L'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICÈTRE PENDA
née 1905. I. Situation du service. — Enseignement primaire. Les
enfants
delà quatrième section du quartier des aliénés de
'hospice de Bicêtre sont répartis en trois groupesprincipaux : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, épi-leptiques ou non, mais invali
x, épi-leptiques ou non, mais invalides (Bâtiment Séguin); — 2° les
enfants
idiots, gâteux ou non, mais valides ; — 3° les
; — 2° les enfants idiots, gâteux ou non, mais valides ; — 3° les
enfants
propres, valides, idiots améliorés, venus des deu
nstables, pervers (amoraux), épileptiques et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalid
er groupe est subdivisé en deux catégories La première se compose des
enfants
idiots complets, ne parlant, ni ne marchant, cons
ui constituent un groupe spécial (Idiotie athétd-siq ue). Dès qu'un
enfant
marche sans aide, il doit être envoyé à la Petite
is toute la journée, aussitôt que ses forces le permettent. Tous ci's
enfants
sont placés sur les petits fauteuils spéciaux, fa
sont promenés dans les jardins. Ce sous-sol sert également à d'autres
enfants
, qui nous arrivent tardivement à 15, 16, et même
leur gâtisme, sans aucun bénéfice pour eux et au grand détriment des
enfants
éducables. Ces malades absolument incurables sont
bles en cas de rechute. Voici quelques renseignements sur plusieurs
enfants
de la première catégorie qui ont été améliorés.
ilepsie,diplègie, mar-che et parole nulles, gâtisme. Aujourd'hui, l'
enfant
marche seul, mange, s'habille et se déshabille sa
ûl.., né le 4 juillet 1902, entré le 28 octobre 1904. A l'entrée, l'
enfant
, âgé de 27 mois, atteint d'idiolie com-plète, est
our et delà nuit et paraît souffrir continuellement. Aujourd'hui, l'
enfant
marche bien, comprend un peu, aime à être tenu
an), né le 21 février 1900, entré le 22 juillet 1902. A l'entrée, l'
enfant
, âgé de 2 ans, ne marche pas, sa parole-est nulle
2 ans, ne marche pas, sa parole-est nulle, gâtisme. Aujourd'hui, l'
enfant
marche, court, monte et descend les escaliers, ma
urice), né le 19 octobre 1900, entré le 17 juin 1903. A l'entrée, l'
enfant
, âgé de 2 ans, est atteint d'idiotie com-'plète a
e, s'habille, se déshabille. Le gâtisme a complètement disparu. II.
Enfants
idiots gâteux ou non gâteux, épilep-tiques ou non
non gâteux, épilep-tiques ou non, mais valides (Petite École). — Ces
enfants
fréquentent la petite école, confiée vy;ch\-;ro-m
us insis-tons sur ce point — qui sont le mieux à même de donner à ces
enfants
les soins nécessaires à tous les points de vue.
cessaires à tous les points de vue. Dans le courant de l'année, 200
enfants
y ont été inscrits. Sur ce nombre, 12 sont décédé
sférés, 21 sont passés à la grande école et un aux adultes. Sur 180
enfants
qui restaient à la petite école au 31 décembre 19
et 35 se servent de la cuiller, de la fourchette .et du couteau. — 14
enfants
de ce groupe sont devenus propres (1) ; 5 ont app
u lever, au coucher, au milieu de la nuit, et après chaque repas, les
enfants
gâteux sur les sièges d'aisance, prati-que qui a
r les sièges d'aisance, prati-que qui a pour but principal d'amener l'
enfant
gâteux à devenir propre, fait également réaliser
ons fait faire par l'une des surveillantes du service, le relevé clos
enfants
ayaut déféqué au siège après les repas, durant le
urs de chaque mois. Voici le relevé qui a porté sur une moyenne de 50
enfants
gâteux. Joues. Mois. ' Total. 1. 2. 3. 4. 5
au dortoir, la nuit, pour les chemi-ses et les draps, parla pose des
enfants
sur les sièges, au coucher, au milieu de la nuit
le chiffre précédent, au total environ douze cents francs. Tous les
enfants
de la Petite école sont exercés au saut, à la mon
, étant encore trop infirmes, n'ont pu y pren-dre part. Soixante-deux
enfants
de la petite école et de l petite école complémen
t fait régulièrement les exercices de la grande gymnastique. Quatorze
enfants
ont travaillé cette année dans les différents ate
écédemment; 2° les leçons de toi-lette qui consistent à apprendre aux
enfants
à se laver la figure et les mains, à s'habiller,
oduit, complété plus loin (p. 1 à 136), des détails sur plusieurs des
enfants
les plus malades (idiots profonds), amélio-rés à
ine Bohain et leurs collaboratrices.) Nous pourrions citer d'autres
enfants
du même groupe qui, eux aussi, ont été améliorés,
iorés, mais à un moindre degré. Si nous choisissons de préférence les
enfants
[es plus malades, c'est pour bien faire voir, aux
(1) Toutes les mères devraient apprendre le plus tôt possible à leurs
enfants
la manière de se y arg aviser, ce qui rendrait pl
urtout celui de 1899 pour tous les procédés en usage à la section des
enfants
arriérés et épileptiques. sultats meilleurs che
on des enfants arriérés et épileptiques. sultats meilleurs chez des
enfants
moins malades, les imbéciles et les arriérés. L
ition. Elle est aidée par M"10 Randier, première infirmière. Quarante
enfants
composent cette école. Quatre infirmières, dont 2
ejeune, sont en outre adjointes à ce service pour la surveillance des
enfants
(réfectoire, dortoir, promenades). Voici quel-que
résumés d'après les notes de M"'0 Bonnet. Pendant l'année 1905 deux
enfants
ont été rendus propres le jour et la nuit : Jouât
pres le jour et la nuit : Jouât.., René et Le-Bih..., Cyrille. Quatre
enfants
ont appris à lire couramment : Faito.., Beno.., D
is à lire couramment : Faito.., Beno.., De-va.., Bouvigni... un autre
enfant
est en bonne voie pour la lecture courante : Ilzi
e pour la lecture courante : Ilzikowitz. — Améliorés pour la parole 4
enfants
: Chai.., Itzikovi.., Le-Bih.., Pard... Les enf
our la parole 4 enfants : Chai.., Itzikovi.., Le-Bih.., Pard... Les
enfants
: Oott.., Charme.., Mill.., Lemait.., Desser-tai..
s progrès scolaires notables. Ont continué également à progresser les
enfants
: Jes.., Couria.., Mich... Gavar., Beauti.., Marc
.. On trouvera plus loin (p. ] à 136) une série de Noti-ces sur les
enfants
améliorés à la petite école supplé-mentaire. No
prononcer sur Yincurabilité et partant le degré cl' èducabilité des
enfants
idiots et insisté sur la nécessité de continuer l
s difficultés au lieu de les accumler et en moins d'un an cinq de nos
enfants
sont arrivés àla lecture courante, résultat que n
me pour nos élèves les mieux doués un minimum de deux ans. Les cinq
enfants
lisant couramment àla fin de l'an- née 1905 son
ur place sans résultat appré-ciable : Pard.., Yse.., Le Bih... III.
Enfants
propres et val Ides, imbéciles, arriérés instable
population de cette école, con-fiée à des instituteurs, était de 129
enfants
au Ie''jan-vier 1905. Tous, sauf 16 qui ne peuven
ne et restent les autres jours, le matin et le soir, à l'atelier. Les
enfants
non pourvus du certificat d'études sont répartis
s du certificat d'études sont répartis en 4 classes (47, 22, 26 et 34
enfants
). Aux examens du certificat d'études, qui ont eu
s du certificat d'études, qui ont eu lieu à Villejuif le 24 mars, six
enfants
ont subi les épreuves avec succès (1). Cette an
Vallée), afin d'être mieux en mesure d'améliorer la prononciation des
enfants
et de développer leur parole, ont été envoyés suc
nous seconder sérieusement dans le traitement médico-pédagogique des
enfants
de notre service. Aux instituteurs et aux surve
inconvénients de l'absence des instituteurs pendant les vacances. Les
enfants
, eux, restent à l'Asile-École, n'ayant plus que d
ne sorte de stage pour se ren-dre aptes à être de bons éducateurs des
enfants
anor-maux, le jour, qui semble se préparer, où l'
de nos relations ce qui devrait être fait pour tous les pédagogues d'
enfants
anormaux Nous avons des idiots sourds et muets, d
ersonnel enseignant. Les péda-gogues de chacun des groupes spéciaux d'
enfants
anormaux profiteraient, croyons-nous, de leur pas
n des obstacles qui s'opposent à la création de sections spé-ciales d'
enfants
, annexées aux asiles, ou à la création d'asiles-é
istent dans leur établissement. Voici quelques notes concernant les
enfants
de la Grande-école : Epilepsie, arriération int
e remonte à 3 ans et au-delà, à. la suite d'une peur. A son entrée, l'
enfant
avait perdu en grande partie le fruit de ses étud
ée. Malgré une distraction continue et un grand besoin de bavarder, l'
enfant
s'est remisa étudier; il a montré beau-coup de bo
aut, à la gymnastique. Amé-lioration sensible et n'était ses accès, l'
enfant
pourrait être rendu à la vie civile. Imbécillit
osition pour le. travail manuel. L'instituteur se basant sur ce que l'
enfant
n'était pas trop en retard quoique ayant peu de m
émulation et quoique sans grand espoir il le présenta à l'examen où l'
enfant
réussit. Depuis il a pris grand goût à l'étude, d
n est content de lui. Imbécillité. — Copp.., Agé de 13 ans 1/2. Cet
enfant
est entré le 22 juin 1901, ne sachant à peu près
— En juin 1903, la lecture est courante, l'écriture est régulière. L'
enfant
l'ait des résumés de leçons de choses et unit d'a
actère, remuant et turbulent, méchant avec ses camarades. 1901. — L'
enfant
apprend les syllabes simples et directes. Très ta
iale-ment pour le garder, tellement il est insupportable. 1902. — L'
enfant
commence à écrire des barres, des lettres, des ch
e conduit mal et promet de mieux faire. 1904. — En novembre 1903, l'
enfant
est repris par ses parents. Réintégré au mois de
tégré au mois de juillet parce qu'il a frappé sa mère et son frère. L'
enfant
lit et écrit de petites phrases et fait des addit
bre de ces notices sommaires. L'idéal serait d'en donner sur tous les
enfants
; mais temps, aides et crédit nous font défaut. No
ns une proportion variable. Par exemple, au lieu de faire faire à ces
enfants
des exercices de gymnastiques prolongés, comme à
squ'il s'agit de malades, soient bien au courant de l'état mental des
enfants
. C'est pourquoi aussi nous avons insisté sur la n
stituteurs doivent lire les certificats médicaux qui accompagnent les
enfants
à l'entrée pour en vérifier les dires. Ils doiven
puis lo 1er janvier 1895. De même que les années précédentes tous les
enfants
susceptibles de profiter de cet enseignement y on
nts susceptibles de profiter de cet enseignement y ont pris part. Les
enfants
de la petite école au nombre d'une centaine,, éco
s obtenus. Classe de solfège et de théorie musicale. — Vingt-quatre
enfants
, dont quinze de la petite école et neuf de l'écol
Bon-net ont pris part aux leçons de solfège et sur ce nombre, quinze
enfants
savent lire la musique sur la portée, connais-sen
/8 et 2/8. Voici la manière très pratique pour faire comprendre aux
enfants
la durée d'une note de musique. (Complément du pe
r —— de 1/2 temps. Longueur •— de 1/4 temps. Avec ces longueurs l'
enfant
se rend plus facilement compte de la durée d'une
ment parce que les détails prendraient trop de place. Fanfare. — 22
enfants
font partie do la fanfare, 11 exécutants, 11 élèv
nfants font partie do la fanfare, 11 exécutants, 11 élèves, 3 anciens
enfants
passés aux adultes; Lefranc... à la 5° 3°, Lestié
à la 5e 1°, Cuizi... à la 5° 2°, et 11 administrés, dont deux anciens
enfants
Colombi... et Picar.... Colombi... est très utile
fants Colombi... et Picar.... Colombi... est très utile, il prend les
enfants
deux fois par semaine, le vendredi soir pendant l
exercices de gymnastique, fait défiler à la fin de ces exercices les
enfants
aux sons d'une marche, participe au Concert Lionn
s. Le mardi gras et à la mi-carême la fanfare précède le défilé des
enfants
déguisés dans les cours de l'établissement et à l
e pour achat de déguisements. Concerts et bals font grand plaisir aux
enfants
et à leurs parents qui sont autorisés à y assiste
ongtemps. En résumé, ces concerts sont organisés sans frais par les
enfants
, qui font eux-mêmes les décors et les programmes,
mément à nos instructions il s'est occupé successive-ment de tous les
enfants
en mesure de profiter de cet enseignement. Voici
de dessin d'art est également suivi par les élèves du second groupe,
enfants
qui dessinent d'ajDrès nature des plâtres, représ
utes et des obli-ques parallèles. Il s'agit là de la -préparation des
enfants
à l'écriture d'après Séguin, et l'Alphabet du des
groupe que nous a remise le professeur : 1er groupe (comprenant les
enfants
les plus arriérés). — Exercices d'assouplissement
n comptant et sont précédés d'un massage. 3e groupe (comprenant les
enfants
les plus avancés).— Ce groupe exécute les exerc
est acquitté avec beaucoup de zèle et de douceur de ses fonctions. 85
enfants
participent, à des degrés divers, à cet enseignem
de Mme Colin. — Par contre 12 volumes ont été mis hors d'état par les
enfants
pendant des accès, ce qui porte à 645 le nombre d
ccès, ce qui porte à 645 le nombre des volumes de la bibliothèque des
enfants
. Le Ie1' janvier 1905, le nombre de vues pour pro
résultats, plus d'améliorations et de guérisons, il faudrait que les
enfants
soient rigoureusement occupés ou distraits du lev
urraient avoir leur congé sans qu'il en résulte un préjudice pour les
enfants
. En effet, tandis que dans les lycées, les écoles
, à l'asile-ëcole de Bicêtre, comme dans les services ana-logues, les
enfants
, eux, restent. L'organisation de nos écoles off
les instituteurs n'avaient qu'un mois de a'acances. Oubliant que les
enfants
sont toujours pré-sents, n'ont pas de vacances, q
qu'il y aurait à faire créer des instituteurs et des institutrices d'
enfants
anormaux, qui iraient passer un certain temps dan
eurs et aux institutrices de bonne volonté, désireux de connaître les
enfants
anormaux, puisque les ressources semblent faire d
r des bourses spéciales en vue de l'enseignement de la péda-gogie des
enfants
anormaux. Les quelques semaines qu'ils séjournera
urneraient dans nos écoles ne seraient cer-tainement pas perdues, les
enfants
normaux en tire-raient profit et ils seraient mie
ux en tire-raient profit et ils seraient mieux à môme de recruter les
enfants
arriérés pour les classes ou les écoles d'en-seig
ne hostilité contre l'organisation que nous avons créée en faveur des
enfants
idiots, alors que les enfants normaux ne disposai
tion que nous avons créée en faveur des enfants idiots, alors que les
enfants
normaux ne disposaient pas d'avantages semblables
nos moyens d'action. A leurs yeux, nous avons trop fait pour de tels
enfants
. Leurs visites à l'asile-écolo de Bicêtre devraie
çon du tableau roulant dont nous avons parlé souvent. Il rappelle aux
enfants
qu'ils ont assisté au labourage du champ, aux sem
scrime, d'atelier, nous avons toujours essayé de faire participer les
enfants
aux corvées de tout genre : salubrité, nettoyage
ns la mesure que comporte le défaut d'-entretien des bâtiments. Des
enfants
accompagnent les infirmiers à la cui- (1) Voir
illeurs, ont fait un service défectueux, ne portent aucun intérêt aux
enfants
, il y aurait là encore matière à des leçons de ch
ons de choses. En tout cas, ces courses sont une distraction pour les
enfants
qui se sentent plus libres. Quelques enfants, a
e distraction pour les enfants qui se sentent plus libres. Quelques
enfants
, avec notre autorisation, et de; bonne volonté, r
de se ren-dre utiles aux personnes qui leur sont dévouées. Plus les
enfants
sont occupés, plus leurs occupations sont variées
enseignement par les projections est très com-plexe. Il sert pour les
enfants
de toutes les catégories : 1° pour les enfants id
lexe. Il sert pour les enfants de toutes les catégories : 1° pour les
enfants
idiots profonds à fixer l'attention (images blanc
à reconnaître les objets, les animaux (images graduées) ; 3° Pour les
enfants
imbéciles, arriérés et épileptiques, à faire tous
et les écoles. Ces vues servent aux conférences du jeudi faites aux
enfants
les moins malades, aux visites du samedi, jour où
s tics, des manies, s'opposer aux pratiques solitaires. Pour tous les
enfants
, et en particulier pour les imbéciles intel-lectu
à nos auxiliaires, pédagogues et infirmiers, qu'ils ont affaire à des
enfants
malades, relevant du traitement médico-pédagogiqu
, relevant du traitement médico-pédagogique, envers lesquels et comme
enfants
, et comme malades, ils doivent se montrer bienvei
ils doivent se montrer bienveillants et affectueux, et non pas à des
enfants
vicieux, dont la place, serait, disent certains a
u'aux visites des Commissions officielles, nous essayons montrant les
enfants
, de mettre en relief les résultats obtenus, nous
ue nous enregistrons, c'est l'onanisme relevé comme fréquent chez les
enfants
. Pour y remédier, nous intervenons sans cesse aup
les enfants. Pour y remédier, nous intervenons sans cesse auprès des
enfants
, nous recommandons aux instituteurs de veiller à
s enfants, nous recommandons aux instituteurs de veiller à ce que les
enfants
soient toujours accompa-gnés des infirmiers de cl
leur pantalon, aux infirmiers et infirmières do veille d'empêcher les
enfants
de se coucher sur le ventre. Malheureusement, soi
concours indispensable (2). (1) Pour faciliter la surveillance des
enfants
aux cabinets d'ai-sances nous avons fait disposer
écessité de se conformer à nos indications, nous citons l'exemple deu
enfants
dont l'état mental est dû surtout aux habitudes s
tte surveillance comme impudique. Promenades et distractions. — Les
enfants
de la grande et ceux de la petite école qui sont
es insti-tutrices doivent donner des leçons de choses et exer-cer les
enfants
aux différents jeux en plein air (jeu de balles,
ipaux théâtres et concerts de Paris ont prêté leur concours. Tous les
enfants
valides de Bicêtre et de la Fondation Vallée y on
é. — Les familles sont admises seulement aux fêtes organisées par les
enfants
. Les enfants ont encore bénéficié de plusieurs
es sont admises seulement aux fêtes organisées par les enfants. Les
enfants
ont encore bénéficié de plusieurs repré-sentation
mmes recueillies depuis 1892 s'élève à 2.383 fr. 10. Visites. — Les
enfants
ont reçu 7.800 visites : les visiteurs ont été au
des accès épileptiques. De plus, les parents donnent de l'argent aux
enfants
, autre abus qui est une source d'ennuis pour tout
et la revaccination de tous les malades entrés durant l'année et des
enfants
dont la revaccination remonte à 6 ou 7 ans. Comme
ait de remédier aux nombreuses défectuosités de la dentition chez nos
enfants
et aussi d'avoir, chaque année, une note, prise p
te, prise par un homme compétent, sur l'évolution de la dentition des
enfants
anormaux. Bains et hydrothérajoie. — Les bains
e passent de commentaires. Nous for-mulons le vœu, dans l'intérêt des
enfants
, que l'Ad-ministration se préoccupe sérieusement
es, pour permettre d'administrer des dou-ches, été comme hiver, à ces
enfants
invalides, sans être obligé de les porter au serv
rt. Souhaitons qu'elle soit utilisée régulièrement dans l'intérêt des
enfants
! Visites. — La section a été visitée en 1905,
rmoise, Mme la confesse de Turenne avec le père et la grand-mère d'un
enfant
. M. Tounot, lieutenant instructeur, à Joinville
e psy-chiatrie (Prague). Le 12 mars la commission ministérielle des
Enfants
anormaux a visité le service. Cette commission ét
e très grande de montrer, non seulement l'organisation du service des
enfants
, mais encore son fonctionnement médico-jjédagogiq
beaucoup d'entre (1) Voir: Bourneville, Histoire de la section des
enfants
de Bicêlve. eux les arguments qui militent en f
n faveur de l'hos-pitalisation et de l'éducation de cette catégorie d'
enfants
anormauxetles convaincre de lapossibilité de les
es........................ 450 Cerveaux d'idiots et d'épileptiqucs (
enfants
et adultes )............................... 560
'ils apportent chaque jour à donner Y instruction-professionnelle aux
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'il
ier de l'A. P., etc.. etc., Programmes pour les fêtes données par les
enfants
. Tel est le résumé do l'enseignement profession
cole d'Àlembert à Monté-vrain, par exemple, où les apprentis sont des
enfants
normaux, sains de corps et d'esprit, et même choi
u de sourds-muets. Nos apprentis, à Bicêtre, sont non seulement des
enfants
anormaux, mais encore des enfants malades : quand
, à Bicêtre, sont non seulement des enfants anormaux, mais encore des
enfants
malades : quand ils ont, les uns des accès épilep
'ils ont des accès, le travail est momentanément suspendu; les autres
enfants
sont distraits et le chef d'atelier est obligé, l
ter leurs ressources immédiatement), plus que par l'inté-rêt de leurs
enfants
. D'autres de nos apprentis, insuf-fisamment améli
ivement, après avoir douté de la possi-bilité de faire travailler les
enfants
idiots, arriérés et épileptiques, et avoir protes
n apprenti sont occupés, par exemple, à réparer une porte, les autres
enfants
n'ont plus de guide et ne s'instruisent pas. No
l et non le produit lui-même, bien qu'il ne soit pas à dédaigner. Les
enfants
eux-mêmes sont heureux devoir que leur travail es
pre leur apprentissage et de ne pas perdre le bénéfice du travail des
enfants
. Nous renouvelons notre récla-mation. Jamais il n
d'interruption dans les occupations scolaires ou professionnelles des
enfants
. III. Statistique. Mouvement de la Population
Population. Le premier janvier 1905, il y avait dans le service 443
enfants
se décomposant ainsi : 426 enfants idiots, imbéci
05, il y avait dans le service 443 enfants se décomposant ainsi : 426
enfants
idiots, imbéciles ou épileptiques, dits aliénés e
istinction, qui s'applique aux épileptiques adultes aussi bien qu'aux
enfants
, est purement administrative et il est difficile
étaient tourneurs; 12 étaient sauteurs et 28 étaient grimpeurs. Un
enfant
était atteint d'hémimélie ; 2 de poly-dactylie, 3
ent de la population ne fournissent pas une idée exacte du nombre des
enfants
anormaux intellectuels et moraux. Il serait à sou
at. Passé aux adultes, 5me 2mo, le 25 avril. Môme état. Rendu aux
enfants
assistés, le 25 avril. Amélioration très notable.
as besoin de nous, ne se rendent pas à notre convocation. Parmi les
enfants
sortis, il en est qui sont enlevés prématurément
— Trois évasions ont eu lieu dans le cou-rant de l'année, celles des
enfants
Rém..., Guér.., et Séa... Aucune de ces évasions
ture à l'entrée, durant les cinq pre-miers jours (1) pour savoir si l'
enfant
n'est pas sous le coup d'une affection aiguë, con
une affection aiguë, contagieuse ou non. (1) A l'entrée de tous les
enfants
, aussi bien à la Fondation Val-lée qu'à Bicêtre,
, sans complications ; 1 cas de d'érysipèle, 1 de scarlatine. Enfin 8
enfants
ont été soignés pour angine et 7 pour conjonctivi
ul malade atteint de cette affection. Maladies intercurrentes. — 11
enfants
ont été atteints d'état de mal épileptique ; — 45
accès successifs ; — 1 de série de vertiges ; — 1 de secousses ; —? 2
enfants
ont été soignés pour broncho-pneumonie ; — 3 pour
sonnes se sont présentées : 367pour renseignements sur le placement d'
enfants
arriérés ; — 248 pour maladies diverses ; — 243 p
nt leur rentrée dans l'Assistance ; — 172 pour renseignements sur les
enfants
du service présents ou en congé. La partie la p
la plus intéressante de notre consultation est cello qui concerne les
enfants
nerveux et arriérés. Pour ceux d'entre eux que le
indications et souvent nous admi-nistrons la première douche, que les
enfants
acceptent en général très bien après avoir vu que
que les enfants acceptent en général très bien après avoir vu que nos
enfants
la prennent'sans résistance (Imitation). En maint
n ati31 décembre 1905.—Il y avait à cette époque dans le service -438
enfants
, se décomposant ainsi : 419 enfants idiots, imbéc
cette époque dans le service -438 enfants, se décomposant ainsi : 419
enfants
idiots, imbéciles ou épilepliques, dits aliénés e
tants idiots sont tour-neurs; 9 sont sauteurs ; 26 sont grimpeurs. Un
enfant
est atteint d'hémimélie; 2 de jiolydactylie ; 2 d
r faire dos réparations dans les salles. Ils inter-viennent quand les
enfants
ont des querelles, des impulsions, des accès, pou
et. Mlle Jamouille pour les notes sur les malades de l'infirmerie des
enfants
. Section II : Fondation Vallée Histoire du se
nement primaire. La Fondation Vallée, par les diverses catégories d'
enfants
qu'elle reçoit, ne correspond pas à la colonie de
tiques, ni gâteuses, mais est tout à fait compararable au service des
enfants
de Bicêtre, où nous recevons, en outre des épilep
en outre des épileptiques et des hystériques, toutes les catégories d'
enfants
idiots, ainsi que des enfants ou des adoles-cente
es hystériques, toutes les catégories d'enfants idiots, ainsi que des
enfants
ou des adoles-centes atteintes d'imbécillité mora
nctives. Nous avons, à la Fondation, deux groupes principaux : Io les
enfants
idiotes gâteuses, valides ou non ; —? 2° les enfa
ncipaux : Io les enfants idiotes gâteuses, valides ou non ; —? 2° les
enfants
propres valides, — et dans les deux groupes, des
ants propres valides, — et dans les deux groupes, des épileptiques.
Enfants
idiotes et gâteuses. — Elles étaient au nombre de
orts. Les idiotes galeuses se divisent en deux catégo-ries : a) les
enfants
valides qui sont envoyées à l'école durant une pa
qui sont envoyées à l'école durant une partie de la journée; — b) les
enfants
inva-lides, qui séjournent dans le sous-sol. Ce s
beaucoup de médecins doutent encore delà possibilité d'améliorer les
enfants
idiots. Chaque année nous donnons une notice som-
diots. Chaque année nous donnons une notice som-maire non pas sur les
enfants
imbéciles, considérés naturellement comme plus am
lus profondément atteints. h''amélioration notable acquise chez ces
enfants
atteintes d'idiotie complète, d'idiotie profonde
enir, à plus forte raison, des résultats plus considérables, chez des
enfants
moins malades, imbé-ciles et arriérés. Nous pourr
u'il y avait des doutes, nous avons publié de petites notices sur nos
enfants
non pas absolument guéries — assertion présompt
es notices nous en avons augmenté progressivement lo nombre (1). 2°
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiques, etc., Valides.
t à la Fondation. L'idéal que nous poursuivons consiste à occuper les
enfants
du matin jusqu'au soir, en variant le plus possib
mêmes doivent contribuer à leur éducation. Au lever, on apprend aux
enfants
à faire leur toilette, leur lit, h nettoyer leur
leur dortoir, à brosser leurs vête-ments. Aux repas, on surveille les
enfants
qui savent manger seules et on corrige leurs mauv
digérés, qu'elles ne contiennent ni vers, ni corps étrangers. Sur 237
enfants
présentes à la fin de l'année, 70 savent se servi
ge des lèvres, etc., continuent à être employés contre la bave. 220
enfants
ont fréquenté l'école et ont été exercées à la gy
t ont été exercées à la gymnastique des échelles et des ressorts ; 85
enfants
participent aux exercices de la grande gymnastiqu
ports sexuels durant les congés, de comparer avec l'état génital de l'
enfant
à son arrivée et de garantir l'Administration con
ément à nos instructions, il s'est occupé succes-sivement de tous les
enfants
, en mesure de profiter do cet enseignement. « 4
ohain, surveillante. Enseignement professionnel. — A mesure que les
enfants
se développent, on leur apprend tous les soins du
aine des moins arriérées aident le personnel à apprendre à manger aux
enfants
incapables de manger seules et à perfectionner ce
illent par séries régulières, 35 ont travaillé une heure par jour ; 3
enfants
savent faire complètement les layettes ; 12 du cr
du travail. Visites, permissions de sorties, congés d'essai. — Les
enfants
ont reçu 2.908 visites; les visiteurs ont été au
témoignent de la sollicitude des familles envers leurs malheu-reuses
enfants
. Il semble que, se rendant compte de la responsab
à accorder des congés de plus de cinq jours, parce que le séjour des
enfants
dans leurs familles se prolongeant, il est moins
er aux familles qu'elles ne doivent pas, dans l'intérêt même de leurs
enfants
, dépasser la durée des congés accordée. La Comm
semaine, soit dans les communes voisines, soit à Paris. Le nombre des
enfants
qui prennent part à ces prome-nades, avec leçons
rvenu des inconvénients de la présence simultanée à ces réu-nions des
enfants
des deux sexes., les petites filles clo la Fondat
nnel de Vallée remettent un peu d'argent pour accroitre la caisse des
enfants
. Les dépenses consistent en achat d'étoffes, tein
res, fleurs, musiciens, etc.. Los costumes sont confectionnés par les
enfants
elles-mêmes sous la direction de la maîtresse de
ntes réparations aux cheminées et aux calorifères. Teigne. —? Trois
enfants
ont été soignées pour la teigne au pavillon d'iso
ne pour la rougeole, 6 pour varicelle. Maladies intercurrentes. — 8
enfants
ont été soi-gnées à l'Infirmerie pour abcès; 5 po
affaiblissement général; 210 pour purgations. Glande thyroïde. — 33
enfants
ont été soumises à la médication thyroïdienne : 6
ncipalement pour les petites gâteuses et pour les filles pubères. Les
enfants
pren-nent leurs douches à la Fondation; ce n'est
recommandons à notre personnel de surveiller avec soin la bouche des
enfants
, de nous signaler les lésions des lèvres, des gen
elles peuvent être l'occasion de tics de la face; de nous montrer les
enfants
qui bavent (massage des lèvres, électrisation), d
fants qui bavent (massage des lèvres, électrisation), d'apprendre aux
enfants
à se gargariser, ce qui facilite notre tâche en c
nces, des accidents tuberculeux. Nul doute pour nous que si, chez les
enfants
et les adolescents menacés de tuberculose, Bour
à la Fondation Vallée 230 entants se répartissant ainsi : Parmi ces
enfants
on peut on compter 10 atteintes de perversité à u
le de la hanche; 1 est atteinte de coxalgie; 8 ont de la scoliose; 16
enfants
présentent des défor-mations des orteils; 12 enfa
la scoliose; 16 enfants présentent des défor-mations des orteils; 12
enfants
sont atteintes de per-versité à un degré assez pr
tion au 31 décembre. — Il restait à la Fon-dation, le 31 décembre 237
enfants
, se décomposant ainsi : Epilcptiques...........
gâteuses et hémiplégiques; 22 épilep-tiques imbéciles. Sur les 237
enfants
qui existent à la Fondation; 70 savent se servir
re elles : Soub..., Chap..., Baul..., Saun..., Rigol..., Lemb... 10
enfants
ont appris à lire couramment ; Léont..., Gorr..,
d'institutrices, comme il convient dans un asile-école consacré à des
enfants
idiotes, imbéciles, arriérées, épileptiques, etc.
permissions de sortie, en 1905, ont fourni 1.311 journées d'absence d'
enfants
. Le prix de journée étant de 2 fr. 20 payées par
de................ 2.884 fr. 20 h'évaluation du travail manuel des
enfants
(Blanchissage, repassage, ouvroir) a réalisé une
340 fr. 40 Le traitement du gâtisme, pour le placement régulier des
enfants
sur le siège, a réalisé une économie de . . 475 f
25 24 228 246 pour les chemises et les draps par la pose des
enfants
sur les sièges, au milieu de la nuit et au lever.
tableau ci-dessus résume la situation des pères et mères de tous ces
enfants
sous le rapport des excès alcooliques et permet d
bable chez 122 malades, soit, si nous comptons ces derniers, 13 0/0 d'
enfants
conçus dans l'ivresse, non compris les 538 sur le
et 92 garçons) nous voyons : 1° Que ces 150 familles ont fourni 675
enfants
, soit près de 5 enfants par famille ; 2° Que su
ns : 1° Que ces 150 familles ont fourni 675 enfants, soit près de 5
enfants
par famille ; 2° Que sur ces 707 enfants, 351 s
75 enfants, soit près de 5 enfants par famille ; 2° Que sur ces 707
enfants
, 351 sont décédés, soit une mortalité de 50 0/0.
une mortalité de 50 0/0. Si aux 351 décédés, nous ajoutons les 156
enfants
idiots, épileptiques, etc., nous voyons que 70 0/
156 enfants idiots, épileptiques, etc., nous voyons que 70 0/0 de ces
enfants
sont mortellement ou gravement impression-nés par
Le tableau suivant montre les affections auxquel-les ont succombé les
enfants
: Fausses-couches......................... 57
es diverses et inconnues............ 55 3 01 PROFESSION. NOMBRE
ENFANTS
NOMS. des " Observations. du père. de la mère
Mère sur cuivre. excès de boisson. Belthoi.......... Peintre » 7
enfants
morts en bas-âge N. m., imbécile. Père excès de
oonvuls. de l'enfance. boisson. N- m., idiote. PROFESSION NOMBRE
ENFANTS
NOMS. ——^—————. DES ~"_"~—————————————— OBSERVA
. m., Epileptique. Baut............ Matelassier. Matelassière. 11 3
enfants
morts de convul- 1 Garçon et une Fille très Père
» en bâtiments. 1 1 g', mort de convulsions. | PROFESSION NOMBRE
ENFANTS
NOMS. •——————-——DEg ——————————————— Observation
umérer, sur la morbidité et la production des mala-dies nerveuses des
enfants
, on ne doit pas oublier qu'un autre facteur, plus
s voyons néanmoins que sur ce nombre. 1° 46 familles ont fourni 163
enfants
, soit plus de 3 enfants par famille. 2° Que sur
ur ce nombre. 1° 46 familles ont fourni 163 enfants, soit plus de 3
enfants
par famille. 2° Que sur ces 163 enfants, 61 son
163 enfants, soit plus de 3 enfants par famille. 2° Que sur ces 163
enfants
, 61 sont décédés, soit 37,%. 3° Si aux décédés
oute les 46 idiots, épilep-tiques, etc., on voit que 65, 6"/0, de ces
enfants
sont mortellement ou gravement atteints. Au poi
Le tableau suivant montre les affections auxquel-les ont succombé les
enfants
: Méningite................................. 12
Il ressort de cette statistique, qu'en.treYenfant épi-lej)tique et l'
enfant
non épileptique, l'avantage, au point de vue de l
n faveur du dernier 12, °/, 6 pour 5, 4 °/0 chez le premier. Age.
Enfants
idiots imbéciles ép1leptiquks. Enfants idiots
chez le premier. Age. Enfants idiots imbéciles ép1leptiquks.
Enfants
idiots imbéciles non épilepti- ques. Totaux
statisticpue de l'an dernier. Age. _nfnnts au-dessous de 2 ans.
Enfants
de 2 ans. de 3 de 4 de 5 de 6 de 7 de 8 de 9 de
de 4 de 5 de 6 de 7 de 8 de 9 de 10 de 11 de 12 de 13 de 14 rie 15
Enfants
de 16 à 20 ans. de 21 à 25 Totaux. nombre.
2 30 Si nous ajoutons aux 709 crânes que renferme notre musée (
enfants
ou adultes) les 32 décédés de 1905, nous ne trouv
ans. Statistique sur la persistance ou l'absence du thymus chez les
enfants
anormaux ; Pah BOURNEVILLE. En 1899 (1) nous
OURNEVILLE. En 1899 (1) nous avions établi la comparaison entre les
enfants
normaux et les enfants anormaux, au point de vue
1) nous avions établi la comparaison entre les enfants normaux et les
enfants
anormaux, au point de vue do la persistance ou de
sur notre invitation, procéder aux mêmesrecherches sur le thymus des
enfants
répu-tés normaux et nous fournir le résultat de s
le résultat de ses recher-ches. La statistique des cas relatifs aux
enfants
normaux n'en comprenait malheureusement que 61, t
normaux n'en comprenait malheureusement que 61, tandis que celle des
enfants
anormaux portait sur 292 cas ; d'un autre côté la
nts anormaux portait sur 292 cas ; d'un autre côté la statistique des
enfants
normaux avait trait à des enfants au-dessous, com
d'un autre côté la statistique des enfants normaux avait trait à des
enfants
au-dessous, comme âge, du chiffre le plus bas des
Nous complétons cette année notre statistique de 1904 concernant nos
enfants
anormaux. (1) Compte-vendu de 1899, p. 164. T
ence existant entre Venfant idiot, imbé-cile, etc., epileptique, et l'
enfant
idiot) imbécile) etc., non epileptique. Le ta
'après le tableau A, nous trou-vons une moyenne de 23. 3 0/0 pour les
enfants
idiots, imbéciles, etc., mais épjleptiques, et un
erait indiquer que le thymus clisparait relativement plus vite chez l'
enfant
idiot épileptiqtje. Au point de vue du poids ce
et celui de la glande thyroïde. Thymus et glande thyroïde chez les
enfants
anormaux ; Par bournev1lle. Noms. Sexe. A
s'est compliquée d'épilep-sie. D'où il suit que plus de la moitié des
enfants
hémiplégiques sont menacés de devenir épileptique
gauc gauc gauc gauc droit droit droit gauc droit
Enfant
assisté. Hémiparésie. Hémiparésie. Enfant ass
droit gauc droit Enfant assisté. Hémiparésie. Hémiparésie.
Enfant
assisté. Hémiparésie. Hémiparésie. Ces tabl
. Qris 13 — » » » 1 » 10 ans droit. jüer12 ans » » 1 » » » droit.
Enfant
assistée Mot.;;;!*.;;'..;.....14 ans » ? i » »
roit. Enfant assistée Mot.;;;!*.;;'..;.....14 ans » ? i » » » gauc.
Enfant
assistée Pich............... 12 ans » » » 1 » »
miplégie............ 1 » — méningitique............ 1 1 Folie des
enfants
, manie, excita-tion maniaque, délire de persé-cut
, n'exerce aucune action sur la production des maladies nerveuses des
enfants
. inégalité de poids des hémisphères céré-braux
80 70 Égaux Égaux 60 60 65 70 (1) Quatre cerveaux (ceux des
enfants
Ley.., Langl.., Lois.. et Escof.. n'out pas été s
rveau. Différence 4 7 15 5 10 15 g. Section IV. — Les
enfants
anormaux au point de vue intellectuel et moral;
endant bien longtemps, les médecins ont été les seuls à s'occuper des
enfants
atteints plus ou moins profondé-ment dans leurs f
Fondation Vallée où il y a 235 filles, établissements, consacrés aux
enfants
indigents de Paris et de la Seine, sans compter Y
ompter Y Institut médico-pédagogique de Vitry-sur-Seine, consacré,aux
enfants
arriérés, nerveux, amoraux, appartenant auxfamill
re de l'Instruction publique à nommer une grande Commission, dite des
enfants
anormaux, chargée d'étudier les réformes que comp
de Roy an, septembre 1905. l'instruction peut être appliquée à ces
enfants
déshérités. Cette Commission, présidée par M. Léo
détails en raison de son caractère d'actualité. Classification des
enfants
anormaux. — Laissant de côté les aveugles, les so
duca-teurs. A l'Institut médico-pédagogique et hBicêtre, l'état des
enfants
à l'entrée, autrement dit le diagnostic, est posé
dico-pédagogiques que nous avons rédigées pour eux. Statistique des
enfants
anormaux (1). — Pour la France, l'enquête que nou
es de province, nous a montré qu'à cette date le total général de ces
enfants
, y compris les épileptiques, était de 1206. Nous
, nous avons résumé tous les documents possibles sur la situation des
enfants
idiots dans tous les pays. Ils ont été complétés
, soit intellectuellement? Ne doivent pas figu-rer dans ce compte les
enfants
dont l'instruction a été retardée par suite de ca
leur état phy-sique et moral. » Situation faite actuel lem ent aux
enfants
anormaux en France. — De notre enquête personnell
, presque rien n'est l'ait pour le traitement médico-pédago-gique des
enfants
idiots de toute classe. Signalons les projets d
ron(Rhône)(1),projets qui dénotent un mouvement sérieux en faveur des
enfants
anormaux intellectuels et moraux (2). Réformes
sur deux points : 1° Assistance et traitement médico-pédagogique des
enfants
les plus malades, dans les asiles-écoles ;—• 2° O
s (1) On nous a annoncé qu'il était question de créer une section d'
enfants
idiots, arriérés et épilcpl iques, à l'asile dépa
blique. 11 n'y a pas une commune importante qui n'ait un ou plusieurs
enfants
suscep-tibles d'être améliorés, s'il y avait pour
ar-tement un asile-école. Nous pourrions invoquer Hoyan, où existe un
enfant
arriéré au sujet duquel l'honorable M. liartiie n
es de la Seine étant insullisauls pour traiter et éduquer ses propres
enfants
, c'est à l'asilc-écolc de l'Asile départemen-tal
oit être placé. {i) liourncvillc. — Slnlislit/ueel enseignement des
enfants
idiols el éjtitept'unies intentés dans les asile
s asile d'aliénés. — l'aris, 1!105. d'enseignement spécial pour les
enfants
les moins mala-des. Les asiles-écoles reçoivent
s-écoles reçoivent les idiots, les imbéciles à un degré prononcé, les
enfants
pervers, atteints d'alié-nation mentale ou d'épil
ère de l'Instruction publique s'occupe maintenant, sont destinées aux
enfants
les moins malades, c'est-à-dire ceux atteints d'i
y ait chez eux ni épilepsie, ni perver-sion des instincts, enfin, les
enfants
améliorés des asiles-écoles. Si ce programme étai
tténuerait les dépenses, on rendrait service à un plus grand nombre d'
enfants
, on réaliserait une réforme vraiment républi-cain
une semblable idée, il ne faut pas avoir la moindre expérience de ces
enfants
, ignorer le fonctionnement des services qui leur
services qui leur sont consacrés. Il n'en est plus de même pour les
enfants
, malades eux aussi, mais à un moindre degré, qui
tre jour. Ce que doit être l'éducation des différentes catégories d'
enfants
anormaux. — Le traitement médico-pédagogi-que, po
des dents, de la déglutition ; mise régulière sur le siège. Dresser l'
enfant
à se nettoyer. c. Respiration et circulation :
hoses constantes qui permettent de se rendre compte de quelle façon l'
enfant
sait voir et entendre ; pro-voquer son initiative
es diverses). En géographie, partir du connu, de la classe où est l'
enfant
, de l'école dont elle fait partie, pour aller au
qu'aide et protection. § IV. — Education morale Ne donner à notre
enfant
malade que de bons exemples. L'habituer à savoir
ole, bonne tenue à table, soins de toilette, etc.). Nombreux sont les
enfants
qui, d'idiots profonds, sont progressivement deve
disent certains psy-chologues qui n'ont aucune pratique, et pour les
enfants
moins malades, imbéciles ou arriérés. Nous l'av
ne. C'est donc avec raison qu'on accepte à Paris, dans les services d'
enfants
idiots, des malades âgés seulement de 2 ans et mô
t méthodique. Nous avons eu à faire l'éducation de la main chez des
enfants
que l'on croyait être des arriérés peu atteints.
atteints. Précisons par un exemple : Supposons qu'il s'agisse, d'un
enfant
atteint d'imbécillité ou d'arriération intellec-t
on intellec-tuelle. Il faudra s'appuyer sur les notions que possède l'
enfant
, les perfectionner, s'en servir pour lui en faire
édés appro-priés, laissant de côté-ceux des procédés employés pour un
enfant
plus malade \idinlie complète, idiotie pro-fonde)
t les instables. On pourrait désigner sous le nom d'indisciplinés les
enfants
qui, consécutivement à un état névropathique, con
sée et discutée au Congrès de Liège et qui était ainsi conçue : Les
enfants
indisciplinés. Comment ils doivent être traités.
ils doivent être traités. Ce que doit être l'éducation à donner à ces
enfants
. Ce que doit être Vorganisation des établisse-men
Ce que doit être Vorganisation des établisse-ments spéciaux pour les
enfants
indisciplinés. * Tous les anormaux, intellect
tics, de perversions des instincts. Mesures à prendre en faveur des
enfants
anormaux. — I. h'incurabilité ne peut être déclar
ée, la Salpêtrière l'Institut médico-pédagogique (h, etc., pour les
enfants
atteints d'idiotie au premier et au second degré,
our les enfants atteints d'idiotie au premier et au second degré, les
enfants
atteints d'imbécillité intellectuelle, d'imbécill
s les Classes spéciales ou les Écoles d'enseignement spécial pour les
enfants
atteints : 1° d'imbécillité légère, d'arriération
et physique (sans perversion des instincts) : — 3° et aussi pour les
enfants
idiots et imbé-ciles qui auront été améliorés dan
ormés en imbéciles ou en arrié-rés . Coéducation des sexes pour les
enfants
jusqu'à 10 ans (?) sauf pour les enfants qui, en
éducation des sexes pour les enfants jusqu'à 10 ans (?) sauf pour les
enfants
qui, en raison de leurs instincts, de leurs impul
ons et de leur développement physique, seraient mieux placés avec les
enfants
plus âgés. Oc qui doit guider dans le classement,
sement, c'est moins l'âge que l'état mental, moral et physique. Les
enfants
tranquilles, malléables, disciplinés, de 10 à 12
e confiés à des femmes ; au-dessus, à des instituteurs. Pour tous ces
enfants
, qui res-tent dans une proportion variable au-des
de leur âge, l'influence de la femme est préférable. Protection des
enfants
anormaux. — Création de Socié-tés de Patronage co
trois premiers cités comme exemples d'établissements publics pour les
enfants
indigents, le dernier comme exemple d'établisseme
ts indigents, le dernier comme exemple d'établissement privé pour les
enfants
aisés. poids, taille, puberté, etc. — Nous écri
ne façon complète. Formation du personnel chargé de l'éducation des
enfants
anormaux ou indisciplinés. — Dans les asiles-écol
s '?), et sur-tout et plus longtemps dans un asile-école consacré aux
enfants
idiots de toutes catégories (I). Tel est, expos
xposé en un résumé peut-être trop condensé, l'état de la question des
enfants
anormaux. Nous aurons réalisé notre but, si nous
sées en dehors de la présence dupersonnel se-condaire et surtout de l'
enfant
quand il est en état decomprendre. ; Idiots, al
uées, criminels. Neurasthéniques, excentri- \ ques. Y a-t-il eu des
enfants
en correction ? Mère : mêmes renseignements.
u fœtus ; leur intensité, leur fréquence ; com-paraison avec ceux dés
enfants
antérieurs ou postérieurs. Persistance des règles
me, mode de présentation ; quantité des eaux de l'amnios. Etat de l'
enfant
à la naissance : asphyxie (blanche ou bleue, duré
on de la parole, de la marche, de la propreté : signes par lesquels l'
enfant
indique ses besoins. Alcoolisme de la nourrice
veux, Son mari, ses père et mère buvaient-ils. Motifs du retrait de l'
enfant
. Alimentation : administration de vin ou de liq
ns. Sentiments affectifs; impressionnabilité. Mauvaise entente de l'
enfant
avec son père et sa mère ; discussions, violences
degré d'ins-truction; aptitudes particulières. Resse?nbZa?ice de l'
enfant
; tient-il plus du père que de la mère au point de
s. — Parole. — Observation sur les change-ments ou non de l'état de l'
enfant
. HÉMIPLÉGIE : 1° Attitude des membres paralysés
fait faire un certain nombre de tableaux, les uns communs à tous les
enfants
, les autres spéciaux à certaines catégories d'ent
s faisons prendre, matin et soir, la tem-pérature rectale de tous les
enfants
qui entrent dans le ser-vice. Maintes fois, cette
ons prendre la température la veille et le matin et nous maintenons l'
enfant
s'il a de la fièvre. b) Tableau des mensuration
oivent établir le bilan, à l'entrée, des con-naissances scolaires des
enfants
. — Cahier scolaire, que nous avons institué dès n
és. Manie de briser. Manie de dire des mots grossiers. Acte des
enfants
qui mangent tou-tes sortes d'ordures, même les ex
Ceux qui ont pour cause l'absence on la faiblesse de l'idèation. L'
enfant
entend, mais ne parle pas, sans qu'il y ait lésio
ais ne parle pas, sans qu'il y ait lésion des organes phonateurs. L'
enfant
possède un certain nom-bre de vocables, mais n'em
ère, 3° Instructions aux infir-miers et infirmières de la section des
enfants
de Bicètre. Signes de la mort. Tous les ans,
secondaire des asiles publics et privés (1); 2° à la sta-tistique des
enfants
idiots et épileptiques internés dans les asiles e
groupe de renseignements montre qu'il y avait, à la fin de 1903, 1206
enfants
ou adolescents de (1) CommunicaUon au Congrès d
ospitalise, traite et édu-que à des degrés divers plus d'un millier d'
enfants
(Bi-cêtre 440); —* colonie de Vaucluse (250), pou
nts, de la création d'asiles ou de sections dépar-tementales pour les
enfants
idiots de toutes catégories, les paralytiques et
vons fait campagne pour l'assis-tance, le traitement, l'éducation des
enfants
idiots de tous les degrés, depuis l'idiot complet
de tous les degrés, depuis l'idiot complet, être végétatif, jusqu'aux
enfants
simplement arriérés, confinant à l'enfant normal
être végétatif, jusqu'aux enfants simplement arriérés, confinant à l'
enfant
normal moyen. Pour les plus malades, nous avons
ont demeurés sceptiques ou ont conservé des préjugés dommageables aux
enfants
. C'est pourquoi nous nous sommes décidé à faire i
révenus, sur la possibilité d'améliorer sérieusement la catégorie des
enfants
anormaux qui nous occupe. [Notre communication
. — La marche est assez bonne pour lui permettre de suivre les autres
enfants
à la promenade. Il commence aussi à s'approprier.
u'à 10. Le caractère s'éveille, il devient gai et joueur. 1897. — L'
enfant
, tout à fait propre, est mis en pantalon. 1898.
ait propre, est mis en pantalon. 1898. — Le vocabulaire augmente, l'
enfant
construit quel-ques petites phrases. Il s'éveille
ment b... est âgé de n ans et demi. A sou entrée (23 juillet 1892), l'
enfant
ne marchait pas, la parole était nulle, le gâtism
devient courageux, s'occupe, est prévenant et donne l'éveil quand un
enfant
s'est blessé ou tombe. Les progrès en écriture et
s un peu grossier (1). 1903. — Un peu d'entêtement s'observe chez l'
enfant
. Il a été taquin et a refusé plusieurs fois de tr
ecture reste limitée aux lettres a, e. i, 0, u. 1904. — L'état de l'
enfant
Beau...est resté stationnaire. Il ne veut plus ab
iotie complète, avec èfilepsie et gâ-tisme. La parole était nulle ; l'
enfant
était turbulent et mé-chant. 1900. — Aucune mod
la suite des exercices de gymnastique, de toi-lette, et de parole, l'
enfant
s'est amélioré. Il a débuté par une prononciation
retiers, etc., et aux reproches que leur valent ces mots. 1902. — L'
enfant
parle, fait des phrases, il rapporte même sur les
. — L'enfant parle, fait des phrases, il rapporte même sur les autres
enfants
, et bien qu'il ait lui-même un langage un peu ord
i-même un langage un peu ordurier, il se trouve blessé quand un autre
enfant
prononce un mot grossier. Il dit tous les mots, c
embre. — Sa tenue devient meilleure et malgré sa grande instabilité l'
enfant
suit tout les exercices qui lui sont démontrés. L
puis, si on le forçait un peu vivement, il se relevait et frappait l'
enfant
qui se trouvait à côté de lui. A présent, l'enfan
vait et frappait l'enfant qui se trouvait à côté de lui. A présent, l'
enfant
, exercé aux projections, est devenu plus causeur,
qu'à l'école (Fig. 2). 1905. -—? L'amélioration devient notable; l'
enfant
n'est plus en mieux quand on lui parle. Il s'in
ole, limitée à quelques mots seu-lement, est aujourd'hui existante; l'
enfant
répond de mieux Fig. 2. — Jul., à 6 ans (1904).
Fig. 2. — Jul., à 6 ans (1904). Fro. 1. — Jul., à 4 ans (1902). l'
enfant
commence à se vêtir et à se débarbouiller seul (F
a, maman, du pain, ça y est; nous voilà »; et il joue avec les autres
enfants
. Il grossit et ses jambes pren-nent de la force.
enfants. Il grossit et ses jambes pren-nent de la force. 1888. — L'
enfant
n'a subi presque aucun changement (Fig. 5). 188
— Maz., à 2 ans t[demi;(1887). 1890. — Le vocabulaire a augmenté; l'
enfant
prononce presque tous les mots, sait son nom et c
892) Fig. 6. — Maz., à 5 ans (1890) nulle. A la fin' de l'année l'
enfant
commence à nouer, à lacer et à boutonner ; il peu
ques surfaces, telles que l'ovale, le cercle et le carré. 1894. — L'
enfant
est capable de soutenir une conversation avec que
1897. — Le caractère s'améliore; le travail à la classe est bon; l'
enfant
est envoyé 1/2 heure à l'atelier de couture. 18
on; l'enfant est envoyé 1/2 heure à l'atelier de couture. 1898. — L'
enfant
est dans un état satisfaisant, au point de vue de
à la cuisine et en frottant son pavillon; il est nommé par les autres
enfants
le « ?premier frotieur ». 1904. — L'enfant s'am
st nommé par les autres enfants le « ?premier frotieur ». 1904. — L'
enfant
s'améliore toujours, en ce qui concerne la compré
n. 1899. — Progrès sensibles à l'école. 1900. — 8 ans et demi : l'
enfant
est propre, la marche est normale. La physionomie
de répondre quand on lui parle (ce qui parfois suscite une colère, l'
enfant
y étant sujet). Il n'affectionne personne, et il
u lit par taquinerie ou paresse (?). Cette habitude lui est passée (l'
enfant
a dï être mis en robe de gâteux pour cette raison
elques traits de dessin et y apporte un certain goût. ?— En résumé, l'
enfant
se rapprochî de plus en plus de l'état normal.
co-lage, du travail à l'atelier, du dessin et du solfège. 1905. — L'
enfant
, en raison du caractère et du travail, peut être
on du caractère et du travail, peut être classé aujourd'hui parmi les
enfants
normaux. L'obstinaticn, les colères, très fréquen
colères, très fréquentes autrefois, n'existent plus. Actuellement, l'
enfant
lit couramment, écrit lisiblement, fait des devoi
11 est en résumé le meilleur élève de la petite école. En résumé, cet
enfant
est arrivé à un degré presque normal. — Apprenti
à l'entrée le 3 juin 1899. — Idiotie, gâtisme, absence de lan-gage. —
Enfant
grand gâteux, privé de compréhension et doué d'un
indifférence, mis dans les premiers temps de son entrée au milieu des
enfants
de la fanfare afin de se rendra compte s'il enten
nt encore au-jourd'hui mais moins fréquents. Actuellement (1902), l'
enfant
commence à comprendre, sou-rit, chantonne, est de
e et qu'on le gronde il s'arrête. Bourneville, Bicètre, 1s03. 2 L'
enfant
qui, à l'entrée, ne mangeait pas seul et refusait
mange mieux, tient lui-même la cuiller. Remarque curieuse à noter, l'
enfant
ne boit jamais ou -presque jamais, ni vin, ni eau
erche à fredonner. (Compte rendu 1903, p. XIV.) 1905. — L'état de l'
enfant
est stationnaire, il n'a rien ac-quis de nouveau,
nuls. Tout à fait nul au point de vue de l'écolage. Le caractère de l'
enfant
est très défectueux, il est jaloux, sournois, a d
nt pas renouvelées. Il supporte bien mieux les taquineries des autres
enfants
et il joue avec eux sans se fâcher, ou s'il se fâ
se fâcher, ou s'il se fâche, c'est avec plus d'à-propos. 1905. — L'
enfant
donne actuellement encore plus de satis- factio
, est atteint d'idiotie complète. Parole et marche nulles. Gâtisme. L'
enfant
est inca-pable de manger seul. 1897. — L'état d
âtisme. L'enfant est inca-pable de manger seul. 1897. — L'état de l'
enfant
s'améliore, il marche aujour-d'hui sans presque ê
gâtisme est moins fréquent. La compréhension devient meil-leure, et l'
enfant
peut aujourd'hui discerner ce qui est bien d'avec
rononciation; défectueuse. Il' se rend utile en aidant à chausser les
enfants
, s'habille et se déshabille lui-même. Au point de
s'habille et se déshabille lui-même. Au point de vue du caractère, l'
enfant
reste gour-mand, voleur et coléreux. 1900. — L'
, l'enfant reste gour-mand, voleur et coléreux. 1900. — L'état de l'
enfant
reste stationnaire. 1901. — Les progrès continu
la manie du vol et du mensonge. 1902. — L'amélioration continue, l'
enfant
connaît le nom et l'usage de tous les objets qui
voleur, et tout lui est bon, l'argent et les friandises. 1903. — L'
enfant
vient à la petite école, a appris à con-naître le
ute bien tous les mouvements à la gymnastique. La parole est libre, l'
enfant
commence à écrire. Sa tenue est meilleure, mais l
e ne se modifie pas. 1904. — Pas de changement notable. 1905. — L'
enfant
est aujourd'hui bien développé. Il se rend compte
Grand gâteux. Est à mentionner comme idiot à physionomie éveillée. L'
enfant
est incapable de faire ouoi que ce soit, il a seu
nulle. Il paraît être affectueux, mais il est méchant pour les autres
enfants
, en est surtout ja-loux. 1903. — Une légère amé
ration s'observe au point de vue du gâtisme et de la compréhension. L'
enfant
perd aussi la manie d'ouvrir les portes. Est moin
on visage, et à laver ses mains. 1904. — L'amélioration continue, l'
enfant
est presque pro-pre. Il commence à lacer, à nouer
yromanie), onanisme, mensonge, vol. Au point de vue de l'écolage, l'
enfant
est nul, il sait à peine syllaber et faire une ad
eine syllaber et faire une addition. 1902. — Aucune amélioration. L'
enfant
reste brutal. Sa tenue est mauvaise, son travail
. Sa tenue est mauvaise, son travail à la classe est aussi mauvais, l'
enfant
n'y fait absolument rien, et se moque de tout ce
le feu, à fumer, et un de ses amusements favoris, est de prendre les
enfants
et leur plonger la tête dans l'eau, ou bien encor
le cou ou les mains. Tous ces faits, vus et empêchés, sont niés par l'
enfant
avec beaucoup d'aplomb. 1903. — Une légère amél
coup d'aplomb. 1903. — Une légère amélioration est à relever chez l'
enfant
au point de vue des exercices classiques et du ca
personnel qui cherche à le corriger de sa mauvaise tenue. 1905. — L'
enfant
change sensiblement. Sa tenue est meil-leure. Son
as affectueux et tout jeune qu'il était, il se plaisait à frapper les
enfants
. 1904. — Un changement notable s'est produit da
fants. 1904. — Un changement notable s'est produit dans l'état de l'
enfant
. Il s'intéresse à tout ce qui se fait autour de l
un Chien, puis cherche à ra- conter ce qu'il voit faire aux autres
enfants
. Il devient affec-tueux, chantonne et joue bien,
10 ans 1/2, né le 7 nov. 1895 (Paris). — A l'entrée (16 août 1902), l'
enfant
est atteint d'idiotie avec gâtisme et parole pres
tie avec gâtisme et parole presque nulle. La turbulence est grande; l'
enfant
se met facilement en colère. Il crie, a la rnanie
est trompeuse, car elle indique plus d'intelligence qu'il n'y en a. L'
enfant
est plutôt gai, et a des aptitudes musicales asse
gymnastique, au saut ainsi qu'aux barres d'entraînement. 1904. — L'
enfant
est aujourd'hui tout à fait propre. A la classe,
ulent. 1905. — Une grande amélioration concernant le caractère de l'
enfant
, plus calme aujourd'hui, se tenant mieux chaussé
le), idiotie profonde; surdi-mutité. — A son entrée,en mars 190Ç, cet
enfant
gâtait nuit et jour, ne parlait pas, indifférent
s principales parties de son corps et de ses vêtements. 1904. — Cet
enfant
ne gâte plus le jour, la parole est de moins en m
n peu et trace quelques bâtons et quelques o assez régulièrement; cet
enfant
est d'un naturel flatteur et peu docile. XVI. F
e. XVI. Faito... (Emile). Imbécillité et instabilité mentale. — Cet
enfant
indiscipliné, turbulent, tout à fait instable, en
miplégie droite. — 8 ans; né le 28 mai 1896, entré le 7 mai 1903. Cet
enfant
, d'une physionomie expressive toutà fait trompeus
. (André). Imbécillité, entré le 8 janvier 1904 âgé de 7 ans 1/2. Cet
enfant
, à son arrivée, ne connais-sait que les lettres e
arades, se sauver dans les jardins et commettre quelques méfaits. Cet
enfant
absolument impulsif n'a aucune méchan-ceté préméd
uchant un sourire perpétuel, parole complètement nulle, tel était cet
enfant
lorsqu'il nous fut confié. Aujourd'hui, il est
établit une relation, entre le chiffre et la quantité. 1905. — Cet
enfant
a subi une véritable transformation dans l'espace
prononcé, atteint d'idiotie et d'instabilité mentale. A son arrivée l'
enfant
ne sa-vêtements. Il était aussi turbulent, très i
on s'occupe exclusivement de lui, mais, dès que l'on passe à un autre
enfant
, il cesse de travailler, regarde à droite et à ga
iscipline en personne, morigène et corrige continuellement les autres
enfants
. Apportant néanmoins une attention un peu plus
l forme presque toutes les lettres et commence à les assembler. Cet
enfant
qui, ayant quelques dispositions pour l'écriture,
dèle donné, est iï.-capable de suivre un tracé. (Nous avons plusieurs
enfants
dans ce cas). •— La mémoire, des plus fugitives,
obtenons davan-tage à l'aide des lettres mobiles. La parole, chez cet
enfant
, continue à s'améliorer. 1901. — Les progrès co
ux. Pard... commence à jouer avec ses netits camarades. 1901. — Cet
enfant
qui pleurait sans cesse, ne mangeait pas seul, gâ
e exercices scolaires, nous n'avons encore rien obtenu. 1902. — Cet
enfant
est à l'isolement pour la teigne. 1903. — Pard.
geant pas seul, restant toute la journée dans un état som-nolent, cet
enfant
semblait n'être doué que de la vie végéta- tive
ès sont très lents, mais continus. [Fig. 18). 1905, décembre. — Cet
enfant
a progressé pour loitho-graphe, mais l'améliorati
les essuyer. — Les sentiments affectifs ne semblaient pas exister, l'
enfant
voyait ses parents au parloir, les quittait sans
semble s'être améliorée, mais est toujours défectueuse. 1897. — Cet
enfant
continue à apporter beaucoup de bonne volonté; se
t toujours réfractaire au calcul. 1904. —? Progrès peu marqués, cet
enfant
, opéré d'une her-nie, ayant passé plusieurs mois
ont été très sensibles pour la lecture, l'écriture et le calcul. Cet
enfant
, dont l'amour-propre s'est éveillé, est heureux d
la multiplication. L'écriture, très améliorée, est très lisible. Cet
enfant
est en bonne voie pour la lecture courante. 190
entré en avril 1890, à l'âge de 13 ans et demi. — A son arrivée, cet
enfant
, atteint d'idiotie profonde, se trouvait presque
ivé à lire couramment; l'écriture devient plus lisible. 1902. — Cet
enfant
a fait des progrès pour les exercices classiques.
exercices classiques; ses devoirs se rapprochent assez de ceux des
enfants
normaux; nous espérons pouvoir le présenter l'ann
yant aucune notion scolaire. 1894. — Dans le courant de l'année cet
enfant
a été rendu propre, a appris à s'habiller, reconn
he et semble moins réfractaire au calcul. 1900. — Le travail de cet
enfant
est régulier et il est très ponctuel pour ses dev
ans, atteint d'imbécillité. Pris à son arrivée en novembre 1896. Cet
enfant
, d'une inat-tention absolue, nous faisait souvent
s empâtée, a beaucoup gagné pendant ces derniers mois; toutefois, cet
enfant
commence seulement à pouvoir copier la leçon de l
aire faire l'addition. 1901. — La lecture est devenue courante. Cet
enfant
d'une paresse extrême au début, travaille mainten
géographie, mais l'esprit reste absolument fermé pour le calcul. Cet
enfant
a toujours besoin d'être encouragé, au moindre si
un peu de dic-tées quelques exercices sur le genre et le nombre, cet
enfant
a une obéissance immédiate.mais sans durée. 190
nues et prend goût au jeu du marchand. I9°S- — Ler progrès chez cet
enfant
sont lents mais régu-liers, il n'y a pas d'interm
éshabille seul sans pouvoir cependant lacer, r.ouer, boutonner. — Cet
enfant
, atteint à son arrivée de daenomanie (ou manie de
uit. La parole, très défectueuse, était presqu'in-compréhensible. Cet
enfant
a été rendu propre en 1893 et sa parole, très amé
atons en même temps une sensible amélioration dans l'intellect de cet
enfant
. A partir de cette époque, la mémoire a paru se d
ercices de grammaire. L'écriture est bonne et très lisible bien que l'
enfant
écrive de la «¡8« gauche, le côté droit étant par
lus simple calcul mental. Tout ce qu'on est parvenu à apprendre à cet
enfant
n'a été obtenu, qu'avec une grande dépense de pei
simple soit-il, semble une montagne à apla-nir. Chez presque tous nos
enfants
les débuts sont arides et pénibles, mais une fois
fée, strabisme, affaiblissement du bras gauche. L'état nerveux de cet
enfant
s'est modifié favorablement: la chorée n'existe p
angeant pas seul, gâtait nuit et jour et parlait avec difficulté. Cet
enfant
à commencé en 1897 à se tenir debout dans un char
ore rien pu obtenir en raison du tremblement dont il est affecté. Cet
enfant
a été notablement amélioré pour la parole. 1902
mars 1897, est entrée en octobre 1904, à l'âge de 7 ans 1/2. Cette
enfant
était atteinte d'imbécillité avec perversions ins
oup plus expressive que ne le comportait la réalité, car, en somme, l'
enfant
était très arriérée. Elle avait des moments d'exc
lle a encore de l'incontinence nocturne d'urine, mais ne gâte plus. L'
enfant
est donc, sous tous les rapports, en bonne voie d
née le 18 août 1891. Entrée en janvier 1904, à l'âge de 12 ans. Cette
enfant
était atteinte d'imbécillité à un degré très pron
ns vivacité. 1905. — Depuis quelque temps, il se produit chez cette
enfant
un certain développement. Elle se donne de l'exer
a main gauche, ce qui rend le tra-vail plus lent et plus difficile; l'
enfant
s'obstine à ne pas se servir de la main droite, b
nement de la lecture très difficile. Tous ces obstacles découragent l'
enfant
, elle manquerait de goût pour l'étude. Enfin, ell
t fout ce qui est con-tenu dans les tiroirs des leçons de choses. L'
enfant
n'urine plus au lit. La physionomie est moins tri
e il était très difficile, sinon impossible de fixer l'attention de l'
enfant
, la moindre observation la fai-sait rougir et pâl
our la consoler et la rassurer. On renonçait presque à obtenir chez l'
enfant
le plus petit développement intellectuel. 1905.
avec turbulence. Sans être complètement dépour-vue d'intelligence, l'
enfant
laissait beaucoup à désirer tant au point de vue
attention. 1905. — Dix-huit mois se sont écoulés; durant ce temps l'
enfant
a fait des progrès qui méritent d'être signalés p
le est devenue obéissante, la turbulence s'est modérée doucement et l'
enfant
s'est intéressée aux objets classiques, puis l'in
ostic, il était permis de douter d'une grande amélioration chez cette
enfant
. Elle n'était pas patiente avec ses compagnes, pa
ste et taciturne; en un mot, Henriette n'avait pas le caractère d'une
enfant
de son âge. Elle s'habillait avec peu de goût,
classe, connaissait à peine les lettres et les chiffres. I0O5- — L'
enfant
mise en traitement a réalisé des progrès surpre
fort bien pour la couture, repasse avec goût et lave avec soin. Cette
enfant
qui présentait à son entrée de nombreux désor-dre
ocrement un simple devoir de style. Aucune notion de gymnastique. L'
enfant
mise au traitement médico-pédagogique s'est modi-
quelques irrégularités, elle est susceptible, nonchalante, c'est une
enfant
qui a besoin d'être stimulée en tout et pour tout
surtout plus gaie, plus alerte. Elle s'intéresse aux soins donnés aux
enfants
, aime beaucoup les plus petites, de même qu'elle
e, avec -perversions instinctives, inven-tivité et mensonges. — Cette
enfant
avait une absence pres-que complète de sensibilit
lle causait assez bien. Elle ne savait ni repasser ni laver. Enfin, l'
enfant
présentait de nombreuses anomalies au point de vu
n, mais la couture n'est pas son occupation préférée; il faut à cette
enfant
des travaux qui exigent du mouvement. Elle fait b
avec surdi-mutité, parole et marche nulles, gâtisme complet. — Cette
enfant
ne comprenait absolument rien, elle pleurait sans
ien ne pouvait faire présager la moindre améliora-tion chez elle. L'
enfant
mise en observation dès le début et traitée immé-
t et traitée immé-diatement pour le gâtisme qui consiste à placer les
enfants
régulièrement sur les sièges avant et après les r
rres parallèles, chariots, balançoire, tremplin, etc., de sorte que l'
enfant
marche seule, suit les enfants au préau et dans l
ançoire, tremplin, etc., de sorte que l'enfant marche seule, suit les
enfants
au préau et dans les divers exercices sans aucune
de entièrement à sa toi-lette. Le caractère est doux et affectueux, l'
enfant
a toujours un bon sourire pour témoigner sa recon
a reconnaissance. Malheureu-sement la classe est restée en arrière, l'
enfant
ne possédant qu'un faible degré d'intelligence et
té, incapacité de se diriger, incontinence nocturne d'urine. —r Cette
enfant
était nulle en instruction, connaissait à peine s
t aucune mémoire, il lui était impossible de dire le nom de sa rue; l'
enfant
avait un accent provincial assez prononcé, mais e
erveau. Vu son âge avancé, on n'espérait aucun résultat. Peu à peu, l'
enfant
prit goût au travail, à la classe. Elle lit aujou
améliorée au point de vue classique au delà de nos espérances. Cette
enfant
aime la lecture par-dessus tout, elle ramasse tou
uefois de fort mauvaise humeur; car indépendam-ment de son travail, l'
enfant
a conservé ses bizarreries, nous dirions même ses
us dirions même ses originalités. Il faut laisser passer ce moment, l'
enfant
travaille ensuite de plus belle et répare vite le
issait que l'addition, faisait une copie. Vu son manque d'attention l'
enfant
ne laissait espérer que de bien faibles résultats
paru, de même que l'onanisme. Le caractère s'est également modifié, l'
enfant
est moins turbulente, elle est deve-nue affectueu
elle paraît en ressentir du contentement;" elle rit aux éclats si ces
enfants
pleurent; ce qui démontre nettement la nature méc
le soir avant de s'endormir: c'était tout à fait la balancement de l'
enfant
au berceau. Comme ouvrage manuel, elle était co
améliorée au point de vue clas-sique. En résumé la nature de cette
enfant
est très impétueuse et difficile à diriger, mais
à l'âge de 6 ans: idiote avec surdi-mutité, gâtisme intermittent. — L'
enfant
, à son admission, ne savait ni s'habiller, ni se
toire et en classe. Son attention était d'autant plus difficile que l'
enfant
était sourde-muette. En réalité, cette enfant ne
nt plus difficile que l'enfant était sourde-muette. En réalité, cette
enfant
ne laissait espérer que de très faibles résultats
laver par terre et, aujourd'hui, étant tant soit peu surveillée, l'
enfant
serait capable de faire un dortoir elle-même. Phy
t les trois premières opérations de l'arithmétique. — En résumé cette
enfant
peut se rendre utile dans diverses occupations et
ni de s'habiller, ni de se déshabiller; elle exigeait les soins d'une
enfant
de 3 ou 4 ans. Elle craignait le froid à l'excès,
les plus petites, les débarbouille au besoin; elle impose silence aux
enfants
quand elles font trop de bruit. Elle ne reste jam
ieuse dans tout ce qu'elle fait. Elle n'est pas et ne sera jamais une
enfant
normale, mais si on compare ce qu'elle était au d
n; il fallait procéder à son habillement et à sa toilette comme à une
enfant
dê quelques mois. La physionomie était sans expre
'est éclairer, Bournevillis, Bicêtre, 1905. 5 les mouvements de l'
enfant
sont devenus plus vifs. A mesure qu'elle se dével
urd'hui, un changement merveilleux s'opère de jour en jour chez cette
enfant
: la physionomie devient expressive: le regard vif
ment ce qu'elle voit faire; aide à s'habiller et à se désha-biller. L'
enfant
est devenue tout à fait propre; le jour elle dema
: « papa, pipi, ou popo, caca, » selon le besoin qu'elle éprouve. L'
enfant
marche maintenant toute seule, elle trottine par-
et pousse des exclamations quand elles sont grotesques. En un mot, l'
enfant
est très améliorée sous tous les rapports et les
sûr. 1905. — Les progrès qu'on était en droit d'espérer chez cette
enfant
se réalisent chaque jour, le caractère doux et ca
nastique avec plaisir et cherche à bien imiter tous les mouvements. L'
enfant
aime tous les soins de toilette, essaie même de s
— Harb... à l'âge de 4 ans 1/2 (1902). les progrès réalisés chez l'
enfant
nous donnent beaucoup d'es-poir et font prévoir d
Fig. 36. — Lar... à 8 ans (1901). che, ne courait, ni ne sautait. L'
enfant
parlait, mais elle sive n'annonçait aucune inte
) Fio._3S.WLar... à;8 ans (1901). Au point de vue intellectuel, l'
enfant
n'était pas plus avan- Fig. 39.—L... à 13 ans (
jo. 41. - L... à 13 ans (1905.) Les premiers jours de son entrée, l'
enfant
a été mise en traitement par la glande thyroïde,
se rend à ces différents exercices. Actuelle-ment, elle est comme une
enfant
normale de 6 à 7 ans. Amélio-ration très notable.
s'amuse beaucoup aux heures de récréation, ses jeux sont ceux, d'une
enfant
normale d'une dizaine d'années. Elle commence à s
in, elle compte seule jusqu'à vingt. Au point de vue de la lecture, l'
enfant
ne reconnaît pas encore ses lettres, elle les nom
crayon et commence à faire quelques bâtons sur l'ardoise. 1905. — L'
enfant
continue à s'améliorer au point de vue physique s
ire, elle paraît alors très satisfaite d'elle-même. Le caractère de l'
enfant
a subi quelques heureuses modifications, elle n'e
t, essuie ' la poussière, essaie de balayer, etc. En réalité, cette
enfant
s'est développée énormément au point de vue physi
lles et des ressorts et commence à faire des ourlets. En somme, cette
enfant
s'est améliorée au delà de ce qu'on pouvait espér
onstatons chez notre malade des progrès toujours croissants. De cette
enfant
qui était d'une irritabilité indescriptible, d'un
elle déchirait continuellement ses effets, nous avons aujourd'hui une
enfant
douce, docile, affectueuse même, elle n'est plus
dition et la soustraction. Nous ne craignons pas d'affirmer que cette
enfant
s'est réellement transformée depuis son séjour à
cillité prononcée, avec êpilepsie (vertiges et accès nombreux). Cette
enfant
, à son entrée, ne savait ni lire, ni compter, ne
ance très prononcée pour Y onanisme; en somme on n'attendait de cette
enfant
qu'une amélioration fort médiocre. Cette prévisio
, elle travaille bien au dessin. Ce n'est qu'à force de travail que l'
enfant
a pu réaliser ces progrès, car elle a toujours pe
rages manuels elle se plaît à ces différents travaux et on voit que l'
enfant
est fout à fait dans son élément. Aujourd'hui e
ait facilement les affaires de ses compagnes. Aujourd'hui (1903), l'
enfant
s'est améliorée, elle se rap-proche beaucoup d'un
i (1903), l'enfant s'est améliorée, elle se rap-proche beaucoup d'une
enfant
à peu près normale. Le carac-tère laisse encore à
de mauvaises habitudes. Sa tendance pour la klepto-manie a disparu. L'
enfant
a fait de réels progrès en classe, puisqu'elle a
imbécillité et de rachi-tisme, avec ferversions instinctives. Cette
enfant
parlait, causait, marchait, ne gâtait pas, mais e
gnes. La mémoire paraissait très faible pour les leçons classiques, l'
enfant
disait elle-même qu'elle était allée en classe ch
que des résultats fort médiocres. Malgré toutes ces difficultés, l'
enfant
a réalisé aujour-d'hui (1899) de réels progrès. E
ue, commen-çait la division et savait rédiger une lettre; en un mot l'
enfant
pouvait se tirer de peine. Elle savait faire un m
trée à la Fondation en avril 1901. A son arrivée, la physionomie de l'
enfant
était dure, le caractère laissait beaucoup à dési
mpagnes ou bien elle les déchirait: elle agissait en un mot comme une
enfant
qui n'a pas un brin de raison. Elle était réponde
ne volonté. Elle s'amusait à rire et à bavarder avec ses compagnes. L'
enfant
avait aussi de réelles difficultés pour la gymnas
ne hernie et qu'elle ne pouvait se livrer à cet exercice. En somme, l'
enfant
pré-sentait des bizarreries de caractère et était
ante à l'égard du personnel, son rai-sonnement est devenu meilleur, l'
enfant
a même aujourd'hui un certain jugement. Elle est
e 15 octo-bre 1896, 8 ans, entrée le ier décembre 1899, cécité. Cette
enfant
était très chétive, sa physionomie était insignif
ur. Rien ne pouvait faire présager la moindre amélioration chez cette
enfant
; cependant elle est parvenue à marcher seule, à s
e tout ce qui lui es.t nécessaire. Comme presque tous les aveugles, l'
enfant
aime la chant et la musique, fredonne les chanson
pas et ne disait aucun mot, elle gâtait nuit et jour. 1903. — Cette
enfant
mise en traitement dès le début a déjà fait des p
te, se faufile partout et sait se faire aimer de tout le monde. Cette
enfant
qui, au début, était gâteuse, qui ne marchait pas
âtisme, marche et parole à peu près nulles. Les progrès faits par l'
enfant
sont à signaler d'une façon toute particulière. E
ncompréhensible; aucun signe, aucun geste ne suppléait à la parole, l'
enfant
essayait les premiers pas en chancelant et le moi
bille seule; elle est d'une propreté méticuleuse sur ses vêtements. L'
enfant
était autrefois gro-gnon, un rien provoquait une
ntion, les progrès pour la lecture sont assez rapides, actuellement l'
enfant
syllabe très bien, commence même à assembler, che
' faisait quelques pas tout en la soutenant et lui donnant la main. L'
enfant
a eu, en outre, une coxalgie qui a nécessité son
nnées entières. Elle gâtait nuit et jour. Ce n'est qu'en 1898 que l'
enfant
a pu suivre régulièrement le traitement médicivpé
nts et les résultats étonnants que nous avons obtenus. Peu à peu, l'
enfant
s'est habituée au personnel; elle a com-mencé par
de l'arithmétique, elle lit lentement mais sa lecture est courante. L'
enfant
est devenue très propre, le gâtisme a com-plèteme
ux robes, aux tabliers, etc. — Amé-lioration notable. 1905. — Cette
enfant
s'est beaucoup améliorée au point de vue intellec
e, suit une petite dictée; ses progrès seraient même rapi-des, mais l'
enfant
est obligée de séjourner à l'infirmerie, ayant de
une grande personne. Elle se tient très proprement. — En résumé cette
enfant
qui a. été prise très bas, s'est beaucoup amélior
LXXII. Trouil... (Georgette), née le 24 octobre 1887, 12 ans. Cette
enfant
, atteinte d'imbécillité et d'hémiplégie droite, n
ais ne sait tenir une conversation. L'attention est facile à fixer, l'
enfant
se tient bien à la classe et a pris goût aux exer
it lisiblement, quoï-qu'écrivant de la main gauche. A son entrée, l'
enfant
re pouvait ni s'habiller, ni se désha-biller, ni
ure, ne perd jamais de temps. Elle est gentille et raisonnable. Cette
enfant
qui ne savait rien au début, a fait de notables p
même pas tracer des bâtons sur l'ar-doise. Ajoutons encore que cette
enfant
ne paraissait avoir aucune aptitude pour ce qui é
d'ici quelques mois. — La couture va bien, ainsi que le repassage, l'
enfant
a fait de réels progrès en gym-nastique. 1905.
llité avec périodes d'excitation. A son entrée, la phvsionomie de l'
enfant
n'indiquait aucune intelligence, le regard étai
aractère était triste, maussade; les premiers jours de son arrivée, l'
enfant
avait eu, sans motif déterminé, une période de mé
e et plus agile dans ses mouvements. — En résumé les progrès de cette
enfant
sont très sérieux. 1905. — Les progrès sont len
, née le 15 mai 1889. — .4 Ventrée (22 jan-vier 1903), le visage de l'
enfant
était pâle, la physionomie avait une empreinte
les chiffres. Tout son savoir consistait en ces quelques notions. L'
enfant
a été mise en traitement dès le début (douches, c
abes et tout donne à espérer que d'ici quelques jours la lecture de l'
enfant
sera courante. Elle aime la gymnastique, sait f
ture, s'y prend bien et n'est pas maladroite. Inutile d'ajouter que l'
enfant
ne pouvait suivre aucun de ces exercices à son en
on. La mère se montre très satisfaite des progrès classiques de son
enfant
, car elle n'avait jamais rien appris dans les éco
ès ce diagnostic, il est facile de comprendre que l'état général de l'
enfant
laissait beaucoup à désirer. La physiono-mie avai
nt très souvent y mettaient un grand obstacle. Vu cette incapacité, l'
enfant
était triste, tout était pour elle un sujet d'enn
à tous les jeux de ses compagnes, sa conversation est intéressante, l'
enfant
raisonne comme un petit personnage. Ainsi qu'à so
e entièrement seule aux soins con-cernant sa toilette. En classe, l'
enfant
montre une application soutenue, mais la vue est
le commence à copier, assemble les lettres. Tout porte à croire que l'
enfant
lira couramment dans le courant de l'année. La mé
a gymnastique et y met beaucoup de bonne volonté. L'attitude de cette
enfant
s'est améliorée et ses progrès sont notables. .
premiers éléments de la grammaire, quelques notions de géographie, l'
enfant
a beaucoup de goût pour la classe. Comme caract
phie, l'enfant a beaucoup de goût pour la classe. Comme caractère l'
enfant
est gaie, joueuse, ses jeux n'ont rien d'anormal;
ie. Notre malade est très obéissante et tout plein gentillette. Cette
enfant
atteinte d'imbécillité Bournf.vilt.e, Bicêtre, 19
ans. A l'entrée à la Fondation, le ier juin 1901, la physionomie de l'
enfant
manquait d'expres-sion, son air était hébété, le
n, son air était hébété, le regard vague et sans but, rien chez cette
enfant
n'annonçait l'intelligence. Elle parlait, mais av
. Elle n'a eu qu'un seul accès d'èfilefsie depuis son entrée; aussi l'
enfant
s'est développée sous tous les rapports. -La phys
et connaît l'addition. Elle a réalisé de réels progrès en couture, l'
enfant
travaille aux tabliers, aux robes; elle commence
e et agile et aime tout ce qui demande du mou-vement. En somme, cette
enfant
a fait beaucoup de progrès et est en très bonne v
grès et est en très bonne voie d'amélioration (1903). 1905. — Cette
enfant
citée déjà dans le Compte Rendu 1903, mérite égal
e. Ses accès é-pileftiques ne sont pas très fréquents, de sorte que l'
enfant
progresse jus-qu'ici sous tous les rapports. Elle
avec beaucoup de facilité, elle possède une grande souplesse. Cette
enfant
bien qu'atteinte d'épilepsie s'est notablement am
avec gâtisme, marche et -parole nulles. Les progrès faits par cette
enfant
sont sensibles et méritent une mention particuliè
t mauvaise, à peine pouvait-elle faire quelques pas. Au réfectoire, l'
enfant
se tenait affreusement mal, aimait à se salir et
indre caresse, l'égoïsme était son défaut dominant: Tout pour elle. L'
enfant
, capricieuse, ne voulait pas rester assise, les p
Grande amélioration. 1905. — Rien de particulier à signaler. Cette
enfant
est propre, marche et parle bien, ses progrès son
ions sur toutes choses lui étaient inconnues. Les progrès faits par l'
enfant
sont de plus en plus satisfai-sants. Aujourd'hu
t une de ses quali-tés; sa tenue à table est fort bonne. Autrefois, l'
enfant
était souvent maussade et grognon, pleurait sans
sont encore faibles. Malgré toutes ces difficultés, les progrès de l'
enfant
sont notables. 1905. — Les progrès sont lents,
s progrès sont lents, mais ils continuent sous tous les ? rapports. L'
enfant
s'exprime bien, répond directe-ment aux questions
toutes ses compagnes. Ses jambes se.fortifient peu à peu, enfin, l'
enfant
est par-venue à suivre les exercices des grandes,
, en donnant le bras à une infirmière et quelquefois même à une autre
enfant
, Yvonne marche assez bien; se rend ainsi en class
rire, sait faire l'addition sans retenue. — Tout porte à croire que l'
enfant
s'améliorera notablement au point de vue classiqu
luxation congénitale des hanches. La parole était libre chez cette
enfant
qui répondait aux questions posées, mais elle mar
de la physionomie était peu mobile, le regard vague, rien chez cette
enfant
n'indiquait l'intelligence. Elle ne savait pas li
as compter, ne possédait pas les notions les plus rudiraentaires. L'
enfant
avait beaucoup de difficultés pour tout ce qui co
s exactement l'application. Le caractère s'est également modifié. L'
enfant
parlait mal au début, était maussade, restait ine
epasser et lave bien. Elle n'est pas très agile en gymnastique. Cette
enfant
, atteinte d'imbécillité -pro-noncée à son entrée,
impropre à l'étude. Actuellement (1904), nous constatons chez cette
enfant
une Bourneviu e, Bicclrô, 1905. 11 améliorati
facilité, soutient bien une conversation; on remarque même chez cette
enfant
un certain jugement et des attentions délicates p
lisiblement, à compter (addition), à faire le change de la monnaie. L'
enfant
a de réelles difficultés pour la lecture, nous es
udes pour les soins du ménage et malgré sa petite taille (1 m. 31), l'
enfant
ne reste jamais inactive. Elle n'aime pas beaucou
coup la couture, mais elle repasse bien et lave encore mieux. Cette
enfant
qui était à son entrée, atteinte d'imbécillité av
expression, le regard sans but, l'as-pect était débile et maladif. L'
enfant
ne prononçait que quel-ques mots: papa, maman, ca
d il s'agissait de lui donner les soins de propreté. Aujourd'hui, l'
enfant
s'est notablement améliorée ; la physionomie est
sur les cabinets; la nuit il lui arrive rarement d'uriner au lit. — L'
enfant
mar-che maintenant seule, elle trottine partout,
e personne. Amélioration 'notable sous tous les rapports. 1905. — L'
enfant
suit toujours la même marche vers une amélioratio
es de classe. Elle avait aussi de l'incontinence nocturne burine. L'
enfant
, soumise au traitement dès le début, s'est amélio
teinte apporte un réel obstacle à cer-tains exercices. Malgré cela, l'
enfant
a fait d'incontestables progrès sous tous les rap
), née le 19 août 1898, 7 ans. ?— Entrée en octobre 1903. Quand cette
enfant
est venue parmi nous, elle ne marchait pas, ne di
la nuit. Le caractère était sombre et taciturne, on aurait dit que l'
enfant
avait continuellement de gros cha-grins. Ne conna
it rien comme classe. Nous constatons aujourd'hui (1904) chez cette
enfant
des progrès sous bien des rapports. D'abord la pa
t pour tout. Le caractère est devenu gai et joueur, comme celui d'une
enfant
ordinaire. Elle est tout à fait propre. C'est sur
de la propreté, de la parole et de la marche que les progrès de cette
enfant
sont sensibles. 1905. — Les progrès continuent,
s de cette enfant sont sensibles. 1905. — Les progrès continuent, l'
enfant
s'intéresse princi-palement à la classe, elle con
, elle était aussi très méchante, prenant plaisir à faire pleurer les
enfants
inoffensives. Elle exigeait une surveillance de
qu'elle a séjourné plusieurs années .à l'infirmerie (teigne), mais l'
enfant
se voyant en retard a redoublé de courage et de b
ira-blement bien la gymnastique. Nous ne pouvons qu'ajouter que cette
enfant
, malgré son instabilité, s'est améliorée nota-ble
il fallait l'aider à s'habiller et à se déshabiller; rien chez cette
enfant
n'annonçait l'intelligence. Toutes les branches d
nseignement lui étaient totalement inconnues. Aujourd'hui (1904), l'
enfant
s'est notablement améliorée. La physionomie s'est
ur elle d'aider à habiller et à déshabiller les petites gâteuses. L'
enfant
a eu beaucoup de retard pour la classe, à causa d
articipe à tous les exercices de la grande gym-nastique. En somme l'
enfant
est en bonne voie d'amélioration et ses progrès m
progrès méritent d'être mentionnés. 1905. — Les progrès chez cette
enfant
sont lents en toutes choses. Elle met beaucoup de
rle très bien et sans aucun défaut de prononciation. Comme beaucoup d'
enfants
aveugles, elle retient les airs de chansons avec
tisme a complètement disparu. — Nous pouvons dire hautement que cette
enfant
s'est nota-blement améliorée sous le rapport de l
nd nombre la faisaient tomber maintes et maintes fois; de sorte que l'
enfant
hésitait pour faire quelques pas. Néan-moins elle
ent, un changement merveilleux pour ainsi dire s'est opéré chez cette
enfant
(1904). Ses ver-tiges ont totalement disparu, grâ
un air futé et malicieux, répète tout ce qu'elle entend, connaît les
enfants
et les personnes de son entourage. Elle marche tr
e débarbouillée, essaie même de le faire, conserve bien ses effets, l'
enfant
a toujours un air propret. Elle mange sans jamais
— Amélioration notable. 1905. — Progrès peu marqués depuis un an; l'
enfant
est fort distraite en classe, songe plutôt à s'am
rononcée, avec perversions instinctives, avec gâtisme et ona-nisme. L'
enfant
n'avait aucune stabilité, elle était nulle en cla
2) une amélioration très notable, sous tous les rapports. D'abord l'
enfant
est devenue tout à fait -propre, procède minutieu
plus jeunes, prend plaisir à leur donner les soins de toilette; si l'
enfant
continue ainsi, on pourra faire d'elle une bonne
r la classe n'ont pas été moins rapides. En moins de trois ans, cette
enfant
a appris à écrire, à faire quel-ques devoirs de g
ique et com-mence bien à coudre, ainsi qu'à repasser. 1905. — Cette
enfant
dont les progrès n'ont pas été men-tionnés depuis
t des progrès notables au. point de vue scolaire. Le caractère de l'
enfant
est agréable; elle est serviable dans la mesure d
est toujours polie avec tout le monde. Elle joue et s'amuse comme une
enfant
ordinaire, n'aime pas les jeux bruyants. Elle se
à comme ailleurs, elle a fait beau-coup de progrès. — En résumé cette
enfant
pourrait être classée aujourd'hui dans la catégor
uelles. Nous terminons ces notes en y ajoutant des notices, sur des
enfants
qui- se sont particulièrement améliorées et qui,
einte d'imbécillité -prononcée avec perversions instinctives. — Cette
enfant
causait, mais ne pouvait répondre exactement aux
us ces obstacles, nous constatons une amélioration notable chez cette
enfant
. Actuellement, elle lit par syllabes, écrit très
'addition et la soustraction. La caractère est totalement changé, l'
enfant
est devenue plus enjouée, affectueuse, parle même
coup, tient conversation, s'amuse aux récréations comme le ferait une
enfant
ordinaire. Ajoutons aussi ique l'enfant est deven
créations comme le ferait une enfant ordinaire. Ajoutons aussi ique l'
enfant
est devenue tout à fait propre; elle se tient bie
mauvaises habi-tudes ont complètement disparu (1901). 1905. — Cette
enfant
, dont les progrès n'ont pas été signa-lés depuis
point de vue scolaire. Pour ce qui concerne les soins du ménage, l'
enfant
a beau-coup d'aptitudes: elle balaie, lave, met l
emploi quelconque. Elle a beaucoup de dispositions pour la couture; l'
enfant
quoique bien petite et bien jeune coud admirablem
rche toujours à dépasser ses com-pagnes; il est à remarquer que cette
enfant
ne savait même pas tenir une aiguille à son entré
olie avec le personnel, bonne avec ses compagnes. C'est en un mot une
enfant
calme et tranquille, franche, ouverte et affectue
ec une facilité étonnante.. Elle est première en gymnastique. — Cette
enfant
atteinte d'imbécillité -prononcée à son entrée, r
hait pas, ne parlait pas, gâtait nuit et jour. Aujour-d'hui (1899), l'
enfant
parle et sait soutenir une conversation comme les
ui (1899), l'enfant parle et sait soutenir une conversation comme les
enfants
de son âge. Elle a appris à marcher seule, la mar
t commence à faire de petites additions orales. Sa tenue est bonne, l'
enfant
s'habille et se déshabille seule. 1900. — Germa
'améliorer. Parole, marche, nulles au début; gâtisme complet, cette
enfant
avance très rapidement en toutes choses, mais sur
onne intonation. Son caractère a subi la même transformation, cette
enfant
raisonne bien, se rend compte de tout et parait a
ine délica-tesse de sentiment, ce qui se voit assez rarement chez nos
enfants
. Elle a fait des progrès en couture, elle tient
e-loppé chez elle. 1905. — Nous faisons d'abord remarquer que cette
enfant
, atteinte en plus d'épilepsie, a été traitée aux
nées. Depuis 1900, elle n'a eu ni vertiges, ni accès. En outre, cette
enfant
a eu de la conjonctivite et de la blépharite pend
au point de vue scolaire principalement. Mal-gré cet état maladif, l'
enfant
s'est énormément développée, soit au point de vue
, son écriture est lisible, mais peu régulière. —? Comme- caractère l'
enfant
ne laisse rien à désirer, elle est toujours polie
personne. Elle aime beaucoup les soins du ménage. En résumé, cette
enfant
, autrefois idiote, gâteuse et épi- leptiqye ren
de goût pour son travail et pourra devenir une bonne ouvrière. Cette
enfant
est donc rendue à la société et à sa famille et p
abiller seule, s'intéressait beaucoup à la gymnastique. Telle était l'
enfant
au mois de septembre 1901 (la même année de son e
cessita un long séjour à l'infirmerie. Ce n'est qu'en juin 1903 que l'
enfant
revint en classe. A partir de cette époque elle s
revinrent peu à peu ainsi que la gaieté. Elle prit goût à l'étude. L'
enfant
qui ne connaissait pas ses lettres- est parvenue
ses compagnes. Le sentiment d'émulation est très développé chez cette
enfant
. Aujourd'hui, elle suit une dictée élémentaire, f
mnastique. — Amélioration notable. Décembre. — Les progrès de cette
enfant
sont toujours satisfaisants. XCIV. Mani... (Alp
e du traitement, une véritable transformation s'est opérée chez cette
enfant
. Elle commença à prendre du goût à l'étude; son a
que des additions sans retenue; mais c'est là un petit obstacle que l'
enfant
surmontera sans doute, car elle y met toute sa bo
s studieuse. En somme, ses progrès en classe ont été rapides. Cette
enfant
, qui paraissait si indifférente, s'intéresse à to
es, elle raconte ce qu'elle a vu, et ses réflexions sont celles d'une
enfant
de son âge. En même temps qu'elle se dévelop-pait
et intelligente, le regard vif et doux, le teint légèrement coloré. L'
enfant
est donc en très bonne voie d'amélioration. 190
e 4 ans, atteinte d'idiotie profonde, compliquée de rachitisme. Cette
enfant
était gâteuse nuit et jour, ne marchait pas, parl
lle était incapable de se donner le moindre soin. Le caractère de l'
enfant
était détestable, toujours grognon, de mauvaise h
la parole ont été très rapides; le gâtisme a complètement disparu; l'
enfant
se donne elle-même tous les soins de toilette néc
apporte beaucoup d'ac-tivité en tout et partout. Pour la classe, l'
enfant
n'est pas avancée. Ceci provient de ce qu'elle a
apides, pour la couture et pour la gymnastique. Aujourd'hui (1901), l'
enfant
commence à travailler aux robes et aux tabliers e
t suit avec facilité la grande gymnastique. 1905 (juillet). — Cette
enfant
a fait des progrès très nota-bles surtout au poin
a buanderie. Cette occupation rentre tout à fait dans son élé-ment: l'
enfant
aime tout travail qui exige un certain dévelop-pe
force. Elle est très leste et très agile pour la gym-nastique. Cette
enfant
, au début idiote, gâteuse et rachitique, peut êtr
ait aucune connaissance, voire même aucune aptitude. 1903-1904. — L'
enfant
a fait de réels progrès au point de vue physique
astique. Elle est propre nuit et jour et n'a plus d'onanisme. — Cette
enfant
qui, à son entrée, était atteinte d'idiotie .peut
n entrée, était atteinte d'idiotie .peut compter maintenant parmi les
enfants
simplement arriérées, par rapport à son âge natur
à son âge naturellement. 1905. — Nous n'ajoutons à la note de cette
enfant
que quelques mots. — Elle est toujours en bonne v
l'indiquent du reste ses photographies et son cahier mensuel. .. L'
enfant
a bon caractère; pas. un brin méchante, elle a to
et com-mence la soustraction. Amélioration notable. Décembre. — Cet
enfant
continue de s'améliorer sous tous les rapports. E
accès et vertiges survenaient par séries et étaient assez nombreux. L'
enfant
, trai-tée par le bromure de camfhre, s'est beauco
e est en bonne voie d'amélioration. Au point de vue du caractère, l'
enfant
est tout à fait gentil-lette, pas un brin méchant
âtisme et épilepsie; aujourd'hui nous pouvons la placer au nombre des
enfants
atteintes simplement d'arriération intellectuelle
s paresseux, gros-sier, répondeur. Est devenu enclin à fréquenter les
enfants
qui ne se conduisent pas bien, ce qui ne lui arri
ses élèves (Fig. 55.) Les notices qui précèdent se rapportent à des
enfants
encore présents dans notre service et dont iJ est
Ils seront le substratüm d'un mémoire spécial: Ce que deviennent les
enfants
anormaux sortis de Bicêtre et de Vallée. Des fa
es du matin au soir, varier leurs occupations. S'appuyer sur ce que l'
enfant
possède pour aller en avant, arrêter les lésions
'est ce que nous avons conseillé de faire bien des fois pour tous les
enfants
. Si nous insistons sur la nécessité d'une persé
lement, delà toilette, de la préhension des aliments qui fait que les
enfants
, suffisant à leurs besoins physiques, n'exi-gent
colai-res, allant parfois jusqu'à l'obtention du certificat (1) Les
enfants
chez lesquels Virritabilité nerveuse constitue le
is qu'on ne suit guère. Nous terminerons ce plaidoyer en faveur des
enfants
anormaux en reproduisant les conclusions de notre
un degré encore plus élevé de bienveillance, de patience, d'amour des
enfants
que les agents de même ordre des classes ou des h
ée, la Salpêtrière, l'Institut médico-pédagogique (1), etc., pour les
enfants
atteints d'idiotie au premier et au second degrés
ur les enfants atteints d'idiotie au premier et au second degrés, les
enfants
atteints d'imbécillité intellectuelle, d'imbécil-
dans les classes spécia-les ou écoles d'enseignement spécial pour les
enfants
atteints : 1° d'imbécillité légère, d'arriération
ale et physique (sans perversion des instincts) ; 3 et aussi pour les
enfants
idiots et imbéciles qui auront été améliorés dans
lité du relèvement physique, moral et intel-lectuel de ces malheureux
enfants
(2). (1) Noire communication au Congres de Henn
que nous poursuivons : l'assistance, le traitement el l'éducation des
enfants
unormaux. — Consuller sur les procédés qui consti
emière partie de nos Comptes-rendus cl noire brochure inliluléc : Les
enfants
anormaux au point de vue intellectuel et moral, 1
, 1905. Etal «les dépenses faites pour In création du quartier (les
Enfants
idiots et (''pileptiqucs (Docteur Bouflicvillc
aris). 1887. Mm "Sollier. (A.).—De l'état delà dentition chez les
enfants
, idiots et arriérés. Thèse de Paris. 1888. Th
tes c/iro-niques et spécialement d'une terminaison fréquente chez les
enfants
, l'Idiotie. Thèse de Paris. Pison. — De l'asymé
vier (A.). — Contribution à l'étude clinique de l'épi-lepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. 1893. Noir (J.). — Étude sur
accouchement anormal sur le développement des troubles cérébraux de l'
enfant
. Thèse de Paris. Fèvre (A.). — Dit mariage des
u (E.). — Contribution à l'étude du pronostic de l'épilepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. IIaslé (L.). — Du bromwe de ca
aux. Thèse de Paris. Lebreton. — De la sclérose en plaques chez les
enfants
. Thèse de Paris. Denis (C). — Elude sur un cas
Lafarge (G). — Une consultation à Bicêlre; id juin 1904. Service des
Enfants
anormaux. Thèse de Paris. 1905. Desgeorges (P
Bïcêtre. I. Situation du service. — Enseignement primaire.. m 1°
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
eux, épileptiques ou non, mais invalides (Bâtiment Séguin).. m 2°
Enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épileptiques ou non
............. vu 4° Petite école complémentaire............ xi 5°
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés, instable
.. xliv Caisse d'épargne........................ xliv Visites des
enfants
...................... xlv Vaccination et revacc
ment professionnel................... liv Évaluation du travail des
enfants
......... lv Énumération des produits fabriqués
llée. I. Situation du service. — Enseignement primaire.. lxxxv 1°
Enfants
idiotes et gâteuses............ lxxxv 2° Enfant
maire.. lxxxv 1° Enfants idiotes et gâteuses............ lxxxv 2°
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiques, etc., valides.
cxxxv Statistique do la persistance ou l'absence du Thymus chez les
enfants
anormaux, par le même..........................
ré- braux et cérébelleux, par le même..... Cliv Section IV. — Les
enfants
anormaux au point de vue intellectuel et moral, p
e. I. Etat des dépenses faites pour la cré- ation du quartier des
enfants
idiots et épileptiques. (Service du docteur Bourn
....... 139 III. Liste des Internes De notre service 145 Imp. des
Enfants
de Bicêtre.
'EPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERVICE DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS De ,.in 1. BIC
née 1903. I. Situation du service. - Enseignement primaire. Les
enfants
de la quatrième section du quartier des aliénés
pice de Bicêtre. sont répartis en trois g'roupesprincipaux : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, sept- leptiques ou non, mais in
ept- leptiques ou non, mais invalides (Bâtiment Séguin); - 2° les
enfants
idiots, gâteux ou non, mais valides ; - 3° les
; - 2° les enfants idiots, gâteux ou non, mais valides ; - 3° les
enfants
propres, valides, imbéciles, arrié- rés, instab
rés, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non. - 1.
Enfants
idiots, galeux, épileptiques ou non, mais inval
oupe est subdivisé en deux catégories. La première se compose des
enfants
idiots complets, ne parlant, ni ne marchant, co
marchant, considérés généralement, à tort comme tout à fait IV
Enfants
IDIOTS complets. incurables. La plupart d'entre
n escalier avec un petit escalier double (Fig. 6). En 1903, trois
enfants
ont appris à marcher (1) ; (1) Mart..., Yi : n.
durant le der- nier trimestre. Fig. ? . - Barres parallèles. VI
Enfants
IDIOTS COMPLETS. deux enfants ont été guéris du
Fig. ? . - Barres parallèles. VI Enfants IDIOTS COMPLETS. deux
enfants
ont été guéris du gâtisme (2) et deux ont appri
e plus nombreuses améliorations. (Voir les notes p. v). Dès qu'un
enfant
marche sans aide, il doit être envoyé à la Peti
s toute la journée, aussitôt que ses forces le permettent. Tous ces
enfants
sont placés sur les petits fauteuils spéciaux (
avec, sur le devant, une barre transversale médiane pour empêcher l'
enfant
de déplacer le vase avec les pieds. - La seco
à appliquer tous les (1) Lors de notre arrivée dans le service les
enfants
étaient assis sur des alèzes. Les fauteuils ima
ble économie de linge pour l'Adminis- tration, sans compter que les
enfants
y ont gagné du bien-être. 'x/. i. - Chariot.
nt promenés dans les jardins. Ce sous-sol sert également à d'autres
enfants
, qui nous arrivent tardi- vement à 15, 16, et m
eur gâtisme, sans aucun bénéfice pour eux et au grand détriment des
enfants
éduca- bles. Ces malades absolument incurables
faisons remonter dans la quatrième classe de la grande école. II.
Enfants
idiots gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou
gâteux, épilep- tiques ou non, mais valides (Petite École). - Ces
enfants
fréquentent la petite école, confiée exclusive-
iée exclusive- ment à des femmes. Dans le courant de l'année, 163
enfants
y ont été inscrits. Sur ce nombre, 2 sont 1%i.
3 ont été trans- férés, 10 sont passés à la grande école. Sur 140
enfants
qui restaient à la petite école au 31 décembre
20 se servent de la cuiller, de la fourchette et du couteau. - Sept
enfants
de ce groupe sont devenus propres (1) ; 5 ont a
lever, au coucher, au milieu delà nuit et après chaque repas, les
enfants
gâteux sur les sièges d'aisance et qui a pour b
eux sur les sièges d'aisance et qui a pour but principal d'amener l'
enfant
gâteux à devenir propre, fait également réalise
ons fait faire par l'une des surveillantes du service le relevé des
enfants
ayant déféqué au siège après les repas, durant
s de chaque mois. Voici ce relevé qui a porté sur une moyenne de 50
enfants
gâteux (p. xi.) Comme on le voit, en 60 jours,
u dortoir, la nuit, pour les chemises et les draps, par la pose des
enfants
sur les sièges, au coucher, au milieu de la nui
emment ; 2° les leçons de toi- lette qui consistent à apprendre aux
enfants
à se laver la figure et les mains, à s'habiller
dans les promenades (2). Voici quelques détails sur plusieurs des
enfants
les plus malades (idiots profonds), améliorés l
) Toutes les mères devraient apprendre le plus tôt possible à leurs
enfants
la manière de se gargariser ce qui rendrait plus
out celui de IS99, pour tous les procédés en usage à la section des
enfants
arriérés et épileptiques. XIV PETITE ÉCOLE.
propre, est un peu moins grossier et moins méchant avec les autres
enfants
. Concernant les exercices classiques, il est ar
isant. Idiotie complète - L'A\1.. (Gaston), 14 ans. A l'entrée, l'
enfant
était grand gâteux, ne parlait pas, marchait ma
puis si on le forçait un peu vivement, il se relevait et frappait l'
enfant
qui se trouvait à côté de lui. A présent, l'enf
it et frappait l'enfant qui se trouvait à côté de lui. A présent, l'
enfant
, exercé aux projections, est devenu plus causan
on. Elle est aidée par Mm. Landier, première infirmière. Quarante
enfants
composent cette école. Trois infirmières sont e
res sont en outre adjointes à ce service pour la surveillance des
enfants
(réfectoire, dortoir, promenades). Voici quel-
de l'année 1903, résumés d'après les notes de M ? Bonnet. Quatre
enfants
ont été rendus propres dans le Jour : Le Bi...
... (Félix), ce dernier ne gâte plus ni jour ni nuit. - Deux autres
enfants
n'urinent plus au lit : Mil... (Émile), Cour...
n'urinent plus au lit : Mil... (Émile), Cour.... (Georges). - Cinq
enfants
ont été améliorés pour la parole : Itziko ... (
... (Cyrille), Riq.. (Emile), Pard.. (Marcel), Cot... (Henri). Deux
enfants
ont appris à lire couramment : Gava.. (Emile),
blème. Imbécillité et instabilité mentale. - FAITO.. (Emile). Cet
enfant
indiscipliné, turbulent, tout à fait instable, ét
hant un sourire perpétuel, parole complètement nulle, tel était cet
enfant
lorsqu'il nous fut confié. Aujourd'hui, il es
but son devenues plus rares. Imbécillité. DIJaIES.·I.. (André). Cet
enfant
avait été renvoyé de plusieurs écoles et déclar
, la figure sans expression, les bras pendant le long du corps, cet
enfant
a Ventrée ne répondait que par oui et non aux q
tie profonde ; surdi-mutité. Le BIlL. (Cyrille). -A son entrée, cet
enfant
gâtait nuit et jour, ne parlait pas, indif- fér
timbres entre lesquels se meut librement une boule métallique. Les
enfants
sont obligés de marquer chaque temps par une se
e faute contre la cadence est aussitôt remar- quée aussi hien par l'
enfant
que par le maître. Suivant notre habitude, nous
s empressé d'utiliser un procédé qui pouvait rendre service à nos
enfants
. M. Boyer, notre collaborateur à Vitry, a sim-
aque exer- cice, l'immobilité générale, le moindre mouvement de l'
enfant
se trahissant par un grelottement. La ymnas- ti
rappeler à grands traits les procédés que nous employons pour les
enfants
les plus dégradés, ceux que l'on qualifie d'inc
i sont moins atteints sont, à plus forte raison, améliorables. Un
enfant
est atteint d'idiotie complète, c'est-à- dire q
raitement médico-pédago- gique consiste à éveiller l'attention de l'
enfant
, à éduquer les sens, en premier lieu le sens du
main; puis le sens de la vue (2). C'est alors qu'on essaie, même l'
enfant
ne parlant pas, à lui faire désigner, la nomina
u dortoir, de l'école, les personnes, les animaux, etc.. Bien que l'
enfant
ne parle pas ou ne possède que quelques mots, n
. Traitement MRD)f : 0-PËDA&0& ! QUE. xxiii Nous exerçons l'
enfant
à désigner les objets et à mettre sur chacun d'
et à mettre sur chacun d'eux le mot imprimé correspon- dant. Les
enfants
même ne sachant pas syllaber, ne connaissant pa
Cet exercice facilite ultérieure- ment celui de la lecture pour les
enfants
qui ne savent pas lire et est très utile pour l
pour les enfants qui ne savent pas lire et est très utile pour les
enfants
plus avancés qui savent lire. L'enfant marche
t est très utile pour les enfants plus avancés qui savent lire. L'
enfant
marche, est devenu propre ; en même temps qu'on
ont été acquises, l'âge et le développe- ment physique venant, les
enfants
passent it la grande .école (1). Dans notre C
nos rapports antérieurs. Rappelons seulement que nous envoyons les
enfants
les plus améliorés à la grande gymnastique, à l
on de leur main, de fixer leur attention. Ce travail n'est pour ces
enfants
qu'un moyen d'éducation. Il est, en outre, pour
as en deux temps; mouve- ments latéraux des bras en deux temps. Les
enfants
au lieu de compter les temps que le maître seul
En dehors des exercices de respiration, dans les mouvements où les
enfants
comp- tent eux-mêmes les temps, nous obtenons l
u Petit navire ; l'Histoire du blé, sur l'air du Pied qui remue ; L'
enfant
et le nid d'oiseau, sur l'air de A la volette,
battant nous servent dans nos exercices. Nous faisons frapper à l'
enfant
un nombre de coups donné, de même que nous leur
, puis à la Fondation Vallée, enfin à Bicêtre, amuse beaucoup nos
enfants
; et si nous disposons de marteaux de couleurs
dis- posé en creux comme le tableau des surfaces (Fig. 13). III.
Enfants
propres et. valides, imbéciles, arriérés, insta
restent, les autres jours, le matin et le soir à l'ate- lier. Les
enfants
non pourvus du certificat d'éludés xxvi Grande
xvi Grande école. sont répartis en quatre classes (52, 37, 30 et 37
enfants
). Aux examens du certificat d'études qui ont eu
u certificat d'études qui ont eu lieu à Villcjuif, le 23 mars, deux
enfants
ont suhi les épreuves avec succès (soi.. et Dim
llée), afin d'être mieux en mesure d'améliorer la prononciation des
enfants
et de développer leur parole, ont été envoyés s
ale des sourds-muets. De plus, comme nous avons un certain nombre d'
enfants
aveugles, nos auxiliaires sont également allés
seconder sérieusement dans le traitement médico- pédagogique des
enfants
de notre service. Aux insti- tuteurs et aux sur
s relations ce qui devrait être fait pour tous les pédago- gues d'
enfants
anormaux. Nous avons des idiots sourds et muets
onnel enseignant. Les péda- gogues de chacun des groupes spéciaux d'
enfants
anormaux profiteraient, croyons-nous, de leur p
des obstacles qui s'opposent il la création de sections spéciales d'
enfants
, annexées aux asiles ou il la créa- XXVIII I ?
le-École de Bicêtre. De même que les années précédentes, tous les
enfants
susceptibles de profiter de cet enseignement t
susceptibles de profiter de cet enseignement t y ont pris part. Les
enfants
de la petite école au nombre de 100 et un nombr
ux groupes. Nous avons fait compo- ser en 1890 par l'imprimerie des
enfants
un Recueil de chants dont la seconde édition, e
sur les résultats de l'année 1903. Solfège et théorie musicale. Les
enfants
au nom- bre de 25 ayant suivi cette classe save
igner a été la même que l'année pré- cédente. Voici quelques noms d'
enfants
sachant lire la musique. Rob.... Lecture très
de la fanfare comme 4eme basse, sait les chants de gymnastique. Cet
enfant
avait beaucoup de peine au début, mais aujourd'
- Heimb... lit bien la musique et connait la valeur des notes, cet
enfant
est turbulent et n'est pas tou- jours très atte
Sim..., Duf... commencent seulement a lire un peu les notes. - Les
enfants
Melno... Via... Gabo... Pasc... et Mil... ont p
ur apprendre plus facilement le nom des notes de musique à certains
enfants
, j'ai utilisé la similitude que présente le nom
e le nom des notes avec celui de choses ou de personnes connues des
enfants
; xxx Traitement Médico-Pédagogique. c'est ain
t sur le sol on pense à la note de même nom. Avec ce- système les
enfants
retiennent très facilement le nom des notes et
coup l'élève à reconnaître la valeur des notes parce que tous nos
enfants
connaissent la valeur de la monnaie. - La class
usicale fournit les élèves pour la Fanfare. Fanfare et Orphéon. - 3
enfants
font partie de la Fanfare, 24 exécutants et J 3
ces de gymnastique et fait défiler il la fin de ces exercices les
enfants
aux sons d'une marche avec musique et clai- ron
s et deux bals. Dans ces concerts j'ai fait exécuter par quelques
enfants
de l'orphéon et quelques fillettes do la Fondat
ances. Une pié- cette complète le programme. Les parents d'un des
enfants
de la section, M. et Mmo Guy, de vrais artistes,
eux concours à nos petites fêtes. Concerts et bals font la joie des
enfants
et de leurs parents, qui sont autorisés à y ass
s fêtes sont organisées sans frais pour l'Adminis- tration, par les
enfants
qui font eux-mêmes avec les chefs d'atelier, le
se de la fanfare et de la caisse des déguisements. La Fanfare des
enfants
a pris part a deux concours, à Ivry et à Gentil
le concours de Gentilly s'ex- primait ainsi : « La Fanfare, « Les
Enfants
de Bicêtre » dirigée par M. Sutter, a joué avec
Aubade Champêtre ». Cette petite phalange d'artistes est composée d'
enfants
épileptiques et arriérés, elle est unique dans
lettres de félicitations pour le succès remporté par la Fanfare des
Enfants
aux concours d'Ivry et de Gentilly. Exercices
illy. Exercices de la voix et des poumons. Un grand nombre de nus
enfants
ont la voix assez juste et assez étendue pour e
à ce genre d'exercices. Le résultat obtenu est d'ordinaire bon et l'
enfant
gagne des notes dans l'aigu et dans le grave, c
e, ce qui permet d'augmenter l'é- tendue de l'échelle musicale de l'
enfant
. Il saura, après ces exercices, chanter une dem
degrés jus- qu'aux notes aiguës, on arrive à faire connaître à l'
enfant
toute une gamme et il cherchera lui-même à repr
motion que produisent les sons ainsi communiqués. De prime abord, l'
enfant
quitte brusquement l'instrument, il en a peur,
un caractère n'ai. Il existe malheureusement un trop grand nombre d'
enfants
atteints de surdité, pour ne pas faire quelques
pas très longtemps, j'ai encore fait quelques expériences sur des
enfants
de Bicêtre. Les enfants Seill ? Dcgra..., Zop..
ai encore fait quelques expériences sur des enfants de Bicêtre. Les
enfants
Seill ? Dcgra..., Zop..., Tiero..., ont parfait
s'ap- pliqueront sur la touche 5. 1 ? Exercice. Après avoir mis l'
enfant
en présence du clavier posé sur une table, il d
e aux autres doigts la même gymnastique, aller et retour. Quand l'
enfant
n'éprouvera plus de difficultés dans cet exerci
ment il nos instructions il s'est occupé successivement de tous les
enfants
en mesure de pro- fiter de cet enseignement. 12
ès nature. Petite école. En considération de leur jeune âge ces
enfants
ont reçu un enseignement différent de celui des
les, tels que entonnoir, pelle, légu- mier, etc. Comme ces jeunes
enfants
montrent un goût réel x1S\'I Gymnastique ; escr
ittés avec beaucoup de zèle et de dévouement de leurs fonctions. 80
enfants
participent, il des degrés divers, -'CI cet exe
ure sous la direction de M. LA;'OEossE, un de nos instituteurs. 142
enfants
de la grande école et 15 de la petite école y
es, ce qui porte à 625 le nombre des volumes de la bibliothèque des
enfants
Le 1 ? janvier 1903, le nombre des vues pour pr
projections. Ces vues servent aux conférences du jeudi faites aux
enfants
les moins malades, aux visites du samedi, jour
eignement par les projections est très com- plexe. Il sert pour les
enfants
de toutes les catégories : 1° pour les enfants
xe. Il sert pour les enfants de toutes les catégories : 1° pour les
enfants
idiots profonds à fixer Y attention (images bla
reconnaître les objets, les animaux (images graduées) ; 3° Pour les
enfants
imbéciles, arriérés et épileptiques, il faire t
cs, des manies, s'opposer aux pratiques solitaires. Pour tous les
enfants
, et en particulier pour les imbéciles intel- le
nos auxiliaires, pédagogues et infirmiers, qu'ils ont affaire à des
enfants
malades, relevant du traitement médira-pédagogi
relevant du traitement médira-pédagogique, envers lesquels et comme
enfants
, et comme malades, ils Grande école : résultats
doivent se montrer bienveillants et affectueux, et non pas à des
enfants
vicieux, dont la place, serait, disent certains
ié de l'asile-école de Bicêtre. Voici quelques notes concernant les
enfants
de la grande école : Grande école : 'ter, cla
en classe était nul ou à peu près. Malgré de douces remontrances, l'
enfant
continuait de bouder et pour la moindre chose f
nt devenus de plus en plus espacés, le travail s'est maintenu et; l'
enfant
a obtenu le certificat d'étu- des primaires. Il
vertiges qui provoquent des troubles intellectuels consé- cutifs, l'
enfant
serait tout comme un enfant normal. II se tient
troubles intellectuels consé- cutifs, l'enfant serait tout comme un
enfant
normal. II se tient propre, il est même un peu
2e classe. Bellhoi..., 18 ans. Epilepsie, alcoolisme. L'état de cet
enfant
s'est seulement amélioré cette année, il a suiv
te les leçons qui lui sont faites et en tire profit. Bon caractère,
enfant
docile et obéissant, n'est jamais grossier. N'a
vannier, bon ouvrier, un des meilleurs de l'atelier. Bon caractère,
enfant
poli. Melnot ? 11 ans. Etait encore il la petit
e accorder les verbes et les participes. La mémoire se développe, l'
enfant
apprend bien ses leçons. Son caractère s'amélio
18 ans. Imbécillité, épilepsie. - Progrès sensibles en lecture. Cet
enfant
s'applique dans la mesure du possible pour ses
. SeÚa81..... 17 ans. Imbécillité. Dans le courant de l'année cet
enfant
a fait des progrès assez sérieux au point de vuo
.... (Philibert), 1- ! ans li2. - Imbécillité et épiles- sie. - Cet
enfant
a le plus grand désir d'apprendre ; aussi ses e
l3aanlu....,(L : milel, 15 ans. Imbécillité et surdi-mutilé. Cet
enfant
a fait des progrès pour les exercices classiques.
. a appris à faire l'addition et la soustraction sans retenues. Cet
enfant
qui a beaucoup d'amour-propre, a le plus grand
goût. Nous bornons lu ces renseignements; en donner sur tous les
enfants
nous entraînerait trop loin. XLIV DESIDERATA.
ultats, plus d'améliorations et de guérisons, il faudrait que les
enfants
soient rigoureusement occupes ou distraits du l
raient avoir leur congé sans qu'il en résulte un préjudice pour les
enfants
. En effet, tandis que dans les lycées, les écol
l'asile-école de Bicêtre, comme dans les services ana- logues, les
enfants
, eux, restent. L'organisation de nos écoles off
les instituteurs n'avaient qu'un mois de vacances. Oubliant que les
enfants
sont toujours pré- sents, n'ont pas de vacances
il y aurait a faire créer des instituteurs et des ins- titutrices d'
enfants
anormaux qui iraient passer un certain temps, s
es bourses spéciales en vue de l'en- seignement de la pédagogie des
enfants
anormaux. L'étranger, a cet égard, comme à tant
hostilité contre l'organisation que nous avons créée en faveur des
enfants
idiots, alors que les enfants normaux ne dispos
on que nous avons créée en faveur des enfants idiots, alors que les
enfants
normaux ne disposaient pas d'avantages semblabl
os moyens d'action. A leurs yeux, nous avons trop fait pour de tels
enfants
. Leurs visites à l'asile-(\co ! e do Bicêtre de
rime, d'atelier, nous avons toujours essayé de faire participer les
enfants
aux corvées de tout genre : salubrité, nettoyag
s la mesure que comporte le défaut d'entretien des bâtiments. Des
enfants
accompagnent les infirmiers à la cui- sine, il
des leçons de choses. En tout cas, c'est une distraction pour les
enfants
qui se sentent plus libres. Quelques enfants, a
distraction pour les enfants qui se sentent plus libres. Quelques
enfants
, avec notre autorisation, et de honne volonté,
se rendre utiles aux personnes qui leur sont dévouées. ' Plus les
enfants
sont occupés, plus leurs occupations sont varié
nécessairement remplacé par la leçon de choses qui ne cloue pas les
enfants
sur des bancs pendant plusieurs heures de la jo
, par suite, un exercice physique, en même temps qu'un amusement, l'
enfant
naturellement curieux, regardant, écoutant, com
nous enregistrons, c'est l'onanisme relevé comme fréquent chez les
enfants
. Pour y remédier nous intervenons sans cesse au
s enfants. Pour y remédier nous intervenons sans cesse auprès des
enfants
, nous recommandons aux instituteurs de veiller
enfants, nous recommandons aux instituteurs de veiller à ce que les
enfants
soient toujours accompa- gnés des infirmiers de
e s'opposer à ce qu'ils s'isolent dans les coins; et d'empêcher les
enfants
de mettre leurs mains dans les poches de leur p
pantalon, aux infirmiers et infirmières de veille d'empêcher les
enfants
de se coucher sur le ventre. Malheureusement, s
essité de se conformer à nos (1) Pour faciliter la surveillance des
enfants
aux cabinets d'ai- sances nous avons fait dispo
. Hygiène sexuelle. eux indications, nous citons l'exemple de : ;
enfants
dont l'état mental est dû surtout aux habitudes
part de l'onanisme ou l'entretenir. Promenades et distractions. Les
enfants
de la grande et ceux de la petite écoles, qui s
ti- tutrices doivent donner des leçons de choses et exer- cer les
enfants
aux différents jeux en plein air (jeu de BOURNE
aux théâtres et concerts de Paris ont prêté leur concours. Tous les
enfants
valides de Bicêtre et de la Fondation Vallée y
. Les familles assistent seulement aux fêtes organi- sées par les
enfants
. Les enfants ont encore bénéficié de plusieurs
s assistent seulement aux fêtes organi- sées par les enfants. Les
enfants
ont encore bénéficié de plusieurs repré- sentat
par un de nos anciens malades, ;uy, séance qui a beaucoup amusé les
enfants
. Caisse d'épargne. Elle est confiée au premier
nt leur droit. Sans eux le directeur ne peut rien. Visites. - Les
enfants
ont reçu 7.945 visites : les visiteurs ont été
accès épileptiques. De plus, les parents donnent de l'argent aux
enfants
, autre abus qui est une source d'ennuis pour to
t la revaccination de tous les malades entrés durant l'année et des
enfants
dont la revaccination remonte à 6 ou 7 ans. Com
ures, ce qui permet- trait de faire faire ensuite une promenade aux
enfants
. . LIV Bains et hydrothérapie. dentaire, notr
t de remédier aux nombreuses défectuosités de la dentition chez nos
enfants
et aussi d'avoir, chaque année, une note, prise
ne note, prise par un homme compétent, sur la dentition de tous les
enfants
(1). Bains et hydrothérapie. - Les bains et les
nous avons été chargé de la section des épileptiques (adultes et
enfants
) de l'hospice de Bicêtre, ensuite de la nouvell
nfants) de l'hospice de Bicêtre, ensuite de la nouvelle section des
enfants
. En 1882, dans sa remarquable thèse inaugurale,
Traitement par le /n'omhycll'111e d'hyoscine (en injections). Dix
enfants
ont été soumis à ce traite- ment. La dose de un
Traitement : par la cérébrine : .' 1° simple; 2" bromo-iodée. Trois
enfants
ont été soumis au dit traitement. Chez un seul
- " Traitement par le chlorure de calcium (en injec- lions). Dix
enfants
ont été également soumis à ce (1) Elle nous a é
MIIIO Ath. Bohain, sur- veillante de 3° classe il l'infirmerie des
enfants
a été 7''x/. 13. - Vêtement pour les déchireurs
avons emprunté à l'Asile-Ecole du Strop à Gand sert il empêcher les
enfants
de déchirer leurs vêtements, de se griffer ou d
assez long, se boutonnant par derrière. Il est lait de façon que l'
enfant
doit y être à son aise. (I'ig. 13, 1 ! i, l.)
. Visites DU SERVICE. LXI dans laquelle on introduites mains de l'
enfant
. Une patte avec boucle est fixée à laface posté
oivent sortir les branches do la patte. Pour maintenir la main de l'
enfant
dans la poche, on embrasse le poignet avec la p
nières sont serrées à volonté par la boucle ou par des boutons. L'
enfant
ne peut plus retirer sa main ainsi fixée. Sa po
les bras sont en demi-fle- xion, le poignet n'est pas trop serré, l'
enfant
peut remuer sa main dans la poche sans la sorti
rès grande de montrer non seulement l'organisation du service des
enfants
, mais encore son fonctionnement médico-péclago
ur de l'hos- pitalisation, et de l'éducation de cette catégorie d'
enfants
anormauxetles convaincre de la possibilité de l
de danse de midi à une heure. (2) Voir Histoire de la section des
Enfants
de Bicêtre, par Bour- ncville, (1879-1802). L
nédul ? au30,juillet 199; \1"°Laclc, institutrice dans les écoles d'
enfants
anormaux à Cené- ve, qui y passéuncscmainc cnju
'ils apportent chaque jour à donner Yinstructionprofessionnelle aux
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'
l hospitalier de l'A. P., etc., eto.. LXX Évaluation DU travail des
enfants
. Le Travail des enfants, évalué par l'économe,
etc., eto.. LXX Évaluation DU travail des enfants. Le Travail des
enfants
, évalué par l'économe, M. MAuPRÉ, et par l'arch
de leurs maîtres; 2° les gratifications hebdomadaires données aux
enfants
, le samedi, à titre de récompense variant de 5
néfice de 7.673 fr. qui vient atténuer les dépenses d'entretien des
enfants
. Cette somme, comme celle réalisée sur les perm
e d'Alembert à Monté- vrain, par exemple, où les apprentis sont des
enfants
normaux, sains de corps et d'esprit, et même ch
ourds-muets (1). Nos apprentis, à Bicêtre, sont non seulement des
enfants
anormaux, mais encore des enfants malades : qua
à Bicêtre, sont non seulement des enfants anormaux, mais encore des
enfants
malades : quand ils ont, les uns des accès épil
ls ont des accès, le travail est momentanément suspendu; les autres
enfants
sont distraits et le chef d'atelier est obligé,
u de 350 fr. pour toute la durée des études. Le prix de journée des
enfants
de l'asiie-école de Bicètre est de 2 fr. 20, so
ts. Ceci dit il titre de renseignement et afin de montrer que les
enfants
arriérés ne coûtent pas autant que certains le pr
ne coûtent pas autant que certains le prétendent. LRXII Travail DES
enfants
. qu'ils ont des visites les jeudis et dimanches
ment, après avoir douté de la possi- bilité de faire travailler les
enfants
idiots, arriérés et épileptiques, et avoir prot
apprenti sont occupés, par exemple, à réparer une porte, les autres
enfants
n'ont plus de guide et ne s'instruisent pas.
et non le produit lui-même bien qu'il ne soit pas à dédaigner. Les
enfants
eux- mêmes sont heureux de voir que leur travai
leurs ressources immédiatement), plus que par l'inté- rêt de leurs
enfants
. D'autres de nos apprentis insuf- fisamment amé
leur apprentissage et de ne pas perdre le bénéfice du travail des
enfants
. Nous renouvelons notre récla- mation. Jamais i
terruption dans les occupations scolaires ou professionnelles des
enfants
. LXXIV Statistique. Mouvement DE la population.
pulation. Le premier janvier 1903, il y avait dans le service 438
enfants
se décomposant ainsi : 417 enfants idiots, imbé
, il y avait dans le service 438 enfants se décomposant ainsi : 417
enfants
idiots, imbéciles ou épileptiques, dits aliénés
tinction, qui s'applique aux épileptiques adultes aussi bien qu'aux
enfants
, est purement administrative et il est difficil
ans rotation de la tête; 17 avaient un tic coordonné des mains ; 14
enfants
idiots étaient tourneurs; 12 étaient sauteurs e
étaient tourneurs; 12 étaient sauteurs et 7 étaient grimpeurs. Un
enfant
était atteint (l'hémimélie; 1 de poly- daclylie
t de la population ne fournissent pas une idée exacte du nombre des
enfants
anormaux intellectuels et moraux. Il serait à s
lle a déménagé et on ne peut avoir sa nouvelle adresse. Parmi les
enfants
sortis, il en est qui sont enlevés prématurémen
uatre évasions ont eu lieu dans le cou- rant de l'année, celles des
enfants
Sim ? Jean ? Pach ? Cuiz..... Ces différentes é
ifférentes évasions n'ont donné lieu à aucune formalité légale. Les
enfants
ayant été repris moins de 15 jours après leur é
ure à l'entrée, durant les cinq premiers jours (1) pour savoir si l'
enfant
n'est pas sous le coup d'une affection aiguë, c
une affection aiguë, contagieuse ou non. (1) A l'entrée de tous les
enfants
, aussi bien à la Fondation Val- lée qu'à 131cèl
ndemain au moment du certificat immédiat nous examinons nous-mème l'
enfant
de la tète aux pieds s'il y a lieu; il en est a
nes se sont présentées : 185 pour renseignements sur le placement d'
enfants
arriérés ou épileptiques; - J 07 pour maladies
nt leur rentrée dans l'Assistance; - 92 pour renseignements sur les
enfants
du service pré- sents ou en congé. La partie
plus intéressante de notre consultation est celle qui concerne les
enfants
nerveux et arriérés. Pour ceux d'entre eux que
administrons lapre- Maladies des yeux. xci micro douche, que les
enfants
acceptent en général très bien après avoir vu q
e les enfants acceptent en général très bien après avoir vu que nos
enfants
la prennent sans résistance (Imitation). En mai
ue d'ophtalmologie de la Faculté de médecine pour le traitement des
enfants
atteints de maladies cles yeux. Il a continué e
os malades. Conjonctivite chronique à cli plobaci lle. - Quelques
enfants
atteints de cette affection se sont présentés il.
. Il suffit cependant d'examiner de parti pris la conjonctive des
enfants
dans leurs pavillons pour constater la fré- que
naperçue. La sta- tistique est donc facile à établir. A Bicêtre, 83
enfants
ont été atteints du premier janvier au 10 novem
groupements se montre en rapport avec l'imperfection mentale des
enfants
. Elle atteint son maximum dans les pavillons do
um dans les pavillons do gâteux, et elle diminue -IL mesure que les
enfants
du pavillon considéré sont d'un niveau intellec
aut tenir compte, dans la propagation du mal, de la malpropreté des
enfants
gâteux qui disséminent les germes sur leurs mai
des précautions prises par lcpcrsonncl, chargé delà toilette de ces
enfants
. Les doigts de l'in- firmière et les serviettes
ont donné le mal. Les infirmières chargées de faire la toilette des
enfants
changeaient très souvent, et on constatait une
ssible d'empêcher la dissémination dans une agglomération de jeunes
enfants
. Le seul moyen effi- cace serait l'isolement de
es yeux. Maladies des yeux. xCIII ficilc à cause des catégories d'
enfants
qu'il faudrait réunir : idiots gâteux, idiots p
ns le cas où l'isolement complet est impossible il faut grouper les
enfants
malades dans une des extré- mités de la salle c
es extré- mités de la salle commune, éviter leur contact avec les
enfants
sains et confier leur toilette il une infirmière
irmière habile et très soigneuse. Conjonctivite granuleuse. Trois
enfants
atteints de conjonctivite granuleuse ont été am
on ait 31 décembre 1903. Ilyavaità cette époque dans le service 428
enfants
, se décomposant ainsi : 411 enfants idiots, imb
te époque dans le service 428 enfants, se décomposant ainsi : 411
enfants
idiots, imbéciles ou épileptiques, dits aliénés
c ou sans rotation de la tête ; 17ont untic coordonné des mains; 16
enfants
idiots sont tour- neufs; 14 sont sauteurs; 24 s
ts idiots sont tour- neufs; 14 sont sauteurs; 24 sont grimpeurs. Un
enfant
était atteint d'IzérzinZélié; 1 de .polydactyli
aire des réparations dans les salles. Ils inter- viennent quand les
enfants
ont des querelles, des impulsions, des accès, p
ment primaire. La Fondation Vallée, par les diverses catégories d'
enfants
qu'elle reçoit, ne correspond pas à la colonie
-dire ne recevoir ni épileptiques, ni gâteuses, mais au service des
enfants
de Bicêtre, où nous recevons, en outre des épil
utre des épileptiques et des hys- tériques, toutes les catégories d'
enfants
idiots, ainsi que des enfants ou dcs adolescent
- tériques, toutes les catégories d'enfants idiots, ainsi que des
enfants
ou dcs adolescentes atteintes d'im- bécillité m
tives. Nous avons, à la Fondation, deux groupes principaux : 1° les
enfants
idiotes et gâteuses, valides ou non; - 2° les e
paux : 1° les enfants idiotes et gâteuses, valides ou non; - 2° les
enfants
propres, - et dans les deux groupes, des épilep
es enfants propres, - et dans les deux groupes, des épileptiques.
Enfants
idiotes et gâteuses. - Elles étaient au nombre
U. Lcs idiotes gâteuses se divisent en deux catégo- ries : a) les
enfants
valides qui sont envoyées à l'école durant une
i sont envoyées à l'école durant une partie de la journée; - b) les
enfants
INVA- LIDES, qui séjournent dans le sous-sol. C
tisme. Pour qu'on se rende compte de la possibilité d'améliorer ces
enfants
, voici quelques renseignements sur celles qui,
l fallait procéder il son habillement et il sa toilette comme à une
enfant
de quelques mois. La physionomie était sans exp
affectueux n'étaient pas plus déve- lohhés cluc son intelligence, l'
enfant
n'était pas méchante, mais elle était indiffére
omie s'est éveillée, le teint s'est éclair- ci, les mouvements de l'
enfant
sont devenus plus vifs. A mesure qu'elle se dév
d'hui, un changement merveilleux s'opère de jour en jour chez cette
enfant
: la physionomie devient expressive : le regard
nt ce qu'elle voit faire; aide il s'habiller et à se déshabiller. L'
enfant
est devenue tout à fait propre; le jour elle de
e : «papa, pipi, ou popo, caca selon le besoin qu'elle éprouve. L'
enfant
marche maintenant toute seule, elle trottine par-
usse des exclamations quand elles sont grotesques. . En un mot, l'
enfant
est très améliorée sous tous les rapports et le
chait pas et ne disait aucun mot, elle gâtait nuit et jour. Cette
enfant
mise en traitement dès le début a déjà fait des
ans. A l'entrée à la Fondation le t'juin 1901, la physionomie de l'
enfant
man- quait d'expression, son air était hébété,
son air était hébété, le regard vague et sans but, rien chez cette
enfant
n'annonçait l'intelligence. Elle parlait, mais
lle n'a eu qu'un seul accès d'épilepsie depuis son entrée ; aussi l'
enfant
s'est développée sous tous les rap- ports-. La
connaît l'addi- tion. Elle a réalisé de réels progrès en coulure, l'
enfant
tra- vaille aux tabliers, aux robes ; elle comm
et agile et aime tout ce qui demande du mouvement. En somme, cette
enfant
a fait beaucoup de progrès et est en très bonne
ppropriait facilement les affaires de ses compagnes. Aujourd'hui, l'
enfant
s'est améliorée, elle se rapproche beaucoup d'u
urd'hui, l'enfant s'est améliorée, elle se rapproche beaucoup d'une
enfant
à peu prés normale. Le caractère laisse encore
e mauvaises habitudes. Sa tendance pour la kleptomanie a disparu. L'
enfant
a fait de réels progrès en classe, puisqu'elle
(Ga- brielle), 13 ans. l'entrée z2 janvier 1903), le visage de l'
enfant
était pâle, la physionomie avait une empreinte de
s chiffres. Tout son savoir consistait en ces quelques notions. L'
enfant
a été mise en traitement dès le début (douches,
es et tout donne Ù espérer que d'ici quelques jours la lecture de l'
enfant
sera courante. Elle aime la gymnastique, sait f
, s'y prend bien cl.,n'est. pas maladroite. Inutile d'ajouter que l'
enfant
ne pouvait suivre aucun de ces exer- cices à so
rait à l'onanisme, malgré une grande surveillance ; la santé do l'
enfant
en était altérée, car elle était pâle, les yeux c
âle, les yeux cernés et sa maigreur était inquiétante. De plus, l'
enfant
n'avait aucune aptitude pour ce qui con- cerne
ependant un grand change- ment s'est opéré dans l'état général de l'
enfant
. Le visage a pris une certaine expression, le r
e à toute sa toilette avec soin. Ajoutons aussi que le sommeil de l'
enfant
est tranquille et que ses mauvaises habitudes o
e et que ses mauvaises habitudes ont disparu. Le tempérament de l'
enfant
est meilleur, elle a bonne mine, l'état général e
En classe ses progrès ont été, pour ainsi dire rapides, pour une
enfant
atteinte d'un tel degré d'imbécillité : elle a ap
té insurmon- table. Elle commence il coudre, fait hien un ourlet, l'
enfant
savait peine tenir une aiguille à son entrée. A
e il la Fondation en avril 1901. A son arrivée, la physionomie de l'
enfant
était dure, le carac- tère laissait beaucoup :
gnes ou bien elle les déchirait : elle agissait en un mot comme une
enfant
qui n'a pas un brin de raison. Elle était répon
volonté. Elle s'amusait à lire et à bavarder avec ses compagnes. L'
enfant
avait aussi de réelles difficultés pour la gymn
nte à l'égard du personnel, son raisonnement est devenu meilleur, l'
enfant
a même aujourd'hui un certain jugement. Elle es
s les exercices de la gymnastique. Sous le rapport de la couture, l'
enfant
a bien appris à coudre; elle y mettait d'autant
idiot ie complète, 8 ans, entréele 1 ? décembre 1899, cécité. Cette
enfant
était très chétive, sa physionomie était insign
. Rien ne pouvait faire présager la moindre amélioration chez cette
enfant
; cependant elle est parvenue a marcher seule, à
le se dan- dinait de droite il gauche; ne courait, ni ne sautait. L'
enfant
parlait, mais elle zozotait il chaque mot et il
ni s'habiller, ni se déshabiller. Au point de vue intellectuel, l'
enfant
n'était pas plus avan- cée, cela va sans dire,
usuels. Nulle notion scolaire. Les premiers jours de son entrée, l'
enfant
a été mise en traitement par la glande thyroïde
insi que les chiffres; elle apprend par coeur des petites fables. L'
enfant
est vive, alerte dans ses mouvements; marche, c
rend à ces différents exercices. Actuellement, elle est comme une
enfant
normale de (i à 7 ans. Amélioration très notable.
ce diagnostic, il est facile de comprendre que l'état général de l'
enfant
laissait beaucoup à désirer. La cvi Traitement
très souvent y mettaient un grand obstacle. Vu cette incapacité, l'
enfant
était triste, tout était pour elle un sujet d'e
us les jeux de ses compagnes, sa conversation est inté- ressante, l'
enfant
raisonne comme un petit personnage. Ainsi qu'à
entièrement seule aux soins concernant sa toilette. En classe, l'
enfant
montre une application soutenue, mais la vue es
commence il copier, assemble les lettres. Tout porte a croire que l'
enfant
lira couram- ment dans le courant de l'année. L
ment dans le courant de l'année. La mémoire n'est pas mauvaise, l'
enfant
récite des fables et fredonne des chanson- nett
gymnastique et y met beaucoup de bonne volonté. L'attitude de cette
enfant
s'est améliorée et ses progrès sont notables.
raitement MÉDICO-PÉDAGOGIQUE. cvn A son entrée, la physionomie de l'
enfant
n'indiquait aucune intelligence, le regard étai
actère était triste, maussade; les premiers jours de son arrivée, l'
enfant
avait eu, sans motif déterminé, une période de
e et plus agile dans ses mouvements. En résumé les progrès de cette
enfant
sont très sérieux. L'amélioration notable acqui
e enfant sont très sérieux. L'amélioration notable acquise chez ces
enfants
atteintes d'idiotie complète, d'idiotie profond
oins analogues ou plus considérables, à plus forte raison, chez des
enfants
moins malades, imbéciles et arriérés. Nous pour
ajouteraient rien aux précédents, tout à fait démons- tratifs. 2°
Enfants
idiotes, imbéciles, épi(eZticiues, etc., Valide
à la Fondation. L'idéal que nous poursuivons consiste à occuper les
enfants
du matin jusqu'au soir, en variant le plus poss
mêmes doivent contribuer à leur éducation. Au lever, on apprend aux
enfants
à faire leur toilette, leur lit, a nettoyer leu
dortoir, it brosser leurs vête- ments. Aux repas, on surveille les
enfants
qui savent manger seules et on corrige leurs ma
morceaux, de veiller à la mastication et à la déglutition. Sur 236
enfants
présentes à la fin de l'année, GO savent se ser
52 de la cuiller seulement; 44 ne savent pas manger seules. - 200
enfants
ont fréquenté l'école et ont été exercées à la
nt été exercées à la gymnastique des échelles et des ressorts; 80
enfants
participent aux exercices de la grande gymnasti
rts sexuels durant les congés, de comparer avec l'état génital de l'
enfant
il son arrivée. Enseignement du dessin. - Cet
ément à nos instructions il s'est occupé successivement de tous les
enfants
, en mesure de profiter de cet enseignement. Voi
es précédentes, M. Butter s'est occupé successivement de toutes les
enfants
, en état de profiter dans une mesure quelconque
de profiter dans une mesure quelconque de son ensei- gnement. 100
enfants
y ont participé, - La classe spé- ciale de théo
ale de théorie musicale et de solfège a donné de bons résultats; 10
enfants
ont suivi cette classe. Comme les années antéri
10 enfants ont suivi cette classe. Comme les années antérieures les
enfants
les moins atteintes ont appris des mélodies et
a visite des parents, sous la direction de la surveillante. - 180
enfants
ont pris part à ces exercices; 102 savent danse
ment professionnel. Enseignement professionnel . A mesure que les
enfants
se développent, on leur apprend tous les soins
des moins arriérées aident le personnel it apprendre à manger' aux
enfants
incapables de manger seules et à perfectionner
ent par séries régulières, 30 ont travaillé une heure par jour. 8
enfants
savent faire complètement les layettes ; 15 du
gulières et l'évaluation du travail. , C.XIY VISITES, CONGÉS.
enfants
, a été le même depuis 1890 jusqu'à la fin de no
accorder des congés de plus de cinq jours, parce que le séjour des
enfants
dans leurs familles se prolongeant, il est moin
ux familles qu'elles ne doivent pas, dans l'intérêt même de leurs
enfants
, dépasser la durée des congés accordée. La Comm
ne, soit dans les communes voisines, soit il Paris. Le nombre des
enfants
qui prennent part à ces prome- nades, avec leço
nu des inconvénients de la pré- sence simultanée à ces réunions des
enfants
des deux sexes, les petites filles de la Fondat
M"10 Athénaïs Bohain, surveillante de 3" classe à l'infirmerie des
enfants
de Bicêtre a été promue surveillante en chef il
té créé deux emplois nouveaux d'infirmières de jour. Teigne. Sept
enfants
ont été soignées pour la teigne au pavillon d'i
nées au même pavillon pour la varicelle; douze pour la rougeole : l'
enfant
Bass y est décédée des suites de b1·oncho-lm2ec
l'enfant Bass y est décédée des suites de b1·oncho-lm2ec11zoni.e. L'
enfant
lIuy.... y a été égale- ment soignée pour un ér
t soignée pour un érysipèle de la face. Maladies intercurrentes. 14
enfants
ont été soi- gnées à l'inlirmerie pour bronchit
ipalement pour les petites gâteuses et pour les filles pubères. Les
enfants
pren- nent leurs douches à la Fondation; ce n'e
les peuvent être l'occasion de tics de la face; de nous montrer les
enfants
qui bavent, (massage des lèvres, électrisation)
qui bavent, (massage des lèvres, électrisation), d'apprendre aux
enfants
il se gargariser, ce qui facilite nGtro tâche en
rêt dos accidents tuberculeux. Nul doute pour nous que si, chez les
enfants
et les adolescents menacés de tuberculose, ou a
TION. Le 1 ? janvier 1903, il restait u la Fondation Vallée 2'2'2
enfants
se répartissant ainsi : MOUVEMENT DE LA POPULAT
que les lits du nouveau dortoir seront intégralement affectés aux
enfants
idiots actuellement installés à l'asile de Villej
, et nullement d'augmenter le nom- bre, déjà trop considérable, des
enfants
idiots à la charge du Département. C'est sous
7, contrairement à ses prédécesseurs, trouvait que l'assistance des
enfants
idiots était déjà trop développée, sans tenir c
roubles intellectuels, d'excitation, d'hébétude, survenant chez les
enfants
idiots et épileptiques. il y a nécessité de sus
une proportion variable. Par exemple, au lieu de faire faire aux
enfants
des exercices de gymnastique prolongés, comme i
il s'agit de malades, soient bien au couiant de l'état mental des
enfants
. C'est pourquoi aussi nous avons insisté sur la
uteurs doivent lire les certificats médi- caux qui accompagnent les
enfants
il l'entrée pour en vérifier les dires. Ils doi
ole tous les résultats que nous pourrions obtenir, au détriment des
enfants
. Enseignement de l'histoire et de la yéocjrapli
depuis bien longtemps pour renseignement de ces deux sciences aux
enfants
les plus malades, déjà améliorés. Pour l'histoi
, 1899 il )89.'), etc, et nous remontons jus- qu'au Consulat. Aux
enfants
les plus avancés, nous faisons faire des dictée
s compter les dictées concernant les accidents dus à l'imprudence d'
enfants
, qui nous servent il leur donner des conseils p
avons dit que tous les jeudis l'un de nos instituteurs faisait aux
enfants
les moins malades une conférence avec projectio
nseignement. I. ... Traitement et éducation de la parole chez les
enfants
idiots et arriérés ; - l'AU 11 «Ol H.MCVII.I.
ble pour ceux qui ne se sont jamais occupés du traitement de ces
enfants
et qui sourient dédaigneusement lorsqu'on émet
lent pas, ces lésions localisées n'existent pas, sauf chez certains
enfants
atteints d'hémiplégie droite et c'est présiseme
ion. L'attention audi- tive, c'est par là que nous débuterons. Si l'
enfant
n'est, Enseignement de la parole. cxxxiii pas
t où le silence ménagé (2) dans la classe sera le plus complet. L'
enfant
tressaille aussitôt sans se rendre compte de ce
s se rendre compte de ce qu'il éprouve. Répétons l'expérience, et l'
enfant
redresse la tête, et quelquefois même cherche l
ccuper de pro- voquer l'attention visuelle. Se plaçant en face de l'
enfant
, de façon à avoir le corps bien éclairé, on lâc
s à quitter sa position pour aider il rectifier les mouvements de l'
enfant
, il est bon qu'une deuxième personne, placée de
ter ces divers exercices préliminaires devant une glace, afin que l'
enfant
juge par lui-même de la fai- blesse de son imit
que a l'Institution nationale des sourds-muets de Paris. Lorque l'
enfant
sera arrivé à imiter d'une manière aussi parfai
ivrons notre maître à tous, Séguin, et avec lui nous dirons que l'
enfant
normal, débutant par les syllabes simples compo-
ne voyelle, il n'y a pas de raison pour que nous changions avec les
enfants
anormaux la marche indiquée par la nature elle-
la parole. cxxxv qu'une syllabe isolée, nous apprenons d'abord à l'
enfant
des redoublements, tels que papa, toto, caca, e
beaucoup d'en- droits pour l'approprier à la catégorie spéciale des
enfants
auquels nous nous adressons. Il ne faudrait pas
ptitudes partculières que peuvent présenter les sujets. Quand les
enfants
prononcent quelques mots comme papa, maman, dod
nes qu'ils ne savent pas pro- noncer. Certains s'étonnent que les
enfants
idiots auxquels on essaie d'apprendre à parler
sard, et qui finirent par être placés fort à propos. Et de ces deux
enfants
, la première no disait que papa, maman, sans en
qu'une patience persévérante, pour aug-. menter le vocabulaire de l'
enfant
. Faisant asseoir devant nous le malade dont nou
nous répétons sans cesse le mot qui sert à le désigner. Si c'est un
enfant
qui aime la promenade, ce sera surtout au momen
se butte souvent une obstination aussi bizarre qu'insurmontable. L'
enfant
sait et peut dire un mot puis- qu'on a réussi à
e môme fait se reproduisant, on fait preuve de la mène énergie, l'
enfant
finira par céder et par répéter le mot. Aussitôt
répéter le mot. Aussitôt il est bon de prodiguer des caresses il l'
enfant
, de lui manifesterle contentement qu'on éprouve
répéterons sans cesse, mais tou- jours il propos, pour montrer à l'
enfant
que nous les com- prenons, et pour établir entr
rtainement la ne s'arrêteront pas les progrès de la parole chez cet
enfant
. Séguin a fait remargucravecraison nous le redi
sonsc[ue CXXXVIII Traitement médico-pédagogique. l'idiot, comme l'
enfant
en général, a une plus grande faci- lité pour p
'un redoublement rappelant le plus possible le cri de l'animal. L'
enfant
répétait après nous sans tarder, surtout s'il ava
s voulaient parler ? A mesure que les progrès s'effectueront, que l'
enfant
s'habituera à répéter les sons émis devant lui,
il ne puisse être employé que plus lard, consiste à pré- senter à l'
enfant
la représentation imprimée du nom qu'il prononce
n dehors de l'objet, ('et exercice a l'avantage de fami- liariser l'
enfant
avec les signes de l'alphabet et de le préparer i
dire par ce qui est en contact le plus immédiat avec notre élève. L'
enfant
est d'abord habitué il désigner, sur ordre, tel
z, les yeux ou la bouche. Après quelques semaines de cet exercice l'
enfant
non seulement com- prend le sens de ces divers
us petit. Comme c'est en jouant que se font ces divers exercices, l'
enfant
ne tarde pas a faire la différence en attendant
petite fille, les poupées sont d'un grand secours. - Avec tel autre
enfant
, amateur de bruit, les sonnettes nous servent d
l- quefois d'un adjectif comme dada noir partir, etc. Lors- que l'
enfant
en est arrivé là, ne peut-il pas se faire com-
er exige encore des exercices spéciaux. Il faudra faire répéter à l'
enfant
à chaque instant du jour les phrases usuelles q
en ogive, se meutdif- ilicilement et arrête les sons au passage ; l'
enfant
fait des efforts pour parler correctement, proj
ersation un ton dur et discordant où domine le son t ou d. D'autres
enfants
, comme Henri R... possèdent une langue toujours
'assurer avant d'entreprendre toute tentative d'améliora- tion Si l'
enfant
est attentif, et qu'on ait su provoquer en lui
nous ferons venir à notre aide le toucher, et plaçant la main de l'
enfant
sur notre gorge, nous appel- lerons son attenti
es sons gutturaux au moyen du tou- cher, et encore en apprenant à l'
enfant
à se gargariser. Le son /; est aussi un de ceux
ache vivement et une explosion se produit ;1. La plupart du temps l'
enfant
ne sait pas relever la lan- gue, et donne t pou
n de lui faire occuper la position normale, et fera prononcer à l'
enfant
le seul son possible dans cette position, ha. Pui
t le seul son possible dans cette position, ha. Puis on habituera l'
enfant
à maintenir lui-même la langue avec son propre
ices, on fait prononcer un mot de plusieurs syllabes en habituant l'
enfant
à ne pas- ser d'une syllabe à l'autre qu'au com
rolongé, de faire les exercices du souffle, exercices qui amusent l'
enfant
et qui l'intéressent. Parmi ces exercices nous
re la planche sur un plan incliné de façon à ce que le souffle de l'
enfant
ait non seulement it lutter contre la force d'i
e l'action de la pesanteur, de même que pour amuser et intéresser l'
enfant
, on suspen- dra au-dessus de la rainure un grel
avail précé- dent, nous avions fait composer par l'imprimerie des
enfants
, à l'usage exclusif de notre personnel ensei- g
. J. Boyer. Elle sert de guide quotidiennement dans les classes d'
enfants
idiots et aussi pour les séances cle. projectio
libre des lèvres un bâtonnet de plus en plus petit. d) Exercer l'
enfant
à produire avec ses lèvres le hruit d'un cheval
gue en gouttière. Exercices de la gorge. a) Faire se gargariser l'
enfant
. b) Lui apprendre à cracher. Exercices des po
E la parole. CXLVII Exercices du souffle. a) Faire éteindre par l'
enfant
une bougie qu'on éloigne de plus en plus. b)
Exercice du sifflet. g) Exercice du tube à spirale, Il) Exercer l'
enfant
il siffler. Concurremment avec ces divers exerc
tapotement, pétrissage.) - Articulation proprement dite. i Si l'
enfant
ne prononce aucun mot, passer immédiate- ment a
abes simples en les redoublant pour en facili- ter l'émission. Si l'
enfant
est assez attentif, assez imitateur, s'il prono
un son le plus longtemps possible. On peut avec cette ca- tégorie d'
enfants
commencer par les voyelles. Sons simples. CX'
be. '. On fera ensuite l'exercice inverse. z ....De cette façon l'
enfant
apprend à parler et acquiel-t' .des idées simpl
e, nous nous sommes contenté de donner les prin- cipales. Lorsque l'
enfant
les émet correctement, il saura aussi émettre c
sons entre les mots pré- sentent des rencontres de consonnes dont l'
enfant
ne pour- ra jamais venir à bout si on ne le sou
le soumet préalablement à ces exercices d'articulation. Lorsque l'
enfant
en sera arrivé la, il pourra prononcer tous les
n maintenant dans cette espèce de récapitula- tion, d'apprendre à l'
enfant
surtout le nom des objets, des animaux, des per
, p. 367). Exercices d'application au moyen des mots compris de l'
enfant
. Corps humain. Tète, front, nez, narine, oeil
gumier, soupière, bouteille, carafe, lait, eau, vin, les mets que l'
enfant
préfère, nappe, serviette, table, chaise. Chamb
entourage. Jouets et animaux familiers. Les jouets dont dispose l'
enfant
; les animaux domestiques. Verbes exprimant les
animaux domestiques. Verbes exprimant les actions habituelles de l'
enfant
. Manger, dormir, parler, marcher, courir, jouer
. Introduction du traitement médico-pédagogique dans la section d'
enfants
idiots et épileptiques de l'asile de Clermont (
t sur l'enseignement médico-pédagogique qui pourrait être donné aux
enfants
arriérés, idiots u épileptiques que nous avons
en usage à Bicêtre, nécessaire pour une population d'une centaine d'
enfants
des deux sexes, arriérés, idiote épilepti- ques
la fon- dation Vallée pour l'enseignement médico-pédagogique des
enfants
idiots. Cette autorisation est donnée aux conditi
aidée par le nombre d'infirmières nécessaires sui- vant le nombre d'
enfants
. Les petits -garçons et les petites filles, val
fir- mière, une infirmière et un infirmier (Petite école). 2° Les
enfants
de a il 7 ans et de 8 à 12 ans, valides, pro- p
SE). CLXIX y envoyant, soit isolément, soit par petites séries, vos
enfants
au sur et à mesure de leur développement. Qua
vous pourriez également les envoyer par petites séries. Plus les
enfants
sont jeunes, plus ils sont éducables, c'est pou
être en mesure de donner tous les soins maté- riels et médicaux aux
enfants
, si un enfant a, par exemple, un accès d'épilep
de donner tous les soins maté- riels et médicaux aux enfants, si un
enfant
a, par exemple, un accès d'épilepsie. Vous po
Institution de l'enseignement médico- pédagogique aux quartiers des
enfants
à 1'itz-James. Le Directeur rappelle la Commiss
s, proposées par les Médecins en chef, à apporter aux quartiers des
enfants
, filles et garçons, de Fitz-James. M. l'Archite
Asile DE Clermont (OISE). CLXXI intellectuel et moral de pauvres
enfants
aliénés, imbéciles et épileptiques. M. Bourne
n suivant de l'enseignement médico-pédagogique dans nos quartiers d'
enfants
. 1° Une surveillante, remplissant d'ailleurs le
les deux sections (filles et garçons), serait chargée de donner aux
enfants
valides et non gâteux l'ins- truction qu'ils so
n gâteux l'ins- truction qu'ils sont susceptibles, de recevoir. Ces
enfants
seraient groupés en deux séries selon que leur
itutrice pourrait, deux ou trois fois par semaine, rassembler les
enfants
valides et leur faire une leçon de gymnastique él
eux autres à celle des garçons. A la section des garçons : Tous les
enfants
gâteux (valides ou non) quelque soit leur âge,
CLXXII Traitement MÉDICO-PÉDAGOGIQUE, tion professionnelle de ces
enfants
, mais on pourrait, suivant t leurs aptitudes, e
llante, on pourrait, comme cela* se fait à Bicêtre, apprendre à ces
enfants
le repassage. Ces leçon : de repassage pourraie
de nos couturières soit à Clermont soit dans le quartier même des
enfants
. - Les leçons de chant et de petite gymnastique
oins véritablement maternels. De sa propre initiative, divisant ces
enfants
en deux séries, elle leur a fait l'école, leur
pédagogique dans les quartiers des Asile de Clermont (OISE) CLXXV
enfants
de Fil ? James. Ces quartiers sont occupés par 52
il Persuadés des nombreux avantages qu'il y aurait à confier les
enfants
(filles et garçons) : \ des femmes, ils deman-
à la section des filles et deux à la section des garçons. 3° Les
enfants
seraient groupés en deux séries, selon leur dév
stique élémentaire, suivant la formule adoptée il Bicêtre. 4° Les
enfants
gâteux (valides ou non) quel que soit leur âge,
e que le développement physique, in- tellectuel et moral de pauvres
enfants
aliénés et vous propose, à titre d'essai, et en
et d'institutrices conformément à notre program- me. En effet, les
enfants
idiots, imbéciles, arriérés et épileptiques son
LXXVII que les institutrices sachent, il l'occasion, secourir les
enfants
. Les infirmières de Clermont, un peu déroutées
os conseils, et qu'elles sauront en faire bénéficier les malheureux
enfants
de l'Asile de Clermont. Nous avons rappelé plus
lutrices, des infirmières à soigner, instruire, éduquer, guérir les
enfants
arriérés. Nous res- tons à la disposition des m
fois l'idée que, dans les écoles primaires, on devait donner aux
enfants
des classes les plus avancées des notions élémen-
s sciences dans les Écoles normales. Ce yuc nous demandons pour les
enfants
des écoles primaires n'est pas moins utile pour
NE'ILLN, Bicêtre, 1903, ? III. Hospitalisation ou internement des
enfants
aliénés (Idiots, épileptiques, fous moraux, etc
s sentiments très distingués. Etienne MAT.... Hospitalisation DES
enfants
aliénés. CLXXIX Nous désirons appeler l'attenti
en même temps à nos lec- teurs quelques renseignements. Les idiots,
enfants
et adultes rentrent dans la catégorie des malad
ons fait admettre, non sans peine pour tous les malades, adultes et
enfants
, - mais le Conseil général sur la proposition d
énéral sur la proposition du Dr E. Dubois a fait supprimer pour les
enfants
, les placements volon- taires directs, ce qui a
iculier, le commissaire de police n'a pas fait son devoir puisque l'
enfant
malade est violent et menace sa grand' tante. I
réprimer tardivement. Bourneville. IV. De l'hospitalisation des
enfants
arriérés. Beaucoup, même parmi les médecins, le
r l'admission des alié- nés dans les asiles et, en particulier; des
enfants
idiots, imbéciles, arriérés, épileptiques, amor
elle donne des raisons sérieuses en faveur de l'assistance de ces
enfants
, met en relief la pénible situation (le leurs f
s dans leur action, absorbées par le malade au détriment des autres
enfants
sains, et ceux- ci exposés iL des actes mauvais
r la jeune Bousq..., demeurant dans sa famille, 3, rue Bâche... Cet
enfant
, complètement arriéré et impulsif, devient méch
1» Bousq... dont le mari est alcoolique, et qui Hospitalisation DES
enfants
IDIOTS. CLXXX ! n'a pas de bonne, ne sait comme
ifficile à conduire et n'accepte aucune autorité. Le dossier de l'
enfant
est prêt, parait-il, pour Bicêtre, et ce serait
pauvre femme si vous pouviez hâter l'admission du jeune Paul aux
enfants
arriérés. M"10 Bousq..., m'a écrit pour que j'int
vous, car je suis leur médecin depuis 10 ans et j'ai vu naitre les
enfants
et les ai suivis depuis. Je vous serais reconna
1838, les formalités il remplir pour l'admission des adultes et des
enfants
alié- nés, par placement volontaire. "ART. 4.
, de mariage, livret de famille, etc. CLXXXII Hospitalisation des
enfants
idiots. Avec ces pièces les adultes peuvent êtr
de police. - Pendant plusieurs années, il en a été de même pour les
enfants
. Mais en 1896, un conseiller général, pour des
ons qu'il n'a pas données, a fait supprimer le placement direct des
enfants
dans les sec- tions qui leur sont affectées et
admission est ainsi réglementée : Dispositions particulières aux
enfants
de 2 à 18 ans, aliénés ou idiots. AnT. 9. - L
18 ans, aliénés ou idiots. AnT. 9. - Les placements volontaires d'
enfants
aliénés ou idiots, âgés de moins de 18 ans, peu
ents où il existe des quartiers spéciaux affectés au traitement des
enfants
. (Toutefois; en vertu d'une délibération du Con
n date du 29 décembre isba6, il n'est plus admis provisoire- ment d'
enfants
, dans les quartiers spéciaux qui leur sont rése
. - A défaut de place disponible dans ces établis- sements et aucun
enfant
ne devant séjournera l'asile Clinique, les dema
pécial, ouvert dans chaque établissement où il existe un quartier d'
enfants
. L'admission des enfants a lieu dans l'ordre ri
e établissement où il existe un quartier d'enfants. L'admission des
enfants
a lieu dans l'ordre rigoureux des inscriptions
re correspondant, la famille a rempli les formalités nécessaires, l'
enfant
est inscrit sur le Registe de l'Asile clinique
s graves raisons qui sont invoquées pour son envoi à la section des
enfants
de Bicêtre, il doit attendre son tour. Modes
l faut en outre obtenir du commissaire de police un rapport sur l'
enfant
. La famille, par deux témoins, doit lui fournir l
ant. La famille, par deux témoins, doit lui fournir la preuve que l'
enfant
est dangereux. La famille, munie des pièces exi
xigées par la loi et du rapport du commissaire de police, conduit l'
enfant
à l'in- firmerie spéciale du Dépôt, a la préfec
en général, le lendemain dirigé sur l'un des services consacrés aux
enfants
: c'est donc ce moyen que nous conseillons, vu
a des attentats à la propriété ou aux personnes. Dans l'intérêt des
enfants
malades, de leurs familles et de la société, le
r qu'ils facilitent, au lieu de l'entraver, l'hospitalisation des
enfants
, idiots intellectuels, idiots moraux, épileptique
pices, les fondations, les asiles de tous genres. (1) Autrefois les
enfants
couchaient au dépôt, plusieurs dans la même ccl
e lendemain dans les services spéciaux. CLXXXIV Hospitalisation DES
enfants
IDIOTS. Il faut faciliter aux malheureux l'acce
s mensu- rations delà tête, l'évolution de la puberté de tous les
enfants
, de 2 à 18 ans - et au-delà quand cela est possi-
nd cela est possi- ble - pratique qui devrait être adoptée pour les
enfants
normaux. Nous disposons donc de documents consi
s disposons donc de documents consi- dérables sur la croissance des
enfants
et des adoles- cents (1880-190) (1), sur le dév
tacher un chapitre spécial : L'action de la glande thyroïde sur les
enfants
en défaut décroissance. Depuis bien des années,
ère ne peut préci- ser à quel moment on s'est aperçu de l'état de l'
enfant
. En- voyé à la campagne et perdu de vue pendant
e temps la profession d'infirmière, puis s'est mariée. Elle à eu un
enfant
âgé maintenant d'environ 4 ans sur lequel nous
Poids 37 le. ; taille 1 m. 425, soit 85 m/m. en moins (1 m. 511. L'
enfant
a continué de grandir régulièrement. 1904. 1
c'est-à-dire à peu près normale ( m. 59). -Pas d'infantilisme.^ Cet
enfant
a eu en 1891 cent trois accès d'épilepsie, un e
juillet 189 ? , entrée le 8 septembre 1897. 1898. i) juillet. - L'
enfant
ayant 13 cent, de moins (0 m. 92) que la taille
n peut espérer avoir une transformation au moins semblable chez les
enfants
atteints simplement d'imbécillité ou d'arriérat
algré un g'ain il chacun des trois traitements, jusqu'en 1904, où l'
enfant
est en retard de 16 cent. Le nanisme n'est ni c
te,ou un adolescent, ues caractères physiques et intellectuels de l'
enfant
.L'in- fantile est très généralement plus petit
de son âge.Mais l'infantile peut présenter tous les caractères de l'
enfant
, sauf la peti- tesse de la taille ; on peut êtr
olescent, au lieu de devenir pubère, reste avec les caractères de l'
enfant
: la physionomie n'est pas en rap- port avec so
ntes. Deux soeurs mariées, et bien portantes, mères chacune de deux
enfants
normaux. Un frère normal.] Mère, 30 ans, ni a
intellectuelle.] Pas de renseignements sur la consanguinité. Cinq
enfants
: 1" notre malade ; 2° une fille, morte à huit
à terme, naturel, par le sommet. A la naissance, pas d'asphyxie ; l'
enfant
était gros et bien portant. Nourri au sein par
rs. Sen- timents affectifs assez développés. Etat intellee/n el : l'
enfant
ne parle pas. mais il comprend la plupart des m
les normales, réagis- santbien à la lumière et à l'accommodation. L'
enfant
semble avoir une acuité visuelle normale. Son é
ur les grands- parents. Deux tantes, mortes bacillaires, ont eu des
enfants
inorts/tttYMM. Trois oncles maternels morts éga
re bien portant. Deux 4'M;tf) ? l'une en bonne santé, ainsi que son
enfant
qui, toutefois, est très nerveux ; l'autre soeu
as de consanguinité. Inégalité d'âge cle ans ipère plus âgé). Six
enfants
: 1" une fille de Iii ans, u'a jamais pu obtenir
Accouchement à terme, naturel, sommet, 4 lieures. - d la naissance,
enfant
normal.Premiers cris naturels, pas d'asphyxie,
he, 2 ans. - Pas de convulsions, aucune perversion des instincts. L'
enfant
est paresseux, affectueux, craintif. 11 n'est p
ale et spéciale normales. Sommeil naturel. Pas d'accès de cris. L'
enfant
aurait quelquefois de la céphalalgie ( ? ). Il n'
. un accès : cri initial, convulsions toniques, puis cloniques. « L'
enfant
projetait ses bras en avant comme s'il voulait
re. Nanisme avec infantilisme. 49 Au point de vue intellectuel, l'
enfant
ne manifeste de pro- grès que depuis l'année 18
rée,asymétrique,un peu gonflée et imberbe,semble être celle d'un
enfant
de 14 il 1;j ans.Arcades orbitaires assez saillan
es et sensibilité générale, rien de particu- lier. Intelligence : l'
enfant
est atteint d'inrbécililé, sait à peine écrire,
eint d'inrbécililé, sait à peine écrire, sait syllaber. Curiosité d'
enfant
. Naïveté, crainte et méfiance. 1901. Juin. -
Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par la mère de l'
enfant
). - Père, 3Ô ans,scieur de bois à la méca- niqu
. A eu le pouce et l'index sciés huit jours avant la naissance de l'
enfant
. [Famille du père. Père mort à 78 ans « de viei
arents paternels et maternels n'ont pas été connus par la mère de l'
enfant
. Elle sait seulement qu'ils étaient d'intellige
n ne sait de quoi. Elle était bien conformée et intelligente. Pas d'
enfants
. - Deux oncles maternels, mili- taires retraité
aternels, mili- taires retraités, sobres et de caractère doux. Deux
enfants
bien conformés, intelligents, bien portants. -
. - Une tante maternelle, en bonne santé, très intelligente ; trois
enfants
bien conformés, intelligents, - Trois frères :
sont sobres, sans troubles intellectuels. Le premier a laissé un
enfant
normal. Des deux autres, un seul a des enfants qu
e premier a laissé un enfant normal. Des deux autres, un seul a des
enfants
qui n'ont rien il signaler. Pas de soeurs. Dans
ien portantes, sans troubles mentaux, intelligentes ainsi que leurs
enfants
. - Dix frères : deux sont morts jeu- nes avec d
Différence d'âge entre les parents : 7 ans, en faveur du père. 5
enfants
, la mère est en ce moment prête d'accoucher. 1°
nvulsions ; 3" notre malade ; 4° garçon, 4 ans, pas de convulsions,
enfant
normal ; 5n fille morte à 14 mois de bronchite
ures) et difficile ; la tète est restée quatre heures à la vulve. L'
enfant
a crié pendant ce temps ( ? ). Pas de forceps,
e. .4 la naissance, pas d'asphyxie, ni de circulaire du cordon. L'
enfant
, gros, était bien portant. Allaitement par la mèr
deux ans et demi. 1--e dent à 8 mois. Dentition complète à ' ? .- L'
enfant
dit depuis l'âge de quatre ans quelques mots :
lsions à l'âge de cinq mois. La mère, pendant une absence, confie l'
enfant
à une cousine. En rentrant au bout d'une heure,
e, elle le trouve rouge et pleurant. Au bout de l'heure suivante, l'
enfant
était cyanosé et perdait connaissance. Il eut p
me 2 ou 3 par an. Dans la cin- quième une seule crise convulsive. L'
enfant
n'a pas encore eu d'accès cette année (1892).
as encore eu d'accès cette année (1892). Avant les convulsions, l'
enfant
se développait bien, prê- tait attention aux ag
es aux mains fréquen- tes. constantes l'hiver. Aucun traumatisme. L'
enfant
s'est brûlé les mains à ii mois sur le poêle. C
ère assez fréquents, survenant sans motif appa- rent. Instincts : L'
enfant
pratique l'onanisme. Il est turbu- lent : il n'
est ni voleur, ni salace, ni gourmand, ni pyromane. Clastomanie : L'
enfant
casse tout, les carreaux, les objets fragiles,
es dents. Les fonctions digestives sont normales, si ce n'est que l'
enfant
ne sait pas manger seul. Il bave constamment. L
odorat paraît très obtus. Sentiments af- fectifs à peu près nuls. L'
enfant
paraissait cependant plus affectueux chez ses p
onnel de l'oeil est rendu impossible par l'état intellec- tuel de l'
enfant
. Ne ? droit, bien conformé. Lobules un peu volu
Narines bien ouvertes, regardant directement en bas ; odorat nul. L'
enfant
ne réagit pas à l'odeur de l'ammo- niaque. Les
yg- dales,luette et langue normaux. Goût : très peu développé : l'
enfant
ne témoigne aucun dégoût au sulfate de quinine.
aux. Réflexes : L'évaluation du réflexe patellaire est difficile, l'
enfant
raidissant ses membres. Nanisme avec infantilis
ement le 18 octobre. Convalescence normale. 1899. -Le 28 avril, l'
enfant
entre à l'isolement pour une rougeole. Sort gué
ment pour une rougeole. Sort guéri le 13 mai. 1900. Le 4 avril, l'
enfant
rentre à l'isolement pour une scarlatine. - Sor
eur d'un oeuf de merle. 1901.- Aucune modification dans l'état de l'
enfant
. MU. Ilallopeauet Fournier (Edm.) pratiquent l'
yphi- lis. Il a-t-il eu une interposition ? ' ? 1903. Examen de l'
enfant
, L'enfantporte tout au plus 8à à 9 ans, alors q
tout au plus 8à à 9 ans, alors qu'il en a 16. Il a la stature d'un
enfant
de 8 ans. Squelette grêle. - Membres arrondis,
i. - Abdomen saillant. Puberté. La pilosité est à peu près nulle. L'
enfant
ne pré- sente qu'un léger duvet sur les membres
e mesure 5 cm. de long sur 5 cm. de circonférence. La taille de l'
enfant
est de 1 m. 29 au lieu de 1 m. 55, taille norma
ns. - Son poids est de 3l kg. 7, éga- lement inférieur à celui d'un
enfant
normal. L'intelligence de l'enfant est à peu pr
lement inférieur à celui d'un enfant normal. L'intelligence de l'
enfant
est à peu près nulle : c'est un idiot profond.
pigeon. Anus et périnée, glabres. - La physio- nomie est celle d'un
enfant
. Le nanisme est bien évident et se traduit par
: absence Ù peu près com- plète du système pileux, physionomie d'un
enfant
. Seuls, la verge et les testicules sont en rapp
de consanguinité. Différence d'âge de 15 ans entre les conjoints. 6
enfants
. Les deux premiers sont bien portants et normau
uite de laquelle elle est accouchée subitement. A la naissance, l'
enfant
est bien constitué et de poids nor- mal. Il n'e
nce souvent des dents. Sommeil normal. Jamais d'hallucinations. L'
enfant
est affectueux pour ses parents. Il n'a jamais eu
Testicules gros comme un oeuf de moineau. Intelligence obtuse. L'
enfant
peut à peine répondre à quel- ques questions. T
onnaires. Aucun carac- tère sexuel accessoire n'apparaît. 1900. L'
enfant
est glabre partout, sauf un léger duvet sur le
n oeuf de serin. 66 De quelques formes DE nanisme. La taille de l'
enfant
restant au-dessous de la normale, celui-ci est
er 1900. I'n examen, pratiqué en novembre 1902. nous montre que cet
enfant
, qui est âgé de plus de dix-sept ans, n'a qu'un
200 (c'est-à-dire 18 k. 500 gr. au-dessous de la nor- male). ). L'
enfant
présente de nombreux stigmates de dégénérescence
le du palais très ogivaux, prognathisme supérieur. Le faciès de l'
enfant
est vieillot, il parait bien celui d'un sujet de
e contrariétés.Ces crises semblent être de nature hystérique. Étant
enfant
, elle était de taille moyenne. Réglée à 13 ans,
d'âge des deux conjoints : vingt-trois ans. (Père plus âgé.) Sept
enfants
. Le père de notre malade a eu 4 enfants d'un pr
ans. (Père plus âgé.) Sept enfants. Le père de notre malade a eu 4
enfants
d'un premier mariage. Ils sont normaux, sobres,
sont normaux, sobres, non obèses, de taille ordinaire.Ilsonttousdes
enfants
intelligents et n'ayant r'IC . 29. - R..., en 1
é. 79 pas eu de convulsions.- D'un second mariage, sont nés trois
enfants
, dont notre malade. Les deux premiers, filles, so
, pas d'asphyxie ; premiers cris naturels. Il était « gros comme un
enfant
ordinaire ·. - Allaitement au sein maternel jus
a mère ne sait à quelle époque les fontanelles se sont fer- mées. L'
enfant
a été propre de bonne heure. Antécédents morbid
heure. Antécédents morbides. -- Vers l'âge de deux ans et demi, l'
enfant
aurait eu des convulsions durant deux ou trois jo
i son attention est facile à fixer, son raisonnement est celui d'un
enfant
de quatre à cinq ans plus jeune que lui. lisait
e voyaient obèse. A 14 ans, les parents ayant changé de quartier, l'
enfant
changea d'école. Ses nou- veaux camarades l'app
sans déviation, aplati à sa racine, nez ressem- blant à celui d'un
enfant
, pas dévié. Les lobules sont bien dessinés, non
odes : contact, température, douleur. L'intelligence est celle d'un
enfant
de 10 à 11 ans ; c'est un niais. Parole facile
tous les deux jours. A la suite de ce traitement, la 1(tille de l'
enfant
s'est consi- dérablement accrue; son poids a di
li-,1,60, la taille est de 1 m. 325. Le 18 octobre, la taille de l'
enfant
est de 1.36. 100(1. - Continuation du traitem
philis. [Famille de la mère. Père alcoolique, mort à 59 ans. Mère
enfant
assistée, morte à 3fi ans du choléra en 1849. Gra
ements du tus furent ressentis par la mère comme ceux de ses autres
enfants
, à la même époque et de la même force. - Accouc
- Accouchement à terme, facile, par le sommet. - A la naissance, l'
enfant
était petite, chétive (non pesée) ; pas d'asphy
ois; elle s'est mal développée. - A deux mois, convulsions : .- L'
enfant
perdait brusquement connaissance, présentait de l
ours en plusieurs crises par mois. De dix-huit mois à sept ans, l'
enfant
parait avoir eu des vertiges ; elle lâchait tou
e stertor avec respiration accélérée. Phase de sopor très courte. L'
enfant
se réveillant prononce parfois ces mots : « Ça
ux jours par série de trois. La mère s'est alors décidée à placer l'
enfant
à l'asile d'aliénés de Villejuif. Là, elle semb
erait restée sans con- naissance. A partir de deux ans et demi, l'
enfant
serait devenue très peureuse. Elle avait une pe
bien qu'elle n'ait jamais été mordue. La mère ajoute que, lorsque l'
enfant
voyait le disque rouge du chemin de fer, elle é
it prise de peur et son teint devenait verdallre. - Le sommeil de l'
enfant
n'a jamais été troublé par des accès de cris, p
s accès. - Fonctions diges- tives, respiratoires, etc., normales. L'
enfant
ressemble plutôt au son père qu'à sa mère, qui
ble plutôt au son père qu'à sa mère, qui attribue la maladie de son
enfant
à l'état névropathique du père et son intoxicat
thique du père et son intoxication alcooli- que. Etat actuel. - L'
enfant
, d'une taille moyenne pour son âge, présente un
e visage est un peu allongé, d'un ovale régulier. L'expression de l'
enfant
ne manque pas absolument d'intelli- gence, pour
à son expression quelque chose d'idiot. Abandonnée à elle- même l'
enfant
regarde devant elle sans paraitre fixer son att
du murmure vésiculaire sans qu'il n'y ait de bruit pathologique. L'
enfant
, qui tousse habituellement, n'a jamais eu d'hém
au tact, au froid, au chaud et il la douleur est assez obtuse. L'
enfant
manifeste mal ses sensations. Les me)nh)'GS inf
e naviculaire sont bien marquées. 1895. - Les organes génitaux de l'
enfant
se développent bien. Les grandes lèvres sont ép
les grandes lèvres, normales, présentent quelques poils. 1897.- L'
enfant
suit toujours le même traitement hydro- thérapi
as modifiée. 1901 et 1902. - Aucune modification. Les règles de l'
enfant
ont toujours été très régulières. Tableau du po
cée que plus tar- divement. Au second et au troisième traitement, l'
enfant
ne grandit plus, sa radiographie a montré qu'el
onsanguinité. Différence d'aîge : vingt ans (Père plus âgé). Cinq
enfants
dont quatre bien portants. Conception rien iL s
- Accouchement facile, à terme. -A la naissance, pas d'asphyxie, l'
enfant
était plus- petite que ses frères et soeurs. Dé
petite que ses frères et soeurs. Début de l'obésité à un mois. -L'
enfant
était devenue bouffie, les joues deviennent pen
nt pendantes « on devait les soulever pour la débarbouiller», « l'
enfant
était grasse de partout » - Première dent il cinq
eux, aucune lésion de la motilité; iris bruns, pupilles normales. L'
enfant
parait myope, - Nez large à sa racine et à sa b
volontaires ou réflexes sont normaux. NANISME avec obésité. 99 L'
enfant
est simplement une arriérée. Elle sait lire, écri
issement rapide et régulier du poids. La taille n'a pas augmenté. L'
enfant
était probablement soudée. Si les effets du tra
Jamais de convulsions ? Etat actuel de la malade (8 janvier 1891).
Enfant
de petite taille paraissant bien portante. Tête
r. en deux mois, alors qu'en l'absence de traitement, le poids de l'
enfant
augmente considérablement. L'aug- mentation de
'est pas moins nette que la diminution du poids L'examen de cette
enfant
nous montre d'abord que la taille est encore bi
nte paternels faisaient des excès de boisson et n'auraient pas eu d'
enfants
. Oncles et tantes maternels inconnus. Une soeur
re bien portant n'a pas eu de convulsions, marié deux fois, et sans
enfants
: sa première femme se faisait avorter, sa deux
consanguinité, inégalité d'âge de cinq ans, en faveur du mari. 7
enfants
et une fausse couche il quatre mois et demi à l
une tentative d'avortement. La mère n'a senti les mouve- ments de l'
enfant
qu'aux derniers moment -s ? - .lccouc/iemeni à
ntation du sommet. Le travail aurait duré 2 jours ? ? Asphyxie de l'
enfant
. Pas de circulaire du cordon. - A la naissance,
s méningite qualifiée de tuberculeuse qui a duré quatre semaines. L'
enfant
est restée 12 heures dans le coma. Avant sa mén
à six ans à l'école, elle y dormait, chantait, ennuyait les autres
enfants
. Elle n'a pu rien y apprendre. Retirée de l'éco
violents, sans cause appréciable. Fréquentes cépha- lalgies dont l'
enfant
se plaint encore. Sommeil normal, non agité.
é. Depuis un an, hallucinations de la vue, il l'état de veille. L'
enfant
prétend voir des rats, des araignées. Elle croyai
les règles se sont établies sans accidents. Jusqu'à cette époque l'
enfant
avait un embonpoint moyen. Depuis cette date el
cette date elle a considérablement engraissé. La crois- sance de l'
enfant
a toujours été très lente, si bien qu'elle est
cite aucun obèse ni aucun nain. État actuel. - A premier examen, l'
enfant
peut être classée parmi les naines obèses. Sa p
u 13 mai, puis du 3 juin au 29 juillet. On cesse alors la glande. L'
enfant
a d'abord perdu progressivement de son poids, i
n créant un véritable nei-vosisnie. Dans ce cas, il la naissance, l'
enfant
était d'une petitesse extrême; il a fallu la me
son premier mari, mort d'une congestion pulmonaire, elle eut quatre
enfants
bien portants. Mariée en secondes noces, elle e
atre enfants bien portants. Mariée en secondes noces, elle eut deux
enfants
: notre malade, une lille âgée de sept ans, en
culaire du cordon. Pas d'asphyxie mais la tête était très grosse. L'
enfant
pesait plus de ! t.500 grammes à la naissance.
e se Nanisme avec obésité. l17 -1 serait aperçue de l'état de son
enfant
que vers l'âge de 13 à 14 mois. Convulsions v
ume des mains l'une contre l'autre. Pas de grincement de dents. - L'
enfant
est continuellement agitée de mouve- ments brus
e semble normale, mais il est impossible de se rendre compte si l'
enfant
distingue les couleurs. Même remarque pour l'unï,
une manière plus sensible. Dès que l'on donne le corps thyroïde à l'
enfant
le poids diminue d'une manière régulière, progr
En janvier f896, la taille est de 1m23â et le poids de 31 kil.. L'
enfant
est remise en traitement : un demi lobe tous les
t est supprimé du 21 et 23 janvier. Du 2 février jusqu'au 25 mai, l'
enfant
prend un demi lobe tous les deux jours. Le 22 m
s. Conception, grossesse, accouchement normaux. A la nais- sance,
enfant
très grosse ? Convulsions à six semaines. - Ret
éditaires et personnels. (Renseignements four- nis par la mère de l'
enfant
le -16 janvier 1893.) PËfu ? 37 ans, clref d'éq
consanguinité. Différence d'âge de 2 ans entre les conjoints. Six
enfants
: 1° garçon 13 ans, bien portant; 2° fille morte
ses.se normale. - durée 1/'2 heure, aucune intervention médicale, l'
enfant
était très grosse. Elle n'a pas été pesée. Pas
. Antécédents morbides. Convulsions il l'âge de six semai- nes. L'
enfant
, dit la mère, se raidissait, sa figure se plissai
, ce n'était pas une pâleur ordinaire, elle était très accentuée, l'
enfant
poussait quelques cris.- Elevée au sein jusqu'à
'à 22 mois. Première dent à six mois, dentition complète à 2 ans. L'
enfant
ne marche pas encore et n'est pas propre. La pa
fule. Nanisme avec obésité. ' 125 État actuel. (13 Janvier 1893.)
Enfant
bien développée, en état d'embonpoint prononcé.
7°. n.tat général satisfaisant; la desquamation continue. 14 mai. L'
enfant
, complètement guérie de la scarlatine, rentre d
rès notables pour la marche et surtout pour la parole. Lcholalic. L'
enfant
sait dire son nom, son âge, appelle les infirmi
es sont et resteront moyennement abondantes; durée 5 jours. Cette
enfant
n'a réalisé que peu de progrès, encore gâteuse
de fer, douches. Teigne stationnaire. . l9lll. L'embonpoint de l'
enfant
a manifestement au ? menté. Son pannicule adipe
nes génitaux. Amélioration de la teigne. Même traitement. 1904. L'
enfant
n'aencore réalisé que peu de progrès. Son embon
rtie inférieure. Corps thyroïde perceptible au palper. La voix de l'
enfant
est aigre et comme soufflée. Oreilles ; droit
ysiologique. L'insuffisance de renseignements sur la famille de l'
enfant
, qu'il nous a été impossible de compléter, les pè
s névropathiques et arthritiques assez vagues chez les parents de l'
enfant
. II... était aveugle de naissance comme une de
ance comme une de ses soeurs. Ce cas est à rapprocher de celui de l'
enfant
Dreve... Tous les idiots obèses ne sont pas nai
avant l'accouchement. - Accouchement rapide avec beaucoup d'eau. -
Enfant
chétif à la naissance. - Première dent à un an.
tinue jusque vers la Se dorsale. Abdomen saillant. G octobre. - L'
enfant
mesure 1,03 au lieu de 1,35 (taille normale de
s son orifice est très grand, laissant entrer facilement l'index. L'
enfant
nie se toucher et avoir eu des rapports. Au-des
nels. - Du côté paternel, un oncle, mort on ne sait de quoi, sans
enfants
. - Du côté maternel, un oncle, mort aussi on ne s
ternel, un oncle, mort aussi on ne sait de quoi, ayant eu plusieurs
enfants
, sur lesquels on n'a pas de renseignements. Un
de pneumonie ; 1 autre frère, mort récemment; aucun d'eux, ni leurs
enfants
, n'ont eu de con- vulsions. - Rien de particuli
lles vivent encore, sont bien portantes, mariées, et au- raient des
enfants
, mais pas de jumeaux. 3 frères et 3 sceurs : 2
ortant, et une fille « qui est morte en venant au monde. » Tous les
enfants
de ces frères et soeurs sont en bonne santé, et
s (père plus âgés Mariés : le père il 27 ans, la mère à. 20. Neuf
enfants
, pas de fausses couches. Aucun des enfants n'a
ans, la mère à. 20. Neuf enfants, pas de fausses couches. Aucun des
enfants
n'a eu de convulsions ni de chorée. 1° une fill
oujours très bien portante depuis sa naissance, ainsi que ses trois
enfants
; - `Z un garçon 29 ans, bien portant, de môme q
aisais tellement d'ennui, que je me figurais que je n'aurais pas un
enfant
comme il faut.» Rien autre à signaler durant la
en autre à signaler durant la grossesse. - Premiers mouvements de l'
enfant
vers ix mois, semblables aux mouvements des aut
ents de l'enfant vers ix mois, semblables aux mouvements des autres
enfants
.- Accouchement à terme, normal, par le sommet e
A la naissance, pas d'asphyxie, pas de circulaire autour du cou. L'
enfant
était assez grosse, elle pesait dans les 7 livres
se. « Elle était en retard pour ses dents, par rapport à mes autres
enfants
. Elle a été aussi plus tardive pour la marche qui
lsions.- C'est vers l'âge de 18 mois que la mère a constaté que son
enfant
était en retard, « parce que je ne voyais pas s
ou 4 ans, les parents sont devenus inquiets de son état mental : l'
enfant
était très propre, mais inintelligente. Carac
elle fait mal. - Elle s'amuse le plus souvent, comme un tout petit
enfant
, quelquefois cependant, comme un enfant de son
vent, comme un tout petit enfant, quelquefois cependant, comme un
enfant
de son mais elle est plutôt bébé 1). - Elle sait
rien, et c'est elle qui conseilla de la placer pour l'améliorer.- L'
enfant
ne ressemble ni à son père ni à sa mère.- Comme
et les paupières sont collées, je les soigne facilement. Mes autres
enfants
n'ont pas de plaques rouges sur les joues.- A 6
seule opération suflit : « cela ne lui a pas fait grand chose ». L'
enfant
n'a subi' aucun traumatisme ni sévice.- La mère
subi' aucun traumatisme ni sévice.- La mère attribue l'état de son
enfant
à ses ennuis durant sa grossesse. État actuel
is durant sa grossesse. État actuel (mai 1902). L'état général de l'
enfant
est mé- diocre. Elle est maigre, et ne paraît p
pière supérieure. Motilité normale ; pas de nystagmus. Iris bleu. L'
enfant
ne connait pas les couleurs. Elle présente de l
peu près nulle. Pas d'écholalie. Aucune aptitude musi- cale, mais l'
enfant
aime la musique et le chant. , Membres supérieu
156 DE quelques formés DE nanisme. un peu courts et boudinés. L'
enfant
metsouvent les doigts àsa bouche, mais c'est un
ne manie, il n'y a pas d'onychophagie. Le sens du toucher existe, l'
enfant
sait distinguer un objet poli d'un objet rugueu
mités ont un aspect rouge et rugueux. Réflexe rotulien nor- mal. L'
enfant
marche bien, mais lentement. Elle ne court pas;
ce au niveau du mamelon. Rien à signaler à la colonne vertébrale. L'
enfant
tousse et, Fig. 11. - Orei/l ! 1nollgo.'it ! 1l
avant-bras, cuisses et jambes, gla- bres. Examen fonctionnel. - L'
enfant
mange seule, se sert de Fig. d5. - Main idiote.
