANES DES SENS SUR LES HALLUCINATIONS DE
rovoquée chez lui est toujours en rapport avec le sens sur lequel l' excitation aura été portée. » Ces quelques lignes contie
, t. II, p. 326. ' Ségal. - Des hallucinations sous l'influence des excitations des organes des sens dans les accès hystéro-epi
e ne parlait pas pendant qu'on lui donnait des hallucinations par l' excitation des sens, on peut cependant déduire quelques co
mpression plus profonde que tout le reste, était moins sensible aux excitations un peu délicates et que les hallucinations prov
rée. Quoi qu'il en soit, la modification apportée au délire par les excitations sensorielles était évidente, 3j6 PATHOLOGIE NER
TTAQUE HYSTÉRIQUE. 361 que la réaction(de la malade vis-à-vis d'une excitation sensorielle donnée est toujours exactement la m
rfs, le chloroforme celui de contractures, et ainsi pour toutes les excitations des sens. Cette espèce de déterminisme est dign
que nous avons constatée chez cette même malade sous l'influence d' excitations sensorielles analogues pendant la période catal
a période cataleptique du grand hypnotisme'. Chose remarquable, les excitations de même nature produisent dans la catalepsie so
ginaire. Les hallucinations soit spontanées, soit provoquées par l' excitation des organes des sens, sont accompagnées chez lui
é- rieurement. Aussi, ne mentionnerons-nous pas les résultats des excitations portant sur le sens de l'ouïe 1. Chez ce jeune
ique. Il présente, lui aussi, une grande fixité de réaction à une excitation donnée. Toujours, même à de longs mois de dista
er la marche des hallucinations et en créer de nouvelles à l'aide d' excitations diverses, mais tou- jours simples, des organes
avait une absence complète ou à peu près complète de réaction aux excitations sensitives. Les membres n'avaient pas de paralysi
périence fut plus sérieux, il y avait adroite une insensibilité aux excitations thermi- ques qui produisaient à gauche une vive
s'apercut que lorsqu'il tomba. Il était très sensible à toutes les excitations même légères a gauche. L'ouïe était intacte des
tout à fait totale, d'une anesthésie absolue à toutes les formes d' excitation tactile sur tout le côté droit du corps. L'ouïe f
émorrhagie récurrente. Après, l'analgésie devient absolue et toutes excitations tactiles restaient sans réponse, Il y avait aus
ilité tactile ne semblait pas améliorée, il ne percevait aucune des excitations légères. L'animal etait en parfaite santé et sans
on de la sensibilité était très frappante, l'animal répondait à une excitation assez forte pour être perçue, en se grat- tant
en se grat- tant une partie différente de celle d'où était partie l' excitation . La figure 40, At, représente l'état de l'hémis
dé. - nl, nojau lenticulaire. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 393 L' excitation électrique du lobule de l'hippocampe chez les sin
e une odeurforte. Je n'ai pas remarqué une réaction semblable par l' excitation des hippocampes. Mais tandis que nous pouvons ê
ons extérieures de la sensation olfactive subjective produite par l' excitation , c'est au contraire un problème extrêmement dif
r, s'accordent à mon avis avec cette hypothèse qu'ils indiquent une excitation fonctionnelle des centres directement intéressé
'entrer dans de longs détails que la destruction des centres dont l' excitation produit des mouvements définis, produit de la p
Le plus léger contact attirait l'attention, et un pincement ou une excitation dou- Fig. 36. LES LOCALISATIONS CEREBRALES. 4
s réunissant ensemble les noyaux bulbaires et spinaux. Quoiqu'une excitation modérée des centres corticaux des membres ne donn
l que du côté opposé; cependant, il ar- rive assez souvent que si l' excitation est augmentée, par les mou- vements se produisa
server l'absence ou le défaut de réaction des membres paralysés à l' excitation sensitive ; mais cela ne tient pas à un défaut
paralysé, et il manifeste sa mauvaise humeur si on le soumet à une excitation douloureuse, comme la piqûre d'une épingle. Le
comme la piqûre d'une épingle. Le contraste entre les reactions aux excitations sensitives du singe dont on a enlevé le lobe fa
eraient des centres indépendants d'activité sans rapport avec les - excitations des centres sensoriels de l'écorces. Des expérien
és. Marique prouve que les mêmes contractions sont obte- nues par l' excitation électrique des centres respectifs après comme a
ique, à part la paralysie de la face etdes membres. Les effets de l' excitation électrique combinés avec ceux de la destruction
i une paralysie temporaire des mouvements ~ qui se produisent par l' excitation électrique aussi, c'est-à-dire l'élévation des
sécution constitue un état stationnaire avec périodes de calme et d' excitation qui peut durer longtemps, quel- quefois toujour
s accès maniaques : on observe alors les symptomes ha- bituels de l' excitation maniaque, et au milieu de ce désordre, on ANNAL
Chez quelques déments séniles, en même temps que des pé- riodes d' excitation avec impulsions violentes, on observe souvent d
dans sa « théorie des hallucinations » attribue leur production à l' excitation de certaines partie de l'écorce grise du cervea
s'accompagne habituellement, en général au début, de phéno- mènes d' excitation cérébrale, surtout de nature sensorielle. L'inf
'ils appli- quent le mot Vcrriccktheit à la démence secondaire avec excitation et désordre dans les idées; ce mot convient aus
upart des cas, dila- tation pupillaire et réaction plus prompte aux excitations . Les réflexes de la conque auriculaire, des nar
at affectif avec une disposition tantôt à la dépression, tantôt à l' excitation . Sa SOCIÉTÉS SAVANTES. 463 marche est remarqu
oduite s'il existe une lésion du lobe occipital, et inversement une excitation de ce lobe produit des phénomènes analogues à des
7 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
e quelconque, par exemple la sécrétion de la salive consécutive à l' excitation de la langue d'un animal privé de l'écorce céré
xtrémités des nerfs du goût; un temps esL nécessaire pour que cette excitation se propage le long des nerfs centripètes de la la
qu'au centre de la sécrétion de la salive; il faut un .temps pour l' excitation de ce centre ; il faudra aussi un temps pour la'
n de ce centre ; il faudra aussi un temps pour la' propagation de l' excitation de ce centre jusqu'aux glandes de la salive ; fin
salive ; finalement un temps est nécessaire, pour que se produise l' excitation de -la glande salivaire et que la sécrétion de
réflexe physiologique pris comme exemple se compose des processus d' excitation des différents tissus y prenant part, lesquels
pressions que l'organisme reçoit des processus physiologiques, de l' excitation des appareils terminaux, des organes extérieurs d
anes extérieurs des sens et par le moyen de la propagation de celte excitation dans les centres de LE SIÈGE DES PROCESSUS PSYC
iques et psychiques sont ces régions du cerveau où la réception des excitations des organes des sens se fait d'abord ; les rela
actes psychiques les plus simples et primaires, - la perception des excitations des organes du sens ont lieu dans les centres du
es irritations extérieures. Si l'animal n'est pas influencé par des excitations externes suffisantes, il reste assis immobile p
ps de temps d'une durée indéfinie. Mais si on expose l'animal à une excitation , il montre les mêmes mouvements compliqués que
t inquiet, mais ne prêtait pas d'attention au lieu d'où provenait l' excitation ; par contre les irritations tactiles et de dou
ssait, quelques pas autour de soi à gauche. A l'appel et à d'autres excitations il ne réagissait absolument pas, montrant par c
douleur, qui est localisée à un point déterminé du corps grâce à l' excitation de la peau locale tactile ou d'autres nerfs. Si
du nerf radical. Duchenne de Boulogne attribue la contracture à une excitation ve- nant du cerveau, l'excitation partant des p
gne attribue la contracture à une excitation ve- nant du cerveau, l' excitation partant des parois du kyste hémorragique cérébr
dans le sens général, mais la seconde,qui veut localiser le point d' excitation dans les parois du kyste hémorragi- 26 » NOICA
cru expliquer le phénomène de la contracture par simple phénomène d' excitation , parce qu'ils étaient convaicus des idées ancie
convaicus des idées anciennes que la contracture est la suite d'une excitation ; les anciens disaient excitation du cerveau ; B
la contracture est la suite d'une excitation; les anciens disaient excitation du cerveau ; Bouchard dit excitation de la moelle
citation; les anciens disaient excitation du cerveau ; Bouchard dit excitation de la moelle. A celte époque d'autres auteurs c
te que la cause fondamentale de la contracture spasmodique serait l' excitation des cellules motrices des cornes antérieures de l
connaisse que les centres moteurs médullaires se trouvent en état d' excitation exagérée au cours de la contracture, ne se demand
érée au cours de la contracture, ne se demande pas d'où vient cette excitation comme Charcot et Vulpian ; il ne croit pas à une
t cette excitation comme Charcot et Vulpian ; il ne croit pas à une excitation par le tissu conjonctif du faisceau pyramidal dég
rs de la contracture les centres moteurs médullaires sont en état d' excitation , la force inhibitrice ou frénatrice du cerveau
ème nerveux qui sont excités pendant la contracture, d'où un état d' excitation , ce que disaient également Charcot et Bouchard.
devenait impuissante à isoler le mou- vement dans tous les cas où l' excitation se faisait sentir avec un certain degré d'énerg
excitation se faisait sentir avec un certain degré d'énergie, que l' excitation volontaire fût elle même très énergique, ou que
: « Il est clair que, du côté où a lieu le mouvement volontaire, l' excitation part de l'encéphale, et va mettre en activité l
les mus- cles du côté opposé, qui se contractent par syncinésie, l' excitation est tout entière d'origine médullaire ; c'est d
excite les cellules des cornes antérieures et le cerveau inhibe ces excitations , et s'il survient une lésion qui empêche l'influe
eux exagérés. M. van Gehuchten a apporté cette modi- fication que l' excitation vient du cerveau, par les voies cortico-ponto-
es. Dans la loi de Jackson-Bastian, nous voyons aussi qu'il y a une excitation des cel- lules motrices médullaires, comme dans
mmunication entre l'encéphale et la- moelle existe, autrement pas d' excitation du cervelet, ou du cerveau (van Ge- huchten) ;
dit mouvements associés par mouvement volontaire du côté sain, dit excitation , dit liaison entre l'encéphale et la moelle. Et
ire, ce qui n'est pas. Kraepelin (1) raconte qu'un marin, atteint d' excitation maniaque, s'était fait avec les accessoires de
a écrit des centaines de chansons dans le cours de quatre crises d' excitations , pendant les intervalles des- quelles il avait
RD. Les sphincters sont normaux. La sensibilité à la piqûre et à l' excitation électrique semble être assez bien conservée. On
lassiques, sont des contractions uni-mus- culaires, produites par l' excitation du tendon du muscle correspondant, ou de la zon
x et demi-membraneux. En percutant la crête iliaque on provoque une excitation dans les mêmes muscles et simultanément dans le m
, ont un arc représenté : 1" par une fibre centripète qui conduit l' excitation produite par la percussion d'un point osseux ;
du deltoïde, s'étendant au grand rond et au grand dorsal ; et, si l' excitation a été très forte, il n'est pas rare de remarque
oyaux d'origine, doivent exister pour expliquer la propagation de l' excitation dans les autres cas. Ce phénomène de propagatio
e l'avant-bras, à moins qu'il n'y ait réflectivité très exagérée et excitation très forte, mais alors il y a diffusion de l'ex
exagérée et excitation très forte, mais alors il y a diffusion de l' excitation à tous les muscles. La propagation se fait en h
utes ces attitudes on peut les provoquer cher un homme normal par l' excitation de deux réflexes osseux, quand ils existent, et i
omme nous venons de le dire, mais à condition que nous fassions ces excitations en même temps sur plusieurs points de l'organis
es. Même difficulté aux membres supérieurs. Mais si par une seule excitation périphérique suivie même de propaga- tion nous
ure, mode- lage, de l'auto-observation médicale, etc. A ces états d' excitation qui, très exceptionnellement, ont pris le carac
néral à la suite de Gilbert Ballet et Moebius, l'ex- pression d'une excitation thyroïdienne. Néanmoins myxoedème et insuffi- s
oedème et insuffi- sance thyroïdienne, comme syndrome de Basedow et excitation thyroï- dienne, ne sont pas synonymes, car, non
dow, est une réalité clinique que personne ne discute, tandis que l' excitation thy- roïdienne est une hypothèse qui l'explique
. Aussi je diviserai cette étude en trois groupes d'insuffisance, d' excitation et de perturbation thyroïdienne. 1. les TROUBLE
nations, comme l'a observé Pilez (de Vienne), du délire, des cris d' excitation , identiques aux troubles qui se produisent dans
est impossible. II. LES TROUBLES PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES d' excitation THYROÏDIENNE. Nous venons de voir'que dans les
mplexe est celui à étudier ici entre les trou- bles psychiques et l' excitation thyroïdienne, qui parait à l'origine d'un certa
craintes, angoisses, phobies, tachycardie, goitre, yeux brillants, excitation vaso-motrice et nausées. Sous l'influence de l'hé
ow complet ou fruste compliqués de troubles mentaux allant depuis l' excitation simple jusqu'à la manie ou la mélancolie agitée
t de causalité entre leurs symptômes psychi- ques élémentaires et l' excitation thyroïdienne. La démonstration de ce rapport s'
époques menstruelles et sous l'influence d'émotions, sont prises d' excitation , font des scènes, poussent des cris, disent des
plus forte raison le terme syndrome de Basedow n'est pas synonyme d' excitation thyroïdienne ; car tous les syndromes de Basedow
dromes de Basedow ne parais- sent pas au même titre être fonction d' excitation thyroïdienne et peut-être l'excitation thyroïdi
u même titre être fonction d'excitation thyroïdienne et peut-être l' excitation thyroïdienne entraîne-t-elle des effets pathologi
signale en effet des contractions du membre inférieur succédant à l' excitation du membre du côté opposé ;Slrumpell (2), un peu
teurs essayèrent de provoquer la contraction de ces muscles par des excitations autres que celles du (1) WESTPIIAL, Ueber einig
contraction du cré- master était plus énergique du côté opposé à l' excitation , et pouvait même ne pas s'accompagner de la con
xcité. Il a vu également des mouvements controlatéraux succéder à l' excitation de la plante du pied : flexion de la jambe et a
a force avec laquelle se fléchissent les orteils du côté opposé à l' excitation est extrêmement variable : ce n'est parfois qu'un
l n'ait commencé le sien. Dans certains cas, d'un côté seulement, l' excitation de la plante du pied provoquait la flexion des
0/0) ne le présentent pas'; 6 enfin (10, 5 0/0), ne l'ont quepar l' excitation d'un des pieds. Ainsi donc, près de 30 0/0 des
Pflûger : si on porte chez lui, sur un point limité le mini- mum d' excitation , le premier mouvement réflexe ne portera plus seu
is : les mouvements seront d'abord bilaté- raux ; ce n'est que si l' excitation est très forte, ou que si l'excitabilité médull
ez eux, comme chez la grenouille dont la tête a été sectionnée, une excitation légère provoque des réactions bilaté- rales. L'
les hémipégiques le réflexe plantaire controlatéral ? On sait que l' excitation de la plante du pied du côté paralysé provoque
qui tout à l'heure s'étendaient, se fléchissent, mainte- nant que l' excitation part du côté indemne. Le terme de réflexe plantai
e datant de plusieurs années, j'ai noté le fait curieux suivant : l' excitation de la plante du pied paralysé donnait lieu de c
ed paralysé donnait lieu de ce côté à une extension des orteils ; l' excitation de la plante du pied normal provoquait, outre u
début juillet) dans notre service : 2 doivent être éliminées, car l' excitation plantaire provoque chez eux des mouvements trop
l'explication suivante du réflexe plantaire hétérogène. Lors- que l' excitation intéresse la plante du pied du côté malade, l'ord
lui du côté gauche, qui l'est beaucoup plus. A droite et à gauche l' excitation du pied provoque le réflexe de Babinski, mais l
gauche l'excitation du pied provoque le réflexe de Babinski, mais l' excitation du pied droit provoque la flexion de l'orteil g
n du pied droit provoque la flexion de l'orteil gauche tandis que l' excitation de la plante du pied gauche ne provoque aucun m
auche, paralysé à un très haut degré, doit être très altéré : par l' excitation de la plante du pied de ce côté nous constatons
nous constatons les mêmes phénomènes positifs et négatifs que par l' excitation de la plante du pied d'un hémiplégique aveccont
ade ne puisse le soulever qu'avec peine au-dessus du plan du lit. L' excitation de la plante du pied droit provoque l'extension
exion du pied sur la jambe, selon le mode aujourd'hui classique ; l' excitation de la plante du côté gauche provoque de ce côté
en même temps le gros orteil du côté droit s'étend ; mais par cette excitation le pied droit s'étend sur la jambe, au lieu de
impotent des deux : chez celui-ci le membre est presque sain, et l' excitation provoque un réflexe plantaire controlatéral de
ombre de sujets indemnes d'affection avérée du sys- tème nerveux, l' excitation de la plante d'un pied provoque des mouve- LES
de l'irradiation des réflexes de Pflüger. Chez les hémiplégiques, l' excitation de la plante du côté paralysé pro- voque en gén
é malade, et ne suscite aucun mouvement des orteils du côté sain. L' excitation de la plante du côté sain au contraire provoque
s l'excitabilité est exagérée du côté sain. Chez un paraplégique, l' excitation de la plante du pied du côté gauche, très paral
les mêmes lois qu'eux. Chez un autre paraplégique, au contraire, l' excitation du pied du côté le moins atteint, qui pourtant
ambe (dissociation du réflexe pathologique ordinaire), tandis que l' excitation de la plante du pied du côté le plus atteint ne
ulaire ne se produisent pas spontanément, mais sous la pression des excitations thermiques, chimiques, mécaniques, lumineuses o
ent de vie mourrait aussitôt, parce qu'il cesserait de recevoir les excitations qui lui donnent le mouvement, la vie, en provoq
microscopique. La matière vivante est plastique ; elle s'adapte aux excitations nouvelles qui lui viennent du milieu;ambiant; e
riabilité bien entendu, par des influences extérieures. Chacune des excitations a son action propre et l'édifice moléculaire vi
éculaire vivant est une résultante de l'ensemble des actions de ces excitations . Chaque variation dans la nature ou le degré de l
e a chacun d'eux. La matière vivante réagit donc. en présence d'une excitation ou d'un ensemble d'excitations données et toute
ivante réagit donc. en présence d'une excitation ou d'un ensemble d' excitations données et toute réaction est un changement plus
t plus ou moins durable de l'organisme cellulaire ou moléculaire. L' excitation impressionne l'organisme élémentaire, y laisse
trace plus ou moins per- sistante, y imprime son empreinte. Chaque excitation ayant son empreinte spécifique, celle-ci peut ê
s provoqué, la mo- dification de l'équilibre organique adéquate à l' excitation , son empreinte, persistera indéfiniment, si auc
ns l'organisme cellulaire, constitue pour celui-ci un souvenir de l' excitation . Il y a là un phénomène de mémoire élémentaire.
a cause a cessé d'agir et aussi longtemps qu'il ne se produit pas d' excitation nouvelle directement contraire ou opposée. Les ex
bre physico-chimique de l'organisme élémentaire. Après avoir subi l' excitation , celui-ci n'est plus dans un état identique à c
i fait sentir ses atteintes. Du moment que l'on admet l'action de l' excitation , son effet doit consister en un changement peti
on, puisque nous n'envisageons pas ici les conditions de lemps et d' excitation nécessaires pour obtenir des chan- gements auss
nature de la force excitatrice. L'organisme élémentaire réagit à l' excitation en se modifiant conformé- ment à la nature de c
ment à la nature de celle-ci ; il s'y adapte et s'y plie. Parmi les excitations qui peuvent l'atteindre, les unes sont habituel
des conditions extérieures ou intérieures. Si nous supposons que l' excitation inaccoutumée a fait sentir son action, non pas
re dans les conditions où il se trouvait au moment où il recevait l' excitation modificatrice.Il est toujours sous le coup de s
ou l'équivalent physiolo- gique et qui, en somme, la représente. L' excitation directe et l'empreinte organisée et vivante ne
constitution héréditaire ou acquise et celles que lui assignent les excitations inaccoutumées. L'organisme animal réagit en pré
ins, conservent l'aptitude à le produire en abondance à la première excitation et confèrent ainsi à l'être composé une proprié
'exécution d'un simple mouve- ment fournit une somme considérable d' excitations qui vont se répercuter dans les profondeurs de
êtres,élémentaires ou complexes,ne peuvent s'empêcher de réagir aux excitations qui les atta- quent de toute part, quelles que
sportant dans un autre milieu, c'est-à-dire en les soumettant à des excitations inaccoutumées. Il n'est pas toujours avantageux
Les effets pathologiques produits sur l'organisme complexe par les excitations qui l'entourent, n'importent donc qu'au point d
ls de l'être élémentaire ou complexe sous l'effort modificateur des excitations ambiantes peuvent se résumer en ummot, l'adapta
irs cellulaires, l'organisme n'a nullement besoin d'être imprégné d' excitations provocatrices développées dans son intérieur,il s
thermiques, lumineuses ou électriques qui résument tous les modes d' excitations connus et, d'autre part, que nous ne prenons co
ou un simple bruit, avec cette seule différence que l'ensemble des excitations qui en émanent sont représentatives d'une plus
, en modifiant son équilibre physico- chimique, comme le ferait une excitation simple et engendre l'habitude, l'imitation. La
né, la statique humaine est la ré- sultante de l'enchevêtrement des excitations qui l'assaillent et elle perdu- rera sans chang
viennent d'être étudiés et trouvés identiques absolument à ceux des excitations sim- ples ou complexes mais intérieures, puisqu
on pourrait appeler organique pour le distinguer du précédent, de l' excitation consi- (1) FÉnH : , Sensation et mouvement; - M
es influences morales, parce qu'elles se résolvent, à l'analyse, en excitations purement physiques sem- blables à toutes les au
entielle et dont l'énergie est mise en liberté sous l'in- fluence d' excitations appropriées. Les états d'âme sont si peu du moral
nique qui constitue une empreinte,une peinture physiologi- que de l' excitation externe et lui est énergétiquement équivalente ;
tiquement équivalente ; elle est active et reproduit, reforme cette excitation , en créant l'habitude et l'imitation, du moment
stible. Pour se soustraire à sa propre tristesse, on s'expose à des excitations gaies et l'on se rend au théâtre ou l'on assiste
tère est à son apogée chez les enfants et chez les sauvages. Autres excitations , autres effets ; autres milieux, autres physion
organique du rire par exemple est l'équiva- lent physiologique des excitations spécifiques et extérieures qui le condi- tionne
d'imitation. Mais ce pouvoir va s'exercer vis-à-vis de tou- tes les excitations ,sans distinctions de bonnes et des mauvaises, des
symptômes pathologiques, il suffit qu'il vive dans une atmosphère d' excitations morbides. Celles-ci affectent l'organisme aussi b
d'états pathologiques ont eu pour cause un rêve et rien que cela. L' excitation et l'idée de cette excitation correspondent à un
our cause un rêve et rien que cela. L'excitation et l'idée de cette excitation correspondent à un seul et môme équilibre organ
le est plus agitée et plus nombreuse, c'est-à-dire qu'il y a plus d' excitations plus souvent répétées. III La névrose reconna
iés anor- maux par nous, ce ne sont toujours que des ripostes à des excitations , ri- postes toujours logiques et en rapport ave
sans cesse à les modifier et lesmettreen rapport avec la nature des excitations nouvelles. Quand on considère la diversité des
THOGÉNIE DES NÉVROSES 391 du milieu. Telle qui est armée contre les excitations faibles, succombe sous la pression de poussées
nt mutuellement et se confondent. En biologie j'ai employé le terme excitation pour désigner les in- fluences extérieures ou i
sont deux mots pour une même chose et que la sensation n'est que l' excitation de l'être complexe à fonctions différenciées. D
e cellulaire, une perturbation dans le mécanisme sous l'influence d' excitations trop puis- santes dont les répercussions trop é
e ses parents ; quelquefois même il menace de frapper. Ces crises d' excitation durent environ une heure ; un état de stupeur leu
e troubles psychiques variés, en particulier par des alternatives d' excitation hallucinatoire et impulsive et de stupidité. Ac
8 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
is, le 1" janvier 1S62. TRAVAUX DE L'AUTEUR De l'art de limiter l' excitation électrique dans les organes sans piquer ni incise
ale (Union médicale, 1852). Note sur l'influence thérapeutique de l' excitation électro-cutanée dans l'angine de poitrine (Bull.
est ce que je me réserve de démontrer en temps opportun). Eh bien ! l' excitation artificielle du premier muscle ne fait-elle pas n
e la possibilité de contractions dites réflexes, provoquées par toute excitation périphérique, de telle sorte que l'électrisation
urrait-il pas (me disait-on) que Vexpression qui se produit pendant l' excitation électrique d'un muscle quelconque fût le résultat
muscles qui possèdent une action indépendante, sous l'influence de l' excitation électrique, comme pour les mouvements volontaires
nnaissance parfaite de la méthode que j'ai inventée afin de limiter l' excitation électrique dans chacun des organes. Il est néce
z un -vieillard (voy. son portrait photographié, fig. 3). A droite, excitation électrique, à un degré modéré, du muscle frontal;
la ligne médiane pendant la contraction des deux muscles frontaux. Excitation électrique modérée des deux frontaux : attention.
expressive du muscle frontal, au maximum de contraction. A droite, excitation électrique, au maximum, des muscles frontaux : gr
ndaires (rides frontales, irrégulières et nombreuses) produites par l' excitation électrique forte du frontal, chez une femme âgée
nombreuses et moins prononcées à droite qu'à gauche; cela dépend de l' excitation un peu moins forte produite par l'un des pôles (l
ette contraction ait été provoquée par un courant électrique ou par l' excitation venant de l'âme, la volonté. Enfin, clans son esp
eur. A l'appel de ce muscle, on a vu apparaître, à l'aide d'une forte excitation sur la physionomie, l'expression d'une pensée som
ourcilier n'a pas produit de ligne médiane sur le front. Le maximum d' excitation a fait paraître chez la plus âgée un léger pli mé
ns toute sa largeur, j'ai fait contracter son sourcilier droit. A une excitation modérée de ce muscle, le modelé du sourcil et du
ù le sourcil droit est cependant plus élevé qu'à l'état normal, par l' excitation électrique du frontal. Cette courbe, qui reflète
ssif n'a eu lieu que du côté gauche, et cela sans l'intervention de l' excitation électrique. Une explication qui fasse connaître
la manière dont elles sont éclairées. Ainsi, dans la figure 26, où l' excitation électrique du sourcilier est beaucoup moins forte
le a pris une expression de souffrance d'autant plus prononcée, que l' excitation a été plus forte. On constate ce fait en regardan
ures 3, 6, 7, 8, 9, 12, 13, U, 17, 18, 19, 20, 21 et 22). A droite, excitation électrique, forte parfaitement limitée dans le gr
atique : rire faux. A gauche, repos de la physionomie. Fig. 31. — Excitation électrique un peu plus forte des deux grands zygo
ement léger de la commissure de la lèvre du côté gauche). A droite, excitation électrique assez forte du grand zygomatique avec
A droite, excitation électrique assez forte du grand zygomatique avec excitation légère des palpébraux ; développement des lignes
ction volontaire, légère des palpébraux : rire méprisant. A gauche, excitation électrique forte du triangulaire des lèvres, asso
chaque côté. Il m'est arrivé quelquefois de localiser exactement l' excitation dans ce muscle, comme dans le côté droit de la fi
é-braux, en même temps que le grand zygomatique. La figure 30, où l' excitation électrique est parfaitement localisée dans le gra
nt complètement représentés sur la figure 31. Cette figure 31, où l' excitation pratiquée des deux côtés à la fois est plus forte
s palpébraux se sont contractés ; ce qui ne peut avoir lieu que par l' excitation du filet moteur de ces muscles. 11 m'eût été faci
les. 11 m'eût été facile d'éviter ce filet nerveux et cle localiser l' excitation électrique dans le grand zygomatique, comme du cô
gré ces conditions défavorables, on voit dans la figure 39 que, par l' excitation électrique de son transverse du nez, unie à celle
7,18, 19, 20, 21, 22, 30, 31, 32, 33, 34, 37, 38, 39, A3, lia, 45). Excitation électrique assez forte du petit zygomatique gauch
évateur propre delà lèvre supérieure, chez le même sujet. A gauche, excitation électrique du petit zygomatique et contraction vo
phincter dos paupières : pleurer franc, à chaudes larmes. A droite, excitation électrique de l'élévateur propre de la lèvre supé
u petit zygomatique et du sourcilier, chez le même sujet. A gauche, excitation électrique du petit zygomatique et du sourcilier
hez une femme jeune (représentée dans les fig. 35 et 36). A droite, excitation électrique du petit zygomatique et du sphincter d
n'est pas toujours facile ni môme possible de localiser exactement l' excitation électrique dans le petit zygomatique : l'expérien
racter le petit zygomatique, sans produire l'occlusion de l'œil par l' excitation du sphincter des paupières, bien que le rhéophore
lectrisés sans que ce dernier muscle se contracte en même temps; leur excitation partielle est possible seulement lorsque le peauc
ns nos hôpitaux, d'animer devant de nombreux témoins, en localisant l' excitation électrique dans chacun de ses muscles, et sur laq
re à mettre en relief les lignes expressives qu'il veut peindre par l' excitation électrique ; ensuite il procède h la mise au poin
ivement à une expression artificielle produite, du côté opposé, par l' excitation électrique. Aux personnes qui voudraient les ré
pas partiellement à la volonté, et qui se contractent seulement par l' excitation rétlexe des passions, ou sous l'influence de l'él
éalisme anatoinique tout quel entre en action sous l'influence de l' excitation aux plaisirs de l'amour. Ce sont des figures d'ho
cieux amoureux. 11 m'eût été facile d'ailleurs de diminuer le degré d' excitation électrique du triangulaire. 3° Chez ces deux fe
semblance entre Duncan et son père endormi.) Au delà cle ce degré d' excitation , le pyramidal du nez a, dans la figure 82, altéré
e (voyez son portrait, fig. h), que j'ai pu à peine, malgré une forte excitation de ce muscle, abaisser la tête de son sourcil (vo
tie scientifique), j'ai dû employer un courant intense, tandis qu'une excitation comparativement beaucoup plus faible du pyramidal
sont-elles restées immobiles, comme du côté opposé. J'ajouterai que l' excitation électrique au maximum peut être également bien lo
9 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
M™0 IL, 42 ans. Après uue période de confusion mentale (1898) avec excitation maniaque, a laquelle a fait suite une phase de
de paralysie générale depui* 1902, est constamment dans un état, d' excitation très marqué qu'entretiennent des hallucinations
énéral déprimé et hypocondriaque. Chez trois paralytiques en état d' excitation , l'effet du mé- dicament a été à peu près nul,
d'induction, on lié termine les zones de l'écorce du cerveau dont l' excitation produit des mouvements 18 REVUE D'ANATOMIE ET D
droit, qui siégerait dans le territoire du centre du facial, dont l' excitation provoque des mouvements associés des yeux (Frit
périphérie constam- ment exposée il l'action des forces partent des excitations qui sont constamment conduites au sein des cell
mouvement associé (i-émulant de muscles synergiques. Il émane de l' excitation du noyau du fa- cial oculaire qui irradie par l
Février 1905 N"110 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CUMQt'E MENTALE De l' excitation sexuelle dans les psychopathies anxieuses ; I
, - extrêmement touffu, est bien connu, il convient d'ajou- ter l' excitation génitale. Divers auteurs ont récemment signalé
és, l'angoisse amène les excita- tions génitales. Chez les uns, ces excitations sont en rapport avec les obsessions érotiqucs ;
énéral, abolies, sauf chez quelques individus qui, en proie à une excitation génésique d'origine purement organique, se livr
romes psychopathiques assez variés au cours desquels j'ai observé l' excitation t sexuelle étaient de couleur mélancolique, il
diaques, respiratoires, boulimiques, pseudo-angineuses ; crises d' excitation génitale. , Il) Ch, Fi'.ui ? L'excitation sexue
o-angineuses ; crises d'excitation génitale. , Il) Ch, Fi'.ui ? L' excitation sexuelle dans l'angoisse. (Revue neu- rologique
Cii.i.Kiim : . Traité pratique des maladies mentales. Pari- 1890. EXCITATION SEXUELLE DANS LES PS1'CHOPaTHIIS ANXIEUSES 83 F
uleur d'abord, cot)t))text< ? Eft/ ! oi)(OEeconc/ter, puis d'une excitation génitale qui aboutit il un orgasme voluptueux c
de dyspnée paroxystique, de pseudo-angine de poi- trine, el enfin d' excitation dans la sphère génitale de na- ture à la fois p
t vraisemblablement passée au délire systé- matise d'hypocondrie. L' excitation sexuelle ne paraît être, dans le cas actuel, qu
c crises anxieuses qui, lorsqu'elles onL al- feintau paroxysme de l' excitation , se transforment en fureur alel' illlp1JI,iou a
les plus violentes et les plus incoercibles. Ici, les phénomènes d' excitation génitale ne nous sont révé- lés qu'avec réticen
fusion mentale panophobicluu ; an- xiete continue et gémissements ; excitation génitale intense et prolongée. - ]L.. Ügé dl'
solution n'a pas apporté à son e- prit le calme désiré. Peu a peu l' excitation cérébrale a pris des proportions de plus en plu
iques intermittents avec gémissements continus dans l'intervalle. EXCITATION SEXUELLE DANS LES PSYCHOPATHIES ANXIEUSES 87 21
il son sujet l'observation sui- vante : Alternatives de calme et d' excitation maniaque avec, im- pulsions violentes. Désordre
coliques S8 CLINIQUE MENTALE g'émisscurs de Morel (l). Sa crise d' excitation génitale, purement épisodique, coïncide avec le
anophohie, coufllion lI1enlalt', automatisme, anxiété continue avec excitation sexuelle. ' Jl..., l'I·mme .1..., 4l an, o·l ar
traits toujours anxieux, la bouche à demi-ouverte. Celte crise d' excitation génitale avec masturbation dure plusieurs jours e
rs qui répondent de point en point aux descrip- tions classiques. L' excitation sexuelle s'y présente d'a- bord sous une forme
avec ma- noeuvres onanisliques appropriées, puis il semble que le EXCITATION SI : \1 ELLE 11VXS LES PSl'CHOP.1'l'IIII : S ANXI
VXS LES PSl'CHOP.1'l'IIII : S ANXIEUSES 91 gesle provoqué par celte excitation particulière devienne peu à peu automatique et
s, chimie, iiiauifesle un délire religieux incnlnrnn(. - 26 juin. Excitation maniaque légère; divagations religieu- ses inco
décembre. Depuis la noie précédente alternatives de stupidité et d' excitation maniaque par courtes crises, parfois quo- tidie
t qui se fait sur la terre. » Eu même temps se développe une grande excitation génitale ; tout en gémissant, il demande à gran
q ans. nous observons une phase de délire mystico-melancolique avec excitation ; une phase de stupidité prolongée, des crises
rrésistible au suicide, et enfin des crises d'anxiété violente avec excitation génésiquc énor- me, se l'épélanl il diverses re
ement mettre un terme. Ce parallélisme parlait de l'anxiété et de l' excitation libidineuse permet d'y voir quelque chose de pl
orphe de longue durée au cours de laquelle éclate de l'anxiété avec excitation sexuelle. ( : ... 1 ! ) ans, admise le 20 juin
parents en aversion, de- vient irritable, munife-le par accès de l' excitation délirante qui finit par nécessiter son placemen
des accidents llll'n- lauxd'un PUI)IIlUl'phislIle 1',\ ! l'èll1C : excitation 11lnlliallUea\l'c dl'- sordre des actes, périod
délire de (le tien semble évoluer vers la démence. Ici encore l' excitation sexuelle coïncide exactement avec la crise anxi
" L ? ion mélancolique a\ec délire de négation; crise anxieuse avec excitation sexuelle intense. F... ,Jean, 70 ans, culLiwteu
lui dérober ses recolles, puis s'exaltant, peu à peu tomba dans une excitation maniaque qui se traduit, actuellement par de l'
e et simple, mais rentre légitimement dans le cadre des vésanies; l' excitation sexuelle, constatée an cours de l'observation,
irc, comme dans les cas ordinaL- res de démence athéromateuse, où l' excitation génitale se montre si commune. 11 s'agit, en ré
mmun. 11 y a d'abord l'association des deux symptô- mes, anxiété et excitation sexuelle. Celle dernière est un phénomène assez
n originelle et d'une émotivité maladive. Qu un épuisement momen- EXCITATION SEXUELLE DANS LES PSYCHOPATHIES ANXIEUSES 97 ta
i- semblable, en clfet, que cette association morbide, anxiété et excitation génitale, relève, quels que soient les cas clin
t être invoquée dans l'espèce. Dans nos observations, en effet. l' excitation sexuelle se produit, non pas comme phéno- mène
station secondaire et subordon- née. Toujours l'anxiété a précédé l' excitation génitale. L'expérimentation a démontré qu'il ex
psychologique dont le reten- tissement organique est l'angoisse ; l' excitation du cen- tre cortical des fonctions sexuelles ne
s. Nous avons bien pu constater chez plusieurs de nos malades que l' excitation génitale engendrait des pensées érotiques mais
ait indubila- blement tous les signes d'une paralysie générale, acc excitation maniaque aiuu. Lm : yail l'ul yneLiunW sur l'ex
amollissement cérébral. (Jetait a son entrée un dément sénile, avec excitation maniaque inler cu rre u te. A partir du maria
iques, dirigés sur certaines ré- ¡ ? ions de la tète, déterminent l' excitation des centres correspon- pondants du cerveau, aud
e louL l'organe psychique, ils sont en étal de sentir nettement des excitations qui restent inaperçues pour les autres. Tous le
res du facial inférieur, lien est de même chez le chien. En outre l' excitation de l'écorce réa- git des deux côtés sur toutes
oquer et d'aug- menter l'agitation. S'il met à l'abri des sources d' excitation exté- rieures, l'action de la cellule est infid
etret doit être envisagé lui-même, non pas comme le résultat d'une excitation génitale exagérée mais comme une véritable moda
ienter. a) La stéréotypie est un des caractères fondamentaux de l' excitation du dément précoce, tandis que ce caractère n'ap
du dément précoce, tandis que ce caractère n'appartient guère à l' excitation dit maniaque ni même à celle du paralytique gén
aniaque ni même à celle du paralytique général . Et tout d'abord, l' excitation du dément précoce, aussi bien dans les paroles
, un inépuisable défilé de mouvements. Il ne s'agit, plus ici d'unc excitation uniforme et pauvre dans ses manifestations, mai
c excitation uniforme et pauvre dans ses manifestations, mais d'une excitation mobile etcssen- tiellement polymorphe. Cc n'e
st-à-dire l'absence de con- tenu idéo-alfeclif. Chez le maniaque, l' excitation motrice est la traduction directe d'une excitat
z le maniaque, l'excitation motrice est la traduction directe d'une excitation intellectuelle ; elle ne fait qu'extérioriser l
et volilionnelles du sujet. Chez le dément précoce, au contraire, l' excitation motrice sc tra- duit en dehors de l'activité ps
volonté d'arrêt, et seulement chez les malades toujours en état d' excitation , alors que la plupart, déprimés en général,ne son
o a ec le curare semblent indi- quer que ces troubles relèvent de l' excitation et non de la dépres- sion. Pour Ducceschi et Se
es lésions du labyrinthe : cet organe étant toujours dans un état d' excitation Ionique sous .l'influence du cervelet « le cervel
t excite ainsi, par la tunique in- terne, le nerf dépresseur. Cette excitation diminue, par action réflexe, l'activité du cent
upérieure de la circon- volution antccruciale, d'une surface dont l' excitation exagère vi- siblement la sudation du côté oppos
te à ce moment chez elle de la débilité mentale, des alternatives d' excitation et de dépression, de rhjstéro-épilepaie avec hé
culaire ; par M. SCHAIKEWITSCH. (Oborenie psichiatrii, VU, 1902.) Excitation directe de cet organe à l'appareil du Bois-Heymon
ion motrice. Examens confirmatifs à la méthode de \Iarclii-Busch. L' excitation du noyau après ablation couche par couche de l'
des muscles du tronc et des extrémités, d'abord du côté opposé à l' excitation , puis, si l'on renforce le courant, aussi du mê
s postérieurs. Fréquente rotation de la tête ducutéopposé eL cri. L' excitation du segment interne et du noyau caudé fournil le
se ralentir ; généralement, un soupir plus un moins profond suit l' excitation et précède ce ralentissement. Insignifiante élé
r le dia- gnostic ; sur l'augmentation du tic sous l'influence de l' excitation , de la fatigue, el sa disparition pendant le so
XV, X. F. XIII, 1(10 : .) Six observations prouvant ([lie de fortes excitations mÚca- niques successives des muscles paralysés
éterminent des contractions toniques survivant considérablement à l' excitation . Ce phénomène serait, il des degrés divers, pro
leurs dans le bas-ventre. En revanche, en une journée, phénomènes d' excitation sensorielle et tout le cor- lège de la polynévr
ts. Uss. 111. Jeune femme présentant les signes prodromiques de l' excitation des méninges par des tubercules dans la région
ième fron- tale, et du tiers inférieur de la frontale ascendante. L' excitation de ces centres moteurs détermine les mouvements
epatient te développement de l'atta- que d'épilepsie ; en cessant l' excitation , on fait cesser les mouve- ments c)ioreit'0 ! '
omplication accidentelle de la plaie tue le malade. En tout cas l' excitation de la région motrice du cerveau a cha- que ibis
ellement l'aspect de la confusion mentale hallucinatoire aiguë avec excitation (ancienne manie puerpérale) ; les formes chroni
ivant l'évolution du processus auto-to : \i(IUe, des formes aiguës ( excitation maniaque pure ou hallucinatoire) et des formes
mence) ; 3" suivant les qualités physiques et mora- les du terrain ( excitation maniaque, surtout chez les sujets jeu- nes et t
il'ps conlicnnenl dps appal'l'i ls 1]('1'- veux peripheriquesdont l' excitation par les vibrations mécani- clue, fmrnit une sen
cipalement à ce que nous avons affaire en l'espèce non il une seule excitation mais à une sommation d'excitations. 120 Il se p
aire en l'espèce non il une seule excitation mais à une sommation d' excitations . 120 Il se peut que la sensibilité vibratoire t
du psychisme inférieur. Un comprend aisément que par le fait d'une excitation exagérée, d'une destruction des arcs stéréo- ps
l't's qui partent descentres corticaux" de la sécrétion urinaire. L' excitation de l'écorce par le courant faradique el même l'
e zone, [dus grande quand on excite la seconde ? 4" Cnesuccession d' excitations diminue l'eU'elsécrétoire. 2" La re- section de
région motrice du cerveau. 7°'L'urine de l'uretère du côté opposé l' excitation a toujours une moindre densité que celle de l'u
érale des matières solides de l'urine en rapport avec le temps de l' excitation est supérieure dans l'urine du premier uretère.
les fonctions s mentales, les malades ne réagissant pas du tout au, excitations extérieures. Cette période est remplacée par un
'on l'abandonne, la position primitive. Il faut parfois cinq ou six excitations répétées pour obtenir un léger mouvement, mais
re, hal- lucinations, folie morale, affaiblissement intellectuel, excitation cérébrale, etc.). D'autre part se placent les m
airo; elle n'agi (qu'au commencement du second mois.'En revanche, l' excitation électrique de la partie externe du segment anté
'écorce avant les rentres vasomoteurs. A par- tir du second mois, l' excitation de l'écorce produit sur le système cardio-ascul
rai, dans l'espèce, de chiens non curarises. A partir du 3s mois, l' excitation dp la couche optique et du noyau caudé produit
des animaux plus âgés. Ilary a montré que chez beauconp de chiens l' excitation de l'écorce provoque des mouvements francs nett
e l'écorce provoque des mouvements francs nettement déterminés. L' excitation de l'écorce se traduirait donc, avant tout, par d
le, car la contrac- tion pupillaire observée est déterminée par une excitation qui possède les mêmes qualités que celle qui a
re se ferme par action réflexe. La pupille se di- late quand il y a excitation quelconque du trijumeau, pourvu qu'il ne se pro
l'influence de la mastication, de la parole, de la déglutition, des excitations extérieures : les points de Valleix sont incons
eillés de force du sommeil post-épileptique, par Guermann. 391. Excitation sexuelle. De l'- - dans les psychopathies anxie
i, 138. PSYCIIO ? 10'rlLl'ril. Voir Troubles. Psychopathies. Voir Excitation . . Psychoses. Voir troubles vis- céraux.De la
10 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
produit pas le mouvement réflexe du voile du pa- lais, il faut une excitation forte de la partie postérieure de la langue pour
t pré- cédés quelquefois d'une autre période plus ou moins longue d' excitation dans le domaine des nerfs qui vont être frappés
uite duquel apparaissent les symptômes sui- vants : surdité totale, excitation maniaque, hallucinations de l'ouïe et de la vue
de la compréhension des mots lus et de troubles de l'écriture. L' excitation maniaque et les troubles hallucinatoires s'amende
le service, nous constatons la surdité et l'exis- tence d'un état d' excitation maniaque très caractérisé. Dès le premier exame
ne réagit à aucun bruit. La parole spontanée porte l'empreinte de l' excitation ma- niaque, mais ne permet pas de constater de
tiens encore debout pour le bien, etc. » Pendant quelques jours l' excitation persiste : le malade va et vient continuel- lem
torquer sa signature. Il dort mal et gâte au lit. Le 12 décembre, l' excitation se calme et un examen plus complet peut être pr
SURDITÉ CORTICALE AVEC PARALEXIE ET HALLUCINATIONS DE L'OUÏE 41 d' excitation mais il n'y a point de symptômes paraphasiques es
er le mot imprimé, « Chevalier » il écrit Onmy manuscrit. 6° Si l' excitation est en décroissance, il persiste, encore des idée
e d'hallucinations de l'ouïe très actives, qui dénotaient un état d' excitation de ce même centre. Ces hallucinations se sont p
toutes les trois ou quatre semaines. La fréquence des phénomènes d' excitation corticale dans le cas d'hydatides du cerveau a ét
entait un délire hallucinatoire (sur- tout d'origine auditive) avec excitation maniaque, assez analogue au délire post-paroxys
d'examiner les muscles de l'avant-bras et de la main au moyen de l' excitation électrique, pour rechercher leurs analogies avec
otamment bien représenté. Nous avons cherché aussi à explorer par l' excitation électrique la distribu- tion des nerfs médian,
.. s'étant mal prêté à cet examen les résultats ont été peu nets. L' excitation por- tée sur le trajet habituel du nerf cubital
r de sen- sations dans l'extrémité du membre; au contraire, quand l' excitation était portée sur le trajet du nerf médian ou du
on et en diminution psychiques. A aucun moment, G... n'a présenté d' excitation ni de dévia- tion intellectuelles : à aucun mom
et, comme ces cellules, ils.se rétracteraient sous l'influence des excitations suffisantes. J'ai montré en effet, dans un tra-
clion des muscles ne se produit, que lorsqu'on fait naître, par une excitation , un nombre considérable d'ondulations nerveuses.
er en avant, puis les retirer brusquement, comme sous l'effet d'une excitation électrique rythmée, et juste suffisante, des ex
haque caractère. RECHERCHES EXPÉRIMENTALES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT, PAR CH. FÉRÉ, Médecin de Bicêt
tre. * Des expériences antérieures (1), relatives à l'influence des excitations sensorielles sur le travail ont montré qu'en gé
ons sensorielles sur le travail ont montré qu'en général toutes les excitations recherchées comme agréables déterminent une aug
un temps variable suivant la qualité, l'intensité et la durée de l' excitation . Les mêmes expériences répétées avec des excita
t la durée de l'excitation. Les mêmes expériences répétées avec des excitations pénibles ont montré un effet immédiat tout diff
uvoir d'exécuter le même mou- vement volontaire. ' Les effets des excitations sensorielles se montrent du reste très diffé- r
état du sujet au moment où elles agissent. Dans la dépres- sion une excitation généralement pénible et déprimante peut avoir un
On pouvait se demander si sur un sujet préalablement ex- cité, une excitation ordinairement tonique devenait dépressive. L'étud
e excitation ordinairement tonique devenait dépressive. L'étude des excitations prolongées était propre à la solution du problème
hologique, 1901, p. 69). -Elude expéri- mentale sur l'influence des excitations agréables et des excitations désagréables sur l
de expéri- mentale sur l'influence des excitations agréables et des excitations désagréables sur le travail (ibid., p. 88). Not
n avec le travail fourni dans les expériences actuelles. Toutes les excitations sensorielles peuvent être utilisées (2). On s'e
être utilisées (2). On s'est servi dans cette série un peu longue d' excitations de l'odorat qui ont paru les plus inoffensives.
vail. Ce n'est pas constamment au moins la meilleure condition de l' excitation . Dans les expériences actuelles, on a fait comm
l'excitation. Dans les expériences actuelles, on a fait commencer l' excitation avec le travail, puis on a augmenté progressive
n avec le travail, puis on a augmenté progressivement la durée de l' excitation préa- lable. Dans toutes les expériences on a f
citation préa- lable. Dans toutes les expériences on a fait durer l' excitation pendant toute la durée de la première série de
u repos 22 kil. 53= 100. ..Dans un premier groupe d'expériences l' excitation a été faite avec une essence de cannelle de Chi
ffement artificiel de la télé, etc. (2) Note sur la fatigue par les excitations visuelles (C. R. de la Sou. de Biologie, 1901,
de la Sou. de Biologie, 1901, p. 668). Note sur la fatigue par les excitations du goût (ibid., p. 722). - Note sur la fatigue
excitations du goût (ibid., p. 722). - Note sur la fatigue par les excitations auditives (ibid., p. 749). - Note sur la fatigue
xcitations auditives (ibid., p. 749). - Note sur la fatigue par les excitations cutanées (ibid., p. 753). RECRIERCIIES SUR LA F
RCIIES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 329 Exp. I. - Excitation commençant avec le travail.' « 1re Série : Odeu
.' « 1re Série : Odeur d'essence de cannelle. 330 FÉRÉ Exp. IV. Excitation commençant huit minutes avant le travail. Odeur
l. Odeur d'essence de cannelle. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 331 3e Série : Sans excitation, 3
SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 331 3e Série : Sans excitation , 332 FÉRÉ repos insuffisant pour la réparatio
nce V, la seconde série faite dans les mêmes conditions, montre une excitation secondaire analogue à celle que nous avons sign
secondaire analogue à celle que nous avons signalée à la suite des excitations pénibles. Cette excitation secon- daire on la r
que nous avons signalée à la suite des excitations pénibles. Cette excitation secon- daire on la retrouve dans les 2e, 3e et
'une manière remarquable à la série suivante sous l'influence d'une excitation réputée pénible, produite par l'ammoniaque. Ce
te par l'ammoniaque. Ce qui ressort de ces expériences c'est qu'une excitation agréable qui a pour effet d'exalter la capacité
tait intéressant d'étudier de plus près les effets secondaires de l' excitation prolongée pour constater si elle dé- termine un
où le travail ergographique n'a été précédé ni accompagné d'aucune excitation . " C'est le médius droit qui travaille : Exp.
itation. " C'est le médius droit qui travaille : Exp. VII. - Sans excitation . RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS
: Exp. VII. - Sans excitation. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 333 334 FÉRÉ Exp. VIII. - L'excit
TIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 333 334 FÉRÉ Exp. VIII. - L' excitation commence en même temps que le travail. po Série
SUR LA FATIGUE PAIt LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 335 7e Série : Sans excitation . 336 . FÉRÉ 4e Série : Sans excitation. REC
ORAT 335 7e Série : Sans excitation. 336 . FÉRÉ 4e Série : Sans excitation . RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS
ÉRÉ 4e Série : Sans excitation. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 337 Exp. X. - Excitation commençant
ERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 337 Exp. X. - Excitation commençant 4 minutes avant le travail Hauteur N
LA FATIGUE PAII LES EXCITATIONS DE L ODORAT 33 ! J' 4. Série : Sans excitation . 340 FÉRÉ Exp. XII. Excitation commençant 12
L ODORAT 33 ! J' 4. Série : Sans excitation. 340 FÉRÉ Exp. XII. Excitation commençant 12 minutes avant le travail. Hauteur
rie : Odeur d'essence d'absinthe. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 3 li 1 7° Série : Sans excitation.
R LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 3 li 1 7° Série : Sans excitation . 342 FÉRÉ 3e Série : Sans excitation. RECHE
RAT 3 li 1 7° Série : Sans excitation. 342 FÉRÉ 3e Série : Sans excitation . RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS
ÉRÉ 3e Série : Sans excitation. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 343 9e Série : Sans excitation. 0
SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 343 9e Série : Sans excitation . 0 ta. a- Fio. 1. I. Série d'ergogrammes
n. 0 ta. a- Fio. 1. I. Série d'ergogrammes pris au repos sans excitation donnant un travail total de 22 kilogrammètres 14
mière série de l'expérience XIV). RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 34 ? 31 Série. zig FÉRÉ - 9° Sé
1 Série. zig FÉRÉ - 9° Série. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT , . 347 Fig. 2. zizi. Série d'ergog
izi. Série d'ergogrammes pris au repos et une heure après 2 minutes d' excitation de l'odorat par l'essence d'absinthe, donnant u
- III. Série d'ergogrammes pris au repos une heure après 4 minutes d' excitation de l'odorat par l'essence d'absinthe, donnant u
. Série d'ergogrammes pris au repos, et une heure après 8 minutes d' excitation de l'odorat par l'essence d'absinthe, donnant un
V. Série d'ergogrammes pris au repos et une heure après 12 minutes d' excitation de l'odorat par l'essence d'absinthe, donnant u
travail de 9 k. 69 (Exp. XVIII). RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 349 Exp. XVII. - Excitation de 8 mi
HES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 349 Exp. XVII. - Excitation de 8 minutes précédant le travail de 1 heure. O
action déprimante persistante. Dans ces expé- riences la durée de l' excitation a été uniformément de 8 minutes et le travail n
8 minutes et le travail n'a commencé qu'une heure après la fin de l' excitation . Exp. XX. - Excitation de 8 minutes (odeur d'as
n'a commencé qu'une heure après la fin de l'excitation. Exp. XX. - Excitation de 8 minutes (odeur d'asa /oe< : ft) précéda
précédant le travail de 1 heure RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 351 Exp. XXII. Excitation de 8 minu
RCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 351 Exp. XXII. Excitation de 8 minutes (odeur de musc) précédant le travail
a donné les résultats suivants : RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 353 malaises qui peuvent aller jusq
ux qui ont recours aux parfums pour s'exciter sont des besoigneux d' excitation générale : ils ne se bornent pas à exciter leur
considère les manifestations différentes de l'effet immédiat d'une excitation de courte durée d'une odeur et l'effet d'une ex
édiat d'une excitation de courte durée d'une odeur et l'effet d'une excitation prolongée. (1) Cii. Féré, La pathologie des émo
la brève évolution, à travers des phases successives de latence, d' excitation , de convulsion, de coma, etc., aboutit la mort.
r le médius gauche respectivement. Exp. I. --Médius droit. - Sans excitation ni activité associées. FÉRÉ L'INFLUENCE SUR U
DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES MUSCLES 435 Exp. IL - Médius gauche. - Sans excitation , ni activité associées. 436 FÉRÉ L'INFLUENCE
Fic.. 1 b. - Travail du médius gauche après un repos complet, sans excitation . 91 ki- logrammètres, 79 = 100. - Décroissance
posé. Les diagrammes 4 a (Exp. VII) et 4 b (Exp. VIII) montrent une excitation durable du travail. Et on voit que quand la fatig
même temps que des mouvements de la jambe du même côté montrent une excitation plus forte ; mais les diagrammes 6 a(exp.X) et
t aussi un changement de courbe de la fatigue et par conséquent une excitation momentanée. L'intervention ultérieure des mouve
ents de mastication provoque encore dans ces quatre expériences une excitation relative d'autantplus forte que la dépression ava
avail a été faible au débutplus la dépression est rapide. Comme les excitations sensorielles, l'excitation autochtone par l'act
lus la dépression est rapide. Comme les excitations sensorielles, l' excitation autochtone par l'activité volontaire permet de
bsinthe, 121 k. 38. Comme dans tous les faits suivants relatifs aux excitations sensorielles et aux poisons nerveux, la décrois
vail fourni par le même procédé d'exploration sous l'influence de l' excitation par une activité volontaire, et le travail fourni
ar une activité volontaire, et le travail fourni sous l'influence d' excitations sensorielles diverses et par les poisons ner- v
nos expériences récentes le plus favora- bles sous l'influence des excitations sensorielles ou toxiques diverses nous voyons q
du membre inférieur gauche, 133, 86, soit en moyenne 162, 67. Les excitations les plus favorables avec les excitations sensorie
it en moyenne 162, 67. Les excitations les plus favorables avec les excitations sensorielles don- nent : odorat (1), essence d'
e (2), lumière (1) Recherches expérimentales sur la fatigue par les excitations de l'odorat (Nouv. Icon. de la Salp., 1901, p.
Icon. de la Salp., 1901, p. 334).. (2) Note sur la fatigue par les excitations visuelles (C. R. Soc. de Di-1., 1901, p. 671).
oucher (3), sinapisme, 90,15 (Fig. 11); soit en moyenne 109,78. L' excitation la plus favorable produite par l'alcool (dégustat
de vue de l'hygiène : c'est dans sa propre activité qu'on trouve l' excitation la plus efficace. Elle est aussi la plus inoffe
sement, un moyen de défense (9). . (1) Note sur la fatigue par les excitations auditives (ibid., p. 750). (2) Note sur la fati
itations auditives (ibid., p. 750). (2) Note sur la fatigue par les excitations du goût (ibid., p. 723). (3) Note sur la fatigu
excitations du goût (ibid., p. 723). (3) Note sur la fatigue parles excitations cutanées (ibid., p. 153). (4) L'influence de l'
emploi dévolue à tels de ses éléments constitutifs en vue de telles excitations venues du dehors. Les éléments nerveux pél iphé
e déterminer une paralysie atrophique ir- rémédiable, oususciterune excitation capable de provoquer, aucontraire, une exubéran
eurs indifférents, des voies ba- nales ouvertes à tous les genres d' excitation et totalement incapables d'en opérer le triage.
in 1900. 490 ' E. RAPIN consécutif à une altération - irritation, excitation - du centre trophi- que conjonctif du membre ab
I. INFROIT (2 fig., 6 pl. en photocollogr.), 128. Fatigue par les excitations de l'odorat (Re- cherches expérimentales sur la
et 354. Féré CH. Recherches expérimentales sur la fatigue par les excitations de l'odorat, 321. Féré CrI. L'influence sur l
11 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
. Je pose les rhéophores du côté opposé à l'affection pour éviter l' excitation du plexus brachial du membre malade. Je compte
coeur sont augmentées, quelle que soit la région du cou où porte l' excitation en haut ou en bas. Le pouls est plus fréquent q
te. C'est la seule mé- thode pour éloigner la surface qui conduit l' excitation au grand sympa- thique de l'insertion du muscle
on humérale que de l'articulation sterno-claviculaire pour éviter l' excitation du pneumo-gastrique comme je l'ai dit plus haut.
st soulevé par une contrac- tion assez forte du deltoïde, grâce à l' excitation du plexus brachial. Quant à la force du courant
cuue contraction dans les muscles des membres inférieurs ; mais les excitations éner- giques provoquent des mouvements convulsi
; par suite d'un certain effort vo- volontaire, ou par suite d'une excitation émotionnelle, un muscle faible peut produire un
deux côtés. Pas d'atrophie. Les muscles répondent normale- ment aux excitations électriques. Il n'existe pas de troubles appréc
ts se contractent; cette contracture peut disparaître par les mêmes excitations . M. Charcot et ses élèves expliquent ce fait pa
isés, (il s'agit de 10 malades hystériques) non seu- lement par des excitations tactiles mais aussi par des excitations senso-
es) non seu- lement par des excitations tactiles mais aussi par des excitations senso- rielles quelconques. Si nous envisageons
it d'une hémi-cont1'actufe, c'est-à-dire que sous l'influence d'une excitation sensorielle la moitié du corps du côté où l'excit
luence d'une excitation sensorielle la moitié du corps du côté où l' excitation a été por- tée, entre en contracture ; dans une
te de signaler ce fait important, trouvé par eux, il savoir que des excitations sensorielles quelconques peu- vent faire naître
employée par M. Hogyes et par moi-même. Nous avons employé comme excitation tactile le doigt ou le manche du marteau il réfle
risé, pour les ex- citations auditives, du diapason. Pour avoir des excitations visuelles M. Hogyes employait le morceau de pap
apier'blanc dans les différents méridiens. Pour étudier l'effet des excitations olfactives, nous avons fait usage d'un tampon i
a contracture se présentait sur le côté gauche. En faisant agir des excitations sur les deux côtés du corps, la contracture dev
tamment, je veux parler des contractures réflexes produites par des excitations acoustiques, gustatives, olfactives et tactiles e
ie de la Salpêtrière T VI, PL XLI. CONTRACTURES PRODUITES PAR LES EXCITATIONS VISUELLES. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES RÉFLEXE
n, il se produit : pendant l'état hypnotique sous l'influence d'une excitation sensorielle quelcon- que, une hémicontracture s
d'une excitation sensorielle quelcon- que, une hémicontracture si l' excitation est appliquée sur un côté du corps, et une cont
appliquée sur un côté du corps, et une contracture généralisée si l' excitation porte sur les deux côtés. Je commence la descri
ôtés. Je commence la description de mes expériences par l'étude des excitations tactiles. ' Excitations tactiles. a). Si je
iption de mes expériences par l'étude des excitations tactiles. ' Excitations tactiles. a). Si je frictionne avec la hampe du
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE. b. La contracture siège au côté gauche, si l' excitation tactile est appli- quée à la face gauche. c.
ettent bien en évidence (I'1. XLII et XLIII). En variant le point d' excitation , l'évolution des contractures varie aussi, mais c
rs les muscles excités qui se contractent les premiers. Ainsi, si l' excitation était faite sur le pied droit, c'est une flexio
tôt suivi de la contracture des muscles du bras et de la face. Si l' excitation était appliquée sur la main, l'ordre du dévelop
de la contracture suit la propriété fonctionnelle; par exemple : l' excitation du bras produit en premier lieu une contracture d
s ? . Elles persistent sans se modifier, mais si nous employons une excitation nouvelle soit de la peau soit de l'ouïe ou des
ssi con- tracturés. Les contractures peuvent être détruites par des excitations quel- conques, il n'est pas nécessaire d'employ
citations quel- conques, il n'est pas nécessaire d'employer la même excitation qui a serv 1' a les produire ; ainsi je peux pa
ême excitation qui a serv 1' a les produire ; ainsi je peux par une excitation acoustique, près de l'oreille du même côté du c
ôté du corps, faire disparaître une contracture occasionnée par une excitation ladite. La disparition s'effectue aussi en 15-2
u côté gauche produit une -11 ém i con li-tctui-e,g;i Licli e. 2. L' excitation des parties correspondantes- du corps (par exempl
e généralisée. 3. La contracture produite peut être effacée par une excitation senso- rielle quelconque. 4. Si les muscles s
elconque. 4. Si les muscles sont seulement à l'état d'hypertonie, l' excitation re- nouvelée ne fait pas cesser cette hypertoni
de, ne gêne en rien la production des contractures-provoquées par l' excitation tactile, elles se produisent avec la même promp
t du corps, sans que l'autre côté se contracte ; seulement si celle excitation dure très longtemps, l'autre côté se contracte au
ion dure très longtemps, l'autre côté se contracte aussi. Parmi les excitations tactiles, je comprends aussi l'application de l'é
iampères ; elle est plus lente, si celui-ci n'a que 0, - 1 m. ap. Excitations acoustiques. Comme excitation acoustique, j'ai
i celui-ci n'a que 0, - 1 m. ap. Excitations acoustiques. Comme excitation acoustique, j'ai employé le diapason (Sol 3) dans
lisée se produit. Nous voyons donc, que les effets produits par les excitations acoustiques sont conformes à ceux des excitatio
produits par les excitations acoustiques sont conformes à ceux des excitations tactiles ; l'évolution des contractures est aus
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les recherches du transfert à l'égard des excitations acoustiques ont don- né des résultats assez cur
tion persiste. Les expériences suivantes prouvent la similitude des excitations acous- tiques et des excitations tactiles, en c
ivantes prouvent la similitude des excitations acous- tiques et des excitations tactiles, en ce sens, que le début des contractur
V & XLV. PHOTOTYPIE B1 ? THAUD CONTRACTURES PRODUITES PAR DES EXCITATIONS AUDITIVES ET VISUELLES. MORPHOLOGIE DES CONTR
tures acoustiques ; ce sont des sensations de la peau analogues aux excitations tactiles. Le son du diapason a un effet assez i
irection prise. Ce fait intéressant fût découvert par M. liogyes. Excitations gustatives. Les contractures provoquées par des
gyes. Excitations gustatives. Les contractures provoquées par des excitations gustatives se manifes- tent conformément à cell
s excitations gustatives se manifes- tent conformément à celles des excitations tactiles et acoustiques. 1. Si nous mettons du
auche dont les modalités sont analogues aux autres déjà décrites; l' excitation gustative du côté droit de la langue détermine
-à-dire sur les deux côtés, une contracture généralisée apparaît. Excitations olfactives. Il en est exactement de même pour l
ît. Excitations olfactives. Il en est exactement de même pour les excitations olfactives. Excitations optiques. Tous les ré
es. Il en est exactement de même pour les excitations olfactives. Excitations optiques. Tous les réflexes étudiés jusqu'ici,
e fait qu'ils apparais- sent toujours et exclusivement du côté où l' excitation agissait. Le diapa- pason vibrant à l'oreille g
langue, nous avions une hémi- contracture droite, etc. Seulement l' excitation bilatérale produisait une contracture bilatéral
ui). Tandis que les expériences déjà décrites démontrèrent, qu'ci l' excitation unilatérale de l'un quelconque des appareils sens
une contracture totale ou bilatérale. Donc, il faut admettre que l' excitation unilatérale du nerf optique produit une contrac
re suivante : Irritons la rétine latéralement, de-telle façon que l' excitation soit locali- sée exclusivement sur la moitié te
réflexes qui se rapportent à l'oeil droit, nous voyons que : 1. L' excitation de la macule jaune; (l'excitation étant portée da
eil droit, nous voyons que : 1. L'excitation de la macule jaune; (l' excitation étant portée dans le plan vertical passant par
ssant par la macule jaune) produit une contracture bilatérale. 2. L' excitation du côté nasal de la rétine droite produit une hém
al de la rétine droite produit une hémicon- tracture droite. 3. L' excitation du côté temporal delà rétine droite donne une hém
produire les réflexes rétiniens. Et voici ce qu'on observe : 1. L' excitation de la macule jaune, dans le plan vertical, produi
le. Ce qui s'accorde avec le résultat, que nous avons obtenu avec l' excitation de l'oeil droit. 2. L'excitation de la moitié t
at, que nous avons obtenu avec l'excitation de l'oeil droit. 2. L' excitation de la moitié temporale de la rétine gauche produi
rale de la rétine gauche produit une hémicontracture droite. 3. L' excitation du côté nasal de la rétine gauche produit une hém
e par celle-ci. 2. Une hémicontracture droite sera le résultai de l' excitation du côté nasal de la rétine de l'oeil droit ou d
lir le mécanisme des réflexes rétiniens de la manière suivante. L' excitation produite par la lumière, parvient le long du nerf
t aussi de l'écorce occipitale aux circonvolutions motrices. Donc l' excitation , produite par la lumière sur le côté nasal de l
équence parvient il l'autre côté, au lobe occipital gauche. D'ici l' excitation passe il l'écorce motrice gauche et puisque les
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. au-dessous du bulbe, il est évident, que l' excitation passe de nouveau au côté droit : ainsi le résul
xpliquons-nous la contracture bilatérale, qui se présente lors de l' excitation de la macule jaune ? Tout simplement par cette ra
ns l'arc du campimètre à 30 degrés vers le dehors, et procédons à l' excitation delà rétine vers le centre. Nous voyons qu'à 87
analogue à celle que nous voyons à la moitié droite. La marche de l' excitation vers le centre ne change pas la contracture bil
ite, pendant que ],hémicontrac- ture gauche se joint (seulement à l' excitation des points plus centraux de la rétine) à l'hémi
re gauche, du point de la rétine qui donne une catalepsie droite. L' excitation étant portée en haut du méridien vertical, nous a
iques de la rétine, tandis que la catalepsie gauche apparaît avec l' excitation des points de la rétine plus centraux, plus voi-
dans le méridien horizontal, nous obtenons d'abord (par suite de l' excitation d'un point plus périphérique) une hémicontracture
l'un des cercles nous produisons une hémicontractures droite, par l' excitation des points de l'autre cercle une hémicontracture
a série de points plus centraux constitue le lieu des points dont l' excitation produit une hémicontracture gauche. Sur la moit
tine aussi des points de deux espèces, situés sur deux arcs, dont l' excitation produit seulement une hémicontracture droite ou
uisant ces réflexes, car ces contractures mêmes apparaissent avec l' excitation des parties de la rétine qui ne fonctionnent pas,
1'PNOTIQUES 3 : H seulement des réflexes, des autres parties dont l' excitation éveille une sen- sation de la lumière. Ce dis
spasmodiques ; bientôt ces phénomènes firent place à une période d' excitation motrice, pendant laquelle la malade se déshabil
12 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
piration calme. La réso- lution n'est d'ailleurs pas complète : des excitations cutanées un peu fortes déterminent encore des m
conservés mais présentent la modification signalée par Babinski : l' excitation plantaire déter- mine des deux côtés un mouveme
minutes seulement. 'Ces crises sont provo- quées facilement par des excitations diverses et spécialement par des mouvements imp
er au cours de l'hémorrhagie sous-méningée. Parmi ces symptômes d' excitation il en est un, la déviation conjuguée de la tête
dans un mouvement d'extension des orteils sous l'influence d'une excitation cutanée de la plante du pied. Ce qui ressort le
de symptômes d'ordre différent. Les phénomènes de déficit et ceux d' excitation s'y rencontrent et s'y entre- mêlent ; les para
Il en résulte qu'il est d'ordinaire assez facile de s'assurer si l' excitation indiquée par le malade est exacte. On a encore
des accès maniaques et même en dehors d'eux, on peut constater une excitation génitale qui pousse le sujet à des excès vénéri
on observe de la frigidité et de l'im- puissance contrastant avec l' excitation génitale d'ordre psy- chique, assez fréquente a
ui ne se constate que dans certains cas. M. Voisin ajoute que cette excitation s'accentue à la première période et l'attribue
s'accentue à la première période et l'attribue à l'hypércsthëaie, l' excitation génitale, qui à la seconde période se manifeste
s fois', au contraire, il existe de l'agénésie. De tous les états d' excitation , nous apprend M. Sollier, la première période d
des paroles, mais encore par des actes. L'auteur constate que cette excitation génésique donne souvent lieu à des conceptions
ENS GÉNITAL DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 19 et Ritti sont d'avis que l' excitation génésique se produit presque invariablement pou
e, sont en général exagérées au début de la maladie, à la période d' excitation ; la manière inconvenante dont leur satisfaction
d'actes crimi- nels. Plus tard, avec les progrès de la paralysie, l' excitation anormale et la fonction sexuelle s'affaiblissen
, dans les premiers stades de la maladie ainsi que dans les états d' excitation épi- sodique, habituellement accentué, parfois
quent et à entendre les autres, ces derniers les plus nom- breux, l' excitation génitale l'emporterait de beaucoup; mais ni ceu
des troubles dans le mécanisme de la copulation. Tout d'abord une excitation à tous les degrés arrivant même jusqu'au priapi
u- vent ces deux troubles de la copulation étaient associés à une excitation génitale assez marquée, au besoin plus répété de
s leur virilité. Je crois que si les auteurs insistent tant sur l' excitation génitale à la période prodromique de la paralys
plus grande est confirmée par ce fait que chez 5 sujets seulement l' excitation fut continue, chez les 30 autres elle a été int
on active du centre génital. Par contre l'éjaculation retardée avec excitation vénérienne a été vérifiée par nous à la période
s, opinion due sans doute à l'étalage que font ces malades de leurs excitations génitales; ce sont en réalité les formes dément
r cette seule forme mentale. En troisième lieu, à noter l'absence d' excitation génitale dans tous les cas à forme dépressive,
ns de reconnaître en grande partie erronée, de la prédominance de l' excitation du sens génital avec le délire expansif et l'ag
nce agitée, dépressive calme et dépressive agitée dans lesquelles l' excitation génitale ne fut jamais observée sont également
la chorée a été aiguë, mais en restant tou- jours apyrétique ; 4° l' excitation mentale se calmait à mesure que les mouvements
tres perceptifs ne sont en réalité que des centres de réception des excitations périphériques, nécessaires à la trans- formatio
motion stimulante, ou à une émotion calmante, s'il y a au contraire excitation . C'est le moyen de régenter son émotivité, et d
soit, laisse en nous une empreinte, une tendance à revivre sous une excitation moindre, à créer un commencement d'habitude. De
ez l'un d'entre eux qui se trouvait en période d'accès répétés avec excitation délirante lorsqu'il fut soumis au traitement, o
ait et sept mois après, les convulsions reparaissaient à la moindre excitation toxique ou autre. Sans m'engager en rien dans l
lètes et en série. Le 7 janvier 1892 survint sans crises un accès d' excitation maniaque qui dura quelques jours. Dans la suite
isolés ou associés entre eux, l'un cervical réagissant surtout aux excitations sensi- tives de la peau, l'autre bulbaire, réag
citations sensi- tives de la peau, l'autre bulbaire, réagissant à l' excitation lumineuse, sensorielle ? Quelle est l'action ex
onçu : « Affaiblissement intellectuel. Dépression mélancolique avec excitation par intervalles. Hallucinations de l'ouïe, refus
nt : « Affaiblissement des facultés avec dépres- sion mélancolique. Excitation passagère. Rieurs, propos incohé- rents. Inégal
msomnie persiste malgré le chloral. Bains, hydrothérapie. 29. - L' excitation continue. Ce matin, profitant d'un instant où e
ère. Elle s'est développée physiquement et a une mme superbe. Toute excitation religieuse a disparu, elle accueille facilement
istration de chloral et de bromure pour com- battre l'insomnie et l' excitation . La gymnastique, les exer- cices scolaires, les
é avec les différents sujets : chez les uns, l'alcool détermine une excitation immédiate ou tardive : chez-les autres l'action
atte excitée. Chaque séance dure une heure, avec des alternatives d' excitation et de repos de 5 minutes chacune; pendant les p
la substance chromatique est l'expression fondamentale de l'état d' excitation de la cellule. (illoiphologiscite Differelzzen
IX. Quatorze mois d'application du maintien au lit dans les états d' excitation psychique ; par Lion : '( Obozrénié psichialrü ,
s, installé le traitement au lit pour tous ceux qui présentent de l' excitation . On y a organisé un groupe de pièces destinées
appe aux dangers per- nicieux de l'isolement. L'alitement calme l' excitation psychique surtout celle qui est d'origine psych
i le plus favorablement'. L'alitement est continué jusqu'à ce que l' excitation ait disparu. Il n'a pas fallu pour cela plus de
contre ceux qui veulent l'en empêcher. Il entre à l'asile en élat d' excitation maniaque ; dès le lendemain il est calme et rai
XX. 168 SOCIÉTÉS SAVANTES. pu déterminer des points isolés dont l' excitation produisait sépa- rément les différents mouvemen
2° Fritsch et Hitzig ont trouvé une zone du lobe pariétal, dont l' excitation électrique donne -lieu à des mouvements associés
sait enfin que des mouvements des yeux peuvent être provoqués par l' excitation électrique des lobes occipitaux (sphère visuell
nçais. Renaudin considère la cellule « comme une cause permanente d' excitation , comme exagérant les con- séquences de l'état h
du transport du lit du malade dans la salle d'examen pour calmer l' excitation . Les bains prolongés durant plusieurs heures, l
r Charles BINET-SANGLÉ. La théorie, qu'on peut appeler théorie de l' excitation simple et par laquelle on a jusqu'ici prétendu
ssions sur les conducteurs (secousses clioréiques exagérées par les excitations cutanées; attaques d'épilepsie ou d'hystérie oc
ons cutanées; attaques d'épilepsie ou d'hystérie occasionnées par l' excitation de cer- taines zones, etc.) ; - 2° Soit par s
nt moins de faits inexpliqués, doit être préférée à la théorie de l' excitation simple. RECUEIL DE FAITS. Idiotie épileptique
viennent à se produire des maladies inci- dentes ou quelque phase d' excitation . Un second et un troisième groupe de malades qu
souvent les malades ne pouvant souffrir aucun contact, augmente l' excitation , s'accompagne de lésions, comme meurtrissures,
sous ce régime presque toutes non mortelles, d'autres formes avec l' excitation maniaque suivent leur cours d'une manière beauc
ve). 8. L'indication principale pour le repos au lit est l'état d' excitation des malades. Le régime au lit très prolongé et
es glandes thy- roïdes des animaux mis en expérience, les lésions d' excitation sécrétoire, et l'issue de la matière colloïde h
e principal rôle du système nerveux est dans la transformation de l' excitation reçue. Les centres récepteurs (sensitivo-sensor
véritables transformateurs et producteurs d'énergie nerveuse. Une excitation périphérique atteint l'extrémité du nerf. La vi
l'a produit, de même que celui-ci est exactement correspondant à l' excitation qui l'a déterminé, quoique la nature de cette e
ondant à l'excitation qui l'a déterminé, quoique la nature de cette excitation soit tout à fait différente de celle du courant
centres récepteurs de l'écorce est dans un rapport constant avec l' excitation provocatrice. En se propageant à travers le sys
ration lumineuse, thermique, sonore, chimique ou électrique, ou une excitation purement mécanique. Au niveau des neurones, ces
ransformations que subit l'éner- gie dégagée sous l'influence d'une excitation quelconque, celles quirésultentdunon-fonctionne
uës ou de psychoses chroniques présentant des états intercurrents d' excitation ou de dépression ; 2° tous les malades souffran
terpréter ce fait de deux façons : tout d'abord, on admit un état d' excitation du centre moteur ; mais qu'on consi- dère que c
isolée du centre moteur lui-même : cela seul écarte la théorie de l' excitation , et une autre explication se présente, à savoir
altération de la motricité ou de la sen- sibilité. Les phénomènes d' excitation d'ordre moteur dont peuvent s'accompagner leurs
que dans la reproduction et l'association de celles-ci, soit par l' excitation des sphères sensitives voisines, soit peut-être
l'excitation des sphères sensitives voisines, soit peut-être par l' excitation des autres centres d'association. 11 les consid
e catatonie, si on constate un négati- visme opiniâtre, des états d' excitation spéciaux puérils, des grimaces et une conservat
nsoriels ». Sans doute, ainsi que l'a fort bien montré Tamburini, l' excitation de tel ou tel centre de l'écorce est une condit
que celui-ci exerce sa traction on fait périodiquement une série d' excitations et, si le poids est bien choisi, la rupture se
le muscle répondant pendant ce temps par une contrac- tion à chaque excitation . Quand le muscle est convenablement fixé la rup
La hauteur du raccourcissement musculaire dépend de la forme de l' excitation et de sa localisation. Une secousse unique donne
ontractions ryth- miques signalées par Goltz et par Chauveau et les excitations ré- flexes sont supprimées. Mais les muscles co
t seulement un peu moins vive et énergique que celle que provoque l' excitation directe du bout périphérique des nerfs frai- ch
e prodiusent dans les circon- volutions temporales ci la suite de l' excitation périphérique de l'organe auditif. Ces expérienc
es manifestations gustatives et salivaires à distance sont dues à l' excitation par les lignes de flux du courant des nerfs gloss
e pour les deux pôles. Le goût styptique particulier provoqué par l' excitation des filets nerveux gustatifs ne dépend donc que d
excitation des filets nerveux gustatifs ne dépend donc que de cette excitation et point comme on serait tenté de le croire a pri
étée. Il suffit pour provoquer le goût électrique d'une très faible excitation . M. Leduc (professeur à l'École de médecine de
en des tracés de la pression artérielle semble indiquer l'absence d' excitation vasomotrice que provoquera au contraire le cour
érébrales, soit périphériques et l'a trouvée tantôt à la suite de l' excitation faradique, tantôt et plus souvent à la suite de l
groupe des crimi- nets imbéciles) ; souvent elle est causée par une excitation sexuelle tellement forte (effet de la continenc
ion était surabondamment compen- sée par l'émotion voluptueuse de l' excitation sexuelle. Très sou- vent, comme cause de l'irré
ÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. le consensus engendre, d'ordinaire, l' excitation sensuelle, il gar- dera seulement un point d'lt
ation mentale, l'élément ci la fois iîéces- saire et suffisant de l' excitation sexuelle. VI. Sadisme ET S.\DI-FÉTICIllSIE, - A
tablit un rapport entre le spectacle de la souffrance infligée et l' excitation voluptueuse. Cette corrélation nécessaire est n
écrirons en quelques mots ce qu'est ce réflexe à l'état normal. L' excitation de la plante des pieds provoque généralement un
EXE PLANTAIRE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. li53 cas pathologiques, l' excitation de la plante du pied pro- voque au contraire l'
lentement que le mouvement de flexion et devient plus fort pour une excitation de la partie externe de la face plantaire (Babi
dre à une substitution véritablement tératologique en ne recevant d' excitation génitale que d'un individu de son propre sexe.
