ure permanente. La démence était devenue complète avec des périodes d'
excitation
. Mort le 11 août 1860. A Vautopsie, on trouve u
t excité le feuillet pariétal de l'arachnoïde, et, par suite de cette
excitation
, il se serait fait une sécrétion plastique, laque
mais déjà ils prennent, cela n'est pas douteux, une certaine part à l'
excitation
morbide qui s'est emparée du tissu conjonctif qui
e des tubes dont la propriété est de déterminer, sous l'influence des
excitations
, une sensation perçue ; elle devra se traduire en
e matin. Il y a un peu de délire : pas de somnolence, plutôt un peu d'
excitation
. Réponsesvagues et embarras notable dans la prono
ent pas, en effet, la piqûre d'une épingle, tandis qu'elle sent cette
excitation
dans les parties voisines. Les troubles hystériqu
localisée. La contraction du muscle sur les membres persiste après l'
excitation
, pour peu que celle-ci soit un peu forte et un pe
u prolongée, et se transforme facilement en contracture permanente; l'
excitation
d'un nerf provoque la contraction des muscles qu'
est-à-dire que la face est dirigée du côté opposé au muscle excité. L'
excitation
de l'antagoniste, c'est-à-dire du stermo-mastoïdi
tion droite et si l'on insiste, la tourne inversement. Sur un bras, l'
excitation
des fléchisseurs amène la contracture du membre d
amène la contracture du membre dans la flexion, laquelle cesse par l'
excitation
des extenseurs et inversement. En résumé, tous le
bles de se contracter ainsi, et, suivant la durée et l'intensité de l'
excitation
, on obtient à \rolonté une contraction ou une con
Mais la malade, jusque-là inerte, peut, sous l'influence de certaines
excitations
, entrer dans une seconde phase qui est à propreme
rigidité musculaire; impossibilité de faire contracter le muscle par
excitation
mécanique. 2° Etat léthargique. — Les yeux sont
u la propriété spéciale désignée sous le nom d'/ryer-excitahililé. —L'
excitation
des points hystéro épileplogènes ne provoquait au
il existe sur la surface du corps, des points d'hyperesthésie dont l'
excitation
peut produire une attaque ; ce sont des points hy
chez d'autres, c'est au niveau de la taille qu'il faut produire cette
excitation
, en pressant un peu, pour déterminer l'attaque. S
scles que je touche légèrement. Si, au contraire, je prolonge cette
excitation
, si je la renouvelle sur le même point, je produi
ce singulier état. L'hyperesthésie musculaire existe : je fais une
excitation
légère des extenseurs du bras, et la contracture
duite, etc., comme nous l'avons vu précédemment. Cette longue suite d'
excitations
de toute sorte n'a d'ailleurs pas d'influence fâc
nfluence d'une émotion morale vive, et surtout sous l'influence d'une
excitation
religieuse. C'est là un fait qui n'est absolument
reparaît. Ce fait curieux, remarqué par M. Vigouroux, est-il dû a l'
excitation
de la sensibilité auditive, ou à celle de la sens
té générale ? Nous ne le savons pas ; nous rechercherons bientôt si l'
excitation
de la sensibilité de l'odorat, du goût, provoque
ment excités de la même façon sur les membres, le tronc, au cou ; les
excitations
un peu intenses et plongées déterminent la contra
ercussion répétée des tendons. Ces contractures, produites soit par l'
excitation
des nerfs ou des muscles, soit par la percussion
xercée sur les tendons, se résolvent rapidement sous l'influence de l'
excitation
des muscles antagonistes. Chez le sujet plongé
le qu'elle a été définie plus haut, n'existe pas, ou autrement dit, l'
excitation
des nerfs, des muscles eux-mêmes, ou encore la pe
bilité musculaire en ce qu'elle ne se résout pas comme celle-ci par l'
excitation
mécanique des antagonistes, et de l'immobilité ca
e le muscle (2) à entrer en contracture sous l'influence d'une simple
excitation
mécanique. L'excitation mécanique peut être porté
en contracture sous l'influence d'une simple excitation mécanique. L'
excitation
mécanique peut être portée sur le corps du muscle
es griffes radiale, cubitale, médiane caractéristiques, suivant que l'
excitation
mécanique porte sur le nerf radial, le cubital ou
on soit en conséquence de l'attitude imprimée aux membres, soit par l'
excitation
faradique des muscles de la face, peuvent se mont
produits pendant l'état hypnotique. — Les contractures produites par
excitation
mécanique des muscles pendant l'état léthargique,
s eu soin de les faire disparaître, pendant l'état léthargique, par l'
excitation
des antagonistes. Pour amener la résolution rapid
ptitude particulière du muscle à la contracture sous l'influence de l'
excitation
mécanique et qui a été désigné par l'un de nous s
convaincre que la contracture musculaire n'est pas due seulement à l'
excitation
mécanique de la fibre musculaire elle-même, mais
re musculaire elle-même, mais qu'elle se montre également bien, que l'
excitation
soit portée sur les fibres tendineuses qui sont e
ue donne au point de vue de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire, l'
excitation
mécanique localisée soit au tendon, soit au ramea
oit au rameau nerveux, soit au corps du muscle lui-même (1). § I. —
Excitation
du tendon. — étude des réflexes tendineux dans
oquée pendant l'hypnotisme, nous avons tenu à ne faire usage que de l'
excitation
purement mécanique, telle que le choc, la pressio
u'il soit nécessaire de les soumettre à l'hypnotisation. Tandis que l'
excitation
purement mécanique n'acquiert d'efficacité que pe
ux, dont il devient, dans le cas particulier où la contracture suit l'
excitation
du tendon, comme une nouvelle manifestation d'un
ir doit être placé dans un état de tension modérée. En second lieu, l'
excitation
portée sur le tendon doit consister en un choc br
e. La contraction musculaire réflexe ne peut être produite par aucune
excitation
électrique ou mécanique autre que la percussion.
tude qui va suivre, nous considérerons successivement les effets de l'
excitation
mécanique portée sur le tendon, soitau moyen d'un
cune façon aux mouvements réflexes de la jambe sur laquelle portait l'
excitation
. Mais à peine Bar... était-elle endormie que les
réflexe rotulien paraît plus intense, qu'il s'obtient à l'aide d'une
excitation
plus légère, il retentit sur les bras et sur tout
e inférieur. D'ailleurs, cette dernière loi de Pfluger qui veut que l'
excitation
réflexe se propage dans la moelle, toujours de ba
quelque sorte accumulation de force et addition successive de chaque
excitation
partielle, de telle façon que, tout en conservant
up plus considérables que les premiers. 11 y a donc deux modes de l'
excitation
par choc : ou l'excitation est intense et unique,
es premiers. 11 y a donc deux modes de l'excitation par choc : ou l'
excitation
est intense et unique, ou l'excitation estfaible
e l'excitation par choc : ou l'excitation est intense et unique, ou l'
excitation
estfaible et répétée. Tous deux conduisent au mêm
résente plusieurs ondulations. La malade une fois endormie, la même
excitation
portée sur les mêmes tendons donne le tracé II da
cylindre) Pour obtenir une simple contraction, il faut user d'une
excitation
fort légère. En répétant ces excitations très lég
raction, il faut user d'une excitation fort légère. En répétant ces
excitations
très légères, on arrive également très rapidement
la contracture ainsi que le prouvent les tracés des fig. 3 et h. L'
excitation
portée sur les muscles fléchisseurs de la main et
le directement excité, de même que celle du muscle éloigné du point d'
excitation
) tendre vers la contracture. C'est ce que démon
ge, et l'irradiation au bras du même côté est très marquée. Les trois
excitations
du tracé II [Fig. 6), ont été portées successivem
), ont été portées successivement, et l'on remarque qu'à la troisième
excitation
la contraction réflexe du biceps brachial, aussi
établir aussi bien au bras correspondant qu'à la jambe sur laquelle l'
excitation
avait été directement portée. — En même temps que
demeurée localisée à un seul côté du corps. Mais, la propagation de l'
excitation
peut dépasser la ligne médiane et la contracture,
est-à-dire de la contracture musculaire obtenue à l'aide d'une simple
excitation
mécanique, il existe une différence entre les deu
n suivante. Dans ces cas, le phénomène pour se développer exige une
excitation
intense et répétée. L'ébranlement nerveux qui en
pour produire immédiatement la contracture localisée et dans ce cas l'
excitation
nrest pas assez vive pour tendre vers la générali
dé de localisation. La contracture suit également d'autres procédés d'
excitation
mécanique du tendon, tels que la malaxation, la f
ant, ont pour résultat de produire la contracture plus sûrement que l'
excitation
par choc et d'éviter la généralisation. B. —Eff
'excitation par choc et d'éviter la généralisation. B. —Effets de l'
excitation
tendineuse par malaxation, friction ou simple pre
. 11 en résulte que, pour la production de la contracture réflexe par
excitation
tendineuse, non seulement le choc n'est pas néc
du choc et tient, en quelque sorte, le milieu entre les deux modes d'
excitation
. Le tracé suivant (Fig. 8) montre en effet que,
la contracture obtenue par l'exilation du tendon et celle qui suit l'
excitation
des nerfs ou le corps du muscle lui-même. Fig.
nal électrique indiquant le moment et la durée de la pression. § IL
Excitation
des nerfs. L'excitation mécanique des nerfs pro
e moment et la durée de la pression. § IL Excitation des nerfs. L'
excitation
mécanique des nerfs produit la contracture des mu
eur et pour isoler, autant que possible, ce qui appartient à la seule
excitation
du nerf, nous avons choisi, pour les soumettre à
on, des troncs nerveux assez volumineux et facilement accessibles à l'
excitation
mécanique. Griffe cubitale. — Parmi les nerfs q
autre partie molle. 11 est donc facile de l'atteindre sûrement. Son
excitation
mécanique au moyen d'une simple pression faite av
nnées de l'anatomie et de la physiologie. Sous l'influence de cette
excitation
, la main se contracture dans une attitude spécial
de variétés anatomiques individuelles, soit du degré d'intensité de l'
excitation
, soit de la diffusion de l'excitation ou de sa pr
soit du degré d'intensité de l'excitation, soit de la diffusion de l'
excitation
ou de sa propagation à d'autres muscles par l'int
nerf cubital demande une assez grande intensité du courant pour que l'
excitation
se transmette à tous les muscles innervés par lui
traction due à l'hyper-excitabilité neuro-musculaire persiste après l'
excitation
, et imprime de la sorte à la main une attitude qu
t celles du médian, et que, par l'intermédiaire de ces anastomoses, l'
excitation
portée sur le nerf cubital pourrait s'étendre plu
ou moins aux ramifications voisines du médian. Griffe médiane. — L'
excitation
du nerf médian un peu au-dessus du pli du coude d
u au-dessus du pli du coude donne des résultats analogues à ceux de l'
excitation
du cubital. La main prend alors une attitude qui
sation est plus difficile ; entouré de parties molles, le nerf fuit l'
excitation
si elle n'est faite franchement et au bon endroit
ion combinée de tous les muscles innervés parle médian. A priori, l'
excitation
du tronc nerveux lui-même produira les mouvements
de sa masse musculaire, paraît même devoir l'emporter. En résumé, l'
excitation
du médian doit donner lieu aux mouvements suivant
Voici maintenant l'attitude qu'a prise la main sous l'influence de l'
excitation
mécanique du médian pendant l'état d'hyper-excita
a main prendre complètement l'attitude du poing fermé (FigA2). Si l'
excitation
a été intense ou prolongée, le mouvement de prona
ire. Griffe radiale. — Le nerf radial n'échappe pas à la loi et son
excitation
au sortir de la gouîtière de torsion de l'humérus
dial. En effet, l'attitude que prend la main, sous l'influence de l'
excitation
mécanique du nerf radial au point indiqué, a pour
ntracture est-elle la cotisé Fig. 13. — Griffe radiale. §. III. —
Excitation
des muscles. quence de l'excitation directe de
. — Griffe radiale. §. III. — Excitation des muscles. quence de l'
excitation
directe de la fibre musculaire elle-même, ou bien
itation directe de la fibre musculaire elle-même, ou bien suit-elle l'
excitation
des petits rameaux nerveux et de leurs terminaiso
penser que la contracture est ici, comme ailleurs, le résultat d'une
excitation
nerveuse de nature réflexe. Quoi qu'il en soit,
se de nature réflexe. Quoi qu'il en soit, la contracture qui suit l'
excitation
mécanique du muscle est facile à démontrer chez l
our faire cesser cette contracture, il suffit de porter une semblable
excitation
sur le sterno-mastoïdien du côté opposé, et la tê
es muscles qui, par leur situation superficielle, per-" mettent à l'
excitation
mécanique de les atteindre facilement, se comport
les atteindre facilement, se comporte delà môme façon. Par exemple, l'
excitation
portée sur le trapèze sur les côtés du cou, amène
r les muscles larges et fascicules, tel que le deltoïde, que : à) L'
excitation
portée sur un point, même limité, du muscle produ
tanée des muscles qui lui sont synergiques. Ce qui se passe lors de r
excitation
portée sur le deltoïde en est un exemple concluan
toïde, ne se produit pas lorsque ce même muscle est contracture par l'
excitation
mécanique dans l'état de l'hy-perexcitabililé neu
e et grand dentelé, bien que ces derniers muscles n'aient subi aucune
excitation
directe. Nous reviendrons plus loin sur ces fai
limiter un certain nombre de zones parfaitement circonscrites, dont l'
excitation
amène, avec le plus de précision et de sûreté, le
désigne en électro-physiologie sous le nom de point d'élection pour l'
excitation
partielle des muscles. Instruit par une longue
ntes dans la distribution des rameaux nerveux. La localisation de l'
excitation
mécanique dans les cas d'hyperexcitabilifé neuro-
neuro-musculaire, nous constations ensuite, pendant la veille, avec l'
excitation
électrique, que l'action de ces mêmes points étai
long extenseur nous a donné les résultats les plus précis. Le point d'
excitation
commun à l'extenseur du pouce et à celui de l'ind
e Duchenne (de Boulogne) pour que nous y insistions ici. A la main, l'
excitation
des muscles de l'éminence thénar produit, suivant
uvent un moment de flexion de la phalangette dû vraisemblablement à l'
excitation
communiquée au tendon du long fléchisseur du pouc
du pouce qui passe sous ces muscles. Quant à Lé-minence hypothénar, l'
excitation
portée sur la face palmaire amène la flexion du p
e mouvement de l'abduction. Les interosseux ne sont accessibles à l'
excitation
mécanique qu'à la face dorsale de la main. A la f
plètement recouverts par les tendons des fléchisseurs qui reçoivent l'
excitation
avant eux. Nous avons vu plus haut que les tendon
Nous avons vu plus haut que les tendons sont également sensibles à l'
excitation
mécanique. A la face dorsale de la main, l'excita
t sensibles à l'excitation mécanique. A la face dorsale de la main, l'
excitation
des interos Fig. 14. — Quelques points moteurs
esquelles nous insisterons dans un instant. § IV. Parallèle entre l'
excitation
mécanique de l'iiyperexcitarilité neuro-musculair
istent entre les résultats de l'électrisa-tion localisée et ceux de l'
excitation
mécanique dans l'hyperexcitabilité neuro-musculai
es. Les analogies résultent : a) De la possibilité de localiser l'
excitation
à un muscle ou à un groupe de muscles ; b) De l
du pouce ; 11, long extenseur du pouce ; 12, interosseux. portant l'
excitation
sur sa fibre elle-même, soit indirectement, en po
l'excitation sur sa fibre elle-même, soit indirectement, en portant l'
excitation
sur le rameau nerveux qui lui est destiné, en que
. Nous savons en effet que, pour ce qui est des muscles de la face, l'
excitation
mécanique, pendant l'état d'hyperexcitabilité, ne
les différents faisceaux du même muscle. 11 est facile de localiser l'
excitation
électrique dans une partie seulement d'un muscle
excitabilité, la contraction totale de ce même muscle suit toujours l'
excitation
mécanique partielle d'un seul de ces faisceaux;
que partielle d'un seul de ces faisceaux; c) De la propagation de l'
excitation
. Dans l'état d'hyperexcitabilité, le mouvement d'
airement de l'action des muscles qui lui sont synergiques, sans que l'
excitation
ait été portée sur ces derniers ; ce qui n'a pas
le à obtenir, dans l'état d'hyperexcitabilité neuro-musculaire, par l'
excitation
mécanique, que, pendant la veille, par la faradis
ux organes sous-jacents qui pourront, par suite, participer à la même
excitation
; que ce soit un autre muscle, un nerf ou un tend
au niveau des espaces interosseux, au point d'élection marqué pour l'
excitation
électrique, le résultat obtenu paraît, de prime a
l'accuser davantage. En résumé, il existe pour la localisation de l'
excitation
mécanique dans l'état d'hyperexcitabilité neuro-m
ns que subissent, suivant les individus, les points d'élection pour l'
excitation
partielle des muscles ; c) De la diffusion de l
vent en une seule couche, et, par là même, facilement accessibles à l'
excitation
mécanique. De plus, il n'existe pas de tendons do
à l'excitation mécanique. De plus, il n'existe pas de tendons dont l'
excitation
de voisinage puisse contrarier, masquer ou même e
s, la contraction ainsi provoquée ne persiste pas d'ordinaire après l'
excitation
et ne se transforme jamais en contracture permane
avons cherché à produire la contraction isolée de chaque muscle par l'
excitation
des points d'élection indiqués par Duchenne de (B
n modérée, pratiquée avec l'extrémité arrondie d'un petit bâton. Si l'
excitation
est trop légère, de façon à ne consister qu'en un
etites convulsions cloniques qui se rapprochent du tremblement. — Une
excitation
trop forte se propage souvent à quelques muscles
la pression. Elle persiste quelquefois très peu de temps après que l'
excitation
a cessé, surtout si l'on a peu insisté, mais elle
cles des membres et ceux de la face ; 3° Malgré la persistance de l'
excitation
, l'action produite ne tarde pas à s'épuiser. Tout
-ci s'effacer peu à peu et finir par disparaître complètement. 4° L'
excitation
unilatérale d'un muscle pair s'obtient le plus so
'obtient le plus souvent fort aisément; mais, il arrive parfois que l'
excitation
retentit sur le muscle homologue du côté opposé,
t. C'est ce qu'on peut constater sur la Fig. 1 de la Planche VI, où l'
excitation
du muscle orbiculaire palpébral supérieur n'a été
médiane. En tout cas, nous avons bien des fois remarqué qu'une double
excitation
, portée à la fois sur les deux muscles pairs, don
cles pairs, donnait lieu à une exagération du mouvement obtenu avec l'
excitation
unilatérale ; 5° II est possible de faire contr
utre côté, ceux auxquels nous sommes arrivés par l'emploi de la seule
excitation
mécanique pendant la léthargie provoquée chez nos
is transversaux à la racine du nez. Chez notre malade hypnotisée, l'
excitation
de ces mêmes muscles, par une simple pression exe
nt et d'une façon absolument conforme à la description de Duchenne. L'
excitation
sur la Figure 4 de la Planche V et la Figure 1 de
ue du sourcil au point figuré en 3 sur le schéma (Fig. 16). Lorsque l'
excitation
porte sur un point plus rapproché de la tête du s
re : « Il m'est arrivé quelquefois, dit-il, de localiser exactement l'
excitation
dans ce muscle... Cette localisation est assez di
ateur commun de la lèvre supérieure et de l'aile du nez participe à l'
excitation
. C'est ce qu'on peut remarquer sur la figure 3, P
. Dans la figure 4 de la Planche VII, la contraction du muscle suit l'
excitation
du rameau nerveux qui lui est destiné. Dansla fig
eau nerveux qui lui est destiné. Dansla figure i de la Planche XII, l'
excitation
est portée sur le corps dumusclelui-mè-me. Duchen
ndividus. La Fig. 4 de la Planche VI montre d'une façon fort nette, l'
excitation
du transverse du nez chez la nommée Caill..., tan
transverse du nez chez la nommée Caill..., tandis que chez Witt... l'
excitation
isolée de ce même muscle n'a pu être obtenue. P
re narine participe au mouvement mais à un degré moindre), bien que l'
excitation
ait été unilatérale. C'est un nouvel exemple de l
ulaire des muscles pairs de la face, dont nous avons déjà parlé. Si l'
excitation
, tout en demeurant unique, se rapproche de la lig
dilatation une fois produite ne persiste pas uniformément, bien que l'
excitation
soit maintenue égale ; il se produit une sorte de
de repos. L'oRBicuLAiRE des lèvres répond aussi fort nettement à l'
excitation
mécanique portée sur différents points de ses fib
en contraction. L'action est encore bien plus vive lorsqu'on porte l'
excitation
sur le bord libre des lèvres ; il suffit pour cel
es la contraction isolée du triangulaire des lèvres, il faut porter l'
excitation
un peu en dehors et en bas de la commissure des l
res, comme il est indiqué sur notre Figure 3 de la Planche VIII. Si l'
excitation
est faite plus bas, en se rapprochant du maxillai
mécanique portée à un centimètre et demi environ en dedans du point d'
excitation
du triangulaire, et à peu près à la même hauteur
laire, pour devenir superficiel. Sur la Fig. 4 delà Planche VIII, l'
excitation
portée sur le milieu du menton met en jeu les mus
a malade par un aide, au moment où la contraction était obtenue par l'
excitation
mécanique des points moteurs musculaires. La mala
de la physionomie, et, la malade étant rendue cataleptique pendant l'
excitation
d'un muscle, la contraction de ce muscle persiste
la contraction de ce muscle persiste parfois un certain temps après l'
excitation
, de façon à rappeler la contracture des membres ;
ngulaire des lèvres ou le peaussier d'autre part, etc., etc.. Mais, l'
excitation
est alors assez difficile à localiser exactement.
ors assez difficile à localiser exactement. La tendance que possède l'
excitation
d'un seul muscle à retentir sur le muscle homolog
alors insister davantage, et il y a parfois un peu de diffusion de l'
excitation
dans les muscles voisins. Néanmoins, s'il se prod
présente la Figure 4 de la Planche IX en sont vraiment saisissants. L'
excitation
du muscle élévateur commun de l'aile du nez et de
pour que tout mouvement cesse de ce côté, malgré la persistance de l'
excitation
au même point. Nous avons reconnu, dans le cour
si bien excitables à la face qu'ils le sont aux membres. En résumé, l'
excitation
du muscle est directe ou indirecte. Quelques expé
t péremptoirement. \ Le tronc de la septième paire est accessible à l'
excitation
électrique par le procédé suivant : « On peut, di
otégé par les os et les cartilages, soit difficilement accessible à l'
excitation
mécanique. Mais, il n'en est pas de même de ses r
à leurs points d'émergence de la parotide, s'offrent d'eux-mêmes à l'
excitation
. Dans l'état d'hyperexcitabilité neuro-musculaire
i sont sous la dépendance de ces rameaux est l'indice certain de leur
excitation
mécanique. On voit alors, sous l'influence de c
leur excitation mécanique. On voit alors, sous l'influence de cette
excitation
tout un côté de la physionomie se contracter, et,
ut un côté de la physionomie se contracter, et, suivant le point de l'
excitation
, la contraction s'accuser davantage dans les musc
s et du menton. Dans l'expérience représentée Figure 2 (Planche V), l'
excitation
porte sur le tronc nerveux lui-même, en avant du
moitié du visage sont entrés en contraction. Cette expérience de l'
excitation
mécanique du facial, pendant la léthargie hystéri
primer à ses oreilles les mouvements que, dans le sommeil provoqué, l'
excitation
mécanique provoque facilement. Nous trouverons là
nique provoque facilement. Nous trouverons là un exemple de plus de l'
excitation
d'un muscle, directement, en agissant sur les fib
on de l'oreille, à la hauteur du tragus, une zone fort limitée dont l'
excitation
amène infailliblement un mouvement brusque et ass
part, il existe au-dessus de l'oreille une zone assez étendue dont l'
excitation
produit le même résultat, et qui correspond bien
e musculaire dans la zone située au-dessus de l'oreille, tandis que l'
excitation
portée au devant du tragus intéresse le rameau ne
ABILITË NEURO-MUSCULAIRE. La contracture musculaire provoquée par l'
excitation
mécanique pendant la léthargie hypnotique, présen
résente toujours les mêmes caractères, qu'elle ait été produite par l'
excitation
des tendons, des nerfs ou des muscles eux-mêmes.
e sur quelques particularités de détail. a) La contracture cède à l'
excitation
des antagonistes.— La contracture ainsi provoquée
ment par la friction ou la malaxation des muscles antagonistes. Cette
excitation
, que l'on pourrait qualifier d'excitation d'arrêt
muscles antagonistes. Cette excitation, que l'on pourrait qualifier d'
excitation
d'arrêt, n'exige pas une localisation précise. Po
ance à une seconde contracture localisée. Cette action d'arrêt de l'
excitation
des antagonistes n'a lieu que pendant la léthargi
mir de nouveau le sujet, et, pendant l'état léthargique, procéder à l'
excitation
des muscles antagonistes dont l'effet est instant
ns l'expérience décrite plus haut, la main, sous l'influence de cette
excitation
, se contracture, immobilisée dans une attitude ca
e n'y plus toucher afin d'éviter les complications que de nouvelles
excitations
musculaires, même fortuites, ne manqueraient pas
nstater le transfert par l'aimant de la contracture localisée due à l'
excitation
mécanique du nerf ou du corps musculaire lui-même
. Il en est de même lorsque la contracture a été la conséquence d'une
excitation
tendineuse. La malade endormie est placée dans
n voit aussitôt la contracture se produire d'elle-même, sans nouvelle
excitation
, au fur et à mesure que la circulation se rétabli
t nous y reviendrons plus loin. Pour le moment, nous constatons que l'
excitation
mécanique portée sur un muscle anémié ne saurait
aux caractères. Alors, en ayant bien soin de ne porter aucune autre
excitation
sur le membre anémié, nous froissons avec le doig
cataleptique. La malade est replongée dans l'état léthargique et l'
excitation
mécanique portée au nerf cubital du membre anémié
u'il suit,, d'après le mode d'apparition de leur efficacité : c'est l'
excitation
des tendons qui réussit d'abord, puis l'excitatio
ficacité : c'est l'excitation des tendons qui réussit d'abord, puis l'
excitation
des masses musculaires; en dernier lieu l'excitat
d'abord, puis l'excitation des masses musculaires; en dernier lieu l'
excitation
des troncs nerveux. Enfin ce n'est que dans les c
e, mais le résultat est complètement négatif. Nous revenons alors à l'
excitation
des tendons par percussion. Nous constatons de no
flexe tendineux donne lieu à la contracture — contracture réflexe par
excitation
tendineuse; —3e degré : contracture réflexe par e
éflexe par excitation tendineuse; —3e degré : contracture réflexe par
excitation
directe des masses musculaires. Dans une second
r la fixité du regard. Sur le bras gauche, contracture facile par l'
excitation
des tendons, par la malaxation musculaire et par
e par l'excitation des tendons, par la malaxation musculaire et par l'
excitation
des nerfs. La pression du nerf cubital en arrière
cette expérience est tentée chez cette malade. Sur le bras droit l'
excitation
des tendons et des masses musculaires nous donne
aires nous donne des résultats semblables, mais nous constatons que l'
excitation
du nerf cubital au lieu d'élection n'est point su
usculaires. 2° Elle se montre avec plus de facilité à la suite de l'
excitation
tendineuse. Mais il faut alors répéter les chocs,
s mêmes résultats qu'à gauche. On y arrive cependant. -4° Lorsque l'
excitation
est insuffisante, on n'obtient qu'une contraction
qui venait de se passer, nous essayons de provoquer une attaque. Une
excitation
vive portée sur les zones hystérogènes de l'aisse
meil sans hyperexcitabilité neuro-musculaire ou état somnambulique. L'
excitation
mécanique directe ou indirecte des muscles n'amèn
mbre sur lequel nous opérons est redevenu hyperexcitable. En effet, l'
excitation
mécanique des nerfs et des muscles amène la contr
détermine aucune contracture. Il en est de même aux poignets poiu' l'
excitation
mécanique portée sur les tendons, percussion, fri
es. Le sterno-mastoïdien se contracture aussi sous l'influence de l'
excitation
mécanique, niais les muscles de la face demeurent
ion mécanique, niais les muscles de la face demeurent inexcitables. L'
excitation
du nerf cubital en arrière de l'épitro-chée provo
vec les mômes caractères que précédemment. De plus la contracture par
excitation
mécanique directe est toujours possible. Que le
t par la tendance des muscles à la contracture, sous l'influence de l'
excitation
mécanique soit des tendons, soit des nerfs, soit
ci. a) La production d'une contracture musculaire consécutive à une
excitation
mécanique portée à la périphérie d'un membre est
cas, d'une contracture, et non d'une contraction, montre que, outre l'
excitation
et son résultat, l'action spéciale du contre nerv
antagonistes, ce qui s'explique très facilement, si l'on admet que l'
excitation
portée sur les antagonistes détermine dans la moe
usculaires antagonistes, fléchisseurs et extenseurs, par exemple. « L'
excitation
des antagonistes, dit M. Vulpian, dans les cas de
celle des muscles fléchisseurs des doigts, par exemple, une certaine
excitation
se transmet du foyer médullaire d'origine des ner
n action (1) ». C'est un mécanisme analogue que nous invoquons ici. L'
excitation
, au lieu de venir du cerveau, comme dans l'action
ns l'action volontaire dont parle M. Vulpian, vient de la périphérie (
excitation
mécanique, friction). Elle gagne les foyers d'ori
ulaire consécutive au choc du tendon comme directement produite par l'
excitation
mécanique de la fibre musculaire en continuité av
t des observateurs qui en font un phénomène de nature réflexe. d) L'
excitation
mécanique, qui produit la contracture dans les ca
t localisée dans le muscle ou le groupe musculaire sur lequel porte l'
excitation
. Cette propagation de l'excitation n'est pas un s
oupe musculaire sur lequel porte l'excitation. Cette propagation de l'
excitation
n'est pas un simple fait de voisinage. Elle n'a r
tudiant les phénomènes avec attention, on reconnaît facilement cpae l'
excitation
ne se propage que suivant certaines lois physiolo
ntracture du grand dentelé qui lui est synergique. (Voy. p. 350). L'
excitation
du nerf médian produit la griffe médiane. (Voy. p
. (Voy. p. 342). En insistant, une fois la griffe médiane produite, l'
excitation
sort de la sphère du médian. Ce sont les muscles
muscles pronateurs qui relèvent directement du médian. A la face, l'
excitation
se propage très facilement d'un muscle au muscle
é opposé. fVoy. p. 360 et 361.) La raison de cette propagation de l'
excitation
d'un muscle à un autre muscle plus ou moins éloig
ne exagération manifeste de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. L'
excitation
mécanique la plus légère portée sur un membre en
point corresponde à un tendon, ù un muscle ou à un nerf. Mais si l'
excitation
même limitée est un peu intense, la contracture s
embre directement excité. Ces contractures très intenses cèdent par l'
excitation
des antagonistes aussi facilement qu'elles sont p
it un retard très appréciable de plusieurs secondes (2, 3, 4) entre l'
excitation
et le mouvement réflexe. Par instant l'hyperexc
égèrement stertoreuse, le sommeil chlorofor-mique paraît profond. — L'
excitation
mécanique, aussi bien à la l'ace qu'aux membres,
remarqué ce premier fait : que les contractions réflexes, lorsque l'
excitation
qui porte sur un point du tégument cutané n'est p
postérieur de la grenouille, a indiqué des régions de la peau dont l'
excitation
donne lieu à des mouvements réflexes soit d'exten
tomiques qui sont vraisemblables, on s'explique aisément pourquoi les
excitations
faites sur les extrémités d'un nerf sensitif tend
à mettre en jeu les fibres motrices de ce nerf (1) ». Ainsi donc l'
excitation
cutanée pourrait, jusqu'à un certain point, rendr
cadre des réflexes cutanés. Cette expérience est la suivante : Une
excitation
mécanique qui n'intéresse que la peau comme le pi
sur les parties profondes — n'ont qu'un effet absolument négatif. Une
excitation
plus légère, comme le frôlement, une pression mod
a peau, demeure également sans résultat. Tandis qu'au même point, une
excitation
mécanique quelconque qui intéresse, au travers du
o-musculaire, légitime cette manière devoir. —Ainsi donc, lorsque l'
excitation
mécanique porte sur un tendon, ce sont les nerfs
e sont les nerfs du tendon qui seraient directement intéressés ; si l'
excitation
porte sur le corps du muscle, ce sont alors les n
musculaire lui-même, s'il en existe. Et en troisième lieu, lorsque l'
excitation
porte sur le tronc d'un nerf mixte, les nerfs sen
uer, d'après la théorie, de la façon suivante. Il ne s'agit pas d'une
excitation
mécanique directe des filets moteurs du nerf cubi
ubital, mais bien des filets sensitifs par l'intermédiaire desquels l'
excitation
est transmise au centre médullaire d'où elle est
, les propriétés d'excitabilité neuro-musculaire sous l'influence des
excitations
mécaniques cessent tout d'un coup. Vous avez beau
oyens de mettre en jeu l'excitabilité du muscle. Il suffit alors de l'
excitation
cutanée la plus légère, comme le frôlement, ou de
égorie des contractures de l'état somnambulique; il les obtient par l'
excitation
cutanée la plus légère, l'action du doigt à dista
s : Pour la production de la contracture de l'état léthargique, les
excitations
cutanées seules demeurent inefficaces, il faut un
e, les excitations cutanées seules demeurent inefficaces, il faut une
excitation
mécanique, pression ou malaxation qui intéresse l
racture de l'état somnambulique ne survient crue sous l'influence des
excitations
cutanées les plus légères; dans ce cas, la pressi
de l'état léthargique ne se résout que par un seul procédé, qui est l'
excitation
mécanique portée sur les muscles antagonistes; ta
que la contracture somnambulique cède sous l'influence d'une nouvelle
excitation
cutanée aussi légère que la première, quel que so
tude spéciale des nerfs et des muscles à réagir sous l'influence de l'
excitation
mécanique qui produit alors, pendant l'état létha
e les parties motrices. Il ne s'agit plus cette fois que de simples
excitations
mécaniques, mais de l'action du courant galvaniqu
régions de l'encéphale. Il était devenu nécessaire d'établir que l'
excitation
galvanique extérieure se transmet réellement à tr
périence, on le voit, dépose en faveur de l'opinion qui admet que les
excitations
galvaniques d'une certaine intensité, appliquées
surtout de mouvements homo-latéraux par rapport au côté du crâne ou l'
excitation
galvanique était produite. J'ajouterai que, sur l
Ainsi, chez une seule de ces malades, les secousses provoquées par l'
excitation
galvanique du crâne ont paru propres à l'état hyp
ue, chez d'autres, en nombre égal, ils se produisent du mème çôté ? L'
excitation
des régions dites motrices de l'encéphale ne saur
all-Hall, Brown-Sôquard, Bochefontaine, Duret, faire intervenir ici l'
excitation
des régions sensibles de la dure-mère ? Mais, sur
l'hypnotisme chez les hystériques. caractéristiques, suivant que l'
excitation
mécanique porte sur le nerf radial, le cubital ou
hyperexcitabilité. De plus, les mouvements observés chez elles, par l'
excitation
galvanique du crâne, consistent en mouvements bru
t ici complètement défaut. Le tégument externe reste insensible aux
excitations
les plus vives ; mais certains sens, la vision,,
t ajouter que ces actes automatiques développés sous l'influence de l'
excitation
portée aux centres nerveux par la voie du sens mu
intérêt tout particulier. L'expression donnée à la physionomie par l'
excitation
électrique demande à être prolongée pendant quelq
nt quelques instants pour réagir sur le centre nerveux. Au début de l'
excitation
aucun mouvement du corps ne se produit. Le sourci
son immobilité indifférente semble ne pas appartenir au même sujet. L'
excitation
est alors maintenue pendant quelques minutes — la
s deux états. Ainsi, pendant la léthargie, la contracture succède aux
excitations
mécaniques profondes portées soit sur les tendons
ndant le somnambulisme, il faut pour amener un résultat analogue, des
excitations
exclusivement cutanées, légères, superficielles.
. compl. t.ix, Hypnotisme. 2y ne se relève que sous l'influence des
excitations
cutanées superficielles et présente alors les plu
disparaissait soit d'elle-même, soit sous l'influence d'une nouvelle
excitation
cutanée. Nous avions sous les yeux un spectacle p
t de veille. Nous ajouterons, pour compléter la ressemblance, que l'
excitation
mécanique profonde portée sur les tendons, les mu
que dans le cas particulier de la contracture du tibial antérieur, l'
excitation
réside dans la tension passive du groupe musculai
par Westphal, d'une contracture réflexe d'un muscle à la suite d'une
excitation
portée sur son antagoniste. M. Westphal (2) rép
ion particulière du muscle à entrer en contracture sous l'influence d'
excitations
variées et parfois môme des plus légères. Suivant
acer en flexion dorsale et cela à un degré d'autant plus accusé que l'
excitation
des muscles extenseurs (jumeaux et soléaire) est
n s'accuser sous la prédominance d'action des fléchisseurs bien que l'
excitation
continue à être portée directement sur les extens
s. D'une façon générale, un groupe antagoniste, qui ne reçoit pas l'
excitation
, acquiert néanmoins une prédominance d'action par
es groupes musculaires antagonistes sont également intéressés par une
excitation
exclusivement portée sur l'un d'eux. L'attitude i
ée au membre par la contracture ne dépend pas uniquement du lieu de l'
excitation
mais encore des circonstances extérieures qui fav
liquer ainsi : La contracture étant toujours réflexe dans ce cas, l'
excitation
centripète qui doit la produire gagne la moelle o
rigine des nerfs destines aux muscles directement excités. Mais cette
excitation
n'y reste pas confinée et gagne également les gro
ompte des faits dont il s'agit, il nous suffit alors d'admettre que l'
excitation
partie d'un groupe musculaire retentit toujours s
rouve sa cause non dans le relâchement brusque du muscle, mais dans l'
excitation
par distension de son antagoniste. Nous nous rapp
grande facilité. On peut les réaliser par divers procédés, soit par l'
excitation
des nerfs, soit par l'excitation directe des musc
iser par divers procédés, soit par l'excitation des nerfs, soit par l'
excitation
directe des muscles ou des tendons (percussion, m
les, permanentes, qui peuvent apparaître sous l'influence de diverses
excitations
. Récemment seulement, nous les avons reconnues au
nommée G. R..., tous les moyens sont efficaces : traction du membre,
excitation
des tendons, etc. Cette généralisation possible
Une autre preuve à l'appui de cette vue, c'est que la répétition des
excitations
musculaires chez un sujet disposé a pour effet de
normal, la mise en jeu de l'arc diastaltique est entre tenue par l'
excitation
permanente venant des muscles ou de la peau. Si,
é sera représentée par 10, je suppose : de telle sorte que la moindre
excitation
des nerfs centripètes viendra se surajouter à l'e
On comprend plus difficilement la disparition des contractures sous l'
excitation
des antagonistes, ou des frictions, etc. Mais i
e, que ces fibres du faisceau pyramidal transmettent, les unes, les
excitations
à l'action, tandis que d'autres servent à l'inhib
ébrale, la tonicité se change en contracture par l'action, la moindre
excitation
provocatrice. D'abord, les réflexes sont exaltés,
ellules motrices ; on conçoit ainsi comment, à la suite de la moindre
excitation
périphérique dans l'hystérie, comme dans le cas d
), auquel nous empruntons quelques passages. —Consulter aussi d'une
excitation
mécanique directe, les muscles de la vie normale
ue directe, les muscles de la vie normale se contracturent. Le mode d'
excitation
est variable : on peut employer le massage, la fr
membres, ces paralysies sont, comme on le sait, très fréquentes. L'
excitation
mécanique des troncs nerveux agit sur les muscles
musculaire. Elle consiste en ce que, sous l'influence de très légères
excitations
superficielles, comme le frôlement, le souffle bu
ait dans ce cas que renouveler, sous forme d'images, le souvenir de l'
excitation
cutanée qui a donné lieu une première fois à la c
qu'il serait prouvé que la suggestion peut l'aire tout ce que fait l'
excitation
périphérique, il resterait à démontrer que la réa
aussi complexes, de faire la part respective de la suggestion et de l'
excitation
périphérique. Nous reconnaissons même que chez ce
suggestion, amener le développement d'une contracture, alors que les
excitations
périphériques sont incapables de produire ce résu
t cela ne permet pas de conclure que la suggestion est tout, et que l'
excitation
périphérique ne sert à rien. C'est aussi par la
e est dans la moelle ou cerveau et dont le point de départ est dans l'
excitation
périphérique des muscles et des nerfs, et que les
, la suggestion simple n'agissait pas d'une façon plus active que les
excitations
mécaniques sur le développement des contractures.
iques ont persisté chez elle. N'est-il pas évident dans ce cas qu'une
excitation
sensorielle a produit ce que la suggestion avait
Fi g: 2 . " î H-, Ë. Fig*. 6. î Fig-. 4. ×7- PLANCHE Y.
Excitation
des muscles de la face pendant la léthargie hypno
n des muscles de la face pendant la léthargie hypnotique. Fig. 1. —
Excitation
du muscle sterno-mastoïdien du côté gauche. Contr
sterno-mastoïdien du côté gauche. Contracture du muscle. Fto. 2. —
Excitation
du nerf facial en avant de l'oreille du côté droi
simultanée des muscles de l'œil, du nez et de la bouche. Fig. 3. —
Excitation
bilatérale du muscle frontal. Fig. 4. — Excitat
che. Fig. 3. — Excitation bilatérale du muscle frontal. Fig. 4. —
Excitation
bilatérale du muscle orbiculaire palpebral supéri
aire palpebral supérieur. Fig. i Fig. 2 PLANCHE VI. Fig. 1. —
Excitation
unilatérale du muscle patpébral supérieur, On peu
ébral supérieur, On peut constater, dans le muscle du côté opposé à l'
excitation
, un léger degré de contraction. Fig. 2. — Dans
és directement s'est ajoutée celle des pyramidaux du nez. Fig. 3. —
Excitation
unique et médiane des eux dmuscles dilatateurs de
ique et médiane des eux dmuscles dilatateurs des narines. Fig. 4. —
Excitation
du transverse du nez du côté gauche, Fig. i F
se du nez du côté gauche, Fig. i Fig. 2 PLANCHE VIL Fig. 1. —
Excitation
bilatérale du grand zygomatique. Fif. 2. — Exci
L Fig. 1. — Excitation bilatérale du grand zygomatique. Fif. 2. —
Excitation
unilatérale du grand zygomatique. Fig. 3. — Exc
Fif. 2. — Excitation unilatérale du grand zygomatique. Fig. 3. —
Excitation
unilatérale du petit zygomatique. Il s'y joint un
scle élévateur de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. Fig. 4. —
Excitation
unilatérale du muscle élévateur commun du nez et
térale du muscle élévateur commun du nez et de la lèvre supérieure. L'
excitation
, parfaitement localisée, porte sur le rameau nerv
x destiné à, ce muscle, Fig. 1 Fig. 2 PLANCHE Y HT. Fin. 1. —
Excitation
bilatérale du muscle élévateur commun de l'aile d
vateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. Fia. 2. —
Excitation
bilatérale du carré du menton. Fia. 3. —Excitat
ure. Fia. 2. — Excitation bilatérale du carré du menton. Fia. 3. —
Excitation
bilatérale du triangulaire des lèvres. Fia. 'i.
ia. 3. —Excitation bilatérale du triangulaire des lèvres. Fia. 'i.—
Excitation
de la houppe du menton. Fig. 1 Fig. 2 PLANC
n de la houppe du menton. Fig. 1 Fig. 2 PLANCHE IX. Fig. 1. —
Excitation
simultanée des muscles frontaux et pcauciers. — M
'expression de la physionomie ait été modifiée pour cela. Fig. 3. —
Excitation
simultanée des muscles orbiculaires palpébraux su
t rendue cataleptique du côté gauche par l'ouverture de l'œil gauche.—
Excitation
bilatérale du muscle élévateur commun delà lèvre
roit du côté léthargique se contracte seul. Du coté cataleptique, une
excitation
semblable demeure sans PfiU Fig. 1 Fig. 2 P
os musculaire................................................ 312
Excitation
du tendon........................................
Excitation du tendon.......................................... 313
Excitation
des nerfs...............,........................
Excitation des nerfs...............,........................... 336
Excitation
des muscles......................................
cles......................................... 348 Parallèle entre l'
excitation
mécanique de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire
tinction avec les — organiques spasmodiques, p. 469; — permanente par
excitation
du tendon, p. 320: ?— par excitation des muscles,
diques, p. 469; — permanente par excitation du tendon, p. 320: ?— par
excitation
des muscles, p. 848; ?— provoquée par l'hyperexci
par l'hyperexcilabilité neuro-musculaire, p. 377: — modification par
excitation
des antagonistes, p. 377; —? persistance de la —
; — sur rachromatopsie hystérique, p. 215. Musclus, contracture par
excitation
des —, p. 348; —expériences, p. 352. Myélites,
ement des —, p. 122; — hemorrhagic, conséquence des—, p. 123. Nerfs, (
Excitation
des —), p. 336, Névrite hypertrophique, p. 183.
le, p. 91; — clans certaines affections convulsives, p. 95. Tendon (
Excitation
du —), p. 313; — expériences, p. 321 ; — contract
encore contraction paresseuse, to- nique, longuement persistante. L'
excitation
des nerfs par de forts courants faradiques, pro
la loi nor- male, toujours et partout brèves et sans persistance. L'
excitation
labile des nerfs peut provoquer aussi des contr
le domaine du nerf excité se prolonge un peu au delà du temps de l'
excitation
. L'excitabilité galvanique n'est pas non plus sen
10, 30 secondes et parfois même davantage, après la cessation de l'
excitation
. En prolongeant les excita- tions, ou en les ré
traction totale, lente, tonique, qui persiste longtemps après que l'
excitation
a cessé. Si l'on prolonge l'excitation pendant
rsiste longtemps après que l'excitation a cessé. Si l'on prolonge l'
excitation
pendant 3/4 de minute à 1 minute, les muscles n'a
triquement, on voit se produire pendant les premières secondes de l'
excitation
quelques secousses isochrones aux mouvements de l
l'intensité du courant et la fréquence des in- ' terruptions. Si l'
excitation
est interrompue alors, le muscle se décontracte
n du muscle à entrer en état de contraction tonique. Cependant, des
excitations
fréquemment répétées, ou longtemps prolongées,
mouvements ondulatoires irréguliers, qui se produisent soit pendant l'
excitation
elle-même, soit après la cessation de l'excitat
t soit pendant l'excitation elle-même, soit après la cessation de l'
excitation
et se prolongent souvent long- temps après (jus
cles par les courants d'induction, nous distinguerons trois modes d'
excitation
différents, suivant la fréquence des interrupti
mais les effets produits varient suivant la force du courant. « Les
excitations
minimales provoquent des contractions qui ressemb
x, sont presque toujours sans durée, et cessent en même temps que l'
excitation
. Les excitations avec des courants de force mod
ujours sans durée, et cessent en même temps que l'excitation. Les
excitations
avec des courants de force modérée, produisent de
(Erb, /. c. p. 67.) Il en était ainsi chez notre malade pour les
excitations
minimales et les excitations modérées. Aussi no
était ainsi chez notre malade pour les excitations minimales et les
excitations
modérées. Aussi nous n'en reproduirons pas ici de
tractions ainsi produites dans la maladie de Thomsen. Lorsque les
excitations
faradiques, avec interruptions fréquentes, sont
e mode d'application de l'ex- citation faradique, c'est-à-dire de l'
excitation
par des courants avec inter- ruptions encore fr
nsister tout particulièrement. Sur des muscles normaux, ce mode d'
excitation
produit, avec des cou- rants de force modérée,
par des contractions isochrones aux interruptions. Dès que cesse l'
excitation
, le muscle revient aussitôt à l'état de repos.
dans la maladie de Thomsen; mais les effets produits par ce genre d'
excitation
diffèrent suivant certaines conditions de l'exp
long (30, 40, 50 secondes). Effet produit : au début de la première
excitation
(composée d'une série de chocs d'induction se s
isparaît ensuite graduellement au cours de l'ex- citation. Dans les
excitations
suivantes, répétées en laissant entre chacune d
action énergique et brusque sous l'influence de la volonté.) 9'C.
Excitations
des muscles qui sont sous l'influence de la fatig
des muscles qui sont sous l'influence de la fatigue, à la suite des
excitations
précédentes longtemps répétées, ou par suite de
30, 40, 50 secondes. (Apparition du spasme myotonique à la première
excitation
, sa disparition aux excitations suivantes.) S
n du spasme myotonique à la première excitation, sa disparition aux
excitations
suivantes.) Si nous excitons un muscle de notre
examiner, voici ce que nous observons : 1° au moment où commence l'
excitation
, il se produit dans le muscle exploré quelques
ment de se contracter, et il répond comme un muscle normal à chaque
excitation
du courant; ses contractions sont isochrones av
du trem- bleur et ont une amplitude en rapport avec l'énergie de l'
excitation
; 4° si on enlève alors l'électrode excitatrice
ait appliquée sur le point électro-moteur du mus- cle, produisait l'
excitation
et recevait l'effet produit pour le transmettre a
es, elles atteignent une amplitude assez grande, et lorsque cesse l'
excitation
, le muscle reprend aussitôt sa ligne de repos. Da
s la minute suivante, après un repos d'une vingtaine de secondes, l'
excitation
est renou- velée (A, 2°). Dès le début, les sec
ne se produit pas de spasme myotonique. Il en est de même pour les
excitations
suivan- tes (3° et 4°), répétées après un inter
tées après un intervalle de repos de 4 secondes. A la fin de chaque
excitation
le muscle reprend aussitôt l'état de repos. Les
CD en 1 FIG. 1. - Bout... (Maladie de Thomsen) 25 juillet {888. -
Excitations
faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse
ns suivantes. Une vingtaine de secondes après la fin de la première
excitation
, on renouvelle l'expérience (B, 2°). Cette fois,
myoto- nique, comme l'indique la courbe du tracé. Sur une troisième
excitation
et sur une quatrième, renouvelées après un repo
ns nos tracés d'un vice dans l'ex- périmentation au début de chaque
excitation
. En raison de l'instrumenta- tion, dont nous di
termittences de l'inter- rupteur se trouvent plus rapprochées, d'où
excitation
plus grande du muscle que dans la suite de l'ex
us établissons le rapport qui les relie. Il en est de même pour les
excitations
physiques et morales, et la fièvre peut apparaîtr
uleur intense de n'importe quelle nature ; il ne s'agit alors que d'
excitations
plus ou moins vives du système nerveux, transitoi
oprement parler et l'explication ne saurait être trouvée que dans l'
excitation
fonctionnelle névro-centrale. Jusqu'ici, on tro
agonistes, s'exagèrent comme les mouve- ments athétosiques, par les
excitations
(essais de mouvements volontaires, émotion, etc
complet des muscles. Que produisent-elles ici ? Au début de la 1 re
excitation
(2), le muscle répond pendant 1 seconde 1/2 par
paraître un tétanos presque complet, comme pour un muscle normal. L'
excitation
interrompue, au bout de 47 secondes de durée tota
rée totale, le mus- cle reprend aussitôt l'étal de repos. Les mômes
excitations
provoquées clans la minute suivante (2° el 3°),
du muscle, comme dans l'état normal. Ici encore, à la fin de chaque
excitation
, retour rapide et complet du muscle à l'état de
racté au maximum et que la courbe myographique, après les premières
excitations
du début, s'abaisse et con- serve pendant toute
ans des conditions semblables, afin de pouvoir comparer l'effet des
excitations
faradiqnes sur les muscles dans la maladie de T
es muscles dans l'état normal. La figure o représente le résultat d'
excitations
avec des intermittences au nombre de 190 par mi
e). Nous retrouvons ici, A, quelques secousses amples au début de l'
excitation
; au bout d'une seconde 1/2 le spasme myotoniqu
imum el disparaît ensuite graduellement. A la fin de celte première
excitation
, qui n'a été prolongée que pendant 30 secondes,
peu, mais elle est bientôt complète. Cinq secondes après, nouvelle
excitation
, A 2° ; il n'y a plus de spasme myotonique et l
s musculaires sont normales. Au bout de I 2 secondes cessation de l'
excitation
, retour immédiat et complet du muscle à l'état
omplet du muscle à l'état de repos. Une minute 1/2 après, troisième
excitation
pendant 14 se- condes, absence de spasme myoton
yotonique, secousses musculaires normales, el, au moment où cesse l'
excitation
, trace de décontraction lente. Les exci- tation
aux. La figure suivante (fig. 6) représente en A et A' le tracé des
excitations
produites sur le droit antérieur de la cuisse g
nces au nombre de 370 par minute (6 1/6 par seconde). A la première
excitation
le spasme myotonique apparaît presqu'aussitôt.
te. Au bout de 17 secondes ces secousses sont très étendues; mais l'
excitation
, suspendue alors, n'a pas été suffi- samment lo
DE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 95 commence la seconde
excitation
; au début il y a une ébauche très incom- é t
ue, qui disparaît totalement après 3 on 4 secon- des. A la fin de l'
excitation
, qui a duré 13 secondes, le muscle est complè-
reprend aussitôt son état de repos. Une minute 1/2 après, troisième
excitation
; là encore ébauche très incomplète du spasme myot
produit au-dessus B, appartenant à un muscle normal). A la fin de l'
excitation
, prolongée pendant 40 secondes, retour complet
e repos. La figure suivante (fig. 7) représente en A, 1' le tracé d'
excitations
avec des intermittences encore plus fréquentes
écédents, l'apparition du spasme myotonique au début de la première
excitation
, -bientôt après le retour graduel des secousses
sculaires, isochrones aux mouvements de l'inter- rupteur ; pour les
excitations
suivantes disparition de plns en plus com- plèt
de plns en plus com- plète du spasme myotonique, il mesure que les
excitations
se répètent. Il est il remarquer sur ces tracés
es tracés la façon dont se produit la décontraction lorsque cesse l'
excitation
. Ici, en effet, les excitations ont été relativem
uit la décontraction lorsque cesse l'excitation. Ici, en effet, les
excitations
ont été relativement courtes ; la plus longue,
iver graduellement à l'état de repos (b il 2°). Après la pre- mière
excitation
cette décontraction lente se prolonge pendant une
ion lente se prolonge pendant une 20e de secondes. Après les autres
excitations
la décontraction se fait plus rapide- ment, ell
tion se fait plus rapide- ment, elle est presque totale après la ae
excitation
(f). La ligne supé- rieure, B, représente à tit
le ex- citation. A la seconde il n'est qu'ébauché; il disparaît aux
excitations
sui- vantes, 30, live, 5e. (La 5e excitation es
ché; il disparaît aux excitations sui- vantes, 30, live, 5e. (La 5e
excitation
est produite avec un courant plus fai- ble, l'é
RAPHIE DU LA SALPÊTRIÈRE. Nous reproduisons ici l'inscription de 14
excitations
consécutives pour bien montrer comment se compo
s pour bien montrer comment se comportent les muscles dans le cas d'
excitations
réitérées. Entre chaque ligne il s'est écoulé u
-Si 100 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP1'l'RIrRE. la première
excitation
, il fait il peu près complètement défaut aux exci
auche. Là encore le spasme myotonique est très net pour la première
excitation
; il fait presque entièrement défaut pour la se
un repos de 2 3 3 minutes. Oir le retrouve aussi en partie il la 6e
excitation
, après un repos de même durée. Les déconlractions
tions sont traînantes après la première, la seconde el la quatrième
excitation
, rapides presque complètes après la troisième.
puis se continuent lentement; mais il faut tenir compte de ce que l'
excitation
ici était relati- vement forte et nous voyons a
. section C. Mouvements ondulatoires).. Les résultats fournis par l'
excitation
électrique des muscles dans la ma- ladie de Tho
M E Fia. 10. -Bout ... (Maladie de Thomsen) 1" octobre 1888. -
Excitations
faradiques du biceps huméral gauche. - Bobine à g
al fait bien voir la différence. L'influence de la répétition des
excitations
électriques sur la diminution et la disparition
. Enfin plus récemment encore, cette influence de la répétition des
excitations
électriques a été si- gnalée de nouveau par div
l(j4. NOUVELLE lè 1 C 0 i'I 0 G H A P U 1 DIS LA SALPÊTRIÈRE. 15
EXCITATIONS
f : ULlil'IW; DURANT UNE, DEUX OU ' ! R01S SECOND
lt;/'f<c<to ? t'<M). . Nous avons vu précédemment que si l'
excitation
du muscle par le cou- rant faradique. avec inte
contraction tonique du muscle se maintient après la cessation de l'
excitation
el ne disparaît que graduellement ; la décontrac-
constate, en effet, dans ces conditions, qu'au mo- ment où cesse l'
excitation
le muscle est gonllé, dur, et dessine fortement
pris avec un courant interrompu 8 fois 1/2 par seconde. La première
excitation
(A, 4°) dure une seconde 3/li; au moment où ell
le muscle a atteint sa ligne de repos nous 'provoquons une deuxième
excitation
de près de deux secondes ; aussitôt après le même
revient complètement au repos en a". = Deux minutes après nouvelle
excitation
(B, 1°) de 1 1/2 seconde. Lorsque cesse l'excit
après nouvelle excitation (B, 1°) de 1 1/2 seconde. Lorsque cesse l'
excitation
le muscle se décontracté. assez rapidement en 1 1
totale a mis pour se faire 24 secondes et 1/2. A ce moment nouvelle
excitation
(B, 2°) prolongée cette fois pendant 10 seconde
sme myo- tonique, tel que nous l'avons étudié précédemment, mais, l'
excitation
ve- m C Li M B M r ti >1 n
. Réactions faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse gauche.
Excitations
courtes ; décontractions lentes. Interruptions
2.) (La suite des décontractions lentes, qui succèdent aux secondes
excitations
, se trouve inscrite à gauche de la figure en a',
s après la précédente, montre encore le même phénomène. La première
excitation
(C, 1°) dure 4 1/2 secondes. Lors- qu'elle cess
ssez rapidement jusqu'en»/, (moins brusquement toutefois que dans l'
excitation
précédente qui a duré plus longtemps, 10 second
35 secondes à regagner sa ligne de repos. Il en est de môme après l'
excitation
suivante (C, 2°) qui ne dure que 3 secondes, et à
racé suivant, fig. 13, nous avons recueilli sur la même feuille 2;)
excitations
différentes du droit antérieur de la cuisse gauch
temps de repos de 2 à 3 minutes; sur chacune d'elles les premières
excitations
ont été faites il intervalles d'une minute et q
e cylindre avait fait un peu plus d'un tour complel ; les dernières
excitations
ont été faites, au contraire, pendant le même t
lle seulement. (Les chiffres romains correspondant à chacune de ces
excitations
indiquent pendant quel tour du cylindre elles o
s.) De plus, dans celte expérience, nous avons recueilli le tracé d'
excitations
de plus en plus fortes, depuis les excitations mi
recueilli le tracé d'excitations de plus en plus fortes, depuis les
excitations
minimales, jusqu'à des excitations de force mod
plus en plus fortes, depuis les excitations minimales, jusqu'à des
excitations
de force modérée (sur tous nos tracés l'ordre de
éloignée de l'induc- teur de 10 centimètres el il n'y avait aucune
excitation
du muscle; pour les lignes suivantes la distanc
ètres et 7 centimètres. On peut voir que déjà avec les plus faibles
excitations
il se produit une décontraclion lente qui persi
uit une décontraclion lente qui persiste longtemps. Pour toutes les
excitations
fai- tes à une minute d'intervalle cetle décont
ensuite et graduelle- ment dans une deuxième. Pour les dernières
excitations
de chaque ligne, répétées à quelques secondes d
tervalle, et plus longues aussi pour la plupart que les premiè- res
excitations
, on voit la décontraction lente durer beaucoup mo
m en c Fin. 13. -Boul... (Maladie de Thomsen), 2G sept. 1888.
Excitations
faradiques de courte durée portant sur le muscle
et presque complè- tement à son état de repos, au moment où cesse l'
excitation
. Ceci montre bien l'influence des excitations r
, au moment où cesse l'excitation. Ceci montre bien l'influence des
excitations
répétées ou prolongées sur la disparition du sp
tre la bobine Ù fil gros était la bobine à lil moven. On voil que l'
excitation
produite par le fil moyen esl plus considérable
remarquer la longue durée de celle décontraction pour les premières
excitations
de chaque ligne, enpar- liculier pour celle de
H, où celte durée atteint 4S secondes (f à 11). Les deux dernières
excitations
de celle ligne, répétées aussitôt l'une après l
M M o CC FiG. ho Boul... (Maladie de Thomsen), 26 sept. 1888.
Excitations
faradiques de courte durée portant sur le muscle
let el instantané du muscle à l'étal de repos, après la der- nière.
excitation
. La troisième ligne. C, a élé prise dans des cond
tervalle). Nous la reproduisons ici parce qu'elle fait voir que les
excitations
courtes, suiv ies des décontractions lentes, n'é-
'ulat Ile repos la fin de la première ex- citation et il la fin de^
excitations
produites pendant la nlinule snivanle, II. Pour
tions produites pendant la nlinule snivanle, II. Pour ces dernières
excitations
le spasme myotonique a disparu, comme c'est ta
me pour la ligure 1 1 nous avons enregistré un assez grand nombre d'
excitations
successives du muscle, depuis les excita- lions
successives du muscle, depuis les excita- lions minimales jusqu'aux
excitations
de force modérée. Ces excitations sont faites i
excita- lions minimales jusqu'aux excitations de force modérée. Ces
excitations
sont faites il intervalles d'une minute, except
écontraction diminue de durée et môme devient instantanée après des
excitations
répétées Ù courts intervalles (dernières excitati
anée après des excitations répétées Ù courts intervalles (dernières
excitations
des lignes B et C), ou après des excitations pr
intervalles (dernières excitations des lignes B et C), ou après des
excitations
prolongées pendant un temps plus long (der- uié
s des excitations prolongées pendant un temps plus long (der- uiére
excitation
cle la ligne E). Nous n'insisterons pas sur ces p
art la fa- çon dont se produit la contraction du muscle pendant ces
excitations
, et d'autre part ce qui se passe immédiatement
ta- tion. Nous constatons en effet, ici, qu'au moment où commence l'
excitation
le muscle se contracte brusquement, comme l'ind
relèvement de la courbe. L'abaissement est dû à ce qu'au début de l'
excitation
il se produit sous l'électrode excitatrice un sil
racés sont, d'une façon générale, plus marqués pour les premiè- res
excitations
). Mais bientôt le sillon disparaît, la contractio
lement que sur un grand nombre de ces courbes, au moment où cesse l'
excitation
, moment indiqué sur la ligure par la lettre f, la
ors le muscle ne commence pas sa décontraction aussitôt que cesse l'
excitation
, mais qu'auparavant il se contracte davantage,
ntracte davantage, se trouve plus gonflé qu'il ne l'était pendant l'
excitation
, puis aussitôt après il se décontracte lente- m
ue nous avons déjà indiquée. Ces contractions du muscle la fin de l'
excitation
ne se produisent ici que lorsque les excita- ti
trer, outre le phénomène de la déconlraction lente, l'influence des
excitations
répétées à courts intervalles sur ce phénomène, c
arition dans ces conditions. On voit, en effet, qu'à mesure que les
excitations
se répètent, la décontraction lente diminue de du
ent de plus en plus rapidement à sa ligne de repos, dès que cesse l'
excitation
. On peut constater ici que le même effet se produ
Nos tracés montrent que, dans les premières secondes qui suivent l'
excitation
, la décontraction est d'abord assez rapide, mais
deux premières lignes de la figure 16, etc.), au moment où cesse l'
excitation
, que nous avons dési- gnées du nom de contracti
ans la section suivante (section C. Mouvements ondulatoires). Les
excitations
courtes n'épuisent que très lentement le désordre
lentement le désordre myo- tonique du muscle. Lorsqu'on répète ces
excitations
, à intervalles d'une 1-* 01-' sa o C
t; H 58 ? 1" S3 M 1'tc. 16. - Boul... (Maladie de Thomsen).
Excitations
faradiques du droit antérieur de la cuisse droite
l'on répète coup sur coup, à quelques secondes d'inter- valle, ces
excitations
courtes que l'on voit la décontraction consécutiv
s, le désordre myotonique reparaît bientôt, et si on renouvelle les
excitations
courtes après un repos de 2 ou 3 minutes, on co
e la précédente. Au contraire, nous avons déjà vu plus haut que les
excitations
prolongées pendant 1/2 ou 3/4 de minute, épuisa
une certaine mesure, ces dé- contraclions lentes qui succèdent aux
excitations
faradiques courtes avec certains troubles myoto
semhlent et présentent l'nn avec l'autre une certaine analogie. C
Excitations
des muscles fatigués par des excitations précéden
une certaine analogie. C Excitations des muscles fatigués par des
excitations
précédentes réité- rées, on par des excitations
es fatigués par des excitations précédentes réité- rées, on par des
excitations
avec des courants forts. Mouvements 0,NDU- lato
s qui nous paraissenl le provoquer sont : la fatigue du muscle, les
excitations
avec de forts courants, et peut-être aussi le fro
u début de la séance. L'in- fluence de la fatigue provoquée par des
excitations
électriques répétées ou prolongées est ainsi de
ns eu le soin de laisser reposer les muscles et d'interrompre toute
excitation
électrique non seulement pendant plusieurs jour
se produisent non seulement pendant le temps où le muscle su- bit l'
excitation
électrique, comme on parait l'avoir surtout remar
r H M FiG. 17. Bout... (Maladie deThomsen), 28 sept. 1888. -
Excitations
faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. qu'ici, mais encore qu'ils succèdent il l'
excitation
et se prolongent après elle, pendant un temps v
fois une minute. Dans cer- tains cas, même, par exemple lorsque les
excitations
ont été courtes ou peu prolongées, les mouvemen
vons indiqué dans une partie précédente de cette étude. La première
excitation
cle la ligne A est prolongée pendant six secondes
ables condi- tions, l'apparition du spasme myotonique au début de l'
excitation
, puis sa disparition graduelle. (A suivre) E.
SEN. (De la Réaction myotonique). - (suite '). Pendant la seconde
excitation
(2), renouvelée secondes après la fin de la pre
e comporte comme un muscle normal. Il en est de même pour les trois
excitations
de la ligne suivante, inscrite après un re- pos
de la ligne suivante, inscrite après un re- pos d'une minute ; ces
excitations
se succèdent pendant la même minute à quelques
au lieu de 9 centimètres comme pour les deux lignes précédentes, l'
excitation
du muscle est prolongée pendant 27 secondes, to
avec le même nombre d'intermittences (6 1/2 par seconde), pendant l'
excitation
le muscle est plus fortement tétanisé, quoique
sent des ondulations dans la ligne du tétanos. Au moment où cesse l'
excitation
, f, le muscle se décontracté seulement en 1res fa
e la courbe cle la décontraclion lente. Pour la ligne D la première
excitation
, faite après un intervalle de repos d'une minute,
ée pendant plus longtemps, pendant 18 secondes. Au courant de cette
excitation
le spasme myotonique appa- raît, puis quand ell
te davantage la conlractilité des muscles. Pour la première ligne l'
excitation
a été prolongée pendant 49 secondes. Au début l
dulations du tracé sont très nelles ici dans la seconde partie de l'
excitation
, a, ,, oc. Au moment où cesse l'excitation le m
s la seconde partie de l'excitation, a, ,, oc. Au moment où cesse l'
excitation
le muscle se décontracte faiblement, puis se co
nts ondulatoires.) Pour la seconde ligne, B, au lieu de prolonger l'
excitation
pendant 3/4 de minute, nous avons, fait une exc
prolonger l'excitation pendant 3/4 de minute, nous avons, fait une
excitation
courte de 2 secondes seulement. Au moment où ce
une excitation courte de 2 secondes seulement. Au moment où cesse l'
excitation
le muscle se comporte comme nous l'a- vons vu p
m w FiG. 18. -- Boul .. (Maladie de Thomsen), 28 sept. 1888. -
Excitations
faradiques du muscle droit antérieur delà cuisse
omporte presque identiquement comme la précédente, à la suite d'une
excitation
également courte, toutefois avec un écartement
cartée de 8 et de 7 centimètres. Pour les deux pre- mières lignes l'
excitation
est prolongée de 45 à 50 secondes. On voit d'une
oit d'une part les mouvements ondulatoires apparaître au cours de l'
excitation
, et se prolonger d'aulre part longtemps après l
urs de l'excitation, et se prolonger d'aulre part longtemps après l'
excitation
. Au second tour du cylindre ils sont encore trè
ssent qu'après une minute de durée. A la troisième li- gne, C, deux
excitations
, la première assez longue, la seconde plus courte
s mouvements ondu- latoires ont apparu dans le cours de la première
excitation
, et se conti- nuent après. Au moment de la seco
mière excitation, et se conti- nuent après. Au moment de la seconde
excitation
ils sont interrompus momentanément par la tétan
la tétanisation presqne complète du muscle, puis reprennent quand l'
excitation
a cessé et se continuent pendant tout le se- co
A, B, C, de la figure 20. Le premier tracé, A, a été pris avec une
excitation
prolongée pendant 45 secondes. A la lin de l'exci
is avec une excitation prolongée pendant 45 secondes. A la lin de l'
excitation
le muscle reste fortement contracté, et pendant
l- is p Fir. 20. Boni... (Maladie de Thomsen), 28 sept. 1888. -
Excitations
faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse
ements ondulatoires et sans tremblement. Pour le second tracé, B, l'
excitation
a été également longue, et prolon- gée pendant
ur le tracé précédent le spasme myo- tonique apparaît au cours de l'
excitation
; lorsque celle-ci cesse, le muscle, au lieu de
e, C, représente des tracés de décon- tractions lentes à la suite d'
excitations
courtes, de quelques secondes seu- lement. Ici
21 en représente des exemples. Nous avons vu, section A, que des
excitations
prolongées, avec interrup- tions assez peu fréq
fréquentes, 2 à 15 par seconde, produisent au début de la première
excitation
, lorsque les muscles ont été laissés auparavant s
n isolée et étendue comme le ferait un muscle normal. Pen- dant les
excitations
suivantes répétées à quelques secondes d'interval
ntinue à se comporter comme un muscle normal ; à la fin de cha- que
excitation
il se décontracte immédiatement et complètement,
; f ro ..., M l'1' M H FIG. 21. (Maladie de Thomsen).
Excitations
faradiques du droit antérieur de la cuisse. -Bobi
s au nombre de 4 1 /2 par seconde. Nous voyons ici qu'à la première
excitation
, le spasme myotonique se produi t, de la façon
et disparaît ensuite progressi- vement. Mais, au moment où cesse l'
excitation
le muscle au lieu de revenir à l'état de repos
ore dans cet état de demi-contraction, nous provoquons une nouvelle
excitation
, A' ; il répond à chaque choc fa- radique par d
des contractions distinctes et assez étendues, mais lorsque cesse l'
excitation
il se comporte comme tout à l'heure, reste à demi
tes, une nouvelle exci- tation est provoquée, B ; à cette troisième
excitation
le muscle se comporte à peu près comme à la sec
de repos qu'après une vingtaine de secondes. A ce moment quatrième
excitation
, B', même résultat immédiat, le muscle se comport
comporte à peu près comme un muscle normal ; puis, lorsque cesse l'
excitation
, on constate le même effet qu'après les excitat
lorsque cesse l'excitation, on constate le même effet qu'après les
excitations
précédentes, c'est-à-dire des alternatives de g
n lente se prolongeant plus d'une demi-minute. Lors d'une cinquième
excitation
, C, faite après un repos de deux minutes, et pr
bauche du spasme myo- tonique, qui disparaît bientôt; à la fin de l'
excitation
gonflement et relâ- chement alternatifs du musc
c'est-à-dire avec un courant plus fort. Ils montrent à la première
excitation
(ligne D, figure 21), prolongée pendant 39 seco
n du spasme myotonique, sa disparition graduelle, puis, après que l'
excitation
a pris fin, la persistance de la contraction du
tteint sa ligne de repos, en w, plus d'une minute après la fin de l'
excitation
. -La ligne suivante E montre comment les muscle
ans les conditions que nous étudions actuellement, lorsqu'au lieu d'
excitations
prolongées on produit des excitations courtes,
ctuellement, lorsqu'au lieu d'excitations prolongées on produit des
excitations
courtes, de quelques secondes seulement. En compa
s la maladie de Thomsen. On voit qu'ils peuvent être produits par l'
excitation
des muscles avec les courants faradiques dans cer
apparaître lorsqu'on em- ploie de forts courants, ou bien après des
excitations
réitérées d'un même muscle. Certaines autres co
ntinues comme dans l'athétose double. On peut les provoquer par des
excitations
diverses, pincement de la peau, percussion des
, 1892. Ftc. 27. - Boul... (Maladie de Thomsen), 27 juillet 1888. -
Excitations
galvaniques du muscle droit antérieur de la cui
e sont là des notions classiques pour les secousses produites par l'
excitation
galvanique des muscles normaux et il est inutil
liampères) sur notre malade atteint de maladie de Thomsen. Fig. 28.
Excitations
galvaniques du muscle droit antérieur de la cuiss
PÊTRIÈRE. FiG. 29. - Roui ... (Maladie de Thomsen), 3 aofit 188S. -
Excitations
galvaniques du muscle droit antérieur de la cui
éduit au 1/3). Pta. 30. Boul... (Maladie de Thomsen), 4 août 1588.-
Excitations
galvaniques du muscle droit antérieur do la cui
uit pas de secousses à l'ouverture du courant, pour les 2 premières
excitations
, mais ensuite nous voyons apparaître à chaque o
une secousse petite, lente et tonique. A mesure que se répètent les
excitations
, les secousses de fermeture de- viennent plus b
tion Ionique du muscle, moins prononcé toutefois pour les dernières
excitations
de la ligne 1°. Les con- tractions toniques d'o
, mais que cet état de contraction tonique diminue à mesure que les
excitations
se répètent. Dans la seconde partie de la figur
rnée, après un repos de quel- ques minutes seulement à la suite des
excitations
du pôle positif. Il est pos- sible que les prem
es excitations du pôle positif. Il est pos- sible que les premières
excitations
du pôle négatif aient été plus toniques, si ell
le positif, sur un muscle resté pendant 24 heures au repos de toute
excitation
électrique. Tout en Fin. 31. Boul... (Maladie d
ue. Tout en Fin. 31. Boul... (Maladie de Tliomsen), 13 août 1888. -
Excitations
galvaniques du muscle droit antérieur de la cui
e tracé nous mon- tre, d'une façon manifeste, que la répétition des
excitations
produit pour le pôle négatif, comme pour le pôl
et était produit pour les courants faradiques par la répétition des
excitations
. Mais il est d'autres particularités que la fig
e négatif FiG. 32. - Bout ... (Maladie de Thomsen), 13 août 1888. -
Excitations
galvaniques du muscle droit antérieur de lacuis
e, absolument comme nous l'avons vu déjà pour les autres tracés des
excitations
par le pôle négatif. (Nous ferons re- marquer q
isse droite qui, ainsi que nous l'avons déjà constaté il propos des
excitations
par les courants faradiques, présentait chez notr
lliampères il Cc. 33. - Houl... (Maladie de Tliomsen), Il août 188.
Excitations
galvaniques du muscle droit antérieur de la cui
u se produire chez Boni..., à la suite de la fatigue ou de for- tes
excitations
électriques, tend à se maintenir, et il nous para
d'une façon générale, les contractions musculaires du triceps, par
excitation
mécani- que de son tendon, sont brusques, contr
rement aux contractions volon- taires et aussi aux contractions par
excitation
directe du muscle lui-même qui sont torpides. P
nt, les contractions du triceps fémoral produites par les premières
excitations
du tendon avaient une certaine ten- dance à se
prolonger. De plus M. Déléage a constaté que le temps perdu entre l'
excitation
du tendon et la contraction du muscle était plus
LA SALPÊTRIÈRE. qu'à l'état normal, autrement dit que la période d'
excitation
latente était augmentée. Signalons aussi, à c
nervés par le nerf présentait une durée se prolongeant au delà de l'
excitation
, et encore cette persistance était peu marquée, e
e produisait après NFTe. Les secousses musculaires obtenues par l'
excitation
des nerfs étaient brè- ves, rapides, instantané
e avant NFTe. La forme des secousses reste normalepour toutes les
excitations
isolées, c'est-à-dire que les contractions prod
isolées, c'est-à-dire que les contractions produites par de telles
excitations
, aussi bien avec les courants faradiques qu'ave
ont brèves et sans durée consécutive, même après NFTe. Seules les
excitations
accumulées (courant galvanique labile, courant
e pour l'excita- tion directe des muscles. C'est, en effet, par l'
excitation
musculaire directe, mécanique ou élec- trique q
RE. variable suivant les muscles, et aussi suivant l'intensité de l'
excitation
; elles se prolongent habituellement de 5 à 30 s
nt plus ou moins longtemps (5 à 20 secondes en moyenne) après que l'
excitation
a cessé, d'autre part dans la production de mouve
ent fréquemment interrompus, de forte intensité, et en prolongant l'
excitation
, c'est-à-dire les électrodes étant maintenues e
Les décharges isolées d'ouverture, même très fortes, ainsi que les
excitations
minimales avec les courants fréquem- ment inter
rruptions rares, peu fréquentes, et fréquen- tes), de la durée de l'
excitation
(excitations prolongées et excitations cour- te
res, peu fréquentes, et fréquen- tes), de la durée de l'excitation (
excitations
prolongées et excitations cour- tes) et de la r
équen- tes), de la durée de l'excitation (excitations prolongées et
excitations
cour- tes) et de la répétition des excitations.
ations prolongées et excitations cour- tes) et de la répétition des
excitations
. 1° Avec des interruptions rares, espacées l'un
15 in- terruptions par seconde) il se produisait clans le cas d'une
excitation
pro- longée (de 1/2 à 3/4 de minute) et une int
prochaient de plus en plus des secousses normales, et à la fin de l'
excitation
le muscle se décontractait comme un muscle normal
actait comme un muscle normal, instantanément et complètement, si l'
excitation
avait été suffisamment pro- longée et si l'inte
s de contractilité, et, si quelques secondes après on renouvelait l'
excitation
faradique, il se comportait comme un muscle norma
avec les mêmes courants il interruptions assez peu fréquentes, les
excitations
étaient courtes (de quelques secondes seulement)
(de quelques secondes seulement) le muscle, au moment où cessait l'
excitation
, était en état de spasme myotonique, et alors,
t dispa- raître cetle disposition spéciale des muscles soil par uue
excitation
pro- longée, soit par des excitations courtes r
ciale des muscles soil par uue excitation pro- longée, soit par des
excitations
courtes répétées fréquemment et coup sur coup.
les se trouvaient fatigués par des explorations répétées ou par des
excitations
avec des courants forts, on voyait apparaître d
ondulatoires qui, non seulement se montraient pendant le temps de l'
excitation
, mais encore se prolongeaient souvent longtemps
apides. Là encore, cependant, il faut tenir compte de la durée de l'
excitation
et de la répétition des excitations. Lorsque le
ut tenir compte de la durée de l'excitation et de la répétition des
excitations
. Lorsque les excitations sont assez prolongées
ée de l'excitation et de la répétition des excitations. Lorsque les
excitations
sont assez prolongées (pendant 1/2 à 3/4 de minut
érée, on voit encore le spasme myotonique se produire au début de l'
excitation
, puis, à mesure que ce spasme se résout, il fai
que, la décontraction se produit immédiatement et tota- lement. Des
excitations
reproduites quelques secondes après provoquent la
cle se fait de nouveau instantanément et totalement dès que cesse l'
excitation
, et ainsi de suite, tant qu'on n'a pas laissé le
muscle au point de produire des mouvements ondulatoires. Avec des
excitations
courtes (de quelques secondes seulement) on pro-
vent être reproduites ici encore un assez grand nombre de fois, ces
excitations
courtes épuisant lentement la disposition des m
ses et toniques, comme les précédentes. La répétition fréquente des
excitations
produit avec les courants galva- niques le même
Aussi, ces mouvements ondulatoires, qu'ils soient provoqués par des
excitations
mécaniques, faradiques ou galvaniques, doivent
sonl il leur maximum au début de l'exploration ; la répétition des
excitations
produit des effets semblables à ceux qui se pas
a contractilité. Par une abstention suffisamment prolongée de toute
excitation
, les modifications premières de la contractilité
ications premières de la contractilité se reproduisent bientôt. Des
excitations
prolongées ou des excitations violentes, capables
actilité se reproduisent bientôt. Des excitations prolongées ou des
excitations
violentes, capables de produire la fatigue des
a-t-on facilement (1) Dans certains cas de névrites périphériques l'
excitation
mécanique et électrique des muscles provoque de
otion, le tiraillement d'un membre, parfois par la compression ou l'
excitation
de points hystérogènes ; souvent elle peut être
rogènes ; souvent elle peut être arrêtée par un procédé analogue, l'
excitation
de zones hystéro-frénatrices. , Dans l'interv
appelle (1) N» du 19 février 1881, p. 149 (2) Nerve vibration and
excitation
as agents in the treatment of funclionnal disorde
intervient que pour déterminer des vibrations mécaniques et non des
excitations
électriques. GILLES DE la TOURETTE, Ancien ch
apeutique. Cela ne nous doit pas paraître étonnant : 1° parce que l'
excitation
du grand sympathique ne peut provoquer autre chos
ie nous indique deux endroits pour poser les rhéophores en vue de l'
excitation
des nerfs vaso-moteurs qui se rendent à l'artèr
pneumo- gastrique doit être aussi atteint par le courant ; mais son
excitation
ne se manifeste par aucun phénomène (la faradis
). Le pouls est plus fréquent qu'au repos à l'état normal grâce à l'
excitation
des nerfs cardia- ques accélérateurs provenant
de ce mode de faradi- sation (on doit attribuer ce phénomène il une
excitation
accidentelle du nerf facial). Il nous fut bie
ation locale irritante. Le courant faradique traversant le cou, l'
excitation
des fibres vaso-mo- trices de la carotide exter
l ; cependant, dès que ces fibres sont sclé- rosées, la source de l'
excitation
des cellules motrices en question doit être épu
, parce que la fréquence des contractions du coeur engendrées par l'
excitation
du sympathique épuise bientôt la force du coeur
résultats qu'on peut trouver incroyables, sans l'intervention de l'
excitation
du pneumo-gastrique, ce qui est d'autant plus a
ives qu'à l'état ordinaire. On peut attribuer tous ces facteurs à l'
excitation
du pneumo-gastrique. L'évacuation des mucosités
sujets accusent des an- goisses qu'il faut attribuer peut-être à l'
excitation
des fibres en question. Pour éviter ces angoiss
ous la dépendance des ganglions dugrand sympathique. Je crois que l'
excitation
est portée jusqu'à ces ganglions par les fibres n
geant dans les cordons postérieurs excite certaines fibres et que l'
excitation
est portée aux cellules motrices de la moelle e
e donne, au point de vue de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire, l'
excitation
mécanique localisée soit au tendon, soit au ram
soit au rameau nerveux, soit au corps du muscle lui-même '. § 1.
EXCITATION
DU TENDON. ÉTUDE DES RÉFLEXES TENDINEUX DANS LA
uée pendant l'hypnotisme, nous avons tenu à ne faire usage que de l'
excitation
purement mécani- que, telle que le choc, la pre
l soit nécessaire de les soumettre à 1'liypnotisation. Tandis que l'
excitation
purement mécanique n'acquiert d'efficacité que
, dont il devient, dans le cas particulier où la contracture suit l'
excitation
du tendon, comme une nouvelle manifestation d'u
La contraction musculaire réflexe ne peut être produite par aucune
excitation
électrique ou mécanique autre que la percussion
éflexe rotulien paraît plus intense, qu'il s'obtient a l'aide d'une
excitation
plus légère, il retentit sur les bras et sur to
inférieur. D'ailleurs, cette dernière loi de Pflùger qui veut que l'
excitation
réflexe se pro- page dans la moelle, toujours d
uelque sorte accumulation de force et addition successive de chaque
excitation
partielle, de telle façon que, tout en conserva
plus considérables que les premiers. Il y a donc deux modes de l'
excitation
par choc : ou l'excitation est intense et uniqu
premiers. Il y a donc deux modes de l'excitation par choc : ou l'
excitation
est intense et unique, ou l'excitation est faib
l'excitation par choc : ou l'excitation est intense et unique, ou l'
excitation
est faible et répétée. Tous deux conduisent au
résente plusieurs ondulations. La malade une fois endormie, la même
excitation
portée sur les mêmes tendons donne le tracé II
ture. Pour obtenir une simple contraction, il faut user d'une
excitation
fort lé- gère. En répétant ces excitations
il faut user d'une excitation fort lé- gère. En répétant ces
excitations
trèslégè- ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉR
contracture ainsi que le prouvent les tracés de la Fig. 3 et 4. L'
excitation
portée sur les muscles fléchisseurs de la main et
directement excité, de même que celle du muscle éloigné du point d'
excitation
) tendre vers la contrac- ture. C'est ce que d
et l'irradiation au bras du même côté est très marquée. Les trois
excitations
du tracé 11, 1'ig. 6, ont été portées succes- s
nt été portées succes- sivement, et l'on remarque qu'à la troisième
excitation
la contraction réflexe du biceps brachial, auss
ir aussi bien au bras "correspon- dant qu'à la jambe sur laquelle l'
excitation
avait été directement portée. En même temps que
dire de la con- tracture musculaire obtenue à l'aide d'une simple
excitation
mécanique, il existe une différence entre les d
ivante. . Dans ces cas, le phénomène pour se développer exige une
excitation
intense et répétée. L'ébranlement ner- veux qui
r produire immédiatement la contracture localisée, et dans ce cas l'
excitation
n'est pas assez vive pour tendre vers la généra
loca- lisation. La contracture suit également d'autres procédés d'
excitation
mécanique du tendon, tels que la malaxa- tion,
cita- tion par choc et d'éviter la généralisation. B. Effets de l'
excitation
tendineuse par malaxation, friction ou simple p
en résulte que, pour la pro- duction de la contracture réflexe par
excitation
tendi- neuse, non seulement le choc n'est pas n
relations qui peuvent exister entre la contrac- ture obtenue par l'
excitation
du tendon et celle qui suit l'excitation des ne
trac- ture obtenue par l'excitation du tendon et celle qui suit l'
excitation
des nerfs ou du corps du muscle lui- même. §
suit l'excitation des nerfs ou du corps du muscle lui- même. § IL
EXCITATION
DES NERFS. L'excitation mécanique des nerfs pro
s ou du corps du muscle lui- même. § IL EXCITATION DES NERFS. L'
excitation
mécanique des nerfs produit la contrac- ture de
r et pour isoler, autant que possible, ce qui appartient à la seule
excitation
du nerf, nous avons choisi, pour les soumettre
des troncs nerveux assez volumineux et faci- lement accessibles à l'
excitation
mécanique. Griffe cubitale. Parmi les nerfs qui
tre partie molle. Il est donc facile de l'atteindre sûrement. Son
excitation
mécanique au moyen d'une simple pression faite
logie. 62 ? PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Sous l'influence de cette
excitation
, la main se con- tracture dans une attitude spé
variétés anatomiques individuelles, soit du degré d'intensité de l'
excitation
, soit de la dif- fusion de l'excitation ou de s
t du degré d'intensité de l'excitation, soit de la dif- fusion de l'
excitation
ou de sa propagation à d'autres muscles par l'i
rf cubital demande une assez grande intensité du courant pour que l'
excitation
se transmette à tous les muscles innervés par l
raction due à l'hyperexcitabilité neuro-musculaire persiste après l'
excitation
, et imprime delà sorteàla main une attitude qu'
lles du médian, et que, par l'inter- médiaire de ces anastomoses, l'
excitation
portée sur le nerf cubital pourrait s'étendre p
u moins aux ra- mifications voisines du médian. Griffe médiane. L'
excitation
du nerf médian un peu au dessus du pli du coude
dessus du pli du coude donne des résultats ana- logues à ceux de l'
excitation
du cubital. La main prend alors une attitude qu
ation est plus difficile; entouré de parties molles, le nerf fuit l'
excitation
si elle n'est faite franchement et au bon endro
om- binée de tous les muscles innervés par le médian. A priori, l'
excitation
du tronc nerveux lui-même pro- duira les mouvem
e sa masse musculaire paraît même devoir l'emporter. En résumé, l'
excitation
du médian doit donner lieu aux mouvements suiva
oici maintenant l'attitude qu'a prise la main sous l'influence de l'
excitation
mécanique du médian pen- dant l'état d'hyperexc
n prendre complètement l'attitude du poing fermé (Fig. 12) - Si l'
excitation
a été intense ou prolongée, le mouve- ment de p
ire. Griffe radiale. Le nerf radial n'échappe pas à la loi et son
excitation
au sortir de la gouttière de torsion de l'humér
: ri/Jé radiale. ÉTUDE SUR LES ARTHROPATHIES TABÉTIQUES. 75 de l'
excitation
mécanique du nerf radial au point in- diqué, a
point de produire l'oedème du membre. Dans ces cas, il y avait une
excitation
mécanique que l'on sait propre à faire disparaî
la disparité dessesthésiogenes, on serait enclin à supposer qu'une
excitation
quelconque est seule néces- leurs aucun intérêt
onsidère le relâchement du muscle comme agissant à la manière d'une
excitation
; or, il est constant que la tension du même mu
ue dans le cas particulier de la contracture du tibial antérieur, l'
excitation
réside dans la tension passive du groupe muscul
bles et moyens sur la dilatation des capillaires du côté opposé à l'
excitation
, tandis que l'inverse se produisait par des cou
ort avec les réflexes vascu- laires. En effet, il a observé que les
excitations
cutanées du même agent électrique déterminaient
est tout prêt pour une nouvelle explo- sion, sous l'influence d'une
excitation
appropriée. Si nous examinons un « sauteur» cin
phère, elles disparaissent et meurent complètement avecles causes d'
excitation
qui leur avaient donné naissance, de même qu'elle
n certain sens, nous sommes tous « jnmpers »,sous l'influence d'une
excitation
soudaine, d'une détonnation violente et inatten
URO-MUSCULAIRE (Suite) « ; Par MM. CHARCOT et Paul RICHER. § III.
EXCITATION
DES MUSCLES. L'expérience a montré que la malax
tés. Mais, dans ce cas, la contracture est-elle la conséquence de l'
excitation
di- recte de la fibre musculaire elle-même, ou
di- recte de la fibre musculaire elle-même, ou bien suit- elle l'
excitation
des petits rameaux nerveux et de leurs terminai
enser que la contracture est ici, comme ailleurs, le résultat d'une
excitation
nerveuse de nature réflexe. . Quoi qu'il en s
de nature réflexe. . Quoi qu'il en soit, la contracture qui suit l'
excitation
mécanique du muscle est facile à démontrer chez
r faire cesser cette contracture, il suffit de porter une semblable
excitation
sur le sterno-mastoïdien du côté opposé, et la
S HYSTÉRIQUES. 175 par leur situation superficielle, permettent à l'
excitation
mécanique de les atteindre facilement, se compo
eindre facilement, se compor- tent de la même façon. Par exemple, l'
excitation
por- tée sur le trapèze sur les côtés du cou, a
s muscles larges et fasciculés, tels que le deltoïde, que : a). L'
excitation
portée sur un point, même limité, du muscle pro
née des muscles qui lui sont synergiques. Ce qui se passe lors de l'
excitation
portée sur le deltoïde en est un exemple conclu
ne se produit pas lorsque ce même muscle est contrac- ture par l'
excitation
mécanique dans l'état de l'hyperex- citabilité
et grand dentelé, bien que ces derniers muscles n'aient subi aucune
excitation
directe. Nous reviendrons plus loin sur ces fai
igne en électro-physiologie sous le nom de points d'élection pour l'
excitation
partielle des muscles. - Instruit par une longu
ntes dans la distribution des rameaux nerveux. La localisation de l'
excitation
mécanique dans les cas d'hyperexcitabilité neur
d'une hystérique, par exemple, un certain nombre de points dont l'
excitation
électrique produisait une action bien limitée ;
herches, nous l'endormions et nous pouvions constater, alors, que l'
excitation
mécanique des mêmes points moteurs amenait des
- musculaire, nous constations ensuite, pendant la veille, avec l'
excitation
électrique, que l'action de ces mêmes points ét
enseur nous a donné les résultats les plus précis. Le point d'
excitation
com- mun à l'extenseur du pouce et à celui
E CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 181 Les interosseux ne sont accessibles à l'
excitation
mé- canique qu'à la face dorsale de la main. A
ement recouverts par les ten- dons des fléchisseurs qui reçoivent l'
excitation
avant eux. Nous avons vu plus haut que les tend
ous avons vu plus haut que les tendons sont également sensibles à l'
excitation
mécanique. A la face dorsale de la main, l'exci
sensibles à l'excitation mécanique. A la face dorsale de la main, l'
excitation
des interosseux présente quelques particularité
quelles nous insisterons dans un instant. § IV. PARALLÈLE ENTRE L'
EXCITATION
MÉCANIQUE DE L'HY- PEREXCITABILITË NEURO-MUSCUL
s. Les analogies résultent : ' a) Delà possibilité de localiser l'
excitation
à un muscle ou à un groupe de muscles; b) De
a possibilité d'exciter un muscle, soit directe- ment, en portant l'
excitation
sur sa fibre elle-même, soit indirectement, en
excitation sur sa fibre elle-même, soit indirectement, en portant l'
excitation
sur le rameau nerveux qui lui est destiné, en q
Nous savons en effet que, pour ce qui est des muscles de la face, l'
excitation
mécanique, pen- dant l'état d'hyperexcitabilité
différents faisceaux d'un même muscle. Il est facile de localiser l'
excitation
électrique dans une partie seu- lement d'un mus
citabilité, la contraction totale de ce même muscle suit toujours l'
excitation
mécanique par- tielle d'un seul de ses faisceau
ar- tielle d'un seul de ses faisceaux ; c) De la propagation de l'
excitation
. Dans l'état d'hyperexcitabilité, le mouvement
rement de l'action des muscles qui lui sont synergiques, sans que l'
excitation
ait été portée sur ces derniers ; ce qui n'a pa
à obtenir, dans l'état d'hyperexcitabilité neuro- musculaire, par l'
excitation
mécanique, que, pendant la veille, par la farad
ticiper ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 183 à la même
excitation
, que ce soit un autre muscle, un nerf ou un ten
niveau des espaces interosseux, au point d'élection marqué pour l'
excitation
électrique, le résultat obtenu paraît, de prime
que subissent, suivant les individus, les points d'élection pour l'
excitation
partielle des muscles; . c) De la diffusion d
nt en une seule couche, et, par là même, facilement accessibles à l'
excitation
mécanique. De plus, il n'existe pas de tendons
la contraction ainsi provoquée ne persiste pas d'ordinaire après l'
excitation
et ne se transforme jamais en contracture perma
ction isolée 186 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. de chaque muscle par l'
excitation
des points d'élection indiqués par Duchenne (de
dérée, pratiquée avec l'extrémité ar- rondie d'un petit bâton. Si l'
excitation
est trop légère, de façon à ne consister qu'en
tes convulsions cloniques qui se rap- prochent du tremblement. -Une
excitation
trop forte se propage souvent à quelques muscle
a pression. Elle persiste quelquefois très peu de temps après que l'
excitation
a cessé, sur- tout si l'on a un peu insisté, ma
es des membres et ceux de la face;' 3° Malgré la persistance de l'
excitation
, l'action pro- duite ne tarde pas à s'épuiser.
'effacer peu à peu et finir par disparaître complè- tement ; 4° L'
excitation
unilatérale d'un muscle pair s'obtient le plus
ent le plus souvent fort aisément ; mais, il arrive parfois que l'
excitation
retentit sur le muscle homologue du côté opposé
C'est ce qu'on peut constater sur la Figure 1 de la Planche X, où l'
excitation
du muscle orbiculaire palpébral supérieur n'a é
ane. En tout cas, nous avons bien des fois remarqué qu'une double
excitation
, portée à la fois sur les deux muscles pairs, d
pairs, donnait lieu à une exagération du mou- vement obtenu avec l'
excitation
unilatérale ; 5° Il est possible de faire contr
re côté, ceux auxquels nous sommes arrivés par l'emploi de la seule
excitation
mécanique pendant la léthargie provoquée chez n
is transversaux à la racine du nez. Chez notre malade hypnotisée, l'
excitation
de ces mêmes muscles, par une simple pression e
et d'une façon absolument conforme à la description de Duchenne. L'
excitation
sur la Figure 4 de la Planche IX et la Figure d
sourcil au point figuré en 3 sur le schéma (1'ig. 16). Lorsque l'
excitation
porte sur un point plus rapproché de la tête du
: « II m'est arrivé quelquefois, dit-il, de localiser exactement l'
excitation
dans ce muscle... Cette localisation est assez
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. périeure et de l'aile du nez participe à l'
excitation
. C'est ce qu'on peut remarquer sur la Figure 3,
L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 197 contraction du muscle suit l'
excitation
du rameau ner- veux qui lui est destiné. Dans l
veux qui lui est destiné. Dans la Figure' 1 de la Plan- CHE XII,- l'
excitation
est portée sur le corps du muscle - lui-même. D
us. /La Figure 4 de la PLnNCnE'X montre, d'une façon fort, nette, l'
excitation
du trànsverse'du nez'chez la nommée Cait)...',
rànsverse'du nez'chez la nommée Cait)...', tandis que chezWitt... l'
excitation
isolée de ce même muscle n'a pu être'obtenue. t
narine participe au mouvement (mais à un degré moindre)/ bien que l'
excitation
ait été''unilatérale. C'est un nouvel exemple d
e des muscles pairs de la' face, dont nous avons déjà parlé. Si l'
excitation
,' tout en demeurant' unique, se rap- proche de
tation une fois produite ne persiste pas uniformé- ment, bien que l'
excitation
soit maintenue égale; il se' produit une sorte
"' ' L'orbiculaire, des lèvres répond'aussi fort nette- ment à l'
excitation
mécanique' portée sur' différents' points de se
la contraction isolée du triangulaire .des lèvres, il faut porter l'
excitation
un peu en- dehors ,et( en bas de,la, commissure
es, comme,il,,est indiqué sur notre Figure 3 de la Planche XIL"Si l'
excitation
, est faite plus bas, en, se rapprochant du^maxi
e , .inférieure en bas et en . dehors en la renversant, succède à l'
excitation
mécani- que portée à un centimètre et demi envi
- que portée à un centimètre et demi environ en dedans du point d'
excitation
du triangulaire, et à peu près à la Fig. ? 5.
superficiel. , , Sur la 1 Figiire-4 q 4 t de . 1 la Planche XII, l'
excitation
por- tée sur le milieu du menton met en jeu les
lade par un aide, au moment où la contraction était obtenue par l'
excitation
mécanique des points moteurs musculaires. La ma
la physionomie, et, la malade- étant rendue cataleptique pendant l'
excitation
d'un muscle, la contraction de ce muscle persiste
contraction de ce muscle persiste parfois un certain temps après l'
excitation
, de façon à rappeler la con- tracture des membr
ulaire des, lèvres ouïe peaussier d'autre part, etc, etc.. (Mais, l'
excitation
est alors assez difficile à-localiser exactemen
assez difficile à-localiser exactement. La tendance que possède l'
excitation
d'un seul muscle- à 'retentir sur le muscle hom
sister davantage,' et> il y a parfois un peu- de diffusion de, l'
excitation
dans les muscles voisins. -Néanmoins ? s'ilnse
te la Figure 4 de la Planche XIII en' sont vraiment» saisissants. L'
excitation
du muscle.-élévateur commun ÉTUDE DE L'HYPNOTIS
que tout mouvement- cesse de ce côté, malgré la persistance ! de l'
excitation
au même point. Nous avons reconnu,- dans le cou
toiremenf. Le tronc de''la'septième paire est ac- ' i cessible. à l'
excitation
*1 électrique par le procédé suri- vant : « On p
gé par les os et les cartilages,- soit' difficilement accessible) l'
excitation
* mécanique. ^Mais, il»,n'en-,est pas de-même^de
ur excitation-mécanique. On voit alors, sous l'influence de cette
excitation
,- tout un côté de la physionomie se contracter,
n côté de la physionomie se contracter, ! et, suivant le point de l'
excitation
, la con- traction s'accuser, davantage dans les
du menton. -Dans l'expérience représentée Figure 2, PLANCIIE IY, l'
excitation
porte sur le -tronc nerveux- lui-même, en avant
n contraction ? «o u u»/- 't ' " '" . ' . . Cette expérience de l'
excitation
mécanique du facial, pendant la léthargie hysté
à'ses oreilles les- mouvements que, dans le sommeil provo- qué, l'
excitation
mécanique provoque facilement ? Nous trouverons
ue provoque facilement ? Nous trouverons là un exemple de plus de l'
excitation
d'un muscle, directement1, ! en agissant sur le
de l'oreille, à la hauteur du tragus, une zone fort limitée dont l'
excitation
amène infailliblement un mou- vement brusque et
ré en haut et un peu en arrière; Aucun mouvement ne se produit si l'
excitation
n'est pas exactement portée au point voulu. D'a
- il' existe au-dessus de l'oreille une zone assez étendue dont l'
excitation
produit le même-résultat, et qui cor- respond b
dans la zone située. au : dessus- de l'o- reille, , tandis, que) l'
excitation
-portée au, devant du tragus intéresse le ramea
uelques; particularités de détail. ' ? ' a) La contracture cède à l'
excitation
des antagonistes. 206 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
la friction ou la ma- laxation des muscles anta- agonistes. Cette
excitation
, 'que l'on* pourrait qualifier 4 d'excitation
agonistes. Cette excitation, 'que l'on* pourrait qualifier 4 d'
excitation
d'arrêt, n'exige ) pas une localisation précise
onde ' contracture localisée.' '' Cette ' action - d'arrêt de ! l'
excitation
des antagonis- tes n'a lieu que-pendant la '
nouveau le sujet, et, pendant l'état léthargique, procé- der à l'
excitation
des muscles antagonistes dont l'effet est insta
l'expérience décrite plus haut, la main, sous l'influence de cette
excitation
, se contracture, immobilisée dans une attitude
y plus tou- cher afin d'éviter les complications que de nouvelles
excitations
musculaires, même fortuites, ne manque- raient
tater le transfert par l'aimant de la contracture localisée due à l'
excitation
mécani- que du nerf ou du corps musculaire lui-
n est de même lorsque la contracture a été la consé- quence d'une
excitation
tendineuse. , 1 La malade endormie est placée d
t aussitôt la contracture se produire d'elle-même, sans 'nouvelle
excitation
, au sur et à mesure que la circu- lation se rét
y re- viendrons plus loin. Pour le moment, nous constatons que l'
excitation
mécanique portée sur un muscle ané- mié ne saur
caractères, Alors, en ayant bien soin de ne porter, au- cune autre
excitation
sur le membre anémié, nous frois- sons avec le
ue... n ? La malade est "replongée ''dans l'état léthargique . et l'
excitation
mécanique portée au nerf cubital du i membre an
tous les cas connus, comme ? un symptôme qui se manifeste dès qu'une
excitation
conti- - nueliement grandissante a violenté le
du corps, il admet que toute maladie de cette région engendrera des
excitations
cen- trales incessantes ; celles-ci, excentriqu
allucinations senso- rielles, par exemple,'agiront à la manière des
excitations
périphériques (cicatrices irritées ou autres lé
ceux qu'auraient donnés des saignées -faites pendant les périodes d'
excitation
antérieures, aux, autres, chez, les mêmes indiv
ments, de l'incertitude dans la démarche, de la gloutonnerie et des
excitations
sexuelles sans érection. La parole devient traî
s de la racine ascendante de la cin- quième paire ; on sait que les
excitations
portées directement sur cette région donnent li
. 4° Les hallucinations périphériques, celles qui dépendent de, l'
excitation
Ides nerfs sensoriels') (tels les'éblouissements'
;par l'épui-gmentf, physiolooique,lèles 0 - perceptions issues de l'
excitation
spontanée des centres parvien- ' nent à la'conn
ortical dont'l'activité m'est plus r-régulariséet par créco"rce ? L'
excitation
première'peut aussiprovenir,du;nerfelui- s.linê
saurait supposer l'inverse, c'est-à-dire un courant centrifuge par
excitation
spontanée 'des centres supérieurs^descendant au
ur, c'est-à-dire modérer directement la température animale par l'
excitation
de la zone de Hitzig. M. Wood a eu recours (Ex-
L'invasion brusque est souvent marquée chez les alcooliques par une
excitation
maniaque intense, par un embarras de la parole
rig. 0. fig. 4. EXPLICATION DES PLANCHES. ; ! 2'J PLANCHE IX .
Excitation
mécanique des muscles de la face pendant la létha
modeleur du musée anatomo-patholojique de la Salpêtrière.) Fig. 1.
Excitation
du muscle sterno-mastoidien du côté gauche. Con
erno-mastoidien du côté gauche. Contraction du muscle. Fig. 12. -
Excitation
du nerf facial en avant de l'oreille du côté droi
on simultanée des muscles de l'mil, du nez et de la bouche. Fig. 3.
Excitation
bilatérale du muscle frontal. Fig. 4. Excitatio
bouche. Fig. 3. Excitation bilatérale du muscle frontal. Fig. 4.
Excitation
bilatérale du muscle nrbiculaire palpébral supé-
é- 1 leti Il. 33H EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE X Fig. t.
Excitation
unilatérale du muscle palpébral supérieur. On peu
supérieur. On peut constater dans le même muscle du côté opposé à l'
excitation
, un léger degré de contraction. Fig. 2. Dans
s directement, s'est ajoutée celle des pyramidaux du nez. Fig. 3.
Excitation
unique et médiane des deux muscles dilatateurs
nique et médiane des deux muscles dilatateurs des narines. Fig 4.
Excitation
du transverse du nez du côté gauche. Archives d
3. Fig. 4. EXPLICATION DES PLANCHES. 331 1 PLANCHE XI Fig. I.
Excitation
bilatérale du grand zygomatique. Fi.q. 2. Excit
E XI Fig. I. Excitation bilatérale du grand zygomatique. Fi.q. 2.
Excitation
unilatérale du grand zygomatique. Fig. 3. Excit
ue. Fi.q. 2. Excitation unilatérale du grand zygomatique. Fig. 3.
Excitation
unilatérale du petit zygomatique. Il s'y joint un
cle élévateur de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. Fig. 4.
Excitation
unilatérale du muscle élévateur commun du nez e
rale du muscle élévateur commun du nez et de la lèvre supérieure. L'
excitation
, parfaitement localisée, porte sur le rameau ne
à ce muscle. 132 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE XII Fig. 1.
Excitation
bilatérale du muscle élévateur commun de l'aile
scle élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. L'
excitation
porte sur le corps même du muscle. Fig. 2. Ex
périeure. L'excitation porte sur le corps même du muscle. Fig. 2.
Excitation
bilatérale du carré du menton. Fig. 3. Excitati
muscle. Fig. 2. Excitation bilatérale du carré du menton. Fig. 3.
Excitation
bilatérale du triangulaire des lèvres. Fig. 4.
Fig. 3. Excitation bilatérale du triangulaire des lèvres. Fig. 4.
Excitation
de la houppe du menton. Archives de Neurologie
Fig. 4. EXPLICATION DES PLANCHES. 33 : ! PLANCHE XIII Fig. 1.
Excitation
simultanée des muscles frontaux et peaussiers.
xpression de la phy- sionomie ait été modifiée pour cela. Fig. 3.
Excitation
simulatanée des muscles orbiculaires palpébraux
due cataleptique du côté gauche par l'ou- verture de l'oeil gauche.
Excitation
bilatérale du muscle élévateur commun de la lèv
it du côté léthargique se contracte seul. Du côté cataleptique, une
excitation
semblable demeure sans effet. 1'.h. Hemsser.
- rage. 5° Réflexe consensuel. A l'état physiologique normal; l'
excitation
lu- mineuse d'une rétine amène la con- tracti
taine à la vision rapprochée la pupille se contracte. Réflexes aux
excitations
cutanées. Le malade regardant au loin, on inspe
, on inspecte la pupille tandis que sont pratiquées sur la peau des
excitations
diverses (piqûres, pincement, cha- louillcmuut,
chercher les divers, réflexes palpébraux : réflexes d'occlusion à l'
excitation
cornéenne ; à la projection de lumière vive; à
diminution d'éclairage l'augmente. Il est encore modifiable par les
excitations
cutanées, à moins, dit-on, que la portion du té
ge au delà des noyaux du mésocépliaie, entre ceux-ci et l'écorce, l'
excitation
lumineuse de la moitié aveugle de la rétine doit
veugle de la rétine doit logi- quement provoquer le réflexe comme l'
excitation
lumineuse de la moitié voyante. Si, au contrair
t la rétine, comme c'est le cas pour une lésion de la bandelette, l'
excitation
lumineuse de la moitié aveugle de la rétine ne
constricteur amène l'irido- dilatation (mydriase paralytique) ; son
excitation
amène l'irido-consiric- tion (myosis spasmodiqu
ou du bulbe, amène l'irido-constriction (myosis paralytique) ; son
excitation
donne l'irido-dilatation (mydriase spastique).
e action tonique irido-conslrictive sur l'iris. Autre exemple : l'
excitation
du tronc du M. 0. C. produit un resserre- ment
ronc du M. 0. C. produit un resserre- ment pupillaire très léger; l'
excitation
des nerfs ciliaires en avant du ganglion donne
sphincter, la pupille, dit-on, peut réagir avec la convergence. Les
excitations
sensitives, sensorielles et psychiques donnent de
à la période finale, au moment de l'agonie.. Mydriase spastique (
excitation
du grand sympathique). - La lumière, la converg
ir la pupille, parfois cependant d'une manière moins prononcée. Les
excitations
sensitives, sensorielles ou psychiques : ne don
dérable. La lumière, la convergence peuvent encore l'augmenter. Les
excitations
douloureuses n'ont plus d'action. Agents chimiq
ilement l'action difté- rente de la lumière, de la convergence, des
excitations
sensitives, sensorielles ou psychiques, suivant
'accommodation (Voir Accommodation). Affections du système nerveux.
Excitation
du sympathique cervical. Dans certaines affecti
es, hystérie, épilepsie, certaines maladies mentales aux périodes d'
excitation
. Des alternatives de dilatation et de rétrécisse-
ie convulsive. C'est encore une mydriase spasmodique que provoque l'
excitation
des nerfs sensitifs périphériques. Importance p
bascule. Frenkel pense qu'il s'agit d'une mydriase spasmodique par
excitation
directe ou réflexe du sympathique oculaire. On
e avec amaurose, etc. L'amaurose complète est nécessaire pour que l'
excitation
lumineuse provocatrice du réflexe pupillaire ne s
alement, on constate néanmoins l'absence du réflexe pupillaire il l'
excitation
lumineuse, tandis que le réflexe persiste pour
citation lumineuse, tandis que le réflexe persiste pour toute autre
excitation
(convergence, irritation cutanée, etc ). Dans c
and l'excitant réflexe (lumière) agit sur un seul oeil (fîg. 59). L'
excitation
recueillie par l'un des deux yeux est transmise
es. Ce mouvement réflexe bilatéral de l'iris sous l'influence d une
excitation
lumineuse unilatérale, c'est le réflexe consensue
t dans le tabès, dans la paralysie générale. Réflexe pupillaire aux
excitations
cutanées. Son existence démontre l'intégrité de
myosis peut se produire ou s'augmenter. Mais après disparition de l'
excitation
, le myosis ne disparaît que lentement, la dilat
. La section ou paralysie du M. U. C. supprime l'accommodation; son
excitation
l'exagère. Le sym- pathique aurait aussi une ac
excitation l'exagère. Le sym- pathique aurait aussi une action, son
excitation
produirait une diminu- tion, sa section une aug
troubles de, inutilité des globes. Affections du système nerveux.