- sements, ni rumination ; selles régulières, pas de diarrhée ; l'
enfant
est propre le jour, mais gâte toutes les nuits. L
ntion est assez facile à fixer ; elle connait quelques lettres. L'
enfant
porte des cicatrices de vaccin, 3 il droite, 2 à
p d'iodure de fer, hydrothérapie, gymnas- tique, école. En outre, l'
enfant
est soumise au traitement thyroïdien par la gla
75 la 3 ; 1 gr. la 4e. Juin. - Sous l'influence du traitement, l'
enfant
, dont on prend le poids et la taille tous les 8
nté, au- jourd'hui le poids est : 18 k. 900 et la taille de lm IL L'
enfant
a donc gagné 2 cent. en 3 mois. La température
et de la petite incisive latérale de lait gauche. 1903. Juin, - L'
enfant
a passé tout l'hiver à l'infirmerie. Elle a bea
vue intellectuel, état sta- tionnaire. Aucun progrès' classique, l'
enfant
n'ayant pas fréquenté l'école. - La radiographi
gymnastique, école dans la mesure du possible. 1904. 2 mars. - L'
enfant
se plaint énormément de la tête et elle a des v
a nuit ; mais franchement verts. La céphalalgie a disparu. Mais l'
enfant
se plaint de souffrir du ventre. Les selles sont
âtement ni matité; pas de douleur à la décom- pression brusque. L'
enfant
tousse un peu ; l'auscultation révèle des râles
ce, si les vomissements reparaissent. - Le soir, 40°,5. 4 mars. L'
enfant
a dormi jusqu'à 4 h. du matin. A ce moment elle
ues glaires. Les vomis- sements cessent, mais la soif reste vive. L'
enfant
est très abattue, et sa physionomie exprime la
; les lèvres sont cyanosées. Mais la respiration est normale, et l'
enfant
parle bien. La tempéra- ture atteignant vers le
rs le soir 40°,4, bain à 32°, elle tombe à 39° 5. A 8 h. du soir, l'
enfant
meurt brusquement, sans cris ni râles, sans sec
ence d'âge (7 ans). Déplus, elle était la dernière d'une famille (9
enfants
). A signaler également un autre fait des plus f
if ennui de la mère de se trouver enceinte. III. L'évolution de l'
enfant
, aux points de vue phy- sique et intellectuel,
signaler M'autopsie la persistance du thymus, si fréquente chez les
enfants
anormaux, la tuberculose du poumon et des gangl
encéphalite, prédominant sur les lobes temporal et pariétal. Si l'
enfant
, par certains caractères, voix enrouée, froideu
ne les avons pas encore soumis au traitement thyroïdien.Il s'agit d'
enfants
atteints d'idiotie compliquée de diplégie. Les
er un traitement inutile, faisons-nous radiographier les genoux des
enfants
(1). Lorsque, après des traitements fructueux,
sme tout entier évo- lue vers un état physiologique qui rapproche l'
enfant
myxoedémateux de 1 enfant normal, d'autant plus
ers un état physiologique qui rapproche l'enfant myxoedémateux de 1
enfant
normal, d'autant plus que le traitement a été a
ielle; PAR IiOI'Iil ? II,LI : et Reine IAL'QI'sRT'l'. Sommaire. -
Enfant
naturel. Description de la malade il l'entrée :
le 28 mars 1902 et y est décédée le 10 septembre 190'. C'est une
Enfant
assistée, sur laquelle on n'a aucun rensei- gne
rti- ficats médicaux. Le premier, signé du Dr Ilutinel, déclare l'
enfant
« atteinte d'idiotie par agénésie. » Le second, s
res inférieurs, gâtisme. » État de la malade. - L'état général de l'
enfant
, à son entrée, est assez mauvais. Elle présente
pousser plus loin l'examen, en raison de l'idio- tic complète de l'
enfant
. Les paupières sont normales, les cils naturell
et l'anus normaux. Pas d'onanisme. Au point de vue fonctionnel, l'
enfant
est très en retard sous tous les rapports. - Le
de bave. - La respiration est embarrassée, la poitrine grasse ; l'
enfant
tousse beaucoup à son entrée. - Rien à noter sur
e Fin 53. 192 De quelques formes de nanisme. même, la parole. L'
enfant
fait entendre seulement des gro- gnements conti
mine. - Poids ; 10 k. gr. - Taille 011188. En raison de l'état de l'
enfant
à son entrée, on la soumet au traitement suivan
e jour en jour. Lait, farine lactée; lavements. Juin. - L'état de l'
enfant
est absolument le même qu'à son entrée, Elle ne
de vue intellectuel. Il est toujours impossible défaire prendre à l'
enfant
une autre nourriture que le lait. Son sommeil e
ns aucun motif. Les nuits sont en général mauvaises. 6 septembre. L'
enfant
refuse le biberon, elle crie sans relâche, et e
. L'abattement aug- mente. - 8 septembre. La diarrhée persiste. L'
enfant
a beaucoup changé depuis 2 jours : elle a maigr
Traitement : potion lactique, régime lacté absolu. 9 septembre. L'
enfant
s'affaiblit de plus en plus, elle ne conserve r
s la journée, la respiration devient de plus en plus haletante, l'
enfant
tombe pour ainsi dire dans le coma et elle meurt
aternels : on ne sait pas. - Deux oncles maternels, mariés, ont des
enfants
bien portants; n'ont jamais eu de convulsions,
ons, sont sobres. - Deux tantes maternelles, ont l'une 6, l'autre 5
enfants
qui n'ont pas eu de convulsions, pas de chorée;
. 7 oncles pater- nels, tous mariés, en bonne santé ainsi que leurs
enfants
, qui n'ont pas eu de convulsions. - Deux tantes
tes paternelles, Il oncles maternels, une tante maternelle, ont des
enfants
bien portants; pas de convulsions. - Trois frèr
; pas de convulsions. - Trois frères, sobres, deux soeurs, et leurs
enfants
sont très-bien portants, n'ont jamais eu aucun
consanguinité. Inégalité d'âge de 2 ans (mère plus âgée). - Un seul
enfant
. Température a l'entrée. Antécédents personne
Température a l'entrée. Antécédents personnels. 201 A la suite, l'
enfant
, qui avait commencé à marcher il 9 mois, ne rem
droite. Après cet état de mal, l'intelligence était moins vive et l'
enfant
restait un jour sans pouvoir se tenir ; pas de dé
pouvoir se tenir ; pas de déli- re. - De 2 ans à 3 ans et 2 mois, l'
enfant
n'eutpasde convul- sions ; elle n'était pas plu
que des dents comme quelqu'un qui a bien froid». Lors d'un accès, l'
enfant
ne se plaint d'aucune douleur particulière, par
oté droit, la mère ne peut préciser. L'accès dure 2 ou 3 minutes. L'
enfant
ouvre ensuite les yeux, qui sont égarés ; puis
con- vulsive, jusqu'à l'âge de 4 ans. Après la première crise, l'
enfant
se servait un peu de sa main ; après les autres,
L'athétose n'aurait été remarquée qu'à 4 ans : quand on disait à l'
enfant
d'ouvrir la main, elle touchait le métacarpe pr
ication de l'intelligence, depuis l'âge de 4 ans. Le caractère de l'
enfant
est très doux; elle est très gaie, 202 DESCRIPT
s de gourmes, conjonctivite de l'oeil droit, étant toute jeune. L'
enfant
a, depuis ses convulsions, toujours été en retard
a nuit ; ils ne diffèrent pas des accès diurnes. État actuel. - L'
enfant
a l'air bien portante, quoique un peu pâle, ell
n, DESCRIPTION DE la malade. 203 L'acuité visuelle est normale, l'
enfant
voit bien de près et de loin; elle distingue et
sez étendue, indiquant le port antérieur de boucles d'oreil- les. L'
enfant
perçoit normalement les bruits, les sons musi-
e des poumons. (1) Nous avons examiné, il ce point de vue, tous les
enfants
idiots et n'avons constaté qu'un très petit nom
/ il ut médico-pédagogique nous n'avons eu que deux cas : 1° chez l'
enfant
Emile Desch... (imbécillité); 2. chez l'enfant
deux cas : 1° chez l'enfant Emile Desch... (imbécillité); 2. chez l'
enfant
Pierre Leh... (imbécillité morale). z '20'1 Des
ude et à l'épaule ; cette laxité est surtout accentuée iL droite. L'
enfant
ne se sert pas de la main droite. Le toucher es
re à droite. Il est impossible de. constater l'état des réflexes, l'
enfant
rai- dissant ses jambes malgré elle. L'attitude
qui traine un peu et dont le pied est un peu tourné en dehors. L'
enfant
sait monter et descendre un escalier, de même que
l'hymen est en croissant. Pas d'ona- nisme. Le goût est normal, l'
enfant
distingue bien les saveurs acides ou sucrées. -
Pas d'autre tic que le clignement très fréquent de l'oeil gauche. L'
enfant
pleure rarement. - Il est rare de la voir chang
actère est très-affectueux, elle n'est pas méchante avec les autres
enfants
et elle aime beaucoup ses parents. Elle est peu
nulle en gymnas- tique. Marche de la maladie. 205 Le poids de l'
enfant
à l'entrée est de 27 kg. 500 ; sa taille, de -I
de flexion de la jambe. La marche d'un vertige est la suivante : l'
enfant
devient violacée, mais elle ne crie pas, et ell
xtrême, cet état dure quelques secondes, une minute au plus, puis l'
enfant
se relève, elle parait sortir d'un rêve et rest
consciente. Ces petites crises sont fréquentes (25 de l'entrée de l'
enfant
à la fin du mois d'août). Souvent, ces accidents
ées, - capsules de bromu- re de camphre, de 2 à G. Septembre. - L'
enfant
n'a toujours pas eu de grands accès depuis son
nts (28). Octobre. - Petits accès plus nombreux (32). L'état de l'
enfant
se maintient à peu près le même, .sans améliorati
iminuent de nombre (10), mais il s'y adjoint de grands accès (3). L'
enfant
cependant s'améliore légèrement sous tous les r
ué, tend à réaugmenter ; le nombre des accès a diminué. L'état de l'
enfant
est à peu près stationnaire. Toujours pro- pre,
menté ; ils sont actu- ellement plus nombreux que les vertiges. - L'
enfant
a fait quelques progrès en classe : elle lit et
iminué ; le nombre des acces est toujours sensiblement le même. - L'
enfant
continue à faire quelques progrès en classe. El
- naire. Les accès ne sont pas très intenses, mais ils laissent l'
enfant
très abattue pour une partie de la journée, avec
augmenté, jusqu'à 19 vertiges et 26 accès en août. - Du 19 au 23, l'
enfant
voit apparaître ses règles pour la première foi
est en croissant ; le périnée et l'anus sont glabres. - L'état de l'
enfant
est stationnaire. Même traite- ment. Juillet.
rien les autres mois . Au point de vue de la classe, l'état de l'
enfant
est toujours stationnaire ; elle ne fait que co
règles n'ont reparu qu'une fois, en octobre. - Les accès laissent l'
enfant
très abattue, paraissant très fatiguée et ayant
'ont plus abattue encore que de coutume, et vu son état précaire, l'
enfant
est mise à l'infirmerie. Sa température monte l
iande. - Les jours suivants, et pendant tout le mois de novembre, l'
enfant
a encore de la lièvre, mais moins élevée, dès l
le redescend aux abords de 38°, mais toujours très irrégulière. L'
enfant
tousse de temps à autre, maigrit, mais ne reste p
, qui n'offrent pas entre eux de différence appréciable, bien que l'
enfant
soit hémiplégique. Poids des organes 246 -Eta
et enfin diminue tandis que d'autre part le caractère se modifie, l'
enfant
devenant sournoise, maussade, voleuse. Peu à pe
raissent tout à fait durant les quatre derniers mois de la vie, l'
enfant
marchait de plus en plus vers la déchéance, lor
s-rendus de nombreux détails sur l'évolution de la puberté chez les
enfants
idiots de tous les degrés et chez les enfants é
e la puberté chez les enfants idiots de tous les degrés et chez les
enfants
épileptiques. 1 Imbécillité, hémiplégie, ÉPILEP
liées à diverses reprises dans les Comptes-rendus de la section des
enfants
, que dans les cas d'inégalité cérébrale cette c
. 224 i Action DE l'alcoolisme suit l'idiotie. mères de tous ces
enfants
sous le rapport des excès alcooliques et permet
able chez 114 malades, soit si nous comptons ces derniers, 13 0/0 d'
enfants
conçus dans l'ivresse, non compris les 490 sur
de la croissance de l'hémisphère sain qui rétablit l'égalité. Si l'
enfant
eût survécu, les différences d'inclinaison se f
901, où l'observation complète a été publiée, avec ,d portrait de l'
enfant
) étaient eux-mêmes distendus par du liquide. On
eux. Une tante paternelle, morte on ne sait de quoi, aurait eu deux
enfants
bien portants. Deux ondes et une tante ma- tern
soeur, bien portants, sobres, n'ont pas eu de con- vulsions ; leurs
enfants
, six garçons et deux filles, sont en bonne sant
mbreux excès de boisson, les deux autres sont mariés et comme leurs
enfants
sont bien portants. Quatre sielt1's : l'une mar
rs enfants sont bien portants. Quatre sielt1's : l'une mariée, sans
enfants
, est morte usée par la bois- son; les trois aut
s autres sont bien portantes, sobres, et deux d'entre elles ont des
enfants
également sains; de ces trois soeurs vivantes,
(près de Lannion), qu'elle a. quitté à dix-neuf ans, elle a quatre
enfants
bien 250 IMBÉCILLITÉ. hémiplégie- gauche, ÉPILE
es-du-- Nord, mais de communes.différentes. Égalité d'âge. Quatre
enfants
: 1° garçon mort du croup à un an, pas de con-
Pas d'as- phyxie à la naissance, pas de circulaire autour du cou. L'
enfant
semblait bien portant et pesait cinq livres et
ments sur la date de la fermeture des fontanelles. A onze mois, l'
enfant
, qui jusque-là était absolument normal, eut des
évacuations involontaires. Après ces trois jours de convulsions, l'
enfant
resta paralysé du côté gauche; c'est quatre à cin
cher qu'à cinq ans. Avant les convnl- sions, le père répète que son
enfant
était intelligent, prononçait quelques mots tel
es. En ce qui concerne les accès diurnes, pas d'aura, pas de cri; l'
enfant
ne tombait pas, mais s'appuyait seulementsurce
te. Ni miction, ni défécation involontaires. A la fin de l'accès, l'
enfant
parfois « rigolait », sou- riait, d'autres fois
crise passée, il redevenait tel qu'auparavant. Le caractère de l'
enfant
est très doux. Pas d'accès de colère. Pas de ma
Pas de turbulence. Les fonctions diges- tives sont normales, mais l'
enfant
bave en mangeant; pas de cons- tipation ni de d
La sensibilité géné- rale est normale. Au point de vue sensoriel, l'
enfant
verrait moins bien de l'oeil gauche; mais aucun
nations ni de folie. Les senti- ments affectifs sont développés : l'
enfant
est obligeant, et aime bien son père et ses frè
, pas de somnambulisme. Très peu de mémoire, pas de raisonnement. L'
enfant
est allé à l'école de sept à quatorze ans, il n
mouvements spontanés y sont trop insuffisants pour permettre à l'
enfant
de s'en servir utilement. La sensibilité y est di
fait pres- que en équinisme, le talon touchant à peine la terre. L'
enfant
court rarement, et le saut lui est difficile (F
ose à signaler. Le§ fonc- tions digestives s'accomplissent bien ; l'
enfant
a bon appétit, il pré- fère le lait au vin, dig
he ( ? ) Intelligence très peu développée. Parole naturelle, mais l'
enfant
ne fait que répondre aux questions qui lui sont
: ni accès ni vertige. . Juin. - Un accès, un vertige. 12 juin, l'
enfant
est revacciné avec succès. Le caractère de l'en
ige. 12 juin, l'enfant est revacciné avec succès. Le caractère de l'
enfant
est sombre, doux et timide; il se borne à répon
nt surtout la nuit. On en compte 27 du 14 octobre au 23. Le 23, l'
enfant
qui en a eu plusieurs dans son dortoir, est trans
es. De 9 heures à 2 heures de l'après-midi, ni accès ni vertige ; l'
enfant
dort, de 10 heures à midi, la tempéra- ture à c
t, de 3do,9, un quart d'heure après, de 37°8 deux heures après. L'
enfant
sent venir les crises : « Cela va me reprendre, d
te, la face est congestionnée. Presqu'aussitôt l'ac- cès terminé, l'
enfant
pâlit. Pendant les accès, il conserve son entiè
e d'amyle. Un peu après 5 heures, huitième accès ; -, subitement, l'
enfant
se congestionne, le cou et les oreilles sont d'
sance. Brusquement, le visage pâlit, les membres s'allongent, et l'
enfant
rend le dernier soupir à 5 h. 20 du soir. (ri ? 0
médiocre, indifférence pour tout le monde. La volonté est faible, l'
enfant
se laisse guider avec docilité. Il sait syllabe
I. Statistique sur la persistance ou l'absence du thymus chez les
enfants
anormaux ; Par 11OUItNEt"ILLE. En 1899 (1) no
NEt"ILLE. En 1899 (1) nous avions établi la comparaison entre les
enfants
normaux et les enfants anormaux, au point de vu
nous avions établi la comparaison entre les enfants normaux et les
enfants
anormaux, au point de vue de la persistance ou
e résultat de ses recherches. ' La statistique des cas relatifs aux
enfants
normaux ne comprenait malheureusement que 61 ca
ux ne comprenait malheureusement que 61 cas, tandis que celle des
enfants
anormaux portait sur 292 cas ; d'un autre côté
s anormaux portait sur 292 cas ; d'un autre côté la statistique des
enfants
normaux avait trait iL des enfants au-dessous,
un autre côté la statistique des enfants normaux avait trait iL des
enfants
au-dessous, comme âge, du chiffre le plus bas d
ous complétons cette année notre statistique de 1900 concernant nos
enfants
ANORMAUX. (1) Compte rendu de 1899, p. 101. T
onne une idée générale de ces cas et la différence existant entre l'
enfant
idiot, Ï1nbé- cile, etc., épileptique, et l'enf
existant entre l'enfant idiot, Ï1nbé- cile, etc., épileptique, et l'
enfant
idiot, imbécile, etc., non épileptique. Le ta
rès le tableau A, nous trou- vons une moyenne de 24. 6 0/0 pour les
enfants
idiots, imbéciles, etc., mais épileptiques, et
rait indiquer que le thymus disparait relativement plus vite chez l'
enfant
idiot épileptique. Au point de vue du poids ces
sur Synostose DU crâne. 275 675 crânes (1) que renferme ce musée (
enfants
ou adul- tes de 2 à 25 ans), nous ne trouvons q
xerce aucune action dans la production des maladies nerveuses des
enfants
. - X. Statistique sur la persistance de la su
et 84 garçons) nous voyons : 1° Que ces 128 familles ont fourni 609
enfants
, soit près de 5 enfants par famille ; -) 2° Q
: 1° Que ces 128 familles ont fourni 609 enfants, soit près de 5
enfants
par famille ; -) 2° Que sur ces 609 enfants, 30
fants, soit près de 5 enfants par famille ; -) 2° Que sur ces 609
enfants
, 304 sont décédés, soit une mortalité de 50 0/0
une mortalité de 50 0/0. Si aux 298 décédés, nous ajoutons les 134
enfants
idiots, épileptiques, etc. nous voyons que 70 0
enfants idiots, épileptiques, etc. nous voyons que 70 0/0 de ces
enfants
sont mortellement ou gravement impression- nés
de l'Allier). Inéga- lité d'âge de 5 ans, (père plus âgé). Quatre
enfants
: Une fille morte en nourrice à la campagne ave
erme sans intervention, en deux heures. Présentation du sommet. - L'
enfant
est beau, assez gros, non asphyxié. Il est nour
n progrès. - Son sommeil est ])on- et prolongé. - Pas de colères, l'
enfant
est très paisible. - Début des accès à 8 ans. -
s'observent également le jour et la nuit. Pas d'aura, pas de cri. L'
enfant
se courbe en avant et glisse. Jamais il ne s'es
e. Pas de maladies infectieu-pq, ni d'accidents . scrofuleux. - L'
enfant
est un peu gourmand, son caractère est paisible.
ice des gâteux. Accès nombreux (Voir le tableau) 1903. Janvier. - L'
enfant
est maintenu dans le service des gâteux. 304
sse des cris plaintifs continuels. Le Il, l'a- gitation reparait, l'
enfant
se contracte surtout à gauche. - L'auscultation
s, le 5 mai 1894, est entré le 27 février 1896, dans le service des
Enfants
de Bicêtre. . / 312 . ANTÉCÉDENTS HÉRÉDITAIRE
DENTS HÉRÉDITAIRES. Antécédents. - (Renseignements par le père de l'
enfant
, le U mars 18'16, sur sa propre famille, pa ? -
ter sur les grands-parents paternels. Le gmnd-pP-1'e maternel était
enfant
naturel, c'est tout ce qu'on sait de lui. Quant
e 3 ans (père plus âgé). Notre malade est. le premier et l'unique
enfant
à l'heure actuelle. - Au moment de la conceptio
arents n'étaient pas maries. Ce ne fut qu'après la naissance de l'
enfant
qu'ils n'gn]111'i'¿'I""¡11 lmr situation. La gros
la présentation était une présentation du sommet. A la naissance, l'
enfant
était petit et chetif. Placé en nour- rice, il
ut. - Première dent à 16 mois. La den- tition n'est pas complète. L'
enfant
ne parle pas, ne marche pas et n'est pas propre
cédents morbides. La première crise de convulsions z qui a frappé l'
enfant
a eu lieu à 6 mois, il était en nourrice et la
la mère n'a pu obtenir aucun renseignement à ce sujet. A 18 mois l'
enfant
fut repris par ses parents et depuis cette époq
a pas de tremblement. Les amyg- dales un peu rouges sont petites. L'
enfant
n'a que deux dents, les deux incisives inférieu
sensibilité générale parait exister également sur tout le corps. L'
enfant
très jeune, ne voyant pas, ne donne pas de sign
symétrique. ' Description des crises convulsives (février 1895). L'
enfant
a jusqu'à 10 crises par jour. Au début, les yeu
qui se répètent cinq fois de seconde en seconde. Après la crise l'
enfant
s'endort et ne parait pas très abattu. Traiteme
salés et exercices des mouvements. 1896. 11 mars. On observe chez l'
enfant
des secousses assez fréquentes soulevant le mem
. Bains salés. Exercice de marche, puis exercice des jointures. - L'
enfant
a été revacciné sans succès, Si§ Cachexie PROGR
éphalie. Août. - L'amaigrissement toujours progressif donne à cet
enfant
l'aspect cadavérique. L'hypothermie Il) s'est acc
) Nous avons rapporté un grand nombre de cas d'hypothermie chez les
enfants
idiots qui deviennent cachectiques. La T. de Laig
malheureusement l'occasion d'ob- server cette maladie que chez des
enfants
qui ne prennent que du lait, vous, vous avez de
aris). 1887. M-0 SOLLIER (A.).-De l'état de la dentition chez les
enfants
idiots et arriérés. Thèse de Paris. 1888. T
chro- niques et spécialement d'une terminaison fréquente chez les
enfants
, l'Idiotie. Thèse de Paris. Pison. -- De l'asym
R (A.). - Contribution à l'étude clinique de l'épi- lepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. 1893. NOIR (J.). - Étude sur
couchement anormal sur le développement des troubles cérébraux de l'
enfant
. Thèse de Paris. FwRS (A.). - Du mariage des
(E.). - Contribution à l'étude du pronostic de l'épilepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. HASLG (L.). - Du bromure de ca
aux. Thèse de Paris. LEBRETON. - De la sclérose en plaques chez les
enfants
. Thèse de Paris. DENIS (C.). - Étude sur un c
Bicêtre. I. Situation du service. -Enseignement primaire.. Ili 1°
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
, épileptiques ou non, mais invalides (Bâtiment Séguin).. il ! 2°
Enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épileptiques ou n
.................... ' ' XII 4° Petite école complémentaire xv 5°
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés, instab
I Enseignement par les projections ........ xxxvIII Notes sur les
enfants
améliorés ......... xxxix Hygiène sexuelle.....
.... XLIX Caisse d'épargne ........................ L Visites des
enfants
...................... LII Vaccination et revacc
ent professionnel................... LXVI Évaluation du travail des
enfants
........ LXVII Énumération des produits fabriqué
rvice. - Enseignement primaire.. RcVI1 TABLE DES MATIÈRES. 343 le
Enfants
idiotes et gâteuses............ xcvii 2o Enfant
MATIÈRES. 343 le Enfants idiotes et gâteuses............ xcvii 2o
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiques, etc., VALIDES
et enseignement. 1. Traitement et éducation de la parole chez les
enfants
idiots et arriérés ; par BOURNE- VILLE et J. BO
. Introduction du traitement médico-pédago- gique dans la section d'
enfants
idiots et épileptiques de l'asile de Clermont (
I 344 Table DES matières. III. Hospitalisation ou internement des
enfants
aliénés (idiots, épileptiques, fous moraux, e
tiques, fous moraux, etc. ) CLBXVIII IV. De l'hospitalisation des
enfants
arriérés... CLXXX DEUXIEME PARTIE Clinique, t
VII. Statistique sur la persistance ou l'absence du thymus chez les
enfants
anormaux; par Bourneville 269 VIII. Statistiq
L'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE compte-rendu du service des
enfants
idiots, épileptiques et arriérés de bicêtre penda
née 1904. I. Situation du service. — Enseignement primaire. Les
enfants
de la quatrième section du quartier des aliénés d
'hospice de Bicêtre sont répartis en trois groupesprincipaux : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, épi-leptiques ou non, mais invali
eux, épi-leptiques ou non, mais invalides (Bâtiment Séguin); — 2° les
enfants
idiots, gâteux ou non, mais valides ; ?— 3° les e
in); — 2° les enfants idiots, gâteux ou non, mais valides ; ?— 3° les
enfants
propres, valides, idiots améliorés, venus des deu
stables, pjervers (amoraux), épileptiques et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalid
groupe est subdivisé ( il deux catégories. La première se compose des
enfants
idiots complets, ne parlant, ni ne marchant, cons
escente d'un escalier avec un petit escalier double. En 1904, trois
enfants
ont appris à marcher (1) ; trois enfants ont été
ier double. En 1904, trois enfants ont appris à marcher (1) ; trois
enfants
ont été guéris du gâtisme (2) et deux ont appris
— (2) Bonnav..., Rio.., Mart... — (3) Bonnav..., Jeun... Dès qu'un
enfant
marche sans aide, il doit être envoyé à la Petite
uis toute la journée, aussitôt que ses forces le permettent. Tous ces
enfants
sont placés sur les petits fauteuils spéciaux, fa
sont promenés dans les jardins. Ce sous-sol sert également à d'autres
enfants
, qui nous arrivent tardivement à 15, 16, et même
leur gâtisme, sans aucun bénéfice pour eux et au grand détriment des
enfants
éducables. Ces malades absolument incurables sont
de rechute. (1) Voir Compte-rendu de 1903, pages X et XI. + II.
Enfants
idiots gâteux ou non gâteux, êpilep-tiques ou non
non gâteux, êpilep-tiques ou non, mais valides (Petite École). — Ces
enfants
fréquentent la petite école, confiée exclusive-me
à des femmes. Ce sont elles qui sont le mieux à même de donner à cea
enfants
les soins nécessaires à tous les points de vue.
cessaires à tous les points de vue. Dans le courant de l'année, 194
enfants
y ont été inscrits. Sur ce nombre, 9 sont décédés
nt, 3 ont été transférés, 10 sont passés à la grande école. Sur 160
enfants
qui restaient à la petite école au 31 décembre 19
t 20 se servent de la cuiller, de la fourchette et du couteau. — Sept
enfants
de ce groupe sont devenus propres (1) ; 6 ont app
au lever, au coucher, au milieu delà nuit et après chaque repas, les
enfants
gâteux sur les sièges d'aisance, prati-quequi a p
ur les sièges d'aisance, prati-quequi a pour but principal d'amener l'
enfant
gâteuxà devenir propre, fait également réaliser à
vons fait faire par l'une des surveillantes du service, le relevé des
enfants
ayaut déféqué au siège après les repas, durant le
urs de chaque mois. Voici le relevé qui a porté sur une moyenne de 50
enfants
gâteux. (Tableau). (1) Band.., Cohn.., Wal.., P
au dortoir, la nuit pour les chemi-ses et les draps, par la pose des
enfants
sur les sièges, au coucher, au milieu de la nuit
tons, ¿es éco?iorm'es de blanchissage du linge de la nuit. Tous les
enfants
de la Petite école sont exercés (1) On pourrait
étant encore trop infirmes, n'ont pu y pren-dre part. Cinquante-deux
enfants
de lapetite école etde lpetite école complémentai
ont fait régulièrement les exercices de la grande gymnastique. Treize
enfants
ont travaillé cette année dans les différents ate
cédemment ; 2° les leçons de toi-lette qui consistent à apprendre aux
enfants
à se laver la figure et les mains, à s'habiller,
n dans les promenades (2). Voici quelques détails sur plusieurs des
enfants
(1) Toutes les mères devraient apprendre le plu
(1) Toutes les mères devraient apprendre le plus tôt possible à leurs
enfants
la manière de se gargariser, ce qui rendrait plus
urtout celui de 1899 pour tous les procédés en usage à la section des
enfants
arriérés et épileptiques. les plus malades (idi
se, et suit les exercices de la grande gymnastique. Le caractère de l'
enfant
est à mentionner comme mauvais, menteur à l'excès
r à l'excès et voleur. Idiotie profonde. — Jul... (Henri), 7 ans. L'
enfant
, men-tionné déjà l'année dernière {Compte-rendu d
travail à la classe est bon ; il n'y a guère que pour calculer que l'
enfant
ne progresse pas-Est bon élève au solfège, au des
ique. Apprenti tailleur, il donne bon espoir. Sa tenue est bonne et l'
enfant
n'a pas de mauvais instincts. Idiotie complète.
alpropreté. Idiotie profonde. — Lecourt ..., (Charles), 11 ans. — L'
enfant
à l'entrée était atteint de gâtisme, avec privati
ulle. — Actuellement, il est propre, la parole est bien développée; l'
enfant
raconte ce qu'il voit faire et interroge sur ce q
tie avec gâtisme et colères fréquentes. Ecolage nul. — Aujourd'hui, l'
enfant
ne gâte plus, il se tient même très-propre, et le
s exercices de la grande gymnastique. Nous pourrions citer d'autres
enfants
du même groupe qui, eux aussi, ont été améliorés,
rés, mais à un moindre degré. Si nous choisissons de préférence les
enfants
les plus malades, c'est pour bien faire voir, aux
à plus forte raison peut-on obtenir des ré-sultats meilleurs chez des
enfants
moins malades, les imbéciles et les arriérés. L
ition. Elle est aidée par Mrao Randier, première infirmière. Quarante
enfants
composent cette école. Trois infirmières, dont 2
ejeune, sont en outre adjointes à ce service pour la surveillance des
enfants
(réfectoire, dortoir, promenades). Voici quel-que
ours de l'année 1903, résumés d'après les notes de Mm0 Bonnet. Deux
enfants
ont été rendus propres le jour et la nuit: Gro...
s propres le jour et la nuit: Gro... (Maurice), Mich... (Victor). Six
enfants
ont été améliorés pour la parole: Gro..., Itziko.
ile), Gava... (Emile), Chai... (Louis) et Pardo... (Marcel). — Quatre
enfants
se sont développés intellectuellement d'une façon
rès sensibles: Faito..., Gava..., Marcill..., Mill..., Bauti.... Deux
enfants
ont appris à lire cou-ramment: Dûmes... (André) e
rgil... (André). Idiotie profonde. — Gro... (Albert), huit ans. Cet
enfant
qui nous avait été confié en juillet 1902 a été r
rand peine qu'il forme quelques lettres,, telles que i, t et o. Cet
enfant
est très heureux de dire des mots grossiers, et i
et jour, parole nulle, attention impossible à obtenir; tel était cet
enfant
lorsqu'il nous fût confié il y a six ans. Nous
on mentale, choree.— Marcil... (André), 11 ans. L'état nerveux de cet
enfant
s'est modifié favorablement : la chorée n'existe
and. Imbécillité, Hémiplégie droite. — Bouvign. .. (G.), 8 ans. Cet
enfant
, d'une physionomie expressive tout à fait trom-pe
se prononcer sur Vincurabilité et partant le degré d'éducabilité des
enfants
idiots et insisté sur la nécessité de continuer l
ce n'est pas la première fois que nous constatons ce travers chez nos
enfants
, nous l'avons déjà rencontré chez certains d'entr
? Mm° Bonnet sur notre invitation a choisi un groupe d'une douzaine d'
enfants
de différents niveaux intellectuels et a com-menc
Il y a déjà bien longtemps que l'on s'est occupé de lecture avec les
enfants
arriérés : le premier essai fut tenté par Itard a
xpérimenter à son tour. « Nous n'avons pu la continuer, dit-elle, nos
enfants
étant pour la plupart alToctés de nombreux tics,
nce de tous les jours. Telle méthode excellente, sans doute, pour les
enfants
ordinaires et pour les adultes illettrés, pourrai
tion, il faut les habituer à savoir vouloir, toutes choses qui chez l'
enfant
normal et chez l'adulte illettré se sont en quelq
plesse des organes. Doit-on prendre ces précautions avec des normaux,
enfants
ou adultes, avec des sujets qui peuvent, savent e
r. — Nouvelle Méthode pour l'enseignement de la lecture à l'usage des
enfants
arriérés et présentant des troubles de la parole.
'une torpeur intellectuelle qu'on aurait pu croire incurables. III.
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés instables
population de cette écolo, con-fiée à des instituteurs, était de 150
enfants
au lor jan-vier 1904. Tous, sauf 13 qui ne peuven
ne et restent les autres jours, le matin et le soir, à l'atelier. Les
enfants
non pourvus du certificat d'études sont répartis
s du certificat d'études sont répartis en 4 classes (51, 27. 30 et 42
enfants
), Aux examens du certificat d'études, qui ont ou
s du certificat d'études, qui ont ou lieu à Villejuif le 27 mars, six
enfants
ont subi les épreuves avec succès (1). Cette an
Vallée), afin d'être mieux en mesure d'améliorer la prononciation des
enfants
et de développer leur parole, ont été envoyés suc
nous seconder sérieusement dans le traitement médico-pédagogique des
enfants
de notre service. Aux instituteurs et aux surve
inconvénients de l'absence des instituteurs pendant les vacances. Les
enfants
, eux, restent à l'Asilo-Écolc, n'ayant plus que d
ne sorte de stage pour se ren-dre aptes à être de bons éducateurs des
enfants
anor-maux, le jour, qui semble se préparer, où l'
de nos relations ce qui devrait être fait pour tous les pédagogues d'
enfants
anormaux Nous avons des idiots sourds et muets, d
ersonnel enseignant. Les péda-gogues de chacun des groupes spéciaux d'
enfants
anormaux profiteraient, croyons-nous, de leur pas
n des obstacles qui s'opposent à la création de sections spé-ciales d'
enfants
, annexées aux asiles, ou à la création d'asiles-é
tablissement. (Voir p. 15.) * Voici quelques notes concernant les
enfants
de la Grande-école : Grande-École : lro Classe.
. — Benvegn... (Louis), (17 ans). Dans les derniers mois de l'année l'
enfant
s'est considérable-ment amélioré au point de vue
ortations et les bons conseils aidant, la persévérance est venue et l'
enfant
a passé avec succès l'examen du certi-ficat d'étu
uestionnaires qui suivent chaque leçon de géographie. Bon caractère :
enfant
poli et docile, n'a pas eu d'accidents épileptiqu
.dans les devoirs écrits. Il apprend souvent quelques petites leçons.
Enfant
docile et attentif. — Amélio-ration notable au po
Torail.., (Adrien, 13 ans 1[2. — Bien qu'ayant souvenl des accès, cet
enfant
l'ait des progrès appréciables. Développement pro
et perversions instinctives. — Car... (Ernest, Jeannicc), lôans. —Cet
enfant
a fait de sérieux progrès au point de vue primair
-reusement plm en retard et malgré toute la bonne volonté apportée, l'
enfant
syllabe assez difficilement. L'écriture se modifi
bre de ces notices sommaires. L'idéal serait d'en donner sur tous les
enfants
; mais temps, aides et crédit nous font défaut. N
troubles intellectuels, d'excita-tion, d'hébétude survenant chez les
enfants
idiots ou épileptiques, il y a nécessité de suspe
ans un proportion variable. Par exemple, au lieu de faire faire à ces
enfants
des exercices de gymnastiques prolongés, comme à
squ'il s'agit de malades, soient bien au courant de l'état mental des
enfants
. C'est pourquoi aussi nous avons insisté sur la n
stituteurs doivent lire les certificats médicaux qui accompagne les
enfants
à l'entrée pour en vérifier les dires. Ils doiven
école tous les résultats que nous pourrions obtenir, au détriment dos
enfants
. Enseignement du chant, solbtège et fanfare. —;
Sutter, maitre de chant. De môme que les années précédentes tous les
enfants
susceptibles de profiter de cet enseignement y on
nts susceptibles de profiter de cet enseignement y ont pris part. Les
enfants
de la pelile école au nombre d'unecentaine, école
ue les résultats obtenus. Solfège et théorie musicale. — Vingt-cinq
enfants
de la petite école ont pris part aux leçons do so
a petite école ont pris part aux leçons do solfège etsur ce nom- 10
enfants
savent à peu près lire la musique, connaissent la
sez, rapidement à faire comprendre la durée d'une note de musique aux
enfants
, Voici quelques noms d'enfants ayant suivi les le
dre la durée d'une note de musique aux enfants, Voici quelques noms d'
enfants
ayant suivi les leçons de solfège. Rob... Lectu
ture très bonne, fait partie de la fanfare comme 3° baryton; ces deux
enfants
travaillent sérieu-sement leurs instruments. — De
de la fanfare comme élève piston.— Lesuc.. Lec-ture assez bonne, cet
enfant
ne sait pas lire, mais est arrivé à lire la musiq
assez bien, fait partie de la fanfare comme élève alto.-— Gard... Cet
enfant
commence un peu à lire les notes sur la partie. M
peine à reconnaître leur valeur.— Thiéb.. Même observation que pour l'
enfant
Mas...—• Guon.., Thés..., Carn.., Dufo.. et Corn.
ncent un peu à lire la musi-que.—Désert... . Assez bonne lecture, cet
enfant
connait aussi la valeur des notes des musique et
s.— Broch.. Mar/..., Gar... commencent à lire un peu la musique.— Les
enfants
Chois. ., Lam.. cl Clous... connaissent seulement
de les toucher et ils répondent de suite. Pendant l'année 1904 les
enfants
do la petite école ont appris une soixantaine de
nt et la musique. C'est là un fait connu d'ail-leurs. Fanfare. — 27
enfants
font partie de la fanfare. 20 exécutants, 7 élève
de la fanfare. 20 exécutants, 7 élèves et 9 administrés (deux anciens
enfants
Colombi... et Picar... Colombi... est très utile,
nfants Colombi... et Picar... Colombi... est très utile, il prend les
enfants
deux fois par semaine, le vendredi soir pendant l
exercices de gymnastique, fait défiler à la fin de ces exercices les
enfants
aux sons d'une marche, participe au Concert Lionn
als. Le mardi gras et à la mi-carême la fanfare précède le défilé des
enfants
déguisés dans les cours do l'établissement et à l
e pour achat de déguisements. Concerts et bals font grand plaisir aux
enfants
et à leurs parents qui sont autorisés à y assiste
lques artistes de Paris. Ces fêtes sont organisées sans frais par les
enfants
, qui font eux-mêmes les décors et les programmes,
caisse de la fan-fare et de celle des déguisements. La fanfare des
enfants
a pris part à la fête de gym-nastique du Kremlin-
rmément à nos instructions il s'est occupé successivement de tous les
enfants
en mesure de pro-fiter de cet enseignement. Voici
de dessin d'art est également suivi par les élèves du second groupe,
enfants
qui dessinent d'après nature des plâ-tres, représ
êne, de laurier ou des objets usuels très simples. Comme ces jeunes
enfants
montrent un goût réel et un véritable empressemen
arriver à d'excellents résultats. Gymnastique. — La gymnastique des
enfants
sous la direction de M. Van-Kerberghen, secondé p
Le premier groupe ou grand rang, au nombre de 70 élèves, se compose d'
enfants
valides améliorés. Ces élèves exécutent des exerc
usique (har-monium, tambour, fanfare). Grande école. — Parmi les 20
enfants
qui ont fait les progrès les plus notables, citon
. et Le... déchéants sont passés dans un rang inférieur. 2° Groupe.
Enfants
paralysés et imbéciles. Les enfants paralysés e
un rang inférieur. 2° Groupe. Enfants paralysés et imbéciles. Les
enfants
paralysés et arriérés, sont commandés par M. Lemu
sont passés au grand rang. 3° Groupe. —Enfsnlslesplus malades. Les
enfants
très arriérés, idiots et imbéciles, au nombre de
avec beaucoup de zèle et do douceur de ses fonctions. Une centaine d'
enfants
participent, à des degrés divers, à cet exercice.
résultats, plus d'améliorations et de guérisons, il faudrait que les
enfants
soient rigoureusement occupés ou distraits du lev
urraient avoir leur congé sans qu'il en résulte un préjudice pour les
enfants
. En effet, tandis que dans les lycées, les écoles
, à l'asilc-écolc de Bicôtre, comme dans les services ana-logues, les
enfants
, eux, restent. (1) Commission de surveillance d
s les instituteurs n'avaient qu'un mois de vacances. Oubliant que les
enfants
sont toujours pré-sents, n'ont pas de vacances, q
qu'il y aurait à faire créer des instituteurs et des institutrices d'
enfants
anormaux, qui iraient passer un certain temps dan
eurs et aux institutrices de bonne volonté, désireux de connaître les
enfants
anormaux, puisque les ressources semblent faire d
es bourses spéciales en vue de l'enseignement de la péda- gogie des
enfants
anormaux. Les quelques semaines qu'ils séjournera
urneraient dans nos écoles ne seraient cer-tainement pas perdues, les
enfants
normaux en tire-raient profit et ils seraient mie
ux en tire-raient profit et ils seraient mieux à môme do recruter les
enfants
arriérés pour les classes ou les écoles (l'en-sei
ne hostilité contre l'organisation que nous avons créée en faveur des
enfants
idiots, alors que les enfants normaux ne disposai
tion que nous avons créée en faveur des enfants idiots, alors que les
enfants
normaux ne disposaient pas d'avantages semblables
nos moyens d'action. A leurs yeux, nous avons trop fait pour de tels
enfants
. Leurs visites à l'asile-école do Bicêtro devraie
scrime, d'atelier, nous avons toujours essayé de faire participer les
enfants
aux corvées de tout genre : salubrité, nettoyage
ans la mesure que comporte le défaut d'entretien des bâtiments. Des
enfants
accompagnent les infirmiers à la cui-sine, à la l
illeurs, ont fait un service défectueux, ne portent aucun intérêt aux
enfants
, il y aurait matière à des leçons de choses. En t
ons de choses. En tout cas, ces courses sont une distraction pour les
enfants
qui se sentent plus libres. Quelques enfants, a
e distraction pour les enfants qui se sentent plus libres. Quelques
enfants
, avec notre autorisation, et de bonne volonté, re
de se ren-dre utiles aux personnes qui leur sont dévouées. Plus les
enfants
sont occupés, plus leurs occupations sont variées
enseignement par les projections est très com-plexe. 11 sert pour les
enfants
de toutes les catégories : 1° pour les enfants id
lexe. 11 sert pour les enfants de toutes les catégories : 1° pour les
enfants
idiots profonds à fixer l'attention (images blanc
à reconnaître les objets, les animaux (images graduées) ; 3° Pour les
enfants
imbéciles, arriérés et épileptiquos, à faire tous
et les écoles. Ces vues servent aux conférences du jeudi faites aux
enfants
les moins malades, aux visites du samedi, jour où
s Lies, des manies, s'opposer aux pratiques solitaires. Pour tous les
enfants
, et en particulier pour les imbéciles intel-lectu
à nos auxiliaires, pédagogues et inlirmicrs, qu'ils ont affaire à des
enfants
malades, relevant du traitement médico-pédaijnrju
relevant du traitement médico-pédaijnrjupxe, envers lesquels et comme
enfants
, et comme malades, ils doivent se montrer bienvei
ils doivent se montrer bienveillants et affectueux, et non pas à des
enfants
vicieux, dont la place, serait, disent certains a
u'aux visites des Commissions officielles, nous essayons montrant les
enfants
, do mettre en relief les résultats obtenus, nous
ue nous enregistrons, c'est l'onanisme relevé comme fréquent chez les
enfants
. Pour y remédier, nous intervenons sans cesse aup
les enfants. Pour y remédier, nous intervenons sans cesse auprès des
enfants
, nous recommandons aux instituteurs de veiller à
s enfants, nous recommandons aux instituteurs de veiller à ce que les
enfants
soient toujours accompa-gnés des infirmiers do cl
de s'opposer à ce qu'ils s'isolent dans les coins ; et d'empêcher les
enfants
de mettre leurs mains dans les poches de leur pan
leur pantalon, aux infirmiers et infirmières de veille d'empêcher les
enfants
de se coucher sur le ventre. Malheureusement, soi
écessité de se conformer à nos indications, nous citons l'exemple deu
enfants
dont l'état mental est dû surtout aux habitudes s
ces, troubles de la marche, (1) Pour faciliter la surveillance tics
enfants
aux cabinets d'ai-sances nous avons fait disposer
surveillance comme impudique. * Promenades et distractions. — Les
enfants
de la grande et ceux de la petite écoles, qui son
insti- tutrices doivent donner des leçons de choses et exer-cer les
enfants
aux différents jeux en plein air (jeu de balles,
ipaux théâtres et concerts de Paris ont prêté leur concours. Tous les
enfants
valides de Bicêtre et de la Fondation Vallée y on
é. — Les familles sont admises seulement aux fêtes organisées par les
enfants
. Les enfants ont encore bénéficié de plusieurs
es sont admises seulement aux fêtes organisées par les enfants. Les
enfants
ont encore bénéficié de plusieurs repré-sentation
mmes recueillies depuis 1892 s'élève à 2.295 fr. 90. Visites. — Les
enfants
ont reçu 8.270 visites : les visiteurs ont été
des accès épilcptiquos. De plus, les parents donnent de l'argent aux
enfants
, autre abus qui est une source d'ennuis pour tout
et la revaccination de tous les malades entrés durant l'année et des
enfants
dont la revaccination remonte à 6 ou 7 ans. Comme
ait do remédier aux nombreuses défectuosités de la dentition chez nos
enfants
et aussi d'avoir, chaque année, une note, prise p
te, prise par un homme compétent, sur l'évolution de la dentition des
enfants
anormaux. Bains et hydrothérapie. — Les bains e
e passent de commentaires. Nous for-mulons le vœu, dans l'intérêt des
enfants
, que l'Ad-ministration se préoccupe sérieusement
e très grande de montrer, non seulement l'organisation du service des
enfants
, mais encore son fonctionnement médico-pédagogiqu
faveur de l'hos-pitalisation, et de l'éducation de cette catégorie d'
enfants
anormaux etlcs convaincre de la possibilité de le
s dans la jour- (l'i Voir : Bourneville, Histoire de la section des
enfants
de llirélre. Bourneville, Dicêtre, 1904 ****
iennes........................ Cerveaux d'idiots et d'épileptiques (
enfants
et adultes) 675 113 70 276 419 529 Comme
qu'ils apportent chaque jour à donner Yinslruciionprofessionnelle aux
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'il
lier de l'A. P., etc. etc., Programmes pour les féte« données par les
enfants
. Tel est le résumé de l'enseignement profession
cole d'Alembcrt à Monté-vrain, par exemple, où les apprentis sont des
enfants
normaux, sains de corps et d'esprit, et même choi
u de sourds-muets. Nos apprentis, à Bicêtre, sont non seulement des
enfants
anormaux, mais encore des enfants malades : quand
, à Bicêtre, sont non seulement des enfants anormaux, mais encore des
enfants
malades : quand ils ont, les uns des accès épilep
'ils ont des accès, le travail est momentanément suspendu; les autres
enfants
sont distraits et le chef d'atelier est obligé, l
ter leurs ressources immédiatement), plus que par l'inté-rêt de leurs
enfants
. D'autres de nos apprentis, insuf-fisamment améli
mont, après avoir douté de la possi- bilité de faire travailler les
enfants
idiots, arriérés et épiloptiques, et avoir protes
n apprenti sont occupés, par exemple, à réparer une porte, les autres
enfants
n'ont plus de guide et ne s'instruisent pas. No
et non le 'produit lui-même, bien qu'il ne soit pas à dédaigner. Les
enfants
eux-mêmes sont heureux devoir que leur travail es
pre leur apprentissage et de ne pas perdre le bénéfice du travail des
enfants
. Nous renouvelons notre récla-mation. Jamais il n
d'interruption dans les occupations scolaires ou professionnelles des
enfants
. Statistique. Mouvement de la Population. Le
opulation. Le premier janvier 1904, il y avait clans le service 428
enfants
se décomposant ainsi : 411 enfants idiots, imbéci
4, il y avait clans le service 428 enfants se décomposant ainsi : 411
enfants
idiots, imbéciles ou épileptiques, dits aliénés e
istinction, qui s'applique aux épileptiques adultes aussi bien qu'aux
enfants
, est purement administrative et il est difficile
étaient tourneurs; 15 étaient sauteurs et 31 étaient grimpeurs. Un
enfant
était atteint d'hémimélie ; 1 de poly-clactylie,
ent de la population ne fournissent pas une idée exacte du nombre des
enfants
anormaux intellectuels et moi'iux. il serait àsou
as besoin de nous, ne se rendent pas à notre convocation. Parmi les
enfants
sortis, il en est qui sont enlevés (!) Certains
é à la 5 e 2 e (adultes), le 22 n o v . Très amélioré. Rendu aux
enfants
a s s i s t é s le 26 nov. Très amélioré. Pas
e'. Rendu à la famille, le 27 novembre. Amélioration. Passé aux
enfants
assistés le 1 e r déc. Amélioration notable.
s.— Cinq évasions ont eu lieu dans le cou-rant de l'année, celles des
enfants
Guér.., Pcll.., Hinv.., Gill.., Piém... Une seule
Piém... Une seule évasion a donné lieu à une défalcation, celle de l'
enfant
Pellet..., malade atteint d'arriération intellect
ature à l'entrée, durant les cinq premiers jours (1) pour savoir si l'
enfant
n'est pas sous le coup d'une affection aiguë, con
ladies infectieuses. — Une épidémie de vari-celle, ayant porté sur 11
enfants
(6 filles et 5 garçons) (1)A l'entrée «le tous
é sur 11 enfants (6 filles et 5 garçons) (1)A l'entrée «le tous les
enfants
, aussibienà la Fondation Val-lée qu'à Bieétrc, no
lendcma'm au moment du certificat immédiat nous examinons nous-méme l'
enfant
de la tète aux pieds s'il y a lieu; il en est ain
ier et a pris fin le 5 août; 1 seul cas mortel à signaler, celui de l'
enfant
Cour... qui a succombé à une infection généralisé
uin pour se terminer le 9 août; un seul décès à signa-ler, celui de l'
enfant
Vivin... qui a succombé à de la lironeho-pnemonie
phithéâtre) ont été soignés au même pavillon ; aucun cas mortel. Deux
enfants
y ont été également soignés pour la scarlatine; 1
tre de M. Mesureur, en date du 5 février, et d'accord avec nous, onze
enfants
teigneux du ser-vice furent conduits à l'hôpital
aitement nouveau : l'application des rayons X. Un seul d'entre eux, l'
enfant
Quent..., en raison de sa stabilité put subir le
personnel, fit une leçon sur la dépilalion- (2) A la fin do l'année l'
enfant
Quent... était complètement guéri, mais les cheve
été maintenu au pavillon d'isolement. Maladies intercurrentes. — 6
enfants
ont été atteints A'état de mal épileplique dont 1
épileplique dont 1 a été suivi do décès; — 59 do séries d'accès; — 6
enfants
ont été traités pour broncho-pneumonie;-- ùpour p
onnes se sont présentées : 329 pour renseignements sur le placement d'
enfants
arriérés ; — 230 pour maladies diverses; — 197 po
nt leur rentrée dans l'Assistance ; — 142 pour renseignements sur les
enfants
du service présents ou en congé. La partie la p
plus intéressante de notre consultation est celle qui concerne les
enfants
nerveux et arriérés. Pour ceux d'entre eux que le
indications et souvent nous admi-nistrons la première douche, que les
enfants
acceptent en général très bien après avoir vu que
que les enfants acceptent en général très bien après avoir vu que nos
enfants
la prennent sans résistance (Imitation). En maint
ion ati31 décembre 19(M. — Ilyavaità cotte époque dans le service 413
enfants
, se décomposant ainsi : 42G enfants idiots, imbéc
cotte époque dans le service 413 enfants, se décomposant ainsi : 42G
enfants
idiots, imbéciles ou épileptiques, dits aliénés e
ec ou sans rotation de la tête; 21 ont un tic coordonné des mains ; 9
enfants
idiots sont tour-neurs; 14 sont sauteurs ; 11 son
r faire des réparations dans los salles. Ils inter-viennent quand les
enfants
ont des querelles, des impulsions, des accès, pou
nement primaire. La Fondation Vallée, par les diverses catégories d'
enfants
qu'elle reçoit, ne correspond pas à la colonie do
tiqucs, ni gâteuses, mais est tout à fait compararable au service des
enfants
de Bicôtre, où nous recevons, en outre des épilep
en outre des épileptiqucs et des hystériques, toutes les catégories d'
enfants
idiots, ainsi que des enfants ou des adoles-cente
es hystériques, toutes les catégories d'enfants idiots, ainsi que des
enfants
ou des adoles-centes atteintes d'imbécillité mora
nctives. Nous avons, à la Fondation, deux groupes principaux : Io les
enfants
idiotes gâteuses, valides ou non; — 2° les enfant
rincipaux : Io les enfants idiotes gâteuses, valides ou non; — 2° les
enfants
propres valides, — et dans les deux groupes, des
ants propres valides, — et dans les deux groupes, des épileptiqucs.
Enfants
idiotes et gâteuses. — Elles étaient au nombre do
orts. Les idiotes gâteuses se divisent en deux catégo-ries : a) les
enfants
valides qui sont envoyées à l'école durant une pa
qui sont envoyées à l'école durant une partie de la journée; — b) les
enfants
inva-lides, qui séjournent dans le sous-sol. Ce s
beaucoup de médecins doutent encore de la possibilité d'améliorer les
enfants
idiots. Chaque année nous donnons une notice som-
diots. Chaque année nous donnons une notice som-maire non pas sur les
enfants
imbéciles, considérés naturellement comme plus am
i l'utilité incontestable du traitement médi-co-pédagogique, chez les
enfants
moins malades. Co procédé do démonstration nous p
à fait impropre à l'étude. Actuellement, nous constatons chez cette
enfant
une amé-lioration notable. La physionomie est plu
acilité, soutient bien une conversation; on re-marque mime chez cette
enfant
un certain jugement et des attentions délicates p
lisiblement, à compter (addition), à faire le change de la monnaie. L'
enfant
a de réelles ditïicultés pour la lecture, nous es
s expression, le regard sans but. l'aspect était débile et maladif. L'
enfant
ne prononçait que quelques mots : papa, maman, ca
d il s'agissait do lui donner les soins de propreté. Aujourd'hui, l'
enfant
s'est notablement améliorée ; sa phy-sionomie est
ur les cabinets»; la nuit il lui arrive rarement d'uriner au lit. — L'
enfant
marche maintenant seule, elle trottine partout, m
biller seule, s'intéressait beaucoup à la gymnastique : Telle était l'
enfant
au mois de septembre 1901 (la même année de son e
cessita un long séjour à l'infirmerie. Ce n'est qu'en juin 1903 que l'
enfant
revint en classe. A partir de cette .époque elle
revinrent peu à peu ainsi que la gaieté. Elle prit goût à l'étude, l'
enfant
qui connaissait à peine ses lettres, est parvenue
instabilité mentale. —Choqu... (Marie), 12 (1) Rappelons ici que l'
enfant
signalée comme ayant des accès épileptiqucs, n'a
elle était aussi très méchan-te, prenant plaisir à faire pleurer les
enfants
inoffensives. Kilo exigeait une surveillance de t
qu'elle a séjour-né plusieurs années à. l'infirmerie (teigne), mais l'
enfant
se voyant en retard a redoublé décourage et de bo
se elle n'avait aucune connaissance, voire mê-me aucune aptitude. L'
enfant
a fait de réels progrès au point de vue physique
astique. Elle est propre nuit et jour et n'a plus d'onanisme. — Cette
enfant
qui a son entrée était alleinte d'idiolie peut co
son entrée était alleinte d'idiolie peut compter maintenant parmi les
enfants
simplement arriérées, par rapport à son âge natur
il fallait l'aider à s'habiller et à se déshabiller; rien chez cette
enfant
n'annonçait l'intelligence. Toutes les branches d
de l'enseignement lui étaient totalement inconnues. Aujourd'hui, l'
enfant
s'est notablement améliorée. La phy-sionomie s'es
ur elle d'aider à habiller et à déshabiller les petites gâteuses. L'
enfant
a eu beaucoup de retard pour la classe, à cause d
participe à tous les exercices delà grande gym-nastique. En somme l'
enfant
est en bonne voie d'amélioration et ses progrès m
le très bien et sans aucun défaut de pro-nonciation, comme beaucoup d'
enfants
aveugles, elle retient les airs de chansons avec
nd nombre la faisaient tomber maintes et maintes fois; de sorte que l'
enfant
hésitait pour faire quelques pas. Néanmoins clic
ent, un changement merveilleux pour ainsi dire s'est opéré chez celte
enfant
. Ses vertiges ont totalement disparu, de là, un g
un air futé et malicieux, répète tout ce qu'elle entend, connaît les
enfants
et les personnes de son entourage. Elle marche tr
e débarbouillée, essaie même de le faire, conserve bien ses effets, l'
enfant
a toujours un air propret. Elle mange sans jamais
tait-ce la peur ou la fai-blesse de ses jambes? Toujours est-il que l'
enfant
se lais-sait glisser à terre et ne se tenait même
du traitement, une véritable transforma-tion s'est opérée chez cette
enfant
Elle commença à prendre du goût à l'étude; son at
e des additions sans retenue, mais c'est là un petit obstacle que l'
enfant
surmontera sans doute, car elle y met toute sa bo
stu-dieuse. En somme, ses progrès classiques ont été rapides. Cette
enfant
, qui paraissait si indifférente, s'intéresse à to
des, elle raconte ce qu'elle a vu et ses réflexions sont celles d'une
enfant
de son âge. En même temps qu'elle se dévelop-pait
et intelligente, le regard vif et doux; le teint légèrement coloré. L'
enfant
est donc en très bonne voie d'amélioration. Idi
tie. — Géua... (Suzanne), 1 ans. —Entrée en octobre 1903. Quand cette
enfant
est venue parmi nous, elle ne mar-chait pas, ne d
la nuit. Le caractère était sombre et taciturne, on aurait dit que l'
enfant
avait conti-nuellement de gros chagrins. Ne conna
nnaissait rien comme classe. Nous constatons aujourd'hui chez cette
enfant
des pro-grès sous bien des rapports. D'abord la p
t pour tout. Le caractère est devenu gai et joueur, comme celui d'une
enfant
ordinaire. Elle est tout à fait pro-pre. C'est su
e la propreté, de la paro-le et de la marche que les progrès de cette
enfant
sont sensi-bles. Imbécillité avec myopie très p
s de classe. Elle avait aussi de l'incontinence nocturne d'urine. L'
enfant
, soumise au traitement dès le début, s'est amélio
accès et vertiges survenaient par séries et étaient assez nombreux. L'
enfant
, traitée par le Bromure de camphre, s'est beaucou
e est en bonne voie d'amélioration. Au point de vue du caractère, l'
enfant
est tout à fait gen-tillette, pas un brin méchant
irection. D'après ces quelques détails, il est facile de voir que l'
enfant
a fait de notables progrès. En couture, elle trav
âtisme et èpilepsie, aujourd'hui nous pouvons la placer au nombre des
enfants
atteintes simplement d arriération intellectuelle
travail manuel continuent. L'amélioration notable acquise chez ces
enfants
atteintes d'idiotie complète, d'idiotie profonde
u'il y avait des doutes, nous avons public de petites notices sur nos
enfants
non pas absolument guéries — assertion présomptue
es notices nous en avons augmenté progressivement le nombre (1). 2°
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiques, etc., Valides.
t à la Fondation. L'idéal que nous poursuivons consiste à occuper les
enfants
du matin jusqu'au soir, promenades, en variant le
mômes doivent contribuer à leur éducation. Au lever, on apprend aux
enfants
à faire leur loilelle, leur lit, à nettoyer leur
leur dortoir, à brosser leurs vête-ments. Aux repas, on surveille les
enfants
qui savent manger seules et on corrige leurs mauv
digérés, qu'elles ne contiennent ni vers, ni corps étrangers. Sur 230
enfants
présentes à la fin do l'année, G5 savent se servi
ge des lèvres, etc., continuent à être employés contre la bave. 220
enfants
ont fréquenté l'école et ont été exercées à la gy
et ont été exercées à la gymnastique des échelles et des ressorts; 80
enfants
participent aux exercices do la grande gymnastiqu
ports sexuels durant les congés, do comparer avec l'état génital de l'
enfant
à son arrivée et de garantir l'Administration con
ément à nos instructions, il s'est occupé succes-sivement de tous les
enfants
, en mesure do profiter de cet enseignement. 30
dépense de 50 fr. J'ai reconstitué l'orgue qui sert actuelle-ment aux
enfants
, avec un ancien harmonium qui servait de coffre à
n, surveillante. * Enseignement professionnel. — A mesure que les
enfants
se développent, on leur apprend tous les soins du
aine des moins arriérées aident le personnel à apprendre à manger aux
enfants
incapables de manger seules et à perfectionner ce
aillent par séries régulières, 32 ont travaillé une heure par jour. 6
enfants
savent faire complètement les layettes ; 16 du cr
maîtresses : 4.750 fr.. L'évaluation, à prix réduits, du travail des
enfants
, faite par M. l'économe, s'élève à 3.934,65. D'où
inistration. Visites, permissions de sorties, congés d'essai. — Les
enfants
ont reçu 3.398 visites; les visiteurs ont été au
témoignent de la sollicitude des familles envers leurs malheu-reuses
enfants
. Il semble que, se rendant compte de la responsab
à accorder des congés de plus de cinq jours, parce que le séjour des
enfants
dans leurs familles se prolongeant, il est moins
er aux familles qu'elles ne doivent pas, dans l'intérêt môme de leurs
enfants
, dépasser la durée des congés accordée. La Comm
semaine, soit dans les communes voisines, soit à Paris. Le nombre dos
enfants
qui prennent part à ces prome-nades, avec leçons
rvenu des inconvénients de la présence simultanée à ces réu-nions des
enfants
des deux sexes, les petites filles de la Fondatio
nnel de Vallée remettent un peu d'argent pour accroitre la caisse des
enfants
. Les dépenses consistent en achat d'étoffes, tein
res, fleurs, musiciens, etc.. Les costumes sont confectionnés par les
enfants
elles-mêmes sous la direction de la maîtresse de
vêtement calorifuge de la grosse chau-dière Field. Teigne. — Quatre
enfants
ont été soignées pour la teigne au pavillon d'iso
oches vendues au buf-fet 10 centimes. Maladies intercurentes. — Une
enfant
a été soignée à l'Infirmerie pour fièvre typhoïde
pour diarrhée ; 35 pour migraine ou céphalée. Glande thyroïde. —19
enfants
ont été soumises à la médication thyroïdienne : 6
ncipalement pour les petites gâteuses et pour les filles pubères. Les
enfants
pren-nent leurs douches à la Fondation; ce n'est
recommandons à notre personnel de surveiller avec soin la bouche des
enfants
, de nous signaler lcslésionsdeslèvrcs, des genciv
elles peuvent être l'occasion de tics de la face; de nous montrer les
enfants
qui bavent (massage des lèvres, electrisation), d
fants qui bavent (massage des lèvres, electrisation), d'apprendre aux
enfants
à se gargariser, ce qui facilite notre tâche en c
nces, des accidents tuberculeux. Nul doute pour nous que si, chez les
enfants
et les adolescents menacés de tuberculose, ou au.
pulation. Le 1er janvier 1904, il restait à la Fondation Vallée 236
enfants
se répartissant ainsi : Idiotes et imbéciles...
tériques .......................... 1 Total........ 236 Parmi ces
enfants
on peut en compter 15 atteintes de perversité à u
tion au 31 décembre. — Il restait à la Fon-dation, le 31 décembre 230
enfants
, se décomposant ainsi : Épileptiques...........
de la hanche; 1 est atteinte de coxalgie; 6 ont de la scoiiose; 15
enfants
présentent des défor-mations des orteils. Plane
e orteils, il y a une légère palmature entre le 2° et 3° orteils. Les
enfants
Radig..., Noir..., Puisség..., Magn..., Davau...,
Wei..., présentent à leurs pieds une légère palmature. Sur les 230
enfants
qui existent à la Fondation; 65 savent se servir
d'institutrices, comme il convient dans un asile-école consacré à des
enfants
idiotes, imbéciles, arriérées, épileptiques, etc.
i. Commission ministérielle pour l'enseignement et l'assistance des
enfants
anormaux. A la suite d'une mission confiée au D
uite d'une mission confiée au Dr Gauraud, relative à la situation des
enfants
arriérés ou anormaux à l'étranger, et dont les ré
son article A, que «l'ins-truction primaire est obligatoire pour les
enfants
des deux sexes âgés de six ans révolus à treize a
de six ans révolus à treize ans révolus». Mais il est une catégorie d'
enfants
à qui, jusqu'ici, la loi n'a pas été appliquée :
eur public ne peut accepter ni encore moins garder dans sa classe des
enfants
incapables de prendre part aux exercices scolaire
tions s'imposent dans l'intérêt de l'immense population normale des
enfants
de nos écoles. Mais ce n'est pas envers celle-l
ance et l'instruction de tous les malheureux du corps ou de l'esprit,
enfants
, malades, vieillards et infirmes et ne comptent e
préalable, à faire le recensement, aussi rigoureux que possible, des
enfants
qui ont droit à une de ces éducations spéciales e
complète de la loi du 28 mars 1882, qui doit s'appli-quer à tous les
enfants
, dans la mesure du possible. Or, comme la très gr
rticle imposant aux départements la création d'asiles-écoles pour les
enfants
anormaux au point de vue intellectuel et moral (i
u des sections spé-ciales destinés au traitement et à l'éducation des
enfants
, imbéciles, arriérés, crétins, épileptiques et pa
avant un essai prolongé du traitement médico-pédagogique, déclarer un
enfant
incurable Écoles d'enseignement spécial : Réfle
éfaut de prononciation, aucune défectuosité prêtant à la moquerie des
enfants
. Les uns et les autres devront avoir une indemnit
on de sourds et muets (1) et surtout dans un asile-école consacré aux
enfants
idiots de toute catégorie. C'est là que leur stag
pport de M. Mesnard (p. cxlvi). auront à s'occuper principalement d'
enfants
arriérés et instables qui constituent le groupe l
les cours d'une fccole d'infirmières (i). Quant à la catégorie des
enfants
malades qui devront être reçus, nous l'avons déli
cas tout à fait exception-nels et pour des raisons particulières, les
enfants
épi-leptiques sont exclus des écoles ordinaires.
en est parmi les anormaux qui sont refusés partout, tclestlccas d'un
enfant
du Loir-et-Cher, GeorgesBau-do..., âgé cle 12 ans
10 Sullivan, a rendu à la vie intellectuelle. Où doit-on placer les
enfants
arriérés, relevablcs des classes spéciales, mais
régulier : surveillance, injections d'atropine, etc. A quel âge ces
enfants
malades, imbéciles, arriérés, instables, doivent-
être, 1904. **«««**.* préférence, aussitôt qu'il est démontré que l'
enfant
est incapable de marcher de pair avec ses camarad
ante, puisqu'il s'agit de malades, quand il s'agira du place-ment des
enfants
des Ecoles clans les classes spéciales; les médec
asses spéciales; les médecins des asiles-écoles pour le placement des
enfants
idiots améliorés de leurs services, clans ces môm
lion des sexes est à recomman-der (U Dans les écoles ordinaires les
enfants
de môme âge sont le plus souvent réunis clans la
s le courant le l'an-née. Pour les idiots, et en particulier pour les
enfants
qui doivent composer les classes ou les écoles sp
l'âge, mais sur les aptitudes pro-pres : ainsi on pourrait réunir les
enfants
d'âge divers, empruntés à toutes les classes ayan
ôme pour ceux qui sont de même niveau en arithmétique, etc. Les mêmes
enfants
feraient partie de classes différentes. Des cra
V° arrondissement. Les familles, disait-il, ncvoudrontpasmettreleurs
enfants
clans ces classes spéciales, ils ne voudront pas
vons répondu que les parents, pris entre la nécessité de garder leurs
enfants
arriérés Cl) A Bicètrc, sur 135 enfants, 281 so
a nécessité de garder leurs enfants arriérés Cl) A Bicètrc, sur 135
enfants
, 281 sont confiés à des femmes. instables, — qu
était passé pour l'asile-école de Bicêtrc. Autrefois, le quartier des
enfants
était un véritable dépotoir, pour employer l'expr
mployer l'expression de Maxime du Camp, croyons-nous. Les parents des
enfants
, loin d'engager les autres familles, à placer les
e section ont été ouverts et qu'on a vu qu'on s'occupait vraiment des
enfants
, les deman-des ont afflué et aujourd'hui, bien qu
e nombre des lits réglementaires soitdépassé, il y aune soixantaine d'
enfants
qui attendent leur tour de placement. Quant au
des récréations durant lesquelles on devra fairejouer, distraire les
enfants
. Les exercices physi^ ques seront multipliés, gym
nt. . . mais que l'on estimait sullisants pour donner des soins à des
enfants
malades physiquement et intellectuellement et apt
(1904) que nous venons de citer, l'auteur demande qu'on s'occupe des
enfants
arriérés pour lesquels, «jusqu'ici, l'État n'a ri
un peu inexact. Puis il signale la constitution do la Commission des
enfants
anormaux, dont nous venons de parler. Cet article
cle. Les anormaux plus Ou moins arriérés, constituent une catégorie d'
enfants
pour lesquels on a peu fait jusqu'à présent, parc
parce qu'ils ne sont pas déraisonnables ni dangereux. Cependant, ces
enfants
sont plus perfectibles que les idiots pour lesque
Bourncville. A'quand la création d'une organisation scolaire pour les
enfants
anor-maux? Elle produirait des résultais meilleur
un médecin des hôpitaux et qui mieux est d'un médecin d'un hôpi-tal d'
enfants
, à priori devant être au courant de tout ce qui c
faits, qu'il est possible d'améliorer, de guérir un grand nom-bre des
enfants
désignés d'une façon générale sous le nom d'idiot
ien des années, figure l'assistance, le traitement et l'éducation des
enfants
idiots, imbéciles, arriérés, intellectuels et amo
nfin des épileptiques. Tout d'abord, nous nous sommes préoccupé des
enfants
les plus malades : idiots, pervers, instables, ép
clamé la création de classes spéciales ou d'écoles spéciales pour les
enfants
les moins malades, ceux atteints d'imbécillité lé
s écoles ordinaires, où ils constituent un poids mort, enfin pour les
enfants
améliorés, car il y en a etnombreux, des asiles-é
nfanls. — Presque tout l'ameublement a été l'ait par les ateliers des
enfants
et il est entre-tenu et complété par eux. Colon
ublique, de désencombrer les asiles-écoles, de donner de la place aux
enfants
qui atten-dent leur tour de placement, de rendre
atten-dent leur tour de placement, de rendre à la vie fami-liale des
enfants
qui peuvent être mis en liberté, faisant comprend
la Commission du Conseil général •— auxquelles nous faisons voir les
enfants
améliorés de notre ser-vice que nous jugeons apte
eur direct, de grand zèle et de haute compétence sur la situation des
enfants
arriérés ou anormaux à l'étranger, que M. Chaumié
ous étonnons pas plus qu'il ne convient (1)D'une façon générale les
enfants
sont très visités parleurs parents. (Voir p. c)
ral, j'ai pu le voir appliqué jour par jour, soit dans le service des
enfants
à Dicèlre, soit à la Fondation Vallée, soit à l'I
pports de quinzaine de l'une ou l'autre infirmière du service, sur un
enfant
entré quelques semaines auparavant ; où l'on voit
ttres, répondant à l'affection et propre et que deux ans plus tôt cet
enfant
était gâteux, ne marchait pas, parlait à peine pa
précises dans la grande salle de srymnastique trois cents et quelques
enfants
de 12 à. 18 ans faisant en silence et en bon ordr
une des consultations du mois de mai, à laquelle j'assistais. Io Un
enfant
de sept ans dans le service depuis quatre ans,, r
elle peut à peine réaliser qu'une telle amélioration soit possible. L'
enfant
est actuellement à la petite école. A l'entrée, i
On prescrit un régime alimentaire spécial, des bains, des massages; l'
enfant
sera ramenée régulièrement, et si l'ainélioralion
ns, entré le mois précédent, et présente son rapport de quin-zaine. L'
enfant
pesé, toisé, photographié à l'entrée après les ci
e rédige un rapport donnant des renseignements précis sur l'état de l'
enfant
. ?{• Un jeune soldat, rentrant d'Afrique, libér
ène à la consultation un petit bébé de 15 mois. C'est son quatorzième
enfant
: elle est la femme d'un ancien pen-sionnaire du
oire en détail. A la suite des photographies bisannuelles de l'ancien
enfant
de Bicètrc, il nous montre les photographies de s
us montre les photographies de sa famille avec un, deux, quatre, sept
enfants
. Tous ne sont pas parfaits. Nous ne faisons en
l'aide du petit chariot, des barres parallèles où il se cramponne, l'
enfant
commence à se tenir debout, les progrès sont plus
es variant, en évitantla fatigue ou l'ennui, et c'est le cerveau de l'
enfant
qui les classe, les compare, en dégage quelques n
eut tirer. On commencera par ne donner que des teintes franches que l'
enfant
appareillera facilement et en s'a-musmt, puis à m
couleurs principales, on peut aborder toutes les séries de nuances L'
enfant
apprendra en se jouant à compter ses dominos, à d
t les infirmières répètent constamment et l'ont répéter le nom, que l'
enfant
avant de savoir lire les reconnaît imperturbablem
l de vouloir atténuer. La société de leurs semblables est, pour les
enfants
de Bicètre, un élément de bonheur et de progrès t
avancés la leçon inconsciente de l'exemple sont plus favorisés que l'
enfant
arriéré ayant toutes ces ressources que peut assu
taire ! Cela est pro-fondément vrai soit pour le bien-être moral de l'
enfant
, soit pour ses progrès possibles (1). L'enfant
bien-être moral de l'enfant, soit pour ses progrès possibles (1). L'
enfant
qui marchait a appris à parler, il va entrer dans
se, continuent ce travail de développement. A la grande école, où l'
enfant
peut être transféré dès qu'ils connaît ses lettre
gogique, ces quelques-uns seraient restés ce que sont restés bien des
enfants
dans nos garderies les plus propres, dans certain
eurs et institutrices, garçons et filles de service de la Section des
enfants
malades de Bicôtre, à suivre les cours professés
. Bourneville, Bicêtre, 1904. i Statistique et enseignement des
enfants
idiots et épi-leptiques internés dans les asiles
nécessité de l'hos-pitalisation, du traitement et de l'éducation des
enfants
arriérés et épileptiquos. Nous avons réclamé auss
du 28 mars 1882 qui impose l'obligation de l'instruction primaire aux
enfants
âgés de 6à 13 ans. Nos incessantes publications o
bre dernier a nommé une commission chargée d'étudier la situation des
enfants
anormaux, au point de vue surtout de l'applicatio
la loi sur l'obligation de l'instruction primaire. Sous le titre d'
enfants
anormaux, on comprend les aveugles, les sourds et
des sourds et muets et des aveugles, il n'en est pas de même pour les
enfants
idiots, les plus nombreux des anor-maux. Ayant eu
e, nous en avons profité pour leur demander quel était le chiffre des
enfants
idiots et épileptiques présents au 31 décembre 19
-Madeleine et S t - Georges) Aude Ces asiles ne reçoivent pas d'
enfants
. Voir p. 13. Aisne (Prémontré) 4 2 6 12 O
23 Un a l i é n é , i n s t i t u t e u r , fait la c l a s s e a u x
enfants
susceptibles de la suivre. Cantal (Aurillac
. Une religieuse esl c h a r g é e de l ' i n s t r u c t i o n des
enfants
, mais c e t t e t â c h e est souvent stérile.
â c h e est souvent stérile. Charente - Infé. (Lafond) 1 1 Les
enfants
sont envoyés à la Roche-sur-Yon. Un quartier po
7 4 2 13 Aucune méthode. Un projet de construction d'un pavillon d'
enfants
(38.000 fr.). Tout est à créer pour leur éducat
. Promenades. Garonne (Hl e) (Braqueville) 2 1 3 On apprend aux
enfants
à se tenir propres. Aucune méthode spéciale.
t r e r la nécessité de l'Assistance et du t r a i t e m e n t des
enfants
a r r i é r é s et sur les classes spéciales. M
gis et Jac quin se proposent d'ouvrir une consultat i on pour ces
enfants
. 2» Cadillac 16 1 17 Néant. Hérault (Montpe
(Pon t - L ' a b b é- Picauville) 11 1 3 1 1 3 •18 2
Enfants
envoyés à Pontorson. Néant. Néant. Marne
elet) 50 43 16 g. et 14 f. 34 g. et 29 f. 2 186 2 Les
enfants
du Nord sont hospitalisés à Armcnlières. — Ense
5 6 11 Aucun. — On c o n s t r u i t actuellement un pavillon pour
enfants
a r r i é r é s . J ' i g n o r e si on y fera
dico-pédagogique. S a r t hc (Le Mans) Pas de q u a r t i e r d'
enfants
ou épileptiques ; ils ne sont pas placés à l'as
pas placés à l'asile. Savoie (Basscns) Pas de q u a r t i e r d'
enfants
et bien r a r e m e n t des e n f a n t s i n t
ect e u r . Somme (Dury) Il n'existe pas de q u a r t i e r d'
enfants
. — Quart i e r spécial demandé. Tarn (Albi)
1 1 ENSEIGNEMENT Il n'existe pas de pavillon s é p a r é pour ces
enfants
qui vivent au milieu des aliénés. N'ayanl pas
e. J ' a v a i s demandé la construction d'un pavillon spécial pour
enfants
, mais j u s q u ' à p r é s e n t m a propositi
é s u l t a t s par les méthodes o r d i n a i r e s chez certains
enfants
, gràcc| à la bonne volonté de mon personnel (le
lec t u r e , é c r i t u r e , calcul, dessin, gymnastique). Les
enfants
sont conservés à l'hospice des I n c u r a b l
6 1 Asile-École de Saint-Yon. L'école ouverte en 1891 pour les
enfants
placés à l'Asile, disent MM. les D" Giraud, Pocho
u d'intelligence ou des infirmités s'ajoutant à leur état mental. Ces
enfants
prennent une part plus active aux exercices physi
mme école publique, mais comme elle est fréquentée uniquement par des
enfants
placés à l'asile comme malades, les enfants ne ce
uentée uniquement par des enfants placés à l'asile comme malades, les
enfants
ne cessent pas d'être sous la surveillance du c
s médical qui a tou-jours libre entrée dans les locaux scolaires. Les
enfants
sont visités chaque jour comme les autres malades
e ainsi : Depuis la création du pavillon spécial jusqu'en 1903, les
enfants
du quartier de Fitz-James (imbéciles, idiots arri
enregistrer. Il faut avoir vu autrefois ce quartier où de malheureux
enfants
, dépourvus de toute occupation, de tout amusement
ent approprié à des intelligences rudimentaires est attribué à chaque
enfant
, selon ses apti-tudes par des infirmières-institu
lisant aujourd'hui à peu près couramment. Mais l'instruction de ces
enfants
arriérés serait de peu d'utilité si l'on se borna
programme ; le jardinage, la culture, y sont fort en honneur et si l'
enfant
acquiert pendant son séjour à l'asile un développ
ndre hommage au dévouement de la surveillante en chef du quartier des
enfants
, et c'est pour nous un devoir de la remercier du
elligent qu'elle nous a prêté. L'organisation, dans le quartier des
enfants
de Fitz-James, de la méthode médico-pédagogique,
et enseignement dans la Seine, est donné, depuis bientôt un an, à nos
enfants
filles et garçons, et les résultats en sont très
était à faire. Les résultats sont des plus encourageants. Pour les
enfants
susceptibles de culture intellectuelle, l'enseign
a des gazons, corbeilles et plates bandes plantées de fleurs, que les
enfants
respectent. Ils cultivent eux-mêmes avec beaucoup
mes, écrit dans son Rapport : « L'organisation dans le quartier des
enfants
de Fitz-James, de la méthode médico-pédagogique,
tenus : « Depuis la création du pavillon spécial jusqu'en 1903, les
enfants
du quartier de Fitz-James (imbéciles, idiots, arr
à enregistrer-II faut avoir vu autrefois ce quartier où de malheureux
enfants
, dépourvus de toute occupation, de tout amuse-men
approprié à des intelligences rudimentai-res, est distribue à chaque
enfant
selon ses aptitudes, par des infirmières institut
t lisant aujourd'hui à peu près couramment. Mais l'instruction de ces
enfants
arriérés serait de peu d'utilité si l'on se borna
programme; le jardinage, la culture, y sont fort en hon-neur et si l'
enfant
acquiert, pendant son séjour à l'asile un dévelop
ndre hommage au dévouement de la surveillante en chef du quartier des
enfants
, et c'est pour nous un devoir de la remercier du
e et les réfectoires servant de salle d'études et de récréations. Les
enfants
reçoivent des soins méthodi-ques de gymnastique m
fre serait, à la rigueur, élevé à 16, ce qui porte à 32 le nombre des
enfants
pou-vant être hospitalisés dans ces endroits. L
lon. La méthode médico-pédagogi-que employée pour développer chez les
enfants
arriérés, qui nous sont confiés, les germes des f
sentiments, nous a donné des résultats très satisfaisants. Chez deux
enfants
, en particulier, les résul-tats acquis méritent d
élioration. Une classe est faite par la religieuse du service ; six
enfants
la suivent et les résultats, pour quelques-unes,
ai installé il y a 12 ans. L'aspect en est gai, propre et coquet, les
enfants
sont bien tenus, ont l'air heureux; l'infirmier l
un aliéné ancien insti-tuteur dont l'état mental est peu touché, huit
enfants
la suivent et quelques-uns ont fait des progrès t
progrès très remar-quables surtout en dessin et en calcul. En 1904 un
enfant
est sorti très amélioré ayant appris à l'atelier
nt de la Seine étant de 3,141,595, il s'en suit que la proportion des
enfants
arrié-rés hospitalisés serait de 3,03 pour 10.000
. Épileptiques 12 garçons. 6 filles. 5 garçons. 2 filles. reux
enfants
, l'hospitalisation, le traitement et l'édu-cation
lisation, le traitement et l'édu-cation auxquels ils ont droit? Aux
enfants
idiots et épiieptiques des asiles, il fau-drait a
rieuse. A Bicêtre, à la Fondation Vallée, on nous amène souvent des
enfants
arriérés de la province. Nous rece-vons presque t
es semaines des lettres des départements réclamant l'admission de ces
enfants
à Bicêtre, ce qui est impossible, les places, ins
ce qui est impossible, les places, insuffisantes, étant réservées aux
enfants
de la Seine. Nous en profitons pour recommander
s l'asile de St-Lizier (Arriège) recevait, en assez grand nombre, des
enfants
arriérés de la Seine. Il n'en est plus ainsi depu
t 105 garçons) nous voyons : 1° Que ces 143 familles ont fourni 675
enfants
, soit près de 5 enfants par famille ; 2° Que su
ns : 1° Que ces 143 familles ont fourni 675 enfants, soit près de 5
enfants
par famille ; 2° Que sur ces 675 enfants, 340 s
75 enfants, soit près de 5 enfants par famille ; 2° Que sur ces 675
enfants
, 340 sont décédés, soit une mortalité de 50 0/0.
une mortalité de 50 0/0. Si aux 340 décèdes, nous ajoutons les 149
enfants
idiots, épileptiques, etc. nous voyons que 64 0/0
149 enfants idiots, épileptiques, etc. nous voyons que 64 0/0 de ces
enfants
sont mortellement ou gravement impression-nés par
Le tableau suivant montre les affections auxquel-les ont succombé les
enfants
: Fausses-couches.......................... 55
ère sur cuivre. excès de boisson. Belthoi.......... Peintre » 7 5
enfants
morts en bas-âge N. m., imbécile. Père excès de
. m., Epileptique. Baut............ Matelassier. Matelassière. 11 3
enfants
morts de convul- 1 Garçon et une Fille très Père
umérer, sur la morbidité et la production des mala-dies nerveuses des
enfants
, on ne doit pas oublier qu'un autre facteur, plus
— et hémiplégie............ — méningitique............ Folie des
enfants
, manie, excita-tion maniaque, délire de persé-cut
, n'exerce aucune action sur la production des maladies nerveuses des
enfants
. IV. Action de l'alcoolisme sur la production
tableau ci-dessus résume la situation des pères et mères de tous ces
enfants
sous le rapport des excès alcooliques et permet d
bable chez 117 malades, soit, si nous comptons ces derniers, 13 0/0 d'
enfants
conçus dans l'ivresse, non compris les 503 sur le
s'est compliquée d'épilep-sie. D'où il suit que plus de la moitié des
enfants
hémiplégiques sont menacés de devenir épileptique
. 14 - 1 » 7 m. » 1 » 8 m. d r o i t . O B S E R V A T I O N S
Enfant
assisté Hémiparésie. Hémiparésie. Enfant as
S E R V A T I O N S Enfant assisté Hémiparésie. Hémiparésie.
Enfant
assisté. Hémiparésie. Hémiparésie. N O M S
c . droit-, d r o i t . g a u c . d r o i t . d r o i t .
Enfant
assisté. Hémiparésie. Hémiparésie. Enfant a
i t . d r o i t . Enfant assisté. Hémiparésie. Hémiparésie.
Enfant
assistée Enfant assistée Hémiparésie. Enfan
. Enfant assisté. Hémiparésie. Hémiparésie. Enfant assistée
Enfant
assistée Hémiparésie. Enfant assistée Enfan
. Hémiparésie. Enfant assistée Enfant assistée Hémiparésie.
Enfant
assistée Enfant assistée L'hémiplégie, avons
Enfant assistée Enfant assistée Hémiparésie. Enfant assistée
Enfant
assistée L'hémiplégie, avons nous dit, a été co
Il ressort de cette statistique, qu'entre l'en/an t épi-leptique et l'
enfant
non épileptique, l'avantage, au point de vue de l
est en faveur du dernier 13 °/0 pour 5, 6 % chez le premier. Age.
Enfants
idiots imbéciles ép1leptiques. Enfants idiots
chez le premier. Age. Enfants idiots imbéciles ép1leptiques.
Enfants
idiots imbéciles non épilepti- ques. Totaux
nier. Age. nombre. Synostose complète. Synostose partielle.
Enfants
au-dessous de 2 ans. 10 « « Enfants de 2 ans. 1
plète. Synostose partielle. Enfants au-dessous de 2 ans. 10 « «
Enfants
de 2 ans. 14 « « — de 3 — 32 « « — de 4 — 52
12 — 23 « 1 — de 13 — 39 « 3 — de 14 — 45 « 1 — de 15 — 39 « 4
Enfants
de 16 à 20 ans. 134 « 4 — de 21 à 25 — 44 « «
709 2 29 Si nous ajoutons aux 675 crânes que renferme notre musée (
enfants
ou adultes) les 34 décédés de 1904, nous ne trouv
trouvé, à l'autopsie, une ou non (1). (1) Quatre cerveaux (ceux des
enfants
Ley.., Langl.., Lois.. et Escof.. n'out pas été s
IXE. Statistique sur la persistance ou l'absence du thymus chez les
enfants
anormaux ; Par bourneville. En 1899 (1) nous
ourneville. En 1899 (1) nous avions établi la comparaison entre les
enfants
normaux et les enfants anormaux, au point de vue
1) nous avions établi la comparaison entre les enfants normaux et les
enfants
anormaux, au point de vue de la persistance ou de
sur notre invitation, procéder aux mêmes recherches sur le thymus des
enfants
répu-tés uormaux et nous fournir le résultat de s
le résultat de ses recher-ches. La statistique des cas relatifs aux
enfants
normaux n'en comprenait malheureusement que 61, t
normaux n'en comprenait malheureusement que 61, tandis que celle des
enfants
anormaux portait sur 292 cas ; d'un autre côté la
nts anormaux portait sur 292 cas ; d'un autre côté la statistique des
enfants
normaux avait trait à des enfants au-dessous, com
d'un autre côté la statistique des enfants normaux avait trait à des
enfants
au-dessous, comme âge, du chiffre le plus bas des
Nous complétons cette année notre statistique de 1903 concernant nos
enfants
anormaux. (1) Comple-rendu de 1899, p. ICI. T
donne une idée générale de ces cas et la différence existant entre Y
enfant
idiot, imbé-cile, etc., épileptique, et Yenf'ant
'après le tableau À, nous trou-vons une moyenne de 23. 4 0/0 pour les
enfants
idiots, imbéciles, etc., mais épileptiques, et un
lerait indiquer que le thymus disparait relativement plus vite chez l'
enfant
idiot épileptique. Au point de vue du poids ces
.... 2 Total......... 115 X. Thymus et glande throïcle chez les
enfants
anormaux ; Par BOUIliVE VILLE. Depuis bien de
est malheureusement très fréquente chez les cpileptiques, adultes ou
enfants
, et aboutit toujours à une terminaison fatale, en
ance; excès de boisson ainsi que son -père [grand'père -paternel de l'
enfant
). — Mère, rien de particulier. — Grossesse accide
mère a succombé aux suites de l'influenza. — Un frère, une sœur, sans
enfants
, rien de particulier. — Trois o?icZes seraient mo
sur la consanguinité. — Inégalité d'âge d'un an (Père plus âgé). 10
enfants
: 1° Fille morte d'entérite à 33 jours ; — 2° gar
des se battaient. II apprenait facilement, avait l'intelligence des
enfants
de son âge. A cotte époque, il aurait eu une gran
ce. Il perd ses crayons, plu-mes et porte-plumes et accuse les autres
enfants
de les lui avoir pris. Caractère doux, pas de col
. Caractère doux, pas de colères, souvent rit sans motif. Juin. — L'
enfant
apporte de moins en moins de goût au travail. Il
— Fig. V. — Mars 1897. accès en 1898 (432 de moins qu'en 1897) l'
enfant
incline de plus en plus vers la déchéance. (Fig.
ont la dimension d'un œuf de moineau. — Même traitement. Juin. — L'
enfant
parle de moins en moins et la parole, quelquefois
ion fréquente de la face; dilatation des pupilles. 11104. Juin. — L'
enfant
de plus en plus dément et encom-brant passe dans
rant les cinq premiers jours de l'entrée permet de nous assurer que l'
enfant
n'est pas sous le coup d'une maladie intercurrent
tale. C'est pourquoi nous recommandons aux infir-miers d'empêcher les
enfants
de dormir sur le ventre (2). IV. De l'autopsie
e assez longtemps. (?) Cette précaution doit s'appliquer à tous les
enfants
afin de prévenir souvent l'onanisme. donnent un
la jambe droite. Trépanée à Saint-Antoine le 24 mai 1898. État de l'
enfant
à l'entrée (juillet 1899). — Le 16 août 1899 : ch
fance, ainsi qu'un torticolis, et qui tousse un peu ; elle a perdu un
enfant
de diarrhée infantile; il n'aurait pas eu de conv
; le père est de 11 ans plus âgé que la mère de notre malade. Onze
enfants
: 1° garçon, mort de méningite à 13 mois, sans co
d'après la mère. Mal-gré cela, elle voyait aussi bien que les autres
enfants
. L'au-dition était normale. Le sommeil était entr
s sentiments affectifs sont assez développés. Au dire de la mère, l'
enfant
ressemble à son père au point de vue du caractère
aractérise. Certains symptômes se précisent, d'autres apparaissent. L'
enfant
trébuche fréquemment, (om'je facilement, ses jamb
culeuse, on élimine celle d'arthropathie nerveuse. 16 novembre. — L'
enfant
, dans le môme état, est rendue à sa famille. 18
rotuliens. » État actuel pris à l'entrée à la Fondation Vallée. — L'
enfant
est pâle, plutôt grasse. La physionomie est sans
enfant est pâle, plutôt grasse. La physionomie est sans expression; l'
enfant
voyant à peine. Cheveux blonds, bien implantés. P
elles, elle marche, mais cette marche est incertaine, vacillantte ; l'
enfant
avance, les genoux fléchis légèrement, elle sembl
n ne révèle rien de particulier. L'intelligence est peu éveillée. L'
enfant
parle assez bien. 1899. — Puberté. Aisselles, t
nsversal 13 cent., vertical 11 cent.. — Aréole rose. ?Ier août. — L'
enfant
est tombée hier, étant assise, la face contre ter
ambes ; à la suite, écoulement de sang par la bouche et par le nez. L'
enfant
, examinée ce matin, présente du gonflement du nez
n prescrit des applica-tions de compresses humides sur le visage. — L'
enfant
a bien dormi hier, elle boit bien son lait. 20
au des paupières; l'œdème n'est pas plus considérable. 21 août. — L'
enfant
, qui était très abattue cette nuit et causait peu
at congénital. Jamais de convulsions. Ecolage convenable. En somme, l'
enfant
, jusqu'à 12 ans, aurait été à peu près normale.
erminé qu'une très médio-cre atténuation des symptômes.En novembre, l'
enfant
sort de l'hôpital pour entrer quelques mois plus
sère au moment de la conception et de la grossesse. — A la naissance,
enfant
chétif, asphyxié. — Première dent à 10 mois. Dent
'une particulièrement voyait à peine ; on ne sait si elles ont eu des
enfants
. — Dans le reste de la famille on ne connaît rien
breux et bien portants, ils habitent la Pologne ; on ne sait si leurs
enfants
sont atteints d'affections nerveuses. — 4 sœurs :
fants sont atteints d'affections nerveuses. — 4 sœurs : lr,!45 ans, 7
enfants
vivants et en bonne santé, aucun n'a eu de convul
en bonne santé, aucun n'a eu de convul-sions : pas de morts; — 2e a 3
enfants
vivants, pas de convul-sions, un autre est mort d
as de convul-sions, un autre est mort de diarrhée infantile; — 3e a 2
enfants
bien portants; — 4° n'a pas d'enfants, La mère
de diarrhée infantile; — 3e a 2 enfants bien portants; — 4° n'a pas d'
enfants
, La mère du malade est la deuxième des enfants.
ants; — 4° n'a pas d'enfants, La mère du malade est la deuxième des
enfants
. — Dans le reste de sa famille, nous n'avons rien
nt à terme, normal, par le sommet, en 3 heures. — A la ?iaissa7ice, l'
enfant
était chélif, violacé, et la cyanose persista pen
à 10 mois. Parole à 15 mois. Vers l'âge de 2 ans, c'était un très bel
enfant
, dit la mère. De l'âge de 7 mois à l'âge de 15
s bel enfant, dit la mère. De l'âge de 7 mois à l'âge de 15 mois, l'
enfant
eut des mou-vements convulsifs des globes oculair
ffectifs étaient développés. Au point de vue intellectuel, c'était un
enfant
normal jusqu'à l'âge de 14 ans. Ilest allé à l'éc
sans cauchemars, en somme,il était semblable, intellectuellement, aux
enfants
normaux de son. âge. Il n'eut comme maladie inf
érieur. Pas d'acci-dents scrofuleux, pas de traumatisme céphalique. L'
enfant
ressemble plutôt à sa mère physiquement. A l'âg
4, la jambe droite s'affaiblit, elle plie sous le poids du corps de l'
enfant
; en même temps, le bras droit s'affaiblit aussi,
maux. Pas d'onychophagic. Membres inférieurs. Marche impossible ; l'
enfant
debout appuie seulement la pointe du pied sur le
iens faibles à gauche, abo-lis à droite. Pas de signe de Babinski : l'
enfant
crie quand on excite la plante du pied, mais ne f
ent qu'il n'y a aucune dif-férence entre les deux côtés du corps. L'
enfant
porte des escarres. A gauche, escarre au niveau d
ature, à la douleur, paraît normale. — Intelligence très affaiblie; l'
enfant
prononce quelques mots inintelligibles. 16 mars
greur squelettique. Sommeil très agité, cris perçants et plaintifs. L'
enfant
se calme vers le matin et est tranquille dans la
tication à peu près nulle, pas de vomissements, selle quotidienne.— L'
enfant
parle presque à voix basse ; fait des phrases : «
se. Sauf la vue qui est nulle les autres sens paraissent normaux. L'
enfant
s'affaiblit de plus en plus, les escarres se creu
mère, russe.) II. Misère, ennuis, frayeurs durant la grossesse. — L'
enfant
était asphyxié à la naissance et serait resté «bl
es qui, en 1905, sont pris de contractures. C'est dans cet état que l'
enfant
est arrivé dans le service, offrant une cachexie
veille du départ pour l'Asile clinique, on n'aurait pas transféré cet
enfant
, on lui aurait épargné dos souffrances inutiles —
ette maladie. Cette occasion exceptionnelle nous a été fournie par un
enfant
, Picb... (Ch.), âgé de 16 ans. Nous l'avions soum
iculier. Deux sœurs n'ont pas de stigmates nerveux. La ?eme a eu un
enfant
mort à un mois de convulsions. — La mère n'ayant
étails.] Pas de consanguinité. — Le père est plus âgé de 4 ans. 7
enfants
: 1° Une fille de 20 ans ; pas de convulsions, à
t (2 tasses par jour). La mère ne peut préciser l'époque à laquelle l'
enfant
a remué: tout, dit-elle, s'est passé comme au cou
ses accouchements, rien à signaler. — A la naissance, bon aspect de l'
enfant
que l'on envoie en Normandie où il est nourri au
Sentiments affectifs très développés. Sommeil agile, cauchemars où l'
enfant
voyait des voleurs et poussait des cris. La mémoi
Dès les premiers jours de son admission à l'hospice la conduite de l'
enfant
permet aux personnes do son entourage une ap-préc
1 il pénètre dans le réfectoire afin d'y prendre un couteau; un autre
enfant
qui se trouvait à l'office veut le lui enlever et
ement un jour ne le sont pas le lendemain. En Juin 1904 l'état de l'
enfant
était stationnaire quand il mourut le 12 de ce mo
apide, 3 minutes au dire de l'infirmier de service : attiré près de l'
enfant
par le début de son accès il le trouva légèrement
lisme et un état patholo-gique très net du système nerveux. II. Cet
enfant
a tout à fait le caractère épileptique. Les détai
ce propos que très souvent les convulsions qui apparaissent chez les
enfants
sont dues à des congestions occasionnées par un s
ervation. Et ce n'est pas la première l'ois crue nous en parlons. Les
enfants
qui comme H.., ont une hérédité chargée, sont « n
e d'une surveillance incomplète et parce que les parents gavoni leurs
enfants
, il y a dons la soirée des indigestions, des accè
ngers du décubitus abdominal ; Par bourneville. Sous ce titre: Un
enfant
étouffé, le' Semeur de l'Oise du 31 juillet 1904
aillait dans les champs. Vers 6 heures 1/2, Mme Plat alla voir si son
enfant
dormait toujours. Elle trouva la petite fille cou
enfouie dans son oreiller en paille d'avoine. Elle voulut remettre l'
enfant
sur le dos et s'aperçut alors qu'elle ne respirai
pela son mari qui accourut et, avec l'aide des voisines, frictionna l'
enfant
avec du vinaigre et de l'eau-de-vie. Ûn s'aperçut
x infirmières de veiller avec le plus grand soin à ne pas laisser les
enfants
coucher sur le ventre. Le dan-ger est rendu plus
her abdominal a encore d'autres inconvénients, c'est de provoquer les
enfants
à se livrer à l'onanisme. Enfin il est très dange
très dangereux pour les épileptiques aussi bien les adultes que les
enfants
. Si le malade est pris d'un accès, étant couché s
. — Oncle jater-nel excès de boissons : son fils, cousin gemiain de l'
enfant
, est arriéré. — Cousin paternel, issu de germains
dans un accès. Un frère, buvait avec excès, surtout du vin, avait 4
enfants
, dont un garçon (cousin de notre malade) arriéré,
e a fait une chute du grenier. Elle tombait assez souvent. Les quatre
enfants
, qu'elle a eus, n'ont jamais eu de convulsions, é
est morte à 60 ans. Dix lajites ou oncles, sont tous sains et ont des
enfants
normaux. — Deux sœurs ont joui d'une bonne santé,
rmaux. — Deux sœurs ont joui d'une bonne santé, l'une d'elles a eu 10
enfants
vivants et bien portants, l'autre paraît être mor
paraît être morte d'un coup de soleil. — Pas de convulsions parmi les
enfants
de ces sœurs, pas do tuberculose. — Rien à signal
âge de 7 ans (père plus âgé). — Consanguinité : Les père et mère do l'
enfant
sont doublement consanguins : Ie leurs pères sont
et le grand-père maternel de la mère étaient cousins germains. Deux
enfants
: 1° l'aîné mort à l'âge de 4 semaines de mala-di
moyenne quantité. — Pas d'asphyxie à la naissance, pas de circulaire,
enfant
«belle comme un ange». — Allaitement au sein par
assez tard. Prenait bien le soin et était aussi éveillée que d'autres
enfants
. Pas de renseignements sur la propreté et la ferm
rmeture des fontanelles. — Jamais de convulsions. — Jusqu'à 11 mois l'
enfant
, un peu chétive, vomit fréquemment. A 11 mois, co
s les orties. On ne sait si la chute s'est faite sur la tête, ni si l'
enfant
a perdu connaissance. Dès le soir, son visage éta
oûtellcs. Avant la chute, les pieds étaient en position correcte et l'
enfant
commençait à marcher, aussitôt après les pieds co
rs se paralysent. Pas de chorée, pas d'hémichorée. Le caractèrede l'
enfant
était doux; pas de cris. Sentiments affectifs bie
as de pyromanie, pas de fugues. Ni grince-ments de dents, ni tics ; l'
enfant
veut toucher à tout. Pas d'onanisme, sommeil bon,
au grand jour, ouïe normale. — Digestion et respiration régulières. L'
enfant
parle difficilement et très indistinctement. Par
pos très sensés, d'au-tres fois les paroles ne se suivent pas bien. L'
enfant
n'a pas été à l'école. Pas de rougeole, pas de
ntagieuse. — Aucun accident scrofuleux. — Pas d'autres traumatisme. L'
enfant
a toujours vécu avec sa mère. D'après les parents
5 - .................................... 38° 38«,1 État actuel. — L'
enfant
est maigre, a une physionomie inin-telligente, tr
isme, pas de nystagmus; accommodation normale. La vue paraît bonne, l'
enfant
ne sait distinguer les couleurs. Voûte palatine o
térales sont saillantes et plus courtes que les autres dents. Goût; l'
enfant
aime mieux les aliments sucrés (frian-dises appor
transition avec l'hélix. Pas de tubercule de Darwin. Ouïe normale : l'
enfant
perçoit les bruits, les sons musicaux et la parol
s brunes et jaunâtres et d'une multitude de petites verrues planes. L'
enfant
casse ses ongles avec les dents, mais ne les mang
réductibles par une pression modérée, marche possible, mais lente, l'
enfant
ne peut sauter ni courir. Réflexes normaux. Tho
le. — Appétit bon, consti-pation. Gâtisme continuel (jour et nuit). L'
enfant
pleure faci-lement, mais ne crie pas en dehors de
s sibilants à l'auscultation. Ventouses, sulfate de quinine (0,50). L'
enfant
est agitée, il faut plusieurs infirmières pour pr
ndante avec boudin excrémentiel de grosseur sans pareille. Aussitôt l'
enfant
paraît soulagée. Deux autres selles diarrhé-tique
soir à 38°,6, revient en quatre jours à. la normale. Le 25 décembre l'
enfant
va tout à fait bien et ne tousse presque plus, am
ie do l'isolement le 8 mai. Juillet. — Au point de vue général de l'
enfant
il y aà noter une amélioration sensible sur quelq
rbe son corps on avant mais marche un peu mieux, en se dandinant. L'
enfant
a fait surtout des progrès au point de vue de la
rs pas se donner les soins de toilette et pleure lorsqu'on la lave. L'
enfant
rit quelquefois à propos de rien. Souffre de la t
rogrès. La physionomie est toujours inintelligente, l'entêtement de l'
enfant
augmente chaque jour et bien que comprenant les o
umet pas et fait tout le contraire. — La marche serait meilleure si l'
enfant
voulait se donner la peine, mais elle préfère se
n plus distinctement, aime le chant et la musique. L'affection dont l'
enfant
fait preuve envers ses parenls est remarquable. L
ses parenls est remarquable. Leurs visites sont très espacées, mais l'
enfant
les reconnaît, sa joie est très grande, elle rit
ère avec frénésie. Il faut l'arracher des bras paternels au départ, l'
enfant
reste triste jusqu'au cou-cher. Propre le jour, e
le jour, elle gâte toujours la nuit. L'appétit s'est amélioré, mais l'
enfant
mange toujours lentement. État sta-tionnairc pour
, janvier ; 1 m. 17 juillet : 1 m. 20. 1903. — Même traitement. — L'
enfant
fait peu de progrès. La classe l'amuse, elle plac
. 1901. — Janvier: Poids : 24 kil. Taille : I m. 22. 28 mars. — L'
enfant
présente de la diarrhée : 3 à 4 selles jau-nes, f
abattue, yeux enfoncés profondément dans l'orbite. On constate que l'
enfant
à beaucoup maigri depuis quelque temps. A l'auscu
mars, matin, a atteint 40°,G le soir. La diarrhée n'a pas diminué. L'
enfant
repose bien et ne se réveille que pour demander à
ister sur Vhéréilité très chargée, du côté paternel, qui pesait sur l'
enfant
: i"du côté de la famille du père : céphalal-gies
re, nous comprenons très bien, que le développement intraute-rin de l'
enfant
n'a pas été normal, que la cause pre-mière de l'a
avec déformation paralytique des pieds en varus-équin. La marche de l'
enfant
à été de ce fait retardée et toujours difficile.
lobe paracentral. De pair avec cette parésie marche l'idiotie de l'
enfant
, le gâtism e, la difficulté de la parole. II. P
ficulté de la parole. II. Physiquement cl; mentalement inférieure l'
enfant
est entrée à la Fondation Vallée, avec de la bron
entuant. IV. L'autopsie a donné l'explication de l'état mental de l'
enfant
. La plupart des circonvolutions et surtout les fr
sissemeiit. Le corps thyroïde en entier est hypertrophié. Cependant l'
enfant
n'a pas présenté de signes d'hyperthyroïdisation.
rou-ble mental. Hier, vers une heure du matin, sa femme et ses quatre
enfants
en bas âge étaient endormis quand ils furent réve
emme. La malheureuse eut à peine le temps de s'enfuir on criant à ses
enfants
de se bar-ricader dans leur chambre. Elle ne pouv
n bidon de pétrole sur le lit et y mit le feu, tandis que les pauvres
enfants
blotlis dans l'autre pièce criaient : «Au se-cour
té publique et une loi de bienfaisance. II. Consultation pour les
enfants
nerveux et arriérés. M. le Dr Dupont, médecin-i
Roussel, a adjoint à ce dispensaire une consultation, faite pour les
enfants
nerveux et arriérés par le D1' Manheimer-Gomès, l
lles puissent donner des explications audoucheur de la ville et que l'
enfant
, auquel finalement il est administré une douche,
ue l'enfant, auquel finalement il est administré une douche, avec des
enfants
de la section, soit, par imitation, entraîné à se
ion, entraîné à se laisser faire sans difficulté. Chaque fois que les
enfants
sont ramenés à la consultation ou sur rendez-vous
ion ou sur rendez-vous spécial, la leçon est refaite à la mère et à l'
enfant
. Cette démonstration du traitement médico- péda
que exige un temps si long que, la plupart du temps, les familles des
enfants
que nous voyons ne peuvent, occupées par d'autres
es pour les moins malades. Il ne faut pas oublier aussi que, pour ces
enfants
, l'éducation collective est do beaucoup préférabl
t qu'applaudir aux efforts faits pour rendre ser-vice à de malheureux
enfants
, pour appeler sur leur assistance, leur traitemen
ris). 1887. Mra» Sollier (A.).—De l'état de la dentition chez les
enfants
idiots et arriérés. Thèse de Paris. 1888. Thi
ites chro-niques et spécialement d'une terminaison fréquente chez les
enfants
, l'Idiotie. Thèse de Paris. Pison. — De l'asymé
vier (A.). — Contribution à l'étude clinique de l'épi-lepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. 1893. Noir (j.). — Étude sur
accouchement anormal sur le développement des troubles cérébraux de l'
enfant
. Thèse de Paris. Fèvre (A.). — Du mariage des é
(E.). — Contribution il l'élude du pronostic de l'épilepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. IIaslé (L.). — Du bromure de c
ux. Thèse de Paris. Lebreton. — De la sclérose en plaques cliez les
enfants
. Thèse de Paris. Denis (C). — Elude sur un cas
Lafarge (G). — Une consultation à Bicêlre; 16 juin 1904. Service des
Enfants
anormaux. Thèse de Paris. |an- Intehnes |,née
Bicêtre. I. Situation du service. — Enseignement primaire.. in 1°
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalid
teux, épileptiques ou non, mais invalides (Bâtiment Séguin).. ni 2°
Enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épileptiques ou non
la méthode de Mllc Janicot............................... xvii 5°
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés, instable
... xli Caisse d'épargne........................ xlii Visites des
enfants
...................... xlii Vaccination et revac
ement professionnel................... li Évaluation du travail des
enfants
......... Lit Enumeration des produits fabriqués
allée. I. Situation du service. — Enseignement primaire.. lxxx 1°
Enfants
idiotes et gâteuses............ lxxx Résultats
.......... lxxx Résultats ; notices..................... lxxxi 2°
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiques, etc., valides.
Commission ministérielle pour l'enseigne- ment et l'assistance des
enfants
anor-maux ................................... cxx
DEUXIÈME PARTIE Statistiques. I. Statistique et enseignement des
enfants
idiots et épileptiques internés dans les asil
IX. Statistique sur la persistance pu l'absence du thymus chez les
enfants
anormaux, par le même..........................
........................ 58 X. Thymus et glande thyroïde chez les
enfants
anormaux, parle même........ 62 TROISIÈME PARTI
olice, par Bourneville............... 149 II. Consultation pour les
enfants
nerveux et arriérés............................
service 155 Liste des internes de notre service____ 160 1MP. DES
ENFANTS
de UICKTPiJbl.
'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERVICE DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICÊTRE PEN
'année 1900. I. Situation du service. Enseignement primaire Les
enfants
de la 4° section du quartier des aliénés de l'h
spice de Bicêtre sont répartis en trois groupes principaux : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, épilep- tiques ou non, mais inv
ilep- tiques ou non, mais invalides. (Bâtiment Séguin) ; - 2° Les
enfants
idiots, gâteux ou non, mais valides ; 3° les en
) ; - 2° Les enfants idiots, gâteux ou non, mais valides ; 3° les
enfants
propres, valides, imbéciles, arriérés, instable
rés, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais INVAL
oupe est subdivisé en deux catégories. La première se compose des
enfants
idiots complets, ne parlant ni ne marchant, con
es), on leur faisant des frictions stimulantes, etc. En 1900, trois
enfants
ont appris il- marcher. Cinq enfants ont été gu
ulantes, etc. En 1900, trois enfants ont appris il- marcher. Cinq
enfants
ont été guéris du gâtisme (2) et trois ont appr
du gâtisme (2) et trois ont appris à manger seuls (3). Dès qu'un
enfant
marche sans aide, il doit être en- voyé à la pe
s toute la journée, aussitôt que ses forces le permettent. Tous ces
enfants
sont placés sur les petits fauteuils spéciaux q
e occuper mo- mentanément ce sous-sol. Petite école. v d'autres
enfants
, qui nous arrivent tardivement, à 1 i, 15, 16 a
m- brer, sans aucun bénéfice pour eux et au grand détri- ment des
enfants
éducables. L'infirmier supplémentaire que nous
e année et pour les raisons que nous avons données plus haut. II.
Enfants
idiots gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou
gâteux, épilep- tiques ou non mais valides (Petite Ecole). - Ces
enfants
fréquentent la petite école confiée exclusive-
5 sont passés à la grande école et SI ont été transférés. Sur 141
enfants
qui restaient il la petite école au 31 décembre
chette, 30 do la cuiller, de la fourchette et du couteau. Quatre
enfants
gâteux de ce groupe sont devenus propres (1) ;
aitement du gâtisme, qui consiste à placer, après chaque repas, les
enfants
gâteux sur les sièges (1) Politsch..., Carn...,
Nous avons fait faire par la surveillante du service le relevé des
enfants
ayant déféqué au siège après les repas, durant
d'octobre, novembre et décembre. Voici ce relevé qui a porté sur 40
enfants
gâteux. Traitement médico-pédagogique : "résult
de parler, 2° les leçons de toilette qui consistent à apprendre aux
enfants
à se laver la figure et les mains, à s'habiller
soit enfin dans les promenades (1). Voici quelques détails sur les
enfants
améliorés à la Petite école : Bign... (George
méliorés à la Petite école : Bign... (Georges) âgé de 13 ans. Cet
enfant
atteint d'idio- tie complète il Ventrée, ne mar
mplet. flllJOtl1'Cl'It2Ll, il est amélioré, la. parole est bonne, l'
enfant
cependant conserve une prononciation défec- tue
ns décrit minutieusement tous les procédés en mape à la section des
Enfants
arriérés et épileptiques les flg. 7 : ,1.1 I '
' vit Petite école. les opérations arithmétiques. Actuellement, l'
enfant
lit cou- ramment, écrit lisiblement, fait des d
hie et connaît très-exactement la division du temps. En résumé, cet
enfant
est arrivé à un degré presque normal. Apprenti
à se nettoyer assez bien, aide même les infirmières à habiller les
enfants
, est très-complaisant et doux envers les enfants
res à habiller les enfants, est très-complaisant et doux envers les
enfants
plus petits que lui, est très-affectueux. Il ai
sée ? et commence il tenir conversation. 5° Pierre (Louis), il ans.
Enfant
atteint d'idiotie profonde. n'ayant aucune noti
nce assez bien les mots. 6u Tnort : ... (Edouard), 5 ans 1/2. Cet
enfant
atteint d'idiotie profonde et d'épilepsie, étai
vertiges et des accès épileptiques de- puis environ deux ans. (Cet
enfant
avait été trépané et avait subi la résection du
elques traits de dessin et y apporte un certain goût. En résumé l'
enfant
se rapproche de plus en plus de l'étal : normal.
rapproche de plus en plus de l'étal : normal. 8° z(Pierre), 1G ans,
enfant
atteint d'idiotie profon- de, très-borné, march
ne savait pas manger seul (même avec les mains). - cttcellen2ent, l'
enfant
prononce mal, il est vrai, mais il connaît le n
, qui a également la surveillance des deux dortoirs où couchent les
enfants
de cette école, au nombre de 40. Deux infirmièr
es sont en outre ad- jointes; ! ce service pour la surveillance des
enfants
. Voici quelques-uns des résultats obtenus duran
shabille seul sans pouvoir cependant lacer, nouer, boutonner. Cet
enfant
, atteint il son arrivée de daenomnu (ou manie d
ifficulté toujours pour la lec- ture au syllabaire et cependant cet
enfant
, it l'aide des lettres mobiles, place les conso
s'occupe exclusivement de lui. mais, dès que l'on passe à un autre
enfant
, il cesse de travailler, regarde à droite et à
cipline en personne, morigène et corrige continuellement les autres
enfants
. Apportant néanmoins une attention un peu plus
- élémentaire mais donnant parfaitement l'idée de la figure que l'
enfant
a voulu représenter, enfin il forme presque toute
forme presque toutes les lettres et commence à les assembler. Cet
enfant
qui, ayant quelques dispositions pour l'écriture,
dèle donné, est incapable de suivre un tracé. (Nous avons plusieurs
enfants
dans ce cas). La mémoire, des plus fugitives, f
enons davantage à l'aide des lettres mobiles. La parole, chez cet
enfant
, continue à s'améliorer. G° STEIILlN ? (Georges
Microcéphale atteint d'idiotie et d'instabilité. A son arrimée cet
enfant
avait la monomanie des fugues. Dès qu'une porte
ière satisfaction, nous nous appliquons surtout à apprendre -Il cet
enfant
le nom de tout ce qui l'en- toure ainsi que les
porte à près de 500 le nombre de mots que nous avons appris à cet
enfant
. Ces m.ts, notre élève les comprend, lit et écrit
nt été très sensibles pour la lecture, l'écriture et le calcul. Cet
enfant
, dont l'amour pro- pre s'est éveillé, est heure
multiplication. L'écriture, très amé- liorée, est très lisible. Cet
enfant
est en bonne voie pour la lecture courante. 9
La parole, très défectueuse , était presqu'incompré- hnesible. Cet
enfant
a été rendu propre en 1893 et sa parole, très a
ons en même temps une sensible amélioration dans l'intellect de cet
enfant
. A partir de cette époque, la mémoire a paru se
qu'il comprend. L'écri- ture est bonne et très lisible, bien que l'
enfant
écrive de la main gauche, le coté droit étant p
simple calcul mental. Tout ce qu'on est parvenu il apprendre à cet
enfant
n'a été obtenu qu'avec une grande dépense de pe
Georges), 13 ans 1/2, est entré en avril 1890. - A son arrivée, cet
enfant
atteint d'idiotie profonde se trou- vait presqu
uvages ; mordant ceux qui l'entouraient, gâtant jour et nuit. Cet
enfant
, signalé déjà dans le Compte- rendu de 1899 com-
» pour vigne alors qu'il dit facilement bouillon, gagné. Tous les
enfants
signalés les années précédentes comme améliorés
J. Voisin, dit presque impossible à obtenir, pour cette catégorie d'
enfants
. (Voir Thulié, Dressage des jeunes dégénérés, p
monnaie qu'ils doivent rendre ou qui doit leur être rendue. 111.
Enfants
propres et. valide*, imbéciles, arrié- rés, ins
ou non (Grande Ecole). - La population de cette école était de 171
enfants
au premier janvier. Tous, sauf 17 qui ne peuven
nt, les autres jours, le matin et le soir à l'atelier. Les autres
enfants
sont répartis en quatre classes (58, 40, 39 et
autres enfants sont répartis en quatre classes (58, 40, 39 et 3 : 1
enfants
). Aux examens du certificat d'études qui ont eu
d'études qui ont eu [lieu à Villejuif, au mois de mars, sur cinq
enfants
présentés, quatre ont subi les épreuves avec su
des sourds- muets. De plus, comme nous avons un certain nombre d'
enfants
aveugles, nos auxiliaires sont également allés,
à nos ins- tructions, il s'est occupé successivement de tous les
enfants
. Il a divisé ceux de la petite école, de la pe-
re et ceux de la grande école en trois sections. - Presque tous les
enfants
qui suivent les visites du samedi et qui partic
et qui participent au chant savent lire leurs notes de musique, ces
enfants
sont au nombre de trente-cinq. En maintes cir
us les faisons chanter ensemble dans les choeurs. Cette réunion des
enfants
des deux sexes n'a jamais eu d'inconvénient. Le
enfants des deux sexes n'a jamais eu d'inconvénient. Le nombre clos
enfants
qui parti- cipaient à renseignement du chant ét
t- tés avec beaucoup de zèle et de douceur de leurs fonctions. 99
enfants
participent, à des degrés divers, à cet exercic
heure sous la direction de M. Landosse, un de nos instituteurs, 125
enfants
y prennent part; sur ce nombre, 85 savent danse
apprendre le pas de quatre (3). Société de (Ji/lnJ/;¡s ! Ù1UI', Les
enfants
faisant partie de cette société, au nombre de 2
passés dansles sections affectées aux adultes. M. Sutter fait à 30
enfants
de la Petite École un cours spécial de solfège.
umes ce qui porte à 575 le nombre des volumes delà bibliothèque des
enfants
Le l01' janvier 1900, le nombre des vues pour p
eignement par les projections est très com- plexe. Il sert pour les
enfants
de toutes les catégories : 1° Pour les enfants
xe. Il sert pour les enfants de toutes les catégories : 1° Pour les
enfants
idiots complets il fixer 1 'attention (images h
reconnaître les objets, les animaux (images graduées) ; 3° Pour les
enfants
imbéciles, arriérés et épileptiques, à faire to
ma- nies, s'opposer aux ]il'afÏrj/Jcs 80lit[til'e ? Pour tous les
enfants
, et en particulier pour les imbéciles intel- le
prendre à nos auxiliaires adminis- tratifs qu'ils ont affaire à des
enfants
malades, relevant du traitement : médico-pédago
vant du traitement : médico-pédagogique, envers lesquels et comme
enfants
et comme malades, ils doivent se montrer bienve
doivent se montrer bienveillants et affecleux, et non pas il des
enfants
vicieux, dont la place, est dit-on, plus tort q
ons de correction ou les prisons. Promenades et distractions. Les
enfants
de la grande et ceux de la petite écoles qui so
nner des leçons Visites ET congés. XX1 : de choses et exercer les
enfants
aux différents jeux en plein air (jeu déballes,
de Montsouris, llolinacn, Saint Mandé, Villejuif. Vitry, etc. Les
enfants
de la petite et de la grande école ont été cond
des principaux théâtres de Paris ont prêté leur concours. Tous les
enfants
valides de Bicêtre et de la Fondation Vallée y
nq concerts militaires donnés dans la grande cour de l'hospice. Les
enfants
ont encore bénéficié de plusieurs représentatio
nnée 1892, forment un total général de 1.956 fr. 30. Visites. Les
enfants
ont reçu 14.760 visites; -, les visiteurs ont é
des accès épileptiques. De plus les parents donnent de l'argent aux
enfants
(1 ? ! , àutre abus qui est une source d'ennuis
t la revaccination de tous les malades entrés durant l'année el les
enfants
dont la revaccination remonte à 6 ou 7 ans. Com
remé- dier aux nombreuses défectuosités de la dentition chez nos
enfants
et aussi d'avoir, chaque année, une note, prise
note, prise par un homme compétent, sur la dentition de tous les
enfants
. Bains el hydrothérapie. Les bains et des dou-
res prépara- ( Le surveillant du service a la garde de l'argent des
enfants
: C'est donc il lui seul que les familles devra
on d'un emploi d'infirmier, chargé de la sur- veillance du groupe d'
enfants
incurables. Au nomhre des améliorations diverse
rès grande de montrer non seulement l'orga- nisation du service des
enfants
, mais encore son fonc- tionnement médico-pédago
aveur de l'hospitalisation et de l'éduca- tion de celle catégorie d'
enfants
anormaux et les convaincre de la possibilité de
s apportent chaque jour il donner l'instruction professionnelle aux
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'
fr. 50 par jour, soit pour l'année 16.607 fr. 50. Le travail des
enfants
, évalué par M. l'économe et par l'architecte, M
(210,000 francs); 3° les gratifications hebdomadaires données aux
enfants
, le samedi, litre de récompense et qui s'élèven
ce de 716 francs 17 qui vient atténuer les dépenses d'entretien des
enfants
. Pour permettre il tous d'apprécier les résulta
d'Alembert il Monté- vrain, par exemple, où les apprentis sont des
enfants
normaux, sains de corps et d'esprit, et même ch
ts des candidats. Nos apprentis, il Bicêtre, sont non seulement des
enfants
anormaux, mais encore des enfants malades : qua
l Bicêtre, sont non seulement des enfants anormaux, mais encore des
enfants
malades : quand ils ont, les uns des accès épil
ment, après avoir douté de la possi- bilité de faire travailler les
enfants
idiots, arriérés et épileptiques, et avoir prot
t non le produit lui-même, bien qu'il ne soit pas il dédaigner; les
enfants
eux-mêmes sont heureux de voir que leur travail
opulation. Le premier janvier 1900 il y avait dans le service 449
enfants
(I) : 406 enfants idiots, imbéciles ou épilepti
emier janvier 1900 il y avait dans le service 449 enfants (I) : 406
enfants
idiots, imbéciles ou épileptiques, dits aliénés
tinction, qui s'applique aux épileptiques adultes aussi bien qu'aux
enfants
, est purement administrative et il est difficil
30 juin 1838 et à la charge du budget départemental. Sur ces 449
enfants
, 14 sont atteints de cécité ; 3 de s2crcli-i22c
: (1) C'est-à-dire 19 de trop, la section ayant été conçue pour 400
enfants
. MOUVEMENT DE LA POPULATION. xxxvii 1 r- DÉ
ns. Cinq évasions ont ou lieu dans le courant de l'année, celle des
enfants
Fouill ? Leni ? Radig ? Calh ? Crcss... Le prem
indigne d'un pays civilisé, surtout quand ils s'appliquent il des
enfants
dont les parents habitent Taris. Les transferts
ttre les résultats obtenus chez les malades. Il y a quelques mois l'
enfant
Chcvr... (Jacques), âgé de 13 ans, atteint d'hy
déclarée dans le service. Elle avait débuté en décembre 1899 par l'
enfant
Van de Cas ? qui en a été atteint quelques jour
épidémie a porté sur 38 cas dont un seul suivi de décès, celui de l'
enfant
Bler ? fils d'infirmier du service dont le cas
sans aucun cas mortel. Aucune particularité intéressante.- - Deux
enfants
ont été soignés au pavillon d'isole- ment pour
ts ont été soignés au pavillon d'isole- ment pour la diphtérie, les
enfants
Bois... et Cub ? le dernier a succombé. L'enfan
la diphtérie, les enfants Bois... et Cub ? le dernier a succombé. L'
enfant
Bonn ? Desr.. a été soigné au même pavillon pou
Bonn ? Desr.. a été soigné au même pavillon pour la variole. (1) L'
enfant
Mor... (Marguerite) y a été soignée et guérie p
(Marguerite) y a été soignée et guérie pour un érysipèle. Enfin les
enfants
Ba... et Fixem... y ont été soignés dans le cou
béole. '-Le service du pavillon d'isolement est confié' a .(1 Cet
enfant
était il la période d'incubation de la variole qu
ne : elle se trouve entretenue par de nouveaux arrivants et par les
enfants
déjà atteints, pour la plupart desquels les rec
les recommandations sont de nul effet. Maladies intercurrentes. 6
enfants
ont été atteints d'état de mal épileptique j 8
engelures; 12 pour abcès ; 21 pour diarrhée. Ajoutons que tous les
enfants
qui se font des contu- sions ou des plaies soit
u 31 décembre 1900. Il y avait à cette époque dans le service ! i37
enfants
, se décom- posant ainsi : 405 enfants idiots, i
époque dans le service ! i37 enfants, se décom- posant ainsi : 405
enfants
idiots, imbéciles ou épilep- tiques, dits alién
amais corres- pondu à la colonie de Vaucluse, mais au service des
enfants
de Bicêtre, où nous recevons, en outre des épil
re des épileptiques et des hystériques, toutes les catégo- ries d'
enfants
idiots. Nous avons, dv la Fondation, deux group
iots. Nous avons, dv la Fondation, deux groupes principaux : 1° les
enfants
idiotes et gâteuses, 2° les enfants propres.
eux groupes principaux : 1° les enfants idiotes et gâteuses, 2° les
enfants
propres. Enfants idiotes et gâteuses. Elles éta
aux : 1° les enfants idiotes et gâteuses, 2° les enfants propres.
Enfants
idiotes et gâteuses. Elles étaient au nombre de
rts. Les idiotes gâteuses se divisent en deux catégories : a) les
enfants
valides qui sont envoyées à l'école durant une
ui sont envoyées à l'école durant une partie de la journée ; b) les
enfants
invalides, qui séjournent dans le local dont il
? Taupin ? Bossu.. et Corn.. Voici quelques renseignements sur ces
enfants
qui, parties de très bas, ont fait de sérieux p
faisait quelques pas tout en la soutenant et lui donnant la main. L'
enfant
a eu, en outre, une coxalgie qui a nécessité so
ées entières. Elle gâtait nuit et jour. Ce n'est qu'en 1898 que l'
enfant
a pu suivre régulièrement l'école. Très timide
s et les résultats étonnants que nous avons obtenus. Peu à peu, l'
enfant
s'est habituée au personnel; elle a com- mencé
l'arithmétique, elle lit lentement mais sa lecture est courante. L'
enfant
est devenue très propre, le gâtisme à complètem
ation notable. 2° Le Méu... (Hélène), 15 ans, est entrée en 1895, l'
enfant
était imbécile et hémiplégique (côté droit). El
ni écrire. L'écriture présentait même de réelles difficultés, car l'
enfant
tenait maladroitement le porte-plume de la main
de la main gauche. Rien ne faisait entrevoir de grands résultats l'
enfant
disait elle-même qu'elle allait à l'école chez
s. 3° 77u;/a... (Alph.), 10 ans est entrée en juillet 1900. Cette
enfant
ne parlait pas, ne disait que ces seuls mots. C'e
moyens lui étaient bons pour arriver à son but. A son approche, les
enfants
s'éloi- gnaient d'elle comme d'une bête furieus
c ne faisait entrevoir une grande amélioration. Insen- siblement, l'
enfant
s'est apaisée, un calme régulier a succédé à ce
e : amélioration très notable. 4° Bauv... (Cécile), 13 ans. - Cette
enfant
est entrée à la Fondation en mai 1893, atteinte
issipait continuellement ses compagnes. Vu son manque d'attention l'
enfant
ne laissait espérer que de médiocres résultats.
loi quelconque. Elle a beaucoup de dispo sitions pour la couture; l'
enfant
quoique bien petite et bien jeune coud admirabl
he toujours à dépasser ses compagnes ; il est à remarquer que cette
enfant
ne savait même pas tenir une aiguille à son ent
méliorer. Parole, marche, nulles au début; gâtisme complet, cette
enfant
avance très rapidement en toutes choses, mais s
ne intonation. Son caractère a subi la même transformation, cette
enfant
raisonne bien, se rend compte de tout et paraît
délicatesse de sentiment, ce qui se voit assez rarement chez nos
enfants
. ' Elle a fait des progrès en couture, elle tie
t très développé chez elle. L'amélioration notable acquise chez ces
enfants
montre nettement ce qu'on peut obtenir chez des
chez ces enfants montre nettement ce qu'on peut obtenir chez des
enfants
même profondément atteints. Des résultats analo
considérables peuvent, à plus forte raison, être réalisés chez des
enfants
moins malades. ..i .'fî : 20 Enfants idiotes,
ison, être réalisés chez des enfants moins malades. ..i .'fî : 20
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiques, etc'..., vali
la Fondation. L'idéal que nous pour- suivons consiste à occuper les
enfants
du matin jus- qu'au soir, en variant le plus po
mêmes doivent contribuer à leur éducation. Au lever, on apprend aux
enfants
à faire leur toi- lette, leur lit, à nettoyer l
eur dortoir, à brosser leurs vêtements. Aux repas, on surveille les
enfants
qui sa- vent manger seules et on corrige leurs
de la fourchette, etc. En attendant que l'Administration donne aux
enfants
l'alimentation choisie qui leur con- vient, ce
eaux, de veiller il la mastication et à la dé- glutition. Sur 213
enfants
présentes à la fin de l'année, 45 sa- vent se s
2 de la cuil- ler seulement ; 39 ne savent pas manger seules. 163
enfants
ont fréquenté l'école et ont été exercées à la
gnaler la réelle utilité pour la Fondation et pour le service des
enfants
de Bicêtre. Sur ce point encore nous avons eu t
nstruc- tions, M. lutter s'est occuppé successivement de tous les
enfants
, en état de profiter dans une me- sure quelconq
es, divisées en trois séries, y ont participé. Presque toutes ces
enfants
, à part quelques unes récemment entrées L111 En
leur. Le procédé employé est le même qu'v.l31; (-être : dès que les
enfants
sont assez avancées pour bien lire un morceau d
tes de la Fondation, une classe spéciale de chant. On apprend à ces
enfants
des mélodies et des petites romances à l'unisso
SE, instituteur 'à Bicêtre, tous les mercredis de 4 à 5 heures. 175
enfants
ont pris part à ces exercices, 95 savent danser
gures du quadrille.. Enseignement professionnel. A mesure que les
enfants
se développent, on leur apprend tous les soins
des moins arriérées aident le personnel à apprendre il manger aux
enfants
incapables de manger seules et à perfectionner
ent par séries ré- gulières, 40 ont travaillé une heure parjour. 20
enfants
savent faire complètement les layettes; 12 du c
e l'eau chaude. - Réfections de peinture diverses. Teigne. Quinze
enfants
ont été soignées au paLillon d'isolement de la
enfants ont été soignées au paLillon d'isolement de la section des
enfants
de Bicêtre pour la teigne. Maladies infectieu
ts de Bicêtre pour la teigne. Maladies infectieuses. Vingt-quatre
enfants
ont été soignées, au même pavillon pour une épi
phoïde a été soignée à la Fondation. . Maladies intercurrentes. 7
enfants
sont entrées à l'infirmerie atteintes de tuberc
ndicite (2), 8 pour entérite, 12 pour engelures, (1) Il s'agit de l'
enfant
Brég... venant de l'hôpital St-Antoine où elle av
i n'étaient pas encore guéries à l'entrée à la Fondation. . (2) L'
enfant
a été opérée auec succès à l'infirmerie générale
t pour les petites gâteuses et pour les petites filles pubères. Les
enfants
prennent leurs douches il la Fondation et, en c
1 LXXII DÉCÈS. 1 1 1 1 s 1 1 Section ni. Assistance des
enfants
idiots : 1° Création de classes spéciales, anne
e classes spéciales, annexées ou non, aux écoles primaires pour les
enfants
arriérés; Nouvelle NOTE à MM. les Membres de la
créé près des écoles de la Ville des Classes SPI : - CULES pour les
enfants
arriérés. » Ce voeu a été voté par vous dans vo
ales. LXXIX Mt 1. ITALIE. Note sur le mouvement en faveur des
enfants
arriérés en Italie : asiles-écoles et classes s
le pre- mier Institut psycho-pathologique appliqué à l'étude des
enfants
. Sergi a dirigé ses études anthropologiques sur
e Turin, où elle proposa d'instituer des classes spéciales pour les
enfants
arriérés dans les écoles élémentaires ordinaire
aissent bien les inconvénients et même le danger de la présence des
enfants
arriérés dans les classes com- munes. On s'est
cles. Une Ligue nationale a été constituée pour la protection des
enfants
arriérés dont les directeurs sont le professeur
nfigli. Cette Li- gue a pour but de créer des institutions pour les
enfants
arriérés et des classes spéciales annexées aux
a présidence du duc Strozzi (2) ; - il Rome. l'asile-école pour les
enfants
arriérés, dirigé par le Dr de Sanctis (3) ; a G
Modane, Parme. Piacenza, Ferrare. Ravenne et Forli. On y reçoit les
enfants
de il a 15 ans. Il possède des classes, des ate
pour les garçons et les filles, pour les riches et les pauvres. Les
enfants
envoyés par les provinces paient 40 lires par m
r les provinces paient 40 lires par mois On prend l'observation des
enfants
et leur photographie, comme à Ilicétre. (2.)
IG ans. Ou apprend un métier aux garçons, le ménage aux filles. Les
enfants
indigents peuvent y être maintenus parles provi
y être maintenus parles provinces à raison de 40 fr. par mois. Les
enfants
riches sont répartis en trois clas3es avec des
in. On s'occupe presque uniquement de la correction du langage. Les
enfants
sont soigneusement examinés sous les rapports a
les rapports anthropologique, psycholo- gique et neurologique. Les
enfants
sont classés en imbéciles (a degrés) et en arri
a créé un cours pour préparer les maîtresses à l'ensei- gnement des
enfants
arriérés dans les classes spéciales. A.u minist
ires et on étendra l'obligation de l'instruction primaire aussi aux
enfants
arriérés. Des instructions, dans ce but, ont ét
avec laquelle il est possible de fonder des classes spéciales pour
enfants
arriérés est due à une très intéressante réform
age. Cette réforme prépare donc l'organisation des classes pour les
enfants
arriérés qui, grâce à M. Bac- celli, dans peu d
ans lequel sera exposé tout ce qui a été fait en faveur des pauvres
enfants
arriérés en Italie et dans les pays étrangers.
l'application de l'obli- galion de l'instruction primaire pour les
enfants
BOURNEVILLE, Bicêtre, 1900. ? LXXXII Assistan
Assistance et éducation DES IDIOTS. arriéres, de même que pour les
enfants
normaux ; 2° l'organisation de cour*, spéciaux
s maîtres et les maîtresses chargés de l'enseignement de tous les
enfants
anormaux. II. Hollande. . École spéciale po
ous les enfants anormaux. II. Hollande. . École spéciale pour
enfants
arriérés à Amsterdam. « Cette école acte ouvert
il y a, provisoirement, un instituteur et deux institutrices. Les
enfants
qu'on y reçoit sortent, pour la plus grande parti
on a dû constater qu'ils ne profitaient pas de l'enseignement des
enfants
normaux. Avant de les accepter, on les examine
dical et pédagogique. Cet examen a pour but de vérifier : 1° si les
enfants
sont réellement arriérés ; 2° de fixer le degré
Classes spéciales. LXXXIII Après cet .examen, on ne reçoit pas les
enfants
trop arriérés, trop peu arriérés et les enfants
n ne reçoit pas les enfants trop arriérés, trop peu arriérés et les
enfants
qui ne sont pas du tout arriérés ; ou ne prend
les enfants qui ne sont pas du tout arriérés ; ou ne prend que les
enfants
arriérés par des absences, des maladies et autr
été fondée par une société intitulée : « Société de patronage des
enfants
arriérés et bègues. » Elle dispose, outre ses p
c'est-à-dire que l'on n'a pas divisé les classes d'après l'âge des
enfants
, mais d'après leur développement dans les diffé
ma- nuels (sljode). Notre but n'est pas d'apprendre un métier aux
enfants
, mais de les préparer, par le développement de
haque heure de leçon, il y a cinq minutes de repos. A 11 heures les
enfants
ont 1/4 d'heure de récréation et dans l'après-m
une demi-heure de jeu-gymnastique. Entre les heures de classes, les
enfants
restent dans l'école (iL cause des grandes disl
eux. Le but de cet enseignement est de créer une occasion pour les
enfants
d'apprendre autant que possi- ble ; chez nous,
s ce qu'on en peut faire. Chez nous on fait plus attention à chaque
enfant
, les classes comptant peu d'enfants, et on y pr
on fait plus attention à chaque enfant, les classes comptant peu d'
enfants
, et on y pratique l'ensei- gnement individuel.
ents, dus à M. KLIIOTSDLI, Directeur des classes spéciales pour les
enfants
arriérés, à Amster- dam, ont été rédigés pour n
ieusement de l'assis- tance et du traitement médico-pédagogique des
enfants
arriérés et que l'on introduit dans la loi l'ob
ue l'on introduit dans la loi l'obligation pour eux, comme pour les
enfants
normaux. Classes spéciales. LXXXV Si le voeu
s de renouveler votre voeu en faveur des classes spéciales pour les
enfants
arriérés. BOURNEYILLE. [Cette note a été comm
de classes spéciales annexées ou non aux écoles primaires pour les
enfants
arriérés. Messieurs et chers collègues, Depui
instruction publiques, de la création de classes spéciales pour les
enfants
arriérés des écoles primaires et les enfants id
ses spéciales pour les enfants arriérés des écoles primaires et les
enfants
idiots et imbéciles améliorés des services spéc
de quatre écoles. Le médecin aura comme devoir : 1° D'examiner l'
enfant
qui demande à entrer pour la première fois à l'
de la commission scolaire ou du direc- teur, il aura à examiner les
enfants
empêchés de fréquenter l'école sous prétexte de
seignement SPÉCIAL ANNEXÉ AUX ÉCOLES COMMUNALES. 1. - 13lt. Les
enfants
qui, par suite d'une infirmité psychique ou phy
de ces malheureux et à les préparer à la vie. .. ? .- Choix. Les
enfants
, améliorables par ailleurs, mais ne pouvant pér
é par le Comité municipal. L'inspecteur décide, après enquête, si l'
enfant
a besoin de l'enseignement spécial. . ? . - C
esoin de l'enseignement spécial. . ? . - Classes spéciales. Les
enfants
reçus dans l'enseignement spécial sont dis- tri
à un seul maître. Le groupement se fait d'après les aptitudes des
enfants
et d'après la situation des écoles, L'enseignem
sur lui les mêmes droits disciplinaires et de surveillance, et les
enfants
qui en font partie sont de véritables écoliers
mestre, un rapport est adressé par le maître à l'inspecteur sur les
enfants
, rapport qui doit préciser si ces écoliers peuv
seignement intégral. L'inspecteur après avoir étudié lui-même les
enfants
dans les classes spéciales, décide sur la questio
dans les classes spéciales, décide sur la question de savoir si tel
enfant
doit rester aux classes spéciales. G. - Maîtres
structions religieuses appropriées, et dans le hut de permettre aux
enfants
de comprendre la solen- nité de Noël, on leur f
ur activité musculaire, comme cela se pratique dans les jardins d'
enfants
. Dans les quatre premières semaines, les enfant
ns les jardins d'enfants. Dans les quatre premières semaines, les
enfants
n'ont à fournir ni livre, ni cahier ; les crayo
filles et 113 classes mixtes. Chaque classe comprend en moyenne 50
enfants
. L'enseignement est reparti en 7 classes gradué
e 50 enfants. L'enseignement est reparti en 7 classes graduées. Les
enfants
y sont reçus de 6 à ! Il ans. (I) C'est ce que
ducation DES idiots. L'instruction est obligatoire et gratuite. Les
enfants
pau- vres reçoivent en outre livres et cahiers.
etc... sont également envoyés dans des établissements spéciaux. Les
enfants
, non compris dans s ces catégories, mais qui ce
furent ouvertes ici même les pre- mières classes annexées pour ces
enfants
faibles d'esprit et arriérés. Classes spécial
ste aux parents le droit de se prononcer sur l'ad- mission de leurs
enfants
dans les classes annexées. L'ex- périence faite
lui permet, la fin du semes- tre, de retourner à renseignement des
enfants
normaux dans une école publique. Jusqu'ici ce c
ncipes déterminés et un règlement général. Outre les catégories d'
enfants
que nous avons citées, il en est une autre pour
vec leçons de choses, doivent occuper une large place ; ce sont les
enfants
atteints d'irritabilité nerveuse, survenue à la
loin d'en être ainsi pour le traite- ment médico-péclagogitlue des
enfants
arriérés dans le département de la Seine. Tout
votre voeu en faveur de la création de classes spéciales pour les
enfants
arriérés, sans affections convulsives, sans per
pour organiser l'Assistance de la catégorie la plus nom- breuse des
enfants
anormaux c'est-à-dire les enfants atteints de m
catégorie la plus nom- breuse des enfants anormaux c'est-à-dire les
enfants
atteints de maladies chroniques du système nerv
gression de l'alcoolisme, le nombre des places disponibles pour ces
enfants
déshérites est devenu tout à fait insuffisant;
Asiles de la Seine, dans la séance d'octobre 1899. Assistance DES
enfants
idiots ET épileptiques. XCVII quartiers d'hospi
remise à leurs familles, après avis du Médecin-Chef de service des
enfants
idiots ou arriérés indigents, moyennant l'alloc
s secours de 1 fr. 50 à 2 fr. il. allouer par jour aux familles des
enfants
idiots ou arriérés dans les conditions sus-indi
t attribués par déci- sion préfectorale. An1', 2. - La remise des
enfants
aux famiiles sera effectuée par le directeur de
IIT. 3. Cette remise sera essentiellement provisoire. AIt'r. 4. Les
enfants
seront amenés, au moins une fois par mois, à de
e cette visite et sur le vu de ce certificat. Art. 5. En outre, les
enfants
seront visités au moins une fois par mois et à
erne des asiles de la Seine, est chargé de la visite à domicile des
enfants
idiots ou arriérés ainsi secourus. Il recevra,
omicile » et BOURPIEVILLE, Bicétre, 1900. ? xcviii Assistance des
enfants
idiots ET épileptiques. remboursés audit établi
du service de la répartition à l'Asile clinique constatant que l'
enfant
a été régulièrement amené il sa visite. Ars. 10
remédier il une situation analogue, l'encombre- ment des services d'
enfants
, et faire face aux demandes des familles, M. le
tement. Ce principe comporte toutefois une restriction relative aux
enfants
. En vertu d'une délibération du Conseil général
s et dans l'ordre rigoureux des inscriptions. Or, il Assistance des
enfants
idiots et épileptiques. \CIX n'existe dans la S
et épileptiques. \CIX n'existe dans la Seine que quatre quartiers d'
enfants
, la colo- nie de Vaucluse et le quartier spécia
dans ces services et la plupart sont immédiatement comblées parles
enfants
placés d'office par mesure de sécurité publique
réfet de police. Il en résulte qu'un nombre assez, considé- rable d'
enfants
inscrits sur le registre tenu it l'asile Clinique
bre de places dont mon admi- nistration peut disposer on faveur des
enfants
étanl, d'après ce qui précède, forcément très l
l serait nécessaire, soit d'ouvrir de nou- veaux quartiers pour les
enfants
, soit de recourir au système des secours à domi
r au système des secours à domicile qui a déjà été employé pour les
enfants
aliénés ou idiots en 1883 et t8S'i. · Le syst
conforme du médecin chef de service, consentaient à reprendre leur
enfant
, un secours de fur. 50 à 2 fr. par jour. Les
eprendre leur enfant, un secours de fur. 50 à 2 fr. par jour. Les
enfants
étaient amenés une fois par mois a des jours et
té variant entre I fr. et I fr. 50 serait accordée aux familles des
enfants
repris. Il y a lieu de prévoir que beaucoup d
repris. Il y a lieu de prévoir que beaucoup de parents ayant un
enfant
placé accepteraient volontiers de le reprendre mo
érieure à celle qu'entraînerait l'ouverture de nouveaux quartiers d'
enfants
. c Assistance des enfants idiots ET épileptique
ait l'ouverture de nouveaux quartiers d'enfants. c Assistance des
enfants
idiots ET épileptiques. Pour ces motifs, j'ai l
tés nouvelles ont été soulevées pour les placements volontaires des
enfants
. Notre but, en réclamant, aussi pour eux pendan
police, est devenu de plus en plus considérable. L'inscription des
enfants
sur le registre de l'Asile clinique, l'attente
tente prolongée de l'ad- mission n'améliorent pas l'état mental des
enfants
; les impulsions auxquelles ils sont sujets s'a
sion, nous étions parvenu a atténuer, tend à reparaître, pour les
enfants
, au même degré que par le passé. Ce regret expr
serait nécessaire : 1° soit d'ouvrir de nouveaux quartiers pour les
enfants
, 2° soit de recourir au système des secours à d
ux autres : 3° le dégagement rigoureusement régulier des services d'
enfants
par le passage aux adultes de ceux qui ont plus
onie avec leur âge ; 4° la création de classes spé- ciales pour les
enfants
arriérés. Nous allons examiner, aussi brièvemen
hetée par le département il y a quelques semaines. 2° Passage des
enfants
devenus adultes dans les sections d'adultes. A
ultes dans les sections d'adultes. A la Salpêtrière, le médecin des
enfants
idiotes et épileptiques est, en même temps, cha
ux fillettes idiotes, imbéciles ou arriérées, non eu Assistance des
enfants
idiots et épileptiques. épileptiques, elles pas
aussi, croyons-nous, ce qui a lieu ;'1 la colonie de Vaucluse : les
enfants
arriérés de la Colonie, dès qu'ils ont 18 ans,
quand nous avions la section commune aux épileptiques. adultes et
enfants
, et aux enfants idiots. Mais lorsque la séparatio
ons la section commune aux épileptiques. adultes et enfants, et aux
enfants
idiots. Mais lorsque la séparation des adultes
t aux enfants idiots. Mais lorsque la séparation des adultes et des
enfants
a été opérée par la création d'une section spéc
a création d'une section spéciale pour ces derniers, le passage des
enfants
, devenus adultes, soit dans la section des épil
icetre se sont plaints de recevoir trop de malades delà '("section (
Enfants
). Afin de diminuer cet inconvénient pour eux, n
- ment des malades non visités et demandé qu'une autre partie des
enfants
devenus adultes, soit envoyée à Villejuif ou à
ésirs des familles habituées à venir visiter depuis longtemps leurs
enfants
il Bicétre, n'ont pas été suivies d'effet d'une
en résulte que, à l'heure actuelle, nous avons dans notre service d'
enfants
il Bicêtre 70 malades ayant plus de 18 ans, don
du maintien des grands garçons, devenus des hommes, au milieu des
enfants
. Il suit de ces renseignements qu'en assurant a
classes spéciales, annexées ou non aux classes ordinaires, pour les
enfants
arriérés des écoles primaires. Ces classes exis
ée et à l'Institut 2éclico-péclaortidtcc ('itr3--suI ? cinc ? , des
enfants
pour lesquels on réclame aujourd'hui l'hospital
directement à la question qui nous est soumise, un certain nombre d'
enfants
hospitalisés et qui sont sullisamment améliorés
du Conseil général et aux représentants de l'Administra- tion des
enfants
améliorés en mesure de profiter des classes spé
. On allégerait ainsi les charges de l'Assistance en maintenant les
enfants
dans leurs familles, en resser- rant les liens
dans leurs familles, en resser- rant les liens entre elles et leurs
enfants
. En procédant de la sorte, on ferait de la véri
visites des Commissions à Bicètre parmi les modes d'assistance des
enfants
arriérés et épileptiques sur les- quels nous no
men- tion : Secours à domicile. De même que nous avons montré des
enfants
améliorés susceptibles d'être envoyés CIV Assis
es enfants améliorés susceptibles d'être envoyés CIV Assistance des
enfants
idiots et épileptiques. dans les classes spécia
un temps plus ou moins long, selon leur état et leur âge, mais aux
enfants
ou adolescents déjà hospitalisés. Il faudra cho
s services où ils étaient aupara- vant. D'après M. le Préfet, les
enfants
seraient « amenés une fois par mois, il des jou
y aurait plus d'avantage à faire SECOURS a domicile. CV venir les
enfants
à la visite des médecins qui les ont soi- gnés,
Bicêtre, Vallée et la Salpêrière : au moins pour cette catégorie d'
enfants
, on ferait oeuvre de patronage. Quant à la qu
Préfet sur l'organisa- tion de secours à domicile pour les malades,
enfants
ou adolescents, des services spéciaux de Bicêtr
s son voeu en faveur de la création de clas- ses spéciales pour les
enfants
arriérés; 3° d'appeler la vigilance de l'Admini
eler la vigilance de l'Administration sur le passage régulier des
enfants
ayant pius de 18 ans et offrant un développement
s, assurer l'amélioration et le traitement médico-pédagogique des
enfants
, idiots, arriérés et épileptiques, sauvegarder so
publique, restreindre - nous n'osons pas dire supprimer - l'envoi d'
enfants
malades dans les maisons dites de correction, c
mère, épileptique. Sur dix grossesses, trois fausses couches, cinq
enfants
bien portants et nos deux malades. L'ainé, aura
la moelle, diminution des fibres des faisceaux para- modaux. Les
enfants
Lecl... ? Edouard René et André Eugène, nés à V
poitrine, l'autre est en bonne santé. Il en serait de même de ses
enfants
et de ceux du précédent. Une tante paternelle m
mariées avec les deux frères, sans accidents nerveux : l'une a deux
enfants
bien portants, l'autre a eu un enfant mort du c
nts nerveux : l'une a deux enfants bien portants, l'autre a eu un
enfant
mort du croup. Une cousine germaine maternelle,
ernels : l'aîné a 75 ans, bien portant, a deux filles mariées, sans
enfants
, en bonne santé; l'autre est mort ily a 3 mois,
ois, à 6 ! t ans, sans accidents nerveux, avait trois de ses quatre
enfants
bien portants ; pas de convulsions. Le qua- tri
s quatre enfants bien portants ; pas de convulsions. Le qua- trième
enfant
, une fille, est devenue epileptique après une v
ique après une vive frayeur; elle s'est néanmoins mariée et a eu un
enfant
t ci Affection familiale. mort en venant au m
l'aînée, âgée de 30 ans et demi, sans accidents nerveux, a eu deux
enfants
: une fille morte du croup, pas de convulsions,
ligent; la deuxième soeur, intelligente, pas de convulsions, a un
enfant
turbulent, entêté, qui n'a pas eu de convlllsions
nce d'âge de 5 ans entre les deux époux. (Père plus âgé.) .. Sept
enfants
et trois fausses couches : 1° Une fausse couche
ès ni de fractures. On ne sait à quoi attribuer la maladie des deux
enfants
. Les parents ont vu M. Charcot qui n'a pas donn
M. Lannelongue qui n'a vu aucune indication opératoire. État des
enfants
Lecl... le 26 juin 1897. René. Etat général s
paraissent surtout se passer dans l'articulation de l'épaule. L'
enfant
ne peut ni s'habiller, ni se donner les soins u
elet. grand axe fronto-occipital est de 121 mm. (Sur un cerveau d'
enfant
de 16 ans normal, cette longueur est d'environ
e affection doit : a) atteindre sans changer de formes, plusieurs
enfants
d'une même génération ; - b) débuter à pou près
même génération ; - b) débuter à pou près au même âge chez tous les
enfants
de cette géné- ration ; c) être cliniquement in
e cas que nous présentons, il y a, à côté de nos deux malades, cinq
enfants
qui n'ont eu aucune affec- tion semblable. De p
re et dater de l'enfance. C'est le cas de Duguet, observé chez un
enfant
de 17 ans qui avait présenté uniquement des tro
mbettes qui consiste en une absence complète du cervelet chez une
enfant
morte à 11 ans et qui avait présenté aussi des
rtout à l'Opéra-Comique, à Bruxelles,' à la Martinique : c'était un
enfant
de vieillards, bégayait lui aussi par moments;
fièvre jaune et la dysenterie. Mère : 66 ans, corsetière, également
enfant
de vieillards, migraineuse ; elle a eu des migr
coup le vin, mais ne .s'enivre pas, fait des abus de café, a eu ! i
enfants
dont un seul vivant. Antécédents héréditaires.
ce de Verdun. Grand'mère maternelle, morte à 60 ans ; a eu 13 ou 14
enfants
: «elle a eu ma belle-mère quand elle avait 50
eaucoup ; il a essayé de se pendre. Une de ses filles a eu 13 ou 14
enfants
qui sont presque tous morts de méningite ; une
es jambes sont comme du coton, comme si elles étaient cassées ; mes
enfants
sont peureux comme moi. » Elle n'a jamais eu ni
t. Il a une fille, bien portante mais de petite taille. Elle a eu 4
enfants
: trois bien portants, une fille est morte de m
est morte de méningite. Les cinq tantes ont une bonne santé; pas d'
enfants
. - Une tante maternelle bien portante, non nerv
tante maternelle bien portante, non nerveuse, eczémateuse, a eu 4
enfants
: un fils qui est bien portant, un 2me fils bossu
sce21rs : l'une a 30 ans, un peu nerveuse, pas migraineuse, a eu un
enfant
qui est mort du croup et qui n'a pas eu de conv
s eu de convulsions, l'autre est en bonne santé, pas nerveuse, a un
enfant
de deux ans, bien portant et intelligent. - Dan
mère parisienne). Inégalité d'âge de trois ans (père plus âgé). 7
enfants
: 1° notre malade; 2° un garçon « magnifique »
ntes, moins toutefois qu'aux autres grossesses. A la naissance, l'
enfant
n'était pas asphyxiée ( ? ), elle n'avait pas d
s qu'il n'avait pas eu d'accès. » 28 Idiotie mvxoiodématkcse. l'
enfant
de nourrice à 11 mois et on a continué à l'alimen
ont percé A 2 ans; la dentition a été très lente et très pénible; l'
enfant
, à chaque poussée dentaire, avait des accès de
s. » Et même vers 7 ans, à l'occasion de l'apparition d'une dent, l'
enfant
étant couchée, aurait perdu connaissance pendan
nvul- sions cloniques. La mère fait remarquer que toute jeune son
enfant
avait de la peine à téter parce que sa langue é
lle avait un air triste, elle n'était pas éveillée comme les autres
enfants
. A l l mois sa fontanelle était très large, bea
issance, des niasses lipomateu- ses que nous décrirons plus loin. L'
enfant
n'a jamais marché seule : « elle ne se tenait n
use qui l'a rendue propre. Elle la surveillait la nuit et quand l'
enfant
se laissait aller, elle lui administrait une fess
rouve idiote. » A partir de 7 ans, l'intelligence s'est éveillée. L'
enfant
aimait beaucoup à sortir, montrait la porte et
Le caractère de Félicie est apathique ; toutefois, par moment, l'
enfant
est prise d'accès de colère, trépigne, remue viol
la ressortait comme le doigt ». Un bandagiste dit à la mère que son
enfant
avait une éventration et lui lit deux ceintures
s été normale, mais ne s'est jamais bien effectuée par le nez : « l'
enfant
a toujours renâclé » sur- tout l'hiver où les s
reste de la surface cutanée. A la suite d'une chute de sa chaise, l'
enfant
s'est à deux reprises légèrement contu- sionné
e. Elle n'a ja- mais eu ni fractures ni luxations. État actuel. L'
enfant
, très petite pour son Age, est pâle, grosse, bo
ent comme il la mâchoire supérieure. - En résumé, la dentition de l'
enfant
est celle d'une enfant de 9 ans. - La voûte pal
supérieure. - En résumé, la dentition de l'enfant est celle d'une
enfant
de 9 ans. - La voûte palatine est aplatie, le voi
lité à la douleur, au contact, et à la température est conservée. L'
enfant
craint le froid. L'examen général de la surface
rs, n'admettant pas l'extrémité du petit doigt. Pas d'onanisme. L'
enfant
parle à peine . Elle ne prononce que quelques syl
/2 d'avant en arrière et un peu plus de 5 cent. transversalement. L'
enfant
se tient mieux sur ses jambes. Juin et Juille
s.-On insiste beaucoup sur cette éducation de la marche. .liai. L'
enfant
va en congé dans sa famille. A son retour un co
ue les quelques progrès obtenus avant son départ n'existent plus. L'
enfant
est grognon, elle crie lorsqu'on veut lui faire
elques pas. On est surpris de ces chan- gements brusques. Juin. L'
enfant
refuse toujours de marcher mais est plus gaie.
oïde tous les jours. Les sueurs sont assez abondantes. Juillet. L'
enfant
est gaie, affectueuse envers les infir- mières
rs fois par jour, à marcher et on obtient t le résultat suivant : l'
enfant
se tient mieux sur les jambes, arrive à marcher
ment interrompu ainsi que l'éducation spéciale prescrite à cette
enfant
, car à chaque instant les parents viennent récl
colère ; enfin l'insuccès des tentatives faites pour apprendre à l'
enfant
à mar- cher, à parler, à être propre, etc. IV
une amé- lioration appréciable. Sous son influence le poids de l'
enfant
a diminué (tableau des poids), la taille a aug-
r, qu'après l'administration de la glande thyroïde, le sommeil de l'
enfant
était tou- Traitement thyroïdien. 43 .jours p
e. Malheureusement, à chaque retour de con- gé, on constatait que l'
enfant
avait perdu une partie de l'amélioration précéd
e consanguinité. Le père avait sept ans de plus que la mère. Neuf
enfants
: 1° fille, 18 ans, scrofuleuse, actuellement en
nté; 4° mort-né; 5° garçon, pas de convulsions, peu intelligent; 6°
enfant
, ayant mal aux yeux, taie sur l'oeil droit, pas
e : pas de chlo- roforme, présentation du sommet. A la naissance, l'
enfant
était gros, bien portant, on ne peut dire s'il
pre de bonne heure. Antécédents morbides : Vers l'âge de 3 mois l'
enfant
a eu des convulsions, Elles n'intéressaient que
se sont produites que 3 jours de suite. Jusqu'à l'âge de 4 ans, l'
enfant
n'a présenté aucun accident nerveux. A cet âge il
orsure de la langue. A partir de cette époque et pendant six mois l'
enfant
a eu chaque jour un accès. Puis les accès devie
les crises réapparaissent plus fréquentes. Après chacune d'elles l'
enfant
titube comme un homme ivre et marche courbé en
eur âgée de 1'1 ans et le père dut intervenir pour l'en empêcher. L'
enfant
n'est ni gourmand, ni voleur ; pas de salacité,
ques de sommeil. La mémoire est très faible, le raisonnement nul. L'
enfant
sait un peu lire et compter. Il ressemble il so
, le premier accès s'étant montré une heure après. Etat actuel. L'
enfant
paraît en bonne santé, son teint est rosé, sa p
à l'appui de l'opinion des médecins qui soutiennent que tous les
enfants
qui ont eu des convulsions sont menacés d'épile
ants qui ont eu des convulsions sont menacés d'épilepsie et que ces
enfants
ont besoin d'une hy- giène et d'un traitement a
héance, déjà très prononcée à l'entrée, n'a fait que s'accroître. L'
enfant
, en 1899, a eu en moyen- ne 145 accès par mois
is le 20 juin 1890, est entré dans le service le 25 septembre 1896.
Enfant
, naturel. Antécédents (Renseignements fournis p
que », dit-on, ayant une certaine aisance a pu se marier et a eu un
enfant
arrière. Ni frères ni soeurs. Pas d'autre tare
: « à 15 ans, j'étais excessivement petite, j'avais la taille d'un
enfant
de neuf ans ; en trois semaines, je suis devenu
épousé en secondes noces un épileptique dont elle aurait eu deux
enfants
, un garçon, mort de convulsions à 15 jours, une f
e consanguinité. Différence d'âge, 6 ans. (Père plus âgé). Quatre
enfants
: 1er Garçon, mort de convulsions à 5 semaines
mois, ni albu- mine, ni syncopes, ni pertes pendant la gestation. L'
enfant
a remué vers le 4° mois, « plus tôt que les aut
du cordon, mais asphyxie bleue, bosse séro-sanguine sur le front. L'
enfant
était très chétif, ne pesait que 1.800 gr. ; no
htalmie, ni d'otite. Mémoire et intelligence nulles. État actuel.
Enfant
chétif et malingre. Physionomie sans expression
particulier. - Voûte palatine ogivale. Langue petite. Le corps de l'
enfant
est bien conformé, les membres supé- rieurs son
porté aux rapports quand il avait bu. Description DU malade. 61 l'
enfant
marche tantôt assez bien, tantôt il s'arrète tout
normaux. Pas de tics ni de manies. Au point de vue intellectuel, l'
enfant
est très peu développé. Caractère grincheux et
eu développé. Caractère grincheux et coléreux. Instruction nulle, l'
enfant
ne pro- nonce que quelques mots. Fonctions dige
et se laver. Les sens et le sommeil sont normaux. Accès de cris. L'
enfant
est sujet à de petites secousses qui font tress
supérieurs. Elles sont plus fréquentes à certains jours et alors l'
enfant
crie sans motif et est plus irritable que d'habi-
e diarrhée fétide avec sel- les noirâtres fréquentes. Février.- L'
enfant
guéri repasse dans sa division.- Trai- tement :
(lait et sous-nitrate de bismuth). Au point de vue intellectuel, l'
enfant
semble s'être amélioré mais on ne note pas de p
un grand nombre de mots. 1898. Rien il signaler jusqu'au 5 mai où l'
enfant
entre à l'infirmerie pour une broncha-pneumonie
vue intellectuel. 1899. Rien de particulier pendant cette année. L'
enfant
parle beaucoup mieux, est plus enjoué mais gâte
inture d'iode et lotions subli- mées. Traitement tonique général. L'
enfant
est devenu plus gai, plus caressant, il exprime
mbre de mots sans arriver il les articuler nettement. 10 avril. L'
enfant
est amené à l'infirmerie pour des héma- témèses
nt n'est fourni sur les phénomènes qui ont précédé les accidents. L'
enfant
a eu deux hématémèses hier soir et trois cette
lier. Les selles examinées sont noi- râtres, le méloena abondant. L'
enfant
est exsangue, décoloré, l'état général est très
te. La per- cussion et l'aus cultationthoraciques sont négatives. L'
enfant
HÉMATÉMÈSES. 63 ne manifeste aucune douleur
ine atteinte de débilité men- tale, cousin ce loufoque» ayant eu un
enfant
arriéré; mère convulsions de l'enfance, puis cr
en a été de même de deux frères du malade. II. L'état chétif de l'
enfant
est attribuable à une grossesse assez mauvaise
ts très limités. Ce qu'on a obtenu montre cependant que, bien que l'
enfant
fut atteint d'idiotie complète, il était amélio
ouvent la nécessité d'un examen minutieux des aliments donnés aux
enfants
idiots et d'une surveillance très attentive pen-
é nos réclamations réitérées nous n'avons jamais pu obtenir que les
enfants
idiots, les plus malades, aient des aliments ch
OUIINEVILLE ET IZA1U). Il s'agit, dans l'observation suivante, d'un
enfant
atteint d'idiotie complète, entré à l'âge de 4
'infanterie de marine, où. il s'est rengagé après la naissance de l'
enfant
, et est parti aux colo- nies. N'a jamais eu auc
syphilis. En 189 ? il la suite de chagrins, de revers, le père de l'
enfant
s'est mis à boire. Il buvait de l'absinthe et d
oissons et est mort « épuisé M il l'âge de 40 ans. 11 a laissé deux
enfants
bien portants. Les deux autres frères sont en b
bonne santé; ils n'au- raient jamais eu de convulsions. L'un a eu 8
enfants
, dont trois sont morts, on ne sait de quoi; l'a
Elle n'a bu que du lait. Elle ne peut nous dire à quelle époque son
enfant
a commencé à remuer. Elle aurait eu beaucoup d'
terme, naturellement, sans intervention. Le travail a été long ; l'
enfant
s'est présenté par le sommet. La quantité des e
oment de leur écoulement sont inconnus de la mère. A la naissance l'
enfant
ne présentait pas de signes d'asphyxie; il étai
il est impossible de déterminer la date de son début. D'ailleurs, l'
enfant
, avant l'entrée, n'a jamais dit que papa et mam
er ; en dehors de ces accès de colère, qui sont assez fréquents ; l'
enfant
est calme. Ces colères ont débuté à zns 1 ? ; i
les murs à coups de pied : il devenait cramoisi en ces moments. - L'
enfant
n'est pas gourmand ; il n'a pas d'accès de krou
it; il nous regardait et se tou- chait devant nous, en riant. u - L'
enfant
mange bien, assez proprement, quelquefois avec
airs et les répète facilement. Comme il n'est jamais avec d'autres
enfants
, on ne sait s'il serait méchant avec eux. Il co
end C3 qu'on lui dit. Il ressemble plutôt à la mère qu'au père. L'
enfant
a été mis dans une crèche jusqu'à l'âge de 3 ans.
très dilatées, égales, réagis- saut bien. L'état intellectuel de l'
enfant
ne permet pas de faire l'examen fonctionnel de
rticulier ; ni paralysie, ni contracture. Dans la station debout, l'
enfant
exécute un mouvement rythmique de balancier dro
rythmique de balancier droite et il gauche. Examen fonctionnel : L'
enfant
marche bien, fait tous les mouvements. Les mouv
les réflexes sont normaux. La sensibilité générale est normale. L'
enfant
, d'une intelligence très peu développée, compre
par semaine. Juin : Hydrothérapie sirop de fer - bains salés. - L'
enfant
a été mis ;i la petite école ; il ne prononce que
es qui le soignent et parait beaucoup aimer sa mère. En classe, l'
enfant
prête peu d'attention il ce qu'on lui fait fair
, bains salés, huile de foie de morue ; petite école. Décembre. L'
enfant
, malgré sa bonne volonté, ne fait aucun progrès
plus familier avec ses camarades, et consent il jouer avec quelques
enfants
de son âge. Il lace et boutonne, mais ne sait p
1897. Janvier. Même traitement que l'année précé- dente. Juin. L'
enfant
devient plus aimable, il a l'air moins maussade
e des clou- ('Îles le 1 ? avril. Décemb ? 'c. Arrêt desdouches. L'
enfant
commence à pro- 74 Idiotie profonde. noncer u
ymnastique. 1898. Les douches sont reprises le 1'" mai. Juin. - L'
enfant
devient aimable, son caractère s'est considérab
douches. Décembre. - La parole est devenue fort intelligible ; l'
enfant
sait demander ce dont il a besoin ; il raconte ce
de vue de la parole, qui devient de plus en plus intelligible. L'
enfant
commence à bien tracer les bâtons sur l'ardoise,
s, etc. 1900. Avril. Les douches sont reprises le 10. Juillet ? L'
enfant
a fait des progrès satisfaisants pour la parole
ueur Il cm, 5 ; circonférence 5 cm. z ' Anus normal. Octobre. - L'
enfant
est mis en congé d'un mois, à titre d'essai.
ssai. Novembre. - Malgré les conseils, la mère veut reprendre son
enfant
. Il sort le 22 novembre 1900. Réflexions. I. 1.
a été arriéré pour la parole. II. Le développement physique de l'
enfant
n'a rien présenté de particulier. Le seul traum
énitale ou duc à la chute ? '( III. Au point de vue intellectuel, l'
enfant
, son en- trée à l31cî·tre, était atteint d'idio
orable qui s'est confirmé. Mis à la petite école dès son arrivée, l'
enfant
avait déjà fait des progrès notables pour la pr
, la parole devient plus intelligible ; la propreté est complète, l'
enfant
s'habille et se désha- bille seul. - L'améliora
va même en croissant, dans le courant de l'année 1898. En 1899, l'
enfant
parle de façon intelligible ; il trace des hâtons
s résultais obtenus sont excellents, et tout porte il croire, que l'
enfant
fera de nouveaux progrès, et deviendra à peu pr
out à l'ail nor- mal 1). ' (1). Tous les ans, un certain nombre d'
enfants
sont repris dans les mêmes conditions. Nous avo
'enfants sont repris dans les mêmes conditions. Nous avons revu cet
enfant
au moment de l'impression de son observation (a
alogues sont assez rares. En général, ils ont été observés chez des
enfants
qui meurent peu après la naissance. Il est exce
dans le service le 30 octobre 1899, y est décédé le 3 novembre. Cet
enfant
est arrivé avec un certificat ainsi conçu : « Est
tante paternelle aurait eu des migraines très violentes. Ses trois
enfants
sont bien portants et n'ont pas eu de convulsio
ans de tuberculose. Deux autres sont bien portantes ainsi que leurs
enfants
. Deux soeurs, l'une morte à dix-sept ans de tub
Inégalité d'âge 84 £ IDIOTIE 1111CROCEPHALIQUE. de deux ans. Deux
enfants
: 1° Une fille morte à six mois d'une méningite
cauchemar, ni hémorragie. Elle n'avait pas encore senti remuer son
enfant
, elle n'était pas sûre d'être enceinte car ses
beaucoup d'eau. la naissance, pas d'asphyxie, pas de circulaire, l'
enfant
paraissait normal, sa tète n'avait pas attiré l
tement au biberon, avec du lait de vache. Dès les premiers jours, l'
enfant
était « somnolent et constipé» (il en a toujour
ermées reposant sur le devant de la poitrine. Lorsqu'on habillait l'
enfant
, pour faire entrer les manches, on était obligé
ible au mal de mer. Pas de rumination. Constipation habituelle. L'
enfant
semblait supporter sa tête difficilement, comme s
que dès les premiers temps de la vie, avant les convul- sions, son
enfant
n'était pas naturel, car il était toujours somnol
firme enfin que les fontanelles ont été fermées à trois mois. 30. L'
enfant
nous arrive de l'Asile clinique avec de la fièvre
Soir : T. R. 40°,5. 3. Dans la nuit, mêmes plaintes, mêmes cris, l'
enfant
meurt avec une T. R. de 40°,5. La température a
ites de volume. , Le cervelet a un volume proportionné à l'âge de l'
enfant
. La protubérance est petite et en retrait par r
migraine chez le grand-père et l'un des arrière-grands- pères de l'
enfant
. En revanche, les cas de tuberculose sont très
s, jointes à ce fait que, dès les premiers jours de la naissance, l'
enfant
était somnolent, nous amènent à penser qu'il s'
rmis de suivre l'évolution de la poussée méningifiqlle à laquelle l'
enfant
a succombé 1. IV. La température après la mort
roduction de l'idiotie et de l'épilepsie ; ; Par BOURNEVILLE. L'
enfant
subit les conséquences de l'alcoolisme sous une
s le tableau suivant, la situa- tion des pères et mères de tous ces
enfants
sous le rapport de l'alcoolisme. Il permet d'av
riées à des alcooliques, nous appuyant sur l'histoire même de leurs
enfants
, nous leur recom- mandons d'éviter tout rapport
OUZON Le cas qui suit, à peu près nul au point de vue clinique, l'
enfant
auquel il se rapporte étant enfant naturel et l
nul au point de vue clinique, l'enfant auquel il se rapporte étant
enfant
naturel et les antécédents héréditaires et pers
d'un haut intérêt au point de vue anatomo-pathologique. Sommaire.
Enfant
assistée : aucun renseignement sur les antécéde
ntrée à Bicétre, le 18 novembre 1899 et est morte le 22 mai 1900.
Enfant
assistée, sur laquelle les renseignements font dé
de. Ht) tale extrême avec cris et actes menaçants pour les autres
enfants
, que non seulement elle trouble le repos de ses v
inférieurs et gâtisme.» État de la malade. (20 novembre 1900). L'
enfant
est rosée, ni grasse, ni maigre, semble en asse
érieure, on note une (1) Chaque année, il nous arrive du dehors des
enfants
atteintes de la teigne, ce qui a pour conséquen
e, rouge, épaisse, assez mobile. Pas de tremblement de la pointe. L'
enfant
semble indifférente au goût dos substances qu'o
ux. On trouve quelques cicatrices arrondies au niveau des coudes. L'
enfant
se sert de ses bras, tous les mouvements sont p
. Les membres inférieurs paraissent assez bien développés, mais l'
enfant
ne marche pas. Nulle inégalité de développe- me
ers : vache, putain. merde, etc., qu'elle prononce sans embarras. L'
enfant
ne peut manger seule : quand on lui présente le
e dis- tinction. Les fonctions digestives s'accomplissent bien. L'
enfant
gâte le jour et la nuit. On est obligé de la fair
er. Le sommeil est léger, entrecoupé de cris. Pas d'ona- nisme. L'
enfant
est incapable de s'habiller et de faire sa toil
Poids : 18 ]iilogl. - Taille : lm 05. 1900. Janvier. L'état de l'
enfant
est absolument le même qu'à son entrée. Autant
qu'à son entrée. Autant qu'il est possible de s'en rendre compte, l'
enfant
ne parait pas souffrir de la tête, qu'elle ne c
tigrammes en 4 doses; iodure de potassium : 0,60, etc. 22 mai.- L'
enfant
meurt à 5 heures du matin, sans qu'on ait remar
des noyaux gris centraux. XI. Thymus et glande thyroïde chez les
enfants
anormaux ; Par BOUIINRVII.LK. Depuis bien des
nsignée, chaque année, dans nos Compte-rendus. Afin cle voir si les
enfants
anormaux ont, à cet égard, quelque chose de par
, nous avons fait appel aux médecins et aux internes des hôpitaux d'
enfants
pour qu'ils fassent des recherches analogues da
pour qu'ils fassent des recherches analogues dans les hôpitaux d'
enfants
ordinaires. Seul, un de nos anciens internes, A
I. Statistique sur la persistance ou l'absence du thymus chez les
enfants
anormaux ; l'Ail 1t11[I1t : 11;Vll,l,h. L'an
,l,h. L'an dernier (1) nous avons établi la comparaison entre les
enfants
normaux et les enfants anormaux au point de vue
) nous avons établi la comparaison entre les enfants normaux et les
enfants
anormaux au point de vue de la persistance ou d
sistance ou de l'absence du thymus. Dans sa statistique (2) sur les
enfants
normaux M, Katz a toujours trouvé le thymus (10
0, nous avons recherché la différence qui pouvait exister entre les
enfants
idiots imbéciles, etc., mais épileptiques et le
entre les enfants idiots imbéciles, etc., mais épileptiques et les
enfants
idiots imbéciles etc, non épileptiques. Le tabl
rte il la compa- raison que nous avons faite l'an dernier entre les
enfants
normaux et les enfants anormaux sous le rapport
que nous avons faite l'an dernier entre les enfants normaux et les
enfants
anormaux sous le rapport de la' persistance du
mblerait par conséquent que le thymus disparait plus tôt chez les
enfants
anormaux. Mais cette conclusion est toute rela-
).EAU des cas DE persistance du Thymus. 128 Thymus. bernant les
enfants
normaux ne portait que sur 61 cas et qu'elle ne
normaux ne portait que sur 61 cas et qu'elle ne comprenait que des
enfants
au-dessous, comme âge, du chiffre le plus bas d
t que des enfants au-dessous, comme âge, du chiffre le plus bas des
enfants
anormaux. Quant à la différence, au point de vu
onds une moyenne de 30 or. Le thymus disparaît donc plus tôt chez l'
enfant
idiot I,I>ILEP'l;lnLr,. .; Le tableau ci-apr
suivant montre les diverses affections auxquelles ont succombé les
enfants
: XV. Idiotie myxoedémtaeuse ; pleurésie ; mo
convulsions, - Tante maternelle, con- vLl1SZ072S ainsi qu'un de ses
enfants
et un cousin germain. Pas de consanguinité. - I
nelles, un oncle et une tante paternels, morts âgés. Ils ont eu des
enfants
qui sont en bonne santé. Une soeur a eu des con
en bonne santé. Une soeur a eu des convulsions de l'enfance et a un
enfant
qui a eu également des conDuIsions, - Deux frèr
eu également des conDuIsions, - Deux frères : l'aine. 51 ans, a un
enfant
de 11 ans, qui a eu plusieurs crises con- vulsi
- Inégalité d'âge : la mère a 2 ans 1/2 de plus que le père. Deux
Enfants
: 1° garçon ou fille mort à 4 mois de la. cho-
on ne peut renseigner sur l'abondance des eaux. A la naissance, l'
enfant
n'était pas asphyxiée, n'avait pas son cordon a
hait prise. » La mère était obligée de tirer le lait elle-même et l'
enfant
« le prenait ensuite avec son petit caoutchouc.
normale. Les sens paraissaient aussi développés que chez les autres
enfants
. Le sommeil a toujours été calme. Elle a toujou
toujours eu la peau très blanche. Pas de maladies infectieuses, L'
enfant
n'a pas eu de gourme, pas de dartres, pas d'otor-
1/2, il était très difficile de les faire partir. Etat actuel. L'
enfant
a le facies typique de l'idiote 111U.\ : (I'- 1
membres inférieurs ont une forme normale, mais ils sont flasques. L'
enfant
se tient debout à grande peine et à la conditio
st allongée, un peu pâle. Elle parait un peu grosse pour l'âge de l'
enfant
. Elle mesure 12 millimètres transver- salement
Savoie, il n'y a ni goitreux, ni crétins dans leur famille. II. L'
enfant
a probablement été conçue durant l'ivresse alco
ais dépassé ce point maximum. Pen- dant une fièvre typhoïde, dont l'
enfant
a été atteinte, dès quinze jours après son entr
us avons dressé, pour comparaison, le tableau ci-après concernant 7
enfants
du même âge : (1) Bourneville et Cvmescasse.
Cerveau : 440 yr. OI3S. VI. - Idiotie; microcéphalie. Sommaire. -
Enfant
assisté. Pas de renseignements. - Oreillons. Ro
1893. Poids : 10 k. 500 gr. - Cerveau : 1.365 gr. z Le cas de cet
enfant
est particulier en ce sens que son encéphale, q
dans le service et y est décédé le 28 juillet de la même année. Cet
enfant
est représenté sur le premier plan de la photog
stration, il en résulterait pour tous, la conviction que les autres
enfants
idiots, dont le cerveau est généralement moins
ante mater nelle migraineuse. Soeur de mère morte de convulsions.
Enfant
naturel : arrêt de développement et tête très pet
0 décembre 1883, est en- tré dans le service le 27 juin 1889. Cet
enfant
qui est représenté sur les figures 1,2,et 3 nou
juillet 1884, est entré dans le ser- vice, le 3 décembre 1887. L'
enfant
est représenté sur les figures 4, 5, 6, 7, 8, 9
enu propre et dans sa tenue il est même coquet : il y a eu chez cet
enfant
une transformation complète. (Voir p. 189.) X
maternelle migraineuse. - Soeur de la mère morte de convulsions : -
Enfant
naturel : arrêt de développement et tête très p
it une prononciation des plus défec- tueuse, l'écolage était nul; l'
enfant
était écholalique. (Voir p. 155.) " . Actuell
1888, est entré dans le service le 18 mars 1890. A son entrée, l'
enfant
ne prononçait aucun mot, ne mar- chait pas, ne
gâteux, en un mot était atteint d'idiotie complète. Aujourd'hui, l'
enfant
prononce Fig. 19. Imb... Chaiz... Stert... Ja
es idées qu'elles expriment. L'amélioration, très notable, chez cet
enfant
, est de toute évidence. La photographie collect
le 3 décembre 1887. La photographie collective n° 6 représente l'
enfant
d'an- née en année depuis 1887 (3 ans 1/2) jusq
iller à se désha- biller, à se donner tous les soins de propreté (l'
enfant
est même très coquet). Mazi... converse aujourd
fant est même très coquet). Mazi... converse aujourd'hui comme un
enfant
ordinaire, a des notions usuelles très multipliée
à lire les lettres. La photographie collective n" 7 représente l'
enfant
d'année en année depuis son entrée (7 ans 1/2)
re tante maternelle morte d'un cancer de l'utérus après son onzième
enfant
. Une cousine maternelle chorée dans l'enfance.
née le 13 août 1890, est entrée le 9 juillet 1896. A l'entrée, l'
enfant
marchait mal, tenue par la main ; elle ne savai
le. Le gâtisme a totalement disparu. Au point de vue de la parole l'
enfant
a fait quelques progrès. En résumé une améliora
st opérée chez Imba... La photographie collective ne 8 représente l'
enfant
d'année en année depuis 1896 (6 ans) jusqu'à ce
, M. Bourneville termine en rappelant qu'il faut s'occu- per de l'
enfant
idiot dès qu'on a constaté les premiers signes
'habiller, à se laver et à manger seuls. Cette conquête réalisée, l'
enfant
se suffit à lui-même, est relevé physiquement e
iqué avec soin et persévérance, d'améliorer et même de guérir les
enfants
idiots, imbéciles et arriérés. XVIII. Considé
son du front : diamètre transverse maximum situé très haut chez les
enfants
, mais qui est placé très bas chez les idiots à
rânes des idiots renfermés au musée de Bicètre. Vu le jeune âge des
enfants
les déformations ont rarement atteint la forme
Pourquoi 11 a-t-il plus de déformations chez les idiots que sur les
enfants
normaux ? - On peut répondre que il n'y a rien
de la suture métopique ; PAR BOURNEVILLE. I Comparaison entre les
enfants
normaux et les enfants anormaiw. - Sur 397 calo
; PAR BOURNEVILLE. I Comparaison entre les enfants normaux et les
enfants
anormaiw. - Sur 397 calottes d'enfants anormaux
e les enfants normaux et les enfants anormaiw. - Sur 397 calottes d'
enfants
anormaux de 3 il 15 ans que nous possédons dans
...................................... 9 °/0, Sur 89 calottes (2) d'
enfants
normaux du même âge nous avons trouvé 16 fois l
, au point de vue de la persistance de la suture métopique, entre l'
enfant
idiot, imbécile, etc., ÉPILEP- TIQUE et l'enfan
métopique, entre l'enfant idiot, imbécile, etc., ÉPILEP- TIQUE et l'
enfant
idiot, imbécile, etc., non épileptique. Nos 625
t l'enfant idiot, imbécile, etc., non épileptique. Nos 625 crânes d'
enfants
et d'adultes, se répartissent ainsi : 2oui Pers
SUTURE métopique. 1 Il ressort de ces statistiques : 1° que chez l'
enfant
normal, la persistance de la suture métopique e
a suture métopique est beaucoup plus fré- quente (18 ? ) que chez l'
enfant
anormal (9 °/o) ; 2° qu'entre l'enfant épilepti
quente (18 ? ) que chez l'enfant anormal (9 °/o) ; 2° qu'entre l'
enfant
épileptique et l'enfant non épileptique, l'avanta
ez l'enfant anormal (9 °/o) ; 2° qu'entre l'enfant épileptique et l'
enfant
non épileptique, l'avantage est en faveur du de
contient, à la date du t«septembre 1901, 625 crânes d'anor- maux :
enfants
et adultes. (-2) NoÀs possédons 170 crânes c1'e
res crânes ne figurant pas dans cette statistique sont des cran»» d'
enfants
au-dessous de 3 ans. Liste des Internes de noir
s. 1887. Mrao Sollier (1.). - De l'état de la deiltition chez les
enfants
idiots et arriérés. Thèse de Paris. 1888. T
chro- niques et spécialement d'une terminaison fréquente chez les
enfants
, l'Idiotie. Thèse de Paris. Pison. - De l'asymé
er (A.). Contribution il l'étude clinique de l'épi- lepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. 1893 Noir (J.). Élude sur le
couchement anormal sur le développement des troubles cérébraux de l'
enfant
. Thèse de Paris. FÈVRE (A.). Du mariage des é
U (L\). Contribution à l'étude du pronostic de l'épilepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. HASLE (L.). Du bromure de camp
inaux. Thèse de Paris. Lebreton. De la sclérose en plaques chez les
enfants
. Thèse de Paris. DENIS (C.). Elude sur un cas
PILEPSIE, L'HYSTÉRIE - ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERVICE DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE- 1 BICÈTRE
tre habitude, nous allons rappeler tout d'abord, la répartition des
enfants
de la 4° Section du quartier des aliénés de l'h
l'hospice de Bicêtre. Ils forment trois groupes principaux : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
x, épileptiques ou non, mais invalides (Bâtiment Séguin) ; - 2e les
enfants
idiots, gâteux ou non, mais valides; - 3° les e
n) ; - 2e les enfants idiots, gâteux ou non, mais valides; - 3° les
enfants
propres, valides, imbéciles, arriérés, instable
rés, instables, pervers, épi- leptiques et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
ière se compose des IV IDIOTS COMPLETS : EXERCICES PRELIMINAIRES.
enfants
icliots complets, ne parlant, ni ne marchant, c
12c·es), en leur faisant des frictions stimulantes, etc. En 1899, 3
enfants
ont appris à marcher. 1° Leboe ? né le 29 octob
parallèles. VI IDIOTS COMPLETS : exercices préliminaires. Quatre
enfants
ont été guéris du gâtisme (1), cinq ont appris
ris du gâtisme (1), cinq ont appris à manger seuls (2). Dès qu'un
enfant
marche sans aide, il est envoyé à la petite éco
.. IDIOTS incurables; ÉPILEPTIQUES déments. Vil mettent. Tous ces
enfants
sont placés sur les petits fauteuils spéciaux,
nt hon- neur ? Ce sous-sol nous servira également pour d'autres
enfants
, qui nous arrivent tardivement, Ù '15 et 1fi an
à encombrer sans aucun bénéfice pour eux et au grand détriment des
enfants
éducables. Fig. 5. Fil),6. Petite école. lx
t des enfants éducables. Fig. 5. Fil),6. Petite école. lx II.
Enfants
'idiots gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou
gâteux, épilep- tiques ou non, mais valides (Petite Ecole). - Ces
enfants
fréquentent la petite école confiée exclusive-
2 sont passés il la grande école ; G ont été transférés. Sur 164
enfants
qui restaient à la petite école au 31 décembre
- chette ; 20 de la cuiller, de la fourchette et du couteau. Cinq
enfants
gâteux de ce groupe sont devenus pro- pres (1)
. Cinq enfants gâteux de ce groupe sont devenus pro- pres (1) ; 4
enfants
ont appris à manger seuls (2); 4 en- fants ont
lement âgé de 11 ans et demi. A .son entrée (2 : ! juillet 1592), l'
enfant
ne marchait pas, la parole était nulle, le gâtism
Fig. 10. Petite école. xi Geor... (Fernand), 9 ans -et demi, l'
enfant
est propre, la marche est normale. L'enfant a
d), 9 ans -et demi, l'enfant est propre, la marche est normale. L'
enfant
a une physionomie réfléchie, froide et dure. Bien
e répondre quand on lui parle (ce qui parfois suscite une colère, l'
enfant
y étant sujet). Il n'affectionne personne, et i
r taquinerie ou paresse ( ? ). - Cette habitude lui est passée (l'
enfant
a dit être mis en robe de gâteux pour cette raiso
embre ! t ! ! J2 (7 <lnsl/2)' A son entrée (22 février 189(5), l'
enfant
ne parlait pas et n'était pas encore tout à fai
it pas encore tout à fait propre. Sa physionomie était très dure. L'
enfant
mordait ses camarades dont il paraissait jaloux
es lias mal tirés et ses vêtements non boutonnés. Actuellement, l'
enfant
parle assez distinctement; sauf les r et g qu'i
urd'hui gai et plus affectueux. - Sans aucune notion il l'entrée, l'
enfant
commence à syllaber et à former convena- blemen
rd), né le 12 juillet 1895 (6 ans). A l'entrée (26 juillet 1898), l'
enfant
était gâteux, idiot, épi- leptique. La parole é
gâteux, idiot, épi- leptique. La parole était complètement nulle. L'
enfant
était peu affectueux, ne savait pas manger seul
l ne souriait jamais et pleurait continuellement. tl2cjouiol'hui, l'
enfant
parle, il fait des phrases. Il ne gâte plus, ma
.. (Gaston), né le 12 mai 1892 (10 ans). A Ventrée (12 mai 1896), l'
enfant
avait une physionomie ahurie, souffreteuse, l'a
e gâtisme a disparu. - La marche est plus vive et l'attitude de l'
enfant
est bonne. - Sa physiono- mie est aujourd'hui s
Sa physiono- mie est aujourd'hui souriante et plus expressive. L'
enfant
s'occupe bien à la classe, il commence à bien f
91, (9 ans). A l'entrée (6 juin 1894), la parole était nulle. L'
enfant
était gâteux et ne mar- chait pas. Le caractère
, à Neuilly (7 ans et demi). A l'entrée 12' septembre 18 ! 17), l'
enfant
parlait à peine, était gâteux par périodes. Il
r et avalait gloutonnement, sans les mâcher, tous les aliments. L'
enfant
était coléreux, jaloux des autres enfants, leur d
cher, tous les aliments. L'enfant était coléreux, jaloux des autres
enfants
, leur déro- bait les jouets qu'ils avaient. A
ton. 11 n'est plus jaloux, ni voleur. Sans notions à son entrée l'
enfant
sait aujourd'hui les let- tres de l'alphabet, c
rs 1891 (9 ans). A l'entrée (6 juin 1894), la parole était nulle, l'
enfant
était gâteux, ne marchait pas. Le caractère éta
re. La tenue est bonne et le caractère plus régulier. Au nombre des
enfants
notablement améliorés nous signalerons encore l
nombre des enfants notablement améliorés nous signalerons encore l'
enfant
Kriég ? âgé aujourd'hui de 6 ans 1/2. - A son e
ég ? âgé aujourd'hui de 6 ans 1/2. - A son entrée, à 3 ans 1/2, cet
enfant
était gâteux, ne prononçait pas un mot, ne mang
ents de Mme Athénaïs BOHAIl'i, sous-surveillante à l'infirmerie des
enfants
, le jeune K. est devenu tout à fait propre; l'a
usuels et commence faire de petites phrases. Mentionnons enfin les
enfants
Gra.. Tab.. etLehm ? en traitement au pavillon
en traitement au pavillon d'isolement pour la teigne. Le premier, l'
enfant
Gra ? est un petit sourd-muet qui, à son entrée
e vue de la parole il a fait beaucoup de progrès. Les deux autres
enfants
, Tab ? microcéphale, et Lehm..., XVî . Traiteme
ous le rapport du gâtisme, de la marche et de la parole. Tous les
enfants
sont exercés à la gymnastique des échelles de c
lides étant encore trop infirmes, n'ont pu y prendre part. Vingt
enfants
de la petite école et de la petite école complé
ont fait régulièrement les exercices de la grande gymnastique. 27
enfants
ont travaillé cette année dans les divers Fig.
tement du gâtisme, qui consiste à placer, après chaque repas, les
enfants
gâteux sur les sièges d'aisance que nous avons
2° les leçons de toilette (Fig. 22) qui consistent à apprendre aux
enfants
à se laver la figure et les mains, à s'habiller
, à s'habiller, etc ; - 3° les leçons de table où l'on enseigne aux
enfants
à se servir de la cuiller, delà fourchette, etc
successivement tous les muscles de la main. On place les mains des
enfants
dans de l'eau chaude ou froide ; on leur fait t
M se Fiv.'26. xxiv Traitement MÉDICO-PÉDAGOGIQUE, Lorsque les
enfants
savent exécuter ces différents exercices nous r
planchettes indépen- dantes, permet de présenter à l'attention de l'
enfant
, soit des trous de même grandeur, soit des trou
Traitement MÉDICO-PÉDAGOGIQUE. . 2° Cône à chevilles (Fig. 29). - L'
enfant
place dans des trous, obliquement percés sur un
. Fig. 29. · PETITE ÉCOLE. XXVII L'exercice du prisme habitue l'
enfant
à tenir un corps allongé en forme de bâtonnet e
t entourés d'un anneau de couleur correspondante. Pour préparer l'
enfant
à savoir se déshabiller et s'habiller, on lui a
lets, entourés alternativement de rouge et de bleu, dans lesquels l'
enfant
fait passer des rubans Fig. 30. Prisme à chevil
par d'autres inspi- rés par les circonstances et nous exerçons les
enfants
à acquérir la notion du poids à l'aide de boule
boules extrêmes est bien acquise. Tous ces exercices préparent l'
enfant
à habiller d'abord un mannequin, puis à se désh
nier, dix (Fig. 40). Nous ne passons au second tableau que quand l'
enfant
sait bien reconnaître les figures du premier. N
du premier. Nous avons recours aussi à des figures en bois que l'
enfant
place sur des images correspon- dantes. 3° So
t le mobilier de la section ont été fabriqués dans les ateliers des
enfants
. Éducation de la parole. Nous distinguons parmi
gie, n° 102) ; 3° les exercices pratiques. Ces derniers habituent l'
enfant
à nommer sur indication les diverses parties du
et 44) qui nous . Fig 41. TABLEAU roulant. xxxvii permet, si l'
enfant
a une attention et un développe- ment intellect
Boyer (J.), a rédigé une Méthode spéciale de Lecture à l'usage des
enfants
arriérés, dont le but peut ainsi se résumer :
en sommes longtemps servi avec succès, ont été imaginées en vue d'
enfants
normaux, non atteints dans leurs facultés intel-
êmes ménage- ments à garder qu'avec les idiots et les arriérés. Les
enfants
dont nous nous occupons ne parlent pas ou parle
nt pas cette classification que l'on fait naître dans l'esprit de l'
enfant
une confusion longue iL dis- paraître entre les
sein donné qu'un exemple de chacune d'elles, estimant que lorsque l'
enfant
on est arrivé à ce point de la méthode, on peut
s aux notions élémentaires du premier âge, et où l'on apprendra à l'
enfant
par la pratique, non seu- lement les exceptions
ont d'un usage courant et qu'ils correspondent à une idée que notre
enfant
peut saisir sans effort. A propos des lettres q
paisse percée de trous symé- triquement espacés. Nous apprenons à l'
enfant
à placer dans ces trous des espèces de boutons
étales blancs et centre jaune, etc., que l'on fait reproduire par l'
enfant
, soit d'après modèle, soit de mémoire. Ces jeux
giner de nouveaux dessins. Il s'agit maintenant de faire dessiner l'
enfant
. Il sait tenir un crayon (prisme à chevilles),
ne verticale, une horizontale et une oblique. Ouverte, elle guide l'
enfant
à droite et à gauche, fer- mée, elle ne le guid
d'aller plus loin dans le dessin proprement dit. C'est lorsque l'
enfant
en est arrivé à tracer une circonférence que no
t, PROCÉDÉS DIVERS. XLV car nous ne faisons jamais tracer à notre
enfant
le moindre signe, le moindre dessin, sans qu'il
S divers. Procédés divers. - En même temps que nous apprenons à l'
enfant
à tracer des lignes et des figu- res, nous 1 ex
repré- sentant une maison presque sché- matique, nous habituons l'
enfant
à chercher ce qui a la forme d'un angle droit
é peint un coquelicot, etc. (PL. XIII.) Ces exercices préparent l'
enfant
à la lecture proprement dite; nous les employ
iter d'abord les casiers à bâtonnets (fia. 49), au moyen desquels l'
enfant
est habitué il placer dans ci ci, E Numér
tringle, le chiffre qui correspond au nombre de boules visibles. L'
enfant
voit ainsi, côte à côte, le nombre concret et s
e, le nombre concret et sa représentation écrite. Pour donner à l'
enfant
la première notion de l'addition, nous lui mont
au-dessous le chiffre 3. Sur une des suivantes nous présentons à l'
enfant
la somme des boules des deux premières tringles
entons ensuite de celui qui paraît plaire et profiter le plus à l'
enfant
. Petite école complémentaire. - Elle est confié
qui a également la sur- veillance des deux dortoirs où couchent les
enfants
de cette école au nombre de quarante. M ? Bonne
au nombre de quarante. M ? Bonnet a, en outre, pour surveiller les
enfants
, deux infirmières et une jeune malade, arriérée
4 ans, atteint d'idiotie compliquée d'impul- sions violentes. - Cet
enfant
, dont la parole était absolu- ment nulle à son
- « Veux pas la douche. » - « 1' veut du lé (lait), » etc. Mais cet
enfant
parle avec une telle volubi- lité, qu'il est so
m de Le Roy, continue à s'améliorer. - Parole nulle au début. - Cet
enfant
a com- Bourneville, 13 icêl l'l', 1S ! lti. HU
liments, ayant de nombreux tics (balancements, grimaces, etc.), cet
enfant
présentait tous les symptômes de l'idiotie prof
parvenu à exprimer ses besoins mais la progression a été, chez cet
enfant
, excessivement lente. Il a commencé par dire la
our, « a pou » pour à la soupe, « ni » pour oui. - Actuellement cet
enfant
dit tout, forme des phrases en employant les ve
teigne persistante ne l'avait retenu longtemps à l'isolement, cet
enfant
serait certainement plus avancé. Trois enfants
à l'isolement, cet enfant serait certainement plus avancé. Trois
enfants
ont appris à lire couramment : 10 Mugn ? (René)
10 Mugn ? (René), 10 ans, atteint d'imbécillité intellectuelle. Cet
enfant
, pris à son arrivée en novembre 1896 avait une
il rectifie son articu- lation. - Ayant pris goût à la classe, cet
enfant
fait maintenant de petits exercices de grammair
s, atteint d'imbécillité. Pris à son arrivée en novembre 1891). Cet
enfant
, d'une inattention abso- lue, nous faisait souv
mpâtée, a beaucoup gagné pendant ces derniers mois ; toutefois, cet
enfant
commence seulement à pouvoir copier la leçon de
e. Ainsi que nous le faisions prévoir à la fin de l'année 1898, cet
enfant
passe enfin à la lecture courante. Tous les aut
1898, cet enfant passe enfin à la lecture courante. Tous les autres
enfants
, cités les années précéden- tes, continuent à s
ine a été plus grande. - Nous sommes étonné de trou- ver chez des
enfants
, souvent très dépourvus, une certaine dose d'am
e ses extrémités par de petits moniteurs, entre lesquels on place l'
enfant
à édu- quer. On lui fait saisir la barre et, bo
à sphères, avec lesquelles nous répétons les mêmes exercices ; l'
enfant
n'est là guidé que par l'imitation. Viennent en
de Séguin qui préconisait ce système de mots imprimés lorsque les
enfants
commençaient à syllaber, mais à l'exemple d'Ita
ons cette méthode tout à fait au début de la lecture et alors que l'
enfant
sait seulement reconnaître les lettres soit imp
'oeil et l'attention sont suffi- samment exercés, nous montrons à l'
enfant
un mot écrit désignant une couleur ; nous plaço
les placer à son tour. Lorsque ces deux cartons sont reconnus par l'
enfant
, nous en ajoutons un troisième, puis un quatriè
écrit autant de bâtons que ce nombre en comporte afin de donner à l'
enfant
les premières notions de quantité et établir ai
hode, c'est-à-dire : placer le mot sur la chose, le faire lire il l'
enfant
, le lui faire poser lui-même et enfin, mélangea
le lui faire poser lui-même et enfin, mélangeant les cartons que l'
enfant
a eus sous les yeux, lui faire chercher, 'parmi
t qu'on lui présente. Nous commençons donc à faire comprendre à l'
enfant
le rapport du mot écrit avec un grand nombre d'
ils apportent à ces exercices. On est souvent étonné de voir des
enfants
très dépourvus apprendre avec une facilité rela
at a toujours été beaucoup moins satisfaisant. Enfin, dès que les
enfants
connaissent un certain nombre de mots isolés, n
artons imprimés à l'aide desquels nous faisons encore connaître à l'
enfant
le couvert, les vêtements, les principales part
petits. Nous nous servons aussi de ces papiers pour don- ner aux
enfants
les premières notions de genre et de nombre à l
s de décembre dans la Me/horle sJ1"ciale de leclll1'e à l'usage des
enfants
arriérés, par ;Il. ,1. Noyer. LVIII Grande écol
Il. ,1. Noyer. LVIII Grande école. bien fixés dans la mémoire des
enfants
puisqu'ils les reconnaissent à première vue et
ndifféremment les mots imprimés ou reproduits sur le cahier. III.