ontanées, tantôt pro- voquées par la volonté de l'amputé ou par une excitation cluclcon- que du moignon; elles n'existent que
destructive, ambitieuse '. L'idiotie destructive caractérisée par l' excitation de l'instinct destructeur est la forme la mieux
t par les causes de la folie, qui consistent ordinairement dans une excitation , trop vive ou trop prolongée, des instincts égo
els, et, se prolongeait même souvent au-delà de cette durée., Cette excitation développe nécessairement ces instincts, et ce dév
otulien et les réflexes tendineux en général sont le résultat d'une excitation brusque, mécanique, momentanée des nerfs sensit
u'on observe chez les paraplégiques myéli- tiques, à la suite d'une excitation cutanée quelque peu prolongée et produisant des
mécaniques, et le stimulant qui est leur mode normal et approprié d' excitation est probablement une tension mécanique. Les vra
inaux moteurs innervant le triceps crural peut être amoindrie par l' excitation de l'activité des neurones moteurs qui innerven
pas un réflexe plantaire; il ne se produit pas exclusivement par l' excitation de la plante du pied; il est un phénomène témoin
après. Le réflexe cutané plantaire s'affaiblit à son tour. Après l' excitation habituelle de la plante du pied il ne se produi
ensité de l'action, le cerveau et le faisceau pyramidal apportent l' excitation ; le cervelet et les cordons postérieurs sont d
contractiles (triceps crural) sis dans les cornes antérieures, de l' excitation que le choc du tendon produit sur les fibres ne
vis de la tension des muscles, d'autre part vis-à-vis de la force d' excitation des pyramides, dans le même rapport physique qu
nt, mais graduellement et les uns après les autres, non seulement l' excitation volontaire, qui est directement com- pensée par
imites normales, non seulement il y aura ataxie progressive, mais l' excitation volontaire paralysera simultanément et graduel-
ra complètement le phénomène du genou, à l'instant où la force de l' excitation volontaire station- naire, c'est-à-dire relativ
national d'électrolo,ie. LEDuc (S.). Rapport entre la variation d' excitation des nerfs et la variation de densité des couran
13 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r, il est admissible qu'une blessure du crâne produise une certaine excitation cérébrale chez un individu parvi in,c/ezü, on n
'images mentales. Dès l'origine, ils ont défini l'hallucination une excitation morbide des cen- tres sensoriels de l'écorce, a
LES FONCTIONS DU CERVEAU. 57 Munk n'avaient-ils pas montré que l' excitation élec- trique qui, dans de certaines conditions
animaux par des mouvements correspondants ? Dans les deux cas, l' excitation électrique, substituée à l'irritation morbide,
elle peut n'intéresser qu'un seul sens et être unilatérale, si l' excitation est limitée à un territoire cortical res- trein
on ne saurait affirmer qu'elle n'a point pour elle l'avenir. Une excitation électrique, portée sur Ti du singe, dé- termine
liens 'inclinaient bien plutôt à croire qu'elles dépendaient de l' excitation directe de centres moteurs siégeant dans la zon
tres est en même temps le foyer de réception * et de perception des excitations sensorielles provenant d'une partie donnée du c
rovenant d'une partie donnée du corps, et le point de départ de l' excitation volitive centrifuge pour les muscles de cette p
duit soit un arrêt brusque et primitif du coeur dû probablement à l' excitation anémique du myélen- céphale, soit une mort plus
ormise le malade, le sommeil se produit facile- ment sans période d' excitation . On constate qu'il existe un clapier rempli de
s renfermé, je suis porté pour les petits garçons. Néammoins, cette excitation a bien diminué. » Pourtant sa mère nous dit qu'
REVUE DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE I. ETUDE analytique au MOYEN DE l' excitation ÉLECTRIQUE DES RÉGIONS MOTRICES DU CERVEAU DU S
: on a soumis la subslance corticale de ses lobes occipitaux à une excitation par un courant induit fort et prolongé ; comme
us tard, au début du cinquième mois que l'auteur a pu obtenir par l' excitation de la substance corticale du milieu des circonv
tte remarque, cepen- dant, que la force du courant et la durée de l' excitation doivent être beaucoup plus considérables pour c
e blanche des lobes occipi- taux, les résultats diffèrent. Ainsi, l' excitation de cette substance détermine à partir du second
ment les électrodes dans la substance blanche. Quand on produit une excitation bi-latérale et simultanée, la déviation se mani
un rôle important dans la production des phénomènes résultant de l' excitation de la substance blanche des lobes occipitaux :
e Ferrier d'après laquelle les mouvements oculaires observés dans l' excitation du lobe occipital sont le résultat de sensation
s. Donc pratiquement la compression de la carotide faisait perdre l' excitation électrique immédiatement ; et ,cette excitabili
es remonte à trois ans et les auteurs se sont servis à la fois de l' excitation électrique et de l'ablation des régions cérébra
énomènes qui tenaient à la suppuration par défaut d'antisepsie. L' excitation de la région motrice leur a donné les mêmes résul
on et la projection en avant du bras et de la main. C'est surtout l' excitation de la partie supérieure qui met en jeu les musc
de la partie posté- rieure des muscles du poignet et des doigts. L' excitation de la partie supérieure de l'aire près de la sc
ariétale et la frontale ascendantes au-dessous de l'aire du bras. L' excitation du tiers ou de la moitié supérieure produit l'o
du nez, la rétraction et l'élévation de la commissure la- biale. L' excitation du tiers inférieur s'accompagne de mouve- ments
rontal au niveau de son bord supé- rieur. Les effets produits par l' excitation sont ceux décrits par Fer- rier : ouverture des
du tronc, et au-dessous et en arrière, celle du membre inférieur, l' excitation de la partie la plus reculée, près de la scissure
aucier n'est pas animé par le facial, à moins qu'on n'admette que l' excitation choisit la portion du centre cortical du facial
ur donner nais- sance à une sensation, il faut faire intervenir une excitation . Les excitations peuvent être d'origine extérie
sance à une sensation, il faut faire intervenir une excitation. Les excitations peuvent être d'origine extérieure ou d'origine in
origine inté- rieure. C'est l'étude de l'influence immédiate de ces excitations sur les manifestations psychiques qui fait l'ob
fait l'objet du quatrième cha- pitre. L'auteur prend d'abord les excitations simples pratiquées sur les terminaisons nerveus
mixte et compliqué dont le processus est, en somme, le suivant : l' excitation primitive prend naissance dans le domaine du gr
t ensuite aux conditions nécessaires pour la transforma- tion d'une excitation en acte réflexe ou en mouvement conscient, l'au
s rendons compte et, cependant, c'est juste- ment l'ensemble de ces excitations venues du dehors qui impres- sionne nos centres
s l'influence des conditions atmosphériques. Or, si l'influence des excitations extérieures se dérobe à notre conscience, celle
des excitations extérieures se dérobe à notre conscience, celle des excitations venant de notre organisme lui-même est encore p
aft-Ebing, etc., l'auteur démontre comment, sous l'influence de ces excitations internes, naît telle ou telle disposition qui pro
lacer le malade dans un asile d'aliénés. Au début il présente une excitation maniaque, avec des idées de grandeur, qui peut
ois le malade avait eu des alternatives de mélancolie profonde et d' excitation cérébrale ; que dans sa période d'excitation, il
lancolie profonde et d'excitation cérébrale ; que dans sa période d' excitation , il avait fait des achats inconsidérés, hors de
athie complète. Cet état apathique fait place parfois à des accès d' excitation et d'irrita- tion qui s'expriment en convulsion
c'est le seul moyen de régulariser la circulation, de diminuer les excitations senso- rielles, de calmer les cellules nerveuse
sommeil que très irréguliè- rement et toujours après une période d' excitation fâcheuse. MM. Séglas d'une part, et Brouillard
ulie, idées de mort, vide cérébral, alternatives de dépression et d' excitation , angoisse précordiale, etc., et venant s'ajouter
turnes qui peuvent aboutir à un véritable état de mélancolie ou d' excitation . De plus, elles peuvent parfaitement bien se tran
ions, l'ivresse est punissable quand on aurait pu l'éviter, quand l' excitation qu'elle fournit a été recherchée dans le but de s
te est plus- dilatée que la gauche : elle n'agit que faiblement par excitation , lumineuse, même par convergence 1. Le profes
es corticaux, qu'on a appelés « moteurs » parce que, en effet, leur excitation expérimentale ou leur irritation pathologique d
des extrémités et du tronc, suivant l'intensité et la durée de l' excitation des cellules nerveuses de ces centres ? Rien de
moteurs. « En envisageant, dit-il, les mouvements produits par l' excitation de points déterminés de l'écorce céré- 366 PHYS
pontané, autonome, et que leur mise en activité est subordonnée aux excitations venant des régions sensorielles voisines, surto
es corps striés aux diverses régions de l'activité cérébrale ». Une excitation partie des « centres psychiques », par exemple,
ructions de l'écorce. Tels sont les principaux troubles, - avec une excitation psychique très vive de l'animal, qui est pris d
sé, sur la longue durée du retard des réactions déterminées par l' excitation de ces régions de l'écorce, ce qui permet de- l
ion, de la constance des mouvements isolés, qu'on obtient par des excitations localisées de l'écorce. Ni la forme ni les cara
des cordons postérieurs de la moelle, et ceux qui résultent de l' excitation de la substance corticale du cerveau. Dans le p
telle ou telle région '. » Pour Bechterew, l'aire corticale dont l' excitation détermine ces mouvements est, on le sait, purem
is il ajoutait que, cinq jours après la section de ces cordons, l' excitation de la zone motrice demeurait sans effet. Les ré
er les opi- nions de Schiff sur la nature réflexe des effets de l' excitation de la zone motrice, l'ancien professeur de phys
e sa pensée. La constance des mouvements localisés produits par l' excitation électrique de régions déterminées de l'écorce,
lules ner- veuses de l'écorce cérébrale ? Sentir et percevoir les excitations centripètes, transmises par l'appareil spi- nal
t, écrivait Tamburini, des points qui sont le siège primitif où l' excitation sensitive, devenue perception consciente, se tr
res serait, à la fois, un foyer de réception et de perception des excitations sensitives provenant d'une partie donnée du cor
t dite, des points aussi constants que ceux de cette région, dont l' excitation provoque toujours des mouvements des yeux, des
urs des mouvements des yeux, des oreilles, du nez et des joues. L' excitation de la deuxième circonvolution externe du chien,
ine un plissement du nez et des joues ; les dents se découvrent ; l' excitation de la troisième circonvolution, toujours en arr
nt ne sont pas aussi bien différenciés queceux qui résultent de l' excitation de la zone motrice proprement dite. Mais, en dé
de l'écorce cérébrale chez les animaux nouveau-nés 1. i. Ainsi l' excitation des points facilement excitables du gyrus sigmo
n après l'apparition des réac- tions motrices des membres, dues à l' excitation du gyrus sigmoïde. Quant aux mouvements conjugu
sigmoïde. Quant aux mouvements conjugués des yeux, déterminés par l' excitation de l'écorce du lobe occipital, ils n'ont apparu
'est-à-dire du côté opposé et du côté correspondant, pourvu que l' excitation ait une intensité suffisante ou que la moelle s
aire pour qu'un nerf moteur séparé de la moelle cesse de réagir aux excitations . « Les physiologistes italiens avaient montré q
déglutition. Pas de stertor. La tête elle-même n'est pas tombée. L' excitation du sterno-masloïdien ou des muscles de l'avant-
en considération dans le pronostic. Ainsi les accès épileptoïdes, l' excitation cérébrale (céphalalgie), les vertiges avec atta
ences à de nombreuses transfixions. En voici les résultats : 1° L' excitation mécanique du noyau caudé et du noyau lenticu- l
é et même du même côtéquoiqu'à un moindre degré. Si l'on prolonge l' excitation fara- dique, on produit un accès convulsif des
sont dus à l'irradiation du courant par la capsule interne. 2° L' excitation mécanique superficielle de la couche optique rest
ue superficielle de la couche optique reste inaclive, de même que l' excitation faradique la plus faible. Si l'on s'adresse à d
e du reste qu'elles soient plus ou moins éloignées de cet organe, l' excitation se traduit de la même façon. Parfois cette cour
celle-ci est due à l'irritation secondaire d'organes éloignés. 3° L' excitation mécanique et faradique des tubercules qzcccdriju-
s'accompagne souvent de cris. Elle survit de plusieurs minutes à l' excitation . Souvent aussi une convulsion tonique termine l
chimiques et mécaniques, provoque des symp- tômes semblables; or l' excitation mécanique n'agit pas sur lui. 4° L'excilation m
duit par une convulsion tétanique extrême, qui survit longtemps à l' excitation . On obtient encore les mêmes résultats quand la
a observé sur lui-même un léger degré d'épreinte vésicale dû à une excitation mécanique quelconque de la muqueuse buccale.
ffectuer de travail utile ; surles légers accidents de parésie et d' excitation de la moelle avec troubles de la seiisiblité at
fonctions du - d'après l'Ecole italienne), par Soury, 28, 360, - excitation électrique des régionsmjtricesdn du singe,par
14 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
es Deux-Mondes, 15 mai 1891). Guinon et Woltre — De l'influence des excitations sensitives et sensorielles dans les phases cata
on de la volonté à l'état normal ne serait pas capable de provoquer d' excitation dans les nerfs et les muscles ne fonctionnant pas
, la sécrétion de sucs spéciaux, etc. Ce mouvement moléculaire, nommé excitation nerveuse, se manifeste sur le galvanomètre par de
l'inducteur et le lecteur se touchent, ce mouvement moléculaire de l' excitation nerveuse devrait se transmettre des nerfs d'un ho
nt en contradiction directe avec les faits physiologiques connus. L' excitation nerveuse est incapable non seulement de traverser
pattes postérieures, chacune avec son nerf sciatique, l'on sait que l' excitation électrique, par un courant interrompu, de chacun
rera tout le temps à l'état de repos. Ce fait prouve clairement que l' excitation nerveuse, si forte qu'elle soit, n'est pas capabl
r s'exprimer d'une façon moins scientifique, mais plus mystérieuse, l' excitation nerveuse qui se propage le long d'un nerf n'est p
qui se propage le long d'un nerf n'est pas capable d'induire la même excitation dans un autre nerf, qui le touche même immédiatem
ent les expériences faites sous une autre forme. Nous avons dit que l' excitation du nerf sciatique provoque un tétanos général dan
Si l'on lie fortement avec du fil le nerf au milieu de sa longueur, l' excitation du nerf, au-dessus de l'endroit où a été faite
provoque plus alors la moindre contraction de la patte, tandis que l' excitation du nerf, entre la ligature et les muscles de la p
tte, provoque une contraction nette des muscles. Il est évident que l' excitation nerveuse n'est pas capable de passer par les endr
rée par la ligature. Si l'on prend le nerf sciatique vivant, dont l' excitation par un courant interrompu provoque la contraction
a section transversale des deux bouts du nerf, l'on verra que la même excitation du nerf, aa-dessus du point de section, ne provoq
int de section, ne provoquera plus de contraction, tandis que la môme excitation , appliquée au-dessous de l'endroit de la section,
s faits résulte avec évidence cet axiome général physiologique, que l' excitation nerveuse n'est pas capable de passer ou de sauter
du nerf; ou, en d'autres termes, la loi de la propagation isolée de l' excitation nerveuse par des filets nerveux isolés et continu
faites avec le cerveau ou la moelle épinière mis à nu prouvent que l' excitation de ces organes ne se transmet pas du tout au cerv
édiatement. Ici régnent aussi les lois de la transmission isolée de l' excitation nerveuse suivant les centres et les filets nerveu
enant, pour une minute, que les choses se passent autrement, et que l' excitation nerveuse ne se limite pas aux sphères directement
égulière nerveuse serait possible? Sans aucun doute. — non. puisque l' excitation d'une catégorie de centres cérébraux, par exemp
mple les centres visuels, devrait s'accompagner, par induction, d'une excitation simultanée des centres d'autres sensations, ainsi
dmettant cette hypothèse, nous devrions nous attendre à ce que chaque excitation extérieure de nos organes des sens arrivant jusqu
sens arrivant jusqu'à tel ou tel groupe de centres nerveux, ou chaque excitation apparaissant en eux indépendamment, devrait, suiv
apparaissant en eux indépendamment, devrait, suivant l'induction des excitations d'un nerf à l'autre, d'un centre à l'autre, mettr
nsensée de tous les appareils du corps. En admettant l'induction de l' excitation nerveuse dans les éléments nerveux de notre corps
le système nerveux d'un homme devrait agir sur celui d'un autre. L' excitation nerveuse, se trouvant au fond de notre activité n
eaux, etc., qui sont gouvernés par le système nerveux. La nature de l' excitation nerveuse reste dans tous les cas la môme, et les
es des appareils centraux et périphériques auxquels se transmet cette excitation . En arrivant jusqu'aux centres des sensations, de
rivant jusqu'aux centres des sensations, des représentations, etc., l' excitation nerveuse provoque en eux une série de phénomènes
rrivant par les nerfs périphériques jusqu'aux organes du corps, cette excitation nerveuse provoque, dans un cas, l'activité des mu
des insectes, par exemple le vert luisant (Lampyris), chez lesquels l' excitation nerveuse provoque même le développement de la lum
lanterne recommence A briller. Ainsi, la sphère de l'activité de l' excitation nerveuse est limitée par les frontières du corps,
ontières du corps, et les différentes formes de la manifestation de l' excitation nerveuse dépendent des fonctions particulières ph
t en jeu. Examinée à ce point de vue-là, qui est le seul correct, l' excitation nerveuse ne fait que donner l'impulsion à l'activ
s ou tels organes du corps; et telle qu'elle est. sans ces organes, l' excitation nerveuse ne se transforme en aucune des formes co
entres du cerveau, s'accompagnent d'une transmission excentrique de l' excitation nerveuse sur les nerfs sécréteurs des glandes lac
es parois des vaisseaux sanguins par la transmission excentrique de l' excitation nerveuse des centres de sensations et de représen
et de la moelle épinière surtout. Ces centres réflexes transmettent l' excitation des voies sensibles aux voies motrices, et provoq
t tout à fait involontaire, et s'effectue sous la seule influence des excitations provoquées dans les centres actifs qui participen
ns, que l'hypnose ne peut être obtenue chez ces aliénés que lorsque l' excitation hallucinatoire et maniaque a cédé et lorsque les
t-à-dire les contractions et les contractures produites par la simple excitation mécanique des muscles et des nerfs qui lui réagis
-à-dire les contractions et les contractures provoquées par la simple excitation de la peau dans la période somnambuliqite. Nous
t l'intensité qu'elles acquièrent en raison directe de l'énergie de l' excitation provoquée, doivent convaincre tous ceux qui prati
icina ¦, interna del 18SS. Milano, 1889. en suggérant, après chaque excitation , les mouvements qui devaient être exécutés; mais
uniquement de la nature différente, de l'intensité et de la durée des excitations employées pour les produire. Or, le* études que
, je veux dire les contractions et les contractures, on procède à une excitation mécanique sur les muscles, sur les tendons et sur
mouvements correspondants, d'après les lois physiologiques. Et si l' excitation mécanique que l'on fait agir sur les muscles et s
oreilles, le chatouillement prolongé de la peau. Sous l'action de ces excitations , on remarque la flexibilitécerea des membres, qui
ait agir sur les centres nerveux, par une voie ou i«ar une autre, une excitation faible, mais prolongée, et l'on, a obtenu, comme
chel et la plupart des physiologistes, consiste la catalepsie. Si l' excitation , au lieu d'être médiocre, est très intense, comme
ouvoir ou les plier), état qu'on doit considérer comme provoqué par l' excitation mécanique assez intense qu'on emploie. Et pour ce
considérons attentivement le mécanisme qui le produit, on verra que l' excitation cutanée locale ne fait qu'élever à un plus lu.ut
ure, qui était déjà généralement répandue par l'action de la première excitation employée. Par conséquent, nous ne voyons pas ici
e l'hypnotisme, c'est-à-dire les contractions et les contractures par excitation mécanique, sur les muscles, sur les tendons et su
sitions les plus variées, et la contracture somnambulique par légères excitations cutanées. Les mêmes cas ont été observés et enr
, pour mieux dire, parce que seulement alors ont été mises en jeu les excitations (mécaniques, lumineuses, acoustiques, etc.) capab
nsox. Les Agents provocateurs de fhysttrîe, Paris 1889. fluence des excitations mécaniques ou des stimulants sensoriels en généra
ans le droit commun, i plus forte raison celui qui chercherait dans l' excitation passagère de l'ivresse l'appoint manquant à sa ré
on qu'on leur donne, mais restent flasques et l'on ne constate aucune excitation musculaire. Noos n'avon* jamais pu obtenir les
réalité, placées devant cet œil, — et qui se manifeste a propos de l' excitation que certains sons produisent sur l'organe de l'ou
a observé, les sensations lumineuses étaient provoquées, non par une excitation de l'oreille, mais par une excitation des organes
étaient provoquées, non par une excitation de l'oreille, mais par une excitation des organes du goût; il s'agit donc d'un cas de g
nde, n*6, SO juin.) Gcisox et Sophie Woltkï. — « De l'influence des excitations des organes des sens sur les hallucinations de la
60 du Code pénal, par cela seul qu'il y a eu emploi de suggestions ou excitations dolosives adressées à des personnes appelées à dé
nt plutôt une asthénie nerveuse générale. La plupart ont un mélange d' excitation et de faiblesse, qui ne permet pas de les ranger
ous savez avec quelle exactitude mathématique il a démontré que toute excitation sensorielle ou psychique était suivie d'un épuise
t suivie d'un épuisement numériquement proportionel quand il s'agit d' excitations numériquement mensurables? D'autre part, il a net
numériquement mensurables? D'autre part, il a nettement établi que l' excitation est d'autant plus facile, rapide et intense quo l
s de sa tension normale par uno série d'épuisements consécutifs à des excitations antérieures, jusqu'à ce que toutefois on arrive a
utefois on arrive a un tel état d'affaissement que les réactions de l' excitation ne puissent plus se faire. Eb bien, toute l'étiol
s », par rapport i leur degré de résistance individuelle à la somme d' excitations qu'ils ont ou à subir ou des fils de surmenés de
ou des fils de surmenés de môme nature. Et vous savez quo toutes les excitations physiques, morales ou intellectuelles oui ici la
u noter le raccourcissement du tégument cutané dont parle Gull. Les excitations électriques n'ont rien produit d'intéressant. T
nte, considéré jusqu'à présent comme une névrose vaso-motrice due à l' excitation des nerfs vaso-dilatateurs, sera-t-il. comme l'ur
s mêmes auteurs sont aussi d'accord pour prétendre que les offels des excitation * physiques sout très différents selon qu'on les a
rticuliers, el cela par la seule acLioo de l'hypnotisme ou j-ar des excitations sensorielles exercées dans cet élat. Ainsi, pou
et la facilité avec laquelle elles cèdent sous l'influence des mêmes excitations qui les ont produites, ou bien d'excitations anal
us l'influence des mêmes excitations qui les ont produites, ou bien d' excitations analogues parlant sur les muscles antagoniste-*.
gues parlant sur les muscles antagoniste-*. Au lieu de recourir aux excitations sensorielles lentes, si Ton emploie des excitatio
u de recourir aux excitations sensorielles lentes, si Ton emploie des excitations brusques, telles que le bruit inattendu d'un coup
cette hyperexcilabililé qui se traduit par ce (ait que la plus légère excitation de la peau amène la contracture des muscles sous-
venaient modifier cet état. La malaxation des muscles, des tendons, l' excitation du nerf cubital n'amenaient l'apparition d'aucune
s globes oculaires, la malade paraissait devenue indifférente à toute excitation sensorielle; les membres soulevés retombaient lou
r sur le siège où on l'a placée. Aucune des tentatives faites par les excitations physiques pour provoquer les manifestations du gr
dément. L'anesthésie et l'amnésie au réveil étaient complètes. Aucune excitation physique n'a amené de modification à son sommeil.
nt inadmissible que de même chez les hystériques et les hypnotises, l' excitation de certains centres qui se prononcent puissamment
il voit sans le secoars de l'œil. Les images qui proviennent par l' excitation intérieure (comme les hallucinations suggérées, q
araître chez elle la contracture des muscles excités. En continuant l' excitation sur les mêmes muscles, la contracture se générali
ambes. Pour faire cesser ces contractures, il suffit de recommencer l' excitation des extenseurs de l'avant-bras. De plus, les memb
erexcitabilité neuro-musculaire qui n'avaient pas été provoqués par l' excitation directe des muscles tant que le sujet ignorait le
excitation directe des muscles tant que le sujet ignorait le but de l' excitation , ont apparu dès qu'ils lui ont été suggérés par l
a tarentule d'Apulie peut provoquer réellement dan certain* cas cette excitation particulière du système nerteux qu'on traitait au
15 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nstaté plusieurs fois de suite; on ne peut donc l'attribuer à une excitation plus forte de l'anode par suite de la diminution
ent pendant un temps très court, quelques dixièmes de seconde). L' excitation galvanique du même nerf donne lieu à une griffe
urant faradique à interruptions de fréquence moyenne, à raison de l' excitation toutes les six secondes; la secousse ainsi obte
SE. mêmes appareils. Nous avons alors augmenté le P, nombre des excitations et en avons fait une par seconde et demie ; l
ons musculaires toniques ; de 12 CLINIQUE NERVEUSE. môme avec les excitations mécaniques ou électriques; ces contractions per
sculaire persistant qu'à l'extrémité inférieure du vaste interne. Excitations mécaniques sans résultat. Pas de réflexes tendi
, il est obligé alors de se livrer à un massage de ses muscles; - l' excitation mécanique ne produit rien; -réflexes rotulienst
la contraction musculaire persiste un peu après la cessation d'une excitation électrique de courte durée et ne disparaît que
te et brève avec le marteau de Skoda produit les mêmes effets que l' excitation électrique de courte du- rée, c'est-à-dire une
l'exploration électrique, sinon que la contraction persiste après l' excitation , qui, si elle est assez forte, produit même de
s, il ne nous a pas été donné de la constater. Lorsqu'on fait une excitation mécanique sur le corps de l'un des muscles, ave
celle de Bernhardt et dans la nôtre, c'est la persistance, après l' excitation faradique, soit de la contraction elle-même, so
ca- ractère transitoire, ainsi que les phénomènes produits par l' excitation électrique, nous aurions plutôt une tendance à
ral. J'ai, en effet, rangé sous cette dénomina- tion tous les cas d' excitation et de dépression qui n'é- taient pas sous la dé
sion, au chatouillement, sans qu'il y eût le moindre retard entre l' excitation et la perception de la sensation provoquée. Aussi
fait suivant nous a paru digne d'intérêt. Observation. Atuxlyuc; excitation génitale; lesbisme; Anoma- lies asymétriques de
ts normaux, et elle les recherchait : il y avait tout au plus une excitation génésique. Elle n'avait aucune anomalie des org
s tout. Le rapprochement est encore plus complet. Nous savons que l' excitation des zones hystérogènes, parmi lesquelles compte
aque de spasme. Les attaques se produisaient cependant sans cause d' excitation apparente. Pendant une période variant de six c
n'en était rien. Elle était insen- sible à la douleur et aux autres excitations . L'expression delà phy- sionomie était vague et
ccessive des ganglions sphéno-palatins : et des lobes olfactifs). L' excitation chimique, mécanique, thermique, électrique du n
ntusion sur l'occiput, action par contre-coup), l'exagé- ration des excitations (odeurs trop fortes) qui enchaînent pro- bablem
eumonies et qui étaient en plein délire alcoolique avec turbulence, excitation , surtout nocturne, présentant tout le cor- tège
ns musculaires; 2° leur amplitude; 3° l'accélération à la suite des excitations . Les tracés sont identiques chez l'homme et che
enir des contractions avec l'électricité statique quand toute autre excitation était infructueuse. M. Birdsall lit au nom du
st en rapport avec des centres multiples; il peut trans- mettre des excitations partant de points différents et répondant à des
tige est le signe indiquant une tension exagérée, la commotion ou l' excitation anormale des nerfs des canaux semi-circulaires.
alyse des faits montre qu'il y a des organismes plus disposés aux excitations réflexes (tabétiques), d'autres à la douleur (h
décu- bitus dorsal, et plongée dans un coma profond, dont aucune excitation ne peut la faire sortir. Elle fume la pipe du côt
t chez les individus atteints de cette même affection. La période d' excitation nous parait marquer le début de la maladie seco
é au système nerveux. La section du nerf optique et du trijumeau; l' excitation du mo- teur oculaire commun, la section et l'ex
rijumeau; l'excitation du mo- teur oculaire commun, la section et l' excitation du grand sympathique du cou, sont restés sans e
2° dans la respiration normale, calme, il part du bulbe une série d' excitations qui produisent à intervalles réguliers, les mouve
ions plus fortes en excitant la moelle entière qu'en localisant son excitation sur un point. Une autre conséquence de ses rech
une en particulier à peu près inévitable : c'est la diffusion de l' excitation produite par les centres, excitation qui produi
able : c'est la diffusion de l'excitation produite par les centres, excitation qui produitla contraction simultanée de plusieurs
neuro-musculaire (contraction ou contracture des muscles par simple excitation mécanique), la période catalep- tique par la fl
ntation de l'excitabilité est en quelque sorte latente, il faut une excitation mécanique des muscles ou des nerfs pour la rend
endre manifeste; la contracture produite cède très facile- ment à l' excitation des antagonistes. La catalepsie n'est qu'une co
t une contracture très forte qui ne cède plus sous l'influence de l' excitation des antagonistes. En étudiant les procédés vari
nsité et la durée des excitants qui sont capables de les produire. ( Excitation mécanique rapide pour la contraction, plus fort
la contraction, plus forte et plus pro- longée pour la contracture; excitation sensorielle, visuelle, auditive, etc., faible,
n simple examen des contractions ou des mouvements produits par l' excitation électrique. Quoiqu'il en soit nous allons indiq
raumatisme antérieur, de façon à avoir les secousses normales par l' excitation du sciatique avec Kas, A ? zs, .9ao; on sait qu
les muscles dont le nerf avait été sectionné ; mais, cette fois, l' excitation électrique était portée non plus sur le nerf ma
celles de Doring. On sait que les premiers considèrent que, dans l' excitation unipolaire d'un nerf moteur, il faut admettre l
n. (Second série). New-York, 1882. JVe)'(;6-t) : '6t'u<M ? : and excitation as agents in the treatment of func- tional diso
e Paris, 1882, FAITS DIVERS. 269 De l'albuminurie consécutive aux excitations cutanées; par Hcmlan- jian Thèse de Paris, 1882
e supérieur que l'on pique ou que 1 on touche, la malade rapporte 1 excitation a la face interne du bras, mais son état intell
i. - .Mit .f ? tn<v. kI l-it »-, lu; JilMilj .'(1 sécutive a'une excitation mécanique portée a la péri- ? ? . i,,... m, , ? (
? 1`II . "rr 'rtllr'l'1lJ f` d une contraction, montre que, entre 1 excitation et son - WiHi. ? «^.If,. 't.'™l ^"V ]fW./tt)' "
.cer-, 1. , , 111 Itlt, ),lit, , " >i ? a," ? ;\ ? ' 1 ' laine excitation se transmet du,foyer médull,ai.re,d ? ori-, ' s
iTlUilIlh -ii> n- > " ' analogue, que nous invoquons, ici. L' excitation , au,lieu de venir du. cerveau, comme dans l'act
réflex'e ? tr9l 1)-ti Il "r3a. tt9ra '.t ? f')f' 1#1 bjel r i d) L' excitation mécanique,1 qui produittia contracture dans ! e
y 1 68 : )`Enririsistnt; une fois)la griffe médiane^ produite ? l' excitation -,sort 'dérha.'sphèrea'du rliédian ? Cersôntl.l
noa s ! ie-'6Lf<'t)nt i - y Là 'rasonde'cpttej propagation, de l' excitation ) duu muscleià'umautremusclel plus où moins .élo
n retard très appréciable de plilsiéurs'secridesl(3;3;=.N)i entre l' excitation ët'Icrniôuvéinnt t réflexe ? t'.t) ')14 lllu dn
ement stertoreuse, le sommeil *i chloroformique parait profond. ? L' excitation mécanique aussi bien à la face gu;ausame,miorçs
emarqué ce premier fait : que les- contractions réflexes, lorsque l' excitation 31 G PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. qui porte sur
es qui. sont si vraisemblables, onts'exp)iqùe aisément pourquoi les excitations faites surflesjextré-' i mités d'un nerf sensit
st']a' suivante ? ni- lit «1^4 - >l» ? u i tt, --t «b'" -* Une excitation mécanique qui'n'intéressé'que a peau comme le p
re'éale`riéiit --ails résultats [Tandis' qu'au'1 môme ? pbint ? une excitation " mécanique' 'quelconque qui 'intéressé ; 'au'tr
;' légitime cette manière de'.vdir : '» - Àinsil donc3, b lorsque l' excitation mécanique porte' sur un : tendon, ce' sontj ! e
a ? ? 9'Y'f[f ? 2'il '" t1-1 tabihtédu muscle. Il suffit alors de l' excitation cutanée tin ÇIO) trn)f'KTfn ? tRi ? )'n ? Il Ir
j> ; r .nQt'nn' 'ifiiPp- np3 °9fza ^,Iri' , rt1 les obtient pari excitation cutanée la plus légère, 1 action» du doigt a di
r- , i , ' . < ' ' t ' / - 11 ' ' % 1 ' 1 . ' ' I ' gique, les excitations cutanées seules demeurent inef- ° . -in I ,vw ?
° . -in I ,vw ? il t ). t ni' u W ,m ? ' «' * ficaces, il faut une excitation mécanique, pression ou - 1 y t .. 11 t ' t t .'
t m > ? if "'1 "t t . , , 1 1 survient que sous l'influence des excitations cutanées t. ·,1 t ( iii ' ? i, ... les plus l
a )-Il#, - , ,. , .1 ' ......i à que par un seul procédé, qui est l' excitation mécanique fi' 1 |i ri'ii|. , il 41 ? ' > ' e
f. , '1 1 ^ -1 1 ! ", ? '. U'' '- -'Il ? ll· Oi; 1- zt,i t nouvelle excitation cutanée aussi légère que la première, 1 , i j )
ements'qui 'suivent ? rlnt 1Wt tiW I t·n · ·tr,rt t·jt s « rn a , 1 excitation des différentes racines du plexus brachial et cru
. cela a déjà été démontre depuis longtemps, mis en action'par ,1 excitation de racines différentes. Les muscles mis en action
la pliy§iologie ne permet pas d'af-, te, firmer que chez l'homme, l' excitation , ou-.la. destruction d'une ci paire nerveuse,,
la fois sur la peau et les muscles, par exemple quand une puissante excitation galvanique des plexus et des troncs nerveux eng
cation des courants en cet endroit engendrera tous les phénomènes d' excitation cérébrale accoutumés, même après l'insensibilis
thésie et la torpeur cérébrale concomi- tante fronto-latérale à une excitation des nerfs vaso-moteurs du côté du corps stimulé
mie l'autre (expériences 'de1 Schûller] ? d'où'1 l'explôsion ? de l' excitation psychique'et le'tralisfert' des' phénomènes3 pa
M. Rosenthal imagine la conception que voici : Normalement, toute excitation périphérique' de la peau agit sur le centre vas
bilité pathologique des centres de l'hystérique fait que la moindre excitation partie d'un nerf sensitif, ou d'un nerf vascula
ion sur les vaso-moteurs du cerveau pouvant indifféremment émaner d' excitations périphériques ou primitivement centrales. i r r
est-il des émotions, affections génitales, ano- malies sexuelles. L' excitation s'étend-elle à des centres voisins delà moelle
rjew, Naumaun, Schüller, Nowitzky, conduit M. Buch à penser que les excitations cutanées d'une intensité et d'une étendue suffi
es exigent, pour le réveil de la malade, des bruits violents et des excitations tactiles intenses; d'autres enfin sont carac- t
iles .,eaus,es prédispoqaii 1 p 3 eds nées d'hypnotisme provoqué, l' excitation chronique prolo1,1 u Lèllle,;[ nerycux .(disspn
ait établir que les lésions de la'paralysie, générale émanent,de, l' excitation péri- phérique, même de celle en rapport avec l
se). Aussi M. Schuchardt admet-il simplement comme pathogénie une excitation des éléments nerveux de lamuqueuse stomacale du f
ie dès l'âge de seize ans, à la suite d'une fièvre typhoïde, à de l' excitation maniaque. Peu de temps après, on note deux accè
succession régulière de deux phases, l'une de dépression, l'autre d' excitation ou réciproque- ment. La longue série de dénom
(t) soit simple; b) soit avec hallucinations, c) soit avec crises d' excitation , soit avec une tendance spéciale à l'onanisme (
aît avec elle, et elle est souvent remplacée pen- dant la période d' excitation par un certain degré d'hyperesthésie. Pendant c
tte période le sommeil est généralement bon. Il. - 1,,L I)éi,iode d' excitation offre aussi des degrés différents. 4° Ce peut-ê
veille, se ré- veille maniaque. Dans les accès à longue période, [l' excitation se développe au contraire lentement et progress
lations successives, des alternatives rapprochés de dépression et d' excitation (ialret); 414 le BIBLIOGRAPHIE. 4° ou bien en
aque simple. Quandl'équilibre semble se rétablir avant la période d' excitation , on peut croire à la fin d'un accès de mélancol
16 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
i se joignent à la maladie mentale où entrent aussi les symptômes d' excitation motrice et les symptômes de l'enlè- vement de l
° négativisme (phéno- mène qu'on peut indiquer comme résistance aux excitations extérieures); 4° verbigération (prononciation d
e Kahl- baum et définit la catatonie comme « états particuliers d' excitation , passant dans la stupeur, la démence consécu- t
re, des illu- sions sensorielles et des symptômes d'inhibition et d' excitation motrice. On observe chez le malade un négativis
de la catatonie, c'est la période mélancolique initiale, ensuite l' excitation halluci- natoire dans la floraison de la maladi
quée, et que le premier temps à l'hôpital 41 militaire il avait une excitation maniaque. Ainsi donc, si l, nous prenons en con
s ans), qu'il y avait 1 d'abord une période de dépression, puis une excitation con- t sécutive et une démence qui se développa
nous voyons alors tantôt un enchaînement moteur total, tantôt une excitation motrice subite. Par conséquent, nous pouvons ex
nstater chez lui consécutivement des phénomènes de négativisme et d' excitation . En 1889, il avait déjà une catatonie typique.
-accusation et une grande allonité, qui souvent -était suivie d'une excitation motrice si forte qu'on était obligé d'isoler la
arquons et même actuellement deux états : état d'altonité et état d' excitation motrice uniforme. Pour la plupart de temps la m
x. Fixée de son état d'attonité elle manifeste des phénomènes d'une excitation motrice, qui aussi est très stéréotype. Si elle
rs jours une stupeur complète avec catalepsie, après quoi survint l' excitation habituelle avec mouvements stéréotypes. En sept
dans la catatonie pure ; secondement, si même nous admettons que l' excitation primitive part des régions sensorielles, tout d
ise en phénomènes. différents ; il rapporte les uns aux symptômes d' excitation , contractions cloniques et toniques, verbigérat
hangements très rapides des représentations, c'est-à-; ,' dire de l' excitation de différents centres corticaux. Dans les 1 mou
Dans les 1 mouvements catatoniques, nous voyons au contraire une, excitation uniforme de certains centres, tandis que d'autres
ce céré- brale réagit par une contraction tonique seulement à des excitations très fréquentes. Ainsi donc, nous basant sur les
présente aussi un symptôme d'inhibition corticale. L'une ou l'autre excitation , pour ainsi dire, une demande adressée à la vol
ent des associations cérébrales, qui exigent la transmission de l' excitation dans la 1'égion psycho-motrice de l'écorce. Dans
, que le négativisme peut exister aussi sans stupeur, même dans les excitations mo- trices. Une telle explication aussi nous do
s fibres que Meynert et Obersteiner attribuent la transmission de l' excitation lumineuse du nerf optique au noyau de l'oculomo
antérieur ou supérieur est la pre- mière station dans la marche des excitations lumineuses. La transmission s'y effectue de là
isceau tecto-bulbaire prédorsal transmet par ses collaté- rales les excitations lumineuses à tous les noyaux des nerfs moteurs
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. z yeux qui dépendent des excitations lumineuses. Une série de colla-, térales de ce
s muscles de tout le corps qui, d'ordinaire, accompagnent les vives excitations lumineuses inopinées. D'autre part, le noyau
aisceaux de remplacement de second ordre destinés à transmettre les excitations des régions axiales aux régions éloignées du ce
eau antérieur sert en somme de centre réflexe à la transmission des excitations lumineuses aux parties éloignées de l'axe. Cett
en impressions désa- gréables et en impressions agréables. VIII. L' excitation l'aradique de la région olfactive, plus exactem
constitué par la contraction des muscles abdominaux, provoqué par l' excitation mécanique de la peau au- dessous des côtes, est
bres les plus supérieures du grand droit de l'abdo- men, émane de l' excitation de la paroi latérale du thorax dans la sphère d
ressort que : dans la plu- part des cas les bromures produisent une excitation initiale, quel- quefois, à dose élevée, une dép
ente communi- cation, que l'abduction des orteils provoquée par une excitation de la plante du pied, constitue, quand elle est
ur d'ordre extérieur qui est la suggestion. BIBLIOGRAPHIE. 85 Une excitation psychique peut accélérer ou ralentir la délibérat
et intellectuel relati- vement considérable de l'épileptique et une excitation génésique souvent très accusée à partir de la p
à partir de la puberté, déve- loppement physique et intellectuel et excitation génésique qui résultent évidemment d'un accrois
une heure, 38°,3;, à 3 heures, 38°,2; 'il à 5 heures, 38°, et de l' excitation avec confusion mentale extrême se développa, te
néralisés, ataxie lin- guale, myosis, plus accentué à gauche. , L' excitation a toujours été en progressant. Au bout de deux mo
ui est la vérité). Grasset en conclut, fidèle à sa théorie, que les excitations péri- phériques sont reçues par le polygone jou
n à la lumière directe; 6) à la stimulation consen- suelle ; c) à l' excitation cutanée ou sympathique; 6° états irido- moteurs
sion comme première manifestation et 26 fois seulement avec accès d' excitation . La folie circulaire débuterait donc dans la gr
l'immense majorité des cas également les stades de dépression et d' excitation ne seraient séparés par aucun intervalle lucide.
Ce trouble de la sensibilité consiste, comme on sait, en ce que l' excitation nerveuse effectuée sur un point du corps semble a
plètement analgésiée, les piqûres lui faisaient l'effet de légères excitations rythmiques uniformes comparables à celles des pas
rvation d'un malade qui présente des accidents épileptiformes par l' excitation du nez, plus particulière- ment du cornet infér
t il lui préférerait celui de débilité mentale avec alter- native d' excitation et de dépression, se terminant par la dé- mence
iste en une adduction du pied avec rotation interne à la suite de l' excitation du bord interne du pied, en particulier du nive
orteil, mais qui, dans certains cas, peut aussi être provoqué par l' excitation de la plante. Sur 52 malades atteints d'affecti
abolis, mais il faut se garder de généraliser. En effet, certaines excitations cutanées produisent généralement dans ce cas de
r de l'exagération des réflexes tendineux de l'épilepsie spinale; l' excitation de la plante du pied provoque une flexion des o
eils ne s'écartent pas les uns des autres sous l'influence de cette excitation , pas plus que sous celle de l'excitation de la pe
sous l'influence de cette excitation, pas plus que sous celle de l' excitation de la peau SOCIÉTÉS SAVANTES. 175 du dos du p
une classification des réflexes, en désignant à la fois le point d' excitation et le point de réaction, dans l'espèce ne pourr
ques ci-dessus mentionnés avec des désordres psychiques variables : excitation , irritabilité, hallucinations nocturnes, amnési
trente-un ans; entrée le 5 juin 1903. Examen du 14 septembre 1903. Excitation intellec- avec agitation par intervalles. Quelq
- Fo..., femme Can..., quarante-deux ans; entrée le 15 avril 1901 : excitation avec euphorie et quelques idées délirantes de r
.., quarante-trois ans, entrée le 6 avril 1903. Présente alors de l' excitation intellec- tuelle, avec quelques idées de perséc
mbre 1903. Déchéance complète des facul- tés ; indifférence totale; excitation par intervalles; mutisme. Troubles physiques in
il..., trente-deux ans, entrée le 21 août 1903, présente alors de l' excitation maniaqne. Examen du 7 septembre 1903. Dépressio
ue la suractivité fonction- nelle de ces glandes s'accompagne d'une excitation cérébrale spéciale, d'une exaltation particuliè
es glandes génitales, leur réplétion amène par action réflexe une excitation complémentaire du côté de l'encéphale, qui, ajo
tration, de l'ovariotomie, ces causes d'aggravation de l'épilepsie, excitation partant des glandes génitales, accroissement de
ou des testicules, et, par conséquent, la suppression de toutes les excitations ÉPILEPSIE : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUT
araît certain, par tout ce que nous avons vu que presque toutes les excitations qui viennent agir sur les cen- tres encéphaliqu
nt le système nerveux central était plus délicat, plus sensible aux excitations anormales et plus fra- gile 1. On conçoit facil
es cornes antérieures de la moelle une altération anatomique ou une excitation fonctionnelle qui est la cause des accidents. L
ence de Machetto, qui avait débuté à l'Age de 18 ans par un accès d' excitation maniaque, était un type. de démence paranoïde q
us ou moins constant, voire provisoire, concomitant d'une période d' excitation . - 5. Il faut la ranger dans la catégorie des m
rophie du quadriceps fémoral incapable de répondre suffisamment à l' excitation ; d'autre part à l'intégrité du tenseur du fasc
1 tion entre eux. -Dans le premier cas il faudrait admettre que l' excitation du sympathique produit la tachycardie et les ph
mises (Morel et Doyon ; Aba- die ; Jaboulay) sur les résultats de l' excitation du sympathique REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 32
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 325 . cervical, il faut admettre que l' excitation de ce nerf s'accompagne d'exophtalmie, alors qu
le ressaut qui caractérisent le début de l'acte. Il réagit devant l' excitation , à l'instar d'un sujet qui est à demi éveillé ou
i, dépourvue de tout lien avec la moelle la vessie avait obéi à une excitation spasmodique venue des ganglions sympa- thiques
plus d'un délire de persécution et de gran- deur, des phénomènes d' excitation (hallucinations de l'ouïe) alter- nant avec des
uë avec hallucinations de l'ouïe, confusion mentale, paroxys- mes d' excitation , actes impulsifs, spasme katatonique des mus- c
lité générale jouent un rôle actif dans la transmission du son, par excitation rolidienne. Cette idée ne contredit aucune- des
mentale de l'image motrice. Et lorsque le mouvement augmentait, les excitations qui en parvenaient à la malade la grisaient pou
t l'acte sexuel est la traduction de l'épuisement moteur qui suit l' excitation génitale. Nous donnerons simplement à titre d'e
xemple un tableau exprimant numériquement la diminution pendant l' excitation sexuelle de la force musculaire et surtout de sa
re était prise au dynamomètre Régnier, à l'état normal et pendant l' excitation génitale. Voici les chiffres obtenus : DU COE
la main droite de 31,1, pour la main gauche de 30,0; pen- dant l' excitation génitale, pour la main droite de.28,2, pour la
0, pour la main droite et de 1,4 pour la main gauche; pen- dant l' excitation génitale, de 1,8 pour la main droite et de 2,4
nifeste, la variabilité et le défaut d'adaptation musculaire dans l' excitation génitale, qui est à relever à côté de la diminu
servation courante directe et grossière de l'état musculaire dans l' excitation génitale parle d'ailleurs dans le même sens et
est par l'avalanche motrice, il est tout naturel de trouver dans l' excitation génitale une véritable dérivation de l'énergie
s qui montrent l'affaiblisse- ment et l'affolement moteur pendant l' excitation sexuelle. Une autre question nous semble mérite
cise. III L'augmentation de pression sanguine, qui accompagne l' excitation sexuelle, parle également dans le même sens. Si
comme exemple de l'élévation de la pression sous l'in- fluence de l' excitation sexuelle. X..., lemme âgée de vingt-cinq ans, s
a question suivante : l'état de l'anémie cir- culatoire pendant une excitation émotive intense. L'expérimenta- teur parla de l
cas pathologiques, les rapports ne peuvent avoir lieu que sous l' excitation de la musique. 3° Un autre argument peut être t
l'élévation brusque de la pression sanguine sous l'influence d'une excitation sexuelle plaide encore en faveur du rapprocheme
core en faveur du rapprochement que nous tentons de faire entre l' excitation sexuelle et l'activité motrice, ou plutôt tend à
ntéressé et intervient. L'équilibre moteur total arrive à un état d' excitation et de potentiel tel qu'il ne peut se main- teni
on relève des phénomènes de fatigue et d'épuisement moteur. d) L' excitation motrice se traduit également par des phé- nomèn
es qui concourent à exciter les désirs génésiques, sont surtout des excitations de l'image motrice. Tous les sens peuvent, selo
et accentuée selon les différents cas. Les sens provocateurs des excitations génésiques et mo- trices sont variables et diff
'un véritable emmagasinement de potentiel pour traduire au dehors l' excitation motrice suffisante. Il sem- ble que, pour que l
tiel de la pile vitale soit suffisant, il le faille charger par des excitations extérieures adoptées.' Ces états témoignent d'u
en une sorte d'immobilité vertigineuse, correspondant au summum d' excitation mentale. De nouveaux groupes d'images, véri- ta
chose près, pour l'acé- tone ; l'inverse s'observe-dans les états d' excitation ; il est actuelle- ment impossible d'affirmer da
es dans le plus grand nombre des cas. La réaction n'est pas due à l' excitation des filets nerveux cutanés ou musculaires. 4° L
tions disparaissent. Il peut y avoir cependant quelques périodes d' excitation . Une démence très accusée apparaît dans un délai
phénomènes du rêve peuvent se décomposer en trois phases : phase d' excitation initiale, phase de souvenir, phase d'irradiation.
er avec soin les désirs, les émotions, les diverses réactions aux excitations que fournit la vie à l'asile, enfin l'activité de
tent de plus en plus jusqu'à un certain point le passage de la même excitation à mesure que ce passage devient plus habituel.
L'effet du stimulus dépend, non pas seulement de l'intensité de l' excitation , mais aussi de l'excitabilité des neurones stimul
g d'un choréïque chronique et chez plusieurs malades présentant une excitation motrice très marquée. Ainsi, donc, la présence
17 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt déchaîné la colère, la mortification, l'affliction, le dégoût, l' excitation sexuelle ; mais l'auteur allemand ajoute que «
émotion vive, sera l'agent causal. Dans le second, ce doit être une excitation intérieure ; exemple, l'obsession par névralgie
e, leur recom- mandant après leur sottie de l'asile, d'éviter toute excitation passionnelle. Ce serait, du reste, d'après l'
s obsédantes. Elle semble un lien entre la faiblesse irritable et l' excitation cérébrale spéciale que M. Wernicke accuse de la
nt aussi de le voir se développer comme suit : Il se produit de l' excitation intellectuelle caractérisée par une profusion d
urs bien ordonnées, qui, pour cette raison, ne rappellent en rien l' excitation maniaque. Chacune de ces idées, normales du res
la maladie même dont M. H... est atteint. . L'IDEE fixe. 31 Cette excitation spéciale s'accompagne bientôt, à son tour, de l
elles de leurs variétés, qu'au début d'un accès, quand il éprouve l' excitation intellectuelle dont nous avons parlé, il est ég
gauche, mais il n'y a ni aphasie, ni cécité verbale, ni agraphie. L' excitation intellectuelle est nulle ou à peine marquée.
tenté de croire, s'est toujours produite rapidement, sans période d' excitation bien vive. Au cours de la convalescence mentale
l'honneur de vous informer qu'Elvire P..., ma femme, est coupable d' excitation de mineurs à la débauche (adultère avec des pet
es réactions électriques sont les mêmes à gauche et à droite pour l' excitation faradique : l'excitabilité galvanique des muscles
rée. Peut-être pourrait-on attribuer au trional la disparition de l' excitation qui accompagnait les accès et qui n'a plus repa
les agités chroniques, chez les débiles et déments avec périodes d' excitation ; chez les autres malades, son action n'est guère
ractérisé le plus souvent par la succession de deux phases, l'une d' excitation , l'autre de dépression, mais dont la pre- mière
vec les délires circulaires dont elles ne présentent pas la phase d' excitation . Après- les aboulies les auteurs étudient les d
lution. Il est vraisemblable que dans l'expé- rience de Bechterew l' excitation a diffusé, est allé exciter les fibres sous-jac
a précisé davantage encore. Les yeux se dirigeaient en bas par l' excitation de la zone supérieure du lobe occipital, en hau
l'excitation de la zone supérieure du lobe occipital, en haut par l' excitation de la zone inférieure, latéralement par ' Joann
convolutions centrales. 1 Schaeller. Experiznents on the eleclrical excitations of the visual area of the cérébral cortex in th
n, avril 1888). DOUBLE CENTRE D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 181 l' excitation de la zone intermédiaire. Il note que les mouve-
iaire. Il note que les mouve- ments étaient plus intenses lorsque l' excitation était portée à la face interne du lobe occipita
on était portée à la face interne du lobe occipital. Il admet que l' excitation produit des images subjectives qui sont projeté
ns l'exemple que nous avons donné plus haut. Et ce qui prouve que l' excitation passe bien par les fibres centrifuges mêlées au
ges visuelles subjec- tives (Schoeffer) n'est pas nécessaire, car l' excitation de la substance blanche du lobe occipital produ
). Même chez les oiseaux où l'entrecroisement optique est complet l' excitation d'un seul lobe occipital produit les mouvements
neront des argu- ments plus positifs. D'après Mott et Schaeffer l' excitation du tiers supérieur de cette zone produirait une
oduirait une déviation latérale, et un abais- sement des globes ; l' excitation du tiers moyen, la déviation latérale simple; l
obes ; l'excitation du tiers moyen, la déviation latérale simple; l' excitation du tiers inférieur, la déviation latérale avec
sley, Munk, Steiner ont aussi produit des mouvements des yeux par l' excitation de l'écorce du lobe frontal. Le temps perdu ser
e temps perdu serait moindre que dans les mouvements produits par l' excitation du centre pos- térieur. A la partie postérieu
ela répond-il au point de vue psychologique ? A un simple réflexe : excitation du nerf sen- soriel, conduction à la première c
Ici une question se pose : ces mouvements dits volontaires, dont l' excitation provient d'un centre d'association, peuvent- il
eçons cliniques, 1895). 188 PHYSIOLOGIE. pour point de départ une excitation sensorielle de la rétine, comme une excitation
point de départ une excitation sensorielle de la rétine, comme une excitation sensitive du trijumeau. Nous rechercherons donc
rbe, en se basant sur des expériences d'Exner et Paneth, qui, par l' excitation de cette région, obtinrent chez les animaux des
sent au-dessous du pli courbe, d'où les effets des lésions et des excitations de cette région. La lésion des deux centres (ou
ment passer inaperçus. Tous les mouvements ayant pour origine une excitation de la rétine (mouvements de latéralité, conver-
par une impression rétinienne. Les sensations venues d'ailleurs, l' excitation transmise par les centres d'as- sociations (V.
ut venir non seulement de la périphérie mais des centres voisins. L' excitation qui. met en jeu le centre oculo-moteur postérie
ction du cervelet se concrète dans une réaction mise en jeu par des excitations périphériques et des impressions centrales et s'e
cement des canaux semi-circulaires : c'est l'association des deux excitations qui forme l'image sensorielle du mouvement rotato
qui forme l'image sensorielle du mouvement rotatoire, tandis que l' excitation de l'utricule seule est ressentie comme mouveme
notisme peut être pratiqué en plein délire alcoolique à moins que l' excitation du malade le rende insensible à cette pra- tiqu
rence d'idées. A partir du 13 décembre, confusion mentale complète, excitation motrice, tendances agressives, gâtisme et insom
'élévation de température. On y retrouve : une ébauche de période d' excitation de courte durée, qui fait place à la seconde pé
cas les troubles cérébraux - se manifestent sous la'forme d'états d' excitation ou de dépression. Les premiers de ces états app
nfusion mentale avec délire onirique et alternatives irrégulières d' excitation et de dépression. M bout de huit mois, améliora
is C..., qui jusqu'alors avait été assez calme, fut pris d'une vive excitation . Ses actes extravagants, sa loquacité, 'sa turb
ts de ses rêveries, et à provoquer une réaction en rapport avec les excitations que l'on fait agir sur lui. Lorsqu'on -l'interr
a confusion des idées persiste avec des alternatives irrégulières d' excitation et de dépression. On ne distingue pas l'existence
Sur ce fond invariable de confusion mentale se greffent des accès d' excitation et de dépression qui se succèdent il des inter-
rolongent pendant plusieurs heures ou même des journées entières. L' excitation est généralement prédominante. L'existence de c
UN CAS DE CONFUSION MENTALE. 267 On n'observe plus de dépression; l' excitation est encore très fré- quente, mais semble avoir
consiste en une diminution très notable des hallucinations et de l' excitation qu'elles entrete- naient. La désorientation de
eu près, sinon absolument étranger à ce qui l'entourait, et que les excitations reçues par ses organes des sens n'étaient pas per
au membre infé- rieur droit les sensations qui ont pour origine une excitation périphérique portée sur le membre inférieur gau
port à ce qui se passe du côté opposé sous l'influence d'une légère excitation péri- phérique. Il convient d'ajouter que l'obu
Yllüâer : « l'écoulement menstruel est un réflexe provoqué par l' excitation des extrémités terminales des nerfs du folli- c
sseaux. Cette mo- dification consisterait, à l'état normal dans une excitation des vaso-dilatateurs, d'où congestion génitale
irt). Ziemssen indique qu'il a pu chez les animaux provoquer, par l' excitation électrique, la con- traction de l'iris. Mais on
est un muscle qui, en certaines circons- tances, est accessible à l' excitation électrique percutanée, directe. C'est l'élévate
l'élévateur se contracte tout à fait lentement quand on pratique l' excitation galvanique directe au point désigné supra. M. W
ce qui empêche l'excursion du globe de l'oeil sous l'influence de l' excitation galvanique directe d'un muscle de l'oeil paraly
n outre de l'influence exercée sur lui, comme à l'état normal par l' excitation électrique du cubital. C'est une anomalie physi
ganglions spinaux peuvent continuer à recevoir de la périphérie une excitation qu'elles transforment de la manière qui convien
ès que les phénomènes d'exci- tation normaux sont remplacés par des excitations anormales, la capacité métamorphique normale de
sorte qu'au lieu qu'il se produise une méta- morphose normale de l' excitation qui, de la périphérie, va à la cellule, ait lie
môme du second cas. Le troisième malade est un mélancolique avec excitation par intervalle qui séjourne seulement deux mois a
démence apathique est rarement remplacé par des hallucinations avec excitation et délire de possession. L... fait remarquer qu
'ex- pliquent par la propagation au centre moteur du langage de l' excitation du centre auditif cortical. » Signalons encore la
n vient me dire dans la poitrine que je suis cocu. » Ainsi donc une excitation périphérique provoque l'hallucination psycho-mo
tre fois de la bouche, de la poitrine. Elle est réveillée par les excitations externes, les coups de sifflet réels. Ainsi, no
ations externes, les coups de sifflet réels. Ainsi, non seulement l' excitation du centre auditif cortical se propage au centre
uditif cortical se propage au centre moteur du langage, mais même l' excitation périphérique provoque l'éréthisme du centre mot
ériphérique provoque l'éréthisme du centre moteur du langage. Cette excitation vient souvent de loin, ce sont « des frémisseme
interne; mais cette hallucination périphérique indirecte, dont l' excitation porte en dehors de la zone d'innervation du sys
les individus semblent parler automatiquement. Cela s'explique. L' excitation du centre de Broca, ainsi que l'a démontré M. J
es mots pourra se pro- duire. » (Jules Soury'.) Parfois c'est une excitation externe (obs. IV) qui réveille l'hallucination
eilles qui commencent, puis la voix intérieure répond (ohs. I). L' excitation jusque-là portait directement sur les organes d
de la phonation et de l'articulation, mais il est des cas où cette excitation porte beaucoup plus loin, bien en dehors de la
ade éprouve des élancements dans les jambes; et, à mesure que cette excitation augmente elle se transforme en hallucination mo
osition que M. le professeur Joffroy2 nomme hallucinogène. 2° Une excitation périphérique ou centrale des organes sensoriels
s. (Archives de neurologie, 189G.) HYSTÉRIE DE L'ENFANCE. 391 les excitations externes provoquent chez quelques-uns de nouvel
, soit en agissant sur les dendrites centripètes et récepteurs de l' excitation . Assuré- ment les fonctions du système nerveux
résumé le début de l'intoxication se traduit par des phénomènes d' excitation ; plus tard apparaissent des phénomènes de défici
e, la réaction de fatigue, les parésies. Aux cellules du cerveau, l' excitation , puis, la stupeur des animaux; on rapprochera de
lité. En cas d'intoxication faible, prédominance des phéno- mènes d' excitation , réparation possible des lésions légères, à la
attaques sont accompagnées d'une extrême irritabilité sous forme d' excitation ou de dépres- sion. Un bon succédané du mélange
s du lobe cérébral droit sont pres- que toujours accompagnées d'une excitation spéciale des facultés émotives. Grasset nous do
omprennent généralement une période prodro- mique avec tristesse ou excitation , hallucinations surtout visuelles, suivies d'af
cun trouble psychique, mais sou- vent cette complication a lieu par excitation , pression, dégé- nérescence secondaire. Le tabl
, dans tous les cas, de douleurs céphaliques, en même temps que l' excitation cérébrale et, dans la plupart des cas, de symp-
onstantes dans les formes aiguës. Qu'il s'agisse en effet d'états d' excitation , ou de dépression, ou de confusion, ou encore d
ce sont moins souvent troublés, par suite de l'absence des causes d' excitation , de désordre, liées ailleurs à la promiscuité d
le séjour au lit dans les états maniaques et les autres formes avec excitation . 'Les chiffres ci-dessous montant quelles sont,
ogressive, embarras de la parole. idées de grandeur et de richesse, excitation généralisée^ dans ces derniers jours de maladie
la voix de sa femme et des menaces terribles. 23 décembre 1897. L' excitation s'apaise et est remplacée par un grand état de
ell1'olog. Cen- tralbl., XVII, 1898.) Expériences sur des chiens. Excitation au moyen du courant induit de la zone motrice d
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. * 489 courant faradique; dépendent non de l' excitation locale du centre cortical de l'estomac, de l'in
sie, mais de l'attaque elle-même qui apparaît comme résultant d'une excitation d'en- semble de la zone motrice de l'écorce cér
dégénérative. Enfin on constate une arthropathie du genou droit par excitation mécanique en rapport avec le lancement de la jamb
nes. De là les thromboses, les foyers consécutifs, les phénomènes d' excitation , et la mort rapide pro- duite par les oblitérat
être éloigné du corps La galvanisation cursive du muscle jointe à l' excitation faradique de l'axillaire permet bientôt l'éléva
n doute étonné de leur conservation après une période très longue d' excitation chez les maniaques non alités. On nous dit auss
la lésion qui, dans la paralysie radiale par compression, empêche l' excitation électrique, portée au-dessus, de passer par les
- toires auquel il accorderait raie importance plus grande qu'a l' excitation du sympathique. Le manque d'action tonique et r
18 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
es dehors, peut ressembler au délire furieux des épileptiques, ou à l' excitation maniaque, la contracture qui vient subitement pou
ssion des phénomènes douloureux qui constituent cet aura et qui, si l' excitation est un peu soutenue, peuvent ne pas s'arrêter en
tre que la région ovarienne n'est pas le seul point douloureux dont l' excitation ait une influence marquée sur le développement ou
pouvant occasionner l'attaque. » Sans chercher par quel mécanisme l' excitation périphérique de certains territoires nerveux donn
érieure. 3. Zone latérale postérieure de Suz. N... convulsions. L' excitation du point symétrique au côté droit de-meure ineffi
eresthésie ovarienne, trois zones hyperesthésiques capables, par leur excitation , de donner naissance aux attaques. L'une est situ
s de chaque côté du sternum, au-dessus des seins (fig. 9, n°l, 1'). L' excitation d'un seul de ces points suffit pour déterminer le
t pour déterminer les convulsions. Portée sur le milieu du sternum, l' excitation demeure sans effet. Ernestine Pil... possède un
ue l'hyperesthésie ovarienne existent d'autres points hystérogènes, l' excitation de la région ovarienne est toujours beaucoup plus
et défensives servant à parer les coups ou à en porter. Une première excitation occasionne les convulsions, une seconde amène l'a
Ce qui est vrai pour la compression ovarienne l'est également pour l' excitation de toutes les zones hystérogènes que nous avons s
ui à peine commencées peuvent être aussitôt enrayées par une nouvelle excitation du même point. La même chose existe chez toutes l
utes les malades dont nous avons parlé. J'ajouterai qu'en général l' excitation qui arrête la convulsion doit être plus forte que
ade possède plusieurs zones hystérogènes, l'attaque occasionnée par l' excitation de l'une peut être arrêtée par l'excita-tion port
nément, et lorsque, par la compres-sion ovarienne ou par une nouvelle excitation du point hystérogène, on fait cesser les convulsi
malades ne voient plus, n'entendent plus et ne sentent plus rien; les excitations , la brûlure, les piqûres ne sont en aucune manièr
période des hallucinations, elle est complètement insensible à toute excitation extérieure. La piqûre, la titillation de la conjo
rêve et ramènent la malade à la réalité : c'est, en première ligne, l' excitation des zones hystérogènes et particulièrement la com
se. Elle ne voit rien, n'entend rien, elle demeure insensible à toute excitation , et est complètement distraite du monde exté-rieu
omplètement distraite du monde extérieur, et in-sensible à toutes les excitations . Elle ne voit rien, elle n'entend rien, elle ne s
me période, la malade demeure insensible à toute espèce de bruit ou d' excitation quelconque :)... Ah!... M. X... sort là-bas... No
malade possède, en outre, deux autres points hyperesthésiques dont l' excitation même légère peut déterminer les attaques. (Voy. p
période épileptoïde qu'on ne parvient pas à arrêter par une nouvelle excitation portée sur le même point. b). Cris, arc de cerc
dant toute cette scène, la malade est complètement insensible à toute excitation du dehors. On peut lui bander les yeux, son hallu
s pupilles sont très dilatées. —Déjà la malade est insensible à toute excitation extérieure. — Son visage exprime la souffrance, e
ïdes avec écume h la bouche. Et la crise était précédée d'une phase d' excitation avec zoopsie, qui rentre dans les troubles intel-
près l'attaque. La malade, durant cette phase, reste insensible aux excitations exté-rieures, mais si nous comprimons l'ovaire ga
qui lutte, cris, face vultueuse non convulsée, insensibilité à toute excitation . La malade cherche à mordre, et une mèche de ses
e convulsive complexe, pendant laquelle la malade, insensible à toute excitation externe, parlaitàhaute voix, de noyée, de pendue,
son père; la malade tomba dans un état de dépression bientôt suivi d' excitation , et se créa la persuasion que son père n'était pa
a sensation étaient abolies pendant l'atta-que et elle supportait les excitations les plus fortes. Elle ne se souvenait pas après d
ucinations fait observer que chez les femmes hystériques, lorsque l' excitation sera portée à un haut degré, il pourra se manifes
ette femme dans les temps de répit. » La compression ovarienne et l' excitation des zones hystérogènes conservent, pendant l'état
t dilatée, est sen-sible à la lumière. Cet état se prolonge, aucune excitation ne peut la faire sortir de cet anéan-tissement, e
i)..... En somme les hystériques sont susceptibles d'arriver, par l' excitation des attaques, à un maximum de puissance intellect
s convulsions. La compression ovarienne ne pouvait être main-tenue. L' excitation des zones hystérogènes du dos et des aisselles de
i d'ordinaire agissaient si rapidement, restaient, au milieu de cette excitation générale, sans résultat et échouaient complètemen
étonnement à son réveil, elle avait dormi; aucune fatigue, après une excitation nerveuse de toute la nuit ^ Les rapports plus o
que instantanée de ces accidents et retour du délire, cette fois avec excitation maniaque, cris, pleurs, rires alternatifs... La
bue le nouvel accès pour lequel elle a été amenée à la Salpêtrière. Excitation maniaque franche, parfois assez vive, éclatant br
accès délirants revêtent parfois la forme de l'agitation maniaque. L' excitation cérébrale est portée au plus haut degré, et attei
e. Stupeur. Mutisme. —La stupeur est plus rare que l'agitation. A l' excitation cérébrale succède parfois une dépression plus ou
M. Mathias Duval. tion du muscle, sur les membres, persiste après l' excitation , pour peu que celle-ci soit un peu forte et un pe
u prolongée, et se transforme facilement en contracture permanente; l' excitation d'un nerf provoque la contraction des muscles qu'
est-à-dire que la face est dirigée du côté opposé au muscle excité. L' excitation de l'antagoniste, c'est-à-dire du sterno-mastoïdi
tion droite et, si l'on insiste, la tourne inversement. Sur un bras l' excitation des fléchisseurs amène la contracture du membre d
seurs amène la contracture du membre dans la flexion, qui cesse par l' excitation des extenseurs, et inversement. En résumé, tous l
bles de se contracter ainsi ; et suivant la durée et l'intensité de l' excitation ,on obtient à volonté une contrac-tion ou une cont
Mais la malade, jusque-là inerte, peut, sous l'influence de certaines excitations , entrer dans une seconde phase qui se rapproche d
toires. musculaire; impossibilité de faire contracter le muscle par excitation mécanique. TÉtat léthargique. —Les yeux sont fe
trouvée telle que nous l'avions tout d'abord cons-tatée. A la face, l' excitation mécanique des muscles ou des nerfs amène une cont
nique des muscles ou des nerfs amène une contraction ; aux membres, l' excitation mécanique des muscles et des nerfs produit la con
tation mécanique des muscles et des nerfs produit la contracture. L' excitation d'un tronc nerveux fait contracter tous les muscl
s qu'il innerve. La contraction du muscle peut être provoquée par l' excitation mécanique directe, ou par l'excitation mécanique
scle peut être provoquée par l'excitation mécanique directe, ou par l' excitation mécanique des points moteurs reconnus en élec-tro
es des expériences qui ont été le plus souvent répétées. Au BRAS. — Excitation des muscles. — L'avant-bras est très riche en poi
ttouchement pour provoquer la contracture muscu-laire ; de plus, si l' excitation portée est un peu forte, elle se propage spontané
thargique, nous les avons facilement trouvés chez nos malades et leur excitation souvent répétée a toujours donné les mêmes résult
des éminenos thénar et hypothénar ont pu être excités séparément. L' excitation du premier interosseux dorsal a toujours amené l'
rosseux dorsal a toujours amené l'extension de l'index, etc., etc.. Excitation des nerfs. — L'expérimentation a donné ici des ré
nné ici des résultats fort curieux. Tandis que chez l'homme sain, l' excitation faradique d'un nerf mixte pro-voque dans tous les
a douleur qui l'accompagne, chez l'hystérique en état de léthargie, l' excitation mécanique des mêmes nerfs détermine, dans les mus
ultanée de tous les muscles intéressés. Ainsi sous l'influence de l' excitation mécanique du nerf cubital en arrière de l'épitroc
d'une hystérique léthargique prend une attitude caractéristique que l' excitation faradique faite à l'état normal n'a-vait qu'à pei
à tous les muscles interosseux. Cette intéressante expérience de l' excitation du nerf cubital a donné chez toutes nos malades l
du nerf cubital a donné chez toutes nos malades le même résultat. L' excitation du nerf médian le long du bord interne du biceps
tous les segments du membre, avant-bras, main, doigts. Au contraire l' excitation du nerf radial, au sortir de la gouttière de tors
face peuvent être excités séparément. Mais, comme je l'ai déjà dit, l' excitation mécanique ne donne lieu ici qu'à la contraction.
t, l'excitation mécanique ne donne lieu ici qu'à la contraction. Si l' excitation a été profonde et prolongée, la contraction pro-d
soit du nez, soit de la bouche. Chez une de nos malades Witt..., l' excitation des muscles de l'oreille a donné des résultats d'
es échappent sou-vent à l'action de la volonté. En portant une légère excitation mécanique immédiatement en avant du tragus, l'ore
rve une partie du muscle auriculaire supérieur. En effet en portant l' excitation sur ce muscle lui-même, le même mouvement du pavi
te du muscle; dans la léthargie sans hyperex-citabilité musculaire, l' excitation faradique, quelque forte qu'elle soit, n'a jamais
état de la contractililé musculaire, les muscles ne répondent pas à l' excitation mécanique, le phénomène décrit sous le nom d'hype
perexcitabilité neuro-musculaire. Les membres sont en résolution et l' excitation mécanique même légère des muscles ou des nerfs am
re des réflexes, d'une façon en quelque sorte fatale, à la suite de l' excitation des différents sens. A. La malade cataleptique,
ombe dans l'état cataleptique qui persiste jusqu'à ce qu'une nouvelle excitation sensorielle vienne l'en tirer. B. Le sens muscu
que, pendant l'attaque, la malade est complètement insensible à toute excitation venue du dehors, et que l'hallucination survenue
uite autrement, et la malade demeure indifférente à tout autre mode d' excitation . La même chose a lieu chez Suzanne N... quatr
teur dont le contact est supporté par la malade peut à son gré, par l' excitation légère de la peau, provoquer des contractures in-
hystérique, n'existe pas ici. Il est impossible de provoquer par une excitation mécanique la contraction ou la contracture perman
le retour à fétat normal ou par le passage à fétat léthargique. Une excitation légère suffit pour réveiller la malade : souffle
e livre à une mimique très expressive, ou bien sous l'influence d'une excitation spéciale des sens accomplit automatiquement certa
hénomènes de suggestion (automatisme, hallucinations provo-quées) une excitation sensorielle légère suffit pour les produire en mê
constance, la série des hallucinations suit son cours fatal qu'aucune excitation venue du dehors ne saurait modifier. Nous avons v
hyperexcitabilité musculaire (Obs. I, 1'" série). Pos-sibilité par l' excitation mécanique de provoquer la contracture du muscle,
uer la contracture du muscle, laquelle disparaît par la friction ou l' excitation des mus-cles antagonistes. 8' Possibilité par l
cette variété de sommeil s'opère graduellement sous Fin-fluence d'une excitation quelconque faible et répétée, le début passe inap
spéciale dont j'ai parlé, qui ne se produit que sous les plus légères excitations , et dans les mêmes circonstances que celles dans
u la propriété spé-ciale désignée sous le nom dliijperexcitabilité.—L' excitation des points hystéro-épileptogènes ne provoquait au
Ce matin l'attaque de sommeil dure encore. C'est un sommeil que les excitations les plus variées ne peuvent rompre. On a beau l'a
cris inarticulés. Elle demeure à peu près indifférente aux diverses excitations : piqûres, respiration d'atnmoniaque, poudre de c
u côté droit, puis la malade deve-nant insensible à tous nos moyens d' excitation sembla dormir profondément, la respiration et la
ne statue de marbre. Mais ce fut bien autre chose quand je passai à l' excitation du facial droit. Je n'eus pas plus tôt mis le doi
ne expression de sourire toute particulière. Comme je prolongeais l' excitation du facial droit en maintenant fortement la pressi
ts muscles de la face se contractent, mais il semble, en outre, que l' excitation se propage, et souvent la contraction se pro-duit
es efl'ets d'hyperexcitabilité musculaire sont produits par la simple excitation mécanique faite avec l'extrémité du doigt. Que ce
s. Il n'y a pas ú'hyper excitabilité musculaire, c'est-à-dire que l' excitation mécanique n'amène pas la contracture permanente d
et comme d'une contraction localisée. Les piqûres, brûlures et autres excitations du même genre n'ont jamais produit aucun effet, (
s; seu-lement il y eut pendant cinq ou six nuits encore une période d' excitation , pendant laquelle la malade s'entretenait avec sa
ps, les accès se sont un peu éloignés; mais il s'y est adjoint * de l' excitation , des tentatives de suicide, elle a menacé de se j
des paupières, insufflations sur les yeux, fric-tions des paupières, excitations douloureuses de la peau sans qu'il soit possible
son lit, jette ses couvertures, crie, pleure, chante. Peu à peu cette excitation noc-turne se passe, et elle se présente aujourd'h
pour s'y rendre. y En outre, dans la nuit, livrée à elle-même, sans excitation extatique, elle est presque constamment poursuivi
tante et plus difficilement dans l'intervalle des accès. Une légère excitation du nerf olfactif produisit le même résultat. A de
aît dans les membres parésiés sous l'influence de causes variées. L' excitation mécanique portée sur les muscles de la région ant
c contracture latente du service de M. Charcot. Nous avons vu alors l' excitation vibra-toire produire une contraction manifeste da
le paraissait devoir persister si nous ne l'avions pas détruite par l' excitation des muscles antagonistes. C'est particulièrement
n'agissent qu'en vertu d'une excita-tion mécanique spéciale. Mais des excitations mécaniques d'une autre sorte produisent le même e
e dont elles ne parviennent que difficilement à se débarrasser. Les excitations de Vélectricité faradique peuvent avoir l'in-flue
sauraient que tendre à l'aggravation du mal, en sollicitant, par des excitations multiples et variées, les dispositions morbides s
uro-musculaire qui permet de faire contracter les muscles, soit par l' excitation directe, soit par l'exci-tation des rameaux nerve
de la compression ovarienne, des interver-sions électriques, et de l' excitation des zones hystérogènes. — Je ne reviendrai pas ic
d'émergence des nerfs intercostaux. En effet, de même qu'une première excitation de ces zones d'hyperesthésie provoque les convuls
n de ces zones d'hyperesthésie provoque les convulsions, une nouvelle excitation peut les arrêter. L'importance des fonctions de
re vent électrique et demeurer parfaitement insensibles à toute autre excitation . Quelquefois le réveil de cette sensibilité élect
directe de déplace-ment est plus sûre. Dans les cas de contracture, l' excitation , à l'aide d'étin-celles, des tendons antagonistes
al. 1872. 4. In Leç. sur les mal. du sgst. nerv. nant alors que l' excitation religieuse ait provoqué, à certaines périodes d'e
l'usage de la parole, et tous restaient insea- sibles aux moyens d' excitation ordinaires. La flûte et la guitare pouvaient leur
tait, 1. C'est bien là l'état d'une hystérique dans cette période d' excitation délirante qui suit ou précède les attaques. laq
ux autres qui, au moment de l'examen, étaient déjà sous le coup d'une excitation cérébrale présentant tous les caractères du délir
s exor-cismes en est rempli. Aussi sous l'influence d'une semblable excitation , pour peu que les dia-bles fussent bien disposés,
ou obscène, des accès d'extase et de léthargie avec trismus, une vive excitation génésique, des hallucinations nocturnes, etc. Cet
de leur enthousiasme. On conçoit que, dans de sem-blables réunions, l' excitation mentale, bientôt portée à sou comble, constitue u
e réunit à Boston, pour traiter de la |)rière quotidienne du matin. L' excitation du peuple était telle et son engouement pour ce g
igno-tement. Les yeux, plongés dans le lointain, n'obéissent plus aux excitations ordi-naires; on peut faire passer brusquement un
t de la compression ovarienne, des interversions électriques, et de l' excitation des zones hystérogènes............... 583 b) .
19 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ériode normale de trois mots (février-mai 1806). En juin, période d' excitation de trois semaines. Depuis, légère dépression mé
ébute soudaine- ment, et elle entre en novembre 1887 dans un état d' excitation maniaque qui dure deux à trois mois; elle tombe
ode dure plusieurs mois. Puis, après des alternatives de calme et d' excitation , elle est de nouveau normale en janvier 1890.