Excitation
du sympathique cer- vical. Si l'on en croit les
e cer- vical. Si l'on en croit les expériences de Moral et Doyen, l'
excitation
du sympathique produirait une diminution de cou
nstitue la voie centripète de l'arc réflexe lacrynialo-séeréteur. L'
excitation
du trijumeau (cornée, conjonctive, etc.) amène du
'appui de cette opinion : l'hypersécrétion lacrymale résultant de l'
excitation
du bout périphérique du nerf lacrymal, aussi bi
citation du bout périphérique du nerf lacrymal, aussi bien que de l'
excitation
du rameau orbitaire du nerf maxillaire supérieu
ld a constaté directement de la vasoconstriction dans la caisse par
excitation
du sympathique et j'ai trouvé de la vaso-d datati
xcès d'activité ou de réceptivité sous l'influence d'une plus forte
excitation
. La cZ1J}lacOllSie est une forme de paracousie
dique le nom sous lequel on les classe. A) Réflexes otopathiques. L'
excitation
des branches du trijumeau, surtout au pourtour
nt sur l'organe de l'ouïe : on a noté des bruits subjectifs par les
excitations
lumineuses, et d'Arsonval a observé la surdité
que qui s'épanouit a la partie postoro-inférieure du conduit et à l'
excitation
réflexe du larynx. Certains cas qui avaient pu
ntané. S'il se montre à la suite de certaines manoeuvres (rotation,
excitation
galvanique, injection d'eau chaude ou d'eau fro
ulaires ayant disparu, il ne pouvait plus y avoir de transmission d'
excitations
au noyau de Deiters et par lui aux. noyaux mote
ystagmus spontané est dirigé vers l'oreille malade, c'est qu'il y a
excitation
du canal semi-. circulaire horizontal; que s'il
il est plutôt de la nature des réflexes de produire des troubles d'
excitation
que des phénomènes de déficit. On a signalé des
res : on a signalé cependant de la céphalée, des vomissements, de l'
excitation
et des palpitations et même de l'asthme. Elle n
les lésions du nez portent surtout sur la sphère sensitive, et les
excitations
sensorielles sont exceptionnelles. Toutes les-lés
espiration par l'application d'eau froide sur la muqueuse nasale; l'
excitation
de la pituitaire détermine des trouilles du ryt
toire. Paul Bert et surtout François Frank ont -fait voir que cette
excitation
, indépendamment de l'hydrorrhée et de l'éternueme
erveuses- d'un nerf spécial, le nerf vestibulaire, qui transmet les
excitations
au. cervelet, organe central de la coordination
ation directe des centres nerveux; pour d'autres, il dépendait de l'
excitation
du labyrinthe et des extrémités du nerf vestibu
ensuite que le phéno- mène était notablement plus prononcé quand l'
excitation
était bilatérale, que quand elle était unilatér
positif détermine une inclination de la tête, du côté excité, que l'
excitation
par le pôle négatif détermine une inclination d
igeon, chacune des parties du labyrinthe, Babinski a constaté que l'
excitation
du vestibule et des ampoules semble jouer un rô
urs années de suite. Les causes occa- sionnelles semblent, être des
excitations
visuelles vives, des contractions musculaires v
arrête et il présente du nys- tagmus. Au syndrome de Ménière. par
excitation
du labyrinthe, il faut opposer le syndrome vest
es extrémités du pneumogastrique et du sympathique transmettant une
excitation
jusqu'aux centres (llilzi). Pourtant ce vertige
issements particulière- ment importants, peut être provoqué par des
excitations
exclusivement sensorielles ou morales, la vue d
es anciens), on arrache le malade it sa torpeur par des appels. des
excitations
répétées. Dans les états profonds ou carus, il y
fin, des alternatives de torpeur et de lucidité, de dépression et d'
excitation
, de repos et de délire ou de convulsions se rép
du réflexe abdominal et la flexion des orteils, parfois enfin, par
excitation
d'une zone hystérogène, couper d'une crise conv
causés par les aliments, par les champignons sont de deux ordres :
excitation
ou dépression. Il existe nettement deux catégorie
e de cauchemars terri- fiants.. L'insomnie résulte toujours d'une
excitation
anormale du système ner- veux; mais elle peut ê
l en est ainsi chez les prurigineux, chez les sujets présentant une
excitation
génitale anormale, ehez tous ceux qui souffrent
ion des aliénés est souvent modifiée. Dans la paralysie générale, l'
excitation
maniaque, les délires mégalonianiaques on observe
pensée. ' La mimique émotive peut être exagérée (hypermimie) dans l'
excitation
maniaque, les délires hallucinatoires ; elle pe
peut être exagéré, c'est l'hyper- sémie des états d'expansion, de l'
excitation
maniaque; il peut être di- minué ou aboli, c'es
n- de l'appareil sen- soriel qui leur correspond. Suivant que cette
excitation
se produit dans l'appareil sensoriel lui-même o
ons périphériques subjectives ou objectives, . . [G. GUILLAIN.] l'
excitation
première peut porter sur l'appareil sensoriel cor
s caractères semblables se consta- tent chez les débiles atteints d'
excitation
maniaque et dans la lsezt.clo- paralysie généra
otiques avec attitudes lascives, paroles obscènes, se voient dans l'
excitation
maniaque, la manie puerpérale, etc. Les alcooliqu
s minutes, puis le malade sera entouré par un drap sec. Les états d'
excitation
maniaque seront calmés parfois par l'applicatio
ilité réflexe du système cerchro- spinal et par là est utile dans l'
excitation
maniaque prolongée. Les hains froids doivent êt
ents vaso-constricteurs ayant une action favorable dans les étals d'
excitation
dus à la congestion encépha- 11(lue. Anglade fa
réception, qui, au moyen des conducteurs nerveux, transmettent les
excitations
périphériques aux centres de réception, médulla
thode expérimentale chez le singe (C. et 0. Vogt, Brodniann), par l'
excitation
du cortex chez l'homme (Krause, Mills, , . \
fonc- tionnement physiologique normal de l'appareil nerveux. Toute
excitation
violente d'un nerf sensitif provoque une sensat
Pour d'autres, la douleur est bien, d'une façon globale, due à une
excitation
forte dont le mécanisme intime nous échappe enc
tion forte dont le mécanisme intime nous échappe encore, mais cette
excitation
est recueillie par des nerfs spécialement affec
act) et la pré- sence de points des téguments ne réagissant à toute
excitation
que par la douleur (points de douleur, Goldschc
orpuscules de Ruffini pour le chaud. - 5° Voies de conduction des
excitations
périphériques. On admet, depuis les expériences
s différents modes de sensibilité superficielle et profonde par des
excitations
appropriées à chacune d'elles et on note soigne
ène légèrement sur les téguments, en provoquant non pas plu- sieurs
excitations
rapides et rapprochées, mais une seule, qu'on ren
.), puis de montrer avec son index le point exact où il croit que l'
excitation
a porté ; c'est la topoest/¡c'sie ou sens du lieu
ns hémiplégiques par exemple loca- lisent à la paume de la main les
excitations
portant sur les doigts, ou a lavant-bras celles
uloureuses qui sont perçues sur certains points du corps à propos d'
excitations
arrivant de points plus ou moins éloignés, et qui
ewarl) C) une. perversion du sens du lieu qui consiste en ce qu'une
excitation
tactile, une piqûre 1. Les stnrt ! ésie.s et le
e l'impression périphérique. Le médecin doit aussi s'assurer qu'une
excitation
tactile est bien perçue comme telle par le mala
ose des sensations. Lorsque le malade interprète comme-multiple une
excitation
unique, on dit qu'il y a polyesthésie; il multi
ne sensation'; celle-ci persiste pendant, quelques secondes après l'
excitation
qui l'a provoquée. C'est la l'exagéra- tion d'u
iologique, à savoir que la durée de la sensation dépasse celle de l'
excitation
, surtout lorsque celle-ci a été prolongée. Deux
oter la fusion des sensations, le malade ne ressentant qu'une seule
excitation
tactile, bien qu'on l'ait louché plusieurs fois,
mais d'une façon trop rapprochée. Le phénomène de la sommation des
excitations
dérive de ce dernier. Il arrive, en effet, que
alade sur lequel on répète plusieurs fois, au même endroit, la même
excitation
, les premières excitations ne soient pas perçue
plusieurs fois, au même endroit, la même excitation, les premières
excitations
ne soient pas perçues, puis que la quatrième ou
effilée, ou encore en pinçant la peau entre le pouce et l'index. L'
excitation
faradique de la peau est un bon moyen pour étud
leur, parce qu'elle permet de graduer et de mesurer 1 mtenstte de l'
excitation
périphérique nécessaire il la production de la
aître aucune douleur; inversement, lors- qu'il y a hyperesthésie, l'
excitation
électrique la plus faible devient dou- loureuse
car il faut tenir compte de la participation des nerfs cutanés à l'
excitation
électrique. La sensibilité électro-musculaire p
ociation d'idées (souvenirs visuels) acquises par l'expérience. Une
excitation
périphérique (mouvement, pression, choc, etc.)
pté- gique soit hors d'état de démêler et d'indiquer la nature de l'
excitation
douloureuse portée sur ses membres paralysés et
peuvent être causées aussi bien par des phénomènes d'ischémie ou d'
excitation
à distance que par les lésions même des fibres
de la couche optique; la présence de l'aphasie ou les phénomènes d'
excitation
corticale lais- seront supposer une lésion du c
ux troubles de la sensibilité objec- tive qui sont éveillés par une
excitation
extérieure, les troubles de la sensibilité subj
xtérieure, les troubles de la sensibilité subjective relèvent d'une
excitation
intérieure, spontanée. Le malade perçoit ces se
ée. Le malade perçoit ces sensations subjectives en dehors de toute
excitation
périphérique; mais certaines manoeuvres, au cou
quelconque de leur tra- jet. De même qu'il existe des douleurs par
excitation
du neurone sensitif périphérique, de même il en
citation du neurone sensitif périphérique, de même il en existe par
excitation
du neurone central. Cette seconde hypothèse par
mastication, d'où l'inanition possible. Le diagnostic du siège des
excitations
algésiogènes est important, surtout quand il s'
, dorsale, lombaire et sacrée. Pitres, pour déterminer le siège des
excitations
algésiogènes, conseille de comparer les effets
S. 585 une injection de cocaïne au-dessus du point d'où partent les
excitations
algésiogènes, on arrêtera brusquement la produc
sée au voisinage du tronc nerveux au-dessus du point où siègent les
excitations
algésiogènes. Si, dans ces névralgies, la névro-
t déterminés souvent par la déglutition, la mastication, la moindre
excitation
. Le tic douloureux de la face persiste un temps t
: TROUBLES DES RÉFLEXES par le DU 0. CROUZON Un réflexe est une
excitation
périphérique transmise par les voies cen- tripè
i la renvoie par les voies centrifuges à la périphérie sous forme d'
excitation
motrice. Si le point de départ de l'excitation
iphérie sous forme d'excitation motrice. Si le point de départ de l'
excitation
périphérique est. un tendon, on dit que le réfl
tème nerveux. Les réflexes rotuliens sont, augmentés, par les vives
excitations
sensorielles, les rêves violents. La musique les
a jambe, et des orteils sur le métatarse. « Du côté paralysé, une
excitation
semblable donne lieu aussi à une flexion de la
ment des muscles de la jambe et de la cuisse. On procède alors il l'
excitation
de la plante du pied; on se servira dans ce but
de crayon, ou plus simplement de l'ongle, de la pulpe du doigt. L'
excitation
doit porter de préférence sur le bord externe du
érence sur le bord externe du pied : on pratiquera tout d'abord une
excitation
très légère, et, si les orteils restent immobil
rès légère, et, si les orteils restent immobiles, on pratiquera des
excitations
de plus en plus fortes. Si le réflexe est norma
eils avec certains mouvements volontaires de défense. Eu effet, une
excitation
trop vive chez certains sujets chatouilleux amè
xtension lente du gros orteil.- On a pu observer en dehors de toute
excitation
la persistance de l'extension des orteils ; cet
une communication à la Société de Neurologie. (juillet 1905) que l'
excitation
de la plante du pied pouvait non seulement amen
au repos. - ; [Revue Neurol. 1903.) Fig. 10. Pied au moment de l'
excitation
. Abduction des orteils, d'une intensité moyenne
e des troubles de la sensibilité de la plante du pied qui empêche l'
excitation
, point de départ du réflexe. Dans 1 hémiplégie
ucteur du pied, décrit par Hirschberg, réflexe qui se produit après
excitation
de la plante dn pied et qui se traduit par l'addu
he beaucoup du réflexe plantaire, il est provo- que comme lui par l'
excitation
de la plante du pied. Si l'on examine, en effet
du pied. Si l'on examine, en effet, les mouvements produits par une
excitation
vive de la plante du pied, on voit qu'ils consi
eur du fascia lata et des abducteurs de la cuisse. Si l'on réduit l'
excitation
de la plante du pied à un minimum on ne verra a
oint de départ extra-plantaire. Il démontre seulement que la zone d'
excitation
du réflexe de Babinski n'est pas limitée la pla
r. II consiste dans la contraction des muscles "-rands fessiers par
excitation
de la peau qui les recouvre. Réflexe anal. Il c
contraction des ar redores pi lorum produits sous l'influence d'une
excitation
cu- tanée : on voit alors se produire le phénom
aso-moteur d'origine cutanée. Haillon et Comte ont pu, à la suite d'
excitations
cutanées portant sur une région quelconque, pro
traduisant par la diminu- tion du volume des doigts explorés. Cette
excitation
n'est pas suivie du réflexe quand elle porte su
tendineux ou cutané est un réflexe dont le point de départ est une
excitation
spéciale portant sur les organes sensitifs conten
articulier du réflexe rotulien, la percussion du tendon constitue l'
excitation
normale. Cette excitation porte sur des organes
lien, la percussion du tendon constitue l'excitation normale. Cette
excitation
porte sur des organes de réception périphériques
e la moelle abdominale. Nous avons suivi jusqu'ici la marche de l'
excitation
qui a porté sur les tendons patellaires et nous
ures, elle passe dans ces dernières qui réa- g ! ssentatenr tour; l'
excitation
se transmet alors suivant la voie centri- [CROU
nt, en effet, il la théorie de l'arc nerveux réflexe, ce fait que l'
excitation
du tendon se propage aux muscles mécaniquement,
ale progressive des aliénés). C) Sa production par la sommation des
excitations
(Jarisch et Schiff) à condition que ces percuss
estion que le tiraillement du muscle par les tendons maintienne une
excitation
et une compression idio-inusculaire, puisque la
percussion d'un tendon rotulien, indique nécessairement non pas une
excitation
mécanique directe, mais l'intervention du systè
cte, mais l'intervention du système nerveux central qui réfléchit l'
excitation
nerveuse vers les nerfs et les muscles du côté op
I.. 30 [CROUZON.] 4M HÉMIPLÉGIE. une agnosie pure et simple des
excitations
cutanées douloureuses. On peut encore mieux se
Le pincement prolongé, nous l'avons dit, les plonge dans un état d'
excitation
très singulier, mais, quelle que soit la douleu
ment observés lui firent constater cette abduction des orteils ou l'
excitation
du mouvement combiné de Ik'.xion de la cuisse et
spéciale, une amplitude particulière, la généralisation rapide de l'
excitation
provoquée dans un muscle aux muscles proches et m
atteinte du centre cilio-spinal (l r" dorsale) se traduira en cas d'
excitation
par de la mydriase, en cas de destruction par d
les observations d'épilepsie. jack-sonieniie et les résultats de l'
excitation
électrique de la zone corticale motrice, les au
zier, Lloyld, Cushing, à la suite de constatations anatomiques et d'
excitations
faites sur le cerveau humain, admettent égaleme
arrivent à une conclusion un peu différente. Pour Ferrier et Yeo l'
excitation
d'une racine donnée [G GUILLAIN.] 600 SÉlItIO
ène des mouvenients parfaitement coordonnés. Par exemple, lors de l'
excitation
de la première thoracique, on voit les membres su
la sixième paire cervicale, le bras s'approche de la bouche; par l'
excitation
de la septième l'animal fait le geste de se redre
nimal fait le geste de se redresser en se servant de la main; par l'
excitation
de la huitième, il se gratte )esnh- stratum ana
l'inflammation ou de la suppuration; il montre que le procédé de l'
excitation
en masse des racines est à rejeter parce qu'il
ctions trop complexes. Aussi adopte-t-it la méthode qu'il appelle l'
excitation
dissociée des racines. Il dénude le plexus sans
ionnées pour supprimer les mouvements réflexes, puis il procède à l'
excitation
isolée, des filets différents qui constituent l
que l'on ne puisse s'expliquer avec logique leur production par une
excitation
uui-I'éldiculail'(" ? Ouand on pense il la mult
'excita- tion de chaque faisceau produit un mouvement différent : l'
excitation
de l'un d'eux produit la flexion, du coude, d'u
elher décrit dans la région sus-claviculaire un point précis dont l'
excitation
électrique détermine une contraction simultanée
face de l'apophyse transverse de la 6° ver- tèbre cervicale. Par l'
excitation
du point de Erb, Secrétan a trouvé con- stammen
ge, ou du mouvement réflexe d'occlusion des paupières il la suite d'
excitation
conjonctivale ; dans la paralysie faciale périp
par ifermann Krause qui, à la suite d'expériences bien conduites d'
excitation
et d'ablation delà corticalité, le localisa à l
ces centres du larynx présentent une particularité remarquable : l'
excitation
d'un seul centre est toujours accompagné de mou
en maintenant l'opinion classique des mouve- ments bilatéraux par l'
excitation
unilatérale de l'écorce, a vu trois fois une co
e du cerveau. Si l'on s'en rap- porte il ce que nous avons dit de l'
excitation
expérimentale du centre z cortical de la phonat
ne moteur central, c'est-à-dire de la voie pyramidale qui conduit l'
excitation
dynamique des cellules corticales aux cellules
s se contractant d'une manière indé- pendante, sous l'influence des
excitations
électriques, quand l'excitabilité électrique de
cles ou propagées en ondes, spontanées et réveillées par la moindre
excitation
, pincement, frottement, impression de froid, elle
ction de l'hypertrophie; quand on pratique sur certains muscles des
excitations
répétées, l'afflux sanguin fait défaut aussi bien
tations répétées, l'afflux sanguin fait défaut aussi bien quand les
excitations
sont excessives que quand elles sont insuffisante
mais ces contractions sont lentes, torpides, prolongées alors que l'
excitation
a cessé; aussi n'y a-t-il pas de secousses d'ou
ormales et courtes, mais si l'on pro- longe ou si l'on accumule les
excitations
par un courant galvanique labile ou par un cour
t, comme celles de la contractilité volontaire, quand on répète les
excitations
sur le même muscle. La maladie de Thomsen est e
isolée d'un muscle né peut être produite qu'artificiellement, par l'
excitation
mécanique ou électrique de ce muscle par exemple.
TION ATAXIQUE. 7(il et des troubles psychiques, en particulier de l'
excitation
maniaque. Il n'y a pas de troubles oculaires, p
s, il peut perdre seulement la notion du siège et de la nature de l'
excitation
dou- loureuse (P. Marie) ; la sensibilité est t
as- thénique (Jolly) est caractérisée par un épuisement rapide de l'
excitation
et par une diminution (pouvant aller jusqu'au z
effet, avec un courant modéré, un muscle en ne lançant qu'une seule
excitation
très courte : nous aurons une simple secousse m
lontaire normale avec, sur le cylindre enregistreur, la pé- riode d'
excitation
latente, la phase d'ascension correspondant au ra
ogressif. Avec un courant plus intense et surtout la répétition des
excitations
, l'am- plitude des contractions augmente par un
ons des convulsions cloniques. - Supposons maintenant qu'au, lieu d'
excitations
séparées comme précédemment par un intervalle sup
supé- rieur à la durée de la secousse elle-même, nous lancions des
excitations
très rapprochées, atteignant le muscle il toute
ent les centres et amènent les convulsions réflexes. Tantôt enfin l'
excitation
bulbo-spinale ne fait que refléter l'excitation
xes. Tantôt enfin l'excitation bulbo-spinale ne fait que refléter l'
excitation
des centres nerveux de l'écorce cérébrale. Ce d
nt des mouvements simples des membres dn côté opposé. Lorsque cette
excitation
dépasse une certaine intensité et une certaine
sité et une certaine durée, il a contracture. Enfin, une très forte
excitation
détermine une véritable attaque d'épilepsie ave
cérébrales, des toxines microbiennes, des toxiques agissent comme l'
excitation
élec- trique et suivant les mêmes lois. Descr
gite tuberculeuse), la convulsion est remplacée par la paralysie, l'
excitation
de l'écorce cérébrale à un mo- ment donné arriv
us souvent elles s'étendent il tout un côté ou aux deux, comme si l'
excitation
corticale, partie du centre correspondant à la
ement sur la luette, dans l'un des yeux, dans l'une des narines, en
excitation
génitale insolite, etc. Quand elles précèdent i
suite de prodromes plus ou moins éloignés, consistant en tristesse,
excitation
, besoin irrésistible de marcher, de gesticuler,
stingué sous le nom de délire choréique et qui se caractérise par l'
excitation
maniaque, par la mélancolie ou par le délire de
peut se présenter sous la forme de la mélancolie anxieuse ou d'une
excitation
maniaque. L'état général dans la chorée de Syde
uilibre sensitif apparaît dans la disproportion fréquente entre les
excitations
douloureuses et les manifestations de douleur que
et il les terroriser, il n'a pas de raison d'être pour les formes d'
excitation
ou d'atonie musculaire, et, dans la 1'01'1111'
nitaux sont variables. Au début on observe SPEMIATOJuuOE. non une
excitation
anormale, des désirs vénériens exagérés, suivis d
vu des tabétiques conserver longtemps leur puis- sance et même leur
excitation
génitale, la règle est de les voir rapide- ment
et surtout dans le tabès à l'a période initiale, sou- vent même les
excitations
génitales apparaissent avant tout autre signe et
légie, etc., l'impuissance succède presque toujours à une période d'
excitation
sexuelle exagérée. Cette succession est surtout b
ent le matin ou le soir, plus souvent encore se répètent Ù propos d'
excitations
diverses. Fréquemment tout se borne à une gêne,
érature. Plus tard, il y a parfois un peu de fièvre. Ici encore les
excitations
sensorielles (treillages, mosaïques, odeurs div
elle peut être paralytique (para- lysie intestinale), spasmodique (
excitation
solaire) pu liée à de l'anes- thésie rectale [h
" lombaire, région tatero-poste- rieurc). D'autres fois (syndrome d'
excitation
), il y a constipation, douleur épigastrique et
us utiliserons généralement en électro- diagnostic pour localiser l'
excitation
électrique sur les nerfs et sur les muscles. On
n état permanent, ne parait guère produire directement des effets d'
excitation
. Avec de forts courants, cependant, on peut voir
ntractions galvano-loniqucs. Il y a lieu de croire que ces effets d'
excitation
des organes moteurs sont en grande partie dus i
la cause en est vraisemblablement complexe, due non seulement il l'
excitation
des nerfs sécréteurs, mais aussi à une action r
de l'organisme, etc. COURANT GALVANIQUE DANS SES ÉTATS VARIABLES (
Excitations
de fermeture et d'ouverture.) Au lieu d'appliqu
ro-i prieté d'exciter les nerfs et les muscles. Sur le muscle cette
excitation
;* lorsqu'elle est suffisante, c'est-à-dire lors
manifeste par la contraction du muscle. Sur un; nerf moteur, cette
excitation
se traduit par la contraction des muscles animé
traction des muscles animés par ce nerf. Sur un nerf sensitif cette
excitation
éveille des sen-, sations, soit de sensibilité
de sensibilité spéciale, suivant ! c, la nature du nerf excité. L'
excitation
n'est pas tont il fait la même au moment de l'éta
sm LES MUSCLES. Pour le moment, nous nous occuperons seulement de l'
excitation
des nerfs moteurs et des muscles, et nous expos
muscles, et nous exposerons les résultats obtenus avec la méthode d'
excitation
polaire. Dans cette méthode, l'une des électrod
ermanent, puis au moment de l'ouverture. Sur les nerfs moteurs, l'
excitation
produite peut être résumée par le tableau suiva
avec le pôle négatif et au moment de la fermeture, NFC ('). Aucune
excitation
ne se manifeste avec le pôle négatif pendant le
endant le passage du courant ni au moment de l'ouver- ture ; aucune
excitation
avec le pôle positif ni au moment de la ferme-
usieurs m. A., 5, 4, 5 ou davantage, suivant le nerf con- sidéré) l'
excitation
produite avec le pôle N, au moment de la fermetur
au moment de la fermeture,. 1\lû, devient plus forte; aucune autre
excitation
n'est encore manifeste,- avec ce pôle, soit pen
endant le passage du courant, soit au moment de l'ouverture. Mais l'
excitation
avec le pôle P commence à être efficace,, génér
nt de l'ouverture apparaît avec un courant de même, intensité que l'
excitation
au moment de la fermeture, 110(- : = Fl'C; quel-;
on au moment de la fermeture, 110(- : = Fl'C; quel-; quefois même l'
excitation
produite au pôle P, au moment de l'ouverture, a
et le langage, on a pris l'habitude de traduire les résultats de l'
excitation
électrique par une notation spéciale, en désignan
. 1217 POC > PFC. Pendant la durée de passage du courant, aucune
excitation
ne se manifeste avec le pôle P. " , . L'appar
issus. (courants de forte intensité, pas- sage prolongé du courant,
excitations
répétées avec la .même direction du courant), d
sation (exploration avec la double clef, par exemple) développent l'
excitation
produite l'ouverture du courant prin- PfUTI.JCE
e de polarisation qui joue le principal rôle dans la production des
excitations
d'ouverture.) 5" Avec des courants forts (varia
riant suivant les cas entre 5, 10, 15 mjlliampères ou davantage), l'
excitation
produite avec le pôle N, au moment de la fermet
NFTe; au moment de l'ouverture, on peut voir apparaître une légère
excitation
, 10c; celle-ci n'apparaît souvent qu'avec des c
traction, la cessation de la tétanisation du muscle. Au pôle P, les
excitations
produites augmentent aussi avec l'in- tensité d
cas pathologiques. En sommé, les réactions normales produites par l'
excitation
des nerfs uvec les courants galvaniques peuvent
accusée que pour les nerfs; NFTe est plus difficile à obtenir; les
excitations
se produisent surtout à la fer- meture du coura
s petite, de forme et de dimensions appropriées, sert à provoquer l'
excitation
des nerfs ou des muscles. Cette dernière, électro
souvent des courants heauconp plus forts pour obtenir le seuil de l'
excitation
; de plus, quand l'électrode n'est pas suffisam-
f étant celui qui dans l'état normal produit le plus faci- lement l'
excitation
, on commence habituellement l'examen avec ce pôle
inue, suivant l'effet obtenu, on recherche avec. quelle intensité l'
excitation
la plus faible se manifeste; c'est le seuil de l'
rsant alors le courant, on recherche de la même façon le seuil de l'
excitation
à la fermeture avec le pôle positif. En compara
nt les valeurs des intensités nécessaires pour obtenir les seuils d
excitation
, on se rend compte de l'action propre de chaq
compte de l'action propre de chaque pôle dans la produc- tion des
excitations
de fermeture. Au moment où l'on vient de renv
à l'examen avec le pôle positif, après avoir obtenu le seuil de l'
excitation
avec le pôle négatif, il peut arriver qu'on o
ectrodiagnostique on peut se contenter de rechercher les seuils des
excitations
' de fermeture à la cathode et à l'anode. Si l'
nte que celle des milliampères pour prendre notion des valeurs de l'
excitation
. Pour nous, nous croyons préférable de tenir av
1 . i 1924 . APPLICATIONS -DE L'ÉLECTRICITÉ. manifestations des
excitations
d'ouverture avec L'anode et parfois aussi avec
ison sans qu'il soit nécessaire de rechercher les seuils mêmes de l'
excitation
. Assez souvent, ce- pendant, à la compa- ra
pourra se contenter -de déter- miner le seuil le plus nas de 1
excitation
en notant avec quel pote u est omenu. Lorsque ou
complet ou détermine, comme il a été dit plus haut, les seuils de l'
excitation
avec l'un et l'autre pôle à la fermeture. Si l'
on veut un examen plus complet encore, on recherche les seuils de l'
excitation
à l'ouverture. Enfin, on peut rechercher aussi, c
ec la clef simple, il quel moment les contractions provoquées par l'
excitation
deviennent tétaniques. Il convient de remarqu
t, en abaissant alternativement 1 une et l'autre clef, de faire les
excitations
avec alternatives volliennes dans de très bonne
tions. Le métronome inverseur convient très bien aussi à ce genre d'
excitations
. - COtlltA\1' GALVANIQUE LABILE On appelle ga
de. On voit aussi, lorsque l'intensité est suffisamment élevée, des
excitations
se manifester du côté des nerfs et des muscles
té subit des variations continuelles, des effets se rapprochant des
excitations
de l'état variable du courant et dus aux fluctuat
ite d'ouverture provoque facilement la contraction des muscles ou l'
excitation
des nerfs, tandis que l'onde. induite de fermet
ce; il faut augmenter beaucoup l'énergie du courant pour voir cette
excitation
apparaître avec cette dernière onde. Ces pro- p
de quelques millièmes à un centième de seconde; c'est la période d'
excitation
latente; puis, la contraction commence, la cour
de trois à cinq centièmes de seconde. Si l'on produit une nouvelle
excitation
du muscle après qu'il a terminé sa décontraction
à l'état de repos, les mêmes phénomènes se reproduisent : période d'
excitation
latente, période d'énergie croissante et période
d'énergie décroissante, et ainsi de même tant qu'on renouvelle les
excitations
dans les mêmes conditions. On provoque ainsi de
et ils varient suivant les conditions dans lesquelles s'effectue l'
excitation
du muscle on du nerf. Si la fréquence des ondes
e des ondes induites est un peu augmentée, de façon qu'une nouvelle
excitation
se trouve produite lorsque le muscle est dans l
ssante, celui-ci, après le temps perdu correspondant à la période d'
excitation
latente, entre de nouveau en contraction avant
int le maximum, puis recommence sa décontraction. Mais une nouvelle
excitation
lui arrivant avant que la décontraction ne soit
e, il entre de nouveau en contraction et ainsi de même tant que les
excitations
sont renouvelées. On voit que, dans ces conditi
se rapprochent, elles tendent à se fusionner d'autant plus que les
excitations
sont elles-mêmes plus 1 ? 11'- FIG, 3J, , , F
Temps en 'l/l00e de se- conde ; E Signal de Dépretz; A B Période d'
excitation
latente ou temps perdu : - B C Période d'énergi
ET TRAITEMENT FARADIQUE. 125 prociiees ; dans l'intervalle de ces
excitations
successivement répétées, le muscle n'atteint pa
quence des ondes induites est plus grande, et telle qu'une nouvelle
excitation
atteigne le muscle e dans sa période d'éner
aître d'ailleurs que l'intensité moyenne du courant, et la valeur d'
excitation
de celui-ci dépend encore d'autres facteurs, pa
c. C'est pourquoi on se contente généralement d'estimer la valeur d'
excitation
du courant faradique on mesurant en centimètres
nterruptions, etc. EXPLORATION ET TRAITEMENT FARADIQUE. 1255 de l'
excitation
. Le procédé du rhéostat en tension est quelquefoi
re des effets nuisibles. On évite ces inconvénients en rythmant les
excitations
au moyen d'un interrupteur (clef de Morse, péda
et l'on continue, en renouvelant et suspendant de la même façon les
excitations
un nombre de fois plus ou moins grand, suivant
On se sert parfois aussi d'onduleurs de courants pour rythmer les
excitations
faradiques tétanisantes dans les applications thé
peutiques. Ces appareils ont l'avantage de provoquer chaque série d'
excitations
avec des courants dont l'énergie va graduelleme
scle soumis il son action, soit qu'il permette de mieux localiser l'
excitation
en produisant. [E. HUET ] 1256 . APPLICATIONS
isant. [E. HUET ] 1256 . APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. moins d'
excitations
de voisinage. Aussi, au point de vue pratique, pe
mployer la double clef pour rechercher le pote donnant la meilleure
excitation
et pour l'utiliser ensuite dans l'application du
ec les courants faradiques à intermittences espacées, on voit que l'
excitation
est plus ou moins efficace suivant les points o
réquentes. On peut employer l'électrisation labile pour rythmer les
excitations
sans recourir à un interrupteur. Après avoir fa
soulève et on la tient éloignée le temps que l'on veut suspendre l'
excitation
; on la replace alors sur la peau pour la faire ro
moins complet, il faut, comme dans la méthode polaire, rythmer les
excitations
avec le métronome ou avec un interrupteur tel q
ilement et rapidement l'orientation du courant donnant la meilleure
excitation
. La méthode de faradisation bipolaire a été trè
tiqué avec la méthode polaire. Elle permet de localiser davantage l'
excitation
et elle doit être employée surtout lorsque l'ex
naître convenable- ment ; dans les applications thérapeutiques, ces
excitations
il distance ont l'inconvénient de faire contrac
s qu'il y aurait avantage il ne pas exciter. Localisant davantage l'
excitation
, la méthode bipolaire permet d'éviter ou de dim
excitation, la méthode bipolaire permet d'éviter ou de diminuer ces
excitations
il distance. Les courants faradiques peuvent êt
augmente la force du courant. Au moment où commencent les premières
excitations
, on observe souvent de la vaso-constrielion, la
urants sont suffisamment faibles et que la peau est bien sèche, les
excitations
sensi- tives peuvent être seules en jeu. Avec d
ules en jeu. Avec des courants un peu plus forts, il s'y ajoute des
excitations
des nerfs moteurs et des muscles, surtout lorsq
es points électro- moteurs ; avec des courants encore plus forts, l'
excitation
se diffuse z [E HUET ] Fic.. : 'iL - Méthode
diffuse z [E HUET ] Fic.. : 'iL - Méthode hipoiairc localisée, -
Excitation
de la partie externe du triceps hrachial - avec
rtie externe du triceps hrachial - avec 2 tampons de 10 enie; - Il.
Excitation
du biceps brachial avec deux grosses .olives ;
tion du biceps brachial avec deux grosses .olives ; jttjjjjjc- III.
Excitation
de l'opposant du pouce avec deux petites olives.
culièrement à ceux qui se trouvent dans le trajet interpolairc. L'
excitation
des nerfs sensitifs, pratiquée comme il vient d'ê
istance dans l'espace interpolaire et les sensations accompagnant l'
excitation
des muscles peuvent gêner pour estimer l'état d
assage du courant on détermine ainsi avec le courant galvanique une
excitation
de fermeture suivie de l'action du courant dans
meture suivie de l'action du courant dans son étal continu puis une
excitation
d'ouverture; aux effets pro- duits par le coura
ure; aux effets pro- duits par le courant galvanique s'ajoutent les
excitations
du courant faradique produisant, lorsque l'éner
la fré- quence des intermittences. Comme dans le cas précédent, les
excitations
faradiques se montrent plus fortes que les exci
écédent, les excitations faradiques se montrent plus fortes que les
excitations
produites par le courant faradique seul, résult
e se reconnaît pour les cou- iants faradiques lorsque le seuil de l'
excitation
apparaît avec des cou- rants plus faibles que d
xcitabilité galvanique se reconnaît également lorsque le seuil de l'
excitation
se montre avec des courants dont l'inten- sité
ffet de les rapprocher de la peau, les rendent plus accessibles à l'
excitation
et peuvent donner lieu aussi il une augmentation
té électrique est souvent très prononcée, au point que la formule d'
excitation
, sans présenter d'al- térations qualitatives pr
ch. L'augmentation de l'excita- bilité ne se manifeste que pour les
excitations
d'ouverture et elle est telle que non seulement
oyons pas que cette hyperexcitabilité galvanique des nerfs pour les
excitations
d'ou- verture dans la réaction de Geigel dépend
ent des courants de polarisa- tion dont on connaît le rôle dans les
excitations
d'ouverture. Avec les courants faradiques qui n
avec les courants faradiques et galvaniques, lorsque le seuil de l'
excitation
n'apparaît qu'avec des courants plus forts que
ortant de faire mettre dans le relâchement les muscles sur lesquels l'
excitation
doit produire des contractions. Il faut donc do
s. Souvent même cette diminution n'est bien manifeste que pour' les
excitations
portées sur le nerf au-dessus du point qui a été
es sur le nerf au-dessus du point qui a été comprimé. alors que les
excitations
du nerf portées au-dessous, ou les excitations
primé. alors que les excitations du nerf portées au-dessous, ou les
excitations
des muscles, donnent lieu à des réactions peu d
ontractions que par les changements dans l'apparition du seuil de l'
excitation
. Les mêmes particularités peuvent se rencontrer d
ntraction musculaire, et, d'autre part, sur la formule polaire de l'
excitation
. La contraction, au lieu d'être vive et rapide co
ent bien accusées dans les processus aigus. La formule polaire de l'
excitation
se trouve inversée; au lieu que l'exci- 1. La l
e à la cathode apparaisse la première et se montre plus forte que l'
excitation
de fermeture à l'anode (NFC> PFC), on voit l'e
FC), on voit l'exci- tation de fermeture à l'anode prédominer sur l'
excitation
de fermeture à la cathode (PFC > NFC) ('). P
par le courant excitateur. Lorsqu'il existe de la DR, on voit que l'
excitation
longitudinale produite de cette façon est plus
s forte que dans l'état normal, et que souvent elle prédomine sur l'
excitation
produite au niveau du point moteur; de plus, el
qualitativement,' les contractions,' en effet, sont lentes, mais l'
excitation
1. Il faut éviter de prendre pour l'inversion p
t de déplacer légèrement l'électrode excita- trice pour retrouver l'
excitation
normale NFC > PFC; de plus, on peut remarquer
r assez vive et prédominer à la fermeture de la cathode au seuil de l'
excitation
, tandis qu'avec des courants plus forts les con
NÉRESCENCE. 12f de la cathode reste habituellement plus forte que l'
excitation
de l'anode, NFC>PFC('). Cet état de la réa
néralement pas altérée en qualité, les contractions produites par l'
excitation
du nerf restent en effet vives (2) et sont conf
t NFC reste prédomi- nante sur PFC. 1. Dans certains cas de DU, l'
excitation
longitudinale est parfois plus forte à l'anode
. la DU. on observe parfois des contractions lentes produites par l'
excitation
galvanique sur un on plusieurs muscles tributai
trait souvent une erreur en rapportant ces contractions lentes il l'
excitation
du nerf : on peut les observer alors même que l
alors même que le nerf est inexcitable, Elles s'expliquent par une
excitation
directe du muscle distance et. s'observent surt
du nerf facial en étal de dégénérescence, on observe fréquemment l'
excitation
avec contractions lentes du trian- gulaire des
50 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. La lenteur de la contraction provoquée par l'
excitation
galvanique du muscle est donc aussi la manifest
n voit parfois la lenteur de la contraction manifeste seulement à l'
excitation
avec le pôle positif, tandis que la contraction
le pôle positif, tandis que la contraction reste assez vive pour l'
excitation
avec le pôle négatif. Les modifications de l'
l'augmentation des secousses d'ouverture, mais elle s'observe dans l'
excitation
du nerf et non dans l'excitation des muscles ;
erture, mais elle s'observe dans l'excitation du nerf et non dans l'
excitation
des muscles ; elle est produite dans des conditio
des secousses d'ouverture s'observe dans des muscles et non dans l'
excitation
du nerf; les contractions ainsi obtenues sont a
le nerf, mais aussi sur les muscles, souvent plus diminuées dans l'
excitation
des muscles que dans l'excitation du nerf, et,
es, souvent plus diminuées dans l'excitation des muscles que dans l'
excitation
du nerf, et, à ce moment, l'excitabilité galvan
tate parfois une augmentation de l'excitabilité électrique par leur
excitation
directe et par leur excitation indirecte avec l
e l'excitabilité électrique par leur excitation directe et par leur
excitation
indirecte avec les courants faradiques et avec le
us- culaires, soit par des modifications de la formule polaire de l'
excitation
. Dans les paralysies et atrophies musculaires r
ns de l'excitabilité des muscles. Les contractions provoquées par l'
excitation
électrique des muscles deviennent, en effet, fa
es et plus ou moins persistantes : elles se prolongent au delà de l'
excitation
pendant un temps variable souvent assez long. D
nces fréquentes) le tétanos musculaire ne persiste pas au delà de l'
excitation
, lorsqu'il s'agit des excitations minimales; en
laire ne persiste pas au delà de l'excitation, lorsqu'il s'agit des
excitations
minimales; en augmentant l'énergie des courants
eu de retard dans l'apparition de N F Te; cependant, en sommant les
excitations
par la répétition fréquente des fermetures du c
t observer aussi la persistance des contractions. Muscles. Dans l'
excitation
directe des muscles les modifications caractéri
iée dans ses qualités. Avec les chocs faradiques isolés et avec les
excitations
minimales des courants tétanisants, les contrac
oires plus ou moins fréquents non seule- ment pendant le temps de l'
excitation
, mais encore pendant la dècoutiac- tion lente q
t. Eu renouvelant convenablement avec les courants faradiques les
excitations
du muscle, on voit la répétition des excitations
nts faradiques les excitations du muscle, on voit la répétition des
excitations
produire le* mêmes effets que la répétition des
paraître, de sorte que la contraction ne persiste plus au delà de l'
excitation
et la décontrac- tion s'effectue rapidement.
s fréquentes) prendre des courants d'énergie modérée et répéter des
excitations
assez courtes, de quelques secondes de durée se
ans le cas de réaction myotonique, si l'on prolonge quelque temps l'
excitation
, on voit se produire d'abord un spasme myotoniq
ion myotonique, on voit souvent ces courants produire au début de l'
excitation
une tétanisa- tion incomplète, puis celle-ci se
res comme elles l'auraient été dans l'état normal dès le début de l'
excitation
. L'excitabilité galvanique des muscles est géné
, un demi, un milliampère, provoquent souvent des contractions et l'
excitation
s'étend facilement aux muscles voisins. Au poin
prédominante de. l'anode n'existe pas toujours, cependant, pour les
excitations
minimales; elle est souvent plus manifeste et p
imales; elle est souvent plus manifeste et plus constante, avec les
excitations
un peu plus fortes, pour la produc- tion des co
ns se trouvent, en effet, modifiées dans leur forme : au seuil de l'
excitation
, les contractions restent quelquefois assez brève
aires exposés à la plus forte densité du courant. La répétition des
excitations
de fermeture, avec les courants galvaniques, pr
ourants galvaniques, produit les mêmes effets que la répétition des
excitations
avec les courants faradiques, c'est-à-dire la dim
u moins modifiée dans sa qualité. Les contractions provoquées par l'
excitation
mécanique des muscles se montrent lentes et plu
montrent lentes et plus ou moins durables; suivant l'intensité de l'
excitation
et aussi suivant l'état des muscles, elles resten
ant l'exploration électrique, sous l'influence de la répétition des
excitations
, divers carac- tères de la réaction myotonique
observe parfois, en dehors même de tout état pathologique, avec des
excitations
faradiques fortes, surtout lorsqu'elles sont do
uaient par le fait qu'elles se montraient surtout à l'occasion de l'
excitation
des nerfs au lieu de dépendre princi- palement
de l'excitation des nerfs au lieu de dépendre princi- palement de l'
excitation
des muscles. La réaction neurotonique reste enc
équentes, courant tétani- sant, en prolongeant convenablement cette
excitation
, on voit la contrac- tion musculaire s'affaibli
ntinue a s'affaiblir pour disparaître de nouveau. Si, au lieu d'une
excitation
tétanisantes soutenue, on emploie des excitatio
Si, au lieu d'une excitation tétanisantes soutenue, on emploie des
excitations
tétanisantes rythmées, séparées par des interva
puisement de la contrac- tion se produit moins rapidement; avec des
excitations
suffisamment énergiques, assez prolongées, et p
la contraction finit cependant par apparaître, au début de chaque
excitation
le muscle se contracte, mais le tétanos ne se mai
ndant la durée de i . [E. HUET.] 1268 . ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. l'
excitation
; avec la répétition des excitations la tétanisati
] 1268 . ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. l'excitation; avec la répétition des
excitations
la tétanisation musculaire s'affaiblit de plus
voir reparaître l'excita- bilité ; en prolongeant convenablement l'
excitation
, ou en répétant suffi- samment les excitations,
eant convenablement l'excitation, ou en répétant suffi- samment les
excitations
, l'excitabilité s'épuise de nouveau. De même, l
on en peut provoquer l'épuisement en prolongeant ou en répétant les
excitations
. Par un repos suffisamment prolongé les nerfs e
l'excitabilité, redeviennent excitables. En renouvelant alors leur
excitation
on provoque de nouveau l'épuise- ment de leur e
loigne l'électrode, excitatrice du nerf excité, dimi- nuant ainsi l'
excitation
de ce nerf ou même la faisant cesser complètement
animés par le nerf entrer en contraction au moment où on établit l'
excitation
, et aussitôt après leur contraction diminue ou di
nomènes se reproduisent, et ainsi de même tant qu'on renouvelle les
excitations
. Lorsqu'au lieu d'exciter un nerf on excite un
comme c'est au niveau de ces rameaux nerveux que se produit surtout l'
excitation
fara- dique du muscle, on comprend ' que des ef
' que des effets semblables il ceux que nous venons de voir pour l'
excitation
môme des nerfs puissent se manifester. Il ne s'ag
mme dans la réaction myasthé- nique, mais d'un affaiblissement de l'
excitation
produit par l'éloigncment de l'électrode des po
e l'excitabilité pour produire la diminution ou la cessa- tion de l'
excitation
efficace. Dans ces cas, on diminue ou l'on fait m
n, par exemple, de bien placer l'électrode aux points d'élection où l'
excitation
est la meilleure, en ayant, soin aussi d'appuye
. 1'I : li'l'IGI, 'UI'l' : IlyUl ? 12Glt Il en est de même pour les
excitations
galvaniques de fermeture même fréquemment répét
; cependant j'ai vu dans un cas de paralysie asthé- nique grave des
excitations
galvaniques assez fréquemment réitérées pro- du
s déve- loppée l'épuisement de la contractilité musculaire avec les
excitations
faradiques suffisamment prolongées peut être co
es physiologistes ont trouvé pour les nerfs sensitifs une formule d'
excitation
assez semblable à celle des nerfs moteurs. Ils
blable à celle des nerfs moteurs. Ils ont vu ainsi que les effets d'
excitation
des nerfs sensitifs se produisent d'ahord à la
nsi- bilité en recherchant la manière dont se comporte la formule d'
excitation
polaire par suite de la difficulté d'obtenir de
est augmentée ou diminuée ou si elle reste peu près normale. ' L'
excitation
faradique de la peau, avec des électrodes humides
continue, constric- tive, désagréable et bientôt douloureuse. Si l'
excitation
porte au niveau d'un tronc ou d'un rameau nerve
on n'emploie pas des électrodes humides, qui étendent facilement l'
excitation
aux parties profondes; on se sert plutôt d'élec
se sert plutôt d'électrodes métalliques qui localisent davantage l'
excitation
à la surface soit avec la méthode polaire, soit
ives, bruissements ou bourdon- nements, qui semblent moins dues à l'
excitation
même du nerf auditif. qu'à l'excitation des mus
qui semblent moins dues à l'excitation même du nerf auditif. qu'à l'
excitation
des muscles de la chaîne des osselets; les bruits
oyer de forts courants qui le plus souvent provoquent, à distance l'
excitation
du nerf optique, des nerfs du goût et du nerf f
es provoquées par les courants galvaniques paraissent dépendre de l'
excitation
même des terminaisons du nerf acoustique. Pour
le bien, en effet, actuellement que le vertige voltaïque est dû à l'
excitation
des organes du labyrinthe, où se termine la branc
forts, avec intermittences fréquentes, en leur faisant produire des
excitations
un peu prolongées. Duchennc de Boulogne a signalé
de Boulogne a signalé il y a longtemps déjà ces inconvénients. Les
excitations
ainsi provoquées à la HÉMIPLÉGIE CÉRÉBRALE. 129
quelques mois. Avec les courants faradiques on pourra provoquer des
excitations
assez peu nombreuses et peu prolongées des musc
membres inférieurs sur les extenseurs). On pourra aussi diriger ces
excitations
sur des muscles plus ou moins atrophiés (malgré
ourants donnant un tétanos complet ou incomplet), on ryth- mera les
excitations
en les faisant courtes, de une à deux secondes de
repos au moins égaux ou plus longs. On emploiera soit la méthode d'
excitation
polaire, soit la méthode bipolaire, soit l'exci
la méthode d'excitation polaire, soit la méthode bipolaire, soit l'
excitation
avec le rouleau ainsi qu'il a été dit précédemm
modérée en s'éloi- gnant peu de l'énergie produisant le seuil de l'
excitation
. Sur chaque muscle, ou sur un même groupe muscu
raitement fara- dique avec le courant de la bobine à fil lin et des
excitations
faites avec le pinceau ou avec un rouleau métal
92 ÉLECTROTHÉRAPIE. sations qu'il éprouve lui-même de l'énergie des
excitations
pro- duites. Le traitement faradique conduit
il 2 ou 5 minutes sur chacun des groupes musculaires choisis. Les
excitations
des nerfs et des muscles par les courants galvani
des courants faibles, voisins de ceux qui produisent le seuil de l'
excitation
, et en applications peu prolongées. Le traite
porter davantage sur certains muscles ou groupes musculaires. Les
excitations
par courants galvaniques avec interruptions simpl
rant il faut avoir soin d'abaisser t intcu- sité de manière que les
excitations
ne soient pas trop fortes; on donne au courant
iomyélite peut être comprise en moyenne entre 5 et 11. A. Après ces
excitations
on laisse généralement passer quelques minutes
s de ce traitement il y a lieu souvent d'insister davantage sur les
excitations
des muscles, soit en continuant encore les appl
u, soit en les remplaçant par des séances uniquement consacrées aux
excitations
musculaires. 1 ce moment il y a généralement in
y a généralement indication de localiser plus particulièrement les
excitations
sur les muscles que l'électrodiagnoslic montre le
petites dimensions en forme de plaque ou de tampon on localise les
excitations
sur les muscles que l'on se propose d'exciter,
urant galvanique interrompu et renversé. Il y a avantage à agir par
excitation
longitudinale en plaçant l'électrode sur la par
nférieure du muscle ou sur son tendon; on peut faire aussi quelques
excitations
sur le corps du muscle, et d'autres au niveau de
inter- rompue c'est la cathode qu'il convient de faire agir dans l'
excitation
longitudinale et le plus souvent, au contraire,
tion longitudinale et le plus souvent, au contraire, l'anode dans l'
excitation
au point d'élection. Dans la galvanisation inte
tive on donne au courant une intensité suffisante pour produire des
excitations
assez faibles. A une époque pas très éloignée e
rfois davantage; nous évitons généralement de dépasser 15 m. A. Les
excitations
ne doivent pas non plus être trop prolongées; sur
tera l'élec- trisation à une durée de 1 à 2 minutes en répétant les
excitations
à intervalles de 1 à secondes. Lorsqu'on doit e
econdes. Lorsqu'on doit employer des intensités un peu élevées, les
excitations
avec la méthode polaire se diffusent parfois su
ent dans les périodes de la poliomyélite auxquelles s'adressent les
excitations
des muscles dont il vient, d'être question. On la
ermittences espacées et [E HUET.] 1 1500 ÉLECTROTHÉRAPIE. , des
excitations
modérées des muscles, soit par la méthode polaire
agements, les courants faradiques à intermittences fréquentes, avec
excitations
rythmées courtes et séparées les unes des autres
. De plus, il vaut mieux éviter, le plus souvent, de faire porter l'
excitation
électrique sur les muscles peu atteints ou sains
loiera que plus tard les courants- à intermittences fréquentes avec
excitations
rythmées. Dans ces cas il y à souvent avantage à
inants; le bain électrode con- vient très souvent dans ces cas. Les
excitations
des nerfs et des muscles se montrent également
ou moins généralisée quand elle est bien supportée, parfois aussi l'
excitation
des muscles avec étincelles. Les résultats de c
[E MUET] 1Ô04 1 : ;U<;.cTHOTlIÉRAPIE. quentes, en rythmant les
excitations
; celles-ci doivent être faites avec des courant
urc de potassium. A la galvanisation continue on ajoute bientôt des
excitations
des muscles paralysés et plus ou moins atrophié
rants faradiques ou galvano-faradiques peuvent être utilisés pour l'
excitation
des muscles. Lorsque la DRn'est que partielle,
re plus rapide. En pareil cas, le traitement peut être fait.par des
excitations
faradiques des muscles, de préférence avec des
les, de préférence avec des courants à intermitlences espacées; ces
excitations
doivent être très modérées et assez peu prolong
ourant galvanique interrompu et renversé. C'est à ce dernier mode d'
excitations
, au moyen de la clef double, que nous donnons la
séance d'éjectrisatiou nous croyons préférable de commencer par les
excitations
des muscles. Celles-ci sont faites avec une petit
xcitatrice est placée sur les PARALYSIE FACIALE. 1307 points où l'
excitation
des muscles est le plus facilement obtenue, point
lection normaux en raison du déplacement de ces points. D'abord les
excitations
faites sur chaque muscle sont peu nombreuses, d
nts faradiques peuvent être employés pour exciter les muscles ; ces
excitations
doivent toujours être très modérées, peu prolon
repos, soit surtout à l'occasion des mouvements ou à l'occa- sion d'
excitations
cutanées ou électriques) ; à ces signes s'ajouten
mais avec intensités plus faibles de 5 à 5 lu. : 1., et parfois des
excitations
par courants faradiques modérés avec intermitte
cées ou avec intermittences fréquentes en ayant soin de rythmer les
excitations
dans ce dernier cas. Paralysies de la langue.
es muscles atrophiés, galvanisation tahiie dirigée sur ces muscles,
excitations
modérées des muscles atrophiés ou en voie d'atr
ts faradiques à intermittences fréquentes. Dans le premier cas, les
excitations
sont plus douces et ménagent davantage les musc
e l'électrode tampon ou de l'électrode rouleau, il faut rythmer les
excitations
, de la manière indiquée dans la première partie d
cée d'une façon stable au niveau du point d'élection du muscle, les
excitations
sont rythmées au moyen d'un interrupteur ou d'u
avec l'électrode rouleau et la méthode labile d'électrisation, les
excitations
sont rythmées en soulevant le rouleau lorsqu'il
isation statique a été aussi employée soit avec le bain statique et
excitations
des muscles par étincelles médiates ou immédiates
ations des muscles par étincelles médiates ou immédiates, soit avec
excitations
des muscles par le wave current ou par les couran
lation le permet, on peut à la galva- nisation continue ajouter des
excitations
avec les courants galvaniques simplement interr
t cepen- dant toute exagération dans la durée et dans l'énergie des
excitations
. L'électrisation pourrait être au besoin renouv
rf et sur tout le trajet de celui-ci. On peut y ajouter ensuite des
excitations
et une révulsion plus énergiques en promenant dir
ssement et à l'atrophie des muscles en portant sur ces derniers des
excitations
comme il a été indiqué pour le traitement des lés
achine statique un débit faible ou très modéré, et en évitant toute
excitation
intempestive comme celle qui résulterait d'une
r les malades à supporter la faradisation on peut commencer par des
excitations
avec des courants faradiques il intermittences es
contracter. On a soin de rythmer plus ou moins régulière- ment les
excitations
pour ne pas fatiguer les muscles, d'autant plus q
ion fonctionnelle des mouvements et il provoquer ou compléter par l'
excitation
faradique les mouvements que l'on demande aux m
, suivant les indications spé- ciales, la durée et l'intensité de l'
excitation
sur telle ou telle région. D'après Dard et la f
imètre environ en dehors et au-dessous de la queue du sourcil, où l'
excitation
provoque la pro- pulsion en avant du globe ocul
la pro- pulsion en avant du globe oculaire, vraisemblablement par l'
excitation
du grand oblique. Celte faradisation est prolon
ropriétés phy- siologiques de l'onde faradique, 1250. - Période d'
excitation
latente, période d'énergie croissante, 1251. -
nostic et au traite- ment, 1235. - Graduation des courants, 1254.
Excitations
rythmées, ondula- teurs des courants, 1255. - M
alytiques, 1215. " Courant galvanique dans les états va- riables.
Excitations
de fermeture et d'ouverture, il 5. - lfets des
d'ouverture sur les nerfs moteurs et sur. les muscles,. méthode d'
excitation
polaire, 1214. Courants faibles, 1215. Courants
galvanique, 1219. Points moteurs, 1220. Re- cherche du seuil de l'
excitation
, inter- rupteurs, 1225. Rcnverseurs, 1226. Ap
ge de la vision loin- taine -Il la vision rapprochée, 50, 95. aux
excitations
cutanées, 50, 95. - - l'occlusion des paupières
xcitants. 278. - Organes périphériques. - Voies de conduction des
excitations
périphéri- ques, 279. Voile du palais, 985. -
n des réflexes; de même l'extension du gros orteil, à la suite de l'
excitation
plantaire, pourrait être obtenue sous l'influen
r la jambe et des orteils sur le méta- tarse. Du côté paralysé, une
excitation
semblable donne lieu aussi à une flexion de la
clusivement ici. Il faut que vous sachiez que dans ces conditions l'
excitation
de la plante du pied provoque ordinairement, entr
ention. Il est des individus normaux chez lesquels, à la suite de l'
excitation
de la plante du pied, les orteils restent, au moi
r ici spécialement en vue. Or, dans certains états pathologiques, l'
excitation
de la plante du pied provoque l'extension des o
a partie interne de la plante du 3o SÉMIOLOGIE pied que lorsque l'
excitation
porte sur la partie externe et c'est l'inverse
tie physiologiques. En voici des exemples : chez certains sujets, l'
excitation
de la plante du pied ne provoque d'extension qu
s orteils ; dans ce dernier cas, ce sont généralement les premières
excitations
qui donnent lieu à de la flexion. Cela dit, je
ieur étant placé dans cette attitude, on attendra pour procéder à l'
excitation
que les muscles paraissent bien relâchés. Il
uiller simplement ou de piquer la plante du pied. Ce dernier mode d'
excitation
est nécessaire chez certains sujets pour faire ap
cte de la volonté ; il faut, dans des cas de ce genre, renouveler l'
excitation
en la pratiquant superficielle- ment. Il y a
le mouvement de flexion qu'il exécute sur la jambe à la suite de l'
excitation
de la plante ; si donc PHÉNOMÈNE DES ORTEILS ET
e normal du côté droit et une extension des orteils à la suite de l'
excitation
de la plante du pied gauche. La troisième malad
t et le mettait dans l'impossibilité absolue de se tenir debout ; l'
excitation
de la plante du pied provoquait alors, d'une fa
on des réflexes tendineux et la trépidation réflexe per- sistent. L'
excitation
de la plante du pied détermine maintenant d'abord
détermine maintenant d'abord la flexion des orteils, mais, si cette
excitation
est répétée plusieurs fois de suite, les orteil
i, mais à un degré bien moins élevé, des troubles de la motilité, l'
excitation
de la plante du pied détermine une extension très
s réflexes tendineux faisant défaut à ce moment comme auparavant, l'
excitation
de la plante du pied provoquait ainsi qu'au pre
e datant de plusieurs années, j'ai noté le fait curieux suivant : l'
excitation
de la plante du pied paralysé donnait lieu de c
yant examiné le malade immédiatement après une crise, j'ai vu que l'
excitation
de la plante du pied donnait lieu à de l'extensio
I)ES ORTEILS ET SA VALEUR SÉMIOLOGIQUE 35 mon interne M. Cestan, l'
excitation
de la plante du pied ne provoquait aucun mouvem
de la Société de Neurologie de Paris, séance du 2 juillet igo3. L'
excitation
de la plante du pied provoque parfois, entre autr
ffet, notamment chez certains paraplégiques, sous l'influence d'une
excitation
de la peau des membres inférieurs, des mou- RÉF
cussion du tendon rotulien occasionne indirectement, par suite de l'
excitation
de la peau dans la zone du tendon du quadriceps,
fin les réflexes de défense peuvent d'habitude être provoqués par l'
excitation
de diverses parties des membres inférieurs. E
elle est pratiquée au niveau du tendon du triceps, les effets de l'
excitation
de ce tendon l'emportant alors sur ceux qui rés
orsque, le sujet ne contrac- tant pas volontairement ses muscles, l'
excitation
d'un tendon détermine dans le groupe musculaire
ion épileptoïde que nous venons de décrire sont déterminées par une
excitation
tendineuse persistante ou renouvelée à courts i
percussion de la face dorsale du pied. A l'état physiologique cette
excitation
provoque une extension des quatre derniers orte
Claude en a rapporté un cas). Il est possible qu'il s'agisse d'une
excitation
du système pyramidal par des toxines résorbées,
tension énergique de l'avant-bras. S'il est violent, il produit une
excitation
osseuse déterminant une contraction des fléchisse
elques mots d'abord sur ces réflexes à l'état normal. On sait que l'
excitation
de la peau à la partie supéro-interne de la cuiss
du testicule de bas en haut ; c'est le réflexe cré- mastérien. L'
excitation
des téguments de la paroi abdominale détermine un
aux : l'inférieur, le moyen et le supérieur. z4 si SÉMIOLOGIE Une
excitation
légère de la plante du pied donne lieu généraleme
résulte que l'absence de toute réaction motrice appréciable, après
excitation
de la paroi abdominale ou de la plante du pied,
e anal, consistant en une contraction du sphincter produite par une
excitation
de la marge de l'anus ; il est pour ainsi dire
sculaire se maintient 10, 15 secondes, davantage même, surtout si l'
excitation
qui a provoqué le mouvement est continue, et il
les réflexes de défense peuvent être provoqués non seulement par l'
excitation
de la peau, mais aussi au moyen de tractions ou
neurologie de Paris, 7 mars 1912). (') Dans certaines attitudes, l'
excitation
des téguments de la cuisse ou du tronc, au lieu d
tenues ainsi ne diffèrent pas de celles qu'on peut déterminer par l'
excitation
des téguments. Je tiens à ajouter que le degré
amidal, j'ai fait remarquer que chez quelques malades, tandis que l'
excitation
de la plante du pied déter- mine de l'extension
, particulièrement le gros orteil, s'étendent sous l'influence de l'
excitation
de la plante du pied et parfois, en même temps,
organique avec exagération incontestable des réflexes tendineux, l'
excitation
plan- taire est suivie d'une flexion des orteil
OGIE Enfin, la contractilité réflexe pouvant être mise en jeu par l'
excitation
des tendons ou celle des téguments est suscepti
que j'ai examinés j'ai constaté un mouvement réflexe consécutif à l'
excitation
de la peau de l'abdomen. Néanmoins, chez quelqu
oit, l'absence de mouvement de la paroi abdominale à la suite d'une
excitation
de la peau de l'abdomen dans un cas d'hémiplégie
ue l'abolition du réflexe abdominal. Les mouvements consécutifs à l'
excitation
de la plante du pied sont, dans bien des cas d'
il y a déjà plusieurs années, qu'à l'état normal, chez l'adulte, l'
excitation
de la plante du pied provoque entre autres mouvem
re part, quand il y a une perturbation dans le système pyramidal, l'
excitation
de la plante du pied donne lieu généralement à de
blis ou abolis. Le mouvement réflexe des orteils consé- cutif à l'
excitation
de la plante du pied subit ordinairement une in
n sont ordinairement normaux. Le mouvement réflexe consécutif à l'
excitation
de la plante du pied ne subit pas d'inversion d
ouvement reproduit assez exactement celui qu'effectue, sous la même
excitation
, une grenouille dont la moelle est intacte et qui
s'agiter quand on les découvre et se contracter sous l'influence d'
excitations
variées. Analysons ces phénomènes. Ils consiste
le, il s'étend pour se fléchir de nouveau à la suite d'une nouvelle
excitation
. Tel est le type général des réflexes de défens
d'un examen une certaine proportion- nalité entre l'intensité de l'
excitation
et celle de la réaction, le rapport entre ces d
ofondes, les tractions constituent encore d'excellents procé- dés d'
excitation
. Bechterew, puis Pierre Marie et Foix ont recom
sont spontanés; en réalité, il doit toujours avoir à leur origine une
excitation
faible ou forte, portant sur le tégument ou ven
nt d'un réflexe cutané. » la vessie, par exemple, est la source d'
excitations
qui entrainent, jusqu'au moment où le réservoir s
voque, chez les malades atteints de lésion de la voie pyramidale, l'
excitation
de la partie interne de la jambe. Il nous res
Il n'est pas rare, en effet, d'observer des malades chez lesquels l'
excitation
du tégument du dos du pied ou de la jambe provo-
nférieur et une flexion plantaire du gros orteil. Parfois alors une
excitation
légère de la plante du pied détermine une exten
très amples et très brusques ; parfois le territoire cutané, dont l'
excitation
est susceptible de les pro- voquer, est très va
s la réapparition des phénomènes spasmodiques sous l'influence de l'
excitation
de la peau éta- (') Les réflexes de défense pou
') Les réflexes de défense pouvant être provoqués non seulement par l'
excitation
des téguments, mais aussi par la compression de
un mouvement spasmodique « spontané » risque d'être attribué à une
excitation
provoquée par l'expérimentateur s'il coïncide ave
. On saisit immédiatement la portée d'une telle confusion, si cette
excitation
a été appliquée au-dessus du territoire des réfle
la piqûre. Dans chaque cas particulier, il faut employer le mode d'
excitation
qui constitue le réactif le plus sensible. On v
que j'ai en vue. Il s'agit de réactions motrices consécutives à des
excitations
cutanées ou à des excitations profondes. Pour c
réactions motrices consécutives à des excitations cutanées ou à des
excitations
profondes. Pour commencer, j'envisagerai unique-
cuisse. Voici en quoi consistent ces réactions : sous l'influence d'
excitations
du mem- bre inférieur telles que le frottement
ction musculaire dure 10, 15 secondes, davantage même, surtout si l'
excitation
qui a provoqué le mouvement est continue, et il e
ode de réaction (triple flexion) susceptible d'être obtenue par des
excitations
portant sur diverses parties du membre inférieur
rties profondes, les tractions constituent aussi de bons procédés d'
excitation
. Bechterew, puis Pierre Marie et Foix ont recom-
ndrons ultérieurement sur ce point. Dans certains cas, tandis que l'
excitation
du pied et de la jambe donne lieu au mouvement
ées par moi en demi-flexion. Il m'est arrivé aussi de voir ceci : l'
excitation
, provoquant toujours une flexion du pied, accen
conditionné en partie par la position où se trouvent au moment de l'
excitation
les segments du membre les uns par rapport aux
s d'un examen, une certaine proportionnalité entre l'intensité de l'
excitation
et celle de la réaction, le rapport entre ces d
r comment chez eux les membres inférieurs se comportent vis-à-vis d'
excitations
diverses. Or, voici ce qui parait bien établi.
is d'excitations diverses. Or, voici ce qui parait bien établi. Une
excitation
de la plante du pied telle que le frottement av
s malades dont il est question, l'attitude en flexion obtenue par l'
excitation
plantaire RÉFLEXES DE DÉFENSE 129 se maintien
ique de l'état pathologique est le suivant : chez l'homme normal, l'
excitation
d'une région quelconque du membre, hors de la pla
nd simple la solution du problème. La flexion du pied obtenue par l'
excitation
d'une autre région que la plante du pied permet
être celui-ci : la possibilité presque constante d'obtenir, par une
excitation
plantaire un peu forte ou répétée, ou encore mi
a cuisse associé à la flexion nette de tous les orteils, et par une
excitation
minimale du bord plantaire externe le signe de
ouvement reproduit assez exactement celui qu'effectue, sous la même
excitation
, une grenouille dont la moelle est intacte et qui
n nouvelle, dont j'ai fait ressortir précédemment l'intérêt, qu'une
excitation
du membre inférieur, hors de la zone plantaire, i
ques aux précédentes. Voici en quoi elles consistent : tandis que l'
excitation
des téguments de la partie interne de la jambe pr
réflexe, ou seulement une flexion des quatre petits orteils, cette
excitation
, dans les cas où il y a une lésion de la voie p
toire seulement, du moins quand la paraplégie est très marquée, une
excitation
peut provoquer des réflexes de défense. On poss
un mouvement spasmodique « spontané » risque d'être attribué à une
excitation
provoquée par l'expérimentateur, s'il coïncide av
. On saisit immédiatement la portée d'une telle confusion, si cette
excitation
a été appliquée au-dessus du territoire des réfle
la piqûre. Dans chaque cas particulier, il faut employer le mode d'
excitation
qui constitue le réactif le plus sensible. « On
se sont fortement exagérés et peuvent être pro- voqués même par des
excitations
très légères. Leur forme varie suivant la posit
Leur forme varie suivant la position des membres et l'endroit de l'
excitation
, mais elle est sensi- blement pareille à celle
je dois compléter ce que j'ai dit sur les réactions obtenues par l'
excitation
du membre inférieur, m'étant borné d'abord, afin
et, à décrire celles qui se produisent dans le membre excité. Or, l'
excitation
d'un des membres inférieurs peut déter- miner a
eils on provoque d'un seul côté le phénomène des raccourcisseurs. L'
excitation
doit, pour déterminer le réflexe croisé, être for
e produire en un premier temps la flexion du membre excité, puis, l'
excitation
persistant toujours, se pro- duit en un deuxièm
seraient différentes suivant les points excités. Si, par exemple, l'
excitation
de la plante du pied, selon qu'elle porte sur s
e peut mouvoir volontairement ses membres inférieurs et cependant l'
excitation
de l'abdomen avec un tube de glace provoque une
bérée des centres supérieurs; or, chez ce malade, bien souvent, des
excitations
diverses déterminaient en même temps que des réfl
e la peau de la face dorsale du pied ne provoque aucun mouvement; l'
excitation
de la plante du pied détermine une forte extens
flexes qui la caractérisent peuvent être aussi bien provoqués par l'
excitation
de la sensibilité profonde que par celle de la
porte que les réactions motrices puissent être obtenues aussi par l'
excitation
des parties profondes ; il suffit que l'excitatio
nues aussi par l'excitation des parties profondes ; il suffit que l'
excitation
de la peau seule puisse y donner naissance pour
présence d'un même phénomène dont voici les traits essentiels : une
excitation
telle que le pincement de la peau du côté de la l
vants : chez certains hémiplégiques présentant de l'hyperalgésie, l'
excitation
des téguments du membre inférieur est suivie d'
nnent que chez l'homme, dans les sections totales de la moelle, les
excitations
nociceptives d'un côté, quand elles provoquent
ai tracé un parallèle entre les réactions motrices consécutives aux
excitations
périphériques, suivant qu'elles sont pathologiq
aux réactions physiologiques, c'est qu'on ne les obtient que par l'
excitation
de la zone plantaire et que les mouvements sont
fuit l'objet vulnérant (retrait du membre, raccourcissement) et une
excitation
peut déterminer, loin du point où elle a eu lie
e fuite ; c'est ainsi que la triple flexion peut être provoquée par
excitation
de l'abdomen ou du thorax. A l'état physiologiq
servir. Or, il est évident que la triple flexion consécutive à une
excitation
de la jambe, de la cuisse ou de l'abdomen ne po
ense s'effectuent avec rapidité et ne se produisent que lorsque les
excitations
portent sur la région plantaire. Il me semble
Mais il est à remarquer qu'à l'état physiolo- gique chez l'homme, l'
excitation
de la plante du pied, qui provoque la flexion d
ongée, les orteils ne réagissent plus du tout sous l'influence de l'
excitation
de la plante du pied : ils restent immobiles. M
quelle que soit la région de la plante du pied sur laquelle porte l'
excitation
). Plus ordinairement, le signe des orteils ne s
inairement, le signe des orteils ne se modifie que partiellement; l'
excitation
du bord interne de la plante du pied provoque l
anière notable les réflexes cutanés de défense, et alors la moindre
excitation
de la peau provoque momentanément une contrac-
du corps ; on prévient le sujet en expérience qu'on pratiquera des
excitations
diverses à droite et à gauche de cette ligne ;
e variant, suivant.les individus, de 2 à 3 centimètres environ, les
excitations
sont toujours bien localisées, quelle que soit
sont d'habitude parfaites au début ; mais après un certain nombre d'
excitations
elles deviennent inexactes. Bien souvent le malad
s elles deviennent inexactes. Bien souvent le malade déclare qu'une
excitation
porte sur la ligne médiane, tandis que le point e
res. Cette erreur est surtout commune quand on pratique une série d'
excitations
successives de dehors en dedans, et qu'on recom
itants sont placés dans la région hypoesthésiée, une seule des deux
excitations
est perçue ; le 166 SÉMIOLOGIE sujet les perç
de lésions du névraxe, on peut voir se produire, sous l'influence d'
excitations
périphériques, des mouvements réactionnels qui, s
esthésie n'est que quantitative : le malade reconnaît bien toutes les
excitations
thermiques, mais accuse une sensation moins net
es de défense. Revue neurol. 1910, p. 145, par Babinski). Ce mode d'
excitation
n'est suivi d'aucune sorte de réaction quand on p
reste immobile; on trouve donc là un réflexe croisé provoqué par l'
excitation
de la peau du côté de la lésion et se traduisan
ralgésie. On peut même obtenir des effets sem- blables en portant l'
excitation
sur la partie du corps située au-dessus de la lés
nes sacrées gauches où l'hyperalgésie fait défaut ; l'intensité des
excitations
doit être ici considérablement accrue pour que
contenterons de noter que si les réactions motrices consécutives aux
excitations
n'ont pas été analysées là d'une manière aussi
one, on trouve de l'hypoesthé- sie thermique avec hyperalgésie; les
excitations
thermiques sont plus ou moins bien perçues, sui
ion dorsale du pied lente et continue. Ce mouvement peut résulter d'
excitations
sur diverses parties du tégument jusqu'à une li
mais cette réaction est inconstante et relativement faible. ' Les
excitations
de la peau du côté droit ne sont suivies d'aucun
gauche, sans accompagnement de flexion dorsale du pied. De plus, ces
excitations
douloureuses, sont suivies immédiatement de gri
e, mais les mêmes réactions peuvent être parfois provoquées par des
excitations
sur des territoires à sensibilité normale, soit d
s sacrées droites, soit au-dessus de la lésion, à condition que ces
excitations
soient bien plus vives. Dans les trois cas de
encore été mis en lumière et dont voici les traits essentiels : une
excitation
telle que le pincement de la peau du côté de la
nder s'il ne s'agit pas de réactions volontaires provoquées par des
excitations
déter- minant de la douleur, laquelle paraît se
ue, semblant traduire de la souffrance, et le cri consécutifs à des
excitations
périphériques chez les animaux décérébrés (pseu
s mêmes caractères et qu'il se produit sous le même aspect à chaque
excitation
. Il nous semble inadmissible qu'un phénomène au
ement différente des réactions voulues qu'on exécute à la suite des
excitations
douloureuses, soit un phénomène volontaire. Il no
s que les réflexes dits de défense peuvent se produire à la suite d'
excitations
à peine perçues ou même non perçues, les réflexes
ction motrice est d'autant plus forte que la douleur produite par l'
excitation
est plus vive et, comme on l'a vu dans l'observat
ons motrices du membre inférieur peuvent être déclen- chées par une
excitation
dans le domaine du trijumeau. Si le membre infé
cipe pas à la réaction motrice, c'est vraisemblablement parce que l'
excitation
, après s'être réfléchie dans le centre encéphal
son retour par le barrage que lui oppose la lésion spinale. Et si l'
excitation
de la zone anesthésiée ne provoque aucune réact
e par certains procédés. Nous avons obtenu ce résultat soit par des
excitations
électriques provoquant d'énergiques mouvements
et intervalle dans la pièce obscure, je constatais cette fois que l'
excitation
lumineuse provo- quait une contraction pupillai
sement complet du réflexe n'apparaît parfois qu'après deux ou trois
excitations
suivies encore d'une réaction pupillaire ; c'es
pourrait se demander si cette mydriase est sous la dépendance d'une
excitation
du sympathique par la poche anévrismale. Je cro
canisme de ce phénomène ; certains supposaient qu'il était dû à une
excitation
du labyrinthe, d'autres pensaient qu'il dépendait
s pigeons, a tou- jours donné le même résultat. J'ai cherché si l'
excitation
électrique de chacun des trois canaux semi- cir
. Je puis dire seulement que dans la genèse du vertige voltaïque, l'
excitation
du vestibule et des ampoules me semble jouer un
sa nourriture. Il faut le gaver si l'on veut le conserver. Par l'
excitation
galvanique on peut provoquer des deux côtés la ro
t d'emblée une contre-déviation inverse de la déviation prévue. Les
excitations
portant directement sur le vestibule ne sont pas.
sont moins constants et moins amples que ceux qui sont obtenus par
excitation
vestibulaire directe. ÉLECTROLOGIE XIX DE L
rs complètement soustrait à l'influence du système nerveux et que l'
excitation
électrique ne porte (') Traité d'Électrothérapi
lacer la division i 1 ou II 1/2. Quand on avait dépassé le seuil de l'
excitation
, à intensité égale, la contraction consécutive
de l'excitation, à intensité égale, la contraction consécutive de l'
excitation
du nerf ou des muscles était toujours plus fort
faciaux du côté paralysé sont aussi hyperexcitables vis- à-vis des
excitations
mécaniques. Observation II. Jeune fille de 23 a
deux côtés, réagit à 3 milliampères. Quand on a dépassé le seuil de l'
excitation
, à intensité égale, le côté malade réagit plus
procher ce phénomène de la lenteur de la secousse provo- quée par l'
excitation
directe du muscle, et de la lenteur de la secouss
os faradique, conséquence de la fusion des secousses, nécessite des
excitations
électriques d'autant moins rap- prochées que le
en effet, c'est alors que la lenteur de la secousse provoquée par l'
excitation
directe du muscle est surtout marquée, or, lenteu
re réflexe, l'exitabilité mécanique des muscles qui est connexe à l'
excitation
voltaïque. Ils ont insisté sur la (') Quand il
er 1917. ÉLECTROLOGIE 227 lenteur de la secousse déterminée par l'
excitation
mécanique et sur ses relations avec l'hypotherm
est toujours impossible d'obtenir de contraction musculaire par. l'
excitation
du nerf sciatique poplité externe. Cette réac
'attention de la Société sur l'état du réflexe cutané plantaire ; l'
excitation
de la plante du pied donne lieu à de la flexion
procédés nous ont paru faciliter le déclenchement de la parole : l'
excitation
faradique des muscles de la face, la respiratio
u, du côté droit, à de la flexion des orteils; du côté gauche cette
excitation
n'est parfois suivie d'aucun mouvement réflexe
mps un mouvement semblable, un peu moins énergique du côté droit. L'
excitation
de la conjonctive du côté droit n'est suivie d'
njonctive du côté droit n'est suivie d'aucun mouvement réflexe. L'
excitation
de la fosse nasale gauche provoque une contractio
uscles de la face du côté correspondant; du côté droit une pareille
excitation
ne donne lieu à aucun mouvement. Organes des
région et le côté sur lesquels a porté l'impression du froid. Une
excitation
psychique engendre les mêmes réflexes vasculaires
ctifs ; La résistance au courant voltaïque - ou plus exactement à l'
excitation
provoquée par ce 'courant est ordinairement exa
contractures ni atrophiés , les muscles réagissent normalement aux
excitations
électriques et les réflexes tendineux ainsi que l
ion provoque une contraction analogue à celle qui résulterait d'une
excitation
électrique ; on observe les mômes phénomènes, m
t l'on provoque aisément de la trépidation épileptoïde du pied. L'
excitation
de la plante du pied donne lieu au phénomène des
s membres les uns sur les autres. De plus, je ferai remarquer que l'
excitation
des téguments des cuisses ou des jambes par le pi
peuvent varier dans leur forme suivant le point sur lequel porte l'
excitation
et suivant la position du membre ('), mais ce s
ont pour caractère de pouvoir être indistinctement produits par des
excitations
portant sur divers points de la surface cutanée
ise devraient être mis alors sur le compte d'un retentissement de l'
excitation
sympathique sur les segments médullaires dorsau
de distinguer objectivement cette lésion de la sclérose du tabes. L'
excitation
lumineuse de l'oeil gauche ne provoque de contr
le des pupilles; mais cette excitabilité s'épuise après deux ou trois
excitations
successives et ne reparait que si on laisse l'o
(signe de Robertson uni- latéral), ce qui est rare, il est vrai, l'
excitation
lumineuse de l'oeil atteint provoque, comme à l
nt le plus faci- lement ; le malade avait du reste remarqué que les
excitations
du côté anesthésié provoquaient ces mouvements
réflexes cutanés abdominaux supérieurs et inférieurs sont abolis. L'
excitation
de la plante du pied provoque l'extension du gros
ent, ainsi que les rotuliens qui sont forts. A droite et à gauche l'
excitation
de la plante du pied provoque l'extension franche
des réflexes fessiers montre la par- ticularité suivante : quand l'
excitation
porte au-dessous du pli fessier ou à la fesse à
servation des achilléens, clonus du pied, extension de l'orteil par
excitation
de la plante du pied). Examen de la sensibilité
btient parfois d'autres mouvements ('). Le territoire cutané dont l'
excitation
peut provoquer ces réflexes a une hauteur qui v
flexes de défense. Voici un exemple du premier genre d'erreur : une
excitation
de la peau au-dessus de la zone en question peu
éfense. Si l'on n'y prend pas garde, on attribuera ces réflexes à l'
excitation
que l'on a pratiquée et on leur fixera une limite
à délimiter le domaine des réflexes de défense en prati- quant des
excitations
successives d'abord de bas en haut, puis de haut
3) Nous faisons ici abstractioe des réllexes de défense obtenus par l'
excitation
des membres supé- rieurs, qui s'observent plus
scence. La sensibilité objective est très peu troublée : toutes les
excitations
tactiles, dou- loureuses et thermiques sont per
sentis moins nettement dans le territoire des 2e et 3e dorsales, les
excitations
déterminent plutôt une impression douloureuse.
rés ultérieurement et il est possible de les faire apparaître par l'
excitation
des téguments du tronc jusqu'au-dessus de la li
sont le siège d'une anesthésie totale pour tous les modes ; aucune
excitation
n'est perçue dans ce territoire. On a beau répéte
e trouble peut passer inaperçu ; le malade reconnait ici toutes les
excitations
, mais il les perçoit moins bien qu'en territoire
is il les perçoit moins bien qu'en territoire nor- mal : toutes les
excitations
sont comme émoussées. Nous avons pu, avec Jumen
porairement, à un degré plus ou moins marqué, la sensibi- lité. Une
excitation
nullement perçue à un moment donné le sera quel-
ense sont fortement exagérés et peuvent être provoqués même par des
excitations
très légères. Leur forme varie suivant la positio
Leur forme varie suivant la position des membres et l'endroit de l'
excitation
, mais elle est sensiblement pareille à celle des
celle des spasmes invo- lontaires spontanés. Le territoire dont l'
excitation
est capable d'engendrer ces réflexes de défense,
ers de doigt au-dessus de l'ombilic. Au-dessus de cette limite, les
excitations
, même très fortes, ne donnent naissance à aucun
u près à égale distance entre l'apophyse xyphoïde et l'ombilic, les
excitations
(surtout après un examen quelque peu prolongé)
sont partout sentis ; à gauche, la malade reconnaît moins bien ces
excitations
. La pression n'est pas sentie aux membres infér
ents des membres inférieurs, sont plus difficiles à provoquer par l'
excitation
de la peau au-dessus du pli de l'aine. Toutefois,
stant en une extension de la jambe et de la cuisse et provoquée par l'
excitation
du tronc jusqu'à la limite indiquée dans le tex
réflexe achilléen; le réflexe plantaire se fait en flexion ; les
excitations
diverses du membre inférieur droit, pratiquées
e cutanéo-réflexe, la triple flexion spontanée ou provoquée par les
excitations
périphériques fait défaut. Il y a lieu de penser,
ouvrer partiellement la sensibilité d'une manière transitoire ; une
excitation
nullement perçue à un moment donné le sera quelqu
ins malades, tout en percevant et en localisant même assez bien les
excitations
, telles que le pincement, la piqûre dans une part
usieurs secondes ; c'est comme si ces contractions étaient dues à l'
excitation
électrique du nerf facial par un courant induit
ssemblance qu'ils présentent avec les contractions provoquées par l'
excitation
électrique du nerf facial. M. Meige a noté auss
'irritation du nerf trijumeau et résulteraient par conséquent d'une
excitation
de la voie centripète de cet arc. J'avoue n'ê
ois le dire, le plus grand nombre, reconnaissent qu'ils ont senti l'
excitation
pratiquée ; je renouvelle alors l'expérience en l
se développent sous une influence purement psychique, tandis qu'une
excitation
des tendons ou des tégu- ments est nécessaire à
ployer une grande force. Mais l'hypnoti- seur n'a qu'à produire une
excitation
sur le muscle antagoniste (l'exten- seur commun
mmun en l'espèce) pour faire disparaître la contracture. De même, l'
excitation
mécanique d'un nerf moteur (facial, radial, cubit
ste qu'un sujet qui a réagi à la première ou aux quelques premières
excitations
cutanées ne présente plus de réaction si l'on r
ations cutanées ne présente plus de réaction si l'on renouvelle ces
excitations
et s'il est, en quelque sorte, sur ses gar- des
ment et isolément, avec autant de précision qu'on le ferait par une
excitation
élec- trique, sur les différents muscles et obt
on de l'excitabilité des masses musculaires qui répondent alors aux
excitations
mécaniques par des contractions étendues mais trè
rs. Ces troubles de la sensibilité existaient pour tous les modes d'
excitation
: tact, piqûre, chaleur. On notait aussi des trou
lquefois une accentuation de l'attitude vicieuse pendant la phase d'
excitation
de la narcose chloroformique ; chez deux sujets
chez quelques malades nous avons été frappés, durant cette phase d'
excitation
, par le phénomène suivant : tandis que du côté sa
n jeu de trois facteurs au moins (en dehors du point de départ de l'
excitation
et de l'effet produit) : 1° d'un nerf centripète
n et de l'effet produit) : 1° d'un nerf centripète qui transporte l'
excitation
à un centre nerveux ; 20 d'un centre nerveux qui
ation à un centre nerveux ; 20 d'un centre nerveux qui reçoit cette
excitation
et la transforme en indication motrice ; 3° d'un
trois facteurs dans les cas d'atrophie musculaire, dite réflexe ? L'
excitation
produite par la lésion périphérique est bien tran
se trouverait donc en présence d'une sorte d'action d'arrêt due à l'
excitation
périphérique portant sur les fonctions motrice et
e veille. Parfois, alors même que la surréflectivité fait défaut, l'
excitation
des centres médullaires et l'incitation centrif
EXE 5 (à de nos observations oscillométriques. Il s'agit donc d'une
excitation
du sympathique. Mais comment cette excitation s
Il s'agit donc d'une excitation du sympathique. Mais comment cette
excitation
se produit-elle ? Deux hypo- thèses peuvent êtr
faible quelques instants auparavant. Le point de départ de cette
excitation
réflexe ne peut être cherché que dans l'irritat
sent immédiatement sous l'influence des variations d'intensité de l'
excitation
. Ici au contraire le passage des phénomènes dans
8" entre la température du côté malade et celle du côté sain, toute
excitation
mécanique, fut-elle légère, provoque une contract
e que les troubles de motilité puissent dépendre tantôt d'un état d'
excitation
ou de stupeur des centres moteurs spinaux, comme
contractures de la tétanie qui, de l'avis unanime, dépendent d'une
excitation
des centres nerveux par un poison qui les imprè
cyto- diagnostic, m'avait montré que d'ordinaire la résistance à l'
excitation
électrique diminuait après l'opération. Il y
aires, limites de l'anesthésie, limites du territoire cutané dont l'
excitation
provoque des réflexes de défense, etc.. C'est ain
embres inférieurs et de la partie sous-ombilicale de l'abdomen. Des
excitations
semblables portant sur les téguments au-dessus de
; mais, à maintes reprises, il a été possible d'en provoquer par l'
excitation
du territoire cutané s'étendant jusqu'à la sixi
dans les réactions correspondant à des différences dans le siège d'
excitation
(Id.). 1 4 1 Emotion, suggestion et hystérie (I
ociélé de Neurologie, 6 mai igi5). 63o INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 221.
Excitation
faradique bilatérale de la plante du pied (Sociét
activité volitive propre de l'individu, servent d'issue aux états d'
excitation
, aux décharges motrices du cerveau. » Ces mouve
et qui se reproduisent toujours les mêmes, consécutive- ment à l'
excitation
de leurs centres respectifs. On peut les répart
le, que les associations psychiques sont moins complexes et que les
excitations
peuvent suivre sans encombre les voies de moind
par Buccola, font comprendre la pathogénie de ces troubles ; 4° par
excitations
fonctionnelles des résidus moteurs (résidui di
association évidents', sica- ractéristiques dans certaines formes d'
excitation
de la paralysie générale. La diffusion des impu
r. itnl. In novara. Set t. 1889. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 43 l'
excitation
d'un centre quelconque de l'écorce doit provoqu
uvement. La sensation d'innertion motrice, c'est la conscience de l'
excitation
fonctionnelle des éléments nerveux sensitifs d'
des éléments nerveux sensitifs d'un cen- tre de l'écorce cérébrale,
excitation
qui a lieu en même temps que celle des éléments
nations de la vision, par exemple, tel qu'il a déjà été expliqué. L'
excitation
, normale ou pathologique, du centre cortical de
ononcée en réalité. Toute- fois, avec ! a durée et l'intensité de l'
excitation
du cen- tre cortical, une émission de mots pour
é ces modifications de la circulation cérébrale déterminées par des
excitations
extérieures. Seppilli et Tamburini, dans leurs
blable aux malades atteints de spasme saltatoire, chez lesquels une
excitation
, même légère, des membres, détermine le spasme
ntenant attirer votre attention sur les phé- nomènes produits par l'
excitation
électrique du cerveau des singes et plus spécia
u sillon précentral) ne répond pas ou d'une façon très douteuse à l'
excitation
électrique. Entre cette ligne et celle du sillo
ne ré' : ion ou un centre Ci. 2. fig. 1 ; fig. % et 3, tête) dont l'
excitation
produit l'ouverture des yeux, la dilatation de
or et Hors- ley, suivant les mouvements primaires qui résultent des
excitations
minima des points indiqués dans leur diagramme
ion marginale ou du lobule paracentral, se trouve une région dont l'
excitation
pro- duit des mouvements de l'exlrémité inférie
sont combinés avec la flexion de la jambe et de la cuisse. Avec des
excitations
minima, on peut encore différencier davantage l
lier, on peut pro- duire des mouvements du gros orteil seul par une
excitation
de l'extrémité supérieure de la scissure de Rol
quarts des circonvolu- tions centrales, se trouve une région dont l'
excitation
produit les mouvements du membre supérieur (3.
émité du membre, doigts et pouces. dans la partie inférieure. Une
excitation
minima à l'extrémité inférieure du sillon intra-
ur l'extrémité antérieure de la seconde circonvolution interne. L'
excitation
de ce dernier point produit la sortie des griffes
, action comparable aux mouvements du poignet et des doigts par l'
excitation
de la partie inférieure de la circonvolution pari
nférieur des circonvolutions centrales, se trouve une région dont l'
excitation
produit des mouvements de la face, de la bouche
r les mêmes numéros chez le chat (fig. 6) chez le lapin (fig. 7). L'
excitation
de la partie inférieure a produit ! des mouvement
gue, la propulsion de la langue étant géné- ralement produite par l'
excitation
de la partie antérieure (9, fig. i) et la réact
xcitation de la partie antérieure (9, fig. i) et la réaction, par l'
excitation
de la partie postérieure (10, fig. 1). Semon
térieure (10, fig. 1). Semon et Horsley' ontdémontréde plus que l'
excitation
de l'extré- mité inférieure de la frontale asce
éjà', une démonstra. tion (par l'ouïe) du même fait, montrant que l'
excitation
dans ce voisinage cause assez souvent 1 aboieme
nage cause assez souvent 1 aboiement et des effets semblables par l'
excitation
de la région homologue chez le chat (miaulement).
t (miaulement). J'ai aussi montré que les mouvements produits par l'
excitation
de cette région étaient dislinctementbilatéraux
été faite pour la première fois par llorsley et Schæ- fer'. 2. L'
excitation
de cette circonvolution d'avant en arrière (voir
és de mouvements secondaires des différents segments du membre. L'
excitation
du gyrus angulaire, pli courbe (13', 13, fig. 1),
indiquées par les mêmes chiffres. Dans mes premières expériences, l'
excitation
du lobe occipital ne m'a donné aucun résultat.
fois obtenu des mouvements des yeux semblables à ceux obtenus par l'
excitation
du pli courbe, quoique moins marqués. Et Schmfe
Schmfer 2 décrit des mouvements semblables se produisant après l'
excitation
des différentes parties du lobe occipital et des
oique les mouvements du globe oculaire, puissent être obtenus par l'
excitation
du lobe occipital, ils sont, en règle générale,
gle générale, moins constants et moins facilement obtenus que par l'
excitation
du pli courbe. L'excitation de la circonvolutio
et moins facilement obtenus que par l'excitation du pli courbe. L'
excitation
de la circonvolution temporale supérieure (14, fi
yeux du côté opposé. Précisément on obtient le même résultat par l'
excitation
postérieure de la troisième circonvolution extern
nimal essaie de bondir de la table, comme soudainement effrayé. L'
excitation
du lobule de l'hippocampe ou de l'extrémité anté-
ats, c'est- à-dire, la torsion des narines du même côté, comme si l'
excitation
était placée sur la narine elle-même. Parfois l
mme si l'excitation était placée sur la narine elle-même. Parfois l'
excitation
de la circonvolution de l'hippocampe donne des
88. 74 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. , bles à ceux produits par une
excitation
directe des membres opposés. A part cela, je n'
sés. A part cela, je n'ai pas pu obtenir une réaction constante a l'
excitation
du reste du lobe temporal et des autres portions
istincte des doigts et dit poignet. En con- tinuant et en forçant l'
excitation
à ce dernier point, les doigts, le pouce, le po
ns quatre cas de Nancréde , on obtint des mouvements du pouce par l'
excitation
d'une région correspondant au second quart infé
ous ces résultats sont en parfaite harmonie avec ceux obtenus par l'
excitation
de l'écorce cérébrale des singes, et nous avons
ont identiques à celles des animaux inférieurs. Par la méthode de l'
excitation
, nous pouvons dire que si des segments individu
és les uns des autres. Aucun mouvement de la jambe ne provient de l'
excitation
du centre de la face ni les mouvements de la fa
l'excitation du centre de la face ni les mouvements de la face de l'
excitation
du centre de la jambe. Les centres de la jambe
est sans doute vrai des centres près l'un de l'autre. Le fait que l'
excitation
du bord ' Am. Journ. nled. Sciences, nov. 1888.
face. La véritable explication me semble être que la méthode de l'
excitation
est incapable de différencier complètement les li
oiqu'on puisse fréquemment isoler un mouvement particulier, par une
excitation
minime d'un point défini dans le centre général
sente la vérité. Car les réactions des mem- bres qui résultent de l'
excitation
de l'écorce ne sont pas seulement des contracti
re, soit par la méthode de la destruction, soit par la méthode de l'
excitation
, soit par les deux. ' The functionnal relations
ée de la signification des, réactions motrices qui ré- sultent de l'
excitation
électrique des différentes régions corticales.
ou bien ils peuvent être moteurs dans le sens qu'ils sont dus à une
excitation
de parties en rapport direct avec les tractus m
moteurs, ou bien ils peuvent être l'un ou l'autre. La méthode de l'
excitation
ne peutelle-même résoudre le problème et demand
plément une destruction strictement localisée de ces centres dont l'
excitation
donne lieu à des réactions motrices définies.
x, et ce fait que l'on peut obtenir des mouvements semblables par l'
excitation
de différentes régions corticales en certains c
et, je forme cette hypothèse, que quelques-uns peuvent être dus à l'
excitation
des régions motrices proprement dites, tandis q
s d'abord appeler votre attention sur les réactions produites par l'
excitation
de la région occipito-angulaire chez les singes
se produisaient plus facilement et d'une façon plus uniforme par l'
excitation
de la partie antérieure et postérieure du pli c
les premiers Luc- cani et Tamburini, les mouvements des yeux par l'
excitation
du lobe occipital. Schæfer, qui oublie le segme
xcitable que le reste, obtient des mouvements en bas des yeux par l'
excitation
, non seulement du segment postérieur, du pli co
pariélo occipitale interne. Il obtient des mouvements en haut par l'
excitation
de la surface sous-jacente du lobe occipital, l
Schoefer sur la période latente des mouvements oculaires suivant l'
excitation
respectivement des Fig. 5. - Hémisphère gauche
ente est plus longue de quelques centièmes de seconde dans le cas d'
excitation
du lobe occipital que dans le cas d'excita- tio
cts. Le fait qu'on obtient toujours les » mouvements des yeux par l'
excitation
de la région occipito-angu- laire, après l'abla
ntinuaient toujours après l'abla- tion de la substance grise, car l'
excitation
des fibres médullaires serait équivalente à l'e
ise, car l'excitation des fibres médullaires serait équivalente à l'
excitation
de l'écorce elle-même. Nous pou- vons supposer
ifuges entre l'écorce occipitale et les centres oculo-moteurs, et l'
excitation
de l'expansion centrale de ces tractus produira
n centrale de ces tractus produira pratiquement le même effet que l'
excitation
des centres avec lesquels ils sont en relation.
entres visuels avec la rétine d'après les phénomènes produits par l'
excitation
électrique et d'autres faits nécessitent une pa
émiopie temporaire il la suite de lésions de la région ' Eleclrical
excitation
of the fMKa ! area. (Brain, april 1888.) , Brai
sont purement auto- matiques. II. Ceux qui tiennent à l'agitation (
excitation
des centres sus-corticaux par irradiation corti
l ; par 0. SCHWARZ, (Arc1t. f. Psychiat., XXI, 2.) Etude. A. De l'
excitation
galvanique de l'oeil; B. Du courant continu sur
s vrais (tristesse, crainte, désespoir) et d'élé- ments surajoutés (
excitation
etconfusion intellectuelle). Elle peut ten- dre
ique de Erb chez un de ces malades. Si l'on répète plusieurs fois l'
excitation
cette réaction diminue. Que l'on provo- que la
le en déterminant la persistance de la contraction musculaire par t'
excitation
directe de ce dernier, le résultat reste le mêm
sultat reste le même. Le muscle réagit donc sous l'influence de ces
excitations
comme sous l'influence de l'excitation volontai
onc sous l'influence de ces excitations comme sous l'influence de l'
excitation
volontaire. Celle-ci, en effet, se traduit d'ab
isée par deux périodes régulières, 1 une de dépression et l'autre d'
excitation
, et il donna soit sur ces périodes soit sur le
ant parfois à des velléités de suicide; c'est enfin l'insomnie ou l'
excitation
céré- brale pendant le sommeil. Notre malade, v
es du cer- veau ? Etaient-ce des sensations ou des émotions ? Les
excitations
auxquelles étaient soumis les animaux en expéri
es au galvanomètre résul- taient, non d'une simple transmission des
excitations
sous forme sensitive ou sensorielle, mais de le
miques, ce qui implique que le processus fonctionnel provoqué par l'
excitation
se propageait à toute la substance corticale. L
dans l'équilibre chimique et ther- mique de l'écorce. En somme, les
excitations
les plus variées, pourvu qu'elles soient capabl
iff, qui n'a plus vu se produire d'élévation thermique à la suite d'
excitations
psychiques et senso- rielles, lorsque les nerfs
nsieur le président, Messieurs, Parmi les réactions que produit l'
excitation
électrique de l'écorce il en est une ou plutôt
hode destructive. La réac- tion en question est celle que produit l'
excitation
de la première circonvolution temporale supérie
e son. Les lésultats sont tou- jours' plus caractéristiques après l'
excitation
de la région liomolo- i Voy. Arei. de Neurolog.
les autres facteurs varient en intensité. Chez le lapin oreillard l'
excitation
de cette région produit une élévation soudaine
rayé. Si on peut considérer les mouvements des yeux à la suite de l'
excitation
de la région occipito-angulaire comme un indice
IOLOGIE PATHOLOGIQUES. 281 sain que sous l'influence de très fortes
excitations
mécaniques. C'est un phénomène en tout comparab
, les segments supérieurs des couches optiques (centres d'arrêt). L'
excitation
du gyrus sigmoide (principalement de son segmen
souvent des contractions généralisées de l'anneau en question. L'
excitation
de la séreuse intestino-péntonéale arrête les rhy
onéale arrête les rhythmes pyloriques, il en est ainsi des diverses
excitations
cutanées (dou- leur - piqûre eau chaude). L'irr
tant l'anneau oesophagien. La même action d'arrêt est exercée par l'
excitation
péritonéale et cutanée sur les mouvements de l'
laquelle ils répondent immédiate- tement par des mouvements à toute
excitation
qui les a frappés, sans l'intervention interméd
lie ; elle est aujourd'hui atteinte de folie circulaire (six mois d'
excitation
et six mois de dépression, dans le courant de l
ne anomalie de réaction. PATHOLOGIE NERVEUSE DE L'INFLUENCE DES
EXCITATIONS
DES ORGANES DES SENS SUR LES HALLUCINATIONS DE
rovoquée chez lui est toujours en rapport avec le sens sur lequel l'
excitation
aura été portée. » Ces quelques lignes contie
, t. II, p. 326. ' Ségal. - Des hallucinations sous l'influence des
excitations
des organes des sens dans les accès hystéro-epi
e ne parlait pas pendant qu'on lui donnait des hallucinations par l'
excitation
des sens, on peut cependant déduire quelques co
mpression plus profonde que tout le reste, était moins sensible aux
excitations
un peu délicates et que les hallucinations prov
rée. Quoi qu'il en soit, la modification apportée au délire par les
excitations
sensorielles était évidente, 3j6 PATHOLOGIE NER
TTAQUE HYSTÉRIQUE. 361 que la réaction(de la malade vis-à-vis d'une
excitation
sensorielle donnée est toujours exactement la m
rfs, le chloroforme celui de contractures, et ainsi pour toutes les
excitations
des sens. Cette espèce de déterminisme est dign
que nous avons constatée chez cette même malade sous l'influence d'
excitations
sensorielles analogues pendant la période catal
a période cataleptique du grand hypnotisme'. Chose remarquable, les
excitations
de même nature produisent dans la catalepsie so
ginaire. Les hallucinations soit spontanées, soit provoquées par l'
excitation
des organes des sens, sont accompagnées chez lui
é- rieurement. Aussi, ne mentionnerons-nous pas les résultats des
excitations
portant sur le sens de l'ouïe 1. Chez ce jeune
ique. Il présente, lui aussi, une grande fixité de réaction à une
excitation
donnée. Toujours, même à de longs mois de dista
er la marche des hallucinations et en créer de nouvelles à l'aide d'
excitations
diverses, mais tou- jours simples, des organes
avait une absence complète ou à peu près complète de réaction aux
excitations
sensitives. Les membres n'avaient pas de paralysi
périence fut plus sérieux, il y avait adroite une insensibilité aux
excitations
thermi- ques qui produisaient à gauche une vive
s'apercut que lorsqu'il tomba. Il était très sensible à toutes les
excitations
même légères a gauche. L'ouïe était intacte des
tout à fait totale, d'une anesthésie absolue à toutes les formes d'
excitation
tactile sur tout le côté droit du corps. L'ouïe f
émorrhagie récurrente. Après, l'analgésie devient absolue et toutes
excitations
tactiles restaient sans réponse, Il y avait aus
ilité tactile ne semblait pas améliorée, il ne percevait aucune des
excitations
légères. L'animal etait en parfaite santé et sans
on de la sensibilité était très frappante, l'animal répondait à une
excitation
assez forte pour être perçue, en se grat- tant
en se grat- tant une partie différente de celle d'où était partie l'
excitation
. La figure 40, At, représente l'état de l'hémis
dé. - nl, nojau lenticulaire. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 393 L'
excitation
électrique du lobule de l'hippocampe chez les sin
e une odeurforte. Je n'ai pas remarqué une réaction semblable par l'
excitation
des hippocampes. Mais tandis que nous pouvons ê
ons extérieures de la sensation olfactive subjective produite par l'
excitation
, c'est au contraire un problème extrêmement dif
r, s'accordent à mon avis avec cette hypothèse qu'ils indiquent une
excitation
fonctionnelle des centres directement intéressé
'entrer dans de longs détails que la destruction des centres dont l'
excitation
produit des mouvements définis, produit de la p
Le plus léger contact attirait l'attention, et un pincement ou une
excitation
dou- Fig. 36. LES LOCALISATIONS CEREBRALES. 4
s réunissant ensemble les noyaux bulbaires et spinaux. Quoiqu'une
excitation
modérée des centres corticaux des membres ne donn
l que du côté opposé; cependant, il ar- rive assez souvent que si l'
excitation
est augmentée, par les mou- vements se produisa
server l'absence ou le défaut de réaction des membres paralysés à l'
excitation
sensitive ; mais cela ne tient pas à un défaut
paralysé, et il manifeste sa mauvaise humeur si on le soumet à une
excitation
douloureuse, comme la piqûre d'une épingle. Le
comme la piqûre d'une épingle. Le contraste entre les reactions aux
excitations
sensitives du singe dont on a enlevé le lobe fa
eraient des centres indépendants d'activité sans rapport avec les -
excitations
des centres sensoriels de l'écorces. Des expérien
és. Marique prouve que les mêmes contractions sont obte- nues par l'
excitation
électrique des centres respectifs après comme a
ique, à part la paralysie de la face etdes membres. Les effets de l'
excitation
électrique combinés avec ceux de la destruction
i une paralysie temporaire des mouvements ~ qui se produisent par l'
excitation
électrique aussi, c'est-à-dire l'élévation des
sécution constitue un état stationnaire avec périodes de calme et d'
excitation
qui peut durer longtemps, quel- quefois toujour
s accès maniaques : on observe alors les symptomes ha- bituels de l'
excitation
maniaque, et au milieu de ce désordre, on ANNAL
Chez quelques déments séniles, en même temps que des pé- riodes d'
excitation
avec impulsions violentes, on observe souvent d
dans sa « théorie des hallucinations » attribue leur production à l'
excitation
de certaines partie de l'écorce grise du cervea
s'accompagne habituellement, en général au début, de phéno- mènes d'
excitation
cérébrale, surtout de nature sensorielle. L'inf
'ils appli- quent le mot Vcrriccktheit à la démence secondaire avec
excitation
et désordre dans les idées; ce mot convient aus
upart des cas, dila- tation pupillaire et réaction plus prompte aux
excitations
. Les réflexes de la conque auriculaire, des nar
at affectif avec une disposition tantôt à la dépression, tantôt à l'
excitation
. Sa SOCIÉTÉS SAVANTES. 463 marche est remarqu
oduite s'il existe une lésion du lobe occipital, et inversement une
excitation
de ce lobe produit des phénomènes analogues à des
e quelconque, par exemple la sécrétion de la salive consécutive à l'
excitation
de la langue d'un animal privé de l'écorce céré
xtrémités des nerfs du goût; un temps esL nécessaire pour que cette
excitation
se propage le long des nerfs centripètes de la la
qu'au centre de la sécrétion de la salive; il faut un .temps pour l'
excitation
de ce centre ; il faudra aussi un temps pour la'
n de ce centre ; il faudra aussi un temps pour la' propagation de l'
excitation
de ce centre jusqu'aux glandes de la salive ; fin
salive ; finalement un temps est nécessaire, pour que se produise l'
excitation
de -la glande salivaire et que la sécrétion de
réflexe physiologique pris comme exemple se compose des processus d'
excitation
des différents tissus y prenant part, lesquels
pressions que l'organisme reçoit des processus physiologiques, de l'
excitation
des appareils terminaux, des organes extérieurs d
anes extérieurs des sens et par le moyen de la propagation de celte
excitation
dans les centres de LE SIÈGE DES PROCESSUS PSYC
iques et psychiques sont ces régions du cerveau où la réception des
excitations
des organes des sens se fait d'abord ; les rela
actes psychiques les plus simples et primaires, - la perception des
excitations
des organes du sens ont lieu dans les centres du
es irritations extérieures. Si l'animal n'est pas influencé par des
excitations
externes suffisantes, il reste assis immobile p
ps de temps d'une durée indéfinie. Mais si on expose l'animal à une
excitation
, il montre les mêmes mouvements compliqués que
t inquiet, mais ne prêtait pas d'attention au lieu d'où provenait l'
excitation
; par contre les irritations tactiles et de dou
ssait, quelques pas autour de soi à gauche. A l'appel et à d'autres
excitations
il ne réagissait absolument pas, montrant par c
douleur, qui est localisée à un point déterminé du corps grâce à l'
excitation
de la peau locale tactile ou d'autres nerfs. Si
du nerf radical. Duchenne de Boulogne attribue la contracture à une
excitation
ve- nant du cerveau, l'excitation partant des p
gne attribue la contracture à une excitation ve- nant du cerveau, l'
excitation
partant des parois du kyste hémorragique cérébr
dans le sens général, mais la seconde,qui veut localiser le point d'
excitation
dans les parois du kyste hémorragi- 26 » NOICA
cru expliquer le phénomène de la contracture par simple phénomène d'
excitation
, parce qu'ils étaient convaicus des idées ancie
convaicus des idées anciennes que la contracture est la suite d'une
excitation
; les anciens disaient excitation du cerveau ; B
la contracture est la suite d'une excitation; les anciens disaient
excitation
du cerveau ; Bouchard dit excitation de la moelle
citation; les anciens disaient excitation du cerveau ; Bouchard dit
excitation
de la moelle. A celte époque d'autres auteurs c
te que la cause fondamentale de la contracture spasmodique serait l'
excitation
des cellules motrices des cornes antérieures de l
connaisse que les centres moteurs médullaires se trouvent en état d'
excitation
exagérée au cours de la contracture, ne se demand
érée au cours de la contracture, ne se demande pas d'où vient cette
excitation
comme Charcot et Vulpian ; il ne croit pas à une
t cette excitation comme Charcot et Vulpian ; il ne croit pas à une
excitation
par le tissu conjonctif du faisceau pyramidal dég
rs de la contracture les centres moteurs médullaires sont en état d'
excitation
, la force inhibitrice ou frénatrice du cerveau
ème nerveux qui sont excités pendant la contracture, d'où un état d'
excitation
, ce que disaient également Charcot et Bouchard.
devenait impuissante à isoler le mou- vement dans tous les cas où l'
excitation
se faisait sentir avec un certain degré d'énerg
excitation se faisait sentir avec un certain degré d'énergie, que l'
excitation
volontaire fût elle même très énergique, ou que
: « Il est clair que, du côté où a lieu le mouvement volontaire, l'
excitation
part de l'encéphale, et va mettre en activité l
les mus- cles du côté opposé, qui se contractent par syncinésie, l'
excitation
est tout entière d'origine médullaire ; c'est d
excite les cellules des cornes antérieures et le cerveau inhibe ces
excitations
, et s'il survient une lésion qui empêche l'influe
eux exagérés. M. van Gehuchten a apporté cette modi- fication que l'
excitation
vient du cerveau, par les voies cortico-ponto-
es. Dans la loi de Jackson-Bastian, nous voyons aussi qu'il y a une
excitation
des cel- lules motrices médullaires, comme dans
mmunication entre l'encéphale et la- moelle existe, autrement pas d'
excitation
du cervelet, ou du cerveau (van Ge- huchten) ;
dit mouvements associés par mouvement volontaire du côté sain, dit
excitation
, dit liaison entre l'encéphale et la moelle. Et
ire, ce qui n'est pas. Kraepelin (1) raconte qu'un marin, atteint d'
excitation
maniaque, s'était fait avec les accessoires de
a écrit des centaines de chansons dans le cours de quatre crises d'
excitations
, pendant les intervalles des- quelles il avait
RD. Les sphincters sont normaux. La sensibilité à la piqûre et à l'
excitation
électrique semble être assez bien conservée. On
lassiques, sont des contractions uni-mus- culaires, produites par l'
excitation
du tendon du muscle correspondant, ou de la zon
x et demi-membraneux. En percutant la crête iliaque on provoque une
excitation
dans les mêmes muscles et simultanément dans le m
, ont un arc représenté : 1" par une fibre centripète qui conduit l'
excitation
produite par la percussion d'un point osseux ;
du deltoïde, s'étendant au grand rond et au grand dorsal ; et, si l'
excitation
a été très forte, il n'est pas rare de remarque
oyaux d'origine, doivent exister pour expliquer la propagation de l'
excitation
dans les autres cas. Ce phénomène de propagatio
e l'avant-bras, à moins qu'il n'y ait réflectivité très exagérée et
excitation
très forte, mais alors il y a diffusion de l'ex
exagérée et excitation très forte, mais alors il y a diffusion de l'
excitation
à tous les muscles. La propagation se fait en h
utes ces attitudes on peut les provoquer cher un homme normal par l'
excitation
de deux réflexes osseux, quand ils existent, et i
omme nous venons de le dire, mais à condition que nous fassions ces
excitations
en même temps sur plusieurs points de l'organis
es. Même difficulté aux membres supérieurs. Mais si par une seule
excitation
périphérique suivie même de propaga- tion nous
ure, mode- lage, de l'auto-observation médicale, etc. A ces états d'
excitation
qui, très exceptionnellement, ont pris le carac
néral à la suite de Gilbert Ballet et Moebius, l'ex- pression d'une
excitation
thyroïdienne. Néanmoins myxoedème et insuffi- s
oedème et insuffi- sance thyroïdienne, comme syndrome de Basedow et
excitation
thyroï- dienne, ne sont pas synonymes, car, non
dow, est une réalité clinique que personne ne discute, tandis que l'
excitation
thy- roïdienne est une hypothèse qui l'explique
. Aussi je diviserai cette étude en trois groupes d'insuffisance, d'
excitation
et de perturbation thyroïdienne. 1. les TROUBLE
nations, comme l'a observé Pilez (de Vienne), du délire, des cris d'
excitation
, identiques aux troubles qui se produisent dans
est impossible. II. LES TROUBLES PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES d'
excitation
THYROÏDIENNE. Nous venons de voir'que dans les
mplexe est celui à étudier ici entre les trou- bles psychiques et l'
excitation
thyroïdienne, qui parait à l'origine d'un certa
craintes, angoisses, phobies, tachycardie, goitre, yeux brillants,
excitation
vaso-motrice et nausées. Sous l'influence de l'hé
ow complet ou fruste compliqués de troubles mentaux allant depuis l'
excitation
simple jusqu'à la manie ou la mélancolie agitée
t de causalité entre leurs symptômes psychi- ques élémentaires et l'
excitation
thyroïdienne. La démonstration de ce rapport s'
époques menstruelles et sous l'influence d'émotions, sont prises d'
excitation
, font des scènes, poussent des cris, disent des
plus forte raison le terme syndrome de Basedow n'est pas synonyme d'
excitation
thyroïdienne ; car tous les syndromes de Basedow
dromes de Basedow ne parais- sent pas au même titre être fonction d'
excitation
thyroïdienne et peut-être l'excitation thyroïdi
u même titre être fonction d'excitation thyroïdienne et peut-être l'
excitation
thyroïdienne entraîne-t-elle des effets pathologi
signale en effet des contractions du membre inférieur succédant à l'
excitation
du membre du côté opposé ;Slrumpell (2), un peu
teurs essayèrent de provoquer la contraction de ces muscles par des
excitations
autres que celles du (1) WESTPIIAL, Ueber einig
contraction du cré- master était plus énergique du côté opposé à l'
excitation
, et pouvait même ne pas s'accompagner de la con
xcité. Il a vu également des mouvements controlatéraux succéder à l'
excitation
de la plante du pied : flexion de la jambe et a
a force avec laquelle se fléchissent les orteils du côté opposé à l'
excitation
est extrêmement variable : ce n'est parfois qu'un
l n'ait commencé le sien. Dans certains cas, d'un côté seulement, l'
excitation
de la plante du pied provoquait la flexion des
0/0) ne le présentent pas'; 6 enfin (10, 5 0/0), ne l'ont quepar l'
excitation
d'un des pieds. Ainsi donc, près de 30 0/0 des
Pflûger : si on porte chez lui, sur un point limité le mini- mum d'
excitation
, le premier mouvement réflexe ne portera plus seu
is : les mouvements seront d'abord bilaté- raux ; ce n'est que si l'
excitation
est très forte, ou que si l'excitabilité médull
ez eux, comme chez la grenouille dont la tête a été sectionnée, une
excitation
légère provoque des réactions bilaté- rales. L'
les hémipégiques le réflexe plantaire controlatéral ? On sait que l'
excitation
de la plante du pied du côté paralysé provoque
qui tout à l'heure s'étendaient, se fléchissent, mainte- nant que l'
excitation
part du côté indemne. Le terme de réflexe plantai
e datant de plusieurs années, j'ai noté le fait curieux suivant : l'
excitation
de la plante du pied paralysé donnait lieu de c
ed paralysé donnait lieu de ce côté à une extension des orteils ; l'
excitation
de la plante du pied normal provoquait, outre u
début juillet) dans notre service : 2 doivent être éliminées, car l'
excitation
plantaire provoque chez eux des mouvements trop
l'explication suivante du réflexe plantaire hétérogène. Lors- que l'
excitation
intéresse la plante du pied du côté malade, l'ord
lui du côté gauche, qui l'est beaucoup plus. A droite et à gauche l'
excitation
du pied provoque le réflexe de Babinski, mais l
gauche l'excitation du pied provoque le réflexe de Babinski, mais l'
excitation
du pied droit provoque la flexion de l'orteil g
n du pied droit provoque la flexion de l'orteil gauche tandis que l'
excitation
de la plante du pied gauche ne provoque aucun m
auche, paralysé à un très haut degré, doit être très altéré : par l'
excitation
de la plante du pied de ce côté nous constatons
nous constatons les mêmes phénomènes positifs et négatifs que par l'
excitation
de la plante du pied d'un hémiplégique aveccont
ade ne puisse le soulever qu'avec peine au-dessus du plan du lit. L'
excitation
de la plante du pied droit provoque l'extension
exion du pied sur la jambe, selon le mode aujourd'hui classique ; l'
excitation
de la plante du côté gauche provoque de ce côté
en même temps le gros orteil du côté droit s'étend ; mais par cette
excitation
le pied droit s'étend sur la jambe, au lieu de
impotent des deux : chez celui-ci le membre est presque sain, et l'
excitation
provoque un réflexe plantaire controlatéral de
ombre de sujets indemnes d'affection avérée du sys- tème nerveux, l'
excitation
de la plante d'un pied provoque des mouve- LES
de l'irradiation des réflexes de Pflüger. Chez les hémiplégiques, l'
excitation
de la plante du côté paralysé pro- voque en gén
é malade, et ne suscite aucun mouvement des orteils du côté sain. L'
excitation
de la plante du côté sain au contraire provoque
s l'excitabilité est exagérée du côté sain. Chez un paraplégique, l'
excitation
de la plante du pied du côté gauche, très paral
les mêmes lois qu'eux. Chez un autre paraplégique, au contraire, l'
excitation
du pied du côté le moins atteint, qui pourtant
ambe (dissociation du réflexe pathologique ordinaire), tandis que l'
excitation
de la plante du pied du côté le plus atteint ne
ulaire ne se produisent pas spontanément, mais sous la pression des
excitations
thermiques, chimiques, mécaniques, lumineuses o
ent de vie mourrait aussitôt, parce qu'il cesserait de recevoir les
excitations
qui lui donnent le mouvement, la vie, en provoq
microscopique. La matière vivante est plastique ; elle s'adapte aux
excitations
nouvelles qui lui viennent du milieu;ambiant; e
riabilité bien entendu, par des influences extérieures. Chacune des
excitations
a son action propre et l'édifice moléculaire vi
éculaire vivant est une résultante de l'ensemble des actions de ces
excitations
. Chaque variation dans la nature ou le degré de l
e a chacun d'eux. La matière vivante réagit donc. en présence d'une
excitation
ou d'un ensemble d'excitations données et toute
ivante réagit donc. en présence d'une excitation ou d'un ensemble d'
excitations
données et toute réaction est un changement plus
t plus ou moins durable de l'organisme cellulaire ou moléculaire. L'
excitation
impressionne l'organisme élémentaire, y laisse
trace plus ou moins per- sistante, y imprime son empreinte. Chaque
excitation
ayant son empreinte spécifique, celle-ci peut ê
s provoqué, la mo- dification de l'équilibre organique adéquate à l'
excitation
, son empreinte, persistera indéfiniment, si auc
ns l'organisme cellulaire, constitue pour celui-ci un souvenir de l'
excitation
. Il y a là un phénomène de mémoire élémentaire.
a cause a cessé d'agir et aussi longtemps qu'il ne se produit pas d'
excitation
nouvelle directement contraire ou opposée. Les ex
bre physico-chimique de l'organisme élémentaire. Après avoir subi l'
excitation
, celui-ci n'est plus dans un état identique à c
i fait sentir ses atteintes. Du moment que l'on admet l'action de l'
excitation
, son effet doit consister en un changement peti
on, puisque nous n'envisageons pas ici les conditions de lemps et d'
excitation
nécessaires pour obtenir des chan- gements auss
nature de la force excitatrice. L'organisme élémentaire réagit à l'
excitation
en se modifiant conformé- ment à la nature de c
ment à la nature de celle-ci ; il s'y adapte et s'y plie. Parmi les
excitations
qui peuvent l'atteindre, les unes sont habituel
des conditions extérieures ou intérieures. Si nous supposons que l'
excitation
inaccoutumée a fait sentir son action, non pas
re dans les conditions où il se trouvait au moment où il recevait l'
excitation
modificatrice.Il est toujours sous le coup de s
ou l'équivalent physiolo- gique et qui, en somme, la représente. L'
excitation
directe et l'empreinte organisée et vivante ne
constitution héréditaire ou acquise et celles que lui assignent les
excitations
inaccoutumées. L'organisme animal réagit en pré
ins, conservent l'aptitude à le produire en abondance à la première
excitation
et confèrent ainsi à l'être composé une proprié
'exécution d'un simple mouve- ment fournit une somme considérable d'
excitations
qui vont se répercuter dans les profondeurs de
êtres,élémentaires ou complexes,ne peuvent s'empêcher de réagir aux
excitations
qui les atta- quent de toute part, quelles que
sportant dans un autre milieu, c'est-à-dire en les soumettant à des
excitations
inaccoutumées. Il n'est pas toujours avantageux
Les effets pathologiques produits sur l'organisme complexe par les
excitations
qui l'entourent, n'importent donc qu'au point d
ls de l'être élémentaire ou complexe sous l'effort modificateur des
excitations
ambiantes peuvent se résumer en ummot, l'adapta
irs cellulaires, l'organisme n'a nullement besoin d'être imprégné d'
excitations
provocatrices développées dans son intérieur,il s
thermiques, lumineuses ou électriques qui résument tous les modes d'
excitations
connus et, d'autre part, que nous ne prenons co
ou un simple bruit, avec cette seule différence que l'ensemble des
excitations
qui en émanent sont représentatives d'une plus
, en modifiant son équilibre physico- chimique, comme le ferait une
excitation
simple et engendre l'habitude, l'imitation. La
né, la statique humaine est la ré- sultante de l'enchevêtrement des
excitations
qui l'assaillent et elle perdu- rera sans chang
viennent d'être étudiés et trouvés identiques absolument à ceux des
excitations
sim- ples ou complexes mais intérieures, puisqu
on pourrait appeler organique pour le distinguer du précédent, de l'
excitation
consi- (1) FÉnH : , Sensation et mouvement; - M
es influences morales, parce qu'elles se résolvent, à l'analyse, en
excitations
purement physiques sem- blables à toutes les au
entielle et dont l'énergie est mise en liberté sous l'in- fluence d'
excitations
appropriées. Les états d'âme sont si peu du moral
nique qui constitue une empreinte,une peinture physiologi- que de l'
excitation
externe et lui est énergétiquement équivalente ;
tiquement équivalente ; elle est active et reproduit, reforme cette
excitation
, en créant l'habitude et l'imitation, du moment
stible. Pour se soustraire à sa propre tristesse, on s'expose à des
excitations
gaies et l'on se rend au théâtre ou l'on assiste
tère est à son apogée chez les enfants et chez les sauvages. Autres
excitations
, autres effets ; autres milieux, autres physion
organique du rire par exemple est l'équiva- lent physiologique des
excitations
spécifiques et extérieures qui le condi- tionne
d'imitation. Mais ce pouvoir va s'exercer vis-à-vis de tou- tes les
excitations
,sans distinctions de bonnes et des mauvaises, des
symptômes pathologiques, il suffit qu'il vive dans une atmosphère d'
excitations
morbides. Celles-ci affectent l'organisme aussi b
d'états pathologiques ont eu pour cause un rêve et rien que cela. L'
excitation
et l'idée de cette excitation correspondent à un
our cause un rêve et rien que cela. L'excitation et l'idée de cette
excitation
correspondent à un seul et môme équilibre organ
le est plus agitée et plus nombreuse, c'est-à-dire qu'il y a plus d'
excitations
plus souvent répétées. III La névrose reconna
iés anor- maux par nous, ce ne sont toujours que des ripostes à des
excitations
, ri- postes toujours logiques et en rapport ave
sans cesse à les modifier et lesmettreen rapport avec la nature des
excitations
nouvelles. Quand on considère la diversité des
THOGÉNIE DES NÉVROSES 391 du milieu. Telle qui est armée contre les
excitations
faibles, succombe sous la pression de poussées
nt mutuellement et se confondent. En biologie j'ai employé le terme
excitation
pour désigner les in- fluences extérieures ou i
sont deux mots pour une même chose et que la sensation n'est que l'
excitation
de l'être complexe à fonctions différenciées. D
e cellulaire, une perturbation dans le mécanisme sous l'influence d'
excitations
trop puis- santes dont les répercussions trop é
e ses parents ; quelquefois même il menace de frapper. Ces crises d'
excitation
durent environ une heure ; un état de stupeur leu
e troubles psychiques variés, en particulier par des alternatives d'
excitation
hallucinatoire et impulsive et de stupidité. Ac
is, le 1" janvier 1S62. TRAVAUX DE L'AUTEUR De l'art de limiter l'
excitation
électrique dans les organes sans piquer ni incise
ale (Union médicale, 1852). Note sur l'influence thérapeutique de l'
excitation
électro-cutanée dans l'angine de poitrine (Bull.
est ce que je me réserve de démontrer en temps opportun). Eh bien ! l'
excitation
artificielle du premier muscle ne fait-elle pas n
e la possibilité de contractions dites réflexes, provoquées par toute
excitation
périphérique, de telle sorte que l'électrisation
urrait-il pas (me disait-on) que Vexpression qui se produit pendant l'
excitation
électrique d'un muscle quelconque fût le résultat
muscles qui possèdent une action indépendante, sous l'influence de l'
excitation
électrique, comme pour les mouvements volontaires
nnaissance parfaite de la méthode que j'ai inventée afin de limiter l'
excitation
électrique dans chacun des organes. Il est néce
z un -vieillard (voy. son portrait photographié, fig. 3). A droite,
excitation
électrique, à un degré modéré, du muscle frontal;
la ligne médiane pendant la contraction des deux muscles frontaux.