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés, instab
u non (grande école). - La population de cette école était de 175
enfants
au premier janvier. Tous, sauf 14 qui ne peuven
tent, les autres jours, le matin et le soir à l'atelier. Les autres
enfants
sont répartis en quatre classes (67, 39, 34 et
es autres enfants sont répartis en quatre classes (67, 39, 34 et 35
enfants
). Comme les années précédentes, nos instituteur
coles, afin d'être mieux en mesure d'améliorer la prononciation des
enfants
et de développer leur parole, ont été envoyés s
e des sourds-muets. De plus, comme nous avons un certain nomhre d'
enfants
aveugles, nos auxiliaires sont également allés
. Nous cherchons à mettre nos instituteurs et nos institutrices des
enfants
idiots au courant des procédés employés pour le
diots au courant des procédés employés pour les autres catégories d'
enfants
anormaux, aveugles et sourds-muets, non seuleme
aveugles et sourds-muets, non seulement parce que nous avons des
enfants
aveugles ou sourds-muets, mais aussi parce que
x-ci pourraient être utilisés, dans une certaine mesure, pour les
enfants
idiots, imbéciles et arriérés. En vue de la cré
les institu- teurs emploient, suivant les. cas, surtout pour les
enfants
idiots qui nous arrivent de 14 il 18 ans, les p
es procédés ordinaires des écoles primaires. Tous les ans, quelques
enfants
sont présentés aux examens du certificat d'étud
enseignant à l'Ecole Braille, établissement départemental pour les
enfants
aveugles. lx Grande école F Certificats d'étu
nt à nos instructions, il s'est occupé successive- ment de tous les
enfants
. Il a divisé ceux de la petite école et de la p
sections et ceux de la grande école en trois sections. Aucun de ces
enfants
, sauf une quinzaine appartenant à la fanfare, n
de notions sur la théorie musicale. Aujourd'hui, pres- que tous les
enfants
savent lire les notes, en connais- sent la vale
t les notions élémentaires de la théorie de la musique. Quand les
enfants
sont suffisamment avancés pour bien lire un mor
relever, tous les six mois, l'éten- due et le timbre de la voix des
enfants
. Ce travail nous fournira, croyons-nous, des re
ues solitaires (1), la voix est également modifiée. Le nombre des
enfants
qui participaient à l'ensei- gnement du chant é
ement sous la direction de M. LA1\DUSSE, un de nos instituteurs. 85
enfants
y prennent part ; sur ce nombre 55 savent danse
M. Camailhac, un de nos instituteurs, mais comme presque tous les
enfants
, 35, composant cette société, faisaient déjà pa
t, à fusion- ner les deux sociétés. Société de gymnastique. - Les
enfants
qui forment cette société, au nombre de 25, ont
reçu comme prix spécial de direction une médaille en vermeil. Les
enfants
de la fanfare ont encore pris part à un festiva
e couronne et une palme en bronze doré. - Enfin M. Sutter fait à 30
enfants
de la petite école un cours spécial de solfège.
ous manquons d'instruments de musique, d'autant plus que certains
enfants
refusent les instruments qui ser- vent aux épil
use la fanfare dispose de 24 instruments pour une population de 243
enfants
. Ces chiffres montrent la nécessité de l'achat de
t de nouveaux instruments, la population de la section étant de 450
enfants
. 1.1\ ! I Distractions. Les enfants faisant p
on de la section étant de 450 enfants. 1.1\ ! I Distractions. Les
enfants
faisant partie de la Société de gymnas- tique e
ds magasins de Paris avaient envoyé des objets divers. - Tous les
enfants
valides de la section, les petites filles de la
stater que les Asiles de la Seine, et en particulier la section des
enfants
, ne sont pas des Bastilles. Musée scolaire. C
année par l'Administration avec des dons (l). La bibliothèque des
enfant
* compte à l'heure actuelle 556 volumes. Le 1 CI
it pas reçu une destination autre, nous aurions dans le service des
enfants
, un matériel scolaire et distractif com- plet.
olaire et distractif com- plet. Il en serait de même à 1 "école des
enfants
de la Satpetriere. Enseignement par les project
eignement par les projections est très com- plexe. Il sert pour les
enfants
de toutes les catégories : 1° Pour les enfants
xe. Il sert pour les enfants de toutes les catégories : 1° Pour les
enfants
idiots complets, à fixer l'attention (images bl
ître les objets des animaux (Images graduées, Fig. 61); 3" Pour les
enfants
imbéciles, arriérés et épileptiques, il l'aire
es, des manies, s'opposer aux pratiques solitaires. Pour tous les
enfants
et en particulier pour les imbéciles intel- lec
prendre it nos auxiliaires administratifs qu'ils ont affaire il des
enfants
malades, relevant du traite- ment 7néclieo-hécl
t du traite- ment 7néclieo-hécla.coqlee, envers lesquels et comme
enfants
et comme malades, ils doivent se montrer bienve
Fig. 61. - On projette le mot coq qui est lu il haute voix par les
enfants
, puis Promenades et distractions. xxxv pour l
a loin de la coupe aux lèvres. Promenades et distractions. - Les
enfants
de la grande et ceux de la petite école qui son
institutrices doivent donner des leçons de choses et exercer les
enfants
aux jeux de balle et de ballon. Voici l'énuméra
Porte, qui veut bien chaque année, sur notre demande, autoriser nos
enfants
et les petites filles de la Salpêtrière à visit
H théâtres et concerts de Paris ont prêté leur concours. Tous les
enfants
valides de Bicêtre et de la Fondation Vallée y
r de l'hospice. Deux séances de presti- digitation. Une quinzaine d'
enfants
ont assisté à un concert donné dans la salle de
o. Une autre série a visité le musée de Versailles. Quatre-vingts
enfants
(garçons et filles) ont assisté à une séance de
séance de cinématographie dans les locaux de la maison Dufayel. Les
enfants
ont encore bénéficié de plusieurs représentatio
nt visité le Conservatoire des arts et métiers. - l'isites. - Les
enfants
ont reçu 9.526 visites; les visiteurs ont été a
un excellent moyen de maintenir la discipline et d'encourager les
enfants
. Ils rendent le séjour à l'asile- école plus su
le et contribuent à maintenir les liens entre les familles et leurs
enfants
. Nous avons insisté auprès de l'Administration
u'elle exige des familles qu'elles fassent rentrer exactement les
enfants
à l'issue de leur congé. Les visites des famill
t la revaccination de tous les malades entrés durant l'année et des
enfants
dont la revaccination remonte à 7 ans. - Comme
l'infirmerie. (1) Il n'y a pas eu moins de 4 ? 13 jours d'absence d'
enfants
: le prix de journée étant de · ? fr.· : 0, il
de remédier aux nombreuses défectuosités de la dentition chez nos
enfants
et aussi d'avoir, chaque année, une note, prise
note, prise par un homme compétent, sur la dentition de tous les
enfant
^. Bains el Icycl.ootlcémcpio. Les bains et les
, au lieu de 27 fr. 50 alloué par l'Administration aux ateliers des
enfants
, pour gratifications hebdomadaires aux enfants,
ion aux ateliers des enfants, pour gratifications hebdomadaires aux
enfants
, l'achat déjà indiqué, par l'Administration de
déjà indiqué, par l'Administration de 11 instruments neufs pour les
enfants
de la fanfare et d'une sphère pour les classes.
proposition, a accordé des blouses au personnel de l'infirmerie des
enfants
. C'est là un premier pas vers une réforme plus
ches et l'aménagement, comme tables et bancs (confectionnés par les
enfants
), du sous-sol du 3e pavillon, destiné, comme no
ndu de 1898 et aussi plus haut (p. V11), à une certaine catégorie d'
enfants
: adoles- cents incurables, épileptiques et idi
à l'hospice de la Salpêtrière; 1)" Péters, médecin à l'hôpital des
Enfants
(de St I'éterslour); Dur Qucrton (de Bruxelles)
ès grande de montrer, non seulement l'organisa- tion du service des
enfants
, mais encore son fonction- nement dans tous ses
faveur de l'hospitalisation et de l'éducation de cette catégorie d'
enfants
anor- maux et les convaincre de la possibilité
ls apportent chaque jour à donner l'instruction professionnelle aux
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'
fr. 50 par jour, soit pour l'année 16.607 fr. 50. Le Travail des
Enfants
, évalué par M. l'économe et par l'architecte co
liers (210.000 fr.) ; 3° les gratifications hebdomaires données aux
enfants
le samedi, à titre de récompense et qui s'élève
e de 2.567 fr., qui vient atténuer les dépenses d'entre- tien des
enfants
. Pour permettre il tous d'apprécier les résulta
539 gilets, 112 robes, 145 mail- lots, 8 maillots de force pour les
enfants
cléchireurs. Menuiserie. 4 échelles simples,
e d'Alembert à Monté- vrain, par exemple, où les apprentis sont des
enfants
normaux, sains de corps et d'esprit, et même ch
s des candidats. Nos appren- tis, à Bicêtre, sont non seulement des
enfants
Axon- maux, mais encore des enfants malades : q
Bicêtre, sont non seulement des enfants Axon- maux, mais encore des
enfants
malades : quand ils ont, les uns des accès épil
ment, après avoir douté de la possi- bilité de faire travailler les
enfants
idiots, arriérés et épileptiques, et avoir prot
t non le produit lui-môme, bien qu'il ne soit pas à dédaigner : les
enfants
eux-mêmes sont heureux de voir que leur travail
ulation. Le premier janvier 1899, il restait dans le service 4662
enfants
(2) : ! il 7 enfants idiots, imbéciles ou épi-
janvier 1899, il restait dans le service 4662 enfants (2) : ! il 7
enfants
idiots, imbéciles ou épi- leptiques, dits alién
nction, qui s'applique aux épilep- tiques adultes aussi bien qu'aux
enfants
, est purement administrative et il est difficil
(2) C'est-à-dire 62 de trop, puisque la Section a été conçue pour 400
enfants
. Mouvement DE la population. xci de plus de
lation. xci de plus de 9.000 fr. sur les journées d'absence des
enfants
, par permissions de sortie ou congés. La vérité
puissions les mettre en regard de pesées analogues faites chez des
enfants
réputés normaux et décédés soit à l'hôpital des
s. Huit évasions ont eu lieu dans le courant de l'année, celles des
enfants
Tir..., Vatrl ? Dutail..., Bousqu..., IIouh...,
s ont été rendus quelques jours après leur évasion. Le dernier, l'
enfant
Calb..., a été envoyé par le parquet dans une m
isé. Maladies infectieuses. Un seul cas de fièvre typhoïde chez l'
enfant
Bell... Un cas de scarlatine chez l'enfant Van
fièvre typhoïde chez l'enfant Bell... Un cas de scarlatine chez l'
enfant
Van den Cast... Le premier de ces deux enfants,
e scarlatine chez l'enfant Van den Cast... Le premier de ces deux
enfants
, aujourd'hui complètement guéri, a réintégré so
ns à noter cette année une épidémie de rougeole, qui a porté sur 15
enfants
; une infirmière, en outree en a été atteinte, \
h... L'épidémie a débuté en mars et semble avoir été apportée par l'
enfant
xcvi Décès. 11 XLVIII DÉCÈS. 1 c Décès'. i'
L'épidémie a pris fin en mai, un seul décès à signaler, celui de l'
enfant
Missi... Le service du pavil- Ion d'isolement e
tous les soins que nous apportons à surveiller le cuir chevelu des
enfants
, nous ne parvenons pas à nous débarrasser compl
: elle se trouve entretenue par de nouveaux arrivants et par les
enfants
déjà atteints, pour la plupart desquels les rec
s recommandations sont de nul effet. Maladies intercurrentes. - 4
enfants
ont été atteints d'état de mal 6,I)ilel)ti(lue;
our diarrhée; un pour deux ongles incarnés. Ajoutons que tous les
enfants
qui se font, soit dans des accès, soit en jouan
à Personnel du service. cxiii cette époque, dans le service, 449
enfants
, se décom- posant ainsi : 406 enfants idiots, i
époque, dans le service, 449 enfants, se décom- posant ainsi : 406
enfants
idiots, imbéciles, ou épileptiques, dits aliéné
cès, les inconvénients qu'il y avait à mettre dans ! e. service des
enfants
des jeunes gens de 18 il 20 ans et au pavillon
ée ne correspond plus à la Colonie de Vaucluse, mais au service des
enfants
de Bicêtre, où nous recevons, en outre des épil
gories d'en- fants idiots. De là deux groupes principaux : 1° les
enfants
idiotes et gâteuses, 2° les enfants propres. En
eux groupes principaux : 1° les enfants idiotes et gâteuses, 2° les
enfants
propres. Enfants idiotes et gâteuses. Elles éta
aux : 1° les enfants idiotes et gâteuses, 2° les enfants propres.
Enfants
idiotes et gâteuses. Elles étaient au nombre de
rts. Les idiotes galeuses se divisent en deux catégories : a) les
enfants
valides qui sont envoyées a l'école durant une
plus malades, il n'en résulte pas moins, de l'envoi à l'école des
enfants
gâteuses valides, des inconvénients pour les en
l'école des enfants gâteuses valides, des inconvénients pour les
enfants
des classes voisines, affectées aux enfants pro
nconvénients pour les enfants des classes voisines, affectées aux
enfants
propres. IJ) Les enfants invalides, qui séjourn
nfants des classes voisines, affectées aux enfants propres. IJ) Les
enfants
invalides, qui séjournent dans les locaux dont
Dev ? Le Br ? Caza ? Gudef... Voici qnelques renseignements sur six
enfants
qui, partis de très bas, ont fait de sérieux pr
de très bas, ont fait de sérieux progrès. Po... (Camille), 16 ans.
Enfant
arriérée, parlant peu, à son arrivée, avait une
gnement pratique ET primaire. CIVIL était très difficile à fixer, l'
enfant
ne se rendait pas compte de ce qui se passait a
se passait autour d'elle, elle n'avait aucune notion classique. L'
enfant
a fait néanmoins des progrès surprenants. Elle
coud bien, fait elle-même une robe et un tablier. Mari.... ](3 ans.
Enfant
très arriérée et très bornée, ne connaissait, n
sa mère, elle ne pouvait l'envoyer il l'école, parce que les autres
enfants
se moquaient d'elle. Elle bégayait beaucoup et
au point de vue classique surtout. Malgré toutes ces difficultés, l'
enfant
a fait de réels progrès, elle lit couramment, é
ais ne fait que l'addition. Trouil... (Georgette), 1 ? ans. Cette
enfant
, atteinte d'imbé- cillité et d'hémiplégie droit
s ne sait tenir une conversation. L'attention est facile à fixer, l'
enfant
se tient bien à la classe et a pris goût aux ex
t lisiblement, quoiqu'écrivant de la main gauche. A son entrée, l'
enfant
ne pouvait ni s'habiller, ni se désha- biller,
marchait pas, ne par- lait pas, gâtait nuit et jour. Aujourd'hui, l'
enfant
parle et sait soutenir une conversation comme l
urd'hui, l'enfant parle et sait soutenir une conversation comme les
enfants
de son âge. Elle a appris à marcher seule, la m
ommence il faire de petites additions orales. Sa tenue est bonne, l'
enfant
s'habille et se déshabille seule. Kram... (Alin
line), 8 ans, atteinte d'idiotie myxoedémateuse. A son entrée cette
enfant
était gâteuse, la parole et la marche étaient n
elle compte seule jusqu'à vingt. Au point de vue de la lecture, l'
enfant
ne reconnaît pas encore ses lettres, elle les nom
einte d'idiotie avec gâtisme, parole, marche, mastication nulles, l'
enfant
était alimentée au bibe- ron. Peu à peu, on l'a
est arrivée à manger de la viande et des légumes comme les autres
enfants
. La mastication est bonne quoique un peu lente.
é ; elle monte et descend facilement les escaliers, suit les autres
enfants
dans la cour, aux classes et même dans les prom
n obtiendra de bons résultats. Le gâtisme a complètement disparu, l'
enfant
est propre nuit et jour. L'amélioration notable
nt est propre nuit et jour. L'amélioration notable obtenue chez ces
enfants
montre a fortiori ce qu'on peut obtenir chez de
chez ces enfants montre a fortiori ce qu'on peut obtenir chez des
enfants
moins profondément atteints. Nous avions propos
suffisamment élevé et aéré, en un service spécialement destiné aux
enfants
idio- tes gâteuses, valides et même à une parti
, au projet d'aménagement des sous-sols du nouveau pavillon de cent
enfants
, projet qu'elle avait déjà adopté dans sa séanc
gymnastique, de deux salles d'école, d'une salle spéciale pour les
enfants
gâteux, d'une pièce pour le cirage des souliers
ions analogues de Bicêtre qui lui ont été signalés comme modèles.
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiques, etc ? valides
à la Fondation. L'idéal que nous poursuivons consiste à occuper les
enfants
du matin juSqZ'a2 soir, en variant le plus poss
même doivent contribuer à leur éducation. Au lever, on apprend aux
enfants
à faire leur toilette, leur lit, à nettoyer leu
leur lit, à nettoyer leur dortoir. Aux repas, on sur- veille les
enfants
qui savent manger seules et on corrige leurs ma
autres à se servir de la cuiller, de la fourchette, etc. Sur 199
enfants
présentes à la fin de l'année, 35 savent se ser
eulement; 37 ne savent pas manger seules. CXXH Dessin, chant, 150
enfants
ont fréquenté l'école et sont exereées à la gym
et sont exereées à la gymnastique des échelles et des ressorts. 55
enfants
participent aux exercices delà grande gymnastiq
un professeur de dessin pour la Fondation et pour le service des
enfants
de Bicêtre. Sur ce point encore nous avons eu l
nstructions, ce professeur s'est occupé, successivement de tous les
enfants
, en mesure de ? profiter dans une mesure quelco
ettes divisées en trois séries, y ont participé. Presque toutes ces
enfants
, à part quelques- unes récemment entrées à la F
a valeur. Le procédé employé est le même qu'à Bicêtre : dès que les
enfants
sont assez avancées pour bien lire un morceau d
s'est, accru encore cette année en étendue, principalement chez l'
enfant
Kram... dont le timbre de voix est le même que
l'enfant Kram... dont le timbre de voix est le même que chez une
enfant
normale. M. Sutter a organisé, avec les jeunes
tes de la Fondation, une classe spéciale de chant. On apprend à ces
enfants
des mélodies et des petites romances à l'unisso
sse, instituteur à Bicêtre, tous les mercredis de 4 à 5 heures. 160
enfants
ont pris part à ces exercices, 70 savent danser
rofessionnel . A mesure que les cxxiv Enseignement professionnel.
enfants
se développent, on leur apprend tous les soins
des moins arriérées aident le personnel à apprendre à manger aux
enfants
incapables cle manger seules et iL perfectionne
seules et iL perfectionner celles qui mangent malproprement. Deux
enfants
cle la Fondation, Briss... et Rich... ont conti
nt par séries régulières, 30 ont travaillé une heure par jour. 30
enfants
savent faire complètement les layettes; 25 du c
8\ : JU.. ( : 1\VIII Maladies infectieuses. poser à l'évasion des
enfants
(1) sur le mur de clôture cle la dite cour. Sur
de toile ont été enfin données au personnel de l'inlir- merie des
enfants
. - Notons enfin les travaux entrepris pour le s
x entrepris pour le sous-sol du nouveau bâtiment. Teigne. - Douze
enfants
ont été soignées au pavil- Ion d'isolement de l
fièvre typhoïde a sévi sur la Fondation Vallée et a porté sur 10
enfants
et une infirmière Milo Dur... Trois cas ont été
fait appliquer pour la première fois au pavil- lon des cellules des
enfants
de Uicètre, puis Yitry, à l'Institut médico-péda-
on, de ce prélèvement. Veuillez agréer, etc. l3oottVr.wtLL. Une
enfant
a été également soignée au pavillon des contagi
contagieux pour un érésypèle de la face. Maladies intercurrentes.
enfants
sont entrées il l'infirmerie atteintes de tuber
10 pour bronchite, 4 pour état de mal épileptique; Notons enfin 3
enfants
que nous avons été obligé d'isoler et de soigne
pulation. Le 1"'janvier 1899 il restait à la Fondation Vallée 189
enfants
se répartissant ainsi : eXxx Mouvement de la po
31 décembre 1899. - Il restait à la Fondation, le 31 décembre, 199
enfants
, se décompo- sant ainsi : cxxxn décès, CXXX
. -- cXxxn Décès. FI. 1 i 12 Section ni. - Assistance des
enfants
idiots : 4° Création de classes spéciales, anne
e classes spéciales, annexées ou non, aux écoles primaires pour les
enfants
arriérés ; - 2° Secours à domicile. 1. ..1
rtiers spéciaux de Bicètre et de la Salpêtrière. Ces Assistance des
enfants
idiots. ' CXLII( renseignements donneront satis
ts relatifs au fonctionnement et à l'organisation de la section des
enfants
idiots, arriérés et nerveux de l'hospice de Bic
e lettre ouverte sur l'or- ganisation de classes spéciales pour les
enfants
atteints d'arriération intellectuelle. Les évén
Foubert, inspecteur primaire, de faire établir une statistique des
enfants
arriérés et indis- ciplinés -des- écoles des Va
arrondissements. Cette enquête sommaire a montré qu'il y avait 83
enfants
arriérés, 249 indisciplinés des deux sexes C :
s-uns des arrondissements de Paris des classes spéciales pour les
enfants
arriérés n'offrant ni perversion des instincts,
'où ressort le service des aliénés et par conséquent les services d'
enfants
de Bicêtre, de la Fondation Vallée, de la Salpê
oit créé près des écoles de la Ville des CLASSES spéciales pour les
enfants
arriérés. » Ce voeu a été voté par la Commissio
l nous annonçait sa volonté de « faire procéder au récolement des
enfants
arriérés ou indisciplinés qui fréquentent les é
écrivions avec détail l'organisation des classes spéciales pour les
enfants
arriérés en Suisse, en Angleterre et en Belgiqu
il général de la Seine ur la création de classes spéciales pour les
enfants
arriérés, 181/U. Classes spéciales. CLV11 « V
rieurs, pour justifier la création de classes spéciales pour les
enfants
arriérés. Vous y trouverez aussi, ce qui est d'
li.)Ull\1 ? 'ILL1 : . 1 ? Création de Classes spéciales pour les
enfants
arriérés. Nouvelle NOTE à MM. les Membres de la
emis une Seconde Note sur la création de classes spéciales pour les
enfants
arriérés, annexées ou non aux écoles primaires.
délégués sur l'organisation et le fonctionnement de la section des
enfants
. Nous souvenant de ces circonstances, nous avon
ce qui existait en Prusse, au sujet des classes spéciales pour les
enfants
arriérés. Ce sont les rensei- gnements qu'il no
n'est en ce qui concerne les classes spéciales où sont enfermés les
enfants
en retard sur leurs condisciples. Beaucoup d'él
e de tenir compte de l'obligation que nous avons d'éduquer ceux des
enfants
qui restent en arrière de leurs camarades. Les
travail de l'élève, comme celui du maître, se trouve entravé. Les
enfants
qui y sont relégués reçoivent un enseignement i
vénients s'aggravent tous les jours. Et pourtant ils sont rares les
enfants
que l'inapplication seule fait ainsi reléguer.
ain de la famille, 'pourraient être donnés comme modèles aux autres
enfants
. Leur réiegation dans les classes-geôles, hors
eurs maîtres ne leur ont pas fait les mêmes avantages qu'aux autres
enfants
. De sorte que la façon de se servir de ces clas
pro- gramme de l'enseignement moyen suffit pour reconnaître que l'
enfant
doit déjà, dès cet enseignement, acquérir les c
. Ce n'est pas obéir à ce principe que de ne pas faire acquérir à l'
enfant
une science propor- tionnée dans chacune des cl
droits, il. côté des écoles publiques, et en dehors des écoles pour
enfants
moins bien doués que les autres, mais normaux p
établissements d'enseigne- Classes spéciales. CLIII ment pour les
enfants
faibles d'esprit, qui n'étant pas assez atteint
une méthode spéciale, un plan parti- culier, et que l'admission des
enfants
dans ces classes n'est prononcée que sur le vu
oles, publiques ou privées, qui reçoi- vent dans votre district les
enfants
anormaux soumis par leur âge à l'obligation sco
tablissements organisés pour recevoir dans un but d'instruction les
enfants
faiblement doués soumis par leur âge il l'oblig
annexé ci-après. Tandis que l'an dernier, clans mainte classe, les
enfants
moralement abandonnés étaient encore mêlés aux
retrait des premiers, dans les classes dont nous nous occupons, des
enfants
qui, pendant un an ou deux qu'ils ont fréquenté
établi que, au point où en sont les choses, il existe partout des
enfants
relevant d'une organisation scolaire toute spécia
anisation scolaire toute spéciale, et que d'une façon générale, ces
enfants
se sont améliorés d'une manière surprenante dan
d'une importance capitale quand il s'agit de catégoriser un de ces
enfants
, chez lequel une malformation physique, ou une
clv sollicitude toutes les étapes du développement chez cha- que
enfant
. D'un autre côté l'intervention du médecin est
ion du médecin est une garantie pour que ces admissions parmi les
enfants
qui ne sont pas assez développés intellectuelle-
e l'Etat. La dernière dénomination de « Classes d'assistance pour
enfants
faiblement doués » convient bien pour indi- que
atique. Abstraction faite de la ville de Berlin, les classes pour
enfants
faiblement doués, sont dans toutes les villes nom
le 18 février de cette année, les organisations scolaires pour les
enfants
faiblement doués dans les villes d'Er(lurt et d
D'un autre côté, on ne peut nier que des classes séparées pour les
enfants
anormaux aussi habilement organisées atteignent
nt de véritables établissements de bienfaisance pour ces malheureux
enfants
. Puisque je recommande les établissements à une
Wiesbaden le 2(i février courant, les organisations scolaires pour
enfants
faibles d'esprit de Hanovre et de Francfort son
ons plus nombreuses que d'habitude, qui en général exigent pour l'
enfant
un changement de classe annuel, n'ont pas la mê
ue dans les écoles publiques, où, dans la grande majorité des cas l'
enfant
doit les suivre une par une. Je pense au contra
doivent être proportionnées au degré de perfec- tibilité de chaque
enfant
, de sorte que seuls arrivent aux classes supéri
e perfectibilité très différents dans la réalité que présentent les
enfants
anormaux, présenter des divisions en rapport av
degrés, et ne pas perdre de vue qu'il y aura dans chaque classe des
enfants
qui y resteront jusqu'à la fin de leur scolarit
on particulière du Conseil royal : on évitera ainsi de surmener des
enfants
déjà faibles, de retarder leur développement, e
me faire un rapport rigoureux sur les organisations scolaires pour
enfants
fai- blement doués, autrement dit sur les class
colaires sont à citer, pourvu qu'ils nient été organi- sés en vue d'
enfants
faiblement doués, qu'ils soient ou non annexes
ion, et quelle est l'administration qui les dirige. 11 s'agit des
enfants
qui ne peuvent avec fruit participer aux travau
s anciennes classes d'Assistance les maîtres, ont ouvert sur chaque
enfant
et sur les diverses phases de son développement
renseignements que je demande; sont les suivants : y-a-t-il eu des
enfants
qui ont dû quitter l'école publique pour aller
gré d'en- seignement appartenaient-ils ? de plus, y a-t-il eu des
enfants
, qui paraissaient au début susceptibles d'amélio-
ensuite être placés dans les asiles d'idiots; enfin y a-t-il eu des
enfants
qui par suite de l'ap- parition de l'épilepsie,
! )i, un tableau d'ensemble sur l'état actuel de renseignement des
enfants
faiblement cloués dans des écoles spéciales. Ai
t enseignement a pris la plus haute importance. Le nomhre total des
enfants
reçus dans ces écoles s'élève il 2.017, tandis
parents professaient autrefois à l'égard de la séparation de leurs
enfants
faiblement cloués en dehors de l'école publique
ue, en Prusse, l'obligation de l'instruction primaire pour fous les
enfants
, n'est pas un mot de « programme politique », m
tée autrefois par les parents à l'égard de la séparation de leurs
enfants
arriérés des enfants normaux et leur placement
es parents à l'égard de la séparation de leurs enfants arriérés des
enfants
normaux et leur placement dans les classes spéc
Signalons entin le « livre soigneusement tenu » ouvert sur chaque
enfant
et les instructions relatives à la possibilité
s faisons pour obtenir la création des clas- ses spéciales pour les
enfants
arriérés, dans notre pays, il s'est mis à notre
ent spécial N° 3 A. Les premiers mois de l'existence de l'école des
enfants
arriérés ont été consacrés il l'organisation de
dédoublées de manière à ne réunir sous un môme instituteur que les
enfants
présentant entre eux le plus d'analogies. Tou
s placés dans les classes dont il a été question ci-dessus sont des
enfants
chez qui, comme c'est le plus généralement le c
qu'à l'âge de 8, 9 ou 10 ans. Mais il existe un certain nom- bre d'
enfants
chez lesquels l'atrophie ou plutôt la paresse c
fréquenter l'école primaire, ils présen- tent tous les caractères d'
enfants
beaucoup plus jeunes. Seul le régime frocbelien
ient, mais leur âge ne leur permet plus de fréquenter les jardins d'
enfants
ordinaires. C'est pourquoi une classe à régime
3 A. L'essai fait a produit les meilleurs résul- tats. Parmi les
enfants
admis à l'école n° 3 A un grand nombre nous avo
ors inutilisables. Grâce à la bonne organisation du service, chaque
enfant
prend deux hains par semaine- Grâce -IL ces m
mentale, de procéder à l'organisation de classes spéciales pour les
enfants
arriérés, en nommant une commission chargée d'e
s sa séance du 30 mars. Organisation de secours a domicile pour les
enfants
idiots et arriérés. Rapport A la Commission de
Bourneville sur l'organisation des secours il cl.onicile lotcr les
enfants
idiots ou arriérés. (11 Messieurs, Le départe
pour organiser l'assistance de la catégorie la plus nombreuse, des
enfants
anormaux ou atteints de maladies chroniques du
gression de l'alcoolisme, le nombre des places disponibles pour ces
enfants
dés- hérités est devenu tout iL fait insuffisan
ECOURS A domicile. CLXXI ces spéciaux sont encombrés et de nombreux
enfants
, inscrits il l'asile Clinique, attendent pendan
remise à leurs familles, après avis du médecin chef de service, des
enfants
idiots ou arriérés indigents, moyennant l'alloc
secours de t fr. 50 à 2 francs à allouer par jour aux familles des
enfants
idiots ou arriérés, dans les conditions susindi
ttribués par déci- sion préfectorale. A 11'1'. 2. - La remise des
enfants
aux familles sera effectuée par le directeur de
nT. 3. - Cette remise sera essentiellement provisoire. Anar. 4. Les
enfants
seront amenés, au moins une fois par mois, à de
sile Clinique (Sainte-Anne), d'accord avec le fLSXII Assistance des
enfants
arriérés. médecin répartiteur, au bureau d'admi
e celle visite et sur le vu de ce certificat. Art. 5. En outre, les
enfants
seront visités au moins une fois par mois et à
nterne des asiles de la Seine, est chargé de la visite domicile des
enfants
idiots ou arriérés ainsi secourus. Il recevra,
ous-chapitre VII, art. 1 ? du budget départemental. ART. 8. - Les
enfants
repris par leurs familles ne pourront figurer d
service de la répartition à l'asile Sainte-Anne, constatant que l'
enfant
a été régulièrement amené iL sa visite. ART. 10
situation analogue, l'encom- brement de quelques-uns des services d'
enfants
, et faire face aux demandes des familles, M. le
tement. Ce principe comporte toutefois une restriction relative aux
enfants
. En vertu d'une délibération du Conseil général
dans ces services et la plupart sont immédiatement comblées par les
enfants
placés d'office par mesure de sécurité publique
fet de police. Il en résulte qu'un nombre ! assez considérable d'
enfants
ins- crits sur le registre tenu a l'asile Clini
bre de places dont mon administra- tion peut disposer en faveur des
enfants
étant, d'après ce qui précède, forcément très l
l serait nécessaite, soit d'ouvrir de nou- veaux quartiers pour les
enfants
, soit de recourir au système des secours à domi
r au système des secours à domicile qui a déjà été employé pour les
enfants
aliénés ou idiots en 1883 et 18't. Le système
nforme du médecin chef de ser- vice, consentaient il reprendre leur
enfant
, un secours de 1 fr. 50 il 2 francs par jour.
ecours de 1 fr. 50 il 2 francs par jour. t',f.S\1V Assistance des
enfants
arriérés. lies enfants étaient amenés une fois
francs par jour. t',f.S\1V Assistance des enfants arriérés. lies
enfants
étaient amenés une fois par mois à des jours et
variant entre I franc et I fr. 50 serait accordée aux familles des
enfants
repris. Il y a lieu de prévoir que beaucoup d
repris. Il y a lieu de prévoir que beaucoup de parents ayant un
enfant
placé accepteraient volontiers de le reprendre mo
érieure à celle qu'entraînerait l'ouverture de nouveaux quartiers d'
enfants
. Pour ces motifs, j'ai l'intention de saisir le
s nouvelles ont été sou- levées pour les placements volontaires des
enfants
. Noire but, en réclamant, pendant des années, l
police, est devenu de plus en plus considérable. L'inscription des
enfants
sur le registre de l'asile Clinique, l'attente
attente prolongée de l'admission n'améliorent pas l'état mental des
enfants
. Les im- pulsions auxquelles ils sont sujets s'
tend il re- venir au même degré .que par le passé. Et il s'agit d'
enfants
! Ceci dit, revenons il la lettre de M. lo Pré-
rait nécessaire : 1° soit d'ouvrir de nouveaux quar- tiers pour les
enfants
, 2° soit de recourir au système des secours il
ux autres : 8° le dégagement rigoureusement régulier des services d'
enfants
par le passage aux adultes de ceux qui ont plus
armonie avec leur âge; 4" la création de classes spéciales pour les
enfants
arriérés. Nous allons examiner aussi brièvement
és. Nous allons examiner aussi brièvement que CLXXVI Assistance des
enfants
arriérés. possible ces quatre moyens d'améliore
tée par le département il y a quel- ques semaines. 2° Passage des
enfants
devenus adultes dans les section d'adultes. -A
tes dans les section d'adultes. -A la Salpêtrière, le médecin des
enfants
idiotes et épileptiques est en même temps charg
re quand nous avions la section commune aux épileptiques adultes et
enfants
et aux enfants idiots. Mais lorsque la séparati
vions la section commune aux épileptiques adultes et enfants et aux
enfants
idiots. Mais lorsque la séparation des adultes
aux enfants idiots. Mais lorsque la séparation des adultes et des
enfants
a été opérée par la création d'une section spéc
r la création d'une section spéciale à ces derniers, le passage des
enfants
deve- nus adultes, soit dans la section des épi
fèrcment des malades non visités et demandé qu'une autre partie des
enfants
, devenus adultes, soient envoyés à Villejuif ou
rs des familles habituées il venir visiter depuis longtemps leurs
enfants
il Bicètre, n'ont pas été suivies d'effet d'unc
en résulte que, à l'heure actuelle, nous avons dans notre service d'
enfants
à Bicêtre 77 malades ayant plus de 18 au : ; do
u maintien de ces grands garçons, devenus des hommes, au milieu des
enfants
. 11 suit de ces renseignements qu'en assumait a
rra disposer progres- sivement d'un certain nombre de lits pour les
enfants
inscrits à l'asile Clinique. Nous n'avons rie
asses spéciales, annexées ou non aux classes ordinaires, pour les
enfants
arriérés des écoles primaires. Ces classes exis-
rnières BoumOEvILLE, Bicêtre, 1899. ` ? CLXXV ! l1 Assistance des
enfants
arriérés. années sur celles (l'.111 ? lelcrre,
les, tout en les soumettant au traitement médico-pédagogique, des
enfants
pour lesquels on réclame aujourd'hui l'hospital
s vous avons rait voir il Bicêtre, il plusieurs de vos visites, des
enfants
amé- liores en mesure de profiler clés classes
On allégerait ainsi les charges de l'assistance en mainte- nant l'
enfant
clans sa famille, en resserrant les liens entre
t clans sa famille, en resserrant les liens entre la famille et les
enfants
. En procédant de la sorte, on ferait de la véri
chacune de vos visites il Bicêtre, parmi les modes d'assistance des
enfants
arriérés et épileptiques sur lesquels nous nous
tion : Secours à domicile. De même que nous vous avons montré des
enfants
améliorés susceptibles d'être envoyés clans les
t un temps plus ou moins long selon leur étal et leur Age, mais aux
enfants
et adolescents hospitalisés. JI faudra choisir
les services où ils étaient auparavant. D'après M. le Préfet, les
enfants
seraient ce amenés une fois par mois, il des jo
si la distance de l'aris il la colonie de Vau- clxxx Assistance des
enfants
arriérés. cluse n'était pas si considérable ct
, nous pen- sons qu'il y aurait plus d'avantage à faire venir les
enfants
il la visite des médecins qui les ont soignés,
tre, Vallée et la Salpé- t.iièro : au moins, pour celte catégorie d'
enfants
, on ferait oeuvre de patronage. Quant 1 la ct
éfet sur l'orga- nisation de secours à domicile pour les malades,
enfants
ou adolescents des services spéciaux de Bicê- t
r votre voeu en faveur de la création de classes spéciales pour les
enfants
arriérés; 3° d'appeler la vigilance de l'Admini
eler la vigilance de l'Administration sur le passade régulier des
enfants
Agés de plus de 18 ans, et ayant un développeme
. Bourueville sur l'organisation cle secours il domicile pour les
enfants
arriérés, ainsi que pour la création de classes
uite qu'elles comportent. Quant à la question de la répartition des
enfants
Secours A domicile. CLXXXI de la 4° section d
icêtre, de Villejuif et de Ville-Evrard. je suis étonné du nombre d'
enfants
que M. Rounw- pille nous signale comme n'ayant
ertains cas sans effet. M. le Dr 13ouartEV m,L : dit que, lorsqu'un
enfant
devient susceptible de passer clans un service
a lion générale de l'Assistance publique. C1.CT\TI Assistance des
enfants
arriérés. Paris, le ? 2 février 1897. Monsieu
sa section des idiots au-dessus de 1S ans, provenant du service des
enfants
arriérés de M. le Dr 7 ? ou)'- nedlle, Pour r
nous préconise- rez la solution consistant à diviser par tiers les
enfants
par- venus à l'âge ou ils doivent être transfér
ue antérieurement suivie, il a été tronsfere un plus grand nombre d'
enfants
parvenus à l'âge adulte sur les asiles de la Se
s les sections d'adultes de Bicêtre. Ces sections n'ont reçu que 15
enfants
tandis qu'il en a été envoyé 1'i à Ville-Evrard
ucluse des cnfants de 131cêtre, alors que cet asile reçoit déjà des
enfants
provenant de la colonie ; d'autre part, Ville-I
s de Bicêtre et l'asile de Villejuif qui est dans le voisinage, des
enfants
de la 5e section parvenus il l'âge où ils doive
où ils doivent être transférés da'ns les services d'adultes. Les
enfants
à diriger sur Villejuif devront être de préférenc
être entièrement employé il allouer dos indemni- tés aux parents d'
enfants
arriérés que l'on ferait .s01'- tir de l'asile
'il doit également servir il distri- buer des secours aux parents d'
enfants
ëxpectants. il. le Dr Bourneville répond qu'il
ncontre du but que l'on se propose, c'est-à-dire l'amélioration des
enfants
. C'est après l'application plus ou moins prolon
courant de l'année 1898, nous avons essayé sur un certain nombre d'
enfants
épileptiques de la 4° section l'emploi cle l'éo
de chute des ongles. Orteils absolument indemnes. 25 orei)t)'c. L'
enfant
présente encore des taches rosées à la nuque, d
n. - Orins. XXI. Épilepsie probablement idiopathique. Sommaire. -
Enfant
assisté; aucun renseignement. Mort en état de m
1/pt0'CILtcte. Absence de renseignements sur le développement de l'
enfant
, le début et les causes de l'épilepsie. S¡¡ncla
es qui aboutissent ultérieurement Ù des ulcérations. C'est chez les
enfants
que ce fait a été observé. » (Ghaumont. loc. ci
ropos des accidents du bro- misme, et auxquels, dans le service des
enfants
, on apporte la plus grande vigilance (bains gén
bien portante, pas nerveuse, mais caractère boudeur. Elle a eu sept
enfants
. Aucun n'a eu de convulsions ni de maladie nerv
utre, cultivateur, s'est marié avec une jeune femme dont il a eu un
enfant
bien portant. - Pas de tantes, ni du côté du pè
la mère. Deux frères, sobres et en bonne santé, ont chacun 5 ou 6
enfants
. L'un de ces enfants serait mort, vers 4 ans, de
s, sobres et en bonne santé, ont chacun 5 ou 6 enfants. L'un de ces
enfants
serait mort, vers 4 ans, de mé- 911nfJiLC. - Ri
ortantes, leur famille aussi. - Trois tantes paternelles ont eu des
enfants
7 ? Idiotie ET épilepsie spasmodique. bien co
ltés pour la politique ». - Sept frères et soeurs. La mère de notre
enfant
est l'aînée ; - 2° garçon mort à 24 ans, à la s
- 5° fille, bien portante, 31 ans, pas de convulsions; deux de ses
enfants
sont morts, l'un à 2 ans et demi, d'en- térite,
de znéz.izgite. : - 6° garçon de 33 ans, bien portant ainsi que son
enfant
de 10 ans, très nerveux ; - 7° garçon mort à 26
harente, mère de la Bretagne). - Différence d'âge de 5 ans. Trois
enfants
et une fausse couche à 3 mois : 1° un enfant av
âge de 5 ans. Trois enfants et une fausse couche à 3 mois : 1° un
enfant
avant son mariage (d'un autre père), mort à 21 jo
n'eut pas le temps de chercher la sage- femme ; couches sèches. - L'
enfant
cria tout de suite. - Élevée en nourrice, au la
ais régulier. Amygdales moyen- nes. - Langue normale, non déviée. L'
enfant
la sort faci- lement de la bouche. Pas de tremb
Colonne vertébrale droite, mais les mouvements sont peu souples. L'
enfant
se tient mal, le dos voûté, l'épaule gauche plu
rre. Elle est toujours abattue. T. R. 38°. Rien à l'auscultation. L'
enfant
, du reste, respire très mal et il est difficile
vrier. - A 5 heures du matin, l'état empira considé- rablement et l'
enfant
mourut à 9 heures. Température après décès. 7
bras droit était paralysé. La dentition a été un peu retardée ; l'
enfant
n'a jamais marché seule, ni parlé et a toujours
légie. Cela serait toutefois probable, si, comme on nous l'a dit, l'
enfant
n'a pas eu de con- vulsions, ce qu'on ne peut a
onsanguinité. - Inégalité d'âge de six ans, père plus âge. Quatre
enfants
: 1° Garçon de dix-sept ans et demi : « le pauv
Quatre enfants : 1° Garçon de dix-sept ans et demi : « le pauvre
enfant
est bien de corps, mais il est arriéré, c'est un
e enfant est bien de corps, mais il est arriéré, c'est un véritable
enfant
; ce n'est pas un déséquilibre, mais c'est un s
ous a affirmé qu'il n'y a eu aucune violence exercée vis-à-vis de l'
enfant
. A partir de ce moment, Gabriel à la Antécédent
l'a gardé à sa charge, a dû le retirer du collège. En même temps l'
enfant
devient de plus en plus énervé, on constate un
lissement spécial. La crainte de quitter sa famille provoqua chez l'
enfant
une rémission ; mais pendant le temps qu'elle d
ition des attaques. Dans l'impossibilité de garder plus longtemps l'
enfant
avec elle, la grand'mère le conduit à l'Institu
e légère asymétrie, le côte droit est un peu plus fort et lorsque l'
enfant
rit la commissure labiale gauche se relève un p
écouvrable, méat normal ; anus glabre. b) Etat physiologique. - L'
enfant
est très actifet bruyant ; tous les mouvements
. - L'intelligence par.ut d'abord de force moyenne ; en observant l'
enfant
, dans l'exercice de ses facultés intellectuelle
utes d'orthographe, de ses erreurs de cal- cul, fait supposer que l'
enfant
a oublié beaucoup de ce qu'il savait. C'est ain
n entre le sol 88 Hystérie .mâle de l'enfance. et les fesses de l'
enfant
. A mesure que l'attaque se continue, la face to
s'est mis à respirer bruyamment et la rigidité a cessé aussitôt. L'
enfant
reprend en partie connaissance, il peut nous di
fatigue. Il ne fait aucun mouvement. Cinq minutes après, sans que l'
enfant
perde connaissance à nou- veau et que son corps
quefois elles sont accompagnées d'un coup de tête en avant; assis l'
enfant
ne tombe pas, mais debout, il fait plusieurs pa
se ferment si on fait passer un objet devant les yeux. - Le; 19, l'
enfant
se plaint toute; la matinée de ressentir, au ni
. - Toutes les fois qu'il y a eu attaque dans la journée, la nuit l'
enfant
est très agité, il paraît avoir des cauchemars,
5, attaque complète, durée vingt minutes. - Le 21, sommeil agité, l'
enfant
s'est levé en dormant, a traversé sa chambre, a
heure. - Le 21, petit accès de tristesse qui a duré deux heures; l'
enfant
s'était taquiné avec un de ses camarades. - La
t s'était taquiné avec un de ses camarades. - La mémoire revient, l'
enfant
peut apprendre de petits morceaux de récitation
s en classe et en gymnastique continuent. Dans se conversations l'
enfant
fait preuve d'esprit de suite et de jugement. N'a
elques notions d'histoire et de sciences naturelles. Le 8 août, l'
enfant
quitte l'Institut médico-pédagogique. Hystérie
ettre de sa grand'mèrc du 7 octobre. Réflexions. I. L'hérédité de l'
enfant
est chargée : le père est un alcoolique, la mèr
e dans l'hystérie, en même temps qu'un état de nervosité qui rend l'
enfant
insupportable. Une période de rémission incompl
ité d'âge de dix ans ; le père et la mère sont du même pays. Deux
enfants
: 1° une fille âgée de dix sept ans, intelligente
aux nourrissons du café, du cidre et même un peu d'eau de vie. » L'
enfant
a eu un développement physique normal ; pour la
douze ans et demi (mai 1895). - Auparavant on avait constaté que l'
enfant
avait souvent des cauchemars ; une fois même en
mars ; une fois même en 1892 il serait tombé du lit. En mai 1895, l'
enfant
, en allant chez son oncle en voi- ture a failli
crise nerveuse, et qu'il ne fallait plus lui donner d'excitants. L'
enfant
était abattu ; on avait dû le ramener chez lui
la crise de trois à cinq minutes. Assoupissement consécutif, puis l'
enfant
se réveille brus- (1) Département de la Manche.
-même comme s'il n'avait rien eu. Pas de dépression consécutive ; l'
enfant
parait cependant plus énervé. Les parents ont r
plus docile, « plus gentil. » Depuis l'apparition des accidents, l'
enfant
ne va plus en classe , sa soeur a essayé de; le
ainsi qu'on le verra par la suite. Le père attribue la maladie de l'
enfant
il la peur signalée plus haut et à l'appétence
périnée et à l'anus ; pas d'hémorrhoïdes. Etal physiologique. - L'
enfant
est actif, reste rarement en place. Se tient bi
es paraissent s'accomplir naturellement : ; quelquefois cependant l'
enfant
se plaint de douleurs d'entrailles ; tendance à
les ; tendance à la constipation. Le sommeil est en général bon ; l'
enfant
rêve pourtant quelquefois à haute voix. L'auscu
ise. La sensibilité générale est normale. Etat psychologique. - L'
enfant
a une intelligence lourde, comme somnolente au
dans sa façon d'agir que dans sa conversation, R... parait être un
enfant
normal. L'attention est chez lui de courte; dur
n est impossible; R... est un instable. L'imagination est bornée, l'
enfant
est tout de suite à court d'idées. Il y a plutô
a nécessité de surveiller la propreté des organes génitaux chez les
enfants
, ce qui est le meilleur moyen d'éviter des démang
et de la rate sont peut-être le résultat des excès de boisson de l'
enfant
. Description DU malade ; traitement. 97 systè
oute l'élixir polybromuré d'une à deux cuillerées tous les jours, l'
enfant
ayant été signalé comme épileptique, jusqu'à vé
referment et quel- ques larmes coulent des commissures internes. L'
enfant
reste environ trois minutes sans connaissance.
l se met iL pleurer. A quatre heures et demie, étant en classe, l'
enfant
se lève de son banc en poussant un cri strident,
ncent dans les membres des con- vulsions cloniques très étendues. L'
enfant
fait subitement et très rapidement un ou deux t
les yeux et le front, et se met il pleurer. Deux minutes après, l'
enfant
paraissait endormi, lorsqu'on l'entend crier d'un
. c'est il moi... laisse-moi jouer. » En disant ces derniers mots l'
enfant
se lève brusquement, en rejetant loin de lui se
isant qu'il y a eu guérison. Réflexions. I. L'hérédité directe de l'
enfant
est nulle ; nous ne trouvons de tare que chez l
ante difformité de la verge. III. L'arriération intellectuelle de l'
enfant
est antérieure à la première attaque ; l'appari
ndant. IV. Malgré le diagnostic porté par le médecin, parent de l'
enfant
, qui, du reste, nous avait déclaré n'avoir assi
élioration n'a fait que s'accentuer depuis deux ans passés et que l'
enfant
en est arrivé à « se mettre au niveau de ses ca
l'idiotie et de l'épilepsie ; l'Aie 1t(IL'It\1 ? 1(,l,ls. 1989
enfants
idiots, épileptiques. imbéciles ou hystériques
llité; PAR BOURJNEVILLE. Nous n'avons observé à Bicêtrc, chez les
enfants
du service, de 1879 à 1899, que quatre cas de s
rose en plaques disséminées. la poitrine » avec hémoptysie et leurs
enfants
auraient égale- ment succombé à la tuberculose.
uberculose. - Il a trois frères, tous bien portants ainsi que leurs
enfants
qui n'ont jamais eu de convulsions. Il n'y aura
le de Quatre-Mares près Roues, il y a cinq ans. Il était sobre. Ses
enfants
seraient indemnes d'accidents nerveux. La grand
peur, elle a eu une crise de nerfs. Elle s'est mariée, n'a pas eu d'
enfants
, est morte en quelques jours d'un chaud et froi
consanguinité. Inégalité d'âge de 13 mois (mère plus âgée). Cinq
enfants
: le premier est notre malade : les trois autres
e bleue ou blanche à la nais- sance, pas de circulaire du cordon. L'
enfant
était bien conformé. Nourri au sein par sa mère
remières dents ont paru à G mois. Dentition com- plète à 15 mois; l'
enfant
parlait bien il 2 ans et était tout-à-fait prop
chien de son concierge lui avait sauté au visage sans le mordre; l'
enfant
demeura saisi, immobile, mais ne perdit pas con
epuis qu'elle nous a renseigné, la mère de Ben.. a eu quatre autres
enfants
: (Jo un garçon, Lucien, figé de lli ans, caractè
et dont nous n'avons jamais vu d'exemple parmi les très nombreux
enfants
que nous avons observés. b) Un autre symptôme,
produisaient depuis une dizaine de jours, le matin à 10 heures : L'
enfant
se mettait dans un coin, puis montait et « déro
qui, dit-on, duraient deux ou trois heures, il battait les autres
enfants
, puis devenait calme, s'asseyait et pleu- rait.
bulence, « il était très diable » a dit sa mère, Lucien semblait un
enfant
normal, jusqu'à ans et demi. A cet Age, sous l'
aient été prolongés. XI. Quelques recherches sur le thymus chez l'
enfant
(Statistique de 61 cas) ; l'AH Albert t KATZ
quelques recherches sur la persistance ou non du thymus chez des
enfants
de divers âges. Nos recherches ont porté sur de
s ci-après un tableau général des cas examinés. 148 Thymus CHEZ l'
enfant
normal. 150 Thymus chez l'enfant normal. 152
cas examinés. 148 Thymus CHEZ l'enfant normal. 150 Thymus chez l'
enfant
normal. 152 Thymus chez l'enfant normal. 1 -
enfant normal. 150 Thymus chez l'enfant normal. 152 Thymus chez l'
enfant
normal. 1 - 1511 Thymus chez l'enfant normal.
t normal. 152 Thymus chez l'enfant normal. 1 - 1511 Thymus chez l'
enfant
normal. 156 Thymus chez l'enfant normal. 158
t normal. 1 - 1511 Thymus chez l'enfant normal. 156 Thymus chez l'
enfant
normal. 158 Thymus chez l'enfant normal. cas
enfant normal. 156 Thymus chez l'enfant normal. 158 Thymus chez l'
enfant
normal. cas d'absence du thymus ; ni Gruveilhie
5) ne font aucune mention d'un cas où le thymus ait manqué chez l'
enfant
. Chez les enfants anormaux (idiots imbéciles, a
mention d'un cas où le thymus ait manqué chez l'enfant. Chez les
enfants
anormaux (idiots imbéciles, arriérés, épileptiq
remarquer que tous les thymus rouges, injectés appartenaient à des
enfants
morts de diphtérie. Nous reviendrons tout-v-l'h
(5) Morel et Duval, Manne ! de l'rlnatomitte, p. 079. Thymus chez l'
enfant
normal. 159 pont glandulaire ; seules, les corn
lus, il n'existe pas entre le poids du thymus et celui de l'âge des
enfants
ce rapport simple qu'indiquent les classiques.
5nypey. Aittt. Descr, 4- éd., T. IV, p, 470. 160 .. . Thymus chez l'
enfant
normal. monterait progressivement de volume et
rtir de cette époque, le thymus doit être d'autant plus petit que l'
enfant
grandit davantage. Or, tel n'est pas le cas d
nous nous abstenons de toute con- clusion à cause de la catégorie d'
enfants
pesés ; tous les 28 cas proviennent de la crèch
d'enfants pesés ; tous les 28 cas proviennent de la crèche ; or les
enfants
de la crèche sont pour la plupart dos athropsid
d'une maladie intercurrente, ce qui n'est pas le cas chez nos 28
enfants
de la crèche. Nous ne pouvons donc tirer de not
q grammes. Voici un tableau qui résume ces 13 cas : Thymus chez l'
enfant
normal. 161 Malades provenant du pavillon Trous
illon Trousseau, morts à la suite de diphtérie. 162 Thymus CHEZ l'
enfant
normal. Thymus chez l'enfant normal. 163 Alté
uite de diphtérie. 162 Thymus CHEZ l'enfant normal. Thymus chez l'
enfant
normal. 163 Altérations pathologiques. - Nous a
un seul thymus paraissant infiltré de tuberculose. Il s'agit d'un
enfant
de 7 ans (n° 56) mort dans le service de notre
gane n'offrait lui-même aucune lésion. XII. Comparaison entre les
enfants
normaux et les enfants anormaux au point de vue
aucune lésion. XII. Comparaison entre les enfants normaux et les
enfants
anormaux au point de vue de la persistance ou d
ques dont ces organes étaient l'objet, il noter leur poids chez les
enfants
réputés normaux. Un de nos anciens internes, M.
avons mentionné la présence ou l'absence du thymus. Thymus chez l'
enfant
anormal. 165 166 Thymus chez l'enfant anormal.
ce du thymus. Thymus chez l'enfant anormal. 165 166 Thymus chez l'
enfant
anormal. soit 27 pour 100. Il semblerait par co
mblerait par conséquent que le thymus disparaîtrait plutôt chez les
enfants
anormaux que chez les enfants normaux. Ces st
thymus disparaîtrait plutôt chez les enfants anormaux que chez les
enfants
normaux. Ces statistiques sont instructives mai
- Oncles et tantes des deux côtés, renseignements insuffisants. L'
enfant
de l'un des oncles maternels louche à la suite de
ge de cholérine. Les autres seraient bien portants ainsi que1 leurs
enfants
. - Ni aliénés ni épileptiques, etc., etc., dans
ile. - Trois tantes maternelles n'ayant rien à noter. Deux de leurs
enfants
ont eu des CJn- vulsions. - Un frère et une soe
sont'bien portantes dont là plus jeune est partie avew le père de l'
enfant
, comme nous l'avons dit plus haut. - Dans le re
tc., etc.] Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 2 ans. Deux
enfants
: in une fille, pas de convulsions, intelligente;
as d'asphyxie. Elevée au biberon avec du lait de vache. A un mois l'
enfant
fut conduite chez une tante, à la campagne, où
n assure que. consécutivement, l'intelligence aurait diminué, que l'
enfant
ne reconnaissait plus ni les personnes, ni ses
ps était plus malade que le droit. A partir de ces convulsions, l'
enfant
aurait eu presque quotidiennement des accès con
te. Ces accidents durèrent trois ? en'aines. Après cette maladie, l'
enfant
resta trois mois sans avoir d'accès. 170 Idioti
stations scrofuleuses, etc., etc. (1). Etat actuel (Nov. 1897). - L'
enfant
il l'aspect d'une strumeuse. Le visage est boum
La langue ne présente rien de particulier. Le goût existe, car l'
enfant
aime le lait et le préfère sucré. La dentition es
sentent des érosions linéiformes. Les autres dents sont normales. L'
enfant
a de fréquentes vomiluritions, bave souvent.
. Les mouvements spontanés existent à dnite : mais affaiblis, car l'
enfant
n'aide en rien pour s'ha- biller, se laver, etc
nt assez bien développés, les mouve nents provoqués sont normaux. L'
enfant
se tient debout, mais ne marche pas. Lasaie-t-o
ébrale s'incurve du côté gauche qui est évidem- ment plus faible. L'
enfant
ne change pas ses pieds de place. On ¡lOt : une
des jointures. lî2 Idiotie symptomatique. 1898. Januier. Comme l'
enfant
ne présente pas trace de cicatrices vaccinales
cicatrices vaccinales on la vaccine ; résultat négatif. L'état de l'
enfant
ne s'est pas amélioré ; elle ne prêle aucune at
premières : c'est sa seule manifestation intellectuelle. Mars. - L'
enfant
maigrit visiblement depuis quelques jours. On n
égime lacté absolu, sirop de glycéro-phosphate de chaux. Avril. L'
enfant
conserve son appétit ordinaire; malgré cela. so
énéral, plus 1 gr. 50 de salicylate de bismuth par jour. Mai. - L'
enfant
présente toujours le même état général mauvais,
me état général. Depuis quelques jours, la diarrhée a cessé, mais l'
enfant
a de fréquents vomissements, elle pleure sans c
es. A l'auscultation, qui est extrêmement difficile il pratiquer, l'
enfant
criant et se débattant sans relâche, on trouve qu
desquamation se fait en lamelles plus épaisses. Pendant le jour, l'
enfant
dort assez bien, mais la nuit elle crie sans ce
e. Poids des organes. Idiotie complète symptomatique. 179 II. L'
enfant
n'aurait offert rien de particulier jus- qu'à l
lsifs durant trois mois. Ils réapparurent ensuite, mais modifiés. L'
enfant
n'en ayant pas eu dans le service, de son admis
ancéreux. Cousin mort de convulsions. - Autre cousin idiot. Mère,
enfant
naturelle, céphalalgies. - Demi-tante mater- ne
mort relativement jeune d'un ramollissement cérébral. Il avait deux
enfants
dont l'un a succombé il la tuber- culose. - Une
35 ans de la même maladie. Une autre soeur, bien portante, a eu un
enfant
enlevé pardes co11.1;1Llsiol2s. - Un frère, ecz
la bouche, commettait de nombreux ecc ? alcoo- liclues. L'un de ses
enfants
est mort à 19 mois : « Il n'avait aucun signe d
mois : « Il n'avait aucun signe d'intelligence ; il était comme mon
enfant
. » - Rien à mentionner dans le reste de la fami
ntionner dans le reste de la famille.] Mère, 35 ans, blanchisseuse,
enfant
naturelle, sobre, pas de convulsions, céphalalg
es idées noires et raconte des choses imaginaires ; elle a eu trois
enfants
morts de méningite. » - z Dans le reste de la f
consanguinité. - Inégalité d'âge de 6 ans (père plus âgé). Trois
enfants
: Deux sont morts à 5 et à 16 mois, de conmd- s
Gros- sesse : émotion vive occasionnée par la mort de l'un de ses
enfants
, survenue alors qu'on le croyait mieux. Huit jour
e qui effrayait la sage-femme ». A la naissance, pas d'asphyxie ; l'
enfant
n'était « pas bien gros mais paraissait vivace
guais beaucoup et étais mal nourrie. Il ne différait pas des autres
enfants
physiquement, mais, déjà, il ne me semblait pas
it. Sa tête tombait de côté. Il ne souriait point. » A trois mois l'
enfant
a été pris de convulsions. Les membres étaient
chevelu, ni traumatisme. Le sommeil était court et léger. Parfois l'
enfant
avait la nuit, et aussi le jour, « des accès de
x. Oreilles assez grandes, ourlet très accentué, lobule adhérent. L'
enfant
entend le bruit qui se fait autour de lui mais
ieds sur les jambes, le gauche est, de plus, en adduction forcée. L'
enfant
ne pouvant se tenir assis ; reste au lit. z L
z L'appétit est médiocre ; la mastication ne se fait pas, aussi l'
enfant
ne prend-il que des panades ou des aliments liqui
autres fois très pâle et alors les yeux sont cernés, enfoncés, et l'
enfant
semble souffrir. La sensibilité générale est
e pleure et ne sourit jamais. Le sommeil est très agité, court, l'
enfant
ne dort qu'une 188 Sclérose tubéreuse. petite
; remue sa tête de droite et de gauche. Onanisme très fréquent : l'
enfant
porto la main gauche à la verge qu'il saisit en
tale est dépourvue de cheveux, ce qui est du à la manie qu'avait l'
enfant
de se frotter sans cesse la tête contre son ore
eczémateux; quelques-uns sont morts de tuberculose. La mère étant
enfant
naturelle, nous n'avons aucun renseignement sur
est mort de tuberculose; une demi-tante paraît aliénée et ses trois
enfants
seraient morts de méningite i IL Bien que le pè
sérieuses et assez prolongées. Dès les premiers temps de la vie, l'
enfant
ne semblait pas naturel ; à trois mois il eût d
es accès épilepti for nies ont été très rares durant le séjour de l'
enfant
à Bicêtre et, malheureu- sement, nous n'avons p
malheureu- sement, nous n'avons pu en avoir la description. V. L'
enfant
a succombé à la tuberculose ce qu'ex- plique su
tuels, hallucinations visuelles, folie mystique qui font renvoyer l'
enfant
de l'orphelinat reli- gieux où elle était placé
eu de renseignements sur les antécédents pathologiques du père de l'
enfant
. Il avait habituellement une bonne santé, se pl
. Le 0 mai, on la trouva chez elle, les yeux hagards, demandant ses
enfants
, refusant de manger, voulant tout 198 Antécéden
. - Un autre oncle paternel est asthmatique, il est marié, a quatre
enfants
bien portants ; il a perdu une fille poitrinair
a perdu une fille poitrinaire à 20 ans. Une tante paternelle, sans
enfants
, est devenue folle à la suite de pertes d'argen
batai1'es, deux intelligents, dont l'un aurait eu la chorée étant
enfant
. L'autre, aliéné, est actuellement interné à l'As
nsanguinité. - Inéualilé d'âge de 3 ans en faveur du mari. Quatre
enfants
: L'ainée, fille, 16 ans 1/'2, n'a jamais eu de
son inter- nement vit avec un ami depuis 10 ans, elle n'a pas eu d'
enfants
avec lui. Antécédents personnels. - A la conc
- ports, surtout quand il avait bu. La mère ne peut préciser si l'
enfant
a été conçue pendant l'ivresse. - Au cours de la
terme, présentation du sommet, beaucoup d'eau. - A la naissance, l'
enfant
ne pré- sentait rien de particulier. - La mère
ronage qui l'a plaça d'office à la Fondation Vallée. Chez elle, l'
enfant
n'était pas dévote. Elle était douce, docile ma
ers troubles intellectuels se sont montrés pen- dant le séjour de l'
enfant
aux Andelys ; ils ont débuté fin février 1899 e
menton est arrondi; pas de prognathisme du maxillaire inférieur. L'
enfant
n'a pas de troubles du goût. - Les oreilles n'o
de la main, produite accidentellement par de l'eau bouillante. L'
enfant
était âgée de 3 ans au moment de l'accident. Au-
t plats. Les réflexes et les mouvements volontaires sont normaux. L'
enfant
résiste bien aux mouvements provoqués. Puberté
us. La sensibilité générale semble normale dans tous ses modes. L'
enfant
parait assez intelligente, la parole est libre. L
on l'approche, menace de frapper; elle fuit la compagnie des autres
enfants
, recherche la solitude, refuse de manger, son a
prend le ton de l'exhortation, parle des choses saintes aux autres
enfants
, leur recommandant d'être bien sages et de ne p
n dissuader, elle se fâche, devient méchante, rageuse. Le soir, l'
enfant
est d'une pruderie exagérée, elle refuse de se
à descendre travailler à l'ouvroir. 22 mars. Depuis le 1 mars, l'
enfant
a quitté l'infirmerie. Elle partage les jeux et
uitté l'infirmerie. Elle partage les jeux et les travaux des autres
enfants
, elle est raisonnable et n'a rien présenté d'an
citée, prononce des paroles incohérentes. - La diarrhée persiste, l'
enfant
gâte au lit, elle ne peut s'habiller ni se désh
. Même agitation, Gas... se lève, pour tirer les cheveux des autres
enfants
, leur pincer le nez. On est oblige de la mainte
t oblige de la maintenir au lit. Le gâtisme; persiste. 25 mars. L'
enfant
a passé la nuit il chanter, à rire. Ce matin, o
ur portait au cou, on ne l'a retenue au lit qu'avec difficulté. L'
enfant
ne fait plus sa prière, ne parle plus de Dieu ni
'est couchée et s'est endormie d'un profond sommeil. , 30 mars. L'
enfant
est calme, demande -Il descendre jouer avec les
rs. L'enfant est calme, demande -Il descendre jouer avec les autres
enfants
, les reconnaît, parle; et joue genti- ment avec
lette elle-même. 1,@, avril. Le mieux s'accentue de plus en plus, l'
enfant
est un peu triste, elle pâlit et rougit sans mo
plaisir les occupations et les jeux de ses compagnes. 10 avril. L'
enfant
continue bien allcr. Hier, elle a eu la visite
mère et il ,outil qui sont loin d'elle. 22 avril. - Hier au soir, l'
enfant
était triste, songeuse, son regard était brilla
rie, elle n'est plus triste, elle joue et travaille avec les autres
enfants
. 20 mai. - L'enfant est très appliquée, très ob
iste, elle joue et travaille avec les autres enfants. 20 mai. - L'
enfant
est très appliquée, très obéissante ; elle trav
ranquille. '1'" septemln'e. Depuis trois mois, rien a signaler, l'
enfant
raisonne et travaille bien. Décembre, - Gass...
sesse. - Violente émotion causée il la même époque par la mort d'un
enfant
qui. provoque l'accouchement prématuré à 7 mois
mort d'un enfant qui. provoque l'accouchement prématuré à 7 mois. -
Enfant
du poids d'un kilogramme. - Convulsions à 6 moi
. - Dentition complète à 2 ans. - Menstruation à 9 ans. - Etat de l'
enfant
à son entrée. - Paraplégie spasmodique ? Pubert
ernelles ont toujours été bien portantes, elles ont perdu plusieurs
enfants
en bas-âge sans qu'il soit possible de préciser
quatre frères, tous bien portants, trois sont mariés, deux ont des
enfants
qui n'ont jamais eu de convul- sions. - Elle a
mères de famille, jouissant d'une excellente santé ainsi que leurs
enfants
. Au- cun antécédent pathologiqne à signaler par
t pathologiqne à signaler parmi les cousins et les cousines. Cinq
enfants
: 1° Une fille de 16 ans, bien portante, n'ayan
° mois, la mère est atteinte légèrement de la variole et son second
enfant
frappé à son tour meurt. Le cha- grin de cette
couchement prématuré il 7 mois. Il s'opère d'ailleurs facilement. L'
enfant
est très petite et ne pèse guère plus d'un kilo
n remar- qué de particulier dans le développement céphalique de l'
enfant
. Description de la maladie. 211 t De (i à 18
ouvent elles lais- sent 8 et 10 jours de répit à la malade. Cette
enfant
n'a jamais été propre. Elle dit « papa » et « m
ileptique telle que nous l'avons précédemment signalée. État de l'
enfant
à l'entrée dans le service. - Très pâle, très ané
des tics. Octobre. L'on constate des crises épileptiformes chez l'
enfant
. Décembre. La santé de la malade devient plus d
rature. @ 10 mars. État assez satisfaisant. .Juin. - Même état. L'
enfant
pousse toujours les mêmes cris. Elle se donne p
et. Les règles n'ont point paru depuis l'admission. 13 juillet. - L'
enfant
dépérissant de jour en jour, nous procédons à u
re gauche qui a peu de raideur. 16 septembre. L'état général de l'
enfant
est de plus en plus marnais. Temp. 40°, 2. La m
: 3S°, ! 1. 23 septembre. T.R. Matin : 38os ? , soir : 38°, 8. - L'
enfant
succombe le 23 septembre 18 ! )9. Température
hagrin res- senti à la même époque par elle à la mort d'un de ses
enfants
et enfin l'accouchement prématuré à 7 mois qui
224 Hydrocéphalie ventriculaire. III. La faiblesse congénitale de l'
enfant
qui ne pesait qu'un kilogramme à la naissance d
la tuberculose lente et torpide qui ont déterminé la mort de cette
enfant
, il nutrition très ralentie, ne saurait nous su
de consanguinité. - Inégalité d'âge de 9 arts (Père plus âgé J..
Enfant
normal jusqu'à 13 ans. - Céphalée de l'adolescenc
maladie. Affaissement physi- que et intellectuel progressif. Huit
enfants
: détails sur chacun d'eux. lllil.nh... (Jean)
de maladie inconnue. Deux frères bien portants, ainsi que leurs dix
enfants
. - Pas d'a- liénés, d'épileptiques, de difforme
s. 229 d'une bonne santé. - Un frère, bien portant, a six ou sept
enfants
, bien conformés, qui n'ont jamais eu de maladies
collatérale] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de neuf ans. 5
Enfants
: 10 notre malade ; - '20 garçon de 15 ans, a ou
la rue La seconde crise a ou lieu trois ou quatre moi;; après. L'
enfant
sa plaignait de souffrir de la tôle, on le fit co
Dans l'année qui a précédé son admission, il en avait (1) Marié; un
enfant
mort de la cholérine en nourrice (Iid.) (2) Rel
ois il la tète dans ses accès. Sommeil bon, en général, cependant l'
enfant
aurait tou- jours beaucoup rêvé, mais ne serait
t légèrement étroit. 23 février. Munh... nous amène sa femme et son
enfant
. Celui-ci est athrepsique à un haut degré et ne
d logement et des outils ». Sa femme consacre tout son temps il son
enfant
. Son père ne travaille que d'une façon intermit
n père ne travaille que d'une façon intermittente. Sa mère garde un
enfant
. Son frère (22 ans) bien portant, peu intellige
èvre supérieure et quelques contusions au menton. 25 juillet. - Son
enfant
est mort d'une rougeole, proba- hlement compliq
sa belle-mère : « Croyez-vous, ils veulent encore me reprendre mon
enfant
. » Pas de rire, pas de pleurs, mutisme pendant
ont pas revenues. l'as de douleurs de ce genre avant la mort de son
enfant
. - Sommeil mauvais ; se réveille au moins bruit
sage-femme. Celle-ci n'arriva qu'une demi-heure après la venue de l'
enfant
. Il demande des secours. 1891. 13 avril. - Depu
ient d'accoucher le 16 février, d'une petite fille; ses deux autres
enfants
sont mala- des ; lui-même ne travaille pas depu
ses amis, qui le gardait malgré ses accès. 11 a actuellement quatre
enfants
. Puberté. Moustaches assez fournies : poils d'u
a commission, revint chez lui. et sa femme étendue par terre et l'
enfant
entre les jambes de la mère. 1898. Il s'occupe
eurs fois par jour. Ces accidents ont cessé. 1889. 24 jamier. - L'
enfant
a des colères accompagnées de tremblement dans
tout bleu. Pas de cauchemars; sommeil bon. 1890. 16 januiei·. - L'
enfant
est bien portant. Il a douze dents, commence à
sente encore un centimètre sur deux centimètres. 1893. 23 mars. L'
enfant
, en bon état, apprend très-bien à l'école. 18
ravail, mais il se plaint de sa turbulence, qui distrait les autres
enfants
. 1898. 3 février. Il continue à faire des progr
e est très éveillée, intelligente, la parole facile. 15 juin. - L'
enfant
est morte à l'hôpital Trousseau le 3 juin, du c
e. Gaz Mun... (Marthe), née le 16 février 1893. 1895. 30 mat. - L'
enfant
est bien portante et n'a eu aucun trouble nerve
s. Elle ne paraît pas nerveuse. 1897. 14 avril. Santé excellente. L'
enfant
n'est pas nerveuse. Elle se comporte comme une
excellente. L'enfant n'est pas nerveuse. Elle se comporte comme une
enfant
absolument normale. Quelques colères cependant
de convulsions. 8° Mun... (Jeanne), née le 6 octobre 1897. Cette
enfant
nous fut amenée à 9 mois, dans un état de faibl
ccident nerveux jusqu'à l'âge de 13 ans et était considéré comme un
enfant
intelligent et tout- à-fait normal. III. Dans
s répétées. VIII. La descendance de cet épileptique comprend huit
enfants
et une grossesse on cours. Toutes les ' Mariage
ménagements coûteux. Toutes ces causes réunies, la multiplicité des
enfants
, l'impossibilité pour la mère d'un gain quelcon
sme sur la production des dégénérées; PAn BOUItNI : FlLLl3. 420
enfants
idiotes, épileptiques, imbéciles, ou hystérique
ris. 1887. Mme OLLI);R (A.). - De l'état de la dentition chez les
enfants
idiots et arriérés. Thèse de Paris. 1888. T
chro- niques et spécialement d'une terminaison fréquente chez les
enfants
, l'Idiotie. Thèse de Paris. Pison. - De l'asymé
R (A.). - Contribution à l'élude clinique de l'épi- lepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. 1893 Noir (J.). - Étude sur
couchement anormal sur le développement des troubles cérébraux de l'
enfant
. Thèse de Paris. FÈVRE (A.). Du mariage des é
eu de ]'L.\ ! \CIIE 111111, lire Planches IX et X. 1900. - Imp. des
Enfants
de Bicêtre. - 800 ex.
PILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICÈTRE PEN
l'hospice de Bicêtre, est, on le sait, spécialement con- sacrée aux
enfants
. Les enfants y sont répartis en. trois groupes
Bicêtre, est, on le sait, spécialement con- sacrée aux enfants. Les
enfants
y sont répartis en. trois groupes : 1° Les enfa
aux enfants. Les enfants y sont répartis en. trois groupes : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, épile- tiques ou non, mais INVA
ants idiots, gâteux, épile- tiques ou non, mais INVALIDES; - 2° les
enfants
idiots, gâteux ou non, mais VALIDES; - 3° les e
DES; - 2° les enfants idiots, gâteux ou non, mais VALIDES; - 3° les
enfants
propres, valides, imbéciles, arriérés, instable
és, instables, pervers, cp ? leptiques, et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots, gâteux, épileptique s ou non, ¡ mais in
ment, en leur faisant des frictions stimulantes. En môme temps, ces
enfants
soumis à un traitement toni- que (bains salés,
toute la journée aussitôt que leurs forces le per- mettent. Quatre
enfants
ont appris à marcher : Baud., Berta ? Charma ?
seconde catégorie comprend des idiots tout à fait incurables et des
enfants
atteints d'épilepsie devenus gâteux ou déments
s ne sont plus, en général, que l'objet de soins hygiéniques. II.
Enfants
idiots, gâteux ou non galeux, épilel7li- ques o
galeux, épilel7li- ques ou non, mais valides [Petite Ecole). Ces
enfants
fréquentent, la petite Ecole confiée exclusive-
quentent, la petite Ecole confiée exclusive- ment à des femmes. 213
enfants
ont été inscrits dans l'année. Sur ce nombre, u
e, un est passé aux adultes et deux ont été transférés. Sur les 195
enfants
qui restaient au 31 décembre 1892, 40, au réfec
la fourchette; JO de la cuiller, de la fourchette et du couteau. 1'
enfants
sont deve- nus propres dans le courant do l'ann
s sont deve- nus propres dans le courant do l'année (1). Tous les
enfants
de la petite Ecole sont exercés à la gymnas- ti
cinq suivent en outre les exer- cices de la grande gymnastique. 20
enfants
ont été envoyés aux ateliers comme apprentis; i
constituent comme toujours la base de l'ensei- gnement (1). III.
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés instabl
ou non. Grande école. - La population de cette école était de 203
enfants
au 1 ? janvier 1892 et de 209 au 31 décembre de
ut de cette création est de con- tribueràl'occupation constante des
enfants
, de les inté- (1) Voir pour les -détails les Co
au printemps prochain. Voici un aperçu de ce qui a été fait. Les
enfants
ont verso comme cotisation 56 fr. 45. Il a été
et une autre de 10 fr. à la fête du 21 septembre. La menuiserie des
enfants
a confec- tionné pour la société 24 boucliers e
courses à pied qui ont eu lieu dans la cour de l'Hospice avec les
enfants
valides des deux écoles. 3° Les maîtres ont pri
se font toujours d'une façon très régulière et avec suc- cés. 40
enfants
ont pris part à une grande conférence pratique
es exercices phy- lites dans le traitement medtco-pedagogtgue des
enfants
de notre service a attirée l'attention de ceux qu
après les soins de propreté, les douches et le petit déjeuner, les
enfants
dansent de 7 à 8 h. sous la direction d'un inst
aux agrès, lesquels (1) Nous avons fait composer à l'imprimerie des
enfants
, deux Recueil de chants pour la gymnastique, le
, balançoires et portique ordinaire. Concours de gymnastique. - Les
enfants
prennent part à tous les concours de gymnastiqu
écréation de midi, les infirmiers qui mangent en même temps que les
enfants
dans le but de les diri- ger dans leurs jeux, d
de quilles et de croquet. Promenades. - Deux fois la semaine, les
enfants
sont con- duits en promenade, sous la conduite
de Paris. Société de jeux. La Fanfare exclusivement composée des
enfants
de la Section soutient les marcheurs en jouant de
aires, Grande école; éducation physique. IX Dans l'intervalle les
enfants
chantent pour conserver le pas. Tout récemment
erver le pas. Tout récemment les instituteurs ont organisé pour les
enfants
une Société (le jeux afin de régler leur activi
rie, couture, cordonnerie, vannerie, rempaillage et brosserie. Les
enfants
sont divisés en deux séries qui se rendent tour
et en classe. Travaux ménayers. Pour ne pas laisser inoccupés les
enfants
valides on les fait participer, durant les récréa
des salles, et nettoyage du réfectoire. Gymnastique Pichery. Les
enfants
de la petite école sont surtout exercés au poin
ous la direction des maî- tresses, sont appropriés à leur âge : les
enfants
jouent au tonneau, au passe-boules, au cerceau,
intensive donnée au développement physique de ce groupe important d'
enfants
arriérés relevant non du département, mais de l
connexe de l'Assistance publique, et formant à Bicêtre l'Ecole des
Enfants
idiots et épileptiques, placée sous la directio
s la direction de M. le Dr Bourneville. Il y a quatre il cinq cents
enfants
qui ne pouvant suivre, et pour cause, de longue
ants. C'est par ces moyens qu'on occupe les heures de ces pauvres
enfants
, qu'on égaie leurs journées, qu'on développe leur
esprit. C'est là de la gymnastique éducative au premier chef et ces
enfants
en profitent car Ils sont en état de prendre pa
du service et même de la maison, porte à l'instruction pratique des
enfants
. Tous ces. objets, en effet, servent aux leçons
cembre elle comptait 321 volumes. Promenades et distractions. - Les
enfants
de la grande école et ceux de la petite école q
ent) leur ont offert des représentations. Comme d'habitude tous les
enfants
valides sont allés au Jardin d'acclimatation do
survenus au cours de ces promenades a été de trois. Le nombre des
enfants
qui y ont pris part s'est élevé jusqu'à 1glu à la
de promenade. (1) Nous demandons également une permission pour les
enfants
de la Sal- pêtrière. Distractions diverses. x
Mentionnons enfin les distractions diverses commu- nes à tous les
enfants
valides et partagées par les petites filles de
s et de bonbons ; en février : matinée drolatique organisée par les
enfants
; grande cavalcade du Mardi- gras dans les cour
enade en musique dans la commune, grand bal paré et travesti (104
enfants
déguisés, 22 de la grande école, 40 de la petit
ale de Gentilly, de la symphonie la Fauvette et de la fanfare des
enfants
, jeux pour les garçons et pour les filles, retr
x pour les garçons et pour les filles, retraite aux flambeaux ; les
enfants
de la Société de jeux sont exercés au jeu de la
ux balles ; concert annuel des frères Lion- net. - En septembre, 40
enfants
de la Société de jeux font une marche militaire
res ; une voiture de la maison suivait la petite colonne, un seul
enfant
a dû s'en servir au retour ; - fête du cente- n
ête du cente- naire de la proclamation de la République. Tous les
enfants
de la section et de la Fondation Vallée y pren-
e la Fanfare ; banquet aux membres de la Fanfare. - Les parents des
enfants
assistent aux matinées dra- matiques. Ces pro
omenades et ces distractions, outre qu'elles font grand plaisir aux
enfants
, contribuent à leur bien-être physique et serve
une punition à laquelle ils sont très sensibles (1). Visites. Les
enfants
ont reçu 9.626 visites. Les visiteurs ont été a
ontribuent il maintenir le lien naturel entre les familles et leurs
enfants
. Ajoutés aux prome- nades et aux distractions,
cien interne des hôpitaux, continue ses visites bi-mensuelles aux
enfants
de Bicêtre et de la Salpètrière. Les résultats
t de vue de l'hygiène de la bouche et d'une meilleure dentition des
enfants
sont excel- lents. Bains et hydrothérapie . L
ribueront à rendre plus facile l'organisation de l'as- sistance des
Enfants
idiots et épileptiques, aussi bien en France qu
st l'une des maîtresses de l'institution de Linderen, consacrée aux
enfants
idiots. Cette institution renferme 120 enfants co
deren, consacrée aux enfants idiots. Cette institution renferme 120
enfants
confiés à dix institutrices. Elle est venue pen
u'ils appor- tent chaque jour à l'instruction professionnelle des
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'
ée 16.607 fr. 50. Cette somme étant déduite de celle du travail des
enfants
, il reste un bénéfice de 17.563 fr., soit 2.2G9
M. Delahaye, et par M. Husson, économe, montrent que le travail des
enfants
couvre, non seulement la dépense occasionnée pa
autre- ment supérieur. Il permet de donner à un certain nombre d'
enfants
un métier qui, à leur sortie, les mettra en mes
it bien les conditions d'un véritable maître, non seule- ment les
enfants
qui désirent apprendre le métier de jardinier,
nt apprendre le métier de jardinier, mais aussi un certain nombre d'
enfants
qui se plaisent aux grosses besognes. Nous te
de l'intérêt des finances de l'Assistance publique. « Lorsque les
enfants
de nos ateliers de brosserie, vannerie, canage
tales, la profession qu'ils auront apprise dans les sec- tions d'
enfants
. » Les ateliers de menuiserie et de serrurerie
a confection et à la réparation des vêtements et des chaussures des
enfants
. Nous avons la conviction que si le personnel c
it une véritable surveillance et surtout s'intéressait aux jeux des
enfants
, la destruction des effets d'habillement et des
population. Le 1 cr janvier 1892, il restait dans le service 434
enfants
: 414 enfants idiots, imbéciles ou épi- leptiqu
Le 1 cr janvier 1892, il restait dans le service 434 enfants : 414
enfants
idiots, imbéciles ou épi- leptiques dits aliéné
s. Le pavil- lon d'isolement a reçu dans le courant de l'année 31
enfants
(30 garçons et 1 fille) atteints de la rougeole ;
fille) ; - 1 cas de coqueluche (fille) ; 1 cas de ch'p/t- thérie (
enfant
d'une surveillante) suivi de mort; 10 cas de ga
de gale et 4 de rarioloïde légère. Au 31 décembre il restait trente
enfants
atteints de la teigne. Population au 31 décembr
au 31 décembre 1892. On comptait à cette date clans le service 41'1
enfants
, se décompo- sant ainsi : 415 enfants idiots, i
te date clans le service 41'1 enfants, se décompo- sant ainsi : 415
enfants
idiots, imbéciles ou épilcp- tiques, dits alién
tiques, dits aliénés, et 26 réputés non aliénés. Sur ce chiffre 5
enfants
sont affectés de surdi-mutité et 11 de cécité.
ord en raison même de la nature des maladies dont sont atteints les
enfants
et, par suite aussi du chiffre de la population
tions fixée de limiter la popu- lation de la Fondation Vallée à 100
enfants
au maxi- mum. La population il la fin de l'anné
le chiffre proportionnellement beaucoup trop consi- dérable de 1 12
enfants
. Le cube d'air correspondant à chaque lit, qui
que lit, qui était déjà un peu faillie pour une popu- lation de 100
enfants
, est devenu aujourd'hui, avec les lits suppléme
par l'existence, il la Fon- dation, d'une proportion considérable d'
enfants
ttez- ses (42), et par l'impossibilité où nous
ù nous sommes, en raison de l'exiguïté des locaux, cle répartir les
enfants
en différents groupes, ce qui nous contraint, e
ntraint, en particu- lier, de mélanger, dans les mêmes classes, les
enfants
gâteuses valides avec les enfants propres. Le
nger, dans les mêmes classes, les enfants gâteuses valides avec les
enfants
propres. Les enfants idiotes gâteuses invalides
asses, les enfants gâteuses valides avec les enfants propres. Les
enfants
idiotes gâteuses invalides ont pu, ainsi que no
t. Nous avons fait bitumer le sol de ce dernier : ce qui permet aux
enfants
cle faire leurs exercices de chariot. Une tente
ente-abri, pouvant se dé- monter, a été installée pour protéger les
enfants
contre les ardeurs du soleil. On sait qu'il s
re les ardeurs du soleil. On sait qu'il s'agit là d'une catégorie d'
enfants
sou- vent incapables, non seulement de marcher,
in- tures des membres (Massage). De plus nous faisons asseoir les
enfants
de ce groupe sur une balançoire spéciale, dispo
tourbe pour les coussins perforés des fau- teuils et des bancs des
enfants
gâteuses. L'Enseignement est confié exclusiveme
veillante. Les procédés employés sont les mêmes qu'à la section des
enfants
de Bicêtre. Tout le matériel scolaire est ident
- plétées par des promenades dans le domaine et aux environs. Les
enfants
assistent à toutes les opéra- (t) Y. Sepuin. et
;,î : Un appa- reil semblable fonctionne dans le ! Jumna.e pour les
enfants
valides. XL Enseignement professionnel. tions
dinage, participent à la récolte des légu- mes et des fruits. 106
enfants
ont fréquenté l'école et ont été exercées à la
rand secours pour remédier à la tendance qu'ont un certain nombre d'
enfants
il tenir la tête et le tronc inclinés en avant.
pu, enfin, obtenir pour lui une modique indem- nité annuelle. 40
enfants
savent se servir de la cuiller, cle la fourchet
coutcau; 39 de la cuiller et do la fourchette; 17 de la cuiller. 16
enfants
ne savent pas manger seules. Trois enfants gâte
te; 17 de la cuiller. 16 enfants ne savent pas manger seules. Trois
enfants
gâteuses sont deve- nus propres : Banc ? Galmi
ignement professionnel. Nous tenons en premier lieu à apprendre aux
enfants
tout ce qui est nécessaire pour essayer fd'en f
er de la préhension des aliments et de la tenue à table, des autres
enfants
moins intelligentes : elles leur servent en que
onctionné Enseignement professionnel. XLI comme par le passé : 65
enfants
vont à l'atelier de couture, les unes pendant u
es costumes pour leurs bals du Mardi-gras et cle la Mi-carème. 35
enfants
ont fréquenté l'atelier de repassage, d'abord p
ée d'organiser une petite expo- sition des objets fabriqués par les
enfants
le jour de la visite de la Commission d'assista
DI10THI : ;I\APIE. XLIII gâteuses ou aux jeunes filles pubères. Les
enfants
valides vont prendre leurs douches dans la sect
es enfants valides vont prendre leurs douches dans la section des
enfants
de Bicêtre, et les enfants invalides les pren-
rendre leurs douches dans la section des enfants de Bicêtre, et les
enfants
invalides les pren- nent à la Fondation même. L
t que la séparation arbitraire qu'on établit de nos jours entre les
enfants
des deux sexes est con- traire à la nature, nou
" au mois de janvier, nous avons dû le faire évacuer et laisser les
enfants
dans les réfectoires et, pour remédier à une si
juil- let et d'août ce qui aurait permis de l'aire travailler les
enfants
dans le jardin, tandis que nous avons été oblig
cice du chariot, et qui a été pourvue d'une tente pour protéger les
enfants
contre les rayons du soleil (1); - l'achat d'un
ements pour des sous-employées mariées. Maladies épidémiques. Une
enfant
, Lent.. (Pau- line) est entrée à la période d'i
guéri; une autre Leg... Alice est entrée avec lacoqueluehc ; quatre
enfants
ont eu la teigne et sont guéries. Toutes ces ma
. Enumération des travaux faits, par l'atelier de menuisel'ie des
enfants
de Bicêtre pour la Fondation Vallée. - En avril
a population. Le 1 CI' janvier 1892, il restait à la Fondation 99
enfants
se répartissant ainsi : XLVI Mouvement de la
intait prendre pour base d'une telle organisa- tion, la section des
enfants
de et qu'il convenait en conséquence de prévoir
maire, avec un certain nombre de classes permettant de grouper les
enfants
et comprenant une salle pour le traite- ment du
t du gâtisme et des préaux multiples afin d'en réserver un pour les
enfants
gâteuses, un pour les enfants les plus jeunes e
tiples afin d'en réserver un pour les enfants gâteuses, un pour les
enfants
les plus jeunes et un pour les plus grandes ; d
plus grandes ; des réfectoires, dont l'un spécialement réservé aux
enfants
gâteuses, tous pour- vus de vastes offices, où
s, tous pour- vus de vastes offices, où l'on pourra apprendre aux
enfants
il nettoyer la vaisselle ; - des ateliers pour l'
ervices du traitement physique : Gymnase ; Salle pour apprendre aux
enfants
il cirer leurs chaussures; - Salle de bains et
l'on veut assurer un état constant de propreté à la caté- gorie d'
enfants
pour lesquels l'asile est créé. LII Fondation V
inets d'aisances, meubles de toilette, bidets, etc. 4° Bâtiment des
enfants
gâteuses invalides, avec réfec- toire, salle de
. Il conviendrait d'établir dans ce bâtiment une division entre les
enfants
suscepti- bles d'être améliorés et les enfants
e division entre les enfants suscepti- bles d'être améliorés et les
enfants
reconnus absolument incurables. (Les idiotes, e
e servir en quelque sorte d'atelier pour apprendre la couture aux
enfants
. II. Nous n'avions plus entendu parler de cet
: « 1" L'avant-projet d'un bâtiment destiné à recevoir 100 lits d'
enfants
avec les services nécessaires : « 2" Le plan d'
mble relatif il la construction de bâti- ments pouvant conctnir 400
enfants
. o L'Administration demande l'avis de la Commis
serait de 45,472 mètres carrés (1). La superficie occupée par les
enfants
de Bicêtre est de 3(l,b(I mètres carrés. Exam
t com- prendrait la salle de gymnastique, des réfectoires pour HO
enfants
. Au-dessus, il y aurait deux étages compre- nan
tude du projet de construction du bâtiment destiné il recevoir cent
enfants
. 1° Nous ne voyons aucune utilisation des bâtim
ond que l'hôpital devrait être placé. En effet, chaque fois que les
enfants
sortiront pour aller en promenade, ou pour veni
bâtiment de l'Administration ou se rendra au dehors. Les corps des
enfants
décédés passe- ront tout le Ion ? des services
paraît déplorable. Et, comme il s'agit de placer dans cet asile des
enfants
infirmes, paralytiques ou atteintes de maladies
e nous connaissions par expérience tous les inconvénients, pour ces
enfants
, des bâtiments il plusieurs étages, que nous av
ar deux entre les fenêtres. Le système adopté dans la section des
enfants
de Bicétre et qui consiste il placer un lit entre
totale d'environ 4 hectares. Or, la superficie de la section des
enfants
de Bicêtre avec des bâtiments iL rez-de-chaussée
être avec des bâtiments iL rez-de-chaussée et une population de 400
enfants
est d'environ trois hectares. Des économies peu
- Dans mon idée, lo 2" étage ne doit servir de dortoir que pour les
enfants
valides, et il en existe un certain nombre. Je
qu'elles seront les nouvelles dispositions légales con- cernant les
enfants
? Nos délibérations doivent être subor- données
doit réformer celle de 1838 sur les aliénés ? L'hospitalisation des
enfants
idiots sera-t- clin il la charge des Départemen
l des bâtiments, combien la fonda- tion Vallée peut-elle contenir d'
enfants
? M. Pelletier, chef de service des aliénés. -
. Reinach, sur le bureau de la Chambre, l'obligation d'assister les
enfants
idiots et épileptiques incom- berait aux Départ
\I. l3nill a demandé où en est la proposition de loi concernant les
enfants
idiots ou épileptiques. Je puis fournir il la C
dans le projet de loi qu'il a voté, a éeartél'hospita- lisation des
enfants
idiots ; mais l'obligation de les hospitaliser
dix ans des asiles départementaux ou interdépartementaux pour les
enfants
idiots et épileptiques. M. le député Larant, rapp
admet lui aussi la construction d'établissements spéciaux pour les
enfants
idiots et épilepti- ques. M. Th. Roussel sénate
éoccupent vivement de la construction de services spéciaux pour les
enfants
. Il y quelques jours, j'ai reçu t l31oi·tru. la
nous appuyant sur ce que la superficie occupée par la section des
enfants
de Bicêtre n'est que de 3 hectares 8 ares; sur
x émis en 1877 et 1878, par le Conseil général, demandant que les
enfants
de Bicêtre fussent séparés des adultes et qu'on
de se renseigner auprès des médecins en contact journalier avec les
enfants
idiots et épileptiques. 11 proposa l'édificatio
de Bicêtre, qui comprenait, en plus des épileptiques adultes, les
enfants
idiots et épileptiques, et que nous ayons été c
tions spéciales que devait réaliser une section construite pour les
enfants
de cette catégorie et faire prévaloir au Consei
uf le bâtiment des gâteux, d'un seul étage (1). En effet, parmi ces
enfants
, les uns ne marchent pas et il y a des inconvén
prié les membres de la Sous-Commission d'assister à la descente des
enfants
des classes. Ils ont tous pu en constater les i
tution qu'il s'agit de créer n'est pas seulement d'hospitaliser les
enfants
atteints de maladies chroniques, longtemps répu
bancs afin de permettre aux familles, durant l'été,de voir leurs
enfants
à l'extérieur, et de faire les plantations néce
d'avoir des préaux couverts et une vaste salle de réunion pour les
enfants
cle la petite école (1). De plus, la petite éco
xv). , Les réfectoires seraient au nombre de deux, l'un pour les
enfants
épileptiques, imbéciles et idiotes propres ; l'
fants épileptiques, imbéciles et idiotes propres ; l'autre pour les
enfants
de la petite- école, propres ou gâteuses. Ce de
toires sera pourvu d'office avec laverie où l'on devra utiliser les
enfants
par séries, dans la mesure (i) A Bicêtre, la sa
es de long sur 4 m. 80 de large. Tandis que l'on peut maintenir les
enfants
de la grande école, durant les grands froids, s
ux ou si les froids sont extrêmes, les laisser dans le gymnase, les
enfants
de la petite école, plus sensibles au froid, on
a vaisselle. Un lavabo sera ins- tallé a l'entrée du réfectoire des
enfants
cle la grande école, afin qu'elles puissent se
drothérapie au point de vue du traitement et de l'hy- giène de ces
enfants
, nous croyons qu'il faudrait placer ensuite le
pluchage devra être grande, car l'épluchage devra être fait par les
enfants
. c) La lingerie devra comprendre une salle de c
des gâteuses et des infir- mes. Ce service doit comprendre : 1° les
enfants
idiotes gâteuses invalides, c'est-à-dire qui l.
épileptiques et les idiotes difaaen- * tes et incurables. V ? Les
enfants
de la ir0 catégorie coii-ipronnoi elles- ? même
de la ir0 catégorie coii-ipronnoi elles- ? mêmes deux groupes : des
enfants
à peu pres4'd-H platement incurables, des enfan
eux groupes : des enfants à peu pres4'd-H platement incurables, des
enfants
susceptibles d'airïë^ lioration. Ces deux salle
ervir de salles de rechange ; tous les deux mois par exemple, les
enfants
seraient transportés du dortoir du rez-de- chau
ns pour diminuer autant que possible l'infection produite par ces
enfants
qui exigent des conditions d'hygiène beaucoup p
ui exigent des conditions d'hygiène beaucoup plus coûteuses que les
enfants
propres. ou sains d'esprit. Enfin le bâtiment a
balcon au premier étage, afin de pouvoir faire aisément sortir les
enfants
, les exposer à l'air et à la chaleur et assaini
pièce avec une baignoire, lavabos, cabinets d'aisances (un pour les
enfants
, un pour les infirmières), un urinoir, une armo
urinoir, une armoire pour les balais, un vidoir, une salle pour les
enfants
convalescents et qu'on utilisera également comm
ront larges avec balconnets assez élevés pour empêcher la chute des
enfants
. Les murs seront stuqués, les angles arrondis,
sses automatiques à l'entrée et à la sortie, de telle sorte que les
enfants
n'auront, ici comme partout, le maniement d'auc
encontrées. M. Gallois lors de. la construc- tion de la section des
enfants
de Bicêtre, nous avons dû nous enquérir du régi
i- nebleau. Au moment de la construction du nouveau service des
enfants
idiots et épileptiques, afin d'éviter la con- s
e tuyaux en grès vernissé de 0 ? 22 de diamètre. ' Le service des
enfants
idiots étant construit sui- vant la pente natur
ar le fait de la stagnation des eaux. Deux services du quartier des
enfants
idiots, le pavillon d'¡80lement POUI' les malad
ospice de Bicêtre d'y envoyer toutes les eaux-vannes du service des
enfants
idiots et épileptiques, en continuant cet égout
erver que la superficie occupée par les bâtiments de la section des
enfants
de Bicêtre conte- nant plus de 400 lits n'est q
ondation Vallée seront à un étage, alors que ceux de la section des
enfants
de Bicêtre ne sont.qu'à rez-de-chaussée. Disc
es qu'ils sont destinées à loger et du danger que présente pour les
enfants
épileptiques et hémiplégiques la : montée et la
la limite d'une dépense de 232.000 francs et de donner asile à cent
enfants
, l'Administration avait soutenu un projet de bâ
ique. I. Assistance des arriérés et des épileptiques adultes et
enfants
. Nous avons profité de la visite faite dans not
ques points relatifs à l'as- sistance des arriérés et épileptiques,
enfants
et adultes. L'an dernier, lors des discussions
adultes. L'an dernier, lors des discussions sur les placements d'
enfants
, il a été dit que, jusqu'en 1877, les enfants ne
sur les placements d'enfants, il a été dit que, jusqu'en 1877, les
enfants
ne pas- saient point par le bureau d'admission.
'il y a eu : LXXXVI Assistance DES ARnIÉJ1J : S. Assistance des
enfants
arriérés. LXXXVII ne sont pas dangereux pour le
grandes personnes, sont dangereux pour eux-mêmes et pour les autres
enfants
. Ils ne font que se plaindre et crier, ce qui e
ne font que se plaindre et crier, ce qui empêche les voisins et les
enfants
des voisins de reposer; ils sont méchants, dest
dans une maison spéciale de traitement. A l'appui voici un groupe d'
enfants
: L'enfant Baud..., a été renvoyé de l'asile ma
son spéciale de traitement. A l'appui voici un groupe d'enfants : L'
enfant
Baud..., a été renvoyé de l'asile maternel, de
à le faire séquestrer pour éviter des accidents et des fugues. L'
enfant
Lorra... exerce ses violences de préférence sur
ues. L'enfant Lorra... exerce ses violences de préférence sur les
enfants
qui sont incapables de pouvoir lui rendre le ma
les objets il sa portée; il bouscule tout sur son passage, etc. L'
enfant
\fi;het... pince, mord, égratigne cherche à ble
rche à blesser avec des morceaux de verre, ou il faire tomber les
enfants
, leur tordre les doigts, à leur mordre la verge,,
s, leur tordre les doigts, à leur mordre la verge,, etc... '. Les
enfants
Devism ? Laud ? Dunna ? déchirent leurs habits,
m ? Laud ? Dunna ? déchirent leurs habits, égratignent, mordent les
enfants
et les infirmières, culbutent tout, etc. ' L'
mordent les enfants et les infirmières, culbutent tout, etc. ' L'
enfant
Mans... a de violents accès de colère dans les-
ns... a de violents accès de colère dans les- quels il renverse les
enfants
, pousse des cris effrayants ; grimpe sur les ba
ises durent 15, 20, 30 minutes. A la fin, le visage est très pale l'
enfant
cherche se faire caresser et pleure. i Multip
ssent suffire pour démontrer, aux personnes qui en doutent, que les
enfants
hospitalisés ici sont dangereux pour eux-mêmes
Nig..., 18 ans, taille 1m. 22. Comme vous le voyez, Messieurs, ces
enfants
, parl'exi- guité de leur taille, par l'absence
s. Leur maintien, ici, a donc sa raison d'être : ce sont encore des
enfants
. Je dois dire que la très grande majo- rité d'e
ues- uns Ces malades, au moment de leur envoi de la section des
enfants
dans l'hospice me promettent bien d'aller travail
'avez sans doute pas oublié, s'est occupée du mode de placement des
enfants
dans les asiles (1). Cette discussion a montré
, il est au lieu de naissance. Par suite de ces dispositions, les
enfants
aliénés, nés hors du département de la Seine, m
ment d'origine. Cette nécessité imposait aux intéressés, parents et
enfants
, une douloureuse séparation. C'est pourquoi le
. Cette délibération, bien qu'elle ne visât dans ces termes que les
enfants
origi- naires de Seine-et-Marne a été, en fait,
Rapporteur au Conseil général, M. le D l3otto- redue, appliquée aux
enfants
originaires des autres dépar- tements. 4 XC
om- mission sur les dispositions particulières aux placements des
enfants
. La Commission sait quelles sout les dilllieultés
tes légitimes provo- quées par la promiscuité (les adultes avec les
enfants
au Bureau d'admission. L'Administration a pu pa
linique et du médecin du service de l'admission, à empêcher que les
enfants
ne séjournent au Bureau d'admission ; mais l'in
ais l'inconvénient résultant de l'absence de local spécial pour les
enfants
subsiste toujours et réclame une solution longt
cises, l'idée de la création d'un bureau de répartition spécial aux
enfants
idiots et arriérés. Par délibérations antérieur
rieures, le Conseil avait demandé que le service de répartition des
enfants
idiots etarrié- rés fut transféré à la Salpêtri
connaître, d'ailleurs que transférer le bureau d'admission pour les
enfants
de l'asile Clinique il la Salpêtrière n'est pas
parait pas expédient de transporter le Bureau d'admission pour les
enfants
, il semble qu'il serait possible d'étendre aux
ion pour les enfants, il semble qu'il serait possible d'étendre aux
enfants
aussi bien qu'aux adultes la faculté de pouvoir
s facilités concédées aux placements volontaires, les quartiers d'
enfants
se trouveront toujours au complet, et que les enf
s quartiers d'enfants se trouveront toujours au complet, et que les
enfants
, internés sur réquisition du Préfet de Police,
icviii Assistance DES aliénés. de ces établissements pour que les
enfants
envoyés par l'asile Clinique soient toujours re
ces refus, le projet prévoit la tenue, dans chaque établissement d'
enfants
, d'un registre spécial où seront inscrites les
osition de l'Administration un plus grand nombre de places pour les
enfants
idiots ou arriéres. En rappelant dans la premiè
départements refusent de reconnaître le droit aux secours pour tout
enfant
qui est l'ob- jet d'un placement volontaire dan
d'office qui les con- cernent, prétendant que l'internement de ces
enfants
ne ren- tre pas dans la catégorie de ceux prévu
en de remédier à cette regrettable situation est de décider que les
enfants
dont les parents habitent Paris depuis un temps
X admis dans les asiles au compte du département de la Seine, les
enfants
, nés hors de ce département, devront habiter, a
du mémoire de M. Le Roux qui a trait aux placements volontaires des
enfants
est tout à fait en (1) " Suivant nous, disions-
vec bonheur par les familles et en particulier par les familles des
enfants
qui sont nés en dehors du département de la Sei
, à consentir des sacrifices pécuniaires, afin de ne pas priver ces
enfants
, déjà si dés- hérités, des visites et de l'affe
opose de faire bénéficier de la géné- rosité du Conseil général les
enfants
dont les parents habitent le département de la
une durée de résidence de deux ans et cela dans l'intérêt même des
enfants
afin de ne pas retarder leur éducation. Nous ac
sible, des préférences des familles. DISPOSITIONS PARTICULIÈRES AUX
ENFANTS
ÂGÉS DE MOINS DE 18 ANS, ALIÉNÉS OU IDIOTS. T
NFANTS ÂGÉS DE MOINS DE 18 ANS, ALIÉNÉS OU IDIOTS. Tant. 8. - Les
enfants
aliénés ou idiots. âgés de moins de (1)" Ces as
, et qu'ils habitent avec eux. ART. 9. Les placements volontaires d'
enfants
aliénés ou idiots, âgés de moins de 18 ans, peu
ents où il existe des quartiers spéciaux affectés au traitement des
enfants
(1). ART. 10. - A défaut de places disponibles
A défaut de places disponibles dans ces établis- sements, et aucun
enfant
ne devant séjourner à l'asile Clini- que, les d
spécial ouvert dans chaque établissement où il existe un quartier d'
enfants
. L'admission des enfants a lieu dans l'or- dre
e établissement où il existe un quartier d'enfants. L'admission des
enfants
a lieu dans l'or- dre rigoureux des inscription
les, très faciles même, les place- ments volontaires d'adultes et d'
enfants
. Cette faculté accor- dée au public de pouvoir
alades, aura très prochainement pour effet : CVIII Assistance DES
enfants
aliénés. ' 1° D'encombrer nos asiles et nos qua
sons plus passer nos malades par la Préfecture de police. Quant aux
enfants
épileptiques, idiots et arriérés, nous pouvons
fin d'éviter que les autres départements ne nous envoient pas leurs
enfants
idiots et épileptiques à hospitaliser, je prie
t aux départements, soit aux com- munes, l'hospitalisation de leurs
enfants
. M. Le Roux. - en présentant ce projet de règ
'éviter, autant que possible, le passage des malades et surtout des
enfants
, par l'Infirmerie spéciale du Dépôt. En prescri
ses, on facilitant le placement (les alié- nés et surtout celui des
enfants
épileptiques ou idiots. Cette préoccupation est
ins alié- nistes. Cette règle générale est surtout applicable aux
enfants
. Plu- tôt ils sont placés dans les quartiers sp
nous aurons donc de moins on moins a craindre l'hospitalisation des
enfants
étrangers il la Seine. L'impulsion étant donnée
olontaires, pour reconnaître que le législateur a ci Assistance des
enfants
aliénés. voulu édicter non une loi de police, m
membres présents. III. De l'éducation d'une catégorie spéciale d'
enfants
arriérés. Au commencement de l'année 1892, no
sur le point de fonder une école pour l'instruction spéciale des
enfants
, qui, en raison de leur état maladif, tant au poi
permettre à Mistress Burgwin de visiter vos CXII De l'éducation des
enfants
arriérés. Ecoles, et lui donner tous les rensei
vingt arrondissements une ou plusieurs classes spéciales pour les
enfants
au-dessous de la moyenne et d'ins- tituer pour
pour les enfants au-dessous de la moyenne et d'ins- tituer pour ces
enfants
un enseignement spécial analogue à celui qui ex
nfants un enseignement spécial analogue à celui qui existe pour les
enfants
arriérés. Ces enfants sont la risée de leurs ca
pécial analogue à celui qui existe pour les enfants arriérés. Ces
enfants
sont la risée de leurs camarades et néces- sair
ier 1892, à l'hospice de Bicêtre (service de M. Bourneville). Cet
enfant
, placé d'office comme étant atteint d'idiotie, fu
seignements. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 6 ans. 10
enfants
, 5 sont morts : 2 d'affections aiguës ; 1 athreps
viable; une frayeur avait provoqué cette fausse couche. Parmi les 5
enfants
vivants, signalons un jeune garçon de 13 ans, m
satisfaire sa gourmandise; notre petit malade, l'avant-dernier des
enfants
et une dernière fille, faible et mal portante.
s. - L'accouchement s'est fait normalement et sans chlo- roforme. L'
enfant
, à la naissance, n'était pas asphyxié et sem- b
ne- ments semblent sujets à caution, aurait affirmé au père que l'
enfant
n'avait jamais eu de convulsions, ni de maladies
s comme particula- rités, les difformités qu'offrent les mains de l'
enfant
, surtout la main droite qui est en demi-flexion
carpe. Toute la main est légèrement déviée sur le bord cubital. L'
enfant
ne reconnaît personne, ne parle pas, et gâte con-
is parait un peu obtuse. Ni sucre, ni albumine dans les urines. - L'
enfant
est très abattu, parait souffrant et pousse des
orrespondante. Calotte présentant l'épaisseur normale de celle d'un
enfant
de cet âge. Bosses asymétriques. Bosse pariétal
aucun renseigne- ment sérieux sur les antécédents personnels de l'
enfant
. Il est probable que la nourrice n'a pas fait c
Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par le père de l'
enfant
.) - Père, 29 ans, facteur des postes. Aurait eu
es mentales ou nerveuses. - Un cousin germain de la grand-mère de l'
enfant
est interné dans un asile d'aliénés depuis 1874
a famille. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 8 ans. Deux
enfants
: 1° un garçon, 18 mois très bien portant, fort
iste en jetant un cri : elle a failli se trou- ver mal, a dit que l'
enfant
remuait violemment dans son ventre et qu'il ava
la naissance, pas de circulaires du cordon, etc. C'était une belle
enfant
, très forte. Elevée cinq mois au sein par sa mè
nt trois se- maines. Le père affirme que, ultérieurement, lorsque l'
enfant
a commencé à se tenir un peu sur les jambes, il
n ne sait à quoi attribuer cette préférence. A partir de 18 mois, l'
enfant
se donna des coups de poing sur la tête, pendan
ux ans et demi, étaient devenues très rares moment de l'entrée de l'
enfant
à la Fondation Vallée. Elle n'avait jamais les
ment, sans motif; son sourire ne ressemblait pas à celui des autres
enfants
» . Elle émettait quelques monosyllabes sans au
ès en retard à tous les points de vue. Etat actuel (8 juin 1891). -
Enfant
de petite taille, assez chétive. Ne se tient de
normales du rachis lom- baire. Bassin proportionné à la taille de l'
enfant
, non dévié. Pénil peu saillant. Grandes lèvres
s le cours de son séjour à la Fondation Vallée, on cons- tate que l'
enfant
ne parle en aucune façon. Elle ne fait entendre
ait pas sur le vase. Onanisme effréné, crural et manuel. Tics : L'
enfant
ferme souvent les yeux, fait des grimaces de la
te à gau- che et du tronc d'avant en arrière. Sommeil bon, calme.
Enfant
colère. Pleure une partie de la journée. Elle n
és de 10 minutes chacun. - Exercices de la marche. 3 juillet. - L'
enfant
maintenant marche seule ; elle semble moins col
oins colère, et est devenue un peu plus caressante. 1e octobre. - L'
enfant
, depuis quelques jours, n'a pas d'appétit, dort
uente. Rien de localisé à la percussion, auscultation difficile : l'
enfant
crie lorsqu'on l'examine. 29 octobre. - Même
rrhée moins abon- dante, s'arrêtant même pendant quelques heures. L'
enfant
prend quelques aliments. T. R. 37°, 7 et 37°, 6
ation, quelques râles sonores et sous-crépitants fins disséminés. L'
enfant
mange assez bien. Sommeil bon. T. R. 37°, 9 et
, 4. Soir : T. R. 39°, 4. 13 novembre. - L'amélioration continue. L'
enfant
a meil- leure mine, ne crie plus dès qu'on s'ap
entre 37° et 38° et descendant même six fois à 36,9. 2 février. L'
enfant
tousse beaucoup et s'affaiblit de plus en plus.
mois et une émotion vive accompagnée d'un mouvement brusque de l'
enfant
. Est-ce à ce moment que s'est développée la lés
Nous rattacherons aussi à la ménin- gite chronique les coups que l'
enfant
se donnait sur la tête, ses accès de cris et de
que on ne voit se développer l'in- 22 Réllexions. telligence de l'
enfant
. La volonté se manifeste cepen- dant par des cr
ire marcher ? V. A signaler l'absence totale du goût chez cette
enfant
. Est-elle due à la destruction de la partie anté-
- Sur 5 oncles paternels, deux sont bien portants ainsi que leurs
enfants
qui n'ont jamais eu de convulsions; 3 sont morts,
ste. - Sept frères ou saurs : l'ainé, bien portant, marié n'a pas d'
enfants
. Le second, aveugle-né, est tombé à 27 ans d'un
ière est bien portante, sans troubles nerveux; elle est mariée, a 3
enfants
en excellente santé et qui n'ont jamais eu de c
tre à 69 ans, asthmatique ( ? ). Trois '> oncles paternels plans
enfants
, tous ordinairement sobt ? éj ? sains de corps
el, rhumatisant, porteur de varices, à cela près bien portant; sans
enfants
, sobre\ ? robuste. - Pas de tantes maternelles.
isatier, ivrogne, mort à 30 ans d'un érysipèle gaiigré- nettx, sans
enfants
. - Les quatre autres, mariés, auraient tous des
nettx, sans enfants. - Les quatre autres, mariés, auraient tous des
enfants
également en bonne santé; aucun n'aurait eu de
son jeune âge. - Une soeur, sans antécédents nerveux, a eu un seul
enfant
mort d'affections fébriles de longue durée et n
s de consanguinité. -Le mari a 4 ans de plus que sa femme. Quatre
enfants
: 1° un garçon mort après 2 ou 3 heures; l'enfa
femme. Quatre enfants : 1° un garçon mort après 2 ou 3 heures; l'
enfant
, asphyxié à la naissance, fut ranimé pendant quel
ssage fut très 26 DESCRIPTION DU malade. difficile. » Néanmoins l'
enfant
sortit spontanément; on n'em- ploya ni anesthés
ploya ni anesthésique, ni erg-otinc. - Asphyxié à la naissance, l'
enfant
ne fut ranimé par la sage-femme qu'après une demi
s suivait. La série convulsive dura quatre jours pendant lesquels l'
enfant
ne put prendre le sein. Un médecin, consulté, p
angé dans le cerveau ; que cela était du au temps trop long que l'
enfant
avait mis à franchir la filière pelvienne», et il
vienne», et il malaxa la tête sans doute siège d'une déformation. L'
enfant
put pren- dre le sein de sa mère le 51 jour. Il
le à 18 mois. - Première dent à G mois ; dentition complète à ? - L'
enfant
n'a jamais marché. Il a tou- jours été gâteux.
fectieuses signa- lons seulement unc rougeole bénigne à 9 mois. - L'
enfant
n'a pas été vacciné. Il n'a jamais eu de bronch
ant n'a pas été vacciné. Il n'a jamais eu de bronchite. Etat de l'
enfant
(30 mai 1890). - Apparence de bonne santé, tein
in et les gâteaux qu'on lui présente ; la mastication est bonne ; l'
enfant
suce et bave en mangeant. Il est caressant, gai
autéro-postérieur du tronc. L'idiotie parait due à l'asphyxie de l'
enfant
à la naissance, compliquée d'un état convulsif.
s la mi-septembre. Parfois le sommeil est très bon, d'autres fois l'
enfant
s'agite et pleure. 1'ouetnbre.- Teigne tondante
ans la main qui elle-même est fortement fléchie sur l'avant-bras. L'
enfant
ne se sert pa3 de cette main et lorsqu'il veut
me et rhinite intenses. Sa mère,, qui vient visiter fréquemment son
enfant
prétend que ses membres inférieurs gauches s'at
ne permet de consta- ter qu'un peu de ru lesse au sommet gauche. L'
enfant
passant par des alternatives de mieux et de plu
9 décembre 1891, la diarrhée cesse, la température tombe à 36° et l'
enfant
sort le 28 décem- bre de l'Infirmerie des teign
rmerie des teigneux. 1892. 10 février. - La diarrhée est revenue, l'
enfant
dépé- rit. Durant le mois de février, il s'émac
existence de nombreuses veinosités. L'auscultation, difficile car l'
enfant
se plaint conti- nuellement, ne nous permet de
réjuger de l'état des poumons (Fig. 1). Mars. L'état général de l'
enfant
s'aggrave de plus en plus, il offre un aspect s
ne heure après : T. It. 3G"; - 2 heures après 33°, 1. Le poids de l'
enfant
après le décès est de 11 kilog. 200. A son entr
re jouer le rôle de cause prédisposante dans la maladie ultime de l'
enfant
. Fip. 1. RÉFLEXIONS. ' 35 II. Rien de bien
toute la face, se manifestèrent dès le premier jour de la vie de l'
enfant
. Notons enfin la déformation céphalique, consta
teur cortical des contractions du sphincter anal (1). Or, chez l'
enfant
Sal..., il y avait à ce point, des deux' côtés,
VII. Il est regrettable que l'absence complète d'intelligence de l'
enfant
nous ait empêché de procéder à un examen sérieu
e la variole, pen- dant la guerre. Une soeur en bonne santé et sans
enfants
. Pas d'aliénés, d'épileptiques, de suicidés, de
3 frères : un est mort du croup; un second est bien portant et a un
enfant
de 3 mois; le 3" est enfermé dans un asile d'al
es, etc. - Pas de consan- guinité. - Inégalité d'âge de 10 ans. 4
enfants
: 1° une fille morte de la variole à 20 jours, sa
jour aussi bien que la nuit. Il y avait ordinaire- ment une aura; l'
enfant
criait : « maman, maman ! » puis sans autre cri
La figure devenait noire et on voyait aux lèvres un peu d'écume. L'
enfant
s'est mordu plusieurs fois la langue et a eu de
quelques nombres (10, 20, 30, etc.). Il ne veut pas jouer avec les
enfants
en robe (gâteux). Imbécillité ; hémiplégie ; ÉP
PSIE. 41 24-31 octobre. - Revacciné sans succès. 19 décembre. - L'
enfant
n'a pas eu d'accès d'épilepsie depuis son entré
n prin- cipal en retraite, fait à la date du 2 septembre, dit que l'
enfant
« est atteint d'épilepsie depuis plusieurs anné
us énergiques, l'emploi de la belladone, du bromure, etc. ; que cet
enfant
tend à devenir maniaque et qu'il y aurait lieu
aussi voleur ni men- diant et ne se fait plus servir par les autres
enfants
, 1883. 23 juin. - Dentition. Mâchoire supérieur
ès couramment; sa mémoire est bonne; il est docile et attentif. - L'
enfant
qui n'avait pas eu d'accès depuis son entrée en
u crâne, sont adhérentes par leur lobule. L'ouïe est conservée. L'
enfant
ne peut gonfler ses joues et parfois les aliments
; le calcul reste faible ; on a beaucoup de peine à faire faire à l'
enfant
de petits problèmes sur l'addition et la soustr
Il. : ! 5, 8 Il. 45. La connaissance revient après chaque accès; l'
enfant
parle de sa mère et dit qu'il pense qu'elle ne
h. 1/2 sans nouvel accès, on note 380 7. Durant cette rémission, l'
enfant
a sa connaissance et dit qu'il va mieux. A 3 h.
dit qu'il va mieux. A 3 h. un quart, 35o accès à la suite duquel l'
enfant
ne reprend plus connaissance et tombe dans le c
employons à l'école pour enregistrer les progrès intellectuels des
enfants
. Dès qu'ils commencent à tracer des bâtons, nou
les mois, nous faisons consigner sur ce cahier les exercices dont l'
enfant
est devenu capable. Les figures 1, 2, 3 et 4 mo
rères bien DESCRIPTION de la malade. 57 portants; l'un deux a des
enfants
, qui sont intelligents et en bonne santé. Pas d
e père et la mère sont de Paris.) Différence d'âge : 3 ans. Douze
enfants
: 1° garçon, mort à 7 ans de fièvre typhoïde at
otions. - Accouchement à terme, facile, sans aucune intervention. L'
enfant
était grosse, pesait, dit-elle, 9 kilog., ( ? )
0 minutes. Elles se répétaient 3 ou 4 fois par jour. Depuis lors, l'
enfant
a toujours présenté les mêmes convulsions, et n'a
e « comme un morceau de bois. » État actuel. - 29 septembre 1891.
Enfant
immobile dans son 58 DESCRIPTION DE la malade
s que de la vie végétative, si l'on peut appeler ainsi l'état d'une
enfant
qui ne paraît même pas éprouver le besoin de ma
. Qu'on soulève la tête ou l'un des membres inférieurs, on enlève l'
enfant
« comme un morceau de bois. » Tête. - Asymétrie
s, de dimensions normales, réagissant naturellement à la lumière. L'
enfant
ne parait pourtant que peu impressionnée par le
'orifice du conduit auditif externe; lobule peu marqué, adhérent. L'
enfant
parait percevoir des sons. Cou court, circonfér
et aux mem- bres supérieurs, elle existe, quoique très obtuse. L'
enfant
est absolument immobile, ne fait aucun cri, gâte
Sommeil agité. 1890. - Une dizaine de mois après son entrée, cette
enfant
se mit à tousser et à dépérir progressivement,
es dimensions. Cette eschare est pansée à la poudre de quinquina. L'
enfant
mange bien, 1892. Mars. Depuis la fin de décemb
ature : 39°; nuit tranquille, sommeil calme. 23 mars. Ce matin, l'
enfant
mange encore un peu de soupe, et, il 10 heures,
me d'un haricot. 64 RÉFLEXIONS. Réflexions. - I. Le père de cette
enfant
est tuber- culeux ; elle l'était également ains
ent. - L'alcoolisme, toujours fréquent clans les antécédents de nos
enfants
, se retrouve chez un arrière- grand-père patern
« sur un jeune homme qui était comme ça, » c'est-à-dire comme son
enfant
. III. Relativement à la méningite survenue, d'a
tic rétrospectif. Quelquefois même, le médecin qui a soigné alors l'
enfant
s'est trompé et a parlé plus ou moins vaguement
fait écarter l'idée d'une méningite. IV. A l'examen clinique de l'
enfant
, le trait le plus frappant était la présence de
attirons encore une fois l'attention sur l'étonnante tolérance des
enfants
comme notre malade pour des affections aussi gr
e, convulsions, fièvre typhoïde avec délire violent. - Alcoolisme ?
Enfant
naturel, ne connaît pas sa famille. - Mère, mig
nements fournis par sa mère le 8 mars 1892). Père, 38 ans, charron,
enfant
naturel, placé par sa mère à l'âge de deux jour
ois assez jeune, il eut une fille de son premier mariage, morte aux
Enfants
Malades à l'âge de 3 ans 1/2 de ménin ! Ji'e tu
ts Malades à l'âge de 3 ans 1/2 de ménin ! Ji'e tuberculeuse. Cette
enfant
aurait eu des convul- sions durant toute sa vie
fois à un homme mort de tuberculose aiguë et dont elle n'a pas eu d'
enfants
. Ce fut à 27 ans qu'elle contracta son second m
pneumonie; une autre, 38 ans, se porte bien; elle est mariée et a 3
enfants
; l'aînée aurait eu des convulsions et aurait ét
la famille]. Pas de consanguinité. Inégalité d'Age : 1 an 1/2. 3
enfants
: 1° garçon, mort à 15 mois, de méningite tuber-
as eu de convulsions; - 3° Notre malade. Rappelons que le père de l'
enfant
a eu d'un premier mariage une fille, morte à 3
a eu d'un premier mariage une fille, morte à 3 ans à l'hôpital des
Enfants
Mala- des, cle tuberculose. Cette enfant aurait
e à 3 ans à l'hôpital des Enfants Mala- des, cle tuberculose. Cette
enfant
aurait eu des convulsions durant toute sa vie.
e. La mère n'entrevoyait pas avec plaisir la naissance d'un autre
enfant
, à cause de la faiblesse de sa santé et de l'exig
de 2 heures et demie. - A la naissance, ni cyanose, ni asphyxie; l'
enfant
était petit et grêle. ? Elevé au sein par sa mè
rs symptômes de son affection datent de l'époque de la dentition. L'
enfant
fut alors pris de convulsions fréquentes, surve
evenir. Une période d'anxiété ouvrait la crise. D'abord immobile, l'
enfant
devenait rouge, se plaignait en grognant, puis
oteur. Les crises n'étaient pas toujours aussi longues, par- fois l'
enfant
devenait pâle, regardait un instant fixement, f
oue que, sur leur conseil. elle donna des claques iL son malheureux
enfant
. - Vacciné à 2 mois avec succès; ni rougeole, n
t la coqueluche, n'auraient pas été sensiblement modi- fiées. Cet
enfant
aurait toujours été d'une mobilité incomparable.
ller. Le 20 février, lassée des plaintes des voisins et croyant son
enfant
atteint d'une maladie ner- veuse qu'elle attrib
ours après son arrivée à Bicêtre. État actuel. (14 3/ars 1892). L'
enfant
n'a pas l'air maladif, son embonpointest satisf
Mensurations de la tête : 72 . Rougeole ; albumine. if mars. L'
enfant
un peu agité a été conduit la veille au pavillo
a; potion aux sirops diacode et de tolu. Régime lacté. 19 mars. - L'
enfant
est décédé à minuit 1/2. Son poids était alors
ment con- sidérée comme cause prédisposante de l'état mental de l'
enfant
. Remarquons encore que son frère aîné et sa dem
mies) ont pu avoir une certaine influence sur le développement de l'
enfant
. III. Il est à remarquer que les convulsions at
lusion, méritent encore d'attirer l'attention. Le court séjour de l'
enfant
dans la section, la rougeole dont il a été atte
re (service de M. BOURNEVILLE); et est décédé le 14 avril 1892. L'
enfant
est amené le 24 février 1891 par sa mère. Il est
qualité d'employé des ponts et chaussées, qu'il connut la mère de l'
enfant
, fille de paysans dont il eut quatre enfants. P
'il connut la mère de l'enfant, fille de paysans dont il eut quatre
enfants
. Pendant son séjour dans ce pays.il il fut illl
devint employé de la Ville et épousa il y a six mois la mère de ses
enfants
. Il y a deux mois, il fut repris de folie et in
tantes. - Trois frères : l'ainé, 30 ans, bien portant, n'a pas d'
enfants
. Le second frère. 28 ans, et le troisième, 24 ans
nerveuse.] Pas de consanguinité. - Iné- galité d'âge de 8 ans. 4
enfants
: 1° notre malade ; - 2" un enfant mort à Il ans
Iné- galité d'âge de 8 ans. 4 enfants : 1° notre malade ; - 2" un
enfant
mort à Il ans de la variole; il était intellige
e et pas nerveuse ; - 4° garçon, 4 ans, venu avec sa mère, très bel
enfant
, très intelligent, parlant bien; il n'a jamais
et depuis lors il dépérit. Sa mère attribue l'état actuel de son
enfant
à sa chute et à celle de son enfant. Un médecin r
e attribue l'état actuel de son enfant à sa chute et à celle de son
enfant
. Un médecin rou- main aurait prétendu qu'il s'é
s 80 Rubéole. ans avec succès. Th... pleurait beaucoup étant tout
enfant
. Il n'a pas eu de convulsions. La mère affirme
lade entre en convalescence. - Exeat le 22 février. 23 février. L'
enfant
passe de l'isolement à l'infirmerie. Il ne peut
tout le mois, n'est pas élevée. Itien à l'auscultation. L'état de l'
enfant
ne se modifie pas et il présente de temps en te
tation abondante : lait et oeufs; Todd au quinquina. 9 avril. - L'
enfant
se plaint toujours mais on ne peut lui faire di
d au quin- quina ; pointes de feu. . Etal actuel (l 1 avril). - L'
enfant
est pâle et reste constam- ment couché. - Le cr
nes bien ouver- tes, à direction oblique en dehors et en arrière. L'
enfant
res- pire bien par le nez. Bouche large de 4
isse couche saburrale, rouge à la pointe. Palais absolument pâle. L'
enfant
paraît distinguer et Bourneville, Bicêtre, 1892
mbre de poils entre les deux omoplates et au niveau des lombes. L'
enfant
porte sur les parties postérieures et latérales d
. Il est facile de fixer son atten- tion. 1 ? avril. Même état, l'
enfant
ne veut pas de nourriture. 13 avril. - Lu malad
e consanguinité. - Le mari à trois ans de plus que sa femme. Cinq
enfants
: 1° une fille, 11 ans, jamais de convulsions,
erme, normal, sans chloroforme. - A la naissance, pas d'asphyxie; l'
enfant
était en excellent état et paraissait vigoureux
quatre par jour. Les plus fortes débutaient par une sorte d'aura' l'
enfant
pleurait, rougissait, puis avait des convulsion
ue le bras gauche. Les yeux se déviaient, devenaient blancs, puis l'
enfant
se raidissait. La fin de la crise était annoncé
de 2 ans, on ajouta à l'allaitement maternel, quelques aliments. L'
enfant
, â partir de ce moment, prit un peu d'embonpoin
renseignements bien précis sur les habitudes et les penchants de l'
enfant
, car la mère semble, de médiocre intelligence.
elle parait peu intelligente. Etat actuel (21 mai 18 ! J'2¡. - L'
enfant
est développé physi- quement et paraît bien por
l'abdomen, la gauche d'une façon plus éner- gique que la droite. L'
enfant
résiste très fort lorsqu'on veut écarter le bra
nts des deux côtés. Rien au coeur. Respiration cos to-abdominale. L'
enfant
fait ordi- nairement de petites inspirations, p
des jointures. 25 juin. - Revaccine sans succès. il juillet. - L'
enfant
est envoyé à l'infirmerie vers 10 heures du mat
ns d'oxygène. Sulfate de quinine 0.30 centigrammes. Sinapismes. L'
enfant
meurt à une heure du matin. Température après l
e la pièce : 18° 5. Poids après décès 10 k. 100. L'observation de l'
enfant
a donné les résultats suivants au point de vue
a suture métopique sont fermées. (1) Afin de nous assurer que les
enfants
qui nous arrivent ne sont pas à la période d'in
lques excès de boisson chez le père et. le grand-père paternel de l'
enfant
et des convulsions de la mère durant son enfanc
dillicile de bien faire préci- ser aux parents l'état réel de leur
enfant
avant les accidents auxquels ils rattachent ave
es il 3 mois et que, à moins d'avoir une très grande expérience des
enfants
, il est difficile de faire une description psyc
s avons toujours soin dans nos observations de décrire les tics des
enfants
. Vioc... en avait plu- sieurs : l'un d'eux cons
n de la tête. Toutes ces variétés peuvent être réunies chez le même
enfant
. Souvent le balan- cement s'accompagne d'une so
ulement le chiffre des cas observés depuis 1879 dans le service des
enfants
de Bicêtrc, nous parait mériter une sorte de ra
(Renseignements fournis par le patron' et surtout par l'oncle de l'
enfant
, le 22 avril 1892.) - Père, a eu des convulsion
n coup de feu. Sobre, un peu colère, mais très- affectueux pour ses
enfants
. Pas de maladies nerveuses. Mère, non nerveuse,
ous deux ont eu des convulsions dans l'enfance. Uhe ,'11'111', sans
enfants
, bien portante. - Les enfants du second frère s
s dans l'enfance. Uhe ,'11'111', sans enfants, bien portante. - Les
enfants
du second frère sont bien conformés, en bonne s
ièvre typhoïde à 10 ou Il ans, rien de plus. D'après le patron de l'
enfant
, cette femme s'adonnait à la bois- son comme so
de consanguinité. Inégalité d'âge de 4 ans (père plus âgé). Deux
enfants
: 1° une fille venue il 6 mois et qui n'a vécu qu
vail de courte durée. Il n'y avait pas d'asphyxie à la naissance. L'
enfant
fut mis dans de l'ouate, et nourri avec du lait
soit sa pre- mière dent, soit sa dentition temporaire complète. - L'
enfant
110 Antécédents personnels. paraissait intell
poque, voici quel était approximativement le tableau de l'accès : l'
enfant
« tournait sur lui-même » sans pousser un cri,
s temps, sans slertor, constituaient tout l'accès. Après l'accès, l'
enfant
dormait environ une heure. A son réveil, il res
aient pu passer inaperçue la nuit. Le récit que fait le patron de l'
enfant
au sujet des accès de ces dernières années est
y avait aucune prédominance des convulsions d'un côté du corps. L'
enfant
n'avait pas de vertiges, mais lorsqu'un accès éta
ntât. A cause de ses accès, on ne voulut pas le garder à l'école. L'
enfant
, se servant de ce qu'on lui avait appris, conti
a 3 ou 4 ans; on ne lui a pas vu d'hémoptysie. , Etat actuel. - L'
enfant
est d'une pâleur terreuse. Il est amaigri. Les
de quoi. - Trois oncles paternels, bien por- tants ainsi que leurs
enfants
. - Deux frères, tous deux sans enfants et sobre
por- tants ainsi que leurs enfants. - Deux frères, tous deux sans
enfants
et sobres; l'un serait mort à 32 ans d'une méning
e typhoïde; trois sont vivan- tes et en bonne santé ainsi que leurs
enfants
, une d'entre elles parait avoir des douleurs rh
res détails. - Demi-oncles paternels, bien portants ainsi que leurs
enfants
. - Deux oncles maternels, morts on ne sait de q
nts. - Deux oncles maternels, morts on ne sait de quoi, ayant des
enfants
sains do corps et d'esprit, sauf un, âgé de 17 an
arle pas. - Deux tantes maternelles bien portantes, ainsi que leurs
enfants
. - Huit enfants : cinq seraient morts jeunes, o
tantes maternelles bien portantes, ainsi que leurs enfants. - Huit
enfants
: cinq seraient morts jeunes, on ne sait de quo
iques, etc.] Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 3 ans. 14
enfants
: 10 Une fille, morte un quart d'heure après la n
e convulsions. Notre malade. Rien de particulier il laconception, l'
enfant
n'a pas été conçu durant l'ivresse. - Grossesse
ide, sans médicaments. - A la naissance, pas d'asphyxie, bien que l'
enfant
eut, comme tous ses frères et soeurs, un circul
s deux ou trois premières semaines de son existence, « il était bel
enfant
et ressemblait à tous les autres. » Vers la tro
nt et ressemblait à tous les autres. » Vers la troisième semaine, l'
enfant
commença à décliner, il maigrissait et sa mère
t durant trois mois au moins une fois par nuit, et, en même temps l'
enfant
continuait de maigrir. ne poussait aucun cri, n
ni le jour, ni la nuit : « on n'aurait jamais dit qu'il y avait un
enfant
à la maison. » Il restait toujours assoupi. A
tait toujours assoupi. A 3 mois, les mouvements des yeux cessent; l'
enfant
reste maigre, ne donnant aucun signe d'intellig
A 13 mois, on constata une amélioration notable dans l'état de l'
enfant
. C'est à cette époque que, pouvant entr'ouvrir le
son père, sa mère, ses frères et soeurs et souriait « tout comme un
enfant
d'un an. « Il faisait des manières avec ses mai
es faibles progrès opérés en un an, car elle avait remarqué que son
enfant
commençait à les effectuer avant son entrée à T
du dépôt, où il séjourna deux jours avant d'être admis à Bicétre. L'
enfant
n'a pas eu de vers instestinaux ni subi de trau
- Les paupières à demi fer- mées, la bouche entrouverte donnent à l'
enfant
un air d'hébé- tude très accentué ; on parvient
cune tendance à s'améliorer. Lotions au sublimé. A cette époque l'
enfant
a fait de très sérieux progrès, dus aux soins a
usqu'au 22 juin, épo- que à laquelle il tombe malade. 22 juin.- L'
enfant
est faible, il a la diarrhée, tousse légè- reme
rines. T. Il. 400,1. - Soir : 36°, 5. Sirop d'ipéca. 27 juin. - L'
enfant
a vomi abondamment et sa diarrhée a augmenté. S
6. 28 juin. - ! . : ? signes sthétoscopiques restent les mêmes. L'
enfant
a encore vomi et a toujours un peu cle diarrhée.
s sont fuligineuses, la lan- gue est saburrale sans que cependant l'
enfant
ait l'aspect ty- phique en quoique ce soit. Il
llet. - T. R. 39°, 7. - Soir : 38°, 7. -11 juillet. - Le poids de l'
enfant
est stationnaire. La tem- pérature reste élevée
on manifeste, le strabisme est plus accentué. Nystagmus prononcé. L'
enfant
n'est plus gai, ne répond plus aux questions au
Ventouses, sirop d'é- tirer ; potion avec acide lactique, 5 gr. L'
enfant
meurt à 3 heures du matin. Son poids au moment
la tempéra- ture de la salle était de 22". Notons que bien que l'
enfant
n'ait reçu pendant sa maladie aucun soin de la
elevée, c'est l'alcoolisme, du père et du grand- père paternel de l'
enfant
. II. L'idiotie complète observée chez St... nou
de Botal et l'ectopie testiculaire. IV. St..a été l'un des premiers
enfants
sur lesquels M. Lannclongue a pratiqué la crani
qu'elle n'est pas aussi inoffensive que cer- tains le prétendent. L'
enfant
est sorti à la fin de février 1891. Pendant son
'après la note même de M. Lannelonguc et aussi d'après la mère de l'
enfant
, la situation était à peu près à la sortie de l
peu près à la sortie de l'hôpital ce qu'elle était à l'entrée. L'
enfant
nous est arrivé avec la teigne, c'est-à-dire da
it été entravé considérablement par la nécessité de mainte- nir l'
enfant
au pavillon d'isolement, a donné, pendant son a
encéphaliques très circonscrites ce qui autorise à pen- ser que l'
enfant
avait des chances de survivre et de s'a- mélior
Antécédents. - (Renseignements fournis par le père et la mère de l'
enfant
le 9 nouembre 1892.) - Père, 69 ans, em- ployé
ort à 57 ans, tuberculeux, il était fort, intelligent; il a eu deux
enfants
, morts à 4 ou 5 ans, un d'eux aurait eu à sa mo
ident nerveux, ni arthritique; cependant depuis la naissance de son
enfant
, elle est sujette à des céphalalgies, . 1 '' \
é (père, parisien, mère, bourguignonne). - Egalité d'âge. . Trois
enfants
: 1° garçon, 12 ans, a eu des convulsions très
yeur causée par le passage subit d'une locomotive au voisinage de l'
enfant
. Le côté droit actuellement paralysé était le s
ota pas alors d'asymétrie faciale. Vers 18 mois, on remarqua chez l'
enfant
un lie consistant en mouvements rapides du pied
onnne ne lui aurait appris à imiter ces gestes. L'intelligence de l'
enfant
était presque nulle. Gâteux complet, il semble
tic décrit plus haut existe actuellement, il s'accompagne lorsque l'
enfant
est en colère de mouvements des lèvres, et du b
gutturaux. Le sommeil est bon. Etat actuel ( 10 novembre 1892). - L'
enfant
dont l'état 136 DESCRIPTION DU malade. d'adip
nifester.. La contracture de ce membre est incomplète car parfois l'
enfant
seul étend presque com- plètement la jambe. - L
isochrones à ceux du pied. En même temps, on observe parfois chez l'
enfant
de grands mouvements expira- toires durant lesq
facilement lorsqu'on met le pied à plat. Notons en même temps que l'
enfant
présente toutes les 5 ou 10 minutes une sorte d
anale saine. Petite cicatrice au niveau du coccyx. 10 tovembae. - L'
enfant
qui depuis le 5 novembre est malade à,l'Infirme
L'examen des urines est impossible, vu le gâtisme continuel de l'
enfant
. T. R. 39°, 3. - Traitement : Ventouses. Potion d
1/2 potion de Todcl, 1 cuillerée de sirop d'éther. 15 novembre. - L'
enfant
est mort le 14 novembre à 2 heu- res du soir. L
14 novembre à 2 heu- res du soir. Les parents nous racontent que l'
enfant
est sorti de l'hôpital Trousseau le 31 octobre,
pour expliquer la prédisposition aux accidents cérébraux des trois
enfants
issus de ce mariage. II. A 9 mois, II.. a été
cholalie, échokinésie ou répétition d'un mouvement exécuté devant l'
enfant
, etc., etc. Mais, nous n'avions jamais observé
accompagnés de grands mou- vements respiratoires durant lesquels l'
enfant
faisait un grogncment guttural très désagréable
rogncment guttural très désagréable (1). IV. D'après les parents, l'
enfant
aurait eu la rou- geole à onze mois. Est-ce bie
pla- cer en observation, à l'infirmerie, pendant cinq jours, les
enfants
qui nous arrivent et de faire prendre leur temp
amille ne permettait de penser à cette lésion et, d'autre part, l'
enfant
a fait un trop court séjour dans le service pour
ervice de M. BOURNEVILLI· ? et y est décédé le 12 octobre 1892. L'
enfant
arrive de l'hôpital Trousseau muni du certificat
tante, sujette à des céphalalgies comme son frère. Mariée, elle a 2
enfants
intelligents, qui n'ont jamais eu de convulsion
s paternels. -Deux taules paternelles se portent bien ainsi que les
enfants
de l'une d'elles.- Pas d'oncles ni do tantes du
e consanguinité. - Le mari a 8 mois cle plus que sa femme . Trois
enfants
: 10 notre malade; - 2° fille, 13 ans, n'a jamais
chloroforme; la tête resta engagé trois heures. - A la naissance, l'
enfant
était complètement noir. La sage- 150 Antécéden
Cet état asphyxique dura au moins dix minutes. Les jours suivants l'
enfant
n'était plus bleu. était gros, et parais- sait
le nulle. - Début de la .marche à 8 ans. Il marchait alors comme un
enfant
de G mois. - En nourrice on prétend ne s'être j
t de G mois. - En nourrice on prétend ne s'être jamais aperçu que l'
enfant
ait eu des convulsions. La mère a constaté deux
ace était très pâle, les mâchoires serrées et les yeux détournés. L'
enfant
criait constamment. Dès son bas-âge, on constat
¡¡eement" il [/u;/o- siques des deux mains qui auraient persisté. L'
enfant
digérait mal, vomissait, avait des périodes de
rée, de vertiges, ou de t.rem- blements, de traumatismes sérieux. L'
enfant
reconnaît ses parents et semble joyeux à la vue
iectomie, le .père se mit en rapport avec M. le D" Lannelongue et l'
enfant
fut opéré le 14 décembre 1890. On fit deux inci
de 20 jours. Aucune amélioration ne fut constatée. Au- jourd' hui l'
enfant
est redevenu ce qu'il était auparavant. Alors s
les, très peu musclés ; (1) Voici d'ailleurs la note concernant cet
enfant
que notre ami, M. le pro- fesseur Lannelongue a
sez longs. Elle n'offre rien de particulier. Etat intellectuel. L'
enfant
ne parle pas, ne comprend rien; tous les mouvem
de ; légère amélioration. Réfectoire : A l'exception de son pain, l'
enfant
ne prend aucun aliment seul. Il saisit mal les
cements de dents. Bave continuelle. l'as d'onanisme. Sommeil bon. L'
enfant
t marche seul. On fixe assez facilement son att
e morue; 2 de sirop de fer. 2" Petite Ecole. Depuis quelque temps l'
enfant
semble mieux comprendre ce qu'on lui dit. Sous
econdes; 2 séances de gymnastique; exercices de la parole. Mai. L'
enfant
est exercé à la petite gymnaslique. Il pleure e
doux et affectueux. 6 juin. - La parole est toujours nulle, mais l'
enfant
semble mieux comprendre. Debout, il se tient un
droits, mais le pied gauche est un peu tourné en dedans. A table, l'
enfant
se tient assez bien, mais c'est à peine s'il sa
e difficilement. La diges- tion est assez facile. Selles rares. L'
enfant
reste quinze jours au pavillon des gâteux pour un
urs au point de vue du gâtisme, et conduit même aux infirmières les
enfants
qui ont gâté, leur montrant qu'ils doivent être
transpiration. Pas de selles durant la nuit et la journée d'hier. L'
enfant
ne souf- fre pas et répond négativement lorqu'o
rrhée. Toux fréquente ; absence complète de crachats. 12 octobre. L'
enfant
ne prend que du lait chaud. Vers deux heures, a
Vers 4 heures, il a mangé du potage. A 4 heures (/2 suffocation. L'
enfant
se débat durant un quart d'heure. Il est mort à
'accouche- ment : la tête est restée trois heures au passage et l'
enfant
, à la naissance, était complètement noir. C'est
réserve au sujet de l'existence ou non de convulsions pendant que l'
enfant
était en nour- rice, car à son retour chez ses
on peut invoquer ce fait que, (lèses pre- miers temps de la vie, l'
enfant
criait constamment et que son bras droit foncti
le plus tôt possible, dès qu'on s'aperçoit de l'état anormal de l'
enfant
, dès les premiers signes de l'idiotie qu'il. faut
! j, à Bicêtre (service de M . BOURNEVILLE ). Antécédents. - Cet
enfant
venant de l'hospice des Enfants- Assistés, nous
des idiots) ». État actuel (mars). - Brun de peau, un peu émacié, l'
enfant
parait de complexion délicate. Le facies exprim
es, du volume d'un petit haricot. Région anale saine. Le corps de l'
enfant
est complètement glabre. La sensibilité au ta
- Les réflexes patellai- res existent et ne sont pas exagérés. L'
enfant
ne parle pas, gâte constamment, ne donne lieu à
p d'iodure de fer ; exercices de marche quotidiens. 18 avril. - L'
enfant
entre à l'infirmerie prétentant une 166 MÉNINGI
9, 8. 22 ao-iL - T. R. Jlatin : 39,. Soir : 40°. 4. 23 avril. - L'
enfant
est notablement mieux. La température vespérale
es n'expliquent pas les oscillations de 2° de la température de l'
enfant
. T. R. Matin : 31, 4. - Soir : 37°, 6. 24 arril
ns station- naires. Les signes physiques ont disparu. 31 mat. - L'
enfant
a fait des progrès; il marche seul, pro- nonce
pratiquée, il y a huit jours, n'a pas donné de résultat, bien que l'
enfant
ne porte aucune cicatrice de vaccin. 14 juill
que l'enfant ne porte aucune cicatrice de vaccin. 14 juillet. - L'
enfant
est conduit du service des gâteux à l'infirmeri
de deux minutes l'accès s'est terminé par une émission d'urine et l'
enfant
est tombé dans un état comateux dont le ronflem
let. T. R. 3 i°, 5. Irrégularité du pouls. Hyperesthésie cutanée. L'
enfant
parait souffrir de la tête, grince des dents, p
illet. Raideur de la nuque, du bras droit, et de la jambe droite. L'
enfant
est constipé; il n'a de selle qu'après les lave
ses, frictions mercurielles et glace sur la tête. 18 juillet. - L'
enfant
est décédé à une heure du matin. T. Il. après l
hoïde, fig. 10.) Aucun autre trouble typhiquc n'avait été noté. Les
enfants
idiots et gâteux et surtout ceux de cet âge ne
rettable que l'analyse bac- tériologique n'ait pu être faite, car l'
enfant
n'avait ni otite, ni autre infection capable d'
observés, mais encore par 172 RÉFLEXIONS. l'examen du crâne de l'
enfant
. Nous trouvons sur ce crâne les modifications c
iculières de la mère pendant la grossesse. Accouchement à 7 mois. -
Enfant
très-petite à ta naissance ; convulsions probab
écédents. (Renseignements fournis par ta grand'mère paternelle de l'
enfant
le 28 mai.) - Père, 32 ar.s, imprimeur en taill
la jeune femme lui avaient dit qu'il ne fallait pas qu'elle eut des
enfants
. Elle en a eu deux, et est encore enceinte, pre
enceinte, presque à terme. (Depuis, l'accouchement a eu lieu, et l'
enfant
est mort au bout de 3 semaines). Des deux enfan
nt a eu lieu, et l'enfant est mort au bout de 3 semaines). Des deux
enfants
vivants, deux filles, l'une a 2 ans, et ne parl
sesse et lui disait que « c'était elle qui en souffrirait, et que l'
enfant
viendrait tout de même. » Au contraire, la mère
de la jeune femme lui répétaient qu'elle n'aurait pas dû avoir d'
enfants
. - Accouchement à 7 mois, sans grandes douleurs,
sans grandes douleurs, La mère se préoccupait à peine de son état.
Enfant
toute (1) Elle a été admise il la Fondation Val
. On a attendu l'arrivée de la sage femme, qui a lié le cordon. - L'
enfant
n'avait pas d'ongles. - Elevée d'a- bord au cha
ment elle a commencé à manger. - Trois jours après sa naissance, l'
enfant
eut de petites contorsions que la mère prit pou
pour du rire, et que la grand'mère croit être des convulsions. L'
enfant
avait les yeux convulsés en haut, les membres s
nt à 2 ans. La dentition a été complète on ne sait à quel moment. L'
enfant
, à 2 ans, a commencé aussi à dire : papa, maman
é. Les tentatives d'onanisme ont été réprimées par les parents. L'
enfant
i.'était ni agitée, ni bruyante. Elle avait peu
e vomissements, mais diarrhée quelquefois, durant peu de temps. L'
enfant
, habituellement constipée jusqu'à l'âge de 2 an
6 mois accompagnée d'un grand affaiblissement. Jusqu'à 2 ans, cette
enfant
était « une petite marmotte. » Elle ne tenait p
d'ailleurs, ne s'occupe pas d'elle. Etat actuel13\ mai 1R9 : 2). -
Enfant
pâle, d'apparence chétive, avec prédominance ma
intact, peu volumineux ; pas de déviation. Narines assez grandes. L'
enfant
semble respirer habituelle- ment par le nez. Pa
ccent circonflexe. Largeur, 4 centimètres. Lèvres assez minces. L'
enfant
ne bave pas. Voûte et voile du palais non déformé
me ordinaire. Amygdales assez petites. Réflexe pharyngien normal. L'
enfant
paraît aimer les substances sucrées. Elle fait
e est assez écartée ; lobule petit, non adhérent. Pas d'otorrhée. L'
enfant
entend bien. Cou assez court, circonférence 23
z difficile a percevoir à cause de l'agitation et des plaintes de l'
enfant
. Deuxième bruit dédoublé très nettement. Pouls
non perceptible. - Bassin petit, même relativement à la taille de l'
enfant
. Puberté. Glandes mammaires non développées. Ar
is petites cicatrices de vaccine à chaque bras. Motilité normale. L'
enfant
se sert de ses mains, surtout de la droite, pou
bre., supérieurs l'un par rap- port à l'autre. Genu valgum droit. L'
enfant
remue bien ses jambes, mais ne marche pas. Se
as. Sensibilité générale normale, sauf pour la température, que l'
enfant
ne parait pas apprécier suffisamment. Etudiée pen
r suffisamment. Etudiée pendant son séjour à la Fondation Vallée, l'
enfant
présente quelques modifications ou particularit
ation. Créolise, 0 gr. 20 cent. par jour dans un julep de 120 gr. L'
enfant
va mieux pendant quelques jours, puis refuse de
ui était descendue à près de 35° est remontée au-dessus de 36°. L'
enfant
prend bien la poudre de viande. Elle n'a plus de
ccination sans résultat (26 octobre). 12 novembre. - Depuis hier, l'
enfant
a de l'ictère, avec coloration de la peau, des
ières fécales. - Lait. On continue la potion alcoolisée parce que l'
enfant
ne veut pas prendre de lait sans rhum. 15 nov
s conjonctives. '. 20 novembre. - L'ictère a entièrement disparu. L'
enfant
reste très-pâle. 9 décembre. Gauc... maigrit
ditionné de poudre de viande et de rhum. 10 décembre. Cette nuit, l'
enfant
a eu une syncope. Ce matin, elle est d'une pâle
: 36°, 2. 18 décembre. Ce matin, la face a une teinte plombée. L'
enfant
est absolument inerte, mais elle répond par des
r les excès alcooliques du père et de la grand'mère paternelle de l'
enfant
en pré- sence des renseignements contradictoire
uête n'était venue les confirmer. Les excès de boisson du père de l'
enfant
auraient été constatés dès le troisième jour du
dessus, autre- ment il y pensait bien moins. Pour mes deux autres
enfants
, j'en suis sûre » (2). III. La singulière attit
jugaux. 184 Réflexions. grossesse a-t-elle eu une influence sur l'
enfant
, il est difficile de l'affirmer. Peut-être a-t-
elle été en partie la cause de la naissance avant terme (7 mois). L'
enfant
n'a survécu que difficilement et les convulsion
pécial, au point de vue de sa santé et de la eécurité publique. L'
enfant
est propre à l'entrée, et n'offre rien de particu
ire un diagnostic précis. L'état général est bon, et malgré cela, l'
enfant
se plaint de maux de tète, de douleurs articu-
l se met très facilement en colère. Il ne buvait pas au moment où l'
enfant
est né. Il boit beaucoup aujourd'liui ; il a qu
s un canton de l'Ain, sans avoir aucun parent dans ce département L'
enfant
est né là. Le père n'a jamais eu de rhumatismes
e présentait rien de particulier au point de vue nerveux. Aucun des
enfants
n'était névropathe. -Mère, morte à 53 ans de la
es ou de tantes connus du côté maternel. - Une soeur mariée, sans
enfants
, a été sujette à des crises nerveuses qui n'avaie
tenant 72 ans. Il souffre du foie. - Pas de tantes maternelles. Les
enfants
de ses oncles et tantes jouissent d'une bonne s
fille qui est morte à 21 ans de méningite. - Un frère et ses trois
enfants
se portent bien et n'ont jamais eu de convulsio
portent bien et n'ont jamais eu de convulsions. - Une soeur sans
enfants
, est très nerveuse ; elle a eu de 18 à 19 ans de
e que les grands- pères et grands'mères paternels et maternels de l'
enfant
(côté du père). Un seul enfant : notre malade
'mères paternels et maternels de l'enfant (côté du père). Un seul
enfant
: notre malade. A la conception, rien de partic
lieu 188 Antécédents personnels. un mois avant la naissance de l'
enfant
; elle fut occasionnée par son mari rentrant ivr
il il n'y avait pas d'as- phyxie. Trois jours après la naissance, l'
enfant
fut pris do con- vulsions généralisées. Biles d
n'étaient pas plus marquées d'un côté que de l'autre. A la suite, l'
enfant
ne voulut plus prendre le sein. On fut obligé d
t se développa vite. A 6 mois, au moment de la poussée des dents, l'
enfant
fut pris de nouvelles convul- sions. Leur durée
nvulsions nouvelles. - A 7 ans, son père rentre ivre, une nuit où l'
enfant
était couché avec sa mère. Celle-ci avait fermé
la face, et quelques glan- des au cou; pas d'abcès, pas d'otite. L'
enfant
fut mis en classe; il était intelligent et appr
consulter à la Salpêtrière. On administra du bromure et on envoya l'
enfant
en observation à l'hôpital Trousseau chez M. Ca
re abduction. Durée une minute à peine. T. R. 39° après la crise. L'
enfant
reste ensuite dans l'état de torpeur décrit ce
ce matin, sans avoir la moindre connaissance. Durant ses crises, l'
enfant
est pâle; après la crise, il a le visage coloré
du soir à minuit : 4 accès. Pas d'accès le restant de la nuit. - L'
enfant
meurt le 22 décembre à 7 heures du matin. T.R.
s émo- tions, dues à des scènes de violence faites par le père. L'
enfant
, né à huit mois, a eu, trois jours après sa nai
convulsions » qui succéda à la frayeur nocturne éprou- vée par l'
enfant
en voyant son père ivre, avait déjà le caractèr
e gravité puisqu'ils ne tardèrent pas à influencer la motilité de l'
enfant
. C'est après avoir constaté un certain degré d'
renseignement sur les antécédents héréditaires et personnels de cet
enfant
. Etat actuel - Enfant pâle, d'aspect chétif. -
técédents héréditaires et personnels de cet enfant. Etat actuel -
Enfant
pâle, d'aspect chétif. - Tête assez développée,
'iris. Ne ? petit, bien conformé, droit. Narines assez grandes. L'
enfant
respire ordinairement parle nez. - Bouche 2 cen-
supérieure et inférieure bien conformées, toutes les deux rosées. L'
enfant
suce continuellement le pouce droit. - Menton p
de division de la voûte ni du voile du palais. Amygdales petites. L'
enfant
a neuf dents temporaires, 4 inci- sives supérie
Le pli de l'aine gauche est le siège d'un érythème assez intense. L'
enfant
ne marche pas, mais tous les mouvements, sponta
férieur du tra- jet inguinal. Région anale normale. Voix forte. L'
enfant
sent le contact le choc, les piqûres, et réagit
de la sienne. - Traitement : 3 bains salés par semaine ; exercer l'
enfant
à marcher ; mettre de la teinture de coloquinte
r de mettre ses doigts dans ses yeux (habitude fré- quente chez nos
enfants
idiots atteints de cécité). 30 juin. - L'enfant
quente chez nos enfants idiots atteints de cécité). 30 juin. - L'
enfant
a de la diarrhée depuis deux jours : sel- les v
2 heures. 4 juillet. - Revaccination sans succès. 12 juillet. - L'
enfant
n'a plus de diarrhée depuis 5 ou 6 jours. T. R.
depuis 5 ou 6 jours. T. R. 37", 2. 20 juillet. T. R. 38°, ! t. L'
enfant
maigrit énormément de- puis quelques jours et s
ulier dans le tutie digestif. Réflexions. - I. L'observation de cet
enfant
est forcément incomplète, au point de vue des c
dents héréditaires ou personnels. Mais elle offre, relativement à l'
enfant
lui-même, trois points intéres- sants. II. D'
à l'enfant lui-même, trois points intéres- sants. II. D'abord cet
enfant
est mort de méningite céoé- 20ü RÉFLEXIONS. b
ne observé, du 30 juin au 8 ou 10 juillet, on peut se demander si l'
enfant
n'a pas eu une fièvre typhoïde (1), et rapproch
eu une fièvre typhoïde (1), et rapprocher son cas de ceux d'autres
enfants
, atteints, dans le service, de cette même malad
morte des suites d'accès d'épilepsie après la couche de son second
enfant
. Pendant la grossesse de son premier enfant, el
la couche de son second enfant. Pendant la grossesse de son premier
enfant
, elle n'avait pas eu d'accès épi- leptiques. -
rveau. - De son premier mariage, le père de notre malade avait eu 5
enfants
; le premier est mort à neuf mois ; le second es
Le second, mort à 5' ? ans de conges- tion. cérébrale, a eu quatre
enfants
bien portants. -- Le 3 ? 48 ans, vivant atteint
ptisies et des coliques de plomb. Pas d'accidents nerveux. De ses 4
enfants
, 3 sont en bonne santé, mais l'autre,'âgé de 6
hait de manger. » La 5 ? 44 ans, est bien portante, ainsi que ses 3
enfants
. La Gille, 42 ans, n'a jamais eu de cri es de n
édents personnels. 209 38 ans, n'est pas nerveuse de même que ses 3
enfants
. - D \'1, le reste de la r tinille, ni idi ItS,
ité. - Inégalité d'âge. Le mari a 16 ans de plus que sa femme. - Un
enfant
, notre malade. Concep- tion, rien de particulie
Accouchement à terme, sans chloroforme, présentation de la face; l'
enfant
resta 5 heures au pas,a ? - A 11.1nÍ-{s : l1lc'
face; l'enfant resta 5 heures au pas,a ? - A 11.1nÍ-{s : l1lc', bel
enfant
quoique « meurtri. » Pas d'asphyxie. Allaitemen
iques de l'alimen- tation prématurée et du manque de soins chez les
enfants
en nourrice. » En aoùt 1891, il eut des sympt
t-elle, par le manque de soins en nourrice. État actuel (26 mai).
Enfant
bien portant, se laissant difficilement examine
t poumons, rien. Abdomen difficile à explorer à cause des cris de l'
enfant
. Au lieu de matité hépatique, on perçoit dans l
tater à gauche (probablement à cause des mouvements continuels de l'
enfant
. L'enfant suce sa langue et fait avec le voile
he (probablement à cause des mouvements continuels de l'enfant. L'
enfant
suce sa langue et fait avec le voile du palais un
e. Traitement : Collyre au nitrate d'argent 1/50. 17 juillet. - L'
enfant
bien qu'ayant encore un peu de con- jonctivite
très prononcé. Les yeux sont cernés. Le sommeil est très agité et l'
enfant
pousse de petits cris rauques. Il ne veut prend
tée a 40°, G. Il y a de l'oppression, la respiration est pénible. L'
enfant
est abattu et peut à peine prendre quelque^ cui
8. - Soir : 4C". 25 juillet. - Ce matin il n'y a plus que 37°, 5. L'
enfant
est pâle mais paraît assez éveillé, s'assied mê
ervice de I. 130UI\1\EVILLE¡; il est décédé le 18 juillet 1892. L'
enfant
entre à Bicétre le 24 mars 1592 avec le certifi
leur compte. - Deux frères aînés en parfaite santé ainsi que leurs
enfants
qui n'ont jamais présenté de maladies nerveuses
adies nerveuses. - Il en e-t de même de ses deux soeurs et de leurs
enfants
. - Rien de particulier dans le reste de la fami
dire à sa femme n'expliquerait l'hérédité morbide recueillie par l'
enfant
.] Pas de consanguinité. Les deux époux étaient,
Les deux époux étaient, à quelques mois près, du même âge. Quatre
enfants
sont nés de ce mariage : 1° garçon mort de la d
On n'eut recours cependant ni au forceps, ni au chloroforme. - L'
enfant
était asphyxié la la naissance. Il avait des circ
'les disparurent à l'âge de 2 ans On s'aperçut à cette époque que l'
enfant
était paralysé du côté droit : il se servait tr
p d'iodure de fer; massage et exercices de marche. État actuel. L'
enfant
est pâle, peu adipeux, d'apparence chétive. Son
t à l'accommodation. Il est impossible, vu l'état intellectuel de l'
enfant
, de savoir s'il reconnait les couleurs, s'il a de
amygdales Il est difficile d'être renseigné sur l'état clu goût. L'
enfant
n'est pas gourmand et refuse quelquefois les fr
ale parait conservée à la douleur et à la température. Puberté. L'
enfant
est tout-à-fait glabre. On trouve à peine quelq
état n'est pas plus prononcé d'un côté que de l'antre. Cependant l'
enfant
saisit toujours les objets qu'on lui présente d
leur* 3 cicatrices de vaccin à droite. Rien à gauche. Il juin. L'
enfant
tousse un peu. Il a de la fièvre : 38a,4 au mat
ène, ipéca, sulfate de quinine. - A 6 heures du soir : T R. lino. L'
enfant
meurt à Il heures 45. T. R. après le décès z,9;
ne semble avoir joué aucun rôle dans ce cas. II. L'asphyxie de l'
enfant
à la naissance a été sans doute la cause des co
paralysés que ceux du côté opposé. III. Au point de vue clinique l'
enfant
était atteint d'idiotie complète : parole et ma
doux en temps ordinaire, il devenait méchant, étant ivre. Il était
enfant
naturel et son père ainsi que toute sa famille
le reste de la famille du père, à la con- naissance de lanière de l'
enfant
.] Mère, giletière, 52 ans, vivait avec le père
nité. Inégalité d'âge : 5 ans, la mère était la plus âgée. Quatre
enfants
: 1° fausse couche de 5 mois 1/2; 2° un garçon,
ucun autre accident. Accouchement normal, à terme, sans anesthésie.
Enfant
bien portant à la naissance, ni asphyxie, ni ci
e nouvelle recrudescence des convul- sions et la mère prétend que l'
enfant
avait alors de véritables crises épileptiformes
per du bois avec un vieux couteau. - Les médecins auraient soumis l'
enfant
a des traitements, dont le bromure de potassium
. La température de la salle oscille entre 13° et 14°. - Poids de l'
enfant
après le décès : 45 kilogr. 400. - Diagnostic d
, car jusqu'à 14 mois, Gob... n'aurait pas différé sensiblement des
enfants
de son âge. A cette époque, plusieurs séries de
l'état d'idiotie et l'hémiplégie droite que nous avons notés chez l'
enfant
pendant la vie, con- séquences de l'encéphalite
Père, mort a 60 ans, à la suite d'excès alcooliques. 11 battait ses
enfants
. - Les grands-parents paternels ne sont pas con
Inégalité d'âge de 3 ans. (La mère moins âgée que son mari.) Deux
enfants
: Io notre malade; 2° garçon, mort à un an, du
ui dut ensuite cesser l'allaitement à cause des gerçures du sein. L'
enfant
fut placée chez une nourrice. Celle-ci devint e
chez une nourrice. Celle-ci devint enceinte et continua à élever l'
enfant
, mais au lait de chèvre. Marie 13... a été se
les 8 jours, puis ce fut tous les 15 jours. Dans les intervalles, l'
enfant
ne se plaignait de rien, était aussi gaie qu'au
ussi gaie qu'auparavant. C'est l'accès type de migraine. On fit à l'
enfant
des pointes de feu, et on la soigna comme si el
, d'oti- tes, etc. Après avoir passé un an aux Enfants-Malades, l'
enfant
a été envoyée à la Fondation Vallée. Etat act
deux côtés. Pas d'ar- rêt de développement Membres inférieurs. L'
enfant
présente une paraplégie spas- modique très marq
n notable : les mouvements de la jambe sont beaucoup plus libres. L'
enfant
peut l'étendre, la soulever jus- qu'à 80 centim
nt libres. Les mouvements provoqués n'ex- citent plus les cris de l'
enfant
. La sensibilité est normale dans tous ses modes
Sous ce rapport, aucune modi- fication depuis l'entrée. Cependant l'
enfant
demande très bien le vase lorsque ses parents v
sont arrêtés. Il sem- Migraines ; hydrocéphalie. 239 ble que l'
enfant
se tient debout et marche seulement quand celal
olères, se jette par terre. Elle gâte tou- jours. 28 juillet. - L'
enfant
prend ses douches régulièrement tous les jours.
t quelques phlyctènes. 10 mai. - Depuis une quinzaine de jours, l'
enfant
penche toujours la tête soit en avant, soit lat
ement progressif et rapide de la tête (Hydrocéphalie). 25 juin. - L'
enfant
marche de plus en plus mal. Elle ne peut même p
e volume, ainsi que le montrent les mensurations. 18 octobre. - L'
enfant
entre à l'infirmerie, accusant de la douleur au
ouverture de clapiers purulents. Aujourd'hui nouvelle élévation, l'
enfant
tousse un peu, elle a des râles sous-crépitants
les poumons. La respiration semble cependant encore assez facile. L'
enfant
a les yeux excavés, vitreux. Elle a perdu beauc
à peine perceptible. 2(j novembre. - Pas de changements notables. L'
enfant
est réduite à une émaciation extrême et s'affai
ATURE. Fig. 6. 244 ECARTEMENT DES OS DU CRANE. 27 novembre, - L'
enfant
est morte ce matin à 8 heures, sans phénomènes
araît en ce qui le concerne, car il ne con- serve aucun de ses deux
enfants
. II. On ne saurait guère attacher de l'importan
aux coups reçus par la mère pendant sa grossesse. D'ail- leurs, l'
enfant
vient très-bien jusqu'à 6 ans. A ce mo- ment su
nes, douleurs extrêmement violentes, qui arra- chaient des cris à l'
enfant
et s'accompagnaient de vomissements bilieux. (N
ient brusquement impos- sible, alors que l'on pouvait espérer que l'
enfant
recom- mencerait à marcher seule. En même temps
que . III. L'asphyxie des extrémités n'est pas très rare chez les
enfants
idiots ou arriérés, mais il est excep- tionnel
à des accidents aussi graves que ceux qui sont survenus chez cette
enfant
. Après avoir été circonscrite à l'un des orteil
us cle même des obser- vations de tumeur du cervelet concernant des
enfants
ou des adolescents chez lesquels les sutures po
tisant depuis la guerre, fut pris en 1873, après la naissance, de l'
enfant
, d'accidents articulaire avec fiè- vre qui s'ac
l'é- Antécédents héréditaires. 257 poque de la conception de l'
enfant
. Il n'use pas de tabac. - [Père, sobre, mort à
ran- comtoise). L'inégalité d'âge des deux époux est d'un an. 7 7
enfants
: 6 sont vivants à l'heure actuelle : -10 une fil
fille, saine de corps et d'esprit, bien qu'un peu excitable, a eu 4
enfants
, 2 de ces enfants sont morts on bas Age, les 2 au
rps et d'esprit, bien qu'un peu excitable, a eu 4 enfants, 2 de ces
enfants
sont morts on bas Age, les 2 autres sont bien p
s excès alcooliques très fréquents et la mère est t persuadée que l'
enfant
a été conçu pendant l'ivresse. La gros- Fig. 15
es eaux s'accompagna d'un épanche- ment de sérosité considérable. L'
enfant
, à la naissance, était tout petit, il n'était p
, plu- sieurs fois ( ? ) dans son enfance. De quatre à six ans, l'
enfant
aurait présenté des mouvements choréiformes dan
n de la vue est impossi- ble. Description des lies (Mars 1888). L'
enfant
exécute un con- 'tinuel froncement de sourcils
ètres; testicules du volume d'un oeuf de moineau. 1889. Mars. - L'
enfant
présente iL cette époque des plaques à la bouch
ésultat. Le Fig. 24. COLERE; ONANISME. 211 développement de l'
enfant
s'est accentué, la verge a conservé le même vol
jouissance à tourner, jouissance comparable à celle que manifeste l'
enfant
quand on le berce. Mais ici le plaisir dû au mo
nées dans les treize volumes de nos Comptes rendus du service des
enfants
de Bicêtre. A propos de l'écholalie, dont nous
st assez fréquente et peut disparaître, nous dirons que, à côté des
enfants
chez lesquels la répétition se produit vite, il
fois le mot. Elle est simple ou composée. Dans ce dernier cas, l'
enfant
répète deux, trois, quatre fois le mot ou les m
ntre- coupe ses phrases d'inspirations profondes. - Chez d'autres
enfants
, les tics s'accompagnent de mots gros- siers ou
écliolalique. 282 Des tics chez les idiots. Parfois, chez le même
enfant
, on observe les paro- les grossières et les ges
laisse un peu froid, c'est que je réfléchis à l'état des crânes des
enfants
dont j'ai fait l'autopsie ; qu'ils ne me semble
ibles et qui nécessairement se fermera d'autant plus vite que les
enfants
seront plus jeunes.» Et je conclus en lui disan
s examinerons ensem- ble ; puis, s'il y a lieu, nous choisirons les
enfants
qui seront dans les conditions voulues pour pro
in l'aurait, en effet, pratiquée lui-même le 22 août 1888 sur une
enfant
âgée cle 9 mois, présentant les signes de l'imb
gée cle 9 mois, présentant les signes de l'imbécillité mentale. » L'
enfant
succomba 14 heures après l'opération (1). Toute
s eu l'idée d'enlever par le trépan des mor- ceaux du crâne chez un
enfant
idiot âgé de deux ans. Son but, en pratiquant c
istrer pour (1) De la craniectomie chez les microcéphales, chez les
enfants
arriérés el cl chez les jeunes sujets présentan
asthmatique. - Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 8 ans.
Enfant
petite à la naissance. - Déglutition pénible ; ba
60 ans on ne sait de quoi. Ils n'étaient pas nerveux. L'un avait 6
enfants
qui n'auraient présenté rien de particu- lier.
s de cause inconnue. Les autres, sont bien portants ainsi que leurs
enfants
. - Deux frères du 1 .rli lit (son père s'est mari
nte. Un autre frère, 58 ans, pas nerveux, intelligent, a eu 8 ou 10
enfants
en bonne santé. - Deux sceurs du 1er lit égalem
oir eu d'antécédents nerveux. L'autre soeur est bien portante, sans
enfants
. Une soeur du même lit que le père est un peu n
295 santé. - Pas de consanguinité ; différence d'Age de 3 ans. 4
enfants
: 10 garçon, 23 ans, pas de convulsions, n'a jama
terme, naturel, sans chloroforme. Pas d'asphyxie à la naissance. L'
enfant
était bien constituée mais plus petite que la m
L'enfant était bien constituée mais plus petite que la moyenne des
enfants
, elle a été élevée au biberon, en nourrice, ave
nseignements qu'il nous donne sur les antécédents personnels de son
enfant
sont d'ailleurs très peu précis ; elle est rest
demanda l'avis de M. le Dr Petcl (de Rouen). Celui-ci lui dit que l'
enfant
n'ayant rien iL perdre il l'opération, celle-ci l
Depuis, le père n'a constaté aucune modification dans l'état de l'
enfant
. Avant l'opération, Bla.... n'avait que peu de
vue depuis ; elle n'a pas trouvé grand changement dans l'état de l'
enfant
. Elle dit que Bl... ne parle pas mieux maintena
é son attention. En terminant, il exprime le désir que si son son
enfant
meurt, nous pratiquions l'autopsie et lui en fass
opsie et lui en fassions connaître les résultats. 1891. 3 juin. L'
enfant
nous est arrivé la tète enveloppée dans un pans
premier examen, ce qui frappe le plus dans l'aspect extérieur de l'
enfant
, c'est le con- traste entre le petit volume de
et sa taille élevée. La tète est à peu près du volume de celle d'un
enfant
de 7 ou 8 ans. Le crâne est proportionnellement
physionomie exprime constamment un air grognon et inintelligent. L'
enfant
porte sans cesse la main à sa tête en poussant
29 juillet. La température s'est élevée jusqu'au-dessus de 38". L'
enfant
ne tousse pas, n'a pas la diarrhée. Pas d'otite ;
de la tuméfaction déjà signalée. 4 août. -Amélioration marquée. L'
enfant
peut manger sans difficulté. 8 octobre. - Dep
e fièvre. Huile de ricin : 20 gr. Soir : T.R. 38", 4. 12 octobre. L'
enfant
a toujours de la diarrhée. Depuis hier la tempé
levée. (339°,4.) Potion avec bismuth et laudanum. 1h octobre. - L'
enfant
demande constamment il boire, ne se plaint d'au
. -' Soir : 39°, 3. Amaigrisse- ment assez considérable. Pourtant l'
enfant
mange relati- vement beaucoup. Soif vive : dist
eau ? ' ! 5 Les accidents se sont aggravés progressive- ment et l'
enfant
a succombé aujourd'hui. T.R. aussitôt après . l
.) Crâne. - La calotte présente l'épaisseur normale de celle d'un
enfant
de cet âge. Bosses asymétriques. Bosse pariétale
OBS. XI. - IDIOTIE S1'\IYTOdf : 1'fIQUE DE porencéphalie. Sommaire.
Enfant
naturel. Renseignements insuffisants 320 SUTURE
de ce malade. a été insérée dans notre Compte rendu du service des
enfants
de Bicêtre, pour l'année 1891, p. 96. SUTURES D
malades : photo- graphies collectives. En second lieu, dès qu'un
enfant
parvient à tracer des bâtons, nous faisons ouvr
des progrès accomplis, les maîtres et les maîtresses font faire aux
enfants
, sur ces cahiers, les divers execrices dont ils
s les pho- tographies collectives et les cahiers scolaires de six
enfants
idiots, pris surtout parmi les plus malades et
e maternelle, migraineuse. - Soeur de mère, morte de convulsions. -
Enfant
naturel : arrêt de développement et tête très p
e père de 14 mois. - Soeur, morte d'une méningite avec commis ions.
Enfant
normal jus- qu'à 17 mois époque où ont débuté l
s colères, turbulence, désobéissance, violences envers les autres
enfants
. - CLaston2a111e. - Grimpeur, gourmand, Enervem
92). Chan ? (Emile), né le 28 septembre 1879 (13 ans). En 1885, l'
enfant
ne sait pas se servir du couteau ; il con- naît
La première photographique prise en 1887 (3 ans 1/2) repré- sente l'
enfant
en robe de gâteux ; la seconde l'enfant devenu
(3 ans 1/2) repré- sente l'enfant en robe de gâteux ; la seconde l'
enfant
devenu propre, en pantalon ( ! i ans et demi) ;
Charles), né le 15 mars 1879. La première photographie représente l'
enfant
en 1882, âgé de 3 ans, il est en robe de gâteux
« est affectueux et reconnaît ses parents. « Traitement : exercer l'
enfant
à se tenir debout et à mar- « cher ; le placer
ents aient entravé le traitement, « déjà nous avons obtenu chez cet
enfant
une amélioration « encore peu profonde, mais in
ant une amélioration « encore peu profonde, mais indubitable. « L'
enfant
commence à se tenir sur ses jambes, ne gàteplus
ats, nous pouvons espérer que dans un temps plus ou moins « long, l'
enfant
sera tout à fait propre, marchera et parlera. »
e VII. (OBs. de Le T..., p. 38-55). Fig. 1. - Bâtons tracés par l'
enfant
à l'entrée (septembre 1882). Fig. 2. Son écri
1887. Fig. 3. - Reproduit plusieurs additions et un spécimen de l'
enfant
en janvier 1890. Fig. 4. - Addition, soustracti
tion, soustraction et multiplication, spé- cimen de l'écriture de l'
enfant
en décembre 1890. Fig. 5. Mêmes exercices en ma
'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERVICE DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICÈTRE PEN
année 1901. I. Situation DU SERVICE. ENSEIGNEMENT primaire. Les
enfants
de la 4° section du quartier des aliénés de l'h
spice de Bicêtre sont répartis en trois groupes principaux : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, épilepti- ques ou non, mais inv
épilepti- ques ou non, mais invalides (Bâtiment Séguin) ; 2° les
enfants
idiots, gâteux ou non, mais valides ; - 3° les
) ; 2° les enfants idiots, gâteux ou non, mais valides ; - 3° les
enfants
propres, valides, imbéciles, arrié- rés, instab
rés, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
oupe est subdivisé en deux catégories. La première se compose des
enfants
idiots complets, ne parlant, ni ne marchant, ne
marchant, ne sachant pas se servir de leurs mains, incapables IV
Enfants
IDIOTS complets. de s'aider en quoi que ce soit
res), en leur faisant des frictions stimulantes, etc. En 1901, un
enfant
a appris à marcher seul (2); trois enfants ont
antes, etc. En 1901, un enfant a appris à marcher seul (2); trois
enfants
ont appris à manger seuls (3) ; deux sont deven
eux sont devenus propres (4). Voici quelques notes concernant ces
enfants
. Mans... (Lucien), à l'entrée en 1898, ne posai
é aucun mot, aujourd'hui il répète bien quelques petites phrases. L'
enfant
a eu une grande partie de l'année des engelures
t pourtant il a toujours à peu près autant de vertiges. Dès qu'un
enfant
de ce groupe marche sans aide, il doit être env
s toute la journée, aussitôt que ses forces le permettent. Tous ces
enfants
gâteux sont placés sur les petits fauteuils spé
enés dans les jardins. Ce sous-sol nous sert également à d'autres
enfants
, (1) Voir Compte-rendu de 1899, flg. 5 et 6, p.
r gâtisme, sans aucun bénéfice pour eux et au grand détriment des
enfants
éducables. Ces malades absolu- ment incurables
. Ces malades absolu- ment incurables sont au nombre de huit. II.
Enfants
idiots gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou
gâteux, épilep- tiques ou non, mais valides (Petite École). - Ces
enfants
fréquentent la petite école, confiée exclusive-
iée exclusive- ment à des femmes. Dans le courant de l'année, 170
enfants
y ont été inscrits. Sur ce nombre, 9 sont décéd
ions d'adultes et 10 ont été envoyés à la grande école. · Sur 140
enfants
qui restaient à la petite école au 31 décembre
t 20 se servent de la cuiller, de la fourchette et du couteau. Cinq
enfants
gâteux de ce groupe sont devenus propres (1) ;
aitement du gâtisme, qui consiste à placer, après chaque repas, les
enfants
gâteux sur les sièges d'aisance et qui a pour b
eux sur les sièges d'aisance et qui a pour but principal d'amener l'
enfant
gâteux à devenir propre, fait également réalise
ous avons fait faire par la surveillante du ser- vice le relevé des
enfants
ayant déféqué au siège après les repas, durant
de chaque mois. Voici ce relevé qui a porté sur une moyenne de 50
enfants
gâteux. ' vin Traitement MÉDICO-PÉDAGOGIQUE : r
DES, étant encore trop infirmes, n'ont pu y prendre part. Quinze
enfants
de la petite école et de la petite école) compl
régulièrement les exercices de la grande gym- nastique. Vingt-et-un
enfants
ont travaillé cette année dans les différents a
demment, 2° les leçons de toi- lette qui consistent à apprendre aux
enfants
à se laver la figure et les mains, à s'habiller
et de l'odorat (3) et le petit appareil en usage pour apprendre aux
enfants
à nouer. Voici quelques détails sur plusieurs d
endre aux enfants à nouer. Voici quelques détails sur plusieurs des
enfants
améliorés à la petite école, par DZ"°9 Blanche
décrit minutieusement tous les procédés en usage il la section des
Enfants
arriérés et épileptiques (Voir les fig. 7 à 51 de
aoaraw. Compte-rendu de 1900, p. m).- L'amélio- ration continue, l'
enfant
parle aujourd'hui très bien, interroge et répon
nons ; il a même une voix juste et jolie. · LECOURT... (Léon). L'
enfant
s'améliore sensiblement sous le rapport de la p
pa7,ole. L'attention, plus facile à obtenir, permet aujourd'hui à l'
enfant
d'arriver à pouvoir nouer, lacer, bou- tonner e
Toutefois il faut encore l'aider. IIour... (Charles), 7 ans 112. L'
enfant
, dont la parole était nulle à l'entrée, était g
A la suite des exercices de gymnastique, de lavage et de parole, l'
enfant
s'est amélioré. Il a débuté par une prononciati
lalie prononcée, puis peu à peu l'écholalie tend à disparaître et l'
enfant
commence à répondre plus exacte- ment quand on
ans faire aucun mouvement, indifférent au bruit que font les autres
enfants
, ne se retournant même pas, et n'ayant pas l'ai
était triste et peu gracieuse. Quelques progrès sont à noter et l'
enfant
aujourd'hui, vient à l'appel de son nom, est de
ns qu'il s'est produit une amélioration con- cernant l'attention. L'
enfant
répond, aujourd'hui, à l'appel de son nom, ce q
ion impossible il fixer, il offrait le type de l'idiot profond. L'
enfant
est âgé actuellement de 8 ans 42. Aux amélio- r
très adroitement tout seul mais il habille et déshabille les autres
enfants
de la salle ; PETITE école. xiii il cire leur
ait éga- lement la surveillance des deux dortoirs où couchent les
enfants
de cette école, au nombre de 40. Elle a été rem
ières sont en outre adjointes à ce service pour la surveillance des
enfants
. Voici quelques-uns des résultats obtenus au co
nnée 1901, résumés par Mme Bonnet. Dans le courant de l'année trois
enfants
ont été rendus propres : 1° PARD... (Marcel).
nt nulle à son entrée, parle davantage et plus distinctement. Cet
enfant
qui pleurait sans cesse, ne mangeait pas seul,
geant pas seul, gâtait nuit et jour et parlait avec difficulté. Cet
enfant
a commencé en 1897 à se tenir debout dans un ch
rien pu obtenir en raison du tremblement dont il est affecté. Cet
enfant
a été notablement amélioré pour la parole. 4° G
ombre de mots. L'arti- culation est très défectueuse mais comme cet
enfant
apporte de la bonne volonté, elle sera facile à
e fu nt avec empressement. ' 8°, 9°, 10°, 4U°. Chez quatre autres
enfants
signalés anté- rieuremment, la parole s'est mod
EA.. (Charles), LEMAIT.. (Geor- ges) (2) et COTTE.. (Henri). Deux
enfants
ont appris iL lire couramment : 12° Ctinno.. (V
ne mangeant pas seul, restant toute la dans un état somnolent, cet
enfant
semblait n'être doué que de la vie végétative,
lète. (Compte- rendu de 1900, p. XIII). Lorsque nous avons pris cet
enfant
en 1895, il était pâle, maladif, dormait contin
st très sensible aux reproches et aux compli- ments. Trois autres
enfants
sont en bonne voie pour la lecture courante : G
; leur travail classique se rapproche de plus en plus de celui des
enfants
normaux. A mesure que l'intellect se développe,
s avons plusieurs moyens d'encouragement. Presque chaque jour les
enfants
, dont la conduite et le travail ont été satis-
je sors chez moi pour la jour- née, à titre de récompense, quelques
enfants
, choisissant de préférence ceux dont on n'a pas
ons une distribu- tion des prix. Notre classe, par l'initiative des
enfants
, se pavoise de guirlandes, de banderolles en pa
geance du professeur de chant, M. Sutter et, sous sa direction, nos
enfants
entonnent quelques chants joyeux qui apportent
- A Pâques, la cloche en passant jette des oeufs en sucre pour les
enfants
sages. D'autrefois, c'est la fête de l'une de n
rvices. Il a été fait allusion dans les dernières notices sur les
enfants
de l'Ecole complémentaire à l'emploi des mots i
evenir aujourd'hui en citant des exemples de leur application. Un
enfant
est atteint d'idiotie complète, c'est-à- dire q
tement znéctieo-péclago- gique consiste à éveiller l'attention de l'
enfant
, à éduquer la main et le sens du toucher, puis
toucher, puis le sens de la vue. C'est alors qu'on essaie,- même l'
enfant
ne parlant pas, à lui faire désigner, - la nomi
u réfectoire, du dortoir, de l'école, les animaux, etc.. Bien que l'
enfant
ne parle pas ou ne possède que quelques mots, n
banc, assiette, verre, couteau, fourchette, etc.. Nous exerçons l'
enfant
à désigner les objets et à mettre sur chacun d'
ts et à mettre sur chacun d'eux le mot imprimé correspondant. Les
enfants
reconnaissent l'image du mot, comme ils . recon
cirer leurs chaussures : brosse, brosser, cirage, cirer, etc.. L'
enfant
marche, est devenu propre, en même temps xx Tra
ont été acquises, l'âge et le développe- ment physique venant, les
enfants
passent iL la grande école (1). III. Enfants
physique venant, les enfants passent iL la grande école (1). III.
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés, instab
u non (Grande école). - La population de cette école était de 166
enfants
le 1 ? janvier. 1901. Tous, sauf 14 qu ne peuve
et rcstent, les autres jours, le matin et le soir il l'atelier. Les
enfants
non pourvus du certificat d'études sont réparti
- ficat d'études qui ont eu lieu il Villejuif, le 22 mars, quatre
enfants
ont, subi les épreuves avec succès (Delv ? Hesb
nos rapports antérieurs. Rappelons seulement que nous envoyons les
enfants
les plus amé- liorés it la grande gymnastique,
main, de fixer davantage leur attention. Ce travail n'est pour ces
enfants
qu'un moyen d'éducation. Il est, en outre, pour l
ée), afin d'être mieux en mesure d'améliorer la prononciation des
enfants
et de développer leur parole ont été envoyés su
ale des sourds-muets. De plus, comme nous avons un certain nombre d'
enfants
aveu- files, nos auxiliaires sont également all
seconder sérieusement dans le traitement médico- pédagogique des
enfants
de notre service. Aux insti- tuteurs et institu
onnel enseignant. Les péda- gogues de chacun des groupes spéciaux d'
enfants
anormaux profileraient, croyons-nous, de leur p
nstruc- tions, M. Sutter s'est occuppé successivement de fous les
enfants
. Il a divisé ceux de la petite école, de lapeti
re et ceux de la grande école en trois sections. - Presque tous les
enfants
qui assistent aux visites du samedi et qui part
us les faisons chanter ensemble dans les choeurs. Cette réunion des
enfants
des deux sexes, que nous voudrions rendre plus
tratif exige, mais dont ils préfèrent se dégager. - Le nombre des
enfants
qui prennent part à renseignement du chant étai
la voix des malades qui me sont confiés, j'ai remarqué que chez les
enfants
arriérés, la mue est généralement tardive; que,
elle-même est voilée et le chant est très souvent difficile. Chez l'
enfant
idiot, en géné- ral, la voix est rauque, et d'u
ues en déchéance, la voix est fausse, sans timbre défini. Quant aux
enfants
soumis au traitement thyroïdien le timbre de le
eaucoup de personnes en disant que la grosse caisse est tenue par l'
enfant
Boh..., atteint de surdi-mutité, qui malgré cet
tte fort bien de ses fonctions. Influence des sons musicaux sur les
enfants
arrié- rés et nerveux. - Il nous a été permis d
Sutter, l'heureuse influence que parait exercer la musique sur les
enfants
idiots de toute catégorie. Il est rare, en effe
(Voir Compte-rendu de 1900, p. xix. xxiv Influence DE la MUSIQUE.
enfant
présenter des accès durant un concert ou une ma
i consiste à faire percevoir des sons musicaux par l'os frontal aux
enfants
atteints de surdi-mutité, produit des résultats
prenants. « J'ai eu comme élève, pour piano, ajoute M. Sutter, un
enfant
atteint de surdité incomplète. Le malade, au dé
librement, le dit bâton se termine par une applique sur laquelle l'
enfant
appuie le front. Le cerveau enregistre immédiat
erveau enregistre immédiatement les vibrations de l'instrument et l'
enfant
qui, au début, était obligé de se servir de ce
e de l'instituteur dans l'éducation proprement dite de l'oreille. L'
enfant
ayant maintenant la notion du son musical, est
Le maté- riel nécessaire est fabrique au sur et à mesure par les
enfants
des ateliers de menuiserie et de serrurie. Les
deplusieursateliers. Nous le désirerions non pas seulement pour les
enfants
les moins malades mais aussi pour ceux qui sont
lacer le professeur en cas d'absence. Société de gymnastique. - Les
enfants
faisant partie de cette société, au nombre de 2
tés avec beaucoup de zèle et de dévouement de leurs fonctions. 85
enfants
participent, il des degrés divers, à cet exerci
sous la direction de M. L ? NI)OS,-3E, un de nos instituteurs. 130
enfants
de la grande école et 15 de la petite école y
mes, ce qui porte à 592 le nombre des volumes delà bibliothèque des
enfants
Le 1 ? janvier 1901, le nombre des vues pour pr
eignement par les projections est très com- plexe. Il sert pour les
enfants
de toutes les catégories : 1° pour les enfants
xe. Il sert pour les enfants de toutes les catégories : 1° pour les
enfants
idiots profonds à fixer l'attention (images bla
reconnaître les objets, les animaux (images graduées) ; 3° Pour les
enfants
imbéciles, arriéres et épileptiques, à faire to
cs, des manies, s'opposer aux pratiques solitaires. Pour tous les
enfants
, et en particulier pour les imbéciles intel- le
nos auxiliaires, pédagogues et infirmiers, qu'ils ont affaire à des
enfants
malades, relevant du traitement méclico-péclago
levant du traitement méclico-péclagogiqte, envers lesquels et comme
enfants
, et comme malades, ils doivent se montrer bienv
doivent se montrer bienveillants et affectueux, et non pas à des
enfants
vicieux, dont la place, serait, disent certains
s de correction ou les prisons. Voici quelques notes concernant les
enfants
de cette catégorie : Résultats. xxix A. Enf
- Imbécillité, Epilepsie. - Après une longue période de paresse, l'
enfant
s'est mis au travail, est devenu courageux, moi
mr.. (Lucien), 15 ans. - Imbécillité et Epilepsie (guérie) (1). Cet
enfant
, passé de la petite à la grande école en septem
et en géographie. En résumé, Opzoo.. s'achemine vers la moyenne des
enfants
normaux. 5° REM.. (Alfred), li ans. - Idiotie
normaux. 5° REM.. (Alfred), li ans. - Idiotie et Epilepsie. - Cet
enfant
admis il la grande école (2me classe) en décembre
Rem., est doué d'une bonne mémoire. Son caractère s'est amélioré; l'
enfant
est plus docile, moins répondeur. 11 pourra pas
fait des progrès principalement en écriture et en orthographe. Cet
enfant
bien que gaucher, par suite de son hémiplégie d
ées. 9° JIAI3SIÈ( ? (Louis), l5ans. Imbécillité et epilepsie. Cet
enfant
s'applique dans la mesure du possible ; progrès a
progrès assez sensibles RÉSULTATS. XXXI à tous les points de vue.
Enfant
docile et d'un bon carac- tère. 11 SAINT-1,AN
ction sans se tromper. Bon élève ; très docile; bon caractère. D.
Enfants
de la 4 ? classe. 12° Mêla.. (111ert). 17 ans.
;. Nous pourrions multiplier beaucoup ces petites notices sur les
enfants
améliorés. Celles qui précèdent nous paraissent
t suffire à témoigner des efforts faits par tous pour améliorer les
enfants
qui nous sont confiés. Aux exercices pédagogi
hostilité contre l'organisation que nous avons créée en faveur des
enfants
idiots, alors que les enfants normaux ne dispos
on que nous avons créée en faveur des enfants idiots, alors que les
enfants
normaux ne disposaient pas d'avantages semblabl
moyens d'action. A leurs yeux, nous avons trop fait pour de tels
enfants
. Leurs visites à l'asile-école de Bicêtre devrait
rime, d'atelier, nous avons toujours essayé de faire participer les
enfants
aux corvées de tout genre : salubrité, nettoyag
s la mesure que comporte le défaut d'entretien des bâtiments. Des
enfants
accompagnent les infirmiers à la cui- sine, à l
des leçons de choses. En tout cas, c'est une distraction pour les
enfants
qui se sentent plus libres. Quelques enfants, a
distraction pour les enfants qui se sentent plus libres. Quelques
enfants
, avec notre autorisation, et de bonne volonté,
e se rendre utiles aux personnes qui leur sont dévouées. Plus les
enfants
sont occupés, plus leurs occupations sont varié
litaires ou autres plus graves. Promenades et distractions. - Les
enfants
de la grande et ceux de la petite écoles, qui s
es institutrices doivent donner des leçons de choses et exercer les
enfants
aux différents jeux en plein air (jeu de halles
ffort, de la place d'Italie, la Foire aux pains d'épices, etc. -Les
enfants
de la petite et de la grande écoles ont été con
ne grâce qu'il met chaque année, sur notre demande, à autoriser nos
enfants
et les petites filles de la Salpêtrière à visiter
és en usage dans le service, ainsi que les objets fabriqués par les
enfants
. étaient exposés : Nous avons pu faire là l'ex
aux théâtres et concerts de Paris ont prêté leur concours. Tous les
enfants
valides de Bicêtre et de la Fondation Vallée y
ondation Vallée y ont assisté. - Signalons enfin, organisés par les
enfants
, une grande tombola suivie de bal, et un concer
e du service. Les famil- les assistent aux fêtes organisées par les
enfants
. Les enfants ont encore bénéficié de plusieurs
es famil- les assistent aux fêtes organisées par les enfants. Les
enfants
ont encore bénéficié de plusieurs repré- sentat
nous sommes contenté de citer les fêtes diverses organisées par les
enfants
avec le con- cours des maîtres, des surveillant
explications sur les fêtes du Mardi- Gras et de la Mi-Carême. Les
enfants
forment trois groupes : un de la grande école (
offes et à la confection des costumes. De plus, un certain nombre d'
enfants
don- nent une cotisation annuelle variant de 50
t élevées 84 fr. 95, les recettes a 93 fr. 20. Dans la matinée, les
enfants
, précédés de la fanfare, font une promenade dan
mes recueillies depuis 1892 s'élève à 2.112 fr. 65. Visites. - Les
enfants
ont reçu 14.068 visites ; les visiteurs ont été
t un excellent moyen de maintenir la discipline et d'encourager les
enfants
. Ils rendent le séjour tut l'asile-écolo plus s
et contribuent à mainte- nir les liens entre les familles et leurs
enfants
. » Les visites des familles au parloir ne sont
des accès épileptiques. De plus les parents donnent de l'argent aux
enfants
, autre abus qui est une source d'ennuis pour to
t la revaccination de tous les malades entrés durant l'année et des
enfants
dont la revaccination remonte à 6 ou 7 ans. Com
on et celle (1) Il n'y a pas eu moins de 3.115 journées d'absence d'
enfants
; le prix de journée étant de 2 fr. 20, il s'ens
heures, ce qui permettrait de faire faire ensuite une promenade aux
enfants
. XXXVIII Service dentaire ET bains. de nos in
de remédier aux nombreuses défectuo- sités de la dentition chez nos
enfants
et aussi d'avoir, chaque année, une note, prise
note, prise par un homme compé- tent, sur la dentition de tous les
enfants
(1). Bains et hydrothérapie. - Les bains et les
enu en 1880 la nomination d'un médecin dentiste pour les sections d'
enfants
idiots de Bicêtre et de la Salpêtrièrc, création
réclamé depuis longtemps la constitution d'un trousseau pour chaque
enfant
et des serviettes de table. L'Administration, fau
nt en médecine, à Paris; Melle E. Devaux, directrice de l'école des
enfants
à l'asile d'aliénés de Saint-Yon ; - M. Dusouch
rès grande de montrer non seulement l'organisation du service des
enfants
, mais encore son fonctionnement médico-pédagogi
faveur de l'hospitalisation et de l'éducation de cette catégorie d'
enfants
anormaux et les convaincre de la possibilité de
ls apportent chaque jour il donner l'inslructionprofessionnelle aux
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'
fr. 50 par jour, soit pour l'année 16.607 fr. 50. Le Travail des
enfants
, évalué par l'économe, (1) Chaque fois que nous
soit 8.400 i'r.; 3° les gratifications hehdoma- daires données aux
enfants
, le samedi, à titre de récom- pense variant de
néfice de 3.225 fr. qui vient atténuer les dépenses d'entretien des
enfants
. Cette somme, comme celle réalisée sur les perm
de l'école à à Monté- vrain, par exemple, où les apprentis sont des
enfants
normaux, sains de corps et d'esprit, et même ch
des candidats. Nos apprenez tis, à Bicêtre, sont non seulement des
enfants
anor- maux, mais encore des enfants malades : q
Bicêtre, sont non seulement des enfants anor- maux, mais encore des
enfants
malades : quand ils ont, les uns des accès épil
ment, après avoir douté de la possi- bilité de faire travailler les
enfants
idiots, arriérés et épileptiques, et avoir prot
pprenti sont occupés, par exemple, iL réparer une porte, les autres
enfants
n'ont plus de guide et ne s'instruisent pas.
et non le produit lui-même, bien qu'il ne soit pas à dédaigner. Les
enfants
eux-mêmes sont heureux de voir que leur travail
PULATION. Le premier janvier 1901, il y avait dans le service 437
enfants
(1) se décomposant ainsi : 405 enfants idiots,
y avait dans le service 437 enfants (1) se décomposant ainsi : 405
enfants
idiots, imbéciles ou épileptiques, dits aliénés
inction, qui s'appliqne aux épileptiquees adultes aussi bien qu'aux
enfants
, est purement administrative et il est difficil
30 juin 1838 et à la charge du budget départemental. Sur ces 437
enfants
, 11 étaient atteints de cécité; 2 de surdi-muti
st-à-dire 37 de trop la section ayant été conçue seulement pour 400
enfants
. LU Décès, SORTIES. SORTIES, évasions. lui
ns. Dix évasions ont eu lieu dans le courant de l'année, celles des
enfants
Calb ? llull ? Criet.. Barthél..., Fornc..., Th
ifférentes évasions n'ont donné lieu à aucune formalité légale. Les
enfants
nous ont été ramenés par leurs parents ou par d
ous citions l'an dernier (1), à l'appui de notre thèse, le cas d'un
enfant
atteint d'hystéro-épilepsie, âgé de 13 ans, qui
té atteintes et 6 garçons ; 3 cas ont été suivis de décès, ceux des
enfants
: Bea..., Connét... et Lan... Le 21 mars, 19 de
e épidémie de varicelle qui (1) Compte-rendu de 190C p. L. Cas de l'
enfant
Clievr.. ( ? 1 A l'entrée de tous les enfants,
de 190C p. L. Cas de l'enfant Clievr.. ( ? 1 A l'entrée de tous les
enfants
, aussi bien à la Fondation Vallée qu'à Bicêtre,
demain, au moment du certificat immédiat nous examinons nous-méme l'
enfant
de la tête aux pieds s'il y a lieu ; il en est
. Parmi ces trois derniers cas, 2 ont été suivis de décès, ceux des
enfants
Carr... et Feldin... Mentionnons encore 2 cas d
gne. Elle se trouve entretenue par de nouveaux arrivants et par les
enfants
déjà atteints, pour la plupart desquels les rec
puis l'ou- verture de Bicêtre en 1656, il y a toujours eu, en (1)
Enfant
Fringn ? épileptique, variole moyenne; - enfant L
toujours eu, en (1) Enfant Fringn ? épileptique, variole moyenne; -
enfant
Labol ? variole très forte. Ces deux malades av
901, comme nous le faisons depuis 1879. Maladies intercurrentes. 14
enfants
ont été atteints d'état de mal épileptique, (tr
rsures ; 40 de plaies légères dans des accès. Ajoutons que tous les
enfants
qui se font des contusions ou des plaies, soit
ance de Mrao Athénaïs BOHAIN, sous-surveillante du service. (1) L'
enfant
Saint-Lam..., âgé de 15 ans, aurait contracté cet
onnes se sont présentées. 72 pour renseignements sur le placement d'
enfants
arriérés ou épileptiques; 141 pour maladies d
dans les hôpitaux, infirmes, etc. 121 pour renseignements sur les
enfants
du service présents ou en congé. Nous avons t
pulation au 31 1901.- Il y avait à cette époque dans le service 438
enfants
, se décomposant ainsi : 413 enfants idiots, imb
te époque dans le service 438 enfants, se décomposant ainsi : 413
enfants
idiots, imbéciles ou épileptiques, dits aliénés
ou sans rotation de la tête; 15 ont un tic coordonné des mains; 16
enfants
idiots sont tour' neurs ; 19 sont sauteurs; 5 s
diots sont tour' neurs ; 19 sont sauteurs; 5 sont grimpeurs. Deux
enfants
étaient atteints d')témnélie; 1 de polydactylie
salles, pour aider PERSONNEL DU service EN 1901. LXXIII quand les
enfants
ont des querelles, des impulsions, des accès, p
et de jour et un service complet de veille. On oublie aussi que les
enfants
gâteux exigent des nettoyages fréquents, qu'un
fants gâteux exigent des nettoyages fréquents, qu'un grand nombre d'
enfants
doivent être exercés a la marche, soumis au mas
es. La vue des objets est plus utile que leur description, et les
enfants
pourraient, sous la direction de leurs maîtres, r
ion, et nous pouvons ajouter qu'elle est toujours bien comprise des
enfants
et des jeunes gens. Se fondant sur ces considér
s serres accessibles, dans les meilleures conditions possibles, aux
enfants
des écoles municipales et des écoles primaires
n vertu de laquelle un cours de dessin est créé dans le service des
enfants
arriérés et épileptiques de Bicêtre et à la Fon
phe, Charles), est nommé pro- fesseur de dessin dans le service des
enfants
arriérés et épi- leptiques de Bicêtre et à la F
'a jamais correspondu à la colonie de Vaucluse, mais au service des
enfants
de Bicêtre, où nous recevons, en outre des épil
utre des épileptiques et des hysté- riques, toutes les catégories d'
enfants
idiots. Nous avons, à la Fondation, deux groupe
ots. Nous avons, à la Fondation, deux groupes principaux : 1° les
enfants
idiotes et gâteuses, 2° les enfants propres, -
eux groupes principaux : 1° les enfants idiotes et gâteuses, 2° les
enfants
propres, - et dans les deux groupes, des épilep
es enfants propres, - et dans les deux groupes, des épileptiques.