DES rapports sexuels; par FÉRÉ. (Revue de méd., sept. 1897.) Les excitations du sens génital qui sont même chez les sujets n
acés montrent la façon dont les muscles et les nerfs réagissent à l' excitation électrique. On trouve la « réaction rnyotonique
s celle gymnastique que lursqu'un ne constatera plus de symptômes d' excitation cérébrale. Les vertiges dont se plaignent les h
agi l'eau froide ? Probablement en stimulant le système nerveux par excitation réflexe périphérique. Cet heureux résultat obte
u point de faire croire à une convalescence, parfois accom- pagné d' excitation qui éclatait dans son ménage sous l'influence de
c ce délire absolument fixe de persécution et de gran- deur et de l' excitation cérébrale, qu'elle était transférée dans notre
us la faisons entrer à l'infirmerie, parce qu'elle a de la fièvre [/ excitation est un peu moins forte. Le lendemain et les jou
itiale, quoique toujours un peu plus faible. Mais si on pro- duit l' excitation électrique pendant l'asphyxie, pendant les trois
lectrique pendant l'asphyxie, pendant les trois premières minutes l' excitation augmente un peu; puis, au moment où les mouveme
res après le retour de l'oxygène, il continue à ne pas répondre à l' excitation . Lorsqu'on a poussé la fatigue à un état voisin
, le muscle continue à mou- rir, même si on lui rend l'oxygène. L' excitation électrique à cette période accélère la mort du
ratique. En effet, les limites entre lesquelles varient le nombre d' excitations tétani- santes pour un même muscle sont assez r
blir une moyenne pour un muscle donné ; d'autre part, les nombres d' excitations nécessaires pour produire le tétanos diffèrent
d'un muscle à l'autre. On peut donc, par la comparaison du nombre d' excitations tétanisantes du muscle sain et de son similaire
u mal. Au point de vue thérapeutique, la connaissance du rythme des excitations nécessaires pour faire entrer un muscle malade
os parfait est utile, parce qu'il convient de graduer le nombre des excitations suivant ce même rythme, si on veut évi- ter la
es du coeur, l'augmentation d'intensité détermine l'arythmie. Les excitations électriques empêchent l'arrêt des contractions du
muscle au moyen d'un conducteur collatéral formant circuit fermé, l' excitation induite s'affaiblit et le muscle ne se contract
xcitation induite s'affaiblit et le muscle ne se contracte pas. Les excitations induites se produisent également quand la prépa
n si la position est dissymétrique, repos si elle est symétrique. L' excitation induite du nerf peut aussi se produire si le ci
t de la bobine secondaire d'induction se trouve fermé. On obtient l' excitation induite du nerf même à travers le corps de plus
oduite dans le circuit secondaire interrompu ou non, de provoquer l' excitation des nerfs sensitifs de la main. En mel- ' Arch.
ant Galvanique, car si l'action électroly- tique seule produisait l' excitation sensitive, il serait difficile d'ex- pliquer la
tomie, enfin l'état de l'innervation. Si le muscle n'obéit plus à l' excitation indirecte, malgré l'opération, il dépérira. L'e
ion minima trouvée on recherche la contraction tétanique soit par l' excitation directe du muscle, soit par celle du nerf, en f
les deux questions suivantes : le muscle répond-il directement aux excitations électriques ? Lorsqu'il est excité par l'interméd
termédiaire du nerf correspondant, par quel mécanisme se fait celte excitation ? Il lui semble logique d'admettre que l'excita
e se fait celte excitation ? Il lui semble logique d'admettre que l' excitation du muscle, lors- qu'elle se fait par l'interméd
se fait par l'intermédiaire de son point d'élection, n'est pas une excitation directe du tissu musculaire, mais bien pour une
électrophysiologie ET d'électrothérapie. 111 1 très grande part une excitation indirecte qui emprunte l'influence des filets t
Nancy) qui a démontré que la contraction musculaire provoquée par l' excitation d'un nerf n'est pas due à la transmission directe
n'est pas due à la transmission directe à l'organe réagissant de l' excitation électrique elle-même, mais de cette excitation
gane réagissant de l'excitation électrique elle-même, mais de cette excitation transformée en onde nerveuse, il conclut que si
en onde nerveuse, il conclut que si nous constatons à la suite de l' excitation d'un nerf moteur une réaction musculaire anorma
altération de la substance nerveuse qui trans- forme anormalement l' excitation électrique, altération du cordon nerveux en ava
e très imparfaitement connues. Les modifica- tions qualitatives des excitations voltaïques engendrent des réac- tions anormales
pense pas, comme Voisin, que les poisons de l'économie produisent l' excitation des centres convul- sifs chez les prédisposés,
ar des contractions lentes, soit à l'excita- tion directe, soit à l' excitation des nerfs. Peut-être aussi serait-on en droit d
Tous les chirurgiens et aliénistes s'attendent à voir survenir de l' excitation lorsqu'ils ont à intervenir chez des buveurs. L
es à l'asile sont assez nombreuses ; la plus fréquente est l'état d' excitation des malades; ensuite vient l'impossibilité pour
'influence de fatigue cérébrale qui arrive promptement, éclate de l' excitation cérébrale avec anxiété, sensiblerie, crises de
détermine encore de la confusion mentale avec sensiblerie, un peu d' excitation cérébrale. Santé physique relativement satisfai
Salpêtrière, avec les trois phases cliniques, tonique, clonique et excitation émotionnelle finale. A. XL1AIE. LXXXI. Névrit
ns qu'il y ait pres- sion cérébrale, et provenir, par exemple, de l' excitation ou de la paralysie de l'encéphale. L'augmentati
nt les fibres pyramidales. La différenciation topogra- phique par l' excitation électrique est spécialement remarquable pour la
s faisceaux pyrami- daux. En diminuant méthodiquement la force de l' excitation , et quant à l'intensité du courant, et quant à
tation, et quant à l'intensité du courant, et quant à la durée de l' excitation , on arrive à conclure que les fibres motrices d
différents examens, des diffé- rences en volts considérables pour l' excitation (Wertheimer et Salomonson). ' C. Etudes clini
state chez les épileptiques de nos asiles un trouble mental; soit l' excitation maniaque, soit la religiosité excessive, la dép
s la quinzaine qui suit son arrivée, je constate de la tendance à l' excitation , une certaine confusion d'idées où surnagent ce
che, brève, hautaine et nullement embarrassée. Dans ses mo- ments d' excitation et de prétentions ridicules, il a la face animée
1865 ; épilepsie, hallucinations de l'ouie, idée d'empoisonnement, excitation maniaque, accès d'agitation, mort en décembre 1
et la démence de cette maladie. C'est ainsi que nous trouvons : L' excitation maniaque à divers degrés 9 fois (obs. 1, 2, 3, i,
é passable; pas de stupidité, nuit calme et propre. Ce matin légère excitation , la malade cherche à frapper : elle dit que ça
s, les yeux fermés, immobile, les membres souples, indifférente aux excitations , avec un pouls normal ou légèrement ralenti.
reprise d'une de ses crises à forme léthargique. Dans l'après-midi, excitation , cris inarticulés; elle cherche à se laisser co
ns de l'ouïe, dissociation des idées, alter- natives d'apathie et d' excitation , conceptions délirantes les unes mystiques, les
ère; ses selles sont décolorées. 11. - L'ictère augmente sans que l' excitation maniaque se modifie. Il existe un oedème consid
vre, soif vive; t. 38° 2. 13. - Le mal fait des progrès rapides ; l' excitation est tombée et remplacée par une somnolence cont
les, peut être l'origine d'idées hypochondriaques et engendrer de l' excitation génitale avec onanisme. Il pense que cette hype
t léger à une pression énergique, il est bon de commencer par des excitations faibles qu'on augmente ensuite progressivement ;
d'agitation. A priori on aurait rattaché l'exagération aux phases d' excitation et l'abolition aux phases de calme; cette fois
r sous l'influence du chloral,mais reprennent il la moindre cause d' excitation . 1 Le lendemain, l'enfant semble dormir d'un so
duisent ces mouvements amiboïdes, il montre qu'on doit invequer une excitation venue du cerveau par les fibres visuelles centr
ation venue du cerveau par les fibres visuelles centrifuges : a Une excitation née dans ,1e cerveau est transmise à l'articula
A notre tour, nous nous demanderons : quelle est l'origine de cette excitation venue par les fibres visuelles centrifuges ? ` ?
e des phénomènes précédents nous permet de répondre par analogie. L' excitation apportée au centre visuel par les fibres visuel
t de croire à une intlam- mation subaiguë. uns. Il.- Phénomènes d' excitation corticale continus avec accès jacksomens. Epile
onnexions produit un trouble mental. Nous connaissons la marche des excitations nerveuses de la périphérie au centre; nous savo
gements protoplasmiques des cellules pyramidales. Le transfert de l' excitation se fait par contact, car il n'y a aucune commun
utres cellules en formant ce que Torski appelle des « synapses ». L' excitation descend du corps de la cellule à la péri- phéri
cellules ou à des centres cellulaires. Mais chose importante, toute excitation vient du dehors, la conception de l'idée, batte
sivement de l'hystérie à la mélancolie. pour revenir ensuite à de l' excitation maniaque à type convulsif. Al"° Y..., au contia
anique des mêmes muscles produisant les mêmes sons, produit par une excitation centrale de voisinage due à une lésion du centr
n, mais sous des aspects bien différents. La première fois il y eut excitation maniaque intermittente et catalepsie, ce qui ne
, le débit de laparole subsistant et demeurant actif. Une trop vive excitation centrale gêne alors non l'association des idées
omme ou faute de mieux, de l'urine de femme (maso- chisme larvé). L' excitation sexuelle naît aussi de la vue ou de l'idée d'un
au moment où le wagon était soulevé par l'obstacle, il ressentait l' excitation sexuelle et entrait en érec- tion, soit qu'il v
ons que présentent les différentes espèces de cellules nerveuses. L' excitation d'un neurone des centres corticaux est toujours
guins. Le temps de réflectivité vasculaire dans la veille, pour des excitations sensitives, est, pour le bras, d'environ trois
riel demande un temps égal à celui du réflexe brachial pour la même excitation . Le sommeil produit dans le temps de réflectivi
vements du sang dans le cerveau pendant le sommeil, consécutifs aux excitations , sont sans doute des réflexes actives et autono
n temps (quatre secondes pour le bras) plus long que le réflexe par excitation sensitive. Pour chaque sens excité il y a un te
haque sens excité il y a un temps de réaction vasculaire. Certaines excitations sensorielles sont moins capables que d'autres d
t il est difficile de fixer la part respec- tive de dépression ou d' excitation de l'élément basique ou de l'élé- ment acide da
tude des rapports entre le temps employé pour la transformation des excitations en réflexes et la force de l'excita- tion initi
lle peut avoir lieu, par la plus courte voie, une transmission de l' excitation d'un tractus sensitif à un tractus moteur : c'e
le cervelet. Mais les courtes voies forment ci la transmission de^ excitations une plus grande résistance que les longues puis
plus grande résistance que les longues puisque toujours les faibles excitations ne produisent de rellexes que par ces dernières
che avec les amorces des neurones moteurs, opposent au passage de l' excitation une grande résistance. Les longues voies sont c
ance. Les longues voies sont celles qui sont chargées de conduire l' excitation sensible au cerveau pour qu'une sensation ait l
s cellules placées un peu en dedans du corps genouillé interne. Les excitations des racines postérieures arlivent donc bien à l
association d'alhétose et de myolonieest peut-être due à un état d' excitation tout particulier du neurone corticomoteur (Freu
l'animal (sorte d'arrêt du développement), et sur les efl'ets de l' excitation électrique de l'écorce du cerveau sur les extré
eau sur les extrémités atteintes de paralysie centripète. Il a vu l' excitation de l'écorce produire la détente des muscles aup
parce que le centre en question renferme l'assemblage des diverses excitations des régions sensorielles et leurs images commém
; les centres qui les emmagasinent reçoivent en même temps d'autres excitations que celles qui servent à la parole. Pour la par
20 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ique, marchant peu à peu vers la démence. Très rarement il y a de l' excitation , et alors elle doit le plus sou- vent être mise
ent l'intervention des filets anastomotiques de Duval et Laborde, l' excitation passerait d'abord tout entière du côté opposé,
chthyosique de la peau, l'atrophie muscu- laire, la diminution de l' excitation électrique des muscles, la chute des cheveux, l
an : « Est atteinte de paralysie générale avec irritabilité. Légère excitation par intervalles. Hésitation de la parole. » N
paralysie générale. Hallucinations pénibles. Idées de persécution. Excitation passagère. Tremblement des mains. Pupilles ress
générale avec préoccupations hypocondriaques, idées de persécution, excitation , insomnie. Hésitation de la parole. Inégalité p
incurvations de la colonne vertébrale, qui succèdent, chez eux, à l' excitation électrique des régions en question, sont tou- j
catrice y conservent toute leur indépendance fonctionnelle et que l' excitation isolée de chacun d'eux donne lieu le plus souvent
ucune cellule n'a été occupée; sous l'influence du séjour au lit, l' excitation motrice est réduite au minimum, l'excitation de
ce du séjour au lit, l'excitation motrice est réduite au minimum, l' excitation de l'intelligence diminue, le délire devient pa
le traitement de l'épilepsie. Pour supprimer les diverses causes d' excitation réflexe qui jouent un si grand rôle dans la produ
a propulsion du globe ocu- laire en avant; d'où ]'exophtha : mie; l' excitation des filets cardia- ques,la tachycardie. La prod
explique par la variabilité de la localisation etdel'intensité de l' excitation ; celle- ci peut porter, en effet, soit exclusiv
ès laquelle le goitre exoplitlialmique a son point de départ dans l' excitation des vaso-dilatateurs du sympathique cer- vical.
les tiraillements du ganglion cervical supérieur ont déterminé une excitation , sans effet pour le côté opéré, mais qui s'est
perdrait toute valeur syndromique. L'observa- tion ne parle ni de l' excitation ni de l'insomnie, si fréquentes dans la paralys
topsie très complète. M. Sollier ne croit pas que l'insomnie et l' excitation signalées par M. Charpentier soient des signes
ns quelques fibres seulement ; secousses musculaires traduisant l' excitation de l'écorce et annonçant souvent l'ictus épilep-
Si la méningite atteint surtout la convexité, les phéno- mènes d' excitation dominent : délire bruyant, convulsions répétées
sont ceux de la dépression avec tendances au suicide, périodes d' excitation maniaque, arrêt de la compréhension, troubles par
tion préconisée par M. Jonnesco agirait, selon lui, en supprimant l' excitation permanente du sympathique cervical, cause des p
tre sous la dépendance d'une anémie cérébrale perma- nente, due à l' excitation des nerfs vaso-constricteurs de l'encéphale con
général pendant la période initiale REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 163 d' excitation de sa maladie, comment éviter les accidents et le
jours de ce traitement le malade passe directement de la période d' excitation dans celle de calme. Le Dr Campbell Clarke cons
les gastralgies du tabes dorsal, par SpaUhowslcy; Expériences sur l' excitation des nerfs par les rayons électriques, par Danil
n : « Est atteint de paralysie générale avec accidents alcooliques. Excitation passagère. Hallucinations multiples et pénibles
Est atteinte d'alcoolisme chronique avec hallucinations multiples; excitation ; insomnie. Pupilles res- TROUBLES TROPHIQUES D
ans ce travail que la douleur physiologique e--t t produite par des excitations fortes et que les excitations fortes désorganis
physiologique e--t t produite par des excitations fortes et que les excitations fortes désorganisent les tissus et sont funeste
ivace qu'elle laisse dans la mémoire, elle nous permet d'éviter les excitations pénibles que nous avons éprou- vées une premièr
s, tout naturellement, aboutit à l'effort conscient de rechercher l' excitation et la satisfac- tion érotiques auprès des femme
té. Le travailleur, surmené, cherche à soutenir son énergie par l' excitation factice de l'alcool, tandis qu'il devrait, s'il é
sexuelles aux perversions de la recherche du plaisir procuré par l' excitation des organes génitaux liée à la fonction sexuell
, aucune attaque convulsive; mais il est resté sujet à des crises d' excitation violente de formes diverses. Il est d'ailleurs
e laissaient aucun doute sur ses intentions; enfin, dans un accès d' excitation plus intense, il fit une tentative de pédérasti
il recherchait l'occasion de voir des hommes nus, et ses premières excitations génitales se 280 CLINIQUE MENTALE. manifestèr
anque d'organisation, mais avec un excès de force - de la part de l' excitation externe. C'est cette tendance même à l'ins- REV
épargne d'énergie nerveuse et entrai- nant des réactions indues aux excitations extérieures ou internes (terreurs nocturnes, so
Kraffl-Ebing, Bénédict, Bergman, Dumont- paillier. etc.). Quant à l' excitation des phénomènes physiques et mentaux par l'influ
ntéressantes. Dans tous les cas la symptomatologie a été celle de l' excitation . Au moment du début, aucun des malades n'était
temps qu'une injection avec une émulsion d'airol. En raison de l' excitation du malade qui arrachait tous ses panse- ments,
n'ont plus de corps) ; il semblerait que, devenus réfractaires aux excitations sensorielles, ils ne puis- sent les transformer
lades qui nous occupent. Ces mélancoliques assistent au courant des excitations sen- sorielles comme aux mouvements automatique
elles sont de règle (possession). LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 367 « L' excitation 1 motrice qui se manifeste visiblement dans l'h
processus nerveux que l'hypothèse d'une voie directe, conduisant l' excitation nerveuse, de son point de départ à son point d'
sur lesquelles nous reviendrons, sont des organes de réception des excitations , le cylindraxe et ses.c)011ja" térales propreme
onsidérable des cellules de sensibilité, force est d'admetlre que l' excitation qui dètenoiitie d'une manière réflexe l'activit
leur protoplasma, possèdent la fa- culté d'être mis dans un état d' excitation déterminé par certains stimuli externes D. Il n
activité purement automatique, qu'elle résulte de la continuité des excitations fonctionnelles du neurone. Mais si cette explic
subsiste quant aux cellules des ganglions spinaux, l'hypothèse des excitations périphériques considérées comme nécessaires aux
trices, la cause ne doit être cherchée ni dans l'action réflexe des excitations périphériques (Marinesco), ni dans les exci- ta
te cellule, alors qu'elle n'est plus capable de se décharger de ces excitations . THÉORIE DES NEURONES 379 - Le professeur von
nerveuse ne manifeste spontanément son activité, c'est-à-dire sans excitations externes. Les fonctions de l'élément nerveux do
ssède qu'un prolonge- ment nerveux (iiioncixone) propage toujours l' excitation dans le sens cellulifuge. Dans le nerf moteur p
f moteur périphérique issu du système nerveux central, le courant d' excitation va du protoplasma de la cellule nerveuse des co
la transmission du courant nerveux du nerf optique, par exemple : l' excitation d'une seule cellule ganglionnaire de la rétine
ne des manières de signaux touchant le caractère et l'intensité des excitations arrivées au cerveau par le nerf optique. Ranioi
xpérimentalement que dans le nerf optique passent des fibres dont l' excitation détermine la contraction des cônes corres- pond
rtsàize), correspondant aux prolongements ner- veux, conduisaient l' excitation dans le sens cellulifuge. Mais on a découvert d
aurait aucun doute ici : le prolongement nerveux re- çoit l'onde d' excitation par ses atborisations et le transmet à la THÉOR
ongements ner- veux axiles, les principaux organes de réception des excitations nerveuses apportées dans les centres sont les s
ramifications, une importance très élevée dans « la réceptivité des excitations nerveuses ». THÉORIE DES NEURONES. 385 Les co
ellules du lobe optique des oiseaux qui emportent vers l'écorce les excitations lumineuses (Van Gehuchten). Enfin, nous avons v
déjà en partie pour la récep- THÉORIE DES NEURONES. 389 tion de l' excitation ; un nombre moindre de dendrites n'aurait-il pa
tes, n'est pas d'une manière générale également excitable par toute excitation , mais que ses qualités propres de réaction sens
TE DE LA VISION BILATÉRALE. 391 ment des époques, et des périodes d' excitation cérébrale suivies de dépression avec tendances
A partir du mois d'octobre 1896, elle entre dans un état de grande excitation motrice, avec obnubilation de la conscience et
artir du 6 juillet obnubilation de la conscience, hallucinations et excitation motrice très grande. On note des altérations da
tre cette cause et les principaux organes troublés; il y a toujours excitation de certains filets sym- pathiques (cardiaques,
filets sym- pathiques (cardiaques, oculaires, thyroïdiens). Cette excitation peut être secondaire et placée sous la dépen- d
onction- nellement les centres sympathiques. Forme toxique. Cette excitation peut aussi être primitive, caractérisant la forme
mitif, d'une névrose. Cette névrose se traduit par des phénomènes d' excitation pouvant porter sur les divers centres sympathiq
e simple qui répond le mieux au tableau objectif de la maladie. L' excitation centrale du sympathique présente cette particula-
symptômes et certaines particularités du traitement. De plus, cette excitation centrale produit des lésions anatomiques capabl
ment consiste à interrompre le circuit morbide : 1° En supprimant l' excitation centrale par les calmants et les toniques génér
es membres inférieurs survenant sous l'influence de la illoii2cli'e excitation . Apparition des troubles des sphincters. Phén
le : exposition au froid humide. Mécanisme : méningite spinale avec excitation deswdons latéraux. 8 août. La paraplégie est de
au moins jusqu'à la limite intérieure de la moelle dorsale, car une excitation cutanée ou profonde de la racine de la cuisse p
contractions réflexes se produi- sant sous l'influence des moindres excitations étaient très douloureuses. En résumé nousavions
tion même des sensibilités profondes avec l'intégrité relative, V excitation probablement même des cordons postérieurs. Dans
es du tronc n'agit plus sur la pupille (Sallçovslçy Remarque. - L' excitation des nerfs crâniens produit encore dans ce cas d
pathique d'un seul côté, détermine une inégalité pupillaire ; 2 ? l' excitation du nerf médian produit encore de la dilatation
é, réduit ou annihilé, ne peut plus ni s'assi- miler ni inhiber les excitations motrices qui viennent à se produire. De là, les
eur J.-P. Morat (de Lyon). (Presse médicale, 22 décembre 1897.) L' excitation expérimentale du grand sympathique se traduit sur
e thyroïde par une contraction des vaisseaux thyroïdien ? lorsque l' excitation est faite sur le cordon cervical; elle détermine
le champ de sa distribution à la tête et au thorax, ou voit qu'une excitation artificielle portée sur la chaîne thoracique, f
, réalise les symptômes apparents du goitre exophtalmique. Si cette excitation s'étendait à une région un peu plus basse de la
eut donc concevoir le goitre exophtalmique comme le pro- duit d'une excitation de la partie thoracique de la chaîne sympa- thi
eprésentant la voie suivie par l'acle volontaire mis en jeu par une excitation perçue, l'auteur Archives, 2e série, t. V. ' 31
du Bois-Reymond. Cela a lieu en réalité par la transmission de l' excitation aux hémisphères cérébraux, et en particulier à l'
animal, qu'il s'agisse d'une grenouille ou d'un animal supérieur. L' excitation indépen- dante de ce centre engendrera des mouv
régions de l'encéphale situées en avant de la protubérance. Mais l' excitation de ce centre provoquera des con- vulsions toniq
OLOGIQUES. sions toniques et cloniques comme celle qui résulte de l' excitation des zones corticales motrices. Cela ne veut p
s convulsions cloniques soient exclu- sivement et toujours dues à l' excitation de l'écorce. On les constate notamment dans la
des zones corticales motrices, ne peuvent être engendrées ni par l' excitation de la protubérance, ni parcelle d'autres territ
vres et le dépresseur de l'angle de la bouche réagissent un peu ; l' excitation du tronc du facial ne fait contracter aucun des
ue. Or,. l'asphyxie par stase veineuse entraîne des convulsions par excitation du bulbe parce que les troubles de nutrition du
tibles. Elle peut l'être également dans l'intervalle des accès de l' excitation maniaque, de la manie incohérente, de la lypéma
s n'ont pas eu le succès auquel on aurait pu s'attendre, bien que l' excitation faradique ait démontré qu'onse trouvait bien en
des mouve- mentsdelamain gauche, après vérification du centre par l' excitation faradique. Le résultat était peu satisfaisaient
21 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
: mais, outre que l'embolie ne pourrait expliquer les phénomènes d' excitation cérébrale, il est des cas, comme le nôtre, où l
période où le malade avait des alternatives de phénomènes graves d' excitation et de coma; il est resté ainsi plusieurs jours
és. Dans le second cas, les phénomènes débutent par une période d' excitation parfois extrêmement marquée. Il y aune agitation
n de malaise, de^ douleurs dans le ventre et l'hypochondre droit. L' excitation cérébrale se traduit par une vivacité inaccoutu
e période de l'ivresse; la parole est brève, rapide, bredouillée; l' excitation peut aller jusqu'à un véritable délire maniaque
ature s'élève jusqu'à 380,5 et 39°. Ce n'est qu'après cette phase d' excitation , qui peut durer plus ou moins longtemps et même
e. Le coma, ici, 58 REVUE CRITIQUE. est précédé par une période d' excitation et de réaction avec élévation de la température
l- lapsus diabétique. L'analogie de ces deux phases successives d' excitation et de dépression est évidente avec la marche des
ne, et cela, à diverses reprises, sans autres accidents qu'un peu d' excitation ou de dépression et quelques vertiges. Puis, à
if- fèrent par trois points principaux : Le défaut de symptômes d' excitation au début; L'absence de l'odeur chloroformique d
du coma de l'intoxication acétonique. On ne constate pas la phase d' excitation , analogue à l'ivresse alcoolique ou chloroformi
qui marquent le début de l'empoisonnement; ce sont des symptômes d' excitation qui résultent du premier contact de la substanc
n'y a pas de fièvre à proprement parler, mais seulement une légère excitation fébrile, constatable néanmoins au ther- momètre
39° dans les premiers jours (OBs. XXXVIII, LXXXIV). Cette phase d' excitation est d'ordinaire assez courte; elle peut passer
du malade permet toujours de relever quelques-uns des symp- tômes d' excitation préalable que nous avons indiqués. Quoi qu'il e
ter. Le premier en date, car il existe déjà au moment de la phase d' excitation , est cette sensation de fai- blesse générale, d
présente dans son évolution deux périodes : une période initiale, d' excitation , et une période terminale, de coma. Le thermomè
alaise général, des douleurs en divers points du corps, ou bien une excitation cérébrale anormale, semblables à celle d'une lé
ix et douze jours avant d'aboutir à la mort. C'est sur la période d' excitation que porte cette prolongation; car, du moment qu
a manie le désordre dans les idées accompagné d'hallucinations avec excitation , qui forme une phase de transition ; dans l'éta
s (mais la droite beaucoup plus que la gauche), et insen- sible à l' excitation lumineuse comme à toute aceommolation. La langu
es il n'y a eu d'idées de grandeur, ni même de période quelconque d' excitation , mais que les symptômes mentaux étaient plutôt
x faits d'autre connexité que celle qui résulte de la \io)cnce de l' excitation maniaque et de la rapidité delà terminaison fat
ations individuelles (neurasthénie, hystérie, hypochondrie, états d' excitation ou de faiblesse, maladies de coeur, affections
ne quantité très forte d'ozone produit ou augmente les phénomènes d' excitation , les angoisses, les conceptions irrésistibles,
n des mouvements intentionnels ; ils émanent de l'irradia- tion des excitations à l'intérieur du corps strié (noyau caudé ou le
rise sous-corticale doit subir un arrêt fonctionnel de la part de l' excitation du cer- veau antérieur. Meynert rappelle les lé
ce grise du corps strié. Dans la chorée vraie de cette sorte, toute excitation du cerveau antérieur excite en même temps le co
. Chauveau ne représente pas précisément les phénomènes issus d'une excitation du corps strié qui doit entraîner l'arrêt de fonc
ls ; M. CLORET (de Liège) a fait une communication sur le rôle de l' excitation maniaque dans le développement de la plupart de
la suite d'une saignée abondante qui lui fut faite, M... fut pris d' excitation et de délire avec prédomi- nance d'idées de per
police, d'où il fut dirigé sur Bicètre. On constate un délire avec excitation et agitation extrêmes, incohérence absolue. Il
à 108; la langue est blanche; constipation. Pendant quinze jours, l' excitation ma- niaque et la fièvre se soutiennent sans auc
encore si la perception pure de la lumière considérée comme agent d' excitation a lieu dans ces corps, après ablation des hémis
du membre inférieur de ce côté, de petits mouvements répondent à l' excitation des extenseurs des orteils. L'adducteur du pouc
isolés, qui, séparés dans le nerf, fusionnent dans la cellule; une excitation d'une certaine force peut rompre l'isolement de
t des fibrilles, la fibre nerveuse con- duisant dans son ensemble l' excitation . Il convient maintenant de chercher quelle est,
laires sont des processus moteurs déter- minés dans un muscle par l' excitation mécanique de ce muscle. Ils se divisent en : 40
meuré intact, mais la contraction locale exige l'intervention d'une excitation bien plus considérable que la contraction totale.
ersistent pendant le sommeil. PendantJa narcose chloroformique, une excitation faible suffit à engendrer une contraction local
REY, qui; a expérimenté l'action sédative de l'acéto-phénol dans l' excitation maniaque expose des faits dont les résultats sont
autres troubles font - z tionnels sus-énoncés sont des phénomènes d' excitation . Le cer- veau est donc un à l'égard des excitan
ance nerveuse change : d'actif il devient passif : aux phénomènes d' excitation succèdent des phéno- mènes de paralysie. La par
uité; c'est sur elles qu'est assise la pathologie, les phénomènes d' excitation et de paralysie formant par leur com- binaison
commotion constituent des syn- dromes identiques qui résultent de l' excitation ou de la paralysie de la substance nerveuse. Il
énérale et de l'analyse pathogénétique, d'étudier séparément : 1° l' excitation et la paralysie du cerveau; 2° les lésions du c
s cas. » C'est, du reste, l'histoire des psychoses consécutives à l' excitation des nerfs sen- sitifs (névralgie frontale, occi
du cas de Griesinger (névralgie de la cinquième paire). Les états d' excitation des nerfs sensibles se propagent à certaines part
t des nerfs moteurs chargés d'animer les muscles respiratoires. L' excitation de ces rameaux, si prononcée dans l'asthme nerveu
ion sur le système ner- veux semblable à celle des hystériques, par excitation centripète; il s'agit d'une paralysie hystérifo
les mouvements continus des yeux propres au sommeil (par absence d' excitation du bulbe), de la diminution des réflexes. Ce co
, lequel est caractérisé d'une part par l'existence de phénomènes d' excitation d'ordre moteur, d'autre part par la persistance
lution comateuse semblable au sommeil. La nature des phénomènes d' excitation d'ordre moteur permet encore une distinction fo
tinction fondemautale entreie sopor et le sommeil. Ces phénomènes d' excitation des centres inférieurs ne sont pas tout à fait
ativement faibles, le mouvement exagérant en somme l'intensité de l' excitation . Ces deux pro- priétés témoignent de l'hyperexe
t à l'existence de phénomènes d'arrêt empêchant la propagation de l' excitation à l'intérieur du cerveau, comme en témoigne l'u
a bouche, le voile du palais est immobile, vertical, insensible aux excitations . - En outre le malade accuse un affaiblissement
glisser sur le plan du lit. Les divers muscles réagissent mieux à l' excitation élec- trique. Parallèlement la sensibilité revi
n casque ce centre agiterait à lui seul, il aurait une fonction d' excitation simple sur les organes spéciaux. Par exemple, s
se motrice d'un chien non narcotisé, nous réussirons à produire une excitation dont l'intensité sera en proportion directe de
nsité sera en proportion directe de la force du courant, et cette excitation finira avec la rupture du courant. Après les ex
phénomènes paralytiques ou parétiques et surtout les phénomènes d' excitation motrice. 1. Dans 3 cas seulement (11" 20, 23 et
isse qui va toujours croissant, et aboutit à de véritables crises d' excitation , de vio- lence, souvent même de délire. Chez An
enne théorie bulbaire de Schôoder van *der Kolk l'hypo- thèse d'une excitation constante des couches corticales du cer- veau (
braux ou dans les régions bulbo-protubérantielles des points dont l' excitation répétée peut provoquer l'attaque épileptique. D
torisé à sup- poser exister chez les sujets prédisposés, et 'dont l' excitation , plus facilement mise en jeu par les influences
miplégiques, M. Bouveret pense qu'elles doivent être rapportées à l' excitation des irradiations du faisceau pyramidal au nivea
à l'un des genres de courants une valeur spécifique quelconque. L' excitation purement périphérique de la peau d'un sujet sain
s curatifs réflexes des deux sortes de courants qui agiraient par excitation simple et par action réflexe spécifique. Toutes d
e de l'autre (action des ganglions dans les névroses viscérales). L' excitation directe parles courants des ganglions vaso-mote
oteurs et, par suite, le choix du genre des courants basé sur cette excitation , cède la place à l'action curatrice réflexe (pa
r cette excitation, cède la place à l'action curatrice réflexe (par excitation périphérique). L'auteur avoue que le choix du g
siste alors à méconnaître la nature de ces symptômes et à laisser l' excitation épuiser le malade, et le conduire à la mort. Qu
comme l'épilepsie ordinaire peut quelquefois revêtir la forme de l' excitation mentale au lieu de se traduire par une convulsi
conducteurs par les mouvements forcés ainsi produits, ainsi qu'à l' excitation réitérée des vaisseaux sanguins et lympha- tiqu
servée et reproduite spontanément, c'est-à-dire indépendamment de l' excitation du sens qui lui a donné naissance. Il y a donc
449 velle et hardie ! L'image est un phénomène qui résulte d'une excitation des centres sensoriels corticaux.[Bain avait déjà
compte, bien entendu, des susceptibilités individuelles. Souvent l' excitation se reproduit, mais chaque retour est calmé plus
flectent une marche qu'on peut diviser en deux périodes : période d' excitation et période de dépression. Quelquefois on observ
d'amyle dans le), ; - (convulsions consécutives), 441. Maniaque ( excitation ), il9. Maniaques (mort rapide avec symp- tdme
22 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
ur au niveau de la région du lobule paracentral. De l'influence des excitations sensitives et sensorielles dans les phases catale
llant et elle tombe en léthargie. Pendant cette période, les diverses excitations que nous faisons porter sur les sens du toucher,
air devant les yeux ne change rien à la scène précédente. Après ces excitations du sens de la vue, nous nous adressons à l'odorat
oculaires. Dans la période léthargique, aucune réaction aux diverses excitations sensitives et sensorielles que nous avons pratiqu
oint les mains, lève les yeux au ciel et paraît prier. Les diverses excitations des deux autres sens, l'ouïe et lo toucher, ne no
s manifestations que nous ayons provoquées avec les nombreux agents d' excitation employés. En revanche elles étaient très vives et
i que ses idées se bornent à un bien petit nombre. En présence de ces excitations , il est évident que le sujet réagit à sa manière,
paru. Pendant la période somnambulique de l'hypnotisme les diverses excitations sensitives ou sensorielles n'ont jamais provoqué
t tout. Il en est exactement de même pour les substances sapides, les excitations auditives, les sensations cutanées. Les réponses
s globes oculaires. Pendant la phase léthargique, aucune réaction aux excitations sensitivo-sensorielles, comme chez nos deux aut
araît désolée de voir que la tache persiste malgré ses efforts. Les excitations gustatives donnent des résultats non moins intére
le sens de l'ouïe, il est à remarquer que la malade ne réagit qu'aux excitations relativement simples ; sons divers, musique rhyth
ille, qu'elle ne connaissait pas cette dernière sorte de danse. Les excitations cutanées simples, toucher, piqûre, ne nous ont pa
hacune d'elles en particulier. En résumé, on peut donc dire que les excitations sensitives et sensorielles agissent différemment
ns laquelle on connaît l'influence suggestive du sens musculaire, les excitations sensorielles sont perçues et provoquent chez le s
ément, est cependant plus éveillé et plus près de la vie normale, les excitations sont perçues, mais elles ne produisent que des se
ir les objets qui l'environnent et semble incapable d'interpréter les excitations complexes qu'il perçoit peut-être. Au contraire,
nt là de véritables suggestions provoquées dans la catalepsie par les excitations des divers sens. Elles sont absolument indépendan
eut donner dans la phase cataleptique du grand hypnotisme, à l'aide d' excitations sensitives et sensorielles, des suggestions dont
chacune des sensations qu'on lui fait percevoir. De l'influence des excitations des organes des sens sur les hallucinations de la
provoquée chez lui est toujours en rapport avec le sens sur lequel l' excitation aura été portée. » Ces quelques lignes contienn
. II, p. 3*26. (2) Ségal. — Des hallucinations sous l'influence des excitations des organes des sens rfans les accès hystéro-épil
ade ne parlait pas pendant qu'on lui donnait des hallucinations par l' excitation des sens, on peut cependant déduire quelques cons
impression plus profonde que tout le reste, était moins sensible aux excitations un peu délicates et que les hallucinations provoq
durée. Quoi qu'il en soit, la modification apportée au délire par les excitations sensorielles était évidente, ainsi que l'impossib
feste aussi dans ce fait que la réaction de la malade vis-à-vis d'une excitation sensorielle donnée est toujours exactement la mêm
nerfs, le chloroforme celui de contractures, et ainsi pour toutes les excitations des sens. Cette espèce de déterminisme est digne
le que nous avons constatée chez cette même malade sous l'influence d' excitations sensorielles analogues pendant la période catalep
période cataleptique du grand hypnotisme (1). Chose remarquable, les excitations de même nature produisent dans la catalepsie souv
imaginaire. Les hallucinations soit spontanées, soit provoquées par l' excitation des organes des sens, sont accompagnées chez lui
antérieurement. Aussi, ne mentionnerons-nous pas les résultats des excitations portant sur le sens de l'ouïe (1). Chez ce jeun
stérique. Il présente, lui aussi, une grande fixité de réaction à une excitation donnée. Toujours, même à de longs mois de distanc
fier la marche des hallucinations et en créer de nouvelles à l'aide d' excitations diverses, mais toujours simples, des organes des
Il existe une hyperexcitabilité musculaire qu'on met en œuvre par une excitation superficielle du tégument externe. Le souffle, ou
provoquée chez lui est toujours en rapport avec le sens sur lequel l' excitation aura été portée. » Ces quelques lignes contiennen
tableaux. (1) Georges Guinon et Sophie Woltke. — De l'influence des excitations des organes des sens sur les hallucinations de la
est pas moins intéressante en ce qu'elle montre bien l'influence des excitations des organes des sens sur la direction des halluci
homme, ouvrier grossier, sans instruction ni éducation, c'étaient les excitations sensorielles les plus simples qui donnaient lieu
ns délirantes par la parole, montrait assez nettement l'influence des excitations des organes des sens sur les hallucinations de la
e. Celles-ci reviennent spontanément ou peuvent être provoquées par l' excitation d'un point spasmogène situé sur le sommet de la t
lle le procédé de Motchoutkowsky et modifier son délire à l'aide de l' excitation des organes des sens. Ces résultats ont été aussi
actile,douloureuse ou thermique, nous remarquons tout d'abord que les excitations portées sur le côté anesthésique ne sont suivies
centrée dans son délire, dont rien ne peut la faire sortir, sinon les excitations simples des organes des sens. Alors elle s'empare
ansforme à son gré en une hallucination, toujours la même pour chaque excitation sensorielle. Ces résultats sont d'autant plus i
alepsie par les procédés ordinaires, nous avons remarqué crue par des excitations simples des organes des sens on pouvait faire naî
r l'ouïe, l'odorat, le goût, le toucher, dans le domaine desquels une excitation suggère une hallucination, à l'égard de laquelle
s chez Sch... dans la période cataleptique de l'hypnose à l'aide de l' excitation des organes des sens, renvoyant le lecteur à notr
et troubler la cérémonie. En impressionnant les divers sens par des excitations simples, on arrive à des résultats analogues. Un
moins concentré dans son délire que certains autres et sensible à des excitations un peu plus complexes. On n'arrive à rien en le s
changement de tableau s'opère avec la même instantanéité que pour les excitations sensorielles simples, mais on y arrive cependant.
ême origine hallucinatoire, même possibilité d'être influencé par les excitations des organes des sens. Le malade, il est vrai, est
ncentrée dans son délire, tellement que la parole était pour elle une excitation trop complexe pour provoquer un changement dans s
, au contraire, il n'y a pas un seul instant de tranquillité et, sans excitation aucune, celui-ci présente une spontanéité dans le
n peut arriver à provoquer des hallucinations : c'est-a-di¡re par des excitations des organes des sens. L'état cataleptique corresp
is, 1889. (2) Georges Guinon et Sophie Woltke. — De l'influence des excitations sensitives et sensorielles dans les phases catale
bulisme à l'aide de manoeuvres diverses, consistant en résumé clans l' excitation des zones hystérogènes. Parmi ces derniers, les p
impressionner, changer le cours de leurs idées délirantes, par des excitations plus compliquées, telles que la parole, par exemp
nt « suivant l'âge, les divers devoirs de la vie, les événements, les excitations du moment (1). » Ces sous-personnalités, pour emp
et plus haut n° XXV, p. 22). Des mêmes auteurs : De l'influence des excitations des organes des sens sur les hallucinations de la
, à n'en pas douter, de véritables zones hysté-ro-frénatrices, dont l' excitation fait cesser l'attaque à forme spéciale dont la ma
it entre le somnambule profondément concentré dans son délire que les excitations les plus simples parviennent à peine à impression
mbulisme hypnotique, et non des moins importants : la contracture par excitation légère de la peau et la suggestibilité somnambuli
degré dans l'état vigilambulique. Plus de contracture des muscles par excitation légère de la peau (souffle) ; absence totale de s
état léthargique profond qui dure une journée et dont aucune espèce d' excitation ne peut la sortir. Enfin, elle sembla reprendre s
mp visuel, ne dépassant pas la ligne médiane. Pupilles réagissant aux excitations lumineuses. Pas de lésions du fond de l'œil. Acui
sme. Début des accès à 24 ans. Le premier fut suivi d'une période d' excitation maniaque ayant nécessité le transport à Sainte-An
tomiques à l'appui. ï v................ i XXV. De l'influence des excitations sensitives et sensorielles dans les phases catale
rges Guinon et Mlle Sophie Woltke). . 22 XXVI. De l'influence des excitations des organes des sens sur les hallucinations de la
comitial ambulatoire, 61; — diagnostic de F—, 63. c Catalepsie : excitation des sens dans la — hypnotique, 22. Cénesthésie
; — modifications spontanées et artificielles du —, 99; Influence des excitations sensorielles sur le —, 108, 111, 121, 138; Mono-i
lésions bulbaires, 355, 363. Hoquet hystérique, 444. Hypnotisme: excitations des sens dans les phases cataleptique et somnambu
, 171; Mémoire dans 1' —, 285 ; Contagion dans Y —, 457. Hystérie : excitation des sens dans l'attaque d' —, 36; Délire provoqué
3; Hémianesthésie dans le —, 462 : Epilepsie dans le —. 464. Sens : excitation des — dans la catalepsie et le somnambulisme hypn
Noctambulisme). Somnambulisme hystérique, 65,70; — provoqué par l' excitation des points hystérogènes, 84 ; — et somnambulisme
23 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n effet, tout naturel d'admettre que, sous l'influence d'une même excitation , la réaction puisse être différente suivant le
er un muscle antagoniste ou de la lenteur de l'exécution de cette excitation En général, cette forme intéres- sante d'incoor
ue la convulsion fonctionnelle ne concerne pas le corps; de plus, l' excitation corticale qui semble en- gendrer l'un et l'autr
sur toute la face : telles sont les éphidroses qui succèdent à l' excitation des nerfs du goût (exemple de M. Brown- Séquard
tée, mais non au maximum : elle ne réagissait qu'avec paresse aux excitations lumineuses. Il existait en outre une diminution d
ment en présence d'une mydriase qu'il faut bien rap- porter à une excitation des filets oculo-pupillaires. Il est à remarque
s, ce qui tendrait à faire admettre qu'à la suite de la période d' excitation produisant l'éphidrose et la mydriase sur- vena
la sudation est généralement d'ordre réflexe et elle succède à une excitation des nerfs du goût. Ces faits vont nous servir d
ure et dans lesquels l'éphidrose est d'ordre purement réflexe, sans excitation préalable des fibres sudorales du facial. En
isage est baigné de sueur. » Dans d'autres cas, ce n'est plus une excitation des nerfs du goût qui détermine l'hypéridrose.
rs gastriques. Dans un autre ordre de faits, c'est une émotion, une excitation psychique 74 1, CLINIQUE NERVEUSE. qui déterm
. Tuke rapporte une observation de Gratiolet, dans la- quelle une excitation émotionnelle fut suivie d'une éphidrose unilaté
eau) ; 4° Trouble réflexe dont le point de départ réside dans une excitation des nerfs du goût, des nerfs de sensibilité gén
onservée; la parole est libre. Le malade est sujet à des périodes d' excitation violente après les accès. Dynamomètre à droite
ence d'une longue folie à forme rémittente, accompagnée d'accès d' excitation et qui s'était développée chez un prédisposé. C'e
muqueuses est totale; la malade ne réagit sous l'influence d'aucune excitation . Toute- fois, l'introduction de la sonde oesoph
paupières. Fig. 13. 104 REVUE CRITIQUE. Pendant ces périodes d' excitation provoquée, la face se colore, le pouls devient
térie ni l'épilepsie, mais représentant des phénomènes d'arrêt ou d' excitation de l'appareil muscu- laire, par conséquent bien
MENTALE. '1'13 sion de lettrés. Désordre dans les idées, agitation, excitation . Une attaque épileptiforme débutant par la rota
envisager l'hallucination verbale de l'ouïe comme le résultat d'une excitation morbide du cenlre des images audi- tives des mo
er de certaines formes d'onomatomanie qui semblent dépendre d'une excitation anormale du centre des images verbales motrices.
nchyme nerveux, des altérations intenses égale- ment, tandis qu'une excitation faible porte seulement sur la né- vroglie. Cepe
lle se laisse- rôtir sans réagir, ce qui n'aurait pas lieu si les excitations étaient capables de produire des actes conscien
xpérience de Luchsinger, au contraire, la sudation est le fait de l' excitation directe des fibres sudorales. MM. Vulpian et
vaso-motrice. 2° Ceux dans lesquels l'éphidrose est le fait d'une excitation des fibres sudorales; Dans ceux-ci, la sueur lo
La dilatation pupillaire peut être, à la vérité, pro- duite par une excitation du tronc du sympathique cervical. Toutefois, da
ervical. Toutefois, dans les nombreuses observations où une phase d' excitation a précédé une paralysie du sympathique cervical
cultés inhérentes à ce genre de recherches. Or, il a constaté que l' excitation du bout supérieur du sym- pathique cervical dét
ique cervical contient des fibres excito-su- dorales. Dès lors, l' excitation de ces dernières jointe à l'exci- tation des fi
nous l'avons dit, on ne voit pas signalées dans les observations d' excitation du sympathique, la mydriase et l'éphidrose, out
a première phase d'une paralysie du sympathique était une période d' excitation caracté- risée par de l'abaissement de la tempé
17 -1 pas question d'hypersudation; il semble peu probable qu'une excitation portant sur les fibres sudorales et iriennes du
rte pas également sur les fibres vaso-motrices du même tronc. Or, l' excitation de ces dernières déterminerait de la pâleur des
imprudent, actuellement du moins, de chercher à expliquer, par une excitation du tronc du grand sympathique cervical, les sym
la phase de destruction des cellules avait remplacé la période d' excitation et ainsi s'expliquerait fort bien l'absence des
t amener une éphidrose de la face. Celle-ci est la conséquence de l' excitation des cellules du ganglion ou des filets nerveux
t ans. - Débilité mentale. - Idées mélancoliques après les accès. - Excitation maniaque, - Onanisme. - Hydrothérapie et bromur
uis accès convulsifs. - Aura médiate. - Soubresauts. - Pyromanie. - Excitation ma- niaque. - Violences. Tlémor1'lwïdes. Diminu
s variable et souvent on voit des alter- natives de dépression et d' excitation ; mais c'est en somme l'é- " tat mélancolique qu
tres fois, après une stupeur de courte durée arrive de nouveau de l' excitation ou un état de franche mélancolie à laquelle suc
is). Enfin, dans une dernière forme (C. prolongée), les symptômes d' excitation n'apparaissent pas dans la première moitié de l
qui, sans déterminer de phénomènes paraly- tiques ? se complique d' excitation ou de dépression. émotion- nelles intenses, con
moteur qui en fait une vraie psychoneurose : les états variables d' excitation , de dépression, de raideur que l'on rencontre s
ès fréquente du Wahnsinn hystérique a de règle pour début un état d' excitation maniaque. Il s'agit toujours alors de constitut
t plongé dans le sommeil le plus profond et que tous les procédés d' excitation qui s'adressent à son activité physique restent
ir volontairement, dans la majorité des cas au moins, vis-à-vis des excitations physiques ou psychiques aux- quelles il est en
ur cela qu'il n'a aucune conscience tant morale que physique de ces excitations ; nous ne le croyons pas. Il est incontestable q
arait en aucune façon pendant le sommeil, bien au contraire, et les excitations por- tées sur le côté atteint devront donc par
par une attaque convulsive ou bien par des lèves, des pleurs, de l' excitation . Les malades sont étonnées, paraissent ne plus se
lle est l'indice d'une inondation ventriculaire (Brissaud) ou d'une excitation méningée périphérique. La mort survient alors d
e simple qu'il était au pouvoir du délin- quant d'éviter; lorsque l' excitation alcoolique a été recherchée pour se donner l'en
ions de gonflement des pieds et de dénivellement. Signe de Rorn6eg. Excitation génitale suivie de frigidité. De 1 88 ci 886, t
s'accrocher à un soutien solide pour ne pas tomber. Une violente excitation génitale coïncida avec l'apparition des symptôm
t tho- racique en inspiration. Immédiatement après, pendant que l' excitation électrique continuait, et que les respirations
rations pendant l'exci- tation électrique; leur réapparition dans l' excitation avec balancement; leur nouvel arrêt dans la sui
excitation avec balancement; leur nouvel arrêt dans la suite de l' excitation sans balancements; et enfin la réappari- tion d
plet de respira- tions. Enfin, nous avons balancé en continuant l' excitation , et alors nous voyons d'abord des lignes DU VER
courbure de respiration, l'animal étant en repos. Ensuite, par l' excitation faradique, nous avons obtenu l'arrèt complet de
ate la fin du courant et les secousses que l'animal ressent après l' excitation . Après cette faradisation simple et l'arrêt com
rrêt com- plet et sans balancement; les autres 24" ont été avec excitation et balancement, durant lequel les 111011\ l'llI
sait sous l'influence du balancement et cessait avec lui. - Donc, l' excitation du but central des pneumo- gastriques, comme au
l'excitabilité rythmique du coeur existe dans son arrêt, après l' excitation des nerfs vagues par le cou- rant induit; comme
vons obtenu le même résultat parla section des pneumo-gastriques, l' excitation de leur but central et le balancement du lapin.
(Lagardelle). On sait d'ailleurs que dans les formes plus graves d' excitation , et en particulier dans le délire aigu, les tro
ériode maniaque qui ouvre la scène de la catatonie. Outre que cette excitation maniaque nous parait être souvent de l'anxiété
mme le dit Hammond ', des alternatives plus ou moins régulières d' excitation se présentant aussi bien sous la forme d'excitati
ns régulières d'excitation se présentant aussi bien sous la forme d' excitation maniaque que d'anxiété mélancolique, puis de dé
en distingue trois classes : la pre- mière comprend le gâtisme par excitation pathologique, pas- sager, épisodique, étranger
ité; on en distingue trois catégories, suivant la région où siège l' excitation ; excitation psychomotrice (impulsion organique
istingue trois catégories, suivant la région où siège l'excitation; excitation psychomotrice (impulsion organique centrifuge)-
itation; excitation psychomotrice (impulsion organique centrifuge)- excitation sen- sitive, périphérique et psychique (réflexe
ation sen- sitive, périphérique et psychique (réflexe centripète) - excitation véritablement inlrapsychique, intracenlrale (id
rations, paraphasies, comme symptômes post-épileptiques; 3° états d' excitation moteurs (corticaux) soit dans le stade postparo
EVUE DE PATHOLOGE MENTALE. 443 mouvements automatiques divers; 4° l' excitation maniaque, dési- gnée par Samt sous le nom de mo
l'antéchrist. On constate une démence très prononcée, entremêlée d' excitation maniaque, de phases hy- pochondriaques ; relati
es accumulés dans ces dernières années et relatifs aux effets des excitations et des destructions localisées du cerveau; la sec
ient la critique des théories. Les effets moteurs pro- voqués par l' excitation expérimentale du cerveau ont été ana- lysés de
il expose la topographie motrice cérébrale, d'après la méthode des excitations . Une note intéressante relate les magnifiques o
t on analyse les mouvements d'origine céré- brale provoqués par les excitations électriques soit à la sur- face des circonvolut
soit sur la coupe des faisceaux blancs, on constate : 1° lorsque l' excitation est brusque, comme celle due à la rupture ou à
oins complet. Ce tétanos diffère suivant qu'il 1 est fourni par une excitation d'origine corticale ou une excita- tion d'origi
e abonde en documents précieux, à l'opposé de ce qui concerne les excitations cérébrales. Les troubles moteurs consécutifs au
24 (1913) Exposé des travaux scientifiques
rs complètement soustrait à l'influence du système nerveux et que l' excitation électrique ne porte que sur les libres musculai
nisme de ce phénomène ; certains supposaient qu'il était dû à une excitation du labyrinthe, d'autres pensaient qu'il dépendait
re le but visé. On constate alors de la manière la plus nette que l' excitation d'une même partie du labyrinthe, à la fermeture d
on de tous les muscles qui fléchissent l'avant-bras ; parfois cette excitation donne lieu également à une flexion de la main e
lorsque, le sujet ne contractant pas volontairement ses muscles, l' excitation d'un tendon détermine dans le groupe musculaire
elle est pratiquée au niveau du tendon du triceps, les effets de l' excitation de ce tendon l'emportant alors sur ceux qui rés
nt de la naissance jusqu'au moment où la marche devient correcte, l' excitation de la plante du pied, quandclledétermine, Fixe
détermine, Fixe 2. Étal normal. Flexion des orteils provoquée par excitation de la plante du pied. ce qui est la règle, un m
ig. 2). 11 est des individus normaux chez lesquels, à la suite de l' excitation de la plante du pied, les orteils restent immob
ent d'extension. Or, en cas de perturbation du système pyramidal, l' excitation de la 38 SÉMIOLOGIE plante du pied provoque o
uand on excite la partie interne de la plante du pied que lorsque l' excitation porte sur la partie externe, et c'est l'inverse
tie physiologiques. En voici des exemples : chez certains sujets, l' excitation de la plante du pied provoque l'extension du gr
s orteils ; dans ce dernier cas, ce sont généralement les premières excitations qui donnent lieu à de la flexion. « Cela dit,
ieur étant placé dans cette attitude, on attendra pour procéder à l' excitation que les muscles paraissent bien relâchés. « I
uiller simplement ou de piquer la plante du pied. Ce dernier mode d' excitation est nécessaire chez certains sujets pour faire ap
cte de la volonté ; il faut, dans des cas de ce genre, renouveler l' excitation en la pratiquant superficiellement. « Il y a en
le mouvement de flexion qu'il exécute sur la jambe à la suite de l' excitation de la plante ; si donc le mouvement de flexion
réflexes tendineux faisant défaut à ce moment comme auparavant, l' excitation de la plante du pied provoquait, ainsi qu'au prem
e datant de plusieurs années, j'ai noté le curieux fait suivant : l' excitation de la plante du pied paralysé donnait lieu de c
ed paralysé donnait lieu de ce côté à une extension des orteils ; l' excitation de la plante du pied normal provoquait, outre une
yant examiné le malade immédiatement après une crise, j'ai vu que l' excitation de la plante du pied donnait lieu à de l'extens
s orteil volontairement et d'exécuter ce mouvement à la suite d'une excitation de la plante du pied. Mais, en y prêtant l'at-
nt ; par contre, quand l'attention du sujet aura été détournée, une excitation forte ne sera pas suivie d'extension, ou bien l
ramidal, j'ai fait observer que chez quelques malades, tandis que l' excitation de la plante du pied détermine de l'extension d
tendon d'Achille, ou bien si elles ne sont pas simplement dues à l' excitation de la peau. « C'est le problème que je me sui
« Unterschenkelsreflex ». Voici en quoi il consiste : tandis que l' excitation des téguments de la partie interne de la jambe,
n réflexe ou seulement une flexion des quatre petits orteils, cette excitation , dans les cas où il y a une lésion de la voie p
alité du phénomène de Babinski qui peut aussi être provoqué par une excitation de la jambe, et que ce n'est pas la surface int
sa sur- face externe ou encore mieux sa surface postérieure dont l' excitation est propre à provoquer ce réflexe. » Ci-desso
ce que j'ai écrit à ce sujet dans mon pre- mier travail (97). « L' excitation de la plante du pied provoque parfois, entre autr
précédente communication que l'abduction réflexe provoquée par une excitation de la plante du pied constitue, quand elle est
rsqu'ils sont exagérés, puissent être provoqués non seulement par l' excitation de la peau mais aussi par la compression des pa
: ils sont très brusques et peuvent en général être provoqués par l' excitation d'une partie quelconque de la peau y compris le
lésion ; le malade 58 SÉMIOLOGIE avait du reste remarqué que les excitations du côté anesthésié provo- quaient des mouvement
pratiquant une nouvelle exploration, je constatai celle fois que l' excitation lumineuse provo- quait une contraction pupillai
facial. Or, à priori, il me paraît déjà difficile d'admettre qu'une excitation d'un nerf sensitif puisse produire un effet ident
106 AFFECTIONS DE LA MOELLE La hauteur du territoire cutané dont l' excitation peut provoquer ces réflexes n'est pas la même d
ment à la partie supérieure de la moelle dorsale et chez lesquels l' excitation de l'ab- domen restait ordinairement sans effet
ns à délimiter le domaine des réflexes de défense en pratiquant des excitations successives d'abord de bas en haut, puis de hau
, AFFECTIONS DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE 173 entre autres moyens d' excitation , l'électrisation voltaïque avec un dispositif p
cytodiagnostic, m'avait montré que d'ordi- naire la résistance à l' excitation électrique diminuait après l'opération. Il y av
ns les réactions correspondant t il des différences dans le siège d' excitation (Id.). r41. Emotion, suggestion et hystérie (Id
25 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
p. à droite). Le point moteur du splénium est complètement muet aux excitations élec- triques des deux côtés. L'angulaire de
ins négative par les physiologistes. En effet Benz et Longet, par l' excitation des racines de la XI" paire au- raient vu se co
la crampe des écrivains toujours prise comme exemple au moyen de l' excitation faradique (courant fort). « Si l'on applique en
aschide (147) nie ce fait que la crampe puisse être provoquée par l' excitation faradique : ayant essayé à plusieurs reprises sur
u brusque. Féré (59) par contre montre que, chez les névropathes, l' excitation mécanique du cubital au niveau du coude est cap
, ou qu'il aurait perdu son aptitude à réagir sous l'influence de l' excitation nerveuse quand U aurait à remplir certaines fon
s'agissait d'une folie à dou- ble forme dans laquelle la période d' excitation était remplacée par une période de simple angio
ique, comme le disent Brissaud, Hallion et Meige(21), montre qu'une excitation de l'écorce cérébrale, au niveau de la zone psy
au fut celui de la paralysie ascendante de Landry. Les phénomènes d' excitation , plus rares, consistent en contractures, parfois
ntier sous la dépendance d'excita- tions : psychiques; réflexes par excitations cutanées ou sensorielles; spasmodiques par. exc
éflexes par excitations cutanées ou sensorielles; spasmodiques par. excitation organique de voisinage. Pour BETCHEREW, la lési
la lésion corticale intervient par un double méca- nisme possible : excitation corticale directe, inhibition volontaire rendue
en ceci : le thalamus, centre de coordination réflexe, répond à une excitation qui doit être soumise au contrôle, à la maîtris
n résultat commun, le dérèglement du thalamus livré à lui-même, aux excitations du dehors, agissant sur les colonnes motrices b
hérapeutique, modifier les idées par suggestion, c'est-à-dire par l' excitation mécanique des vibrations sonores repré- sentati
se décomposant et se recons- tituant constamment sous t'influence d' excitations extérieures, ayant par con- séquent du mouvemen
Son activité n'est jamais spontanée mais toujours provoquée par des excitations du milieu, de nature chimique, électrique, lumi
rait immédiatement, si elle ne recevait pas à tous les instants des excitations qui la maintiennent en vie en lui donnant le mouv
orter pour obtenir un supplément d'explication, j'ai montré que les excitations extérieu- res agissant sur la matière vivante p
s, électriques lumineuses, mécaniques qui résument tous les modes d' excitation connus (1). ' Sans parcourir tons les échelons
n certains autres une sensibilité spéciale vis-à-vis de certai- nes excitations lumineuses ou sonores par exemple. Alors l'excita
telle façon que celui-ci de- vient une représentation interne de l' excitation externe. Si nous considérons maintenant dans so
involontaires et ne sont que des réactions mécaniques en présence d' excitations . Toujours la réac- (1) Je passe sous silence l'
ésence d'excitations. Toujours la réac- (1) Je passe sous silence l' excitation magnétique dont l'action sur la matière vivante
SAI SUR LA PHYSIOLOGIE DE L'ESPRIT 165' tion est conditionnée par l' excitation et dans sa formation et dans sa produc- tion. E
es différents rouages une cellule nerveuse qui reçoit et transmet l' excitation reçue aux organes dont la fonction est d'y répond
tenant commandé à distance, sans que pour cela les rapports entre l' excitation et la réaction aient cessé d'être de nature pur
rveux n'est en somme qu'un organe de transmission qui réfléchit les excitations dont il a été l'objet et qui est parfaitement ada
ts successifs laissent toujours place à de nouvelles possibilités d' excitation et par conséquent à des organisations nouvelles
n dernière analyse en une certaine somme, une certaine complexité d' excitations pure- ment mécaniques. Un spectacle, une auditi
e l'énergie universellement répandue, que parce qu'ils dégagent des excitations mécaniques, thermiques, lumineuses, chimiques ou
er la matière vivante. Nous ne percevons du monde extérieur que les excitations énergétiques qui en émanent et qui nous en four
t. On voit donc qu'il n'y a pas de différence essentielle entre une excitation dégagée de toute signification, une simple impres
ple impression physico-chimique, une onde sonore par exemple et une excitation représenta- tive d'un objet extérieur, d'une ch
ou mécaniques, mais seulement par le nombre et la complexité de ces excitations . Les connaissances, c'est-à dire les objets de pe
localisation précise. Il se pourrait qu'elle soit liée à un degré d' excitation déterminé. Mais il m'a paru que les choses se p
la sensation kinesthésique dans la position du bras constituent des excitations qui déterminent automatiquement l'agrandissement
s différences et dans la nature des résultats et dans la nature des excitations . La volonté. ne prend aucune part l'exécution du
est-à- dire qu'il pourrait se produire sous l'influence d'une autre excitation une modification biologique qui aurait pour eff
exécuté avant que vous n'ayez pensé à le faire. La vue du. poing, l' excitation lumineuse spécifique a déjà suffi à actionner l
gent psychologique, on avait écarté avec soin toute possi- bilité d' excitation mécanique d'origine externe on interne. Au mome
ne constituent à proprement parler que des réactions en présence d' excitations . La volonté n'est qu'une création psychologique
es dans le cerveau. Dans le premier cas, ce sont principalement les excitations extérieures qui agissent sur la matière cérébrale
conditionner elles-mêmes des réactions per- sonnelles. Les seules excitations externes qui intéressent les manifestations intel
tion qui suffit cependant à en produire tous les effets, lorsqu'une excitation actionne le substratum organique sur lequel elle
nsi est constituée l'extrémité sensitive de l'arc diastaltique et l' excitation partie de l'extérieur a pénétré jusqu'à un ou plu
situation physi- co-chimique, en conserve la mémoire. De ce point l' excitation peut, suivant sa nature, son intensité ou d'aut
ont modifiées en rien de ce fait et qu'elles se comportent comme si l' excitation n'avait pas pris cette voie. De cette façon la
oppement des manifestations intellectuelles. En se réfléchissant, l' excitation primitive, c'est-à-dire la sensation peut en- c
'est-à-dire être réalisée, devenir effective. Ainsi, par exemple, l' excitation visuelle constituée par la vue de gens qui dans
nge- ment de direction dans la statique humaine, que la nature de l' excitation change. Sans m'appesantir davantage sur cette q
ée) et l'extrémité motrice (sortie) du mécanisme cérébral. Enfin, l' excitation extérieure ne manque jamais de se réfléchir sur l
que celle-ci constitue une peinture, une photographie en chair de l' excitation . Lorsque des sensations différentes affectent.e
ssible que ce soit cet équilibre physio- logique personnel à chaque excitation qui détermine le sentiment, l'impression qui lu
a des organiques localisés d'autant plus près du point excité que l' excitation est plus faible et susceptibles de se développer
elle-ci devient plus intense, de même la sensation qui n'est qu'une excitation agit d'autant plus fortement et profondément qu
t suivant la nature de l'excitant. Une matière peu excitable ou des excitations faibles provoquent seulement des modifications in
est donc pas le résultat d'une influence morale, mais l'effet d'une excitation physique. Le moral est d'ailleurs inconcevable et
a matière vivante puisse être impressionnée par antre chose que des excitations ou chimiques ou lumi- neuses etc. L'émotion éta
ent énergétique de la chose comme pensée, doit se comporter par une excitation externe et se traduire par une configuration in
tti- tude qui lui sont spéciales. La pensée n'est autre chose que l' excitation externe correspondante organisée dans le cervea
erminer. Une même émotion peut donc prendre sa source soit dans les excitations du milieu soit dans les pensées, c'est-à-dire dan
en- sité, conditionne le sentiment ou l'émotion correspondants et l' excitation ex- terne, suivant sa puissance, détermine la p
ptation de la matière aux énergies qui la pétrissent. Soumise à des excitations qui la modi- fient, chacun suivant sa nature, d
RE nécessaires du fonctionnement réflexe qui donne des réponses aux excitations actuelles seulement et, par conséquent, ne réfl
é dans les idées ont également une origine purement réflexe. Autres excitations , autres réactions. La crédulité humaine qui,
ieure n'est que le décalque de ce qui est vérité à l'extérieur. Les excitations externes se peignent dans la matière cérébrale.
faisant briller devant ses yeux d'étincelantes couleurs. Toutes ces excitations se réfléchissent en lui et l'équilibre s'établit
lace au soleil qu'elle est devenue banale. C'est donc que les mêmes excitations conditionnent toujours les mêmes réactions. A c
cérébrale comme un lacis inextricable d'arc réflexes naissants, les excitations extérieures ou les idées c'est-à-dire leur équi
, de voir la réaction en acte ou, tout au moins en pensée, suivre l' excitation avec uue promptitude toute réflexe. Un individu
s circonstances. Tel autre conserve une liberté relative devant une excitation faible et succombe lorsqu'elle devient plus forte
t se développer dans l'isolement le plus complet à l'abri de toutes excitations extérieures en dehors de tout milieu, il acquer
tamment la formation de la mentalité sous l'influence exclusive des excitations du milieu. Mais je m'aper- çois que la aussi j'
nces qui successivement viennent orner son intérieur. A ce moment l' excitation au mouvement peut provenir non pas seulement de
lles se combinent, se pénètrent, s'enchevêtrent. Sous la pression d' excitations extérieures, la cellule nerveuse organisée par
ion. C'est le deuxième point. Si nous supposons maintenant qu'une excitation , une sensation c'est-à-dire lin mot, un écrit,
ls. Ils seront toujours la résultante mathématique de l'action de l' excitation sur l'hé- rédité modifiée par le milieu et enco
et l'on expliqua les mouvements associés dans ce cas, ou bien par l' excitation des nerfs sensitifs et on les considéra comme u
e ; ou bien on sup- posa que la pression pouvait agir ici comme une excitation centrifuge sur les nerfs moteurs. On ne crut pa
sont vives et bien enchaînées ; mais il semble persister une légère excitation éthylique. Le sujet s'inquiète de son infirmité
culaire des lèvres où l'on signale de la lenteur de contraction à l' excitation faradique. Les mouvements se font bien : le seu
on l'ex- tirpe après insensibilisation à la cocaïne. .3. Crises d' excitation au cours desquelles M... invective les médecins
r avec mé- thode : si l'on veut agir utilement, il faut localiser l' excitation aux seuls muscles malades, mais là encore il es
cité statique sera plutôt indiquée dans les cas de névropathie avec excitation en raison de son action sédative sur le système n
radio- actives, Néris exerce sur tous les malades, après une courte excitation passagère, une sédation très nette de tous leur
sont moyenne- ment dilatées des deux côtés et assez paresseuses à l' excitation lumineuse. Les membres supérieur et inférieur d
à ceux que l'on observe dans les cas d'épilepsie jacksonnienne par excitation corticale. La transpiration est abondante sur t
exes rotuliens sont faibles ; les réflexes cutanés sont normaux : l' excitation de la plante du pied détermine la flexion du gros
marqués : la dermographie rouge ou blanche appa- raît suivant que l' excitation de la peau est forte ou faible. Tous les réflexes
le jamais à ses voisins. Décembre 1901. - B .. traverse une phase d' excitation . Il se promène en gesticulant et ne répond aux
. ne se modifie pas d'une façon sen- sible. Il a des alternatives d' excitation et de stupeur, mais il;n'a'pas d'inter- valles
evons pas le monde extérieur en lui-même, mais seu- lement dans ses excitations lumineuses, thermiques, chimiques, électri- que
er une pomme en elle-même par exemple, mais seulement percevoir les excitations lumineuses, mécaniques ou thermi- qnes qui s'en
transposi- tions d'atomes dans la cellule sont déterminées par des excitations chimi- ques, mécaniques, thermiques, lumineuses
nergie chimique aux dépens des aliments assi- milés. En résumé, les excitations extérieures en agissant sur la cellule, détermi
dégagée au sein de la cellule au moment où celle-ci subit certaines excitations . Elle porte le nom d'instinctive, parce qu'elle d
erworm(l),les éléments extérieurs ne se trouvent pas vis-à- vis des excitations externes, dans la même situation que ceux qui occ
et de fonction différentes et réunies en tissu, puis en organe. Les excitations extérieu- res chimiques, thermiques, lumineuses
s-mêmes. Il est évident que l'animal chez lequel l'odeur ou la vue ( excitation mécanique ou lumineuse) d'une souris excitent des
nt pas chez celui qui reste indifférent en présence d'une semblable excitation . L'ani- mal ne réagit à la vue du gibier, à l'o
est tellement sensible à l'aclion du milieu, que celui-ci, par les excitations qu'i émet, modifie son genre de vie en transfor
ce que la matière meurt par inanition ou par stérilité, lorsque les excitations du milieu dépassent les limites vitales, et alo
ion physico-chimique de la matière) ; par leur cause (influence des excitations du milieu sur la matière vivante plas- tique et
ines habitudes. Ils ne se trouvent plus soumis exactement aux mêmes excitations et, dans cette occurrence, il n'y a rien d'éton
rincipe de leur activité. Ils ont besoin pour entrer en scène d'une excitation spéciale que le système nerveux est adapté à le
ibilité et l'autre, centrifuge, transmet l'influx nerveux moteur. L' excitation initiale partie d'un point quelconque sera tran
ière n'ayant d'autre effet que de donner des réponses adéquates aux excitations de la seconde. Ayant placé la source de l'activit
t dans les sensations qui naissent du mou- vement vital et dans les excitations du milieu mécaniques, lumineuses, etc. Ce sont
instants cette hypothèse si peu scientifique, produire la première excitation qui va automatiquement animer le premier réflexe
premier organe dont le fonctionnement sera la source de nou- velles excitations qui donnent naissance à de nouveaux réflexes, à d
nouveaux réflexes, à de nou- veaux fonctionnements, à de nouvelles excitations et ainsi de suite jusqu'à ce que toutes les par
ogues à la chimiotaxie et qu'on désigne sous le nom de barotaxie. L' excitation lumineuse produit également des effets de direc
précédents et qui portent le nom de phototaxie. De même encore les excitations unilatérales thermiques et électriques (thermot
es étaient électrisées positivement ou négativement par rapport à l' excitation . Il était intéressant de rappeler ces actions v
uto- matique et dont le fonctionnement déclanche sous la pression d' excitations déterminées. Si on substitue, par exemple, un b
et la disparition d'organes devenus inutiles par la suppression des excitations mécaniques, chimiques, etc., qui entretenaient
sont t les seuls possibles, puisqu'il faut toujours qu'il y aitdes excitations d'une part et des réactions d'autre part et la
de l'homme se tairait également, parce qu'elle ne recevrait plus d' excitations , comme les glandes salivaires cesseraient de sécr
la vie. Pour fonctionner et se développer, le cerveau a besoin des excitations purement physiques du travail intel- lectuel, c
26 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
e et curieuse. Je suggère une hémianesthésie droite et j'applique l' excitation tactile sur le milieu du corps, des deux côtés
oté les faits suivants : 1. Pendant une cécité suggérée à droite, l' excitation campimétriqueest restée inactive sur cet ceil :
l'excitation campimétriqueest restée inactive sur cet ceil : par l' excitation de l'oeil gauche les contractu- res se manifest
ractu- res se manifestaient de la façon suivante déjà connue : si l' excitation por- tait sur la partie nasale de la rétine il
nasale de la rétine il se produisait une hémicontracture gauche ; l' excitation de la partie temporale était suivie d'une hémicon
la partie nasale de la rétine : une hémicontraclure' gauche par r l' excitation temporale, et une contracture bilatérale par cell
survenait seulement une hémi- contracture gauche, provoquée par une excitation quelconque de l'oeil droit; les membres droits
que de l'oeil droit; les membres droits restaient flasques. Par des excitations de l'oeil gauche il se produisait seulement une
is de la cécité à ]>oeil gauche, je voyais se développer par des excitations campimétriques appliquées à un oeil quelconque, u
e 6'M ? Y< ? ? H ! e/<p'HM'p/e- gie au sujet, j'appliquai des excitations différentes ; je la considère comme une halluci
temporale, il survenait tou- jours une hémicontracture droite par l' excitation de l'oeil droit et une hé- mi contracture gauch
l'excitation de l'oeil droit et une hé- mi contracture gauche par l' excitation de l'oeil gauche. Les résultats, que j'ai obten
appelé l'expérience, où j'avais obtenu une contracture totale par l' excitation de la macula lutea. J'essayais donc de localise
ositives une hémicontraclure droite ou gauche, corres- pondant il l' excitation suggérée pour l'oeil droit ou gauche. J'expliquai
opposée. Par exemple la lumière suggérée à l'oeil droit produit une excitation quelconque dans le centre optique (cortical) gauc
ection fonctionnelle. Il existe évidemment une différence entre une excitation périphérique réelle et une excitation suggérée,
ment une différence entre une excitation périphérique réelle et une excitation suggérée, c'est-à-dire imaginée. Quand j'excite l
n suggérée, c'est-à-dire imaginée. Quand j'excite la rétine par une excitation périphérique, alors il dépend de moi de diriger
ortical arbitraire; aussi je peux déterminer la voie centrale que l' excitation parcourt. C'est autre chose pour l'excitation cen
a voie centrale que l'excitation parcourt. C'est autre chose pour l' excitation centrale produite par l'hallucination. Celle-ci
rojection fonctionnelle ; chaque hallucination positive produit une excitation dans le centre opti- que du côté correspondant
ir, avec les hallucinations positives, de la même façon qu'avec une excitation réelle; la lumière suggérée dans la direction d
e différence lient à ce fait que l'exercice, est cause qu'après des excitations réelles souvent répétées, la suggestion équival
tion hétéronyme. Nous savons que, pendant une surdité suggérée, les excitations acous- tiques restent sans effet et nous pouvon
s acous- tiques restent sans effet et nous pouvons ajouter, que les excitations des autres sens produisent pendant une suggesti
ite est aussi relardée par rapport à celle qui est pro- duite par l' excitation de l'oreille gauche. 28 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
t de la surdité suggérée sur les réflexes optiques produits par des excitations campimétriques . 1. Je suggère la surdité de l'
ampimétriques . 1. Je suggère la surdité de l'oreille gauche. Par l' excitation campimé- trique de l'un des deux yeux, il se pr
oite ; alors il ne se produit qu'une hémi- contracture gauche par l' excitation de l'un des deux yeux. 3. En suggérant une surd
pourquoi nous ne voyons pas de con- tracture apparaître pendant les excitations optiques. Quels sont les réflexes rétiniens qui
tal droit ? Ce sont les ré- flexes, que nous pouvons produire par l' excitation de la partie temporale de l'oeil droit et de la
il droit et la partie temporale de l'oeil gauche transmettent leurs excitations au champ visuel cortical gauche, qui n'est pas
visuel central gauche; ce dernier était donc moins disposé pour des excitations ; de là le retard des hémicon- tractures droite
pour les suggestions hétéronymes optiques. Dans les derniers cas, l' excitation réelle du campimèlre est remplacée par une sugges
e. Pourquoi et comment surviennent ces contractures il la suite des excitations périphé- riques dans l'état hypnotique ? La c
, au contraire elle est peut-être exagérée, mais la propagation des excitations leur transmission à des parties différentes de
si un bruit se fait entendre auprès de l'oreille, la totalité de l' excitation se transmet des centres sensoriels aux centres mo
odification musculaire toni- que. Au contraire, l'état de veille, l' excitation se divise plus aisément et dans toutes les dire
e plus aisément et dans toutes les directions : ainsi la quantité d' excitation qui parvient au centre moteur est moindre, et a
électriques une contracture, laquelle pouvait être effacée par une excitation tactile absolument de la même façon, que dans l'é
de la même façon, que dans l'état hypno- tique. On voit donc, que l' excitation directe de l'écorce suffit pour déter- miner un
ontracture ; cette rigidité réflexe peut être obtenue aussi par les excitations des autres parties de l'écorce. Ces expériences d
Si par exemple le dia- pason vibre devant l'oreille droite, alors l' excitation peut être transmise aux voies motrices par les
bulbaire du nerf acoustique) ; mais on peut aussi se figurer, que l' excitation dé- passe ces centres subcorticaux et atteint p
e humicontracture droite. C'est ainsi, qu'on peut expliquer, qu'une excitation de l'oreille droite produit une hémicontracture
'effectuer la mê- me contracture avec cette suggestion qu'après une excitation réelle - il est bien évident, que par cette sug
llé dans le centre cortical acoustique la même altération que par l' excitation réelle. Si cette déduc- tion est vraie, le méca
re ne peut pas s'effectuer au- trement que par la transmission de l' excitation du centre acouslique au centre cortical moteur,
ite, il se produit une hémicontracture droite, il est évident que l' excitation s'est faite dans le centre acoustique gauche; d
suivent un mécanisme cortical. 2° L'hallucination positive est une excitation presque analogue ci une ex- citation périphériq
bles ou C. très faibles masquées par l'effet de la propagation de l' excitation au nerf médian. Triceps. Notablement atrophié e
nt-bras. (Des contractions se produisent aussi par propagation de l' excitation dans le triceps, et dans les m. antérieurs de l'a
r, et dans les fléchis- seurs à l'avant-bras). Les résultats de l' excitation de tous ces nerfs sont les mêmes à droite et à
rnale 8 X 11, électrode différente : grosse olive, 3cm X 2cm, 5 Les excitations sont faites alternativement avec le pôle négati
nt des bobines il se produit déjà aussi des C. dans le deltoïde par excitation des nerfs du pexus brachial). Dans la partie
iminuée; C. m. à G0'nm ; C. en- core très faibles à 50mm (pendant l' excitation du sterno-mastoïdien des C. assez fortes appara
muscles antérieurs de l'avant-bras, qui apparaissent déjà à 70miu l' excitation portant sur les muscles postérieurs. Extenseur
accentuées mais faibles encore, masquées par la pro- pagation de l' excitation aux fléchisseurs (seulement soulèvement des tendo
ontractions volontaires, et il se contracte éga- lement bien sous l' excitation électrique; C. miuima entre 65 et 70mm ; Ù 60mm
action spécial des éléments ana- tomiques, en présence de certaines excitations des conducteurs sensitifs. Ceci revient il dire
ls : la contrac- tion lente, traînante des muscles il la suite de l' excitation mécanique et électrique, l'abaissement considér
eau, l'on ouvre le circuit. Les muscles épuisés après la pre- mière excitation , ne sont plus capables d'une nouvelle tétanisatio
gauche, la contraction est insignifiante ou nulle. Au contraire, l' excitation du nerf de la patte droite, -celle dont l'artère
de cette patte peuvent encore se contracter sous l'influence d'une excitation nouvelle. L'expérience montre encore autre chos
toxiques aussi bien que ceux de la patte gauche. D'autre - part, l' excitation électrique directe des muscles do la patte gauche
do la patte gauche détermine en- core des contractions, alors que l' excitation du nerf n'en produit plus. La con- clusion qu'i
qui n'a pas d'activité, qui ne fonctionne pas, s'a- trophie. Donc l' excitation périphérique, cutanée, viscérale ou conjonctive,
je veux parler du signe d'Argyll Robertson. Sous l'influence d'une excitation lumineuse, la pupille ne se contracte plus. C'e
maintien ou la variation d'attitude céphali- que est volontaire, l' excitation part des images d'attitude céphalique que nous
27 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s que la sensibilité tactile. 21. Amoindrissement considérable de l' excitation faradique. L'électrisation des muscles et des n
ution postcruciale du chien ; là était la région de l'écorce dont l' excitation , même avec un courant très faible, détermine l'
, de vertiges ou de délires postépileptiques avec hallucinations. L' excitation des autres points de l'écorce ou ne provoquait
d'o- rigine corticale sont réflexes. Du cerveau part simplement l' excitation capable de mettre en jeu les vrais centres mo-
l'écorce, et partant de production d'accès épileptiques. Certaines excitations mécaniques sont également capables de déterminer
u se propager d'un point au reste de l'écorce céré- brale ; 3° si l' excitation est suffisamment diffuse et intense, c'est la f
nsibilité et la conscience sont temporairement suspendues ; 4° si l' excitation est circonscrite à un des centres psycho-moteur
groupe de muscles corres- pondant au centre cortical lésé ; 5° si l' excitation de l'écorce s'étend d'un point initial à une pa
, est pour Luciani l'organe central des convulsions épileptiques. L' excitation morbide, directe ou indirecte, de cette zone, e
indirecte, de cette zone, est la cause essentielle du processus. L' excitation morbide de la moelle allongée n'est qu'une cause
part que secondairement. Les centres corticaux vaso-moteurs, dont l' excitation détermine, avec l'anémie cérébrale, la perte de
avec ceux de la zone motrice de l'écorce (Eulenburg et Landois). L' excitation céré- brale n'est donc pas circonscrite aux cen
i se trouvent localisés dans les mêmes aires corticales. De là, l' excitation peut se transmettre aux centres vaso-moteurs du
quelle région de l'écorce peut-elle provoquer, sous l'action d'une excitation suffisante, un accès d'épilepsie partielle ou g
et de l'audition mentales. Albertoni de même. On se rappelle que l' excitation du gyrus angulaire répond au sti- mulus électri
ives, les auteurs italiens les ont considérées comme résultant de l' excitation directe des centres moteurs spéciaux, contenus
ès d'épilepsie en excitant le lobe occipital. Pour être efficace, l' excitation portée sur cette région doit être plus intense
sage du courant). Comme, après l'ablation de la zone motrice, les excitations du lobe occipital ne provoquent plus de convul-
grande intensité et d'une plus longue durée que l'épilepsie suit l' excitation de la sphère visuelle de Munk; 3° l'ablation de
s ; celle de la sphère visuelle ne met pas fin aux convul- sions. L' excitation portée sur les régions occipitales se propage h
k, Ziehen, a noté que, pour la production des accès consécutive à l' excitation du lobe occi- pital, la durée est plus importan
vent naître, sans action à distance, des accès convulsifs, et que l' excitation des mêmes régions peut même déterminer des accè
cht, après l'ablation bilatérale des centres moteurs de l'écorce, l' excitation des régions postérieures du cerveau ne provoque
phère visuelle de Munk. En somme, Unverricht n'a pas démontré que l' excitation de ces régions puisse, sans irradiation aux élé
r les réactions vaso-motrices que provoquent chez ces individus les excitations de nature différente, ont montré que, tandis qu
onscience. Mais ce spasme des artères cérébrales peut résulter de l' excitation réflexe du centre vaso-moteur de la moelle allo
'ici, nous avons vu détermimer des convulsions épilep- tiques par l' excitation directe des hémisphères cérébraux ou des gangli
ux. On arrive au même résultat, d'une manière indirecte, au moyen d' excitations périphériques. Cette méthode a été trouvée par
es ; enfin se produisent des convulsions générales. Des bruits, des excitations lumineuses, agissant sur les organes des sens,
ntres réflexes de cette région déterminerait, sous l'influence de l' excitation de l'écorce cérébrale, les mouve- ments et les
ticulier la zone motrice, n'est pas l'unique centre épileptogène; l' excitation qui détermine l'accès peut partir de n'importe
qui constituent l'accès d'épilepsie, les premières dérivent de l' excitation des ganglions sous-corticaux, les secondes de cel
ions sous-corticaux, les secondes de celle de l'écorce cérébrale. L' excitation mécanique ou faradique du noyau caudé et du noy
s centres d'arrêt. Quant aux convul- sions cloniques, qui suivent l' excitation de l'écorce, elles dis- paraissent du tableau s
n animal dont la région corticale d'une. extrémité a été enlevée, l' excitation cérébrale ne détermine plus de convulsions clon
de l'épilepsie comme fondamentalement différentes, ré- sultant de l' excitation de régions également distinctes du sys- tème ne
les recherches graphiques de Pitres et de Franck ; il rapporte à l' excitation de la subs- tance blanche les convulsions toniq
aussi sur le caractèredifférent des contrac- tions provoquées par l' excitation de la substance grise ou de la substance blanch
roit (Wollenberg); vertiges, attaques épileptiformes, vomissements, excitation maniaque avec halluci- nations, tendance a tomb
ns de la base. Voici la conclusion de ces inter- ventions : '1° L' excitation mécanique et faradique du corps strié, ou sa sect
e, soit une série de convulsions toniques qui ne survivent pas il l' excitation . Ces con- vulsions ont le caractère de celles q
ion. Ces con- vulsions ont le caractère de celles qui succèdent à l' excitation de la région corticale motrice antérieure. Le n
rice antérieure. Le noyau lenticulaire n'est pas acces- sible à une excitation isolée directe; 2° l'excitation mécanique et fara
ulaire n'est pas acces- sible à une excitation isolée directe; 2° l' excitation mécanique et fara- dique de la couche optique p
côté opposé du corps; ces convulsions ne survivent pas non plus à l' excitation . La section transverse du segment postérieur de
a calotte et du corps genouillé interne qui est la plus sensible. L' excitation mécanique et faradique de la sur- face du tuber
on, de nystagmus, de mouvements impétueux de la locomo- tion ; 3" l' excitation du tubercule quadrijumeau postérieur engendre d
te en prenant le chemin'des fibres acoustiques. Le trans- port de l' excitation des voies sensitives aux voies motrices a lieu,
tte ou les corps genouillés. Les tractus mo- teurs qui conduisent l' excitation ne sont pas les pyramides, car, chez le lapin,
e, et d'ailleurs, les mouvements se produisent surtout du côté de l' excitation . Quand on con- serve les hémisphères, les résul
hémisphères, les résultats sont, en certains cas, les mêmes; donc l' excitation n'a pas pour simple effet d'annihiler les phéno
de penser que des troubles de l'irrigation sanguine déterminent une excitation pathologique, d'où se formeront des conceptions
maladies nerveuses, notamment dans les légers états d'angoisse avec excitation intellectuelle. On régularise ainsi l'action du
er de la force nerveuse jus- qu'à la prostration et des symptômes d' excitation constituant la faiblesse irritable la caractéri
tales : zone de dissociation syringomyélique de la sensibilité. Les excitations thermiques et douloureuses provoquent des sensati
itions psycho- physiques. Quelques-uns ont présenté un léger état d' excitation psychique avec incohérence et insomnie qui s'év
pas plus chez les hommes que chez les femmes : chez ces dernières l' excitation était plus marquée surtout dans le domaine des
à une auto- suggestion, beaucoup plutôt qu'aux injections. Outre l' excitation psychique observée dans différents cas, les inj
n excessive lorsque le 8 août appa- rait un érysipèle de la face, l' excitation fait immédiatement place à l'accalmie, l'érysip
lisme chronique ^comme cause de la paralysie. » Après une période d' excitation de '.cinq à six mois, surviennent des symptômes
r 735 cas. Il s'est limité aux malades alcoolisés entrant en état d' excitation maniaque à l'entrée et montrant des signes de p
de la nutrition explique peut- être certains symptômes, insomnies, excitation permanente, relevés chez le malade. On pourrait
pense que l'urémie peut entrer en ligne de compte pour expliquer l' excitation . Il a observé lui-même deux cas de délire aigu
rique, on obtient une courbe abrupte et élevée. Seconde remarque, l' excitation du bout périphérique engendre une contraction t
- truelle (graphiques) montre que les périodes de dépression ou d' excitation se manifestaient à la suite de l'onde, de la cour
énomènes d'arrêt,les phéno- mènes de déficit, les critiques sur les excitations des écorces grises, sur les suppléances d'un hé
e en observation. Quelle est donc la nature' de cette affection ? L' excitation réflexe de la période active de la dentition pe
othèse de Seguin d'après qui, les hallucinations dépendraient d'une excitation plus ou moins prolongée du lobe oc- cipital. Da
apparent. Mais à peine hors de l'asile, il fut repris de toute son excitation , et au bout de deux mois, il fallut le réintégr
mes deux tentatives ont échoué. On m'isole, on me magnétise par des excitations qu'on m'envoie au moyen de l'éther. On a écrit
lusieurs mois dans une oisiveté com- plète, avec des alternatives d' excitation et de prostration. A cette époque, tournant cou
t que les muscles angulaires et rhomboïdes répondent aussi bien aux excitations directes qu'indirectes, présentant toutefois un
Otto a expérimenté le sulfonal comme calmant, dans certains cas d' excitation prolongée et à doses fractionnées de 0 gr. 50 c
lérieures n'ont pas de granulations ; 2° elles servent à conduire l' excitation d'une fibre à un grand nombre de fibres. Du moi
pulvinar (artériole thalamique externe). , P. K. , XXXV.I)'ui'\E excitation trophique de la peau produite par LE courant ga
n'ont évidem- ment rien à faire dans l'espèce. L'auteur incrimine l' excitation des rameaux oculaires sensitifs, la cécité agis
es l'auteur sur a l'écriture hystérique », il résulterait'que toute excitation senso- rielle produite par un objet quelconque
s religieux, par Bouchaud 406; - aiué, par Zacher, 416. ' Peau, excitation trophique de la par le courant galvanique, par
28 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
oubler le sommeil. D'autres obstacles, trouvant leurs effets dans des excitations d'origine ¦centrale ou périphérique, s'opposent d
rte à chaque instant à d'autres difficultés qui tirent leur source ¦d' excitations , d'ordre différent, mais également incompatibles
chez tous les aliénés atteints de démence, en proie au délire ou à l' excitation . Dans le délire chronique systématique de persécu
dispensable de remplacer par des toniques physiologiques énergiques l' excitation coutumière que provoquait l'alcool. Dr Jules Vo
ui constitue l'état de veille ne peut se maintenir qu'à la faveur des excitations du dehors. Bandeau hypnogène du ]¦ Lemesle De
voquer cette inhibition. Devons-nous rappeler qu'en physiologie toute excitation productrice d'une sensation homogène, uniforme, c
pour produire l'inhibition, la même valeur que l'absence de toute excitation ? En pratique, supprimer aux organes des sens tou
toute excitation ? En pratique, supprimer aux organes des sens toute excitation est presque impossible : c'est à l'excitation par
organes des sens toute excitation est presque impossible : c'est à l' excitation particulière dont nous venons de parler qu'il fau
roduire l'hypnose ou les états analogues et, en fermant le malade aux excitations extérieures, assurer ensuite la persistance de ce
Pour ce qui subsiste de la fonction auditive,nous la soumettons à une excitation homogène, uniforme continue et nous achevons par
s entravons la" constitution de nouveaux Evangiles, nous arrêtons ces excitations du dehors, qui, pénétrant par les organes de la v
tuberculeux ; or chez l'homme la tuberculose semble être an facteur d' excitations génitales. Chez les femelles on rencontre de mê
nce et répétition, en un mot habitude de ces actes ? C'est le délit d' excitation habituelle de mineurs à la débauche qui sera rele
les maigres et les bacillaires, l'abus de la viande, qui produit une excitation trop intense, et l'alcool sous toutes ses formes.
s aurait un effet désastreux Au surplus, le désir du coït normal et l' excitation préalable qu'il suppose représentent la guérison
femelles, à la période du rut, qui est le principal stimulant de leur excitation génési-que. L'homme normal n'échappe pas à cett
nt la conduite est normale au point de vue des tendances sexuelles, l' excitation génitale a son point de départ dans des perceptio
tions ultérieures. rations sexuelles, comme l'homme normal dont l' excitation sexuelle est mise enjeu par des perceptions olfac
que l'intelligence n'est pas morte elle enregistre mécaniquement les excitations extérieures. L'état de sommeil est même particuli
s de l'ouïe ne sont pas endormis dans le sommeil artificiel, Mais les excitations auditives peuvent nuire en tant qu'elles provoque
s m... » Pendant tout le reste du déjeuner, Monsieur P... eut la même excitation et la même violence de langage sur les choses et
dormit mal. Le lendemain, il me dit qu'il se trouvait dans un état d' excitation cérébrale extrême, qu'il se rendait bien compte d
u'il se sentait tout à fait irresponsable de ses paroles ». A cette excitation passagère fit place les jours suivants, chez le v
uvenir très-exact de tous les actes accomplis pendant cette période d' excitation fugace. Matignon eut l'occasion d'observer un c
ette tragique aventure, se souvenait d'avoir eu une période de grande excitation cérébrale, et d'avoir tenu dos propos très violen
isément de repulluler sur place et d'augmenter en proportion même des excitations qu'elles subissent. J'ai décrit autrefois avec dé
oie réflexe, par spasme des vaso-moteurs. D'une manière générale, ces excitations périphériques provoquent l'irritation de certaine
ion du sang, ainsi •qu'une accumulation d'acide carbonique ; et cette excitation du bulbe contribue, par un cercle vicieux, a
ation, mais par inhi-bition. La jeune fille, dit-il. a succombé à une excitation violente qui, portée k la région du cou, a produi
staté au cours de la chloroformisation a son point de départ dans une excitation des terminaisons des nerfs sensitifs intra-pulmon
lle va soigner a Salis de Béarn. Cette névralgie entretient un état d' excitation psychique, d'angoisse d'abord diffuse et sans obj
s précédents. l'influence exercée par les parfums corporels sur l' excitation amoui'euse. Virgile, parlant de Ténus, ne dit-il
l'influence exercée par l'odeur de la vulve sur la * pituitaire, l' excitation indispensable pour accomplir l'acte sexuel. « C
ait donc un moyen de se diriger les uns vers les autres, un « moyen d' excitation et la nature a pris le soin de faire exhaler, ver
ils décrivent l'action intense exercée par l'odeur des femelles sur l' excitation sexuelle des môles. Chez les singes, ces proches
st donc pas seulement l'olfaction qui est le facteur déterminant de l' excitation sexuelle chez le mâle. La dégustation intervient
n mari pratiquait le coït réservé, j'éprouvais, avaut l'acte, la même excitation , le même énervement, mais cette excitation, cet é
ais, avaut l'acte, la même excitation, le même énervement, mais cette excitation , cet énervement loin d'être calmé par nos rapport
os rapports, en était exagéré. Et ainsi j'en suis arrivée à un état d' excitation constant, à un besoin presque permanent de rappor
e, de l'abaissement du niveau mental et au point de vue physique de l' excitation qui est bientôt suivie d'affaiblissement, d'asthé
nsensible. Lorsque nous considérons combien faible et passagère est l' excitation produite sur beaucoup d'indivi-dns par un coup de
ximité peut donner lieu à un sommeil de muscle, avec un retard dans l' excitation de la volonté, la disparition de racliialgie, d'o
. L'étude des grandes possibilités du système nerveux et des moyens d' excitation sortant de l'ordinaire, est d'une importance fond
chologiques de l'incontinence d'urine. 3*• T> Pron Id'Alger) : L' excitation génitale chex les hyperchlorhydrlques. i° D' Wi
conservation de l'espèce, puisqu'il joue un rôle prépondérant dans l' excitation sexuelle de l'homme. Il n'a pas une valeur social
à l'ordre du .jour sont faites ainsi qu'il 1. Dr Pron d'Alger). — L' excitation génitale chez les hyperchlorhy-driques. — Discuss
anger, beaucoup chassent, dis-je, parce qu'ils y sont poussés par les excitations du maître, véritables suggestions. Quoiqu'il en
nde facilité. inteiTompre le sommeil de l'homme et des animaux. Les excitations périphériques qui permettent d'arriver à ce résul
chiques que son aspect extérieur ne pourrait le foire supposer. Les excitations tactiles ont une influence moins active. Pour rap
les n'ont pas procédé à la toilette du matin. H est encore d'autres excitations qui ont une influence marquée sur la production d
ion urinaire. besoin de défécation). En résumé, un certain nombre d' excitations périphériques ou viscérales ont pour effet d'inte
ur à mettre un terme a son somme. On peut admettre que ces diverses excitations viennent directement intéresser le centre cérébra
sur lequel je lient- ù insister aujourd'hui, c'est que de toutes les excitation *, périphériques qui agissent enr la production ou
ui agissent enr la production ou la cessation du sommeil, ce sont len excitations psychiques qui paraissent douées de l'Influence l
uspendant la fonction de l'organe spécial et il en résulterait que, l' excitation d'où résulte la veille étant supprimée, l'homme s
ormeur du eommeil naturel, si profond qu'il soil. On dirait que cette excitation périphérique est celle qui transmet le plus direc
ion à être hypnotisé ou à se réveiller inopinément sou* l'influence d' excitations périphériques déterminées, résulte évidemment d'a
t mécanique auquel est arrivé ce centre, puisqu'il suffit de quelques excitations périphériques d'ordre psychique pour en ralentir,
tion active, à la faveur d'une hypotaxie suffisamment profonde. L excitation génitale chez les hyperchlorhydriques pnr le Dr
un que les traités spéciaux passent en général sous silence : c'est l' excitation génitale. Elle semble être l'apanage exclusif d
lus souvent l'apathie sexuelle ou une diminution des désirs.) Cette excitation génitale ne consiste pas en une augmentation de p
t difficiles ou do durée Insuffisante chez ces malades. Chez eux. l' excitation consiste en une sensation d'irritation particuliè
e à accomplir l'acte génital ou à se livrer à la masturbât ion. Celte excitation détermine dans leur sphère cérébrale une représen
'est pas pendant les souffrances vives ou les crises gastriques que l' excitation génitale se montre ; à ce moment, toute l'irritat
ls ont fait accidentellement bonne chère ou de copieuses libations, l' excitation génitale se montre aussi ; mais elle présente cec
ent par la dyspepsie. Dès lors, à la facilité d'érection fait suite l' excitation locale sans érection ou avec érection provoquée :
: la masturbation ou l'abus du coït, qui est la conséquence de cette excitation locale, retourne au plexus solaire et aggrave les
retourne au plexus solaire et aggrave les phénomènes dyspeptiques; l' excitation locale, -trouvant des centres nerveux supérieurs
viron, je reçus d'elle l'aveu qu'elle était vivement tourmentée par l' excitation génitale qu'elle éprouvait pendant ses périodes d
e mettre d'une manière directe et unique sur le compte de l'estomac l' excitation génitale. En 1901, à propos de l'influence de l'e
escence mentale avec, dans la plupart des cas. débilité et périodes d' excitation , ou tentative de suicide, perversité des instinct
s accompagnant l'entrée du sommeil. Quant l'homme se trouve en état d' excitation : tels le soldat dans la mêlée du combat, le sava
pas pour induire le sommeil, il faut la sensation de fatigue. Quand l' excitation cesse et fait place au calme, la fatigue se montr
cher et de se recueillir sur une idée indiffé- rente. Souvent une excitation extérieure monotone fréquemment répétée des organ
bruit des ciseaux quand on se trouve sous les mains du coiffeur. L' excitation prolongée et monotone de l'œil produit d'abord la
29 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ous de cette ligne et sur toute l'étendue des membres inférieurs. L' excitation de la plante des pieds avec l'épingle provoque
se- cousses envahirent tous les muscles. Il y eut des périodes d' excitation telles que le sommeil qui, généralement était b
l'épilepsie un médicament qui, physiologi- quement, sauf une légère excitation initiale, reste sans action sur les centres ner
ux, production de convulsions et même d'épi- lepsie spinale par les excitations de toutes sortes. Traitement initial : seigle e
f, Watteville et Tschirjew, l'auteur décrit son mode de contrôle. L' excitation unipolaire (Ka= un pinceau à fils métalliques,
ie de trois (An au sternum ou dans la main gauche, Kâ sur le lieu d' excitation ), il constate que c'est la peau de la face qui
daptation naturelle de telles ou telles parties à tel ou tel mode d' excitation ; les unes sont destinées à la perception de la
entres analysent la sensation et distinguent entre l'intensité de l' excitation et l'aire de la zone excitée. Il est ab- solume
caractère de la sensation, la piqûre d'aiguille qui ré- sulte de l' excitation farado-cutanée, est peut-être due à une série d
lte de l'excitation farado-cutanée, est peut-être due à une série d' excitations rapides et successives sur les organes terminaux,
ormications de modes variés ayant la même ori- gine témoignent de l' excitation de petits troncules cutanés. La sensibilité de
entres inférieurs à entrer en suractivité, détermine au moyen d'une excitation réflexe, par la voie du système vaso-moteur, l'
sse supérieure à la sienne propre, plutôt que comme le résultat des excitations mal réglées d'une affection nerveuse. D'auho pa
en ré- sument la teneur mieux que n'importe quelle analyse : 1- L' excitation électrique produit des attaques d'épilepsie, non
ius du chien est simplement innervé par l'hémisphère homonyme; 8" L' excitation de la région corticale postérieure se tra- duit
Un Quand l'excitabilité de l'écorce s'y prête, on obtient, par une excitation électrique unique ou répétée, ou même parfois à l
eux formes peuvent être distinguées. A. Dans la forme oscillante, l' excitation va et vient, à la manière d'un pendule; après a
éâtre de mouvements associés produits par le transport brusque de l' excitation dans les appareils centraux profonds, revue de
ntit également ces derniers ;-i8°Ilest vrai que la propagation de l' excitation concorde avec la disposition topographique des
ié du corps corres- pondante; 21° L'accès convulsif, provoqué par l' excitation de l'écorce du cerveau, présente, entre toutes
écédentes paraissent, selon lui, démontrer l'existence d'une simple excitation réflexe par laquelle certaines parties sont mis
es voies de transmission identiques, et se manifestant à la suite d' excitations périphériques qualitativement semblables; la diff
n modérée mais continue, tandis que le réflexe tendineux émane de l' excitation de l'appareil de terminaison seusilif du muscle
ivement par l'action des nerfs cutanés sensitifs que cela a lieu. L' excitation des nerfs musculaires cen- tripètes qui produit
n effet, un épuisement général de l'économie, de l'angoisse et de l' excitation entées sur un fond d'anémie prononcé; rabatteme
s), tandis qu'il ne saurait y avoir qu'aggravation pour les états d' excitation ac- compagnés de manifestattons irrésistibles,
ls sont rede- venus journaliers comme au début et sont suivis d'une excitation de plusieurs heures (injures, menaces, idées d'
la nutrition des centres ner- veux par neutralisation des agents d' excitation des cellules de per- ception, par arrêt des imp
es, qui parfois se montrent au début, résultent de la sédation de l' excitation . Durée du traitement : des jours, des semaines,
ique, contre l'hyperesthésie psychique, t'hyperesthésie nerveuse, l' excitation nerveuse ; comme tonique et stimulant à l'égard
localise pour la femme, dans les ganglions ovariques, d'où part une excitation qui retentit sur la moelle, en raison de la rel
érie, t. IV. 1877. Recherches sur les effets curdio-vasculaircs des excitations des sens. 2° série, t. IV. Depuis son séjour au
oires : )t4 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. en 1879 ; six expériences d' excitation de l'écorce grise du cerveau du singe. (Arclc.