Excitation
électrique modérée des deux frontaux : attention.
expressive du muscle frontal, au maximum de contraction. A droite,
excitation
électrique, au maximum, des muscles frontaux : gr
ndaires (rides frontales, irrégulières et nombreuses) produites par l'
excitation
électrique forte du frontal, chez une femme âgée
nombreuses et moins prononcées à droite qu'à gauche; cela dépend de l'
excitation
un peu moins forte produite par l'un des pôles (l
ette contraction ait été provoquée par un courant électrique ou par l'
excitation
venant de l'âme, la volonté. Enfin, clans son esp
eur. A l'appel de ce muscle, on a vu apparaître, à l'aide d'une forte
excitation
sur la physionomie, l'expression d'une pensée som
ourcilier n'a pas produit de ligne médiane sur le front. Le maximum d'
excitation
a fait paraître chez la plus âgée un léger pli mé
ns toute sa largeur, j'ai fait contracter son sourcilier droit. A une
excitation
modérée de ce muscle, le modelé du sourcil et du
ù le sourcil droit est cependant plus élevé qu'à l'état normal, par l'
excitation
électrique du frontal. Cette courbe, qui reflète
ssif n'a eu lieu que du côté gauche, et cela sans l'intervention de l'
excitation
électrique. Une explication qui fasse connaître
la manière dont elles sont éclairées. Ainsi, dans la figure 26, où l'
excitation
électrique du sourcilier est beaucoup moins forte
le a pris une expression de souffrance d'autant plus prononcée, que l'
excitation
a été plus forte. On constate ce fait en regardan
ures 3, 6, 7, 8, 9, 12, 13, U, 17, 18, 19, 20, 21 et 22). A droite,
excitation
électrique, forte parfaitement limitée dans le gr
atique : rire faux. A gauche, repos de la physionomie. Fig. 31. —
Excitation
électrique un peu plus forte des deux grands zygo
ement léger de la commissure de la lèvre du côté gauche). A droite,
excitation
électrique assez forte du grand zygomatique avec
A droite, excitation électrique assez forte du grand zygomatique avec
excitation
légère des palpébraux ; développement des lignes
ction volontaire, légère des palpébraux : rire méprisant. A gauche,
excitation
électrique forte du triangulaire des lèvres, asso
chaque côté. Il m'est arrivé quelquefois de localiser exactement l'
excitation
dans ce muscle, comme dans le côté droit de la fi
é-braux, en même temps que le grand zygomatique. La figure 30, où l'
excitation
électrique est parfaitement localisée dans le gra
nt complètement représentés sur la figure 31. Cette figure 31, où l'
excitation
pratiquée des deux côtés à la fois est plus forte
s palpébraux se sont contractés ; ce qui ne peut avoir lieu que par l'
excitation
du filet moteur de ces muscles. 11 m'eût été faci
les. 11 m'eût été facile d'éviter ce filet nerveux et cle localiser l'
excitation
électrique dans le grand zygomatique, comme du cô
gré ces conditions défavorables, on voit dans la figure 39 que, par l'
excitation
électrique de son transverse du nez, unie à celle
7,18, 19, 20, 21, 22, 30, 31, 32, 33, 34, 37, 38, 39, A3, lia, 45).
Excitation
électrique assez forte du petit zygomatique gauch
évateur propre delà lèvre supérieure, chez le même sujet. A gauche,
excitation
électrique du petit zygomatique et contraction vo
phincter dos paupières : pleurer franc, à chaudes larmes. A droite,
excitation
électrique de l'élévateur propre de la lèvre supé
u petit zygomatique et du sourcilier, chez le même sujet. A gauche,
excitation
électrique du petit zygomatique et du sourcilier
hez une femme jeune (représentée dans les fig. 35 et 36). A droite,
excitation
électrique du petit zygomatique et du sphincter d
n'est pas toujours facile ni môme possible de localiser exactement l'
excitation
électrique dans le petit zygomatique : l'expérien
racter le petit zygomatique, sans produire l'occlusion de l'œil par l'
excitation
du sphincter des paupières, bien que le rhéophore
lectrisés sans que ce dernier muscle se contracte en même temps; leur
excitation
partielle est possible seulement lorsque le peauc
ns nos hôpitaux, d'animer devant de nombreux témoins, en localisant l'
excitation
électrique dans chacun de ses muscles, et sur laq
re à mettre en relief les lignes expressives qu'il veut peindre par l'
excitation
électrique ; ensuite il procède h la mise au poin
ivement à une expression artificielle produite, du côté opposé, par l'
excitation
électrique. Aux personnes qui voudraient les ré
pas partiellement à la volonté, et qui se contractent seulement par l'
excitation
rétlexe des passions, ou sous l'influence de l'él
éalisme anatoinique tout quel entre en action sous l'influence de l'
excitation
aux plaisirs de l'amour. Ce sont des figures d'ho
cieux amoureux. 11 m'eût été facile d'ailleurs de diminuer le degré d'
excitation
électrique du triangulaire. 3° Chez ces deux fe
semblance entre Duncan et son père endormi.) Au delà cle ce degré d'
excitation
, le pyramidal du nez a, dans la figure 82, altéré
e (voyez son portrait, fig. h), que j'ai pu à peine, malgré une forte
excitation
de ce muscle, abaisser la tête de son sourcil (vo
tie scientifique), j'ai dû employer un courant intense, tandis qu'une
excitation
comparativement beaucoup plus faible du pyramidal
sont-elles restées immobiles, comme du côté opposé. J'ajouterai que l'
excitation
électrique au maximum peut être également bien lo
M™0 IL, 42 ans. Après uue période de confusion mentale (1898) avec
excitation
maniaque, a laquelle a fait suite une phase de
de paralysie générale depui* 1902, est constamment dans un état, d'
excitation
très marqué qu'entretiennent des hallucinations
énéral déprimé et hypocondriaque. Chez trois paralytiques en état d'
excitation
, l'effet du mé- dicament a été à peu près nul,
d'induction, on lié termine les zones de l'écorce du cerveau dont l'
excitation
produit des mouvements 18 REVUE D'ANATOMIE ET D
droit, qui siégerait dans le territoire du centre du facial, dont l'
excitation
provoque des mouvements associés des yeux (Frit
périphérie constam- ment exposée il l'action des forces partent des
excitations
qui sont constamment conduites au sein des cell
mouvement associé (i-émulant de muscles synergiques. Il émane de l'
excitation
du noyau du fa- cial oculaire qui irradie par l
Février 1905 N"110 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CUMQt'E MENTALE De l'
excitation
sexuelle dans les psychopathies anxieuses ; I
, - extrêmement touffu, est bien connu, il convient d'ajou- ter l'
excitation
génitale. Divers auteurs ont récemment signalé
és, l'angoisse amène les excita- tions génitales. Chez les uns, ces
excitations
sont en rapport avec les obsessions érotiqucs ;
énéral, abolies, sauf chez quelques individus qui, en proie à une
excitation
génésique d'origine purement organique, se livr
romes psychopathiques assez variés au cours desquels j'ai observé l'
excitation
t sexuelle étaient de couleur mélancolique, il
diaques, respiratoires, boulimiques, pseudo-angineuses ; crises d'
excitation
génitale. , Il) Ch, Fi'.ui ? L'excitation sexue
o-angineuses ; crises d'excitation génitale. , Il) Ch, Fi'.ui ? L'
excitation
sexuelle dans l'angoisse. (Revue neu- rologique
Cii.i.Kiim : . Traité pratique des maladies mentales. Pari- 1890.
EXCITATION
SEXUELLE DANS LES PS1'CHOPaTHIIS ANXIEUSES 83 F
uleur d'abord, cot)t))text< ? Eft/ ! oi)(OEeconc/ter, puis d'une
excitation
génitale qui aboutit il un orgasme voluptueux c
de dyspnée paroxystique, de pseudo-angine de poi- trine, el enfin d'
excitation
dans la sphère génitale de na- ture à la fois p
t vraisemblablement passée au délire systé- matise d'hypocondrie. L'
excitation
sexuelle ne paraît être, dans le cas actuel, qu
c crises anxieuses qui, lorsqu'elles onL al- feintau paroxysme de l'
excitation
, se transforment en fureur alel' illlp1JI,iou a
les plus violentes et les plus incoercibles. Ici, les phénomènes d'
excitation
génitale ne nous sont révé- lés qu'avec réticen
fusion mentale panophobicluu ; an- xiete continue et gémissements ;
excitation
génitale intense et prolongée. - ]L.. Ügé dl'
solution n'a pas apporté à son e- prit le calme désiré. Peu a peu l'
excitation
cérébrale a pris des proportions de plus en plu
iques intermittents avec gémissements continus dans l'intervalle.
EXCITATION
SEXUELLE DANS LES PSYCHOPATHIES ANXIEUSES 87 21
il son sujet l'observation sui- vante : Alternatives de calme et d'
excitation
maniaque avec, im- pulsions violentes. Désordre
coliques S8 CLINIQUE MENTALE g'émisscurs de Morel (l). Sa crise d'
excitation
génitale, purement épisodique, coïncide avec le
anophohie, coufllion lI1enlalt', automatisme, anxiété continue avec
excitation
sexuelle. ' Jl..., l'I·mme .1..., 4l an, o·l ar
traits toujours anxieux, la bouche à demi-ouverte. Celte crise d'
excitation
génitale avec masturbation dure plusieurs jours e
rs qui répondent de point en point aux descrip- tions classiques. L'
excitation
sexuelle s'y présente d'a- bord sous une forme
avec ma- noeuvres onanisliques appropriées, puis il semble que le
EXCITATION
SI : \1 ELLE 11VXS LES PSl'CHOP.1'l'IIII : S ANXI
VXS LES PSl'CHOP.1'l'IIII : S ANXIEUSES 91 gesle provoqué par celte
excitation
particulière devienne peu à peu automatique et
s, chimie, iiiauifesle un délire religieux incnlnrnn(. - 26 juin.
Excitation
maniaque légère; divagations religieu- ses inco
décembre. Depuis la noie précédente alternatives de stupidité et d'
excitation
maniaque par courtes crises, parfois quo- tidie
t qui se fait sur la terre. » Eu même temps se développe une grande
excitation
génitale ; tout en gémissant, il demande à gran
q ans. nous observons une phase de délire mystico-melancolique avec
excitation
; une phase de stupidité prolongée, des crises
rrésistible au suicide, et enfin des crises d'anxiété violente avec
excitation
génésiquc énor- me, se l'épélanl il diverses re
ement mettre un terme. Ce parallélisme parlait de l'anxiété et de l'
excitation
libidineuse permet d'y voir quelque chose de pl
orphe de longue durée au cours de laquelle éclate de l'anxiété avec
excitation
sexuelle. ( : ... 1 ! ) ans, admise le 20 juin
parents en aversion, de- vient irritable, munife-le par accès de l'
excitation
délirante qui finit par nécessiter son placemen
des accidents llll'n- lauxd'un PUI)IIlUl'phislIle 1',\ ! l'èll1C :
excitation
11lnlliallUea\l'c dl'- sordre des actes, périod
délire de (le tien semble évoluer vers la démence. Ici encore l'
excitation
sexuelle coïncide exactement avec la crise anxi
" L ? ion mélancolique a\ec délire de négation; crise anxieuse avec
excitation
sexuelle intense. F... ,Jean, 70 ans, culLiwteu
lui dérober ses recolles, puis s'exaltant, peu à peu tomba dans une
excitation
maniaque qui se traduit, actuellement par de l'
e et simple, mais rentre légitimement dans le cadre des vésanies; l'
excitation
sexuelle, constatée an cours de l'observation,
irc, comme dans les cas ordinaL- res de démence athéromateuse, où l'
excitation
génitale se montre si commune. 11 s'agit, en ré
mmun. 11 y a d'abord l'association des deux symptô- mes, anxiété et
excitation
sexuelle. Celle dernière est un phénomène assez
n originelle et d'une émotivité maladive. Qu un épuisement momen-
EXCITATION
SEXUELLE DANS LES PSYCHOPATHIES ANXIEUSES 97 ta
i- semblable, en clfet, que cette association morbide, anxiété et
excitation
génitale, relève, quels que soient les cas clin
t être invoquée dans l'espèce. Dans nos observations, en effet. l'
excitation
sexuelle se produit, non pas comme phéno- mène
station secondaire et subordon- née. Toujours l'anxiété a précédé l'
excitation
génitale. L'expérimentation a démontré qu'il ex
psychologique dont le reten- tissement organique est l'angoisse ; l'
excitation
du cen- tre cortical des fonctions sexuelles ne
s. Nous avons bien pu constater chez plusieurs de nos malades que l'
excitation
génitale engendrait des pensées érotiques mais
ait indubila- blement tous les signes d'une paralysie générale, acc
excitation
maniaque aiuu. Lm : yail l'ul yneLiunW sur l'ex
amollissement cérébral. (Jetait a son entrée un dément sénile, avec
excitation
maniaque inler cu rre u te. A partir du maria
iques, dirigés sur certaines ré- ¡ ? ions de la tète, déterminent l'
excitation
des centres correspon- pondants du cerveau, aud
e louL l'organe psychique, ils sont en étal de sentir nettement des
excitations
qui restent inaperçues pour les autres. Tous le
res du facial inférieur, lien est de même chez le chien. En outre l'
excitation
de l'écorce réa- git des deux côtés sur toutes
oquer et d'aug- menter l'agitation. S'il met à l'abri des sources d'
excitation
exté- rieures, l'action de la cellule est infid
etret doit être envisagé lui-même, non pas comme le résultat d'une
excitation
génitale exagérée mais comme une véritable moda
ienter. a) La stéréotypie est un des caractères fondamentaux de l'
excitation
du dément précoce, tandis que ce caractère n'ap
du dément précoce, tandis que ce caractère n'appartient guère à l'
excitation
dit maniaque ni même à celle du paralytique gén
aniaque ni même à celle du paralytique général . Et tout d'abord, l'
excitation
du dément précoce, aussi bien dans les paroles
, un inépuisable défilé de mouvements. Il ne s'agit, plus ici d'unc
excitation
uniforme et pauvre dans ses manifestations, mai
c excitation uniforme et pauvre dans ses manifestations, mais d'une
excitation
mobile etcssen- tiellement polymorphe. Cc n'e
st-à-dire l'absence de con- tenu idéo-alfeclif. Chez le maniaque, l'
excitation
motrice est la traduction directe d'une excitat
z le maniaque, l'excitation motrice est la traduction directe d'une
excitation
intellectuelle ; elle ne fait qu'extérioriser l
et volilionnelles du sujet. Chez le dément précoce, au contraire, l'
excitation
motrice sc tra- duit en dehors de l'activité ps
volonté d'arrêt, et seulement chez les malades toujours en état d'
excitation
, alors que la plupart, déprimés en général,ne son
o a ec le curare semblent indi- quer que ces troubles relèvent de l'
excitation
et non de la dépres- sion. Pour Ducceschi et Se
es lésions du labyrinthe : cet organe étant toujours dans un état d'
excitation
Ionique sous .l'influence du cervelet « le cervel
t excite ainsi, par la tunique in- terne, le nerf dépresseur. Cette
excitation
diminue, par action réflexe, l'activité du cent
upérieure de la circon- volution antccruciale, d'une surface dont l'
excitation
exagère vi- siblement la sudation du côté oppos
te à ce moment chez elle de la débilité mentale, des alternatives d'
excitation
et de dépression, de rhjstéro-épilepaie avec hé
culaire ; par M. SCHAIKEWITSCH. (Oborenie psichiatrii, VU, 1902.)
Excitation
directe de cet organe à l'appareil du Bois-Heymon
ion motrice. Examens confirmatifs à la méthode de \Iarclii-Busch. L'
excitation
du noyau après ablation couche par couche de l'
des muscles du tronc et des extrémités, d'abord du côté opposé à l'
excitation
, puis, si l'on renforce le courant, aussi du mê
s postérieurs. Fréquente rotation de la tête ducutéopposé eL cri. L'
excitation
du segment interne et du noyau caudé fournil le
se ralentir ; généralement, un soupir plus un moins profond suit l'
excitation
et précède ce ralentissement. Insignifiante élé
r le dia- gnostic ; sur l'augmentation du tic sous l'influence de l'
excitation
, de la fatigue, el sa disparition pendant le so
XV, X. F. XIII, 1(10 : .) Six observations prouvant ([lie de fortes
excitations
mÚca- niques successives des muscles paralysés
éterminent des contractions toniques survivant considérablement à l'
excitation
. Ce phénomène serait, il des degrés divers, pro
leurs dans le bas-ventre. En revanche, en une journée, phénomènes d'
excitation
sensorielle et tout le cor- lège de la polynévr
ts. Uss. 111. Jeune femme présentant les signes prodromiques de l'
excitation
des méninges par des tubercules dans la région
ième fron- tale, et du tiers inférieur de la frontale ascendante. L'
excitation
de ces centres moteurs détermine les mouvements
epatient te développement de l'atta- que d'épilepsie ; en cessant l'
excitation
, on fait cesser les mouve- ments c)ioreit'0 ! '
omplication accidentelle de la plaie tue le malade. En tout cas l'
excitation
de la région motrice du cerveau a cha- que ibis
ellement l'aspect de la confusion mentale hallucinatoire aiguë avec
excitation
(ancienne manie puerpérale) ; les formes chroni
ivant l'évolution du processus auto-to : \i(IUe, des formes aiguës (
excitation
maniaque pure ou hallucinatoire) et des formes
mence) ; 3" suivant les qualités physiques et mora- les du terrain (
excitation
maniaque, surtout chez les sujets jeu- nes et t
il'ps conlicnnenl dps appal'l'i ls 1]('1'- veux peripheriquesdont l'
excitation
par les vibrations mécani- clue, fmrnit une sen
cipalement à ce que nous avons affaire en l'espèce non il une seule
excitation
mais à une sommation d'excitations. 120 Il se p
aire en l'espèce non il une seule excitation mais à une sommation d'
excitations
. 120 Il se peut que la sensibilité vibratoire t
du psychisme inférieur. Un comprend aisément que par le fait d'une
excitation
exagérée, d'une destruction des arcs stéréo- ps
l't's qui partent descentres corticaux" de la sécrétion urinaire. L'
excitation
de l'écorce par le courant faradique el même l'
e zone, [dus grande quand on excite la seconde ? 4" Cnesuccession d'
excitations
diminue l'eU'elsécrétoire. 2" La re- section de
région motrice du cerveau. 7°'L'urine de l'uretère du côté opposé l'
excitation
a toujours une moindre densité que celle de l'u
érale des matières solides de l'urine en rapport avec le temps de l'
excitation
est supérieure dans l'urine du premier uretère.
les fonctions s mentales, les malades ne réagissant pas du tout au,
excitations
extérieures. Cette période est remplacée par un
'on l'abandonne, la position primitive. Il faut parfois cinq ou six
excitations
répétées pour obtenir un léger mouvement, mais
re, hal- lucinations, folie morale, affaiblissement intellectuel,
excitation
cérébrale, etc.). D'autre part se placent les m
airo; elle n'agi (qu'au commencement du second mois.'En revanche, l'
excitation
électrique de la partie externe du segment anté
'écorce avant les rentres vasomoteurs. A par- tir du second mois, l'
excitation
de l'écorce produit sur le système cardio-ascul
rai, dans l'espèce, de chiens non curarises. A partir du 3s mois, l'
excitation
dp la couche optique et du noyau caudé produit
des animaux plus âgés. Ilary a montré que chez beauconp de chiens l'
excitation
de l'écorce provoque des mouvements francs nett
e l'écorce provoque des mouvements francs nettement déterminés. L'
excitation
de l'écorce se traduirait donc, avant tout, par d
le, car la contrac- tion pupillaire observée est déterminée par une
excitation
qui possède les mêmes qualités que celle qui a
re se ferme par action réflexe. La pupille se di- late quand il y a
excitation
quelconque du trijumeau, pourvu qu'il ne se pro
l'influence de la mastication, de la parole, de la déglutition, des
excitations
extérieures : les points de Valleix sont incons
eillés de force du sommeil post-épileptique, par Guermann. 391.
Excitation
sexuelle. De l'- - dans les psychopathies anxie
i, 138. PSYCIIO ? 10'rlLl'ril. Voir Troubles. Psychopathies. Voir
Excitation
. . Psychoses. Voir troubles vis- céraux.De la
produit pas le mouvement réflexe du voile du pa- lais, il faut une
excitation
forte de la partie postérieure de la langue pour
t pré- cédés quelquefois d'une autre période plus ou moins longue d'
excitation
dans le domaine des nerfs qui vont être frappés
uite duquel apparaissent les symptômes sui- vants : surdité totale,
excitation
maniaque, hallucinations de l'ouïe et de la vue
de la compréhension des mots lus et de troubles de l'écriture. L'
excitation
maniaque et les troubles hallucinatoires s'amende
le service, nous constatons la surdité et l'exis- tence d'un état d'
excitation
maniaque très caractérisé. Dès le premier exame
ne réagit à aucun bruit. La parole spontanée porte l'empreinte de l'
excitation
ma- niaque, mais ne permet pas de constater de
tiens encore debout pour le bien, etc. » Pendant quelques jours l'
excitation
persiste : le malade va et vient continuel- lem
torquer sa signature. Il dort mal et gâte au lit. Le 12 décembre, l'
excitation
se calme et un examen plus complet peut être pr
SURDITÉ CORTICALE AVEC PARALEXIE ET HALLUCINATIONS DE L'OUÏE 41 d'
excitation
mais il n'y a point de symptômes paraphasiques es
er le mot imprimé, « Chevalier » il écrit Onmy manuscrit. 6° Si l'
excitation
est en décroissance, il persiste, encore des idée
e d'hallucinations de l'ouïe très actives, qui dénotaient un état d'
excitation
de ce même centre. Ces hallucinations se sont p
toutes les trois ou quatre semaines. La fréquence des phénomènes d'
excitation
corticale dans le cas d'hydatides du cerveau a ét
entait un délire hallucinatoire (sur- tout d'origine auditive) avec
excitation
maniaque, assez analogue au délire post-paroxys
d'examiner les muscles de l'avant-bras et de la main au moyen de l'
excitation
électrique, pour rechercher leurs analogies avec
otamment bien représenté. Nous avons cherché aussi à explorer par l'
excitation
électrique la distribu- tion des nerfs médian,
.. s'étant mal prêté à cet examen les résultats ont été peu nets. L'
excitation
por- tée sur le trajet habituel du nerf cubital
r de sen- sations dans l'extrémité du membre; au contraire, quand l'
excitation
était portée sur le trajet du nerf médian ou du
on et en diminution psychiques. A aucun moment, G... n'a présenté d'
excitation
ni de dévia- tion intellectuelles : à aucun mom
et, comme ces cellules, ils.se rétracteraient sous l'influence des
excitations
suffisantes. J'ai montré en effet, dans un tra-
clion des muscles ne se produit, que lorsqu'on fait naître, par une
excitation
, un nombre considérable d'ondulations nerveuses.
er en avant, puis les retirer brusquement, comme sous l'effet d'une
excitation
électrique rythmée, et juste suffisante, des ex
haque caractère. RECHERCHES EXPÉRIMENTALES SUR LA FATIGUE PAR LES
EXCITATIONS
DE L'ODORAT, PAR CH. FÉRÉ, Médecin de Bicêt
tre. * Des expériences antérieures (1), relatives à l'influence des
excitations
sensorielles sur le travail ont montré qu'en gé
ons sensorielles sur le travail ont montré qu'en général toutes les
excitations
recherchées comme agréables déterminent une aug
un temps variable suivant la qualité, l'intensité et la durée de l'
excitation
. Les mêmes expériences répétées avec des excita
t la durée de l'excitation. Les mêmes expériences répétées avec des
excitations
pénibles ont montré un effet immédiat tout diff
uvoir d'exécuter le même mou- vement volontaire. ' Les effets des
excitations
sensorielles se montrent du reste très diffé- r
état du sujet au moment où elles agissent. Dans la dépres- sion une
excitation
généralement pénible et déprimante peut avoir un
On pouvait se demander si sur un sujet préalablement ex- cité, une
excitation
ordinairement tonique devenait dépressive. L'étud
e excitation ordinairement tonique devenait dépressive. L'étude des
excitations
prolongées était propre à la solution du problème
hologique, 1901, p. 69). -Elude expéri- mentale sur l'influence des
excitations
agréables et des excitations désagréables sur l
de expéri- mentale sur l'influence des excitations agréables et des
excitations
désagréables sur le travail (ibid., p. 88). Not
n avec le travail fourni dans les expériences actuelles. Toutes les
excitations
sensorielles peuvent être utilisées (2). On s'e
être utilisées (2). On s'est servi dans cette série un peu longue d'
excitations
de l'odorat qui ont paru les plus inoffensives.
vail. Ce n'est pas constamment au moins la meilleure condition de l'
excitation
. Dans les expériences actuelles, on a fait comm
l'excitation. Dans les expériences actuelles, on a fait commencer l'
excitation
avec le travail, puis on a augmenté progressive
n avec le travail, puis on a augmenté progressivement la durée de l'
excitation
préa- lable. Dans toutes les expériences on a f
citation préa- lable. Dans toutes les expériences on a fait durer l'
excitation
pendant toute la durée de la première série de
u repos 22 kil. 53= 100. ..Dans un premier groupe d'expériences l'
excitation
a été faite avec une essence de cannelle de Chi
ffement artificiel de la télé, etc. (2) Note sur la fatigue par les
excitations
visuelles (C. R. de la Sou. de Biologie, 1901,
de la Sou. de Biologie, 1901, p. 668). Note sur la fatigue par les
excitations
du goût (ibid., p. 722). - Note sur la fatigue
excitations du goût (ibid., p. 722). - Note sur la fatigue par les
excitations
auditives (ibid., p. 749). - Note sur la fatigue
xcitations auditives (ibid., p. 749). - Note sur la fatigue par les
excitations
cutanées (ibid., p. 753). RECRIERCIIES SUR LA F
RCIIES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 329 Exp. I. -
Excitation
commençant avec le travail.' « 1re Série : Odeu
.' « 1re Série : Odeur d'essence de cannelle. 330 FÉRÉ Exp. IV.
Excitation
commençant huit minutes avant le travail. Odeur
l. Odeur d'essence de cannelle. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES
EXCITATIONS
DE L'ODORAT 331 3e Série : Sans excitation, 3
SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 331 3e Série : Sans
excitation
, 332 FÉRÉ repos insuffisant pour la réparatio
nce V, la seconde série faite dans les mêmes conditions, montre une
excitation
secondaire analogue à celle que nous avons sign
secondaire analogue à celle que nous avons signalée à la suite des
excitations
pénibles. Cette excitation secon- daire on la r
que nous avons signalée à la suite des excitations pénibles. Cette
excitation
secon- daire on la retrouve dans les 2e, 3e et
'une manière remarquable à la série suivante sous l'influence d'une
excitation
réputée pénible, produite par l'ammoniaque. Ce
te par l'ammoniaque. Ce qui ressort de ces expériences c'est qu'une
excitation
agréable qui a pour effet d'exalter la capacité
tait intéressant d'étudier de plus près les effets secondaires de l'
excitation
prolongée pour constater si elle dé- termine un
où le travail ergographique n'a été précédé ni accompagné d'aucune
excitation
. " C'est le médius droit qui travaille : Exp.
itation. " C'est le médius droit qui travaille : Exp. VII. - Sans
excitation
. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS
: Exp. VII. - Sans excitation. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES
EXCITATIONS
DE L'ODORAT 333 334 FÉRÉ Exp. VIII. - L'excit
TIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 333 334 FÉRÉ Exp. VIII. - L'
excitation
commence en même temps que le travail. po Série
SUR LA FATIGUE PAIt LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 335 7e Série : Sans
excitation
. 336 . FÉRÉ 4e Série : Sans excitation. REC
ORAT 335 7e Série : Sans excitation. 336 . FÉRÉ 4e Série : Sans
excitation
. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS
ÉRÉ 4e Série : Sans excitation. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES
EXCITATIONS
DE L'ODORAT 337 Exp. X. - Excitation commençant
ERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 337 Exp. X. -
Excitation
commençant 4 minutes avant le travail Hauteur N
LA FATIGUE PAII LES EXCITATIONS DE L ODORAT 33 ! J' 4. Série : Sans
excitation
. 340 FÉRÉ Exp. XII. Excitation commençant 12
L ODORAT 33 ! J' 4. Série : Sans excitation. 340 FÉRÉ Exp. XII.
Excitation
commençant 12 minutes avant le travail. Hauteur
rie : Odeur d'essence d'absinthe. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES
EXCITATIONS
DE L'ODORAT 3 li 1 7° Série : Sans excitation.
R LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 3 li 1 7° Série : Sans
excitation
. 342 FÉRÉ 3e Série : Sans excitation. RECHE
RAT 3 li 1 7° Série : Sans excitation. 342 FÉRÉ 3e Série : Sans
excitation
. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS
ÉRÉ 3e Série : Sans excitation. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES
EXCITATIONS
DE L'ODORAT 343 9e Série : Sans excitation. 0
SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 343 9e Série : Sans
excitation
. 0 ta. a- Fio. 1. I. Série d'ergogrammes
n. 0 ta. a- Fio. 1. I. Série d'ergogrammes pris au repos sans
excitation
donnant un travail total de 22 kilogrammètres 14
mière série de l'expérience XIV). RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES
EXCITATIONS
DE L'ODORAT 34 ? 31 Série. zig FÉRÉ - 9° Sé
1 Série. zig FÉRÉ - 9° Série. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES
EXCITATIONS
DE L'ODORAT , . 347 Fig. 2. zizi. Série d'ergog
izi. Série d'ergogrammes pris au repos et une heure après 2 minutes d'
excitation
de l'odorat par l'essence d'absinthe, donnant u
- III. Série d'ergogrammes pris au repos une heure après 4 minutes d'
excitation
de l'odorat par l'essence d'absinthe, donnant u
. Série d'ergogrammes pris au repos, et une heure après 8 minutes d'
excitation
de l'odorat par l'essence d'absinthe, donnant un
V. Série d'ergogrammes pris au repos et une heure après 12 minutes d'
excitation
de l'odorat par l'essence d'absinthe, donnant u
travail de 9 k. 69 (Exp. XVIII). RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES
EXCITATIONS
DE L'ODORAT 349 Exp. XVII. - Excitation de 8 mi
HES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 349 Exp. XVII. -
Excitation
de 8 minutes précédant le travail de 1 heure. O
action déprimante persistante. Dans ces expé- riences la durée de l'
excitation
a été uniformément de 8 minutes et le travail n
8 minutes et le travail n'a commencé qu'une heure après la fin de l'
excitation
. Exp. XX. - Excitation de 8 minutes (odeur d'as
n'a commencé qu'une heure après la fin de l'excitation. Exp. XX. -
Excitation
de 8 minutes (odeur d'asa /oe< : ft) précéda
précédant le travail de 1 heure RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES
EXCITATIONS
DE L'ODORAT 351 Exp. XXII. Excitation de 8 minu
RCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 351 Exp. XXII.
Excitation
de 8 minutes (odeur de musc) précédant le travail
a donné les résultats suivants : RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES
EXCITATIONS
DE L'ODORAT 353 malaises qui peuvent aller jusq
ux qui ont recours aux parfums pour s'exciter sont des besoigneux d'
excitation
générale : ils ne se bornent pas à exciter leur
considère les manifestations différentes de l'effet immédiat d'une
excitation
de courte durée d'une odeur et l'effet d'une ex
édiat d'une excitation de courte durée d'une odeur et l'effet d'une
excitation
prolongée. (1) Cii. Féré, La pathologie des émo
la brève évolution, à travers des phases successives de latence, d'
excitation
, de convulsion, de coma, etc., aboutit la mort.
r le médius gauche respectivement. Exp. I. --Médius droit. - Sans
excitation
ni activité associées. FÉRÉ L'INFLUENCE SUR U
DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES MUSCLES 435 Exp. IL - Médius gauche. - Sans
excitation
, ni activité associées. 436 FÉRÉ L'INFLUENCE
Fic.. 1 b. - Travail du médius gauche après un repos complet, sans
excitation
. 91 ki- logrammètres, 79 = 100. - Décroissance
posé. Les diagrammes 4 a (Exp. VII) et 4 b (Exp. VIII) montrent une
excitation
durable du travail. Et on voit que quand la fatig
même temps que des mouvements de la jambe du même côté montrent une
excitation
plus forte ; mais les diagrammes 6 a(exp.X) et
t aussi un changement de courbe de la fatigue et par conséquent une
excitation
momentanée. L'intervention ultérieure des mouve
ents de mastication provoque encore dans ces quatre expériences une
excitation
relative d'autantplus forte que la dépression ava
avail a été faible au débutplus la dépression est rapide. Comme les
excitations
sensorielles, l'excitation autochtone par l'act
lus la dépression est rapide. Comme les excitations sensorielles, l'
excitation
autochtone par l'activité volontaire permet de
bsinthe, 121 k. 38. Comme dans tous les faits suivants relatifs aux
excitations
sensorielles et aux poisons nerveux, la décrois
vail fourni par le même procédé d'exploration sous l'influence de l'
excitation
par une activité volontaire, et le travail fourni
ar une activité volontaire, et le travail fourni sous l'influence d'
excitations
sensorielles diverses et par les poisons ner- v
nos expériences récentes le plus favora- bles sous l'influence des
excitations
sensorielles ou toxiques diverses nous voyons q
du membre inférieur gauche, 133, 86, soit en moyenne 162, 67. Les
excitations
les plus favorables avec les excitations sensorie
it en moyenne 162, 67. Les excitations les plus favorables avec les
excitations
sensorielles don- nent : odorat (1), essence d'
e (2), lumière (1) Recherches expérimentales sur la fatigue par les
excitations
de l'odorat (Nouv. Icon. de la Salp., 1901, p.
Icon. de la Salp., 1901, p. 334).. (2) Note sur la fatigue par les
excitations
visuelles (C. R. Soc. de Di-1., 1901, p. 671).
oucher (3), sinapisme, 90,15 (Fig. 11); soit en moyenne 109,78. L'
excitation
la plus favorable produite par l'alcool (dégustat
de vue de l'hygiène : c'est dans sa propre activité qu'on trouve l'
excitation
la plus efficace. Elle est aussi la plus inoffe
sement, un moyen de défense (9). . (1) Note sur la fatigue par les
excitations
auditives (ibid., p. 750). (2) Note sur la fati
itations auditives (ibid., p. 750). (2) Note sur la fatigue par les
excitations
du goût (ibid., p. 723). (3) Note sur la fatigu
excitations du goût (ibid., p. 723). (3) Note sur la fatigue parles
excitations
cutanées (ibid., p. 153). (4) L'influence de l'
emploi dévolue à tels de ses éléments constitutifs en vue de telles
excitations
venues du dehors. Les éléments nerveux pél iphé
e déterminer une paralysie atrophique ir- rémédiable, oususciterune
excitation
capable de provoquer, aucontraire, une exubéran
eurs indifférents, des voies ba- nales ouvertes à tous les genres d'
excitation
et totalement incapables d'en opérer le triage.
in 1900. 490 ' E. RAPIN consécutif à une altération - irritation,
excitation
- du centre trophi- que conjonctif du membre ab
I. INFROIT (2 fig., 6 pl. en photocollogr.), 128. Fatigue par les
excitations
de l'odorat (Re- cherches expérimentales sur la
et 354. Féré CH. Recherches expérimentales sur la fatigue par les
excitations
de l'odorat, 321. Féré CrI. L'influence sur l
. Je pose les rhéophores du côté opposé à l'affection pour éviter l'
excitation
du plexus brachial du membre malade. Je compte
coeur sont augmentées, quelle que soit la région du cou où porte l'
excitation
en haut ou en bas. Le pouls est plus fréquent q
te. C'est la seule mé- thode pour éloigner la surface qui conduit l'
excitation
au grand sympa- thique de l'insertion du muscle
on humérale que de l'articulation sterno-claviculaire pour éviter l'
excitation
du pneumo-gastrique comme je l'ai dit plus haut.
st soulevé par une contrac- tion assez forte du deltoïde, grâce à l'
excitation
du plexus brachial. Quant à la force du courant
cuue contraction dans les muscles des membres inférieurs ; mais les
excitations
éner- giques provoquent des mouvements convulsi
; par suite d'un certain effort vo- volontaire, ou par suite d'une
excitation
émotionnelle, un muscle faible peut produire un
deux côtés. Pas d'atrophie. Les muscles répondent normale- ment aux
excitations
électriques. Il n'existe pas de troubles appréc
ts se contractent; cette contracture peut disparaître par les mêmes
excitations
. M. Charcot et ses élèves expliquent ce fait pa
isés, (il s'agit de 10 malades hystériques) non seu- lement par des
excitations
tactiles mais aussi par des excitations senso-
es) non seu- lement par des excitations tactiles mais aussi par des
excitations
senso- rielles quelconques. Si nous envisageons
it d'une hémi-cont1'actufe, c'est-à-dire que sous l'influence d'une
excitation
sensorielle la moitié du corps du côté où l'excit
luence d'une excitation sensorielle la moitié du corps du côté où l'
excitation
a été por- tée, entre en contracture ; dans une
te de signaler ce fait important, trouvé par eux, il savoir que des
excitations
sensorielles quelconques peu- vent faire naître
employée par M. Hogyes et par moi-même. Nous avons employé comme
excitation
tactile le doigt ou le manche du marteau il réfle
risé, pour les ex- citations auditives, du diapason. Pour avoir des
excitations
visuelles M. Hogyes employait le morceau de pap
apier'blanc dans les différents méridiens. Pour étudier l'effet des
excitations
olfactives, nous avons fait usage d'un tampon i
a contracture se présentait sur le côté gauche. En faisant agir des
excitations
sur les deux côtés du corps, la contracture dev
tamment, je veux parler des contractures réflexes produites par des
excitations
acoustiques, gustatives, olfactives et tactiles e
ie de la Salpêtrière T VI, PL XLI. CONTRACTURES PRODUITES PAR LES
EXCITATIONS
VISUELLES. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES RÉFLEXE
n, il se produit : pendant l'état hypnotique sous l'influence d'une
excitation
sensorielle quelcon- que, une hémicontracture s
d'une excitation sensorielle quelcon- que, une hémicontracture si l'
excitation
est appliquée sur un côté du corps, et une cont
appliquée sur un côté du corps, et une contracture généralisée si l'
excitation
porte sur les deux côtés. Je commence la descri
ôtés. Je commence la description de mes expériences par l'étude des
excitations
tactiles. ' Excitations tactiles. a). Si je
iption de mes expériences par l'étude des excitations tactiles. '
Excitations
tactiles. a). Si je frictionne avec la hampe du
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE. b. La contracture siège au côté gauche, si l'
excitation
tactile est appli- quée à la face gauche. c.
ettent bien en évidence (I'1. XLII et XLIII). En variant le point d'
excitation
, l'évolution des contractures varie aussi, mais c
rs les muscles excités qui se contractent les premiers. Ainsi, si l'
excitation
était faite sur le pied droit, c'est une flexio
tôt suivi de la contracture des muscles du bras et de la face. Si l'
excitation
était appliquée sur la main, l'ordre du dévelop
de la contracture suit la propriété fonctionnelle; par exemple : l'
excitation
du bras produit en premier lieu une contracture d
s ? . Elles persistent sans se modifier, mais si nous employons une
excitation
nouvelle soit de la peau soit de l'ouïe ou des
ssi con- tracturés. Les contractures peuvent être détruites par des
excitations
quel- conques, il n'est pas nécessaire d'employ
citations quel- conques, il n'est pas nécessaire d'employer la même
excitation
qui a serv 1' a les produire ; ainsi je peux pa
ême excitation qui a serv 1' a les produire ; ainsi je peux par une
excitation
acoustique, près de l'oreille du même côté du c
ôté du corps, faire disparaître une contracture occasionnée par une
excitation
ladite. La disparition s'effectue aussi en 15-2
u côté gauche produit une -11 ém i con li-tctui-e,g;i Licli e. 2. L'
excitation
des parties correspondantes- du corps (par exempl
e généralisée. 3. La contracture produite peut être effacée par une
excitation
senso- rielle quelconque. 4. Si les muscles s
elconque. 4. Si les muscles sont seulement à l'état d'hypertonie, l'
excitation
re- nouvelée ne fait pas cesser cette hypertoni
de, ne gêne en rien la production des contractures-provoquées par l'
excitation
tactile, elles se produisent avec la même promp
t du corps, sans que l'autre côté se contracte ; seulement si celle
excitation
dure très longtemps, l'autre côté se contracte au
ion dure très longtemps, l'autre côté se contracte aussi. Parmi les
excitations
tactiles, je comprends aussi l'application de l'é
iampères ; elle est plus lente, si celui-ci n'a que 0, - 1 m. ap.
Excitations
acoustiques. Comme excitation acoustique, j'ai
i celui-ci n'a que 0, - 1 m. ap. Excitations acoustiques. Comme
excitation
acoustique, j'ai employé le diapason (Sol 3) dans
lisée se produit. Nous voyons donc, que les effets produits par les
excitations
acoustiques sont conformes à ceux des excitatio
produits par les excitations acoustiques sont conformes à ceux des
excitations
tactiles ; l'évolution des contractures est aus
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les recherches du transfert à l'égard des
excitations
acoustiques ont don- né des résultats assez cur
tion persiste. Les expériences suivantes prouvent la similitude des
excitations
acous- tiques et des excitations tactiles, en c
ivantes prouvent la similitude des excitations acous- tiques et des
excitations
tactiles, en ce sens, que le début des contractur
V & XLV. PHOTOTYPIE B1 ? THAUD CONTRACTURES PRODUITES PAR DES
EXCITATIONS
AUDITIVES ET VISUELLES. MORPHOLOGIE DES CONTR
tures acoustiques ; ce sont des sensations de la peau analogues aux
excitations
tactiles. Le son du diapason a un effet assez i
irection prise. Ce fait intéressant fût découvert par M. liogyes.
Excitations
gustatives. Les contractures provoquées par des
gyes. Excitations gustatives. Les contractures provoquées par des
excitations
gustatives se manifes- tent conformément à cell
s excitations gustatives se manifes- tent conformément à celles des
excitations
tactiles et acoustiques. 1. Si nous mettons du
auche dont les modalités sont analogues aux autres déjà décrites; l'
excitation
gustative du côté droit de la langue détermine
-à-dire sur les deux côtés, une contracture généralisée apparaît.
Excitations
olfactives. Il en est exactement de même pour l
ît. Excitations olfactives. Il en est exactement de même pour les
excitations
olfactives. Excitations optiques. Tous les ré
es. Il en est exactement de même pour les excitations olfactives.
Excitations
optiques. Tous les réflexes étudiés jusqu'ici,
e fait qu'ils apparais- sent toujours et exclusivement du côté où l'
excitation
agissait. Le diapa- pason vibrant à l'oreille g
langue, nous avions une hémi- contracture droite, etc. Seulement l'
excitation
bilatérale produisait une contracture bilatéral
ui). Tandis que les expériences déjà décrites démontrèrent, qu'ci l'
excitation
unilatérale de l'un quelconque des appareils sens
une contracture totale ou bilatérale. Donc, il faut admettre que l'
excitation
unilatérale du nerf optique produit une contrac
re suivante : Irritons la rétine latéralement, de-telle façon que l'
excitation
soit locali- sée exclusivement sur la moitié te
réflexes qui se rapportent à l'oeil droit, nous voyons que : 1. L'
excitation
de la macule jaune; (l'excitation étant portée da
eil droit, nous voyons que : 1. L'excitation de la macule jaune; (l'
excitation
étant portée dans le plan vertical passant par
ssant par la macule jaune) produit une contracture bilatérale. 2. L'
excitation
du côté nasal de la rétine droite produit une hém
al de la rétine droite produit une hémicon- tracture droite. 3. L'
excitation
du côté temporal delà rétine droite donne une hém
produire les réflexes rétiniens. Et voici ce qu'on observe : 1. L'
excitation
de la macule jaune, dans le plan vertical, produi
le. Ce qui s'accorde avec le résultat, que nous avons obtenu avec l'
excitation
de l'oeil droit. 2. L'excitation de la moitié t
at, que nous avons obtenu avec l'excitation de l'oeil droit. 2. L'
excitation
de la moitié temporale de la rétine gauche produi
rale de la rétine gauche produit une hémicontracture droite. 3. L'
excitation
du côté nasal de la rétine gauche produit une hém
e par celle-ci. 2. Une hémicontracture droite sera le résultai de l'
excitation
du côté nasal de la rétine de l'oeil droit ou d
lir le mécanisme des réflexes rétiniens de la manière suivante. L'
excitation
produite par la lumière, parvient le long du nerf
t aussi de l'écorce occipitale aux circonvolutions motrices. Donc l'
excitation
, produite par la lumière sur le côté nasal de l
équence parvient il l'autre côté, au lobe occipital gauche. D'ici l'
excitation
passe il l'écorce motrice gauche et puisque les
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. au-dessous du bulbe, il est évident, que l'
excitation
passe de nouveau au côté droit : ainsi le résul
xpliquons-nous la contracture bilatérale, qui se présente lors de l'
excitation
de la macule jaune ? Tout simplement par cette ra
ns l'arc du campimètre à 30 degrés vers le dehors, et procédons à l'
excitation
delà rétine vers le centre. Nous voyons qu'à 87
analogue à celle que nous voyons à la moitié droite. La marche de l'
excitation
vers le centre ne change pas la contracture bil
ite, pendant que ],hémicontrac- ture gauche se joint (seulement à l'
excitation
des points plus centraux de la rétine) à l'hémi
re gauche, du point de la rétine qui donne une catalepsie droite. L'
excitation
étant portée en haut du méridien vertical, nous a
iques de la rétine, tandis que la catalepsie gauche apparaît avec l'
excitation
des points de la rétine plus centraux, plus voi-
dans le méridien horizontal, nous obtenons d'abord (par suite de l'
excitation
d'un point plus périphérique) une hémicontracture
l'un des cercles nous produisons une hémicontractures droite, par l'
excitation
des points de l'autre cercle une hémicontracture
a série de points plus centraux constitue le lieu des points dont l'
excitation
produit une hémicontracture gauche. Sur la moit
tine aussi des points de deux espèces, situés sur deux arcs, dont l'
excitation
produit seulement une hémicontracture droite ou
uisant ces réflexes, car ces contractures mêmes apparaissent avec l'
excitation
des parties de la rétine qui ne fonctionnent pas,
1'PNOTIQUES 3 : H seulement des réflexes, des autres parties dont l'
excitation
éveille une sen- sation de la lumière. Ce dis
spasmodiques ; bientôt ces phénomènes firent place à une période d'
excitation
motrice, pendant laquelle la malade se déshabil
piration calme. La réso- lution n'est d'ailleurs pas complète : des
excitations
cutanées un peu fortes déterminent encore des m
conservés mais présentent la modification signalée par Babinski : l'
excitation
plantaire déter- mine des deux côtés un mouveme
minutes seulement. 'Ces crises sont provo- quées facilement par des
excitations
diverses et spécialement par des mouvements imp
er au cours de l'hémorrhagie sous-méningée. Parmi ces symptômes d'
excitation
il en est un, la déviation conjuguée de la tête
dans un mouvement d'extension des orteils sous l'influence d'une
excitation
cutanée de la plante du pied. Ce qui ressort le
de symptômes d'ordre différent. Les phénomènes de déficit et ceux d'
excitation
s'y rencontrent et s'y entre- mêlent ; les para
Il en résulte qu'il est d'ordinaire assez facile de s'assurer si l'
excitation
indiquée par le malade est exacte. On a encore
des accès maniaques et même en dehors d'eux, on peut constater une
excitation
génitale qui pousse le sujet à des excès vénéri
on observe de la frigidité et de l'im- puissance contrastant avec l'
excitation
génitale d'ordre psy- chique, assez fréquente a
ui ne se constate que dans certains cas. M. Voisin ajoute que cette
excitation
s'accentue à la première période et l'attribue
s'accentue à la première période et l'attribue à l'hypércsthëaie, l'
excitation
génitale, qui à la seconde période se manifeste
s fois', au contraire, il existe de l'agénésie. De tous les états d'
excitation
, nous apprend M. Sollier, la première période d
des paroles, mais encore par des actes. L'auteur constate que cette
excitation
génésique donne souvent lieu à des conceptions
ENS GÉNITAL DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 19 et Ritti sont d'avis que l'
excitation
génésique se produit presque invariablement pou
e, sont en général exagérées au début de la maladie, à la période d'
excitation
; la manière inconvenante dont leur satisfaction
d'actes crimi- nels. Plus tard, avec les progrès de la paralysie, l'
excitation
anormale et la fonction sexuelle s'affaiblissen
, dans les premiers stades de la maladie ainsi que dans les états d'
excitation
épi- sodique, habituellement accentué, parfois
quent et à entendre les autres, ces derniers les plus nom- breux, l'
excitation
génitale l'emporterait de beaucoup; mais ni ceu
des troubles dans le mécanisme de la copulation. Tout d'abord une
excitation
à tous les degrés arrivant même jusqu'au priapi
u- vent ces deux troubles de la copulation étaient associés à une
excitation
génitale assez marquée, au besoin plus répété de
s leur virilité. Je crois que si les auteurs insistent tant sur l'
excitation
génitale à la période prodromique de la paralys
plus grande est confirmée par ce fait que chez 5 sujets seulement l'
excitation
fut continue, chez les 30 autres elle a été int
on active du centre génital. Par contre l'éjaculation retardée avec
excitation
vénérienne a été vérifiée par nous à la période
s, opinion due sans doute à l'étalage que font ces malades de leurs
excitations
génitales; ce sont en réalité les formes dément
r cette seule forme mentale. En troisième lieu, à noter l'absence d'
excitation
génitale dans tous les cas à forme dépressive,
ns de reconnaître en grande partie erronée, de la prédominance de l'
excitation
du sens génital avec le délire expansif et l'ag
nce agitée, dépressive calme et dépressive agitée dans lesquelles l'
excitation
génitale ne fut jamais observée sont également
la chorée a été aiguë, mais en restant tou- jours apyrétique ; 4° l'
excitation
mentale se calmait à mesure que les mouvements
tres perceptifs ne sont en réalité que des centres de réception des
excitations
périphériques, nécessaires à la trans- formatio
motion stimulante, ou à une émotion calmante, s'il y a au contraire
excitation
. C'est le moyen de régenter son émotivité, et d
soit, laisse en nous une empreinte, une tendance à revivre sous une
excitation
moindre, à créer un commencement d'habitude. De
ez l'un d'entre eux qui se trouvait en période d'accès répétés avec
excitation
délirante lorsqu'il fut soumis au traitement, o
ait et sept mois après, les convulsions reparaissaient à la moindre
excitation
toxique ou autre. Sans m'engager en rien dans l
lètes et en série. Le 7 janvier 1892 survint sans crises un accès d'
excitation
maniaque qui dura quelques jours. Dans la suite
isolés ou associés entre eux, l'un cervical réagissant surtout aux
excitations
sensi- tives de la peau, l'autre bulbaire, réag
citations sensi- tives de la peau, l'autre bulbaire, réagissant à l'
excitation
lumineuse, sensorielle ? Quelle est l'action ex
onçu : « Affaiblissement intellectuel. Dépression mélancolique avec
excitation
par intervalles. Hallucinations de l'ouïe, refus
nt : « Affaiblissement des facultés avec dépres- sion mélancolique.
Excitation
passagère. Rieurs, propos incohé- rents. Inégal
msomnie persiste malgré le chloral. Bains, hydrothérapie. 29. - L'
excitation
continue. Ce matin, profitant d'un instant où e
ère. Elle s'est développée physiquement et a une mme superbe. Toute
excitation
religieuse a disparu, elle accueille facilement
istration de chloral et de bromure pour com- battre l'insomnie et l'
excitation
. La gymnastique, les exer- cices scolaires, les
é avec les différents sujets : chez les uns, l'alcool détermine une
excitation
immédiate ou tardive : chez-les autres l'action
atte excitée. Chaque séance dure une heure, avec des alternatives d'
excitation
et de repos de 5 minutes chacune; pendant les p
la substance chromatique est l'expression fondamentale de l'état d'
excitation
de la cellule. (illoiphologiscite Differelzzen
IX. Quatorze mois d'application du maintien au lit dans les états d'
excitation
psychique ; par Lion : '( Obozrénié psichialrü ,
s, installé le traitement au lit pour tous ceux qui présentent de l'
excitation
. On y a organisé un groupe de pièces destinées
appe aux dangers per- nicieux de l'isolement. L'alitement calme l'
excitation
psychique surtout celle qui est d'origine psych
i le plus favorablement'. L'alitement est continué jusqu'à ce que l'
excitation
ait disparu. Il n'a pas fallu pour cela plus de
contre ceux qui veulent l'en empêcher. Il entre à l'asile en élat d'
excitation
maniaque ; dès le lendemain il est calme et rai
XX. 168 SOCIÉTÉS SAVANTES. pu déterminer des points isolés dont l'
excitation
produisait sépa- rément les différents mouvemen
2° Fritsch et Hitzig ont trouvé une zone du lobe pariétal, dont l'
excitation
électrique donne -lieu à des mouvements associés
sait enfin que des mouvements des yeux peuvent être provoqués par l'
excitation
électrique des lobes occipitaux (sphère visuell
nçais. Renaudin considère la cellule « comme une cause permanente d'
excitation
, comme exagérant les con- séquences de l'état h
du transport du lit du malade dans la salle d'examen pour calmer l'
excitation
. Les bains prolongés durant plusieurs heures, l
r Charles BINET-SANGLÉ. La théorie, qu'on peut appeler théorie de l'
excitation
simple et par laquelle on a jusqu'ici prétendu
ssions sur les conducteurs (secousses clioréiques exagérées par les
excitations
cutanées; attaques d'épilepsie ou d'hystérie oc
ons cutanées; attaques d'épilepsie ou d'hystérie occasionnées par l'
excitation
de cer- taines zones, etc.) ; - 2° Soit par s
nt moins de faits inexpliqués, doit être préférée à la théorie de l'
excitation
simple. RECUEIL DE FAITS. Idiotie épileptique
viennent à se produire des maladies inci- dentes ou quelque phase d'
excitation
. Un second et un troisième groupe de malades qu
souvent les malades ne pouvant souffrir aucun contact, augmente l'
excitation
, s'accompagne de lésions, comme meurtrissures,
sous ce régime presque toutes non mortelles, d'autres formes avec l'
excitation
maniaque suivent leur cours d'une manière beauc
ve). 8. L'indication principale pour le repos au lit est l'état d'
excitation
des malades. Le régime au lit très prolongé et
es glandes thy- roïdes des animaux mis en expérience, les lésions d'
excitation
sécrétoire, et l'issue de la matière colloïde h
e principal rôle du système nerveux est dans la transformation de l'
excitation
reçue. Les centres récepteurs (sensitivo-sensor
véritables transformateurs et producteurs d'énergie nerveuse. Une
excitation
périphérique atteint l'extrémité du nerf. La vi
l'a produit, de même que celui-ci est exactement correspondant à l'
excitation
qui l'a déterminé, quoique la nature de cette e
ondant à l'excitation qui l'a déterminé, quoique la nature de cette
excitation
soit tout à fait différente de celle du courant
centres récepteurs de l'écorce est dans un rapport constant avec l'
excitation
provocatrice. En se propageant à travers le sys
ration lumineuse, thermique, sonore, chimique ou électrique, ou une
excitation
purement mécanique. Au niveau des neurones, ces
ransformations que subit l'éner- gie dégagée sous l'influence d'une
excitation
quelconque, celles quirésultentdunon-fonctionne
uës ou de psychoses chroniques présentant des états intercurrents d'
excitation
ou de dépression ; 2° tous les malades souffran
terpréter ce fait de deux façons : tout d'abord, on admit un état d'
excitation
du centre moteur ; mais qu'on consi- dère que c
isolée du centre moteur lui-même : cela seul écarte la théorie de l'
excitation
, et une autre explication se présente, à savoir
altération de la motricité ou de la sen- sibilité. Les phénomènes d'
excitation
d'ordre moteur dont peuvent s'accompagner leurs
que dans la reproduction et l'association de celles-ci, soit par l'
excitation
des sphères sensitives voisines, soit peut-être
l'excitation des sphères sensitives voisines, soit peut-être par l'
excitation
des autres centres d'association. 11 les consid
e catatonie, si on constate un négati- visme opiniâtre, des états d'
excitation
spéciaux puérils, des grimaces et une conservat
nsoriels ». Sans doute, ainsi que l'a fort bien montré Tamburini, l'
excitation
de tel ou tel centre de l'écorce est une condit
que celui-ci exerce sa traction on fait périodiquement une série d'
excitations
et, si le poids est bien choisi, la rupture se
le muscle répondant pendant ce temps par une contrac- tion à chaque
excitation
. Quand le muscle est convenablement fixé la rup
La hauteur du raccourcissement musculaire dépend de la forme de l'
excitation
et de sa localisation. Une secousse unique donne
ontractions ryth- miques signalées par Goltz et par Chauveau et les
excitations
ré- flexes sont supprimées. Mais les muscles co
t seulement un peu moins vive et énergique que celle que provoque l'
excitation
directe du bout périphérique des nerfs frai- ch
e prodiusent dans les circon- volutions temporales ci la suite de l'
excitation
périphérique de l'organe auditif. Ces expérienc
es manifestations gustatives et salivaires à distance sont dues à l'
excitation
par les lignes de flux du courant des nerfs gloss
e pour les deux pôles. Le goût styptique particulier provoqué par l'
excitation
des filets nerveux gustatifs ne dépend donc que d
excitation des filets nerveux gustatifs ne dépend donc que de cette
excitation
et point comme on serait tenté de le croire a pri
étée. Il suffit pour provoquer le goût électrique d'une très faible
excitation
. M. Leduc (professeur à l'École de médecine de
en des tracés de la pression artérielle semble indiquer l'absence d'
excitation
vasomotrice que provoquera au contraire le cour
érébrales, soit périphériques et l'a trouvée tantôt à la suite de l'
excitation
faradique, tantôt et plus souvent à la suite de l
groupe des crimi- nets imbéciles) ; souvent elle est causée par une
excitation
sexuelle tellement forte (effet de la continenc
ion était surabondamment compen- sée par l'émotion voluptueuse de l'
excitation
sexuelle. Très sou- vent, comme cause de l'irré
ÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. le consensus engendre, d'ordinaire, l'
excitation
sensuelle, il gar- dera seulement un point d'lt
ation mentale, l'élément ci la fois iîéces- saire et suffisant de l'
excitation
sexuelle. VI. Sadisme ET S.\DI-FÉTICIllSIE, - A
tablit un rapport entre le spectacle de la souffrance infligée et l'
excitation
voluptueuse. Cette corrélation nécessaire est n
écrirons en quelques mots ce qu'est ce réflexe à l'état normal. L'
excitation
de la plante des pieds provoque généralement un
EXE PLANTAIRE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. li53 cas pathologiques, l'
excitation
de la plante du pied pro- voque au contraire l'
lentement que le mouvement de flexion et devient plus fort pour une
excitation
de la partie externe de la face plantaire (Babi
dre à une substitution véritablement tératologique en ne recevant d'
excitation
génitale que d'un individu de son propre sexe.
ontanées, tantôt pro- voquées par la volonté de l'amputé ou par une
excitation
cluclcon- que du moignon; elles n'existent que
destructive, ambitieuse '. L'idiotie destructive caractérisée par l'
excitation
de l'instinct destructeur est la forme la mieux
t par les causes de la folie, qui consistent ordinairement dans une
excitation
, trop vive ou trop prolongée, des instincts égo
els, et, se prolongeait même souvent au-delà de cette durée., Cette
excitation
développe nécessairement ces instincts, et ce dév
otulien et les réflexes tendineux en général sont le résultat d'une
excitation
brusque, mécanique, momentanée des nerfs sensit
u'on observe chez les paraplégiques myéli- tiques, à la suite d'une
excitation
cutanée quelque peu prolongée et produisant des
mécaniques, et le stimulant qui est leur mode normal et approprié d'
excitation
est probablement une tension mécanique. Les vra
inaux moteurs innervant le triceps crural peut être amoindrie par l'
excitation
de l'activité des neurones moteurs qui innerven
pas un réflexe plantaire; il ne se produit pas exclusivement par l'
excitation
de la plante du pied; il est un phénomène témoin
après. Le réflexe cutané plantaire s'affaiblit à son tour. Après l'
excitation
habituelle de la plante du pied il ne se produi
ensité de l'action, le cerveau et le faisceau pyramidal apportent l'
excitation
; le cervelet et les cordons postérieurs sont d
contractiles (triceps crural) sis dans les cornes antérieures, de l'
excitation
que le choc du tendon produit sur les fibres ne
vis de la tension des muscles, d'autre part vis-à-vis de la force d'
excitation
des pyramides, dans le même rapport physique qu
nt, mais graduellement et les uns après les autres, non seulement l'
excitation
volontaire, qui est directement com- pensée par
imites normales, non seulement il y aura ataxie progressive, mais l'
excitation
volontaire paralysera simultanément et graduel-
ra complètement le phénomène du genou, à l'instant où la force de l'
excitation
volontaire station- naire, c'est-à-dire relativ
national d'électrolo,ie. LEDuc (S.). Rapport entre la variation d'
excitation
des nerfs et la variation de densité des couran
r, il est admissible qu'une blessure du crâne produise une certaine
excitation
cérébrale chez un individu parvi in,c/ezü, on n
'images mentales. Dès l'origine, ils ont défini l'hallucination une
excitation
morbide des cen- tres sensoriels de l'écorce, a
LES FONCTIONS DU CERVEAU. 57 Munk n'avaient-ils pas montré que l'
excitation
élec- trique qui, dans de certaines conditions
animaux par des mouvements correspondants ? Dans les deux cas, l'
excitation
électrique, substituée à l'irritation morbide,
elle peut n'intéresser qu'un seul sens et être unilatérale, si l'
excitation
est limitée à un territoire cortical res- trein
on ne saurait affirmer qu'elle n'a point pour elle l'avenir. Une
excitation
électrique, portée sur Ti du singe, dé- termine
liens 'inclinaient bien plutôt à croire qu'elles dépendaient de l'
excitation
directe de centres moteurs siégeant dans la zon
tres est en même temps le foyer de réception * et de perception des
excitations
sensorielles provenant d'une partie donnée du c
rovenant d'une partie donnée du corps, et le point de départ de l'
excitation
volitive centrifuge pour les muscles de cette p
duit soit un arrêt brusque et primitif du coeur dû probablement à l'
excitation
anémique du myélen- céphale, soit une mort plus
ormise le malade, le sommeil se produit facile- ment sans période d'
excitation
. On constate qu'il existe un clapier rempli de
s renfermé, je suis porté pour les petits garçons. Néammoins, cette
excitation
a bien diminué. » Pourtant sa mère nous dit qu'
REVUE DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE I. ETUDE analytique au MOYEN DE l'
excitation
ÉLECTRIQUE DES RÉGIONS MOTRICES DU CERVEAU DU S
: on a soumis la subslance corticale de ses lobes occipitaux à une
excitation
par un courant induit fort et prolongé ; comme
us tard, au début du cinquième mois que l'auteur a pu obtenir par l'
excitation
de la substance corticale du milieu des circonv
tte remarque, cepen- dant, que la force du courant et la durée de l'
excitation
doivent être beaucoup plus considérables pour c
e blanche des lobes occipi- taux, les résultats diffèrent. Ainsi, l'
excitation
de cette substance détermine à partir du second
ment les électrodes dans la substance blanche. Quand on produit une
excitation
bi-latérale et simultanée, la déviation se mani
un rôle important dans la production des phénomènes résultant de l'
excitation
de la substance blanche des lobes occipitaux :
e Ferrier d'après laquelle les mouvements oculaires observés dans l'
excitation
du lobe occipital sont le résultat de sensation
s. Donc pratiquement la compression de la carotide faisait perdre l'
excitation
électrique immédiatement ; et ,cette excitabili
es remonte à trois ans et les auteurs se sont servis à la fois de l'
excitation
électrique et de l'ablation des régions cérébra
énomènes qui tenaient à la suppuration par défaut d'antisepsie. L'
excitation
de la région motrice leur a donné les mêmes résul
on et la projection en avant du bras et de la main. C'est surtout l'
excitation
de la partie supérieure qui met en jeu les musc
de la partie posté- rieure des muscles du poignet et des doigts. L'
excitation
de la partie supérieure de l'aire près de la sc
ariétale et la frontale ascendantes au-dessous de l'aire du bras. L'
excitation
du tiers ou de la moitié supérieure produit l'o
du nez, la rétraction et l'élévation de la commissure la- biale. L'
excitation
du tiers inférieur s'accompagne de mouve- ments
rontal au niveau de son bord supé- rieur. Les effets produits par l'
excitation
sont ceux décrits par Fer- rier : ouverture des
du tronc, et au-dessous et en arrière, celle du membre inférieur, l'
excitation
de la partie la plus reculée, près de la scissure
aucier n'est pas animé par le facial, à moins qu'on n'admette que l'
excitation
choisit la portion du centre cortical du facial
ur donner nais- sance à une sensation, il faut faire intervenir une
excitation
. Les excitations peuvent être d'origine extérie
sance à une sensation, il faut faire intervenir une excitation. Les
excitations
peuvent être d'origine extérieure ou d'origine in
origine inté- rieure. C'est l'étude de l'influence immédiate de ces
excitations
sur les manifestations psychiques qui fait l'ob
fait l'objet du quatrième cha- pitre. L'auteur prend d'abord les
excitations
simples pratiquées sur les terminaisons nerveus
mixte et compliqué dont le processus est, en somme, le suivant : l'
excitation
primitive prend naissance dans le domaine du gr
t ensuite aux conditions nécessaires pour la transforma- tion d'une
excitation
en acte réflexe ou en mouvement conscient, l'au
s rendons compte et, cependant, c'est juste- ment l'ensemble de ces
excitations
venues du dehors qui impres- sionne nos centres
s l'influence des conditions atmosphériques. Or, si l'influence des
excitations
extérieures se dérobe à notre conscience, celle
des excitations extérieures se dérobe à notre conscience, celle des
excitations
venant de notre organisme lui-même est encore p
aft-Ebing, etc., l'auteur démontre comment, sous l'influence de ces
excitations
internes, naît telle ou telle disposition qui pro
lacer le malade dans un asile d'aliénés. Au début il présente une
excitation
maniaque, avec des idées de grandeur, qui peut
ois le malade avait eu des alternatives de mélancolie profonde et d'
excitation
cérébrale ; que dans sa période d'excitation, il
lancolie profonde et d'excitation cérébrale ; que dans sa période d'
excitation
, il avait fait des achats inconsidérés, hors de
athie complète. Cet état apathique fait place parfois à des accès d'
excitation
et d'irrita- tion qui s'expriment en convulsion
c'est le seul moyen de régulariser la circulation, de diminuer les
excitations
senso- rielles, de calmer les cellules nerveuse
sommeil que très irréguliè- rement et toujours après une période d'
excitation
fâcheuse. MM. Séglas d'une part, et Brouillard
ulie, idées de mort, vide cérébral, alternatives de dépression et d'
excitation
, angoisse précordiale, etc., et venant s'ajouter
turnes qui peuvent aboutir à un véritable état de mélancolie ou d'
excitation
. De plus, elles peuvent parfaitement bien se tran
ions, l'ivresse est punissable quand on aurait pu l'éviter, quand l'
excitation
qu'elle fournit a été recherchée dans le but de s
te est plus- dilatée que la gauche : elle n'agit que faiblement par
excitation
, lumineuse, même par convergence 1. Le profes
es corticaux, qu'on a appelés « moteurs » parce que, en effet, leur
excitation
expérimentale ou leur irritation pathologique d
des extrémités et du tronc, suivant l'intensité et la durée de l'
excitation
des cellules nerveuses de ces centres ? Rien de
moteurs. « En envisageant, dit-il, les mouvements produits par l'
excitation
de points déterminés de l'écorce céré- 366 PHYS
pontané, autonome, et que leur mise en activité est subordonnée aux
excitations
venant des régions sensorielles voisines, surto
es corps striés aux diverses régions de l'activité cérébrale ». Une
excitation
partie des « centres psychiques », par exemple,
ructions de l'écorce. Tels sont les principaux troubles, - avec une
excitation
psychique très vive de l'animal, qui est pris d
sé, sur la longue durée du retard des réactions déterminées par l'
excitation
de ces régions de l'écorce, ce qui permet de- l
ion, de la constance des mouvements isolés, qu'on obtient par des
excitations
localisées de l'écorce. Ni la forme ni les cara
des cordons postérieurs de la moelle, et ceux qui résultent de l'
excitation
de la substance corticale du cerveau. Dans le p
telle ou telle région '. » Pour Bechterew, l'aire corticale dont l'
excitation
détermine ces mouvements est, on le sait, purem
is il ajoutait que, cinq jours après la section de ces cordons, l'
excitation
de la zone motrice demeurait sans effet. Les ré
er les opi- nions de Schiff sur la nature réflexe des effets de l'
excitation
de la zone motrice, l'ancien professeur de phys
e sa pensée. La constance des mouvements localisés produits par l'
excitation
électrique de régions déterminées de l'écorce,
lules ner- veuses de l'écorce cérébrale ? Sentir et percevoir les
excitations
centripètes, transmises par l'appareil spi- nal
t, écrivait Tamburini, des points qui sont le siège primitif où l'
excitation
sensitive, devenue perception consciente, se tr
res serait, à la fois, un foyer de réception et de perception des
excitations
sensitives provenant d'une partie donnée du cor
t dite, des points aussi constants que ceux de cette région, dont l'
excitation
provoque toujours des mouvements des yeux, des
urs des mouvements des yeux, des oreilles, du nez et des joues. L'
excitation
de la deuxième circonvolution externe du chien,
ine un plissement du nez et des joues ; les dents se découvrent ; l'
excitation
de la troisième circonvolution, toujours en arr
nt ne sont pas aussi bien différenciés queceux qui résultent de l'
excitation
de la zone motrice proprement dite. Mais, en dé
de l'écorce cérébrale chez les animaux nouveau-nés 1. i. Ainsi l'
excitation
des points facilement excitables du gyrus sigmo
n après l'apparition des réac- tions motrices des membres, dues à l'
excitation
du gyrus sigmoïde. Quant aux mouvements conjugu
sigmoïde. Quant aux mouvements conjugués des yeux, déterminés par l'
excitation
de l'écorce du lobe occipital, ils n'ont apparu
'est-à-dire du côté opposé et du côté correspondant, pourvu que l'
excitation
ait une intensité suffisante ou que la moelle s
aire pour qu'un nerf moteur séparé de la moelle cesse de réagir aux
excitations
. « Les physiologistes italiens avaient montré q
déglutition. Pas de stertor. La tête elle-même n'est pas tombée. L'
excitation
du sterno-masloïdien ou des muscles de l'avant-
en considération dans le pronostic. Ainsi les accès épileptoïdes, l'
excitation
cérébrale (céphalalgie), les vertiges avec atta
ences à de nombreuses transfixions. En voici les résultats : 1° L'
excitation
mécanique du noyau caudé et du noyau lenticu- l
é et même du même côtéquoiqu'à un moindre degré. Si l'on prolonge l'
excitation
fara- dique, on produit un accès convulsif des
sont dus à l'irradiation du courant par la capsule interne. 2° L'
excitation
mécanique superficielle de la couche optique rest
ue superficielle de la couche optique reste inaclive, de même que l'
excitation
faradique la plus faible. Si l'on s'adresse à d
e du reste qu'elles soient plus ou moins éloignées de cet organe, l'
excitation
se traduit de la même façon. Parfois cette cour
celle-ci est due à l'irritation secondaire d'organes éloignés. 3° L'
excitation
mécanique et faradique des tubercules qzcccdriju-
s'accompagne souvent de cris. Elle survit de plusieurs minutes à l'
excitation
. Souvent aussi une convulsion tonique termine l
chimiques et mécaniques, provoque des symp- tômes semblables; or l'
excitation
mécanique n'agit pas sur lui. 4° L'excilation m
duit par une convulsion tétanique extrême, qui survit longtemps à l'
excitation
. On obtient encore les mêmes résultats quand la
a observé sur lui-même un léger degré d'épreinte vésicale dû à une
excitation
mécanique quelconque de la muqueuse buccale.
ffectuer de travail utile ; surles légers accidents de parésie et d'
excitation
de la moelle avec troubles de la seiisiblité at
fonctions du - d'après l'Ecole italienne), par Soury, 28, 360, -
excitation
électrique des régionsmjtricesdn du singe,par
es Deux-Mondes, 15 mai 1891). Guinon et Woltre — De l'influence des
excitations
sensitives et sensorielles dans les phases cata
on de la volonté à l'état normal ne serait pas capable de provoquer d'
excitation
dans les nerfs et les muscles ne fonctionnant pas
, la sécrétion de sucs spéciaux, etc. Ce mouvement moléculaire, nommé
excitation
nerveuse, se manifeste sur le galvanomètre par de
l'inducteur et le lecteur se touchent, ce mouvement moléculaire de l'
excitation
nerveuse devrait se transmettre des nerfs d'un ho
nt en contradiction directe avec les faits physiologiques connus. L'
excitation
nerveuse est incapable non seulement de traverser
pattes postérieures, chacune avec son nerf sciatique, l'on sait que l'
excitation
électrique, par un courant interrompu, de chacun
rera tout le temps à l'état de repos. Ce fait prouve clairement que l'
excitation
nerveuse, si forte qu'elle soit, n'est pas capabl
r s'exprimer d'une façon moins scientifique, mais plus mystérieuse, l'
excitation
nerveuse qui se propage le long d'un nerf n'est p
qui se propage le long d'un nerf n'est pas capable d'induire la même
excitation
dans un autre nerf, qui le touche même immédiatem
ent les expériences faites sous une autre forme. Nous avons dit que l'
excitation
du nerf sciatique provoque un tétanos général dan
Si l'on lie fortement avec du fil le nerf au milieu de sa longueur, l'
excitation
du nerf, au-dessus de l'endroit où a été faite
provoque plus alors la moindre contraction de la patte, tandis que l'
excitation
du nerf, entre la ligature et les muscles de la p
tte, provoque une contraction nette des muscles. Il est évident que l'
excitation
nerveuse n'est pas capable de passer par les endr
rée par la ligature. Si l'on prend le nerf sciatique vivant, dont l'
excitation
par un courant interrompu provoque la contraction
a section transversale des deux bouts du nerf, l'on verra que la même
excitation
du nerf, aa-dessus du point de section, ne provoq
int de section, ne provoquera plus de contraction, tandis que la môme
excitation
, appliquée au-dessous de l'endroit de la section,
s faits résulte avec évidence cet axiome général physiologique, que l'
excitation
nerveuse n'est pas capable de passer ou de sauter
du nerf; ou, en d'autres termes, la loi de la propagation isolée de l'
excitation
nerveuse par des filets nerveux isolés et continu
faites avec le cerveau ou la moelle épinière mis à nu prouvent que l'
excitation
de ces organes ne se transmet pas du tout au cerv
édiatement. Ici régnent aussi les lois de la transmission isolée de l'
excitation
nerveuse suivant les centres et les filets nerveu
enant, pour une minute, que les choses se passent autrement, et que l'
excitation
nerveuse ne se limite pas aux sphères directement
égulière nerveuse serait possible? Sans aucun doute. — non. puisque l'
excitation
d'une catégorie de centres cérébraux, par exemp
mple les centres visuels, devrait s'accompagner, par induction, d'une
excitation
simultanée des centres d'autres sensations, ainsi
dmettant cette hypothèse, nous devrions nous attendre à ce que chaque
excitation
extérieure de nos organes des sens arrivant jusqu
sens arrivant jusqu'à tel ou tel groupe de centres nerveux, ou chaque
excitation
apparaissant en eux indépendamment, devrait, suiv
apparaissant en eux indépendamment, devrait, suivant l'induction des
excitations
d'un nerf à l'autre, d'un centre à l'autre, mettr
nsensée de tous les appareils du corps. En admettant l'induction de l'
excitation
nerveuse dans les éléments nerveux de notre corps
le système nerveux d'un homme devrait agir sur celui d'un autre. L'
excitation
nerveuse, se trouvant au fond de notre activité n
eaux, etc., qui sont gouvernés par le système nerveux. La nature de l'
excitation
nerveuse reste dans tous les cas la môme, et les
es des appareils centraux et périphériques auxquels se transmet cette
excitation
. En arrivant jusqu'aux centres des sensations, de
rivant jusqu'aux centres des sensations, des représentations, etc., l'
excitation
nerveuse provoque en eux une série de phénomènes
rrivant par les nerfs périphériques jusqu'aux organes du corps, cette
excitation
nerveuse provoque, dans un cas, l'activité des mu
des insectes, par exemple le vert luisant (Lampyris), chez lesquels l'
excitation
nerveuse provoque même le développement de la lum
lanterne recommence A briller. Ainsi, la sphère de l'activité de l'
excitation
nerveuse est limitée par les frontières du corps,
ontières du corps, et les différentes formes de la manifestation de l'
excitation
nerveuse dépendent des fonctions particulières ph
t en jeu. Examinée à ce point de vue-là, qui est le seul correct, l'
excitation
nerveuse ne fait que donner l'impulsion à l'activ
s ou tels organes du corps; et telle qu'elle est. sans ces organes, l'
excitation
nerveuse ne se transforme en aucune des formes co
entres du cerveau, s'accompagnent d'une transmission excentrique de l'
excitation
nerveuse sur les nerfs sécréteurs des glandes lac
es parois des vaisseaux sanguins par la transmission excentrique de l'
excitation
nerveuse des centres de sensations et de représen
et de la moelle épinière surtout. Ces centres réflexes transmettent l'
excitation
des voies sensibles aux voies motrices, et provoq
t tout à fait involontaire, et s'effectue sous la seule influence des
excitations
provoquées dans les centres actifs qui participen
ns, que l'hypnose ne peut être obtenue chez ces aliénés que lorsque l'
excitation
hallucinatoire et maniaque a cédé et lorsque les
t-à-dire les contractions et les contractures produites par la simple
excitation
mécanique des muscles et des nerfs qui lui réagis
-à-dire les contractions et les contractures provoquées par la simple
excitation
de la peau dans la période somnambuliqite. Nous
t l'intensité qu'elles acquièrent en raison directe de l'énergie de l'
excitation
provoquée, doivent convaincre tous ceux qui prati
icina ¦, interna del 18SS. Milano, 1889. en suggérant, après chaque
excitation
, les mouvements qui devaient être exécutés; mais
uniquement de la nature différente, de l'intensité et de la durée des
excitations
employées pour les produire. Or, le* études que
, je veux dire les contractions et les contractures, on procède à une
excitation
mécanique sur les muscles, sur les tendons et sur
mouvements correspondants, d'après les lois physiologiques. Et si l'
excitation
mécanique que l'on fait agir sur les muscles et s
oreilles, le chatouillement prolongé de la peau. Sous l'action de ces
excitations
, on remarque la flexibilitécerea des membres, qui
ait agir sur les centres nerveux, par une voie ou i«ar une autre, une
excitation
faible, mais prolongée, et l'on, a obtenu, comme
chel et la plupart des physiologistes, consiste la catalepsie. Si l'
excitation
, au lieu d'être médiocre, est très intense, comme
ouvoir ou les plier), état qu'on doit considérer comme provoqué par l'
excitation
mécanique assez intense qu'on emploie. Et pour ce
considérons attentivement le mécanisme qui le produit, on verra que l'
excitation
cutanée locale ne fait qu'élever à un plus lu.ut
ure, qui était déjà généralement répandue par l'action de la première
excitation
employée. Par conséquent, nous ne voyons pas ici
e l'hypnotisme, c'est-à-dire les contractions et les contractures par
excitation
mécanique, sur les muscles, sur les tendons et su
sitions les plus variées, et la contracture somnambulique par légères
excitations
cutanées. Les mêmes cas ont été observés et enr
, pour mieux dire, parce que seulement alors ont été mises en jeu les
excitations
(mécaniques, lumineuses, acoustiques, etc.) capab
nsox. Les Agents provocateurs de fhysttrîe, Paris 1889. fluence des
excitations
mécaniques ou des stimulants sensoriels en généra
ans le droit commun, i plus forte raison celui qui chercherait dans l'
excitation
passagère de l'ivresse l'appoint manquant à sa ré
on qu'on leur donne, mais restent flasques et l'on ne constate aucune
excitation
musculaire. Noos n'avon* jamais pu obtenir les
réalité, placées devant cet œil, — et qui se manifeste a propos de l'
excitation
que certains sons produisent sur l'organe de l'ou
a observé, les sensations lumineuses étaient provoquées, non par une
excitation
de l'oreille, mais par une excitation des organes
étaient provoquées, non par une excitation de l'oreille, mais par une
excitation
des organes du goût; il s'agit donc d'un cas de g
nde, n*6, SO juin.) Gcisox et Sophie Woltkï. — « De l'influence des
excitations
des organes des sens sur les hallucinations de la
60 du Code pénal, par cela seul qu'il y a eu emploi de suggestions ou
excitations
dolosives adressées à des personnes appelées à dé
nt plutôt une asthénie nerveuse générale. La plupart ont un mélange d'
excitation
et de faiblesse, qui ne permet pas de les ranger
ous savez avec quelle exactitude mathématique il a démontré que toute
excitation
sensorielle ou psychique était suivie d'un épuise
t suivie d'un épuisement numériquement proportionel quand il s'agit d'
excitations
numériquement mensurables? D'autre part, il a net
numériquement mensurables? D'autre part, il a nettement établi que l'
excitation
est d'autant plus facile, rapide et intense quo l
s de sa tension normale par uno série d'épuisements consécutifs à des
excitations
antérieures, jusqu'à ce que toutefois on arrive a
utefois on arrive a un tel état d'affaissement que les réactions de l'
excitation
ne puissent plus se faire. Eb bien, toute l'étiol
s », par rapport i leur degré de résistance individuelle à la somme d'
excitations
qu'ils ont ou à subir ou des fils de surmenés de
ou des fils de surmenés de môme nature. Et vous savez quo toutes les
excitations
physiques, morales ou intellectuelles oui ici la
u noter le raccourcissement du tégument cutané dont parle Gull. Les
excitations
électriques n'ont rien produit d'intéressant. T
nte, considéré jusqu'à présent comme une névrose vaso-motrice due à l'
excitation
des nerfs vaso-dilatateurs, sera-t-il. comme l'ur
s mêmes auteurs sont aussi d'accord pour prétendre que les offels des
excitation
* physiques sout très différents selon qu'on les a
rticuliers, el cela par la seule acLioo de l'hypnotisme ou j-ar des
excitations
sensorielles exercées dans cet élat. Ainsi, pou
et la facilité avec laquelle elles cèdent sous l'influence des mêmes
excitations
qui les ont produites, ou bien d'excitations anal
us l'influence des mêmes excitations qui les ont produites, ou bien d'
excitations
analogues parlant sur les muscles antagoniste-*.
gues parlant sur les muscles antagoniste-*. Au lieu de recourir aux
excitations
sensorielles lentes, si Ton emploie des excitatio
u de recourir aux excitations sensorielles lentes, si Ton emploie des
excitations
brusques, telles que le bruit inattendu d'un coup
cette hyperexcilabililé qui se traduit par ce (ait que la plus légère
excitation
de la peau amène la contracture des muscles sous-
venaient modifier cet état. La malaxation des muscles, des tendons, l'
excitation
du nerf cubital n'amenaient l'apparition d'aucune
s globes oculaires, la malade paraissait devenue indifférente à toute
excitation
sensorielle; les membres soulevés retombaient lou
r sur le siège où on l'a placée. Aucune des tentatives faites par les
excitations
physiques pour provoquer les manifestations du gr
dément. L'anesthésie et l'amnésie au réveil étaient complètes. Aucune
excitation
physique n'a amené de modification à son sommeil.
nt inadmissible que de même chez les hystériques et les hypnotises, l'
excitation
de certains centres qui se prononcent puissamment
il voit sans le secoars de l'œil. Les images qui proviennent par l'
excitation
intérieure (comme les hallucinations suggérées, q
araître chez elle la contracture des muscles excités. En continuant l'
excitation
sur les mêmes muscles, la contracture se générali
ambes. Pour faire cesser ces contractures, il suffit de recommencer l'
excitation
des extenseurs de l'avant-bras. De plus, les memb
erexcitabilité neuro-musculaire qui n'avaient pas été provoqués par l'
excitation
directe des muscles tant que le sujet ignorait le
excitation directe des muscles tant que le sujet ignorait le but de l'
excitation
, ont apparu dès qu'ils lui ont été suggérés par l
a tarentule d'Apulie peut provoquer réellement dan certain* cas cette
excitation
particulière du système nerteux qu'on traitait au
nstaté plusieurs fois de suite; on ne peut donc l'attribuer à une
excitation
plus forte de l'anode par suite de la diminution
ent pendant un temps très court, quelques dixièmes de seconde). L'
excitation
galvanique du même nerf donne lieu à une griffe
urant faradique à interruptions de fréquence moyenne, à raison de l'
excitation
toutes les six secondes; la secousse ainsi obte
SE. mêmes appareils. Nous avons alors augmenté le P, nombre des
excitations
et en avons fait une par seconde et demie ; l
ons musculaires toniques ; de 12 CLINIQUE NERVEUSE. môme avec les
excitations
mécaniques ou électriques; ces contractions per
sculaire persistant qu'à l'extrémité inférieure du vaste interne.
Excitations
mécaniques sans résultat. Pas de réflexes tendi
, il est obligé alors de se livrer à un massage de ses muscles; - l'
excitation
mécanique ne produit rien; -réflexes rotulienst
la contraction musculaire persiste un peu après la cessation d'une
excitation
électrique de courte durée et ne disparaît que
te et brève avec le marteau de Skoda produit les mêmes effets que l'
excitation
électrique de courte du- rée, c'est-à-dire une
l'exploration électrique, sinon que la contraction persiste après l'
excitation
, qui, si elle est assez forte, produit même de
s, il ne nous a pas été donné de la constater. Lorsqu'on fait une
excitation
mécanique sur le corps de l'un des muscles, ave
celle de Bernhardt et dans la nôtre, c'est la persistance, après l'
excitation
faradique, soit de la contraction elle-même, so
ca- ractère transitoire, ainsi que les phénomènes produits par l'
excitation
électrique, nous aurions plutôt une tendance à
ral. J'ai, en effet, rangé sous cette dénomina- tion tous les cas d'
excitation
et de dépression qui n'é- taient pas sous la dé
sion, au chatouillement, sans qu'il y eût le moindre retard entre l'
excitation
et la perception de la sensation provoquée. Aussi
fait suivant nous a paru digne d'intérêt. Observation. Atuxlyuc;
excitation
génitale; lesbisme; Anoma- lies asymétriques de
ts normaux, et elle les recherchait : il y avait tout au plus une
excitation
génésique. Elle n'avait aucune anomalie des org
s tout. Le rapprochement est encore plus complet. Nous savons que l'
excitation
des zones hystérogènes, parmi lesquelles compte
aque de spasme. Les attaques se produisaient cependant sans cause d'
excitation
apparente. Pendant une période variant de six c
n'en était rien. Elle était insen- sible à la douleur et aux autres
excitations
. L'expression delà phy- sionomie était vague et
ccessive des ganglions sphéno-palatins : et des lobes olfactifs). L'
excitation
chimique, mécanique, thermique, électrique du n
ntusion sur l'occiput, action par contre-coup), l'exagé- ration des
excitations
(odeurs trop fortes) qui enchaînent pro- bablem
eumonies et qui étaient en plein délire alcoolique avec turbulence,
excitation
, surtout nocturne, présentant tout le cor- tège
ns musculaires; 2° leur amplitude; 3° l'accélération à la suite des
excitations
. Les tracés sont identiques chez l'homme et che
enir des contractions avec l'électricité statique quand toute autre
excitation
était infructueuse. M. Birdsall lit au nom du
st en rapport avec des centres multiples; il peut trans- mettre des
excitations
partant de points différents et répondant à des
tige est le signe indiquant une tension exagérée, la commotion ou l'
excitation
anormale des nerfs des canaux semi-circulaires.
alyse des faits montre qu'il y a des organismes plus disposés aux
excitations
réflexes (tabétiques), d'autres à la douleur (h
décu- bitus dorsal, et plongée dans un coma profond, dont aucune
excitation
ne peut la faire sortir. Elle fume la pipe du côt
t chez les individus atteints de cette même affection. La période d'
excitation
nous parait marquer le début de la maladie seco
é au système nerveux. La section du nerf optique et du trijumeau; l'
excitation
du mo- teur oculaire commun, la section et l'ex
rijumeau; l'excitation du mo- teur oculaire commun, la section et l'
excitation
du grand sympathique du cou, sont restés sans e
2° dans la respiration normale, calme, il part du bulbe une série d'
excitations
qui produisent à intervalles réguliers, les mouve
ions plus fortes en excitant la moelle entière qu'en localisant son
excitation
sur un point. Une autre conséquence de ses rech
une en particulier à peu près inévitable : c'est la diffusion de l'
excitation
produite par les centres, excitation qui produi
able : c'est la diffusion de l'excitation produite par les centres,
excitation
qui produitla contraction simultanée de plusieurs
neuro-musculaire (contraction ou contracture des muscles par simple
excitation
mécanique), la période catalep- tique par la fl
ntation de l'excitabilité est en quelque sorte latente, il faut une
excitation
mécanique des muscles ou des nerfs pour la rend
endre manifeste; la contracture produite cède très facile- ment à l'
excitation
des antagonistes. La catalepsie n'est qu'une co
t une contracture très forte qui ne cède plus sous l'influence de l'
excitation
des antagonistes. En étudiant les procédés vari
nsité et la durée des excitants qui sont capables de les produire. (
Excitation
mécanique rapide pour la contraction, plus fort
la contraction, plus forte et plus pro- longée pour la contracture;
excitation
sensorielle, visuelle, auditive, etc., faible,
n simple examen des contractions ou des mouvements produits par l'
excitation
électrique. Quoiqu'il en soit nous allons indiq
raumatisme antérieur, de façon à avoir les secousses normales par l'
excitation
du sciatique avec Kas, A ? zs, .9ao; on sait qu
les muscles dont le nerf avait été sectionné ; mais, cette fois, l'
excitation
électrique était portée non plus sur le nerf ma
celles de Doring. On sait que les premiers considèrent que, dans l'
excitation
unipolaire d'un nerf moteur, il faut admettre l
n. (Second série). New-York, 1882. JVe)'(;6-t) : '6t'u<M ? : and
excitation
as agents in the treatment of func- tional diso
e Paris, 1882, FAITS DIVERS. 269 De l'albuminurie consécutive aux
excitations
cutanées; par Hcmlan- jian Thèse de Paris, 1882
e supérieur que l'on pique ou que 1 on touche, la malade rapporte 1
excitation
a la face interne du bras, mais son état intell
i. - .Mit .f ? tn<v. kI l-it »-, lu; JilMilj .'(1 sécutive a'une
excitation
mécanique portée a la péri- ? ? . i,,... m, , ? (
? 1`II . "rr 'rtllr'l'1lJ f` d une contraction, montre que, entre 1
excitation
et son - WiHi. ? «^.If,. 't.'™l ^"V ]fW./tt)' "
.cer-, 1. , , 111 Itlt, ),lit, , " >i ? a," ? ;\ ? ' 1 ' laine
excitation
se transmet du,foyer médull,ai.re,d ? ori-, ' s
iTlUilIlh -ii> n- > " ' analogue, que nous invoquons, ici. L'
excitation
, au,lieu de venir du. cerveau, comme dans l'act
réflex'e ? tr9l 1)-ti Il "r3a. tt9ra '.t ? f')f' 1#1 bjel r i d) L'
excitation
mécanique,1 qui produittia contracture dans ! e
y 1 68 : )`Enririsistnt; une fois)la griffe médiane^ produite ? l'
excitation
-,sort 'dérha.'sphèrea'du rliédian ? Cersôntl.l
noa s ! ie-'6Lf<'t)nt i - y Là 'rasonde'cpttej propagation, de l'
excitation
) duu muscleià'umautremusclel plus où moins .élo
n retard très appréciable de plilsiéurs'secridesl(3;3;=.N)i entre l'
excitation
ët'Icrniôuvéinnt t réflexe ? t'.t) ')14 lllu dn
ement stertoreuse, le sommeil *i chloroformique parait profond. ? L'
excitation
mécanique aussi bien à la face gu;ausame,miorçs
emarqué ce premier fait : que les- contractions réflexes, lorsque l'
excitation
31 G PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. qui porte sur
es qui. sont si vraisemblables, onts'exp)iqùe aisément pourquoi les
excitations
faites surflesjextré-' i mités d'un nerf sensit
st']a' suivante ? ni- lit «1^4 - >l» ? u i tt, --t «b'" -* Une
excitation
mécanique qui'n'intéressé'que a peau comme le p
re'éale`riéiit --ails résultats [Tandis' qu'au'1 môme ? pbint ? une
excitation
" mécanique' 'quelconque qui 'intéressé ; 'au'tr
;' légitime cette manière de'.vdir : '» - Àinsil donc3, b lorsque l'
excitation
mécanique porte' sur un : tendon, ce' sontj ! e
a ? ? 9'Y'f[f ? 2'il '" t1-1 tabihtédu muscle. Il suffit alors de l'
excitation
cutanée tin ÇIO) trn)f'KTfn ? tRi ? )'n ? Il Ir
j> ; r .nQt'nn' 'ifiiPp- np3 °9fza ^,Iri' , rt1 les obtient pari
excitation
cutanée la plus légère, 1 action» du doigt a di
r- , i , ' . < ' ' t ' / - 11 ' ' % 1 ' 1 . ' ' I ' gique, les
excitations
cutanées seules demeurent inef- ° . -in I ,vw ?
° . -in I ,vw ? il t ). t ni' u W ,m ? ' «' * ficaces, il faut une
excitation
mécanique, pression ou - 1 y t .. 11 t ' t t .'
t m > ? if "'1 "t t . , , 1 1 survient que sous l'influence des
excitations
cutanées t. ·,1 t ( iii ' ? i, ... les plus l
a )-Il#, - , ,. , .1 ' ......i à que par un seul procédé, qui est l'
excitation
mécanique fi' 1 |i ri'ii|. , il 41 ? ' > ' e
f. , '1 1 ^ -1 1 ! ", ? '. U'' '- -'Il ? ll· Oi; 1- zt,i t nouvelle
excitation
cutanée aussi légère que la première, 1 , i j )
ements'qui 'suivent ? rlnt 1Wt tiW I t·n · ·tr,rt t·jt s « rn a , 1
excitation
des différentes racines du plexus brachial et cru
. cela a déjà été démontre depuis longtemps, mis en action'par ,1
excitation
de racines différentes. Les muscles mis en action
la pliy§iologie ne permet pas d'af-, te, firmer que chez l'homme, l'
excitation
, ou-.la. destruction d'une ci paire nerveuse,,
la fois sur la peau et les muscles, par exemple quand une puissante
excitation
galvanique des plexus et des troncs nerveux eng
cation des courants en cet endroit engendrera tous les phénomènes d'
excitation
cérébrale accoutumés, même après l'insensibilis
thésie et la torpeur cérébrale concomi- tante fronto-latérale à une
excitation
des nerfs vaso-moteurs du côté du corps stimulé
mie l'autre (expériences 'de1 Schûller] ? d'où'1 l'explôsion ? de l'
excitation
psychique'et le'tralisfert' des' phénomènes3 pa
M. Rosenthal imagine la conception que voici : Normalement, toute
excitation
périphérique' de la peau agit sur le centre vas
bilité pathologique des centres de l'hystérique fait que la moindre
excitation
partie d'un nerf sensitif, ou d'un nerf vascula
ion sur les vaso-moteurs du cerveau pouvant indifféremment émaner d'
excitations
périphériques ou primitivement centrales. i r r
est-il des émotions, affections génitales, ano- malies sexuelles. L'
excitation
s'étend-elle à des centres voisins delà moelle
rjew, Naumaun, Schüller, Nowitzky, conduit M. Buch à penser que les
excitations
cutanées d'une intensité et d'une étendue suffi
es exigent, pour le réveil de la malade, des bruits violents et des
excitations
tactiles intenses; d'autres enfin sont carac- t
iles .,eaus,es prédispoqaii 1 p 3 eds nées d'hypnotisme provoqué, l'
excitation
chronique prolo1,1 u Lèllle,;[ nerycux .(disspn
ait établir que les lésions de la'paralysie, générale émanent,de, l'
excitation
péri- phérique, même de celle en rapport avec l
se). Aussi M. Schuchardt admet-il simplement comme pathogénie une
excitation
des éléments nerveux de lamuqueuse stomacale du f
ie dès l'âge de seize ans, à la suite d'une fièvre typhoïde, à de l'
excitation
maniaque. Peu de temps après, on note deux accè
succession régulière de deux phases, l'une de dépression, l'autre d'
excitation
ou réciproque- ment. La longue série de dénom
(t) soit simple; b) soit avec hallucinations, c) soit avec crises d'
excitation
, soit avec une tendance spéciale à l'onanisme (
aît avec elle, et elle est souvent remplacée pen- dant la période d'
excitation
par un certain degré d'hyperesthésie. Pendant c
tte période le sommeil est généralement bon. Il. - 1,,L I)éi,iode d'
excitation
offre aussi des degrés différents. 4° Ce peut-ê
veille, se ré- veille maniaque. Dans les accès à longue période, [l'
excitation
se développe au contraire lentement et progress
lations successives, des alternatives rapprochés de dépression et d'
excitation
(ialret); 414 le BIBLIOGRAPHIE. 4° ou bien en
aque simple. Quandl'équilibre semble se rétablir avant la période d'
excitation
, on peut croire à la fin d'un accès de mélancol
i se joignent à la maladie mentale où entrent aussi les symptômes d'
excitation
motrice et les symptômes de l'enlè- vement de l
° négativisme (phéno- mène qu'on peut indiquer comme résistance aux
excitations
extérieures); 4° verbigération (prononciation d
e Kahl- baum et définit la catatonie comme « états particuliers d'
excitation
, passant dans la stupeur, la démence consécu- t
re, des illu- sions sensorielles et des symptômes d'inhibition et d'
excitation
motrice. On observe chez le malade un négativis
de la catatonie, c'est la période mélancolique initiale, ensuite l'
excitation
halluci- natoire dans la floraison de la maladi
quée, et que le premier temps à l'hôpital 41 militaire il avait une
excitation
maniaque. Ainsi donc, si l, nous prenons en con
s ans), qu'il y avait 1 d'abord une période de dépression, puis une
excitation
con- t sécutive et une démence qui se développa
nous voyons alors tantôt un enchaînement moteur total, tantôt une
excitation
motrice subite. Par conséquent, nous pouvons ex
nstater chez lui consécutivement des phénomènes de négativisme et d'
excitation
. En 1889, il avait déjà une catatonie typique.
-accusation et une grande allonité, qui souvent -était suivie d'une
excitation
motrice si forte qu'on était obligé d'isoler la
arquons et même actuellement deux états : état d'altonité et état d'
excitation
motrice uniforme. Pour la plupart de temps la m
x. Fixée de son état d'attonité elle manifeste des phénomènes d'une
excitation
motrice, qui aussi est très stéréotype. Si elle
rs jours une stupeur complète avec catalepsie, après quoi survint l'
excitation
habituelle avec mouvements stéréotypes. En sept
dans la catatonie pure ; secondement, si même nous admettons que l'
excitation
primitive part des régions sensorielles, tout d
ise en phénomènes. différents ; il rapporte les uns aux symptômes d'
excitation
, contractions cloniques et toniques, verbigérat
hangements très rapides des représentations, c'est-à-; ,' dire de l'
excitation
de différents centres corticaux. Dans les 1 mou
Dans les 1 mouvements catatoniques, nous voyons au contraire une,
excitation
uniforme de certains centres, tandis que d'autres
ce céré- brale réagit par une contraction tonique seulement à des
excitations
très fréquentes. Ainsi donc, nous basant sur les
présente aussi un symptôme d'inhibition corticale. L'une ou l'autre
excitation
, pour ainsi dire, une demande adressée à la vol
ent des associations cérébrales, qui exigent la transmission de l'
excitation
dans la 1'égion psycho-motrice de l'écorce. Dans
, que le négativisme peut exister aussi sans stupeur, même dans les
excitations
mo- trices. Une telle explication aussi nous do
s fibres que Meynert et Obersteiner attribuent la transmission de l'
excitation
lumineuse du nerf optique au noyau de l'oculomo
antérieur ou supérieur est la pre- mière station dans la marche des
excitations
lumineuses. La transmission s'y effectue de là
isceau tecto-bulbaire prédorsal transmet par ses collaté- rales les
excitations
lumineuses à tous les noyaux des nerfs moteurs
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. z yeux qui dépendent des
excitations
lumineuses. Une série de colla-, térales de ce
s muscles de tout le corps qui, d'ordinaire, accompagnent les vives
excitations
lumineuses inopinées. D'autre part, le noyau
aisceaux de remplacement de second ordre destinés à transmettre les
excitations
des régions axiales aux régions éloignées du ce
eau antérieur sert en somme de centre réflexe à la transmission des
excitations
lumineuses aux parties éloignées de l'axe. Cett
en impressions désa- gréables et en impressions agréables. VIII. L'
excitation
l'aradique de la région olfactive, plus exactem
constitué par la contraction des muscles abdominaux, provoqué par l'
excitation
mécanique de la peau au- dessous des côtes, est
bres les plus supérieures du grand droit de l'abdo- men, émane de l'
excitation
de la paroi latérale du thorax dans la sphère d
ressort que : dans la plu- part des cas les bromures produisent une
excitation
initiale, quel- quefois, à dose élevée, une dép
ente communi- cation, que l'abduction des orteils provoquée par une
excitation
de la plante du pied, constitue, quand elle est
ur d'ordre extérieur qui est la suggestion. BIBLIOGRAPHIE. 85 Une
excitation
psychique peut accélérer ou ralentir la délibérat
et intellectuel relati- vement considérable de l'épileptique et une
excitation
génésique souvent très accusée à partir de la p
à partir de la puberté, déve- loppement physique et intellectuel et
excitation
génésique qui résultent évidemment d'un accrois
une heure, 38°,3;, à 3 heures, 38°,2; 'il à 5 heures, 38°, et de l'
excitation
avec confusion mentale extrême se développa, te
néralisés, ataxie lin- guale, myosis, plus accentué à gauche. , L'
excitation
a toujours été en progressant. Au bout de deux mo
ui est la vérité). Grasset en conclut, fidèle à sa théorie, que les
excitations
péri- phériques sont reçues par le polygone jou
n à la lumière directe; 6) à la stimulation consen- suelle ; c) à l'
excitation
cutanée ou sympathique; 6° états irido- moteurs
sion comme première manifestation et 26 fois seulement avec accès d'
excitation
. La folie circulaire débuterait donc dans la gr
l'immense majorité des cas également les stades de dépression et d'
excitation
ne seraient séparés par aucun intervalle lucide.
Ce trouble de la sensibilité consiste, comme on sait, en ce que l'
excitation
nerveuse effectuée sur un point du corps semble a
plètement analgésiée, les piqûres lui faisaient l'effet de légères
excitations
rythmiques uniformes comparables à celles des pas
rvation d'un malade qui présente des accidents épileptiformes par l'
excitation
du nez, plus particulière- ment du cornet infér
t il lui préférerait celui de débilité mentale avec alter- native d'
excitation
et de dépression, se terminant par la dé- mence
iste en une adduction du pied avec rotation interne à la suite de l'
excitation
du bord interne du pied, en particulier du nive
orteil, mais qui, dans certains cas, peut aussi être provoqué par l'
excitation
de la plante. Sur 52 malades atteints d'affecti
abolis, mais il faut se garder de généraliser. En effet, certaines
excitations
cutanées produisent généralement dans ce cas de
r de l'exagération des réflexes tendineux de l'épilepsie spinale; l'
excitation
de la plante du pied provoque une flexion des o
eils ne s'écartent pas les uns des autres sous l'influence de cette
excitation
, pas plus que sous celle de l'excitation de la pe
sous l'influence de cette excitation, pas plus que sous celle de l'
excitation
de la peau SOCIÉTÉS SAVANTES. 175 du dos du p
une classification des réflexes, en désignant à la fois le point d'
excitation
et le point de réaction, dans l'espèce ne pourr
ques ci-dessus mentionnés avec des désordres psychiques variables :
excitation
, irritabilité, hallucinations nocturnes, amnési
trente-un ans; entrée le 5 juin 1903. Examen du 14 septembre 1903.
Excitation
intellec- avec agitation par intervalles. Quelq
- Fo..., femme Can..., quarante-deux ans; entrée le 15 avril 1901 :
excitation
avec euphorie et quelques idées délirantes de r
.., quarante-trois ans, entrée le 6 avril 1903. Présente alors de l'
excitation
intellec- tuelle, avec quelques idées de perséc
mbre 1903. Déchéance complète des facul- tés ; indifférence totale;
excitation
par intervalles; mutisme. Troubles physiques in
il..., trente-deux ans, entrée le 21 août 1903, présente alors de l'
excitation
maniaqne. Examen du 7 septembre 1903. Dépressio
ue la suractivité fonction- nelle de ces glandes s'accompagne d'une
excitation
cérébrale spéciale, d'une exaltation particuliè
es glandes génitales, leur réplétion amène par action réflexe une
excitation
complémentaire du côté de l'encéphale, qui, ajo
tration, de l'ovariotomie, ces causes d'aggravation de l'épilepsie,
excitation
partant des glandes génitales, accroissement de
ou des testicules, et, par conséquent, la suppression de toutes les
excitations
ÉPILEPSIE : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUT
araît certain, par tout ce que nous avons vu que presque toutes les
excitations
qui viennent agir sur les cen- tres encéphaliqu
nt le système nerveux central était plus délicat, plus sensible aux
excitations
anormales et plus fra- gile 1. On conçoit facil
es cornes antérieures de la moelle une altération anatomique ou une
excitation
fonctionnelle qui est la cause des accidents. L
ence de Machetto, qui avait débuté à l'Age de 18 ans par un accès d'
excitation
maniaque, était un type. de démence paranoïde q
us ou moins constant, voire provisoire, concomitant d'une période d'
excitation
. - 5. Il faut la ranger dans la catégorie des m
rophie du quadriceps fémoral incapable de répondre suffisamment à l'
excitation
; d'autre part à l'intégrité du tenseur du fasc
1 tion entre eux. -Dans le premier cas il faudrait admettre que l'
excitation
du sympathique produit la tachycardie et les ph
mises (Morel et Doyon ; Aba- die ; Jaboulay) sur les résultats de l'
excitation
du sympathique REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 32
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 325 . cervical, il faut admettre que l'
excitation
de ce nerf s'accompagne d'exophtalmie, alors qu
le ressaut qui caractérisent le début de l'acte. Il réagit devant l'
excitation
, à l'instar d'un sujet qui est à demi éveillé ou
i, dépourvue de tout lien avec la moelle la vessie avait obéi à une
excitation
spasmodique venue des ganglions sympa- thiques
plus d'un délire de persécution et de gran- deur, des phénomènes d'
excitation
(hallucinations de l'ouïe) alter- nant avec des
uë avec hallucinations de l'ouïe, confusion mentale, paroxys- mes d'
excitation
, actes impulsifs, spasme katatonique des mus- c
lité générale jouent un rôle actif dans la transmission du son, par
excitation
rolidienne. Cette idée ne contredit aucune- des
mentale de l'image motrice. Et lorsque le mouvement augmentait, les
excitations
qui en parvenaient à la malade la grisaient pou
t l'acte sexuel est la traduction de l'épuisement moteur qui suit l'
excitation
génitale. Nous donnerons simplement à titre d'e
xemple un tableau exprimant numériquement la diminution pendant l'
excitation
sexuelle de la force musculaire et surtout de sa
re était prise au dynamomètre Régnier, à l'état normal et pendant l'
excitation
génitale. Voici les chiffres obtenus : DU COE
la main droite de 31,1, pour la main gauche de 30,0; pen- dant l'
excitation
génitale, pour la main droite de.28,2, pour la
0, pour la main droite et de 1,4 pour la main gauche; pen- dant l'
excitation
génitale, de 1,8 pour la main droite et de 2,4
nifeste, la variabilité et le défaut d'adaptation musculaire dans l'
excitation
génitale, qui est à relever à côté de la diminu
servation courante directe et grossière de l'état musculaire dans l'
excitation
génitale parle d'ailleurs dans le même sens et
est par l'avalanche motrice, il est tout naturel de trouver dans l'
excitation
génitale une véritable dérivation de l'énergie
s qui montrent l'affaiblisse- ment et l'affolement moteur pendant l'
excitation
sexuelle. Une autre question nous semble mérite
cise. III L'augmentation de pression sanguine, qui accompagne l'
excitation
sexuelle, parle également dans le même sens. Si
comme exemple de l'élévation de la pression sous l'in- fluence de l'
excitation
sexuelle. X..., lemme âgée de vingt-cinq ans, s
a question suivante : l'état de l'anémie cir- culatoire pendant une
excitation
émotive intense. L'expérimenta- teur parla de l
cas pathologiques, les rapports ne peuvent avoir lieu que sous l'
excitation
de la musique. 3° Un autre argument peut être t
l'élévation brusque de la pression sanguine sous l'influence d'une
excitation
sexuelle plaide encore en faveur du rapprocheme
core en faveur du rapprochement que nous tentons de faire entre l'
excitation
sexuelle et l'activité motrice, ou plutôt tend à
ntéressé et intervient. L'équilibre moteur total arrive à un état d'
excitation
et de potentiel tel qu'il ne peut se main- teni
on relève des phénomènes de fatigue et d'épuisement moteur. d) L'
excitation
motrice se traduit également par des phé- nomèn
es qui concourent à exciter les désirs génésiques, sont surtout des
excitations
de l'image motrice. Tous les sens peuvent, selo
et accentuée selon les différents cas. Les sens provocateurs des
excitations
génésiques et mo- trices sont variables et diff
'un véritable emmagasinement de potentiel pour traduire au dehors l'
excitation
motrice suffisante. Il sem- ble que, pour que l
tiel de la pile vitale soit suffisant, il le faille charger par des
excitations
extérieures adoptées.' Ces états témoignent d'u
en une sorte d'immobilité vertigineuse, correspondant au summum d'
excitation
mentale. De nouveaux groupes d'images, véri- ta
chose près, pour l'acé- tone ; l'inverse s'observe-dans les états d'
excitation
; il est actuelle- ment impossible d'affirmer da
es dans le plus grand nombre des cas. La réaction n'est pas due à l'
excitation
des filets nerveux cutanés ou musculaires. 4° L
tions disparaissent. Il peut y avoir cependant quelques périodes d'
excitation
. Une démence très accusée apparaît dans un délai
phénomènes du rêve peuvent se décomposer en trois phases : phase d'
excitation
initiale, phase de souvenir, phase d'irradiation.
er avec soin les désirs, les émotions, les diverses réactions aux
excitations
que fournit la vie à l'asile, enfin l'activité de
tent de plus en plus jusqu'à un certain point le passage de la même
excitation
à mesure que ce passage devient plus habituel.