Enfants
idiotes et gâteuses. - Elles étaient au nombre
s. Les idiotes gâteuses se divisent en deux catégo- ries : a) les
enfants
valides qui sont envoyées à l'école durant une
qui sont envoyées à l'école durant une partie de la journée; b) les
enfants
JNVA- LIDES, qui séjournent dans le local dont
Isel ? Barth ? Wit ? Espond.. Voici quelques renseignements sur des
enfants
qui, parties de très-bas, ont fait de sérieux p
ans, atteinte d'idiotie p1'ofonde, compliquée de rachitisme. Cette
enfant
était gâteuse nuit et jour, ne marchait pas, par-
lle était incapable de se donner le moindre soin. Le caractère de l'
enfant
était détestable, toujours grognon, de mauvaise
parole ont été très rapides ; le gâtisme a complètement disparu ; l'
enfant
se donne elle-même tous les soins de toilette n
apporte beaucoup d'activité en tout et partout. Pour la classe, l'
enfant
n'est pas avancée. Ceci provient de ce qu'elle
oins rapides, pour la couture et pour la gymnastique. Aujourd'hui l'
enfant
Enseignement pratique ET primaire. LXXXI comm
écillité et de rachitisme, avec perversions ins- tinctives. Cette
enfant
parlait, causait, marchait, ne gâtait pas, mais
es. La mémoire paraissait très faible pour les leçons classiques, l'
enfant
disait elle-même qu'elle était allée en classe
que des résultats fort médiocres. Malgré toutes ces difficultés, l'
enfant
a réalisé aujourd'hui de réels progrès. Elle li
elui dont nous avons parlé (p. lxxxiii) montrent que, même chez les
enfants
qui semblent incurables, si l'un persiste dans
atteinte d'imbécillité assez prononcée avec epilepsie. Au début, l'
enfant
était pour ainsi dire nulle pour tout ce. qui c
cupe de son mieux. Rien à désirer au point de vue du caractère, l'
enfant
est très facile à diriger ; sa tenue est irrépr
beaucoup de disposition pour la cou- ture. Il est à remarquer que l'
enfant
était nulle au début pour les deux ateliers. El
ation con- génitale des hanches. La parole était libre chez cette
enfant
qui répondait aux ques- tions posées, mais elle
e la physionomie était peu mobile, le regard vague, rien chez cette
enfant
n'indiquait l'intelli- gence. Elle ne savait pa
pas compter, ne possédait pas les notions les plus rudimentaires. L'
enfant
avait beaucoup de difficultés pour tout ce qui
s exactement l'application. Le caractère s'est également modifié. L'
enfant
parlait peu au début, était maussade, restait i
inte d'imbécillité prononcée avec perversions instinctives. - Cette
enfant
cau- sait, mais ne pouvait répondre exactement
obstacles, nous constatons une amélioration très notable chez cette
enfant
. Actuellement, elle lit par syl- labes, écrit t
ddition et la soustraction. Le caractère est totalement changé, l'
enfant
est devenue plus enjouée, affectueuse, parle mê
, tient con- versation, s'amuse aux récréations comme le ferait une
enfant
ordinaire. Ajoutons aussi que l'enfant est de
ations comme le ferait une enfant ordinaire. Ajoutons aussi que l'
enfant
est devenue tout à fait propre ; elle se tient
llité prononcée, avec épilepsie (vertiges et accès nombreux). Cette
enfant
, à son entrée, ne savait ni lire, ni compter, n
ue quelques copies, sans se rendre compte de ce qu'elle écrivait. L'
enfant
qui possédait une certaine mémoire pour les cho
e très prononcée pour l'onanisme ; en somme on n'attendait de cette
enfant
qu'une amélioration fort médiocre. Cette prévis
elle travaille bien au dessin. Ce n'est qu'à force de travail que l'
enfant
a pu réaliser ces progrès, car elle a L\1\11' I
s manuels ; elle se plaît à ces différents travaux et on voit que l'
enfant
est tout à fait dans son élément. Aujourd'hui e
amélioration très notable. L'amélioration notable acquise chez ces
enfants
montre nettement ce qu'on peut obtenir chez ceu
considérables peuvent, à plus forte raison, être réalisés chez des
enfants
moins malades. Nous pourrions en relater de nom
ajouteraient rien aux précédents, tout à fait démons- tratifs. 2°
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiques, etc., VALIDES
à la Fondation. L'idéal que nous poursuivons consiste à occuper les
enfants
du matin jusqu'au soir, en variant le plus poss
mêmes doivent contribuer à leur éducation. Au lever, on apprend aux
enfants
a faire leur toilette, leur lit, it nettoyer le
r dortoir, a brosser leurs vête- ments. Aux repas, on surveille les
enfants
qui savent manger seules et on corrige leurs ma
morceaux, de veiller à la mastication et à la déglutition. Sur 216
enfants
présentes Ù la fin de l'année, 44 savent se ser
; 52 de la cuiller seulement; 38 ne savent pas manger seules. 179
enfants
ont fréquenté l'école et ont été exercées a la
nt été exercées a la gymnastique des échelles et des ressorts; 80
enfants
participent aux exercices de la grande gymnasti
ées précédentes M. Sutter s'est occupé successivement de toutes les
enfants
, en état de profiter dans une mesure quelconque
de profiter dans une mesure quelconque de son ensei- gnement. 95
enfants
y ont participé. - La classe spé- ciale de théo
ale de théorie musicale et de solfège a donné de bons résultats; 30
enfants
ont suivi cette classe. Comme les années antéri
30 enfants ont suivi cette classe. Comme les années antérieures les
enfants
les moins atteintes ont appris des mélodies et
la visite des parents, sous la direction de la surveillante. 160
enfants
ont pris part à ces exercices ; 92 savent danse
igures du quadrille. Enseignement professionnel. A mesure que les
enfants
se développent, on leur apprend tous les soins
des moins arriérées aident le personnel a apprendre à manger aux
enfants
incapables de manger seules et à perfectionner
t par séries régulières, 60 ont travaillé une heure par jour ; 30
enfants
savent faire complètement les layettes ; 30 du
aluation du travail. Visites, permissions de sorties, congés. Les
enfants
ont reçu 3.688 visites ; les visiteurs ont été
moignent de la sollicitude des familles envers leurs malheureuses
enfants
. Il semble que, se rendant compte de la respons
accorder des congés de plus de cinq jours, parce que le séjour des
enfants
dans leurs familles se prolongeant, il est moin
unes voisines de la Fondation Val- lée, soit à Paris. Le nombre des
enfants
qui prennent part à ces promenades varie de 60
nu des inconvénients de la pré- sence simultanée à ces réunions des
enfants
des deux sexes, les petites filles de la Fondat
Gras et de la Mi-Carême, la décoration du gymnase où dansent les
enfants
, le buffet sont faits par les enfants et le per
n du gymnase où dansent les enfants, le buffet sont faits par les
enfants
et le personnel. Celles-là, durant l'année, don
nts remettent un peu d'argent pour accroître la petite caisse des
enfants
. musc Raymond, suppléante a remis 25 fr. Une da
, dominos chromatiques, etc.). Avec les premiers nous apprenons aux
enfants
à compte ? ', avec les deuxièmes nous leur enseig
en caisse 17 fr. pour servir aux déguisements de 1902. Cinquante
enfants
ont été travesties. Comme d'habitude, la fan- f
te enfants ont été travesties. Comme d'habitude, la fan- fare des
enfants
de Bicêtre est allée les chercher à la Fondatio
ent, depuis l'ouverture de la Fondation en 1890. Teigne. - Quinze
enfants
ont été soignées pour la teigne au pavillon d'i
a section de Bicêtre. A la fin de l'année, il ne restait plus que 5
enfants
en traitement. Maladies infectieuses. Deux fi
ne angine pultacée, cette dernière a succombé (Feldm... Pauline). L'
enfant
Bartholom... y a été trai- tée à deux reprises
e à deux reprises différentes pour un érysipèle de la face; enfin l'
enfant
Dun... y a été soignée et guérie de la rougeole
vrier et qui s'est termi- née le 4 juin sans cas mortel. Toutes les
enfants
au nombre de 32, sauf 3 mises en observation à
naturellement, à la fin de l'épidémie. Maladies intercurrentes. -8
enfants
ont été traitées à l'infirmerie pour bronchite
pour les petites gâteuses et pour les petites filles pubè- res. Les
enfants
prennent leurs douches à la Fonda- tion ; ce n'
ion au 31 décembre. Il restait à la Fon- dation, le 31 décembre 216
enfants
, se décomposant ainsi : PERSONNEL DU SERVICE.
- Assistance et enseignement. Classes ou Écoles spéciales pour les
enfants
arriérés. Communication à la Commission de surv
vous.avons montre, au cours de votre visite, un cer- tain nombre d'
enfants
idiots, imbéciles et arriérés, amé- liorés au p
nnexées aux écoles primaires ou mieux les Ecoles spéciales pour les
enfants
arriérés . Vous connaissez tous mes efforts pou
tatives faites à l'étranger pour l'instruction et le traitement des
enfants
arriérés, dont l'hospitalisation ne s'impose pa
comme moyen d'assistance, dans la famille, du groupe important des
enfants
arriérés (1). En décembre 1895, rapport il la d
-uns des arrondissements de Paris, des classes spéciales pour les
enfants
arriérés n'offrant ni perrersïons des instincts,
ance, parce qu'elles per- mettraient de désencombrer les sections d'
enfants
en y envoyant ceux qui sont sullisamment amélio
ant une Lettre de JI. C : l1'1'iot au sujet de la statistique des
enfants
arriérés existant dans les écoles primaires de la
(1) Bourneville. -Assistance publique, traitement et éducation des
enfants
arriérés, rapport au Congrès national d'assista
national d'assistance de Lyon. Classes ou écoles spéciales. CVII
enfants
arriérés en Italie, asiles-écoles, classes spécia
Italie, asiles-écoles, classes spécia- les ; - Ecole spéciale pour
enfants
arriérés à Amster- dam . ' , Le le'' août 190
, p. 295). Le 7 mai 1901, Note sur les classes spéciales pour les
enfants
arriérés il Berlin. En 1900 et en 1901, vous avez
illiale, du rapport de M. Manheimer sur l'Assistance familliale des
enfants
arriérés. Toutes ces communications figurent da
ents sur les pro- grès des Classes ou des Écoles spéciales pour les
enfants
arriérés dans différents pays. Nous commenceron
pédagogues... au-delà de nos fron- tières. Écoles spéciales pour
enfants
anormaux ; Par le D' SAMUEL FOUT. Ellicotcity,
illes de Prusse. - Ces autorités séparaient du gros des élèves, les
enfants
d'intelligence lourde et lente, mais normaux pa
les quant aux soins que leur état nécessite, - mais seulement les
enfants
spéciaux, anormaux, qui sont « poids mort » dan
d'infériorité, comparativement il la moyenne des élèves. - Or, ces
enfants
, peuvent bénéficier de méthodes spécialement ad
e, recommandation spéciale de soumettre à l'examen médi- cal tout
enfant
envoyé aux écoles ou aux classes de sujets anor
dent des écoles ou des classes spéciales, où sont traités les seuls
enfants
arriérés, les idiots qui les occupaient antérie
ayant été évacués. On constatait en outre qu'un certain nombre d'
enfants
bénéficiaient de 2 ou 3 années d'éco- lage, san
ées d'éco- lage, sans toutefois pouvoir été ramenés au niveau des
enfants
normaux. Voici les chiffres du rapport de 1894 :
894 : 18 villes possédant 26 institutions ; plusieurs centaines d'
enfants
en traitement; 43 instituteurs, 21 institutrices;
La même année, une commission royale reconnaît que le Comité pour
enfants
arriérés et épileptiques, constitué par sa grâc
ntré avec toutes les preuves désirables la nécessité de séparer les
enfants
arriérés et épileptiques, des enfants normaux d
s la nécessité de séparer les enfants arriérés et épileptiques, des
enfants
normaux dans les écoles de la Grande-Bretagne.
ète et conçue dans un esprit très scientifique de deux variétés d'
enfants
anormaux étudiés par des spécialistes familia-
t un vingtième à peine reçoit des soins spéciaux ; déplus, pour 800
enfants
normaux, il faut compter un anor- mal ; ajouton
r- mal ; ajoutons encore, ce fait bien établi, que 1 pour 100 des
enfants
de nos écoles publiques, a besoin d'une édu- ca
amarades. La conclusion de cette statistique du large pourcentage d'
enfants
au-dessous de la moyenne intellectuelle, est qu
estimons que l'État doit assumer la charge de toutes les variétés d'
enfants
anormaux et que la question intéresse les contr
le premier consiste iL prévenir l'augmentation de cette catégorie d'
enfants
; le second consiste à les soigner, il les éduq
s que le second point qui doit être examiné quant à deux variétés d'
enfants
arriérés. Il est regrettable que l'accord ne so
lanchers. Iicrlin donne la classification la plus schématique des
enfants
anormaux, qu'il divise en : Classes spéciales.
ésulte de leur état cérébral. Il nous suffit d'examiner nos propres
enfants
et de supposer un instant dans quelle situation
e corps politique, le besoin qu'il y a de faire de ces malheureux
enfants
des hommes honorables et sachant se faire res-
'avenir n'a pas dit son dernier mot sur la question des besoins des
enfants
délinquants. Ainsi que je l'ai déjà éta- bli, o
u'elle soit doit être fondée en vue du butspécial il obtenir chez l'
enfant
arriéré, qui livré il lui-même, sans jugement e
Le rapport anglais précité n'établit pas de distinction entre les
enfants
normaux et les arriérés au-dessous de sept ans.
permet d'affirmer que les éducateurs du premier âge, s'occupant d'
enfants
normaux dans les écoles maternelles publiques,
oiera au-dessous de sept ans la même méthode d'instruction pour les
enfants
normaux et pour les arriérés, je me déclarerai
aîtres autorisés a donné toute la mesure de son efficacité chez des
enfants
de moins de sept ans ; et je ne puis m'empêcher
lus facile sera la tâche de ses futurs maîtres. Il y a quantité d'
enfants
dont on ne fera actuellement - rien de bon avec
nconvénient a ce qu'il connaisse les soins a donner aux tous petits
enfants
. En plus de tout cela, il faut être bon marcheu
e courir et de sauter. Des heures d'étude. Dans le traitement des
enfants
anormaux, il ne faut évi- demment pas multipler
où on veut aboutir. Il est évi- dent que si nous avons affaire à un
enfant
susceptible de faire un adulte normal au point
traite- ment pédagogique sera plus compliqué que s'il s'agit d'un
enfant
destiné passer toute sa vie dans un asile d'alién
01. ? cxiv Traitement et éducation des idiots. gé peut faire de l'
enfant
qui possède un tel organe non seulement un indi
ement pédagogique doit être adaptée aux moyens intellectuels dont l'
enfant
dispose ; et mon expé- rience me conduit il lim
j'en suis convaincu, la sphère où l'on doit se mouvoir avec de tels
enfants
. L'instituteur aura la plus grande latitude pou
leçon soit précédée de quelques minutes d'exercice physique. Les
enfants
d'un âge donné varient beaucoup quant à la rapi
et de l'éducation manuelle a une grande importance. Pour les petits
enfants
, toutes les occu- pations physiques de la petit
ccu- pations physiques de la petite enfance conviennent. Pour les
enfants
plus âgés, il faut choisir entre diverses profes-
. C'est maintenant un fait bien connu qu'une forte proportion des
enfants
de nos écoles a une vision défectueuse : la myo
une anomalie dans le fonctionne- ment des sens, il doit soumettre l'
enfant
à l'examen médical, en vue du diagnostic à pose
e ainsi au sujet de l'éducation manuelle : a J'esti- me que, chez l'
enfant
, l'éducation manuelle est à l'intelli- gence ce
thopé- diste. - Eh bien, j'estime, en fin de compte, que nombre d'
enfants
venus dans nos écoles, arriérés, défectueux au
t des arts mécaniques. Je parle, ajoute l'auteur, pour ces nombreux
enfants
qui, mis entre les mains de maîtres intelligent
s dans les jeux qu'aux progrès dans les études. J'ai souvent vu des
enfants
fuire sans goût le devoir assigné par leur maît
et assorti à la formule neuro-muscu- laire et au développement de l'
enfant
ou de l'adolescent ? `t Serait-ce aussi trop de
posé des particularités physiques et mentales qui différencient l'
enfant
du jeune homme, celui-ci de l'adolescent, etc. (2
me, celui-ci de l'adolescent, etc. (2) » Tout ce qui a été dit de l'
enfant
arriéré, dans les pages qui précèdent, peut éga
éré, dans les pages qui précèdent, peut également être appliqué à l'
enfant
(1) Nous nous proposons d'introduire à Bicêtre
), autant que faire se peut. Quant à la question de maintenir ces
enfants
dans des classes séparées, c'est encore un pro-
ème à résoudre. Je crois que ceux qui ont vécu dans le commerce d'
enfants
affligés de cette terrible maladie peuvent hardi-
r par le trai- tement et l'éducation tel degré d'intelligence que l'
enfant
présente ; pour le moment, il ne faut pas nous
usion, l'existence aussi douce et aussi confortable que possible. L'
enfant
qui souffre, qu'il soit riche ou pauvre, souffr
vu souffrir des femmes n'ont rien vu, il faut avoir vu souffrir des
enfants
. » Dans tous les cas, nous ne devons pas abando
f la portée scientifi- que et sociale des Écoles spéciales pour les
enfants
arriérés. Voici cette préface (1). Le rapport
araître les troubles intellectuels et physiques d'un grand nombre d'
enfants
, et qu'elles permettront d'utiliser des forces,
s. cxxi Grâce à elles, l'attention de chacun sera attirée sur des
enfants
malades ; leur organisation provoquera entre les
ne est en avance sur nous au point de vue des écoles spéciales pour
enfants
arriérés puisque, dès 1897, cette nation était
onnement. D'abord ne sont reçus dans ces écoles spéciales que des
enfants
ayant sans succès fréquenté deux ans les écoles
me dans les vingt-deux volumes de nos Comptes-rendus du service des
enfants
de Bicêtre (1880-1901). CXXII Traitement et édu
vation médicale détail- lée. Le maître ou la maîtresse accompagne l'
enfant
pen- dant 5 ans, la scolarité se poursuit jusqu
depuis longtemps à l'asile-école de Bicêtre, on apprend d'abord aux
enfants
à connaître leur nom, puis les parties du corps
s, on fait simultanément l'enseignement du calcul, de sorte que l'
enfant
, suivant ses dispositions, peut être affecté il
Classes spéciales. cxxiii Il. Angleterre. I, L'éducation des
enfants
arriérés devant les comités des écoles. 18cho
Il fait remonter le mouvement en faveur de l'éducation spéciale des
enfants
arriérés, à l'année 1863 ; le point de départ a
le- magne seule. - Les dernières statistiques montrent, que 6.000
enfants
environ reçoivent actuellement celte éducation
ondres, nous devons la création de ces établissements spéciaux pour
enfants
arriérés, il l'initiative de feu le général Mob
pas moins de 50 centres d'éducation spéciale, instruisant 2. 125
enfants
. Puis lenteur communique quelques schémas indiq
ale, et pour l'éducation manuelle, une subvention de 30 s. pour les
enfants
les plus jeunes et de 10 s. pour les enfants pl
on de 30 s. pour les enfants les plus jeunes et de 10 s. pour les
enfants
plus âgés. L'expérience du D1' Shuttleworth le
prouvé que 5 heures d'étude soutenue soient sans préjudice pour des
enfants
cérébralemcnl débiles, et qui sont rarement ind
'une compétence médicale dans les écoles et que l'état physique des
enfants
a une telle importance que dans leur éducation,
a nécessité d'un diag- nostic précoce du développement anormal de l'
enfant
(tant physique que mental, car les deux sont gé
olaire. Examinant ensuite les détails pratiques du traitement des
enfants
anormaux, le ])1' Channing rappelle les méthodes
qui commencent il s'implanter en Angleterre) pour le traitement des
enfants
les plus débiles. (t) C'est notre pratique depu
M. t.. H. Morel, interne prov. du service.) En ce qui concerne les
enfants
idiots de toute catégorie, nous avons toujours
ignement spécial d'Anvers. C'est une école qui a été créée pour les
enfants
arriérés et non des classes spéciales ; c'est s
e devra être créée; il en existe cinq actuelle- ment, le nomhre des
enfants
à un même instituteur ne devant jamais dépasser
tituteurs, guidés par un directeur, s'occupent de l'instruction des
enfants
. Classes spéciales. cxxvii Un médecin, posséd
ur, cstattaché spécialement à l'école. Il y a un laboratoire où les
enfants
peuvent être examinés physiquement et l7sycllic
e complet pour l'examen de la gorge et du nez y existe aussi. Les
enfants
sont examinés au point de vue de l'hérédité . e
hropo- métrique, l'examen physique et l'exploration psychique des
enfants
sont faits de façon détaillée. Un examen pédago
ment dite, est pratiqué par le directeur et les instituteurs. Les
enfants
sont répartis dans les classes, en se basant pl
e diagnostic psychique qui devrait servir de base au classement des
enfants
. (J'espère dans un temps donné arriver à corrig
le jardinage prennent aussi leur part dans l'éducation physique des
enfants
. L'enseignement est essentiellement intuitif. -
enfants. L'enseignement est essentiellement intuitif. - Tous les
enfants
arrivent Ù apprendre à lire, il écrire, à calcule
on manuelle (modelage, pliage, cartonnage) se fait avec soin. - Les
enfants
embrassent tous une profes- sion manuelle. Il
te section, sorte de comité de patronage, s'occupe du placement des
enfants
à leur sortie de l'école. Voila, honoré confr
vue de créer un mouvement d'opinion en faveur de l'édu- cation des
enfants
arriérés, quels qu'ils soient, et de chercher à
marck, il n'y a qu'à Copenhague où existent des classes spéciales d'
enfants
arriérés. Ces classes sont au nombre de neuf. E
arriérés. Ces classes sont au nombre de neuf. Elles contiennent 150
enfants
(90 garçons et 60 filles ? Trois classes ont ét
rtiers de la ville. On ne reçoit dans les classes spéciales que des
enfants
imbéciles aux degrés les plus légers, mais pas
es que des enfants imbéciles aux degrés les plus légers, mais pas d'
enfants
idiots. Quant aux institutions Danoises consacr
as d'enfants idiots. Quant aux institutions Danoises consacrées aux
enfants
11) Nous avons eu, il : " a plusieurs années, l
- 2° Ebberoclgoarcl, asile et ate- lier de travail pour environ 400
enfants
et adultes des deux sexes, fondée en 1892 par l
16 kil. de Copenhague et 4° Kavensilbincle, asile pour environ 100
enfants
des deux sexes, situé près de Copenhague, à deu
cole et un atelier de travail pour environ 600 pupilles, adultes et
enfants
des deux sexes. Chaque institution est sous l
ys, on se préoccupe activement du traitement médico-pédagogique des
enfants
arriérés dans des classes ou mieux des écoles s
nous avons indiquées dans notre Lettre à M. CaJTiot. 2° Tous les
enfants
considérés comme un « poids mort » sont envoyés
résultats obtenus sont partout très-encourageants. La majorité des
enfants
sont améliorés au point de pouvoir vivre en soc
de la Création de Classes spéciales ou d'Ecoles spéciales pour les
Enfants
arriérés. (li En 1803 les membres du Congrès de
gente de l'assistance des idiots, imbéciles et arriérés, adultes et
enfants
. Voici un fait nouveau, emprunté au Progrès de
nie familiale. III. Placements des aliénés, des épileptiques, des
enfants
arriérés, etc. Nous avons eu l'occasion de vo
a voie publique, spectacle qui n'est pas sans inconvénient pour les
enfants
et les femmes enceintes qui en sont témoin ; de
général de l'exposition de Tunisie. Il est ma- rié et père de deux
enfants
. Transporté il l'hôpital, les balles qui l'avai
etus ; leur intensité, leur fréquence ; comparaison avec ceux des
enfants
antérieurs ou postérieurs. Persistance des règles
mode de présentation; quantité des eaux de l'amnios. . État de l'
enfant
t la naissance : asphyxie (blanche ou bleue, du
egré d'ins- truction ; aptitudes particulières. Ressemblance de l'
enfant
; tient-il plus du père que de la mère au point
it faire un certain nombre de tableaux, les uns communs iL tous les
enfants
, les autres spéciaux à certaines catégories d'e
aisons prendre, matin et soir, la tcm- péralure rectale de tous les
enfants
qui entrent dans le ser- vice. Maintes fois, ce
s prendre la température la veille et le matin et nous maintenons l'
enfant
s'il a de la fièvre. - b) Tableau des mensurati
ent établir le bilan, a l'entrée. des con- naissances scolaires des
enfants
. - Cahier scolaire, que nousavons institué dès
és. Manie de briser. Manie de dire des mots grossiers. Acte des
enfants
qui mangent tou- tes sortes d'ordures, môme les
sence ou la faiblesse de l'idéal ion. Mutisme Langage nègre L'
enfant
entend, mais ne parle pas sans qu'il y ait lési
ne parle pas sans qu'il y ait lésion des organes phonateurs. L'
enfant
possède un certain nom- bre des vocables, mais
, 3° Instructions aux infir- miers et infirmières de la seclion des
enfants
de Bicêtre. Acrocéphalie (iAli1'oS, j1011,t11
bien des années le bromure camphre est employé dans le service des
enfants
de Bicêtre2. Les résultats théra- peutiques obt
s de consanguife. Inégalité d'âge de cinq ans. (Père plus âgé). Dix
enfants
: 4° garçon, dix-neuf ans, sain; 2" fille morte e
'intelligence. A la suite des premières convulsions, à sept mois, l'
enfant
, au dire de sa mère, aurait conservé un mouveme
u dans les conditions suivantes : A la fête de la place d'Italie, l'
enfant
demandait un sou pour monter sur les chevaux de
ndait un sou pour monter sur les chevaux de bois. Sa mère refuse, l'
enfant
persiste dans sa demande et tout d'un coup tomb
ents scrofuleux; plu- sieurs bronchites légères. Etat actuel. - L'
enfant
parait en bonne santé, son attitude est normale
turbulente, taquine et semble aimer à faire de la peine aux autres
enfants
. Sous tous les autres rapports, les progrès sig
ine, c'est l'alcoolisme du père, qui parait s'être traduit chez ses
enfants
, par deux cas de méningite et l'épilepsie de no
nts. -Un frère, quarante-cinq ans, en bonne sauté ainsi que ses dix
enfants
qui n'ont pas eu de con- vulsions. - Une soew',
sions. - Une soew', mariée, aeu une fille, laquelle elle-même a une
enfant
: ni les uns, ni les autres n'ont eu de convulsio
gé). - Aucun indice de syphilis ni chez l'un, ni chez l'autre. Deux
enfants
. 1° Notre malade; 2° une tille morte à huit ans
i. Elle ne sait pas exactement àquelle époque elle a senti remuer l'
enfant
; les mouvements étaient modérés. - Accouchemen
ents étaient modérés. - Accouchement à terme, travail assez long, l'
enfant
est venue toute noire, à la naissance, néanmoin
ns). Accès de cris nuit et jour pendant les premières semaines. L'
enfant
a été nourrie simultanément au sein et au biberon
schromatopsie. Lèvres moyennes. Langue mobile. Amygdales grosses. L'
enfant
respire par la bouche sans que l'examen de la g
tion III. - Imbécillité ET ÉPILEPSIE symptomatique. Sommaire. Père,
enfant
naturel, aucun accident syphilitique. Céphalalg
le 5 octobre 1893. 1893. 6 octobre. - Description d'un vertige. - L'
enfant
est de- bout. Subitement, sans cri, la tête et
t. Les joues deviennent rou- ges. Au bout d'environ deux minutes, l'
enfant
qui, jusque là, était resté penché en avant, se
ez les garçons et les filles dans nos Comptes rendus du service des
enfants
de Bicêtre. III. Contribution à l'étude de
qué par M. Boyer à la Société libre POlll'l'étudepsychologique de l'
enfant
{Bulletin, nez 5, p. 120, 1901). 2l> IDIOT
pater- nelle très nerveuse, morte phtisique à trente-neuf ans ; ses
enfants
sont malingres, très nerveux, surtout l'ainé, q
onsanguinité. - Inégalité d'âge de sept ans (père plus âge). Deux
enfants
: 1° un garçon de dix-huit ans et demi, bien por-
loin donneront une idée plus précise des mensonges ordinaires de l'
enfant
. Etat de l'enfant à son entrée à l'Institut méd
idée plus précise des mensonges ordinaires de l'enfant. Etat de l'
enfant
à son entrée à l'Institut médico-pédagogique. I
roubles digestifs con- sistant en vomissements sans douleur, mais l'
enfant
a été surpris plusieurs fois en train de les pr
: bruit de souffle assez prononcé au premier temps, il la base ; l'
enfant
se plaint du reste de palpitations et a quelque
ent. Mais il nous a été donné de constater que sur ce point aussi l'
enfant
a fait de l'exagération. - Marche sautillante,
e. - L'intelligence présente une arriération légère, mais réelle. L'
enfant
du reste, par suite de son écolage irrégulier,
nement, mais on s'aperçoit vite que tout n'est que surface et que l'
enfant
est inca- pable de coordonner les idées acquise
Or, nous avons appris quelques jours après, que son cousin était un
enfant
normal, fréquentant un lycée de Paris, et que s
riétaire que c'est un tel qui les lui a volés, etc. Si on fait à un
enfant
des reproches sur telle ou telle incartade, qu'
était impossible matériellement, que cet accident ait pu arriver, l'
enfant
en question venant de quitter son infirmière; d
qu'A... a faite sur toute la famille. Un nuage cependant le 25 : l'
enfant
comptait aller à un mariage; un contre-ordre pr
site de la famille et un congé de trois jours paraissent remonter l'
enfant
. En Avril et en Mai l'amélioration continue. Pl
lle. C'est un oncle qui connaît peu A... qui est nommé tuteur, et l'
enfant
va essayer d'agir auprès de lui pour satisfaire
son état morbide. Bien qu'au moment de la conception, le père de l'
enfant
n'ait pas encore pré- senté de troubles mentaux
nifestations, les symp- tômes qui font pressentir l'anormalité de l'
enfant
, et pour qu'ils puissent conseiller aux parents
embourgeoise). - Inégalité d'âge de six ans (père plus âgé). Deux
enfants
: 1° Notre malade. - 2° Garçon, mort à vingt mois
eau normale. A la naissance rien de particulier : pas d'asphyxie, l'
enfant
a crié aussitôt ; était mince et petite. Elevée
sans aucune complication. Le père aurait cepen- dant remarqué que l'
enfant
marchait ensuite « courbée en dehors, et le pie
taient longues à guérir ; enge- lures depuis son plus jeune âge ; l'
enfant
a été souvent battue, mais les sévices n'ont ja
iter sa fille par le docteur D. ; l'examen médi- cal constate que l'
enfant
est intacte. A la suite de ces faits, Albertine
jambes enlacées ; lui permettant même des caresses dangereuses. Cet
enfant
, qui était éga- lement un idiot moral, est deve
chambre, ne se gêne pas assez devant sa fille; ensuite parce que l'
enfant
voit ou apprend dans les ateliers, où elle entend
, le danger qu'il y a d'accepter trop à la lettre un témoignage d'
enfant
? Car enfin que serait-il arrivé si Albertine, da
7 de recueillir, pour notre Musée pathologique les squelettes des
enfants
hémiplégiques morts dans notre service de Bicêt
ns, etc.). Les causes de l'atrophie (I) Compte-rendu du service des
enfants
de Bicêtre pour 1896, p. 82, avec figure du squ
st plus vigoureux. Il a aussi remarqué que les fémurs féminins et d'
enfants
sont moins incurvés que les masculins et cepend
ns de cet os sous l'influence du muscle et de son activité. Chez un
enfant
, en dehors de toute lésion, le fémur a des cara
confondus : ces caractères se modifient au sur et à mesure que l'
enfant
grandit ; et en examinant des os correspon- dan
s sains et nos fémurs malades. On n'a qu'à comparer un fémur sain d'
enfant
et un fémur malade d'adulte pour être convaincu
ésentent un stade intermédiaire entre un fémur normal et un fémur d'
enfant
. Les caractères infantiles disparaissent si l'h
'inclinaison du col fémoral. Il est moins incliné, en effet, chez l'
enfant
que chez l'adulte. D'autre part, il ne change p
ie d'un adulte ne présente que des troubles paralytiques ; chez l'
enfant
la lésion cérébrale s'accompagne de troubles tro-
t ainsi que s'ex- prime M. Letort(t) qui a analysé la marche chez l'
enfant
et qui s'est inspiré dans cette étude des trava
, c'est uniquement le membre bien portant qui sert il progresser. L'
enfant
prend un point d'appui solide sur lui en s'incl
ant joué par l'activité des mouve- (1) Troubles de la marche chez l'
enfant
(Jouve, 1891). Le fémur. 65 ments pour exagér
ngles nous semblent les mêmes, ce qui parait d'ailleurs naturel ; l'
enfant
qui en était porteur est décédé à l'âge de 5 an
ent pour les fémurs G, I, J et G', 1', J'. Ils ont appartenu il des
enfants
dont les épiphyses n'étaient pas encore sondées
ervico-diaphysaires mala- des se rapproche du type rencontré chez l'
enfant
. L'incli- naison primitive n'est que peu modifi
ons vu un grand nomhre d'épileptiques, hommes et femmes, adultes et
enfants
, nous n'avons que par exception observé cette c
lus de 70 ans. - Un frère mort de la poitrine, 27 ans, sobre, pas d'
enfants
. - Une soeur bien portante, ainsi que ses deux
sobre, pas d'enfants. - Une soeur bien portante, ainsi que ses deux
enfants
qui n'ont pas eu de convulsions. - Dans le rest
morte il 91 ans, était en enfance. Deux frères ayant eu un et trois
enfants
, sont bien portants ; un enfant est mort en nai
. Deux frères ayant eu un et trois enfants, sont bien portants ; un
enfant
est mort en naissant, il avait la tète grosse «
aissant, il avait la tète grosse « pleine d'eau » ; (le père de cet
enfant
avait épousé sa cousine germaine, il aurait eu à
ieurs reprises des polypes du nez). - Deux soirs : une, mariée, a 3
enfants
en bonne santé ; l'autre, 29 ans, non mariée «
enfants en bonne santé ; l'autre, 29 ans, non mariée « par peur des
enfants
et des tracas de ménage, » bien por- tante. Pas
en Belgique, de parents français, originaires d'Abbcville Quatre
enfants
: 1° garçon, 5 ans 1/2, fort, intelligent, pas de
» (Une cousine, née d'une demi-soeur du grand père maternel de l'
enfant
a eu une fois une couche double. Du côté paternel
heure, 1/2 heure. Depuis l'âge de dix-huit mois jusqu'à ce jour, l'
enfant
n'a plus eu de convulsions, ni de vertiges, mai
, aussitôt après les convulsions qu'il n'était pas comme les autres
enfants
; il ne semblait voir personne, ne cherchait pa
ette nulle. Sommeil très agité. 1887. 23 juin. Depuis l'entrée, l'
enfant
a pris des bains d'ami- don, du sirop d'iodure
ion), frictions stimulantes, exercices de la marche. 29 août. - L'
enfant
se tient bien seul et marche facile- ment, s'il
ées et on trouve à leur niveau des cheveux cassants. Septembre. L'
enfant
s'éveille souvent pendant la nuit, en criant et
Verge : longueur 56 ? circonférence 45 ? Novembre et Décembre. L'
enfant
a des engelures aux pieds , qui l'empêchent de
u- lières et quotidiennes. - Traitement : 30 gr. huile de ricin L'
enfant
toujours la teigne. Pas de progrès pour la marche
ipation, pas de diarrhée. Cuirasse de collodion. 1892. 16 mars. L'
enfant
a la teigne tondante très intense au sommet de
; les pustules du sommet de la tête ont disparu. Même traitement. L'
enfant
est atteint d'un tic qui consiste il saisir ave
considérablement. Elle modifie désagréablement la physionomie de l'
enfant
24 juillet. Puberlé : Visage glabre. Thorax, ai
et à la région anale. Cet érythème serait dû à un tic que possède l'
enfant
de se frotter continuellement les cuisses l'une
continuer les lavages et les frictions au sublimé. 28 octobre. L'
enfant
était presque guéri de sa teigne. Récemment, il
sommet de la tête, qui nécessite encore un traitement pro- longé. L'
enfant
doit causer ses éruptions par les mouve- ments
du malade. État général : Visage peu coloré; adiposité médiocre. L'
enfant
n'a pas l'air maladif. Sa physionomie exprime l
crânienne. Conduit auditif externe dirigé horizontalement. Ouie : l'
enfant
entend, mais parait entendre mal ; pour fixer s
de l'acte qui s'établit ensuite sous leur influence. Les joues de l'
enfant
sont charnues, épaisses : les plis nasolabiaux,
arents habitent Paris depuis 6 ans. Le préfet de la Somme réclame l'
enfant
pour l'asile de Dury-lès-Amiens. - Depuis le pl
'enfant pour l'asile de Dury-lès-Amiens. - Depuis le placement de l'
enfant
, les parents ont perdu leur petite jumelle d'un
sé- cutive à la rougeole ; pas d'autre décès dans la famille. - L'
enfant
présente toujours un tympanisme prononcé. Trait
cin en chef de l'Asile de Dury-lès-Amiens autorise le maintien de l'
enfant
à l'Asile de Bicêtre. 1893. 13 janvier. - L'e
maintien de l'enfant à l'Asile de Bicêtre. 1893. 13 janvier. - L'
enfant
a eu récemment une légère éruption pustuleuse,
près en mettre un autre sur le côté opposé. Pas de progrès chez cet
enfant
; il ne comprend rien, ne connaît personne ; gâ
erge : longueur 7 cent., circonférence G cent. 1898. Juillet. - L'
enfant
est à l'infirmerie. Même état : ne comprend rie
0. 1 ? . Cachexie, congestion pulmonaire, mort. 10t Juillet. - L'
enfant
maigrit énormément, quoiqu'il s'ali- mente bien
plus; G... mange très bien et dort mieux. 4 mars. - On descend l'
enfant
à l'infirmerie à 5 heures.. La face est pâle, l
flées, les pupilles dilatées et égales ; les membres sont raides. L'
enfant
pousse quel- ques cris de temps en temps. - 5 1
sesse. L'accouchement aurait eu lieu trois semaines avant terme; l'
enfant
était petit et ses ongles étaient ,iL peine for
ts, le strabisme, les accès de colère et de cris, etc. En résumé, l'
enfant
offrait tous les symptômes de l'idiotie complèt
sie latérale homonyme chez l'adulte. Étant donné l'état mental de l'
enfant
, nous n'avons pu recher- cher ce symptôme. La r
nfance ; quelques excès, de boisson postérieurs à la naissance de l'
enfant
, mort d'un cancer de l'estomac. - Grand-père pa
ents à la mauvaise hygiène de- l'école et à l'ardeur qu'apportait l'
enfant
au travail. A 12 ans première attaque de folie
899. Nouvelle période d'excitation, précédant les règles. En mai, l'
enfant
redevient normale. Envoyée en congé rie 8 jours
ère est morte à 58 ans d'un cancer de l'esto- marc. - La soeur de l'
enfant
, vue isolément, insiste beaucoup sur ce que : «
une bonne santé. Deux frères : L'ainé, âgé de fi'[ ans, est veuf, 5
enfants
, tous très bien portants, pas de convulsions. L
re filles et un garçon ; l'ainée des filles est mariée, elle a deux
enfants
très bien portants,' pas de convulsions. Trois
e est morte à 55 ans d'une maladie clans le ventre ( ? ), a eu cinq
enfants
bien portants, pas de convulsions. La seconde,
a première atta- que; Le second, 75 ans, bien portant, marié, a six
enfants
, tous âgés aujourd'hui et en bonne santé ; Le 3
: L'une morte it 72 ans, une autre, 70 ans, mariée, n'a jamais eu d'
enfants
: - La troisième est morte à Ii5 ans d'un cance
'un cancer du foie; La qua- trième, 58 ans, mariée, n'a jamais eu d'
enfants
. Dans le reste de la famille, il n'y a rien à s
(mère plus âgée). 114 Folie DE l'adolescence. Le père a eu dix
enfants
: quatre d'un premier mariage, six d'un second.
enfants : quatre d'un premier mariage, six d'un second. Des quatre
enfants
du premier lit, l'un est mort athrepsique : a s
l'un est âgé de 29 ans, une fille âgée de 28 ans est mariée, a deux
enfants
n'offrant aucun accident nerveux ; le troisième
aucun accident nerveux ; le troisième est âgé de 2G ans. Des six
enfants
du deuxième lit : 1° fille, qui nous fournit ce
notre malade ; - G° fillette de 13 ans, bien purtante. Aucun de ces
enfants
n'aurait eu de convulsions. Notre malade. - Rie
e renseignements ni sur le mode de présentation, ni sur l'état de l'
enfant
à la naissance. Nourrie au sein, par sa mère. L
l'état de l'enfant à la naissance. Nourrie au sein, par sa mère. L'
enfant
a parlé de bonne heure, on ne peut préciser dav
temps sa parole était lente, confuse, absolument comme celle d'un
enfant
qui apprend à parler, alors qu'avant la rougeole
est toujours bien portée. De 5 à 7 ans, elle fréquente un asile d'
enfants
et continue se bien porter. A sept ans, on la m
t ans, on la met à l'école commu- nale. A partir de cette époque, l'
enfant
devient chétive. Pour expliquer ce fait, deux c
voquées par la famille : d'abord l'air confiné de la classe, car, l'
enfant
était-elle retirée de l'école pendant un mois o
ec lui à Besan- çon. C'est avec la plus complète indifférence que l'
enfant
quitta sa mère et ses soeurs. A leur arrivée
rs. A leur arrivée à Besançon, au grand étonnement de son père, l'
enfant
était absolument dans son état normal. De Besan
1897. On assure que depuis cette époque, jusqu'en septembre 1898, l'
enfant
était naturelle, bien que d'un caractère sombre
à l'époque de ses règles absentes. Puis, pendant trois semaines, l'
enfant
est taciturne, elle garde un 111 utisme presque
le il l'entrée. 116 Folie de l'adolescence. pressionnabililé de l'
enfant
. - Les arcades sourcilières, proé- minentes, so
ement il la lumière et l'accommodation. Acuité visuelle normale : l'
enfant
distingue parfaitement les couleurs. ' Le ne
ux manger avec les françaises. » T.R. 37°. - La nuit a été bonne, l'
enfant
a bien dormi. Durant la journée, on remarque qu
ndant le reste de la journée, même état. A sept heures du soir, l'
enfant
étant très énervée se met à injurier les infirmiè
J'ai fait changer la belle française » Les nuits sont mauvaises, l'
enfant
est agitée, ne dort pas. L'agitation atteint so
fait qu'on ne peut l'occuper il quoi que ce soit. 15 janvier. - L'
enfant
parait moins calme depuis plusieurs jours. Elle
réapparaissent le 23 février et sont normales. Mars. L'état de l'
enfant
est satisfaisant, elle est calme, raisonne bien
et prend part à tous les exercices. 20 mars. - Le mieux persiste, l'
enfant
travaille et raisonne bien ; elle ne se souvien
, soumise, mais d'humeur triste,- elle ne joue pas comme les autres
enfants
. Mat. - La guérison persiste, l'enfant est affe
joue pas comme les autres enfants. Mat. - La guérison persiste, l'
enfant
est affectueuse avec ses compagnes, elle aime b
et manifeste le désir de retourner clans sa famille. L'état de l'
enfant
est tout-à-fait satisfaisant. Elle est calme, r
epuis le mois de mai, on ne trouve abso- lument ricn iL signaler, l'
enfant
n'a cessé d'être docile et raisonnable. l ? a
t pas fait. 120 Nouvelle attaque DE folie. 1900. 8 janvier. - L'
enfant
est ramenée dans un état de folie aussi prononc
ans en conti- nuer aucune. Elle estgrossière, obscène vis-à-vis des
enfants
qui l'approchent. Elle va et vient sans cesse ;
ède à aucun soin de toilette. On est obligé de la nettoyer comme un
enfant
en bas-âge, l'haleine o-t mauvaise. Elle n'acce
Elle ne parle pas. - Elle ne voulait pas se rendre au bal donné aux
enfants
, on l'y a obligée, elle a dansé une polka, puis
est doux et non plus triste et sombre. Elle accompa- gne les autres
enfants
à la visite de Bicêtre. Revenue à la Fondation,
sont posées. Elle semble toute surprise de se trouver au milieu d'
enfants
. On dirait qu'elle sort d'un sommeil profond, d'u
. Le sommeil est tranquille et profond. Elle aide à la toilette des
enfants
, elle est de plus en plus vive dans tout ce 124
auscultation et la percussion ont été presque toujours négatives. L'
enfant
n'a jamais craché, ce quia rendu impossible tou
nous avons faites soit seul, soit avec nos élèves sur la folie des
enfants
. z Instabilité mentale avec perversion des inst
c. [Père, maçon, sobre, tué en tombant d'un écha- faudage. Sa mère,
enfant
assistée, qu'on a connu par hasard et peu, est
d'apoplexie.- Sa mère a eu onze grossesses, dont neuf à terme ; un
enfant
est mort de convulsions ; les survivants, trois
s, trois frères et trois soeurs, sont bien portants ainsi que leurs
enfants
. Rien à relever dans le reste de la famille. Pa
Rien à relever dans le reste de la famille. Pas de cas analogue à l'
enfant
.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 2 an
de consanguinité. Inégalité d'âge de 2 ans (mère plus âgée). Deux
enfants
: 1° une fille, 23 ans, très intelligente, ainsi
ux enfants : 1° une fille, 23 ans, très intelligente, ainsi que son
enfant
; pas de convulsions ; 2° la malade. Antécédent
ccès de cris. « A part son état chétif, elle était comme les autres
enfants
. Son développement s'est un peu accusé à 6 mois
é obligée de la retirer parce qu'elle était le bouffon des autres
enfants
qui s'en moquaient, parce qu'elle parlait peu, et
43 mouvements du foetus auraient été très différents de ceux de l'
enfant
précédent. En pareil cas, nous essay- i- ons to
ie rappelant celle des Mongols, accusée par les caricatures : les
enfants
du service ont désigné un de nos mongoliens le
sont comme bridées, suivant l'expression de la mère de l'un de nos
enfants
. Elles présentent parfois un repli semi-lunaire
is présenté d'accidents nerveux. Ni l'une ni l'autre n'ont eu des
enfants
. Pas d'oncles paternels, pas de tantes mater- n
riées iL des sous-olliciers; elles ont une bonne santé ; l'une à un
enfant
qui n'a jamais eu de convul- sions. - Deux autr
ux autres soeurs, célibataires, n'ont rien de notable. La mère de l'
enfant
qui fournit les détails, dit n'avoir jamais bie
paternels. Deux(a)i(espater)ees, bien portantes, mariées, ont des
enfants
bien portants qui n'ont jamais eu de convul- si
el s'est suicidé à la suite de mauvaises affaires. Il a laissé deux
enfants
normaux, sans convulsions. - Pas de tantes mate
sanguinité. - Différence d'âge de près de 10 ans (père plus âgé).
Enfants
: un seul, notre malade. Pas de fausses couches.
premier mois, pas d'albuminurie. A 4 mois et demi, elle sentit son
enfant
remuer, les mouvements étaient rares et faibles
étaient de quantité normale la sage-femme l'a dit.» Naissance. L'
enfant
naquit par le sommet ; elle avait un circulaire
violente claque, et elle respira largement». C'était une très belle
enfant
. Allaitement. La mère essaya de nourrir son enf
une très belle enfant. Allaitement. La mère essaya de nourrir son
enfant
au sein, mais comme, au début, elle n'avait pas
Antécédents personnels. 155 un biberon rempli de lait de vache ; l'
enfant
fut ainsi nourrie pendant tout le premier mois.
ein jusqu'à la fin du 13e mois. Durant les quinze premiers jours, l'
enfant
cria peu, mais ensuite elle eut des accès de cr
Ces convulsions durè- rent dix-huit heures. On put faire boire à l'
enfant
, à l'aide d'une cuiller, un peu de tilleul. On
ul. On ne sait si les mâchoires étaient serrées. A treize mois, l'
enfant
perça sa première dent; il. deux ans, sa premiè
Pendant son enfance, elle n'eut aucune des maladies habituelles aux
enfants
(rougeole, variole, varicelle, scarlatine, orei
is elle ne parla jamais, ne marcha pas et ne fut jamais propre. L'
enfant
qui, avant les convulsions, était grosse, et bien
é droit (bras et jambe) était moins développé que ie coté gauche. L'
enfant
ne pouvait se tenir debout, elle avait les jamb
prirent de la raideur. De même le bras droit devenait inhabile et l'
enfant
saisissait de sa main gauche- la cuiller ou le
um vers l'âge de 5 à 6 ans ; elles s'atténuèrent dans la suite. L'
enfant
ne présentait ni troubles vaso-moteurs, ni change
presque nul de son intelligence ; aussi se décida-t-elle à placer l'
enfant
, qui entre le 5 avril 1901 à la Fondation Vallée.
5 avril 1901 à la Fondation Vallée. A son entrée dans le service, l'
enfant
présente une légère éléva- tion de la températu
chromatopsie, l'acuité visuelle, étant donné l'état d'idiotie de l'
enfant
. Le nez est aquilin et normalement conformé, le
ste, mais il est difficile d'en apprécier les divers modes, car l'
enfant
pleure sans cesse. Corps glabre y compris le pé
la Fondation Vallée, Rubéole; hypothermie. 159 on constate que l'
enfant
est atteinte d'idiotie complète. Elle ne marche
mastication insuffisante. Du reste, les digestions sont faciles ; l'
enfant
ne vomit pas, ne rumine pas ; les selles sont r
pas ; les selles sont régulières sans constipation, ni diarrhée. L'
enfant
qui a été très gâtée chez elle est exigeante, i
qui ne cessent pour ainsi dire, quoiqu'ils ne soient pas motivés; l'
enfant
sourit rarement. Le soir avant de s'endormir, e
pleurs et de cris. On ne l'a jamais vu se livrer à l'onanisme. L'
enfant
ne saurait procéder à sa toilette, ni même y part
prend la coloration mate qui lui est habituelle. L'attention de l'
enfant
est facile à fixer; sa vue est bonne ; son ouïe
e avant tout la bière qu'elle boit avidement. Tel était l'état de l'
enfant
au mois d'avril 1901 ; le - 22 du même mois, el
on complète de l'exanthème. Il s'agit d'une rubéole bénigne, dont l'
enfant
ne garde actuellement que de petits abcès très
e de petits abcès très superficiels au niveau des fesses. 15 mai. L'
enfant
reste à l'isolement en convalescence. Pas de fi
t un amaigrissement assez marqué. 30 mai. Ce matin il 6 heures, l'
enfant
1new t brusquement sans avoir présenté, à aucun
onstaté. A .1 heures du matin, l'inter- ne de garde, appelé, voit l'
enfant
mourir sous ses yeux «aussi simplement qu'on s'
e maternel et le suicide d'un grand'oncle. II. La conception de l'
enfant
, bien que le père fut alcoolique, n'aurait pas
Les accidents de la grosesse, l'asphyxie à la naissance ont placé l'
enfant
dans de mauvaises con- ditions qui expliquent l
). En résumé, diplégie spasmodique , plus accusée à droite. IV. L'
enfant
n'a fait qu'un court séjour dans le service. Le
otie congénitale, mort de tuberculose pulmonaire avec 36°. Tous ces
enfants
ont succombé durai) les jours les plus froids d
pothermie s'est présentée au cours d'une grippe. Ces trois derniers
enfants
ont survécu. La température a été prise avec pl
De l'emploi de la subvention départementale spéciale aux Ecoles d'
enfants
arriérés, aux Ecoles d'infirmiers et infirmière
un jour nous serions médecin de Bicêtre et à la tic du service (les
enfants
que l'on consi- dérait comme le DERNIER des ser
jà. » Dans ses visites, à la fin de l'année 1877, aux quartiers d'
enfants
de Bicêtre et de la Salpêtrière, la Commission
Loiseau et. MailLar<l. (4) Voir notre Histoire de la section des
Enfants
de Bicêtre et nos Comptes- rendus du service de
ection des Enfants de Bicêtre et nos Comptes- rendus du service des
Enfants
de Bicétrc, à partir de 1880. 178 Subvention dé
ants de Bicétrc, à partir de 1880. 178 Subvention départementale.
enfants
des adultes et partant la création d'un quartier
pécial. En attendant, elle voulut améliorer un peu la situation des
enfants
et du personnel. Ibidem, p. 28. - «Votre commis
Salpêtrière, afin d'améliorerla situation du personnel attaché aux
enfants
idiots et épilep- tiques et afin d'augmenter ce
i 2. 000 » Budgets DÉRIRTENIENTAUX. t79 : Subvention aux écoles d'
enfants
idiots et épileptiques de Bicêtre et de la'Salp
on de 1.000 fr, soit ensem- blé 2.000 fr. De chacune des Ecoles d'
enfants
, idiots et épi- leptiquesdes mêmes quartiers da
pêtrière, ensemble 2.000 fr. ; - 2.000 fr. à chacune des Ecoles d'
enfants
idiots el épileptiques des mêmes établissements,
e la Salpêtrière et aux biblio- thèques des aliénés, aux Ecoles des
enfants
idiots et épilep- tiques de ces deux établissem
fir- mières laïques de Bicêtre et de la Salpêtrière, aux Ecoles d'
enfants
idiots et épileptiques, enfin aux Bibliothèques
, c'est- à-dire dans le but d'améliorer la situation des écoles d'
enfants
, des écoles d'infirmières et non de faire face
ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, d'
enfants
idiots et épileptiques et des malades aliénés
ent de la Seine pour bi- bliothèques des écoles d'in- firmiers, d'
enfants
idiots et épileptiques et des malades aliénés
ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, d'
enfants
idiots et épileptiques et des malades aliénés
mcnt de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, d'
enfants
idiots et épileptiques et des malades aliénés
ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, d'
enfants
idiots et épileptiques et des malades aliénés
000 fr. Dépenses. (p. 44.) Sous-chapitre II. Art. G. Ecoles d'
enfants
arriérés et cours primaires (1) pour les infi
ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, d'
enfants
idiots et épileptiques et des malades aliénés
lémentaires (p. li 6.) Sous-chapitre II les. Art. 5. - Ecoles d'
enfants
arriérés et cours primaires pour les infirmie
. Dépenses. (p. 48.) Sous-chapitre II bis. Art. 5. - Ecoles d'
enfants
arriérés et cours primaires pour les infirmie
ent de la Seine pour bi- bliothèque' des écoles d'in- firmiers, d'
enfants
idiots et épileptiques et des malades aliénés
PLÉMENTAIRES (1). ts.) Sous-chapitre II bis, Art. 5. - Ecoles d'
enfants
arriérés et cours primaires pour les infirmie
. Dépenses. (p. 48.) . Sous-chapitre II bis. Art. 5. Ecoles d'
enfants
arriérés et cours primaires pour les infirmie
ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, d'
enfants
idiots et épileptiques et des malades aliénés
mplémentaires (p. 48.) Sous-chapitre II bis- Art. 5. - Ecoles d'
enfants
arriérés et cours primaires pour les infirmie
fr. DÉPENSES. (p. 48.) Sous-chapitre II bis, Art. 5. Ecoles d'
enfants
arriérés et cours primaires pour les infirmie
ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, d'
enfants
idiots et épileptiques et des malades aliénés
COMPLÉMENTAIRES (p. 48.) Sous-chapitre II bis. Art. 5. Ecoles d'
enfants
arriérés et cours primaires pour les infirmie
ssin (poste créé), il ne reste plus que G.000 fr. pour les Ecoles d'
enfants
, les Ecoles d'inlirmières et les Bibliothèques
, cesse de l'être on 1892 où il n'est plus question ni des Ecoles d'
enfants
, ni des Bibliothè- ques des aliénés. Exacte en
, l'oubli tantôt des bibliothèques des malades, tantôt des Ecoles d'
enfants
, la différence du libellé du même article aux r
189G, aux recettes (7.000 fr.), il n'est pas question des Ecoles d'
enfants
, ni de la biblothèque des aliénés. Aux dépenses
la biblothèque des aliénés. Aux dépenses reparaissent les Ecoles d'
enfants
et la dépense est de 9.000 fr. alors que le Con
mais non aux dépenses. En 1900, il n'estpasdues- tion des Ecoles d'
enfants
, ni des bibliothèques, les premiè- res reparais
e les crédits votés pour les Ecoles d'in- firmières et les Écoles d'
enfants
sont destinés, non ;i faire face aux besoins de
nt vous réclamer vos chefs de service dans l'intérêt des malheureux
enfants
que l'Ad- ministration leur confie (1). Veuil
ris. 1887. Il11e Sollier (A.). De l'état de la dentition chez les
enfants
idiots et arriérés. Thèse de Paris. ' 1888.
chro- niques et spécialement d'une terminaison fréquente chez les
enfants
, l'Idiotie. Thèse de Paris. Pison. - De l'asymé
ier (A.). Contribution à l'étude clinique de l'épi- lepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. 1893 NOIR (J.). - Étude sur
couchement anormal sur le développement des troubles cérébraux de l'
enfant
. Thèse de Paris. Fèvre (A.). Du mariage des é
(E.). - Contribution à l'étude du pronostic de l'épilepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. . "I-I-A'SLÉ (L.). Du bromure
aux. Thèse de Paris. LEBRETON. - De la sclérose en plaques chez les
enfants
. Thèse de Paris. DENIS (C.). - Elude sur un c
cêtl'C. I. Situation du service. - Enseignement primaire.. III 10
Enfants
idiots, pâteux, épileptiques ou non, mats INVAL
, épileptiques ou non, mats INVALIDES (Bâtiment Béguin) .. III 20
Enfants
idiots, pâteux ou non gâteux, épileptiques ou n
............... vu 4° Petite école complémentaire......... ? x 50
Enfants
propres et valides, imbéciles, a1'rié7·és, inst
xxxiv Caisse d'épargne........................ xxxvi Visites des
enfants
...................... xxxvi Vaccination et reva
ment professionnel................... XLV Évaluation du travail des
enfants
........ XLII Enumération des produits fabriqués
Vallée. L Situation du service. - Enseignement primaire.. LXXIX 1
Enfants
idiotes et gâteuses............ LXXX 2 Enfants
primaire.. LXXIX 1 Enfants idiotes et gâteuses............ LXXX 2
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiques, etc., VALIDES
- Assistance et enseignement. Classes ou Écoles spéciales pour les
enfants
arriérés. I. Communication il. la Commission de
Seine ................................. cv Ecoles spéciales pour
enfants
anormaux ; par le D Samuel FORT................
....... CXXXVII III. Placement des aliénés, des épileptiques, des
enfants
arriérés, etc............... cxxxix IV. L'Assis
De l'emploi de la subvention départemen- tale spéciale aux Écoles d'
enfants
arriérés, aux Ecoles d'intirmiers et infirmière
ourier, par BounNEVILLE 175 Explication DES planches 201 Imp. des
Enfants
de Bicêtre.
'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERVICE DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE NCETRE PEND
u début de cet exposé, suivant notre habitude, la répartition des
enfants
de la 4° section du quartier des aliénés de l'h
ospice de Bicêtre ? Ils forment trois groupes prin- cipaux : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, épilepliques ou non, mais inval
nfants idiots, gâteux, épilepliques ou non, mais invalides ; 2° les
enfants
idiots gâteux ou non, mais valides ; 3° les enf
alides ; 2° les enfants idiots gâteux ou non, mais valides ; 3° les
enfants
propres, valides, imbéciles, arriérés, instable
rés, instables, pervers, épi- leptiques et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots gâteux, épileptiques ou non, mais invali
e tout à fait incurables. La plupart d'entre eux sont, au con- IV
Enfants
IDIOTS invalides. traire, susceptibles d'amélio
res), en leur faisant des frictions stimulantes, etc... En 1898, un
enfant
a appris à mar- cher (-2) ; 5 ont été rendus pr
té rendus propres (.3) ; 3 ont appris à manger seuls (4). Dès qu'un
enfant
marche sans aide, il est envoyé à la petite éco
s toute la journée, aussitôt que ses forces le permettent. Tous ces
enfants
sont placés sur les petits fauteuils spéciaux,
4 ans, est enfin achevée et nous servira également pour d'autres
enfants
, qui nous arrivent tardivement, à 14, 15, 1G an
été obligé jusqu'ici de maintenir dans les écoles, au détriment des
enfants
éducables, où ils sont une occa- sion de troubl
3) Pilla." (7uttef ? viel ? BilL., Li«.. - (1) Dema ? Li, lion ?
Enfants
IDIOTS valides : petite école. v fonctionner ce
ion ne nous ayant pas encore accordé le personnel nécessaire. II.
Enfants
idiots gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou
gâteux, épilep- tiques ou non mais valides (Petite Ecole). - Ces
enfants
fréquentent la petite école confiée exclusive-
s sections affectées aux adultes et 8 ont été transférés. Sur 133
enfants
qui restaient à la petite école au 31 décembre
fourchette, 20 de la cuiller, de la fourchette et du couteau. Six
enfants
gâteux de ce groupe, sont devenus propres (1) ;
au. Six enfants gâteux de ce groupe, sont devenus propres (1) ; 3
enfants
ont appris à manger seuls (2) ; 8 enfants ont a
t devenus propres (1) ; 3 enfants ont appris à manger seuls (2) ; 8
enfants
ont appris à lire (3). . Tous les enfants son
à manger seuls (2) ; 8 enfants ont appris à lire (3). . Tous les
enfants
sont exercés à la gymnastique Pichery, sauf ceu
nvalides étant encore trop infirmes, n'ont pu y prendre part. Vingt
enfants
de la petite école et de la petite école complé
ont fait régulièrement les exercices de la grande gymnastique - 19
enfants
ont travaillé cette année dans les différents a
itement du gâtisme qui consiste à placer, après chaque repas, les
enfants
gâteux sur les sièges d'aisance que nous avons
? AIant ? Vaill... nantfen. VI Petite école complémentaire. aux
enfants
à se laver la figure et les mains,' à s'ha- bil
qui a également la sur- veillance des deux dortoirs où couchent les
enfants
de cette école au nombre de 50. M ? Bonnet a, e
école au nombre de 50. M ? Bonnet a, en outre, pour surveiller les
enfants
deux infirmières et une jeune malade arriérée d
Vallée, Briss., dont elle améliore d'ailleurs l'instruction. -- Un
enfant
a été rendu propre. Chai.. (Louis), entré le
atteint didiolie et d'ins- tabilité mentale. Pris à son arrivée, l'
enfant
ne savait pas exprimer ses besoins et souillait
manifeste aujourd'hui ses besoins et ne se salit plus jamais. Trois
enfants
ont appris à lire couramment : 1° Buz... (Alber
. (Albert), 11 ans, entré en novembre 1896. Pris à son arrivée, cet
enfant
n'avait aucune nation classique. D'in- telligen
lcul, il connaît l'addition et la sous- traction avec retenues. Cet
enfant
qui, jusqu'alors, était d'une grande paresse po
écillité intellectuelle avec perversion des instincs et fugues. Cet
enfant
est entré dans notre service le 27 décembre 189
;uèue), 18 ans, atteint d'imbécillité prononcée et d'écholalie. Cet
enfant
est dans notre service depuis 12 ans ; il est e
papiers portant un mot imprimé, (lui l'ont amusé et intéressé, cet
enfant
a réalisé des progrès que nous trouvons surpren
seulement il comprendre et à faire l'addition seul. Trois autres
enfants
sont en bonne voie pour la lecture courante : C
g... Eél ? vm Idiots valides : petite école complémentaire. Trois
enfants
ont été améliorés pour la parole : 1° Chai.. (L
Trois enfants ont été améliorés pour la parole : 1° Chai.. (Louis),
enfant
dont il a été question plus haut, au point de v
° Le Ho.. (Charles). Pris il son arrivée, le 25 septembre 1896, cet
enfant
ne prononçait que le seul mot : « maman ·. Aujo
l parle et là était le but à atteindre. « Nous procédons avec cet
enfant
, dit J[01c Bonnet, comme avec un bébé de la pre
nt d'expri- mer ses besoins et d'entrer en relation avec les autres
enfants
, remettant à plus tard, lorsque l'intelligence
an », puisque le m se changeait toujours en n. Le peu de sons que l'
enfant
prononçait étaient naseaux , les h, ? s, ch, g,
a lecture marchant de pair avec la parole, il est à espérer que cet
enfant
lira couramment dans l'année 1899. Tous les enf
espérer que cet enfant lira couramment dans l'année 1899. Tous les
enfants
cités les années précédentes pour la parole con
y a actuellement dans la classe de 111 ? Bonnet une ving- taine d'
enfants
qui, pris à leur arrivée, ne savaient absolumen
nt absolument rien et qui maintenant font tous les Grande école :
enfants
valides. ix devoirs donnésjournellement dans le
: enfants valides. ix devoirs donnésjournellement dans les écoles d'
enfants
normaux. C'est surtout, en mettant en relief le
'est surtout, en mettant en relief les résul- tats obtenus chez ces
enfants
et chez ceux de la petite école, qu'il est poss
s sceptiques la possibilité de transformer intellectuellement des
enfants
réputés idiots. III. Enfants propres et valides
e transformer intellectuellement des enfants réputés idiots. III.
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés, instab
n (Grande 1 ? COL1 : ). - La population de cette école était de 168
enfants
au premier janvier. Tous, sauf 21 qui ne peuven
ent, les autres jours, le matin et le soir, à l'atelier. Les autres
enfants
sont répartis en quatre classes (64, 43, 30, 31
Les autres enfants sont répartis en quatre classes (64, 43, 30, 31
enfants
). Aux examens du certificat d'études qui ont eu
ficat d'études qui ont eu lieu il Villejuif, au mois de mars, sur 4
enfants
présentés, 3 ont été acceptés (Jum ? Boisd ? Ma
s, afin d'être mieux en mesure d'améliorer la prononcia- tion des
enfants
et de développer leur parole, ont été envoyés s
nt à nos instructions, il s'est occupé successive- ment de tous les
enfants
. Il a divisé ceux de la petite école complément
sédait de notions sur la théorie musicale, sauf une demi-douzaine d'
enfants
appartement à la fanfare. Presque tous les enfa
demi-douzaine d'enfants appartement à la fanfare. Presque tous les
enfants
savent, aujourd'hui, lire eux-mêmes les notes,
t les notions élémentaires de la théorie de la musique. Quand les
enfants
sont su ! 11samÚlCl1t avancés pour hien lire un
six mois nous faisons relever l'étendue et le timbre de la voix des
enfants
. Ce travail nous fournira, croyons-nous, des re
pratiques solitaires, la voix est également modifiée. Le nombre des
enfants
qui participaient à l'enseignement du chant éta
rement sous la direction de M. Lanuosse, un de nos instituteurs. 70
enfants
y participent; sur ce nombre 45 savent danser l
scottich et 27 connaissent toutes les danses de caractères. Les 20
enfants
signalés l'année dernière comme sachant les deu
naissent aujourd'hui toutes les figures. Une série nouvelle de Il-)
enfants
sait les deux premières ligures. Société de g
ants sait les deux premières ligures. Société de gymnastique. Les
enfants
faisant partie de cette société, au nombre de 2
usieurs mois déjà faute d'ins- truments ; il est à craindre que les
enfants
n'oublient ce qu'ils savent. Plusieurs fois et
des instruments nécessaires w S( : OI,AIRr.. M. Sutter fait à 35
enfants
de la Petite Écolo un cours spécial de solfège.
ce qui porte à 536 le nombre des volumes de la 731bliotl2ècz(e des
enfants
. Le 1 ? janvier 1898, le nombre des vues pour p
ever de cotisations. Elle a donné cinq concerts organisés par les
enfants
. Un de ces concerts a été suivi de bal. Les bén
lles ont eu lieu à Créteil et a la Varenne-Saint-llilaire. Tous les
enfants
valides de la section, les petites filles (1) L
rs parents assistent à ces fêtes. Promenades et distractions. Les
enfants
de la grande et ceux de la petite école qui son
institutrices doivent donner des leçons de choses et exercer les
enfants
aux jeux de balle et de ballon. Voici rémunérat
orte, qui veut bien, chaque année, sur notre demande, autoriser nos
enfants
et les petites filles de la Salpêtrière à visit
re, enfin cinq matinées, dont une suivie de bal, organisées par les
enfants
. Les jardiniers sont allés à l'Exposition de ch
ne, a bien voulu leur expliquer le fonctionnement. ' Visites. Les
enfants
ont reçu 15.098 visites ; les visiteurs ont été
t la revaccination de tous les malades entrés durant l'année et les
enfants
dont la revaccination remonte à 7 ans. Comme d'
er chaque année les modi- lications survenues dans la dentition des
enfants
. Nous n'avons eu qu'à nous féliciter de son ser
note, prise par un homme compétent, sur la dentition de tous les
enfants
. nuins et hydrothérapie. Les bains et les dott-
rès grande de montrer non seulement la disposition du service des
enfants
, mais encore son fonctionnement dans tous ses d
ls apportent chaque jour à donner l'instruction professionnelle aux
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'
fr. 50 par jour, soit pour l'année 16.607 fr. 50. Le travail des
enfants
, 29.310 fr. 40, couvre donc : 1° la dépense occ
ce de '1.302 francs qui vient atténuer les dépenses d'entretien dcs
enfants
. Voici l'énumération des produits fabriqués par
e d'Alembert à Monté- vrain, par exemple, où les apprentis sont des
enfants
normaux, sains de corps et d'esprit, et même ch
s des candidats. Nos appren- tis, à Bicêtre, sont non seulement des
enfants
anor- maux, mais encore des enfants malades : q
Bicêtre, sont non seulement des enfants anor- maux, mais encore des
enfants
malades : quand ils ont, les uns des accès yile
ment, après avoir douté de la possi- bilité de faire travailler les
enfants
idiot», arriérés et épileptiques, certains aura
non le produit lui-même, bien qu'il ne soit pas à dédaigner : les
enfants
eux-mêmes sont heureux de voir que leur travail
ulation. Le premier janvier 1898, il restait dans le service' 459
enfants
(2) : 435 enfants idiots, imbéciles ou épi- lep
ier janvier 1898, il restait dans le service' 459 enfants (2) : 435
enfants
idiots, imbéciles ou épi- leptiques, dits alién
tinction, qui s'applique aux épileptiques adultes aussi bien qu'aux
enfants
est purement administrative et il est difficile
(2) C'est-à-dire 59 de trop, puisque la section a été conçue pour 400
enfants
.- XXIV DÉCÈS, SORTIES, ÉVASIONS. Sur ce nombr
Cinq évasions ont eu lieu dans le cou- rant de l'année ; celles des
enfants
; Then..., Mull..., Calb..., Se..., Hain... Le p
issions les mettre en regard cle pesées analogues faites chez des
enfants
réputés normaux et décédés soit à l'hôpital des
lades, soit à l'hôpital Trousseau (2). (Il Ce sont les familles dee
enfants
. \Ier..., \Iul... et Bon ? A la Fonda- tion Val
DÉCÈS. \L11 Maladies intercurrentes.- Maladies intercurrentes. 9
enfants
sont entrés à l'infirmerie atteints d'état de m
rhumatismes. Signalons aussi un cas de choléra spo- sadique chez l'
enfant
Dumou... Population au 31 décembre 1898. - Il y
31 décembre 1898. - Il y avait à cette époque, dans le service, 462
enfants
, se décom- posant ainsi : 417 enfants idiots, i
époque, dans le service, 462 enfants, se décom- posant ainsi : 417
enfants
idiots, imbéciles ou épilep- tiques, dits alién
lée ne correspond plus à la Colonie de Vaucluse mais au service des
enfants
de Bicêtre, où nous recevons, en outre des épil
outre des épileptiques et des hystériques, toutes les catégories d'
enfants
idiots. De là deux groupes principaux : 1" les
catégories d'enfants idiots. De là deux groupes principaux : 1" les
enfants
idiotes et (1 ? teuse.s, 2° les enfants propres
groupes principaux : 1" les enfants idiotes et (1 ? teuse.s, 2° les
enfants
propres. Enfants idiotes et gâteuses. Elles éta
: 1" les enfants idiotes et (1 ? teuse.s, 2° les enfants propres.
Enfants
idiotes et gâteuses. Elles étaient au nombre de
t situé à droite dans la cour d'entrée dont elles occupent le rez
Enfants
idiotes gâteuses. XLV de chaussée et le premier
euses. Nous dirons même que, en raison des infirmités physiques des
enfants
, elle est insalubre, dangereuse. Le gâtisme exi
rts. Les idiotes gâteuses se divisent en deux catégories : a) les
enfants
valides qui sont envoyées et l'école du- rant u
d'autres vont à l'école et il en résulte des inconvénients pour les
enfants
des classes voisines, affectées aux enfants pro
inconvénients pour les enfants des classes voisines, affectées aux
enfants
propres. b) Les enfants invalides, qui séjourne
fants des classes voisines, affectées aux enfants propres. b) Les
enfants
invalides, qui séjournent dans les locaux et la
. 4 ont appris à manger seules : Dcvc ? Vcrn ? Séa ? Lécarch.. 3
enfants
ont appris à marcher seules : Wei ? Dev.. et Sc
suffisamment élevé et aéré, en un service spécialement destiné aux
enfants
idiotes gâteuses, valides et même à une partie
a plus rapprochée des bâtiments existants devrait être affectée aux
enfants
1-ziteu- 1L\'I Enfants idiotes gâteuses. ses
âtiments existants devrait être affectée aux enfants 1-ziteu- 1L\'I
Enfants
idiotes gâteuses. ses invalides et il une parti
1L\'I Enfants idiotes gâteuses. ses invalides et il une partie des
enfants
gâteuses valides en raison de la proximité de l
nts gâteuses valides en raison de la proximité de leur dortoir. Les
enfants
entre- raient directement par la porte vitrée c
eau, etc. La quatrième travée serait réservée il l'école pour les
enfants
gâteuses valides ; la cinquième travée serait a
service et du bien-être que l'installation réclamée procurerait aux
enfants
, des avantages qui en résulte- raient pour l'hy
tation disparaîtra. Enseignement primaire et professionnel. SLVII
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiques, etc., valides
à la Fondation. L'idéal que nous poursuivons consiste à occuper les
enfants
du malin jusqu'au soir, en variant le plus poss
même doivent contribuer à leur éducation. Au lever on apprend aux
enfants
à faire leur toi- lette, à faire leur lit, à ne
aire leur lit, à nettoyer leur dortoir. Aux repas, on surveille les
enfants
qui savent manger seu- les et on corrige leurs
autres à se servir de la cuiller, de la four- chette, etc. Sur 189
enfants
présentes à la fin de l'an- née, 45 savent se s
49 de la cuiller seulement ; 30 ne savent pas manger seules. 160
enfants
ont fréquenté l'école et sont exercées à la gym
ont fréquenté l'école et sont exercées à la gymnastique Pichery. 60
enfants
participent aux exercices cle la grande gymnast
un professeur de dessin pour la Fou- dation et pour le service des
enfants
de Ilicitre. (2| Comple-rendu de 18;1G, y. XLIX
M. Landosse, instituteur à Bicêtre, le mercredi de 4 à 5 heures. 70
enfants
ont pris part à ces exercices ; 55 savent danse
ures du quadrille. Enseignement professionnel. A mesure que les
enfants
se développent, on leur apprend tous les soins
des moins arriérées, aident le personnel à apprendre à manger aux
enfants
incapables de manger seules et à perfec- tionne
ules et à perfec- tionner celles qui mangent malproprement. - Une
enfant
de la Fondation Vallée, Bris ? a continué à L .
En plus des apprenties qui travaillent par séries régulières, 45
enfants
ont travaillé une heure par jour. 25 enfants sa
éries régulières, 45 enfants ont travaillé une heure par jour. 25
enfants
savent faire complètement les layettes ; 40 du
valuation du travail. Visites, permissions de sortie, congés. Les
enfants
ont reçu 3.531 visites. Les visiteurs ont été au
moignent de la solli- citude des familles envers leurs malheureuses
enfants
. Il semblerait que, se rendant compte de la res
or- der des congés de plus de cinq jours, parce que le séjour des
enfants
dans leurs familles se prolongeant, il est moin
pour les petites gâteuses et pour les petites filles pubères. Les
enfants
prennent leurs douches à la Fondation. Quant au
i du tout à l'égout aux cabinets de l'infirmerie. Teigne. - Douze
enfants
ont été soignées au pavil- lon des contagieux d
ulation. Le 1er janvier 1898 il restait à la Fondation Vallée 186
enfants
se répartissant ainsi : , LIV Mouvement de la
pulation. Personnel du service ils Fondation, le 31 décembre, 189
enfants
se décompo- sant ainsi : . Décès. IX III DÉ
ingée, pul- monaire et ganglionnaire. Section III. Assistance des
enfants
idiots : créa- : tion de classes spéciales, annex
ion de classes spéciales, annexées aux écoles ; primaires, pour les
enfants
arriérés. I. A MM. les membres de la Commissi
la section des BOUHNEVILLE, Bicêtre. 1898. ? LXYl Assistance des
enfants
idiots. enfants, nous encourage à insister enco
BOUHNEVILLE, Bicêtre. 1898. ? LXYl Assistance des enfants idiots.
enfants
, nous encourage à insister encore cette année s
stables de la création de ces classes spéciales, dans l'intérêt des
enfants
, de leurs familles et clos linances du départem
avis, ces classes spéciales seraient destinées il recevoir : 1° les
enfants
arriérés, indisciplinés, etc., qui nuisent au b
ent au bon fonctionnement des écoles ordi- naires, au détriment des
enfants
normaux; 2° les en- fants idiots, améliorés par
itions qu'il nous avait demandées, faire dresser la statistique des
enfants
arriérés ou indisciplinés existant dans toutes
s l'avons fait précédemment, placer devant vous un certain nombre d'
enfants
que nous avons améliorés et qui, par conséquent
oyés dans ces classes. [M. IJOCHNE\ïLLE montre une vingtaine de ces
enfants
, avec leurs cahiers scolaires et leurs photogra
Le premier établissement pour la « guérison » et l'édu- cation des
enfants
crétins et idiots, en Suisse, a été fondé, comm
par la commission des savants médecins nommés LXVIII Assistance des
enfants
idiots. par le gouvernement bernois, à l'instig
pays que quatre petits établissements privés pour l'éducation des
enfants
faibles d'esprit. La Société d'utilité publique
actuellement douze, en Suisse, qui soignent et élèvent plus de 500
enfants
idiots ou faibles d'esprit. Une nombreuse assem
r Ritter, dans le but de discuter la ques- tion de l'assistance des
enfants
idiots et faibles d'esprit. (1) Voir les rappor
? (2) Nous devons rappeler que les premiers essais d'éducation des
enfants
idiots sont. dus iL Itard (Rapports sur le Sauv
ême biche iL la Salpétriére; - qu'en 1834, F. Voisin fonda pour les
enfants
idiots un établissement urt))0plirenique; qu'en 1
premier travail paru en Suisse sur les « Classes spéciales pour les
enfants
arriérés » par MM. A. Fisler (de Zurich) et le
sation d'un enseigne men t spécial, dans leurs cantons, pour les
enfants
faibles d'esprit. Le 1), \Viesmann (d'Ilérisaul,
pprend que cette commune a créé depuis 1883 deux classes pour les
enfants
arriérés et que les résultats de cet enseigne-
très satisfaisants, parfois surpre- nants. En 1889, on comptait 18
enfants
fréquentant ces classes. Le renseignement de 18
nfants fréquentant ces classes. Le renseignement de 1897 indique 63
enfants
arriérés, répartis actuellement dans les classe
nt bientôt l'exemple d'IIérisau, car la statistique annonce que 157
enfants
du demi-can- ton d'Appenzell (R. E.) sont désig
. Dans les Grisons, une petite classe spéciale pour 15 h- : 2 : J
enfants
fut fondée il Coire en 1881 par une dame charita-
classe spéciale est une partie intégrante de l'école primaire. L'
enfant
y est admis après une année d'école primaire si
il l'organisation de deux classes spéciales pour LXX Assistance des
enfants
idiots. enfants arriérés, sur l'initiative du D
de deux classes spéciales pour LXX Assistance des enfants idiots.
enfants
arriérés, sur l'initiative du D'' Largiarder, dir
vait vu it Cologne et à Elbcrfeld. Pour Largiarder le chiffre de 25
enfants
est l'extrême limite qui ne doit jamais être dé
gnait au début que les parents ne s'opposassent à l'entrée de leurs
enfants
dans la classe spéciale. Mais ce fut tout le co
uvent que trop facilement disposés 1\ demander l'admission de leurs
enfants
dans cette classe. Il n'y a pas ici d'examen de
écidé des classes spéciales. Il lui paraissait injuste de marquer l'
enfant
dès le jeune âge du stigmate de l'imbécillité e
clame la bonne influence de la présence dans une même classe des
enfants
normaux et des arriérés, ceux-ci étant stimulés
tout au contraire, les classes spéciales sont un bienfait pour les
enfants
arriérés et un véritable soulagement pour les c
on il la conférence du 3 juin 1889. F. peint le sort malheureux des
enfants
arrié- rés dans l'école commune, dont ils devie
frappants la nécessité qu'il y a de s'occuper individuellement des
enfants
anormaux, ce qu'il est imposible de réaliser da
chiffres tirés de l'école de Zurich qui prouvent que le nomhre des
enfants
arriérés est beaucoup plus grand qu'on le suppo
pé- ciales, clic se sont immédiatement peuplées et le nombre fies
enfants
admis dans ces écoles a toujours été beaucoup p
oyait au premier abord. Il faut compter, dit-il, environ 3 ou 0/0 d'
enfants
arriérés dans la population scolaire. Nous ve
ant la conférence de Zurich de 1889, des classes spéciales pour les
enfants
arriérés dans les Grisons, l'Appenzell, à St-Ga
fé- rence publique intitulée : « Comment devons-nous assister les
enfants
arriérés et faibles d'esprit en Suisse ? De que
boîzlar2le (1) ? L'auteur défend, entre autres, la thèse que les
enfants
(«Cette conférence, très documentée et fort bie
titre Sorget sur die Schwachsinnigen Kindrr > (Prenez- soin des
enfants
faibles d'esprit). Zurich,- 1800. - - LXXII Ass
enfants faibles d'esprit). Zurich,- 1800. - - LXXII Assistance des
enfants
idiots. faibles d'esprit ne doivent pas recevoi
es d'esprit ne doivent pas recevoir l'instruction scolaire avec les
enfants
normaux, comme on a coutume de le faire aujourd
nc prirent il l'unanimité la résolution de s'occuper activement des
enfants
faibles d'esprit. Une pétition des sociétés péd
le, novembre 1896. Ce document fait ressortir qu'un grand nombre d'
enfants
arriérés sont placés dans les écoles primaires,
laris, de Thursovie et de Soleure ont révélé le grand nombre de ces
enfants
qui fréquentent l'école. On compte environ 1 à
bre de ces enfants qui fréquentent l'école. On compte environ 1 à 2
enfants
faibles d'esprit pour cent écoliers normaux. Il
re comme son devoir de vouer toute sa sollicitude à l'éducation des
enfants
anormaux. Le premier pas pour guérir un mal, c'
ulte des renseignements recueillis dans tous les cantons que 13.155
enfants
en âge de fréquenter l'école primaire rentrent
rimaire rentrent dans le cadre de l'enquête. Sur ce nom- bre, 7.667
enfants
, soit 59 0/0, sont indiqués comme fai- 1>les
ducation et d'un certain développement intellectuel. De ces 7.667
enfants
arriérés ou faibles d'esprit, mais envisagés co
elques brèves indications sur les principales. LXXIV Assistance des
enfants
idiots. Celles de Baie sont au nombre de huit,
end trois ou quatre divisions. La discipline y est com- plète ; les
enfants
y sont dressés a l'obéissance militaire et peut
x. B.ile-Ville, le recensement de 1897 a montré que le nombre des
enfants
faibles d'esprit recommandés pour être placés d
re qu'on y a pris toutes les mesures nécessaires pour donner il ces
enfants
l'éduca- tion dont ils ont besoin. Le conseil
nouveau règlement exclut catégoriquement des classes spéciales les
enfants
suivants : 1° Ceux qui, en vertu d'infirmités c
se primaire. Par contre, on admet dans les classes spéciales, les
enfants
susceptibles d'instruction qui, par suite de défe
avec autorisation du Département de l'instruction publi- que (si l'
enfant
a passé au moins une année 1\ l'école pri- mair
ative du Département, avec l'assentiment des parents, après que l'
enfant
a tenté sans succès un essai cle deux ans il l'éc
eur de la classe spéciale, est con- sultée pour chaque cas et aucun
enfant
n'est admis dans la classe spéciale sans le pré
ission. Toutefois le Département peut y placer pro- visoirement des
enfants
, s'il s'agit de cas urgents, pendant l'année sc
laire. Lorsque les parents ne consentent pas au placement de leur
enfant
dans une classe spéciale, le Département pro- n
r enfant dans une classe spéciale, le Département pro- noncera si l'
enfant
peut continuer a fréquenter l'école pu- blique.
- blique. En tout temps, le Département pourra faire ren- trer un
enfant
de la classe spéciale dans une école primaire s
l'inspecteur scolaires. A Zurich, la première classe spéciale pour
enfants
arriérés a été ouverte en avril 18ho. En 1896,
18ho. En 1896, il y avait G classes spéciales, avec un total de 175
enfants
, 84 garçons et 91 filles. Le règlement organiqu
réservé; la classe spéciale n'est pas obligatoire. La rentrée d'un
enfant
dans l'école primaire peut être faite à l'essai
èglement de Zurich insiste sur le traite- ment individuel de chaque
enfant
, dont l'éducation doit s'inspirer avant tout de
classes spéciales zuricoises est certainement LXXVI Assistance des
enfants
idiots. l'instituteur Fisler, qui montre il que
hauteur de sa tâche, la classe spé- ciale sera plus mauvaise pour l'
enfant
que son séjour ingrat dans l'école primaire. Fi
ient pas compte des dif- férences individuelles si grandes chez les
enfants
anor- maux, est la mort des classes spéciales.
a méthode intuitive, qui fait appel à l'initiative personnelle de l'
enfant
, en réveillant ses facultés engourdies et arrêt
e deux classes spéciales; la plus ancienne est destinée surtout aux
enfants
vraiment anor- maux, tandis que la plus récente
ndis que la plus récente, ouverte en 1897, est 'plutôt réservée aux
enfants
simplement arriérés. Mule Anna Bohl, qui est a
rquoi des dispositions légales doivent être prises, qui donnent aux
enfants
faibles d'esprit le droit de recevoir pendant 7
recevoir pendant 7 ans un enseignement spécial obliga- toire. Les
enfants
n'en seraient dispensés que sur décla- ration m
sans inconvénients, dans l'école primaire commune. III. Comme les
enfants
faibles d'esprit ou anormaux ne peuvent pas sui
pport pour 1897, ces résultats démontrent clairement que tous les
enfants
arriérés, qu'ils soient faibles d'esprit à un deg
niers de la classe, les bouffons, les souf- fre-douleurs des autres
enfants
, ne subissant que blâme et punitions. Ils comme
se spéciale. Leur admission a lieu dès qu'on LSSVIII Assistance des
enfants
idiots. a reconnu leur incapacité de suivre l'e
é une commission chargée des écoles pour l'instruction spéciale des
enfants
angor- maux ( sourds et muets, aveugles et faib
on royale pour l'instruction des aveugles, sourds, etc. : « Que les
enfants
arriérés devraient être séparés des écoliers or
pta les résolutions suivantes : « Que des écoles spéciales pour les
enfants
qui, pour raison de défauts physiques ou intell
ion spéciale, afin de per- mettre une classification convenable des
enfants
, de pour- voir d'après la somme de leurs capaci
après la somme de leurs capacités individuelles LSS1 Assistance DES
enfants
idiots. à leur développement mental, dans le bu
dans les classes ordinaires. « Que l'on ne. donne pas plus de 30
enfants
à instruire à un seul maitre dans les écoles po
un seul maitre dans les écoles pour instruction spéciale. « Que les
enfants
qui seront reçus dans ces écoles soient désigné
ion, de mémoire, de raisonnement, etc. ; et qu'avant d'admettre ces
enfants
dans les écoles pour instruction spéciale, ils
r do ces écoles spéciales. « Qu'un système très étendu de jardins d'
enfants
sera adopté dans ces écoles, que la plus large
éveloppement intellectuel de l'élève. « Qu'en règle générale, aucun
enfant
ne soit envoyé dans une école spéciale située i
2° M" E. Burgwin (de Clapham) est directrice de l'ins- truction des
enfants
défectueux, physiquement et menta- lement. Ses
sation générale des centres pour l'instruc- tion spéciale. 3° Les
enfants
sont inspectés par les Inspecteurs de Sa Majest
tés par les Inspecteurs de Sa Majesté et le prix ordinaire pour les
enfants
sera payé comme terme moyen. Il n'y a pas charg
es écoles de Bruxelles des classes d'arriérés où étaient réunis les
enfants
les plus divers : arriérés péda- gogiques, arri
sprit de système ou de classification ne guidait le place- ment des
enfants
dans ces classes et aucun régime spécial n'étai
arrassa pas les écoles des sujets défectueux, capables de nuire aux
enfants
normaux. A différentes reprises, les directeurs
d'ailleurs, en Belgique, depuis quelques années. La question des
enfants
martyrs est examinée en ce moment il tous les p
ils présentent quelque chose d'anormal. Amené à l'école spéciale, l'
enfant
est observé par le médecin attaché il l'établis
enu compte des renseignements obtenus durant l'explo- ration de l'
enfant
, des renseignements donnés par les parents, et
les élèves admis à l'école spéciale ? 1° Les arriérés pédagogiques,
enfants
sans troubles psychiques, mais qui, par fréquen
n- cée ne sont-ils point acceptés. 3° Les indisciplinés. 4° Les
enfants
présentant des troubles prononcés de la parole
se de transition entre les classes (roebeliennes. On y reçoit les
enfants
de 6 à 8 et 9 ans qui, a l'école Froebel, ont déj
comprend deux sections bien distinctes, la section des classes pour
enfants
passifs et celle des classes pour enfants autor
ection des classes pour enfants passifs et celle des classes pour
enfants
autoritaires et indisciplinés. Dans la première
), le régime est doux, et la règle éducatrice essentielle est que l'
enfant
ne peut LXXXIV Classes spéciales. pas être pu
es. Le régime y est sévère et strict. Le régime est uniforme et les
enfants
sont dirigés, sans que leur initiative (ou leur
enir la régularité il ce point de vue. L'école est un externat; les
enfants
retournent chez eux il midi. Cette population d
ternat; les enfants retournent chez eux il midi. Cette population d'
enfants
est la plus mauvaise de toutes celles des école
surveillance incessante donne des résultats remarquables. 4» Les
enfants
présentant des défauts de la parole ou des (1)
fois par an, les instituteurs fournissent un rapport sur chacun des
enfants
. Ce rapport est joint à leur dossier médico-péd
apport est joint à leur dossier médico-pédagogique (1 ? L Quand l'
enfant
est amené à l'école, le médecin et le directeur
et le directeur décident s'il y a lieu de l'accepter ou non. Si l'
enfant
, après examen complet, n'est point reçu à l'école
spéciale, il est renvoyé à l'école ordinaire de son quartier. Si un
enfant
, à l'école spéciale, s'est amélioré ou guéri, il
ne y sont plus faciles aujourd'hui. De là bénéfice notable pour les
enfants
normaux. (1) C'est ce que nous faisons dans not
ervice de Bicêtre depuis 1879. LXXXVI Classes spéciales. Pour les
enfants
anormaux, l'école spéciale est d'une grande uti
des plus encourageants. Une inspection sévère est faite le matin. L'
enfant
qui n'est pas propre est puni et envoyé au lava
s bains- douches seront installés dans quelques jours et tous les
enfants
prendront un bain-douche chaque semaine.' L'éco
n-douche chaque semaine.' L'école compte environ deux cent quarante
enfants
. L'école actuelle ne reçoit que les enfants du
iron deux cent quarante enfants. L'école actuelle ne reçoit que les
enfants
du bas de la ville. Il est probable que des éta
antérieurs pour justifier la création de classes spéciales pour les
enfants
arriérés. Vous y trouverez aussi, ce qui est d'
V11.1.1 : . II. Assistance et traitement médico-pédagogique des
enfants
anormaux. M. Bruce, membre du 1\1et1'O}Jolitan
talisation, de l'instruction, de l'éduca- tion et du traitement des
enfants
anormaux, soit dans les asiles, soit dans les c
t, suivant nous, 1'<'lge auquel il convenait de s'occuper de ces
enfants
et, en particulier, des enfants arriérés. Nou
el il convenait de s'occuper de ces enfants et, en particulier, des
enfants
arriérés. Nous lui avons répondu qu'on devait
de l'idiotie ou de l'arriération intellectuelle ; qu'à Bicêtre les
enfants
étaient reçus à l'âge de deux ans et que, dans
n un cheval que quand ils sont jeunes. Il en est de même pour les
enfants
anormaux. Beaucoup de médecins ne se ren- dent
de l'importance de ce principe : lorsqu'ils sont consultés pour un
enfant
anormal, trop souvent ne sachant que faire, ils
uze ans répondent à l'âge de raison et il la première communion des
enfants
, et que leurs réponses sont inspirées des prati
tive il la dentition et à la puberté. Cen'estpas seulement pour les
enfants
idiots qu'on doit intervenir de bonne heure, ma
iots qu'on doit intervenir de bonne heure, mais aussi pour tous les
enfants
anormaux. En ce qui concerne les aveugles, voic
s aveugles, voici com- ment s'exprime Dufau : « C'est lorsqu'il est
enfant
que l'aveugle doit surtout fixer l'attention de
ry- sur-Seinc, n'hésitons-nous pas il conseiller le placement des
enfants
arriérés aussitôt que possible, convaincu que l
-- Des Aveugles, etc. Paris, 1860, p. XVIII. lit. Criminalité des
enfants
et des adolescents Statistique. Nous emprunto
5 février les rensei- gnements suivants relatifs aux arrestations d'
enfants
et d'adolescents pour délits et crimes. Il s'ag
te de cette statistique : les délits et les crimes commis par les
enfants
, ou, si l'on préfère le mot, par les jeunes gens.
ns les yeux sur ces statistiques, nous trou- vons, en 1898, que 440
enfants
, âgés de moins de seize ans, ont été arrêtés et
ndre,' les instincts immoraux ou brutaux se manifestent. En 1898, 6
enfants
de moins de seize ans ont été arrêtés pour outr
seize à vingt le le nombre de ces jeunes clélin- XC Assistance des
enfants
DITS criminels. quants quadruple. En 1898, la s
sexes (dont 7. 110 garçons et 730 filles). Seize à vingt ans ! Des
enfants
! » Cette statique est lamentable et devrait in
aussi de l'indifférence des familles qui ne surveil- lent pas leurs
enfants
, les laissent vagabonder la sortie de l'école,
coles des garderies jusqu'à une heure à déterminer et ne rendre les
enfants
des écoles primaires que comme on rend les enfa
et ne rendre les enfants des écoles primaires que comme on rend les
enfants
clés crèches. Il serait facile d'intéresser les
on rend les enfants clés crèches. Il serait facile d'intéresser les
enfants
, . Enfants DITS criminels. xci sans grande fa
nfants clés crèches. Il serait facile d'intéresser les enfants, .
Enfants
DITS criminels. xci sans grande fatigue pour eu
.). Cette pre- mière mesure permettrait de diminuer le nombre des
enfants
errants, et par conséquent, des enfants dits cr
t de diminuer le nombre des enfants errants, et par conséquent, des
enfants
dits criminels. La mendicité peut être enrayé
tempérance des pa- rents, de l'abus ou de l'usage prématuré que les
enfants
eux-mêmes font de l'alcool et du tabac, ainsi q
us ceux-là, il a un remède : c'est l'envoi dans des asiles pour les
enfants
, arriérés dans leurs facultés intellectuelles o
lectuelles ou atteints d'imbécillité XCII Assistance, éducation DES
enfants
DITS criminels. morale, qui devraient exister d
- tion et parfaitement bien portant ; coléreux ; coqueluche étant
enfant
; puis légères bronchites jusqu'à l'âge de 8 ans;
ernelle morte iL GO ans. Une tante paternelle, en bonne santé, a un
enfant
qui a eu des convulsions en nourrice. Dans le r
cousins germains). Inégalité d'âge de 4 ans (père plus âgé). Deux
enfants
: 10 notre malade; 2° garçon de G ans 1/2, bien
ans. Rougeole à 2 ans et demi. Ni chute, ni vers, ni onanisme. L'
enfant
, depuis l'âge de deux ans, a toujours été très ne
tudes cette année. Dans les premières semaines de février (1898), l'
enfant
était devenue plus coléreuse. Deux ou trois foi
e avait peur. Elle ne se plaignait pas de la tète. Le 17 février, l'
enfant
étant très désagréable, irritable et irrespectu
r, dans la soirée, les parents remarquèrent que ]a main droite de l'
enfant
était agitée, allant dans tous les sens. Kilo a
arque que tout le côté droit, sauf la face, est pris d'agitation. L'
enfant
laisse tomber son carton plusieurs fois; le soi
de se tenir debout ou sur une chaise. Insomnie absolue. 9 mars. L'
enfant
est toujours aussi agitée. Dans ses mou- vement
de paralysie ni d'atrophie musculaire. En rai- son de sa chorée, l'
enfant
est incapable de s'habiller, de se laver, de ma
ral. Pas d'onanisme. Diagnostic : Chorée vulgaire. Traitement : L'
enfant
est maintenue au lit pour éviter les, contusion
nel des névralgies chez la mère. Au point de vue de l'arthritisme l'
enfant
n'a rien présenté, mais sa mère a eu, à 18 ans,
de nature triste du troisième mois à la fin de la gros- sesse. L'
enfant
, surtout à partir de deux ans, a été sujette à
els : Vomissements, contrariétés durant lagrossesse.-A la naissance
enfant
mignonne. Allaitement au sein puis au biberon.
Famille de la mère : Aucune tare ne saurait y être signalée.] Trois
enfants
(1) : 1° Garçon, mort à 7 ans, cachectique « av
mort à 7 ans, cachectique « avec une glande- suppurée au cou. » Cet
enfant
n'aurait eu aucun accident nerveux et pas de co
ent normal, iL terme, après une heure de travail. - A la naissance,
enfant
mignonne, sans asphyxie, ni circulaires. - Elle
s ne parle pas depuis plus d'un an, . Dès l'âge de quatre mois, l'
enfant
fut prise de convulsions. Elle se raidissait, p
contrariété. On s'était déjà aperçu dès la cinquième semaine que l'
enfant
ne pouvait mouvoir éga- lement bien les membres
gourme. Elle a été vaccinée à deux ans. Etat actuel (15 juin 1892).
Enfant
pâle et chétive. - Phy- (1) Signalons en outre
s régulièrement Crâne volumineux allongé, ayant l'aspect du crâne d'
enfants
nouveau-nés après un accouchement par le sommet
sez bien conformé extérieurement. Pas de déviation de la cloison. L'
enfant
respire normale- ment par le nez. Odorat : ? .
ques. Bouche : 4 centimètres de dimension. Lèvres assez minces. L'
enfant
ne bave pas. Voûte palatine aplatie, pas de dévia
normale et mobile. Amygdales moyennes. Réflexe pharyngien normal. L'
enfant
prononce quelques mots. - Goût assez rudimentai
a corde tendue. Les tractions un peu fortes arrachent des cris il l'
enfant
. Le réflexe rotu- lien n'existe pas. Traiteme
d'iodure de 1er. Exercices des jointures. 1892. ;.> 1 juin, - L'
enfant
entre au pavillon d'isolement atteinte de coque
18 octobre. Revaccination suivie de succès. 1893. 8 décembre, - L'
enfant
atteinte de teigne tondante est de nouveau isol
ier. L'état des organes génitaux n'est pas mo- difie. 15 avril. L'
enfant
qui est il l'isolement pour la teigne depuis dé
sans épisode il noter. 12 août. La teigne tondante étant guérie, l'
enfant
est renvoyée de l'isolement. 1897. Janvier. L
s vomissements ont cessé après la suppres- sion de la quinine que l'
enfant
prenait depuis quelques jours. La température s
ment général. Potion au bismuth et au laudanum ; café. 30 mars. L'
enfant
vomit, sa faiblesse augmente. La tem- oscille e
mort est due a la tuber- culose généralisée. Réflexions. I. Cette
enfant
n'est pas d'une famille à antécédents pathologi
ement de même des deux côtés. II. La forme allongée du crâne de l'
enfant
est un peu particulière et n'est pas celle qu'a
cte ordinai- rement la tête des hydrocéphales. La paraplégie de l'
enfant
doit entrer dans le cadre des diplegios congé-
de Littlc. - IDIOTIE hydrocéphalique. 25 III. L'état mental de l'
enfant
ne peut donner lieu à aucune réflexion intéress
énéralisée a été la cause de la mort comme chez un certain nombre d'
enfants
gâteux qui se cachectisent facilement. III.
aucun indice de syphilis, marié' à 22 ans. Depuis la naissance de l'
enfant
, il a eu quelques céphalalgies et deux ou trois
n naissant. - Une soeur bien portante, non nerveuse, ayant eu des
enfants
qui n'ont jamais présenté d'autres accidents mor-
consanguinité. - Inégalité d'âge d'un an (père plus âgé). Quatre
enfants
: 1° Une fille morte à 3 ans et demi, sans conv
a cru mort. Depuis lors, il n'a jamais cu d'autres convulsions. L'
enfant
n'a jamais su se tenir debout, n'a jamais marché
st affectueux, aime les animaux : jamais il n'a ri comme les autres
enfants
. - Son sommeil est pai- sible ; on n'a pas obse
and on l'habille ; il est gai, moins sournois, joue avec les autres
enfants
du pavillon et mange plus proprement. Envoyé en
lutions sont relativement peu développées, par rapport à l'Age de l'
enfant
; elles sont aussi loin d'être symétriques. Cou
nception, la grossesse, l'accouchement (par la tête) et l'état de l'
enfant
à la naissance n'ont offert rien d'anormal. I
araplégie et pieds bots ; PAR BOURNEVILLE et sébilleau. Sommaire.
Enfant
- père alcoolique. - Ren- seignements insuffisa
emenls fomnispa1' sa mère le (24 no- vembre 1884.) Le malade est un
enfant
naturel. - Père, doit avoir 37 ans environ, com
iron, commis voyageur en étoffes, alcoolique invétéré. La mère de l'
enfant
l'a connu pendant un an à Cha- tillon-sur-Seine
d'un rhumatisme articulaire. - Une soeur, en bonne santé, a eu cinq
enfants
dont un est mort il 9 mois de convulsions, - Un
Mussy-sur-Seine, près Bar-sur-Soine). Inégalité d'âge de 5 ans Six
enfants
: 1° notre malade né de l'amant ; 2° une fille
sions. Après avoir vécu dix ans avec, son ma,i'i,lai11è'I,'è de l'
enfant
s'est mise avec un autre homme dont elle 't euu j
te ; pas de chloroforme ; eau en petite quantité. A la naissance,
enfant
gros, bien portant, sans asphyxie. Elevé au sei
ar sa mère qui. il ce moment, se marie avec un homme qui avait deux
enfants
et qu'elle n'avait vu que deux fois. File s'est
ue son lait s'est tari. Elle a été forcée de donner le biberon il l'
enfant
(lait de vache). Sevré 15 mois, C.... a marché
re muqueuse, puis une méningite. » Quand ces symptômes ont cessé, l'
enfant
ne pouvait plus marcher. Le côté gauche était p
c d'avant en arrière. - Lan- gage grossier; méchant avec les autres
enfants
qu'il frappait et dont il brisait les jouets.
est possible, mais le malade court, rivalisant même avec les autres
enfants
, en jetant l'un après l'autre ses pieds qui déc
oujours aussi violent, le langage aussi grossier ; il recherche les
enfants
les plus pervers, tient avec eux des conversati
par ses amis l'argent, les images, les jouets et les friandises aux
enfants
qui reviennent du parloir. 1891. Janvier. - L'e
riandises aux enfants qui reviennent du parloir. 1891. Janvier. - L'
enfant
fait des progrès sous le rapport des exercices
t. Comme il devient de plus en plus violent et qu'il bat les autres
enfants
qui le redoutent on le fait passer il la grande
vue intellectuel. Au point de vue moral, les progrès sont nuls. L'
enfant
redevient turbulent, impoli, taquin. Juillet. C
toration impossible. -Diarrhée disparue. T. Il. : 37°,7 et 37°;S. L'
enfant
, en pleine connaissance, meurt à minuit. - Poid
nio, cris aigus, violences envers sa soeur, son frère et les autres
enfants
, voracité, etc., nous ont paru, pondant la vie,
aille de 1'" 03 à lm 59. D'après les tables de Quételet, chez les
enfants
normaux, à l'âge de 19 ans (époque de la mort d
cusée. Si l'on réfléchit que les cas qui précèdent concernent des
enfants
, on voit que les différences notées sont très c
t, clans ce but, plusieurs autopsies provenant de son service des
enfants
arriérés à l'hospice cle Bicêtre. Nous avons ex
ne Maqu.... née le 24 juillet 1892. Pas d'antécédents héréditaires,
enfant
venue en état d'as- phyxie prolongée. Dès le tr
nsulfisants sur la famille. Accouchement normal ; pas d'asphyxie. L'
enfant
aurait eu les bras contour- liés à la naissance
art des médecins qui n'ont jamais visité les services consacrés aux
enfants
atteints de maladies nerveuses et mentales ne s
onsolation aux familles : on leur laisse espérer qu'à 7 ans,- (si l'
enfant
est moins âgé) il pourra survenir une améliorat
la maladie. Les services spéciaux ne reçoivent pas seulement des
enfants
atteints des diverses formes d'idiotie, sym- pt
ym- ptomatiques de nombreuses maladies nerveuses, mais encore des
enfants
affectés de chorée avec troubles psu- chiques (
bliée dans le n° 0, du Progrès médical 1898, t. 00, p. 000), ou des
enfants
atteints des formes les plus variées de l'alién
lcooliques qui auraient déterminé une mala- die du pylore ; a eu 12
enfants
, dont 6 morts en nourrice, on ignore de quelles
es survivants un a eu des convulsions à 3 ans; il s'est marié, a un
enfant
intelligent, non nerveux. Il n'est pas ivrogne,
it, s'il n'était retenu. » - L'autre oncle, bien portant, a eu 13
enfants
dont 6 sont morts en bas Age, en nourrice. On ne
convulsions. - Une tante pater- nelle, bien portante, sobre, a eu 4
enfants
; deux sont morts en nourrice, on ne sait de quo
n nourrice, on ne sait de quoi; les autres, en bonne santé, ont des
enfants
non nerveux. - Une tante maternelle, morte vers
x. - Une tante maternelle, morte vers 35 ans de variole, a eu trois
enfants
qui eux-mêmes ont des enfants n'offrant aucune
vers 35 ans de variole, a eu trois enfants qui eux-mêmes ont des
enfants
n'offrant aucune particularité. - Un frère (aine)
boire s'il n'était surveillé ; très violent lorsqu'il a bu; a deux
enfants
très calmes « qui ne tiennent nullement du père
le, asthmatique aussi ; morte à l'âge de 60 ans ; elle aurait eu 12
enfants
. - Grand'père ma- ternel, sobre, mort à la suit
consanguinité. - Différence d'âge des père et mère : 4 ans. Trois
enfants
: Il garçon de 16 ans, né trente mois après le
taques de nerfs; pas d'enflure des jambes, pas de vomissements; « l'
enfant
a remué très tôt. » - Accouchement à termc, nor
cole commu- nale et à 11 ans elle obtient son certificat d'étude. L'
enfant
a toujours eu une conduite irréprochable, respe
Le docteur Michaut consulté le lendemain, conseille de distraire l'
enfant
. Les parents l'envoient à Paris, chez une tante
le. Mais, au lieu de la faire passer dans le quar- tier contigu des
enfants
aliénées, on la conduit à l'Asile Cli- nique d'
égulière alternative de crises d'excitation et de dépres- sion de l'
enfant
. Au moment do notre examen, elle donne l'impres
st éteint, fatigué, la résolution musculaire est presque absolue; l'
enfant
est plongée dans une sorte de tor- peur et tout
se rattachant à une perver- sion des instincts sexuels surtout. L'
enfant
ne peut concentrer sa pensée sur une idée quel-
une idée quel- conque ; les questions posées ne sont pas saisies, l'
enfant
, autrefois très portée à la réflexion et au jug
ngé, laissant très facilement pénétrer l'index : Tout indique que l'
enfant
a eu des rapports sexuels bicn que les parents
retés, danse, chante. 17 avril. Ayant été réveillée par plusieurs
enfants
qui s'étaient réveillées en pleurant, elle se l
é. - Il faut vouloir tout ce qu'elle veut et tout de suite ; si une
enfant
est assise à une place, elle veut s'y asseoir,
he à la griffer et à la mordre. A table, elle ne veut pas endurer d'
enfants
auprès d'elle. - Chaque fois qu'elle aperçoit s
ses tentatives 72 Marche DE la maladie. violentes sur les autres
enfants
, nous la remettons en cel- lule. 19 avril. La
, à faire voir ses organes génitaux, à appeler les infirmières, les
enfants
de la salle voisine pour leur montrer qu'elle a
e lève à chaque instant pour satisfaire ses caprices, violenter les
enfants
si on ne lui cède pas, ellecrie, pleure, injuri
nts si on ne lui cède pas, ellecrie, pleure, injurie. Quandd'autres
enfants
viennent près d'elle, elle leur raconte ce qu'e
elle faisait avec son amou- reux, leur explique comment se font les
enfants
, ce que l'on ressent pendant l'acte (1). De tem
e qui lui tombe sous la main pour le jeter sur les personnes ou les
enfants
à proximité, pour relever leurs jupes ou pour s
1er mai. - Nous profitons du renvoi de l'infirmerie de plu- sieurs
enfants
pour la mettre seule dans une pièce et, comme n
viande, crue, lait, etc. Manie ET nymphomanie. ' 75 10 juin. - L'
enfant
, qui avait été plus calme ces jours der- niers,
ie, elle aperçoit les parents qui viennent au parloir visiter leurs
enfants
, elle leur adresse des grossiè- retés : « leur
ture, promenade, jeux, etc. Elle veut toujours do- miner les autres
enfants
, prétendant en savoir plus qu'elles et veut tou
s vora- cité et partage volontiers ses friandises avec les autres
enfants
, ce qu'elle ne faisait pas auparavant. - L'examen
patiente il propos de faits insignifiants, par exemple si une autre
enfant
fait quelque chose de travers. Parfois aussi le
manger. Ils prétendent encore qu'avant son entrée à la Fondation, l'
enfant
n'ayant plus ses règles aurait exprimé la crain
colique, toutefois sans exagération : c'était ce qu'on appelle une
enfant
sérieuse. Au point de vue phy- sique, aucun sig
ique, aucun signe de dégénérescence. III. Dans sa douzième année, l'
enfant
est mise en apprentissage. L'une de ses camarad
s qu'elle se sent moins bien surveillée, mais elle veut toucher les
enfants
, les infirmières, parle sans cesse de rapports
rie où nous n'avons pu la mainte- nir à cause du voisinage d'autres
enfants
et de l'insuf- fisance du personnel (p. 70). Au
rnelle. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de seize ans. Six
enfants
: 1° une fille de vingt-deux ans, bien portante,
lle de vingt-deux ans, bien portante, un peu nerveuse, mariée, a un
enfant
de treize mois, bien venant ; 2" un garçon, mor
a que pour l'aînée qu'on a eu besoin de fers ». A la 71aissance, l'
enfant
n'était pas « très fort », pas d'asphyxie. Nour
la suite des convulsions, bégaiement très prononcé. A huit ans, l'
enfant
a été mis dans une petite pension où il est res
au collège, violente crise nerveuse : le corps s'est raidi, puis l'
enfant
s'est écrié : « Je vais mourir » ; il ouvrait l
s idées de suicide, mais sans tentatives sérieuses. Le langage de l'
enfant
devient très grossier ; il fait des menaces de
ès grande activité, René aime les jeux violents. Debout et assis, l'
enfant
a une tendance à pen- cher en avant le haut du
t, le goût et le toucher sont normaux, vue faible, légère myopie, l'
enfant
ne distingue rien dans la demi-obscurité (hémér
ormale. État psychologique, - L'intelligence n'est pas celle d'un
enfant
de son âge au point de vue scolaire. L'écriture e
moindre problème ; les connaissances usuelles sont très limitées, l'
enfant
ne cherchant même pas à se rendre compte de ce
parait être la véritable cause de l'arriération intellectuelle de l'
enfant
. État instinctif et moral. René est très gai qu
st produit à deux reprises. 18. - La nuit a été bonne, bien que l'
enfant
, en se couchant, se soit encore plaint de doule
elles contorsions pendant une minute, sans raideur consé- cutive. L'
enfant
reste couché un quart d'heure sur l'herbe, sans
mélancolie d'une durée de cinq minutes environ. A partir du 26, l'
enfant
ne présente aucun accident ner- veux et suit ré
n ; travaux scolaires ; traitement moral. A partir du mois d'août l'
enfant
prend deux douches par jour. Août. - On a de
nd deux douches par jour. Août. - On a de la peine à obtenir de l'
enfant
qu'il ne soit pas bruyant en classe : il quitte
'on lui fait faire (brouette, ratissage des allées). Octobre. - L'
enfant
ne taquine plus que dans les jeux. Gai et encor
été témoin, nous dit sa mère, d'un ac- cident de tramway (un petit
enfant
renversé par les chevaux). René en a été si imp
qui l'avait contrarié. Regard méchant. A élé vite calmé. Mars. L'
enfant
sort il l'occasion du mardi-gras, il est resté
ait tous les jours des progrès. Le caractère s'est bien amélioré, l'
enfant
n'a eu aucun mouvement de colère, bien qu'il ai
n décembre 1897 ses parents, que nous rencontrons nous disent que l'
enfant
va très bien, qu'il n'a plus eu de crise, qu'il
pension a D... où on est très content de lui. - La physionomie de l'
enfant
est fraîche ; en causant avec lui on s'aperçoit
e de l'enfant est fraîche ; en causant avec lui on s'aperçoit que l'
enfant
est tout à fait calme, et l'affection qu'il nou
ttaque d'apoplexie. Un frère aurait eu une méningite ( ? ). II. L'
enfant
aurait été tout à fait normal jusqu'à quatre an
enait mal. A partir de janvier 1896, le caractère s'est modifié : l'
enfant
est devenu entêté, menteur, sombre et sujet à d
alie ven- tr iculaire ; -, PAR BOUItNI31LLL ET NOllt. Sommaire.
Enfant
assislé : aucun renseignement sur sa famille et
té croisée des hémisphères cérébraux et cérébelleux. Pin ? Raymond,
enfant
assisté, né à Béarnais, le 4 jan- vier 188't, e
édé le 6 décembre de la même année. Antécédents. Ce malade étant un
enfant
assisté, il est impossible d'obtenir des rensei
au sujet des antécédents hérédi- taires de Pint..., c'est qu'il est
enfant
naturel de père inconnu, que sa mère, lingère.
e sa mère, lingère. était âgée de 25 ans quand elle aban- donna son
enfant
, qu'elle est originaire d'un village de l'Oise.
ée à Bicêtre, Pint... doit être mis dans la section des gâteux. - L'
enfant
est gras et a les appa- rences d'une bonne sant
générale, ni du fonctionnement des organes des sens. Parole. - L'
enfant
ne sait pas parler, il ne prononce que la sylla
sont régu- lières et il y a parfois quelques crises diarrhéiques. L'
enfant
Cachexie progressive. 95 est gâteux complet.
brusques avec cris, suivis de périodes de calmes. 28 novembre. L'
enfant
entre il l'infirmerie, Il ne mange pas, a la la
et 38°, 2. 5 décembre. T. IL 38° et le soir 38",6. 6 décembre. L'
enfant
meurt it 5 heures du matin. T. R. un quart d'he
culièrement grave de lièvre typhoïde a sévi sur la sec- tion des
enfants
épileptiques et idiots de l'hospice de 131cetre
. Le nombre de ceux-ci s'élève à 16 sur une popula- tion cle -iGO
enfants
, et à ce nombre nous devons joindre deux observ
e nombre nous devons joindre deux observations fournies l'une par l'
enfant
d'un infir- mier habitant la section, l'autre p
s stéthoscopiques diminuent peu à peu. Etat général stationnaire, l'
enfant
ne présente aucun abattement, se tient tout le
ille que l'on s'est aperçu que 108 Épidémie de fièvre typhoïde. l'
enfant
semblait malade. Langue sèche et blanchâtre, pas
merie le 12 septembre. Depuis quelques jours, on s'est aperçu que l'
enfant
ne man- geait plus, était brûlant le soir. T.R.
matin et le soir. - Pas de modifications dans l'état général de l'
enfant
. Constipation nécessitant l'administration de lav
, - Tante maternelle convulsions de l'enfance, ainsi qu'un de ses
enfants
. ' Accouchement à 8 mots t 2. -.1'remiène dent
accidents inquiétants ont disparu. Cas guéris. ni 1 Ous. XII. -
Enfant
normale. : \Ia ? IBlall<5he), ans, enfant norm
éris. ni 1 Ous. XII. - Enfant normale. : \Ia ? IBlall<5he), ans,
enfant
normale, fille d'un infirmier habitant un des p
embre. Pas de renseignements sur la date du début de la maladie ; l'
enfant
se présente avec une langue blanchâtre un peu s
e dans les idées; « son écriture et son raisonnement sont ceux d'un
enfant
» : il entre clans de violentes colères sous un
it; sa femme l'a surpris les mains sur les parties géni- tales de l'
enfant
. [Son Père, 75 ans, huissier retraité du minist
] (1). Pas de consanguinité. - Inégalité d'Age de sept ans. Trois
enfants
: 1° garçon, idiot, soigné à la 4° section de l
avec lui qu'à cause de son fils, qu'elle redoutait d'avoir d'autres
enfants
malades comme le premier. Grossesse difficile :
s de changements bien appréciables au point de vue de la santé de l'
enfant
, non plus que du développement de son intellige
sements fréquents, et- : que--la naissance a eu lieu avant terme. L'
enfant
n'a jamais eu. de convulsions et son état d'idi
ue sont peu accusés. En revanche, sous le rapport intellectuel, l'
enfant
était idiot à un degré prononcé et, chez lui, l
57 ans, en bonne santé. - Un frère mort accidentellement, avait des
enfants
bien portants et n'ayant jamais cu de convulsio
e consanguinité. - Différence d'âge de G ans (père, plus âgé). (i
enfants
dont 5 vivants ; pas de fausses couches : 10 garç
e; facile, pas d'accidents ni du côté de la mère, ni du côté de l'
enfant
, pas d'asphyxie. Elevé au sein par sa mère jusqu'
u'à l'âge de 18 mois ; il semblait ne différer en rien des autres
enfants
; il n'a présenté aucune affection aiguë jusqu'à L
ses parents l'ont cru mort. Deux jours après, au dire do la mère, l'
enfant
avait encore de la fièvre. Depuis lors les ac
difiait légèrement : le début s'annonçait par- une sorte d'aura ; l'
enfant
criait : « je vais être malade a ou bien portai
puis l'âge de 4 ans que la mère a observé que l'intelligence de son
enfant
était en retard, bien que sa mémoire fut assez
illes égales, réagissant bien à la lumière et à l'accommodation ; l'
enfant
a bonne vue mais ne sait pas dis- tinguer les c
ès de toutes les per- sonnes qu'il rencontre. 1892. 10 février. L'
enfant
contracte la rougeole et entre au pavillon d'is
de foie de morue. 1893. Aucune modification dans le caractère de l'
enfant
qui est toujours irascible et mendiant. Il arri
ri Ici : ! octobre. - L'état de déchéance ne fait que s'aggraver; l'
enfant
ne sait plus prendre soin cle lui, est continue
(père plus âgé). A 18 ans la mère avait un amant dont elle eut un
enfant
mort à neuf mois de congestion cérébrale. Depuis
ort à neuf mois de congestion cérébrale. Depuis n'a pas eu d'autres
enfants
que notre malade ; pas de fausse couche. Notr
et de la mère au moment de la conception. Celle-ci n'ayant pas eu d'
enfants
depuis quatorze années ne croyait pas être ence
e était volumineuse, ce qui retardait l'accouchement; le poids de l'
enfant
était de neuf livres 1/2. Allaitement maternel
; celles-ci revenaient très souvent et pendant vingt-trois jours l'
enfant
est resté sans connaissance. A la suite de cett
sance. A la suite de cette maladie (soignée par un homoecpathe'i, l'
enfant
est resté sourd et aveugle jusqu'à huit mois et
mastérien très net ; région anale normale. . Légère écholalie : l'
enfant
répète constamment : « non, pas de chance », ce
ner que les excès de boisson de sa mère, grand'mère maternelle de l'
enfant
, et la conges- /ion cérébrale dont est morte un
ités que par une observation attentive et de parti pris de tous les
enfants
hospita- lisés et surtout de ceux chez lesquels
ls malades. Or, le grand critérium qui décidait à nous amener les
enfants
à l'infirmerie, c'était lorsque ceux- ci refusa
psie, mais de convulsions ordinaires comme il s'en produit chez les
enfants
normaux affec- tés de maladies infectieuses. Ch
et, au bout de plu- sieurs mois, il nous a été possible de rendre l'
enfant
à sa famille (2). III. Sur les seize malades
ers cas se sont disséminés du 4 octo- bre au 17 décembre. Comme l'
enfant
qui en a été victime avait, en juillet, passé q
y avait lieu de faire examiner l'eau servant à l'alimentation des
enfants
. Nous avons écrit (2) à M. le Directeur de Bicê
l'hospice, affectée aux aliénés et dont fait partie la section des
enfants
, est alimentée par l'eau de la Seine laquelle s
quartier des aliénés (2 cas dans la 3° section et 19 dans la 4",
enfants
), alimentée en eau cle la Seine et en eau de Ru
l'épidémie, on a con- damné les fontaines du service, surveillé les
enfants
aux lavabos afin de les empêcher d'en boire l'e
t lavées avec du sublime. Après chaque décès ou après la sortie des
enfants
, la literie était passée à l'étuve. En résumé,
ivre qu'autrement ». Ni l'un ni l'autre ne sont mariés et n'ont d'
enfants
. Deux tantes paternelles : l'une, mariée, a 4 enf
és et n'ont d'enfants. Deux tantes paternelles : l'une, mariée, a 4
enfants
Antécédents héréditaires. 173 bien portants;
ents héréditaires. 173 bien portants; l'autre mariée également, a 3
enfants
. Cette dernière s'est mise à boire de l'eau-de-
toujours eu des maux d'estomac et d'in- testins depuis son deuxième
enfant
jusqu'à 20 ans ; mariée à 18 ans ; pas de convu
s de l'enfance « Je suis jumelle avec une soeur qui a eu beaucoup d'
enfants
», pas de migrai- nes, cependant depuis 18 mois
nt d'une congestion au coeur. Arrière-grand'mère maternelle a eu 15
enfants
dont trois sont morts jeunes et dont les autres
s sont morts phthisiques, sobres, l'un de ces der- niers a eu trois
enfants
, deux bien portants, le troisième (Louis B...)
s vivant encore ; pas d'accidents nerveux ; ils ont chacun perdu un
enfant
phthisique. - Deux tantes ma- ternelles sont mo
- Deux tantes ma- ternelles sont mortes de la poitrine : l'une sans
enfant
, l'au- tre avec trois enfants dont deux sont en
ont mortes de la poitrine : l'une sans enfant, l'au- tre avec trois
enfants
dont deux sont en bonne santé et dont la troisi
25 ans. - La tante ma- ternelle, soeur jumelle de la mère a eu six
enfants
; quatre sont morts de convulsions ou de méning
as eu de convul- sions, intelligent, délicat. -D'après la mère de l'
enfant
, les jumeaux viendraient du côté paternel de la
Perche, mère du Soisson- nais. - Inégalité d'âge de six ans. Dix
enfants
: 1° et 2°, deux jumelles : l'une morte à 20 jour
ré au Dr Lecoq qui prescrit une purgation. A partir de en, moment l'
enfant
est 15 jours sombre, 15 jours excité : la mélan
s. Comme l'ami va aux renseignements et qu'il apprend la fugue de l'
enfant
, il ne répond pas iL Edouard. Ce dernier revien
t normales, la mémoire bonne; l'imagination parfois extravagante; l'
enfant
parle beaucoup de tout et sur tout en vrai hâbl
jar- din, travaux scolaires, traitement moral. 1895. Octobre. - L'
enfant
s'est montré très docile à suivre toutes les pa
'écoutent. - La pointe de hernie signalée à l'entrée, persistant, l'
enfant
porte un bandage spécial. Novembre. L'enfant
ntrée, persistant, l'enfant porte un bandage spécial. Novembre. L'
enfant
ne présente plus de constipation. Marche de la
age incessant persiste; pas de période de mélancolie. Décembre. L'
enfant
est très tranquille en classe ; le ver- biage a
it accès de mélancolie n'a pas eu d'autre suite. 1890. Janvier. L'
enfant
est allé quatre jours chez lui, s'est très bien
5, purgatif. - Le 20, autre purgatif. - L'amélioration continue ; l'
enfant
suit les cours de la classe, comme un enfant or
lioration continue ; l'enfant suit les cours de la classe, comme un
enfant
ordinaire ; prend plaisir maintenant aux travau
musique, morigène ses camarades, s'occupe même affectueusement des
enfants
plus jeunes que lui, veille à leur toilette et
uard serait redevenu .180 Instabilité mentale ; hérédité < ` l'
enfant
d'autrefois. » -Il accomplit actuellement son ser
et la nais- sance n'aient présenté aucun trouble pathologique, l'
enfant
n'aurait cessé de crier nuit et jour jusqu'à l'é-
de tête. En môme temps les sentiments affectifs dimi- nuent, et l'
enfant
devient irritable même envers sa mère. En juin
-péclagoyiclue pendant une durée do six mois, l'état général de l'
enfant
s'améliore progressivement ; la tenue devient c
t nous voir six mois et un an après ; ils nous font des éloges de l'
enfant
. Edouard lui-même nous fait des visites à chaqu
ère paternelle morte « un peu paralysée riz. - Gémellarité. Mère,
enfant
du siège, nerveuse, - Tante maternelle migrai-
onception, grossesse, accouchement, naissance, rien de . notable. -
Enfant
normale jusqu'à 6,mois. - De sept ( ? ) z1. dix
s la famille). - Un oncle et deux tantes~paternels, ainsi qne leurs
enfants
, n'of- frent i'ien. de particulier. Ni oncle, n
amille.] Pas dé consanguinité. - Inégalité d'âge de 13 ans : Doux
enfants
z la malade, 20 un garçon âgé d'un an (1). Notr
au moins aussi éveillée. Elle riait, regardait, « faisait comme un
enfant
qui s'amuse bien. » Lorsqu'on l'a revue à dix m
ebout. Dès le. lendemain de son retour, on a vu des convulsions : L'
enfant
devenait raide ; les yeux étaient tournés : « o
s : « on ne voyait que le blanc » ; la face était très pâle, puis l'
enfant
avait un petit tremblement ; on ne se rappelle
nnée un 3-- entant qui parait bien venant. ? . 186 Etat actuel. L'
enfant
a commencé à avoir des accès de cris après la d
ans que ces chutes aient présenté quelque chose de particulier. L'
enfant
n'aurait eu aucune maladie infectieuse, ni aucun
ts ont relevé des élourdissemenls, environ une fois par semaine : L'
enfant
étant sur sa chaise tombait comme endormie ; ét
État actuel (13 février 1890). - Embonpoint moyen ; malgré cela, l'
enfant
a un air maladif du surtout à la pàleur cireuse
èvre supé- rieure est mince, l'inférieure est lippue et pendante, l'
enfant
a constamment son pouce dans la bouche. Les max
e. I : yt)ièt2e de la vulve occasionné par le contact de l'urine, l'
enfant
élant gâteuse ; pas d'onanisme. Les membres s
nt réguliers, les tibias sont assez fortement incurvés en dedans, L'
enfant
se tient convenable- ment sur ses jambes et met
uvements provoqués sont naturels. -I1 n'y a pas de contracture. L'
enfant
ne sait pas se servir de la cuillère, prend plais
L'examen des : lents a ·té fait par 1\1. nnnypt en juin 189G quand l'
enfant
avuit 20 mois. 188 Marche de la maladie. ce
on, circulai ion rien à noter. La parole est tout à fait nulle. - L'
enfant
n'aide en rien il s'habiller, ne sait rien fair
isparu. - Bronchite. T. R. 38°,5. Il arnil.-La bronchite diminue, l'
enfant
reprend ses forces, mais elle a maigri durant s
s migraines, en somme, peu de chose. II. Tout semble indiquer que l'
enfant
a été normale jusqu'au-delà de six mois. A dix
jour à la Fondation, en dépit des mauvaises conditions qu'offrait l'
enfant
, nous avons obtenu une amélioration relative po
nce une idiotie profonde, doit être rattachée aux convulsions que l'
enfant
a eues de six : r dix mois. V. La méninuo-snc
de l'idiotie : - et de l'épilepsie. ' l'An IROURNrtVII.1,E. 1773
enfants
idiots, épileptiques, imbéciles ou hystériques
ier 1879 jusqu'à la date du ICI' janvier 1898. Les pères de fi(i7
enfants
faisaient des excès de boissons. Les mères de
fi(i7 enfants faisaient des excès de boissons. Les mères de .')9
enfants
faisaient des excès de boissons. Les pères et
enfants faisaient des excès de boissons. Les pères et mères de 21
enfants
faisaient des excès de boissons. Dans 242 cas
ements sur l'alcoolisme des ascendants. Les pères et mères de 775
enfants
étaient sobres. 1.77.'3 En outre, la concepti
s n'avons pas de renseignements précis sur la conception chez 1.143
enfants
et aucun renseignement sur la conception chez 4
aris. 1887. M1"0 Solfier (A.). De l'état de la dentition chez les
enfants
idiots et arriérés. Thèse de Paris. 1888. T
ier (A.). Contribution à l'étude clinique de l'épi- lepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. 1893 Noir. (J.). Étude sur l
- Enseignementp1'i- maire.................................. nI 9
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, - - '>
n, - - '> mais invalides (l3âtitnett SégttitzJ ...... ni '. 20
Enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épi- leptiques ou
............. or Petite école complémentaire.............. zon 30
Enfants
propres et valides, imbéciles, arrié- rés, inst
res. II. Enseignement professionnel xix Evalualion du travail des
enfants
xx Enumération des produits fabriqués par les
llée. I. Situation du service. - Enseignement p1'i- maire xli v
Enfants
idiotes gâteuses xnv Enfants idiotes, imbéciles
. - Enseignement p1'i- maire xli v Enfants idiotes gâteuses xnv
Enfants
idiotes, imbéciles, etc., valides. - .. Enseign
orties .................... .... Lx SLeTIOa 131. - fissistarice des
enfants
idiots ; créa- tion de Classes spéciales, annex
tion de Classes spéciales, annexées aux écoles primaires, pour les
enfants
arriérés,. I. A MM. les 111embre,s de sa COl11m
PILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE . COMPTE-RENDU DU SERVICE DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICÈTRE PEN
année 1902. I. Situation ou service. Enseignement primaire. Les
enfants
de la. quatrième section du quartier des aliéné
spice de Bicêtre sont répartis en trois groupes principaux : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, épi- lepliques ou non, mais inv
n); ° les e721172fS'LCl20ls, gâteux ou non, mais valides ; 3° les
enfants
propres, valides, imbéciles, a1'l'ié- rés, inst
rés, instables, pervers, épilcptiqucs et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
oupe est subdivisé en deux catégories. La première se compose des
enfants
idiots complets, ne parlant, ni ne marchant, co
ni ne marchant, considérés généralement, a tort comme tout fait m
Enfants
idiots complets. incurables. La plupart d'entre
), en leur faisant des frictions stimulantes, etc. En 1932, trais
enfants
ont appris il marcher (1) ; trois enfants ont é
es, etc. En 1932, trais enfants ont appris il marcher (1) ; trois
enfants
ont été guéris du gâtisme (2) et trois ont appr
it possible d'obtenir de plus nombreuses améliorations. Dès qu'un
enfant
marche sans aide, il doit être envoyé à la Peti
s toute la journée, aussitôt que ses forces le permettent. Tous ces
enfants
sont placés sur les petits fauteuils spéciaux q
1n ? Clmtel ? Ca... (3) Lors de notre arrivée dans le service les
enfants
étaient assis sur des alèzes. Les fauteuils ima
ble écono- mie de linge pour l'Administration, sans compter que les
enfants
y ont gagné du bien-être.. Traitement 11)JDIC
nt promenés dans les jardins. Ce sous-sol sert également à d'autres
enfants
, qui nous arrivent tardivement à 15, 16, et mêm
r gâtisme, sans aucun bénéfice pour eux et au grand détriment des
enfants
éducabics. Ces malades absolu- ment incurables
s le faisons remonter dans la 4 ? classe de la grande école. ' IL
Enfants
idiots gâteux ou non gâteux, épilep- 1 iques on
gâteux, épilep- 1 iques on non, mais valides (Petite Ecole). Ces
enfants
fréquentent la petite école, confiée exclusive-
ée exclusive- ment il des femmes. Dans le courant de l'année, 174
enfants
y ont été inscrits. Sur ce nombre, 5 sont décéd
s- férés, 2 sont passés dans une des sections d'adultes. Sur 1 GO
enfants
qui restaient à la petite école au 31 décembre
25 se servent de la cuiller, de la fourchette et du couteau. - Six
enfants
de ce groupe sont devenus propres (1); 5 ont ap
lever, au coucher, au milieu de la nuit et après chaque repas, les
enfants
gâteux sur les sièges d'aisance et qui a pour b
eux sur les sièges d'aisance et qui a pour but principal d'amener l'
enfant
gâteux -Et devenir propre, fait également réali
nous avons fait faire par la surveillante du service le relevé des
enfants
ayant déféqué au siège après les repas, durant
s de chaque mois. Voici ce relevé qui a porté sur une moyenne de 50
enfants
gâteux. TRAITEMENT NlfDICO-1ÉD.IGOC.IQUE : RÉSU
eux. TRAITEMENT NlfDICO-1ÉD.IGOC.IQUE : RÉSULTATS. VII'. Tous les
enfants
de la Petite école, sont exercés au saut, à la
des, étant encore trop infirmes, n'ont pu y prendre part. Dix-huit
enfants
de la petite école et de la petite école complé
régulièrement les exercices de la grande gym- nastique. Vingt-deux
enfants
ont travaillé cette année dans les différents a
mment; 2° les leçons de toi- lette qui consistent -CI apprendre aux
enfants
à se laver la figure et les mains, il s'habille
dans les proJ1nnacles (1), Voici quelques détails sur plusieurs des
enfants
les plus malades (idiots profonds) améliorés à
e-rendu de 1899, pour tous les procédés en usage à la scc- tion des
enfants
arriérés et épileptiques. vin ... : Petite écol
Il refusait de travailler, ne supportait à côté de lui aucun autre
enfant
, entrait dans de violentes colères, injuriait t
us côtés les objets qui se trouvaient sous sa main. Actuellement, l'
enfant
est plus calme, son travail à la classe ainsi q
bsence de la parole, et compréhension presque nulle. Actuellement l'
enfant
parle, fait des phrases, il rapporte même sur l
t l'enfant parle, fait des phrases, il rapporte même sur les autres
enfants
, et bien qu'il ait lui-même un langage un peu o
me un langage un peu ordurier, il se trouve blessé quand un autre
enfant
prononce un mot grossier. Il dit tous les mots, c
nE... (Henri, Paul), 8 ans. - Idiotie, gâtisme, absence de langage.
Enfant
grand gâteux, privé de compréhension et doué d'
différence, mis dans les premiers temps de son entrée au milieu des
enfants
de la fanfare afin de se rendre compte s'il ent
é nul et aucun mouvement de sa part n'a prouvé qu'il entendait. L'
enfant
avait l'air hébété, ne souriait jamais et ne répo
existant encore aujourd'hui mais moins fréquents. Actuellement, l'
enfant
commence à comprendre, sourit, chantonne, est d
s'adonne un tic quel- conque et qu'on ]cg't'o)]dci ! s'at'rôtc. L'
enfant
qui, h l'entrée, ne mangeait .pas seul et refusai
ange mieux, tient lui-même la cuiller. Remarqué curieuse à noter, l'
enfant
ne boit jamais ou presque jamais, ni vin, ni ea
n. Elle est aidée par M"10 Randier, première infirmière. Quarante
enfants
composent cette école. Trois infirmières sont e
res sont en outre adjointes à ce service pour la surveillance des
enfants
(réfectoire, dortoir, promenades). Voici quel-
de l'année 1905, résumés d'après les notes de MIIIO Bonnet. Cinq
enfants
qui avaient ét signalés les années précéden- te
, ils sont maintenant tout à fait propres nuit et jour. Ce sont les
enfants
1)cli..., \Iille..., Prime..., Ster- ling..., B
s pouvons le mettre en pantalon sans crainte d'accident. , Quatre
enfants
: Parrlo..., l'ellc..., Paccl..., Sterling..., ;
e de mots nouveaux. (Voir Compte-rendu de 1901, p. xiii, x;v). Un
enfant
, ICziI : ov...lIc : lix), dont la parole était co
on pas mess : 1nl Félix, (etc). X PETITE école complémentaire. Un
enfant
a appris à lire couramment, Lcro.... (Félix), ent
lant jamais en équilibre, tombant à chaque instant. A son arrivée l'
enfant
ne mangeait pas seul, ne parvenait pas il porte
onstatons des progrès pour la marche qui devient moins titubante, l'
enfant
tombe moins fréquem- ment. En 1900, nous signal
de tracer quelques lignes, le crayon lui tombait de nouveau et cet
enfant
, avec une volonté rare, recommençait cinq ou si
e : résultats. XI développement de l'intellect. Les colères que cet
enfant
a toujours eues sont allées en augmentant de. f
conduire il l'infirmerie. (Voir son observation plus loin). Deux
enfants
sont en bonne voie pour la lecture et lisent co
les essuyer. Les sentiment* affectifs ne scmblaient pas exister, l'
enfant
voyait ses parents : ru h : crloir, les quittai
ment, signalé à son arrivée subsiste encore aujourd'hui. ' Quatre
enfants
ont beaucoup progressé pour tous les exer- cice
raison d'un jeune homme de son âge (il a 18 ans) mais de celle d'un
enfant
d'une dizaine d'années. Il ne pleure plus comme
proche; de même le rictus inintelligible tend à disparaître . Cet
enfant
, dont la parole était complètement nulle son ar
e, 1 ucli-nutclilé et idiotie complète). LE ! AI'l ? (Georges). Cet
enfant
a fait des progrès pour les exercices classique
aibles que lui, il exigeait une surveillance incessante. Tous mes
enfants
lisant couramment et faisant des devoirs comme
Tous mes enfants lisant couramment et faisant des devoirs comme les
enfants
normaux travaillent toujours avec goût en cliss
muet. Il a été l'ait allusion dans les dernières notices sur les
enfants
de l'École complémentaire à l'emploi des mots i
evenir aujourd'hui en citant des exemples de leur application. Un
enfant
est atteint d'idiotie complète, c'est-à- dire q
itement niéclzco-péclno- gique consiste à éveiller l'attention de l'
enfant
, à éduquer la main et le sens du loucher, puis
loucher, puis le sens cle la vue. C'est alors qu'on essaie, même l'
enfant
ne parlant pas, à lui faire désigne)-, la nomin
dortoir, de l'école, les personnes, les animaux, etc.. Bien que l'
enfant
ne parle pas ou ne possède que quelques mots, n
s avons les mots : éponge, savon, ser- viette, etc. Nous exerçons l'
enfant
à désigner les objets et à mettre sur chacun d'
jets et à mettre sur chacun d'eux le mot imprimé correspondant. Les
enfants
reconnaissent l'image du ? ? 201, comme ils rec
cirer Jours chaussures : brosse, brosser, cirage, cirer, etc.. L'
enfant
marche, est devenu propre, en môme temps -qu'on
ont été acquises, l'âge et le développement physique venant, les
enfants
passent à la grande école (1). Dans notre Compt
x des bras en 2 temps; mouvements latéraux des bras en 2 temps. Les
enfants
au lieu de compter les temps que le maître seul
main, de fixer davantage leur attention. Ce travail n'est pour ces
enfants
qu'un moyen d'éducation. Il est, en outre, pour,
En dehors des exercices de respiration, clans les mouvements où les
enfants
comp- tent eux-mêmes les temps, nous obtenons l
it navire ; l'Histoire du blé, sur l'n i relu 1) ied Il ui remue; L'
enfant
et le nid d'oiseau, sur l'air de A la volette,
battant nous servent dans nos exercices. Nous faisons frapper à l'
enfant
un nombre de coups donné, de même que nous leur
re employé qu'à l'Institut médico-pédagogique, amuse beaucoup nos
enfants
; et si nous disposons de marteaux de couleurs
t aident à l'acquisition de l'idée abislraite du nombre (1). lll.
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés, instab
rs ou non Grande école). La population de celle école était de 16
enfants
le 1 ? janvier 1\)02. Tous, sauf 23 qui ne peuv
et restent, les autres jours, le matin et le soir il l'alelier. Les
enfants
non pourvus du certificat d'études sont reparti
certificat d'études sont reparti en quatre classes (o3,36, 31 et 30
enfants
). Aux examens du cel'li- ficat d'études qui ont
'li- ficat d'études qui ont eu lieu il Yillejuif, le 21 mars deux
enfants
ont subi les épreuves avec succès, (Cliattm.. e
ée), alin d'être mieux en mesure d'améliorer la prononciation des
enfants
et de développer leur parole, ont été envoyés .
es 801l/'¡[S-luIICtS. De plus, comme nous avons un certain nombre d'
enfants
aveu- glcs, nos auxiliaires sont également allé
econder sérieusement dans le t /'nilcmcnt méil ico- pédagogique des
enfants
de notre service. Aux insti- tuteurs et aux sur
onnel enseignant. Les péda- gogues de chacun des groupes spéciaux d'
enfants
anormaux profileraient, croyons-nous, de leur p
des obstacles qui s'opposent à la création de sections spéciales d'
enfants
, annexées aux asiles ou Ü la créa- \X ' Fanfare
nstruc- tions, M. Suttcr s'est occuppé successivement de tous les
enfants
susceptibles de proliter de son ensei- gnement.
us les faisons chanter ensemble dans les choeurs. Cette réunion des
enfants
des deux sexes, que nous voudrions rendre plus
istratif exige, mais dont ils préfèrent se dégager. Le nombre des
enfants
qui prennent part à l'enseignement du chant éta
s par M. Suttcr, quelques notes concernant son enseignement : Les
enfants
chantent les morceaux contenus dans deux livres
ont assez, justes et l'ensemble produit un bon effet. Toutefois les
enfants
ayant les Influence DE la musique. xxi meille
orie. « J'ai obtenu, dit M. Suttcr, de très bons résultats avec les
enfants
qui ont suivi la classe de solfège et de théori
et de théorie musicale en procédant de la manière suivante : chaque
enfant
possède un cahier écolier sur lequel il a copié
dif- férents exercices et leçons; après cette opération cha- que
enfant
, à son tour, passe au tableau et remplit la por
qui lui succède au lableau et ainsi de suite jusqu'à ce que chaque
enfant
ait été élève et moniteur il son tour. 50 enfan
qu'à ce que chaque enfant ait été élève et moniteur il son tour. 50
enfants
environ savent lire les notes et en connaissent
e les notes et en connaissent la valeur. » Fanfare et Orphéon. 35
enfants
font partie de la Fanfare, 25 exécutants et dix
cices de gymmasliquo et fait défiler la fin de ces exercices les-
enfants
aux sons d'une marche. La Fanfare et l'Orphé- x
are précède le défile, dans les cours et à la Fondation Vallée, des
enfants
déguisés. Concerts et Bals. Pendant l'année 190
erts. Dans ces matinées-concerts, j'ai fait exécuter par quelques
enfants
de l'Orphéon et avec les fillettes de la fonda-
e forment le complément de ces fêtes. Les décors sont faits par les
enfants
ainsi que les programmes et les billets de tomb
cl les réparations néces- saires. Concerts et bals font la joie des
enfants
et de leurs parents qui sont autorisés il y ass
assister : ce sont des fêtes organisées sans frais par et pour les
enfants
eux-mêmes et non en vue du public, comme les co
public, comme les con- certs Lionnet. Nous avons constate'' que les
enfants
ont rarement d'accès d'epilepsie pendant ces ré
cès d'epilepsie pendant ces réjouis- sances. Pour récompenser les
enfants
qui, il un litre quel- conque, ont pris part il
grand Traitement 11' : [)¡C : O-PÍW,\GOGIQUE. XXIII nombre de nus
enfants
ont la voix assez étendue et assez juste pour e
n'est pas toujours ce qu'elle devrait être. La généralité de nos
enfants
ont la voix assez grave après la période de la
nous font défaut. La période de- la miic est assez tardive chez les
enfants
idiots et plu- tôt précoce chez les enfants ner
assez tardive chez les enfants idiots et plu- tôt précoce chez les
enfants
nerveux (épileptiques, amoraux, etc.) Nombre d'
pratiquant les exercices sui- vants : Faire attaquer la note par l'
enfant
et lui faire tenir celte note pendant au moins
inuant ensuite tout en conservant la note juste. Par ccsexcicices l'
enfant
arrive à gagner une ou deux notes dans l'aigu e
blement. Ces exercices ont le don de former l'oreille musicale de l'
enfant
et il saura distinguer les différentes intonati
rnier, nous désirerions cet enseignement non pas seulement pour les
enfants
les moins malades mais aussi pour ceux qui sont
: - « 130 élèves suivent les leçons de dessin ; presque tous les
enfants
, sauf les élèves récemment entrés, savent et de
de temps j'espère les voir arrivera produire de jolis dessins. Les
enfants
dessinncut des plâtres représentant des ornemen
ce sens sont demeurées sans résultat. Société de gymnastique. Les
enfants
faisant partie de cette société, au nombre de 2
S0 ! ), p. ! .IX. xxvi Musée scolaire, projections. fonctions. 98
enfants
participent, à des degrés divers, à cet exercic
heure sous la direction de M. LANDOS-r, un de nos instituteurs. 124
enfants
de la grande école et 15 de la petite école y
seignement. Ces vues servent aux conférences du jeudi faites aux
enfants
les moins malades, aux visites du samedi, jour
eignement par les projections est très com- plexe. Il sert pour les
enfants
de toutes les catégories : 1" pour les enfants
xe. Il sert pour les enfants de toutes les catégories : 1" pour les
enfants
idiots profonds à fixer l'attention (images bla
reconnaître les objets, les animaux (images graduées); 3" Pour les
enfants
imbéciles, arriérés et épileptiques, à faire to
cs, des manies, s'opposer aux pratiques solitaires. Pour tous les
enfants
, et en particulier pour les imbéciles intel- le
nos auxiliaires, pédagogues et infirmiers, qu'ils ont affaire à des
enfants
malades, relevant du. traitement 2éclieo-péclay
doivent se montrer bienveillants et affectueux, et non pas à des
enfants
vicieux, dont la place, serait, disent certains
s de correction ou les prisons. Voici quelques notes concernant les
enfants
de cette catégorie : , - Grande école : 1re c
de paralysie spinale infantile du bras droit et d'épilepsie. - Cet
enfant
a fait de grands progrès au point de vue primai
améliora- tion au point de vue de la conduite. C'était autrefois un
enfant
auquel on ne pouvait faire la moindre observati
uis, Eugène), 'IIÎ ans. Imbécillité, dépres- sion mélancolique. Cet
enfant
fait mieux les devoirs écrits; il litapeu près
t-Lanth... (Uaslln René), 19 ans. - Imbécillité ; Ipnep ? : 'o. Cet
enfant
n fait aucun progrès en calcul : mais pour tout
é. Epilepsie. - Quoique écrivant moins bien que les précédents, cet
enfant
fait des progrès sensibles ; il profite des exp
bécillité. Epilcp- sie. Ilémiparésie droite. Onycoplia ! 71e. - Cet
enfant
fait également des progrès sensibles; les conna
r. Nous pourrions multiplier beaucoup ces petites notices sur les
enfants
améliorés. Celles qui précèdent et plus particu
plus particulièrement celles de la petite école, cone. cernant les
enfants
les plus gravement atteints, nous paraissent su
t suffire à témoigner des efforts faits par tous pour améliorer les
enfants
qui nous sont confiés. Pour obtenir encore de m
ultats, plus d'améliorations et de guérisons, il faudrait que les
enfants
soient rigoureusement occupés ou distraits du l
raient avoir leur congé sans qu'il en résulte un préjudice pour les
enfants
. En effet, tandis que dans les lycées, les écol
'asile- école de 131cctrc, comme dans les services analogues, les
enfants
, eux, restent. Aux exercices pédagogiques propr
hostilité contre l'organisation que nous avons créée en faveur des
enfants
idiots, alors que les enfants normaux ne dispos
on que nous avons créée en faveur des enfants idiots, alors que les
enfants
normaux ne disposaient pas d'avantages semblabl
os moyens d'action. A leurs yeux, nous avons trop fait pour de tels
enfants
. Leurs visites à l'asilc-éco'e de Bicêtre devra
rime, d'atelier, nous avons toujours essayé de faire participer les
enfants
aux corvées de tout genre : salubrité, nettoyag
s la mesure que comporte le défaut d'entretien des bâtiments. Des
enfants
accompagnent les infirmiers à la cui- sine, a l
((> : ons de choses. En tout cas, c'est une distraction pour les
enfants
qui se sentent plus fibres. Quelques enfants, a
distraction pour les enfants qui se sentent plus fibres. Quelques
enfants
, avec notre autorisation, et de bonne volonté,
e se rendre utiles aux personnes qui leur sont dévouées. Plus les
enfants
sont occupés, plus leurs occupations sont varié
graves. Ordre est venu de l'Administration de ne plus employer les
enfants
il toutes ces petites besognes. Inutile de dire
nous enregistrons, c'est l'onanisme relevé comme fréquent chez les
enfants
. Pour y remédier nous intervenons sans cesse au
s enfants. Pour y remédier nous intervenons sans cesse auprès des
enfants
, nous recommandons aux instituteurs de veiller
enfants, nous recommandons aux instituteurs de veiller à ce que les
enfants
son-nt toujours accompa- gnés des infirmiers de
; aux infirmiers-veilleurs d'être très attentifs et d'empêcher les
enfants
de mettre leur Promenades et distractions. xxv
ssité de se conformer à nos indications, nous citons l'exemple de,;
enfants
dont l'état mental est dû surtout aux habitudes
ureuse et de tous les instants. - Promenades et distractions. Les
enfants
de la grande et ceux de la petite écoles, qui s
leçons de choses xxxvi Promenades et distractions. et exercer les
enfants
aux différents jeux en plein air (jeu de 1) ill
aux théâtres et concerts de Paris ont prêté leur concours. Tous les
enfants
valides de Bicêtre et clc la Fondation Vallée y
Fondation Vallée y ont assisté. Signalons enfin, organisés par les
enfants
, une grande tombola (2) et quatre concerts dont
e pié- cette. Les familles assistent aux fêtes organisées par les
enfants
. Les enfants ont encore bénéficié de plusieurs
Les familles assistent aux fêtes organisées par les enfants. Les
enfants
ont encore bénéficié de plusieurs repré- sentat
grâce qu'il met chaque année, sur notre demande, il. autoriser nos
enfants
et les petites filles de la Salpêtnère à visiter
mes recueillies depuis 1895 s'élève il 2.184 fr. 65. Visites. Les
enfants
ont reçu 8.488 visites ; les visiteurs ont été
accès épileptiques. De plus, les parents donnent de l'argent aux
enfants
, autre abus qui est une source d'ennuis pour to
t la revaccination de tous les malades entrés durant l'année et des
enfants
dont la revaccination remonte à 6 ou 7 ans. Com
heures, ce qui permettrait de faire faire insuitc une promenade aux
enfants
.. ; , Service dentaire et bains. xxxix dentai
t de remédier aux nombreuses défectuosités de la dentition chez nos
enfants
et aussi d'avoir, chaque année, une note, prise
ne note, prise par un homme compétent, sur la dentition de tous les
enfants
. Bains et hydrothérapie. Les hains et les dou-
nous avons été chargé de la section des épileptiques (adultes et
enfants
) de l'hospice de Bicêtre, ensuite de la nouvell
nfants) de l'hospice de Bicêtre, ensuite de la nouvelle section des
enfants
. En 1882, dans sa remarquable thèse inaugurale,
étudiant en médecine, il Paris. .M11" Lack, maîtresse de classe d'
enfants
anormaux de Genève (Suisse) (1); h"Laclame, de
ès* grande de montrer non seulement l'organisation du service des
enfants
, mais encore son fonctionnement mé(lico-p>éd
sseur de chant de 4 ii 5 heures. U) Voir Histoire de la section des
Enfants
de Bicétre, par Bourneville, ( 19 î'.1-1 Ç ! ^o
pportent chaque jour à donner l'in8tl'llction pl'O{e)siol1ncl1c aux
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'
fr. 50 par jour, soit pour l'année 16.607 fr. 50. Le Travail des
enfants
, évalué par l'économe, M. 1\lAUPI\I, et par l'a
soit 8.400 fr. ; 3° les gratifications hebdoma- daires données aux
enfants
, le samedi, à titre de récom- pense variant de
éfice (le 2.219 fr. qui vient atténuer les dépenses d'entretien des
enfants
. Cette somme, comme celle réalisée sur les perm
e d'Alembert à Monté- vrain, par exemple, où les apprentis sont des
enfants
normaux, sains de corps et d'esprit, et même ch
s des candidats. Nos appren- tis, à Bicêtre, sont non seulement des
enfants
anor- maux, mais encore des enfants malades : q
Bicêtre, sont non seulement des enfants anor- maux, mais encore des
enfants
malades : quand ils ont, les uns des accès épil
ment, après avoir douté de la possi- bilité de faire travailler les
enfants
idiots, arriérés et épileptiques, et avoir prot
apprenti sont occupés, par exemple, à réparer une porte, les autres
enfants
n'ont plus de guide et no s'instruisent pas.
n le produit lui-même (1), bien qu'il ne soit pas il dédaigner. Les
enfants
eux-mêmes sont heureux de voir que leur travail
pulation. Le premier janvier 1902, il y avait dans le service 138
enfants
(1) se décomposant ainsi : 413 enfants idiots,
y avait dans le service 138 enfants (1) se décomposant ainsi : 413
enfants
idiots, imbéciles, ou épilepliques, dits aliéné
tinction, qui s'applique aux épileptiques adultes aussi bien qu'aux
enfants
, est purement administrative et il est difficil
st-à-dire 38 de trop la section ayant été conçue seulement pour 400
enfants
.. LIV Décès, Sorties. étaient 'baveux; 2 étai
ns rotation de la tête ; 15 avaient un tic coordonné des mains ; 1G
enfants
idiots étaient tourneurs; 19 9 étaient sauteurs
ent tourneurs; 19 9 étaient sauteurs et 5 étaient grimpeurs. Deux
enfants
étaient atteints d'hémimélie; 1 de polydarlylie
lle a déménagé et on ne peut avoir sa nouvelle adresse. Parmi les
enfants
sortis, il en est qui sont enlevés prématurémen
Neuf évasions ont eu lieu dans le cou- rant de l'année, celles des
enfants
Se..., Delf..., Mull ? Cuir...., lwaut..., Calb
fférentes évasions n'ont donné lieu il aucune formalité légale. Les
enfants
nous ont été ramenés par leurs parents ou par d
aucun de ces cas n'a été suivi de décès. (Il A l'entrée de tous les
enfants
, aussi bien à la Fondation Vallée qu'à Bicêtre,
demain, au moment du certificat immédiat nous examinons nous-même l'
enfant
de la tête aux pieds s'il y a lieu ; il en est
aient restés les mêmes pour les filles. Maladies intercurrentes. 11
enfants
ont été atteints d'état de mal épilcptiquc ou d
uche; 49 (le plaies légères dans des accès. Ajoutons que tous les
enfants
qui se font des contusions ou des plaies, soit
. Foulard, s'était Affections AIGUËS. LXXI intéressé vivement aux
enfants
atteints de maladies des yeux. Depuis il a remp
s traitements qu'il a institués ont été d'une grande utilité iL nos
enfants
malades, nous lere- mercions (le son bienveilla
permet même de se l'aire qu'une idée appro- ximative du nombre des
enfants
atteints de conjoncti- vite cliplolacillaire. E
ts de conjoncti- vite cliplolacillaire. En voici les raisons. Les
enfants
sont choisis par les surveillantes qui nous les
symptômes d'une acuité plus particulièrement intense. Sans cela les
enfants
seraient restés dans leurs pavillons, conservan
st le résultat que nous a donné, l'examen, fait par nous en 1901, d'
enfants
pris au hasard, à la suite les uns des autres d
t l'examen microscopique de la sécrétion prélevée sur chacun de ces
enfants
et, )0 fois sur 90, nous avons trouvé le diploh
e torpide qui en est la conséquence, était donc habituelle chez les
enfants
que nous avons examinés ; les conjonctives sain
mps en temps, une conjonctivite revêtait des allures plus aiguës, l'
enfant
nous était conduit. C'est ainsi que nous avons
s conjonctives injectées. La transmission se fait par les mains des
enfants
, par leurs habits avec lesquels ils s'essuient,
dépit des recommandations qui sont faites et au personnel et aux
enfants
, dans la mesure de leur compréhension. Les enfa
rsonnel et aux enfants, dans la mesure de leur compréhension. Les
enfants
gâteux présentent une certaine insensibilité de
paupiè- res. 11 est fort possible que ces mouches, en allant d'un
enfant
it l'autre, puissent constituer un moyen de trans
nt lieu à la grande majorité des affections conjonctivales chez les
enfants
du service. Nous avons bien observé quelques ca
nnes se sont présentées. 102 pour renseignements sur le placement d'
enfants
arriérés ou épilepliques; 17'2 pour maladies di
itaux, infirmes, vicifards, etc.; 118 I pour renseignements sur les
enfants
du service présents ou f'n('OJ]OE('. Nous écr
31 décembre 1902, - Il Y avait à cette époque dans le service 4118
enfants
, se décomposant ainsi : '417 enfants idiots, im
époque dans le service 4118 enfants, se décomposant ainsi : '417
enfants
idiots, imbéciles ou épilepliques, dits aliénés
ou sans rotation de la tête; 17 ont un tic coordonné des mains; 14
enfants
idiots sont tour- neurs; 12 sont sauteurs ; 7 s
ts idiots sont tour- neurs; 12 sont sauteurs ; 7 sont grimpeurs. Un
enfant
était atteint d' hé mimé lie ; 1 de polydaclyli
aire des réparations dans les salles. Ils inter- viennent quand les
enfants
ont des querelles, des impulsions, des accès, p
ement primaire. La Fondation Vallée par les diverses catégories d'
enfants
qu'elle reçoit, ne correspond pas il la colonie
dire ne recevoir ni épilepliques, ni gâteuses, mais au service des
enfants
de Bicêtre, où nous recevons, en outre des épil
outre des épileptiques et des hystériques, toutes les catégories d'
enfants
idiots. Nous avons, à la Fonda- tion, deux grou
ots. Nous avons, à la Fonda- tion, deux groupes principaux : 1° les
enfants
idiotes et galeuses, valides ou non ; - 2° les
aux : 1° les enfants idiotes et galeuses, valides ou non ; - 2° les
enfants
propres, et dans les deux groupes, des épilepli
les enfants propres, et dans les deux groupes, des épilepliques.
Enfants
idiotes et galeuses. Elles étaient au nombre de
IX Les idiotes galeuses se divisent eu deux catégo- ries : a) les
enfants
valides qui sont envoyées à l'école durant une
i sont envoyées à l'école durant une partie de la journée; - b) les
enfants
inva- LIDES, qui séjournent clans le sous-sol.
otil ? Lamb ? Saun ? Talib... Voici quelques renseignements sur des
enfants
qui, parties de très- bas, ont fait de sérieux
isme; marche et parole nulles. L'amélioration produite chez cette
enfant
depuis son arrivée est remarquable sur tous les p
trabisme inter- miteux), est devenu vif et expressif. Au début, l'
enfant
ne savait ni marcher, ni causer sauf quelques s
elle était heureuse de plonger pleines mains dans son assiette. L'
enfant
gâtait jour et nuit et poussait des cris affreux,
ie le verbe. Les jambes jadis très faibles sont devenues solides, l'
enfant
marche et courtsans aucune fatigue, aime faire
. En classe, les progrès sont également très notables; auparavant l'
enfant
qui ne pouvait tenir quelques secondes en place
à placer les'lettres au tableau et cela d'une façon intelligente. L'
enfant
est beaucoup plus soigneuse dans ses vêtements,
isme, marche et parole à peu près nulles. Les progrès faits par l'
enfant
sont à signaler d'une façon toute particulière.
compréhensible aucun signe, aucun geste ne suppléait à la parole, l'
enfant
essayait les premiers pas en chancelant et le m
e seule; elle est d'une propreté méti- culeuse sur ses vêtements. L'
enfant
était autrefois grognon, un rien provoquait une
avec gâtisme, marche et parole nulles. Les progrès faits par cette
enfant
sont sensibles et méritent une mention *particu
mauvaise, à peine pouvait-elle faire quelques pas. Au réfectoire, l'
enfant
se tenait affreusement mal, aimait à se salir e
e carrosse, l'égoïsme était son défaut dominant : Tout pour elle. L'
enfant
, capricieuse, ne voulait pas rester assise, les
sur toutes choses lui étaient inconnues. Les progrès faits par l'
enfant
sont de plus en plus satisfaisants. Aujourd'hui
une de ses qualités ; sa tenue à table est fort bonne. Autrefois, l'
enfant
était souventmaus- sade et grognon, pleurait sa
ont encore faibles. Malgré toutes ces difficultés, les progrès de l'
enfant
sont notables. 5° LI : rD... (Marguerite), 9 an
et les vertiges survenaient par séries et étaient assez nombreux. L'
enfant
traitée au l3wmtce de camphre s'est beaucoup am
nce bien à coudre, suit la gymnastique avec beaucoup de facilité; l'
enfant
a, en un mot, réalisé de réels progrès. Le Pe
et des ressorts et commence il faire des ourlets. En somme, cette
enfant
s'est améliorée au-delà de ce qu'on pouvait espér
oncée, avec perversions ins- tinctives, avec gâtisme et onanisme. L'
enfant
n'avait aucune stabilité, elle était nulle ! en
es rapports. IDIOTES gâteuses, invalides ou non. LSSIII D'abord l'
enfant
est devenue tout à fait propre, procède minutie
us jeunes, prend plaisir à leur donner les soins de toilette ; si l'
enfant
continue ainsi, on pourra faire d'elle une bonn
la classe n'ont pas été moins rapides. En moins de trois ans, cette
enfant
a appris à écrire, à faire quelques devoirs de
môme pas tracer des basons sur l'ardoise. Ajoutons encore que cette
enfant
ne paraissait avoir aucune aptitude pour ce qui
progrès en gymnastique. , L'amélioration notable acquise chez ces
enfants
atteints d'idiotie complète, d'idiotie profonde
oins analogues ou plus considérables, à plus forte raison, chez des
enfants
LXXXIV IDIOTES gâteuses, imbéciles, etc., valid
teraient rien aux précédents, tout à l'ait démons- tratifs. -- 2°
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiijiies, etc., Valid
à la Fondation. L'idéal que nous poursuivons consiste à occuper les
enfants
du natit jtcscltc'aze soi ? en variant le plus
mêmes doivent contribuer à leur éducation. Au lever, on apprend aux
enfants
à faire leur toilette, leur lit, 1 nettoyer leu
r dortoir, à brosser leurs vête- ments. Aux repas, on surveille les
enfants
qui savent manger seules et on corrige leurs ma
morceaux, de veiller il la mastication et Ù la déglutition. Sur 222
enfants
présentes à la lin de l'année, 50 savent se ser
; 52 de la cuiller seulement; 38 ne savent pas manger seules. 180
enfants
ont fréquenté l'école et ont été exercées a la
nt été exercées a la gymnastique des échelles et des ressorts; 80
enfants
participent aux exercices de la grande gymnasti
ées précédentes M. Sutter s'est occupé successivement de toules les
enfants
, en état de profiter dans une mesure quelconque
de profiter dans une mesure quelconque de son ensei- gnement. 101
enfants
y ontparticipe.La classe spé- Enseignement DU c
le de théorie musicale et de solfège a donné de bons résultats ; 32
enfants
ont suivi cette classe. Comme les années antéri
32 enfants ont suivi cette classe. Comme les années antérieures les
enfants
les moins atteintes ont appris des mélodies et
a visite des parents, sous la direction de la surveillante. - 16u
enfants
ont pris part à ces exercices; 98 savent danser
igures du quadrille. Enseignement professionnel. A mesure que les
enfants
se développent, on leur apprend tous les soins
des moins arriérées aident le personnel à apprendre il manger aux
enfants
incapables de manger seules et h perfectionner
t par séries régulières, 40 ont travaillé une heure par jour ; 95
enfants
savent faire complètement les layettes ; 3U du
ux familles qu'elles ne doivent pas, dans l'intérêt même de leurs
enfants
, dépasser la durée des congés accordée. La Comm
ine, soit dans les communes voisines, soit à Paris. Le nombre des
enfants
qui prennent part à ces prome- nades, avec leço
nu des inconvénients de la pré- sence simultanée à ces réunions des
enfants
des deux sexes, les petites filles de la Fondat
Quatre, première infir- mière au grade de suppléante. Teigne. Six
enfants
ont été soignées pour la teigne au pavillon d'i
a section de Bicêtre. A la fin de l'année, il ne restait plus que 5
enfants
en traitement. Maladies infectieuses. Trois f
Die... ; cette dernière a succombé à une b1·ol7clzo-p17cu17tonie. L'
enfant
Ro... y a été traitée pour un ét¡¡sipèle de la
raitée pour un ét¡¡sipèle de la face. Maladies intercurrentes. 10
enfants
ont été trai- tées à l'infirmerie pour bronchit
ipalement pour les petites gâteuses et pour les filles pubères. Les
enfants
pren- nent leurs douches il la Fondation; ce n'
n. 0 Le '1 ? janvier 1902, il restait à la Fondation Vallée 216
enfants
se répartissant ainsi : IOUVL\Ili\11 : V'I' DE
r M"" Berthe, qui, grâce sa bien- veillance, usa douceur envers les
enfants
, il son intelligence, il sa fermeté, avait su p
t elle obéit. Elle sut prendre de suite une autorité réelle sur les
enfants
.et sur son personnel. Ferme, mais bienveillant
sanglots que l'on entend de toute part. Connaissant à fond tous ses
enfants
, elle no nous fournis- sait que des renseigneme
e Langlet était morte. Pour l'Administration, pour nous, pour les
enfants
, la mort de Mlle Berthe est une perte cruelle.
stance et enseianenieiit. I. Classes ou Écoles spéciales pour les
enfants
arriérés. Depuis plus de 10 ans, nous faisons c
mpagne pour la création de classes ou d'écoles spéciales pour les
enfants
arriérés et les enfants idiots améliorés. Tous
n de classes ou d'écoles spéciales pour les enfants arriérés et les
enfants
idiots améliorés. Tous les ans, depuis 1896, no
ce qui se fait à l'étranger et nous lui faisons voir un groupe d'
enfants
notablement améliorés qui pourraient être rendu
nos tentatives, nous nous sommes borné, cette année, à montrer les
enfants
susceptibles d'être reçus dans ces écoles, ce q
s, ce qui désencombrerait le ser- vice, permettrait de recevoir les
enfants
, plus mala- des, qui attendent. Les familles, q
s quelques arrondissements de Paris de clas- ses spéciales pour les
enfants
arriérés, voeu que la Déléga- tion du Ve avait
II Classes ou écoles spéciales Suisse. Le sort de cette catégorie d'
enfants
s'est tellement amélioré durant ces dernières a
s ; il est recruté dans une population instable et illettrée, les
enfants
, faute d'éducation et d'instruction premières, so
de locaux appropriés : 1° une classe mixte pour les anormaux et les
enfants
de plus de huit ans ne sachant pas lire ; 2" un
par les soins de leur maîtresse, mais en juger l'intérêt que ces
enfants
inspirent il la population, une société de patr
otre service, une fois par semaine, des mères de famille avec leurs
enfants
auxquels des leçons étaient faites pour que les
r P. Marie, et a suivi l'une des classes pendant quelque temps. L'
enfant
Fourn... iGélston) est venu également, chaque s
elligente, très attentive; aux leçons, s'occupe sérieusement de son
enfant
.. Aussi avons-nous obtenu une amélioration déjà
ussi avons-nous obtenu une amélioration déjà sé- rieuse. D'autres
enfants
sont venus un certain nombre de fois mais ont d
ussi vite qu'elles l'auraient désiré, une transformation de leurs
enfants
. ' IL Condamnation d'un dégénéré épileptique.
entissage, il a été congédié à cause de ses impulsions violentes. L'
enfant
, étant né au Mans, a été transféré à l'asile de
conseils de révision -les conscrits sor- tis dés écoles spéciales d'
enfants
ari'iérés, de sorte que l'autorité militaire est
ant de leur état mental. (Bourneville, Compte-rendu du service- des
enfants
de 'B1Cétl'e pour 1'Jul, p. CXÀ711). - C'est une
'années. (Progrès Médical, 1902, p. 253.) B. IV. Assistance des
enfants
nerveux : à propos des enfants martyrs. La po
02, p. 253.) B. IV. Assistance des enfants nerveux : à propos des
enfants
martyrs. La police reçoit quelquefois, de la
des plaintes précises contre un de leurs voisins qui maltraite son
enfant
. « Elles entendent à chaque instant, disent-ell
cris de rage et de douleur, des appels désespérés poussés par un
enfant
que martyrise des parents indignes. » Si peu qu
de brutalités systématiques, ayant pour but la suppres- sion d'un
enfant
gênant. Celtes, il arrive trop souvent que des
trop souvent que des parenls ignorants corrigent manuellement leur
enfant
, soit qu'il soit idiot, ou imbécile, soit qu'il
frayant. On comprend que le voisinage s'imagine avoir affaire à des
enfants
martyrs. Nous pour- rions citer de nombreux exe
r, ce qu'on a pu lui faire pour qu'il se plaigne de la sorte. Les
enfants
Lem... (Georges) et Dent... (Marcel), iL leur a
, cris ont diminué et ont cessé presque com- plètement. Deux autres
enfants
, G'sel... (René) et illill... (Emile), il la mo
ce qui provo- que des épistaxis assez abondantes. Tout en criant, l'
enfant
répète : non a pu, il. pu, comme si on le frapp
encer quelques heures après. Dans tous les cas qui précèdent, les
enfants
attirent l'attention des voisins par leurs accè
sentent ni plaies, ni ecchymoses. C'est ce qui est arrivé pour un
enfant
qui nous a été amené, notre consultation de Bic
quart d'heure. Un jour, ses cris ont déterminé, devant la maison
Enfants
martyrs. CXIÏ où il habite, un rassemblement de
saire de police. Celui-ci a eu la bonne idée de faire déshabiller l'
enfant
et comme il n'a constaté- aucune trace de coups
- ses ne serait pas toujours la preuve de sévices exercés sur les
enfants
. Ces lésions peuvent avoir été produites par les
sur les enfants. Ces lésions peuvent avoir été produites par les
enfants
eux-mêmes. ])01'. (Lucie), 11 ans, imbécillié t
ctérisent l'idiot agité. L'insensibilité parait très prononcée et l'
enfant
ne cesse de se cogner la tête, de battre les mu
lit, etc.. Malgré la sur- veillance, les capelines protectives. cet
enfant
présente sur cxx Enfants martyrs . les divers
veillance, les capelines protectives. cet enfant présente sur cxx
Enfants
martyrs . les diverses régions de la face, des
ignements fournis par le père (janvier 1895) et la grand'mé1'e de l'
enfant
(juin 1902). Antécédents héréditaires. = Antécé
dée à 19 mois de «langueur» ; l'autre en bonne santé, veuve, sans
enfant
, pas de convulsions. Dans le reste de la famille,
ine, mère de Paris). - Inégalité d'âge de 3 ans, père plus âgé. 4
enfants
: 1° 6 G ans (en 1895), intelligent, bien por-
couchement à terme, naturel, par le sommet. - A la naissance, belle
enfant
, pas d'asphyxie. Elevée au sein, qu'elle a bien
qu'on lui parlait ; était « timide », ne jouait pas avec les autres
enfants
; paraissait aimer ses parents. Elle s'asseyait
Bouche petite (i cent. 1/2), lèvre supérieure portée légère- (1) L'
enfant
Lehris ? mongolien, se met également un tailleur
faire manger. La mastication et la déglutition s'exécutent bien. L'
enfant
n'est ni salace, ni vorace ; préfère la panade,
ention est facile à fixer. La parole est limitée à quelques mots. L'
enfant
ne cherche pas à faire comprendre ce qu'elle dé
mm. Le père étant marinier, n'a pas de domicile fixe : l'un de ses
enfants
est né à Saint-Maur, un autre il Paris et notre
e s'y refusant, on signe la sortie. - Depuis son admission, cette
enfant
a fait beaucoup de pro- grès : elle prononce pl
préhension se sont développées. De mai 1895 au 26 juin 1 ! Jllli, l'
enfant
est restée d'abord avec sa grand'mère, puis ell
personne pour s'occuper d'elle seule, et qu'elle battait les autres
enfants
. Le caractère de Mer... est triste, puis brus-
des petites colères et des impulsions subites, tire les cheveux des
enfants
qui jouent avec elle, jette les objets par la f
Son père s'est remarié avec la soeur de sa première femme. trois
enfants
: 1° fille, G ans, pas de convulsions, bonne sant
traitement et douches. Etat stationnaire. Décembre. Même état. L'
enfant
mesure 1 m )2, elle devrait avoir 1 m 249, soit
thermiques, qui nous ont obligé de suspendre le traitement. Comme l'
enfant
a eu, durant celle période ('1 janvier - 9 mars
uis par une nourrice alcoolique. - Ménin- gite à 6-7 mois. Avant, l'
enfant
paraissait déjà anor- male. A un an, elle sembl
les oncles et tantes des deux côtés. Un frère, bien portant sans
enfant
. Deux demi-soeurs, en bonne santé.] Mère, 48 an
rnière congestion, mais son intelligence n'a pas baissé. Il a ou un
enfant
mort de méningite ; des deux autres, l'un a eu
e. Dans les deux familles aucun cas semblable à Mar- celle. Trois
enfants
et une fausse couche : -10 garçon, mort de méni
tête, avait perdu « pas mal d'eau le matin. » - A la nais- sance, l'
enfant
était asphyxiée, on a été obligé de la fouetter,
rte ; le len- demain une méningite très-grave s'est déclarée chez l'
enfant
; pas de convulsions. Avant la méningite, l'enfa
t déclarée chez l'enfant; pas de convulsions. Avant la méningite, l'
enfant
n'avait pas « de connaissance bien nette. » La
créa- tion, sur la pelouse, elle s'assied en tailleur. A table, l'
enfant
se tient assez bien; se sert de la cuillère et
L'mte(f/e)tce est très peu déve- loppée et correspond à cclle d'un
enfant
de 2 ans. Marcelle comprend ce qu'on lui dit, s
e large sur 9 de haut. Elle est bien membrée : « le buste est resté
enfant
», dit 32 Imbécillité mongolienne. son père.
iennes). Fi{J. 1. Évolution physique. 33 Le caractère, "resté
enfant
" s'est amélioré. Les crises d'en- têtement sont
es et trois tantes sur lesquels les renseignements manquent ; leurs
enfants
qui vivent encore n'auraient pas eu de convulsi
Bicêlre. Une saur. 50 ans, en bonne santé, mariée, mère de trois
enfants
qui n'ont jamais eu de convulsions. Pas de cons
consanguinité ; le père avait deux ans de plus que la mère. Douze
enfants
: 1° fille de 21 ans, pas de convulsions ; 2° g
ut; ni coups, ni chute n'en vinrent troubler le cours. Mais quand l'
enfant
commença à remuer ( vers le 5° mois ) il se mon
ers le 5° mois ) il se montra beaucoup plus vio- lent que les trois
enfants
qui l'avaient précédé et que les huit qui suivi
du sommet. Rien de spécial à noter. A la naissance, bon aspect de l'
enfant
qui est immédiate- ment envoyé en nourrice, et
ir percé vers dix mois; à deux ans la denti- tion était complète. L'
enfant
fit ses premiers pas à 11 mois, et marcha défin
tion de symptômes ner- veux que rien ne pouvait faire pressentir. L'
enfant
avait mis dans la poche de son pantalon, une gr
l'éclatement des amorces qui mirent le feu aux vêtements. Affolé, l'
enfant
se sauva dans le jardin, en poussant des cris d
e délire. Huit mois plus tard, à 13 ans, il eut un premier accès. L'
enfant
était dans la maison de ses parents ; on le vit
ifférent un peu des précédents. La chute s'accompagne d'un cri, l'
enfant
d'abord pâle, est ensuite cyanose ; il émet des u
21 heures. On enregistre une série toutes les semaines. L'état de l'
enfant
avant et après la série d'accès reste à peu prè
ccès reste à peu près le même, pendant un an, Une fois cependant, l'
enfant
dit à sa mère : "je sens que je vais me trouver
ordonnés, ne produisant pas d'amélioration, et l'intelligence de l'
enfant
continuant à décroitre, les parents se décident
e placer et il entre à Bicêtre le 11 janvier 1901. État actuel. L'
enfant
est un peu maigre, mais bien con- formé ; à ce
uverts d'un léger duvet. Dès les premiers jours de son admission, l'
enfant
se montra sombre, impressionnable, irascible. L
lui retient la main, maîtrise ses mouvements et le calme un peu. L'
enfant
est alors placé dans une cellule sombre et éloi
de quinze accès. Vers le matin du 17 i janvier le calme revient. L'
enfant
est alors conduit à l'infir- merie du service,
mplissent dans de bonnes conditions ; et le sommeil serait bon si l'
enfant
ne se livrait la nuit à l'onanisme. Ses pratiqu
erné jusqu'ici avec les accès, se montrent à leur tour. Bientôt l'
enfant
tombe dans une période de tristesse pro- fonde,
il redevient taciturne et refuse de participer aux jeux des autres
enfants
. Le 23 avril, à cinq heures de l'après-midi, tr
rage il se suicide, dans les conditions sui- vantes : Ce jour-là, l'
enfant
montra, dès midi, une agitation inaccoutumée, d
nent, des vertiges qui alternent avec les accès ; en quinze jours l'
enfant
n'a pas moins de 108 accès ; à ce moment son ca
s'accentue avec rapidité; la sphère morale se prend à son tour : l'
enfant
se suicide, deux ans après son premier accès. L
mineux et pèse 18 gr., ce qui est au-dessus de la moyenne pour un
enfant
de quinze ans; le thymus n'a pas encore subi de
doit abstenir Et que, dans cet état, il ne peut provenir Que des
enfants
sourds et qui ne sauraient vivre. . (MOLIÈl1E :
tableau suivant résumé la situation des pères et mères de tous ces
enfants
sous le .rapport des excès alcooliques et perme
t pour tout autre motif, nous appuyant sur l'histoire même de leurs
enfants
, nous leur recommandons d'éviter tout rapport s
s et tantes paternels et maternels, nul détail. On ne sait si leurs
enfants
ont eu des convulsions ou des affections nerveu
s nerveuses. - Deux soeurs : l'une, 45 ans, pas nerveuse ; a eu 9
enfants
dont 3 ou 4 sont morts en bas-âge, on ne sait de
être. Cet état s'aggrave, elle ne peut plus travailler. Elle a eu 2
enfants
qui sont bien portants et n'ont jamais eu de co
e, irritable. Cinq oncles et une tante pater- nels, un oncle avec 4
enfants
bien portants. Un oncle et une tante maternels
s. Pas de consanguinité. Egalité d'âge des parents. Notre malade.
Enfant
unique. - Conception, grossesse, rien à signale
ant 10 à 15 minutes et immobilité absolue (frictions énergiques). L'
enfant
se met alors à crier et à respirer. Il crie de
La mère essaie de lui donner le sein, il ne le prend pas. Quand l'
enfant
a eu cessé de crier, il est tombé dans une sort
et se levait avec secousses. Le bras droit était immobile. Comme l'
enfant
était emmailloté on ne peut rien dire sur ses m
r ses membres inférieurs. Pendant cette période de convulsions, l'
enfant
ne put prendre le sein : les lèvres ne pouvaient
ine sur la gauche. . AU mois, à l'apparition des premières dents, l'
enfant
ne cesse de crier nuit et jour. A cette époque
'enfant ne cesse de crier nuit et jour. A cette époque également, l'
enfant
est pris d'une série de crises : Il devenait vi
il redevenait normal. La mère a remarqué qu'à la fin de la crise, l'
enfant
avait les mêmes secousses musculaires qu'il ava
mbre de six, réparties sur trois jours. La raideur des membres de l'
enfant
va toujours augmentant. La tête reste constamme
t à 11 mois, dentition complète à 3 ans. Parole et marche nulles. L'
enfant
n'a jamais eu d'accès de colère. Il a grincé mo
cation nulles, occlusion de la bouche incomplète. Bave abondante. L'
enfant
tette en mangeant. Ne suce ni ses doigts, ni so
me. Odorat : Ne flaire pas ses aliments. Goût : nul. Audition : L'
enfant
n'est pas sourd mais ne prête aucune attention au
ts affectifs : nuls. Ne reconnaît pas son père. Sa mère dit que son
enfant
la reconnaissait. Il parait être heu- reux d'êt
mblements. Sommeil normal. Aucune manifestation intellectuelle. L'
enfant
n'a eu aucune maladie infectieuse, aucune fièvre
parents ne savent à quelle cause attribuer la maladie. Examen de l'
enfant
. - Étut général médiocre : enfant maigre et pâl
attribuer la maladie. Examen de l'enfant. - Étut général médiocre :
enfant
maigre et pâle. Physionomie : air hébété. Peau
e normaux. . L'examen fonctionnel de la vision n'a pu être fait : l'
enfant
56 IDIOTIE complète ; diplégie. étant idiot.
Amygdales, Luette, Pharynx : rien à signaler. Goût ? Fonctions : l'
enfant
ne mastique pas mais tette. Il n'avale très dif
plantaires exagérés. L'exagération est surtout marquée à gauche. L'
enfant
est incapable de se tenir debout. Quand on l'as
rbe à concavité gauche. Couché, cette attitude est moins marquée. L'
enfant
a beaucoup de peine à se tenir droit dans le ch
du cou, incision, pansement borique. 1902. 23 février. Rougeole : l'
enfant
est envoyé à l'iso- lement. Sorti le 25 mars.
han.. à 7 ans (1001). 58 Tuberculose ; PNEUDIO-TIiORAX. 17 mai. L'
enfant
est amené à l'infirmerie. Amaigrissement consid
ssez profond pour contenir le doigt. (Compte-rendu du service des
enfants
de l31cêtt'e de 188C, p. 14.) . 2° Dans un cas
presque pro- noncer il cet égard le nom de cyphose.» » /1° Chez l'
enfant
Pi... (Pauline), « le thorax est déformé par un
nseignements. Deux soeurs seulement, bien portantes ainsi que leurs
enfants
(un garçon et trois filles).] Mère, morte en
une femme plus âgée que lui de vingt-neuf ans, dont il n'a pas eu d'
enfants
. - l'as de soeur. Aucun autre détail.] . Pas
ais, mère de la Manche). Inégalité d'âge d'environ deux ans. Cinq
enfants
: 1° Garçon, grand, fort, intelligent, mort a v
ble- ment de nature tuberculeuse. Il s'était marié et avait eu un
enfant
mort à deux ou trois mois; 2° Fille morte à dix
'à l'âge de trois ans (' ? ). Il causait et jouait comme les autres
enfants
, dit-on. C'est à partir de trois ans qu'il s'es
cile à fixer ; il parait assez affectueux. Il s'est choisi un autre
enfant
comme ca- marade et n'aime pas que les autres e
hoisi un autre enfant comme ca- marade et n'aime pas que les autres
enfants
viennent autour de lui. Dès qu'il est habillé,
thy- roide, auraient été constatés vers trois ans; aupara- vant l'
enfant
paraissait avoir un développement nor- mal. Peu
limentation lactée et qu'elle se manifeste au sur et à mesure que l'
enfant
est soumis au l'alimentation or- dinaire. Une
que, en l'application des méthodes spéciales d'éduca- tion pour les
enfants
arriérés, au point de vue médical en toniqnes,
ètement chez les malades ordinaires et, iL plus forte rai- chez les
enfants
et surtout les idiots. Traitement thyroïdien 97
très faible, correspondant à 2°, depuis la dernière observa- tion l'
enfant
il gagné 4°. »] '. .' - ` `' ? . 1896-1902. 1
fantile : l'absence de la glabelle, mais il n'y a pas, comme chez l'
enfant
, la supériorité de diamètre métopique. Si la gl
parallèles, puisqu'on a des os dont la longueur rappelle celle d'un
enfant
en basâge, mais dont le volume est celui d'un a
avons publié que rarement, à tort, les obser- vations complètes des
enfants
idiots améliorés ou guéris. L'observation que n
d'autres, dans laquelle on suit année par année les progrès de l'
enfant
, montrera à nos lecteurs que même dans les cas
les plus graves on obtient de très sérieux résultats. Sommaire. -
Enfant
naturel. - Père, rien à noter. - Renseigne- men
arreries. 1897-1902 : Développement progressif de l'intelligence, l'
enfant
sait lire, écrire, faire les premières règles,
87, entre à trois ans à l'asile-école de Bicêtre, le 29 avril 1890.
Enfant
naturel. Antécédents héréditaires. - Renseignem
s-à-vis de la mère. Caractère calme. Il a abarrdonné la mère de ses
enfants
il y a deux ans, et serait mort, on ne sait de
e et, depuis, la mère ne l'a pas-revu. Indifférent vis-à-vis de ses
enfants
. Pas de migraines. Pas de dartres ou d'affectio
rtes jeunes de la poitrine. Une soeur, en bonne santé ; de ses sept
enfants
un est mort de convulsions ; un autre a eu des
ans de différence d'âge entre les parents (père plus âgé). Quatre
enfants
: 1° Garçon mort du croup à deux ans et demi. P
le surveillait. Il ne reconnait passa mère. Il repousse les autres
enfants
, même sa soeur. - Il ne demande pas à manger, m
l'idiotie aux convul- sions. État actuel (14 mai 1890) (Fig. 19),-
Enfant
blond, lymphatique. Pas d'adipose, d'émaciation
ive ; pas de larmoiement. L'examen fonctionnel ne peut être fait. l'
enfant
fermant' les yeux constamment d'une part, d'autre
s de lait à chaque mâchoire. - L'expression du visage indique que l'
enfant
fait la différence des saveurs. Oreilles grandes,
ROFONDE avec nanisme ET infantilisme. Pendant toute l'année 1891, l'
enfant
ne fait aucun progrès. Parole nulle. Gâte la nu
140 IDIOTIE PROFONDE avec nanisme ET infantilisme. nulle, mais l'
enfant
aime beaucoup entendre parler et chanter. Il so
). Rien à l'anus. - Lem... ressemble non à un adolescent, mais à un
enfant
. 146 Idiotie profonde avec nanisme ET infantili
sme. RÉFLEXIONS. -1. Nous n'avons,rien à relever du côté du père,
enfant
naturel, dont la famille est inconnue. - Du côté
onnue. - Du côté ma- terne), nous notons la mort du grand-père de l'
enfant
par une paralysie ducerveau, celle de la grand'
attention ne s'éveille pas, la physionomie reste idiote, on croit l'
enfant
sourd. z III. De 1890 à 1893, en raison de la t
eusement appliqué. Il ne l'a été qu'à partir du mois d'août 1893. L'
enfant
est devenu propre, la figure a offert un commen
de 1895, les tics ont diminué, puis disparu. La parole est venue, l'
enfant
a appris à se laver, à s'habiller, à manger seu
. Les sentiments affectifs, nuls autrefois. se sout déve- loppés, l'
enfant
est affectueux pour sa mère et les personnes qu
mère et les personnes qui l'entourent. En résumé, aujourd'hui, si l'
enfant
était présenté pour la première fois, ce ne ser
nt à ce qu'on ne peut pas toujours obtenir la même attention chez l'
enfant
. XII Un cas de maladie des tics; guérison;
veuve Lee..., alors âgée de plus de vingt-huit ans et qui avait un
enfant
de six ans. Ils se sont brouillés an bout de se
u'il la trou- vait trop vieille. Il s'est marié depuis et a eu deux
enfants
légi- times : une est morte, il dix-sept mois,
droyante. - Ses autres oncles et tantes, ses quatre soeurs et leurs
enfants
n'ont pas eu de maladies nerveuses ou mentales. [
nité. Inégalité d'âge de plus de onze ans (mère plus âgée). Trois
enfants
: l°un garçon mort de méningite, sans convulsions
exagérée, par comparaison avec les mouvements de ses deux premiers
enfants
. Accouchement à terme, naturel, sans chloroform
à terme, naturel, sans chloroforme, par la tête. A la naissance, l'
enfant
était petite, bien constituée, sans asphyxie, ni
étendues convulsions paraissent se réduire à des accès de colère. L'
enfant
s'est raidie, a crié, sans perdre connaissance ;
faisait en tapant du pied, en criant, gênait ou amusait les autres
enfants
) ou changer de maîtresses à cause de sa maladie
lors que les accidents rachitiques commençaient, à dis- paraître, l'
enfant
était agitée, ne tenait plus en place, trépignait
gmenté et varié dans leurs carac- tères. Voici comment la mère de l'
enfant
les décrit. V... frappait des pieds à chaque in
xécutant des mouvements de préhension, se portant au visage, etc. L'
enfant
se frotte énergiquement les paupières. Quelques
1902. Janvier. Persistance des mêmes tics et de la coprolalie. L'
enfant
fait des efforts pour se retenir; elle y parvient
écholalie. Exemples : S'il s'agissait d'une observation faite à une
enfant
, elle la répétait tout en y ajoutant un de ses
ançant son corps en avant. Un jour, en promenade, on commande aux
enfants
de ramasser des pissenlits le long de la route
t démesurément la bouche. A l'ouvroir, la maîtresse ordonne à une
enfant
de rabattre les coutures, aussitôt V... s'écrie
involontairement. Simultanément, exclamations grossières. Mai's. L'
enfant
est plus agitée, plus excitée que jamais. Ses m
d, les tics de la face. Dans les dernières qua- rante-huit heures l'
enfant
avait subi une véritable transfor- mation. 16
it saillir très nettement les lobes du corps thyroïde. Elle a eu 13
enfants
et a fait deux fausses couches. Grand- père pat
e de ma. mère et avait épousé la sceur de mon père, ils ont eu deux
enfants
, un garçon marié. Peur : Epilepsie. 163. sans
ont eu deux enfants, un garçon marié. Peur : Epilepsie. 163. sans
enfants
, une fille également mariée a eu 6 enfants, tous
r : Epilepsie. 163. sans enfants, une fille également mariée a eu 6
enfants
, tous bien portants. Trois frères, deux ont eu
é des trois n'a eu ni convulsions, ni strabisme, ainsi que ses deux
enfants
, le second a G enfants dont l'un serait strabiq
onvulsions, ni strabisme, ainsi que ses deux enfants, le second a G
enfants
dont l'un serait strabique, on ne sait s'il a e
convulsions et louche un peu; deux ne sont pas mariées; une a eu un
enfant
, mort une heure après la naissance ; une autre
eu un enfant, mort une heure après la naissance ; une autre a deux
enfants
très bien portants. Reste de la famille : pas d
consanguinité. - Inégalité d'âge de 18 mois (père plus âgé). Cinq
enfants
: 1 notre malade ; 2" un garçon, 7 ans, pas de
- Les grimaces continuaient quand même. On s'est décidé à placer l'
enfant
. L'épilepsie n'a pas été précédée de cauche- ma
taille. Marche de L'f· : PILI : PSII : . '1GÎ 22 novembre. - Cet
enfant
a eu depuis le 18 novembre 5 il 8 accès par jou
excès de boisson et des violences de son mari. Elle n'a pas eu d'
enfant
. Au niveau de la partie moyenne du cuir chevelu
ue nous avons été chargé de la section des épileptiques (adultes et
enfants
) clc l'hospice de Bicê- tre, ensuite de la nouv
nts) clc l'hospice de Bicê- tre, ensuite de la nouvelle section des
enfants
. En 1882, dans sa remarquable thèse inaugurale,
197 garçons) nous voyons : 1° Que ces 115 familles ont fourni 555
enfants
, soit- près de 5 enfants par famille ; 2° Que
: 1° Que ces 115 familles ont fourni 555 enfants, soit- près de 5
enfants
par famille ; 2° Que sur ces 555 enfants, 278 s
enfants, soit- près de 5 enfants par famille ; 2° Que sur ces 555
enfants
, 278 sont décédés, soit une mortalité de 50 0/0
une mortalité de 50 0/0. Si aux 278 décédés, nous ajoutons les 115
enfants
idiots, épileptiques, et('. (une famille a deux
ons les 115 enfants idiots, épileptiques, et('. (une famille a deux
enfants
o. (1) Compte-rendu de iJtIO, p. 131. - Duns to
Saturnisme. 179 placés à Bicêtre), nous voyons que 78 0/0 de ces
enfants
sont mortellement ou gravement impression- nés
Les troubles psychiques sont très nombreux et très variés chez les
enfants
et chez les adolescents. Pour s'en convaincre,
gnaler. Demi-soeur paternelle, migraineuse à ses époques, a eu deux
enfants
, l'un mort de tuberculose pulmonaire à 9'.I ans
e con- sanguinité. Inégalité d'âge de G ans (père plus âgé). Deux
enfants
: 1° un fils de 21 ans, intelligent, aucun acci-
gulièrementjusqu'à l'admission. Pas de traumatisme. Il y a un an, l'
enfant
est devenue triste, son visage était impassible
elle s'est surmenée pour ses devoirs. A la fin de jan- vier 1901, l'
enfant
reprend momentanément un peu d'entrain. Le 19 f
e. T.R. 3<i",8 le matin et 37°, 2 le soir. 13 mars. Même état. L'
enfant
marmotte continuellement, sans qu'on puisse sai
. Le regard est moins vague. Il faut toujours la conduire comme une
enfant
, insister pour la faire marcher, manger, asseoi
reste stationnaire au point de vue de la parole. Continuellement l'
enfant
passe la main sur son front, elle semble souffr
Ce matin elle se lève bien gaie et son raisonnement est celui d'une
enfant
normale. Sa physionomie n'est plus la même, son
dit-elle, aujourd'hui c'est fini, je veux devenir comme les autres
enfants
et ne plus penser rien. » T. R. 37°,1 et 37°,5.
enser rien. » T. R. 37°,1 et 37°,5. 3-` ? 'l-5 mars. Même état. L'
enfant
parait normale. 26 mars. L'enfant, qui était bi
. 3-` ? 'l-5 mars. Même état. L'enfant parait normale. 26 mars. L'
enfant
, qui était bien la veille, a mal dormi cette nu
le dit. - Purgatif, etc. T.R. 37° et 37 ? i. 30 mars. L'état de l'
enfant
reste stationnaire depuis plu- sieurs jours, el
t une vraie machine automatique. 'l'.It3G°,f). 2 avril. L'état de l'
enfant
reste stationnaire, elle ne nous cause toujours
a visiter. Depuis plusieurs jours, on remarque que durant la nuit l'
enfant
se lève plusieurs fois pour aller aux cabinets,
été abondantes et plutôt en avance.) QILUT2l. Depuis deux jours l'
enfant
va beaucoup mieux, elle suit les autres enfants
Depuis deux jours l'enfant va beaucoup mieux, elle suit les autres
enfants
dans tous les exercices mais très lentement, la
Purgatif toutes les semaines ; deux douches par jour. 13 avril. L'
enfant
qui raisonnait assez bien depuis le dimanche 7
ont arrivés mais je crois plutôt que c'est des surveillantes. Des
enfants
malades et diformes sont arrivée, mais il me semb
le mange proprement mais là comme ailleurs elle reste très-lente. L'
enfant
a engraissé de deux kilogr. depuis 8 jours. 2
'enfant a engraissé de deux kilogr. depuis 8 jours. 26 auril. - L'
enfant
a passé une bonne journée elle a été beaucoup p
plus clair, et aujourd'hui on constate que l'état intellectuel de l'
enfant
a fait un sensible progrès vers l'amélioration.
Au réfectoire, étant à table, Suzanne dit tout à coup « toutes les
enfants
desservent les tables, il n'y a que moi qui reste
est meilleure. (Elle marchait courbée et inclinée sur le côté.) L'
enfant
s'aperçoit qu'elle n'est plus la même, elle dit :
bonne et ne laisse rien à désirer. Grande amélioration. 18 juin. L'
enfant
va très-bien. Rien d'anormal à signa- ler dans
s les exercices des classes et de la gymnastique comme les autres
enfants
; elle travaille bien à la couture et au repassag
s. Ecole et gymnastique. 202 Mélancolie ; guérison. 21 juillet. L'
enfant
va tout-à-fait bien, elle est envoyée en congé
re (26 ans), est idiote, ni gâteuse, ni épileptique; elle n'a pas d'
enfant
(1). Sa mère parait indemne, mais sa soeur, tan
(1). Sa mère parait indemne, mais sa soeur, tante maternelle de l'
enfant
, a eu des attaques de nerfs. II. Signalons en p
ois elle suffit pour expliquer l'impressionnabilité habituelle de l'
enfant
. Elle n'a pas eu, semble-t-il, d'amourettes. En
qui avait eu une crise d'épilepsie. Cette émotion fut passagère. L'
enfant
se livrait à l'onanisme depuis une année enviro
nous avons faites soit seul, soit avec nos élèves, sur la folie des
enfants
. 1° Instabilité mentale arec perversion des ins
hoïde à 25 ans, santé délicate à la suite; céphalalgies; a perdu un
enfant
de 6 mois de la cholérine avec convulsions. Rie
me, naturel en 7 heures. Présentation de la tête. A la naissance, l'
enfant
avait plusieurs tours de cordon, ne respirait p
d'un côté. - Les parents ont remarqué, après ces convulsions, que l'
enfant
présentait de la parésie des mains. Dès qu'il a
le ne connait aucune cause défi- nie à la maladie. État actuel. L'
enfant
présente un aspect de bonne santé apparent. L'e
aires et provoqués, affaiblis. Les mains sont un peu pendantes, l'
enfant
prend à poignée. Les ongles ne sont pas rongés.
mauvais et préfère de beaucoup les mets sucrés aux mets salés. L'
enfant
ne sait ni s'habiller, ni se déshabiller seul. Il
oite, d'où la néces- sité des exercices de la main. Comme manie l'
enfant
il celle de porter continuellement les doigts à
d'un objet lourd d'un plus léger. Au point de vue du caractère, l'
enfant
est très entêté, indo- cile, turbulent, malicie
cile, turbulent, malicieux, taquin avec méchanceté pour les autres
enfants
dont il est jaloux. Il dérobe très prestement,
nd avec à propos aux questions. Au point de vue du carac- tére, l'
enfant
est toujours très volontaire, très coléreux et
toujours très volontaire, très coléreux et méchant avec les autres
enfants
qu'il griffe (1) et mord très souvent. -La marc
griffe (1) et mord très souvent. -La marche est moins titubante, l'
enfant
tombe moins souvent. 1897. J 11111'S. - Ler..
le de foie de morue, douches, etc. (Fig. 28.) 1808. '1«,jazzLier. L'
enfant
est toujours à l'isolement pour la teigne; les
eigne; les colères semblent être moins fréquentes. 1899. 25 mars. L'
enfant
sort de l'isolement guéri de la teigne. Juin.
place bien les bâtonnets. La marche est beaucoup plus assu- rée, l'
enfant
ne tombe plus comme autrefois. Traitement : Bai
ature; on entend la respira- tion normale du poumon. , 23 août. L'
enfant
sort de l'infirmerie guéri. 1900. Januier. - Le
e analogie avec celle d'un vieillard. Exercices de la langue. Cet
enfant
a beaucoup d'amour-propre, il travaille avec ar
yait de tracer quelques lignes, le crayon tombait de nouveau et cet
enfant
, avec une volonté rare, recommen- çait cinq ou
int pendant ce dernier semestre d'une sorte d'eczéma à la face, cet
enfant
, qui fait partie des malades de l'isolement pou
ecture marche de pair. Cet élève, contrairement à la plupart de nos
enfants
au début, a un désir ardent d'apprendre et se m
nt, il demande alors pardon, promet de ne plus recom- mencer. Cet
enfant
est sujet à des poussées de démangeaisons à la
roit. Nitrate d'argent et lavage de l'oeil. A cinq heures du soir l'
enfant
passe à l'isolement. Ler..., parait avoir été
à rame- ner dans sa bouche le lambeau pendant pour le manger. Cet
enfant
parait insensible il toute douleur physique. (Fiç
a bouche, semblent entrer en voie de cicatrisation. 21 juillet. L'
enfant
réussit à défaire son manchon, arra. che son pa
une hémorragie assez abondante. Après une nuit un peu plus calme, l'
enfant
paraît très affaibli et a même une syncope. Inj
ses yeux, de même que la blessure de sa lèvre, sont en bonne voie,l'
enfant
mange et boit bien, le sommeil est assez calme;
des morceaux qu'il essaye de mâcher et d'avaler. 20 octobre. Cet
enfant
revient de l'isolement à l'Ecole, mais dans un
qui l'entourent (2), envoie des coups depied aux infirmières et aux
enfants
, se frappe la tête contrôles murs, les tables, le
que le sommeil de ses camarades est complètement troublé, tous les
enfants
, petits et grands, sont épouvantés par le spect
ts, petits et grands, sont épouvantés par le spectacle qu'offre cet
enfant
dans ses crises d'agitation. 24 octobre. Ler...
ellules. Même état, agitation extrême. Il est à remarquer que cet
enfant
répond aux questions qui lui sont posées avec la
et l'on constate qu'il n'y a eu que contusion et non fracture. L'
enfant
a maigri depuis deux ou trois semaines. Aucun t
ation de pansements humides. Malgré l'état d'affaiblissement de cet
enfant
, il n'y a pas de changement dans son caractère,
il avait conservé sa connaissance. Dans la soirée, état comateux, l'
enfant
meurt le 9 décembre il 4 h. du matin sans râle.
s nulle du côté paternel, est peu chargée du côté maternel. II. L'
enfant
est né en état d'asphyxie bleue, occa- sionnée
che. IV. Malgré les conditions très défavorables que présentait l'
enfant
, et malgré les intermittences occa- sionnées pa
ive, par une plcu- (1) Ces symptômes n'ont qu'une valcurrelatice. L'
enfant
marche, parle, est propre, plus ou moins tôt su
intel- ligents (ce qui existait dans ce cas) et s'occupent de leur
enfant
. (2) C'est souvent là une lacune regrettable qu
s violentes envers lui-même surtout, mais aussi envers les autres
enfants
, quelquefois envers le personnel. Dans ses colè
source de démangeaisons qui, elles, à leur tour, ont provo- qué l'
enfant
à redoubler ses son grattage, ses égratignures,
ui, augmentant, produisait peut- être une sorte de plaisir. VI. L'
enfant
a maigri progressivement. Son poids qui était d
mère, épileptique. Sur dix grossesses, trois fausses couches, cinq
enfants
bien portants et nos deux malades. L'ainé aurai
moelle, diminution des fibres des faisceaux pyra- midaux. . Les
enfants
Lecl Edouard-René et André-Lugène, nés à Vitry-
poitrine, l'autre est en bonne santé. Il en serait de môme de ses
enfants
et de ceux du précédent. Une tante paternelle est
mariées avec les deux frères, sans accidents nerveux : l'une a deux
enfants
bien portants, l'autre a eu un enfant mort du c
dents nerveux : l'une a deux enfants bien portants, l'autre a eu un
enfant
mort du croup. Une cousine germaine maternelle,
ernels : l'aine à 75 ans, bien portant, a deux filles mariées, sans
enfants
, en bonne santé ; l'autre est mort il y a 3 moi
nerveux, avait trois de Antécédents héréditaires. 235 ses quatre
enfants
bien portants ; pas de convulsions. Le qua- tri
s quatre enfants bien portants ; pas de convulsions. Le qua- trième
enfant
, une fille, est devenue épileptique après une v
it des excès de boisson et est mort d'une fluxion de poi- trine ses
enfants
n'ont pas d'accidents nerveux.-Deuxsoeurs : l'a
l'aînée, âgée de 30 ans et demi, sans accidents nerveux, a eu deux
enfants
: une fille morte du croup, pas de convulsions,
igent ; la deuxième soeur, intelligente, pas de convulsions, a un
enfant
turbulent, entêté, qui n'a pas eu de convulsions.