açon suivante. La plupart du temps, pendant une de ces périodes d' excitation que nous avons signalées, subitement, à l'occas
chronicité indéterminée, car il nous dit : « La possibilité de l' excitation est permanente et persistante : une fois que l'
ur est tout prêt pour une nouvelle explosion sous l'influence d'une excitation appropriée. Si nous examinons un sauteur, cinq
URARE DANS L'ÉPILEPSIE. 219 l'enfant n'est pas encore revenu à lui. Excitation maniaque consé- cutive assez prononcée. 14 av
Physionomie égarée : joues rouges ; pupilles dilatées, égale- ment; excitation au moindre attouchement. Mutisme. Bain d'une he
; 4 accès le 26. T. R. 38°, n. Soir : T. R. 38°, S. 30 juillet. - Excitation maniaque. Bain d'une heure. : 31 ,luillet. - C...
n'auraitjamais prononcées auparavant.» 24 décembre. Les périodes d' excitation maniaque et les accès de violence deviennent pl
her des infirmières. f88t. 8 janvier. Nouvelle série d'accès avec excitation ma- niaque. Légère morsure de la langue. T. R.
mandes. Les accès de colère persistent. 8 juillet. Les périodes d' excitation maniaque sont plus rares. Traitement : Outre le
ajoutés des accès d'épilepsie compliquée de délire (hallucinations, excitation maniaque, etc.). Les accès se montrent par séri
e du phénomène du genou. La dila- tation pupillaire qui succède aux excitations de la sensibilité générale, des organes des sen
trer mécaniquement les résultats et les allures physiologiques de l' excitation des tendons et de ses modifications pathologiqu
ou (réflexe tendineux patellaire) peut être produit par cers taines excitations électriques du tendon, abstraction faite de la
iques du tendon, abstraction faite de la traînée du courant; 2° les excitations , déchaînées par chaque décharge de l'appareil m
toujours exagérés sur la moitié du corps en proie aux phénomènes d' excitation moteurs, même quand ces phénomènes d'excitation
ie aux phénomènes d'excitation moteurs, même quand ces phénomènes d' excitation se compliquent de phénomènes paralytiques, inve
, d'hallucina- tions; les autres, vraiment automatiques, dérivent d' excitations centrales; 20 la déviation conjuguée de la tète
juguée de la tète et des yeux qui suit l'attaque est un phénomène d' excitation moteur. Après critique et réflexion approfondie
, dans les attaques congestives où l'on constate des phénomènes d' excitation unilatéraux purs, la tête et les yeux regardent l
nique psychiatrique. En route, il continue à se masturber; la même excitation génésique persiste pendant les premiers jours de
it occasionner. Tout porte à croire qu'ici encore, les phénomènes d' excitation , raideur de la nuque, contracture, convulsions
OGIE NERVEUSE. D'après ce que nous avons dit sur les phénomènes d' excitation , observés dans les hémorrhagies ménin- gées, on
y a eu quelques phénomènes COMMOTION DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 315 d' excitation , ils n'ont pas empêché la marche vers la guéris
n, puis l'augmentation des ver- tiges, et parallèlement des accès d' excitation maniaque et une déchéance intellectuelle de plu
uche. Onanisme. Vertiges et accès ci treize ans et demi. -Période d' excitation maniaque. - Affaiblissement des facultés intell
our assez lentement et s'annonçait au commencement par une légère excitation , une perte d'appétit et de sommeil, un besoin de
358 RECUEIL DE FAITS. ' 34 mars. Assez faible physiquement : état d' excitation comme la veille. Bon sommeil. La température re
ais elle marche encore avec difficulté. On observe aussi une légère excitation qui s'exprime par une gaîté bruyante, beaucoup
s qui paraissent démontrer que l'hallucination est produite par une excitation des centres senso- riels. Parmi ces faits, on p
es où sont reçues les impressions des sens ; elle résulterait d'une excitation des centres sensoriels. 20 Les phénomènes de co
ntre lequel il dégaina dans la rue; qu'à son retour à la caserne, l' excitation alcoolique persistait, et que l'altercation qu'
lgaire, arrivant au paroxysme de la colère, en vertu seulement de l' excitation alcoolique amenée par les excès mani- festement
malade peut donc courir vite, sauter, écrire. Toute émotion, toute excitation augmente les convulsions ; elles ne cessent cep
e. D'après Loewcnfeld, il convient d'en attribuer la pathogénie à l' excitation des territoires spinaux moteurs qui commandent à
r la moelle, et de songer à l'existence, dans l'espèce, d'un état d' excitation chronique des noyaux moteurs des cornes antérie
nus,d'oùimpression- nabilité extrême du cerveau. Ajoutez à cela des excitations laten- tes du système génital (rêves, pollution
dans certains cas, aux conceptions irrésis- tibles s'associent des excitations sexuelles ? On ne sait. Ainsi l'ora- teur conna
NTES. 437 ou qu'il lui faut se lier les mains. Un autre éprouve des excitations sexuelles alors qu'il retrousse les manches de
30 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ipètes, laquelle consiste dans la conduction à l'organe central des excitations périphériques, il appelle également ataxie cent
nes dégé- nèrent, comme dans le tabès, l'ataxie s'en suivra. Si les excitations réflexes n'existent plus du tout du fait des dé
s cordons postérieurs; si, d'un seul mot, la plus grande partie des excitations centripètes fait défaut, la nzotilité, comme tell
ne servent point a des sensations conscientes, et qu'une partie des excitations que ces faisceaux transmettent est élaborée dan
ces sources d'énergie. Un grand rôle pourrait bien revenir ici aux excitations centripètes transmises par le faisceau cérébelleu
s centripètes transmises par le faisceau cérébelleux direct. Or ces excitations sont en grande partie sous l'influence des coll
sieurs neurones endogènes de la moelle épinière. Les phénomènes d' excitation de la sensibilité appartenant aux symptômes les
on de douleur résulte de la som- 16 REVUE CRITIQUE. mation de ces excitations : des excitations intenses, répétées, ou très f
lte de la som- 16 REVUE CRITIQUE. mation de ces excitations : des excitations intenses, répétées, ou très fréquentes, chargen
de la voie sensitive ; la sensation dedou- leur est l'effet de ces excitations . Or si l'on suppose, avec Redlich, que, des fib
ageant par des voies détournées ou peu frayées, cette sommation des excitations dans les cellules nerveuses de la substance gri
sféré à la clinique, ou s'il s'agit d'un sujet non aliéné (ivresse, excitation ). A ce point de vue, il y a avantage à ce que l
pharmaceutiques (camisole de force chimique). On traite les accès d' excitation par l'isolement optique (paravents), par les ba
onstantes dans les formes aiguës. Qu'il s'agisse en effet d'états d' excitation , de dépression, ou de confusion, ou encore de d
le silence sont moins troublés, par suite de l'absence des causes d' excitation , de désordre, liées ailleurs à la promiscuité des
e des aliénés dans les diverses psychoses, et suivant les moments d' excitation , de dépression ou d'hallucination par les- quel
x stigmates de dégéné- rescence, photographié pendant une période d' excitation men- tale 1. « L'emploi du phonographe pour f
ié depuis vingt ans : en 1894, paralysie faciale passagère suivie d' excitation mentale et de violences de caractère : tout cel
myocloniques, apparaissant sous forme de crises, sous l'influence d' excitations mécaniques de toute sorte. Les secousses agiten
leur et l'intensité, la durée et la rapidité il faut noter : 1) les excitations électriques avec le chariot de Du Bois Raymond, :
excitations électriques avec le chariot de Du Bois Raymond, : 2) les excitations mécaniques (Pour M, Griffng la douleur appa- ra
eur appa- rait quand le poids varie de 3 kilos à 7-8 kilos), 3) les excitations thermiques (de 43° à 50° par M. Cil. Richet), 4
es excitations thermiques (de 43° à 50° par M. Cil. Richet), 4) les excitations sen- sorielles et enfin 5) les excitations chim
M. Cil. Richet), 4) les excitations sen- sorielles et enfin 5) les excitations chimiques (gustatives, olfac- tives, etc.). Une
5) les excitations chimiques (gustatives, olfac- tives, etc.). Une excitation est au début indifférente ; elle devient doulou
érangement cérébral ; cela commença par des rêves terrifiants, de l' excitation , des actes désordonnés, de l'hypocondrie. u. Cé
04 ... CLINIQUE MENTALE. - . A son entrée, on constate une certaine excitation maniaque : elle se plaint de souffrir de douleu
ible d'esprit avec prédominance d'idées obsédantes d'hypo- condrie, excitation habituelle et impulsions irrésistibles à la vio-
cause de son mal. 1 880. Toujours soumise à des crises fréquentes d' excitation ma- niaque avec idées délirantes polymorphes; i
rphes; injures, menaces. grossièretés, actes de méchanceté. 1888. Excitation maniaque persistante ; toujours débraillée, éch
verte, faible, un peu eunuchoïde. Aussitôt après son admission, l' excitation cessa. Calmé, interdit, un peu penaud, il n'a p
En 1899, il se mit tout à coup à maigrir et à s'agiter. Un accès d' excitation maniaque se déclara et dura plusieurs semaines.
citation maniaque se déclara et dura plusieurs semaines. En 1900, l' excitation reparut pendant quelque temps sans grande inten
enri manifeste une dissociation progressive des idées avec crises d' excitation maniaque. En résumé, pour le diagnostic de la f
eu lieu. C'est ce qui se produira lorsque les processus anormaux d' excitation iront eu diminuant toujours et que la cellule s
ellule, appa- raîtront des éléments qui, sous l'action continue des excitations ,' anormales, se trouveront être capables de sup
'que, dès que ceux-ci se produisent sous des influences anormales d' excitation , la faculté que possède la cellule de transformer
ions du trophisme des neurones, l'interruption de la continuité des excitations transmises norma- lement à ces organes, interru
t l'histoire clinique peut se résumer ainsi : idiotie profonde avec excitation , cris et pleurs, les antécédents faisant défaut
sentent l'effet plus grand. 4° Les ondes du pouls sont très hautes ( excitation du vague); on peut observer une arythmie grave
. 1 (JO Donc le ralentissement du pouls est ici causé surtout par l' excitation des centres des .nerfs vagues et de leurs appar
-infections pre- nant origine dans les cavernes. Elle détermine une excitation qui peut sans doute aller jusqu'à la lésion des
mière remontant il huit ans), a été atteint de surdité corticale, d' excitation maniaque et d'halluci- nations de l'ouïe et de
'agit-il d'une hyperhidrose ? Ce trouble est en rapport soit avec l' excitation du centre vaso-dilatateur, soit avec laparésie
s en temps de délire. La para- lysie était flasque, avec perte de l' excitation galvanique et faradique, sans paresthésie, avec
r des douleurs dans les jambes. Après les crises persistaient' de l' excitation , une sensation de dépression, de refroidissemen
e calme, suivie d'un sommeil de deux ou trois heures ; au réveil, l' excitation ne reparaît pas ; il subsiste de la sécheresse
utile à la condition' d'être employée seulement dans les périodes d' excitation ; dans la manie chronique, résultats satisfaisa
sants ; dans la paralysie générale, bons résultats contre l'extrême excitation ; dans l'épilepsie, peu ou pas d'utilité ; dans
cette lésion donne lieu à la fois à des symptômes d'inhibition et d' excitation . L'étiologie en est bien souvent très obscure c
Pas d'inégalité pupillaire, les pupilles réagissent à toutes les excitations (lumière et accommodation) très rapidement et 'sa
la position qu'on lui donne. De ce même côté gauche la réaction aux excitations est difficile : pour la douleur ce sont les mem
usse des cris perçants qui désolent la famille. A cette période d' excitation , succède de nouveau une accalmie de courte duré
a brusquerie du début des accidents, la violence des phéno- mènes d' excitation qui ont ouvert ici la scène morbide, la phase c
morbide, la phase comateuse qui survint si vite après la période d' excitation jointe à l'absence d'albumine et à l'intégrité
est frappé subitement de perte de connaissance. Après une phase d' excitation très marquée, le malade tombe dans le coma comp
chez les déments précoces. Il signale également la sté- réotypie. L' excitation sexuelle n'a été constatée que dans 3 p. 100 de
e caractérise par de l'apathie, de l'in- différence, des périodes d' excitation , de la tendance aux impulsions, du négativisme
ssi à délimiter, avec une extrême précision, les territoires dont l' excitation électrique détermine la contraction d'un groupe
maux supérieurs tels que le singe, puis chez l'homme,' par voie d' excitation directe, c'est-à-dire en délimitant les territoir
cte, c'est-à-dire en délimitant les territoires de l'écorce, dont l' excitation électrique, réduite à son inten- sité minima, f
rticale. A la suite de l'extirpation de ce centre épileptogène, les excitations de l'écorce ne provoquent plus de décharges con
rs 1892 : cette fois on a excisé tout le territoire cortical dont l' excitation avec des inten- sités de courant maxima détermi
tes du centre du pouce, en se servant de l'excitateur électrique. L' excitation de ce centre a provoqué une attaque semblable à
venaient spontanément. On a procédé à son extirpation. Cela fait, l' excitation électrique du cerveau n'a plus provoqué de mani
re 1892, on mit à nu la portion de la zone motrice corticale dont l' excitation produisait des contractions du pouce et 376 CLI
la partie moyenne de la scissure de Rolando. L'os était épaissi; l' excitation électrique de la portion de la dure-mère mise à
isée, la surface du cer- veau se présenta avec son aspect normal. L' excitation directe de l'écorce donna lieu à des mouvements
le 12 juin 1888. On lui mit à nu un territoire de l'écorce, dont l' excitation faradique détermina des mouvements des doigts et
orce cérébrale avait une teinte jaunâtre. Le centre cortical dont l' excitation électrique détermi- nait des mouvements des doi
si que deux petits kystes, logés dans la cicatrice dure-mérienne. L' excitation de -la substance blanche sous-jacente a provoqu
mouvements du bras droit, mais ils cessèrent en même temps que l' excitation . Immédiatement après l'opération, les doigts et
tion d'un fragment de la paroi crânienne épaissie, à l'endroit où l' excitation électrique provoquait des mouvements dans le me
ù il fut établi que l'extirpation de la zone rolandique empêche l' excitation électrique du cerveau d'aboutir à une attaque c
nié psichatrii, III, 1898.) Expériences sur des chiens : figures. L' excitation de l'extrémité interne de la circonvolution sig
un point encore inconnu de la moelle, d'un centre trophique dont l' excitation a pour conséquence l'hyperplasie osseuse, tandi
ort appréciable entre l'époque des règles et le retour des phases d' excitation ou de dépression. - R. DE Musgrave-Clay. XLII.
de Savage, de Krafft-Ebing (sur les rapports de l'olfaction avec l' excitation sexuelle) de Goodall et Craig, de Schlager, etc
hique. Début brusque de la maladie par des phénomènes d'insomnie, d' excitation motrice, refus d'alimentation, hallucina- tions
rs, confusion mentale et hallucinations, ensuite confusion mentale, excitation générale, refus d'alimentation, insomnie. Etat
retirait les membres ou la partie dans laquelle on lui faisait une excitation douloureuse, étant impossible de faire une inve
il est actuel- lement en bonne voie de guérison, et les périodes d' excitation n'ont pas reparu. L'auteur ajoute que, depuis d
roubles somatiques et psychiques, tels que : hémiparésie passagère, excitation motrice, confusion mentale et hallucinations. B
maladie est étiquetée idiotie, imbécilité, démence précoce, etc. L' excitation maniaque, la dépression mélancolique sous lesquel
31 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
icien dépiste mal l'hallucination psycho- motrice verbale, enfin, l' excitation parfois fort violente et qui persiste durant as
'où on le renvoie bientôt à l'asile. A son arrivée il est en pleine excitation avec des idées ambitieuses HALLUCINATIONS PSYCH
re expansif des richesses et des grandeurs, et alors survient une excitation génitale intense avec absence presque complète d'
0 centimètres de longueur, ni de la grosse tête du gros chat. Cette excitation génésique intense sans éjaculation ni délire gé
sens génital et en jan- vier et février 1892 au contraire avec une excitation génésique si intense que sa femme qui l'avait p
un délire génital expansif qui disparaît quand il a réellement de l' excitation génésique et ne reparaît pas quand derechef l'i
n du nu et que plusieurs d'entre eux avaient eu avant et après de l' excitation génitale sans se déshabiller ainsi. Mais pourqu
très précoces et quand ils sont constitués par des alterna- tives d' excitation et d'impuissance, comme c'est le cas le plus fr
utomates. Si, chez un reptile, par exemple, on constate qu'une même excitation , lumineuse, olfactive, etc . produit toujours,
nisme préétabli entre ici également en jeu sous l'influence d'une excitation déterminée. Dans les mêmes conditions, les réac-
est soustraite â la volonté, on doit admettre que certains états d' excitation de l'écorce peuvent déterminer un spasme du muscl
on qui provoquerait une réaction exagérée des éléments nerveux il l' excitation . En somme, l'auteur n'aboutit a aucune conclusi
trouble réside dans la suggestion psychique, chez d'autres dans une excitation périphérique ou dans une anesthésie locale, etc
e Albrecht Bethe), répondant d'une manière constamment uniforme aux excitations ; qu'au contaire, en discerne, à côté de nombre
ons cependant qu'il y a des circonstances où, par l'effet des mêmes excitations , des mouvements identiques à ceux que provoque
endiculaire externe (pariéto-occipitale externe), un centre, dont l' excitation détermine le rétrécissement des deux pupilles,
nerfs vaso-constricteurs qui réagissent très énergiquement à toute excitation . Il y a une diminution du tonus vasculaire qui pe
dique apte à produire une contraction éner- gique, si on continue l' excitation on provoque le tétanos. Ce tétanos ne persiste
rès un repos de quelques secondes le tétanos peut se reproduire par excitation du même point. - Chez les sujets au contraire
Le malade ne répond pas aux' questions, il ne réagit pas aux fortes excitations douloureuses, les pupilles ne répondent pas à l
ouvent dans les manies. 4° Strabisme (oblique) quel- quefois dans l' excitation maniaque. 5o Dans la démence émousse- ment des
e à l'asile, en état d'hémiplégie droite, d'aphasie partielle, et d' excitation maniaque. La question du rôle étiologique de la
ental normal se rétablit, après une de ces explosions périodiques d' excitation mentale motrice qui caracté- risent la folie ép
ie et la dysphasie sont bien accusées; 2° que lorsqu'il existe de l' excitation émotive, ces deux états se modifient proportionne
on émotive, ces deux états se modifient proportionnellement à cette excitation ; 3° que lorsque l'état mental habituel a reparu e
tié gauche, même au niveau de l'epiglotte, reste insensible à toute excitation ; on remarclue aussi que les muscles du voile d
l'hystérie, t. I, p. 111-12. 190 CLINIQUE NERVEUSE. duit la même excitation sur le côté anesthésique seul, les pau- pières
s fleurs, des oiseaux, elle était très agitée, brisait les vitres d' excitation , était si violente que l'emploi de la camisole
s fois que le sujet fut laissé n'étant pas complètement réveillé. L' excitation était alors extrême. La malade grimpait sur les
nostic symptomatique posé en présence de cette malade serait plutôt excitation maniaque avec confusion dans les idées et hallu
normales. La distraction est ébranlée dans son adaptation par des excitations sensorielles venues du milieu extérieur, qui ga
ant la cornée et la conjonctive, ou, à un degré beaucoup moindre, d' excitation des 222 REVUE d'anatomie ET DE physiologie path
flexe peut être aussi déterminé par un stimulus électrique, par des excitations thermiques portant sur la région oculaire, bien
es peuvent revenir subitement sur elles-mêmes, comme à la suite des excitations sensitives en général. Lorsqu'il s'agit d'une i
este de durée variable, mais généralement plus prolongée. Lorsque l' excitation cesse, les pupilles reprennent leur largeur pre
existence du réflexe oculo-iridien et de la réaction pupillaire aux excitations thermiques a été vérifiée par les auteurs dans
peut expliquer cette forme SOCIÉTÉS SAVANTES. 249 de délire et l' excitation qui l'accompagne par l'action directe d'un agen
centraux peuvent être frappés de la même . ré'éinégal- : TiII1 ? d' excitation , l'autre de collapsus. ? 1° Phase d'excitation.
éinégal- : TiII1 ? d'excitation, l'autre de collapsus. ? 1° Phase d' excitation . Le début en est rapide; un jour à peine - suff
ômes somatiques importants se montrent dès le début de la période d' excitation ; les plus constants sont la sitioplaobie et la
phénomènes morbides ne s'atténuent' pas, le collapsus succède à l' excitation . Le délire et l'agitation cessent; les malades to
ers le cinquième ou sixième jour, quelquefois plus, de la période d' excitation . La terminaison peus.ejaire parla guérison complè
hissement des éléments nerveux qui réagissent en donnant la phase d' excitation ; au deuxième temps, la destruction progressive
uantité dans l'urine souvent rare. La constipation est opiniâtre. L' excitation est 'à son apogée. Bientôt le malade fait preuve
n mentale, des idées de persécution, des alternatives de calme et d' excitation , et des accès impulsifs. En somme, je note immé
tient, augmente quand on s'occupe de lui, ou sous l'influence d'une excitation mécanique des muscles, de l'émotion. En ce dern
éterminer de la paralysie, mais elles sont sur- tout excitées. Leur excitation a été consécutive aux phénomènes anatomiques en
musculaires asynergiques). Le premier type (affaiblissement de l' excitation corticale physio- logique) se rencontre chez le
normales ou il des pratiques irrégulières dans la vie sexuelle. L' excitation sexuelle qui n'aboutit pas il l'orgasme, le coït
en être recherchée dans une dérivation sur les centres nerveux de l' excitation sexuelle non satisfaite. L'auteur qui en rappor
ttent de comprendre les modifications pathologiques du tonus : 1° l' excitation d'un muscle volontaire produit ['inhibition de
tence et d'insomnie qui dure jusqu'au 23 juin, jour où apparaît une excitation anormale. Le malade est pris d'un besoin impéri
normale. Le malade est pris d'un besoin impérieux de mouvement et d' excitation désordonnée avec bouffées délirantes variées. B
s expérimentales sur l'influence des exci- tations agréables et des excitations désagréables sur le travail. (Année psychologiq
e demi-heure après 3. L'effet de l'alcool se dissipe rapidement : l' excitation momentanée ne compense pas l'effet dépressif co
uon. de l'anat., etc., 1901, p. 291.) - Note sur la fatigue par les excitations de l'odorat. (C. R. soc. de Biologie, 1901. p.
ie, 1901. p. 566.) Recherches expérimentales sur la fatigue par les excitations de l'odorat. (Nouv. Iconographie de la Salpêtri
hie de la Salpêtrière, 1901, p. 327.) - Note sur la fatigue par les excitations visuelles. (Ibid., p. 668.) Note sur l'influenc
hisch, sur le travail. (Ibid., p. 696.) Note sur la fatigue par les excitations du goût. (Ibid., p. 722.) Note sur l'influence
'opium sur le travail. (Ibid., p. 725.) Note sur la fatigue par les excitations auditives. (Ibid., p. 749.) -Note sur la fatigu
xcitations auditives. (Ibid., p. 749.) -Note sur la fatigue par les excitations cutanées. (Ibid., p. 753.) 1 E. Destrée. Influe
eux que l'alcool ait sur le travail intellectuel les mêmes effets d' excitation que z sur le travail manuel. Lauder Brunton rac
te immédiate de l'alcool, si légère d'ailleurs, est due surtout à l' excitation sensorielle qu'il produit 6. J'ai refait quel
ue série par des repos de une minute. Neuf séries de ce genre, sans excitation d'aucune sorte et au repos, donnent un travail
res. Dans une expérience récente, une première série au repos, sans excitation , a donné 22kil. 47. C'est ce chiffre qui nous s
on de la fatigue et la décroissance lente du travail lorsque aucune excitation n'est venue le troubler. Expérience I. Au rep
excitation n'est venue le troubler. Expérience I. Au repos, sans excitation . L'INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRA
il. 94. C'est le travail ordinaire dans les expériences faites sans excitation : toutes celles qui ont été faites dans diverse
pouvant former des figures variées à volonté, sous l'influence des excitations du tégument. La nature de cette singulière réac
ison, qu'il faut chercher pour chaque cas particulier la cause de l' excitation maniaque (un purgatif fait quelquefois mer- vei
d'une vive déception à propos d'un héritage qu'il comptait toucher. Excitation maniaque très vive, se traduisant surtout par d
te activité proprement volitive, en servant de décharge aux états d' excitation de l'organe céré- bral. » Nous croyons que la
éotypies. Celles-ci sont des réactions automatiques qui résultent d' excitations d'origine interne portant sur les centres nerve
e portant sur les centres nerveux. Se basant sur la nature de · l' excitation qui met en jeu l'automatisme des centres ner- v
aste, verrier, entré à Bicêtre en 1893 avec le certificat suivant « Excitation maniaque. Désordre dans les idées et dans les a
UTION A L'ÉTUDE DES STÉRÉOTYPIES. 483 « Dégénérescence mentale avec excitation . Désordre complet dans les idées et dans les ac
es sont des actes réflexes (Binder). Mais un acte réflexe est « une excitation périphérique d'un nerf sensible qui détermine u
in doit, en remontant dans les antécédents, assigner à chaque cas d' excitation ou de dépression, sa place noso- graphique. C'e
nations psycho- motrices et de la sialorrhée peut s'expliquer par l' excitation simul- tanée de centres certicaux très voisins.
32 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
riences montrent, en somme, que l'extrait de valé- rianne donne une excitation plus rapide, plus intense et plus durable à mes
ose augmente, jusqu'à une certaine limite. Avec les fortes doses, l' excitation très rapide, et très forte perd ensuite de la d
II. ) ' La valériane et ses composés produisent à faible dose une excitation primitive de la motilité volontaire. Ce sont des
té nerveuse éprouve une décharge généralisée sous l'influence d'une excitation forte, l'activité volontaire, la plus fragile,
maniè- re générale les troubles qu'on la destine à combattre; une excitation aboutissant à une dépression, on a une perver-
une contraction de la pupille droite, mais non de la gauche ; 2° l' excitation de l'oeil gauche est sans effet sur la pupille
de ces troubles ataxiformes ? On a pu invoquer dans certains cas l' excitation de la voie pyra- midale du' pied du pédoncule,
trebalancée par l'action modératrice et que la lésion des centres d' excitation du tonus musculaire, en parti- culier du noyau
teint ; dans le nystag- mus médullaire, c'est le noyau où se rend l' excitation venue de la périphérie et d'où part l'excitatio
noyau où se rend l'excitation venue de la périphérie et d'où part l' excitation nerveuse qui se rend au muscle. » (Abadie L. C.
cil., p. 600 : 118 PATHOLOGIE NERVEUSE...* ' . tantôt à un état d' excitation des centres nerveux. La pre- mière interprétati
u tremblement qui accom- pagne la fatigue, l'anémie, la cachexie. L' excitation exagérée des centres ferait que les cellules se
auteur relate dans cette note trois cas de paraplégie : dans l'un l' excitation du pied provoquait comme réaction unique une co
'un nerf est placé dans une atmosphère de vapeurs anes- thésiques l' excitation de la partie supérieure de ce nerf cesse d'être
on de la partie supérieure de ce nerf cesse d'être efficace avant l' excitation de sa partie inférieure. Plus un point du nerf
ue l'éther agit plus rapidement que le chloroforme ; que la phase d' excitation est bien plus accen- tuée avec l'éther qu'avec
°21.) Chez un malade atteint d'hémiplégie gauche, l'auteur a vu l' excitation de la plante du pied parésié déterminer "extensio
orteils du pied droit normal. Chez un autre hémiplégique la même excitation portée sur le pied normal a déterminé la flexion
du pied paralysé. Pour expliquer ces faits M. Sano sup- pose que l' excitation de la peau sur un point donné se transmet à la
a lata ou réflexe plantaire normal de Bris- su2cd, provoqué par une excitation un peu plus énergique et qui n'est que le premi
ment de défense ; b) Le réflexe dé fensif complet, provoqué par une excitation encore plus énergique et constitué par la contr
ur a vu survenir chez une jeune fille hys- térique à la suite d'une excitation partie de la plante du pied. Chez le même sujet
n état pathologique des nerfs cen- tripètes chargés de conduire les excitations émanées des objets, ou à un état pathologique d
e populaire on appelle une seconde nature. Sous l'influence d'une excitation , il se produit une réaction qui est proportionn
seconde nature », par E les autres facteurs de l'évolution, par 0 l' excitation accidentelle, et par 1, le résultat de la réactio
ces membres, bien qu'un peu flasques, répon- daient normalement à l' excitation électrique. Il n'y avait nulle part de renverse
sécrétion des larmes. On n'obtient pas de sécrétion lacrymale de l' excitation de la corde du tympan avant son entrée dans la sc
e ce dernier ne détermine pas de sécrétion lacrymale unilatérale. L' excitation du facial à la base du crâne après sa sortie du
e le sympathique exerce une influence sur la sécrétion lacrymale. L' excitation du bout périphé- rique du nerf lacrymal provoqu
provoque aussi la formation des larmes dans l'oeil du même côté. L' excitation des racines du trijumeau, après section préalab
animaux par de longues vivisections ; impossible de spécifier si l' excitation du nerf lacrymal tenait à celle des fibres du t
verbale (phénomènes de déficit) et des hallucinations (phénomènes d' excitation ) explique d'une façon tangible des troubles qui
eaucoup moins précis. L'alter- nance des phénomènes de déficit et d' excitation du centre auditif, n'a pas lieu d'étonner davan
les sensoriels et des troubles de la sphère du langage (symptômes d' excitation ou de paralysie) tels que : aphasie motrice, ha
n mentale, délire oni-. rique. hallucinations provoquant le délire, excitation , etc.) Si cette auto-intoxication hépatique fra
s sous la forme de voix agréables ou déplaisantes. Amnésie. » Cette excitation maniaque a persisté jusqu'en août 1900 pour fai
le 13 janvier elle rechute brusquement, et, après quelques jours d' excitation , devient plus que jamais inerte, gâteuse, baveu
n lui adresse; ne parait pas avoir de délire ni d'hallucinations; excitation motrice simple avec abolition ou diminution de la
lui-ci caractérisé par des mouve- menrs brusques, comparables à des excitations électriques, non influencés par la volonté, la
ité involontaire, et que ce qui diffère de l'une à l'autre, c'est l' excitation , qui est forte dans le premier cas et faible dans
iste-t-il pas, en effet, à rendre les neurones aptes à réagir à des excitations de plus en plus faibles, si faibles même, à un
ntré qu'on pouvait obtenir des effets esthésiogènes avec toutes les excitations , périphériques à la condition qu'elles fussent
Pas de paralysie consécu- tive. Mais jusqu'au milieu de juillet, l' excitation persiste : G... est toujours bavard et incohére
général est assez inquiétant : des alternatives d'affaissement et d' excitation motrice incohé- rente avec sueurs profuses qui
léments dans 4 cas de tabès avec troubles mentaux, et dans un cas d' excitation maniaque associé à une méningo-myélite syphilit
ite syphilitique dont les symptômes disparurent en même temps que l' excitation sous l'influence du traitement spécifique. Ch
- tions très comparables. A l'examen, tous deux présentaient de l' excitation sans affaiblissement intellectuel, sans troubles
ractures règle V électrothérapie de l'hé- miplégie. En localisant l' excitation galvanique ou faradique, on peut faire réappara
d'une façon systématique; il nous parait discutable dans les cas d' excitation maniaque. Les malades ainsi traités réclament u
t émaciée, sa constitution semble délabrée, elle est en proie à une excitation vive, se tord les bras, s'arrache les cheveux,
cher ; elle refuse les aliments ; très peu de sommeil. En niai : l' excitation est un peu tombée, mais la malade, inter- préta
expérimentaux obtenus, cet extrait parait indiqué dans les états d' excitation et d'exaltation, dans lesquels ou constate ordina
si l'on veut obteuir des effets bien nets, tout au moins lorsque l' excitation est violente; 5° Bien que l'état de la pression
9° on doit se guider, en outre des indications somatiques, sur : l' excitation du malade, sa dépression, et leurs degrés; ces
soit pour le surveiller stric- tement, soit enfin pour diminuer son excitation . En appliquant la méthode « du traitement par l
s peut lui-même se communiquer aux autres. En outre, malgré toute l' excitation du malade, au fond de sa conscience repose tou-
. 0 , P. K 1 R L. XXIX. Nouvelles communications sur les essais d' excitation élec- trique de la moelle des décapités; par A.
propose d'employer le courant faradique aussi faible que possible; excitation bipolaire à l'aide de fines aiguilles distantes d
du courant appliqué aux régions indiquées, on provoque, même par l' excitation unilatérale, un mouvement bilatéral symé- triqu
les fibres correspondantes naissent à peu près au niveau du lieu d' excitation ; renforce-t-on l'excitation, on agit d'abord s
aissent à peu près au niveau du lieu d'excitation ; renforce-t-on l' excitation , on agit d'abord sur l'autre extrémité symétriq
un courant faible engendre un effet symétrique au niveau du plan d' excitation . En variant les épreuves, par l'excitation des
ique au niveau du plan d'excitation. En variant les épreuves, par l' excitation des racines antérieures et des racines postérie
et des racines postérieures, par la graduation de la quantité de l' excitation , on voit que les mouvements sont dus à l'excita
a quantité de l'excitation, on voit que les mouvements sont dus à l' excitation des fibres radicu- laires motrices et à l'inter
eil principal, c'est-à-dire des voies sensitives qui conduisent les excitations à l'écorce du cerveau et produisent les sensati
par une partie des fibres du trousseau de Gowers et Bechterew. Les excitations centripètes de la peau sont tout aussi indispen
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 495 moelle, conduisent en somme les excitations centripètes qui vien- nent de la peau et des pa
profondes, et sont destinées, d'une part, aux appareils psychiques ( excitations sensitives), d'autre part, aux appareils de coo
faisceau cérébelleux des cordons postérieurs, chargé d'expédier les excitations venues des parties profondes, celle des cordons l
ion du faisceau de Gowers et Bechterew qui transmet au cervelet les excitations de la peau. Par là se pro- duit l'ataxie dénuée
e cérébelleuse, à' toutes les fibres qui conduisent au cervelet les excitations centripètes, d'où, la titubation, le vertige, l'a
s qui s'y rat- tachent peuvent être produits chez les animaux par l' excitation de la région pariétale centrale ; 2° Que cett
on désigne- le mouvement des orteils qui se produit à la suite de l' excitation de la face plantaire du pied de l'autre côté.
latéral se produit avec des caractères opposés à celui du côté de l' excitation . Ce réflexe ne se rencontre pas à l'état normal
reud prétend que la névrose d'angoisse serait exclusivement due à l' excitation sexuelle non satisfaite (coït incom- plet, exci
ement due à l'excitation sexuelle non satisfaite (coït incom- plet, excitations funestes, etc.). Les causes sont affectives, mais
ènes de paialysiepeu ou très marquée ; le clonus du pied répond à l' excitation de la voie motrice. M. BAR)NSKt insiste sur le
maladies de la -, siège des lésions, par Gras- set, 68. Essais d' excitation élec- trique de la-des décapités, par Hoche,
33 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rrasser d'ennemis imaginaires qui en vou- laient à ses jours. Cette excitation fit place à son arrivée dans le service à un ét
vent être mis en liberté après l'amélioration d'un accès passager d' excitation ; 3° que la clinique est fréquemment appelée à f
s externes, les mesures pré- cises des réactions consécutives à des excitations déterminées. On se proposait de recueillir ains
que les résultats fussent comparables entre eux et d'autre part les excitations devaient être aussi simples que possible, afin
e des aliénés dans les diverses psychoses, et suivant les moments d' excitation , de dépression ou d'hallucination par lesquels
eux stigmates de dégénérescence, photographié pendant une période d' excitation mentale '. La deuxième partie traite de l'appli
ronomètre dont une aiguille spéciale, mise en marche au moment de l' excitation , peut être arrêtée au moment de la réaction.
ment en usage puissent les déceler. G. D. IV. Sur l'influence des excitations sensorielles comme agents pro- vocateurs des ac
ar FÉa>; (Jozcr2. de Neurologie, 1902, n° 21). L'influence des excitations périphériques des nerfs sur la pro- duction de
ns irritatives, mais les cas où la provoca- tion est réalisée par l' excitation physiologique d'un nerf spécial sont beaucoup p
d'un idiot épileptique dont les crises se manifestent à propos des excitations sensorielles les plus variées : bruits soudains,
c hallucinations, idées ambitieuses et de persécution, sensiblerie, excitation par intervalles, excès probables de boissons. »
. Il se porte très bien et veut reprendre son travail. Cet état d' excitation persiste pendant la première quinzaine du séjou
ation du régime lacté ait été suivie d'une reprise des phénomènes d excitation ; les idées de persécution reviennent plus acti
malade a passé par des alternatives de dépression et de gaîté avec excitation . Les urines ont été examinées chaque semaine, e
ite ce malade présente des alternatives d'anxiété mélancolique et d' excitation avec euphorie, et les pé- riodes d'anxiété para
ite d'une tentative peu sérieuse de suicide, et de quelques accès d' excitation au cours des.quels il a commis les actes les pl
). Paralysie générale avec idées de satisfaction et de persécution, excitation passagère et tentative de suicide (D'' Magnan).
epuis l'àge de vingt-sept, ayant présenté la boule hystérique, de l' excitation sexuelle, et la dysphagie en question, chez laq
plus différents, contractions presque continuelles, à l'occasion d' excitations extérieures faibles, de mou- vements violents,
de toute puissance dynamogénique ou d'association. Le contenu des excitations d'association ne révèle rien ou presque rien aux
es poutant riches de leur pensée sont obnubilées par cette nouvelle excitation , elles ne se polarisent pas, elles nese déplace
plus docile jusqu'en octobre 1901. En octobre 1901, une période d' excitation avec propos grossiers coïncida avec l'augmentat
e se soient greffés des symp- tômes additionnels de mélancolie ou d' excitation , qui ont coïncidé avec une augmentation des tro
ujets, longtemps considérés comme at- teints de psychoses diverses, excitation maniaque, dépression mélancolique, stupeur, cat
mais il est autre- ment intéressant défaire le diagnostic de cette excitation , de cette dépression, de cette stupeur, de cett
prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses reçoivent des excitations anormales qui expliquent les symptômes de la pa
rs. La physiologie enseigne en 264 SOCIÉTÉS savantes. effet que l' excitation corticale produit des réactions vaso-motrices-
fournies par des muscles sains sous l'influence des divers modes d' excitation électrique et de les com- parer aux courbes cor
dégénérés. Nous avons alors été amenés à rechercher le nombre des excitations à la seconde, nécessaires pour provoquer le tét
i° Chez les sujets sains et pour un muscle déterminé, le nombre des excitations nécessaires pour amener le tétanos présente des
vant de formes de comparaison. 2° En cas d'hypotonie, le nombre des excitations nécessaires a toujours été notablement supérieu
ins. De ces faits nous sommes amenés à conclure que le nombre des excitations nécessaires pour provoquer, le tétanos musculaire
ent ; indirectement, par réaction secondaire des fonc- tions qu'une excitation de la muqueuse du nez a pu troubler : appareils
sont : l'impossibilité de saisir rapidement la signification des excitations venues de l'extérieur ou de l'intérieur. C'est ce
grand du Saullequi l'examina à cette époque admit que cette crise d' excitation s'était produite sous l'influence de l'alcool e
Garnier le'considéra comme un persécuté alcoolisé avec pé- riodes d' excitation . Il admettait que son état ne nécessitait pas un
s anatomiques, quels centres entrent en jeu dans ces phénomènes d' excitation nerveuse, ni à plus forte raison quels troubles p
inition des divers états d'agitation, et avec lui on peut décrire l' excitation simple, l'agitation par réaction et l'agitation
l'asomnie pour employer l'expression de Freund. En dehors de toute excitation extérieure, de toute douleur, l'on reste vigile
concevable. On peut prendre parfois sur le fait le rôle direct de l' excitation psycho-sensorielle, d'origine centrale ou péri-
rapide, parfois même ins- tantané, et habituellement sans période d' excitation manifeste. Il ne s'accompagne pas moins d'une c
umance est rapide et parfois le sommeil est précédé d'une période d' excitation qui peut prendre la forme d'une véritable ivres
fond la question de la diète des chlo- rures ; dans les cas rares d' excitation épileptique où elle fut essayée, elle a produit
nné à hautes doses, continues et répé- tées, dans les cas de grande excitation , de façon à obtenir, comme dans l'état de mal,
doivent être isolés dans un but thérapeutique ; les soustraire aux excitations de l'entourage est nécessaire, mais il ne s'agi
es accidents. L'orateur ajoute que c'est seulement dans les états d' excitation qu'il a recours à la scopolamine, car il a eu l
nts seraient, d'après l'orateur, les hypnotiques de choix. Contre l' excitation et l'agitation, M. Devos a volontiers recours à l
à signaler, parmi les moyens physiques de combattre l'insomnie et l' excitation de certains névropathes, J'électrisation faradi
EL-L4'ASTIE (de Paris). L'auteur donne le nom de syndrome solaire d' excitation ou de paralysie à l'ensemble des symp- tômes ré
itation ou de paralysie à l'ensemble des symp- tômes résultant de l' excitation ou de l'ablation totale du plexus solaire, rése
on totale du plexus solaire, réservant le nom de symptôme solaire d' excitation ou de paralysie, à chacun des troubles, pris is
lysie, à chacun des troubles, pris isolément, qu'il constate, après excitation ou ablation du plexus, dans le fonctionnement des
r le plexus solaire peul-ctre compensée. Le syndrome solaire aigu d' excitation produit par le tiraillement ou la contusion du
nt supérieure, mais aussi, comme je l'ai mis en relief, une durée d' excitation plus longue. Il en résulte que les muscles rich
une altération morbide de l'humeur, caractérisée par h mélange de l' excitation euphorique du sentiment et du tour eu- fantin d
hogénie. (A rapprocher de la communication de M. Meige, p. 9r) 1. Excitation et dépression périodique. Délire circulaire frust
, le contenu des suggestions, la présence ou l'absence de certaines excitations psychosensorielles, je réalise avec ce produit
ie dans les états dépressifs, parfois aussi accélérée au cours de l' excitation maniaque. L'hystérie, pour sa part, passe pour
1903 et présentant, dans les quatre jours qui suivirent, une grande excitation délirante panophobique, en même temps qu'une vé
ans le lobe temporal sont de même alliés dans le processus. Ainsi l' excitation d'un de tous ces groupes peut mettre en action
uvait presque la considérer comme convalescente. Deux jours après : excitation à début soudain, chants, cris, rires automatiques
ne du côté de la cornée excitée. Le réflexe est lent. En répétant l' excitation , il s'épuise au bout de deux ou trois mouvement
t hypnotique : effet sur la courbe respiratoire et spllygmique de l' excitation douloureuse d'origine électrique, en se mettant
pouls n'admet pas une telle précision. Suggère-t-on l'anesthésie, l' excitation sensitive à l'aide du courant électrique n'exerce
t l'état de veille, tandis que si l'on suggère l'hypéresthésie, les excitations douloureuses se répercutent sur le tracé du pou
thé- sie, qui ne permet plus au malade de distinguer les diverses excitations de la sensibilité, mais les lui fait percevoir to
e et à gauche, paralysé des quatre membres, insensible à toutes les excitations , sans re- flexes, -avec de l'incontinence des u
con- traire, qu'un état émotionnel transitoire plus profond, une excitation intellectuelle plus grande provoque la reprise du
ence des mêmes personnes et en dehors de toute émotion ou phase d' excitation . Le second caractère du monologue, à savoir cel
journée. Les premiers sont des gens qui sont sous le coup d'une excitation intellectuelle ou émotionnelle plus ou moins du
e, leur gesticu- lation désordonnée sont plutôt le fait d'un état d' excitation psycho-motrice connexe que les correspondants m
que je recommence. » La verbigération des catatoniques en période d' excitation reconnaît peut-être aussi la même origine (Kahl
r exemple le cas de F..., malade en état de démence alcoolique avec excitation constante et idées de grandeur prédo- minantes,
rapport avec les délires systématiques, le décousu avec les états d' excitation générale ou de démence. Si décousu qu'il soit,
Dans le premier cas, il est plutôt en rapport avec une forme aiguë ( excitation maniaque, par exemple) et souvent curable. Dans
s il est le plus souvent la manifestation d'un état maniaque, d'une excitation passagère. Le mode de combinaison peut donner,
e et chez le persécuté. Le premier soliloque en vertu de son état d' excitation générale, le second sous le coup d'une idée pré
lade et n'est-ce pas pour cette raison qu'elles ont cessé lorsque l' excitation a pris fin ? - ? Mais dans ce cas l'action de l
ination serait bilatérale, mais, ne se maintenant que grâce à cette excitation externe, elle cesserait en même temps que la lé
ctionnelle du système ner- veux, consistant, tantôt en phénomènes d' excitation cérébrale, tantôt en phénomènes de dépression,
en l'associant à celle des centres acous iques mis en éveil par des excitations musicales bien ryth- mées. Ainsi les centres ro
Excitabilité, Sur l' - ries muscles dégénérés, par Intejko, 3îl . Excitations SERSORIEI les. Voir Epi- lepsie - Voir Syphilis
34 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dort pas, l'appétit est nul, elle alterne entre la prostration et l' excitation avec angoisse et pleurs. Une contra- riété légè
uide acre envahissait les mus- cles, fourmillements dans les mains, excitation sexuelle avec contractions saccadées de la vulv
ense que celle mydriase ressortit au réflexe pupillaire sensitif; l' excitation des terminaisons nerveuses sensitives du condui
res unilatérales et bilatérales peuvent dépendre exclusivement de l' excitation des cellules grises de la zone rolandique. (Revue
tement une inhibition devenue normale par l'habitude, qui empêche l' excitation indéfinie de la réponse efférente, laquelle, à
e l'éternuement. D'ailleurs les réflexes en série qui répondent aux excitations afférentes s'observent aussi dans les phénomène
ènes mentaux (souve- nirs éveillés par associations d'idées) et une excitation afférente purement mentale peut provoquer une a
ne, anormale parce qu'elle est entièrement nouvelle ; car seule une excitation de cet ordre peut déranger l'in- hibition norma
nerveux corticaux, trouble qui est originairement provoqué par une excitation afférente anormale. Il montre ensuite que cet
fin de constater, et de supprimer s'il se peut, toutes les causes d' excitations anormales afférentes. Au point de vue de la théra
, les fois précédentes, le rendait extrêmement malade. Action des excitations mécaniques faibles et répétées sur l'anesthésie
l'anesthésie hystérique. M. Paul 1l.cw. - Chez les hystériques, des excitations faibles, intermittentes et prolongées produisen
es et les dyschromatopsiques. En SOCIÉTÉS SAVANTES. 83 général, l' excitation de l'oeil par les couleurs centrales entraine le
couleurs, mais aussi pour les couleurs périphériques, tandis que l' excitation pourlescouleurs péri- phériques ramène la visio
st-métallique et les oscillations consécutives. On peut, au moyen d' excitations faibles et répétées, endormir des malades hémiane
érieur droit et puis une gêne de la respiration. Etat présent : une excitation très vive ; le malade parle beaucoup. Une paral
abiques, il a été amené à l'hôpital le 1. or mars de 1901 en état d' excitation très marquée, et mourut quelques heures après s
dation, tdntde l'oeil du même côté que de l'oeil du côté opposé à l' excitation . L'une occupe une surface de 1 centimètre 1/2 à
D'ailleurs l'effort accommodateurpeut êtreégatementprovoqnepar l' excitation du tubercule quadrijumeau antérieur en un point f
ulaires lisses. Impossible de noter de relations constantes entre l' excitation des zones corticales quelconques sus-énoncées e
les muscles des deux pattes postérieures, surtout accusé quand 1 excitation est localisée à la région dorsale inférieure. Ass
de gaz carbonique. Cette paitie perd son excitabilité, tandis que l' excitation du même nerf au-dessus du tube transmet le mouv
x autres réflexes cérébro-spinaux ? La contraction dépend-elle de l' excitation méca- nique du muscle ? Il faut pour en décider
GIE PATHOLOGIQUES. 161 l'insertion du pectoral à l'humérus : il y a excitation mécanique de ce tendon; en un cas par le même m
oit ; de la paralysie' atrophique du bras droit. L'exagération de l' excitation mécanique des muscles, qui n'ont pas été soumis
utent , dans la grande majorité des cas, des états de dépression, d' excitation , de confusion, de stupeur, des conceptions déli
l'affection, sans conceptions délirantes, sans hallucinations, sans excitation ni dépression, on se trouve en présence d'une f
psychiques variés : conceptions délirantes, hallucinations, états d' excitation , de dépression et de stupeur que nous allons ra
de systématisation. Les réactions psycho-motrices les plus variées ( excitation , dé- pression, stupeur) peuvent s'observer dans
endant des semaines, des mois et des années, dans la catatonie. L' excitation se traduit par un verbiage incohérent, dans leque
conservant les attitudes qu'on leur donne. Insensibles à toutes les excitations extérieures, les malades en état de stupeur voi
: ho-7-éflectitité est absente. Ces états de stupeur, comme ceux d' excitation décrits plus haut, peuvent s'observer en dehors
idu et caractérisés, au point de vue mental, par des alternatives d' excitation maniaque et de dépression avec inhi- bition, ce
souvent commandées par des hallucinations, les unes psychomotrices ( excitation ), les autres psycho-inhibitrices (dépression).
vembre 1902 et enfin une der- nière période de stupeur avec accès d' excitation cacatonique. A l'autopsie, aucune lésion macros
ur cause principale l'accumulation incomplète- ment satisfaite de l' excitation génésique, tels que le coït réservé des ménages
vaient souffert d'une accumulation incomplètement satisfaite de l' excitation génésique. Par les confidences de leurs femmes
infectieuse ; de brillantes facultés intellectuelles. Le début de l' excitation génitale a été précoce. L'enfant fut placé à on
et n'a souffert d'une accumulation incomplètement satis- faite de l' excitation génésique. L'onanisme engendra l'im- puissance
l a supporté plusieurs accès de manie, parfois avec un haut degré d' excitation , avec délire et hallucina- tions ; les accès du
un état de légère dépression. Il se plaignait ordinairement d'une excitation sexuelle et parfois de pollutions fréquentes. L'u
obsessives, ni des représentations obsédantes; évidemment, l'état d' excitation avec le cours exagéré des idées influait sur le
à une sensation lumineuse. L'histologie moderne nous a appris que l' excitation la plus limitée de la rétine, se trans- mettant
Il est évident que cette cime doit être aiguë quand elle émane de l' excitation de la macula anatomique, mousse quand elle éman
l'excitation de la macula anatomique, mousse quand elle émane de l' excitation de la macula physiologique, acquise. On peut ai
par suite, s'ajoute à la sensation colorée du voisinage émanée de l' excitation rétinienne. P. KEIIA VAL. XXXIX. Remarques cr
la perception de l'amer moins vivement senti que de l'autre côté; l' excitation élec- trique décelait aussi quelque différence
maux contient dès la naissance des éléments nerveux spéciaux dont l' excitation par le courant d'induction ou par la muscarine
coeur continue-t-il, long- temps à battre sous l'influence de toute excitation nouvelle ? On l'ignore; le microscope n'a pas t
vement de flexion des phalanges des doigts peut être provoqué par l' excitation mécanique d'autres parties de la main, entre au
urs. Ce réflexe carpométacarpien provient de la transmission de l' excitation des tendons qui couvrent le dos de la main au niv
nières sont simple- ment l'expression d'un processus pathologique d' excitation , de parésie ou de paralysie de certains segment
de la pupille entière sont l'expression de la combinaison d'états d' excitation , de parésie ou de paralysie des différents file
11 importera de prévenir aussi toutes les causes d'irritations ou d' excitation qui peuvent résulter pour les organes géni- tau
à son développement physique et intellectuel. Du reste les causes d' excitation méningo-cor- ticale du cerveau sont relativemen
dose de un à deux grammes, suivant les indications individuelles ( excitation cérébrale, insomnie, instabilité simple, etc...),
glande thyroïde, les glandes génitales, par exemple; en modérant l' excitation des organes génitaux, l'activité des glandes gé
misphérique, ou sur ce bord même, quelquefois un peu en dehors. L' excitation de cette région renforce les contractions utérine
res, en provoque et les rend rhythmiques, surtout quand on répète l' excitation . Un faible courant électrique peut rester inact
t larégion indiquée, des contractions rhyth- miques alternatives. L' excitation réitérée peut entretenir l'inten- sité des cont
e- ment que lorsqu'on excite l'écorce. Si l'on tient compte que l' excitation de la couche optique a tou- jours lieu après ce
l'existence d'un centre d'arrêt des contractions utérines. III. L' excitation des tubercules quadrijumeaux postérieurs a donn
central du nerf vague, sectionné au cou, a aussi agi, mais point l' excitation du bout périphérique. Le plexus hypogastrique a
té que dans l'écorce. Il est pour le moment impossible de dire si l' excitation de ces centres donne directement naissance aux
cerveau, permettent d'exprimer l'opinion que voici. On sait que l' excitation des centres de l'écorce engendre des convulsion
athétose, les différentes formes de tremblements, émanent non de l' excitation des contingents corticaux du système moteur, mais
que, dans l 's foyers de la région des tubercules quadrijumeaux, l' excitation directe des centres moteurs qui occupent celle ré
éraliser sous l'action directe de ces centres sous-corticaux ou par excitation réflexe des centres corticaux.. Il y a lieu de
si ces deux territoires sont épargnés, comme dans le cas présent, l' excitation sous-corticale suffit à expliquer la généralisa
e des perturbations viscérales résultant de l'arrachement ou de l' excitation du plexus solaire. Il distingue expérimentalement
mentalement un certain nombre de syndromes solaires de paralysie, d' excitation ou d'irradiation, et montre que le premier est
sont plus rares, les idées de culpabilité font défaut; les accès d' excitation sont plus violents. Dans la démence précoce on
alie. L'Ano% n'est pas une espèce clinique; il comprend des états d' excitation divers avec tendances à des actes de violence.
es étaient atteints, au contraire, de formes graves avec stupeur ou excitation et doivent être rangés dans la catatonie. La co
il suffit à leur égard de prendre des précautions durant la phase d' excitation . On devra plutôt tenir compte des actes commis
es sont : L'impossibilité de saisir rapidement la signification des excitations venues de l'extérieur ou de l'intérieur. C'est
icale que vous interprétez, etc. Les exécutants se créent un mode d' excitation qui les isole du monde extérieur; la pratique m
amyélie, par Brissaud et Bruan- det, 488. Anesthésie. Action des excitations mécaniques faibles et repétées sur l'- hystér
35 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ion : débilité men- tale avec hallucinations; idées de persécution; excitation passa- gère; cataracte de l'oeil gauche (Magnan
génitaux, enfin, sontbien dévelop- pés et son anus est normal. L' excitation maniaque avec délire hallucinatoire dont R... éta
éveloppées des deux côtés : le contact, la pression, la piqûre, les excitations galvaniques et faradiques sont parfaite- ment p
R... est atteint et à laquelle nous consacrons ce travail. Toute excitation mécanique de la peau et des dermo-muqueuses dét
ace que très lentement et peut persister au moins une heure. Si l' excitation est plus vive, si nous appuyons un peu forte- m
. 14 PATHOLOGIE NERVEUSE. . Quelle que soit donc l'intensité de l' excitation mécanique dont la peau et aussi les dermo-muque
1° Au contact du-corps excitant : pâleur subite et fugitive, si l' excitation est faible et rapide ; plus durable dans le cas c
s conditions qui président à leur développement : L'inlluence des excitations mécaniques de la peau a d'abord attiré notre at
es phénomènes que le conctact et le passage d'un corps résistant (l' excitation hydro-mécanique). La douche en lame produit, pa
ucun dermatologiste n'aurait révoquée en doute la légitimité. Les excitations électriques de la peau ne nous donnèrent pas de
petites papules conffuentes qui pouvaient être simplement dues à l' excitation mécanique produite par le contact des fils qui
es effets neuro-paralytiques analogues à ceux que déter- minent les excitations mécaniques. Les effets d'un courant galvanique
nues et nous pouvons seulement inférer de notre observation que les excitations mécaniques de la peau, même très légères, ont s
pas du tout motivées ni par une continence préalable, ni par une excitation érotique, ni par des rêves lascifs, etc., etc. Qu
lles n'étaient motivées ni par une continence préalable, ni par une excitation érotique, ni par des rêves lascifs, etc., quelq
sibilité; 5-6 secondes 58 CLINIQUE NERVEUSE. s'écoulaient entre l' excitation et la perception sensitive; une fois la sensati
ences médicales. GRAND ET PETIT HYPNOTISME. 9 a l'influence d'une excitation mécanique directe, les muscles de la vie normal
directe, les muscles de la vie normale se contracturent. Le mode d' excitation est variable : on peut employer le massage, la
embres, ces paralysies sont, comme on le sait, très fréquentes. L' excitation mécanique des troncs nerveux agit sur les mus-
sculai·e. Elle consiste en ce que, sous l'influence de très légères excitations superficielles, comme le frôlement, le souffle
unc leo.'f«cin t(iun non exlério- 124 SOCIÉTÉS SAVANTES. risée, l' excitation peut ne pas dépasser l'écorce cérébrale. Si elle
éterminer une rémission dans la démence aiguë accompagnée de grande excitation . A Illenau, le personnel eut aussi beaucoup à s
t dans ce cas que renouveler, sous forme d'images, le souvenir de l' excitation cutanée qui a donné lieu une première fois à la
'il serait prouvé que la suggestion peut faire tout ce que fait l' excitation périphérique, il resterait à démontrer que la réa
gestion, amener le dévelop- pement d'une contracture, alors que les excitations périphé- riques sont incapables de produire ce
la ne permet pas de conclure que la suggestion est tout, et que l' excitation périphérique ne sert à rien. C'est aussi par la
t dans la moelle ouïe cerveau et dont le point de départ est dans l' excitation périphérique des muscles et des tendons, et que
suggestion simple n'agis- sait pas d'une façon plus active que les excitations mécaniques sur le développement des contracture
ues ont persisté chez elle. N'est-il pas évident dans ce cas qu'une excitation sensorielle a produit ce que la suggestion avai
-ci n'étant pas, comme l'affirme Soltmann, soumis à l'influence des excitations amenées du dehors par les organes des sens. Mai
u membre innervé parle centre primitif. Chez le chien nouveau-né, l' excitation même très intense de l'écorce n'amène pas de ph
n mois et plus, alors que ce développement est terminé; en outre, l' excitation électrique détruit rapidement l'excitabilité de
est seule pourvue de myéline, dans les cor- dons postérieurs ; leur excitation produit la contraction des muscles innervés par
des muscles innervés par le segment correspondant de la moelle. L' excitation des racines postérieures donne le même résultat.
eurs cas'. III. - NERFS PERIPHERIQUES. REFLEXES. Rapports entre l' excitation et l'excitabilité dans la contraction musculair
mpulsion, dit Helmoitz, survenant pen- dant la période latente de l' excitation fournie par une impul- sion antérieure, ne chan
'état du nerf et du muscle, existent un optimum et un pessimum de l' excitation qui produit la contraction. » Si, pendant la co
te de la rédaction.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 283 augmente l' excitation d'un muscle en agissant sur son nerf, à partir
sur son nerf, à partir d'un certain degré, qui est 1' optimum de l' excitation ,' on voit la contraction diminuer, puis dispara
la contraction diminuer, puis disparaître : c'est le pessimum de l' excitation ; mais si on diminue alors l'excitation, le musc
tre : c'est le pessimum de l'excitation; mais si on diminue alors l' excitation , le muscle se contracte de nouveau, puis se tét
puis se tétanise. Lapériode dans laquelle chaque augmentation de l' excitation n'est pas suivie d'une augmentation de la contr
excitabilité du muscle est seulement diminuée : si l'on produit une excitation soit directement sur le muscle, soit sur un poi
sur un point du nerf plus rapproché que le point d'application de l' excitation pessimum, on obtient une contraction. L'optimum
e pessimum sont fonctions à la fois de l'intensité et du nombre des excitations . Le tronc ner- veux ne joue aucun rôle dans ces
fatigue par intervalle insuffisant, proportionnelle au nombre des excitations dans un temps déterminé. Ces deux formes se sup
veau. Corrélation entre les fonctions du cerveau antérieur et les excitations extérieures. -Le D1' Danilewsky a voulu démontrer
ontaires en apparence, peu- vent être exécutés sous l'influence des excitations extérieures, par une grenouille privée de ses h
nce inhibitoire du cerveau antérieur, peut être remplacée par des excitations sensitivo-sensorielles extérieures. A l'appui de
oie réflexe. La dilatation directe de la pupille est produite par l' excitation du sympathique. La dilti- tation réflexe, par l
te par l'excitation du sympathique. La dilti- tation réflexe, par l' excitation des nerfs sensitifs. La dilata- tion directe pr
réflexe atteint son maxi- mum lentement, toujours après la fin de l' excitation , ce maxi- mum est précédé d'un rétrécissement q
écédé d'un rétrécissement qui correspond exacte- ment à la fin de l' excitation . La dilatation qui se produit jusqu'à ce rétréc
e secondaire. Les mêmes phénomènes se produisent du côté opposé à l' excitation . Si l'on sectionne le sympathique au cou, la pé
des abolit complètement la dilatation réflexe de la pupille par les excitations douloureuses. Développement de la rétine. Suiva
e caractère, de l'instabilité mentale, et surtout des rêves, dont l' excitation persiste au réveil. Il faut savoir, en effet, q
hez certains individus dégénérés prédisposés par l'héré- dité à une excitation nerveuse considérable. (The Alienist aii-d Neti
conformation, de la perversion et de l'instabilité mentale, de l' excitation passionnelle. L'étude des troubles fonctionnels n
la fonction d'une partie quelconque du cerveau. Car si la méthode d' excitation expérimentale de l'écorce, si les lésions irrit
de ses anciens cama- rades). La lumière et le bruit augmentent son excitation . La sensibilité cutanée paraît troublée. Elle s
elles ces accès dé manie transitoire sont déterminés. Ce sont : l' excitation alcoolique, les excès de travail intel- lectuel
ypnotique. La sensibilité cutanée est très diminuée, la réponse aux excitations extérieures retar- 'dée ; ces excitations doive
diminuée, la réponse aux excitations extérieures retar- 'dée ; ces excitations doivent être beaucoup plus fortes pour que l'an
oeur et les vis- cères abdominaux, ces organes ne répondent pas à l' excitation électrique. 470 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
s de leurs hémisphères mettent le même temps pour réagir contre les excitations extérieures. Aussi M. Danilewsky a-t-il tiré ce
Recueil physiologique de Danilewsky, Karlioli, 1888. Etude sur l' excitation électrique des nerfs. Recueil physio- logique,
aniiewsky. Du rapport entre la fonction du cerveau antérieur et les excitations extérieures. -Le àlédeciii, nû, 4o, 1880'. Dani
sclérome. Le Médecin, u° 47, 1886. Wedensky. Des rapports entre l' excitation et l'excitabilifc dans la contraction musculair
a point chez lui d'acte volontaire, il n'y a que transformation des excitations en mouvements. Plus tard, le désir, première es
36 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne émotion ou des menstrues. En novembre 1902, elle fut re- prise d' excitation . Puis, chassée de son nouveau domicile en avril
u début de la ménopause : cette époque fut marquée par des crises d' excitation très violentes qui ne firent que s'exagérer jus-
teonduite à l'infirmerie spéciale du dépôt. Examen. A) État mental. Excitation intellectuelle : la malade ne cesse de parler a
t de la rotule, signe de Babinski bilatéral, etc. A la suite de l' excitation de la face interne de la cuisse, il se produit
n- taire, enfin dans la suppression du travail mental et de toute excitation . A. ;\1. IV. Un cas de maladie de Thomsen ; par
l'élévation brusque de la pression artérielle sous l'influence des excitations du même ordre. En s'appuyant sur ces données MM
n sait que certains sujets de l'un ou de l'autre sexe n'éprouvent d' excitations sexuelles qu'en présence d'un sujet d'un sexe o
ans que celle-ci ait du reste rien fait pour provoquer la moindre excitation génésique. Malgré une séparation qui fut défini
n'accomplissait guère l'acte sexuel, sans s'y être préparé par des excitations supplémentaires d'une nature spé- ciale. . Il
nvulsive de fou-rire. Le rire peut être provoqué d'autre part par l' excitation directe des mus- cles du rire, par suggestion d
n de l'acte lui-même, par sugges- tion d'un état psychique gai, par excitation des zones idéo- 74 VARIA. gènes modifiant l
IA. gènes modifiant l'état mental dans le sens du rire, enfin par excitation de zones spasmogènes spéciales à l'attaque con-
ique est ébranlé. La perte d'équilibre peut se manifester par une excitation démesurée, une exagération des réflexes et de t
es symptômes évidents de la paralysie générale. Après une période d' excitation intellectuelle et physique, il est en- tré en r
sont amendées elles aussi. Enfin, lorsqu'est survenue la période d' excitation terminale, on a vu les maux perforants se rallu
côté opposé à celui de la cornée excitée succède immédiatement à l' excitation sensible bien localisée ; c'est un phénomène de
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 127 cédé à l' excitation directe (musculaire) ou indirecte (par les troncs
nt dans la dégénérescence partielle ou com- plète chaque fois que l' excitation galvanique directe se traduit par une contracti
dique et galvanique, ou que, comme dans- les pa- ralysies graves, l' excitation directe à l'égard du courant galvani- que subsi
ui a lieu également pour les étincelles de la machine statique) ; l' excitation par les courants magnéto-électriques ou sinusoï
tous les cas où cette paresse de la contraction se manifeste par l' excitation galvanique directe (musculaire).. (Juand le m
'- sent un son pourvu qu'un mouvement musculaire soit possible. L' excitation faradique directe ou indirecte du muscle à réacti
e, pourvu que le L·Lanos soitsuf- fisamment fort : le muscle, à une excitation galvanique forte, non oscillante, répond par le
son ordinaire, tandis que le son' musculaire est plus élevé dans l' excitation faradique iL raisondtf nombre des interruptions
es interruptions de l'appareil. La convulsion lente consécutive à l' excitation galvanique d'un muscle qui présente la réaction
muscle qui présente la réaction dégénérative reste silencieuse. - L' excitation fa- radique du muscle qui ne réagit point ne fo
s centres inférieurs ou cor- nes antérieures de la moelle en état d' excitation ? Le silence au niveau des muscles contractures
sous-corticaux et même du centre cortical engendre des phénomènes d' excitation , des hallucinations de l'odorat. Quant à la fré
{Neurolog. Centralbl., \\III, l90't.) Il est indubitable, que toute excitation sensible, certainesimpres- sions sensorielles e
s ne se contractent point en forme de caniveau sous l'influence des excitations mécani- ques. C'est donc un trouble acquis de l
le s'excite, frappe ses enfants elle-même dans l'égarement de son excitation ;puis, la crise passée, elle oublie, et elle trou
prend en considération que cette amnésie suit toujours une crise d' excitation survenant elle-même en tant que réaction émotive,
symptômes principaux, il pré- sente surtout des phénomènes légers d' excitation catatonique, avec stéréotypies v erbales. Voi
, car elle croyait voir des vers dans ses aliments. A cette phase d' excitation succéda une phase de dépression. Eu avril 1903,
quent celle-ci par une action réflexe, dont l'origine se- rait une excitation partie de l'utérus et transmise aux zones motri
ue produite par une piqûre d'épingle sur la peau, ou la douleur par excitation électro-faradique plus ou moins rapide et plus
avec les individus. FI'. Franck, étudiant les effets d'une brusque excitation , a oh- servé clue ces effets sont variables sui
s éléments avoisinants, on devrait arriver à cette conclusion que l' excitation nerveuse, arrivant par une grosse fibre afférente
dérations sur l'influence de la fatigue, de l'entratne- ment et des excitations psychiques..1. S. L. La structure de la rétine
GIE NERVEUSE. 217 celle influence qu'il y a tantôt sédation, tantôt excitation du sys- Li-IIII' nerveux et que les crises conv
ment les atteintes du la sénilité sont moins aptes percevoir le< excitations visuelles, et par consé- quent doivent coutriif
peu ses mauvais instincts se sont dissipés. Plus d'onanisme. Plus d' excitation nerveuse, comme au début. Elle ne cherche plus
sport à l'asile de Pontorson quelques jours après, le 4 mai 1900. L' excitation générale diminue rapide- ment ; on constate alo
é, etc. Puis se développe un délire plus ou moins systématisé, de l' excitation maniaque, de la démence progressive ou même de
ire par ce moyen. Ce n'est donc pas un réflexe. Il se produit par l' excitation mécanique non seulement du frontal, mais du pér
pendant le stade paralytique accélère un peu le spasme, ainsi que l' excitation de la peau du voisinage. Sauf cela la jeune 3
rapport avec la sensibilité cutanée et avec celle du muscle. IL - L' excitation mécanique du muscle ou, réflexe musculaire, qui
sont différents ; on ne peut alors séparer la con- traction due à l' excitation mécanique directe du muscle de la con- traction
réflexes musculaires ne sont point du tout le résultat de la simple excitation mécanique du tissu musculaire propre. Les mus-
s si l'on répète les chocs sur telle ou telle région. La réaction d' excitation apparaît quand la tétanie s'exaspère ; elle s'a
urant chacun quinze secondes ; ces mouvements sont indépendants des excitations de la lumière et de l'accommodation. 11 s'agit
lisseur reçoit une charpente sur la tête. A l'hôpital présente de l' excitation mania- que, turbulence nocturne, cris, divagati
ccident. Obtusion intel- lectuelle persistante après cessation de l' excitation maniaque, mais permettant la sortie réclamée pa
c perversions instinctives et turbulence. Elle avait des périodes d' excitation et de colère trè§ fré- quentes, était très méch
et qui aujour- 1'Icrri se suffit à elle-même. LXVII. Imbécillité, excitation /MM ! 6' ? ML'/0/< ? ej ? Lésa ? (Marguerite
ondation le 13 octobre 1902, atteinte d'imbécillité avec périodes d' excitation . A son entrée, la physionomie de l'enfant n'ind
idées noires qui la portaient à attenter à ses jours; ni période d' excitation , ni de mélancolie. Le caractère est devenu réel
ntervalle des paroxysmes ; 2° l'exa- cerbation des douleurs par les excitations d'ordre périphérique ; : o l'extension de la névr
it ; l'accablait d'injures,éprou- vait<les crises incoercibles d' excitation puérile avec pleurs spas- modiques irrésistible
des périodes de calme et de lucidité re- lative, puis des crises d' excitation avec délire et hallucinations probables de la v
trer encore des hallucinations de la vue qui, dans les paroxysmes d' excitation , viennent concou- rir à la désorientation du ma
ment et d'une manière injustifiée d'une dépres- sion profonde à une excitation expansive pouvant aller jusqu'à la manifestatio
s quatre membres, plus accentuée aux membres inférieurs. La moindre excitation périphérique piovo- que des contractions fibril
phique) compliquée de troubles mentaux de nature dé- mentielle et d' excitation passagère ». Les renseignements que nous avons
mur et tâchait de ne pas être vue. Parfois elle avait des moments d' excitation nerveuse et se livrait à des jeux désordonnés e
désordres pathologiques ont disparu; elle n'a plus de périodes d' excitation , plus de balancements, plus d'incontinence noc-
ditaires. [Revue neurologique avril 1905.) ' E. B. LX1X. Rôle des excitations centripètes et centrifuges dans le fonctionneme
avec des solutions titrées, il a constaté que le sucre produit une excitation éphémère peu de temps après son inges- tion, qu
ticulier la para- lysie générale expansive au début de la période d' excitation ma- niaque, de la folie à double forme. Excepti
rminés chez un amputé, par Bloumcnaou et \iclsen, 323. - Rôle des excitations centripètes et centrifuges dans le fonction-
musculaires dans les maladies nerveuses, par Bcchte- rew, 3.10. Excitations centripètes. Voir Cel- lules nerveuses. ' Exo
37 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
it à donner le change sur son état véritable en simulant un accès d' excitation maniaque avec idées de grandeur; tantôt c'est u
rolandique, puisqu'en dernière analyse c'est de là que partirait l' excitation primordiale qui va retentir sur les cellules mo
peu fréquente et toujours caracté- risée par des crises furieuses d' excitation maniaque suivies d'un état demi-comateux de dur
sthénique et hypochondriaque aigu) et rappel- lent les phénomènes d' excitation , puis de stupeur des centres mo- teurs, chez le
alement guéri après quelques mois de maladie. Pas de phé- nomènes d' excitation motrice ; pupilles larges et paresseuses. Chez
ersécution évoluant dans un cercle exclusive- ment délimité par des excitations sexuelles. cl'4 REVUE DE-MÉDECINE LÉGALE. En
à peu les mouvements choréiques se générali- sèrent et les crises d' excitation mentale devinrent plus fréquentes et plus viole
ogne, en se moquant, tout ce qui était de nature à provo- quer de l' excitation mentale augmentait considérablement les mouveme
CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 1 ha sitoires irrégulières de mélancolie et d' excitation maniaque, comme chez tous les dégénérés. Le ter
u en forçant à l'adduc- tion l'annulaire étendu. Les divers modes d' excitation de la peau ne jouent dans l'espèce aucun rôle o
apidité de l'aggravation, et la brusque appa- rition de symptômes d' excitation maniaque malgré des doses élevées de bromure, f
ur aucune partie du corps, et les cheveux n'étaient pas tombés. L' excitation maniaque a été extrêmement violente, s'est accom-
onctionnement spontané. Leur mise en acti- vité est subordonnée aux excitations venant des régions sensitives et sensorielles.
ont reliés avec les aires de la vision, de l'audition, etc. Que des excitations sensitives ou sensorielles soient les antécédents
porte un ton affectif. 11 y a plaisir ou douleur par la sommation d' excitations perçues par le télencé- phale. Quand cette somm
la malaxation des muscles, au tiraillement, à l'insufflation ou à l' excitation légère. Les réflexes abdominaux sont très faibl
l'attention de la Société sur l'état du réflexe cutané plantaire; l' excitation de la plante du pied donne lieu à de la flexion
psie générale d'emblée avec prédominance dans un côté du corps de l' excitation préparoxystique et de la fatigue post-convulsiv
a- tions primitives partant d'un centre quelconque provoquent des excitations secondaires dans toutes les cellules corticales ;
ations secondaires dans toutes les cellules corticales ; toutes ces excitations , étant d'une tension et d'une direction bien diff
s mouvements ondula- toires. Dans la deuxième phase de l'accès, les excitations sont encore très fréquentes, d'où la secousse t
est possible que ces appendices participent dans la perception des excitations cellulipètes qui parviennent à la cellule nerve
eure au souvenir de son enfant. 22. Hier, elle a manifesté un peu d' excitation , s'est imaginée qu'elle allait mourir, a réclam
onfesser ; tout le monde est damné ; le démon s'est emparé de tous. Excitation maniaque intense ; il menace de donner un coup
nt qui réussit à la vaincre n'est pas celui qui est produit par une excitation sen- sible d'origine réflexe, c'est celui qui e
neuropile, du prolongement principal. Or on dit que les courants d' excitation reçus par les dendrites ne se portent pas dans le
grille qu'elles forment. Le monde psychique serait le résultat des excitations externes sur la grille des fibrilles de l'encép
sont d'origine récente, et disparaissent aussitôt sous l'action des excitations extérieures. Il y a bien un reste des impressio
eux qui ne semblent plus avoir d'halluci- nations, on peut, par une excitation externe, réveiller des troubles hallucinatoires
mènes, observe qu'au début du delirium tremens, il existe une telle excitation dans la sphère de la vision que l'impression ch
u moment où, à la périphérie le nerf optique est soumis à une forte excitation par le fait d'une trace forte- ment colorée, ce
sant par des voix inju- . rieuses. Ainsi, pour plusieurs auteurs, l' excitation cutanée peut produire des hallucinations réflex
flexes. D'autres phénomènes ont été observés, prouvant toujours l' excitation corticale, l'hyperesthésie des centres nerveux en
persécutés non alcooliques ou persécutés déli- rants chroniques, l' excitation ou l'hallucination d'un des sens provoque bien
phénomènes analogues. Il y a des sujets, dit-il, chez lesquels l' excitation d'un des organes sensuels donne lieu à deux sen
s distinctes : l'une a pour siège la sphère de l'organe qui subit l' excitation , tandis que l'autre se déclare dans la sphère d
sphère d'un sens qui, en apparence, n'est nullement intéressé par l' excitation . L'observation de Brühl sur les deux frères Nüs
leurs perceptions fausses augmenter d'intensité sous l'action d'une excitation périphérique. Nous avons vu un cas semblable da
plus confuses, plus éloignées, telles qu'on les obser- vait avant l' excitation . Dans cet ordre de faits, Mierzejewski cite le
n mau- vais goût en bouche, sente la « quinine » après une légère excitation , et fasse effort pour la cracher. La sensation ha
s une surexcitation qui provoque des hallucinations sous la moindre excitation d'un des organes sensoriels, à la périphérie il
» . La suggestion pure venait à son temps, isolément, sans aucune excitation périphérique, en simple suggestion à l'état de
s voix hallucinatoires, qui cessent un peu après la suspention de l' excitation , pour réapparaître avec elle. Observation II.
rovoquées facilement hier, ne se réveillent plus, quelle que soit l' excitation . Transféré à l'Asile clinique. Cet homme, L..
ur ne pas insister ici. La vue, le goût, l'ouie réa- gissent sous l' excitation périphérique. Celle-ci provoque et réveille aux
est vrai qu'au moment de l'injection, le malade sent une certaine excitation : il lui semble qu'il urine, qu'il marche mieux,
ion et l'exagération des hallucinations de l'ouïe correspondant aux excitations . A un moment de calme, nous appliquons nos main
tions apparaissent bientôt, bien plus intenses et nettes qu'avant l' excitation ; elles disparaissent avec elle. C'est bien l'hy
Habitudes alcooliques depuis la jeunesse. - Alcoolisme subaigu avec excitation passagère ; hyperesthésie corti- cale gustative
jour, nous avons pu produire des hallucinations mul- tiples par les excitations périphériques ; ainsi par le procédé de Liepntu
tir « l'encens, oui, l'encens Les oreilles sont restées sourdes aux excitations externes, et la peau n'a pu réveilleraucune hul
les ne donnent rien. 1 G. L'olfaction seule est encore sensible à l' excitation , il sent « le citron... peut-être l'orange... »
s la cessation des hallucinations spontanées, nous pou- vons, par l' excitation périphérique, par la suggestion, pro- duire des
nos efforts restent sans résultats : il ne voit plus rien. Par l' excitation des globes oculaires, il voit « du feu... c'est b
l'appelle cochon ». La membrane olfactive n'est pas insensible à l' excitation périphéri- que, et nous pouvons éveiller la sen
r, mauvais, qu'il ne peut pas définir. L'olfaction est sensible à l' excitation : il sent du rhum, dit-il, mais du mauvais rhum
hallucinations. Voici ce que nous avons obtenu par les différentes excitations : Procédé de Llepmann. « Je vois, dit-il, une c
ssent avec la cessation de l'excitant. Nous faisons remarquer que l' excitation de la peau, le pincement a produit, au milieu des
t sur la tête et je me suis réveillé. » La vue réagit encore sous l' excitation périphé- rique, et il voit « un cheval blanc ».
lme maintenant, dort bien, et s'occupe un peu dans la journée ; les excitations des globes oculaires, de la membrane du tympan,
2 juin.-C... est très calme, aucun nerf sensoriel ne réagit sous l' excitation périphérique. Ce malade est intéressant à plusi
u ou, pour mieux dire, tous les centres sensoriels sont atteints. L' excitation de la vue, des oreilles, de la langue, du nez,
ions. D'après cette théorie, l'hallucination est le résultat de l' excitation pathologique des centres sensoriels de l'écorce.
st le savant qui pourra nous dire qu'il y a émission de pensée sans excitation quelconque d'une cellule cérébrale. Nulle idee
aux, il y a hallucination réelle. Ainsi, pas d'hallucination sans excitation des centres sen- soriels. Que cette excitation
d'hallucination sans excitation des centres sen- soriels. Que cette excitation vienne de la périphérie, qu'elle vienne des aut
uit d'un des centres sensoriels irrité. Mais de là à dire que les excitations mentales ont seules le monopole de produire des
y a bacille, cela suffit. Que l'hallucination soit provoquée par l' excitation mentale des centres sensoriels, ou par l'excita
provoquée par l'excitation mentale des centres sensoriels, ou par l' excitation périphé- rique, le résultat est le même : il y
ons périphériques ; et, hallu- cinations centrales, produites par l' excitation mentale. Les sensations que nous avons pu produ
el ou sensitif, des terminaisons nerveuses des organes des sens ; l' excitation est répercutée au centre, grossie par les cellu
même dans les hallucinations provoquées par la suggestion simple, l' excitation est périphérique, le point de départ est toujou
cas pareils, ils ont vu des hallucinations paraître par suite d'une excitation quel- conque. Nous avons eu dans le service de
s ces malades sont habituellement hallucinés. On ne peut dire que l' excitation peut, à elle seule, provoquer des hallucination
ons lentes et traînantes, il a constaté que la période latente de l' excitation corticale du muscle est, chez le nouveau-né, no
emande à s'effectuer la contraction musculaire, quand on pratique l' excitation sous-corticale. Le faisceau pyra- midal amyélin
ntres opti- ques ou à des troubles dans la conductibilité, mais à l' excitation produite par l'endroit lésé sur la nutrition de
et même kératite. Pas de névrite optique. Après cinq ou six jours d' excitation : hébétude, état semi-comateux. Cou moins rigid
38 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ugmentation du tremblement, tachycardie, vomissements, agitation, excitation , diminution du volume de la langue et de la col
oid diminue. Au point de vue intellectuel, nous avons à relever l' excitation , les accès de colère inhabituels se substi- tua
lésions. Par suite du ramollissement de la scissure calcarine, les excitations optiques ne peuvent plus être conduites dans l'
gauche (centre auditif du langage) étant lésé, le rapport entre les excitations optiques qui arrivent dans l'hémisphère gauche
rce que ses centres visuels droit et gauche ne peuvent conduire des excitations au centre auditif de la parole. La lésion du ta
ire, provoquera un accès d'épilepsie ; fréquemment même, une simple excitation mécanique, le contact de l'écorce par une épong
leur entrée en jeu dans les affections cérébrales, soit par arrêt d' excitations modéra- trices, soit par action des faisceaux e
ne n'existe plus, les crises peuvent réparai Ire sous l'influence d' excitations insignifiantes. Il est probable que la présence
il demeura inconscient pendant deux heures. Au réveil il fut pris d' excitation maniaque. Il se plaignait d'une céphalalgie con
re jours. eut plusieurs attaques de manie plus douce que la moindre excitation suffisait à provoquer. Il était fort agité la n
légers, et aboutissant à des hallu- cinations et à des phénomènes d' excitation : aggravation de ces symptômes au moment des rè
donne tout au moins d'importantes améliorations. H. 11. C.. XXIV. Excitation maniaque intense consécutive A l'administration
gr. 20. Elle fut alors prise d'une SOCIÉTÉS SAVANTES. 79 crise d' excitation d'une intensité extrême ; il fallait plusieurs pe
IQUE MENTALE. tout à fait en dehors des conditions habituelles de l' excitation sensorielle normale, et l'illusion comme une er
entre sensoriel, pourraient l'irriter et agir sur lui comme cause d' excitation . Dans ces cas l'hallucination serait considérée
du centre contenant l'image hallucinatoire soit mise en jeu par une excitation des nerfs sensitifs-périphériques. Il s'agit al
rpentier sur l'emploi du condensateur pour régler- l'intensité de l' excitation faradique des nerfs en physiologie. En plaçant
En plaçant un condensateur de capacité connue sur le trajet de l' excitation induite monopolaire ou bipolaire, on a un moyen d
citation induite monopolaire ou bipolaire, on a un moyen de roder l' excitation plus avantageux que celui basé sur l'écart des
une valeur déterminée de la capacité du condensateur un optimum d' excitation . M. le Dr Giltay (de Marseille) propose pour la
le obtenue par rayonnement s'élèvent progressivement à mesure que l' excitation augmente, mais seulement jusqu'à un certain max
ement jusqu'à un certain maximum qui est atteint avant le maximum d' excitation . Archives, 2° série, t. I. 8 114 Il REVUE d'é
st en effet un élément très important pour juger de la valeur d'une excitation et comme il est très facile d'en connaître la v
ance dans le circuit parcouru par le courant galvanique affaiblit l' excitation du nerf ou du muscle à la fermeture du courant
Science, juillet 1895.) Cas intéressant dans lequel des symptômes d' excitation ma- niaque se sont manifestés d'une manière ext
ue mental, le passage brusque, presque violent d'un état prolongé d' excitation maniaque avec idées d'exaltation, d'une conduit
alcooliques provoquées peuvent nous aider à comprendre le rôle de l' excitation des organes des sens dans la production des hal
une tendance à amplifier, objectiver et altérer les images nées des excitations sensorielles internes et externes. XXIV. Contri
etc., et alors curable. Cet état, caractérisé par l'abolition de l' excitation et l'absence d'activité spontanée, quelquefois
malade ne fût pas un buveur. Dans la seconde forme les symptômes d' excitation maniaque passent au premier plan. Tantôt il s'a
strer ces divers phénomènes. L'épilepsie corticale délerminée par l' excitation électrique reproduit d'une façon fidèle les réact
ébuté par des actes bizarres, de l'inco- hérence du langage et de l' excitation bruyante. La malade a des aliénés dans sa famil
lligence au moins moyenne, son éducation au-dessus de la moyenne. L' excitation a augmenté allant jusqu'à la violence dans les
lution sigmoïde, à l'extrémité antéro-externe du deuxième sillon. L' excitation de l'extrémité antéro-externe de la deuxième ci
ns DE divers nerfs ou DE leurs terminaisons A L'éc \Rd d'une même excitation ; pal' 111.LEVy-DoR¡'¡. (Centralbl. f. Ne1'venheil
fâcheuse peut être supprimée par l'ablation de l'organe d'où part l' excitation . Ce n'est que dans des cas exceptionnels qu'il
surtout le massage. Mais dans les cas graves d'hystéro-épilepsie, d' excitation maniaque avec idées de suicide, il faut interve
HÉRAPEUTIQUE. 239 des idées de persécution et des états passagers d' excitation . Chez l'une on constatait de l'hémianesthésie.
ttaques augmentèrent même de fréquence, ce qu'il faut attribuer à l' excitation réflexe déterminée par les suites de l'opération.