L'effet du stimulus dépend, non pas seulement de l'intensité de l'
excitation
, mais aussi de l'excitabilité des neurones stimul
g d'un choréïque chronique et chez plusieurs malades présentant une
excitation
motrice très marquée. Ainsi, donc, la présence
nt déchaîné la colère, la mortification, l'affliction, le dégoût, l'
excitation
sexuelle ; mais l'auteur allemand ajoute que «
émotion vive, sera l'agent causal. Dans le second, ce doit être une
excitation
intérieure ; exemple, l'obsession par névralgie
e, leur recom- mandant après leur sottie de l'asile, d'éviter toute
excitation
passionnelle. Ce serait, du reste, d'après l'
s obsédantes. Elle semble un lien entre la faiblesse irritable et l'
excitation
cérébrale spéciale que M. Wernicke accuse de la
nt aussi de le voir se développer comme suit : Il se produit de l'
excitation
intellectuelle caractérisée par une profusion d
urs bien ordonnées, qui, pour cette raison, ne rappellent en rien l'
excitation
maniaque. Chacune de ces idées, normales du res
la maladie même dont M. H... est atteint. . L'IDEE fixe. 31 Cette
excitation
spéciale s'accompagne bientôt, à son tour, de l
elles de leurs variétés, qu'au début d'un accès, quand il éprouve l'
excitation
intellectuelle dont nous avons parlé, il est ég
gauche, mais il n'y a ni aphasie, ni cécité verbale, ni agraphie. L'
excitation
intellectuelle est nulle ou à peine marquée.
tenté de croire, s'est toujours produite rapidement, sans période d'
excitation
bien vive. Au cours de la convalescence mentale
l'honneur de vous informer qu'Elvire P..., ma femme, est coupable d'
excitation
de mineurs à la débauche (adultère avec des pet
es réactions électriques sont les mêmes à gauche et à droite pour l'
excitation
faradique : l'excitabilité galvanique des muscles
rée. Peut-être pourrait-on attribuer au trional la disparition de l'
excitation
qui accompagnait les accès et qui n'a plus repa
les agités chroniques, chez les débiles et déments avec périodes d'
excitation
; chez les autres malades, son action n'est guère
ractérisé le plus souvent par la succession de deux phases, l'une d'
excitation
, l'autre de dépression, mais dont la pre- mière
vec les délires circulaires dont elles ne présentent pas la phase d'
excitation
. Après- les aboulies les auteurs étudient les d
lution. Il est vraisemblable que dans l'expé- rience de Bechterew l'
excitation
a diffusé, est allé exciter les fibres sous-jac
a précisé davantage encore. Les yeux se dirigeaient en bas par l'
excitation
de la zone supérieure du lobe occipital, en hau
l'excitation de la zone supérieure du lobe occipital, en haut par l'
excitation
de la zone inférieure, latéralement par ' Joann
convolutions centrales. 1 Schaeller. Experiznents on the eleclrical
excitations
of the visual area of the cérébral cortex in th
n, avril 1888). DOUBLE CENTRE D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 181 l'
excitation
de la zone intermédiaire. Il note que les mouve-
iaire. Il note que les mouve- ments étaient plus intenses lorsque l'
excitation
était portée à la face interne du lobe occipita
on était portée à la face interne du lobe occipital. Il admet que l'
excitation
produit des images subjectives qui sont projeté
ns l'exemple que nous avons donné plus haut. Et ce qui prouve que l'
excitation
passe bien par les fibres centrifuges mêlées au
ges visuelles subjec- tives (Schoeffer) n'est pas nécessaire, car l'
excitation
de la substance blanche du lobe occipital produ
). Même chez les oiseaux où l'entrecroisement optique est complet l'
excitation
d'un seul lobe occipital produit les mouvements
neront des argu- ments plus positifs. D'après Mott et Schaeffer l'
excitation
du tiers supérieur de cette zone produirait une
oduirait une déviation latérale, et un abais- sement des globes ; l'
excitation
du tiers moyen, la déviation latérale simple; l
obes ; l'excitation du tiers moyen, la déviation latérale simple; l'
excitation
du tiers inférieur, la déviation latérale avec
sley, Munk, Steiner ont aussi produit des mouvements des yeux par l'
excitation
de l'écorce du lobe frontal. Le temps perdu ser
e temps perdu serait moindre que dans les mouvements produits par l'
excitation
du centre pos- térieur. A la partie postérieu
ela répond-il au point de vue psychologique ? A un simple réflexe :
excitation
du nerf sen- soriel, conduction à la première c
Ici une question se pose : ces mouvements dits volontaires, dont l'
excitation
provient d'un centre d'association, peuvent- il
eçons cliniques, 1895). 188 PHYSIOLOGIE. pour point de départ une
excitation
sensorielle de la rétine, comme une excitation
point de départ une excitation sensorielle de la rétine, comme une
excitation
sensitive du trijumeau. Nous rechercherons donc
rbe, en se basant sur des expériences d'Exner et Paneth, qui, par l'
excitation
de cette région, obtinrent chez les animaux des
sent au-dessous du pli courbe, d'où les effets des lésions et des
excitations
de cette région. La lésion des deux centres (ou
ment passer inaperçus. Tous les mouvements ayant pour origine une
excitation
de la rétine (mouvements de latéralité, conver-
par une impression rétinienne. Les sensations venues d'ailleurs, l'
excitation
transmise par les centres d'as- sociations (V.
ut venir non seulement de la périphérie mais des centres voisins. L'
excitation
qui. met en jeu le centre oculo-moteur postérie
ction du cervelet se concrète dans une réaction mise en jeu par des
excitations
périphériques et des impressions centrales et s'e
cement des canaux semi-circulaires : c'est l'association des deux
excitations
qui forme l'image sensorielle du mouvement rotato
qui forme l'image sensorielle du mouvement rotatoire, tandis que l'
excitation
de l'utricule seule est ressentie comme mouveme
notisme peut être pratiqué en plein délire alcoolique à moins que l'
excitation
du malade le rende insensible à cette pra- tiqu
rence d'idées. A partir du 13 décembre, confusion mentale complète,
excitation
motrice, tendances agressives, gâtisme et insom
'élévation de température. On y retrouve : une ébauche de période d'
excitation
de courte durée, qui fait place à la seconde pé
cas les troubles cérébraux - se manifestent sous la'forme d'états d'
excitation
ou de dépression. Les premiers de ces états app
nfusion mentale avec délire onirique et alternatives irrégulières d'
excitation
et de dépression. M bout de huit mois, améliora
is C..., qui jusqu'alors avait été assez calme, fut pris d'une vive
excitation
. Ses actes extravagants, sa loquacité, 'sa turb
ts de ses rêveries, et à provoquer une réaction en rapport avec les
excitations
que l'on fait agir sur lui. Lorsqu'on -l'interr
a confusion des idées persiste avec des alternatives irrégulières d'
excitation
et de dépression. On ne distingue pas l'existence
Sur ce fond invariable de confusion mentale se greffent des accès d'
excitation
et de dépression qui se succèdent il des inter-
rolongent pendant plusieurs heures ou même des journées entières. L'
excitation
est généralement prédominante. L'existence de c
UN CAS DE CONFUSION MENTALE. 267 On n'observe plus de dépression; l'
excitation
est encore très fré- quente, mais semble avoir
consiste en une diminution très notable des hallucinations et de l'
excitation
qu'elles entrete- naient. La désorientation de
eu près, sinon absolument étranger à ce qui l'entourait, et que les
excitations
reçues par ses organes des sens n'étaient pas per
au membre infé- rieur droit les sensations qui ont pour origine une
excitation
périphérique portée sur le membre inférieur gau
port à ce qui se passe du côté opposé sous l'influence d'une légère
excitation
péri- phérique. Il convient d'ajouter que l'obu
Yllüâer : « l'écoulement menstruel est un réflexe provoqué par l'
excitation
des extrémités terminales des nerfs du folli- c
sseaux. Cette mo- dification consisterait, à l'état normal dans une
excitation
des vaso-dilatateurs, d'où congestion génitale
irt). Ziemssen indique qu'il a pu chez les animaux provoquer, par l'
excitation
électrique, la con- traction de l'iris. Mais on
est un muscle qui, en certaines circons- tances, est accessible à l'
excitation
électrique percutanée, directe. C'est l'élévate
l'élévateur se contracte tout à fait lentement quand on pratique l'
excitation
galvanique directe au point désigné supra. M. W
ce qui empêche l'excursion du globe de l'oeil sous l'influence de l'
excitation
galvanique directe d'un muscle de l'oeil paraly
n outre de l'influence exercée sur lui, comme à l'état normal par l'
excitation
électrique du cubital. C'est une anomalie physi
ganglions spinaux peuvent continuer à recevoir de la périphérie une
excitation
qu'elles transforment de la manière qui convien
ès que les phénomènes d'exci- tation normaux sont remplacés par des
excitations
anormales, la capacité métamorphique normale de
sorte qu'au lieu qu'il se produise une méta- morphose normale de l'
excitation
qui, de la périphérie, va à la cellule, ait lie
môme du second cas. Le troisième malade est un mélancolique avec
excitation
par intervalle qui séjourne seulement deux mois a
démence apathique est rarement remplacé par des hallucinations avec
excitation
et délire de possession. L... fait remarquer qu
'ex- pliquent par la propagation au centre moteur du langage de l'
excitation
du centre auditif cortical. » Signalons encore la
n vient me dire dans la poitrine que je suis cocu. » Ainsi donc une
excitation
périphérique provoque l'hallucination psycho-mo
tre fois de la bouche, de la poitrine. Elle est réveillée par les
excitations
externes, les coups de sifflet réels. Ainsi, no
ations externes, les coups de sifflet réels. Ainsi, non seulement l'
excitation
du centre auditif cortical se propage au centre
uditif cortical se propage au centre moteur du langage, mais même l'
excitation
périphérique provoque l'éréthisme du centre mot
ériphérique provoque l'éréthisme du centre moteur du langage. Cette
excitation
vient souvent de loin, ce sont « des frémisseme
interne; mais cette hallucination périphérique indirecte, dont l'
excitation
porte en dehors de la zone d'innervation du sys
les individus semblent parler automatiquement. Cela s'explique. L'
excitation
du centre de Broca, ainsi que l'a démontré M. J
es mots pourra se pro- duire. » (Jules Soury'.) Parfois c'est une
excitation
externe (obs. IV) qui réveille l'hallucination
eilles qui commencent, puis la voix intérieure répond (ohs. I). L'
excitation
jusque-là portait directement sur les organes d
de la phonation et de l'articulation, mais il est des cas où cette
excitation
porte beaucoup plus loin, bien en dehors de la
ade éprouve des élancements dans les jambes; et, à mesure que cette
excitation
augmente elle se transforme en hallucination mo
osition que M. le professeur Joffroy2 nomme hallucinogène. 2° Une
excitation
périphérique ou centrale des organes sensoriels
s. (Archives de neurologie, 189G.) HYSTÉRIE DE L'ENFANCE. 391 les
excitations
externes provoquent chez quelques-uns de nouvel
, soit en agissant sur les dendrites centripètes et récepteurs de l'
excitation
. Assuré- ment les fonctions du système nerveux
résumé le début de l'intoxication se traduit par des phénomènes d'
excitation
; plus tard apparaissent des phénomènes de défici
e, la réaction de fatigue, les parésies. Aux cellules du cerveau, l'
excitation
, puis, la stupeur des animaux; on rapprochera de
lité. En cas d'intoxication faible, prédominance des phéno- mènes d'
excitation
, réparation possible des lésions légères, à la
attaques sont accompagnées d'une extrême irritabilité sous forme d'
excitation
ou de dépres- sion. Un bon succédané du mélange
s du lobe cérébral droit sont pres- que toujours accompagnées d'une
excitation
spéciale des facultés émotives. Grasset nous do
omprennent généralement une période prodro- mique avec tristesse ou
excitation
, hallucinations surtout visuelles, suivies d'af
cun trouble psychique, mais sou- vent cette complication a lieu par
excitation
, pression, dégé- nérescence secondaire. Le tabl
, dans tous les cas, de douleurs céphaliques, en même temps que l'
excitation
cérébrale et, dans la plupart des cas, de symp-
onstantes dans les formes aiguës. Qu'il s'agisse en effet d'états d'
excitation
, ou de dépression, ou de confusion, ou encore d
ce sont moins souvent troublés, par suite de l'absence des causes d'
excitation
, de désordre, liées ailleurs à la promiscuité d
le séjour au lit dans les états maniaques et les autres formes avec
excitation
. 'Les chiffres ci-dessous montant quelles sont,
ogressive, embarras de la parole. idées de grandeur et de richesse,
excitation
généralisée^ dans ces derniers jours de maladie
la voix de sa femme et des menaces terribles. 23 décembre 1897. L'
excitation
s'apaise et est remplacée par un grand état de
ell1'olog. Cen- tralbl., XVII, 1898.) Expériences sur des chiens.
Excitation
au moyen du courant induit de la zone motrice d
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. * 489 courant faradique; dépendent non de l'
excitation
locale du centre cortical de l'estomac, de l'in
sie, mais de l'attaque elle-même qui apparaît comme résultant d'une
excitation
d'en- semble de la zone motrice de l'écorce cér
dégénérative. Enfin on constate une arthropathie du genou droit par
excitation
mécanique en rapport avec le lancement de la jamb
nes. De là les thromboses, les foyers consécutifs, les phénomènes d'
excitation
, et la mort rapide pro- duite par les oblitérat
être éloigné du corps La galvanisation cursive du muscle jointe à l'
excitation
faradique de l'axillaire permet bientôt l'éléva
n doute étonné de leur conservation après une période très longue d'
excitation
chez les maniaques non alités. On nous dit auss
la lésion qui, dans la paralysie radiale par compression, empêche l'
excitation
électrique, portée au-dessus, de passer par les
- toires auquel il accorderait raie importance plus grande qu'a l'
excitation
du sympathique. Le manque d'action tonique et r
es dehors, peut ressembler au délire furieux des épileptiques, ou à l'
excitation
maniaque, la contracture qui vient subitement pou
ssion des phénomènes douloureux qui constituent cet aura et qui, si l'
excitation
est un peu soutenue, peuvent ne pas s'arrêter en
tre que la région ovarienne n'est pas le seul point douloureux dont l'
excitation
ait une influence marquée sur le développement ou
pouvant occasionner l'attaque. » Sans chercher par quel mécanisme l'
excitation
périphérique de certains territoires nerveux donn
érieure. 3. Zone latérale postérieure de Suz. N... convulsions. L'
excitation
du point symétrique au côté droit de-meure ineffi
eresthésie ovarienne, trois zones hyperesthésiques capables, par leur
excitation
, de donner naissance aux attaques. L'une est situ
s de chaque côté du sternum, au-dessus des seins (fig. 9, n°l, 1'). L'
excitation
d'un seul de ces points suffit pour déterminer le
t pour déterminer les convulsions. Portée sur le milieu du sternum, l'
excitation
demeure sans effet. Ernestine Pil... possède un
ue l'hyperesthésie ovarienne existent d'autres points hystérogènes, l'
excitation
de la région ovarienne est toujours beaucoup plus
et défensives servant à parer les coups ou à en porter. Une première
excitation
occasionne les convulsions, une seconde amène l'a
Ce qui est vrai pour la compression ovarienne l'est également pour l'
excitation
de toutes les zones hystérogènes que nous avons s
ui à peine commencées peuvent être aussitôt enrayées par une nouvelle
excitation
du même point. La même chose existe chez toutes l
utes les malades dont nous avons parlé. J'ajouterai qu'en général l'
excitation
qui arrête la convulsion doit être plus forte que
ade possède plusieurs zones hystérogènes, l'attaque occasionnée par l'
excitation
de l'une peut être arrêtée par l'excita-tion port
nément, et lorsque, par la compres-sion ovarienne ou par une nouvelle
excitation
du point hystérogène, on fait cesser les convulsi
malades ne voient plus, n'entendent plus et ne sentent plus rien; les
excitations
, la brûlure, les piqûres ne sont en aucune manièr
période des hallucinations, elle est complètement insensible à toute
excitation
extérieure. La piqûre, la titillation de la conjo
rêve et ramènent la malade à la réalité : c'est, en première ligne, l'
excitation
des zones hystérogènes et particulièrement la com
se. Elle ne voit rien, n'entend rien, elle demeure insensible à toute
excitation
, et est complètement distraite du monde exté-rieu
omplètement distraite du monde extérieur, et in-sensible à toutes les
excitations
. Elle ne voit rien, elle n'entend rien, elle ne s
me période, la malade demeure insensible à toute espèce de bruit ou d'
excitation
quelconque :)... Ah!... M. X... sort là-bas... No
malade possède, en outre, deux autres points hyperesthésiques dont l'
excitation
même légère peut déterminer les attaques. (Voy. p
période épileptoïde qu'on ne parvient pas à arrêter par une nouvelle
excitation
portée sur le même point. b). Cris, arc de cerc
dant toute cette scène, la malade est complètement insensible à toute
excitation
du dehors. On peut lui bander les yeux, son hallu
s pupilles sont très dilatées. —Déjà la malade est insensible à toute
excitation
extérieure. — Son visage exprime la souffrance, e
ïdes avec écume h la bouche. Et la crise était précédée d'une phase d'
excitation
avec zoopsie, qui rentre dans les troubles intel-
près l'attaque. La malade, durant cette phase, reste insensible aux
excitations
exté-rieures, mais si nous comprimons l'ovaire ga
qui lutte, cris, face vultueuse non convulsée, insensibilité à toute
excitation
. La malade cherche à mordre, et une mèche de ses
e convulsive complexe, pendant laquelle la malade, insensible à toute
excitation
externe, parlaitàhaute voix, de noyée, de pendue,
son père; la malade tomba dans un état de dépression bientôt suivi d'
excitation
, et se créa la persuasion que son père n'était pa
a sensation étaient abolies pendant l'atta-que et elle supportait les
excitations
les plus fortes. Elle ne se souvenait pas après d
ucinations fait observer que chez les femmes hystériques, lorsque l'
excitation
sera portée à un haut degré, il pourra se manifes
ette femme dans les temps de répit. » La compression ovarienne et l'
excitation
des zones hystérogènes conservent, pendant l'état
t dilatée, est sen-sible à la lumière. Cet état se prolonge, aucune
excitation
ne peut la faire sortir de cet anéan-tissement, e
i)..... En somme les hystériques sont susceptibles d'arriver, par l'
excitation
des attaques, à un maximum de puissance intellect
s convulsions. La compression ovarienne ne pouvait être main-tenue. L'
excitation
des zones hystérogènes du dos et des aisselles de
i d'ordinaire agissaient si rapidement, restaient, au milieu de cette
excitation
générale, sans résultat et échouaient complètemen
étonnement à son réveil, elle avait dormi; aucune fatigue, après une
excitation
nerveuse de toute la nuit ^ Les rapports plus o
que instantanée de ces accidents et retour du délire, cette fois avec
excitation
maniaque, cris, pleurs, rires alternatifs... La
bue le nouvel accès pour lequel elle a été amenée à la Salpêtrière.
Excitation
maniaque franche, parfois assez vive, éclatant br
accès délirants revêtent parfois la forme de l'agitation maniaque. L'
excitation
cérébrale est portée au plus haut degré, et attei
e. Stupeur. Mutisme. —La stupeur est plus rare que l'agitation. A l'
excitation
cérébrale succède parfois une dépression plus ou
M. Mathias Duval. tion du muscle, sur les membres, persiste après l'
excitation
, pour peu que celle-ci soit un peu forte et un pe
u prolongée, et se transforme facilement en contracture permanente; l'
excitation
d'un nerf provoque la contraction des muscles qu'
est-à-dire que la face est dirigée du côté opposé au muscle excité. L'
excitation
de l'antagoniste, c'est-à-dire du sterno-mastoïdi
tion droite et, si l'on insiste, la tourne inversement. Sur un bras l'
excitation
des fléchisseurs amène la contracture du membre d
seurs amène la contracture du membre dans la flexion, qui cesse par l'
excitation
des extenseurs, et inversement. En résumé, tous l
bles de se contracter ainsi ; et suivant la durée et l'intensité de l'
excitation
,on obtient à volonté une contrac-tion ou une cont
Mais la malade, jusque-là inerte, peut, sous l'influence de certaines
excitations
, entrer dans une seconde phase qui se rapproche d
toires. musculaire; impossibilité de faire contracter le muscle par
excitation
mécanique. TÉtat léthargique. —Les yeux sont fe
trouvée telle que nous l'avions tout d'abord cons-tatée. A la face, l'
excitation
mécanique des muscles ou des nerfs amène une cont
nique des muscles ou des nerfs amène une contraction ; aux membres, l'
excitation
mécanique des muscles et des nerfs produit la con
tation mécanique des muscles et des nerfs produit la contracture. L'
excitation
d'un tronc nerveux fait contracter tous les muscl
s qu'il innerve. La contraction du muscle peut être provoquée par l'
excitation
mécanique directe, ou par l'excitation mécanique
scle peut être provoquée par l'excitation mécanique directe, ou par l'
excitation
mécanique des points moteurs reconnus en élec-tro
es des expériences qui ont été le plus souvent répétées. Au BRAS. —
Excitation
des muscles. — L'avant-bras est très riche en poi
ttouchement pour provoquer la contracture muscu-laire ; de plus, si l'
excitation
portée est un peu forte, elle se propage spontané
thargique, nous les avons facilement trouvés chez nos malades et leur
excitation
souvent répétée a toujours donné les mêmes résult
des éminenos thénar et hypothénar ont pu être excités séparément. L'
excitation
du premier interosseux dorsal a toujours amené l'
rosseux dorsal a toujours amené l'extension de l'index, etc., etc..
Excitation
des nerfs. — L'expérimentation a donné ici des ré
nné ici des résultats fort curieux. Tandis que chez l'homme sain, l'
excitation
faradique d'un nerf mixte pro-voque dans tous les
a douleur qui l'accompagne, chez l'hystérique en état de léthargie, l'
excitation
mécanique des mêmes nerfs détermine, dans les mus
ultanée de tous les muscles intéressés. Ainsi sous l'influence de l'
excitation
mécanique du nerf cubital en arrière de l'épitroc
d'une hystérique léthargique prend une attitude caractéristique que l'
excitation
faradique faite à l'état normal n'a-vait qu'à pei
à tous les muscles interosseux. Cette intéressante expérience de l'
excitation
du nerf cubital a donné chez toutes nos malades l
du nerf cubital a donné chez toutes nos malades le même résultat. L'
excitation
du nerf médian le long du bord interne du biceps
tous les segments du membre, avant-bras, main, doigts. Au contraire l'
excitation
du nerf radial, au sortir de la gouttière de tors
face peuvent être excités séparément. Mais, comme je l'ai déjà dit, l'
excitation
mécanique ne donne lieu ici qu'à la contraction.
t, l'excitation mécanique ne donne lieu ici qu'à la contraction. Si l'
excitation
a été profonde et prolongée, la contraction pro-d
soit du nez, soit de la bouche. Chez une de nos malades Witt..., l'
excitation
des muscles de l'oreille a donné des résultats d'
es échappent sou-vent à l'action de la volonté. En portant une légère
excitation
mécanique immédiatement en avant du tragus, l'ore
rve une partie du muscle auriculaire supérieur. En effet en portant l'
excitation
sur ce muscle lui-même, le même mouvement du pavi
te du muscle; dans la léthargie sans hyperex-citabilité musculaire, l'
excitation
faradique, quelque forte qu'elle soit, n'a jamais
état de la contractililé musculaire, les muscles ne répondent pas à l'
excitation
mécanique, le phénomène décrit sous le nom d'hype
perexcitabilité neuro-musculaire. Les membres sont en résolution et l'
excitation
mécanique même légère des muscles ou des nerfs am
re des réflexes, d'une façon en quelque sorte fatale, à la suite de l'
excitation
des différents sens. A. La malade cataleptique,
ombe dans l'état cataleptique qui persiste jusqu'à ce qu'une nouvelle
excitation
sensorielle vienne l'en tirer. B. Le sens muscu
que, pendant l'attaque, la malade est complètement insensible à toute
excitation
venue du dehors, et que l'hallucination survenue
uite autrement, et la malade demeure indifférente à tout autre mode d'
excitation
. La même chose a lieu chez Suzanne N... quatr
teur dont le contact est supporté par la malade peut à son gré, par l'
excitation
légère de la peau, provoquer des contractures in-
hystérique, n'existe pas ici. Il est impossible de provoquer par une
excitation
mécanique la contraction ou la contracture perman
le retour à fétat normal ou par le passage à fétat léthargique. Une
excitation
légère suffit pour réveiller la malade : souffle
e livre à une mimique très expressive, ou bien sous l'influence d'une
excitation
spéciale des sens accomplit automatiquement certa
hénomènes de suggestion (automatisme, hallucinations provo-quées) une
excitation
sensorielle légère suffit pour les produire en mê
constance, la série des hallucinations suit son cours fatal qu'aucune
excitation
venue du dehors ne saurait modifier. Nous avons v
hyperexcitabilité musculaire (Obs. I, 1'" série). Pos-sibilité par l'
excitation
mécanique de provoquer la contracture du muscle,
uer la contracture du muscle, laquelle disparaît par la friction ou l'
excitation
des mus-cles antagonistes. 8' Possibilité par l
cette variété de sommeil s'opère graduellement sous Fin-fluence d'une
excitation
quelconque faible et répétée, le début passe inap
spéciale dont j'ai parlé, qui ne se produit que sous les plus légères
excitations
, et dans les mêmes circonstances que celles dans
u la propriété spé-ciale désignée sous le nom dliijperexcitabilité.—L'
excitation
des points hystéro-épileptogènes ne provoquait au
Ce matin l'attaque de sommeil dure encore. C'est un sommeil que les
excitations
les plus variées ne peuvent rompre. On a beau l'a
cris inarticulés. Elle demeure à peu près indifférente aux diverses
excitations
: piqûres, respiration d'atnmoniaque, poudre de c
u côté droit, puis la malade deve-nant insensible à tous nos moyens d'
excitation
sembla dormir profondément, la respiration et la
ne statue de marbre. Mais ce fut bien autre chose quand je passai à l'
excitation
du facial droit. Je n'eus pas plus tôt mis le doi
ne expression de sourire toute particulière. Comme je prolongeais l'
excitation
du facial droit en maintenant fortement la pressi
ts muscles de la face se contractent, mais il semble, en outre, que l'
excitation
se propage, et souvent la contraction se pro-duit
es efl'ets d'hyperexcitabilité musculaire sont produits par la simple
excitation
mécanique faite avec l'extrémité du doigt. Que ce
s. Il n'y a pas ú'hyper excitabilité musculaire, c'est-à-dire que l'
excitation
mécanique n'amène pas la contracture permanente d
et comme d'une contraction localisée. Les piqûres, brûlures et autres
excitations
du même genre n'ont jamais produit aucun effet, (
s; seu-lement il y eut pendant cinq ou six nuits encore une période d'
excitation
, pendant laquelle la malade s'entretenait avec sa
ps, les accès se sont un peu éloignés; mais il s'y est adjoint * de l'
excitation
, des tentatives de suicide, elle a menacé de se j
des paupières, insufflations sur les yeux, fric-tions des paupières,
excitations
douloureuses de la peau sans qu'il soit possible
son lit, jette ses couvertures, crie, pleure, chante. Peu à peu cette
excitation
noc-turne se passe, et elle se présente aujourd'h
pour s'y rendre. y En outre, dans la nuit, livrée à elle-même, sans
excitation
extatique, elle est presque constamment poursuivi
tante et plus difficilement dans l'intervalle des accès. Une légère
excitation
du nerf olfactif produisit le même résultat. A de
aît dans les membres parésiés sous l'influence de causes variées. L'
excitation
mécanique portée sur les muscles de la région ant
c contracture latente du service de M. Charcot. Nous avons vu alors l'
excitation
vibra-toire produire une contraction manifeste da
le paraissait devoir persister si nous ne l'avions pas détruite par l'
excitation
des muscles antagonistes. C'est particulièrement
n'agissent qu'en vertu d'une excita-tion mécanique spéciale. Mais des
excitations
mécaniques d'une autre sorte produisent le même e
e dont elles ne parviennent que difficilement à se débarrasser. Les
excitations
de Vélectricité faradique peuvent avoir l'in-flue
sauraient que tendre à l'aggravation du mal, en sollicitant, par des
excitations
multiples et variées, les dispositions morbides s
uro-musculaire qui permet de faire contracter les muscles, soit par l'
excitation
directe, soit par l'exci-tation des rameaux nerve
de la compression ovarienne, des interver-sions électriques, et de l'
excitation
des zones hystérogènes. — Je ne reviendrai pas ic
d'émergence des nerfs intercostaux. En effet, de même qu'une première
excitation
de ces zones d'hyperesthésie provoque les convuls
n de ces zones d'hyperesthésie provoque les convulsions, une nouvelle
excitation
peut les arrêter. L'importance des fonctions de
re vent électrique et demeurer parfaitement insensibles à toute autre
excitation
. Quelquefois le réveil de cette sensibilité élect
directe de déplace-ment est plus sûre. Dans les cas de contracture, l'
excitation
, à l'aide d'étin-celles, des tendons antagonistes
al. 1872. 4. In Leç. sur les mal. du sgst. nerv. nant alors que l'
excitation
religieuse ait provoqué, à certaines périodes d'e
l'usage de la parole, et tous restaient insea- sibles aux moyens d'
excitation
ordinaires. La flûte et la guitare pouvaient leur
tait, 1. C'est bien là l'état d'une hystérique dans cette période d'
excitation
délirante qui suit ou précède les attaques. laq
ux autres qui, au moment de l'examen, étaient déjà sous le coup d'une
excitation
cérébrale présentant tous les caractères du délir
s exor-cismes en est rempli. Aussi sous l'influence d'une semblable
excitation
, pour peu que les dia-bles fussent bien disposés,
ou obscène, des accès d'extase et de léthargie avec trismus, une vive
excitation
génésique, des hallucinations nocturnes, etc. Cet
de leur enthousiasme. On conçoit que, dans de sem-blables réunions, l'
excitation
mentale, bientôt portée à sou comble, constitue u
e réunit à Boston, pour traiter de la |)rière quotidienne du matin. L'
excitation
du peuple était telle et son engouement pour ce g
igno-tement. Les yeux, plongés dans le lointain, n'obéissent plus aux
excitations
ordi-naires; on peut faire passer brusquement un
t de la compression ovarienne, des interversions électriques, et de l'
excitation
des zones hystérogènes............... 583 b) .
ériode normale de trois mots (février-mai 1806). En juin, période d'
excitation
de trois semaines. Depuis, légère dépression mé
ébute soudaine- ment, et elle entre en novembre 1887 dans un état d'
excitation
maniaque qui dure deux à trois mois; elle tombe
ode dure plusieurs mois. Puis, après des alternatives de calme et d'
excitation
, elle est de nouveau normale en janvier 1890.
DES rapports sexuels; par FÉRÉ. (Revue de méd., sept. 1897.) Les
excitations
du sens génital qui sont même chez les sujets n
acés montrent la façon dont les muscles et les nerfs réagissent à l'
excitation
électrique. On trouve la « réaction rnyotonique
s celle gymnastique que lursqu'un ne constatera plus de symptômes d'
excitation
cérébrale. Les vertiges dont se plaignent les h
agi l'eau froide ? Probablement en stimulant le système nerveux par
excitation
réflexe périphérique. Cet heureux résultat obte
u point de faire croire à une convalescence, parfois accom- pagné d'
excitation
qui éclatait dans son ménage sous l'influence de
c ce délire absolument fixe de persécution et de gran- deur et de l'
excitation
cérébrale, qu'elle était transférée dans notre
us la faisons entrer à l'infirmerie, parce qu'elle a de la fièvre [/
excitation
est un peu moins forte. Le lendemain et les jou
itiale, quoique toujours un peu plus faible. Mais si on pro- duit l'
excitation
électrique pendant l'asphyxie, pendant les trois
lectrique pendant l'asphyxie, pendant les trois premières minutes l'
excitation
augmente un peu; puis, au moment où les mouveme
res après le retour de l'oxygène, il continue à ne pas répondre à l'
excitation
. Lorsqu'on a poussé la fatigue à un état voisin
, le muscle continue à mou- rir, même si on lui rend l'oxygène. L'
excitation
électrique à cette période accélère la mort du
ratique. En effet, les limites entre lesquelles varient le nombre d'
excitations
tétani- santes pour un même muscle sont assez r
blir une moyenne pour un muscle donné ; d'autre part, les nombres d'
excitations
nécessaires pour produire le tétanos diffèrent
d'un muscle à l'autre. On peut donc, par la comparaison du nombre d'
excitations
tétanisantes du muscle sain et de son similaire
u mal. Au point de vue thérapeutique, la connaissance du rythme des
excitations
nécessaires pour faire entrer un muscle malade
os parfait est utile, parce qu'il convient de graduer le nombre des
excitations
suivant ce même rythme, si on veut évi- ter la
es du coeur, l'augmentation d'intensité détermine l'arythmie. Les
excitations
électriques empêchent l'arrêt des contractions du
muscle au moyen d'un conducteur collatéral formant circuit fermé, l'
excitation
induite s'affaiblit et le muscle ne se contract
xcitation induite s'affaiblit et le muscle ne se contracte pas. Les
excitations
induites se produisent également quand la prépa
n si la position est dissymétrique, repos si elle est symétrique. L'
excitation
induite du nerf peut aussi se produire si le ci
t de la bobine secondaire d'induction se trouve fermé. On obtient l'
excitation
induite du nerf même à travers le corps de plus
oduite dans le circuit secondaire interrompu ou non, de provoquer l'
excitation
des nerfs sensitifs de la main. En mel- ' Arch.
ant Galvanique, car si l'action électroly- tique seule produisait l'
excitation
sensitive, il serait difficile d'ex- pliquer la
tomie, enfin l'état de l'innervation. Si le muscle n'obéit plus à l'
excitation
indirecte, malgré l'opération, il dépérira. L'e
ion minima trouvée on recherche la contraction tétanique soit par l'
excitation
directe du muscle, soit par celle du nerf, en f
les deux questions suivantes : le muscle répond-il directement aux
excitations
électriques ? Lorsqu'il est excité par l'interméd
termédiaire du nerf correspondant, par quel mécanisme se fait celte
excitation
? Il lui semble logique d'admettre que l'excita
e se fait celte excitation ? Il lui semble logique d'admettre que l'
excitation
du muscle, lors- qu'elle se fait par l'interméd
se fait par l'intermédiaire de son point d'élection, n'est pas une
excitation
directe du tissu musculaire, mais bien pour une
électrophysiologie ET d'électrothérapie. 111 1 très grande part une
excitation
indirecte qui emprunte l'influence des filets t
Nancy) qui a démontré que la contraction musculaire provoquée par l'
excitation
d'un nerf n'est pas due à la transmission directe
n'est pas due à la transmission directe à l'organe réagissant de l'
excitation
électrique elle-même, mais de cette excitation
gane réagissant de l'excitation électrique elle-même, mais de cette
excitation
transformée en onde nerveuse, il conclut que si
en onde nerveuse, il conclut que si nous constatons à la suite de l'
excitation
d'un nerf moteur une réaction musculaire anorma
altération de la substance nerveuse qui trans- forme anormalement l'
excitation
électrique, altération du cordon nerveux en ava
e très imparfaitement connues. Les modifica- tions qualitatives des
excitations
voltaïques engendrent des réac- tions anormales
pense pas, comme Voisin, que les poisons de l'économie produisent l'
excitation
des centres convul- sifs chez les prédisposés,
ar des contractions lentes, soit à l'excita- tion directe, soit à l'
excitation
des nerfs. Peut-être aussi serait-on en droit d
Tous les chirurgiens et aliénistes s'attendent à voir survenir de l'
excitation
lorsqu'ils ont à intervenir chez des buveurs. L
es à l'asile sont assez nombreuses ; la plus fréquente est l'état d'
excitation
des malades; ensuite vient l'impossibilité pour
'influence de fatigue cérébrale qui arrive promptement, éclate de l'
excitation
cérébrale avec anxiété, sensiblerie, crises de
détermine encore de la confusion mentale avec sensiblerie, un peu d'
excitation
cérébrale. Santé physique relativement satisfai
Salpêtrière, avec les trois phases cliniques, tonique, clonique et
excitation
émotionnelle finale. A. XL1AIE. LXXXI. Névrit
ns qu'il y ait pres- sion cérébrale, et provenir, par exemple, de l'
excitation
ou de la paralysie de l'encéphale. L'augmentati
nt les fibres pyramidales. La différenciation topogra- phique par l'
excitation
électrique est spécialement remarquable pour la
s faisceaux pyrami- daux. En diminuant méthodiquement la force de l'
excitation
, et quant à l'intensité du courant, et quant à
tation, et quant à l'intensité du courant, et quant à la durée de l'
excitation
, on arrive à conclure que les fibres motrices d
différents examens, des diffé- rences en volts considérables pour l'
excitation
(Wertheimer et Salomonson). ' C. Etudes clini
state chez les épileptiques de nos asiles un trouble mental; soit l'
excitation
maniaque, soit la religiosité excessive, la dép
s la quinzaine qui suit son arrivée, je constate de la tendance à l'
excitation
, une certaine confusion d'idées où surnagent ce
che, brève, hautaine et nullement embarrassée. Dans ses mo- ments d'
excitation
et de prétentions ridicules, il a la face animée
1865 ; épilepsie, hallucinations de l'ouie, idée d'empoisonnement,
excitation
maniaque, accès d'agitation, mort en décembre 1
et la démence de cette maladie. C'est ainsi que nous trouvons : L'
excitation
maniaque à divers degrés 9 fois (obs. 1, 2, 3, i,
é passable; pas de stupidité, nuit calme et propre. Ce matin légère
excitation
, la malade cherche à frapper : elle dit que ça
s, les yeux fermés, immobile, les membres souples, indifférente aux
excitations
, avec un pouls normal ou légèrement ralenti.
reprise d'une de ses crises à forme léthargique. Dans l'après-midi,
excitation
, cris inarticulés; elle cherche à se laisser co
ns de l'ouïe, dissociation des idées, alter- natives d'apathie et d'
excitation
, conceptions délirantes les unes mystiques, les
ère; ses selles sont décolorées. 11. - L'ictère augmente sans que l'
excitation
maniaque se modifie. Il existe un oedème consid
vre, soif vive; t. 38° 2. 13. - Le mal fait des progrès rapides ; l'
excitation
est tombée et remplacée par une somnolence cont
les, peut être l'origine d'idées hypochondriaques et engendrer de l'
excitation
génitale avec onanisme. Il pense que cette hype
t léger à une pression énergique, il est bon de commencer par des
excitations
faibles qu'on augmente ensuite progressivement ;
d'agitation. A priori on aurait rattaché l'exagération aux phases d'
excitation
et l'abolition aux phases de calme; cette fois
r sous l'influence du chloral,mais reprennent il la moindre cause d'
excitation
. 1 Le lendemain, l'enfant semble dormir d'un so
duisent ces mouvements amiboïdes, il montre qu'on doit invequer une
excitation
venue du cerveau par les fibres visuelles centr
ation venue du cerveau par les fibres visuelles centrifuges : a Une
excitation
née dans ,1e cerveau est transmise à l'articula
A notre tour, nous nous demanderons : quelle est l'origine de cette
excitation
venue par les fibres visuelles centrifuges ? ` ?
e des phénomènes précédents nous permet de répondre par analogie. L'
excitation
apportée au centre visuel par les fibres visuel
t de croire à une intlam- mation subaiguë. uns. Il.- Phénomènes d'
excitation
corticale continus avec accès jacksomens. Epile
onnexions produit un trouble mental. Nous connaissons la marche des
excitations
nerveuses de la périphérie au centre; nous savo
gements protoplasmiques des cellules pyramidales. Le transfert de l'
excitation
se fait par contact, car il n'y a aucune commun
utres cellules en formant ce que Torski appelle des « synapses ». L'
excitation
descend du corps de la cellule à la péri- phéri
cellules ou à des centres cellulaires. Mais chose importante, toute
excitation
vient du dehors, la conception de l'idée, batte
sivement de l'hystérie à la mélancolie. pour revenir ensuite à de l'
excitation
maniaque à type convulsif. Al"° Y..., au contia
anique des mêmes muscles produisant les mêmes sons, produit par une
excitation
centrale de voisinage due à une lésion du centr
n, mais sous des aspects bien différents. La première fois il y eut
excitation
maniaque intermittente et catalepsie, ce qui ne
, le débit de laparole subsistant et demeurant actif. Une trop vive
excitation
centrale gêne alors non l'association des idées
omme ou faute de mieux, de l'urine de femme (maso- chisme larvé). L'
excitation
sexuelle naît aussi de la vue ou de l'idée d'un
au moment où le wagon était soulevé par l'obstacle, il ressentait l'
excitation
sexuelle et entrait en érec- tion, soit qu'il v
ons que présentent les différentes espèces de cellules nerveuses. L'
excitation
d'un neurone des centres corticaux est toujours
guins. Le temps de réflectivité vasculaire dans la veille, pour des
excitations
sensitives, est, pour le bras, d'environ trois
riel demande un temps égal à celui du réflexe brachial pour la même
excitation
. Le sommeil produit dans le temps de réflectivi
vements du sang dans le cerveau pendant le sommeil, consécutifs aux
excitations
, sont sans doute des réflexes actives et autono
n temps (quatre secondes pour le bras) plus long que le réflexe par
excitation
sensitive. Pour chaque sens excité il y a un te
haque sens excité il y a un temps de réaction vasculaire. Certaines
excitations
sensorielles sont moins capables que d'autres d
t il est difficile de fixer la part respec- tive de dépression ou d'
excitation
de l'élément basique ou de l'élé- ment acide da
tude des rapports entre le temps employé pour la transformation des
excitations
en réflexes et la force de l'excita- tion initi
lle peut avoir lieu, par la plus courte voie, une transmission de l'
excitation
d'un tractus sensitif à un tractus moteur : c'e
le cervelet. Mais les courtes voies forment ci la transmission de^
excitations
une plus grande résistance que les longues puis
plus grande résistance que les longues puisque toujours les faibles
excitations
ne produisent de rellexes que par ces dernières
che avec les amorces des neurones moteurs, opposent au passage de l'
excitation
une grande résistance. Les longues voies sont c
ance. Les longues voies sont celles qui sont chargées de conduire l'
excitation
sensible au cerveau pour qu'une sensation ait l
s cellules placées un peu en dedans du corps genouillé interne. Les
excitations
des racines postérieures arlivent donc bien à l
association d'alhétose et de myolonieest peut-être due à un état d'
excitation
tout particulier du neurone corticomoteur (Freu
l'animal (sorte d'arrêt du développement), et sur les efl'ets de l'
excitation
électrique de l'écorce du cerveau sur les extré
eau sur les extrémités atteintes de paralysie centripète. Il a vu l'
excitation
de l'écorce produire la détente des muscles aup
parce que le centre en question renferme l'assemblage des diverses
excitations
des régions sensorielles et leurs images commém
; les centres qui les emmagasinent reçoivent en même temps d'autres
excitations
que celles qui servent à la parole. Pour la par
ique, marchant peu à peu vers la démence. Très rarement il y a de l'
excitation
, et alors elle doit le plus sou- vent être mise
ent l'intervention des filets anastomotiques de Duval et Laborde, l'
excitation
passerait d'abord tout entière du côté opposé,
chthyosique de la peau, l'atrophie muscu- laire, la diminution de l'
excitation
électrique des muscles, la chute des cheveux, l
an : « Est atteinte de paralysie générale avec irritabilité. Légère
excitation
par intervalles. Hésitation de la parole. » N
paralysie générale. Hallucinations pénibles. Idées de persécution.
Excitation
passagère. Tremblement des mains. Pupilles ress
générale avec préoccupations hypocondriaques, idées de persécution,
excitation
, insomnie. Hésitation de la parole. Inégalité p
incurvations de la colonne vertébrale, qui succèdent, chez eux, à l'
excitation
électrique des régions en question, sont tou- j
catrice y conservent toute leur indépendance fonctionnelle et que l'
excitation
isolée de chacun d'eux donne lieu le plus souvent
ucune cellule n'a été occupée; sous l'influence du séjour au lit, l'
excitation
motrice est réduite au minimum, l'excitation de
ce du séjour au lit, l'excitation motrice est réduite au minimum, l'
excitation
de l'intelligence diminue, le délire devient pa
le traitement de l'épilepsie. Pour supprimer les diverses causes d'
excitation
réflexe qui jouent un si grand rôle dans la produ
a propulsion du globe ocu- laire en avant; d'où ]'exophtha : mie; l'
excitation
des filets cardia- ques,la tachycardie. La prod
explique par la variabilité de la localisation etdel'intensité de l'
excitation
; celle- ci peut porter, en effet, soit exclusiv
ès laquelle le goitre exoplitlialmique a son point de départ dans l'
excitation
des vaso-dilatateurs du sympathique cer- vical.
les tiraillements du ganglion cervical supérieur ont déterminé une
excitation
, sans effet pour le côté opéré, mais qui s'est
perdrait toute valeur syndromique. L'observa- tion ne parle ni de l'
excitation
ni de l'insomnie, si fréquentes dans la paralys
topsie très complète. M. Sollier ne croit pas que l'insomnie et l'
excitation
signalées par M. Charpentier soient des signes
ns quelques fibres seulement ; secousses musculaires traduisant l'
excitation
de l'écorce et annonçant souvent l'ictus épilep-
Si la méningite atteint surtout la convexité, les phéno- mènes d'
excitation
dominent : délire bruyant, convulsions répétées
sont ceux de la dépression avec tendances au suicide, périodes d'
excitation
maniaque, arrêt de la compréhension, troubles par
tion préconisée par M. Jonnesco agirait, selon lui, en supprimant l'
excitation
permanente du sympathique cervical, cause des p
tre sous la dépendance d'une anémie cérébrale perma- nente, due à l'
excitation
des nerfs vaso-constricteurs de l'encéphale con
général pendant la période initiale REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 163 d'
excitation
de sa maladie, comment éviter les accidents et le
jours de ce traitement le malade passe directement de la période d'
excitation
dans celle de calme. Le Dr Campbell Clarke cons
les gastralgies du tabes dorsal, par SpaUhowslcy; Expériences sur l'
excitation
des nerfs par les rayons électriques, par Danil
n : « Est atteint de paralysie générale avec accidents alcooliques.
Excitation
passagère. Hallucinations multiples et pénibles
Est atteinte d'alcoolisme chronique avec hallucinations multiples;
excitation
; insomnie. Pupilles res- TROUBLES TROPHIQUES D
ans ce travail que la douleur physiologique e--t t produite par des
excitations
fortes et que les excitations fortes désorganis
physiologique e--t t produite par des excitations fortes et que les
excitations
fortes désorganisent les tissus et sont funeste
ivace qu'elle laisse dans la mémoire, elle nous permet d'éviter les
excitations
pénibles que nous avons éprou- vées une premièr
s, tout naturellement, aboutit à l'effort conscient de rechercher l'
excitation
et la satisfac- tion érotiques auprès des femme
té. Le travailleur, surmené, cherche à soutenir son énergie par l'
excitation
factice de l'alcool, tandis qu'il devrait, s'il é
sexuelles aux perversions de la recherche du plaisir procuré par l'
excitation
des organes génitaux liée à la fonction sexuell
, aucune attaque convulsive; mais il est resté sujet à des crises d'
excitation
violente de formes diverses. Il est d'ailleurs
e laissaient aucun doute sur ses intentions; enfin, dans un accès d'
excitation
plus intense, il fit une tentative de pédérasti
il recherchait l'occasion de voir des hommes nus, et ses premières
excitations
génitales se 280 CLINIQUE MENTALE. manifestèr
anque d'organisation, mais avec un excès de force - de la part de l'
excitation
externe. C'est cette tendance même à l'ins- REV
épargne d'énergie nerveuse et entrai- nant des réactions indues aux
excitations
extérieures ou internes (terreurs nocturnes, so
Kraffl-Ebing, Bénédict, Bergman, Dumont- paillier. etc.). Quant à l'
excitation
des phénomènes physiques et mentaux par l'influ
ntéressantes. Dans tous les cas la symptomatologie a été celle de l'
excitation
. Au moment du début, aucun des malades n'était
temps qu'une injection avec une émulsion d'airol. En raison de l'
excitation
du malade qui arrachait tous ses panse- ments,
n'ont plus de corps) ; il semblerait que, devenus réfractaires aux
excitations
sensorielles, ils ne puis- sent les transformer
lades qui nous occupent. Ces mélancoliques assistent au courant des
excitations
sen- sorielles comme aux mouvements automatique
elles sont de règle (possession). LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 367 « L'
excitation
1 motrice qui se manifeste visiblement dans l'h
processus nerveux que l'hypothèse d'une voie directe, conduisant l'
excitation
nerveuse, de son point de départ à son point d'
sur lesquelles nous reviendrons, sont des organes de réception des
excitations
, le cylindraxe et ses.c)011ja" térales propreme
onsidérable des cellules de sensibilité, force est d'admetlre que l'
excitation
qui dètenoiitie d'une manière réflexe l'activit
leur protoplasma, possèdent la fa- culté d'être mis dans un état d'
excitation
déterminé par certains stimuli externes D. Il n
activité purement automatique, qu'elle résulte de la continuité des
excitations
fonctionnelles du neurone. Mais si cette explic
subsiste quant aux cellules des ganglions spinaux, l'hypothèse des
excitations
périphériques considérées comme nécessaires aux
trices, la cause ne doit être cherchée ni dans l'action réflexe des
excitations
périphériques (Marinesco), ni dans les exci- ta
te cellule, alors qu'elle n'est plus capable de se décharger de ces
excitations
. THÉORIE DES NEURONES 379 - Le professeur von
nerveuse ne manifeste spontanément son activité, c'est-à-dire sans
excitations
externes. Les fonctions de l'élément nerveux do
ssède qu'un prolonge- ment nerveux (iiioncixone) propage toujours l'
excitation
dans le sens cellulifuge. Dans le nerf moteur p
f moteur périphérique issu du système nerveux central, le courant d'
excitation
va du protoplasma de la cellule nerveuse des co
la transmission du courant nerveux du nerf optique, par exemple : l'
excitation
d'une seule cellule ganglionnaire de la rétine
ne des manières de signaux touchant le caractère et l'intensité des
excitations
arrivées au cerveau par le nerf optique. Ranioi
xpérimentalement que dans le nerf optique passent des fibres dont l'
excitation
détermine la contraction des cônes corres- pond
rtsàize), correspondant aux prolongements ner- veux, conduisaient l'
excitation
dans le sens cellulifuge. Mais on a découvert d
aurait aucun doute ici : le prolongement nerveux re- çoit l'onde d'
excitation
par ses atborisations et le transmet à la THÉOR
ongements ner- veux axiles, les principaux organes de réception des
excitations
nerveuses apportées dans les centres sont les s
ramifications, une importance très élevée dans « la réceptivité des
excitations
nerveuses ». THÉORIE DES NEURONES. 385 Les co
ellules du lobe optique des oiseaux qui emportent vers l'écorce les
excitations
lumineuses (Van Gehuchten). Enfin, nous avons v
déjà en partie pour la récep- THÉORIE DES NEURONES. 389 tion de l'
excitation
; un nombre moindre de dendrites n'aurait-il pa
tes, n'est pas d'une manière générale également excitable par toute
excitation
, mais que ses qualités propres de réaction sens
TE DE LA VISION BILATÉRALE. 391 ment des époques, et des périodes d'
excitation
cérébrale suivies de dépression avec tendances
A partir du mois d'octobre 1896, elle entre dans un état de grande
excitation
motrice, avec obnubilation de la conscience et
artir du 6 juillet obnubilation de la conscience, hallucinations et
excitation
motrice très grande. On note des altérations da
tre cette cause et les principaux organes troublés; il y a toujours
excitation
de certains filets sym- pathiques (cardiaques,
filets sym- pathiques (cardiaques, oculaires, thyroïdiens). Cette
excitation
peut être secondaire et placée sous la dépen- d
onction- nellement les centres sympathiques. Forme toxique. Cette
excitation
peut aussi être primitive, caractérisant la forme
mitif, d'une névrose. Cette névrose se traduit par des phénomènes d'
excitation
pouvant porter sur les divers centres sympathiq
e simple qui répond le mieux au tableau objectif de la maladie. L'
excitation
centrale du sympathique présente cette particula-
symptômes et certaines particularités du traitement. De plus, cette
excitation
centrale produit des lésions anatomiques capabl
ment consiste à interrompre le circuit morbide : 1° En supprimant l'
excitation
centrale par les calmants et les toniques génér
es membres inférieurs survenant sous l'influence de la illoii2cli'e
excitation
. Apparition des troubles des sphincters. Phén
le : exposition au froid humide. Mécanisme : méningite spinale avec
excitation
deswdons latéraux. 8 août. La paraplégie est de
au moins jusqu'à la limite intérieure de la moelle dorsale, car une
excitation
cutanée ou profonde de la racine de la cuisse p
contractions réflexes se produi- sant sous l'influence des moindres
excitations
étaient très douloureuses. En résumé nousavions
tion même des sensibilités profondes avec l'intégrité relative, V
excitation
probablement même des cordons postérieurs. Dans
es du tronc n'agit plus sur la pupille (Sallçovslçy Remarque. - L'
excitation
des nerfs crâniens produit encore dans ce cas d
pathique d'un seul côté, détermine une inégalité pupillaire ; 2 ? l'
excitation
du nerf médian produit encore de la dilatation
é, réduit ou annihilé, ne peut plus ni s'assi- miler ni inhiber les
excitations
motrices qui viennent à se produire. De là, les
eur J.-P. Morat (de Lyon). (Presse médicale, 22 décembre 1897.) L'
excitation
expérimentale du grand sympathique se traduit sur
e thyroïde par une contraction des vaisseaux thyroïdien ? lorsque l'
excitation
est faite sur le cordon cervical; elle détermine
le champ de sa distribution à la tête et au thorax, ou voit qu'une
excitation
artificielle portée sur la chaîne thoracique, f
, réalise les symptômes apparents du goitre exophtalmique. Si cette
excitation
s'étendait à une région un peu plus basse de la
eut donc concevoir le goitre exophtalmique comme le pro- duit d'une
excitation
de la partie thoracique de la chaîne sympa- thi
eprésentant la voie suivie par l'acle volontaire mis en jeu par une
excitation
perçue, l'auteur Archives, 2e série, t. V. ' 31
du Bois-Reymond. Cela a lieu en réalité par la transmission de l'
excitation
aux hémisphères cérébraux, et en particulier à l'
animal, qu'il s'agisse d'une grenouille ou d'un animal supérieur. L'
excitation
indépen- dante de ce centre engendrera des mouv
régions de l'encéphale situées en avant de la protubérance. Mais l'
excitation
de ce centre provoquera des con- vulsions toniq
OLOGIQUES. sions toniques et cloniques comme celle qui résulte de l'
excitation
des zones corticales motrices. Cela ne veut p
s convulsions cloniques soient exclu- sivement et toujours dues à l'
excitation
de l'écorce. On les constate notamment dans la
des zones corticales motrices, ne peuvent être engendrées ni par l'
excitation
de la protubérance, ni parcelle d'autres territ
vres et le dépresseur de l'angle de la bouche réagissent un peu ; l'
excitation
du tronc du facial ne fait contracter aucun des
ue. Or,. l'asphyxie par stase veineuse entraîne des convulsions par
excitation
du bulbe parce que les troubles de nutrition du
tibles. Elle peut l'être également dans l'intervalle des accès de l'
excitation
maniaque, de la manie incohérente, de la lypéma
s n'ont pas eu le succès auquel on aurait pu s'attendre, bien que l'
excitation
faradique ait démontré qu'onse trouvait bien en
des mouve- mentsdelamain gauche, après vérification du centre par l'
excitation
faradique. Le résultat était peu satisfaisaient
: mais, outre que l'embolie ne pourrait expliquer les phénomènes d'
excitation
cérébrale, il est des cas, comme le nôtre, où l
période où le malade avait des alternatives de phénomènes graves d'
excitation
et de coma; il est resté ainsi plusieurs jours
és. Dans le second cas, les phénomènes débutent par une période d'
excitation
parfois extrêmement marquée. Il y aune agitation
n de malaise, de^ douleurs dans le ventre et l'hypochondre droit. L'
excitation
cérébrale se traduit par une vivacité inaccoutu
e période de l'ivresse; la parole est brève, rapide, bredouillée; l'
excitation
peut aller jusqu'à un véritable délire maniaque
ature s'élève jusqu'à 380,5 et 39°. Ce n'est qu'après cette phase d'
excitation
, qui peut durer plus ou moins longtemps et même
e. Le coma, ici, 58 REVUE CRITIQUE. est précédé par une période d'
excitation
et de réaction avec élévation de la température
l- lapsus diabétique. L'analogie de ces deux phases successives d'
excitation
et de dépression est évidente avec la marche des
ne, et cela, à diverses reprises, sans autres accidents qu'un peu d'
excitation
ou de dépression et quelques vertiges. Puis, à
if- fèrent par trois points principaux : Le défaut de symptômes d'
excitation
au début; L'absence de l'odeur chloroformique d
du coma de l'intoxication acétonique. On ne constate pas la phase d'
excitation
, analogue à l'ivresse alcoolique ou chloroformi
qui marquent le début de l'empoisonnement; ce sont des symptômes d'
excitation
qui résultent du premier contact de la substanc
n'y a pas de fièvre à proprement parler, mais seulement une légère
excitation
fébrile, constatable néanmoins au ther- momètre
39° dans les premiers jours (OBs. XXXVIII, LXXXIV). Cette phase d'
excitation
est d'ordinaire assez courte; elle peut passer
du malade permet toujours de relever quelques-uns des symp- tômes d'
excitation
préalable que nous avons indiqués. Quoi qu'il e
ter. Le premier en date, car il existe déjà au moment de la phase d'
excitation
, est cette sensation de fai- blesse générale, d
présente dans son évolution deux périodes : une période initiale, d'
excitation
, et une période terminale, de coma. Le thermomè
alaise général, des douleurs en divers points du corps, ou bien une
excitation
cérébrale anormale, semblables à celle d'une lé
ix et douze jours avant d'aboutir à la mort. C'est sur la période d'
excitation
que porte cette prolongation; car, du moment qu
a manie le désordre dans les idées accompagné d'hallucinations avec
excitation
, qui forme une phase de transition ; dans l'éta
s (mais la droite beaucoup plus que la gauche), et insen- sible à l'
excitation
lumineuse comme à toute aceommolation. La langu
es il n'y a eu d'idées de grandeur, ni même de période quelconque d'
excitation
, mais que les symptômes mentaux étaient plutôt
x faits d'autre connexité que celle qui résulte de la \io)cnce de l'
excitation
maniaque et de la rapidité delà terminaison fat
ations individuelles (neurasthénie, hystérie, hypochondrie, états d'
excitation
ou de faiblesse, maladies de coeur, affections
ne quantité très forte d'ozone produit ou augmente les phénomènes d'
excitation
, les angoisses, les conceptions irrésistibles,
n des mouvements intentionnels ; ils émanent de l'irradia- tion des
excitations
à l'intérieur du corps strié (noyau caudé ou le
rise sous-corticale doit subir un arrêt fonctionnel de la part de l'
excitation
du cer- veau antérieur. Meynert rappelle les lé
ce grise du corps strié. Dans la chorée vraie de cette sorte, toute
excitation
du cerveau antérieur excite en même temps le co
. Chauveau ne représente pas précisément les phénomènes issus d'une
excitation
du corps strié qui doit entraîner l'arrêt de fonc
ls ; M. CLORET (de Liège) a fait une communication sur le rôle de l'
excitation
maniaque dans le développement de la plupart de
la suite d'une saignée abondante qui lui fut faite, M... fut pris d'
excitation
et de délire avec prédomi- nance d'idées de per
police, d'où il fut dirigé sur Bicètre. On constate un délire avec
excitation
et agitation extrêmes, incohérence absolue. Il
à 108; la langue est blanche; constipation. Pendant quinze jours, l'
excitation
ma- niaque et la fièvre se soutiennent sans auc
encore si la perception pure de la lumière considérée comme agent d'
excitation
a lieu dans ces corps, après ablation des hémis
du membre inférieur de ce côté, de petits mouvements répondent à l'
excitation
des extenseurs des orteils. L'adducteur du pouc
isolés, qui, séparés dans le nerf, fusionnent dans la cellule; une
excitation
d'une certaine force peut rompre l'isolement de
t des fibrilles, la fibre nerveuse con- duisant dans son ensemble l'
excitation
. Il convient maintenant de chercher quelle est,
laires sont des processus moteurs déter- minés dans un muscle par l'
excitation
mécanique de ce muscle. Ils se divisent en : 40
meuré intact, mais la contraction locale exige l'intervention d'une
excitation
bien plus considérable que la contraction totale.
ersistent pendant le sommeil. PendantJa narcose chloroformique, une
excitation
faible suffit à engendrer une contraction local
REY, qui; a expérimenté l'action sédative de l'acéto-phénol dans l'
excitation
maniaque expose des faits dont les résultats sont
autres troubles font - z tionnels sus-énoncés sont des phénomènes d'
excitation
. Le cer- veau est donc un à l'égard des excitan
ance nerveuse change : d'actif il devient passif : aux phénomènes d'
excitation
succèdent des phéno- mènes de paralysie. La par
uité; c'est sur elles qu'est assise la pathologie, les phénomènes d'
excitation
et de paralysie formant par leur com- binaison
commotion constituent des syn- dromes identiques qui résultent de l'
excitation
ou de la paralysie de la substance nerveuse. Il
énérale et de l'analyse pathogénétique, d'étudier séparément : 1° l'
excitation
et la paralysie du cerveau; 2° les lésions du c
s cas. » C'est, du reste, l'histoire des psychoses consécutives à l'
excitation
des nerfs sen- sitifs (névralgie frontale, occi
du cas de Griesinger (névralgie de la cinquième paire). Les états d'
excitation
des nerfs sensibles se propagent à certaines part
t des nerfs moteurs chargés d'animer les muscles respiratoires. L'
excitation
de ces rameaux, si prononcée dans l'asthme nerveu
ion sur le système ner- veux semblable à celle des hystériques, par
excitation
centripète; il s'agit d'une paralysie hystérifo
les mouvements continus des yeux propres au sommeil (par absence d'
excitation
du bulbe), de la diminution des réflexes. Ce co
, lequel est caractérisé d'une part par l'existence de phénomènes d'
excitation
d'ordre moteur, d'autre part par la persistance
lution comateuse semblable au sommeil. La nature des phénomènes d'
excitation
d'ordre moteur permet encore une distinction fo
tinction fondemautale entreie sopor et le sommeil. Ces phénomènes d'
excitation
des centres inférieurs ne sont pas tout à fait
ativement faibles, le mouvement exagérant en somme l'intensité de l'
excitation
. Ces deux pro- priétés témoignent de l'hyperexe
t à l'existence de phénomènes d'arrêt empêchant la propagation de l'
excitation
à l'intérieur du cerveau, comme en témoigne l'u
a bouche, le voile du palais est immobile, vertical, insensible aux
excitations
. - En outre le malade accuse un affaiblissement
glisser sur le plan du lit. Les divers muscles réagissent mieux à l'
excitation
élec- trique. Parallèlement la sensibilité revi
n casque ce centre agiterait à lui seul, il aurait une fonction d'
excitation
simple sur les organes spéciaux. Par exemple, s
se motrice d'un chien non narcotisé, nous réussirons à produire une
excitation
dont l'intensité sera en proportion directe de
nsité sera en proportion directe de la force du courant, et cette
excitation
finira avec la rupture du courant. Après les ex
phénomènes paralytiques ou parétiques et surtout les phénomènes d'
excitation
motrice. 1. Dans 3 cas seulement (11" 20, 23 et
isse qui va toujours croissant, et aboutit à de véritables crises d'
excitation
, de vio- lence, souvent même de délire. Chez An
enne théorie bulbaire de Schôoder van *der Kolk l'hypo- thèse d'une
excitation
constante des couches corticales du cer- veau (
braux ou dans les régions bulbo-protubérantielles des points dont l'
excitation
répétée peut provoquer l'attaque épileptique. D
torisé à sup- poser exister chez les sujets prédisposés, et 'dont l'
excitation
, plus facilement mise en jeu par les influences
miplégiques, M. Bouveret pense qu'elles doivent être rapportées à l'
excitation
des irradiations du faisceau pyramidal au nivea
à l'un des genres de courants une valeur spécifique quelconque. L'
excitation
purement périphérique de la peau d'un sujet sain
s curatifs réflexes des deux sortes de courants qui agiraient par
excitation
simple et par action réflexe spécifique. Toutes d
e de l'autre (action des ganglions dans les névroses viscérales). L'
excitation
directe parles courants des ganglions vaso-mote
oteurs et, par suite, le choix du genre des courants basé sur cette
excitation
, cède la place à l'action curatrice réflexe (pa
r cette excitation, cède la place à l'action curatrice réflexe (par
excitation
périphérique). L'auteur avoue que le choix du g
siste alors à méconnaître la nature de ces symptômes et à laisser l'
excitation
épuiser le malade, et le conduire à la mort. Qu
comme l'épilepsie ordinaire peut quelquefois revêtir la forme de l'
excitation
mentale au lieu de se traduire par une convulsi
conducteurs par les mouvements forcés ainsi produits, ainsi qu'à l'
excitation
réitérée des vaisseaux sanguins et lympha- tiqu
servée et reproduite spontanément, c'est-à-dire indépendamment de l'
excitation
du sens qui lui a donné naissance. Il y a donc
449 velle et hardie ! L'image est un phénomène qui résulte d'une
excitation
des centres sensoriels corticaux.[Bain avait déjà
compte, bien entendu, des susceptibilités individuelles. Souvent l'
excitation
se reproduit, mais chaque retour est calmé plus
flectent une marche qu'on peut diviser en deux périodes : période d'
excitation
et période de dépression. Quelquefois on observ
d'amyle dans le), ; - (convulsions consécutives), 441. Maniaque (
excitation
), il9. Maniaques (mort rapide avec symp- tdme
ur au niveau de la région du lobule paracentral. De l'influence des
excitations
sensitives et sensorielles dans les phases catale
llant et elle tombe en léthargie. Pendant cette période, les diverses
excitations
que nous faisons porter sur les sens du toucher,
air devant les yeux ne change rien à la scène précédente. Après ces
excitations
du sens de la vue, nous nous adressons à l'odorat
oculaires. Dans la période léthargique, aucune réaction aux diverses
excitations
sensitives et sensorielles que nous avons pratiqu
oint les mains, lève les yeux au ciel et paraît prier. Les diverses
excitations
des deux autres sens, l'ouïe et lo toucher, ne no
s manifestations que nous ayons provoquées avec les nombreux agents d'
excitation
employés. En revanche elles étaient très vives et
i que ses idées se bornent à un bien petit nombre. En présence de ces
excitations
, il est évident que le sujet réagit à sa manière,
paru. Pendant la période somnambulique de l'hypnotisme les diverses
excitations
sensitives ou sensorielles n'ont jamais provoqué
t tout. Il en est exactement de même pour les substances sapides, les
excitations
auditives, les sensations cutanées. Les réponses
s globes oculaires. Pendant la phase léthargique, aucune réaction aux
excitations
sensitivo-sensorielles, comme chez nos deux aut
araît désolée de voir que la tache persiste malgré ses efforts. Les
excitations
gustatives donnent des résultats non moins intére
le sens de l'ouïe, il est à remarquer que la malade ne réagit qu'aux
excitations
relativement simples ; sons divers, musique rhyth
ille, qu'elle ne connaissait pas cette dernière sorte de danse. Les
excitations
cutanées simples, toucher, piqûre, ne nous ont pa
hacune d'elles en particulier. En résumé, on peut donc dire que les
excitations
sensitives et sensorielles agissent différemment
ns laquelle on connaît l'influence suggestive du sens musculaire, les
excitations
sensorielles sont perçues et provoquent chez le s
ément, est cependant plus éveillé et plus près de la vie normale, les
excitations
sont perçues, mais elles ne produisent que des se
ir les objets qui l'environnent et semble incapable d'interpréter les
excitations
complexes qu'il perçoit peut-être. Au contraire,
nt là de véritables suggestions provoquées dans la catalepsie par les
excitations
des divers sens. Elles sont absolument indépendan
eut donner dans la phase cataleptique du grand hypnotisme, à l'aide d'
excitations
sensitives et sensorielles, des suggestions dont
chacune des sensations qu'on lui fait percevoir. De l'influence des
excitations
des organes des sens sur les hallucinations de la
provoquée chez lui est toujours en rapport avec le sens sur lequel l'
excitation
aura été portée. » Ces quelques lignes contienn
. II, p. 3*26. (2) Ségal. — Des hallucinations sous l'influence des
excitations
des organes des sens rfans les accès hystéro-épil
ade ne parlait pas pendant qu'on lui donnait des hallucinations par l'
excitation
des sens, on peut cependant déduire quelques cons
impression plus profonde que tout le reste, était moins sensible aux
excitations
un peu délicates et que les hallucinations provoq
durée. Quoi qu'il en soit, la modification apportée au délire par les
excitations
sensorielles était évidente, ainsi que l'impossib
feste aussi dans ce fait que la réaction de la malade vis-à-vis d'une
excitation
sensorielle donnée est toujours exactement la mêm
nerfs, le chloroforme celui de contractures, et ainsi pour toutes les
excitations
des sens. Cette espèce de déterminisme est digne
le que nous avons constatée chez cette même malade sous l'influence d'
excitations
sensorielles analogues pendant la période catalep
période cataleptique du grand hypnotisme (1). Chose remarquable, les
excitations
de même nature produisent dans la catalepsie souv
imaginaire. Les hallucinations soit spontanées, soit provoquées par l'
excitation
des organes des sens, sont accompagnées chez lui
antérieurement. Aussi, ne mentionnerons-nous pas les résultats des
excitations
portant sur le sens de l'ouïe (1). Chez ce jeun
stérique. Il présente, lui aussi, une grande fixité de réaction à une
excitation
donnée. Toujours, même à de longs mois de distanc
fier la marche des hallucinations et en créer de nouvelles à l'aide d'
excitations
diverses, mais toujours simples, des organes des
Il existe une hyperexcitabilité musculaire qu'on met en œuvre par une
excitation
superficielle du tégument externe. Le souffle, ou
provoquée chez lui est toujours en rapport avec le sens sur lequel l'
excitation
aura été portée. » Ces quelques lignes contiennen
tableaux. (1) Georges Guinon et Sophie Woltke. — De l'influence des
excitations
des organes des sens sur les hallucinations de la
est pas moins intéressante en ce qu'elle montre bien l'influence des
excitations
des organes des sens sur la direction des halluci
homme, ouvrier grossier, sans instruction ni éducation, c'étaient les
excitations
sensorielles les plus simples qui donnaient lieu
ns délirantes par la parole, montrait assez nettement l'influence des
excitations
des organes des sens sur les hallucinations de la
e. Celles-ci reviennent spontanément ou peuvent être provoquées par l'
excitation
d'un point spasmogène situé sur le sommet de la t
lle le procédé de Motchoutkowsky et modifier son délire à l'aide de l'
excitation
des organes des sens. Ces résultats ont été aussi
actile,douloureuse ou thermique, nous remarquons tout d'abord que les
excitations
portées sur le côté anesthésique ne sont suivies
centrée dans son délire, dont rien ne peut la faire sortir, sinon les
excitations
simples des organes des sens. Alors elle s'empare
ansforme à son gré en une hallucination, toujours la même pour chaque
excitation
sensorielle. Ces résultats sont d'autant plus i
alepsie par les procédés ordinaires, nous avons remarqué crue par des
excitations
simples des organes des sens on pouvait faire naî
r l'ouïe, l'odorat, le goût, le toucher, dans le domaine desquels une
excitation
suggère une hallucination, à l'égard de laquelle
s chez Sch... dans la période cataleptique de l'hypnose à l'aide de l'
excitation
des organes des sens, renvoyant le lecteur à notr
et troubler la cérémonie. En impressionnant les divers sens par des
excitations
simples, on arrive à des résultats analogues. Un
moins concentré dans son délire que certains autres et sensible à des
excitations
un peu plus complexes. On n'arrive à rien en le s
changement de tableau s'opère avec la même instantanéité que pour les
excitations
sensorielles simples, mais on y arrive cependant.
ême origine hallucinatoire, même possibilité d'être influencé par les
excitations
des organes des sens. Le malade, il est vrai, est
ncentrée dans son délire, tellement que la parole était pour elle une
excitation
trop complexe pour provoquer un changement dans s
, au contraire, il n'y a pas un seul instant de tranquillité et, sans
excitation
aucune, celui-ci présente une spontanéité dans le
n peut arriver à provoquer des hallucinations : c'est-a-di¡re par des
excitations
des organes des sens. L'état cataleptique corresp
is, 1889. (2) Georges Guinon et Sophie Woltke. — De l'influence des
excitations
sensitives et sensorielles dans les phases catale
bulisme à l'aide de manoeuvres diverses, consistant en résumé clans l'
excitation
des zones hystérogènes. Parmi ces derniers, les p
impressionner, changer le cours de leurs idées délirantes, par des
excitations
plus compliquées, telles que la parole, par exemp
nt « suivant l'âge, les divers devoirs de la vie, les événements, les
excitations
du moment (1). » Ces sous-personnalités, pour emp
et plus haut n° XXV, p. 22). Des mêmes auteurs : De l'influence des
excitations
des organes des sens sur les hallucinations de la
, à n'en pas douter, de véritables zones hysté-ro-frénatrices, dont l'
excitation
fait cesser l'attaque à forme spéciale dont la ma
it entre le somnambule profondément concentré dans son délire que les
excitations
les plus simples parviennent à peine à impression
mbulisme hypnotique, et non des moins importants : la contracture par
excitation
légère de la peau et la suggestibilité somnambuli
degré dans l'état vigilambulique. Plus de contracture des muscles par
excitation
légère de la peau (souffle) ; absence totale de s
état léthargique profond qui dure une journée et dont aucune espèce d'
excitation
ne peut la sortir. Enfin, elle sembla reprendre s
mp visuel, ne dépassant pas la ligne médiane. Pupilles réagissant aux
excitations
lumineuses. Pas de lésions du fond de l'œil. Acui
sme. Début des accès à 24 ans. Le premier fut suivi d'une période d'
excitation
maniaque ayant nécessité le transport à Sainte-An
tomiques à l'appui. ï v................ i XXV. De l'influence des
excitations
sensitives et sensorielles dans les phases catale
rges Guinon et Mlle Sophie Woltke). . 22 XXVI. De l'influence des
excitations
des organes des sens sur les hallucinations de la
comitial ambulatoire, 61; — diagnostic de F—, 63. c Catalepsie :
excitation
des sens dans la — hypnotique, 22. Cénesthésie
; — modifications spontanées et artificielles du —, 99; Influence des
excitations
sensorielles sur le —, 108, 111, 121, 138; Mono-i
lésions bulbaires, 355, 363. Hoquet hystérique, 444. Hypnotisme:
excitations
des sens dans les phases cataleptique et somnambu
, 171; Mémoire dans 1' —, 285 ; Contagion dans Y —, 457. Hystérie :
excitation
des sens dans l'attaque d' —, 36; Délire provoqué
3; Hémianesthésie dans le —, 462 : Epilepsie dans le —. 464. Sens :
excitation
des — dans la catalepsie et le somnambulisme hypn
Noctambulisme). Somnambulisme hystérique, 65,70; — provoqué par l'
excitation
des points hystérogènes, 84 ; — et somnambulisme
n effet, tout naturel d'admettre que, sous l'influence d'une même
excitation
, la réaction puisse être différente suivant le
er un muscle antagoniste ou de la lenteur de l'exécution de cette
excitation
En général, cette forme intéres- sante d'incoor
ue la convulsion fonctionnelle ne concerne pas le corps; de plus, l'
excitation
corticale qui semble en- gendrer l'un et l'autr
sur toute la face : telles sont les éphidroses qui succèdent à l'
excitation
des nerfs du goût (exemple de M. Brown- Séquard
tée, mais non au maximum : elle ne réagissait qu'avec paresse aux
excitations
lumineuses. Il existait en outre une diminution d
ment en présence d'une mydriase qu'il faut bien rap- porter à une
excitation
des filets oculo-pupillaires. Il est à remarque
s, ce qui tendrait à faire admettre qu'à la suite de la période d'
excitation
produisant l'éphidrose et la mydriase sur- vena
la sudation est généralement d'ordre réflexe et elle succède à une
excitation
des nerfs du goût. Ces faits vont nous servir d
ure et dans lesquels l'éphidrose est d'ordre purement réflexe, sans
excitation
préalable des fibres sudorales du facial. En
isage est baigné de sueur. » Dans d'autres cas, ce n'est plus une
excitation
des nerfs du goût qui détermine l'hypéridrose.
rs gastriques. Dans un autre ordre de faits, c'est une émotion, une
excitation
psychique 74 1, CLINIQUE NERVEUSE. qui déterm
. Tuke rapporte une observation de Gratiolet, dans la- quelle une
excitation
émotionnelle fut suivie d'une éphidrose unilaté
eau) ; 4° Trouble réflexe dont le point de départ réside dans une
excitation
des nerfs du goût, des nerfs de sensibilité gén
onservée; la parole est libre. Le malade est sujet à des périodes d'
excitation
violente après les accès. Dynamomètre à droite
ence d'une longue folie à forme rémittente, accompagnée d'accès d'
excitation
et qui s'était développée chez un prédisposé. C'e
muqueuses est totale; la malade ne réagit sous l'influence d'aucune
excitation
. Toute- fois, l'introduction de la sonde oesoph
paupières. Fig. 13. 104 REVUE CRITIQUE. Pendant ces périodes d'
excitation
provoquée, la face se colore, le pouls devient
térie ni l'épilepsie, mais représentant des phénomènes d'arrêt ou d'
excitation
de l'appareil muscu- laire, par conséquent bien
MENTALE. '1'13 sion de lettrés. Désordre dans les idées, agitation,
excitation
. Une attaque épileptiforme débutant par la rota
envisager l'hallucination verbale de l'ouïe comme le résultat d'une
excitation
morbide du cenlre des images audi- tives des mo
er de certaines formes d'onomatomanie qui semblent dépendre d'une
excitation
anormale du centre des images verbales motrices.
nchyme nerveux, des altérations intenses égale- ment, tandis qu'une
excitation
faible porte seulement sur la né- vroglie. Cepe
lle se laisse- rôtir sans réagir, ce qui n'aurait pas lieu si les
excitations
étaient capables de produire des actes conscien
xpérience de Luchsinger, au contraire, la sudation est le fait de l'
excitation
directe des fibres sudorales. MM. Vulpian et
vaso-motrice. 2° Ceux dans lesquels l'éphidrose est le fait d'une
excitation
des fibres sudorales; Dans ceux-ci, la sueur lo
La dilatation pupillaire peut être, à la vérité, pro- duite par une
excitation
du tronc du sympathique cervical. Toutefois, da
ervical. Toutefois, dans les nombreuses observations où une phase d'
excitation
a précédé une paralysie du sympathique cervical
cultés inhérentes à ce genre de recherches. Or, il a constaté que l'
excitation
du bout supérieur du sym- pathique cervical dét
ique cervical contient des fibres excito-su- dorales. Dès lors, l'
excitation
de ces dernières jointe à l'exci- tation des fi
nous l'avons dit, on ne voit pas signalées dans les observations d'
excitation
du sympathique, la mydriase et l'éphidrose, out
a première phase d'une paralysie du sympathique était une période d'
excitation
caracté- risée par de l'abaissement de la tempé
17 -1 pas question d'hypersudation; il semble peu probable qu'une
excitation
portant sur les fibres sudorales et iriennes du
rte pas également sur les fibres vaso-motrices du même tronc. Or, l'
excitation
de ces dernières déterminerait de la pâleur des
imprudent, actuellement du moins, de chercher à expliquer, par une
excitation
du tronc du grand sympathique cervical, les sym
la phase de destruction des cellules avait remplacé la période d'
excitation
et ainsi s'expliquerait fort bien l'absence des
t amener une éphidrose de la face. Celle-ci est la conséquence de l'
excitation
des cellules du ganglion ou des filets nerveux
t ans. - Débilité mentale. - Idées mélancoliques après les accès. -
Excitation
maniaque, - Onanisme. - Hydrothérapie et bromur
uis accès convulsifs. - Aura médiate. - Soubresauts. - Pyromanie. -
Excitation
ma- niaque. - Violences. Tlémor1'lwïdes. Diminu
s variable et souvent on voit des alter- natives de dépression et d'
excitation
; mais c'est en somme l'é- " tat mélancolique qu
tres fois, après une stupeur de courte durée arrive de nouveau de l'
excitation
ou un état de franche mélancolie à laquelle suc
is). Enfin, dans une dernière forme (C. prolongée), les symptômes d'
excitation
n'apparaissent pas dans la première moitié de l
qui, sans déterminer de phénomènes paraly- tiques ? se complique d'
excitation
ou de dépression. émotion- nelles intenses, con
moteur qui en fait une vraie psychoneurose : les états variables d'
excitation
, de dépression, de raideur que l'on rencontre s
ès fréquente du Wahnsinn hystérique a de règle pour début un état d'
excitation
maniaque. Il s'agit toujours alors de constitut
t plongé dans le sommeil le plus profond et que tous les procédés d'
excitation
qui s'adressent à son activité physique restent
ir volontairement, dans la majorité des cas au moins, vis-à-vis des
excitations
physiques ou psychiques aux- quelles il est en
ur cela qu'il n'a aucune conscience tant morale que physique de ces
excitations
; nous ne le croyons pas. Il est incontestable q
arait en aucune façon pendant le sommeil, bien au contraire, et les
excitations
por- tées sur le côté atteint devront donc par
par une attaque convulsive ou bien par des lèves, des pleurs, de l'
excitation
. Les malades sont étonnées, paraissent ne plus se
lle est l'indice d'une inondation ventriculaire (Brissaud) ou d'une
excitation
méningée périphérique. La mort survient alors d
e simple qu'il était au pouvoir du délin- quant d'éviter; lorsque l'
excitation
alcoolique a été recherchée pour se donner l'en
ions de gonflement des pieds et de dénivellement. Signe de Rorn6eg.
Excitation
génitale suivie de frigidité. De 1 88 ci 886, t
s'accrocher à un soutien solide pour ne pas tomber. Une violente
excitation
génitale coïncida avec l'apparition des symptôm
t tho- racique en inspiration. Immédiatement après, pendant que l'
excitation
électrique continuait, et que les respirations
rations pendant l'exci- tation électrique; leur réapparition dans l'
excitation
avec balancement; leur nouvel arrêt dans la sui
excitation avec balancement; leur nouvel arrêt dans la suite de l'
excitation
sans balancements; et enfin la réappari- tion d
plet de respira- tions. Enfin, nous avons balancé en continuant l'
excitation
, et alors nous voyons d'abord des lignes DU VER
courbure de respiration, l'animal étant en repos. Ensuite, par l'
excitation
faradique, nous avons obtenu l'arrèt complet de
ate la fin du courant et les secousses que l'animal ressent après l'
excitation
. Après cette faradisation simple et l'arrêt com
rrêt com- plet et sans balancement; les autres 24" ont été avec
excitation
et balancement, durant lequel les 111011\ l'llI
sait sous l'influence du balancement et cessait avec lui. - Donc, l'
excitation
du but central des pneumo- gastriques, comme au
l'excitabilité rythmique du coeur existe dans son arrêt, après l'
excitation
des nerfs vagues par le cou- rant induit; comme
vons obtenu le même résultat parla section des pneumo-gastriques, l'
excitation
de leur but central et le balancement du lapin.
(Lagardelle). On sait d'ailleurs que dans les formes plus graves d'
excitation
, et en particulier dans le délire aigu, les tro
ériode maniaque qui ouvre la scène de la catatonie. Outre que cette
excitation
maniaque nous parait être souvent de l'anxiété
mme le dit Hammond ', des alternatives plus ou moins régulières d'
excitation
se présentant aussi bien sous la forme d'excitati
ns régulières d'excitation se présentant aussi bien sous la forme d'
excitation
maniaque que d'anxiété mélancolique, puis de dé
en distingue trois classes : la pre- mière comprend le gâtisme par
excitation
pathologique, pas- sager, épisodique, étranger
ité; on en distingue trois catégories, suivant la région où siège l'
excitation
; excitation psychomotrice (impulsion organique
istingue trois catégories, suivant la région où siège l'excitation;
excitation
psychomotrice (impulsion organique centrifuge)-
itation; excitation psychomotrice (impulsion organique centrifuge)-
excitation
sen- sitive, périphérique et psychique (réflexe
ation sen- sitive, périphérique et psychique (réflexe centripète) -
excitation
véritablement inlrapsychique, intracenlrale (id
rations, paraphasies, comme symptômes post-épileptiques; 3° états d'
excitation
moteurs (corticaux) soit dans le stade postparo
EVUE DE PATHOLOGE MENTALE. 443 mouvements automatiques divers; 4° l'
excitation
maniaque, dési- gnée par Samt sous le nom de mo
l'antéchrist. On constate une démence très prononcée, entremêlée d'
excitation
maniaque, de phases hy- pochondriaques ; relati
es accumulés dans ces dernières années et relatifs aux effets des
excitations
et des destructions localisées du cerveau; la sec
ient la critique des théories. Les effets moteurs pro- voqués par l'
excitation
expérimentale du cerveau ont été ana- lysés de
il expose la topographie motrice cérébrale, d'après la méthode des
excitations
. Une note intéressante relate les magnifiques o
t on analyse les mouvements d'origine céré- brale provoqués par les
excitations
électriques soit à la sur- face des circonvolut
soit sur la coupe des faisceaux blancs, on constate : 1° lorsque l'
excitation
est brusque, comme celle due à la rupture ou à
oins complet. Ce tétanos diffère suivant qu'il 1 est fourni par une
excitation
d'origine corticale ou une excita- tion d'origi
e abonde en documents précieux, à l'opposé de ce qui concerne les
excitations
cérébrales. Les troubles moteurs consécutifs au
rs complètement soustrait à l'influence du système nerveux et que l'
excitation
électrique ne porte que sur les libres musculai
nisme de ce phénomène ; certains supposaient qu'il était dû à une
excitation
du labyrinthe, d'autres pensaient qu'il dépendait
re le but visé. On constate alors de la manière la plus nette que l'
excitation
d'une même partie du labyrinthe, à la fermeture d
on de tous les muscles qui fléchissent l'avant-bras ; parfois cette
excitation
donne lieu également à une flexion de la main e
lorsque, le sujet ne contractant pas volontairement ses muscles, l'
excitation
d'un tendon détermine dans le groupe musculaire
elle est pratiquée au niveau du tendon du triceps, les effets de l'
excitation
de ce tendon l'emportant alors sur ceux qui rés
nt de la naissance jusqu'au moment où la marche devient correcte, l'
excitation
de la plante du pied, quandclledétermine, Fixe
détermine, Fixe 2. Étal normal. Flexion des orteils provoquée par
excitation
de la plante du pied. ce qui est la règle, un m
ig. 2). 11 est des individus normaux chez lesquels, à la suite de l'
excitation
de la plante du pied, les orteils restent immob
ent d'extension. Or, en cas de perturbation du système pyramidal, l'
excitation
de la 38 SÉMIOLOGIE plante du pied provoque o
uand on excite la partie interne de la plante du pied que lorsque l'
excitation
porte sur la partie externe, et c'est l'inverse
tie physiologiques. En voici des exemples : chez certains sujets, l'
excitation
de la plante du pied provoque l'extension du gr
s orteils ; dans ce dernier cas, ce sont généralement les premières
excitations
qui donnent lieu à de la flexion. « Cela dit,
ieur étant placé dans cette attitude, on attendra pour procéder à l'
excitation
que les muscles paraissent bien relâchés. « I
uiller simplement ou de piquer la plante du pied. Ce dernier mode d'
excitation
est nécessaire chez certains sujets pour faire ap
cte de la volonté ; il faut, dans des cas de ce genre, renouveler l'
excitation
en la pratiquant superficiellement. « Il y a en
le mouvement de flexion qu'il exécute sur la jambe à la suite de l'
excitation
de la plante ; si donc le mouvement de flexion
réflexes tendineux faisant défaut à ce moment comme auparavant, l'
excitation
de la plante du pied provoquait, ainsi qu'au prem
e datant de plusieurs années, j'ai noté le curieux fait suivant : l'
excitation
de la plante du pied paralysé donnait lieu de c
ed paralysé donnait lieu de ce côté à une extension des orteils ; l'
excitation
de la plante du pied normal provoquait, outre une
yant examiné le malade immédiatement après une crise, j'ai vu que l'
excitation
de la plante du pied donnait lieu à de l'extens
s orteil volontairement et d'exécuter ce mouvement à la suite d'une
excitation
de la plante du pied. Mais, en y prêtant l'at-
nt ; par contre, quand l'attention du sujet aura été détournée, une
excitation
forte ne sera pas suivie d'extension, ou bien l
ramidal, j'ai fait observer que chez quelques malades, tandis que l'
excitation
de la plante du pied détermine de l'extension d
tendon d'Achille, ou bien si elles ne sont pas simplement dues à l'
excitation
de la peau. « C'est le problème que je me sui
« Unterschenkelsreflex ». Voici en quoi il consiste : tandis que l'
excitation
des téguments de la partie interne de la jambe,
n réflexe ou seulement une flexion des quatre petits orteils, cette
excitation
, dans les cas où il y a une lésion de la voie p
alité du phénomène de Babinski qui peut aussi être provoqué par une
excitation
de la jambe, et que ce n'est pas la surface int
sa sur- face externe ou encore mieux sa surface postérieure dont l'
excitation
est propre à provoquer ce réflexe. » Ci-desso
ce que j'ai écrit à ce sujet dans mon pre- mier travail (97). « L'
excitation
de la plante du pied provoque parfois, entre autr
précédente communication que l'abduction réflexe provoquée par une
excitation
de la plante du pied constitue, quand elle est
rsqu'ils sont exagérés, puissent être provoqués non seulement par l'
excitation
de la peau mais aussi par la compression des pa
: ils sont très brusques et peuvent en général être provoqués par l'
excitation
d'une partie quelconque de la peau y compris le
lésion ; le malade 58 SÉMIOLOGIE avait du reste remarqué que les
excitations
du côté anesthésié provo- quaient des mouvement
pratiquant une nouvelle exploration, je constatai celle fois que l'
excitation
lumineuse provo- quait une contraction pupillai
facial. Or, à priori, il me paraît déjà difficile d'admettre qu'une
excitation
d'un nerf sensitif puisse produire un effet ident
106 AFFECTIONS DE LA MOELLE La hauteur du territoire cutané dont l'
excitation
peut provoquer ces réflexes n'est pas la même d
ment à la partie supérieure de la moelle dorsale et chez lesquels l'
excitation
de l'ab- domen restait ordinairement sans effet
ns à délimiter le domaine des réflexes de défense en pratiquant des
excitations
successives d'abord de bas en haut, puis de hau
, AFFECTIONS DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE 173 entre autres moyens d'
excitation
, l'électrisation voltaïque avec un dispositif p
cytodiagnostic, m'avait montré que d'ordi- naire la résistance à l'
excitation
électrique diminuait après l'opération. Il y av
ns les réactions correspondant t il des différences dans le siège d'
excitation
(Id.). r41. Emotion, suggestion et hystérie (Id
p. à droite). Le point moteur du splénium est complètement muet aux
excitations
élec- triques des deux côtés. L'angulaire de
ins négative par les physiologistes. En effet Benz et Longet, par l'
excitation
des racines de la XI" paire au- raient vu se co
la crampe des écrivains toujours prise comme exemple au moyen de l'
excitation
faradique (courant fort). « Si l'on applique en
aschide (147) nie ce fait que la crampe puisse être provoquée par l'
excitation
faradique : ayant essayé à plusieurs reprises sur
u brusque. Féré (59) par contre montre que, chez les névropathes, l'
excitation
mécanique du cubital au niveau du coude est cap
, ou qu'il aurait perdu son aptitude à réagir sous l'influence de l'
excitation
nerveuse quand U aurait à remplir certaines fon
s'agissait d'une folie à dou- ble forme dans laquelle la période d'
excitation
était remplacée par une période de simple angio
ique, comme le disent Brissaud, Hallion et Meige(21), montre qu'une
excitation
de l'écorce cérébrale, au niveau de la zone psy
au fut celui de la paralysie ascendante de Landry. Les phénomènes d'
excitation
, plus rares, consistent en contractures, parfois
ntier sous la dépendance d'excita- tions : psychiques; réflexes par
excitations
cutanées ou sensorielles; spasmodiques par. exc
éflexes par excitations cutanées ou sensorielles; spasmodiques par.
excitation
organique de voisinage. Pour BETCHEREW, la lési
la lésion corticale intervient par un double méca- nisme possible :
excitation
corticale directe, inhibition volontaire rendue
en ceci : le thalamus, centre de coordination réflexe, répond à une
excitation
qui doit être soumise au contrôle, à la maîtris
n résultat commun, le dérèglement du thalamus livré à lui-même, aux
excitations
du dehors, agissant sur les colonnes motrices b
hérapeutique, modifier les idées par suggestion, c'est-à-dire par l'
excitation
mécanique des vibrations sonores repré- sentati
se décomposant et se recons- tituant constamment sous t'influence d'
excitations
extérieures, ayant par con- séquent du mouvemen
Son activité n'est jamais spontanée mais toujours provoquée par des
excitations
du milieu, de nature chimique, électrique, lumi
rait immédiatement, si elle ne recevait pas à tous les instants des
excitations
qui la maintiennent en vie en lui donnant le mouv
orter pour obtenir un supplément d'explication, j'ai montré que les
excitations
extérieu- res agissant sur la matière vivante p
s, électriques lumineuses, mécaniques qui résument tous les modes d'
excitation
connus (1). ' Sans parcourir tons les échelons
n certains autres une sensibilité spéciale vis-à-vis de certai- nes
excitations
lumineuses ou sonores par exemple. Alors l'excita
telle façon que celui-ci de- vient une représentation interne de l'
excitation
externe. Si nous considérons maintenant dans so
involontaires et ne sont que des réactions mécaniques en présence d'
excitations
. Toujours la réac- (1) Je passe sous silence l'
ésence d'excitations. Toujours la réac- (1) Je passe sous silence l'
excitation
magnétique dont l'action sur la matière vivante
SAI SUR LA PHYSIOLOGIE DE L'ESPRIT 165' tion est conditionnée par l'
excitation
et dans sa formation et dans sa produc- tion. E
es différents rouages une cellule nerveuse qui reçoit et transmet l'
excitation
reçue aux organes dont la fonction est d'y répond
tenant commandé à distance, sans que pour cela les rapports entre l'
excitation
et la réaction aient cessé d'être de nature pur
rveux n'est en somme qu'un organe de transmission qui réfléchit les
excitations
dont il a été l'objet et qui est parfaitement ada
ts successifs laissent toujours place à de nouvelles possibilités d'
excitation
et par conséquent à des organisations nouvelles
n dernière analyse en une certaine somme, une certaine complexité d'
excitations
pure- ment mécaniques. Un spectacle, une auditi
e l'énergie universellement répandue, que parce qu'ils dégagent des
excitations
mécaniques, thermiques, lumineuses, chimiques ou
er la matière vivante. Nous ne percevons du monde extérieur que les
excitations
énergétiques qui en émanent et qui nous en four
t. On voit donc qu'il n'y a pas de différence essentielle entre une
excitation
dégagée de toute signification, une simple impres
ple impression physico-chimique, une onde sonore par exemple et une
excitation
représenta- tive d'un objet extérieur, d'une ch
ou mécaniques, mais seulement par le nombre et la complexité de ces
excitations
. Les connaissances, c'est-à dire les objets de pe
localisation précise. Il se pourrait qu'elle soit liée à un degré d'
excitation
déterminé. Mais il m'a paru que les choses se p
la sensation kinesthésique dans la position du bras constituent des
excitations
qui déterminent automatiquement l'agrandissement
s différences et dans la nature des résultats et dans la nature des
excitations
. La volonté. ne prend aucune part l'exécution du
est-à- dire qu'il pourrait se produire sous l'influence d'une autre
excitation
une modification biologique qui aurait pour eff
exécuté avant que vous n'ayez pensé à le faire. La vue du. poing, l'
excitation
lumineuse spécifique a déjà suffi à actionner l
gent psychologique, on avait écarté avec soin toute possi- bilité d'
excitation
mécanique d'origine externe on interne. Au mome
ne constituent à proprement parler que des réactions en présence d'
excitations
. La volonté n'est qu'une création psychologique
es dans le cerveau. Dans le premier cas, ce sont principalement les
excitations
extérieures qui agissent sur la matière cérébrale
conditionner elles-mêmes des réactions per- sonnelles. Les seules
excitations
externes qui intéressent les manifestations intel
tion qui suffit cependant à en produire tous les effets, lorsqu'une
excitation
actionne le substratum organique sur lequel elle
nsi est constituée l'extrémité sensitive de l'arc diastaltique et l'
excitation
partie de l'extérieur a pénétré jusqu'à un ou plu
situation physi- co-chimique, en conserve la mémoire. De ce point l'
excitation
peut, suivant sa nature, son intensité ou d'aut
ont modifiées en rien de ce fait et qu'elles se comportent comme si l'
excitation
n'avait pas pris cette voie. De cette façon la
oppement des manifestations intellectuelles. En se réfléchissant, l'
excitation
primitive, c'est-à-dire la sensation peut en- c
'est-à-dire être réalisée, devenir effective. Ainsi, par exemple, l'
excitation
visuelle constituée par la vue de gens qui dans
nge- ment de direction dans la statique humaine, que la nature de l'
excitation
change. Sans m'appesantir davantage sur cette q
ée) et l'extrémité motrice (sortie) du mécanisme cérébral. Enfin, l'
excitation
extérieure ne manque jamais de se réfléchir sur l
que celle-ci constitue une peinture, une photographie en chair de l'
excitation
. Lorsque des sensations différentes affectent.e
ssible que ce soit cet équilibre physio- logique personnel à chaque
excitation
qui détermine le sentiment, l'impression qui lu
a des organiques localisés d'autant plus près du point excité que l'
excitation
est plus faible et susceptibles de se développer
elle-ci devient plus intense, de même la sensation qui n'est qu'une
excitation
agit d'autant plus fortement et profondément qu
t suivant la nature de l'excitant. Une matière peu excitable ou des
excitations
faibles provoquent seulement des modifications in
est donc pas le résultat d'une influence morale, mais l'effet d'une
excitation
physique. Le moral est d'ailleurs inconcevable et
a matière vivante puisse être impressionnée par antre chose que des
excitations
ou chimiques ou lumi- neuses etc. L'émotion éta
ent énergétique de la chose comme pensée, doit se comporter par une
excitation
externe et se traduire par une configuration in
tti- tude qui lui sont spéciales. La pensée n'est autre chose que l'
excitation
externe correspondante organisée dans le cervea
erminer. Une même émotion peut donc prendre sa source soit dans les
excitations
du milieu soit dans les pensées, c'est-à-dire dan
en- sité, conditionne le sentiment ou l'émotion correspondants et l'
excitation
ex- terne, suivant sa puissance, détermine la p
ptation de la matière aux énergies qui la pétrissent. Soumise à des
excitations
qui la modi- fient, chacun suivant sa nature, d
RE nécessaires du fonctionnement réflexe qui donne des réponses aux
excitations
actuelles seulement et, par conséquent, ne réfl
é dans les idées ont également une origine purement réflexe. Autres
excitations
, autres réactions. La crédulité humaine qui,
ieure n'est que le décalque de ce qui est vérité à l'extérieur. Les
excitations
externes se peignent dans la matière cérébrale.
faisant briller devant ses yeux d'étincelantes couleurs. Toutes ces
excitations
se réfléchissent en lui et l'équilibre s'établit
lace au soleil qu'elle est devenue banale. C'est donc que les mêmes
excitations
conditionnent toujours les mêmes réactions. A c
cérébrale comme un lacis inextricable d'arc réflexes naissants, les
excitations
extérieures ou les idées c'est-à-dire leur équi
, de voir la réaction en acte ou, tout au moins en pensée, suivre l'
excitation
avec uue promptitude toute réflexe. Un individu
s circonstances. Tel autre conserve une liberté relative devant une
excitation
faible et succombe lorsqu'elle devient plus forte
t se développer dans l'isolement le plus complet à l'abri de toutes
excitations
extérieures en dehors de tout milieu, il acquer
tamment la formation de la mentalité sous l'influence exclusive des
excitations
du milieu. Mais je m'aper- çois que la aussi j'
nces qui successivement viennent orner son intérieur. A ce moment l'
excitation
au mouvement peut provenir non pas seulement de
lles se combinent, se pénètrent, s'enchevêtrent. Sous la pression d'
excitations
extérieures, la cellule nerveuse organisée par
ion. C'est le deuxième point. Si nous supposons maintenant qu'une
excitation
, une sensation c'est-à-dire lin mot, un écrit,
ls. Ils seront toujours la résultante mathématique de l'action de l'
excitation
sur l'hé- rédité modifiée par le milieu et enco
et l'on expliqua les mouvements associés dans ce cas, ou bien par l'
excitation
des nerfs sensitifs et on les considéra comme u
e ; ou bien on sup- posa que la pression pouvait agir ici comme une
excitation
centrifuge sur les nerfs moteurs. On ne crut pa
sont vives et bien enchaînées ; mais il semble persister une légère
excitation
éthylique. Le sujet s'inquiète de son infirmité
culaire des lèvres où l'on signale de la lenteur de contraction à l'
excitation
faradique. Les mouvements se font bien : le seu
on l'ex- tirpe après insensibilisation à la cocaïne. .3. Crises d'
excitation
au cours desquelles M... invective les médecins
r avec mé- thode : si l'on veut agir utilement, il faut localiser l'
excitation
aux seuls muscles malades, mais là encore il es
cité statique sera plutôt indiquée dans les cas de névropathie avec
excitation
en raison de son action sédative sur le système n
radio- actives, Néris exerce sur tous les malades, après une courte
excitation
passagère, une sédation très nette de tous leur
sont moyenne- ment dilatées des deux côtés et assez paresseuses à l'
excitation
lumineuse. Les membres supérieur et inférieur d
à ceux que l'on observe dans les cas d'épilepsie jacksonnienne par
excitation
corticale. La transpiration est abondante sur t
exes rotuliens sont faibles ; les réflexes cutanés sont normaux : l'
excitation
de la plante du pied détermine la flexion du gros
marqués : la dermographie rouge ou blanche appa- raît suivant que l'
excitation
de la peau est forte ou faible. Tous les réflexes
le jamais à ses voisins. Décembre 1901. - B .. traverse une phase d'
excitation
. Il se promène en gesticulant et ne répond aux
. ne se modifie pas d'une façon sen- sible. Il a des alternatives d'
excitation
et de stupeur, mais il;n'a'pas d'inter- valles
evons pas le monde extérieur en lui-même, mais seu- lement dans ses
excitations
lumineuses, thermiques, chimiques, électri- que
er une pomme en elle-même par exemple, mais seulement percevoir les
excitations
lumineuses, mécaniques ou thermi- qnes qui s'en
transposi- tions d'atomes dans la cellule sont déterminées par des
excitations
chimi- ques, mécaniques, thermiques, lumineuses
nergie chimique aux dépens des aliments assi- milés. En résumé, les
excitations
extérieures en agissant sur la cellule, détermi
dégagée au sein de la cellule au moment où celle-ci subit certaines
excitations
. Elle porte le nom d'instinctive, parce qu'elle d
erworm(l),les éléments extérieurs ne se trouvent pas vis-à- vis des
excitations
externes, dans la même situation que ceux qui occ
et de fonction différentes et réunies en tissu, puis en organe. Les
excitations
extérieu- res chimiques, thermiques, lumineuses
s-mêmes. Il est évident que l'animal chez lequel l'odeur ou la vue (
excitation
mécanique ou lumineuse) d'une souris excitent des
nt pas chez celui qui reste indifférent en présence d'une semblable
excitation
. L'ani- mal ne réagit à la vue du gibier, à l'o
est tellement sensible à l'aclion du milieu, que celui-ci, par les
excitations
qu'i émet, modifie son genre de vie en transfor
ce que la matière meurt par inanition ou par stérilité, lorsque les
excitations
du milieu dépassent les limites vitales, et alo
ion physico-chimique de la matière) ; par leur cause (influence des
excitations
du milieu sur la matière vivante plas- tique et
ines habitudes. Ils ne se trouvent plus soumis exactement aux mêmes
excitations
et, dans cette occurrence, il n'y a rien d'éton
rincipe de leur activité. Ils ont besoin pour entrer en scène d'une
excitation
spéciale que le système nerveux est adapté à le
ibilité et l'autre, centrifuge, transmet l'influx nerveux moteur. L'
excitation
initiale partie d'un point quelconque sera tran
ière n'ayant d'autre effet que de donner des réponses adéquates aux
excitations
de la seconde. Ayant placé la source de l'activit
t dans les sensations qui naissent du mou- vement vital et dans les
excitations
du milieu mécaniques, lumineuses, etc. Ce sont
instants cette hypothèse si peu scientifique, produire la première
excitation
qui va automatiquement animer le premier réflexe
premier organe dont le fonctionnement sera la source de nou- velles
excitations
qui donnent naissance à de nouveaux réflexes, à d
nouveaux réflexes, à de nou- veaux fonctionnements, à de nouvelles
excitations
et ainsi de suite jusqu'à ce que toutes les par
ogues à la chimiotaxie et qu'on désigne sous le nom de barotaxie. L'
excitation
lumineuse produit également des effets de direc
précédents et qui portent le nom de phototaxie. De même encore les
excitations
unilatérales thermiques et électriques (thermot
es étaient électrisées positivement ou négativement par rapport à l'
excitation
. Il était intéressant de rappeler ces actions v
uto- matique et dont le fonctionnement déclanche sous la pression d'
excitations
déterminées. Si on substitue, par exemple, un b
et la disparition d'organes devenus inutiles par la suppression des
excitations
mécaniques, chimiques, etc., qui entretenaient
sont t les seuls possibles, puisqu'il faut toujours qu'il y aitdes
excitations
d'une part et des réactions d'autre part et la
de l'homme se tairait également, parce qu'elle ne recevrait plus d'
excitations
, comme les glandes salivaires cesseraient de sécr
la vie. Pour fonctionner et se développer, le cerveau a besoin des
excitations
purement physiques du travail intel- lectuel, c
e et curieuse. Je suggère une hémianesthésie droite et j'applique l'
excitation
tactile sur le milieu du corps, des deux côtés
oté les faits suivants : 1. Pendant une cécité suggérée à droite, l'
excitation
campimétriqueest restée inactive sur cet ceil :
l'excitation campimétriqueest restée inactive sur cet ceil : par l'
excitation
de l'oeil gauche les contractu- res se manifest
ractu- res se manifestaient de la façon suivante déjà connue : si l'
excitation
por- tait sur la partie nasale de la rétine il
nasale de la rétine il se produisait une hémicontracture gauche ; l'
excitation
de la partie temporale était suivie d'une hémicon
la partie nasale de la rétine : une hémicontraclure' gauche par r l'
excitation
temporale, et une contracture bilatérale par cell
survenait seulement une hémi- contracture gauche, provoquée par une
excitation
quelconque de l'oeil droit; les membres droits
que de l'oeil droit; les membres droits restaient flasques. Par des
excitations
de l'oeil gauche il se produisait seulement une
is de la cécité à ]>oeil gauche, je voyais se développer par des
excitations
campimétriques appliquées à un oeil quelconque, u
e 6'M ? Y< ? ? H ! e/<p'HM'p/e- gie au sujet, j'appliquai des
excitations
différentes ; je la considère comme une halluci
temporale, il survenait tou- jours une hémicontracture droite par l'
excitation
de l'oeil droit et une hé- mi contracture gauch
l'excitation de l'oeil droit et une hé- mi contracture gauche par l'
excitation
de l'oeil gauche. Les résultats, que j'ai obten
appelé l'expérience, où j'avais obtenu une contracture totale par l'
excitation
de la macula lutea. J'essayais donc de localise
ositives une hémicontraclure droite ou gauche, corres- pondant il l'
excitation
suggérée pour l'oeil droit ou gauche. J'expliquai
opposée. Par exemple la lumière suggérée à l'oeil droit produit une
excitation
quelconque dans le centre optique (cortical) gauc
ection fonctionnelle. Il existe évidemment une différence entre une
excitation
périphérique réelle et une excitation suggérée,
ment une différence entre une excitation périphérique réelle et une
excitation
suggérée, c'est-à-dire imaginée. Quand j'excite l
n suggérée, c'est-à-dire imaginée. Quand j'excite la rétine par une
excitation
périphérique, alors il dépend de moi de diriger
ortical arbitraire; aussi je peux déterminer la voie centrale que l'
excitation
parcourt. C'est autre chose pour l'excitation cen
a voie centrale que l'excitation parcourt. C'est autre chose pour l'
excitation
centrale produite par l'hallucination. Celle-ci
rojection fonctionnelle ; chaque hallucination positive produit une
excitation
dans le centre opti- que du côté correspondant
ir, avec les hallucinations positives, de la même façon qu'avec une
excitation
réelle; la lumière suggérée dans la direction d
e différence lient à ce fait que l'exercice, est cause qu'après des
excitations
réelles souvent répétées, la suggestion équival
tion hétéronyme. Nous savons que, pendant une surdité suggérée, les
excitations
acous- tiques restent sans effet et nous pouvon
s acous- tiques restent sans effet et nous pouvons ajouter, que les
excitations
des autres sens produisent pendant une suggesti
ite est aussi relardée par rapport à celle qui est pro- duite par l'
excitation
de l'oreille gauche. 28 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
t de la surdité suggérée sur les réflexes optiques produits par des
excitations
campimétriques . 1. Je suggère la surdité de l'
ampimétriques . 1. Je suggère la surdité de l'oreille gauche. Par l'
excitation
campimé- trique de l'un des deux yeux, il se pr
oite ; alors il ne se produit qu'une hémi- contracture gauche par l'
excitation
de l'un des deux yeux. 3. En suggérant une surd
pourquoi nous ne voyons pas de con- tracture apparaître pendant les
excitations
optiques. Quels sont les réflexes rétiniens qui
tal droit ? Ce sont les ré- flexes, que nous pouvons produire par l'
excitation
de la partie temporale de l'oeil droit et de la
il droit et la partie temporale de l'oeil gauche transmettent leurs
excitations
au champ visuel cortical gauche, qui n'est pas
visuel central gauche; ce dernier était donc moins disposé pour des
excitations
; de là le retard des hémicon- tractures droite
pour les suggestions hétéronymes optiques. Dans les derniers cas, l'
excitation
réelle du campimèlre est remplacée par une sugges
e. Pourquoi et comment surviennent ces contractures il la suite des
excitations
périphé- riques dans l'état hypnotique ? La c
, au contraire elle est peut-être exagérée, mais la propagation des
excitations
leur transmission à des parties différentes de
si un bruit se fait entendre auprès de l'oreille, la totalité de l'
excitation
se transmet des centres sensoriels aux centres mo
odification musculaire toni- que. Au contraire, l'état de veille, l'
excitation
se divise plus aisément et dans toutes les dire
e plus aisément et dans toutes les directions : ainsi la quantité d'
excitation
qui parvient au centre moteur est moindre, et a
électriques une contracture, laquelle pouvait être effacée par une
excitation
tactile absolument de la même façon, que dans l'é
de la même façon, que dans l'état hypno- tique. On voit donc, que l'
excitation
directe de l'écorce suffit pour déter- miner un
ontracture ; cette rigidité réflexe peut être obtenue aussi par les
excitations
des autres parties de l'écorce. Ces expériences d
Si par exemple le dia- pason vibre devant l'oreille droite, alors l'
excitation
peut être transmise aux voies motrices par les
bulbaire du nerf acoustique) ; mais on peut aussi se figurer, que l'
excitation
dé- passe ces centres subcorticaux et atteint p
e humicontracture droite. C'est ainsi, qu'on peut expliquer, qu'une
excitation
de l'oreille droite produit une hémicontracture
'effectuer la mê- me contracture avec cette suggestion qu'après une
excitation
réelle - il est bien évident, que par cette sug
llé dans le centre cortical acoustique la même altération que par l'
excitation
réelle. Si cette déduc- tion est vraie, le méca
re ne peut pas s'effectuer au- trement que par la transmission de l'
excitation
du centre acouslique au centre cortical moteur,
ite, il se produit une hémicontracture droite, il est évident que l'
excitation
s'est faite dans le centre acoustique gauche; d
suivent un mécanisme cortical. 2° L'hallucination positive est une
excitation
presque analogue ci une ex- citation périphériq
bles ou C. très faibles masquées par l'effet de la propagation de l'
excitation
au nerf médian. Triceps. Notablement atrophié e
nt-bras. (Des contractions se produisent aussi par propagation de l'
excitation
dans le triceps, et dans les m. antérieurs de l'a
r, et dans les fléchis- seurs à l'avant-bras). Les résultats de l'
excitation
de tous ces nerfs sont les mêmes à droite et à
rnale 8 X 11, électrode différente : grosse olive, 3cm X 2cm, 5 Les
excitations
sont faites alternativement avec le pôle négati
nt des bobines il se produit déjà aussi des C. dans le deltoïde par
excitation
des nerfs du pexus brachial). Dans la partie
iminuée; C. m. à G0'nm ; C. en- core très faibles à 50mm (pendant l'
excitation
du sterno-mastoïdien des C. assez fortes appara
muscles antérieurs de l'avant-bras, qui apparaissent déjà à 70miu l'
excitation
portant sur les muscles postérieurs. Extenseur
accentuées mais faibles encore, masquées par la pro- pagation de l'
excitation
aux fléchisseurs (seulement soulèvement des tendo
ontractions volontaires, et il se contracte éga- lement bien sous l'
excitation
électrique; C. miuima entre 65 et 70mm ; Ù 60mm
action spécial des éléments ana- tomiques, en présence de certaines
excitations
des conducteurs sensitifs. Ceci revient il dire
ls : la contrac- tion lente, traînante des muscles il la suite de l'
excitation
mécanique et électrique, l'abaissement considér
eau, l'on ouvre le circuit. Les muscles épuisés après la pre- mière
excitation
, ne sont plus capables d'une nouvelle tétanisatio
gauche, la contraction est insignifiante ou nulle. Au contraire, l'
excitation
du nerf de la patte droite, -celle dont l'artère
de cette patte peuvent encore se contracter sous l'influence d'une
excitation
nouvelle. L'expérience montre encore autre chos
toxiques aussi bien que ceux de la patte gauche. D'autre - part, l'
excitation
électrique directe des muscles do la patte gauche
do la patte gauche détermine en- core des contractions, alors que l'
excitation
du nerf n'en produit plus. La con- clusion qu'i
qui n'a pas d'activité, qui ne fonctionne pas, s'a- trophie. Donc l'
excitation
périphérique, cutanée, viscérale ou conjonctive,
je veux parler du signe d'Argyll Robertson. Sous l'influence d'une
excitation
lumineuse, la pupille ne se contracte plus. C'e
maintien ou la variation d'attitude céphali- que est volontaire, l'
excitation
part des images d'attitude céphalique que nous
s que la sensibilité tactile. 21. Amoindrissement considérable de l'
excitation
faradique. L'électrisation des muscles et des n
ution postcruciale du chien ; là était la région de l'écorce dont l'
excitation
, même avec un courant très faible, détermine l'
, de vertiges ou de délires postépileptiques avec hallucinations. L'
excitation
des autres points de l'écorce ou ne provoquait
d'o- rigine corticale sont réflexes. Du cerveau part simplement l'
excitation
capable de mettre en jeu les vrais centres mo-
l'écorce, et partant de production d'accès épileptiques. Certaines
excitations
mécaniques sont également capables de déterminer
u se propager d'un point au reste de l'écorce céré- brale ; 3° si l'
excitation
est suffisamment diffuse et intense, c'est la f
nsibilité et la conscience sont temporairement suspendues ; 4° si l'
excitation
est circonscrite à un des centres psycho-moteur
groupe de muscles corres- pondant au centre cortical lésé ; 5° si l'
excitation
de l'écorce s'étend d'un point initial à une pa
, est pour Luciani l'organe central des convulsions épileptiques. L'
excitation
morbide, directe ou indirecte, de cette zone, e
indirecte, de cette zone, est la cause essentielle du processus. L'
excitation
morbide de la moelle allongée n'est qu'une cause
part que secondairement. Les centres corticaux vaso-moteurs, dont l'
excitation
détermine, avec l'anémie cérébrale, la perte de
avec ceux de la zone motrice de l'écorce (Eulenburg et Landois). L'
excitation
céré- brale n'est donc pas circonscrite aux cen
i se trouvent localisés dans les mêmes aires corticales. De là, l'
excitation
peut se transmettre aux centres vaso-moteurs du
quelle région de l'écorce peut-elle provoquer, sous l'action d'une
excitation
suffisante, un accès d'épilepsie partielle ou g
et de l'audition mentales. Albertoni de même. On se rappelle que l'
excitation
du gyrus angulaire répond au sti- mulus électri
ives, les auteurs italiens les ont considérées comme résultant de l'
excitation
directe des centres moteurs spéciaux, contenus
ès d'épilepsie en excitant le lobe occipital. Pour être efficace, l'
excitation
portée sur cette région doit être plus intense
sage du courant). Comme, après l'ablation de la zone motrice, les
excitations
du lobe occipital ne provoquent plus de convul-
grande intensité et d'une plus longue durée que l'épilepsie suit l'
excitation
de la sphère visuelle de Munk; 3° l'ablation de
s ; celle de la sphère visuelle ne met pas fin aux convul- sions. L'
excitation
portée sur les régions occipitales se propage h
k, Ziehen, a noté que, pour la production des accès consécutive à l'
excitation
du lobe occi- pital, la durée est plus importan
vent naître, sans action à distance, des accès convulsifs, et que l'
excitation
des mêmes régions peut même déterminer des accè
cht, après l'ablation bilatérale des centres moteurs de l'écorce, l'
excitation
des régions postérieures du cerveau ne provoque
phère visuelle de Munk. En somme, Unverricht n'a pas démontré que l'
excitation
de ces régions puisse, sans irradiation aux élé
r les réactions vaso-motrices que provoquent chez ces individus les
excitations
de nature différente, ont montré que, tandis qu
onscience. Mais ce spasme des artères cérébrales peut résulter de l'
excitation
réflexe du centre vaso-moteur de la moelle allo
'ici, nous avons vu détermimer des convulsions épilep- tiques par l'
excitation
directe des hémisphères cérébraux ou des gangli
ux. On arrive au même résultat, d'une manière indirecte, au moyen d'
excitations
périphériques. Cette méthode a été trouvée par
es ; enfin se produisent des convulsions générales. Des bruits, des
excitations
lumineuses, agissant sur les organes des sens,
ntres réflexes de cette région déterminerait, sous l'influence de l'
excitation
de l'écorce cérébrale, les mouve- ments et les
ticulier la zone motrice, n'est pas l'unique centre épileptogène; l'
excitation
qui détermine l'accès peut partir de n'importe
qui constituent l'accès d'épilepsie, les premières dérivent de l'
excitation
des ganglions sous-corticaux, les secondes de cel
ions sous-corticaux, les secondes de celle de l'écorce cérébrale. L'
excitation
mécanique ou faradique du noyau caudé et du noy
s centres d'arrêt. Quant aux convul- sions cloniques, qui suivent l'
excitation
de l'écorce, elles dis- paraissent du tableau s
n animal dont la région corticale d'une. extrémité a été enlevée, l'
excitation
cérébrale ne détermine plus de convulsions clon
de l'épilepsie comme fondamentalement différentes, ré- sultant de l'
excitation
de régions également distinctes du sys- tème ne
les recherches graphiques de Pitres et de Franck ; il rapporte à l'
excitation
de la subs- tance blanche les convulsions toniq
aussi sur le caractèredifférent des contrac- tions provoquées par l'
excitation
de la substance grise ou de la substance blanch
roit (Wollenberg); vertiges, attaques épileptiformes, vomissements,
excitation
maniaque avec halluci- nations, tendance a tomb
ns de la base. Voici la conclusion de ces inter- ventions : '1° L'
excitation
mécanique et faradique du corps strié, ou sa sect
e, soit une série de convulsions toniques qui ne survivent pas il l'
excitation
. Ces con- vulsions ont le caractère de celles q
ion. Ces con- vulsions ont le caractère de celles qui succèdent à l'
excitation
de la région corticale motrice antérieure. Le n
rice antérieure. Le noyau lenticulaire n'est pas acces- sible à une
excitation
isolée directe; 2° l'excitation mécanique et fara
ulaire n'est pas acces- sible à une excitation isolée directe; 2° l'
excitation
mécanique et fara- dique de la couche optique p
côté opposé du corps; ces convulsions ne survivent pas non plus à l'
excitation
. La section transverse du segment postérieur de
a calotte et du corps genouillé interne qui est la plus sensible. L'
excitation
mécanique et faradique de la sur- face du tuber
on, de nystagmus, de mouvements impétueux de la locomo- tion ; 3" l'
excitation
du tubercule quadrijumeau postérieur engendre d
te en prenant le chemin'des fibres acoustiques. Le trans- port de l'
excitation
des voies sensitives aux voies motrices a lieu,
tte ou les corps genouillés. Les tractus mo- teurs qui conduisent l'
excitation
ne sont pas les pyramides, car, chez le lapin,
e, et d'ailleurs, les mouvements se produisent surtout du côté de l'
excitation
. Quand on con- serve les hémisphères, les résul
hémisphères, les résultats sont, en certains cas, les mêmes; donc l'
excitation
n'a pas pour simple effet d'annihiler les phéno
de penser que des troubles de l'irrigation sanguine déterminent une
excitation
pathologique, d'où se formeront des conceptions
maladies nerveuses, notamment dans les légers états d'angoisse avec
excitation
intellectuelle. On régularise ainsi l'action du
er de la force nerveuse jus- qu'à la prostration et des symptômes d'
excitation
constituant la faiblesse irritable la caractéri
tales : zone de dissociation syringomyélique de la sensibilité. Les
excitations
thermiques et douloureuses provoquent des sensati
itions psycho- physiques. Quelques-uns ont présenté un léger état d'
excitation
psychique avec incohérence et insomnie qui s'év
pas plus chez les hommes que chez les femmes : chez ces dernières l'
excitation
était plus marquée surtout dans le domaine des
à une auto- suggestion, beaucoup plutôt qu'aux injections. Outre l'
excitation
psychique observée dans différents cas, les inj
n excessive lorsque le 8 août appa- rait un érysipèle de la face, l'
excitation
fait immédiatement place à l'accalmie, l'érysip
lisme chronique ^comme cause de la paralysie. » Après une période d'
excitation
de '.cinq à six mois, surviennent des symptômes
r 735 cas. Il s'est limité aux malades alcoolisés entrant en état d'
excitation
maniaque à l'entrée et montrant des signes de p
de la nutrition explique peut- être certains symptômes, insomnies,
excitation
permanente, relevés chez le malade. On pourrait
pense que l'urémie peut entrer en ligne de compte pour expliquer l'
excitation
. Il a observé lui-même deux cas de délire aigu
rique, on obtient une courbe abrupte et élevée. Seconde remarque, l'
excitation
du bout périphérique engendre une contraction t
- truelle (graphiques) montre que les périodes de dépression ou d'
excitation
se manifestaient à la suite de l'onde, de la cour
énomènes d'arrêt,les phéno- mènes de déficit, les critiques sur les
excitations
des écorces grises, sur les suppléances d'un hé
e en observation. Quelle est donc la nature' de cette affection ? L'
excitation
réflexe de la période active de la dentition pe
othèse de Seguin d'après qui, les hallucinations dépendraient d'une
excitation
plus ou moins prolongée du lobe oc- cipital. Da
apparent. Mais à peine hors de l'asile, il fut repris de toute son
excitation
, et au bout de deux mois, il fallut le réintégr
mes deux tentatives ont échoué. On m'isole, on me magnétise par des
excitations
qu'on m'envoie au moyen de l'éther. On a écrit
lusieurs mois dans une oisiveté com- plète, avec des alternatives d'
excitation
et de prostration. A cette époque, tournant cou
t que les muscles angulaires et rhomboïdes répondent aussi bien aux
excitations
directes qu'indirectes, présentant toutefois un
Otto a expérimenté le sulfonal comme calmant, dans certains cas d'
excitation
prolongée et à doses fractionnées de 0 gr. 50 c
lérieures n'ont pas de granulations ; 2° elles servent à conduire l'
excitation
d'une fibre à un grand nombre de fibres. Du moi
pulvinar (artériole thalamique externe). , P. K. , XXXV.I)'ui'\E
excitation
trophique de la peau produite par LE courant ga
n'ont évidem- ment rien à faire dans l'espèce. L'auteur incrimine l'
excitation
des rameaux oculaires sensitifs, la cécité agis
es l'auteur sur a l'écriture hystérique », il résulterait'que toute
excitation
senso- rielle produite par un objet quelconque
s religieux, par Bouchaud 406; - aiué, par Zacher, 416. ' Peau,
excitation
trophique de la par le courant galvanique, par
oubler le sommeil. D'autres obstacles, trouvant leurs effets dans des
excitations
d'origine ¦centrale ou périphérique, s'opposent d
rte à chaque instant à d'autres difficultés qui tirent leur source ¦d'
excitations
, d'ordre différent, mais également incompatibles
chez tous les aliénés atteints de démence, en proie au délire ou à l'
excitation
. Dans le délire chronique systématique de persécu
dispensable de remplacer par des toniques physiologiques énergiques l'
excitation
coutumière que provoquait l'alcool. Dr Jules Vo
ui constitue l'état de veille ne peut se maintenir qu'à la faveur des
excitations
du dehors. Bandeau hypnogène du ]¦ Lemesle De
voquer cette inhibition. Devons-nous rappeler qu'en physiologie toute
excitation
productrice d'une sensation homogène, uniforme, c
pour produire l'inhibition, la même valeur que l'absence de toute
excitation
? En pratique, supprimer aux organes des sens tou
toute excitation ? En pratique, supprimer aux organes des sens toute
excitation
est presque impossible : c'est à l'excitation par
organes des sens toute excitation est presque impossible : c'est à l'
excitation
particulière dont nous venons de parler qu'il fau
roduire l'hypnose ou les états analogues et, en fermant le malade aux
excitations
extérieures, assurer ensuite la persistance de ce
Pour ce qui subsiste de la fonction auditive,nous la soumettons à une
excitation
homogène, uniforme continue et nous achevons par
s entravons la" constitution de nouveaux Evangiles, nous arrêtons ces
excitations
du dehors, qui, pénétrant par les organes de la v
tuberculeux ; or chez l'homme la tuberculose semble être an facteur d'
excitations
génitales. Chez les femelles on rencontre de mê
nce et répétition, en un mot habitude de ces actes ? C'est le délit d'
excitation
habituelle de mineurs à la débauche qui sera rele
les maigres et les bacillaires, l'abus de la viande, qui produit une
excitation
trop intense, et l'alcool sous toutes ses formes.