érence d'âge de 5 ans entre les deux époux. (Père plus âgé.) Sept
enfants
et trois fausses couches : 1° Une fausse cou- c
DES malades. 239 On ne sait à quoi attribuer la maladie des deux
enfants
, Les parents ont vu M. Charcot qui n'a pas donn
M. Lannelongue qui n'a vu aucuue indication opératoire. État des
enfants
Lecl... le 26 juin .897. René. Etat général s
araissent surtout se pas- ser clans l'articulation de l'épaule. L'
enfant
ne peut ni s'habiller, ni se donner les soins
u du grand axe fronto-occipital, est de 121 mm. (Sur un cerveau d'
enfant
de 16 ans normal, cette longueur est d'environ
e affection doit : a) attein- dre, sans changer de forme, plusieurs
enfants
d'une même génération ; b) débuter à peu près a
même génération ; b) débuter à peu près au même âge chez tous les
enfants
de cette génération ; c) être cliniquement indé
as que nous présentons, il y a, il côté de nos deux malades, cinq
enfants
qui n'ont eu aucune affection semblable. De plu
'absence de convul- sions ni d'infection méningitique. Celui de nos
enfants
qui est mort a eu la rougeole dont l'influence
re et dater do l'enfance. C'est le cas de Duguet, observé chez un
enfant
cle 17 ans qui avait présenté uniquement des tr
mbettes qui consiste en une absence complète du cervelet chez une
enfant
morte it 11 ans et qui avait présenté aussi des
Fig. 38 - Le Clèr... en 1902. 252 Stigmates de dégénérescence. L'
enfant
gâte nuit et jour. Il ne comprend absolument rien
(Quetelet). Le nanisme est bien évident. (Fig. 3 i J. Juillet. L'
enfant
se contracture de plus en plus. Quand il est as
s réflexes est difficile il cause de la contracture. Le faciès de l'
enfant
, porte huit ans alors qu'il en a quinze. Poids :
ticules : petit oeuf de serin. Verge : 3 cm. sur 3 cm. Juillet. L'
enfant
, après avoir beaucoup maigri, a une tendance à
auditif est large, ne présente rien de particulier. Novembrc. - L'
enfant
mange moins, il maigrit depuis une quinzaine de
aigrit depuis une quinzaine de jours. (Fig. 38). 1903. Janvier. L'
enfant
a eu une syncope pendant qu'on lui donnait un b
nnait un bain. Il revient facilement à lui. T. R.35°. Pouls : 80. L'
enfant
avait continué à s'alimenter un peu de- puis no
Rien à l'auscultation des poumons. Pas de troubles digestifs : l'
enfant
est comme toujours constipé. Pas d'anorexie. 15
? P. 430, bien frappé. On consta- te quelques râles de bronchite. L'
enfant
se cachectise, geint, sans cesse, s'amaigrit.
vier. Le pouls bat de 90 il 100. Du 2 ? janvier au 1 el' février, l'
enfant
prend peu à peu une teinte cachectique et s'ama
digestif, ni du côté de l'appa- reil pulmonaire et circulatoire. L'
enfant
ne tousse plus. La température oscille entre 36
ulsations. 19 février : Poids : 10 kilos. 22 février. L'aspect de l'
enfant
est semblable « celui d'un singe ou d'un chien»
qui n'ont pour ainsi dire rien d'humain. En un mot. l'aspect de cet
enfant
est repoussant. Le visage est décharné, le fron
r.. regarde machinalement quiconque passe devant lui. Le corps de l'
enfant
est immobile : la tête seule se tourne automati
voqués sont douloureux Hypothermie. 255 et arrachent des cris à l'
enfant
. Durant ces cris, les rides de la face s'accuse
ais moins que les hanches. Les orteils sont légèrement fléchis. L'
enfant
présente de chaque côté des cinq dernières vertè-
est un peu raide, mais ou peut faire disparaître cette raideur. L'
enfant
ne tousse pas, il s'affaiblit et maigrit de jour
ents, pas de diarrhée, mais un peu de tendance à la constipation. L'
enfant
ne prend aucune nourriture solide, il boit envi
igrissement continue : il n'y a ni toux, ni diarrhée. 4 mars. - L'
enfant
s'affaiblit de plus en plus ; sa maigreur s'acc
au-dessous de la moyenne il son âge (16 ans et demi). 6 mars. - L'
enfant
prend le lait moins bien que les jours précéden
bres -Mesures de la tête. / Affection familiale. 257 8 mar.s. L'
enfant
ne prend plus que quelques gouttes de lait qui
pnée est intense, l'abattement complet. L'aspect est cadavérique. L'
enfant
meurt à cinq heures du soir, sans cri, ni râle,
imensions sont donc sensiblement celles d'un hémisphère normal d'un
enfant
de 16 ans. Cependant la forme en parait un peu
ait descendre son poids à 9 kilog., alors que le poids moyen d'un
enfant
de son âge (16 ans et demi) est de 47k. 500. Le
e tableau devrait comprendre le poids du cerveau et du cervelet des
enfants
normaux du même âge que nos décédés. Nous essai
de Paris. t887. Mme SOLLIEn (aide l'état de la dentition chez les
enfants
idiots et arriérés. Thèse de Paris. 1888. T
chro- niques et spécialement d'une terminaison fréquente chez les
enfants
, l'Idiotie. Thèse de Paris. Pison. De {'asymétr
ier (A.). Contribution à l'étude clinique de l'épi- lepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. 1893 Noir (J.). Étude sur le
couchement anormal sur le développement des troubles cérébraux de l'
enfant
. Thèse de Paris. FÈVRE (A.). Du mariage des é
U (E.). Contribution à l'étude du pronostic de l'épilepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. HASLÉ (L.). Du bromure de camp
aux. Thèse de Paris. LEBRETON. - De la sclérose en plaques chez les
enfants
. Thèse de Paris. DENIS (C.). Étude sur un cas
'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERVICE DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICÊTRE PEN
née 1895. I. Situation DU service. - Enseignement primaire. Les
enfants
de la 4° section du quartier des aliénés de l'h
s de l'hospice de Bicêtre sont répartis en trois groupes : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
nfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides ; 2" les
enfants
idiots gâteux ou non mais valides; 3" les enfan
nvalides ; 2" les enfants idiots gâteux ou non mais valides; 3" les
enfants
propres, valides, imbéciles, arriérés, instable
iérés, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots galeux, épileptiques nu non, ; mais inva
groupe est subdivisé en deux catégories. La première se compose des
enfants
idiots complets, ne parlant, ni ne marchant, co
tions, en leur faisant des frictions stimulantes, etc... En 1895, 2
enfants
ont appris à marcher (2) ; 3 ont été rendus pro
t été rendus propres (3) ; un a appris à manger seul (4). Dès qu'un
enfant
marche sans aide, il est envoyé il la petite éc
is toute la journée aussitôt que ses forces le permettent. Tous ces
enfants
sont placés sur des petits fauteuils spéciaux q
le jour. Cette installation nous servira égale- ment pour d'autres
enfants
dont l'incurabilité est reconnue et que nous so
u'ils contribuent à encombrer sans aucun bénéfice pour eux. , II.
Enfants
idiots, galeux ou non gâteux, épilepti- ques ou
gâteux, épilepti- ques ou non mais valides, (l'élite école). Ces
enfants
fréquentent la petite école confiée exclusive-
ETITE ÉCOLE. v ment à des femmes. Dans le courant de l'année, 258
enfants
y ont été inscrits. Sur ce nombre 13 sont dé- c
ctions affectées aux adultes et un a été trans- féré. Sur les 226
enfants
qui restaient à la petite école au 31 décembre
fourchette, 45 de la cuiller, de la fourchette et du cou- teau. 8
enfants
gâteux, de ce groupe, sont devenus propres (1).
enfants gâteux, de ce groupe, sont devenus propres (1). Tous les
enfants
sont exercés à la gymnastique Pichery, sauf ceu
du groupe des invalides étant infirmes, n'ont pu y prendre part. 26
enfants
de la petite école et de la petite école complé
t fait régulièrement les exercices de la grande gym- nastique. - 20
enfants
ont travaillé cette année dans les différents a
ement du gâ- tisme qui consiste à placer, après chaque repas, les
enfants
gâteux sur les sièges d'aisance que nous avons
édents ; 2° les leçons de toilette qui consistent à apprendre aux
enfants
à se laver la figure et les mains et à s'ha- bi
a également la surveillance de l'un des dortoirs où couchent les
enfants
de cette école. Aux 22 enfants qui y étaient pr
de l'un des dortoirs où couchent les enfants de cette école. Aux 22
enfants
qui y étaient présents le 1 ? janvier 1895 nous
nt cinq étaient gâteux. Mille Bonnet a en outre pour surveiller les
enfants
une infirmière et deux jeunes malades arriérées
... et .Tupi... dont elle améliore d'ailleurs l'instruction. Deux
enfants
ont été rendus propres : 1" chars.. (Victor), p
111... (Emile), ne gâte plus et son intelligence s'éveille. - Six
enfants
ont été améliorés pour la parole : .10 Bobliq..
e chaquejour, s'est améliorée, la langue est devenue plus habile. L'
enfant
dit tout plus ou moins distinctement, converse
les couleurs; - 3° Guimi... parle un peu plus distinctement; cet
enfant
passait naguère toutes ses journées à droite et à
lit sur les lèvres, dit à propos quelques petites phrases. Trois
enfants
ont appris à lire couramment. 1° Bouil... n'ava
çons orales, mais sa para- lysie l'empêche d'écrire. - Trois autres
enfants
lisent pres- que couramment. Beli.. (Charles),
nvoyé de plusieurs écoles comme absolument dépourvu. Les 7 autres
enfants
que nous avons signalés l'an- née dernière comm
t ont fait de véritables progrès sous tous les rapports. Tous les
enfants
de cette petite école complémen- taire ont été
E. IX cations de Séguin, fait faire à l'atelier de menuiserie des
enfants
, deux règles réunies à leurs extrémités par des
e est appliquée sur le tableau noir perpendicu- lairement au sol. L'
enfant
est exercé à tracer une ligne verticale dans l'
s en servons comme d'une règle ordinaire, à la droite de laquelle l'
enfant
dessine une verticale sans toutefois s'appuyer
deux verticales parallèles tra- cées à la craie, entre lesquelles l'
enfant
doit s'exercer, puis nous effaçons une parallèl
couleurs assez fran- J''if;.4. XII PETITE ÉCOLE. ches pour nos
enfants
. Nous avons ainsi, pour ne citer qu'une série :
bien trouvé de ce nouveau jouet, qui pourrait être utilisé pour les
enfants
des écoles maternelles, aussi bien que pour les
sé pour les enfants des écoles maternelles, aussi bien que pour les
enfants
arriérés de nos asiles. Cône à chevilles. - C
boules de grosseur correspondante sont placées entre les mains de l'
enfant
qui doit les faire passer par les trous. Trois
simuler à volonté telle ou telle série de trous et de présenter à l'
enfant
soit des trous d'égale grandeur, soit des trous
d'éducation de la main et de l'oeil et contribue à apprendre aux
enfants
à faire la différence entre le volume des bou-
école. nés aux leçons de choses. Durant toute la belle saison les
enfants
s'y rendent par séries, accompagnés de leurs ma
anière dont on procède pour cet ensei- gnement en plein air. III.
Enfants
propres et valides, imbéciles , arriérés , inst
ou non (Grande École). La population de cette école était de 214
enfants
au 1 cr janvier. 167 ont fréquenté les ateliers
r semaine et travaillent à l'ate- lier toute la journée. Les autres
enfants
sont répartis en quatre classes (57, 48, 38 et
es autres enfants sont répartis en quatre classes (57, 48, 38 et 42
enfants
). Du 16 janvier au 12 mars, l'Administration a
u certificat d'études qui ont eu lieu à Villejuif le 4 avril, trois
enfants
de Bicêtre (Berthel ? Rata., Belhag..) et trois
es aux écoles, mieux en mesure d'améliorer la pronon- ciation des
enfants
et de développer leur parole, nous les avons en
mme l'année précédente sous la direc- tion de M. Grandvilliers. Les
enfants
faisant partie de la société, au nombre de 46,
société, au nombre de 46, ont fait une promenade à Robinson. -Douze
enfants
choisis parmi les élèves les plus habiles en gy
e M. Landosse, instituteur, jusqu'au 1" août. Elle se compose de 18
enfants
qui ont pris part au concours de musique de Vit
nt remporté un 3° prix de lecture à vue et un 2" d'exé- cution. Les
enfants
de la fanfare ont fait une prome- nade à Robins
illet) ; ils ont prêté leur concours à la distribution des prix aux
enfants
incurables de l'hospice d'Ivry (25 juillet), à
s ont versé depuis le 1°' janvier, ce qui porte à 163 le nombre des
enfants
participant à la XI" ! Promenades et distractio
fin de 1895 était de 98. Société de jeux. - Elle se compose de 25
enfants
. Au mois de décembre 1895, ont été dépensés pou
t. A la fin de décembre l'encaisse prove- nant de la cotisation des
enfants
était de 3 fr. 50. EscWmc. A plusieurs reprises
t, M. Pény. Nous avons bientôt constaté qu'il ne s'occupait que des
enfants
les moins malades, les plus dociles, laissant a
dociles, laissant absolument de côté la très grande majorité des
enfants
. Nous avons demandé au profes- seur de s'occupe
nfants. Nous avons demandé au profes- seur de s'occuper de tous les
enfants
valides et par- lant et de nous remettre une no
re une note sur la voix et les aptitudes musicales de chacun de ces
enfants
. En dépit de nos recommandations, nous n'avons
recommandations, nous n'avons jamais pu obtenir qu'il s'occupât des
enfants
que nous lui dési- gnions et qu'il nous fournit
ment à nos instructions, il s'est occupé successivement de tous les
enfants
. Il a réparti ceux de la petite école et de la
sédait de notions sur la théorie musicale, sauf une demi-douzaine d'
enfants
appartenant à la fanfare. « Pour arriver à un b
ver à un résultat sérieux. En même temps, j'ai dû faire chanter aux
enfants
tous les degrés de la gamme musicale, dans tous
ans tous les tons, de façon à améliorer le timbre de leur voix. Les
enfants
sont ainsi parvenus à savoir lire eux-mêmes les
. Sutter ont été couronnés de suc- cès ; il a pu former un groupe d'
enfants
convenable- ment instruits au point de vue musi
obtenir une palme en vermeil, luttant avantageuse- ment avec des
enfants
des écoles ordinaires, mieux doués intellectuel
is nous lui faisons relever l'étendue et le timbre de la voix des
enfants
. Ce travail nous fournira, croyons- nous, des r
nue parfois très notablement M. Sutter a même remarqué que certains
enfants
qui avaient une étendue d'environ 13 notes n'av
ten- due de 4 à 5 notes pondant la période d'accès. Le nombre des
enfants
qui participaient à l'ensei- gnement du chant é
de 274 à la fin de l'année 1895. Promenades et distractions. - Les
enfants
de la grande et de la petite école qui sont pro
institutrices doivent donner des leçons de choses et exercer les
enfants
aux jeux de balle et de ballon. Voici l'énuméra
mprimeurs sont allés à l'Exposition de lithographie. Visites. - Les
enfants
ont reçu 9.117 visites ; les visiteurs ont été
ls apportent chaque jour à donner l'instruction professionnelle aux
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'
la Seine dans les mêmes conditions que les chefs des ateliers des
enfants
, c'est-à-dire payés il la fin du mois et logés
de Bicêtre. possède un quartier d'asile et compte à la section des
enfants
des chefs d'atelier, dont la situation est infé
Conseil général, délibère : « Les chefs d'atelier de la section des
enfants
de Bicêtre. sont t assimilés au point de vue du
e 16.607 fr. 50. Cette somme étant" déduite de celle du travail des
enfants
(31.997 fr.), il reste un bénéfice de 15.390 fr
.997 fr.), il reste un bénéfice de 15.390 fr. (1). Le travail des
enfants
couvre donc : 1° la dépense occasionnée par le
néfice de 4.890 fr. qui vient atténuer les dépenses d'entretien des
enfants
(2). Nous n'insisterons pas sur les avantages q
alades sortants. Évasions. - Elles ont été au nombre de 17 ; onze
enfants
sont rentrés ou ont été ramenés le soir même ;
; onze enfants sont rentrés ou ont été ramenés le soir même ; six
enfants
: Winch..., Loutr... (3 fois), Lefébu... et Lég
nts. Nous ne faisons figurer clans le tableau des sorties que les
enfants
qui n'ont pas été réintégrés dans la section ap
lqués. Transferts. - Ils ont été au nombre de 3, concer- nant les
enfants
Eckh ? dirigé sur Sedan, Loutr... (Ernest), sur
e mesure indigne d'un pays civilisé, quand ils s'appliquent à des
enfants
dont les parents habitent Paris mais qui sont n
s nombreuses, mais plu- sieurs familles ont préféré reprendre leurs
enfants
que de les laisser partir loin d'elles et, par
consiste à recevoir et maintenir dans les asiles de la Seine les
enfants
nés dans les autres départements, lorsque leurs
n ne récla- mant aux départements d'origine - c'est-à-dire où les
enfants
ont leur domicile de secours - que le prix de j
i humaine, si généreuse du Conseil géné- ral de la Seine envers ces
enfants
et leurs familles les laissent trop souvent ind
ns que le maintien dans les asiles de la Seine de cette catégorie d'
enfants
n'entraîne, nous le répétons, aucun surcroît de
u 31 décembre 1895. - Il restait à cette époque dans le service 519
enfants
se décompo- sant ainsi : 494 enfants idiots, im
tte époque dans le service 519 enfants se décompo- sant ainsi : 494
enfants
idiots, imbéciles ou épilepti- ques, dits alién
ssions les met- tre en regard de pesées analogues faites chez des
enfants
réputés normaux. Personnel du service en 1895.
nt pas de dortoir, sont affectées aux soins et à l'enseignement des
enfants
de la petite école. 3° Enseignement professionn
Fondation Vallée avait été aménagée pour un chiffre maximum de cent
enfants
. Or, en 1895, de même que les années précédente
es. Nous avons donc dû organiser dès le début deux groupes : 1° les
enfants
gâteuses valides et invalides; 2° les enfants p
deux groupes : 1° les enfants gâteuses valides et invalides; 2° les
enfants
propres. Enfants idiotes et gâteuses. - Elles é
es enfants gâteuses valides et invalides; 2° les enfants propres.
Enfants
idiotes et gâteuses. - Elles étaient au nombre
s sont envoyées aux classes durant une partie de la journée. Quatre
enfants
sont devenues tout-à-fait propres : Contelc...,
ut-à-fait propres : Contelc..., Glay..., La- bad..., et Montac...
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiques, etc., valides
ion. L'idéal que nous cherchons à réaliser consiste à occuper les
enfants
du matin jusqu'au soir, en variant le plus pos-
e doivent contri- buer à leur éducation. Au lever, on apprend aux
enfants
à faire leur toilette, à faire leurlit, à netto
ire leurlit, à nettoyer leur dortoir. - Aux repas, on surveille les
enfants
qui savent manger seules et on corrige leurs ma
autres à se servir de la cuiller, de la fourchette, etc. Sur 140
enfants
, présentes à la fin de l'année, 50 savent se se
illère seulement. 20, étaient incapables de manger seules. Quatre
enfants
ont appris à manger sans aide : Cantcl ? Monta
appris à manger sans aide : Cantcl ? Monta ? Wim... etMan... 120
enfants
ont fréquenté l'école et exécuté les exercices
nté l'école et exécuté les exercices de la gymnastique Pichery ; 48
enfants
font les exercices de la grande gymnastique, so
s. Les résultats obtenus sont très satisfai- sants ; la plupart des
enfants
dessinent des ohjets usuels d'après nature, ain
é chez les fillettes les mêmes difficultés que chez les garçons. 60
enfants
, divisées en trois séries, ont profité de cet e
enseigne- ment. Enseignement professionnel. - A mesure que les
enfants
se développent, on leur apprend tous les soins
des moins arriérées, aident le personnel à apprendre à manger aux
enfants
incapables de mang'cr seules et à per- fectionn
et à per- fectionner celles qui mangent malproprement. , Deux des
enfants
de la Fondation Vallée, Briss... et Jup..., son
. Le nombre cles'iï-1>lurentics a varié de 21 à 26. En outre, 20
enfants
travaillent une heure par jour et 28 une demie-
fants travaillent une heure par jour et 28 une demie- heure. - 15
enfants
savent faire complètement les layettes, 12 du c
l : XLVIII Visites. Visites, permissions de sortie, congés. Les
enfants
ont reçu 2.199 visites. Les visiteurs ont été a
témoignent de la sollicitude des familles envers leurs malheureux
enfants
. Il semblerait que, se rendant compte de la res
xuelle et pour les petites gâteuses et pour les filles pubères. Les
enfants
ont pris généralement leurs douches à la Fondat
les amuse à danser entre elles. Améliorations diverses. La cour des
enfants
gâteuses a été complètement bitumée. -Une canal
pour l'ouvroir d'un casier fait par l'atelier de menuise- rie des
enfants
de Bicêtre, etc. Teigne. - Sept enfants ont été
elier de menuise- rie des enfants de Bicêtre, etc. Teigne. - Sept
enfants
ont été soignées au pavil- lon des Contagieux d
population. - Le leur janvier 1895, il restait à la Fondation 130
enfants
se répartissant ainsi : MOUVEMENT DE LA POPULAT
sion en 1895. 'Transferts. - Ils ont été au nombre de 5, ceux des
enfants
: Loye ? Court ? lien... et Rai ? dirigées sur
Population au 'SI décembre 1895. -Il restait il la Fondation 140
enfants
se décomposant ainsi : 0 M- n t* m f
s notre rapport de 1896. Section III. Assistance et éducation des
enfants
anormaux. I. Création de classes spéciales an
lasses spéciales annexées aux écoles primaires ordiciaires pour les
enfants
arriérés. Rapport présenté A la délégation cant
eure actuelle dans ses asiles ou quartiers d'hospices plus de mille
enfants
idiots et épileptiques ainsi répar- tis : LVI
de mille enfants idiots et épileptiques ainsi répar- tis : LVIII
Enfants
arriérés. catégorie d'enfants anormaux. On peut
eptiques ainsi répar- tis : LVIII Enfants arriérés. catégorie d'
enfants
anormaux. On peut, en effet, évaluer à une cent
té d'améliorer la situation physique et mentale de leurs malheureux
enfants
. D'autres enfin, après avoir été renvoyés de di
général, dans le public, on englobe sous le nom d'i- diots tous les
enfants
qui sont, sous le rapport intellec- tuel, au-de
uelles sont conservées ou peuvent même être développées. Tous les
enfants
atteints d'idiotie, il tous les degrés, les enf
ées. Tous les enfants atteints d'idiotie, il tous les degrés, les
enfants
atteints d'imbécillité à ses degrés les plus avan
enfants atteints d'imbécillité à ses degrés les plus avan- cés, les
enfants
frappés d'imbécillité morale doivent être hospi
ns les asiles une personne suffit pour soigner et surveiller ou 8
enfants
ou même davantage. Ceux que vise la proposition
nt des surnoms blessants ; ils sont les souffre-douleurs des autres
enfants
. Leur carac- tère s'irrite, ils deviennent viol
les relever, à les perfectionner. Pour ces différentes catégories d'
enfants
, les moins- malades, qui n'offrent qu'une dimin
es méthodes et les procédés d'é- ducation des asiles-écoles. i LX
Enfants
arriérés. Nous ajouterons même que la société a
à l'usage des élèves de faible intelligence. « On n'y admet, ni les
enfants
atteints de maladies corporelles ou mentales, n
ni les enfants atteints de maladies corporelles ou mentales, ni les
enfants
cor- rompus. » Le nombre des élèves d'une class
trices des Va et VIe arrondissements à lui adresser une liste des
enfants
arriérés et indisciplinés qu'ils avaient dans leu
ésumé le résultat de cette enquête dans le tableau suivant : LXII
Enfants
AIUUERËS. En ce qui concerne les écoles materne
e négligence s'ils mentionnaient l'exis- tence dans leurs classes d'
enfants
indisciplinés ou arrié- rés. Cependant, telle q
dant, telle qu'elle est, celte enquête sommaire montre qu'il y a 83
enfants
arriérés et 49 indisciplinés des deux sexes dan
s sur ce qui se fait l'étranger, la statistique approximative des
enfants
arriérés des écoles du Ve et du VIe arrondissemen
ui ont été faits dans quelques écoles pour deux autres catégories d'
enfants
anormaux, les aveugles et les sourds-muets, nou
parait appelée il rendre de réels services à un certain nombre d'
enfants
déshérités. Voici la formule que je vous soumet
sses spéciales. LXIII ments de Paris des classes spéciales pour les
enfants
arriérés n'offrant ni perversion des instincts,
e Préfet de la Seine. II. Assistance, traitement, éducation des
enfants
anormaux (1). Au temps où nous étions conseil
ment passionné : l'Assistance, le Traitement et l'Éduca- tion des
enfants
anormaux. C'était logique, naturel, puisque tou
n- seil municipal un voeu pour l'agrandissement de la Section des
enfants
idiots et épileptiques de la Sal- pêtrière (2),
trière (2), un autre réclamant la création d'un Ins- titut pour les
enfants
aveugles des deux sexes (3) ; un troisième dema
re intitulé : Manuel pratique des méthodes d'éducation spéciale aux
enfants
anormaux {aveugles, sourds-muets, idiots, bègues,
pour les guider dans le traitement, l'éducation et le placement des
enfants
anormaux. C'est la Préface uue nous avons écrite
de la rue Lecourbe. (21 mai 1883, n° 45.) (3) Ibidem, p. 11. LES
enfants
anormaux. LXV dispensaires pour les enfants rac
3) Ibidem, p. 11. LES enfants anormaux. LXV dispensaires pour les
enfants
rachitiques (1) ; enfin, nous avons fait voter
r la construction, à Bicêtre, d'une section distincte, destinée aux
enfants
idiots et ner- veux : (2). Dans ces circonstanc
eugles; un petit service a été installé à l'hospice d'Ivry pour les
enfants
difformes et incurables; un Institut départemen
rimaire comporte l'obli- gation pour les familles de donner à leurs
enfants
l'instruction' élémentaire jugée absolument ind
ion des familles tous les moyens d'obéir à la loi, qu'il s'agisse d'
enfants
normaux ou anormaux. Des efforts considérables,
lheureusement, il est loin d'en être de même en ce qui concerne les
enfants
anormaux. La seule excuse que pourrait invoquer
ndent. Or, il n'en est pas ainsi. En effet, toutes les catégories d'
enfants
anormaux, et le livre de MM. Hamon du Fougeray
t sur la création de deux insliluts ou écoles-dispensaires pour les
enfants
rachitiques' du difformes. (11 juin 18S3, n' 55).
n' 55). (2) Rapport sur la création d'un quartier spécial pour les
enfants
idiots et épileptiques à l'hospice de Bicêtre.
e. (21 juinl883). BOURNEVILLE, Bicêtre, 1895. 1<U'* * LXVI Les
enfants
ANORMAUX. démontre d'une façon péremptoire; son
ntages des autres citoyens. Mais l'accord cesse quand il s'agit des
enfants
idiots et nerveux. Pour eux cependant, les obli
r non moins impérieux sous le rap- port social : la sécurité de ces
enfants
et la sécurité publique. Si, dans notre pays,
ine, sceptique même, au sujet du traitement et de l'éducation des
enfants
arriérés, faibles d'esprit, elle est faite, fixée
suite, avec un succès croissant, du relèvement de cette catégorie d'
enfants
anormaux, la plus importante par le nombre. C
anisation de ses établissements d'assistance, qui ne laissent aucun
enfant
ou aucun citoyen sans instruction et sans secou
ique. Les statistiques officielles des différentes catégories Les
enfants
anormaux. LXVII d'enfants anormaux sont si anci
icielles des différentes catégories Les enfants anormaux. LXVII d'
enfants
anormaux sont si anciennes ou présentent de si
renseignements qui leur sont nécessaires pour le placement de leurs
enfants
. Il faudrait enfin créer, partout où il n'y en
ncore, des asiles-écoles régionaux ou inter-départemenlaux pour les
enfant
anormaux, au lieu de les centraliser à Paris, c
possible. Pour tous, il faut intervenir vite, afin d'empêcher que l'
enfant
, plus ou moins délaissé, ne contracte de mauvai
contracte de mauvaises habitudes contre lesquelles ils LXVIII Les
enfants
anormaux. faudra lutter, en outre de la maladie
ecin, à l'éducateur.. ri) Les difficultés à surmonter pour tous les
enfants
anormaux exigent que leur éducation et leur tra
et surtout pratiques pour les instituteurs et les institutrices des
enfants
anor- maux. e) Nos auteurs insistent sur la s
e l'éclte- cation collective. Nous partageons leur sentiment. Les
enfants
anormaux. LXIX En cela, eux et nous, sommes d'a
s de l'éducation des anormaux. Tous les essais d'éducation isolée d'
enfants
arriérés que nous avons vu tenter ont exigé, po
des avantages à la coéducation des sexes pour les plus jeunes des
enfants
anormaux, à quelque catégorie qu'ils appartienn
dans la mesure de leurs forces et de l'amélioration obtenue, LXX
Enfants
anormaux. ils continueront par leur travail à d
urvoir. » , Les refermes pratiques que nous avons indiquées à Les
ENFANTS
anormaux. LXXI grands traits, d'après la lectur
Drs Hamon du Fougeray et Couëtoux, par l'exposé de la situation des
enfants
anormaux, ce qu'elle est et ce qu'elle doit êtr
ille]. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de dix ans. Quatre
enfants
: 1° Notre malade ; - 2° garçon mort à six sema
ines de convulsions internes ; à l'époque de la concep- tion de cet
enfant
, le père commettait plus d'excès de bois- son q
le père commettait plus d'excès de bois- son que lorsque le premier
enfant
a été conçu - 3" garçon mort à 8 jours de convu
accouchement à terme, naturel, sans chloroforme. -A la naissance, l'
enfant
était bien, n'avait pas d'asphyxie. - Elevé fm
nts l'ont repris à 2 ans. 15 jours après, premières convulsions : l'
enfant
avait les yeux tournés, les membres raides ; pu
uer chaque fois, mais légèrement, l'intelli- gence. Malgré cela l'
enfant
a commencé à parler un peu vers cinq ans. A cet
un peu plus saillante que la gauche. 6 Description DU malade. L'
enfant
qui, dit-on, n'aurait pas eu de convulsions depui
ête retombe jusque sur le lit. 'l'.lt. 3`J°,G. G. 2G février. - L'
enfant
n'a pas dormi cette nuit. Il n'a cessé de se re
neuse. - Aux joues la pâleur prédomine maintenant sur la cyanose. L'
enfant
demande instamment à boire. La diarrhée conti
perceptible, régulier, à 10. - T. li. 41, 3. Pendant la visite, l'
enfant
meurt sans aucune agitation, et auec sa connais
son du père n'ayant point cessé de progresser, nous voyons tous ses
enfants
suc- comber peu après, la naissance à des convu
mber peu après, la naissance à des convulsions. II. De 2 à 7 ans, l'
enfant
a eu des convulsions qui Fig. 1. 12 Idiotie e
la maladie terminale était difli- cile. L'extrême irritabilité de l'
enfant
, l'hyperesthésie cutanée, la céphalalgie intens
us auraient certaine- ment retenus si nous n'avions eu affaire à un
enfant
gâteux, et nous auraient fait pencher pour le d
fois de plus des difficultés que présente le diagnostic chez, les
enfants
idiots. . IV. Quant à la température (Fig. 1),
che à l'étude des maladies chro- niques du système nerveux chez les
enfants
. II. Idiotie méningitique ; PAR BOURNEVIIXE
eu nerveuse. - Pas de consanguinité. -Inéga- lité d'âge de 5 ans.
Enfant
petit à la naissance. - Jamais de convulsions.
oncles paternels ; cinq sont morts, un seul est survivant et a des
enfants
, tous en bonne santé. - Une tante paternelle et
es : deux n'ont rien de particu- lier ; l'un est marié et n'a pas d'
enfants
; un troisième est mort en bas-âge. - Quatre so
en bas-âge. - Quatre soeurs : trois sont mariées et deux ont des
enfants
bien portants et intelligents.] Pas de consangu
nts.] Pas de consanguinité. - Différence d'âge de cinq ans. Trois
enfants
: 10 notre malade ; 2" un garçon, 7 ans, fort e
donne les renseignements est enceinte. [En avril 1893, le père de l'
enfant
nous dit que sa femme est morte en couches de s
'enfant nous dit que sa femme est morte en couches de son quatrième
enfant
, un garçon, qui a maintenant 18 mois et semble
longtemps. Pas d'albuminurie, pas d'éclampsie. - A la naissance, l'
enfant
était petit (2 kilogr. 5) ; ni asphyxie, ni cor
cou. - Elevé au sein jusqu'à 4 mois par sa mère. A cette époque l'
enfant
est sevré et envoyé à la campagne, où il est nour
( ? ). La convalescence fut longue. A la suite de cette maladie, l'
enfant
a gardé un air d'hébétude qui ne l'a jamais qui
e spéciale suivante : elle est inclinée sur le tronc de sorte que l'
enfant
a toujours l'air de chercher par terre. Il n'a
tête fléchie sur le tronc. Il ne joue jamais seul ou avec d'autres
enfants
. Pas de rougeole, de scarlatine, ni de coqueluc
ition complète à 20 mois. Les parents attribuent la maladie de leur
enfant
à la fièvre typhoïde. En. avril 1893, le père
l aurait eu delà diarrhée. Il affirme que, avant cette maladie, son
enfant
était aussi avancé que les enfants de son âge,
rme que, avant cette maladie, son enfant était aussi avancé que les
enfants
de son âge, qu'il le connaissait ainsi que sa m
18 à 20 mois Antécédents. 17 que les parents ont reconnu que leur
enfant
était arriéré parce qu'il ne parlait ni ne marc
contrent exactement bout à bout. Les gencives sont en bon état. L'
enfant
va à la petite école. Là, on constate qu'il n'ar-
stique convenablement. L'appétit est bon, sans aucune préférence. L'
enfant
n'est ni gourmand, ni salace. Il ne bave pas. L
à ranger les assiettes et les gobelets. État actuel. - Juillet. Cet
enfant
est bien constitué. Les téguments sont colorés
au niveau de a partie moyenne ; déviation de la cloison a gauche. L'
enfant
a du coryza. L'examen de l'odorat est impossibl
25 juillet. - Traitement : Continuer les douches. . octobre. - L'
enfant
est revacciné sans succès. Il présen- te trois
le; il apporte peu d'attention aux exercices. 1892. 20 février. - L'
enfant
est envoyé à l'isolement pour une légère érupti
7°. 5 mars. - Matin : T. R. 36°, 6. - Soir : T. R. 37°. 6 mars. L'
enfant
sort du pavillon d'isolement. Juin. - Lapous...
20 Tuberculose pulmonaire ; mort. Décembre. - Durant ce semestre l'
enfant
n'a réalisé aucun progrès. Il est devenu obstin
ement. Dans la marche, la jambe gauche reste toujours en arrière. L'
enfant
se fait très bien comprendre par signes. 1893
uvrable. Testicules de la grosseur d'un oeuf de merle. 3 avril. L'
enfant
est amené à l'infirmerie. Il tousse et a la lan
8". 8 avril. - A 5 heures, du matin, après une nuit tranquille, l'
enfant
se réveille brusquement en proie à une dyspnée in
r, les sinapismes et les lotions vinaigrées, à 9 heures du matin, l'
enfant
respire de plus en plus mal, se cyanose de plus
s'éteignent. La langue est couverte d'un enduit noir et coagulé. L'
enfant
meurt sans convulsions. MÉNIN60-ENCÊPHAI..ITE ;
ulose pulmonaire. \IrNINGO-l;NCIPHALIT1J. 23 II. La maladie que l'
enfant
a eue à huit mois et qu'on a qualifiée de fièvr
tionnelle à l'âge de huit mois étant admise, il est certain que l'
enfant
a éprouvé des accidents cérébraux graves : cong
on rubéole, par Bourneville et Bricon (Compte- rendu du service des
enfants
Ve Ificifre pour 1884, t. v, p. 89. 24 MÉNINGO-
étails. - Deux frères et trois soeurs bien portants ainsi que leurs
enfants
]. Consanguinité : le père et la mère de notre m
de notre malade sont cousins germains issus de deux soeurs. Sept
enfants
: 10 garçon, 28 ans, intelligence au-dessous de
ure qu'il retrou- vait les airs; sa voix était juste et agréable. L'
enfant
ne sait ni s'habiller ni se déshabiller et mang
ensibilité générale paraît normale. - L'odorat semble émoussé car l'
enfant
respire avec la même indifférence la teinture d
bi d'altérations. - L'ouïe est normale. Facultés intellectuelles. L'
enfant
dit le nom de tous les objets qu'on lui présent
a nuit). Limonade purgative. 22 décembre. Depuis quelques jours l'
enfant
marche dif- ficilement, et paraît souffrir de l
ement augmente toujours. Langue blanche, appétit très capricieux. L'
enfant
boit iL peu près un litre de lait par jour. Dia
ctions digestives sont réguliè- res ; de temps en temp3 cependant l'
enfant
a encore de la diar- rhée qui s'arrête avec le
- Poids 2 ! Jkg.40. 19 octobre. - Depuis le commencement du mois, l'
enfant
refuse de quitter le lit. Quand on le lève do f
icule droite. L'auscultation est impos- sible à cause des cris de l'
enfant
. Le sommeil est agité, l'en- fant se réveille f
a région dorsale et du sacrum. - Malgré son mauvais état général, l'
enfant
a conservé toute sa gaité ; il a essayé même de
que; - Syphilis héréditaire; Par DOURNEVILLE et DARDEL. Sommaire.
Enfant
naturelle. Mère syphilis; Renseigne- ments insu
VILLE,), le 27 juin 1893. Renseignements fournis par la mère de l'
enfant
(10 juillet 1893). Père né au Brésil, de parent
ec sa maîtresse, il n'a pas été malade. Il aban- donna maîtresse et
enfant
alors que celle-ci était âgée de trois ans. On
et accoucha avant terme. Elle a vécu trois ans avec le père de son
enfant
, qui lui faisait subir de mauvais traitements.
ne fausse couche de sept mois, provoquée, dit-elle, par une peur. L'
enfant
avait belle apparence, n'était pas émaciée, et
de lésions cutanées. Cette fausse couche précéda la naissance de l'
enfant
que nous avons dans le service.- [Son père est
crivit un traitement que -la mère ne fit pas suivre longtemps à son
enfant
. Deux ans plus tard, elle alla consulter le Dr
IDIOTIE méningitique. aurait changé. Del... devient timide et reste
enfant
dans sa manière d'être. Elle aime beaucoup sa p
- rière les oreilles avec de l'onguent napolitain. Etat actuel. -
Enfant
très grande et bien développée pour son Age, ma
mière, mais celle de gauche parait un peu plus petite. Pour lire, l'
enfant
appro- che le livre qu'on lui présente très prè
èce de 20 centimes, traces d'une éruption furonculeuse au dire de l'
enfant
. Les réflexes paraissent plutôt exagérés. Thora
- Pansement à l'iodoforme. 7 décembre. - Sans cause apparente, l'
enfant
tombe dans un état de prostration très prononcé
gard est fixe. - La pupille gauche est plus petite que la droite. L'
enfant
devient gâteux, no veut plus se lever, ne parle
euse. On reprend le sirop de Gibet et les frictions, 1er 7Tiai's. L'
enfant
baisse beaucoup. 15 mars. - La prostration est
ée pour expliquer la genèse des maladies ner- veuses chroniques des
enfants
de notre service, est très peu considérable. Da
u qu'il faut attribuer les accès de violence, les impulsions de l'
enfant
, les mouvements choréiformcs, les troubles de l
Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par le père de l'
enfant
). Père, 39 ans, bouc;heur à l'émeri , sobre ; p
i. - Un oncle ne présente rien de particulier. - Tante mariée, sans
enfants
, bien portante ; - une autre a 5 enfants, tous
lier. - Tante mariée, sans enfants, bien portante ; - une autre a 5
enfants
, tous en bonne santé. Une tante, 25 ans, a fill
z fréquentes ; alcoolisme ; hémiplégie gauche, mariée, n'a pas eu d'
enfants
. Dans le reste de la famille, pas d'idiots, d'a
liénés, etc.]. Pas de consanguinité. - Mère plus âgée de 4 ans. 5
enfants
: f garçon, 17 ans, pas de convulsions, boucheur
remarqué qu'elle avait une cer- taine difficulté dans la marche ; l'
enfant
se buttait au moin- dre obstacle. Les crises
s ont débuté à l'âge de 8 ans. La pre- mière survint vers minuit. L'
enfant
poussa un cri rauque et perdit connaissance. El
es lèvres épaisses, petites lèvres peu développées. 8janvier. - L'
enfant
en permission, s'est brûlé la joue droite (brûl
es ; les commissures labiales s'agitèrent quelques secondes, puis l'
enfant
retomba dans le coma. Pas d'écume aux lèvres, p
e de 1891, et il s'y est ajouté des vertiges. A partir de 1892, l'
enfant
, qui avait fait quelques progrès, montre une te
lésion en foyer. Notons encore la persistance du thymus, bien que l'
enfant
fut âgée de plus de 18 ans. IV. Les cas cl'e;
Wuittiame. Ménin[/o-encéphalite chronique générali- sée che : .1ln
enfant
de 12 ans. (Archives de Neurologie, IS8 ? , tome
parait-il, et se livrait alors à des actes de violence. C'était un
enfant
trouvé, et on n'a eu aucun renseignement sur sa
onsanguinité. - Inégalité d'âge de 6 ans (mère moins âgée). Trois
enfants
: 4 un garçon venu à terme, mort d'une méningit
il a suffi de quelques frictions pour le faire crier. C'était un
enfant
assez gros ; il n'a pas eu de convulsions au mome
t duré deux mois. Malgré cela, prétend le mari, elle a nourri son
enfant
au sein jusqu'à l'âge d'un an, puis on l'a confié
e de la jambe gauche. Déjà, depuis un mois, on s'était aperçu que l'
enfant
avait la main gauche plus faible que la droite,
uve- ments des globes oculaires et raideur des membres. Lorsque l'
enfant
a pu exprimer ses sensations, il annonçait ses cr
il avait son accès. Au bout d'un quart d'heure ou vingt minutes, l'
enfant
tombait dans un sommeil profond qui durait deux
deux ou trois heures. A douze ans, les accès se sont modifiés. L'
enfant
tombait, et il prétendait que « c'était son bra
che ; écume, quelquefois incontinenco d'urine. En temps normal, l'
enfant
'semblait aussi intelligent que les autres enfa
n temps normal, l'enfant 'semblait aussi intelligent que les autres
enfants
de son âge ; il avait un caractère très doux, n
jours environ d'abord; puis leur fréquence augmentant sans cesse, l'
enfant
arriva à en avoir presque tous les jours. C'est
yon, puis à l'Asile clinique et enfin à Bicêtre. État actuel. - L'
enfant
est pâle et d'aspect chétif, plutôt maigre, et
rondie, lenticulaire, sur la tempe gauche. Tête. - Il s'agit d'un
enfant
microcéphale ; la tète, en effet, est petite, u
en à la lumière et à l'accommodation. Acuité visuelle normale ; l'
enfant
reconnaît bien les couleurs. Pas de diplopie, ni
mal, amygdales non hypertrophiées. Le goût est assez développé et l'
enfant
apprécie bien les diverses saveurs. z On note u
trace de paralysie; à gauche, il est fort affaibli et atrophié ; l'
enfant
le traîne en marohant et porte sur la pointe du p
AL. 59 de la même année, la démence est déjà presque complète : l'
enfant
ne reconnaît ni sa classe, ni ses vêtements, ni s
at général reste bon, l'appétit est conservé. 1895. 21 février. L'
enfant
entre à l'infirmerie à cause de son état de déc
l'existence d'un bec de lièvre chez deux oncles pater- nels de l'
enfant
et l'alcoolisme chez sa mère. II. L'asphyxie qu
t la température n'a pas dépassé 39° (1). - Le second a trait à une
enfant
de 10 ans, Merl., hémiplégique et atteinte d'ép
s de lésions en foyer; celui qui précède en fournit un exemple. L'
enfant
qui, Ù son entrée, possédait une intelligence à
nait au bras gauche. L'arrêt de développement de ce Assistance DES
enfants
IDIOTS. 67 .membre et du membre inférieur corre
ontraire devenus plus nombreux. Elle a évolué d'ailleurs sans que l'
enfant
, en déchéance, sesoitjamais plaint : c'estce qu
t diminué. Tableau du poids et de la taille. '68 Assistance DES
enfants
IDIOTS. chroniques de Bicêtre n'avaient pas son
elle devait contribuer à assister et traiter un plus grand nombre d'
enfants
. VII. Idiotie complète probablement congénita
els en bonne santé. Pas de tares physiques ou mentales chez leurs
enfants
. - Une SOEur, religieuse, est morte à 83 ans. - D
famille]. Pas de consanguinité. - Différence d'âge de 10 ans. Six
enfants
et une fausse couche : 1° Une fille morte à 4 m
tion, ni chloroforme; présenta- tion du sommet. - A la naissance, l'
enfant
était grosse, non. cyanosée ; pas de circulaire
e convulsions. La mastication est défec- tueuse. Pas de salacité. L'
enfant
ne bave pas, il proprement parler, mais elle re
roubles digestifs ; elle a toujours gâté. Vaccinée il trois mois. L'
enfant
n'a jamais eu de dermatoses, ni d'accidents scrof
nisme, ne grince pas des dents. État actuel (12 novembre 1892). L'
enfant
est pâle ; toute- fois, elle paraît bien portan
hysionomie douce, peu intelligente. On attire bien l'attention de l'
enfant
: elle regarde, ne comprend pas. Cheveux chatai
uant à l'examen fonctionnel de l'oeil, il n'est pas possible chez l'
enfant
. Nez camus; lobule intact; cloison et sous-cloi
olumineuses. Muqueuse buccale saine. Réflexe pha- ryngien normal. L'
enfant
fait la grimace au sulfate de quini- ne, tire l
deux bains salés par semaine ; exercices de marche. 15 décembre. L'
enfant
fait cles progrès au point de vue, do la marche
ns fièvre ; on lui donne un vomitif ; potion calmante. 1893. 11 - L'
enfant
, bien portante toute la matinée avait mangé à 1
nterne de garde pratique la respiration artificielle sans succès. L'
enfant
est décédée à 4 heures. Poids après décès : 9
vons, au point de vue de l'hériclité, l'épilepsie chez le père de l'
enfant
; -l'in- continence d'urine jusqu'à 16 ans chez
influence à la disproportion des con- joints sur la production des
enfants
arriérés. III. L'enfant paraît avoir été normal
on des con- joints sur la production des enfants arriérés. III. L'
enfant
paraît avoir été normale jusqu'à sa deuxième an
gémellarité. · Grossesse accidentée par de vives contrariétés. -
Enfant
jumeau. - A 8 mois brûlure grave du cuir chevel
en moine. - Arrestation. - Envoi à Bicêtre. - Descrip- tion de l'
enfant
. - Persistance des idées mystiques. - Amour de
t homme était bien portant au moment de l'abandon de la mère de l'
enfant
; il n'était pas alcoolique, n'avait pas de crise
-aucun épileptique, aucune malformation congénitale; la mère de l'
enfant
a 3 soeurs vivantes et parfaitement portantes. -
formes, etc.] , ' Pas de consanguinité. - Egalité d'âge. - ' Cinq
enfants
: 1" garçon né à 8 mois et demi, mort en nourrice
s la première dans la famille maternelle : la soeur de la mère de l'
enfant
a donné naissance à deux gar- cosumea ? ; une g
é naissance à deux gar- cosumea ? ; une grand'tante maternelle de l'
enfant
et une Antécédents personnels. 79 cousine ger
en bonne intelligence. Ils se sont séparés avant la naissance de l'
enfant
. - La grossesse s'est effectuée dans de bonnes
heures, aucun incident ne l'a entravé. - fol la naissance, les deux
enfants
n'offraient pas d'asphyxie et n'avaient pas de
t a été longtemps accompagnée do diarrhée. A part cet accident, l'
enfant
n'a eu d'autre maladie que la rougeole à 5 ans et
n'ont fait que s'accen- tuer pendant les 3 années qui ont suivi. L'
enfant
a passé les quatre premiers mois de cette pério
é de lui faire apprendre plusieurs métiers : tentatives inutiles, l'
enfant
maladroit et mal disposé cassait tout et ne fai
ilité tactile, douloureuse, réflexe et thermique est naturelle. L'
enfant
comprend toutes les questions et répond claire-
nent une cer- taine intensité il perd la notion de ce qu'il fait. L'
enfant
dé- clare lui-même avoir des peurs fréquentes e
d'histoire et de géographie assez étendues. 1SJ i. Déce»tbr·e. - L'
enfant
s'accuse lui-même d'être taquin, de se mettre c
t les récréations, il s'isole de ses camarades. 1895. 27 mat. - L'
enfant
entre iL l'infirmerie avec les symptômes d'une
mentionner dans toutes nos observa- tions. IV. Jusqu'à 18 mois l'
enfant
ne semble pas avoir différé sensiblement des au
8 mois l'enfant ne semble pas avoir différé sensiblement des autres
enfants
. Alors survint une brûlure grave et étendue du
portantes. - Frère, 45 ans, en bonne santé, sobre, marié, a quatre
enfants
: un est mort à 11 ans de péritonite tuberculeu
touché et n'a eu que très peur. État actuel cl février 1893). - L'
enfant
est pâle, mais a la figure pleine et est assez
lumineuse. La parole est lente. L'état intellectuel est affaibli, l'
enfant
arrive avec effort à donner la date du jour et
ès. - Les quatre premiers mois de 1894, 49 accès et un vertige. L'
enfant
est un de ceux sur lesquels on a essayé l'action
ne s'en est pas ressenti. L'intelligence n'a pas augmenté quoique l'
enfant
semble plus éveillé. Il bave moins mais cela d'
é. Il bave moins mais cela d'une façon intermittente. Le 2 juin l'
enfant
a eu 15 accès. - La température a pré- senté la
a pré- senté la marche suivante : Etat DE MAL épileptique. 93 l'
enfant
est tombé en déchéance. Néanmoins le 25 juin il p
. IL 40°, 2. - Soir : T. R. 40°, 1. 8 mat. - Matin : T. R. 39°,4. L'
enfant
meurt dans la journée. La température après la
assure-t-on, était déve- loppée, s'est affaiblie progressivement, l'
enfant
est devenu violent, grossier et a offert des pé
es circonvolutions cérébrales, idiotie et épilepsie lténeipléyiyne (
Enfant
Fit ... , Marie), p. 81, avec une ¡jr'¡i1clle : .
, Marie), p. 81, avec une ¡jr'¡i1clle : . - (2) lbid, 1880, p. 397 (
Enfant
llolll'y...1 avec 2 pl. (3) Bourneville et Bonn
empérature. - Description de la malade. 1893-1694. même étal de l'
enfant
; aucune amélioration. 1895. - Cachexie progres
s. (Renseignements fournis par sa mère le 13 juin 189 ? 2). - Père,
enfant
naturel, 47 ans, marchand de meu- bles, pas de
l'es- tomac. Les oncles et tantes des deux côtés, ainsi que leurs
enfants
, n'auraient pas eu d'affections nerveuses ou ment
adduction des bras. Pas de mouvements cloniques. Léger ster- tor. L'
enfant
est revenue vite à elle (2 à 3 minutes). A la sui
e un véri- table bonheur. » En 1890, après la mort de son père, l'
enfant
, qui avait 6 ans, a été placée à la campagne où
CRIPTION DE la malade. comprendre. Elle ne joue pas avec les autres
enfants
, s'a- muse seule pendant longtemps avec des cai
1892). - État général médiocre, ce qu'ex- plique la rubéole dont l'
enfant
vient d'être atteinte. Tête. Cheveux blonds, bi
rait due aux morsures continuelles, aux pincements, aux coups que l'
enfant
fait subir constamment ce.- régions Les ongles
'avons obtenu aucune améliora- tion. 1804. Juillet. - L'état de l'
enfant
est toujours le même; le gâtisme persiste. Elle
des colères. Dès le troisième mois, la mère s'est aperçue que son
enfant
était anormal et signale elle-même les premiers
phalile. III. Il ressort des détails que nous avons donnés, que l'
enfant
était atteinte d'idiotie complète. Outre les sy
n divorcé, il devait contribuer à l'entretien et à l'éducation de l'
enfant
; la mère ne l'a jamais revu. Il n'aurait pas e
on ne sait de quoi; l'autre est en bonne santé, sobre, marié, sans
enfant
. - Une soeur, intelligente, bien portante, mère
ans enfant. - Une soeur, intelligente, bien portante, mère de trois
enfants
, qui n'ont point présenté d'accidents névropath
et deux sam1'S morts de fièvre typhoïde ; l'une d'elles avait cinq
enfants
qui n'ont rien de particulier. Dans le reste de
etc.] Pas de consanguinité. - Inégalité d'Age de 8 ans. Un seul
enfant
: notre malade.-A la conception (plus de 7 ans
é- taient pas rares pendant l'ivresse, la mère ne croit pas que l'
enfant
ait été conçu dans ces conditions. Durant sa gros
intervention, les crises 71e7'uewses constatées plus tard chez l'
enfant
. - il la naissance, il était en état d'asphyxie.
pied droit fut bridé. Les cinq phalangettes seraient tombées et l'
enfant
souffrit beaucoup durant huit jours. La brûlure n
érie qu'au bout de trois mois. Pendant les neufs pre- miers jours l'
enfant
fut atteint de convulsions qui se succé- dèrent
te une année des abcès à répétition. - Pendant le premier mois, l'
enfant
qui souffrait et de sa tête et de son pied brûlé
e bouillon de veau. Malgré l'apparition de muguet dans la bouche, l'
enfant
récupéra assez rapidement des forces. Il fut no
a mère s'aperçut que le côté gauche était moins fort que l'autre. L'
enfant
n'avait jamais été propre jusqu'à la première c
n attribuée au forceps. (Fig. 6). Après cette première opération, l'
enfant
serait devenu, dit- on, plus propre, plus calme
par M. Prengrueber a la Maison municipale de Santé, en août 1893. L'
enfant
resta 15 jours à l'hôpital. Il serait devenu pr
touche à sa tête. On note que, depuis son entrée dans le service, l'
enfant
a cessé d'être calme ; il pousse des cris, se c
che grande, paraissant un peu déviée à droite, est entrouverte. L'
enfant
bave et crache continuellement, soit sur ses main
umons est difficile ;t prati- quer à cause des cris incessants de l'
enfant
. Les organes abdominaux paraissent normaux. - L
Rien de particulier à la région anale. Onanisme fréquent dès que l'
enfant
ne se sent pas surveillé. Les membres supérie
éveloppement. ho, z et le 5me n'en possèdent chacun qu'une seule. L'
enfant
se ¡ tient debout, marche seul, mais en traînan
agéré. La sensibilité générale est intacte dans tous ses modes. L'
enfant
paraît tout à fait inintelligent, ne prononce que
ivrognes. Notons en outre l'idiotie chez un oncle pater- net de l'
enfant
, la migraine chez sa mère et sa grand'- mère ma
t ensemble d'accidents a dû retentir sur la nutrition générale de l'
enfant
et a peut-être occasionné l'arrêt de développem
». III. Les détails consignés dans l'observation font voir que l'
enfant
était atteint d'idiotie à un degré pro- noncé :
ffaiblissement paré- tique des membres du côté gauche, etc. IV. L'
enfant
subit une première craniectomie en novembre 189
- Ecrthyma. - Tentatives multiples de strangu- lation sur plusieurs
enfants
. 1882. - Persistance de la manie de destruction
ille). Antécédents (Renseignements fournis par la belle-mère de l'
enfant
le 6 mai 18SO et complétés par son père en 1893.)
.) - Trois frè- res bien constitués, en bonne santé. Ils ont eu des
enfants
: les uns vivent et n'offrent rien d'anormal, l
l'Oise.) - Inégalité d'Age de deux ans. De ce mariage sont nés deux
enfants
: 1° Notre malade ; - 2° Un garçon, né en 1870.
De son second mariage, le père de R... a eu : 3° un gar- çon. Cet
enfant
est actuellement (1880) âgé de 14 mois. Il est
des rapports avec son (1) Il est mort phtisique en 1890. (2) Cet
enfant
est entré dans le service en 1803 On a noté tout
it assez intelli- gent, était affectueux et jouait comme les autres
enfants
. A cette époque, il devint aveugle assez brusqu
t cessé à la suite d'un traitement appliqué à l'Asile Clinique. L'
enfant
dort bien, sans rêves, ni agitation. - Il mange
le jardin sable et cailloux. Il ne pouvait fréquenter les autres
enfants
, seule la petite fille de la concierge où il habi
dehors des marches en s'accrochant à la rampe ; la mère d'un autre
enfant
, placé dans le service, nous a raconté qu'elle
- R... a tenté d'étrangler l'infirmier V... il y a deux jours, et l'
enfant
G... ce matin avec une corde qu'il avait dissim
nastique, est très propre, s'habille, ciré ses souliers. Les autres
enfants
en revenant des cabinets vont se faire reculott
entative nouvelle de strangulation, cette fois avec les mains sur l'
enfant
D... qu'on a trouvé suffocant. 1882. 11 janvier
n ne sait où. S'il a froid, il déshabille sans scrupules un au- tre
enfant
et s'approprie son tricot. 19 juin. - Etat de s
les déchirer et de s'en débarrasser. Il connait maintenant tous les
enfants
de la petite école. Il n'a plus fait de nouvell
26 mars). 1885-1886. Aucune modification notable dans l'état de l'
enfant
. 1887. Juin. - R... en raison de ses aptitudes
lage. Il a la manie de couper les cordons des chemises des autres
enfants
, ou des tabliers dont il peut s'emparer ; de les
r, le malade se livre de plus en plus à des violences vis-à-vis des
enfants
et des infir- miers. - Douches froides. Décem
l s'habille soigneusement. Il n'est pas grossier, est doux avec les
enfants
, leur parle, les caresse et les chatouille. Pas
ême et s'égratigne le visage. Il se déplait à l'école où les autres
enfants
le taquinent et comme sa surdité s'est accrue,
» ! ! A l'école, il brise tout et cherche à saisir au passage les
enfants
pour leur faire du mal. - Cette année (1893), l'u
que l'écho de racontars parvenus aux oreilles de la belle-mère de l'
enfant
, sa mère étant morte depuis longtemps ; aussi n
tatée, mais jusqu'à 28 mois, on ne remarque rien de trop anormal, l'
enfant
est arriéré, sans que rien d'inquiétant ne se r
du toucher au point d'accomplir des travaux difficiles même pour un
enfant
de son âge, intelligent et bien portant ; mais
ont bien portants. - Trois suceurs en bonne santé ain- si que leurs
enfants
; la troisième était jumelle du père de no- tre
la troisième était jumelle du père de no- tre malade. Le troisième
enfant
jumeau était un garçon mort à deux ans de convu
festations ner- veuses. Deux soeurs bien portantes, dont l'une a 12
enfants
parfaitement sains. - Dans le reste de la famil
Pas de consanguinité. - La mère a 4 ans de plus que son mari. Six
enfants
: '10 Fille morte des suites d'une chute il 5 ans
ance; - 60 garçon mort de convul- sions à 8 mois. Notre malade. L'
enfant
n'aurait pas été conçu pendant l'ivresse du pèr
de amniotique en quantité moyenne, comme a ses autres grossesses. L'
enfant
est né- petit, mais en parfait état de santé, s
choires contractu- récs ; pas de secousses ; pas de vomissements. L'
enfant
paraissait comme mort. Cet état a duré 24 heure
omme auparavant. » On assure que, de ce moment à 2 ans et demi, « l'
enfant
n'aurait offert aucune modification du caractère
n du caractère ni de l'intelligence et qu'il était comme les autres
enfants
de son âge. » A 2 ans et demi, il a éprouvé u
onçait tous les mots; sa parole était plus développée que celle des
enfants
de son âge. A partir de la aussi, il est devenu
nce aurait un peu baissé, la parole serait devenue moins libre et l'
enfant
, de temps en temps, faisait au lit. A 12 ans,
- Parole lente, très défectueuse ; on a peine à comprendre ce que l'
enfant
demande. Voix un peu gutturale. - La vue, l'odo
et affectueux. C.. recherche de préférence la compagnie des petits
enfants
avec lesquels il joue et partage volontiers les
mais est intermittent. En résumé, légère amélioration. Juin. - L'
enfant
travaille assez bien, semble plus éveillé. Il g
se limite progressi- vement. Le gâtisme est à peu près constant. L'
enfant
maigrit. (Voir le tableau du poids.) 152 Desc
ption du malade. - L'état général est devenu encore plus mauvais. L'
enfant
pâle, maigre, a l'aspect cachectique. Tête. -
ment, les convulsions chez une soeur et un frère du malade. II. L'
enfant
parait avoir été tout-à-fait normal jus- qu'à d
e ces symptômes détermine la mère iL récla- mer le placement de son
enfant
et le médecin qui donne le certificat, le Du Ch
Bien que la situation fut grave, nous avons es- sayé de remonter l'
enfant
physiquement et intellectuel- lement. De l'admi
obtenu un arrêt dans l'évolution de la méningo-encé- phalite et l'
enfant
s'est réellement amélioré. Il est pro- 1 MÉNIN&
ne trace de synostose. Toutes les sutures persistent et, bien que l'
enfant
eût SEIZE ans, la suture 7)îétol)iqite était vi
artère iliaque interne. 164 IDIOTIE : malformations congénitales.
enfant
: 1° la persistance du trou de Botal, à un degré
un degré prononcé, malformation qui est loin d'être rare chez les
enfants
atteints de l'une ou l'autre des formes d'i- di
et que nous avons reproduite dans le Compte-rendu du service des
enfants
de Bicêtre pour l'année 1889 (tome x, page 172),
- ble, correspondant à 2 degrés, depuis la dernière observation l'
enfant
a gagné 4 degrés.] (PL. 0, tracé n° 1.) OSS. II
aie de courir ; elle devient espiègle et fait des niches aux autres
enfants
il y a quelques jours, elle a voulu jouer à cac
rtes avec un petit bâton à la main dont elle donne un coup à chaque
enfant
qui passe. Prise sur le fait, elle prétend que
84 Thérapeutique. devenue bien plus claire et a gagné en étendue. L'
enfant
qui, le 14 juin, n'avait qu'une étendue de 6 no
ioration obtenue. ; OBS. III. Idiotie myxoedémateuse. SOMMAIRE. -
Enfant
naturelle. - Père, sobre, caractère - sournois
sance, bonne santé apparente. - Aucun renseignement précis sur l'
enfant
jusqu'à son admission. - Dentition imparfaite e
1894 à la Fondation Vallée. Renseignements fournis par la mère de l'
enfant
(le 6 sep- tembre 1894). La malade est une en
ar la mère de l'enfant (le 6 sep- tembre 1894). La malade est une
enfant
naturelle. - Père, valet de chambre, a eu des r
qui il avait promis le mariage, trois mois après la naissance de l'
enfant
. - Aucun rensei- gnement sur sa famille. Mère
philis. Bien qu'elle se soit mariée il y a 10 ans elle n'a pas eu d'
enfant
. Son père, menuisier, buvait la « goutte » tous
à 3 ans. - Ses trois soeurs seraient bien portantes ainsi que leurs
enfants
. - Les grands- parents paternels et maternels s
à l'incendie. Ce n'est qu'un mois après qu'elle a senti remuer son
enfant
: « elle n'a jamais remué beaucoup. » Ni envie
au sein par sa mère durant un mois puis placée chez une soigneuse d'
enfants
(nourrie au lait de vache). Elle l'a visitée to
avant son départ pour Paris, ayant su que la gardeuse donnait à son
enfant
de l'eau de pavot dans son lait et lui faisait
l'a repri- se et placée chez sa tante paternelle (grand' tante de l'
enfant
) Alors elle n'avait que deux dents, était petit
te étant morte « de vieillesse » (75 ans), sans accidents nerveux l'
enfant
a été ramenée à Paris par une ses tantes matern
jours avant d'être placée il la Fondation. Elle a remarqué que son
enfant
ne marchait pas seule, qu'elle était très colér
u'elle ait jamais eu de chute du rec- tum. Elle avait déclaré que l'
enfant
était propre, cependant il lui est arrivé de gà
sez longs et assez fins et plus doux au toucher que chez les autres
enfants
myxoedémateux. Au voi- sinage du front et des t
èrement obtuse, ce qui tient peut-être à l'état intellec- tuel de l'
enfant
. Elle est très sensible au froid (1) Digestion.
demeurer assise. La physionomie est douce, mais sans expression. L'
enfant
répète le nom d'un grand nombre d'objets, répon
rois cas d'idiotie myxoedémateuse. 193 Voix. Avant le traitement, l'
enfant
avait une voix très fai- ble comme timbre et oo
uatre notes). Le 1 4 juin, la voix est plus sonore. Le 24 juillet l'
enfant
a gagné trois notes, une en bas, deux en haut (
ané, d'où la cachexie pachyderme- - (1) Compte-rendu du service des
Enfants
de Bicctre, pour 1889, t. XI, p. 106, etc. (2
ultats qu'a donnés à l'au- teur la médication thyroïdienne chez les
enfants
? 7H/.\'o"dëmatet;\'; la seconde à ceux que le su
; la seconde à ceux que le suc thyroï- dien lui a procurés chez des
enfants
« en arrêt plus ou moins complet de croissance
r une autre cause que le ? 7H/ce< : mc. » En ce qui concerne les
enfants
myxoedémateux, M. Hertoghe a résumé les résulta
0 filles, imbéciles ou épileptiques, se rapprochant plus qu'eux des
enfants
ordinaires. 3(ycedémale2,a. 206 Action DE la
ls-peu intelligents qui ont servi chez leurs frères et soeur, pas d'
enfants
]. Mère, quarante-huit ans, bien portante, pas d
cancer du sein, très intelligente, pas d'accidents nerveux, pas d'
enfants
quoique mariée ; l'autre soeur célibataire. Dans
aliénés]. Pas de consanguinité; inégalité d'âge de six mois. Six
enfants
et deux fausses couches : 1" et 2° jumeaux (gar-
ement à terme, naturel, sans chloroforme. - A la nais- sance, belle
enfant
, pas d'asphyxie, a crié de suite. Élevée au sei
use. C'est vers onze ans que les spasmes firent leur apparition ; l'
enfant
prenait à cha- que instant un nouveau tic .Pas
aussi accentués. A chacun de ces spasmes la physionomie change : l'
enfant
baisse la tête, fronce les sourcils et rejette
es parents, le sommeil n'est pas toujours tranquille. Il arrive à l'
enfant
, la nuit, de bavarder sans qu'on puisse compren
sent avoir pris une nouvelle expression. A tout bout de champ, l'
enfant
pousse un cri que l'on pourrait écrire « péAn.J »
cri « hirch » précédé d'une forte aspiration. 1894. Janvier. - L'
enfant
se développe, elle épaissit, mais ne grandit pa
re mousser et à s'en barbouiller toute la figure. Durant ce mois, l'
enfant
à été très excitée, les spasmes sont fréquents,
infirmières. En classe, pas de progrès. Mai. - Même traitement. L'
enfant
se plaint de douleurs lombaires, de la sensibil
s réguliers, fait de petites additions avec retenue. Février. - L'
enfant
ne crie plus, les mots grossiers sont de plus e
Amélioration considérable. 215 .Va ? - Ni cris ni mots grossiers. L'
enfant
devient raison- nable et même prévenante; ses m
n'y a que la gymnastique qu'elle ne fait pas avec plaisir. Juin. L'
enfant
nst de plus en plus gentille, elle est sen- sib
ait de plus en plus rarement. En classe l'écriture est meilleure, l'
enfant
lit couramment, fait seule des lettres à sa fam
ar les parents de Marie-Louise, en octobre 1895, nous annonce que l'
enfant
« va de mieux en mieux, et contente tout le mon
ais, en effet, on n'a noté de convulsions. Dès la première année, l'
enfant
était en retard par rapport à ses soeurs. Ce n'
rendirent un compte exact de l'arriération intellec- tuelle de leur
enfant
. III. L'enfant fut mise en pension, mais, ainsi
te exact de l'arriération intellec- tuelle de leur enfant. III. L'
enfant
fut mise en pension, mais, ainsi qu'il advient
ion considérable. : il i nativement; l'intelligence se développe, l'
enfant
arrive à lire et écrire couramment, à compter j
des lettres pour ses parents. Marie-Louise devient, en un mot, une
enfant
presque ordinaire, se plaisant aux occupations
r lieu sur les avantages qu'il en a retirés « dans les maladies des
enfants
et les accidents dus à la dentition. » Après av
à essayer ce remède vraiment bon dans la période de dentition des
enfants
. » Quelques citations résumeront ce travail et
les opiacés et, de cette façon, ils sauveraient un grand nombre d'
enfants
qui, autrement, sont perdus.» III. - D'après M.
u sommeil (rêves fatigants, cauchemars). Voici un autre fait : Un
enfant
de. notre service, Dcclez..., âgé de 12 ans, av
gent, violent; traumatisme céphalique antérieur à la naissance de l'
enfant
et suivi d'aliénation mentale. Grand' oncle pat
e amélioration, nous n'osons dire une guérison complète, bien que l'
enfant
n'ait eu ni accès, ni vertiges depuis un an, ca
ence se développe et que le caractère se modifie avantageusement, l'
enfant
étant moins violent et moins grossier. » L'amél
cêtre. I. Situation du service. Enseignement pri- maire il ! 1°
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
Enfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides m 2°
Enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épi- leptiques ou
Boîte à trous xn Leçons de choses : tableau roulant........ xn
Enfants
propres et valides, imbéciles, arrié- rés, inst
fs d'atelier à la pension de repos xxiv Evaluation du travail des
enfants
......... xxv III' Statistique. Mouvement de la
ation du service. Enseignement pri- maire xliv Encombrement xuv
Enfants
idiotes gâteuses xliv Enfants idiotes, imbécile
ri- maire xliv Encombrement xuv Enfants idiotes gâteuses xliv
Enfants
idiotes, imbéciles, etc., : enseigne- ment prat
'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERVICE DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIERES DE BIGÈTRE PEN
année 1894. I. Situation DU service. Enseignement primaire. Les
Enfants
de la 4° section du quartier des aliénés de l'h
s de l'hospice de Bicêtre sont répartis en trois groupes : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
nfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides ; 2° les
enfants
idiots gâteux ou non mais valides ; - 3° les en
lides ; 2° les enfants idiots gâteux ou non mais valides ; - 3° les
enfants
propres, valides, imbéciles, arriérés, instable
iérés, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots gâteux, épileptiques ou non, mais invali
ons, en leur faisant des frictions stimulantes, etc.. En 1894, un
enfant
a appris à marcher (2j ; et 3 ont élé rendus pr
pris à marcher (2j ; et 3 ont élé rendus propres ! .3). 1 Dès qu'un
enfant
marche seul, il est envoyé à la petite écolo, d
ute la journée aussitôt que ses forces le permettent. Tous 's ces
enfants
sont placés sur dos petits fauteuils spé- ciaux
de soins hygié- niques et devraient former un groupe spécial. II.
Enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou
on gâteux, épilep- tiques ou non mais valides (Petite école). Ces
enfants
fréquentent la petile école confiée exclusive-
fiée exclusive- ment à des femmes. Dans le courant de l'année 245
enfants
y ont été inscrits. Sur ce nombre G sont décé-
ole, 2 sont passés aux adultes et 2 ont été transférés. Sur les 213
enfants
qui restaient à la petite école au 31 décembre
fourchette, 58 de la cuiller de la fourchette et du cou- teau. 0
enfants
gâteux, de ce groupe sont devenus propres (5).
. 0 enfants gâteux, de ce groupe sont devenus propres (5). Tous les
enfants
sont exercés à la gym- (I) Voir dans le Compte-
oupe des invalides et étant infirmes, n'ont pu y prendre part. 10
enfants
de la petite école; et 5 de la petite école com-
t suivi régulièrement les exercices de de la grande gymnastique. 15
enfants
ont travaillé cette année dans les différents a
itement du gâtisme qui consiste à placer, après chaque repas, les
enfants
gâteux sur les sièges d'aisance que nous avons
cédents; 2" les leçons de toilette qui consistent à apprendre aux
enfants
à se laver la ligure et les mains et à s'ha- bi
er plus facilement aux exercices de l'enseignement de la parole. 22
enfants
lui ont été confiés dont 6 gâteux. Elle est aid
onnier qui a également la sur- veillance du dortoir où couchent les
enfants
. De plus, nous avons donné à M"1" Bonnet, penda
à la Fondation Vallée, Adeline B.... Dans le courant de l'année, 5
enfants
ont été rendus propres (2) ; 7 enfants qui ne s
ans le courant de l'année, 5 enfants ont été rendus propres (2) ; 7
enfants
qui ne savaient pas lire ont appris (1) Voir Co
l... Lauren ? Lemaîtr. vi Petite ÉCOLE. à lire couramment (1) ; 6
enfants
ont été notablement améliorés au point de vue d
urd'hui les mêmes éléments de travail que la petite école. Pour les
enfants
de cette petite écolo et les enfants teigneux,
que la petite école. Pour les enfants de cette petite écolo et les
enfants
teigneux, il a été installé 6 paires d'échelles
net et de leur rendre compte des servi- ces qu'elle rend aux petits
enfants
do Bicêtre. Cette dame a deux de ses enfants pl
u'elle rend aux petits enfants do Bicêtre. Cette dame a deux de ses
enfants
placés dans ma section. Afin de se rapprocher d
ans ma section. Afin de se rapprocher d'eux et de rendre aux autres
enfants
déshérités une partie du bien dont les siens bé
dresser à M"10 Bonnet. M ? Bonnet se retire vivement émue. » III.
Enfants
propres et valides, imbéciles, arrié- rés, inst
Poviao ? et Robi. Procédés d'enseignement. vif école était de 122
enfants
au l"r janvier : etilo 214 au 31 décembre. 128
dos sous-multiples (Fig. 1) ; un appa- reil destiné à apprendre aux
enfants
à souffler (Fig. 2), Procédés D'ENSEIGNEMENT. I
ne rainure que l'on peut incliner plus ou moins et sur laquelle l'
enfant
, en soufflant, pousse une hille de liège, une b
le certificat d'études qui ont eu lieu à Villejuif, le 15 avril, 3
enfants
ont obtenu leur certificat d'études (1) ; à la
mesure d'améliorer la prononciation et de développer la parole des
enfants
, nous les avons envoyés successivement et par s
d'une façon sérieuse à la partie pédagogique du trai- tement des
enfants
. Fanfare. Le nombre des enfants faisant partie
e pédagogique du trai- tement des enfants. Fanfare. Le nombre des
enfants
faisant partie de la fanfare dirigée par M. Lan
). La cotisation mensuelle est de 0 fr., 50. Il a été versé par les
enfants
la somme de : Procédés d'enseignement. xi L
don de 30 francs pour achat de livres. Société de gymnastique. Les
enfants
ont créé entre eux une petite société de gymnas
nastique dont nous avons souvent cité le zèle et le dévouement. Les
enfants
ont pris part au concours interscolaire d'Issy
l ne s'est jamais occupé, et encore d'une façon incomplète, que des
enfants
les plus tranquilles. L'enseignement du chant a
xn Procédés d'enseignement. Société de jeux. Elle se compose de 24
enfants
; à la fin de 1894 il restait en caisse 34 fran
aisse 34 francs 70. Outre les jeux donnés par l'Administration, les
enfants
se sont procuré des jeux do dames, dominos, tri
ministré de Bicêtre donnant des leçons d'escrime à quelques-uns des
enfants
. Bien que nous ne trouvions pas cet exercice sa
s pas cet exercice sans dangers, ni d'une utilité sérieuse pour les
enfants
, nous n'avons pas voulu le supprimer. Depuis ce
e du fort do Bicêtre est venu régulièrement donner des leçons aux
enfants
. Danse. Les exercices de .danse qui sont sans
nuit ; de cotte façon elles seraient chaudes lors de l'arrivée dos
enfants
. Quant aux dor- toirs, il est indispensable que
produits dans les derniers hivers. Promenades et distractions. Les
enfants
de la grande et de la petite école qui sont pro
les insti- tutrices donnent des leçons de choses et exercent les
enfants
aux jeux de balle et de ballon. Voici les diffé-
ur de l'an, les déguisements du mardi-gras et de la mi-caréme (1 20
enfants
) suivis d'exercices de danse en commun avec les
a Sibérie par les employés de l'économat et de la direction ; 300
enfants
ont assisté à une-représentation dans un cir- q
s sont allés à un xiv Visites ET permissions. théâtre forain. Les
enfants
de l'imprimerie ont fait une promenade à Joinvi
et un bas-relief en biscuit comme prix d'en- semble. Visites. Les
enfants
ont reçu 9.370 visites. Les visiteurs ont été a
otre maître serrurier Bénard qui, depuis 11 années, avait rendu aux
enfants
des services aussi dévoués qu'intelligents. Il
ls apportent chaque jour à donner l'instruction professionnelle aux
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'
16.607 fr. 50. Cette somme étant déduite de celle du travail des
enfants
(27.588 fr. 50) il reste un bénéfice de 10.981
d'architecture, M. Delayaye, et par M. Bru, économe. Le travail des
enfants
couvre : 1° la dépense occasionnée par le salai
n. xxi Transferts. Ils ont été au nombre de huit concer- nant les
enfants
Marti..., Au thi..., Davi..., Vermeul..., Carri
rié..., Barthélém..., Maupi..., Roussi.... Ils s'appli- quent à des
enfants
dont les parents habitent Paris, mais qui sont
us nombreuses, mais, plusieurs familles ont préféré reprendre leurs
enfants
que de les laisser partir loin d'eux, et par co
ui consiste à recevoir et maintenir dans les asiles de la Seine les
enfants
nés dans les autres départements, lorsque leurs
s. La mesure si humaine, si généreuse du Conseil général envers les
enfants
et leurs famil- les, les laissent trop souvent
ns que le maintien dans les asiles de la Seine de cette catégorie d'
enfants
n'entraîne aucun surcroit de dépenses pour les
on au 31 décembre 1894. Il restait à cette date dans le service 526
enfants
se décomposant ainsi : 501 enfants idiots, imbé
cette date dans le service 526 enfants se décomposant ainsi : 501
enfants
idiots, imbéciles ou épileptiques, dits aliénés
as de dor- toirs sont affectées aux soins ot à l'enseignement des
enfants
de la petite école. 3° L'Enseignement professio
iles à bien surveiller. Pendant presque toute l'année, il y a eu 30
enfants
en plus du chiffre réglementaire. L'organisatio
ues. Or, on compte à la Fondation 30 épileptiques et 42 gâteuses.
Enfants
idiotes et gâteuses invalides. Nous n'entrerons
nous avons pu faire nommer sur place lr0 infirmière. En plaçant ces
enfants
gâteux sur des sièges spéciaux à des heures rég
mbres, les exercices des jointures contribuent au développement des
enfants
et aident à leur apprendre à marcher. Aussitôt
es enfants et aident à leur apprendre à marcher. Aussitôt que ces
enfants
marchent seules, quoique gâteuses, elles sont e
omplétées par des promenades dans le domaine et les environs. Les
enfants
assistent à toutes les opérations du jardinage,
et des fruits. L'idéal que nous poursuivons, c'est d'occuper les
enfants
du matin jusqu'au soir en variant le plus possi
oivent contri- buer à leur éducation. Aux repas, on surveille les
enfants
et on s'efforce de leur apprendre à manger seul
orce de leur apprendre à manger seules et convenablement. Sur 130
enfants
que nous avions en fin d'année, 48 savent se se
er seules. Dol... et Bossug... ont appris à manger sans aide. 117
enfants
ont fréquenté l'école et participé aux exercice
mes entré l'an dernier sur les moyens employés pour apprendre aux
enfants
à boutonner, nouer, lacer, agrafer, se désha- b
xl Traitement ET éducation de la digestion. dans l'éducation de nos
enfants
. Si l'hygiène de la nutrition est indispensable
ns cette fonction. Dans le degré le plus prononcé de l'idiotie, l'
enfant
peut être absolument incapable de se servir en
as d'une façon normale, et comme conséquence nous constatons chez l'
enfant
soit une constipation persistante, soit une déf
règl.3 est « de leur ilonner la nourriture qui convien- drait à un
enfant
ordinaire du même âge et de la même constitutio
habitude déplorable peut avoir encore pour conséquence d'alourdir l'
enfant
au lieu de l'é- veiller et de le conduire à un
n. En ce qui concerne ce point particu- lier, il faut apprendre aux
enfants
à boire en se ser- vant de gobelets et de verre
viande bâchée, ou coupée en petits morceaux. On ne pressera pas l'
enfant
; on lui mettra dans la bouche une même quantit
a digestion stomacale en béné- ficiera. De plus, on fait perdre à l'
enfant
les habitudes de gloutonnerie, et on le préserv
à son début, car si on laisse cette habitude s'enraci- ner chez l'
enfant
, elle se montrera indistinctement à tout instan
se montrera indistinctement à tout instant du jour, même lorsque l'
enfant
sera dis- trait. Il faut donc s'en occuper dès
Pour la faire disparaître il est de toute nécessité de prendre l'
enfant
aussitôt la dernière bouchée avalée ; de l'occu
r tout ce qui a rapport à la défécation. Afin de provoquer chez l'
enfant
des selles à une heure régulière, il est nécess
s de la journée il faudra provoquer plus souvent l'urination de l'
enfant
et aussi tenir compte des habitudes qui ont été
e et Scglas. Eluda sur le Méricusme, iCompte-rendu cite service des
enfants
idiots de Bicêtre pour l'année 1893). xlvi Trai
tout de la miction, il convient d'observer très attentivement les
enfants
, de noter pendant un certain nombre de jours, l
iquides ou solides et, d'après le tableau ainsi dressé, de placer l'
enfant
sur le vase ou sur le siège. Grâce à ces précau
tat, et à éviter que l'en- fant ne se souille, d'où avantage pour l'
enfant
et éco- nomie pour la famille. Il faut aussi ob
l'enfant et éco- nomie pour la famille. Il faut aussi observer les
enfants
pour se rendre compte si le besoin de la mictio
uelconque, et en profiter pour les mettre sur le vase. Bien que l'
enfant
soit assez développé pour aller seul au siège,
du jeu, lorsque le besoin demandera une satisfac- tion immédiate, l'
enfant
, pour ne pas se déranger, se laissera aller et
ns eu cependant plusieurs fois l'occasion d'attirer l'attention des
enfants
sur la mécanisme de la respiration, afin de les
l'incrtie du sujet. C'est pour cela que, plus que pour tout autre
enfant
, les leçons en plein air présentent de sérieux
ix des moins arriérées aident le personnel à apprendre à manger aux
enfants
incapables de manger seules et à perfectionner
nc. Total : 2.383 francs ; soit 101 francs de plus qu'en 1893. 20
enfants
savent faire la layette, 15 du crochet, 15 save
e de la tapisserie. Visites, permissions de sortie et congés. Les
enfants
ont reçu 2.101 visites. Les visiteurs ont été au
tout médecin digne do ce nom doit veiller à l'hygiène sexuelle. Les
enfants
vali- des vont prendre leurs douches dans la se
enfants vali- des vont prendre leurs douches dans la section des
enfants
de Bicêtre et les enfants invalides les prennent
prendre leurs douches dans la section des enfants de Bicêtre et les
enfants
invalides les prennent à la Fondation même où l
nsi que leurs félicitations à Mrao Bru. » Maladies épîdémiques. L'
enfant
Gauche... ayant lu Mouvement de la population.
cté la variole a été soignée au pavillon d'isole- ment. Deux autres
enfants
, Robine... et Voila... ont été traitées pour la
la rubéole; ces trois cas ont été suivis de guérison. Teigne. Les
enfants
Le Gall..., Dentrou..., Lapor..., Picho..., et
la population. Le 1er janvier 1894, il restait à la Fondation 131
enfants
se répartissant ainsi : DÉCÈS. LUI Tableau
évasion en 1894. Transferts. Ils ont été au nombre de 5, ceux des
enfants
: Rainer... dirigée sur l'Italie ; Péchen... sur
ré. Population au 31 décembre 1894. Il restait à la Fondation 130
enfants
se décomposant ainsi : - Personnel DU service.
obtenus pour l'amélioration et la guérison d'un certain nombre des
enfants
. II. Rapport sur le projet définitif pour la
d'aisance à effet d'eau automa- tique, tout à l'égout, sans que les
enfants
aient rien à manier. M. l'architecte donne en
aire et deux cabinets pour les couchettes roulan- tes destinées aux
enfants
: près de la 5e classe deux autres Agrandisseme
sé la disposition que nous avons fait prévaloir dans le service des
enfants
de Bicêtre et à la Fonda- tion Vallée. Cette di
te disposition est. d'ailleurs, encore plus utile quand il s'agit d'
enfants
: leurs lits se trou- vent ainsi mieux séparés,
ectement dans les dor- toirs, afin de faciliter la surveillance des
enfants
quand ils vont aux cabinets. Adopté. La piè
é. DEUXIEME PARTIE Méthode d'observation et procédés d'examen des
enfants
idiots et arriérés. Bourneville, Bicêtre, 189
e la médecine, que nous employons ou faisons dans notre service d'
enfants
nerveux de l'hospice de Bicêtre. Vous qui nous
Question de M. Deville au sujet des expériences pratiquées sur les
enfants
dans certains services de l'Assistance publique
question de M. Deville au sujet des expériences pratiquées sur les
enfants
dans certains services de l'Assistance publique.
s observations expérimentales sur les or- ganes de puberté chez les
enfants
. Les termes de ce procès- verbal indiquent qu'u
stigations à Cempuis, et qu'il nous convenait d'interroger soit les
enfants
qui sont encore à l'orphelinat, soit les jeunes
este, de ceux qui pensent que l'on ne doit pas plus questionner les
enfants
que les examiner avec indiscré- tion. M. Gréb
Deville.- Je ne fais aucune difficulté de rendre justice Examen DES
enfants
de Bicêtre. 7 en cette circonstance à M. Robin
nous renseigner sur les faits qui se produisent dans le service des
enfants
assistés de Bicêtre. M.Paul Strauss. Dans le
enfants assistés de Bicêtre. M.Paul Strauss. Dans le service des
enfants
idiots. M. Deville.- Ceci m'amena à me préoccup
sont émus parfois en raison des indications et des figures que les
enfants
pouvaient y trouver. Dans l'article qu'il a pub
organes génitaux, sont consignés avec soin, tous les ans, pour les
enfants
au-dessous de 12 ans, tous les six mois pour le
, pour les enfants au-dessous de 12 ans, tous les six mois pour les
enfants
au-dessus de cet âge. Ces examens, renouvelés p
ragraphe que vous avez lu (1) Bourneville. De l'examen physique des
enfants
idiots. (Progr. métl., t. XX, 1891, p. 411).
s enfants idiots. (Progr. métl., t. XX, 1891, p. 411). Examen des
enfants
a Bicêtre. 9 . précédemment, M. Deville, vous a
quelquefois même des affections contagieuses. Un certain nomîjre d'
enfants
sont atteints d'hypospadias; la miction se fait
chaque cas pour donner des instructions spéciales et empêcher que l'
enfant
ne soit puni pour des accidents dus à son infir
compte les périodes de six mois ou d'un an du jour de l'entrée de l'
enfant
, ce qui explique des examens analogues très fré
tel, par conséquent, le développement des organes génitaux chez les
enfants
idiols, épileptiques et arriérés. Nous indiquon
les six mois au moment du certificat ou rapport semestriel pour les
enfants
au-dessus de 12 ans, une fois par an pour les e
riel pour les enfants au-dessus de 12 ans, une fois par an pour les
enfants
au-dessous de 12 ans. Cela sulfit. 10 Question
Vallée depuis 1890, n'ont jamais causé aucun trouble moral chez ces
enfants
, ni provoqué de mau- vaises habitudes. C'est au
nstater ces mauvaises habitudes, d'en faire connaitre le danger aux
enfants
, de leur donner des conseils, aussi et surtout
ion que par la lecture du discours de M. Deville (B.). Examen des
enfants
a Bicêtre. 11 « Lorsque nous aurons rassemblé d
s intéressant de faire un certain nombre d'études analogues sur des
enfants
normaux. Nous aurions pu ainsi établir une comp
le procès-verbal relatant les observations faites à Cempuis sur les
enfants
normaux. Je fais remarquer que ce proccs-veibal
bservations sur le développement des organes de la puberté chez les
enfants
, ont appelé, d'une manière fâcheuse, l'attentio
appelleront, ne continuent à entretenir parmi les élèves Examen des
enfants
a Bicêtre. 13 la fâcheuse émotion qu'elles ont
ille. Or, quel père de famille consentirait à laisser soumettre ses
enfants
à des ins- pections de cette nature ? » « M.
nclut qu'il ne serait pas légitime d'exami- ner et d'interroger les
enfants
de l'orphelinat au-delà des li- mites autorisée
spection par un médecin complètent très heureusement celles que les
enfants
font sur eux-mêmes, (1) On voit que M. Deville
re générale cle la maison. Il examine les bulletins individuels des
enfants
et formule à leur égard les prescriptions dont
d'élu- des analogues à celle que je viens de citer, mais sur des
enfants
normaux. Ce serait le moyen d'établir une compara
ux. Ce serait le moyen d'établir une comparai- son entre eux et nos
enfants
malades ainsi que de pré- ciser les différences
nsi que de pré- ciser les différences. (1) Nous avons examiné 308
enfants
. Nous renvoyons M. Alpy à nos rapports. Examen
miné 308 enfants. Nous renvoyons M. Alpy à nos rapports. Examen des
enfants
a Bicêtre, 15 « On m'a offert de me nommer méde
une petite épidémie. n A ma seconde visite, j'ai examiné l'état des
enfants
sans me départir de mon habitude, qui est d'avo
ndre compte de cette facondes soins qu'il fallait donner à certains
enfants
, j'ai constaté certaines maladies, j'ai agi ave
h ! Bruit.) En tous cas, s'il exact qu'il a regretté l'examen des
enfants
, il est non moins exact cjue j'ai demandé à plusi
fois, on m'a répondu parla négative. « J'ai agi pour le bien des
enfants
, cherchant, en les exa- minant, à connaître des
irer un bénéfice au point de vue scientifique, afin de comparer les
enfants
normaux aux enfants de Bicêtre, je me demande e
int de vue scientifique, afin de comparer les enfants normaux aux
enfants
de Bicêtre, je me demande en quoi j'ai eu tort.
s'ils ne sont pas atteints de maladies conta- gieuses. Eh bien, ces
enfants
sont amenés par l'un de leurs parents ou par le
bservation parce qu'on a compris que j'agissais dans l'intérêt de l'
enfant
et que je ne pouvais pas examiner sans voir. »
mais du reproche qu'on lui adressait d'avoir fait déshabiller des
enfants
. Je dois, à ce moment, écarter un reproche plus
trouve singulier qu'on lui reproche d'avoir fait désha- biller les
enfants
; c'est vouloir faire dévier la question. Il n'
après cette phrase y a-t-il eu une restriction mentale. Examen DEs
enfants
a Bicêtre. 17 M. Deschamps. Mais, pour voir, il
istance publique. M. Deschamps. Mais, au départ et au retour de nos
enfants
qui sont envoyés à la campagne ou aux bains de
ges Villain et je redis que les médecins de nos écoles visitent les
enfants
chaque fois qu'ils vont aux colonies scolaires
es scolaires ; et chaque fois, au retour, on mesure la poitrine des
enfants
. (Ah ! Ah ! ) M. Deschamps. - Pourquoi ne le fe
eville, surtout en présence de surveil- lants et surveillantes et d'
enfants
même tenus à distance. M. Deschamps. N'oubliez
'enfants même tenus à distance. M. Deschamps. N'oubliez pas que oes
enfants
sont des idiots. M. Deville. Là où vous voyez
es filles sans que la surveillante, une infirmière et même quelques
enfants
tenues à distance ne soient présentes. Personne
nd que ces expériences n'ont jamais produit rien de fâcheux sur les
enfants
et que tous les méde- cins préconisent son syst
rganes génitaux ». Les uns et les autres sont là pour déshabiller les
enfants
, les tenir à l'occasion. L'c^amcn est toujours
e, un fervent catholique et un ardent réactionnaire (B.) Examen DES
enfants
a Bicêtre. 19 à la tuberculose. » (H. Roger. Re
s, ' souvent atteintes de leucorrhée, et celle de l'anus chez les
enfants
des deux sexes qui présentent quelquefois des tra
e degré de dépression morale et de dépression intellectuelle de ces
enfants
idiots. Il peut y en avoir quelques-uns chez le
de leurs devoirs. M. Picau. - Et quand les soeurs font asseoir des
enfants
sur des poêles brûlants... (1) Or. tous les e
t asseoir des enfants sur des poêles brûlants... (1) Or. tous les
enfants
dont nous nous oecupons à Bicêtre, étant des mala
précisant. Nous n'admettons pas, Messieurs, qu'on fasse servir des
enfants
idiots ou non à des expériences ni surtout qu'o
l des infirmiers et des infir- mières. Nous n'admettons pas que les
enfants
, qu'aucun des enfants confiés à l'Assistance pu
infir- mières. Nous n'admettons pas que les enfants, qu'aucun des
enfants
confiés à l'Assistance publique, servent à des ex
comme celui de Bicêtre peut être mis en vigueur dans nos hospices d'
enfants
et croyez-vous qu'un savant qui a été aussi loi
oin que M. le docteur Bourneville puisse conserver l'inspection des
enfants
, puisse avoir la liberté de faire les recherche
té heureux queM.Dcvillepût constater le bien, le grand bien que nos
enfants
lui doivent. (Applaudis- sements. Violentes pro
u'on a déjà dit : Quel père de famille consentirait à soumettre ses
enfants
à ce traitement ? M. Prache. J'espère qu'il y a
r les médecins sur les troubles qu'ils pourraient observer chez les
enfants
, ont été faites .-1 part pour les infirmiers et
ait dans les quatre Ecoles aux infirmières eules (B.J. Examen des
enfants
a Bicêtre. 21 M. le Directeur de l'Assistance p
ussent été d'une grande utilité pour la santé, pour la moralité des
enfants
. La malpropreté est la cause d'irritations qui
teur de l'Assistance publique. Il n'existe pas qu'un seul service d'
enfants
, il y en a deux, l'un à Bicêtre pour les garçon
is su équivoquer, ce que je ne sais pas faire, j'aurais dit que les
enfants
de Bicêtre sont des en- fants idiots, des malad
'éclosion de la maladie pour s'inquiéter de l'état de sant é de nos
enfants
. Si cette théorie triomphait, vous n'auriez qu'à
! M. le directeur de l'Assistance publique. Si, malgré Examen DES
enfants
a Bicêtre. 23 mon incompétence, j'ai dit quelle
a vue et de la main ? .... M. Alexis Muzet. Pas pour examiner les
enfants
! (Ex- clamations.) Pas dans les écoles ! 1 M
haute moralité ; il s'agissait de savoir si l'on peut faire sur des
enfants
certaines expériences, parce que la pauvreté vo
ées avec convenance elles sont sans inconvénients. Alors Examen des
enfants
a Bicêtre. 25 comment cela s'est-il passé à Cem
ne se contentait pas d'examiner, de mesu- rer, comme on a dit, les
enfants
, on prenait pour secrétaires d'autres enfants,
, comme on a dit, les enfants, on prenait pour secrétaires d'autres
enfants
, qui avaient sous les yeux les cartes servant à
its, en demandant quoi père de famille suppor- terait cela pour ses
enfants
. Je fais appel de vous à vous- mêmes, des homme
je vous posera question : « Qui de vous tolérerait cela pour ses
enfants
? » Dans toute famille où de tels faits se sera
les reproches qu'on lui a faits, on le met à la tête du service des
enfants
de Bicêtre parce que, dit-on, ce sont des idiot
estant énergiquement contre le sys- tème qui livre sans réserve les
enfants
de l'Assistance publi- que conffhe sujets d'exp
e du jour pur et simple donne les résultats suivants : Examen DES
enfants
a Bicêtre. 27 paraître faire intervenir une per
généralise des faits qui no concernent qu'une certaine catégorie d'
enfants
de l'Assistance publique. D'un autre côté nous
si bien débuté. Avec raison, et nous les en remercions, Examen des
enfants
a Bicêtre. 29 MM. Caumeau et Lampué ont voulu l
s loin (pagel94,), nous avait demandé de suspendre l'exa- men des
enfants
, mais nous ignorions tous les griefs qu'il avai
e émotion et un trouble dange- reux, dit le procès-verbal parmi les
enfants
. Or, tous les renseignements que nous avons eu
atelas suivant 32 Rapport SUT l'orphelinat Prévost. la taille des
enfants
: le matelas supérieur répondant àla tête, en l
danges. L'expérience que j'ai faite de ce mode de couchage pour les
enfants
gâteux de Bicêtre m'a paru démonstrative. 2° Le
exiger une transformation complète. Actuellement ou fait laver les
enfants
dans une sorte de baquet {lub) « large assiette
mposent l'orpheli- nat, j'ai passé en revue successivement tous les
enfants
. D'une façon générale leur aspect est bon et le
Relativement à leur constitution physique, ce qui domine chez ces
enfants
, c'est le lymphatisme. Nous avons trouvé des gl
ues cas de rachitisme. Nous avons enfin remarqué chez une dizaine d'
enfants
l'existence de dartres sèches, légères, à la fa
artres sèches, légères, à la face. L'infirmerie ne renfermait que 3
enfants
dont 2 en convalescence et un entré le même jou
hy- giénique de l'orphelinat et sur le mode d'examen médical des
enfants
. Dans la cour d'honneur, on élait en train de r
puisard et de la citerne au centre de la cour où s'éjournent les
enfants
durant les récréations, si elle n'a peut-être pas
tes, semblables à ceux qui i existent à Bicêtre dans la section des
enfants
. J'ai trouvé à l'orphelinat 14 fillettes et 6 g
mbles, dortoirs qui sont bien aérés. Les paillasses des lits de ces
enfants
laissent beaucoup à désirer. La paille devrait
suivant la pratique de la colonie de Vaucluse et de la section des
enfants
de Bicê- tre. Pour arriver encore à un meilleur
personnes qui s'en servent tous les jours, il est médiocre pour des
enfants
qui n'en usent qu'à des intervalles plus ou moins
ou dans leurs ate- liers. Deux ou trois bains par semaine pour les
enfants
gâteux et un pour les autres me paraissent néce
Il conviendrait aussi de procéder à la revaccination de tous les
enfants
âgés de 10 ans, ou à leur départ quand il se fa
ois de juillet, j'avais commencé à procéder à un examen complet des
enfants
. De plus, je m'é- tais permis de prendre quelqu
qu'au mois de juillet l'examen n'ait porté que sur une partie des
enfants
, il m'a été permis de constater divers accidents
des affections de la peau, l'éruption produite aux fesses chez les
enfants
gâteux. J'ai vu des enfants ayant des pointes d
l'éruption produite aux fesses chez les enfants gâteux. J'ai vu des
enfants
ayant des pointes de hernies ombilicales ou ing
guinales dont on peut arrêter le développement si on les voit. [Des
enfants
ont de petites excoriations et des plaques opal
aire ? C'est ce qu'on ne peut dire qu'en examinant complètement les
enfants
. Des enfants assez, âgés ont des incontinences
ce qu'on ne peut dire qu'en examinant complètement les enfants. Des
enfants
assez, âgés ont des incontinences d'urine, d'au
peut occasionner des accidents. Pour y parer, il faut examiner les
enfants
. ' Chez les jeunes filles, au moment de la pube
ecteur a trouvé que cet examen pouvait avoir des inconvénients. Les
enfants
, m'a-t-il dit, en auraient causé après mon dépa
en doutez pas, avec la plus grande réserve, évitant surtout que les
enfants
ne se voient entre eux. Il en a été de môme à B
ier le développement des organes génitaux et de la puberté chez les
enfants
offrant une (1) Les quelques difilcultés qui on
ureusement trop complètes au point de vue génital.... 36 Examen DES
Enfants
a Bicêtre. intelligence normale et de les compa
gne contre le Directeur de Cempuis. Comme j'avais vu et observé les
enfants
, que j'avais la conviction Examen DEs Enfants a
s vu et observé les enfants, que j'avais la conviction Examen DEs
Enfants
a Bicêtre. 37 que les accusations formulées con
enté pour aider mes amis politiques à défendre l'orphelinat Prévost
enfants
et maître. Ce que j'ai fait serait demeuré inco
ment clinique. (1) Séguin. Rapports et mémoires sur l'Éducation des
enfants
normaux et anormam. Préface par Bourneville.
nfants normaux et anormam. Préface par Bourneville. 38 Examen DEs
Enfants
a Bicêtre.' Imbécillité prononcée avec perversi
ccès épileptiques ( ? ); un troisième bégaie un peu et, l'un de ses
enfants
, qui se conduit Imbécillité morale. 39 mal, a
ts, entre autres do vols ; de plus, il était braconnier ; ses trois
enfants
sont très arriérés et n'ont jamais pu rien appr
endre. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de quatre ans. [Cinq
enfants
: 1° Une fille morte à 3 semaines des convulsions
otions vives, etc. (3). /lccouc/ieme ? it normal. A la naissance, l'
enfant
était asphyxié, la sage-femmo a été obligée de
7. Janvier. Revacciné sans succès. Avril. Hydro- thérapie. Mai. L'
enfant
est indiscipliné, crie, veut briser les por- te
volonté à l'atelier de vannerie. A la fin de ce mois, avec d'autres
enfants
, il s'est livré à des actes révoltants d'obscé-
umer et s'est associé à une sorte de protes- tation des plus grands
enfants
qui réclamaient l'autorisation de fumer. 1895
ats-Unis, etc., on est convaincu de la nécessité d'hospitaliser les
enfants
idiots, depuis les plus dégradés jusqu'aux simp
s cle citer. Il a fondé la section de Bicêtre, agrandi la colonie d'
enfants
de Vaucluse, voté l'amorce d'un asile-école pou
d'humanité le commandent ». L'observation d'Et..., qui concerne un
enfant
profon- dément atteint,, montre d'une façon pér
ry- thèmes, etc., produisent des démangeaisons qui inci- tent les
enfants
à se gratter, d'où des sensations qui peuvent a
, de nous livrer à des expériences sur les qua- lités du sperme des
enfants
idiots, et, dans ce but, de les exciter à se ma
llés de manière à faciliter la surveillance la plus rigoureuse. Les
enfants
ne doivent s'y ren- dre qu'accompagnés par un i
insistons d'une façon spéciale sur ce côté de la surveillance des
enfants
. Voici le texte du passage : « Les infirmiers e
infirmières de nuit doivent veiller très attentivement à ce que les
enfants
restent dans leur lit et n'aillent pas au lit d
ent pas à l'onanisme. Si un infirmier ou une infirmière surprend un
enfant
s'adonnant à ces mauvaises habitudes, soit aux
blique de Lyon sur l'assis- tance, le traitement et l'éducation des
enfants
idiots et dégénérés ; s'ils le parcourent, peut
Dr Bourneville Antécédents Schéma des antécédents. 55 État de l'
enfant
à la naissance : asphyxie (blanche ou bleue, du
gré d'ins- truction ; aptitudes particulières. Ressemblance cle l'
enfant
; tient-il plus du père que de la mère au point
famille, nous prenons ou nous faisons prendre la descrip- tion de l'
enfant
. Afin de faciliter la tâche de nos internes, no
ait faire un certain nombre de tableaux, les uns communs à tous les
enfants
, les autres spéciaux à certaines catégories d'e
aisons prendre, matin et soir, la température rectale de tous les
enfants
qui entrent clans le service. Maintes fois, cette
t taille. d) Tableau de la Puberté. 60 Mensurations de la tète.
Enfants
imbéciles, arriérés, épileptiques . et aliénés.
us leur donnons des Instructions sur leur façon d'agir envers les
enfants
. De même que pour les Instructions médicales, n
eur service, doivent s'assurer avec le plus grand soin que ToUS les
enfants
sont au lit. L'infirmière de jour doit indiquer
L'infirmière de jour doit indiquer à la veilleuse quels sont les
enfants
qui ont passé depuis sa précédente veille, soit à
infirmières de nuit doivent veiller très attentivement à ce que les
enfants
restent dans leur lit et n'aillent pas aux lits
as et ne se livrent pas à l'onanisme. Si une infirmière surprend un
enfant
s'adonnant à ces mauvaises habitudes, soit aux
opposer et le signaler sur son rapport. Elles doivent empêcher les
enfants
de se balancer, de ronger ou déchirer leurs ong
c. Les infirmières doivent surveiller avec le plus grand soin les
enfants
qui ont des accès d'épilepsie, ou des vertiges,
leur lit; les empêcher de se coucher sur le ventre car, lorsqu'un
enfant
placé dans cette position est pris d'un accès, il
umons. D'autre part, le décubitus (ou le coucher dorsal) excite les
enfants
à l'onanisme. Quand un enfant a un accès pendan
(ou le coucher dorsal) excite les enfants à l'onanisme. Quand un
enfant
a un accès pendant le jour, l'infirmière doit d
Dans les deux cas, lorsque l'accès est fini, il faut découvrir l'
enfant
afin de constater s'il a uriné ou déféqué ou, s'i
nt afin de constater s'il a uriné ou déféqué ou, s'il s'a- git d un
enfant
d'un certain âge, c'est-à-dire d'un adolescent,
'il a ou non taché sa chemise. L'infirmière, tout en veillant sur l'
enfant
, doit tâcher de décrire l'accès ; observer à qu
tâcher de décrire l'accès ; observer à quelle période de l'accès l'
enfant
urine ou fait autre chose; si c'est au début de
urine ou fait autre chose; si c'est au début de l'accès, lorsque l'
enfant
jette un cri, ou à la période de raideur, ou à la
la période de stertor ou de ron- flement. II ne faut pas quitter l'
enfant
qui vient d'avoir un accès avant qu'il n'ait to
urvient vite un 2° accès. Les veilleuses doivent aussi observer les
enfants
qui ont des cauchemars ou des hallucinations ;
u des hallucinations ; elles doivent essayer de saisir ce que dit l'
enfant
, de savoir ce qui lui fait peur et inscrire ce
ndu sur le carnet de rapport. Elles doivent aussi veiller sur les
enfants
qui, sans avoir d'accès ou de vertiges, urinent
e de vue qu'ils ont affaire à des en- fants, et qui plus est, à des
enfants
malades, double raison qui leur commande impéri
e de conduite ils ne doi- vent pas s'en départir, lors même que les
enfants
seraient vio- lents ou grossiers eux-mêmes. L
rs eux-mêmes. Les infirmières et infirmiers doivent réprimander les
enfants
avec fermeté et bienveillance et signaler ceux
plus récalcitrants. Infirmiers et infirmières doivent observer les
enfants
qui leur sont confiés avec le plus grand soin ;
ter la déchéance intellectuelle, l'affaiblissenit-nt physique des
enfants
, les modifications de la physionomie, l'altératio
l'appétit, les troubles de la diges- tion qui surviennent chez les
enfants
. Cette recommandation est d'autant plus importa
tte recommandation est d'autant plus importante que beaucoup de ces
enfants
sont plus ou moins insensibles à la douleur, la
matin, d'aider les infirmières de jour à procéder au nettoyage des
enfants
: c'est la pre- mière leçon qui doit commencer
leçon qui doit commencer la journée, car il s'agit d'apprendre aux
enfants
à s'habiller, à se laver la figure et les mains
s mains, à brosser leurs habits, à faire leur lit, etc. Lorsque les
enfants
sont sortis des salles, les relieuses continuen
elieuses continuent leur ménage ; elles assistent au déjeuner des
enfants
de la Petite École, et là, avec les maîtresses et
s infirmières de jour, elles doivent non seulement surveiller les
enfants
mais leur apprendre à manger proprement, à hien
aurait un très grand intérêt au point cle vue de la bonne tenue des
enfants
et au point de vue de l'économie à engager les
ères veilleuses à faire pendant la nuit, la révision des habits des
enfants
de leur dortoir et à faire les menues réparatio
le matin d'aider les infirmiers de jour à procéder au nettoyage des
enfants
, puis d'aller chan- 70 Instructions aux infirmi
s, de jour on de nuit, ne doi- vent jamais se familiariser avec les
enfants
. La nuit le- infir- mières et infirmiers ne doi
e, sauf dans le cas de nécessité absolue ; ils doivent placer les
enfants
en rang quand ils vont d'une partie du service
vont d'une partie du service dans une autre; s'opposer à ce que les
enfants
crachent dans les galeries et par conséquent ne
eur donner ce mauvais exemple ; ils doivent examiner les selles des
enfants
afin de s'assurer si elles renferment des vers,
doivent point donner des renseignements aux familles sur l'état des
enfants
qu'ils ne connaissent que très imparfaitement.
des aliénés. Les infirmiers et infirmières doivent noter tous les
enfants
qui urinent et défèquent au lit, et inscrire sc
et inscrire scrupuleusement le nombre des accès et des vertiges des
enfants
, s'il y a lieu avec les différences présentées
ses crises. Les infirmiers et infirmières chargées de soigner des
enfants
aliénés doivent toujours avoir présent à l'esprit
enfants aliénés doivent toujours avoir présent à l'esprit que ces
enfants
sont atteints d'une maladie qui les porte souvent
nombre que possible lorsqu'ils ont à s'assurer de la personne d'un
enfant
malade, par exemple pour le conduire en cellule
e. Présen- Instructions aux infirmiers et infirmières. 71 ter aux
enfants
ou adultes aliénés un appareil de force assez i
nfirmiers et infirmières ne doivent laisser, à la disposi- tion des
enfants
, rien qui puisse devenir, entre leurs mains un
e schéma ci-après qui les aide à décrire les crises convulsives des
enfants
. Cela est d'autant plus nécessaire que le médec
re, à l'estomac, etc. Début : cri, ses caractères ; comment tombe l'
enfant
? 72 Description des accès d'épilepsie. Premi
our les rapports semestriels des notes sur l'état intellectuel- des
enfants
, sur leur degré d'instruction et sur les divers
morte à 90 ans, de vieillesse. Un frère, 57 ans, marié, père de 3
enfants
vigoureux et intelligentes. Une soeur bien port
; une autre soeur un peu « bêtasse » qui a eu avant son mariage un
enfant
peu intelligent; elle s'est ensuite mariée avec
telligent; elle s'est ensuite mariée avec un autre que le père de l'
enfant
et a eu 4 enfants parmi lesquels était une fill
'est ensuite mariée avec un autre que le père de l'enfant et a eu 4
enfants
parmi lesquels était une fille idiote et paraly
'un d'une « espèce de fièvre chaude ( ? ).». Ces oncles avaient des
enfants
, qui sont actuellement très bien portants. Tant
maternel et six lanles maternelles morts assez âgés et laissant des
enfants
d'une excellente santé. Quatre frères dont deux
t deux sont morts, on ne sait de quoi, les deux survivants et leurs
enfants
sont bien portants. Quatre soeurs dont deux mor
( ? ) et deux en bonne santé; une de ces dernières, mariée, a eu 6
enfants
tous morts (deux de diarrhée infantile, un d'an
Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de plus de neuf ans. Trois
enfants
: l" Une fausse coucha do 3 mois survenue à la
sans anesthésie (I). A la naissance, la grand'mère maternelle de l'
enfant
, qui avait élevé 17 enfants, remarqua qu'il ava
naissance, la grand'mère maternelle de l'enfant, qui avait élevé 17
enfants
, remarqua qu'il avait les jambes anormalement c
t presque conlinuollcment. Auparavant, il différait déjà des autres
enfants
, élait « moins éveillé », tenait moins bien sa
manifestées pendant toute la dentition, qui fut complète à 3 ans. L'
enfant
n'aurait jamais présenté de mouvements convulsi
ent ni déformation, ni contracture. Ils se meuvent régulièrement. L'
enfant
prend les aliments à pleines mains et les porte
u développé. Goût paraissant exister : la coloquinte fait faire à l'
enfant
une légère grimace, mais il prend le sucre avec
end le sucre avec plaisir; voracité. Au point de vue psychique, l'
enfant
estcomplètementid.tot et gâteux. Il reconnaît s
l s'égratignait parfois la figure et déchirait ses habits. Mai. L'
enfant
fait un séjour à l'infirmerie pour des enge- lu
u chargée, surtout du côté maternel. ' IL Au dire de la mère de l'
enfant
, la conception, la grossesse et V accouchement
ier et cependant, dès la naissance, la grand'- mère maternelle de l'
enfant
, qui avait une grande expérience puisqu'elle av
'enfant, qui avait une grande expérience puisqu'elle avait élevé 17
enfants
, aurait' remarqué que le nouveau-né avait les j
et analomo-pathologiques sur les maladies nerveuses chroniques des
enfants
qu'on englobe sous le nom d'idiotie, nous avons
m d'idiotie, nous avons mis la repro- duction des photographies des
enfants
en regard de celle du cerveau. C'est ce que nou
ngée suivie de tremblement, : de la disparition des mouvements de l'
enfant
et d'un développement consi- dérable du ventre.
uxion de poitrine, laissant une fille en bonne santé, ainsi que ses
enfants
. Un autre frère a succombé à sa troisième attaq
frère a succombé à sa troisième attaque de paralysie ; il a eu 6
enfants
, 3 bien portants, 3 morts on ne sait de quoi. Une
kilomètre de Brives, mère d'Orléans). Inégalité d'âge de ans. îi
enfants
: 1" Fille, 31 ans, en bonne sauté, sans convulsi
convulsions de l'enfance, grande, forte, non ncrvpuse ; elle a deux
enfants
qui n'ont pas eu de convulsions ; 2" Garçon, 32
n prus- sien, qui se trouvait là, aurait dit que la croissance de l'
enfant
ne se ferait plus, que le travail était arrêté.
tremblé pendant une quin- zaine de minutes. Elle croit aussi que l'
enfant
remuait avant ces émotions et elle assure que,
ait un peu gros, et les membres étaient petits. A la naissance, l'
enfant
était cyanosée : on l'a frictionnée pour lui fa
allaitée jusqu'à 15 ou 1G mois. Pendant l'allaitement, on dit que l'
enfant
ne différait pas sensiblement des autres. Au bout
é à s'inquiéter, parce que la parole ne se développait pas et que l'
enfant
ne marchait pas. A 5 ans, elle a dit franchemen
ité que la mère attribue la gêne de la déglutition que présente son
enfant
. Les tumeurs graisseuses n'auraient jamais été
er de faire rentrer sa langue, qui avait de la tendance à sortir; l'
enfant
a pris l'habitude de serrer ses lèvres disant :
vres et la langue. La hernie ombilicale daterait de la naissance. L'
enfant
est devenue propre à 13 mois. Elle a toujours é
ucune déviation. État actuel (mars 1891) (2). L'eXamen général de l'
enfant
montre immédiatement qu'elle présente tous les
7). La tête est volumineuse et fait contraste avec la taille de l'
enfant
. Le crâne présente une conformation très particu-
que l'on aperçoit sur le cuir che- velu, croirait-on presque que l'
enfant
a des plaques de pelade. Le front est bombé, mo
l'autre sont une des particulari- tés de la figure si bizarre de l'
enfant
. La paupière supérieure est comme oedématiée et
araît se faire normalement, il ne sem- ble pas y avoir de myopie, l'
enfant
paraît voir distinctement des objels assez éloi
e. son ne semble pas déviée. L'odorat paraît très rudimentaire, l'
enfant
ne prend aucun plaisir à respirer les odeurs agré
nx. Le réflexe pharyngien persiste. Le goût est bien développé. L'
enfant
reconnaît bien du sucre, du sel, et fait la grima
t avec la lèvre supérieure. Le menton est petit; quand on regarde l'
enfant
de face, il est presque complète- ment masqué p
men de l'audition ne donne aucun résultat; lorsque l'on demande à l'
enfant
si elle entend le tic-tac d'une montre pla- cée
une tête de veau. La sensi- bilité de la peau est assez marquée. L'
enfant
sent hien la pi- qûre d'épingle, la sensibilité
de vaccin et une grande plaque d'aspect ichtyosique, qui, d'après l'
enfant
, serait la trace d'un ancien vésicatoire. Les a
lons peu marqués au dernier orteil des deux côtés. Le thorax de l'
enfant
, élargi à sa base, est étroit en haut et se con
ne plume d'oie. Fourchette bien marquée, anus glabre. 23 avril. L'
enfant
, qui était, paraît-il, constipée depuis quelque
guinolent assez abondant. 110 IDIOTIE myxoedémateuse. 24 auril. L'
enfant
ne se plaint pas. La tumeur ne s'est pas reprod
e s'est pas reproduite. 2 mai. A la suite d'un purgatif donné à l'
enfant
qui était constipéo depuis plusieurs jours, le
otes de l'école. 1891. La physionomie est si peu expres- sive que l'
enfant
paraît moins intelligente qu'elle ne l'est en r
evenue foule blanche en une nuit, à la suite de la mort d'un de ses
enfants
. III. Tout d'abord le lecteur peut s'étonner de
ationaux d'alcooliques. 137 des hommes, mais des femmes et même des
enfants
s'adonner à la boisson et se préparer en quelqu
tassent non seulement les hommes, mais aussi les femmes et même les
enfants
. C'est un véritable empoisonnement qui se prati
nternement au moins, ne causent aucun scandale, ne fabriquent pas d'
enfants
. C'est le plus grand nombre, ou mieux c'est tou
eront encore moins touchés moralement, songeant qu'ils ont femme et
enfants
, que leur maladie a mis dans l'embarras ou la m
dans les asiles de la Seine et à Bicêtre, même dans le service des
enfants
, malgré nos protestations. Ce sont des inconvén
que année, nous avons insisté dans nos Compte-rendus du service des
enfants
de Hieêtrc (14 volumes), sur le ivi.'e île l'alco
4 volumes), sur le ivi.'e île l'alcoolisme dans lu produc- tion des
enfants
atteints de maladies nerveuses. Si nous le rappel
: Bicêtre. I. Situation du service. Enseignement pri- maire III
Enfants
idiolrs, gâteux, épileptiques ou non, invalides
I Enfants idiolrs, gâteux, épileptiques ou non, invalides '. in
Enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épi- leptiques ou
mais valides : petite école... IV Pètile école complémentaire v
Enfants
propres et validés, imbéciles, arrié- rés, inst
DEUXIÈME PARTIE Méthode d'observation et procédés d'examen des
enfants
idiots et arriérés. A nos lecteurs - 3 Questi
uestion de M. Deville au sujet des expé- riences pratiquées sur les
enfants
dans , certains services de l'Assistance publi-
eville 136 Explication DES planches". · 141 N° 44. Imprimerie des
Enfants
de Bicêtre. (7. 95.)
'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERVICE DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICËTRE PEN
année 1896. I. Situation du SERVICE. Enseignement primaire. Les
enfants
de la 4° section du quartier des aliénés de l'h
s de l'hospice de Bicêtre sont répartis en trois groupes : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
nfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides ; 2° les
enfants
idiots gâteux ou non, mais vAr,tul : 7 ; - 3° l
; 2° les enfants idiots gâteux ou non, mais vAr,tul : 7 ; - 3° les
enfants
propres, valides, imbéciles, arriérés, instable
iérés, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots gâteux, épileptiques ou non, mais invali
tre eux sont susceptibles d'amélioration, même à un degré très IV
Enfants
IDIOTS complets. notable. On leur apprend se te
s), en leur faisant des frictions stimu- lantes, etc... En 159G, ')
enfants
ont appris à marcher ('2) ; 4 ont été rendus pr
us propres ( : ),) ; (; ont appris il man- ger seuls (4). Dès qu'un
enfant
marche sans aide, il est envoyé à la petite éco
toute la journée, aussitôt que ses forces le permettent. Tous ces
enfants
sont placés sur les petits fauteuils spéciaux q
deux ans et ne s'achève pas, nous servira égale- ment pour d'autres
enfants
, qui nous arrivent tardi- vement, u 1'I, I Ï>
u'ils contribuent à encombrer sans aucun bénéfice pour cux. - II.
Enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou
1) IJouIl",TuuOllr ? Jeo'" JJerlr ? Cu ? l'elo... Petite école. V
enfants
fréquentent la petite école confiée exclusive-
s sections affectées aux adultes et 5 ont été transférés. Sur 180
enfants
qui restaient à la petite école au 31 décembre
la fourchette, 40 de la cuiller, de la fourchette et du couteau. 7
enfants
gâteux, de ce groupe, sont devenus propres (1).
au. 7 enfants gâteux, de ce groupe, sont devenus propres (1). Dix
enfants
ont appris à manger seuls (2). Tous les enfants
us propres (1). Dix enfants ont appris à manger seuls (2). Tous les
enfants
sont exercés à la gymnastique Pichery, sauf ceu
alides étant encore trop infirmes, n'ont pu y prendre part. Vingt
enfants
de la petite école et de la petite école complé
ont fait régulièrement les exercices de la grande gymnastique. - 20
enfants
ont travaillé cette année dans les différents a
tement du gâtisme qui consiste il placer, après chaque repas, les
enfants
gâteux sur les sièges d'aisance que nous avons
dents (3), les leçons de toilette qui consistent il apprendre aux
enfants
à se laver la figure et les mains et à s'habil-
Dupon ? Riclia... (3) Le matin, au lever, le soir, ail coucher, les
enfants
gâteux sont placés sur les sièges installés jio
a également la surveillance de l'un des dortoirs où couchent les
enfants
de cette école. Aux 40 enfants qui y étaient pr
de l'un des dortoirs où couchent les enfants de cette école. Aux 40
enfants
qui y étaient présents le IL, janvier 1896, nou
autres au mois de novembre, ce qui porte à cinquante le nombre des
enfants
présents à cette école. M ? Bonnet a, on outre,
Briss... et dont, elle amé- liore d'ailleurs l'instruction. Trois
enfants
ont été rendus propres : 1° G'se.. (René), pris
tout rat fait propre aujourd'hui et sait exprimer ses besoins; cet
enfant
qui ne comprenait pas un mot, qui ne semblait n
rinait fréquemment dans son pantalon, ne se salit plus du tout. Cet
enfant
qui n'avait aucune notion classique, ne connais
ssez souvent aux questions que lui adresse son institutrice. Sept
enfants
ont été améliorés pour la parole : Il Laur... (
u les mots, néanmoins l'articulation est encore défectueuse ; cet
enfant
est resté longtemps écliolalique, ce qui n'existe
tait sujet à de vio- lents accès de colère. Un n'employant avec cet
enfant
que la patience et la douceur, on est arrivé à
aucun mot, continuent à s'améliorer d'une façon remarquable. Cinq
enfants
ont appris à lire couramment : 1° Bel... (Charl
(Pierre) atteint également d'arriération intellectuelle. Ces trois
enfants
lisent couramment, font des dictées, des exerci
ons. VIIr Petite école complémentaire. 4° Prim... (Frédéric). Cet
enfant
dont on avait constaté l'in- telligence paresse
t, tandis qu'autrefois il pleurait dès qu'on entrait en classe. Cet
enfant
a besoin d'être toujours encouragé : au moindre
de morale. Actuellement il y a dans la classe de Dt ? Bonnet, douze
enfants
, qui, pris à leur début, ne savaient absolument
nant font tous les devoirs donnés journellement dans les écoles d'
enfants
normaux, c'est donc surtout par eux qu'il est p
s sceptiques la possibilité de transformer intellectuellement des
enfants
réputés idiots. Ces résultats sont dus au dé- v
l avoir des imitateurs et des imitatrices ! Grande école. IX III.
Enfants
propres et valides, imbéciles, aJ'J'ié- rés, in
non (Grande École). - La population de cette école était de '21-'1
enfants
au premier janvier. Tous, sauf 10 qui ne peuven
née par semaine et restent à l'atelier toute la journée. Les autres
enfants
sont répartis en quatre classes (7u, 44, 30, 40
Les autres enfants sont répartis en quatre classes (7u, 44, 30, 40
enfants
). Aux examens clu certifient d'études qui ont e
u certifient d'études qui ont eu lieu à Ville-juif le 4 avril, deux
enfants
do Bicêtre (Gom... et Rat ..) ont subi les épre
les, afin d'être mieux en mesure d'améliorer la pro- nonciation des
enfants
et de développer leur parole, ont été envoyés s
nt à nos instructions, il s'est occupé successive- mont de tous les
enfants
. Il a réparti ceux de la petite école et de la
ait de notions sur la théorie musicale, sauf une demi- douzaine d'
enfants
appartenant a la fanfare. Presque tous les enfa
mi- douzaine d'enfants appartenant a la fanfare. Presque tous les
enfants
savent, aujourd'hui, lire eux-mêmes les notes,
hant. notions élémentaires de la théorie de la musique. Quand les
enfants
sont suffisamment avancés pour bien lire un mor
x mois nous faisons relever l'éten- due et le timbre de la voix des
enfants
. Ce travail nous fournira, croyons-nous, des re
atiques solitaires, la voix est également modi- fiée. Le nombre des
enfants
qui participaient Ù l'ensei- gnement du chant é
stinct sexuel. Elles se rencontrent sous toutes les formes chez les
enfants
des services spéciaux, chez les filles aussi bi
un certain nombre d'entre eux. De là, la nécessité d'examiner ces
enfants
de la façon la plus complète. Car si la con- na
santé physique et justifie déjà pleinement l'examen complet de ces
enfants
, la connaissance des troubles physiques engendr
rnit des indications précieuses au point de vue do l'état moral des
enfants
, et conduit à pres- crire une surveillance tout
'eczéma, des adhé- rences du prépuce au gland, etc.. Tout d'abord l'
enfant
porte inconsciemment la main il la vulve ou à l
é à recom- mencer. L'onanisme devient alors une habitude chez des
enfants
qui sont d'ailleurs sains. 6 Chez d'autres, cot
les adultes (1). » Toutefois notre conviction en ce qui touche les
enfants
, est que son action nocive est incontestable. «
ait avec fureur ; il avait un pénis énorme ». L'onanisme chez des
enfants
sains, qu'il soit déter- miné par des irritatio
et aboutir à l'imbécillité, même à l'idiotie. Tel était le cas d'un
enfant
nommé Dupo.. que nous avons eu l'occasion d'obs
pilepsie. L'onanisme chez les idiots et les imbéciles ou chez les
enfants
atteints d'imbécillité morale, aggrave la malad
article olwnÍS1H('. Perversions sexuelles. ' Nul principal. « L'
enfant
, en effet, n'a pas de sperme et cependant c'est
'onanisme est le plus désastreux, et d'autant plus désastreux que l'
enfant
est plus jeune. C'est dans la première enfance
met directement la santé, l'intelligence et la vie. Les tout jeunes
enfants
s'étio- lent, pâlissent, deviennent stupides, e
résultats qu'on peut attendre du traitement médico- pédagogique des
enfants
idiots et imbéciles, méde- cins, instituteurs,
dations trop pressantes aux parents. Il faut occuper sans cesse l'
enfant
, ne le laisser jamais sans surveillance, le fai
garde-robes, voir si elles renferment ou non des vers ; donner aux
enfants
des pantalons larges, sans poches, varier les e
ans poches, varier les exercices scolaires, de façon à ce que les
enfants
ne restent pas trop longtemps assis, tenir les
- mation des organes génitaux, pratiquer la circoncision chez les
enfants
atteints de phimosis, etc. On peut recourir aus
phar, bromures alcalins, bromure de camphre, etc. Quand il s'agit d'
enfants
adolescents devenus pubè- res, il faut recourir
de la persuasion, leur faire voir, si l'occasion s'en présente, les
enfants
devenus malades à la suite de l'onanisme. Ceu
ducation d'une façon générale, ou en particulier de l'éducation des
enfants
idiots, imbéciles et arriérés, se sont tous tro
ès embarrassés en ce qui concerne les conseils à donner lorsque l'
enfant
est devenu un adolescent vigoureux. Pour ce qui
ue l'enfant est devenu un adolescent vigoureux. Pour ce qui est des
enfants
ordinaires nous nous bornerons à quelques citat
ntracter un vice (1) ». - la perche, la corde lisse et empêcher les
enfants
, surtout les 11 lies, de se met- tre à cheval s
ette terrible manie, Hygiène, sexuelle. xv En ce qui concerne les
enfants
arriérés, Itard a eu des scrupules, il a hésité
e l'année précédente sous la direc- tion de M. Grandvilliers. - Les
enfants
faisant partie de la société, au nombre de 35,
X \"1 Gymnastique; fanfare. , concours, organisé à Villejuif, les
enfants
ont rem- porté un prix d'honneur offert par le
irection de M. Sutter, professeur de chant. Elle se compose de 14
enfants
. Elle a prêté son concours à la distribution de
4 enfants. Elle a prêté son concours à la distribution des prix aux
enfants
incurables de l'hospice d'Ivry (2;-) juillet),
VII ceptible de servir à donner des explications très claires aux
enfants
(Leçons de choses). Société des jeux. - Les rec
M. Mcsnard. Les recettes ont été pour cette année de 218 fr. 80. 52
enfants
ont versé pendant l'année. Le nombre des nouvea
is 1892 s'élèvent à 1.110 fr. 05. Promenades et distractions. - Les
enfants
de la grande et de la petite école qui sont pro
institutrices doivent donner des leçons de choses et exercer les
enfants
aux jeux de balle et de ballons. Voici rémunéra
ation qui veut bien, chaque année, sur notre demande, autoriser nos
enfants
et les petites filles de la Salpêtrière, il visit
, a hicn voulu lcur expliquer le fonc- tionnement. Visites. - Les
enfants
ont reçu lO.ll;) ! ) visites; les visiteurs ont
et contribuent Ù maintenir les liens entre les familles et leurs
enfants
». Vaccinations et revaccinations. - Elles ont
ever chaque année les modifications survenues dans la dentition des
enfants
. Nous n'avons eu qu'a nous féliciter de son ser
nferme toutes les couleurs et qui égare l'oeil de cette catégorie d'
enfants
, au lieu de le fixer ; de plus avec ce tableau
. Nous avons réclamé : 1" l'installation d'un moteur à gaz pour les
enfants
; 2° le prolongement du gymnase ; 3° la construc
ls apportent chaque jour à donner l'instruction professionnelle aux
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'
t Enseignement professionnel. xxv déduite de celle du travail des
enfants
(30.072 fr. 75), il reste un bénéfice de 13.465
2 fr. 75), il reste un bénéfice de 13.465 fr. (1). Le travail des
enfants
couvre donc : .1° la dépense occasionnée par le
néfice de 5.000 fr. qui vient atténuer les dépenses d'entretien des
enfants
(2). - Nous n'insisterons pas sur les avantages
e la Seine dans les mêmes conditions que les chefs des ateliers des
enfants
, c'est-à-dire payés à la fin du mois et logés a
de Bicêtre possède un quartier d'asile et compte il la section des
enfants
des chefs d'atelier, dont la situation est infé
Conseil mènerai, délibère : « Les chefs d'atelier de la section des
enfants
de Bicêtre sont assimilés au point de vue du tr
d'un' certain nombre de pensionnaires; les autres, au quartier des
enfants
, l'ap- prentissage et le travail des enfants ar
utres, au quartier des enfants, l'ap- prentissage et le travail des
enfants
arriérés ou épilepti- ques. Ce personnel est
s les ménagements à garder à l'égard des administrés adultes ou des
enfants
arrié- rés placés sous sa direction, M. le Rapp
A POPULATION. Le'1 ? janvier 1896, il restait dans le service 519
enfants
(1) : 491 idiots, imbéciles ou épileptiques, dits
eule évasion s'est produite dans le courant de l'année : celle de l'
enfant
Simon... qui a été ramené, par un infirmier env
puissions les mettre en regard de pesées analogues faites cliez des
enfants
réputés normaux. Maladies infectieuses. Nous
commencé le 7 mars et a fini le i septembre. Elle a porté sur 13
enfants
: 9 garçons, 3 filles et une infirmière. Deux g
inés parla guérison ; un a été suivi de décès l;lancli ? Henri) ; 5
enfants
restaient en traitement le 31 décembre. La roug
nt en traitement le 31 décembre. La rougeole a été apportée par l'
enfant
.1é ? ... chez lequel elle s'est montrée 12 '2
endu il G pour les garçons et était monté à 12 pour les filles. - 7
enfants
sont sortis guéris dans le courant de l'année.
adies intercurrentes. - Elles ont été relative- ment nombreuses : 9
enfants
sont entrés il l'infirmerie atteints d'étal de
nt pas de dortoir, sont affectées aux soins et à l'enseignement des
enfants
de la petite école. 3° Enseignement professio
e ne correspond plus à la Colonie de Vaucluse mais au service des
enfants
de Bicêtre, où nous recevons toutes les ca- tég
groupes principaux : 1° les en- fants idiotes et gâteuses ; 2° les
enfants
propres. Enfants idiotes gâteuses. Elles étaien
: 1° les en- fants idiotes et gâteuses ; 2° les enfants propres.
Enfants
idiotes gâteuses. Elles étaient au nom- bre de
euses. Nous dirons même que, en raison des infirmités physiques des
enfants
, elle est dange- reuse. Le gâtisme exigeant un
s. Les idiotes gâteuses se divisent on deux catégo- ries : a) les
enfants
valides qui sont envoyées à l'école durant une
moins des inconvénients pour les autres classes qui reçoivent des
enfants
propres. - ù) Les enfants inva- licles qui séjo
pour les autres classes qui reçoivent des enfants propres. - ù) Les
enfants
inva- licles qui séjournent dans les locaux et
... Trois ont appris à manger sans aide : Borj ? Frank ? Gudef...
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiques, elc., zrzli-
ion. L'idéal que nous cherchons à réaliser consiste a occuper les
enfants
du matin jusqu'au soir, en variant le plus poss
e doivent contri- buer à leur éducation. Au lever, on apprend aux
enfants
il faire leur toi- lette, à faire leur lit, il
e leur lit, il nettoyer leur dortoir. - Aux repas, on surveille les
enfants
qui savent manger seules et on corrige leurs ma
autres il se servir de la cuiller, de la four- chette, etc. Sur 162
enfants
présentes ;\ la fin de l'an- née, 2 savent se s
30 de la cuiller seulement. 22 ne savent pas manger seules. 132
enfants
ont fréquenté l'école et sont exercées à la gym
ont fréquenté l'école et sont exercées à la gymnastique Pichery, 52
enfants
participent aux exercices de la grande gymnasti
par M. Sutter, professeur de chant il l'asile-école de Bicêtre. 70
enfants
divisés en 3 séries ont suivi ces cours. Confor
ment nos instructions, il s'est oc- cupé successivement de tous les
enfants
, en mesure de profiter dans une mesure quelconq
s collaboratrices. ' Enseignement professionnel. A mesure que les
enfants
se développent, on leur apprend tous les soins
des moins arriérées, aident le personnel à apprendre à manger aux
enfants
incapables de manger seules et à perfectionner
les et à perfectionner celles qui mangent malproprement. Deux des
enfants
de la Fondation Vallée, Briss.... et Jup.... on
En plus des apprenties qui travaillent par séries régu- lières, 31
enfants
ont travaillé une heure par jour. 14 enfants sa
ies régu- lières, 31 enfants ont travaillé une heure par jour. 14
enfants
savent faire complètement les layettes ; 10 du
t pour les petites gâteuses et pour les petites filles pubères. Les
enfants
ont pris généralement leurs douches à la Fondat
gence qu'elles n'ont cessé cle déployer pour l'améliora- tion clos
enfants
justifient complètement l'avancement qui leur a
es liai- gnoires. - Ameublement du nouveau bâtiment. Teigne. Sept
enfants
ont été soignées au pavil- Ion des contagieux d
ableau des décès, que des accidents légers dont voici le résumé : 3
enfants
ont été traitées pour bronchite, 6 pour gourmes
s. Nous n'avons eu que trois cas cle maladies conta- r¡¿ense8 : l'
enfant
1mb ? (Jeanne), entrée au pavillon des contagie
, atteinte de coqueluche, en est sortie guérie le 22 juillet. Les
enfants
Bij... et Moul... sont entrées au même pavillon
cle tirage de la chasse d'eau est absolument il la disposition des
enfants
. 3° Vous nous avez entendu insister bien des fo
d'entretien et, b) ce qui est plus grave, la possibilité pour les
enfants
de passer au travers des carreaux. Nouveau bâti
ment : critiques. LXVII ! il Quant aux cases destinées il déposer les
enfants
en accès, elles n'ont pas été faites non plus c
s extrémités du bâtiment. Aussi sera-t-on obligé, pour porter les
enfants
en accès de la première classe à ces boxes, de
jours, le froid se faisant sentir, nous avons reçu des plaintes des
enfants
et du personnel, en particulier du personnel de
ur que les salles soient chauffées par un procédé quelconque et les
enfants
protégés contre le froid. L'architecte de Bicêt
ingénieurs d'accord et cela dans le plus bref délai, la santé clés
enfants
est en jeu, l'excès de chaleur produit par les
e nombre de leurs crises nerveuses. Section III. - Assistance des
enfants
idiots : création de classes spéciales annexées
réation de classes spéciales annexées aux écoles primaires pour les
enfants
arriérés. I. A MM. les membres de la 3° Commi
es des écoles primaires de chaque arrondissement et recevraient les
enfants
arriérés de toutes les écoles cle l'arrondissem
les enfants arriérés de toutes les écoles cle l'arrondissement, les
enfants
ren- voyés à cause de ce qu'on appelle leur ind
n- voyés à cause de ce qu'on appelle leur indiscipline, enfin les
enfants
des services d'arriérés sullisamment améliorés
illance lors de sa visite du 2 mai dernier (189G). Assistance ces
enfants
IDIOTS. LXXI Note A la Commission DE surveillan
ssiste, traite et instruit, a l'heure actuelle, plus d'un millier d'
enfants
idiots et épileptiques, l'assistance cle ces ma
te. La section de Bicêtre, que vous venez de visiter, renferme 52
enfants
, c'est-à-dire 124 de plus que le nombre pour le
d'un an. Les lits vacants à la colonie de Vaucluse, affectée aux
enfants
de 7 à 16 ans qui ne sont ni gâteux ni épileptiqu
espérer qu'on puisse songer à de nouvel- les constructions pour les
enfants
, dans un temps prochain. C'est pour cela que no
d'assistance et d'éducation de la catégorie la moins ma- lade des
enfants
idiots, nous voulons parler des arriérés. Les a
restent dans leurs familles ou vagabondent dans les rues. Pour ces
enfants
nous proposons la création de classes spéciales
s faits abondent ici. et nous allons faire passer sous vos yeux des
enfants
qui pourraient être envoyés à ces classes spéci
Ils peuvent se diviser en deux catégories. La première comprend les
enfants
arriérés ou atteints d'imbécillité sans pervers
auraient pas eu besoin d'être hospitalisés. La seconde se compose d'
enfants
qui nous sont arrives atteints d'idiotie, gâteu
(p. LXXIII et LXXIV). Nous devons faire une remarque au sujet des
enfants
de la seconde catégorie. Lorsque leurs parents
efois et, au bout d'un temps plus ou moins long, on nous ramène les
enfants
ayant en grande partie perdu ce que nous leur a
es aliénés sortis des asiles du département de la Seine, adultes ou
enfants
. Nous de- vons ajouter que dans les autres serv
Nous de- vons ajouter que dans les autres services consacrés aux
enfants
idiots et arriérés on en trouverait également de
lxxv Dans les écoles primaires de la ville, il y a aussi nombre d'
enfants
retardés qui ne peuvent suivre utilement leurs
e M. Faubert, inspecteur de renseignement pri- LXXVt Assistance des
enfants
idiots. maire, à notre instigation, a invité le
titutrices des 5° et 6' arrondissements a lui dresser une liste des
enfants
arriérés et indisciplinés qu'ils avaient dans l
o négligence s'ils mentionnaient l'exis- tence dans leurs classes d'
enfants
indisciplinés ou arrié- rés. Cependant, telle q
dant, telle qu'elle est, cette enquête sommaire montre qu'il y a 83
enfants
arriérés et 49 indisciplinés des deux sexes dan
Classes spéciales. L\S7-II compte du nombre et de la situation des
enfants
anor- maux, il continue ainsi : « En donnant
mière recherche scientifique compréhen- sive d'anormalités chez les
enfants
des écoles, nous n'avons pas l'intention de réc
ons de ne pas voir adopter pour dénommer cette catégorie spéciale d'
enfants
exception- nels, de façon à éviter l'ambiguïté
façon à éviter l'ambiguïté du terme américain « fecllc-otü2decl » (
enfants
d'un esprit faible). « Dès 1881, nous trouvons
ité avec les écoles muni- cipales de lrunswick pour le bienfait des
enfants
qui, quoique non idiots et imbéciles, étaient m
sans cesse croissant des maîtres chargés de l'instruction de ces
enfants
, et d'une adaptation du système d'éducation sen
logne, il existe deux écoles spéciales avec un total de près de 300
enfants
. Comme règle, un maître ne doit pas avoir plus
quatre) est tout ce qu'attendent les autorités scolaires. Quelques
enfants
restent dans ces classes jusqu'à 18 ans ; et, s
s pour les imbéciles, des classes pour l'instruction spéciale des
enfants
anormaux ont été organisées depuis longtemps. A
rmaux ont été organisées depuis longtemps. A LXXVJII Assistance DES
enfants
IDIOTS. Christiania et il Bergen, ces classes s
ation remarquable du ])'' Keller, pour les soins et l'éducation des
enfants
arrié- rés. Le fait qu'il a un personnel de 25
s arrié- rés. Le fait qu'il a un personnel de 25 maîtres pour 200
enfants
, montre que l'instruction est individualisée au
et qui était formulée en ces termes : « Que, en ce qui concerne les
enfants
d'un esprit faible, ils seraient séparés des éc
tion, l'année suivante, d' Ecoles pour l'Instruction spéciale » des
enfants
qui, en raison de leurs défectuosités physiques
s les plus pauvres de la métropole. Il y a maintenant près de GOO
enfants
sur le rôle et ce nombre augmente sans cesse. L
vrai dire, que, à cette exposition, l'étalage des travaux de chaque
enfant
, dans la classe spéciale, honorablement considé
ablement considérée comme la sienne, est placé it côté de celui des
enfants
normaux. La sélection des élèves pour ces class
ges. « Quelques maisons privées d'éducation, clans lesquelles des
enfants
mentalement défectueux (me¡¡[allv-rle/icient) q
icale d'une telle éducation est un avantage. Il est évident qu'un
enfant
dont l'imperfection mentale ou l'état nerveux n'e
aura plus de chance d'amélioration lorsqu'il sera instruit avec des
enfants
qui offrent des conditions LXXX Education des e
ruit avec des enfants qui offrent des conditions LXXX Education des
enfants
idiots. mentales semblables que s'il est soumis
soumis dans une école ordinaire à une rivalité sans espoir avec des
enfants
nor- maux, ou, d'un autre côté, exposé aux infl
. « Quelques cas démonstratifs, donnant une idée de la classe des
enfants
auxquels la désignation de « feeble- minded (it
appliquée ajuste titre, peuvent aider à éclaircir le sujet. De tels
enfants
sont aussi décrits comme « arriérés, cbackwardH
enfants sont aussi décrits comme « arriérés, cbackwardH » ou comme
enfants
atteints d'un «arrêt de développement mental» -
d'un «arrêt de développement mental» - termes correspondant aux «
Enfants
arriérés » des écrivains français, aux « geistigz
s-uns des arrondisse- ments de Paris des classes spéciales pour les
enfants
Classes spéciales. LXXXI arriérés n'offrant n
er le service le 11 t avril. Nous lui avons montré une partie des
enfants
que nous venons de vous faire voir. Après cet e
créé, près des écoles de la Ville, des classes spéciales pour les
enfants
arriérés. On nous a reproché vivement, dans des
111, p. lî9. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1896. ? LXXXII ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS. IL w Lettre DE 1\1. Carriot au sujet
OTS. IL w Lettre DE 1\1. Carriot au sujet de la statistique DES
enfants
arriérés existant dans les écoles primaires de
isation de ces classes, il convenait de dresser une statistique des
enfants
arriérés existant clans les écoles primaires do
re Réponse. A M. le Dr l3oanw : wu.i.r, médecin de la section des
enfants
arriérés de Bicêtre. Paris, le 12 septembre 189
rentrée des classes, je voudrais faire procé- der au récolemcnt des
enfants
arriérés ou iudisuipli- nés qui fréquentent les
ses spéciales pour les LXXXIV Assistance ET éducation DES IDIOTS.
enfants
des écoles primaires plus ou moins retardés clans
ète, se rapprochant dans sa forme la plus allé- nuée de l'état de l'
enfant
normal le moins bien doué. Dans toutes les vari
t pas. L'odorat, le toucher sont obnubilés ou indiffé- rents. Ces
enfants
n'ont aucune conscience du danger, et comme les
istent mais sont retardées, notablement au-dessous des facultés des
enfants
du même âge. L'attention laisse beau- coup à dé
posséder des facultés intellectuelles intactes, être les égaux des
enfants
de leur âge, appartenir à la même classe, avoir
morales et, s'il y a lieu, les imperfections intellectuelles. Les
enfants
atteints d'idiotie au premier et au second degr
Les enfants atteints d'idiotie au premier et au second degré, les
enfants
affectés d'imbécillité morale doivent être hosp
e môme, au moins au déhut de la création des classes spéciales, des
enfants
frappés d'imbécillité proprement dite. Ces cl
ment dite. Ces classes nous paraissent devoir être consacrées aux
enfants
atteints : 1° d'imbécillité légère ou arriération
aussi, plus tard, ve- nant des services hospitaliers spéciaux, les
enfants
idiots et imbéciles qui auront été améliorés et
xc Classes spéciales. à la création de classes spéciales pour les
enfants
arrié- rés et les enfants instables. Veuillez
la création de classes spéciales pour les enfants arrié- rés et les
enfants
instables. Veuillez agréer, Monsieur le Directe
tres services analogues, dans leur famille un nombre considérable d'
enfants
, tout en les traitant et les édu- quant, et aus
onsanguinité (cousins germains); différence d'âge .de huit ans. Dix
enfants
, tous des garçons;, huit sont morts du croup à di
-vouslà o » Elle est revenue aussitôt à elle comme d'un rêve. « Mon
enfant
a un bras et une jambe qui ressemblent à ceuxdu
e me portait sur ses épaules et j'écar- Lais bien les jambes, dit l'
enfant
. » En raison de son infirmité et aussi à cause
ouvert deux abcès au niveau du genou. Ces abcès, si l'on en croit l'
enfant
, renfermaient beaucoup de pus et les inci- sion
rès rudimentaire. » Mars 1887. - Infirme par accidents scrofuleux ;
enfant
paraissant extrêmement doux ; perfectible. No
n'est tourné que vers le mal. Avril. - Indiscipline constante; cet
enfant
ferait le martyre des gardiennes si son infirmi
ion du bras et de l'épaule. Aucun traumatisme connu du père et de l'
enfant
n'explique cette laxité des ligaments aux deux
coude est le siège de douleurs vives, lancinantes qui ont empêché l'
enfant
de dormir. La plaie mise à nu laisse voir un ti
ressive, consolidation de la fracture, cicatrisation de la plaie. L'
enfant
sort de l'infirmerie dans les premiers jours d'
demi; sa mère, en effet, a remarqué alors, que le côté droit de son
enfant
était moins gros et plus faible que le gauche,
a- dives ou cédant sans trop de résistance aux mauvais conseils d'
enfants
plus âgés, B... commettait de nombreux petits méf
tirer profit, malgré son infirmité, le métier de cordonnier. ' L'
enfant
ayant été envoyé en nourrice trois ou quatre jour
etc...] Pas de consanguinité. - Quatre ans de différence d'âge. 4
enfants
: 10 la malade ; - 2° garçon (20 mois), très ner-
Il en a été de même à ses autres grosses- ses). - A la naissance, l'
enfant
était asphyxiée, elle serait restée noire penda
auraient commencé le 13- jour après la naissance. Aussitôt avant, l'
enfant
aurait poussé un « cri de bête. » La mère dit q
dans la famille du père, mais l'arrière grand'mère maternelle de l'
enfant
a eu deux jumeaux. DESCRIPTION DE la malade. 35
u milieu de ses convulsions, qui ont persisté jusqu'à l'entrée de l'
enfant
à la Fondation Vallée, avec les mêmes caractère
ui persistent. Huit jours après la naissance, on s'est aperçu que l'
enfant
ne voyait pas. Depuis les premiers temps de la
e ne l'est main- tenant. La fontanelle n'est pas encore fermée. - L'
enfant
ne se sert ni du bras droit, ni du gauche pour
naissance le sommeil n'a été calme. État actuel (21 juin 1895). - L'
enfant
est très pâle et a l'attitude d'un enfant souff
ctuel (21 juin 1895). - L'enfant est très pâle et a l'attitude d'un
enfant
souffrant. Ses lèvres sont très décolo- rées, a
trique. - Oreilles grandes, bien ourlées, lobule à demi adhérent. L'
enfant
entend un peu ; quand on pro- nonce son nom, el
tine offre une légère atrésie. L'évolution dentaire est retardée. L'
enfant
possède bien ses 20 dents temporaires, mais les
ttement fréquent et très accentué des molaires corres- pondantes, l'
enfant
ayant l'habitude constante de grincer des dents
spontanés sont conservés, et les doigts ont gardé leur motilité. L'
enfant
ne se ronge pas les ongles. Membres inférieurs.
fémur dans la cavité cotyloide droite paraissent très douloureux. L'
enfant
dessine des mouvements nets de défense. On ne c
- bres cervicales et premières dorsales est très douloureuse et l'
enfant
pousse des cris. Elle ne peut tenir sa tête droit
fosse iliaque gauche est très douloureuse et arrache des cris à l'
enfant
. - Appétit médiocre, l'enfant ne prend que des
s douloureuse et arrache des cris à l'enfant. - Appétit médiocre, l'
enfant
ne prend que des panades et du lait ; elle ne s
oudre de viande et bains salés. ' 26 juillet. - On remarque que l'
enfant
rejette son lait aus. sitôt après l'avoir pris.
était cependant que de 36°, z 8. Mais par trois fois dans la nuit l'
enfant
. été prise d'un frisson avec refroidissement ac
té du poumon est légèrement diminuée. Dans la soirée, le corps de l'
enfant
se réchauffe, sans qu'il y ait de fiè- vre. Les
mphrée. Au bout de deux jours, ces accidents avaient dis- paru et l'
enfant
revenait à son état antérieur. 16 août. - Revac
ultat négatif. Fig. 7. MÉNINGO-ENCÉPHALITE. 39 28 novembre. - L'
enfant
s'affaiblit beaucoup, elle a conti- nuellement
lacté. 1896. 23 mars. - Depuis le commencement du mois de mars, l'
enfant
se cachectise de plus en plus. Elle est en proie
fécales sont verdâ- tres et décolorées. Cependant la nutrition de l'
enfant
est complète. Elle boit tous les jours environ
cune réaction aux diverses sensations extérieures; il faut pincer l'
enfant
vigoureusement pour qu'elle profère quelque gém
rriver à redresser le membre con- tracture. L'état de maigreur de l'
enfant
est extrême et la ca- chexie fait de rapides pr
encore d'escharcs. L'alimentation est très difficile. {cr mai. - L'
enfant
est dans un état d'affaiblissement ex- trême ;
: ils sont contrac- tures en flexion et croisés l'un sur l'autre. L'
enfant
réagit à peine aux sensations extérieures. Les
us légère percussion. Le pouls est faible et ralenti. Le poids de l'
enfant
est de 7 kilog. (Fig. 8). Fig. 8. PACHYMÉNING
ême état. - L'ophtalmie ne s'accentue pas davantage. 13 inti. - L'
enfant
meurt à 11 heures et demie du soir, sans grimac
généralisée et, en outre, une pachyméningite. De tous les crânes d'
enfants
idiots, environ 300, que nous avons réunis dans
artielle analogue à celui de Maq... Rappelons aussi que, bien que l'
enfant
eut 4 ans, la fontanelle antérieure n'était pas
V. Les rit. 7 et 8 mettent bien en évidence l'aspect général de l'
enfant
et donnent aussi une idée exacte des progrès de
idiotie autres que l'idiotie myxoedéma- teuse. En ce qui concerne l'
enfant
elle-même, nous n'avons à noter que la naissanc
re. Rien ne nous four- nit une cause très nette de l'affection de l'
enfant
. État actuel. - L'aspect général de l'enfant ne
te de l'affection de l'enfant. État actuel. - L'aspect général de l'
enfant
ne laisse aucun doute sur la réalité du myxoedè
on toujours gênée, sans râles. - Cri aigre, rauque. Digestion : L'
enfant
ne prend que du lait ; bave, constipation habit
êmes dates. Telle est, dans ses grandes lignes, la situation de l'
enfant
, ainsi que vous le montrent l'examen direct et
les faits antérieurs, se réalisent, vous constaterez, chez cette
enfant
, une véritable transformation, après le traite-
s de son affection. Malheureusement, au bout de quelques jours, l'
enfant
a été prise d'accidents pulmonaires auxquels el
elles la respiration est interrompue. 41 mat. Au cours de la nuit l'
enfant
a été agitée et s'est réveillée en sursaut à pl
moins vio- lacées. - Poids : 10 kg. 500. - T. R. 37°, 9. A midi, l'
enfant
prend un gramme de glande thyroïde. - Le soir,
à 380, 2, nous ne lui faisons pas prendre de glande thy- 'roide. L'
enfant
continue à être un peu agitée et à être très én
re très énervée. , 14 mai. - Le sommeil a été à peu près nul et l'
enfant
a remué sans cesse. T. R. 38°, 8. Un gramme de
mais, dans l'après-midi, la dyspnée reparaît, la toux persiste. L'
enfant
se gratte le nez, frotte sa tête contre l'oreille
- Le matin, T. R. 38°, 3. Dyspnée, toux plus fréquente, nausées. L'
enfant
semble souffrir beaucoup. Rien à l'auscultation
ueurs abondantes. Oppression extrême. P. à 100 ; R. à 56. Coma. L'
enfant
meurt le 19 mai, à 6 heures du matin. T. R. 390.
ois, Igr. deux fois). Ajoutons que, en raison de la résistance de l'
enfant
, aucune de ces closes n'a été ingérée complètem
e de l'enfant, aucune de ces closes n'a été ingérée complètement, l'
enfant
en ayant rejeté une partie, chaque fois, surtou
rtout la seconde fois. A l'appui, nous pouvons invoquer le cas d'un
enfant
- une fille également. - Bor ? moins âgée de 5
langue. - Développement rapide du système dentaire. -Agitation de l'
enfant
et élévation thermique nécessitant l'arrêt de l
avec cachexie pachydermique. 59 minant en 3 jours par la mort de l'
enfant
. - Pas d'autopsie. Con...., née à Ivry, le 17
paternelles. - Un oncle maternel en bonne santé ainsi que ses trois
enfants
. - Deux tantes maternelles sans accidents nerve
Deux tantes maternelles sans accidents nerveux, de même que leurs
enfants
. - Quatre frères, deux morts de la poitrine; un
x soeurs âgées l'une de 30 ans, sans attaques de nerfs, a eu deux
enfants
qui n'auraient pas eu de convulsions ; l'autre, â
Antécédents personnels. 61 huit jours après. - A la naissance, l'
enfant
était asphyxiée, parce que, dit-on, elle avait
peu à peu. - Quinze jours après la naissance, on s'est aperçu que l'
enfant
avait une hernie ombilicale : elle était grosse
pleure facilement. - Elle n'a pas encore de dents. Marche nulle; l'
enfant
ne sait pas se tenir sur les jambes. Les cheveu
er, sa voix a tou- jours été rauque. Avant son admission en 1896, l'
enfant
a subi le traitement thyroïdien à deux reprises
enfant a subi le traitement thyroïdien à deux reprises. 1890. - L'
enfant
est entrée dans le service le 28 avril pour êtr
2 Idiotie avec cachexie pachydermique. Voici quel était l'État de l'
enfant
pris à deux ans et demi d'intervalle. 1893 :
néral dénote d'emblée l'idiotie avec cache- xie pachydermique L'
enfant
a la peau d'un as- pect cireux, un peu luisant,
de crasses jau- nâtres. Au dire de la grand'- mère, qui a eu neuf
enfants
, elles n'auraient pas été plus abondantes que
bondantes que d'habitude. On a essayé vainement de les enlever. L'
enfant
est venue au monde avec beaucoup de cheveux,
e apathie très marquée, aussi bien intellectuelle que physique. L'
enfant
se tient le plus souvent dans la posi- tion o
que la droite. La face est ronde, on peut fixer l'attention de l'
enfant
. Elle sourit et son sourire est assez express
l ne paraît pas y avoir de traces du corps thyroïde. Le cri cle l'
enfant
est un peu aigre, mais 11101nSSt1'1(1(.'Ilt q
ales. Les côtes sont un peu déjetées, ce qui donne au ventre de l'
enfant
l'aspect du ventre d'un batracien. Le raclns
cachexie pachydermique courts. Les ongles ont 3 mm. au plus. - L'
enfant
se tient un peu et momentanément sur les jamb
ui jaunissait com- me par accès, jaunit un peu moins. Les cris de l'
enfant
sont les mêmes. - Les injections de suc thyroïd
{écJ'ie ? Reprise du traitement par les injections sous-cutanées. L'
enfant
devient plus gaie, s'occupe davan- tage, de ce
es cheveux tombent moins. La coloration jaune de la face persiste L'
enfant
ne parle pas, mais, dit ah, quand elle voit que
ouche est tou- jours ouverte laissant voir une langue épaisse que l'
enfant
commence il. allonger quand elle est contente.
7 ; respiration il 21 ; T. R. 38°, 3. -- Soir : 38", 5. 13 mai. L'
enfant
continue à être très agitée. T. R. 370.9. Les p
ment moins violacée ? Poids : 10 kg. 500. 12 mai. - T. R. 37", 9. L'
enfant
prend 1 gr. de glande 70 Médication thyroïdienn
u'à l'orthopnée. 15 mai. T. R. 38°, 4. - Pas cle glande thyroïde. L'
enfant
continue à se modifier ; sa figure parait moins
ours complète la nuit. Les dents ont légèrement poussé depuis que l'
enfant
est en trai- tement. -Soir : T. Il. 39o, 9 ; R.
r : T. Il. 39o, 9 ; R. à 42. 17 mai. - Pas de glande. - Le matin, l'
enfant
est très abattue et oppressée, bien que la T. R
pas d'agitation, mais insomnie et oppression. 18 mais Le matin, l'
enfant
a une dyspnée violente. P. 96 ; R. 56. Les lèvr
entouses. - Soir : P. '12 ; R 56 ; T. R. 39°. A 9 heures du soir, l'
enfant
est do plus en plus oppressée : le pouls devien
PAR BOURNEVILLE ET F. RKGKAULT. Nous présentons (1) le crâne d'un
enfant
de dix ans, atteint d'idiotie par arrêt de déve
ariées et de parfaite santé ; une de ces dernières est mère de deux
enfants
bien portants. - Aucun autre antécédent névropa
sse, souffre constamment de l'estomac. Cette soeur aurait eu deux
enfants
morts en bas âge, le premier de rougeole, le seco
orts en bas âge, le premier de rougeole, le second d'athrepsie; cet
enfant
était porteur d'un bec de lièvre. - Aucun autre
sanguinité. - Différence d'âge de 3 mois (mère plus jeune.) Trois
enfants
: 1° Garçon, mort à 22 mois du croup, se portai
- tement maternel au sein jusqu'à 17 mois. La santé générale de l'
enfant
fut assez éprouvée ; la mère a constaté les pre
tèrent durant une période d'environ six mois. Depuis sa naissance l'
enfant
est porteur d'une petite hernie inguinale droit
ans. Dès l'âge de 4 mois, la mère s'aperçut de l'arriération de son
enfant
. Il ne pouvait à cette époque maintenir la tète
ot que, lorsqu'après sa jau- nisse, il fut pris d'un tic étrange. L'
enfant
s'arrachait les cheveux et les regardait en les
il se tenait isolé dans un coin et ne jouait jamais avec les autres
enfants
. Il n'a pas présenté de pyromanie, de clastoman
sseau pour y 76 DESCRIPTION DU malade. faire traiter sa hernie, l'
enfant
y fut examiné et l'on conseilla à la mère de le
les coléreux et violents, voilà plus qu'il n'en faut pour créer à l'
enfant
des prédis- positions aux affections nerveuses.
ons aux affections nerveuses. . II. Les antécédents personnels de l'
enfant
sont peu compliqués. Ce n'est qu'à l'âge de deu
excès de boisson, morte à 72 ans. Une soeur, bien portante, mère d'
enfants
sains. - Pas de maladies nerveuses dans le rest
e consanguinité. - Inégalité d'âge de 3 ans (mère plus âgée). Six
enfants
d'un premier lit : 1° une fille un peu nerveuse
enfants d'un premier lit : 1° une fille un peu nerveuse dont un des
enfants
a eu des convulsions internes ; - 2° un garçon
garçon, 27 ans, bien portant, a eu des convulsions internes. Cinq
enfants
d'un second lit : 1° une fille, 18 ans t ? médit.
ment naturel, à terme. D... était à sa naissance « aussi gros qu'un
enfant
de trois mois » ; il était cyanose et on dut sa
connaît la valeur des pièces, prenait des sous pour les donner aux
enfants
. État actuel ? Tète assez grosse ; crâne oval,
ts contre elles, déchire ses vêtements; il frappe à tout propos les
enfants
plus jeunes que lui. Pour- tant il peut s'habil
Membres supérieurs. 90 Marche DE LA maladie. 1 ? septembre. - L'
enfant
prendrégulièrement ses douches en jet en éventa
solument de faire quoi que ce soit ; en classe il frappe les petits
enfants
, qu'il mord lorsqu'on veut le contraindre â tra
1880. 5 mars. - D...' est revacciné sans succès avec du vaccin d'
enfant
. 21 septembre. - Le maître obtient de lui faire
tion notable.- 17 nou ? Pas de réci- dive de la gale. - 1882. - L'
enfant
a suivi le traitement hydrothérapique d'avril à
achevé. 3 accès. T. It. 37°, 9. - Soir : T. Il. 38 ? ). 7 août L'
enfant
meurt à 7 h. 15 du matin avec une tem- pérature
uents excès de boisson, comme sa mère la grand'mère paternelle de l'
enfant
. Il en était de même, mais à un moindre degré,
, dont l'une est arriérée, qui ont eu tous des convulsions. II. L'
enfant
est né cyanose. Est-ce il cette condition, dont
e mais sans complication. Il a fait son service militaire, et a été
enfant
de troupe durant son jeune Age . Depuis 7 ans,
a toujours été régulière- ment depuis. Mariée à 19 ans, elle a eu 4
enfants
. Assez ner- veuse, elle n'a eu aucune attaque c
- Aucun autre rensei- gnement sur la famille de la mère]. Quatre
enfants
: 1" Notre malade ; 2" lille, morte à 3 ans, d'
ces appa- rentes. - Accouchement à 9 mois, rapide, sans accident.
Enfant
très beau ( ? ) à la naissance. Allaitement au se
( ? ) à la naissance. Allaitement au sein. La mère en nourrissant l'
enfant
, à 3 mois, aurait été témoin d'un accès cl'épil
ccès cl'épilepsie qui lui fit une grand'peur. A deux ans et demi, l'
enfant
a eu la variole. Il aurait eu ses dents de bonne
précoce ( ? ). Durant la poussée de ses dents vers un an et demi, l'
enfant
aurait souffert beau- coup et n'aurait cessé de
es frère et smur, Il aurait été propre de bonne heure. A un an, l'
enfant
commençait à bégayer « papa » et « ma- man », m
ni migraines. - Soeur, sourde-muette, mariée à un sourd-muet, pas d'
enfants
. - Deux frères, sourds-muets dont l'un marié à
ères, sourds-muets dont l'un marié à une femme bien portante, pas d'
enfants
. Soeur prostituée, qui est entrée dans une mais
Tours, après le départ de son mari pour le service militaire; pas d'
enfants
. -Une soeur boiteuse dès sa naissance. Dans le
e consanguinité. - Inégalité d'âge de 12 ans (père plus âgé). Six
enfants
: l'un est mort de méningite, les cinq autres son
jours après le premier a duré 48 heures. Avant ces convulsions, l'
enfant
était normale et ressemblait aux autres enfants,
t ces convulsions, l'enfant était normale et ressemblait aux autres
enfants
, mais elle était en retard pour la parole, bien
t de la fièvre, du délire. La tète tombait quand on la soulevait. L'
enfant
grinçait des dents. Au bout de 15 jours, elle s
, pas d'évacuations involon- taires. Cet état dure 2 heures, puis l'
enfant
revient à elle. La bouche et la moitié droite d
dant quatre jours, le côté droit reste plus faible que le gauche. L'
enfant
traîne la jambe droite, peut cependant sai- sir
céphaliques, n'a jamais reçu de coups, n'a jamais été maltraitée. L'
enfant
est, aujourd'hui, très indifférente, n'a pas de
et violent. Peu à peu elle devenait méchante vis-à-vis des autres
enfants
, les battait, les pinçait, les griffait. Sa mère
ières ; il n'y avait pas de gâtisme. Quelquefois, après le repas, l'
enfant
devenait blême, puis très colorée, la tête et les
ents ont duréjusqu'àl'entrée, aumois demai.-On attribue l'état de l'
enfant
aux convulsions. État actuel (17 mai 1895). - A
e et à l'accommodation. L'acuité et le champ visuel sont normaux. L'
enfant
distingue très bien les couleurs, n'a ni diplop
males. Le réflexe pharyngien est conservé. - Le goût est intact, l'
enfant
perçoit bien les saveurs. - Les dénis, réguliè-
la température et à la douleur conservée, la même des deux côtés. L'
enfant
se ronge un peu les ongles. Membres inférieurs.
Mai et juin. - La déchéance devient de plus en plus com- plète. - L'
enfant
ne parle plus, ne fait pas de mouvements, est i
llS9li. z122 Attaque épileptiforme; cachexie.$ z 9 septembre. - L'
enfant
décline de plus en plus. On observe de la contr
dif- ficile à vaincre. - Les membres inférieurs sont indemnes.- L'
enfant
a beaucoup maigri, s'alimente d'une façon très
ace est pâle et amaigrie. - De temps en temps et surtout la nuit, l'
enfant
pousse un cri hydrencephalique. Elle grince sou
ntre est souple, un peu creusé en bateau, indolore à la pression. L'
enfant
gâte, mais se nourrit suffisamment, prenant du
ur le tronc. Les jambes sont fléchies, les talons sur les fesses. L'
enfant
est recroquevillée sur elle-même. A droite, la
trochanter, et au-dessus de l'épine iliaque antéro-supérieure. L'
enfant
ne reconnaît personne, répond par monosyllabes
'accompagne d'une température de 39°,7. 29 octobre. - Ce matin, l'
enfant
est très affaissée, ne mange plus, ne parle pas
°, 5. - Soir : T. R. 36°, Il. 30 octobre. - Dénutrition complète, l'
enfant
est repliée sur elle-même, ne fait plus de mouv
6°, 4. Mort à deux heures de l'après-midi; aussitôt après la mort l'
enfant
devient violacée. Fig. 19. - 21 octobre 1896.
8 mois, les renseignements qui nous ont été fournis indiquent que l'
enfant
était normale. Alors surviennent des convulsion
igence n'aurait pas été notablement affaiblie. Quoiqu'il en soit, l'
enfant
mise à l'école à 7 ans, après une période d'éco
a publié trois cas de mort survenue dans ces conditions chez des
enfants
, et j'ai tout lieu de croire que les faits malheu
t les doses de corps thyroïde administrés. J'ai fait prendre à un
enfant
de trois ans, atteint de myxoe- dème congénital
tion très abondante : éruption de trois dents en huit jours. Mais l'
enfant
est tombé dans un tel état que je n'ai osé cont
abloïds » de corps thyroïde d'origine anglaise; j'ai donné à divers
enfants
du premier tige, atteints de myxoedème congénit
est très évidente ; le myxoedème disparait toujours. Mais chez les
enfants
du pre- miel' âge, ce traitement présente de gr
ulté par les malades. La dose a varié d'un demi-lobe a un lobe. Les
enfants
sont surveillés avec le plus grand soin et dès
Très peu développé, à tous les 140 Discussion. points de vue, cet
enfant
n'avait que deux ou trois dents. Il avait une g
pastille de Burroughs et ? elcomc, de Londres. Deux mois plus tard, l'
enfant
était à tel point transformé que j'en fus moi-m
rs symptômes de cachexie pachydermique à 8 mois. Description de l'
enfant
avant tout traitement. Réunion de tous les symp
aitement du 3 octobre à ce jour : Transforma- tion remarquable de l'
enfant
. - Développement physique et intellectuel. Bo
aternels ou maternels. Deux oncles paternels bien portants, pères d'
enfants
en bonne santé. Pas de tantes paternelles. Un o
détail. - Deux oncles paternels ; les mômes que ceux du père de l'
enfant
. - Pas d'onces ni de tantes maternels, - Un frère
e « du même age que moi, nous étions jumeaux » ; célibataire sans
enfants
. Pas de soeurs. Elle dit qu'il n'y a pas eu d'a
Inégalité d'âge de deux ans. Père et mère du même pays. - Une seule
enfant
: la malade. Antécédents personnels. - Rien i
travail a duré quatorze heures. - l'as d'asphyxie à ta naissance. L'
enfant
a crié de suite et, dit-on, avait la voix d'un
naissance. L'enfant a crié de suite et, dit-on, avait la voix d'un
enfant
ordinaire; le teint n'était pas cireux ; elle p
ère et ses autres parents du pays. La mère ne saurait dire si son
enfant
la reconnaît, car elle ne l'a avec elle que depui
lapsus rectal. On n'a pas remarqué d'hémorroïdes. La mère dit que l'
enfant
paraissait souffrir en urinant, qu'elle tousse
s et demi, quand sa mère l'a quittée, elle ressem- blait aux autres
enfants
; ce ne serait qu'à 8 mois que la grand'mère se
é- miques. La mère ne sait à quoi attribuer la maladie. État de l'
enfant
le 29 octobre 1895. - Crâne à peu près arrondi
aît normale, ainsi que l'audition. Il est impossible de savoir si l'
enfant
reconnaît les saveurs et les odeurs. Respirat
u coeur ou des pou- mons. Rien à l'examen des organes abdominaux. L'
enfant
n'est pas vorace. Mastication très lente et dif
en prolapsus. L'évolution de la den- tition est retardée, puisque l'
enfant
ayant 34 mois ne possède que six incisives temp
pérature des idiots et des épileptiques est la môme que celle des
enfants
normaux. Dans le cas particulier la recherche a
i, n'a pas dormi. La voix se rap- proche maintenant de la voix d'un
enfant
ordinaire. - Les cheveux tombent au-dessus des
a de l'oppression. Le soir, comme les accidents persistent, que l'
enfant
souffre, et que la température est élevée, la sur
évrier. Le cuir chevelu est le siège de démangeaisons qui portent l'
enfant
à se gratter. Les cheveux continuent à tomber p
froid a disparu. 4-7 février. - L'appétit est redevenu excellent. L'
enfant
conserve sa gaieté, frappe la table, les chaise
rentrée dans la bouche qui demeure close. 9 février. - Dès que l'
enfant
aperçoit ses parents, elle rit, pousse des « ga
er. La mastication, qui était nulle, s'effectue con- venablement. L'
enfant
est toujours heureuse de voir ses père et mère
... a trois ou quatre selles molles, principalement le matin. Cette
enfant
qui, avant le traitement, ne comprenait rien, n
de tout ce qui se fait au- tour d'elle, témoigne de l'affection aux
enfants
qui l'amusent. 2ï avril. - B... se tient très b
Sueurs fréquentes de la tète. I 1 mai. - T.R. 39°, 9, bien que l'
enfant
n'ait pas pris de glande hier. Suspension du tr
N THYROÏDIENNE. 155 25 mais Lucie se' rapproche de plus en plus des
enfants
ordinaires. Elle essaie d'imiter tout ce qu'ell
ie, est vio- lacée et tend à sortir de la bouche comme autrefois. L'
enfant
est oppressée, et la nuit, elle est très gênée
refuse de manger, met ses doigts dans sa bouche. 17 novembre, - L'
enfant
supporte bien son traitement. Bile devient mali
ose. 31 décembre, - Progrès sensibles en tout. Si on n'avait vu l'
enfant
il y a un an, avant le traitement, on ne croirait
a un an, avant le traitement, on ne croirait pas que c'est la même
enfant
. Sa physionomie expressive la rapproche des enf
ue c'est la même enfant. Sa physionomie expressive la rapproche des
enfants
normaux. Elle marche bien, tenue à la main et i
u travail de sortie des dents. A dater de cette époque, en effet, l'
enfant
a bénéficié d'un mouve- ment de surnutrition gé
istinguait qu'un cri. - Douze jours après le début du traitement, l'
enfant
avait un timbre de voix sonore, avec une étendu
ique. La physionomie s'est transformée, est deve- nue expressive. L'
enfant
, auparavant inerte, obtuse, indifférente, est g
ce qui se fait autour d'elle, a de la spontanéité, se souvient. L'
enfant
devient de plus en plus propre, elle n'a pas gâ
re oncles et trois tantes maternels, rien à signaler, ni chez leurs
enfants
. Deux frères ont succombé à la tuber- culose pu
ée.] Pas de consanguinité. - Différence d'âge de six ans. Un seul
enfant
, la malade. Notre malade. - Rien de particulier
(1) Depuis que ces renseignements ont été donnés, il est né un second
enfant
t qui a remué dès le quatrième mois tandis que
as eu de chute du rectum. L'attention est très difficile a fixer. L'
enfant
paraît affec- tueuse. Depuis son arrivée à Pari
manifestations lymphatiques ni de vers. État actuel. (Juillet). - L'
enfant
offre tous les caractères clas- siques de l'idi
nts des membres supérieurs sont relativement vifs surtout quand l'
enfant
est en colère. L'enfant ne marche pas seule mais
eurs sont relativement vifs surtout quand l'enfant est en colère. L'
enfant
ne marche pas seule mais se traine lourdement e
e tourne et retourne, ne veut pas rester couverte. 2 février. - L'
enfant
, qui paraît souffrir, pleure presque toute la j
La desquamation commence aux pieds et aux mains. 28 février. Une
enfant
la fait tomber, ce qui occasionne une petite pl
es compa- gnes. - Soir : T. R. 37°, 4. 2 mars. -Nuit meilleure. L'
enfant
revient à ses anciennes habitudes. Le soir la T
devient toute bleue et on est amené il lui céder. 7-30 avril. - L'
enfant
est craintive, capricieuse, jalouse, gourmande.
médication qui a été suspendue le 31 mai (Fig. 34). Juillet. - L'
enfant
exécute seule quelques pas. Le carac- tère est
qu'au 30. - 1er octobre. - Poids : 12 k. 500 ; - taille : 0'" 77. L'
enfant
a donc une tendance à l'obésité. Elle est deven
vembre, elle prend tous les deux jours 1 de glande. Décembre. - L'
enfant
est redevenue gâteuse. Elle se rend compte qu'e
tardée, il y a quinze mois, est aujourd'hui complètement achevée. L'
enfant
présenterait son nombre régulier de dents, si u
tie a fait place au mouvement. Messieurs, Vous avez vu ces deux
enfants
il y un an. Elles offraient à un degré très pro
- être normal comme Mrc·11e11n, Schotteu l'ont remar- qué. Chez l'
enfant
, en dehors cle ce cas spécial, il est habituell
; la fréquence des globules à noyau est d'autant plus grande que l'
enfant
est plus jeune. Chez l'adulte, les globules nuc
xoe- démateux adulte très faiblement anémique. M. Marie. Les deux
enfants
présentés par M. Bourneville avaient, quand on
e, est considérable, car j'ai eu des accidents chez ces deux jeunes
enfants
avec 25 centigrammes. Médication thyroïdienne.
'alcoolisme, comme agent étio- logique, chez les malades adultes et
enfants
, n'a cessé d'être l'objet de nos préoccupations
ui composent les seize volumes de nos Comptes rendus du service des
enfants
idiots, imbéciles, arriérés, épileptiques, etc.
re 18 ! JG, 206 Idiotie et alcoolisme. vin plus que de raison aux
enfants
qui nous sont amenés. Aujourd'hui, répondant à
ciété, nous vous adressons une statistique portant sur mille de nos
enfants
de toute catégorie, entrés de 1880 à 1890. L'al
de la mère- . Pas de consanguinité, - Inégalité d'âge de 10 ans.
Enfant
normal jusqu'à t ans. Excès alcooliques. - 1 ()l'
s), et une soeur (52 ans), sobres et bien portants, ainsi que leurs
enfants
qui n'auraient pas eu de convulsions. - Un cous
aternels. -Deux frères et deux soeurs : l'un d'eux est bègue; leurs
enfants
n'ont pas eu de convul- sions. Rien à signaler
consanguinité. - Inégalité d'âge de 10 ans (père plus âgé). Trois
enfants
: Une fille de 13 ans, et une autre de Il ans;
ne peut dire si elle a eu peu ou beaucoup d'eau. A la naissance, l'
enfant
avait assez bel aspect, n'offrait au- cun signe
ition a été complète, mais elle a été retardée. Sevré iL 14 mois, l'
enfant
a commencé à marcher et à être propre à 15 mois
aurait débuté la maladie nerveuse. Avant, il ressemblait aux autres
enfants
, il fréquentait l'école du vil- lage et on le d
avant-bras était fléchi, le pouce dans la main. Pendant 14 jours, l'
enfant
n'a pas quitté le lit ; les convulsions reparur
pensé que les accidents étaient dus à l'alcool, car il paraît que l'
enfant
avait l'habi- tude de boire les restes des verr
ces dix-sept jours de convulsions, l'intelligence avait diminué ; l'
enfant
ne parlait plus comme auparavant ; il était dev
du côté gauche s'est peu à peu améliorée; au bout de 1 : ) mois, l'
enfant
courait très bien ; mais la jambe gauche est to
faible. Qant au bras gauche, il serait toujours resté paralysé ; l'
enfant
avait de la peine à porter la main sur la tète
cêtre, 189G. 14 210 Alcoolisme ; hémiplégie gauche. 1- les autres
enfants
». Il montait sur les toits et cherchait iL s'en
cs. Le jour du début des accidents, attri- bués aune indigestion, l'
enfant
était ivre-mort. Du 9 au 13 mai, la température
scille entre 37° et 31o, 4, soit en moyenne 37", 17. État actuel. L'
enfant
présente un état général satisfai- sant. Son fa
ne expression peu intelligente, d'ailleurs l'état intellectuel de l'
enfant
est très arriéré. Il comprend certaines choses
t, au contraire, paralysés. Le supérieur est absolument impotent, l'
enfant
est incapable de s'en servir. Le bras est accol
orsale en avant. Au membre inférieur la paralysie est incomplète, l'
enfant
marche, court même, en trainant la jambe. Il n'
cela res- sort des mensurations comparatives ci-après (p. 213). L'
enfant
se tient assez bien à table, mange avec appé- t
d'heure après, 37°, 7 ; deux heures après, 37°, 8. 10-20 janvier. L'
enfant
est à l'infirmerie parce que, à la suite d'accè
Même traitement; hydrothérapie. 27 juin. La déchéance s'accentue. L'
enfant
dort après ses accès et reste anéanti tout le r
? 2. La situation s'aggrave ; l'état général devient plus mauvais l'
enfant
maigrit. Les signes à l'auscultation sont les m
- 12 dés T. R. 39 ? 4 et 400, 5. - 13 cléc. 'l'. R. 3Je et 40". - L'
enfant
meurt le Il décembre à 3 heures 1/2 du matin (3
côté maternel, un oncle bègue. Dans les antécédents personnels de l'
enfant
, nous n'avons aucun accident à relever jusqu'à
fant, nous n'avons aucun accident à relever jusqu'à l'époque où l'
enfant
, placé dans des conditions particulières, a con
'élut de mal convulsif. II. Les accidents aigus observés chez cet
enfant
paraissent s'être développés sur un état alcool
semble symptomatique qui caractérise le clelini2tn toetens. Cllcr l'
enfant
, et nous en avons rapporté d'autres exemples, c
brales deTalcoolisme que nous observons. Mais l'alcoolisme chez l'
enfant
de même que chez l'adulte peut porter son actio
r Toed- ten et Wilks, relatifs aussi à la cirrhose alcoolique des
enfants
. - Dans un mémoire intéressant de MM. A. Gilber
ournier : La cirrhose hypertrophique avec ictère chronique chez les
enfants
(3), basé sur sept observations, l'alcoolisme n
bsent. IV. Nous avons vu que la température rectale moyenne, de l'
enfant
d'après les températures prises , matin et soir
notre service pour l'année 1886 sous ce titre : Alcoolisme chez un
enfant
de 4 ans ; démence et épilepsie symptomatiques
ie, etc.] Pas de consanguinité; inégalité d'âge de cinq ans. Deux
enfants
: 1° notre malade; 2" garçon de quatre ans, bie
uleurs ont duré douze heures. - A la naissance, pas d'asphyxie, bel
enfant
; a un mois, il pesait (J kilogrammes. Elevé au
s, ni de toux. Alcoolisme infantile : crises hystériformes. 221 L'
enfant
a été placé dès l'âge de sept ans dans une école
en décembre 1892. Début de la maladie actuelle en décembre 1892. L'
enfant
avait toujours eu un caractère dillicile, hauta
e sauve et va en louer une. En février, première crise nerveuse : l'
enfant
était en train de déjeuner, il s'est trouvé mal
oire en cachette clans le débit de vins qu'ils tiennent. Du reste l'
enfant
nous l'a avoué lui-même plus tard. « Le matin s
cidre, il si; roulait par terre et ne voulait pas se coucher. Aucun
enfant
de la famille ne lui ressemble. Etal du malade
complètement ouverts, paupières en accent circonflexe; lorsque l'
enfant
rit aux éclats, ce qui lui arrive souvent, les
entièrement ferr.tQs. L'oeil gauche est plus fermé que le droit. L'
enfant
a subi une opération sur l'ccil gauche parce qu
lement développée. L'attention el la réJ1exion sont possibles. L'
enfant
arrive il résoudre des problèmes assez compliqués
aire. - En résumé, au point de vue du développement intellectuel, l'
enfant
a les apparences d'un enfant normal. d) Etat
vue du développement intellectuel, l'enfant a les apparences d'un
enfant
normal. d) Etat instinctif et moral. - Camille
et est venu faire des excuses. Durée vingt minutes, - Le 21 mai, l'
enfant
va passer chez lui les fêtes de la Pentecôte. I
'écoulement de l'oreille gauche a persisté, mais les douleurs que l'
enfant
éprouvait paraissent avoir disparu. Juin. Mêm
,, qui n'a pas duré cinq minutes. L'amélioration s'est accentuée. L'
enfant
est docile aux ordres qu'on lui donne. Sa tenue
, joue sans se disputer avec des cama- rades plus jeunes que lui. L'
enfant
ne parait plus avoir de migraines. L'écoulement
nt MÉDICO-PÉDAGOGIQUE : guérison. 225 Juillet. - Même traitement. L'
enfant
est de plus en plus* tranquillle. - Au li juill
rien de sa conduite (janvier 1896). Les accidents observés chez cet
enfant
consistaient beaucoup plus en troubles moraux,
de l'estomac. Tous trois étaient sobres. Le se- cond a laissé trois
enfants
bien portants. Rien de particulier il signaler
nels. Un frère est ivrogne (1). - Unc soeur, en bonne santé, a deux
enfants
: l'un bien portant, l'autre, fille, âgée aujou
e 30 ans, a eu des crises nerveuses de 3 à 15 ans; elle a eu quatre
enfants
, dont trois paraissent être morts de convulsion
Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de fl ans (père plus âge). H
enfants
, dont cinq survivants. Cinq d'entre eux sont mo
lisme, etc. Accouche- ment à terme, naturel (3). -A la naissance, l'
enfant
avait bel aspect (4) et n'a pas présenté d'asph
(Note de 1890). (4) « J'ai toujours eu, dit la mère, de très beaux
enfants
, très gros. Il était aussi beau que les autres.
Elle le garda cinq semaines et, durant ce temps, constata que sort
enfant
était tout ratatiné, que ses jambes pouvaient ê
bien soin. Elle le reprit ;'1 2 ans et demi. C'était alors un bel
enfant
, mais il ne pouvait pas se tenir sur ses jambes
dents, maisonassurccladentition a été précoce (1). Tousles autres
enfants
ont eu leurs dents, ont marché et parte de bonne
te de bonne heure. La mère atlirme qu'on lui a toujours dit que son
enfant
n'avait pas eu de convulsions, mais elle doute
chette et de la cuiller, mais pas du couteau. Sa mère prétend que l'
enfant
aurait eu des secousses dans les bras (1), et q
aucune saillie, ce qui écarte l'idée du prétendu mal de Pott que l'
enfant
aurait eu à trois ans (1). 232 Imbécillité ET
s et les cous-de-pied ; elle est très prononcée aux genoux. Quand l'
enfant
est couché, le genou gauche est plus élevé que
e est conservée et la même des deux côtés clu corps. D'ailleurs l'
enfant
n'accuse aucun trouble sensitif d'ordre subjectif
rier. - Lép... passe de la petite à la grande école. Juillet. - Cet
enfant
est très turbulent, peu docile, gesti- cule, cr
s observations. concernant les maladies ne1'- veuses chroniques des
enfants
, ou remontant à l'en- fance, sont souvent incom
. voient les cas au début. Les médecins des services affectés aux
enfants
nerveux et idiots, puis les méde- cins des serv
des lacunes regrettables, des conclusions contradictoires. Tous les
enfants
de- vraient avoir leur livret de famille : si c
ier (A.). Contribution à l'élude clinique de l'épi- lepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. 1895. LEBLAIS (IL). De la pu
nement primaire. La Fondation Vallée, par les diverses catégories d'
enfants
qu'elle reçoit, ne correspond pas à la colonie de
eptïques, ni gâteuses, mais est tout à fait comparable au service des
enfants
de Bicêtre, où sont reçus , — en outre des épilep
outre des épileptiqucs et dos hystériques, — toutes les catégo-ries d'
enfants
idiots, ainsi que des enfants ou des adolescentes
hystériques, — toutes les catégo-ries d'enfants idiots, ainsi que des
enfants
ou des adolescentes atteintes de folie, d'imbécil
stinctives. Nous avons, àlaFondation, deux groupes principaux : l°les
enfants
idiotes gâteuses, valides ou non; — 2° les enfant
principaux : l°les enfants idiotes gâteuses, valides ou non; — 2° les
enfants
propres valides, — et dans les deux groupes, des
pourraient être considérées comme constituant un troisième groupe.
Enfants
idiotes, gâteuses, valides ou non. •—-Ce premier
r groupe est subdivisé en deux catégories. La première se compose des
enfants
idiotes complètes, ne parlant, ni ne marchant, co
tée et la descente d'un escalier avec un petit escalier double. Ces
enfants
invalides séjournent clans le sous-sol du bâtimen
eau-coup de médecins doutent encore de la possibilité d'améliorer les
enfants
idiots. Chaque année nous donnons une notice so
iots. Chaque année nous donnons une notice sommaire non pas sur les
enfants
imbéciles, considérées naturellement comme plus a
u lever, au coucher, au milieu de la nuit et après cha-que repas, les
enfants
gâteux sur les sièges d'aisance, pratique qui a p
sur les sièges d'aisance, pratique qui a pour but pricipal d'amener l'
enfant
gâteux à devenir propre, fait réaliser des économ
mme les années passées, nous avons fait relever par le personnel, les
enfants
ayant déféqué au siège après les repas, du-rantes
ois pendant 4 mois. Voici le relové qui a porté sur une moyenne de 40
enfants
gâteuses. Traitement du gâtisme : résultats.
ager le personnel à continuer et à le récompenser de ce qu'il fait.
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiques, etc ; valides.
es. •—Enseignement primaire et enseignement professionnel. Toutes les
enfants
sont exercées au saut, à la montée et à la descen
nte des escaliers, à la gymnastique des échelles et des ressorts. 200
enfants
ont pris part aux exercices de la petite gymnasti
cédemment ; 2° les leçons de toilette qui consis-tent à apprendre aux
enfants
à se laver la figure et les mains, à s'habiller,
les promenades. L'idéal que nous poursui-vons consiste à occuper les
enfants
du matin jus-qu'au soir, en variant le plus possi
mêmes doivent contribuer à leur éducation. Au lever, on apprend aux
enfants
à faire leur toilette, leur lit, h nettoyer leur
leur dortoir, à brosser leurs vête-ments. Aux repas, on surveille les
enfants
qui savent manger seules et on corrige leurs mauv
pilules ou capsules non dissoutes, ni ali-ments non digérés. Sur 229
enfants
présentes à la fin de l'année, 60 savent se servi
., continuent à être employés contre la bave. * La plupart de nos
enfants
n'ont pas de très grandes dispositions pour l'ins
de grammaire, d'histoire ou de géographie. Nous avons une vingtaine d'
enfants
très en retard pour la classe qui ont de réelles
ue ; nous avons fort peu d'élèves avancées pour cette science. Chaque
enfant
demande pour ainsi dire une méthode spéciale. Un
emande pour ainsi dire une méthode spéciale. Un certain nombre de nos
enfants
appren-nent assez bien l'écriture, puis la lectur
ombres, les chiffres qui ne les intéressent que fort peu. Lorsque l'
enfant
sait parler d'une façon compréhen-sible, car la p
e compte des nombres : 1 — 2 •—¦ 3, etc.. On place sous les yeux de l'
enfant
des objets quel-conques : un livre, une gravure,
l'enseignement. D'abord les casiers à bâton-nets au moyen desquels l'
enfant
est habituée à pla- cer clans de petits casiers
ont verticales et en U. Cet arrangement nous permet de ne montrer à l'
enfant
que le nombre de boules que nous voulons et de di
ue tringle, le chiffre qui correspond au nombre de boules visibles. L'
enfant
voit ainsi le nombre concret et sa représentati
bre concret et sa représentation. Ce système sert aussi à donnera l'
enfant
la notion de l'addition et de la soustraction, en
tant et en retranchant un certain nombre de boules. C'est ainsi que l'
enfant
apprend à compter et à con-naître les chiffres en
chiffres en même temps. Nous avons vu par expérience que certaines
enfants
qui prêtaient peu ou point d'attention aux exerci
nçaient à jouer à la corde, au ballon, ce sont les premiers jeux de l'
enfant
qu'on peut utiliser en cer-tains cas. Ce n'est pa
t qu'on peut utiliser en cer-tains cas. Ce n'est pas rare de voir des
enfants
apprendre à compter en jouant à la corde, au ball
p-per leur intelligence en même temps que leurs forces physiques. L'
enfant
connaît les chiffres, compte jusqu'à 100 et sait
n. On arrive ensuite à la soustraction. On place sous les yeux de l'
enfant
un certain nombre de bâtonnets, on lui en fait re
océ-dés les plus simples. Nous voici à la multiplication; quand les
enfants
sont arrivées à la troisième opération de l'arith
ur les finances muni-cipales et départementales. Ainsi, à Bicêtrc nos
enfants
, à 18 ans passaient aux adultes. Pendant quelques
ports sexuels durant les congés, de comparer avec l'état génital de l'
enfant
à son arrivée et do garantir l'Administration con
gracieux, depuis 1895. De même que les années précédentes toutes les
enfants
susceptibles de profiter de cet enseignement y pr
bles de profiter de cet enseignement y pren-nent part, une centaine d'
enfants
environ ont participé anx leçons de chant. En mai
rincipalement où nous recevons des visiteurs nous faisons chanter les
enfants
; les voix sont assez justes et les chants exécut
alors que leur intelligence est tout à fait impropre à l'étude. 220
enfants
ont fréquenté l'école et ont été exercées à la gy
t ont été exercées à la gymnastique des échelles et des ressorts ; 85
enfants
participent aux exercices de la grande gymnastiqu
lumes, ce qui porte à 25 le nombre des volumes de la Bibliothèque des
Enfants
. Enseignement par les projections. — La Inonda-
t d'une lanterne à projections a été fait par le Département pour les
enfants
do Vallée. Cet enseignement par les projections e
. Cet enseignement par les projections est complexe. Il sert pour les
enfants
de toutes les catégories : 1° pour les enfants id
lexe. Il sert pour les enfants de toutes les catégories : 1° pour les
enfants
idiotes profon-des à fixer l'attention (images bl
re les objets, les animaux (images graduées) ; 3° à Bicêtre, pour les
enfants
imbéciles, arriérés et épileptiques à faire une f
une idée suffisante. Enseignement professionnel. — A mesure que les
enfants
se développent, on leur apprend tous les soins du
aine des moins arriérées aident le personnel à apprendre à manger aux
enfants
incapables de manger seules et à perfectionner ce
ire. C'est ainsi qu'elles apprennent à habil-ler et à déshabiller les
enfants
, à procéder à tous les soins de toilette. On le
ouvons ce moyen excellent pour les habituer à s'occuper plus tard des
enfants
qui leur seront confiés, car un certain nombre do
fillettes sont placées comme petites bonnes et souvent comme bonnes d'
enfants
. Comme récompense de leur travail et de leur bonn
e manque de bienveillance et do respect vis à vis d'el-les. * Les
enfants
sont utilisées selon leurs aptitudes ; travail mé
illent par séries régulières, 35 ont travaillé une heure par jour ; 5
enfants
savent faire complètement les layettes ; 12 du cr
ture, s'élèvent à 2.500. L'évaluation, à prix réduits, du travail des
enfants
, faite par M. l'Économe, s'élève à 4.275 fr. 15.
tration ; qu'une atténuation sérieuse est obtenue, par le travail des
enfants
, de leur dépense d'entretien, sans compter le bén
805 fr. 40 Visites, permissions de sorties, congés d'essai. — Les
enfants
ont reçu 2.472 visites; les visiteurs ont été au
témoignent de la sollicitude des familles envers leurs malheu-reuses
enfants
. Il semble que, se rendant compte de la responsab
.......... 76 - 10 - ...................... 21 Total.... 450 12
enfants
ont été en congés d'essai une partie de l'année.
à accorder des congés de plus de cinq jours, parce que le séjour des
enfants
dans leurs familles se prolongeant, il est moins
er aux familles qu'elles ne doivent pas, dans l'intérêt même de leurs
enfants
, dépasser la durée des congés accordée. Par contr
ts, dépasser la durée des congés accordée. Par contre, nous avons des
enfants
qui s'ennuient dans leurs familles, n'ayant plus
e très grande de montrer, non seulemcmt l'organisation du service des
enfants
, mais encore son fonctionne-ment médico-pédagogiq
n faveur de l'hospitalisation et de l'éduca-tion do cette catégorie d'
enfants
anormaux et les con-vaincre de la possibilité de
bert, L. Lacomblé, M. Charten. Mlle Berniard, institutrice pour les
enfants
anor-maux de l'hôpital suburbain du Bouscat, à Bo
La sœur C. Grastcheff supérieure de l'asile de la confrérie pour les
enfants
idiots, épileptiques et paralysés de Saint-Péters
ne, Parc de Montsouris, fête de Bicêtre et de Gentilly. Le nombre des
enfants
cpui prennent part à ces prome-nades, avec leçons
nnel de Val-lée remettent un peu d'argent pour enrichir la caisse des
enfants
. Les dépenses consistent en achat d'étoffe, teint
res, fleurs, musiciens,, etc. Les costumes sont confectionnés par les
enfants
elles-mêmes sous la direction de la mai-tresse de
1890 se sont toujours passées dans les meilleures con-ditions. Les
enfants
ont pris part au concert organisé par le « Comi
incipaux théâtres et concerts de Paris ont prêté leur con-cours. — 12
enfants
parmi les plus grandes ont visité les égouts de P
ger. Ce puits aujourd'hui comblé présentait certains dangers pour les
enfants
. Achat d'une lanterne à projections par leDéparte
ait de remédier aux nombreuses défectuosités de la dentition chez nos
enfants
et aussi d'avoir, chaque année une note prise par
ote prise par un homme compétent, sur l'évolution de la dentition des
enfants
anormaux.-Toutes nos fillettes sont donc examinée
recomman-dons à notre personnel de surveiller avec soin la bouche des
enfants
, de nous signaler les lésions des lèvres, des gen
r elles peuvent être l'occa-des tics de la face ; de nous montrer les
enfants
qui bavent (massage deslèvres, électrisation), d'
nfants qui bavent (massage deslèvres, électrisation), d'apprendre aux
enfants
à se gargariser, ce qui facilite notre tâche en c
pulation. Le 1er janvier 1905, il restait à la Fondation Vallée 237
enfants
se répartissant ainsi : Parmi ces enfants on pe
à la Fondation Vallée 237 enfants se répartissant ainsi : Parmi ces
enfants
on peut en compter 10 atteintes de perversité à u
nitale des hanches. Idiotie, gâtisme, accès de vio-lence envers les
enfants
. Imbécillité prononcée. Imbécillité, épilepsie.
endue à sa famille qni la réclame, le 21 juin. Amélioration légère.