'une femme de vingt-deux ans, non hystérique, sujette à des accès d' excitation maniaque que la menstruation activait. La guéri
, la menstruation redevient très douloureuse et provoque un accès d' excitation . Internée de nouveau à l'asile, on lui fait l'a
Elle ne présentait d'ailleurs aucune trace de syphilis. , A cette excitation maniaque qui persiste pendant environ une année
roubles de la sensibilité générale. Mais, après avoir présenté de l' excitation maniaque, elle est tombée peu à peu dans l'espa
u loucher sur le milieu de sa moitié droite elle répondait mal il l' excitation faradique. Le raphé de la partie -molle de la v
minutes ou dépasser une heure. Ils augmentent sous l'influence de l' excitation mentale ou de l'attention. Les contractions muscu
es accès d'épilepsie partielle qui se produiraient à la suite d'une excitation cérébrale limitée et circonscrite. M. Zucarelli
es motrices que les fibres sensitives, celles-ci réagissant par une excitation douloureuse plus ou moins vive. Il n'est pas ra
. Depuis l'âge de douzeans, A... éprouve à la vue d'un mouchoir une excitation génitale particulière suivie d'érection. Dès qu
e revêtement bizarre déterminait aussitôt l'érection. Avec l'âge, l' excitation produite par le mouchoir n'a plus suffi à réveill
manifeste de l'excita- tion intermittente, puis peu à peu l'état d' excitation devient per- manent avec des paroxysmes fréquen
aisser soigner. Les moyens de contention sont aussitôt supprimés. L' excitation a disparu, le syllogisme et la mémoire sont int
pendant les derniers jours.Trans- fert à l'infirmerie. T. 38°,8. L' excitation reste très violente. Refus absolu de toute espè
e spasmodique; elles sont aussi plus rapprochées et plus longues. L' excitation maniaque prédomine, dans la forme spasmodique,
dres mentaux. R. M.-C. XXXVI. UN cas d'ecchymoses accompagnant DE l' excitation délirante; par W. R. DAWSON, (The journul of me
c hallucinations et ayant présenté à diverses reprises des crises d' excitation , dont les der- nières (depuis avril 1894) ont é
galement inadmissible la coïnci- dence invariable avec les crises d' excitation . Il ne reste donc à invoquer comme causes proba
n élémentaire, et des centres sous-corticaux chargés d'élaborer les excitations centrifuges (H. Sachs), l'image commémorative d
1893.) Expériences sur les chiens et les chats. Conclusions. - L' excitation des centres corticaux du cerveau jeu REVUE DE P
otubérance et bulbe) pourront provoquer l'épilepsie, dans les cas d' excitation mécanique de la protubérance, de com- motion cé
ntoxication, mais il faut que l'écorce inter- vienne, car c'est son excitation qui imprime aux convulsions le caractère épilep
iniens (lacunes du champ visuel) en même temps qu'il se produit des excitations anormales (phénomènes lumineux subjectifs, scot
uence. Plus tard, les muscles s'atrophient et ne répondent plus à l' excitation , même quand la fonction est rétablie. LWOFF.
er-Fechner établit les rapports de grandeur entre la sensation et l' excitation : la première est fonction logarithmique de la
DE PHYSIOLOGIE pathologiques. jnulus externe, cause objective de l' excitation ; 2° l'excitation in- terne ou modification mat
thologiques. jnulus externe, cause objective de l'excitation ; 2° l' excitation in- terne ou modification matérielle produite d
s'accompagne d'oxydation et désinté- - gration a'.omique, donc une excitation non suivie d'effet réflexe, mais enregistrant u
e bel exemple rapporté par l'auteur, de ce jeune homme chez qui l' excitation génitale se développait à l'idée de manger un mor
(hommes et femmes) qui ont besoin d'être isolés, ou que leur état d' excitation empêche de vivre dans les pavillons des sujets
Certificat du Dr Magnan (20 février 1887) : « Débilité mentale avec excitation passagère; ankylose du genou droit. » Certifica
'on se rend compte, par elles, des effets positifs ou négatifs de l' excitation électrique ou de la destruction des régions qui
n du faisceau cérébelleux dans les cordons latéraux de la moelle. L' excitation de ce faisceau dans la région du vermis, et à l
probablement en rapport avec un trouble vaso-moteur dépendant de l' excitation du symphatique. Le fait se rencontre plutôt dan
augmentation de la quantité du lait, en ajoutant à l'action due à l' excitation du sympathique celle des fibres musculaires lis
llen, 140. - mentales et nerveuses, par Witwell, 353. Maniaque. Excitation due au salicylate de soude, par Hobinson, 78.
39 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
gieux à évolution chronique, etc., obs. XXXIII, p. 190 et suiv. 5 Excitation cérébrale, délire ambitieux et mystique à forme r
dies mentales en cinq groupes : étals de dépression mentale états d' excitation mentale folies inter- mittentes états d'affaibl
te-quatre an<, dégénéré, ayant été interné à plusieurs fois pour excitation mania- que, ayant eu, à diverses reprises des c
blies, des hallucinations de la vue et de l'ouie, bientôt suivies d' excitation générale, puis d'agitation avec gesticulation.
g comprend ce que l'on désignerait en France de la façon suivante : Excitation maniaque avec hallucinations et confusion menta
ns lequel on observe successi- vement la dépression mélancolique, l' excitation maniaque, la stu- peur, la folie intermittente
. Ferrier et Exner avaient vu, comme Tambu- rini et Tripier, soit l' excitation expérimentale, soit les lésions, irritatives ou
ou spéciale, déterminer des réactions motrices et, inverse- ment, l' excitation ou les lésions des zones motrices, provoquer des
Lorsque les cellules de l'écorce du cerveau antérieur perçoiventles excitations externes, cette écorce, Meynert la compare d'or
reil périphérique des sens et de la répétition d'un mode uniforme d' excitation . Si la fonction des éléments nerveux d'un de ce
t que le prolongement d'une cellule nerveuse et la transmission des excitations de cellules à cellules ne se propageait que par
ait un postulat phy- siologique. Pour expliquer la transmission des excitations , il n'est point nécessaire que les ramification
hériques des nerfs du deuxième type de Golgi, le point initial de l' excitation sensible est une cellule épithéliale, une cellule
le réseau nerveux central de l'écorce ; 2° par la propagation de l' excitation dans ce réseau ; 3° par la transmission des exc
agation de l'excitation dans ce réseau ; 3° par la transmission des excitations jusqu'aux fins ramuscules latéraux des tubes ne
être considérée comme condition sine qua non de la transmission des excitations entre les unes et les autres ». Du reste, outre
», des provinces aux vagues confins, en partie superposées, dont l' excitation prédominante ou élective pro- voque des réactio
sième que l'auteur désigne sous le nom de cellule intercalaire. L' excitation partie de l'écorce ne se transmet pas non plus
ntre les prolon- gements de diverses cellules; elles transmettent l' excitation de telles cellules à telles autres cellules. Ch
sinage. Chaque neurone ou anneau d'un tractus nerveux développe des excitations nerveuses par modifications moléculaires, chacu
la décharge d'un élément sur l'autre, laquelle décharge développe l' excitation des éléments suivants. Le courant nerveux en ma
ns suivant le degré de résistance qu'offrirontàla transmission de l' excitation nerveuse tels ou tels neurones. Ainsi se produit
seulement les appareils épithéliaux périphé- riques, transmettent l' excitation de l'agent extérieur, non seule- ment ils prése
non seule- ment ils préserventles éléments nerveux conducteurs de l' excitation , mais ils jouent encore un rôle dans la différe
nt encore un rôle dans la différenciation qualitative des multiples excitations extérieures ; ils transforment l'excitant extér
erveuse. Selon l'organisation de l'appareil périphérique, il y aura excitation mé- canique ou chimique, avec variantes, des ex
périphériques; elles dépendent des particularités différentes de l' excitation ner- veuse qui se rend aux centres ; c'est-à-di
itation ner- veuse qui se rend aux centres ; c'est-à-dire que : les excitations nerveuses engendrées à la périphérie ont déjà l
chatouillement de la plante des pieds; - les mouvements du coït par excitation du gland - ceux du sphincter anal (réflexe anal
ne à Villejuif. - Un jeune homme enfermé pour mélancolie et accès d' excitation par intervalles, sort de l'asile guéri, selon l
s sous 164 PATHOLOGIE MENTALE. forme hallucinatoire en vertu de l' excitation que produit en ses centres cérébraux une maladi
r le moment, c'est que, lorsque, par ces circonstances spéciales, l' excitation est portée auxdits centres et les images éveill
înement ininterrompu de périodes de dépression mélancolique, puis d' excitation maniaque avec des rémittences plus ou moins lon
énérés sont de mauvais accumulateurs, ils ne capitalisent pas leurs excitations psycho-sensorielles mais les transforment rapid
l existe un rapport presque constant entre la folie religieuse et l' excitation sexuelle à tel point qu'on pourrait croire que
nt particulièrement douloureux, comme dans la démonomélancolie. L' excitation génésique et les préoccupations mystiques coexi
que la moindre impression extérieure déter- mine chez eux un état d' excitation . Enfiu M. Clouston constate en terminant que s'
ntré que dans la manie, comme dans la mélancolie ou la démence avec excitation , les symptômes se rattachaient à la continuité
ois leur usage continu est utile contre la violence des crises et l' excitation qui les accompagne, mais il ne paraît aucunement
vent avant et après les attaques d'épilepsie. Sauf le cas d'extrême excitation ou de maladie intercurrente, la fréquence des a
empreinte caractéristique se traduit le plus souvent par un état d' excitation , d'irrégularité et d'inquiétude qu'il faut prob
conclusion qu'elles ne dérivent pas purement et sim- plement d'une excitation morbide des centres sensorio-moteurs; mais qu'e
ongé à considérer ces hallucinations comme le résultât d'une simple excitation des centres sensorio- moteurs. Nous avons essay
rès complexe et nous avons insisté autre part sur ce point que si l' excitation des centres corticaux était une condition néces
ur de la détention, hallucination de l'ouïe (reproches et menaces), excitation , anxiété, idées de persécution. Transféré à l'a
u'il peut y avoir anosmie à divers degrés. On a observé aussi 2 une excitation morbide avec perversion de l'odorat, d'où résul
se de la moelle épinière : mais la décharge nerveuse résultant de l' excitation transmise par la cellule à ;on prolongement ner
s mouvements limités à cer- tains groupes de muscles que provoque l' excitation mécanique, chi- mique ou électrique de l'écorce
ion mécanique, chi- mique ou électrique de l'écorce cérébrale : les excitations dif- fusées dans la zone moléculaire agiraient
un réseau de spongioplasma achromatique ces fibrilles, conduisant l' excitation sont les unes longitudinales, les autres horizo
ellules pyramidales recueillent, grâce à leur extrême longueur, les excitations ner- veuses des régions les plus diverses au mo
e soit ce nombre d'éléments des sens directe- ment impressionnés, l' excitation qui en part et qui se propage jusqu'au cerveau
trer l'activité psychique sur un champ limité de représentations, l' excitation du graudsympatbiqueseraitici peu efficace. En eff
ne tunique musculaire, ne peuvent provoquer, sous l'influence d'une excitation du grand sympathique, que des congestions éten-
ccompagne un réflexe de défense ou de prophy- laxie suscité par une excitation intense menaçant l'existence d'une partie de no
atomique détaillée du sympathique cervical, M. P. Riche considère l' excitation de ce sympathique par un goitre quelconque, sou
tonus à la substance protoplas- mique des neurones périphériques. L' excitation , parvenue aux cellules de l'écorce cérébrale pa
l'intermédiaire de ses cellules ganglionnaires, la rétine envoie l' excitation au corps genouillé externe; là les cel- lules i
tétanisation persiste, tant après l'ouverture du courant qu'après l' excitation galvanique erratique, de même qu'à la suite de
après l'excitation galvanique erratique, de même qu'à la suite de l' excitation faradique répétée. Ces con- vulsions se limiten
ire par des phénomènes de démence plutôt que par des phénomènes d' excitation mentale. Il faut encore remarquer dans ce curieux
, douleurs fulgurantes, perte des réflexes. A vingt-six ans accès d' excitation , troubles de la parole, tremblement fibrillaire
ériode prodromique, certains phé- nomènes de nature expansive, de l' excitation cérébrale, de l'irasci- bilité, des accès d'act
sig. Chez deux sujets les injections déterminèrent des phénomènes d' excitation . L'état mental des individus soumis au traiteme
s'accompagne pas de folie épileptique. 4° L'épilepsie réflexe, par excitation périphérique (cicatrices). 5° L'épilepsie consé
orie. Rarement le rapport est renversé ; 3° avant ou après l'accès, excitation violente sous forme de manie qué1'ulante. Pas d
es meurtres, etc. 4° Les psychoses chroniques épileptiques, états d' excitation ou de stupeur pouvant durer des mois et des ann
s remarquables (rémissions survenant de préférence dans les états d' excitation ). On observe également, dans la catatonie, des
ÉTÉS SAVANTES. 397 des phénomènes convulsifs qui dénotent un état d' excitation du cerveau. L'auteur résume ainsi ses opinion
apathiques et réagissaient d'une façon nonchalante en présence des excitations du monde extérieur; la plupart s'orien- taient
rès excitables par intervalles; parfois se produisaient des accès d' excitation , surtout en rapport avec les attaques. L'autops
tance des cellules motrices par le repos, l'activité, la fatigue. L' excitation des cellules par le courant faradique a seule d
e a une structure fibrillaire (appa- reils de conductibilité pour l' excitation nerveuse) ; 3° la substance chromatophile offre
8 SOCIÉTÉS savantes. la base physiologique de ces processus. Chaque excitation qui agit sur les nerfs périphériques de la sens
40 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
ité spinale se traduisait encore par un manque absolu de sommeil, une excitation génitale et des pertes séminales très fréquentes.
se qui se produit par quintes prolongées, elle est due sans doute a l' excitation accrue des filets centripètes du nerf vague qui,
la vie animale à entrer en contraction sous l'influence d'une simple excitation mécanique. L'excitation peut être portée d'aill
n contraction sous l'influence d'une simple excitation mécanique. L' excitation peut être portée d'ailleurs sur le tendon, sur le
ou en frottant, même légèrement, pour provoquer une contraction. Si l' excitation est un peu forte et prolongée, la contraction se
t rompu, il ne donne aucun signe d'intelligence et ne répond à aucune excitation venue du dehors. Les réflexes sont abolis, l'hy
L'anesthésie est complète, le tégument externe reste insensible aux excitations les plus vives. Le troisième état hypnotique cl
due à l'excitabilité neuro-musculaire, en ce qu'elle ne cède pas à l' excitation des muscles antagonistes, tandis qu'elle cède, tr
tes, tandis qu'elle cède, très facilement, sous l'influence des mêmes excitations cutanées faibles qui l'ont fait naître. Remarqu
complexes. Après la crise, l'état du sujet change complètement, l' excitation est remplacée par un épuisement considérable du s
fatigue de ses centres nerveux non seulement par l'ébranlement dû à l' excitation génésique, mais par la représentation violente de
les cas. L'acuité de cette représentation correspond à l'acuité de l' excitation génésique, la tension neurique et psychique attei
en sens contraire. 2° Eveiller la conscience et transformer, par des excitations extérieures, une perception inconsciente en perce
ique, qui ne se réalisent qu'entre les limites d'une certaine force d' excitation maxima et minima, de même les sensations internes
une grande facilité, chez certaines organisations spéciales, par des excitations de nature très différentes, viscérales, sensi-tiv
vement de jambes ayant pour effet de soumettre certains organes à une excitation continuelle. La machine coupable fut supprimée, e
large part. Tout agent qui actionne les centres nerveux, soit par une excitation violente mais subite, provoque la fatigue par déc
s les impulsifs ont du « prurit musculaire » qui les pousse à agir, l' excitation leur est nécessaire, aussi presque tous ont une g
actéristique ; dirigée vers les organes génitaux, l'action provoque l' excitation de sens génésique. 6° Cette influence inconnue
ait remarquer que la vie en plein air, l'exercice, l'absence de toute excitation ou surmenage mental, la rareté de l'alcoo- li
l produit la cécité, soit entière, soit partielle des couleurs. L' excitation maladive amène les hallucinations. />) Le se
satisfaction le plus souvent qu'il put. Après quelque temps de cette excitation malsaine, il sentit un jour, à la récréation de s
urent cinq ou six mois après le début du traitement, à mesure que ses excitations amoureuses se modérèrent. Il eut, avec la dispari
de l'union sexuelle qu'on a appelée cependant epilepsia brevis. Cette excitation factice augmente peu à peu et arrive à son maximu
. La période cérébrale est caractérisée au début, après une phase d' excitation préalable, par l'abolition de la conscience, le m
certains même, donnés en quantité minime, produisent des phénomènes d' excitation . Ainsi l'éther, employé comme anesthésique en chi
oral est le médicament hypnogénique par excellence ; les phénomènes d' excitation ne se produisent qu'à doses minimes. A la dose de
ium est le plus employé de tous ; le camphre diminue les phénomènes d' excitation du système nerveux; il secondera par conséquent l
, l'hypnose ou la narcose, et même, à petites doses, des phénomènes d' excitation cérébrale. Je vous ai dit, tout à l'heure, la dif
résultant de troubles circulatoires. Lorsque l'insomnie est due à l' excitation des centres médullaires, il faut encore recourir
les opiacés. Lorsqu'il s'agit d'une lésion bulbaire produisant une excitation dont l'aboutissant est l'insomnie, il faut donner
s modérateurs de l'action nerveuse, trouveront leur emploi. Certaines excitations vasculaires sont susceptibles de faire varier la
é et la conduction nerveuses ; voici ses réflexions sur ce fait que l' excitation provoquée au milieu d'un nerf se propage dans les
s cellules sécrétantes. Mais nous comprenons plus difficilement que l' excitation appliquée au milieu d'un nerf moteur (par exemple
fs centrifugés il y ait une disposition inconnue encore qui empêche l' excitation de se communiquer aux centres, une espèce de soup
n de se communiquer aux centres, une espèce de soupape permettant à l' excitation de se propager en sens centrifuge, et l'arrêtant
microscope par l'absence d'oxygène et l'excès.d'acide carbonique. Les excitations faibles portées sur les nerfs sensibles provoquen
xes, mais ne passent pas dans les cellules de l'écorce cérébrale; des excitations plus fortes amènent l'allongement des ramificatio
etéloignementdes ramifications pseudo-poodiques. Mais de même que des excitations particulières violentes ou non habituelles amènen
lentes ou non habituelles amènent l'amibe à se rétracter, de même des excitations spéciales produiront larétraction des pseudopodes
dante (actes d'inhibition, chorée de l'interférence nerveuse), et des excitations violentes, anormales, par le même mécanisme, prod
i ranime leur modalité engourdie; l'influx cérébral arrive, par cette excitation dynamogénique, à se frayer une voie jusqu'aux cel
le réception des impressions extérieures n'est pas absolue. Certaines excitations externes arrivent jusqu'au cerveau et y détermine
ndie, de volcan en éruption ou d'éclairs et d'orage. D'autres fois, l' excitation produit le réveil. Ces phénomènes s'expliquent
e entre les ramifications écartées n'est pas devenue si grande qu'une excitation intense ne puisse la franchir; du neurone sensiti
ou tel organe des sens, selon l'état du sujet. C'est pourquoi telles excitations sont plus aptes que telles autres à provoquer le
il de la moelle et du bulbe est comme le début, il faudra trouver une excitation capable de réveiller ces centres inférieurs ; ce
ler ces centres inférieurs ; ce ne sera pas l'intensité même de cette excitation qui la rendra efficace, ce sera sa nature, ce ser
ou isolent leurs prolongements de protoplasma pour se soustraire aux excitations et jouir du repos réparateur. Mais certainement,
des alternatives de travail et de repos. Cependant on peut, par des excitations intenses et prolongées, forcer cette glande à séc
tenses et prolongées, forcer cette glande à sécréter longtemps; par l' excitation de la corde du tympan, on prolonge pendant dix et
os ; en présence d'un travail urgent à terminer, nous multiplions les excitations externes et internes (boissons excitantes); il fa
es des neurones sensitifs centraux sont sans cesse sollicités par les excitations qu'apportent les neurones périphériques; ces prol
s cylindraxiles des neurones afférents, et vont à la recherche de ces excitations , comme les prolongements libres des cellules olfa
ste-t-il dans l'oscillation de ces tentacules qui vont recueillir les excitations en se mettant au contact tantôt de telle ramifica
logique. Si le réveil est brusque, sous l'influence d'une énergique excitation d'un organe des sens, c'est d'abord dans le domai
fet d'exagérer sa jalousie. Arrivé au paroxysme de la passion et de l' excitation , il avait pris la résolution de se porter sur sa
se suicider. Pour se confirmer dans ses résolutions, il cherchait des excitations dans l'usage immodéré de l'alcool, et il s'enivra
41 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
porte sur-le temps perdu. ' t i ? 1 1 \ .. \ ,l(j On sait qu'une excitation ne, produit, pas, immédia- tement la secousse.
a- tement la secousse. Celle-ci est,précédée d'une'période dite d' excitation latente : c'est le temps perdu du muscle, temps
ême membre, ceux-ci' réagissent différemment sous l'influence d'une excitation élec- trique 'identique. De l'exposé précéden
un' certain nombre de muscles se contractant sous l'influence d'une excitation médullaire. Si l'un -d'eux aune tonicité moindr
? a .,mu4 u i, t.â-' . qu'il existe un tonus musculaire, dû, à une excitation 'fit ? » 'Ih 11 ? 1111''11' ' , e : 1Jl"" J'I')
être dans le degré de la lésion ; Icelle-ci déterminant d'abord une excitation , des fibres de sensibilité, d'où douleurs fulgu
avec sa paralysie, ni même avec sa parésie. Sous l'influence d'une excitation nerveuse faible, le muscle dont le tonus est di
nergique- ment que le muscle normal, mais sous l'influence d'une' excitation -^forte,' il.se contracte très énergiquement, e
rons, fera mieux comprendre notre pensée. En un mot, l'origine de l' excitation sera différente dans l'un et l'autre cas, mais
e précé- dente, et supposons un mouvement pour lequel il faut une excitation nerveuse produisant une force muscu- laire 10;
paralytique agité ; d'autres fois , dépassant cette limite, avec l' excitation l'alcool provoque des illusions, quelques hallu
continu, mais, par moments, il devient plus actif et s'accompagne d' excitation . En 1876, elle prétend que tout le monde s'occu
ons par intervalles irréguliers. C'est à la suite d'une période d' excitation avec prédomi- nance d'idées mélancoliques que l
is que des abus s'exagèrent ou qu'intervient une cause quelconque d' excitation . Les faits qui précèdent, malgré leur complexit
sité sur l'avant-bras paralysé. Les muscles répondent très bien à l' excitation . La peau, d'abord complètement insensible, devi
ortes de déviations conju- guées des yeux : 1° Les déviations par excitation fonctionnelle, qui se font du même côté que la
la sensibilité, elle est égale des deux côtés, à tous les moyens d' excitation , y compris la faradisation. Chose curieuse, ell
le voisinage de la cicatrice de l'extir- pation, des points dont l' excitation électrique détermine des mouvements de parties
s ces points varient de situation suivant les individus. Pourtant l' excitation des parties isolées n'est pas toujours pos- sib
rties isolées n'est pas toujours pos- sible, car souvent la moindre excitation électrique de certain point détermine une secou
. 4° Après des destructions étendues, on ne réussit jamais, par l' excitation électrique de l'écorce, à provoquer le mouve- m
tions très larges de la zone motrice d'un hémisphère, obtenir par l' excitation électrique faible, des points moteurs intacts d
principale, puisque pour les pro- ductions de tout acte moteur, une excitation des centres de l'écorce est nécessaire. Comme l
formes mor- bides qu'il a observées ont été l'affaiblissement ou l' excitation intellectuels, un état de dépression allant que
iles dont les malades sont sans instruc- tion ; 2° qu'une période d' excitation survenant chez un jeune homme par excès de trav
HOLOGIE INTERNE. ? 1 l ? 'rAC ! On voit, par ce tracé, qu'une seule excitation , du biceps se traduit par une courl;ebigém'néel
LI"'1J III - caf) .' : : »'1 t¡ I : i' Le premier sommet est dû à l' excitation électrique du biceps; le second, à l'excitation
r sommet est dû à l'excitation électrique du biceps; le second, à l' excitation réflexe produite.par la contraction du triceps.
deuxième sommet'de la courbe. On peut encore définir cette série d' excitations réciproques en disant que : la contraction init
iee'eacri ? A : 'do'uble secousse du biceps provoquée par une seule excitation induite de ce muscle ; - B, secousse simple (ré
; - B, secousse simple (réllexe) du biceps provoquée par une seule excitation du triceps. q l,¿O b Il r \s \ ,' U3JOO PATHO
contraire l'extrémité du style inscripteur. On porte ensuite une excitation ;, induite d'ouverture sur le muscle gastro- cné
intenant l'élongation directe par une r y . ,t ., ? <-' . tu ? excitation électrique portée sur le muscle, antagoniste, a
ce élas- . 1 ? ' tlT tique est considérablement accrue, une seule excitation . ' t l . I, 1 électrique du biceps va nous f
uscle ? B, secousses multiples du biceps provo- quées par une seule excitation portée sur le triceps. : . PATHOGÉNIE DES TREMB
gine qu'elle est morte; elle entend les cloches; ace moment, légère excitation ,' impatience ; elle donne un soufflet à\la filf
te d'hystérie et pré- sentant une hémianesthésie bien nette; ni les excitations dou- loureuses les plus fortes, ni les impressi
après avoir subi au contact des vapeurs chloroformiques une légère excitation , perdent successivement leurs propriétés, et co
expliquer les paralysies dites ré- flexes : jamais Treub n'a vu une excitation portée à la péri- phérie d'un nerf, si énergiqu
citable, indirectement (nou- velle piqûre ) ni par action réflexe ( excitation du bout cen- tral du nerf dépresseur du même cô
tion du bout cen- tral du nerf dépresseur du même côté). C. Après excitation et paralysie consécutive de l'un des deux centr
directement (par piqûre du centre intact), soit par action réflexe ( excitation du bout central du nerf dépresseur du côté sain
e nerfs dorsaux; 2° L'hyperglycémie et la glycosurie résultant de l' excitation faradique des boutscentraux des nerfs vagues ch
erfs dorsaux supprime l'effet, sur la circulation abdominale, des excitations des bouts centraux des nerfs vagues et des nerfs
ndant A S Z égalait presque K S Z. L' Il Il . 1'. d. l. d dl ? l ^ excitation faradique et galvanique du tronc du facial, au-
nscience, ni par un dédoublement de la person-' nalité, ni par de l' excitation intellectuelle,- des hallucinations, REVUE DE P
nt constaté ce fait en employant une lame de platine polarisée ou l' excitation unipolaire d'une pile ordinaire ou d'une pile d
iphérique de chacun de ces nerfs, voici ce que l'on observe : 1 ° Excitation du bout périphérique du nerf grand hypoglosse.
au saillant comparable à une dilatation vasculaire variqueuse. 2° Excitation du bout périphérique du nerf glosso-pharyn- gie
suite de la piqûre du bulbe, d'une hémor- rhagie du plancher, d'une excitation du bout périphérique bien isolé de certains ner
s cutanées, les lésions cardiaques. Dans ces diverses conditions, l' excitation partie de la surface de l'endocarde, des termin
raux intracor- tical et spinal, exaltation déterminée par certaines excitations ; (chaleur, électricité, magnétisme, excitations
minée par certaines excitations; (chaleur, électricité, magnétisme, excitations acoustiques). Ainsi s'explique la susceptibilit
font a fait aussi des dosages de sucre dans le sang) produite par l' excitation faradique des bouts centraux des nerfs vagues c
ières paires dor- sales supprime l'effet sur la vascularisation des excitations des bouts centraux, des vagues et des nerfs dép
pprime aussi l'effet de la piqûre du quatrième ven- tricule. 3° L' excitation des bouts périphériques de la première paire do
on de ces fibres; elles deviennent hyperexcitables. Dès lors, toute excitation partie du cerveau à destination des centres spi
vocatrice du spasme dans les membres du côté paralysé réside dans l' excitation corticale transmise aux cornes antérieures, de
de relâchement complet. Ensuite, il est inexact de prétendre que l' excitation circonscrite de certains centres médullaires du
règle. Enfin, si la contracture des hémiplégiques résultait d'une excitation cérébrale par association, on devrait voir toujou
t toujours là, incurable, l'état spasmodique reste imminent; qu'une excitation un peu violente survienne, et aussitôt la contr
ettes de papier, tandis qu'à divers moments, notamment à la suite d' excitation , on observe une turbulence immodérée, caractéri
ne inspiration forcée; ceci d'ailleurs n'appartient qu'aux phases d' excitation . - Rien'du côté de la sensibilité. Fonctions et
agération des réflexes, spinaux qui se produisent soit à la suite d' excitations cutanées soit consécutivement à des con- tracti
° l'opiomanie qui, quelquefois, alternerait avec l'ivro- gnerie ; l' excitation passagère produite par l'opium serait un attrai
rouement- donnent une idée de leur intensité. Aux époques de grande excitation mentale se montrait un délire fixe spécial, car
ant l'état de rêve ou chez l'aliéné ; c'est-à-dire que de pareilles excitations exercent une influence concernant la forme et l
de rémission intermédiaire aux accès alternatifs de dépression et d' excitation . Le principal intérêt de cette observation rési
de cette observation réside dans la grande analogie entre l'accès d' excitation et la première période d'exaltation fonctionnel
ment. A 40 ans, accès de mélancolie durant trois mois; à 45 ans; excitation maniaque, délire ambitieux, diffus, et in- cohé
acultés intellectuelles ne sont susceptibles que de dépression ou d' excitation , jamais de perversion, les facultés morales seu
tème nerveux et en particulier l'hyosciamine dans les formes avec excitation . Les conditions d'entourage auraient aussi une pa
leur place l'hémiplégie avec contracture latente qui, à la première excitation suffisamment intense, deviendra une contracture
lles peuvent devenir réelles à la suite de traumatismes ou de toute excitation vive, telle qu'une fara- disation inopportune.
dre réflexe, comme on les voit survenir fréquemment à la suite de l' excitation douloureuse des nerfs sensitifs ou des racines
l'hypoglosse et le lingual (Vu)pian) ont mis hors de doute que les excitations produites sur un point quelconque d'une fibre ner
fiir ICinde2heillu7de, t. XIII, p. 227, t878) : l'exagération de l' excitation galvanique des premiers jours faisant bientôt pla
t laps de temps. Il faut en outre prendre en considération l'état d' excitation , la nature de'l'affection cérébrale, l'épuise-
es granulations rencontrées dans les ventri- cules latéraux et de l' excitation temporaire du pont de Varole (disparition de ce
asculaire, l'augmentation de volume; une autre hypothèse concerne l' excitation des centres; vaso-dilatateurs correspondant à c
ue avec myosis-et immobilité réflexe, est réveillé par une double excitation . On l'appelle et on lui pince la peau; les pupill
, l'irritation de la peau par un courant faradique, le pincement, l' excitation électrique du sympathique cervical, déterminent
Dans le casau contraire où laréaction pupillaire est conservée, l' excitation cutanée provoque la dilatation pupillaire aussi b
é par Erb est donc correct; il s'applique aussi bien au réflexe par excitation cutanée que par excitation lumineuse, à la cont
il s'applique aussi bien au réflexe par excitation cutanée que par excitation lumineuse, à la contraction qu'à la dilatation
42 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
elle de chaque hémisphère cérébral et de l'influence du degré des excitations périphériques sur le degré des manifestations fon
L'acte habitue] amène la disparition des courants dérivés A' A" ; l' excitation de la cellule A amène encore, de suite, celle de
ion d'autres sensations consécutives. La durée et la persistance de l' excitation cellulaire sous l'influence d'une sensation const
Il décrit ainsi les sensations du cocaïnomane : D'abord c'est une excitation indescriptible avec l'idée de faire quelque chose
ilepsie ou de la fièvre typhoïde ; « 2° Les passes magnétiques, les excitations faibles de toute nature, agissent aussi bien, et
60 du Code pénal, par cela seul qu'il y a eu emploi de suggestions ou excitations dolosives adressées à des personnes appelées à dé
gens, des femmes et des ouvriers, les provocations de la presse, les excitations dans les journaux et les réunions publiques, au m
tre chose qu'un acte réflexe, dont le point de départ est une série d' excitations anormales, dues à l'instabilité du bateau en mouv
ie se souvenait aucunement de ce qu'il faisait pendant ses périodes d' excitation . Il menait_ses affaires avec son habileté habit
res sacrées, et l'on sait aussi quelles conditions peuvent produire l' excitation de ce centre et par conséquent l'accomplissement
état d'équilibre parfait, le centre spinal peut entrer en jeu par une excitation venue soit de l'écorce cérébrale — antérieure ou
réflexe descendant — soit de la périphérie : réflexe ascendant. Les excitations venues du cerveau antérieur sont les processus ps
tion d'images erotiques ou sexuelles, souvenirs voluptueux, etc.. Les excitations venues du cerveau postérieur sont celles qui résu
venu de la périphérie de l'extrémité radiculaire des nerfs produit l' excitation du centre spinal, lequel provoque à son tour l'id
de deux ordres ; dans un premier groupe se classent des phénomènes d' excitations , telsquele satyriasis causé par des lésions de l'
les sujets porteurs d'anomalies préputiales ou clitoridiennes. Ici l' excitation permanente du centre médullaire par une lésion pe
e calculs, ou enfin d'affections de la prostate. Mais au lieu d'une excitation des centres, l'irritation radiculaire peut en pro
t prédisposé, une simple cicatrice peut reproduire la névropathie par excitation permanente,de même que Ton constate souvent des a
épileptique était en quelque sorte proportionnelle à l'intensité de l' excitation culanée : si elle était légère, il n'y avait qu'u
onvulsions cloniques très faibles des membres supérieurs seuls ; si l' excitation cutanée était plus intense, il y avait une grande
moindre perception lumineuse, mydriase absolue résistant à toutes les excitations ; avec cela un œil absolument sain en apparence,
i provoque le courant centrifuge. Le déterminisme est amené par cette excitation simultanée de plusieurs cellules ces cellules, in
ivité morbide des centres nerveux, en isolant le cerveau des causes d' excitation inutiles ou nuisibles, en exaltant par là son apt
uche du corps est le siège d'une anesthésie complète, au contact, aux excitations thermiques et à la douleur. Du côté des organes
L'adaptation des organes est créée dans le sommeil hypnotique par l' excitation des centres moteurs correspondants, les autres pa
seulement il n'offre plus la résistance qu'il oppose d'ordinaire aux excitations dont il est l'objet, mais il se livre et s'abando
e la folie circulaire et la folie erotique, et de rares cas d'états d' excitation , manie subaiguë ou aiguë avec impulsions homicide
gre et la femme blanche sont au contraire déshérités. La réaction aux excitations visuelles a été un peu plus rapide chez le blanc
oit dans l'état de veille. 2° « Qu'il y a, premièrement, une grande excitation de tous les sens principaux, la vue exceptée, et
plus profonde que celle du sommeil naturel ; la période vive, par une excitation des sens spéciaux, un accroissement de la force m
jugements, tirent fatalement leur origine d'impressions, ou mieux, d' excitations , venues soit de la surface du corps, c'est-à-dire
s femmes de. lettres qu'elle exerce ses ravages. On cherche d'abord l' excitation cérébrale et rapidement on devient l'esclave de l
n'importe quelles conditions, par des baisers répétés, plaque dont l' excitation ainsi obtenue avait tous les effets d'un rapproch
sme. Le mot « Monoideo-Dynamique » indiquera tous les changements d' excitation ou de dépression mentale et physique qui résulten
je pense qu'il comprendrait sans peine, comment les nouveaux modes d' excitation , de dépression ou de distribution particulière de
t correspondant. Il y a môme quelquefois, dans l'état hypnotique, une excitation semblable à l'ivresse, d'autres fois, il y a repo
des n'ont des accès que sous l'influence d'une même cause, d'une même excitation alcoolique ou génésique, d'une même émotion ou d'
e bains sinapisés et du drap mouillé sinapisé, surtout dans les cas d' excitation maniaque. Pour lui, ces moyens thérapeutiques agi
cette espèce est aussi véritablement étonnant dans la paralysie ou l' excitation du pouvoir musculaire, et peut tout produire, en
fait que de remarquables cures avaient parfois été causées par l' excitation mentale, tandis que de graves maladies et la mort
ion indirecte produite par la diminution de l'action du cœur ou par l' excitation de quelque partie éloignée. En un mot, le grand o
es phénomènes, c'est une simple inversion qui s'établit alors entre l' excitation mentale et l'excitation musculaire : premièrement
simple inversion qui s'établit alors entre l'excitation mentale et l' excitation musculaire : premièrement, le toucher appelle au
ui faire manger de la soupe et boire du lait par la suggestion et des excitations . » Après la visite, elle se rendormit au bout d
ngtemps, et afin de l'alimenter un peu, à réveiller la malade par des excitations sur les nerfs médian et cubital ; elle a ouvert l
de certaines parties du système nerveux d'augmenter ou de diminuer l' excitation d'autres parties. Les idées, rapports de percep
lation parles cellules ou neurones supérieurs, dits psychiques, d'une excitation perçue à une autre précédemment enregistrée, héri
ur le second, de même que le cerveau modère l'automatisme spinal. Les excitations qui n'aboutissent pas à l'étage supérieur de cont
s échapper une expression malséante. C'est un acte automatique. Que l' excitation demeure un temps moins court de sorte que nous en
avons conscience de la personne qui nous a pincé le bras, néanmoins l' excitation a poursuivi son chemin, et un mot, cependant d'un
on automatique, est sorti de notre bouche. Il en est autrement si l' excitation change de voie d'acheminement et parvient à l'éta
la conductibilité d'une voie nerveuse est plus grande dès la première excitation qui semble ouvrir davantage cette voie à l'accès
remière excitation qui semble ouvrir davantage cette voie à l'accès d' excitations nouvelles. D'autres phénomènes dynamiques sont
même, lui succède. En réalité, une émotion n'est qu'une phase de l' excitation nerveuse partie d'une cause quelconque. Elle fait
ion. Un choc (contusion, mauvaise nouvelle) cause d'abord en bloc une excitation cérébrale confuse d'où l'idée se dégage lentement
our mission apparente que de traduire les émotions. Le bulbe reçoit l' excitation venue de plus haut et la transmet aux nerfs vague
ion. Le cerveau non encore développé de l'enfant se forme d'après les excitations de mouvements moléculaires que lui transmettent s
43 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
rs espaces interosseux. Le malade ne sentait pas la pression ni les excitations produites par les courants électriques. La sens
qui la : présente dans toutes ses'parties.' \ 1 : ' ., ' ' '' - ' L' excitation galvanique du cubital' au-dessus du poignet déter
sujet hémichoréique. a. à l'état normal; b. sous l'influence d'une excitation auditive. ' t Fig. 14. - Courbe pneumographiquo
A SALPÊTRIÈRE. Chez d'autres malades du même genre, il suffit d'une excitation senso- rielle pour produire le même résultat; B
ait pris d'un accès d'épilepsie hémiplégique sous l'influence d'une excitation visuelle. Il n'est pas rare de voir des ma- lad
es accès chaque fois que leur attention est fortement fixée par une excitation quelconque. La figure 13 donne la courbe myogra
hémichoréique à l'état normal (a), et (b) sous l'in- fluence d'une excitation auditive produite par la vibration d'un dia- pa
malade comme chez le premier, et comme chez celui de Bravais, si l' excitation esl prolongée, il se produit un accès d'épileps
; - Bull. Soc. biol., 1888, p. 15) et relatif aux effets généraux des excitations locales. L'ACROMÉGALIE (Suite 1) uns. XII
e; d'autre- part les intensités des courants minima nécessaires à l' excitation des nerfs et des muscles étaient extraordinaire
ravailler, gardant les yeux très fixes; huit jours après, période d' excitation pendant laquelle la malade cherche a fuir et, pro
e : crachottement continuel. - Décembre : même état; alternatives d' excitation plus fréquentes avec rires explosifs sans motif
odiques, convulsifs, arrivant par attaques. Puis vient un stade d' excitation , qui peut cependant manquer; en général il est
emble, c'est ou bien de la mélan- colie agitée, anxieuse, ou bien l' excitation maniaque la plus violente, on bien un délire sy
souvent plus longue encore, consiste surtout en des alternatives d' excitation ou de stupeur avec leurs phé- 1. d. Seglas et P
ccessives de la catatonie de Kahlbaum, phase de mélancolie, phase d' excitation , phase de stupeur, phase d'alternatives d'excit
colie, phase d'excitation, phase de stupeur, phase d'alternatives d' excitation etde dépression. Dans les deux dernières phases,
sibilité générale ou spé- ciale. L'étude du temps de réaction aux excitations cutanées (les yeux clos) donne les résultats su
minence de contracture : celle-ci est provoquée par une très faible excitation , telle qu'une légère traction, une légère pressio
colère, sombre, et l'accès une Ibis passé il a souvent des phases d' excitation qui durent plus. ou moins longtemps. Quel- quef
quatre à trente-six heures après. Jamais il n'aurait eu de phases d' excitation sans accès. L'intelligence aurait diminué pro
sur la famille Bonaparte. 10 septembre. - L'état s'est amélioré. L' excitation est moins forte, il raconte que, depuis qu'il e
bromure, 5 grammes. En décembre. Cinq accès et deux vertiges sans excitation psychique. En janvier. 1889. - Trois accès. 3
s accès. 3 février. Quatre accès de jour; Il est dans une période d' excitation . Il parle de la France, de Il n'y a aucune suit
res reproduites dans les divers journaux. 4 février. - La période d' excitation persiste avec les mêmes caractères. Aujourd'hui
t le reconduire chez lui, il chancelait. Le soir, il fut pris d'une excitation extraordinaire, se mit il chanter et à raconter
le sommeil provoqué. Chez les mêmes j'ai pu, à l'aide de diverses excitations périphériques, les reproduire à l'état de veille.
ez les hystériques peuvent être provoquées de deux façons, soit par excitation directe de l'organe, soit par l'intermédiaire d
erver l'apparition de la contrac- ture de la langue, lorsque, par l' excitation , on détermine la contracture d'un autre muscle
i pré- sente la diathèse de contracture, on provoque il l'aide de l' excitation directe l'apparition d'un torticolis ou d'un bl
la malade de la tirer hors de la bouche. Mais, comme je l'ai dit, l' excitation directe du muscle est souvent suffisante : de p
E DE LA LANGUE PROVOQUEE A L'ÉTAT DE VEILLE CHEZ UNE HYSTÉRIQUE PAR EXCITATION DIRECTE LECROSNIER ET Bayé, EDITEURS DES CONT
en conclure que la contracture survient par suite d'un réflexe de l' excitation du nerf acoustique portée sur le nerf glosso-ph
cès de produire chez la même malade la contracture de la langue par excitation directe. Par la simple pression d'une baguette
gue, soit à l'état de veille, soit pendant l'état hypnotique, par l' excitation du nerf acoustique. Ces contractures sont le prod
b.) Ces contractures se produisent aussi par voie périphérique, par excitation directe des muscles de la langue. c) Les contra
s qui l'agitent. D'autres fois il tombe et perd connaissance. Les excitations mécaniques portées sur le durillon peuvent provoq
sie douloureuse et superficielle des téguments. Les frôlements, les excitations légères à fleur de peau, y déterminent une sens
pouvant former des figures variées à volonté, sous l'influence des excitations du tégument. Nous préférons la dénomination pure
du front; M. Cham- bard sur la muqueuse buccale3. Ajoutons que les excitations méca- niques sont les plus efficaces. Pour la
es voisines l'une de l'autre, dans la région deltoïdienne droite; l' excitation n'avait pas été plus violente que d'habitude, e
on d'une lentille. Un jet d'eau compact ou divisé lancé avec force ( excitation hydro-mécanique) a pu produire l'oedème congest
isait sur sa peau avec un relief d'une netteté remarquable. , Les excitations électriques semblent bien inférieures sous ce rap
citations électriques semblent bien inférieures sous ce rapport aux excitations mécaniques. Ainsi la {urad isation avec le pincea
ricelle et répondant aux points de contact des fils du pinceau. Les excitations galvaniques semblent plus actives. Au bout d'un
effet de produire le relief ou même simplement la rougeur avec les excitations les plus fortes. Mais nous avons pu constater,
d'intensité moyenne, après une série de cinq accès, les plus fortes excitations n'ont produit qu'une faible rougeur; et c'est s
rale, les muscles plus ou moins conservés répondent normalement à l' excitation électrique. Gilles DE la Tourette, ZAGUEL1111N\
psie (sur un cas-dont les accès se mul- tiplient sous l'influence d' excitations péri- phériques), par Féré, 214. Epileptique
44 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s je ne suis jamais parvenu, malgré tous mes efforts, à arrêter les excitations de mon imagination ; les hommes jeunes, beaux e
enues plus fréquentes en 18G9 et 1870. Elles sont précédées par une excitation cérébrale qui empê- chant le malade de fixer un
s nerveux périphériques, mais résulte de l'obs- tacle mécanique à l' excitation des terminaisons ner- veuses, crées par l'infil
a présence des illusions et des hallucinations, ni les périodes d' excitation maniaque observées dans certains cas. » Il ratt
'il suit, d'après le mode d'apparition de leur eflicacité : c'est l' excitation des tendons qui réussit d'abord, puis l'excitat
cacité : c'est l'excitation des tendons qui réussit d'abord, puis l' excitation des masses musculaires, en dernier lieu l'excit
'abord, puis l'excitation des masses musculaires, en dernier lieu l' excitation des 132 ^ PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. troncs ne
mais le résultat est complètement négatif. Nous revenons alors à l' excitation des tendons par percussion. Nous constatons de
flexe tendineux donne lieu à la contracture contracture réflexe par excitation tendineuse; 3° degré : contracture réflexe par
flexe par excitation tendineuse; 3° degré : contracture réflexe par excitation directe des masses mus- culaires. Dans une se
r la fixité du regard. Sur le bras gauche, contracture facile par l' excitation des tendons, par la malaxation musculaire et pa
par l'excitation des tendons, par la malaxation musculaire et par l' excitation des nerfs. La pression du nerf cubital en arriè
cette expérience est tentée chez cette malade. Sur le bras droit, l' excitation des tendons et des masses musculaires nous donn
res nous donne des résultats semblables, mais nous constatons que l' excitation du nerf cubital au lieu d'élection n'est point
es mêmes résultats qu'à gauche. On y arrive cependant. 4° Lorsque l' excitation est insuffisante, on n'obtient qu'une contracti
ui venait de se passer, nous essayons de provoquer une attaque. Une excitation vive portée sur les zones hystérogènes de l'ais
sans hyperexcitabilité neuro-mus- culaire ou état somnambulique. L' excitation mécanique directe ou indirecte des muscles n'am
re sur lequel nous opérons est redevenu hyperexcitable. En effet, l' excitation ÉTUDE DE L HYPNOTISME CHEZ LES HYSTERIQUES. 137
détermine aucune contracture. Il en est de même aux poignets pour l' excitation mécanique portée sur les tendons, percussion, f
eux accès hier (chloral, 4 gr.). 11 juin. Un accès hier. Ce matin l' excitation maniaque est remplacée par un état de torpeur t
ait très violents. Ils s'annonçaient généralement par une période d' excitation , accompagnée d'une céphalalgie in- tense et sur
évacuations in- volontaires ; maintes fois ils ont été compliqués d' excitation maniaque, en général passagère, et à laquelle s
isant la morte, avec une force de volonté telle qu'elle résiste aux excitations les plus vives employées pour la tirer de cette
chasteté de son coeur : tant il est vrai que f l'hallucination et l' excitation qui l'accompagne suggèrent chez '-les malades,
tuelles ont conservé parfois, ont acquis même un certain degré é d' excitation ; quelques-unes de ces malades sont brillantes,
e, et des geignements inarticulés quand il s'agit de répondre à des excitations désagréables, mais elle ne possède aucune manif
. L'usage et l'abus de l'alcool, du café et du thé aggrave encore l' excitation ner- veuse et par suite l'épuisement rapide. La
imple, et finalement idiotie dans un cas, et, dans les deux autres, excitation continuelle. Des deux derniers malades, l'un ét
upillaire réflexe : la pupille rétrécie ne se contracte plus sous l' excitation lumineuse tandis qu'elle répond à la provocatio
and zygomatique, qui ne doit être considérée comme le fait ni d'une excitation nerveuse directe, ni d'une réflexe, mais bien d
'une excitation nerveuse directe, ni d'une réflexe, mais bien d'une excitation musculaire. Même observation dans la paralysie
e la personnalité, la multiplicité des mouvements automatiques et l' excitation de l'humeur. Il en exclut les états d'agitation q
réflexe du triceps sans qu'on doive attribuer cette réac- tion à l' excitation mécanique du tendon, l'extension de la jambe su
e serait due dans quelques cas à un réflexe cutané pro- voqué par l' excitation portée sur une plaque d'hyperesthésie. Ce qui p
conceptions délirantes orgueil- leuses. Cette période de début ou d' excitation , qui peut durer de trois à douze jours, s'accom
péciale de l'organe comme, dans d'autres circons- tances, une forte excitation locale ramène la sensibilité cutanée ; et, avec
ompre à volonté par la compression ova- rienne, ou reproduire par l' excitation des points hys- térogènes. Tel est, en résumé,
teur pupillaire. Leeser admet que, dans les cas de ce genre, il y a excitation du centre dilatateur, tandis que, dans les cas
Les expériences de MM. Schiff, Foa, Vulpian, ont montré que, des excitations portées sur un nerf sen- sitif peuvent produire
. Le sterno-mastoïdien se contracture aussi sous l'influence de l' excitation mécanique, mais les muscles de laface demeurent
ion mécanique, mais les muscles de laface demeurent inexcitables. L' excitation du nerf cubital en arrière de l'épi- trochée pr
c les mêmes caractères que précédemment. De plus la contracture par excitation mécanique directe est toujours possible. Que
par la tendance des muscles à la contracture, sous l'influence de l' excitation mécanique soit des tendons, soit des nerfs, soit
té opposé. La sensibilité au simple contact et la sensibilité aux excitations douloureuses (piqûre, pincement) reparurent d'abo
almique dépend d'une anémie cérébrale con- sécutive elle-même à une excitation du sympathique. Des con- gestions, de la nécrob
ar les vibrations du tendon. Erb en fait un réflexe déterminé par l' excitation de fibres nerveuses tendineuses (Tschiriew a dé
s tendineux par la méthode graphique. Le temps qui s'écoule entre l' excitation du tendon et la contrac- tion du muscle a servi
lexes médullaires ; Gowers pense que le clonus du pied résulte de l' excitation directe, tandis que le phénomène du genou est d
phénomène du tendon est bien un réflexe, lequel est provoqué par l' excitation du tendon lui- même, et non par celle de la pea
pression mélancolique avec la dilatation de la pupille droite, et l' excitation , l'exaltation avec la dilatation de la pu- pill
de la compression de l'ovaire, des interversions électriques, de l' excitation des zones bystéro-épilepto- gènes, jointe aux s
rrier, quoique Sommer, en r111emagne, admette un rayonne- ment de l' excitation de la corne sur le centre épiieptogéne vaso- mo
45 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
llules des cornes antérieures de la moelle envoient aux muscles une excitation violente et permanente qui les maintient en un
Dans l'épilepsie, ces mêmes cellules envoient aux mêmes muscles une excitation différente, quant au rythme et à l'in- tensité
elles ne leur envoient, pendant un certain laps de temps, aucune excitation puisqu'ils restent dans la résolution com- plèt
le mode physiologique par les centres à fonctions inhibi- trices. L' excitation , le courant conséquence de la décharge, transme
r à l'estomac, la circulation s'accélère, et il survient une légère excitation cérébrale et musculaire avec sueur et diurèse.O
els, les accidents pendant les attaques, les plaisirs fougueux, les excitations de toutes sortes. P. K. XXI. Contribution A la
al précis, on diagnostique : tumeur cérébrale avec com- pression et excitation des faisceaux pyramidaux. On trouve un gliome d
etc.. P. Keraval. VII. SÉCRÉTION SALIVAIRE SOUS L'INFLUENCE DE L' EXCITATION DE l'ÉCORCE du cerveau ; par C. Eckiiard. (Neur
ilz - Ecl : larcl); clu'il s'agisse d'ani- maux curarrsés ou non, l' excitation du centre d'Hitzig ne les fait pas sa- liver (L
, de même que la région du facial dans la protubérance. Conclusion. Excitation simple du facial gauche par compression. P. 11E
ouchement. ' P. K. XXVI. Contribution A la perception unilatérale d' excitations DOU- BLES dans LES cas DE FOYERS occupant un hé
LI11, 4, 5.) Bien que les hallucinations ne se produisent pas par l' excitation extérieure des sens, il faut cependant, pour qu
une amélioration durable ne fut obtenue. Dans un cas toutefois, l' excitation maniaque qui aurait constitué pour le malade un
le traitement; il est intéressant de remarquer que, dans ce cas, l' excitation intense fut remplacée par le délire beaucoup pl
iinpressionnabililé anormale d'un organe central sollicité par une excitation périphérique anor- male. P. il XVII. Contribu
r castration. Il s'agissait d'une hystérie grave avec intervalles d' excitation maniaque et propension au suicide. M. NEUENDOII
latéraux au contraire réagissent normalement aux deux courants, par excitation soit directe, soit indirecte. Il existe un lége
ation de l'organe au cours du sommeil - tantôt on devrait accuser l' excitation des nerfs sensitifs périphériques par des actions
nerfs sensitifs périphériques par des actions thermiques diverses, excitation gagnant la moelle et ses centres vasomoteurs, e
sus-scapulaire gauche. - Le muscle sous-épineux ne répond plus à l' excitation électrique, non plus que le nerf en question. A
nt engendrées par des processus d'asso- ciation ou par de nouvelles excitations sensorielles : pendant le sommeil, au contraire
rapide que celle qui appartient à la contraction consécutive à une excitation cutanée, car la contraction est résolument loca
e manie rapidement furieuse et bruyante suivie de dé- pression avec excitation : guérison. - L'autre observation est une curio
optique a en même temps une fonction réflexe ; il suffit de faibles excitations cutanées pour voir par son intermédiaire se pro
puerpéraux, fut prise de troubles intellectuels avec intervalles d' excitation , quelques hallucinations, idées de couleur myst
uvoir les maintenir dans l'asile et toujours prévenir leurs accès d' excitation . Pour remplir ce but, il est inulile de créer d
ique peut être soutenu, en partie à cause du rôle important que les excitations psychiques paraissent jouer dans l'apparition e
ltée qu'à force de crier sa voix était devenue toute éteinte. Cette excitation parut se calmer un mois environ avant l'entrée.
endant les premiers jours, la malade a présenté quelques périodes d' excitation d'ailleurs peu accentuées. Elle prononçait des
un peu mystique. Nous avons pu reproduire ce délire à la période d' excitation du chloroforme, et le voici transcrit tex- tuel
ifférence digne de remarque : la grenouille sans cerveau, à moins d' excitation péri- phérique, reste toujours tranquille jusqu
des mouvements au pincement de ses pattes ou de sa queue, mais si l' excitation est plus forte, il pousse des cris répétés et p
és, mais nous n'avons pas pu déterminer un point circonscrit dont l' excitation produise lenr contraction séparée. Nous avons t
ux non endormis, il est probable que l'irrégularité des effets de l' excitation était due aux mouvements spontanés de l'animal.
ion du courant d'un centre dans ceux rendus hyperexcitables par des excitations préalables. La diffusion latérale dn courant qu
la délimitation précise des centres de l'écorce par la méthode de l' excitation . Par suite les limites d'une région peuvent êtr
érieures de la moelle, au point qu'après quatre jours la plus forte excitation ne produit aucune réaction. Ce fait détruit com-
Dr Beevor, sont marqués, sur la capsule interne, les points dont l' excitation minima, d'après leurs récentes recherches, prod
ance grise. Fritsch et Hitzig ont noté dans leurs expériences que l' excitation était plus grande à la fermeture anodale qu'à l
hodale, fait dont on con- clut que la cathode virtuelle produit une excitation réelle sur les couches profondes de l'écorce ou
comme les autres centres nerveux, qui emmagasine et transforme les excitations en une force propre. Il y a aussi une différe
caractéristique entre les courbes musculaires enregistrées après l' excitation corticale et après l'exci- tation médullaire. D
à fait particulier à l'écorce et qui ne se rencontre jamais après l' excitation des fibres médullaires seules. Après une excita
jamais après l'excitation des fibres médullaires seules. Après une excitation répétée ou la succession de plusieurs exci- tan
rement par Hughlings Jackson. Elles ne se produisent jamais après l' excitation des fibres médullaires seules sans l'interventi
sont entièrement détruits des deux côtés. La durée des effets de l' excitation des fibres médullaires.est strictement propor-
s fibres médullaires.est strictement propor- liennelle à celle de l' excitation . Nous verrons plus loin que les effets de la de
ous le nom de sensibilité réflexe l'aptitude d'un oeil à conduire l' excitation lumineuse aux centres du réflexe pupillaire, il
La sécrétion se montre plus accentuée du côté qui correspond à l' excitation . La salive présente les caractères de celle qui e
itation. La salive présente les caractères de celle qui est due à l' excitation de la corde du tympan, et, en effet, la section d
effet, la section de ce nerf annihile du même côté les effets de l' excitation corticale. La section du grand sympathique au c
affection réduisant le volume de l'espace intra- cranien, mais de l' excitation produite par les altérations patholo- giques. C
de l'insertion du nerf optique, ne se manifestent que lorsque les excitations déterminées par la lésion occipitale ont été asse
e : un tableau résume ces expériences (genre d'ex- citation, lieu d' excitation , effet de l'excitation). Voici ces conclu- sion
es expériences (genre d'ex- citation, lieu d'excitation, effet de l' excitation ). Voici ces conclu- sions résumées. " Le plan
ème ventricule est occupé par une série de points qui répondent à l' excitation électrique ou mécanique; ils sont groupés le lo
mesure que le couteau pénètre dans les centres épilep- toâènes. - L' excitation électrique de la surface de section produit des
turbaleur par inversion du sens génital qui, sous l'influence d'une excitation intellectuelle (coup de chaleur, excès de trava
e Blcêtre 137 ; - à Ville-Evrard, 288. Salivaire (sécrétion); par excitation de l'écorce, par Eckhard ; Bech =, teren, 85,
46 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ralisée ou même générale d'emblée, les accès sont le résultat d'une excitation brusque et passagère dont la cause déterminante
'il va donner à l'enfant atteint de cette maladie, il lui évite des excitations funestes. Il doit donc veiller à son éducation,
violents amènent le même résultat. La vie à la ville, au milieu des excitations physiques et intellectuelles, leur est nuisible
ésumé des notions psycho- physiques). Nos sensations résultent de l' excitation cérébrale poly- morphe. La perception d'un mouv
rtes. De sorte que l'impression du mouvement est la résultante de l' excitation d'une série d'endroits voisins de la rétine par l
meut. Elude des différences de l'irritation nerveuse produite par l' excitation . Qualités physiques. La sensation est donc tout
t la loi psychophysique devient une loi. mathématique. La force des excitations doit croître dans un rapport géométrique pour q
lieu, il faut que deux endroits du cer- veau soient irrités par des excitations identiques.- Et par suite, notre appareil nerve
ibunal, fait en réalité le tableau symptomatique le plus exact de l' excitation ma- niaque. Examen de l'accusé. L'auteur donn
et intestinaux, les vertiges, les paresthésies, les phéno- mènes d' excitation et de parésie de nature motrice, sensitive, sen-
nc du facial ou sur ses branches. Mais on peut faire contracter par excitation directe ou indirecte (surtout intrabuccale), la
. Bruns, siégeant comme il vient d'être dit. Quant aux phénomènes d' excitation les uns sont en rapport avec des processus de r
ion spéciale des éléments anato- ' miques, en présence de certaines excitations des nerfs sensitifs. Les troubles trophiques ne
ômes d'amyotrophie : contraction lente des muscles à la suite d'une excitation mécanique ou élec- trique. Abaissement considér
En admettant avec l'auteur que nous venons de citer que cet état d' excitation nerveuse quasi délirante qui s'empare de cer- t
ême, il est du devoir de l'expert de remonter à la cause de cette excitation nerveuse et cette recherche pourra l'amener à d'i
e contracture hystérique. On saisit maintenant la nature de cette excitation psychique et de ce délire observés chez Marie C
peut se manifester de deux manières différentes : la torpeur ou l' excitation . Nous nous demandons si cette torpeur ou cette
ur ou l'excitation. Nous nous demandons si cette torpeur ou cette excitation ne sont pas dues plutôt à cet empoisonnement qu
moment et aussitôt un ou deux accès convulsifs se produisaient et l' excitation disparaissait ainsi que les vertiges et l'état
en vertiges, en accès incomplets en attaques hysté- riformes et en excitation cérébrale, mais cela plus rarement. Pour faire
rs cas et spécialement dans des états de mal ou dans des périodes d' excitation ou de trouble mental consécutifs aux accès. Ces
e 32° à 34° ont été d'un heureux effet; de même dans les périodes d' excitation . La malade Lep... que nous avons soumise à ce t
ons soumise à ce traitement dans deux états de mal et une période d' excitation , a pu échapper à ces états graves qui entraînen
pine et nous obtenons une grande amélioration au point de vue de l' excitation maniaque. Les accès convulsifs sont à peu près
de rencontrer dans les cas de paralysie générale à forme lente avec excitation mentale modérée. R. DE MUSGRAVE CLAY. XXVIII.
plupart des cas de paralysie générale. Lorsqu'il y a tendance à l' excitation maniaque, le nombre des leucocytes s'accroit dans
de persécution avec halluci- nations ; vient ensuite un vif accès d' excitation avec inégalité pupillaire, grincement des dents
s paresthé- sies aux troubles fonctionnels cérébraux par suite de l' excitation venue des nerfs bronchiques et pulmonaires, ne
qui est religieuse, auprès de laquelle elle veut se réfugier ; son excitation augmentant, on la place à l'Asile clinique (Sai
e sorte de dynamie fonctionnelle qui rappelle absolument la phase d' excitation de certains circulaires, ou l'accès maniaque de
l'état mental du malade dont M. Cullerre rapporte l'observation ; l' excitation en est un élément capital et établit une distin
ur). En dehors de ces deux symp- tômes, on constatait une période d' excitation très manifeste (éclat particulier de l'oeil, cr
ose quotidienne de 10 centigrammes sans provoquer des acci- dents d' excitation fébrile; d'autre part, sur l'efficacité prépondé-
La science n'est pas affirmative, si je ne me trompe, au sujet de l' excitation génésique dans la maladie de Basedow. Se produi
uait très vite, parcourt une route très longue sans fatigue. Ainsi, excitation des centres psychiques et excitation des ceutre
ès longue sans fatigue. Ainsi, excitation des centres psychiques et excitation des ceutres moteurs; cette épilepsie, loin d'êt
si des symptômes somatiques. On constate chez certains malades de l' excitation motrice, de la fuite des idées, des modificatio
é- brale : coma complet, pouls lent, phénomènes de paralysie et d' excitation unilatéraux, parésie du facial, des extrémités du
convulsions sont rares; enfin le manque d'une période secondaire d' excitation n'est pas en faveur de la commotion. Y a-t-il e
ostéo-arti- culaire ; 4° s'il s'agit seulement d'une insuffisance d' excitation sensitive, on aura plutôt la forme atrophique.
permanente. -'u ? -... Il s'agit, sans nul doute, d'un phénomène d' excitation ayant *>, pour siège la sphère visuelle du l
hère visuelle du lobe occipital, comparable aux'plié- - - nomènes d' excitation motrice de l'épilepsie jacksonienne, et'lià , .
des symptômes de mélancolie avec stupeur, et périodes alternantes d' excitation et d'abattement. On constate chez lui deux état
constipation. Au point de vue intellectuel, M. Bourneville relève l' excitation , des accès de colère inhabituels, davantage de
de quarante-huit essais faits chez des malades en pleine période d' excitation maniaque (à la dose de 0,02 à 0,06 par les voie
mique) que : 10 l'administration du médicament a toujours diminué l' excitation des malades; souvent même elle leur a procuré q
s, mais il y faut arriver progressivement, sinon on peut avoir de l' excitation , de l'amnésie, du délire comme j'en ai eu notam-
teille d'alcool, j'en ai bu plusieurs verres, et sous l'empire de l' excitation alcoolique j'ai ouvert l'ar- moire et j'ai pris
rolog. Cei7ti-albl., XIII, 1894.) Expérimentation chez les chats. L' excitation produite par l'ab- sinthe produit son maximum d
llules une sorte d'autopha- gisme ; à cette période correspondent l' excitation motrice et les idées de grandeur; 3° les matéri
expliquer cette progression. Dans les classes élevées les causes d' excitation et de dépense nerveuse sont encore plus actives.
ologique peut être utile (engourdissement des fonctions psychiques, excitation des fonctions motrices, eu- phorie). L'incurabi
e est désarmée en présence de ces sujets à mauvais instincts : leur excitation ps3cho-motrice doit être autre- ment réprimée.
25 cas p. 100, et agissent en déterminant habituellement un état d' excitation motrice ou psychique, accompagné de congestion
uns contre les autres, et n'est jamais plus heureux que lorsque ses excitations les amènent devant le commissaire de police ou
accompagnée d'idées de persécution et suivie plus tard d'un état d' excitation avec idées de grandeur. Les conceptions déliran
d'un déséquilibré. A la suite de nom- breux déboires il est pris d' excitation , se croit persécuté, accumule les interprétatio
et à une foule de sensations pénibles, qui entretiennent un état d' excitation . En 1876, les troubles sen- soriels deviennent
es, et la glycosurie qu'ils ont présentée doit être rapportée à une excitation du système nerveux par suite d'un vice de la nu
avera le plus possible la propa- gation de l'agitation nocturne par excitation réciproque et on diminuera dans de grandes prop
ut à l'autre, ce qui permettra aux malades de s'y tenir malgré leur excitation les jours de mauvais temps. Au réfectoire, il c
rise de l'élixir polybromuré en rai- son des retours des périodes d' excitation . Le développement de la puberté continue : le s
ut. Les muscles des jambes ne réagissent point sous l'influence des excitations électriques. Le 25, retour très marqué des forc
ptômes, par la phase adynanuquequi succède promptement à la phase d' excitation , par la durée plus courte et l'issue fatale; ba
é comme une maladie infectieuse grave dans laquelle les symptômes d' excitation et de trouble profond de la conscience sont sui
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. j5 5 colique ; dans un autre un état d' excitation maniaque : dans ces deux cas, la blennorrhagie
n de l'activité physique en précède le ralentis- sement, mais cette excitation , dont la durée ne dépasse pas vingt minutes, tr
lenient la folie, il en prépare et facilite l'éclosion par l'état d' excitation dans lequel il entretient l'écorce cérébrale. Les
47 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
suite d'un de ces accès, apparition des symptômes : surdité totale, excitation maniaque, hallucinations de l'ouïe et de la vue
ts lus et troubles de l'écriture. Les troubles hallucinatoires et l' excitation maniaque s'amendent assez rapidement, mais la s
t. Mais, en somme, le malade est mieux à l'asile, loin des causes d' excitation habituelles qu'elles lui viennent ou non de ses
es débiles. Chaque fois, il y a mélan- colie, trouble du caractère, excitation , onanisme, puis dépression. Sans doute, on peut
e non seulement par l'allongement de la moelle épinière, mais par l' excitation de la dure-mère. Celle-ci se présentait toujour
ment par la suspension et par l'action de celle-ci sur la moelle. L' excitation du centre vaso-moteur provoque un rétrécissemen
phénomènes de conscience, associations et dissociations du fait des excitations du dehors. Donc toutes les fois qu'une pensée e
omment les neurones sensitifs musculaires fournissent les premières excitations tonifiantes au noyau moteur, assurent la coordi
atteint de myélite transverse au-dessous de la septième dorsale. L' excitation d'une certaine zone (voy. Neurol. Centzwl6l., 1
orteils est le phénomène le plus constant en l'espèce, tandis que l' excitation de la plante du pied produit chez les mêmes mal
ed se fléchit sur la jambe et la cuisse se fléchit sur le bassin. L' excitation légère de la zone fémorale en question produit
ois pre- miers orteils, et quelquefois, l'extension du genou : si l' excitation est trop forte, la cuisse généralement se fléch
, tandis que ses autres modalités se produisent moins volontiers. L' excitation de la plante du pied provoque encore la flexion
ois observations de ptyalisme nerveux périphé- rique, autonome, par excitation de la corde du tympan, et une observation de pt
ience sur les chiens. A. - Les 4 premières montrent nettement que l' excitation élec- trique de la partie inférieure de la circ
d un mucus assez épais, à réaction alcaline, puis après une ou deux excitations de l'écorce, du mucus additionné du suc gastriq
s la quantité du suc gas- trique augmente, puis, quand on suspend l' excitation , cette quan- tité continue à croître quelque te
qui en est cause, car, si on enlève des parties de l'écorce dont l' excitation électrique ne provoque pas la sécrétion du suc
r : expérience VII. A la suite de la section du nerf vague droit, l' excitation de la zone corticale de sigmoïde gauche provoque
e de sigmoïde gauche provoque une sécrétion gastrique moindre que l' excitation de la zone symétrique droite, et inversement qu
pendants qui com- mandent à l'activité des glandes gastriques. Leur excitation chez un animal auquel on apris soin préalableme
ant l'énergie de la conductibilité centripète et la somma- tion des excitations de la peau. La méthode des dégénérescences, ell
sens du tact, par l'exercice, apprend-il à s'orienter au milieu des excitations sans ordre qui lui parviennent; est-ce ainsi que
ontré l'apparition précoce de la contraction tétanique à la suite d' excitations lentes et faibles; le relâchement des muscles e
a manière de voir de Bechterew, qui voit dans l'éreuthophobie une excitation des centres corticaux vaso-dilatateurs qu'il a
r : femme de vingt-trois ans, faisant de la confusion mentale, avec excitation par intervalles à l'occasion de règles douloure
ombent à des états de dépression ; parfois cela aboutit soit à de l' excitation maniaque, soit à des idées de suicide ou à des
tte dernière est donc le centre des émotions réagissant après toute excitation organique, physique ou psychique. C'est de la m
physique ou psychique. C'est de la moelle allongée que partent les excitations qui modifient à leur tour la vie organique et f
font naître des sentiments. Le cerveau peut donc être la cause des excitations émotionnelles mais il est aussi le centre de la
quée par des stimulations centrales (idées, perceptions) ou par des excitations périphériques (sensations), mais son interventi
agée par les becs de gaz que l'on vient d'allumer, ou dans le cas d' excitation cérébrale due, par exemple à la fatigue, invari
athique. Il est à penser, ajoute l'auteur, que concurremment il y a excitation des nerfs de l'appareil accommodateur, c'est-à-
est d'ordinaire annulée par le jeu de l'accommodation nor- male. L' excitation du sympathique est prouvée par la simultanéité
ar la contrac- tion d'un ou de plusieurs muscles voisins du point d' excitation du poil : ce réflexe peut être net alors que la
oter la provocation d'illusions et d'hallucinations auditives par l' excitation mécanique des cheveux et des poils chez le second
attitudes passionnelles. L'action sur les pupilles des aliénés des excitations sensorielles' ou sensitives a été étudiée par \
ntime. il. C. XLV. Recherches expérimentales sur la fatigue par les excitations de l'odorat ; par Ch. FÉRÉ. (Nouv. Iconogr. de
nces antérieures ont montré que, d'une façon géné- rale, toutes les excitations agréables déterminent une augmenta- - 318 SOCIÉ
e la capacité de répéter un effort déterminé, tandis que toutes les excitations pénibles entraînent une diminution du pou- voir
mouvement volontaire. Ces effets variant selon l'état du sujet, une excitation pénible et déprimante pouvant chez un sujet dép
vait lieu de rechercher si, chez un sujet préalablement excité, une excitation tonique pouvait devenir dépressive. C'est le bu
de ce travail appuyé sur de nombreuses expériences, portant sur des excitations prolongées de l'odorat ; le travail moteur étan
eures. Il en ressort les intéressantes observations suivantes : une excitation agréable qui a pour effet d'exalter la capacité
prolongée, avoir un effet dépri- mant immédiat ; en particulier les excitations de l'odorat qui ont une action excitante à dose
aibles ont une action déprimante lorsqu'on prolonge leur action ; l' excitation qu'elles produisent est tout à fait transitoire
de contrôle ; ils sont analogues à ceux que présente la période d' excitation du sommeil chloroformique. Leur connaissance évit
'apnée. La phase d'hyperpnée s'accompagne d'une véritable période d' excitation avec loquacité débordante et même des phénomène
bien conformés, est entré à l'asile le 17 septembre 1900, atteint d' excitation maniaqne, aujour- d'hui en voie de démence. L'é
n travail paru en 1900 ', a réuni les cas de confusion mentale avec excitation , folie circulaire, délire de persécution avec d
pertrophicité comme il y a des mouvements anormaux. La même cause d' excitation produirait ces deux phénomènes. G. C. - LXI.