s aurait un effet désastreux Au surplus, le désir du coït normal et l'
excitation
préalable qu'il suppose représentent la guérison
femelles, à la période du rut, qui est le principal stimulant de leur
excitation
génési-que. L'homme normal n'échappe pas à cett
nt la conduite est normale au point de vue des tendances sexuelles, l'
excitation
génitale a son point de départ dans des perceptio
tions ultérieures. rations sexuelles, comme l'homme normal dont l'
excitation
sexuelle est mise enjeu par des perceptions olfac
que l'intelligence n'est pas morte elle enregistre mécaniquement les
excitations
extérieures. L'état de sommeil est même particuli
s de l'ouïe ne sont pas endormis dans le sommeil artificiel, Mais les
excitations
auditives peuvent nuire en tant qu'elles provoque
s m... » Pendant tout le reste du déjeuner, Monsieur P... eut la même
excitation
et la même violence de langage sur les choses et
dormit mal. Le lendemain, il me dit qu'il se trouvait dans un état d'
excitation
cérébrale extrême, qu'il se rendait bien compte d
u'il se sentait tout à fait irresponsable de ses paroles ». A cette
excitation
passagère fit place les jours suivants, chez le v
uvenir très-exact de tous les actes accomplis pendant cette période d'
excitation
fugace. Matignon eut l'occasion d'observer un c
ette tragique aventure, se souvenait d'avoir eu une période de grande
excitation
cérébrale, et d'avoir tenu dos propos très violen
isément de repulluler sur place et d'augmenter en proportion même des
excitations
qu'elles subissent. J'ai décrit autrefois avec dé
oie réflexe, par spasme des vaso-moteurs. D'une manière générale, ces
excitations
périphériques provoquent l'irritation de certaine
ion du sang, ainsi •qu'une accumulation d'acide carbonique ; et cette
excitation
du bulbe contribue, par un cercle vicieux, a
ation, mais par inhi-bition. La jeune fille, dit-il. a succombé à une
excitation
violente qui, portée k la région du cou, a produi
staté au cours de la chloroformisation a son point de départ dans une
excitation
des terminaisons des nerfs sensitifs intra-pulmon
lle va soigner a Salis de Béarn. Cette névralgie entretient un état d'
excitation
psychique, d'angoisse d'abord diffuse et sans obj
s précédents. l'influence exercée par les parfums corporels sur l'
excitation
amoui'euse. Virgile, parlant de Ténus, ne dit-il
l'influence exercée par l'odeur de la vulve sur la * pituitaire, l'
excitation
indispensable pour accomplir l'acte sexuel. « C
ait donc un moyen de se diriger les uns vers les autres, un « moyen d'
excitation
et la nature a pris le soin de faire exhaler, ver
ils décrivent l'action intense exercée par l'odeur des femelles sur l'
excitation
sexuelle des môles. Chez les singes, ces proches
st donc pas seulement l'olfaction qui est le facteur déterminant de l'
excitation
sexuelle chez le mâle. La dégustation intervient
n mari pratiquait le coït réservé, j'éprouvais, avaut l'acte, la même
excitation
, le même énervement, mais cette excitation, cet é
ais, avaut l'acte, la même excitation, le même énervement, mais cette
excitation
, cet énervement loin d'être calmé par nos rapport
os rapports, en était exagéré. Et ainsi j'en suis arrivée à un état d'
excitation
constant, à un besoin presque permanent de rappor
e, de l'abaissement du niveau mental et au point de vue physique de l'
excitation
qui est bientôt suivie d'affaiblissement, d'asthé
nsensible. Lorsque nous considérons combien faible et passagère est l'
excitation
produite sur beaucoup d'indivi-dns par un coup de
ximité peut donner lieu à un sommeil de muscle, avec un retard dans l'
excitation
de la volonté, la disparition de racliialgie, d'o
. L'étude des grandes possibilités du système nerveux et des moyens d'
excitation
sortant de l'ordinaire, est d'une importance fond
chologiques de l'incontinence d'urine. 3*• T> Pron Id'Alger) : L'
excitation
génitale chex les hyperchlorhydrlques. i° D' Wi
conservation de l'espèce, puisqu'il joue un rôle prépondérant dans l'
excitation
sexuelle de l'homme. Il n'a pas une valeur social
à l'ordre du .jour sont faites ainsi qu'il 1. Dr Pron d'Alger). — L'
excitation
génitale chez les hyperchlorhy-driques. — Discuss
anger, beaucoup chassent, dis-je, parce qu'ils y sont poussés par les
excitations
du maître, véritables suggestions. Quoiqu'il en
nde facilité. inteiTompre le sommeil de l'homme et des animaux. Les
excitations
périphériques qui permettent d'arriver à ce résul
chiques que son aspect extérieur ne pourrait le foire supposer. Les
excitations
tactiles ont une influence moins active. Pour rap
les n'ont pas procédé à la toilette du matin. H est encore d'autres
excitations
qui ont une influence marquée sur la production d
ion urinaire. besoin de défécation). En résumé, un certain nombre d'
excitations
périphériques ou viscérales ont pour effet d'inte
ur à mettre un terme a son somme. On peut admettre que ces diverses
excitations
viennent directement intéresser le centre cérébra
sur lequel je lient- ù insister aujourd'hui, c'est que de toutes les
excitation
*, périphériques qui agissent enr la production ou
ui agissent enr la production ou la cessation du sommeil, ce sont len
excitations
psychiques qui paraissent douées de l'Influence l
uspendant la fonction de l'organe spécial et il en résulterait que, l'
excitation
d'où résulte la veille étant supprimée, l'homme s
ormeur du eommeil naturel, si profond qu'il soil. On dirait que cette
excitation
périphérique est celle qui transmet le plus direc
ion à être hypnotisé ou à se réveiller inopinément sou* l'influence d'
excitations
périphériques déterminées, résulte évidemment d'a
t mécanique auquel est arrivé ce centre, puisqu'il suffit de quelques
excitations
périphériques d'ordre psychique pour en ralentir,
tion active, à la faveur d'une hypotaxie suffisamment profonde. L
excitation
génitale chez les hyperchlorhydriques pnr le Dr
un que les traités spéciaux passent en général sous silence : c'est l'
excitation
génitale. Elle semble être l'apanage exclusif d
lus souvent l'apathie sexuelle ou une diminution des désirs.) Cette
excitation
génitale ne consiste pas en une augmentation de p
t difficiles ou do durée Insuffisante chez ces malades. Chez eux. l'
excitation
consiste en une sensation d'irritation particuliè
e à accomplir l'acte génital ou à se livrer à la masturbât ion. Celte
excitation
détermine dans leur sphère cérébrale une représen
'est pas pendant les souffrances vives ou les crises gastriques que l'
excitation
génitale se montre ; à ce moment, toute l'irritat
ls ont fait accidentellement bonne chère ou de copieuses libations, l'
excitation
génitale se montre aussi ; mais elle présente cec
ent par la dyspepsie. Dès lors, à la facilité d'érection fait suite l'
excitation
locale sans érection ou avec érection provoquée :
: la masturbation ou l'abus du coït, qui est la conséquence de cette
excitation
locale, retourne au plexus solaire et aggrave les
retourne au plexus solaire et aggrave les phénomènes dyspeptiques; l'
excitation
locale, -trouvant des centres nerveux supérieurs
viron, je reçus d'elle l'aveu qu'elle était vivement tourmentée par l'
excitation
génitale qu'elle éprouvait pendant ses périodes d
e mettre d'une manière directe et unique sur le compte de l'estomac l'
excitation
génitale. En 1901, à propos de l'influence de l'e
escence mentale avec, dans la plupart des cas. débilité et périodes d'
excitation
, ou tentative de suicide, perversité des instinct
s accompagnant l'entrée du sommeil. Quant l'homme se trouve en état d'
excitation
: tels le soldat dans la mêlée du combat, le sava
pas pour induire le sommeil, il faut la sensation de fatigue. Quand l'
excitation
cesse et fait place au calme, la fatigue se montr
cher et de se recueillir sur une idée indiffé- rente. Souvent une
excitation
extérieure monotone fréquemment répétée des organ
bruit des ciseaux quand on se trouve sous les mains du coiffeur. L'
excitation
prolongée et monotone de l'œil produit d'abord la
ous de cette ligne et sur toute l'étendue des membres inférieurs. L'
excitation
de la plante des pieds avec l'épingle provoque
se- cousses envahirent tous les muscles. Il y eut des périodes d'
excitation
telles que le sommeil qui, généralement était b
l'épilepsie un médicament qui, physiologi- quement, sauf une légère
excitation
initiale, reste sans action sur les centres ner
ux, production de convulsions et même d'épi- lepsie spinale par les
excitations
de toutes sortes. Traitement initial : seigle e
f, Watteville et Tschirjew, l'auteur décrit son mode de contrôle. L'
excitation
unipolaire (Ka= un pinceau à fils métalliques,
ie de trois (An au sternum ou dans la main gauche, Kâ sur le lieu d'
excitation
), il constate que c'est la peau de la face qui
daptation naturelle de telles ou telles parties à tel ou tel mode d'
excitation
; les unes sont destinées à la perception de la
entres analysent la sensation et distinguent entre l'intensité de l'
excitation
et l'aire de la zone excitée. Il est ab- solume
caractère de la sensation, la piqûre d'aiguille qui ré- sulte de l'
excitation
farado-cutanée, est peut-être due à une série d
lte de l'excitation farado-cutanée, est peut-être due à une série d'
excitations
rapides et successives sur les organes terminaux,
ormications de modes variés ayant la même ori- gine témoignent de l'
excitation
de petits troncules cutanés. La sensibilité de
entres inférieurs à entrer en suractivité, détermine au moyen d'une
excitation
réflexe, par la voie du système vaso-moteur, l'
sse supérieure à la sienne propre, plutôt que comme le résultat des
excitations
mal réglées d'une affection nerveuse. D'auho pa
en ré- sument la teneur mieux que n'importe quelle analyse : 1- L'
excitation
électrique produit des attaques d'épilepsie, non
ius du chien est simplement innervé par l'hémisphère homonyme; 8" L'
excitation
de la région corticale postérieure se tra- duit
Un Quand l'excitabilité de l'écorce s'y prête, on obtient, par une
excitation
électrique unique ou répétée, ou même parfois à l
eux formes peuvent être distinguées. A. Dans la forme oscillante, l'
excitation
va et vient, à la manière d'un pendule; après a
éâtre de mouvements associés produits par le transport brusque de l'
excitation
dans les appareils centraux profonds, revue de
ntit également ces derniers ;-i8°Ilest vrai que la propagation de l'
excitation
concorde avec la disposition topographique des
ié du corps corres- pondante; 21° L'accès convulsif, provoqué par l'
excitation
de l'écorce du cerveau, présente, entre toutes
écédentes paraissent, selon lui, démontrer l'existence d'une simple
excitation
réflexe par laquelle certaines parties sont mis
es voies de transmission identiques, et se manifestant à la suite d'
excitations
périphériques qualitativement semblables; la diff
n modérée mais continue, tandis que le réflexe tendineux émane de l'
excitation
de l'appareil de terminaison seusilif du muscle
ivement par l'action des nerfs cutanés sensitifs que cela a lieu. L'
excitation
des nerfs musculaires cen- tripètes qui produit
n effet, un épuisement général de l'économie, de l'angoisse et de l'
excitation
entées sur un fond d'anémie prononcé; rabatteme
s), tandis qu'il ne saurait y avoir qu'aggravation pour les états d'
excitation
ac- compagnés de manifestattons irrésistibles,
ls sont rede- venus journaliers comme au début et sont suivis d'une
excitation
de plusieurs heures (injures, menaces, idées d'
la nutrition des centres ner- veux par neutralisation des agents d'
excitation
des cellules de per- ception, par arrêt des imp
es, qui parfois se montrent au début, résultent de la sédation de l'
excitation
. Durée du traitement : des jours, des semaines,
ique, contre l'hyperesthésie psychique, t'hyperesthésie nerveuse, l'
excitation
nerveuse ; comme tonique et stimulant à l'égard
localise pour la femme, dans les ganglions ovariques, d'où part une
excitation
qui retentit sur la moelle, en raison de la rel
érie, t. IV. 1877. Recherches sur les effets curdio-vasculaircs des
excitations
des sens. 2° série, t. IV. Depuis son séjour au
oires : )t4 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. en 1879 ; six expériences d'
excitation
de l'écorce grise du cerveau du singe. (Arclc.
açon suivante. La plupart du temps, pendant une de ces périodes d'
excitation
que nous avons signalées, subitement, à l'occas
chronicité indéterminée, car il nous dit : « La possibilité de l'
excitation
est permanente et persistante : une fois que l'
ur est tout prêt pour une nouvelle explosion sous l'influence d'une
excitation
appropriée. Si nous examinons un sauteur, cinq
URARE DANS L'ÉPILEPSIE. 219 l'enfant n'est pas encore revenu à lui.
Excitation
maniaque consé- cutive assez prononcée. 14 av
Physionomie égarée : joues rouges ; pupilles dilatées, égale- ment;
excitation
au moindre attouchement. Mutisme. Bain d'une he
; 4 accès le 26. T. R. 38°, n. Soir : T. R. 38°, S. 30 juillet. -
Excitation
maniaque. Bain d'une heure. : 31 ,luillet. - C...
n'auraitjamais prononcées auparavant.» 24 décembre. Les périodes d'
excitation
maniaque et les accès de violence deviennent pl
her des infirmières. f88t. 8 janvier. Nouvelle série d'accès avec
excitation
ma- niaque. Légère morsure de la langue. T. R.
mandes. Les accès de colère persistent. 8 juillet. Les périodes d'
excitation
maniaque sont plus rares. Traitement : Outre le
ajoutés des accès d'épilepsie compliquée de délire (hallucinations,
excitation
maniaque, etc.). Les accès se montrent par séri
e du phénomène du genou. La dila- tation pupillaire qui succède aux
excitations
de la sensibilité générale, des organes des sen
trer mécaniquement les résultats et les allures physiologiques de l'
excitation
des tendons et de ses modifications pathologiqu
ou (réflexe tendineux patellaire) peut être produit par cers taines
excitations
électriques du tendon, abstraction faite de la
iques du tendon, abstraction faite de la traînée du courant; 2° les
excitations
, déchaînées par chaque décharge de l'appareil m
toujours exagérés sur la moitié du corps en proie aux phénomènes d'
excitation
moteurs, même quand ces phénomènes d'excitation
ie aux phénomènes d'excitation moteurs, même quand ces phénomènes d'
excitation
se compliquent de phénomènes paralytiques, inve
, d'hallucina- tions; les autres, vraiment automatiques, dérivent d'
excitations
centrales; 20 la déviation conjuguée de la tète
juguée de la tète et des yeux qui suit l'attaque est un phénomène d'
excitation
moteur. Après critique et réflexion approfondie
, dans les attaques congestives où l'on constate des phénomènes d'
excitation
unilatéraux purs, la tête et les yeux regardent l
nique psychiatrique. En route, il continue à se masturber; la même
excitation
génésique persiste pendant les premiers jours de
it occasionner. Tout porte à croire qu'ici encore, les phénomènes d'
excitation
, raideur de la nuque, contracture, convulsions
OGIE NERVEUSE. D'après ce que nous avons dit sur les phénomènes d'
excitation
, observés dans les hémorrhagies ménin- gées, on
y a eu quelques phénomènes COMMOTION DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 315 d'
excitation
, ils n'ont pas empêché la marche vers la guéris
n, puis l'augmentation des ver- tiges, et parallèlement des accès d'
excitation
maniaque et une déchéance intellectuelle de plu
uche. Onanisme. Vertiges et accès ci treize ans et demi. -Période d'
excitation
maniaque. - Affaiblissement des facultés intell
our assez lentement et s'annonçait au commencement par une légère
excitation
, une perte d'appétit et de sommeil, un besoin de
358 RECUEIL DE FAITS. ' 34 mars. Assez faible physiquement : état d'
excitation
comme la veille. Bon sommeil. La température re
ais elle marche encore avec difficulté. On observe aussi une légère
excitation
qui s'exprime par une gaîté bruyante, beaucoup
s qui paraissent démontrer que l'hallucination est produite par une
excitation
des centres senso- riels. Parmi ces faits, on p
es où sont reçues les impressions des sens ; elle résulterait d'une
excitation
des centres sensoriels. 20 Les phénomènes de co
ntre lequel il dégaina dans la rue; qu'à son retour à la caserne, l'
excitation
alcoolique persistait, et que l'altercation qu'
lgaire, arrivant au paroxysme de la colère, en vertu seulement de l'
excitation
alcoolique amenée par les excès mani- festement
malade peut donc courir vite, sauter, écrire. Toute émotion, toute
excitation
augmente les convulsions ; elles ne cessent cep
e. D'après Loewcnfeld, il convient d'en attribuer la pathogénie à l'
excitation
des territoires spinaux moteurs qui commandent à
r la moelle, et de songer à l'existence, dans l'espèce, d'un état d'
excitation
chronique des noyaux moteurs des cornes antérie
nus,d'oùimpression- nabilité extrême du cerveau. Ajoutez à cela des
excitations
laten- tes du système génital (rêves, pollution
dans certains cas, aux conceptions irrésis- tibles s'associent des
excitations
sexuelles ? On ne sait. Ainsi l'ora- teur conna
NTES. 437 ou qu'il lui faut se lier les mains. Un autre éprouve des
excitations
sexuelles alors qu'il retrousse les manches de
ipètes, laquelle consiste dans la conduction à l'organe central des
excitations
périphériques, il appelle également ataxie cent
nes dégé- nèrent, comme dans le tabès, l'ataxie s'en suivra. Si les
excitations
réflexes n'existent plus du tout du fait des dé
s cordons postérieurs; si, d'un seul mot, la plus grande partie des
excitations
centripètes fait défaut, la nzotilité, comme tell
ne servent point a des sensations conscientes, et qu'une partie des
excitations
que ces faisceaux transmettent est élaborée dan
ces sources d'énergie. Un grand rôle pourrait bien revenir ici aux
excitations
centripètes transmises par le faisceau cérébelleu
s centripètes transmises par le faisceau cérébelleux direct. Or ces
excitations
sont en grande partie sous l'influence des coll
sieurs neurones endogènes de la moelle épinière. Les phénomènes d'
excitation
de la sensibilité appartenant aux symptômes les
on de douleur résulte de la som- 16 REVUE CRITIQUE. mation de ces
excitations
: des excitations intenses, répétées, ou très f
lte de la som- 16 REVUE CRITIQUE. mation de ces excitations : des
excitations
intenses, répétées, ou très fréquentes, chargen
de la voie sensitive ; la sensation dedou- leur est l'effet de ces
excitations
. Or si l'on suppose, avec Redlich, que, des fib
ageant par des voies détournées ou peu frayées, cette sommation des
excitations
dans les cellules nerveuses de la substance gri
sféré à la clinique, ou s'il s'agit d'un sujet non aliéné (ivresse,
excitation
). A ce point de vue, il y a avantage à ce que l
pharmaceutiques (camisole de force chimique). On traite les accès d'
excitation
par l'isolement optique (paravents), par les ba
onstantes dans les formes aiguës. Qu'il s'agisse en effet d'états d'
excitation
, de dépression, ou de confusion, ou encore de d
le silence sont moins troublés, par suite de l'absence des causes d'
excitation
, de désordre, liées ailleurs à la promiscuité des
e des aliénés dans les diverses psychoses, et suivant les moments d'
excitation
, de dépression ou d'hallucination par les- quel
x stigmates de dégéné- rescence, photographié pendant une période d'
excitation
men- tale 1. « L'emploi du phonographe pour f
ié depuis vingt ans : en 1894, paralysie faciale passagère suivie d'
excitation
mentale et de violences de caractère : tout cel
myocloniques, apparaissant sous forme de crises, sous l'influence d'
excitations
mécaniques de toute sorte. Les secousses agiten
leur et l'intensité, la durée et la rapidité il faut noter : 1) les
excitations
électriques avec le chariot de Du Bois Raymond, :
excitations électriques avec le chariot de Du Bois Raymond, : 2) les
excitations
mécaniques (Pour M, Griffng la douleur appa- ra
eur appa- rait quand le poids varie de 3 kilos à 7-8 kilos), 3) les
excitations
thermiques (de 43° à 50° par M. Cil. Richet), 4
es excitations thermiques (de 43° à 50° par M. Cil. Richet), 4) les
excitations
sen- sorielles et enfin 5) les excitations chim
M. Cil. Richet), 4) les excitations sen- sorielles et enfin 5) les
excitations
chimiques (gustatives, olfac- tives, etc.). Une
5) les excitations chimiques (gustatives, olfac- tives, etc.). Une
excitation
est au début indifférente ; elle devient doulou
érangement cérébral ; cela commença par des rêves terrifiants, de l'
excitation
, des actes désordonnés, de l'hypocondrie. u. Cé
04 ... CLINIQUE MENTALE. - . A son entrée, on constate une certaine
excitation
maniaque : elle se plaint de souffrir de douleu
ible d'esprit avec prédominance d'idées obsédantes d'hypo- condrie,
excitation
habituelle et impulsions irrésistibles à la vio-
cause de son mal. 1 880. Toujours soumise à des crises fréquentes d'
excitation
ma- niaque avec idées délirantes polymorphes; i
rphes; injures, menaces. grossièretés, actes de méchanceté. 1888.
Excitation
maniaque persistante ; toujours débraillée, éch
verte, faible, un peu eunuchoïde. Aussitôt après son admission, l'
excitation
cessa. Calmé, interdit, un peu penaud, il n'a p
En 1899, il se mit tout à coup à maigrir et à s'agiter. Un accès d'
excitation
maniaque se déclara et dura plusieurs semaines.
citation maniaque se déclara et dura plusieurs semaines. En 1900, l'
excitation
reparut pendant quelque temps sans grande inten
enri manifeste une dissociation progressive des idées avec crises d'
excitation
maniaque. En résumé, pour le diagnostic de la f
eu lieu. C'est ce qui se produira lorsque les processus anormaux d'
excitation
iront eu diminuant toujours et que la cellule s
ellule, appa- raîtront des éléments qui, sous l'action continue des
excitations
,' anormales, se trouveront être capables de sup
'que, dès que ceux-ci se produisent sous des influences anormales d'
excitation
, la faculté que possède la cellule de transformer
ions du trophisme des neurones, l'interruption de la continuité des
excitations
transmises norma- lement à ces organes, interru
t l'histoire clinique peut se résumer ainsi : idiotie profonde avec
excitation
, cris et pleurs, les antécédents faisant défaut
sentent l'effet plus grand. 4° Les ondes du pouls sont très hautes (
excitation
du vague); on peut observer une arythmie grave
. 1 (JO Donc le ralentissement du pouls est ici causé surtout par l'
excitation
des centres des .nerfs vagues et de leurs appar
-infections pre- nant origine dans les cavernes. Elle détermine une
excitation
qui peut sans doute aller jusqu'à la lésion des
mière remontant il huit ans), a été atteint de surdité corticale, d'
excitation
maniaque et d'halluci- nations de l'ouïe et de
'agit-il d'une hyperhidrose ? Ce trouble est en rapport soit avec l'
excitation
du centre vaso-dilatateur, soit avec laparésie
s en temps de délire. La para- lysie était flasque, avec perte de l'
excitation
galvanique et faradique, sans paresthésie, avec
r des douleurs dans les jambes. Après les crises persistaient' de l'
excitation
, une sensation de dépression, de refroidissemen
e calme, suivie d'un sommeil de deux ou trois heures ; au réveil, l'
excitation
ne reparaît pas ; il subsiste de la sécheresse
utile à la condition' d'être employée seulement dans les périodes d'
excitation
; dans la manie chronique, résultats satisfaisa
sants ; dans la paralysie générale, bons résultats contre l'extrême
excitation
; dans l'épilepsie, peu ou pas d'utilité ; dans
cette lésion donne lieu à la fois à des symptômes d'inhibition et d'
excitation
. L'étiologie en est bien souvent très obscure c
Pas d'inégalité pupillaire, les pupilles réagissent à toutes les
excitations
(lumière et accommodation) très rapidement et 'sa
la position qu'on lui donne. De ce même côté gauche la réaction aux
excitations
est difficile : pour la douleur ce sont les mem
usse des cris perçants qui désolent la famille. A cette période d'
excitation
, succède de nouveau une accalmie de courte duré
a brusquerie du début des accidents, la violence des phéno- mènes d'
excitation
qui ont ouvert ici la scène morbide, la phase c
morbide, la phase comateuse qui survint si vite après la période d'
excitation
jointe à l'absence d'albumine et à l'intégrité
est frappé subitement de perte de connaissance. Après une phase d'
excitation
très marquée, le malade tombe dans le coma comp
chez les déments précoces. Il signale également la sté- réotypie. L'
excitation
sexuelle n'a été constatée que dans 3 p. 100 de
e caractérise par de l'apathie, de l'in- différence, des périodes d'
excitation
, de la tendance aux impulsions, du négativisme
ssi à délimiter, avec une extrême précision, les territoires dont l'
excitation
électrique détermine la contraction d'un groupe
maux supérieurs tels que le singe, puis chez l'homme,' par voie d'
excitation
directe, c'est-à-dire en délimitant les territoir
cte, c'est-à-dire en délimitant les territoires de l'écorce, dont l'
excitation
électrique, réduite à son inten- sité minima, f
rticale. A la suite de l'extirpation de ce centre épileptogène, les
excitations
de l'écorce ne provoquent plus de décharges con
rs 1892 : cette fois on a excisé tout le territoire cortical dont l'
excitation
avec des inten- sités de courant maxima détermi
tes du centre du pouce, en se servant de l'excitateur électrique. L'
excitation
de ce centre a provoqué une attaque semblable à
venaient spontanément. On a procédé à son extirpation. Cela fait, l'
excitation
électrique du cerveau n'a plus provoqué de mani
re 1892, on mit à nu la portion de la zone motrice corticale dont l'
excitation
produisait des contractions du pouce et 376 CLI
la partie moyenne de la scissure de Rolando. L'os était épaissi; l'
excitation
électrique de la portion de la dure-mère mise à
isée, la surface du cer- veau se présenta avec son aspect normal. L'
excitation
directe de l'écorce donna lieu à des mouvements
le 12 juin 1888. On lui mit à nu un territoire de l'écorce, dont l'
excitation
faradique détermina des mouvements des doigts et
orce cérébrale avait une teinte jaunâtre. Le centre cortical dont l'
excitation
électrique détermi- nait des mouvements des doi
si que deux petits kystes, logés dans la cicatrice dure-mérienne. L'
excitation
de -la substance blanche sous-jacente a provoqu
mouvements du bras droit, mais ils cessèrent en même temps que l'
excitation
. Immédiatement après l'opération, les doigts et
tion d'un fragment de la paroi crânienne épaissie, à l'endroit où l'
excitation
électrique provoquait des mouvements dans le me
ù il fut établi que l'extirpation de la zone rolandique empêche l'
excitation
électrique du cerveau d'aboutir à une attaque c
nié psichatrii, III, 1898.) Expériences sur des chiens : figures. L'
excitation
de l'extrémité interne de la circonvolution sig
un point encore inconnu de la moelle, d'un centre trophique dont l'
excitation
a pour conséquence l'hyperplasie osseuse, tandi
ort appréciable entre l'époque des règles et le retour des phases d'
excitation
ou de dépression. - R. DE Musgrave-Clay. XLII.
de Savage, de Krafft-Ebing (sur les rapports de l'olfaction avec l'
excitation
sexuelle) de Goodall et Craig, de Schlager, etc
hique. Début brusque de la maladie par des phénomènes d'insomnie, d'
excitation
motrice, refus d'alimentation, hallucina- tions
rs, confusion mentale et hallucinations, ensuite confusion mentale,
excitation
générale, refus d'alimentation, insomnie. Etat
retirait les membres ou la partie dans laquelle on lui faisait une
excitation
douloureuse, étant impossible de faire une inve
il est actuel- lement en bonne voie de guérison, et les périodes d'
excitation
n'ont pas reparu. L'auteur ajoute que, depuis d
roubles somatiques et psychiques, tels que : hémiparésie passagère,
excitation
motrice, confusion mentale et hallucinations. B
maladie est étiquetée idiotie, imbécilité, démence précoce, etc. L'
excitation
maniaque, la dépression mélancolique sous lesquel
icien dépiste mal l'hallucination psycho- motrice verbale, enfin, l'
excitation
parfois fort violente et qui persiste durant as
'où on le renvoie bientôt à l'asile. A son arrivée il est en pleine
excitation
avec des idées ambitieuses HALLUCINATIONS PSYCH
re expansif des richesses et des grandeurs, et alors survient une
excitation
génitale intense avec absence presque complète d'
0 centimètres de longueur, ni de la grosse tête du gros chat. Cette
excitation
génésique intense sans éjaculation ni délire gé
sens génital et en jan- vier et février 1892 au contraire avec une
excitation
génésique si intense que sa femme qui l'avait p
un délire génital expansif qui disparaît quand il a réellement de l'
excitation
génésique et ne reparaît pas quand derechef l'i
n du nu et que plusieurs d'entre eux avaient eu avant et après de l'
excitation
génitale sans se déshabiller ainsi. Mais pourqu
très précoces et quand ils sont constitués par des alterna- tives d'
excitation
et d'impuissance, comme c'est le cas le plus fr
utomates. Si, chez un reptile, par exemple, on constate qu'une même
excitation
, lumineuse, olfactive, etc . produit toujours,
nisme préétabli entre ici également en jeu sous l'influence d'une
excitation
déterminée. Dans les mêmes conditions, les réac-
est soustraite â la volonté, on doit admettre que certains états d'
excitation
de l'écorce peuvent déterminer un spasme du muscl
on qui provoquerait une réaction exagérée des éléments nerveux il l'
excitation
. En somme, l'auteur n'aboutit a aucune conclusi
trouble réside dans la suggestion psychique, chez d'autres dans une
excitation
périphérique ou dans une anesthésie locale, etc
e Albrecht Bethe), répondant d'une manière constamment uniforme aux
excitations
; qu'au contaire, en discerne, à côté de nombre
ons cependant qu'il y a des circonstances où, par l'effet des mêmes
excitations
, des mouvements identiques à ceux que provoque
endiculaire externe (pariéto-occipitale externe), un centre, dont l'
excitation
détermine le rétrécissement des deux pupilles,
nerfs vaso-constricteurs qui réagissent très énergiquement à toute
excitation
. Il y a une diminution du tonus vasculaire qui pe
dique apte à produire une contraction éner- gique, si on continue l'
excitation
on provoque le tétanos. Ce tétanos ne persiste
rès un repos de quelques secondes le tétanos peut se reproduire par
excitation
du même point. - Chez les sujets au contraire
Le malade ne répond pas aux' questions, il ne réagit pas aux fortes
excitations
douloureuses, les pupilles ne répondent pas à l
ouvent dans les manies. 4° Strabisme (oblique) quel- quefois dans l'
excitation
maniaque. 5o Dans la démence émousse- ment des
e à l'asile, en état d'hémiplégie droite, d'aphasie partielle, et d'
excitation
maniaque. La question du rôle étiologique de la
ental normal se rétablit, après une de ces explosions périodiques d'
excitation
mentale motrice qui caracté- risent la folie ép
ie et la dysphasie sont bien accusées; 2° que lorsqu'il existe de l'
excitation
émotive, ces deux états se modifient proportionne
on émotive, ces deux états se modifient proportionnellement à cette
excitation
; 3° que lorsque l'état mental habituel a reparu e
tié gauche, même au niveau de l'epiglotte, reste insensible à toute
excitation
; on remarclue aussi que les muscles du voile d
l'hystérie, t. I, p. 111-12. 190 CLINIQUE NERVEUSE. duit la même
excitation
sur le côté anesthésique seul, les pau- pières
s fleurs, des oiseaux, elle était très agitée, brisait les vitres d'
excitation
, était si violente que l'emploi de la camisole
s fois que le sujet fut laissé n'étant pas complètement réveillé. L'
excitation
était alors extrême. La malade grimpait sur les
nostic symptomatique posé en présence de cette malade serait plutôt
excitation
maniaque avec confusion dans les idées et hallu
normales. La distraction est ébranlée dans son adaptation par des
excitations
sensorielles venues du milieu extérieur, qui ga
ant la cornée et la conjonctive, ou, à un degré beaucoup moindre, d'
excitation
des 222 REVUE d'anatomie ET DE physiologie path
flexe peut être aussi déterminé par un stimulus électrique, par des
excitations
thermiques portant sur la région oculaire, bien
es peuvent revenir subitement sur elles-mêmes, comme à la suite des
excitations
sensitives en général. Lorsqu'il s'agit d'une i
este de durée variable, mais généralement plus prolongée. Lorsque l'
excitation
cesse, les pupilles reprennent leur largeur pre
existence du réflexe oculo-iridien et de la réaction pupillaire aux
excitations
thermiques a été vérifiée par les auteurs dans
peut expliquer cette forme SOCIÉTÉS SAVANTES. 249 de délire et l'
excitation
qui l'accompagne par l'action directe d'un agen
centraux peuvent être frappés de la même . ré'éinégal- : TiII1 ? d'
excitation
, l'autre de collapsus. ? 1° Phase d'excitation.
éinégal- : TiII1 ? d'excitation, l'autre de collapsus. ? 1° Phase d'
excitation
. Le début en est rapide; un jour à peine - suff
ômes somatiques importants se montrent dès le début de la période d'
excitation
; les plus constants sont la sitioplaobie et la
phénomènes morbides ne s'atténuent' pas, le collapsus succède à l'
excitation
. Le délire et l'agitation cessent; les malades to
ers le cinquième ou sixième jour, quelquefois plus, de la période d'
excitation
. La terminaison peus.ejaire parla guérison complè
hissement des éléments nerveux qui réagissent en donnant la phase d'
excitation
; au deuxième temps, la destruction progressive
uantité dans l'urine souvent rare. La constipation est opiniâtre. L'
excitation
est 'à son apogée. Bientôt le malade fait preuve
n mentale, des idées de persécution, des alternatives de calme et d'
excitation
, et des accès impulsifs. En somme, je note immé
tient, augmente quand on s'occupe de lui, ou sous l'influence d'une
excitation
mécanique des muscles, de l'émotion. En ce dern
éterminer de la paralysie, mais elles sont sur- tout excitées. Leur
excitation
a été consécutive aux phénomènes anatomiques en
musculaires asynergiques). Le premier type (affaiblissement de l'
excitation
corticale physio- logique) se rencontre chez le
normales ou il des pratiques irrégulières dans la vie sexuelle. L'
excitation
sexuelle qui n'aboutit pas il l'orgasme, le coït
en être recherchée dans une dérivation sur les centres nerveux de l'
excitation
sexuelle non satisfaite. L'auteur qui en rappor
ttent de comprendre les modifications pathologiques du tonus : 1° l'
excitation
d'un muscle volontaire produit ['inhibition de
tence et d'insomnie qui dure jusqu'au 23 juin, jour où apparaît une
excitation
anormale. Le malade est pris d'un besoin impéri
normale. Le malade est pris d'un besoin impérieux de mouvement et d'
excitation
désordonnée avec bouffées délirantes variées. B
s expérimentales sur l'influence des exci- tations agréables et des
excitations
désagréables sur le travail. (Année psychologiq
e demi-heure après 3. L'effet de l'alcool se dissipe rapidement : l'
excitation
momentanée ne compense pas l'effet dépressif co
uon. de l'anat., etc., 1901, p. 291.) - Note sur la fatigue par les
excitations
de l'odorat. (C. R. soc. de Biologie, 1901. p.
ie, 1901. p. 566.) Recherches expérimentales sur la fatigue par les
excitations
de l'odorat. (Nouv. Iconographie de la Salpêtri
hie de la Salpêtrière, 1901, p. 327.) - Note sur la fatigue par les
excitations
visuelles. (Ibid., p. 668.) Note sur l'influenc
hisch, sur le travail. (Ibid., p. 696.) Note sur la fatigue par les
excitations
du goût. (Ibid., p. 722.) Note sur l'influence
'opium sur le travail. (Ibid., p. 725.) Note sur la fatigue par les
excitations
auditives. (Ibid., p. 749.) -Note sur la fatigu
xcitations auditives. (Ibid., p. 749.) -Note sur la fatigue par les
excitations
cutanées. (Ibid., p. 753.) 1 E. Destrée. Influe
eux que l'alcool ait sur le travail intellectuel les mêmes effets d'
excitation
que z sur le travail manuel. Lauder Brunton rac
te immédiate de l'alcool, si légère d'ailleurs, est due surtout à l'
excitation
sensorielle qu'il produit 6. J'ai refait quel
ue série par des repos de une minute. Neuf séries de ce genre, sans
excitation
d'aucune sorte et au repos, donnent un travail
res. Dans une expérience récente, une première série au repos, sans
excitation
, a donné 22kil. 47. C'est ce chiffre qui nous s
on de la fatigue et la décroissance lente du travail lorsque aucune
excitation
n'est venue le troubler. Expérience I. Au rep
excitation n'est venue le troubler. Expérience I. Au repos, sans
excitation
. L'INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRA
il. 94. C'est le travail ordinaire dans les expériences faites sans
excitation
: toutes celles qui ont été faites dans diverse
pouvant former des figures variées à volonté, sous l'influence des
excitations
du tégument. La nature de cette singulière réac
ison, qu'il faut chercher pour chaque cas particulier la cause de l'
excitation
maniaque (un purgatif fait quelquefois mer- vei
d'une vive déception à propos d'un héritage qu'il comptait toucher.
Excitation
maniaque très vive, se traduisant surtout par d
te activité proprement volitive, en servant de décharge aux états d'
excitation
de l'organe céré- bral. » Nous croyons que la
éotypies. Celles-ci sont des réactions automatiques qui résultent d'
excitations
d'origine interne portant sur les centres nerve
e portant sur les centres nerveux. Se basant sur la nature de · l'
excitation
qui met en jeu l'automatisme des centres ner- v
aste, verrier, entré à Bicêtre en 1893 avec le certificat suivant «
Excitation
maniaque. Désordre dans les idées et dans les a
UTION A L'ÉTUDE DES STÉRÉOTYPIES. 483 « Dégénérescence mentale avec
excitation
. Désordre complet dans les idées et dans les ac
es sont des actes réflexes (Binder). Mais un acte réflexe est « une
excitation
périphérique d'un nerf sensible qui détermine u
in doit, en remontant dans les antécédents, assigner à chaque cas d'
excitation
ou de dépression, sa place noso- graphique. C'e
nations psycho- motrices et de la sialorrhée peut s'expliquer par l'
excitation
simul- tanée de centres certicaux très voisins.
riences montrent, en somme, que l'extrait de valé- rianne donne une
excitation
plus rapide, plus intense et plus durable à mes
ose augmente, jusqu'à une certaine limite. Avec les fortes doses, l'
excitation
très rapide, et très forte perd ensuite de la d
II. ) ' La valériane et ses composés produisent à faible dose une
excitation
primitive de la motilité volontaire. Ce sont des
té nerveuse éprouve une décharge généralisée sous l'influence d'une
excitation
forte, l'activité volontaire, la plus fragile,
maniè- re générale les troubles qu'on la destine à combattre; une
excitation
aboutissant à une dépression, on a une perver-
une contraction de la pupille droite, mais non de la gauche ; 2° l'
excitation
de l'oeil gauche est sans effet sur la pupille
de ces troubles ataxiformes ? On a pu invoquer dans certains cas l'
excitation
de la voie pyra- midale du' pied du pédoncule,
trebalancée par l'action modératrice et que la lésion des centres d'
excitation
du tonus musculaire, en parti- culier du noyau
teint ; dans le nystag- mus médullaire, c'est le noyau où se rend l'
excitation
venue de la périphérie et d'où part l'excitatio
noyau où se rend l'excitation venue de la périphérie et d'où part l'
excitation
nerveuse qui se rend au muscle. » (Abadie L. C.
cil., p. 600 : 118 PATHOLOGIE NERVEUSE...* ' . tantôt à un état d'
excitation
des centres nerveux. La pre- mière interprétati
u tremblement qui accom- pagne la fatigue, l'anémie, la cachexie. L'
excitation
exagérée des centres ferait que les cellules se
auteur relate dans cette note trois cas de paraplégie : dans l'un l'
excitation
du pied provoquait comme réaction unique une co
'un nerf est placé dans une atmosphère de vapeurs anes- thésiques l'
excitation
de la partie supérieure de ce nerf cesse d'être
on de la partie supérieure de ce nerf cesse d'être efficace avant l'
excitation
de sa partie inférieure. Plus un point du nerf
ue l'éther agit plus rapidement que le chloroforme ; que la phase d'
excitation
est bien plus accen- tuée avec l'éther qu'avec
°21.) Chez un malade atteint d'hémiplégie gauche, l'auteur a vu l'
excitation
de la plante du pied parésié déterminer "extensio
orteils du pied droit normal. Chez un autre hémiplégique la même
excitation
portée sur le pied normal a déterminé la flexion
du pied paralysé. Pour expliquer ces faits M. Sano sup- pose que l'
excitation
de la peau sur un point donné se transmet à la
a lata ou réflexe plantaire normal de Bris- su2cd, provoqué par une
excitation
un peu plus énergique et qui n'est que le premi
ment de défense ; b) Le réflexe dé fensif complet, provoqué par une
excitation
encore plus énergique et constitué par la contr
ur a vu survenir chez une jeune fille hys- térique à la suite d'une
excitation
partie de la plante du pied. Chez le même sujet
n état pathologique des nerfs cen- tripètes chargés de conduire les
excitations
émanées des objets, ou à un état pathologique d
e populaire on appelle une seconde nature. Sous l'influence d'une
excitation
, il se produit une réaction qui est proportionn
seconde nature », par E les autres facteurs de l'évolution, par 0 l'
excitation
accidentelle, et par 1, le résultat de la réactio
ces membres, bien qu'un peu flasques, répon- daient normalement à l'
excitation
électrique. Il n'y avait nulle part de renverse
sécrétion des larmes. On n'obtient pas de sécrétion lacrymale de l'
excitation
de la corde du tympan avant son entrée dans la sc
e ce dernier ne détermine pas de sécrétion lacrymale unilatérale. L'
excitation
du facial à la base du crâne après sa sortie du
e le sympathique exerce une influence sur la sécrétion lacrymale. L'
excitation
du bout périphé- rique du nerf lacrymal provoqu
provoque aussi la formation des larmes dans l'oeil du même côté. L'
excitation
des racines du trijumeau, après section préalab
animaux par de longues vivisections ; impossible de spécifier si l'
excitation
du nerf lacrymal tenait à celle des fibres du t
verbale (phénomènes de déficit) et des hallucinations (phénomènes d'
excitation
) explique d'une façon tangible des troubles qui
eaucoup moins précis. L'alter- nance des phénomènes de déficit et d'
excitation
du centre auditif, n'a pas lieu d'étonner davan
les sensoriels et des troubles de la sphère du langage (symptômes d'
excitation
ou de paralysie) tels que : aphasie motrice, ha
n mentale, délire oni-. rique. hallucinations provoquant le délire,
excitation
, etc.) Si cette auto-intoxication hépatique fra
s sous la forme de voix agréables ou déplaisantes. Amnésie. » Cette
excitation
maniaque a persisté jusqu'en août 1900 pour fai
le 13 janvier elle rechute brusquement, et, après quelques jours d'
excitation
, devient plus que jamais inerte, gâteuse, baveu
n lui adresse; ne parait pas avoir de délire ni d'hallucinations;
excitation
motrice simple avec abolition ou diminution de la
lui-ci caractérisé par des mouve- menrs brusques, comparables à des
excitations
électriques, non influencés par la volonté, la
ité involontaire, et que ce qui diffère de l'une à l'autre, c'est l'
excitation
, qui est forte dans le premier cas et faible dans
iste-t-il pas, en effet, à rendre les neurones aptes à réagir à des
excitations
de plus en plus faibles, si faibles même, à un
ntré qu'on pouvait obtenir des effets esthésiogènes avec toutes les
excitations
, périphériques à la condition qu'elles fussent
Pas de paralysie consécu- tive. Mais jusqu'au milieu de juillet, l'
excitation
persiste : G... est toujours bavard et incohére
général est assez inquiétant : des alternatives d'affaissement et d'
excitation
motrice incohé- rente avec sueurs profuses qui
léments dans 4 cas de tabès avec troubles mentaux, et dans un cas d'
excitation
maniaque associé à une méningo-myélite syphilit
ite syphilitique dont les symptômes disparurent en même temps que l'
excitation
sous l'influence du traitement spécifique. Ch
- tions très comparables. A l'examen, tous deux présentaient de l'
excitation
sans affaiblissement intellectuel, sans troubles
ractures règle V électrothérapie de l'hé- miplégie. En localisant l'
excitation
galvanique ou faradique, on peut faire réappara
d'une façon systématique; il nous parait discutable dans les cas d'
excitation
maniaque. Les malades ainsi traités réclament u
t émaciée, sa constitution semble délabrée, elle est en proie à une
excitation
vive, se tord les bras, s'arrache les cheveux,
cher ; elle refuse les aliments ; très peu de sommeil. En niai : l'
excitation
est un peu tombée, mais la malade, inter- préta
expérimentaux obtenus, cet extrait parait indiqué dans les états d'
excitation
et d'exaltation, dans lesquels ou constate ordina
si l'on veut obteuir des effets bien nets, tout au moins lorsque l'
excitation
est violente; 5° Bien que l'état de la pression
9° on doit se guider, en outre des indications somatiques, sur : l'
excitation
du malade, sa dépression, et leurs degrés; ces
soit pour le surveiller stric- tement, soit enfin pour diminuer son
excitation
. En appliquant la méthode « du traitement par l
s peut lui-même se communiquer aux autres. En outre, malgré toute l'
excitation
du malade, au fond de sa conscience repose tou-
. 0 , P. K 1 R L. XXIX. Nouvelles communications sur les essais d'
excitation
élec- trique de la moelle des décapités; par A.
propose d'employer le courant faradique aussi faible que possible;
excitation
bipolaire à l'aide de fines aiguilles distantes d
du courant appliqué aux régions indiquées, on provoque, même par l'
excitation
unilatérale, un mouvement bilatéral symé- triqu
les fibres correspondantes naissent à peu près au niveau du lieu d'
excitation
; renforce-t-on l'excitation, on agit d'abord s
aissent à peu près au niveau du lieu d'excitation ; renforce-t-on l'
excitation
, on agit d'abord sur l'autre extrémité symétriq
un courant faible engendre un effet symétrique au niveau du plan d'
excitation
. En variant les épreuves, par l'excitation des
ique au niveau du plan d'excitation. En variant les épreuves, par l'
excitation
des racines antérieures et des racines postérie
et des racines postérieures, par la graduation de la quantité de l'
excitation
, on voit que les mouvements sont dus à l'excita
a quantité de l'excitation, on voit que les mouvements sont dus à l'
excitation
des fibres radicu- laires motrices et à l'inter
eil principal, c'est-à-dire des voies sensitives qui conduisent les
excitations
à l'écorce du cerveau et produisent les sensati
par une partie des fibres du trousseau de Gowers et Bechterew. Les
excitations
centripètes de la peau sont tout aussi indispen
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 495 moelle, conduisent en somme les
excitations
centripètes qui vien- nent de la peau et des pa
profondes, et sont destinées, d'une part, aux appareils psychiques (
excitations
sensitives), d'autre part, aux appareils de coo
faisceau cérébelleux des cordons postérieurs, chargé d'expédier les
excitations
venues des parties profondes, celle des cordons l
ion du faisceau de Gowers et Bechterew qui transmet au cervelet les
excitations
de la peau. Par là se pro- duit l'ataxie dénuée
e cérébelleuse, à' toutes les fibres qui conduisent au cervelet les
excitations
centripètes, d'où, la titubation, le vertige, l'a
s qui s'y rat- tachent peuvent être produits chez les animaux par l'
excitation
de la région pariétale centrale ; 2° Que cett
on désigne- le mouvement des orteils qui se produit à la suite de l'
excitation
de la face plantaire du pied de l'autre côté.
latéral se produit avec des caractères opposés à celui du côté de l'
excitation
. Ce réflexe ne se rencontre pas à l'état normal
reud prétend que la névrose d'angoisse serait exclusivement due à l'
excitation
sexuelle non satisfaite (coït incom- plet, exci
ement due à l'excitation sexuelle non satisfaite (coït incom- plet,
excitations
funestes, etc.). Les causes sont affectives, mais
ènes de paialysiepeu ou très marquée ; le clonus du pied répond à l'
excitation
de la voie motrice. M. BAR)NSKt insiste sur le
maladies de la -, siège des lésions, par Gras- set, 68. Essais d'
excitation
élec- trique de la-des décapités, par Hoche,
rrasser d'ennemis imaginaires qui en vou- laient à ses jours. Cette
excitation
fit place à son arrivée dans le service à un ét
vent être mis en liberté après l'amélioration d'un accès passager d'
excitation
; 3° que la clinique est fréquemment appelée à f
s externes, les mesures pré- cises des réactions consécutives à des
excitations
déterminées. On se proposait de recueillir ains
que les résultats fussent comparables entre eux et d'autre part les
excitations
devaient être aussi simples que possible, afin
e des aliénés dans les diverses psychoses, et suivant les moments d'
excitation
, de dépression ou d'hallucination par lesquels
eux stigmates de dégénérescence, photographié pendant une période d'
excitation
mentale '. La deuxième partie traite de l'appli
ronomètre dont une aiguille spéciale, mise en marche au moment de l'
excitation
, peut être arrêtée au moment de la réaction.
ment en usage puissent les déceler. G. D. IV. Sur l'influence des
excitations
sensorielles comme agents pro- vocateurs des ac
ar FÉa>; (Jozcr2. de Neurologie, 1902, n° 21). L'influence des
excitations
périphériques des nerfs sur la pro- duction de
ns irritatives, mais les cas où la provoca- tion est réalisée par l'
excitation
physiologique d'un nerf spécial sont beaucoup p
d'un idiot épileptique dont les crises se manifestent à propos des
excitations
sensorielles les plus variées : bruits soudains,
c hallucinations, idées ambitieuses et de persécution, sensiblerie,
excitation
par intervalles, excès probables de boissons. »
. Il se porte très bien et veut reprendre son travail. Cet état d'
excitation
persiste pendant la première quinzaine du séjou
ation du régime lacté ait été suivie d'une reprise des phénomènes d
excitation
; les idées de persécution reviennent plus acti
malade a passé par des alternatives de dépression et de gaîté avec
excitation
. Les urines ont été examinées chaque semaine, e
ite ce malade présente des alternatives d'anxiété mélancolique et d'
excitation
avec euphorie, et les pé- riodes d'anxiété para
ite d'une tentative peu sérieuse de suicide, et de quelques accès d'
excitation
au cours des.quels il a commis les actes les pl
). Paralysie générale avec idées de satisfaction et de persécution,
excitation
passagère et tentative de suicide (D'' Magnan).
epuis l'àge de vingt-sept, ayant présenté la boule hystérique, de l'
excitation
sexuelle, et la dysphagie en question, chez laq
plus différents, contractions presque continuelles, à l'occasion d'
excitations
extérieures faibles, de mou- vements violents,
de toute puissance dynamogénique ou d'association. Le contenu des
excitations
d'association ne révèle rien ou presque rien aux
es poutant riches de leur pensée sont obnubilées par cette nouvelle
excitation
, elles ne se polarisent pas, elles nese déplace
plus docile jusqu'en octobre 1901. En octobre 1901, une période d'
excitation
avec propos grossiers coïncida avec l'augmentat
e se soient greffés des symp- tômes additionnels de mélancolie ou d'
excitation
, qui ont coïncidé avec une augmentation des tro
ujets, longtemps considérés comme at- teints de psychoses diverses,
excitation
maniaque, dépression mélancolique, stupeur, cat
mais il est autre- ment intéressant défaire le diagnostic de cette
excitation
, de cette dépression, de cette stupeur, de cett
prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses reçoivent des
excitations
anormales qui expliquent les symptômes de la pa
rs. La physiologie enseigne en 264 SOCIÉTÉS savantes. effet que l'
excitation
corticale produit des réactions vaso-motrices-
fournies par des muscles sains sous l'influence des divers modes d'
excitation
électrique et de les com- parer aux courbes cor
dégénérés. Nous avons alors été amenés à rechercher le nombre des
excitations
à la seconde, nécessaires pour provoquer le tét
i° Chez les sujets sains et pour un muscle déterminé, le nombre des
excitations
nécessaires pour amener le tétanos présente des
vant de formes de comparaison. 2° En cas d'hypotonie, le nombre des
excitations
nécessaires a toujours été notablement supérieu
ins. De ces faits nous sommes amenés à conclure que le nombre des
excitations
nécessaires pour provoquer, le tétanos musculaire
ent ; indirectement, par réaction secondaire des fonc- tions qu'une
excitation
de la muqueuse du nez a pu troubler : appareils
sont : l'impossibilité de saisir rapidement la signification des
excitations
venues de l'extérieur ou de l'intérieur. C'est ce
grand du Saullequi l'examina à cette époque admit que cette crise d'
excitation
s'était produite sous l'influence de l'alcool e
Garnier le'considéra comme un persécuté alcoolisé avec pé- riodes d'
excitation
. Il admettait que son état ne nécessitait pas un
s anatomiques, quels centres entrent en jeu dans ces phénomènes d'
excitation
nerveuse, ni à plus forte raison quels troubles p
inition des divers états d'agitation, et avec lui on peut décrire l'
excitation
simple, l'agitation par réaction et l'agitation
l'asomnie pour employer l'expression de Freund. En dehors de toute
excitation
extérieure, de toute douleur, l'on reste vigile
concevable. On peut prendre parfois sur le fait le rôle direct de l'
excitation
psycho-sensorielle, d'origine centrale ou péri-
rapide, parfois même ins- tantané, et habituellement sans période d'
excitation
manifeste. Il ne s'accompagne pas moins d'une c
umance est rapide et parfois le sommeil est précédé d'une période d'
excitation
qui peut prendre la forme d'une véritable ivres
fond la question de la diète des chlo- rures ; dans les cas rares d'
excitation
épileptique où elle fut essayée, elle a produit
nné à hautes doses, continues et répé- tées, dans les cas de grande
excitation
, de façon à obtenir, comme dans l'état de mal,
doivent être isolés dans un but thérapeutique ; les soustraire aux
excitations
de l'entourage est nécessaire, mais il ne s'agi
es accidents. L'orateur ajoute que c'est seulement dans les états d'
excitation
qu'il a recours à la scopolamine, car il a eu l
nts seraient, d'après l'orateur, les hypnotiques de choix. Contre l'
excitation
et l'agitation, M. Devos a volontiers recours à l
à signaler, parmi les moyens physiques de combattre l'insomnie et l'
excitation
de certains névropathes, J'électrisation faradi
EL-L4'ASTIE (de Paris). L'auteur donne le nom de syndrome solaire d'
excitation
ou de paralysie à l'ensemble des symp- tômes ré
itation ou de paralysie à l'ensemble des symp- tômes résultant de l'
excitation
ou de l'ablation totale du plexus solaire, rése
on totale du plexus solaire, réservant le nom de symptôme solaire d'
excitation
ou de paralysie, à chacun des troubles, pris is
lysie, à chacun des troubles, pris isolément, qu'il constate, après
excitation
ou ablation du plexus, dans le fonctionnement des
r le plexus solaire peul-ctre compensée. Le syndrome solaire aigu d'
excitation
produit par le tiraillement ou la contusion du
nt supérieure, mais aussi, comme je l'ai mis en relief, une durée d'
excitation
plus longue. Il en résulte que les muscles rich
une altération morbide de l'humeur, caractérisée par h mélange de l'
excitation
euphorique du sentiment et du tour eu- fantin d
hogénie. (A rapprocher de la communication de M. Meige, p. 9r) 1.
Excitation
et dépression périodique. Délire circulaire frust
, le contenu des suggestions, la présence ou l'absence de certaines
excitations
psychosensorielles, je réalise avec ce produit
ie dans les états dépressifs, parfois aussi accélérée au cours de l'
excitation
maniaque. L'hystérie, pour sa part, passe pour
1903 et présentant, dans les quatre jours qui suivirent, une grande
excitation
délirante panophobique, en même temps qu'une vé
ans le lobe temporal sont de même alliés dans le processus. Ainsi l'
excitation
d'un de tous ces groupes peut mettre en action
uvait presque la considérer comme convalescente. Deux jours après :
excitation
à début soudain, chants, cris, rires automatiques
ne du côté de la cornée excitée. Le réflexe est lent. En répétant l'
excitation
, il s'épuise au bout de deux ou trois mouvement
t hypnotique : effet sur la courbe respiratoire et spllygmique de l'
excitation
douloureuse d'origine électrique, en se mettant
pouls n'admet pas une telle précision. Suggère-t-on l'anesthésie, l'
excitation
sensitive à l'aide du courant électrique n'exerce
t l'état de veille, tandis que si l'on suggère l'hypéresthésie, les
excitations
douloureuses se répercutent sur le tracé du pou
thé- sie, qui ne permet plus au malade de distinguer les diverses
excitations
de la sensibilité, mais les lui fait percevoir to
e et à gauche, paralysé des quatre membres, insensible à toutes les
excitations
, sans re- flexes, -avec de l'incontinence des u
con- traire, qu'un état émotionnel transitoire plus profond, une
excitation
intellectuelle plus grande provoque la reprise du
ence des mêmes personnes et en dehors de toute émotion ou phase d'
excitation
. Le second caractère du monologue, à savoir cel
journée. Les premiers sont des gens qui sont sous le coup d'une
excitation
intellectuelle ou émotionnelle plus ou moins du
e, leur gesticu- lation désordonnée sont plutôt le fait d'un état d'
excitation
psycho-motrice connexe que les correspondants m
que je recommence. » La verbigération des catatoniques en période d'
excitation
reconnaît peut-être aussi la même origine (Kahl
r exemple le cas de F..., malade en état de démence alcoolique avec
excitation
constante et idées de grandeur prédo- minantes,
rapport avec les délires systématiques, le décousu avec les états d'
excitation
générale ou de démence. Si décousu qu'il soit,
Dans le premier cas, il est plutôt en rapport avec une forme aiguë (
excitation
maniaque, par exemple) et souvent curable. Dans
s il est le plus souvent la manifestation d'un état maniaque, d'une
excitation
passagère. Le mode de combinaison peut donner,
e et chez le persécuté. Le premier soliloque en vertu de son état d'
excitation
générale, le second sous le coup d'une idée pré
lade et n'est-ce pas pour cette raison qu'elles ont cessé lorsque l'
excitation
a pris fin ? - ? Mais dans ce cas l'action de l
ination serait bilatérale, mais, ne se maintenant que grâce à cette
excitation
externe, elle cesserait en même temps que la lé
ctionnelle du système ner- veux, consistant, tantôt en phénomènes d'
excitation
cérébrale, tantôt en phénomènes de dépression,
en l'associant à celle des centres acous iques mis en éveil par des
excitations
musicales bien ryth- mées. Ainsi les centres ro
Excitabilité, Sur l' - ries muscles dégénérés, par Intejko, 3îl .
Excitations
SERSORIEI les. Voir Epi- lepsie - Voir Syphilis
dort pas, l'appétit est nul, elle alterne entre la prostration et l'
excitation
avec angoisse et pleurs. Une contra- riété légè
uide acre envahissait les mus- cles, fourmillements dans les mains,
excitation
sexuelle avec contractions saccadées de la vulv
ense que celle mydriase ressortit au réflexe pupillaire sensitif; l'
excitation
des terminaisons nerveuses sensitives du condui
res unilatérales et bilatérales peuvent dépendre exclusivement de l'
excitation
des cellules grises de la zone rolandique. (Revue
tement une inhibition devenue normale par l'habitude, qui empêche l'
excitation
indéfinie de la réponse efférente, laquelle, à
e l'éternuement. D'ailleurs les réflexes en série qui répondent aux
excitations
afférentes s'observent aussi dans les phénomène
ènes mentaux (souve- nirs éveillés par associations d'idées) et une
excitation
afférente purement mentale peut provoquer une a
ne, anormale parce qu'elle est entièrement nouvelle ; car seule une
excitation
de cet ordre peut déranger l'in- hibition norma
nerveux corticaux, trouble qui est originairement provoqué par une
excitation
afférente anormale. Il montre ensuite que cet
fin de constater, et de supprimer s'il se peut, toutes les causes d'
excitations
anormales afférentes. Au point de vue de la théra
, les fois précédentes, le rendait extrêmement malade. Action des
excitations
mécaniques faibles et répétées sur l'anesthésie
l'anesthésie hystérique. M. Paul 1l.cw. - Chez les hystériques, des
excitations
faibles, intermittentes et prolongées produisen
es et les dyschromatopsiques. En SOCIÉTÉS SAVANTES. 83 général, l'
excitation
de l'oeil par les couleurs centrales entraine le
couleurs, mais aussi pour les couleurs périphériques, tandis que l'
excitation
pourlescouleurs péri- phériques ramène la visio
st-métallique et les oscillations consécutives. On peut, au moyen d'
excitations
faibles et répétées, endormir des malades hémiane
érieur droit et puis une gêne de la respiration. Etat présent : une
excitation
très vive ; le malade parle beaucoup. Une paral
abiques, il a été amené à l'hôpital le 1. or mars de 1901 en état d'
excitation
très marquée, et mourut quelques heures après s
dation, tdntde l'oeil du même côté que de l'oeil du côté opposé à l'
excitation
. L'une occupe une surface de 1 centimètre 1/2 à
D'ailleurs l'effort accommodateurpeut êtreégatementprovoqnepar l'
excitation
du tubercule quadrijumeau antérieur en un point f
ulaires lisses. Impossible de noter de relations constantes entre l'
excitation
des zones corticales quelconques sus-énoncées e
les muscles des deux pattes postérieures, surtout accusé quand 1
excitation
est localisée à la région dorsale inférieure. Ass
de gaz carbonique. Cette paitie perd son excitabilité, tandis que l'
excitation
du même nerf au-dessus du tube transmet le mouv
x autres réflexes cérébro-spinaux ? La contraction dépend-elle de l'
excitation
méca- nique du muscle ? Il faut pour en décider
GIE PATHOLOGIQUES. 161 l'insertion du pectoral à l'humérus : il y a
excitation
mécanique de ce tendon; en un cas par le même m
oit ; de la paralysie' atrophique du bras droit. L'exagération de l'
excitation
mécanique des muscles, qui n'ont pas été soumis
utent , dans la grande majorité des cas, des états de dépression, d'
excitation
, de confusion, de stupeur, des conceptions déli
l'affection, sans conceptions délirantes, sans hallucinations, sans
excitation
ni dépression, on se trouve en présence d'une f
psychiques variés : conceptions délirantes, hallucinations, états d'
excitation
, de dépression et de stupeur que nous allons ra
de systématisation. Les réactions psycho-motrices les plus variées (
excitation
, dé- pression, stupeur) peuvent s'observer dans
endant des semaines, des mois et des années, dans la catatonie. L'
excitation
se traduit par un verbiage incohérent, dans leque
conservant les attitudes qu'on leur donne. Insensibles à toutes les
excitations
extérieures, les malades en état de stupeur voi
: ho-7-éflectitité est absente. Ces états de stupeur, comme ceux d'
excitation
décrits plus haut, peuvent s'observer en dehors
idu et caractérisés, au point de vue mental, par des alternatives d'
excitation
maniaque et de dépression avec inhi- bition, ce
souvent commandées par des hallucinations, les unes psychomotrices (
excitation
), les autres psycho-inhibitrices (dépression).
vembre 1902 et enfin une der- nière période de stupeur avec accès d'
excitation
cacatonique. A l'autopsie, aucune lésion macros
ur cause principale l'accumulation incomplète- ment satisfaite de l'
excitation
génésique, tels que le coït réservé des ménages
vaient souffert d'une accumulation incomplètement satisfaite de l'
excitation
génésique. Par les confidences de leurs femmes
infectieuse ; de brillantes facultés intellectuelles. Le début de l'
excitation
génitale a été précoce. L'enfant fut placé à on
et n'a souffert d'une accumulation incomplètement satis- faite de l'
excitation
génésique. L'onanisme engendra l'im- puissance
l a supporté plusieurs accès de manie, parfois avec un haut degré d'
excitation
, avec délire et hallucina- tions ; les accès du
un état de légère dépression. Il se plaignait ordinairement d'une
excitation
sexuelle et parfois de pollutions fréquentes. L'u
obsessives, ni des représentations obsédantes; évidemment, l'état d'
excitation
avec le cours exagéré des idées influait sur le
à une sensation lumineuse. L'histologie moderne nous a appris que l'
excitation
la plus limitée de la rétine, se trans- mettant
Il est évident que cette cime doit être aiguë quand elle émane de l'
excitation
de la macula anatomique, mousse quand elle éman
l'excitation de la macula anatomique, mousse quand elle émane de l'
excitation
de la macula physiologique, acquise. On peut ai
par suite, s'ajoute à la sensation colorée du voisinage émanée de l'
excitation
rétinienne. P. KEIIA VAL. XXXIX. Remarques cr
la perception de l'amer moins vivement senti que de l'autre côté; l'
excitation
élec- trique décelait aussi quelque différence
maux contient dès la naissance des éléments nerveux spéciaux dont l'
excitation
par le courant d'induction ou par la muscarine
coeur continue-t-il, long- temps à battre sous l'influence de toute
excitation
nouvelle ? On l'ignore; le microscope n'a pas t
vement de flexion des phalanges des doigts peut être provoqué par l'
excitation
mécanique d'autres parties de la main, entre au
urs. Ce réflexe carpométacarpien provient de la transmission de l'
excitation
des tendons qui couvrent le dos de la main au niv
nières sont simple- ment l'expression d'un processus pathologique d'
excitation
, de parésie ou de paralysie de certains segment
de la pupille entière sont l'expression de la combinaison d'états d'
excitation
, de parésie ou de paralysie des différents file
11 importera de prévenir aussi toutes les causes d'irritations ou d'
excitation
qui peuvent résulter pour les organes géni- tau
à son développement physique et intellectuel. Du reste les causes d'
excitation
méningo-cor- ticale du cerveau sont relativemen
dose de un à deux grammes, suivant les indications individuelles (
excitation
cérébrale, insomnie, instabilité simple, etc...),
glande thyroïde, les glandes génitales, par exemple; en modérant l'
excitation
des organes génitaux, l'activité des glandes gé
misphérique, ou sur ce bord même, quelquefois un peu en dehors. L'
excitation
de cette région renforce les contractions utérine
res, en provoque et les rend rhythmiques, surtout quand on répète l'
excitation
. Un faible courant électrique peut rester inact
t larégion indiquée, des contractions rhyth- miques alternatives. L'
excitation
réitérée peut entretenir l'inten- sité des cont
e- ment que lorsqu'on excite l'écorce. Si l'on tient compte que l'
excitation
de la couche optique a tou- jours lieu après ce
l'existence d'un centre d'arrêt des contractions utérines. III. L'
excitation
des tubercules quadrijumeaux postérieurs a donn
central du nerf vague, sectionné au cou, a aussi agi, mais point l'
excitation
du bout périphérique. Le plexus hypogastrique a
té que dans l'écorce. Il est pour le moment impossible de dire si l'
excitation
de ces centres donne directement naissance aux
cerveau, permettent d'exprimer l'opinion que voici. On sait que l'
excitation
des centres de l'écorce engendre des convulsion
athétose, les différentes formes de tremblements, émanent non de l'
excitation
des contingents corticaux du système moteur, mais
que, dans l 's foyers de la région des tubercules quadrijumeaux, l'
excitation
directe des centres moteurs qui occupent celle ré
éraliser sous l'action directe de ces centres sous-corticaux ou par
excitation
réflexe des centres corticaux.. Il y a lieu de
si ces deux territoires sont épargnés, comme dans le cas présent, l'
excitation
sous-corticale suffit à expliquer la généralisa
e des perturbations viscérales résultant de l'arrachement ou de l'
excitation
du plexus solaire. Il distingue expérimentalement
mentalement un certain nombre de syndromes solaires de paralysie, d'
excitation
ou d'irradiation, et montre que le premier est
sont plus rares, les idées de culpabilité font défaut; les accès d'
excitation
sont plus violents. Dans la démence précoce on
alie. L'Ano% n'est pas une espèce clinique; il comprend des états d'
excitation
divers avec tendances à des actes de violence.
es étaient atteints, au contraire, de formes graves avec stupeur ou
excitation
et doivent être rangés dans la catatonie. La co
il suffit à leur égard de prendre des précautions durant la phase d'
excitation
. On devra plutôt tenir compte des actes commis
es sont : L'impossibilité de saisir rapidement la signification des
excitations
venues de l'extérieur ou de l'intérieur. C'est
icale que vous interprétez, etc. Les exécutants se créent un mode d'
excitation
qui les isole du monde extérieur; la pratique m
amyélie, par Brissaud et Bruan- det, 488. Anesthésie. Action des
excitations
mécaniques faibles et repétées sur l'- hystér
ion : débilité men- tale avec hallucinations; idées de persécution;
excitation
passa- gère; cataracte de l'oeil gauche (Magnan
génitaux, enfin, sontbien dévelop- pés et son anus est normal. L'
excitation
maniaque avec délire hallucinatoire dont R... éta
éveloppées des deux côtés : le contact, la pression, la piqûre, les
excitations
galvaniques et faradiques sont parfaite- ment p
R... est atteint et à laquelle nous consacrons ce travail. Toute
excitation
mécanique de la peau et des dermo-muqueuses dét
ace que très lentement et peut persister au moins une heure. Si l'
excitation
est plus vive, si nous appuyons un peu forte- m
. 14 PATHOLOGIE NERVEUSE. . Quelle que soit donc l'intensité de l'
excitation
mécanique dont la peau et aussi les dermo-muque
1° Au contact du-corps excitant : pâleur subite et fugitive, si l'
excitation
est faible et rapide ; plus durable dans le cas c
s conditions qui président à leur développement : L'inlluence des
excitations
mécaniques de la peau a d'abord attiré notre at
es phénomènes que le conctact et le passage d'un corps résistant (l'
excitation
hydro-mécanique). La douche en lame produit, pa
ucun dermatologiste n'aurait révoquée en doute la légitimité. Les
excitations
électriques de la peau ne nous donnèrent pas de
petites papules conffuentes qui pouvaient être simplement dues à l'
excitation
mécanique produite par le contact des fils qui
es effets neuro-paralytiques analogues à ceux que déter- minent les
excitations
mécaniques. Les effets d'un courant galvanique
nues et nous pouvons seulement inférer de notre observation que les
excitations
mécaniques de la peau, même très légères, ont s
pas du tout motivées ni par une continence préalable, ni par une
excitation
érotique, ni par des rêves lascifs, etc., etc. Qu
lles n'étaient motivées ni par une continence préalable, ni par une
excitation
érotique, ni par des rêves lascifs, etc., quelq
sibilité; 5-6 secondes 58 CLINIQUE NERVEUSE. s'écoulaient entre l'
excitation
et la perception sensitive; une fois la sensati
ences médicales. GRAND ET PETIT HYPNOTISME. 9 a l'influence d'une
excitation
mécanique directe, les muscles de la vie normal
directe, les muscles de la vie normale se contracturent. Le mode d'
excitation
est variable : on peut employer le massage, la
embres, ces paralysies sont, comme on le sait, très fréquentes. L'
excitation
mécanique des troncs nerveux agit sur les mus-
sculai·e. Elle consiste en ce que, sous l'influence de très légères
excitations
superficielles, comme le frôlement, le souffle
unc leo.'f«cin t(iun non exlério- 124 SOCIÉTÉS SAVANTES. risée, l'
excitation
peut ne pas dépasser l'écorce cérébrale. Si elle
éterminer une rémission dans la démence aiguë accompagnée de grande
excitation
. A Illenau, le personnel eut aussi beaucoup à s
t dans ce cas que renouveler, sous forme d'images, le souvenir de l'
excitation
cutanée qui a donné lieu une première fois à la
'il serait prouvé que la suggestion peut faire tout ce que fait l'
excitation
périphérique, il resterait à démontrer que la réa
gestion, amener le dévelop- pement d'une contracture, alors que les
excitations
périphé- riques sont incapables de produire ce
la ne permet pas de conclure que la suggestion est tout, et que l'
excitation
périphérique ne sert à rien. C'est aussi par la
t dans la moelle ouïe cerveau et dont le point de départ est dans l'
excitation
périphérique des muscles et des tendons, et que
suggestion simple n'agis- sait pas d'une façon plus active que les
excitations
mécaniques sur le développement des contracture
ues ont persisté chez elle. N'est-il pas évident dans ce cas qu'une
excitation
sensorielle a produit ce que la suggestion avai
-ci n'étant pas, comme l'affirme Soltmann, soumis à l'influence des
excitations
amenées du dehors par les organes des sens. Mai
u membre innervé parle centre primitif. Chez le chien nouveau-né, l'
excitation
même très intense de l'écorce n'amène pas de ph
n mois et plus, alors que ce développement est terminé; en outre, l'
excitation
électrique détruit rapidement l'excitabilité de
est seule pourvue de myéline, dans les cor- dons postérieurs ; leur
excitation
produit la contraction des muscles innervés par
des muscles innervés par le segment correspondant de la moelle. L'
excitation
des racines postérieures donne le même résultat.
eurs cas'. III. - NERFS PERIPHERIQUES. REFLEXES. Rapports entre l'
excitation
et l'excitabilité dans la contraction musculair
mpulsion, dit Helmoitz, survenant pen- dant la période latente de l'
excitation
fournie par une impul- sion antérieure, ne chan
'état du nerf et du muscle, existent un optimum et un pessimum de l'
excitation
qui produit la contraction. » Si, pendant la co
te de la rédaction.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 283 augmente l'
excitation
d'un muscle en agissant sur son nerf, à partir
sur son nerf, à partir d'un certain degré, qui est 1' optimum de l'
excitation
,' on voit la contraction diminuer, puis dispara
la contraction diminuer, puis disparaître : c'est le pessimum de l'
excitation
; mais si on diminue alors l'excitation, le musc
tre : c'est le pessimum de l'excitation; mais si on diminue alors l'
excitation
, le muscle se contracte de nouveau, puis se tét
puis se tétanise. Lapériode dans laquelle chaque augmentation de l'
excitation
n'est pas suivie d'une augmentation de la contr
excitabilité du muscle est seulement diminuée : si l'on produit une
excitation
soit directement sur le muscle, soit sur un poi
sur un point du nerf plus rapproché que le point d'application de l'
excitation
pessimum, on obtient une contraction. L'optimum
e pessimum sont fonctions à la fois de l'intensité et du nombre des
excitations
. Le tronc ner- veux ne joue aucun rôle dans ces
fatigue par intervalle insuffisant, proportionnelle au nombre des
excitations
dans un temps déterminé. Ces deux formes se sup
veau. Corrélation entre les fonctions du cerveau antérieur et les
excitations
extérieures. -Le D1' Danilewsky a voulu démontrer
ontaires en apparence, peu- vent être exécutés sous l'influence des
excitations
extérieures, par une grenouille privée de ses h
nce inhibitoire du cerveau antérieur, peut être remplacée par des
excitations
sensitivo-sensorielles extérieures. A l'appui de
oie réflexe. La dilatation directe de la pupille est produite par l'
excitation
du sympathique. La dilti- tation réflexe, par l
te par l'excitation du sympathique. La dilti- tation réflexe, par l'
excitation
des nerfs sensitifs. La dilata- tion directe pr
réflexe atteint son maxi- mum lentement, toujours après la fin de l'
excitation
, ce maxi- mum est précédé d'un rétrécissement q
écédé d'un rétrécissement qui correspond exacte- ment à la fin de l'
excitation
. La dilatation qui se produit jusqu'à ce rétréc
e secondaire. Les mêmes phénomènes se produisent du côté opposé à l'
excitation
. Si l'on sectionne le sympathique au cou, la pé
des abolit complètement la dilatation réflexe de la pupille par les
excitations
douloureuses. Développement de la rétine. Suiva
e caractère, de l'instabilité mentale, et surtout des rêves, dont l'
excitation
persiste au réveil. Il faut savoir, en effet, q
hez certains individus dégénérés prédisposés par l'héré- dité à une
excitation
nerveuse considérable. (The Alienist aii-d Neti
conformation, de la perversion et de l'instabilité mentale, de l'
excitation
passionnelle. L'étude des troubles fonctionnels n
la fonction d'une partie quelconque du cerveau. Car si la méthode d'
excitation
expérimentale de l'écorce, si les lésions irrit
de ses anciens cama- rades). La lumière et le bruit augmentent son
excitation
. La sensibilité cutanée paraît troublée. Elle s
elles ces accès dé manie transitoire sont déterminés. Ce sont : l'
excitation
alcoolique, les excès de travail intel- lectuel
ypnotique. La sensibilité cutanée est très diminuée, la réponse aux
excitations
extérieures retar- 'dée ; ces excitations doive
diminuée, la réponse aux excitations extérieures retar- 'dée ; ces
excitations
doivent être beaucoup plus fortes pour que l'an
oeur et les vis- cères abdominaux, ces organes ne répondent pas à l'
excitation
électrique. 470 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
s de leurs hémisphères mettent le même temps pour réagir contre les
excitations
extérieures. Aussi M. Danilewsky a-t-il tiré ce
Recueil physiologique de Danilewsky, Karlioli, 1888. Etude sur l'
excitation
électrique des nerfs. Recueil physio- logique,
aniiewsky. Du rapport entre la fonction du cerveau antérieur et les
excitations
extérieures. -Le àlédeciii, nû, 4o, 1880'. Dani
sclérome. Le Médecin, u° 47, 1886. Wedensky. Des rapports entre l'
excitation
et l'excitabilifc dans la contraction musculair
a point chez lui d'acte volontaire, il n'y a que transformation des
excitations
en mouvements. Plus tard, le désir, première es
ne émotion ou des menstrues. En novembre 1902, elle fut re- prise d'
excitation
. Puis, chassée de son nouveau domicile en avril
u début de la ménopause : cette époque fut marquée par des crises d'
excitation
très violentes qui ne firent que s'exagérer jus-
teonduite à l'infirmerie spéciale du dépôt. Examen. A) État mental.
Excitation
intellectuelle : la malade ne cesse de parler a
t de la rotule, signe de Babinski bilatéral, etc. A la suite de l'
excitation
de la face interne de la cuisse, il se produit
n- taire, enfin dans la suppression du travail mental et de toute
excitation
. A. ;\1. IV. Un cas de maladie de Thomsen ; par
l'élévation brusque de la pression artérielle sous l'influence des
excitations
du même ordre. En s'appuyant sur ces données MM
n sait que certains sujets de l'un ou de l'autre sexe n'éprouvent d'
excitations
sexuelles qu'en présence d'un sujet d'un sexe o
ans que celle-ci ait du reste rien fait pour provoquer la moindre
excitation
génésique. Malgré une séparation qui fut défini
n'accomplissait guère l'acte sexuel, sans s'y être préparé par des
excitations
supplémentaires d'une nature spé- ciale. . Il
nvulsive de fou-rire. Le rire peut être provoqué d'autre part par l'
excitation
directe des mus- cles du rire, par suggestion d
n de l'acte lui-même, par sugges- tion d'un état psychique gai, par
excitation
des zones idéo- 74 VARIA. gènes modifiant l
IA. gènes modifiant l'état mental dans le sens du rire, enfin par
excitation
de zones spasmogènes spéciales à l'attaque con-
ique est ébranlé. La perte d'équilibre peut se manifester par une
excitation
démesurée, une exagération des réflexes et de t
es symptômes évidents de la paralysie générale. Après une période d'
excitation
intellectuelle et physique, il est en- tré en r
sont amendées elles aussi. Enfin, lorsqu'est survenue la période d'
excitation
terminale, on a vu les maux perforants se rallu
côté opposé à celui de la cornée excitée succède immédiatement à l'
excitation
sensible bien localisée ; c'est un phénomène de
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 127 cédé à l'
excitation
directe (musculaire) ou indirecte (par les troncs
nt dans la dégénérescence partielle ou com- plète chaque fois que l'
excitation
galvanique directe se traduit par une contracti
dique et galvanique, ou que, comme dans- les pa- ralysies graves, l'
excitation
directe à l'égard du courant galvani- que subsi
ui a lieu également pour les étincelles de la machine statique) ; l'
excitation
par les courants magnéto-électriques ou sinusoï
tous les cas où cette paresse de la contraction se manifeste par l'
excitation
galvanique directe (musculaire).. (Juand le m
'- sent un son pourvu qu'un mouvement musculaire soit possible. L'
excitation
faradique directe ou indirecte du muscle à réacti
e, pourvu que le L·Lanos soitsuf- fisamment fort : le muscle, à une
excitation
galvanique forte, non oscillante, répond par le
son ordinaire, tandis que le son' musculaire est plus élevé dans l'
excitation
faradique iL raisondtf nombre des interruptions
es interruptions de l'appareil. La convulsion lente consécutive à l'
excitation
galvanique d'un muscle qui présente la réaction
muscle qui présente la réaction dégénérative reste silencieuse. - L'
excitation
fa- radique du muscle qui ne réagit point ne fo
s centres inférieurs ou cor- nes antérieures de la moelle en état d'
excitation
? Le silence au niveau des muscles contractures
sous-corticaux et même du centre cortical engendre des phénomènes d'
excitation
, des hallucinations de l'odorat. Quant à la fré
{Neurolog. Centralbl., \\III, l90't.) Il est indubitable, que toute
excitation
sensible, certainesimpres- sions sensorielles e
s ne se contractent point en forme de caniveau sous l'influence des
excitations
mécani- ques. C'est donc un trouble acquis de l
le s'excite, frappe ses enfants elle-même dans l'égarement de son
excitation
;puis, la crise passée, elle oublie, et elle trou
prend en considération que cette amnésie suit toujours une crise d'
excitation
survenant elle-même en tant que réaction émotive,
symptômes principaux, il pré- sente surtout des phénomènes légers d'
excitation
catatonique, avec stéréotypies v erbales. Voi
, car elle croyait voir des vers dans ses aliments. A cette phase d'
excitation
succéda une phase de dépression. Eu avril 1903,
quent celle-ci par une action réflexe, dont l'origine se- rait une
excitation
partie de l'utérus et transmise aux zones motri
ue produite par une piqûre d'épingle sur la peau, ou la douleur par
excitation
électro-faradique plus ou moins rapide et plus
avec les individus. FI'. Franck, étudiant les effets d'une brusque
excitation
, a oh- servé clue ces effets sont variables sui
s éléments avoisinants, on devrait arriver à cette conclusion que l'
excitation
nerveuse, arrivant par une grosse fibre afférente
dérations sur l'influence de la fatigue, de l'entratne- ment et des
excitations
psychiques..1. S. L. La structure de la rétine
GIE NERVEUSE. 217 celle influence qu'il y a tantôt sédation, tantôt
excitation
du sys- Li-IIII' nerveux et que les crises conv
ment les atteintes du la sénilité sont moins aptes percevoir le<
excitations
visuelles, et par consé- quent doivent coutriif
peu ses mauvais instincts se sont dissipés. Plus d'onanisme. Plus d'
excitation
nerveuse, comme au début. Elle ne cherche plus
sport à l'asile de Pontorson quelques jours après, le 4 mai 1900. L'
excitation
générale diminue rapide- ment ; on constate alo
é, etc. Puis se développe un délire plus ou moins systématisé, de l'
excitation
maniaque, de la démence progressive ou même de
ire par ce moyen. Ce n'est donc pas un réflexe. Il se produit par l'
excitation
mécanique non seulement du frontal, mais du pér
pendant le stade paralytique accélère un peu le spasme, ainsi que l'
excitation
de la peau du voisinage. Sauf cela la jeune 3
rapport avec la sensibilité cutanée et avec celle du muscle. IL - L'
excitation
mécanique du muscle ou, réflexe musculaire, qui
sont différents ; on ne peut alors séparer la con- traction due à l'
excitation
mécanique directe du muscle de la con- traction
réflexes musculaires ne sont point du tout le résultat de la simple
excitation
mécanique du tissu musculaire propre. Les mus-
s si l'on répète les chocs sur telle ou telle région. La réaction d'
excitation
apparaît quand la tétanie s'exaspère ; elle s'a
urant chacun quinze secondes ; ces mouvements sont indépendants des
excitations
de la lumière et de l'accommodation. 11 s'agit
lisseur reçoit une charpente sur la tête. A l'hôpital présente de l'
excitation
mania- que, turbulence nocturne, cris, divagati
ccident. Obtusion intel- lectuelle persistante après cessation de l'
excitation
maniaque, mais permettant la sortie réclamée pa
c perversions instinctives et turbulence. Elle avait des périodes d'
excitation
et de colère trè§ fré- quentes, était très méch
et qui aujour- 1'Icrri se suffit à elle-même. LXVII. Imbécillité,
excitation
/MM ! 6' ? ML'/0/< ? ej ? Lésa ? (Marguerite
ondation le 13 octobre 1902, atteinte d'imbécillité avec périodes d'
excitation
. A son entrée, la physionomie de l'enfant n'ind
idées noires qui la portaient à attenter à ses jours; ni période d'
excitation
, ni de mélancolie. Le caractère est devenu réel
ntervalle des paroxysmes ; 2° l'exa- cerbation des douleurs par les
excitations
d'ordre périphérique ; : o l'extension de la névr
it ; l'accablait d'injures,éprou- vait<les crises incoercibles d'
excitation
puérile avec pleurs spas- modiques irrésistible
des périodes de calme et de lucidité re- lative, puis des crises d'
excitation
avec délire et hallucinations probables de la v
trer encore des hallucinations de la vue qui, dans les paroxysmes d'
excitation
, viennent concou- rir à la désorientation du ma
ment et d'une manière injustifiée d'une dépres- sion profonde à une
excitation
expansive pouvant aller jusqu'à la manifestatio
s quatre membres, plus accentuée aux membres inférieurs. La moindre
excitation
périphérique piovo- que des contractions fibril
phique) compliquée de troubles mentaux de nature dé- mentielle et d'
excitation
passagère ». Les renseignements que nous avons
mur et tâchait de ne pas être vue. Parfois elle avait des moments d'
excitation
nerveuse et se livrait à des jeux désordonnés e
désordres pathologiques ont disparu; elle n'a plus de périodes d'
excitation
, plus de balancements, plus d'incontinence noc-
ditaires. [Revue neurologique avril 1905.) ' E. B. LX1X. Rôle des
excitations
centripètes et centrifuges dans le fonctionneme
avec des solutions titrées, il a constaté que le sucre produit une
excitation
éphémère peu de temps après son inges- tion, qu
ticulier la para- lysie générale expansive au début de la période d'
excitation
ma- niaque, de la folie à double forme. Excepti
rminés chez un amputé, par Bloumcnaou et \iclsen, 323. - Rôle des
excitations
centripètes et centrifuges dans le fonction-
musculaires dans les maladies nerveuses, par Bcchte- rew, 3.10.
Excitations
centripètes. Voir Cel- lules nerveuses. ' Exo
it à donner le change sur son état véritable en simulant un accès d'
excitation
maniaque avec idées de grandeur; tantôt c'est u
rolandique, puisqu'en dernière analyse c'est de là que partirait l'
excitation
primordiale qui va retentir sur les cellules mo
peu fréquente et toujours caracté- risée par des crises furieuses d'
excitation
maniaque suivies d'un état demi-comateux de dur
sthénique et hypochondriaque aigu) et rappel- lent les phénomènes d'
excitation
, puis de stupeur des centres mo- teurs, chez le
alement guéri après quelques mois de maladie. Pas de phé- nomènes d'
excitation
motrice ; pupilles larges et paresseuses. Chez
ersécution évoluant dans un cercle exclusive- ment délimité par des
excitations
sexuelles. cl'4 REVUE DE-MÉDECINE LÉGALE. En
à peu les mouvements choréiques se générali- sèrent et les crises d'
excitation
mentale devinrent plus fréquentes et plus viole
ogne, en se moquant, tout ce qui était de nature à provo- quer de l'
excitation
mentale augmentait considérablement les mouveme
CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 1 ha sitoires irrégulières de mélancolie et d'
excitation
maniaque, comme chez tous les dégénérés. Le ter
u en forçant à l'adduc- tion l'annulaire étendu. Les divers modes d'
excitation
de la peau ne jouent dans l'espèce aucun rôle o
apidité de l'aggravation, et la brusque appa- rition de symptômes d'
excitation
maniaque malgré des doses élevées de bromure, f
ur aucune partie du corps, et les cheveux n'étaient pas tombés. L'
excitation
maniaque a été extrêmement violente, s'est accom-
onctionnement spontané. Leur mise en acti- vité est subordonnée aux
excitations
venant des régions sensitives et sensorielles.
ont reliés avec les aires de la vision, de l'audition, etc. Que des
excitations
sensitives ou sensorielles soient les antécédents
porte un ton affectif. 11 y a plaisir ou douleur par la sommation d'
excitations
perçues par le télencé- phale. Quand cette somm
la malaxation des muscles, au tiraillement, à l'insufflation ou à l'
excitation
légère. Les réflexes abdominaux sont très faibl
l'attention de la Société sur l'état du réflexe cutané plantaire; l'
excitation
de la plante du pied donne lieu à de la flexion
psie générale d'emblée avec prédominance dans un côté du corps de l'
excitation
préparoxystique et de la fatigue post-convulsiv
a- tions primitives partant d'un centre quelconque provoquent des
excitations
secondaires dans toutes les cellules corticales ;
ations secondaires dans toutes les cellules corticales ; toutes ces
excitations
, étant d'une tension et d'une direction bien diff
s mouvements ondula- toires. Dans la deuxième phase de l'accès, les
excitations
sont encore très fréquentes, d'où la secousse t
est possible que ces appendices participent dans la perception des
excitations
cellulipètes qui parviennent à la cellule nerve
eure au souvenir de son enfant. 22. Hier, elle a manifesté un peu d'
excitation
, s'est imaginée qu'elle allait mourir, a réclam
onfesser ; tout le monde est damné ; le démon s'est emparé de tous.
Excitation
maniaque intense ; il menace de donner un coup
nt qui réussit à la vaincre n'est pas celui qui est produit par une
excitation
sen- sible d'origine réflexe, c'est celui qui e
neuropile, du prolongement principal. Or on dit que les courants d'
excitation
reçus par les dendrites ne se portent pas dans le
grille qu'elles forment. Le monde psychique serait le résultat des
excitations
externes sur la grille des fibrilles de l'encép
sont d'origine récente, et disparaissent aussitôt sous l'action des
excitations
extérieures. Il y a bien un reste des impressio
eux qui ne semblent plus avoir d'halluci- nations, on peut, par une
excitation
externe, réveiller des troubles hallucinatoires
mènes, observe qu'au début du delirium tremens, il existe une telle
excitation
dans la sphère de la vision que l'impression ch
u moment où, à la périphérie le nerf optique est soumis à une forte
excitation
par le fait d'une trace forte- ment colorée, ce
sant par des voix inju- . rieuses. Ainsi, pour plusieurs auteurs, l'
excitation
cutanée peut produire des hallucinations réflex
flexes. D'autres phénomènes ont été observés, prouvant toujours l'
excitation
corticale, l'hyperesthésie des centres nerveux en
persécutés non alcooliques ou persécutés déli- rants chroniques, l'
excitation
ou l'hallucination d'un des sens provoque bien
phénomènes analogues. Il y a des sujets, dit-il, chez lesquels l'
excitation
d'un des organes sensuels donne lieu à deux sen
s distinctes : l'une a pour siège la sphère de l'organe qui subit l'
excitation
, tandis que l'autre se déclare dans la sphère d
sphère d'un sens qui, en apparence, n'est nullement intéressé par l'
excitation
. L'observation de Brühl sur les deux frères Nüs
leurs perceptions fausses augmenter d'intensité sous l'action d'une
excitation
périphérique. Nous avons vu un cas semblable da
plus confuses, plus éloignées, telles qu'on les obser- vait avant l'
excitation
. Dans cet ordre de faits, Mierzejewski cite le
n mau- vais goût en bouche, sente la « quinine » après une légère
excitation
, et fasse effort pour la cracher. La sensation ha
s une surexcitation qui provoque des hallucinations sous la moindre
excitation
d'un des organes sensoriels, à la périphérie il
» . La suggestion pure venait à son temps, isolément, sans aucune
excitation
périphérique, en simple suggestion à l'état de
s voix hallucinatoires, qui cessent un peu après la suspention de l'
excitation
, pour réapparaître avec elle. Observation II.
rovoquées facilement hier, ne se réveillent plus, quelle que soit l'
excitation
. Transféré à l'Asile clinique. Cet homme, L..
ur ne pas insister ici. La vue, le goût, l'ouie réa- gissent sous l'
excitation
périphérique. Celle-ci provoque et réveille aux
est vrai qu'au moment de l'injection, le malade sent une certaine
excitation
: il lui semble qu'il urine, qu'il marche mieux,
ion et l'exagération des hallucinations de l'ouïe correspondant aux
excitations
. A un moment de calme, nous appliquons nos main
tions apparaissent bientôt, bien plus intenses et nettes qu'avant l'
excitation
; elles disparaissent avec elle. C'est bien l'hy
Habitudes alcooliques depuis la jeunesse. - Alcoolisme subaigu avec
excitation
passagère ; hyperesthésie corti- cale gustative
jour, nous avons pu produire des hallucinations mul- tiples par les
excitations
périphériques ; ainsi par le procédé de Liepntu
tir « l'encens, oui, l'encens Les oreilles sont restées sourdes aux
excitations
externes, et la peau n'a pu réveilleraucune hul
les ne donnent rien. 1 G. L'olfaction seule est encore sensible à l'
excitation
, il sent « le citron... peut-être l'orange... »
s la cessation des hallucinations spontanées, nous pou- vons, par l'
excitation
périphérique, par la suggestion, pro- duire des
nos efforts restent sans résultats : il ne voit plus rien. Par l'
excitation
des globes oculaires, il voit « du feu... c'est b
l'appelle cochon ». La membrane olfactive n'est pas insensible à l'
excitation
périphéri- que, et nous pouvons éveiller la sen
r, mauvais, qu'il ne peut pas définir. L'olfaction est sensible à l'
excitation
: il sent du rhum, dit-il, mais du mauvais rhum
hallucinations. Voici ce que nous avons obtenu par les différentes
excitations
: Procédé de Llepmann. « Je vois, dit-il, une c
ssent avec la cessation de l'excitant. Nous faisons remarquer que l'
excitation
de la peau, le pincement a produit, au milieu des
t sur la tête et je me suis réveillé. » La vue réagit encore sous l'
excitation
périphé- rique, et il voit « un cheval blanc ».
lme maintenant, dort bien, et s'occupe un peu dans la journée ; les
excitations
des globes oculaires, de la membrane du tympan,
2 juin.-C... est très calme, aucun nerf sensoriel ne réagit sous l'
excitation
périphérique. Ce malade est intéressant à plusi
u ou, pour mieux dire, tous les centres sensoriels sont atteints. L'
excitation
de la vue, des oreilles, de la langue, du nez,
ions. D'après cette théorie, l'hallucination est le résultat de l'
excitation
pathologique des centres sensoriels de l'écorce.
st le savant qui pourra nous dire qu'il y a émission de pensée sans
excitation
quelconque d'une cellule cérébrale. Nulle idee
aux, il y a hallucination réelle. Ainsi, pas d'hallucination sans
excitation
des centres sen- soriels. Que cette excitation
d'hallucination sans excitation des centres sen- soriels. Que cette
excitation
vienne de la périphérie, qu'elle vienne des aut
uit d'un des centres sensoriels irrité. Mais de là à dire que les
excitations
mentales ont seules le monopole de produire des
y a bacille, cela suffit. Que l'hallucination soit provoquée par l'
excitation
mentale des centres sensoriels, ou par l'excita
provoquée par l'excitation mentale des centres sensoriels, ou par l'
excitation
périphé- rique, le résultat est le même : il y
ons périphériques ; et, hallu- cinations centrales, produites par l'
excitation
mentale. Les sensations que nous avons pu produ
el ou sensitif, des terminaisons nerveuses des organes des sens ; l'
excitation
est répercutée au centre, grossie par les cellu
même dans les hallucinations provoquées par la suggestion simple, l'
excitation
est périphérique, le point de départ est toujou
cas pareils, ils ont vu des hallucinations paraître par suite d'une
excitation
quel- conque. Nous avons eu dans le service de
s ces malades sont habituellement hallucinés. On ne peut dire que l'
excitation
peut, à elle seule, provoquer des hallucination
ons lentes et traînantes, il a constaté que la période latente de l'
excitation
corticale du muscle est, chez le nouveau-né, no
emande à s'effectuer la contraction musculaire, quand on pratique l'
excitation
sous-corticale. Le faisceau pyra- midal amyélin
ntres opti- ques ou à des troubles dans la conductibilité, mais à l'
excitation
produite par l'endroit lésé sur la nutrition de
et même kératite. Pas de névrite optique. Après cinq ou six jours d'
excitation
: hébétude, état semi-comateux. Cou moins rigid
ugmentation du tremblement, tachycardie, vomissements, agitation,
excitation
, diminution du volume de la langue et de la col
oid diminue. Au point de vue intellectuel, nous avons à relever l'
excitation
, les accès de colère inhabituels se substi- tua
lésions. Par suite du ramollissement de la scissure calcarine, les
excitations
optiques ne peuvent plus être conduites dans l'
gauche (centre auditif du langage) étant lésé, le rapport entre les
excitations
optiques qui arrivent dans l'hémisphère gauche
rce que ses centres visuels droit et gauche ne peuvent conduire des
excitations
au centre auditif de la parole. La lésion du ta
ire, provoquera un accès d'épilepsie ; fréquemment même, une simple
excitation
mécanique, le contact de l'écorce par une épong
leur entrée en jeu dans les affections cérébrales, soit par arrêt d'
excitations
modéra- trices, soit par action des faisceaux e
ne n'existe plus, les crises peuvent réparai Ire sous l'influence d'
excitations
insignifiantes. Il est probable que la présence
il demeura inconscient pendant deux heures. Au réveil il fut pris d'
excitation
maniaque. Il se plaignait d'une céphalalgie con
re jours. eut plusieurs attaques de manie plus douce que la moindre
excitation
suffisait à provoquer. Il était fort agité la n
légers, et aboutissant à des hallu- cinations et à des phénomènes d'
excitation
: aggravation de ces symptômes au moment des rè
donne tout au moins d'importantes améliorations. H. 11. C.. XXIV.
Excitation
maniaque intense consécutive A l'administration
gr. 20. Elle fut alors prise d'une SOCIÉTÉS SAVANTES. 79 crise d'
excitation
d'une intensité extrême ; il fallait plusieurs pe
IQUE MENTALE. tout à fait en dehors des conditions habituelles de l'
excitation
sensorielle normale, et l'illusion comme une er
entre sensoriel, pourraient l'irriter et agir sur lui comme cause d'
excitation
. Dans ces cas l'hallucination serait considérée
du centre contenant l'image hallucinatoire soit mise en jeu par une
excitation
des nerfs sensitifs-périphériques. Il s'agit al
rpentier sur l'emploi du condensateur pour régler- l'intensité de l'
excitation
faradique des nerfs en physiologie. En plaçant
En plaçant un condensateur de capacité connue sur le trajet de l'
excitation
induite monopolaire ou bipolaire, on a un moyen d
citation induite monopolaire ou bipolaire, on a un moyen de roder l'
excitation
plus avantageux que celui basé sur l'écart des
une valeur déterminée de la capacité du condensateur un optimum d'
excitation
. M. le Dr Giltay (de Marseille) propose pour la
le obtenue par rayonnement s'élèvent progressivement à mesure que l'
excitation
augmente, mais seulement jusqu'à un certain max
ement jusqu'à un certain maximum qui est atteint avant le maximum d'
excitation
. Archives, 2° série, t. I. 8 114 Il REVUE d'é
st en effet un élément très important pour juger de la valeur d'une
excitation
et comme il est très facile d'en connaître la v
ance dans le circuit parcouru par le courant galvanique affaiblit l'
excitation
du nerf ou du muscle à la fermeture du courant
Science, juillet 1895.) Cas intéressant dans lequel des symptômes d'
excitation
ma- niaque se sont manifestés d'une manière ext
ue mental, le passage brusque, presque violent d'un état prolongé d'
excitation
maniaque avec idées d'exaltation, d'une conduit
alcooliques provoquées peuvent nous aider à comprendre le rôle de l'
excitation
des organes des sens dans la production des hal
une tendance à amplifier, objectiver et altérer les images nées des
excitations
sensorielles internes et externes. XXIV. Contri
etc., et alors curable. Cet état, caractérisé par l'abolition de l'
excitation
et l'absence d'activité spontanée, quelquefois
malade ne fût pas un buveur. Dans la seconde forme les symptômes d'
excitation
maniaque passent au premier plan. Tantôt il s'a
strer ces divers phénomènes. L'épilepsie corticale délerminée par l'
excitation
électrique reproduit d'une façon fidèle les réact
ébuté par des actes bizarres, de l'inco- hérence du langage et de l'
excitation
bruyante. La malade a des aliénés dans sa famil
lligence au moins moyenne, son éducation au-dessus de la moyenne. L'
excitation
a augmenté allant jusqu'à la violence dans les
lution sigmoïde, à l'extrémité antéro-externe du deuxième sillon. L'
excitation
de l'extrémité antéro-externe de la deuxième ci
ns DE divers nerfs ou DE leurs terminaisons A L'éc \Rd d'une même
excitation
; pal' 111.LEVy-DoR¡'¡. (Centralbl. f. Ne1'venheil
fâcheuse peut être supprimée par l'ablation de l'organe d'où part l'
excitation
. Ce n'est que dans des cas exceptionnels qu'il
surtout le massage. Mais dans les cas graves d'hystéro-épilepsie, d'
excitation
maniaque avec idées de suicide, il faut interve
HÉRAPEUTIQUE. 239 des idées de persécution et des états passagers d'
excitation
. Chez l'une on constatait de l'hémianesthésie.
ttaques augmentèrent même de fréquence, ce qu'il faut attribuer à l'
excitation
réflexe déterminée par les suites de l'opération.
'une femme de vingt-deux ans, non hystérique, sujette à des accès d'
excitation
maniaque que la menstruation activait. La guéri
, la menstruation redevient très douloureuse et provoque un accès d'
excitation
. Internée de nouveau à l'asile, on lui fait l'a
Elle ne présentait d'ailleurs aucune trace de syphilis. , A cette
excitation
maniaque qui persiste pendant environ une année
roubles de la sensibilité générale. Mais, après avoir présenté de l'
excitation
maniaque, elle est tombée peu à peu dans l'espa
u loucher sur le milieu de sa moitié droite elle répondait mal il l'
excitation
faradique. Le raphé de la partie -molle de la v
minutes ou dépasser une heure. Ils augmentent sous l'influence de l'
excitation
mentale ou de l'attention. Les contractions muscu
es accès d'épilepsie partielle qui se produiraient à la suite d'une
excitation
cérébrale limitée et circonscrite. M. Zucarelli
es motrices que les fibres sensitives, celles-ci réagissant par une
excitation
douloureuse plus ou moins vive. Il n'est pas ra
. Depuis l'âge de douzeans, A... éprouve à la vue d'un mouchoir une
excitation
génitale particulière suivie d'érection. Dès qu
e revêtement bizarre déterminait aussitôt l'érection. Avec l'âge, l'
excitation
produite par le mouchoir n'a plus suffi à réveill
manifeste de l'excita- tion intermittente, puis peu à peu l'état d'
excitation
devient per- manent avec des paroxysmes fréquen
aisser soigner. Les moyens de contention sont aussitôt supprimés. L'
excitation
a disparu, le syllogisme et la mémoire sont int
pendant les derniers jours.Trans- fert à l'infirmerie. T. 38°,8. L'
excitation
reste très violente. Refus absolu de toute espè
e spasmodique; elles sont aussi plus rapprochées et plus longues. L'
excitation
maniaque prédomine, dans la forme spasmodique,
dres mentaux. R. M.-C. XXXVI. UN cas d'ecchymoses accompagnant DE l'
excitation
délirante; par W. R. DAWSON, (The journul of me
c hallucinations et ayant présenté à diverses reprises des crises d'
excitation
, dont les der- nières (depuis avril 1894) ont é
galement inadmissible la coïnci- dence invariable avec les crises d'
excitation
. Il ne reste donc à invoquer comme causes proba
n élémentaire, et des centres sous-corticaux chargés d'élaborer les
excitations
centrifuges (H. Sachs), l'image commémorative d
1893.) Expériences sur les chiens et les chats. Conclusions. - L'
excitation
des centres corticaux du cerveau jeu REVUE DE P
otubérance et bulbe) pourront provoquer l'épilepsie, dans les cas d'
excitation
mécanique de la protubérance, de com- motion cé
ntoxication, mais il faut que l'écorce inter- vienne, car c'est son
excitation
qui imprime aux convulsions le caractère épilep
iniens (lacunes du champ visuel) en même temps qu'il se produit des
excitations
anormales (phénomènes lumineux subjectifs, scot
uence. Plus tard, les muscles s'atrophient et ne répondent plus à l'
excitation
, même quand la fonction est rétablie. LWOFF.
er-Fechner établit les rapports de grandeur entre la sensation et l'
excitation
: la première est fonction logarithmique de la
DE PHYSIOLOGIE pathologiques. jnulus externe, cause objective de l'
excitation
; 2° l'excitation in- terne ou modification mat
thologiques. jnulus externe, cause objective de l'excitation ; 2° l'
excitation
in- terne ou modification matérielle produite d
s'accompagne d'oxydation et désinté- - gration a'.omique, donc une
excitation
non suivie d'effet réflexe, mais enregistrant u
e bel exemple rapporté par l'auteur, de ce jeune homme chez qui l'
excitation
génitale se développait à l'idée de manger un mor
(hommes et femmes) qui ont besoin d'être isolés, ou que leur état d'
excitation
empêche de vivre dans les pavillons des sujets
Certificat du Dr Magnan (20 février 1887) : « Débilité mentale avec
excitation
passagère; ankylose du genou droit. » Certifica
'on se rend compte, par elles, des effets positifs ou négatifs de l'
excitation
électrique ou de la destruction des régions qui
n du faisceau cérébelleux dans les cordons latéraux de la moelle. L'
excitation
de ce faisceau dans la région du vermis, et à l
probablement en rapport avec un trouble vaso-moteur dépendant de l'
excitation
du symphatique. Le fait se rencontre plutôt dan
augmentation de la quantité du lait, en ajoutant à l'action due à l'
excitation
du sympathique celle des fibres musculaires lis
llen, 140. - mentales et nerveuses, par Witwell, 353. Maniaque.