Enfant
assistée ; sortie définitive-ment, le 1er août. T
tion au 31 décembre. — Il restait à la Fon-dation, le 31 décembre 229
enfants
, se décomposant ainsi : Épileptiques...........
8 ont du nanisme; 1 est atteinte de coxalgie; 5ont de la scoliose; 16
enfants
présentent des déformations des orteils; 12 enfan
e la scoliose; 16 enfants présentent des déformations des orteils; 12
enfants
sont atteintes de perversité à un degré assez pro
gâteuses et hémiplégiques; 18 épilep-tiques imbéciles. Sur les 229
enfants
qui existent à la Fondation; 65 savent se servir
le..., Brug.... D'autres ont été améliorées (gâtisme intermilent) 4
enfants
ont appris à marcher seules ; Baul., Duva., Marca
nts ont appris à marcher seules ; Baul., Duva., Marcadr., Simon. 10
enfants
ont appris à lire couramment : Fuchs, Heurtebise,
d'ajouter que l'écriture a mar-ché de front avec la lecture pour les
enfants
citées ci-dessus, dont la lecture est courante. T
les. D'après cela, on ne sera pas étonné, lors-que nous dirons que 18
enfants
savent écrire, font une copie, malgré qu'elles sa
latine soignée à Trousseau ; 1 varicelle soignée à Trousseau. Trois
enfants
ont été soignées pour la teigne à l'isolement de
enfants ont été soignées pour la teigne à l'isolement de Bicêtre; ces
enfants
(guéries dans le courant du mois d'avril) sont re
'avons pas eu d'autres cas de teigne. Maladies intercurrentes. Doux
enfants
ont été soi-gnées à l'infirmerie pour fièvre typh
; 5 pour cachexie ; 20 pour plaies légères faites dans les accès ; (1
enfant
a été opérée à l'infirmerie générale de Bicê-tre
pour entorses; 1 pour fistule de l'abdomen. Glande thyroïde. —¦ 26
enfants
ont été soumises à la médication thyroïdienne ; 6
lieu à la Fondation Vallée, tous les jeudis do 9 à 10 heures pour les
enfants
atteints de maladies nerveuses ou mentales. En 19
sonnes se sont présen-tées; 17 pour renseignements sur le placement d'
enfants
;— 50 pour maladies nerveuses; — 8 pour assistance
ont venus demander des cer-tificats; — 15 pour renseignements sur les
enfants
du service présents ou en congé. La partie la plu
a plus inté-ressante de notre consultation est celle qui concerne les
enfants
nerveux et arriérés. Pour ceux d'entre eux que le
indications et souvent nous administrons la première douche, que les
enfants
acceptent en géné-ral très bien, après avoir vu q
institutrices, comme il convient dans un asile-école consacré à des
enfants
idiotes, imbéciles, arriérées, épileptiques, etc.
ations départementales qui voudraient construire des asiles-écoles.
Enfants
en congé d'essai. — Les congés d'essai, préparato
iculier de M"10 Athénaïs Bohain et M"0 Lapeyre, nous plaçons d'autres
enfants
dans des familles étrangères, entre autres les en
açons d'autres enfants dans des familles étrangères, entre autres les
enfants
assistés ou les enfants à belles-mères qui sont e
ans des familles étrangères, entre autres les enfants assistés ou les
enfants
à belles-mères qui sont en général, dans des cond
ccuper comme il conviendrait. Peut... (Elise), 16 ans actuellement;
enfant
assistée. — Entrée en 1896, atteinte d'imbécillit
en ne faisait présager de grands résultats. Vers l'âge de 13 ans, l'
enfant
s'est considérablement déve-loppée, et au point d
e à la Fondation Vallée ce qui explique l'intérêt qu'elle porte à nos
enfants
. Bir... (Lucie), 17 ans. — Entrée en 1901, atte
s, que leur situation n'est pas familiale comme à la Fondation. Les
enfants
sorties en liberté, dans leurs familles, ou placé
s renseignements sur chacune d'elles : Veil... (Henriette), 21 ans;
enfant
assistée atteinte d'épi-lepsie avec instabilité e
availlait très bien aux soins domestiques. La couture, le (1) Comme
Enfant
assistée, elle a eu en outre de l'Assistance Publ
la buanderie marchaient de pair. Toute manie de vol avait disparu, l'
enfant
avait même certaine délicatesse. Elle a été rep
ment lors de son départ. En réalité elle était devenue à peu près une
enfant
normale. Comme sa sœur, elle a été rendue à son p
gie gauche, fugues, vagabondage. A été en traitement pendant 3 ans. L'
enfant
faisait ici tout son pos-sible, pour se rendre ut
. (Marie), 1G ans. — Entrée en 1900. Le certificat d'en-trée de cette
enfant
paraissait excessivement chargé : « gâ-tisme, ona
té, de sa variabilité, des difficultés à surmonter. Rappelons que les
enfants
sont admises de 2 ans (quelquefois au-des-sous) à
. Voici maintenant quelques courtes notices sur un certain nombre d'
enfants
améliorés à un degré assez sérieux. Ka... (Mari
r. Mais malheureusement le caractère ne s'est nullement mo-difié, l'
enfant
est insupportable, indisciplinée, elle exige une
octurne d'urine a pour ainsi dire disparu. Mais le caractère de cette
enfant
ne s'est guère amendé, elle est toujours taquine,
ges pour le motif le plus futile; elle devenait violente, battait les
enfants
plus jeunes, leur donnait des coups de pied, les
atteinte d'imbécillité à un degré prononcé. — A son entrée en 1904, l'
enfant
était nulle au point de vue classique, avait fréq
Aujourd'hui cependant, un grand changement s'est pro-duit chez celle
enfant
. D'abord elle lit couramment, écrit lisi-blement,
tout ce qui se passait autour d'elle. Aujourd'hui (7 mars 1907), l'
enfant
est bien changée. Elle marche seule, trotine tout
pour manger sa soupe et ses légumes, boit son lait elle-même. Cette
enfant
idiole complète, inerte, être végétatif au début
, parole limitée aux mots: «papa, maman, du pain, popo, à boire.» L'
enfant
ne mangeait seule qu'un morceau de pain, ne sa-va
t maus-sade et grognon : elle criait pour la moindre contrariété: une
enfant
qui l'avait touchée par mégarde, un jouet qu'on l
ogrès qui méritent d'être mentionnés. Elle parie aujourd'hui comme un
enfant
de son âge, demande tout ce qui lui est nécessair
es qui sont autour d'elle ; elle est, en un mot, très babillardc. L'
enfant
sait maintenant bien s'exprimer; elle est devenue
r de cet objet dans le courant de l'année. La marche est en retard, l'
enfant
ayant lesjambes très faibles, elleabeau-coup de d
intellectuelle avec perversions morales, mythomanie, nocivité . Cette
enfant
présentait au début de réels désordres pathologiq
Quand est-ce que j'irai en première classe ? ». On voit par là que l'
enfant
est désireuse d'apprendre. Elle commence à trav
t aucune peine, il fallait procéder à sa toilette comme à celle d'une
enfant
en bas âge; elle avait en outre de l'incontinence
e avait en outre de l'incontinence noc-turne d'urine. En réalité, l'
enfant
était gravement atteinte au point de vue mental,
, rien ne faisait présager de sensibles progrès, d'au-tant plus que l'
enfant
était atteinte d'épilepsie avec fréquents vertige
uer sous l'influ-ence du bromure de camphre. Il faut dire aussi que l'
enfant
ne perd pas connaissance et qu'elle est vite remi
pas se débarbouiller. Elle ne pouvait tenir une aiguille en main. L'
enfant
avait donc de réelles difficultés en tout et pour
et 1902 ; entrée le 4 juil-let 1905, atteinte d'idiotie profonde. — L'
enfant
, à son entrée," avait la physionomie assez agréab
d, rien ne l'intéressait. Le caractère paraissait assez affectueux, l'
enfant
allait souvent avec le personnel et souriait légè
mière. De son état physique et intellectuel on pouvait conclure que l'
enfant
était atteinte d'idiotie profonde, mais suscept
it atteinte d'idiotie profonde, mais susceptible d'amé-lioration. L'
enfant
en peu de temps avait fait des progrès sensibles
s person-nes attachées au service, les désignait par leur nom, etc. L'
enfant
qui ne disait pas un mot au début commençait à bi
le à tous les exercices du saut, des échelles, de la balançoire, et l'
enfant
, quoique bien jeune, apportait une réelle bonne v
apportait une réelle bonne volonté pour la gymnas-tique, C'était une
enfant
appelée à faire de réels progrès, car tout nous p
re 1906 et succomba à une congestion pulmo-naire en décembre. Cette
enfant
, atteinte d'idiotie profonde à son entrée, pouvai
t : bonjou pour bonjour : ne finit pas les mots : Mada pour Madame, L'
enfant
n'a jamais pu vaincre ces difficultés du langage.
rer clans des proportions variables et quelquefois considérables, les
enfants
atteints des formes d'idiotie les plus gran-des :
e la Fondation, nous faisons la même démonstration, nous montrons les
enfants
, les photo-graphies, les cahiers mensuels. Stat
bable chez 117 malades, soit, si nous comptons ces derniers, 13 °/„ d'
enfants
conçus dans l'i-vresse, non compris les 503 sur l
ndant l'année 1906, à la Fondation Vallée (Filles). Les pères do 13
enfants
faisaient des excès de boisson. Pour....... 19
s et mères de. 19 étaient sobres. Total.......J Nous avons eu des
enfants
alcooliques, c'est-à-dire dont la maladie : folie
ès do boisson ; nous n'en avons pas actuellement. Mais nous avons des
enfants
dont la maladie : idiotie, imbécillité, perversio
tableau ci-dessus résume la situation des pères et mères de tous ces
enfants
sous le rapport des excès alcooliques et permet d
s et garçons), nous voyons : 1° Que ces 150 familles ont fourni 675
enfants
, soit près de 5 enfants par famille ; 2° Que su
ns : 1° Que ces 150 familles ont fourni 675 enfants, soit près de 5
enfants
par famille ; 2° Que sur ces 707 enfants, 351 s
75 enfants, soit près de 5 enfants par famille ; 2° Que sur ces 707
enfants
, 351 sont décédés, soit une mortalité de 50 0/0.
une mortalité de 50 0/0. Si aux 351 décédés, nous ajoutons les 156
enfant
; idiots, épileptiques, etc., nous voyons que 70 0
156 enfant; idiots, épileptiques, etc., nous voyons que 70 0/0 de ces
enfants
sont mortellement ou gravement impression-nés par
Le tableau suivant montre les affections auxquel-les ont succombé les
enfants
: Fausses-couches....... 8 Mort-nés..........
bâtiments Imprimeur Graveur Verrier nombre des grossesses
ENFANTS
DÉCÉDÉS VIVANTS OBSERVATIONS 1 fausse cou
et tantes. — 7 frères et 3 sœurs : ils sont bien portants, et ont des
enfants
intelligents qui n'ont jamais été malades. Xi les
igents qui n'ont jamais été malades. Xi les frères et sœurs, ni leurs
enfants
n'ont eu de convulsions. — Dans le reste de la fa
, mère de Paris. Iné-galité d'âge de dix ans (père plus âgé). Trois
enfants
: 1° un garçon âgé de 5 ans 1/2. bien portant, in
dant les 25 premiers jours, il a eu des accès de cris nuit et jour. L'
enfant
a bien pris le sein maternel dès le début ; sevré
que les mots : « ma-man » et « merci ». Elle était éveillée comme les
enfants
de son âge, mais elle n'a jamais essayé de marche
teur du corps « de la têt» aux pieds ». Les yeux étaient convulsés. L'
enfant
fut alitée consécutivement pendant 8 jours. Avant
é chez la malade de la paralysie. Il en est de même pour la marche, l'
enfant
remuait bien les jambes, mais ne marchait pas en-
e elles ont duré 36 heures. C'est à la suite de ces convulsions que l'
enfant
aurait eu de la paraplégie , et le médecin aurait
aré à la mère que sa fille était atteinte de paralysie infantile. — L'
enfant
n'a présenté aucun accès, ni état de mal jusqu'à
pas de luxations ; pas de brû-lures, pas de sévices des parents. L'
enfant
ressemble au père. Comme la malade était arrié-
qu'elle ne commençait pas à parler, qu'on pensa à l'arriération de l'
enfant
. Elle ne reconnaissait à ca moment que son père e
eloppement de la parole, le tout con-sécutif à des convulsions ». — L'
enfant
entra à la Fondation, le 13 décembre 1900. Nous
ns ci-dessous le tableau des accès et vertiges pendant le séjour de l'
enfant
dans le service. Les 38 crises accusées en janvie
on remarque que la physionomie est expressive, le sou-rire aimable. L'
enfant
ne se tient pas sur ses jambes, elle est molle, e
; les selles sont régulières, sans constipation, ni diar-rhée, mais l'
enfant
gâte jour et nuit. Le sommeil est bon, pas de c
qu'el-le s'endorme. On ne constate aucune tendance à l'onanisme. L'
enfant
aime à être propre, elle ne craint pas les bains
ais elle présente un strabisme très prononcé. L'ouïe paraît normale l'
enfant
semble entendre avec satisfac-tion le chant et la
e le tableau compa-ratif du poids et de la taille. 1901. 18 mars, l'
enfant
est prise de toux coqueluchoïde et entre immédiat
cices de la marche ; douches et bains. En juillet 1901, l'état de l'
enfant
est stationnaire. Son vocabulaire est toujours un
les mets sucrés. L'ensemble de la physionomie est satisfaisant ; l'
enfant
sourit et pleure sans motifs bien déterminés; ell
ue et s'amuse seule avec une poupée ou un chiffon. 1902. Janvier. L'
enfant
reste dans le môme état; la parole n'a fait aucun
188 vertiges. On note alors quelques changements dans le faciès de l'
enfant
; quoique la physionomie ait un certain air éveill
lé, elle perd de jour en jour son expression. Le regard est triste. L'
enfant
prend un aspect chétif. l'appétit est moins bon,
mot, et semble ennuyée, si on essaie de la faire causer. En un mot l'
enfant
perd de jour on jour ce qu'elle possédait. Elle e
s la fin de l'année 1902 /es accès et vertiges augmentant toujours, l'
enfant
est complètement abattue, dort des jour-nées enti
'accentue de jour en jour, les accès augmentent et au mois de mars, l'
enfant
entre à l'infirmerie, où l'on est obligé de la ga
'à 412 accès : Ceux-ci sont de courte durée et toujours identiques. L'
enfant
pousse un cri plaintif et ses membres supérieurs
ace est violacée. Le traitement est à la fois spécial et général. L'
enfant
prend deux bains salés par semaine, avec exercice
rapidement vers la déchéance la plus profonde. La parole est nulle, l'
enfant
ne prononce au- oun mot, n'articule pas une seu
les années 1905 et 19IIG, la déchéance s'accentue de plus en plus, l'
enfant
s'affaiblit progressivement quoique s'alimentant
rtout après ses accès. Etat de mal, mort. — Le 13 septembre 190G, l'
enfant
Mar... est montée à l'infirmerie à 3 heures de l'
-ver pour atteindre à 7 heures du soir 40°2; de 3 heures à 7 heures l'
enfant
a eu 93 accès. Ceux-ci sont identiques, très cour
ent pendant un moment à des inter-valles de deux minutes. Autrefois l'
enfant
poussait un cri au moment de l'accès, maintenant
ses accès, De 7 heures du soir à 7 heures du matin (14 septembre) l'
enfant
n'a eu que 44 accès ; après une courte rémission
et l'on n'en compte plus que 10 jusqu'à 1 heure du matin, moment où l'
enfant
meurt. Le dernier accès a été de courte durée,
'enfant meurt. Le dernier accès a été de courte durée, la face de l'
enfant
était très cyanosée, les ailes du nez battaient f
pper un peu de bave blanchâtre, et après quelques petites secousses l'
enfant
a rendu le dernier soupir, sans râles ni cris.'j
, dekro-uomanie, de grincements de dents. III. — En janvier 1900, l'
enfant
, qui n'avait pas eu d'accès d'épilepsie chez elle
s, pas de criminels, pas de débauchés (cependant la mère du père de l'
enfant
« n'aurait pas toujours eu une conduite régulière
erie; est de physionomie ordinaire, plutôt agréable, blond châtain (l'
enfant
ressemble plutôt à son père qu'à elle) ; est bien
. — Son grand-père maternel était le grand-père paternel du père de l'
enfant
; boulanger, mort elle ne sait do quoi. Sa grand-
s causées par les vers.— Deux sœur .s : l'une jumelle de la mère de l'
enfant
, est bien portante, n'a pas d'enfants; l'autre, à
: l'une jumelle de la mère de l'enfant, est bien portante, n'a pas d'
enfants
; l'autre, àg'ée de 26 ans, est éga-lement en bonn
et la mère sont cousins-germains (le grand-père paternel du père de l'
enfant
étant aussi le grand-père maternel de la mère de
u père de l'enfant étant aussi le grand-père maternel de la mère de l'
enfant
; autrement dit, le grand-père paternel et la gran
utrement dit, le grand-père paternel et la grand'mère maternelle de l'
enfant
étaient frère et sœur). Inégalité d'âge de 8 an
a eu deux jumeaux. Pas de gémellarité dans la famille du père. Deux
enfants
: 1° notre malade; — 2° un garçon, âgé d'un an (n
e tout seul, il n'a pas du tout la même forme de tète que mon premier
enfant
. » Notre malade. — Lors de la conception, qui e
turel, et sans anesthé-sic. — A la naissance, la sage-femme dit'que l'
enfant
était resté un peu trop longtemps au passage et q
omplète à2 ans. « .Te n aipaspu voir ses fontanelles comme à un autre
enfant
, dit la mère, il m'a toujours semblé que c'était
'il n'avait pas toute son intelligence, mais commec'était son premier
enfant
, « Je savais pas bien, dit-elle, et je ne m'en su
qu'ils ne peuvent pas le soigner convenablement chez eux. État de l'
enfant
à l'entrée. — Son poids est de 9 kg. 800 ; Sa t
son attention. — Nez droit, symétrique, à racine bien développée ; l'
enfant
ne perçoit pas lesodeurs. — Bouchcpetite^lèvres m
blanchesbien implantées, voûte palatine assez large, peu profonde. L'
enfant
ne parait pas apprécier les bonnes et les mauvais
s, peu développésles mains et les poignets sont froids et violacés. L'
enfant
sait prendre les objets et porter les aliments à
es inférieurs ; les pieds sont comme les mains, violacés et froids. L'
enfant
ne sait pas marcher seul, ni se tenir debout cont
s ; mastication bonne, pas de vomissements, selles régulières; mais l'
enfant
ne sait pas manger seul. Gâtisme complet. — Respi
ité générale normale. Parole nulle. L'attention est facile à fixer. L'
enfant
s'amuse tout seul, rit; il pleure seulement quand
re supérieure; maxillaires bien développées. Traitement : exercer l'
enfant
à la marche, 2 bains salés par semaine, frictions
ercer les jointures ; sirop d'iodure de fer. 1887. G septembre. — L'
enfant
marche mieux que lors de sonentrée; il marche ten
13 décembre. — Vaccination. Résultat négatif. 1888. 14 janvier. — L'
enfant
, qui ne mange pas depuis quelques jours, entre à
37°. Dès le 30 avril, amélioration notable, état général meilleur. L'
enfant
sort de l'isolement le 31 mai. 23 juin. — Il re
de l'occiput; application de la pommade au naphtol. 18 janvier. — L'
enfant
commence à, marcher. 6 février. — Teigne très éte
eur et circonférence 4 cm., gland découvrable. 1890. — 10. mars : l'
enfant
dont la teigne semble disparue, part de l'isoleme
et du volume d'un petit haricot, anus normal. — La mère trouve que l'
enfant
a fait des pro-grès : ses mouvements sont moins r
ures. lel'aôut. — Au palper, il semble qu'on sente sur la tète dè l'
enfant
une dépression, une sorte de rainure au niveau de
rainure au niveau de la suture fronto-pariétale. 1891. — 24 juin. L'
enfant
entre à l'isolement pour la rou-geole; éruption t
pique. Traitement: solution nüs.2, et pommade sali-cylée. — 2 juin. L'
enfant
se plaint beaucoup, la température est de 40°,3 ;
t; léger intertrigo de la région anale, du. au gâlisme. Le poids de l'
enfant
est actuellement de 20 kgr., sa taille de 0 m. 97
de circonférence, 5 cent, de longueur; anus normal. — 29 juillet : l'
enfant
marche seul ; poids 20 kgr., taille ln,09. •189
l'anneau externe, de la grosseur d'un œuf de merle. — 23 juillet : l'
enfant
marche, il est propre, il commence à faire la pet
umide, antisepsie de la petite plaie auriculaire. Cinq jours après, l'
enfant
est guéri, mais il reste une légère tuméfaction,
5e lre dans le service des adultes Quand il était dans la section des
enfants
, on s'occupait encore un peu de lui. Il était l
tat nerveux, etc.) Tel n'a pas été le cas ici. III. Cliniquemcnt, l'
enfant
est un idiot complet, chez lequel seul le traitem
ement notable mais qui malheureusement a disparu main-tenant. IV. L'
enfant
qui, à l'entrée, ne savait pas se tenir de-bout,
e le 18 mars 1890, y est décédé le 8 janvier 1903. C'est le troisième
enfant
. Antécédents (Renseignements fournis par la mèr
uellement âgé de 5 ans et demi. Les époux Tabour.. ont actuellement 4
enfants
. 1° Tabour.. (Georges). 5 ans et demi, notre prem
s renseignements four-nis par lanière lors de l'entrée de son premier
enfant
, aucun fait nouveau ne s'est produit dans la fami
, pas d'asphyxie, pas de cyanose, pas de circulaires autour du cou; l'
enfant
a crié de suite; mais la mère a remarqué que «sa
affection aiguë depuis la naissance. Mais depuis l'âge de 11 mois, l'
enfant
a fréquem-ment des espèces de crises, qui consist
iron, surviennent sans cause, et souvent môme pendant le sommeil. L'
enfant
n'a jamais été propre, ni marché, ni parlé. Il ne
Sa vue paraît normale, mais il ne fixe jamais son regard. État de l'
enfant
à l'entrée. — Poids 9 kg. 100. Taille 0 m. 75. Ph
rs normaux, gras aussi, et de muscula-ture proportionnée à l'âge de l'
enfant
. Thorax large, gras, à fausses côtes repoussées
re. Les réflexes pharyngiens et rotuliens sont normaux. — En somme, l'
enfant
, dans l'ensemble, rappelle un singe ou un ouistit
uteur du front................................. 3 — 8 14 avril. — L'
enfant
, qui pleure beaucoup depuis quelques jours, touss
l'alimentation. — 2 juillet, la guerison est complète.— 5 juillet. L'
enfant
sort de l'isolement. 1892. Mars. — La teigne to
enfant sort de l'isolement. 1892. Mars. — La teigne tondante, que l'
enfant
présente depuis plus d'un an, est en régression m
dias; cryptorchidio double ; région anale normale. —25 septembre. L'
enfant
a un accès; il sortait de fable lorsque tout à co
tible ; cryptorchidio double, scrotum peu développé; anus normal. — L'
enfant
a fait des progrès au point de vue do la marche e
stillation d'eau blanche. — 29 avril, guérison à peu près complète, l'
enfant
ouvre facilement les yeux et supporte bien la lum
sur la cornée. — Mai, disparition complète de la teigne. — 15 juin, l'
enfant
a un accès, mais pas très fort. — 0 juillet, un a
prise entre 30° et 37° ; neuf jours au-dessous de 37°. — 8 juillet, l'
enfant
sort guéri. 189G. Janvier. — Corps entièrement
cou-vert; testicules absents des bourses; anus normal. — 24 avril : l'
enfant
entre à l'isolement pourlascarïafme : éruption su
x fois. Le 18, la desquama-tion est à peu près terminée. Le 3 juin, l'
enfant
sort guéri. —¦ Le môme traitement est toujours co
ue, sirop d'iodure de fer. — Amélioration déplus en plus marquée de l'
enfant
: actuellement il marche seul, ne gâte plus, se s
acte de l'œil gai? che, constatée il y a 4 ans, a augmenté. De plus l'
enfant
présente actuellement une cataracte à l'œil droit
ultation ne peut en réalité fournir de rensei-gnements très précis, l'
enfant
ne sachant pas respirer. La température oscille a
. 11, Fig. 1903. 7 janvier. — L'amaigrissement est considérable ; l'
enfant
qui, au début de sa maladie, à la fin do novembre
à remarquer que dans la famille Tabou-r.. le premier et le troisième
enfants
sont microcé-phales, alors que le deuxième et le
onception, la grossesse et l'accou-chement. III. — Glinicpuemont, l'
enfant
est un idiot complet. Il a eu, de plus, des crise
6 ans 1/2 (trois). A mentionner aussi l'hypothermie habi-tuelle do l'
enfant
, laquelle n'a fait que s'accentuer avec l'âge. Ra
eux frères. Tout d'abord, ces deux frères alter-nent avec deux autres
enfants
qui sont normaux ; or, cette alternance, on le sa
, on le sait, est loin d'être rare dans les familles qui comptent des
enfants
ayant une tare pathologique quelconque. D'autre p
microcé-phale (avec absence du corps calleux) dont la mère a eu trois
enfants
microcéphales. Enfin nous avons eu l'occasion de
e Paris). 1887. M°"Sollier(A.).—De l'ètatde la dentition chez les
enfants
, idiots et arriérés. Thèse de Paris. 1888. Th
ites chro-niques et spécialement d'une terminaison fréquente chez les
enfants
, l'Idiotie. Thèse de Paris. Pison. — De l'asymé
vier (A.). — Contribution à l'étude clinique de l'épi-lepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. 1893. Noir (J.). — Étude sur
accouchement anormal sur le développement des troubles cérébraux de l'
enfant
. Thèse de Paris. Fèvre (A.). — Du mariage des é
u (E.). — Contribution à l'étude du pronostic de l'épilepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. Haslé (L.). — Du bromure de ca
aux. Thèse de Paris. Lebreton. — De la sclérose en plaques chez les
enfants
. Thèse de Paris. Denis (C). — Etude sur un cas
Lafarge (G). — Une consultation à Bicêlre; iG juin 1904. Service des
Enfants
anormaux. Thèse de Paris. Meyer (Jehan). — Rapp
tion Vallée. I. Situation du service. — Enseignement primaire.. i
Enfants
idiotes, gâteuses valides ou non... I Traitemen
ses valides ou non... I Traitement du gâtisme.................. m
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiques, etc., valides.
nseignement professionnel............. xv Évaluation du travail des
enfants
......... xvin Visites des enfants..............
.. xv Évaluation du travail des enfants......... xvin Visites des
enfants
...................... xix Visites du service...
................. XL Personnel du service en 1906............ xli
Enfants
en congé d'essai................ XLll Enfants s
906............ xli Enfants en congé d'essai................ XLll
Enfants
sorties en liberté............... XLin Enfants
............. XLll Enfants sorties en liberté............... XLin
Enfants
améliorés...................... xlvii Section I
III. Statistique de la persistance ou l'absence du Thymus chez les
enfants
anormaux, par le même..........................
Liste des Internes De notre service...... 65 1907. N. M. — Imp. des
Enfants
de Bicêtre.
PSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE ' · DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICÊTRE PEN
1° Les idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides ; 2° les
enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épileptiques ou n
gâteux ou non gâteux, épileptiques ou non, mais valides ; - 3° les
enfants
propres, valides, imbé- ciles, arriérés, instab
rés, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non. I. -
Enfants
idiots, galeux, épileptiques ou non, mais inval
seconde catégorie comprend des idiots tout a fait incurables et des
enfants
atteints d'épilepsic, devenus gâteux ou déments
s ne sont plus, en général, que l'objet de soins hygiéniques. II.
Enfants
idiots, gâteux ou non gîileux, épilcpt i- ques
îileux, épilcpt i- ques ou non, mais valides. (Petite école). Ces
enfants
fréquentent la petite école confiée exclusive-
équentent la petite école confiée exclusive- ment Ù des femmes. 212
enfants
y ont été inscrits dans l'année. Sur ce nombre,
école, 2 sont passés aux adultes, 5 ont été transférés. Sur les 171
enfants
qui restaient au 31 décembre 1891, 30 so serven
la fourchette, GO de la cuiller, de la fourchette et du couteau. 9
enfants
sont devenus propres (1). Tous les enfants vont
hette et du couteau. 9 enfants sont devenus propres (1). Tous les
enfants
vont à la petite gymnastique (sys- tème Pichery
l enseignant comprend mieux les moyens qu'il doit employer pour les
enfants
idiots et qui sont empruntés soit à Séguin, soi
nous espérons recommencer au début de l'année scolaire z-93. III.
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés, instab
s ou non. Grande école. La population de cette école était de 181
enfants
au 1 ? janvier 1891 et de 203 au 31 décem- bre
t été données au per- sonnel des dortoirs pour que l'on habitue les
enfants
à bien ranger leurs vêtements, le soir au couch
les brosser et à faire leur lit. Nous avons fait composer par les
enfants
de notre atelier d'imprimerie un volume intitul
le dernier aux principales espèces de vigne et au houblon. 16 des
enfants
les plus avancés, accompagnés de 16 enfants de
et au houblon. 16 des enfants les plus avancés, accompagnés de 16
enfants
de la fanfare, ont pris part, sous la direction d
VU ! . Promenades et distractions. Promenades et distractions. Les
enfants
de la Grande école et ceux de la petite école q
la Seine, au Port à l'Anglais, à l'Hay, Cagneux, etc. ' Tous les
enfants
sont allés au jardin d'Acclimata- tion, dont le
survenus au cours de ces promenades a été de quatre. Le nombre des
enfants
qui y ont pris part s'est élevé jusqu'à 185 à l
Mentionnons enfin les distractions diverses com- munes à tous les
enfants
valides, distractions partagées parles petites
distribution de jouets etde bonbons; 13 janvier, clistri- (1) Les
enfants
gâteux tout promenés dans les jardins et, dans le
l'hospice ou aux environs. z On a choisi deux séries composées des
enfants
les plus raisonnables. (3) Nous en demandons et
isonnables. (3) Nous en demandons et en obtenons également pour les
enfants
de la Salpêtrière, VrSITES ET. CONGÉS. IX b
; 9 juillet, concert des frères Lionnet, etc., etc. Les parents des
enfants
qui le désirent assistent aux matinées dramatiq
omenades et ces distractions, outre qu'elles font grand plaisir aux
enfants
, contribuent à leur bien- être physique et sorv
une punition auxquels ils sont très sensi- bles (1). Visites. Les
enfants
ont rc ? u z200 visites. Les visiteurs ont été
thérapie. buent à maintenir les liens entre les familles et leurs
enfants
et comme ceux-ci y tiennent beaucoup, la craint
cien interne des hôpitaux, continue ses visites bi-mensuclles aux
enfants
de Bicêtre et de la Salpêtrière. Les résul- tat
t de vue de l'hygiène de la bouche et d'une meilleure dentition des
enfants
sont excel- lents. Bains et hydrothérapie. Le
gés, dépassant 4 à 5 jours, svaient l'incon- vénient de laisser les
enfants
prendre de mauvaises habitudes, d'être moins do
demande des maîtres, un petit diner mensuel auquel prennent part 30
enfants
dont la conduite a été la meilleure. Il en est
ous avons moins de carreaux cassés et moins d'habits déchirés. Un
enfant
par table, aide les infirmiers à mettre le couv
irmiers à mettre le couvert et à nettoyer le réfectoire; 4 autres
enfants
aident à l'office. Une ration de 7 centilitres de
ne heure et pendant ce temps, qui correspond à leur récréation, les
enfants
étaient plus ou moins mal surveillés par des ga
demandé et obtenu qu'ils prissent leur repas en môme temps que les
enfants
et clans leur réfectoire. Grâce à cette mesure,
mesure, les trois infirmiers attachés à la classe surveillent, les
enfants
pendant les récréations. En compensation on leu
eure de- repos de 3 heures 11 heures, c'est-à-dire à l'heure où les
enfants
sont à l'École. M. Routier, 1er infirmier, atta
Marc Launcy, publicistes, Langlois, directeur de l'institution des
enfants
idiots de Abonne ; Madeuf, MassaIsugu-Yaméné; a
qu'ils apportent chaque jour à l'instruction profession- nelle des
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'
e 16 607 fr. 50. Cette somme, étant déduite de celle du travail des
enfants
(31.900 fr. 80), il reste un bénéfice de 15.293
M. Delahaye et par M. Baron, économe, montrent que le travail des
enfants
non seulement couvre la dépense occasionnée par
autrement supérieur. Il permet, de donner il un cer- tain nombre d'
enfants
un métier qui, à leur sortie, les mettra en mes
nces le permettront. Il nous aide à donner à un plus grand nombre d'
enfants
le moyen d'atténuer, dans une proportion variab
âtre, tailleur. .. Le tableau suivant fait voir que le nombre des
enfants
qui profitent de l'enseignement professionnel e
ier, nous invoquerons les suivan- tes : 1° un certain nombre de nos
enfants
n'ont pas d'ap- titudes pour les métiers sédent
our eux et l'administration. 2° Nous tenons beaucoup à ce que les
enfants
assistent à toutes les opérations de jardinage
sans que les maîtres aient été prévenus et aient pu y conduire les
enfants
. Bien des leçons de choses sont ainsi perdues.
'occuper d'un vaste domaine, qu'il n'est pas chargé d'enseigner aux
enfants
, il donne des instructions à ses agents qui, eu
pour qu'ils préviennent le chef de l'atelier voisin. Lorsque les
enfants
de nos ateliers de brosserie, vannerie, cannage
tementales, la profession qu'ils auront apprise dans les sections d'
enfants
. III. Statistique. Mouvement DE la FOPUtjATIÛ
ATIÛI ? £ Le premier janvier 1891, il restait dans le service 372
enfants
: 354 enfants idiots, imbéciles ou épileptiques,
premier janvier 1891, il restait dans le service 372 enfants : 354
enfants
idiots, imbéciles ou épileptiques, dits aliénés
n en 1891 : (1) Nous avons délivré 69 bulletins pour le placement d'
enfants
à des familles qui sont venues nous demander de
Transferts. Ils ont été au nrmbre de 9 ; ils s'ap- pliquent à des
enfants
dont les parents habitent Paris, .mais qui sont
eu de suites, parce que les familles ont préféré reprendre leurs
enfants
que de les laisser partir loin d'eux. Nous revi
mmes à 12 gr. Il serait intéressant de comparer, à cet égard, les
enfants
sains avec les nôtres. Nous espérons y arriver
on au 31 décembre 1891. Il restait à cette date dans le service 434
enfants
se décomposant ainsi : 414 enfants idiots, imbé
cette date dans le service 434 enfants se décomposant ainsi : 414
enfants
idiots, imbéciles ou épileptiques, dits aliénés
ptiques, dits aliénés et 20 réputés non aliénés. Sur ce chiffre 6
enfants
sont affectés de surdi-mutité et 8 sont aveugle
toutes ses face* et sa porte est ploine. r" - ce Les cabinets des
enfants
sont vitrés dans leur partie haute, de façon à
leries ont été terminées au mois d'octobre et le 26 de ce mois, les
enfants
en ont pris possession comme salle de lecture s
il y avait de réels inconvénients à laisser toujours en contact des
enfants
propres ou en voie de le devenir avec les enfan
rs en contact des enfants propres ou en voie de le devenir avec les
enfants
les plus gâteux. Nous appuyant sur l'ensemble d
et serviettes, ana- logues à ceux que nous avons décrits (1). Les
enfants
disposent comme préau libre de la cour située e
lantée d'arbres, sablée et pourvue d'un abri destiné à protéger les
enfants
contre là trop grande chaleur et contre la plui
'hospice de Bicê- tre, pour compléter l'installation du service des
enfants
idiots et épileptiques. Ces travaux ont été dem
, des cabinets d'aisances actuels, qui deviennent inutiles pour les
enfants
, par suite de la construction de nouveaux cabin
scolaire, divers objets mobiliers, ainsi que les matériaux dont les
enfants
se serviraient pour faire une partie des travau
primitifs qui ont été alloués pour la construction du quartier des
enfants
idiots et épileptiques. En effet, le compte des
croire que les fonds alloués pour la cons- truction du quartier des
enfants
idiots, à Bicètre, n'aient pas été dépensés int
noncé dans le mémoire. Il ajoute qu'on a fait, pour le quartier des
enfants
idiots, à Bicêtre, des sacrifices énormes au dé
iots, à Bicêtre, des sacrifices énormes au détriment des hôpitaux d'
enfants
, pour lesquels ces dépenses considérables aurai
de travaux à exécuter pour compléter l'installation du quartier des
enfants
idiots et épileptiques à l'hospice de Bicètre;
longue, avait connu la situation honteuse de l'an- cien service des
enfants
à laquelle la section a remédié, s'il avait pu
jour, il n'a pas encore compris la nécessité de l'Assistance des
Enfants
idiots, épileptiques et aliénés. Il a com- menc
le service de Bicêtre a été fait « au détriment des hôpi- taux d'
enfants
. » Il perd de vue qu'il s'agit précisé- ment de
» Il perd de vue qu'il s'agit précisé- ment de l'hospitalisation d'
enfants
qui ne pouvaient être traités dans les établiss
ité, prenant, durant un temps plus ou moins long, la place d'autres
enfants
et gênant, d'ailleurs, DISCUSSION. XLV leurs
la fin de 1879 à un projet aussi mauvais qu'insuffisant pour 160
enfants
et entraînant une dépense (avant rabais) de 717
dépense occasionnée par les travaux complémentaires du quartier des
enfants
de Bicêtre. M. LE Directeur rappelle que le C
l'hospice de Bicêtre pour complèter l'installation du quartier des
enfants
idiots et épileptiques, mais qu'il a réservé l'
nsformation à l'usage du public des anciens cabinets d'aisances des
enfants
(8 septembre) ; 2° l'installation de bouches d'
minis- tration départementale de n'envoyer a la Fondation que des
enfants
idiotes et imbéciles, propres et n'a- yant ni a
, Nous n'avons pu, à la Fondation, répartir conve- nablement les
enfants
des différents groupes, comme nous l'avons fait
à se tenir debout, à marcher, à se servir de la cuiller, etc. Les
enfants
idiotes gâteuses, mais valides, vont à l'école
Les enfants idiotes gâteuses, mais valides, vont à l'école avecles
enfants
idiotes, imbéciles, arriérées qui sont propres.
ntenir dans un état de propreté satisfaisant. Les deux catégories d'
enfants
se trouvent égalenlent Jué... langées au réfect
veillante. Les procédés employés sont les mêmes qu'à la section des
enfants
de Bicêtre. Tout le matériel scolaire est le mê
tées par des promenades dans le domaine et dans les environs. Les
enfants
assistent à toutes les opérations du jar- dinag
dinage, participent à la récolte des légumes et des fruits. . 100
enfants
ont fréquenté l'école et participé aux (1) Voir
le-reiadu de 1887, la description et les figures de nos fauteuils d'
enfants
gâteux (p. v). Bourneville, Bicêtre, 4891. ?
ent tous les jeudis afin de dresser le personnel et d'exercer les
enfants
. Nous avons réclamé pour lui une indemnité .qui
.qui ne lui avait pas encore été accordée à la fin de 1891. . 34
enfants
savent se servir de la cuiller, de la four- che
au ; 43 de la cuiller, et de la four- chette ; 12 de la cuiller; 10
enfants
seulement .ne savent pas encore se servir de la
pas encore se servir de la cuiller et on doit les faire manger. 4
enfants
gâteuses sont devenues propres (Noiria..., .Mer
du couvert au réfectoire), à la couture et au repassage. ' , ' 50
enfants
vont à l'atelier de couture, les unes pen- ..da
nes, des costumes, pour leurs Mardi- -ras et de la Mi-carême". 25
enfants
fréquentent l'atelier de repassage : Enseigneme
ssions, promenades. Visites, permissions de sortie et congés. Les
enfants
ont reçu 1799 visites. Les visiteurs ont été au
niaires; 1 de 1J1,é- ningite tuberculeuse. Jusqu'au 29 octobre, les
enfants
de la Fondation ont été soignées à l'infirmerie
de la Fondation ont été soignées à l'infirmerie de la section des
enfants
de Bicêtre. A partir de cette date, la populati
l'extension, nous avons fait exami- ner tous les juurs la gorge des
enfants
. Dès qu'il y avait des présomptions, l'enfant é
s juurs la gorge des enfants. Dès qu'il y avait des présomptions, l'
enfant
était isolée, sa literie et ses vêtements étaie
ien- nement à des aspersions et des vaporisations phéniquées. Les
enfants
ont été envoyées tous les jours en promenade à
t été maintenues ouvertes afin d'établir une large ventilation. 7
enfants
ont eu la cliphthérie : Bult", Low, Souail ? Pi
gale, 1 cas de coqueluche, 1 d'oreillons et 7 de teigne. Toutes ces
enfants
ont été traitées au pavillon d'isolement. Bai
ment pendant l'année 1891. Les bains sont donnés àla Fondation. Les
enfants
valides vont prendre leurs douches dans la sect
es enfants valides vont prendre leurs douches dans la section des
enfants
de Bicêtre et les enfants invalides les prennent
prendre leurs douches dans la section des enfants de Bicêtre et les
enfants
invalides les prennent à la Fondation même. Les
nnée 1891, nous avons remarqué avec un certain étonnement que les
enfants
aliénés dont les parents étaient venus nous dem
e appeler l'attention de la Commission sur le mode de placement des
enfants
dans nos asiles. Pendant longtemps, les placeme
la Seine étaient l'exception. Presque tous les malades, adultes ou
enfants
, étaient placés d'office et devaient passer par
ayant nécessité l'intervention de la police. En ce qui concerne les
enfants
jusque dans ces derniers temps, les placements
ques mois, le bureau d'admission refuse tout placement volontaire d'
enfants
. On en revient aux pratiques condamnées avec ra
; que des .témoins se déplacent ; que les familles conduisent leurs
enfants
à la Préfecture de Police, d'où ils sont envoyé
s, etc. ; enfin, ils sont répartis dans les quartiers consacrés aux
enfants
. Avant que l'enfant arrive où il doit être soig
nt répartis dans les quartiers consacrés aux enfants. Avant que l'
enfant
arrive où il doit être soigné, les parents sont
e temps consi- dérables pour des personnes peu fortunées. Quant aux
enfants
, le Dépôt est souvent pour eux une cause d'effr
onnées de nouveau aux familles pour les -placements volon- taires d'
enfants
. » - Il est un second point sur lequel je désir
n de la Commission. La loi sur le domicile de secours .veut que les
enfants
soient secourus dans le département où .ils son
és. Il en résulte qu'une situation des plus fâcheuses est faite aux
enfants
idiots, épileptiques ou arriérés. Lorsque .ces
st faite aux enfants idiots, épileptiques ou arriérés. Lorsque .ces
enfants
sont admis dans des services spéciaux, au bout
ur de celles-ci, que nombre d'entre elles préfèrent reprendre leurs
enfants
que de s'en séparer pour toujours. C'est pour m
oriser l'Administration à maintenir dans les asiles de la Seine les
enfants
dont les parents habitent ce départe- ment. Dan
it adopter un amendement tendant à restreindre les place- ments aux
enfants
dont les parents habitent Paris ou le dépar- te
er certains parents dé venir exprès à Paris pour faire entrer leurs
enfants
dans nos asiles. Le voeu du Conseil s'appliquai
leurs enfants dans nos asiles. Le voeu du Conseil s'appliquait aux
enfants
de tous les départements dont les parents rempl
me séance, le Conseil adoptait une délibération spéciale visant les
enfants
appartenant au département de Seine-et-Marne.
Seine, en consentant à ne deman- der aux départements d'origine des
enfants
quelerembourse- -ment du prix de journée qu'ils
ns douloureuses, soit que la misère les obligea se séparer de leurs
enfants
, soit qu'elles les reprennent, s'exposant à voi
'mal ou à subir tous les inconvénients qu'entraîne le séjour de ces
enfants
dans les maisons qu'ils habitent. Peut-être un
ous faire un exposé complet des faits rela- tifs aux transferts des
enfants
. Aujourd'hui, nous en citerons deux : 1° une Al
ient à Paris qu'elle n'a pas quitté. Sa famille habite l'Alsace ; l'
enfant
sera transféré dans le dépar- tement du Nord ;
e fer de l'Ouest, est appelé, par son ser- vice, au Mans. Un de ses
enfants
y naît ; la famille revient habiter Paris, l'en
ans. Un de ses enfants y naît ; la famille revient habiter Paris, l'
enfant
, placé à Bicêtre, est réclamé par le départemen
épartement de la Sarthe, où il n'a aucun parent. Que dire aussi des
enfants
dont les mères parisiennes vont, par précau- ti
parisiennes vont, par précau- tion, accoucher à la campagne ? Leurs
enfants
subissent les dures conséquences de la loi sur
ndons à la Commission de surveillance d'émettre le voeu : Que les
enfants
idiots et épileptiques, dont les parents habitent
ne. M. le Dr Bour- neville se plaint que, depuis quelque temps, les
enfants
ont cessé d'être admis, à titre de placements v
ossibles soient de nouveau accordées aux placements volon- taires d'
enfants
. » J'ai le regret de me trouver, sur ce point e
r d'émettre un voeu diamétralement opposé au sien, à savoir que les
enfants
ne soient plus admis, à quelque titre que ce so
s décisions du Conseil général. L'intérêt des familles et celui des
enfants
seraient beaucoup mieux sauve- gardés si, comme
longtemps, ressortir les inconvénients et les dangers du séjour des
enfants
au bureau d'admission, et dernièrement encore,
osés, mais que je refusais désormais les placements volontaires d'
enfants
. Quant à l'opinion du Conseil général, je ne pu
l'encombre- ment du bureau d'admission : ... 1 « L'admission des
enfants
à Sainte-Anne à titre de place- ment volontaire
s, se laissa enfin persuder, la condition qu'on n'admettrait que 12
enfants
au plus (6 garçons et 6 petites tilles). C'étai
masculin) et de la Sal- pètrière (sexe féminin). Aucun placement d'
enfants
aliénés, idiots ou arriérés, ne pourra être fai
it interdit à l'avenir au Directeur de Sainte- Anne de recevoir les
enfants
idiots et arriérés ; « 3° Que ces enfants soien
e- Anne de recevoir les enfants idiots et arriérés ; « 3° Que ces
enfants
soient envoyés directement à la colo- nie de Va
main à voir surgir des faits très graves (par suite du maintien des
enfants
de l'admission) et dont on la rendrait (1) Voir
ien collègue, M. le D1' Thulié, en déclarant du.'à.1'aF venir aucun
enfant
ne devra séjourner au bureau d'admission/» . Ce
ation -a pü .supposer qu'une fois entrés au bureau d'admission, les
enfants
n'y séjourner raient pas. C'était une illusion
la promiscuité : c'est l'interdic" - tison absolue de l'entrée des
enfants
à Sainte-Anne et leur admission directe dans le
D1' Bott ? ,41evt-iie, -pela- tivement aux placements volontaires d'
enfants
et décider qu'à l'avenir, ils seront aurais dan
ne. (V..p. LXXI) . - .. M. Bailli. - La question du placement des
enfants
n'a pas été prévue par la loi du 30 juin 1838;
urs, de vouloir bien repousser les deux pro- fcïviïi Assistance DES
enfants
aliénés. positions de M. le D1- Bourneville, ou
n'ignore qu'on arrive facilement à l'abus; on a vu séquestrer des
enfants
de deux ans et même de trois mois. Le législateur
relativement au maintien dans nos asiles et quartiers d'hospice des
enfants
originaires des autres départements, est consid
itions. Nous avons demandé il est vrai au Conseil général que les
enfants
cessassent d'encombrer le bureau d'admission, mai
n'entend pas qu'on créée à l'Asile clinique, un service permanent d'
enfants
: mais il admet que ces enfants y passent pour
le clinique, un service permanent d'enfants : mais il admet que ces
enfants
y passent pour être dirigés sur les quartiers s
lement on ne sait ce qu'il y a lieu de faire en cas de placements d'
enfants
. M. le Dr TAULE. - J'en appelle de l'opinion de
encombrement du bureau d'admis- sion dû en partie à la présence des
enfants
dans ce service... Il y a lieu de n'en avoir au
Et, plus loin (p. 15 du même rapport) : « Il ne doit pas y avoir d'
enfants
à l'admission. Nous proposons au Conseil un vote
trot a bien posé la question concernant le placement volontaire des
enfants
au bureau d'admission. Il est essentiel en effe
es enfants au bureau d'admission. Il est essentiel en effet que ces
enfants
y soient momentanément reçus, mais sans y stati
ue dans quelque temps d'ici, alors que les quartiers spéciaux aux
enfants
seront au complet, M. le D1' Taule ne sache plus
t qu'il ne voie de nouveau le bureau d'ad- mission encombré par les
enfants
. Il y a donc lieu d'examiner cette question ava
soit dans l'autre. M. le D1' BouRNEV ! LLE. Quand les quartiers d'
enfants
seront au complet, M. le Directeur de l'Asile c
ile clinique inscrira sur un registre les demandes de placement des
enfants
, et avisera, à tour de rôle, les familles, lors
être essayée. Mais M. le Dr Bourneville demande, en outre, que les
enfants
en traitement dans nos asiles et étrangers au d
deman- dent pas moins le transfert dans leurs établissements des
enfants
dont ils ne supportent qu'en partie la charge. Là
le maintien dans nos asiles, où ils n'exercent aucun contrôle, des
enfants
originaires de leurs départements, acceptent un
s'assurer de la nature de la maladie et mettre, s'il y a lieu, ces
enfants
en liberté. Permettez-moi, messieurs, de vous d
istance DES enfants- aliénés. a écrite à M. le Préfet au sujet d'un
enfant
maintenu dans nos asiles, malgré les réclamatio
s d'existence ; mais en admettant même qu'il n'y ait pas d'au- tres
enfants
, ce que j'ignore, les deux gains réunis ne parais
it est un nouvel exemple de ce qui arrive trop fréquemment pour les
enfants
séquestrés d'office iL Paris, comme atteints d'un
bi- tant Paris à se décharger sur l'Administration du soin de leurs
enfants
, sous le prétexte que l'état mental de celui-ci
la nécessité d'examiner de très près les demandes de séquestration d'
enfant
» dont vous êtes saisis. - ' En dehors du prin
e ménager aussi, il y a une question d'humanité en jeu, puisque les
enfants
séquestrés d'abord à Paris, puis dirigés sur l'
és de tenir compte des réclamations que soulève l'internement des
enfants
que. les médecins aliénistes des départements se
e la Commission ne saurait admettre qu'aucun placement volontaire d'
enfants
ne soit plus effectué au bureau d'admis- sion.
s médecin répartiteur au bureau d'admission, j'ai toujours reçu des
enfants
(I). Leur admission n'a jamais occasionné d'enc
ures prises par M. le Directeur des affaires départemen- tales, les
enfants
sont aussitôt dirigés sur des quartiers, spé- c
dre. J'estime donc qu'on peut continuer à recevoir les placements d'
enfants
à titre volon- taire. , - ' M. le Dr TAULE, -
loi du 30 juin 1838. Cette loi ne parle pas de la séquestration des
enfants
idiots ou arriérés, dont le plus grand nombre n
és et peuvent être soignés par leurs parents. M. le Dr Magnan. Un
enfant
qui, sans motif, met le feu, vole, assassine ou
(1) M. Magnan a tout-à fait raison. Ainsi, en 1Sn, il est entré 72
enfants
à Dicètre, 65 d'entre eux. ont passé par l'asil
ue j'ai appliquée aux transferts. III. Placements volontaires d'
enfants
à l'Asile clinique (Sainte-Anne). Ajournement d
J11, le Dr Bourneville relative- ment aux placements volontaires d'
enfants
à l'Asile clinique (Sainte-Anne). M. BOURNEVI
es mesures à prendre pour éviter cet encombrement. Le placement des
enfants
, ainsi que je l'ai dit dans une interruption, p
à la colonie de Vaucluse et à Villejuif. Lorsque les quartiers d'
enfants
seront au complet, s'il se présente des enfants a
que les quartiers d'enfants seront au complet, s'il se présente des
enfants
au bureau d'admission, à titre de placement vol
en partie, comblé cette lacune relevée par M. Bailly : d'abord, les
enfants
dont il s'agit sont atteints de désordres intel
qu'est due la première tentative en faveur de l'hospitalisation des
enfants
idiots à Bicêtre et à la (3) , C'est parce qu
temps, ont voulu organiser d'une manière complète, l'assistance des
enfants
idiots, aliénés et (1) Purehppe.Fondation et co
rojet de loi sur les aliénés, l'obligation de l'assistance pour les
enfants
idiots aliénés et épileptiques. Cette obligatio
is d'août dernier. . M. Bailly prétend qu' « on a vu séquestrer des
enfants
de deux ans et même de trois mois ». Avec Ségui
». Avec Séguin, nous pen- sons que l'admission de cette catégorie d'
enfants
est d'autant plus avantageuse qu'elle a lieu pl
les instances d'un conseiller général, M. Lévèque, l'admission d'un
enfant
hydro- céphale, âgé de moins de deux ans. Mais
ans. Mais nous n'avons pas pro- fité de cette faveur, la mère de l'
enfant
ayant préféré tempo- riser^). Quantàdes admissi
de la colonie de Vaucluse, avait pensé qu'il fallait admettre les
enfants
à partir de trois ans. Nous croyons inutile de
dé qu'on en revienne aux mesures votées (1) Nous avons soigné cette
enfant
, nommée Escof.... à notre consultation externe
'exposé de ces faits : .. La fondation Vallée a reçu le 18 mars une
enfant
de six ans. Lztll..... liée à Paris, dont les p
la trachéotomie. ])tilt. succombe dans la journée. Le 22 mars, l'
enfant
L.... [Marie), six ans, présente des fausses me
Nul doute que cette petite épidémie n'ait eu pour point de départ l'
enfant
Bult Où avait-elle contracté la diphtérie ? z E
t de notre malade. N'ayant rien trouvé du côté de l'habitation de l'
enfant
, nous avons prié M. le Directeur de Bicêtre de
'origine de cette petite épidémie de diphtérie, ni au domicile de l'
enfant
, ni à l'Agile clinique, ni dans la commune de G
lle-même, nous avons pensé qu'elle pouvait-être due au passage de l'
enfant
au Dépôt' de la Préfecture de police. . Nous
non seulement le service de l'agile clinique, mais sert encore aux
enfants
que l'on conduit à l'hospice des Enfants assistés
ique, mais sert encore aux enfants que l'on conduit à l'hospice des
Enfants
assistés. Il est donc probable quc c'est là que
spice des Enfants assistés. Il est donc probable quc c'est là que l'
enfant
Bult..., a contracté' la diphtérie. , Le temp
a diphtérie. , Le temps qui s'est écoulé depuis le passage de cette
enfant
au Dépôt (17 mars) jusqu'à l'apparition des fau
c'est-à-dire cinq jours, que celui qui s'est écoulé pour la seconde
enfant
, L... (JIa1'ie),' prise le 22 mars, soit cinq j
n -terme ? il en' est d'autres qu'il convient de vous signaler. Les
enfants
"sont : transportés dans la même voiture que le
haqlle côté dans des espèces de cellules, ou mieux, de boîtes,' les
enfants
sont témoins de scènes déplorables,' w01éirt- lés
inconvénient que nous ne pouvons pas= ser sous silence. Lorsque les
enfants
arrivent au Dépôt après* le départ de la voitur
même local, sans, gar- dien. . - ... - .... .. C'est ainsi que l'
enfant
Met âgé de dix-sept ans, et l'enfant P... ? àgé
- .... .. C'est ainsi que l'enfant Met âgé de dix-sept ans, et l'
enfant
P... ? àgé de treize ans, admis le 21 mars, ont p
t données de nouveau aux familles pour les placements volontaires d'
enfants
.' ; ' M. B : 11LLY. - Il semble résulter de coq
l'Asile clini-' que n'est nullement organisé pour le traitement des
enfants
,, et que lorsqu'ils y sont reçus ils s'y trouve
données de nouveau aux familles pour les pla- cements volontaires d'
enfants
. » ? Je continue à penser que non. Notre devoir
lace de législateur et d'inviter l'administration à décider que les
enfants
faibles d'esprit ou épileptiques soient considé
er à ce que j.'ai dit sur l'état de la question de l'assistance des
enfants
idiots et épileptiques. Contrairement à la conc
els sont les incon- vénients que présente le placement d'ollice des
enfants
, leur passage et leur séjour à l'infirmerie du
la Préfec- ture de police. Ces inconvénients seraient évités si les
enfants
pouvaient être admis directement au bureau d'ad
rait l'en- combrement et il n'y aurait pas de promiscuité entre les
enfants
et les adultes. M. LE Roux. J'ai écouté avec
dministration préfectorale n'a rien changé au mode de placement des
enfants
. Les diverses déli- bérations prises il ce suje
ar les familles à l'appui de chaque demande de place- Placement DES
enfants
. L3lv ment leur sera même remis. Nous n'avons d
outre, parlé des inconvénients résul- tant de la translation de ces
enfants
dans des voitures cellu- laires non désinfectée
lle. M. Le Roux vient de nous dire que les placements volontaires d'
enfants
se font comme par le passé à l'Asile clinique.
t comme par le passé à l'Asile clinique. Le relevé des placements d'
enfants
que je me suis procuré, prouve le contraire. "
ents fortement recommandés. Ce que je désire obtenir, c'est que les
enfants
appartenant à des familles pauvres puis- sent,
qu'on admette directement, à titre de placements volon- taires, des
enfants
qu'on envoie aujourd'hui à la Préfecture, de po
tre à l'Asile clinique où l'on inscrira les demandes de placement d'
enfants
. Lorsque des vacances se produiront dans un ser
té non seulement contre le séjour, mais môme contre l'admission des
enfants
idiots et arriérés et des épileptiques simples
ent accordées aux familles pour le placement à titre volontaire des
enfants
à Sainte-Anne, je me vois encore, à mon grand r
lly, qui mettait en doute, non sans raison, l'état d'aliénation des
enfants
de deux ans placés volontaire- ment à Sainte-An
raire, et je pourrai le prouver quand on vou- LXXXVII Placement des
enfants
. dra par le relevé de nos registres d'entrées.
giner, disais-je, la déplorable situation physique et morale de ces
enfants
, par suite de leur promiscuité avec les adultes
de 282 mètres cubes, soit 9 mètres cubes d'air environ pour chaque
enfant
; air confiné et constamment vicié par la bave d
létères. Pas n'est be- soin d'ajouter qu'au bureau, d'admission les
enfants
sont pri- vés de culture intellectuelle et prof
e DES aliènes. été atténuées par l'évacuation presque immédiate des
enfants
dans les services spéciaux de Bicêtre et de la
n qu'en encombrant les autres services, et diminuer le séjour des
enfants
, que grâce à l'ouverture récente de la Fondation
s à Bicêtre. Mais ces ressour- ces, au moins en ce qui concerne les
enfants
, ne tarder ront pas à faire défaut, puisque la
', que sous peu de jours, il n'y aura même plus de place pour les
enfants
placés d'office, qui encombreront de nouveau forc
ru pouvoir m'empêcher de vous rappeler le danger de la présence des
enfants
au bureau d'admission, la prolongation de leur
du Conseil général et du silence de la loi de 1S3S relativement aux
enfants
, en ne m'obligeant pas à les recevoir a titre de
it cela. J'ai seulement aliirmé et je crois pouvoir. Placement- des
enfants
, LXXXIX -le maintenir que les enfants idiots et
ois pouvoir. Placement- des enfants, LXXXIX -le maintenir que les
enfants
idiots et arriérés ne sont pas allié- nés. Car,
égénérés, que l'on clause aujourd'hui à tort parmi les aliénés, les
enfants
idiots et arriérés et les épileptiques simples, d
s l'intérêt de l'Administration, dans l'intérêt des familles et des
enfants
eux-mêmes, qui ont tout à gagner à être placés
t de nouveau données aux familles pour les placements volontaires d'
enfants
. M. le Roux. Permettez-moi, messieurs, de vous
ien n'a été changé, en ce qui concerne les placements volontaires d'
enfants
. Ces placements se sont faits et se feront chaq
prix, c'est que, faute de places clans les services spé- ciaux, les
enfants
séjournent longtemps au bureau d'admis- sion, e
sté sur les inconvénients et les dangers du transport en commun des
enfants
et des adultes de l'infirmerie du Dépôt au bure
ients et ces dangers exis- tent à un bien plus haut degré quand les
enfants
séjournent plusieurs jours et quelquefois plus
nistration. M. le Dr Bourneville. M. le Directeur déclare que les
enfants
continueront à être reçus à l'asile clinique, au
le Dr TAULE, - Seul j'ai pris sur moi de refuser le place- ment des
enfants
à titre volontaire. L'Administration n'est pas
es- ponsabilité de cette mesure que j'ai prise dans l'intérêt des
enfants
et du service. M. le Dr Du MEsxtL. Je demande q
ibérations que la Commission croira devoir prendre. Placement des
enfants
. - XCI ' M. le PRS1DDTT. - Il me semble que nou
que nous sommes tous d'accord pour que les placements volontaires d'
enfants
soient reçus au sur et-à mesure des vacances. C
les soient données aux familles pour les placements volontaires d'
enfants
. , ' , M. Bailly. Je demande que la Commission
sitions législatives aient été prises relativement au placement des
enfants
idiots et épileptiques. M. Le Roux. Aucun règle
faciliter, dans la mesure du possible, les placements volontaires d'
enfants
; mais comme elle n'a porté atteinte à aucun règ
et assurant dans la mesure du possible les placements volontaires d'
enfants
, je ne puis, à mon grand regret, voter la propo
e. Ce que je demande, c'est qu'au sur et à mesure des Vacances, les
enfants
soient reçus, par placements volontaires, au bu
e sur la proposition de M. le DI' Bourneville. IV. Placements d'
enfants
. A la séance du 28 mai, nous avons donné les re
ai fournis à la séance du 16 avril sur les placements volontaires d'
enfants
, je crois devoir porter à la connaissance de la
ts, je crois devoir porter à la connaissance de la Commission que l'
enfant
le plus jeune placé comme aliéné dans mon servi
avait deux ans et cinq jours (Lob., né à Pontoise) ; que, des sept
enfants
reçus à Bicêtre pendant le mois de mai courant,
. le M1' Bourse- ville de différents faits concernant le séjour des
enfants
à' l'Infirmerie du dépôt près la Préfecture de
sement. En ce qui concerne le séjour iL l'Infirmerie spéciale des
enfants
présumés aliénés, M. le Préfet de Police expose q
. le Préfet de Police expose que la plupart des malades, adultes ou
enfants
, n'y restent que quelques heures, grâce à la do
Dans tous les cas, ajoute M. le Préfet de Police, les plus jeunes
enfants
, qu'ils aient été envoyés directement à l'Infir-
lativement au séjour, pendant une nuit, dans la même cel- lule, des
enfants
M..., âgé de dix-sept ans, et P ? âgé de treize
genre. Quant aux inconvénients signalés au sujet du transfert des
enfants
à l'asile clinique en même temps que les adultes,
sont déjà installés dans leurs compartimentes respectifs, que les
enfants
sont admis dans la voiture et placés sur la banqu
fert puisse exercer sur eux une surveillance attentive. Lorsque les
enfants
présents à l'Infirmerie sont en nombre suffisan
écial. La voiture qui sert au transport, tant des aliénés que des
enfants
assistés, est désinfectée chaque fois que les cir
tances l'exigent. Comme depuis longtemps il n'a été transféré aucn
enfant
paraissant atteint d'une affection contagieuse, i
1891, concernant le séjour des aliénés,- et en parti : - culier des
enfants
, à l'Infirmerie spéciale du Dépôt près, la Préf
personnes, souvent des plus misérables. Est-ce dans ce milieu que l'
enfant
Bul. a contracté la diphtérie ? Est-ce dans la vo
vons faite, personne ne peut en nier la possibilité. En tout cas, l'
enfant
est arrivée à la fondation Vallée à lapériode d'i
de propagation. Nous avons dit et nous affirmons de nouveau que des
enfants
atteints de la teigne, de la coque- luche, de l
jouterai que ce ne sont pas seulement les aliénés adultes et les
enfants
qui ont ou peuvent avoir des maladies contagieuse
qui ont ou peuvent avoir des maladies contagieuses, mais encore les
enfants
sains d'esprit transportés par la même voiture
s d'esprit transportés par la même voiture du Dépôt à l'hospice des
Enfants
assistés. Quant au séjour des aliénés au Dépôt,
ajouter bien d'autres; nous nous contenterons des deux suivants : l'
enfant
S ? quatorze ans, est arrivé au Dépôt le 10 Jui
ti à quatre heures pour l'Asile clinique. La voiture contenait deux
enfants
placés dans le couloir, cinq femmes et quatre h
Asile clinique, il a proféré les injures les plus grossières. . L'
enfant
B..., quatorze ans, a été conduit le 16 juin, à d
er parce qu'il regardait par le judas de la porte. Sur l'appel de l'
enfant
, cet homme a été mis dans une cellule voisine.
ruction de la voilure qui sert au transport des aliénés, adultes et
enfants
(1). (I) A la séance du 2 juillet 1S91, M. le P
étude des questions d'assistance.) M. BOURNEVILLE. - Les sections d'
enfants
arriérés se sont encombrées bien plus vite qu'o
supposait. Il faut donc se préoccuper sérieusement du placement des
enfants
qui deviennent adultes. Ceux qui sont épileptiq
rendra mieuxl'assistance et le traitement médico-pédagogique de ces
enfants
, qui sont guéris ou amé- liorés au point de pou
ence dans le département de la Seine de cinq services consacrés aux
enfants
arriérés,idiots et épileptijaes rendra nécessaire
vec des ateliers semblables à ceux qui existent dans les sections d'
enfants
et où ils continueront soit à se perfectionner da
mais infirmes, au sur et à mesure de leur sortie de la section des
enfants
. Ils ne pourraient sortir sans per- mission du
ication en ce qui concerne les asiles de province. Généralement les
enfants
qui y sont séques- trés sont indisciplinés mais
source de grand embarras. Ce qui arrive souvent encore, c'est que l'
enfant
arriéré est réclamé impérieusement par la famil
recrutement du personnel enseignant dans les services consacrés aux
enfants
idiots et arriérés. Dans les pays où existe rée
ses charges de nous aider dans le traitement médico-pédagogique des
enfants
qui nous sont confiés. Dans le courant de l'a
par M. Ilcndié, préfet de la Seine inférieure, pour le - service d'
enfants
qu'on avait l'intention d'annexer à son asile.
dre d'ailleurs un très grand intérêt à l'ensei- gnement spécial des
enfants
idiots. Le peu dégoût qu'elles ont montré pour
épartements, d'avoir un asile pour le traitement et l'éducation des
enfants
arriérés et épileptiques, l'adminis- tration su
E. blanche que la neige ». Caractère violent, mais ne bat pas ses
enfants
, « il est au contraire trop bon pour eux ». [Père
sait de quoi ; l'autre très bien portant; il a encore sept ou huit
enfants
bien por- tants ; un est mort de convulsions ;
re SOEurs : deux sont mortes de la poitrine, dont une a laissé deux
enfants
bien portants; deux sont vivantes et bien porta
s bien portants; deux sont vivantes et bien portantes; l'une a cinq
enfants
bien portants. - Pas d'aliénés, pas d'épileptiq
vers soixante-dix ans.- Deux frères, très bien portants; l'un a des
enfants
bien portants. Trois saurs, bien portantes; leu
'un a des enfants bien portants. Trois saurs, bien portantes; leurs
enfants
sont bien portants, sans accidents nerveux. Pas
Sierck et mère des environs de Francfort; tous deux Juifs). Douze
enfants
et trois fausses couches : 1° Garçon, vingt-sept
cinq ans, bien portante, intelligente, pas de convulsions, a quatre
enfants
bien portants sans convulsions ; 3° garçon, vin
orieux que les autres, naturel, sans chloroforme. A la naissance, l'
enfant
n'était pas asphyxié ; il pesait dix livres. Mi
e attaque. Arc de cercle et convulsions cloniques des membres. 5. L'
enfant
va bien le matin et se repose. Par moments il a
lle. En 1875, à Bicêtre, sur 538 aliénés, dont 437 adultes et 101
enfants
, il y avait 14 israélites. Si la proportion était
t n'a jamais eu d'accidents nerveux. Il en est de même de ses trois
enfants
. Deux d'entre eux sont mariés d'où sont issus t
s trois enfants. Deux d'entre eux sont mariés d'où sont issus trois
enfants
dont un est bien portant, et dont les deux autres
énés, etc., etc., dans la famille. [Pas de con- sanguinité.] Deux
enfants
: 1° fille, vingt et un ans, petite, bien conform
Accouchement à terme, naturel. A la naissance, pas d'asphyxie; bel
enfant
. Elevé au sein par sa mère; sevré à quatorze mois
veux 1. Mis à l'école vers quatre ans, il apprenait bien, comme les
enfants
de son âge. Pas de convulsions dans l'enfance.
ns mouvements. 9.- A 7 h. et demie, se trouvant au premier rang des
enfants
au concert, il se met à genoux tout à coup en f
eproduits dam nos Comptes rendus du service des épileptiques et des
enfants
idiots de Bicêtre, le pre- mier avec d'Ollier (
publiées à des époques différentes ( l). L'une d'elles, celle de l'
enfant
Merl..., est comparable, sous bien des rapports à
de M. le Dr Bourne- ville) et est décédée le 10 juin 1891. Cette
enfant
n'ayant pas été visitée nous n'avons aucun rens
mpossibilité presque absolue de faire prendre' quoi que ce soit à l'
enfant
. Soir : T. It. '0°, 5. 9 Juin. Ce matin 380, 5.
n de Todd. Limonade citrique. Lotions vinaigrées. - Soir : 39°,6. L'
enfant
meurt dans la nuit. Tem- pérature après la mort
e. Toutefois, nous devons faire une réserve, en raison de l'âge des
enfants
, car, parfois, ce n'est qu'à un âge plus avancé
souvent, il battait sa femme, ce qu'il ne fait plus depuis que ses
enfants
sont grands. Chaque soir il boirait un demi-set
e sait de quoi; une scieur morte de la poirine, avait eu 12 ou 13
enfants
dont une fille qui, après avoir été mordue par un
idiots, etc. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 12 ans. Dix
enfants
, dont une fille de 20 ans qui a eu 5 enfants (4
é d'âge de 12 ans. Dix enfants, dont une fille de 20 ans qui a eu 5
enfants
(4 sont morts en venant au monde; « c'était dan
uma- tismcs, etc. Accouchement à terme, naturel. A la naissance l'
enfant
« était un peu violet, parce qu'il était resté lo
ssage ; » pas de cordon autour du cou. Elevé au sein par sa mère, l'
enfant
fut sevré de bonne heure, « parce que, dit- ell
semaines, quand, unenuit, sonpère étant rentré ivre et furieux, l'
enfant
se leva et s'enfuit en chemise, se cacher dans la
accès. Traitement : Bourrache, ipéca, eau de sureau. 12 'mars. L'
enfant
est moins turbulent que lesjours derniers, néan
urtout la gauche, rcstcntboursoufflées. Excitation maniaque. 61 L'
enfant
ne souffre pas, la soif est vive ; l'appétit est
l existe de petites bulles puru- lentes du volume d'une lentille. L'
enfant
entre en conva- lescence, il se lève. Sirop d'i
r., 4 gr., 5 gr., aussi pendant une semaine. 1882. 11 janvier. -L'
enfant
est dans une sorte de coma ana- logue à celui q
sensibilité et de la force musculaire, l'intégrité des réflexes; l'
enfant
marche seul, sans soutien; parfois il trébuche,
soutien; parfois il trébuche, mais ne s'affaisse pas. 18 juin. L'
enfant
continue à prendre djs douches. L'agi- 'tation
tremblement des membres supérieurs. ' 16 novembre. - L'état de l'
enfant
reste le même. Il cher- che toujours à se lever
sure-t-on, il a proposé plu-ieurs fois des attouchements à d'autres
enfants
. En ce moment, le malade a une fluxion de la jo
ci- dents cérébraux mal déterminés chez des neveux ou nièces de l'
enfant
et des convulsions chez une soeur. II. Signal
nce, il ne semble pas que. Schah ait notablement différé des autres
enfants
jusqu'à 8 ans. A l'école, on assure qu'il appre
s qu'on eut rien fait, à tort, pour les dissiper, quand une nuit, l'
enfant
fut vivement effrayé par son père qui rentrait
effrayé par son père qui rentrait ivre. Un mois après cette peur, l'
enfant
eut son premier accès d'épilepsie. Deux ans plu
nérescence due à l'alcoolisme du père, aggravée par l'asphyxie de l'
enfant
à la naissance, 11 est fréquent do voir ainsi l
ceux qui l'entourent, etc. (manie). VI. Lorsqu'on est enprésencc d'
enfants
comme celui- ci, c'est-à-dire atteints d'épilep
e de M. BOURNE.- ville). A différentes reprises, les parents de l'
enfant
ont été convo- qués, jamais ils ne se sont rend
. 1884. Poids : 27 kilog. 600; Taille : lm, 25. Dès son entrée, l'
enfant
se montre d'un naturel violent, irascible, il don
ques d'herpès; la laryngite est encore assez intense. 4 maTS, - L'
enfant
a encore un peu de laryngite et de rou- geur de
disparu à droite, mais ils existent, quoique diminués, à gauche. L'
enfant
ne tousse plus. 15 mai. - L'enfant présente sur
quoique diminués, à gauche. L'enfant ne tousse plus. 15 mai. - L'
enfant
présente sur l'oeil droit au niveau du limbe co
uéde volume. Les ganglions sont isolés et durs. De temps à autre, l'
enfant
semble avoir' des accès de suffocation ;les lèv
emble, à l'auscultation, un peu voilée à droite. Rien au coeur. L'
enfant
mange bien, ne se touche pas, n'a pas d'accès de
depuis la veille. T. R. matin : 3G°, 8. Soir : 36°. 8. 14 août. L'
enfant
ne se lève plus ; il refuse de manger ; il a un
ismuth. Thé au rhum. T. R. malin : 37°, 4. Soir : 37°. 16 août. L'
enfant
est très abattu, dans un état semi-co- mateux,
it de plus en plus. T : R. matin : Il. - Soir : 37°. 17 7 août. L'
enfant
a pris un peu de lait à 7 heures du matin, et u
e vraie unilatérale ; Par BOURNEVILLE et P. SOLLIER. SOMMAIRE : -
Enfant
naturel. - Renseignements insuffi- sants du côt
ade, pas nerveuse, très forte. Mariée depuis trois ans, elle a deux
enfants
, un garçon et une fille, bien portants tous, n'
bien portant ainsi que deux : oncles maternels, très robustes. Deux
enfants
très bien portants; un autre est,' mort O11 rlC
: 'acco;.LChen2ent a été normal, et s'est terminé en deux heures. L'
enfant
, à La naissance, était fort, bien constitué. Sa
de l'oeil droit. Iris châtains. La vision paraît normale ; mais l'
enfant
ne sait pas distinguer les couleurs. Pas de nysta
cun phénomène méningitique. Il en est de même jusqu'au 25 mat, ou l'
enfant
commence à pousser des cris fréquents. Sueurs t
, mais l'é- coulement persiste, et la fièvre est toujours élevée. L'
enfant
s'a- maigrit considérablement. Pas de vomisseme
entres moteurs, Remarques. 107 II. Au point de vue intellectuel l'
enfant
, malgré le parfait développement de son hémisph
ales; Par BOUUMîVÏLtE et A. SOREL. On a l'habitude de diviser les
enfants
atteints de dégé- nérescence mentale en trois g
s principaux : les idiots, les imbéciles et les arriérés. Parmi les
enfants
ou les adolescents de ces deux derniers groupes
é (Père d'Arcueil, mère de Bicêtre). - Différence d'âge, 13 ans; 14
enfants
: 1° L'ainé, employé à la douane, ne fait pas d
4° Notre malade; Enfin un garçon de 13 ans bien portant. Les autres
enfants
sont morts en bas âge, 2 de convulsions, les au
me : il a duré de 7 h. du soir a 6 li. du matin. -A la naissance, l'
enfant
n'a pas crié tout de suite, elle était toute bl
qu'à 2 ans, offrait le développement physique et intellectuel des
enfants
de son âge. Alors, un incendie éclata dans le l
es laïques ni les religieuses n'ont obtenu de résultats. Bien des
enfants
comme elle pourraient être guéris et mis à même
tion comprendra exactement la situation, elle ouvrira largement aux
enfants
de cette catégorie des asiles et créera pour le
ns répétées 4 ou 5 fois à 15 mois.- Rougeole à 8 ans. - Etat de l'
enfant
en août 1891. -Accès de colère. Turbulence ; ja
onsangui : nité. Egalité d'âge. 116 Description de la malade. 6
enfants
: 1" Un garçon mort à 8 ans de scarlatine compli-
u dernier moment, et soucis pécuniaires. Accouchement à 8 mois. L'
enfant
, très petite à la naissance, pesait moins de 2
uchemars, grincements de dents. . .i891. 18 aoîtl, - Elat actuel.
Enfant
de petite taille, chétive. Expression sombre de
ni de la sensibilité spéciale. La préhension s'opère assez bien; l'
enfant
se sert de la cuillère et de la fourchette mais
battrait ses com- pagnes si l'on ne s'y opposait. 6 septembre. L'
enfant
présente depuis une quinzaine de jours des symp
: T. Il. 37°, ci. - Soir : T. Il. 33. 10 septembre - 2-i quintes. L'
enfant
a vomi tout ce qu'elle a pris. Matin : T.R. 3 ?
les urines. Ce sucre n'a pas été dosé, parce qu'à cette époque, l'
enfant
ayant une diarrhée assez forte, on n'avait pu r
éduction en analysant avec le même réactif les urines de différents
enfants
qui présentaient au même mo- ment de la bronchi
uche. ' . M. J. Simon, dans sa Note sur le diabète sucré chez les
enfants
(Revue des maladies de l'enfance, 1885, p. 477)
leçon intitulée : Contribution à l'élude du diabète sucré chez les
enfants
(Ibicl., 1887, p. 450) ne fait aucune allusion
eluche. " (1) Dans 4 observiiions de diabétiques, dit M. Redon, les
enfants
avaient eu la rougeole ; deux même avaient eu e
mars. La parole est toujours défectueuse. Il y a des périodes où l'
enfant
est paresseux. Il a peu de goût pour les travau
beaucoup moins jaloux qu'il ne l'était en 1880. 3 juin-li août. L'
enfant
a eu durant cette période une dysenterie assez
famille.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 3 ans. Quatre
enfants
: 1° Une tille de 20 ans, anémique, sans accide
erme, naturel, sans chloroforme. 11 la naissance, pas d'asphyxie. L'
enfant
a été élevé au sein par sa mère jusqu'à 14 mois
complète à dix-sept. Jusqu'à cet âge le développement physique de l'
enfant
se fit d'une façon remar- quable; mais déjà cer
e; mais déjà certaines particularités avaient frappé les parents. L'
enfant
qui avait commencé à parler à un an, ne prononç
nosyllabes. « Il ne paraissait pas aussi intelligent que les autres
enfants
, Il dit-on. Son rire même avait quelque chose d
ls semblent avoir été suivis de paralysie des membres inférieurs, l'
enfant
étant resté sans marcher jusqu'à l'âge de deux
de deux ans. De deux à sept ans, on ne trouve dans l'histoire de l'
enfant
comme accidents morbides qu'une rougeole à 3 an
tentatives, durent renoncer à l'envoyer à l'école' : les. autres
enfants
l'appelaient : « le fou ». . Le début de l'épil
a eu comme cause occasionnelle probable une frayeur éprouvée par l'
enfant
.. Trois fois, en effet, il lui est arrivé de s'
observa plus de cinq en 24 heures avant son entrée à Bicêtre,. \ L'
enfant
est doux, affectueux. Son état intellectuel sembl
Il parle toujours d'une façon inin- telligible, par monosyllabes. L'
enfant
est soumis au traitement par le bromure de pota
mal. Poils assez abondants à l'anus. Pas d'hémorrhoides. 1887. -L'
enfant
prononce toujours très mal, il connaît ses lett
oite à gauche. Il olyéit assez facilement, il pleure comme un petit
enfant
quand NÉPHRITE. 125 on le gronde. Il s'occupe
onvulsions, les parents avaient constaté à certains signes que leur
enfant
n'était pas normal : la parole ne se développai
, elle est d'ordinaire limitée à un seul rein. Ala fin de 1889, l'
enfant
a maigri progressivement (2). Bien qu'il ne se
arthez et A. Sanné. - Traité clinique et pratique des maladies des.
enfants
. 3"" édit. 1891, p. 1272. - (2) Voir le tahleau
SIE, L'HYSTÉRIE L'IDIOTIE ET L'HYDROCÉPHALIE N 44. Imprimerie des
Enfants
de Bicètre. PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL R
ERIE. L'IDIOTIE ET L'HYDROCÉPHALIE COMPTE- RENDU DU SERVICE DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICHTRE PEN
ux aliénés adultes, la troisième aux épileptiques, la quatrième aux
enfants
. Dans leur section, les enfants sont répartis e
aux épileptiques, la quatrième aux enfants. Dans leur section, les
enfants
sont répartis en trois groupes : 1° Les enfants
leur section, les enfants sont répartis en trois groupes : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
enfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides; 2° les
enfants
idiots gâteux ou non, mais - 3" les enfants pro
mais invalides; 2° les enfants idiots gâteux ou non, mais - 3" les
enfants
propres, valides, imbéciles, arriérés, instable
érés, instables, percers, épileptiques, et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
ons, en leur faisant des frictions sti- mulantes, etc... En 1893, 3
enfants
ont appris à mar- cher, Tabur..., Math..., Char
propres : ,Jacc1ue..., Tabour..., Clouzea... et Im- beur Dès qu'un
enfant
seul il est envoyé à la petite école, d'abord l
is toute la journée aussitôt que ses forces le permettent. Tous ces
enfants
sont placés sur des petits fauteuils spéciaux q
oins hygiéniques et devraient former un groupe spé- cial. . Il.
Enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou
iée exclusive- ment à des femmes. Dans le courant de l'année, 220
enfants
ont été inscrits à la petite école. Sur ce nom-
passés à la grande école, 4 sont passés aux adul- tes. Sur les 197
enfants
qui restaient à la petite école au 31 décembre
four- chette, 64 delà cuiller, delà fourchette et du couteau. - 7
enfants
sont devenus propres (1). 3 autres enfants (1)
hette et du couteau. - 7 enfants sont devenus propres (1). 3 autres
enfants
(1) Andr..., Bourg..., -, Faire ? Laure..., Pri
le. , sont très améliorés au point de vue du gâtisme (1). Tousles
enfants
sont exercés il la gymnastique Pichery, sauf 7
enus du service des gâteux et infirmes, n'ont pu y prendre part. 29
enfants
ont travaillé cette année dans les différents a
itement du gâtisme qui consiste à placer, après chaque repas, les
enfants
gâteux sur les sièges d'aisances appropriés que
édemment ; 2" les leçons de toilette qui consistent à apprendre aux
enfants
se laver la ligure et les mains et à s'habiller
in 1892 de venir à Bicêtre, s'occuper d'une façon spéciale de ses
enfants
et de quelques autres que nous voudrions bien l
petite école. Depuis octobre 1892, nous l'avons installée avec 10
enfants
dans l'une des chambres d'un logement vacant de
ement. Cette petite école complémentaire est fréquentée par vingt
enfants
idiots dont 6 gâteux. M ? Bonnet est aidée dans
ier, qui en môme temps a la surveillance du dortoir où couchent ces
enfants
. MII10 Bonnet a ainsi contribué à désencombrer
encore de meilleurs résultats dans notre service. Le nombre de ses
enfants
gâteux est réduit à 4. Dans nos précédents Comp
ns les suivants : 1" un mannequin articulé qui sert à apprendre aux
enfants
à s'habiller et à se déshabiller; - 2° un petit
ndre l'apaemezzt ; - 3° pour édu- quer la main et pour préparer les
enfants
à entrer à l'atelier de couture, nous les exerç
y. 13 et qui com- prennent : a) un bâton avec poignée sur lequel l'
enfant
est dressé à enfiler des boules en bois, coloré
ns aussi parlé autrefois des procédés em- ployés pour inculquer aux
enfants
la notion des chiffres etcelle de la numération
res imprimés ont (I"'12 de longueur. Sur les chiffres imprimés, les
enfants
placent des chiffres en bois, colorés en rouge
s en rouge ou en noir. Pour la seconde, nous faisons placer par les
enfants
des petits bâtonnets dans une sorte de petit ca
ns lesquelles les surfaces sont tracées en creux. Sur ces creux les
enfants
appliquent les surfaces simi- laires découpées
u non (Grande école). - La population de cette école était de 209
enfants
au 1" janvier 1893 et de 222 au 31 décembre. 15
52 par petite série (une heure) ; 1(3 ne travaillent pas. Parmi ces
enfants
, nous comptons 22 on-chohlta`ecs, ? déchircurs
.. sur de grandes dimen- sions, afin de mieux fixer l'attention des
enfants
. Aux examens pour le certificat d'études, qui o
0 Grande ÉCOLE. Ni lieu au mois de mars, à Villejuif, onze de nos
enfants
ont été reçus (1). En raison du nombre trop con
dérable qui occasionnent un encombrement (1) dange- reux pour les
enfants
, nous avons demandé la créa- tion d'un nouvel e
mesure d'améliorer la prononciation et de développer la parole des
enfants
, nous les avons envoyés successivement et par s
e des Sourds- muets. Déplus, comme nous avons un certain nombre d'
enfants
a veugles, nos auxiliaires sont également allés
Fi ! ]. ? Procédés d'enseignement. SIII Fanfare. - Le nombre des
enfants
faisant partie de la fanfare s'élève à 30 (21 i
. La cotisation mensuelle est de 0 fr. 50. Il a été versé par les
enfants
, en )8')3, la somme de 152 fr. en cotisations e
récréative renferme 3 10 volumes, qui sont mis à la disposition des
enfants
les plus tran- quilles durant les récréations.
élevé à 49. xiv Musée, BIBLIOTHÈQUE, ETC. Distractions. xv d'
enfants
(1). Nous r commandons aux instituteurs et aux
r de ces promenades pour donner des leçons de choses et exercer les
enfants
aux jeux de balles es de ballon. Des promenades
u le' décembre, du du mardi-gras et de la mi-carême. Visites. Les
enfants
ont reçu 10.211 visites. Les visiteurs ont été
. Ils contribuent à maintenir les liens entre les familles et leurs
enfants
et, comme ceux-ci y tiennent beaucoup, la crain
s congés dépassant 4 ajoura avaient l'incon- vénient de laisser les
enfants
prendre de mauvaises habitudes, d'être moins do
14.103 bains ainsi répartis : : XLVIII Améliorations diverses.
enfants
, et pour leurs familles il faire passer le tramwa
asser le tramway du Cllàtclet devant l'Hospice. : L'habillemenl des
enfants
laisse toujours beaucoup il désirer. Souvent il
hemises de femmes que, faute de linge, on donnait quelquefois aux
enfants
. Les chausettcs ont été substituées aux bas pou
usettcs ont été substituées aux bas pour un nombre trop restreint d'
enfants
. Cette modification devrait être généralisée. -
ication devrait être généralisée. - Dans la tenue de promenade, les
enfants
ont une nouvelle casquette, drap bleu avec visi
'sur les côtés, ce qui permet de mieux surveiller les : poches des
enfants
; quand elles étaient intérieures, -elles leur s
les, des sutures et des dimensions avec les calottes crâniennes des
enfants
idiots de Bicêtre. Le musée reçoit en outre tou
s (1). Nous avons fait dresser par M. Sollier et imprimer par les
enfants
le Catalogue du musée que chaque année nous ten
ls apportent chaque jour à donner l'instruction professionnelle aux
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'
16.607 fr. 50. Cette somme étant déduite de celle du travail des
enfants
(43.783 fr.), il reste un bénéfice de 27.176 fr
hitecture M. Delahayc, et par M. IIus- son, économe. Le travail des
enfants
couvre : 1° la dépense occasionnée parle salair
nt pas de dortoirs sont affectées aux soins et à l'enseignement des
enfants
de la petite école. 3° pour l'enseignement prof
occupés de l'hospitalisation, du traitement et de l'édu- cation des
enfants
idiots et arriérés. Section II : Fondation Vall
limites extrêmes qui avaient été fixées d'un commun accord à Cent
enfants
au maximum. Le mal s'est empiré durant l'année
ée, la population de la Fondation avait atteint le chif- fre de 131
enfants
. D'où il suit qu'elles n'ont dans leur dortoir
XXXVIII ENSEIGNEMENT. Ainsi que nous l'avons dit l'an dernier les
enfants
idiotes et gâteuses invalides ont été isolées d
omplétées par des promenades dans le domaine et les environs. Les
enfants
assistent à toutes les opérations du jardinage,
ardinage, participent à la récolte des légumes et des fruits. 134
enfants
ont fréquenté l'école et ont suivi les exercice
ux autres fois par semaine sous la conduite de 1\llle Langlet. 47
enfants
savent se servir de la cuiller, de la four- che
uteau; 46 de la cuiller et de la four- chette ; 1 de la cuiller; 18
enfants
ne savent pas man- ger seules. Nous avons int
à à la Fondation depuis son ouverture, servant à appren- dre aux
enfants
à boutonner (Fig. 9 et 10), à nouer, à lacer (f
jouté de nouveaux, représentés sur la Fig. 13, et qui préparent les
enfants
à apprendre à coudre. Enseignement profession
ionnel. Nos efforts cons- tants tendent, cet égard, à apprendre aux
enfants
tout ce qui est nécessaire pour en faire autant
x (les moins arriérées aident le personnel à apprendre à manger aux
enfants
inca- pables de manger seules. Les deux atelier
couture et repassage, ont bien fonctionné comme par le passé. 27
enfants
ont fréquenté régulièrement, pendant 3 heures,
ièrement, pendant 3 heures, chaque jour, l'atelier de repassage ; 5
enfants
y vont quotidiennement durant un temps variant
temps variant d'une à 2 heures, suivant leur état intellectuel. 31
enfants
, en fin d'année, travaillaient à l'atelier de c
ier de couture régu- lièrement tous les jours, pendant 4 heures; 19
enfants
y sont venues de 1 heure à 2 heures chaque jour
elier de repassage, dirigé par 111 ? Lejeune. Un certain nombre d'
enfants
ont appris à faire la layette (8), le crochet (
dation. Des bidets permettent de procurer les soins de propreté aux
enfants
gâteuses et aux jeunes filles pubères. Les enfa
de propreté aux enfants gâteuses et aux jeunes filles pubères. Les
enfants
valides vont prendre leurs dou- ches dans la se
es enfants valides vont prendre leurs dou- ches dans la section des
enfants
de et les enfants invalides les prennent à la F
ont prendre leurs dou- ches dans la section des enfants de et les
enfants
invalides les prennent à la Fondation même. Les
tistique. XLVII les des gâteuses et transformé le fauteuil de ces
enfants
en fixant les coussins, qui, auparavant, étaient
es et avaient l'inconvénient de se déplacer dans les mouvements des
enfants
. ' Maladies éhiclénirjzces. L'enfant Duth... es
cer dans les mouvements des enfants. ' Maladies éhiclénirjzces. L'
enfant
Duth... est entrée à la Fondation avec la coque
e avait contractée durant un congé dans sa famille ; trois autres
enfants
ont été prises successivement : Imber., Deny ?
é prises successivement : Imber., Deny ? Gauche.... Teigne. - Les
enfants
Dcwilde ? Garnie, Légal... ont été envoyées au
bron- cho-pneumonie, 1 ; oedème de la glotte avec décès, 1. Les
enfants
atteintes de maladies contagieuses ont été soig
7 en en w 0 : : =' H en en Personnel DU service. LI
enfants
Mexa ? Barthél ? Noire.. et Meyro ? dirigées su
Population au 31 Décembre 1893. - -Il restait à la Fondation 13l
enfants
se décomposant ainsi : LII ' FONDATION VALLÉE,
xposé sommaire de la construction immédiate d'un bâtiment pour cent
enfants
. Vous avez adopté les conclusions que nous vous
ion, à la fondation Vallée, d'un pavillon destiné à recevoir cent
enfants
et, ajoute la lettre de M. Le Roux, directeur d
cons- truction du bâtiment dit des musées, dans la sec- tion des
enfants
de Bicêtre, bâtiment composé : d'un rez-de-chau
mée au dehors pour faire communiquer les classes ? A la section des
enfants
de Bicêtre toutes les classes communiquent entr
nt de remar- quer que ce sont des classes médicales affectées à des
enfants
épileptiques et idiots atteints de crises fréqu
uvroir. « En raison de la destination multiple de ce local où les
enfants
sont appelés à séjourner, la Commission exa- mi
il y a là un nouveau motif de le parqueter, afin d'éviter que les
enfants
ne se blessent d.;ns leurs chutes. La Commissio
t d'eau auto- matique, avec chasses abondantes, siphons, etc. Les
enfants
ne doivent avoir à manier aucun mécanisme. Les
t départemental, celles de la partie infé- rieure de la section des
enfants
de Bicêtre, établisse- ment municipal, et celle
tilly, à l'effet de cons- truire un égout partant de la section des
enfants
de Bicêtre, desservant la Fondation Vallée et a
Vallée. Construction à la Fondation Vallée d'an pavillon pour Z00
enfants
. Dans sa séance du 23 décembre 1893, le Conseil
ction, àla fondation Val- lée, d'un pavillon destiné à recevoir 100
enfants
, sous la réserve qu'un projet lui serait soumis
tion, à la fondation Vallée, d'un pavil- lon destiné à recevoir 100
enfants
. Il) Voir au Recueil de la 1" session de 1893 l
, 1893. 1 1 Du traitement chirurgical et médico-pédagogique des
enfants
idiots et arriérés; Par BOURNEVILLE. Communic
a pratiqué pourla première fois sans doute la crâniectomie chez un
enfant
idiot dans le but de donner de l'expansion au c
89, p. 407. (il) De la crâniectomie dans la microcéphalic, chez les
enfants
arriérés et chez les jeunes sujets présetttant,
. Ceci dit, nous allons soumettre à votre examen les crânes de 21
enfants
idiots' ainsi que les photographies des cerveau
IRURGICAL. 23 tose presque complète des sutures, et le crâne d'un
enfant
sain de 14 ans sur lequel la suture coronale es
ment ossifiée). OBS. III. IDIOTIE \IICBOGI;PH9LIQU1;. Sommaire.
Enfant
assisté : absence complète de 1'G'l2Sei- gnemen
tions. · SOMMAIRE. Rien du côté paternel ( ? ). Mère migraineuse.
Enfant
naturel. Chute de la première dent à 3 mois. Dé
u ner- veuse. - Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 5 ans.
Enfant
petit à la naissance. -. .Jamais de convulsions (
mblement à latin de décembre : disparition des l7-LOUve- ments de l'
enfant
; développement considérable du ventre. Accouch
culière de la mè1'e -pendant la 'grossesse ! Accouchement à 7 mois.
Enfant
très-petite 1) L'obs. complète figure dans le C
lés spécialement. Voici maintenant trois crânes appartenant à des
enfants
idiots (1 fille et 2 garçons) qui ont été soumi
, asthmatique. -Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 8 an·.
Enfant
petite à la 11ais"ilnce. I)églittit io ? l pénibl
de Bicêtre possède 350 crânes provenant d'épileptiques et surtout d'
enfants
idiots. Ceux que vous venez de voir n'ont pas é
e vous venez de voir n'ont pas été choisis. Ils appartiennent aux
enfants
décédés cette année ou l'an dernier, sauf ceux de
Ils nous paraissent démontrer d'une façon péremptoirc que chez les
enfants
idiots et arriérés, il n'y a pas, en général, d
maturée des sutures. Nous n'en exceptons pas les crânes des trois
enfants
cranicctomises. Leurs sutures étaient susceptible
Le service dont nous avons la direction il Bicêtre comprend : Iodes
enfants
épileptiques ou hystériques; 1° des enfants idi
être comprend : Iodes enfants épileptiques ou hystériques; 1° des
enfants
idiots IL tous les degrés, depuis la simple arr
athétosc, mouvements clloréiformes, tremble- ments, etc.) ; 3° des
enfants
atteints d'imbécillité morale, instables, perve
écillité morale, instables, pervers, impulsifs, etc. La plupart des
enfants
de cette dernière catégorie possèdent un certai
ent chirurgical et le traitement médical « des microcéphales, des
enfants
arriérés, et des jeunes sujets présentant, avec
pileptiques offrant, en outre, de la débilité mentale, ni parmi les
enfants
affectés d'imbécillité morale. Nous les choisir
tration que nous poursuivons plus frappante, nous écarterons les
enfants
arriérés et nous attirerons votro attention sur
Cet exercice se fait soit il l'aide d'un ¡¡¡aIl/1er/Hill, soit sur l'
enfant
lui- même. ,0,0 TRAITEMENT MÉDICO-PÉDAGOGIQUE
ion de la vue et du toucher. - On s'ingénie à faire reconnaître aux
enfants
les odeurs, 11, distinguer les sons, etc. Les p
urent de leur côté au développement physi- que et au traitement des
enfants
. Enfin, l'onscignemert professionnel vient comp
dans sept ate- liers ; menuiserie, serrurerie, imprimerie, pour les
enfants
les plus avancés ; brosserie, vannerie, cordonn
e, cou- ture, rempaillage de chaises et jardinage pour les autres
enfants
, etc. C'est à l'ensemble de tous ces moyens que
e résumé de quelques observations concernant, nous le répétons, les
enfants
atteints d'idiotie ou d'imbécillité à un degré
fourragères, vigno- ble, bois. (2) Nous faisons photographier les
enfants
à leur entrée, puis à des époques plus ou moins
u deux, suivant les changements qui se pro- duisent. S'agit-il d'un
enfant
atteint d'i<(ioti« complète, ne marchant et ne
vons établi des cahiers scolaires. Ce cahier est ouvert pour chaque
enfant
dès qu'il commence il tracer des bâtons ; puis
s consigner sur ce cahier les différents exercices scolaires dont l'
enfant
est devenu capable. 76 - ; ' IDIOTIE. OBS. -
e épiniè1'e. - Pas de consanguinité. Inéga- lité d'âge de 19 ans.
Enfant
naturel. Viol suivi de conception. - Chagrins dur
sait compter jusqu'à 10, aide à nettoyer et à habiller les autres
enfants
. 1883. - Mange proprement, se sert de la cuillè
probablement méningitique ; paraplégie avec PIEDS BOTS. Sommaire.
Enfant
naturel. Père, excès de boisson; pas d'autres r
chitisme à '( ans : séjour à 13e7'ch. Viole7l,ces envers les autres
enfants
. - Masturbation 1'I ! ci- proque. Kleptomanie.
ppris le solfège et joue d'un instrument (alto) dans la fanfare des
enfants
. A des habitudes d'ordre et d'économie et place
affectueux, assez docile, obéissant et convenable envers les autres
enfants
; il n'est plus grossier que très rarement. Lec
Jamais de convulsions ? Accès de colère. Méchant envers les autres
enfants
. Prononciation très défectueuse. Se sert de la
re, très soigneux, n'est plus sournois et ne frappe plus les autres
enfants
. Sa, photographie collective le montre de 1889
e 1889 à 1893. OBS. VIII. Imbécillité très prononcée. Sommaire. -
Enfant
assisté : père mort de bronchite en 1879 ; mère
graphie des hémiplégiques un peu diffé- remment que pour les autres
enfants
. Nous nous sommes aperçu qu'en les fai- sant ph
histoire. A appris à lire la musique, fait partie de la fanfare des
enfants
(Baryton). Malgré son hémiplégie droite, il a a
est affectueux et reconnaît ses parents. : « Traitement : Exercer l'
enfant
à se tenir debout et à mar- (1 cher ; le placer
ents aient entravé le traitement, « déjà nous avons obtenu chez cet
enfant
une amélioration « encore peu profonde mais ind
fant une amélioration « encore peu profonde mais indubitable. « L'
enfant
commence à se tenir sur ses jambes, ne gâte plus
ats nous pouvons espérer que, dans un temps plus ou moins « long, l'
enfant
sera tout à fait propre, marchera et parlera. »
4) M. ti cz 0 5 s ci M 3 - 1 88 IDIOTIE. Cet
enfant
a fait des progrès continus. Il apporte du goût à
t qui nous montre son développement intellectuel. Tout récemment, l'
enfant
jouait dans son dortoir avec un infirmier ; au
- moi, fais donc tes carreaux, ils sont sales. » La remarque de l'
enfant
était juste, les carreaux étaient tachés. La ph
aquelle sont dus la plupart des principaux progrès réalisés par cet
enfant
, . Traitement médico-pédagogique. 89 Si nous
Si nous avons insisté un peu longuement sur l'ob- servation de cet
enfant
, c'est qu'il sagit d'un cas d'idiotie complète,
toujours une amélioration sérieuse et souvent même de mettre les
enfants
idiots et arriérés en état de vivre en société.
. BOURNEVILLE). Renseignements fournis par la tante paternelle de l'
enfant
, et par un oncle et une tante par alliance. Ces
ni de rhu- matismes, ni de syphilis ( ? ). Avant la naissance de l'
enfant
92 Imbécillité. il ne buvait ( ? ) : pas c'es
santé. - Aucun renseignement sur la famille maternelle du père de l'
enfant
. Un frère, bien portant, ainsi que ses cinq enf
lle du père de l'enfant. Un frère, bien portant, ainsi que ses cinq
enfants
qui n'ont pas eu de convulsions. Dans le reste
oncles et les tantes. Deux sûrs sont en bonne santé ; l'une a deux
enfants
qui n'offrent rien de particulier. - Dans le re
er. - Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de trois ans. Trois
enfants
: 1° fille, 27 ans, a eu des convulsions à l'âg
ons. A l'heure actuelle, il aime à jouer avec les jouets des petits
enfants
. C'est en leur société qu'il se plait, il fuit
ts enfants. C'est en leur société qu'il se plait, il fuit celle des
enfants
de son âge. Bien qu'on le laissât sou- vent seu
ui donnent les renseignements disent qu'on voyait auparavant, que l'
enfant
était arriéré et sans intelligence. 1892. Juill
92. Juillet. Poids : 43 kilogr. 500. Taille : 1 m. 60. 4 octobre. L'
enfant
est vacciné sans succès; il présente 3 cicatric
probables chez le père, certains chez le grand père maternel de l'
enfant
, des convulsions chez l'une de ses soeurs. II
rnel de l'enfant, des convulsions chez l'une de ses soeurs. II. L'
enfant
était déjà regardé comme arriéré quand, à trois
xcellents résultats. C'est, en effet, dès que l'on a constaté qu'un
enfant
est en retard, BOURNEVILLE, Bicêtre, 1893. 7
48 ans. - Une tante paternelle, 52 ans, bien portante ainsi que ses
enfants
. Un oncle, 45 ans, aliéné, interné depuis de 19
d'aliénés, etc.] Pas de consanguinité. Le mari a un an de plus. 7
enfants
: 1° Notre malade ; 2° Un garçon, mort de mé- n
ccouchement à 7 mois 1/2 ; durée du travail 48 heures, naturel. - L'
enfant
, à la. naissance, était faible, sans asphyxie.
nt un mois et demi. Nourri au sein par sa grand'- mère qui avait un
enfant
du même âge; sevré à 15 mois. Premières dents à
Pas d'incontinence d'u- rine. Pas de vers intestinaux constatas. L'
enfant
a toujours été sombre, peu affectueux, aimant l
auche rétrécie. Réaction bonne à la lumière et à l'accommodation. L'
enfant
connaît le blanc, le noir, le rouge, confond le
vrable, testicules en place, gros comme des oeufs de moi- neau. L'
enfant
, à l'époque de cet examen, est dans le même état
lit, les genoux sont repliés jusqu'au ventre. 1893. 4 janvier. L'
enfant
tousse et à l'air de souffrir. Rien à l'auscult
catoire à gauche. T. R. 39°,2. - Soir : T. R. 39°,3. 8 janvier. L'
enfant
est mort ce matin avec une tempéra- Sclérose at
e méningo-encéphalne chronique. Réflexions. I. Il s'agit ici d'un
enfant
dont l'as- cendance est particulier ornent rich
ir de G ans, l'intelligence se développe, assez rapidement même : l'
enfant
est 1)on écolier, apprend à lire, à écrire, il
ire. Nous avons appliqué la nouvelle méthode, à trois séries de dix
enfants
, en faisant de chaque série un champ opératoire
de d'administration du médicament, il a été le mémo pour les trente
enfants
, c'est-à-dire (1) Société de Biologie, séance d
é de centimètres cubes de liquide. L'état intellectuel et moral des
enfants
a été consi- gné avec soin avant le traitement.
sonnel, maitres et infirmiers, a été attirée spécia- lement sur ces
enfants
, afin de noter toutes les modifications, qui po
nt encore, avant de venir faire ici notre communi- cation, tous les
enfants
ont été réexaminés. Ire série : DIX enfants.
uni- cation, tous les enfants ont été réexaminés. Ire série : DIX
enfants
. Provenance du liquide. L'extrait testitulaire
lle a été internée plusieurs mois à la Salpêtrière (1). C'était une
enfant
naturelle et ce qu'on sait de ses parents, c'est
s bègues]. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 8 ans. Quatre
enfants
: 1° Une fille bien portante; 2° Notre malade;
. Il avait des « gourmes infect tes. » La nourrice aurait dit que l'
enfant
avait eu, une fois, des « convulsions internes.
parler à 2 ans. A cet il était à peu de chose près comme les autres
enfants
et surtout comme ses frères ou soeurs. Début de
a mère prétend que, Ù 5 ans, il avait à peu près l'intelligence des
enfants
de son âge. De 5 à 6 ans, convulsions toutes le
moins élevée, plus courbe que la gauche, et plus déviée en bas. L'
enfant
garde sans cesse la bouche entr'ouverte. A la m
illet. Bien que les accès aient un peu diminué, le carac- tère de l'
enfant
est plus irritable. Puberté : fin duvet il la r
ore inconscient pendant 8 à 10 minutes. » Au début du traitement, l'
enfant
tombait moins souvent ; mais étant allé en perm
à Paris le 14 novembre 1878, est entré à Bicêtre le 12 août 1892. L'
enfant
a eu 4 accès en février et 2 en mars. Comme il
famille]. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 15 ans. Neuf
enfants
dont quatre bien portants, l'un mort en naissan
u de convulsions ni d'accidents nerveux. Notre malade est le 7""=
enfant
. Émotion très-vive au 4' mois de la grossesse c
quentes et violentes, sont devenues plus rares et moins intenses. L'
enfant
les sentait venir; il appelait sa mère : pas de
bre, lecture courante sans expression ; mémoire peu déve- loppée. L'
enfant
connu nce la multiplication. 11 connaît les jou
On note que le testicule gauche est plus gros que le droit et que l'
enfant
se livre à l'onanisme depuis quelque temps. J
mentale en 1888; excès de boissons postérieurs iL la naissance de l'
enfant
. Tante maternelle, danse de Saint-Guy. Consangu
.] Consanguinité au 4° degré. Différence d'âge de 11 ans. Un seul
enfant
: notre malade. INJECTIONS DE liquide testicula
- llccouchemeot à. terme, naturel, sans anesthésie. A la naissance,
enfant
bien portant; pas de circulaire autour du cou,p
; ensuite il restait quelquefois tranquille pendant quinze jours. L'
enfant
s'affaissait en avant, perdait connaissance, fa
s, il restait inconscient pendant quelquesjours. Il dit aussi que l'
enfant
était averti, qu'il sentait quelque chose lui m
veut partir chez lui. Les yeux sont hagards. 14 juin. Hier soir l'
enfant
s'est couché ne présentant rien d'anormal. Il a
e (service de M. BOURNEVILLE) le 24 novem- bre 1891. Bien que cet
enfant
ne fût pas épileptique, comme il était en voie
uième mois à la fin du huitième, qui paraissent avoir retenti sur l'
enfant
, puisque, dès le second jour de la naissance, i
à deux ans, l'enfa,nt ressem- blait à peu de chose près aux autres
enfants
. III. Alors, il a eu un état de mal convulsif q
constatées à l'autopsie expliquent la déchéance progressive de l'
enfant
. VI. Notons encore la différence de poids des d
minance à droite de la force muscu- laire. VII. Malgré l'âge de l'
enfant
, 14 ans et demi, le thymus persistait et était
tie de l'asile, elle est encore folle. II. Les renseignements sur l'
enfant
sont un peu vagues. Nous n'avons pu savoir quel
a écrites, elle revient constamment sur la nécessité de nourrir son
enfant
avec de la graisse, et elle réclame la permissi
classe, de l'atelier et à tous les traitements du monde. III. Cet
enfant
était en déchéance lorsqu'il a été sou- mis aux
e des corps étrangers, habitude qui se rencontre surtout chez les
enfants
. Les agents de surveillance doivent être très v
son état mental et physique, qui est allé sans cesse s'empirant. L'
enfant
a succombé à une congestion pulmonaire. V. L'
l y a quelque temps, de voir à Bicêtre l'oncle maternel d'un de nos
enfants
qui présente une malformation intéressant les m
ANTÉCÉDENTS. - (Renseignements fournis par le père et la mère de l'
enfant
, le 26 juin 1891). Père, 3(i ans, journa- lier
ine. » Trois frères : l'aîné est bien portant, ainsi que ses quatre
enfants
; il en est de même du second et de ses enfants ;
insi que ses quatre enfants ; il en est de même du second et de ses
enfants
; le troisième, soldat, est en bonne santé et i
aucune maladie nerveuse; la deuxième, n'a jamais été malade et a un
enfant
bien portant. Dans le reste de la famille, il n
alade. * Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 3 ans. Quatre
enfants
: 1° et 2° filles de 9 ans 9` ? et de 8 ans, in-
e. - l la naissance, pas d'asphyxie, pas de circulaire du cordon. L'
enfant
a crié tout de suite. Il était bel enfant et fo
e circulaire du cordon. L'enfant a crié tout de suite. Il était bel
enfant
et fort. Elevé au sein par sa mère. Huit heu- r
heure après chaque accès. Du mois de juin à fin de décembre 1891, l'
enfant
a eul30 accès et 306 vertiges. 1892. Rien de
et 306 vertiges. 1892. Rien de notable dans la santé générale de l'
enfant
: 348 accès et 452 vertiges. 1993. 21 janvier
le de l'enfant : 348 accès et 452 vertiges. 1993. 21 janvier. - L'
enfant
ayant eu 4 accès est envoyé à l'infirmerie. Il
nvoyé à l'infirmerie. Il est en déchéance complète. 22 janvier. L'
enfant
a eu 10 accès. T. R. 38°,2. Soir : 38°,5. Dan
la paume de la main. T.. R. 39°. Soir : 39°, 5. . 24- janvier. L'
enfant
a eu 6 accès depuis 5 heures du matin. La tempé
nde, 15 gr. ; lotions vinaigrées, sinapismes. A 4 h. 1/2 du soir, l'
enfant
est dans lé coma, ne fait aucun mouvement. Les
.. ' AUTOPSIE . M9 avec '38°,5, Le reste de la nuit, pas d'accès. L'
enfant
meurt à 2h.314. 170 HÉTÉROTOPIE CÉRÉBRALE.
nel, au moins d'après les renseignements reçus. D'autre part, les
enfants
nés avant notre malade et celui qui est né aprè
es congestions méningitiques provoquées par les nombreux accès de l'
enfant
et par conséquent ultérieurement à la naissance
l'enfant et par conséquent ultérieurement à la naissance. III. L'
enfant
a succombé à un état de mal épilepti- que et, s
ennent, outre les observations, une collection de dix-sept crânes d'
enfants
hydrocéphales à des degrés divers, les photogra
y a 16 ans de différence entre le père et la mère du malade. Sept
enfants
: 1° Fille, 24 ans, chanteuse dans un concert,
jours avant terme, naturel et rapide (2 heures). A la naissance, l'
enfant
n'était pas cyanosé, bien qu'il eut deux circul
T,out en conservant sa connaissance ( ? ), il était impossible à l'
enfant
de parler : sa langue était comme paralysée. Le
trc ; depuis le mois de décembre 1886 cette différence a disparu. L'
enfant
était gaucher en temps ordinaire ; depuis le mo
e oreille. Aujourd'hui, il entend le tic-tac d'une montre à 0°30. L'
enfant
est peu affec- tueux, très taquin, désobéissant
- tueux, très taquin, désobéissant, voleur; souvent il frappe les
enfants
avec lesquels il joue. 1882. Juillet. Chev... e
rie d'accès dans la journée, suivie de prostration. 1885. Mars. L'
enfant
parait s'alourdir ; il travaille toujours avec
ieurs fois la même chose, et encore répond-il de travers. Juin. L'
enfant
a passé un bon mois, a été plus éveillé. On con
he est arrêté depuis 10 mois, époque à laquelle l'intelligence de l'
enfant
a baissé. Les accès deviennent plus fréquents.
ans comprendre ce qu'on lui a dit. Décemb7-e. L'intelligence de l'
enfant
décline tellement qu'il ne cherche plus mainten
malheureusement défaut. Les accidents concomittants observés chez l'
enfant
peuvent se résumer ainsi : de 6 à 8 mois crises
puis augmentation de la fréquence des accès. Durant le séjour de l'
enfant
dans le service, les accès compliqués de rares
. Antécédents (Renseignements fournis par le père et la mère de l'
enfant
). - Père, 46 ans, tonnelier, assez grand, fort, m
vit, célibataire, sobre; un autre est asthmatique et a de nombreux
enfants
bien por- tants. Trois demi-soetLJ's (de mère)
onnue.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de trois ans. Trois
enfants
: 10 Garçon, 21 ans, bien portant, aurait eu da
i. L'accouchement eut lieu à terme et fut normal. A la naissance, l'
enfant
était bien portant et vigoureux, sa tète n'étai
ns. A six mois, la tête com- mence à grossir et l'on constate que l'
enfant
a les yeux forte- ment portés en haut, de sorte
fut attribué à ce qu'une pendule placée au- dessus du berceau de l'
enfant
attirait ses regards par les oscillations de so
s par les oscillations de son balancier. A part cela, la santé de l'
enfant
était parfaite, son corps était normalement dév
dernier, elle le retira durant trois mois, mais dut le replacer. L'
enfant
aurait eu la rougeole et une fièvre ( ? ) duran
uicide on crut remarquer qu'il tentait de se couper le cou ( ? ). L'
enfant
n'a jusqu'alors fait preuve d'aucune atten- tio
cellulo-adi- peuxtrès développé formant de véritables mamelles à l'
enfant
. - Colonne vertébrale rectiligne, avec une très
rès légère inclinai- son en avant, due à une attitude vicieuse de l'
enfant
. Ventre assez volumineux, adipeux, la peau form
. .VoZiZi'Zédes membres supérieurs nor- male. Marche défectueuse. L'
enfant
incline à droite et à gauche le pied droit dans
une idée très exacte de la physionomie, de l'altitude générale de l'
enfant
et en particulier de celle, très curieuse, des
'un gros pois. Le droit n'est pas encore descendu. 1886. 16 juin. L'
enfant
est pris à 9 heures du matin d'ac- cès épilepti
eu nette- ment le caractère des accès épileptiformes. 18 juin. L'
enfant
est complètement remis de ses accès qui ne se s
ndu, le gauche est du volume d'une grosse olive. Étal mental de l'
enfant
(avril 1SSG). Le fonctionnement des sens parait
l'enfant (avril 1SSG). Le fonctionnement des sens parait normal. L'
enfant
s'exprime assez bien, il n'est ni vorace, ni sa
assez développés, surtout celui de la conservation. Il repousse les
enfants
qui le bousculent en les appelant « cochons ».
'autre part d'aucune responsabilité. Durant son séjour à Bicêtre, l'
enfant
, atteint de fréquentes maladies intercurrentes,
ne put recueillir les bénéfices de l'éducation spéciale donnée aux
enfants
arriérés. Son état avait au contraire tendance
196 Hydrocéphalie : état DU crâne. 1887. -Durant cette année l'
enfant
a fait de nombreux séjours à l'infirmerie pour
chement en varus.. 1888. Aucune modification notable de l'état de l'
enfant
pendant cette année. 1889. Mar ? Eruption rub
ine des bourses, du volume d'un oeuf de moineau. 22 novembre. - L'
enfant
entre à l'infirmerie présentant les symptômes d
R. 39 ? Soir : 39, 2. 2 décembre. Dyspnée très intense. T.R. 40°. L'
enfant
meurt à 8 heures /.1' Mensurations de la tête
rdives ; occlusion .des fontanelles à 8 ans (Fig. 43). En 1886, l'
enfant
eut une série d'accès épileptifor- mes qui ne s
èvre typhoïde. Trois soeurs mariées, en bonne santé ainsi que leurs
enfants
. Aucune autre tare neuro-arthritique, psychique
ois survivants sont sobres, bien- portants, un de ces derniers a t4
enfants
, dont 12 sont vivants et sans accidents nerveux
ur. La dernière soeur, qui est vivante, est rhumatisante, un de ses
enfants
aurait des attaques convulsives avec aura ; un
e.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 3 ans et demi. Trois
enfants
: t fille, morte il 5 ans d'une maladie aiguë,
e, frayeur produite par un cul- de-jatte, la mère se figura que son
enfant
n'aurait ni bras ni jambes. Au second mois, émo
ntes et fatigues causées par la nouvelle de la maladie de son autre
enfant
et le long voyage qu'elle fut obligée de faire
i ergot, ni intervention obstétricale quelconque. A la naissance, l'
enfant
était beau, paraissait régulièrement conformé,
e date de cette époque. La nourrice écrivit encore trois fois que l'
enfant
avait eu des convulsions sans autres détails. L
contracture des jambes et des bras qui, depuis, aurait diminué. L'
enfant
n'a jamais vu. Lors de sa naissance, il fut attei
tinaux. Aucune observation sur son état intellec- tuel, la vie de l'
enfant
étant purement végétative. État actuel (31 octo
me cyanose. Adiposité assez considérable. Expression douloureuse, l'
enfant
gémit du reste presque continuellement. Cheveux
rence. Elle n'est pas saillante, mais se laisse déprimer. Lorsque l'
enfant
crie, on la sent nettement vibrer sous les doig
exophthalmic. Motilité des yeux en tous sens et synergique, niais l'
enfant
regarde généralement en bas de sorte que la pau
tte petite et médiane. Absence complète de dents.-Langue normale. L'
enfant
semble avoir une légère perception du goût salé
dedans et en arrière. Les lobules assez volumineux sont détachés. L'
enfant
réagit faiblement au bruit. Cou : 27 centimètre
de circonférence, court, sans goitre apparent. Larynx développé, l'
enfant
crie toute lajournée. leu Thorax assez saillant
intifs. Augmentation de la contracture des membres. 15 février. L'
enfant
a maigri légèrement, néanmoins il prend bien le
à chaque bras. 27 mars. - Insuccès de la vaccination. 5 avril. L'
enfant
tousse et pousse des cris plaintifs con- tinus,
au est sèche et squameuse sans panicule sous-jacent comme celle des
enfants
athrepsiqucs, de petits poils de duvet assez fo
assez obtuse au tronc et, aux membres, est assez vive à la face. L'
enfant
réagit à la chaleur. 6 avril. T. R. : 37° 6. So
6 avril. T. R. : 37° 6. Soir : 39° 6. Poids : 8 k. 100. 19 avril. L'
enfant
s'est maintenu à une température oscillant entr
08 Hydrocéphalie : cerveau. rat néanmoins n'est pas satisfaisant, l'
enfant
maigrit malgré le lait, les oeufs battus et le
Un frère du malade aurait eu une méningite. En ce qui concerne l'
enfant
lui-même, nous trouvons la frayeur de la mère a
t rien à citer. Cinq frères et six soeurs, bien portants, ont des
enfants
robustes, assez méchants pour la plupart. La fi
d'un an. La mère est veuve d'un premier mari dont elle a eu trois
enfants
intelligents n'ayant jamais eu de convulsions. Le
jamais eu de convulsions. Le père de notre malade a eu d'elle deux
enfants
: 1 Notre malade; - 12° un garçon mort à six jo
'acouchement eut lieu à terme, sans anesthésie et sans accident.- L'
enfant
bien portant à la naissance, non asphyxie et sa
ait pas malade. A 8 mois, lors de l'éruption des premières dents, l'
enfant
eut des confut- sions généralisées qui se répét
es, égales, pas de strabisme, la vision paraît normale; néanmoins l'
enfant
sem- ble désagréablement impressionée par la lu
et de somnolence continuelle. La tempérar ture rectale moyenne de l'
enfant
à son entrée est de 38°, 2. L'enfant séjourne à
ar ture rectale moyenne de l'enfant à son entrée est de 38°, 2. L'
enfant
séjourne à l'infirmerie à partir du 3 : 'août. El
V. Hydrocéphalie simple avec accès épilepti- formes. SOMMAIRE. -
Enfant
assisté. Accès épileptiformes dans l'enfance. -
Bicêtre (service de M. Bourneville). , Antécédents. - Gren... étant
enfant
assisté ne peut nous 'fournir aucun renseigneme
en de'- particulier. : Au point de vue intellectuel et moral, cet
enfant
peut être-' considéré comme relativement supéri
tumeur. ' - Hydrocéphalie ; tumeur méningée. 225 , Gren... est un
enfant
assisté, on ne peut donc faire aucune remarque
avorable sur le développement de la moralité de ses ascendants. Cet
enfant
a présenté de nombreuses cri- ses épileptiforme
la mère.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge : 5 ans. Un seul
enfant
: notre malade. La conception eut lieu avant le
que celle d'un nouveau-né normal. Pas d'asphyxie à la naissance, l'
enfant
cria de suite, mais il avait un circu- laire du
, il eut à un mois le muguet, en guérit rapidement et, sans être un
enfant
fort.il se développa normalement jusqu'à cinq m
e petite hernie ombi- licale ; le jour même de cette constatation l'
enfant
se plaignit et parut congestionné : le lendemai
en augmentant de durée et de violence. A partir de cette époque, l'
enfant
ne gazouillait plus, ni ne riait plus ; il né p
rmées, Quinze jours environ après (fin février), la grand'mère de l'
enfant
s'étant absentée trois jours remarqua à son ret
20 jours, acquit le volume qu'il présente actuellement. Peu à peu l'
enfant
ne put plus maintenir sa tête droite. A la suit
s maintenir sa tête droite. A la suite de l'état de mal convulsif l'
enfant
avait les deux membres inférieurs et le membre
bre jusqu'alors, futaussi atteintde contracture. Enfin notons que l'
enfant
depuis les convulsions vomit souvent et a le so
l a de la tendance à la constipation. État actuel. (A l'entrée de l'
enfant
dans le service.) -L'en= fant est très amaigri
r. Température rectale variant de 36°,2 à 3G°.8. 1er janvier. - L'
enfant
est pris de rougeole le lerjuin, qui se compliq
éréditaire soient restées sans influence; sur le développement de l'
enfant
. La tête de Lob... ne commença à grossir que ve
guinité; père savoyard, mère normande. Inégalité d'âge : 8 ans. 4
enfants
: 1° fille, née avant terme et morte à 6 jours,
pro- voqua pas de convulsions. Avant les dernières convulsions l'
enfant
disait «papa» et « maman», à leur suite, il resta
on- tracture disparut et la vue se rétablir au bout de 6 mois,1 l'
enfant
redevint progressivement gros et gras. Sa tête, b
it la disproportion de la- tête et du tronc à l'amaigrissement de l'
enfant
. Les convul-- sions n'eurent aucune influence s
chemars qu'à l'Age de 14 ans. Ces cauchemars, pendant les- quels l'
enfant
poussait des cris étouffés et avait le visage;
xcite difficilement et on n'a jamais pu apprendre quelque chose à l'
enfant
. Les instincts sont médiocrement développés ; R
ts avaient remarqué et exagéré cette particularité. Le langage de l'
enfant
est presque normal, mais il est incapa- ble de
nait. Il serait resté environ 5 minutes dans cet état. Plus tard, l'
enfant
a eu, un jour, de véritables accès épileptiq ¡W
variations de la température durant un accès. T. R. normale de l'
enfant
, 37°; T. R. au moment du ron- flement, 37°, 4 ;
a dernière note de la petite École (décembre 1889) cons- tate que l'
enfant
a appris à nouer, à laoer, à boutonner, qu'il n
ement imbu des idées de Gratiolet, prédit une rare intelligence à l'
enfant
. Néanmoins jusqu'à un au, rien de bien anormal.
ort subitement. Mère, convulsions à 4 a71s. Grand- père maternel,
enfant
naturel. Grand'mère maternelle, enfant naturell
71s. Grand- père maternel, enfant naturel. Grand'mère maternelle,
enfant
naturelle. AiTière-grancl'1nère maternelle, can-
29 mai 1888. Antécédents (Renseignements fournis par la mère de l'
enfant
, le 28 mars 1888). Père, 44 ans, maçon, grand et
iaque. Vif, violent même, il n'aurait jamais battu sa femme, ni ses
enfants
. [Famille du père. Père, maçon, 77 ans, bien po
maternelles, sans accidents nerveux; une seule d'entre elles a des
enfants
: deux filles (du même amant) dont une est mort
'aurait jamais eu d'accidents nerveux. [Famille de la mère. - Père,
enfant
naturel, tailleur de pierres, 67 ans, fait quelqu
amais ivre, est calme et ne présente aucun trouble nerveux. Mère,
enfant
naturelle, morte à 67 ans, on ne sait de quoi. Gr
amille.] Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 9 ans. Quatre
enfants
: 1° garçon, mort à 2 mois '/3 de convul- sions
lysie ; CONVULSIONS. 243 allongée, plus grosse que celle des autres
enfants
, ridée, semblable, dit la mère, «aune pomme pou
is eu de convulsions. A 8 mois, la nourrice le remit à sa mère. L'
enfant
fut désormais nourri au verre avec du lait de vac
bes. Première dent à 8 mois 1/2. Dentition complète à deux ans. L'
enfant
restait d'habitude sur un petit fauteuil, qu'il é
nes et duraient de 10 à 30 minutes. Lorsqu'elles étaient longues, l'
enfant
était fort fati- gué et passait la journée immo
causes insignifiantes, le fait par exemple de voir tomber un autre
enfant
. Des accès de colère et de pleurs survenaient p
drocéphalie à la varioloïde qu'elle eut durant sa gros- sesse. L'
enfant
placé à l'Asile clinique y contracta une ulcérati
droit. Pas d'exophtalmie. Iris bleu ver- datre. Pupilles égales. L'
enfant
paraît voir normalement ( ? ) Nez, écrasé il la
e en flexion est recouvert par les autres doigts en demi-flexion. L'
enfant
saisit toujours avec la main droite, il peut ét
ues aux cris hydrencéphaliques. La température rectale moyenne de l'
enfant
est de 3 ï,2. ( ? ) HYDROCÉPHALIE - CERVEAU.
ale, de 3 ou 4 cm. de longueur qui ne Fig. 46. Profil du crâne d'un
enfant
normal âgé de 6 ans et demi, réduit de 158 mm.
cràne de Vign..., réduit de 210 mm. ù O1 mm. et profil du crâne d'un
enfant
normal de 6 ans et demi réduit de 158 mm. à 50
à gauche. (Fig. 45, 47 et 49). Fin. 50. - Squelette de la face d'un
enfant
normal de 6 ans et demi. Le diamètre transversa
252 , Hydrocéphalie. La fig. 46 représente le profil du crâne d'un
enfant
normal de 6 ans 1/2, dont voici les principales
oiis : . Hydrocéphalie; cerveau. 253 père et mère de la mère de l'
enfant
, les convulsions 1 d'un frère aîné ; mais bien
ïde que contracta la mère vers le troisième mois de sa grossesse. L'
enfant
est né du reste hydrocéphale et si la tête n'a
it du côté de la propreté nous portent à croire que le cerveau de l'
enfant
n'a été que petit à petit atrophié par le dével
oppement progressif du liquide hydrocéphalique. L'autopsie de cet
enfant
est particulièrement inté- ressante. D'abord le
de s'éton- ner que malgré l'atrophie complète des hémisphères, l'
enfant
ait pu prononcer quelques mots, et être sujet d
vons réuni en un tableau, les diverses mensurations de là tête de l'
enfant
, ainsi que la succession de ses poids, qui mont
264 RÉFLEXIONS. L'intelligence n'était pas tout-à-fait abolie ; l'
enfant
reconnaissait ses parents et les infirmières qu
autre soeur est morte assez jeune, phtisique, elle n'avait pas d'
enfants
et était déjà mariée à un phtisique, Un frère, cé
ne santé. - Une soeK ? ', 31 ans, bien portante, ainsi que les deux
enfants
. A part ces renseignements, rien de particulier
de la mère]. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 24 ans. Trois
enfants
. Nous ne pouvons donner aucun renseigne- ment s
Trois enfants. Nous ne pouvons donner aucun renseigne- ment sur ces
enfants
, ni sur les antécédents immédiats de notre mala
ts immédiats de notre malade. Cependant nous pouvons ailirmer que l'
enfant
était assez mal soigné chez lui, car on a const
usure des molaires, due sans doute aux grincements de dents de l'
enfant
. Voûte palatine ogivale. Goût parait normal. Men-
sticule gauche à l'anneau de la grosseur d'une petite amande. , L'
enfant
est gâteux complet, ne parle pas, il serait colér
reste mauvais ; la diarrhée réapparaît abondante le 12 janvier. L'
enfant
meurt le 18 janvier dans un état de maigreur ex
ues d'hys- térie au moment de la puberté. Pas de consanguinité. 6
enfants
et une fausse couche. L'aîné est mort de convul-
e. - Accouchement natu- rel ; on s'aperçut, dès la naissance, que l'
enfant
était hydro- céphale. Elle fut élevé à la cuill
lumineuse qu'aujourd'hui; les mem- bres ont toujours été grêles ; l'
enfant
voyait un peu des deux yeux qui étaient moins e
s sont plus amaigris. La parole et l'intelligence sont les mêmes. L'
enfant
n'a ni gagné ni perdu. · État actuel. (Novemb
Les tentatives qui ont été faites pour améliorer la situation de l'
enfant
, quoique tardives, ont donné quel- ques résulta
probable que, commencées plus tôt, elles auraient abouti à ce que l'
enfant
BOURNEVILLE, Bicétre) 1893. Î8 274 Hydrocépha
dentique, il n'y a entre eux qu'une dif- férence de degré. or Les
enfants
dont nous avons classé les crânes dans ce premi
: Cerveau. 211 La première partie de ce tableau comprend trois
enfants
âgés de 2 ans à 2 ans et demi, pesant de 5 à 7
ait révélé chez eux un état analogue à celui des trois pre- miers
enfants
de notre tableau. Le raisonnement réci- proque
ydrocéphalie. Nous re- connaissons néanmoins que les trois premiers
enfants
étaient atteints d'un degré considérable d'hydr
à Bicêtre où il est décédé le 21 juillet 1884. L'observation de cet
enfant
a été publiée in-extenso dans le 111° volume de
ée in-extenso dans le 111° volume des Comptes rendus du service des
enfants
Observation. 279 (1882, page 13). Nous nous
nds-parents morts quadragénaires se portaient bien. Un frère a eu 8
enfants
, tous morts de contusions, sauf 3 bien portants
emi-frère (de mère) est mort jeune alcoolique ; une demi-soeur a un
enfant
devenu idiot en 1870, par peur, dit-on des Prus
suspect.] Pas de con- sanguinité. Différence d'âge d'un an. Onze
enfants
: I° fille morte à 5 mois de convulsions ; 2° f
mois de convulsions ; 2° fille mariée, bien portante ainsi que ses
enfants
; 3° garçon, né à 7 mois, en février 1871, mort
achine. Secoue/tentent à terme, sans intervention, sans anomalie. L'
enfant
n'a pas eu d'asphyxie. Il avait en naissant et
bulaire a toujours été très restreint. Jusqu'à 2 ans et demi, cet
enfant
, développé, n'offrait rien de bien anormal. Un
toujours pas eu de suites immédiates. A 2 ans et demi, la tête de l'
enfant
se mit à grossir, et une tumé- faction apparut
action apparut au niveau de la fontanelle antérieure. Le corps de l'
enfant
ne commença à se développer en propor- tion de
e ce moment la tète ne grossit plus, elle prit sa forme actuelle. L'
enfant
avait les jambes faibles et restait presque con
ervation. 285 d'aller seul dans la rue. Depuis deux mois environ, l'
enfant
a changé, il est pris d'un rire nerveux inextin
nquiétants. Etat actuel il juillet 1501 ? L<csanté générale de l'
enfant
t parait bonne. Adiposc marquée. Crâne volumi
exagération. État mental (d'après les notes de la Petite Ecole où l'
enfant
est placé.) - Parole à peu près nulle, pas de m
ce passif des articulations. Douches quotidiennes de 25 secondes, l'
enfant
ayant actuellement d,e nombreux accès de colère
breux accès de colère. DESCRIPTION DU crâne. 287 20 novembre. - L'
enfant
maigrissant progressivement est envoyé à l'infi
és. Un frère, 40 ans, une soeur, 36 ans, bien portante, n'ont pas d'
enfants
. Aucun accident pathologique ou psychique intér
morte âgée, on ne sait de quoi. Un frère, bien portant, ayant un
enfant
présentant un léger strabisme, bien que n'ayant
la mère.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 7 ans. Un seul
enfant
: notre malade. Rien de particulier à la con- c
sommet. Pas d'asphyxie à la naissance, pas de circulaire du cordon.
Enfant
un peu petit, mais bien con- formé. Il fut alla
e la musique lui faisait peur, qu'il riait parfois comme les autres
enfants
, mais qu'il restait tranquille et ne «gazouilla
ous les huit jours. Cela dura de 2 à 3 ans. Dans les intervalles, l'
enfant
tournait toujours un peu les yeux et ne pouvait
st pas méchant et mène une vie régu- lière. [Famille du père. Père,
enfant
naturel, 61 ans, scieur de long, sobre et hien
rtants, sauf l'aîné qui a eu de l'eczéma ; ils ont tous plu- sieurs
enfants
bien portants et bien développés; une fille du
femme sont des cousins, issus de germain. De ce mariage sont nés 4
enfants
et la mère est enceinte de 5 mois. 1° fausse co
n voulaient. Aucun autre accident. Accouchement à terme, normal ; l'
enfant
est né coiffé, bien portant, mais petit. Il fut
, bien développé. Depuis l'âge de 4 mois, au dire de la nourrice, l'
enfant
a eu de petites convulsions, il pleurait, se ro
mouvements convulsifs étaient nette- ment exagérés du côté droit. L'
enfant
remuait sa langue et écumait légèrement. Parfoi
le Clinique. 196 Hydro- scaphocéphalie. Au point de vue mental, l'
enfant
n'a, nous dit la mère, jamais pu apprendre à pa
re, l'intelligence nulle, le gâtisme complet. 16 tléce ? ? tbi-e. L'
enfant
est à l'infirmerie, il ne peut se nour- rir, sa
eu meilleur état, ulcérations nombreuses. Impossibilité d'avaler. L'
enfant
s'affaiblit consi- dérablement. Les lèvres sont
yant passé la plus grande partie de son enfance dans les hôpitaux d'
enfants
, est morte à 15 ans, on ne sait de quoi. A part
ulmonaire, un troisième frère jouit d'une bonne santé ainsi que ses
enfants
. Deux saurs bien portantes. Pas d'antécédents n
Pas de consanguinité (père du Mans, mère de la Champa- gne). 5
enfants
: 1° Un garçon, mort à 3 ans, tuberculeux, parais
etits camarades. Sa mère prétend que, de 2 ans et demi à 4 ans, l'
enfant
n'aurait guère dormi plus d'une demi heure par jo
lit. A partir de 4 il se serait mis à dormir comme tous les autres
enfants
. Il était très instable, marchait toujours. Il
u bruit (tambour, trompette, etc.). A l'entrée dans le service, l'
enfant
était gâteux. Il n'aurait eu qu'un accès convul
as d'onanisme. Il est affectueux et caressant. 1881. 21 juin. - L'
enfant
gâte encore parfois. Il s tit s'ha- biller, se
s autres grands-parents. Quatre frères bien portants et ayant des
enfants
en bonne santé. Une soeur, très saine, a un fils,
! n'a jamais été malade. [Famille de la mère. - Père, ajus- teur,
enfant
naturel, mort à 70 ans d'une maladie aiguë, sob
trois autres frères sont bien pour- tants, l'un d'entre eux a sept
enfants
, sains de corps et d'esprit. - Trois soeurs, do
d'un abcès du sein, les deux autres sont bien portantes. Aucun des
enfants
de ces sceurs n'a eu d'affection nerveuse. Un c
de la mère.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 10 ans. Dix
enfants
: 1° garçon mort né au 7° mois ; - garçon, 20 a
2 à la suite d'une chute de la mère, mort à 7 jours. - Aucun de ces
enfants
n'a eu de convulsions. Notre malade. - Rien de
à la naissance. Nourri au sein jusqu'à 15 mois. Vacciné à 3 mois, l'
enfant
eut une éruption généralisée. Le vaccin aurait
uption généralisée. Le vaccin aurait été sujet à caution, car 3 des
enfants
vaccinés en même temps seraient morts. Depuis,
car 3 des enfants vaccinés en même temps seraient morts. Depuis, l'
enfant
a eu de nouvelles poussées éruptives, des tuméf
d ( ? ) au cou. La mère pendant ce temps continuait à l'allaiter. L'
enfant
n'a jamais eu de convulsions. Première dent à 7
et on lui faisait des frictions térébenthinoes. L'état actuel de l'
enfant
n'existe pas dans le dossier de son observation
il est très susceptible. Il parle mal et nasonne. 1885. 4 mars. L'
enfant
est atteint d'ophtalmie purulente des deux yeux
aratif des mensurations de la tête en 1889 et en 1890. Bien que l'
enfant
fût âgé de 12 ans, les sutures fronto-pariétale
us de même des observations de tu- meurs du cervelet concernant des
enfants
ou des ado- lescents, chez lesquels les sutures
on d'ob- server, sans toutefois pouvoir en relever l'histoire, un
enfant
présentant la déformation opposée à la sca- pho
océphales. Les adultes que l'on peut considérer comme guéris ou les
enfants
de la seconde enfance tiennent, en général, la
thorax par- faitement conformé et développé. L'abdomen, chez les
enfants
les plus infirmes, est parfois volumineux et di
de balancement latéral. Le corps est souvent penché en avant et l'
enfant
parait courir vers son centre cle gravité dépla
ant par le poids cle sa tête. Quant au retard de la marche chez les
enfants
qui se sont développés malgré leur hydrocéphali
issaient à la piqûre et au froid. Il nous semble difficile chez les
enfants
intelligents de pousser plus loin qu'une simple
L'accroissement en poids et en taille se fait normalement chez les
enfants
qui ne sont 330 Hydrocéphalie chronique. pas
rmettent pas de comparer le développement de l'infirme à celui d'un
enfant
normal. Au point de vue de la puberté, chaque h
mment l'augmentation de volume de la tête coïn- cide, chez le jeune
enfant
, avec une série de crises convulsives plus ou m
aractère permettant de les différencier des crises éclamptiques des
enfants
en bas-âge. Ces cri- ses sont quelquefois très
ent des dissemblances psychiques considérables. Comme chez tous les
enfants
arriérés ou idiots, l'inat- tention, l'instabil
se moquant des infirmières et obéissant aux surveillantes et cette
enfant
est pourtant gâteuse. Esco... a des sentiments
e soit généralement mau- vaise. Le début de la parole est tardif. L'
enfant
com- mence le plus ordinairement à prononcer qu
même peuvent être, au point de vue psychique, considérés comme des
enfants
pres- que normaux, témoin la petite Esco ? dont
ci, sa place naturelle. OBS. XX. Hydrocéphalie. Sommaire. Père,
enfant
naturel. Grand-père paternel, ivrogne. - Grand'
ec ascite ( ? ). Oncle paternel, ivrogne. Tante paternelle, morte
enfant
de convulsions. - Têtes volumineuses dans la fa
édcnts (Renseignements fournis par sa mère le 25 juin 1892 je Père,
enfant
naturel, 33 ans, doreur sur bois, n'a jamais ou
, morte à la suite de couches d'une affection aiguë, avait eu trois
enfants
dont un mort en naissant, le second mort tuberc
ort tuberculeux, le troisième est bien portant. Chez aucun de ces
enfants
, l'on ne constata d'accidents nerveux; une demi-
rait jamais eue volumineuse. Elle prétend que, du côté du père de l'
enfant
, tout le monde avait la tête fort grosse ( ? ).
est méchante, hargneuse, n'a pas d'acci- dents nerveux; elle a des
enfants
et des petits-enfants tous bien portants. Une s
e des Vosges, mère de l'aris). Égalité d'âge. - Ils n'ont eu qu'une
enfant
. Notre malade. Rien de particulier lors de la c
e, ni ergot. Durée totale du travail : 18 heures. A la naissance, l'
enfant
était bien portante, vive ; la tète était petit
le sein et pleurait très fréquemment. Jusqu'à 10 mois, la tète de l'
enfant
se développa mais non dans des proportions inqu
était, selon la mère, presque'aussi grosse qu'aujourd'hui. Jamais l'
enfant
n'aurait eu de con- vulsions. Début de la parol
2 fins. Première dent il .'< mois. Dentition complète à 2 ans. L'
enfant
n'a jamais marché. Rougeole assez grave il a an
digestif, si ce n'est le gâtisme ; jamais de vers intestinaux. L'
enfant
serait sujette à des céphalalgies fréquentes, se
gneuse et ne casse jamais ses jouets. État actuel (22 juin 1S0'l.
Enfant
petite pour son âge, pâle et maigre, iL physion
réactions pupillaires normales à la lumière et à l'accommodation. L'
enfant
distingue toutes les couleurs; on doit cependan
ines regardant en bas et en avant, sans déviation cle la cloison. L'
enfant
respire normalement par le nez et distingue les
mbes. Examen de l'étal psychique (juin 1892). Li physionomie de l'
enfant
est expressive et intelligente malgré son infirmi
novembre. - Apparition de la menstruation pour la première fois ; l'
enfant
n'a pas souffert, ne s'est même pas rendu compt
chement du liquide n'a lieu que quelques mois après la naissance, l'
enfant
jusque-là bien portant et normal, est pris d'ac
et chaque fois on note un développement exagéré de la tête que l'
enfant
ne peut plus maintenir droite. Les parents sont
enir droite. Les parents sont étonnés de ne pouvoir plus mettre aux
enfants
leur bonnet. Les crises convulsives, le plus so
livrait à n'importe qui » et avait abandonné son mari et ses quatre
enfants
. Elle n'a jamais ou d'accidents nerveux. Un (l'
, à cause de l'inconduite de sa maîtresse dont il avait eu quatre
enfants
; un seul de ces enfants est vivant et bien portan
ite de sa maîtresse dont il avait eu quatre enfants; un seul de ces
enfants
est vivant et bien portant, les autres sont mor
aurait été provoquée par des chagrins de ménage. Elle aurait eu 10
enfants
, le dernier serait né à la Salpêtrière. Aucun d
de n'ont pas de relations. Toutefois la mère nous allirme qu'un des
enfants
de cette demi-soeur aliénée serait mort jeune,
emi-soeur aliénée serait mort jeune, avec une tête très grosse. Cet
enfant
3 li ? Hydrocéphalie chronique. aurait néanmo
cédent pathologique ou psychique dans la famille de la mère.] Six
enfants
: 1° un fils, né d'un amant avec lequel la mère
berculose; 2° une fille, décédée a;, 18 ans, d'une pneumonie. Cette
enfant
, intelligente, était paraplégi- que depuis l'âg
hale. Les fig. G5 et 06 la montrent à l'âge de 4 et de 5 ans. Cette
enfant
, assez maladive et très myope, a de petits gang
e spasme glottique, qui actuellement sont assez rares. La tête de l'
enfant
est assez volumineuse et offre un type analogue
lorsque la bouche est fermée. Les oreilles sont bien ourlées. Cette
enfant
a mauvaise mémoire, manque d'attention, elle pa
'oph- talmie à gauche ( ? ) soignée par M. Gillet de Grandmont. L'
enfant
n'a pas eu d'accidents scrofuleux. Il ne grince p
1 mois. Observation. 345 1883. Juin. - Les notes de classe de l'
enfant
constatent qu'il travaille, qu'il a un caractèr
n. - Les notes de classe et d'atelier sont peu satisfai- santes ; l'
enfant
est dédaigneux, son caractère devient mauvais.
ec ce malade des rapports à posteriori ! ! Il est toujours avec des
enfants
vicieux, plus jeunes que lui. Fumeur. Ses vêtem
n la dernière ligure de l'observation nous montre à 5 ans la même
enfant
, soeur de Pet..., dont l'aspect général rappelle
se produit, l'éducation ou l'habitude a donné quelques facultés à l'
enfant
, il les C011SC1'VC 2L1'CalLt de réflexe après l
argument à l'appui de cette hypothèse. Tandis que les crânes des
enfants
de 3, 4, 5 ans sont minces, trans- parents, ave
illiet, chef de laboratoire de la Charité, ne présentait chez cette
enfant
, atteinte d'une para- plégie spismodique des pl
on le degré de la maladie. Lorsque l'épanchement est considérable l'
enfant
suc- combe d'habitude, avant d'entrer dans la s
are qu'une maladie intercurrente n'intervienne pas et n'empêche l'
enfant
d'atteindre l'âge adulte. Si l'épanchement est
nage, eut un décès et un succès, qui au bout de 4 mois laissait l'
enfant
opérée presque aveugle. Un opéré d'Audry (Progr
de nos malades et voici comment nous le formulons : La tête de l'
enfant
, ayant été préalablement rasée, on applique une
OURNEVILLE. Antécédents. (Renseignements fournis par la mère de l'
enfant
.) J - Père, âgé de 43 ans, contre-maître, est sob
signalée. Pas de consanguinité. Différence d'âge de 6 ans. Quatre
enfants
: 1° Jeune fille de 15 ans, bien portante, d'in
rte à 29 mois, d'accidents méningitiques, après une rougeole. Cette
enfant
, qui paraissait intelligente, n'avait eu ni con
pas d'anesthésie. Lanière tomba en syncope durant l'acccouhcmcnt. L'
enfant
était asphyxiée en naissant, sa tète n'était pa
revinrent dans une position normale. État actuel, de la tête de l'
enfant
. Le crâne est volumi- neux, le front très bombé
les vaisseaux sont légèrement variqueux, les contours sont nets. L'
enfant
est impressionnée par la lumière. On ne note ni
malie, à l'examen du corps et des organes. 1890. 6 nouei7707'e. L'
enfant
est dans un état station- Fig. 67. Esco... avec
llente. 18 décembre. - La santé générale est toujours parfaite. L'
enfant
donne des preuves d'intelligence, le bruit attire
arrière et 12U millimètres transversalement. 1891. 22 janvier. L'
enfant
est gaie, donne toujours des marques d'intellig
9 cm., 5 d'avant en arrière et 11 centi- mètres transversalement. L'
enfant
a toujours une bonne santé n'a aucune infirmité
, vue de profil iL l'âge de un an. Observation. sucs 29 juin. L'
enfant
a vomi à la suite de l'administration d'un paqu
le antérieure a 7 centimètres de ongucur sur 9 cm., 5 de largeur. L'
enfant
transpire beaucoup de la tête, les veines du cu
égèrement diminué. 9 octobre. La mère note de légers progrès chez l'
enfant
qui demande maintenant à boire. 16 novembre.
ion Coirre. Applications renouvelées de Vigo. 1892. 25 février. L'
enfant
a 18 dents, pèse 11 kilogr., 500 Fia. 74. Esco.
urc. : 3 centimètres ; largeur transversale : 5 cm., 5. 21 mat. - L'
enfant
dit un assez grand nombre de mots : papa, maman
eu épais et louche. 22 jui71. L'otorrhée ne s'est pas reproduite. L'
enfant
, éveillée, attentive, gaie, a un regard plus ex
us faible que l'autre. Première dentition complète. 28 octobre. L'
enfant
, marche maintenant absolument seule. Poids : 12
le. Poids : 12 k., 500. - Taille : 855 millimètres. 3 décembre. - L'
enfant
a fait de grands progrès au point de vue du lan
maine, solution Coirrc, bains salés. Capeline de Vigo. 30 mars. L'
enfant
comprend tout ce qu'on lui dit, sans explicatio
, sans explication par geste. Elle embrasse et caresse les autres
enfants
et dit qu'ils sont gentils. Elle est très gaie, t
vient même des personnes qu'elle a rarement vues. 10 juillet. - L'
enfant
va actuellement très bien. Elle marche seule et
phtalmie. L'ouïe est fine, l'odorat et le goût sont normaux, mais l'
enfant
n'aime pas les chosestropsapides. Elle est très
nous donner son chapeau, mais veut bien le donner pour consoler un
enfant
qui pleure. On fixe facilement son attention. S
ntimètre dans toutes ses dimensions. Le corps et les membres de l'
enfant
sont bien conformés. L'embonpoint est très notabl
modification bien notable chez Valentine, qui actuellement est une
enfant
bien élevée. Son unique défaut est de donner de
des bosses frontales veinées de bleu. Les réflexes sont normaux. L'
enfant
parle bien, mais se montre à notre égard réserv
malgré une hydrocéphalie con- sidérable, est devenue, à 4 ans, une
enfant
d'une intel- ligence presque normale, c'est non
iÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERVICE DES
ENFANTS
IDIOTS, ]'ÏPII,EPTIQUE'3 ET ARRIÉRÉS DE BICÈTRE
annéé 1897. I. Situation du service. Enseignement primaire. Les
enfants
de la 4° section du quartier des aliénés de l'h
s de l'hospice de Bicêtre sont répartis en trois groupes : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
nfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides ; 2° les
enfants
idiots gâteux ou non, mais valides ; - 3° les e
ides ; 2° les enfants idiots gâteux ou non, mais valides ; - 3° les
enfants
propres, valides, imbéciles, arriérés, instable
iérés, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots gâteux, épileptiques ou non, mais invali
oupe est subdivisé en deux catégories. La première se compose des
enfants
idiots complets, ne parlant, ni ne marchant, co
l'aide de barres parallèles (1), à marcher soit en les tenant IV
Enfants
IDIOTS complets. sous les bras, soit à l'aide d
res), en leur faisant des frictions stimu- larltes, etc. En 1897, 4
enfants
ont appris à mar- cher (2) ; 6 ont été rendus p
personnel, la suppléante, M'"O Malençon, et ses infirmières. Chaque
enfant
rendu propre, c'est une économie réalisée pour
ndu propre, c'est une économie réalisée pour l'Administration, un
enfant
relevé ; chaque enfant auquel on a appris à man
économie réalisée pour l'Administration, un enfant relevé ; chaque
enfant
auquel on a appris à manger exige moins de temp
idiote, s'est perfectionnée, que la préhension s'opère. Dès qu'un
enfant
marche sans aide, il est envoyé à la petite éco
is toute lajournée, aussitôt que ses forces le permettent. Tous ces
enfants
sont placés sur les petits fauteuils spéciaux q
être achevée prochaine- ment, nous servira également pour d'autres
enfants
, qui nous arrivent tc`l1'Cl211e172c'nt, à 14, l
qu'ils contribuent à encombrer sans aucun bénéfice pour eux. II.
Enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, éZilep- tiques ou
gâteux, éZilep- tiques ou non mais Valides (Petite école). - Ces
enfants
fréquentent la petite école confiée exclusive-
es sections affectés aux adultes et 6 ont été transférés. Sur 159
enfants
qui restaient à la petite école au 31 décembre
te ; 30 se servent de la cuiller, de la fourchette et du couteau. 8
enfants
de ce groupe sont devenus pro- pres (1). Tous c
outeau. 8 enfants de ce groupe sont devenus pro- pres (1). Tous ces
enfants
sont exercés à la gymnas- tique Pichery, sauf c
core trop infirmes, n'ont pu y prendre part (1888, p. ix). 4 de ces
enfants
ont appris à lire. . 20 enfants de la petite éc
ndre part (1888, p. ix). 4 de ces enfants ont appris à lire. . 20
enfants
de la petite école et de la petite école complé
ont fait régulièrement les exercices de la grande gymnastique, - 20
enfants
ont travaillé cette année dans les différents a
Dezo..., 5cbwart ? et Largill... vi Petite école complémentaire.
enfants
gâteux sur les sièges d'aisance que nous avons
(1), - 2° les leçons de toilette qui consistent à appren- dre aux
enfants
à se laver la figure et les mains et à s'habill
qui a également la sur- veillance des deux dortoirs où couchent les
enfants
de cette école, au nombre de 50. M"10 Bonnet a,
cole, au nombre de 50. M"10 Bonnet a, en outre, pour surveiller les
enfants
deux infirmières et deux jeunes malades arriéré
. et Péchen... dont elle améliore d'ailleurs l'instruction. Trois
enfants
ont été rendus propres : 1° Cour... 'Georges),
est plus soutenue. (1) Le matin, au lever, le soir au coucher, les
enfants
gâteux sont placés qur les sièges installés pou
r ce but dans leurs dortoirs. PETITE école complémentaire. vu Cet
enfant
, qui ne connaissait pas ses lettres, a réalisé de
aresseux au début, dormant presque continu- ellement en classe, cet
enfant
a fini par prendre goût à l'é- tude et a réalis
mplètement propre le jour, ne gâtant que très-rarement la nuit. Cet
enfant
exprime ses besoins, s'habille presque seul, a
es quantités. Il vient avec empressement demander à travailler. 9
enfants
ont été améliorés pour la parole : 1° Bel... (C
onsiste dans une reprise de respiration beaucoup trop fréquente : l'
enfant
ne sait pas ménager son souffle et le conserver
corriger cette défectuosité malgré de fréquents exercices forçant l'
enfant
soutenir un son le plus longtemps possible. Il
s de plusieurs syllabes et commence à faire de petites phrases. Cet
enfant
devient affectueux, démonstratif; mais ses care
omprendre, présentait tous les symptômes de l'idiotie complète. Cet
enfant
a commencé à parler en 1893 ; depuis cette époq
ts ; cependant la parole laisse encore à désirer dans l'ensemble, l'
enfant
ne fait pas sonner les syllabes finales muettes
ont disparu après de nombreux exercices d'articula- tion auxquels l'
enfant
était loin de se prêter de bonne grâce. Il ne p
9° Thier... (Paul), sourd-muet renvoyé de l'école d'Asnières; cet
enfant
continue à s'améliorer; son vocabulaire s'étend t
veille et devient plus curieux ; il ne se passe pas de jour que cet
enfant
ne vienne demander le nom d'un objet ou d'un al
l'atelier des tail- leurs où son patron en est satisfait. ' Deux
enfants
ont appris à lire couramment : la 13oo... (Loui
a deux ans ; aujourd'hui, bien que la mémoire soit très-mauvaise, l'
enfant
lit couramment. 2° Selé... (Pierre), Il ans,
Actuellement il y a dans la classe de Mille Bonnet, une vingtaine d'
enfants
, qui, pris à leur arrivée, ne savaient absolume
tenant font tous les devoirs donnés journellement dans les écoles d'
enfants
normaux. x Grande école ; enseignement du chant
s sceptiques la possibilité de transformer intel- lectuellement des
enfants
réputés idiots. III. Enfants propres et valides
transformer intel- lectuellement des enfants réputés idiots. III.
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés instabl
u non (Grande Ecole). - La population de cette école était de 183
enfants
au premier janvier. Tous, sauf 7 qui ne peuvent
ent, les autres jours, le matin et le soir, à l'atelier. Les autres
enfants
sont répartis en quatre classes. (68, 44, 36, 3
Les autres enfants sont répartis en quatre classes. (68, 44, 36, 35
enfants
). Aux examens du certificat d'études qui ont eu
s, afin d'être mieux en mesure d'améliorer la prononcia- tion des
enfants
et de développer leur parole, ont été envoyés s
t il nos instructions, il s'est occupé successi- vement de tous les
enfants
. Il a réparti ceux de la (1) A cet examen 9 inf
sédait de notions sur la théorie musicale, sauf une demi-douzaine d'
enfants
appartenant à la fanfare. Presque tous les enfa
demi-douzaine d'enfants appartenant à la fanfare. Presque tous les
enfants
savent, aujourd'hui, lire eux-mêmes les notes,
t les notions élémen- taires de la théorie de la musique. Quand les
enfants
sont suffisamment avancés pour bien lire un mor
six mois nous faisons relever l'étendue et le timbre de la voix des
enfants
. Ce tra- vail nous fournira, croyons-nous, des
atiques solitaires, la voix est également modifiée. Le nombre des
enfants
qui participaient à l'enseignement du chant éta
Landosse, un de nos instituteurs, a été chargé de ces exercices. 60
enfants
y participent, sur ce nom- bre 60 savent danser
L'étude du quadrille est déjà commencée et sous peu une vingtaine d'
enfants
sau- ront parfaitement les deux premières figur
es figures du qua- drille français. Société de gymnastique. - Les
enfants
faisant par- tie de la société, au nombre de 22
ment en vermeil. Au deu- xième concours organisé à Alfortville, les
enfants
ont obtenu un deuxième prix pour les exercices
. L'orphéon qui assis- tait à ce concours, et qui est composé de 35
enfants
, a également remporté un premier prix consistan
sations habituelles. Elle a donné quatre concerts organisés par les
enfants
. Deux de ces concerts ont été suivis de bals. L
vi à des promenades à Créteil et à La Varenne St-IIilaire. Tous les
enfants
valides de la section, les petites filles de la
Mesnard. Les recettes ont été pour cette année de : 252 fr., 35. 48
enfants
ont versé pen- dant l'année à cette caisse. Le
892 s'élè- vent à 1362 fr., 40. Promenades et distractions. - Les
enfants
de la grande et de la petite école qui sont pro
institutrices doivent donner des leçons de choses et exercer les
enfants
aux jeux de balle et de ballon. Voici l'énuméra
cêtre, enfin diverses matinées suivies de bals organisées par les
enfants
. - Les jardiniers sont allés Ù l'Exposition de
et, a bien voulu leur expliquer le fonctionnement. Visites. - Les
enfants
ont reçu 10.064 visites; les visiteurs ont été
pour les classes de début. La première est destinée il donner il l'
enfant
la notion des principales couleurs du ? eot'1o'
maître. Ce dernier, en effet, commence à l'aire reconnaître iL l'
enfant
deux couleurs, deux objets semblables, avant de
ir de salle de réunion et de net- toyage à une certaine catégorie d'
enfants
. Ces travaux n'étant pas complètement terminés,
française. Le Président de la République a visité la section des
enfants
le 17 octobre ; un jeune malade lui a lu un com
rès grande de montrer non seule- ment la disposition du service des
enfants
, mais encore son fonctionnement dans tous ses d
ts qui militent en faveur de l'hospitalisation de cette catégorie d'
enfants
anormaux et les convaincre de la possibilité de
ortent chaque jour à donner V instruction ])1'O/'e8- sinn nellr aux
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'
: iJ par jour, soit pour l'année 1 (j.GOï fr. 50. Le travail des
enfants
, 3 1 .243 fr. 90 (1), couvre donc : 1° la dépen
fice de 6.236 fr. qui vient atténuer les dépenses d'entretien des
enfants
(2). Nous n'insisterons pas sur les avantages q
st et de l'école d'Alembert à .Monté\Tain où les apprentis sont des
enfants
normaux, sains de corps et d'esprit, et même ch
s des candidats. Nos apprentis, à Bicêtre, sont non seulement des
enfants
anormaux, mais encore des enfants malades : qua
Bicêtre, sont non seulement des enfants anormaux, mais encore des
enfants
malades : quand ils ont, les uns, des accès épi
nt, après avoir douté de la possibilité de faire tra- vailler les
enfants
idiots, arriérés et épileptiques, certains aura
t non le produit lui-même, bien qu'il ne soit pas à dédaigner : les
enfants
eux-mêmes sont heureux de voir que leur travail
a population. Le 1 ? janvier 1897, il restait dans le service 483
enfants
(1) : 458 enfants idiots, imbéciles ou épilep-
1 ? janvier 1897, il restait dans le service 483 enfants (1) : 458
enfants
idiots, imbéciles ou épilep- tiques, dits alién
évasions se sont produites dans le courant de l'année : celles des
enfants
Mar... (Albert) et Lee... (Joseph). Le premier
ne mesure indigne d'un pays civilisé, quand ils s'appliquent il des
enfants
dont les parents habitent Paris et qui, en rais
breuses cette année, mais deux familles ont préféré reprendre leurs
enfants
plutôt que de les laisser partir loin d'elles,
ecevoir dans les asiles du département, et à les y maintenir, les
enfants
nés dans les autres départements, lorsque leurs
ut en ne réclamant aux départements d'origine c'est-à-dire où les
enfants
ont leur domicile de secours - que le prix de j
néreuse du Con- seil général de la Seine envers cette catégorie d'
enfants
et leurs familles laissent les préfets trop sou
'autant moins que le maintien dans les asiles de la Seine de ces;
enfants
n'entraine, nous le répétons, aucun surcroît de
tère de l'intérieur rendrait un service signalé aux familles et aux
enfants
en question en faisant comprendre aux préfets q
endre aux préfets qu'ils feraient acte d'humanité en maintenant les
enfants
, dont il s'agit, dans les quartiers spéciaux de
décembre ' ! 897. - Il y avait à cette époque, dans le service, 459
enfants
se décompo- sant ainsi : 455 enfants idiots, im
e époque, dans le service, 459 enfants se décompo- sant ainsi : 455
enfants
idiots, imbéciles ou épilepti- (lites, dits ali
puissions les mettre en regard de pesées analogues faites chez des
enfants
réputés normaux et décédés soit à l'hôpital des
éritique. - Nous n'avons eu qu'un seul cas de diphtérie, celui de l'
enfant
Heu... ; entré au pavillon des contagieux le 28
ont présenté des traces d'herpès circiné sur les avant-bras. Trois
enfants
ont été atteints de rubéole : Pépo ? entré le m
ladies intercurrentes. Elles ont été relative- ment nombreuses : 15
enfants
sont entrés à l'infirme- rie atteints d'étal de
randvilliers et Fromont. Ce dernier ayant été nommé instituteur aux
Enfants
Assistés, M. Camaillac a été appelé a lui succé
nt pas de dortoir, sont aflcctocs aux soins et à l'enseignement des
enfants
de la petite école. 3° Enseignement professionn
e ne correspond plus à la Colonie de Vaucluse mais au service des
Enfants
de Bicêtre, où nous recevons toutes les catégor
ce des Enfants de Bicêtre, où nous recevons toutes les catégories d'
enfants
idiots. De là deux grou- pes principaux : 1° le
tégories d'enfants idiots. De là deux grou- pes principaux : 1° les
enfants
idiotes et gâteuses ; 2° les enfants propres.
rou- pes principaux : 1° les enfants idiotes et gâteuses ; 2° les
enfants
propres. Enfants idiotes gâteuses. Elles étaien
ux : 1° les enfants idiotes et gâteuses ; 2° les enfants propres.
Enfants
idiotes gâteuses. Elles étaient au nom- bre de
euses. Nous dirons même que, en raison des infirmités physiques des
enfants
, elle est insalubre, dangereuse. Le gâtisme exi
rts. Les idiotes gâteuses se divisent en deux catégories : a) les
enfants
valides qui sont envoyées à l'école durant une
d autres vont à l'école et il en résulte des inconvénients pour les
enfants
des classes voisines, affectées aux enfants pro
inconvénients pour les enfants des classes voisines, affectées aux
enfants
propres. b) Les enfants inra- lides qui séjourn
enfants des classes voisines, affectées aux enfants propres. b) Les
enfants
inra- lides qui séjournent dans les locaux et l
suffisamment élevé et aéré, en un service spécialement destiné aux
enfants
idiotes gâteuses, valides et même à une partie
la plus rapprochée des bâtiments existant devrait être affectée aux
enfants
gâteuses invalides et à une partie des enfants
it être affectée aux enfants gâteuses invalides et à une partie des
enfants
galeuses valides en 1'ai- son de la proximité d
ts galeuses valides en 1'ai- son de la proximité de leur dortoir.
ENFANTS
IDIOTE'; ET GATEUSES. XLVII Les enfants entrera
roximité de leur dortoir. ENFANTS IDIOTE'; ET GATEUSES. XLVII Les
enfants
entreraient directement par la porte vitrée, co
, etc. La 'quatrième travée serait réservée -.Il l'école pour les
enfants
gâteuses valides; -la cinquième travée serait emm
du bien-être que l'installation que nous réclamons procurerait aux
enfants
, des avantages qui en résulteraient pour l'hygi
en résulteraient pour l'hygiène, toute hésitation dispa- raîtra.
Enfants
idiotes, imbéciles, épileptiques, elc, vali- XL
ion. L'idéal que nous cherchons à réaliser consiste à occuper les
enfants
du matin jusqu'au soir, en variant le plus poss
me doivent con- tribuer à leur éducation. Au lever on apprend aux
enfants
à faire leur toilette, à faire leur lit, à nett
aire leur lit, à nettoyer leur dortoir. Aux repas, on surveille les
enfants
qui savent manger seules et on corrige leurs ma
autres à se servir de la cuiller, de la fourchette, etc. Sur 186
enfants
présentes à la fin de l'année, 57 savent se ser
41 de la cuiller seulement; 2,-) ne savent pas manger seules. 140
enfants
ont fréquenté l'école et sont exercées à la gym
t fréquenté l'école et sont exercées à la gymnastique Pichcry. - 46
enfants
participent aux exercices de la gran de gymnast
ment à nos instructions, il s'est occupé successivement de tous les
enfants
, en mesure de profiter dans une mesure quelconq
date à laquelle M. Landosse professeur de danse à la section des
enfants
de Bicêtre a pris la direction de cet enseignem
tion Vallée. Les exercices ont lieu le mercredi de 4 à 5 heures. 60
enfants
ont pris part à ces exercices ; 50 savent danse
connaissent toutes les danses de caractères. Comme à la section des
enfants
de Bicêtre l'étude du quadrille est commencée à
nfants de Bicêtre l'étude du quadrille est commencée à Vallée et 20
enfants
en connaissent les deux premières figures. En
premières figures. En8eiuncmcnl professionnel. - A mesure que les
enfants
se développent, on leur apprend tous les soins
des moins arriérées, aident le personnel à apprendre à manger aux
enfants
incapables de manger seules et il herfec- tionn
et il herfec- tionner celles qui mangent malproprement. Deux des
enfants
de la Fondation Vallée, Briss.... et Jup... ont
tion leur alloue une indemnité men- suelle de 5 francs. Deux autres
enfants
, Barb.. et Grang ? ont été admises par l'Admini
vaillent par séries Enseignement professionnel. LI régulières, 50
enfants
ont travaillé une heure par jour. 20 enfants sa
l. LI régulières, 50 enfants ont travaillé une heure par jour. 20
enfants
savent faire complètement les layettes ; 30 du
nctionnement de l'appareil de chauffage à air chaud. Teigne. Huit
enfants
ont été soignées au pavillon des contagieux de
trouvera la liste au tableau des décès, les maladies suivantes : 15
enfants
ont été traitées pour bronchite, 1 pour pleurés
896 et qui persista jusqu'au mois de mars de cette année. 27 de ces
enfants
, Hus ? Ver ? Caue ? Pic ? Laneel ? Verr ? Glay.
. et Pcul ? sortirent guéries. Deux succombèrent iL l'épidémie, les
enfants
Bioll.. et Gaill... La première avait une rouge
avec cachexie progressive. Nous avons dit, d'autre part, que les
enfants
atteintes de rougeole, avaient été transpor- té
lation. Le 1 ? janvier 1897, il restait à la Fondation Vallée 162
enfants
se répartissant ainsi : - LVI i Mouvement de la
au 31 décembre 1897. Il restait à la Fondation le 31 décembre, 186
enfants
se décompo- sant ainsi : LVIII - DÉCÈS'. LX
I - DÉCÈS'. LX DÉCÈS. Section III. - Patronage des aliénés et des
enfants
arriérés. - Asile d'aliénés de Montpellier. - V
résident de la République, à Bicêtre : Patronage des aliénés et des
enfants
arriérés. Le Président do la République a fait
x Faure allant à la revue de Long- champs. « C'est au service des
enfants
, que dirige le 1) ]3oui-ne- ville, que le prési
dent de la République s'est le plus long- temps arrêté. Plus de 500
enfants
y sont élevés. Cette population est composée d'
s et de drapeaux servant de cadre il un buste de la République, les
enfants
sont rangés. Une fanfare éclatante joue la Mars
ux sons du violon et d'une guitare dont jouent des aveugles. Un des
enfants
lit un compliment; une fillette et une surveill
nnement de ces ateliers et enfin s'informe de ce que deviennent les
enfants
parvcnus ae l'âge adulte. « M. 13ourncville l
renseignements, et au sujet de la dernière question, il dit que les
enfants
devenus adultes (18 rLnsl, s'ils sont encore ma
rait la haute mission de surveiller et d'aider, non seule- ment les
enfants
devenus adultes, ayant quitté sa section, avec
ans votre conscience le prix de vos devoirs. Enfin, vous élevez des
enfants
idiots; vous tentez de leur ouvrir leur intelli
ultes du mode de clôture que nous avons choisi pour notre section d'
enfants
à Bicêtre. Nous pensons que l'expérience sera f
r de l'utérus. ' Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 2 arts.
Enfant
naturel. Conception probable durant l'ivresse.
Fugues très fréquentes. - Mauvais instincts. - Violences envers les
enfants
. - Paresse. - Écolage très médiocre. 1893. -
nseignements fournis par la mère le 17 octobre 1891). - G... est un
enfant
naturel qui a été reconnu par le mari alors qu'
ison, à Orléans. Il sortait de prison quand il a connu la mère de l'
enfant
, qui habitait avec ses parents l'appartement vo
jusqu'à 18 ans. A sa sortie, elle se prostitua de nouveau et eut un
enfant
. Puis, elle se maria et, depuis, sa conduite au
ssière. - Trois frères : le premier, bien portant, sobre, n'a pas d'
enfants
; le second, petit, chétif est un ivrogne renfo
atismes, bègue à un degré prononcé, coléreux, violent, frappait ses
enfants
, sa femme qu'il a failli tuer « un jour qu'elle
au possible, » morte à 72 ans, on ne sait de quoi. Elle avait eu 14
enfants
. - Une tante paternelle a. eu. : 1° un fils qui
i est comme imbé- cile, domestique; « elle rapporte tous les ans un
enfant
à sa mère. » Deux oncles paternels, sobres, mor
, bien portant, alcoolique, boit beaucoup d'absinthe ; il a trois
enfants
qui seraient en bonne santé. - On ne con- naît
ou- chement naturel, à terme.- A la naissance, pas d'asphyxie ; l'
enfant
pesnt 3 k. 750. - Allaité pendant six semaines pa
ois. Rougeole à 3 ans, rubéole à 5 ans. Elle attribue l'état de son
enfant
à une peur occasionnée par une scène avec son m
t, la menaça de la tuer. Elle se sauva chez sa mère, laissant son
enfant
avec son beau-père. Le lendemain elle trouva son
ssant son enfant avec son beau-père. Le lendemain elle trouva son
enfant
avec une contusion de la joue et pensa que son ma
l'école, le maître a constaté qu'il n'avait pas l'intelligence des
enfants
de son âge. 11 apprenait dillicilcmcnt. Vers
ans la Loire ». Il ne se plaisait qu'à faire le mal. Il battait les
enfants
plus jeunes que lui et, une fois, en blessa un
pas malade et le conduisit à l'Asile clinique où on lui dit que son
enfant
était déséquilibré et qu'on lui conseillait de
ent. ? ) ; il est rendu encore plus bas par l'habitude qu'a prise l'
enfant
de plisser la peau dans le sens 6 Imbécillité i
oitrine est régulière, mais un pou étroite par rapport à l'âge de l'
enfant
. L'abdomen, et le bassin sont normaux. Rien de
t physiologique. La parole n'est pas tout à fait normale. Lorsque l'
enfant
n'a qu'une courte réponse à faire, il n'y a auc
s, le jeune G... été admis par l'Administration dans la section des
enfants
faillies d'esprit ou d'un développement mental
t. Depuis 1S'I, grâce au zèle des instituteurs de notre section, 50
enfants
ont eu leur certificat d'études. D'autres, à l'
avons parlé dans le dernier numéro du Progrès medt- Assistance DES
enfants
arriérés. 19 cal (1). Certains malades, formant
n peut ainsi obtenir des succès facilement et guérir sans peine des
enfants
qui ne sont pas malades. Mais il est certain qu
. Débilité mentale, turbulence. - Signé D'Dagonct. Assistance des
enfants
arriérés. 21 reçoit, sans distinction. Nous avo
e leur montrer l'organisation et le fonc- tionnement du service des
enfants
idiots, arriérés et épileptiques, créé par le C
wuillamier. Il nous arrive de temps en temps d'observer chez les
enfants
de notre service, des cas de diarrhée cll1'o- n
belles, et particulièrement de diarrhées séreuses, surtout chez les
enfants
. Le salicylate de chaux, dans ces cas, paraît t
e maternel hémi- plégique. Grand'mère maternelle aliénée ; quatre
enfants
sains durant sa folie. - Soeur bizarre. - Autre
SCRIPTION DU malade. 25 de temps en temps, parce qu'on disait qu'un
enfant
la sauve- rait ». Tous sont bien portants. Pas
ou aliénés]. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 10 ans. 4
enfants
: 1° un garçon, mort d'une bronchite à 2 ans ; il
regard éteint, bouche sèche, un peu fuligineuse. T. R 39°, 9. - L'
enfant
s'éteint dans la soirée. Pelt...., depuis son e
duisaient, en vertu d'un préjugé absurde que la pro- duction d'un
enfant
la guérirait. Le médecin, en pareil cas, ferait
tre ce préjugé si dangereux. Si les renseignements sont exacts, les
enfants
(mère, oncles et tantes de l'enfant), conçus pe
enseignements sont exacts, les enfants (mère, oncles et tantes de l'
enfant
), conçus pendant l'aliéna- tion mentale de leur
use, condamnée pour avoir ci volé une hache sur un chemin» ; a deux
enfants
intelligents d'un 1er mariage. [Son père, labou
. Pas de nerveux dans la famille.] - Pas de consanguinité. Quatre
enfants
: 1° une fille morte de coqueluche à 3 mois ; -
la diarrhée avait cessé ; elle est revenue cette nuit : on a levé l'
enfant
et il aura fait quelque écart de régime. Sous-n
.; eau albumineuse. lar décembre. - La diarrhée séreuse continue, l'
enfant
est très amaigri ; érythème des fesses considér
bre 1880. Antécédents. - (Renseignements fournis par la mère de l'
enfant
). - Père, 49 ans, ferblantier; taille moyenne, un
la famille, aucun antécédent nerveux.] Pas de consanguinité. Deux
enfants
: 1° Une fille, morte à 22 mois à la suite de c
ois et a parlé très franchement vers la même époque. C'était un bel
enfant
, vif, nerveux, vigoureux, non colérique ; il n'
rnes s'en ajoutèrent de diurnes. L'intelligence diminua beaucoup. L'
enfant
perdit la mémoire : parfois il avait de rares é
une douzaine de marches d'escalier. État actuel (13 octobre). - Cet
enfant
a la tète assez dévelop- pée, avec prédominance
caractéristique des épileptiques après les accès. 1-'t octobre. L'
enfant
s'est réveillé dans l'après-midi, a bavardé, a
ILEPTIQUE. 39 23 décembre. T.R. 39°. Depuis 2u heures, 36 accès ; l'
enfant
est très abattu, la face est tournée à gauche,
i nous ont été fournis permettent d'en juger. II. Jusqu'à 4 ans l'
enfant
aurait été normal. Alors 40 Onanisme suivi d'ép
. Antécédents (Renseignements fournis par le père et la mère de l'
enfant
). (Janvier 1892). - Péiie, 32 ans, mexicain venu
France ; il en était encore atteint au moment de la conception de l'
enfant
. Ses accès revenaient d'une façon très irréguli
d'âge de 3 mois (père plus âgé). Pas de consan- guinité. - Un seul
enfant
, notre malade. La mère est enceinte actuellemen
t, à 8 mois, spontané, sans aucune intervention ; depuis 10 jours l'
enfant
ne remuait plus et un médecin consulté fut tell
de la faiblesse des bruits cardiaques, qu'il redouta la mort de l'
enfant
. Les grandes douleurs durèrent 7 h. 1/2. - L'enfa
ta la mort de l'enfant. Les grandes douleurs durèrent 7 h. 1/2. - L'
enfant
était faible il la naissance, ne respirait pas;
i a guéri promptement. Vers 3 mois et demi, convulsions internes. L'
enfant
tombait 44 Description de l'enfant. sans conn
et demi, convulsions internes. L'enfant tombait 44 Description de l'
enfant
. sans connaissance, tournait les yeux, et resta
ovembre 1890, les parents consul- tèrent M. Lannelongue. Il admit l'
enfant
dans ses salles en vue d'une intervention. L'en
gue. Il admit l'enfant dans ses salles en vue d'une intervention. L'
enfant
contracta la scarlatine, et après la guérison,
i eut lieu sans complication, M. Lanne- longue refusa d'opérer. L'
enfant
n'a jamais été normale; elle a toujours été idiot
ettent aucune hypothèse sur la cause probable de la maladie de leur
enfant
. État actuel (14 novembre 1801). Enfant de 'tai
bable de la maladie de leur enfant. État actuel (14 novembre 1801).
Enfant
de 'taille moyenne, d'une constitution peu robu
les différences sont moins accu- sées. Dans le décubitus dorsal, l'
enfant
est pelotonnée sur elle-même, les membres infér
ursouflé. Fourchette saillante. Région anale normale et glabre. L'
enfant
ne sait pas manger seule et bave ; il n'y a ni
sirop d'iodure de fer. '. 1891. 25 octobre. Depuis quelques jours l'
enfant
tousse et n'a point d'appétit : un peu de fièvr
if. 5 novembre. - Toux toujours quinteuse et l'on se demande si l'
enfant
ne va pas avoir la coqueluche ; toujours très peu
- 8 nov. - Amélioration notable ; l'état général est meilleur et l'
enfant
tousse moins. L'appétit revient. 13 novembre. -
ent. 13 novembre. - Les signes stéthoscopiques disparaissent et l'
enfant
va visiblement mieux. 21 novembre. - Revaccinat
ment mieux. 21 novembre. - Revaccination sans résultat. 1892. - L'
enfant
parait avoir fait de légers progrès, en ce sens
le clitoris. Hymen saillant avec orifice central. li juillet. - L'
enfant
est sujette il des vertiges, mais n'a pas encor
lire ; aller jusqu'à 4. 1894. Peu de modification dans l'état de l'
enfant
. Persis- tance des vertiges et apparition des a
uvert ; région anale normale. Décembre. Arrêt de l'hydrothérapie. L'
enfant
présente' toujours des accès et beaucoup de ver
Même traitement. Douches. 25 décembre. Arrêt de l'hydrothérapie. L'
enfant
a tou- . jours de nombreux vertiges, caractéris
lus fréquents (V. p. 54). -La cachexie progresse. 1897. 5 mars. L'
enfant
entre à l'isolement le 5 mars pour la rougeole;
le, peu marquée à la face, quel- ques rares taches sur le thorax. L'
enfant
est cachectique et dans un très mauvais état. E
le (1) Ce qui explique la dépression notée dans l'état actuel de l'
enfant
(p. 44). 48 -11ÉNINC.0-rNCÉPHALITr,. cerveau,
nerfs, des accès de fièvre intermittente, qui existaient lorsque l'
enfant
a été conçue ; - du côté maternel, le grand-pèr
amilles sont incomplets. II. Dans les antécédents personnels de l'
enfant
, nous avons à noter la conception alors que le
disparition des mouvements, la faiblesse des bruits cardiaques de l'
enfant
; sa naissance avant terme et en état prononcé d
agnostic anatomo-pathologique précis est parfois difficile chez les
enfants
atteints d'idiotie. ORS. II. - Idiotie symptoma
SOMIfAIIiE. - Antécédents héréditaires et personnels incon- nus. -
Enfant
chétive. - Idiotie avec turbulence ; balancemen
le 16 janvier 1897. ABSENCE DE renseignements. 57 Antécédents.- L'
enfant
vient de l'hospice des Enfants-Assis- tés, auss
men de nos procédés d'observation le tableau de la température de l'
enfant
durant les cinq premiers jours de l'admission.
rature de l'enfant durant les cinq premiers jours de l'admission. L'
enfant
est arrivée dans un grand état d'affai- blissem
es génitaux : grandes lèvres flasques, capuchon très développé. - L'
enfant
est partout glabre. Membres supérieurs : grêles
ndes, doigts carrés,; ongles convexes dans le sens transversal. - L'
enfant
ne réa-t git guère lorsqu'on la pince. : Memb
e de foie de morue. Glycéro-phosplate de chaux. Durant un mois, l'
enfant
ne présente d'autre symptôme que son dépérissem
son dépérissement qui fait de rapides progrès. ' 26 février. - L'
enfant
qui tousse depuis la veille, paraît très abattu
. 3Sa, 8. - Sur le corps on trouve plusieurs petites plaies que l'
enfant
s'est faites avec ses mains. - Mort le 5 mars.
e livret devraient être mentionnées toutes les maladies qu'a eues l'
enfant
, surtout les maladies infectieuses, les acciden
ès fortes. Après avoir fait 10 fausses couches, elle aurait eu un
enfant
sur lequel on manque absolument de renseignements
nerveuse.] Pas de consanguinité ; inégalité d'âge de 10 ans. Deux
enfants
et une fausse couche : 1° une fille, morte à l'
ut souvent des idées noires, s'ennuyant et pleurant sans motif. L'
enfant
est née avant terme, à sept mois, très chétive. -
mmet et la mère perdit très peu de liquide amniotique. - On garda l'
enfant
dans un enveloppement ouaté pendant deux mois.
un enveloppement ouaté pendant deux mois. Durant ce laps de temps l'
enfant
ne poussa pas un seul cri ; mais à partir du ne
8 mois, la mère s'est aperçue de la faiblesse intellectuelle de son
enfant
. Elle ne sait à quelle cause attribuer sa malad
sait à quelle cause attribuer sa maladie. A l'âge d'un an, quand l'
enfant
voulait uriner, elle avait un petit sursaut qu'
1'iew's bien développés, ne présentant rien d'anormal ; cependant l'
enfant
paraît avoir moins de force dans ç le membre ga
ilité intacte dans tous les' sens ; les réflexes sont conservés ; l'
enfant
ne se ronge pas les ongles, niais suce toujours
s, le côté gauche paraît très légèrement plus petit que le droit. L'
enfant
ne peut pas se tenir sur ses jambes sans soutie
t, à la douleur et à la température. L'intelligence parait nulle, l'
enfant
est gâteuse. Au point de vue de la parole, l'en
parait nulle, l'enfant est gâteuse. Au point de vue de la parole, l'
enfant
ne prononce que les mots « papa, maman ». Elle
e 3-duo,8. - Badigeonnages de la gorge et vomitif. 5 janvier. - L'
enfant
est plus abattue que la veille, T. R. 39°, 2. S
et 10 janvier. - l'as de modification appréciable. 1 1 janvier. - L'
enfant
est très oppressée, T. R. 40°. - La percussion
râles, rien à droite ; la respiration est de plus en plus gênée ; l'
enfant
tousse beau- coup. 15 janvier. - Des signes p
materne Is a eu des crises nerveuses ( ? ). - IL La conception de l'
enfant
a eu lieu dans des cotir ditions assez fâcheuse
é- euse ; - mort; PAn BOURNEVILLE ET JACOMET. w SOMMAIRE. Père,
enfant
naturel, rien de particulier. - Mère, rien à si
seignements fournis par sa mère). - Père, 59 ans, menuisier, est un
enfant
naturel. Pas de convulsions, pas de syphilis, p
é deux fois. Sa première femme mourut d'acci- dent, il en eut trois
enfants
qui sont morts, deux on ne sait de quoi, l'autr
famille.] Pas de consanguinité. Différence d'âge de 23 ans. Neuf
enfants
en 13 ans : l'ainé a 13 ans actuellement; pas d
14 ans, est intelligente pas de convulsions, de même que les autres
enfants
. Notre malade est le 4e enfant. - Au moment de
convulsions, de même que les autres enfants. Notre malade est le 4e
enfant
. - Au moment de la concep- tion rien à signaler
mi- heure, sans laisser de traces. Pas de cordon autour du cou. L'
enfant
était bien portant ; les mains et les pieds étaie
rche il 21 mois ; - de la propreté à 2 ans. Entre 7 et 10 mois, l'
enfant
a eu cinq ou six fois des con- vulsions. La pre
igence après les con- vulsions. Les crises cessèrent ver 10 mois. L'
enfant
a toujours été un peu en retard ; la prononciat
eu en retard ; la prononciation n'a jamais été parfaite. A 8 ans, l'
enfant
fut pris de vertiges. Tout d'abord, il sem- bla
est-à-dire à partir de 9 ans, apparition des accès. Pas d'aura. - L'
enfant
s'est blessé une seule fois auprès de l'oeil da
diminuée. Le caractère est taquin, turbulent, un peu sournois. L'
enfant
n'a pas rie mauvais instincts, pas d'onanisme, pa
gements de coloration de la face, pas de secousses. - Etant assis l'
enfant
tourne sa tète de droite à gauche et de gauche
ent de la pointe. - Amygdales assez volumi- neuses. Goût normal : l'
enfant
distingue bien le sucre du sel. - Menton rond,
ès âgée. Un seul oncle paternel, bien portant ainsi que ses trois
enfants
, qui n'ont pas eu de convulsions. - Une tante pat
ts, qui n'ont pas eu de convulsions. - Une tante pater- nelle a six
enfants
, ne présentant également aucun accident nerveux
xcès de boisson. - Trois tantes maternelles bien portantes, ont des
enfants
en bonne santé, sauf que l'une d'elles a un enf
tantes, ont des enfants en bonne santé, sauf que l'une d'elles a un
enfant
qui est devenu Idiot à l'âge de 8 ans ; il sera
tique. - Deux frères et une sceur, bien portants, de même que leurs
enfants
; pas de convulsions. Mais les deux frères font
morts jeunes. On ne sait s'ils ont eu des convulsions. La mère de l'
enfant
est fille unique.] Consanguinité : le père et
eur ». - Inéga- litâ..d'ye de 13 ans (père plus âgé). Deux autres
enfants
, nés après la malade, n'offrent rien à noter.
là des discus- sions vives, des reproches, des menaces du père de l'
enfant
de revenir à Paris, ce qui tourmentait la jeune
ois de la grossesse. Pas de vomissements. Elle n'a senti remuer son
enfant
que vers le sixième mois, tandis que les deux a
uer son enfant que vers le sixième mois, tandis que les deux autres
enfants
ont remué a quatre mois et demi et beaucoup plu
up plus fort. Pas d'oedème. Accouchement à terme, couche sèche. - L'
enfant
a crié de suite ; elle était assez grande, mais
. - Elle ressemblait beaucoup à son père tandis que les deux autres
enfants
ne lui ressemblent pas. A six mois elle venait
d'elle, faisait aller ses bras et ses jambes tout comme les autres
enfants
de son âge et était comme furent son frère et s
es convulsions, on n'aurait rien remarqué d'anormal ( ? ). Après, l'
enfant
eut des accès convulsifs, diurnes et nocturnes,
leuses. État actuel. (24 septembre 1895). - L'aspect général de l'
enfant
est bon. - Crâne arrondi, front découvert, non
t la nuit et, souvent, on est obligé de lui attacher les mains. L'
enfant
ne dit que quelques mots inintelligibles et paraî
manquent les détails. Pas d'autre accès en 1895. 1896. Avril. - L'
enfant
ayant eu quelques accès nouveaux et quelques ve
tout avec ses dents et ses mains. 1897. - Janvier. - L'état de l'
enfant
est toujours le même. Elle continue à déchirer
n gâtisme n'ont pas diminué. Juillet. - Description d'un accès. L'
enfant
ne parait éprouver aucun malaise avant la crise
'auscultation, rendue très difficile par suite de l'indocilité de l'
enfant
, qui respire très mal, ne permet de reconnaître
ennuis sans cesse renaissants, durant les quatre pre- miers mois. L'
enfant
a remué plus tardivement et moins fort que les
huitième année et durant les sept premiers mois de son séjour, l'
enfant
n'avait eu que deux accès. Puis les accès se so
mal successifs, explique l'idiotie profonde dont était atteinte l'
enfant
. L'intégrité des zones motrices, leur développe
uin 1894. Antécédents. - (Renseignements fournis par la mère de l'
enfant
le 25 décembre 1893). - Père, peintre en décors,
rosse.] , Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 6 mois. Cinq
enfants
dont quatre vivants : l'aînée, 9 ans, a été suj
chloroforme. Le travail dura 10 heures environ. - A la naissance l'
enfant
était bien portante, non asphyxiée, malgré deux
arole à 2 ans, dit « papa, maman. » Début de la marche à 10 mois. L'
enfant
se porta fort bien et fut considérée comme très
plète du côté droit se décla- rait. M. Landolt, qui vit plus tard l'
enfant
, aurait déclaré que la vue pouvait être récupér
, aurait déclaré que la vue pouvait être récupérée, si la tête de l'
enfant
diminuait et si son développement devenait norm
beaucoup passent inaperçues, les mouvements étant fort limités et l'
enfant
criant peu. Schn... commença à être propre à 2
u père mit un terme aux soins maternels et les progrès cessèrent. L'
enfant
est affectueuse pour sa mère. Elle mord et grin
in. La lumière amène la réaction pupillaire. Il ne semble pas que l'
enfant
perçoive Fig. 3. - Gill... à 3 ans. 116 DESCR
es supérieurs bien développés, même très gras. Mains bien faites, l'
enfant
se sert surtout de la gauche. Les extrémités so
lacées et froides. Membres inférieurs très gras, jambes flasques, l'
enfant
ne peut se tenirdebout. Pieds violacés, enlégèr
enlégèrerotationinterne. Les réflexes rotuliens sont conservés. L'
enfant
est complètement gâteuse. La sensibilité sur tout
ais est perçue à la piqûre et à la chaleur. Ordinairement triste, l'
enfant
a des moments de gaîté, reconnaît sa mère et se
uscultation. Affaiblissement progressif. 30 juin. - T. R. 41°, 4. L'
enfant
meurt à 8 heures du matin. Température après la
bservé chez de nombreux hydrocéphales. IV. Idiote et gâteuse, cette
enfant
est parésiée du côté droit et, en outre, parapl
nerveuse.] Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 7 ans. Deux
enfants
: 1° Une fille de 4 ans, bien portante, intelli-
été signalée que par une peur, légère d'ailleurs, au second mois. L'
enfant
aurait remué énormément. - L'accouchement a eu
emué énormément. - L'accouchement a eu lieu à terme, normalement; l'
enfant
était très gros. La tête est restée peu de temp
s n'auraient pas entravé le développement physique et cérébral de l'
enfant
qui paraissait intelligent, riait et reconnaiss
relevait. La première dent s'est montrée à un an ; actuellement l'
enfant
en a 20. - Il a toujours été gâteux, n'a jamais m
fois normal, louche très souvent depuis un an. La mère juge que son
enfant
« se contrefait de plus en plus ». Il ne reconn
pas de sommeil la nuit : il crie, rit, grimace. Jusqu'à ce jour l'
enfant
n'a eu qu'une congestion pulmo- naire à 13 mois
mie; pas de vers intestinaux; pas d'ona- nisme constaté, bien que l'
enfant
porte souvent la main à sa verge. Etat actuel
a préhension est possible, mais l'usage des mains très imparfait. L'
enfant
ne marche que si on le soutient. Les ongles ne
intacte. La préhension des aliments est impossible ; on nourrit l'
enfant
avec du lait ou des potages donnés à la cuiller o
se, la nuit le biberon. Les selles sont diarrhéiques et fétides ; l'
enfant
gâte continuellement et complètement. La parole
ormale est terminée le 24 décembre. (Fig. 5.) z 1890. 10r août. - L'
enfant
commenoe à se tenir debout; ses accès semblent
raitement habituel et élixir polybromuré. 29 septembre. Teigne. L'
enfant
est envoyé à l'isolement où il est soigné par l
caustique. La teigne ne disparaîtra qu'en janvier 1893. 1891. - L'
enfant
est toujours au pavillon de l'isolement pour sa
s accès réapparaissent et se succèdent il de courts intervalles : l'
enfant
ne reprend plus " connaissance entre les accès
tat de mal. A 6 heures du matin, le chiffre des accès atteint 45. L'
enfant
est transporté à l'infirmerie. La perte de conn
graves. Cependant, dès le premier mois et jusqu'à 4 mois et demi, l'
enfant
a eu des convulsions, dites internes, qui ont é
du petit mal. VII. L'état de mal, qui a occasionné la mort de l'
enfant
, s'est borné à la période convulsive. En 41 heu
). Il est débauché, a un. caractère violent, frappe sa femme et ses
enfants
. [Famille du père. Son père s'est suicidé il 71
ans est aussi violente. Un frère de 4G ans, buveur, emporté, a des
enfants
bien portants. Une autre soeur, de 15 ans, est
eur, de 15 ans, est eu bonne santé. Une soew' jumelle (du père de l'
enfant
) est bien portante ; c'est la moins violente de
idés iL signaler. Toutes les soeurs du père tantes paternelles de l'
enfant
ont eu une mauvaise conduite avant leui' mariag
consanguinité. - Différence d'âge de 9 mois (père plus jeune). 7
enfants
: 1° garçon, mort-né ; 2" garçon, mort-né ; - 3
il 17 mois ; a marché il 20 mois. N'a jamais eu de convulsions. L'
enfant
aurait eu la variole il trois semaines et fut uac
fugues de chez lui pendant 4 à 5 heures. Il se bat avec les autres
enfants
. - Il était très-inlelligent, assure-t-on, avant
lieu la nuit. La mère fut réveillée par un rondement. Elle trouva l'
enfant
livide, inerte, le nez pincé ; il ne se réveilla
is il n'est jamais paralysé. , Etat actuel. 1"" septembre 1894. L'
enfant
présente un état général satisfaisant. Les chev
es membres supérieurs et inférieurs sont normaux. Intelligence. L'
enfant
comprend lentement ce qu'on lui demande ; il ré
là, les accès ont eu la marche suivante : 142 Etat de MAL. z L'
enfant
, très affaibli, reste le plus souvent alité. Pupi
pérature, qui était le matin à 38°, 3, s'élève le soir iL 40° 15. L'
enfant
est très pâle, très abattu, inconscient, il est
n P. 120 ; R. 25 ; T. R. 38°, 8. - Soir : T. R. 38°, 4. 20 fév. L'
enfant
est dans le coma. Regard sans expression; aucun
l,es phénomènes méninailiqucs s'ag- gravent dans l'après-midi et l'
enfant
meurt, sans nouveaux accès, à 5 h. et demie ave
péritoine, rien. Réflexions. I. Les antécédents héréditaires de l'
enfant
, assez chargés, peuvent se résumer ainsi : père
est H8 51'I'FIILIS et idiotie. marié. En effet, ses deux premiers
enfants
sont venus morts-nés et le troisième a des acci
terme ou à terme morts-nés. Plus tard, l'infection s'atténuant, les
enfants
survivent, - le troisième enfant, ici, en est l
d, l'infection s'atténuant, les enfants survivent, - le troisième
enfant
, ici, en est la preuve, - offrant des manifes-
décelé aucune lésion macroscopique de nature syphilitique. III. L'
enfant
a été conçu dans l'ivresse alcoolique et alors
peut-être, des mauvais traitements exercés sur lui par son père, l'
enfant
, jusque-là normal, assurc-t-on, a été atteint d
quents, se sont ajoutés des vertiges. Le caractère se modifie,- l'
enfant
est irritable ; ses facultés intellectuelles dimi
ment, la mémoire et la parole se perdent, la volonté est nulle, l'
enfant
ne reconnaît plus sa place ni au réfectoire, ni
urent atteints pres- que en même temps, la femme la première. Trois
enfants
l'eurent également, dont notre malade. - [Ses p
de consanguinité. - Inégalité d'âge de 2 ans (père plus âgé). Six
enfants
: 1° garçon, 19 ans, domestique, en bonne santé ;
fièvre typhoïde; - 6° notre malade. Aucun des frères et soeurs de l'
enfant
n'aurait eu de convulsions. Notre malade. - L
yxie à ta naissance. Élevé au biberon, chez ses grands-parents. - L'
enfant
venait bien. Il parlait et marchait seul à deux
sibilité dans tous ses modes, en raison de l'état intellectuel de l'
enfant
. Il paraît tout h fait inintelligent, ne semble
La voix est sourde, faible. La vue est bonne. Le goût existe car l'
enfant
se refuse à avaler ce qui est trop pimenté ou t
premiers jours de l'entrée. Autopsie : méninges et cerveau. 157 L'
enfant
, sans avertissement, tombe, tantôt à la renverse,
pour une diarrhée abondante. Celle-ci cesse vers le 20 janvier et l'
enfant
remonte il l'école le 10 février. 31 mars. Pi
sévi à l'état épidémiquo dans la famille, frappant non seulement l'
enfant
, mais son père, sa mère, un de ses frères et un
s (9 ans). A l'entrée, l'observation aurait pu se résumer ainsi :
enfant
normal jusqu'à 3 ans ; fièvre typhoïde avec acc
imparfaite. - Accès de colère. - Oph- talmie. - Septembre 1884 : l'
enfant
sait marcher. 1885 : Développement de la parole
uinité. (Père et mère de Lille). - Inégalité d'âge de deux ans. 5
enfants
: 1° garçon, 10 ans 1/2' intelligent, pas de conv
on ne sait de quoi : ni démence, ni para- lysie. (2) Marié, trois
enfants
intelligents (note de 1898). Idiotie complète ;
s, intelli- gente, pas de convulsions. Notre malade. La mère de l'
enfant
est convaincue que la conception (2) a eu lieu
, aime qu'on l'embrasse. Il mord ses frères et soeurs ou les autres
enfants
quand ils l'approchent. On ne sait pas s'il a e
ment, son observation, comprenant ses (1) Mariée, maintenant, pas d'
enfant
. (2) Les premières conceptions auraient eu lieu
tout rapport quand son mari était ivre, d'où le bon état du dernier
enfant
. (3) Elle aurait eu également de l'albuminurie
inte qu'on ne le lui vole et entre dans une violente colère si un
enfant
est parvenu à s'en emparer. Il est caressant, trè
. (Fig. 11). Août-septembre. Ophtalmie légère il deux reprises. L'
enfant
, à présent, sait marcher. 1885. Janvier-mars. -
la montée et la descente des escaliers s'exécutent facilement. L'
enfant
se scrt de la fourchette et du couteau, mâche bie
osseur d'une olive. 1891. 21 avril. - État actuel. - Le visage de l'
enfant
a une coloration uniformément rosée. Les conjon
lligente ; elle est mobile et reflète les sentiments éprouvés par l'
enfant
. Les arcades sourcilières sont peu saillantes.
latine fortement ogivale. Luette petite. Amygdales assez grosses. L'
enfant
est sujet aux amygdalites. Toutes ces parties s
nnée du 1 ? avril au ICI' novembre. 21 avril.- Sa mÓr0 trouvant son
enfant
très amélioré le prend en congé renouvelable- (
nous arrive aujourd'hui. Juin. - L'évolution physique a continué. L'
enfant
est très craintif, très susceptible, n'aime pas
cées devant lui avec des épingles. (1·'ig. -1 ! i). Décembre. - L'
enfant
est très paresseux, refuse souvent de lire et d
t devenu un bon ouvrier tailleur (11'i. 17). 1897 Janvier-juin. L'
enfant
préfère l'atelier à l'école, et à tort pendant
oir des rap- ports avec son mari quand il était ivre, son dernier
enfant
, malgré l'alcoolisme chronique du père, est sai
té. L'idiotie parait congénitale. Elle était complète : il 3 ans, l'
enfant
ne marchait pas seul, gâtait, était salace, inc
cognait la tête, se masturbait, mordait ses frères et soeurs et les
enfants
qui l'approchaient. Enlin, la parole était null
tement \LI· : DICO-Y1.D : IGUCïIQOL : amélioration. 179 catégorie d'
enfants
anormaux qui constitue pour leur famille et pou
est certain que si, heureux des résultats obtenus, et voyant que l'
enfant
préférait l'école il l'atelier, on s'était mieu
du travail manuel et de l'habileté physique, il se rap- proche des
enfants
normaux, d'intelligence moyenne. VII. La compar
obtiendra plus facilement de semblables ou de supérieures chez des
enfants
moins profondément frappés, ceux qui appartienn
nt de L'idiotie, 1896. (2) L'Institut médico-pédagogique reçoit les
enfants
des deux sexes atteints non seulement des diffé
entes variétés d'idiotie et de maladies convulsives, mais aussi les
enfants
affectés des différentes espèces de maladies nerv
dagogique. 181 plus tôt, dès qu'on a constaté l'état anormal de l'
enfant
, dès 2 ou 3 ans - et que le traitement est suiv
897. Janvier : Aucune modification. Juillet : Période de la mue ; l'
enfant
a perdu 5 notes dans l'aigu et a gagné une note
183 1887. Mme Sor.Li1;13 (A.). De l'état de la dentition chez les
enfants
idiots et arriérés. Thèse de Paris. 1889. C
r (A.). - Contribution à l'étude clinique de l'épi- lepsie chez les
enfants
. Thèse de Paris. 1893 Nos, (J.). - Étude sur
ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE DES ÉPILEPTIQUES ET DES
ENFANTS
IDIOTS ET ARRIÉRÉS DE BICÊTRE PENDANT L'ANNÉE 1
et qui contenait, nous le répétons pour la der- nière fois : 1° Des
enfants
atteints de maladies ai- gués, médicales et chi
s atteints de maladies ai- gués, médicales et chirurgicales; 2° des
enfants
atteints de maladies contagieuses aiguës (rouge
), ou chroniques (teignes, ophthal- mies granuleuses, etc.); 3° des
enfants
agités ; 4° des enfants idiots, gâteux et inval
ophthal- mies granuleuses, etc.); 3° des enfants agités ; 4° des
enfants
idiots, gâteux et invalides auxquels cette sall
de réunion, cette infirmerie hideuse a été évacuée le 29 août. Les
enfants
idiots, gâteux, invalides ont été transférés da
uit pour eux et désigné sous le nom de service des gâteux, et les
enfants
atteints de maladies aiguës dans la nou- IV DIV
n'est pas encore réalisé et l'infirmerie actuelle reçoit, outre les
enfants
affectés de maladies aiguës pour lesquels elle
ffectés de maladies aiguës pour lesquels elle a été construite, les
enfants
atteints de maladies contagieuses et ceux qui o
ssistée, on s'en souvient, comprend les épileptiques adultes et les
enfants
. Les premiers se divisent en épileptiques alién
Ville, et placés directement par l'Assistance publique. Quant aux
enfants
, ils se divisent en trois catégories principale
x enfants, ils se divisent en trois catégories principales : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, épilep- tiques ou non, mais inv
fants idiots, gâteux, épilep- tiques ou non, mais invalides; 2° les
enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épileptiques ou n
gâteux ou non gâteux, épileptiques ou non, mais va- LmLS; 3° les
enfants
propres valides, imbéciles, ar- stères, épilept
, imbéciles, ar- stères, épileptiques, hystériques ou non. I. Les
enfants
de la première catégorie se subdivisent en deux
re catégorie se subdivisent en deux groupes : le premier, composé d'
enfants
gaz- teux invalides, dont un certain nombre son
e sont suscep- PETITE ÉCOLE. V tibles d'amélioration ; l'autre, d'
enfants
tout à fait incu- rables ou d'enfants atteints
s d'amélioration ; l'autre, d'enfants tout à fait incu- rables ou d'
enfants
atteints d'épilepsie ou de méningo- encéphalite
, de leur apprendre à se servir de leurs mains. Pour ce qui est des
enfants
absolument incurables ou deve- nus gâteux, on s
pas du tout et 9 marchant un peu, avec le secours d'un aide. II.