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 383 montre qu'il existe des symptômes d' excitation tels que contrac- tures, contractions convulsiv
adduction avec rotation en dehors) est sim- plement le produit de l' excitation mécanique de la substance mus- culaire : du res
ient affaiblis ou absents : il fallait avoir soin de se défier de l' excitation mécanique des muscles. » Quant à sa différence
birent l'opération, G seu- lement eurent des attaques complètes à l' excitation de la zone épileptogètre, 14 se contentèrent de
très sensibles au-dessous de l'omoplate e (zones hystérogcnes) : l' excitation électrique de ces deux points provoque immédiat
sujets ont présenté des signes d'aliénation mentale ou des états d' excitation nécessitant un traitement spécial (accès épilepti
-eucéphahte expliquent l'alternance constatée entre les symptômes d' excitation (hallucinations de l'ouïe) qui étaient presque
'est qu'un mouvement conservé par habitude et non déterminé par une excitation locale persistante. M. Ballet demande que l'on
pour les deux maladies ; deux formes de superposition : la forme d' excitation , la forme de dépression avec variété foudroyante
ect peut le devenir par.synergie (consen- suellement) au moyen de l' excitation lumineuse de l'autre pupille sensible à la lumi
). Il faut, pour cela, que la pupille sensible puisse transmettre l' excitation au centre sphinctérien pri- maire de la pupille
pupille sensible à la lumière, (obs. Il). Il faut, pour cela, que l' excitation puisse, de la pupille immobile à la lumière, ar
e les déments précoces excités et les intermittents présentant de l' excitation maniaque : même dans ce cas, la pensée du démen
i attribuent une étiologie bien spéciale : la non-satisfaction de l' excitation sexuelle. G. Carrier. 526 BIBLIOGRAPHIE. XXVI
ar M. Graz chez les prostituées sont par ordre de fréquence : les excitations maniaques, la paralysie générale, la mélancolie a
que la fuite des idées, l'orientation, la faculté de comprendre, l' excitation motrice, les phénomènes d'arrêt, etc. L'analyse
des indications : les rap- ports réciproques de la confusion, de l' excitation et de l'orienta- tion caractérisent la catatoni
Enseignement libre, 351. Fatigue. Recherches sur la -, par les excitations de l'odorat, par Ch. Féré, 317. \ Fibres musc
48 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nce qui s'observe entre la période d'affaisse- ment et la période d' excitation de Informe circulaire des maladies mentales cet
es facultés,avec la suspension de l'intelligence. Une pé- riode d' excitation alterne avec une période d'affaisse- ment, ordi
par deux période ? régulier es, l'une de dépression et l'autre d' excitation ». « En rapprochant et comparant un certain nom
ible de considérer isolément et comme deux affections distinctes, l' excitation et la dépression qui se succèdent chez le même
caractérisé par l'existence régulière, de deux pério- des, l'une d' excitation , l'autre de dépression ». C'est ce genre de fol
lancolique est, dit-il, généralement plus court que les périodes d' excitation et d'affaissement considérées iso- lément. Il
entales, comme forme clinique indépendante, et que tous les états d' excitation décrits sous ce nom relevaient de la folie mani
e l'âge mur, qui toujours récidivenlou alternent avec des étals d' excitation , ils doivent être rattachés à la folie mania- q
DE LA FOLIE MANIAQUE-DÉPRESSIVE. 11 chimériques différences, une excitation maniaque et une dépression mélancolique dégénér
n de ces accès se compose en réalité de deux pha- ses : une phase d' excitation et une phase de dépres- sion;-mais il semble, a
s ou quatre accès de manie, puis un beau jour, au lieu de l'accès d' excitation attendu, on se trouve en présence d'un accès de
cès de mélancolie être interrompus de temps en temps par un accès d' excitation (mélancolie intermit-. tenle à type irrégulier
différents auteurs, on peut affirmer que tous les accès prétendus d' excitation ou de dépression sont en réalité des accès a do
en effet, d'apprendre par une enquête soigneuse que les symptômes d' excitation maniaque ont été pré- cédés d'une période prodr
de manie ou de mélancolie contient donc en germe les éléments de l' excitation et de la dépres- sion. L'accès de folie circula
mélancoliques, comme on les appelle cou- ramment, sont des crises d' excitation mêlées de phé- nomènes dépressifs et vice versa
mme nous venons de les exposer. On ne saurait nier, en effet, que l' excitation du maniaque et la dé- pression du mélancolique
première fois par Kraepelin, états dans lesquels les phénomènes d' excitation et de dépression coexistent, se mélangent et au
ns l'espèce, que malgré des apparences opposées, les phénomènes d' excitation et de dépression ont la même origine et reconna
iaque-dépressive est doublement légitime puisque l'association de l' excitation à la dépression est vraie non seulement pour l'
vous reteniez de cet exposé un pou aride,c'est que tous les étals d' excitation et de dépression (réserve faite de ceux de ces
LA LIGATURE ÉLASTIQUE. 10 juxtaposition ou la coexistence d'états d' excitation et de dépression. Ainsi que l'indique cette d
ré- nie une forme atténuée d'hébéphrénie qui ne s'accompagne ni d' excitation , ni d'idées délirantes et qui se caractérise seul
ent en décembre 1887. A ce moment.on constata des troubles mentaux ( excitation maniaque, affaiblissement intellectuel, idées d
ase prodromique d'une durée de trois jours, caracté- risée par de l' excitation intellectuelle et motrice. c) Une période délir
'anémie, la tuberculose ganglionnaire, le goitre exophtalmique, les excitations douloureuses des nerfs sensitifs, etc., et même
sion ou hallucinations. Elle déterminedeux sortes de réaction : l' excitation ou l'apathie. Des actes délictueux : exhibition
e dirai que la sclérose diffuse correspond à la démence sénile avec excitation maniaque, mélancolique, paranoïaque, etc., avec
oustiques et visuelles est en proportion directe avec la durée de l' excitation ; -, 2° le pouvoir de reproduction pour une sér
usculaire, et mesure de la période de résistance qui correspond à l' excitation . Enfin. cet examen sera complété par un examen
uvoir trophique propre, mais par l'interruption de la mntinuitù des excitations nécessaires pour les fonctions trophi- ques des
es préparations martiales amènent une aggra- vation des symptômes d' excitation chez certains nerveux déjà surexcités, par exem
en tous points : les améliorations les rechutes, les alternatives d' excitation et de dépression avec refus d'alimentation fure
araissent t avoir une influence modératrice sur la perception des excitations externes autant que sur le déchaînement des mou
ence, les épreuves ont été arrangées de manière qu'on a examiné les excitations motrices naissantes après une promenade longu :
on o a réagi à l'imprévu et selon la disposition des muscles ; l' excitation attendrie n'est que par hasard d'accord avec l'
les ; l'excitation attendrie n'est que par hasard d'accord avec l' excitation réelle. Dans l'expérience avec du brome (B. I),
on de B. I, plus gros que dans le premier, après la cessation des excitations troublantes. Aussi l'influence favorable du bro
s et sur la marche des mou- vements musculaires, et de même sur les excitations mo- trices centrales d'après les efforts corpor
des progrès, mais oublie tout ce qu'elle a appris à chaque crise d' excitation maniaque qu'elle éprouve (psychose intermittent
de troubles du côté de la sphère génitale. D ? ne présentait aucune excitation géné- tique, il nous déclara du reste qu'il ava
ausée par un acte insensé tendant à allumer la fièvre, soit que l' excitation mentale due au changement de milieu pro- duise
ent de dépression et d'anorexie ; on élimine facile- ment les cas d' excitation et de paralysie générale. Les signes basés sur
ents de plusieurs cellules voisines, il est vraisem- blable que les excitations diffusées par ces cellules se perdent sans effe
ncé pour elle même le processus de désassimi- lation dû à sa propre excitation . Consécutivement, d'après G., l'assimilation co
rapport réciproque, G. considère les segments de l'intrication où l' excitation passe de préférence, comme des « lignes de poin
l'union des cellules d'un même groupe et, par là. l'association des excitations parvenues à ces cellules. De telles excitations s
. l'association des excitations parvenues à ces cellules. De telles excitations sont plus vite reconnues, c'esL-à-dire identifi
excitations sont plus vite reconnues, c'esL-à-dire identifiées aux excitations antr- rieures semblables, que des excitations n
-dire identifiées aux excitations antr- rieures semblables, que des excitations nouvelles ou, en d'au- tres termes, intéressant
e de 36 ans, « qui, outre une psychose caractérisée par des états d' excitation el de la faiblesse intellectuelle présenta cer-
compa- rativement l'état d'inanition,ce dernier s'accompagnant d' excitation cérébrale. Le travail mécanique est consi- déra
xplique par la nécessité, pour les centres nerveux, d'envoyer des excitations plus fortes quand l'inertie dans les muscles an
x do la neurasthénie, ses stigmates, peuvent être réalisées par des excitations anormales des organes labyrinlhiques. L'asthé
cation bulbaire ou des lésions de vago-n6mite se traduisant par une excitation habituelle du pneumogastrique cardiaque avec de
utre part en évitant les circonstances susceptibles d'augmen- ter l' excitation nerveuse centrale ou périphérique. G. C. LI. Ra
flirt, il nous semble, à ce sujet, que Forel comprend des formes d' excitation sexuelle beaucoup trop sensuelles ; il le condamn
ts, les tests qu'on peut em- ployer, les réactions démentielles aux excitations diverses. L'historique de la démence est traité
49 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
remuante et indocile ; deux fois en dixjours, clic a des cri- ses d' excitation désordonnée au cours de l'une desquelles elle s
avaient disparu ; l'enfant ne présentait plus que des « périodes d' excitation ». Son inlel- ligence, faible, cstcepcndant act
deux enfants qui, à la Salpêtrière, en dépit de quelques moments d' excitation et de mauvaise hu- meur, étaient suffisamment t
j'ajoute- rai qu'aucun symptôme physique n'a coïncidé avec cette excitation qui, autant qu'on en pouvait juger.ne s'accom-
Marcelle ? 12 ans, « atteinte de débilité mentale avec périodes d' excitation par intervalles » (,1. Voisin), qui, les premiers
n est enchantée. Lucienne... Il ans, débilité mentale et périodes d' excitation . Onanisme ». Placée à Usmery avec une pensionna
même manoeuvre l'extension des orteils. Il attribua ce résultat à l' excitation des nerfs sensitifs du tendon d'Achille et l'ap
cle qui se contracte n'est pas celui sur le tendon duquel a porté l' excitation , mais bien son antagoniste. Dans un cas de coma
e en voie d'amélioration, mais il pense que le point de départ de l' excitation n'est pas le tendon mais la peau ; le réflexe v
gne de Schae- fer ne diffère de celui de Babinski que par le mode d' excitation . C11. BONNE. II. Ueber den Fussrückenreflex (
s spastiques qu'a- près tous les autres. Dans certaines attaques, l' excitation partie de la lésion trouvait, dans son cheminem
xcitables, c'est-à-dire incapables de conduire en sens centrifuge l' excitation reçue. Il fallait donc attribuer à la lé- sion
ns auditives subjectives, vomissements) présentés par le ma- lade : excitation des nerfs vestibulaire ou cochléaire ou du noyau
ant les quatre premières semaines consistent : 1° en petits accès d' excitation maniaque pendant lesquels elle se livre à mille
re paradoxal au premier abord. Les crises cloniques sont dues à l' excitation de la cou- che corticale du cerveau. Quelquefoi
n et de colère, plus ou moins longue. La phase clonique est duc à l' excitation de la zone corticale- motrice. Elle manque : a)
le siège des convulsions clo- niques est l'isthme de l'encéphale. L' excitation de la moelle, ne provoque chez tous les mammifè
t les oiseaux que des convulsions toniques. Chez les grenouilles, l' excitation de la moelle provoque des convulsions tonico-cl
récidivantes, englobant ainsi dans une même entité tous les états d' excitation et de dépression qui n'appartenaient pas aux di
avec l'accès de manie et de mé- lancolie simples, avec les accès d' excitation ou dépression des dégénérés, des confus, des ne
étition, l'alternance, la juxtaposition ou la coexistence d'états d' excitation et dépression ». (Deny et Camus). La concepti
re identique de phénomènes en apparence opposés, c'est- à-dire de l' excitation et de la dépression ». Kraepelin a décrit les s
gnostic différentiel particulièrement délicat est celui des accès d' excitation et de dépression de la démence précoce. Le diag
ats de beaucoup les plus nom- breux, dans lesquels les phénomènes d' excitation et de dépres- sion coexistant, se mélangent et
dan, l'espèce, que malgré des apparences opposées, les phénomènes d' excitation et de dépression ont la même origine et reconna
e dépressive est doublement justifiée, puisque l'association de l' excitation à la dépression est vraie non seulement pour l'en
successive des stades antagonistes de l'activité et du repos, de l' excitation et de la dépression. Elles sont essentiellement
ive, avec expansion de l'hu- meur, qui correspondent à des crises d' excitation . Dans les dernières années, l'oeuvre inégale et
générale, présenta, de vingt- sept à quarante ans, quatre crises d' excitation , au cours des- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES
des troubles men- taux. Durant la seconde période, les phénomènes d' excitation ont tenu la plus grande place. Ils étaient cara
ce. Nos deux autres malades ont présenté un mélange de phénomènes d' excitation et de dépression portant sur l'ensemble des fon
Les phénomènes ob- servés consistent en général en des phénomènes d' excitation et de dépression plus ou moins étendus et diver
lle que soit la forme revêtue.par les perversions de l'état mental, excitation ou dépression, il ne s'agit en somme que de mod
itives surtout, au réveil des fonctions enrayées. A la suite de ces excitations qu'on varie suivant les cas, suivant la pré- do
dées de richesse et de satisfaction. Inégalité pupillaire. Crises d' excitation . Mort à l'âge de 57 ans. La température rectale
Suggestion et hystérie. M. BAmNSxc présente une malade chez qui l' excitation de la plante du pied provoque le phénomène de c
du réflexe cutané plantaire que, quand il n'est pas net.on peut par excitation du bord externe du pied, produire un écartement
ers comme les pratiques aesthésio- géniques, à la suite de diverses excitations on constatera un relè- vement général de toute
rd sous l'influence do la volonté, puis même sous l'influence d'une excitation réflexe ; c'est la paralysie. D'autre part, l
tre enfants mais elle n'a jamais éprouvé dans le coït ni la moindre excitation , ni aucune satisfaction sexuelle. Au moment de
ne lui donne aucune satisfaction. La malade éprouve le maximum de l' excitation et de la satisfaction sexuelles non pendant le
les résultats immédiats ob- tenus parla coquetterie même - l'état d' excitation se- xuelle chez l'homme - donnent à la malade l
e différente. On observe ce phénomène très souvent dans les états d' excitation psychique générale (état maniacal); le même phé
quelques minutes,le malade se trouvait dans un état très agréable d' excitation sexuelle qui s'augmentait peu à peu, et une foi
la neurasthénie grave dans ces circonstances, c'est-à-dire dans ces excitations perpétuelles et très fortes du sens génésique,
t très excité sexuellement, qu'il tâchât de trouver une issue à son excitation et qu'il rêvât toujours au ligotement des pieds
h, on ne sait pas encore si l'immobilité réflexe de la pupille (à l' excitation lumineuse directe ou indirecte, à toutes les ex
upille (à l'excitation lumineuse directe ou indirecte, à toutes les excitations psychiques ou nerveuses) peut se transformer en i
narcose semble s'être installée brusquement sans période initiale d' excitation motrice, ni de dé- lire. Elle a été accompagnée
très correcte, elle se présente à nous ordinairement avec un peu d' excitation intellectuelle, cause avec volubilité, répond a
Psychi., XXIX, f. 209, p. 209 à 216, 15 mars 1906.) On sait que les excitations périphériques peuvent produire des h. complexes
la réalité et l'objecti- vité des h.-D'autre part, plusieurs fois l' excitation périphérique modifia seulement le cours et l'in
h. déjà excitantes sans produire de perception nouvelle. Donc une excitation sensorielle peut « donner l'impulsion » à des h
eurs peuvent étendre leur action à plusieurs fonctions semblables : excitation sexuelle produisant l'anesthésie des organes gé
ôté, indique une lésion du M. 0. C., seul nerf que parcourt alors l' excitation . La réaction à la lumière intéresse au contrair
début brusque par vomissements, céphalée, stu- peur. d droite, les excitations ne sont pas suivies de leur effet ordi- dinaire
ictions, les contractions mus- culaires d'une moitié de la face par excitation de l'autre moitié, ou de la partie supérieure d
tout de Hitzig ; ce dernier parvint, dans la paralysie faciale, par excitation du trijumeau ou de l'optique,à produire des réf
t de contracture ac- tive, d'hypertonisme musculaire que la moindre excitation péri- phérique transforme en paroxysmes myotoni
raisemblablement lié à des lésions des cellules motrices, la simple excitation de fibres de transmission pa- raissant a priori
aujourd'hui les désignations de stupeur maniaque, manie coléreuse, excitation dépressive, etc. L'auteur insiste par contre su
t de représentations diverses dont chacune est une réac- tion à une excitation périphérique et se porte ainsi isolément au pie
t répartis en deux catégories : symptômes de déficit et symptômes d' excitation . La deuxième est la plus importante ; elle comp
re, être rythmée par scansion de tous les mots. Toutes les formes d' excitation primaire ou «besoin de parler» ont ceci de comm
50 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
différentes zones cérébrales avait déterminé chez notre malade l' excitation intellectuelle intense, et l'exagération de tou
de l'aile du nez. et de la lèvre supérieure gauche, en réponse à l' excitation du tiers inférieur de la PA ; 2° des mouvements
ts de flexion de l'avant-bras et de soulèvement du sourcil, par l' excitation du tiers moyen de la PA et du lobule pariétal i
, de l'orbiculaire des paupières, du sourcil et de la langue, par l' excitation de la circonvolution supra-marginale, là où ell
ther- miques ou dolorifiques ou bien dépend du mode diffé- rent d' excitation des fibres nerveuses, ou de ce que les fibres d
es contractions, à la fermeture de l'anode, et que, non seulement l' excitation directe du muscle par les courants continus per
- bilité manifeste par rapport aux muscles indemnes, mais aussi l' excitation indirecte galvanique. P. K. III. CONTRIBUTION A
a continuité non. Etcette con- tiguïté suffit à la transmission des excitations . Il n'y aurait pas lieu non plus, d'après M. Fo
e accompagnant ses attaques d'épilepsie; le noir pendant la phase d' excitation , la couleur claire pendant la phase de stupeur.
les pupilles ne réagissent plus sous l'influence de la lumière, les excitations sensitives périphériques ne peuvent dilater la pu
s DE CONTUSIONS graves SURVENUES spontanément au COURS D'UN accès d' excitation maniaque ; DÉCOU- verte L'AUTOPSIE D'UNE PACHYM
aigus de folie. On peut se demander si dans le cas dont il s'agit l' excitation maniaque était due à lapachyménin- REVUE DE PAT
doués d'une puissance cérébrale peu commune et qui, à la moindre excitation (émotion, frayeur, etc.), présentent tous les sig
us pendant longtemps de boire de l'alcool, mais chez lesquels une excitation plus ou moins vive fait apparaître les phéno- m
burini, Ferrier, Tripier, Exner, Bechterew ont vu, en effet, soit l' excitation expérimentale, soit les lésions, irritatives ou
erait un postulat physiologique. Pour expliquer la transmission des excitations , il n'est pas nécessaire que ces ramifications
n, provoque des troubles de la vision (hémiopie, etc.). Quand les excitations optiques ont atteint cette région de l'é- corce
que aux images mnémoniques associatives. Que la transmission de ces excitations ait lieu par continuité ou par contiguité des r
réseau nerveux central de l'écorce ; 2° par la propa- gation de l' excitation dans ce réseau; 3° par la trans- mission des st
ent ce savant s'explique la genèse des sensations musculaires : une excitation des nerfs moteurs est transmise, au moyen de le
l groupe de muscles. Si le circuit est interrompu, soit parce que l' excitation n'est point parvenue au muscle (interruption du
paralysie générale n'est remplacée par aucune autre maladie, mais l' excitation maniaque peut être remplacée par la paraplégie
mois, la paraplégie a disparu lorsque la malade est devenue folle ( excitation maniaque) pour reparaître au retour de la santé
en effet une affection fébrile intercurrente faire dispa- raître l' excitation maniaque, on ne la verra jamais modifier les sy
u sel de potasse : l'anneau contractile empêche la propagation de l' excitation ; la propagation fréquente du mouvement pérista
neurasthéniques une dépression ordinaire quasi- physiologique, avec excitation qui tient à un manque de confiance en soi. Ce
Délire des grandeurs, affaiblissement de la mémoire avec périodes d' excitation maniaque; myosis, pronostic grave. Trois mois a
ent contrarié. Le roi ne dormait pas, et avait de fréquents accès d' excitation motrice, durant lesquels il se mettait à danser
ion : si elle est portée DE LA PERCEPTION INCONSCIENTE. 365 sur l' excitation même ou sur sa nature, la durée est presque deu
ions réaction sensorielle (il s'a- gissait dans son expérience de l' excitation auditive) ; la seconde, réaction musculaire. Il
usculaire est un acte invo- lontaire, et, quoique l'impression de l' excitation dans ce cas entre dans la sphère de la conscien
tuer à l'expression aperception celle de perception consciente. Les excitations , de 366 PSYCHOLOGIE. quelque nature qu'elles
qu'il y ait conscience ne sont pas encore rem- plies. Pour que les excitations puissent être perçues consciemment, les centres
on inconsciente, nous dési- gnons un état psychique dans lequel une excitation sensitivo-seusorielle venue du dehors n'est pas
rceptions conscientes; et, à partir de ce moment, l'impression de l' excitation perçue incons- ciemment ne diffère pas, jusqu'à
IENTE. 367 déterminer le temps qui s'écoule entre le moment d'une excitation perçue inconsciemment et un acte incons- cient
nsidéré comme une réponse, dans les conditions de l'expérience, à l' excitation produite. On comprend facilement que, pour l'ét
ire la part, dans la recherche de l'in- tluence de l'intensité de l' excitation sur la durée de la réaction simple, de ce qui e
, de ce qui est dû au sens du tact ou au sens de la douleur quand l' excitation devient forte, parce que les conditions physiqu
s conditions physiques ne nous permettent pas de réaliser une forte excitation tactile sans qu'il s'y ajoute un élément de dou
cet état pathologique, bien que le sujet n'ait pas conscience d'une excitation périphérique, elle suit cependant les mêmes voi
irige la volonté du sujet vers la recherche de la nature de cette excitation , il arrive, après un temps plus ou moins long,
s ou moins long, par un travail de cérébration, à retrouver cette excitation perdue dans un coin de son cerveau. C'est là un
ière série d'expériences, l'attention des sujets a été portée sur l' excitation , et, dans la seconde, sur la nature du mouvemen
4 PSYCHOLOGIE. Plus la durée des impressions est longue et plus l' excitation est vive, plus facilement ces impressions entre
l'on peut appeler grave. Dans ce cas, selon toute probabilité, les excitations ne sont pas perçues, même inconsciemment et il
ui prouve qu'il n'est qu'un réflexe et qu'il ne provient point de l' excitation du bulbe. Le lavage de l'estomac peut aussi emp
la patho- génie de l'attaque d'épilepsie. Troisième communication. Excitation des centres sous-corticaux du chien ; contribut
e, caractérisée par un désordre extrême dans les idées accompagné d' excitation ma- niaque enté sur un fonds d'affaiblissement
poriser plus ou moins longtemps afin de laisser passer la période d' excitation . Si l'on se bornait à ces précautions, on n'aur
51 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
loroforme, éther. — Action de ces divers agents; délire. Périodes d' excitation maniaque. — Contractures des membres inférieurs e
t ; la vue et le contact des hommes produisent chez elle une espèce d' excitation particulière. W... est peu active, sïrrite faci
ntracture des muscles de la moitié correspondante de la face. La même excitation , pratiquée sur le muscle sterno-mastoïdien droit,
as, dit-elle, j'étouffe et je suis agitée. » Elle n'éprouverait pas d' excitation génitale et aurait plutôt du dégoût pour les homm
yperesthésie, « loin d'être, comme on pourrait le penser, une cause d' excitation des organes génitaux, rend le simple contact tell
n'est pas la même : les unes répondent sur-le-champ à la plus légère excitation ; — les autres ne déterminent d'attaques que si la
de couleur et les convulsions n'éclatent que 10 à 15 minutes après l' excitation . La pression sur la région sous-mammaire agit p
— Dans les régions qui ont recouvré la sensibilité, les différentes excitations sont moins nettes qu'à droite. — L'amblyopie pers
xcessive, des secousses multipliées, parfois même un état voisin de Y excitation maniaque, etc. : en pareille occurrence, les mala
M. Charcot : si l'on comprime la région ovarienne d'une hystérique, l' excitation de la zone hystérogène la plus active ne parvient
rovoquer une attaque. Disons enfin que les attaques déterminées par l' excitation des régions hystérogènes, outre qu'elles peuvent
tre et demi de largeur. La rougeur apparaît quelques secondes après l' excitation . La malade est très faible sur ses jambes; elle
onomie est douce, mais le regard, humide, dénote fréquemment un peu d' excitation , ce qui donne à la malade un air effronté. Son la
ommeil offrent souvent des prodromes : tristesse, alternant avec de l' excitation , rires sans motif, hallucinations et illusions va
t dans son ventre, avait une couronne blanche sur la tête, etc. Cette excitation a continué jusqu'à minuit; alors, elle a eu de gr
erait pas somnolente. 2 mars. — Hier, vers 5 heures, accès de rire, excitation . H... crie : « Viens, mon père, c'est toi qui es
çues ; le simple contact n'est pas senti. Souvent aussi, de nouvelles excitations échappent à la malade : c'est en particulier ce q
par une attaque convulsive, ou bien par des rires, des pleurs, de l' excitation . Les malades sont étonnées, paraissent ne plus se
pposait quelque sainteté. — Ces contemplations, aidées d'une violente excitation intellectuelle, étaient rapidement suivies d'hall
électrisation et qu'explique la distribution même du nerf ; l'autre l' excitation du facial dans les mêmes conditions d'hypnotisme,
'autre l'excitation du facial dans les mêmes conditions d'hypnotisme, excitation produisant tous les effets que le puissant exci
hargie et hémi-catalepsie. Tentative d'empoisonnement. — Périodes d' excitation . — Règles et attaques. — Fuite de la Salpètrière.
itabilité musculaire très évidente (sterno-mastoïdien, Pl. XXXYIII);— excitation du nerf facial (phénomènes habituels, Fig. 8). —
s. — On a noté, en outre, des accès de colère et plusieurs périodes d' excitation . ¦ 1880. — Rien de particulier va. janvier et f
XXXVIII). — Les Planches XXXIX et XL montrent,l'une, les effets de l' excitation du muscle frontal, l'autre, ceux de l'excitation
une, les effets de l'excitation du muscle frontal, l'autre, ceux de l' excitation du muscle zygomatique. Planche XXXIX. LÉTHARG
1, 22, 35, 57, 65, 73, 80, 92, 99, 187, 202, 219. Etouffements, 12. Excitation maniaque hystérique, 197, 201 et passim. Exorcism
52 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
)I. Baillarger, la déduisant d'un double phéno- mène pathologique, excitation , dépression; d'autres, s'en tenant à la divisio
s vé- sanies en un double cadre, selon qu'elles relèveraient de X excitation ou de la dépression, lesquelles dominent, tour
ales, dans lequel sont venus se ranger quatre genres principaux : l' excitation maniaque, la manie, la démence, avec ou sans pa
remarquer, dans la manifestation des symptômes, des alternatives d' excitation légère etdedépressionextrême, cette dernière ph
entre une dépression habituelle, profonde, et de courtes phases d' excitation et de lueurs raisonnables. L'obser- vation dit
écessairement dans la catégorie des délires généraux. Serait-ce une excitation maniaque ou une manie ? Elle n'en a, sauf les a
il croit avoir amené les désastres de la France. Progressivement l' excitation augmente, il est maudit, se dit le démon, l'Ant
, il est survenu des phases dépressives alternant parfois avec de l' excitation ; mais ces accès diminuant progressivement de du
raves dans le bulbe. Mais s'agit-il d'un processus irritatif, d'une excitation des filets sympathiques cardiaques et des vaso-
ence. Elles sont constituées par de la mélancolie avec agitation, excitation psychique, confusion et précipitation dans les id
nt à une agitation initiale de courte durée ou de la lypémamie avec excitation et obnubilation psy- chique, hallucinations dés
tion et de dépression. On en rapprocherait la forme méningi- tique ( excitation cérébrale) de Liebermeister, survenant brus- qu
eur tour un résultat quand en môme temps que de toutes les causes d' excitation psy- chique on aura débarrassé l'aliéné vivant
poglosse. Le tremble- ment de la tête serait dû, pour l'auteur, à l' excitation d'un récur- rent par le processus encéphalique
ion ou folies circulaires); 3° lorsque la démence s'accompagne de l' excitation de certaines sphères sensitives. AI. Rieger.
pas le jouet de son imagination en délire. Au début, les états d' excitation et de dépression viennent aussi se refléter dan
pileptiques, ainsi que le pense le professeur Luciani pour lequel l' excitation de la moelle allongée n'est qu'un phénomène sec
arables. Il pense que si quelquefois l'épilepsie est produite par l' excitation de l'écorce cérébrale, souvent aussi elle est d
l'excitation de l'écorce cérébrale, souvent aussi elle est due à l' excitation d'autres régions des centres nerveux, telles qu
un degré de développement plus grave et plus accentué, parce que l' excitation précède la con- ception, le malade obéissant au
tre, dans les régions céphaliques, arti- culaires, musculaires; des excitations sexuelles en présence ou en l'absence de causes
hique en question. Traitement général Ionique et reconsti- tuant. L' excitation des crises réclame l'administration du bro- mur
manie s'ajoutent des crises à congestion céphalique : hyperthermie, excitation mo- trice, démence, malpropreté, agitation, ins
de l'incitation, M. Weiss pense qu'en ce cas c'est lasuracuïté de l' excitation qui, dépassant la limite maxima, franchit brus-
Comment expliquer cet accident subit, l'accès de vertige ? quelle excitation soudaine du contenu de l'oreille interne, et pa
ues suivis de stupeur, ne conservait aucun souvenir de la période d' excitation . Vidal et Legrand du Saulle. (Aîi7z. me(, ! «'o
e autre personne. Les caresses provo- quaient chez elles une grande excitation qui s'accom- pagnait de spasmes, de sécrétion d
les avait un bec-de-lièvre. Chez l'une, existaient des périodes d' excitation et de dépression ; chez l'autre, des accès méla
, atteinte d'hystérie, présente des attaques et despériodes de vive excitation intellectuelle ; son père, mort à soixante-qua-
vait aucune idée bizarre. Depuis un an, il offre des alternatives d' excitation et de dépression, et parfois sur- viennent des
éprouva pour la première fois un phénomène singu- lier, c'était une excitation génitale et l'érection, dès qu'il aper- cevait
objet de ses premiers désirs, sa vue, . lailt lait ( 1 Il,), état d' excitation extrême, elle éprouvait des sensa- tions volupt
e certaine intermittence, et c'est par âcces"cue se présentent' les excitations impulsives : c'est là un caractère de plus de l
l'immobilité, ou encore il reste dans une sorte d'apathie béate'. L' excitation morale est beau- coup plus rare. La plupart du
utile ; leur genèse, et plus tard leur volume exagéré, résulte de l' excitation incessante déterminée par le frottement l'une s
courcissement passif du tibial, le relâchement jouant le rôle d'une excitation et il l'avait mise en contraste avec le phénomè
le par des contractions cloniques; dans la contraotion paradoxale : excitation d'un muscle par allongement de son antagoniste
tion inconsciente de l'antagoniste, ce qui leur fait sup- poser une excitation , d'une certaine durée, du centre spinal, ' R. V
t fort émotionnable et criait et pleurait sans motifs, à la moindre excitation . L'auteur pense qu'il s'est agi là d'une contus
ent produire des symptômes nerveux divers dus à la paralysie ou à l' excitation du nerf vague. Ces phénomènes sont d'origine ré
ou paralysie réflexe de ses rameaux car- diaques). Les phénomènes d' excitation se traduisent par des attaques épileptiques, le
ades paraissent être pour quelque chose dans le mode de réponse à l' excitation : les attaques d'épilepsie se rencontreraient p
indique pour l'auteur une relation de cause à effet directe entre l' excitation corticale etles phénomènes. Lodéfaut d'altérati
ées et alternes ci l'altération du lobule pariétal supérieur avec l' excitation de l'écorce gauche; peut-être s'agit-il d'un en
53 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
ent immobile ; on se couvre de sorte à assurer une température et une excitation de la peau uniformes (2). Ainsi. l'attention pa
'arrête momentanément durant le sommeil. Ce ne sont pas seulement les excitations physiques qui font obstacle à l'assoupissement, m
en deux classes principales, suivant que le rêve est engendré par une excitation périphérique ou cérébro-centrale (1). La différen
s dormeurs et les actes compliqués des somnambules. Lors donc que des excitations du dehors élicitent des rêves, il n'y a pas, entr
, entre les représentants dont ceux-ci sont formés et l'intensité des excitations , de rapport normal et rationnel. Ainsi, pour cite
ous enfuyons hors d'une maison incendiée (2). Il faut remarquer que l' excitation peut provenir aussi de l'activité dans l'intérieu
oins, ces créations de (1) Spitta appelait ces deux groupes rêves d' excitation nerveuse et rêves psychiques; Calkins les nommait
nces pour découvrir jusqu'à quel point il serait possible, au moyen d' excitations des sens, d'éliciter artlficiellement des rêves d
ions viscérales ou organiques, nous affectent, à l'égal de toutes les excitations périphériques quelconques : elles deviennent tout
D'autre part, à chaque instant, nos sens sont impressionnés par des excitations dont nous n'avons pas la moindre conscience; ces
d'exagération de la sensibilité 1 C'est une sensibilité telle qu'une excitation qui ne produirait normalement qu'une sensation lé
impressions, ou plutôt, qui a besoin, pour être impressionnée, d'une excitation plus violente ou plus prolongée. Nous pouvons app
ette exaltation de la sensibilité? C'est une sensibilité telle qu'une excitation imperceptible produit une impression d'une acuité
bilité nous conduit à l'autre point extrême. C'est un état tel qu'une excitation quelle qu'elle soit, ne produit plus aucune impre
bord sous l'influence de la volonté, puis même sous l'influence d'une excitation réflexe; c'est la paralysie. D'autre part, l'ex
que ses enfants ne sont pas les siens, alors entrant dans des accès d' excitation qui épouvantent sa famille, il menace de tuer tou
s malades ne seront pas en état d'ivresse, même légère. Dans l'état d' excitation alcoolique, les sujets les plus suggestibles cess
eux, puis enfin à l'enfer plein de démons dans d'immenses flammes ; l' excitation deviendra alors si grande que nous aurons affaire
é, l'émotivité, l'angoisse, la peur de mourir, différentes phobies, l' excitation ou la froideur génitale, le suicide; dans la sphè
périmentateurs ont provoqué le sommeil des cellules végétales par des excitations électriques. Becquerel (1) a montré que les mou
urs bien entendu d'un arrêt et d'une rétraction momentanés (1). Les excitations galvaniques suspendent aussi les mouvements biopr
able à celle qui se produit dans les paralysies réflexes à la suite d' excitations phériphériques particulières, dans lesquelles l'i
ntré l'influence considérable exercée sur les centres nerveux par les excitations périphériques faibles et continues. L'appareil
us présente réalise les conditions requises pour la production de ces excitations périphériques, car un dispositif spécial permet d
iques, car un dispositif spécial permet de graduer l'intensité de ces excitations . Nous pensons que cet appareil est appelé à rendr
favoriser la production du sommeil provoqué, soit pour localiser les excitations périphériques faibles ou fortes, destinées à stim
mment, grâce à son fonctionnement très simple, d'étudier l'action des excitations mécaniques fortes ou faibles, rapides ou lentes s
obtenir des effets oesthésiogènes très remarquables au moyen des excitations purement mécaniques faibles et répétées. L'exci
x apyrétiques, ou franchement fébriles, au-dessus de 38, n'ont aucune excitation géné-sique. La même explication est valable pou
ersonnes qu'ils affectionnent le plus. Ils paraissent aussi avoir des excitations anormales. PSYCHOLOGIE HIÉROLOGIQUE Marie Ala
est forte l'impres- sion de celle première hallucination; puis l' excitation augmentant, pendant une nuit, elle entend dans la
oreille humaine ». Ce mouvement s'effectue de 1 h. à 1 h. 30 après l' excitation . Le redressement se produit au bout de 10 à 48 he
e 10 à 48 heures. Ce mouvement n'a lieu que du côté excité. Mais si l' excitation est appliquée au milieu de la feuille, les deux b
icroscope, par l'absence d'oxygène et l'excès d'acide carbonique. Les excitations faibles portées sur les nerfs sensibles provoquen
second degré. La plante ainsi électrocutée ne peut plus répondre aux excitations (Dreu et Van Marum). Ce phénomène a été aussi obs
, et leur font perdre la propriété de se replier sous l'influence des excitations précédemment énumérées. Ce sommeil atteint les bo
moins en moins étendus, et finissent par cesser complètement, si les excitations sont trop fréquentes. Aussi entrent-elles en réso
t de la sensibilité. Beaucoup de sujets sont insensibles à toutes les excitations et ne perçoivent ni contact, ni douleur, ni varia
ction du IXe Congres international de psychologie, 1900. dans les excitations de la presse, dans la réclame... La suggestion, c
tience et d'humeur chagrine qu'exagère encore l'irritabilité liée à l' excitation directe du mal. Ces deux traits dominants: l'ég
ette persistance est surtout un fait de l'égoïsme aidé à la fois de l' excitation morbide venant du mal et de l'optimisme (F. Re-gn
meur est bien plus inégale que celle du cardiaque, les alternatives d' excitation et de dépression plus accusées. Au surplus, le pe
e, leur voix, leur mode de parler diffèrent de l'état normal; après l' excitation , ils tombent dans le sommeil et au réveil ne se r
ion inconsciente. c) Enfin, il y a des rêves qui ont pour origine une excitation sensorielle de l'ouïe, (bruit des vagues, du* ven
e, des feuilles, etc.. voire même musique faite près du dormeur). Ces excitations font surgir des idées-sons, immédiatement transfo
a clinique est donc parfaite. Par quel mécanisme peut se produire l' excitation de cette zone cérébrale chez les stomacaux. On pe
c que, dans certains cas, la branche stomacale de ce nerf éprouve une excitation spéciale, sous l'influence des fermentations gast
54 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
xe du voile du palais est un peu diminuée, mais non abolie, que l' excitation porte sur le voile du palais ou sur la paroi post
. BucH d'Helsingfors). (Cen- tralblatt. f. Nervenheilk., 1884.) L' excitation due à un froid modéré (ablation de la couver- t
ux, provoque une hyperémie collatérale dans le voisinage; une forte excitation , au contraire, se réfléchit jusque sur les cent
c réflexe; dans ces conditions, la moelle n'interve- nant plus, une excitation d'intensité quelconque agit comme l'excitation
ve- nant plus, une excitation d'intensité quelconque agit comme l' excitation faible chez l'individu sain, mais alors les réact
u vit. Second procédé. Dans les conditions normales, une violente excitation mécanique (pincement de la peau) détermine de l
4 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. gions, soit d'une excitabilité localisée ( excitation purement auto- matique) autonome. Dans le délir
contre la théorieantiphysiologiquede la propagation centrifuge de l' excitation à travers les voies de con- ductibilité centrip
d que ce sont des pseudo-hallucinations qui, sous l'influence d'une excitation (dépourvue du caractère centrifuge) se transfor
ura, prodrome des convulsions limitées. Sous l'influence de cette excitation locale de la peau, on voit les convulsions change
spose l'appareil de du Bois-Reymond de manière à faire intervenir l' excitation électrique nécessaire à déchaîner par son appli
e toutes, sont celles dont l'activité peut être mise en jeu par des excitations superfi- cielles de la peau : le contact avec l
2° Les zones sous-cutanées, qui sont plus com- munes, résistent aux excitations précédemment énumérées; elles ne siègent donc p
mmaire ou l'ovaire. Pour la mamelle, on le prouve en montrant que l' excitation énergique de la peau qui recouvre le sein ne pr
e sorte qu'une pression légère produitle sommeil hypnotique, et une excitation plus énergique produit l'attaque. Cependant les
ans les muscles fléchisseurs. Si le muscle est reposé lorsque cette excitation a lieu, il se contracte brusquement, puis, lors
tte excitation a lieu, il se contracte brusquement, puis, lorsque l' excitation cesse, il revient avec une grande lenteur à son
iologique /Ti. 3). Au contraire, lorsque le muscle a subi plusieurs excitations antérieures, il e décontracte aussi brusquement
ntractiou très lente du muscle dans lamaladie de Thomsen, lorsque l' excitation a été portée sur le muscle reposé. MALADIE DE T
e de Thômsen, lorsque le muscle a été préalablement fatigué par des excitations répétées. B, Tétanos musculaire normal. 210 0
souffrir quand on appuie sur son côté gauche, et ne réagit à aucune excitation . Tout à coup il cesse de respirer, il se renver
à la fin de ses attaques, il présente souvent de longues phases d' excitation maniaque, il chante et crie pendant des heures.
XX. Occlusion intestinale, gastrotomie, TROUBLES PROVOQUÉS par l' excitation du grand sympathique; mort; par le Dr Léon BLON-
piratoire ait besoin, pour reprendre ses fonctions, de l'addition d' excitations qui normale- ment agissent d'une façon continue
260 SOCIÉTÉS SAVANTES. Discussion : ,,1 M ... ,II Il M. STARK. L' excitation ne se montre pas seulement'pendant l'at- taque
sur l'action du pneumogastrique et il est arrivé à constater, que l' excitation aussi bien adéquate, qu'électrique ou mécanique
pareil à celui que Traube et Hoscnthal ont constaté à la suite de l' excitation du bout central de la partie cervicale du pneum
ue. C'est en effet tout à fait le contraire qu'on ob- tient après l' excitation du bout central du trijumeau. Les excita- tions
IOGRAPHIE. 273 celles du nerf optique. En portant ses expériences d' excitation sur la mae cérébrale mme, l'auteur est arrivé a
rébrale mme, l'auteur est arrivé a limiter un petit endroit, dont l' excitation produit'un arrêt des mouvements du diaphragme d
ueduc de Sylvius, fonctionne. dans^un sens.expira- Loil'e'l't ';011 excitation amène l des Racées d'expiration ou l'arrêt tota
ur il conclure, que l'acte de l'inspi- talion résulte d'une série d excitations , qui arrivent au centre général de la respirati
rique, par le trijumeau et par tous les autres nerfs sensibles. Les excitations du centre respiratoire lui-même ne paraissent pas
engeance haineuse ac- quéraient plus d'empire sous l'influence de l' excitation alcoo- lique et aussi que, après un léger excès
ent et asthénie générale. Elle était turbulente avec des périodes d' excitation ; elle avait de mauvais instincts. Elle ne mange
d'ouvrir les yeux, je fais disparaître alors les contractures par l' excitation superficielle au niveau des muscles antagonistes,
eur période de délire, sur le retour des idées déli- rantes et de l' excitation , j'essaye de l'empêcher par des sugges- tions.
C'est l'époque des règles. 1885. - si janvier. - Courte période d' excitation génitale : pas d'onanisme. 13. Anurie depuisd
uis s'excite, se met en colère, et finalement en arrive à un état d' excitation assez accentué, elle délire même un peu, parle de
détruites par les suggestions ne reparais- sent pas. - 30. Cette excitation etce délire cèdent aux suggestions ensom- nambu
- Travaille un peu, sort, se promène, va même à l'église. Au- cune excitation aux époques menstruelles. Elle rit maintenant de
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. du côté paralysé. Aussi conclut-on à l' excitation directe des tractus sensitifs par le processus
par le processus anatomique de l'organe cen- tral, les phénomènes d' excitation de la région motrice ayant absolument coïncidé
r gauche, et, par contre, la contracture du membre supérieur droit ( excitation permanente des racines de ce côté par élongatio
açon satisfaisante. R. M. C. XIX. SUR DES accès TOUT particuliers d' excitation SEXUELLE PERVERSE; par ANJEL. (Arch. f. Psych.,
nos confrères des plus dis- tingues, commence, dans ses périodes d' excitation maladive, ses harangues, vers huit heures du so
n. Son mari qui l'aime beaucoup l'écoute patiemment pour éviter l' excitation qui ne manquerait pas de se produire s'il lui imp
iration, une expression tétanique delà physionomie; enfin, de pures excitations cutanées provoquent toujours des réflexes tout
tricts centraux en question avaient été pen- dant la vie le siège d' excitations fonctionnelles inégales (théorie de Hagen). Un
iieineiit, plus prononcé de ces deux régions au cerveau; de là, des excitations inégales de la substance nerveuse. Dans les deu
sparition des fibres d'association intracorticale qui les prive des excitations centrales. M. Tuczek tient d'ailleurs compte da
e et poliomyélite, par Strueml;ell, 93. Occlusion intestinale par excitation du sympathique, 225. , Oculo-iholeur commun (
iénés par Thomsen, 10U. Sexuelle (sur un cas tout particuliet d' excitation sexuelle perverse), par Anjel, "16. Sitiophob
55 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
yeux du malade ou probablement beaucoup plus souvent, a cause de l' excitation de l'idée imposée qui consiste en ceci : le mal
able qu'on excite mécaniquement les os de la colonne ver- tébrale,l' excitation se transmet à la moelle spinale ou aux raci- ne
nduit au diagnostic énoncé plus haut. La fausse sensation tient à l' excitation du bout central des conducteurs de la sensibili
roduit. Le système nerveux n'y collabore qu'en ce qu'il conduit les excitations ; il ne fait que les conduire. Jamais la cellule
t Trousseau ; mais ce dernier n'affecte pas la forme typique. Toute excitation mécanique, élec- trique, volontaire qui dure qu
a contraction partielle ou raccourcissement des fibres au lieu de l' excitation . 2. Ce phénomène, physiologique, appartient, co
point de vue : 1° relation entre le temps perdu et l'intensitéde l' excitation ; 2° relation entre la force de la contraction
; 2° relation entre la force de la contraction et l'intensité de l' excitation . C'est sur la pre- mière question seulement que
varie presque du simple au double en sens inverse de l'intensité d' excitation , cette intensité dépendant elle-même de deux fa
présente aussi un intérêt théorique. On a abandonné la théorie de l' excitation directe par le choc des organes sensi- bles des
s dans les tendons, et surtout que nous igno- rons les lois de leur excitation . Pathogénie de l'othématome. lI. le Dr D.\RCa
tion et calme ; si c'est l'inverse, ce sont les phénomènes opposés, excitation et agitation, qui se produisent. On peut ainsi,
es cas où l'hallucination est d'origine primitivement corticale par excitation mécanique par exemple. Cliniquement, l'hallucin
nt spé- cialement compte des individualités. Au sujet des états d' excitation et de dépression, le rappor- teur s'attache à m
distinguées par Barthez. BALNÉATION ET HYDROTHÉRAPIE. 211 lTATS d' excitation . Pour l'excitation, en particulier, on saura qu
thez. BALNÉATION ET HYDROTHÉRAPIE. 211 lTATS d'excitation. Pour l' excitation , en particulier, on saura que, quel que soit so
on peut dire que le bain pro- longé reste le procédé de choix de l' excitation maniaque. Quant à savoir ce qui, en règle génér
a) Etals maniaques. - Dans les manies graves et le délire aigu, l' excitation , si souvent en rapport inverse avec les forces
articulièrement aptes à ra- mener le sommeil. (Morel, de Mons.) L' excitation maniaque hystérique s'accommodera le plus souve
(Brierre) ou à la douche tempérée à faible pression. j Les crises d' excitation chez les épileptiques pourront, quoi- 1 que rar
la tête, bains de siège et pédiluves chauds. - Dans les crises d' excitation survenant au cours des états maniaques chroniqu
gé et à en surveiller minu- tieusement l'emploi. 1 < >1 A l' excitation maniaque chronique semble particulière- ment ap
me on le sait bien, la mélancolie n'est point exclusive des états d' excitation et, dans ces cas où se range la mélanco- lie an
rs même qu'elles ne traduisent pas les phénomènes exté- rieurs de l' excitation . Aussi semble-t-il rationnel que Kroepe- lin ai
ins très prolongés sont le, moins applicables. - . Dans les états d' excitation mélancolique seront, en outre, indiquées les pr
Mons, peut signaler que, dans la mélancolie grave allant jusqu'à l' excitation , certains auteurs ont pu subs- tituer, avec les
malade et de ses capacités réactionnelles qu'on emploiera, en cas d' excitation aiguë, les grands bains tièdes et les enveloppe
ise ou savamment mi- tigées à la façon de M. Beni-Barde, etc. A l' excitation on opposera les bains tièdes, les emmaillote- m
e la gamme des procédés hydrothérapiques a pour point de départ une excitation à la périphérie du corps; mais les effets se di
que cette dernière se dissimule souvent sous les 1 apparences de l' excitation et de l'agitation. C'est dans ces cas d'épuise-
r des indications sur l'état des forces du malade. 5° Aux états d' excitation et d'agitation conviennent géné- lement les app
de folie aiguë, d'essence plutôt sthénique, - tels, les épisodes d' excitation délirante de l'hystérie, qui, bienque justiciab
APIE ET HYDROTHÉRAPIE. 219 règles générales applicables aux états d' excitation ou de dé- pression psychiques ; mais c'est ici
ritabilité nerveuse et psychique sous ses divers aspects initiaux d' excitation ou de dépression. 14° La plupart des procédés h
, dispa- raisse. M. 111NHEIIdER Gommés (Paris). -- Dans les cas d' excitation générale avec barbouillage et scatophagie,la ba
(roubles de l'attention, idées obsédantes de toutes sortes, accès d' excitation avec an- goisse, paroles et gestes incohérents,
fébriles ou psychoses transitoires aigués, caracté- risées par de l' excitation ou de la dépression avec illu- sions, hallucina
vec dépression psychique et physique intense, sans délire et sans excitation bien marqués. Griesinger et Rondot (1883) ont r
relativement étendus, les uns spontanés, les autres en réponse aux excitations périphériques, les mouvements de défense, la th
la moelle produit de la paresse de la motilité ; S0 on peut. par l' excitation élec- trique, démontrer la persistance de l'exc
peut. par l'excitation élec- trique, démontrer la persistance de l' excitation , dans le tronc inférieur de la moelle au niveau
t donc suffisamment pourvue de fibres sensiti- ves et motrices et l' excitation peut bien parvenir aux ra- cines nerveuses qui
t la théorie des cen- tres moteurs de la moelle, ont démontré que l' excitation des racines nerveuses produisait des mouvements
rveuses produisait des mouvements syner- giques. « Chez le singe, l' excitation d'une racine déter- minée donne lieu à des mouv
parfaitement coor- donnés (Ferrier et Yeo) ; par exemple, lors de l' excitation de la première paire thoracique on voit les mem
s accomplir un mouvement approprié à la cueillette du fruit ; par l' excitation de la sixième paire cervicale, le bras s'approc
turc. Un mouvement spontané n'est qu'un réflexe répon- dant à une excitation interne (2). La nature de l'activité biologique
prédominance va s'atténuant à mesure que l'organis- me s'adapte aux excitations brutales et continuelles subies par l'épiderme.
ques jours après'la naissance, lorsque le cerveau peut réagir aux excitations externes ou internes. A partir du mot ment où l
nommé Demétrius Carini. Comme le malade était dans un grand état d' excitation , on l'enferma, à dix heures du soir, dans une c
mélancolique avec hallucinations, idées confuses de per- sécution, excitation , insomnie. » Au bout de 20 jours d'interne- men
rta le diagnostic : de (. retire mélancolique avec hallucinations ; excitation par inter- valles et tendance au suicide. » Com
rs seulement. En 1901, second internement, mais cette fois pour : · Excitation maniaque, gé- missements, propos incohérents,-
s de ces trois catégories do filets nerveux, à la condition que ces excitations soient suffisamment fortes. Tel n'est pas l'axi
ème catégorie de terminaisons nerveuses all'ectécs spécialement aux excitations douloureuses. Au lieu d'être simplement l'organ
de la difficulté qu'éprouvent les éléments nerveux à réagi i aux excitations lorsque, sous unnintlucnce quelconque, leur lon
vec la même technique à l'examen dusang des psychiques avec ou sans excitation maniaque et l'on constatait la présence d'un di
s les fait disparaître en cocaïnisant les moignons.Ce sont donc les excitations périphé- riques parties dela région cicatriciel
les imagescorticalessont trop faibles pourêtre pro- voquées par les excitations périphériques. (Amputés congéni- taux.) '1 . z
56 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
une tendance marquée aux alcools, il passait par des alternatives d' excitation et de longue dépression, avec incohérence des a
aractéristique l'excitabilité extrême du patient, qui, à la moindre excitation , faisait un saut (jumping) désordonné, répétait
ez lesquels les phénomènes nerveux se produisent en dehors de toute excitation apparente ou plausible. « Un exemple, pris entr
et de fibres expiratrices, les premières étant plus accessibles à l' excitation . Chez un lapin chloralisé l'excitation du bout
s étant plus accessibles à l'excitation. Chez un lapin chloralisé l' excitation du bout central produit toujours un arrêt en ex
ire. hi. Franck, au contraire, prétend que l'inspiration qui suit l' excitation du nerf vague est une réaction douloureuse et q
élucider cette question, M. Ilenrijeail a répété l'expérience de l' excitation du bout central du pneumogastrique après avoir
l'anémie (chorea dimidiata d'Eulenburg), à la résorption biliaire ( excitation cérébrale) de l'atrophie jaune aiguë du foie. P
ccident ni avant ni après. Absence d'étiologie. M. Berger croit à l' excitation centrale, corticale ou bulbaire de l'hypoglosse.
région lombaire. L'électrisation du thorax réside uniquement dans l' excitation rapide de la contractilité des muscles superfic
itées après leur réveil. Retombent-elles immédiatement dans la même excitation , ou bien au contraire, travetsent-elles en se r
rt décrits par M. Charcot; il pense, avec M. Vulpian, que certaines excitations périphériques déterminent un état spécial des c
ctrique des circon- volutions cérébrales et sur la p< ! ) iode d' excitation latente du cerveau ; par H. Crosnier de Varigny
u'elle attribue à ses persécuteurs, de la constipation et un état d' excitation qui -Importe à l'isolement pour se mieux pénétrer
le certificat suivant : «-Délire chronique mystique, volubilité et excitation , hallucinations de la vite. Révélations divines.
air excité; il ,'n'est pas.soIider>sur sesrjambes.jBient(Jtyso,n excitation tombe, il -s'affaiblit dé plus , en. plus et pe
oliy préférer 1 sOlil-,Jaq citer les contractions musculaires par l' excitation bipoIaire-pluLÔtjfif que par l'excitation unipo
actions musculaires par l'excitation bipoIaire-pluLÔtjfif que par l' excitation unipolaire; il modère la force^des dé liargs,11,1
du, visage chez /es (f ! Ht ! s. Nous en éliminons les indications excitations bibliographiques, tout intéressantes qu'elles s
sions les plus diverses et même les plus opposées. U se voit dans l' excitation maniaque où, tel est souvent l'afflux des idées
r exemple, chez les déments complets ou imparfaits, une très faible excitation déchaîne une forte réaction du côté de la mimique
mbent comme s'ils avaient la lourdeur du plomb; peu de réaction aux excitations douloureuses. Mort. Ixtopxti'.L'hémipiégiedrote
t dure un peu plus que le courant. Cela s'observe aussi bien pour l' excitation directe que pour l'indirecte (c'est- à-dire que
es oies, des poules, des lapins, des chiens, parla double méthode d' excitation et de destruction des tissus, peut se formuler
P. K. 312 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XHV. Sur la sommation DES excitations dans LES NERFS sensitifs DE l'homme; par de Wat
eville. (JVe : f)'0. CcntrvlLl., 1883.) On dit qu'ily a sommation d' excitations d'un tronc nerveux quand ces excitations, trop
n dit qu'ily a sommation d'excitations d'un tronc nerveux quand ces excitations , trop faib)espare))es-m6me6 pour entraîner une ré
'espace de certaines limites) avec leur fréquence. La sommation des excitations sur le tronc nerveux s'opère plus facilement, qua
bres serait la résultante de contre-coups (actions ultérieures) des excitations électriques, tandis que la sommation dans les c
xcite directement par les courants faradiques. Même remarque pour l' excitation du nerf qui l'anime, de quelque façon qu'on mod
a nais- sance ; est devenue sujette, en grandissant, à des crises d' excitation et de violence; intelligence bien au-dessous de
ette intoxication, l'aliéné, outre qu'il trouve souvent l'appoint d' excitations nécessaires pour passer l'acte déli- rant, qui
t plus ou moins, sauf à s'effacer plus tard devant elle quand cette excitation sera tombée. Que de fois cette situation ne s'est
e générale de la force brutale, avec impossibilité de localiser les excitations sen- sibles, aboutissant à une augmentation con
ne certaine restriction les premiers ré- sultats obtenus. D'abord l' excitation de l'écorce, telle qu'elle a été pratiquée par
. A Schiff, qui a défendu l'opinion que les convulsions issues de l' excitation électrique de l'encéphale émanaient des ré- fle
u'il ne connait pas de mouvements réflexes simplement originaires d' excitations tactiles, et qu'il n'a jamais observé de mouvem
ents réflexes qui aient quelque ressem- blance avec les effets de l' excitation électrique. Braun a du reste fait ressortir que
ariablement absente chez les patients guéris; 20 la répétition de l' excitation électrique décèle un épuise- ment de l'excitabi
'byperexcitabilité préalable. M. Mommsen pense que les phénomènes d' excitation observés dans l'emploi clinique de ces essences
vaisseaux. On sait aujourd'hui que l'albuminurie peut dépendre de l' excitation des vaso-constricteurs des artères rénales et q
mi- 390 BIBLIOGRAPHIE. lieu extérieur. La sensation résulte de l' excitation de l'organe psy- chique par une incitation nerv
Fechner, Wundt,Ptlùger, Brenner, relatifs aux valeurs limites des excitations . Les esthésies, pour consigner son expression,
e psychique; en vertu de cette exagération de la sensi- bilité, les excitations sont arrêtées dans le domaine psychique, d'où l
par Emminghans, 338. Pneumogastrique (effets respira- toires de l' excitation du), 78. Poliomyélite antérieure subaiguë .40
57 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
du 1't mai au 20 juillet. 10 août dépression pro- fonde. 7 octobre. Excitation . Agitation du 11 octobre au 12 décembre. Rendue
1. NI .. Louis, Uns. 80. 1 c. 25. Ons. 116. Fic,. 20. O. G. X" 1. Excitation . 24 août 1906. Ons. 116. FiG. 27. 0. G. N* 2. D
pression. 2S septembre 1900. Le champ n° 1 correspondant a l'état d' excitation , est sensiblement normal. On trouve dans le cha
ficilement perçues étaient le bleu, le rouge et le vert. f . Avec excitation (manie et manie dépressive de Kroe- pelin). Sur
stamment en haut quelquefois en haut et en dehors. 6° Dans l'état d' excitation , la variation du champ visuel se traduit par un
es fugues que l'ont pres- que tous les circulaires à leur période d' excitation . (4) Il convient ici de faire une dislinction e
: d'après lui, les fugues se produisent chez des instables sous des excitations relativement minimes. Peu à peu ces excitations
instables sous des excitations relativement minimes. Peu à peu ces excitations deviennent de plus en plus in- signifiantes et
de la vraie somnolence et non de la lassitude. 2° Pour maitriser l' excitation dans la manie aiguë l'auteur donne le véronal à
cessaire de dépasser la dose initiale de 1 gr. 50 centig. 3° Dans l' excitation motrice de la paralysie géné- rale et du déliri
sur la tête, deux jours après laquelle il présenta des phénomènes d' excitation maniaque à laquelle succéda une crise hystériqu
sile à cause de la complication de leur névrose convul- sive ; de l' excitation violente, des impulsions fréquentes, avaient re
r la seconde fois au mois d'août, 11JO6. Diagnostics antérieurs : « Excitation maniaque, manie aigué ». Père et mère morts de
poussées jusqu'à l'inertie à peu près complète ; et des périodes d' excitation plus ou moins violente. lia été interné une pre
herche querelle à sa femme, a du délire de paroles et d'actes, de l' excitation génitale, arrête les femmes dans la rue, ameute
rofondément, est apathique, déprimé, triste. Pendant ses crises d' excitation , il a de la diarrhée, des sueurs froides aux de
ste dans le mu- tisme et la stupeur, devient gâteux. Les périodes d' excitation sui- vent sans transition, durent de à à 4 mois
a nuit, monte sur un bateau en partance pour Newhawen où son état d' excitation le fait remarquer et remettre à terre. Les pare
s'enivre pas facilement. Il passe par des phases de dépression et d' excitation , mais fait des fugues indirectement dans l'une
indrie sur l'ceil recouvert par le bandeau. Alors on constate que l' excitation cérébrale croisée est en rapport avec le degré
donnée, à la cellule nerveuse, quand le champ où elle recueille des excitations est distinct et éloigné de ce- lui auquel elle
nes sensoriels et moteurs, et notamment pour les rapports entre les excitations sensorielles et les réactions motrices, pourra
présidant dans les centres à la genèse réflexe des mouvements par l' excitation lumineuse seront aussi inverties ; les points l
tine corres- pondent aux points de l'objet les plus éloignés ; leur excitation est le point de départ (dans la portion interne
t même chez le chien et quelques singes (Brown Séquard, 1882), leur excitation , précédée ou non d'une hémisec- tion d'un côté
symptomatiques qui suivent soit les hé- misections, soit certaines excitations centrales. Quant aux centres plus spécialement
cinations ont leur origine dans un centre de souvenir duquel part l' excitation qui met SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS. 21
ici les résultats obtenus. II. Influence de la dose (Intensité de l' excitation .) Expériences : ont porté sur l'action pupillai
us longue durée de la descente. IV. Influence de la répétition de l' excitation . Les expériences ont porté sur l'action pupilla
nclusions : Les va- riations de réaction, dues à la répétition de l' excitation , sont de nature cellulaire : la capacité d'adap
u'ils aient en 262 ' bibliographie. môme temps une action propre ( excitations mécaiiiclues,cotiiaiits électriques, massage vi
le-Evrard. Chez aucun de ces malades je n'ai trouvé cette période d' excitation eu- phorique ou de dynamie fonctionnelle que Ma
la proportion de 5 : ! pour 100 à peu près ; elle a débuté par de l' excitation maniaque dans lu % ; le début en a été indéterm
, etc. Parfois les phases de dépression alternent avec des phases d' excitation de courte durée. Le malade marche alors beaucou
établie, durait un certain temps et se trouvait en rapport avec les excitations reçues par les organes du même côté, identiques
reçues par les organes du même côté, identiques ou selnblables à l' excitation prin- ceps. La dimidiation des phénomènes mot
312 PSYCHOLOGIE. état affectif : elle n'a pas été notée après des excitations simples, non prévues et ne nécessitant pas d'in
réactions de chacune de cel- les-ci traduisaient la conscience des excitations . En des- cendant jusqu'aux animaux inférieurs a
ie. Ne sentant plus son bras, ne peut le remuer. Sous l'influence d' excitations externes, si on lui fait exé- cuter des mouveme
, car dans certains cas le sujet qui pré- tend ne pas percevoir les excitations qu'on lui fait y réagit cependant automatiqueme
mettons que le centre moteur ne soit pas complètement inhibé ; les excitations parties de la périphérie n'y déter- mineront qu
solument com- plète, de sorte que subconsciemment il perçoive les excitations affaiblies qui lui parviennent encore du cen- t
soustrait au fonctionnement de l'ensemble, ne réa- gissant plus aux excitations du dehors, ne les transmet- ' tant plus au cent
Pour m'en assurer j'avais deux moyens : les réveiller par une forte excitation comme si elles étaient réellement endormies ; o
s depuis. Non seulcment je procédai, des réveils d'emblée par une excitation br.usque, impérieuse, à la suite desquels des s
à plusieurs années en arrière, mais je poussai plus loin,et par des excitations successivesje produisis des réveils de plus en
l des haserlowiens, les troubles psychiques plus marqués fêtais d' excitation le plus souvent), enfin l'éclosion de syndromes m
ue du cerveau. 11 est donc naturel que certains réagissent plus aux excitations psy- chiques, et d'autres aux excitations sensi
tains réagissent plus aux excitations psy- chiques, et d'autres aux excitations sensitives, ou sen- sorielles, ou cénesthésique
dresser à des méthodes générales d'exci- tation du cerveau. Cette excitation peut être produite de deux façons : par la péri
être produite de deux façons : par la périphérie mécanothérapie, et excitations sen- sitives et sensorielles qui sont moins eff
nt normal quand on lui ordonne de se réveiller ou qu'on emploie des excitations habituelles dans ce but concurremment avec cett
us limités et les plus localisés, que ceux-ci disparaissent par des excitations analogues aux excitations générales employées p
isés, que ceux-ci disparaissent par des excitations analogues aux excitations générales employées pour le réveil des vigi- la
u une compression. Il cesse de transmettre et de laisser passer les excitations , d'où insensibilité, puis paralysie. Quand il r
Et lorsque ces réactions se produisent sous l'influence unique d' excitations mécaniques, sans hypnose, sans inponctions, est
nnelle de chaque hémisphère cérébral et de l'influence du degré des excitations péri- phériques sur le degré des manifestations
e manio-dépressive, de katatonie, d'hébé- phrénie, d'épilepsie avec excitation . Elle ne s'est pas produite dans les cas de fol
et la «physiologie des mouvements volontaires », sur le rôle des excitations sensitives et sensorielles dans la « fatigue musc
58 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ussi quand après les accès convulsifs se développent le délire ou l' excitation maniaque. 4° Certains malades, en particulier,
teur en montre un cas chez un héréditaire présentant des périodes d' excitation et de dépression avèc idées de persécution et q
aques convulsives, alors que la résolution est complète, la moindre excitation , bruit, attouchement, suffit pour produire des
ombaire le réflexe augmente d'intensité pour disparaître, lorsque l' excitation porte sur la région de la quatrième racine sacr
vent, il se produit un peu d'aphasie, de la paraphasie, une phase d' excitation maniaque, de la paralysie du bras; puis tous ce
ntécédents héréditaires. Abusus spirituosor1lln. Depuis quatre ans, excitations paroxystiques avec hallucinations, état mé- lan
ouïe est devenue normale, le champ visuel s'est élargi, les accès d' excitation sont moins forts. Dia- gnosis : hystérie plus p
hypéresthésiques au pincement sont analgésiques à la piqûre et aux excitations électriques et thermiques. Troubles vaso-moteur
et des muscles. L'auteur croit expliquer ces troubles nerveux par l' excitation de la moelle épi- nière, déterminée par le pied
e parfois dans les neurites, devrait trouver son explication dans l' excitation .analogue de la moelle épinière. D'après M. Rot
de- sociétés savantes. 1139 vrait être envisagée comme résultat d' excitation par voie réflexe des centres vaso-moteurs des m
t que des représentations d'états de cons- cience provoqués par des excitations extérieures, il est à présumer que les conditio
ats de conscience que l'on peut voir se développer en conséquence d' excitations phy- siques, cette similitude de conditions phy
de la lumière, du son, des odeurs, des sa- veurs, l'équivalence des excitations sensorielles (vision colorée, synesthésies), le
le matin, des troubles sécrétoires. D'un autre côté, si l'absence d' excitation physiologique est capable de .provoquer des dépre
que est capable de .provoquer des dépres- sions fonctionnelles, les excitations excessives peuvent aussi déter- miner des troub
s peuvent être atteints de diminution ou de perversion à la suite d' excitations excessives déterminant l'épuisement et provoqua
abilité pa- thologique du sujet qu'à la nature de l'excitant. Les excitations externes déterminent donc des effets locaux et
augmentation de -la force-musculaire en même temps qu'une certaine excitation de l'activité psychique. Mais le travail forcé
de la circulation et de la nutrition, déterminant, comme toutes les excitations internes ou externes, un état particulier de te
rimentation. Un point digne de remarque, c'est que dans les états d' excitation l'accélération du processus d'asso- ciation est
té des accès d'excita- tion de la mélancolie agitée. A mesure que l' excitation devient plus intense, on voit se manifester une
lucinatoires s'accompagnent des mêmes phénomènes extérieurs que les excitations périphériques et les phénomènes phy- siques des
les nuits à la recherche de son mari, dans le but de l'arracher aux excitations des mauvais camarades et d'empêcher dans la mes
toxicité fut tantôt diminuée, tantôt augmentée. Dans la manie et l' excitation maniaque, la toxi- cité du sang s'élève. Dans l
t; ceux enfin dont la nature mo- rale, placée dans des conditions d' excitation surnaturelle les pousse à s'imaginer qu'ils viv
dans un asile d'aliénés. A l'asile, alternatives de dépression et d' excitation . Quelques jours après l'entrée, le médecin, au
s premières; 4° la disparition de ces convulsions, dès la phase d' excitation de la narcose chloroformique. P. K. XXVI. DEUX
e Rumpf, c'est l'onde contractile con- sécutive à la cessation de l' excitation indirecte. Elle ressemble au tétanos de Ritler
s, dysphagie, dyspnée, phénomènes inten- sifs à l'occasion de toute excitation optique ou auditive. Convul- sions toniques adr
ivi aucune évolution régulière. A certains moments, ils ont eu de l' excitation maniaque au cours de laquelle les idées de pers
que les idées de persécution aient persisté pendant les périodes d' excitation . M. Séglas a observé une persécutée alternative
; urines normales; conserva- tion de la tonicité des vaisseaux. Une excitation des tissus cicatri- ciels au niveau des escarre
. - phénomènes qui doivent être considérés comme des phénomènes d' excitation d'ordre moleur. Au point de vue qui nous occupe
galvanique d'autres nerfs; la ferme- ture de l'anode est l'agent d' excitation de zip, la fermeture de la £ z cathode celui de
e jour coma grave avec 42 pulsations, acci- dents de paralysie et d' excitation de tout le côté gauche du corps. Le douzième jo
travail SOCIÉTÉS SAVANTES. 285 pénible ou encore après certaines excitations thermiques. Pas d'autres accidents. Il s'agit t
nés à délire partiel n'éprouvèrent aucune modification psychique. L' excitation , quand il y en avait, se dissipait, mais le dél
de la conscience se complique dans beaucoup de cas de phénomènes d' excitation , de dépression, de stu- peur, d'impulsion etc..
somnie, troubles digestifs. Peu à peu, la dépression disparaît et l' excitation intellec- tuelle s'accroit; le malade, sans ces
ssociations extrêmement rapides des idées est, sui- vant le degré d' excitation intellectuelle, parfois plus rapide que sa mani
datif, recommandable surtout chez les femmes, dans tous les états d' excitation psychique ou motrice accompagnant diverses- for
moyens : l'occupation, la dis- traction, l'éloignement des causes d' excitation associés à la pa- tience et à la prudence des g
l'espérance de perdre leurs mauvaises habitudes. Ils éprouvent une excitation mentale très marquée, comparable il celle que p
rudence chez les cardiaques. Mais dans l'agitation nerveuse, dans l' excitation surtout motrice, dans l'insomnie, dans la période
omoforme a donné des résultats favorables et rapides dans les cas d' excitation maniaque. Le médicament n'a jamais dû être donn
tement 464 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. au déclin d'une période d' excitation ; le coeur était hypertrophié, gras, le myocarde
rès hypertrophié. Comme état mental : stupidité avec des périodes d' excitation caractérisées par REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
lus de signes de néphrite. 4° Maniaque avec idées de persécution, excitation considérable et tendance au suicide. Traces d'a
59 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
éner leurs confrères, même après leur mort, alimente sa verve par les excitations de l'opium. Cela prouve une fois de plus la vérit
, de savoir le placer dans les conditions les plus favorables à cette excitation et surtout de savoir profiter des circonstances q
est là : savoir faire naître et saisir les circonstances propices à l' excitation de la suggestibilité de chacun. Suggestionnée p
point de départ initial du rêve, phase d'excitalion initiale. 2* L' excitation initiale se transmet à certains centres cérébraux
vité sous forme de souvenir, phase du soutenir. 3* De ces centres l' excitation s'irradie dans un plus ou moins grand nombre de c
es phénomènes du rêve peuvent se décomposer en trois phases : phase d' excitation initiate, phase de souvenir, phase d'irradiation;
; 3* La seconde phase semble pouvoir se produire en dehors de toute excitation initiale sensilive, sous une simple variation de
est déjà victime. Il s'agit de l'hypnose ou sommeil provoqué par une excitation monotone, continue, prolongée, des sens de la vue
tivité morbide des centres nerveux en isolant le cerveau des causes d' excitation inutiles ou nuisibles; elle est caractérisée par
ers russes, par M. le D1 Orutzkv, de Moscou, p. 87. 4. Action des excitations mécaniques faibles et répétées sur l'anesthésle
muqueuses est totale ; la malade ne icagit sous l'influence d'aucune excitation . Toutefois, l'introduction de la sonde œsophagien
produit aussitôt qu'on soulève les paupières. Pendant ces périodes d' excitation provoquée, la face se colore, le poulB devient pl
ure depuis le réveil avait été constamment inférieure à la normale. L' excitation morbide des centres thermogènes constatée pendant
ccupe l'envahissement des organes par le bacille de Koch a provoqué l' excitation d'une zone hystérogène imprécise, excitation suff
lle de Koch a provoqué l'excitation d'une zone hystérogène imprécise, excitation suffisante pour déterminer à un moment donné l'ex
mation de zones hystérogènes susceptibles d'amener le réveil par leur excitation . Le séjour à l'hôpital est le seul moyen de sat
gestion. — Discussion : M. Paul Parez. M. Paul Maonin. — Action des excitations mécaniques faibles et répétées sur l'anesthésie h
ulaire de la Société. La séance est levée à 6 h. 45. Action des excitations mécaniques faibles et répétées sur l'anesthésie h
s que les effets moteurs les plus complets étaient déterminés par des excitations faibles et répétées un certain nombre de fois.
ations faibles et répétées un certain nombre de fois. Les premières excitations peuvent n'être suivies d'aucun résultat alors que
addition latente (Ch. Kichet) (ï). J'ai fait voir également que ces excitations avaient une action marquée sur l'anesthésie des h
et qu'il était possible d'obtenir des effets esthèsiogénes au moyen d' excitations mécaniques faibles et répétées, aussi bien sur de
'hystérique dont la sensibilité ne pût être réveillée au moyen de ces excitations faibles et répétées. Le temps nécessaire à ce r
é. Mêmes résultats si au lieu d'agir sur la sensibilité générale, l' excitation s'adressait à la sensibilité spéciale. Etantdon
la sensibilité spéciale. Etantdonnée la difficulté de réaliser des excitations faibles et répétées sur le goût et l'odorat, mes
leur et cela d'une façon intermittente mais prolongée. En général l' excitation de l'œil au moyen des rayons correspondant aux co
s'agissait. Il faut donc attribuer une certaine part d'action à l' excitation mécanique en elle-même, en dehors de l'auto-sugge
eignement à l'Ecole de Psychologie en même temps que sur l'action des excitations faibles et répétées dans la production des phénom
conduite d'eau voisine du mur. On peut, en apparence, au moyen des excitations faibles et répétées endormir des malades hémianes
éslques : aucun de leurs sens spéciaux ne parait impressionné par les excitations extérieures. Chez Gésine, telle sensibilité est,
avent que si ces substances ont le pouvoir de produire la plus grande excitation , par contre elles vident vite les centres nerveux
xie. Les symptômes de la cataplexlc apparaissent surtout a la suite d' excitations vives et soudaines comme celles qui résultent d'u
elle, furent ceux d'un état de dépression bientôt suivie d'un accès d' excitation maniaque. Le certificat médical s'exprimait ainsi
lique, demeurant assise sans parler, puis qu'elle avait présenté de l' excitation , quit- tant la maison et allant et venantsans b
usicale que vous interprétez, etc. Les exécutants se créent un mode d' excitation qui les isole du monde extérieur ; la pratique mê
irritation périphérique. Chez les jeunes filles et chez les adultes l' excitation a son point de départ dans le système nerveux cen
le éprouvait une passion violente pour le sexe mâle et un paroxysme d' excitation jugé dangereux et destructeur, ce qui amena son i
e très régulièrement bien qu'à chaque époque cite ait eu des crises d' excitation avec manie de destruction. Elle a eu son père, un
le du comté de Norfolk, le 29 avril 1865, pour un accès de manie avec excitation . Au moment de son admission, elle présentait une
épètent trop souvent, l'organisme acquiert une certaine habitude de l' excitation alcoolique et le sujet commence à ressentir le be
Je vais mourir!... Promettez-mol que je ne vais pas mourir!... » Son excitation cérébrale et musculaire est incessante ; elle sou
is peut-être réussi à l'hypnotiser par la parole, ou simplement par l' excitation de l'ouïe; mais comme il s'agit pour moi d'un ter
tout en étant passager) est strictement inhérent et limité aux seules excitations lumineuses. Du côté des membres inférieurs, c'e
ssions transmises au cerveau par voie centripète, s'y transforment en excitation centrifuge et aboutissent à l'acte de la même man
conde personnalité différait de la personnalité normale par un état d' excitation sensilivo-motrice qui ne disparut que lorsque la
s manies qui ont pour point de départ le besoin de trouver un moyen d' excitation . Ces malades sont convaincus que les forces vont
ent un peu de nourriture, se remettent à agir, puis, le léger degré d' excitation épuisé, recommencent. Certains malades sont sit
. Amaurose, par Emirzé, p. 318. Anesthésie hystérique (Action dea excitations mécaniques faibles et répétées sur l'), par Paul
60 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des réflexes rotuliens; troubles urinaires légers,,diminution de, l' excitation électrique des muscles sans réaction de 'dégéné
des facultés et notamment de la mémoire. Incapacité de se diriger. Excitation par intervalles. Signé : Dr Rouillard. 10 oct
126 REVUE DE thérapeutique. ' laire réflexe, c'est-à-dire qu'une excitation quelconque de la sensi- bilité produit chez ell
re de tous les muscles du corps du côté opposé à celui sur lequel l' excitation a agi. Si l'exci- tation porte sur les deux côt
s, la contracture est bilaté- rale, généralisée; même résultat si l' excitation porte sur la partie médiane du corps. Mais c'es
si l'excitation porte sur la partie médiane du corps. Mais c'est l' excitation delà rétine qui donne des résultats plus compli
citation delà rétine qui donne des résultats plus compliqués : si l' excitation porte sur la macule jaune, ou sur un point de l
e qui revient à susciter chez lui des hallucinations négatives, les excitations ne produisent plus les mêmes réactions que préc
erprétant les résultats de celles des expériences qui ont trait aux excitations rétiniennes, l'auteur est amené à pré- senter c
ues suivent un trajet cortical; 2° l'hallucination positive est une excitation presque analogue à une excitation périphérique
l'hallucination positive est une excitation presque analogue à une excitation périphérique réelle, parce que le résultat, ave
muscles spon- tanément mobiles qui, sous l'action de la plus faible excitation , peuvent être contractures. Toutes les contract
s les contractures artificielles durent de dix à vingt minutes. Les excitations fortes engendrent de grandes attaques d'hystéri
les réflexes antibrachiaux et du poignet sont à peine sensibles. L' excitation de la conjonctive, de la mu- queuse du pharynx,
des états de fatigue, la perception deviendrait'moins intense, les excitations arriveraient à' la conscience plus' lente- ment
. L'ivresse est punissable, avec aggravation de la peine, lorsque l' excitation alcoo- lique a été recherchée pour fournir l'ap
comme des malades du cerveau auxquels on évite toutes les causes d' excitation ou d'irritation : abstinence totale des boissons
il peut projeter son délire au delà du temps d'action du toxique. L' excitation corticale ne s'apaise pas complètement chez lui
venait de la diminution de la conscience, des impressions dues aux excitations externes. Le cer- veau fonctionnait bien dans s
ntractures réflexes dans l'hysléro-épilepsie sous l'influence d'une excitation sensorielle ou sensitive (oeil, oreille, larynx
ne, on constate l'existence de deux champs nettement séparés dont l' excitation provoque de l'hémi- contracture. La moitié nasa
che engendrent une hémi- contracture du côté droit exclusivement. L' excitation de la moitié temporale périphérique de l'oeii d
oduisent à la fois dans un grand nombre d'organes, à la suite d'une excitation sen- sitive cutanée, sensorielle ou émotive. Da
lisme, léthargie), les phénomènes vasomoteurs consécutifs soit aux excitations sensitives (même en l'absence de toute perception
chives, t. XXVIII. 22 338 sociétés savantes. apparente), soit aux excitations émotives (même en l'absence de toute manifestat
me font la sensation réelle et l'émotion. Dans iasyringomyétie, les excitations sensitives, même lorsqu'elles sont faites sur d
intelligence. Il s'agit d'un phénomène psychique isolé, phénomène d' excitation de la sphère visuelle occi- pitale, comparable
ion de la sphère visuelle occi- pitale, comparable aux phénomènes d' excitation motrice de l'épi- lepsie jacksonienne, et lié à
contraire, d'analyses d'urine de paralytiques généraux, que dans l' excitation les quantités d'acide phosphorique, d'urée et d
lle des fébricitants. Aussi bien, dit M. Lailler, dans les phases d' excitation que de dépression, la densité de l'urine est to
rritation des rameaux nerveux terminaux du vestibule par lesquels l' excitation réflexe est transmiseaux centres cérébelleux co
est vert pour d'autres. Le spectre sera d'autant plus coloré que l' excitation sera plus forte. Il est, en général, plus inten
lade anesthésique peut dire, les yeux fermés,- de quel côté porte l' excitation . Le signe de la sensibilité ou signe du spectre
ade demeure longtemps assis. Quelquefois, par moments, phénomènes d' excitation des nerfs moteurs, tels que : crampes dans les
ourbe en avant. De très bonne heure apparaissent des phéno- mènes d' excitation des nerfs cervicaux et dorsaux qui, progressive-
ar le droit interne, en bas par le milieu de la cuisse, soumise à l' excitation que détermine la rayure d'une tête d'épingle ou d
s réflexes qui servent de moteurs, et que par leur intermédiaire, l' excitation de certains départements cutanés produit toujou
ion cérébrale intermédiaire au sommeil et à la veille. Pathogénie : Excitation du faisceau cérébral moteur du triju- meau ; se
vaut mieux aussi les défendre dans les cas légers et récents, que l' excitation qu'elles provoquent émane soit d'une nostalgie
es agressives ou moqueuses. Les voix peuvent aussi se produire sans excitation sensorielle d'aucune sorte; le patient les ente
e, aussi faible et localisée soit-elle, il peut entrer en jeu : une excitation vient à peine frapper un centre sensoriel, visu
rale : le malade n'en- tend ses persécuteurs que par une oreille; l' excitation n'a frappé dans ce cas qu'un seul hémisphère. P
ts s'expliquent par la propagation au centre moteur du langage de l' excitation du centre auditif cortical (Baillarger, Séglas,
, des idées de persécution aux idées de grandeur. La continuité des excitations sensorielles, sans cesse renouvelées, entraîne
ultés, et de DE LA PANAROIA. 479 l'état du sentiment (dépression, excitation ), qu'ils ont réellement observés, mais à des de
n action, elles sont de plusieurs ordres : 1° Sous l'influence de l' excitation du nerf auriculo-temporal et de la section du s
s et prennent une forme plus arrondie. z 2° Sous l'influence de l' excitation du sympathique, avec section de l'aurieulo-Lemp
u'on cons- tate dans l'expérience de la section du sympathique avec excitation de l'auriculo-temporal ; mais les vacuoles sont
t notablement augmentées de volume. 4° Enfin, sous l'influence de l' excitation simultanée de l'auriculo- temporal et du sympat
nucléoles très nettement dessinés. Dans toutes ces expériences, l' excitation a été provoquée à l'aide d'un courant de force
le, que les éléments morbides tels que l'agi- tation, l'angoisse, l' excitation , les hallucinations sensorielles, les illusions
que l'on pourrait presque croire à un trouble cérébral isolé, à une excitation du centre auditif. Finalement les malades succo
ranoïa hallucinatoire aiguë décrits parM.Mendel. Au premier stade d' excitation et même d'angoisse, succède une agitation ma- n
st la conséquence obligée. Si le malade conserve un certain degré d' excitation , la luci- dité apparente susindiquée n'entre pa
côté d'eux, Meynert range l'agi- tation qui constitue un symptôme d' excitation . En somme, dans la confusion mentale ou désordr
ue soient les points faibles déterminés par la maladie mentale, les excitations locales les plus différentes peuvent, par irrad
61 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
muscles parésiés répondent mieux à l'incitation volon- taire qu'à l' excitation électrique ; il convient alors d'associer -l'ex
il a absolu- ment raison, ne sont qu'une cause d'irritabilité et d' excitation pour les malades, et il veut dès lors redonner
bition.' Aussi son traitement doit-il viser à diminuer les causes d' excitation réflexe (diète, occupations, médicaments). Le p
» reste tout entière à prouver R. de MUSGRAVE CLAY. 1V.);SSAIS d' excitation électrique des régions du cerveau, président au
bien en arrière dos précédents. Les expériences d'extirpation et d' excitation par l'électricité de ces régions ont donné des ré
en est voisin. Munk se base sur des expériences d'extirpation et d' excitation électrique. Beevor et Horsley, dans leurs reche
ick, faites dans le but de contrôler celles de Munk (extirpation et excitation des régions corticales) ne lui ont pas fait con
sous du centre du membre antérieur (centre pariétal de la nuque). L' excitation de ces deux centres détermine un mouvement du m
des doivent varier avec chaque cas en particulier. Pour ramener l' excitation sexuelle dans sa voie normale, le con- cours d'
alades deviennent alors emportés, violents, sujets à des périodes d' excitation accompagnée d'hallucinations. C'est bien le bro
curoloy. Centralbl., XV, 1896.) Le vomissement réflexe provient d' excitations périphériques allant frapper certains centres r
ction pour se prononcer. M. GIRAUD. - Ce n'est pas seulement avec l' excitation maniaque que la paralysie générale peut être co
de celte enfant 254 SOCIÉTÉS SAVANTES. trop de travail ou trop d' excitation (visites où l'on s'occupe trop des enfants, jeu
e. Du reste, pas d'hérédité tubercu- leuse. Fallait-il penser à une excitation médullaire par mal. de Pott ? La colonne vertéb
Accès d'épilepsie jacksonienne, débutant au bras. Démence. Parfois excitation très forte presque sans mo- tifs, s'exprimant e
aphiques obtenues pendant les mouve- ments volontaires et après des excitations électriques et mécaniques, on voit nettement qu
e répond pas durant une irritation plus ou moins prolongée à chaque excitation à part, mais semble s'accumuler ; la courbe myo
défécation, etc. 1897. Mai : s. Le malade se trouve dans un état d' excitation et d'irritabilité extrême, il parle, profère de
1 GENÈSE DES CIRCONVOLUTIONS DU CERVEAU, ETC. 401 excellence des excitations nerveuses. En même temps le corps cellulaire de
. En même temps le corps cellulaire devient libre pour recevoir des excitations secondaires de cellules d'association (corbeill
olongée des éléments nerveux de cette province du névraxe, dans les excitations physiologiques provoquées par les besoins toujo
d'une aphasie purement fonctionnelle. Gowers admet, en effet, que l' excitation de certain point du cerveau peut entrainer une
la paraldabyde, de l'uréthane. Il réussit surtout dans les formes d' excitation plutôt que dans celles de dépression. Dans cert
ysique, déclare Féré, il y a un état émotionnel en rapport avec une excitation locale ou générale, qu'elle soit perçue ou non.
ne façon générale les obsessions peuvent être considérées comme des excitations non diffusées à l'ensemble des centres ner- veu
appareil périphérique du nerf vague, ou bien elle est l'effet d'une excitation des centres intra-cardiaques et du muscle du co
enne. Cela prouve que ce n'est 444 SOCIÉTÉS SAVANTES. pas aussi l' excitation directe du coeur qui cause son accélération, et
nous avons mis en lumière pour la première fois la possibilité de l' excitation toxique du centre des nerfs accélérateurs. En
(frisson, fièvre, céphalalgie, vomissements). Une deuxième phase d' excitation : dédire, contractures et crises jack- sonnienn
M. Alfred Rouxeau ; - Sur les mouvements des membres produits par L' excitation de l'hémis- phère cérébral du côté correspondan
z les vertébrés supérieurs; par M. Charles Rouget- Recherches sur l' excitation des nerfs par les rayons électriques (1er mémoi
'1 : 472 CLINIQUE NERVEUSE. Le 13, injection de 30 cent. cubes. L' excitation a disparu.T.37,4.' Les 14, 15, 16, 17, pas d'in
, sans troubles fonctionnels. Du côté mental, un accès passager d' excitation maniaque. , Une augmentation du nombre des atta
ermie relative, 37,8. Pas de troubles fonctionnels. Diminution de l' excitation habituelle. ' Le 4, injection de 40 cent. cub
l l'état habituel. ' ' Le 11, injection de 30 cent. cubes. T. 38,4. Excitation . L'alca- lescence du sang mesurée il 5 heures d
ions sont continuées jusqu'au 12 septembre. Menstrua- tion suivie d' excitation plus violente. Pas d'attaques. Fonctions réguli
uinze jours environ.Elles sont précédées et suivies d'une période d' excitation violente. Dans les intervalles la malade est faci
attaques. Pendant la dernière quinzaine, pas d'altaques. Période d' excitation suivie de dépression. Augmentation transitoire
se rattacher à un choc nerveux subi par la moelle et résultant de l' excitation exagérée et passa-- gère que cause un travail l
énomènes analogues, où un épuisement nerveux passager succède à une excitation trop forte. L'auteur termine en citant les paro
e sur les mouvements de ces muscles. L'expérience a montré qu'une excitation du centre laryngé produit des mouvements d'addu
ême pour ce qui concerne les yeux. On sait depuis longtemps qu'une [ excitation au niveau du pied des deuxième et troisième fro
externes et internes par la sec- tion de leurs nerfs respectifs, l' excitation au même point du cer- veau produit encore des m
empérance, chaque crise étant accompagnée de douleurs localisées, d' excitation maniaque ,et de troubles de la mémoire caractér
utif aux manoeuvres hypnotiques, soit par perversion instinctive et excitation sensible en condition seconde, soit par insensi
e l'exagération de la fonction dans une direction déterminée. Cette excitation du système nerveux par la suggestion ne peut êt
éfense, ont la plus grande importance. Il ne faut pas oublier que l' excitation apparente de la fonction faisant disparaître le
utique donne les meilleurs résultats dans le traitement des états d' excitation générale du système nerveux, quelle que soit la c
tion générale du système nerveux, quelle que soit la cause de cette excitation . Mais ce sont là des résultats passagers. On ne
idées impulsives est toujours accompagnée par la disparition de l' excitation générale, de l'insomnie, de l'état affectif, inap
cipaux symptômes, deux reconnaissent incontestablement pour cause l' excitation permanente du sympathique cervical. L'exopthal
te du sympathique cervical. L'exopthal mie peut être produite par l' excitation expérimentale du nerf, les expériences de Cl. B
t goitreux. Donc le sympa- thique peut être excité à la périphérie, excitation mécanique ou chimique, par le goitre ou par la
mique, par le goitre ou par la sécrétion thyroïdienne, ou subir une excitation centrale primitive, chez les basedowiens sans g
es basedowiens sans goitre. Aussi, quelque soit le mécanisme de l' excitation , celle-ci existe; et, enlever le sympathique ce
e dia- gnostic et de traitement, par Pa- trick, 45. ELECTRIQUE. Excitation - des ré- gions du cerveau chez le chien, par
62 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s musculaires étaient provoqués par la station debout, c'est qu'une excitation très vive s'en suivait dont le point de départ
ussi bien avec le courant interrompu, qu'avec le courant continu. L' excitation de la peau avec le courant interrompu pro- voqu
s la coloration des deux moitiés de la face, sous l'influence d'une excitation avec un courant interrompu, l'apparition des règl
la baguette. Le long fléchisseur du pouce reste réfractaire à toute excitation ; tous les muscles innervés par le médian, se con-
ressantes. Tout d'abord, dans aucun des huit cas, on ne rencontre d' excitation du sens génital, ce qui vient confirmer les obj
'intelligence; avec cela l'absence des troubles des sen- timents, d' excitation motrice et de stupeur, ou du moins l'appa- riti
e de dépression, de peur ou de déses- poir, tantôt, au contraire, d' excitation active atteignant la fureur. La marche est rémi
ranoïques, on voit chez ces malades un état épisodique d'une grande excitation , avec un trouble de sentiment 118 REVUE DE PATH
re côté les complexus de symptômes caractérisés par la confusion, l' excitation , les erreurs des sens et le délire d'emblée son
e démence simple, tranquille, sans conceptions déli- rantes, sans excitation maniaque, sans délire ambi- tieux. Les choses,
querelles. Enfin, surtout quand il a puisé dans un excès récent une excitation passagère nouvelle, il peut se laisser entraîne
tion des centres moteurs du langage produira, suivant le degré d' excitation : l'impulsion verbale, l'hallucination verbale mo
centrale. Les premières seront dues à des impressions morales, des excitations physiques; les secondes consistent directement
partiel ou général, du système nerveux central, sous le conp d'une excitation auormale, et proportionnée pour l'in- tensité a
re. Il n'y a eu à aucun moment ni paralysie motrice, ni phénomène d' excitation . Or le système nerveux central du pigeon ne pos
e phénomène de Trousseau est le produit, et le produit unique, de l' excitation des nerfs. La réaction myotomique tient à une m
s ce cas l'existence d'une hypertonie des vaso- moteurs, liée à une excitation des centres de la cinquième paire de nerfs. La
suis énergiquement opposé, par crainte de pro- voquer chez elle une excitation dangereuse, aux visites de la mère et à celles
ntre si différente d'elle-même qu'on peut croire à un léger degré d' excitation cérébrale. Le 24 avril apparaît la première cri
des impressions de l'état de veille; soit qu'il ait pour origine l' excitation céré- brale spontanée de la malade, pendant sa
un état'com- plet de démence traversée de temps à autre par de l' excitation . Les caractères intellectuels sont plus intéres
arçon, à la peau fine et délicate, provoquait chez lui une certaine excitation génitale et le désir de mordre et de manger un
phénomènes psychologiques élémentaires à la suite des innombrables excitations extérieures : ce sont des phénomènes dus au sen
réaction, c'est-à-dire le temps qui s'écoule entre le moment d'une excitation perçue inconsciemment et un acte inconscient qu
onsidéré comme une réponse, dans les conditions de l'expérience à l' excitation produite Il a trouve que ce temps était plus co
que ce temps était plus court qu'il ne serait normalement, quand l' excitation est faite sur une partie sensible. Il y aurait
ST-PAROXYSTIQUE ET ÉPILEPTIQUE. 3S7 20 ans, Tac..., 1 accès suivi d' excitation , 5 urines : Albumine moyenne dans la l'° urine;
ien que, avec Claude Bernard on la considère comme le résultat de l' excitation des nerfs vaso-dilatateurs. On doit reconnaître
ille une urine : traces d'albumine. ' Thé..., quarante-sept ans : excitation violente. On est obligé de la camisoler et de l
er, interne en pharmacie du service. Vill..., pendant une période d' excitation violente, aui ait eu un jour 4 grammes d'albumi
es délirantes, mais moins intenses. Il y a surtout beaucoup moins d' excitation . On doit cependant toujours craindre de nouvelles
s engendre; elles se produisent toutesjleux en même temps. Genèse : excitation des centres vasomoteurs. 2° Exanthème ortié;
exsudation et oedème local. Au plus léger contact, à la plus minime excitation thermique ou autre. Deux observations. 3° Cya
eur et les poumons admise par Brown-Séquard comme con- sécutive aux excitations de la peau et de la région cervicale anté- rieu
é cardiaque et respiratoire, peuvent bien s'ob- server à la suite d' excitations de la région antérieure du cou et ^des organes
igine dans l'ensemble - de causes dues à cette compression ou à ces excitations . L'anal- gésie peut aussi s'expliquer sans le s
res ner- veux à la répétition d'actes semblables sous l'influence d' excitations semblables aussi. Cette propriété parait compar
oduire des mouve- ments visibles. (75). Cérébration complexe. Une excitation primitive peut être suivie de courants allant d
s mouvements exactement adaptés à la circonstance qui a déterminé l' excitation primitive. (76). Renforcement. - Un centre nerv
élit commis; ils simulent l'épilepsie, la stupeur, la mélancolie, l' excitation maniaque, les idées vagues de persécution ou de
e, l'atrophie con- tinue à évoluer de concert avec les phénomènes d' excitation , car, atrophie centrale signifie, paralysie pér
nsemble des phénomènes de la conscience. D'un côté, nous voyons une excitation locale d'un centre sensoriel, suivant les dispo
ations kinesthésiques. On peut plus ou moins probablement accuser l' excitation anor- male des centres moteurs, dans la manie,
des conceptions verbales, il n'est pas besoin de donner le pas aux excitations pathologiques de la sensibilité centripète des
63 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
injures à tout le monde. Au bout de plusieurs jours, la pé- riode d' excitation s'est progressivement atténuée. L'élat mé- lanc
trices REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 61 dans uu certain degré d' excitation . Mais diverses particularités cliniques tendent
t les impres- sions différentes et multiples. Il s'ensuit un état d' excitation qui se continue encore quelque temps après'chaq
commerce, et si ceux-là se répètent trop souvent il en résulte une excitation per- manente où l'individu perd de plus en plus
nerveux et irrité. On voit que malgré le repos normal de la nuit l' excitation persiste encore. Il va sans dire que la première
sont faciles à reconnaître ; ce sont ou des états transi- toires d' excitation , ou plus rarement de dépression; tantôt le dé-
la psychose post-opéra- toire vraie, on retrouve encore les états d' excitation qui caractéri- saient les formes précédentes, m
dents, semblent porter plus facilement à la chronicité. Les états d' excitation sont caractérisés surtout par des formes maniaque
on. Contraire- 72 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ment aux états d' excitation , les formes mélancoliques ou anxieuses ne s'obs
; ce n'est plus le chirurgien qui les observe, comme dans les cas d' excitation , mais bien le médecin aliéniste, à l'asile. Ces
ccompagnent souvent de tendance au suicide. A côté de ces états d' excitation et de dépression, il existe une forme spéciale
; vers cinquante-quatre ans, elle devient sujette à.des périodes d' excitation avec idées vagues de persécution ; elle ressent
mouvements ne sont pas le moins du monde une réponse spécifique à l' excitation du cubital ; ce sont au contraire des mouvement
mais, considérant que le paralytique réagit généralement moins aux excitations douloureuses, MM. Boedeker et Fal- kenberg, déc
t présenter des règles supplé- mentaires nasales ; 30 au cours de l' excitation sexuelle ou pen- dant le coït peuvent se présen
n nasale, la maladie est aggravée au moment des règles ou pendant l' excitation sexuelle; 20 des excès vénériens peuvent déterm
ions suivantes : 1° le nombre exact des racines rachidiennes dont l' excitation détermine des mouvements de la tête sur le tron
ent seulement (longitudinal ou latéral) d'un même muscle répond à l' excitation d'une racine, par exemple : le segment supérieu
mé- diats. Au moment de la résection, le pouls monte de 75 à 130 ( excitation mécanique) ; quelques heures, après chute à 80, e
duisante ; c'est de là que partent les nerfs de la thyroïde. De là, excitation anormale de la glande, son hypersécrétion qui a
traitement de choix de la morphino- manie, parce que produisant une excitation vive et soudaine de l'organisme, il provoque un
ie d'autres crises d'agitation maniaque. Lorsque les alternatives d' excitation et de dépression surviennent entre quarante et
la pression du goitre; 5° par épuisement à la suite de délire ou d' excitation maniaque 220 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. L
nt travail, rapporte deux observations personnelles intéressantes d' excitation maniaque rapidement mor- telle dans la maladie
255 grande majorité des cas; qu'ils sont sujets à des périodes d' excitation , à des impulsions qui les rendent dangereux ; q
ant d'évidence que dans la manie. Tous les auteurs ont décrit cette excitation pathologique que porte à la fois sur les mouvem
r Pinel et par la plupart des'observateurs. Le plus souvent, dans l' excitation maniaque franche, lors- qu'il n'y a pas d'autre
, violent, impulsif et s'ac- compagne de phénomènes inhibitoires. L' excitation franche d'emblée des maniaques est absolument d
d'éviter. Dans les cas ordinaires et de méningo-encéphalite sans excitation maniaque, avec simple exubérance, les malades o
ment inin- terrompu de périodes de dépression mélancolique puis d' excitation maniaque avec des rémittences plus ou moins lon
vais accumu- lateurs m (Féré1), aussi ne capitalisent-ils pas leurs excitations psyclio-seiisorielles; ils les transforment plu
de la vue, mobiles, changeantes, professionnelles ou terrifiantes, excitation , délire. C'est un premier degré, dans lequel le
ribue cet état pathologique à un affaiblissement de l'écorce avec excitation des centres sous-corticaux, d'où résulte le somme
alogue s celui du rêve, avec idéorrhee, variation de l'émotion et excitation motrice vive. La démence aiguë est caractérisée
fois dans la même journée, des alternatives rapides d'accalmie et d' excitation , avec une tendance progressive des troubles senso
lui applique un corps chauffé sur le genou droit insensible à cette excitation , elle dirige 352 RECUEIL DE FAITS. la main
la jambe était prise de soubresauts. Dans la même région toutes les excitations de la peau reproduisaient-le même phénomène. Ce
nsuffisance de la fonction thyroïdienne ait succédé chez elle à une excitation de la même fonction. Le traitement thyroïdien a
uffisance de la perception, apparence de dépression mélan- colique, excitation maniaque, allure stupide, etc., qui peut durer
s dans les- quelle il agit en supprimant les troubles psychiques, l' excitation , la fureur épileptique ; 3° celles dans lesquel
lesquelles il agit en suppri- mant, en modifiant les attaques et l' excitation consécutive. Le trional est donné à la dose de
ent par le trional depuis un mois environ, les attaques ainsi que l' excitation violente, la fureur ont été suspendues. Des o
ans la première série de ses expériences, Versiloff procédait à des excitations mécaniques, chimiques et électriques du cervelet
conclusions : 1° Tous les phénomènes qu'on observe à la suite de l' excitation directe du cervelet se rapportent exclusivement
s phénomènes moteurs sont de la même nature que ceux produits par l' excitation de l'écorce cérébrale ; ce sont notamment des c
res sont des mouvements associés ; 410 SOCIÉTÉS SAVANTES. '7" L' excitation du cervelet produit des mouvements nystagmi- fo
on nette de la finalité de ces mouvements et de leur rapport avec l' excitation psychique qui les fait naître d'habitude. Au po
ulation des sons ou l'écriture (mémoire motrice) ; 3° reçoivent les excitations du monde extérieur qui accompagnent l'acte d'éc
supprime, tantôt les mouvements des organes articulateurs, tantôt l' excitation des centres senso- riels, tantôt les vestiges d
a limite de saturation, ou qu'il est soumis'a quelque autre cause d' excitation , il est pris d'un accès de délire alcoolique.