Excitation
due au salicylate de soude, par Hobinson, 78.
gieux à évolution chronique, etc., obs. XXXIII, p. 190 et suiv. 5
Excitation
cérébrale, délire ambitieux et mystique à forme r
dies mentales en cinq groupes : étals de dépression mentale états d'
excitation
mentale folies inter- mittentes états d'affaibl
te-quatre an<, dégénéré, ayant été interné à plusieurs fois pour
excitation
mania- que, ayant eu, à diverses reprises des c
blies, des hallucinations de la vue et de l'ouie, bientôt suivies d'
excitation
générale, puis d'agitation avec gesticulation.
g comprend ce que l'on désignerait en France de la façon suivante :
Excitation
maniaque avec hallucinations et confusion menta
ns lequel on observe successi- vement la dépression mélancolique, l'
excitation
maniaque, la stu- peur, la folie intermittente
. Ferrier et Exner avaient vu, comme Tambu- rini et Tripier, soit l'
excitation
expérimentale, soit les lésions, irritatives ou
ou spéciale, déterminer des réactions motrices et, inverse- ment, l'
excitation
ou les lésions des zones motrices, provoquer des
Lorsque les cellules de l'écorce du cerveau antérieur perçoiventles
excitations
externes, cette écorce, Meynert la compare d'or
reil périphérique des sens et de la répétition d'un mode uniforme d'
excitation
. Si la fonction des éléments nerveux d'un de ce
t que le prolongement d'une cellule nerveuse et la transmission des
excitations
de cellules à cellules ne se propageait que par
ait un postulat phy- siologique. Pour expliquer la transmission des
excitations
, il n'est point nécessaire que les ramification
hériques des nerfs du deuxième type de Golgi, le point initial de l'
excitation
sensible est une cellule épithéliale, une cellule
le réseau nerveux central de l'écorce ; 2° par la propagation de l'
excitation
dans ce réseau ; 3° par la transmission des exc
agation de l'excitation dans ce réseau ; 3° par la transmission des
excitations
jusqu'aux fins ramuscules latéraux des tubes ne
être considérée comme condition sine qua non de la transmission des
excitations
entre les unes et les autres ». Du reste, outre
», des provinces aux vagues confins, en partie superposées, dont l'
excitation
prédominante ou élective pro- voque des réactio
sième que l'auteur désigne sous le nom de cellule intercalaire. L'
excitation
partie de l'écorce ne se transmet pas non plus
ntre les prolon- gements de diverses cellules; elles transmettent l'
excitation
de telles cellules à telles autres cellules. Ch
sinage. Chaque neurone ou anneau d'un tractus nerveux développe des
excitations
nerveuses par modifications moléculaires, chacu
la décharge d'un élément sur l'autre, laquelle décharge développe l'
excitation
des éléments suivants. Le courant nerveux en ma
ns suivant le degré de résistance qu'offrirontàla transmission de l'
excitation
nerveuse tels ou tels neurones. Ainsi se produit
seulement les appareils épithéliaux périphé- riques, transmettent l'
excitation
de l'agent extérieur, non seule- ment ils prése
non seule- ment ils préserventles éléments nerveux conducteurs de l'
excitation
, mais ils jouent encore un rôle dans la différe
nt encore un rôle dans la différenciation qualitative des multiples
excitations
extérieures ; ils transforment l'excitant extér
erveuse. Selon l'organisation de l'appareil périphérique, il y aura
excitation
mé- canique ou chimique, avec variantes, des ex
périphériques; elles dépendent des particularités différentes de l'
excitation
ner- veuse qui se rend aux centres ; c'est-à-di
itation ner- veuse qui se rend aux centres ; c'est-à-dire que : les
excitations
nerveuses engendrées à la périphérie ont déjà l
chatouillement de la plante des pieds; - les mouvements du coït par
excitation
du gland - ceux du sphincter anal (réflexe anal
ne à Villejuif. - Un jeune homme enfermé pour mélancolie et accès d'
excitation
par intervalles, sort de l'asile guéri, selon l
s sous 164 PATHOLOGIE MENTALE. forme hallucinatoire en vertu de l'
excitation
que produit en ses centres cérébraux une maladi
r le moment, c'est que, lorsque, par ces circonstances spéciales, l'
excitation
est portée auxdits centres et les images éveill
înement ininterrompu de périodes de dépression mélancolique, puis d'
excitation
maniaque avec des rémittences plus ou moins lon
énérés sont de mauvais accumulateurs, ils ne capitalisent pas leurs
excitations
psycho-sensorielles mais les transforment rapid
l existe un rapport presque constant entre la folie religieuse et l'
excitation
sexuelle à tel point qu'on pourrait croire que
nt particulièrement douloureux, comme dans la démonomélancolie. L'
excitation
génésique et les préoccupations mystiques coexi
que la moindre impression extérieure déter- mine chez eux un état d'
excitation
. Enfiu M. Clouston constate en terminant que s'
ntré que dans la manie, comme dans la mélancolie ou la démence avec
excitation
, les symptômes se rattachaient à la continuité
ois leur usage continu est utile contre la violence des crises et l'
excitation
qui les accompagne, mais il ne paraît aucunement
vent avant et après les attaques d'épilepsie. Sauf le cas d'extrême
excitation
ou de maladie intercurrente, la fréquence des a
empreinte caractéristique se traduit le plus souvent par un état d'
excitation
, d'irrégularité et d'inquiétude qu'il faut prob
conclusion qu'elles ne dérivent pas purement et sim- plement d'une
excitation
morbide des centres sensorio-moteurs; mais qu'e
ongé à considérer ces hallucinations comme le résultât d'une simple
excitation
des centres sensorio- moteurs. Nous avons essay
rès complexe et nous avons insisté autre part sur ce point que si l'
excitation
des centres corticaux était une condition néces
ur de la détention, hallucination de l'ouïe (reproches et menaces),
excitation
, anxiété, idées de persécution. Transféré à l'a
u'il peut y avoir anosmie à divers degrés. On a observé aussi 2 une
excitation
morbide avec perversion de l'odorat, d'où résul
se de la moelle épinière : mais la décharge nerveuse résultant de l'
excitation
transmise par la cellule à ;on prolongement ner
s mouvements limités à cer- tains groupes de muscles que provoque l'
excitation
mécanique, chi- mique ou électrique de l'écorce
ion mécanique, chi- mique ou électrique de l'écorce cérébrale : les
excitations
dif- fusées dans la zone moléculaire agiraient
un réseau de spongioplasma achromatique ces fibrilles, conduisant l'
excitation
sont les unes longitudinales, les autres horizo
ellules pyramidales recueillent, grâce à leur extrême longueur, les
excitations
ner- veuses des régions les plus diverses au mo
e soit ce nombre d'éléments des sens directe- ment impressionnés, l'
excitation
qui en part et qui se propage jusqu'au cerveau
trer l'activité psychique sur un champ limité de représentations, l'
excitation
du graudsympatbiqueseraitici peu efficace. En eff
ne tunique musculaire, ne peuvent provoquer, sous l'influence d'une
excitation
du grand sympathique, que des congestions éten-
ccompagne un réflexe de défense ou de prophy- laxie suscité par une
excitation
intense menaçant l'existence d'une partie de no
atomique détaillée du sympathique cervical, M. P. Riche considère l'
excitation
de ce sympathique par un goitre quelconque, sou
tonus à la substance protoplas- mique des neurones périphériques. L'
excitation
, parvenue aux cellules de l'écorce cérébrale pa
l'intermédiaire de ses cellules ganglionnaires, la rétine envoie l'
excitation
au corps genouillé externe; là les cel- lules i
tétanisation persiste, tant après l'ouverture du courant qu'après l'
excitation
galvanique erratique, de même qu'à la suite de
après l'excitation galvanique erratique, de même qu'à la suite de l'
excitation
faradique répétée. Ces con- vulsions se limiten
ire par des phénomènes de démence plutôt que par des phénomènes d'
excitation
mentale. Il faut encore remarquer dans ce curieux
, douleurs fulgurantes, perte des réflexes. A vingt-six ans accès d'
excitation
, troubles de la parole, tremblement fibrillaire
ériode prodromique, certains phé- nomènes de nature expansive, de l'
excitation
cérébrale, de l'irasci- bilité, des accès d'act
sig. Chez deux sujets les injections déterminèrent des phénomènes d'
excitation
. L'état mental des individus soumis au traiteme
s'accompagne pas de folie épileptique. 4° L'épilepsie réflexe, par
excitation
périphérique (cicatrices). 5° L'épilepsie consé
orie. Rarement le rapport est renversé ; 3° avant ou après l'accès,
excitation
violente sous forme de manie qué1'ulante. Pas d
es meurtres, etc. 4° Les psychoses chroniques épileptiques, états d'
excitation
ou de stupeur pouvant durer des mois et des ann
s remarquables (rémissions survenant de préférence dans les états d'
excitation
). On observe également, dans la catatonie, des
ÉTÉS SAVANTES. 397 des phénomènes convulsifs qui dénotent un état d'
excitation
du cerveau. L'auteur résume ainsi ses opinion
apathiques et réagissaient d'une façon nonchalante en présence des
excitations
du monde extérieur; la plupart s'orien- taient
rès excitables par intervalles; parfois se produisaient des accès d'
excitation
, surtout en rapport avec les attaques. L'autops
tance des cellules motrices par le repos, l'activité, la fatigue. L'
excitation
des cellules par le courant faradique a seule d
e a une structure fibrillaire (appa- reils de conductibilité pour l'
excitation
nerveuse) ; 3° la substance chromatophile offre
8 SOCIÉTÉS savantes. la base physiologique de ces processus. Chaque
excitation
qui agit sur les nerfs périphériques de la sens
ité spinale se traduisait encore par un manque absolu de sommeil, une
excitation
génitale et des pertes séminales très fréquentes.
se qui se produit par quintes prolongées, elle est due sans doute a l'
excitation
accrue des filets centripètes du nerf vague qui,
la vie animale à entrer en contraction sous l'influence d'une simple
excitation
mécanique. L'excitation peut être portée d'aill
n contraction sous l'influence d'une simple excitation mécanique. L'
excitation
peut être portée d'ailleurs sur le tendon, sur le
ou en frottant, même légèrement, pour provoquer une contraction. Si l'
excitation
est un peu forte et prolongée, la contraction se
t rompu, il ne donne aucun signe d'intelligence et ne répond à aucune
excitation
venue du dehors. Les réflexes sont abolis, l'hy
L'anesthésie est complète, le tégument externe reste insensible aux
excitations
les plus vives. Le troisième état hypnotique cl
due à l'excitabilité neuro-musculaire, en ce qu'elle ne cède pas à l'
excitation
des muscles antagonistes, tandis qu'elle cède, tr
tes, tandis qu'elle cède, très facilement, sous l'influence des mêmes
excitations
cutanées faibles qui l'ont fait naître. Remarqu
complexes. Après la crise, l'état du sujet change complètement, l'
excitation
est remplacée par un épuisement considérable du s
fatigue de ses centres nerveux non seulement par l'ébranlement dû à l'
excitation
génésique, mais par la représentation violente de
les cas. L'acuité de cette représentation correspond à l'acuité de l'
excitation
génésique, la tension neurique et psychique attei
en sens contraire. 2° Eveiller la conscience et transformer, par des
excitations
extérieures, une perception inconsciente en perce
ique, qui ne se réalisent qu'entre les limites d'une certaine force d'
excitation
maxima et minima, de même les sensations internes
une grande facilité, chez certaines organisations spéciales, par des
excitations
de nature très différentes, viscérales, sensi-tiv
vement de jambes ayant pour effet de soumettre certains organes à une
excitation
continuelle. La machine coupable fut supprimée, e
large part. Tout agent qui actionne les centres nerveux, soit par une
excitation
violente mais subite, provoque la fatigue par déc
s les impulsifs ont du « prurit musculaire » qui les pousse à agir, l'
excitation
leur est nécessaire, aussi presque tous ont une g
actéristique ; dirigée vers les organes génitaux, l'action provoque l'
excitation
de sens génésique. 6° Cette influence inconnue
ait remarquer que la vie en plein air, l'exercice, l'absence de toute
excitation
ou surmenage mental, la rareté de l'alcoo- li
l produit la cécité, soit entière, soit partielle des couleurs. L'
excitation
maladive amène les hallucinations. />) Le se
satisfaction le plus souvent qu'il put. Après quelque temps de cette
excitation
malsaine, il sentit un jour, à la récréation de s
urent cinq ou six mois après le début du traitement, à mesure que ses
excitations
amoureuses se modérèrent. Il eut, avec la dispari
de l'union sexuelle qu'on a appelée cependant epilepsia brevis. Cette
excitation
factice augmente peu à peu et arrive à son maximu
. La période cérébrale est caractérisée au début, après une phase d'
excitation
préalable, par l'abolition de la conscience, le m
certains même, donnés en quantité minime, produisent des phénomènes d'
excitation
. Ainsi l'éther, employé comme anesthésique en chi
oral est le médicament hypnogénique par excellence ; les phénomènes d'
excitation
ne se produisent qu'à doses minimes. A la dose de
ium est le plus employé de tous ; le camphre diminue les phénomènes d'
excitation
du système nerveux; il secondera par conséquent l
, l'hypnose ou la narcose, et même, à petites doses, des phénomènes d'
excitation
cérébrale. Je vous ai dit, tout à l'heure, la dif
résultant de troubles circulatoires. Lorsque l'insomnie est due à l'
excitation
des centres médullaires, il faut encore recourir
les opiacés. Lorsqu'il s'agit d'une lésion bulbaire produisant une
excitation
dont l'aboutissant est l'insomnie, il faut donner
s modérateurs de l'action nerveuse, trouveront leur emploi. Certaines
excitations
vasculaires sont susceptibles de faire varier la
é et la conduction nerveuses ; voici ses réflexions sur ce fait que l'
excitation
provoquée au milieu d'un nerf se propage dans les
s cellules sécrétantes. Mais nous comprenons plus difficilement que l'
excitation
appliquée au milieu d'un nerf moteur (par exemple
fs centrifugés il y ait une disposition inconnue encore qui empêche l'
excitation
de se communiquer aux centres, une espèce de soup
n de se communiquer aux centres, une espèce de soupape permettant à l'
excitation
de se propager en sens centrifuge, et l'arrêtant
microscope par l'absence d'oxygène et l'excès.d'acide carbonique. Les
excitations
faibles portées sur les nerfs sensibles provoquen
xes, mais ne passent pas dans les cellules de l'écorce cérébrale; des
excitations
plus fortes amènent l'allongement des ramificatio
etéloignementdes ramifications pseudo-poodiques. Mais de même que des
excitations
particulières violentes ou non habituelles amènen
lentes ou non habituelles amènent l'amibe à se rétracter, de même des
excitations
spéciales produiront larétraction des pseudopodes
dante (actes d'inhibition, chorée de l'interférence nerveuse), et des
excitations
violentes, anormales, par le même mécanisme, prod
i ranime leur modalité engourdie; l'influx cérébral arrive, par cette
excitation
dynamogénique, à se frayer une voie jusqu'aux cel
le réception des impressions extérieures n'est pas absolue. Certaines
excitations
externes arrivent jusqu'au cerveau et y détermine
ndie, de volcan en éruption ou d'éclairs et d'orage. D'autres fois, l'
excitation
produit le réveil. Ces phénomènes s'expliquent
e entre les ramifications écartées n'est pas devenue si grande qu'une
excitation
intense ne puisse la franchir; du neurone sensiti
ou tel organe des sens, selon l'état du sujet. C'est pourquoi telles
excitations
sont plus aptes que telles autres à provoquer le
il de la moelle et du bulbe est comme le début, il faudra trouver une
excitation
capable de réveiller ces centres inférieurs ; ce
ler ces centres inférieurs ; ce ne sera pas l'intensité même de cette
excitation
qui la rendra efficace, ce sera sa nature, ce ser
ou isolent leurs prolongements de protoplasma pour se soustraire aux
excitations
et jouir du repos réparateur. Mais certainement,
des alternatives de travail et de repos. Cependant on peut, par des
excitations
intenses et prolongées, forcer cette glande à séc
tenses et prolongées, forcer cette glande à sécréter longtemps; par l'
excitation
de la corde du tympan, on prolonge pendant dix et
os ; en présence d'un travail urgent à terminer, nous multiplions les
excitations
externes et internes (boissons excitantes); il fa
es des neurones sensitifs centraux sont sans cesse sollicités par les
excitations
qu'apportent les neurones périphériques; ces prol
s cylindraxiles des neurones afférents, et vont à la recherche de ces
excitations
, comme les prolongements libres des cellules olfa
ste-t-il dans l'oscillation de ces tentacules qui vont recueillir les
excitations
en se mettant au contact tantôt de telle ramifica
logique. Si le réveil est brusque, sous l'influence d'une énergique
excitation
d'un organe des sens, c'est d'abord dans le domai
fet d'exagérer sa jalousie. Arrivé au paroxysme de la passion et de l'
excitation
, il avait pris la résolution de se porter sur sa
se suicider. Pour se confirmer dans ses résolutions, il cherchait des
excitations
dans l'usage immodéré de l'alcool, et il s'enivra
porte sur-le temps perdu. ' t i ? 1 1 \ .. \ ,l(j On sait qu'une
excitation
ne, produit, pas, immédia- tement la secousse.
a- tement la secousse. Celle-ci est,précédée d'une'période dite d'
excitation
latente : c'est le temps perdu du muscle, temps
ême membre, ceux-ci' réagissent différemment sous l'influence d'une
excitation
élec- trique 'identique. De l'exposé précéden
un' certain nombre de muscles se contractant sous l'influence d'une
excitation
médullaire. Si l'un -d'eux aune tonicité moindr
? a .,mu4 u i, t.â-' . qu'il existe un tonus musculaire, dû, à une
excitation
'fit ? » 'Ih 11 ? 1111''11' ' , e : 1Jl"" J'I')
être dans le degré de la lésion ; Icelle-ci déterminant d'abord une
excitation
, des fibres de sensibilité, d'où douleurs fulgu
avec sa paralysie, ni même avec sa parésie. Sous l'influence d'une
excitation
nerveuse faible, le muscle dont le tonus est di
nergique- ment que le muscle normal, mais sous l'influence d'une'
excitation
-^forte,' il.se contracte très énergiquement, e
rons, fera mieux comprendre notre pensée. En un mot, l'origine de l'
excitation
sera différente dans l'un et l'autre cas, mais
e précé- dente, et supposons un mouvement pour lequel il faut une
excitation
nerveuse produisant une force muscu- laire 10;
paralytique agité ; d'autres fois , dépassant cette limite, avec l'
excitation
l'alcool provoque des illusions, quelques hallu
continu, mais, par moments, il devient plus actif et s'accompagne d'
excitation
. En 1876, elle prétend que tout le monde s'occu
ons par intervalles irréguliers. C'est à la suite d'une période d'
excitation
avec prédomi- nance d'idées mélancoliques que l
is que des abus s'exagèrent ou qu'intervient une cause quelconque d'
excitation
. Les faits qui précèdent, malgré leur complexit
sité sur l'avant-bras paralysé. Les muscles répondent très bien à l'
excitation
. La peau, d'abord complètement insensible, devi
ortes de déviations conju- guées des yeux : 1° Les déviations par
excitation
fonctionnelle, qui se font du même côté que la
la sensibilité, elle est égale des deux côtés, à tous les moyens d'
excitation
, y compris la faradisation. Chose curieuse, ell
le voisinage de la cicatrice de l'extir- pation, des points dont l'
excitation
électrique détermine des mouvements de parties
s ces points varient de situation suivant les individus. Pourtant l'
excitation
des parties isolées n'est pas toujours pos- sib
rties isolées n'est pas toujours pos- sible, car souvent la moindre
excitation
électrique de certain point détermine une secou
. 4° Après des destructions étendues, on ne réussit jamais, par l'
excitation
électrique de l'écorce, à provoquer le mouve- m
tions très larges de la zone motrice d'un hémisphère, obtenir par l'
excitation
électrique faible, des points moteurs intacts d
principale, puisque pour les pro- ductions de tout acte moteur, une
excitation
des centres de l'écorce est nécessaire. Comme l
formes mor- bides qu'il a observées ont été l'affaiblissement ou l'
excitation
intellectuels, un état de dépression allant que
iles dont les malades sont sans instruc- tion ; 2° qu'une période d'
excitation
survenant chez un jeune homme par excès de trav
HOLOGIE INTERNE. ? 1 l ? 'rAC ! On voit, par ce tracé, qu'une seule
excitation
, du biceps se traduit par une courl;ebigém'néel
LI"'1J III - caf) .' : : »'1 t¡ I : i' Le premier sommet est dû à l'
excitation
électrique du biceps; le second, à l'excitation
r sommet est dû à l'excitation électrique du biceps; le second, à l'
excitation
réflexe produite.par la contraction du triceps.
deuxième sommet'de la courbe. On peut encore définir cette série d'
excitations
réciproques en disant que : la contraction init
iee'eacri ? A : 'do'uble secousse du biceps provoquée par une seule
excitation
induite de ce muscle ; - B, secousse simple (ré
; - B, secousse simple (réllexe) du biceps provoquée par une seule
excitation
du triceps. q l,¿O b Il r \s \ ,' U3JOO PATHO
contraire l'extrémité du style inscripteur. On porte ensuite une
excitation
;, induite d'ouverture sur le muscle gastro- cné
intenant l'élongation directe par une r y . ,t ., ? <-' . tu ?
excitation
électrique portée sur le muscle, antagoniste, a
ce élas- . 1 ? ' tlT tique est considérablement accrue, une seule
excitation
. ' t l . I, 1 électrique du biceps va nous f
uscle ? B, secousses multiples du biceps provo- quées par une seule
excitation
portée sur le triceps. : . PATHOGÉNIE DES TREMB
gine qu'elle est morte; elle entend les cloches; ace moment, légère
excitation
,' impatience ; elle donne un soufflet à\la filf
te d'hystérie et pré- sentant une hémianesthésie bien nette; ni les
excitations
dou- loureuses les plus fortes, ni les impressi
après avoir subi au contact des vapeurs chloroformiques une légère
excitation
, perdent successivement leurs propriétés, et co
expliquer les paralysies dites ré- flexes : jamais Treub n'a vu une
excitation
portée à la péri- phérie d'un nerf, si énergiqu
citable, indirectement (nou- velle piqûre ) ni par action réflexe (
excitation
du bout cen- tral du nerf dépresseur du même cô
tion du bout cen- tral du nerf dépresseur du même côté). C. Après
excitation
et paralysie consécutive de l'un des deux centr
directement (par piqûre du centre intact), soit par action réflexe (
excitation
du bout central du nerf dépresseur du côté sain
e nerfs dorsaux; 2° L'hyperglycémie et la glycosurie résultant de l'
excitation
faradique des boutscentraux des nerfs vagues ch
erfs dorsaux supprime l'effet, sur la circulation abdominale, des
excitations
des bouts centraux des nerfs vagues et des nerfs
ndant A S Z égalait presque K S Z. L' Il Il . 1'. d. l. d dl ? l ^
excitation
faradique et galvanique du tronc du facial, au-
nscience, ni par un dédoublement de la person-' nalité, ni par de l'
excitation
intellectuelle,- des hallucinations, REVUE DE P
nt constaté ce fait en employant une lame de platine polarisée ou l'
excitation
unipolaire d'une pile ordinaire ou d'une pile d
iphérique de chacun de ces nerfs, voici ce que l'on observe : 1 °
Excitation
du bout périphérique du nerf grand hypoglosse.
au saillant comparable à une dilatation vasculaire variqueuse. 2°
Excitation
du bout périphérique du nerf glosso-pharyn- gie
suite de la piqûre du bulbe, d'une hémor- rhagie du plancher, d'une
excitation
du bout périphérique bien isolé de certains ner
s cutanées, les lésions cardiaques. Dans ces diverses conditions, l'
excitation
partie de la surface de l'endocarde, des termin
raux intracor- tical et spinal, exaltation déterminée par certaines
excitations
; (chaleur, électricité, magnétisme, excitations
minée par certaines excitations; (chaleur, électricité, magnétisme,
excitations
acoustiques). Ainsi s'explique la susceptibilit
font a fait aussi des dosages de sucre dans le sang) produite par l'
excitation
faradique des bouts centraux des nerfs vagues c
ières paires dor- sales supprime l'effet sur la vascularisation des
excitations
des bouts centraux, des vagues et des nerfs dép
pprime aussi l'effet de la piqûre du quatrième ven- tricule. 3° L'
excitation
des bouts périphériques de la première paire do
on de ces fibres; elles deviennent hyperexcitables. Dès lors, toute
excitation
partie du cerveau à destination des centres spi
vocatrice du spasme dans les membres du côté paralysé réside dans l'
excitation
corticale transmise aux cornes antérieures, de
de relâchement complet. Ensuite, il est inexact de prétendre que l'
excitation
circonscrite de certains centres médullaires du
règle. Enfin, si la contracture des hémiplégiques résultait d'une
excitation
cérébrale par association, on devrait voir toujou
t toujours là, incurable, l'état spasmodique reste imminent; qu'une
excitation
un peu violente survienne, et aussitôt la contr
ettes de papier, tandis qu'à divers moments, notamment à la suite d'
excitation
, on observe une turbulence immodérée, caractéri
ne inspiration forcée; ceci d'ailleurs n'appartient qu'aux phases d'
excitation
. - Rien'du côté de la sensibilité. Fonctions et
agération des réflexes, spinaux qui se produisent soit à la suite d'
excitations
cutanées soit consécutivement à des con- tracti
° l'opiomanie qui, quelquefois, alternerait avec l'ivro- gnerie ; l'
excitation
passagère produite par l'opium serait un attrai
rouement- donnent une idée de leur intensité. Aux époques de grande
excitation
mentale se montrait un délire fixe spécial, car
ant l'état de rêve ou chez l'aliéné ; c'est-à-dire que de pareilles
excitations
exercent une influence concernant la forme et l
de rémission intermédiaire aux accès alternatifs de dépression et d'
excitation
. Le principal intérêt de cette observation rési
de cette observation réside dans la grande analogie entre l'accès d'
excitation
et la première période d'exaltation fonctionnel
ment. A 40 ans, accès de mélancolie durant trois mois; à 45 ans;
excitation
maniaque, délire ambitieux, diffus, et in- cohé
acultés intellectuelles ne sont susceptibles que de dépression ou d'
excitation
, jamais de perversion, les facultés morales seu
tème nerveux et en particulier l'hyosciamine dans les formes avec
excitation
. Les conditions d'entourage auraient aussi une pa
leur place l'hémiplégie avec contracture latente qui, à la première
excitation
suffisamment intense, deviendra une contracture
lles peuvent devenir réelles à la suite de traumatismes ou de toute
excitation
vive, telle qu'une fara- disation inopportune.
dre réflexe, comme on les voit survenir fréquemment à la suite de l'
excitation
douloureuse des nerfs sensitifs ou des racines
l'hypoglosse et le lingual (Vu)pian) ont mis hors de doute que les
excitations
produites sur un point quelconque d'une fibre ner
fiir ICinde2heillu7de, t. XIII, p. 227, t878) : l'exagération de l'
excitation
galvanique des premiers jours faisant bientôt pla
t laps de temps. Il faut en outre prendre en considération l'état d'
excitation
, la nature de'l'affection cérébrale, l'épuise-
es granulations rencontrées dans les ventri- cules latéraux et de l'
excitation
temporaire du pont de Varole (disparition de ce
asculaire, l'augmentation de volume; une autre hypothèse concerne l'
excitation
des centres; vaso-dilatateurs correspondant à c
ue avec myosis-et immobilité réflexe, est réveillé par une double
excitation
. On l'appelle et on lui pince la peau; les pupill
, l'irritation de la peau par un courant faradique, le pincement, l'
excitation
électrique du sympathique cervical, déterminent
Dans le casau contraire où laréaction pupillaire est conservée, l'
excitation
cutanée provoque la dilatation pupillaire aussi b
é par Erb est donc correct; il s'applique aussi bien au réflexe par
excitation
cutanée que par excitation lumineuse, à la cont
il s'applique aussi bien au réflexe par excitation cutanée que par
excitation
lumineuse, à la contraction qu'à la dilatation
elle de chaque hémisphère cérébral et de l'influence du degré des
excitations
périphériques sur le degré des manifestations fon
L'acte habitue] amène la disparition des courants dérivés A' A" ; l'
excitation
de la cellule A amène encore, de suite, celle de
ion d'autres sensations consécutives. La durée et la persistance de l'
excitation
cellulaire sous l'influence d'une sensation const
Il décrit ainsi les sensations du cocaïnomane : D'abord c'est une
excitation
indescriptible avec l'idée de faire quelque chose
ilepsie ou de la fièvre typhoïde ; « 2° Les passes magnétiques, les
excitations
faibles de toute nature, agissent aussi bien, et
60 du Code pénal, par cela seul qu'il y a eu emploi de suggestions ou
excitations
dolosives adressées à des personnes appelées à dé
gens, des femmes et des ouvriers, les provocations de la presse, les
excitations
dans les journaux et les réunions publiques, au m
tre chose qu'un acte réflexe, dont le point de départ est une série d'
excitations
anormales, dues à l'instabilité du bateau en mouv
ie se souvenait aucunement de ce qu'il faisait pendant ses périodes d'
excitation
. Il menait_ses affaires avec son habileté habit
res sacrées, et l'on sait aussi quelles conditions peuvent produire l'
excitation
de ce centre et par conséquent l'accomplissement
état d'équilibre parfait, le centre spinal peut entrer en jeu par une
excitation
venue soit de l'écorce cérébrale — antérieure ou
réflexe descendant — soit de la périphérie : réflexe ascendant. Les
excitations
venues du cerveau antérieur sont les processus ps
tion d'images erotiques ou sexuelles, souvenirs voluptueux, etc.. Les
excitations
venues du cerveau postérieur sont celles qui résu
venu de la périphérie de l'extrémité radiculaire des nerfs produit l'
excitation
du centre spinal, lequel provoque à son tour l'id
de deux ordres ; dans un premier groupe se classent des phénomènes d'
excitations
, telsquele satyriasis causé par des lésions de l'
les sujets porteurs d'anomalies préputiales ou clitoridiennes. Ici l'
excitation
permanente du centre médullaire par une lésion pe
e calculs, ou enfin d'affections de la prostate. Mais au lieu d'une
excitation
des centres, l'irritation radiculaire peut en pro
t prédisposé, une simple cicatrice peut reproduire la névropathie par
excitation
permanente,de même que Ton constate souvent des a
épileptique était en quelque sorte proportionnelle à l'intensité de l'
excitation
culanée : si elle était légère, il n'y avait qu'u
onvulsions cloniques très faibles des membres supérieurs seuls ; si l'
excitation
cutanée était plus intense, il y avait une grande
moindre perception lumineuse, mydriase absolue résistant à toutes les
excitations
; avec cela un œil absolument sain en apparence,
i provoque le courant centrifuge. Le déterminisme est amené par cette
excitation
simultanée de plusieurs cellules ces cellules, in
ivité morbide des centres nerveux, en isolant le cerveau des causes d'
excitation
inutiles ou nuisibles, en exaltant par là son apt
uche du corps est le siège d'une anesthésie complète, au contact, aux
excitations
thermiques et à la douleur. Du côté des organes
L'adaptation des organes est créée dans le sommeil hypnotique par l'
excitation
des centres moteurs correspondants, les autres pa
seulement il n'offre plus la résistance qu'il oppose d'ordinaire aux
excitations
dont il est l'objet, mais il se livre et s'abando
e la folie circulaire et la folie erotique, et de rares cas d'états d'
excitation
, manie subaiguë ou aiguë avec impulsions homicide
gre et la femme blanche sont au contraire déshérités. La réaction aux
excitations
visuelles a été un peu plus rapide chez le blanc
oit dans l'état de veille. 2° « Qu'il y a, premièrement, une grande
excitation
de tous les sens principaux, la vue exceptée, et
plus profonde que celle du sommeil naturel ; la période vive, par une
excitation
des sens spéciaux, un accroissement de la force m
jugements, tirent fatalement leur origine d'impressions, ou mieux, d'
excitations
, venues soit de la surface du corps, c'est-à-dire
s femmes de. lettres qu'elle exerce ses ravages. On cherche d'abord l'
excitation
cérébrale et rapidement on devient l'esclave de l
n'importe quelles conditions, par des baisers répétés, plaque dont l'
excitation
ainsi obtenue avait tous les effets d'un rapproch
sme. Le mot « Monoideo-Dynamique » indiquera tous les changements d'
excitation
ou de dépression mentale et physique qui résulten
je pense qu'il comprendrait sans peine, comment les nouveaux modes d'
excitation
, de dépression ou de distribution particulière de
t correspondant. Il y a môme quelquefois, dans l'état hypnotique, une
excitation
semblable à l'ivresse, d'autres fois, il y a repo
des n'ont des accès que sous l'influence d'une même cause, d'une même
excitation
alcoolique ou génésique, d'une même émotion ou d'
e bains sinapisés et du drap mouillé sinapisé, surtout dans les cas d'
excitation
maniaque. Pour lui, ces moyens thérapeutiques agi
cette espèce est aussi véritablement étonnant dans la paralysie ou l'
excitation
du pouvoir musculaire, et peut tout produire, en
fait que de remarquables cures avaient parfois été causées par l'
excitation
mentale, tandis que de graves maladies et la mort
ion indirecte produite par la diminution de l'action du cœur ou par l'
excitation
de quelque partie éloignée. En un mot, le grand o
es phénomènes, c'est une simple inversion qui s'établit alors entre l'
excitation
mentale et l'excitation musculaire : premièrement
simple inversion qui s'établit alors entre l'excitation mentale et l'
excitation
musculaire : premièrement, le toucher appelle au
ui faire manger de la soupe et boire du lait par la suggestion et des
excitations
. » Après la visite, elle se rendormit au bout d
ngtemps, et afin de l'alimenter un peu, à réveiller la malade par des
excitations
sur les nerfs médian et cubital ; elle a ouvert l
de certaines parties du système nerveux d'augmenter ou de diminuer l'
excitation
d'autres parties. Les idées, rapports de percep
lation parles cellules ou neurones supérieurs, dits psychiques, d'une
excitation
perçue à une autre précédemment enregistrée, héri
ur le second, de même que le cerveau modère l'automatisme spinal. Les
excitations
qui n'aboutissent pas à l'étage supérieur de cont
s échapper une expression malséante. C'est un acte automatique. Que l'
excitation
demeure un temps moins court de sorte que nous en
avons conscience de la personne qui nous a pincé le bras, néanmoins l'
excitation
a poursuivi son chemin, et un mot, cependant d'un
on automatique, est sorti de notre bouche. Il en est autrement si l'
excitation
change de voie d'acheminement et parvient à l'éta
la conductibilité d'une voie nerveuse est plus grande dès la première
excitation
qui semble ouvrir davantage cette voie à l'accès
remière excitation qui semble ouvrir davantage cette voie à l'accès d'
excitations
nouvelles. D'autres phénomènes dynamiques sont
même, lui succède. En réalité, une émotion n'est qu'une phase de l'
excitation
nerveuse partie d'une cause quelconque. Elle fait
ion. Un choc (contusion, mauvaise nouvelle) cause d'abord en bloc une
excitation
cérébrale confuse d'où l'idée se dégage lentement
our mission apparente que de traduire les émotions. Le bulbe reçoit l'
excitation
venue de plus haut et la transmet aux nerfs vague
ion. Le cerveau non encore développé de l'enfant se forme d'après les
excitations
de mouvements moléculaires que lui transmettent s
rs espaces interosseux. Le malade ne sentait pas la pression ni les
excitations
produites par les courants électriques. La sens
qui la : présente dans toutes ses'parties.' \ 1 : ' ., ' ' '' - ' L'
excitation
galvanique du cubital' au-dessus du poignet déter
sujet hémichoréique. a. à l'état normal; b. sous l'influence d'une
excitation
auditive. ' t Fig. 14. - Courbe pneumographiquo
A SALPÊTRIÈRE. Chez d'autres malades du même genre, il suffit d'une
excitation
senso- rielle pour produire le même résultat; B
ait pris d'un accès d'épilepsie hémiplégique sous l'influence d'une
excitation
visuelle. Il n'est pas rare de voir des ma- lad
es accès chaque fois que leur attention est fortement fixée par une
excitation
quelconque. La figure 13 donne la courbe myogra
hémichoréique à l'état normal (a), et (b) sous l'in- fluence d'une
excitation
auditive produite par la vibration d'un dia- pa
malade comme chez le premier, et comme chez celui de Bravais, si l'
excitation
esl prolongée, il se produit un accès d'épileps
; - Bull. Soc. biol., 1888, p. 15) et relatif aux effets généraux des
excitations
locales. L'ACROMÉGALIE (Suite 1) uns. XII
e; d'autre- part les intensités des courants minima nécessaires à l'
excitation
des nerfs et des muscles étaient extraordinaire
ravailler, gardant les yeux très fixes; huit jours après, période d'
excitation
pendant laquelle la malade cherche a fuir et, pro
e : crachottement continuel. - Décembre : même état; alternatives d'
excitation
plus fréquentes avec rires explosifs sans motif
odiques, convulsifs, arrivant par attaques. Puis vient un stade d'
excitation
, qui peut cependant manquer; en général il est
emble, c'est ou bien de la mélan- colie agitée, anxieuse, ou bien l'
excitation
maniaque la plus violente, on bien un délire sy
souvent plus longue encore, consiste surtout en des alternatives d'
excitation
ou de stupeur avec leurs phé- 1. d. Seglas et P
ccessives de la catatonie de Kahlbaum, phase de mélancolie, phase d'
excitation
, phase de stupeur, phase d'alternatives d'excit
colie, phase d'excitation, phase de stupeur, phase d'alternatives d'
excitation
etde dépression. Dans les deux dernières phases,
sibilité générale ou spé- ciale. L'étude du temps de réaction aux
excitations
cutanées (les yeux clos) donne les résultats su
minence de contracture : celle-ci est provoquée par une très faible
excitation
, telle qu'une légère traction, une légère pressio
colère, sombre, et l'accès une Ibis passé il a souvent des phases d'
excitation
qui durent plus. ou moins longtemps. Quel- quef
quatre à trente-six heures après. Jamais il n'aurait eu de phases d'
excitation
sans accès. L'intelligence aurait diminué pro
sur la famille Bonaparte. 10 septembre. - L'état s'est amélioré. L'
excitation
est moins forte, il raconte que, depuis qu'il e
bromure, 5 grammes. En décembre. Cinq accès et deux vertiges sans
excitation
psychique. En janvier. 1889. - Trois accès. 3
s accès. 3 février. Quatre accès de jour; Il est dans une période d'
excitation
. Il parle de la France, de Il n'y a aucune suit
res reproduites dans les divers journaux. 4 février. - La période d'
excitation
persiste avec les mêmes caractères. Aujourd'hui
t le reconduire chez lui, il chancelait. Le soir, il fut pris d'une
excitation
extraordinaire, se mit il chanter et à raconter
le sommeil provoqué. Chez les mêmes j'ai pu, à l'aide de diverses
excitations
périphériques, les reproduire à l'état de veille.
ez les hystériques peuvent être provoquées de deux façons, soit par
excitation
directe de l'organe, soit par l'intermédiaire d
erver l'apparition de la contrac- ture de la langue, lorsque, par l'
excitation
, on détermine la contracture d'un autre muscle
i pré- sente la diathèse de contracture, on provoque il l'aide de l'
excitation
directe l'apparition d'un torticolis ou d'un bl
la malade de la tirer hors de la bouche. Mais, comme je l'ai dit, l'
excitation
directe du muscle est souvent suffisante : de p
E DE LA LANGUE PROVOQUEE A L'ÉTAT DE VEILLE CHEZ UNE HYSTÉRIQUE PAR
EXCITATION
DIRECTE LECROSNIER ET Bayé, EDITEURS DES CONT
en conclure que la contracture survient par suite d'un réflexe de l'
excitation
du nerf acoustique portée sur le nerf glosso-ph
cès de produire chez la même malade la contracture de la langue par
excitation
directe. Par la simple pression d'une baguette
gue, soit à l'état de veille, soit pendant l'état hypnotique, par l'
excitation
du nerf acoustique. Ces contractures sont le prod
b.) Ces contractures se produisent aussi par voie périphérique, par
excitation
directe des muscles de la langue. c) Les contra
s qui l'agitent. D'autres fois il tombe et perd connaissance. Les
excitations
mécaniques portées sur le durillon peuvent provoq
sie douloureuse et superficielle des téguments. Les frôlements, les
excitations
légères à fleur de peau, y déterminent une sens
pouvant former des figures variées à volonté, sous l'influence des
excitations
du tégument. Nous préférons la dénomination pure
du front; M. Cham- bard sur la muqueuse buccale3. Ajoutons que les
excitations
méca- niques sont les plus efficaces. Pour la
es voisines l'une de l'autre, dans la région deltoïdienne droite; l'
excitation
n'avait pas été plus violente que d'habitude, e
on d'une lentille. Un jet d'eau compact ou divisé lancé avec force (
excitation
hydro-mécanique) a pu produire l'oedème congest
isait sur sa peau avec un relief d'une netteté remarquable. , Les
excitations
électriques semblent bien inférieures sous ce rap
citations électriques semblent bien inférieures sous ce rapport aux
excitations
mécaniques. Ainsi la {urad isation avec le pincea
ricelle et répondant aux points de contact des fils du pinceau. Les
excitations
galvaniques semblent plus actives. Au bout d'un
effet de produire le relief ou même simplement la rougeur avec les
excitations
les plus fortes. Mais nous avons pu constater,
d'intensité moyenne, après une série de cinq accès, les plus fortes
excitations
n'ont produit qu'une faible rougeur; et c'est s
rale, les muscles plus ou moins conservés répondent normalement à l'
excitation
électrique. Gilles DE la Tourette, ZAGUEL1111N\
psie (sur un cas-dont les accès se mul- tiplient sous l'influence d'
excitations
péri- phériques), par Féré, 214. Epileptique
s je ne suis jamais parvenu, malgré tous mes efforts, à arrêter les
excitations
de mon imagination ; les hommes jeunes, beaux e
enues plus fréquentes en 18G9 et 1870. Elles sont précédées par une
excitation
cérébrale qui empê- chant le malade de fixer un
s nerveux périphériques, mais résulte de l'obs- tacle mécanique à l'
excitation
des terminaisons ner- veuses, crées par l'infil
a présence des illusions et des hallucinations, ni les périodes d'
excitation
maniaque observées dans certains cas. » Il ratt
'il suit, d'après le mode d'apparition de leur eflicacité : c'est l'
excitation
des tendons qui réussit d'abord, puis l'excitat
cacité : c'est l'excitation des tendons qui réussit d'abord, puis l'
excitation
des masses musculaires, en dernier lieu l'excit
'abord, puis l'excitation des masses musculaires, en dernier lieu l'
excitation
des 132 ^ PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. troncs ne
mais le résultat est complètement négatif. Nous revenons alors à l'
excitation
des tendons par percussion. Nous constatons de
flexe tendineux donne lieu à la contracture contracture réflexe par
excitation
tendineuse; 3° degré : contracture réflexe par
flexe par excitation tendineuse; 3° degré : contracture réflexe par
excitation
directe des masses mus- culaires. Dans une se
r la fixité du regard. Sur le bras gauche, contracture facile par l'
excitation
des tendons, par la malaxation musculaire et pa
par l'excitation des tendons, par la malaxation musculaire et par l'
excitation
des nerfs. La pression du nerf cubital en arriè
cette expérience est tentée chez cette malade. Sur le bras droit, l'
excitation
des tendons et des masses musculaires nous donn
res nous donne des résultats semblables, mais nous constatons que l'
excitation
du nerf cubital au lieu d'élection n'est point
es mêmes résultats qu'à gauche. On y arrive cependant. 4° Lorsque l'
excitation
est insuffisante, on n'obtient qu'une contracti
ui venait de se passer, nous essayons de provoquer une attaque. Une
excitation
vive portée sur les zones hystérogènes de l'ais
sans hyperexcitabilité neuro-mus- culaire ou état somnambulique. L'
excitation
mécanique directe ou indirecte des muscles n'am
re sur lequel nous opérons est redevenu hyperexcitable. En effet, l'
excitation
ÉTUDE DE L HYPNOTISME CHEZ LES HYSTERIQUES. 137
détermine aucune contracture. Il en est de même aux poignets pour l'
excitation
mécanique portée sur les tendons, percussion, f
eux accès hier (chloral, 4 gr.). 11 juin. Un accès hier. Ce matin l'
excitation
maniaque est remplacée par un état de torpeur t
ait très violents. Ils s'annonçaient généralement par une période d'
excitation
, accompagnée d'une céphalalgie in- tense et sur
évacuations in- volontaires ; maintes fois ils ont été compliqués d'
excitation
maniaque, en général passagère, et à laquelle s
isant la morte, avec une force de volonté telle qu'elle résiste aux
excitations
les plus vives employées pour la tirer de cette
chasteté de son coeur : tant il est vrai que f l'hallucination et l'
excitation
qui l'accompagne suggèrent chez '-les malades,
tuelles ont conservé parfois, ont acquis même un certain degré é d'
excitation
; quelques-unes de ces malades sont brillantes,
e, et des geignements inarticulés quand il s'agit de répondre à des
excitations
désagréables, mais elle ne possède aucune manif
. L'usage et l'abus de l'alcool, du café et du thé aggrave encore l'
excitation
ner- veuse et par suite l'épuisement rapide. La
imple, et finalement idiotie dans un cas, et, dans les deux autres,
excitation
continuelle. Des deux derniers malades, l'un ét
upillaire réflexe : la pupille rétrécie ne se contracte plus sous l'
excitation
lumineuse tandis qu'elle répond à la provocatio
and zygomatique, qui ne doit être considérée comme le fait ni d'une
excitation
nerveuse directe, ni d'une réflexe, mais bien d
'une excitation nerveuse directe, ni d'une réflexe, mais bien d'une
excitation
musculaire. Même observation dans la paralysie
e la personnalité, la multiplicité des mouvements automatiques et l'
excitation
de l'humeur. Il en exclut les états d'agitation q
réflexe du triceps sans qu'on doive attribuer cette réac- tion à l'
excitation
mécanique du tendon, l'extension de la jambe su
e serait due dans quelques cas à un réflexe cutané pro- voqué par l'
excitation
portée sur une plaque d'hyperesthésie. Ce qui p
conceptions délirantes orgueil- leuses. Cette période de début ou d'
excitation
, qui peut durer de trois à douze jours, s'accom
péciale de l'organe comme, dans d'autres circons- tances, une forte
excitation
locale ramène la sensibilité cutanée ; et, avec
ompre à volonté par la compression ova- rienne, ou reproduire par l'
excitation
des points hys- térogènes. Tel est, en résumé,
teur pupillaire. Leeser admet que, dans les cas de ce genre, il y a
excitation
du centre dilatateur, tandis que, dans les cas
Les expériences de MM. Schiff, Foa, Vulpian, ont montré que, des
excitations
portées sur un nerf sen- sitif peuvent produire
. Le sterno-mastoïdien se contracture aussi sous l'influence de l'
excitation
mécanique, mais les muscles de laface demeurent
ion mécanique, mais les muscles de laface demeurent inexcitables. L'
excitation
du nerf cubital en arrière de l'épi- trochée pr
c les mêmes caractères que précédemment. De plus la contracture par
excitation
mécanique directe est toujours possible. Que
par la tendance des muscles à la contracture, sous l'influence de l'
excitation
mécanique soit des tendons, soit des nerfs, soit
té opposé. La sensibilité au simple contact et la sensibilité aux
excitations
douloureuses (piqûre, pincement) reparurent d'abo
almique dépend d'une anémie cérébrale con- sécutive elle-même à une
excitation
du sympathique. Des con- gestions, de la nécrob
ar les vibrations du tendon. Erb en fait un réflexe déterminé par l'
excitation
de fibres nerveuses tendineuses (Tschiriew a dé
s tendineux par la méthode graphique. Le temps qui s'écoule entre l'
excitation
du tendon et la contrac- tion du muscle a servi
lexes médullaires ; Gowers pense que le clonus du pied résulte de l'
excitation
directe, tandis que le phénomène du genou est d
phénomène du tendon est bien un réflexe, lequel est provoqué par l'
excitation
du tendon lui- même, et non par celle de la pea
pression mélancolique avec la dilatation de la pupille droite, et l'
excitation
, l'exaltation avec la dilatation de la pu- pill
de la compression de l'ovaire, des interversions électriques, de l'
excitation
des zones bystéro-épilepto- gènes, jointe aux s
rrier, quoique Sommer, en r111emagne, admette un rayonne- ment de l'
excitation
de la corne sur le centre épiieptogéne vaso- mo
llules des cornes antérieures de la moelle envoient aux muscles une
excitation
violente et permanente qui les maintient en un
Dans l'épilepsie, ces mêmes cellules envoient aux mêmes muscles une
excitation
différente, quant au rythme et à l'in- tensité
elles ne leur envoient, pendant un certain laps de temps, aucune
excitation
puisqu'ils restent dans la résolution com- plèt
le mode physiologique par les centres à fonctions inhibi- trices. L'
excitation
, le courant conséquence de la décharge, transme
r à l'estomac, la circulation s'accélère, et il survient une légère
excitation
cérébrale et musculaire avec sueur et diurèse.O
els, les accidents pendant les attaques, les plaisirs fougueux, les
excitations
de toutes sortes. P. K. XXI. Contribution A la
al précis, on diagnostique : tumeur cérébrale avec com- pression et
excitation
des faisceaux pyramidaux. On trouve un gliome d
etc.. P. Keraval. VII. SÉCRÉTION SALIVAIRE SOUS L'INFLUENCE DE L'
EXCITATION
DE l'ÉCORCE du cerveau ; par C. Eckiiard. (Neur
ilz - Ecl : larcl); clu'il s'agisse d'ani- maux curarrsés ou non, l'
excitation
du centre d'Hitzig ne les fait pas sa- liver (L
, de même que la région du facial dans la protubérance. Conclusion.
Excitation
simple du facial gauche par compression. P. 11E
ouchement. ' P. K. XXVI. Contribution A la perception unilatérale d'
excitations
DOU- BLES dans LES cas DE FOYERS occupant un hé
LI11, 4, 5.) Bien que les hallucinations ne se produisent pas par l'
excitation
extérieure des sens, il faut cependant, pour qu
une amélioration durable ne fut obtenue. Dans un cas toutefois, l'
excitation
maniaque qui aurait constitué pour le malade un
le traitement; il est intéressant de remarquer que, dans ce cas, l'
excitation
intense fut remplacée par le délire beaucoup pl
iinpressionnabililé anormale d'un organe central sollicité par une
excitation
périphérique anor- male. P. il XVII. Contribu
r castration. Il s'agissait d'une hystérie grave avec intervalles d'
excitation
maniaque et propension au suicide. M. NEUENDOII
latéraux au contraire réagissent normalement aux deux courants, par
excitation
soit directe, soit indirecte. Il existe un lége
ation de l'organe au cours du sommeil - tantôt on devrait accuser l'
excitation
des nerfs sensitifs périphériques par des actions
nerfs sensitifs périphériques par des actions thermiques diverses,
excitation
gagnant la moelle et ses centres vasomoteurs, e
sus-scapulaire gauche. - Le muscle sous-épineux ne répond plus à l'
excitation
électrique, non plus que le nerf en question. A
nt engendrées par des processus d'asso- ciation ou par de nouvelles
excitations
sensorielles : pendant le sommeil, au contraire
rapide que celle qui appartient à la contraction consécutive à une
excitation
cutanée, car la contraction est résolument loca
e manie rapidement furieuse et bruyante suivie de dé- pression avec
excitation
: guérison. - L'autre observation est une curio
optique a en même temps une fonction réflexe ; il suffit de faibles
excitations
cutanées pour voir par son intermédiaire se pro
puerpéraux, fut prise de troubles intellectuels avec intervalles d'
excitation
, quelques hallucinations, idées de couleur myst
uvoir les maintenir dans l'asile et toujours prévenir leurs accès d'
excitation
. Pour remplir ce but, il est inulile de créer d
ique peut être soutenu, en partie à cause du rôle important que les
excitations
psychiques paraissent jouer dans l'apparition e
ltée qu'à force de crier sa voix était devenue toute éteinte. Cette
excitation
parut se calmer un mois environ avant l'entrée.
endant les premiers jours, la malade a présenté quelques périodes d'
excitation
d'ailleurs peu accentuées. Elle prononçait des
un peu mystique. Nous avons pu reproduire ce délire à la période d'
excitation
du chloroforme, et le voici transcrit tex- tuel
ifférence digne de remarque : la grenouille sans cerveau, à moins d'
excitation
péri- phérique, reste toujours tranquille jusqu
des mouvements au pincement de ses pattes ou de sa queue, mais si l'
excitation
est plus forte, il pousse des cris répétés et p
és, mais nous n'avons pas pu déterminer un point circonscrit dont l'
excitation
produise lenr contraction séparée. Nous avons t
ux non endormis, il est probable que l'irrégularité des effets de l'
excitation
était due aux mouvements spontanés de l'animal.
ion du courant d'un centre dans ceux rendus hyperexcitables par des
excitations
préalables. La diffusion latérale dn courant qu
la délimitation précise des centres de l'écorce par la méthode de l'
excitation
. Par suite les limites d'une région peuvent êtr
érieures de la moelle, au point qu'après quatre jours la plus forte
excitation
ne produit aucune réaction. Ce fait détruit com-
Dr Beevor, sont marqués, sur la capsule interne, les points dont l'
excitation
minima, d'après leurs récentes recherches, prod
ance grise. Fritsch et Hitzig ont noté dans leurs expériences que l'
excitation
était plus grande à la fermeture anodale qu'à l
hodale, fait dont on con- clut que la cathode virtuelle produit une
excitation
réelle sur les couches profondes de l'écorce ou
comme les autres centres nerveux, qui emmagasine et transforme les
excitations
en une force propre. Il y a aussi une différe
caractéristique entre les courbes musculaires enregistrées après l'
excitation
corticale et après l'exci- tation médullaire. D
à fait particulier à l'écorce et qui ne se rencontre jamais après l'
excitation
des fibres médullaires seules. Après une excita
jamais après l'excitation des fibres médullaires seules. Après une
excitation
répétée ou la succession de plusieurs exci- tan
rement par Hughlings Jackson. Elles ne se produisent jamais après l'
excitation
des fibres médullaires seules sans l'interventi
sont entièrement détruits des deux côtés. La durée des effets de l'
excitation
des fibres médullaires.est strictement propor-
s fibres médullaires.est strictement propor- liennelle à celle de l'
excitation
. Nous verrons plus loin que les effets de la de
ous le nom de sensibilité réflexe l'aptitude d'un oeil à conduire l'
excitation
lumineuse aux centres du réflexe pupillaire, il
La sécrétion se montre plus accentuée du côté qui correspond à l'
excitation
. La salive présente les caractères de celle qui e
itation. La salive présente les caractères de celle qui est due à l'
excitation
de la corde du tympan, et, en effet, la section d
effet, la section de ce nerf annihile du même côté les effets de l'
excitation
corticale. La section du grand sympathique au c
affection réduisant le volume de l'espace intra- cranien, mais de l'
excitation
produite par les altérations patholo- giques. C
de l'insertion du nerf optique, ne se manifestent que lorsque les
excitations
déterminées par la lésion occipitale ont été asse
e : un tableau résume ces expériences (genre d'ex- citation, lieu d'
excitation
, effet de l'excitation). Voici ces conclu- sion
es expériences (genre d'ex- citation, lieu d'excitation, effet de l'
excitation
). Voici ces conclu- sions résumées. " Le plan
ème ventricule est occupé par une série de points qui répondent à l'
excitation
électrique ou mécanique; ils sont groupés le lo
mesure que le couteau pénètre dans les centres épilep- toâènes. - L'
excitation
électrique de la surface de section produit des
turbaleur par inversion du sens génital qui, sous l'influence d'une
excitation
intellectuelle (coup de chaleur, excès de trava
e Blcêtre 137 ; - à Ville-Evrard, 288. Salivaire (sécrétion); par
excitation
de l'écorce, par Eckhard ; Bech =, teren, 85,
ralisée ou même générale d'emblée, les accès sont le résultat d'une
excitation
brusque et passagère dont la cause déterminante
'il va donner à l'enfant atteint de cette maladie, il lui évite des
excitations
funestes. Il doit donc veiller à son éducation,
violents amènent le même résultat. La vie à la ville, au milieu des
excitations
physiques et intellectuelles, leur est nuisible
ésumé des notions psycho- physiques). Nos sensations résultent de l'
excitation
cérébrale poly- morphe. La perception d'un mouv
rtes. De sorte que l'impression du mouvement est la résultante de l'
excitation
d'une série d'endroits voisins de la rétine par l
meut. Elude des différences de l'irritation nerveuse produite par l'
excitation
. Qualités physiques. La sensation est donc tout
t la loi psychophysique devient une loi. mathématique. La force des
excitations
doit croître dans un rapport géométrique pour q
lieu, il faut que deux endroits du cer- veau soient irrités par des
excitations
identiques.- Et par suite, notre appareil nerve
ibunal, fait en réalité le tableau symptomatique le plus exact de l'
excitation
ma- niaque. Examen de l'accusé. L'auteur donn
et intestinaux, les vertiges, les paresthésies, les phéno- mènes d'
excitation
et de parésie de nature motrice, sensitive, sen-
nc du facial ou sur ses branches. Mais on peut faire contracter par
excitation
directe ou indirecte (surtout intrabuccale), la
. Bruns, siégeant comme il vient d'être dit. Quant aux phénomènes d'
excitation
les uns sont en rapport avec des processus de r
ion spéciale des éléments anato- ' miques, en présence de certaines
excitations
des nerfs sensitifs. Les troubles trophiques ne
ômes d'amyotrophie : contraction lente des muscles à la suite d'une
excitation
mécanique ou élec- trique. Abaissement considér
En admettant avec l'auteur que nous venons de citer que cet état d'
excitation
nerveuse quasi délirante qui s'empare de cer- t
ême, il est du devoir de l'expert de remonter à la cause de cette
excitation
nerveuse et cette recherche pourra l'amener à d'i
e contracture hystérique. On saisit maintenant la nature de cette
excitation
psychique et de ce délire observés chez Marie C
peut se manifester de deux manières différentes : la torpeur ou l'
excitation
. Nous nous demandons si cette torpeur ou cette
ur ou l'excitation. Nous nous demandons si cette torpeur ou cette
excitation
ne sont pas dues plutôt à cet empoisonnement qu
moment et aussitôt un ou deux accès convulsifs se produisaient et l'
excitation
disparaissait ainsi que les vertiges et l'état
en vertiges, en accès incomplets en attaques hysté- riformes et en
excitation
cérébrale, mais cela plus rarement. Pour faire
rs cas et spécialement dans des états de mal ou dans des périodes d'
excitation
ou de trouble mental consécutifs aux accès. Ces
e 32° à 34° ont été d'un heureux effet; de même dans les périodes d'
excitation
. La malade Lep... que nous avons soumise à ce t
ons soumise à ce traitement dans deux états de mal et une période d'
excitation
, a pu échapper à ces états graves qui entraînen
pine et nous obtenons une grande amélioration au point de vue de l'
excitation
maniaque. Les accès convulsifs sont à peu près
de rencontrer dans les cas de paralysie générale à forme lente avec
excitation
mentale modérée. R. DE MUSGRAVE CLAY. XXVIII.
plupart des cas de paralysie générale. Lorsqu'il y a tendance à l'
excitation
maniaque, le nombre des leucocytes s'accroit dans
de persécution avec halluci- nations ; vient ensuite un vif accès d'
excitation
avec inégalité pupillaire, grincement des dents
s paresthé- sies aux troubles fonctionnels cérébraux par suite de l'
excitation
venue des nerfs bronchiques et pulmonaires, ne
qui est religieuse, auprès de laquelle elle veut se réfugier ; son
excitation
augmentant, on la place à l'Asile clinique (Sai
e sorte de dynamie fonctionnelle qui rappelle absolument la phase d'
excitation
de certains circulaires, ou l'accès maniaque de
l'état mental du malade dont M. Cullerre rapporte l'observation ; l'
excitation
en est un élément capital et établit une distin
ur). En dehors de ces deux symp- tômes, on constatait une période d'
excitation
très manifeste (éclat particulier de l'oeil, cr
ose quotidienne de 10 centigrammes sans provoquer des acci- dents d'
excitation
fébrile; d'autre part, sur l'efficacité prépondé-
La science n'est pas affirmative, si je ne me trompe, au sujet de l'
excitation
génésique dans la maladie de Basedow. Se produi
uait très vite, parcourt une route très longue sans fatigue. Ainsi,
excitation
des centres psychiques et excitation des ceutre
ès longue sans fatigue. Ainsi, excitation des centres psychiques et
excitation
des ceutres moteurs; cette épilepsie, loin d'êt
si des symptômes somatiques. On constate chez certains malades de l'
excitation
motrice, de la fuite des idées, des modificatio
é- brale : coma complet, pouls lent, phénomènes de paralysie et d'
excitation
unilatéraux, parésie du facial, des extrémités du
convulsions sont rares; enfin le manque d'une période secondaire d'
excitation
n'est pas en faveur de la commotion. Y a-t-il e
ostéo-arti- culaire ; 4° s'il s'agit seulement d'une insuffisance d'
excitation
sensitive, on aura plutôt la forme atrophique.
permanente. -'u ? -... Il s'agit, sans nul doute, d'un phénomène d'
excitation
ayant *>, pour siège la sphère visuelle du l
hère visuelle du lobe occipital, comparable aux'plié- - - nomènes d'
excitation
motrice de l'épilepsie jacksonienne, et'lià , .
des symptômes de mélancolie avec stupeur, et périodes alternantes d'
excitation
et d'abattement. On constate chez lui deux état
constipation. Au point de vue intellectuel, M. Bourneville relève l'
excitation
, des accès de colère inhabituels, davantage de
de quarante-huit essais faits chez des malades en pleine période d'
excitation
maniaque (à la dose de 0,02 à 0,06 par les voie
mique) que : 10 l'administration du médicament a toujours diminué l'
excitation
des malades; souvent même elle leur a procuré q
s, mais il y faut arriver progressivement, sinon on peut avoir de l'
excitation
, de l'amnésie, du délire comme j'en ai eu notam-
teille d'alcool, j'en ai bu plusieurs verres, et sous l'empire de l'
excitation
alcoolique j'ai ouvert l'ar- moire et j'ai pris
rolog. Cei7ti-albl., XIII, 1894.) Expérimentation chez les chats. L'
excitation
produite par l'ab- sinthe produit son maximum d
llules une sorte d'autopha- gisme ; à cette période correspondent l'
excitation
motrice et les idées de grandeur; 3° les matéri
expliquer cette progression. Dans les classes élevées les causes d'
excitation
et de dépense nerveuse sont encore plus actives.
ologique peut être utile (engourdissement des fonctions psychiques,
excitation
des fonctions motrices, eu- phorie). L'incurabi
e est désarmée en présence de ces sujets à mauvais instincts : leur
excitation
ps3cho-motrice doit être autre- ment réprimée.
25 cas p. 100, et agissent en déterminant habituellement un état d'
excitation
motrice ou psychique, accompagné de congestion
uns contre les autres, et n'est jamais plus heureux que lorsque ses
excitations
les amènent devant le commissaire de police ou
accompagnée d'idées de persécution et suivie plus tard d'un état d'
excitation
avec idées de grandeur. Les conceptions déliran
d'un déséquilibré. A la suite de nom- breux déboires il est pris d'
excitation
, se croit persécuté, accumule les interprétatio
et à une foule de sensations pénibles, qui entretiennent un état d'
excitation
. En 1876, les troubles sen- soriels deviennent
es, et la glycosurie qu'ils ont présentée doit être rapportée à une
excitation
du système nerveux par suite d'un vice de la nu
avera le plus possible la propa- gation de l'agitation nocturne par
excitation
réciproque et on diminuera dans de grandes prop
ut à l'autre, ce qui permettra aux malades de s'y tenir malgré leur
excitation
les jours de mauvais temps. Au réfectoire, il c
rise de l'élixir polybromuré en rai- son des retours des périodes d'
excitation
. Le développement de la puberté continue : le s
ut. Les muscles des jambes ne réagissent point sous l'influence des
excitations
électriques. Le 25, retour très marqué des forc
ptômes, par la phase adynanuquequi succède promptement à la phase d'
excitation
, par la durée plus courte et l'issue fatale; ba
é comme une maladie infectieuse grave dans laquelle les symptômes d'
excitation
et de trouble profond de la conscience sont sui
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. j5 5 colique ; dans un autre un état d'
excitation
maniaque : dans ces deux cas, la blennorrhagie
n de l'activité physique en précède le ralentis- sement, mais cette
excitation
, dont la durée ne dépasse pas vingt minutes, tr
lenient la folie, il en prépare et facilite l'éclosion par l'état d'
excitation
dans lequel il entretient l'écorce cérébrale. Les
suite d'un de ces accès, apparition des symptômes : surdité totale,
excitation
maniaque, hallucinations de l'ouïe et de la vue
ts lus et troubles de l'écriture. Les troubles hallucinatoires et l'
excitation
maniaque s'amendent assez rapidement, mais la s
t. Mais, en somme, le malade est mieux à l'asile, loin des causes d'
excitation
habituelles qu'elles lui viennent ou non de ses
es débiles. Chaque fois, il y a mélan- colie, trouble du caractère,
excitation
, onanisme, puis dépression. Sans doute, on peut
e non seulement par l'allongement de la moelle épinière, mais par l'
excitation
de la dure-mère. Celle-ci se présentait toujour
ment par la suspension et par l'action de celle-ci sur la moelle. L'
excitation
du centre vaso-moteur provoque un rétrécissemen
phénomènes de conscience, associations et dissociations du fait des
excitations
du dehors. Donc toutes les fois qu'une pensée e
omment les neurones sensitifs musculaires fournissent les premières
excitations
tonifiantes au noyau moteur, assurent la coordi
atteint de myélite transverse au-dessous de la septième dorsale. L'
excitation
d'une certaine zone (voy. Neurol. Centzwl6l., 1
orteils est le phénomène le plus constant en l'espèce, tandis que l'
excitation
de la plante du pied produit chez les mêmes mal
ed se fléchit sur la jambe et la cuisse se fléchit sur le bassin. L'
excitation
légère de la zone fémorale en question produit
ois pre- miers orteils, et quelquefois, l'extension du genou : si l'
excitation
est trop forte, la cuisse généralement se fléch
, tandis que ses autres modalités se produisent moins volontiers. L'
excitation
de la plante du pied provoque encore la flexion
ois observations de ptyalisme nerveux périphé- rique, autonome, par
excitation
de la corde du tympan, et une observation de pt
ience sur les chiens. A. - Les 4 premières montrent nettement que l'
excitation
élec- trique de la partie inférieure de la circ
d un mucus assez épais, à réaction alcaline, puis après une ou deux
excitations
de l'écorce, du mucus additionné du suc gastriq
s la quantité du suc gas- trique augmente, puis, quand on suspend l'
excitation
, cette quan- tité continue à croître quelque te
qui en est cause, car, si on enlève des parties de l'écorce dont l'
excitation
électrique ne provoque pas la sécrétion du suc
r : expérience VII. A la suite de la section du nerf vague droit, l'
excitation
de la zone corticale de sigmoïde gauche provoque
e de sigmoïde gauche provoque une sécrétion gastrique moindre que l'
excitation
de la zone symétrique droite, et inversement qu
pendants qui com- mandent à l'activité des glandes gastriques. Leur
excitation
chez un animal auquel on apris soin préalableme
ant l'énergie de la conductibilité centripète et la somma- tion des
excitations
de la peau. La méthode des dégénérescences, ell
sens du tact, par l'exercice, apprend-il à s'orienter au milieu des
excitations
sans ordre qui lui parviennent; est-ce ainsi que
ontré l'apparition précoce de la contraction tétanique à la suite d'
excitations
lentes et faibles; le relâchement des muscles e
a manière de voir de Bechterew, qui voit dans l'éreuthophobie une
excitation
des centres corticaux vaso-dilatateurs qu'il a
r : femme de vingt-trois ans, faisant de la confusion mentale, avec
excitation
par intervalles à l'occasion de règles douloure
ombent à des états de dépression ; parfois cela aboutit soit à de l'
excitation
maniaque, soit à des idées de suicide ou à des
tte dernière est donc le centre des émotions réagissant après toute
excitation
organique, physique ou psychique. C'est de la m
physique ou psychique. C'est de la moelle allongée que partent les
excitations
qui modifient à leur tour la vie organique et f
font naître des sentiments. Le cerveau peut donc être la cause des
excitations
émotionnelles mais il est aussi le centre de la
quée par des stimulations centrales (idées, perceptions) ou par des
excitations
périphériques (sensations), mais son interventi
agée par les becs de gaz que l'on vient d'allumer, ou dans le cas d'
excitation
cérébrale due, par exemple à la fatigue, invari
athique. Il est à penser, ajoute l'auteur, que concurremment il y a
excitation
des nerfs de l'appareil accommodateur, c'est-à-
est d'ordinaire annulée par le jeu de l'accommodation nor- male. L'
excitation
du sympathique est prouvée par la simultanéité
ar la contrac- tion d'un ou de plusieurs muscles voisins du point d'
excitation
du poil : ce réflexe peut être net alors que la
oter la provocation d'illusions et d'hallucinations auditives par l'
excitation
mécanique des cheveux et des poils chez le second
attitudes passionnelles. L'action sur les pupilles des aliénés des
excitations
sensorielles' ou sensitives a été étudiée par \
ntime. il. C. XLV. Recherches expérimentales sur la fatigue par les
excitations
de l'odorat ; par Ch. FÉRÉ. (Nouv. Iconogr. de
nces antérieures ont montré que, d'une façon géné- rale, toutes les
excitations
agréables déterminent une augmenta- - 318 SOCIÉ
e la capacité de répéter un effort déterminé, tandis que toutes les
excitations
pénibles entraînent une diminution du pou- voir
mouvement volontaire. Ces effets variant selon l'état du sujet, une
excitation
pénible et déprimante pouvant chez un sujet dép
vait lieu de rechercher si, chez un sujet préalablement excité, une
excitation
tonique pouvait devenir dépressive. C'est le bu
de ce travail appuyé sur de nombreuses expériences, portant sur des
excitations
prolongées de l'odorat ; le travail moteur étan
eures. Il en ressort les intéressantes observations suivantes : une
excitation
agréable qui a pour effet d'exalter la capacité
prolongée, avoir un effet dépri- mant immédiat ; en particulier les
excitations
de l'odorat qui ont une action excitante à dose
aibles ont une action déprimante lorsqu'on prolonge leur action ; l'
excitation
qu'elles produisent est tout à fait transitoire
de contrôle ; ils sont analogues à ceux que présente la période d'
excitation
du sommeil chloroformique. Leur connaissance évit
'apnée. La phase d'hyperpnée s'accompagne d'une véritable période d'
excitation
avec loquacité débordante et même des phénomène
bien conformés, est entré à l'asile le 17 septembre 1900, atteint d'
excitation
maniaqne, aujour- d'hui en voie de démence. L'é
n travail paru en 1900 ', a réuni les cas de confusion mentale avec
excitation
, folie circulaire, délire de persécution avec d
pertrophicité comme il y a des mouvements anormaux. La même cause d'
excitation
produirait ces deux phénomènes. G. C. - LXI.
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 383 montre qu'il existe des symptômes d'
excitation
tels que contrac- tures, contractions convulsiv
adduction avec rotation en dehors) est sim- plement le produit de l'
excitation
mécanique de la substance mus- culaire : du res
ient affaiblis ou absents : il fallait avoir soin de se défier de l'
excitation
mécanique des muscles. » Quant à sa différence
birent l'opération, G seu- lement eurent des attaques complètes à l'
excitation
de la zone épileptogètre, 14 se contentèrent de
très sensibles au-dessous de l'omoplate e (zones hystérogcnes) : l'
excitation
électrique de ces deux points provoque immédiat
sujets ont présenté des signes d'aliénation mentale ou des états d'
excitation
nécessitant un traitement spécial (accès épilepti
-eucéphahte expliquent l'alternance constatée entre les symptômes d'
excitation
(hallucinations de l'ouïe) qui étaient presque
'est qu'un mouvement conservé par habitude et non déterminé par une
excitation
locale persistante. M. Ballet demande que l'on
pour les deux maladies ; deux formes de superposition : la forme d'
excitation
, la forme de dépression avec variété foudroyante
ect peut le devenir par.synergie (consen- suellement) au moyen de l'
excitation
lumineuse de l'autre pupille sensible à la lumi
). Il faut, pour cela, que la pupille sensible puisse transmettre l'
excitation
au centre sphinctérien pri- maire de la pupille
pupille sensible à la lumière, (obs. Il). Il faut, pour cela, que l'
excitation
puisse, de la pupille immobile à la lumière, ar
e les déments précoces excités et les intermittents présentant de l'
excitation
maniaque : même dans ce cas, la pensée du démen
i attribuent une étiologie bien spéciale : la non-satisfaction de l'
excitation
sexuelle. G. Carrier. 526 BIBLIOGRAPHIE. XXVI
ar M. Graz chez les prostituées sont par ordre de fréquence : les
excitations
maniaques, la paralysie générale, la mélancolie a
que la fuite des idées, l'orientation, la faculté de comprendre, l'
excitation
motrice, les phénomènes d'arrêt, etc. L'analyse
des indications : les rap- ports réciproques de la confusion, de l'
excitation
et de l'orienta- tion caractérisent la catatoni
Enseignement libre, 351. Fatigue. Recherches sur la -, par les
excitations
de l'odorat, par Ch. Féré, 317. \ Fibres musc
nce qui s'observe entre la période d'affaisse- ment et la période d'
excitation
de Informe circulaire des maladies mentales cet
es facultés,avec la suspension de l'intelligence. Une pé- riode d'
excitation
alterne avec une période d'affaisse- ment, ordi
par deux période ? régulier es, l'une de dépression et l'autre d'
excitation
». « En rapprochant et comparant un certain nom
ible de considérer isolément et comme deux affections distinctes, l'
excitation
et la dépression qui se succèdent chez le même
caractérisé par l'existence régulière, de deux pério- des, l'une d'
excitation
, l'autre de dépression ». C'est ce genre de fol
lancolique est, dit-il, généralement plus court que les périodes d'
excitation
et d'affaissement considérées iso- lément. Il
entales, comme forme clinique indépendante, et que tous les états d'
excitation
décrits sous ce nom relevaient de la folie mani
e l'âge mur, qui toujours récidivenlou alternent avec des étals d'
excitation
, ils doivent être rattachés à la folie mania- q
DE LA FOLIE MANIAQUE-DÉPRESSIVE. 11 chimériques différences, une
excitation
maniaque et une dépression mélancolique dégénér
n de ces accès se compose en réalité de deux pha- ses : une phase d'
excitation
et une phase de dépres- sion;-mais il semble, a
s ou quatre accès de manie, puis un beau jour, au lieu de l'accès d'
excitation
attendu, on se trouve en présence d'un accès de
cès de mélancolie être interrompus de temps en temps par un accès d'
excitation
(mélancolie intermit-. tenle à type irrégulier
différents auteurs, on peut affirmer que tous les accès prétendus d'
excitation
ou de dépression sont en réalité des accès a do
en effet, d'apprendre par une enquête soigneuse que les symptômes d'
excitation
maniaque ont été pré- cédés d'une période prodr
de manie ou de mélancolie contient donc en germe les éléments de l'
excitation
et de la dépres- sion. L'accès de folie circula
mélancoliques, comme on les appelle cou- ramment, sont des crises d'
excitation
mêlées de phé- nomènes dépressifs et vice versa
mme nous venons de les exposer. On ne saurait nier, en effet, que l'
excitation
du maniaque et la dé- pression du mélancolique
première fois par Kraepelin, états dans lesquels les phénomènes d'
excitation
et de dépression coexistent, se mélangent et au
ns l'espèce, que malgré des apparences opposées, les phénomènes d'
excitation
et de dépression ont la même origine et reconna
iaque-dépressive est doublement légitime puisque l'association de l'
excitation
à la dépression est vraie non seulement pour l'
vous reteniez de cet exposé un pou aride,c'est que tous les étals d'
excitation
et de dépression (réserve faite de ceux de ces
LA LIGATURE ÉLASTIQUE. 10 juxtaposition ou la coexistence d'états d'
excitation
et de dépression. Ainsi que l'indique cette d
ré- nie une forme atténuée d'hébéphrénie qui ne s'accompagne ni d'
excitation
, ni d'idées délirantes et qui se caractérise seul
ent en décembre 1887. A ce moment.on constata des troubles mentaux (
excitation
maniaque, affaiblissement intellectuel, idées d
ase prodromique d'une durée de trois jours, caracté- risée par de l'
excitation
intellectuelle et motrice. c) Une période délir
'anémie, la tuberculose ganglionnaire, le goitre exophtalmique, les
excitations
douloureuses des nerfs sensitifs, etc., et même
sion ou hallucinations. Elle déterminedeux sortes de réaction : l'
excitation
ou l'apathie. Des actes délictueux : exhibition
e dirai que la sclérose diffuse correspond à la démence sénile avec
excitation
maniaque, mélancolique, paranoïaque, etc., avec
oustiques et visuelles est en proportion directe avec la durée de l'
excitation
; -, 2° le pouvoir de reproduction pour une sér
usculaire, et mesure de la période de résistance qui correspond à l'
excitation
. Enfin. cet examen sera complété par un examen
uvoir trophique propre, mais par l'interruption de la mntinuitù des
excitations
nécessaires pour les fonctions trophi- ques des
es préparations martiales amènent une aggra- vation des symptômes d'
excitation
chez certains nerveux déjà surexcités, par exem
en tous points : les améliorations les rechutes, les alternatives d'
excitation
et de dépression avec refus d'alimentation fure
araissent t avoir une influence modératrice sur la perception des
excitations
externes autant que sur le déchaînement des mou
ence, les épreuves ont été arrangées de manière qu'on a examiné les
excitations
motrices naissantes après une promenade longu :
on o a réagi à l'imprévu et selon la disposition des muscles ; l'
excitation
attendrie n'est que par hasard d'accord avec l'
les ; l'excitation attendrie n'est que par hasard d'accord avec l'
excitation
réelle. Dans l'expérience avec du brome (B. I),
on de B. I, plus gros que dans le premier, après la cessation des
excitations
troublantes. Aussi l'influence favorable du bro
s et sur la marche des mou- vements musculaires, et de même sur les
excitations
mo- trices centrales d'après les efforts corpor
des progrès, mais oublie tout ce qu'elle a appris à chaque crise d'
excitation
maniaque qu'elle éprouve (psychose intermittent
de troubles du côté de la sphère génitale. D ? ne présentait aucune
excitation
géné- tique, il nous déclara du reste qu'il ava
ausée par un acte insensé tendant à allumer la fièvre, soit que l'
excitation
mentale due au changement de milieu pro- duise
ent de dépression et d'anorexie ; on élimine facile- ment les cas d'
excitation
et de paralysie générale. Les signes basés sur
ents de plusieurs cellules voisines, il est vraisem- blable que les
excitations
diffusées par ces cellules se perdent sans effe
ncé pour elle même le processus de désassimi- lation dû à sa propre
excitation
. Consécutivement, d'après G., l'assimilation co
rapport réciproque, G. considère les segments de l'intrication où l'
excitation
passe de préférence, comme des « lignes de poin
l'union des cellules d'un même groupe et, par là. l'association des
excitations
parvenues à ces cellules. De telles excitations s
. l'association des excitations parvenues à ces cellules. De telles
excitations
sont plus vite reconnues, c'esL-à-dire identifi
excitations sont plus vite reconnues, c'esL-à-dire identifiées aux
excitations
antr- rieures semblables, que des excitations n
-dire identifiées aux excitations antr- rieures semblables, que des
excitations
nouvelles ou, en d'au- tres termes, intéressant
e de 36 ans, « qui, outre une psychose caractérisée par des états d'
excitation
el de la faiblesse intellectuelle présenta cer-
compa- rativement l'état d'inanition,ce dernier s'accompagnant d'
excitation
cérébrale. Le travail mécanique est consi- déra
xplique par la nécessité, pour les centres nerveux, d'envoyer des
excitations
plus fortes quand l'inertie dans les muscles an
x do la neurasthénie, ses stigmates, peuvent être réalisées par des
excitations
anormales des organes labyrinlhiques. L'asthé
cation bulbaire ou des lésions de vago-n6mite se traduisant par une
excitation
habituelle du pneumogastrique cardiaque avec de
utre part en évitant les circonstances susceptibles d'augmen- ter l'
excitation
nerveuse centrale ou périphérique. G. C. LI. Ra
flirt, il nous semble, à ce sujet, que Forel comprend des formes d'
excitation
sexuelle beaucoup trop sensuelles ; il le condamn
ts, les tests qu'on peut em- ployer, les réactions démentielles aux
excitations
diverses. L'historique de la démence est traité
remuante et indocile ; deux fois en dixjours, clic a des cri- ses d'
excitation
désordonnée au cours de l'une desquelles elle s
avaient disparu ; l'enfant ne présentait plus que des « périodes d'
excitation
». Son inlel- ligence, faible, cstcepcndant act
deux enfants qui, à la Salpêtrière, en dépit de quelques moments d'
excitation
et de mauvaise hu- meur, étaient suffisamment t
j'ajoute- rai qu'aucun symptôme physique n'a coïncidé avec cette
excitation
qui, autant qu'on en pouvait juger.ne s'accom-
Marcelle ? 12 ans, « atteinte de débilité mentale avec périodes d'
excitation
par intervalles » (,1. Voisin), qui, les premiers
n est enchantée. Lucienne... Il ans, débilité mentale et périodes d'
excitation
. Onanisme ». Placée à Usmery avec une pensionna
même manoeuvre l'extension des orteils. Il attribua ce résultat à l'
excitation
des nerfs sensitifs du tendon d'Achille et l'ap
cle qui se contracte n'est pas celui sur le tendon duquel a porté l'
excitation
, mais bien son antagoniste. Dans un cas de coma
e en voie d'amélioration, mais il pense que le point de départ de l'
excitation
n'est pas le tendon mais la peau ; le réflexe v
gne de Schae- fer ne diffère de celui de Babinski que par le mode d'
excitation
. C11. BONNE. II. Ueber den Fussrückenreflex (
s spastiques qu'a- près tous les autres. Dans certaines attaques, l'
excitation
partie de la lésion trouvait, dans son cheminem
xcitables, c'est-à-dire incapables de conduire en sens centrifuge l'
excitation
reçue. Il fallait donc attribuer à la lé- sion
ns auditives subjectives, vomissements) présentés par le ma- lade :
excitation
des nerfs vestibulaire ou cochléaire ou du noyau
ant les quatre premières semaines consistent : 1° en petits accès d'
excitation
maniaque pendant lesquels elle se livre à mille
re paradoxal au premier abord. Les crises cloniques sont dues à l'
excitation
de la cou- che corticale du cerveau. Quelquefoi
n et de colère, plus ou moins longue. La phase clonique est duc à l'
excitation
de la zone corticale- motrice. Elle manque : a)
le siège des convulsions clo- niques est l'isthme de l'encéphale. L'
excitation
de la moelle, ne provoque chez tous les mammifè
t les oiseaux que des convulsions toniques. Chez les grenouilles, l'
excitation
de la moelle provoque des convulsions tonico-cl
récidivantes, englobant ainsi dans une même entité tous les états d'
excitation
et de dépression qui n'appartenaient pas aux di
avec l'accès de manie et de mé- lancolie simples, avec les accès d'
excitation
ou dépression des dégénérés, des confus, des ne
étition, l'alternance, la juxtaposition ou la coexistence d'états d'
excitation
et dépression ». (Deny et Camus). La concepti
re identique de phénomènes en apparence opposés, c'est- à-dire de l'
excitation
et de la dépression ». Kraepelin a décrit les s
gnostic différentiel particulièrement délicat est celui des accès d'
excitation
et de dépression de la démence précoce. Le diag
ats de beaucoup les plus nom- breux, dans lesquels les phénomènes d'
excitation
et de dépres- sion coexistant, se mélangent et
dan, l'espèce, que malgré des apparences opposées, les phénomènes d'
excitation
et de dépression ont la même origine et reconna
e dépressive est doublement justifiée, puisque l'association de l'
excitation
à la dépression est vraie non seulement pour l'en
successive des stades antagonistes de l'activité et du repos, de l'
excitation
et de la dépression. Elles sont essentiellement
ive, avec expansion de l'hu- meur, qui correspondent à des crises d'
excitation
. Dans les dernières années, l'oeuvre inégale et
générale, présenta, de vingt- sept à quarante ans, quatre crises d'
excitation
, au cours des- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES
des troubles men- taux. Durant la seconde période, les phénomènes d'
excitation
ont tenu la plus grande place. Ils étaient cara
ce. Nos deux autres malades ont présenté un mélange de phénomènes d'
excitation
et de dépression portant sur l'ensemble des fon
Les phénomènes ob- servés consistent en général en des phénomènes d'
excitation
et de dépression plus ou moins étendus et diver
lle que soit la forme revêtue.par les perversions de l'état mental,
excitation
ou dépression, il ne s'agit en somme que de mod
itives surtout, au réveil des fonctions enrayées. A la suite de ces
excitations
qu'on varie suivant les cas, suivant la pré- do
dées de richesse et de satisfaction. Inégalité pupillaire. Crises d'
excitation
. Mort à l'âge de 57 ans. La température rectale
Suggestion et hystérie. M. BAmNSxc présente une malade chez qui l'
excitation
de la plante du pied provoque le phénomène de c
du réflexe cutané plantaire que, quand il n'est pas net.on peut par
excitation
du bord externe du pied, produire un écartement
ers comme les pratiques aesthésio- géniques, à la suite de diverses
excitations
on constatera un relè- vement général de toute
rd sous l'influence do la volonté, puis même sous l'influence d'une
excitation
réflexe ; c'est la paralysie. D'autre part, l
tre enfants mais elle n'a jamais éprouvé dans le coït ni la moindre
excitation
, ni aucune satisfaction sexuelle. Au moment de
ne lui donne aucune satisfaction. La malade éprouve le maximum de l'
excitation
et de la satisfaction sexuelles non pendant le
les résultats immédiats ob- tenus parla coquetterie même - l'état d'
excitation
se- xuelle chez l'homme - donnent à la malade l
e différente. On observe ce phénomène très souvent dans les états d'
excitation
psychique générale (état maniacal); le même phé
quelques minutes,le malade se trouvait dans un état très agréable d'
excitation
sexuelle qui s'augmentait peu à peu, et une foi
la neurasthénie grave dans ces circonstances, c'est-à-dire dans ces
excitations
perpétuelles et très fortes du sens génésique,
t très excité sexuellement, qu'il tâchât de trouver une issue à son
excitation
et qu'il rêvât toujours au ligotement des pieds
h, on ne sait pas encore si l'immobilité réflexe de la pupille (à l'
excitation
lumineuse directe ou indirecte, à toutes les ex
upille (à l'excitation lumineuse directe ou indirecte, à toutes les
excitations
psychiques ou nerveuses) peut se transformer en i
narcose semble s'être installée brusquement sans période initiale d'
excitation
motrice, ni de dé- lire. Elle a été accompagnée
très correcte, elle se présente à nous ordinairement avec un peu d'
excitation
intellectuelle, cause avec volubilité, répond a
Psychi., XXIX, f. 209, p. 209 à 216, 15 mars 1906.) On sait que les
excitations
périphériques peuvent produire des h. complexes
la réalité et l'objecti- vité des h.-D'autre part, plusieurs fois l'
excitation
périphérique modifia seulement le cours et l'in
h. déjà excitantes sans produire de perception nouvelle. Donc une
excitation
sensorielle peut « donner l'impulsion » à des h
eurs peuvent étendre leur action à plusieurs fonctions semblables :
excitation
sexuelle produisant l'anesthésie des organes gé
ôté, indique une lésion du M. 0. C., seul nerf que parcourt alors l'
excitation
. La réaction à la lumière intéresse au contrair
début brusque par vomissements, céphalée, stu- peur. d droite, les
excitations
ne sont pas suivies de leur effet ordi- dinaire
ictions, les contractions mus- culaires d'une moitié de la face par
excitation
de l'autre moitié, ou de la partie supérieure d
tout de Hitzig ; ce dernier parvint, dans la paralysie faciale, par
excitation
du trijumeau ou de l'optique,à produire des réf
t de contracture ac- tive, d'hypertonisme musculaire que la moindre
excitation
péri- phérique transforme en paroxysmes myotoni
raisemblablement lié à des lésions des cellules motrices, la simple
excitation
de fibres de transmission pa- raissant a priori
aujourd'hui les désignations de stupeur maniaque, manie coléreuse,
excitation
dépressive, etc. L'auteur insiste par contre su
t de représentations diverses dont chacune est une réac- tion à une
excitation
périphérique et se porte ainsi isolément au pie
t répartis en deux catégories : symptômes de déficit et symptômes d'
excitation
. La deuxième est la plus importante ; elle comp
re, être rythmée par scansion de tous les mots. Toutes les formes d'
excitation
primaire ou «besoin de parler» ont ceci de comm
différentes zones cérébrales avait déterminé chez notre malade l'
excitation
intellectuelle intense, et l'exagération de tou
de l'aile du nez. et de la lèvre supérieure gauche, en réponse à l'
excitation
du tiers inférieur de la PA ; 2° des mouvements
ts de flexion de l'avant-bras et de soulèvement du sourcil, par l'
excitation
du tiers moyen de la PA et du lobule pariétal i
, de l'orbiculaire des paupières, du sourcil et de la langue, par l'
excitation
de la circonvolution supra-marginale, là où ell
ther- miques ou dolorifiques ou bien dépend du mode diffé- rent d'
excitation
des fibres nerveuses, ou de ce que les fibres d
es contractions, à la fermeture de l'anode, et que, non seulement l'
excitation
directe du muscle par les courants continus per
- bilité manifeste par rapport aux muscles indemnes, mais aussi l'
excitation
indirecte galvanique. P. K. III. CONTRIBUTION A
a continuité non. Etcette con- tiguïté suffit à la transmission des
excitations
. Il n'y aurait pas lieu non plus, d'après M. Fo
e accompagnant ses attaques d'épilepsie; le noir pendant la phase d'
excitation
, la couleur claire pendant la phase de stupeur.
les pupilles ne réagissent plus sous l'influence de la lumière, les
excitations
sensitives périphériques ne peuvent dilater la pu
s DE CONTUSIONS graves SURVENUES spontanément au COURS D'UN accès d'
excitation
maniaque ; DÉCOU- verte L'AUTOPSIE D'UNE PACHYM
aigus de folie. On peut se demander si dans le cas dont il s'agit l'
excitation
maniaque était due à lapachyménin- REVUE DE PAT
doués d'une puissance cérébrale peu commune et qui, à la moindre
excitation
(émotion, frayeur, etc.), présentent tous les sig
us pendant longtemps de boire de l'alcool, mais chez lesquels une
excitation
plus ou moins vive fait apparaître les phéno- m
burini, Ferrier, Tripier, Exner, Bechterew ont vu, en effet, soit l'
excitation
expérimentale, soit les lésions, irritatives ou
erait un postulat physiologique. Pour expliquer la transmission des
excitations
, il n'est pas nécessaire que ces ramifications
n, provoque des troubles de la vision (hémiopie, etc.). Quand les
excitations
optiques ont atteint cette région de l'é- corce
que aux images mnémoniques associatives. Que la transmission de ces
excitations
ait lieu par continuité ou par contiguité des r
réseau nerveux central de l'écorce ; 2° par la propa- gation de l'
excitation
dans ce réseau; 3° par la trans- mission des st
ent ce savant s'explique la genèse des sensations musculaires : une
excitation
des nerfs moteurs est transmise, au moyen de le
l groupe de muscles. Si le circuit est interrompu, soit parce que l'
excitation
n'est point parvenue au muscle (interruption du
paralysie générale n'est remplacée par aucune autre maladie, mais l'
excitation
maniaque peut être remplacée par la paraplégie
mois, la paraplégie a disparu lorsque la malade est devenue folle (
excitation
maniaque) pour reparaître au retour de la santé
en effet une affection fébrile intercurrente faire dispa- raître l'
excitation
maniaque, on ne la verra jamais modifier les sy
u sel de potasse : l'anneau contractile empêche la propagation de l'
excitation
; la propagation fréquente du mouvement pérista
neurasthéniques une dépression ordinaire quasi- physiologique, avec
excitation
qui tient à un manque de confiance en soi. Ce
Délire des grandeurs, affaiblissement de la mémoire avec périodes d'
excitation
maniaque; myosis, pronostic grave. Trois mois a
ent contrarié. Le roi ne dormait pas, et avait de fréquents accès d'
excitation
motrice, durant lesquels il se mettait à danser
ion : si elle est portée DE LA PERCEPTION INCONSCIENTE. 365 sur l'
excitation
même ou sur sa nature, la durée est presque deu
ions réaction sensorielle (il s'a- gissait dans son expérience de l'
excitation
auditive) ; la seconde, réaction musculaire. Il
usculaire est un acte invo- lontaire, et, quoique l'impression de l'
excitation
dans ce cas entre dans la sphère de la conscien
tuer à l'expression aperception celle de perception consciente. Les
excitations
, de 366 PSYCHOLOGIE. quelque nature qu'elles
qu'il y ait conscience ne sont pas encore rem- plies. Pour que les
excitations
puissent être perçues consciemment, les centres
on inconsciente, nous dési- gnons un état psychique dans lequel une
excitation
sensitivo-seusorielle venue du dehors n'est pas
rceptions conscientes; et, à partir de ce moment, l'impression de l'
excitation
perçue incons- ciemment ne diffère pas, jusqu'à
IENTE. 367 déterminer le temps qui s'écoule entre le moment d'une
excitation
perçue inconsciemment et un acte incons- cient
nsidéré comme une réponse, dans les conditions de l'expérience, à l'
excitation
produite. On comprend facilement que, pour l'ét
ire la part, dans la recherche de l'in- tluence de l'intensité de l'
excitation
sur la durée de la réaction simple, de ce qui e
, de ce qui est dû au sens du tact ou au sens de la douleur quand l'
excitation
devient forte, parce que les conditions physiqu
s conditions physiques ne nous permettent pas de réaliser une forte
excitation
tactile sans qu'il s'y ajoute un élément de dou
cet état pathologique, bien que le sujet n'ait pas conscience d'une
excitation
périphérique, elle suit cependant les mêmes voi
irige la volonté du sujet vers la recherche de la nature de cette
excitation
, il arrive, après un temps plus ou moins long,
s ou moins long, par un travail de cérébration, à retrouver cette
excitation
perdue dans un coin de son cerveau. C'est là un
ière série d'expériences, l'attention des sujets a été portée sur l'
excitation
, et, dans la seconde, sur la nature du mouvemen
4 PSYCHOLOGIE. Plus la durée des impressions est longue et plus l'
excitation
est vive, plus facilement ces impressions entre
l'on peut appeler grave. Dans ce cas, selon toute probabilité, les
excitations
ne sont pas perçues, même inconsciemment et il
ui prouve qu'il n'est qu'un réflexe et qu'il ne provient point de l'
excitation
du bulbe. Le lavage de l'estomac peut aussi emp
la patho- génie de l'attaque d'épilepsie. Troisième communication.
Excitation
des centres sous-corticaux du chien ; contribut
e, caractérisée par un désordre extrême dans les idées accompagné d'
excitation
ma- niaque enté sur un fonds d'affaiblissement
poriser plus ou moins longtemps afin de laisser passer la période d'
excitation
. Si l'on se bornait à ces précautions, on n'aur
loroforme, éther. — Action de ces divers agents; délire. Périodes d'
excitation
maniaque. — Contractures des membres inférieurs e
t ; la vue et le contact des hommes produisent chez elle une espèce d'
excitation
particulière. W... est peu active, sïrrite faci
ntracture des muscles de la moitié correspondante de la face. La même
excitation
, pratiquée sur le muscle sterno-mastoïdien droit,
as, dit-elle, j'étouffe et je suis agitée. » Elle n'éprouverait pas d'
excitation
génitale et aurait plutôt du dégoût pour les homm
yperesthésie, « loin d'être, comme on pourrait le penser, une cause d'
excitation
des organes génitaux, rend le simple contact tell
n'est pas la même : les unes répondent sur-le-champ à la plus légère
excitation
; — les autres ne déterminent d'attaques que si la
de couleur et les convulsions n'éclatent que 10 à 15 minutes après l'
excitation
. La pression sur la région sous-mammaire agit p
— Dans les régions qui ont recouvré la sensibilité, les différentes
excitations
sont moins nettes qu'à droite. — L'amblyopie pers
xcessive, des secousses multipliées, parfois même un état voisin de Y
excitation
maniaque, etc. : en pareille occurrence, les mala
M. Charcot : si l'on comprime la région ovarienne d'une hystérique, l'
excitation
de la zone hystérogène la plus active ne parvient
rovoquer une attaque. Disons enfin que les attaques déterminées par l'
excitation
des régions hystérogènes, outre qu'elles peuvent
tre et demi de largeur. La rougeur apparaît quelques secondes après l'
excitation
. La malade est très faible sur ses jambes; elle
onomie est douce, mais le regard, humide, dénote fréquemment un peu d'
excitation
, ce qui donne à la malade un air effronté. Son la
ommeil offrent souvent des prodromes : tristesse, alternant avec de l'
excitation
, rires sans motif, hallucinations et illusions va
t dans son ventre, avait une couronne blanche sur la tête, etc. Cette
excitation
a continué jusqu'à minuit; alors, elle a eu de gr
erait pas somnolente. 2 mars. — Hier, vers 5 heures, accès de rire,
excitation
. H... crie : « Viens, mon père, c'est toi qui es
çues ; le simple contact n'est pas senti. Souvent aussi, de nouvelles
excitations
échappent à la malade : c'est en particulier ce q
par une attaque convulsive, ou bien par des rires, des pleurs, de l'
excitation
. Les malades sont étonnées, paraissent ne plus se
pposait quelque sainteté. — Ces contemplations, aidées d'une violente
excitation
intellectuelle, étaient rapidement suivies d'hall
électrisation et qu'explique la distribution même du nerf ; l'autre l'
excitation
du facial dans les mêmes conditions d'hypnotisme,
'autre l'excitation du facial dans les mêmes conditions d'hypnotisme,
excitation
produisant tous les effets que le puissant exci
hargie et hémi-catalepsie. Tentative d'empoisonnement. — Périodes d'
excitation
. — Règles et attaques. — Fuite de la Salpètrière.
itabilité musculaire très évidente (sterno-mastoïdien, Pl. XXXYIII);—
excitation
du nerf facial (phénomènes habituels, Fig. 8). —
s. — On a noté, en outre, des accès de colère et plusieurs périodes d'
excitation
. ¦ 1880. — Rien de particulier va. janvier et f
XXXVIII). — Les Planches XXXIX et XL montrent,l'une, les effets de l'
excitation
du muscle frontal, l'autre, ceux de l'excitation
une, les effets de l'excitation du muscle frontal, l'autre, ceux de l'
excitation
du muscle zygomatique. Planche XXXIX. LÉTHARG
1, 22, 35, 57, 65, 73, 80, 92, 99, 187, 202, 219. Etouffements, 12.
Excitation
maniaque hystérique, 197, 201 et passim. Exorcism
)I. Baillarger, la déduisant d'un double phéno- mène pathologique,
excitation
, dépression; d'autres, s'en tenant à la divisio
s vé- sanies en un double cadre, selon qu'elles relèveraient de X
excitation
ou de la dépression, lesquelles dominent, tour
ales, dans lequel sont venus se ranger quatre genres principaux : l'
excitation
maniaque, la manie, la démence, avec ou sans pa
remarquer, dans la manifestation des symptômes, des alternatives d'
excitation
légère etdedépressionextrême, cette dernière ph
entre une dépression habituelle, profonde, et de courtes phases d'
excitation
et de lueurs raisonnables. L'obser- vation dit
écessairement dans la catégorie des délires généraux. Serait-ce une
excitation
maniaque ou une manie ? Elle n'en a, sauf les a
il croit avoir amené les désastres de la France. Progressivement l'
excitation
augmente, il est maudit, se dit le démon, l'Ant
, il est survenu des phases dépressives alternant parfois avec de l'
excitation
; mais ces accès diminuant progressivement de du
raves dans le bulbe. Mais s'agit-il d'un processus irritatif, d'une
excitation
des filets sympathiques cardiaques et des vaso-
ence. Elles sont constituées par de la mélancolie avec agitation,
excitation
psychique, confusion et précipitation dans les id
nt à une agitation initiale de courte durée ou de la lypémamie avec
excitation
et obnubilation psy- chique, hallucinations dés
tion et de dépression. On en rapprocherait la forme méningi- tique (
excitation
cérébrale) de Liebermeister, survenant brus- qu
eur tour un résultat quand en môme temps que de toutes les causes d'
excitation
psy- chique on aura débarrassé l'aliéné vivant
poglosse. Le tremble- ment de la tête serait dû, pour l'auteur, à l'
excitation
d'un récur- rent par le processus encéphalique
ion ou folies circulaires); 3° lorsque la démence s'accompagne de l'
excitation
de certaines sphères sensitives. AI. Rieger.
pas le jouet de son imagination en délire. Au début, les états d'
excitation
et de dépression viennent aussi se refléter dan
pileptiques, ainsi que le pense le professeur Luciani pour lequel l'
excitation
de la moelle allongée n'est qu'un phénomène sec
arables. Il pense que si quelquefois l'épilepsie est produite par l'
excitation
de l'écorce cérébrale, souvent aussi elle est d
l'excitation de l'écorce cérébrale, souvent aussi elle est due à l'
excitation
d'autres régions des centres nerveux, telles qu
un degré de développement plus grave et plus accentué, parce que l'
excitation
précède la con- ception, le malade obéissant au
tre, dans les régions céphaliques, arti- culaires, musculaires; des
excitations
sexuelles en présence ou en l'absence de causes
hique en question. Traitement général Ionique et reconsti- tuant. L'
excitation
des crises réclame l'administration du bro- mur
manie s'ajoutent des crises à congestion céphalique : hyperthermie,
excitation
mo- trice, démence, malpropreté, agitation, ins
de l'incitation, M. Weiss pense qu'en ce cas c'est lasuracuïté de l'
excitation
qui, dépassant la limite maxima, franchit brus-
Comment expliquer cet accident subit, l'accès de vertige ? quelle
excitation
soudaine du contenu de l'oreille interne, et pa
ues suivis de stupeur, ne conservait aucun souvenir de la période d'
excitation
. Vidal et Legrand du Saulle. (Aîi7z. me(, ! «'o
e autre personne. Les caresses provo- quaient chez elles une grande
excitation
qui s'accom- pagnait de spasmes, de sécrétion d
les avait un bec-de-lièvre. Chez l'une, existaient des périodes d'
excitation
et de dépression ; chez l'autre, des accès méla
, atteinte d'hystérie, présente des attaques et despériodes de vive
excitation
intellectuelle ; son père, mort à soixante-qua-
vait aucune idée bizarre. Depuis un an, il offre des alternatives d'
excitation
et de dépression, et parfois sur- viennent des
éprouva pour la première fois un phénomène singu- lier, c'était une
excitation
génitale et l'érection, dès qu'il aper- cevait
objet de ses premiers désirs, sa vue, . lailt lait ( 1 Il,), état d'
excitation
extrême, elle éprouvait des sensa- tions volupt
e certaine intermittence, et c'est par âcces"cue se présentent' les
excitations
impulsives : c'est là un caractère de plus de l
l'immobilité, ou encore il reste dans une sorte d'apathie béate'. L'
excitation
morale est beau- coup plus rare. La plupart du
utile ; leur genèse, et plus tard leur volume exagéré, résulte de l'
excitation
incessante déterminée par le frottement l'une s
courcissement passif du tibial, le relâchement jouant le rôle d'une
excitation
et il l'avait mise en contraste avec le phénomè
le par des contractions cloniques; dans la contraotion paradoxale :
excitation
d'un muscle par allongement de son antagoniste
tion inconsciente de l'antagoniste, ce qui leur fait sup- poser une
excitation
, d'une certaine durée, du centre spinal, ' R. V
t fort émotionnable et criait et pleurait sans motifs, à la moindre
excitation
. L'auteur pense qu'il s'est agi là d'une contus
ent produire des symptômes nerveux divers dus à la paralysie ou à l'
excitation
du nerf vague. Ces phénomènes sont d'origine ré
ou paralysie réflexe de ses rameaux car- diaques). Les phénomènes d'
excitation
se traduisent par des attaques épileptiques, le
ades paraissent être pour quelque chose dans le mode de réponse à l'
excitation
: les attaques d'épilepsie se rencontreraient p
indique pour l'auteur une relation de cause à effet directe entre l'
excitation
corticale etles phénomènes. Lodéfaut d'altérati
ées et alternes ci l'altération du lobule pariétal supérieur avec l'
excitation
de l'écorce gauche; peut-être s'agit-il d'un en
ent immobile ; on se couvre de sorte à assurer une température et une
excitation
de la peau uniformes (2). Ainsi. l'attention pa
'arrête momentanément durant le sommeil. Ce ne sont pas seulement les
excitations
physiques qui font obstacle à l'assoupissement, m
en deux classes principales, suivant que le rêve est engendré par une
excitation
périphérique ou cérébro-centrale (1). La différen
s dormeurs et les actes compliqués des somnambules. Lors donc que des
excitations
du dehors élicitent des rêves, il n'y a pas, entr
, entre les représentants dont ceux-ci sont formés et l'intensité des
excitations
, de rapport normal et rationnel. Ainsi, pour cite
ous enfuyons hors d'une maison incendiée (2). Il faut remarquer que l'
excitation
peut provenir aussi de l'activité dans l'intérieu
oins, ces créations de (1) Spitta appelait ces deux groupes rêves d'
excitation
nerveuse et rêves psychiques; Calkins les nommait
nces pour découvrir jusqu'à quel point il serait possible, au moyen d'
excitations
des sens, d'éliciter artlficiellement des rêves d
ions viscérales ou organiques, nous affectent, à l'égal de toutes les
excitations
périphériques quelconques : elles deviennent tout
D'autre part, à chaque instant, nos sens sont impressionnés par des
excitations
dont nous n'avons pas la moindre conscience; ces
d'exagération de la sensibilité 1 C'est une sensibilité telle qu'une
excitation
qui ne produirait normalement qu'une sensation lé
impressions, ou plutôt, qui a besoin, pour être impressionnée, d'une
excitation
plus violente ou plus prolongée. Nous pouvons app
ette exaltation de la sensibilité? C'est une sensibilité telle qu'une
excitation
imperceptible produit une impression d'une acuité
bilité nous conduit à l'autre point extrême. C'est un état tel qu'une
excitation
quelle qu'elle soit, ne produit plus aucune impre
bord sous l'influence de la volonté, puis même sous l'influence d'une
excitation
réflexe; c'est la paralysie. D'autre part, l'ex
que ses enfants ne sont pas les siens, alors entrant dans des accès d'
excitation
qui épouvantent sa famille, il menace de tuer tou
s malades ne seront pas en état d'ivresse, même légère. Dans l'état d'
excitation
alcoolique, les sujets les plus suggestibles cess
eux, puis enfin à l'enfer plein de démons dans d'immenses flammes ; l'
excitation
deviendra alors si grande que nous aurons affaire
é, l'émotivité, l'angoisse, la peur de mourir, différentes phobies, l'
excitation
ou la froideur génitale, le suicide; dans la sphè
périmentateurs ont provoqué le sommeil des cellules végétales par des
excitations
électriques. Becquerel (1) a montré que les mou
urs bien entendu d'un arrêt et d'une rétraction momentanés (1). Les
excitations
galvaniques suspendent aussi les mouvements biopr
able à celle qui se produit dans les paralysies réflexes à la suite d'
excitations
phériphériques particulières, dans lesquelles l'i
ntré l'influence considérable exercée sur les centres nerveux par les
excitations
périphériques faibles et continues. L'appareil
us présente réalise les conditions requises pour la production de ces
excitations
périphériques, car un dispositif spécial permet d
iques, car un dispositif spécial permet de graduer l'intensité de ces
excitations
. Nous pensons que cet appareil est appelé à rendr
favoriser la production du sommeil provoqué, soit pour localiser les
excitations
périphériques faibles ou fortes, destinées à stim
mment, grâce à son fonctionnement très simple, d'étudier l'action des
excitations
mécaniques fortes ou faibles, rapides ou lentes s
obtenir des effets oesthésiogènes très remarquables au moyen des
excitations
purement mécaniques faibles et répétées. L'exci
x apyrétiques, ou franchement fébriles, au-dessus de 38, n'ont aucune
excitation
géné-sique. La même explication est valable pou
ersonnes qu'ils affectionnent le plus. Ils paraissent aussi avoir des
excitations
anormales. PSYCHOLOGIE HIÉROLOGIQUE Marie Ala
est forte l'impres- sion de celle première hallucination; puis l'
excitation
augmentant, pendant une nuit, elle entend dans la
oreille humaine ». Ce mouvement s'effectue de 1 h. à 1 h. 30 après l'
excitation
. Le redressement se produit au bout de 10 à 48 he
e 10 à 48 heures. Ce mouvement n'a lieu que du côté excité. Mais si l'
excitation
est appliquée au milieu de la feuille, les deux b
icroscope, par l'absence d'oxygène et l'excès d'acide carbonique. Les
excitations
faibles portées sur les nerfs sensibles provoquen
second degré. La plante ainsi électrocutée ne peut plus répondre aux
excitations
(Dreu et Van Marum). Ce phénomène a été aussi obs
, et leur font perdre la propriété de se replier sous l'influence des
excitations
précédemment énumérées. Ce sommeil atteint les bo
moins en moins étendus, et finissent par cesser complètement, si les
excitations
sont trop fréquentes. Aussi entrent-elles en réso
t de la sensibilité. Beaucoup de sujets sont insensibles à toutes les
excitations
et ne perçoivent ni contact, ni douleur, ni varia
ction du IXe Congres international de psychologie, 1900. dans les
excitations
de la presse, dans la réclame... La suggestion, c
tience et d'humeur chagrine qu'exagère encore l'irritabilité liée à l'
excitation
directe du mal. Ces deux traits dominants: l'ég
ette persistance est surtout un fait de l'égoïsme aidé à la fois de l'
excitation
morbide venant du mal et de l'optimisme (F. Re-gn
meur est bien plus inégale que celle du cardiaque, les alternatives d'
excitation
et de dépression plus accusées. Au surplus, le pe
e, leur voix, leur mode de parler diffèrent de l'état normal; après l'
excitation
, ils tombent dans le sommeil et au réveil ne se r
ion inconsciente. c) Enfin, il y a des rêves qui ont pour origine une
excitation
sensorielle de l'ouïe, (bruit des vagues, du* ven
e, des feuilles, etc.. voire même musique faite près du dormeur). Ces
excitations
font surgir des idées-sons, immédiatement transfo
a clinique est donc parfaite. Par quel mécanisme peut se produire l'
excitation
de cette zone cérébrale chez les stomacaux. On pe
c que, dans certains cas, la branche stomacale de ce nerf éprouve une
excitation
spéciale, sous l'influence des fermentations gast
xe du voile du palais est un peu diminuée, mais non abolie, que l'
excitation
porte sur le voile du palais ou sur la paroi post
. BucH d'Helsingfors). (Cen- tralblatt. f. Nervenheilk., 1884.) L'
excitation
due à un froid modéré (ablation de la couver- t
ux, provoque une hyperémie collatérale dans le voisinage; une forte
excitation
, au contraire, se réfléchit jusque sur les cent
c réflexe; dans ces conditions, la moelle n'interve- nant plus, une
excitation
d'intensité quelconque agit comme l'excitation
ve- nant plus, une excitation d'intensité quelconque agit comme l'
excitation
faible chez l'individu sain, mais alors les réact
u vit. Second procédé. Dans les conditions normales, une violente
excitation
mécanique (pincement de la peau) détermine de l
4 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. gions, soit d'une excitabilité localisée (
excitation
purement auto- matique) autonome. Dans le délir
contre la théorieantiphysiologiquede la propagation centrifuge de l'
excitation
à travers les voies de con- ductibilité centrip
d que ce sont des pseudo-hallucinations qui, sous l'influence d'une
excitation
(dépourvue du caractère centrifuge) se transfor
ura, prodrome des convulsions limitées. Sous l'influence de cette
excitation
locale de la peau, on voit les convulsions change
spose l'appareil de du Bois-Reymond de manière à faire intervenir l'
excitation
électrique nécessaire à déchaîner par son appli
e toutes, sont celles dont l'activité peut être mise en jeu par des
excitations
superfi- cielles de la peau : le contact avec l
2° Les zones sous-cutanées, qui sont plus com- munes, résistent aux
excitations
précédemment énumérées; elles ne siègent donc p
mmaire ou l'ovaire. Pour la mamelle, on le prouve en montrant que l'
excitation
énergique de la peau qui recouvre le sein ne pr
e sorte qu'une pression légère produitle sommeil hypnotique, et une
excitation
plus énergique produit l'attaque. Cependant les
ans les muscles fléchisseurs. Si le muscle est reposé lorsque cette
excitation
a lieu, il se contracte brusquement, puis, lors
tte excitation a lieu, il se contracte brusquement, puis, lorsque l'
excitation
cesse, il revient avec une grande lenteur à son
iologique /Ti. 3). Au contraire, lorsque le muscle a subi plusieurs
excitations
antérieures, il e décontracte aussi brusquement
ntractiou très lente du muscle dans lamaladie de Thomsen, lorsque l'
excitation
a été portée sur le muscle reposé. MALADIE DE T
e de Thômsen, lorsque le muscle a été préalablement fatigué par des
excitations
répétées. B, Tétanos musculaire normal. 210 0
souffrir quand on appuie sur son côté gauche, et ne réagit à aucune
excitation
. Tout à coup il cesse de respirer, il se renver
à la fin de ses attaques, il présente souvent de longues phases d'
excitation
maniaque, il chante et crie pendant des heures.
XX. Occlusion intestinale, gastrotomie, TROUBLES PROVOQUÉS par l'
excitation
du grand sympathique; mort; par le Dr Léon BLON-
piratoire ait besoin, pour reprendre ses fonctions, de l'addition d'
excitations
qui normale- ment agissent d'une façon continue
260 SOCIÉTÉS SAVANTES. Discussion : ,,1 M ... ,II Il M. STARK. L'
excitation
ne se montre pas seulement'pendant l'at- taque
sur l'action du pneumogastrique et il est arrivé à constater, que l'
excitation
aussi bien adéquate, qu'électrique ou mécanique
pareil à celui que Traube et Hoscnthal ont constaté à la suite de l'
excitation
du bout central de la partie cervicale du pneum
ue. C'est en effet tout à fait le contraire qu'on ob- tient après l'
excitation
du bout central du trijumeau. Les excita- tions
IOGRAPHIE. 273 celles du nerf optique. En portant ses expériences d'
excitation
sur la mae cérébrale mme, l'auteur est arrivé a
rébrale mme, l'auteur est arrivé a limiter un petit endroit, dont l'
excitation
produit'un arrêt des mouvements du diaphragme d
ueduc de Sylvius, fonctionne. dans^un sens.expira- Loil'e'l't ';011
excitation
amène l des Racées d'expiration ou l'arrêt tota
ur il conclure, que l'acte de l'inspi- talion résulte d'une série d
excitations
, qui arrivent au centre général de la respirati
rique, par le trijumeau et par tous les autres nerfs sensibles. Les
excitations
du centre respiratoire lui-même ne paraissent pas
engeance haineuse ac- quéraient plus d'empire sous l'influence de l'
excitation
alcoo- lique et aussi que, après un léger excès
ent et asthénie générale. Elle était turbulente avec des périodes d'
excitation
; elle avait de mauvais instincts. Elle ne mange
d'ouvrir les yeux, je fais disparaître alors les contractures par l'
excitation
superficielle au niveau des muscles antagonistes,
eur période de délire, sur le retour des idées déli- rantes et de l'
excitation
, j'essaye de l'empêcher par des sugges- tions.