Enfants
idiots, gâteux ou non, épileptiques ou non, val
I. Enfants idiots, gâteux ou non, épileptiques ou non, valides. Ces
enfants
fréquentent la petite école confiée exclusiveme
fréquentent la petite école confiée exclusivement à des femmes. 138
enfants
ont été inscrits, dans l'année, à la petite éco
itivement; 5 sont passés à la grande école; un a été transféré. 114
enfants
ont fréquenté ré- gulièrement les exercices. 40
se servent de la cuillère, de la fourchette et du cou- teau. 7
enfants
suivent les exercices de la grande gym- nastiqu
e gym- nastique; 107 les exercices de la gymnastique Pi- chery. 4
enfants
gâteux sont devenus tout à fait pro- pres ; plu
sse-boules, tonneau, etc.), servant en même temps à l'amusement des
enfants
et il l'éducation de VI 1 GRANDE ÉCOLE. leurs
etc., etc. Tous les meubles ont été fabriqués par les ateliers des
enfants
. III. Enfants propres et valides, imbéciles arr
les meubles ont été fabriqués par les ateliers des enfants. III.
Enfants
propres et valides, imbéciles arriérés, instabl
ns que nous ayons obtenu satisfaction. Et cependant le nombre des
enfants
qui fréquentent la grande école a notablement a
rs, 1 se rendent un compte exact de l'utilité de l'assistance des
enfants
réputés incurables, de la possibilité d'amé- li
naler à l'attention de l'Administration. Il tient à accompagner les
enfants
dans leurs nombreuses prome- nades (voir page v
in, organiser enfin, dans l'école de la nouvelle section dont les
enfants
ont pris possession le 22 avril, des projec- ti
ssion le 22 avril, des projec- tions à la lumière oxydrique. Sept
enfants
ont été présentés pour le certificat cl'ét2t· d
quées, comme les meubles de la petite école, par les ateliers des
enfants
; nous pensons pouvoir compléter tout l'ameuble
e- maine, au concert dirigé par M. Peny, le maître de chant. b)
Enfants
. Tous les enfants de la grande école et tous ce
cert dirigé par M. Peny, le maître de chant. b) Enfants. Tous les
enfants
de la grande école et tous ceux de la petite éc
g (2 fois), etc. Mentionnons, d'une façon spéciale, la visite de 17
enfants
aux égouts. Si nous en- trons dans ces détails,
susceptibles de gêner les promeneurs ou d'attirer l'attention. c)
Enfants
de la petite école. - Nous avons dit que les en
ttention. c) Enfants de la petite école. - Nous avons dit que les
enfants
propres de la petite école avaient pris part au
nts propres de la petite école avaient pris part aux promenades des
enfants
de la grande école. Tous ont fait des petites p
a- medi 4 juillet, à Bicétre. ' «C'était, cette fois, le tour des
enfants
, qui peuplent, hélas ! en grand nombre, l'établ
ollègue et ami, le docteur Boun- NEVILLE, médecin de la section des
enfants
, pour lesquels était organisée la fête, et qui
sur les moyens physiques et moraux, d'améliorer le sort des pauvres
enfants
déshérités dont il a, de son côté, pris charita
et, et les paroles de Maxime Rude, ayant pour titre : « le Noël des
enfants
, » morceau tout de circonstance, interprété ave
aginer, nous l'avons déjà constaté, l'en- thousiasme de ces pauvres
enfants
, dont les applaudissements, et les cris de « bi
ot très expressif et justement applaudi, quand, parlant des pauvres
enfants
infirmes et de leur reconnaissance, il a dit :
rtie, congés. - Les ma- lades adultes ont reçu 2.168 visites et les
enfants
5.161. Les visiteurs ont été au nombre de 10.78
ite tous les quinze jours, est d'une très grande utilité à tous les
enfants
et surtout aux enfants idiots dont la dentition
rs, est d'une très grande utilité à tous les enfants et surtout aux
enfants
idiots dont la dentition est souvent si défectu
ienne section pour les adultes et dans la nouvelle section pour les
enfants
. Voici le relevé de l'année 1885 : BAINS ET H
e réclamer la construction prévue, dans la nouvelle sec- tion des
enfants
, d'un pavillon spécial pour un musée, un labora
t. Nous sommes tombés d'accord pour choisir l'ancien réfectoire des
enfants
idiots gâteux, placé en quelque sorte dans un e
n'ont cessé de mettre des obstacles à la création de la section des
enfants
de Bicêtre, que les sacrifices faits par le Con
Conseil municipal sont parfaitement justifiés ; que le travail des
enfants
, non seulement couvre la dé- pense occasionnée
bien autrement supérieur. Il permet de donner à un certain nombre d'
enfants
un métier qui, à leur sortie, les mettra en mes
CET ENSEIGNEMENT XiX 1886. Il permet de donner à beaucoup d'autres
enfants
le moyen d'atténuer dans une proportion variabl
s'impose pour eux. Aujour- d'hui, l'habillement et la chaussure des
enfants
ne laissent plus autant à désirer qu'autrefois
ipline dans la section. Le tableau suivant montre que le nombre des
enfants
qui profitent de cet enseignement est allé en p
res tailleur et cordonnier la permission d'apprendre la coupe aux
enfants
les plus habiles. M. Pcyron, directeur de l'Ass
adultes épileptiques (54 aliénés et G8 réputés non aliénés) et 224
enfants
(épileptiques, hystériques, idiots, arriérés, i
s étaient au début de leur construction; 10° et 11° le bâtiment des
enfants
gâteux et invalides était achevé quant au gros
et les lits installés provisoirement dans le réfectoire des grands
enfants
y ont été aussitôt transpor- tés, ce qui a perm
rchitecture, qu'au point de vue du fonctionnement par rapport aux
enfants
et au service médical. L'entrée de la section a
rille doublée de planches pour dissi- muler à la vue les malheureux
enfants
gâteux qui étaient parqués derrière elle avant
se en état. Le petit bâti- ment qui, naguère, servait de refuge aux
enfants
du- rant le mauvais temps et où nous avions ins
servant de loge et d'habitation pour le concierge de la section des
Enfants
. Les hangars à la suite, que nous avions fait a
ère divisant cette cour en deux parties, l'une pour les plus grands
enfants
, l'autre pour les moyens, com- plèteront heureu
us de lavabos, d'offices-laveries spacieuses, afin de permettre aux
enfants
d'aider sans encombrement à desservir les table
différentes, tous étiquetés. Une moitié de cette cour ' sert aux
enfants
de la petite école ; l'autre à ceux de la grand
ue insuffisante et, à l'heure actuelle, l'atelier de serrurerie des
enfants
est entrain de fabriquer de petites grilles ana
. 2° Trois bidets, deux bains de siège servant au net- toyage des
enfants
et une baignoire dans laquelle on les plonge lo
s pour les brosser et les peigner. A leur sortie du réfectoire, les
enfants
idiots se ren- dent soit dans leur cour, soit,
é de ces soins hygié- niques que, chaque année, un certain nombre d'
enfants
sont guéris du gâtisme. Ecoles. a) Petite éco
hacune à un cabinet vitré, pourvu d'un lit sur lequel on dépose les
enfants
qui viennent d'avoir une crise nerveuse. b) G
ue, à l'aide de robinets décom- mande placés hors de l'atteinte des
enfants
, le service se fait avec rapidité. Cette dispos
opreté, des écoles et des bains, existe une marquise qui permet aux
enfants
de se rendre sans inconvénient aux réfectoires
irs sont construits sur le même modèle. Le qua- trième, affecté aux
enfants
gâteux de la petite école, présente, au lieu de
ertes en zinc ondulé, vitrées d'un seul côté en vue de protéger les
enfants
contre les cou- rants d'air. (1) Ces installa
ritables chambres, teuton les laissant à la proximité immédiate des
enfants
en cas d'accident. BATIMENT DES IDIOTS GATEUX I
tuels, mais en con- tre-bas. Ces quatre pavillons sont destinés aux
enfants
de la grande école. La galerie qui précède l'
autant que possible l'infirmerie des autres bâtiments. Bâtiment des
enfants
idiots gâteux invalides. - Il offre un rez-de-c
entrale se compose : la d'une salle de réunion, où l'on apprend aux
enfants
à se tenir debout, à marcher, et, à l'occasion,
ite, des réfectoires avec lavabos, où l'on commence à apprendre aux
enfants
à se laver et à manger 31, d'une office; 4° d'u
e propreté sur le modèle 'habituel, avec baignoire pour laver les
enfants
s'ils se sont souillés. Chacun des dortoirs con
'ouest, sur de larges balcons où l'on peut aisément placer tous les
enfants
. Grâce l'ensemble de ces dispositions, nous esp
une partie centrale (entrées, office, cabinets d'aisances pour les
enfants
et le personnel, lavabos, baignoires, armoire p
21 espèces d'arbres (1); 2° près de l'infirmerie, le préau pour les
enfants
convalescents, planté, sur l'avis de M. Imard,
rbustes grimpants (lierre, vigne, glycine, etc.), sous laquelle les
enfants
seront portés pendant les grandes chaleurs de l
, tout, dans la section, est organisé en vue de l'instruction des
enfants
à l'aide des leçons de choses. Pour la réalisat
e rendre compte des résultats de renseignement, fait sur place, aux
enfants
. AMEUBLEMENT DE LA SECTION. XLVII viendrait p
le personnel secondaire du service, etc., ont été fabriqués par les
enfants
dans leurs ateliers. Le reste, c'est-à-dire la
parents mettent autant d'empressement à placer et à maintenir leurs
enfants
, sachant qu'ils se trouvent dans des conditions
recteur ajoute : « M. le Dr Bourneville, chargé de la section des
Enfants
idiots et épileptiques, demande que l'Administr
Peyron, l'année 1886 ne se ter- minera pas sans voir la section des
enfants
pourvue et du pavillon des contagieux et des ce
ÉS. V. DU MODE D'ADMISSION DES ALIÉNÉS, DES ÉPILEPTIQUES ET DES
ENFANTS
IDIOTS, IMBÉCILES, ÉPILEPTIQUES, PARALYTIQUES,
xe masculin) et de la Salpêtrière (sexe féminin). Aucun placement d'
enfants
alié- nés, idiots ou arriérés, ne pourra être f
l 16 ans) et de la Salpêtrière (filles de tout âge). Toutefois, les
enfants
idiots âgés de plus de 16 ans qui, par un arrêt d
ne section spéciale- ment consacrée aux épilcptiques adultes et aux
enfants
élileli- ques et idiots. Ces malades forment un
i, nous ne sommes parvenu à aucun résultat sérieux. ADMISSION DES
ENFANTS
IDIOTS. LVII 111. Enfants idiots, imbéciles, ar
à aucun résultat sérieux. ADMISSION DES ENFANTS IDIOTS. LVII 111.
Enfants
idiots, imbéciles, arriérés, épileptiques, lJa,-
ement, ces mesures en ont de plus graves encore quand il s'agit des
enfants
, et d'autant plus que les enfants sont moins in
graves encore quand il s'agit des enfants, et d'autant plus que les
enfants
sont moins inintelligents. L'interven- tion du
le passage à la Préfecture ne se justifient absolument que pour les
enfants
arrêtés en état de vagabondage ; mais pour tous
des médecins aliénistes, à la consultation desquels on présente des
enfants
et qui, inter- rogés par les familles, sur les
illes, sur les formalités à remplir pour l'hospitalisation de leurs
enfants
, leur conseillent de se rendre au Dépôt de la P
é, l'extrait de l'acte de naissance et, avec ces pièces, conduire l'
enfant
au Bureau d'admission de l'Asile cli- nique où
ssaires de police déclarent qu'ils ne peuvent rien faire tant que l'
enfant
est au domicile paternel ; ils conseillent aux
t au domicile paternel ; ils conseillent aux parents d'abandonner l'
enfant
sur la voie publique parce que, alors, et alors
est pas mieux renseigné. On répond qu'on n'a pas de places pour les
enfants
incu- rables ; on semble même ignorer qu'il s'e
; on semble même ignorer qu'il s'est construit une section pour ces
enfants
, dits incurables, à l'hospice de Bi- cêtre et q
s de l'Assistance publique, lettre LVIII CONDITIONS D'ADMISSION DES
ENFANTS
. que nous avons entre les mains, on dit aux par
ous avons entre les mains, on dit aux parents : « Con- duisez votre
enfant
à la Préfecture de police. » Comme on le voit,
t, et nous le regrettons, se désintéresser de l'assistance de ces
enfants
qui constituent les 95/100 au moins des enfants i
l'assistance de ces enfants qui constituent les 95/100 au moins des
enfants
in- curables, nous répéterons que les familles
e médecin consta- tant l'état mental, ou la maladie convulsive de l'
enfant
; 2° légalisation de la signature du médecin pa
e de son quartier; 3° extrait de l'acte de naissance; 4° conduire l'
enfant
, avec ces pièces, le matin de préférence, au Bu
ssion de l'Asile clinique (Sainte-Anne) (1) qui, lui, répartira les
enfants
entre les services spéciaux, suivant le sexe et
pérer qu'en 188G rien ne viendra gêner la répartition de tous les
enfants
du sexe masculin. Malheureusement il n'en sera
frappés dans leur intelligence, s'il n'y avait pas une catégorie d'
enfants
qui exige que nous entrions à leur su- jet dans
leur su- jet dans quelques explications. Nous voulons parler des
enfants
dont les parents habitent bien à Paris depuis plu
i comment nous avons montré (1) Hue Cabanis, n° 1.- ADMISSION DES
ENFANTS
IDIOTS. LXIX au Conseil général de la Seine, en
journe jusqu'à ce que surgisse une nouvelle demande de transfert. L'
enfant
fait la navette entre sa demeure et l'asile. N'
u aux aliénés adultes ce que vous aviez, demandé seulement pour les
enfants
. En effet, par une délibération en date du 19 a
au département de Seine-et-Marne, soient maintenus LX ADMISSION DES
ENFANTS
IDIOTS. dans ces asiles quand leurs familles so
ue les familles qui désirent garder dans les asiles de la Seine des
enfants
ayant le secours de domicile en province, obtie
aintien du malade dans le département de la Seine. La situation des
enfants
dont il s'agit est donc, en réalité, très suppo
ification que nous n'avons pas demandée. « En ce qui concerne les
enfants
qui ont fait l'objet de notre voeu, nous avons
er : *( Dans ce cas, écrivions-nous, c'est-à-dire quand il s'agit d'
enfants
nés hors du département de la Seine et dont la
es familles n'ont pas seulement le chagrin de se sépa- rer de leurs
enfants
, il peut arriver, de plus, que ceux-ci ne trouv
d'accepter la proposition qui nous est faite en ce qui concerne les
enfants
idiots et épileptiques des deux sexes : 1° Parc
eptiques des deux sexes : 1° Parce qu'il est barbare de séparer ces
enfants
de leurs parents en les envoyant dans des asile
ans des asiles éloignés ; 2" Parce qu'il est inhumain d'enlever des
enfants
des sections où existent tous les moyens capabl
és, mais nombreux, contredisent cette assertion. Le maintien de ces
enfants
était une exception et exi- geait de nombreuses
, malgré nos efforts, ce n'est qu'exceptionnelle- ment que quelques
enfants
des autres départements sont conservés s et c'e
la faveur par une règle précise et la même pour tous. ADMISSION DES
ENFANTS
IDIOTS. LXI les expédier dans des asiles oit ne
ien voeu autorisant, dans les conditions précitées, le maintien des
enfants
dans nos asiles à la condition que les familles
revenir aussi longuement ; mais elle ne l'a pas fait, car, pour des
enfants
appartenant aux départements de l'Orne, de la S
is que nous avons fait des certificats réclamés pour le transfert d'
enfants
, de prier le Bureau des aliénés de la Préfectur
Seine, de faire connaître au préfet du dé- partement d'origine de l'
enfant
la décision prise par leCon. seil général de la
s, et ils sont nombreux, où les parents ont préféré reprendre leurs
enfants
. La statistique des visites faites aux enfants
féré reprendre leurs enfants. La statistique des visites faites aux
enfants
par leurs pa- rents, celle des sorties de 24 he
, cette affection augmente en proportion de l'état misérable de l'
enfant
.Nous avons vu des familles n'ayant pas d'autres
130-132. LXII ASILE D'IDIOTS INTEIlDÉPAH1'EMENTAUX. prendre leurs
enfants
que de les laisser transférer dans des asiles o
é un certificat afin de transférer dans le département du Nord un
enfant
naturel reconnu par sa mère. Or, celle-ci est n
nous avons maintes fois exprimée, relative à la création, pour les
enfants
idiots, imbéciles, etc., d'asiles interdépartem
- dictoires. C'est ainsi que l'on verra dans une même famille des
enfants
sains qui auront des frères sourds-muets ou rachi
s caractères physiques et moraux, doivent être considérés comme les
enfants
d'une même famille, comme les rameaux divers d'
atteindre le système nerveux des parents, peuvent devenir pour les
enfants
une cause de prédisposition héréditaire il des af
TS. tions nerveuses d'un autre ordre. Ce que le père transmet à l'
enfant
, ce n'est pas sa folie; c'est le vice de constitu
é- gularités mentales. Affaiblissement paralytique chez les trois
enfants
. - Irascibilité chez deux d'entre eux. (Archives
urels. - Une petite fille morte à cinq ans ne différait en rien des
enfants
de son âge. 4° R... (Vincent-Clet), né à Doua
out porte à croire que la famille s'est éteinte en elle. Sur quatre
enfants
, l'un meurt à cinq ans ; les trois autres idiot
p. 439.) Parents excentriques, que l'on croyait consanguins. Onze
enfants
. Un frère disparu : on l'a cru noyé. Une soeur
ts excentriques et peut-être consan- guins ont donné le jour à onze
enfants
dont huit imbéciles à différents degrés, inéduc
l'époque où la note a été publiée. Ils ont donné naissance à trois
enfants
, deux filles et un garçon, tous plus ou moins f
us plus ou moins faibles d'esprit. Ceux-ci ont eu, à leur tour, des
enfants
presque tous dégénérés. Le tableau suivant, dre
rand-père maternel alcoolique; grand-oncle maternel bègue. . Cinq
enfants
: un épileptique, un faible d'esprit, ivrogne; de
on maître d'école l'avait enfermé dans un cachot noir où les autres
enfants
allaient lui faire peur. Lorsqu'il s'est marié,
s. - Deux frères bien portants, l'un célibataire ; l'autre a quatre
enfants
qui sont en bonne santé et n'ont jamais eu de D
e père de nos malades. Une Soell1', bien portante, mariée, a eu dix
enfants
et n'en a plus que trois; les autres sont morts
jeunes, l'autre de la poitrine, à trente-trois ans; il avait eu un
enfant
qui est mort en bas âge, on ne saitde quoi.- Cinq
e ans, on ne sait de quoi; elle n'était pas mariée et n'avait pas d'
enfants
. Un oncle paternel était bègue, à un degré très
amille.] Pas de consanguinité.... 10 DES FAMILLES D'IDIOTS. Six
enfants
: d° un garçon mort à dix-huit ans, le 2 décembre
re autre malade Julien ; 5° Fausse couche à sept mois et demi; 6°
Enfant
mort-né. Ces deux derniers étaient bien conformés
lons maintenant rapporter l'histoire personnelle de cnacun des deux
enfants
idiots épileptiques. Observation I. - Idiotie;
ccouchement à terme, naturel. Rien de particulier à la naissance. L'
enfant
, élevé au sein par sa mère jusqu'à vingt et un
trois à quatre semaines. Les accès seraient précédés d'une aura. L'
enfant
les sent venir et dit : « Maman, cela me prend
s d'hallucinations. Aucun traitement. Comme maladies antérieures, l'
enfant
n'a eu qu'une fièvre mu- queuse qui a duré un m
énérale est normale : la sensibilité spéciale intacte : cependant l'
enfant
ne lit que de très près les petits caractères :
mèt/'c : ;>'1. r..IO : j; M, I). 110. L'état intellectuel de cet
enfant
s'est considérablement amélioré depuis son entr
o- grès ont été aussi marqués pour les exercices physiques et cet
enfant
sait actuellement un peu d'escrime, de danse et d
aux détails. En février, B... a essayé de se sauver, entraîné par l'
enfant
Rouz. Il a été envoyé à l'ate- lier de serrurer
reprochait de nourrir des bâtards. Cependant la mère assure que cet
enfant
, comme les autres, est bien du père légal : pas
chement à terme, naturel. Rien de particulier à la naissance de l'
enfant
. Elevé au sein par sa mère jusqu'à dix-huit mois,
st bon pour les animaux, quelquefois il est méchant avec les autres
enfants
; il n'est pas voleur ni malfaisant, un peu gour
légère. Dynamomètre. M.-D : 78. Ai.-G : 6cJ. Les progrès que cet
enfant
a réalisés depuis son entrée sont en- core plus
friandises ou qu'ils l'emmènent à la promenade. 1885. Juillet. L'
enfant
travaille à l'atelier de cordonnerie depuis le
deux générations, quoi d'étonnant à ce que nous trouvions chez les
enfants
ces signes de déchéance que nous avons rapporté
nous avons encore à parler de deux familles ayant produit plusieurs
enfants
idiots ou imbéciles. IV. Famille Horn... Pè
les. IV. Famille Horn... Père alcoolique ( ? ) - 4lène débauchée,
enfant
naturelle ( ? ), Grand' - mère paternelle irrit
l de jambe. - -Deux frères, qui étaient bien portants et ont eu des
enfants
bien portants, sont morls, l'un du choléra en 1
tué en 1871 2. Deux soeurs, dont l'une est morte en couches; leurs
enfants
sont bien portants. Il n'y a dans la famille ni
'il en soit, elle a eu, avant son mariage, à l'âge de vingt ans, un
enfant
actuellement à Bicêtre, qu'elle nomma Desob...,
ns. Puis, l'année suivante, elle est accouchée à l'Hôtel- Dieu d'un
enfant
du même père et qui est mort-né. Ensuite elle a
même père et qui est mort-né. Ensuite elle a eu , d'un autre, un 3e
enfant
dont elle est accouchée à l'hôpital Saint-Antoi
mort en 1884 de sa bronchite tuberculeuse. Il Il parait que, étant
enfant
, il était arriére; un jour, il est parti de che
de la variole, six mois avant la -naissance de sa fille qui est une
enfant
naturelle. - Mère, bien portante, sans accident
erveux, change souvent de profession. Elle assure n'avoir eu qu'une
enfant
(la mère de nos malades), et n'avoir pas connu
lle assure aussi qu'elle buvait et boit encore. Depuis l'entrée des
enfants
à Bicêtre, la grand'mére est souvent venue les
c Des..., ni avec Horn... Depuis son mariage, Mme Horn... a eu sept
enfants
, ce qui fait en somme dix enfants : 4° un garço
on mariage, Mme Horn... a eu sept enfants, ce qui fait en somme dix
enfants
: 4° un garçon, Des... (OBs. V);-2° fausse couc
tre à Bicêtre le 21 septembre S81 (service de M. UOLJRNEVILLE). Cet
enfant
est entré une première fois le 12 juin 1870; il a
Antécédents personnels. (Renseignements fournis par la mère de l'
enfant
, 27 février 1882.) - Le père de Desob... se porta
terme, naturel, sans chloroforme. Pas d'asphyxie à la naissance. L'
enfant
a été élevé en nourrice, au sein jusqu'à un an,
a diarrhée, mais jamais de vomissements. Il était jaloux des autres
enfants
, et passait ses journées seul, sans jouer, soit
Dynamomètre illcctlticzc : M. D = 70,5 M. G. 70. Actuellement, cet
enfant
n'est pas méchant, ni taquin; il est docile, do
s : gymnastique, danse et escrime, et pour les travaux manuels. Cet
enfant
est actuellement un des meilleurs apprentis de
élevé au biberon. Depuis quatre mois et demi jusqu'à huit mois, l'
enfant
vomis- sait presque tout ce qu'il prenait (lait
x ans qu'on s'est rendu compte qu'il « n'était pas comme les autres
enfants
o. Il n'a jamais su s'habiller, ni manger; il boi
uelle il est très expansif. Il n'aime pas entendre crier les autres
enfants
: avant son entrée, il n'avait jamais pleuré, m
m,3. 1882. Janvier. Poids, 25 kil. 500 ; taille, 1m,26. % juin. L'
enfant
est un peu moins gâteux qu'autrefois, il ne man
ver. Il est assez obéissant. 6 octobre. Hier, on s'est aperçu que l'
enfant
présentait une éruption. Elle est disséminée et
x aines de l'ais- selle droite. Au point de vue intellectuel, cet
enfant
est un type d'idiotie complète, et ne semble au
ernativement le tronc. Il a pris en affection dès l'entrée un autre
enfant
, Naud ? ils s'approchent l'un de l'autre en riant
ccouchement à terme, naturel, sans chloroforme. - A la naissance, l'
enfant
ne présen- tait rien d'extraordinaire. Sa nourr
uquel il met tous ses méfails. Il ne veut pas jouer avec les autres
enfants
, et préfère rester seul dans un coin; il ne peu
, ni de chutes. A son entrée dans le service, on constate que cet
enfant
ne sait que quelques lettres, qu'il ne sait pas
ILLES D'IDIOTS. La température oscille toujours entre 38° et 39°. L'
enfant
sort de l'infirmerie le 7 juillet. 10 juillet
ne des injections sous-cutanées. 10 avril. Depuis plusieurs jours l'
enfant
se plaint d'un point de côté à droite et au niv
uple; pas d'ictère, anorexie, soif vive, langue saburrale. Le 11, l'
enfant
qui avait pris de l'huile de ricin, a vomi pour
BOUl\ : OEVIL.LE, 1885. 3 3 ! DES FAMILLES D'IDIOTS. 21 mai. L'
enfant
est gai et mange de bon appétit. Selles régu- l
menteur, a de mauvaises habitudes et cherche à entraîner les autres
enfants
; en octobre, il est plus attentif; en décembre,
er. Il est devenu plus actif, assez propre, et joue avec les autres
enfants
, ce qu'il ne faisait pas dans les premiers temp
s dans le service. En résumé, sous l'influence du traitement, cet
enfant
s'est notablement amélioré à tous les égards.
ue, dans le cas actuel, l'hérédité est double et s'accumule sur les
enfants
avec une intensité d'au- tant plus forte qu'ell
orte qu'elle date de deux générations. Aussi de ces cinq malheureux
enfants
venus à terme, deux meurent, à quel- ques mois,
reils, si elle-même ne ressent pas les atteintes de l'hérédité, ses
enfants
, si elle en a, hériteront des prédispositions n
l asthmatique ; cousin éloigné idiot; consanguinité éloignée. [Onze
enfants
; quatre idiots, une idiote, un convulsif. An
me ou sixième degré. Leurs deux mères portaient le même nom. Onze
enfants
: 1° une fille morte à un an sans avoir eu de con
. Santé physique bonne; vie purement animale. Le 10 avril 1872, l'
enfant
est atteint de bronchite généralisée, il meurt
dit guère que «papa» et « maman»; gâtisme. L'état intellectuel de l'
enfant
ne s'améliore pas, et les derniers certi- ficat
lpêtrière quelques renseignements sur Henriette Gui..., le septième
enfant
de cette famille. Nous les transcrivons ici :
enant rapporter plus en détail les obser- vations des deux derniers
enfants
qui ont été placés à Bicêtre. Observation XI. -
Au premier abord, on est frappé de l'aspect malingre et chétif de l'
enfant
. Le visage, les extrémités sont froides et très
il s'amuse avec n'importe quoi, ne se querelle pas avec les autres
enfants
; il est voleur. Il sait manger seul avec la cui
membres inférieurs, para- plégie. 16 octobre. Depuis l'entrée, l'
enfant
est resté couché constam- ment. Depuis son admi
ofuleux ; deux bains salés par semaine , essayer de faire marcher l'
enfant
. 4 novembre. Pas de modifications appréciables.
ovembre. Pas de modifications appréciables. Quand on le soutient, l'
enfant
avance les jambes comme pour marcher, mais tout
. 45 4 mars. Maigreur extrême la peau. est collée sur les os. L'
enfant
ne peut tenir sur ses jambes; il prend toujours u
nts, s'accumuleront, aggravées par la transmission, sur la tête des
enfants
. De là, les dégénérescences si frappantes chez
progressive, cette famille est vouée à l'extinction. La plupart des
enfants
sont morts jeunes, souvent avec les phénomènes
rabisme, porte déjà le cachet hérédi- taire, et si les trois autres
enfants
sont sains jusqu'à ce jour, ils n'en restent pa
seignement spécial que nous avons organisé à Bicêtre. L'aîné de ces
enfants
est aujourd'hui, à la fin de 1885, en état de g
mure de potassium , purgatifs. Le 2 février 1885, nous revoyons cet
enfant
. Il a été pris, il y a huit jours, de mouvement
les CliUIIEE : ÉCRITURE. 51 1 jambes sont projetées de côté ; l'
enfant
s'arrête brusquement et repart plus vite qu'il
uer avec ses frères et était resté couché sur un tapis. Ce matin, l'
enfant
se présente à nous dans une situation en tout s
valériane, bains alcalins. 5 mars. On note un mieux sensible. L'
enfant
boit seul, s'habille, mais ne peut se boutonn
e traitement, mais suppression du bromure de camphre. 16 avril. L'
enfant
paraît à peu près guéri : parole libre, absence
. III. Hallucinations de la vue, de l'odorat et du goût chez un
enfant
; i Par BOURNEVILLE et COURBARlEN. Nous avons
tre, de recueillir des observations rela- tives à la folie chez les
enfants
. En attendant que nous puissions les rédiger et
son. Moren ? Jules, âgé de quinze ans, est entré à la section des
enfants
idiots de 131cétro (service de M. Bourneville), l
es, un mort-né, l'autre âgé de 47 ans est bien portant et a eu neuf
enfants
exempts de tout accident nerveux. De ses trois
est morte d'une apoplexie foudroyante à 35 ans ; une autre a deux
enfants
bien portants comme elle ; 1) de nouvelles de l
inze mois, on ne sait de quoi ; l'autre est bien portante et a deux
enfants
aussi en bonne santé. Pas d'aliénés, etc.]. Pas
u malade a été marié trois fois et a eu de sa pre- mière femme cinq
enfants
: 1° Fille, 28 ans, bien portante ; elle a une
a une fille de 10 ans en bonne s : l ! 1té; - 2" Fille morte sans
enfants
, à 25 ans, d'une angine ; - 3° Garçon bien portan
ants, à 25 ans, d'une angine ; - 3° Garçon bien portant, il a eu un
enfant
mort-né; lit et 5° deux jumelles (1) mortes il
ans, bien portante; nerveuse ; colère ; pas de convulsions ; pas d'
enfants
. Sa troisième femme, la mère du malade, lui a d
enfants. Sa troisième femme, la mère du malade, lui a donné trois
enfants
: 1° Notre malade ; - 20 Une fille, âgée de 13 an
pas d'ccdèmo. ,Lccouclcen2ent à terme, naturel. la naissance, bel
enfant
, fort, pas d'asphyxie. Elevé au sein par sa mère
ectueux et n'a pas de mauvais instincts. Le 4 novembre dernier, l'
enfant
a beaucoup entendu parler par ses camarades, à
l'y contraindre, mais ce fut une véritable bataille dans laquelle l'
enfant
donnait des coups. Indépendamment de ces hall
euse. Même traitement; gargarisme. Jusqu'à ce jour, nous avons vu l'
enfant
à notre consultation ; nous conseillons de nouv
uelques poils sur le pénil et à la partie supérieure des bourses. L'
enfant
assure qu'il ne se touche pas ( ? ). - Taille : 1
t. Appétit naturol ; constipation habituelle. L'intelligence de l'
enfant
est peut-être supérieure à ce que semble indiqu
. Avril. Même traitement et hydrothérapie. 2 mari. - La mère de l'
enfant
complète les renseignements qu'elle nous a donn
et nous avons été forcées de nous réfugier chez une voisine. » L'
enfant
est guéri. Il a fait des progrès sérieux l'école
père : Il est ivrogne, fainéant et bat sans cesse sa femme et ses
enfants
(1). o (I) Nous avons cherché, mais en vain, à
(I) Nous avons cherché, mais en vain, à avoir des nouvelles de l'
enfant
depuis sa sortie ; ses parents ont quitté Thiais
Thiais où ils de- meuraient lors du placement et de la sortie de l'
enfant
. HALLUCINATIONS. GUÉRISON. 5H ) Relevons les
s de la moyenne. Un frère et une soeur paraissent se rapprocher des
enfants
arriérés, si même ils n'appartiennent à cette c
arriérés, si même ils n'appartiennent à cette catégorie. Quant à l'
enfant
lui-même, il ne présente dans ses antécédents a
ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE DES ÉPILEPTIQUES S ET DES
ENFANTS
IDIOTS ET ARRIÉRÉS DE BICÊTRE PENDANT L'ANNÉE 1
IE Historique. Statistique. La nouvelle section. Assistance des
enfants
idiots, et HOÛRNEVILLE 188L PREMIERE PARTIE
dant l'année 1884. La nouvelle section. Assistance à domicile des
enfants
idiots. I. SITUATION DU SERVICE. ATELIERS.
pellerons que le service comprend les épi- leptiques adultes et les
enfants
. Ceux-ci se divisent en trois catégories princi
fants. Ceux-ci se divisent en trois catégories principales : 1° les
enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
pileptiques ou non, mais invalides et répu- tés incurables j 2° les
enfants
idiots, gâteux ou non, épileptiques ou non, mai
ts idiots, gâteux ou non, épileptiques ou non, mais valides; 3° les
enfants
propres, valides, imbéciles, arriérés, épilepti
ciles, arriérés, épileptiques ou non. . Il PETITE ÉCOLE. I. Les
enfants
de la première catégorie {invalides) continuent
nce du personnel et de l'absence d'installations convenables. II.
Enfants
idiots, gâteux ou non, épileptiques ou non, val
s, gâteux ou non, épileptiques ou non, valides. - Petite école. Les
enfants
de ce groupe fréquentent la petite école confié
d'un grand nombre d'objets : 1° d'un esca- beau pour apprendre aux
enfants
à monter, ou à des- cendre les marches et à sau
lindres, cônes, prismes) destinés à faire connaître ces figures aux
enfants
et aussi à leur faire distinguer les différence
igures analogues ; 5° de deux brouettes qui servent à enseigner aux
enfants
à tirer, à pousser, etc. ; 6° de lettres en boi
sur des cartons; 7° d'un livre d'étoffes destiné à inculquer aux
enfants
la notion des tissus et en môme temps à dévelop
n des tissus et en môme temps à développer le sens du toucher. 96
enfants
ont été inscrits à la petite école dans le cour
participé avec régularité à l'enseignement. GRANDE ÉCOLE. III 11
enfants
ont pu être envoyés à la grande gymnas- tique ;
tique ; les 72 autres ont été exercés à la gymnastique Pichcry. 29
enfants
se servent de la cuiller, de la four- chette et
iller et de la four- chette ; 25 de la cuiller seulement. Il y a 58
enfants
en pantalon (propres) et 25 en robe (gâteux val
ei- gnement. Nous nous bornerons à rappeler qu'on ap- prend à ces
enfants
à manger proprement, à se laver, à s'habiller,
ère caté- gorie et suivent les exercices de la grande école. III.
Enfants
propres et valides, imbéciles; arriérés, épilep
ition, à faire subir les épreuves pour le certificat d'études à dix
enfants
. Ils ont passé leurs examens avec les enfants d
ificat d'études à dix enfants. Ils ont passé leurs examens avec les
enfants
du canton de Villcjuif. Tous ont été reçus : l'
uction élémentaire, l'autorisation de présenter un certain nombre d'
enfants
pour le certificat du 3° de- gré. Cette autoris
s noires données par M. Da- voust, conseiller municipal, etc. Les
enfants
qui ont fréquenté la grande école en 1884, étai
ion d'une place de maille jardinier et utiliser un certain nombre d'
enfants
aux travaux hor- ticoles. EVALUATION DU TRAVA
r adressons. VI avantages DU travail. L'évaluation du travail des
enfants
donne, en chiffres ronds, 13.600 fr. ; mais il
. 50 par jour (2), soit 9.867 fr., nous voyons que le travail des
enfants
, qui n'est encore qu'en voie d'organisation, a
vons signalés dans nos précé- dents Comptes rendus et elle rend aux
enfants
d'incon- testables services sur lesquels tout l
s tout le monde trouverait superflu d'insister (3). Le nombre des
enfants
qui ont bénéficié de l'en- M. le Directeur de B
e suivant. De tout temps, il en est encore ainsi, l'habillement des
enfants
a laissé énormé- ment à désirer. Très souvent l
ement des enfants a laissé énormé- ment à désirer. Très souvent les
enfants
n'avaient pas de vêlements à leur taille. On pr
it la ceinture et on donnait les pantalons ainsi arrangés ( ? ) aux
enfants
. Depuis l'installation de l'atelier de couture,
l'Exposition des Arts décoratifs (2). De plus, un certain nombre d'
enfants
ont pris part avec succès aux concours de gymna
ux concours de gymnastique do Bourg-la-Reine et do Montsouris. c)
Enfants
de la petite école.-Tous font do petites promen
ortie, congés. - Les ma- lades adultes ont reçu 2200 visites et les
enfants
3153. Les visiteurs ont été au nombre de 8522.
aclultes épileptiques (53 aliénés et 70 réputés non aliénés) et 182
enfants
(épileptiques, hystériques, idiots, arriérés, e
ublique, M. le Dr Pcyron, nous a paru porter au sort des malheureux
enfants
de Bicêtre nous permet de l'espérer. XVIII .
iption complète de la situation sordide de l'an- cienne section des
enfants
. Nous avons rappelé les efforts faits en vain p
service et concluant à la création d'une section spéciale pour 200
enfants
: 1° afin de faire cesser un état de choses, ho
ration de l'Assistance publique; 2° afin de procurer des lits à des
enfants
inscrits depuis longtemps à l'Administration de
sile clinique(Sainte- Anne) ; 3° afin aussi de ne plus transférer d'
enfants
dans les asiles de province,où ils ne reçoivent
ait pas aux vceux du Conseil général : il n'était fait que pour 120
enfants
, et il y en avait 125 dans la vieille section;
construction de trois étages au-dessus du rez-de-chaussée pour des
enfants
infirmes, paralysés, et pour des enfants épilep
u rez-de-chaussée pour des enfants infirmes, paralysés, et pour des
enfants
épileptiques, ex- posés à des chutes dangereuse
éoccupe depuis quelques années, du moyen d'améliorer le service des
Enfants
idiots et épileptiques de l'Asile de Bicêtre et
avec celui des-' adultes-épilcptiques. Les localités affectées aux
enfants
sont èparses dans toute la section : ici, un bâ
e de. deux, sont installés au premier étage du bâtiment spécial aux
enfants
et du bâtiment des adultes. La Classe et le réf
nt de renfermer pêle-mêle et confondus les uns avec les autres, des
enfants
dont l'âge varie et dont l'affection diffère. I
Il n'existe pas d'infirmerie spéciale; les malades sont réunis aux
enfants
gâteux dans une même salle. Il y a là, au point
ation du personnel servant. Il n'y a pas de direction spéciale. Les
enfants
ne sont pas d'une manière immédiate et constant
orme sérieuse est à faire à ce sujet. Il faut assurer à ces pauvres
enfants
une surveillance de tous les instants ; il faut
le rapport matériel et sous le rapport moral, le service actuel des
enfants
idiots et épileptiques- DOIT ÊTRE IRRÉVOCABLEME
rémité de la division des aliénés, sur la par- sommes occupé des 50
enfants
idiots abandonnés aux soins de doux infirmiers
ui a répondu qu'il n'était pas possible de confier à des femmes des
enfants
de ce genre. Nous avons insisté disant que, ent
ce terrain s'élèverait un bâtiment destiné à conte- nir 160 lits d'
enfants
, 16 lits d'infirmerie et 8 lits pour l'isole- m
nombre de lits serait parfaitement suffisantpour le traitement des
enfants
idiots et épileptiques, valides ou gâteux (2),
l'âge et les infirmités. La popu- lation actuelle se compose de 125
enfants
: 63 valides, 62 gâteux. La proportion des gâte
, 62 gâteux. La proportion des gâteux est des deux tiers pour les
enfants
de à 12 ans et d'un tiers pour les enfants de 13
des deux tiers pour les enfants de à 12 ans et d'un tiers pour les
enfants
de 13 à 17 ans. Ces indications permettent de '
hé, ici encore, par ignorance. S'il avait additionné le chiffre des
enfants
de Bicêtre, le chiffre des enfants alors au bur
avait additionné le chiffre des enfants de Bicêtre, le chiffre des
enfants
alors au bureau d'admission, celui des enfants
être, le chiffre des enfants alors au bureau d'admission, celui des
enfants
en instance d'admission il. l'Assistance, il au
tits. Ces 40 lits placés à ce rez-de-chaussée seraient destinés aux
enfants
infirmes, pour lesquels l'ascension d'un escali
projet primitif, le rez-de-chaussée était occupé par l'école et ces
enfants
étaient au second étage : alors M. Brelet ne tr
logements et aux sorvicos généraux; les ailes, aux divi- sions des
enfants
. Le nombre des lits pour la division des grands
timent annexo devra, à cause de la situation toute particulière des
enfants
idiots, être pourvu de deux séries de lavabos e
- sabilité pèserait sur nous, si, étant médecin de la section des
enfants
, c'est-à-dire en mesure de connaître mieux que
t du gâtisme ; in- suffisance de chambres d'isolement destinées aux
enfants
atteints de maladies contagieuses ; absence de
atteints de maladies contagieuses ; absence de cellules pour les
enfants
agités, etc. L'auteur du programme ne s'était p
jour les difficultés du service dans la vieille section commune aux
enfants
et aux épilep- tiques adultes, en voyant qu'on
ente des escaliers; en observant les difficultés qu'éprouvent t les
enfants
paralysés ou faibles à monter et descendre les
qu'un bâtiment de trois étages était radicalement mauvais pour des
enfants
idiots, épileptiques, hémiplégiques, infir- mes
et de travaux relatif à la création d'un nouveau service pour les
enfants
idiots et épileptiques à l'hospice de Bi- cêtre
enter quelques considérations générales sur l'hospi- talisation des
enfants
idiots et épileptiques. Les jeunes idiots ou ép
ts ou épileptiques sont, vous le savez, Mes- sieurs, des malheureux
enfants
qui, à de rares exceptions près, doivent être c
est notamment vraie pour les idiots qui ne sortent de l'hospice des
enfants
que pour entrer dans les ser- vices d'aliénés,
de lits pour la nature do ceux qui les occupent ; presque tous ces
enfants
sont gâteux ; un grand nombre d'entre eux sont
s, jeunes et d'une parfaito tenue, prodiguer leurs soins à tous ces
enfants
gâteux, idiots ou épileptiques. Aucune d'elles
rojet d'édification de bâtiments destinés a l'hospitalisation des
enfants
idiots et épileptiques, doit obtenir d'urgence (2
i- sants, vous le savez ; nous pouvons à peine y donner place aux
enfants
atteints de maladies aiguës, qui y sont portés
du service de propreté destiné à traiter le gâtisme en plaçant les
enfants
sur les sièges d'aisance à des intervalles régu
ant des mois entiers. Il résulte de cet état de choses que certains
enfants
qui auraient été parfaitement guérissables, s'i
rtant, si le nombre de lits était plus considérable, ces malheureux
enfants
auraient pu être remis sur pieds et par conséqu
nécessaire de se procurer pour la création de l'hospitalisation des
enfants
idiots et épileptiques, dont nous nous occupons
à la campagne no pourrait qu'être très profitable à ces malheureux
enfants
. Sous le bénéfice de ces observations, votre Co
spitaliers, notamment en ce qui concerne les travaux des hôpitaux d'
enfants
que nous no cessons de réclamer, nous vous prop
a- ordinaire de 3 millions ; et d'accorder le surplus, soit XXXIV
ENFANTS
DITS INCURABLES. 600.000 fr. à titre de subvent
e rapport. Rapport sur la création d'un quartier spécial pour les
enfants
idiots et épileptiques. à l'hospice de Bicêtre ;
ollicité pour faciliter le placement, clans un asile hospitalier, d'
enfants
idiots, imbéciles, pervers, paralytiques, etc.,
9 mai 1876 (3), un voeu demandant la création d'un hospice pour les
enfants
incurables pauvres. Et dans les considérants qu
dent sa proposition, il s'appuie entre autres sur ce fait « que les
enfants
incurables, irresponsables de la vie répugnante
, le Dr Level, Loiseau. (3) Procès-verbaux, p. 3K ? SITUATION DES
ENFANTS
IDIOTS. XXXV M. Jobbé-Duval. Le 20 décembre de
pressions qu'ils ont employées, c'est qu'ils visaient sur- tout les
enfants
idiots. Il est probable, toutefois, que M. Jobbé-
une organisation spéciale pour chacune des principales catégories d'
enfants
, dits incurables. Aucun projet n'avait encore
tait misérable la situa- tion des parties de section consacrées aux
enfants
idiots, épilep- tiques, paralytiques, etc., dan
ous sommes acquitté de cette mission : Des services consacrés aux
enfants
idiots et épileptiques. - La création de la Col
publique est -en train de procéder à de nouveaux aménagements. Les
enfants
vont être transportés de leur ancienne section
urbe, 1883, 110 115. (3) Même rapport, p. 12. XXXVI SITUATION DES
ENFANTS
IDIOTS. server le vieux quartier des enfants, e
XXXVI SITUATION DES ENFANTS IDIOTS. server le vieux quartier des
enfants
, en n'y plaçant que les dégra- dés, ies gâteux,
menter le nombre des lits dans une certaine proportion. En 1877, 95
enfants
étaient logés dans les bâtiments de ce quartier
e qui rendrait possible de porter la population totale à 120 ou 130
enfants
, tout en rendant l'hygiène générale meilleure q
lité in- contestable. Un mot sur l'orzanisation de la section des
enfants
. On v trouve : SITUATION DES ENFANTS IDIOTS. XX
orzanisation de la section des enfants. On v trouve : SITUATION DES
ENFANTS
IDIOTS. XXXVII est très vaste ; d'autre part, e
. Grâce à cette réforme, les salles occupées actuellement par les
enfants
dans la section commune deviendraient vacantes, e
ne conviendrait pas de confier la section des adultes et celle des
enfants
à deux médecins. - La même re- marque s'appliqu
ux médecins. - La même re- marque s'applique à la Salpêtrière. 60
enfants
seulement - sur 130, - fréquentent l'école. La pr
nombreux. Voici la composition de celui-ci : XXXVIII SITUATION DES
ENFANTS
IDIOTS. visites que nous avons faites à deux As
second fondé par' une taxe générale et dans lequel l'entretien des
enfants
est à la charge de la paroisse à laquelle ils app
ts est à la charge de la paroisse à laquelle ils appartiennent. 2G0
enfants
sur 310 (filles et garçons) fréquentent la classe
il nous a semblé préférable de nous servir du premier, destiné aux
enfants
pauvres des paroisses de Londres, et par suite
Salpêtrière afin d'améliorer la situation du personnel attaché aux
enfants
idiots et épileptiques et afin d'augmenter ce p
878), fait à la séance du 16 février 1878, p. 25-28.) SITUATION DES
ENFANTS
IDIOTS. XXXIX Dix mois plus tard, dans une seco
nous mentionnerons la Conslouc- lion d'un quartier spécial pour les
enfants
idiots et épilepti- ques. A ce sujet, nous devo
ns entrer dans quelques développements. La classe et le dortoir des
enfants
qui vont à l'école sont en assez bon état, mais
ont en assez bon état, mais beaucoup trop petits pour le nombre des
enfants
qui y sont accumulés en violation de toutes les
udget des aliénés pour 1878 (p. 26), l'infirmerie et le dortoir des
enfants
les plus dégradés sont dans une situation absolum
endant le jour, aux eufants idiots gâteux et, de plus, de parloir d'
enfants
les jours de visite. C'est dans ce local qui me
st couvert d'un plancher, que se réunissent chaque jour CIN- quante
enfants
, et c'est là que les parents de tous les enfants
e jour CIN- quante enfants, et c'est là que les parents de tous les
enfants
viennent les voir (1) ! Tous les membres de vot
naler énergique- mont une situation aussi barbare. Voilà pour les
enfants
. Ce n'est pas tout. Leurs salles et l'école son
se, comme l'an dernier, qu'il faudrait édifier une section pour les
enfants
, sur le terrain libre, contigu aux gymnases cou
des réfectoires, des salles de réunion et une école pour deux cents
enfants
. La nouvelle section donnerait, d'une part, sur
aste ; d'autre (1) En un mot, c'est le parloir des familles des 125
enfants
de la section. (2) Il y a 44 épileptiques dan
dans la première section et 37 dans la deuxième. XL SITUATION DES
ENFANTS
IDIOTS. part, elle dominerait la vallée de la B
. Grâce à cette réforme, les salles occupées actuellement par les
enfants
, dans la section commune, deviendraient vacantes,
its rendus à l'usage des aliénés. 2° La Salpêtrière. La section des
enfants
était située, il y a encore quelques semaines,
a portion de la section réservée aux adultes. C'est là que sont les
enfants
depuis le mois d'octobre. L'école est distincte
isée en trois parties : la l'°pour la petite classe; la 2° pour les
enfants
plus avancés; la 3a pour l'ouvroir. Pour complé
en particulier un lavabo et des chaises percées spéciales pour les
enfants
dégradés ; 3° de construire en face du bâtiment
principal un bâtiment parallèle pouvant recevoir une cinquantaine d'
enfants
. Les deux premières propositions se justifient
ns. Tous les lits sont actuellement occu- pés. Ils s'ensuit que des
enfants
, qui devraient profiter des avan- tages offerts
de là, un premier motif en faveur d'un plus grand nombre de lits d'
enfants
. D'un autre côté, conformément au voeu exprimé
te d'un rapport fait par nous au Conseil municipal. SITUATION DES
ENFANTS
IDIOTS. XLI Département. Les raisons qui milite
es familles, n'habitant Paris que depuis quelques années, ayant des
enfants
arriérées ou idiotes, les font recevoir à la Sal-
es font recevoir à la Sal- pêtrière ; mais, en vertu de la loi, ces
enfants
, au bout de quelque temps sont réclamées par le
d'origine et les familles sont dans la nécessité de reprendre leurs
enfants
qui végètent et se dégradent de plus en plus ch
entent au transfert. 2° Dans la plupart des Asiles de province, les
enfants
idiots et épileptiques sont trop peu nombreux p
c le département de la Seine pour placer, dans cette section, leurs
enfants
idiots et épileptiques dont les parents de- meu
n'offrirait aucun inconvénient, car il ne faut pas oublier que les
enfants
, pendant le jour, seront ou à l'école ou à l'ou
e ou à l'ouvroir, ou au gymnase et que, durant la nuit, les vingt
enfants
auront un cube d'air plus que suffisant, puisque,
s, il y avait, avant la nouvelle installation, une cin- quantaine d'
enfants
( ? ). L'ancienne 4" Commission vous a demandé
enne 4" Commission vous a demandé de renouveler le voeu relatif aux
enfants
de Bicêtre et do la Salpêtrière, à la fin de dé
(2) On voit que le Conseil général, et nous-même, avions songé aux
enfants
de la Salpêtrière et qu'on avait déjà réalisé des
Rapport n'Il\), p. Si. (i) Rapport nO 3, p. 16. XLII SITUATION DES
ENFANTS
IDIOTS. « Conformément à votre voeu demandant l
« Conformément à votre voeu demandant la séparation du service des
enfants
de celui des adultes, l'Administration a étudié e
lequel on devra réserver des dortoirs au rez-de-chaussée pour les
enfants
épileptiques et, s'il y a lieu, pour les enfants
-chaussée pour les enfants épileptiques et, s'il y a lieu, pour les
enfants
idiots para- lytiques. « Le jour où cette nou
ser en faveur des adultes de tous les locaux laissés libres par les
enfants
: 1° Vous pourrez supprimer le dortoir lambrissé
e salle de réunion du 2e étage ; 5° transformer le réfec- toire des
enfants
en salle do réunion. Grâce à ces transformation
rappèrent immédiatement : 1° La section n'était prévue que pour 120
enfants
: or, il y en avait 125 ; on venait d'en transf
16 et le Conseil général avait réclamé une section pour deux cents
enfants
, afin d'éviter les transferts; - 2° le bâtiment
nient grave, selon nous, à cause de la nature des maladies dont ces
enfants
sont atteints : paralysies, épi- lepsie, etc. ;
de Bicêtre, se sont émus de la mauvaise organisation du service des
enfants
idiots et épilepti- ques et de l'état de délabr
un projet de construction d'un bâtiment spécial pour la section des
enfants
idiots et épileptiques. « Actuellement, le serv
des enfants idiots et épileptiques. « Actuellement, le service des
enfants
idiots ne forme pas une section à part ; il se
« Les dorloirs offrent des inconvénients encore plus grands ; " des
enfants
, dont l'âge varie et dont l'affection diffère, !
it l'extrême urgence de la création d'une section spéciale pour les
enfants
. Nous continuons la citation : « Le personnel s
inuons la citation : « Le personnel servant, attaché au service des
enfants
, est défec- tueux. Ce sont généralement des ser
p. xxi et : Boiiriieville et d'Olicr. - Compte rendu du service des
Enfants
pour l'année 1880, p. 18). XLIV CRITIQUE DU FRE
ères et par son âge. Il importe, enfin, de multiplier autour de ces
enfants
les moyens d'instruction et d'éducation, afin d
« Le bâtiment qu'il s'agirait de construire contiendrait 160 lits d'
enfants
de 4 à 17 ans, 16 lits d'infirmerie et 8 lits pou
était possi- ble. Or, si ce projet avait l'avantage de séparer les
enfants
des adultes, de concentrer une partie du servic
s, une étude attentive et journalière des besoins de ces malheureux
enfants
nous démontrait les inconvénients extrêmement s
qu'il y avait à accepter une construction de trois étages. Pour des
enfants
hémiplégiques ou marchant mal, la montée et la
es expose à des chutes dangereuses. La même remarque s'applique aux
enfants
épileptiques qui, dans leurs accès, souvent sub
ons dont nous sommes sans cesse l'objet, pour aider v l'admission d'
enfants
idiots, épileptiques, etc., à Bicêtre; nos visi
ous ont montré que, faute de place dans les sections spéciales, les
enfants
y séjournent des semaines et des mois, confondu
résence à la colonie de Vaucluse, con- trairement aux règlements, d'
enfants
gâteux dont le Directeur réclame le passage à B
amme complet des conditions que, à notre avis, une section pour les
enfants
idiots, épileptiques, etc., devait remplir. Cela
mment spacieux pour qu'ils puissent suffire à une population de 400
enfants
; les construire de suite, ainsi que les dortoir
0 enfants; les construire de suite, ainsi que les dortoirs pour 200
enfants
au moins ; réserver l'espace pour la constructi
ain. Le terrain sur lequel doit être construit le quartier pour les
enfants
idiots et épileptiques est situé à l'angle S.-O
los, où l'on trouve successivement : a) l'atelier de menuiserie des
enfants
; - b) le service de propreté et du traitement
e de propreté et du traitement du gâtisme ; c) le préau couvert des
enfants
gâteux, servant de parloir le jeudi- et le dima
rvant de parloir le jeudi- et le dimanche pour les familles des 175
enfants
. Ces hangars pourront être affectés, sans grand
dant avec la cour où est le grand gym- nase, entre les ateliers des
enfants
et la 'le section, sera mise en état, pavée en
Paris. a) Les réfectoires seront au nombre de deux, l'un pour les
enfants
épileptiques, imbéciles et idiots propres ; - l'a
ants épileptiques, imbéciles et idiots propres ; - l'autre pour les
enfants
idiots valides (1), propres ou gâteux. Chacun d
es sera pourvu d'offices et de laveries, où l'on devra utiliser les
enfants
, par séries, dans la mesure de leurs aptitudes.
s aptitudes. Un lavabo sera installé à l'entrée du réfectoire des
enfants
de la première catégorie, afin qu'ils puissent se
ux ateliers, de l'autre au gymnase, ce qui permettra de séparer les
enfants
de la première caté- gorie en deux groupes, les
oximité de chaque réfectoire, il y aura une salle de repos pour les
enfants
en accès. b) L'école comprendra deux grandes di
catégorisation on devra tenir compte de la nature de la maladie des
enfants
beaucoup plus en- core que de l'âge. DESCRIPT
core que de l'âge. DESCRIPTION DU NOUVEAU PROJET. XDX pour .les
enfants
épileptiques, imbéciles, arriérés ;-la seconde
r des cloisons mobiles qui permettront le classement variable des
enfants
par classes. A la grande école seront annexés une
ns et les yeux, la gymnastique Pichery, si utile pour apprendre aux
enfants
à se servir de leurs mains, à exécuter une séri
de propreté où l'on traitera le gâtisme et où l'on apprendra aux
enfants
à se laver la figure et les mains ; - Entre la gr
lement aux be- soins de la population actuelle, embrassant : a) les
enfants
présents à Bicêtre (175) ; b) ceux qui attenden
ssion de l'asile clinique (Sainte-Anne), au nombre de 4 ? c) les 14
enfants
que M. le Directeur de la colonie de Vau- cluse
e aux besoins d'un avenir trop prochain, c'est-à-dire à environ 400
enfants
. Leur construction doit être faite en premier l
Le projet comporte la construction de 8 pavillons - destinés aux
enfants
valides ; - mais aujourd'hui, il s'agit seulement
pour le médecin, une pièce de débarras, une salle pour le lever des
enfants
, un vestibule, ainsi que l'escalier condui- san
ilité est pleinement justifiée par l'infection que pro- duisent ces
enfants
et qui exige des conditions d'hygiène beau- cou
ige des conditions d'hygiène beau- coup plus coûteuses que pour des
enfants
sains d'esprit. Afin de compléter ce qui précèd
errasse au premier étage, afin de pouvoir faire aisément sortir les
enfants
, les exposer à l'air et à la chaleur et assainir
i au- ront 7 à 8 mètres de large ;2 chambres d'isolement pour les
enfants
; une office avec une baignoire, des lavabos, un
illante, une pièce de dé- barras, deux cabinets d'aisances pour les
enfants
(avec urinoirs, et vidoir) et un pour les adult
idoir) et un pour les adultes ;-une salle de convalescence pour les
enfants
qui commencent à se lever et qu'on utilisera ég
(Plan, 105). Pavillon d'isolement. - Il est destiné à recevoir les
enfants
atteints de maladies contagieuses (syphilis, ro
- La section sera complétée par un quartier de cellules destiné aux
enfants
atteints d'accès de manie simple ou épileptique
aux enfants atteints d'accès de manie simple ou épileptique ; - aux
enfants
qui se seront rendus coupables d'actes graves d
au moyen de calorifères placés dans des caveaux afin d'empêcher les
enfants
do toucher aux appa- reils. Les cheminées do l'
plan) permettront de donner asile à une population de plus de 400
enfants
. DESCRIPTION DU NOUVEAU PROJET. LUI 111%- DES
le, de présenter un rapport à ce Conseil. Après avoir émis, sur les
enfants
idiots, imbéciles, arriérés, épileptiques de la
de lits pour la nature de ceux qui les occupent : presque tous ces
enfants
sont gâteux ; un grand nombre d'entre eux sont
pour remplacer le trou qui porte ce nom et dans lequel six ou finit
enfants
('1) travaillent sous la di- rection d'un contr
z difficile pour les personnes valides mais très difficile pour des
enfants
impotents. (3) Si M. le Rapporteur avait daigné
té, tantôt de l'autre, suivant la direction du soleil. (4) Quatorze
enfants
travaillent dans cet atelier de menuiserie sous
reux établissements. » Il insiste sur l'insuffisance des hôpitaux d'
enfants
, sur la lon- gue expectation des scrofuleux ava
lle se préoccupe de la construction d'un troisième hôpital pour les
enfants
atteints de maladies aiguës et de la création d
se en état des services existants; que la dépense de la section des
enfants
de Bicêtre ne figure pas dans cette longue énum
améliorations que le Conseil municipal a votées pour le service des
enfants
de la Salpêtrière (Voir p. XL). EXAMEN DES CR
ospitaliers, notamment once qui concerne les travaux des hôpitaux d'
enfants
que nous ne cessons de récla- mer, nous vous pr
de surveillance avait considéré la création d'une section pour les
enfants
de Bicêtre comme de première urgence, puisque à
s malades (Voir aussi : Bulletin municipal, 18S2, p. 1073). LVIII
ENFANTS
INCURABLES. desquels figure la création de la s
nécessaires pour la création, à Bicêtre, d'un quartier destiné aux
enfants
idiots et épileptiques, sous la double réserve qu
ximatif de la dépense pour la construction de services destinés aux
enfants
incurables (garçons et filles) est évalué à 3.5
francs, » et qu' « on se propose de recevoir dans ces services les
enfants
atteints de paralysie générale ou partielle, de
y avait lieu de créer deux écoles dispensaires municipales pour les
enfants
rachitiques (1) Théorie bizarre : le Conseil mu
et vous soumettra des propositions : voilà donc deux catégories des
enfants
visés qui seront convenablement secourues et qu
mobilier scolaire pourra être faite par l'atelier de menuiserie des
enfants
(1), et, quant au reste, l'Administration pourr
ation enfantine désignée généralement, mais v tort, sous le nom d'
enfants
incurables. Paris, le 25 juin 1833. Le Rappor
- Nous devons rappeler au Conseil que la création de la section des
enfants
rendra disponibles, dans l'ancienne section, to
dans l'ancienne section, tous les locaux occupés aujourd'hui parles
enfants
, ce qui donnera près de cents lits aux adultes
s les ateliers neufs, nous pensons pouvoir lui donner quatre autres
enfants
; mais bien que cette nouvelle or- ganisation n
lle, était beaucoup mieux au courant de la situation du service des
enfants
tant à Bicétre qu'à l'Asile clinique. En effet,
n résulte un encombrement inévitable du Bu- reau d'admission où les
enfants
ne devraient que passer pour être enregistrés.
d'admission ne peut agir de même ; il est obligé de rece- voir les
enfants
et, après avoir installé des lits supplémen- ta
u'à ce jour, en faveur d'une réforme complète dans l'assistance des
enfants
idiots des deux sexes, et notamment pour l'agra
e la Commission chargée d'étudier la réorganisation de la colonie d'
enfants
idiots à l'asile de Vaucluse. LXVI ASSISTANCE
un essai d'assistance à domicile. Elle rendit un certain nombre d'
enfants
à leurs familles en accordant à celles-ci un se
s un des membres actifs de la famille. Or, tel n'est pas le cas des
enfants
idiots, imbéciles, épileptiques, hystériques, p
out à fait exception- nelles, est mauvaise, car le spectacle de ces
enfants
et de leurs crises, les impulsions auxquelles i
le qu'en raison de l'encombre- ment qui existe dans les quartiers d'
enfants
idiots, tant à Bicêtro qu'au bureau d'admission
'engager à appro- prier l'un des bâtiments de la nouvelle section d'
enfants
à Bicêtre, où il n'y avait plus alors que les c
ant ces instruc- tions il a fait confectionner , par les ateliers d'
enfants
de Bicêtre, un certain nombre de lits de sangle
- mettrait de désencombrer le bureau d'admission, en envoyant les
enfants
à Bicêtro, au lieu de les laisser sans traitement
'aucun crédit n'a a été prévu en 1884, pour l'entretien de nouveaux
enfants
; or, en fixant au 1er juillet prochain l'ouvert
r les frais résultant du séjour il Bicêtre des cin- quante nouveaux
enfants
dont l'hospitalisation immédiate est demandée.
le bâtiment sur le point d'être terminé de la nouvelle section d'
enfants
idiots il Bicêtre. J'ai l'honneur de faire savoir
tendre avec nous sur deux points : 1° Installation d'un service d'
enfants
dans le bâtiment des réfectoires ; 2° ins- tall
tre qu'il était pos- sible de recevoir, le 22 ou le 23 juillet, des
enfants
dans le bâtiment des réfectoires et, le 24 ou l
its provisoires étaient placés et le Bureau d'admission envoyait 10
enfants
le 22 juillet, 10 le 24, 10 le 26, 9 le 28 et 6
on de l'Asile clinique (Ste-Anne), excessi- vement encombré par les
enfants
. Il est à regretter que l'Assistance publique a
ire général de l'Assis- tance publique, M. Brelet. La section des
enfants
idiots, aliénés et épileptiques de Bicêtre au C
relative à la construction, à Bicêtre, du service spécial pour les
enfants
idiots, imbéciles, arriérés, aliénés, épileptiq
ériques, en d'autres termes, pour la portion la plus importante des
enfants
dits incurables. M. DESPRÉS.- Depuis trois ans,
és a produit des chiffres inexacts : il est faux que le service des
enfants
idiots et épilepliques ait coûté G millions. M.
personnel admira- blement instruit et dévoué, l'état des malheureux
enfants
est aujour- d'hui bien amélioré. Grâce à lui, c
- penses excessives que vous avez votées en faveur du service des
enfants
idiots et épileptiques de Bicêtre. Si vous aviez
M. Després affirme que le projet de construction de la section des
enfants
de Bicêtre a coûté six millions ; puis il se re
au Conseil municipal et ensuite une visite au service actuel des
enfants
de Bicêtre. S'il avait lu mes rapports, il aurait
par des voeux réitérés réclamant des moyens d'as- sistance pour les
enfants
incurables, que le Conseil munici- pal a voté l
out le visiter le matin, vers 7 ou 8 heures, peu après le lever des
enfants
. M. Després s'est bien gardé de se donner cette
cètre, ont été unani- mes à reconnaître que la section actuelle des
enfants
était dans un état honteux et qu'elle devait êt
hronique ». EPILEPSIE jacksonnienne. 3 portantes, ainsi que leurs
enfants
; quatre frères vivants, bien por- tants ; d'aut
s et frères sont morts jeunes, on ne sait de quoi (en tout dix-sept
enfants
, pas d'aliénés, etc.]. - Pas de con- sanguinité
ept enfants, pas d'aliénés, etc.]. - Pas de con- sanguinité. Cinq
enfants
: 1° fille morte à trois ans de convulsions en tr
ns motif, n'a eu ni attaques ni faiblesses; elle est mariée et a un
enfant
d'un mois ; 5° gar- çon, mort à dix jours; il n
était très gros. La mère pense, sans qu'on le lui ait dit, que cet
enfant
avait une imperforation de l'anus. Notre nzul
âgée de trois ans. Accouchement à terme, naturel. z la naissance, l'
enfant
n'était pas cyanosé; il était assez fort; élevé
que pour la précédente. Guérison en deux mois. Observation VI. -
Enfant
de douze ans. - Antécédents épilep- 1 Schivardi
tés avec quelques détails : Observation VII. Le premier concerne un
enfant
de douze ans, atteint depuis quatre à cinq anné
d'une peur et à six ans après une chute, un accès d'épilepsie. - L'
enfant
n'a pas d'antécédents héréditaires; il est inte
'un mort jeune, on ne sait de quoi; l'autre, en bonne santé, a deux
enfants
; ceux-ci, n'ont jamais eu de convulsions. Cinq
s de cause inconnue; les autres sont bien por- tantes ; une a eu un
enfant
qui n'a pas eu de convulsions. Pas d'aliénés, e
de convulsions. Pas d'aliénés, etc.] - Pas de consanguinité. Hait
enfants
: 10 garçon, quinze ans, bien portant, intelligen
failli l'enlever. Sous le coup de cette peur, elle sentit remuer l'
enfant
pour la première fois; à partir de ce moment, d
e luttait, la grossesse fut bonne. Accouchement à terme, naturel. L'
enfant
, élevé au sein par sa mère jusqu'à un an (pas d
squ'à un an (pas de convulsions), a marché à vingt mois (les autres
enfants
ont marché au plus tard à qua- torze ou quinze
torze ou quinze mois); il a parlé à quatre ans mais mal (les autres
enfants
ont parlé vers dix-huit mois, et à deux ans, ils
ur en marchant tenu à la main par son père, celui-ci sentit que l'
enfant
serrait plus fortement, et s'arrêtait; il vit sa
arents se sont alors décidés à le pla- cer. Mené à la préfecture, l'
enfant
a beaucoup pleuré; il a même sangloté quand il
n'aurait plus de vertiges. Les accès sont diurnes et nocturnes. L'
enfant
est très caressant, très affectueux pour ses pare
ôtés, mais plus à gauche. L'intelligence est en partie conservée; l'
enfant
connaît la date du jour, le nom du mois, son âg
rononcée. - Pas de stertor, pasd'écume (ou parfois légère écume). L'
enfant
revient de suite à lui, sourit; mic- tion invol
à 6 minutes). Parfois, il pleure après ses accès. 1880. 26 avril. L'
enfant
a eu dans la nuit du r au 25, 13 accès; dans la
de 8 heures à 10 heures et demie, pas d'accès. T. Il. matin, 39°. L'
enfant
est éveillé, P. 96. Pas de vomissements, langue h
du bromure dé potassium. 46 mai. - Hydrothérapie. 26 octobre. - L'
enfant
a, depuis le commencement du mois d'août, une p
mbre. - Suppression du traitement hydrothérapique. 15 décembre. - L'
enfant
ne fait plus de progrès à l'école; il est deven
te palpébrale double. 12 décembre. - A la suite d'accès nombreux, l'
enfant
présente une hémiplégie droite incomplète; l'ép
t dans un puits,; il était atteint du délire de la persécution (ses
enfants
sont morts les uns de la poi- trine, une avait
s'adonnent à des pratiques religieuses exagérées; elles n'ont pas d'
enfants
, on ne peut donner d'autres détails sur elles.
res renseignements sur ma famille.] - Pas de con- sanguinité. Six
enfants
dont quatre du père du malade : 4 notre malade ;
il avait une taie ( ? ) sur l'oeil à la nais- sance, de même que l'
enfant
précédent; après la naissance de ce troisième e
de même que l'enfant précédent; après la naissance de ce troisième
enfant
, le père ayant déjà été enfermé à l'asile de Mo
dans le cours d'une fièvre typhoïde à sept ans. - D'un amant, deux
enfants
: 5- garçon, sept ans, bien portant, pas de con
DANS L'ÉPILEPSIE. 41 Notre malade. - A la conception, le père de l'
enfant
était déjà malade, et buvait beaucoup; c'est ét
tait déjà malade, et buvait beaucoup; c'est étant ivre que tous les
enfants
ont été conçus ; c'est surtout dans cet état qu
la tête est restée assez longtemps au passage. - A la naissance, l'
enfant
était cyanosé; on l'a frictionné et ce ne serai
a desqua- mation, et étant le siège de démangeaisons assez vives; l'
enfant
ne peut préciser la date de leur apparition. Le
s. - Pas d'aura. - Sans cri ou à la suite d'un petit gémissement, l'
enfant
se renverse lentement dans son 1 Examen des org
bout d'une minute environ, la tête revient de gauche à droite, l'
enfant
regarde avec étonnement autour de lui. On croit t
s, puis le stertor cesse. Pendant la dernière période de l'accès, l'
enfant
est très congestionné et sue abondamment. Hébét
. 1882. 5 mai. - Légère amygdalite pultacée à droite. Il mai. - L'
enfant
est à l'infirmerie depuis deux jours en série d
, les pupilles modérément et également dilatées ; mutisme absolu. L'
enfant
qui ordinairement parle et comprend très bien,
té impossible de prendre la température à cause de l'agitation de l'
enfant
: il a mordu et cherché à frapper les personnes
i. - T. R. 38°. - Soir : T. R. 38°. 15 mai. - T. R. 3 îo, 6.-Hier l'
enfant
était agité, proférait des menaces, injuriait,
it, disait qu'on voulait le voler, cherchait à frap- per les autres
enfants
; la nuit a été calme. Ce matin, il prétend voir
raitement par les injections hypodermiques de curare. 8 mars. - L'
enfant
déclare spontanément qu'il a maintenant plus de
brûlante; il urine involontairement et abondamment sous lui; 1 Les
enfants
agités sont laissés confondus dans un dortoir de
e réfectoire, de salle de réunion aux gâteux, etc. 46 DU ÇURARE l'
enfant
n'est pas encore revenu à lui. Excitation maniaqu
Excitation maniaque consé- cutive assez prononcée. 14 avril. - L'
enfant
est plus calme. - 16 avril. Il est revenu aujou
eu d'incohérence ce matin. Bain de trois quarts d'heure. Octobre. L'
enfant
est mis en apprentissage à l'atelier du tailleur.
ontinué depuis à se masturber ; il prétend ne pouvoir se retenir. L'
enfant
raconte encore qu'il embrassait les organes gén
ir : T. R. 38°, 8. 10 ja)2viei-. -T. R. 38°, 6.-Soir : T. R. 38°. L'
enfant
va mieux, bien qu'il soit un peu agité. 21 fé
m. Décembre. - Les notes du tailleur et de l'école sont bonnes; l'
enfant
a fait des progrès; la mémoire serait redevenue b
re. Les accès s'étant un peu éloignés en t88'4, on a remarqué que l'
enfant
paraissait recouvrer ce qu'il avait perdu au po
Mère, morte vers vingt-huit ans, on ne sait de quoi ; laissant cinq
enfants
. - Grand-père paternel, mort à quatre-vingts an
n an après l'accident, il est mort de la poitrine, il n'avait pas d'
enfants
. La soeur est morte du choléra en 1849, laissan
ne. Un frère est mort du choléra en 1865, ainsi que sa femme et son
enfant
. Une soeur est sujette à des douleurs d'estomac
n portante. - Pas d'aliénés, etc. - Pas de consan- guinité. Trois
enfants
: 4° notre malade; 2o fille morte à sept ans d'un
pprenait rien ; il se mettait en colère; se battait avec les autres
enfants
, et les dérangeait. Ses maîtres ont déclaré qu'il
és, car ils verront là un exemple d'accidents très communs chez les
enfants
, encore trop peu connus, et dont l'intérèt prat
sus montre que c'est pendant les mois (879) et l'année (1,089) où l'
enfant
a été soumis au traitement par le curare que le
une augmentation notable des vertiges. On remarquera que, chez cet
enfant
, tous les nombreux traitements mis en usage ont
le mécanisme et la durée de leur action. Nous noterons aussi que l'
enfant
soumis aux douches après la suppression du trai
ent par les injections hypodermiques. Le 1 cr décembre 1882, quatre
enfants
épileptiques ont été soumis à des injections hy
ations, qui viennent, pour ainsi dire, se mêler au sommeil chez les
enfants
. Chez quelques-uns d'entre eux, la peau (1) Ray
arthez et Rilliet. - Traité clinique et pratique des ma- ladies des
enfants
, Ill, p. 2(jO, Paris, 1861. (2) Il est bien ent
ence, soif vive, agitation ou au contraire prostration et, chez les
enfants
très jeunes, souvent en vomissements, diarrhée
tleworth (de Lancaster), (1) Steiner. - Compendium des maladies des
enfants
, Irai'. Kéraval, 1880, p. 612. (2) Voir à ce
s récidives. (3) Nous avons eu l'occasion de voir dans un servi e d'
enfants
le chef de service diagnostiquer une rougeole c
i e d'enfants le chef de service diagnostiquer une rougeole chez un
enfant
pré- sentant une éruption pscudo-morbilleuso ap
ont la température était normale. Trois semaines auparavant le même
enfant
avait eu une rougeole nettement caractérisée. R
éole le 8 juillet 1881 a eu la rougeole le 5 mai 1883. Enfin chez l'
enfant
Monatto (8 ans) la maladie s'est composée de de
tion effa- cée le 22 juin; celle-ci plus forte que la première. L'
enfant
(obs. vin) soigné par Rayer avait eu, deux ans
pas d'abattement, pas de symptômes oculaires ou naso-pharyngiens. L'
enfant
n'a jamais eu la rougeole Gucrison en deux jour
ervation xm de Rayer (1) qu'il nous semble bon de reproduire. « L'
enfant
, âgé de quatre ans, est blond et bien constitué.
nimée. Je n'en dé- couvris point sur les autres régions du corps. L'
enfant
était sans fièvre; il avait bien dormi la nuit
n'y avait ni toux, ni larmoiement Le lendemain 20 juin, l'état de l'
enfant
ne pré- sentait pas do changement notable ; le
do changement notable ; le 21 juin l'exanthème était déjà pâle ; l'
enfant
fit une petite promenade do deux heures. Le sur
d'ordinaire franchement morbilleuso, mais chez quel- ques-uns des
enfants
de Bicêtre, on a noté parfois une ressemblance
ouement peuvent persister pendant toute la durée de la maladie. L'
enfant
de 4 ans que l'un de nous a soigné en ville et
sie : il avait eu beaucoup de chagrin d'avoir perdu sa femme et ses
enfants
. » Notre malade. Il a eu, de sa première femme,
'une trentaine d'années ; c'est un bon ouvrier, père de cinq ou six
enfants
bien conformés et en bonne santé. R... s'est re
e père du malade a eu d'une première femme, morte poitrinaire, deux
enfants
qui sont morts à 2 mois et à 6 mois et un mort-
à 6 mois et un mort-né avant terme. Il a eu de sa seconde femme 5
enfants
; celle-ci est enceinte du sixième : 1° garçon,
Accouchement à terme, naturel, sans chloroforme. A la naissance, l'
enfant
n'était pas asphyxié; il était fort et bien con
quinze mois. Au bout de deux mois « ma belle-mère disait que mon
enfant
n'avait pas les yeux comme les autres en- fants
e mot papa, et c'est tout. Il n'aurait jamais ri comme les autres
enfants
. Depuis un an, il se sert de ses mains; aupa- r
suré. 1883. Jamer.Po : Ihilogr.,100. Taille : 1. m.04. 3 avril. L'
enfant
n'urinant que très peu et difficilement, est mo
ril. T. R. 40°,4. - Soir : 40°,2. 5 avril. T. R. 3J°;8. Ce matin, l'
enfant
est éveillé. Langue sale ; un peu de diarrhée,
e de qui- nine, 0 gr., 25. - Soir : 40°. 6 avril. Inappétence ; l'
enfant
ne prend qu'un peu de lait. La diarrhée est abo
allonné, mais il semble douloureux vers la partie in- férieure où l'
enfant
porte souvent la main ; pas de diar- rhée ; uri
pharynx, ne présen- tent rien de particulier. La soif est vive et l'
enfant
mani- feste ce besoin en disant : « à boi ! à b
. R. 38°,4.- Soir : 40°,2. 19 avril. T. R. 39°,2.-Soir : 39 ? ? . L'
enfant
est très amai- gri ; il ne prend que des bouill
vril. T. R. 380. - Soir : 38°,2. 25 avril. T. R. 37 ? Soir : 38°. L'
enfant
est à peu près dans le même état général malgré
5 mai. T. R. 37°,8. - Soir : 38°,2. 6 mai.T.R.39°,6.-Soir : 40°. L'
enfant
tousse; on trouve des râles de bronchite, et un
ne donne rien quoique la sonorité soit diminuée surtout à gauche, L'
enfant
a été très abattu dans la journée d'hier. Selle
progressif. Rien à la gorge. T. R. 37°. - Soir : 37°,8. 13 mai. L'
enfant
va mieux. Rien à la poitrine. T. R. 37°,4. - So
respondante de l'avant-bras une éruption ana- logue, plus foncée (l'
enfant
place habituellement les deux mains sous la têt
sus du pubis, cependant l'en- fant a uriné cette nuit. 27 juin. L'
enfant
est complètement remis. L'affaiblisse- ment des
oids : 15 kilog. 500 gr. Taille : 1 m. 04 cent. 5 décembre. Quand l'
enfant
est assis, il se balance; l'index gauche appuyé
Taille : 1 m., 06 cent. 0 11 mars. Depuis trois à quatre jours, l'
enfant
n'a pas été il. la selle; abdomen tympanisé. An
Soir : 37°,4. 1G mars. T. R. 31 ? 3. - Soir : 3î ? +. 22 avril. L'
enfant
est pris maintenant d'une diarrhée abondante de
ue; l'abdomen est sonore, souple, parait peu ou point douloureux. L'
enfant
est très abattu; les lèvres sont un peu fuligin
num II gouttes. T. R. 3J°,1. - Soir : 39°,7. 30 avril. T. R. 39°. L'
enfant
meurt à deux heures de l'a- près-midi sans conv
la grossesse, les chagrins et les émotions éprouvés par la mère. L'
enfant
n'a jamais ressemblé aux autres enfants : dès l
ions éprouvés par la mère. L'enfant n'a jamais ressemblé aux autres
enfants
: dès l'âge de deux mois, on s'apercevait que s
ersistance du gâtisme. L'ensemble des symptômes obser- vés chez cet
enfant
, joint à l'absence de convulsions, nous a fait
utions. II. Les accidents divers survenus successivement chez cet
enfant
(diarrhée, tuberculose, rougeole, etc.), n'ont
ies, surtout dans le développement de l'éruption, mais parce que, l'
enfant
étant surveillé à cause de sa tuberculose, il n
neville, 1884. 10 146 ' REIN UNIQUE. trouble physiologique. Or, l'
enfant
Assas..., qui fait l'objet de cette observation
version des instincts; Par Bourneville et BUDOR. La section des
enfants
de Bicêtre comprend, à côté dos idiots, des imb
, des imbéciles, des épileptiques et des hysté- riques, un groupe d'
enfants
dont l'intelligence offre un développement ordi
s, bien portante, mais très nerveuse. Cette femme a eu elle-même 11
enfants
, dont 9 sont morls : 2 du choléra, 1 de la poit
rents. Deux frères : l'un mort à 48 ans d'une pneumonie, laissant 6
enfants
en bonne santé, sans accidents nerveux. L'autre
accès de folie (il voulait se jeter dans un puits); il a eu quatre
enfants
et en a perdu 3, dont l'un de convulsions; le q
s, etc.] Pas de consanguinité (père breton, mère marseillaise). 3
enfants
: 1° Fille morte à 14 mois, de convulsions; 2°
on), naturel, sans chloroforme. A la nais- sance, pas d'asphyxie; l'
enfant
était petit mais gros. Il a été élevé au sein,
,lanourri- ce fut prise d'un accès de manie ( ? ) et ne sévra pas l'
enfant
. Coqueluche à 8 mois. S... a marché à 21 mois e
es pièces de 50 centimes (cela, d'ailleurs, lui arrivait déjà étant
enfant
, lorsqu'il faisait des commissions pour sa mère
stration de le placer dans une maison où il pourrait être traité. L'
enfant
ne m'a pas donné le temps de le re- conduire ;
te fois, que 9 jours, au bout des- quels on l'envoya à la Colonie d'
enfants
idiots et arriérés de l'asile de Vaucluse. Son
t nous faisons le certificat de sortie. (1) C'est le nom d'un des
enfants
du service. RÉSISTANCE DE LA PRÉFECTURE DE POLI
Dr Blachez, chargé par la Préfecturo do police, de l'inspection des
enfants
à Bicêtre : Paris, 17 avril 1883. Monsieur,
Dr Bourneville, et vous me demandez s'il me convient de visiter cet
enfant
. Mes attributions ne comportent aucun contrôle
chez la lettre dont nous venons de parler,nous le prévenions que l'
enfant
était en congé, mais qu'il lui serait conduit par
en juin, l'un de nous a eu l'occasion de rappeler l'affaire de cet
enfant
à M. Camescasse. Enfin, le 10 juillet, trois mo
ant trois heures. L'accouche- ment se fit à terme et fut naturel. L'
enfant
, qui ne présen- tait rien d'anormal à la naissa
mois. Vers la fin de janvier 1879, il alla en compagnie de quelques
enfants
de son âge, vagabonder et marauder aux environs
econnaître les mauvais effets de l'alcoolisme des parents sur leurs
enfants
. Pour être de connaissance moins vulgaire, l'in
PILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICRTRE PEN
Nous rappellerons que la section comprend trois groupes : 1° Les
enfants
idiots, gâteux, épileptiques. ou non, mais inva
fants idiots, gâteux, épileptiques. ou non, mais invalides ; 2° les
enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épileptiques ou n
gâteux ou non gâteux, épileptiques ou non, mais valides ; 3° les
enfants
propres, valides, imbéciles, arriérés, épilepti
ides, imbéciles, arriérés, épileptiques et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
seconde catégorie comprend des idiots tout à fait incurables et des
enfants
atteints d'épilepsie, devenus gâteux ou déments
s ne sont plus, en général, que l'objet de soins hygiéniques. II.
Enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épilepti- ques ou
gâteux, épilepti- ques ou non, mais valides. (Petite école). Ces
enfants
fréquentent la petite école confiée exclusive-
équentent la petite école confiée exclusive- ment à des femmes. 213
enfants
y ont été inscrits ClaIlS l'a.1111CC. ül' CC 11
école, 5 sont passés aux adultes, 2 ont été transférés. Sur les 184
enfants
qui restaient au 31 décembre 1890, 45 se serven
la fourchette, 48 cle la cuiller, de la fourchette et du couteau. 6
enfants
sont devenus propres (1). Tous les enfants vont
hette et du couteau. 6 enfants sont devenus propres (1). Tous les
enfants
vont à la petite gymnastique (sys- tème Pichery
s et qui étaient trop infirmes pour y prendre part. (1) Ce sont les
enfants
Boy ? Kasn ? Main ? Mazi ? Reness.. et Vivi.. p
Un seul a pu suivre les exercices de la grande gym- nastique. 27
enfants
ont été envoyés aux ateliers com- me apprentis
enseignant comprend mieux les moyens qu'ils ont à employer pour les
enfants
idiots et qui sont empruntés soit à Séguin, soi
utiles aux idiots aveugles du service. VI l'mANDE ÉCOLE. . III.
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés instabl
ou non ? Grande école. La population de cette école était de 164
enfants
au 1° janvier 1890 et de 181 au 31 décem- bre d
t de 181 au 31 décem- bre de la memeannée . Au mois d'avril, deux
enfants
Picard et Taësch ont passé avec succès l'examen
en- tion, la compréhension, etc. Nous avons fait composer par les
enfants
de notre - atelier d'imprimerie deux volumes de
our la grande école, l'autre pour la petite. La préface, dédiée aux
enfants
de Bicetre, que nous avons placée en tête du pr
que le but que nous avons poursuivi. Ce Recueil, disions-nous aux
enfants
, a été composé pour vous Nous espérons que vous
ous aider à relever la situation physique, morale et matérielle des
enfants
qui nous sont confiés. Aussi remercions-nous vi
ouvenu de ce qu'il avait constaté dans ses visites à la section des
enfants
de Bicêtre, alors qu'il était secrétaire généra
fait établir des cahiers scolaires de la façon suivante : Dès qu'un
enfant
parvient à tracer des lignes, nous ouvrons son
s deux ou trois ans, suivaut les changements qu'on observe chez l'
enfant
. La Planche I, relative à l'enfant Dars.. permet
changements qu'on observe chez l'enfant. La Planche I, relative à l'
enfant
Dars.. permet d'apprécier les avantages de cett
(Voir aussi PL. VII, VIIIet IX). - Promenades et distractions. Les
enfants
de la . (1)'Letraiteinent de l'un de nos instit
- menades aux fêtes de Gentilly, d'Ivry, d'Arcueil, etc. Tous les
enfants
sont allés au jardin d'Acclimata- tion, dont le
survenus au cours de ces promenades a été de quatre. Le nombre des
enfants
qui y ont pris part s'est élevé jusqu'à 185 à l
Mentionnons enfin les distractions diverses com- munes à tous les
enfants
valides, distractions partagées par les petites
distribution de jouets et de bonbons ; 16 janvier, distri- (1) Les
enfants
gâteux sont promenés dans les jardins et dans les
'hospice ou aux environs. (2) On a choisi deux séries composées des
enfants
les plus raisonnables. (3) Nous en demandons et
isonnables. (3) Nous en demandons et en obtenons également pour les
enfants
de lu Salpètrière. X VISITES ET CONGÉS. but
gratuite de pupazzi, par M. Darthe- nay, etc., etc. Les parents des
enfants
qui le désirent assistent aux matinées dramatiq
omenades et ces distractions, outre qu'elles font grand plaisir aux
enfants
, contribuent à leur bien- être physique et serv
une punition auxquels ils sont très sensi- bles (1). Visites. Les
enfants
ont reçu 7.494 visites. Les visiteurs ont été a
s permissions de sortie et des congés. BAINS ET HYDROTHÉRAPIE. XI
enfants
et comme ceux-ci y tiennent beaucoup, la craint
ccinations et revaccinations. Elles ont été au nombre de 13 t : 117
enfants
du service, 14 infirmiers et infirmières. Suiva
cien interne des hôpitaux, continue ses visites bi-mensuelles aux
enfants
de Bicêtre et de la Salpêtrière. Les résul- tat
t de vue de l'hygiène de la bouche et d'une meilleure dentition des
enfants
sont excel- lents. Bains et hydrothérapie. Le
bue- ront à rendre plus facile l'organisation de l'assistance des
Enfants
idiots et épileptiques, aussi bien en Fran- ce
qu'ils apportent chaque jour à l'instruction profession- nelle des
enfants
, mais encore pour la bonne direction morale qu'
sionnel. X-Y-11 rons-nous encore, de donner à un certain nombre d'
enfants
un métier qui; à leur sortie, le mettra en me-
nces le permettront. Il nous aide à dbnner à un plus grand nombre d'
enfants
le moyen d'atténuer, dans une proportion variab
Dalex (tailleur). Le tableau suivant fait voir que le nombre des.
enfants
qui profitent de l'enseignement professionnel e
pulation. Le premier janvier 1890, il restait dans le service 393
enfants
: 369 enfants idiots, imbéciles ou épileptiques,
premier janvier 1890, il restait dans le service 393 enfants : 369
enfants
idiots, imbéciles ou épileptiques, dits aliénés
ques, dits aliénés, et 24 réputés non aliénés ; sur ce chiffre 15
enfants
étaients atteints de surdi-mutité et six étaient
n au 31 décembre 1890. Il restait à cette date .dans le service 372
enfants
se décomposant ainsi : 354 enfants idiots, imbé
cette date .dans le service 372 enfants se décomposant ainsi : 354
enfants
idiots, imbéciles ou épileptiques, dits aliénés
tiques, dits aliénés et. 18 réputés non aliénés. Sur ce chiffre 5
enfants
sont affectés de surdi-mutité et 8 sont aveugle
nné des renseignements sur le projet d'achèvement de la section des
enfants
, consistant dans la construction des trois dern
lité de certains membres de ce conseil contre la nouvelle section d'
enfants
qu'ils n'ont même pas visitée. Nous ajoutions q
tion de conti- I Fig. 1. - Bâtiment à usage des dortoirs pour les
enfants
. Le rez-de-chaussée (sous-sol) est al1eceI1l1Ul""
u conservateur du musée et les water-closets et urinoirs pour les
enfants
. Plus loin, une autre grande salle abso- lument
Section II : Fondation Vallée. M. Vallée, ancien instituteur des
enfants
de l'hos- pice de Bicêtre, a légué au départeme
avait créé et fait prospérer une insti- tution importante pour les
enfants
appartenant aux familles riches, à la condition
s appartenant aux familles riches, à la condition d'y installer des
enfants
pauvres. En qualité de membre de la Commissio
t en cette qua- lité qu'il a pu assister aux essais d'éducation des
enfants
idiots faits par Edouard Seguia (du 9 novembre
retraite. Vers 1846, M. Vallée fut chargé de faire l'éducation d'un
enfant
arriéré appartenant à la famille Pour lui facil
ogressivement une réelle impor- tance et renfermait unc vingtaine d'
enfants
, lorsque, en juillet 1862, M. 0. Baetge entra c
Vallée fut obligé de reprendre la direc- tion de l'instruction des
enfants
, qui, après la guerre, réintégrèrent leur ancie
tion de la République, qu'il a quitté Gentilly pour accompagner les
enfants
dans (1) M. O. Baetge est né en Brunswick, mais
ngue expérience pédagogique. Se souvenant que c'était à l'École des
enfants
de Bicêtre qu'il devait les fondements de sa fo
e partie pour la création d'un nouvel éta- blissement en faveur des
enfants
arriérés pauvres. II. Pour qu'il y ait moyen à
r mon oeuvre en laissant un grand asile : Institution consacrée aux
enfants
idiots pauvres, choisis principalement parmi le
resse d'utiliser le tout <"1 l'usage spécial d'une institution d'
enfants
idiots pau- vres, autant que possible valides,
tution qui serait la continuation de celle que j'ai fondée pour les
enfants
de la classe aisée et que dirigent aujourd'hui
livres et ceux de mes manuscrits, qui ont trait à l'éducation des
enfants
idiots, restent acquis à la future institution.
t et unième année. En cas de prédécès soit de l'un, : soit des deux
enfants
, la rente, à la mort de ma soeur, se cons- titu
on fils Hippolyte Beaujard s'il lui survit; en cas de predeces de l'
enfant
, ladite rente, à la mort de ma nièce, se consti
petit Claude, la rente passera inaliénable à l'établis- sement des
enfants
idiots. Ces deux legs, à la charge, par mes deu
inalidlahle et affectée au fonds de dotation de l'insti- tution des
enfants
idiots. Lors du règlement de ma succes- siou, i
t d'une, soit de deux places fixes et gratuites à l'institution des
enfants
idiots, destinées à des enfants pauvres, nés à
es et gratuites à l'institution des enfants idiots, destinées à des
enfants
pauvres, nés à Cherbourg ou dans son arrondisse
ses à Gentilly, à la charge de fonder un asile-institution pour les
enfants
idiots pauvres. suscep- tibles de perfectionnem
au département, à la charge de fonder un asile-institution pour les
enfants
idiots pauvres, susceptibles de perfectionnemen
mmeuble sis à Gentilly et devant être af- fecté à une institution d'
enfants
idiots pauvres, autant que possible valides, su
. La nouvelle institution recevra gratuitement et exclusivement des
enfants
du sexe féminin dont l'état mental présentera d
nt de la Seine avec charge d'y maintenir une institution pour les
enfants
pauvres et arriérés ; que Vallée étant décédé le
arante mille francs une fois payés pour assurer la pension des deux
enfants
à la désignation de la ville de Cherbourg. Vu
e ; vu l'opposition du sieur Baetge, directeur de l'Institution des
enfants
arriérés deGentilly (Seine), vu la lettre en da
il l'oeuvre, dès le 1 ? juillet, de manière à pouvoir installer les
enfants
le 1 cr janvier 1890, « ce qui offrira, lisons-
en détail, le service des aliénés ignore même quel sera le nombre d'
enfants
qui pourront y être reçus, il n'est en mesure d
ois logements pour une surveillante et deux sous- surveillantes des
enfants
; - trois autres logements pour une sous-surveil
er dans les locaux de l'ancienne insti- tution' que quarante-quatre
enfants
(M. Baetge avait cinquante pensionnaires). Le p
e clinique ». Il nous semble difficile que le trous- seau de chaque
enfant
puisse être toujours en état si l'Asile cliniqu
en- tres d'enseignement. Que fera-t-on coudre etraccommo- der aux
enfants
si ce n'est tout d'abord leur linge de corps et
fondation Vallée, ce que fait l'asile de Vaucluse pour la colonie d'
enfants
arriérés. Mais, avant d'entrer dans cette voie,
tation actuelle. M. TRÉLAl1. J'estime qu'on ne saurait placer des
enfants
dans les bâtiments actuels sansy apporter certain
allant de la cuisine de Bicêtre à l'extrémité de la sec- tion des
enfants
la plus rapprochée de la fondation Vallée. No
tre qui sait déjà quels sont les soins qu'il convient de donner aux
enfants
et possède une instruction pédagogique spéciale
nfirmières de l'Asile clinique. M. le Président. Quelle catégorie d'
enfants
placera- t-on dans cette institution ? ' ? M.
tie du mobilier scolaire pourra être fabriquée par les ateliers des
enfants
de Bicêtre, contre rem- boursement par le Dépar
ifférentes dimensions, en harmonie avec les tailles dilférentes des
enfants
. (2) Ils devront être à lames métalliques. Or
par le Département à l'Assistance publique pour l'entretien de ces
enfants
, il convenait : 1° De laisser au médecin en che
par lui. Or, à la fondation Vallée, on tâche- ra d'y instruire des
enfants
, comme on le fait déjà à la colonie de Vaucluse
ical. Le service médical sera confié au personnel de la section des
Enfants
de Bicêtre jus- LXXX Fondation Vallée. qu'à l
Assistance publique un second interne titulaire pour la section des
enfants
de Bicêtre et d'or- ganiser un roulement entre
nces pédagogiques spéciales, indispensables pour l'enseignement des
enfants
, il est nécessaire de faire appel à l'une des s
e de faire appel à l'une des sous-surveillantes de la section des
enfants
de Bicêtre ; 2 suppléantes. 2° Pour Y enseignem
du jardin, parce qu'il serait ainsi à proximité des dortoirs des
enfants
en cas d'accident la nuit. 11 y. aurait aussi ava
e de trouver un petit vestiaire pour le dépôt des vête- ments des
enfants
à leur arrivée et pour celui des vête- ments de
à se préoccuper dès main- tenant de la création d'un asile pour les
enfants
idio- tes. La propriété léguée par M. Vallée no
su- perficie suffisante pour l'établissement d'une section de 300
enfants
. D'autre part, si cette acquisition ne peut êtr
dant la création d'un établissement' définitif pouvant recevoir 300
enfants
, il y avait lieu d'ut'i-" lisèr1 provisoirement
ard. Votre service d'Economat sera chargé de la nourriture des; ·
enfants
, de leur entretien, de leur chauffage et de leur
al de cet établissement' sera confié au personnel de la Section des
enfants
dé Bicè- tre, et, pour pouvoir établir un roule
aris et l'administration départementale, les .frais d'entretien des
enfants
de l'Institution Vallée nous seront remboursés
institution Vallée., état calculé à raison -de 2 ? ·, .20 cent, par
enfant
et par. journée de présence. ,- - ' . , Ces enf
.20 cent, par enfant et par. journée de présence. ,- - ' . , Ces
enfants
ne seront jamais admises directement. Elles pas
t vous ferez faire sans retard ces réparations par les ateliers des
enfants
de Bicétre. , ' Le mobilier ainsi inventorié,
omplémen- taire en basant vos prévisions sur unc population de 20
enfants
seulement, chiffre pour lequel, selon les instruc
l'un, les meubles qui pourront être fabriqués par les ateliers des
enfants
, et l'autre les objets mobiliers qui devront êt
de toutes ses dépenses que si l'Institution comp- tait au moins 50
enfants
; par conséquent, la Commission est d'avis qu'i
ée que le jour ou l'Institution renfermera un chiffre déter- miné d'
Enfants
, par exemple 55. M. le Directeur pense qu'il es
r pense qu'il est bien difficile de fixer à l'avance le chiffre des
enfants
qui devront se trouver à l'Institution pour qu'
ée. M. DUIIRIS : 11' fait observer que, quel que soit le nombre d'
enfants
, le dérangemeent est le même pour le médecin. M
re que l'indemnité sera payée au mé- decin le jour où le nombre des
enfants
hospitalisés à l'Insti- tution Vallée aura été
par laquelle M. le Préfet de la Seine fait savoir que le nombre des
enfants
que doit recevoir l'Institution Vallée sera por
on du service médical de l'Institution Vallée, 'lorsque le nombre d'
enfants
de l'Institution Vallée aura "été porté à un ch
e. N'ayant jamais partagé les préjugés relatifs à la séparation des
enfants
, au moins jusqu'à un certain âge, et nous fonda
t successivement tous les appareils de gymnastique ordinaires. 65
enfants
ont fréquenté l'école clans le courant de l'ann
oupant par des promenades dans le jardin et durai. lesquelles les
enfants
sont interrogés sur les plantes, les fleurs, les
s leçons aux surveillantes et aux infirmières, en même temps qu'aux
enfants
. Enseignement PROFESSIONNEL. xcv Nous n'avons
obtenus ont été très satisfaisants. Dans le courant de l'année, 10
enfants
gâteux sont devenus propres, ce sont : Car ? Dr
dirigé par Mme Lejcune, seulement le 11 décembre. Le travail des
enfants
a été évalué par M. Baron, économe de Bicêtre,
ron, économe de Bicêtre, d'après les tarifs cle cette maison. Les
enfants
travaillent une heure à l'atelier et les plus ava
a classe du soir de 3 heures 1/2 à l'heure du dîner (5 heures). Les
enfants
ont con- fectionné des bavettes, des tabliers,
promenades.' les qui travaillent d'une façon régulière. 10 autres
enfants
ont été occupées chaque jour pendant une demi-h
été occupées chaque jour pendant une demi-heure à une heure. Les
enfants
sont exercées en outre à faire leur lit; nettoy
nts ont reçu 9 î visites. Les visiteurs ont été au nombre de 1856 2
enfants
ont eu un congé d'un jour, 1 1 de deux jours, 7
jours, 31 de cinq jours et 27 de huit jours. Promenades. Tous les
enfants
valides vont en promenade deux fois par semaine
moyens d'action puissants au point de vue de la discipline, car les
enfants
y tiennent beaucoup, . Améliorations diverses.
de repassage. Infirmerie. Elle a été ouverte le 31 mars avec 1
enfant
. Par suite du petit nombre d'enfants atteintes
a été ouverte le 31 mars avec 1 enfant. Par suite du petit nombre d'
enfants
atteintes à la fois de maladies intercurrentes
nt une infirmière de nuit, et une infirmière de jour pour 1, 2, 3
enfants
au maximum, nous avons décidé avec M. Pinon, di
es filles malades dans les chambres annexées à l'infirme- rie des
enfants
de Bicêtre. Cette pratique économique n'a été l
ans le cours de 1890, c'est-à-dire que nous avons fait conduire les
enfants
dans le pavillon d'isole- ment pour les maladie
ment pour les maladies contagieuses de la section de Bi- cêtre. 8
enfants
ont été atteintes de la coqueluche; ce sont Cou
Milch... La coqueluche et la teigne ont eu pour point de départ des
enfants
venus du dehors. Bains et hydrothérapie. - Les
allation restant insuffisante, nous ne nous en servons que pour les
enfants
peu valides. Tou- tes les autres enfants sont c
us en servons que pour les enfants peu valides. Tou- tes les autres
enfants
sont conduites au service hydro- 130UItVE'ILLE.
e des bains et des douches donnés en 1890 : Travaux faits par les
enfants
DE Bicêtre. xcix et Givallois (nuit) ; de deux
mières de nuit. Énumération des travaux fournis par l'atelier des
enfants
de Bicêtre à la fondation Vallée. - En avril :
petits bancs pour l'ou- vroir ; 1 petit escabeau pour apprendre aux
enfants
à monter et sauter; 1 lit-caisse pour déposer l
endre aux enfants à monter et sauter; 1 lit-caisse pour déposer les
enfants
après leurs crises convulsives; 1 chevalet; 6 t
eau noir. En novembre : les casiers de l'ouvroir; 1 banc pour les
enfants
gâteuses au réfectoire. En décembre : 1 meuble
décembre : 1 meuble pour serrer les observations et les notes des
enfants
; 2 tables scolaires et 1 banc pour les enfants
ns et les notes des enfants ; 2 tables scolaires et 1 banc pour les
enfants
gâteuses au réfectoire. Cette énumération nou
n, économe de Bicêtre, et à nous, aidés par C Travaux faits par LES
enfants
de Bicêtre. M. Delahaye, architecte du même éta
Vallée. Elle offre aussi cet intérêt particu- lier que ce sont les
enfants
arriérés de Bicêtre qui, par leur travail, ont
t quitté son mari pour vivre avec un individu dont elle a eu deux
enfants
, sur lesquels on n'a pas de détails. Grand père
ne péritonite à la suite d'une fausse couche ; elle a laissé quatre
enfants
dont l'un, âgé de 15 ans, est atteint de chorée
e enfants dont l'un, âgé de 15 ans, est atteint de chorée. Tous ces
enfants
sont intelligents. Pas d'aliénés, etc., dans la
le. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge des parents (15 ans). 5
enfants
: 10 fille de 22 ans bien portante, intelligente,
ect d'un maillet, avec malformation du prépuce et hypospadias. (Cet
enfant
, revu en 1887, n'avait plus de tics depuis quel
mécontent de sa femme, devenait méfiant, désagréable, croyant que l'
enfant
n'était pas de lui. Elle assure qu'il n'y a pas
sixième mois, elle ressentit une autre émotion vive, à la vue d'un
enfant
, dont les doigts de pied avaient été écrasés. E
de pied avaient été écrasés. Elle avait cru que c'était l'un de ses
enfants
, qui était victime de l'accident. Depuis, elle
oigts du pied que pré- sente notre malade. Accouchement à 7 mois. L'
enfant
à la naissance était maigre. Sur le bas-ventre
faite lentement, les dents poussaient toutes noires, dit la mère. L'
enfant
a commencé à marcher à 2 ans et demi, et à parl
extraordinaire ; il était sauvage, craintif. A trois ans et demi, l'
enfant
reçut un coup de pied de cheval sur le front. I
e développer, est devenue plus difficile. Avant ce traumatisme, l'
enfant
n'avait pas eu de convulsions. Ses parents le r
it été accompagnée d'un tremblement ner- veux latéral de la tête. L'
enfant
parlait moins bien qu'à trois ans et demi, mais
and on l'injuriait, l'appelant : « vilain singe. «Pas d'onanisme. L'
enfant
est vorace, mange de tout, sans être salace ; la
longtemps, le ventre est volumineux, douloureux; fré- quemment, l'
enfant
éprouve des coliques avec diarrhée (environ une
t : Huile de foie de morue, sirop de fer, bains salés. 11 août, L'
enfant
accuse des douleurs dans la fosse iliaque droit
illant, et est perceptible en avant de l'estomac, du côté gauche. L'
enfant
tousse un peu. A l'examen de la poitrine, on tr
morue, sirop de fer. 12 mars. La diarrhée est revenue; la veille, l'
enfant
a eu trois selles liquides très abondantes. Pot
21 mars. T. R. 38°. Abattement et amaigrissement progres- sifs. L'
enfant
répond à peine aux questions. A l'auscultation,
ie et bismuth par paquets; le reste ut suprà. 30 mars. T. R. 37°. L'
enfant
est très pâle, froid. Le ventre est moins doulo
avril 1887). Face très pâle, très maigre, surtout depuis un mois. L'
enfant
est à l'infirmerie pour une tuberculose intesti
etit) : 10 à droite, 18 à gauche. Taille : lu,34. Poids : 25 k. L'
enfant
est très faible, surtout depuis un mois. Il répon
l'in- firmerie, il s'isolait dans un coin, sans parler aux au très
enfants
, ne jouant pas. Très-frileux l'hiver, il est co
rrivé à faire de petites additions orales. La mémoire est faible. L'
enfant
est docile, mais un peu irascible ; quand ses c
arrhée très abondante depuis deux jours. Appétit variable; tantôt l'
enfant
mange uu peu de viande grillée, tantôt il refus
fuse. Son ventre est moins douloureux depuis environ dix jours. L'
enfant
était très propre et demandait toujours le bass
aine de jours surtout : de temps en temps, on peut faire manger à l'
enfant
un peu d'oeufs au lait. 12 Imbécillité. 28
t 37o, 4 jusqu'au 25 avril. 25 avril. T. R.36°, 4. Soir : 36o, 8. L'
enfant
veut sans cesse se lever. Appétit capricieux. A
2 mai. T. R. 36, 8. Soir : 37°, 2. 3 mat. Légère amélioration, l'
enfant
est moins pâle, ne tousse pas, la transpiration
eu abondante. Pansement phéniqué. 12 mai. Au moment de la visite, l'
enfant
est somnolent, ne fait aucun mouvement; plaques
huitheures et demie, aucun mouvement. Lesyeuxsonttoujours fermés. L'
enfant
râle. A8h. 3/4, Mort. - T. R. un quart d'heure
34°, 8; deux heures après : 34", 8. L'amaigris- sement profond de l'
enfant
est noté par les variations de son poids. A son
quée par quelques auteurs pour rendre compte de la pro- duction d'
enfants
dégénérés. III. L'existence d'un hypospatlias,
s eux-mêmes ? Peut-être. En effet, durant sa grossesse la mère de l'
enfant
éprouva deux émotions très vives, avec troubles
ascible. Nouveau fait à l'appui de l'isolement de cette catégorie d'
enfants
dans des services spéciaux quand leur intellige
end compte de la sensation de froid donc se plaignait fréquemment l'
enfant
. Seul des viscères abdominaux, le foie était at
ette pen- dant le cours de celles-ci à des idées bizarres; elle a 5
enfants
vivants, intelligents et bien portants. Bière
germaine a eu la cho- rée de Sydenham.] Pas de consanguinité. 5
enfants
: 1» Une fille de 9 ans 1/2, scrofuleuse, aurait
a eu recours ni au forceps ni au chloroforme. - A la naissance, l'
enfant
était gros, bien constitué, sans asphyxie. Il f
ans, sans cause apparente, les accès convulsifs se modi- fièrent. L'
enfant
poussait parfois, au début, un cri étouffé; les
avant (v.le Tableau des accès,). 1886. État actuel (25 Janvier). L'
enfant
est de taille moyenne (1-02), émacié. Les cheve
lyre au sulfate de cuivre. L'état général est assez satisfaisant. L'
enfant
n'a pas- encore atteint sa puberté. La tête et
normales; elles ne contiennent ni sucre ni albumine. 7 février. L'
enfant
a gémi toute la nuit et a réclamé souvent à boi
e dans nos nombreuses ob- servations sur les maladies nerveuses des
enfants
, aboutissant à l'idiotie. 111. A partir de la
e épileptique. VIII. L'ensemble des symptômes observés chez cet
enfant
, joint à la présence d'accès convulsifs et de t
ts. dentellement, l'autre, bossu à 20 ans, est mort à 63 ans sans
enfants
, après de nombreux evces de boisson. Le 3° est
rès de nombreux evces de boisson. Le 3° est bien portant; il a eu 3
enfants
dont une fille morte à 17 ans de tuberculose pu
erculose pulmonaire. - Deux tantes paternelles en bonne santé, sans
enfants
. Deux tantes maternelles sans descen- dance. -
nelles sans descen- dance. - Un frère bien portant, ainsi que ses 4
enfants
. 3 saeurssans convulsions. Ni aliénés, ni épile
e de la Manche. Mère de la Somme). Différence d'âge 5 ans. Quatre
enfants
: notre malade; un garçon mort de mé- ningite à
long ; ni forceps, ni chloroforme. Pas d'asphyxie à la naissance L'
enfant
a été élevé au biberon par sa mère. Il n'aurait
malement. - A 6 mois on remarqua qu'il n'était pas comme les autres
enfants
, qu'il saisissait mal le biberon.- Il ne se ser
ait plus maladroit de la main droite que de : la main gauche. ' L'
enfant
n'a jamais eu de. maladies infectieuses, de lésio
9 il a été placé-, à la campagne. ' : Etat actuel (13 juin 1889).
Enfant
de taille moyenne (1 mètre 17),. pesant 16k. 60
embres inférieurs est insignifiante. Au point de vue fonctionnel, l'
enfant
est maladroit de ses mem- bres supérieurs. Les
troubles fonctionnels sont les mêmes qu'aux membres supé- rieurs. L'
enfant
marche difficilement. Les mouvements sont lents
surtout très accusé dans la famille maternelle et chez la mère de l'
enfant
. II. Les troubles mentaux et physiques, dont no
avoir remarqué, à 6 mois, que son fils n'étaitpas comme les autres
enfants
, qu'il se servaitmal de ses bras. La marche sur
qui s'observent du côté .des membres sont plus marqués à droite. L'
enfant
est gâteux, il bave continuellement et présente
de cas de diphtérie dans le service depuis au moins trois mois et l'
enfant
n'était pas sorti de la section (1). V. L'autop
vie et ont été un obstacle sérieux au développement men- tal de l'
enfant
. Ici, au contraire, les phénomènes convul- sifs
Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par la mère de l'
enfant
). - Père, 38 ans, surveillant à Mazas, grand, f
uinité. Inéga- lité d'âge d'un an. 42 Antécédents. La mère de l'
enfant
s'est mariée deux fois. D'un premier mari elle
ariée deux fois. D'un premier mari elle a eu 6 fausses couches et 2
enfants
; l'un, de ceux-ci est mort à 5 mois de convulsi
genou. De son deuxième mari, le père de notre malade, elle a eu 5
enfants
et une fausse couche grossesse môlaire ; - Notr
chloroforme. Pas d'asphyxie à la naissance : c'était un gros et bel
enfant
. Il a été élevé au sein par sa mère et s'est dé
complètement gâteux. Au mois d'avril on le conduit à l'hôpital des
Enfants
mala- des. Il avait alors une faiblesse des jam
e ses parents le placent à Bicêtre (19 mai 1888). , ,. Etat actuel.
Enfant
de taille moyenne (l'"16). d'aspect chétif, ass
rieur siège sur la ligne médiane. Léger duvet au niveau du pénil. L'
enfant
ne présente pas de trou- bles de la parole. Il
n'y a pas de perte de connaissance, pas de miction involontaire. L'
enfant
répond aux questions. Ces symptômes, dont la du
urs a été en augmentant. La marche est de plus en plus hésitante, l'
enfant
ne peut plus se tenir debout sans appui. Le reg
peu vague, l'acuité visuelle diminue progressivement. 23 mars. L'
enfant
présente un certain degré de raideur à la nuque
se lais- se retomber aussitôt, lorsqu'on l'a soulevé. 15 mari. L'
enfant
est toujours plus faible; quand on l'assied la
ié. En septembre il parait se produire une légère amélioration. L'
enfant
tient sa tète plus droite, il se soulève un peu a
paratif des mensurations de la tête en 1889 et en 1890. Bien que l'
enfant
fut âgé de 12 ans, les sutures fronto- pariétal
rier 1890. ' Antécédents (Renseignements fournis par la mère de l'
enfant
). Père, facteur, mort à 39 ans de tuberculose p
, toujours bien portante ; elle s'est mariée deux fois, elle a eu 2
enfants
du lit et4 du second. [Père, mort avec toute so
l'enfance; aujourd'huibien portante et intelligente. La mère de l'
enfant
a eu, de son côté, d'un premier lit 2 enfants :
igente. La mère de l'enfant a eu, de son côté, d'un premier lit 2
enfants
: Un garçon de 14 ans un peu délicat mais intelli
emi bien portante et intelligente. Les parents du malade ont eu 4
enfants
: 1° Un garçon mort à deux mois de convulsions;
gros- sesse. L'accouchement eut lieu à terme, sans difficultés. L'
enfant
était cyanose à la naissance; et la sage-femme fu
ption dû malade. mation trico1'l.oâphalique de la tête (Fig. 5) . L'
enfant
ftit élevé au sein par sa mère jusqu'à 6 mois p
catarrhales qui n'ont d'ailleurs pas laissé de traces. Etat actuel.
Enfant
de taille moyenne (96 centim.), d'aspect chétif
lais, de l'isthme pharyngien. Le goût ne semble pas différentié : l'
enfant
ne distingue pas la saveur du sucre de celle du
xions. I. Le père et la mère se sont mariés chacun deux fois. Les
enfants
du premier lit de la mère n'ayant pas eu de con
cement, l'habitude de se frapper et de se cogner la tête qu'avait l'
enfant
; les accès de colère et de cris, la brièveté du
es crises épileptiques à 2 ans. -Pieds-bots équins survenus quand l'
enfant
acommencé à marclier, -Gâtisme complet à l'entr
on ne sait do quoi, était bossue; l'autre est bien por- tante, sans
enfants
. Grand'mère maternelle, âgée de 90 ans, jouissa
- dents nerveux. Deux scet4l·.e, bien portantes, non mariées sans
enfants
; une 3° est morte à 15 jours d'une bronchite. Gr
s, etc. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 8 ans.. Quatre
enfants
: 1° Notre malade ; 2° Garçon mort à 3 ans d'un
ui se manifestèrent chaque jour et furent très violentes. Parfois l'
enfant
restait sans connaissance pendant longtemps. On
sait mal quand il se masturbait. Il n'a jamais eu de kleptomanie. L'
enfant
n'est pas sorti pendant les IS derniers mois qu
us mal et ses pieds s'étaient retournés davantage. 1880. 26 juin. L'
enfant
ne parle pas : il suce ses doigts, et se balanc
it. Poids : 18 kgr. 700; Taille : lm 10. Du août au 17 septembre, l'
enfant
a été soumis àdes inhala- tions d'Iodure d'étyl
31 juillet. Poids : 20 kgr. 800. Taille : 1 il, 11. 5 septembre. L'
enfant
reste à l'infirmerie jusqu'au 20 sep- tembre po
pour une entérite. 1882. 12 juin. -Poids. 21 kgr. Taille : 1" 17. L'
enfant
continue à ne plus gâter. Il a appris à se serv
déjetée à droite. La percus- sion à ce niveau parait douloureuse. L'
enfant
marche avec difficulté, comme s'il souffrait, i
ont peu prononcés, ils prédominent un peu à gauche. - Traitement. L'
enfant
prend des douches depuis 5 ou 6 jours et une de
té par les omoplates. Sa longueur totale mesure 14 centimètres. L'
enfant
se plaint de douleurs dans le dos. Toux sèche et
mencé à se ma- nifester pendant la nuit. 27 Le malaise a cessé. L'
enfant
paraît reprendre un peu. 22 juillet. L'enfant e
Le malaise a cessé. L'enfant paraît reprendre un peu. 22 juillet. L'
enfant
est faible, il ne peut môme pas se tenir assis
éseau veineux abdo- minal est légèrement développé. 5 décembre. L'
enfant
est très gai on le fait lever et marcher sur un
ids : 13 k. 50; taille : 1 m. 17. 17 juin. L'avant-dernière nuit, l'
enfant
a -eu 4 accès ; hier, deux accès suivis d'abatt
ère d'hérédité, il ne se produit pas toujours des mélanges, que les
enfants
ne tiennent pas un peu de leur (1) Isch 'Wall.
ualités ou des tares de chacun des parents, pris isolément, à leurs
enfants
. On est, en effet, souvent troublé en lisant le
é en lisant les observations lors- qu'on voit dans une famille clés
enfants
bien portants à côté d'idiots, d'épileptiques,
rative des familles par une alliance bien choisie; dans ces cas les
enfants
sont sains ou dégénérés mais rarement moins dég
moins que le générateur malade n'ait, avant la conception de son
enfant
, modifié son état général par une hygiè- ne app
ar un tournoiement rapide de la tête, par des coups de poings que l'
enfant
se donne sur le front, des coups de tête sur le
re arrivée dans le service, qu'on s'est occupé du traitement de cet
enfant
. La même année les accès d'épilepsie diminuent
al cle Pott s'ag'ra- vant, la tuberculose faisant des progrès, et l'
enfant
restant au lit, les accès redeviennent nombreux
t à s'effacer. Il s'en suit que sur ces crânes, appartenant à des
enfants
dont l'idiotie était due à des lésions diverses,
soeur est morte de la poitrine à 33 ans]. Pas de consanguinité. 7
enfants
: 1° un garçon, 31 ans, sujet à des migraines, a
. 7 enfants : 1° un garçon, 31 ans, sujet à des migraines, a deux
enfants
bien portants; 2° notre malade, 3° une fille 23
le frère de père de sa mère, migraineuse et rhumatisante, n'a pas d'
enfant
; 4° une fille, 20 ans. ma- lade depuis trois a
is de sa grossesse, la mère aurait eu une très grande frayeur et, l'
enfant
« aurait fait comme un bond ». Accouchement à t
nt « aurait fait comme un bond ». Accouchement à terme, facile. - L'
enfant
fut mis en nourrice et élevé au sein jusqu'à 2
au point de vue des antécédents.] , . Pas de consanguinité. ' 3
enfants
: 1° une fille morte en nourrice à quelques mois
la suite d'un accident de voi- ture. L'accouchement se lit bien, l'
enfant
fut mis en nourrice. Il fut bien portant jusqu'
. Les accès revenaient tous les 3 ou Ir mois. Il aurait eu, étant
enfant
, la varioloïde et la scarlaLitie.11 est allé à l'
ces renseignements nous ont été fournis par le malade qui est un
enfant
naturel et n'a connu que sa mère). -Mère : morte
on serait vite contredit par les cas assez nombrenx où plusieurs
enfants
microcéphales naissent conjoin- tement avec d'a
sieurs enfants microcéphales naissent conjoin- tement avec d'autres
enfants
normaux du même couple (1). » M. Ducatte en f
ulière de nains ne H8 Microcéphalie. dépassant pas la taille d'un
enfant
de dix ans. Eder ? dont l'observation a été pub
éphales : « De parents normalement constitués naissent, dit-il, des
enfants
viables, vivant assez longtemps, capables sans
son frère, et de la Paria indoue, de Schort, qui eut paraît-il, un
enfant
mort-né. « Peut-être, ajoute- t-il, ce fait est
se masturbe et a même tenté plusieurs fois de sodomiser d'autres
enfants
(1). Arnou.. a des organes génitaux de développ
- gnements. Deux oncles maternels bien portants de même que leurs
enfants
. Une tante maternelle morte on ne sait de quoi,
leurs enfants. Une tante maternelle morte on ne sait de quoi, sans
enfants
. Trois frères et une soeur, sans acci- dents ne
is frères et une soeur, sans acci- dents nerveux non plus que leurs
enfants
. Pas d'aliénés, d'idiots, d'épileptiques, de di
luxion de poitrine, sans accidents nerveux ni chez lui, ni chez ses
enfants
. Deux tantes paternelles mortes : l'une à la su
rosseur de l'anus» ; pas d'accidents nerveux chez elle, ni chez ses
enfants
. Deux frères et une soeur en bonne santé et san
une soeur en bonne santé et sans accidents nerveux, ainsi que leurs
enfants
. Pas d'aliénés, etc., etc.] Pas de consanguinit
son cri, au dire des parents, ne ressemblait pas à celui des autres
enfants
; il était« aigre ». Elevé au sein par sa mère
ant trois jours, à peu près dans les mêmes conditions. A la suite l'
enfant
est resté malade durant plusieurs semaines; il
caments. Le tout a duré environ un mois. Avant les convulsions, l'
enfant
était toujours très constipé. Des périodes de c
on.» Il ne riait pas, n'essayait pas de gazouiller comme les autres
enfants
: quand les con- vulsions l'ont pris, il était
tournés ; les jambes plus faibles qu'auparavant et au même degré. L'
enfant
grinçait parfois des dents ; il avait un balanc
ne voit pas de loin. Le sommeil est bon; vers huit ans seulement l'
enfant
a poussé des cris la nuit, durant. deux semaine
uvait quelquefois, la nuit, les mains sur les organes génitaux. L'
enfant
est entré à l'Asile clinique (Sainte-Anne), le 21
adord il paraît exister un pied-bot, ce qui doit tenir à ce que l'
enfant
est resté presque constamment couché. Les orteils
cas de croup dans leur maison ou parmi les gens avec lesquels leur
enfant
avait pu être en contact, c'est donc probableme
sert aux transports des malades du Dépôt à l'Asile clinique que cet
enfant
a contracté sa maladie. La note de l'infirmière
e, petite, croupalc, un peu aboyante; la respiration est gênée. L'
enfant
ne sait pas cracher et déglutit les mucosités que
ion pénible, s'accompagne d'un tirage peu prononcé. Il semblé que l'
enfant
n'a pas la force de lutter contre l'asphyxie. La
quel àge » ; les trois autres sont bien portantes de même que leurs
enfants
. Pas de diffor- mes, de paralytiques, d'aliénés
para- lytique général. Deux soeurs bien portantes ainsi que leurs
enfants
. Une soeur morte hvdropique à quarante-deux ans.
as d'épileptiques, etc.] Pas de consanguinité.- Égalité d'âge. Neuf
enfants
: 1° Garçon mort à trois mois, d'une « inflam-
duquel son mari est allé chez le commissaire. Elle prétend que son
enfant
est ef- frayé à la vue des chiens. accouchement
ladies; pas de dar- tres. Il aurait eu beaucoup de petits vers. Cet
enfant
n'a jamais été mis à l'école, parce qu'il gâtai
ure qu'elle et son mari étaient très réservés). Pas d'onanisme. Cet
enfant
est affectueux pour ses parents, qu'il reconnaî
camarades, comme il n'a pas été le plus fort, Il a frappé plusieurs
enfants
plus petits et dit des injures à tout le monde;
ien, et comme on s'est interposé il a jeté le lait à la figure de l'
enfant
. Alors a eu lieu une rixe entre les deux enfant
it à la figure de l'enfant. Alors a eu lieu une rixe entre les deux
enfants
et lui. Sa colère s'est accrue. Il a inju- rié
encore des accès d'excitation pendant lesquels il frappe les autres
enfants
, refuse de faire ce qu'on lui ordonne, dit qu'il
l'atelier. Il se plaint de son patron qui n'empêche pas les autres
enfants
de se mo- quer de lui. 1886. Jan., n'a pas ét
jours Jan. s'ingénie à sortir sa verge et à la montrer aux autres
enfants
et aux infirmières : il la tourne comme la mani-
s, à elle, est morte à 63 ans d'une bronchite aiguë et son huitième
enfant
est mort d'une bronchite chronique sans hémopty
s. Antécédents (Renseignements fournis par la mère en juin 1885).
Enfant
naturel. Père environ trente ans, domesti- que
maladie nerveuse, etc. Aucun détail sur sa famille; il est lui-même
enfant
naturel. « Sa mère n'avait pas beaucoup d'espri
O.- Un oncle bien portant, sans antécédents nerveux ainsi que ses
enfants
. Une faute, migraineuse, qui a élevé l'enfant et
erveux ainsi que ses enfants. Une faute, migraineuse, qui a élevé l'
enfant
et l'aurait battu. Sept frères ou soeto's : qua
terme, rapide,. sans chloroforme. A la naissance pas d'asphyxie ; l'
enfant
a crié tout de suite, il était « tout petit, to
'elle était trop jeune et qu'ils étaient tous deux sans fortune.) L'
enfant
a été élevé au biberon par sa -raiicl'taiite ma
is (1) On peut attribuer ces habitudes au 1011 : : < séjour de l'
enfant
A la campa- gne ou il voyait eh.t;ne jour des a
e. 155 en garde chez son concierge ; celui-ci était cordonnier et l'
enfant
l'imitait. Une nuit la sonnette électrique l'ay
artie antérieure du crâne, de la largeur d'une pièce de 2 francs. L'
enfant
est envoyé au pavillon d'isolement, . Novembr
eux tantes maternels bien portants, ainsi que trois frères et leurs
enfants
. Pas de consanguinité. Différence d'âge entre l
é. Différence d'âge entre le père et la mère, quatorze ans. Un seul
enfant
et deux fausses couches. Notre malade. A la con
s naturel et sans chloro- forme. A. la naissance, pas d'asphyxie, l'
enfant
a crié de suite. Élevé au sein jusqu'à quatorze
prolapsus rectal. « Il a commencé à parler aussitôt que les autres
enfants
, mais il n'a pas fait de progrès ». Première de
râne; l'our- let est à peine marqué ; le lobule est bien détaché. L'
enfant
porte la tête un peu relevée et inclinée du côt
développé. Goût : quand on met de la coloquinte sur la langue de l'
enfant
, il dit que c'est agréable tout eu faisant une
c'est agréable tout eu faisant une grimace. Ouïe et vue bonnes ; l'
enfant
ne connaît pas les couleurs par leur nom. Poids
er, se déshabiller seul; sa tenue est assez bonne. Pas de tics. L'
enfant
a la manie de ramasser les bouts de cigarettes,
l est affectueux et reconnaît ses parents. Traitement : exercer l'
enfant
à se tenir debout et à marcher ; le placer sur
idents aient entravé le traitement, déjà nous avons obtenu chez cet
enfant
une amélioration encore peu pronon- cée, mais i
ès les premières années de la vie, que nous sommes persuadé que l'
enfant
Maz... (Obs. V) fera sous tous les rapports, de
photographiesàl'appui, recueillies depuis 1883 dans le service des
enfants
idiots et épileptiques de Bicêtre, et en tirer
rd. Dans le premier, la maladie est certainement congé- nitale. L'
enfant
était idiot dès sa naissance et l'a toujours ét
; . 169 communiquent avec le ventricule latéral de chaque côté. L'
enfant
était un idiot complet, sans complication d'épi
epsie non plus que le premier. La troisième observation concerne un
enfant
hémi- plégique, idiot et non épileptique, sur l
comme le précédent presque tout le territoire de la syl- vienne. L'
enfant
qui en était porteur était atteint d'im- bécill
e-trois ans. Grand' mère paternelle, morte très âgée d'usure » ; 13
enfants
. Grand père paternel, forgeron, mort à soixante
e. - 3 sa urs, très bien portantes, sans attaques de nerfs, ont des
enfants
en bonne santé. Cou- sine germaine, 5 ou 6 accè
e, n'a marché qu'à trois ans; boiteux de naissance; a cependant des
enfants
intelli- gents. - Pas d'épileptiques, etc., dan
famille.] 1 Pas de consanguinité. Inégalité d'àge de huit ans. Un
enfant
, notre malade, et une fausse couche à deux mois.
u'à trois mois, puis au biberon. Jamais il n'a été comme les autres
enfants
; il laissait pencher sa tète, il ne fixait rie
ependant il était jaloux, pleurait quand sa mère caressait un autre
enfant
. Il n'a jamais parlé ni marché et a toujours ét
à terme. Pas de contractures. Impossibilité de la station assise. L'
enfant
ne se tient pas sur ses jambes et ne porte rien
6 septembre. Eruption varioliformc, guérie le 10. 29 décembre. - L'
enfant
est pris de fièvre. Il refuse de manger. Dyspné
se et maigreur croissantes. Eschai'es trochantériennes et sacrée. L'
enfant
meurt le 16 janvier. Autopsie le 18 janvier. Co
s antécédents héré- ditaires ni personnels du malade. 27 mai. - L'
enfant
, hémiplégique à droite, ne marche pas, ne parle
nds. Sensibilités générale et spéciale normales. 1886. Ma ? 's. L'
enfant
dépérit de plus en plus. Le ventre est énorme.
entre est énorme. Erythème généralisé du côté gauche sur lequel l'
enfant
repose. 17 mai. - L'enfant meurt de cachexie pr
généralisé du côté gauche sur lequel l'enfant repose. 17 mai. - L'
enfant
meurt de cachexie progressive. Autopsie le 18 m
ai. - L'enfant meurt de cachexie progressive. Autopsie le 18 mai. L'
enfant
est extrêmement amaigri. - Les genoux, très sai
nerveux héréditaires dans la famille.] Pas de consanguinité. Douze
enfants
: 1" une fille morte à neuf mois, de convul- si
n portant; 7° une fille, vingt-cinq ans, intelligente ainsi que ses
enfants
; 8° un garçon, bien portant; 9° une fille, dix-
H. 37". (i. G mars. T. R. 37", G. Soir : T. R. 37", 6. 7 mars. L'
enfant
est guéri, sauf encore un peu de para- lysie, e
preinte des dents, Traitement : vomitif et purgatif. 16 juin. - L'
enfant
a eu 10 accès. il juin. 8 accès dans la nuit. C
nd trochanter droit. l'as de selles depuis deux jours. 18 juin. L'
enfant
a encore eu des vertiges. T. R. 30°. Gâ- tisme.
tites escha- res trochantérienncs des deux côtés. l'as d'appétit. L'
enfant
n'a pas eu d'accès hier ni aujourd'hui. - Soin
idiots, d'épileptiques ou de syphiliti- dues. S. G... et le sixième
enfant
. Ses cinq frères ou soeurs sont bien constitués
dues à la dentition. Les parents s'aperçurent graduelle; ment que l'
enfant
avait quelque chose d'étrange, mais ils con- na
Pas de consanguinité. Ils sont mariés depuis 23 ans et ont eu 11
enfants
. Tous les accouchements ont été naturels et à t
ableau ci-après indique l'ordre de naissance, le sexe et l'âge des.
enfants
. Un désigne ceux d'entre eux qui sont malades.
points de vue. Il y a une ressemblance si grande entre tous les
enfants
malades que l'auteur se borne à décrire avec dé
n° 3 et ne relève que les différences en ce qui concerne les autres
enfants
. « Là où il ne sera pas signalé de particularit
n de poids ». L'intelligence qui avait été semblable à celle d'un
enfant
ordinaire de son âge devint inerte et s'épaissit.
ntellectuel s'accentua parallèlement aux changements corporels et l'
enfant
, qui avait toujours été très sensible au froid,
ture buccale est de 3Go,l. Les facultés mentales sont celles d'un
enfant
arriéré de 5 ans. Ses actes, ses idées, sont ca
le à celle d'un commerçant. Elle lit des historiettes à l'usage des
enfants
. Son caractère est doux. Elle parle peu et avec
Stirling.) « E ? âgé de 17 ans 3 mois (n° 4 du tableau), était une
enfant
d'une beauté remarquable et d'une bonne santé j
ractère tranquille. Torpeur. Le niveau intellectuel est plus bas; l'
enfant
ne sait ni lire ni écrire. T. 36°, 1. L'auteu
, mollets gros et fermes, lordose, ventre volumineux, T. 360,1. L'
enfant
ressemble à une arriérée de 4 à 5 ans. Elle lit d
aractère tran- quille et doux. Elle parle en jouant avec les autres
enfants
. Tendance marquée à se coucher au soleil ou à s
s. Planche. I. Les quatre figures de cette planche représentent l'
enfant
d'Ars ? (Observation, p. 33). , Fig. 1. ? D.r
0 ; il est devenu propre et a été mis en pantalon. Fig. 3 et 4. L'
enfant
est représenté nu afin de donner une idée exact
ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE DES ÉPILEPTIQUES ET DES
ENFANTS
IDIOTS ET ARRIÉRÉS DE BICÊTRE PENDANT L'ANNÉE 1
. Statistique. La nouvelle section. Séparation des adultes et des
enfants
. BOURNEVILLE. 4856. PREMIÈRE PARTIE Histoir
me les années pré- cédentes : 1° les épileptiques adultes ;- 2° les
enfants
atteints de maladies nerveuses. Les premiers se
t internés par les soins de l'Assistance publique. Les seconds, les
enfants
, comprennent trois catégo- ries principales : 1
s, les enfants, comprennent trois catégo- ries principales : 1° les
enfants
idiots, gâteux, épi- leptiques ou non, mais inv
fants idiots, gâteux, épi- leptiques ou non, mais invalides; 2° les
enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épileptiques ou n
ts, gâteux ou non gâteux, épileptiques ou non, mais valides; 3° les
enfants
propres, valides, im- béciles, arriérés, épilep
GATEUX INVALIDES. aux épileptiques adultes et à leur séparation des
enfants
, nous y reviendrons plus loin (p. lLIV), nous a
ts relatifs au fonctionnement de la partie du service consacrée aux
enfants
. Ils ont occupé et occuperont encore : 1° deux
â- timent des gâteux (80 lits); c) l'infirmerie (24 lits). I. Les
enfants
de la première catégorie se subdivi- sent en de
catégorie se subdivi- sent en deux groupes : le premier, composé d'
enfants
gâteux invalides, dont la plupart sont suscepti
lides, dont la plupart sont susceptibles d'amélioration; l'autre, d'
enfants
tout à fait incurables ou d'enfants atteints d'
es d'amélioration; l'autre, d'enfants tout à fait incurables ou d'
enfants
atteints d'épilepsie ou de méningo-encé- phalit
ur manger, etc. Au 31 décembre 1886, il y avait dans ce groupe 16
enfants
ne marchant pas du tout et 4 enfants commençant
, il y avait dans ce groupe 16 enfants ne marchant pas du tout et 4
enfants
commençant à marcher avec le secours d'un aide.
commençant à marcher avec le secours d'un aide. Aus- sitôt que ces
enfants
marchent seuls ils sont envoyés à la petite éco
es enfants marchent seuls ils sont envoyés à la petite école. Les
enfants
idiots, gâteux invalides, en dehors des instant
és sur les côtés et agencés, pour le reste, comme les anciens. IL
Enfants
idiots, gâteux ou non, épileptiques ou non, val
IL Enfants idiots, gâteux ou non, épileptiques ou non, valides.-Ces
enfants
fréquentent la petite école, confiée exclusivem
41 se servent de la cuillère, de la four- chette et du couteau. 8
enfants
suivent les exercices de la grande gym- nastiqu
nastique ; 142 les exercices de la gymnastique Pi- chery ; trois
enfants
gâteux sont devenus tout à fait pro- pres ; un
nts gâteux sont devenus tout à fait pro- pres ; un certain nombre d'
enfants
sont améliorés sous ce rapport, sans pouvoir en
s. Ces différents objets per- mettent en même temps d'enseigner aux
enfants
à faire la différence entre le degré d'épaisseu
s objets ; un escabeau de 5 marches, ayant pour but d'apprendre aux
enfants
à monter les escaliers et à sauter, etc. Sept e
apprendre aux enfants à monter les escaliers et à sauter, etc. Sept
enfants
de la petite école sont ap- prentis tailleurs e
hiffres, les chiffres pairs en rouge, les in- pairs en noir. III.
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés, instab
é, sur notre demande, nommé professeur de gymnastique à l'Ecole des
enfants
de Bicêtre et les leçons, qui n'avaient lieu qu
té reçu. PROMENADES ET DISTRACTIONS. VU se borne à surveiller les
enfants
, à prendre soin d'eux dans leurs accès, à les n
s par semaine au concert dirigé par M. Peny, le maître de chant des
enfants
; qu'une partie des adultes, beaucoup plus restr
voulu (19 à 28) ont suivi les leçons de l'un des instituteurs des
enfants
, qui vient faire l'école pendant une heure, cin
ue dont nous avons parlé dans nos précé- dents comptes rendus. b)
Enfants
. Les enfants de la grande école et ceux de la p
avons parlé dans nos précé- dents comptes rendus. b) Enfants. Les
enfants
de la grande école et ceux de la petite école,
ance qu'ils mettent chaque année à nous donner des cartes prour les
enfants
de Bicêtre et de la Salpe- trière. VISITES, P
ré- flexion s'applique également aux promenades des adultes. c)
Enfants
de la petite école. Tous les idiots va- lides e
(1). Citons enfin les distractions diverses, communes à tous les
enfants
valides : distribution de jouets (Ier jan- vier
sortie, congés. Les ma- lades adultes ont reçu 2.966 visites et les
enfants
7.139,. Les visiteurs ont été au nombre de 12.0
cien interne des hôpitaux, continue ses visites bi-mensuelles aux
enfants
de Bicêtre et de la Salpêtrière. Les résul- tat
Bains et hydrothérapie. Les bains et les douches ont été donnés aux
enfants
dans le nouveau service et dans l'ancienne sect
.646 bains et 3G-888 douches, sans compter 5.847 bains do pieds aux
enfants
(1). Le traitement hydrothérapique, seul ou com
exemple, 102, 146 et 165 douches aux adultes ; 161, 127 et 155 aux
enfants
(2). Visites du service. En 1886, la nouvelle s
maîtres pleins d'attention et de sollicitude pour leurs élèves. Les
enfants
alternent les travaux manuels avec ceux de l'éc
diquant les noms vulgaires ou scientifiques de cha- que plante. Les
enfants
sont promenés tous les jours dans ces jardins,
des teigneux en contient 7 ou 8. Il y a une salle spéciale pour les
enfants
gâteux malades : la plupart d'entre eux sont id
auss, conseiller mu- nicipal et M. Brueyre, chef de la division des
enfants
assistés, sont venus revoir la section et provo
ec 1-. chef de service, qui aurait pu redresser quelques erreurs.
ENFANTS
PERVERS ET INDISCIPLINÉS. XV physique, moral et
cette catégorie d'en- fants que, administrativement, on appelle les
enfants
indisciplinés et qui, pour quelques médecins et
indisciplinés et qui, pour quelques médecins et pour nous, sont des
enfants
malades, atteints de lésions ner- veuses plus o
sifs, etc. Nous avons montre à MM. Strauss et Brueyre plu- sieurs
enfants
de 13 à 18 ans, qu'ils ont interrogés. « Mais,
e 13 à 18 ans, qu'ils ont interrogés. « Mais, nous ont-ils dit, ces
enfants
ne sont pas des idiots, ils sont intelligents,
'homicide, de suicide, etc., etc. Tous ces phénomènes qui, chez ces
enfants
, sont sans aucune complication, se voient sur d
ces enfants, sont sans aucune complication, se voient sur d'autres
enfants
joints, soit à l'idiotie ou à l'imbécillité, so
de la première catégorie, a fait remarquer M. Brueyre, ce sont nos
enfants
de Porquerolles. » Oui, avons-nous répondu. Mai
un juge d'ins- truction habile et bienveillant qui a vu on eux des
enfants
malades plutôt -que des criminels. Ce sont vos
u on eux des enfants malades plutôt -que des criminels. Ce sont vos
enfants
de Porquerolles, dites-vous. Oui ; et ce sont d
de Porquerolles, dites-vous. Oui ; et ce sont des malades et vos
enfants
de Porquerolles sont, comme eux, des malades da
z- leur histoire, comme nous, ayons recueilli- celle de- nos- XVI
ENFANTS
PERVERS ET INDISCIPLINES. malades, scrutez leur
it posée : quels sont les moyens à employer pour la réformation des
enfants
de ce genre, désignés sous le nom d'indisciplin
cu de la possibilité du redressement moral et intellectuel de ces
enfants
; payez-le convenablement et laissez-lui la plus
tre ; -, multipliez les promenades, les distractions; occupez les
enfants
sans cesse depuis le matin jusqu' 'au soir ; su
guère. Mais, nous ont fait remarquer MM. Strauss et Brueyre, ces
enfants
commettent quelquefois des actes qu'on ne peut
de sortie, des congés, enfin la cellule. Mais, chaque fois que l'
enfant
montre quelque repentir, si son actif n'est pas
tion est supprimée en partie ou en totalité et, le len- demain, les
enfants
viennent renouveler leur promesse devant nous.
issement de réformes qu'il s'agit de fonder. Diphthérie. L'un des
enfants
, dont on trouvera plus loin l'observation (p. 1
ie. Il a succombé le J 6 juin. Quelques jours plus tard, un autre
enfant
, Corb..., a été pris du croup et a succombé. Les
nné 1.747 fr. de plus que l'année 1885. L'évaluation du travail des
enfants
est faite par l'ins- pecteur du service d'archi
bien autrement supérieur. Il permet de donner à un certain nombre d'
enfants
un métier qui, à leur sortie, les mettra en mes
tances le permettront. Il permet de donner à un plus grand nombre d'
enfants
le moyen d'atténuer, dans une proportion variab
ous devons ajouter qu'aujourd'hui l'habillement et la chaussure des
enfants
, bien qu'ils laissent beaucoup à désirer, ont é
e dans la section. Le tableau suivant fait voir que le nombre des
enfants
qui profitent de cet enseignement est allé en p
ssures, outre que l'enseigne- ment professionnel sera meilleur, les
enfants
auront des vêtements confectionnés exprès pour
adultes épileptiques (79 aliénés et 71 réputés non aliénés) et 253
enfants
(épileptiques, hystériques, idiots, arriérés, i
e en deux : l'un comprenant les adultes épileptiques, l'autre les
enfants
de toute catégorie. Cette sépara- tion n'ayant
llard, suppléante ;-3° pour le service hospitalier : a) service des
enfants
: de M. Agnus, surveillant; de M. Petit, sous s
oir que l'année 1886 ne se terminerait pas sans voir la section des
enfants
, pour- vue des deux derniers organes qui lui so
es autres constructions, mais cependant à proximité du bâtiment des
enfants
gâteux in- valides et déments épileptiques, ain
réfectoire, mi-partie comme école et comme préau couvert pour les
enfants
teigneux. Le service des malades, qui, par suit
ATIONS DIVERSES DANS L'ANCIENNE SECTION DES ADULTES.-SÉPARATION DES
ENFANTS
ET DES ADULTES. Nous avons vu plus haut que nou
haut que nous avions espéré voir séparer la 3e section, composée d'
enfants
et d'adultes, en deux sections pour le commence
ifficulté, aux obligations du service et profité du trans- fert des
enfants
dans la nouvelle section pour faire réa- liser
, puis le chauffoir et un dortoir. Nous avons profité de ce que les
enfants
abandonnaient le 1er étage : 1° pour faire desc
itements des épileptiques. La salle qui servait de réfectoire des
enfants
a été transformée on réfectoire pour les adulte
s correspondant chacune à un esca- lier (2). L'ancienne école des
enfants
a été nettoyée, repeinte (t) Compte rendu pour
e propreté pour les déments gâteux, analogue à celui du service des
enfants
gâteux. On pourrait aussi donner comme préau à
ailleurs durant le mois d'août : XLIV SÉPARATION DES ADULTES ET DES
ENFANTS
. Ces résultats remarquables montrent dans quell
des adultes, l'adjonction de dif- férents meubles fabriqués par les
enfants
(buffet pour le réfectoire, casier pour les obs
vons fait pour obtenir la séparation des épileptiques adultes des
enfants
et partant la création d'une nouvelle place de
pourvu 'd'une école et d'ateliers. SÉPARATION DES ADULTES ET DES
ENFANTS
. XLV des malades pouvant être renvoyés prochain
la troisième section confiée à ses soins (Epi- leptiques adultes et
enfants
), M. le Dr Bourneville rappelle que la construc
ont décidé, par des votes réitérés (1) que, lorsque la section dos
enfants
serait édifiée, il y aurait lieu de la confier
ont fait préva- loir cette opinion. SÉPARATION DES ADULTES ET DES
ENFANTS
. XLVII de constater que la distance qui sépare
a distance qui sépare les bâtiments des adultes de l'infirmerie dos
enfants
, la multiplicité des occupa- tions imposées au
ltiplicité des occupa- tions imposées au médecin par le service des
enfants
; enfin, ce fait que M. le D1' Bourneville a 46
rbal, 1886, 22 juillet, p. 11. XLVIII SÉPARATION DES ADULTES ET DES
ENFANTS
. avant même que sa nomination ne fut signée) (1
hypertrophie de la glande thyroïde ou des ganglions lymphatiques. L'
enfant
, âgée de dix ans, était née à Lancashire ; elle
cou et la glande thyroïde ne pouvait être trouvée à la palpation. L'
enfant
ne marchait que très peu et ne pouvait aller de
l'assis- tance d'une autre personne. La parole était nulle, mais l'
enfant
reconnaissait ses parents et manifestait quelqu
cervicaux. -.Absence de glande thyroïde. En 849, on m'adressa un
enfant
de six mois pour quelques gonflements anormaux
taient . sains; la mère, âgée de vingt-huit ans, avait eu une autre
enfant
. Cette enfant était forte, elle présentait une
; la mère, âgée de vingt-huit ans, avait eu une autre enfant. Cette
enfant
était forte, elle présentait une expression marqu
de ce cas avec celui du crétin de Highgate. La mère me dit que l'
enfant
était inhabile à se servir de ses membres inférie
s membres inférieurs, qu'elle n'était pas aussi forte que son autre
enfant
. Elle tomba ma- lade quelque temps après, refus
'raMco ? M') de 1871 un autre cas de cachexie pachydermique chez un
enfant
idiot. ' liston Fagge. On spol'orlie crelinism,
..., âgé de huit ans, est entré le 20 novembre 1870 à l'hôpital des
enfants
malades Evelina (service de M. Fagge). Il avait
s de bois- son soit habituels, soit même occasionnels. Leurs autres
enfants
étaient bien portants. Fig. 1. L'accoucheme
s. Fig. 1. L'accouchement eut lieu au forceps. -A la naissance, l'
enfant
était fort; - il perça ses premières dents'à de
ière enfance, on n'observa aucun autre phéno- mène anormal chez cet
enfant
. Mais, plus tard, sa mère s'aperçut qu'il voula
demi. Actuellement, quoique âgé de huit ans, il a l'apparence d'un
enfant
de deux à trois ans. Il pèse 25 livres (9 ? 73)
is il n'y a pas d'écoulement de salive. Les lèvres sont épaisses. L'
enfant
possède toutes ses dents de lait. La langue est
sme sporadique. - Absence de glande THYROÏDE. Il s'agissait d'une
enfant
de quinze ans du poids de 11 kil. 530 (taille :
ner- veux, ni de difformes dans la famillede consanguinité. Cinq
enfants
: I Louis, vingt-deux ans, de taille élevée, peu
jusqu'à neuf ans et y pisse encore quelquefois; - 4° et 5° d'autres
enfants
morts, l'un du croup, l'autre de la rougeole.
de la base du thorax, forme une dépression très marquée ; lorsque l'
enfant
est debout, il existe à ce niveau un sillon ver
, n'était pas nerveuse ; un frère bien portant. intelligent, a deux
enfants
sains, bien portants et intelligents ; deux soe
Le père est né à Paris, la mère est de Courancelle (Meuse). Trois
enfants
: 1° garçon, mort à quinze mois, (la nourrice éta
rme (à Neuilly-sur-Seine), assez long; on aurait cassé un bras de l'
enfant
, le droit, croit-on, et démis un poignet. A la
'enfant, le droit, croit-on, et démis un poignet. A la naissance, l'
enfant
était très gros. Il fut confié jusqu'à un an à
CRÉTINOÏDE. cher; il ressemblait alors, affirme-t-elle, à tous les
enfants
de son âge; il était affectueux, donnait quelqu
parole n'avait fait aucun progrès. C'est dans ces conditions que l'
enfant
fut amené pour la première fois à Bicêtre, où i
te, comme il a été dit plus haut. État actuel (6 janvier 4880). - L'
enfant
reste pendant tout le jour assis devant une tab
3 mard, très déprimé à sa racine comme chez la plupart des petits
enfants
; sur toute l'étendue de la face, la peau est mate
insi de donner à la physionomie l'air bestial qui la caractérise. L'
enfant
peut néanmoins fermer la bouche quand il le veu
près les renseignements fournis par la mère, où la physionomie de l'
enfant
reflétait assez exactement ses sentiments. Fig.
prononciation confuse et ce n'est ordinairement qu'en pressant l'
enfant
de questions ou en lui présentant le bonbon atten
la marche est difficile, lourde, mais cependant possible lorsque l'
enfant
est tenu par la main. Il est intéressant de rem
vice, est claire, citrine et ne contient ni albumine, ni glycose. L'
enfant
est grand gâteux et la difficulté .où l'on se t
-somnolence et d'immobilité. Jamais depuis qu'il est à Bicêtre, cet
enfant
n'a présenté de phénomènes d'exci- tation, ni d
x centimètres j'olécrâne en haut. T. R. 38°. - Soir : 38,4. 19. - L'
enfant
est levé et est assez gai ; on recommence à le
venant que rarement, lui donnent des sous. Le 14 juillet 1883, les
enfants
ayant reçu un supplément de la centilitres de v
l'âge de 40 ans, dix-huit mois après être accouchée de son dernier
enfant
, à la suite d'une maladie dont il n'estpas possib
maladie dont il n'estpas possible de savoir le nom. -Il ya eu cinq
enfants
; quatre filles et un garçon. Ils sont tous viv
a été nourrice à Paris, est,ur le point d'accoucher de son deuxième
enfant
et se propose encore de redevenir nourrice. Le
ème enfant et se propose encore de redevenir nourrice. Le troisième
enfant
est un garçon, âgé de treize ans, et les deux a
croissance fut normale jusqu'à l'âge de sept mois; à celte époque l'
enfant
aurait eu la coqueluche et la rougeole, et, à p
t que le corps. Etat actuel. - W... ressemble beaucoup à un petit
enfant
; il en a le caractère et la taille ; on lui don
arrondi, volumineux. Pas de poils au pubis. La verge est celle d'un
enfant
; les testicules ont la grosseur d'une petite no
rface du corps. Les mains et les pieds sont potelés comme ceux d'un
enfant
; la peau y est même tendue et d'une teinte fonc
lligence a subi un arrêt complet de développement, c'est celle d'un
enfant
qui commence à parler, avec moins de vivacité et
t-ils peu mobiles et presque sans expression. Parfois cepen- dant l'
enfant
sourit ; il devient même gai dans certaines circo
e. La bouffissure de la face nous conduisit à l'examen général de l'
enfant
, et nous constatâmes le même état de la peau sur
venu. Voici le= renseignements que nous avons pu nous procurer. L'
enfant
est née à Paris, de parents bien portants, ni cré
paternel aliéné à Ville-Evrard, une soeur maternelle rachitique; l'
enfant
a deux soeurs plus jeunes qu'elle et bien porta
lle et bien portantes, sans vice de conformation. A la naissance, l'
enfant
, de bonne santé, n'offrait rien d'extraordinaire
santé, n'offrait rien d'extraordinaire et ressem- blait aux autres
enfants
, le corps se développa régulièrement, une cheve
deux centimètres d'épaisseur à droite, un centimètre à gauche. L'
enfant
dont il s'agit était évidemment atteinte de myx
présenté à la Société clinique de Londres comme étant celui d'un
enfant
présentant des symptômes ressemblant à ceux du
ulé ; affaiblissement des facultés intellectuelles. Il s'agit d'une
enfant
de treize ans présentant des symptômes ressembl
u'à l'âge de huit ans, elle ne différait en aucune façon des autres
enfants
et elle pouvait lire un chapitre de la Bible ou
nous paraît inutile d'insister sur les symptômes présentés par cet
enfant
qui sont ceux du myxoedème, il nous suffira d'a
ès de Southampton, dans le tlampshire. Elle était l'aînée de quatre
enfants
dont les parents, âgés respectivement de vingt-
eux. Jusqu'à l'âge de sept ans, la malade était comme les autres
enfants
, mais plus grasse que d'ordinaire et on la compar
ère bien portant âgé de dix-neuf ans, actuellement soldat; tous les
enfants
sont nés dans le Hampshire. Etat actuel. Taille
dans le Hampshire. Etat actuel. Taille : im05, taille moyenne d'un
enfant
de cinq ans. Poids : 35 kilogr. 240. Elle est a
aux. Par le rectum, on constate que le bassin est comme celui d'une
enfant
, quant à la forme et la position, et l'utérus e
ne soeur morte à quarante-trois ans, on ne sait de quoi, a eu trois
enfants
dont on n'a pas eu de nouvelles depuis la mort
de quoi. - Deux suceurs bien portantes, sans goitre, l'une a deux
enfants
, l'autre quatre qui n'ont rien présenté de partic
la mère. CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 67 Pas de consanguinité. Cinq
enfants
: Il garçon bien conformé, né à terme, mort à s
ccouchement à terme, naturel, sans chloroforme. A la nais- sance, l'
enfant
était fort et n'offrait pas le moindre signe d'as
is, rose, n'avait rien ni aux pieds ni aux mains, ressemblait aux
enfants
de son âge. Victor commençait à marcher le long d
pris, pas même ses lettres; il n'aimait pas à jouer avec les autres
enfants
, dans la crainte de tomber; il était affectueux
quentes des lésions qui aboutissent à l'idiotie. (B.) - Les autres
enfants
avaient eu des dénis avant onze mois. 68 IDIO
Il est affectueux, doux et paisible. Ses goûts sont ceux d'un jeune
enfant
; il s'amuse avec un fouet qu'il fait claquer sa
du mollet. Le fond de l'oeil est nor- mal. Mentalement, c'était une
enfant
lourde, ne prêtant que peu d'attention aux obje
e dans la Revue photographique sous le titre de Crétinisme chez une
enfant
née à Paris de parents pari- siens. La taille d
z une enfant née à Paris de parents pari- siens. La taille de cette
enfant
était de 4m, 30; le cou était large, gros; la p
usculaire étaient diminuées; la parole était lente, indistincte ; l'
enfant
était idiote. Quant au cas de M. Baillarger il
vations publiées sous le nom de myxoedème et se rapportant à des
enfants
(cas de Shattock, etc.). CACHEXIE PACHYDERMIQUE
otomie. Un an après, le père écrit « qu'on renvoie tous les jours l'
enfant
de l'école, car il devient toujours plus stupid
E Li PROTUBÉRANCE. 105 II. Tuberculose de la protubérance chez un
enfant
; Par bourneville et isch-wall. \ Noua avons
sumé -lte quelques autres cas, qui appartiennent égale- menv'it des
enfants
. , Observation. Mère névropathe, idées noires
ni céphalalgies, ni rh matismes. Depuis la naissance de son dernier
enfant
, c'est- à-dire depuis trois ans, elle a des per
ensait à mourir. Cet état durait depuis la naissance de son dernier
enfant
, qui avait coïncidé avec la perte do son fils a
de deux mères), cinq sont vivants et bien portants, ainsi que leurs
enfants
; un est mort à vingt mois de convulsions de la
uinité - antécédents personnels. 107 Deux fausses couches et deux
enfants
: 1° Un fils, né avant le mariage, est mort âgé
nt que la mère était chagrine et fatiguée par suite de la mort d'un
enfant
qui avait eu lieu trois jours avant ? Grossesse
Accouchement à terme, facile, sans chloroforme. A la naissance, l'
enfant
était très maigre, mais ne présentait pas de si
et peurs nocturnes, perte d'appétit, changement de carac- tère ; l'
enfant
devenait nerveux, poltron, tout l'effrayait ; la
lendemain l'oeil n'avait plus rien, mais le soir on remarqua que l'
enfant
avait de la fièvre. 108 TUBERCULOSE DE la protu
la fièvre cérébrale, dura huit jours. Pendant les trois premiers, l'
enfant
parlait bien et était gai, mais les jours suiva
our- dissements, ni crises nerveuses, les nuits étaient bonnes. L'
enfant
était habituellement constipé, il fallait chaque
couvert de duvet. Sensibilité générale assez bien conservée car l'
enfant
retire ses membres dès qu'on les pique, mais co
ès accusé de l'oeil gauche. - L'ouïe semble nor- male ; en effet, l'
enfant
tourne la tête quand on l'appelle ; il se détou
exécutent librement, mais ceux des jambes sont plus difficiles et l'
enfant
, à certains moments, est très faible sur ses ja
Depuis plusieurs jours la dé- glutition était devenue impossible, l'
enfant
ne faisait au- cun mouvement pour avaler quand
et cette manoeuvre semble déterminer une certaine souf- france. L'
enfant
agite faiblement les bras et n'exécute ja- mais
raît diminuée. Les membres inférieurs sont d'habitude étendus, l'
enfant
les remue, mais l'étendue des mouvements est as
Dès qu'on le touche, Hoël... pousse- des cris. Raie méningitique. L'
enfant
pleurant constam- ment, il est impossible d'étu
ours pénibles. La contracture a notablement diminué. Depuis hier, l'
enfant
avale mieux et la constipation a cessé. 17 mai.
, strabisme interne double très marqué, hyperesthé- sie générale. L'
enfant
prend du lait à la cuiller. Pas de vomissements
cuiller. Pas de vomissements, constipation persistante. 25 mai. L'
enfant
n'avale que si on lui enfonce les aliments liqu
purgatifs. 7 juin. Pas de modification; on a noté seulement que l'
enfant
urine très peu; l'examen montre que la vessie n'e
flasque, les doigts cependant serrent légèrement les objets. Hier l'
enfant
n'a rien mangé, pas de mouvement de déglu. titi
r à la région sacrée. Déglutition toujours impossible. 30 juin. L'
enfant
va de. plus en plus mal. Il ne bouge pas, n'ava
lpébrale. Ronchus trachéaux. De temps en temps, plaintes faibles. L'
enfant
ne fait au- cun mouvement et ne reconnaît perso
ées fermes. La sensibilité cutanée a presque tout à fait disparu. L'
enfant
ne réagit plus au pincement, La face présente d
NS. - I. Les' observations de tuberculose pro- tubérantielle chez l'
enfant
ne sont pas très nombreuses. Nous en avons réun
bérance un tubercule cru, gros comme une noisette. ans. VI (Ibid.).
Enfant
de 12 ans, mort do péritonite tuberculeuse. Pas
ce bien qu'on en ait trouvé une à l'autopsie. OBs. VII (Ibid.). -
Enfant
(sans indication d'âge ni de sexe) observé dans
abolition de la vision. Tête balante. Le lendemain de l'entrée de l'
enfant
, disparition du ptosis. Le surlendemain, même é
crampes. La faiblesse générale augmente depuis quelque temps et l'
enfant
tousse beaucoup. 13 août 1885. Crâne normal. Au
cou et de la nuque, la tête tombe en ar- rière dès qu'on asseoit l'
enfant
. ' Extrémités supérieures . Le bras droit est r
entent aucune modification. Coma persistant mais moins profond, l'
enfant
sent le3 piqûres et réagit. Quelques râles au som
malade meurt le 28 octobre. Anatomie pathologique. - Le corps de l'
enfant
est maigre et chétif, les fontanelles ne sont p
36', l. Rien dans les viscères. Urines normales. L'affection de cet
enfant
débuta il y a trois semaines au mi- lieu de la
t un état nauséeux avec vomissements. Depuis quelque temps déjà l'
enfant
était indisposé, mais il ne présentait pas de sym
ent diminuée. Le goût et l'odorat sont normaux. 4 juin. L'état de l'
enfant
s'aggrave. Il éprouve de la diffi- culté à arti
une peur qui semble de peu d'importance, étant don- née sa cause, l'
enfant
change brusquement de caractère, il a des fraye
manquons de renseignements. Toujours est-il qu'un médecin dit que l'
enfant
était atteinte de fièvre cérébrale. Huit jours
d'un affaiblissement des mem- bres inférieurs. L'intelligence de l'
enfant
baissait et il di- vaguait parfois. Une rémissi
taient contractures ; les mouvements du cou étaient dou- loureux. L'
enfant
avait un strabisme interne double, de la dyspha
ralysé. - Mère cancéreuse. Grand-père maternel, excès de boisson.
Enfant
bien portant jusqu'à 6 ans. Mauvais trai- temen
nsei- gne est bien portante ; n'a jamais eu de maladies, a quatre
enfants
en bonne santé, sans convulsions. Ni difformes,
minels, ni suicidés dans la famille.] Pas de consanguinité. Trois
enfants
: 1° Un frère, mort en naissant; 2° une SL&
urait jamais eu de convulsions ( ? ). Jusqu'à l'année der- nière, l'
enfant
s'est toujours bien porté ; mais, le père étant
r terre, et quand on l'a relevé, il était paralysé. On ne sait si l'
enfant
a eu des maladies du jeune âge (rougeole, etc.)
été deux semaines à l'asile d'Ivry et appre- nait comme les autres
enfants
. Il nous a été impossible d'avoir des renseigne
e nous l'avons vu, est entrée à la Pitié peu après l'admission de l'
enfant
à Bicêtre. L'un de nous s'est rendu à son domic
s renseignements suivants : Après la mort de son mari, la mère de l'
enfant
était dans une situation misérable, élevant pén
était dans une situation misérable, élevant péniblement ses deux
enfants
: la petite fille, retournée aujourd'hui dans-
de police est intervenu ; il a fait une en- quête et lui a enlevé l'
enfant
pour le faire placer à Sainte- Anne. Il paraît
que très rarement. A l'entrée (1er février 1886), on constate que l'
enfant
est atteint d'imbécillité, etjugeant d'après le
droite. La circulation et la respiration n'ont rien de spécial. L'
enfant
sait se servir de la fourchette et de la cuiller,
ue. Puis, en avril, TUBERCULOSE GÉNÉRALISÉE. 133 on constateque l'
enfant
se ralentit et paraît de plus en plus souffrant
ournée et qu'il a la face rouge. Il ne se plaint pas. 19 avril. L'
enfant
a pris du lait et n'a pas vomi. La lan- gue est
la percussion ni à l'auscul- tation, pas de toux ni d'oppression. L'
enfant
se plaint de la tête qui est chaude partout, il
80, un peu irrégulier, la phy- sionomie abattue, la peau chaude. L'
enfant
se plaint tou- jours de la tête. Langue saburra
vril. T. R. 38°,8. - Soir : 39°. 23 avril. Céphalalgie continue ; l'
enfant
vomit tout ce qu'il prend, est abattu, somnolen
e soir. T. R. 38°,G. - Soir : 38°, 4. 24 avril. Nuit très agitée, l'
enfant
appelle sa mère. T. R. 38°. - Soir : 380,6. 2
le, et qui semble être une nodosité tuber- culeuse de l'épiploon. L'
enfant
n'a rien voulu prendre ; il est très abattu. Pa
38°,2. - Soir : 39°,2. 28 avril. Les traits sont un peu grippés; l'
enfant
est en état de demi-conscience; quand on l'inte
possible hier. P. 28; R. 48. On essaye de faire boire du lait à l'
enfant
avec la cuiller; mais il ne déglutit pas et rejet
ulfate de quinine, etc. T. R. 39°. 28 avril, soir. T. R. 40°,2. L'
enfant
est dans le coma; raideur de la nuque, strabism
st morte d'un cancer de l'utérus. Les antécédents personnels de l'
enfant
paraissent indi- quer que jusqu'à 5 ans, il éta
ait intelligent, bien portant, et ne différait pas sensiblement des
enfants
de son âge. MARCHE DE LA TEMPÉRATURE. z IL C'
écillité), que la parole est un peu in- correcte, bégayante ; que l'
enfant
est propre,et,en l'absence de renseignements su
le cours de l'observation. IV. Les accidents auxquels a succombé l'
enfant
ont eu une marche insidieuse. Durant la premièr
insidieuse. Durant la première quinzaine d'avril, on remarque que l'
enfant
travaille de moins en moins et qu'il paraît sou
t à fait au-dessus de nos ressour- ces. 142 '2 alcoolisme CHEZ UN
ENFANT
. Alcoolisme chez un enfant de 4 ans. Démence
sour- ces. 142 '2 alcoolisme CHEZ UN ENFANT. Alcoolisme chez un
enfant
de 4 ans. Démence et épilepsie symptomatiques d
oeurs jouissant d'une bonne santé; ni les uns ni les autres n'ont d'
enfants
. - Trois oncles paternels ne pré- sentent aucun
d'une opération dont on ignore la nature à l'hôpital Beaujon, sans
enfants
; l'autre est bien portant ainsi que sa fille.
ni d'arriérés, ni de malformations]. - Pas de consanguinité. Deux
enfants
: 1° notre malade ; 2° une fille morte à 9 mois
ait à terme, sans diffi- culté, sans chloroforme. A la naissance, l'
enfant
ne présentait pas de signes d'asphyxie. - Elevé
rchait à 8 mois et, de bonne heure, il parlait le patois du pays. L'
enfant
venait bien en nourrice, toutefois il avait du
nt une auberge et les consommateurs faisaient boire, en cachette, l'
enfant
du vin blanc pour lequel il avait beaucoup de g
convulsions ont reparu à diverses reprises en juillet et août. L'
enfant
, qui auparavant était propre, cessa de l'être e
isparu pour revenir de nouveau à la fin d'oc- tobre. En novembre, l'
enfant
est devenu incapable de marcher. En novembre et
parition de l'affaiblisse- ment paralytique. La mère a repris son
enfant
en janvier 1886. A cette époque, il ne marchait
ques. Le côté droit n'était pas raide. Plusieurs fois par jour, l'
enfant
avait des vertiges, on en a compté une dizaine
s membranes par la canule, Légère amélioration après l'opération; l'
enfant
boit avec avidité à plusieurs reprises et sembl
es noyaux des cel- lules sont-ils un peu plus abondants que chez un
enfant
sain du même âge. La seconde couche, celle des
marquée. Dans les portions périphériques, au 152 ALCOOLISME CHEZ UN
ENFANT
. contraire, les éléments cellulaires sont rares
ans, il marchait, parlait, était propre et avait l'intelligence des
enfants
de son âge. Ce n'est qu'après une année passée
s premières convulsions se mon- trèrent le lendemain d'un jour où l'
enfant
s'était complè- tement enivré. Elles prédominèr
TE GÉNÉRALISÉE. ! 53 et progressive, car un an après le départ de l'
enfant
pour l'Alsace, lorsqu'il fut repris par sa mère
ue les symptômes, une fois établis, n'ont pas rétrocédé, bien que l'
enfant
ait été soustrait par sa mère à l'influence de
e la motilité, la déchéance profonde et incurable observée chez cet
enfant
(2) et rend bien compte de la prédominance des
il en a été pour toutes les présentations, provenant du service des
enfants
de Bicêtre depuis 1880. BOURNEVILLE, 1885. 11
, n'a pas eu de convulsions, a fait des fausses couches et a eu des
enfants
morts jeunes. Pas d'idiots, d'aliénés, d'épilep
r vivre pendant trois semaines avec un amant dont elle n'a pas eu d'
enfant
; elle fut prise de folie et enfermée à Sainte-
t d'une bonne santé, ainsi que deux soeurs, l'une est mariée, a des
enfants
qui n'ont jamais eu de convulsions. Pas d'alién
Pas d'aliénés, etc., dans la famille]. Pas de consanguinité. Deux
enfants
; ¡il notre malade; 2° une fille, âgée de dix 1
vulsions. Notre malade. A l'époque de la conception, le père de l'
enfant
travaillait déjà dans une fabrique de caoutchouc,
ement naturel, à terme, sans chloro- formisation.-A la naissance, l'
enfant
n'était pas asphyxié, paraissait normal. Elevé
é sevré à 18 mois. C'est vers l'âge de 8 à 9 mois, que la mère de l'
enfant
a constaté les premiers signes de l'idiotie; el
enait pas sur les jambes, de ce qu'il ne riait pas comme les autres
enfants
(il n'a jamais ri); « mais, dit- elle, il avait
x du cuir chevelu, de la face, des mains et des aisselles. Enfin, l'
enfant
ne devenait pas propre et n'ap- prenait pas à p
sevrage, il ne voulait boire que du lait; puis du DESCRIPTION DE L'
ENFANT
. 157 lait et de l'eau sucrée et chaude ; il ref
lait et de l'eau sucrée et chaude ; il refusait de boire froid. L'
enfant
prend tout ce qu'il trouve, le jette et le brise.
temporale droite, consécutive à une chute déterminée par un autre
enfant
. 1885. 31 Janvier. - Poids : 9 kil. 200 gr. Tai
nt grêles. Croûtes d'impétigo du cuir chevelu et des oreilles que l'
enfant
fait saigner en se grattant. Blé- pharite cilia
e anomalie, mais sont rendues difficiles par les cris poussés par l'
enfant
durant l'examen. L'abdomen est rétracté avec un
avec des dépressions. Le réflexe tendineux rotulien est exagéré. L'
enfant
qui marohait en- core seul à son entrée à Bicêt
avait à son entrée a diminué, ce qu'on attribue à ce que les autres
enfants
en se défendant l'ont jeté à terre. Il porto co
s le rebord costal. 27 Mars. - Le cri faiblit de plus en plus ; l'
enfant
ne prend plus que du lait. Toux faible, étouffé
re l'a affirmé, que l'on n'a jamais observé de convulsions chez son
enfant
. Cette opinion s'appuie encore sur ce fait que,
conséquent, de dire au moins approximativement dans quelle mesure l'
enfant
est perfectible. V. Les lésions découvertes à l
un des hémisphères mais sur les deux. Relevons, on terminant, que l'
enfant
était par- venu à se servir de ses quatre membr
omplets ont été fournis par une personne chez laquelle la mère de l'
enfant
était femme de ménage. Elle y est restée deux a
nt qu'il n'y avait pas d'idiots dans sa fa- mille.- Elle a un autre
enfant
, ouvrier gantier, qui serait intelligent. Souve
rier gantier, qui serait intelligent. Souvent elle a répété que son
enfant
n'était pas né tel qu'il était, mais, que son i
Escharres superficielles dans la ré- gion lombaire et aux fesses; l'
enfant
est couché dans lo décubitus latéral gauche. Le
gérés. L'exploration spéciale de chaque sens est impos- sible. L'
enfant
ne manifeste par aucun signe le désir de man- g
s son lit, dans la position où on l'a mis le matin. 15 février. L'
enfant
est couché dans le décubitus dorsal; les cuisse
nstamment d'une plainte douce. Râle trachéal ; de temps en temps, l'
enfant
a quelques secousses d'une toux grasse, pendant
Ventre plat, rétracté sans diarrhée. L'examon pa- raît pénible à l'
enfant
qui contracte ses sourcils et pousse de légers
e purgatif; la nu'it ACCIDENTS MÉNINGITIQUES. 171 a été bonne ; l'
enfant
ne s'est pas plaint ; le matin, il est dans le
est continuel. T. R. Matin : 38°.4. - Soir : 39°,G. 20 février. L'
enfant
est dans un coma profond ; les cor- nées sont v
INEVILLE et PILLIET. Les observations qui précèdent ont trait à des
enfants
frappés d'un arrêt de développement intellectue
epsie. Deux soew's; l'une expatriée au Brésil; l'autre mariée, sans
enfants
, bien portante. Pas d'a- liénés, pas d'autres é
e nerveux, etc.]. Pas de consanguinité (père et mère de Paris). 3
enfants
et une fausse-couche (en premier lieu) à 5 mois
. - A la naissance, rien do spécial, pas d'asphyxie; c'était un bel
enfant
. -Élevé au biberon et au sein par cinq nourrice
seulement à deux ans ; elle a percé sans douleurs ni convulsions. L'
enfant
était d'un caractère très caressant, mais ne re
on. 1882. Etat à l'entrée. Poids 8 kilog. 500 ; taille : 0"'78. -
Enfant
maigre, chétif ; ne parlant pas ; ne marchant pas
ration notable; on continue le ni- trate d'argent. 30 novembre. L'
enfant
commence à marcher un peu. 1883. Janvier. Poids
lates, à la base du sacrum ; 2° sur l'épaule droite et le thorax. L'
enfant
est maussade et ne paraît pas souffrir localeme
dessication (1). La con- jonctivite persiste mais très améliorée. L'
enfant
est gai ; quand on le tient par les mains, il f
tes gorgées; illes suce avant de les avaler. La parole est nulle, l'
enfant
ne reconnaît personne. Il a de nombreux tics :
eurs fois ce genre d'éruption (pemphigus à petites bulles) chez les
enfants
idiots. progrès DE l'enfant. 181 qu'il exécut
(pemphigus à petites bulles) chez les enfants idiots. progrès DE l'
enfant
. 181 qu'il exécute tous ses mouvements ; il pli
s personnes qui le soignent. 18 septembre. Depuis quelques jours, l'
enfant
est triste, ne veut pas se lever. Il est pâle,
, avril. Séjour à l'infirmerie pour une enté- rite. 22 juillet. L'
enfant
sait courir maintenant ; il mange; il fait de p
les du volume d'un haricot. Exeat le le' septembre. Décembre. - L'
enfant
accepte à peu près tous les ali- ments. Il sait
mbre. L'appétit est exagéré et on doit surveiller at- tentivement l'
enfant
qui, sans cette précaution, mangerait outre mes
naissance ; il va seul au réfectoire, peut accom- pagner les autres
enfants
à la promenade. A la gymnasti- quo,il exécute b
er ce qu'il voit faire aux autres, c'est ainsi qu'il tourne comme l'
enfant
Carter... le, juin. Est envoyé à l'infirmerie
pendant son sommeil.-2 2 juin. T. R. 37°,5. Soir : 37°,G, 3 juin. L'
enfant
reste couché ; a l'air assez maussade et refuse
'a pu être recueillie en raison du gâtisme et on a omis de sonder l'
enfant
). encéphalite. 183 Cou et thorax. Le larynx e
ire. Nous rappellerons que l'une des grand'mères pa- ternelles de l'
enfant
était épileptique; que l'une des grand'- mères
s était migraineuse. Au point de vue personnel, on nous a dit que l'
enfant
n'aurait eu qu'une seule fois des convulsions,
ge de trois mois et d'une durée de quinze minutes seulement. Mais l'
enfant
étant resté en nourrice, chez des étrangers, ju
été, le traitement médical et physiolo- gique avait donné, chez cet
enfant
, des résultats importants qui autorisaient l'es
s l'enfance ; l'un infirmier, atteint de tics oculaires, a eu trois
enfants
, 196 IMPRESSIONS MATERNELLES : MALFORMATIONS.
le grand-père paternel. - Deux frères bien portants, ainsi que les
enfants
de l'un d'eux ; une soeur, sans enfants, est de
n portants, ainsi que les enfants de l'un d'eux ; une soeur, sans
enfants
, est de même en bonne santé. Ni aliénés, ni épi
ni difformes, etc., dans la famille]. Pas de consanguinité. Trois
enfants
: a) D'un premier mari : 1° un enfant, âgé de 9
Pas de consanguinité. Trois enfants : a) D'un premier mari : 1° un
enfant
, âgé de 9 ans, bien portant et intelligent ; au
légère lors de l'éruption d'une molaire. b) Du deuxième mari, deux
enfants
; 2° l'un âgé de 30 mois, bien portant, comprend
t tout le cours de la grossesse, elle a été hantée par l'idée que l'
enfant
qu'elle portait pourrait être mal conformé et c
n peu d'oedème des membres inférieurs. Les premiers mouvements de l'
enfant
se sont manifestés vers le cinquième mois; ces
qu'elle avait sentis quandelle était enceinte de ses deux premiers
enfants
. Il me semble, disait-elle à son mari, que ses
iation ou lape7-ue ? ,- sion du développement, dont a été atteint l'
enfant
Rat.... Il semble que la tumeur se soit dévelop
ique. La genèse des malformations et de la tumeur observées sur l'
enfant
Rat... reste encore en partie obscure; si l'on
iode méningitique, nous est fourni par un en- fant âgé de 12 ans. L'
enfant
a eu 10 accès consécutifs ( 1 ), sans le moindr
our de la connaissance, en une heure. Après le dernier, alors que l'
enfant
était dans un état comateux, la température rec
sur lesquels on manque de détails. Deux frères : l'un est mort sans
enfants
de la rup- ture d'un anéurysnze; l'autre, après
l (soit dd jour, soit de nuit) et qui persistent encore ; ses trois
enfants
ont une bonne santé. Une soeur, qui a trois enf
ore ; ses trois enfants ont une bonne santé. Une soeur, qui a trois
enfants
, n'a, ainsi qu'eux, jamais eu aucun trouble ner
e attaque de paralysie. Deux frères et deux soeurs, ainsi que leurs
enfants
, n'ont eu rien de particulier. Pas d'a- liénés,
- A la naissance, légère asphyxie : la sage-femme a dû fouetter l'
enfant
, qui bientôt s'est mis à crier. Elevé au sein par
pas constaté directement l'onanisme, mais son mari, beau-père de l'
enfant
, a fait avouer à celui-ci qu'il se touchait.
chemars. Etal actuel. Poids : 41 kilogr. 700; taille : 1 m. 56. L'
enfant
, comme le montre ces chiffres, est bien développé
bonne. Dans la nuit, on a relevé 9 accès. A la visite, on trouve l'
enfant
dans la situa- tion suivante : décubitus dorsal
jambe droite. Trépanée à Saint-Antoine le 24 mai 1898. État de l'
enfant
à l'entrée (juillet 1899). Le IG août 1899 : ch
nce, ainsi qu'un torticolis, et qui tousse un peu ; elle a perdu un
enfant
de diarrhée infantile; il n'aurait pas eu de co
le père est de 11 ans plus âgé que la mère de notre malade. Onze
enfants
: 1° garçon, mort de méningite à 13 mois, sans
après la mère. Mal- gré cela, elle voyait aussi bien que les autres
enfants
. L'au- dition était normale. Le sommeil était e
sentiments affectifs sont assez développés. Au dire de la mère, l'
enfant
ressemble il son père au point de vue du caract
actérise. Certains symptômes se précisent, d'autres apparaissent. L'
enfant
trébuche fréquemment, tombe facilement, ses jam
culeuse, on élimine celle d'arthropathie nerveuse. 16 novembre. - L'
enfant
, dans le même état, est rendue it sa famille.
rotuliens. » État actuel pris à l'entrée à la Fondation Vallée. L'
enfant
est pâle, plutôt grasse. La physionomie est san
ysionomie est sans expression ; ÉTAT DE LA MALADE A 14 ANS. 7 l'
enfant
voyant à peine. Cheveux blonds, bien implantés.
les, elle marche, mais cette marche est incertaine, vacillantte ; l'
enfant
avance, les genoux fléchis légèrement, elle sem
n ne révèle rien de particulier. L'intelligence est peu éveillée. L'
enfant
parle assez bien. 1899. - Puberté. Aisselles, t
ansversal 13 cent., vertical 11 cent.. Aréole rose. . 1er août. L'
enfant
est tombée hier, étant assise, la face contre t
bes ; a la suite, écoulement de sang par la bouche et par le nez. L'
enfant
, examinée ce matin, présente du gonflement du n
prescrit des applica- tions de compresses humides sur le visage. L'
enfant
a bien dormi hier, elle boit bien son lait. m
eau des paupières; l'oedème n'est pas plus considérable. 21 août. L'
enfant
, qui était très abattue cette nuit et causait p
congénital. Jamais de convulsions. Ecolage convenable. En somme, l'
enfant
, jusqu'à 12 ans, aurait été peu près normale.
né qu'une très médio- cre atténuation des symptômes. En novembre, l'
enfant
(1) Il n'y aurait jamais eu de tuberculeux dans
ère au moment de la conception et de la grossesse. -A la naissance,
enfant
chétif, asphyxié. - Première dent à 10 mois. De
particulièrement voyait à peine ; on ne sait si elles ont eu des
enfants
. Dans le reste de la famille on ne connaît rien
reux et bien portants, ils habitent la Pologne; on ne sait si leurs
enfants
sont atteints d'affections nerveuses. 4 soetti,
s sont atteints d'affections nerveuses. 4 soetti,,q : 1 45 ans, 7
enfants
vivants et en bonne santé, aucun n'a eu de convul
n bonne santé, aucun n'a eu de convul- sions ; pas de morts; 2e a 3
enfants
vivants, pas de convul- sions, un autre est mor
s de convul- sions, un autre est mort de diarrhée infantile;- 3 a 2
enfants
bien portants; 4c n'a pas d'enfants. La mère
t de diarrhée infantile;- 3 a 2 enfants bien portants; 4c n'a pas d'
enfants
. La mère du malade est la deuxième des enfants.
rtants; 4c n'a pas d'enfants. La mère du malade est la deuxième des
enfants
. - Dans le reste de sa famille, nous n'avons ri
de consanguinité. In égalité d'âge de 3 ans. (Père pi us âgé). Deux
enfants
(pas de fausse couche) : 1° notre malade ; 2° u
t il terme, normal, par le sommet, en 3 heures. A la naissance. l'
enfant
était chétif, violacé, et la cyanose persista pen
10 mois. Parole à 15 mois. Vers l'âge de 2 ans, c'était un très bel
enfant
, dit la mère. De rage de 7 mois à l'âge de 15 m
ès bel enfant, dit la mère. De rage de 7 mois à l'âge de 15 mois, l'
enfant
eut des mou- vements convulsifs des globes ocul
ectifs étaient développés. Au point de vue intellectuel, c'était un
enfant
normal jusqu'à l'âge de 14 ans. Ilest allé à l'
s cauchemars, en somme, il était semblable, intellectuellement, aux
enfants
normaux de son âge. Il n'eut comme maladie infe
eur. Pas d'acci- dents scrofuleux, pas de traumatisme céphalique. L'
enfant
ressemble plutôt à sa mère physiquement. A l'
la jambe droite s'affaiblit, ellc plie sous le poids du corps de l'
enfant
; ou même temps, le bras droit s'affaiblit auss
aux. Pas d'onychophagie. Membres inférieurs. Marche impossible; l'
enfant
debout appuie seulement la pointe du pied sur l
s faibles à gauche, abo- lis à droite. Pas de signe de Babinski : l'
enfant
cric quand on 20 CLINIQUE NERVEUSE. excite
qu'il n'y a aucune dif- férence entre les deux côtés du corps. L'
enfant
porte des .escarres. A gauche, escarre au niveau
ure, il la douleur, parait normale. Intelligence très affaiblie ; l'
enfant
prononce quelques mots inintelligibles. 16 ma
eur squelettique. Sommeil très agité, cris perçants et plaintifs. L'
enfant
se calme vers le matin et est tranquille dans l
cation à peu près nulle, pas de vomissements, selle quotidienne.- L'
enfant
parle presque à voix basse ; fait des phrases :
Sauf la vue, qui est nulle, les autres sens paraissent normaux. L'
enfant
s'affaiblit de plus en plus, les escarres se creu
qui, en 1905, sont pris de contractures. C'est dans cet état que l'
enfant
est arrivé dans le service, offrant une cachexi
le du départ pour l'Asile clinique, on n'aurait pas transféré cet
enfant
, on lui aurait épargné des souffrances inutiles
veut procréer quel que soit l'ancien- neté de son affection, car un
enfant
bien portant n'est pas un signe de guérison cer
ut si vivo et tellement obsédante, que durant toute sa jeunesse cet
enfant
ne fut plus préoccupé en dehors de ses heures d
ena rapidement la disparition de tous les accidents. La taille de l'
enfant
qui ne dépassait pas 1 m. 07 avant le traitemen
alades hypersugges- tibles, intéressants iL divers titres : 1. Un
enfant
de 13 ans, atteint de la manie de vagabondage,
an ABADIE. 11 ? Complicatioxsncaicgitiquesclelaéarctplto'icleclae V
enfant
, par le Dr J. GIRAUDET, (Thèse de Bordeaux, J !
nction lombaire facilitent beaucoup le diagnostic. A l'autopsie des
enfants
morts au milieu d'accidents ménin- gitiques com
. Prix : 0 fr. 75. Aux bureaux du Progrès Médical. Bourneville. Les
enfants
anormaux au point de vue intellec- tuel et mora
ngres des médecins aliénistes de France; - Visite de la section des
enfants
de Bicêlre et de la Fondation Vallée ; - Rappor
aissance, et son développement jusqu'à l'âge de 7 ans. A cet âge. l'
enfant
, jusque-là intelligente et d'apparence normale, f
hémiplégie gauche. Malgré une fréquentation relative de l'école, l'
enfant
ne put apprendre ni àlire ni à écrire, son cara
re. 1 Ilisloire rle lce F'mxilLe. Coté paternel. Le malade est un
enfant
naturel . Toutefois, tout fait présumer que l'hom
l'une il y 10 à 12 ans,l'autre il y a deux ans lors delà mort d'un
enfant
. Pas de suicides dans la famille. Pasde consang
mère est bien portante à tous les points de vue. Ils ont eu quatre
enfants
: un fils, le malade en question, et trois fill
édé à 42 ans). Sa mère était morte d'affection du coeur. Il avait 4
enfants
bien portants (de 5, 7, 8 et 18 ans). Non bu- v
goitreuse, morte quelques années après ? Fils unique, marié ; deux
enfants
bien portants. Antécédents pcrsonnels. - Nie la
l., XX111 et XXIV, 1904-1905.) Placez des individus jeunes ou des
enfants
dans le décubitus la- Léral, la jambe en flexio
agération de tous les réflexes profonds. Il existait, chez 40 % des
enfants
. Lorsqu'il est augmenté, on en peul conclure à
stale impercep- tible. On observe souvent la maladie chez plusieurs
enfants
de la même famille et elle est parfois hérédita
à des degrés divers, ce n'en sont pas moins des déments précoces.