rables qui lui font subir le dernier outrage. Aiguil- lonné par ces excitations , le malade répond, injurie, se querelle, court,
jour, se calme, rassuré par la substitution aux hallucinations des excitations physiologiques normales des sens : objets bien
64 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
m- pagnée en choeur par les autres malades. La conséquence de cette excitation fut que, le lendemain soir, elle avait reperdu
es inférieurs, les accès de convulsions toniques déterminés par une excitation de la peau ou une mise en action des muscles, l'é
adique et galvanique extrêmement diminuée; se contracte mieux par l' excitation indi- recte. Triceps : légère diminution d'exci
que ! 1 EMILE Boix, Interne des Ilôpilauv. DE L'INFLUENCE DES EXCITATIONS SENSITIVES ET SENSORIELLES . DANS LES PHASES
t et elle tombe en léthargie. Pendant cette période, les di- verses excitations que nous faisons porter sur les sens du toucher,
r devant les yeux ne change rien à la scène précédente. Après ces excitations du sens de la vue, nous nous adressons à l'odor
Cologne. La scène change subitement. La malade sourit INFLUENCE DES EXCITATIONS SENSITIVES ET SENSORIELLES. 79 et donne tous le
es elle prend une part plus ou moins active. 1 .. , INFLUENCE DES EXCITATIONS SENSITIVES ET SENSORIELLES. 81 Nous n'avons pas
oint les mains, lève les yeux au ciel et paraît prier. Les diverses excitations des deux autres sens, l'ouïe et le toucher ne n
manifestations que nous ayons provoquées avec les nombreux agents d' excitation employés. En revanche elles étaient très vives
ru. Pendant la période somnambulique de l'hypnotisme les diverses excitations sensitives ou sensorielles n'ont jamais provoqué
U GRAND HYPNOTISME LECROSNIER & BABÉ ÉDITEURS INFLUENCE DES EXCITATIONS SENSITIVES ET SENSORIELLES. 83 pic, elle nous r
U GRAND HYPNOTISME LECROSNIER & BABÉ ÉDITEURS INFLUENCE DES EXCITATIONS SENSITIVES ET SENSORIELLES. 8." lion. Puis elle
désolée de voir que la tache persiste malgré ses efforts. , ' Les excitations gustatives donnent des résultats non moins intére
e sens de l'ouïe, il est à remarquer que la malade ne réagit qu'aux excitations relativement simples ; sons divers, musique rhy
e ne connaissait pas cette dernière sorte ,de ,danse.. ' . . Les, excitations cutanées simples, toucher, .piqûre, ne nous ont p
rticulier. '1 , : . r 1 ' : ... En résumé on peut donc dire que les excitations sensitives et sen- sorielles agissent différemm
aquelle on connaît l'influence suggestive du. sens- musculaire, les excitations sensorielles sont perçues et pro- voquent chez
U GRAND HYPNOTISME LECROSNIER & Babé éditeurs INFLUENCE DES EXCITATIONS SENSITIVES ET SENSORIELLES. 87 près inactif spo
ent, est cependant plus éveillé et plus près de la vie normale, les excitations sont perçues, mais elles ne produisent que des
les objets qui l'environnent et semble incapable d'interpréter les excitations com- plexes qu'il perçoit peut-être. Au contrai
là de véritables suggestions provoquées dans la catalepsie par les excitations des divers sens. Elles sont absolument indépen-
t donner dans la phase cataleptique du grand hypnotisme, à l'aide d' excitations sensitives et sensorielles, des suggestions dont
et s'accompagner, durant les phases d'aggravation qui succèdent à l' excitation des zones hystérogènes, aux attaques, aux émo-
gère sous l'influence des attaques, d'une émotion même légère, de l' excitation des zones hystérogènes, qu'il peut persister des
e des paroles incohérentes; en même temps on peut remarquer quelque excitation psychique qui se trahit par une certaine loquacit
qu'il la renferme en puissance pour ainsi dire et qu'il suffit de l' excitation souvent la plus légère pour la faire apparaître
me contenterai d'indiquer ici les résultats. A. Propagation de l' excitation électrique (interruptions rapides) Addition des
ne reste pas localisée aux muscles directement excités. Ainsi, si l' excitation faradique est portée sur les fléchisseurs des d
se borne pas là : bientôt, sans aucune modification apportée dans l' excitation , on voit le poignet puis l'avant-bras se fléchi
manente, car toute action musculaire disparait aussitôt que cesse l' excitation . b. Si les interruptions sont lentes (trois par
a contracture ne commence à lm. G6. se produire qu'après quelques excitations , puis chaque nouvelle exci- tation en augmente
faradisation des muscles ou des nerfs ; g. L'aimantation; h. L' excitation superficielle de la peau consistant en un simpl
les autres peuvent être classés en deux catégories, suivant que l' excitation porte sur les parties profondes, muscles, tendo
irritations profondes dans la léthargie, et à la suite des seules excitations superficielles dans le somnambulisme, d'où les
et 1. M. P. Descubes décrit ces procédés sous la dénomi- nation d' excitations ostéo-fibreuses, en y ajoutant la pression et l
aissance. Quel que soit le procédé, mas- sage musculaire profond ou excitation cutanée superficielle, le résultat est le même.
vahit le voisinage et gagne tout un membre par exemple, alors que l' excitation n'a porté que sur un point. Par contre, on obse
oit dans la léthargie hypnotique. Nous avons vu dans certains cas l' excitation mécanique portée sur un groupe musculaire reten
se de contracture, nous avons observé d'une façon constante que les excitations portées sur le membre guéri, quels que soient l
au. La contracture persiste toujours. Pendant l'état léthargique, l' excitation mécanique des muscles entenseurs des doigts n'a
yperoxcita- bilité neuro-musculaire léthargique a disparu, mais les excitations cutanées légères produisent la contracture qui
es légères produisent la contracture qui peut être détruite par des excitations de même nature. Les nouveaux procédés pour prov
hargique, la contracture de la main en flexion est pro- duite par l' excitation mécanique des muscles fléchisseurs. La malade est
la contracture est détruite par le retour à l'état léthargique et l' excitation des antagonistes. Pendant la phase somnambuliqu
ure. On hypnotise à nouveau le sujet. Pendant l'état léthargique, l' excitation mécanique des muscles ne détruit pas la contrac
compagnant de contracture temporaire provoquée par une émotion, une excitation quelconque, d'une manière réflexe, et qui se ra
le massage musculaire, le choc des tendons, que par le souffle et l' excitation très légère de la peau -les deux variétés lé- t
nt brusquement, s'accom- pagnent de contractures, de convulsions, d' excitations . Le diagnostic, au début, peut être très diffic
ois quarts d'heure et restait pendant quelques jours dans un étal d' excitation délirante avec idées de grandeurs. 1. Cli. 1-'é
e glossoplégie), par Souques, 358. Hypnotisme (De l'influence des excitations sensitives et sensorielles dans les phases ca
65 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
dances impulsives qui ne se seraient pas manifestées sans l'appoint d' excitation apporté par l'alcool. Voici dans quelles condit
u pouvoir du délinquant de l'éviter. Elle est punissable, lorsque l' excitation alcoolique a été recherchée pour fournir l'appoin
ourants électriques faibles. Plus tard, nous reconnaissions que toute excitation périphérique, faible et prolongée, pouvait déterm
es. La grenouille hypnotisée reste immobile, elle ne réagit pas aux excitations les plus douloureuses, elle se laisse chloroformi
, dilatation et rupture des capillaires. On sait d'ailleurs que les excitations amoureuses prolongées, pendant l'entrevue de deux
xes, n'ont absolument rien de commnn. ni comme manipulation, ni comme excitation sensuelle. Chose singulière ! La même impression
e est là, plus ou moins profonde. Les passes, lesattouchements. les excitations sensorielles ne réussissent, je le répète, que lo
il naturel au sommtil chloroformique, :ans éprouver aucun phénomène d' excitation , sans faire aucun mouvement, sans révéler par auc
et rappeler les paroles de Vulpian qui disait que la propagation des excitations nerveuses se fait ordinairement par des voies p
re traiter de certains troubles intellectuels se manifestant par de l' excitation . De plus, elle avait une hémiplégie du côté droit
u dans quelques cas, la colère, — le patient est pris d'hilarité ou d' excitation suivant la cause stimulante, prononce des paroles
, chez les droitiers étant plus exercé, plus habile, réagit mieux aux excitations et émotions. (c) Voici d'autres exemples d'auto
uffi pour faire disparaître cet état crée par l'auto-suggestion. 6° Excitation génésique. Cet état nerveux a été supprimé très
t de la pensée. Il faut ajouter que ces jours-là j'ai voulu épuiser l' excitation produite par l'auto-suggestion et voir jusqu'où e
ant, il est prudent de ne pas user de la sorte et de ne pas épuiser l' excitation procurée par l'auto-suggestion. La dépression qui
c des personnes de son sexe suffisait pour produire chez lui une vive excitation qu'ilapaisait soit par la masturbation, soit par
souvent et toujours de la même manière, gardent, à la suite de cette excitation très lorte et unique, ou faible main répétée, un
ulier, quelque chose comme une mémoire matérielle, qui lait que toute excitation nouvelle les remet dans l'état même où elles se s
es remet dans l'état même où elles se sont trouvées lors de la grande excitation ou lors de ces excitations toujours les mêmes et
où elles se sont trouvées lors de la grande excitation ou lors de ces excitations toujours les mêmes et mille lois répétées qu'elle
La chlorophormisation, à la fin de ia période plus ou moins notable d' excitation nerveuse, et dans les moments qui précèdent le dé
ement au pli du bras et que ce lien avait été enlevé par les diverses excitations physiques, sans aucune idée de notre part ni du s
r les Maladies Mentales du docteur Ball, nous trouvons, sous le nom d' excitation maniaque, une description de symptômes qui rappel
te la définition de Falret. qui décrit cette forme de folie comme une excitation générale de toutes les facultés et une irrégulari
ne réalité. La modification qui s'opère dans un nerf par suite de son excitation est un courant nerveux, ou plutôt une onde, une v
erf de répondre par une vibration ou un ébranlement moléculaire à une excitation quelconque, c'est la neuri-lité de Vulpian. La pe
rme de vibration nerveuse sert à exprimer l'ébranlement du nerf par l' excitation . C'est une ondulation qui parcourt le nerf avec u
les membres. La respiration et le pouls sont ralentis. Toute espèce d' excitation : pincement, piqûre, brûlure, etc., laisse la mal
ans cette seconde variété de l'attaque, la malade parait sensible aux excitations extérieures; c'est ainsi que si on la pince forte
hange de place et s'immobilise dans sa nouvelle position. Mais aucune excitation , aucun effort de la malade ne peut provoquer le r
pas retirée de cette état, l'asphyxie complète parait imminente. Une excitation très vive peut seule vaincre le spasme, elle est
nous avons donnée de l'attaque de sommeil chez notre malade, que les excitations les plus vives, pincement, piqûre, brûlure, etc.,
une simple raideur, nous voyons la malade réagir sous l'influence des excitations , autant que peut le lui permettre l'état de son s
esse dans ses mains il courut à son domicile et fut repris de la même excitation génésique que la première fois, excitation qui av
e et fut repris de la même excitation génésique que la première fois, excitation qui avait, du reste, commencé au moment où il sec
de la force qui met en jeu l'Irritabilité primordiale en dehors d'une excitation de la substance organisée, ou en dehors de la cir
elle l'état de l'auto-hypnose. Elle ne réagit pas par les diverses excitations des organes de sens ; seulement quelques mesures
stible : il lui suggérait une passion malsaine : il lui suggérait une excitation sensuelle : les facultés de raison avaient abdiqu
, implanter dans son imagination une passion folle, dans ses sens une excitation irrésistible. Si la pauvre femme a fait promettre
u procèdent d'une cause matérielle et sont toujours provoqués par une excitation mécanique faite à la surface de la peau. L'autogr
r lequel l'épingle avait été promenée. Il en était de même pour toute excitation de la peau produite par un corps dur quelconque :
ement avec toute leur intensité. L'époque des règles, ainsi que les excitations du système nerveux, reportent momentanément le fa
pement ; il procède toujours, en effet, d'une cause matérielle, d'une excitation mécanique portée à la surface de la peau ; et il
t, s'inscrivait en traces révélatrices pendant cinq à six heures. L' excitation qui accompagnait l'époque des règles, de même que
mianesthésie complète à droite. La peau est insensible à toutes les excitations , qu'elles qu'elles soient : contact, piqûre, pres
minent le défaut de réaction et l'atonie du système musculaire. Là. l' excitation psychique est souvent capable de produire des e
es uns des autres ( sensations) et qui ne ressemblent en rien à cette excitation , ( couleurs, sons, odeurs, etc) — Il est bien évi
u sommeil normal qu'en tant que l'hypnotisé continue à réagir sur des excitations sensuelles provenant de l'hypnotiseur. Dans ces c
66 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
rablement exagérés, sans toutefois présence du signe de Babinski. L' excitation de la plante des pieds détermine de forts mouve-
es ; différentes contractions sont quel- quefois consécutives à une excitation . Trépidation épileptoïde bien accentuée. Réflex
eux côtés, supérieurs et inférieurs, considérable- ment exagérés. L' excitation des régions respectives provoque de rapides et
ner- giques et rapides contractions étant provoquées par la moindre excitation d'un point quelconque de la face interne de la
se jusqu'au ge- nou ; ce réflexe est tellement exagéré que même les excitations sur la face extérieure des cuisses peuvent se p
scence. La sensibilité objective est très peu troublée : toutes les excitations tactiles, douloureuses et thermiques sont perçu
entis moins nettement dans le territoire des 2° et 3" dorsales, les excitations déterminent plutôt une impression douloureuse. La
rés ultérieurement el il est possible de les faire apparaître par l' excitation des téguments du tronc jusqu'au-dessus de la li
- blements spastiques augmentant sous l'influence de la plus petite excitation de la peau, ou bien au contact du froid. Dans c
le canal de la colonne vertébrale après le traitement, ait causé l' excitation des méninges ainsi que des racines postérieures à
mimique active, gestes vifs, rires, sourires, chants, danses, etc. Excitation intellectuelle très marquée. Mémoire rapide, préc
e la présence du signe de Babinski du côté droit. Du côté gauche, l' excitation plantaire ne détermine aucune réaction. Pas de
nter un état voisin de l'achondroplasie, a présenté une pé- riode d' excitation maniaque qui a nécessité son internement. Elle
nt conservés. Le réflexe plantaire de flexion est très diminué et l' excitation avec l'épingle réveille des douleurs sensibles
2 milliampères déterminent, des deux côtés, le seuil apparent de l' excitation pour le nerf radial au bras, le court extenseur e
ie ; enfin parfois et exceptionnellement, le phénomène révélé par l' excitation fara- dique ou galvanique de muscles très atrop
e, disent-ils, que la paralysie du muscle soit incomplète, mais les excitations les plus fortes que peut supporter le malade ne
trophonévroses- névroses organiques - seraient des manifestations d' excitation des diffé- rents segments du système végétatif.
artères sont, d'une façon constante, soumises à un certain degré d' excitation vaso-motrice, qui maintient leur tunique... » Ell
nt et disparaissant brusquement, analogues celles que dé- termine l' excitation électrique des nerfs. Les nerfs et les muscles ne
lectrique des nerfs. Les nerfs et les muscles ne réagissent pas aux excitations faradiques et galvaniques. Le voile du palais est
ent réduit ; depuis cette époque, c'est-à-dire depuis 1881 environ, excitation maniaque chronique. Etat actuel, 1912, à 33 ans
ou maniaque : danse, ges- ticulations, sauts, chants, cris, rires, excitation génésique. Disposition peu marquée à la colère
n depuis cette maladie, il présente de l'agitation. Histoire de l' excitation maniaque actuelle.- Depuis l'âge de deux ans envi
eux ans envi- ron, c'est-à-dire depuis 1881,le malade est atteint d' excitation maniaque; celle- ci ne s'est pour ainsi dire pa
uche quelqu'un, il le sent. Odorat 'et goût pa- raissent normaux. L' excitation génitale est très marquée : il se masturbe une
il se trouve. Emotivité. Il est presque toujours bien disposé ; son excitation est d'or- dre agréable ; il danse, saute, chant
ont jamais des cris de douleur. Activité générale. En dehors de son excitation , il vit d'une vie assez voisine de la vie végét
et ses sentiments. Mais le diagnostic n'en est pas moins certain. L' excitation du sujet est de l'excitation joyeuse : il danse
agnostic n'en est pas moins certain. L'excitation du sujet est de l' excitation joyeuse : il danse, saute, rit, chante, crie, se
a- ture et l'ossature du sujet sont en rapport avec cette variété d' excitation , de même que la souplesse de ses mouvements, le
e, permettront de se rendre compte de ce que nous écrivons. Cette excitation avec gesticulation ne pouvait être confondue avec
es s'exagèrent t aussi à l'occasion des impressions psychiques, des excitations extérieures comme la lumière, le froid, le cont
alytique, et ana. logues à celles que provoque chez un sujet sain l' excitation du nerf facial par un courant faradique à inter
entraînant toujours à l'état normal le clignement de l'autre, toute excitation portant sur l'oeil du côté sain amène un cligne
ort, plus les contractions sont généra- lisées et intenses. . Les excitations extérieures, telles que la lumière, le chaud, le
l'apparition de ces secousses musculaires, sauf dans le cas où ces excitations , ces impressions ou ces mou- vements s'accompag
e pas de contraction appréciable des muscles du même côté. Mais les excitations qui provoquent un mouvement de clignement des pau
urs été moins excitables mécaniquement que ceux du côté opposé. Les excitations por- tées sur la peau recouvrant ces muscles ou
oqué, les fait apparaître à l'exclusion de toute autre cause. Toute excitation périphérique, toute impression psychique, tout
illogique, leur ressemblance avec les contractions provoquées par l' excitation électrique du nerf facial. etc., etc. N'existen
des clignements plus ou moins forts; enfin, seuls les actes et les excitations qui s'accompa- gnaient d'un clignement palpébra
t graduer pour ainsi dire par l'intensité plus ou moins grande de l' excitation : un attouchement léger donne un clignement 384
qu'ailleurs, des frémissements ondulatoires très légers. Toutes les excitations extérieures qui entraînent suit un clignement éne
de l'hémiface ne dénote pas d'hyperexcitabilité de ces muscles. Les excitations faites au niveau de la surface externe de la jo
la fois la contraction de l'orbiculaire et des zygo- matiques... L' excitation électrique des filets nerveux de l'orbiculaire pa
a com- missure peut s'élever sans l'abaissement de la paupière... L' excitation (électri- que) des filets nerveux de l'orbicula
habituelle mais sans secousses de l'hémiface droite ; no toutes les excitations sensitives, motrices ou psychiques qui provoque
é du clignement palpé- bral, réflexe, volontaire ou provoqué. Toute excitation sensitive, tout t phénomène moteur, toute impre
le Il Silva, assistant de la clinique, a donné une diminution de l' excitation galvanique et faradi- que, sans réaction de dég
67 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
laire sous l'impulsion du cerveau; le cerveau lui-même produit et son excitation nerveuse se transmet par la moelle épinière. Le
impressions soient non seulement transmises régulièrement, mais que l' excitation nerveuse se répartisse dans les différents groupe
tour, ne le sera pas comme celui du simple bureaucrate, etc. Cette excitation nerveuse transmise par la moelle peut aussi être
omène de l'hyperexcitabilité musculaire, la malade ne réagit à aucune excitation de la sensibilité générale ni spéciale; elle ne v
r l'hypothèse d'une transmission directe, exactement localisable, des excitations mécaniques du cuir chevelu à l'écorce cérébrale,
tes les lois connues de la physique le démontrent d'abondance. Si l' excitation mécanique n'explique ni le phénomène solatidique
Sperino (1884). Je crois donc, dit Silva, cité par Rainaldi, que « l' excitation mécanique peut, dans ce cas, se propager par les
n outre, à l'objection qui lui a été faite au Congrès de Paris, que l' excitation du cuir chevelu, fût-elle transmise à l'écorce, n
autres xones corticales plus ou moins éloignées, mais le maximum de l' excitation cérébrale doit correspondre au point où a été app
nre. Ce n'est pas à dire qu'on ne puisse, par les autres procédés d' excitation , transmettre directement à l'écorce un stimulus a
vements des yeux qui ne peuvent naturellement être produits que par l' excitation directe des centres cérébraux. » Ce fut alors que
ce cérébrale. L'éminent savant aurait obtenu avec ces deux méthodes d' excitation , outre des mouvements d'ensemble, des mouvements
, c'est-à-dire étude des sensations ; Rapports de la sensation avec l' excitation périphérique; sensibilité perceptive différentiel
tion périphérique; sensibilité perceptive différentielle ; seuil de l' excitation , etc. Ce sont des études difficiles. poursuivie
ion et la dynamogénie, et démontre qu'il est impossible de porter une excitation quelconque sur une des parties du système nerveux
u'une façon stable et normale de stimuler. J'ai nommé l'exercice et l' excitation de l'énergie psychique, et la concentration de ce
de la période d'animation tend de plus en plus à s'abréger. Bientôt l' excitation factice créée par l'injection s'éteint, les sensa
lire qui dura quinze a dix-huit Jours. Elle fut en proie à uue grande excitation , chantant jour et nuit des cantiques. Quand le dé
de la rétine, ou par les conducteurs centripètes qui transportent les excitations lumineuses au sensorium commune, ou par les cellu
ervent parfaitement la propriété de conduire à la moelle allongée les excitations lumineuses qui provoquent le resserrement réflexe
vent sur la rétine et l'excitent chacune à sa manière. Puis les trois excitations colorées, transportées par un conducteur commun o
ltz, en ce qui regarde les tubes nerveux préposés à la conduction des excitations colorées, je continuerai à raisonner comme si la
de qui elle est confiée s'ingénia par diverses manœvres, telle) que l' excitation des zones hystérogènes, puis l' application de l'
. — Votre vue se trouble. — Vous dormez ». Après une courte période d' excitation , la période de dépression désirée se montra rapid
animaux en arrivent rapidement à réagir de la même manière aux mômes excitations , même lorsqu'ils sont seuls. L'association de la
même lorsqu'ils sont seuls. L'association de la réaction morbide de l' excitation une fois (1) Calderwood. The Relations of mind
ychiques. En effet, il s'agit bien là d'un acte réflexe dans lequel l' excitation périphérique repose surtout dans une opération in
sur un muscle, il se contracte et reste dans cet état tant que dure l' excitation . L'état cataleptique se reconnaît à la fixité d
vons placée, mais les nerfs et les tendons touchés ne donnent pas à l' excitation leur réaction spéciale. La preuve éuit amplemen
la vie animale à entrer en contracture sous l'influence d'une simple excitation mécanique. L'excitation peut être portée d'aill
n contracture sous l'influence d'une simple excitation mécanique. L' excitation peut être portée d'ailleurs sur le tendon, sur. l
localisée. La contraction du muscle sur les membres persiste après l' excitation , pour peu que celle-ci soit un peu forte et un pe
bles de se contracter ainsi, et, suivant la durée et l'intensité de l' excitation , on obtient à volonté une contraction ou une cont
tat léthargique, on la (ait céder presque instantanément en portant l' excitation sur les antago nistes des membres contractures.
lement à une différence physiologique jusqu'ici restée inaperçue, les excitations mécaniques, portées soit sur les muscles eux-même
ntracture durable, mais une simple contraction qui s'efface dès que l' excitation a cessé. Daus l'état somnambulique, au contrair
e telle qu'elle vient d'être définie n'existe pas, c'est-à-dire que l' excitation des nerfs, des muscles, ou la percussion des tend
lité neuro-musculaire. en ce qu'elle ne cède pas, comme celle-ci, a l' excitation mécanique des muscles antagonistes, tandis qu'ell
contraire, en général très facilement, sous l'influence de ces mêmes excitations cutanées faibles qui l'ont fait naître. La cons
s, l'action isolée ou combinée des muscles, ou encore les effets de l' excitation d'un tronc nerveux quelconque, pris au hasard, se
eurs mois, était atteint de manie avec alternative de dépression et d' excitation , fut pris subitement de delire furieux et. comme
, vers les six heures du soir, le camarade donna a table des signes d' excitation et de trouble intellectuel. Ces troubles s'acceut
68 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de têtes de veau; l'instant d'après il disait .n'avoir pas un sou. Excitation intermittente. " Signes physiques très marqués.
. Cet état dura plus de deux mois. Schuele a bien étudié l'état d' excitation intellectuelle auto- matique, de mentisme,si fr
l a été faible au début, plus la dépression est rapide. ! Comme les excitations sensorielles, l'excitation autochtone, par l'ac
s la dépression est rapide. ! Comme les excitations sensorielles, l' excitation autochtone, par l'activité volontaire permet de m
nt à l'accommodation et la clinique ne permettant pas de dire que l' excitation physiolo- gique d'origine lumineuse ait moins d
traction du sphincter, l'autre fait la même besogne pour les autres excitations . (Dufour, Lyder Borthen, Bernheimer, Oppenheim,
se dérelop- pent tout d'abord des troubles psychiques sous forme d' excitation maniaque avec idées de persécution, puis des si
nnes qu'ils affectionnaient le plus. Ils paraissent aussi avoir des excitations sexuelles anormales. Somnoforme et suggestion.
s, troubles de la sensibilité générale, interprétations délirantes. Excitation et dépression par intervalles. Agent actif d'un
blissement intellectuel avec hallucinations, idées de persécutions, excitation passagère. Signé : Dr Magnan. A son entrée, 1
nfie d'une manière enfantine. En somme, apathie intellectuelle avec excitation légère sous l'influence de ses hallucinations.
ne cédation assez marquée dans l'acuité des phénomènes délirants; l' excitation est complètement tombée, les hallucinations de
dées de persécution en voie de décroissance. Signé : Dr Magnan. L' excitation étant tombée, elle commence à s'occuper dans le
mettait souvent en colère pour peu de chose; c'est alors que son excitation génésique augmentait et qu'elle se livrait avec p
A la longue, des états secondaires alternatifs de dépression et d' excitation apparurent graduellement, et son état allait s'ag
invectives surtout quand elle ne peut s'endormir; elle a aussi des excitations génitales après les douches. Petit à petit, ell
es six examinés à cet égard, apparaît le mieux quand on se sert des excitations faradiques de longue durée, se succédant rapideme
Le second cas est relatif à un homme présentant les symptômes de l' excitation maniaque. On aurait pu croire à un accès de para-
yringomyélique qui depuis deux mois à des hallucinations, un état d' excitation cérébrale très spécial. Les troubles psychiqu
ma malade qui vingt-deux jours après notre intervention est prise d' excitation extrême avec changment complet des senti- ments
mesure de l'hyperexcitabilité réflexe, grâce à laquelle de faibles excitations extérieures déterminent des contractions muscul
ers, peuvent, en certaines conditions, être provoqués au moyen de l' excitation de 266 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
s et les paralytiques géné- raux. (Obozrénié psichiainü 1899.) 8. L' excitation faradique de la partie inférieure de la sylvien
ble contraction des lèvres du côté opposé. Peut-être s'agit-il de l' excitation du centre du facial que l'on suppose loca- lisé
faible et éphémère pour qu'on puisse l'attribuer de préférence à l' excitation de la région sensible. 9. Chez le chien comme c
e paralysie pseudo-bulbaire. Le voile du palais ne répond pas aux excitations de la muqueuse qui le revêt; mais on observe, p
ène peu com- 284 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. mun qui suit cette excitation ; en touchant avec l'extrémité d'une tige la moi
ne paraissent pas pouvoir toujours faire une distinction eutre deux excitations sensorielles différentes. Les impressions ne se
hez le dyspeptique, l'humeur est très inégale ; les alternatives' d' excitation et de dépression sont très accusées; son pessim
pied gauche est un peu pendant; pas de trépidation épileptoïde. L' excitation plantaire provoque la flexion des orteils. Pupill
ues idées de satisfaction et de richesses. 27 juillet. - Un peu d' excitation cérébrale sans modification de la santé physiqu
urine et la boire ; ce manège provo- quait.chez lui non seulement l' excitation sexuelle, mais encore une éjaculation. Il répét
posent, de même que la perception auditive verbale, non seulement l' excitation du centre auditif commun, mais celle du centre
ins cas pathologiques, l'acte génital ne peut avoir lieu que sous l' excitation de la musique. SOCIÉTÉS SAVANTES. 379 III. L'
L'élévation brusque de la pression sanguine, sous l'influence d'une excitation sexuelle, tend à montrer le rôle de l'image motri
ément moteur dans la genèse, le développement et l'évo- lution de l' excitation génitale. V. L'érotomanie, qui consiste dans un
ntéressé et intervient. L'équilibre moteur total arrive à un état d' excitation et de potentiel tel qu'il ne peut se maintenir
n relève des phénomènes de fatigue et d'épuise- ment moteur. c. L' excitation motrice se traduit également par des phénomènes
tant toujours d'intensité et de vitesse jusqu'à ce que le maximum d' excitation mentale soit atteint. Cette multitude de fragment
produite pour une insuffisance de satisfaction du besoin sexuel. L' excitation génitale, ne trouvant pas son issue par les voi
remarquables, ruminations, agitations, angoisses, accompagnent ces excitations sexuel- les incomplètes o. J'ai personnelleme
nt essentiellement propres à créer et à cultiver chez les malades l' excitation et la violence, et il en trouve la preuve dans
cales; tantôt les préoccupations musicales de la veille, tantôt les excitations auditives qui surviennent pendant le sommeil; t
e remarqua bientôt que les caresses sur la bouche amenaient la même excitation agréable des organes génitaux; elles étaient pl
t qui était régulier, et sans douleur, ni troubles quelconques, une excitation sexuelle intense qui lui inspirait des tentatives
chien; l'idée lui vint des caresses du chien, elle éprouva une vive excitation génitale. Depuis elle ne put plus donner le sei
association avec ses consé- quences se reproduisit immédiatement. L' excitation génitale était d'autant plus intense que le rep
ar plusieurs circonstances : 1° L'éveil de l'anomalie parune double excitation accidentelle qui met en jeu l'instinct sexuel à
naisons nerveuses de l'organisme périphérique et des viscères, les excitations qui portent sur ces terminaisons parviennent immé
s indifférente. Dans 11 cas d'hémiplégie et paraplégie organique, l' excitation du bord externe donnait lieu au phénomène des o
du bord externe donnait lieu au phénomène des orteils, tandis que l' excitation du bord interne produisait le réflexe normal en
69 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
un état de somnolence léger et passager que fait cesser la moindre excitation des ' Dujardin-Beaumetz {Gazette méd., 29 janvi
la période prodromique de la paralysie générale et certains états d' excitation maniaque. A la même époque (185), Ellinger * ad
s estlent, quelquefois cependantelles débutent brusquement par de l' excitation mentale. Le pronostic est mau- vais, cependant
nce des hallucinatious visuelles, suivies généralement d'un stade d' excitation . On observe aussi des hallucinations auditives,
eau disposé pathologiquement à transformer en fausses perceptions l' excitation première. Aussi le délire hal- lucinatoire se d
nt ; donc à mesurer la différence de temps écoulé entre le moment d' excitation et le moment d'aperception de cette excitation.
lé entre le moment d'excitation et le moment d'aperception de cette excitation . Le moment d'ex- citation est déterminé par l'é
s différentes (audition, tactile, etc.) qu'à l'association de trois excitations de même nature, toutes les trois électro-cu- ta
e même nature, toutes les trois électro-cu- tanées par exemple. L' excitation électro-cutanée et tactile se comporte comme le
e la sensibilité morale apparaissent comme autant de phénomènes d' excitation . Dans la plupart des psychoses chroniques, l'affa
la volonté, tandis qu'il entrera en action sous l'influence d'une excitation plus puissante, telle que l'audition même du mo
ble. Ainsi, dans l'observation de Friedreich, au temps du maximum d' excitation , les secousses étaient de 40 à 50 par minute, t
ed, mais moins que dans les autres observations par diverses'autres excitations delà peau, et moins aussi par une excitation mé
s par diverses'autres excitations delà peau, et moins aussi par une excitation mécanique des muscles mêmes. Dans les autres
grandeur et de persécution mêlées ou alternant. et s'accompagnant d' excitation ; le calme peut renaître, mais les hallucinatio
utres points de l'économie (globes oculaires, rachis, tronc); toute excitation interne ou externe d'un groupe musculaire est s
tives avec preuves contradic- toires. Peut-être est-ce l'effet de l' excitation cutanée, effet semblable zut celui de l'excitat
-ce l'effet de l'excitation cutanée, effet semblable zut celui de l' excitation mécanique de la peau (Ur- bantschisch), etc....
la Bévue philosophique', M. Ch. Féré a insisté sur l'influence des excitations périphériques sur l'état dynamique et dans une
mique et dans une note spéciale, il a étudié les effets de quelques excitations visuelles sur les hystériques achro- matopsique
en garde (je dirai tout à l'heure pourquoi), et alors je remplace l' excitation prolongée par une série d'excitations très cour
rquoi), et alors je remplace l'excitation prolongée par une série d' excitations très courtes produites en passant seule- ment l
minutes au plus. Dans une première séance, après deux séries de ces excitations séparées par un inter- valle de repos, elle rec
rouge a persisté. Alors, par quatre reprises, je fais des séries d' excitation comme l'avant-veille. A la suite, ma malade gag
restées en état; dans cette troisième séance, je fais deux séries d' excitations à la suite desquelles la malade a repris la not
ments de l'oeii m'a semblé manifestement augmentée à la suite des excitations par la lumière rouge. Ce dernier fait, étudié a
ut se méfier chez cette sorte de maladie, même en n'employant que l' excitation par la lumière colorée; une excitation trop vive
e, même en n'employant que l'excitation par la lumière colorée; une excitation trop vive ou trop prolongée pouvant provoquer u
ion de symptômes. Je rappellerai à ce propos que chez ma malade une excitation continue amenait très rapidement de la fatigue
de provoquer ainsi une amblyopie complète, j'ai substitué au mode d' excitation précédent les séries d'excitations répétées, ma
omplète, j'ai substitué au mode d'excitation précédent les séries d' excitations répétées, mais très courtes, de quelques second
passant le verre coloré devant les yeux. On peut ainsi continuer l' excitation plus longtemps et avec beaucoup plus de sécurit
encore aujourd'hui, au bout de trois mois, sans avoir renouvelé les excitations . Voici encore un autre fait qui, bien que plus
malade, moins sensible que la précédente, je n'ai plus employé les excitations successives et répétées de courte durée; mais j
ade garde encore la notion des couleurs sans que j'ai renouvelé les excitations et malgré un état de mal hystérique et des atta
ouge produisait plus rapidement que les autrescouleurs un maximum d' excitation ; enfin les recher- ches de 0. Berger ' 1 confi
d'autres malades à Bicêtre. 11 est rationnel d'admettre alors que l' excitation d'un centre se propage aux cen- tres voisins et
ni paralytiques généraux, ni épileptiques, ni aliénés sujets à de l' excitation maniaque, ni les déments trop avancés (Voy. le
se souvenir de ce qu'il vient d'é- prouver. Il n'aurait jamais eu d' excitation maniaque, ni d'hallucinations, mais on a noté d
anvier. Mutisme absolu. Immobilité. -Le ma- lade ne réagit à aucune excitation . Parait insensible. Res- terait au lit si on ne
marmotte des paroles incohérentes. 1885. Janvier. Même état. -Les excitations très fortes, les brûlures, le chatouillement fo
l'attention sur les injections d'éther. Au lieu d'obte- nir de l' excitation cérébrale, nous avons obtenu de l'ex- citation
peptonisés. Toutefois les hallucina- tions diminuent d'intensité, l' excitation s'apaise peu à peu, les idées mélancoliques, my
70 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
viennent à l'appui de cette manière de voir; elles ont montré que l' excitation qui détermine la contrac- tion des muscles droi
al de l'obnubilation de la conscience s'accompagner de phénomènes d' excitation d'ordre mental, tels que concep- tions délirant
néanmoins condamnée à payer. Dans un deuxième cas un homme accusé d' excitation au meurtre ne fut con- damné qu'à cinq jours de
lui faire connaître le verdict, A... fut pris d'un violent accès d' excitation , jeta à la tête du président un flacon en verre
ut ainsi dire. Il extériorise et intériorise des phénomènes dus à l' excitation pathologique des centres qui président à la for
chez un adulte. Les phénomènes permanents indiquent notamment une excitation continue de cette région du cerveau. M. Bruns p
petits vaisseaux est le résultat d'un spasme sous l'influence d'une excitation des vaso-moteurs de ces conduits. Dans certai
ulation qui, par la média- tion des centres nerveux déterminerait l' excitation des nerfs vaso-moteurs destinés aux vaisseaux d
s extrémités elles-mêmes des membres dans le froid par exemple. L' excitation réflexe vaso-motrice est transmise le plus sou-
rement des vaisseaux sous l'in- fluence du froid a lieu d'abord par excitation directe des vais- seaux de la peau, mais la cau
e action réflexe vaso-constrictive très énergique provoquée par l' excitation des extrémités des nerfs cutanés centripètes et p
e l'émotion ou l'idée fixe sub- Quelquefois le point de départ de l' excitation est périphérique. Elle est en rapport avec le f
t considérable du pouvoir musculaire, tremblement, résistance aux excitations électriques, exagération des réflexes, troubles v
sous forme de dégéné- rescence graisseuse.. En présence de cette excitation cérébrale intense, avec loquacité, désordre dan
tique, il a un système nerveux défectueux, prédisposé à réagir aux excitations par des manifestations convulsives, lypothi- mi
... Toutefois, nous devons dire que cet auteur, tout en admettant l' excitation locale surtout des ter- minaisons du nerf vague
niques complexes, ou, autrement, une diffusion dans tout l'être des excitations prove- nant du rappel des images intellectuelle
e des excitations prove- nant du rappel des images intellectuelles, excitations immédiate- ment suivies des'réactions générales
marqué du pouvoir mental, accompagné souvent d'hallucinations et d' excitation intellectuelle en même temps que de dépression
ahlbaum. Dans la majorité des cas, il existe, par intervalles, de l' excitation maniaque avec tendance à la violence. < .. .
ale. Il y a, du reste, deux sortes de cas où on peut constater de l' excitation mo- trice avec loquacité et violences : 1° dans
le plus commun est une forme tranquille, subaigûë ou chronique sans excitation motrice, et souvent est associée'à.un arrêt de.
devenir violents et agités. 11 est très fréquent qu'ils aient de l' excitation sexuelle (masturbation, obscénités). Parlant be
anéité de la réaction verbale, qu'il y a 1 pénétration continue des excitations extérieures; elle tient, 'non pas comme le veut
ve pas d'atrophie musculaire, pas de réaction de dégénérescence à l' excitation électrique, mais dès qu'on touche la malade la
s d'anesthésie, sensibilité très nette et localisation parfaite des excitations cutanées par le chaud, le froid, etc., etc. D
n'est donc un sexuel que par habitude (dans le sens physiologique d' excitation sexuelle). Tant qu'on est onaniate, on n'a pas
eux observations). 2° L'hétérosexualité. La sensation physique de l' excitation sexuelle se rattache à la construction et à un
me sexe, sans intromission, avec simple friction du gland ou légère excitation du clitoris sur un autre corps, tant la surexci
le tableau de la démence aiguë avec ses différentes variétés; si l' excitation intellectuelle hallucinatoire prend un développ
me l'a montré M. Martin 3. On conçoit du reste facilement que les excitations nerveuses exagérées, répétées et parfois même con
le fait justement remarquer Féré, « l'ivrognerie en déterminant des excitations plus ou moins périodiques, suivies de dépressio
Accès d'épilepsie, assez fréquents (cinq à six par mois), suivis d' excitation . Dans ses accès, elle tombe comme une masse en
e du reste de nombreuses cicatrices. Elle a aussi des vertiges sans excitation consécutive. En février 1890, elle tombe dans
'alcoolisme, les intoxications de tout genre, les excès divers, les excitations multiples, etc.; nous n'insisterons pas. En s
éréditaire, et c'est cette prédisposition qui est mise en jeu par l' excitation due au poison convulsivant qui infecte l'éco- n
ès avoir soumis l'animal à.l'action du poison étudié, on commence l' excitation du cerveau à l'aide de courants induits très fa
iété de biologie (séance du 16 juin 1894) et intitulée : Note sur l' excitation de l'écorce cérébrale par la fara- dtsn<<
ices du cerveau du chien avec un seul pôle. Mais il faut pour que l' excitation soit effi- cace remplir certaines conditions. I
e. Il arrive aux conclusions suivantes : 10 la période latente de l' excitation corticale diminue notablement dans l'inflammation
, quelle est l'influence des fac- teurs physiologiques ? 10 Degré d' excitation du nerf. Ne semble pas modifier les conditions
en est de même dans un nerf qui produit un travail physiologique d' excitation ou de transmis- sion. On peut donc remonter de
multiplie e par la quantité d'électricité fournie au nerf dans une excitation on a en joules, c'est-à-dire sensiblement en di
ysiologique correspondant. Le travail physiologique varie suivant l' excitation du nerf. Mais l'auteur ne peut dire s'il y a pr
tensité de la contraction avec le diamètre des excitateurs dans les excitations directes, on trouve que l'énergie de la secousse
est de dix minutes. L'effet sédatif est précédé d'un léger effet d' excitation . En employant le courant des- cendant on obtien
on vent avoir en même temps que des effets généraux une certaine excitation et la contraction musculaire. La douche hydroga
nes est contre-indiqué dans les cas de manie, lorsqu'il existe de l' excitation aiguë, lorsque le poids du corps s'abaisse rapi
71 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
ent en rapport avec certaines personnes et non avec d'autres. Toute excitation cutanée (piqûre pincement, etc.), produite par le
sé, à moins qu'elle ne provoque une douleur trop violente; cette même excitation , produite par une personne non en rapport, n'est
les données physiologiques, une action calmante, si l'on observe une excitation suivie ou non d'hallucination spéciale, c'est qu'
'une perturbation dynamique et il l'explique en rappelant qu'une même excitation d'un nerf donne des résultats opposés, suivant l'
tation d'un nerf donne des résultats opposés, suivant l'état où cette excitation surprend le centre. Le savant professeur de Lyon
surprend le centre. Le savant professeur de Lyon a vu autrefois que l' excitation du bout périphérique du nerf sciatique est suivie
variés de la névrose. L'éthcr produit tantôt du calme, tantôt de l' excitation . S'il respirait de l'éther après une crise, il y
éralement du calme; si c'était avant une crise, il y avait une grande excitation , il était poussé à marcher, à gesticuler et à tou
, à gesticuler et à tout briser. En général, après une heure de cette excitation , le calme survenait et la crise était le plus sou
le calme survenait et la crise était le plus sou%ent modifiée ; cette excitation remplaçait les hallucinations et les étouffements
me animal. Il lut conduit h admettre que, dans certaines conditions d' excitation nerveuse, l'homme peut voir. même de loin, sans l
cles ou des nerfs nerf cubital), le choc oes| tendons, pas plus que l' excitation de la peau, n'augmentent cette raideur, d'ailleur
quelconque, un mot les provoquait: aujourd'hui, il :"aut pour] cela l' excitation 'e certaines zones. Celle don: l'cx.nation amène
ais été malade, présenta, après son réveil, entre autres phénomènes d' excitation , des convulsions effrayantes qui durèrent prés de
à déterminer ce que produisait tout à l'heure, chez la léthargique, l' excitation directe des masses musculaires, c'est-i-dire la c
ques, appartenant à plusieurs services hospitaliers de Paris r i* L' excitation d'une région anesthésique. quoique n'étant pas pe
n prie le sujet de regarder fixement; elle dure aussi longtemps que l' excitation qui la produit. (Il est bien entendu que. dans to
ore artificielle, se retrouvent également dans l'image visuelle. 3* L' excitation , avec le compas, de la peau insensible, provoque,
généralement normale. 4' Les impressions visuelles produites par l' excitation d'une région insensible sont claires ou sombres,
'impression se moditï- régulièrement : elle prend une teinte rouge. L' excitation des régions hypnogenes que l'on rencontre fréquem
iné a fixer le regard du sujet, l'image visuelle déterminée par l' excitation d'une région anes-thésique est constamment locali
que est constamment localisée sur le point de fixation ; le lieu de l' excitation n'importe pa* ; que la piqûre soit laite i la fac
couvrir le point de fixation. Si, pendant qu'on continue la première excitation , on en fait une seconds (nous supposons qu'il s'a
ine distance du point de fixation. Si, enfin, on supprime la première excitation et qu'on prolonge h seconde, la seconde imjge se
9' Les images visuelles provoquées, persistant aussi longtemps que l' excitation qui leur donne naissance, peuvent être fixées sur
uelles provoquées ne sont jamais mises par le sujet en rapport avec l' excitation de son membre anesthésique; le sujet ne se doute
sthésiques du corps ne sont pas les «cules qu'on peut provoquer par l' excitation de ces régions; si l'on place un objet familier d
d'élaboration psychique que j'ignore, peut-être par transmission de l' excitation reçue à d'autres cellules cérébrales, cellules ps
n'a plus d'échanges avec le monde extérieur : insensible aux diverses excitations du dehors, elle cesse de répondre aux questions q
comme le précédent ; elle était, comme tout à l'heure, insensible aux excitations qu'on lui faisait. Elle ne voyait ni interne, ni
n des centres percepteurs, sont complètement disproportionnées avec l' excitation périphérique. L'attente d'un phénomène réduit à u
'attente d'un phénomène réduit à un minimum le degré d'intensité de l' excitation que doit produire ce phénomène pour qu'il soit su
exciter, parce qu'alors l'image mentale gagne en intensité grâce à l' excitation émotionnelle qui l'accompagne. » v, j Nous somm
11 en est de même pour les périodes de secousses. Dans les accès d' excitation psvehique avec agitation, qui n'apparaissent pas
sé. L'augmentation de pression que l'on observe dans les périodes d' excitation peut être modifiée artificiellement : 1" Avec la
maintenait au bout de trois quarts d'heure ; pendant le même temps, l' excitation s'était calmée. Un malade dont l'agitation se ter
urs fois occasion de signaler dans l'histoire des effets généraux des excitations locales (i . Les électriciens savent du reste par
nt de l'ouïe dont il a souffert lui-même après avoir été exposé à une excitation lumineuse de ce cenre. D'après les renseignements
ts que j'ai pu obtenir, un certain nombre de personnes exposées à ces excitations lumineuses excessives ont souffert d'insomnies, d
72 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
même temps que ces mêmes combattants, encore sous l'influence de l' excitation de la lutte, subissent sans broncher des opérat
Les mêmes blessés, quelques jours plus tard, sortis de la période d' excitation , de- viennent sensibles quelquefois à un haut d
ilité sont très fréquents, dont le système nerveux est facile à l' excitation , à l'épuisement ? En étudiant ces phéno- mènes
rs exercices sont bien et méthodiquement t groupés pour obtenir une excitation nerveuse détermi- née, favorable à une anesthés
r déterminer l'anes- thésie nécessaire. N'est-ce pas le procédé d' excitation qui était appli- qué à la pythonisse antique ?
ne soit revenu à un état favorable. Et ceci arrive vite. L'état d' excitation de l'Aissaoua est passager, et, si le même indi
t bien possible même que leurs exercices déterminent une certaine excitation génésique. II paraît certain qu'au cours de ces
La durée de l'attaque n'excédait pas une minute et il n'y avait ni excitation ni délire. Cette seconde observation de M. Hamm
es impressions vers les centres. Dès lors, il faut admettre que les excitations de certains nerfs sensitifs peuvent apporter au
volition et non de son exécution. H est nécessaire que l'effet de l' excitation centrale, c'est-à-dire la contraction, soit pro
ement il lui faut non seulement la conception du but à atteindre, l' excitation des contractions en groupes fonctionnels et leu
nt dépourvus de conscience, c'est-à-dire que, depuis le moment où l' excitation motrice quitte les centres kinesthé- tiques jus
e toutes les phases et qui succède avec la plus grande facilité aux excitations mécaniques de la peau; de sorte que l'on peut v
et les muscles de l'avant-bras et de la main droite répondent à l' excitation électrique aussi promptement et aussi vigoureu-
ons sont absolument saines, les muscles répondent bien à toutes les excitations et ne sont pas atrophiés. Sur le dos de la ma
même temps, le malade s'aperçoit que sa jambe est in- sensible aux excitations douloureuses et complètement analgésique : la s
ralytiques, qui, depuis quelques semaines, étaient en proie à une excitation génésique, portée au plus haut degré, ' A noter
fait anormale. Et enfin, si l'on y re- garde de près, on voit que l' excitation génésique du début est presque toujours tout in
anisme, ou des pertes séminales nocturnes; ce qui prouve bien que l' excitation ne porte pas sur les organes génitaux eux-mêmes
la main gauche, qui, du reste, est celle que l'on exerce le plus. L' excitation faradique des muscles donnait lieu à une contra
a précédé l'interne- ment, M. Motet détermine sous le nom d'accès d' excitation ma- niaque, l'état du baron Seillère. Les viole
t ne concluait à la nécessité de l'internement que dans le cas où l' excitation persisterait. Ce qui décida la famille de M. le
'affirmation d'un trouble mental qui, progressivement, a passé de l' excitation maniaque au délire maniaque avec des idées de g
« Marie CIIEILLIRE. » Dans ces écrits, il n'y a plus seulement de l' excitation maniaque : le délire sous forme de délire des g
isant et nous laisserait tout le diagnostic à faire. Si nous disons excitation maniaque ou dépression mélan- colique, si nous
. 11 vient d'avoir, dit-il, quelques syncopes suivies d'une crise d' excitation très vio- lente accompagnée de perte complète d
nné de constater dans le laps de temps signalé. La disparition de l' excitation et du délire est, assurément, de date beaucoup
quelque temps encore, à l'abri de toutes les causes de fatigue et d' excitation cérébrale; que sa convales- cence se poursuivit
herche même nous a conduits à constater quelques faits curieux. L' excitation du cubital ou d'un autre nerf des membres par l
par les procédés classiques de Charcot et Richer ne produit rien. L' excitation du facial à sa sor- tie du crâne derrière l'ore
des aiguilles distantes l'une de l'autre de 4 à 7 millimètres. Les excitations corticales ne durentpasplus de trente secondes.
. Les excitations corticales ne durentpasplus de trente secondes. Excitation de la région motrice. - 1° Celle de la partie tou
s conditions, on ne constate que de la diminution de pression. 3° L' excitation de la région de passage entre le segment antéri
période de latence ; quelquefois cependant la pres- sion baisse. L' excitation des parties moyennes de l'ltémispltèl'e (lobe p
ysiologie. les modifications de la pression que l'on obtienne par l' excitation de la région motrice, jamais le pouls ne bat pl
décelé d'influence à cet égard. Régions centrales du cerveau. Leur excitation détermine tou- jours une exagération de la pres
ît. Substance blanche (ablation couche par couche de l'écorce). L' excitation d'un point déterminé de la couronne rayonnante
comme si on excitait le bout périphérique du pneumogastrique). 2° L' excitation de la partie posté- rieure de la couronne rayon
ère la pression sans que le coeur soit en rien atteint. 0 Enfin l' excitation de la portion externe de la couche optique rale
73 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
n des muscles. Au moment de l'entrée du malade, il y a 8 jours, et) l' excitation galvanique et faradique du nerf crural au pli de
nerte, soit sous l'influence de la volonté, soit sous l'influence des excitations électriques (soit directes, soit indirectes par l
nce des excitations électriques (soit directes, soit indirectes par l' excitation faradique ou galvanique du nerf), se contracte au
Est-ce une particularité du sujet, ou bien y a-t-il un état morbide d' excitation réflexe exagérée dans toute l'étendue de la moell
ui se contracte normalement, dès que l'on a recours à un autre mode d' excitation électrique. Il ne faudrait pourtant pas croire
ur le courant galvanique, on n'a aussi de contraction qu'en faisant l' excitation avec le pôle négatif et cette contraction ne se p
anées, les irritations des nerfs centripètes en général, augmentent l' excitation déjà exagérée de la cellule motrice; la mesure es
ule motrice; la mesure est comblée, et le nerfcenlrifuge transporte l' excitation dans les muscles qu'il anime. Mais il est temps
dynamométrique bien marquée. Il n'est pas étonnant, dès lors, qu'une excitation des nerfs centripètes, tendineux ou autres, déter
'un acte réflexe développé en conséquence de la lésion articulaire. L' excitation des nerfs articulaires retentit sur les centres s
tentit sur les centres spinaux, qui, à leur tour, réfléchissent cette excitation par la voie des nerfs moteurs sur les muscles, ta
ite est plus dilatée que la gauche ; elle n'agit que faiblement par l' excitation lumineuse, mieux par la convergence. La morale
ion détermine des contractions musculaires qui ne cessent pas après l' excitation , mais s'établissent à l'état de contractures. Yoi
de contractures. Yoici, en effet, la griffe cubitale déterminée par l' excitation du nerf, en arrière du coude; voici un pied-bot p
ontracture existe toujours ici à l'état latent, et qu'il suffit d'une excitation bien légère pour la reproduire plus longtemps et
côté gauche existe l'insensibilité à la piqûre, au froid, et à toute excitation ; cette perte de la sensibilité générale s'observ
mains, et développée, suivant toute apparence, sous l'influence d'une excitation extérieure. Charcot. Œuvres complètes, t. ui, S
es adducteurs et triceps fémoral répondent aussi normalement aux deux excitations . 2° Dans le domaine du plexus sacré, nous trouv
EIZIÈME LEGÓN Spiritisme et hystérie 1. Sommaire. — Influence des excitations intellectuelles sur le développement de l'hystéri
nstituant, comme vous le savez, l'aura céphalique. Ces points, dont l' excitation peut provoquer l'attaque avec une singulière faci
Pitres, que très faiblement spasmo-frénaleurs ; c'est-à-dire que leur excitation même intense et prolongée n'arrête qu'imparfaitem
e cas. Ces attaques, qu'elles soient spontanées ou provoquées par l' excitation artificielle de cette zone hystérogène sont toujo
moment un caractère gai, tandis que si la crise a été provoquée par l' excitation de la plaque hystérogène, le délire est toujours
iliaques, une autre enfin sur le testicule droit. On remarqua qu'une excitation même légère de la zone sous-mammaire déterminait
il arriva, vous ne l'avez pas oublié, Messieurs, qu'à la suite d'une excitation un peu prolongée de la zone sous-mammaire, survin
onde est éteinte : Ainsi sur le moignon de l'épaule, les piqûres, les excitations faradiques, etc., ne sont pas perçues ; les mouve
, en effet, pendant que le malade 1. Sur l'influence dynamogène des excitations sensorielles et sensitives, voir les recherches d
e du diagnostic. J'ajouterai qu'ayant remarqué qu'à la suite de ces excitations de la peau de l'aine et du genou, Ch... présentai
voquer les phénomènes d'aura, qui, dans la règle, la précèdent, par l' excitation de véritables zones hystô-rogènes, dont les unes
re exploration : Au bout de six à sept minutes, après une période d' excitation très courte, contrairement à ce que nous avions l
; il faut voir là, au contraire, sans aucun doute, le résultat d'une excitation périphérique entraînant la participation des cent
qui accompagne le mouvement réel, elle n'est rien autre chose qu'une excitation naissante de tous les nerfs affectés à cette fonc
issante de tous les nerfs affectés à cette fonction, qui précède leur excitation actuelle. » Et ailleurs (Premiers principes, p. 2
SEIZIÈME LEÇON. spiritisme et hystérie. Sommaire. — Influence des excitations intellectuelles sur le développement de l'hystéri
74 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
èvre des phénomènes d'intoxication cérébrale : délire polymorphe avec excitation et, à leur suite, un état de faiblesse générale s
es variations de cette dilatabilité des organes et on peut dire que l' excitation de l'organisme a son explication dans la série al
e premier de ces états est prémonitoire ou symptomalique des formes d' excitation céré- brale, l'autre est prémonitoire ou symp
aleur; lorsqu'au contraire, on veut produire un état d'éréthisme et d' excitation cérébrale il faut du froid. Graduer l'action de c
s continuelles de cet organe ; car il y a une série non interrompue d' excitations et d'inhibitions qui, à chaque moment, agisse
rtit de la réserve habituelle à son caractère, et montra une certaine excitation qui, s'augmen-tant les heures suivantes, obligea
, qui comprend la partie interne de la cornée de l'œil gauche, dont l' excitation ne provoque pas de réflexe. Anesthésie de la régi
d'agitation quelconque, de production de réflexes, de peur, d'ennui d' excitations quelconques entraînerait une dépense d'énergie au
é amené à étudier l'action des agents physiques et ultérieurement des excitations purement mécaniques dans l'hypnotisme et l'hystér
s que les effets moteurs les plus complets étaient déterminés par des excitations faibles et répétées un certain nombre de fois.
ations faibles et répétées un certain nombre de fois. Les premières excitations , disais-je, peuvent n'être suivies d'aucun résult
x d'addition latente (Ch. Richet). J'ai fail voir également que ces excitations avaient une action marquée sur l'anesthésie des h
et qu'il était possible d'obtenir des effets œsthêsiogènes au moyen d' excitations mécaniques faibles et répétées aussi bien sur des
d'hystérique dont la sensibilité ne pût être éveillée au moyen de ces excitations faibles et répétées. Le temps nécessaire variait
vé. Même résultat si, au lieu d'agir sur la sensibilité générale, l' excitation s'adressait au moyen d'un dispositif convenable,
faut, dans ces expériences, attribuer une certaine part d'action à l' excitation mécanique elle-même. Mais aujourd'hui, nous som
s sommes dotés d'instruments qui permettent d'utiliser facilement les excitations mécaniques en psychothérapie. En octobre 1902,
il vibrateur réalisant les conditions requises pour la production des excitations périphériques, un dispositif spécial permettant d
ériques, un dispositif spécial permettant de graduer l'intensité de l' excitation . II montrait les services que cet appareil étai
avoriser la production du sommeil hypnotique, soit pour localiser ces excitations périphériques, faibles ou fortes, rapides ou lent
s causes, vers un point ou quelques points du corps, et y détermine l' excitation de certaines fonctions organiques au dépens des a
ns le membre tout entier. En combinant ces moyens psychiques avec les excitations physiques, on obtient presque toujours d'excellen
t moi, que chez les grandes hystéro-épileptiques hypnotiques, les excitations périphériques qui avaient servi à provoquer un ph
se qui faitfcdéfait o. Nous avons montré les premiers que le mode d' excitation susceptible de plonger un sujet dans une des phas
tre utilisé à cet effet. Endort-on, par exemple, un malade avec une excitation d'intensité égale à dix, il faut autant que possi
égale à dix, il faut autant que possible le réveiller au moyen d'une excitation de même intensité et le meilleur procédé est évid
le prévoir amena instantanément la guérison. Ce second coup de feu, excitation identique à la première, avait déterminé dans le
que je l'ai montré et c'est là une loi physiologique générale : Deux excitations périphériques de même nature, de même intensité,
de Y étal du système nerveux (état dynamique s'entend) au moment où l' excitation se produit. Quoi qu'il en soit, l'emploi isolé
rgentina est inaccessible à la suggestion, aussi bien qu'à toutes les excitations extérieures. Dans la période intermédiaire qui pr
thérapeutique habituel, inhalations, fumigations, massages du larynx, excitations motrices du nerf récurrent ; rien ne réussit. A
ne ; les troubles de 0 ou de la surconseieace sont ceux du caractère, excitation , dépression absence d'énergie, haine non motivée,
mité, une stimulation plus forte. M. Richet nous dit que, parmi les excitations sensorielles, celles de la vue et de l'ouïe doive
elles, celles de la vue et de l'ouïe doivent être regardées comme des excitations inhibi-toires, autrement dit d'arrêt. Les résul
e dans les meilleures conditions aptes à produire sur son cerveau une excitation intense du sens de l'ouïe et dans la direction mê
e de 64 ans, qui présente des hallucinations, du délire, des crises d' excitation presque maniaque, en apparence. Or elle n'est poi
75 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
'hypnotisé. Dans la seconde ils sont au contraire influencées par des excitations périphériques s'exer-cant sur l'un ou l'autre des
l'un ou l'autre des sens (fascination visuelle, auditive, olfactive, excitations périphériques faibles et répétées, etc..) Dans la
devons-nous le rappeler, n'est que l'action réflexe transformant les excitations ou les émotions de toute nature, qui, par les sen
sens, pénètrent l'organisme. Si nous fermons un ou plusieurs sens aux excitations du dehors, nous provoquons dans la conscience, un
ce du jour finissant ou de l'obscurité de la nuit, l'œil se ferme aux excitations , l'ouïe refuse aux bruits l'attention, nous nous
erons servis par la Théorie de l'inhibition : pour fermer un sens aux excitations qui le tiendraient en activité, il suffit d'y pro
et le Dr Jacquin a judicieusement noté le fait, ce sont des moments d' excitation qui traversent, |ar périodes, le calme habituel.
à la rébellion, voire même a la révolte, quand il est dans l'entière excitation de la veille, est susceptible de se transformer,
lution. Elle nous apparaît aussi comme un moyen de défense contre les excitations trop fortes auxquelles sa faiblesse empêche l'org
ns l'opinion qu'un grand nombre de buveurs n'ont recherché au début l' excitation des boissons alcooliques que pour y trouver une a
s, des artistes, des gens du monde, des courtiers de commerce. Sans l' excitation de l'alcool, ils se déclaraient incapables d'affr
nes heures, on les voit sortir de leur indifférence habituelle, cette excitation passagère n'est que d'une très courte durée et il
livrés à eux-mêmes après avoir été hypnotisés et chez lesquels aucune excitation extérieure ne viendrait provoquer d'idées, d'acte
même à une petite distance, produit des effets analogues à ceux de l' excitation mécanique directe, c'est-à-dire la contraction mu
clinique et expérimentale sur l'hypnotisme. — De quelques effets des excitations périphériques chez les hystéro-épileptiques. Pari
ouloir partir une fois qu'il est attelé. « Prières, encouragements, excitations , coups de fouet avec la mèche, puis avec le manch
e on voit presque toujours apparaître des phénomènes qui révèlent une excitation pins ou moins accentuée des facultés de l'esprit
où il les a écrites et expriment, par conséquent, les caractères de l' excitation ou de l'épuisement que je vous indiquerai tout à
e parvenait à séduire son auditoire qu'en imprimant a son cerveau une excitation extraordinaire exactement analogue a celle qui co
gue a celle qui constitue la première scène de la neurasthénie. Cette excitation violente ne tardait pas à être remplacée, lorsqu'
ues-uns de ces signes. Quand le malade se trouve dans la phase de l' excitation son écriture paraît toujours incorrecte. Les lign
ignes et entre les lignes, vous permettront de découvrir les traces d' excitation et d'épuisement du système nerveux imprimées sur
sont très curieuses à étudier. Elles portent, tantôt les marques de l' excitation , tantôt celles de l'épuisement : mais les unes et
ades atteints de ces pseudo-psychoses porte toujours les marques de l' excitation et de l'épuisement; mais il a, en outre, un aspec
ment des signes qui expriment, comme chez tous les névrosés, tantôt l' excitation , tantôt l'épuisement du système nerveux Tous rema
e de Salberg, ont découvert des signes révélant simultanément la vive excitation de son esprit et la fermeté de son caractère. I
me du reste dans celle de la plupart des névropathes, les signes de l' excitation , de l'épuisement et de la perversion du système n
il en montre l'exclusivisme injustifié : Pour lui. non seulement les excitations sexuelles, mais bien tous les modes de l'activité
nte. La métrorrhagie cessa rapidement, mais la malade eut des accès d' excitation génitale qu'elle apprit par hasard à satisfaire e
psie ». D'autres auteurs avaient reconnu d'autre part l'influence d' excitations auditives faibles et prolongées sur la production
alHer à la Pitié, le Dr Paul Jlagnin a éga lement étudié l'action des excitations périphériques et en particulier des-vibrations so
but précis. En effet, des vibrations trop aiguës déterminent vite une excitation pénible, et les notes tout a fait basses occasion
is, l'oreille qui n'a pas, comme l'œil, de membrane qui l'a ferme aux excitations du dehors, demeure toujours béante. C'est très
s. 3° M. Tarrius. — Délire mélancolique systématisé à forme aiguë ; excitation , angoisse, syphilophobie. Discussion : MM. Béri
ng, ce que l'on constate chez ceux des manèges de chevaux de bois : l' excitation d'abord puis une période de résolution, un certai
lles entreprises par Camus et Pagniez démontrent, à l'évidence, que l' excitation du pneumogastrique apporte, non seulement un abai
élancolique systématisé favorablement modifié par la psychothérapie Excitation , angoisse, syphylophobie, . par le Dc Tarrics, Di
s. 3° M. Tarrius. — Délire mélancolique systématisé à forme aiguë ; excitation , angoisse et syphilophobie. Discussion : SIM. B
76 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
che, sans altérations ni qualitatives, ni quantitatives. De même, l' excitation directe des muscles dé- pendant du nerf facial
mo-lalérafes et contro-latérales, il est facile de comprendre que l' excitation électrique du nerf sain peut se communiquer aux f
oureuse. En repos la figure est atonique, sans expression, mais les excitations dou- loureuses sont suivies de contractions mus
rapidement dans l'état de démence,avec alternatives mal tranchées d' excitation et de dépression, qu'elle présente actuellement
et on note de plus, de chaque côté, le signe de l'éventail. Chaque excitation de la plante détermine un mouvement net mais lé
ait du membre inférieur. Les réflexes crémastériens sont abolis ; l' excitation de la zone abdominale SUà-ItlârII1111e ne donne
ltat. Ces réflexes cutanés de défense peuvent être produits par les excitations qui portent sur le tégument au-dessous du pli i
ations qui portent sur le tégument au-dessous du pli inguinal ; ces excitations pour être effectives doivent être d'autaut plus
fense provo- qués ne prenaient naissance que sous l'influence d'une excitation portant sur le membre inférieur. La zone de pro
aines. Elle se trouvait tout le temps dans un état d'agitation et d' excitation psychique. Ensuite arriva promptement une faibl
douloureuse il n'y a pas d'hyperalgésie, la peau ne perçoit pas les excitations . Mais si elle existe en même temps, alors le co
rme spéciale de la démarche a pour objet d'acquérir une plus grande excitation du sens mus- culaire et articulaire que dans la
eau dans les cas où elle est sensible. Quand elle ne l'est pas, les excitations des muscles et des autres lissus profonds produ
ême dans des cas de paraplégie lépreuse plus ou moins complète, les excitations peuvent produire des spasmes dont l'intensité s
éral n'est pas néces- sairement primitive, le spasme apparaît par l' excitation de la peau. Le réflexe a pour point de départ u
on de la peau. Le réflexe a pour point de départ un certain degré d' excitation cutanée. La secousse réflexe gagne rapidement l
le sait, entrent en même temps en flexion. Mais quelquefois la même excitation produit deux secousses qu'un court intervalle s
, dans les cas de névrite dont je m'occupe et même dans d'autres, l' excitation des fibres sensitives tendino-musculaires pro-
la gaîne de Schwann, empêchant la transmission au cylin- draxe des excitations extérieures, qui explique l'indolence à la pressi
recevoir les sensations internes, mais aussi celle de transmettre l' excitation aux nerfs vaso-moteurs, sécrétoires et trophiqu
henschr., 1899) obtient des contractions musculaires toniques par l' excitation de parties caudales du noyau caudé et des contr
rovoquait ainsi une dégénérescence du faisceau pyramidal. Alors les excitations du noyau caudé n'avaient ancun effet. C'est l'e
Alors les excitations du noyau caudé n'avaient ancun effet. C'est l' excitation du noyau lenticulaire seul qui provoquait des c
ulaires, qu'on observe parfois en ce cas, seraient provoquées par l' excitation des libres de la capsule interne non dégénérées
lgré les contractions sponta- nées du muscle extensor hallucis, les excitations de la plante du pied ne provo- quent pas un vér
xe de Babinski. Le réflexe des raccourcisseurs est provoqué par des excitations assez légères, mais la zone réflexogène ne débord
type normal. Les mouvements de retrait des membres inférieurs après excitation de la plante du pied sont vifs, mais la zone ré
és abdominaux exis- tent. Les gros orteils restent immobiles lors d' excitations de la piaule. On ne note ni clonus du pied, ni
, elle commence à se plaindre, gémir, elle parlotte sans cesse avec excitation délirante qui persiste toute la soirée. Elle igno
ces rémissions n'en étaient pas moins troublées par des périodes d' excitation , rêvasseries suivies de dépression physique et mo
rale infantile, dans laquelle se montrent tantôt des phé- nomènes d' excitation et tantôt des phénomènes de paralysie. Krause, lu
eints d'une affection cardiaque. Du côté de la sphère génitale, à l' excitation s'oppose un prompt surme- nage, de telle façon
nsiste cette désharmonie ? Le maximum de réaction avec le minimum d' excitation . N'importe quelle déviation alimentaire, n'impo
rritable, un émotif. Le ner- vosisme désigne, en langage médical, l' excitation générale du système nerveux, caractérisée par l
E ET DYSTHEN1E PERIODIQUE 417 Etat actuel (22 octobre 1913). Etat d' excitation maniaque très typique (hypermyastliénie et liyp
11.). Le malade se rappelle ce qu'il a dit au cours de sa période d' excitation maniaque, surtout si on l'aide par la lecture d
77 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
s symptômes hystériques qui peuvent être provoqués ou arrêtés par des excitations expérimentales » (2). (1) Gilles de la Tûurbtte
x dé Charcot et de ses | élèves l'ont péremptoirement démontré. Les excitations périphériques les plus diverses peuvent détermine
lité hypnogénique comme un des symptômes de la grande hystérie. Ces excitations périphériques s'adressent soit à la sensibilité g
la sensibilité d'un point, soit parce qu'il portera tout à la fois l' excitation sur un point anesthésié et sur un point sensible
a, il faut se servir d'un instrument très fin, permettant de porter l' excitation sur une partie très limitée de la muqueuse, à l'e
ssion, des idées gaies aux] idées tristes et désespérées. Ces états d' excitation cl de dépres-^ sion se développent d'ordinaire lo
é des représentations imagi-natives du rêve, délirantes ou non. Or, l' excitation sensorielle produite par dor... mez..., dor... me
convient de définir l'habitude, la tendance à ta répétition de toute excitation neurique. Quelle que soit la cause de la première
de toute excitation neurique. Quelle que soit la cause de la première excitation , automatisme, imitation, suggestion ou raisonneme
ilepsie, 1 cas de psychose émotive, I' cas de folie morale et 1 cas d' excitation maniaque légère avec tics : c'est-à-dire quatre e
l'abandon de la famille, l'exemple des camarades constituent autant d' excitations au crime. Bien que ces réunions de jeunes garçons
et la culture du pouvoir d'inhibition volontaire. 2» L'exercice et l' excitation automatique de l'énergie psychique et de la fonct
pendant laquelle il n'entend que ma parole et est insensible à toute excitation étrangère. A son réveil, je puis constater une am
de continuer à produire la suggestion sous peine de voir succéder à l' excitation motrice une dépression très marquée. Les antimu
résiste d'abord assez facilement pendant deux ou trois jours ; mais l' excitation devenant plus intense, elle entre bientôt en cris
si que nous le verrons plus tard, de provoquer, au moyen de certaines excitations , des impulsions automatiques et des hallucination
est possible d'observer des contractures diffuses sous l'influence d' excitations légères de la peau. Il y a analgésie cutanée, mai
et la catalepsie. Cela est si vrai qu'on peut, au moyen d'une même excitation suffisamment prolongée, faire passer le sujet de
avant l'expérience, soit des moyens employés pour l'endormir. Telle excitation périphérique qui, chez Tune ne produira que le so
ement léthargique. J'avais donc, chez ce sujet, au moyen d'une même excitation produit successivement les diverses phases du
ifférentes phases de la somniation provoquée en se servant d'une même excitation prolongée pendant un temps suffisant. Pour ne r
énergique ou mieux, que, sans en augmenter l'intensité, on continue l' excitation pendant un temps plus long, le sujet deviendra ca
ie et la léthargie. Ce n'est pas à dire qu'on ne puisse, au moyen d' excitations brusques et intenses, produire tous les phénomène
hénomènes qui ont été observés dans la somniation provoquée, mais les excitations faibles et prolongées permettent bien mieux que t
lule primitive, aient été accompagnés par une capacité de retenir les excitations antérieures, une mémoire rudimentaire qui, à l'or
cellules ganglionnaires de l'écorce cérébrale produite par une faible excitation continue d'autres nerfs. Dans les cas de fascinat
i souvent constatés à la Pitié, Dumontpallier, Bérillon et moi. Les excitations périphériques les plus diverses peuvent, chezl'hy
à savoir qu'on peut obtenir des effets œsthésiogènes en se servant d' excitations mécaniques faibles et répétées. En y regardant de
ment, deux états différents et simultanés sous l'influence de la môme excitation périphérique. L'une des moitiés du corps, celle d
t, ces phénomènes réactionnels seraient l'équivalence de la période d' excitation du sommeil chloroformique. La connaissance de c
Lépinay. — M. le Dr Bérillon vient de nous montrer chez sa malade des excitations au début du sommeil hypnotique. Il a rappelé aupa
e. Il a rappelé auparavant que le chloroforme donnait quelquefois des excitations semblables. C'est juste, et j'ai pu l'observer ch
fluence du chloroforme, et, tout récemment, nous avons pu étudier ces excitations avec un chirurgien de Paris, M. le Dr Aubeau, sur
78 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
ent distrait de sa direction polygonale; il dort; mais la moindre des excitations un peu anormales ou intenses le réveillera et il
faire obéir. On peut simplement diriger ses rêves, et encore par des excitations bien superficielles et dans des cas spéciaux-Dans
son centre ? en môme temps que toute son activité polygonale sur les excitations reçues et le sujet conducteur agit avec son polyg
sautent sans règle de ci de là, suivant la variation accidentelle des excitations sensorielles dominantes, lesquelles se changent e
a conscience hypnotique n'est presque exclusivement accessible qu'aux excitations qui ont un caractère déterminé en corrélation ave
s symptômes hystériques qui peuvent être provoqués ou arrêtés par des excitations expérimentales. » Je demande la division de l'a
ommeil sont de deux sortes. Tantôt, elles se rapportent aux dernières excitations lumineuses qui ont impressionné la rétine avant l
brillants, pleins d'entrain et sortent de chez eus dans un état d' excitation qui n'est au fond que le premier degré de l'ivres
mal nourri ; d'autre part, les cellules nerveuses, accoutumées à des excitations artificielles, ne réagissent plus volontiers sans
eux, ils mangent du bout des dents et boivent, espérant retrouver tes excitations d'antan.' Peine perdue, la fin du repas est pire,
avec le sens que comportaient mes paroles ; mais il est clair qu'à l' excitation auditive perçue, mon sujet a réagi au moins par u
inale de la somnoformisation. Donc la suggestion joue le rôle d'une excitation sensorielle et psychique capable de retarder ou m
le contenu de cette dernière et la présence ou l'absence de certaines excitations psycho-sensorielles, je réalise tantôt l'un, tant
s la subconscience veille; celle-ci est impressionnée parles diverses excitations sensorielles et elle reçoit la suggestion en tant
s du mélange anes-thésique, si on l'abandonne à lui-même et qu'aucune excitation sensorielle ne vient accaparer ou distraire son a
oxiquées par les produits de la désassimilation musculaire. C'est à l' excitation chimique du muscle par ces produits qu'est dû le
est un vrai état hypnotique, car on peut produire le sommeil par les excitations visuelles. Or le non fondé de cette opinion p
on inhibitrice sur les réflexes. L'inhibition concerne aussi bien les excitations douloureuses que tactiles. En 1891 parut un int
ion faible du cerveau par les vapeurs anesthésiantes 'dans la phase d' excitation ) s'est toujours montrée défavorable au sommeil hy
er et sa bouche reste pleine jusqu'à ce qu'on le réveille. Une légère excitation extérieure suffit pour le tirer de sa torpeur; sa
es pour produire ces mouvements. Ses expériences prouvent qu'à chaque excitation artificielle, les muscles montrent une nouvelle s
puis elle reprend de nouveau soit spontanément, soit par suite d'une excitation , par exemple si on ébranle la table surlaquelle r
elle reste complètement inerte et ne réagit pas même aux plus fortes excitations . Ainsi on peut exécuter avec les mains toute sort
. — Grenouille endormie depuis quelques minutes ; ne réagit pas aux excitations auditives. Les pupilles sont rétrécies et allon
de position apparaissent souvent spontanément ou bien par suite d'une excitation extérieure, et ils sont surtout fréquents chez le
ue dans le cas oit les tissus sont turgescents. VI. — Influence des excitations thermiques sur l'hypnose. Il m'a paru intéressa
ent sous l'influence d'un accès de grippe, elle a présenté un accès d' excitation avec cris et violences. La mère sous l'influe
toujours une grande fragilité et nous ne voudrions pas répondre que l' excitation ne se reproduise pas, si des causes diverses inte
enant? 17. Pendant l'ivresse éprouvez-vous de la somnolence ou de l' excitation ? 18. Combien vous faut-il boire pour tomber ivr
ser les centres nerveux, produisent d'abord leur surexcitation. Celte excitation est suffisante pour interrompre le sommeil hypnot
e être dans un état d'assoupissement; il est inactif. Mais dès qu'une excitation vient à l'ébranler, il se réveille aussitôt et en
couvre est remplie de l'odeur suffocante d'une de ces substances. Les excitations olfactives se montrent donc inefficaces pour opér
e, par la trépidation des trains, les préoccupations des détails et l' excitation spéciale dont le voyage est le principe générateu
79 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
ctérisée ; l'excita- bilité faradique reste nulle avec le maximum d' excitation que l'on peut faire supporter ; l'excitabilité
permettant à la fibre musculaire de répondre encore normalement aux excitations électriques. D'ailleurs cette exception que nou
ent remarquablement bien conservées en quantité au point de vue des excitations minimales, bien que chez eux la myopathie fût déj
résentent aussi une assez bonne excitabilité électrique, bien que l' excitation portée sur eux produise en même temps l'excitat
ique, bien que l'excitation portée sur eux produise en même temps l' excitation des membres postérieurs (jumeaux). « En aucun p
bilité est très bien conservée quantitativement au point de vue des excitations minimales et même au point de vue de l'amplitude
ts communs, la lésion anatomique est variable et se traduit par une excitation anormale des cellules motrices de la moelle. Pour
ression se justifie. Remarquons tout d'abord que dans toute formé d' excitation , la variation d'é- quilibre agit beaucoup plus
d'équilibre, le changement que la fixité; ceci se conçoit puisque l' excitation est une variation elle-même, la rupture d'un éq
logie senso- rielle en ceci qu'il réagit plus à la variation qu'à l' excitation continue. Dans tout phénomène d'irritation de l
tion de la matière vivante, la variation, en plus ou en moins, de l' excitation est toujours plus sensible que l'excitation unifo
plus ou en moins, de l'excitation est toujours plus sensible que l' excitation uniforme et continue. Cela est très net pour l'
ble que l'excitation uniforme et continue. Cela est très net pour l' excitation électrique, et cela s'observe pour l'exercice s
t d'une succes- sion rapide, n'auront plus la force, en dehors de l' excitation due à la variation, de faire une image conscien
culté, je n'y suis jamais parvenu. C'est évidemment le même mode d' excitation et d'appel que nous pouvons appliquera telle pa
même intensité ; c'est un appareil senso- riel qui fonctionne sans excitation , agissant sans variation, invariable et fixe da
imiter les limites et qu'on peut diviser en régions par l'élude des excitations électriques, ne peut pas être considérée absolu
erver un paralytique chez lequel les symptômes relevant tantôt de l' excitation et tantôt de la paralysie de certains centres s
estations symptomatiques diamétralement opposées : aux phénomènes d' excitation (hallucinations de l'ouïe), qui étaient presque
réflexions. Nous n'insisterons pas sur les symptômes relevant de l' excitation des centres sensoriels ; qu'il nous suffise de
s sensoriels et des trou- bles de la sphère du langage (symptômes d' excitation ou de paralysie) tels que : aphasie motrice, ha
iques, convul- sifs, arrivant par attaques. Puis vient un stade d' excitation qui peut cependant manquer ; en géné- ral il es
urée souvent plus longue encore et consistant en des alternatives d' excitation ou de stupidité avec leurs symptômes décrits ci-d
es extrémités. Il ne paraît pas anesthésique, mais il ne réagit aux excitations cutanées que par un froncement de sourcils. 3
ité cutanée. Cette dernière est conservée, car le malade réagit aux excitations cutanées. Mais son mode de réaction et tout à f
'applique à s'opposer à tout signe de réaction : C'est ainsi qu'une excitation cutanée légère provoque simplement un fronce- m
ement un fronce- ment de sourcils un peu plus marqué, tandis qu'une excitation forte et dou- loureuse détermine un état de rai
qui soit possible.Bien queW.ne réponde pas,il semble percevoir les excitations cutanées. Parfois il tourne la tête comme pour ap
rne la tête comme pour aper- cevoir l'endroit où l'on a porté cette excitation ; ou bien, il grimace, souffle, éclate d'un rir
ria- ques, idées de suicide, mutisme. Puis, survint une période d' excitation avec idées polymorphes de persécu- tion, d'empo
de la sensibilité cutanée, sauf un retard énorme de la réaction à l' excitation . Réflexes tendineux très exagérés. Pas de signe
Duchenne (2), pour les spasmes fonction- nels. « La répétition de l' excitation volontaire produit l'état morbide dans un point
positions : 1° Le tonus est la manifestation extérieure de l'étal d' excitation per- manente des cellules motrices de la moelle
le entretenue par les impressions périphériques ; . 2° Cet état d' excitation des cellules motrices est soumis à une double i
n thérapeutique s'est vu depuis longtemps reprocher des accidents d' excitation : Max Simon ne lui recon- naissait qu'une actio
rtain que quelques individus irritables .éprouvent des phénomènes d' excitation sous l'influence des petites doses, tandis que de
nt été ingérés à l'état de sel dans un pain azyme pour éviter toute excitation gustative. I. - Brom2se de potassium. Exp. I.