C'est l'époque des règles. 1885. - si janvier. - Courte période d'
excitation
génitale : pas d'onanisme. 13. Anurie depuisd
uis s'excite, se met en colère, et finalement en arrive à un état d'
excitation
assez accentué, elle délire même un peu, parle de
détruites par les suggestions ne reparais- sent pas. - 30. Cette
excitation
etce délire cèdent aux suggestions ensom- nambu
- Travaille un peu, sort, se promène, va même à l'église. Au- cune
excitation
aux époques menstruelles. Elle rit maintenant de
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. du côté paralysé. Aussi conclut-on à l'
excitation
directe des tractus sensitifs par le processus
par le processus anatomique de l'organe cen- tral, les phénomènes d'
excitation
de la région motrice ayant absolument coïncidé
r gauche, et, par contre, la contracture du membre supérieur droit (
excitation
permanente des racines de ce côté par élongatio
açon satisfaisante. R. M. C. XIX. SUR DES accès TOUT particuliers d'
excitation
SEXUELLE PERVERSE; par ANJEL. (Arch. f. Psych.,
nos confrères des plus dis- tingues, commence, dans ses périodes d'
excitation
maladive, ses harangues, vers huit heures du so
n. Son mari qui l'aime beaucoup l'écoute patiemment pour éviter l'
excitation
qui ne manquerait pas de se produire s'il lui imp
iration, une expression tétanique delà physionomie; enfin, de pures
excitations
cutanées provoquent toujours des réflexes tout
tricts centraux en question avaient été pen- dant la vie le siège d'
excitations
fonctionnelles inégales (théorie de Hagen). Un
iieineiit, plus prononcé de ces deux régions au cerveau; de là, des
excitations
inégales de la substance nerveuse. Dans les deu
sparition des fibres d'association intracorticale qui les prive des
excitations
centrales. M. Tuczek tient d'ailleurs compte da
e et poliomyélite, par Strueml;ell, 93. Occlusion intestinale par
excitation
du sympathique, 225. , Oculo-iholeur commun (
iénés par Thomsen, 10U. Sexuelle (sur un cas tout particuliet d'
excitation
sexuelle perverse), par Anjel, "16. Sitiophob
yeux du malade ou probablement beaucoup plus souvent, a cause de l'
excitation
de l'idée imposée qui consiste en ceci : le mal
able qu'on excite mécaniquement les os de la colonne ver- tébrale,l'
excitation
se transmet à la moelle spinale ou aux raci- ne
nduit au diagnostic énoncé plus haut. La fausse sensation tient à l'
excitation
du bout central des conducteurs de la sensibili
roduit. Le système nerveux n'y collabore qu'en ce qu'il conduit les
excitations
; il ne fait que les conduire. Jamais la cellule
t Trousseau ; mais ce dernier n'affecte pas la forme typique. Toute
excitation
mécanique, élec- trique, volontaire qui dure qu
a contraction partielle ou raccourcissement des fibres au lieu de l'
excitation
. 2. Ce phénomène, physiologique, appartient, co
point de vue : 1° relation entre le temps perdu et l'intensitéde l'
excitation
; 2° relation entre la force de la contraction
; 2° relation entre la force de la contraction et l'intensité de l'
excitation
. C'est sur la pre- mière question seulement que
varie presque du simple au double en sens inverse de l'intensité d'
excitation
, cette intensité dépendant elle-même de deux fa
présente aussi un intérêt théorique. On a abandonné la théorie de l'
excitation
directe par le choc des organes sensi- bles des
s dans les tendons, et surtout que nous igno- rons les lois de leur
excitation
. Pathogénie de l'othématome. lI. le Dr D.\RCa
tion et calme ; si c'est l'inverse, ce sont les phénomènes opposés,
excitation
et agitation, qui se produisent. On peut ainsi,
es cas où l'hallucination est d'origine primitivement corticale par
excitation
mécanique par exemple. Cliniquement, l'hallucin
nt spé- cialement compte des individualités. Au sujet des états d'
excitation
et de dépression, le rappor- teur s'attache à m
distinguées par Barthez. BALNÉATION ET HYDROTHÉRAPIE. 211 lTATS d'
excitation
. Pour l'excitation, en particulier, on saura qu
thez. BALNÉATION ET HYDROTHÉRAPIE. 211 lTATS d'excitation. Pour l'
excitation
, en particulier, on saura que, quel que soit so
on peut dire que le bain pro- longé reste le procédé de choix de l'
excitation
maniaque. Quant à savoir ce qui, en règle génér
a) Etals maniaques. - Dans les manies graves et le délire aigu, l'
excitation
, si souvent en rapport inverse avec les forces
articulièrement aptes à ra- mener le sommeil. (Morel, de Mons.) L'
excitation
maniaque hystérique s'accommodera le plus souve
(Brierre) ou à la douche tempérée à faible pression. j Les crises d'
excitation
chez les épileptiques pourront, quoi- 1 que rar
la tête, bains de siège et pédiluves chauds. - Dans les crises d'
excitation
survenant au cours des états maniaques chroniqu
gé et à en surveiller minu- tieusement l'emploi. 1 < >1 A l'
excitation
maniaque chronique semble particulière- ment ap
me on le sait bien, la mélancolie n'est point exclusive des états d'
excitation
et, dans ces cas où se range la mélanco- lie an
rs même qu'elles ne traduisent pas les phénomènes exté- rieurs de l'
excitation
. Aussi semble-t-il rationnel que Kroepe- lin ai
ins très prolongés sont le, moins applicables. - . Dans les états d'
excitation
mélancolique seront, en outre, indiquées les pr
Mons, peut signaler que, dans la mélancolie grave allant jusqu'à l'
excitation
, certains auteurs ont pu subs- tituer, avec les
malade et de ses capacités réactionnelles qu'on emploiera, en cas d'
excitation
aiguë, les grands bains tièdes et les enveloppe
ise ou savamment mi- tigées à la façon de M. Beni-Barde, etc. A l'
excitation
on opposera les bains tièdes, les emmaillote- m
e la gamme des procédés hydrothérapiques a pour point de départ une
excitation
à la périphérie du corps; mais les effets se di
que cette dernière se dissimule souvent sous les 1 apparences de l'
excitation
et de l'agitation. C'est dans ces cas d'épuise-
r des indications sur l'état des forces du malade. 5° Aux états d'
excitation
et d'agitation conviennent géné- lement les app
de folie aiguë, d'essence plutôt sthénique, - tels, les épisodes d'
excitation
délirante de l'hystérie, qui, bienque justiciab
APIE ET HYDROTHÉRAPIE. 219 règles générales applicables aux états d'
excitation
ou de dé- pression psychiques ; mais c'est ici
ritabilité nerveuse et psychique sous ses divers aspects initiaux d'
excitation
ou de dépression. 14° La plupart des procédés h
, dispa- raisse. M. 111NHEIIdER Gommés (Paris). -- Dans les cas d'
excitation
générale avec barbouillage et scatophagie,la ba
(roubles de l'attention, idées obsédantes de toutes sortes, accès d'
excitation
avec an- goisse, paroles et gestes incohérents,
fébriles ou psychoses transitoires aigués, caracté- risées par de l'
excitation
ou de la dépression avec illu- sions, hallucina
vec dépression psychique et physique intense, sans délire et sans
excitation
bien marqués. Griesinger et Rondot (1883) ont r
relativement étendus, les uns spontanés, les autres en réponse aux
excitations
périphériques, les mouvements de défense, la th
la moelle produit de la paresse de la motilité ; S0 on peut. par l'
excitation
élec- trique, démontrer la persistance de l'exc
peut. par l'excitation élec- trique, démontrer la persistance de l'
excitation
, dans le tronc inférieur de la moelle au niveau
t donc suffisamment pourvue de fibres sensiti- ves et motrices et l'
excitation
peut bien parvenir aux ra- cines nerveuses qui
t la théorie des cen- tres moteurs de la moelle, ont démontré que l'
excitation
des racines nerveuses produisait des mouvements
rveuses produisait des mouvements syner- giques. « Chez le singe, l'
excitation
d'une racine déter- minée donne lieu à des mouv
parfaitement coor- donnés (Ferrier et Yeo) ; par exemple, lors de l'
excitation
de la première paire thoracique on voit les mem
s accomplir un mouvement approprié à la cueillette du fruit ; par l'
excitation
de la sixième paire cervicale, le bras s'approc
turc. Un mouvement spontané n'est qu'un réflexe répon- dant à une
excitation
interne (2). La nature de l'activité biologique
prédominance va s'atténuant à mesure que l'organis- me s'adapte aux
excitations
brutales et continuelles subies par l'épiderme.
ques jours après'la naissance, lorsque le cerveau peut réagir aux
excitations
externes ou internes. A partir du mot ment où l
nommé Demétrius Carini. Comme le malade était dans un grand état d'
excitation
, on l'enferma, à dix heures du soir, dans une c
mélancolique avec hallucinations, idées confuses de per- sécution,
excitation
, insomnie. » Au bout de 20 jours d'interne- men
rta le diagnostic : de (. retire mélancolique avec hallucinations ;
excitation
par inter- valles et tendance au suicide. » Com
rs seulement. En 1901, second internement, mais cette fois pour : ·
Excitation
maniaque, gé- missements, propos incohérents,-
s de ces trois catégories do filets nerveux, à la condition que ces
excitations
soient suffisamment fortes. Tel n'est pas l'axi
ème catégorie de terminaisons nerveuses all'ectécs spécialement aux
excitations
douloureuses. Au lieu d'être simplement l'organ
de la difficulté qu'éprouvent les éléments nerveux à réagi i aux
excitations
lorsque, sous unnintlucnce quelconque, leur lon
vec la même technique à l'examen dusang des psychiques avec ou sans
excitation
maniaque et l'on constatait la présence d'un di
s les fait disparaître en cocaïnisant les moignons.Ce sont donc les
excitations
périphé- riques parties dela région cicatriciel
les imagescorticalessont trop faibles pourêtre pro- voquées par les
excitations
périphériques. (Amputés congéni- taux.) '1 . z
une tendance marquée aux alcools, il passait par des alternatives d'
excitation
et de longue dépression, avec incohérence des a
aractéristique l'excitabilité extrême du patient, qui, à la moindre
excitation
, faisait un saut (jumping) désordonné, répétait
ez lesquels les phénomènes nerveux se produisent en dehors de toute
excitation
apparente ou plausible. « Un exemple, pris entr
et de fibres expiratrices, les premières étant plus accessibles à l'
excitation
. Chez un lapin chloralisé l'excitation du bout
s étant plus accessibles à l'excitation. Chez un lapin chloralisé l'
excitation
du bout central produit toujours un arrêt en ex
ire. hi. Franck, au contraire, prétend que l'inspiration qui suit l'
excitation
du nerf vague est une réaction douloureuse et q
élucider cette question, M. Ilenrijeail a répété l'expérience de l'
excitation
du bout central du pneumogastrique après avoir
l'anémie (chorea dimidiata d'Eulenburg), à la résorption biliaire (
excitation
cérébrale) de l'atrophie jaune aiguë du foie. P
ccident ni avant ni après. Absence d'étiologie. M. Berger croit à l'
excitation
centrale, corticale ou bulbaire de l'hypoglosse.
région lombaire. L'électrisation du thorax réside uniquement dans l'
excitation
rapide de la contractilité des muscles superfic
itées après leur réveil. Retombent-elles immédiatement dans la même
excitation
, ou bien au contraire, travetsent-elles en se r
rt décrits par M. Charcot; il pense, avec M. Vulpian, que certaines
excitations
périphériques déterminent un état spécial des c
ctrique des circon- volutions cérébrales et sur la p< ! ) iode d'
excitation
latente du cerveau ; par H. Crosnier de Varigny
u'elle attribue à ses persécuteurs, de la constipation et un état d'
excitation
qui -Importe à l'isolement pour se mieux pénétrer
le certificat suivant : «-Délire chronique mystique, volubilité et
excitation
, hallucinations de la vite. Révélations divines.
air excité; il ,'n'est pas.soIider>sur sesrjambes.jBient(Jtyso,n
excitation
tombe, il -s'affaiblit dé plus , en. plus et pe
oliy préférer 1 sOlil-,Jaq citer les contractions musculaires par l'
excitation
bipoIaire-pluLÔtjfif que par l'excitation unipo
actions musculaires par l'excitation bipoIaire-pluLÔtjfif que par l'
excitation
unipolaire; il modère la force^des dé liargs,11,1
du, visage chez /es (f ! Ht ! s. Nous en éliminons les indications
excitations
bibliographiques, tout intéressantes qu'elles s
sions les plus diverses et même les plus opposées. U se voit dans l'
excitation
maniaque où, tel est souvent l'afflux des idées
r exemple, chez les déments complets ou imparfaits, une très faible
excitation
déchaîne une forte réaction du côté de la mimique
mbent comme s'ils avaient la lourdeur du plomb; peu de réaction aux
excitations
douloureuses. Mort. Ixtopxti'.L'hémipiégiedrote
t dure un peu plus que le courant. Cela s'observe aussi bien pour l'
excitation
directe que pour l'indirecte (c'est- à-dire que
es oies, des poules, des lapins, des chiens, parla double méthode d'
excitation
et de destruction des tissus, peut se formuler
P. K. 312 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XHV. Sur la sommation DES
excitations
dans LES NERFS sensitifs DE l'homme; par de Wat
eville. (JVe : f)'0. CcntrvlLl., 1883.) On dit qu'ily a sommation d'
excitations
d'un tronc nerveux quand ces excitations, trop
n dit qu'ily a sommation d'excitations d'un tronc nerveux quand ces
excitations
, trop faib)espare))es-m6me6 pour entraîner une ré
'espace de certaines limites) avec leur fréquence. La sommation des
excitations
sur le tronc nerveux s'opère plus facilement, qua
bres serait la résultante de contre-coups (actions ultérieures) des
excitations
électriques, tandis que la sommation dans les c
xcite directement par les courants faradiques. Même remarque pour l'
excitation
du nerf qui l'anime, de quelque façon qu'on mod
a nais- sance ; est devenue sujette, en grandissant, à des crises d'
excitation
et de violence; intelligence bien au-dessous de
ette intoxication, l'aliéné, outre qu'il trouve souvent l'appoint d'
excitations
nécessaires pour passer l'acte déli- rant, qui
t plus ou moins, sauf à s'effacer plus tard devant elle quand cette
excitation
sera tombée. Que de fois cette situation ne s'est
e générale de la force brutale, avec impossibilité de localiser les
excitations
sen- sibles, aboutissant à une augmentation con
ne certaine restriction les premiers ré- sultats obtenus. D'abord l'
excitation
de l'écorce, telle qu'elle a été pratiquée par
. A Schiff, qui a défendu l'opinion que les convulsions issues de l'
excitation
électrique de l'encéphale émanaient des ré- fle
u'il ne connait pas de mouvements réflexes simplement originaires d'
excitations
tactiles, et qu'il n'a jamais observé de mouvem
ents réflexes qui aient quelque ressem- blance avec les effets de l'
excitation
électrique. Braun a du reste fait ressortir que
ariablement absente chez les patients guéris; 20 la répétition de l'
excitation
électrique décèle un épuise- ment de l'excitabi
'byperexcitabilité préalable. M. Mommsen pense que les phénomènes d'
excitation
observés dans l'emploi clinique de ces essences
vaisseaux. On sait aujourd'hui que l'albuminurie peut dépendre de l'
excitation
des vaso-constricteurs des artères rénales et q
mi- 390 BIBLIOGRAPHIE. lieu extérieur. La sensation résulte de l'
excitation
de l'organe psy- chique par une incitation nerv
Fechner, Wundt,Ptlùger, Brenner, relatifs aux valeurs limites des
excitations
. Les esthésies, pour consigner son expression,
e psychique; en vertu de cette exagération de la sensi- bilité, les
excitations
sont arrêtées dans le domaine psychique, d'où l
par Emminghans, 338. Pneumogastrique (effets respira- toires de l'
excitation
du), 78. Poliomyélite antérieure subaiguë .40
du 1't mai au 20 juillet. 10 août dépression pro- fonde. 7 octobre.
Excitation
. Agitation du 11 octobre au 12 décembre. Rendue
1. NI .. Louis, Uns. 80. 1 c. 25. Ons. 116. Fic,. 20. O. G. X" 1.
Excitation
. 24 août 1906. Ons. 116. FiG. 27. 0. G. N* 2. D
pression. 2S septembre 1900. Le champ n° 1 correspondant a l'état d'
excitation
, est sensiblement normal. On trouve dans le cha
ficilement perçues étaient le bleu, le rouge et le vert. f . Avec
excitation
(manie et manie dépressive de Kroe- pelin). Sur
stamment en haut quelquefois en haut et en dehors. 6° Dans l'état d'
excitation
, la variation du champ visuel se traduit par un
es fugues que l'ont pres- que tous les circulaires à leur période d'
excitation
. (4) Il convient ici de faire une dislinction e
: d'après lui, les fugues se produisent chez des instables sous des
excitations
relativement minimes. Peu à peu ces excitations
instables sous des excitations relativement minimes. Peu à peu ces
excitations
deviennent de plus en plus in- signifiantes et
de la vraie somnolence et non de la lassitude. 2° Pour maitriser l'
excitation
dans la manie aiguë l'auteur donne le véronal à
cessaire de dépasser la dose initiale de 1 gr. 50 centig. 3° Dans l'
excitation
motrice de la paralysie géné- rale et du déliri
sur la tête, deux jours après laquelle il présenta des phénomènes d'
excitation
maniaque à laquelle succéda une crise hystériqu
sile à cause de la complication de leur névrose convul- sive ; de l'
excitation
violente, des impulsions fréquentes, avaient re
r la seconde fois au mois d'août, 11JO6. Diagnostics antérieurs : «
Excitation
maniaque, manie aigué ». Père et mère morts de
poussées jusqu'à l'inertie à peu près complète ; et des périodes d'
excitation
plus ou moins violente. lia été interné une pre
herche querelle à sa femme, a du délire de paroles et d'actes, de l'
excitation
génitale, arrête les femmes dans la rue, ameute
rofondément, est apathique, déprimé, triste. Pendant ses crises d'
excitation
, il a de la diarrhée, des sueurs froides aux de
ste dans le mu- tisme et la stupeur, devient gâteux. Les périodes d'
excitation
sui- vent sans transition, durent de à à 4 mois
a nuit, monte sur un bateau en partance pour Newhawen où son état d'
excitation
le fait remarquer et remettre à terre. Les pare
s'enivre pas facilement. Il passe par des phases de dépression et d'
excitation
, mais fait des fugues indirectement dans l'une
indrie sur l'ceil recouvert par le bandeau. Alors on constate que l'
excitation
cérébrale croisée est en rapport avec le degré
donnée, à la cellule nerveuse, quand le champ où elle recueille des
excitations
est distinct et éloigné de ce- lui auquel elle
nes sensoriels et moteurs, et notamment pour les rapports entre les
excitations
sensorielles et les réactions motrices, pourra
présidant dans les centres à la genèse réflexe des mouvements par l'
excitation
lumineuse seront aussi inverties ; les points l
tine corres- pondent aux points de l'objet les plus éloignés ; leur
excitation
est le point de départ (dans la portion interne
t même chez le chien et quelques singes (Brown Séquard, 1882), leur
excitation
, précédée ou non d'une hémisec- tion d'un côté
symptomatiques qui suivent soit les hé- misections, soit certaines
excitations
centrales. Quant aux centres plus spécialement
cinations ont leur origine dans un centre de souvenir duquel part l'
excitation
qui met SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS. 21
ici les résultats obtenus. II. Influence de la dose (Intensité de l'
excitation
.) Expériences : ont porté sur l'action pupillai
us longue durée de la descente. IV. Influence de la répétition de l'
excitation
. Les expériences ont porté sur l'action pupilla
nclusions : Les va- riations de réaction, dues à la répétition de l'
excitation
, sont de nature cellulaire : la capacité d'adap
u'ils aient en 262 ' bibliographie. môme temps une action propre (
excitations
mécaiiiclues,cotiiaiits électriques, massage vi
le-Evrard. Chez aucun de ces malades je n'ai trouvé cette période d'
excitation
eu- phorique ou de dynamie fonctionnelle que Ma
la proportion de 5 : ! pour 100 à peu près ; elle a débuté par de l'
excitation
maniaque dans lu % ; le début en a été indéterm
, etc. Parfois les phases de dépression alternent avec des phases d'
excitation
de courte durée. Le malade marche alors beaucou
établie, durait un certain temps et se trouvait en rapport avec les
excitations
reçues par les organes du même côté, identiques
reçues par les organes du même côté, identiques ou selnblables à l'
excitation
prin- ceps. La dimidiation des phénomènes mot
312 PSYCHOLOGIE. état affectif : elle n'a pas été notée après des
excitations
simples, non prévues et ne nécessitant pas d'in
réactions de chacune de cel- les-ci traduisaient la conscience des
excitations
. En des- cendant jusqu'aux animaux inférieurs a
ie. Ne sentant plus son bras, ne peut le remuer. Sous l'influence d'
excitations
externes, si on lui fait exé- cuter des mouveme
, car dans certains cas le sujet qui pré- tend ne pas percevoir les
excitations
qu'on lui fait y réagit cependant automatiqueme
mettons que le centre moteur ne soit pas complètement inhibé ; les
excitations
parties de la périphérie n'y déter- mineront qu
solument com- plète, de sorte que subconsciemment il perçoive les
excitations
affaiblies qui lui parviennent encore du cen- t
soustrait au fonctionnement de l'ensemble, ne réa- gissant plus aux
excitations
du dehors, ne les transmet- ' tant plus au cent
Pour m'en assurer j'avais deux moyens : les réveiller par une forte
excitation
comme si elles étaient réellement endormies ; o
s depuis. Non seulcment je procédai, des réveils d'emblée par une
excitation
br.usque, impérieuse, à la suite desquels des s
à plusieurs années en arrière, mais je poussai plus loin,et par des
excitations
successivesje produisis des réveils de plus en
l des haserlowiens, les troubles psychiques plus marqués fêtais d'
excitation
le plus souvent), enfin l'éclosion de syndromes m
ue du cerveau. 11 est donc naturel que certains réagissent plus aux
excitations
psy- chiques, et d'autres aux excitations sensi
tains réagissent plus aux excitations psy- chiques, et d'autres aux
excitations
sensitives, ou sen- sorielles, ou cénesthésique
dresser à des méthodes générales d'exci- tation du cerveau. Cette
excitation
peut être produite de deux façons : par la péri
être produite de deux façons : par la périphérie mécanothérapie, et
excitations
sen- sitives et sensorielles qui sont moins eff
nt normal quand on lui ordonne de se réveiller ou qu'on emploie des
excitations
habituelles dans ce but concurremment avec cett
us limités et les plus localisés, que ceux-ci disparaissent par des
excitations
analogues aux excitations générales employées p
isés, que ceux-ci disparaissent par des excitations analogues aux
excitations
générales employées pour le réveil des vigi- la
u une compression. Il cesse de transmettre et de laisser passer les
excitations
, d'où insensibilité, puis paralysie. Quand il r
Et lorsque ces réactions se produisent sous l'influence unique d'
excitations
mécaniques, sans hypnose, sans inponctions, est
nnelle de chaque hémisphère cérébral et de l'influence du degré des
excitations
péri- phériques sur le degré des manifestations
e manio-dépressive, de katatonie, d'hébé- phrénie, d'épilepsie avec
excitation
. Elle ne s'est pas produite dans les cas de fol
et la «physiologie des mouvements volontaires », sur le rôle des
excitations
sensitives et sensorielles dans la « fatigue musc
ussi quand après les accès convulsifs se développent le délire ou l'
excitation
maniaque. 4° Certains malades, en particulier,
teur en montre un cas chez un héréditaire présentant des périodes d'
excitation
et de dépression avèc idées de persécution et q
aques convulsives, alors que la résolution est complète, la moindre
excitation
, bruit, attouchement, suffit pour produire des
ombaire le réflexe augmente d'intensité pour disparaître, lorsque l'
excitation
porte sur la région de la quatrième racine sacr
vent, il se produit un peu d'aphasie, de la paraphasie, une phase d'
excitation
maniaque, de la paralysie du bras; puis tous ce
ntécédents héréditaires. Abusus spirituosor1lln. Depuis quatre ans,
excitations
paroxystiques avec hallucinations, état mé- lan
ouïe est devenue normale, le champ visuel s'est élargi, les accès d'
excitation
sont moins forts. Dia- gnosis : hystérie plus p
hypéresthésiques au pincement sont analgésiques à la piqûre et aux
excitations
électriques et thermiques. Troubles vaso-moteur
et des muscles. L'auteur croit expliquer ces troubles nerveux par l'
excitation
de la moelle épi- nière, déterminée par le pied
e parfois dans les neurites, devrait trouver son explication dans l'
excitation
.analogue de la moelle épinière. D'après M. Rot
de- sociétés savantes. 1139 vrait être envisagée comme résultat d'
excitation
par voie réflexe des centres vaso-moteurs des m
t que des représentations d'états de cons- cience provoqués par des
excitations
extérieures, il est à présumer que les conditio
ats de conscience que l'on peut voir se développer en conséquence d'
excitations
phy- siques, cette similitude de conditions phy
de la lumière, du son, des odeurs, des sa- veurs, l'équivalence des
excitations
sensorielles (vision colorée, synesthésies), le
le matin, des troubles sécrétoires. D'un autre côté, si l'absence d'
excitation
physiologique est capable de .provoquer des dépre
que est capable de .provoquer des dépres- sions fonctionnelles, les
excitations
excessives peuvent aussi déter- miner des troub
s peuvent être atteints de diminution ou de perversion à la suite d'
excitations
excessives déterminant l'épuisement et provoqua
abilité pa- thologique du sujet qu'à la nature de l'excitant. Les
excitations
externes déterminent donc des effets locaux et
augmentation de -la force-musculaire en même temps qu'une certaine
excitation
de l'activité psychique. Mais le travail forcé
de la circulation et de la nutrition, déterminant, comme toutes les
excitations
internes ou externes, un état particulier de te
rimentation. Un point digne de remarque, c'est que dans les états d'
excitation
l'accélération du processus d'asso- ciation est
té des accès d'excita- tion de la mélancolie agitée. A mesure que l'
excitation
devient plus intense, on voit se manifester une
lucinatoires s'accompagnent des mêmes phénomènes extérieurs que les
excitations
périphériques et les phénomènes phy- siques des
les nuits à la recherche de son mari, dans le but de l'arracher aux
excitations
des mauvais camarades et d'empêcher dans la mes
toxicité fut tantôt diminuée, tantôt augmentée. Dans la manie et l'
excitation
maniaque, la toxi- cité du sang s'élève. Dans l
t; ceux enfin dont la nature mo- rale, placée dans des conditions d'
excitation
surnaturelle les pousse à s'imaginer qu'ils viv
dans un asile d'aliénés. A l'asile, alternatives de dépression et d'
excitation
. Quelques jours après l'entrée, le médecin, au
s premières; 4° la disparition de ces convulsions, dès la phase d'
excitation
de la narcose chloroformique. P. K. XXVI. DEUX
e Rumpf, c'est l'onde contractile con- sécutive à la cessation de l'
excitation
indirecte. Elle ressemble au tétanos de Ritler
s, dysphagie, dyspnée, phénomènes inten- sifs à l'occasion de toute
excitation
optique ou auditive. Convul- sions toniques adr
ivi aucune évolution régulière. A certains moments, ils ont eu de l'
excitation
maniaque au cours de laquelle les idées de pers
que les idées de persécution aient persisté pendant les périodes d'
excitation
. M. Séglas a observé une persécutée alternative
; urines normales; conserva- tion de la tonicité des vaisseaux. Une
excitation
des tissus cicatri- ciels au niveau des escarre
. - phénomènes qui doivent être considérés comme des phénomènes d'
excitation
d'ordre moleur. Au point de vue qui nous occupe
galvanique d'autres nerfs; la ferme- ture de l'anode est l'agent d'
excitation
de zip, la fermeture de la £ z cathode celui de
e jour coma grave avec 42 pulsations, acci- dents de paralysie et d'
excitation
de tout le côté gauche du corps. Le douzième jo
travail SOCIÉTÉS SAVANTES. 285 pénible ou encore après certaines
excitations
thermiques. Pas d'autres accidents. Il s'agit t
nés à délire partiel n'éprouvèrent aucune modification psychique. L'
excitation
, quand il y en avait, se dissipait, mais le dél
de la conscience se complique dans beaucoup de cas de phénomènes d'
excitation
, de dépression, de stu- peur, d'impulsion etc..
somnie, troubles digestifs. Peu à peu, la dépression disparaît et l'
excitation
intellec- tuelle s'accroit; le malade, sans ces
ssociations extrêmement rapides des idées est, sui- vant le degré d'
excitation
intellectuelle, parfois plus rapide que sa mani
datif, recommandable surtout chez les femmes, dans tous les états d'
excitation
psychique ou motrice accompagnant diverses- for
moyens : l'occupation, la dis- traction, l'éloignement des causes d'
excitation
associés à la pa- tience et à la prudence des g
l'espérance de perdre leurs mauvaises habitudes. Ils éprouvent une
excitation
mentale très marquée, comparable il celle que p
rudence chez les cardiaques. Mais dans l'agitation nerveuse, dans l'
excitation
surtout motrice, dans l'insomnie, dans la période
omoforme a donné des résultats favorables et rapides dans les cas d'
excitation
maniaque. Le médicament n'a jamais dû être donn
tement 464 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. au déclin d'une période d'
excitation
; le coeur était hypertrophié, gras, le myocarde
rès hypertrophié. Comme état mental : stupidité avec des périodes d'
excitation
caractérisées par REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
lus de signes de néphrite. 4° Maniaque avec idées de persécution,
excitation
considérable et tendance au suicide. Traces d'a
éner leurs confrères, même après leur mort, alimente sa verve par les
excitations
de l'opium. Cela prouve une fois de plus la vérit
, de savoir le placer dans les conditions les plus favorables à cette
excitation
et surtout de savoir profiter des circonstances q
est là : savoir faire naître et saisir les circonstances propices à l'
excitation
de la suggestibilité de chacun. Suggestionnée p
point de départ initial du rêve, phase d'excitalion initiale. 2* L'
excitation
initiale se transmet à certains centres cérébraux
vité sous forme de souvenir, phase du soutenir. 3* De ces centres l'
excitation
s'irradie dans un plus ou moins grand nombre de c
es phénomènes du rêve peuvent se décomposer en trois phases : phase d'
excitation
initiate, phase de souvenir, phase d'irradiation;
; 3* La seconde phase semble pouvoir se produire en dehors de toute
excitation
initiale sensilive, sous une simple variation de
est déjà victime. Il s'agit de l'hypnose ou sommeil provoqué par une
excitation
monotone, continue, prolongée, des sens de la vue
tivité morbide des centres nerveux en isolant le cerveau des causes d'
excitation
inutiles ou nuisibles; elle est caractérisée par
ers russes, par M. le D1 Orutzkv, de Moscou, p. 87. 4. Action des
excitations
mécaniques faibles et répétées sur l'anesthésle
muqueuses est totale ; la malade ne icagit sous l'influence d'aucune
excitation
. Toutefois, l'introduction de la sonde œsophagien
produit aussitôt qu'on soulève les paupières. Pendant ces périodes d'
excitation
provoquée, la face se colore, le poulB devient pl
ure depuis le réveil avait été constamment inférieure à la normale. L'
excitation
morbide des centres thermogènes constatée pendant
ccupe l'envahissement des organes par le bacille de Koch a provoqué l'
excitation
d'une zone hystérogène imprécise, excitation suff
lle de Koch a provoqué l'excitation d'une zone hystérogène imprécise,
excitation
suffisante pour déterminer à un moment donné l'ex
mation de zones hystérogènes susceptibles d'amener le réveil par leur
excitation
. Le séjour à l'hôpital est le seul moyen de sat
gestion. — Discussion : M. Paul Parez. M. Paul Maonin. — Action des
excitations
mécaniques faibles et répétées sur l'anesthésie h
ulaire de la Société. La séance est levée à 6 h. 45. Action des
excitations
mécaniques faibles et répétées sur l'anesthésie h
s que les effets moteurs les plus complets étaient déterminés par des
excitations
faibles et répétées un certain nombre de fois.
ations faibles et répétées un certain nombre de fois. Les premières
excitations
peuvent n'être suivies d'aucun résultat alors que
addition latente (Ch. Kichet) (ï). J'ai fait voir également que ces
excitations
avaient une action marquée sur l'anesthésie des h
et qu'il était possible d'obtenir des effets esthèsiogénes au moyen d'
excitations
mécaniques faibles et répétées, aussi bien sur de
'hystérique dont la sensibilité ne pût être réveillée au moyen de ces
excitations
faibles et répétées. Le temps nécessaire à ce r
é. Mêmes résultats si au lieu d'agir sur la sensibilité générale, l'
excitation
s'adressait à la sensibilité spéciale. Etantdon
la sensibilité spéciale. Etantdonnée la difficulté de réaliser des
excitations
faibles et répétées sur le goût et l'odorat, mes
leur et cela d'une façon intermittente mais prolongée. En général l'
excitation
de l'œil au moyen des rayons correspondant aux co
s'agissait. Il faut donc attribuer une certaine part d'action à l'
excitation
mécanique en elle-même, en dehors de l'auto-sugge
eignement à l'Ecole de Psychologie en même temps que sur l'action des
excitations
faibles et répétées dans la production des phénom
conduite d'eau voisine du mur. On peut, en apparence, au moyen des
excitations
faibles et répétées endormir des malades hémianes
éslques : aucun de leurs sens spéciaux ne parait impressionné par les
excitations
extérieures. Chez Gésine, telle sensibilité est,
avent que si ces substances ont le pouvoir de produire la plus grande
excitation
, par contre elles vident vite les centres nerveux
xie. Les symptômes de la cataplexlc apparaissent surtout a la suite d'
excitations
vives et soudaines comme celles qui résultent d'u
elle, furent ceux d'un état de dépression bientôt suivie d'un accès d'
excitation
maniaque. Le certificat médical s'exprimait ainsi
lique, demeurant assise sans parler, puis qu'elle avait présenté de l'
excitation
, quit- tant la maison et allant et venantsans b
usicale que vous interprétez, etc. Les exécutants se créent un mode d'
excitation
qui les isole du monde extérieur ; la pratique mê
irritation périphérique. Chez les jeunes filles et chez les adultes l'
excitation
a son point de départ dans le système nerveux cen
le éprouvait une passion violente pour le sexe mâle et un paroxysme d'
excitation
jugé dangereux et destructeur, ce qui amena son i
e très régulièrement bien qu'à chaque époque cite ait eu des crises d'
excitation
avec manie de destruction. Elle a eu son père, un
le du comté de Norfolk, le 29 avril 1865, pour un accès de manie avec
excitation
. Au moment de son admission, elle présentait une
épètent trop souvent, l'organisme acquiert une certaine habitude de l'
excitation
alcoolique et le sujet commence à ressentir le be
Je vais mourir!... Promettez-mol que je ne vais pas mourir!... » Son
excitation
cérébrale et musculaire est incessante ; elle sou
is peut-être réussi à l'hypnotiser par la parole, ou simplement par l'
excitation
de l'ouïe; mais comme il s'agit pour moi d'un ter
tout en étant passager) est strictement inhérent et limité aux seules
excitations
lumineuses. Du côté des membres inférieurs, c'e
ssions transmises au cerveau par voie centripète, s'y transforment en
excitation
centrifuge et aboutissent à l'acte de la même man
conde personnalité différait de la personnalité normale par un état d'
excitation
sensilivo-motrice qui ne disparut que lorsque la
s manies qui ont pour point de départ le besoin de trouver un moyen d'
excitation
. Ces malades sont convaincus que les forces vont
ent un peu de nourriture, se remettent à agir, puis, le léger degré d'
excitation
épuisé, recommencent. Certains malades sont sit
. Amaurose, par Emirzé, p. 318. Anesthésie hystérique (Action dea
excitations
mécaniques faibles et répétées sur l'), par Paul
des réflexes rotuliens; troubles urinaires légers,,diminution de, l'
excitation
électrique des muscles sans réaction de 'dégéné
des facultés et notamment de la mémoire. Incapacité de se diriger.
Excitation
par intervalles. Signé : Dr Rouillard. 10 oct
126 REVUE DE thérapeutique. ' laire réflexe, c'est-à-dire qu'une
excitation
quelconque de la sensi- bilité produit chez ell
re de tous les muscles du corps du côté opposé à celui sur lequel l'
excitation
a agi. Si l'exci- tation porte sur les deux côt
s, la contracture est bilaté- rale, généralisée; même résultat si l'
excitation
porte sur la partie médiane du corps. Mais c'es
si l'excitation porte sur la partie médiane du corps. Mais c'est l'
excitation
delà rétine qui donne des résultats plus compli
citation delà rétine qui donne des résultats plus compliqués : si l'
excitation
porte sur la macule jaune, ou sur un point de l
e qui revient à susciter chez lui des hallucinations négatives, les
excitations
ne produisent plus les mêmes réactions que préc
erprétant les résultats de celles des expériences qui ont trait aux
excitations
rétiniennes, l'auteur est amené à pré- senter c
ues suivent un trajet cortical; 2° l'hallucination positive est une
excitation
presque analogue à une excitation périphérique
l'hallucination positive est une excitation presque analogue à une
excitation
périphérique réelle, parce que le résultat, ave
muscles spon- tanément mobiles qui, sous l'action de la plus faible
excitation
, peuvent être contractures. Toutes les contract
s les contractures artificielles durent de dix à vingt minutes. Les
excitations
fortes engendrent de grandes attaques d'hystéri
les réflexes antibrachiaux et du poignet sont à peine sensibles. L'
excitation
de la conjonctive, de la mu- queuse du pharynx,
des états de fatigue, la perception deviendrait'moins intense, les
excitations
arriveraient à' la conscience plus' lente- ment
. L'ivresse est punissable, avec aggravation de la peine, lorsque l'
excitation
alcoo- lique a été recherchée pour fournir l'ap
comme des malades du cerveau auxquels on évite toutes les causes d'
excitation
ou d'irritation : abstinence totale des boissons
il peut projeter son délire au delà du temps d'action du toxique. L'
excitation
corticale ne s'apaise pas complètement chez lui
venait de la diminution de la conscience, des impressions dues aux
excitations
externes. Le cer- veau fonctionnait bien dans s
ntractures réflexes dans l'hysléro-épilepsie sous l'influence d'une
excitation
sensorielle ou sensitive (oeil, oreille, larynx
ne, on constate l'existence de deux champs nettement séparés dont l'
excitation
provoque de l'hémi- contracture. La moitié nasa
che engendrent une hémi- contracture du côté droit exclusivement. L'
excitation
de la moitié temporale périphérique de l'oeii d
oduisent à la fois dans un grand nombre d'organes, à la suite d'une
excitation
sen- sitive cutanée, sensorielle ou émotive. Da
lisme, léthargie), les phénomènes vasomoteurs consécutifs soit aux
excitations
sensitives (même en l'absence de toute perception
chives, t. XXVIII. 22 338 sociétés savantes. apparente), soit aux
excitations
émotives (même en l'absence de toute manifestat
me font la sensation réelle et l'émotion. Dans iasyringomyétie, les
excitations
sensitives, même lorsqu'elles sont faites sur d
intelligence. Il s'agit d'un phénomène psychique isolé, phénomène d'
excitation
de la sphère visuelle occi- pitale, comparable
ion de la sphère visuelle occi- pitale, comparable aux phénomènes d'
excitation
motrice de l'épi- lepsie jacksonienne, et lié à
contraire, d'analyses d'urine de paralytiques généraux, que dans l'
excitation
les quantités d'acide phosphorique, d'urée et d
lle des fébricitants. Aussi bien, dit M. Lailler, dans les phases d'
excitation
que de dépression, la densité de l'urine est to
rritation des rameaux nerveux terminaux du vestibule par lesquels l'
excitation
réflexe est transmiseaux centres cérébelleux co
est vert pour d'autres. Le spectre sera d'autant plus coloré que l'
excitation
sera plus forte. Il est, en général, plus inten
lade anesthésique peut dire, les yeux fermés,- de quel côté porte l'
excitation
. Le signe de la sensibilité ou signe du spectre
ade demeure longtemps assis. Quelquefois, par moments, phénomènes d'
excitation
des nerfs moteurs, tels que : crampes dans les
ourbe en avant. De très bonne heure apparaissent des phéno- mènes d'
excitation
des nerfs cervicaux et dorsaux qui, progressive-
ar le droit interne, en bas par le milieu de la cuisse, soumise à l'
excitation
que détermine la rayure d'une tête d'épingle ou d
s réflexes qui servent de moteurs, et que par leur intermédiaire, l'
excitation
de certains départements cutanés produit toujou
ion cérébrale intermédiaire au sommeil et à la veille. Pathogénie :
Excitation
du faisceau cérébral moteur du triju- meau ; se
vaut mieux aussi les défendre dans les cas légers et récents, que l'
excitation
qu'elles provoquent émane soit d'une nostalgie
es agressives ou moqueuses. Les voix peuvent aussi se produire sans
excitation
sensorielle d'aucune sorte; le patient les ente
e, aussi faible et localisée soit-elle, il peut entrer en jeu : une
excitation
vient à peine frapper un centre sensoriel, visu
rale : le malade n'en- tend ses persécuteurs que par une oreille; l'
excitation
n'a frappé dans ce cas qu'un seul hémisphère. P
ts s'expliquent par la propagation au centre moteur du langage de l'
excitation
du centre auditif cortical (Baillarger, Séglas,
, des idées de persécution aux idées de grandeur. La continuité des
excitations
sensorielles, sans cesse renouvelées, entraîne
ultés, et de DE LA PANAROIA. 479 l'état du sentiment (dépression,
excitation
), qu'ils ont réellement observés, mais à des de
n action, elles sont de plusieurs ordres : 1° Sous l'influence de l'
excitation
du nerf auriculo-temporal et de la section du s
s et prennent une forme plus arrondie. z 2° Sous l'influence de l'
excitation
du sympathique, avec section de l'aurieulo-Lemp
u'on cons- tate dans l'expérience de la section du sympathique avec
excitation
de l'auriculo-temporal ; mais les vacuoles sont
t notablement augmentées de volume. 4° Enfin, sous l'influence de l'
excitation
simultanée de l'auriculo- temporal et du sympat
nucléoles très nettement dessinés. Dans toutes ces expériences, l'
excitation
a été provoquée à l'aide d'un courant de force
le, que les éléments morbides tels que l'agi- tation, l'angoisse, l'
excitation
, les hallucinations sensorielles, les illusions
que l'on pourrait presque croire à un trouble cérébral isolé, à une
excitation
du centre auditif. Finalement les malades succo
ranoïa hallucinatoire aiguë décrits parM.Mendel. Au premier stade d'
excitation
et même d'angoisse, succède une agitation ma- n
st la conséquence obligée. Si le malade conserve un certain degré d'
excitation
, la luci- dité apparente susindiquée n'entre pa
côté d'eux, Meynert range l'agi- tation qui constitue un symptôme d'
excitation
. En somme, dans la confusion mentale ou désordr
ue soient les points faibles déterminés par la maladie mentale, les
excitations
locales les plus différentes peuvent, par irrad
muscles parésiés répondent mieux à l'incitation volon- taire qu'à l'
excitation
électrique ; il convient alors d'associer -l'ex
il a absolu- ment raison, ne sont qu'une cause d'irritabilité et d'
excitation
pour les malades, et il veut dès lors redonner
bition.' Aussi son traitement doit-il viser à diminuer les causes d'
excitation
réflexe (diète, occupations, médicaments). Le p
» reste tout entière à prouver R. de MUSGRAVE CLAY. 1V.);SSAIS d'
excitation
électrique des régions du cerveau, président au
bien en arrière dos précédents. Les expériences d'extirpation et d'
excitation
par l'électricité de ces régions ont donné des ré
en est voisin. Munk se base sur des expériences d'extirpation et d'
excitation
électrique. Beevor et Horsley, dans leurs reche
ick, faites dans le but de contrôler celles de Munk (extirpation et
excitation
des régions corticales) ne lui ont pas fait con
sous du centre du membre antérieur (centre pariétal de la nuque). L'
excitation
de ces deux centres détermine un mouvement du m
des doivent varier avec chaque cas en particulier. Pour ramener l'
excitation
sexuelle dans sa voie normale, le con- cours d'
alades deviennent alors emportés, violents, sujets à des périodes d'
excitation
accompagnée d'hallucinations. C'est bien le bro
curoloy. Centralbl., XV, 1896.) Le vomissement réflexe provient d'
excitations
périphériques allant frapper certains centres r
ction pour se prononcer. M. GIRAUD. - Ce n'est pas seulement avec l'
excitation
maniaque que la paralysie générale peut être co
de celte enfant 254 SOCIÉTÉS SAVANTES. trop de travail ou trop d'
excitation
(visites où l'on s'occupe trop des enfants, jeu
e. Du reste, pas d'hérédité tubercu- leuse. Fallait-il penser à une
excitation
médullaire par mal. de Pott ? La colonne vertéb
Accès d'épilepsie jacksonienne, débutant au bras. Démence. Parfois
excitation
très forte presque sans mo- tifs, s'exprimant e
aphiques obtenues pendant les mouve- ments volontaires et après des
excitations
électriques et mécaniques, on voit nettement qu
e répond pas durant une irritation plus ou moins prolongée à chaque
excitation
à part, mais semble s'accumuler ; la courbe myo
défécation, etc. 1897. Mai : s. Le malade se trouve dans un état d'
excitation
et d'irritabilité extrême, il parle, profère de
1 GENÈSE DES CIRCONVOLUTIONS DU CERVEAU, ETC. 401 excellence des
excitations
nerveuses. En même temps le corps cellulaire de
. En même temps le corps cellulaire devient libre pour recevoir des
excitations
secondaires de cellules d'association (corbeill
olongée des éléments nerveux de cette province du névraxe, dans les
excitations
physiologiques provoquées par les besoins toujo
d'une aphasie purement fonctionnelle. Gowers admet, en effet, que l'
excitation
de certain point du cerveau peut entrainer une
la paraldabyde, de l'uréthane. Il réussit surtout dans les formes d'
excitation
plutôt que dans celles de dépression. Dans cert
ysique, déclare Féré, il y a un état émotionnel en rapport avec une
excitation
locale ou générale, qu'elle soit perçue ou non.
ne façon générale les obsessions peuvent être considérées comme des
excitations
non diffusées à l'ensemble des centres ner- veu
appareil périphérique du nerf vague, ou bien elle est l'effet d'une
excitation
des centres intra-cardiaques et du muscle du co
enne. Cela prouve que ce n'est 444 SOCIÉTÉS SAVANTES. pas aussi l'
excitation
directe du coeur qui cause son accélération, et
nous avons mis en lumière pour la première fois la possibilité de l'
excitation
toxique du centre des nerfs accélérateurs. En
(frisson, fièvre, céphalalgie, vomissements). Une deuxième phase d'
excitation
: dédire, contractures et crises jack- sonnienn
M. Alfred Rouxeau ; - Sur les mouvements des membres produits par L'
excitation
de l'hémis- phère cérébral du côté correspondan
z les vertébrés supérieurs; par M. Charles Rouget- Recherches sur l'
excitation
des nerfs par les rayons électriques (1er mémoi
'1 : 472 CLINIQUE NERVEUSE. Le 13, injection de 30 cent. cubes. L'
excitation
a disparu.T.37,4.' Les 14, 15, 16, 17, pas d'in
, sans troubles fonctionnels. Du côté mental, un accès passager d'
excitation
maniaque. , Une augmentation du nombre des atta
ermie relative, 37,8. Pas de troubles fonctionnels. Diminution de l'
excitation
habituelle. ' Le 4, injection de 40 cent. cub
l l'état habituel. ' ' Le 11, injection de 30 cent. cubes. T. 38,4.
Excitation
. L'alca- lescence du sang mesurée il 5 heures d
ions sont continuées jusqu'au 12 septembre. Menstrua- tion suivie d'
excitation
plus violente. Pas d'attaques. Fonctions réguli
uinze jours environ.Elles sont précédées et suivies d'une période d'
excitation
violente. Dans les intervalles la malade est faci
attaques. Pendant la dernière quinzaine, pas d'altaques. Période d'
excitation
suivie de dépression. Augmentation transitoire
se rattacher à un choc nerveux subi par la moelle et résultant de l'
excitation
exagérée et passa-- gère que cause un travail l
énomènes analogues, où un épuisement nerveux passager succède à une
excitation
trop forte. L'auteur termine en citant les paro
e sur les mouvements de ces muscles. L'expérience a montré qu'une
excitation
du centre laryngé produit des mouvements d'addu
ême pour ce qui concerne les yeux. On sait depuis longtemps qu'une [
excitation
au niveau du pied des deuxième et troisième fro
externes et internes par la sec- tion de leurs nerfs respectifs, l'
excitation
au même point du cer- veau produit encore des m
empérance, chaque crise étant accompagnée de douleurs localisées, d'
excitation
maniaque ,et de troubles de la mémoire caractér
utif aux manoeuvres hypnotiques, soit par perversion instinctive et
excitation
sensible en condition seconde, soit par insensi
e l'exagération de la fonction dans une direction déterminée. Cette
excitation
du système nerveux par la suggestion ne peut êt
éfense, ont la plus grande importance. Il ne faut pas oublier que l'
excitation
apparente de la fonction faisant disparaître le
utique donne les meilleurs résultats dans le traitement des états d'
excitation
générale du système nerveux, quelle que soit la c
tion générale du système nerveux, quelle que soit la cause de cette
excitation
. Mais ce sont là des résultats passagers. On ne
idées impulsives est toujours accompagnée par la disparition de l'
excitation
générale, de l'insomnie, de l'état affectif, inap
cipaux symptômes, deux reconnaissent incontestablement pour cause l'
excitation
permanente du sympathique cervical. L'exopthal
te du sympathique cervical. L'exopthal mie peut être produite par l'
excitation
expérimentale du nerf, les expériences de Cl. B
t goitreux. Donc le sympa- thique peut être excité à la périphérie,
excitation
mécanique ou chimique, par le goitre ou par la
mique, par le goitre ou par la sécrétion thyroïdienne, ou subir une
excitation
centrale primitive, chez les basedowiens sans g
es basedowiens sans goitre. Aussi, quelque soit le mécanisme de l'
excitation
, celle-ci existe; et, enlever le sympathique ce
e dia- gnostic et de traitement, par Pa- trick, 45. ELECTRIQUE.
Excitation
- des ré- gions du cerveau chez le chien, par
s musculaires étaient provoqués par la station debout, c'est qu'une
excitation
très vive s'en suivait dont le point de départ
ussi bien avec le courant interrompu, qu'avec le courant continu. L'
excitation
de la peau avec le courant interrompu pro- voqu
s la coloration des deux moitiés de la face, sous l'influence d'une
excitation
avec un courant interrompu, l'apparition des règl
la baguette. Le long fléchisseur du pouce reste réfractaire à toute
excitation
; tous les muscles innervés par le médian, se con-
ressantes. Tout d'abord, dans aucun des huit cas, on ne rencontre d'
excitation
du sens génital, ce qui vient confirmer les obj
'intelligence; avec cela l'absence des troubles des sen- timents, d'
excitation
motrice et de stupeur, ou du moins l'appa- riti
e de dépression, de peur ou de déses- poir, tantôt, au contraire, d'
excitation
active atteignant la fureur. La marche est rémi
ranoïques, on voit chez ces malades un état épisodique d'une grande
excitation
, avec un trouble de sentiment 118 REVUE DE PATH
re côté les complexus de symptômes caractérisés par la confusion, l'
excitation
, les erreurs des sens et le délire d'emblée son
e démence simple, tranquille, sans conceptions déli- rantes, sans
excitation
maniaque, sans délire ambi- tieux. Les choses,
querelles. Enfin, surtout quand il a puisé dans un excès récent une
excitation
passagère nouvelle, il peut se laisser entraîne
tion des centres moteurs du langage produira, suivant le degré d'
excitation
: l'impulsion verbale, l'hallucination verbale mo
centrale. Les premières seront dues à des impressions morales, des
excitations
physiques; les secondes consistent directement
partiel ou général, du système nerveux central, sous le conp d'une
excitation
auormale, et proportionnée pour l'in- tensité a
re. Il n'y a eu à aucun moment ni paralysie motrice, ni phénomène d'
excitation
. Or le système nerveux central du pigeon ne pos
e phénomène de Trousseau est le produit, et le produit unique, de l'
excitation
des nerfs. La réaction myotomique tient à une m
s ce cas l'existence d'une hypertonie des vaso- moteurs, liée à une
excitation
des centres de la cinquième paire de nerfs. La
suis énergiquement opposé, par crainte de pro- voquer chez elle une
excitation
dangereuse, aux visites de la mère et à celles
ntre si différente d'elle-même qu'on peut croire à un léger degré d'
excitation
cérébrale. Le 24 avril apparaît la première cri
des impressions de l'état de veille; soit qu'il ait pour origine l'
excitation
céré- brale spontanée de la malade, pendant sa
un état'com- plet de démence traversée de temps à autre par de l'
excitation
. Les caractères intellectuels sont plus intéres
arçon, à la peau fine et délicate, provoquait chez lui une certaine
excitation
génitale et le désir de mordre et de manger un
phénomènes psychologiques élémentaires à la suite des innombrables
excitations
extérieures : ce sont des phénomènes dus au sen
réaction, c'est-à-dire le temps qui s'écoule entre le moment d'une
excitation
perçue inconsciemment et un acte inconscient qu
onsidéré comme une réponse, dans les conditions de l'expérience à l'
excitation
produite Il a trouve que ce temps était plus co
que ce temps était plus court qu'il ne serait normalement, quand l'
excitation
est faite sur une partie sensible. Il y aurait
ST-PAROXYSTIQUE ET ÉPILEPTIQUE. 3S7 20 ans, Tac..., 1 accès suivi d'
excitation
, 5 urines : Albumine moyenne dans la l'° urine;
ien que, avec Claude Bernard on la considère comme le résultat de l'
excitation
des nerfs vaso-dilatateurs. On doit reconnaître
ille une urine : traces d'albumine. ' Thé..., quarante-sept ans :
excitation
violente. On est obligé de la camisoler et de l
er, interne en pharmacie du service. Vill..., pendant une période d'
excitation
violente, aui ait eu un jour 4 grammes d'albumi
es délirantes, mais moins intenses. Il y a surtout beaucoup moins d'
excitation
. On doit cependant toujours craindre de nouvelles
s engendre; elles se produisent toutesjleux en même temps. Genèse :
excitation
des centres vasomoteurs. 2° Exanthème ortié;
exsudation et oedème local. Au plus léger contact, à la plus minime
excitation
thermique ou autre. Deux observations. 3° Cya
eur et les poumons admise par Brown-Séquard comme con- sécutive aux
excitations
de la peau et de la région cervicale anté- rieu
é cardiaque et respiratoire, peuvent bien s'ob- server à la suite d'
excitations
de la région antérieure du cou et ^des organes
igine dans l'ensemble - de causes dues à cette compression ou à ces
excitations
. L'anal- gésie peut aussi s'expliquer sans le s
res ner- veux à la répétition d'actes semblables sous l'influence d'
excitations
semblables aussi. Cette propriété parait compar
oduire des mouve- ments visibles. (75). Cérébration complexe. Une
excitation
primitive peut être suivie de courants allant d
s mouvements exactement adaptés à la circonstance qui a déterminé l'
excitation
primitive. (76). Renforcement. - Un centre nerv
élit commis; ils simulent l'épilepsie, la stupeur, la mélancolie, l'
excitation
maniaque, les idées vagues de persécution ou de
e, l'atrophie con- tinue à évoluer de concert avec les phénomènes d'
excitation
, car, atrophie centrale signifie, paralysie pér
nsemble des phénomènes de la conscience. D'un côté, nous voyons une
excitation
locale d'un centre sensoriel, suivant les dispo
ations kinesthésiques. On peut plus ou moins probablement accuser l'
excitation
anor- male des centres moteurs, dans la manie,
des conceptions verbales, il n'est pas besoin de donner le pas aux
excitations
pathologiques de la sensibilité centripète des
injures à tout le monde. Au bout de plusieurs jours, la pé- riode d'
excitation
s'est progressivement atténuée. L'élat mé- lanc
trices REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 61 dans uu certain degré d'
excitation
. Mais diverses particularités cliniques tendent
t les impres- sions différentes et multiples. Il s'ensuit un état d'
excitation
qui se continue encore quelque temps après'chaq
commerce, et si ceux-là se répètent trop souvent il en résulte une
excitation
per- manente où l'individu perd de plus en plus
nerveux et irrité. On voit que malgré le repos normal de la nuit l'
excitation
persiste encore. Il va sans dire que la première
sont faciles à reconnaître ; ce sont ou des états transi- toires d'
excitation
, ou plus rarement de dépression; tantôt le dé-
la psychose post-opéra- toire vraie, on retrouve encore les états d'
excitation
qui caractéri- saient les formes précédentes, m
dents, semblent porter plus facilement à la chronicité. Les états d'
excitation
sont caractérisés surtout par des formes maniaque
on. Contraire- 72 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ment aux états d'
excitation
, les formes mélancoliques ou anxieuses ne s'obs
; ce n'est plus le chirurgien qui les observe, comme dans les cas d'
excitation
, mais bien le médecin aliéniste, à l'asile. Ces
ccompagnent souvent de tendance au suicide. A côté de ces états d'
excitation
et de dépression, il existe une forme spéciale
; vers cinquante-quatre ans, elle devient sujette à.des périodes d'
excitation
avec idées vagues de persécution ; elle ressent
mouvements ne sont pas le moins du monde une réponse spécifique à l'
excitation
du cubital ; ce sont au contraire des mouvement
mais, considérant que le paralytique réagit généralement moins aux
excitations
douloureuses, MM. Boedeker et Fal- kenberg, déc
t présenter des règles supplé- mentaires nasales ; 30 au cours de l'
excitation
sexuelle ou pen- dant le coït peuvent se présen
n nasale, la maladie est aggravée au moment des règles ou pendant l'
excitation
sexuelle; 20 des excès vénériens peuvent déterm
ions suivantes : 1° le nombre exact des racines rachidiennes dont l'
excitation
détermine des mouvements de la tête sur le tron
ent seulement (longitudinal ou latéral) d'un même muscle répond à l'
excitation
d'une racine, par exemple : le segment supérieu
mé- diats. Au moment de la résection, le pouls monte de 75 à 130 (
excitation
mécanique) ; quelques heures, après chute à 80, e
duisante ; c'est de là que partent les nerfs de la thyroïde. De là,
excitation
anormale de la glande, son hypersécrétion qui a
traitement de choix de la morphino- manie, parce que produisant une
excitation
vive et soudaine de l'organisme, il provoque un
ie d'autres crises d'agitation maniaque. Lorsque les alternatives d'
excitation
et de dépression surviennent entre quarante et
la pression du goitre; 5° par épuisement à la suite de délire ou d'
excitation
maniaque 220 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. L
nt travail, rapporte deux observations personnelles intéressantes d'
excitation
maniaque rapidement mor- telle dans la maladie
255 grande majorité des cas; qu'ils sont sujets à des périodes d'
excitation
, à des impulsions qui les rendent dangereux ; q
ant d'évidence que dans la manie. Tous les auteurs ont décrit cette
excitation
pathologique que porte à la fois sur les mouvem
r Pinel et par la plupart des'observateurs. Le plus souvent, dans l'
excitation
maniaque franche, lors- qu'il n'y a pas d'autre
, violent, impulsif et s'ac- compagne de phénomènes inhibitoires. L'
excitation
franche d'emblée des maniaques est absolument d
d'éviter. Dans les cas ordinaires et de méningo-encéphalite sans
excitation
maniaque, avec simple exubérance, les malades o
ment inin- terrompu de périodes de dépression mélancolique puis d'
excitation
maniaque avec des rémittences plus ou moins lon
vais accumu- lateurs m (Féré1), aussi ne capitalisent-ils pas leurs
excitations
psyclio-seiisorielles; ils les transforment plu
de la vue, mobiles, changeantes, professionnelles ou terrifiantes,
excitation
, délire. C'est un premier degré, dans lequel le
ribue cet état pathologique à un affaiblissement de l'écorce avec
excitation
des centres sous-corticaux, d'où résulte le somme
alogue s celui du rêve, avec idéorrhee, variation de l'émotion et
excitation
motrice vive. La démence aiguë est caractérisée
fois dans la même journée, des alternatives rapides d'accalmie et d'
excitation
, avec une tendance progressive des troubles senso
lui applique un corps chauffé sur le genou droit insensible à cette
excitation
, elle dirige 352 RECUEIL DE FAITS. la main
la jambe était prise de soubresauts. Dans la même région toutes les
excitations
de la peau reproduisaient-le même phénomène. Ce
nsuffisance de la fonction thyroïdienne ait succédé chez elle à une
excitation
de la même fonction. Le traitement thyroïdien a
uffisance de la perception, apparence de dépression mélan- colique,
excitation
maniaque, allure stupide, etc., qui peut durer
s dans les- quelle il agit en supprimant les troubles psychiques, l'
excitation
, la fureur épileptique ; 3° celles dans lesquel
lesquelles il agit en suppri- mant, en modifiant les attaques et l'
excitation
consécutive. Le trional est donné à la dose de
ent par le trional depuis un mois environ, les attaques ainsi que l'
excitation
violente, la fureur ont été suspendues. Des o
ans la première série de ses expériences, Versiloff procédait à des
excitations
mécaniques, chimiques et électriques du cervelet
conclusions : 1° Tous les phénomènes qu'on observe à la suite de l'
excitation
directe du cervelet se rapportent exclusivement
s phénomènes moteurs sont de la même nature que ceux produits par l'
excitation
de l'écorce cérébrale ; ce sont notamment des c
res sont des mouvements associés ; 410 SOCIÉTÉS SAVANTES. '7" L'
excitation
du cervelet produit des mouvements nystagmi- fo
on nette de la finalité de ces mouvements et de leur rapport avec l'
excitation
psychique qui les fait naître d'habitude. Au po
ulation des sons ou l'écriture (mémoire motrice) ; 3° reçoivent les
excitations
du monde extérieur qui accompagnent l'acte d'éc
supprime, tantôt les mouvements des organes articulateurs, tantôt l'
excitation
des centres senso- riels, tantôt les vestiges d
a limite de saturation, ou qu'il est soumis'a quelque autre cause d'
excitation
, il est pris d'un accès de délire alcoolique.
rables qui lui font subir le dernier outrage. Aiguil- lonné par ces
excitations
, le malade répond, injurie, se querelle, court,
jour, se calme, rassuré par la substitution aux hallucinations des
excitations
physiologiques normales des sens : objets bien
m- pagnée en choeur par les autres malades. La conséquence de cette
excitation
fut que, le lendemain soir, elle avait reperdu
es inférieurs, les accès de convulsions toniques déterminés par une
excitation
de la peau ou une mise en action des muscles, l'é
adique et galvanique extrêmement diminuée; se contracte mieux par l'
excitation
indi- recte. Triceps : légère diminution d'exci
que ! 1 EMILE Boix, Interne des Ilôpilauv. DE L'INFLUENCE DES
EXCITATIONS
SENSITIVES ET SENSORIELLES . DANS LES PHASES
t et elle tombe en léthargie. Pendant cette période, les di- verses
excitations
que nous faisons porter sur les sens du toucher,
r devant les yeux ne change rien à la scène précédente. Après ces
excitations
du sens de la vue, nous nous adressons à l'odor
Cologne. La scène change subitement. La malade sourit INFLUENCE DES
EXCITATIONS
SENSITIVES ET SENSORIELLES. 79 et donne tous le
es elle prend une part plus ou moins active. 1 .. , INFLUENCE DES
EXCITATIONS
SENSITIVES ET SENSORIELLES. 81 Nous n'avons pas
oint les mains, lève les yeux au ciel et paraît prier. Les diverses
excitations
des deux autres sens, l'ouïe et le toucher ne n
manifestations que nous ayons provoquées avec les nombreux agents d'
excitation
employés. En revanche elles étaient très vives
ru. Pendant la période somnambulique de l'hypnotisme les diverses
excitations
sensitives ou sensorielles n'ont jamais provoqué
U GRAND HYPNOTISME LECROSNIER & BABÉ ÉDITEURS INFLUENCE DES
EXCITATIONS
SENSITIVES ET SENSORIELLES. 83 pic, elle nous r
U GRAND HYPNOTISME LECROSNIER & BABÉ ÉDITEURS INFLUENCE DES
EXCITATIONS
SENSITIVES ET SENSORIELLES. 8." lion. Puis elle
désolée de voir que la tache persiste malgré ses efforts. , ' Les
excitations
gustatives donnent des résultats non moins intére
e sens de l'ouïe, il est à remarquer que la malade ne réagit qu'aux
excitations
relativement simples ; sons divers, musique rhy
e ne connaissait pas cette dernière sorte ,de ,danse.. ' . . Les,
excitations
cutanées simples, toucher, .piqûre, ne nous ont p
rticulier. '1 , : . r 1 ' : ... En résumé on peut donc dire que les
excitations
sensitives et sen- sorielles agissent différemm
aquelle on connaît l'influence suggestive du. sens- musculaire, les
excitations
sensorielles sont perçues et pro- voquent chez
U GRAND HYPNOTISME LECROSNIER & Babé éditeurs INFLUENCE DES
EXCITATIONS
SENSITIVES ET SENSORIELLES. 87 près inactif spo
ent, est cependant plus éveillé et plus près de la vie normale, les
excitations
sont perçues, mais elles ne produisent que des
les objets qui l'environnent et semble incapable d'interpréter les
excitations
com- plexes qu'il perçoit peut-être. Au contrai
là de véritables suggestions provoquées dans la catalepsie par les
excitations
des divers sens. Elles sont absolument indépen-
t donner dans la phase cataleptique du grand hypnotisme, à l'aide d'
excitations
sensitives et sensorielles, des suggestions dont
et s'accompagner, durant les phases d'aggravation qui succèdent à l'
excitation
des zones hystérogènes, aux attaques, aux émo-
gère sous l'influence des attaques, d'une émotion même légère, de l'
excitation
des zones hystérogènes, qu'il peut persister des
e des paroles incohérentes; en même temps on peut remarquer quelque
excitation
psychique qui se trahit par une certaine loquacit
qu'il la renferme en puissance pour ainsi dire et qu'il suffit de l'
excitation
souvent la plus légère pour la faire apparaître
me contenterai d'indiquer ici les résultats. A. Propagation de l'
excitation
électrique (interruptions rapides) Addition des
ne reste pas localisée aux muscles directement excités. Ainsi, si l'
excitation
faradique est portée sur les fléchisseurs des d
se borne pas là : bientôt, sans aucune modification apportée dans l'
excitation
, on voit le poignet puis l'avant-bras se fléchi
manente, car toute action musculaire disparait aussitôt que cesse l'
excitation
. b. Si les interruptions sont lentes (trois par
a contracture ne commence à lm. G6. se produire qu'après quelques
excitations
, puis chaque nouvelle exci- tation en augmente
faradisation des muscles ou des nerfs ; g. L'aimantation; h. L'
excitation
superficielle de la peau consistant en un simpl
les autres peuvent être classés en deux catégories, suivant que l'
excitation
porte sur les parties profondes, muscles, tendo
irritations profondes dans la léthargie, et à la suite des seules
excitations
superficielles dans le somnambulisme, d'où les
et 1. M. P. Descubes décrit ces procédés sous la dénomi- nation d'
excitations
ostéo-fibreuses, en y ajoutant la pression et l
aissance. Quel que soit le procédé, mas- sage musculaire profond ou
excitation
cutanée superficielle, le résultat est le même.
vahit le voisinage et gagne tout un membre par exemple, alors que l'
excitation
n'a porté que sur un point. Par contre, on obse
oit dans la léthargie hypnotique. Nous avons vu dans certains cas l'
excitation
mécanique portée sur un groupe musculaire reten
se de contracture, nous avons observé d'une façon constante que les
excitations
portées sur le membre guéri, quels que soient l
au. La contracture persiste toujours. Pendant l'état léthargique, l'
excitation
mécanique des muscles entenseurs des doigts n'a
yperoxcita- bilité neuro-musculaire léthargique a disparu, mais les
excitations
cutanées légères produisent la contracture qui
es légères produisent la contracture qui peut être détruite par des
excitations
de même nature. Les nouveaux procédés pour prov
hargique, la contracture de la main en flexion est pro- duite par l'
excitation
mécanique des muscles fléchisseurs. La malade est
la contracture est détruite par le retour à l'état léthargique et l'
excitation
des antagonistes. Pendant la phase somnambuliqu
ure. On hypnotise à nouveau le sujet. Pendant l'état léthargique, l'
excitation
mécanique des muscles ne détruit pas la contrac
compagnant de contracture temporaire provoquée par une émotion, une
excitation
quelconque, d'une manière réflexe, et qui se ra
le massage musculaire, le choc des tendons, que par le souffle et l'
excitation
très légère de la peau -les deux variétés lé- t
nt brusquement, s'accom- pagnent de contractures, de convulsions, d'
excitations
. Le diagnostic, au début, peut être très diffic
ois quarts d'heure et restait pendant quelques jours dans un étal d'
excitation
délirante avec idées de grandeurs. 1. Cli. 1-'é
e glossoplégie), par Souques, 358. Hypnotisme (De l'influence des
excitations
sensitives et sensorielles dans les phases ca
dances impulsives qui ne se seraient pas manifestées sans l'appoint d'
excitation
apporté par l'alcool. Voici dans quelles condit
u pouvoir du délinquant de l'éviter. Elle est punissable, lorsque l'
excitation
alcoolique a été recherchée pour fournir l'appoin
ourants électriques faibles. Plus tard, nous reconnaissions que toute
excitation
périphérique, faible et prolongée, pouvait déterm
es. La grenouille hypnotisée reste immobile, elle ne réagit pas aux
excitations
les plus douloureuses, elle se laisse chloroformi
, dilatation et rupture des capillaires. On sait d'ailleurs que les
excitations
amoureuses prolongées, pendant l'entrevue de deux
xes, n'ont absolument rien de commnn. ni comme manipulation, ni comme
excitation
sensuelle. Chose singulière ! La même impression
e est là, plus ou moins profonde. Les passes, lesattouchements. les
excitations
sensorielles ne réussissent, je le répète, que lo
il naturel au sommtil chloroformique, :ans éprouver aucun phénomène d'
excitation
, sans faire aucun mouvement, sans révéler par auc
et rappeler les paroles de Vulpian qui disait que la propagation des
excitations
nerveuses se fait ordinairement par des voies p
re traiter de certains troubles intellectuels se manifestant par de l'
excitation
. De plus, elle avait une hémiplégie du côté droit
u dans quelques cas, la colère, — le patient est pris d'hilarité ou d'
excitation
suivant la cause stimulante, prononce des paroles
, chez les droitiers étant plus exercé, plus habile, réagit mieux aux
excitations
et émotions. (c) Voici d'autres exemples d'auto
uffi pour faire disparaître cet état crée par l'auto-suggestion. 6°
Excitation
génésique. Cet état nerveux a été supprimé très
t de la pensée. Il faut ajouter que ces jours-là j'ai voulu épuiser l'
excitation
produite par l'auto-suggestion et voir jusqu'où e
ant, il est prudent de ne pas user de la sorte et de ne pas épuiser l'
excitation
procurée par l'auto-suggestion. La dépression qui
c des personnes de son sexe suffisait pour produire chez lui une vive
excitation
qu'ilapaisait soit par la masturbation, soit par
souvent et toujours de la même manière, gardent, à la suite de cette
excitation
très lorte et unique, ou faible main répétée, un
ulier, quelque chose comme une mémoire matérielle, qui lait que toute
excitation
nouvelle les remet dans l'état même où elles se s
es remet dans l'état même où elles se sont trouvées lors de la grande
excitation
ou lors de ces excitations toujours les mêmes et
où elles se sont trouvées lors de la grande excitation ou lors de ces
excitations
toujours les mêmes et mille lois répétées qu'elle
La chlorophormisation, à la fin de ia période plus ou moins notable d'
excitation
nerveuse, et dans les moments qui précèdent le dé
ement au pli du bras et que ce lien avait été enlevé par les diverses
excitations
physiques, sans aucune idée de notre part ni du s
r les Maladies Mentales du docteur Ball, nous trouvons, sous le nom d'
excitation
maniaque, une description de symptômes qui rappel
te la définition de Falret. qui décrit cette forme de folie comme une
excitation
générale de toutes les facultés et une irrégulari
ne réalité. La modification qui s'opère dans un nerf par suite de son
excitation
est un courant nerveux, ou plutôt une onde, une v
erf de répondre par une vibration ou un ébranlement moléculaire à une
excitation
quelconque, c'est la neuri-lité de Vulpian. La pe
rme de vibration nerveuse sert à exprimer l'ébranlement du nerf par l'
excitation
. C'est une ondulation qui parcourt le nerf avec u
les membres. La respiration et le pouls sont ralentis. Toute espèce d'
excitation
: pincement, piqûre, brûlure, etc., laisse la mal
ans cette seconde variété de l'attaque, la malade parait sensible aux
excitations
extérieures; c'est ainsi que si on la pince forte
hange de place et s'immobilise dans sa nouvelle position. Mais aucune
excitation
, aucun effort de la malade ne peut provoquer le r
pas retirée de cette état, l'asphyxie complète parait imminente. Une
excitation
très vive peut seule vaincre le spasme, elle est
nous avons donnée de l'attaque de sommeil chez notre malade, que les
excitations
les plus vives, pincement, piqûre, brûlure, etc.,
une simple raideur, nous voyons la malade réagir sous l'influence des
excitations
, autant que peut le lui permettre l'état de son s
esse dans ses mains il courut à son domicile et fut repris de la même
excitation
génésique que la première fois, excitation qui av
e et fut repris de la même excitation génésique que la première fois,
excitation
qui avait, du reste, commencé au moment où il sec
de la force qui met en jeu l'Irritabilité primordiale en dehors d'une
excitation
de la substance organisée, ou en dehors de la cir
elle l'état de l'auto-hypnose. Elle ne réagit pas par les diverses
excitations
des organes de sens ; seulement quelques mesures
stible : il lui suggérait une passion malsaine : il lui suggérait une
excitation
sensuelle : les facultés de raison avaient abdiqu
, implanter dans son imagination une passion folle, dans ses sens une
excitation
irrésistible. Si la pauvre femme a fait promettre
u procèdent d'une cause matérielle et sont toujours provoqués par une
excitation
mécanique faite à la surface de la peau. L'autogr
r lequel l'épingle avait été promenée. Il en était de même pour toute
excitation
de la peau produite par un corps dur quelconque :
ement avec toute leur intensité. L'époque des règles, ainsi que les
excitations
du système nerveux, reportent momentanément le fa
pement ; il procède toujours, en effet, d'une cause matérielle, d'une
excitation
mécanique portée à la surface de la peau ; et il
t, s'inscrivait en traces révélatrices pendant cinq à six heures. L'
excitation
qui accompagnait l'époque des règles, de même que
mianesthésie complète à droite. La peau est insensible à toutes les
excitations
, qu'elles qu'elles soient : contact, piqûre, pres
minent le défaut de réaction et l'atonie du système musculaire. Là. l'
excitation
psychique est souvent capable de produire des e
es uns des autres ( sensations) et qui ne ressemblent en rien à cette
excitation
, ( couleurs, sons, odeurs, etc) — Il est bien évi
u sommeil normal qu'en tant que l'hypnotisé continue à réagir sur des
excitations
sensuelles provenant de l'hypnotiseur. Dans ces c
rablement exagérés, sans toutefois présence du signe de Babinski. L'
excitation
de la plante des pieds détermine de forts mouve-
es ; différentes contractions sont quel- quefois consécutives à une
excitation
. Trépidation épileptoïde bien accentuée. Réflex
eux côtés, supérieurs et inférieurs, considérable- ment exagérés. L'
excitation
des régions respectives provoque de rapides et
ner- giques et rapides contractions étant provoquées par la moindre
excitation
d'un point quelconque de la face interne de la
se jusqu'au ge- nou ; ce réflexe est tellement exagéré que même les
excitations
sur la face extérieure des cuisses peuvent se p
scence. La sensibilité objective est très peu troublée : toutes les
excitations
tactiles, douloureuses et thermiques sont perçu
entis moins nettement dans le territoire des 2° et 3" dorsales, les
excitations
déterminent plutôt une impression douloureuse. La
rés ultérieurement el il est possible de les faire apparaître par l'
excitation
des téguments du tronc jusqu'au-dessus de la li
- blements spastiques augmentant sous l'influence de la plus petite
excitation
de la peau, ou bien au contact du froid. Dans c
le canal de la colonne vertébrale après le traitement, ait causé l'
excitation
des méninges ainsi que des racines postérieures à
mimique active, gestes vifs, rires, sourires, chants, danses, etc.
Excitation
intellectuelle très marquée. Mémoire rapide, préc
e la présence du signe de Babinski du côté droit. Du côté gauche, l'
excitation
plantaire ne détermine aucune réaction. Pas de
nter un état voisin de l'achondroplasie, a présenté une pé- riode d'
excitation
maniaque qui a nécessité son internement. Elle
nt conservés. Le réflexe plantaire de flexion est très diminué et l'
excitation
avec l'épingle réveille des douleurs sensibles
2 milliampères déterminent, des deux côtés, le seuil apparent de l'
excitation
pour le nerf radial au bras, le court extenseur e
ie ; enfin parfois et exceptionnellement, le phénomène révélé par l'
excitation
fara- dique ou galvanique de muscles très atrop
e, disent-ils, que la paralysie du muscle soit incomplète, mais les
excitations
les plus fortes que peut supporter le malade ne
trophonévroses- névroses organiques - seraient des manifestations d'
excitation
des diffé- rents segments du système végétatif.
artères sont, d'une façon constante, soumises à un certain degré d'
excitation
vaso-motrice, qui maintient leur tunique... » Ell
nt et disparaissant brusquement, analogues celles que dé- termine l'
excitation
électrique des nerfs. Les nerfs et les muscles ne
lectrique des nerfs. Les nerfs et les muscles ne réagissent pas aux
excitations
faradiques et galvaniques. Le voile du palais est
ent réduit ; depuis cette époque, c'est-à-dire depuis 1881 environ,
excitation
maniaque chronique. Etat actuel, 1912, à 33 ans
ou maniaque : danse, ges- ticulations, sauts, chants, cris, rires,
excitation
génésique. Disposition peu marquée à la colère
n depuis cette maladie, il présente de l'agitation. Histoire de l'
excitation
maniaque actuelle.- Depuis l'âge de deux ans envi
eux ans envi- ron, c'est-à-dire depuis 1881,le malade est atteint d'
excitation
maniaque; celle- ci ne s'est pour ainsi dire pa
uche quelqu'un, il le sent. Odorat 'et goût pa- raissent normaux. L'
excitation
génitale est très marquée : il se masturbe une
il se trouve. Emotivité. Il est presque toujours bien disposé ; son
excitation
est d'or- dre agréable ; il danse, saute, chant
ont jamais des cris de douleur. Activité générale. En dehors de son
excitation
, il vit d'une vie assez voisine de la vie végét
et ses sentiments. Mais le diagnostic n'en est pas moins certain. L'
excitation
du sujet est de l'excitation joyeuse : il danse
agnostic n'en est pas moins certain. L'excitation du sujet est de l'
excitation
joyeuse : il danse, saute, rit, chante, crie, se
a- ture et l'ossature du sujet sont en rapport avec cette variété d'
excitation
, de même que la souplesse de ses mouvements, le
e, permettront de se rendre compte de ce que nous écrivons. Cette
excitation
avec gesticulation ne pouvait être confondue avec
es s'exagèrent t aussi à l'occasion des impressions psychiques, des
excitations
extérieures comme la lumière, le froid, le cont
alytique, et ana. logues à celles que provoque chez un sujet sain l'
excitation
du nerf facial par un courant faradique à inter
entraînant toujours à l'état normal le clignement de l'autre, toute
excitation
portant sur l'oeil du côté sain amène un cligne
ort, plus les contractions sont généra- lisées et intenses. . Les
excitations
extérieures, telles que la lumière, le chaud, le
l'apparition de ces secousses musculaires, sauf dans le cas où ces
excitations
, ces impressions ou ces mou- vements s'accompag
e pas de contraction appréciable des muscles du même côté. Mais les
excitations
qui provoquent un mouvement de clignement des pau
urs été moins excitables mécaniquement que ceux du côté opposé. Les
excitations
por- tées sur la peau recouvrant ces muscles ou
oqué, les fait apparaître à l'exclusion de toute autre cause. Toute
excitation
périphérique, toute impression psychique, tout
illogique, leur ressemblance avec les contractions provoquées par l'
excitation
électrique du nerf facial. etc., etc. N'existen
des clignements plus ou moins forts; enfin, seuls les actes et les
excitations
qui s'accompa- gnaient d'un clignement palpébra
t graduer pour ainsi dire par l'intensité plus ou moins grande de l'
excitation
: un attouchement léger donne un clignement 384
qu'ailleurs, des frémissements ondulatoires très légers. Toutes les
excitations
extérieures qui entraînent suit un clignement éne
de l'hémiface ne dénote pas d'hyperexcitabilité de ces muscles. Les
excitations
faites au niveau de la surface externe de la jo
la fois la contraction de l'orbiculaire et des zygo- matiques... L'
excitation
électrique des filets nerveux de l'orbiculaire pa
a com- missure peut s'élever sans l'abaissement de la paupière... L'
excitation
(électri- que) des filets nerveux de l'orbicula
habituelle mais sans secousses de l'hémiface droite ; no toutes les
excitations
sensitives, motrices ou psychiques qui provoque
é du clignement palpé- bral, réflexe, volontaire ou provoqué. Toute
excitation
sensitive, tout t phénomène moteur, toute impre
le Il Silva, assistant de la clinique, a donné une diminution de l'
excitation
galvanique et faradi- que, sans réaction de dég
laire sous l'impulsion du cerveau; le cerveau lui-même produit et son
excitation
nerveuse se transmet par la moelle épinière. Le
impressions soient non seulement transmises régulièrement, mais que l'
excitation
nerveuse se répartisse dans les différents groupe
tour, ne le sera pas comme celui du simple bureaucrate, etc. Cette
excitation
nerveuse transmise par la moelle peut aussi être
omène de l'hyperexcitabilité musculaire, la malade ne réagit à aucune
excitation
de la sensibilité générale ni spéciale; elle ne v
r l'hypothèse d'une transmission directe, exactement localisable, des
excitations
mécaniques du cuir chevelu à l'écorce cérébrale,
tes les lois connues de la physique le démontrent d'abondance. Si l'
excitation
mécanique n'explique ni le phénomène solatidique
Sperino (1884). Je crois donc, dit Silva, cité par Rainaldi, que « l'
excitation
mécanique peut, dans ce cas, se propager par les
n outre, à l'objection qui lui a été faite au Congrès de Paris, que l'
excitation
du cuir chevelu, fût-elle transmise à l'écorce, n
autres xones corticales plus ou moins éloignées, mais le maximum de l'
excitation
cérébrale doit correspondre au point où a été app
nre. Ce n'est pas à dire qu'on ne puisse, par les autres procédés d'
excitation
, transmettre directement à l'écorce un stimulus a
vements des yeux qui ne peuvent naturellement être produits que par l'
excitation
directe des centres cérébraux. » Ce fut alors que
ce cérébrale. L'éminent savant aurait obtenu avec ces deux méthodes d'
excitation
, outre des mouvements d'ensemble, des mouvements
, c'est-à-dire étude des sensations ; Rapports de la sensation avec l'
excitation
périphérique; sensibilité perceptive différentiel
tion périphérique; sensibilité perceptive différentielle ; seuil de l'
excitation
, etc. Ce sont des études difficiles. poursuivie
ion et la dynamogénie, et démontre qu'il est impossible de porter une
excitation
quelconque sur une des parties du système nerveux
u'une façon stable et normale de stimuler. J'ai nommé l'exercice et l'
excitation
de l'énergie psychique, et la concentration de ce
de la période d'animation tend de plus en plus à s'abréger. Bientôt l'
excitation
factice créée par l'injection s'éteint, les sensa
lire qui dura quinze a dix-huit Jours. Elle fut en proie à uue grande
excitation
, chantant jour et nuit des cantiques. Quand le dé
de la rétine, ou par les conducteurs centripètes qui transportent les
excitations
lumineuses au sensorium commune, ou par les cellu
ervent parfaitement la propriété de conduire à la moelle allongée les
excitations
lumineuses qui provoquent le resserrement réflexe
vent sur la rétine et l'excitent chacune à sa manière. Puis les trois
excitations
colorées, transportées par un conducteur commun o
ltz, en ce qui regarde les tubes nerveux préposés à la conduction des
excitations
colorées, je continuerai à raisonner comme si la
de qui elle est confiée s'ingénia par diverses manœvres, telle) que l'
excitation
des zones hystérogènes, puis l' application de l'
. — Votre vue se trouble. — Vous dormez ». Après une courte période d'
excitation
, la période de dépression désirée se montra rapid
animaux en arrivent rapidement à réagir de la même manière aux mômes
excitations
, même lorsqu'ils sont seuls. L'association de la
même lorsqu'ils sont seuls. L'association de la réaction morbide de l'
excitation
une fois (1) Calderwood. The Relations of mind
ychiques. En effet, il s'agit bien là d'un acte réflexe dans lequel l'
excitation
périphérique repose surtout dans une opération in
sur un muscle, il se contracte et reste dans cet état tant que dure l'
excitation
. L'état cataleptique se reconnaît à la fixité d
vons placée, mais les nerfs et les tendons touchés ne donnent pas à l'
excitation
leur réaction spéciale. La preuve éuit amplemen
la vie animale à entrer en contracture sous l'influence d'une simple
excitation
mécanique. L'excitation peut être portée d'aill
n contracture sous l'influence d'une simple excitation mécanique. L'
excitation
peut être portée d'ailleurs sur le tendon, sur. l
localisée. La contraction du muscle sur les membres persiste après l'
excitation
, pour peu que celle-ci soit un peu forte et un pe
bles de se contracter ainsi, et, suivant la durée et l'intensité de l'
excitation
, on obtient à volonté une contraction ou une cont
tat léthargique, on la (ait céder presque instantanément en portant l'
excitation
sur les antago nistes des membres contractures.
lement à une différence physiologique jusqu'ici restée inaperçue, les
excitations
mécaniques, portées soit sur les muscles eux-même
ntracture durable, mais une simple contraction qui s'efface dès que l'
excitation
a cessé. Daus l'état somnambulique, au contrair
e telle qu'elle vient d'être définie n'existe pas, c'est-à-dire que l'
excitation
des nerfs, des muscles, ou la percussion des tend
lité neuro-musculaire. en ce qu'elle ne cède pas, comme celle-ci, a l'
excitation
mécanique des muscles antagonistes, tandis qu'ell
contraire, en général très facilement, sous l'influence de ces mêmes
excitations
cutanées faibles qui l'ont fait naître. La cons
s, l'action isolée ou combinée des muscles, ou encore les effets de l'
excitation
d'un tronc nerveux quelconque, pris au hasard, se
eurs mois, était atteint de manie avec alternative de dépression et d'
excitation
, fut pris subitement de delire furieux et. comme
, vers les six heures du soir, le camarade donna a table des signes d'
excitation
et de trouble intellectuel. Ces troubles s'acceut
de têtes de veau; l'instant d'après il disait .n'avoir pas un sou.
Excitation
intermittente. " Signes physiques très marqués.
. Cet état dura plus de deux mois. Schuele a bien étudié l'état d'
excitation
intellectuelle auto- matique, de mentisme,si fr
l a été faible au début, plus la dépression est rapide. ! Comme les
excitations
sensorielles, l'excitation autochtone, par l'ac
s la dépression est rapide. ! Comme les excitations sensorielles, l'
excitation
autochtone, par l'activité volontaire permet de m
nt à l'accommodation et la clinique ne permettant pas de dire que l'
excitation
physiolo- gique d'origine lumineuse ait moins d
traction du sphincter, l'autre fait la même besogne pour les autres
excitations
. (Dufour, Lyder Borthen, Bernheimer, Oppenheim,
se dérelop- pent tout d'abord des troubles psychiques sous forme d'
excitation
maniaque avec idées de persécution, puis des si
nnes qu'ils affectionnaient le plus. Ils paraissent aussi avoir des
excitations
sexuelles anormales. Somnoforme et suggestion.
s, troubles de la sensibilité générale, interprétations délirantes.
Excitation
et dépression par intervalles. Agent actif d'un
blissement intellectuel avec hallucinations, idées de persécutions,
excitation
passagère. Signé : Dr Magnan. A son entrée, 1
nfie d'une manière enfantine. En somme, apathie intellectuelle avec
excitation
légère sous l'influence de ses hallucinations.
ne cédation assez marquée dans l'acuité des phénomènes délirants; l'
excitation
est complètement tombée, les hallucinations de
dées de persécution en voie de décroissance. Signé : Dr Magnan. L'
excitation
étant tombée, elle commence à s'occuper dans le
mettait souvent en colère pour peu de chose; c'est alors que son
excitation
génésique augmentait et qu'elle se livrait avec p
A la longue, des états secondaires alternatifs de dépression et d'
excitation
apparurent graduellement, et son état allait s'ag
invectives surtout quand elle ne peut s'endormir; elle a aussi des
excitations
génitales après les douches. Petit à petit, ell
es six examinés à cet égard, apparaît le mieux quand on se sert des
excitations
faradiques de longue durée, se succédant rapideme
Le second cas est relatif à un homme présentant les symptômes de l'
excitation
maniaque. On aurait pu croire à un accès de para-
yringomyélique qui depuis deux mois à des hallucinations, un état d'
excitation
cérébrale très spécial. Les troubles psychiqu
ma malade qui vingt-deux jours après notre intervention est prise d'
excitation
extrême avec changment complet des senti- ments
mesure de l'hyperexcitabilité réflexe, grâce à laquelle de faibles
excitations
extérieures déterminent des contractions muscul
ers, peuvent, en certaines conditions, être provoqués au moyen de l'
excitation
de 266 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
s et les paralytiques géné- raux. (Obozrénié psichiainü 1899.) 8. L'
excitation
faradique de la partie inférieure de la sylvien
ble contraction des lèvres du côté opposé. Peut-être s'agit-il de l'
excitation
du centre du facial que l'on suppose loca- lisé
faible et éphémère pour qu'on puisse l'attribuer de préférence à l'
excitation
de la région sensible. 9. Chez le chien comme c
e paralysie pseudo-bulbaire. Le voile du palais ne répond pas aux
excitations
de la muqueuse qui le revêt; mais on observe, p
ène peu com- 284 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. mun qui suit cette
excitation
; en touchant avec l'extrémité d'une tige la moi
ne paraissent pas pouvoir toujours faire une distinction eutre deux
excitations
sensorielles différentes. Les impressions ne se
hez le dyspeptique, l'humeur est très inégale ; les alternatives' d'
excitation
et de dépression sont très accusées; son pessim
pied gauche est un peu pendant; pas de trépidation épileptoïde. L'
excitation
plantaire provoque la flexion des orteils. Pupill
ues idées de satisfaction et de richesses. 27 juillet. - Un peu d'
excitation
cérébrale sans modification de la santé physiqu
urine et la boire ; ce manège provo- quait.chez lui non seulement l'
excitation
sexuelle, mais encore une éjaculation. Il répét
posent, de même que la perception auditive verbale, non seulement l'
excitation
du centre auditif commun, mais celle du centre
ins cas pathologiques, l'acte génital ne peut avoir lieu que sous l'
excitation
de la musique. SOCIÉTÉS SAVANTES. 379 III. L'
L'élévation brusque de la pression sanguine, sous l'influence d'une
excitation
sexuelle, tend à montrer le rôle de l'image motri
ément moteur dans la genèse, le développement et l'évo- lution de l'
excitation
génitale. V. L'érotomanie, qui consiste dans un
ntéressé et intervient. L'équilibre moteur total arrive à un état d'
excitation
et de potentiel tel qu'il ne peut se maintenir
n relève des phénomènes de fatigue et d'épuise- ment moteur. c. L'
excitation
motrice se traduit également par des phénomènes
tant toujours d'intensité et de vitesse jusqu'à ce que le maximum d'
excitation
mentale soit atteint. Cette multitude de fragment
produite pour une insuffisance de satisfaction du besoin sexuel. L'
excitation
génitale, ne trouvant pas son issue par les voi
remarquables, ruminations, agitations, angoisses, accompagnent ces
excitations
sexuel- les incomplètes o. J'ai personnelleme
nt essentiellement propres à créer et à cultiver chez les malades l'
excitation
et la violence, et il en trouve la preuve dans
cales; tantôt les préoccupations musicales de la veille, tantôt les
excitations
auditives qui surviennent pendant le sommeil; t
e remarqua bientôt que les caresses sur la bouche amenaient la même
excitation
agréable des organes génitaux; elles étaient pl
t qui était régulier, et sans douleur, ni troubles quelconques, une
excitation
sexuelle intense qui lui inspirait des tentatives
chien; l'idée lui vint des caresses du chien, elle éprouva une vive
excitation
génitale. Depuis elle ne put plus donner le sei
association avec ses consé- quences se reproduisit immédiatement. L'
excitation
génitale était d'autant plus intense que le rep
ar plusieurs circonstances : 1° L'éveil de l'anomalie parune double
excitation
accidentelle qui met en jeu l'instinct sexuel à
naisons nerveuses de l'organisme périphérique et des viscères, les
excitations
qui portent sur ces terminaisons parviennent immé
s indifférente. Dans 11 cas d'hémiplégie et paraplégie organique, l'
excitation
du bord externe donnait lieu au phénomène des o
du bord externe donnait lieu au phénomène des orteils, tandis que l'
excitation
du bord interne produisait le réflexe normal en
un état de somnolence léger et passager que fait cesser la moindre
excitation
des ' Dujardin-Beaumetz {Gazette méd., 29 janvi
la période prodromique de la paralysie générale et certains états d'
excitation
maniaque. A la même époque (185), Ellinger * ad
s estlent, quelquefois cependantelles débutent brusquement par de l'
excitation
mentale. Le pronostic est mau- vais, cependant
nce des hallucinatious visuelles, suivies généralement d'un stade d'
excitation
. On observe aussi des hallucinations auditives,
eau disposé pathologiquement à transformer en fausses perceptions l'
excitation
première. Aussi le délire hal- lucinatoire se d
nt ; donc à mesurer la différence de temps écoulé entre le moment d'
excitation
et le moment d'aperception de cette excitation.
lé entre le moment d'excitation et le moment d'aperception de cette
excitation
. Le moment d'ex- citation est déterminé par l'é
s différentes (audition, tactile, etc.) qu'à l'association de trois
excitations
de même nature, toutes les trois électro-cu- ta
e même nature, toutes les trois électro-cu- tanées par exemple. L'
excitation
électro-cutanée et tactile se comporte comme le
e la sensibilité morale apparaissent comme autant de phénomènes d'
excitation
. Dans la plupart des psychoses chroniques, l'affa
la volonté, tandis qu'il entrera en action sous l'influence d'une
excitation
plus puissante, telle que l'audition même du mo
ble. Ainsi, dans l'observation de Friedreich, au temps du maximum d'
excitation
, les secousses étaient de 40 à 50 par minute, t
ed, mais moins que dans les autres observations par diverses'autres
excitations
delà peau, et moins aussi par une excitation mé
s par diverses'autres excitations delà peau, et moins aussi par une
excitation
mécanique des muscles mêmes. Dans les autres
grandeur et de persécution mêlées ou alternant. et s'accompagnant d'
excitation
; le calme peut renaître, mais les hallucinatio
utres points de l'économie (globes oculaires, rachis, tronc); toute
excitation
interne ou externe d'un groupe musculaire est s
tives avec preuves contradic- toires. Peut-être est-ce l'effet de l'
excitation
cutanée, effet semblable zut celui de l'excitat
-ce l'effet de l'excitation cutanée, effet semblable zut celui de l'
excitation
mécanique de la peau (Ur- bantschisch), etc....
la Bévue philosophique', M. Ch. Féré a insisté sur l'influence des
excitations
périphériques sur l'état dynamique et dans une
mique et dans une note spéciale, il a étudié les effets de quelques
excitations
visuelles sur les hystériques achro- matopsique
en garde (je dirai tout à l'heure pourquoi), et alors je remplace l'
excitation
prolongée par une série d'excitations très cour
rquoi), et alors je remplace l'excitation prolongée par une série d'
excitations
très courtes produites en passant seule- ment l
minutes au plus. Dans une première séance, après deux séries de ces
excitations
séparées par un inter- valle de repos, elle rec
rouge a persisté. Alors, par quatre reprises, je fais des séries d'
excitation
comme l'avant-veille. A la suite, ma malade gag
restées en état; dans cette troisième séance, je fais deux séries d'
excitations
à la suite desquelles la malade a repris la not
ments de l'oeii m'a semblé manifestement augmentée à la suite des
excitations
par la lumière rouge. Ce dernier fait, étudié a
ut se méfier chez cette sorte de maladie, même en n'employant que l'
excitation
par la lumière colorée; une excitation trop vive
e, même en n'employant que l'excitation par la lumière colorée; une
excitation
trop vive ou trop prolongée pouvant provoquer u
ion de symptômes. Je rappellerai à ce propos que chez ma malade une
excitation
continue amenait très rapidement de la fatigue
de provoquer ainsi une amblyopie complète, j'ai substitué au mode d'
excitation
précédent les séries d'excitations répétées, ma
omplète, j'ai substitué au mode d'excitation précédent les séries d'
excitations
répétées, mais très courtes, de quelques second
passant le verre coloré devant les yeux. On peut ainsi continuer l'
excitation
plus longtemps et avec beaucoup plus de sécurit
encore aujourd'hui, au bout de trois mois, sans avoir renouvelé les
excitations
. Voici encore un autre fait qui, bien que plus
malade, moins sensible que la précédente, je n'ai plus employé les
excitations
successives et répétées de courte durée; mais j
ade garde encore la notion des couleurs sans que j'ai renouvelé les
excitations
et malgré un état de mal hystérique et des atta
ouge produisait plus rapidement que les autrescouleurs un maximum d'
excitation
; enfin les recher- ches de 0. Berger ' 1 confi
d'autres malades à Bicêtre. 11 est rationnel d'admettre alors que l'
excitation
d'un centre se propage aux cen- tres voisins et
ni paralytiques généraux, ni épileptiques, ni aliénés sujets à de l'
excitation
maniaque, ni les déments trop avancés (Voy. le
se souvenir de ce qu'il vient d'é- prouver. Il n'aurait jamais eu d'
excitation
maniaque, ni d'hallucinations, mais on a noté d
anvier. Mutisme absolu. Immobilité. -Le ma- lade ne réagit à aucune
excitation
. Parait insensible. Res- terait au lit si on ne
marmotte des paroles incohérentes. 1885. Janvier. Même état. -Les
excitations
très fortes, les brûlures, le chatouillement fo
l'attention sur les injections d'éther. Au lieu d'obte- nir de l'
excitation
cérébrale, nous avons obtenu de l'ex- citation
peptonisés. Toutefois les hallucina- tions diminuent d'intensité, l'
excitation
s'apaise peu à peu, les idées mélancoliques, my
viennent à l'appui de cette manière de voir; elles ont montré que l'
excitation
qui détermine la contrac- tion des muscles droi
al de l'obnubilation de la conscience s'accompagner de phénomènes d'
excitation
d'ordre mental, tels que concep- tions délirant
néanmoins condamnée à payer. Dans un deuxième cas un homme accusé d'
excitation
au meurtre ne fut con- damné qu'à cinq jours de
lui faire connaître le verdict, A... fut pris d'un violent accès d'
excitation
, jeta à la tête du président un flacon en verre
ut ainsi dire. Il extériorise et intériorise des phénomènes dus à l'
excitation
pathologique des centres qui président à la for
chez un adulte. Les phénomènes permanents indiquent notamment une
excitation
continue de cette région du cerveau. M. Bruns p
petits vaisseaux est le résultat d'un spasme sous l'influence d'une
excitation
des vaso-moteurs de ces conduits. Dans certai
ulation qui, par la média- tion des centres nerveux déterminerait l'
excitation
des nerfs vaso-moteurs destinés aux vaisseaux d
s extrémités elles-mêmes des membres dans le froid par exemple. L'
excitation
réflexe vaso-motrice est transmise le plus sou-
rement des vaisseaux sous l'in- fluence du froid a lieu d'abord par
excitation
directe des vais- seaux de la peau, mais la cau
e action réflexe vaso-constrictive très énergique provoquée par l'
excitation
des extrémités des nerfs cutanés centripètes et p
e l'émotion ou l'idée fixe sub- Quelquefois le point de départ de l'
excitation
est périphérique. Elle est en rapport avec le f
t considérable du pouvoir musculaire, tremblement, résistance aux
excitations
électriques, exagération des réflexes, troubles v
sous forme de dégéné- rescence graisseuse.. En présence de cette
excitation
cérébrale intense, avec loquacité, désordre dan
tique, il a un système nerveux défectueux, prédisposé à réagir aux
excitations
par des manifestations convulsives, lypothi- mi
... Toutefois, nous devons dire que cet auteur, tout en admettant l'
excitation
locale surtout des ter- minaisons du nerf vague
niques complexes, ou, autrement, une diffusion dans tout l'être des
excitations
prove- nant du rappel des images intellectuelle
e des excitations prove- nant du rappel des images intellectuelles,
excitations
immédiate- ment suivies des'réactions générales
marqué du pouvoir mental, accompagné souvent d'hallucinations et d'
excitation
intellectuelle en même temps que de dépression
ahlbaum. Dans la majorité des cas, il existe, par intervalles, de l'
excitation
maniaque avec tendance à la violence. < .. .
ale. Il y a, du reste, deux sortes de cas où on peut constater de l'
excitation
mo- trice avec loquacité et violences : 1° dans
le plus commun est une forme tranquille, subaigûë ou chronique sans
excitation
motrice, et souvent est associée'à.un arrêt de.
devenir violents et agités. 11 est très fréquent qu'ils aient de l'
excitation
sexuelle (masturbation, obscénités). Parlant be
anéité de la réaction verbale, qu'il y a 1 pénétration continue des
excitations
extérieures; elle tient, 'non pas comme le veut
ve pas d'atrophie musculaire, pas de réaction de dégénérescence à l'
excitation
électrique, mais dès qu'on touche la malade la
s d'anesthésie, sensibilité très nette et localisation parfaite des
excitations
cutanées par le chaud, le froid, etc., etc. D
n'est donc un sexuel que par habitude (dans le sens physiologique d'
excitation
sexuelle). Tant qu'on est onaniate, on n'a pas
eux observations). 2° L'hétérosexualité. La sensation physique de l'
excitation
sexuelle se rattache à la construction et à un
me sexe, sans intromission, avec simple friction du gland ou légère
excitation
du clitoris sur un autre corps, tant la surexci
le tableau de la démence aiguë avec ses différentes variétés; si l'
excitation
intellectuelle hallucinatoire prend un développ
me l'a montré M. Martin 3. On conçoit du reste facilement que les
excitations
nerveuses exagérées, répétées et parfois même con
le fait justement remarquer Féré, « l'ivrognerie en déterminant des
excitations
plus ou moins périodiques, suivies de dépressio
Accès d'épilepsie, assez fréquents (cinq à six par mois), suivis d'
excitation
. Dans ses accès, elle tombe comme une masse en
e du reste de nombreuses cicatrices. Elle a aussi des vertiges sans
excitation
consécutive. En février 1890, elle tombe dans
'alcoolisme, les intoxications de tout genre, les excès divers, les
excitations
multiples, etc.; nous n'insisterons pas. En s
éréditaire, et c'est cette prédisposition qui est mise en jeu par l'
excitation
due au poison convulsivant qui infecte l'éco- n
ès avoir soumis l'animal à.l'action du poison étudié, on commence l'
excitation
du cerveau à l'aide de courants induits très fa
iété de biologie (séance du 16 juin 1894) et intitulée : Note sur l'
excitation
de l'écorce cérébrale par la fara- dtsn<<
ices du cerveau du chien avec un seul pôle. Mais il faut pour que l'
excitation
soit effi- cace remplir certaines conditions. I
e. Il arrive aux conclusions suivantes : 10 la période latente de l'
excitation
corticale diminue notablement dans l'inflammation
, quelle est l'influence des fac- teurs physiologiques ? 10 Degré d'
excitation
du nerf. Ne semble pas modifier les conditions
en est de même dans un nerf qui produit un travail physiologique d'
excitation
ou de transmis- sion. On peut donc remonter de
multiplie e par la quantité d'électricité fournie au nerf dans une
excitation
on a en joules, c'est-à-dire sensiblement en di
ysiologique correspondant. Le travail physiologique varie suivant l'
excitation
du nerf. Mais l'auteur ne peut dire s'il y a pr
tensité de la contraction avec le diamètre des excitateurs dans les
excitations
directes, on trouve que l'énergie de la secousse
est de dix minutes. L'effet sédatif est précédé d'un léger effet d'
excitation
. En employant le courant des- cendant on obtien
on vent avoir en même temps que des effets généraux une certaine
excitation
et la contraction musculaire. La douche hydroga
nes est contre-indiqué dans les cas de manie, lorsqu'il existe de l'
excitation
aiguë, lorsque le poids du corps s'abaisse rapi
ent en rapport avec certaines personnes et non avec d'autres. Toute
excitation
cutanée (piqûre pincement, etc.), produite par le
sé, à moins qu'elle ne provoque une douleur trop violente; cette même
excitation
, produite par une personne non en rapport, n'est
les données physiologiques, une action calmante, si l'on observe une
excitation
suivie ou non d'hallucination spéciale, c'est qu'
'une perturbation dynamique et il l'explique en rappelant qu'une même
excitation
d'un nerf donne des résultats opposés, suivant l'
tation d'un nerf donne des résultats opposés, suivant l'état où cette
excitation
surprend le centre. Le savant professeur de Lyon
surprend le centre. Le savant professeur de Lyon a vu autrefois que l'
excitation
du bout périphérique du nerf sciatique est suivie
variés de la névrose. L'éthcr produit tantôt du calme, tantôt de l'
excitation
. S'il respirait de l'éther après une crise, il y
éralement du calme; si c'était avant une crise, il y avait une grande
excitation
, il était poussé à marcher, à gesticuler et à tou
, à gesticuler et à tout briser. En général, après une heure de cette
excitation
, le calme survenait et la crise était le plus sou
le calme survenait et la crise était le plus sou%ent modifiée ; cette
excitation
remplaçait les hallucinations et les étouffements
me animal. Il lut conduit h admettre que, dans certaines conditions d'
excitation
nerveuse, l'homme peut voir. même de loin, sans l
cles ou des nerfs nerf cubital), le choc oes| tendons, pas plus que l'
excitation
de la peau, n'augmentent cette raideur, d'ailleur
quelconque, un mot les provoquait: aujourd'hui, il :"aut pour] cela l'
excitation
'e certaines zones. Celle don: l'cx.nation amène
ais été malade, présenta, après son réveil, entre autres phénomènes d'
excitation
, des convulsions effrayantes qui durèrent prés de
à déterminer ce que produisait tout à l'heure, chez la léthargique, l'
excitation
directe des masses musculaires, c'est-i-dire la c
ques, appartenant à plusieurs services hospitaliers de Paris r i* L'
excitation
d'une région anesthésique. quoique n'étant pas pe
n prie le sujet de regarder fixement; elle dure aussi longtemps que l'
excitation
qui la produit. (Il est bien entendu que. dans to
ore artificielle, se retrouvent également dans l'image visuelle. 3* L'
excitation
, avec le compas, de la peau insensible, provoque,
généralement normale. 4' Les impressions visuelles produites par l'
excitation
d'une région insensible sont claires ou sombres,
'impression se moditï- régulièrement : elle prend une teinte rouge. L'
excitation
des régions hypnogenes que l'on rencontre fréquem
iné a fixer le regard du sujet, l'image visuelle déterminée par l'
excitation
d'une région anes-thésique est constamment locali
que est constamment localisée sur le point de fixation ; le lieu de l'
excitation
n'importe pa* ; que la piqûre soit laite i la fac
couvrir le point de fixation. Si, pendant qu'on continue la première
excitation
, on en fait une seconds (nous supposons qu'il s'a
ine distance du point de fixation. Si, enfin, on supprime la première
excitation
et qu'on prolonge h seconde, la seconde imjge se
9' Les images visuelles provoquées, persistant aussi longtemps que l'
excitation
qui leur donne naissance, peuvent être fixées sur
uelles provoquées ne sont jamais mises par le sujet en rapport avec l'
excitation
de son membre anesthésique; le sujet ne se doute
sthésiques du corps ne sont pas les «cules qu'on peut provoquer par l'
excitation
de ces régions; si l'on place un objet familier d
d'élaboration psychique que j'ignore, peut-être par transmission de l'
excitation
reçue à d'autres cellules cérébrales, cellules ps
n'a plus d'échanges avec le monde extérieur : insensible aux diverses
excitations
du dehors, elle cesse de répondre aux questions q
comme le précédent ; elle était, comme tout à l'heure, insensible aux
excitations
qu'on lui faisait. Elle ne voyait ni interne, ni
n des centres percepteurs, sont complètement disproportionnées avec l'
excitation
périphérique. L'attente d'un phénomène réduit à u
'attente d'un phénomène réduit à un minimum le degré d'intensité de l'
excitation
que doit produire ce phénomène pour qu'il soit su
exciter, parce qu'alors l'image mentale gagne en intensité grâce à l'
excitation
émotionnelle qui l'accompagne. » v, j Nous somm
11 en est de même pour les périodes de secousses. Dans les accès d'
excitation
psvehique avec agitation, qui n'apparaissent pas
sé. L'augmentation de pression que l'on observe dans les périodes d'
excitation
peut être modifiée artificiellement : 1" Avec la
maintenait au bout de trois quarts d'heure ; pendant le même temps, l'
excitation
s'était calmée. Un malade dont l'agitation se ter
urs fois occasion de signaler dans l'histoire des effets généraux des
excitations
locales (i . Les électriciens savent du reste par
nt de l'ouïe dont il a souffert lui-même après avoir été exposé à une
excitation
lumineuse de ce cenre. D'après les renseignements
ts que j'ai pu obtenir, un certain nombre de personnes exposées à ces
excitations
lumineuses excessives ont souffert d'insomnies, d
même temps que ces mêmes combattants, encore sous l'influence de l'
excitation
de la lutte, subissent sans broncher des opérat
Les mêmes blessés, quelques jours plus tard, sortis de la période d'
excitation
, de- viennent sensibles quelquefois à un haut d
ilité sont très fréquents, dont le système nerveux est facile à l'
excitation
, à l'épuisement ? En étudiant ces phéno- mènes
rs exercices sont bien et méthodiquement t groupés pour obtenir une
excitation
nerveuse détermi- née, favorable à une anesthés
r déterminer l'anes- thésie nécessaire. N'est-ce pas le procédé d'
excitation
qui était appli- qué à la pythonisse antique ?
ne soit revenu à un état favorable. Et ceci arrive vite. L'état d'
excitation
de l'Aissaoua est passager, et, si le même indi
t bien possible même que leurs exercices déterminent une certaine
excitation
génésique. II paraît certain qu'au cours de ces
La durée de l'attaque n'excédait pas une minute et il n'y avait ni
excitation
ni délire. Cette seconde observation de M. Hamm
es impressions vers les centres. Dès lors, il faut admettre que les
excitations
de certains nerfs sensitifs peuvent apporter au
volition et non de son exécution. H est nécessaire que l'effet de l'
excitation
centrale, c'est-à-dire la contraction, soit pro
ement il lui faut non seulement la conception du but à atteindre, l'
excitation
des contractions en groupes fonctionnels et leu
nt dépourvus de conscience, c'est-à-dire que, depuis le moment où l'
excitation
motrice quitte les centres kinesthé- tiques jus
e toutes les phases et qui succède avec la plus grande facilité aux
excitations
mécaniques de la peau; de sorte que l'on peut v
et les muscles de l'avant-bras et de la main droite répondent à l'
excitation
électrique aussi promptement et aussi vigoureu-
ons sont absolument saines, les muscles répondent bien à toutes les
excitations
et ne sont pas atrophiés. Sur le dos de la ma
même temps, le malade s'aperçoit que sa jambe est in- sensible aux
excitations
douloureuses et complètement analgésique : la s
ralytiques, qui, depuis quelques semaines, étaient en proie à une
excitation
génésique, portée au plus haut degré, ' A noter
fait anormale. Et enfin, si l'on y re- garde de près, on voit que l'
excitation
génésique du début est presque toujours tout in
anisme, ou des pertes séminales nocturnes; ce qui prouve bien que l'
excitation
ne porte pas sur les organes génitaux eux-mêmes
la main gauche, qui, du reste, est celle que l'on exerce le plus. L'
excitation
faradique des muscles donnait lieu à une contra
a précédé l'interne- ment, M. Motet détermine sous le nom d'accès d'
excitation
ma- niaque, l'état du baron Seillère. Les viole
t ne concluait à la nécessité de l'internement que dans le cas où l'
excitation
persisterait. Ce qui décida la famille de M. le
'affirmation d'un trouble mental qui, progressivement, a passé de l'
excitation
maniaque au délire maniaque avec des idées de g
« Marie CIIEILLIRE. » Dans ces écrits, il n'y a plus seulement de l'
excitation
maniaque : le délire sous forme de délire des g
isant et nous laisserait tout le diagnostic à faire. Si nous disons
excitation
maniaque ou dépression mélan- colique, si nous
. 11 vient d'avoir, dit-il, quelques syncopes suivies d'une crise d'
excitation
très vio- lente accompagnée de perte complète d
nné de constater dans le laps de temps signalé. La disparition de l'
excitation
et du délire est, assurément, de date beaucoup
quelque temps encore, à l'abri de toutes les causes de fatigue et d'
excitation
cérébrale; que sa convales- cence se poursuivit
herche même nous a conduits à constater quelques faits curieux. L'
excitation
du cubital ou d'un autre nerf des membres par l
par les procédés classiques de Charcot et Richer ne produit rien. L'
excitation
du facial à sa sor- tie du crâne derrière l'ore
des aiguilles distantes l'une de l'autre de 4 à 7 millimètres. Les
excitations
corticales ne durentpasplus de trente secondes.
. Les excitations corticales ne durentpasplus de trente secondes.
Excitation
de la région motrice. - 1° Celle de la partie tou
s conditions, on ne constate que de la diminution de pression. 3° L'
excitation
de la région de passage entre le segment antéri
période de latence ; quelquefois cependant la pres- sion baisse. L'
excitation
des parties moyennes de l'ltémispltèl'e (lobe p
ysiologie. les modifications de la pression que l'on obtienne par l'
excitation
de la région motrice, jamais le pouls ne bat pl
décelé d'influence à cet égard. Régions centrales du cerveau. Leur
excitation
détermine tou- jours une exagération de la pres
ît. Substance blanche (ablation couche par couche de l'écorce). L'
excitation
d'un point déterminé de la couronne rayonnante
comme si on excitait le bout périphérique du pneumogastrique). 2° L'
excitation
de la partie posté- rieure de la couronne rayon
ère la pression sans que le coeur soit en rien atteint. 0 Enfin l'
excitation
de la portion externe de la couche optique rale
n des muscles. Au moment de l'entrée du malade, il y a 8 jours, et) l'
excitation
galvanique et faradique du nerf crural au pli de
nerte, soit sous l'influence de la volonté, soit sous l'influence des
excitations
électriques (soit directes, soit indirectes par l
nce des excitations électriques (soit directes, soit indirectes par l'
excitation
faradique ou galvanique du nerf), se contracte au
Est-ce une particularité du sujet, ou bien y a-t-il un état morbide d'
excitation
réflexe exagérée dans toute l'étendue de la moell
ui se contracte normalement, dès que l'on a recours à un autre mode d'
excitation
électrique. Il ne faudrait pourtant pas croire
ur le courant galvanique, on n'a aussi de contraction qu'en faisant l'
excitation
avec le pôle négatif et cette contraction ne se p
anées, les irritations des nerfs centripètes en général, augmentent l'
excitation
déjà exagérée de la cellule motrice; la mesure es
ule motrice; la mesure est comblée, et le nerfcenlrifuge transporte l'
excitation
dans les muscles qu'il anime. Mais il est temps
dynamométrique bien marquée. Il n'est pas étonnant, dès lors, qu'une
excitation
des nerfs centripètes, tendineux ou autres, déter
'un acte réflexe développé en conséquence de la lésion articulaire. L'
excitation
des nerfs articulaires retentit sur les centres s
tentit sur les centres spinaux, qui, à leur tour, réfléchissent cette
excitation
par la voie des nerfs moteurs sur les muscles, ta
ite est plus dilatée que la gauche ; elle n'agit que faiblement par l'
excitation
lumineuse, mieux par la convergence. La morale
ion détermine des contractions musculaires qui ne cessent pas après l'
excitation
, mais s'établissent à l'état de contractures. Yoi
de contractures. Yoici, en effet, la griffe cubitale déterminée par l'
excitation
du nerf, en arrière du coude; voici un pied-bot p
ontracture existe toujours ici à l'état latent, et qu'il suffit d'une
excitation
bien légère pour la reproduire plus longtemps et
côté gauche existe l'insensibilité à la piqûre, au froid, et à toute
excitation
; cette perte de la sensibilité générale s'observ
mains, et développée, suivant toute apparence, sous l'influence d'une
excitation
extérieure. Charcot. Œuvres complètes, t. ui, S
es adducteurs et triceps fémoral répondent aussi normalement aux deux
excitations
. 2° Dans le domaine du plexus sacré, nous trouv
EIZIÈME LEGÓN Spiritisme et hystérie 1. Sommaire. — Influence des
excitations
intellectuelles sur le développement de l'hystéri
nstituant, comme vous le savez, l'aura céphalique. Ces points, dont l'
excitation
peut provoquer l'attaque avec une singulière faci
Pitres, que très faiblement spasmo-frénaleurs ; c'est-à-dire que leur
excitation
même intense et prolongée n'arrête qu'imparfaitem
e cas. Ces attaques, qu'elles soient spontanées ou provoquées par l'
excitation
artificielle de cette zone hystérogène sont toujo
moment un caractère gai, tandis que si la crise a été provoquée par l'
excitation
de la plaque hystérogène, le délire est toujours
iliaques, une autre enfin sur le testicule droit. On remarqua qu'une
excitation
même légère de la zone sous-mammaire déterminait
il arriva, vous ne l'avez pas oublié, Messieurs, qu'à la suite d'une
excitation
un peu prolongée de la zone sous-mammaire, survin
onde est éteinte : Ainsi sur le moignon de l'épaule, les piqûres, les
excitations
faradiques, etc., ne sont pas perçues ; les mouve
, en effet, pendant que le malade 1. Sur l'influence dynamogène des
excitations
sensorielles et sensitives, voir les recherches d
e du diagnostic. J'ajouterai qu'ayant remarqué qu'à la suite de ces
excitations
de la peau de l'aine et du genou, Ch... présentai
voquer les phénomènes d'aura, qui, dans la règle, la précèdent, par l'
excitation
de véritables zones hystô-rogènes, dont les unes
re exploration : Au bout de six à sept minutes, après une période d'
excitation
très courte, contrairement à ce que nous avions l
; il faut voir là, au contraire, sans aucun doute, le résultat d'une
excitation
périphérique entraînant la participation des cent
qui accompagne le mouvement réel, elle n'est rien autre chose qu'une
excitation
naissante de tous les nerfs affectés à cette fonc
issante de tous les nerfs affectés à cette fonction, qui précède leur
excitation
actuelle. » Et ailleurs (Premiers principes, p. 2
SEIZIÈME LEÇON. spiritisme et hystérie. Sommaire. — Influence des
excitations
intellectuelles sur le développement de l'hystéri
èvre des phénomènes d'intoxication cérébrale : délire polymorphe avec
excitation
et, à leur suite, un état de faiblesse générale s
es variations de cette dilatabilité des organes et on peut dire que l'
excitation
de l'organisme a son explication dans la série al
e premier de ces états est prémonitoire ou symptomalique des formes d'
excitation
céré- brale, l'autre est prémonitoire ou symp
aleur; lorsqu'au contraire, on veut produire un état d'éréthisme et d'
excitation
cérébrale il faut du froid. Graduer l'action de c
s continuelles de cet organe ; car il y a une série non interrompue d'
excitations
et d'inhibitions qui, à chaque moment, agisse
rtit de la réserve habituelle à son caractère, et montra une certaine
excitation
qui, s'augmen-tant les heures suivantes, obligea
, qui comprend la partie interne de la cornée de l'œil gauche, dont l'
excitation
ne provoque pas de réflexe. Anesthésie de la régi
d'agitation quelconque, de production de réflexes, de peur, d'ennui d'
excitations
quelconques entraînerait une dépense d'énergie au
é amené à étudier l'action des agents physiques et ultérieurement des
excitations
purement mécaniques dans l'hypnotisme et l'hystér
s que les effets moteurs les plus complets étaient déterminés par des
excitations
faibles et répétées un certain nombre de fois.
ations faibles et répétées un certain nombre de fois. Les premières
excitations
, disais-je, peuvent n'être suivies d'aucun résult
x d'addition latente (Ch. Richet). J'ai fail voir également que ces
excitations
avaient une action marquée sur l'anesthésie des h
et qu'il était possible d'obtenir des effets œsthêsiogènes au moyen d'
excitations
mécaniques faibles et répétées aussi bien sur des
d'hystérique dont la sensibilité ne pût être éveillée au moyen de ces
excitations
faibles et répétées. Le temps nécessaire variait
vé. Même résultat si, au lieu d'agir sur la sensibilité générale, l'
excitation
s'adressait au moyen d'un dispositif convenable,
faut, dans ces expériences, attribuer une certaine part d'action à l'
excitation
mécanique elle-même. Mais aujourd'hui, nous som
s sommes dotés d'instruments qui permettent d'utiliser facilement les
excitations
mécaniques en psychothérapie. En octobre 1902,
il vibrateur réalisant les conditions requises pour la production des
excitations
périphériques, un dispositif spécial permettant d
ériques, un dispositif spécial permettant de graduer l'intensité de l'
excitation
. II montrait les services que cet appareil étai
avoriser la production du sommeil hypnotique, soit pour localiser ces
excitations
périphériques, faibles ou fortes, rapides ou lent
s causes, vers un point ou quelques points du corps, et y détermine l'
excitation
de certaines fonctions organiques au dépens des a
ns le membre tout entier. En combinant ces moyens psychiques avec les
excitations
physiques, on obtient presque toujours d'excellen
t moi, que chez les grandes hystéro-épileptiques hypnotiques, les
excitations
périphériques qui avaient servi à provoquer un ph
se qui faitfcdéfait o. Nous avons montré les premiers que le mode d'
excitation
susceptible de plonger un sujet dans une des phas
tre utilisé à cet effet. Endort-on, par exemple, un malade avec une
excitation
d'intensité égale à dix, il faut autant que possi
égale à dix, il faut autant que possible le réveiller au moyen d'une
excitation
de même intensité et le meilleur procédé est évid
le prévoir amena instantanément la guérison. Ce second coup de feu,
excitation
identique à la première, avait déterminé dans le
que je l'ai montré et c'est là une loi physiologique générale : Deux
excitations
périphériques de même nature, de même intensité,
de Y étal du système nerveux (état dynamique s'entend) au moment où l'
excitation
se produit. Quoi qu'il en soit, l'emploi isolé
rgentina est inaccessible à la suggestion, aussi bien qu'à toutes les
excitations
extérieures. Dans la période intermédiaire qui pr
thérapeutique habituel, inhalations, fumigations, massages du larynx,
excitations
motrices du nerf récurrent ; rien ne réussit. A
ne ; les troubles de 0 ou de la surconseieace sont ceux du caractère,
excitation
, dépression absence d'énergie, haine non motivée,
mité, une stimulation plus forte. M. Richet nous dit que, parmi les
excitations
sensorielles, celles de la vue et de l'ouïe doive
elles, celles de la vue et de l'ouïe doivent être regardées comme des
excitations
inhibi-toires, autrement dit d'arrêt. Les résul
e dans les meilleures conditions aptes à produire sur son cerveau une
excitation
intense du sens de l'ouïe et dans la direction mê
e de 64 ans, qui présente des hallucinations, du délire, des crises d'
excitation
presque maniaque, en apparence. Or elle n'est poi
'hypnotisé. Dans la seconde ils sont au contraire influencées par des
excitations
périphériques s'exer-cant sur l'un ou l'autre des
l'un ou l'autre des sens (fascination visuelle, auditive, olfactive,
excitations
périphériques faibles et répétées, etc..) Dans la
devons-nous le rappeler, n'est que l'action réflexe transformant les
excitations
ou les émotions de toute nature, qui, par les sen
sens, pénètrent l'organisme. Si nous fermons un ou plusieurs sens aux
excitations
du dehors, nous provoquons dans la conscience, un
ce du jour finissant ou de l'obscurité de la nuit, l'œil se ferme aux
excitations
, l'ouïe refuse aux bruits l'attention, nous nous
erons servis par la Théorie de l'inhibition : pour fermer un sens aux
excitations
qui le tiendraient en activité, il suffit d'y pro
et le Dr Jacquin a judicieusement noté le fait, ce sont des moments d'
excitation
qui traversent, |ar périodes, le calme habituel.
à la rébellion, voire même a la révolte, quand il est dans l'entière
excitation
de la veille, est susceptible de se transformer,
lution. Elle nous apparaît aussi comme un moyen de défense contre les
excitations
trop fortes auxquelles sa faiblesse empêche l'org
ns l'opinion qu'un grand nombre de buveurs n'ont recherché au début l'
excitation
des boissons alcooliques que pour y trouver une a
s, des artistes, des gens du monde, des courtiers de commerce. Sans l'
excitation
de l'alcool, ils se déclaraient incapables d'affr
nes heures, on les voit sortir de leur indifférence habituelle, cette
excitation
passagère n'est que d'une très courte durée et il
livrés à eux-mêmes après avoir été hypnotisés et chez lesquels aucune
excitation
extérieure ne viendrait provoquer d'idées, d'acte
même à une petite distance, produit des effets analogues à ceux de l'
excitation
mécanique directe, c'est-à-dire la contraction mu
clinique et expérimentale sur l'hypnotisme. — De quelques effets des
excitations
périphériques chez les hystéro-épileptiques. Pari
ouloir partir une fois qu'il est attelé. « Prières, encouragements,
excitations
, coups de fouet avec la mèche, puis avec le manch
e on voit presque toujours apparaître des phénomènes qui révèlent une
excitation
pins ou moins accentuée des facultés de l'esprit
où il les a écrites et expriment, par conséquent, les caractères de l'
excitation
ou de l'épuisement que je vous indiquerai tout à
e parvenait à séduire son auditoire qu'en imprimant a son cerveau une
excitation
extraordinaire exactement analogue a celle qui co
gue a celle qui constitue la première scène de la neurasthénie. Cette
excitation
violente ne tardait pas à être remplacée, lorsqu'
ues-uns de ces signes. Quand le malade se trouve dans la phase de l'
excitation
son écriture paraît toujours incorrecte. Les lign
ignes et entre les lignes, vous permettront de découvrir les traces d'
excitation
et d'épuisement du système nerveux imprimées sur
sont très curieuses à étudier. Elles portent, tantôt les marques de l'
excitation
, tantôt celles de l'épuisement : mais les unes et
ades atteints de ces pseudo-psychoses porte toujours les marques de l'
excitation
et de l'épuisement; mais il a, en outre, un aspec
ment des signes qui expriment, comme chez tous les névrosés, tantôt l'
excitation
, tantôt l'épuisement du système nerveux Tous rema
e de Salberg, ont découvert des signes révélant simultanément la vive
excitation
de son esprit et la fermeté de son caractère. I
me du reste dans celle de la plupart des névropathes, les signes de l'
excitation
, de l'épuisement et de la perversion du système n
il en montre l'exclusivisme injustifié : Pour lui. non seulement les
excitations
sexuelles, mais bien tous les modes de l'activité
nte. La métrorrhagie cessa rapidement, mais la malade eut des accès d'
excitation
génitale qu'elle apprit par hasard à satisfaire e
psie ». D'autres auteurs avaient reconnu d'autre part l'influence d'
excitations
auditives faibles et prolongées sur la production
alHer à la Pitié, le Dr Paul Jlagnin a éga lement étudié l'action des
excitations
périphériques et en particulier des-vibrations so
but précis. En effet, des vibrations trop aiguës déterminent vite une
excitation
pénible, et les notes tout a fait basses occasion
is, l'oreille qui n'a pas, comme l'œil, de membrane qui l'a ferme aux
excitations
du dehors, demeure toujours béante. C'est très
s. 3° M. Tarrius. — Délire mélancolique systématisé à forme aiguë ;
excitation
, angoisse, syphilophobie. Discussion : MM. Béri
ng, ce que l'on constate chez ceux des manèges de chevaux de bois : l'
excitation
d'abord puis une période de résolution, un certai
lles entreprises par Camus et Pagniez démontrent, à l'évidence, que l'
excitation
du pneumogastrique apporte, non seulement un abai
élancolique systématisé favorablement modifié par la psychothérapie
Excitation
, angoisse, syphylophobie, . par le Dc Tarrics, Di
s. 3° M. Tarrius. — Délire mélancolique systématisé à forme aiguë ;
excitation
, angoisse et syphilophobie. Discussion : SIM. B
che, sans altérations ni qualitatives, ni quantitatives. De même, l'
excitation
directe des muscles dé- pendant du nerf facial
mo-lalérafes et contro-latérales, il est facile de comprendre que l'
excitation
électrique du nerf sain peut se communiquer aux f
oureuse. En repos la figure est atonique, sans expression, mais les
excitations
dou- loureuses sont suivies de contractions mus
rapidement dans l'état de démence,avec alternatives mal tranchées d'
excitation
et de dépression, qu'elle présente actuellement
et on note de plus, de chaque côté, le signe de l'éventail. Chaque
excitation
de la plante détermine un mouvement net mais lé
ait du membre inférieur. Les réflexes crémastériens sont abolis ; l'
excitation
de la zone abdominale SUà-ItlârII1111e ne donne
ltat. Ces réflexes cutanés de défense peuvent être produits par les
excitations
qui portent sur le tégument au-dessous du pli i
ations qui portent sur le tégument au-dessous du pli inguinal ; ces
excitations
pour être effectives doivent être d'autaut plus
fense provo- qués ne prenaient naissance que sous l'influence d'une
excitation
portant sur le membre inférieur. La zone de pro
aines. Elle se trouvait tout le temps dans un état d'agitation et d'
excitation
psychique. Ensuite arriva promptement une faibl
douloureuse il n'y a pas d'hyperalgésie, la peau ne perçoit pas les
excitations
. Mais si elle existe en même temps, alors le co
rme spéciale de la démarche a pour objet d'acquérir une plus grande
excitation
du sens mus- culaire et articulaire que dans la
eau dans les cas où elle est sensible. Quand elle ne l'est pas, les
excitations
des muscles et des autres lissus profonds produ
ême dans des cas de paraplégie lépreuse plus ou moins complète, les
excitations
peuvent produire des spasmes dont l'intensité s
éral n'est pas néces- sairement primitive, le spasme apparaît par l'
excitation
de la peau. Le réflexe a pour point de départ u
on de la peau. Le réflexe a pour point de départ un certain degré d'
excitation
cutanée. La secousse réflexe gagne rapidement l
le sait, entrent en même temps en flexion. Mais quelquefois la même
excitation
produit deux secousses qu'un court intervalle s
, dans les cas de névrite dont je m'occupe et même dans d'autres, l'
excitation
des fibres sensitives tendino-musculaires pro-
la gaîne de Schwann, empêchant la transmission au cylin- draxe des
excitations
extérieures, qui explique l'indolence à la pressi
recevoir les sensations internes, mais aussi celle de transmettre l'
excitation
aux nerfs vaso-moteurs, sécrétoires et trophiqu
henschr., 1899) obtient des contractions musculaires toniques par l'
excitation
de parties caudales du noyau caudé et des contr
rovoquait ainsi une dégénérescence du faisceau pyramidal. Alors les
excitations
du noyau caudé n'avaient ancun effet. C'est l'e
Alors les excitations du noyau caudé n'avaient ancun effet. C'est l'
excitation
du noyau lenticulaire seul qui provoquait des c
ulaires, qu'on observe parfois en ce cas, seraient provoquées par l'
excitation
des libres de la capsule interne non dégénérées
lgré les contractions sponta- nées du muscle extensor hallucis, les
excitations
de la plante du pied ne provo- quent pas un vér
xe de Babinski. Le réflexe des raccourcisseurs est provoqué par des
excitations
assez légères, mais la zone réflexogène ne débord
type normal. Les mouvements de retrait des membres inférieurs après
excitation
de la plante du pied sont vifs, mais la zone ré
és abdominaux exis- tent. Les gros orteils restent immobiles lors d'
excitations
de la piaule. On ne note ni clonus du pied, ni
, elle commence à se plaindre, gémir, elle parlotte sans cesse avec
excitation
délirante qui persiste toute la soirée. Elle igno
ces rémissions n'en étaient pas moins troublées par des périodes d'
excitation
, rêvasseries suivies de dépression physique et mo
rale infantile, dans laquelle se montrent tantôt des phé- nomènes d'
excitation
et tantôt des phénomènes de paralysie. Krause, lu
eints d'une affection cardiaque. Du côté de la sphère génitale, à l'
excitation
s'oppose un prompt surme- nage, de telle façon
nsiste cette désharmonie ? Le maximum de réaction avec le minimum d'
excitation
. N'importe quelle déviation alimentaire, n'impo
rritable, un émotif. Le ner- vosisme désigne, en langage médical, l'
excitation
générale du système nerveux, caractérisée par l
E ET DYSTHEN1E PERIODIQUE 417 Etat actuel (22 octobre 1913). Etat d'
excitation
maniaque très typique (hypermyastliénie et liyp
11.). Le malade se rappelle ce qu'il a dit au cours de sa période d'
excitation
maniaque, surtout si on l'aide par la lecture d
s symptômes hystériques qui peuvent être provoqués ou arrêtés par des
excitations
expérimentales » (2). (1) Gilles de la Tûurbtte
x dé Charcot et de ses | élèves l'ont péremptoirement démontré. Les
excitations
périphériques les plus diverses peuvent détermine
lité hypnogénique comme un des symptômes de la grande hystérie. Ces
excitations
périphériques s'adressent soit à la sensibilité g
la sensibilité d'un point, soit parce qu'il portera tout à la fois l'
excitation
sur un point anesthésié et sur un point sensible
a, il faut se servir d'un instrument très fin, permettant de porter l'
excitation
sur une partie très limitée de la muqueuse, à l'e
ssion, des idées gaies aux] idées tristes et désespérées. Ces états d'
excitation
cl de dépres-^ sion se développent d'ordinaire lo
é des représentations imagi-natives du rêve, délirantes ou non. Or, l'
excitation
sensorielle produite par dor... mez..., dor... me
convient de définir l'habitude, la tendance à ta répétition de toute
excitation
neurique. Quelle que soit la cause de la première
de toute excitation neurique. Quelle que soit la cause de la première
excitation
, automatisme, imitation, suggestion ou raisonneme
ilepsie, 1 cas de psychose émotive, I' cas de folie morale et 1 cas d'
excitation
maniaque légère avec tics : c'est-à-dire quatre e
l'abandon de la famille, l'exemple des camarades constituent autant d'
excitations
au crime. Bien que ces réunions de jeunes garçons
et la culture du pouvoir d'inhibition volontaire. 2» L'exercice et l'
excitation
automatique de l'énergie psychique et de la fonct
pendant laquelle il n'entend que ma parole et est insensible à toute
excitation
étrangère. A son réveil, je puis constater une am
de continuer à produire la suggestion sous peine de voir succéder à l'
excitation
motrice une dépression très marquée. Les antimu
résiste d'abord assez facilement pendant deux ou trois jours ; mais l'
excitation
devenant plus intense, elle entre bientôt en cris
si que nous le verrons plus tard, de provoquer, au moyen de certaines
excitations
, des impulsions automatiques et des hallucination
est possible d'observer des contractures diffuses sous l'influence d'
excitations
légères de la peau. Il y a analgésie cutanée, mai
et la catalepsie. Cela est si vrai qu'on peut, au moyen d'une même
excitation
suffisamment prolongée, faire passer le sujet de
avant l'expérience, soit des moyens employés pour l'endormir. Telle
excitation
périphérique qui, chez Tune ne produira que le so
ement léthargique. J'avais donc, chez ce sujet, au moyen d'une même
excitation
produit successivement les diverses phases du
ifférentes phases de la somniation provoquée en se servant d'une même
excitation
prolongée pendant un temps suffisant. Pour ne r
énergique ou mieux, que, sans en augmenter l'intensité, on continue l'
excitation
pendant un temps plus long, le sujet deviendra ca
ie et la léthargie. Ce n'est pas à dire qu'on ne puisse, au moyen d'
excitations
brusques et intenses, produire tous les phénomène
hénomènes qui ont été observés dans la somniation provoquée, mais les
excitations
faibles et prolongées permettent bien mieux que t
lule primitive, aient été accompagnés par une capacité de retenir les
excitations
antérieures, une mémoire rudimentaire qui, à l'or
cellules ganglionnaires de l'écorce cérébrale produite par une faible
excitation
continue d'autres nerfs. Dans les cas de fascinat
i souvent constatés à la Pitié, Dumontpallier, Bérillon et moi. Les
excitations
périphériques les plus diverses peuvent, chezl'hy
à savoir qu'on peut obtenir des effets œsthésiogènes en se servant d'
excitations
mécaniques faibles et répétées. En y regardant de
ment, deux états différents et simultanés sous l'influence de la môme
excitation
périphérique. L'une des moitiés du corps, celle d
t, ces phénomènes réactionnels seraient l'équivalence de la période d'
excitation
du sommeil chloroformique. La connaissance de c
Lépinay. — M. le Dr Bérillon vient de nous montrer chez sa malade des
excitations
au début du sommeil hypnotique. Il a rappelé aupa
e. Il a rappelé auparavant que le chloroforme donnait quelquefois des
excitations
semblables. C'est juste, et j'ai pu l'observer ch
fluence du chloroforme, et, tout récemment, nous avons pu étudier ces
excitations
avec un chirurgien de Paris, M. le Dr Aubeau, sur
ent distrait de sa direction polygonale; il dort; mais la moindre des
excitations
un peu anormales ou intenses le réveillera et il
faire obéir. On peut simplement diriger ses rêves, et encore par des
excitations
bien superficielles et dans des cas spéciaux-Dans
son centre ? en môme temps que toute son activité polygonale sur les
excitations
reçues et le sujet conducteur agit avec son polyg
sautent sans règle de ci de là, suivant la variation accidentelle des
excitations
sensorielles dominantes, lesquelles se changent e
a conscience hypnotique n'est presque exclusivement accessible qu'aux
excitations
qui ont un caractère déterminé en corrélation ave
s symptômes hystériques qui peuvent être provoqués ou arrêtés par des
excitations
expérimentales. » Je demande la division de l'a
ommeil sont de deux sortes. Tantôt, elles se rapportent aux dernières
excitations
lumineuses qui ont impressionné la rétine avant l
brillants, pleins d'entrain et sortent de chez eus dans un état d'
excitation
qui n'est au fond que le premier degré de l'ivres
mal nourri ; d'autre part, les cellules nerveuses, accoutumées à des
excitations
artificielles, ne réagissent plus volontiers sans
eux, ils mangent du bout des dents et boivent, espérant retrouver tes
excitations
d'antan.' Peine perdue, la fin du repas est pire,
avec le sens que comportaient mes paroles ; mais il est clair qu'à l'
excitation
auditive perçue, mon sujet a réagi au moins par u
inale de la somnoformisation. Donc la suggestion joue le rôle d'une
excitation
sensorielle et psychique capable de retarder ou m
le contenu de cette dernière et la présence ou l'absence de certaines
excitations
psycho-sensorielles, je réalise tantôt l'un, tant
s la subconscience veille; celle-ci est impressionnée parles diverses
excitations
sensorielles et elle reçoit la suggestion en tant
s du mélange anes-thésique, si on l'abandonne à lui-même et qu'aucune
excitation
sensorielle ne vient accaparer ou distraire son a
oxiquées par les produits de la désassimilation musculaire. C'est à l'
excitation
chimique du muscle par ces produits qu'est dû le
est un vrai état hypnotique, car on peut produire le sommeil par les
excitations
visuelles. Or le non fondé de cette opinion p
on inhibitrice sur les réflexes. L'inhibition concerne aussi bien les
excitations
douloureuses que tactiles. En 1891 parut un int
ion faible du cerveau par les vapeurs anesthésiantes 'dans la phase d'
excitation
) s'est toujours montrée défavorable au sommeil hy
er et sa bouche reste pleine jusqu'à ce qu'on le réveille. Une légère
excitation
extérieure suffit pour le tirer de sa torpeur; sa
es pour produire ces mouvements. Ses expériences prouvent qu'à chaque
excitation
artificielle, les muscles montrent une nouvelle s
puis elle reprend de nouveau soit spontanément, soit par suite d'une
excitation
, par exemple si on ébranle la table surlaquelle r
elle reste complètement inerte et ne réagit pas même aux plus fortes
excitations
. Ainsi on peut exécuter avec les mains toute sort
. — Grenouille endormie depuis quelques minutes ; ne réagit pas aux
excitations
auditives. Les pupilles sont rétrécies et allon
de position apparaissent souvent spontanément ou bien par suite d'une
excitation
extérieure, et ils sont surtout fréquents chez le
ue dans le cas oit les tissus sont turgescents. VI. — Influence des
excitations
thermiques sur l'hypnose. Il m'a paru intéressa
ent sous l'influence d'un accès de grippe, elle a présenté un accès d'
excitation
avec cris et violences. La mère sous l'influe
toujours une grande fragilité et nous ne voudrions pas répondre que l'
excitation
ne se reproduise pas, si des causes diverses inte
enant? 17. Pendant l'ivresse éprouvez-vous de la somnolence ou de l'
excitation
? 18. Combien vous faut-il boire pour tomber ivr
ser les centres nerveux, produisent d'abord leur surexcitation. Celte
excitation
est suffisante pour interrompre le sommeil hypnot
e être dans un état d'assoupissement; il est inactif. Mais dès qu'une
excitation
vient à l'ébranler, il se réveille aussitôt et en
couvre est remplie de l'odeur suffocante d'une de ces substances. Les
excitations
olfactives se montrent donc inefficaces pour opér
e, par la trépidation des trains, les préoccupations des détails et l'
excitation
spéciale dont le voyage est le principe générateu
ctérisée ; l'excita- bilité faradique reste nulle avec le maximum d'
excitation
que l'on peut faire supporter ; l'excitabilité
permettant à la fibre musculaire de répondre encore normalement aux
excitations
électriques. D'ailleurs cette exception que nou
ent remarquablement bien conservées en quantité au point de vue des
excitations
minimales, bien que chez eux la myopathie fût déj
résentent aussi une assez bonne excitabilité électrique, bien que l'
excitation
portée sur eux produise en même temps l'excitat
ique, bien que l'excitation portée sur eux produise en même temps l'
excitation
des membres postérieurs (jumeaux). « En aucun p
bilité est très bien conservée quantitativement au point de vue des
excitations
minimales et même au point de vue de l'amplitude
ts communs, la lésion anatomique est variable et se traduit par une
excitation
anormale des cellules motrices de la moelle. Pour
ression se justifie. Remarquons tout d'abord que dans toute formé d'
excitation
, la variation d'é- quilibre agit beaucoup plus
d'équilibre, le changement que la fixité; ceci se conçoit puisque l'
excitation
est une variation elle-même, la rupture d'un éq
logie senso- rielle en ceci qu'il réagit plus à la variation qu'à l'
excitation
continue. Dans tout phénomène d'irritation de l
tion de la matière vivante, la variation, en plus ou en moins, de l'
excitation
est toujours plus sensible que l'excitation unifo
plus ou en moins, de l'excitation est toujours plus sensible que l'
excitation
uniforme et continue. Cela est très net pour l'
ble que l'excitation uniforme et continue. Cela est très net pour l'
excitation
électrique, et cela s'observe pour l'exercice s
t d'une succes- sion rapide, n'auront plus la force, en dehors de l'
excitation
due à la variation, de faire une image conscien
culté, je n'y suis jamais parvenu. C'est évidemment le même mode d'
excitation
et d'appel que nous pouvons appliquera telle pa
même intensité ; c'est un appareil senso- riel qui fonctionne sans
excitation
, agissant sans variation, invariable et fixe da
imiter les limites et qu'on peut diviser en régions par l'élude des
excitations
électriques, ne peut pas être considérée absolu
erver un paralytique chez lequel les symptômes relevant tantôt de l'
excitation
et tantôt de la paralysie de certains centres s
estations symptomatiques diamétralement opposées : aux phénomènes d'
excitation
(hallucinations de l'ouïe), qui étaient presque
réflexions. Nous n'insisterons pas sur les symptômes relevant de l'
excitation
des centres sensoriels ; qu'il nous suffise de
s sensoriels et des trou- bles de la sphère du langage (symptômes d'
excitation
ou de paralysie) tels que : aphasie motrice, ha
iques, convul- sifs, arrivant par attaques. Puis vient un stade d'
excitation
qui peut cependant manquer ; en géné- ral il es
urée souvent plus longue encore et consistant en des alternatives d'
excitation
ou de stupidité avec leurs symptômes décrits ci-d
es extrémités. Il ne paraît pas anesthésique, mais il ne réagit aux
excitations
cutanées que par un froncement de sourcils. 3
ité cutanée. Cette dernière est conservée, car le malade réagit aux
excitations
cutanées. Mais son mode de réaction et tout à f
'applique à s'opposer à tout signe de réaction : C'est ainsi qu'une
excitation
cutanée légère provoque simplement un fronce- m
ement un fronce- ment de sourcils un peu plus marqué, tandis qu'une
excitation
forte et dou- loureuse détermine un état de rai
qui soit possible.Bien queW.ne réponde pas,il semble percevoir les
excitations
cutanées. Parfois il tourne la tête comme pour ap
rne la tête comme pour aper- cevoir l'endroit où l'on a porté cette
excitation
; ou bien, il grimace, souffle, éclate d'un rir
ria- ques, idées de suicide, mutisme. Puis, survint une période d'
excitation
avec idées polymorphes de persécu- tion, d'empo
de la sensibilité cutanée, sauf un retard énorme de la réaction à l'
excitation
. Réflexes tendineux très exagérés. Pas de signe
Duchenne (2), pour les spasmes fonction- nels. « La répétition de l'
excitation
volontaire produit l'état morbide dans un point
positions : 1° Le tonus est la manifestation extérieure de l'étal d'
excitation
per- manente des cellules motrices de la moelle
le entretenue par les impressions périphériques ; . 2° Cet état d'
excitation
des cellules motrices est soumis à une double i
n thérapeutique s'est vu depuis longtemps reprocher des accidents d'
excitation
: Max Simon ne lui recon- naissait qu'une actio
rtain que quelques individus irritables .éprouvent des phénomènes d'
excitation
sous l'influence des petites doses, tandis que de
nt été ingérés à l'état de sel dans un pain azyme pour éviter toute
excitation
gustative. I. - Brom2se de potassium. Exp. I.
LOGIQUE DE QUELQUES BROMURES 44 446 FÉRÉ Dans cette expérience, l'
excitation
se manifeste encore immédiatement, mais elle ce
mme dans toutes les expériences sauf la cinquième, on a observé une
excitation
initiale, provoquée par les bromures. Dans l'expé
utant les ordres de cette dernière ; et elles dépen- dent aussi des
excitations
réflexes du côté du premier neurone sensitif. Des
lité ; ces cellules, à ce qu'il paraît, non seulement reçoivent des
excitations
, partant de la superficie de la peau et qui leu
e les différencie pas, mais elles transforment et différencient les
excitations
vagues qu'elles reçoivent et les rendent spécifiq
eux, le rendent plus apte à retenir, à conserver et à accumuler les
excitations
qu'il reçoit des autres cellules nerveuses et à l
ins en apparence — chez l'animal ma-lade, soit à la suite de causes d'
excitation
relativement légères chez l'animal sain. Mais ces
u près indéfinie, la propriété de se con-tracter sous l'influence des
excitations
électriques. Vous comprenez sans peine l'intérê
ile des muscles. Presque tous font remarquer que si, quelquefois, les
excitations
électriques deviennent impuis-santes à déterminer
u l'excision des nerfs musculaires ; en second lieu, il a recours à l'
excitation
électrique directe, c'est-à-dire appliquée sur le
action sur la fibre nerveuse ou sur le fais-ceau musculaire, entre l'
excitation
obtenue à l'aide des cou-rants et induction (cour
nsi (J). ne se contractent que très faiblement sous l'influence des
excitations
faradiques. Le 30 avril (39° jour), la faradisati
es muscles de la l'ace, du même côté, ne répondent que faiblement aux
excitations
. La mort sur-vient le 2 mai (40e jour de la malad
ontractions, faibles il est vrai, se manifester sous l'influence de l'
excitation
directe,dans un des muscles les plus profondément
rsqu'on peut agir sur eux par l'intermédiaire des nerfs, quelorsque l'
excitation
, parsuitede ladestruction desfilets ner-veux, ne
même que ces muscles ne se contrac-taient pas le moins du monde par l'
excitation
électrique la plus intense. La sensibilité cutané
st-elle très pronon-cée, on constate une perte presque immédiate de l'
excitation
électrique, que l'on ait recours à la faradisatio
aux ordres delà volonté et se contracter encore sous l'influence des
excitations
électriques, alors que son volume sera déjà très
e que l'or-gane a perdu en partie le pouvoir de résister aux causes d'
excitation
et aussi des modifications que subit l'urine long
l'abdomen du côté correspondant ne réagissent pas sous l'ac-tion des
excitations
faradiques, tandis que sur les parties homologues
être autrement de cette même paralysie produite sous l'influence de l'
excitation
des dilatateurs. Mais, ainsi que vous allez le re
sous-maxillaire, dans le temps où le nerf glandulaire est soumis aux
excitations
, présentent, comme font montré MM. Ludwig et Spie
avait donc lieu de rechercher quel peut-être le lien qui rattache à l'
excitation
des éléments sécréteurs déterminée par l'excitati
qui rattache à l'excitation des éléments sécréteurs déterminée par l'
excitation
du nerf l'hypérémie qui suit cette excitation. Pl
éteurs déterminée par l'excitation du nerf l'hypérémie qui suit cette
excitation
. Plu-sieurs physiologistes ont pensé qu'il s'agit
erfs d'un membre sur une grenouille, et si l'on détermine ensuite une
excitation
en plaçant une gout-telette d'acide azotique sur
nterdigitales, il se produit en ce point, au bout d'un vague, que l'
excitation
de la corde du tympan ne déterminerait plus la mo
illaire, il suffit de reconnaître que le nerf glandulaire, soumis aux
excitations
, amène dans les cellules sécrétantes une modifica
priété de déterminer la dilatation des vaisseaux sous l'influence des
excitations
. Ces nerfs agiraient primitive-ment sur les éléme
emple que l'hypoglosse et le lingual (2), ontmis horsde doute que les
excitations
, produites sur un point quelconque d'une fibre ne
a voie des filets nerveux qui transmettent à l'état physiologique les
excitations
volontaires. Un certain nom-bre au moins des trou
se reproduire, soit spontanément, soif sous l'influence de certaines
excitations
, des espèces d'ac-cès pendant lesquels les membre
période parétique, sous l'influence d'un ou de plusieurs des modes d'
excitation
qui viennent d'être passés en revue. Messieurs,
est irritée dans sa partie inférieure, il sera impossible, tant que l'
excitation
sub-sistera, de mettre en jeu l'excitabilité des
ment serré les membres supérieurs, tant que la ligature persistera, l'
excitation
des membres inférieurs ne sera pas suivie de mouv
lus, des contractions fibrillaires très accusées et répondent mal aux
excitations
électriques. Je crois, par conséquent, qu'il y a
issements. Elle devient taciturne, mélancolique, ou est en proie aune
excitation
qui rend la sur-veillance parfois très difficile.
, etc..La zone hysté-rogène est plus sensible; il suffit d'une légère
excitation
des téguments sur cette zone pour faire éclater l
ement que l'état catatonique peut se présenter sous deux aspects, l'
excitation
ou la stupeur catatoniques. La symptoma- tologi
rd symptômes caractérisés SÉGLAS. DES SYMPTÔMES CATATONIQUES 19 d'
excitation
avec délire mégalomaniaque. Courte rémission et r
plus tard, à la suite d'une série d'ictus, est survenue une phase d'
excitation
avec idées de satisfaction et de richesses. Voi
siste un peu plus d'un mois jusqu'au 25 juillet et fait place à une
excitation
modérée avec optimisme, bavardage incohérent ; af
ellectuel, des idées ambitieuses incohérentes, achats inconsidérés,
excitation
par intervalles ; signes pupillaires, embarras
ment de décem- bre 1902. A cette époque il fut repris d'une phase d'
excitation
très violente, avec délire très actif où s'entr
e plusieurs mois. Le malade fut pris ensuite d'une courte période d'
excitation
pendant quelques jours, au bout desquels il fut
ères syllabes des mots qu'il entend prononcer (écholalie). 18 juin.
Excitation
; grande confusion des idées : hallucinations ; c
parole. Même état des pupilles. 29 novembre, - Même idées ; mais
excitation
, violences. 24 SÉGLAS 2 février 990ô. - Rémis
actes de violence, fugues ? syphilis antérieure. A l'entrée, état d'
excitation
avec délire mégalomaniaque incohérent ; affai-
; réflexes tendineux normaux. La démence s'accentue rapidement : l'
excitation
tombe ainsi que le délire. En avril 1904, le ma
on obtient un certain degré de rapprochement des mâchoires avec des
excitations
énergiques. Depuis une douzaine de jours, la ma
s les mailles du tissu conjonctif, soit qu'il s'agisse d'une simple
excitation
de la pression sanguine intra-vasculaire locale
s oedèmes d'origine ner- veuse, le plus grand rôle est joué par une
excitation
des vaso-dilatateurs, car elles démontrent que
-dilatateurs, car elles démontrent que l'hyperhémie provoquée par l'
excitation
de ces derniers nerfs amène une formation lymph
, et en tout cas, c'est une réaction défectueuse du sympathique aux
excitations
du protoneurone centripète lésé-qui aboutit à l
lle a parfois desimpies vertiges précédés et suivis d'une période d'
excitation
pendant laquelle elle tourne sur elle-même, déchi
droit, le réflexe pupillaire à la lumière pouvait être obtenu par l'
excitation
lumineuse des deux moitiés de la rétine in- dif
la maladie, coma, fièvre 39° 2 le matin,et 39° 5 à minuit avec de l'
excitation
et délire ; l'excitation consistait en mouvemen
39° 2 le matin,et 39° 5 à minuit avec de l'excitation et délire ; l'
excitation
consistait en mouvements continuels à droite et
ndiquaient une amélioration ; ils se contractaient faible- ment à l'
excitation
faradique. En cet état, au mois d'août, elle fu
acquièrent une grande intensité. La douleur intense provoquée par l'
excitation
faradique des troncs ner- veux, spécialement du
et 4), les muscles paralysés se contractent aussi par l'action des
excitations
faradiques, excepté quand il existe une localisa-
ues et ne serait donc pas para- lytique. b) Mydriase spasmodique (
excitation
du grand sympathique cervical). La dilatation p
EL, Revue de Méd., 1896. MYDRIASE HYSTÉRIQUE 247 7 teurs et d'une
excitation
des filets sympathiques de l'iris » pour explique
même les signes de la mydriase spasmodique sont ceux que provoque l'
excitation
du centre irido-dilatateur de la moelle cervica
les muscles de l'iris que grâce au ganglion ciliaire, qui reçoit l'
excitation
de ce nerf et la transmet, au moyen d'une artic
réflexes ; cette dilatation est iden- dique à celle que provoque l'
excitation
du sympathique. Plusieurs heures plus lard,' la
incter lui- même n'est pas atteint. L'iris, n'étant plus soumis aux
excitations
exté- rieures, se place dans sa position d'équi
puisse se contracter d'une façon aussi in- tense sous l'influence d'
excitations
, qui sont normalement sans action sur lui. c)
t pro- duire seule cette dilatation maximale, ils ont dû invoquer l'
excitation
du sympathique. Beaucoup d'observations de my
e modifie volontairement son équi- libre nerveux pour se donner une
excitation
ou une anesthésie variables selon les doses emp
le délire onirique persistant et inhibant le courant centripète des
excitations
réelles. Les synesthésies les plus complexes s'
rique euphorique et exalté (Fig. I et II). A un degré plus avant, l'
excitation
se manifeste par de l'excitation in- cohérente
I et II). A un degré plus avant, l'excitation se manifeste par de l'
excitation
in- cohérente avec insomnie et verbigération sa
es fâcheuses autres ne sont pas rares. Le caractère érotique de l'
excitation
spinale dû au haschich se mani- feste dans l'iv
se mani- feste dans l'ivresse comme dans le délire ultérieur ; à l'
excitation
sexuelle se lient les attentats divers aux moeu
e ont perdu toute leur activité. Il doit y avoir eu dans ce cas une
excitation
anormale à l'ostéogénèse, au détriment du pério
patiemment les retours offensifs et ne les considérer que comme une
excitation
à la lutte contre l'hôte désagréable que nous d
nt quelques courts' ins- tants, et seulement aux moments de moindre
excitation
. La lecture ordinaire est plus facile, mais néc
i a terminé la vie, ou bien au contraire est-elle la cause de cette
excitation
, les poisons orga- niques retenus ayant porté l
ifs ? des' mouvements automatiques'avec alternatives irrégulières d'
excitation
et de dépres- sion. " . rarc ? x .Le ton émot
ve de l'objet aimé, en, recherchent le partage pour se procurer une
excitation
sexuelle d'un nouveau genre ; c'est la mixoscop
llait se réfléchir sur une partie du système musculaire; mais cette
excitation
peut aussi ? ? r,'f ? p-t ? o ? n ? t'j ? ? se
rses catégories.)., La^'réaction ( synergique a d'une 'pupille' par
excitation
de l'autre,' peut exister quand il y,a perte' de,
t;anormal des artères, et grâce peut-être aussi à' des phénomènes d'
excitation
, réflexe peu connus. · us,9q-) M'rijtif(fL-M Mt
cularité, qu'une forte prédominance des manifestations maniaques, l'
excitation
cérébrale atteignant chez eux un degré extrême.
but thérapeutique, ont bien pu cons- tater les effets de certaines
excitations
des circonvolutions céré- brales de l'homme. Ba
phénomène purement subjectif, prove- nant en dernière analyse d'une
excitation
interne du centre cérébral..Cette excitation, s
dernière analyse d'une excitation interne du centre cérébral..Cette
excitation
, suivant, les uns, naît sur- place ; suivant d'
vant,^ l'enfant est en proieppendant la1 nuit prhicipaléméht^à de l'
excitation
cérébrale, chantant a-tue-tête des refrains pop
ent, ils consistent soit en une activité inquiète et fébrile,,uiie4
excitation
-babillarde, soit·1 éit un sentiment indéfinis-
us.fréquents. La , lobe puerpérale, lorsqu'elle,, prend la forme, d
excitation
maniaque, est d'un pronostic défavorable, sauf
condition '' d'augmentationt'def'cette rmême, faculté, un« "légère,
excitation
. I' iiientale,-e le, délire igai-jet exubérant,
lucinations seusorielles.Les sensatious,sôilores occasionnées par l'
excitation
, la ,vibration, du nerf,auditif, provôquentll'i
ttaque n'était pas suivie de troubles moteurs, mais de phénomènes d'
excitation
psy- chique : P...'s'habille et court; à 8 heur
e de mourir, de se jeter à la Seine.' En mai survient une'période d'
excitation
.' La malade court de tous côtés, montrant une a
est fini^dit-elle^je n'ai plus'mes voix . 'dans la-boucher1» Légère
excitation
avec idées ambitieuses : ' '' ` ? i4 ? ëM ? L'exc
her1» Légère excitation avec idées ambitieuses : ' '' ` ? i4 ? ëM ? L'
excitation
a augmenté et nécessite'le transfert du quartie
, f' nu c ow r -. , ,1 il c . v ? `, a 15 mars ? Même état de,vive,
excitation
, avec, hallucinations multiples, confusion, dés
roubles hallucinatoires, de leur association étroite avec un état d'
excitation
des,,centres"des muscles'masticateurs de .leur
oncée en réalité..Toutefois,, avec la durée et l'intensité de . l'
excitation
du centre cortical, ,une émission de mots pourra
ecorce dont les svmptomes observes pendant la vie avaient traduit 1
excitation
,, a savoir : le centre sensitivo-moteur verbal
xzetiie acces qui pro- voque l'internement : c'est alors un état d'
excitation
maniaque avec idées de grandeur,et derpersécuti
manifestaient. Puis les hallucinations. diminuèrent, disparurent; l'
excitation
tomba, les idées délirantes s'effacèrent : la m
s les territoires sensoriels et sensitivo-moteurs participent a à l'
excitation
: ce sont, se renouvelant sans cesse, des halluci
s muscles;, lorsque" ceux-ci' sont épuisés'1 par' l'inténsilé' de l'
excitation
, l'équilibre se.' rétablit ? En'd'autres termes,
nerait,lieu à (des, mou ve- menlSjConvulsifs et-spasmodiques, avec,
excitation
intense. ahane * jusqu'aux phénomènes tétanique
nécessairement d'une façon rapide et passagère une expansion et une
excitation
dues àsa^combùs- "`tion'süé place et suivies1 d
elle part de grands' éclats de rire, qui semblent motivés- par*' l'
excitation
' 'corticale-, du'sens génital^, car E elle'les
e 'et dans la contraction artificielle provoquée par lés méthodes d'
excitation
employées en électrothérapie. De même que l'exe
les au point de vue thérapeutique; 3° l'exercice provo- qué par les
excitations
galvaniques rythmées produit ! avec ses - secou
peu de temps une, grande quantité d'électricité et que les effets d'
excitation
seront d'autant plus grands que la charge aura
as de rapport fixe entre la force de l'excitant et l'intensité de l'
excitation
nervo-musculaire. Il estproblable ajoute- t-il
exercice et non suivant un étalon inné. IV. De l'interférence des
excitations
dans le nerf; ', 'f 11 - , ' par VEDENSAY ? 1 '
du galvanomètre et du muscle, M. Wedensky'démontre queles ondes d'
excitation
dans* le nerf agissent'les unes sur les autres et
ation dans* le nerf agissent'les unes sur les autres et amènent des
excitations
secondaires ayant une intensité et des rythmes
t il y a lieu de leur( tenir compte : phase réfractaire des ondes d'
excitation
les unes sur les autres et action électrotonique.
te du passage de celui-ci à travers le nerf, mais le résultat d'une
excitation
méca- nique s'exerçant sur les organes terminau
la collaboration de Dauriac, Fer- rier et Voir, 67.-t ? '»-- lit4
Excitations
, de l'influence, des -, ? dans le nerf périphériq
nducteurs d'impressions centripètes, de stimulations centrifuges et d'
excitations
organiques. Ces nerfs sont des cordons composés d
parle à peu près de la même manière. 11 assure, en effet, que « toute
excitation
vive du pouvoir moteur de la « moelle épinière ne
n centre particulier d'action, tout en admettant qu'à l'occasion de l'
excitation
d'un seul segment, la modification se prolonge da
ou de la tige nerveuse, en avant et en arrière du point qui a reçu l'
excitation
. Il y a donc à la fois, dans l'axe nerveux, multi
l'âme sont anéantis et l'animal n'est plus qu'un automate, capable d'
excitation
, capable de mouvement, capable d'équilibre et de
n'a point été conservé. Cette faculté que la moelle a de recevoir des
excitations
et de réagir sur elles, est aujourd'hui désignée
i divise-t-on la moelle dans un plan médian sur un animal décapité, l'
excitation
des parties cutanées du côté droit fera contracte
parties cutanées du côté droit fera contracter les muscles droits, l'
excitation
des parties gauches fera contracter les muscles g
i on laissait reposer l'animal, après quelques heures, ta plus légère
excitation
des parties postérieures suffisait pour faire don
se font dans le cerveau. u. s:i transmet aux organes du corps les
excitations
dont l'encéphale est le principe. Il est, en outr
urs de l'esprit d'en avoir une idée présente, indépendamment de toute
excitation
ac luelle, et de les créer de toutes pièces, si
t cette propriété est d'autant plus marquée qu'ils sont plus aigus. L'
excitation
dure en général autant que le son qui l'a produit
mouvoir ou simultanément ou alternativement. Non-seulement, après une
excitation
qui détruit l'équilibre, on y revient par des osc
ie d'expériences analogues « que, « lorsqu'un organe est soumis à une
excitation
prolongée, a il oppose une résistance qui croît a
odéré, il en résulte un sentiment d'activité vitale et de plaisir ; l'
excitation
dépasse-t-elle certaines limites, la texture des
elle peut s'accroître jusqu'au prodige. Alors, sous l'influence d'une
excitation
cachée, des souvenirs ensevelis depuis longtemps,
le presque impossible de décider comment s'accomplira ce passage de l'
excitation
au repos ; à priori, cependant, il doit y avoir u
sés. Ainsi, toute modification de l'être sensible, c'est-à-dire toute
excitation
sollicitant une réaction corrélative, il en résul
ons imaginaires. Il y a un troisième état qui paraît résulter d'une
excitation
excessive des organes extérieurs de l'imagination
st s'éveiller une première fois ; l'état de veille est donc un état d'
excitation
et d'activité exceptionnelle. L'influence des age
st « évidemment la condition essentielle de leur existence. C'est « l'
excitation
maniaque (1). » Cet habile auteur a donné, par
e. Cette turgescence était évidemment, dans ce cas, le résultat d'une
excitation
vasculaire; or il est certain que la plupart des
général se produisant plus aisément dans les natures affaiblies, ces
excitations
cérébrales sont surtout fréquentes chez des homme
des hallucinations, des rêves et des idées fixes, en entretenant une
excitation
sympathique du système nerveux central. Le prin
un accident pareil arrive à un homme auquel la folie, le sommeil, une
excitation
quelconque ôtent la liberté du raisonnement, l'im
aisait défaut. Les troubles dont je viens de parler dépendent d'une
excitation
idiopathique et directe du cerveau. Mais cette ex
ndent d'une excitation idiopathique et directe du cerveau. Mais cette
excitation
peut se développer sympathiquement à l'occasion d
élas ! si fréquents, même dans l'état de veille. Attention exclusive,
excitations
, sentiments indéfinis, congestions stupéfiantes,
it. M. Moreau a étudié avec beaucoup de sagacité le rôle que joue l'
excitation
dans la production des maladies de la pensée. D'a
s maladies de la pensée. D'ailleurs, il faut distinguer avec soin les
excitations
par influence, d'avec les excitations idiopathiqu
l faut distinguer avec soin les excitations par influence, d'avec les
excitations
idiopathiques. Celles-ci impliquent un état morbi
ue le phénomène essentiel. On peut d'ailleurs remarquer ici que les
excitations
par influence produisent plus particulièrement de
isent plus particulièrement des impulsions délirantes, tandis que les
excitations
idiopathiques engendrent surtout des hallucinatio
conçu. Imagine-t-on des sons? l'oreille écoute, tout en fuyant les
excitations
extérieures. Cette attention symbolique est-elle
ence s'éveille-t-elle à la lumière d'une idée? Il surgit des signes d'
excitation
expansive dans tout le corps et les phénomènes de
moyen d'ouvrir une certaine porte, et le retint par suite de l'état d'
excitation
où l'avait mise le désir de retrouver ses petits.
elque nourriture. Environ une demi-heure après, je fus averti que l'
excitation
morbide paraissait revenir et qu'il semblait voir
stimulant d'ordre différent; ce résultat est obtenu par l'emploi des
excitations
physiques et mécaniques, telles que le massage, l
xtrême hyperexcitabilité neuro-musculaire du sujet, M. Mabille. par l'
excitation
directe des muscles et des tendons, provoque tell
souvent et toujours de la même manière, gardent, à la suite de cette
excitation
très forte et unique, ou faible mais répétée, un
ulier, quelque chose comme une mémoire matérielle, qui fait que toute
excitation
nouvelle les remet dans l'état même où elles se s
es remet dans l'état même où elles se sont trouvées lors de la grande
excitation
ou lors de ces excitations toujours (i) La Vie
où elles se sont trouvées lors de la grande excitation ou lors de ces
excitations
toujours (i) La Vie des Sociétés, par le Dr A.
t, qu'à une seule idée, l'ébranlement et l'idée qui correspondent aux
excitations
précédentes. Tel est le point de départ physiol
se en quelque sorte son sillon dans son émo-tivite. S'il s'agit d'une
excitation
gaie, c'est le rire qui se dessine avec un éc
ui nécessitent une certaine connaissance consciente de la nature de l'
excitation
. Ce sont ces réflexes qu'il propose d'appeler psy
d'aliénés, mais sont traites en ville comme neurasthéniques; 3° Les
excitations
sexuelles déterminées par les congestions dues à
ou 10 minutes, avec tout son cortège d'attitudes spéciales, depuis l'
excitation
légère jusqu'à la physionomie ébrieuse avec relâc
ontinent le sujet reprendre peu à peu l'usage de ses sens, expurger l'
excitation
alcoolique, et sortir de lui-même de cet état qua
n, quand il s'agit de substances simulatrices employées comme agent d'
excitation
, de laisser les processus de retour s'opérer d'eu
devait être dirigé d'après deux indications principales : amoindrir l'
excitation
réflexe et renforcer la volonté L'hypnotisme m'a
par persuasion qui a produit ce changement. Toutefois, pour calmer l'
excitation
nerveuse et rendre cette persuasion plus facile e
le docteur Rokwell de New-York, les courants induits qui. par la vive
excitation
de la sensibilité qu'ils déterminent, augmentent
riosités malsaines ? Qu'importe? dira l'auteur, si je réponds à ces
excitations
par une étude vraie. Autre question : l'étude e
e visant d'ailleurs qu'à exciter la curiosité, qu'à se faire de cette
excitation
un élément de succès,— ne peuvent avoir d'autre e
e. Contracture intense des extenseurs de ce côté; rien à gauche. Même
excitation
de la face dorsale de l'avant-bras gauche anesthé
dans la perception d'une sensation dans le coté opposé au point où l'
excitation
a lieu. La sensation est localisée dans le point
ur le côte gauche du myélaxe, jusqu'à l'hémisphère gauche. Ainsi, l'
excitation
est gauche et la sensation est droite et symétriq
détermine, au début, une accélération du pouls et un certain degré d'
excitation
; mais cette excitation ne tarde pas à tomber pou
e accélération du pouls et un certain degré d'excitation ; mais cette
excitation
ne tarde pas à tomber pour faire place à la torpe
ce du froid polaire agit en revêtant son caractère le plus tranché.
Excitation
et dépression : simultanément ou alternativement,
n doit la cessation de la douleur. De même dans l'hypnotisme on a une
excitation
réflexe sur le système spinal, et un acte d'inhib
ts, il était, à la suite de cette exagération d'activité mentale et d'
excitation
émotive exceptionnelle, tombé dans un état de pro
rêt et nos confrères ont pu difficilement se rendre compte du degré d'
excitation
nerveuse que peuvent déterminer chez ces individu
tance grise à fonctionner de la même façon lorsqu'elles reçoivent une
excitation
quelconque. Il se crée des associations cellulair
tout instant, aux pires éléments de débilitation de l'organisme et d'
excitation
du système nerveux ? Pour les classes riches, l
la folie erotique : 1° Erotomanie ou folie de l'amour chaste; 2°
Excitation
sexuelle comprenant la forme hallucinatoire, aphr
les foules, produisant, comme l'hypnotisme, de la somnolence ou de l'
excitation
, des paralysies ou des contractures, des hallucin
elque nourriture. Environ une demi-heure après, je fus averti que l'
excitation
morbide paraissait revenir et qu'il semblait voir
stimulant d'ordre différent; ce résultat est obtenu par l'emploi des
excitations
physiques et mécaniques, telles que le massage, l
xtrême hyperexcitabilité neuro-musculaire du sujet, M. Mabille. par l'
excitation
directe des muscles et des tendons, provoque tell
souvent et toujours de la même manière, gardent, à la suite de cette
excitation
très forte et unique, ou faible mais répétée, un
ulier, quelque chose comme une mémoire matérielle, qui fait que toute
excitation
nouvelle les remet dans l'état même où elles se s
es remet dans l'état même où elles se sont trouvées lors de la grande
excitation
ou lors de ces excitations toujours (i) La Vie
où elles se sont trouvées lors de la grande excitation ou lors de ces
excitations
toujours (i) La Vie des Sociétés, par le Dr A.
t, qu'à une seule idée, l'ébranlement et l'idée qui correspondent aux
excitations
précédentes. Tel est le point de départ physiol
se en quelque sorte son sillon dans son émo-tivite. S'il s'agit d'une
excitation
gaie, c'est le rire qui se dessine avec un éc
ui nécessitent une certaine connaissance consciente de la nature de l'
excitation
. Ce sont ces réflexes qu'il propose d'appeler psy
d'aliénés, mais sont traites en ville comme neurasthéniques; 3° Les
excitations
sexuelles déterminées par les congestions dues à
ou 10 minutes, avec tout son cortège d'attitudes spéciales, depuis l'
excitation
légère jusqu'à la physionomie ébrieuse avec relâc
ontinent le sujet reprendre peu à peu l'usage de ses sens, expurger l'
excitation
alcoolique, et sortir de lui-même de cet état qua
n, quand il s'agit de substances simulatrices employées comme agent d'
excitation
, de laisser les processus de retour s'opérer d'eu
devait être dirigé d'après deux indications principales : amoindrir l'
excitation
réflexe et renforcer la volonté L'hypnotisme m'a
par persuasion qui a produit ce changement. Toutefois, pour calmer l'
excitation
nerveuse et rendre cette persuasion plus facile e
le docteur Rokwell de New-York, les courants induits qui. par la vive
excitation
de la sensibilité qu'ils déterminent, augmentent
riosités malsaines ? Qu'importe? dira l'auteur, si je réponds à ces
excitations
par une étude vraie. Autre question : l'étude e
e visant d'ailleurs qu'à exciter la curiosité, qu'à se faire de cette
excitation
un élément de succès,— ne peuvent avoir d'autre e
e. Contracture intense des extenseurs de ce côté; rien à gauche. Même
excitation
de la face dorsale de l'avant-bras gauche anesthé
dans la perception d'une sensation dans le coté opposé au point où l'
excitation
a lieu. La sensation est localisée dans le point
ur le côte gauche du myélaxe, jusqu'à l'hémisphère gauche. Ainsi, l'
excitation
est gauche et la sensation est droite et symétriq
détermine, au début, une accélération du pouls et un certain degré d'
excitation
; mais cette excitation ne tarde pas à tomber pou
e accélération du pouls et un certain degré d'excitation ; mais cette
excitation
ne tarde pas à tomber pour faire place à la torpe
ce du froid polaire agit en revêtant son caractère le plus tranché.
Excitation
et dépression : simultanément ou alternativement,
n doit la cessation de la douleur. De même dans l'hypnotisme on a une
excitation
réflexe sur le système spinal, et un acte d'inhib
ts, il était, à la suite de cette exagération d'activité mentale et d'
excitation
émotive exceptionnelle, tombé dans un état de pro
rêt et nos confrères ont pu difficilement se rendre compte du degré d'
excitation
nerveuse que peuvent déterminer chez ces individu
tance grise à fonctionner de la même façon lorsqu'elles reçoivent une
excitation
quelconque. Il se crée des associations cellulair
tout instant, aux pires éléments de débilitation de l'organisme et d'
excitation
du système nerveux ? Pour les classes riches, l
la folie erotique : 1° Erotomanie ou folie de l'amour chaste; 2°
Excitation
sexuelle comprenant la forme hallucinatoire, aphr
les foules, produisant, comme l'hypnotisme, de la somnolence ou de l'
excitation
, des paralysies ou des contractures, des hallucin
jouet inconscient de toutes nos impulsions internes ou de toutes les
excitations
extérieures? Dans presque toutes les observatio
on : elle/ ceux-là. il est indiqué de recourir à l'intervention d'une
excitation
extérieure. Pour cela, il esl nécessaire de plong
en sens contraire : 2°Eveiller la conscience et transformer, par des
excitations
extérieures, une perception inconsciente en perce
et ce- idérs délirantes se sont manifestées au milieu d'une période d'
excitation
nerveuse pendant laquelle la malade pleurait et r
en bien comme en mal. soit qu'on leur suggère de la sédalion ou de l'
excitation
des sens et de l'intelligence, soît qu'on leur su
é d'autant plus pénible à remplir que le malade était assujetti à des
excitations
maniaques alternant avec tles accès de mélancolie
rappé par quelque faits dans lesquels la caféine a paru provoquer une
excitation
cérébrale intense, de l'insomnie et même du délir
engourdis d'esprit et de corps, sortent enfin du sommeil à la moindre
excitation
, dès que son rôle fonctionnel est à peu près remp
ement et ses actes. agit de lui-même, sous l'impulsion de ses propres
excitations
, avec un semblant d'indépendance qu'il n'a pas.
s femmes arabes et l'étourdissante mélopée des derviches tourneurs. L'
excitation
ne devient la surexcitation nécessaire que si les
aires, sauf obstacle à celle phase ultime île l'acte volontaire. De l'
excitation
d'une série d'images à l'acte linai, il existe un
nscience apparaît comme attribut sans y rien ajouter mécaniquement. L'
excitation
initiale île cette chaîne volitive a pu être cons
ompliqué de la loi des réflexes, dans lequel, entre la période dite d'
excitation
et la période motrice apparaît un fait psychique
'école d'Anthropologic de Paris. (Suite.) III A la suite d'une]
excitation
quelconque propagée suivant les processus associa
ibrillaires, etc., indiquant la vivacité de la délibération. La forte
excitation
de motifs opposés peut même donner lieu ù des mou
est altsolumeul juste. Iire que la volonté choisit les motifs dont l'
excitation
doit constituer une délibération et qu'elle fait
eu cependant le cerveau s'éveille: des images motifs déjà excitées, l'
excitation
se propage aux images associées, de là à d'autres
ent excités; les délibérations sont largement conscientes parce que l'
excitation
se propage jusqu'aux groupes les plus nouvellemen
essivement. Les premières éveillées sont déjà éteintes au moment où l'
excitation
parvient aux groupes voisins, de sorte «pie les c
nsion extrême et n'arriva à exécuter cet exercice qu'après beaucoup d'
excitations
, et en se mettant à cheval sur la poutre. Depuis
ression de M. Hibot. C'est parce que la valeur relative et le degré d'
excitation
des images motifs varient continuellement. Cette
ions où les états affectifs ne sont pas entrés en jeu avec ce degré d'
excitation
«gui caractérise la passion. Enfin, dans des ca
au point que l'acte représenté ne puisse plus être révoqué par L'
excitation
ou la surexcitation tardives de motifs ayant été
lusif de la forme joint au mépris du sens, une recherche maladive des
excitations
voluptueuses, la déprava-lion des sens. etc. Pa
pelle les belles expériences sur l'hémisection de la moelle ; sur les
excitations
périphériques du système nerveux dans l'étiologic
révues, les autres précédées d'autres phénomènes. Rien ne précède les
excitations
des sens, tandis qu'un acte de volonté précède le
ures, les centres de perception du cerveau doivent être sensibles aux
excitations
des nerfs sensoriels, les centres les plus élevés
cette catégorie de malades à qui la vue du linge de femme procure une
excitation
particulière et qui montrent une prédominance mal
l'espèce, c'est la pensée qui crée le sentiment, puisque ce sont les
excitations
extérieures lentement enregistrées dans l'organis
ous exprimons une réaction spéciale des êtres vivants en présence des
excitations
. Elle n'est que l'expression d'un rapport d'influ
s les organes que la guérison est réalisée. La douleur, l'insomnie, l'
excitation
nerveuse ou l'atonie, les troubles circulatoires
odifications neuro-vasculaires qui s'accomplissent, à la faveur d'une
excitation
élective, dans les profondeurs viscérales de notr
tif aux manœuvres hypnotiques, soit par perversion instinctive et
excitation
sensible en condition seconde, soit par insensibi
e l'exagération de la fonction dans une direction1 déterminée. 7) L'
excitation
du système nerveux parla suggestion ne peut être
défense, ont la plus grande importance. Il ne faut pas oublier que l'
excitation
apparente de la fonction, faisant disparaître les
thérapeutique donne les meilleurs résultats au traitement des états d'
excitation
générale du système nerveux, quelle que soit la c
tation générale du système nerveux, quelle que soit la cause de cette
excitation
. 10) Comme règle générale, on peut observer que
e est indiquée dans les douleurs de toutes espèces et dans toutes les
excitations
du système nerveux chez les neurasthéniques, dans
) Ce n'est que dans les maladies mentales, qui se caractérisent par l'
excitation
générale du système nerveux et du cerveau en part
des idées impulsives est toujours accompagnée par la disparition de l'
excitation
générale, de l'insomnie, de l'état affectif, inap
bserver que rarement des cas où l'hypnotisation provoque uuo espèce d'
excitation
générale du système nerveux qui est toujours pass
t maniaque et que je dois noter qu'elle est maniaque. Dans cet état d'
excitation
, elle dérobe à ses camarades différents objets qu
ion a été faite trop tard, les règles ayant déjà commencé et un peu d'
excitation
existant déjà. L'accès maniaque a eu lieu et il a
et la culture du pouvoir d'inhibition volontaire ; 2° L'exercice et l'
excitation
automatique de l'énergie psychique et de la fonct
progressivement la conscience par la suggestion associée aux diverses
excitations
périphériques, et de réaliser les mêmes phénomène
ale s'observe encore chez les paralytiques généraux expansifs, dans l'
excitation
maniaque ; on peut admettre alors que le sentimen
Tokarsky (de Moscou) que dans les maladies qui se caractérisent par l'
excitation
générale du système nerveux et du cerveau en part
e du troisième degré, état dans lequel il est insensible à toutes les
excitations
venues du dehors, mais il est en communication di
nce, disparition par le choc et parla chaleur; en outre, une première
excitation
par une pile d'une grande force électromotrice dé
ctromotrice détermine également, après le retour, la susceptibilité d'
excitation
par une pile d'une force électromotrice notableme
; idées de persécution, de mort, de suicide ; len-tauves de suicide ;
excitation
générale du système nerveux, insomnies, gâtisme,
u Congrès de Moscou, Rev. de VHypnot., XII. 216. (3) Même pendant l'
excitation
maniaque et pendant le cours de la folie lypéma-n
la vivacité des représentations purement imaginatives du rêve. Or, l'
excitation
sensorielle extérieure produite par Je d«r—mes.
une complexité morbide dont s'inquiétait à boi endroit son entou âge:
excitation
manUque, perversion de l'amour maternel, délire m
re par un traitement psychologique. Recherches expérimentales sur l'
excitation
et la dépression, par le D' G. Dumas, Revue philo
ats suivants : Chez les malades circulaires, le début d'une période d'
excitation
se manifeste par de Vhypoglobulie, — le début d'u
vant le malade que la période de dépression va remplacer la période d'
excitation
ou inversement. Par exemple {p. 630), « Marie cro
Marie croit en avoir encore pour longicmps de sa dépression ou de son
excitation
, lorsque le microscope nous annonce déjà un chang
veut provoquer l'hypnose, on s'applique le plus souvent à produire l'
excitation
persistante de l'un des organes des sens ; les pr
ation que l'on constate, par exemple, dans un muscle lorsque, par des
excitations
répétées, on est arrivé à réaliser en lui le fusi
s et un peu mystiques puis, plus tard.au moment de l'adolescence, des
excitations
trop violentes avec abus génésiques donnaient à l
ou déformant les images qui leur parviennent, le contre-coup de cette
excitation
anormale pourra être la mise enjeu de cette idée
euvent être produits méthodiquement et au moment désiré: 1. Par des
excitations
périphériques (méthode expérimentale objective ou
rme rappelant l’acte réflexe : 1° Une sensation centripète ; 2° L’
excitation
d’un groupe de neurones éveillant l’idée correspo
Dans l’acte voulu, au contraire, la sensation centripète provoque l’
excitation
de plusieurs groupes de neurones; le courant nerv
le transfert, puis le rôle des agents æsthésio-gènes et des diverses
excitations
périphériques sur les modifications de la sensibi
de neurasthénie, et j‘ai trouvé l'hypnotisme très utile pour calmer l’
excitation
nerveuse et redonner la santé à des esprits très
vent être produits méthodiquement et expérimentalement : 1° Par des
excitations
périphériques (il s'agit alors de la méthode expé
s pas assez d’attention, asse;: d’énergie psychique pour produire les
excitations
et les inhibitions nécessaires, et pourquoi ? C’e
par exemple, que nous voulions analyser l’effet produit en nous par l’
excitation
d’un diapason. Déjà, sous l’influence de cette si
ar l’excitation d’un diapason. Déjà, sous l’influence de cette simple
excitation
, nous constatons en nous un phénomène bien comple
exes ne sont pas dans un rapport si étroit de cause à effet, avec les
excitations
périphériques, pour qu'on puisse les produire mat
er des sensations et des idées qui restent unies sous l’influence des
excitation
:: périphériques et de la volonté du sujet. Ains
tristesse, afin d'étudier les changements que subissent les effets d'
excitations
périphériques déterminées, sous l’influence de ce
e l’on endort à l’aide du chloroforme aient au moment de la période d'
excitation
, des rêves érotiques dont elles gardent le souven
urone moteur; F, courant nerveux centrifuge. 3° Ccllc-ci transmet l’
excitation
à un (réflexes simples) (Fig. 1) ou à un grand no
cte réflexe. La caractéristique de l’acte volontaire, consiste en l’
excitation
de plusieurs neurones psychiques : d’ou la format
ésentant les neurones psychiques excités, mais un seul f transmet son
excitation
aux neurones moteurs. L’acte causé par le réfle
me précédemment, l’acte est déterminé par le neurone psychique dont l'
excitation
est la plus forte. Il n’en est pas moins vrai q
ique pas comment s’opère le contact entre neurones, ni la nature de l’
excitation
nerveuse. Tout cela en effet n’a rien à faire ave
stion est permanente; c’est-à-dire que le neurone moteur continue son
excitation
et amène la permanence de la contraction musculai
ller sur les autres ; on leur en confie uno ou deux ; et cc système d’
excitation
de leur responsabilité, qu’elles arrivent presque
n bien énorme. Ce n’est pas tout: pour compléter les effets dus à l’
excitation
de la responsabilité, à l’hydrothérapie qui produ
ion hypnogénique que produit la répétition isochrone d'un même mode d’
excitation
. Ainsi que vous le pouvez constater, il est com
tes, peintres, sculpteurs ou comédiens. D'aulres sujets répondent aux
excitations
musicales par des réactions motrices appropriées
ette situation n’est interrompue que par de rares et courtes crises d’
excitation
pendant lesquelles le malade devient dangereux.
ion de l'écorce cérébrale et de ses enveloppes et par conséquent de l’
excitation
, mais trop légère pour provoquer, par ictus et pa
e. S’agit-il d'une hyperhidrose?Ce trouble est en rapport soit avec l’
excitation
du centre vaso-dilatateur, soit avec la parésie d
porte toujours sur elle ou bien elle s’explique avec les doigts. L’
excitation
du larynx par une sonde suffit pour provoquer un
s normaux avec son mari, j'avais naturellement interdit toute cause d'
excitation
pendant toute la durée du traitement, et ces rapp
re du premier étage constitue, au dire de Ferrier, un centre G dont l'
excitation
fait mouvoir la tête. — 2° Selon le même auteur,
se de sem-blable, aurait remarqué que, chez les chiens nouveau-nés, l'
excitation
des régions répondant au siège des points psycho-
tibles, dans de certaines conditions, sous l'action par exemple d'une
excitation
fonctionnelle anor-male, d'acquérir du développem
t à peu près nécessairement Pour effet de déterminer des phénomènes d'
excitation
qui compliquent assuré-ment la situation. Fig.
ormes à ceux fournis par l'observation clinique, en mon-trant que les
excitations
partielles du noyau caudé, produi-sent toujours,
ontrairement aux enseignements de h physiologie d'il y a dix ans, l'
excitation
électrique des régions dites psychomotrices déter
au même titre que la région de l'écorce d'où elle dérive, répond aux
excitations
expérimentales, tandis que toutes les autres part
eux-mêmes excitables comme le sontlesiierfs. Mais les effets de cette
excitation
sont beaucoup moins accen-tués quant à la général
on et à l'intensité des contractions. Il, est remarquable aussi que l'
excitation
physiologique de la vo-lonté l'emporte ici de bea
citation physiologique de la vo-lonté l'emporte ici de beaucoup sur l'
excitation
artificielle. Les cellules des cornes antérieures
ntérieures sont sans doute un obstacle qui entrave la propagation des
excitations
jusqu'aux racines anté-rieures. Mais il était s
t aujourd'hui, en phy-siologie expérimentale, que la transmission des
excitations
mo-trices volontaires se fait exclusivement par l
observations de M. Nothnagel, confirmées par celles de M. Erb (2), l'
excitation
vive de certaines parties plus ou moins éloignées
tendus au moment où le tendon rotulien est percuté, transmettraient l'
excitation
à la moelle lombaire. Cette excitation, portée ju
est percuté, transmettraient l'excitation à la moelle lombaire. Cette
excitation
, portée jus-qu'à la substance grise par la voie d
és de leurs centres trophiques qui sont en même temps leurs centres d'
excitation
fonctionnelle, la situation équivaut à peu près,
sur la face antérieure de la cuisse une plaque d'hyperesthésie dont l'
excitation
détermine une violente con-traction réflexe des m
noncés ; quant à la sensibilité cutanée, elle est nulle ;toutes les
excitations
, mêmes les plus violentes, restent sans résultat;
de ce système doivent être exal-tées. S'il en est ainsi, les moindres
excitations
venant de la périphérie, en retentissant sur les
r des phénomènes réflexes plus énergiques qu'à l'ordinaire. Ainsi les
excitations
perma-nentes émanant, à l'état normal, des muscle
légère et permanente des muscles. Dans l'état pathologique, ces mêmes
excitations
se traduiraient par une contraction également per
cuisse du côté correspondant (2), ou encore le réflexe pro-duit par l'
excitation
de la peau du ventre du côté paralysé (Bau-ch rep
e le moindre contact la provoque et qu'elle peut, à la suite de cette
excitation
, persis-ter pendant plus d'une minute ; raideur d
Ainsi les contractures et plus généralement les divers phénomènes d'
excitation
motrice chez un malade pré- sentant, d'autre pa
ite. Les contractures, et, d'une manière générale, les phénomènes d'
excitation
motrice, sont un élément nouveau, qui n'existe
sies ou pa- résies et surtout contractures ou autres phénomènes d'
excitation
motrice) et des symptômes communs à tous les ta
e la motilité; 3° une accélération du pouls semblant appartenir à l'
excitation
de la région cervicale de la moelle. G. D. II
olontaires ni continus ; ils ne se produisent qu'à l'occasion d'une
excitation
périphérique volontaire ou sensitive et présent
tômes classiques de la folie circulaire : alternatives répé- tées d'
excitation
et de dépression, avec intervalle très court de
lfil., 1883.) Quel temps faut-il pour qu'un individu réagisse à une
excitation
sensorielle le signal étant donné par une boule
épilepsie ordinaire; on diagnostique simplement les phénomènes d'
excitation
générale dus à un enfoncement osseux troublant la
tilité, si ce n'est en ce qui concerne le mouvement volontaire et l'
excitation
gal- vanique et faradique dans le domaine du ra
pas les sensations excentriques normales que déchaîne d'ordinaire l'
excitation
électrique. M. Jastrowitz communique un cas sem
aryngées chez des tabétiques, l'orateur a constaté des phénomènes d'
excitation
spéciaux du larynx; en chaque cas, il existait un
ue de Gerhardt). Si l'on rapproche l'ob- servation des phénomènes d'
excitation
avec contracture des cordes vocales, du résulta
a tout naturellement que les accès sus-men- tionnés résultent d'une
excitation
. Comme on constate dans l'es- pèce une dégénére
e contrac- ture réflexe des adducteurs des cordes vocales, dueà une
excitation
dégénérative du laryngé supérieur, contracture
ieur, contracture susceptible d'être augmentée à l'occasion par des
excitations
périphériques ou centrales et de se transformer
tues, est pris de troubles circulatoires encéphaliques (insomnie,
excitation
générale, syncope, dysurie, sensibilité extrême d
s le diagnostic d'athétose primitive bilatérale périphérique, par
excitation
névritique ascendante des faisceaux pyramidaux. C
excitant, on provoque des contractions musculaires alors même que l'
excitation
de la couche corticale reste silencieuse. Les ner
s, éphémères, qui n'acquièrent de la durée que par la sommation des
excitations
; le courant galva- nique ne décèle aucune anom
n n'engendre de contraction tonique soutenue que par la sommation d'
excitations
disséminées le long du cubital. Les muscles, ex
ts restait toujours à peu près aussi pauvre; souvent il fallait une
excitation
forte, c'est-à- dire élever la voix et répéter
t tous deux bien portants et la conception n'a pas eu lieu durant l'
excitation
alcoolique la plus légère,- Grossesse bonne, sa
té réglée de bonne heure ( ? ) et présentait, parait-il, une légère
excitation
au moment des époques. Premier accès.- Il y a
er dans les opérations sur l'homme, craignant qu'il ne produise une
excitation
cérébrale; le chloroforme, au con- traire, prod
osition du pouce et des doigts peuvent être produits par une légère
excitation
des circonvolutions frontale et pariétale ascen
res. Chez les mélancoliques hypo- chondriaques, ne présentant pas d'
excitation
nerveuse spéciale, on voit également l'humeur s
omatiques, symp- tômes de déficit, phénomènes d'arrêt, phénomènes d'
excitation
pour le diagnostic local, la localisation des l
respecté les actes non contrôlés du roi, jus- qu'à ce qu'un sujet d'
excitation
, les difficultés financières, eût amené cette c
dans la corticalité cérébrale du chien, l'existence de zones dont l'
excitation
donnait lieu il des mouvements des membres du c
s et le pied d'insertion de la troisième circonvolution frontale. L'
excitation
électrique de la zone motrice a été pratiquée il
ir- Zone motrice cor- ticale. Ses trois enitros principaux.
Excitation
électri- que do ces centres chez l'homme. Z
(Keen), l'abduction des doigts (Keen, Mills et Ilearn), elc. Par l'
excitation
de la zone de la face, on obtient de môme des mou
urtout par la contraction des muscles zygomatiques, s'obtient par l'
excitation
d'un centre (centre du facial inférieur ou cent
la zone de la face, immédiatement au- dessous du centre du pouce. L'
excitation
de la frontale ascendante au-dessus du centre z
ne la fermeture des deux ! Jeux (mouvement bilatéral) (Keen). Par l'
excitation
de la pariétale ascen- dante au niveau et en ar
mposer en zones secondaires pour les différentes articulations. Son
excitation
produit plus souvent des mouvements combinés, a
issent aucun doute à cet égard. Chez le^ macaque et chez l'orang, l'
excitation
du centre cortical du facial supérieur détermin
es, avec prédominance dans la paupière du côté opposé, tandis que l'
excitation
du centre du facial inférieur se traduit presqu
se traduit presque exclusivement dans les muscles du côté opposé. L'
excitation
capsulaire a donné les mômes résultats à ces aute
du facial supérieur d'un côté ayant la môme action bilatérale que l'
excitation
du centre lui-même. La paralysie isolée de la f
ux zones corticales, l'une anté- rieure, l'autre postérieure dont l'
excitation
provoque une déviation conjuguée des yeux avec
ment en arrière de l'extrémité infé- rieure du sillon précentral. L'
excitation
de cette région produit chez l'animal en expéri
ez le chat et le chien en avant et au-dessus du centre phonateur. L'
excitation
de cette région détermine une contraction bilat
vant du sillon précentral, un centre moteur spécial des yeux dont l'
excitation
ne détermine qu'une déviation conjuguée des yeu
chaque mouvement différencié, un foyer, un point d'élection, dont l'
excitation
provoque un effet maximum, puis à mesure qu'on
la pensée le sillon de Rolando, et l'analogie devient complète. L'
excitation
de chacun de ces centres détermine un mouv ement
nte, et se propage de làà la racine du membre ou à sa périphérie. L'
excitation
de la partie antéro-supérieure de la zone déter
et de la rotation de l'épaule en dehors. Le mouvement obtenu par l'
excitation
électrique de la zone du membre inférieur varie
re supé- rieur) les mouvements propres à chaque articulation. Par l'
excitation
du centre de l'épaule pratiquée de haut en bas,
des mouvements très différenciée est infiniment plus fine que Leur
excitation
. Mouvement primaire. Mouvements sc- condair
su- périeure. Région faciale in- férieure. chez le macaque. L'
excitation
de l'écorce produit en général un mouvement prima
x régions : l'une supé- rieure, la région faciale supérieure dont l'
excitation
entraîne le clignement, c'est-à-dire la fermetu
a- biale ; l'autre inférieure, la région faciale inférieure, dont l'
excitation
détermine des mouvements de la langue et des mâ
est bilatéral, mais actionne surtout les paupières du côté opposé. L'
excitation
de la partie prérolandique du centre détermine
ation de la partie prérolandique du centre détermine l'ouverture, l'
excitation
de la partie rétro- rolandique, la fermeture de
dans la partie anté- rieure du pied de la frontale ascendante; son
excitation
produit la contraction bilaté- rale des adducte
utre des mouvements de la langue et, ainsi que Ferrier l'a signalé, l'
excitation
de la FiG. 241. - Les régions sensitivo-motrice
E. 231 partie antérieure de cette zone détermine la protrusion, l'
excitation
de sa partie posté- rieure, la rétraction de la
nt des branches horizontale et verticale du sillon prérolandique. L'
excitation
de ce centre détermine l'ouverture rapide des p
e se trouve le centre du facial supérieur, centre palpébral, dont l'
excitation
détermine la fermeture bilatérale des paupières
n pariétale ascendante, au-dessous du genou du sillon de Rolando. L'
excitation
de la partie supérieure de la zone détermine la
la partie supérieure de l'orbiculaire des lèvres du côté opposé. L'
excitation
d'une bande étroite de la circonvolution pariétal
détermine l'élévation de la lèvre supérieure du côté opposé. Par l'
excitation
de la partie corresponclante;de la frontale ascen
frontale ascendante, le long du sillon de Rolando, un point dont l'
excitation
détermine le renversement de la lèvre infé- rie
petits centres pour les mouvements bilatéraux de la bouche, dont l'
excitation
produit de haut en bas : le renversement en ded
chez le ma- caque Les mouvements de la langue s'obtiennent par l'
excitation
de la partie inférieure de la circonvolution fr
avant et sa rétraction en arrière dans le fond de la bouche. Par l'
excitation
de la moitié inférieure de cette zone, la langue
t épaissie, gonflée, lorsque les électrodes sont placés plus bas. L'
excitation
de la moitié inférieure de la zone de la langue d
t dans le centre des mouvements des yeux un territoire moyen dont l'
excitation
détermine la déviation conjuguée simple, un ter
rmine la déviation conjuguée simple, un territoire supérieur dont l'
excitation
est suivie d'une déviation latérale avec abaiss
abaissement des globes oculaires, et un territoire inférieur dont l'
excitation
provoque, avec la déviation latérale, une élévati
a dépendance du centre antérieur ou frontal. Schafer a montré que l'
excitation
du centre frontal a une action plus directe sur l
région sous-thalamique aux confins du pied du pédoncule cérébral. L'
excitation
de la capsule interne détermine d'avant en arrièr
t le goût, l'odorat et la vue sont intacts, ne réagit plus à aucune
excitation
auditive, il n'aboie plus spontanément, mais cr
eurs corticaux du cerveau humain déterminés d'après les effets de l'
excitation
faradique des hémisphères cérébraux. ciiii. de
't of the Monkey. Brain, janv. 1888, 379. - Du Même. On electriccal
Excitation
o/' the occipital lobe and adjacent parts of th
the R. Soc., 1888, vol. 43.- Du même. Experiments on the electrical
excitation
of the visual area of the cérébral cortex in the
même. A comparision of the latency period of the ocular muscles on
excitation
of the frontal and occipito-temporal régions of t
hose sur la valeur physiologique de ces régions. D'après Ferrier, l'
excitation
électrique de la circonvolution du crochet déte
, vol. XXVIII, I pt. 1882. - Schafer. Experiments on the electrical
excitation
of the visual area ofthe cérébral cortex in the m
ement, Tandis qu'il m'était impossible avant de ré- sister à une vive
excitation
sensuelle, de sorte qu'en voyant un cocher de tra
le, il me fallait quitter le tramway, je peux rester aujourd'hui sans
excitation
sensuelle quand je suis avec mon amant d'autrefoi
plus. Dans la première nuit j'eus beaucoup de peine à entrer dans une
excitation
sensuelle, moins dans celle qui suivit, et depuis
rs expulsives commencent, le sommeil ne peut plus être obtenu, mais l'
excitation
presque délirante, qui survient dans l'intervalle
visé .es régicides en trois catégories, 1° les régicides fous, dont l'
excitation
au délit réside le plus souvent dans des hallucin
a période cataleptique elle est stationnaire au moins en présence des
excitations
mécaniques, enfin dans l'état somnambulique elle
exaltée dans des proportions notables et non plus seulement pour les
excitations
fortes : la plus légère excitation de la peau fai
es et non plus seulement pour les excitations fortes : la plus légère
excitation
de la peau fait entrer les muscles sous-jaceuts e
mécaniques, mais nous savons qu'en règle générale, les résultats de l'
excitation
élec- ; trique et ceux de l'excitation mécanique
e générale, les résultats de l'excitation élec- ; trique et ceux de l'
excitation
mécanique sont rigoureusement parallèles (Mœbius)
trodes étaient appliquées aussi légèrement que possible pour éviter l'
excitation
mécanique qu'aurait pu déterminer leur choc contr
anique qu'aurait pu déterminer leur choc contre la peau. Les points d'
excitation
étaient répétés à l'encre. Les électrodes étaient
.— La nicotine est pour l'homme un poison énergique. Après une courte
excitation
, il a une action déprimante très marquée. Chaqu
s sont faciles, mais il est constamment agité. Ce sont des périodes d'
excitation
qui alternent avec de la dépression ; il est alor
nt. Ce stade peut durer longtemps. 4° Troisième stade dans lequel l'
excitation
devient plus rare ; l'intelligence décline, les h
ts puerpéraux, fut prise de troubles intellectuels avec intervalles d'
excitation
, quelques hallucinations, idées de mystique relat
injuste de dire que c'est l'electrisation elle même qui l'a causée. L'
excitation
psychique, la peur d'être électrisé auront seules
-épilep-tiques que j'si hypnotisés lorsqu'ils n'étaient pas en état d'
excitation
avant l'hypnose et surtout lorsqu'ils n'avaient p
fets les plus imme-diats et en même temps les plusremarquables, est l'
excitation
des tacultés intellectuelles. Hile produit une di
ssagère, a bquello il faut attribuer cet état moral d'anesthesie et d'
excitation
qui caractérise le morphinomane. 11 est content d
e ensuite des faits qui démontrent les effets produits par quelques
excitations
brusques cl fortes ou faibles et prolongées du se
il suit l'opérateur et imite servilement tous ses mouvements. » Les
excitations
brusques et fortes du sens du tact produiraient d
ionné plus haut), que le malade insensible, en apparence, aux légères
excitations
, retirait, au contraire, les membres dès qu'on le
é sont deux choses distinctes. La notion consciente du moi dépend des
excitations
extérieures actuelles, de ce qu'on voit, de ce qu
é Scion le> vues de l'auteur, elle n'est pas tant le résultat de l'
excitation
des passions sexuelles que la conséquence de tous
tes intellectuels proprement dits, mais il réveille aussi parfois des
excitations
instinctives qui livrent l'homme, (1) Leçons pr
l'hypnotiser. A mon arrivée, à 8 h. du soir; je l'ai trouvée dans une
excitation
extrême. Je lui fais fixer ma montre disant que j
tout naturellement. Le surmenage provient de l'épuisement par excès d'
excitation
, que L'excila-tion soit d'ordre extérieur ou inté
moelle entre en action, sans que le cerveau ait provoqué ou partagé l'
excitation
de celle-ci. Nous n'insisterons pas sur le priapi
différence pour les rapports sexuels sont parfois tourmentées par des
excitations
génésiques violentes, insupportables... Elles se
remonte à cette date. C'est alors qu'elle a ressenti les « premières
excitations
, » mais à cette époque les crises étaient très él
n'est au niveau des muscles spinaux très dimi- nués vis-à-vis de l'
excitation
faradique. Il existe en outre une atrophie marqué
le caractère. Passait fa- cilement de l'activité à l'apathie, de l'
excitation
à la torpeur, de l'enthousiasme au découragemen
é reçu le 22 avril dans mon service, Il m'est arrivé dans un état d'
excitation
physique et psychique modérée. Dormait mal et p
nait avec des gestes exagérés. Sous l'influence du traitement cette
excitation
se calma assez vite, et depuis quelque temps le
l est enfermé à la maison de santé du Felhal, le 2 juin 1895. Cette
excitation
se termina peu de temps après, étant immédiatem
, le 8, se réfugier à l'hôpital du Conde de Ferreira dans un état d'
excitation
maniaque, dont il sortit guéri le 24 octobre. M
er, etc. Cet accès se dissipa aussi à son tour pour retomber dans l'
excitation
maniaque sans transition, à ce qu'il paraît, d'un
a maison de santé, sans cause apparente, il fut pris d'une nouvelle
excitation
et interné encore au Felhal le 23 février 1898,
n état normal. Au contraire, pendant cette période, il eut diverses
excitations
et dépressions, mais si peu intenses, et de si
terné à l'hôpi- tal du Conde de Ferreira le 25 mai. En outre de son
excitation
physique et in- tellectuelle, il m'est arrivé a
e, dont il se rétablit très vite, sortant le 18. Excepté quelques
excitations
et dépressions passagères, il se maintint dans
5 du mois, lorsque la famille éplorée le cherchait par- tout. Cette
excitation
s'était dissipée au bout de trois mois, mais je l
tificat immé- diat : Idiotie avec gâtisme continuel, hydrocéphalie,
excitation
fréquente. a 96 TREPSAT 28 juillet. - Elle
ction des voies nasales ; mais elle est souvent pro- voquée par des
excitations
périphériques diverses très peu intenses mais c
peux pas douter que le jour m'éclaire mieux et qu'il en résulte une
excitation
qui favorise le travail. L'augmentation de la
s certains sujets atteints de troubles mentaux paraissent agir sans
excitation
locale préalable ; j'ai déja signalé un paralyt
ificat de M. Garnier ; « est atteint de dégénérescence mentale avec
excitation
, désordre dans les idées et les actes, déclamatio
mentale avec hallucinations ; idées ambitieuses et de persécution,
excitation
; loquacité, propos incohérents ». Quelques jou
ne attaque épileptiforme, il a conservé son délire polymorphe, de l'
excitation
et des hallu- cinations auditives. A la fin de
les muscles sont mous, flasques, donnant une réaction très vive à l'
excitation
mécanique (augmentation de la contracti- lité i
rs, du biceps et un peu des muscles antérieurs de la cuisse ; . L'
excitation
de la plante du pied provoque des contractions à
i ont provoqué des phénomènes de vaso-dilatation périphérique par l'
excitation
du bout ganglionnaire des racines postérieures
. Ils sont le siège de tiraillements spasmodiques sous l'inflence d'
excitations
psychiques.Le malade ne peut pas les remuer sans
icales. Vaschide et Vurpas (3) ont signalé son association avec des
excitations
sexuelles et citent trois cas intéressants. Dans
sique symphonique provoquait une émotion de plaisir semblable à une
excitation
sexuelle; dans le second l'audition musicale ag
orino, 1891. (2) Hospital, loc. cil. (3) Vaschide 0t VUNPAS, De l'
excitation
sexuelle dans l'émotion musicale. Arch.de l'Ant
s des poignets sont vifs des deux côtés, principalement à gauche. L'
excitation
plantaire détermine à gauche de l'extension en
presque réflexe, le malade ne pouvant ni reconnaître la nature de l'
excitation
cutanée, ni en localiser le siège. Nous insiste
ristiques ;-en effet, le bout ganglionnaire offre des phénomènes d'
excitation
nutri- tive consistant dans la formation de pro
il ne remue ni dans un sens ni dans l'autre sous l'in- fluence de l'
excitation
cutanée. L'examen électrique pratiqué par M. La
tre à la date de l'entrée, qu'il n'existe pins aucune réaction ni l'
excitation
galvanique, ni à l'excitation faradique, sauf d
u'il n'existe pins aucune réaction ni l'excitation galvanique, ni à l'
excitation
faradique, sauf dans les muscles extenseurs du
a montré l'abolition totale de la contractilité faradi- que ; par l'
excitation
galvanique, on constatait la réaction de dégénére
mus- culaires ne s'atrophient pas, elles réagissent faiblement à l'
excitation
fa- radique ou galvanique, lès réflexes rotulie
ses puissantes facultés untel- lectuelles, etc. Après la phase d'
excitation
maximum contemporaine de l'entrée à l'asile ce
elait un état de démence précoce para- noïde traversé de bouffées d'
excitation
; après deux ans d'alternative d'ex- citation e
s en l'absence d'organes, elle peut s'expliquer par transposition d'
excitations
réelles dues à l'irritation de la muqueuse urét
que, le 17 février 1890. Courants faradi- ques (chariot), minimum d'
excitation
: 9 c. 5. 484 DEJERINE ET ANDIIÉ-THOMAS L'obs
es où la sensibilité dou- loureuse est très altérée, si on fait une
excitation
douloureuse forte trans- fixion de la peau avec
ue, une véritable analgésie des troncs nerveux à la pression et à l'
excitation
électrique. Les lésions que nous avons observée
attribué aux mouvements réflexes du membre inférieur que provoque l'
excitation
de la plante du pied une valeur que tous les clin
r au déplacement segmentaire en totalité, qui n'existe pas dans les
excitations
faibles ou moyennes : l'exploration par le myog
celui des mouvements du gros orteil. Pour inscrire le moment de l'
excitation
plantaire, nous avons fait cons- truire un styl
signal de Marcel Desprez. Ici encore il existe un inconvénient : l'
excitation
cutanée dure un temps très appréciable et il est
apparaissant la première dans le membre inférieur à la suite d'une
excitation
plantaire minima. Les graphiques nombreux obtenus
cette première série de recherches, nous ont tous démontré ceci : l'
excitation
minima qui provoque le plus léger mouvement du gr
croire qu'à un même individu normal corres- pond toujours, pour une
excitation
sensiblement identique, un seul des types de ré
série d'expériences ou dans des expériences diffé- rentes, pour des
excitations
sensiblement identiques, peut présenter soit la
sur les graphiques, l'extension seule du gros orteil succédera une
excitation
même très énergique de la plante. Il est à note
de la plante. Il est à noter enfin que, chez les sujets normaux, l'
excitation
de la plante est seule efficace, à l'exclusion
conclusions les constatations précédentes : 1° A l'état normal, l'
excitation
minima de la plante du pied par le grattage à l
ement en flexion à l'état normal. 3° Les variations d'intensité des
excitations
plantaires n'amènent au- cune modification nouv
ive, prédomi- nance de l'extension, érection du gros orteil). Les
excitations
dans les deux tracés sont sensiblement identiques
eut fournir, à quelques secondes d'intervalle et sous l'influence d'
excitations
sensiblement identiques, tantôt l'un, tantôt l'
alades atteints d'af- fections spasmodiques est augmentée ; aussi l'
excitation
minima se borne- t-elle souvent à une très légè
. La zone excitable peut s'étendre à tout le membre inférieur : des
excitations
portées successivement sur la peau du mollet, du
, etc., qui avaient pu provoquer l'ex- tension du gros orteil par l'
excitation
cutanée de régions quelconques du membre inféri
permis d'insister davan- tage. Disons toutefois en terminant que, l'
excitation
de la planle du côté sain chez les hémiplégique
ctions spasmodiques de la voie pyramidale, comme à l'état normal, l'
excitation
minima efficace de la plante du pied provoque d
t) (1). D'autre part Ferrier a obtenu un pleurosthonos opposé par l'
excitation
électrique d'un noyau caudé. La tumeur siégeait
diment de puberté ; il aurait même ressenti à longs intervalles des
excitations
sexuelles, des érections, et aurait t pratiqué
Les réflexes rotuliens sont égaux : il n'y a pas de clonus du pied. L'
excitation
|du réflexe plantaire amène l'extension des ort
lus faible, et disparaît complètement avant deux minutes ; avec des
excitations
interrompues à la main, les premières contraction
normal à gauche. Le côté droit de la langue est insensible tant aux
excitations
s'adressant à sa sensibilité générale, qu'à cel
t sont tout le temps satisfaisants. Au commencement de décem- bre l'
excitation
cesse brusquement et le 13 décembre la malade éta
tenir un entretien tant soit peu suivi et cela même dans les cas où l'
excitation
tombait, et elle restait des journées entières
able ; son fond général vague est tantôt traversé par des éclairs d'
excitation
maniaque,tan- tôt par les signes d'une dépressi
lement remplis d'allusions, d'énigmes. Elle a des accès fréquents d'
excitation
pendant lesquels elle crie et devient agres- si
et relit z sans fin le même livre, tantôt elle tombe dans un état d'
excitation
pendant le- quel elle manifeste l'existence de
es spéciales pour expliquer sa participation la danse collective. L'
excitation
produite par les chants et la musique, l'en- tr
dépendre aussi de l'état mental du sujet. Si celui-ci présente de l'
excitation
il écrit généralement vite, s'il est déprimé ou
uence son écriture a subi certaines modifications, les caractères d'
excitation
se sont atténués, et dans un écrit récent (fig. 5
4. Fi £ ". 5. . 422 JOFFROY par la forme que par le fond, de l'
excitation
maniaque avec idées de gran- deur dont le sujet
est antérieur à l'état de maladie confirmée ; peut-être trahit-il l'
excitation
initiale par la grandeur des lettres, les parap
jours de la semaine, maux de tête, épistaxis, vomissements, grande
excitation
cérébrale. La première nuit il s'est réveillé d
parties de la moelle; ou encore est frappé d'inhibition par quelque
excitation
périphérique. La conséquence de cette défaillan
ment pro- gressé durant trois ans; par intervalles quelques accès d'
excitation
. Puis survint un ictus apoplectique avec hémipl
folie alcoolique. Ils Combattent souvent à la fois l'insomnie et l'
excitation
diurne. 1 « Le trional et le tétronal ont sensi
igides et le malade immubile sur son lit ne réagit à aucune sorte d'
excitation
. Anesthésie et anal- gésie généralisées, les se
e désordre des idées a entraîné le désordre des actes, comme dans l'
excitation
maniaque, la paralysie générale au début, l'hys
noïa. Quand il s'agit d'états périodiques, de formes circulaires, l'
excitation
est le sym. plôme primaire, les réclamations ne
ne viennent qu'après. Dans ces cas avec la disparition de l'accès d'
excitation
maniaque on observe une guérison ou une amélior
paraît une seconde fois à l'Asile clinique le 16 juin 1892 pour son
excitation
et ses impulsions au moment de ses paroxysmes c
lesquelles le processus hallucinatoire reconnaît à son origine une
excitation
de la périphérie de l'appareil sensoriel corres
e de l'appareil sensoriel correspondant. La cause première de cette
excitation
peut résider dans l'appareil sensoriel lui-même
'agisse d'hallucinations périphériques objectives ou subjectives, l'
excitation
initiale peut porter sur l'appareil sensoriel c
els l'hallucination audi- tive reconnaît comme point de départ, une
excitation
de l'appareil auditif, venue de l'extérieur. M.
e personne hallucinée habituellement et l'on ne peut pas dire que l'
excitation
produite par le bruit de la porte a créé l'hall
actères communs tels que l'influence des impressions morales et des
excitations
périphériques sur le plus ou moins d'agitation
contrainte. On s'en sert (l'hyosciamine par exemple) pour calmer l'
excitation
psychique avec impulsion motrice considérable,
paces clos sont très nuisibles, parce qu'ils agissent comme cause d'
excitation
pour les malades troublés et disposent les gardie
sibles. Les avant-bras peuvent facilement se mettre en supination.
Excitation
faradique abolie dans les muscles extenseurs de l
on faradique abolie dans les muscles extenseurs de l'avant- bras, l'
excitation
galvanique est conservée. La malade est triste et
ctuel plus ou moins considérahle, de l'hébétude avec des périodes d'
excitation
; plus rarement se manifestent des états de con
t du malade. Pendant cette période il passe d'abord par une phase d'
excitation
maniaque, plus tard il est déprimé. Enfin il pa
e qu'il est une forme de trouble psychique, un état de démence avec
excitation
et exubé- rance (ztorica)qu'il n'a rencontré qu
ntait lui aussi, dans la seconde période de sa maladie, une forme d'
excitation
maniaque avec tendances aux plaisanteries et à to
tra-artérielle. L'accé- lération du pouls paraît être un effet de l'
excitation
du centre des nerfs accélérateurs dans le bulbe
ression des carotides ; il les considère donc comme causées par une
excitation
physique du cerveau. Moebius pense que cette in
ier malade présentaient les symptômes cardinaux d'un accès dû à une
excitation
physique du cerveau, d'une manifestation épilep
ulaire sans contractures; -embarras de la parole, accès fréquents d'
excitation
avec crises convulsives; évolution fatale rapid
sthésie, articulation des mots très difficile, optimisme morbide et
excitation
; Quatrième groupe. Symptômes oculaires tardifs
leptiques, l'ictus épileptique est caractérisé dans ces cas par une
excitation
peu intense et peu diffusible des centres psych
t complète. Réflexes conservés, mais pour les provoquer il faut une
excitation
très forte, douloureuse même. Tout mouvement vo
partenant à des muscles différents, et qu'on provoque au moyen de l'
excitation
d'une racine motrice unique, ces mouvements ass
vec les instincts et habitudes des animaux en expérience. Exemple :
excitation
de la seconde racine sacrée du chien ; résultat :
ts latéraux de la queue, habituels aux chiens qui veulent caresser.
Excitation
de la même racine du chat; Résultat : cette fle
selon les habitudes et instincts des animaux en expérience. Ainsi l'
excitation
de la seconde racine lombaire chez le chien, et d
i a par intervalles des idées de grandeur; dans une de ses périodes d'
excitation
il nous a dit qu'il était prince et que Ville-Evr
es vomissements bilieux, des diarrhées abondantes, des alternatives d'
excitation
et de dépression qui nécessitent une surveillance
sans fondement, le médecin professeur pouvant toujours détourner les
excitations
passagères et les faire servir au profit des mala
à litre épisodique et chez quelques-unes seulement que se manifeste l'
excitation
sexuelle sous l'influence d'idées fixes plus ou m
on enfant. Délire des persécutions avec hallucinations, qui passe à l'
excitation
maniaque. Les personnes qui la rencontrent la cro
et fondés, si l'on pouvait reconnaître comme « typiques » les états d'
excitation
produits sous forme d'hypnose. Certainement, co
Ils se produisent dans l'hypnotisme par la production imprudente d'
excitations
émotionnelles et par un emploi trop intense des m
ient souvent à nu jusqu'à la ceinture, et présentaient nettement de l'
excitation
erotique. Les accès sont suivis d'épuisement corp
la musique comme son, mais comme une sensation générale, une sorte d'
excitation
produite par une « course furieuse à travers l'es
de « désir », de « frénésie », mais n'ont jamais déterminé la moindre
excitation
sexuelle ni la moindre suggestion erotique. M. Wa
tres inférieurs surtout; tant qu'elle réagit, immédiatement, sous une
excitation
quelconque reportée de ces centres percepteurs au
éri-ques. Ces irritations provoquent des rêves, tandis que de faibles
excitations
provenant des autres parties de la région cortica
n53,54 a employé l'hypnose, comme moyen de sédation, dans des états d'
excitation
de cause épileptique et hystérique. Emploi avant
pileptique et hystérique. Emploi avant l'explosion des prodromes de l'
excitation
. Il fait alors dormir les malades pendant quelque
actes. A ces trois conditions s'ajoute comme circonstance active l'
excitation
produite par l'hypnotisme sur l'imagination de l'
op occupée. La séance terminée, tout l'état change complètement : l'
excitation
est remplacée par un immense épuisement des nerfs
que, par exemple, pour l'acte réflexe, le lien de transformation de l'
excitation
sensitive en excitation motrice, le centre réflex
'acte réflexe, le lien de transformation de l'excitation sensitive en
excitation
motrice, le centre réflexe, en un mot, est représ
icroscope, par l'absence d'oxygène et l'excès d'acide carbonique. Les
excitations
faibles portées sur les nerfs sensibles provoquen
exes, mais ne passent pas dans les cellules de l'écorcecérébrale; des
excitations
plus fortes amènent l'allongement des ramificatio
éloignement des ramifications pseudopodiques. Mais de même que des
excitations
particulières, violentes ou non habituelles amène
lentes ou non habituelles amènent l'amibe à se rétracter, de même des
excitations
spéciales produiront la rétraction des pseudopode
ndante (actes d'inhibition, choréede l'interférence nerveuse), et des
excitations
violentes, anormales, par le même mécanisme, prod
. Mais il était, après cette semaine d'insomnie, dans un tel état d'
excitation
qu'on a pu craindre qu'il ne devint fou. Les mé
té apparaît aussitôt que l'action réflexe se différencie. Prenons une
excitation
quelconque, elle parcourt nécessairement un chemi
exité; mais qui marquent des stades dans le chemin que parcourt toute
excitation
. — 11 en résulte des différences d'impressions pe
antérieures, elles seraient destinées surtout à la transmis-sion des
excitations
motrices et aurait peu de rapport avec la sensi-b
répondait aux questions sans délai, mais d'une manière dénotant de l'
excitation
. Bien qu'il vînt de prendre son thé, il dit qu'
este des symptômes choréiques : la malade pré-sente en outre un peu d'
excitation
; son sommeil est agité ; en même temps, on trouve
a le souvenir complet de tout ce qui s'est passé. A dose toxique, l'
excitation
cérébrale se produit également, mais elle peut re
état peut survenir d'emblée et sans donner le temps aux phénomènes d'
excitation
cérébrale de se produire : il est suivi de fatigu
es demi-heures. L'influence du médicament se traduisit par une légère
excitation
, par une aug-mentation de la fréquence du pouls,
vie animale, tant au point de vue du retard de ces phénomènes sur l'
excitation
qui les provoque qu'à celui de la durée de chacun
etc., et par son intermédiaire comme action immédiate : 1° une faible
excitation
des muscles lisses du tube digestif, de la vessie
s contro-stimulantes.—Il y a deux actions parallèles et simultanées :
excitation
plus prononcée du grand sym-pathique et excitatio
s et simultanées : excitation plus prononcée du grand sym-pathique et
excitation
du nerf dépresseur du cœur. Lapremière action d
moindre. On retrouve en physique cette loi d'électro-physiologie : l'
excitation
d'un nerf ou d'un muscle dépend moins de la valeu
éculaire du nerf et du muscle; et c'est également pour cela que cette
excitation
peut varier, même pour des courants in-duits, d'u
e la courbe (Fig. 6) qu'on obtient une déformation due à cette double
excitation
. M. Helmholtz attribuait cette déformation aux
sur les tracés que nous avons obtenus dans ces conditions. Ces deux
excitations
sont rendues très-sensibles lorsqu'on emploie un
état moléculaire primitif ; et, d un autre côté, pour y produire une
excitation
, il faut que l'agent excitant agisse 7 * Fig.
ait ces recherches chez des enfants. De plus, par le rhythme même des
excitations
, on est certain que les contractions électriques
que les contractions électriques que l'on observe sont bien dues à l'
excitation
électrique et non à l'influence de la volonté ou
culaire, ce qui se traduit pour les nerfs et pour les muscles par une
excitation
fonc-tionnelle. Etat définitif. — Pendant tout
t, il y a de nouveau rupture de l'état moléculaire, et par conséquent
excitation
des nerfs et des muscles. La mise en activité du
ieure qui modifiera l'état mo-léculaire déterminera par cela seul une
excitation
, et c'est pour cela que le courant détermine une
se un nerf, surtout le nerf optique, il faut bien faire attention à l'
excitation
très-vive qui a lieu au moment de la cessation du
, que la fibre musculaire n'ait subi qu'une altération passive, que l'
excitation
des filets nerveux ne donne aucun résultat et enf
es, les unes accusant des insomnies, les autres un peu de fièvre et d'
excitation
. Pour presque toutes, même avec quatre et six élé
me des eschares qui mettent des mois à guérir et qui sont une cause d'
excitation
. Le procédé ne peut donc tout au plus être empl
taline, il se produit, à faibles doses ou à doses thérapeutiques, une
excitation
d'une par-tie seulement du système nerveux — cell
2° La digitale et la digitaline produisent, à doses thérapeutiques, l'
excitation
des fibres musculaires du cœur; à doses toxiques,
le strabisme qui existait chez notre malade comme le résultat d'une
excitation
produite au niveau des cen- tres occuto-moteurs
céphalie très prononcée. Prognathisme. -Alternatives de périodes d'
excitation
et de périodes de mélancolie ; idées de suicide
olère. Puis il se décide à faire des excuses. Durant ses périodes d'
excitation
, il rede- vient presque toujours gâteux. Août
e nouvelles périodes do Microcéphalie : Manie. 139 tristesse ou d'
excitation
. Il cire les sièges, frotte les cuivres. acquie
e obtuse : Jan. reste indifférent quand il se coupe ou s'écorche.
Excitation
maniaque. 141 Respiration normale; battements d
pas eu d'idées tristes depuis longtemps; mais a encore des accès d'
excitation
pendant lesquels il frappe les autres enfants,
-il. 21 octobre. Jan. est de nouveau agité ; sur la menace de 142
Excitation
maniaque. luifairepasscrquatrcheures aubain, il
l est excité, il dit : «je vais faire le fou. » Mais ses périodes d'
excitation
sont moins vives et moins fréquentes. Il contin
e lui. 1886. Jan., n'a pas été malade cette année. Les périodes d'
excitation
ont été très rares et courtes. Il a fait quelques
ler des souris, des rats, des oiseaux. Il gâte main- Microcéphalie;
excitation
maniaque. 145 tenant presque tous les jours n'i
est attentif, assez courageux au travail, sauf dans ses périodes d'
excitation
qui se reproduisent à peu près tous les deux mois
es à la communi- cation faite au Congrès.. 22 juillet.- Période d'
excitation
qui dure deux jours.. 5 septembre. Hier matin,
n l'a renvoyé à l'école le lendemain. 5 octobre. Nouvelle période d'
excitation
; on lui fait pren- un bain d'une heure et on le
x. Mêmes dimensions do la verge et des testicules. Les périodes d'
excitation
reviennent au moins tous les deux mois et olîre
1. 21l' Janvier. - Depuis longtemps Jan.. n'a plus eu de-périodes d'
excitation
ni de périodes de tristesse. Il est beau- coup
iottes» et dit qu'il mangerait des vieux rats crevés. 10 avril. L'
excitation
persiste. Hier il a mangé de l'en- caustique et
ndantes exhalaient la même odeur; le sommeil a été bon. Ce matin, l'
excitation
a fait place a de l'abattement. «Je suis abruti
lous et l'appellent « tête de singe ». 22 avril. Courte période d'
excitation
. 3'1 mai. Agitation pendant deux jours : gestes
ulsifs ou psychiques, les autres des impulsions ou des périodes d'
excitation
, ces jours-la et les jours qui suivent ils ne p
es comparativement à l'effectif; G tuberculeuses; 5 méningites; - 2
excitations
maniaques ; 2 choréiques ; 1 ophtalmie ; 1 pl
qui frappe tout d'abord c'est la régulière alternative de crises d'
excitation
et de dépres- sion de l'enfant. Au moment do no
de troubles, évoluant simultanément, caracté- risent ces périodes d'
excitation
: c'est d'une part un trouble mental évoluant a
peine. 13 avril. - Les deux dernières nuits ont été bonnes ; même
excitation
durant le jour, insulte son infirmière, lui donne
: « Embrassez-moi de bonne volonté ou je vous étrangle ». Parfois l'
excitation
se calme et B... est abattue, reste assise, la
qu'elle a également reçus. 21 auoil. - Alternatives de calme et d'
excitation
. Après s'être habillée toute seule et être deme
lacée par un véritable accès de manie : insolences, grossièretés,
excitation
, violences, bave, déclamations incohéren- tes,
injures à tout le monde. Au bout cle plu- sieurs jours la période d'
excitation
s'est progressive- ment atténuée. L'état mélanc
typhoïde ; mais au contraire, et surtout chez les idiots, un état d'
excitation
durant lequel ils semblaient jouir de facultés
e et de taciturnité alter- nant avec des périodes de bavardage et d'
excitation
; cépha- lalgies simultanées. -- Modification d
. - Retour des périodes de mélancolie alternant avec des périodes d'
excitation
. - Contrariété, achat de trousseau sans autoris
ëdaotgMe. Disparition des pé- riodes alternantes de mélancolie et d'
excitation
. - Réap- parition des sentiments affectifs. - A
rémission, elle est tourmentée et irrégulière dans les périodes d'
excitation
, la lettre qu'il a écrite de Belfort à ses parent
ais au moment où Edouard devient pubère, on remarque des périodes d'
excitation
et de (1) [Depuis la rédaction de celte observa
tubéreuse ou hypertrophique du cerveau. Parts,- 1888. DÉPRESSION,
EXCITATION
. Il f bavardage, alternant avec des périodes de
a théorie d'une localisation motrice : parce qu'un mouvement suit l'
excitation
d'un point donné de la couche corticale, il ne
. Suivant le rapporteur, les symptômes spinaux s'expliquent par l'
excitation
ou la cOl11preSSio'l des nerfs, par suite de l'ex
matisme du bras, présenta au bout d'une douzaine de jours un état d'
excitation
, avec douleur de tête intense, élévation de tempé
s l'urine.' Quand la malade n'était pas plongée dans lé cornai son'
excitation
était furieuse.' L'Í : tlbüI111ne"dispal'ul' au
use.' L'Í : tlbüI111ne"dispal'ul' au bouf'de'quelques'jours, mais l'
excitation
et la température 'persistèrent.1 ? 'i '"u^x - .
ériodes d'exci- tation, comme agent sédatif; il peut ici empêcher l'
excitation
pas- 238 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. sagère de dé
essé de se manifester, et le médicament est resté sans action sur l'
excitation
épileptique alors même que les doses ont été po
nts sur les animaux injectés; la première produi- rait surtout de l'
excitation
, de la convulsibilité; la seconde de la tristes
sés en deux catégories : dans la première figure un dégénéré avec
excitation
maniaque, un maniaque simple, une dégénérée avec
s, la pupille immobile ne réagit pas non plus sous l'influence de l'
excitation
de l'autre oeil, tandis que la réaction di- rec
premier. En d'autres termes, l'oeil immobile transmet cependant l'
excitation
qu'il reçoit l'autre oeil, tandis que l'oeil dont
c perte de connaissance, grande excitabilité, impulsion à détruire,
excitation
maniaque incohérente, hallucination terrifiante
transition, caracté- risée par de la manie ou de la mélancolie avec
excitation
, ou bien par des états convulsifs; 4° une pério
qu'elle ait pour cause une modification du sang déterminée par une
excitation
maniaque de longue durée. R. M.-C. XXXV. DE la
ance dans l'organisme, ont tout au moins la propriété de produire l'
excitation
ou la dé- pression mentale; 6° il y a des raiso
iner des convulsions ou de la stupeur, ou de la dépression, ou de l'
excitation
des systèmes mus- culaire et vasculaire; 7° de
es sont le siège d'un état de tension produit par la nutrition et l'
excitation
constante qui les sollicite. Elles entretiennent
Cette action trophique n'est donc point spontanée, elle dépend des
excitations
périphériques. Si l'on enlève un nerf ou un mem
membre recteur de ce nerf, on modifie la quantité et la qualité des
excitations
périphériques nécessaires pour maintenir l'équi
érie. Paris, 1893. PERVERSIONS SEXUELLES A FORME OBSÉDANTE. 381
excitation
génésique ne se produit chez notre malade. Il ne
« Il sent qu'il est tout pâle. » A ce trouble général s'ajoute une
excitation
génésique. Il est en érection. La situation dev
téressants sont à remarquer dans l'intoxication cocaïnique : 1° Une
excitation
génitale marquée, signalée par le docteur Stoke
vaisseaux, par le fait de stimulations mécaniques ou électriques. L'
excitation
des fibres vaso-dilatatrices est due à l'anémie
courant faradique ; par W. BROCIi. (Neurolog. Centralbl., 1892.)
Excitation
des muscles à l'aide d'interruptions lentes. Peut
produites dans le muscle sain, quand on modifie comme il est dit l'
excitation
. Mais il est impossible de rattacher ce phénomè
chez elle où elle meurt au bout de trois mois. Après une période d'
excitation
maniaque d'environ huit jours, elle s'était cal-
observation, a conseillé de rechercher quels résultats donnerait l'
excitation
élec- trique du cuir chevelu dans le sens des s
ons : disthymie, mélancolie typique, melancolia attonita; 6) manie (
excitation
ma- niaque, manie aiguë et manie suraiguë); c)
des cellules nerveuses; 4°'quand on'coupe untmembrH'ou un nerf,nles
excitations
normales' qui 'partent des extrémités nerveuses
les' qui 'partent des extrémités nerveuses sont remplacées par. des
excitations
différentes en quantité et en qualité qui ne sont
a paupière supérieure. Cette action ne peut s'expliquer que par une
excitation
des branches terminales du grand sympathique, q
La fatigue et l'épuisement physique ralentissent la réceptivité des
excitations
externes, diminuent la résistance au travail et s
e dans les idées par automatisme cérébral, par profusion dans les
excitations
personnelles d'origine interne, des obsessions pa
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