LOGIQUE DE QUELQUES BROMURES 44 446 FÉRÉ Dans cette expérience, l' excitation se manifeste encore immédiatement, mais elle ce
mme dans toutes les expériences sauf la cinquième, on a observé une excitation initiale, provoquée par les bromures. Dans l'expé
utant les ordres de cette dernière ; et elles dépen- dent aussi des excitations réflexes du côté du premier neurone sensitif. Des
lité ; ces cellules, à ce qu'il paraît, non seulement reçoivent des excitations , partant de la superficie de la peau et qui leu
e les différencie pas, mais elles transforment et différencient les excitations vagues qu'elles reçoivent et les rendent spécifiq
eux, le rendent plus apte à retenir, à conserver et à accumuler les excitations qu'il reçoit des autres cellules nerveuses et à l
80 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
ins en apparence — chez l'animal ma-lade, soit à la suite de causes d' excitation relativement légères chez l'animal sain. Mais ces
u près indéfinie, la propriété de se con-tracter sous l'influence des excitations électriques. Vous comprenez sans peine l'intérê
ile des muscles. Presque tous font remarquer que si, quelquefois, les excitations électriques deviennent impuis-santes à déterminer
u l'excision des nerfs musculaires ; en second lieu, il a recours à l' excitation électrique directe, c'est-à-dire appliquée sur le
action sur la fibre nerveuse ou sur le fais-ceau musculaire, entre l' excitation obtenue à l'aide des cou-rants et induction (cour
nsi (J). ne se contractent que très faiblement sous l'influence des excitations faradiques. Le 30 avril (39° jour), la faradisati
es muscles de la l'ace, du même côté, ne répondent que faiblement aux excitations . La mort sur-vient le 2 mai (40e jour de la malad
ontractions, faibles il est vrai, se manifester sous l'influence de l' excitation directe,dans un des muscles les plus profondément
rsqu'on peut agir sur eux par l'intermédiaire des nerfs, quelorsque l' excitation , parsuitede ladestruction desfilets ner-veux, ne
même que ces muscles ne se contrac-taient pas le moins du monde par l' excitation électrique la plus intense. La sensibilité cutané
st-elle très pronon-cée, on constate une perte presque immédiate de l' excitation électrique, que l'on ait recours à la faradisatio
aux ordres delà volonté et se contracter encore sous l'influence des excitations électriques, alors que son volume sera déjà très
e que l'or-gane a perdu en partie le pouvoir de résister aux causes d' excitation et aussi des modifications que subit l'urine long
l'abdomen du côté correspondant ne réagissent pas sous l'ac-tion des excitations faradiques, tandis que sur les parties homologues
être autrement de cette même paralysie produite sous l'influence de l' excitation des dilatateurs. Mais, ainsi que vous allez le re
sous-maxillaire, dans le temps où le nerf glandulaire est soumis aux excitations , présentent, comme font montré MM. Ludwig et Spie
avait donc lieu de rechercher quel peut-être le lien qui rattache à l' excitation des éléments sécréteurs déterminée par l'excitati
qui rattache à l'excitation des éléments sécréteurs déterminée par l' excitation du nerf l'hypérémie qui suit cette excitation. Pl
éteurs déterminée par l'excitation du nerf l'hypérémie qui suit cette excitation . Plu-sieurs physiologistes ont pensé qu'il s'agit
erfs d'un membre sur une grenouille, et si l'on détermine ensuite une excitation en plaçant une gout-telette d'acide azotique sur
nterdigitales, il se produit en ce point, au bout d'un vague, que l' excitation de la corde du tympan ne déterminerait plus la mo
illaire, il suffit de reconnaître que le nerf glandulaire, soumis aux excitations , amène dans les cellules sécrétantes une modifica
priété de déterminer la dilatation des vaisseaux sous l'influence des excitations . Ces nerfs agiraient primitive-ment sur les éléme
emple que l'hypoglosse et le lingual (2), ontmis horsde doute que les excitations , produites sur un point quelconque d'une fibre ne
a voie des filets nerveux qui transmettent à l'état physiologique les excitations volontaires. Un certain nom-bre au moins des trou
se reproduire, soit spontanément, soif sous l'influence de certaines excitations , des espèces d'ac-cès pendant lesquels les membre
période parétique, sous l'influence d'un ou de plusieurs des modes d' excitation qui viennent d'être passés en revue. Messieurs,
est irritée dans sa partie inférieure, il sera impossible, tant que l' excitation sub-sistera, de mettre en jeu l'excitabilité des
ment serré les membres supérieurs, tant que la ligature persistera, l' excitation des membres inférieurs ne sera pas suivie de mouv
lus, des contractions fibrillaires très accusées et répondent mal aux excitations électriques. Je crois, par conséquent, qu'il y a
issements. Elle devient taciturne, mélancolique, ou est en proie aune excitation qui rend la sur-veillance parfois très difficile.
, etc..La zone hysté-rogène est plus sensible; il suffit d'une légère excitation des téguments sur cette zone pour faire éclater l
81 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
ement que l'état catatonique peut se présenter sous deux aspects, l' excitation ou la stupeur catatoniques. La symptoma- tologi
rd symptômes caractérisés SÉGLAS. DES SYMPTÔMES CATATONIQUES 19 d' excitation avec délire mégalomaniaque. Courte rémission et r
plus tard, à la suite d'une série d'ictus, est survenue une phase d' excitation avec idées de satisfaction et de richesses. Voi
siste un peu plus d'un mois jusqu'au 25 juillet et fait place à une excitation modérée avec optimisme, bavardage incohérent ; af
ellectuel, des idées ambitieuses incohérentes, achats inconsidérés, excitation par intervalles ; signes pupillaires, embarras
ment de décem- bre 1902. A cette époque il fut repris d'une phase d' excitation très violente, avec délire très actif où s'entr
e plusieurs mois. Le malade fut pris ensuite d'une courte période d' excitation pendant quelques jours, au bout desquels il fut
ères syllabes des mots qu'il entend prononcer (écholalie). 18 juin. Excitation ; grande confusion des idées : hallucinations ; c
parole. Même état des pupilles. 29 novembre, - Même idées ; mais excitation , violences. 24 SÉGLAS 2 février 990ô. - Rémis
actes de violence, fugues ? syphilis antérieure. A l'entrée, état d' excitation avec délire mégalomaniaque incohérent ; affai-
; réflexes tendineux normaux. La démence s'accentue rapidement : l' excitation tombe ainsi que le délire. En avril 1904, le ma
on obtient un certain degré de rapprochement des mâchoires avec des excitations énergiques. Depuis une douzaine de jours, la ma
s les mailles du tissu conjonctif, soit qu'il s'agisse d'une simple excitation de la pression sanguine intra-vasculaire locale
s oedèmes d'origine ner- veuse, le plus grand rôle est joué par une excitation des vaso-dilatateurs, car elles démontrent que
-dilatateurs, car elles démontrent que l'hyperhémie provoquée par l' excitation de ces derniers nerfs amène une formation lymph
, et en tout cas, c'est une réaction défectueuse du sympathique aux excitations du protoneurone centripète lésé-qui aboutit à l
lle a parfois desimpies vertiges précédés et suivis d'une période d' excitation pendant laquelle elle tourne sur elle-même, déchi
droit, le réflexe pupillaire à la lumière pouvait être obtenu par l' excitation lumineuse des deux moitiés de la rétine in- dif
la maladie, coma, fièvre 39° 2 le matin,et 39° 5 à minuit avec de l' excitation et délire ; l'excitation consistait en mouvemen
39° 2 le matin,et 39° 5 à minuit avec de l'excitation et délire ; l' excitation consistait en mouvements continuels à droite et
ndiquaient une amélioration ; ils se contractaient faible- ment à l' excitation faradique. En cet état, au mois d'août, elle fu
acquièrent une grande intensité. La douleur intense provoquée par l' excitation faradique des troncs ner- veux, spécialement du
et 4), les muscles paralysés se contractent aussi par l'action des excitations faradiques, excepté quand il existe une localisa-
ues et ne serait donc pas para- lytique. b) Mydriase spasmodique ( excitation du grand sympathique cervical). La dilatation p
EL, Revue de Méd., 1896. MYDRIASE HYSTÉRIQUE 247 7 teurs et d'une excitation des filets sympathiques de l'iris » pour explique
même les signes de la mydriase spasmodique sont ceux que provoque l' excitation du centre irido-dilatateur de la moelle cervica
les muscles de l'iris que grâce au ganglion ciliaire, qui reçoit l' excitation de ce nerf et la transmet, au moyen d'une artic
réflexes ; cette dilatation est iden- dique à celle que provoque l' excitation du sympathique. Plusieurs heures plus lard,' la
incter lui- même n'est pas atteint. L'iris, n'étant plus soumis aux excitations exté- rieures, se place dans sa position d'équi
puisse se contracter d'une façon aussi in- tense sous l'influence d' excitations , qui sont normalement sans action sur lui. c)
t pro- duire seule cette dilatation maximale, ils ont dû invoquer l' excitation du sympathique. Beaucoup d'observations de my
e modifie volontairement son équi- libre nerveux pour se donner une excitation ou une anesthésie variables selon les doses emp
le délire onirique persistant et inhibant le courant centripète des excitations réelles. Les synesthésies les plus complexes s'
rique euphorique et exalté (Fig. I et II). A un degré plus avant, l' excitation se manifeste par de l'excitation in- cohérente
I et II). A un degré plus avant, l'excitation se manifeste par de l' excitation in- cohérente avec insomnie et verbigération sa
es fâcheuses autres ne sont pas rares. Le caractère érotique de l' excitation spinale dû au haschich se mani- feste dans l'iv
se mani- feste dans l'ivresse comme dans le délire ultérieur ; à l' excitation sexuelle se lient les attentats divers aux moeu
e ont perdu toute leur activité. Il doit y avoir eu dans ce cas une excitation anormale à l'ostéogénèse, au détriment du pério
patiemment les retours offensifs et ne les considérer que comme une excitation à la lutte contre l'hôte désagréable que nous d
nt quelques courts' ins- tants, et seulement aux moments de moindre excitation . La lecture ordinaire est plus facile, mais néc
82 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
i a terminé la vie, ou bien au contraire est-elle la cause de cette excitation , les poisons orga- niques retenus ayant porté l
ifs ? des' mouvements automatiques'avec alternatives irrégulières d' excitation et de dépres- sion. " . rarc ? x .Le ton émot
ve de l'objet aimé, en, recherchent le partage pour se procurer une excitation sexuelle d'un nouveau genre ; c'est la mixoscop
llait se réfléchir sur une partie du système musculaire; mais cette excitation peut aussi ? ? r,'f ? p-t ? o ? n ? t'j ? ? se
rses catégories.)., La^'réaction ( synergique a d'une 'pupille' par excitation de l'autre,' peut exister quand il y,a perte' de,
t;anormal des artères, et grâce peut-être aussi à' des phénomènes d' excitation , réflexe peu connus. · us,9q-) M'rijtif(fL-M Mt
cularité, qu'une forte prédominance des manifestations maniaques, l' excitation cérébrale atteignant chez eux un degré extrême.
but thérapeutique, ont bien pu cons- tater les effets de certaines excitations des circonvolutions céré- brales de l'homme. Ba
phénomène purement subjectif, prove- nant en dernière analyse d'une excitation interne du centre cérébral..Cette excitation, s
dernière analyse d'une excitation interne du centre cérébral..Cette excitation , suivant, les uns, naît sur- place ; suivant d'
vant,^ l'enfant est en proieppendant la1 nuit prhicipaléméht^à de l' excitation cérébrale, chantant a-tue-tête des refrains pop
ent, ils consistent soit en une activité inquiète et fébrile,,uiie4 excitation -babillarde, soit·1 éit un sentiment indéfinis-
us.fréquents. La , lobe puerpérale, lorsqu'elle,, prend la forme, d excitation maniaque, est d'un pronostic défavorable, sauf
condition '' d'augmentationt'def'cette rmême, faculté, un« "légère, excitation . I' iiientale,-e le, délire igai-jet exubérant,
lucinations seusorielles.Les sensatious,sôilores occasionnées par l' excitation , la ,vibration, du nerf,auditif, provôquentll'i
ttaque n'était pas suivie de troubles moteurs, mais de phénomènes d' excitation psy- chique : P...'s'habille et court; à 8 heur
e de mourir, de se jeter à la Seine.' En mai survient une'période d' excitation .' La malade court de tous côtés, montrant une a
est fini^dit-elle^je n'ai plus'mes voix . 'dans la-boucher1» Légère excitation avec idées ambitieuses : ' '' ` ? i4 ? ëM ? L'exc
her1» Légère excitation avec idées ambitieuses : ' '' ` ? i4 ? ëM ? L' excitation a augmenté et nécessite'le transfert du quartie
, f' nu c ow r -. , ,1 il c . v ? `, a 15 mars ? Même état de,vive, excitation , avec, hallucinations multiples, confusion, dés
roubles hallucinatoires, de leur association étroite avec un état d' excitation des,,centres"des muscles'masticateurs de .leur
oncée en réalité..Toutefois,, avec la durée et l'intensité de . l' excitation du centre cortical, ,une émission de mots pourra
ecorce dont les svmptomes observes pendant la vie avaient traduit 1 excitation ,, a savoir : le centre sensitivo-moteur verbal
xzetiie acces qui pro- voque l'internement : c'est alors un état d' excitation maniaque avec idées de grandeur,et derpersécuti
manifestaient. Puis les hallucinations. diminuèrent, disparurent; l' excitation tomba, les idées délirantes s'effacèrent : la m
s les territoires sensoriels et sensitivo-moteurs participent a à l' excitation : ce sont, se renouvelant sans cesse, des halluci
s muscles;, lorsque" ceux-ci' sont épuisés'1 par' l'inténsilé' de l' excitation , l'équilibre se.' rétablit ? En'd'autres termes,
nerait,lieu à (des, mou ve- menlSjConvulsifs et-spasmodiques, avec, excitation intense. ahane * jusqu'aux phénomènes tétanique
nécessairement d'une façon rapide et passagère une expansion et une excitation dues àsa^combùs- "`tion'süé place et suivies1 d
elle part de grands' éclats de rire, qui semblent motivés- par*' l' excitation ' 'corticale-, du'sens génital^, car E elle'les
e 'et dans la contraction artificielle provoquée par lés méthodes d' excitation employées en électrothérapie. De même que l'exe
les au point de vue thérapeutique; 3° l'exercice provo- qué par les excitations galvaniques rythmées produit ! avec ses - secou
peu de temps une, grande quantité d'électricité et que les effets d' excitation seront d'autant plus grands que la charge aura
as de rapport fixe entre la force de l'excitant et l'intensité de l' excitation nervo-musculaire. Il estproblable ajoute- t-il
exercice et non suivant un étalon inné. IV. De l'interférence des excitations dans le nerf; ', 'f 11 - , ' par VEDENSAY ? 1 '
du galvanomètre et du muscle, M. Wedensky'démontre queles ondes d' excitation dans* le nerf agissent'les unes sur les autres et
ation dans* le nerf agissent'les unes sur les autres et amènent des excitations secondaires ayant une intensité et des rythmes
t il y a lieu de leur( tenir compte : phase réfractaire des ondes d' excitation les unes sur les autres et action électrotonique.
te du passage de celui-ci à travers le nerf, mais le résultat d'une excitation méca- nique s'exerçant sur les organes terminau
la collaboration de Dauriac, Fer- rier et Voir, 67.-t ? '»-- lit4 Excitations , de l'influence, des -, ? dans le nerf périphériq
83 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
nducteurs d'impressions centripètes, de stimulations centrifuges et d' excitations organiques. Ces nerfs sont des cordons composés d
parle à peu près de la même manière. 11 assure, en effet, que « toute excitation vive du pouvoir moteur de la « moelle épinière ne
n centre particulier d'action, tout en admettant qu'à l'occasion de l' excitation d'un seul segment, la modification se prolonge da
ou de la tige nerveuse, en avant et en arrière du point qui a reçu l' excitation . Il y a donc à la fois, dans l'axe nerveux, multi
l'âme sont anéantis et l'animal n'est plus qu'un automate, capable d' excitation , capable de mouvement, capable d'équilibre et de
n'a point été conservé. Cette faculté que la moelle a de recevoir des excitations et de réagir sur elles, est aujourd'hui désignée
i divise-t-on la moelle dans un plan médian sur un animal décapité, l' excitation des parties cutanées du côté droit fera contracte
parties cutanées du côté droit fera contracter les muscles droits, l' excitation des parties gauches fera contracter les muscles g
i on laissait reposer l'animal, après quelques heures, ta plus légère excitation des parties postérieures suffisait pour faire don
se font dans le cerveau. u. s:i transmet aux organes du corps les excitations dont l'encéphale est le principe. Il est, en outr
urs de l'esprit d'en avoir une idée présente, indépendamment de toute excitation ac luelle, et de les créer de toutes pièces, si
t cette propriété est d'autant plus marquée qu'ils sont plus aigus. L' excitation dure en général autant que le son qui l'a produit
mouvoir ou simultanément ou alternativement. Non-seulement, après une excitation qui détruit l'équilibre, on y revient par des osc
ie d'expériences analogues « que, « lorsqu'un organe est soumis à une excitation prolongée, a il oppose une résistance qui croît a
odéré, il en résulte un sentiment d'activité vitale et de plaisir ; l' excitation dépasse-t-elle certaines limites, la texture des
elle peut s'accroître jusqu'au prodige. Alors, sous l'influence d'une excitation cachée, des souvenirs ensevelis depuis longtemps,
le presque impossible de décider comment s'accomplira ce passage de l' excitation au repos ; à priori, cependant, il doit y avoir u
sés. Ainsi, toute modification de l'être sensible, c'est-à-dire toute excitation sollicitant une réaction corrélative, il en résul
ons imaginaires. Il y a un troisième état qui paraît résulter d'une excitation excessive des organes extérieurs de l'imagination
st s'éveiller une première fois ; l'état de veille est donc un état d' excitation et d'activité exceptionnelle. L'influence des age
st « évidemment la condition essentielle de leur existence. C'est « l' excitation maniaque (1). » Cet habile auteur a donné, par
e. Cette turgescence était évidemment, dans ce cas, le résultat d'une excitation vasculaire; or il est certain que la plupart des
général se produisant plus aisément dans les natures affaiblies, ces excitations cérébrales sont surtout fréquentes chez des homme
des hallucinations, des rêves et des idées fixes, en entretenant une excitation sympathique du système nerveux central. Le prin
un accident pareil arrive à un homme auquel la folie, le sommeil, une excitation quelconque ôtent la liberté du raisonnement, l'im
aisait défaut. Les troubles dont je viens de parler dépendent d'une excitation idiopathique et directe du cerveau. Mais cette ex
ndent d'une excitation idiopathique et directe du cerveau. Mais cette excitation peut se développer sympathiquement à l'occasion d
élas ! si fréquents, même dans l'état de veille. Attention exclusive, excitations , sentiments indéfinis, congestions stupéfiantes,
it. M. Moreau a étudié avec beaucoup de sagacité le rôle que joue l' excitation dans la production des maladies de la pensée. D'a
s maladies de la pensée. D'ailleurs, il faut distinguer avec soin les excitations par influence, d'avec les excitations idiopathiqu
l faut distinguer avec soin les excitations par influence, d'avec les excitations idiopathiques. Celles-ci impliquent un état morbi
ue le phénomène essentiel. On peut d'ailleurs remarquer ici que les excitations par influence produisent plus particulièrement de
isent plus particulièrement des impulsions délirantes, tandis que les excitations idiopathiques engendrent surtout des hallucinatio
conçu. Imagine-t-on des sons? l'oreille écoute, tout en fuyant les excitations extérieures. Cette attention symbolique est-elle
ence s'éveille-t-elle à la lumière d'une idée? Il surgit des signes d' excitation expansive dans tout le corps et les phénomènes de
moyen d'ouvrir une certaine porte, et le retint par suite de l'état d' excitation où l'avait mise le désir de retrouver ses petits.
84 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
elque nourriture. Environ une demi-heure après, je fus averti que l' excitation morbide paraissait revenir et qu'il semblait voir
stimulant d'ordre différent; ce résultat est obtenu par l'emploi des excitations physiques et mécaniques, telles que le massage, l
xtrême hyperexcitabilité neuro-musculaire du sujet, M. Mabille. par l' excitation directe des muscles et des tendons, provoque tell
souvent et toujours de la même manière, gardent, à la suite de cette excitation très forte et unique, ou faible mais répétée, un
ulier, quelque chose comme une mémoire matérielle, qui fait que toute excitation nouvelle les remet dans l'état même où elles se s
es remet dans l'état même où elles se sont trouvées lors de la grande excitation ou lors de ces excitations toujours (i) La Vie
où elles se sont trouvées lors de la grande excitation ou lors de ces excitations toujours (i) La Vie des Sociétés, par le Dr A.
t, qu'à une seule idée, l'ébranlement et l'idée qui correspondent aux excitations précédentes. Tel est le point de départ physiol
se en quelque sorte son sillon dans son émo-tivite. S'il s'agit d'une excitation gaie, c'est le rire qui se dessine avec un éc
ui nécessitent une certaine connaissance consciente de la nature de l' excitation . Ce sont ces réflexes qu'il propose d'appeler psy
d'aliénés, mais sont traites en ville comme neurasthéniques; 3° Les excitations sexuelles déterminées par les congestions dues à
ou 10 minutes, avec tout son cortège d'attitudes spéciales, depuis l' excitation légère jusqu'à la physionomie ébrieuse avec relâc
ontinent le sujet reprendre peu à peu l'usage de ses sens, expurger l' excitation alcoolique, et sortir de lui-même de cet état qua
n, quand il s'agit de substances simulatrices employées comme agent d' excitation , de laisser les processus de retour s'opérer d'eu
devait être dirigé d'après deux indications principales : amoindrir l' excitation réflexe et renforcer la volonté L'hypnotisme m'a
par persuasion qui a produit ce changement. Toutefois, pour calmer l' excitation nerveuse et rendre cette persuasion plus facile e
le docteur Rokwell de New-York, les courants induits qui. par la vive excitation de la sensibilité qu'ils déterminent, augmentent
riosités malsaines ? Qu'importe? dira l'auteur, si je réponds à ces excitations par une étude vraie. Autre question : l'étude e
e visant d'ailleurs qu'à exciter la curiosité, qu'à se faire de cette excitation un élément de succès,— ne peuvent avoir d'autre e
e. Contracture intense des extenseurs de ce côté; rien à gauche. Même excitation de la face dorsale de l'avant-bras gauche anesthé
dans la perception d'une sensation dans le coté opposé au point où l' excitation a lieu. La sensation est localisée dans le point
ur le côte gauche du myélaxe, jusqu'à l'hémisphère gauche. Ainsi, l' excitation est gauche et la sensation est droite et symétriq
détermine, au début, une accélération du pouls et un certain degré d' excitation ; mais cette excitation ne tarde pas à tomber pou
e accélération du pouls et un certain degré d'excitation ; mais cette excitation ne tarde pas à tomber pour faire place à la torpe
ce du froid polaire agit en revêtant son caractère le plus tranché. Excitation et dépression : simultanément ou alternativement,
n doit la cessation de la douleur. De même dans l'hypnotisme on a une excitation réflexe sur le système spinal, et un acte d'inhib
ts, il était, à la suite de cette exagération d'activité mentale et d' excitation émotive exceptionnelle, tombé dans un état de pro
rêt et nos confrères ont pu difficilement se rendre compte du degré d' excitation nerveuse que peuvent déterminer chez ces individu
tance grise à fonctionner de la même façon lorsqu'elles reçoivent une excitation quelconque. Il se crée des associations cellulair
tout instant, aux pires éléments de débilitation de l'organisme et d' excitation du système nerveux ? Pour les classes riches, l
la folie erotique : 1° Erotomanie ou folie de l'amour chaste; 2° Excitation sexuelle comprenant la forme hallucinatoire, aphr
les foules, produisant, comme l'hypnotisme, de la somnolence ou de l' excitation , des paralysies ou des contractures, des hallucin
85 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
elque nourriture. Environ une demi-heure après, je fus averti que l' excitation morbide paraissait revenir et qu'il semblait voir
stimulant d'ordre différent; ce résultat est obtenu par l'emploi des excitations physiques et mécaniques, telles que le massage, l
xtrême hyperexcitabilité neuro-musculaire du sujet, M. Mabille. par l' excitation directe des muscles et des tendons, provoque tell
souvent et toujours de la même manière, gardent, à la suite de cette excitation très forte et unique, ou faible mais répétée, un
ulier, quelque chose comme une mémoire matérielle, qui fait que toute excitation nouvelle les remet dans l'état même où elles se s
es remet dans l'état même où elles se sont trouvées lors de la grande excitation ou lors de ces excitations toujours (i) La Vie
où elles se sont trouvées lors de la grande excitation ou lors de ces excitations toujours (i) La Vie des Sociétés, par le Dr A.
t, qu'à une seule idée, l'ébranlement et l'idée qui correspondent aux excitations précédentes. Tel est le point de départ physiol
se en quelque sorte son sillon dans son émo-tivite. S'il s'agit d'une excitation gaie, c'est le rire qui se dessine avec un éc
ui nécessitent une certaine connaissance consciente de la nature de l' excitation . Ce sont ces réflexes qu'il propose d'appeler psy
d'aliénés, mais sont traites en ville comme neurasthéniques; 3° Les excitations sexuelles déterminées par les congestions dues à
ou 10 minutes, avec tout son cortège d'attitudes spéciales, depuis l' excitation légère jusqu'à la physionomie ébrieuse avec relâc
ontinent le sujet reprendre peu à peu l'usage de ses sens, expurger l' excitation alcoolique, et sortir de lui-même de cet état qua
n, quand il s'agit de substances simulatrices employées comme agent d' excitation , de laisser les processus de retour s'opérer d'eu
devait être dirigé d'après deux indications principales : amoindrir l' excitation réflexe et renforcer la volonté L'hypnotisme m'a
par persuasion qui a produit ce changement. Toutefois, pour calmer l' excitation nerveuse et rendre cette persuasion plus facile e
le docteur Rokwell de New-York, les courants induits qui. par la vive excitation de la sensibilité qu'ils déterminent, augmentent
riosités malsaines ? Qu'importe? dira l'auteur, si je réponds à ces excitations par une étude vraie. Autre question : l'étude e
e visant d'ailleurs qu'à exciter la curiosité, qu'à se faire de cette excitation un élément de succès,— ne peuvent avoir d'autre e
e. Contracture intense des extenseurs de ce côté; rien à gauche. Même excitation de la face dorsale de l'avant-bras gauche anesthé
dans la perception d'une sensation dans le coté opposé au point où l' excitation a lieu. La sensation est localisée dans le point
ur le côte gauche du myélaxe, jusqu'à l'hémisphère gauche. Ainsi, l' excitation est gauche et la sensation est droite et symétriq
détermine, au début, une accélération du pouls et un certain degré d' excitation ; mais cette excitation ne tarde pas à tomber pou
e accélération du pouls et un certain degré d'excitation ; mais cette excitation ne tarde pas à tomber pour faire place à la torpe
ce du froid polaire agit en revêtant son caractère le plus tranché. Excitation et dépression : simultanément ou alternativement,
n doit la cessation de la douleur. De même dans l'hypnotisme on a une excitation réflexe sur le système spinal, et un acte d'inhib
ts, il était, à la suite de cette exagération d'activité mentale et d' excitation émotive exceptionnelle, tombé dans un état de pro
rêt et nos confrères ont pu difficilement se rendre compte du degré d' excitation nerveuse que peuvent déterminer chez ces individu
tance grise à fonctionner de la même façon lorsqu'elles reçoivent une excitation quelconque. Il se crée des associations cellulair
tout instant, aux pires éléments de débilitation de l'organisme et d' excitation du système nerveux ? Pour les classes riches, l
la folie erotique : 1° Erotomanie ou folie de l'amour chaste; 2° Excitation sexuelle comprenant la forme hallucinatoire, aphr
les foules, produisant, comme l'hypnotisme, de la somnolence ou de l' excitation , des paralysies ou des contractures, des hallucin
86 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
jouet inconscient de toutes nos impulsions internes ou de toutes les excitations extérieures? Dans presque toutes les observatio
on : elle/ ceux-là. il est indiqué de recourir à l'intervention d'une excitation extérieure. Pour cela, il esl nécessaire de plong
en sens contraire : 2°Eveiller la conscience et transformer, par des excitations extérieures, une perception inconsciente en perce
et ce- idérs délirantes se sont manifestées au milieu d'une période d' excitation nerveuse pendant laquelle la malade pleurait et r
en bien comme en mal. soit qu'on leur suggère de la sédalion ou de l' excitation des sens et de l'intelligence, soît qu'on leur su
é d'autant plus pénible à remplir que le malade était assujetti à des excitations maniaques alternant avec tles accès de mélancolie
rappé par quelque faits dans lesquels la caféine a paru provoquer une excitation cérébrale intense, de l'insomnie et même du délir
engourdis d'esprit et de corps, sortent enfin du sommeil à la moindre excitation , dès que son rôle fonctionnel est à peu près remp
ement et ses actes. agit de lui-même, sous l'impulsion de ses propres excitations , avec un semblant d'indépendance qu'il n'a pas.
s femmes arabes et l'étourdissante mélopée des derviches tourneurs. L' excitation ne devient la surexcitation nécessaire que si les
aires, sauf obstacle à celle phase ultime île l'acte volontaire. De l' excitation d'une série d'images à l'acte linai, il existe un
nscience apparaît comme attribut sans y rien ajouter mécaniquement. L' excitation initiale île cette chaîne volitive a pu être cons
ompliqué de la loi des réflexes, dans lequel, entre la période dite d' excitation et la période motrice apparaît un fait psychique
'école d'Anthropologic de Paris. (Suite.) III A la suite d'une] excitation quelconque propagée suivant les processus associa
ibrillaires, etc., indiquant la vivacité de la délibération. La forte excitation de motifs opposés peut même donner lieu ù des mou
est altsolumeul juste. Iire que la volonté choisit les motifs dont l' excitation doit constituer une délibération et qu'elle fait
eu cependant le cerveau s'éveille: des images motifs déjà excitées, l' excitation se propage aux images associées, de là à d'autres
ent excités; les délibérations sont largement conscientes parce que l' excitation se propage jusqu'aux groupes les plus nouvellemen
essivement. Les premières éveillées sont déjà éteintes au moment où l' excitation parvient aux groupes voisins, de sorte «pie les c
nsion extrême et n'arriva à exécuter cet exercice qu'après beaucoup d' excitations , et en se mettant à cheval sur la poutre. Depuis
ression de M. Hibot. C'est parce que la valeur relative et le degré d' excitation des images motifs varient continuellement. Cette
ions où les états affectifs ne sont pas entrés en jeu avec ce degré d' excitation «gui caractérise la passion. Enfin, dans des ca
au point que l'acte représenté ne puisse plus être révoqué par L' excitation ou la surexcitation tardives de motifs ayant été
lusif de la forme joint au mépris du sens, une recherche maladive des excitations voluptueuses, la déprava-lion des sens. etc. Pa
pelle les belles expériences sur l'hémisection de la moelle ; sur les excitations périphériques du système nerveux dans l'étiologic
révues, les autres précédées d'autres phénomènes. Rien ne précède les excitations des sens, tandis qu'un acte de volonté précède le
ures, les centres de perception du cerveau doivent être sensibles aux excitations des nerfs sensoriels, les centres les plus élevés
cette catégorie de malades à qui la vue du linge de femme procure une excitation particulière et qui montrent une prédominance mal
l'espèce, c'est la pensée qui crée le sentiment, puisque ce sont les excitations extérieures lentement enregistrées dans l'organis
ous exprimons une réaction spéciale des êtres vivants en présence des excitations . Elle n'est que l'expression d'un rapport d'influ
87 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
s les organes que la guérison est réalisée. La douleur, l'insomnie, l' excitation nerveuse ou l'atonie, les troubles circulatoires
odifications neuro-vasculaires qui s'accomplissent, à la faveur d'une excitation élective, dans les profondeurs viscérales de notr
tif aux manœuvres hypnotiques, soit par perversion instinctive et excitation sensible en condition seconde, soit par insensibi
e l'exagération de la fonction dans une direction1 déterminée. 7) L' excitation du système nerveux parla suggestion ne peut être
défense, ont la plus grande importance. Il ne faut pas oublier que l' excitation apparente de la fonction, faisant disparaître les
thérapeutique donne les meilleurs résultats au traitement des états d' excitation générale du système nerveux, quelle que soit la c
tation générale du système nerveux, quelle que soit la cause de cette excitation . 10) Comme règle générale, on peut observer que
e est indiquée dans les douleurs de toutes espèces et dans toutes les excitations du système nerveux chez les neurasthéniques, dans
) Ce n'est que dans les maladies mentales, qui se caractérisent par l' excitation générale du système nerveux et du cerveau en part
des idées impulsives est toujours accompagnée par la disparition de l' excitation générale, de l'insomnie, de l'état affectif, inap
bserver que rarement des cas où l'hypnotisation provoque uuo espèce d' excitation générale du système nerveux qui est toujours pass
t maniaque et que je dois noter qu'elle est maniaque. Dans cet état d' excitation , elle dérobe à ses camarades différents objets qu
ion a été faite trop tard, les règles ayant déjà commencé et un peu d' excitation existant déjà. L'accès maniaque a eu lieu et il a
et la culture du pouvoir d'inhibition volontaire ; 2° L'exercice et l' excitation automatique de l'énergie psychique et de la fonct
progressivement la conscience par la suggestion associée aux diverses excitations périphériques, et de réaliser les mêmes phénomène
ale s'observe encore chez les paralytiques généraux expansifs, dans l' excitation maniaque ; on peut admettre alors que le sentimen
Tokarsky (de Moscou) que dans les maladies qui se caractérisent par l' excitation générale du système nerveux et du cerveau en part
e du troisième degré, état dans lequel il est insensible à toutes les excitations venues du dehors, mais il est en communication di
nce, disparition par le choc et parla chaleur; en outre, une première excitation par une pile d'une grande force électromotrice dé
ctromotrice détermine également, après le retour, la susceptibilité d' excitation par une pile d'une force électromotrice notableme
; idées de persécution, de mort, de suicide ; len-tauves de suicide ; excitation générale du système nerveux, insomnies, gâtisme,
u Congrès de Moscou, Rev. de VHypnot., XII. 216. (3) Même pendant l' excitation maniaque et pendant le cours de la folie lypéma-n
la vivacité des représentations purement imaginatives du rêve. Or, l' excitation sensorielle extérieure produite par Je d«r—mes.
une complexité morbide dont s'inquiétait à boi endroit son entou âge: excitation manUque, perversion de l'amour maternel, délire m
re par un traitement psychologique. Recherches expérimentales sur l' excitation et la dépression, par le D' G. Dumas, Revue philo
ats suivants : Chez les malades circulaires, le début d'une période d' excitation se manifeste par de Vhypoglobulie, — le début d'u
vant le malade que la période de dépression va remplacer la période d' excitation ou inversement. Par exemple {p. 630), « Marie cro
Marie croit en avoir encore pour longicmps de sa dépression ou de son excitation , lorsque le microscope nous annonce déjà un chang
veut provoquer l'hypnose, on s'applique le plus souvent à produire l' excitation persistante de l'un des organes des sens ; les pr
ation que l'on constate, par exemple, dans un muscle lorsque, par des excitations répétées, on est arrivé à réaliser en lui le fusi
88 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
s et un peu mystiques puis, plus tard.au moment de l'adolescence, des excitations trop violentes avec abus génésiques donnaient à l
ou déformant les images qui leur parviennent, le contre-coup de cette excitation anormale pourra être la mise enjeu de cette idée
euvent être produits méthodiquement et au moment désiré: 1. Par des excitations périphériques (méthode expérimentale objective ou
rme rappelant l’acte réflexe : 1° Une sensation centripète ; 2° L’ excitation d’un groupe de neurones éveillant l’idée correspo
Dans l’acte voulu, au contraire, la sensation centripète provoque l’ excitation de plusieurs groupes de neurones; le courant nerv
le transfert, puis le rôle des agents æsthésio-gènes et des diverses excitations périphériques sur les modifications de la sensibi
de neurasthénie, et j‘ai trouvé l'hypnotisme très utile pour calmer l’ excitation nerveuse et redonner la santé à des esprits très
vent être produits méthodiquement et expérimentalement : 1° Par des excitations périphériques (il s'agit alors de la méthode expé
s pas assez d’attention, asse;: d’énergie psychique pour produire les excitations et les inhibitions nécessaires, et pourquoi ? C’e
par exemple, que nous voulions analyser l’effet produit en nous par l’ excitation d’un diapason. Déjà, sous l’influence de cette si
ar l’excitation d’un diapason. Déjà, sous l’influence de cette simple excitation , nous constatons en nous un phénomène bien comple
exes ne sont pas dans un rapport si étroit de cause à effet, avec les excitations périphériques, pour qu'on puisse les produire mat
er des sensations et des idées qui restent unies sous l’influence des excitation :: périphériques et de la volonté du sujet. Ains
tristesse, afin d'étudier les changements que subissent les effets d' excitations périphériques déterminées, sous l’influence de ce
e l’on endort à l’aide du chloroforme aient au moment de la période d' excitation , des rêves érotiques dont elles gardent le souven
urone moteur; F, courant nerveux centrifuge. 3° Ccllc-ci transmet l’ excitation à un (réflexes simples) (Fig. 1) ou à un grand no
cte réflexe. La caractéristique de l’acte volontaire, consiste en l’ excitation de plusieurs neurones psychiques : d’ou la format
ésentant les neurones psychiques excités, mais un seul f transmet son excitation aux neurones moteurs. L’acte causé par le réfle
me précédemment, l’acte est déterminé par le neurone psychique dont l' excitation est la plus forte. Il n’en est pas moins vrai q
ique pas comment s’opère le contact entre neurones, ni la nature de l’ excitation nerveuse. Tout cela en effet n’a rien à faire ave
stion est permanente; c’est-à-dire que le neurone moteur continue son excitation et amène la permanence de la contraction musculai
ller sur les autres ; on leur en confie uno ou deux ; et cc système d’ excitation de leur responsabilité, qu’elles arrivent presque
n bien énorme. Ce n’est pas tout: pour compléter les effets dus à l’ excitation de la responsabilité, à l’hydrothérapie qui produ
ion hypnogénique que produit la répétition isochrone d'un même mode d’ excitation . Ainsi que vous le pouvez constater, il est com
tes, peintres, sculpteurs ou comédiens. D'aulres sujets répondent aux excitations musicales par des réactions motrices appropriées
ette situation n’est interrompue que par de rares et courtes crises d’ excitation pendant lesquelles le malade devient dangereux.
ion de l'écorce cérébrale et de ses enveloppes et par conséquent de l’ excitation , mais trop légère pour provoquer, par ictus et pa
e. S’agit-il d'une hyperhidrose?Ce trouble est en rapport soit avec l’ excitation du centre vaso-dilatateur, soit avec la parésie d
porte toujours sur elle ou bien elle s’explique avec les doigts. L’ excitation du larynx par une sonde suffit pour provoquer un
s normaux avec son mari, j'avais naturellement interdit toute cause d' excitation pendant toute la durée du traitement, et ces rapp
89 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
re du premier étage constitue, au dire de Ferrier, un centre G dont l' excitation fait mouvoir la tête. — 2° Selon le même auteur,
se de sem-blable, aurait remarqué que, chez les chiens nouveau-nés, l' excitation des régions répondant au siège des points psycho-
tibles, dans de certaines conditions, sous l'action par exemple d'une excitation fonctionnelle anor-male, d'acquérir du développem
t à peu près nécessairement Pour effet de déterminer des phénomènes d' excitation qui compliquent assuré-ment la situation. Fig.
ormes à ceux fournis par l'observation clinique, en mon-trant que les excitations partielles du noyau caudé, produi-sent toujours,
ontrairement aux enseignements de h physiologie d'il y a dix ans, l' excitation électrique des régions dites psychomotrices déter
au même titre que la région de l'écorce d'où elle dérive, répond aux excitations expérimentales, tandis que toutes les autres part
eux-mêmes excitables comme le sontlesiierfs. Mais les effets de cette excitation sont beaucoup moins accen-tués quant à la général
on et à l'intensité des contractions. Il, est remarquable aussi que l' excitation physiologique de la vo-lonté l'emporte ici de bea
citation physiologique de la vo-lonté l'emporte ici de beaucoup sur l' excitation artificielle. Les cellules des cornes antérieures
ntérieures sont sans doute un obstacle qui entrave la propagation des excitations jusqu'aux racines anté-rieures. Mais il était s
t aujourd'hui, en phy-siologie expérimentale, que la transmission des excitations mo-trices volontaires se fait exclusivement par l
observations de M. Nothnagel, confirmées par celles de M. Erb (2), l' excitation vive de certaines parties plus ou moins éloignées
tendus au moment où le tendon rotulien est percuté, transmettraient l' excitation à la moelle lombaire. Cette excitation, portée ju
est percuté, transmettraient l'excitation à la moelle lombaire. Cette excitation , portée jus-qu'à la substance grise par la voie d
és de leurs centres trophiques qui sont en même temps leurs centres d' excitation fonctionnelle, la situation équivaut à peu près,
sur la face antérieure de la cuisse une plaque d'hyperesthésie dont l' excitation détermine une violente con-traction réflexe des m
noncés ; quant à la sensibilité cutanée, elle est nulle ;toutes les excitations , mêmes les plus violentes, restent sans résultat;
de ce système doivent être exal-tées. S'il en est ainsi, les moindres excitations venant de la périphérie, en retentissant sur les
r des phénomènes réflexes plus énergiques qu'à l'ordinaire. Ainsi les excitations perma-nentes émanant, à l'état normal, des muscle
légère et permanente des muscles. Dans l'état pathologique, ces mêmes excitations se traduiraient par une contraction également per
cuisse du côté correspondant (2), ou encore le réflexe pro-duit par l' excitation de la peau du ventre du côté paralysé (Bau-ch rep
e le moindre contact la provoque et qu'elle peut, à la suite de cette excitation , persis-ter pendant plus d'une minute ; raideur d
90 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Ainsi les contractures et plus généralement les divers phénomènes d' excitation motrice chez un malade pré- sentant, d'autre pa
ite. Les contractures, et, d'une manière générale, les phénomènes d' excitation motrice, sont un élément nouveau, qui n'existe
sies ou pa- résies et surtout contractures ou autres phénomènes d' excitation motrice) et des symptômes communs à tous les ta
e la motilité; 3° une accélération du pouls semblant appartenir à l' excitation de la région cervicale de la moelle. G. D. II
olontaires ni continus ; ils ne se produisent qu'à l'occasion d'une excitation périphérique volontaire ou sensitive et présent
tômes classiques de la folie circulaire : alternatives répé- tées d' excitation et de dépression, avec intervalle très court de
lfil., 1883.) Quel temps faut-il pour qu'un individu réagisse à une excitation sensorielle le signal étant donné par une boule
épilepsie ordinaire; on diagnostique simplement les phénomènes d' excitation générale dus à un enfoncement osseux troublant la
tilité, si ce n'est en ce qui concerne le mouvement volontaire et l' excitation gal- vanique et faradique dans le domaine du ra
pas les sensations excentriques normales que déchaîne d'ordinaire l' excitation électrique. M. Jastrowitz communique un cas sem
aryngées chez des tabétiques, l'orateur a constaté des phénomènes d' excitation spéciaux du larynx; en chaque cas, il existait un
ue de Gerhardt). Si l'on rapproche l'ob- servation des phénomènes d' excitation avec contracture des cordes vocales, du résulta
a tout naturellement que les accès sus-men- tionnés résultent d'une excitation . Comme on constate dans l'es- pèce une dégénére
e contrac- ture réflexe des adducteurs des cordes vocales, dueà une excitation dégénérative du laryngé supérieur, contracture
ieur, contracture susceptible d'être augmentée à l'occasion par des excitations périphériques ou centrales et de se transformer
tues, est pris de troubles circulatoires encéphaliques (insomnie, excitation générale, syncope, dysurie, sensibilité extrême d
s le diagnostic d'athétose primitive bilatérale périphérique, par excitation névritique ascendante des faisceaux pyramidaux. C
excitant, on provoque des contractions musculaires alors même que l' excitation de la couche corticale reste silencieuse. Les ner
s, éphémères, qui n'acquièrent de la durée que par la sommation des excitations ; le courant galva- nique ne décèle aucune anom
n n'engendre de contraction tonique soutenue que par la sommation d' excitations disséminées le long du cubital. Les muscles, ex
ts restait toujours à peu près aussi pauvre; souvent il fallait une excitation forte, c'est-à- dire élever la voix et répéter
t tous deux bien portants et la conception n'a pas eu lieu durant l' excitation alcoolique la plus légère,- Grossesse bonne, sa
té réglée de bonne heure ( ? ) et présentait, parait-il, une légère excitation au moment des époques. Premier accès.- Il y a
er dans les opérations sur l'homme, craignant qu'il ne produise une excitation cérébrale; le chloroforme, au con- traire, prod
osition du pouce et des doigts peuvent être produits par une légère excitation des circonvolutions frontale et pariétale ascen
res. Chez les mélancoliques hypo- chondriaques, ne présentant pas d' excitation nerveuse spéciale, on voit également l'humeur s
omatiques, symp- tômes de déficit, phénomènes d'arrêt, phénomènes d' excitation pour le diagnostic local, la localisation des l
respecté les actes non contrôlés du roi, jus- qu'à ce qu'un sujet d' excitation , les difficultés financières, eût amené cette c
91 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
dans la corticalité cérébrale du chien, l'existence de zones dont l' excitation donnait lieu il des mouvements des membres du c
s et le pied d'insertion de la troisième circonvolution frontale. L' excitation électrique de la zone motrice a été pratiquée il
ir- Zone motrice cor- ticale. Ses trois enitros principaux. Excitation électri- que do ces centres chez l'homme. Z
(Keen), l'abduction des doigts (Keen, Mills et Ilearn), elc. Par l' excitation de la zone de la face, on obtient de môme des mou
urtout par la contraction des muscles zygomatiques, s'obtient par l' excitation d'un centre (centre du facial inférieur ou cent
la zone de la face, immédiatement au- dessous du centre du pouce. L' excitation de la frontale ascendante au-dessus du centre z
ne la fermeture des deux ! Jeux (mouvement bilatéral) (Keen). Par l' excitation de la pariétale ascen- dante au niveau et en ar
mposer en zones secondaires pour les différentes articulations. Son excitation produit plus souvent des mouvements combinés, a
issent aucun doute à cet égard. Chez le^ macaque et chez l'orang, l' excitation du centre cortical du facial supérieur détermin
es, avec prédominance dans la paupière du côté opposé, tandis que l' excitation du centre du facial inférieur se traduit presqu
se traduit presque exclusivement dans les muscles du côté opposé. L' excitation capsulaire a donné les mômes résultats à ces aute
du facial supérieur d'un côté ayant la môme action bilatérale que l' excitation du centre lui-même. La paralysie isolée de la f
ux zones corticales, l'une anté- rieure, l'autre postérieure dont l' excitation provoque une déviation conjuguée des yeux avec
ment en arrière de l'extrémité infé- rieure du sillon précentral. L' excitation de cette région produit chez l'animal en expéri
ez le chat et le chien en avant et au-dessus du centre phonateur. L' excitation de cette région détermine une contraction bilat
vant du sillon précentral, un centre moteur spécial des yeux dont l' excitation ne détermine qu'une déviation conjuguée des yeu
chaque mouvement différencié, un foyer, un point d'élection, dont l' excitation provoque un effet maximum, puis à mesure qu'on
la pensée le sillon de Rolando, et l'analogie devient complète. L' excitation de chacun de ces centres détermine un mouv ement
nte, et se propage de làà la racine du membre ou à sa périphérie. L' excitation de la partie antéro-supérieure de la zone déter
et de la rotation de l'épaule en dehors. Le mouvement obtenu par l' excitation électrique de la zone du membre inférieur varie
re supé- rieur) les mouvements propres à chaque articulation. Par l' excitation du centre de l'épaule pratiquée de haut en bas,
des mouvements très différenciée est infiniment plus fine que Leur excitation . Mouvement primaire. Mouvements sc- condair
su- périeure. Région faciale in- férieure. chez le macaque. L' excitation de l'écorce produit en général un mouvement prima
x régions : l'une supé- rieure, la région faciale supérieure dont l' excitation entraîne le clignement, c'est-à-dire la fermetu
a- biale ; l'autre inférieure, la région faciale inférieure, dont l' excitation détermine des mouvements de la langue et des mâ
est bilatéral, mais actionne surtout les paupières du côté opposé. L' excitation de la partie prérolandique du centre détermine
ation de la partie prérolandique du centre détermine l'ouverture, l' excitation de la partie rétro- rolandique, la fermeture de
dans la partie anté- rieure du pied de la frontale ascendante; son excitation produit la contraction bilaté- rale des adducte
utre des mouvements de la langue et, ainsi que Ferrier l'a signalé, l' excitation de la FiG. 241. - Les régions sensitivo-motrice
E. 231 partie antérieure de cette zone détermine la protrusion, l' excitation de sa partie posté- rieure, la rétraction de la
nt des branches horizontale et verticale du sillon prérolandique. L' excitation de ce centre détermine l'ouverture rapide des p
e se trouve le centre du facial supérieur, centre palpébral, dont l' excitation détermine la fermeture bilatérale des paupières
n pariétale ascendante, au-dessous du genou du sillon de Rolando. L' excitation de la partie supérieure de la zone détermine la
la partie supérieure de l'orbiculaire des lèvres du côté opposé. L' excitation d'une bande étroite de la circonvolution pariétal
détermine l'élévation de la lèvre supérieure du côté opposé. Par l' excitation de la partie corresponclante;de la frontale ascen
frontale ascendante, le long du sillon de Rolando, un point dont l' excitation détermine le renversement de la lèvre infé- rie
petits centres pour les mouvements bilatéraux de la bouche, dont l' excitation produit de haut en bas : le renversement en ded
chez le ma- caque Les mouvements de la langue s'obtiennent par l' excitation de la partie inférieure de la circonvolution fr
avant et sa rétraction en arrière dans le fond de la bouche. Par l' excitation de la moitié inférieure de cette zone, la langue
t épaissie, gonflée, lorsque les électrodes sont placés plus bas. L' excitation de la moitié inférieure de la zone de la langue d
t dans le centre des mouvements des yeux un territoire moyen dont l' excitation détermine la déviation conjuguée simple, un ter
rmine la déviation conjuguée simple, un territoire supérieur dont l' excitation est suivie d'une déviation latérale avec abaiss
abaissement des globes oculaires, et un territoire inférieur dont l' excitation provoque, avec la déviation latérale, une élévati
a dépendance du centre antérieur ou frontal. Schafer a montré que l' excitation du centre frontal a une action plus directe sur l
région sous-thalamique aux confins du pied du pédoncule cérébral. L' excitation de la capsule interne détermine d'avant en arrièr
t le goût, l'odorat et la vue sont intacts, ne réagit plus à aucune excitation auditive, il n'aboie plus spontanément, mais cr
eurs corticaux du cerveau humain déterminés d'après les effets de l' excitation faradique des hémisphères cérébraux. ciiii. de
't of the Monkey. Brain, janv. 1888, 379. - Du Même. On electriccal Excitation o/' the occipital lobe and adjacent parts of th
the R. Soc., 1888, vol. 43.- Du même. Experiments on the electrical excitation of the visual area of the cérébral cortex in the
même. A comparision of the latency period of the ocular muscles on excitation of the frontal and occipito-temporal régions of t
hose sur la valeur physiologique de ces régions. D'après Ferrier, l' excitation électrique de la circonvolution du crochet déte
, vol. XXVIII, I pt. 1882. - Schafer. Experiments on the electrical excitation of the visual area ofthe cérébral cortex in the m
92 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
ement, Tandis qu'il m'était impossible avant de ré- sister à une vive excitation sensuelle, de sorte qu'en voyant un cocher de tra
le, il me fallait quitter le tramway, je peux rester aujourd'hui sans excitation sensuelle quand je suis avec mon amant d'autrefoi
plus. Dans la première nuit j'eus beaucoup de peine à entrer dans une excitation sensuelle, moins dans celle qui suivit, et depuis
rs expulsives commencent, le sommeil ne peut plus être obtenu, mais l' excitation presque délirante, qui survient dans l'intervalle
visé .es régicides en trois catégories, 1° les régicides fous, dont l' excitation au délit réside le plus souvent dans des hallucin
a période cataleptique elle est stationnaire au moins en présence des excitations mécaniques, enfin dans l'état somnambulique elle
exaltée dans des proportions notables et non plus seulement pour les excitations fortes : la plus légère excitation de la peau fai
es et non plus seulement pour les excitations fortes : la plus légère excitation de la peau fait entrer les muscles sous-jaceuts e
mécaniques, mais nous savons qu'en règle générale, les résultats de l' excitation élec- ; trique et ceux de l'excitation mécanique
e générale, les résultats de l'excitation élec- ; trique et ceux de l' excitation mécanique sont rigoureusement parallèles (Mœbius)
trodes étaient appliquées aussi légèrement que possible pour éviter l' excitation mécanique qu'aurait pu déterminer leur choc contr
anique qu'aurait pu déterminer leur choc contre la peau. Les points d' excitation étaient répétés à l'encre. Les électrodes étaient
.— La nicotine est pour l'homme un poison énergique. Après une courte excitation , il a une action déprimante très marquée. Chaqu
s sont faciles, mais il est constamment agité. Ce sont des périodes d' excitation qui alternent avec de la dépression ; il est alor
nt. Ce stade peut durer longtemps. 4° Troisième stade dans lequel l' excitation devient plus rare ; l'intelligence décline, les h
ts puerpéraux, fut prise de troubles intellectuels avec intervalles d' excitation , quelques hallucinations, idées de mystique relat
injuste de dire que c'est l'electrisation elle même qui l'a causée. L' excitation psychique, la peur d'être électrisé auront seules
-épilep-tiques que j'si hypnotisés lorsqu'ils n'étaient pas en état d' excitation avant l'hypnose et surtout lorsqu'ils n'avaient p
fets les plus imme-diats et en même temps les plusremarquables, est l' excitation des tacultés intellectuelles. Hile produit une di
ssagère, a bquello il faut attribuer cet état moral d'anesthesie et d' excitation qui caractérise le morphinomane. 11 est content d
e ensuite des faits qui démontrent les effets produits par quelques excitations brusques cl fortes ou faibles et prolongées du se
il suit l'opérateur et imite servilement tous ses mouvements. » Les excitations brusques et fortes du sens du tact produiraient d
ionné plus haut), que le malade insensible, en apparence, aux légères excitations , retirait, au contraire, les membres dès qu'on le
é sont deux choses distinctes. La notion consciente du moi dépend des excitations extérieures actuelles, de ce qu'on voit, de ce qu
é Scion le> vues de l'auteur, elle n'est pas tant le résultat de l' excitation des passions sexuelles que la conséquence de tous
tes intellectuels proprement dits, mais il réveille aussi parfois des excitations instinctives qui livrent l'homme, (1) Leçons pr
l'hypnotiser. A mon arrivée, à 8 h. du soir; je l'ai trouvée dans une excitation extrême. Je lui fais fixer ma montre disant que j
tout naturellement. Le surmenage provient de l'épuisement par excès d' excitation , que L'excila-tion soit d'ordre extérieur ou inté
moelle entre en action, sans que le cerveau ait provoqué ou partagé l' excitation de celle-ci. Nous n'insisterons pas sur le priapi
différence pour les rapports sexuels sont parfois tourmentées par des excitations génésiques violentes, insupportables... Elles se
remonte à cette date. C'est alors qu'elle a ressenti les « premières excitations , » mais à cette époque les crises étaient très él
93 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
n'est au niveau des muscles spinaux très dimi- nués vis-à-vis de l' excitation faradique. Il existe en outre une atrophie marqué
le caractère. Passait fa- cilement de l'activité à l'apathie, de l' excitation à la torpeur, de l'enthousiasme au découragemen
é reçu le 22 avril dans mon service, Il m'est arrivé dans un état d' excitation physique et psychique modérée. Dormait mal et p
nait avec des gestes exagérés. Sous l'influence du traitement cette excitation se calma assez vite, et depuis quelque temps le
l est enfermé à la maison de santé du Felhal, le 2 juin 1895. Cette excitation se termina peu de temps après, étant immédiatem
, le 8, se réfugier à l'hôpital du Conde de Ferreira dans un état d' excitation maniaque, dont il sortit guéri le 24 octobre. M
er, etc. Cet accès se dissipa aussi à son tour pour retomber dans l' excitation maniaque sans transition, à ce qu'il paraît, d'un
a maison de santé, sans cause apparente, il fut pris d'une nouvelle excitation et interné encore au Felhal le 23 février 1898,
n état normal. Au contraire, pendant cette période, il eut diverses excitations et dépressions, mais si peu intenses, et de si
terné à l'hôpi- tal du Conde de Ferreira le 25 mai. En outre de son excitation physique et in- tellectuelle, il m'est arrivé a
e, dont il se rétablit très vite, sortant le 18. Excepté quelques excitations et dépressions passagères, il se maintint dans
5 du mois, lorsque la famille éplorée le cherchait par- tout. Cette excitation s'était dissipée au bout de trois mois, mais je l
tificat immé- diat : Idiotie avec gâtisme continuel, hydrocéphalie, excitation fréquente. a 96 TREPSAT 28 juillet. - Elle
ction des voies nasales ; mais elle est souvent pro- voquée par des excitations périphériques diverses très peu intenses mais c
peux pas douter que le jour m'éclaire mieux et qu'il en résulte une excitation qui favorise le travail. L'augmentation de la
s certains sujets atteints de troubles mentaux paraissent agir sans excitation locale préalable ; j'ai déja signalé un paralyt
ificat de M. Garnier ; « est atteint de dégénérescence mentale avec excitation , désordre dans les idées et les actes, déclamatio
mentale avec hallucinations ; idées ambitieuses et de persécution, excitation ; loquacité, propos incohérents ». Quelques jou
ne attaque épileptiforme, il a conservé son délire polymorphe, de l' excitation et des hallu- cinations auditives. A la fin de
les muscles sont mous, flasques, donnant une réaction très vive à l' excitation mécanique (augmentation de la contracti- lité i
rs, du biceps et un peu des muscles antérieurs de la cuisse ; . L' excitation de la plante du pied provoque des contractions à
i ont provoqué des phénomènes de vaso-dilatation périphérique par l' excitation du bout ganglionnaire des racines postérieures
. Ils sont le siège de tiraillements spasmodiques sous l'inflence d' excitations psychiques.Le malade ne peut pas les remuer sans
icales. Vaschide et Vurpas (3) ont signalé son association avec des excitations sexuelles et citent trois cas intéressants. Dans
sique symphonique provoquait une émotion de plaisir semblable à une excitation sexuelle; dans le second l'audition musicale ag
orino, 1891. (2) Hospital, loc. cil. (3) Vaschide 0t VUNPAS, De l' excitation sexuelle dans l'émotion musicale. Arch.de l'Ant
s des poignets sont vifs des deux côtés, principalement à gauche. L' excitation plantaire détermine à gauche de l'extension en
presque réflexe, le malade ne pouvant ni reconnaître la nature de l' excitation cutanée, ni en localiser le siège. Nous insiste
ristiques ;-en effet, le bout ganglionnaire offre des phénomènes d' excitation nutri- tive consistant dans la formation de pro
il ne remue ni dans un sens ni dans l'autre sous l'in- fluence de l' excitation cutanée. L'examen électrique pratiqué par M. La
tre à la date de l'entrée, qu'il n'existe pins aucune réaction ni l' excitation galvanique, ni à l'excitation faradique, sauf d
u'il n'existe pins aucune réaction ni l'excitation galvanique, ni à l' excitation faradique, sauf dans les muscles extenseurs du
a montré l'abolition totale de la contractilité faradi- que ; par l' excitation galvanique, on constatait la réaction de dégénére
mus- culaires ne s'atrophient pas, elles réagissent faiblement à l' excitation fa- radique ou galvanique, lès réflexes rotulie
ses puissantes facultés untel- lectuelles, etc. Après la phase d' excitation maximum contemporaine de l'entrée à l'asile ce
elait un état de démence précoce para- noïde traversé de bouffées d' excitation ; après deux ans d'alternative d'ex- citation e
s en l'absence d'organes, elle peut s'expliquer par transposition d' excitations réelles dues à l'irritation de la muqueuse urét
que, le 17 février 1890. Courants faradi- ques (chariot), minimum d' excitation : 9 c. 5. 484 DEJERINE ET ANDIIÉ-THOMAS L'obs
es où la sensibilité dou- loureuse est très altérée, si on fait une excitation douloureuse forte trans- fixion de la peau avec
ue, une véritable analgésie des troncs nerveux à la pression et à l' excitation électrique. Les lésions que nous avons observée
94 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
attribué aux mouvements réflexes du membre inférieur que provoque l' excitation de la plante du pied une valeur que tous les clin
r au déplacement segmentaire en totalité, qui n'existe pas dans les excitations faibles ou moyennes : l'exploration par le myog
celui des mouvements du gros orteil. Pour inscrire le moment de l' excitation plantaire, nous avons fait cons- truire un styl
signal de Marcel Desprez. Ici encore il existe un inconvénient : l' excitation cutanée dure un temps très appréciable et il est
apparaissant la première dans le membre inférieur à la suite d'une excitation plantaire minima. Les graphiques nombreux obtenus
cette première série de recherches, nous ont tous démontré ceci : l' excitation minima qui provoque le plus léger mouvement du gr
croire qu'à un même individu normal corres- pond toujours, pour une excitation sensiblement identique, un seul des types de ré
série d'expériences ou dans des expériences diffé- rentes, pour des excitations sensiblement identiques, peut présenter soit la
sur les graphiques, l'extension seule du gros orteil succédera une excitation même très énergique de la plante. Il est à note
de la plante. Il est à noter enfin que, chez les sujets normaux, l' excitation de la plante est seule efficace, à l'exclusion
conclusions les constatations précédentes : 1° A l'état normal, l' excitation minima de la plante du pied par le grattage à l
ement en flexion à l'état normal. 3° Les variations d'intensité des excitations plantaires n'amènent au- cune modification nouv
ive, prédomi- nance de l'extension, érection du gros orteil). Les excitations dans les deux tracés sont sensiblement identiques
eut fournir, à quelques secondes d'intervalle et sous l'influence d' excitations sensiblement identiques, tantôt l'un, tantôt l'
alades atteints d'af- fections spasmodiques est augmentée ; aussi l' excitation minima se borne- t-elle souvent à une très légè
. La zone excitable peut s'étendre à tout le membre inférieur : des excitations portées successivement sur la peau du mollet, du
, etc., qui avaient pu provoquer l'ex- tension du gros orteil par l' excitation cutanée de régions quelconques du membre inféri
permis d'insister davan- tage. Disons toutefois en terminant que, l' excitation de la planle du côté sain chez les hémiplégique
ctions spasmodiques de la voie pyramidale, comme à l'état normal, l' excitation minima efficace de la plante du pied provoque d
t) (1). D'autre part Ferrier a obtenu un pleurosthonos opposé par l' excitation électrique d'un noyau caudé. La tumeur siégeait
diment de puberté ; il aurait même ressenti à longs intervalles des excitations sexuelles, des érections, et aurait t pratiqué
Les réflexes rotuliens sont égaux : il n'y a pas de clonus du pied. L' excitation |du réflexe plantaire amène l'extension des ort
lus faible, et disparaît complètement avant deux minutes ; avec des excitations interrompues à la main, les premières contraction
normal à gauche. Le côté droit de la langue est insensible tant aux excitations s'adressant à sa sensibilité générale, qu'à cel
t sont tout le temps satisfaisants. Au commencement de décem- bre l' excitation cesse brusquement et le 13 décembre la malade éta
tenir un entretien tant soit peu suivi et cela même dans les cas où l' excitation tombait, et elle restait des journées entières
able ; son fond général vague est tantôt traversé par des éclairs d' excitation maniaque,tan- tôt par les signes d'une dépressi
lement remplis d'allusions, d'énigmes. Elle a des accès fréquents d' excitation pendant lesquels elle crie et devient agres- si
et relit z sans fin le même livre, tantôt elle tombe dans un état d' excitation pendant le- quel elle manifeste l'existence de
es spéciales pour expliquer sa participation la danse collective. L' excitation produite par les chants et la musique, l'en- tr
dépendre aussi de l'état mental du sujet. Si celui-ci présente de l' excitation il écrit généralement vite, s'il est déprimé ou
uence son écriture a subi certaines modifications, les caractères d' excitation se sont atténués, et dans un écrit récent (fig. 5
4. Fi £ ". 5. . 422 JOFFROY par la forme que par le fond, de l' excitation maniaque avec idées de gran- deur dont le sujet
est antérieur à l'état de maladie confirmée ; peut-être trahit-il l' excitation initiale par la grandeur des lettres, les parap
95 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
jours de la semaine, maux de tête, épistaxis, vomissements, grande excitation cérébrale. La première nuit il s'est réveillé d
parties de la moelle; ou encore est frappé d'inhibition par quelque excitation périphérique. La conséquence de cette défaillan
ment pro- gressé durant trois ans; par intervalles quelques accès d' excitation . Puis survint un ictus apoplectique avec hémipl
folie alcoolique. Ils Combattent souvent à la fois l'insomnie et l' excitation diurne. 1 « Le trional et le tétronal ont sensi
igides et le malade immubile sur son lit ne réagit à aucune sorte d' excitation . Anesthésie et anal- gésie généralisées, les se
e désordre des idées a entraîné le désordre des actes, comme dans l' excitation maniaque, la paralysie générale au début, l'hys
noïa. Quand il s'agit d'états périodiques, de formes circulaires, l' excitation est le sym. plôme primaire, les réclamations ne
ne viennent qu'après. Dans ces cas avec la disparition de l'accès d' excitation maniaque on observe une guérison ou une amélior
paraît une seconde fois à l'Asile clinique le 16 juin 1892 pour son excitation et ses impulsions au moment de ses paroxysmes c
lesquelles le processus hallucinatoire reconnaît à son origine une excitation de la périphérie de l'appareil sensoriel corres
e de l'appareil sensoriel correspondant. La cause première de cette excitation peut résider dans l'appareil sensoriel lui-même
'agisse d'hallucinations périphériques objectives ou subjectives, l' excitation initiale peut porter sur l'appareil sensoriel c
els l'hallucination audi- tive reconnaît comme point de départ, une excitation de l'appareil auditif, venue de l'extérieur. M.
e personne hallucinée habituellement et l'on ne peut pas dire que l' excitation produite par le bruit de la porte a créé l'hall
actères communs tels que l'influence des impressions morales et des excitations périphériques sur le plus ou moins d'agitation
contrainte. On s'en sert (l'hyosciamine par exemple) pour calmer l' excitation psychique avec impulsion motrice considérable,
paces clos sont très nuisibles, parce qu'ils agissent comme cause d' excitation pour les malades troublés et disposent les gardie
sibles. Les avant-bras peuvent facilement se mettre en supination. Excitation faradique abolie dans les muscles extenseurs de l
on faradique abolie dans les muscles extenseurs de l'avant- bras, l' excitation galvanique est conservée. La malade est triste et
ctuel plus ou moins considérahle, de l'hébétude avec des périodes d' excitation ; plus rarement se manifestent des états de con
t du malade. Pendant cette période il passe d'abord par une phase d' excitation maniaque, plus tard il est déprimé. Enfin il pa
e qu'il est une forme de trouble psychique, un état de démence avec excitation et exubé- rance (ztorica)qu'il n'a rencontré qu
ntait lui aussi, dans la seconde période de sa maladie, une forme d' excitation maniaque avec tendances aux plaisanteries et à to
tra-artérielle. L'accé- lération du pouls paraît être un effet de l' excitation du centre des nerfs accélérateurs dans le bulbe
ression des carotides ; il les considère donc comme causées par une excitation physique du cerveau. Moebius pense que cette in
ier malade présentaient les symptômes cardinaux d'un accès dû à une excitation physique du cerveau, d'une manifestation épilep
ulaire sans contractures; -embarras de la parole, accès fréquents d' excitation avec crises convulsives; évolution fatale rapid
sthésie, articulation des mots très difficile, optimisme morbide et excitation ; Quatrième groupe. Symptômes oculaires tardifs
leptiques, l'ictus épileptique est caractérisé dans ces cas par une excitation peu intense et peu diffusible des centres psych
t complète. Réflexes conservés, mais pour les provoquer il faut une excitation très forte, douloureuse même. Tout mouvement vo
partenant à des muscles différents, et qu'on provoque au moyen de l' excitation d'une racine motrice unique, ces mouvements ass
vec les instincts et habitudes des animaux en expérience. Exemple : excitation de la seconde racine sacrée du chien ; résultat :
ts latéraux de la queue, habituels aux chiens qui veulent caresser. Excitation de la même racine du chat; Résultat : cette fle
selon les habitudes et instincts des animaux en expérience. Ainsi l' excitation de la seconde racine lombaire chez le chien, et d
96 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
i a par intervalles des idées de grandeur; dans une de ses périodes d' excitation il nous a dit qu'il était prince et que Ville-Evr
es vomissements bilieux, des diarrhées abondantes, des alternatives d' excitation et de dépression qui nécessitent une surveillance
sans fondement, le médecin professeur pouvant toujours détourner les excitations passagères et les faire servir au profit des mala
à litre épisodique et chez quelques-unes seulement que se manifeste l' excitation sexuelle sous l'influence d'idées fixes plus ou m
on enfant. Délire des persécutions avec hallucinations, qui passe à l' excitation maniaque. Les personnes qui la rencontrent la cro
et fondés, si l'on pouvait reconnaître comme « typiques » les états d' excitation produits sous forme d'hypnose. Certainement, co
Ils se produisent dans l'hypnotisme par la production imprudente d' excitations émotionnelles et par un emploi trop intense des m
ient souvent à nu jusqu'à la ceinture, et présentaient nettement de l' excitation erotique. Les accès sont suivis d'épuisement corp
la musique comme son, mais comme une sensation générale, une sorte d' excitation produite par une « course furieuse à travers l'es
de « désir », de « frénésie », mais n'ont jamais déterminé la moindre excitation sexuelle ni la moindre suggestion erotique. M. Wa
tres inférieurs surtout; tant qu'elle réagit, immédiatement, sous une excitation quelconque reportée de ces centres percepteurs au
éri-ques. Ces irritations provoquent des rêves, tandis que de faibles excitations provenant des autres parties de la région cortica
n53,54 a employé l'hypnose, comme moyen de sédation, dans des états d' excitation de cause épileptique et hystérique. Emploi avant
pileptique et hystérique. Emploi avant l'explosion des prodromes de l' excitation . Il fait alors dormir les malades pendant quelque
actes. A ces trois conditions s'ajoute comme circonstance active l' excitation produite par l'hypnotisme sur l'imagination de l'
op occupée. La séance terminée, tout l'état change complètement : l' excitation est remplacée par un immense épuisement des nerfs
que, par exemple, pour l'acte réflexe, le lien de transformation de l' excitation sensitive en excitation motrice, le centre réflex
'acte réflexe, le lien de transformation de l'excitation sensitive en excitation motrice, le centre réflexe, en un mot, est représ
icroscope, par l'absence d'oxygène et l'excès d'acide carbonique. Les excitations faibles portées sur les nerfs sensibles provoquen
exes, mais ne passent pas dans les cellules de l'écorcecérébrale; des excitations plus fortes amènent l'allongement des ramificatio
éloignement des ramifications pseudopodiques. Mais de même que des excitations particulières, violentes ou non habituelles amène
lentes ou non habituelles amènent l'amibe à se rétracter, de même des excitations spéciales produiront la rétraction des pseudopode
ndante (actes d'inhibition, choréede l'interférence nerveuse), et des excitations violentes, anormales, par le même mécanisme, prod
. Mais il était, après cette semaine d'insomnie, dans un tel état d' excitation qu'on a pu craindre qu'il ne devint fou. Les mé
té apparaît aussitôt que l'action réflexe se différencie. Prenons une excitation quelconque, elle parcourt nécessairement un chemi
exité; mais qui marquent des stades dans le chemin que parcourt toute excitation . — 11 en résulte des différences d'impressions pe
97 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
antérieures, elles seraient destinées surtout à la transmis-sion des excitations motrices et aurait peu de rapport avec la sensi-b
répondait aux questions sans délai, mais d'une manière dénotant de l' excitation . Bien qu'il vînt de prendre son thé, il dit qu'
este des symptômes choréiques : la malade pré-sente en outre un peu d' excitation ; son sommeil est agité ; en même temps, on trouve
a le souvenir complet de tout ce qui s'est passé. A dose toxique, l' excitation cérébrale se produit également, mais elle peut re
état peut survenir d'emblée et sans donner le temps aux phénomènes d' excitation cérébrale de se produire : il est suivi de fatigu
es demi-heures. L'influence du médicament se traduisit par une légère excitation , par une aug-mentation de la fréquence du pouls,
vie animale, tant au point de vue du retard de ces phénomènes sur l' excitation qui les provoque qu'à celui de la durée de chacun
etc., et par son intermédiaire comme action immédiate : 1° une faible excitation des muscles lisses du tube digestif, de la vessie
s contro-stimulantes.—Il y a deux actions parallèles et simultanées : excitation plus prononcée du grand sym-pathique et excitatio
s et simultanées : excitation plus prononcée du grand sym-pathique et excitation du nerf dépresseur du cœur. Lapremière action d
moindre. On retrouve en physique cette loi d'électro-physiologie : l' excitation d'un nerf ou d'un muscle dépend moins de la valeu
éculaire du nerf et du muscle; et c'est également pour cela que cette excitation peut varier, même pour des courants in-duits, d'u
e la courbe (Fig. 6) qu'on obtient une déformation due à cette double excitation . M. Helmholtz attribuait cette déformation aux
sur les tracés que nous avons obtenus dans ces conditions. Ces deux excitations sont rendues très-sensibles lorsqu'on emploie un
état moléculaire primitif ; et, d un autre côté, pour y produire une excitation , il faut que l'agent excitant agisse 7 * Fig.
ait ces recherches chez des enfants. De plus, par le rhythme même des excitations , on est certain que les contractions électriques
que les contractions électriques que l'on observe sont bien dues à l' excitation électrique et non à l'influence de la volonté ou
culaire, ce qui se traduit pour les nerfs et pour les muscles par une excitation fonc-tionnelle. Etat définitif. — Pendant tout
t, il y a de nouveau rupture de l'état moléculaire, et par conséquent excitation des nerfs et des muscles. La mise en activité du
ieure qui modifiera l'état mo-léculaire déterminera par cela seul une excitation , et c'est pour cela que le courant détermine une
se un nerf, surtout le nerf optique, il faut bien faire attention à l' excitation très-vive qui a lieu au moment de la cessation du
, que la fibre musculaire n'ait subi qu'une altération passive, que l' excitation des filets nerveux ne donne aucun résultat et enf
es, les unes accusant des insomnies, les autres un peu de fièvre et d' excitation . Pour presque toutes, même avec quatre et six élé
me des eschares qui mettent des mois à guérir et qui sont une cause d' excitation . Le procédé ne peut donc tout au plus être empl
taline, il se produit, à faibles doses ou à doses thérapeutiques, une excitation d'une par-tie seulement du système nerveux — cell
2° La digitale et la digitaline produisent, à doses thérapeutiques, l' excitation des fibres musculaires du cœur; à doses toxiques,
98 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
le strabisme qui existait chez notre malade comme le résultat d'une excitation produite au niveau des cen- tres occuto-moteurs
céphalie très prononcée. Prognathisme. -Alternatives de périodes d' excitation et de périodes de mélancolie ; idées de suicide
olère. Puis il se décide à faire des excuses. Durant ses périodes d' excitation , il rede- vient presque toujours gâteux. Août
e nouvelles périodes do Microcéphalie : Manie. 139 tristesse ou d' excitation . Il cire les sièges, frotte les cuivres. acquie
e obtuse : Jan. reste indifférent quand il se coupe ou s'écorche. Excitation maniaque. 141 Respiration normale; battements d
pas eu d'idées tristes depuis longtemps; mais a encore des accès d' excitation pendant lesquels il frappe les autres enfants,
-il. 21 octobre. Jan. est de nouveau agité ; sur la menace de 142 Excitation maniaque. luifairepasscrquatrcheures aubain, il
l est excité, il dit : «je vais faire le fou. » Mais ses périodes d' excitation sont moins vives et moins fréquentes. Il contin
e lui. 1886. Jan., n'a pas été malade cette année. Les périodes d' excitation ont été très rares et courtes. Il a fait quelques
ler des souris, des rats, des oiseaux. Il gâte main- Microcéphalie; excitation maniaque. 145 tenant presque tous les jours n'i
est attentif, assez courageux au travail, sauf dans ses périodes d' excitation qui se reproduisent à peu près tous les deux mois
es à la communi- cation faite au Congrès.. 22 juillet.- Période d' excitation qui dure deux jours.. 5 septembre. Hier matin,
n l'a renvoyé à l'école le lendemain. 5 octobre. Nouvelle période d' excitation ; on lui fait pren- un bain d'une heure et on le
x. Mêmes dimensions do la verge et des testicules. Les périodes d' excitation reviennent au moins tous les deux mois et olîre
1. 21l' Janvier. - Depuis longtemps Jan.. n'a plus eu de-périodes d' excitation ni de périodes de tristesse. Il est beau- coup
iottes» et dit qu'il mangerait des vieux rats crevés. 10 avril. L' excitation persiste. Hier il a mangé de l'en- caustique et
ndantes exhalaient la même odeur; le sommeil a été bon. Ce matin, l' excitation a fait place a de l'abattement. «Je suis abruti
lous et l'appellent « tête de singe ». 22 avril. Courte période d' excitation . 3'1 mai. Agitation pendant deux jours : gestes
99 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
ulsifs ou psychiques, les autres des impulsions ou des périodes d' excitation , ces jours-la et les jours qui suivent ils ne p
es comparativement à l'effectif; G tuberculeuses; 5 méningites; - 2 excitations maniaques ; 2 choréiques ; 1 ophtalmie ; 1 pl
qui frappe tout d'abord c'est la régulière alternative de crises d' excitation et de dépres- sion de l'enfant. Au moment do no
de troubles, évoluant simultanément, caracté- risent ces périodes d' excitation : c'est d'une part un trouble mental évoluant a
peine. 13 avril. - Les deux dernières nuits ont été bonnes ; même excitation durant le jour, insulte son infirmière, lui donne
: « Embrassez-moi de bonne volonté ou je vous étrangle ». Parfois l' excitation se calme et B... est abattue, reste assise, la
qu'elle a également reçus. 21 auoil. - Alternatives de calme et d' excitation . Après s'être habillée toute seule et être deme
lacée par un véritable accès de manie : insolences, grossièretés, excitation , violences, bave, déclamations incohéren- tes,
injures à tout le monde. Au bout cle plu- sieurs jours la période d' excitation s'est progressive- ment atténuée. L'état mélanc
typhoïde ; mais au contraire, et surtout chez les idiots, un état d' excitation durant lequel ils semblaient jouir de facultés
e et de taciturnité alter- nant avec des périodes de bavardage et d' excitation ; cépha- lalgies simultanées. -- Modification d
. - Retour des périodes de mélancolie alternant avec des périodes d' excitation . - Contrariété, achat de trousseau sans autoris
ëdaotgMe. Disparition des pé- riodes alternantes de mélancolie et d' excitation . - Réap- parition des sentiments affectifs. - A
rémission, elle est tourmentée et irrégulière dans les périodes d' excitation , la lettre qu'il a écrite de Belfort à ses parent
ais au moment où Edouard devient pubère, on remarque des périodes d' excitation et de (1) [Depuis la rédaction de celte observa
tubéreuse ou hypertrophique du cerveau. Parts,- 1888. DÉPRESSION, EXCITATION . Il f bavardage, alternant avec des périodes de
100 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
a théorie d'une localisation motrice : parce qu'un mouvement suit l' excitation d'un point donné de la couche corticale, il ne
. Suivant le rapporteur, les symptômes spinaux s'expliquent par l' excitation ou la cOl11preSSio'l des nerfs, par suite de l'ex
matisme du bras, présenta au bout d'une douzaine de jours un état d' excitation , avec douleur de tête intense, élévation de tempé
s l'urine.' Quand la malade n'était pas plongée dans lé cornai son' excitation était furieuse.' L'Í : tlbüI111ne"dispal'ul' au
use.' L'Í : tlbüI111ne"dispal'ul' au bouf'de'quelques'jours, mais l' excitation et la température 'persistèrent.1 ? 'i '"u^x - .
ériodes d'exci- tation, comme agent sédatif; il peut ici empêcher l' excitation pas- 238 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. sagère de dé
essé de se manifester, et le médicament est resté sans action sur l' excitation épileptique alors même que les doses ont été po
nts sur les animaux injectés; la première produi- rait surtout de l' excitation , de la convulsibilité; la seconde de la tristes
sés en deux catégories : dans la première figure un dégénéré avec excitation maniaque, un maniaque simple, une dégénérée avec
s, la pupille immobile ne réagit pas non plus sous l'influence de l' excitation de l'autre oeil, tandis que la réaction di- rec
premier. En d'autres termes, l'oeil immobile transmet cependant l' excitation qu'il reçoit l'autre oeil, tandis que l'oeil dont
c perte de connaissance, grande excitabilité, impulsion à détruire, excitation maniaque incohérente, hallucination terrifiante
transition, caracté- risée par de la manie ou de la mélancolie avec excitation , ou bien par des états convulsifs; 4° une pério
qu'elle ait pour cause une modification du sang déterminée par une excitation maniaque de longue durée. R. M.-C. XXXV. DE la
ance dans l'organisme, ont tout au moins la propriété de produire l' excitation ou la dé- pression mentale; 6° il y a des raiso
iner des convulsions ou de la stupeur, ou de la dépression, ou de l' excitation des systèmes mus- culaire et vasculaire; 7° de
es sont le siège d'un état de tension produit par la nutrition et l' excitation constante qui les sollicite. Elles entretiennent
Cette action trophique n'est donc point spontanée, elle dépend des excitations périphériques. Si l'on enlève un nerf ou un mem
membre recteur de ce nerf, on modifie la quantité et la qualité des excitations périphériques nécessaires pour maintenir l'équi
érie. Paris, 1893. PERVERSIONS SEXUELLES A FORME OBSÉDANTE. 381 excitation génésique ne se produit chez notre malade. Il ne
« Il sent qu'il est tout pâle. » A ce trouble général s'ajoute une excitation génésique. Il est en érection. La situation dev
téressants sont à remarquer dans l'intoxication cocaïnique : 1° Une excitation génitale marquée, signalée par le docteur Stoke
vaisseaux, par le fait de stimulations mécaniques ou électriques. L' excitation des fibres vaso-dilatatrices est due à l'anémie
courant faradique ; par W. BROCIi. (Neurolog. Centralbl., 1892.) Excitation des muscles à l'aide d'interruptions lentes. Peut
produites dans le muscle sain, quand on modifie comme il est dit l' excitation . Mais il est impossible de rattacher ce phénomè
chez elle où elle meurt au bout de trois mois. Après une période d' excitation maniaque d'environ huit jours, elle s'était cal-
observation, a conseillé de rechercher quels résultats donnerait l' excitation élec- trique du cuir chevelu dans le sens des s
ons : disthymie, mélancolie typique, melancolia attonita; 6) manie ( excitation ma- niaque, manie aiguë et manie suraiguë); c)
des cellules nerveuses; 4°'quand on'coupe untmembrH'ou un nerf,nles excitations normales' qui 'partent des extrémités nerveuses
les' qui 'partent des extrémités nerveuses sont remplacées par. des excitations différentes en quantité et en qualité qui ne sont
a paupière supérieure. Cette action ne peut s'expliquer que par une excitation des branches terminales du grand sympathique, q
La fatigue et l'épuisement physique ralentissent la réceptivité des excitations externes, diminuent la résistance au travail et s
e dans les idées par automatisme cérébral, par profusion dans les excitations personnelles d'origine interne, des obsessions pa
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