Enfants
martyrs d'une mère atteinte dit délire des perséc
L'étal du plus jeune est moins démonstra- tif ; c'est néanmoins un
enfant
malingre et qui paraît souffrir. Chose étrange,
u'elle fournit pour justifier les traces de coups rele- vées chez l'
enfant
, elles peuvent prêter à une double interpréta-
son absence, dans le'courant delà jour- née, elle doit frapper ses
enfants
dans des circonstances analo- gues, ce qui ne l
délirantes et les réactions de la malade. Cette femme croit que ses
enfants
sont en bulle à des mauvais traitements, du la
rt de ses persécuteurs. File s'en irrite, elle s'excite, frappe ses
enfants
elle-même dans l'égarement de son excitation ;p
- générée. M. IIOUBIN(N'rTCH entre les mains six mille dossiers d'
enfants
martyrs, il n'y a jamais relevé l'aliénation de
arents. Sur un millier d'observations directes, if n'a trouvé que 1
enfants
Inar- tyrisés par des parents aliénés (un épile
persécutés, mais il a vu des mères mé- lanculiques ayant tué leurs
enfants
M. f3arANp n'a pas du statistique sur les paren
n'a pas du statistique sur les parents aliénés marty- risant leurs
enfants
, mais il estime que, contrairement à l'opinion
avant de pousser plus loin la discussion. Si Tonne considère comme
enfants
martyrs que ceux pour lesquels l'auto- rité jud
goureux, car nous savons tous qu'un mélancolique tue volontiers ses
enfants
avant de se suicider. Si, au contraire, on cons
celle-ci a changé de caractère au point de ne pouvoir supporter ses
enfants
et les violentait pour le moindre motif, alors
e. Rajoute que beaucoup plus souvent qu'on ne pense peut-être les
enfants
martyrs dont parlent les journaux sont des arriér
prédisposés a la folie, les aliénés délirants qui martyrisent leurs
enfants
sont beaucoup plus nombreux que ne l'indiquerait
ont souvent violents pour leur entourage, maltraitent souvent leurs
enfants
. M. Doutrebente. Dans le groupe d'enfants obser
maltraitent souvent leurs enfants. M. Doutrebente. Dans le groupe d'
enfants
observés par M, llouhinowi tch ne figurent pas
: la suite de l'observation nous ap- prend qu'après la mort de son
enfant
, elle n'a manifesté aucun chagrin. En revanche,
égage la première : on aperçoit d'abord la bouche et la langue de l'
enfant
, qui exercent des mouvements de succion ; peu à
rs et bien frappés jusque-là, s'assourdissent et cessent bientôt. L'
enfant
naît en état de mort apparente, qui ne peut êtr
sa- bles l'une à l'autre : les convulsifs qui se rapprochent de l'
enfant
et des animaux, et les cérébraux, bien supérieurs
.\\'111. -- De la méningite tuberculeuse à forme délirante chez l'
enfant
; par MM. \Vr : ILL et PPHU, (Lyon Médical, n 4a,
se. Observation I. Méningite tuberculeuse en deux étapes chez une
enfant
de 8 ans 1/2. 1° Vomissements et malaise du 12 au
optique. Observation IL - Méningite ayant évolué en un mois chez
enfant
de 10 ans 1/2. Prodromes : 10 jours. Injection d'
e du la hase de l'encéphale. Observation [Il. Syndrome méningé chez
enfant
de 9 ans. Délire à type religieux et hallucinat
térisé, fait excessivement rare dans la méningite tuberculeuse de l'
enfant
. Type de délire hallucinatoire dans le premier
aquestion de l'entourage a une impor- tance énorme surtout chez les
enfants
et doit être prise en très grande considération
e l'incon- vénient qui résulte de la réunion dans un même service d'
enfants
de plusieurs types différents (idiots, épilepti
différents, el l'on ré- serverait les moyens de coercition pour les
enfants
méchants et dangereux. . Il montre ensuite l'
brale et radiculo-ganglionnaire. MM. Raymond et LEJONNE montrent un
enfant
atteint de néo- plasme cérébelleux, avec hydroc
e cervelet tantôt sur la moelle. Syndrome myopathique guéri chez un
enfant
. MM. ARMAND DEt.u.LE et Albert WRfL présentent
ri chez un enfant. MM. ARMAND DEt.u.LE et Albert WRfL présentent un
enfant
, ancien myopathique progressif du type Le5·Uen-
psychose aiguë post -infectieuse avec troubles du ltm- gage chez l'
enfant
; Par le IPE. R. Daiche, (mai 1905), 95 pages.
nfantile, a en vue l'étude des troubles mentaux posttebriles chez l'
enfant
au-dessous de 15 ans. troubles décrits habituel
s travaux de Régis sur la confusion mentale ; ils sont rares chez l'
enfant
, et une introduc- tion historique détaillée tr
e fait par ce que le 11111- « gage est la dernière acquisition du l'
enfant
, la plus récente et la « plus délicate, et il n
graphie. 2 : 13 «fonction lui plus particulièrement atteinte chez l'
enfant
; que « chez l'adulte. » Il ne semble pas que
ondaire des asiles publics et privés (1); 2° à la sta- tistique des
enfants
idiots et épileptiques internés dans les asiles
oupe de renseignements montre qu'il y avait, à la fin de 1903, 1206
enfants
ou adolescents de (1) Communication au Congrès
italise, traite et édu- que à des degrés divers plus d'un millier d'
enfants
(Bi- cûtre ? 0); - colonie de Vaucluse (250), p
, de la création d'asiles ou de sections dépar- tementales pour les
enfants
idiots de toutes catégories, les paralytiques e
s fait campagne pour l'assis- tance, le traitement, l'éducation des
enfants
idiots de tous les degrés, depuis j'idiot compl
tous les degrés, depuis j'idiot complet, être végétatif, jusqu'aux
enfants
simplement arriérés, confinant il l'enfant norm
végétatif, jusqu'aux enfants simplement arriérés, confinant il l'
enfant
normal moyen. Pour les plus malades, nous TRA
t demeurés sceptiques ou ont conservé des préjugés dommageables aux
enfants
. C'est pourquoi nous nous sommes décidé à faire
venus, sur la possibilité d'améliorer sérieusement la catégorie des
enfants
anormaux qui nous occupe. [Notre communicatio
- La marche est assez bonne pour lui permettre de suivre les autres
enfants
à la promenade. Il commence aussi à s'approprie
à 10. Le caractère s'éveille, il devient gai et joueur. 1897. - L'
enfant
, tout à fait propre, est mis en pantalon. 1898.
ait propre, est mis en pantalon. 1898. - Le vocabulaire augmente, l'
enfant
construit quel- ques petites phrases. Il s'évei
nt B ? est âgé de 11 ans et demi. A son entrée (23 juillet 1892), l'
enfant
ne marchait pas, la parole était nulle, le gâti
evient courageux, s'occupe, est prévenant et donne l'éveil quand un
enfant
s'est blessé ou tombe. Les progrès en écriture
s un peu grossier (i). 1903. Un peu d'entêtement s'observe chez l'
enfant
. Il a été taquin et a refusé plusieurs fois de
ture reste limitée aux lettres a, e. i, 0, u. 1904. - L'état de l'
enfant
Beau ? est resté stationnaire II ne veut plus a
ie complète, avec épilepsie et gâ- tisme. La parole était nulle ; l'
enfant
était turbulent et mé- chant. 1900. - Aucune
suite des exercices de gymnastique, de toi- lette, et de parole, l'
enfant
s'est amélioré. Il a débuté par une prononciati
qui concerne le gâtisme. (D Remarque : ce fait n'est pas rare. Des
enfants
, dont la parole est limitée à quelques mots, pr
ue leur valent ces mots. 2M3 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. 1902. L'
enfant
parle, fait des phrases, il rapporte même sur l
. L'enfant parle, fait des phrases, il rapporte même sur les autres
enfants
, et bien qu'il ait lui-même un langage un peu o
me un langage un peu ordurier, il se trouve blessé quand un autre
enfant
prononce un mot grossier. Il dit tous les mots,
bre. - Sa tenue devient meilleure et malgré sa grande instabilité l'
enfant
suit tout les exercices qui lui sont démontrés.
uis, si on le forçait un peu vivement, il se relevait et frappait l'
enfant
qui se trouvait à côté de lui. A présent, l'enf
et frappait l'enfant qui se trouvait à côté de lui. A présent, l'
enfant
, exercé aux projections, est devenu plus causeur,
nsi qu'à l'école (Fig, 10). igo5. L'amélioration devient notable; l'
enfant
n'est plus TRAITEMENT nIÉDICO-I'1 : DAGOGIQUE
, limitée à quelques mots seu- lement, est aujourd'hui existante; l'
enfant
répond de mieux en mieux quand on lui parle. Il
tenue est devenue meilleure; 248 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. l'
enfant
commence à se vêtir et à se débarbouiller seul F.
g. 12). TRAITEMENT MÉDICO-PÉDAGOGIQUE DES IDIOTIES. 249 1888. L'
enfant
n'a subi presque aucun changement (Fig. 13).. -
maman, du pain, ça y est; nous voilà »; et il joue avec les autres
enfants
. Il grossit et ses jambes pren- nent de la forc
0 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. iggo. - Le vocabulaire a augmenté; l'
enfant
prononce presque tous les mots, sait son nom et
s distinguer les couleurs. Gymnastique nulle. A la fin de l'année l'
enfant
commence à nouer, à lacer et à boutonner ; il p
es surfaces, telles que l'ovale, le cercle et le carré. 1894. - L'
enfant
est capable de soutenir une conversation avec q
1897. Le caractère s'améliore; le travail à la classe est lion; l'
enfant
est envoyé 1/2 heure à l'atelier de couture. 18
on; l'enfant est envoyé 1/2 heure à l'atelier de couture. 1898. - L'
enfant
est dans un état satisfaisant, au point de vue
la cuisine et en frottant son pavillon; il est nommé par les autres
enfants
le « premier frotteur ». 1904. L'enfant s'améli
est nommé par les autres enfants le « premier frotteur ». 1904. L'
enfant
s'améliore toujours, en-ce qui concerne la comp
n. 1899. - Progrès sensibles à l'école. 1900. - 8 ans et demi : l'
enfant
est propre, la marche est normale. La physionom
e répondre quand on lui parle (ce qui parfois suscite une colère, l'
enfant
y étant sujet). Il n'affectionne personne, et i
it par taquinera ou paresse ( ? ). Cette habitude lui est passée (l'
enfant
a di être mis en robe de gâteux pour cette rais
ques traits de dessin et y apporte un certain goût. -- En résumé, l'
enfant
se rapprocha de plus en plus de l'état normal.
o- lage; du travail à l'atelier, du dessin et du solfège. 1905. L'
enfant
, en raison du caractère et du travail, peut êtr
du caractère et du travail, peut être classé aujourd'hui parmi les
enfants
normaux. L'obstination, les colères, très fréqu
olères, très fréquentes autrefois, n'existent plus. Actuellement, l'
enfant
lit couramment, écrit lisiblement, fait des dev
est en résumé le meilleur élève de la petite école. En résumé, cet
enfant
est arrivé à un degré presque normal. - Appicnl
'entrée le 3 juin 1899. - Idiotie, gâtisme, absence de lan- gage. -
Enfant
grand gâteux, privé de compréhension et doué d'
différence, mis dans les premiers temps de son entrée au milieu des
enfants
de la fanfare afin de se rendre compte s'il ent
encore au- jourd'hui mais moins fréquents. Actuellement (igo2). l'
enfant
commence à comprendre, sou- rit, chantonne, est
2' série, 1006, I. XXI. 17 258 . THÉRAPEC 1 IQUE PEDAGOGIQUE. L'
enfant
qui, à l'entrée, ne mangeait pas seul et refusait
ange mieux, tient lui-même la cuiller. Remarque curieuse à noter, l'
enfant
ne boit jamais ou presque jamais, ni vin, ni ea
che à fredonner. (Compte rendu 1903, p. XIV.) 1905. - L'état de l'
enfant
est stationnaire, il n'a rien ac- quis de nouve
ls. Tout à fait nul au point de vue de l'écolage. Le caractère de l'
enfant
est très défectueux, il est jaloux, sournois, a
pas renouvelées. Il supporte bien mieux les taquineries des autres
enfants
et il joue avec eux sans se fâcher, ou s'il se
se fâcher, ou s'il se fâche, c'est avec plus d'à-propos. r9o5. - L'
enfant
donne actuellement encore plus de salis- TRAI
est atteint d'idiotie complète. Parole et marche nulles. Gâtisme. L'
enfant
est inca- pable de manger seul. 1897. - L'éta
sme. L'enfant est inca- pable de manger seul. 1897. - L'état de l'
enfant
s'améliore, il marche aujour- d'hui sans presqu
isme est moins fréquent. La compréhension devient meil- leure, et l'
enfant
peut aujourd'hui discerner ce qui est bien d'av
ononciation défectueuse. IL' se rend utile en aidant à chausser les
enfants
, s'habille et se déshabille lui-même. Au point
'habille et se déshabille lui-même. Au point de vue du caractère, l'
enfant
reste gour- mand, voleur et coléreux. 1900. L
l'enfant reste gour- mand, voleur et coléreux. 1900. L'état de l'
enfant
reste stationnaire. 1901. Les progrès continuen
a manie du vol et du mensonge. 1902. - L'amélioration continue, l'
enfant
connaît le nom et l'usage de tous les objets qu
voleur, et tout lui est bon, l'argent et les friandises. ;9°3. - L'
enfant
vient à la petite école, a appris à con- naître
bien tous les mouvements à la gymnastique. La parole est libre, l'
enfant
commence à écrire. Sa tenue est meilleure, mais l
ctère ne se modifie pas. 1904. Pas de changement notable. 1905. L'
enfant
est aujourd'hui bien développé. II ,e rend comp
rand gâteux. Est à mentionner comme idiot à physionomie éveillée. L'
enfant
est incapable de faire nuoi que ce soit, il a s
lle. Il paraît être affectueux, mais il est méchant pour les autres
enfants
, en est surtout ja- loux. 19°3. Une légère am
tion s'observe au point de vue du gâtisme et de la compréhension. L'
enfant
perd aussi la manie d'ouvrir les portes. Est mo
visage, et à laver ses mains. 1904. - L'amélioration continue, l'
enfant
est presque pro- pre. Il commence à lacer, à no
omanie), onanisme, mensonge, vol. Au point de vue de l'écolage, l'
enfant
est nul, il sait à peine syllaber et faire une
eine syllaber et faire une addition. 1902. Aucune amélioration. L'
enfant
reste brutal. Sa tenue est mauvaise, son travai
tenue est mauvaise, son travail à la classe est aussi mauvais, l'
enfant
n'y fait absolument rien, et se moque de tout ce
e feu, à fumer, et un de ses amusements favoris, est de prendre les
enfants
et leur plonger la tête dans l'eau, ou bien enc
cou ou les mains. Tous ces faits, vus et empêchés, sont niés par l'
enfant
avec beaucoup d'aplomb. TRAITEMENT MÉDICO-PÉD
IDIOTIES. 261 Igo3. - Une légère amélioration est à relever chez l'
enfant
au point de vue des exercices classiques et du
rsonnel qui cherche à le corriger de sa mauvaise tenue. 1905. - L'
enfant
change sensiblement. Sa tenue est meil- leure.
affectueux et tout jeune qu'il était, il se plaisait à frapper les
enfants
. 1904. Un changement notable s'est produit dans
fants. 1904. Un changement notable s'est produit dans l'état de l'
enfant
. Il s'intéresse à tout ce qui se fait autour de l
G2 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. conter ce qu'il voit faire aux autres
enfants
. Il devient affec- tueux, chantonne et joue bie
10 ans 1/2, né le 7 nov. 1895 (Paris). A l'entrée (16 août 1902), l'
enfant
est atteint d'idiotie avec gâtisme et parole pr
e avec gâtisme et parole presque nulle. La turbulence est grande; l'
enfant
se met facilement en colère. Il crie, a la mani
t trompeuse, car elle indique plus d'intelligence qu'il n'y en a. L'
enfant
est plutôt gai, et a des aptitudes musicales as
ymnastique, au saut ainsi qu'aux barres d'entraînement. 1904. - L'
enfant
est aujourd'hui tout à fait propre. A la classe
ent. 1905. - Une grande amélioration concernant le caractère de l'
enfant
, plus calme aujourd'hui, se tenant mieux chaussé
, idiotie profonde; surdi-mutité. - A son entrée, en mars igo3, cet
enfant
gâtait nuit et jour, ne parlait pas, indifféren
s principales parties de son corps et de ses vêtements. 1904. Cet
enfant
ne gâte plus le jour, la parole est de moins en
peu et trace quelques bâtons et quelques o assez régulièrement; cet
enfant
est d'un naturel flatteur et peu docile. XVI.
le. XVI. FAlTO ? (Emile). Imbécillité et instabilité mentale. Cet
enfant
indiscipliné, turbulent, tout à fait instable, en
miplégie droite. 8 ans; né le 28 mai 1896, entré le 7 mai 1903. Cet
enfant
, d'une physionomie expressive toutà fait trompe
(André). Imbécillité, entré le 8 janvier 1904 âgé de 7 ans 1/2. Cet
enfant
, à son arrivée, ne connais- sait que les lettre
ades, se sauver dans les jardins et commettre quelques méfaits. Cet
enfant
absolument impulsif n'a aucune méchan- ceté pré
hant un sourire perpétuel, parole complètement nulle, tel était cet
enfant
lorsqu'il nous fut confié. Anjourd'hui, il es
l établit une relation entre le chiffre et la quantité. 1905. - Cet
enfant
a subi une véritable transformation dans l'espa
ononcé, atteint d'idiotie et d'instabilité mentale. A son arrivée l'
enfant
ne sa- vêtements. Il était aussi turbulent, trè
s'occupe exclusivement de lui, mais, dès que l'on passe à un autre
enfant
, il cesse de travailler, regarde à droite et à
cipline en personne, morigène et corrige continuellement les autres
enfants
. Apportant néanmoins une attention un peu plus
forme presque toutes les lettres et commence à les assembler. Cet
enfant
qui, ayant quelques dispositions pour l'écriture,
dèle donné, est incapable do suivre un tracé. (Nous avons plusieurs
enfants
dans ce cas). - La mémoire, des plus fugitives,
enons davan- tage à l'aide des letties mobiles. La parole, chez cet
enfant
, continue à s'améliorer. igoi. Les progrès co
x. Pard ? commence à jouer avec ses petits camarades. 1901. - Cet
enfant
qui pleurait sans cesse, ne mangeait pas seul,
exercices scolaires, nous n'avons encore rien obtenu. 1902. -- Cet
enfant
est à l'isolement po-jr la teigne. 1903. - Pard
nt pas seul, restant toute la journée dans un état som- nolent, cet
enfant
semblait n'être doué que de la vie végéta- TR
s bunt très Unis, mais continus. (Fig. 26). 1905, décembre. - Cet
enfant
a progressé pour loitho- graphe, mais l'amélior
essuyer. - - Les sentiments affectifs ne semblaient pas exister, l'
enfant
voyait ses parents au parloir, les quittait san
mble s'être améliorée, mais est toujours défectueuse. 1897. - Cet
enfant
continue à apporter beaucoup de bonne volonté;
toujours réfractaire au calcul. 1904. - Progrès peu marqués, cet
enfant
, opéré d'une lier- nie, ayant passé plusieurs m
nt été très sensibles pour la lecture, l'écriture et le calcul. Cet
enfant
, dont l'amour-propre s'est éveillé, est heureux
a multiplication. L'écriture, très améliorée, est très lisible. Cet
enfant
est en bonne voie pour la lecture courante. 19°
entré en avril 1890, à l'âge de 13 ans et demi. A son arrivée, cet
enfant
, atteint d'idiotie profonde, se trouvait presqu
é à lire couramment; l'écriture devient plus lisible. 1902. - Cet
enfant
a fait des progrès .pour les exercices classiqu
exercices classiques; ses devoirs se rapprochent assez de ceux des
enfants
normaux; nous espérons pouvoir le présenter l'a
yant aucune notion scolaire. 1894. Dans le courant de l'année cet
enfant
a été rendu propre, a appris à s'habiller, reco
he et semble moins réfractaire au calcul. 1900. Le travail de cet
enfant
est régulier et il est très ponctuel pour ses d
ns, atteint d'imbécillité. Pris à son arrivée en novembre 1896. Cet
enfant
, d'une inat- tention absolue, nous faisait souv
empâtée, a beaucoup gagné pendant ces derniers mois; toutefois, cet
enfant
commence seulement à pouvoir copier la leçon de
faire faire l'addition. igoi. La lecture est devenue courante. Cet
enfant
d'une paresse extrême au début, travaille maint
éographie, mais l'esprit reste absolument fermé pour le calcul. Cet
enfant
a toujours besoin d'être encouragé, au moindre
eu de d : c- tées quelques exercices sur le genre et le nombre, cet
enfant
a une obéissance immédiate mais sans durée. 1
et prend goût au jeu du marchand. 1905. - Le ! ' progrès chez cet
enfant
sont lents mais régu- liers, il n'y a pas d'int
déshabille seul sans pouvoir cependant lacer, nouer, boutonner. Cet
enfant
, atteint à son arrivée de daC1l011lallie (ou ma
. La parole, très défectueuse, était presqu'in- compréhensible. Cet
enfant
a été rendu propre en 1893 et sa parole, très a
ons en même temps une sensible amélioration dans l'intellect de cet
enfant
. A partir de cette époque, la mémoire a paru se
cices de grammaire. L'écriture est bonne et très lisible bien que l'
enfant
écrive de la main gauche, le côté droit étant p
s simple calcul mental. Tout ce qu'on est parvenu à apprendre à cet
enfant
n'a été obtenu qu'avec une grande dépense de pe
ple soit-il, semble une montagne à apla- nir. Chez presque tous nos
enfants
les débuts sont arides et pénibles, mais une fo
e, strabisme, affaiblissement du bras gauche. L'état nerveux de cet
enfant
s'est modifié favorablement : la chorée n'exist
geant pas seul, gâtait nuit et jour et parlait avec difficulté. Cet
enfant
à commencé en 1897 à se tenir debout dans un ch
e rien pu obtenir en raison du tremblement dont il est affecté. Cet
enfant
a été notablement amélioré pour la parole. 19
mars 1897, est entrée en octobre 1904, à l'Age de 7 ans 1/2. Cette
enfant
était atteinte d'imbécillité avec perversions i
plus expressive que ne le comportait la réalité, car, en somme, l'
enfant
était très arriérée. Elle avait des moments d'exc
e a encore de l'incontinence nocturne d'urine, mais ne gâte plus. L'
enfant
est donc, sous tous les rapports, en bonne voie
e le 18 août 1891. Entrée en janvier 1904, à l'âge de 12 ans. Cette
enfant
était atteinte ^imbécillité à un degré très pro
vivacité. 1905. Depuis quelque temps, il se produit chez cette
enfant
un certain développement. Elle se donne de l'exer
ain gauche, ce qui rend le tra- vail plus lent et plus difficile; l'
enfant
s'obstine à ne pas se servir de la main droite,
ment de la lecture très difficile. Tous ces obstacles découragent l'
enfant
, elle manquerait de goût pour l'étude. Enfin, e
out ce qui est con- tenu dans les tiroirs des leçons de choses. L'
enfant
n'urine plus au lit. La physionomie est moins t
il était très difficile, sinon impossible de fixer l'attention de l'
enfant
, la moindre observation la fai- sait rougir et
r la consoler et la rassurer. On renonçait presque à obtenir chez l'
enfant
le plus petit développement intellectuel. 190
ec turbulence. Sans être complètement dépour- vue d'intelligence, l'
enfant
laissait beaucoup à désirer tant .au point de v
tention. igo5. - Dix-huit mois se sont écoulés; durant ce temps l'
enfant
a fait des progrès qui méritent d'être signalés p
est devenue obéissante, la turbulence s'est modérée doucement et l'
enfant
s'est intéressée aux objets classiques, puis l'
tic, il était permis de douter d'une grande amélioration chez cette
enfant
. Elle n'était pas patiente avec ses compagnes,
e et taciturne; en un mot, Henriette n'avait pas le caractère d'une
enfant
de son âge. Elle s'habillait avec peu de goût,
en classe, connaissait à peine les lettres et les chiffres. 1905. L'
enfant
mise en traitement a réalisé des progrès 208
hien pour- la couture, repasse avec goût et lave avec soin. Cette
enfant
qui présentait à son entrée de nombreux désor-
rement un simple devoir de style. Aucune notion de gymnastique. L'
enfant
mise au traitement médico-pédagogique s'est mudi-
uelques irrégularités, elle est susceptible, nonchalante, c'est une
enfant
qui a besoin d'être stimulée en tout et pour to
rtout plus gaie, plus alerte. Elle s'intéresse aux soins donnés aux
enfants
, aime beaucoup le.; plus petites, de même qu'el
e, avec perversions instinctives, inven- tivité et mensonges. Cette
enfant
avait une absence pres- que complète de sensibi
causait assez bien. Elle ne savait ni repasser ni laver. Enfin, l'
enfant
présentait de nombreuses anomalies au point de vu
ais la couture n'est pas son occupation préférée; il faut à cette
enfant
des travaux qui exigent du mouvement. Elle fait b
vec surdi-mutité, parole et marche nulles, gâtisme complet. - Cette
enfant
ne comprenait absolument rien, elle pleurait sa
ne pouvait faire présager la moindre améliora- tion chez elle. L'
enfant
mise en observation dès le début et traitée immé-
t traitée immé- diatement pour le gâtisme qui consiste à placer les
enfants
régulièrement sur les sièges avant et après les
parallèles, chariots, balançoire, tremplin, etc., de sorte que l'
enfant
marche seule, suit les enfants au préau et dans l
çoire, tremplin, etc., de sorte que l'enfant marche seule, suit les
enfants
au préau et dans les divers exercices sans aucu
entièrement à sa toi- lette. Le caractère est doux et affectueux, l'
enfant
a toujours un bon sourire pour témoigner sa rec
econnaissance. Malheureu- sement la classe est restée en arrière, l'
enfant
ne possédant qu'un faible degré d'intelligence
é, incapacité de se diriger, incontinence nocturne d'urine. - Cette
enfant
était nulle en instruction, connaissait à peine
aucune mémoire, il lui était impossible de dire le nom de sa rue; l'
enfant
avait un accent provincial assez prononcé, mais
veau. Vu son âge avancé, on n'espérait aucun résultat. Peu à peu, l'
enfant
prit goût au travail, à la classe. Elle lit auj
méliorée au pu'nt de vue classique au delà de nos espérances. Cette
enfant
aime la lecture par-dessus tout, elle ramasse t
ois de fort mauvaise humeur; car indépendam- ment de son travail, l'
enfant
a conservé ses bizarreries, nous dirions même s
dirions même ses originalités. Il faut laisser passer ce moment, l'
enfant
travaille ensuite de plus belle et répare vite le
sait que l'addition, faisait une copie. Vu son manque d'attention l'
enfant
ne laissait espérer que de bien faibles résulta
ru, de même que l'onanisme. Le caractère s'est également modifié, l'
enfant
est moins turbulente, elle est deve- nue affect
le paraît en ressentir du contentement;' elle rit aux éclats si ces
enfants
pleurent; ce (lui démontre nettement la nature
soir avant de s'endormir : c'était tout à fait la balancement de l'
enfant
au berceau. Comme ouvrage manuel, elle était co
éliorée au point de vue clas- sique. En résumé la nature de cette
enfant
est très impétueuse et difficile à diriger, mai
âge de 6 ans : idiote avec surdi- mutilé, gâtisme intermittent. - L'
enfant
, à son admission, ne savait ni s'habiller, ni s
ire et en classe. Son attention était d'autant plus difficile que l'
enfant
était sonrdc- muette. En réalité, cette enfant
plus difficile que l'enfant était sonrdc- muette. En réalité, cette
enfant
ne laissait espérer que de trè3 faibles résulta
GIQUE. par terre et, aujourd'hui, étant tant soit peu surveillée, l'
enfant
serait capable de faire un dortoir elle-même. P
t les trois premières opérations de l'arithmétique. En résumé cette
enfant
peut se rendre utile dans diverses occupations
1895, intitulé : Rapport et mémoires de Béguin sur l'éducation des
enfants
normaux et anor- maux, comprenait son rapport s
ou comprendra : Volume IV : Assistance, traitement et éducation des
enfant
* idiots et dégénérés, rapport fait par nous, au
me Z' : Manuel pratique des méthodes d'enseignement spé- ciales aux
enfants
anormaux (sourds-muets, aveugles, idiots, bègue
3 débiles, dégénérés, anormaux, crétins, épileptiques (adultes et
enfants
), etc., par le nI' Pornain, avec préface du 1)''
Nouvelle méthode pour l'enseignement de la lec- ture à l'usage des
enfants
arriérés ou présentant dos troubles de la parol
ume IX : Alphabet du dessin, méthode d'enseignement pour les jeunes
enfants
, en particulier pour les enfants arriérés, par
ode d'enseignement pour les jeunes enfants, en particulier pour les
enfants
arriérés, par Mme Paul Bru-Thiellay, avec 19 pl
. le Dr Wahl, médecin-adjoint de l'asile d'Auxerre : assistance des
enfants
anormaux. Dans la même séance, l'Académie a f
: 1° Election du bureau; 2° Elaboration d'un programme d'action.
Enfants
anormaux. Aveugles ET sourds-muets. Paris, le 3
.Ministre de l'Intérieur il Messieurs les Préfets. La situation des
enfants
anormaux préoccupe très vivementles pouvoirs pu
erne : Hygiène scolaire, éducation physique, biologie et pédagogie,
enfants
anormaux. Directeurs : Dr Jean PHIL1PPE et D" P
par les 'directeurs. Hygiène du livre iL l'école, par A, Marie. Les
enfants
menteurs, par Pierreson. Education plivbique au
festé plusieurs fois l'intention de se suicider. 11 était père de 5
enfants
. - On a trouvé, pendu dans sa chambre, le sieur
hypnotisme à la psychologie, à la thérapeutique, à la pédagogie des
enfants
vicieux ou anor- maux. La leçon d'ouverture aur
ranc. Pour nos abonnés. Prix : 0 fr. 73. l3ounNt : vtt.t,F. - Les
enfants
anormaux au point de vue intellec- tuel et mora
ongrès des médecins aliénistes de franco ; Visite de la section des
enfants
de l31cèLre et. de la Fon- dation Vallée ; Rapp
d). Traitement moral, hygiène et éducation des idiots et des autres
enfants
arriérés ou retardés dans leur dévelop- pement,
s faire valoir le plus ordinairement. Ses ayants-droit, femmes et
enfants
, ou ascendants et descendants autres, mieuxins-
rès précises. Consultations médico-pédagogiques, gratuites pour les
enfants
indigents atteints de maladies du système nerveux
famille de nobles, originaire des montagnes du Caucase, n'a pas d'
enfants
el présente une hérédité pathologique grave. Son
l'exception de notre malade, sa mère a eu trois avortements et, six
enfants
vivants, tous morts en convulsions en bas âge.
et, six enfants vivants, tous morts en convulsions en bas âge. Les
enfants
des deux autrcsfem- mes du père sont aussi mort
ion un officier de son pays. Malheureusement elle n'a jamais eu d'
enfants
bien qu'elle soit mariée depuis 17 ans. Après 5 a
it tou- jours avoir lorsque des convulsions se déclarent chez les
enfants
. 2. L'on a remarqué depuis longtemps qu'une cor
s depuis tant d'années, à savoir qu'il est possible d'améliorer les
enfants
, idiots, imbé- ciles et arriérés. . LIX. Wath
e s'habiller, ni de se déshabiller; elle exigeait les soins d'une
enfant
de 3 ou 4 ans. Elle craignait le froid à l'excès,
s plus petites, les débarbouille au besoin; elle impose silence aux
enfants
quand elles font trop de bruit. Elle ne reste jam
use dans tout ce qu'elle fait. Elle n'est pas et ne sera jamais une
enfant
normale, mais si on compare ce qu'elle était au
l fallait procéder à son habillement et à sa toilette comme à une
enfant
de quelques mois. La physionomie était sans exp
st éclairci, 382 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. les mouvements de l'
enfant
sont devenus plus vifs. A mesure qu'elle se dév
d'hui, un changement merveilleux s'opère de jour en jour chez cette
enfant
: la physionomie devient expressive : le regard
t ce qu'elle voit faire; aide à s'habiller et à se désha- biller. L'
enfant
est devenue tout à fait propre; le jour elle de
« papa, pipi, ou popo, caca, » selon le besoin qu'elle éprouve. L'
enfant
marche maintenant toute seule, elle trottine par-
t pousse des exclamations quand elles sont grotesques. En un mot, l'
enfant
est très améliorée sous tous les rapports et le
sûr. igo5. Les progrès qu'on était en droit d'espérer chez cette
enfant
se réalisent chaque jour, le caractère doux et ca
stique avec plaisir et cherche à bien imiter tous les mouvements. L'
enfant
aime tous les soins de toilette, essaie même de
2. Ilarb ? à l'Age de 4 ans 1/2 (1902). les progrès réalisés chez l'
enfant
nous donnent beaucoup d'es- poir et font prévoi
Fig- 44. Lar ? à 8 ans (1y01). che, ne courait, ni ne sautait. L'
enfant
parlait, mais elle TRAITEMENT MÉDICO-PÉDAGOGI
ÉDICO-PÉDAGOGIQUE DES IDIOTIES. 395 Au point de vue intellectuel, l'
enfant
n'était pas plus avan- Fig.47.-L ? à 13 ails (1
O-PÉDAGOGIQUE DES IDIOTIES. 401 Les premiers jours de son entrée, l'
enfant
a été mise en traitement par la glande thyroïde
rend à ces différents exercices. Actuelle- ment, elle est comme une
enfant
normale de 6 à 7 ans. Amélio- ration très notab
amuse beaucoup aux heures de récréation, ses jeux sont ceux d'une
enfant
normale d'une dizaine d'années. Elle commence à s
elle compte seule jusqu'à vingt. Au point de vue de la lecture, l'
enfant
ne reconnaît pas encore ses lettres, elle les nom
ayon et commence à faire quelques bâtons sur l'ardoise. - 1905. L'
enfant
continue à s'améliorer au point de vue physique
e, elle paraît alors très satisfaite d'elle-même. Le caractère de l'
enfant
a subi' quelques heureuses modifications, elle
es et des ressorts et commence à faire des ourlets. En somme, cette
enfant
s'est améliorée au déjà de ce qu'on pouvait esp
statons chez notre malade des progrès toujours croissants. De cette
enfant
qui était d'une irritabilité indescriptible, d'
le déchirait continuellement ses effets, nous avons aujourd'hui une
enfant
douce, .docile, affectueuse même, elle n'est pl
tion et la soustraction. Nous ne craignons pas d'affirmer que cette
enfant
s'est réellement transformée depuis son séjour
llité prononcée, avec épilepsie (vertiges et accès nombreux). Cette
enfant
, à son entrée, ne sayait ni lire, ni compter, ne
ce très prononcée pour l'onanisme; en somme on n'attendait de cette
enfant
qu'une amélioration fort médiocre. Cette prévis
elle travaille bien au dessin. Ce n'est qu'à force de travail que l'
enfant
a pu réaliser ces progrès, car elle a toujours
ges manuels elle se plaît à ces différents travaux et on voit que l'
enfant
est tout à fait dans son élément. Aujourd'hui
ait facilement les affaires de ses compagnes. Aujourd'hui (i9o3), l'
enfant
s'est améliorée, elle se rap- proche beaucoup d
i9o3), l'enfant s'est améliorée, elle se rap- proche beaucoup d'une
enfant
à peu près normale. Le carac- tère laisse encor
mauvaises habitudes. Sa tendance pour la klepto- manie a disparu. L'
enfant
a fait de réels progrès en classe, puisqu'elle
écillité et de rachi- tisme, avec perversions instinctives. Cette
enfant
parlait, causait, marchait, ne gâtait pas, mais
es. La mémoire paraissait très faible pour les leçons classiques, l'
enfant
disait elle-même qu'elle était allée en classé
que des résultats fort médiocres. Malgré toutes ces difficultés, l'
enfant
a réalisé aujour- d'hui (1899) de réels progrès
commen- çait la division et savait rédiger une lettre; en un mot l'
enfant
pouvait se tirer de peine. Elle savait faire un
à la Fondation en avril igoi. A son arrivée, la physionomie de l'
enfant
était dure, le caractère laissait beaucoup à dési
gnes ou bien elle les déchirait : elle agissait en un mot comme une
enfant
qui n'a pas un brin de raison. Elle était répon
volonté. Elle s'amusait à rire et à bavarder avec ses compagnes. L'
enfant
avait aussi de réelles difficultés pour la gymn
hernie et qu'elle ne pouvait se livrer à cet exercice. En somme, l'
enfant
pré- sentait des bizarreries de caractère et ét
e à l'égard du personnel, son rai- sonnement est devenu meilleur, l'
enfant
a même aujourd'hui un certain jugement. Elle es
cto- bre 1896, 8 ans,, entrée le ior décembre 1899, cécité. Cette
enfant
était très chétive, sa physionomie était insignif
Rien ne pouvait faire présager la moindre amélioration chez cette
enfant
; cependant elle est parvenue à marcher seule, à s
tout ce qui lui e,-t nécessaire. Comme presque tous les aveugles, l'
enfant
aime la chant et la musique, fredonne les chans
s et ne disait aucun mot, elle gâtait nuit et jour. 1903. - Cette
enfant
mise en traitement dès le début a déià fait des
, se faufile partout et sait se faire aimer de tout le monde. Cette
enfant
qui, au début, était gâteuse, qui ne marchait p
âtisme, marche et parole à peu près nulles. Les progrès faits par l'
enfant
sont à signaler d'une façon toute particulière.
ompréhensible; aucun signe, aucun geste ne suppléait à la parole, l'
enfant
essayait les premiers pas en chancelant et le m
lle seule; elle est d'une propreté méticuleuse sur ses Vêtements. L'
enfant
était autrefois gro- gnon, un rien provoquait U
ion, les progrès pour là lecture sont assez rapides, actuellement l'
enfant
syllabe très bien, commence même à assembler, c
faisait quelques pas tout en la soutenant et lui donnant la main. L'
enfant
a eu, en outre, une coxalgie qui a nécessité so
ées entières. Elle gâtait nuit et jour. Ce n'est qu'en 1898 que l'
enfant
a pu suivre régulièrement le traitement médico-
s et les résultats étonnants que nous avons obtenus. Peu à peu, l'
enfant
s'est habituée au personnel; elle a com- mencé
l'arithmétique, elle lit lentement niais Sa lecture ést courante. L'
enfant
est devenue très propre, le gâtisme a Com- plèt
robes, aux tabliers, etc. Amc. liotrttiorz notable. 1905- - Cette
enfant
s'est beaucoup améliorée au point de vue intell
suit une petite dictée; ses progrès seraient même tapi' des, mais l'
enfant
est obligée de séjourner à l'infirmerie, ayant
grande personnel. Elle se tient très proprement. - En résumé cette
enfant
qui a été prise très bas, s'est beaucoup amélio
LXXII. TROUIL ? (Georgette), née le 24 octobre 1887, 12 dni. Cette
enfant
, atteinte d'imbécillité et d'hémiplégie droite,
s ne sait tenir une conversation. L'attention est facile à fixer, l'
enfant
se tient bien à la classe et a pris goût aux exer
lisiblement, quoi- qu'écrivant de la main gauche. A son entrée, l'
enfant
re pouvait ni s'habiller, ni se désha- biller,
e, ne perd jamais de temps. Elle est gentille et raisonnable. Cette
enfant
qui ne savait rien au début, a fait de notables
me pas tracer des bâtons sur l'ar- doise. Ajoutons encore que cette
enfant
ne paraissait avoii aucune aptitude pour ce qui
ici quelques mois. -- La couture va bien, ainsi que le repassage, l'
enfant
a fait de réels progrès en gym- nastique. 19°
llité avec périodes d'excitation. A son entrée, la physionomie de l'
enfant
n'indiquait aucune TRAITEMENT DiliDlCO-PI : D
actère était triste, maussade; les premiers jours de son arrivée, l'
enfant
avait eu, sans motif déterminé, une période de
et plus agile dans ses mouvements. - En résumé les progrès de cette
enfant
sont très sérieux. 1905. -- Les progrès sont le
e le 15 mai 1889. - tl l'entrée (22 jan- vier T903), le visage de l'
enfant
était pâle, la physionomie 414 THÉRAPEUTIQUE
les chiffres. Tout son savoir consistait en ces quelques notions. L'
enfant
a été mise en traitement dès le début (douches,
es et tout donne à espérer que d'ici quelques jours la lecture de l'
enfant
sera courante. Elle aime la gymnastique, sait f
e, s'y prend bien et n'est pas. maladroite. Inutile d'ajouter que l'
enfant
ne pouvait suivre aucun de ces exercices à soil
DIGOPLD : 1GOGIQUG DES IDIOTIES. 415 des progrès classiques de son
enfant
, car elle n'avait jamais rien appris dans les é
in de sept ans, avait de é- ritables accès de folie. Sans raison, l'
enfant
rouait de coups ses petits camarades et, lorsqu
. M. Il. XLYIII. Les rémissions prolongées de la méningite chez l'
enfant
; par Carrière et LHOTE. (Revue de médecine, juill
le côté hémiplégie. .F6[ ! '6[h/6'tspMMO-&K&Ni'rce/tM' un
enfant
. ll)1. llAYbiON1) et LEJONNE montrent un enfant
K&Ni'rce/tM' un enfant. ll)1. llAYbiON1) et LEJONNE montrent un
enfant
de onze ans atteint du syndrome paralytique pse
])les delà parole chez les écoliers normaux ou anormaux : 16.000
enfants
ayant été examinés, la statistique qu'il fournit
dont elle a été établie donne toutes les garanties possibles : les
enfants
avaient à prononcer de nombreux mots destinés à
pulaires et aussi les mères qui sont les premières éducatrices de l'
enfant
et peuvent surveiller les pre- mières manifesta
arme sur une jeune fille qui, en l'absence de la mère, gardait l'
enfant
. Les balles heureusement, n'atteignirent par leur
tation d'un microcéphale, par M. GI : rÉNIOT. Pendant le travail, l'
enfant
présenta des mouvements convul- sils qui firent
rès précices. Consultations mJdieo-pedagogiques, gratuites pour les
enfants
indigents atteints de maladies du système nerveux
, à l'Amphithéâtre Cruveilhier, le jeudi à 5 heures. Suicide d'un
enfant
. Mardi dernier, Mme Andiieux, culti- vatrice à
attribuer ce suicide. (Le Semeur de l'Oisc, 29 avril.) Suicide D'
ENFANTS
,-Nicc : Deuxjeunes filles, }Illes Césarine To-
anc. Pour nos abonnés. Prix : 0 fr. 75. l3utlxnrvtt.r.t : . - Les
enfants
anormaux au point de vue intellcc- tuel et mora
ngrès des médecins aliénistes de- France ; Visite de la section des
enfants
de Bicètre et de la Fon- dation Vallée ; Rappor
d). Traitement moral, hygiène et éducation des idiots et des autres
enfants
arriérés ou retardés dans leur dévelop- pement,
de 35 ans environ, M ? a eu une santé normale. Marié, il a eu trois
enfants
; un garçon vivant, bien portant, une fille mor
de parler sans se mettre aussitôt à sangloter et a pleurer comme un
enfant
sans pouvoir s'arrêter. Dès son entrée à l'Asil
e faire manger comme un LA SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 437
enfant
. De plus en plus capricieux irritable et violent.
cès alcooliques. Elle est au moment de la ménopause. Elle a eu cinq
enfants
dont les deux premiers sont morts de tuberculos
tabilité extrême et d'une grande violence. Elle se mit à battre ses
enfants
, les frappant brutale- ment avec une barre de f
voici la transcription. OBs. IV. P ? 50 ans, maçon, marié, trois
enfants
. Comme antécédents personnels, il accuse une fi
ixé aux Sables en qualité de pêcheur et s'est marié ; il aeu quatre
enfants
, deux filles qui sont mariées, et deux autres e
il aeu quatre enfants, deux filles qui sont mariées, et deux autres
enfants
plus jeunes. 11 est incapable de fournir des re
ompte-rendu de notre service nous publions quelques notices sur les
enfants
les plus gravement atteints qui avaient été con
ce diagnostic, il est facile de comprendre que l'état général de l'
enfant
laissait beaucoup à désirer. La physiono- mie a
très souvent y mettaient un grand obstacle. Vu cette incapacité, l'
enfant
était triste, tout était pour elle un sujet d'e
tous les jeux de ses compagnes, sa conversation est intéressante, l'
enfant
raisonne comme un petit personnage. Ainsi qu'à
ntièrement seule aux soins con- cernant sa toilette. En classe, l'
enfant
montre une application soutenue, mais la vue es
commence à copier, assemble les lettres. Tout porte à croire que l'
enfant
lira couramment dans le courant de l'année. La
gymnastique et y met beaucoup de bonne volonté. L'attitude de cette
enfant
s'est améliorée et ses progrès sont notables.
miers éléments de la grammaire, quelques notions de géographie, l'
enfant
a beaucoup de goût pour la classe. ' Comme cara
, l'enfant a beaucoup de goût pour la classe. ' Comme caractère l'
enfant
est gaie, joueuse, ses jeux n'ont rien d'anorma
. Notre malade est très obéissante et tout plein gentillette. Cette
enfant
atteinte d'imbécillité 462 THÉRAPEUTIQUE PÉDA
s. A l'entrée à la Fondation, le ier juin 1901, la physionomie de l'
enfant
manquait d'expres- sion, son air était hébété,
son air était hébété, le regard vague et sans but, rien chez cette
enfant
n'annonçait l'intelligence. Elle parlait, mais
Elle n'a eu qu'un seul accès d'épilepsie depuis son entrée; aussi l'
enfant
s'est développée sous tous les rapports. La phy
t connaît l'addition. Elle a réalisé de réels progrès en couture, l'
enfant
travaille aux tabliers, aux robes; elle commenc
t agile et aime tout ce qui demande du mou- vement. En somme, cette
enfant
a fait beaucoup de progrès et est en très bonne
ès et est en très bonne voie d'amélioration (1903). 1905. - Cette
enfant
citée déjà dans le Compte Rendu 1903. mérite ég
. Ses accès épileptiques ne sont pas très fréquents, de sorte que l'
enfant
progresse jus- qu'ici sous tous les rapports. E
ec beaucoup de facilité, elle possède une grande souplesse. Cette
enfant
bien qu'atteinte d'épilepsie s'est notablement
vec gâtisme, marche et parole nulles. Les progrès faits par cette
enfant
sont sensibles et méritent une mention particul
mauvaise, à peine pouvait-elle faire quelques pas. Au réfectoire, l'
enfant
se tenait affreusement mal, aimait à se salir e
caresse, l'égoïsme était son défaut dominant : Tout pour elle. L'
enfant
, capricieuse, ne voulait pas rester assise, les p
Grande amélioration. 19°5- Rien de particulier à signaler. Cette
enfant
est propre, marche et parle bien, ses progrès s
ns sur toutes choses lui étaient inconnues. Les progrès faits par l'
enfant
sont de plus en plus satisfai- sants. Aujourd
e de ses quali- tés ; sa tenue à table est fort bonne. Autrefois, l'
enfant
était souvent maussade et grognon, pleurait san
ont encore faibles. Malgré toutes ces difficultés, les progrès de l'
enfant
sont notables. 1905. -- Les progrès sont lents,
s progrès sont lents, mais ils continuent sous tous les rapports. L'
enfant
s'exprime bien, répond directe- ment aux questi
de toutes ses compagnes. Ses jambes se fortifient peu peu, enfin, l'
enfant
est par- venue à suivre les exercices des grand
en donnant le bras à une infirmière et quelquefois même à une autre
enfant
, Yvonne marche assez bien; se rend ainsi en cla
rire, sait faire l'addition sans retenue. Tout porte à croire que l'
enfant
s'améliorera notablement au point de vue classi
luxation congénitale des hanches. La parole était libre chez cette
enfant
qui répondait aux questions posées, mais elle m
e la physionomie était peu mobile, le regard vague, rien chez cette
enfant
n'indiquait l'intelligence. Elle ne savait pas
ICO-PÉDAGOGIQUE DES IDIOTIES. 465 notions les plus rudimentaires. L'
enfant
avait beaucoup de difficultés pour tout' ce qui
s exactement l'application. Le caractère s'est également modifié. L'
enfant
parlait mal au début, était maussade, restait i
asser et lave bien. Elle n'est pas très agile en gymnastique. Cette
enfant
, atteinte d'imbécillité pro- Ill'ncée à son ent
impropre à l'étude. Actuellement (1904), nous constatons chez cette
enfant
une Archives, 2' série, 1906, t. XXI. 32 46
cilité, soutient bien une conversation; on remarque même chez cette
enfant
un certain jugement et des attentions délicates
siblement, à compter (addition), à faire le change de la monnaie. L'
enfant
a de réelles difficultés pour la lecture, nous
pour les soins du ménage et malgré sa petite taille (i m. 31), l'
enfant
ne reste jamais inactive. Elle n'aime pas beaucou
up la couture, mais elle repasse bien et lave encore mieux. Cette
enfant
qui était à son entrée, atteinte d'imbécillité
pression, le regard sans but, l'as- pect était débile et maladif. L'
enfant
ne prononçait que quel- ques mots : papa, maman
il s'agissait de lui donner les soins de propreté. Aujourd'hui, l'
enfant
s'est notablement améliorée; la physionomie est
r les cabinets; la nuit il lui arrive rarement d'uriner au lit. - L'
enfant
mar- che maintenant seule, elle trottine partou
personne. Amélioration ^notable sous tous les rapports. 1905. - L'
enfant
suit toujours la même marche vers une améliorat
de classe. Elle avait aussi de l'incontinence nocturne d'urine. L'
enfant
, soumise au traitement dès le début, s'est amélio
nte apporte un réel obstacle à cer- tains exercices. Malgré cela, l'
enfant
a fait d'incontestables progrès sous tous les r
, née le 19 août 1898, 7 ans. - Entrée en octobre 1903. Quand cette
enfant
est venue parmi nous, elle ne marchait pas, ne
a nuit. Le caractère était sombre et taciturne, on aurait dit que l'
enfant
avait continuellement de gros cha- grins. Ne co
rien comme classe. - Nous constatons aujourd'hui (1904) chez cette
enfant
des progrès sous bien des rapports. D'abord la
pour tout. Le caractère est devenu gai et joueur, comme celui d'une
enfant
ordinaire. Elle est tout à fait propre. C'est s
la propreté, de la parole et de la marche que les progrès de cette
enfant
sont sensibles. 1905. - Les progrès continuent,
s de cette enfant sont sensibles. 1905. - Les progrès continuent, l'
enfant
s'intéresse princi- palement à la classe, elle
elle était aussi très méchante, prenant plaisir à faire pleurer les
enfants
inoffensives. Elle exigeait une surveillance
qu'elle a séjourné plusieurs années à l'infirmerie (teigne), mais l'
enfant
se voyant en retard a redoublé de courage et de
blement bien la gymnastique. Nous ne pouvons qu'ajouter que cette
enfant
, malgré son instabilité, s'est améliorée nota-
l fallait l'aider à s'habiller et à se déshabiller; rien chez cette
enfant
n'annonçait l'intelligence, Toutes les branches
eignement lui étaient totalement inconnues. Aujourd'hui (1904), l'
enfant
s'est notablement améliorée, La physionomie s'e
elle d'aider à habiller et à déshabiller les petites gâteuses. L'
enfant
a eu beaucoup de retard pour la classe, à caus ?
icipe à tous les exercices de la grande gym- nastique. En somme l'
enfant
est en bonne voie d'amélioration et ses progrès
progrès méritent d'être mentionnés. 19o5. - Les progrès chez cette
enfant
sont lents en toutes choses. Elle met beaucoup
e très bien et sans aucun défaut de prononciation. Comme beaucoup d'
enfants
aveugles, elle retient les airs de chansons ave
e a complètement disparu. - - Nous pouvons dire hautement que cette
enfant
s'est nota- blement améliorée sous le rapport d
nombre la faisaient tomber maintes et maintes fois; de sorte que l'
enfant
hésitait pour faire quelques pas. Néan- moins e
t, un changement merveilleux pour ainsi dire s'est opéré chez cette
enfant
(1904). Ses ver- tiges ont totalement disparu,
n air futé et malicieux, répète tout ce qu'elle entend, connaît les
enfants
et les personnes de son entourage. Elle marche
débarbouillée, essaie même de le faire, conserve bien ses effets, l'
enfant
a toujours un air propret. Elle mange sans jama
- Amélioration notable. 19°5. - Progrès peu marqués depuis un an; l'
enfant
est fort distraite en classe, songe plutôt à s'
oncée, avec perversions instinctives, avec gâtisme et ona- tisme, L'
enfant
n'avait aucune stabilité, elle était nulle en c
une amélioration très notable, sous tous les rapports. D'abord l'
enfant
est devenue tout à fait propre, procède minutie
s jeunes, prend plaisir à leur donner les soins de toilette; si l'
enfant
continue ainsi, on. pourra faire d'elle une bonne
la classe n'ont pas été moins rapides. En moins de trois ans, cette
enfant
a appris à écrire, à faire quel- ques devoirs d
et com- mence bien à coudre, ainsi qu'à repasser. » 1905. - Cette
enfant
dont les progrès n'ont pas été men- tionnés dep
des progrès notables au point de vue scolaire. Le caractère de l'
enfant
est agréable; elle est serviable dans la mesure
t toujours polie avec tout le monde. Elle joue et s'amuse comme une
enfant
ordinaire, n'aime pas les jeux bruyants. Elle s
comme ailleurs, elle a fait beau- coup de progrès. En résumé cette
enfant
pourrait être classée aujourd'hui dans la catég
elles. Nous terminons ces notes en y ajoutant des notices sur des
enfants
qui se sont particulièrement améliorées et qui, p
nte d'imbécillité prononcée avec perversions instinctives. -- Cette
enfant
causait, mais ne pouvait répondre exactement au
ces obstacles, nous constatons une amélioration notable chez cette
enfant
. Actuellement, elle lit par syllabes, écrit trè
dition et la soustraction. Le caractère est totalement changé^, l'
enfant
est devenue plus enjouée, affectueuse, parle mê
up, tient conversation, s'amuse aux récréations comme le ferait une
enfant
ordinaire. Ajoutons aussi <Que l'enfant est
ions comme le ferait une enfant ordinaire. Ajoutons aussi <Que l'
enfant
est devenue tout à fait propre; elle se tient b
vaises habi- tudes ont complètement disparu (1901). 1005. - Cette
enfant
, dont les progrès n'ont pas été signa- lés depu
point de vue scolaire. Pour ce qui concerne les soins du ménage, l'
enfant
a beau- coup d'aptitudes : elle balaie, lave, m
ploi quelconque. Elle a beaucoup de dispositions pour la couture; l'
enfant
quoique bien petite et bien jeune coud admirabl
toujours à dépasser ses com- pagnes ; il est à remarquer que cette
enfant
ne savait même pas tenir une aiguille, à son en
ie avec le personnel, bonne avec ses compagnes. C'est en un mot une
enfant
calme et tranquille, franche, ouverte et affect
ec .une facilité étonnante» Elle est première en gymnastique. Cette
enfant
atteinte d'imbécillité prononcée à son entrée,
-pas, ne parlait pas, gâtait nuit et jour. Aiijour- d'hui (1899), l'
enfant
parle et sait soutenir une conversation comme l
(1899), l'enfant parle et sait soutenir une conversation comme les
enfants
de son âge. Elle a appris à marcher seule, la m
commence à faire de petites additions orales. Sa tenue est bonne, l'
enfant
s'habille et se déshabille seule. igoo. Germain
méliorer. Parole, marche, nulles au début; gâtisme complet, cette
enfant
avance très rapidement en toutes choses, mais sur
onne intonation. Son caractère a subi la même transformation, cette
enfant
raisonne bien, se rend compte de tout et paraît
élica- tesse de sentiment, ce qui se voit assez rarement chez nos
enfants
. Elle a fait des progrès en couture, elle tient
loppé chez elle. 1905. - Nous faisons d'abord remarquer que cette
enfant
, atteinte en plus d'épilepsie, a été traitée au
es. Depuis 1900, elle n'a eu ni vertiges, ni accès. En outre, cette
enfant
a eu de la conjonctivite et de la blépharite pe
point de vue scolaire principalement. Mal- gré cet état maladif, l'
enfant
s'est énormément développée, soit au point de v
e, son écriture est lisible, mais peu régulière. Comme; caractère l'
enfant
ne laisse rien à désirer, elle est toujours pol
ersonne. Elle aime beaucoup les soins du ménage. En résumé, cette
enfant
, autrefois idiote, gâteuse et épi- 476 THÉRAP
e goût pour son travail et pourra devenir une bonne ouvrière. Cette
enfant
est donc rendue à la société et à sa famille et
iller seule, s'intéressait beaucoup à la gymnastique. Telle était l'
enfant
au mois de septembre 1901 (la même année de son
ssita un long séjour à l'infirmerie. Ce n'est qu'en juin 1903 que l'
enfant
revint en classe. A partir de cette époque elle
evinrent peu à peu ainsi que la gaieté. Elle prit goût à l'étude. L'
enfant
qui ne connaissait pas ses lettres est parvenue
s compagnes. Le sentiment d'émulation est très développé chez cette
enfant
. Aujourd'hui, elle suit une dictée élémentaire,
mnastique. - Amélioration notable. Décembre. - Les progrès de cette
enfant
sont toujours satisfaisants. XCIV. Mans ? (Al
du traitement, une véritable transformation s'est opérée chez cette
enfant
. Elle commença à prendre du goût à l'étude; son
e des additions sans retenue; mais c'est là un petit obstacle que l'
enfant
surmontera sans doute, car elle y met toute sa
studieuse. En somme, ses progrès en classe ont été rapides. Cette
enfant
, qui paraissait si indifférente, s'intéresse à to
, elle raconte ce qu'elle a vu, et ses réflexions sont celles d'une
enfant
de son âge. En même temps qu'elle se dévelop- p
intelligente, le regard vif et doux, le teint légèrement coloré. L'
enfant
est donc en très bonne voie d'amélioration. 1
4 ans, atteinte d'idiotie profonde, compliquée de rachitisme. Cette
enfant
était gâteuse nuit et jour, ne marchait pas, pa
e était incapable de se donner le moindre soin. Le caractère de l'
enfant
était détestable, toujours grognon, de mauvaise
a parole ont été très rapides; le gâtisme a complètement disparu; l'
enfant
se donne elle-même tous les soins de toilette n
porte beaucoup d'ac- tivité en tout et partout. Pour la classe, l'
enfant
n'est pas avancée. Ceci provient de ce qu'elle
es, pour la couture et pour la gymnastique. Aujourd'hui (19°1), l'
enfant
commence à travailler ayx robes et aux tabliers e
t suit avec facilité la grande gymnastique. 1905 (juillet). Cette
enfant
a fait des progrès très nota- bles surtout au p
anderie. Cette occupation rentre tout à fait dans son élé- ment : l'
enfant
aime tout travail qui exige un certain dévelop-
rce. Elle est très leste et très agile pour la gym- nastique. Cette
enfant
, au début idiote, gâteuse et rachitique, peut ê
aucune connaissance, voire même aucune aptitude. . 1 903-1 904. L'
enfant
a fait de réels progrès au point de vue physiqu
astique. Elle est propre nuit et jour et n'a plus d'onanisme. Cette
enfant
qui, à son entrée, était atteinte d'idiotie peu
entrée, était atteinte d'idiotie peut compter maintenant parmi les
enfants
simplement arriérées, par rapport à son âge nat
à son âge naturellement. 1905. - Nous n'ajoutons à la note de cette
enfant
e7lt'e quelques mots. Elle est toujours en bonn
l'indiquent du reste ses photographies et son cahier mensuel. * L'
enfant
a bon caractère; pas un brin méchante, elle a tou
com- mence la soustraction. Amélioration notable. Décembre. - Cet
enfant
continue de s'améliorer sous tous les rapports.
cès et vertiges survenaient par séries et étaient assez nombreux. L'
enfant
, trai- tée par le bromure de camphre, s'est bea
e est en bonne voie d'amélioration. Au point de vue du caractère, l'
enfant
est tout à fait gentil- lette, pas un brin méch
me et épilepsie/ aujourd'hui nous pouvons la placer au nombre des
enfants
atteintes simplement d'arriération intellectuelle
aresseux, gros- sier, répondeur. Est devenu enclin à fréquenter les
enfants
qui ne se conduisent pas bien, ce qui ne lui ar
PEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. Les notices qui précèdent se rapportent à des
enfants
encore présents dans notre service et dont il e
s seront le substratum d'un mémoire spécial : Ce que deviennent les
enfants
anormaux sortis de f31cêtre et de Vallée. Des
du matin au soir, varier leurs occupations. S'appuyer sur ce que l'
enfant
possède pour aller en avant, arrêter les lésion
L ce que nous avons conseillé de faire bien des l'ois pour tous les
enfants
. TRAITEMENT MÉDICO-PÉDAGOGIQUE DES IDIOTIES.
nt, dela toilette, de la préhension des aliments qui fait que les
enfants
, suffisant à leurs besoins physiques, n'exi- ge
is qu'on ne suit guère. Nous terminerons ce plaidoyer en faveur des
enfants
anormaux en reproduisant les conclusions de not
degré encore plus élevé de bienveillance, de patience, d'amour des
enfants
que les agents de même ordre des classes ou des
la Salpêtrière, l'Institut médico-pédagogique (1), etc. , pour les
enfants
atteints d'idiotie au premier et au second degr
es enfants atteints d'idiotie au premier et au second degrés, les
enfants
atteints d'imbécillité intellectuelle, d'imbécil-
s les classes SPÉCIA- les ou écoles d'enseignement spécial pour les
enfants
atteints : 1° d'imbécillité légère, d'arriérati
et physique (sans perversion des instincts) ; 3° et aussi pour les
enfants
idiots et imbéciles qui auront été améliorés da
é du relèvement physique, moral et intel- lectuel de ces malheureux
enfants
(2). (1) Noire communication au Congrès de Renn
e nous poursuivons : l'assistance, le traitement et l'éducation des
enfants
anormaux. - Consullcr sur les procédés qui cons
ière partie de nos Comptes-rendus et noire brochure intitulée : Les
enfants
anormaux au point de vue intellectuel et moral,
méningite foetale ne se distingue pas anatomiquement de celle de l'
enfant
etde l'adulte, mais elle en diffère parla durée
rlrophique. JI. MARiM présente deux malades, l'ainéeL le cadet de 7
enfants
atteints ainsi que le père de névrite interstit
donner une solution à tous les cas qui peuvent se présenter. Si un
enfant
âgé de plus de seize ans n'a pas la faculté de
de discerner, elle no prévoit aucune mesure do correction pour cet
enfant
, ni de protection pour la Société. La fixation
dans certains pays étrangers, des juridictions spéciales pour les
enfants
, ou tout au moins que l'on juge les mineurs sans
niversité de brucelles. c) Psychologie : Les tests mentaux chez les
enfants
. Rapnor- )1. le Dr Decroly. directeur de l'Ecol
ose continue dans l'alcoo- lisme chronique, par Soukha- noff, 53.
Enfants
martyrs d'une mère atteinte' du - de persécut
angle interne de l'orbite, par Clair, 230. Enfance. Voir Age.
Enfants
anormaux. Aveugles et sourds-muets, 349. ' Ep
. Fièvre typhoïde. Complications méningitiques de la - - chez l'
enfant
, par Giraudet, 74. - Voir Hystérie. Folie et
ar Weill et Péhu. 2t1. - Les rémissions prolongées de la - chez l'
enfant
, par Carrière et Lhote, 417. -- biliaire, syn-
du tibial anté- rieur, pnr Bruel, h22, t pseudo-bulbaire chez un
enfant
, 423. 3. Paralytique général Voir hypo- the
De la - aiguë post-infec- tieuse avec troubles du langage chez l'
enfant
, par Daiche. 232. Elude des - d'insolation, par
r Troubles fonctionnels, Neurasthénie. Suicide d'adolescents et d'
enfants
, 350. 431. Sympathique. Contribution il l'é
ectomie. Voir Epilepti- que. Syndrome myopathique guéri chez un
enfant
, par Armand De- lille et \Ibert Weill. 224. - -
.. ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE DES ÉPILEPTIQUES ET DES
ENFANTS
IDIOTS ET ARRIÉRÉS DE BICÉTRE PENDANT L'ANNÉE 1
à visiter en dehors de toute intervention médicale, le service des
enfants
, après avoir tracé un tableau très déplacé des
s enfants, après avoir tracé un tableau très déplacé des malheureux
enfants
, décrit ainsi l'infirmerie : a De toutes ces
utre établissement hospitalier. Là, en effet, sont rassemblés : les
enfants
atteints de mala- dies aiguës intercurrentes; -
s : les enfants atteints de mala- dies aiguës intercurrentes; - les
enfants
atteints de maladies contagieuses (teignes,opht
gieuses (teignes,ophthalmies, diphthérie, scarlatine, etc.) ; - les
enfants
idiots gâteux, valides, qui, dans le jour, vont
in elle sert de salle de réunion, de réfectoire et de dortoir aux
enfants
idiots gâteux, invalides, c'est-à-dire in- capa
- 4° par des cellules, car nous avons oublié de mentionner que les
enfants
atteints d'excitation maniaque ne peuvent être
, on a été avare d'air, de linge, de propreté, de lumière. Pour des
enfants
! Serait-ce donc que l'on considère ces pauvres
ajoutées les collections du Dr Saffroy. Bien qu'imaginés pour des
enfants
ordinaires, ne pouvant quant à présent avoir ri
s collections et ces tableaux nous ont rendu de réels services. Les
enfants
y ont pris si bien goût que, dans leurs promena
l'ancien instituteur, est maintenant d'un usage journa- lier. - Les
enfants
se sont également adonnés avec plus d'empressem
etc. Petite école. Tandis que l'école proprement dite reçoit les
enfants
épileptiques dont les facultés intel- lectuelle
les facultés intel- lectuelles sont plus ou moins développées, les
enfants
arriérés et les imbéciles, la petite école se c
arriérés et les imbéciles, la petite école se compose sur- tout des
enfants
idiots, épileptiques ou non, gâteux ou non, mai
ésultats. Le service de propreté, destiné, d'une part, à guérir les
enfants
du gâtisme, en les plaçant quatre fois par jour
t nous avons parlé autrefois (2), et, d'autre part, à apprendre aux
enfants
à se laver la figure et les mains, à se peigner
jets capables de nous fournir des éléments d'instruction pour ces
enfants
: nous avons fait construire un petit casier à
sier à 12 compartiments; sur la paroi verticale, faisant face à l'
enfant
, se succèdent les chiffres 1, 2, 3, ... 12, ayant
étoffes de nature différente, afin de les faire distinguer par les
enfants
et par l'oeil et par le toucher. - Un infirmier
ement la situation physique et intellectuelle d'un grand nombre d'
enfants
. (1) Infirmière de 2° classe (création nouvelle
(3) Nous avons eu successivement des tables scolaires pour tous les
enfants
; nous avons fait f abriquer de nouvelles boîtes
es, etc. .statistique. XI Enseignement professionnel. -Beaucoup d'
enfants
sont en âge d'être mis en apprentissage. Or, da
aisant les travaux qu'on leur confie qu'à apprendre leur métier aux
enfants
. Ils n'ont rien, d'ailleurs, des qualités néces
e moins du monde de ce qu'ils font dehors. Nous envoyons quelques
enfants
dans les ateliers de la maison; mais, comme les
ils ne se préoccupent que dans une mesure très 'res- treinte des
enfants
qu'ils confient à des malades ou à des vieillar
s enfants qu'ils confient à des malades ou à des vieillards. Si les
enfants
quittent l'atelier sous un prétexte quelconque,
roposé un remède plus radical : la construction d'ateliers pour les
enfants
, au sujet desquels il convient d'entrer dans qu
vorablement la proposition que nous leur avons faite de séparer les
enfants
des adultes et de créer pour eux une nouvelle s
un programme des conditions que devait remplir une section pour les
enfants
idiots, épileptiques, hystériques, imbéciles et
nous en avons la conviction, rendront de très grands services aux
enfants
et seront avantageux à l'Adminis- tration, quoi
(2). Le tableau suivant permet de se rendre compte du travail des
enfants
: XIV HISTORIQUE. Promenades, distractions, v
de l'hos- pice, soit aux environs. - Il en a été de même pour les
enfants
idiots valides; de' plus, un certain nombre d'e
'entre eux, ceux qui sont propres, ont participé aux promenades des
enfants
de la grande école. Ceux-ci,. outre les promena
t les- quelles maîtres et maîtresses donnent des explications aux
enfants
, on n'a eu à noter d'accidents . Notons comme d
donné au chauffoir sous l'habile direction de M. Pény ; - pour les
enfants
, la distribution des prix, la distribution de j
nes des plus grands éloges. Les adultes ont reçu 2.797 visites, les
enfants
3.881 ; le nombre des visiteurs a été de 8.934.
des aliénés. (1) Lorsque nous avons pris possession du service, les
enfants
in- valides gàteux étaient placés sur des faute
ntrés dans l'année. La série se composait de 95 malades, adultes ou
enfants
. Cette petite opération a été pratiquée, sous n
lieu tous les 15 jours. Outre les opérations d'urgence (adultes et
enfants
), elles comprennent l'exa- men de tous les enfa
ence (adultes et enfants), elles comprennent l'exa- men de tous les
enfants
nouveaux et, par séries, celui des anciens enfa
men de tous les enfants nouveaux et, par séries, celui des anciens
enfants
,de telle sorte que, dans l'année,toute la popul
ral de la Seine a invité l'Administration à ne pas transférer les
enfants
, appartenant au département de la Seine dans le
ssistance publique « à dresser le plus tôt possible une liste de 50
enfants
idiots et épileptiques susceptibles d'être diri
tte demande, nous avons fait valoir que, depuis la fin de 1879, les
enfants
, même les plus dégradés, étaient l'objet de soi
vions eu des résultats analogues. Nous ajoutions que transférer ces
enfants
en voie d'améliora- tion serait détruire ce qu'
on avait si péniblement conquis, décourager le personnel, nuire aux
enfants
, qui ne trouveraient aucune organisation pour l
l'Administration préfectorale, qui avait besoin de places pour les
enfants
qui attendaient à l'asile Ste-Anne , nous propo
l'une des petites salles affectées aux adultes et de la donner aux
enfants
. Et nous faisions valoir qu'il ne s'agissait là
n- convénients résultant de l'insuffisance des lits attribués aux
enfants
et qu' « il y avait lieu d'espérer qu'or/ gr^V".
de ce qu'on appelle administrativeme^< un transfert collectif d'
enfants
ayant droit de domicile* dans le département. M
ls consistant en le renvoi dans le département où ils sont nés, des
enfants
placés à Bicêtre, à la Salpêtrière ou à Vauclus
peu nous avons substitué aux 23 adultes de la salle Cl. Bernard des
enfants
de 17 à 18 ans ; enfin officiellement, au mois de
septembre, une autre salle de 17 lits d'adultes a été consacrée aux
enfants
. XX HISTORIQUE. tiennent la faveur de mainten
'est d'ailleurs l'exception; - les autres préfèrent reprendre leurs
enfants
chez eux, s'exposer à tous les ennuis, à tous l
angers, ces ennuis obligent de nouveau à réclamer le placement de l'
enfant
, qui retourne dans l'ancien service, plus malad
rches des familles recommencent ; et si elles sont infructueuses, l'
enfant
est repris. Cela dure des années jusqu'à ce que
tueuses, l'enfant est repris. Cela dure des années jusqu'à ce que l'
enfant
ayant atteint sa majorité, acquière en un an dr
ral de la Seine, d'autoriser le Préfet à garder dans nos asiles les
enfants
idiots, imbéciles, épileptiques, etc., nés dans
communes suburbaines, à la condition que le département où est né l'
enfant
, c'est-à-dire où celui-ci a son domicile de sec
(6 février), STATISTIQUE. XXI ser dans les asiles de la Seine les
enfants
dont les familles étaient établies à Paris et c
rapport, autorisa l'administration à conserver dans nos asiles les
enfants
du département de Seine-et-Marne dont les paren
Paris depuis deux ans. Il maintint de plus sa proposition pour les
enfants
do tous les autres départements. Ainsi, dans ce
. Ainsi, dans ces conditions spéciales, les sections consacrées aux
enfants
deviennent en quelque sorte des asiles inter-dé
'année correspondante (p. 95), s'est développée dans le service des
enfants
. De plus, dans les derniers jours de décembre a
fficile de construire dans tous les asiles d'aliénés des sections d'
enfants
avec une organisation complète et partant t trè
n France un certain nombre d'asiles 12ter-dépateynentzux pour les
enfants
idiots, épileptiques, arriérés, etc. Ils pourraie
lepti- ques adultes (71 réputés aliénés et 75 non aliénés) et 160
enfants
dont 132 dits aliénés et 28 non aliénés [épilep
renseignements dans notre précédent Compte rendu ,(p. x). Des 160
enfants
, 72 vont à la grande école, 62 à la petite écol
a petite école ou portés jusque dans la cour du gym- nase. Des 62
enfants
de la petite école, 10 sont assez avancés pour
O 7y s a m Décès. - Les décès ont été au nombre de 26 : 14
enfants
(au-dessous de 18 ans) et 12 adultes. En voici
En voici le tableau : STATISTIQUE. XXIX Evasions. - Le 4 juin, 8
enfants
(Auch ? Courto ? Ferra ? Filh ? Gaut ? Gouvi ?
q mois après ce nouvel accès). Fleury a publié l'observation d'un
enfant
de treize ans qui, à la suite d'une scarlatine
ien portant, ainsi que la mère et deux frères ; l'un de ceux-ci a 2
enfants
sains, l'autre 4 qui n'ont pas d'accidents nerv
une a une fille jouissant d'une bonne santé, les autres n'ont pas d'
enfants
; pas d'aliénés, pas d'épileptiques, pas de diffo
pas d'aliénés, etc.] '. ? " Consanguinité (Cousins germains). Deux
enfants
: 1° 0 Iotre ? lade, 2" une fille, morte a 3 an
hée ; la langue est détergée. T. R. 38',8. - Soir : 40°. 18 janv. L'
enfant
dort; la respiration est calme. T. R. 39°,8. -
ril. Persistance de la conjonctivite avec blépharite ci- liaire ; l'
enfant
est grognon, pleure sans motif; il a dans les b
mousin.) 18 mai. T. R. 39°,6. - Soir : 41°. Huit accès. 19 mai. L'
enfant
est grognon ; la peau est chaude ; perte de l'a
la bosse frontale droite. - Peu d'appétit. - Pas de diarrhée. - L'
enfant
est assez gai le matin et l'après-midi. T. R. 38°
ion des douches. - Deux bains salés par semaine. 1882. 25 mars. L'
enfant
a eu ces jours-ci une bronchite légère compliqu
ydrothérapie. 5 octobre. Suppression des douches. - Dans un accès l'
enfant
s'est fait une plaie contuse de la région oecip
» Un frère mort d'une fièvre typhoïde; trois soeurs ont l'une trois
enfants
, la seconde deux, la troi- sième trois; elles s
ux, la troi- sième trois; elles sont bien portantes ainsi que leurs
enfants
. Pas d'aliénés, pas d'épileptiques, d'apoplecti
utres femmes, 3, 4, 8 mois « chaque fois qu'il revenait, c'était un
enfant
. » Mariée à 20 ans, elle est devenue enceinte p
morts à un âge avancé; quatre frères bien portants ainsi que leurs
enfants
; quatre soeurs dont trois sont bien portantes
ants ; quatre soeurs dont trois sont bien portantes ainsi que leurs
enfants
, la quatrième est morte de la poitrine vers 30
etc.] Pas de con- sanguinité. 20 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE. 6
enfants
: 1° garçon mort d'un chaud et froid à 28 ans apr
éra en 1849 ; 4° et 5 2 autres filles bien portantes ; aucun de ses
enfants
ou petits enfants n'a eu de convulsions ou de m
t 5 2 autres filles bien portantes ; aucun de ses enfants ou petits
enfants
n'a eu de convulsions ou de maladies nerveuses
dire) qu'après ses accouchements. Accouche- ment à terme normal. L'
enfant
fut élevé au sein par sa mère jusqu'à 20 mois;
ès, il aurait eu un écoulement de l'une des oreilles. A 10 ans, l'
enfant
étant en Belgique, environ trois semaines avant
upement, ses soeurs sont accourues ; l'agent croyait que c'était un
enfant
échappé de pension et qu'il recherchait; il a o
chappé de pension et qu'il recherchait; il a offert de l'argent à l'
enfant
qui a dit non : « Vous m'avez fait peur. » Sur
e folle à la Salpêtrière à 60 ans. - Un frère, bien portant, sans
enfants
; pas d'autres aliénés, pas de paralytiques, pas d
, d'une santé passable, elle a eu beaucoup d'ennuis pour élever ses
enfants
depuis la mort de son mari ; elle est nerveuse,
ien portante, 67 ans : - 4 soeurs, l'une morte de la poitrine, sans
enfants
; les trois autres sont bien portantes ; l'une
à 40 ans une grossesse gémellaire, elle avait déjà eu sept ou huit
enfants
dont trois sont seuls vivants. - Pas d'aliénés,
c., dans la famille.] observations. 25 Pas de consanguinité. - 11
enfants
: 1° Garçon mort en nourrice de convulsions au
ravaillé comme couturière, puis dans une brasserie ; elle a eu un
enfant
; elle est hystérique, facile à hypnotiser, mais
'à 4 ans. - Apparition des étourdissements à 8 ans. - On le mit aux
enfants
malades pendant deux mois (bromure de potassium
ient bleues ; Comm... tombait à terre sans se blesser. La mère de l'
enfant
ne sait à quoi attribuer ses étourdissements ;
le dos tout bleu, la peau écorchée. Etat actuel (4 mars 1882). - L'
enfant
est assez bien constitué, toutefois les tibias
se, l'ongle normal présente une courbure à concavité antérieure ; l'
enfant
dit s'être cogné, il y a 3 ou 4 ans, contre le
t. - 3 capsules à partir de ce jour et douches. 4 juillet 1881. - L'
enfant
a fait des progrès remarquables à l'école ; il
ie a suivi sa marche progressive. Du 1er août au 14 octobre 1881, l'
enfant
a eu 40 accès et 2 vertiges, et 28 accès et 2 v
embre 1882 il a de nouveau suivi le même traitement. En 1881, cet
enfant
a eu 96 accès et 2 vertiges de mai à novembre,
le.] Mère, 29 ans, cannière, est sujette depuis la maladie de son
enfant
, et après des émotions surtout, à des maux de têt
mpagnés par instants d'une sensation d'étourdissements; - quand son
enfant
avait des accès, elle craignait de tomber; - el
s. - Pas d'autres alié- nés, etc.]. - Pas de consanguinité. Trois
enfants
et trois fausses-couches - 1° Notre malade, 2°
eut des rapports fréquents, ce qui a pu agir sur la mort des autres
enfants
( ? ).) Grossesse accidentée (mariage un mois a
ucoup de café (5-6 tasses). - L'accouchement à terme fut naturel. L'
enfant
élevé au sein par sa mère a été sevré à 10 mois
t se serait enflammé ; cette scène aurait vive- ment impressionné l'
enfant
qui aurait eu deux crises ainsi ca- ractérisées
uis sans avoir eu de convulsions, s'endormait; - il fut conduit aux
enfants
malades, où il serait resté deux mois; pen- dan
rieurs. - Il a pris des pilules ( ? ); du bromure de potassium. L'
enfant
interrogé dit que les accès reviendraient toutes
se mordrait la langue, etc. Etat actuel. - Le faciès est celui d'un
enfant
de 8-10 ans; la tête présente comme caractère p
guinal ; la pression en ce point ne produit pas de douleur vive ; l'
enfant
indique lui-même que ce testi- cule qui est man
mmeil est regulier entrecoupé de temps à autre de quelques rêves; l'
enfant
raconte à ce propos qu'il lui arrivait autrefoi
serait livré sur lui a des actes de pédérastie : si l'on en croit l'
enfant
, il n'y aurait eu ni intromis- sion ni mouillag
ne sait de quelle maladie, travaillait aux champs. - Un frère cinq
enfants
qui, comme lui, sont bien portants, et n'ont ja
morte il y a un an, on no sait de quelle maladie, a laissé quatre
enfants
bien portants ; elle n'était pas nerveuse ; la tr
1873 pour aller vivre avec un sergent de ville dont elle a eu deux
enfants
, puis avec un autre dont elle a eu un enfant; e
e dont elle a eu deux enfants, puis avec un autre dont elle a eu un
enfant
; elle buvait un peu, mais ne se grisait pas ; s
s, se conduisant bien, n'ont pas de maladies nerveuses; ils ont des
enfants
sains, sauf une des soeurs qui a eu un enfant «
rveuses; ils ont des enfants sains, sauf une des soeurs qui a eu un
enfant
« idiot », il avait une grosse tête, ne parlait p
à 15 ans. - Pas d'aliénés, etc.]. - Pas de consangui- nité. - Trois
enfants
; 1° notre malade; 2° et 3° garçons morts de co
; celle-ci se porte bien, n'a pas d'attaques de nerfs (deux autres
enfants
sont morts de convulsions )J. Notre malade es
re répète qu'il ne sait à quelle cause attribuer la mala- ladie ; l'
enfant
interrogé sur ce point déclare aussi l'ignorer ;
comme cicatricielle. La toux a beau- coup diminué. 18 novembre. L'
enfant
se plaint de maux de tête depuis deux ou trois
gnés hier, que des boutons desséchés res- semblant à du prurigo ; l'
enfant
se plaint de douleurs du côté de la nuque ; il
ements comme des aiguilles du côté de l'aimant (nuque). Trois des
enfants
nous ont accusé des phénomènes variés. Dog....
ts, 8 adultes) n'ont éprouvé aucune amélioration dans leur état. Un
enfant
, Pinch..., n'a eu que 57 accès pen- dant la dur
malade prend depuis longtemps du sirop de picroto- aLine.Un autre
enfant
, Dog..., a eu aussi moins d'accès, mais seuleme
tomatique d'une Méningo-encé- phalite chronique généralisée chez un
enfant
de cinq ans ; Par BOURNEVILLE et UAUGE. L'é
nche. Pu..., Georges, âgé de cinq ans, est entré à la section des
enfants
idiots de Bicètre (service de M. Bourneville) le
cci- dents nerveux. Trois frères en bonne santé : l'un a eu trois
enfants
dont deux sont morts à la suite de convulsions et
de convulsions et le troisième après une fièvre; un autre a eu six
enfants
dont deux sont morts, l'un d'une bronchite, l'a
ne sait de quoi , mais sans convulsions ; le troisième n'a pas d'
enfants
. Deux soeurs, bien portantes, ont trois enfants
troisième n'a pas d'enfants. Deux soeurs, bien portantes, ont trois
enfants
intelligents et qui n'ont pas eu de convulsions
.]. - Consanguinité. (Les pa- rents sont cousins germains.) Trois
enfants
: 1° Fille, morte à un an; elle aurait eu peur
nce, bien que la tête ne soit pas restée longtemps au passage . l'
enfant
était noir-, on a dû le fouetter vigoureusement p
septième mois et s'est terminée à quatorze mois : à cette époque, l'
enfant
était intelligent, riait, jouait, était cares-
était affectueux, comprenait bien et ressemblait à tous les autres
enfants
. Mis à l'école à trois ans et demi, il n'y est
e, pas de morsure de la langue, contracture des. mâchoires). Puis l'
enfant
s'est endormi, et au bout d'une demi-heure de s
n a con- staté une transformation complète dans la situation de l'
enfant
: il était incapable de se tenir sur les jambes;
les yeux tournent, la face pâlit; puis la tête revient en avant, l'
enfant
dit : « ah ! papa, ah ! maman » (les seuls mots
ment. Avant son entrée à Bicêtre, il a été traité à l'hôpital des
Enfants
malades par le bromure de potassium et les bains,
ste sans amélioration ni aggravation notable. 2 f avril. - Hier l'
enfant
a été moins gai que d'habitude. Aujourd'hui les
terrompu par des cris qui durent une ou deux heures. A la visite, l'
enfant
crie, sem- ble souffrir. Petites secousses dans
mai. T. R. 38°, 6. - Soir : T. R. 38°. 2 mai. Hier, la figure de l'
enfant
est restée très rouge pendant toute la journée;
et ont été remplacés par une somnolence continuelle. Ce matin, l'
enfant
est endormi : figure pâle; pas de secousses clo
de-robes involontaires et abondantes. T. R. 38°. Dans la journée, l'
enfant
a paru prendre son lait et son bouillon avec mo
présent, oscillait autour de 38°, a monté brusquement à 40°, 8. L'
enfant
est dans l'état suivant : décubitus latéral droit
evenus intermittents; quand la douleur paraît devenir trop forte, l'
enfant
pousse un cri léger et isolé. La figure est agi
ique du sourcil. L'épaule gauche est projetée en avant comme si l'
enfant
voulait repousser quelque chose avec cette épau
on courte, irrégulière, à40. T. R. 40°,2. Le Soir : T.R. 4la,2. L'
enfant
prend dans la journée un gobelet de lait et ne le
très rouge. A la nuit, les convul- sions de la bouche ont cessé ; l'
enfant
était dans la résolu- tion, sans mouvements des
oujours en mou- vement, assez humide. La déglutition est gênée et l'
enfant
étouffe presque chaque fois qu'on veut lui fair
flants dans les deux poumons, surtout à droite. Durant l'examen, l'
enfant
se met à pousser de petits cris; la figure expr
a gauche étant plus resserrée que la droite. Râle trachéal léger, l'
enfant
tousse encore un peu, surtout lorsqu'on le remu
rois mois au- paravant à l'entrée, le poids était de 13 kil. 90 ; l'
enfant
a tronc perdu pendant sa maladie le cinquième d
es lésions des lobes frontaux. D'un autre côté, nous avons vu que l'
enfant
n'était pas entière- ment paralysé, qu'il pouva
nvolutions pariétales et du lobe paracentral. Nous avons vu que l'
enfant
se servait des membres supérieurs, qui paraissa
larger concernaient des adultes, celui qui précède se rapporte à un
enfant
de cinq ans. Ce n'est pas là un fait exceptionn
émiplégique. - Oncle paternel aliéné, un autre épileptique. - Mère,
enfant
trouëe, ? zg'rameusc.Soeur morte de convulsions
uis a guéri; il s'était marié avant cette époque et avait eu cinq
enfants
, tous morts en bas âge]. Mère, 59 ans, blanchis
elle n'est plus réglée. Pas de dartres. [Père et mère inconnus; est
enfant
de l'hospice]. Pas de consanguinité (père de Se
'hospice]. Pas de consanguinité (père de Sedan, mère de Paris). 4
enfants
: 1° Fille morte à 5 ans d'une fièvre cérébrale :
Garçon mort en 1870 étant soldat; 3° Fille bien por- tante, a trois
enfants
en bonne santé ; - il Victor est le dernier.
l'accouchement. Celui-ci se fait facilement, sans chloroforme. L'
enfant
a été élevé au sein par sa mère jusqu'à un an. Il
e sont pas rares à Bicêtre, dans le service des épileptiques et des
enfants
, et dans le courant de l'année dernière, nous a
a lactation; c'était une femme vigoureuse, s'occupant bien de ses
enfants
, mais elle était très impressionnable, quoi- qu
une soeur, bien portante, non nerveuse, habite Blois ; n'a pas d'
enfants
]. Pas de consanguinité (père d'Alsace, mère des
s de consanguinité (père d'Alsace, mère des environs de Blois). 3
enfants
: 1° Fille actuellement à Blois, bien portante,
ent à Blois, bien portante, n'offrant pas d'accidents nerveux, deux
enfants
de deux amants; l'un des enfants mort en bas-âg
rant pas d'accidents nerveux, deux enfants de deux amants; l'un des
enfants
mort en bas-âge; 2° garçon, 23 ans, bien portan
- La mère s'est remariée quand notre malade avait à peine 2 ans : 3
enfants
du second lit : 1° Garçon, 14 ans ; 2° Fille, a
érie : alcoolisme du père, aban- don ou défaut de surveillance de l'
enfant
, mauvaises ha- bitudes dès la plus tendre jeune
tudes dès la plus tendre jeunesse, rigueurs maladroi- tes envers un
enfant
nerveux, etc.. IL Ces influences néfastes sont
on avec d'Olier (p. 48-55). Au cours de cette note il est dit qu'un
enfant
épileptique a été atteint durant le traitement
trine à 33 ans; un frère, mort à Sainte-Anne en mars 1880,a eu cinq
enfants
, dont trois sont morts, deux de méningite, l'au
ille ne présente rien de particulier.] Pas de consan- guinité. Deux
enfants
: 1° notre malade; 2° un garçon de 13 ans bien
ÉPILEPSIE ET DÉMENCE INFANTILE. 137 vers l'âge de 2 ans et demi, l'
enfant
prévenait sa mère de l'arrivée d'un accès ; alo
onflants et muqueux en avant et en arrière. Membres inférieurs. L'
enfant
paraît très faible, mais peut se tenir assis ;
le sol à la façon des ataxiques. 19 octobre. Au 20 novembre 1879, l'
enfant
pesait 24 k. 500 gr., aujourd'hui son poids est
e des cuisses et la partie inférieure du dos. Membres inférieurs. L'
enfant
se tient sur les jambes lorsqu'il est soutenu,
un mouvement réflexe ;- la sensibilité à la piqûre est conservée, l'
enfant
fléchit un peu les jambes ; pas de réaction au
xagération du phénomène du tendon ; un peu de raideur des genoux. L'
enfant
prononce ou répète pres- que tous les mots ; le
e. 3 novembre. Sous l'influence des douches et de l'exer- cice, l'
enfant
a fait des progrès sensibles, mais ne marche pa
r ; vin de gentiane. Poids : 32 k. 700 grammes. 1882. 25 avril. L'
enfant
se tient un peu mieux sur les jambes; peut marc
eloppé ; il n'est pas pos- sible de faire saisir le dynamomètre à l'
enfant
. Tissu graisseux abondant. Sensibilité généra
souvent, il battait sa femme, ce qu'il ne fait plus depuis que ses
enfants
sont grands; chaque soir il boirait un demi-set
e sait de quoi ; une soeur, morte de la poitrine, avait eu 12 ou 13
enfants
dont une fille qui. après avoir été mordue par
es, ni épileptiques, ni idiots, etc.] Pas de consangui- nité. Dix
enfants
: une fille de 28 ans, qui a eu 5 enfants dont
de consangui- nité. Dix enfants : une fille de 28 ans, qui a eu 5
enfants
dont 4 sont morts en venant au monde ; « c'étai
Accouchement, à terme, naturel, sans chloroforme. A la naissance, l'
enfant
« était un peu violet, parce qu'il était resté
age ; » pas de cordon autour du cou. Elevé au sein par sa mère, l'
enfant
fut sevré de bonne heure, « parce que, dit-elle
3 semaines, quand, une nuit, son père étant rentré ivre, furieux, l'
enfant
, réveillé en sursaut, se leva et s'en- fuit, en
au. 12 mars. T. R. 39°,2. - Soir : 39°,G. - 2 accès. 13 mars. - L'
enfant
est moins turbulent que les jours derniers, néa
pières inférieures, sur- tout la gauche, restent boursoufflées, - L'
enfant
ne souf- fre pas ; - la soif est vive; l'appéti
l existe de petites bulles purulentes du volume d'une lentille. - L'
enfant
entre en convalescence, il se lève. - Sirop d'i
28 septembre. 10 accès. 146 BROMURE D'ÉTHYLE. 1882. 11 janvier. L'
enfant
est dans une sorte de coma analogue à celui qui
nsibilité et de la force mus- culaire, l'intégrité des réflexes ; l'
enfant
marche seul sans soutien ; parfois il trébuche,
soutien ; parfois il trébuche, mais ne s'affaisse pas. 10 juin. L'
enfant
continue à prendredes douches. L'agi- tation pe
Dissert. Berlin, 1872. (7) E. Bceckel. Exostoses multiples chez un
enfant
. (Gaz. méd. de Strasbourg, 1868, n* 15). (8)
ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE DES ÉPILEPTIQUES ET DES
ENFANTS
IDIOTS ET ARRIÉRÉS DE BICÊTRE PENDANT L'ANNÉE 1
Historique; Statistique. Le service des épileptiques adultes et des
enfants
idiots, épileptiques et hystériques de Bicêtre.
. 'A cette époque, cette section, consacrée aux épileptiques et aux
enfants
idiots était dirigée, avec le plus grand dévoue
férence et qui est pis la mauvaise volonté de l'Administration, des
enfants
idiots et épileptiques. Une étude attentive du
autre de ces avantages. Le professeur, pour un chiffre moyen de 110
enfants
, dont 85 au moins modifiables à différents degr
des champêtres ne laissaient oisifs ou n'écartaient des travaux les
enfants
inhabiles. Même remarque pour l'es- crime, la d
pline pour la satisfaction des besoins naturels. On apprendrait aux
enfants
à manger seuls, avec lenteur et décence. On s'e
ases pour des idiots, incapables de tours de force réalisés par les
enfants
ordinaires, et chez lesquels il s'agit seulemen
à un homme qui n'avait d'autre but que d'être utile à de malheureux
enfants
et. d'organiser une institution honorable pour
t, en 1858 et 1860, la situation du service des épileptiques et des
enfants
idiots. Nous devons indiquer maintenant les pre
ral de la Seine en 1878, 1879, 1880. « L'école et le réfectoire des
enfants
(3e section de la division des aliénés) de Bicê
ette section, sont relativement conve- nables (1). Les dortoirs des
enfants
qui vont à l'école sont propres, mais insuffisa
Commission pense qu'il conviendrait d'édifier une section pour les
enfants
sur le terrain libre, contigu aux gymnases couv
toirs, des réfectoires, des salles de réunion et une école pour 200
enfants
. La nouvelle construction donnerait, d'une part
« Grâce à cette réforme, les salles occupées actuellement par les
enfants
dans la section commune deviendraient vacantes,
ne conviendrait pas de confier la section des adultes et celle des
enfants
à deux médecins. - La même remarque s'applique
ux médecins. - La même remarque s'applique à la Salpêtrière. « 60
enfants
seulement- sur 130 - fréquentent l'école. La pr
celui-ci : STATISTIQUE. XI ployés, etc. ; - à Fauclusc, pour GO
enfants
, un personnel de 20 employés, etc. (1). Notre c
trière ; son personnel est fixé en précision d'un nombre double d'
enfants
: bien utilisé, bien appliqué à leur service, i
second, fondé par une taxe générale et dans lequel l'entretien des
enfants
est à la charge de la paroisse à laquelle ils a
st à la charge de la paroisse à laquelle ils appartiennent. « 260
enfants
sur 340 (filles et garçons) fréquentent la clas
lpêtrière, afin d'améliorer la situa- tion du personnel attaché aux
enfants
idiots et épilep- tiques et d'augmenter ce pers
e question dans les termes suivants : « La classe et le dortoir des
enfants
qui vont à l'école sont en assez bon état. quoi
n assez bon état. quoique beaucoup trop petits pour le nom- bre des
enfants
qui y sont accumulés en violation de toutes les
udget des aliénés pour 1878 (p. 26), l'infirmerie et le dortoir des
enfants
les plus dégradés sont dans une situation absol
retard : c'est une salle de refuge, servant, pen- dant le jour, aux
enfants
idiots gâteux et, de plus, de par- loir pour le
fants idiots gâteux et, de plus, de par- loir pour les familles des
enfants
les jours de visite(jeudi et dimanche). C'est d
e est couvert d'un plancher que se réunissent chaque jour cinquante
enfants
, et c'est là que les parents de tous les enfant
que jour cinquante enfants, et c'est là que les parents de tous les
enfants
viennent les voir ! Tous les membres de votre 3
- ler énergiquement une situation aussi barbare. « Voilà pour les
enfants
. Ce n'est pas tout. Leurs salles, l'école, sont
, comme l'an dernier, qu'il faudrait édi- fier une section pour les
enfants
, sur le terrain libre, con- tigu aux gymnases c
irs, des réfec- toires, des salles de réunion et une école pour 200
enfants
. La nouvelle construction donnerait d'une part,
ce Grâce à cette réforme, les salles occupées actuellement par les
enfants
, dans la section commune, deviendraient vacante
d : 1° les épileptiques et les hystéro-épileptiques adultes; 2° les
enfants
épileptiques ou hystériques, et les enfants idi
iques adultes; 2° les enfants épileptiques ou hystériques, et les
enfants
idiots, imbéciles ou arriérés. Quand nous avons
ervice, les épi- leptiques adultes étaient au nombre de 143, et les
enfants
de toute catégorie au nombre de 125, soit en to
batelier de menuiserie et l'autre de parloir pour les familles des
enfants
(1) et désigné sous le nom de petit parloir (2)
sous le nom de petit parloir (2). Au mois d'octobre 1879, les 125
enfants
étaient ainsi répartis : 50 fréquentaient l'Eco
nous ont conduit à tempo- riser et à concentrer nos efforts sur les
enfants
délaissés, c'est-à-dire sur la majorité (3).
la 1" et de la 21 section : ce parloir n'est autre que l'Ecole des
enfants
. Il s'ensuit que le jeudi et le dimanche, les e
e l'Ecole des enfants. Il s'ensuit que le jeudi et le dimanche, les
enfants
sont éloignés de l'école toute la journée et qu
ie du service : il n'y a pas de local pour séparer des au- tres les
enfants
en accès et leur permettre de se reposer ; les en
au- tres les enfants en accès et leur permettre de se reposer ; les
enfants
trop turbulents sont mis à la porte par l'insti
eux qui vont aux cabinets, rentrent ou vagabon- STATISTIQUE. xvrr
Enfants
délaissés. Nous les avons trouvés au nom- bre d
pas s'il n'y avait les pourboires que s'imposent les familles. Ces
enfants
, qui couchent dans ce qu'on appelle l'infirmeri
cour du petit parloir (autrefois appelée cour des gâ- teux). Les
enfants
qui composent ces deux catégories sont à dent e
tte définitivement à 3 heures du soir. En dehors de ces heures, les
enfants
sont confiés à des gardiens sans instruction, c
fois par année. Le jeudi et le dimanche, il n'y a pas d'école; les
enfants
restent la jour- née au gymnase, dans un désoeu
(1) Lorsque le temps le permet, on redescend encore une fois les
enfants
les plus valides après le diner. (2) Quelques-u
à la fois de dortoir et de réfectoire, et qui, en outre, reçoit les
enfants
déboute classe, atteints de maladies aiguës, de
reste une couche gluante et infecte. Le séjour permanent de 25 à 30
enfants
gâteux et d'en- fants ayant des affections grav
n de rem- placer l'un des deux infirmiers chargés de la garde des
enfants
dégradés, par deux infirmières, choisies par- m
ots, etc., le Manuel de Delon sur les Exercices et travaux pour les
enfants
, selon la méthode de Pestallozzi et de Froebel
gymnase de la section dépassaient les aptitudes de cette classe d'
enfants
. Précisément, à cette époque, nous fîmes la con
de Mes- demoiselles Agnus qui, aussitôt, donnèrent des leçons aux
enfants
divisés en séries. Elles commencèrent par sept
leçons aux enfants divisés en séries. Elles commencèrent par sept
enfants
et, à la fin de 1880, 35 sur 66 avaient profité
eigne- ment (1). Réfectoire Nous avons dit précédemment que les
enfants
dégradés remontaient à l'infirmerie pour déjeu-
ec empressement. De cette façon, l'infirmerie était assainie et les
enfants
en traitement étaient astreints à des exercices
ce côté encore, nous avons pu enregistrer de véritables succès (18
enfants
ont appris à se servir de la cuiller et de la f
le 12 août. Voici comment on procède : quatre fois par jour, les
enfants
gâteux sont mis par séries de sept sur les sièges
ou la baignoire s'ils se sont trop souillés. Ainsi, d'une part, les
enfants
sont habitués à se tenir propres, ce qui diminu
serviette. Du jour de l'ouverture de ce service au 31 décembre, 16
enfants
gâteux ont été rendus propres (2). Photograph
e 9,696 francs. (2) De plus, nous tenons à ce que l'on apprenne aux
enfants
à net- toyer les robinets, à cirer les sièges d
x rémunéré. En ce qui concerne le service des épileptiques et des
enfants
, nous désirions deux choses : 1° avoir la photo-
nous désirions deux choses : 1° avoir la photo- graphie de tous les
enfants
idiots présents, de tous. les malades entrants,
enfants idiots présents, de tous. les malades entrants, adultes et
enfants
; 2" le moulage des cas intéressants, ou de quel
ière, par M. Loreau, en 1880, la photographie de 5 adultes et de 90
enfants
, L'an prochain, nous espérons pouvoir donner qu
à 20 centilitres pour les adultes, de 8 à 14 centilitres pour les
enfants
(1). Les épileptiques, déments, paralytiques ou
ues aliénés. Les épileptiques adultes ont reçu 2767 visites ; les
enfants
3186 et souvent les uns et les autres ont été v
des visiteurs, en 1880, a été de 8141. 540 épileptiques adultes et
enfants
aliénés et 440 épi- leptiques adultes et enfant
ptiques adultes et enfants aliénés et 440 épi- leptiques adultes et
enfants
, réputés non aliénés, sont sortis en permission
iles qui, en raison de leur âge (18 ans), passent de la section des
enfants
(1) dans la première ou la deuxième section des
ble aux malades atteints d'affections aiguës. Pas plus que pour les
enfants
, il n'y a de chambre d'isolement pour les maladie
des malades qui, à 18 ans, où même davantage ont encore l'aspect d'
enfants
. C'est à cause de cela, et par une omission tac
encore aggravés par la façon dont se faisait l'essuyage : tous les
enfants
s'essuyaient dans la même alèze ! Et comme beau
très souvent qu'elles se propa- geaient à un nombre considérable d'
enfants
. Dès la fin d'octobre, nous faisions donner une
Dès la fin d'octobre, nous faisions donner une compresse à chaque
enfant
et nous demandions des serviettes (1). Promenad
distractions. -Nous avons rendu plus fréquentes les promenades des
enfants
au dehors. Ilyen a eu 15 aux environs de l'hosp
et restent'cons- tamment à l'infirmerie. Un certain nombre de ces
enfants
ont été exercés à la marche : tantôt avec le con-
'euac- cinés (2) ; ils étaient au nombre de 81 (21 adultes et 60
enfants
). c) Quelques travaux ont été faits pour remédi
la 4e salle des épileptiques adultes valides, des deux dortoirs des
enfants
valides. Enfin, tous les lits de ces mêmes sall
te.-Tous les médecins saventdans quel triste état est la bouche des
enfants
idiots, en même temps si souvent scrofuleux. No
médecin dentiste qui pourrait être à la fois chargé du service des
enfants
de Bicêtre et de la Salpêtrière. Nous devons di
stinée à encourager le personnel du service des épileptiques et des
enfants
. Malgré ces gratifications, les infirmiers ont
celui des aliénés, et plus encore peut-être des épileptiques et des
enfants
, il est nécessaire de con- server les mêmes age
rdables, en profite pour arrêter le désordre dès le début. Pour les
enfants
, ce maintien du même person- nel est encore plu
nt dont elles n'ont pas cessé un instant de faire preuve envers les
enfants
idiots gâteux ; les résul- tats très remarquabl
reils spéciaux, destinés à maintenir convenablement les tout jeunes
enfants
dans leurs baignoires et à empêcher qu'ils ne g
fin de l'année. 5S\II HISTORIQUE. Transferts. - Le 13 octobre, 16
enfants
, désignés par mon prédécesseur M. J. Falret, on
nt qui existait dans le service. EntTr3es. - Elles comprennent : 20
enfants
et 3 adultes. Ces derniers sont tous épileptiqu
nfants et 3 adultes. Ces derniers sont tous épileptiques. Quant aux
enfants
, ils se répartissent ainsi : 2 épileptiques; 7
0, Le 1er janvier, on comptait dans la section 144 adultes et 118
enfants
. Le tableau ci-dessous résume le mou- vements d
ions des vieillards ; 1 transféré (Auge.); 8 sortis librement. b)
Enfants
. 21 : 4 transférés ; 1 envoyé aux enfants assis
8 sortis librement. b) Enfants. 21 : 4 transférés ; 1 envoyé aux
enfants
assistés ; 2 devenus adultes et passés dans les
deux derniers tableaux. C'est, en premier lieu, la guérison de deux
enfants
atteints de manie, ce qui montre que la folie p
treint à aucune des démarches exigées d'habitude. f Décès. - 17
enfants
: 12 adultes. Le tableau suivant fournit les pr
- adultes aliénés. 80 épileptiques non aliénés. 1 57 épileptiques
enfants
aliénées. 24 épileptiques non aliénés. 45 idi
re beau- coup plus complète et contenir l'observation de tous les
enfants
qui ont succombé depuis notre arrivée jusqu'au
C'est seulement depuis l'âge de 18 mois que l'on a remar- qué que l'
enfant
devenait bleu, comme il l'est aujourd'hui au mo
ent de trois semaines. On n'a pas remarqué d'étourdissements. Cet
enfant
présentait, dès son entrée, une cyanose très- p
ec la main ce qu'on lui pré- sente. Il est gâteux. 7 octobre. - L'
enfant
se tient difficilement sur les jam- bes ; il es
ointe du coeur. Pouls- veineux bien marqué, à 140. Sommeil agité. L'
enfant
se réveille quelquefois en criant. Traitement a
veille quelquefois en criant. Traitement anti-scrofuleux; exercer l'
enfant
à marcher. . 22 novembre. - L'enfant est faible
t anti-scrofuleux; exercer l'enfant à marcher. . 22 novembre. - L'
enfant
est faible et très amaigri. Ce- pendant il marc
tendance' TEMPÉRATURE CENTRALE. 3 à se placer dans la flexion ; l'
enfant
les remue d'ailleurs aussi bien l'une que l'aut
es sous-crépitants. Il n'y a nulle part de matité. Toux grasse. - L'
enfant
mange un peu, même de la viande; il ne vomit pa
°,2. 4 janvier. - T. R. 38o,2. - Soir : T. R. 38°,8. 5 janvier. L'
enfant
décline de plus en plus. La peau est légèrement
et sa face supérieure (1) D'après Rilliet et Darthez {Maladies des
enfants
, 1861, I, p. 56) la mesure des parois ventricul
ants, 1861, I, p. 56) la mesure des parois ventriculaires, chez les
enfants
de 4 ans, don- nerait comme moyenne pour l'épai
entricule droit plus épais que le gauche. Oiss. XI. (Cailliot) (6).
Enfant
de 11 ans, rétrécissement de l'artère pulmonair
gauche et avec l'ori- gine de l'aorte. Oms. XII. (Cailliot) (7).
Enfant
de 3 ans. Rétrécissement de l'orifice pulmonair
très dilatée. - Ventricule gauche petit. Orls. XVII. (Palois) (1).
Enfant
de ans. Artère pulmonaire beaucoup plus petite
` ? 5° , 5' . i 3,0;. Observation XXI. (Bourneville.) Lecap...,
enfant
du sexe* masculin né à six mois et demi le 12 m
ouvel accès depuis hier soir. Les mains ne sont plus cya- nosées. L'
enfant
tette beaucoup mieux que les premiers jours.
oments, une teinte légèrement bleuâtre. 15 mai. Etat excellent. L'
enfant
tette très hien. 16 mai. On n'observe plus qu'u
enue normale. On ne voit plus nulle part aucune trace de cyanose. L'
enfant
tette hien, et tout fait présumer qu'il n'exist
est entré en dernier lieu dans notre service le 16 juin 1879. Cet
enfant
, difforme et très mal développé, présente en- c
oppé, présente en- core, malgré son âge, l'habitude extérieure d'un
enfant
de deux ans. Sa taille n'est que de 90 centim
le n'aurait pas vu de crétins pendant qu'elle était en- ceinte. L'
enfant
était très-gros au moment de sa naissance. Il fut
rs 15 mois, il commença à marcher ; il ressemblait alors à tous les
enfants
de son il était affectueux, don- nait quelques
parole n'avait fait aucun progrès. C'est dans ces conditions que l'
enfant
lut amené pour la première fois à Bicêtre où il
poury rentrer l'année suivante, comme il a été dit plus haut. Cet
enfant
, qui estnéà Neuilly-sur-Seinè, n'a jamais quitté
dernière n'é- tait pas atteinte de goitre. Etat actuel (1880). L'
enfant
reste pendant tout le jour assis devant une tab
t camard, très déprimé à sa racine comme chez la plupart des petits
enfants
; sur toute l'étendue de la face, la peau est ma
insi de donner à la physionomie l'air bestial qui la caractérise. L'
enfant
peut néanmoins fermer la bouche quand il le veu
près les renseignements fournis par la mère, où la physionomie de l'
enfant
reflétait assez exacte- ment ses sentiments : a
la prononciation confuse et ce n'est ordinairement qu'en pressant l'
enfant
de questions ou en lui présentant le bonbon att
a marche est dif- ficile, lourde, mais cependant possible lorsque l'
enfant
est tenu parla main. CACHEXIE PACHYDERMIQUE.
rvice, est claire, citrine et ne contient ni albumine ni glycose. L'
enfant
est grand gâteux et la difficulté où l'on se tr
omnolence et d'immobilité. Ja- mais depuis qu'il est à Bicêtre. cet
enfant
n'a présenté de phénomènes d'excitation ni d'ac
ans. Renseignements fournis par sa mère (2 avril 1880). -- Père,
enfant
naturel, 55 ans, peintre en voitures ; il est for
Il va de soi qu'on ne heutinvoduer la consanguinité, le père étant
enfant
trouvé de Paris et la mère étant née à Metz.
père étant enfant trouvé de Paris et la mère étant née à Metz. 6
enfants
et une fausse couche à 4 mois : 1° Enfant mort-
re étant née à Metz. 6 enfants et une fausse couche à 4 mois : 1°
Enfant
mort- né à 8 mois, après une chute ; 2° fille,
mois, après une chute ; 2° fille, 23 ans, intelligente (Elle a eu 3
enfants
, l'un, mort à 5 mois, ne semblait pas intellige
offrant les mêmes caractères. Nous avons essayé de faire boire à l'
enfant
du vin blanc mélangé à l'eau : ce n'est que le
lle ; D... ne prononce que quelques monosyllabes. 26 janvier. - L'
enfant
est envoyé à la petite gymnas- tique que nous a
vir de la fourchette; au ré- fectoire, il met la bavette aux autres
enfants
. - La parole s'est améliorée; il dit : lerci po
ie de raconter ce qu'il a vu. Il y a un véritable réveil chez cet
enfant
. - Il pesait 20 kilog. le 13 octobre; le 21 août,
ement (1), il n'en a plus eu, c'est-à-dire de- puis dix mois. Cet
enfant
s'est considérablement amélioré sous l'in- flue
evenons maintenant au jeûne. Dès les premiers mois de la vie, cet
enfant
a présenté des troubles de la digestion, consis
ans un style très-confus, intitulé : Histoire de l'inappétence d'un
enfant
de Vaupro fonde près Sens, de son désistement d
t de sa mort. Il croit à l'authenticité du cas ! Il s'agissait d'un
enfant
intelli- gent et non d'un idiot. IV. - Note
, dans le service des épileptiques, un certain nombre de malades,
enfants
et adultes, présentant des attaques d'hystérie
thérapie. Lam., Alfred, âgé de 13 ans, est entré à la section des
enfants
épileptiques de Bicétre (service de M. Bour- NV
on l'appelait « mitaine » par abréviation de croduemitaine, et ses
enfants
en avaient peur). Pas d'attaques de nerfs ni de
son mari à conduire : peu intelligente ; il faut la guider comme un
enfant
; n'a pu rien apprendre l'école. C'est son mari
es Quinze-Vingts]. Pas d'aliénés ni de difformes de ce côté. Onze
enfants
: 1 Garçon, 23 ans, marié, intelligent, n'a (1)
uccès par M. Fieuzal. Néanmoins, on n'a jamais pu rien faire de cet
enfant
qui a été mis dans 18 apprentissages ; son espr
est intelligente, mais s'est développée lentement. Tous les autres
enfants
(filles), sont morts au- dessous de deux ans et
rs la nuit : Les religieuses de l'établissement pour empêcher les
enfants
de bavarder dans les dortoirs y faisaient quel-
un drap blanc, simu- lant un fantôme. Ce renseignement fourni par l'
enfant
explique, comme nous le verrons plus tard, dive
ns, mais pas d'autres fièvres éruptives ; pas de convulsions. Cet
enfant
a toujours été très peureux; il fallait toujours
ures à 5 heures. Le passage à la préfecture a été très- pénible : l'
enfant
à eu grand'peur, ne comprenant pas pourquoi on
'elle veut le mettre à la couche (punition qui consiste à laisser l'
enfant
8 jours au lit). Les crises se terminent généra
ystérogènes.-Zones iliaques de la grandeur d'une pièce de 5 fr. ; l'
enfant
dit que la pression en ces points lui produit u
quées. Prodromes et titra.- Les prodromes sont exceptionnels et l'
enfant
ne peut jamais dire plusieurs heures d'avance s
oreilles, surtout à droite; dans les premiers mois desa maladie, l'
enfant
n'accusait pas d'autres phénomènes prémonitoire
). Quelquefois, il arrive que le malade ne garde (1) La taille de l'
enfant
n'étant que de ]°27, cette hauteur est pro- por
rte de frémissement, la respiration est fré- quente et bruyante ; l'
enfant
gémit, pousse des cris de rage, se redresse, fr
r du fait de Berck). Pas de visions d'animaux. A cette période, l'
enfant
parait comprendre ce qu'on lui dit, mais il ne pe
ure ne dépasse pas 37°,5. Lorsqu'il est tout à fait revenu à lui, l'
enfant
se souvient nettement de ses rêves et les racon
le même état se représente dans les intervalles des atta- ques ; l'
enfant
paraît alors comprendre ce qu'on lui dit, mais
court, commence une période de grands mouvements pendant laquelle l'
enfant
agite ses membres d'une manière désordonnée et
lle n'est pas mordue. 3e période (Délire). Après ces contorsions, l'
enfant
exé- cute une série de grimaces exprimant la jo
erminée de la manière suivante : à la fin de la dernière attaque, l'
enfant
a ouvert les yeux, s'est plaint du mal de tête
extension du tronc et des membres inférieurs. Repos. La figure de l'
enfant
devient souriante. ' - Dans une autre attaque
éga- lement suivie d'une période clonique à grands mouvements, l'
enfant
exécute une série d'arcs de cercle dans lesquels
est déterminée involontairement en portant la main sur la tête de l'
enfant
pour explorer la zone d'hyperesthésie située au
dité générale se produit instantanément. La chute est prévenue et l'
enfant
porté sur un lit. On observe alors des battemen
zone bregmatique (clou hystérique). Après ses attaques, lorsque l'
enfant
est revenu à lui, il rend parfaitement compte d
équentes dans les mois de janvier et de février ; à cette époque, l'
enfant
ne passait guère deux ou trois jours sans attaq
roit : quelques minutes plus tard l'hémianesthésie est revenue et l'
enfant
se plaint des piqûres qu'on lui a HYPNOTISME.
s amener de modification durable dans l'état de la sensibilité, l'
enfant
fut envoyé tous les matins à la douche à partir d
normale. Les couleurs sont exactement perçues des deux côtés. - L'
enfant
n'ayant eu aucune attaque en août, septembre, n
nt. Telle est la série des phénomènes cliniques observés chez cet
enfant
. On voit que ses attaques, exactement analysées
épileptiques et des hystériques mâles. Dix épileptiques, dont cinq
enfants
et cinq adul- tes, ont été soumis à des inhalat
utes tous les matins pendant deux mois). Au bout de ce temps, les 5
enfants
en expérience qui étaient gés dc 12 tt 1 ans, o
ordinaire. IV. Action sur Sur 10 épileptiques, dont 5 adultes et
enfants
, soumis pendant deux mois (juin et juillet 1880
des malades qui ont suivi ce traitement. Quatre d'entr'eux, dont 3
enfants
, sont morts en état de mal épileptique, 2 en ju
diminué peu à peu,. par l'exercice, et, actuellement (mars 1881), l'
enfant
se- tient sur les jambes et marche, soutenu par
i fait d'excès de boisson.-Pas de consanguinité. Une cousine de l'
enfant
, du côté du père, est morte épileptique. Interrog
n'y a d'ailleurs attaché d'importance qu'après la nais- sance de l'
enfant
, en recherchant les causes de sa maladie. L'acc
maladie. L'accouchement a eu lieu à terme et sans difficulté ; l'
enfant
paraissait fort, mais on aurait remarqué dès le
naissance que le bras droit était cya- nosé. Dix mois plus tard, l'
enfant
aurait présenté ses pre- mières attaques do con
ent été très lé- gères ; cependant, on aurait observé bientôt que l'
enfant
re- muait moins bien le bras droit que le gauch
. Une se- conde attaque survint quatre mois plus tard. A 2 ans, l'
enfant
marchait seul en traînant la jambe droite. Il p
urs secondes. IDIOTIE ET épilepsie partielle. 63 D'autres fois, l'
enfant
présentait des accidents nerveux singuliers : l
t se prolongea une fois pendant une nuit entière. Le caractère de l'
enfant
était d'ailleurs devenu de plus en plus irascib
us, le peu qu'il savait a disparu. Au mois de mai 1880, l'état de l'
enfant
était le suivant. Etat mental. L'intelligence e
de strabisme. Etat des membres. Hémiplégie droite incomplète ; l'
enfant
ne peut marcher que soutenu et traîne la jambe.
ce à l'emploi immédiat du bromure (l'dthule; d'autres fois aussi, l'
enfant
fut pris d'accès dans le cours même d'une inhal
dans le membre supérieur gaucho des secousses du- rant lesquelles l'
enfant
soulevait brusquement la main en écartant les d
presque continuelles. A mi- nuit, la température atteignit 39°,8. L'
enfant
succomba dans la nuit. Température immédiatemen
Nous ne possédons aucun renseignement sur les antécé- dents de cet
enfant
; nous savons seulement qu'il n'aurait jamais ét
embréS)inJél"ieurs, mais sans résultat. ' z Quoi qu'il en soit, l'
enfant
resta 'pendant l'année entière dans le même éta
pa- role, quoique rare, existait cependant; on pouvait, lorsque l'
enfant
était bien disposé, lui faire, prononcer quelques
endemain à 38°. L'érysipèle fut ainsi arrêté dans sa marche, mais l'
enfant
s'affaiblit rapidement, et bien qu'on ne consta
dans les divers appa- reils (seulement quelques râles aux bases), l'
enfant
tomba dès le 26 novembre dans un état sub-comat
N (J.). Conférences cliniques et thérapeutiqufs sur les maladie des
enfants
; un beau volume in-8° de 340 pages; prix : 8 fr.
T L'IDIOTIE COMPTE R1 : \DIi DU SERVICE DES ÉPILEPTIQUES ET DES
ENFANTS
IDIOTS ET ARRIÉRÉS DE BICÉTRE PENDANT L'ANNEE 1
ons tracé la description du service des épileptiques adultes et des
enfants
idiots, arriérés, infirmes et eut- lel.ticlis,
n projet de construc- tion d'une section consacrée spécialement aux
enfants
nous avons demandé et obtenu de nouvelles améli
du service. Nous allons les indiquer sommairement. Infirmerie des
enfants
. Nous avons dit qu'elle occupait la plus grande
deux salles inégales; -que ces salles recevaient non seulement les
enfants
de tout âge, atteints de maladies aiguës, inter
âge, atteints de maladies aiguës, intercurrentes, mais encore les
enfants
gâteux, infirmes et valides ; - nous avons expo
; - nous avons exposé qu'en créant la Petite école, destinée aux
enfants
idiots gâteux et valides, nous étions parvenu à
et le mélange de ces IV HISTOIRE DU SERVICE diverses catégories d'
enfants
étaient toujours les mêmes. L'autre salle sert
ût). PENDANT L'ANNÉE 1881. v saison et le changement du linge des
enfants
, ont dimi- nué, mais non fait disparaître l'inf
r dévouement, de leur zèle à contribuer au relèvement de malheureux
enfants
dégradés et gâteux. (1) Bourneville et d'Olli
Avant les travaux, c'est-à-dire vers la fin de janvier 1881, trente
enfants
ont eu des opthalmies diverses. (3) Ces tables
nt eu des opthalmies diverses. (3) Ces tables sont faites pour deux
enfants
seulement et le banc est un peu plus écarté de
olaires or- dinaires, afin de permettre d'enlever plus aisément les
enfants
un accès. ('i) Conformément à un vote du Cons
VI HISTOIRE DU SERVICE Le 1er janvier la petite école comptait 16
enfants
; le 31 décembre, il y en avait 62. A la fin de
professionnel. - Il a été aussi dé- fectueux que par le passé. Les
enfants
sont envoyés ou dans un petit atelier de menuis
i n'ont ni la patience ni l'autorité nécessaires pour instruire ces
enfants
, ou dans les ateliers de la maison, mêlés aux v
, congés, visites. - Les promenades ont été multipliées et pour les
enfants
et pour les épileptiques adultes débiles. Outre
é avec laquelle ils ont mis des cartes à notre disposition pour les
enfants
de Bicêtre et de la Salpêtrière. PENDANT L'ANNÉ
Des visites ont été faites dans diverses usines des en- virons. 23
enfants
ont assisté à la distribution des prix de l'Eco
ar les frères Lionnet, etc. Les adultes ont reçu 2979 visites ; les
enfants
3527 ; le nombre des visiteurs a été de 9242. I
sions de sortie de 24 ou 48 heures pour les adultes et 540 pour les
enfants
. Dix malades ont eu des congés variant de 8 jou
bier ; rem- placement de l'infirmier veilleur de l'infirmerie des
enfants
par deux infirmières veilleuses ; ;- réorganisa-
Enfin, au lieu de laisser abandonnés plus ou moins à eux-mêmes les
enfants
qui, à 18 ans, passent aux adul- tes, nous avon
e, était atteint de syphilis. Nous avons alors interrogé tous les
enfants
, et voici brièvement le résumé de notre enquête :
s- turbation. Aucun accident. D... connaissait les parents de cet
enfant
, qui est intelligent et aurait pu, s'il l'avait v
ission. Pas d'accidents. Bien que l'intelligence s'affaiblisse, cet
enfant
est en mesure de donner des renseignements préc
rs, quelquefois le soir, le plus souvent dans la journée, quand les
enfants
allaient changer de linge, parce qu'ils s'étaie
oigner son camarade. Il donnait des friandises, du tabac, etc., aux
enfants
, et les menaçait de les faire punir s'ils racon
r s'ils racontaient ce qui s'était passé entre eux et lui. Sur sept
enfants
, trois ont été atteints de syphilis. Dom... a é
N. Le 1 cr janvier 1881, la Section renfermait 152 adultes et 126
enfants
. Les adultes comprennent des épilep- tiques et
de la moralité. Il est bien évident que si, médecin du service des
enfants
, on m'avait communiqué ce dossier, j'aurais rép
eur intelligence. La même division administrative existe pour les
enfants
. Des 126 enfants, 61 vont à la grande école {ép
La même division administrative existe pour les enfants. Des 126
enfants
, 61 vont à la grande école {épileptiques, imbéc
durant la gestation. L'accouchement se fit à terme et fut normal. L'
enfant
fut élevé au sein par sa mère jusqu'à 10 mois.
persis- tèrent durant vingt minutes. Sans perdre connaissance, l'
enfant
devenait « blanc « en même temps qu'il était agit
chute sur le poêle et à la brûlure que la mère attribue l'état de l'
enfant
. Traitement par le bromure de potassium, l'éthe
rois jours; il y a encore un peu de con- jonctivite et de coryza; l'
enfant
tousse fréquemment, avec fatigue; en même temps
he. Ventre en bateau. T. R. 38°,8. - Soir : T. R. 39°. 20 Janv. L'
enfant
reste dans la somnolence ; l'expiration est lég
vulsions si légères d'abord que. au dire contestable des parents, l'
enfant
ne perdait pas connaissance. Ces convul- sions
ysie. Les facultés intellectuelles ne se sont jamais développées. L'
enfant
était complètement idiot. Notons, pour mémoire,
lage » ; cet accès dura 3 ou 4 jours.] Pas de consanguinité. Sept
enfants
: 1° et2° deux jumelles (1), mortes l'une à 20
le, naturel, se fit trois se- maines avant terme. A la naissance, l'
enfant
était cyanose sans cause appréciable : ni circu
x. Il était impossible de fixer et même d'attirer son attention ; l'
enfant
restait distrait, le regard vague, et ne répond
, les convulsions, plus nettes, commencèrent à se gé- néraliser ; l'
enfant
restait immobile, le regard fixe, les poings fe
un intervallede 4 ou 5 jours de répit comme maximum. Tandis que l'
enfant
se développait, on constatait des troubles de l
ru, et « la tête ne ballotait plus. » Etat actuel (avril 1881). L'
enfant
ne peut se tenir debout et marcher que soutenu
face, prédominant à droite. Le soir, à huit heures, nous trouvons l'
enfant
dans le collapsus; la tem- pérature rectale pri
'un de nous à la Salpêtrière ; les trois autres dans le service des
enfants
idiots de Bicêtre. Il est aisé de concevoir les
nvier 1881. Antécédents. (Renseignements fournis par la mère de l'
enfant
.) Père, 38 ans, marin, puis comptable. Bien por-
RN. 2 18 IDIOTIE. temps : rêve qu'elle court, qu'elle cherche son
enfant
, etc. Elle n'a jamais eu d'attaque de nerfs, ni
ai3 d'hérédité dans la famille. ] Pas de con- sanguinité. Un seul
enfant
, notre malade. Grossesse agitée, anté- rieure a
a nourrice « sur la recommandation d'un saint » est allé promener l'
enfant
, tête nue, dans « un champ de sei- gle au momen
gauche, on nota une paralysie du bras et de la jambe de ce côté. L'
enfant
eut alors beaucoup de fièvre pendant assez long
t l'un 80 gr. et l'autre 60 gr. I. L'histoire pathologique de cet
enfant
comprend trois phases bien distinctes. a) La
et par une déchéance intellectuelle si accusée que, à l'entrée de l'
enfant
à l'hospice, nous sommes ame- menés à porter le
us en plus ; des ulcérations se sont formées de tous les côtés et l'
enfant
a succombé avec une hépatisation terminale d'un
, la première fois que l'on signale des lésions de ce genre chez un
enfant
de douze ans ; tout le monde sait, en effet, qu
s observé plusieurs cas de diarrhée idiopathique chronique chez des
enfants
idiots des deux sexes, se terminant, au bout de
lesse à 98 ans et demi. Deux soeurs, l'une bien portante, mère de 7
enfants
en bonne santé; l'autre morte en couches à 47 a
nsanguinité. Le mari n'avait qu'un an de plus que sa femme. Trois
enfants
. 1° Notre malade; 2° un garçon rhumati- sant, q
il est mort à 40 ans à la suite d'excès de boisson (absinthe), ses
enfants
se por- tent bien ; 3° un garçon très maladif,
ne catégorie particulière de nains ne dépassant guère la taille des
enfants
de 10 ans... « Edern avait une taille bien au-d
on frère et de la Paria indoue, de Shortt, qui eut, paraît-il, un
enfant
mort-né. » L'état et le fonctionnement des orga
au Kremlin, près Bicêtre. (1) Nous avons revu en mai dernier cet
enfant
, Lam... : i'. n'a pas eu de nouvelles attaques
mère sont cousins ger- mains, issus du frère et de la soeur. Cinq
enfants
: 1° Notre malade; 2° fille, morte d'une méning
ance à terme; accouchement au forceps après 27 heures de travail. L'
enfant
fut élevé au sein pen- dant les trois premiers
n février 1880. La première a eu lieu le 6 fé- vrier et a surpris l'
enfant
pendant son travail, à l'école de Vitry; elle a
s psychiques sont intactes; le caractère est doux et affectueux ; l'
enfant
montre de l'aptitude au travail. Il n'aurait pa
de provoquer d'attaques par une pression prolongée (1). Aura.- L'
enfant
déclare avoir la sensation d'une boule qui part
te (2 mars). L'attaque débute à 7 h. 35 du soir après un dîner où l'
enfant
a peu mangé et durant lequel il a été pris plus
t alors des vagues abdominales, et, dans un dernier renseignement l'
enfant
nous dit qu'il sent sa (1) Voir dans 1 Iconogra
cercle, ensuite grands mouvements. Nouveau sifflement laryngien ; l'
enfant
crie « oh la la ! o ; il n'entend rien de ce qu
rdre ceux qui l'environ- nent. Reprise des convulsions cloniques; l'
enfant
veut prendre mon cahier; mord un mouchoir; crie
e rémission de plusieurs minutes. Une nouvelle crise se déclare : l'
enfant
en me voyant écrire, dirige vers moi un regard
nq minutes de durée. Il n'y a pas eu de convul- sions cloniques ; l'
enfant
est resté raide quelques instants puis a recouv
secousses convulsives. 16 mars. Pas d'attaque. L'état général de l'
enfant
est excellent. 22 mars. La semaine précédente
e à droite. . 1 CI' décembre. Pendant tout l'été jusqu'à ce jour, l'
enfant
a régulièrement pris des douches, d'abord une s
. - 25 avril. La sensibilité est normale et égale des deux côtés; l'
enfant
n'a pas eu de crises depuis le 13 dé- cembre 18
n, les attaques étant finies, la connaissance sem- blant revenue, l'
enfant
avait parfois des hallucina- tions de la vue (7
d'une façon irrégu- lière, les parents cédant aux caprices de leur
enfant
; -, mais, nous avons triomphé de leurs craintes
apique a été rigou- reusement suivi ; - dans le courant de l'été, l'
enfant
a pris deux douches par jour. Elles ont été sus
puis le 13 décembre 1880. Durant les trois premiers mois de 1881, l'
enfant
a conservé une certaine irascibilité du caractè
insisté pour que les douches fussent continuées. Nous avons revu l'
enfant
le 24 août (1882), sa santé physique est bonne,
ait autrefois, enfin il n'a pas eu de nou- velles attaques. (1) L'
enfant
venait à la gymnastique du service 3 fois par sem
s; aucun d'eux n'offrirait d'ac- cidents nerveux. Plusieurs ont des
enfants
en bonne santé, non difformes, non épileptiques
ont commencé à devenir moins parfaits. Notre malade n'a jamais eu d'
enfants
. Les douleurs de l'ataxie sont restées limitées
malade était en bas âge. Deux soeurs en bonne santé, mariées, sans
enfants
. Pas d'épileptiques, pas d'aliénés, etc., dans
etc. - Pas de consanguinité. Les parents de notre malade ont eu 10
enfants
, dont 5 sont vivants : 1° no- tre malade; 2° un
, do protestation ; on le lui rend : elle rit absolu- ment comme un
enfant
. Elle ne parle guère, à moins d'être- provoquée
e de rougeole observée à l'hospice de Bicêtre dans la section des
enfants
épileptiques et idiots ; Par BOURNEVILLE et ECL
ur- venu dans le service une épidémie de rougeole, frap- pant les
enfants
idiots et épileptiques. Cette épidémie a présen
engagé à en publier la relation. Le service se compose de 120 à 125
enfants
. Ils sont divisés en deux groupes : l'un compre
à 125 enfants. Ils sont divisés en deux groupes : l'un comprend les
enfants
qui fréquentent la grande école et couchent dan
ole et couchent dans deux dortoirs distincts ; l'autre comprend les
enfants
idiots, infirmes, gâteux, dont une partie va à
cube 1,005 mètres, sert à la fois de dortoir à toute la catégorie d'
enfants
dont nous parlons, et d'infir- met'te tant pour
ts dont nous parlons, et d'infir- met'te tant pour eux que pour les
enfants
de la grande école. Cette réunion dans un même
Cette réunion dans un même local, qui sert encore de réfectoire, d'
enfants
affectés de maladies aiguës et de gâtisme, suff
res. Il s'ensuit que la nuit, et le matin jusqu'à la des- cente des
enfants
à la petite école, l'atmosphère de cette salle
DÉMIE DE ROUGEOLE. jour, à partir de 9 ou 10 heures, quand tous les
enfants
valides sont descendus à la petite école, que l
ablement les visiteurs, non habitués à un tel milieu. Ce sont les
enfants
de cette salle qui, du 8 au 16 janvier, au nomb
ésentent dans un milieu nosocomial convenable, sans compter que ces
enfants
, en raison de leur maladie primitive idiotie et
e, offrent moins de résistance aux affections de ce genre que les
enfants
ordinaires. Comme on le voit, nous nous trouvio
s par les difficultés ha- bituelles d'un examen méthodique chez des
enfants
dé- nués d'intelligence. A l'absence de tout re
insi que, malgré la surveillance la plus attentive, certains de ces
enfants
ne sont venus à l'infirmerie qu'au moment de l'
l'abattement fébriles par la torpeur intellectuelle accoutumée des
enfants
. Quant à la constatation des complications, par
ires, elle était entourée encore de plus d'obstacles que chez les
enfants
ordinaires. Nos observations se divisent nature
simples. Les cas qui composent ce groupe sont au nombre de 5 : 1
enfant
épileptique,* 1 enfant idiot et 3 enfants idiot
composent ce groupe sont au nombre de 5 : 1 enfant épileptique,* 1
enfant
idiot et 3 enfants idiots et épileptiques. Ob
pe sont au nombre de 5 : 1 enfant épileptique,* 1 enfant idiot et 3
enfants
idiots et épileptiques. Observation I. Idioti
un de ses cousins germains est mort fou. Pas de consanguinité. Deux
enfants
, dont l'un est mort ; l'autre est notre malade.
seul accès ; en 1880, 141 accès et40 vertiges. 1881. 12 janvier. L'
enfant
entre à l'infirmerie avec le& signes d'une
enchifrènement ; respiration légèrement sifflante aux deux bases. L'
enfant
a mangé un peu de viande. T. R. 39°. (Bad. iodé
en plateau, à 37°,G. L'en- fant se lève. (Fig. 4). 14 février. L'
enfant
sort de l'infirmerie. Notons, dès maintenant, q
bre 1880. Père rhumatisant; mère très nerveuse; consanguinité. (L'
enfant
est issu de cousins germains). Premier accès d'
dant le jour. Pas d'aura, ni de stertor. ROUGEOLES SIMPLES. 101 L'
enfant
mange, marche et s'habille seul, commence à lir
ation. 12 janvier. Eruption de la rougeole : depuis cinq jours, l'
enfant
toussait, était devenu maussade. L'exanthème appa
ée visqueuse, infecte, jaunc-verdatre; selles involon- lontaires (l'
enfant
est gâteux). Léger ballonnement du ven- tre. Le
02 ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. 24 janvier. Quelques râles bronchiques ; l'
enfant
va mieux, mange un peu de viande rôtie; la temp
y a six jours. 5 février. A la suite de ses accès, nous trouvons l'
enfant
prostré, pâle, immobile au lit; ses membres son
agités de secousses assez rapprochées. T. R. 37°,8. 12 février. L'
enfant
est guéri. Les accès d'épilepsie ont repris leu
vicale restent dans le statu quo. Traitement anti-scrofuleux. Cet
enfant
a eu des accès d'épilepsie les 8, 9, 10, 12, 13
es dans sa famille. Mère, bien portante. Pas de consanguinité. Cinq
enfants
, dont deux morts, mais sans manifestations nerv
arole, cris fréquents); conformation régulière. 1881. 17 janvier. L'
enfant
entre à l'infirmerie avec une . ROUGEOLES SIMPL
des râles ronflants. T. R. 38°,2. Soir : T. R. 38°. 21 janvier. L'
enfant
mange un peu de viande rôtie et du potage. A la
iodé). -Soir : T. R. 37°,8. 24 janvier. L'appétit est normal ; l'
enfant
va bien ; l'aus- cultation est rendue impossibl
aitement par les inhalations d'iodure d'éthyle. 1881. 13,janvier. L'
enfant
présente les symptômes d'une- rougeole à la pér
anger de la viande. T. R. 38 ? ? .- Soir : T. R. 39°. 25 janvier. L'
enfant
est en convalescence (sirop d'iodure de fer; hu
ales. 5 février. Les manifestations ganglionnaires ont disparu. L'
enfant
est guéri.- 14 février. Jaus... quitte l'infirmer
e morte à 62 ans, d'un cancer utérin. Pas do consanguinité. ' Six
enfants
, dont quatre sont morts. L'un deux, frère 106
enaces de fausse couche, l'ac- couchement se fit à terme, facile. L'
enfant
fut élevé au biberon jusqu'à l'âge de 3 ans. Il
ivite granuleuse ; gâtisme, marche normale; parole presque nulle; l'
enfant
répète incessamment les mots « bibi coco», d'où
co», d'où le surnom de Bibi-Coco qui lui a été donné par les autres
enfants
. Il mange seul, à l'aide do la cuiller. Il reti
vier. Aparition de l'exanthème rubéolique. Depuis quelques jours, l'
enfant
semblait endormi, ne man- geait pas, toussait e
e thermométrique est graduellement descendue à 38°. 21 janvier. L'
enfant
mange avec appétit et est gai. T. R. 37°,8. (Vi
de fer ; huile de foie de morue). Soir : T. R. 38°. 14 février. L'
enfant
sort de l'infirmerie. A part quelques accidents
10 à 17 ans. Consanguinité. (Cousins issus de germains). - Quatre
enfants
: 1° notre malade ; 2° garçon mort de méningite
rt- née. Notre malade. Grossesse accidentée par des émotions. L'
enfant
fut élevé au biberon jusqu'à 4 mois. Jamais de
ctifs (cepen- dant W... aime à être caressé) ; gâtisme; salacité. L'
enfant
est gros, gras, et, au physique, se fait remarq
s, sur les membres, mais dans le sens de l'extension seulement. L'
enfant
est bruyant et pleure. Conjonctivite et photo-
spiration est un peu soufflante à droite ; persistance dos râles. L'
enfant
prend du lait avec appétit. T. R. 39 ? 5uir : T
itants; à gauche, autant que le permettent les cris incessants de l'
enfant
, on ne con- state rien d'anormal. 112 ÉPIDÉMI
piration est légèrement soufflante des deux côtés de la poitrine; l'
enfant
ne tousse plus ; il mange et il joue, assis sur
mbre métallique. La température est en plateau, 37°,8. 28 Mars. L'
enfant
est revenu à son état de santé habi- tuelle ; t
manifeste que le jour de l'éruption. Il est à noter que chez cet
enfant
, d'ordinaire plongé dans une torpeur profonde,
e troubles nerveux dans la famille.] -Pas de consanguinité. Trois
enfants
et une fausse couche : 1° fausse couche à 4 moi
ce qui n'arrivait pas auparavant. Accouchement à terme et facile. L'
enfant
, à la naissance, était chétif et resta six jour
à il avait « un drôle de cri. » « Il ne venait pas comme les autres
enfants
; ne jasait pas, ne s'intéres- sait à rien. » L
ctivite. ' bourn. 3 in ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. 1880. Janvier. L'
enfant
est gourmand.vole les aliments de ses camarades
et soumis en particulier aux exercices de gymnasti- que. Juin. L'
enfant
, qui ne savait dire que le mot «non Y son entré
il est toujours gourmand, mais ne vole plus les aliments des autres
enfants
. Il ne gâte plus depuis le milieu de novembre.
Soir : T. R. 39°,0. 26 janvier. Mêmes signes à l'auscultation. L'
enfant
est moins abattu. T. R. 39°,2. - Soir : T. R. 3
ent à droite. Il existe encore des râles ronflants, superficiels. L'
enfant
mange avec quelque appétit ; la conjonctivite a
plus que légèrement souf- flante à gauche : les râles persistent. L'
enfant
est assez gai ; mange avec appétit. 10 févrie
Rien à gauche. La température est en plateau à 38°,8. 18 février. L'
enfant
se lève. 21 février. Tout symptôme thoracique a
symptôme thoracique a cessé ; l'état général est redevenu normal. L'
enfant
reste levé toute la journée ; la température se
cès de boisson(. Pas de consanguinité. Mariage à 28 et 22 ans. Deux
enfants
: 1° Notre malade; 2° enfant mort d'athrepsie à
guinité. Mariage à 28 et 22 ans. Deux enfants : 1° Notre malade; 2°
enfant
mort d'athrepsie à mois, avec convulsions inter
it jeté sur elle. Accouchement normal, à terme. Dès la naissance, l'
enfant
, bien conformé physiquement,présentait déjà des
agnes parfois de cyanose du visage, grincement de dents habituel. L'
enfant
a coutume de se tenir debout sur le pied droit
s froids, en même temps que diminuait le nombre des accès. L'été, l'
enfant
était plus nerveux et maigrissait. Examen physi
- lier ; abdomen régulier; diarrhée assez fréquente, gâ- tisme. L'
enfant
mange avec ses mains. Pénil glabre ; phy- mosis
très prononcé. Respiration, etc., rien à noter. 1881. 15 janvier. L'
enfant
entre à l'infirmerie avec les symptômes d'une r
s sèches). Soir : T. R. 40°,2. 21 janvier. Même état des poumons; l'
enfant
sort un peu de sa torpeur antécédente et prend
40°. 26 janvier. T. R. 39°,2. - Soir : T. R. 38°,8. 27 janvier. L'
enfant
se montre plus gai, et a pu rester assis sur so
inférieure gauche. T. R. 38°. - Soir : T. 11. 3S"JI. 5 février. L'
enfant
va mieux, joue. Cependant la toux est pénible,
les pulmonaires diminuent d'intensité et de nombre. 10 février. L'
enfant
est gai et mange avec appétit. Il ne tousse plu
tudes [Juratoires sont toujours les mômes. Lorsqu'on présente à l'
enfant
un objet tel qu'une clef, un tambourin, etc., il
ement s'exécute de droite à gauche. La parole est toujours nulle. L'
enfant
est resté absolument stationnairo au point de v
. 26 mars. T. R. 37°,8. - Soir : T. R. 40°. (Fig. 10). 27 mars. L'
enfant
qui avait abondonné le lit depuis un mois s'aff
igrissement do plus en plus pro- noncé. Tuberculose pulmonaire. - L'
enfant
meurt le 18 avril. Autopsie faite 30 heures a
ole, datent de la troisième année. Toutefois, aujourd'hui encore, l'
enfant
ne dit que quelques mots. Les sentiments affect
cuir chevelu il existe des croûtes d'impétigo. 1881. 15 janvier. L'
enfant
entre à l'infirmerie avec les signes d'une roug
ivite et le coryza ont disparu. L'état des poumons reste le même. L'
enfant
va mieux, et prend avec plaisir un peu de lait
u imbécile. Consanguinité : père et mère cousins germains. Quatre
enfants
: Il garçon, 24 ans, bien portant ; 2° gar- çon
vement. On ne pense pas qu'il y ait eu une ophtalmie puru- lente. L'
enfant
, repris par ses parents, à l'âge de 8 ans, a eu
elle se dispose en corymbes ; elle n'a pas paru sur les membres. L'
enfant
cause et est assez gai. T. R. 38°. - Soir : T.
n n'entende plus que quelques râ- les sous-crépitants très rares, l'
enfant
tousse encore. A la région cervicale, on trouve
. 39°. 28 janvier. T. R. 38°. - Soir : T. R. 37°,8. 29 janvier. L'
enfant
va mieux; l'abattement a disparu. T. R. 3î°,6.-
espiration est trouvée un peu soufflante à gauche de la poitrine. L'
enfant
a de l'appétit. La courbe thermométrique s'est
ques glandes dans l'aisselle. Rien au pli de l'aine. 8 février. L'
enfant
paraît complètement guéri, est gai, mange de bo
s abondante et d'une façon continue. L'ap- pétit est presque nul. L'
enfant
est dans un état d'émacia- tion extrême; il res
topsie le 20 février 1881. Le poids du cadavre est de 14 kilogr. (L'
enfant
pesit 19 kilogr. 500 à son entrée à l'hospice).
quée et irrégulière, n'a pas directement entraîné l'issue fatale. L'
enfant
, en effet, n'est pas mort de la rougeole même,
e do Vaucluse vers la fin de 1878]. Pas do consanguinité. Un seul
enfant
, noire malade. La grossesse a été acci- dentée
et on appliqua le forceps, le 2" jour du travail..1 la naissance, l'
enfant
ne respirait pas; on laissa saigner le cordon;
ait quelques pas, tenu par la main, lorsqu'il entra à l'hôpital des
Enfants
malades (10 mai 1879). De là, il fut envoyé a S
il entra à Bicêtre, il avait tout il. fait désappris à marcher. L'
enfant
n'a jamais été gai, n'a jamais aimé à jouer. A
er, deux bains d'amidon par semaine ; lotions alcalines ; exercer l'
enfant
à marcher. Novembre. Le 17, on recouvre le cuir
inue. 20 janvier. La température se maintient à 37°. le, avril. L'
enfant
a fait de grands progrès au point de vue de la
ue. Poids du corps, 9k,200. Taille 0m,88. - ' 1881. 21 janvier. L'
enfant
entre à l'infirmerie avec la rougeole à la péri
oniaque et extrait de quina.) - Soir : T. R. 40°,2. 24 janvier. L'
enfant
est calme, la dyspnée ainsi que le souffle bron
com- mémoratifs héréditaires. Etat actuel (9 novembre 1880). L'
enfant
, maintenant âgé de 8 ans, pèse 16 kil., 100 gr.
nt de l'entrée à l'hospice, la parole était nulle ; aujour- d'hui l'
enfant
prononce quelques syllabes, notamment le mot «
uer. Il aime surtout le jeu. M... n'est pas méchant pour les autres
enfants
; il est même caressant, il était devenu jaloux
s 0 gr. 15, sirop diacode 30 gr.) Soir : T. R. 40°. 15 janvier. L'
enfant
meurt au moment de la visite. La ROUGEOLES COMP
-de-vie. L'accouchement se fit terme, avec présentation du siège. L'
enfant
, bien con- stitué à la naissance, ne présenta r
stence d'une hernie ingui- nale droite. Déjà, on s'apercevait que l'
enfant
était peu in- telligent, ne parlait pas ; il av
une semaine. Dès lors, l'état intellectuel s'affaiblit davantage, l'
enfant
devint gâteux. On l'envoya à la campa- gne où i
ue, au niveau du petit orteil des deux pieds. 1881. 10 janvier. L'
enfant
entre à l'infirmerie avec des frissons multiple
névropathi- ques dans la famille.] . Pas de consanguinité. Deux
enfants
et une fausse couche : 1° Fausse couche à 3 moi
volume. Durant les 18 mois qui précédèrent l'admission à Bicêtre, l'
enfant
aurait été sujet à des accès d'épilepsie se rep
... est assez caressant, d'un caractère gai. Traitement : exercer l'
enfant
à marcher tous les jours; deux bains salés par
la partie supérieure de l'occipital. 5 Septembre. Pendant la nuit l'
enfant
a eu des convul- sions qui ont duré environ une
ral.) Les exercices ont produit quelques changements avantageux ; l'
enfant
aime à se pro- mener dans le chariot; il peut m
accusé à partir d'un an, puis l'ossification se serait effectuée. L'
enfant
aurait eu des convulsions et peut-être des accè
écutive à l'hydrocépha- lie (1). Malgré la gravité de l'état de cet
enfant
qui était confiné au lit, à notre arrivée dans
raitement qui avait donné des résul- tats encourageants, puisque- l'
enfant
commençait à marcher lorsque la rougeole est ve
bé en bas âge.. on ne sait comment]. Pas de consangui- nité. Cinq
enfants
: 1° un garçon de 12 ans, bien portant, in- tel
bout; le cordon s'est cassé à quelque distance de l'ombilic, et l'
enfant
est tombé sur le sol, où il est resté environ vin
tes sans aucun soin. On n'a pas constaté de plaie à la tête, mais l'
enfant
est resté jaune pendant neuf jours ; « il avait
ifestés, se répétant toutes les semaines, diurnes ou nocturnes. L'
enfant
poussait un cri ; se mordait; parfois il y avait
l n'a jamais pu aider à s'habiller. Les fonctions digestives de l'
enfant
étaient bonnes, il mangeait n'importe quoi ; ma
es décrits aux antécédents ; les accès de colère sont fréquents : l'
enfant
pousse des cris, se heurte la tête, s'as- sied
et se répète tous les jours, mais moins souvent que par le passé. L'
enfant
mange avec les doigts, est très salace et aime
Respiration rude. T. R. 3J°,G. Soir : T. R. 39o. ' 21 janvier. L'
enfant
commence à manger ; il est moins 152 ÉPIDÉMIE D
r. Râles sous-crépitants à la base du poumon droit. 27 janvier. L'
enfant
pousse des cris plaintifs en se balan- çant, co
kermès, 0 gr. 10. - Soir : T. R. 38°. 1er février. T. R. 37î°,6. L'
enfant
mange de bon appétit le matin, mais pas le soir
et les mucosités noirâtres ont en partie disparu de la bou- che. L'
enfant
a de l'appétit, mais ne peut déglutir les alime
vertes de dépôts de même aspect. Malgré l'empressement que met l'
enfant
à saisir les aliments, la dysphagie persiste RO
resse de la bouche. T. R. 40°,4. Soir : T. R. 40°,6. 7 février. L'
enfant
est assoupi. L'état de la bouche reste le même
a respiration est légère- ment soufflante sous l'aisselle gauche. L'
enfant
ne boit que quelques gouttes de lait, ne peut p
s d'accidents nerveux dans la famille]. Pas de consanguinité. Six
enfants
: 1° garçon, mort à 5 ou 6 jours en nourrice ;
'accouchement s'est fait à terme, facilement. Rien d'anormal chez l'
enfant
à la naissance. Elevé au sein en nourrice, il a
convulsions. A quatre ans, lors de sa première entrée à Bicêtre, l'
enfant
était dans IDIOTIE COMPLÈTE. 157 Î l'état où
retrouve surtout au niveau du sillon naso-lalial droit, alors que l'
enfant
vient à rire. Les yeux sont normaux, les lèvres
conformés; par d'ona- nisme. Respiration et circulation normales. L'
enfant
mange seul, en se servant de la cuiller; salaci
la tête, accompagnés de clignottement des yeux. Le caractère de l'
enfant
est affectueux ; l'attention est difficile à fixe
l. La parole est nulle. 1881. 12 janvier. Depuis quelques jours l'
enfant
est somnolent, a perdu l'appétit. I ! est entré
malade a mangé un peu de viande. La diarrhée a cessé. 21 janvier. L'
enfant
mange bien, est gai : il tousse en- core un peu
n- flants, facies altéré, paupières gonflées, lèvres violacées. L'
enfant
succombe dans l'après-midi. T. R. post mortem,
'apparition des premiers cas de rougeole dans le service, aucun des
enfants
des employés ou sous-employés de l'hospice n'ét
ue l'épidémie est demeurée circonscrite à l'une de nos catégories d'
enfants
. L'une des raisons qui nous ont incité à publie
t suivant : alors que la rougeole sévissait simultanément sur les
enfants
des employés de Bicetrectsur les petits malades
rvé dans une même famille quatre cas de la première catégorie ; les
enfants
étaient couchés deux à deux dans de petits lits
guéris, telle que la tuberculose par exemple, si fréquente chez les
enfants
ordinaires ; d'autre part, les guérisons inespé
térie et l'idiotie. Compte-rendu du service des épileptiques et des
enfants
idiots et arriérés, de Bicêtre, pendant l'année
LEPSIE, L'HYSTÉRIE 1 ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICÊTRE PEN
e, nous rappellerons que la section comprend trois groupes : 1° les
Enfants
idiots, gâteux, éile2- tiques ou non, mais inva
nts idiots, gâteux, éile2- tiques ou non, mais invalides ; - 20 les
Enfants
idiots gâteux ou non gâteux, épileptiques ou no
gâteux ou non gâteux, épileptiques ou non, mais valides; -3° les
Enfants
propres, valides, imbéciles, arriérés, épilepti
ides, imbéciles, arriérés, épileptiques et hystériques ou non. 1.
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ounon, mais invali
es d'amélioration; la seconde, d'idiots tout à fait incurables ou d'
enfants
atteints d'épilepsie IV PETITE ECOLE. ou de m
puis toute la journée aussitôt que leur forces le permettent. II.
Enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou
ots, gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou non, mais valides. Ces
enfants
fréquen- tent la petite école confiée exclusive
uen- tent la petite école confiée exclusivement à des femmes. 222
enfants
y ont été inscrits dans l'année. Sur ce nombre,
ortis définitivement ; 1 est passé à la grande école. Sur les 207
enfants
qui restaient au 31 décembre 1889, 58 se serven
la fourchette, 50 de la cuiller, de la fourchette et du couteau. 11
enfants
gâteux sont devenus pro- pres (1). Tous les enf
du couteau. 11 enfants gâteux sont devenus pro- pres (1). Tous les
enfants
vont à la petite gymnastique (système Pichery),
s avancés, ont pris part aux exercices de la grande gymnastique. 35
enfants
ont travaillé comme apprentis; ils se répartiss
les leçons de choses, les promenades avec interro- (1) Ce sont les
enfants
Barb..., Cleme..., Couta..., Corb..., Feut..., I
le consti- tuent, comme toujours, la base de l'enseignement. III.
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés, instab
Bicê- tro. Avec le concours d'un de leurs maîtres, M. Broyer, les
enfants
ont organisé, en 1888, un orphéon et une fanfar
n de l'année de 47 exécu- tants. Le 15 avril, un certain nombre d'
enfants
ont concouru pour le certificat d'études qui a
tres et maîtresses mettent plus d'ar- deur à apprendre à parler aux
enfants
idiots et à appliquer les idées que nous avions
e de Da Costa et l'emploi de cubes en bois destinés à apprendre aux
enfants
à faire, à l'exemple du maître, de petites cons
s plus souvent à contribution, au point de vue de l'instruction des
enfants
. On a fait passer à diverses reprises sous leur
ur de la Ligne de l'Enseignement. Promenades et distractions. Les
enfants
de la grande école et ceux de la petite école q
Mentionnons enfin les distractions diverses, com- munes a tous les
enfants
valides : 1er janvier, distri- bution de jouets
uisements ; avril, les instituteurs' apprennent le jeu de paume aux
enfants
; 2 juin, in*i»3 tiné.e dramatique organisée pa
beaux dans le quartier du Kremlin par la' Fanfare ; 14 juillet, les
enfants
assistent au défilé du bataillon scolaire de la
prome- nades et ces distractions, outre qu'elles font plaisir aux
enfants
, contribuent à leur bien-être physique ser- ven
ISITES ET CONGES. Visites, permissions de sortie et congés. - Les
enfants
ont reçu 7.892 visites ; les visiteurs ont été
VISITEURS DU SERVICE. fréquentes destructions de ces toiles par les
enfants
, nous aurions préféré des tables de marbre, qui
marbre à titre d'essai. Contrairement à ce que l'on craignait, les
enfants
n'ont pas cassé plus de vaisselle qu'avec les t
magasin pour les chaussures et une salle de cirage. On apprend aux
enfants
à nettoyer réciproque- mont leurs souliers. Ce
Hirschfelder (de San Francisco), Milo Hulda Hanson, professeur des
enfants
anomaux à Copenhague, M. Izos, architecte (Lau-
Maladies épidémiques. Dans le cours de l'an- née nous avons eu deux
enfants
atteints de diphtérie. L'unl'avait contractée a
eints de diphtérie. L'unl'avait contractée avant son admission. Cet
enfant
, nommé Clut ? a succombé. C'était un bel exempl
MALADIES ÉPIDÉMIQUES. international de médecine mentale. L'autre
enfant
a également succombé. Une petite épidémie de
rés dans des détails au sujet de l'existence de la teigne parmi les
enfants
pour ainsi dire depuis que Bicêtre existe. Nous
malgré un certain nombre de récidives, nous n'avions plus que 25
enfants
teigneux en voie d'améloration, il la fin de 18
ns le service le 21 décembre ; elle a fini le 21 janvier 1890. 53
enfants
en ont été atteints. Elle a d'ailleurs été bé-
ndu. Nous n'avous eu qu'un seul cas de lièci-e (n/1>hoicl.e. 2
enfants
ont eu des affections, d'ailleurs légères, des
en- dre le canage des chaises ce qui lui permet d'ensei- gner aux
enfants
un nouveau métier. Dans nos plans primitifs nou
l M. le Directeur propose de créer à l'hospice de Bicôtre, pour les
enfants
épi- leptiques, un atelier d'imprimerie qui ser
Chef du service, l'ouverture de cet atelier permettra de donner aux
enfants
les mieux doués sous le rapport intellec- tuel
eu de créer un atelier d'imprimerie à l'hospice de Bicêtre pour les
enfants
épileptiques, et de placer à la tête de cet ate
bien autrement supérieur. Il permet de donner à un certain nombre d'
enfants
un métier qui, à leur sortie, les mettra en mes
es le permettront. Il nous aide à don- ner à un plus grand nombre d'
enfants
le moyen d'atténuer, dans une proportion variab
. (M.), tailleur. Chaque année, l'habillement et la chaussure des
enfants
sont notablement améliorés et l'amélioration se
ets d'habillement. Nous espérons arriver un jour à faire que chaque
enfant
ait son trousseau numéroté. STATISTIQUE. XIX
u numéroté. STATISTIQUE. XIX Le tableau suivant fait voir que les
enfants
qui profitent de l'enseignement professionnel e
que doit contenir la section. XX MOUVEMENT DE LA POPULATION.
enfants
se décomposant ainsi : 354 enfants idiots, im-
XX MOUVEMENT DE LA POPULATION. enfants se décomposant ainsi : 354
enfants
idiots, im- béciles, épileptiques etc., aliénés
i : 354 enfants idiots, im- béciles, épileptiques etc., aliénés; 24
enfants
idiots, épileptiques, etc., réputés non aliénés
89. PERSONNEL DU SERVICE. XXI bre, il restait dans le service 393
enfants
se décom- posant ainsi : 369 enfants idiots, im
il restait dans le service 393 enfants se décom- posant ainsi : 369
enfants
idiots, imbéciles ou épilep- tiques, dits alién
tiques, dits aliénés, et 24 réputés non aliénés. Sur ce chiffre, 15
enfants
sont atteints de surdi-mutité et 6 sont aveugle
votre examen un Projet de travaux pour l'achèvement du quartier des
Enfants
idiots et épileptiques à Bicètre. Le Conseil sa
la création de ce quartier destiné à recevoir une population de 400
enfants
, comportait l'organisation et les constructions
avillon de l'isolement et du pavillon des cellules. En ce moment 60
enfants
occupent encore des lits dans la section des ép
cabinets d'aisances el, d'urinoirs dans la cour de récréation des
enfants
, et l'établissement d'urinoirs dans la cour du
ble à l'exécution des travaux pour l'achè- vement de la section des
enfants
idiots et épileptiques à Bicêtre. Toutefois, il
se pas cette somme de 500,000 fr. pour l'achèvement du quartier des
enfants
idiots. Cette assertion peut paraître au premie
2,500,000 francs. Par conséquent, elle peut achever le quartier des
enfants
idiots sans diminuer RESISTANCE AU CONSEIL DE S
OCHARD reconnaît sans doute qu'il est bon de donner des soins à ces
enfants
idiots et épileptiques ; mais, en se plaçant au
ver. M. Thomas pense que précisément l'achèvement du quartier des
enfants
idiots à Bicétre permettra indirectement de recue
r. En effet, dans les nouvelles constructions, on installera les 60
enfants
idiots qui se trouvent actuellement dans la sec-
d'amendement, que la somme prévue pour l'achèvement du quartier des
enfants
idiots soit affectée a une destination autre qu
à son examen un projet de travaux pour l'achèvement du quartier des
enfants
idiots et épileptiques, a Bicêtre, et pro- pose
ction, ne compren- nent pas encore la nécessité de l'Assistance des
enfants
idiots et épileptiques. D'autres qui l'ont visi
grâce devant la néces- sité. Aussi peut-on dire que la section des
enfants
de Bicêtre est l'oeuvre du Conseil municipal et
ais que, abandonnant les plans et devis primitifs de la section des
enfants
de Bicêtre, qu'il avait préparés con- formément
ongtemps et de présider à l'achèvement inté- gral de la section des
enfants
. V. Consultation exthrne. Placement des enfan
de la section des enfants. V. Consultation exthrne. Placement des
enfants
. Transferts et rappel d'une ancienne délibéra
une clientèle d'un genre particulier, celle des familles qui ont un
enfant
épileptique ou aliéné à placer, et celle des vi
des infirmes qui sollicitent leur admission dans un hospice. Les
enfants
nous sont envoyés par des parents de XLII PRATI
pénible surtout l'hiver, coûteux, inu- tile aux familles et à leurs
enfants
, aux vieillards et aux infirmes. Les médecins d
om- munes du département de la Seine s'adresser à nous pour leurs
enfants
. Voici la note, imprimée dans la section, que n
imprimée dans la section, que nous leur remettons : Placement DES
Enfants
. « 1° 0 Certificat médical constatant l'état in
rtificat médical constatant l'état intellec- tuel et les accès de l'
enfant
, et concluant Ù la néces- sité de son placement
police où trop de médecins envoient encore les malades et même les
enfants
, (1) Les formalités sont exactement les mêmes p
s sont exactement les mêmes pour les aliénés adultes. PLACEMENT DES
ENFANTS
. XLI Il mais qu'on peut placer directement les
XLI Il mais qu'on peut placer directement les aliénés, adultes ou
enfants
, à l'Asile clinique. Mais c'est surtout l'Admin
ption au bureau de bienfaisance, l'obtention des secours pour les
enfants
nouveau-nés, les secours de nourrice ; pour le
ENFANTS. adressées par les préfets des départements au sujet des
enfants
de notre service nés dans ces départements, mai
ait du procès-verbal : . Maintien dans les asiles de la Seine des
enfants
aliénés : îrW cle moins de deux arts et ayant con
e-; de la Seine, aux prix de la journée des asiles de province, des
enfants
aliénés, âgés de moins de dix-huit ans, qui, pa
laquelle M. le Préfet de la regrette de ne pouvoir maintenir cet
enfant
dans ce quartier d'hospice où il sérail obligé
ion sur tous les certificats qui lui sont demandés pour transfert d'
enfants
. M. Roux, directeur des affaires départementale
torisé, mais que l'Administration, vu l'encombrement des sections d'
enfants
, n'a pas cru prudent de notifier la délibé- rat
ournée payé dans les asiles de la Seine. VI. Aliénés mineurs ET
enfants
IDIOTS. Dans la séance du jeudi 29 août 1889 du
ns les asiles de leurs départements respectifs, éloignant ainsi les
enfants
de leur famille. Le département pourrait accept
autre demande du médecin en chef est plus importante. Il s'agit des
enfants
idiots que, dans l'état actuel de la science, on
s soins à l'état presque intelligent. M. Biaute XLVI ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS. demande la création d'un service spécia
érences de frais, un état de choses qui éloigne de leur famille les
enfants
malades, le domicile de secours étant fixé au d
mises. Aucune ne conteste l'utilité de la création d'un service des
enfants
idiols, mais le Conseil recule devant les trava
n, selon les méthodes suivies à Bicêtre. VII. DE l'assistance des
enfants
idiots A l'étranger. Ainsi que nous l'avons dit
avons dit souvent, l'assistance, le traite- ment et l'éducation des
enfants
idiots et arriérés sont en voie de grands progr
s progrès dans presque tous les pays, sauf en France ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS. XLVII où, jusqu'ici, on ne paraît pas s
un certain nombre de villes, de classes destinées aux arriérés. Ces
enfants
qui, dans les écoles ordinaires,étaient laissés
incurables épileptiques âgés, à Sceckerstad. - La Société pour les
enfants
de Stockholm estime que les grands établissemen
A Copenhague, l'institution fondée par J. Keller en 1865 a reçu 459
enfants
idiots, faibles d'esprit ou épileptiques durant t
cite l'Ecole des filles idiotes iL Thorsangj XLVIII ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIO'l'S. faubourg de Christiania, fondée en 18
ewski a fait une communication sur l'éducation et la protection des
enfants
arriérés ; il montre que pour remédier aux dégé
-Unis renferme les indications suivantes sur les établissements des
enfants
idiots et faibles d'esprit aux Etats-Unis : C
pileptiques à New-York; Autre institution, (t) Voir L'éducation des
enfants
anormaux dans les pays Scandinaves, par Mme Mat
. (2) Arch. de Neurologie, 1887, tome XIV, p. 302. ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS. XLIX 200 lits, fondée en 1860 à New-Yor
en 1863, à Elwyn. En Ecosse, il existe trois institutions pour les
enfants
imbé- ciles, l'une à Baldovan, l'autre à Larber
squels nous cite- rons l'asile modèle de Earslwood qui renferme 594
enfants
des deux sexes. Si l'on compare la situation
revient l'honneur d'avoir organisé le traitement et l'éducation des
enfants
idiots et arriérés, et c'est lui qui est le vér
seul qui ait com- mencé à organiser les services spéciaux pour les
enfants
idiots. L'un d'eux relève directement de la Pré
illes de la Salpêtrière, elle hâtait l'achèvement de la section des
enfants
de Bicêtre, et la montrait en plein fonctionnem
si nouvelles. « Mais, et j'en suis certain, ils aimaient trop leur
enfant
pour lorsqu'ils les connaîtront et les jugeront
inze mois. l'as de consanguinité. - Inégalité d'âge d'un an. Huit
enfants
, dont un garçon bien portant, qui aurait eu des
convulsions à 9 mois, et l'autre bien portante (20 ans) qui a eu un
enfant
mort également de convulsions. Notre malade est
nfant mort également de convulsions. Notre malade est le septième
enfant
. Notre malade. - Rien à la conception, né à ter
uotidiens ; le maximum a été de 20 en un jour. D'après la mère, l'
enfant
ne prévient jamais; il pousse par- fois un cri
pliqués de vertiges. On a dû le retirer de l'école parce que les
enfants
se mo- quaient de lui, l'appelaient fou, toqué,
l est repris aujourd'hui à la dose de 0 gr. 03 centig. 24 juin. L'
enfant
qui semblait se remonter intellectuelle- ment b
tard nous en servir pour une étude du développement physique des
enfants
(I). Dans le cas particulier, nous avons, de pl
paralysée de la langue et du côté droit. Une tante maternelle de l'
enfant
a eu plusieurs crises nerveuses ; une autre a e
famille. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 9 ans. Trois
enfants
: 1° notre malade ; 2° une fille âgée de 7 ans,
Accouchement naturel, à terme, sans chlo- roforme. A la naissance,
enfant
bien développé, pas d'as- phyxie, nide circulai
Vers 7 ans 1/2, apparition des vertiges ou mieux des absen- ces : l'
enfant
s'arrête toutà coup de causer, devient immobile,
es derniers mois de l'année 1885 jusqu'au com- mencement d'avril, l'
enfant
a pris de l'élixir polybromuré. 1886. 7 avril.
ament. - Sirop d'iodure de fer. Deux bains salés. 10 juillet. - L'
enfant
n'a eu ni accès ni vertiges depuis le le, juin.
iminué et ont été suspendus com- plètement durant 4 mois. En août l'
enfant
a eu la rubéole, et le traitement n'a pas été r
le bromure de camphre, et on continue les douches. 30 juillet. - L'
enfant
n'a pris que 2 capsules de bromure de camphre :
famille.] Pas de consanguinité ; inégalité d'âge d'un an. Un seul
enfant
, notre malade. - La conception ne paraît pas av
chement normal, à terme. - : 1 La naissance, PICnOTOxI1'OE. 3 t l'
enfant
était tout petit, très vif, sans asphyxie. -On ne
A la maison, lorsque son père avait bu, il le battait beaucoup et l'
enfant
avait de lui « une grande terreur ». C'est peu
ableau des accès et des vertiges. PICROTOXINE. & 9 En 1887, l'
enfant
a eu 4-7 accès; - en 1888, 28 accès et 7 vertig
entré à Bicêtre (service de M. BouR- neville) le 12 mars 1888. L'
enfant
a été soumis à la picrotoxine pendant 11 mois,
et des vertiges. PICROTOXINE. 43 Du 21 mars à décembre 1888, l'
enfant
a eu 43 accès et 16 vertiges. Moyenne mensuelle
Le père est un artisan dans une situation confortable. Deux autres
enfants
, l'un plus vieux, l'autre plus jeune que le mal
et les orteils sont épais. On ne peut sentir la glande thyroïde. L'
enfant
peut se tenir debout, mais avec un aide ; il n'
d'une inflammation des poumons. Un demi- frère ( ? ) paternel a un
enfant
idiot. Uno tante paternelle (1) Gimeno (Amalio)
ue la voix avait quelque chose de particulier. L'état actuel de l'
enfant
rappelle tout à fait le type du myxoe- dème : P
ure au-dessous de la normale. Urine exempte d'albumine. L'état de l'
enfant
n'était pas la consé- quence d'une autre maladi
parents des deux côtés. - 4 frères, bien portants ainsi que leurs
enfants
, sauf une fille qui a une paralysie d'un bras c
our d'âge u , l'autre après trois mois de maladie, à 50 ans ; leurs
enfants
jouissent d'une bonne santé, excepté une fille
sont morts jeunes, l'un de cause inconnue, l'autre tué par un autre
enfant
, de coups de pieds dans le ventre, pour une quere
fance. Les deux autres se portent bien ; il en est de même de leurs
enfants
. Pas d'autres aliénés, etc., dans la famille.]
ues. - Inégalité d'âge d'un an. - Tous deux sont nés à Metz. Sept
enfants
: 1° garçon, mort de convulsions à dix mois ;-
vi la chute, elle aurait eu de fortes douleurs et perdu de l'eau. L'
enfant
serait venue tout d'un coup, sans évacuation d'
ce qu'elle observait à ses autros accouchements. A la naissance, l'
enfant
n'était pas asphyxiée ; elle a crié de suite. E
à huit mois et à prononcer quel- ques mots vers un an : « Tous mes
enfants
, dit la mère, ont marché de bonne heure, sauf l
is. On ne sait à quel âge sa première dentition a été complète. L'
enfant
a été propre vers un an; elle n'a jamais eu de co
e, l'idiot, qui la portait, ayant glissé sur nne pelure d'orange, l'
enfant
a été projetée sur le trottoir ; elle n'a eu ni
face se serait montrée à 5 ans, peu après la blépharite ciliaire. L'
enfant
a bavé jusqu'à 10 ans. Les os des jambes se son
ma- tisme, était normale, affirme-t-on, s'est ensuite modifiée. L'
enfant
s'occupe à faire un peu de crochet, à coudre ou à
temps après sa chute, elle aurait eu un abcès de la jambe droite; l'
enfant
n'a jamais eu de fièvres éruptives. 1882 : 29
7 : 15 juin. - Taille, 82 cent. 1/2; Poids, 13 kilogr. 300. - Cette
enfant
présente l'ensemble complet des phénomènes qui
ximum de développement, et qu'elle les frotte en débarbouillant son
enfant
, celle-ci vomit aussitôt que l'eau froide touch
Elles sont distantes d'un centimètre à peu près ; la langue de l'
enfant
est toujours entre les deux arcades dentaires. Le
lle distingue plu- sieurs couleurs. L'ouïe est normale ; pourtant l'
enfant
prétend qu'elle n'entend pas le tic-tac de la m
e détermine pas de grimace bien accusée. Lo goût serait normal, l'
enfant
aime les choses salées. La respiration et la circ
lantes. La voix est aigre, rauquo ; la parole, d'après la mère de l'
enfant
, serait assez développée. Il y aurait depuis un
reste immobile sur sa chaise; elle n'aime pas jouer avec les autres
enfants
, qui, d'ailleurs, se moquent d'elle, et lui re-
n'a grandi que d'un centimètre. Son poids a augmenté de 1 k. 500. L'
enfant
a eu les oreillons il y a environ un mois. Les
eux soew's bien por- tants, sans accidents nerveux, ainsi que leurs
enfants
. - l'as d'aliénés, etc., dans la famille.] Mè
- Grands parents, pas de détails. - Une soeur en bonne santé; pas d'
enfants
. Pas d'aliénés, etc.] Pas de consanguinité. Iné
aliénés, etc.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge d'un an. Trois
enfants
: 1° notre malade; - 2° garçon, 4 ans, bien por
retard indubitable d'un mois, assure-t-on ». - .1 la naissance,* l'
enfant
avait beaucoup de cheveux et les ongles très lo
. Pendant les six premiers mois, elle ressemblait à tous les autres
enfants
. A partir de là, ses mouvements ont diminué jus
ie qui expri- mait la vivacité et les autres caractères communs aux
enfants
de cet âge changea. Elle prit un air d'imbécill
t de volume. La partie supé- rieure du crâne est souple, comme si l'
enfant
avait un an. La fontanelle antérieure n'est pas
ont gonflés, épais, courts ainsi que les doigts et les orteils. L'
enfant
, malgré la température toujours assez élevée de s
complémentaires qu'il nous a donnés en venant nous consulter. Cette
enfant
, ainsi qu'il est facile de le constater en exam
emme. - Deux soeurs, dont l'une est sujette à des migraines ; leurs
enfants
n'ont pas eu de convulsions.- Deux cousins germ
pas d'exemple dans la famille).- Inégalité d'âge de neuf ans. Deux
enfants
et une grossesse presque à terme (il s'agit de
ns. Deux enfants et une grossesse presque à terme (il s'agit de l'
enfant
Suzanne dont nous rapportons l'histoire plus loin
nt et l'a forcée de garder le lit pen- dant plusieurs semaines. « L'
enfant
, dit-elle, était descendu. » Pas de syncopes, p
ron (lait de vache). Sa mère prétend que, depuis le premier mois, l'
enfant
a toujours eu le même aspect, c'est-à-dire le t
uir chevelu, à partir de la cinquième semaine, tandis que le second
enfant
n'en a jamais présenté. Première dent à 13 mois.
ême de la sensibilité spéciale, autant que l'état intellectuel de l'
enfant
permet d'en juger : l'assa-foetida placée sous
rumination, pas de vomissements, selles quotidiennes, gâtisme. L'
enfant
ne marche qu'étant soutenu sous les bras, très
et le fait avancer seul. La préhension s'accomplit normalement, l'
enfant
saisit tous les objets qu'on lui présente, port
89. 6 82 CLINIQUE. Voici maintenant l'histoire de la soeur de cet
enfant
, atteinte, elle aussi, d'idiotie myxoedémateuse
oïde. Bourg... Suzanne, est née à Paris le 18 janvier 1888. Cette
enfant
est la soeur du malade précédent. A l'époque de
n flux sanguin assez abondant. A la naissance, tout le corps de l'
enfant
était violet, bien que la tète ne fut pas demeu
e la tète ne fut pas demeurée longtemps au passage ; néan- moins, l'
enfant
a crié tout de suite et on n'a pas été obligé de
e (périmétrite) et a dû rentrer à l'hôpital (février 1888). Alors l'
enfant
avait peu augmenté, car elle ne pesait que 4.40
auquel elle attribue une certaine influence sur la situation de son
enfant
qui était exclusivement nourrie au sein. Nous
ant qui était exclusivement nourrie au sein. Nous avons dit que l'
enfant
était violette à la naissance; cette coloration
pense que cette modification est due au calomel qui a été donné à l'
enfant
. Après sa sortie de l'hôpital, « Suzanne a repr
des creux sus-claviculaires est plus prononcée que chez les autres
enfants
de cet âge. Le thorax mesure 36,5 au niveau des
11 et 12). Fig. 12. - Bour..., 5..., à six mois. 86 CLINIQUE. L'
enfant
tette bien, ne vomit pas, est sujette à la consti
même âge. - Taille : 56 cm. ; poids : 4 kil. 800. 31 juillet. - L'
enfant
paraît venir assez bien. La peau est sèche et a
saillantes que leurs congénères. Les cils sont longs et fournis. L'
enfant
regarde et sourit. Les joues sont pendantes. La
r l'absence probable de la glande thyroïde. - La mère déclare que l'
enfant
a la tète très lourde et qu'elle entraîne le co
ée. La voix est criarde comme celle de son frère. 1er décembre. - L'
enfant
est devenue souffrante le 15 nov. et a maigri p
heures du matin, qui se sont terminées par la mort. AUTOPSIE. - L'
enfant
étant morte chez sa mère, en ville, il ne nous
igraineux. - Soeur nerveuse et d'un caractère violent ; elle a deux
enfants
bien portants ; sans convulsions. - Pas d'autres
t de même de 2 oncles et d'une tante maternels ainsi que de leurs
enfants
. - Ni frère, ni soeur. Pas d'autres aliénés, pas
re de Mirecourt; mère de Sedan. Inégalité d'âge de 11 ans. Quatre
enfants
: 10 Fille, dix ans, intelligente, nerveuse; ja
nts ont été plus rapides. A la naissance pas d'asphyxie, bien que l'
enfant
eut deux circulaires du cordon autour du cou; e
vait remarqué qu'elle avait une voix différente de celle des autres
enfants
. A huit mois, dans le cours de sa première bron
re membres, égales des deux côtés. - A partir de ces convulsions, l'
enfant
« n'a plus poussé du tout », dit la mère. Elle
s gouttelettes adipeuses. Hein. - Il a l'aspect classique du rein d'
enfant
, avec les lobules rénaux bien dessinés et la su
ations quan- titatives des cellules pyramidales sur le cerveau d'un
enfant
IDIOTIE llLYb01·;Ui : IIAT1;USU. 99 si jeune.
que nous avons en vue. Observation I. - Reb.... 487r-48SG, est un
enfant
qui à l'âge de dix ans ne pouvait ni marcher,,
z le nou- veau-né, où elle a presque un aspect laiteux, et chez l'
enfant
. Pourtant ce que nous observons ici, c'est un a
n a constaté des adhérences assez nombreuses. OnSERVATION II. - L'
enfant
Endei-1., 1881-1886 présentait ce fait rare d'a
les noyaux des cellules sont-ils un peu plus abondants que chez un
enfant
sain du mme âge. La seconde couche, celle des p
de ramollissement, petits et multiples, peuvent se présenter chez l'
enfant
. Dans le cas suivant, il s'agit d'un enfant de
ent se présenter chez l'enfant. Dans le cas suivant, il s'agit d'un
enfant
de trois ans, Porte ? atteint de premières conv
2, 1873, 1874, 1875. Parrot. - Ramollissement encéphalique chez les
enfants
. - Ar- chives de Physiologie, 1873. Hutinel.
gie, p. 53, 1885. Richardière. - Sclérose de l'encéphale chez les
enfants
. Thèse Paris, 1885. - Marie. Sclérose infanti
il ait été publié un grand nombre d'observations sur l'hystérie des
enfants
et que ce chapitre de pathologie soit bien conn
d'hui tous les deux ou trois mois. Assez nerveux ; bon caractère...
Enfant
naturel. Pas de maladie de peau, pas de trace d
morte vers soixante-cinq ans, domeslique dans un château. A eu son
enfant
vers trente ans alors que son maître, le père,
lle. - Pas de consanguinité. - Inéga- lité d'âge de 5 ans.] Douze
enfants
: 1° Garçon de vingt-huit ans; pas de convulsions
-huit ans; pas de convulsions, intelligent ; géologue. Marié, pas d'
enfants
; très rangé; -2° Fille, vingt-cinq ans, pas de
igraines; intelligente; - il' Fille, morte il vingt et un mois, aux
Enfants
assistés ; z 8° Notre malade ; 9° Fille, douze
ccouchement à terme, naturel, sans chloroforme. A la naissance, bel
enfant
, pas d'asphyxie. Elevé au sein par sa mère, sevré
ence qu'on eut quelque peine à empêcher. La mère et ses deux autres
enfants
âgés de treize et dix ans ont prêté secours au
sans attaque à 10 h. 50 et parait étonné. 27 août. - A 9 h. 21 l'
enfant
, qui était assis, se lève et tombe la face cont
en vagues et les graves accidents observés chez la plupart de leurs
enfants
autorisent à penser qu'il doity avoir eu, au co
au contraire, des tares profondes. En effet, seule l'ainée des huit
enfants
survivants n'aurait pas eu de manifestations ne
Un garçon présentait des phéno- mènes de somnambulisme. Les autres
enfants
auxquels nous avons eu l'occasion de donner des
à elle qu'à deux heures et demie du matin. Depuis cette attaque, l'
enfant
a de la tendanceà dormir après ses attaques ord
4. Lav... (Joseph), onze ans, en 1886; lablettier. 1886. 8 mars. L'
enfant
qui d'habitude n'est pas peureux, et dort bien,
reste. Appétit irré- gulier. 1887. 4 avril. - Depuis cinq mois l'
enfant
a, la nuit, des tres- saillements. D'autres foi
t rachi-' ' Voir aussi le Compte rendu du service de la section des
enfants
de Bicêtre, pour 1886, p. 1 à 104, et pour '188
nseignements. Deux soeurs seulement, bien portantes ainsi que leurs
enfants
(un garçon et trois filles).] Mère, morte en 18
e femme plus âgée que lui de vingt-neuf ans, dont il n'a pas eu d'
enfants
. - Pas de soeur. - Aucun autre détail.] Pas de
is, mère de la .Manche). Inégalité d'âge d'environ deux ans. Cinq
enfants
: 1° Garçon, grand, fort, intelligent, mort à vin
robablement de nature tuberculeuse. Il s'était marié et avait eu un
enfant
mort à deux ou trois mois ; 2° Fille morte à
er jusqu'à l'âge de trois ans. Il causaitet jouait comme les autres
enfants
, dit-on. C'est à partir de trois ans qu'il s'est
acile à fixer; il parait assez affectueux. Il s'est choisi un autre
enfant
comme camarade et n'aime pas que les autresenfa
limentation lactée et qu'elle se manifeste au sur et à mesure que l'
enfant
est soumis à l'alimentation ordinaire. Une conn
gique, en l'application des méthodes spéciales d'éducation pour les
enfants
arriérés et au point de vue médical en toniques
E 1889 1. Sit2cdti011 du seruice, enseiglle)2ent prilnaire... III
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques, invalides.. III E
aire... III Enfants idiots, gâteux, épileptiques, invalides.. III
Enfants
gâteux, idiots, valides. Petite école.. IV Enfa
nvalides.. III Enfants gâteux, idiots, valides. Petite école.. IV
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés, etc. G
..................... xxx v. Consultation externe. - Placement de ?
enfants
Tmnsfe1'ts et rappel d'une ancienne délibéra-
de JI. Gallois.......................... xi vi. Aliénés mi1ww's et
enfants
idiots.............. XV vu. De l'Assistance des
mi1ww's et enfants idiots.............. XV vu. De l'Assistance des
enfants
idiots il. l'étralzgei ? XLVI vm. M01't et obsè
es du mouvement à ces deux époques de la vie. Le système nerveux de l'
enfant
se distingue par un développement proportionnel b
aire sont en rapport avec celles du système nerveux. Les muscles de l'
enfant
sont mous, peu colorés, faibles, et contiennent p
nutrition est très-active. Les caractères du système osseux, chez l'
enfant
, sont des plus remarquables. Une partie du squele
ù a lieu le travail de l'ossification. L'organisation générale de l'
enfant
, son mode de vitalité propre et les états patholo
ans doute les sympathies organiques sont promptement éveillées chez l'
enfant
, la fièvre s'allume instantanément par une cause
é, sous ce rapport, que l'unité vitale était plus caractérisée chez l'
enfant
que chez l'adulte. Mais très-fréquemment, dans le
te en général plus longtemps, et l'on peut dire que, dans ce cas, les
enfants
sont véritablement lents à mourir. Cette résist
es habituellement mortelles chez l'adulte en maladies curables chez l'
enfant
. Nous aurons occasion, je l'espère, d'en voir plu
e maladies successives. Les familles pauvres sont embarrassées de ces
enfants
; elles nous les amènent. Quelquefois ils se ranim
l séjour de l'hôpital est une autre cause de mortalité, même chez les
enfants
doués de meilleures conditions organiques. L'air
tend à produire, est ainsi favorisée, aggravée. Puis, ces malheureux
enfants
sont exposés pendant des mois, des années, à tout
hroniques de l'appareil locomoteur, spécialement considérées chez les
enfants
admis dans cet hôpital. L'ordre à suivre dans l
. Mais la clinique est soumise (1) Traité clinique des Maladies des
enfants
, t. ior, p, 27, 2e édit., 1853; à d'autres exig
ment une forme très-commune du mal vertébral, surtout à l'hôpital des
Enfants
. Cependant il est des cas où l'on ne trouve pas d
bel exemple de cette disposition nous a été offert récemment par une
enfant
amenée à notre consultation, et chez laquelle le
t à un cercle d'un très-grand rayon, particulièrement chez les jeunes
enfants
. Cela dépend d'une longueur et d'une obliquité de
s. On en jugera par les faits particuliers que je vais présenter. Les
enfants
soumis à votre examen rendront sensibles ces diff
vertébral proprement dit, dont nous nous occupons en ce moment. Cette
enfant
est atteinte du mal vertébral ordinaire. Nous con
Il est impossible de confondre cette maladie avec aucune autre. Cette
enfant
, strumeuse, nous a offert un abcès ganglionnaire
J'ai fait passer sons vos yeux, dans la précédente séance, plusieurs
enfants
présentant différentes formes de bosse. Nous av
elles-mêmes , pourtant si clairvoyantes sur tout ce qui touche leurs
enfants
, méconnaissent le plus ordinairement le début de
ffection (1) Troisième leçon, lpr juin 1855. vertébrale. Voici un
enfant
qui confirme ce que je viens de vous dire ; il fu
ais à cette période de déformation équivoque qui lui succède. Quand l'
enfant
se tient droit, vous ne voyez qu'une légère arqûr
en de diagnostic, les symptômes de la maladie. Quand le malade est un
enfant
et qu'on le soulève, avant qu'il soit détaché de
; je vous en offre un cas clinique des plus intéressants. Supposez un
enfant
de cet âge atteint du mal de Pott ; avec une gibb
enteuses et musculaires; c'est le cas le plus commun. Vous verrez des
enfants
rachitiques qui se courbent fortement en avant lo
des vertèbres. J'ai pourtant trouvé des cautères sur le cadavre d'un
enfant
atteint d'une déformation de ce genre. Ces cautèr
du mal vertébral, qui manque dans le rachitisme simple, les cris de l'
enfant
dans le renversement du tronc en arrière, la doul
ns le renversement du tronc en arrière, la douleur épigastrique, si l'
enfant
était d'âge à en rendre compte, l'attitude caract
ù ces complications existeraient, etc. 3° Voussure par débilité des
enfants
et des vieillards. — Dans des cas rares comme cel
née des muscles abdominaux. Il faut alors user de patience , calmer l'
enfant
, saisir le moment d'une inspiration; en enfonçant
xtrémité et traversant obliquement la fosse iliaque interne. Chez cet
enfant
, nous sentons cette tumeur cylindrique, et en dis
ici, jusqu'à un certain point, remplacer le toucher. Le pus, chez cet
enfant
, a franchi l'arcade crurale; l'abcès est devenu f
Le malade n° 28 de la salle Saint-Marcou en est un exemple. C'est un
enfant
dont les abcès sont tous ouverts. Je vous ai mont
bducteurs de la cuisse au moment où je pince les téguments, quoique l'
enfant
n'accuse point de douleur. Ce mouvement automatiq
les. Dans le deuxième degré, la paralysie est encore incomplète; le
enfants
ne peuvent plus se tenir debout ni marcher ; mais
altérée. Diagnostic différentiel de la paralysie. — Voici un jeune
enfant
qui offre un affaiblissement considérable des mem
physes lombaires : eh bien, ce n'est pas un cas de mal vertébral. Cet
enfant
est ra-chitique. Quant à la lésion des membres ab
t pourtant pas inhérentes. L'on meurt par diathèse tuberculeuse : des
enfants
bien portants sont enlevés par des tubercules du
os yeux sont relatifs à la catégorie de cas dont je parle. Ce premier
enfant
est depuis deux ans à l'hôpital. Il s'est passé à
l'hôpital. Il s'est passé à son égard une chose assez piquante : cet
enfant
a eu un abcès de la cuisse qui n'était pas, je cr
on vertébrale; aucun traitement local n'a été dirigé contre elle. Cet
enfant
s'est promené, a joué comme les autres, et n'a re
s consultés se bornèrent à prescrire l'huile de foie de morue, dont l'
enfant
consomma plusieurs bouteilles. La mère nous a rac
est là certainement une terminaison heureuse. Aujourd'hui, je crois l'
enfant
complètement guéri. 11 conserve toutefois une gib
s guérirez du même coup l'affection vertébrale. Dans nos hôpitaux d'
enfants
, la diathèse scrofuleuse est celle qui domine: la
ment, toutefois, les opinions de Baynton ; le repos absolu étiole les
enfants
, altère les fonctions. Baudelocque laissait couri
à la Société d'instruction médicale un fait dans lequel on voit qu'un
enfant
qui ne pouvait faire usage de ses membres bouvier
aussi quelque chose à laisser. Il faut suivre les indications : si l'
enfant
est trop jeune ou trop délicat, de manière qu'on
epos, quelques bains ont suffi pour calmer la douleur chez ces autres
enfants
, dont plusieurs vous ont été déjà présentés. Il y
put faire quelques petits mouvements ; l'amélioration continua, et l'
enfant
parvint successivement à marcher et à courir. Ell
ulement un léger degré de rétraction des muscles du mollet. L'autre
enfant
, avant d'entrer à l'hôpital, fut traité par les c
attribuée à l'action du remède; c'est un cas de guérison spontanée. L'
enfant
n'a point eu d'abcès. Vous voyez la marche favo
nts de matière tuberculeuse, etc., qu'il entraîne avec lui. Chez un
enfant
actuellement soumis à notre observation et attein
moment, la paralysie, qui était complète, a diminué, et aujourd'hui l'
enfant
peut se tenir debout et marche avec facilité. A
de poser et des résultats qu'elle procure, je place sous vos yeux un
enfant
de huit ans, nommé Morin, atteint de mal vertébra
ors surviennent des accidents terribles. Il est ordinaire de voir des
enfants
, des adultes, dont l'abcès volumineux troublait à
montrer un exemple d'une guérison semblable survenue chez l'un de nos
enfants
. Vous voyez cette cicatrice enfoncée, qui indique
cicatrice enfoncée, qui indique l'existence d'une ancienne fistule. L'
enfant
a eu dans ce point un abcès volumineux, qui s'est
Lorsque l'affection est tuberculeuse, cas le plus ordinaire parmi nos
enfants
, il est évident que les révulsifs extérieurs ne p
tellement convaincu de leur inefficacité, que si j'avais moi-même un
enfant
attaqué de cette maladie, très-certainement je ne
ant la méthode d'A-bernethy (1). Voici un dernier malade. Ce pauvre
enfant
est presque dans le marasme; il vient d'éprouver
it une extrême fétidité au moment de sa sortie. L'état général de cet
enfant
s'est maintenu bon depuis cette époque ; il n'a p
abcès communique au dehors. La première cause est peu probable chez l'
enfant
dont je viens de parler ; je crois plutôt à l'exi
était une affection vertébrale dont vous voyez ici les traces. Cette
enfant
n'avait présenté ni abcès ni paralysie. Elle a su
ait sa colonne ; plus tard, elle ne pouvait même plus s'asseoir. Si l'
enfant
eût pu rendre compte de ses sensations, elle aura
base du thorax. Cette douleur et une oppression habituelle chez cette
enfant
s'expliquent facilement par la compression des ne
te, une pièce où l'on constate une lésion encore plus considérable. L'
enfant
sur laquelle elle a été recueillie a présenté une
seuse, ce fait serait unique dans la science. Malgré ces désordres, l'
enfant
a vécu pendant plus d'une année ; peut-être un ad
et inclinée sur le côté. Après plusieurs mois de vives souffrances, l'
enfant
allait mieux. Il marchait avec hésitation ; mais
e, puis de pneumonie, et a succombé. Sans toutes ces complications, l'
enfant
eût probablement guéri. L'autopsie a permis de co
r une petite fille de sept à huit ans. En faisant l'histoire de cette
enfant
, je décrirai celte forme d'ankylose. La déformati
l'axe du cou ; il y a eu rotation de la face à gauche. A cinq mois, l'
enfant
a été prise de spasme général, d'abord douloureux
u sujet. On l'a conseillée depuis dans le torticolis symptomatique. L'
enfant
fut prise de fièvre typhoïde, et elle succomba. N
Cet arrêt de développement se manifeste rapidement. Quand cet autre
enfant
a été moulé, la maladie ne datait que de quelques
côté gauche. Admis deux mois après dans le service de M. Guersant, l'
enfant
sort au bout de huit jours, soulagé par une appli
rononcée. Les douleurs spontanées, très-vives, réveillaient souvent l'
enfant
. Aujourd'hui on peut imprimer à la tête des mouve
epos, les manipulations et quelques bains. IVe cas. — Chez ce jeune
enfant
, une première atteinte de la maladie eut lieu au
tête, penchée d'abord à gauche, s'est ensuite inclinée en arrière. L'
enfant
dort très-peu, est réveillé fréquemment par des d
rer le pharynx, voir si on sent une luxation, une tumeur purulente. L'
enfant
marchait à onze mois; depuis trois mois, la progr
ois mois, la progression s'est effectuée avec peine, et aujourd'hui l'
enfant
ne peut marcher, ce qui tient en partie à la mala
aladie du cou, et probablement aussi à l'affaiblissement général. Cet
enfant
nous offre de plus une incurvation de l'épine par
mouvement d'extension du bassin. Ve cas. — Ce qui domine chez cette
enfant
, c'est un renversement considérable de la tête ;
ttaques de synovite sur un même sujet; je vous ai cité l'exemple d'un
enfant
qui a été pris de synovite l'an passé, qui en a é
dans leurs actes, à tenir la tête inclinée d'un côté ; tels sont les
enfants
chez lesquels les deux yeux sont de force inégale
nts. a. La première se rencontre pour ainsi dire tous les jours. Un
enfant
nous arrive ayant un cou tellement tordu, que je
écédemment sur les caractères spéciaux que présentait la maladie d'un
enfant
; ils vont nous servir pour distinguer l'affection
t hôpital ; c'est presque le seul que nous ayons à combattre chez les
enfants
qui y sont admis. Les préparations ferrugineuses
ankylose. Ainsi, par l'emploi des supports , on aurait pu, chez cette
enfant
dont je vous ai présenté la pièce, éviter un affa
alors produit une véritable luxation, qui rentrerait dans celles de l'
enfant
et de l'adulte, dont elle ne différerait que par
aveur. Cet argument se tire de l'hérédité. On voit en effet plusieurs
enfants
hériter de ce vice de conformation ; des faits de
rois explications sont en présence. On admet, dans la première, que l'
enfant
renfermé dans le sein de la mère a été soumis à u
, à une bourse à double poche. D'abord assez largement ouverte chez l'
enfant
, la partie médiane se fronce ensuite, se plisse l
déjà parlé, et sur lequel je dois revenir. Ce fait, recueilli sur un
enfant
et cité par l'auteur à l'appui de sa théorie , po
Cette indication n'est pas parfaitement exacte. Il y a des exemples d'
enfants
âgés de moins de 12 ans chez lesquels la tête fém
ts qu'il nous donne manquent quelquefois de précision, surtout chez l'
enfant
, qui offre de l'embonpoint et dont les formes son
ent de chaque côté sur des points parfaitement correspondants. Chez l'
enfant
, qui offre une couche épaisse de tissu adipeux so
développement. Quelquefois la différence est énorme ; chez un de nos
enfants
, ta longueur des jambes mesure 35 centimètres, ce
n outre, en rapport avec la rotation du membre en dehors. Si, sur cet
enfant
, j'applique les pouces sur les épines iliaques, l
: le pli fessier du côté droit est plus élevé. 3e cas. — Chez cette
enfant
de quinze ans et demi, les caractères de la luxat
tains sujets boitent fort peu. J'ai été consulté dernièrement pour un
enfant
qui avait été examiné quelque temps auparavant pa
en caractérisée. La claudication n'avait pas échappé à la mère de cet
enfant
. Dans ces cas, le raccourcissement est léger. Che
re de cet enfant. Dans ces cas, le raccourcissement est léger. Chez l'
enfant
que je vous présente, l'épine iliaque gauche n'es
émurs, et cependant nous avons des signes de luxation évidente. Cette
enfant
est courte des cuisses, dont la longueur est rédu
direction suffit pour écarter le trochanter de l'os des îles. Chez un
enfant
très-jeune, à une époque rapprochée de la naissan
exion considérable des genoux dans la station et dans la marche. Si l'
enfant
maintenait droits ses membres abdominaux, vous ve
e qui peut faire pressentir que la luxation est congeniale. Un de nos
enfants
, atteint de luxation du membre abdominal droit, e
iant du quai Voltaire m'a consulté dernièrement pour sa fille, encore
enfant
, chez laquelle j'ai constaté une luxation simple
j'ai constaté une luxation simple de la hanche ; une grandmante de l'
enfant
portait une lésion semblable. La luxation est san
rose est-elle congénitale, la claudication s'est manifestée dès que l'
enfant
a marché ; il n'a existé à aucune époque d'état d
toutes les fois qu'on pourra s'adresser aux personnes qui ont élevé l'
enfant
. Les antécédents constituent donc un élément im
t juxia-cotyloïdienne. On a recueilli les renseignements suivants : l'
enfant
, qui avait atteint sa seizième année, avait fait
mobilité du fémur sur sa petite nièce; il trouva, après la mort de l'
enfant
, un cotyle de dimensions énormes. Ces faits sont
sujets vivants. Je vais faire repasser sous vos yeux quelques-uns des
enfants
qui vous ont été présentés dans la précédente séa
ité sciatique, l'abaissement du trochanter n'a plus lieu. Cet autre
enfant
a une pseudarthrose simple, héréditaire, de la ha
ai prié M. Guersant, chirurgien de notre hôpital, d'examiner ces deux
enfants
, et, afin de réduire la résistance aux parties fi
ns vertical? La chose est possible. Je recherche avec soin , chez les
enfants
soumis à mon observation, si je rencontrerai cett
s, un rapport de M. Gerdy à l'Académie de médecine (2) constate qu'un
enfant
traité par Pravaz est guéri. Il y a plus : une co
) Je vous ai dit que si les familles qui vous consulteront pour leurs
enfants
insistaient pour que vous fissiez quelques essais
llebert d'Hercourt. M. Lenoir, chirurgien de l'hôpital Necker, a vu l'
enfant
et croit à la réduction. Cette guérison s'évanoui
uira-t-elle, comme tant d'autres, devant un examen plus approfondi? L'
enfant
, malheureusement, n'habite pas Paris. (2) Quato
is cette faute. Vous éviterez maintenant une pareille erreur. Cette
enfant
, atteinte de luxation congénitale double, me para
les paupières de l'œil gauche fermées pendant quatorze jours. Quand l'
enfant
recommença à les ouvrir, elle louchait. Le stra
st ce qu'on observe chez notre petite malade. L'abduction, chez cette
enfant
, est limitée de chaque côté; l'iris ne peut attei
t. L'abduction est égale des deux côtés. Les cornées sont intactes. L'
enfant
, âgé de huit ans, lit avec la même facilité de l'
ornées, celle du côté droit surtout, présentent des taches légères. L'
enfant
lit des deux yeux, mais plus facilement de l'œil
abduction est plus difficile et moins durable à gauche qu'à droite. L'
enfant
louche par moments des deux yeux; elle fait naîtr
son nez ou des objets très-rapprochés. VIIe cas. — Chez cette autre
enfant
du même âge, le strabisme, placé à droite, est di
à droite; il est interne, variable et bien marqué seulement lorsque l'
enfant
fixe quelque objet ; il rentre alors dans le seco
strabisme d'abord volontaire. A neuf ans, à l'instigation d'autres
enfants
de son âge, il se livre à des efforts persévérant
des efforts de strabisme ; mais neuf mois environ après l'époque où l'
enfant
avait commencé à se livrer à son bizarre exercice
axe visuel de l'œil droit dans sa direction primitive et naturelle. L'
enfant
enlève son bandeau au bout de deux jours, et l'
e. A partir de cette époque, le strabisme s'est trouvé confirmé, et l'
enfant
n'a pu le faire cesser, même pendant quelques ins
rer; elle offre des ressources précieuses dans quelques cas. Chez les
enfants
louches, il faut user de quelques précautions qui
oir les objets doubles; on doit donc empêcher un pareil exercice. Les
enfants
qui sont élevés par une nourrice ou des parents l
-même, l'œil gauche retournait à sa position vicieuse. En lisant, l'
enfant
ne paraissait regarder que de l'œil droit, l'œil
e telle adduction qu'on croirait voir des pieds bots varus. Quand les
enfants
guérissent, il ne reste ordinairement rien de cel
d bot. La marche de la maladie est, dans ce cas, presque uniforme. Un
enfant
est pris tout à coup, avec ou sans fièvre, d'une
le pied bot confirmé. Je vais faire passer sous vos yeux plusieurs
enfants
atteints de paralysie incomplète, provenant du ma
de pieds équins en voie de formation. Ier et IIe cas. — Voici deux
enfants
de la salle Saint-Louis, paraplégiques par suite
Bulletin de la Société anatomique, 1851. l'extension chez les deux
enfants
, mais on parvient aisément à le ramener dans la f
s orteil se relever fortement en arrière chaque fois que l'on dit à l'
enfant
de fléchir le pied, quoiqu'elle ne parvienne pas
s malléoles saillantes dénotaient cette légère anomalie. Voici sept
enfants
, trois filles et quatre garçons, offrant des exem
faiblesse musculaire générale sans paralysie. Chez presque tous ces
enfants
, la pointe du pied est plus ou moins portée en de
dans toute sa longueur; il en est de même chez cette fille. Aucun des
enfants
que je vous présente n'accuse de souffrance dans
nt la pensée, guidée par l'analogie, peut quelquefois l'atteindre. Un
enfant
naît avec un spina bifida, qui entrave plus ou mo
ds bots suivant le mécanisme que vous connaissez maintenant. D'autres
enfants
naissent aussi avec un spina bifida, mais ils por
ant au monde. N 'est-il pas à peu près certain qu'il est arrivé à ces
enfants
, dans l'utérus, ce qui s'est passé chez le premie
nerveuse? On peut faire le même raisonnement toutes les fois que l'
enfant
né pied bot porte en outre des marques d'une lési
es produits variables suivant son origine. De là, la ressemblance des
enfants
avec les parents, les dispositions héréditaires,
en génération. Les pieds bots sont une de ces anomalies. On voit des
enfants
qui les tiennent de leurs parents. Cela ne veut p
dire que les pères et mères pieds bots engendrent nécessairement des
enfants
pieds bots ; et il ne faudrait pas raisonner ici
r cité par Bruckner, et qui, pied bot lui-même, et déjà père de trois
enfants
pieds bots, accusa sa femme d'infidélité parce qu
bots, accusa sa femme d'infidélité parce qu'il lui vint un quatrième
enfant
bien conformé (1). Ce genre d'hérédité n'est pa
ulte simplement d'un mode de développement du pied qui répète, chez l'
enfant
, la disposition des organes du parent; les os, le
natif, non-seulement par l'examen du membre et de l'état général de l'
enfant
, mais encore à l'aide du commémoratif fourni par
ents du fœtus, si elle-même a éprouvé de vives émotions morales, si l'
enfant
a, depuis sa naissance, line grande susceptibilit
sur Pavant-pied et passent les uns sur les autres. Voici plusieurs
enfants
porteurs de pieds bols, sur lesquels nous allons
mère nous dit qu'elle s'est beaucoup fatiguée pendant sa grossesse. L'
enfant
n'a pas éprouvé de convulsions depuis sa naissanc
est presque un simple pied équin. Il a été primitivement varus, car l'
enfant
marchait d'abord sur le bord externe. L'autre pie
cas. — Chez ce garçon, c'est un pied bot double du premier degré. Cet
enfant
a subi deux opérations ; dans une première, on a
lle, qui est très-nerveuse, a un pied bot double et congénital. Cette
enfant
, opérée deux lois, à huit mois et à quatre ans, o
le, du deuxième degré au moins. La mère a aussi un double pied bot. L'
enfant
appuie sur le bord externe de chaque pied ; le ta
a naissance. Voici des dessins représentant les os du tarse de quatre
enfants
pieds bots, morts peu après la naissance ; vous s
roduire un varus. Blandin a observé un fait de ce genre sur un pied d'
enfant
. On voit donc qu'il peut y avoir une triple cau
tome II, c. 3. (2) Mémoire sur la torsion congéniale des pieds des
enfants
, dans Mémoires de chirurgie pratique, par A. Fcar
sés. Delpech (1) a déjà fait connaître des cas analogues. Voici une
enfant
qui offre un exemple remarquable de ces coïnciden
rmation multiples, dont je vous parlais il n'y a qu'un instant. Celle
enfant
est venue au monde avec un bec-de-lièvre et une g
e d'un sillon fait supposer qu'il manque un orteil. En outre, cette
enfant
offre du même côté un pied équin à peu près direc
avec la main , et il en est résulté jusqu'ici quelque amélioration. L'
enfant
marche sur la pointe du pied. Il ne s'est rien
de l'équin et du valgus. Pour terminer, nous allons examiner trois
enfants
atteints, les deux premiers, de pieds équins, le
abord, à un grand raccourcissement des muscles du molltt ; mais que l'
enfant
essaye d'appuyer complètement le pied sur le so
le même pied, nous trouvons un pied équin à peu près direct, quand l'
enfant
marche; un valgus, quand il appuie à terre; et en
rès-forte du premier orteil, qui, néanmoins, cède assez facilement. L'
enfant
marche en partie sur les orteils, dont les ongles
ons des valgus légèrement éqi.ins. Mais la plante du pied, chez cette
enfant
, a conservé sa concavité habituelle, ce qui indiq
e varus. Voici un dessin qui représente en ngard les os du tarse d'un
enfant
de six semaines, qui portait un varus au pied dro
t primitivement; sa disparition est due au traitement mécanique que l'
enfant
subit depuis un an. La base de sustentation se fa
ure hystérique, la contracture rhumatismale, la contracture aiguë des
enfants
, des nourrices, etc., pourraient en imposer de la
cal du vrai pied bot. Même quand le mal est borné au pied, et que l'
enfant
l'apporte en naissant, il peut n'être qu'une cont
redressant très-fréquemment avec la main. J'ai moi-même observé un
enfant
pied bot de naissance, dont le varus avait été ré
e et la plante du pied en dehors, et l'y maintenir, dans le varus des
enfants
très-jeunes , si l'on a soin de donner aux tours
btenu des effets très-avantageux sur des nouveau-nés, et même sur des
enfants
plus âgés, en associant à l'emploi de ce bandage
es appareils mécaniques dans la première enfance, je vous présente un
enfant
âgé de quatre mois et demi, qui porte à droite un
ontraire pour les deux formes principales du pied bot. La mère de cet
enfant
a fait une chute pendant le cinquième mois de sa
quième mois de sa grossesse. Il est probable qu'il est survenu chez l'
enfant
une affection convulsive durant la vie intra-utér
d'hui qu'un premier degré de talus. Il y a eu en même temps, chez cet
enfant
, une paralysie incomplète du membre supérieur.
cet enfant, une paralysie incomplète du membre supérieur. Cet autre
enfant
est un exemple curieux des difformités multiples
l'apparition, d'après la mère, aurait coïncidé avec l'embonpoint de l'
enfant
. Le peu de laxité du tissu cellulaire en ce point
ns le même sens pour toutes les lignes articulaires. La mère de cet
enfant
nous dit que, à un mois de sa grossesse, elle eut
ari une violente querelle, et fut même frappée. Il est probable que l'
enfant
a éprouvé dans l'utérus une affection convulsive.
us une affection convulsive. Avant cette grossesse, la mère a eu neuf
enfants
, tous bien constitués. Ce fait dépose évidemment
e des machines employées dans le traitement du pied bot, examinons un
enfant
affecté d'un pied bot double compliqué d'une diff
d bot double compliqué d'une difformité remarquable des genoux. Cet
enfant
, âgé de cinq ans, est le onzième de sa famille; s
la plante, au talon. Cette gêne finit par être supportée par certains
enfants
; mais chez d'autres, dont le système nerveux est
r action, plus douce, plus mesurée que celle des machines, repose les
enfants
et leur fait ensuite mieux supporter l'action des
coup de mères ne peuvent se résigner aux longues souffrances de leurs
enfants
. Lord Byron enfant fut confié pendant quelques mo
vent se résigner aux longues souffrances de leurs enfants. Lord Byron
enfant
fut confié pendant quelques mois aux soins de She
uments est insignifiante et prompte à guérir. On peut ainsi, chez les
enfants
, réduire l'ouverture extérieure aux dimensions d'
viser. Mais quand le tendon est peu saillant, comme chez les petits
enfants
, quand on ne reconnaît sa situation qu'au toucher
ation. La petitesse des parties, considérablement réduites chez les
enfants
très-jeunes, efface les distances. Le peu de sail
z l'adulte, du bord externe du tendon, l'avoisine de très-près chez l'
enfant
; on est exposé à la blesser si on fait l'incision
après l'opération , replacer le pied dans l'appareil mécanique, si l'
enfant
l'a déjà porté, ou remettre au lendemain l'applic
e du tendon, en faisant porter le pied dans l'abduction ; si c'est un
enfant
trop jeune pour comprendre ce qu'on lui demande,
uva la cicatric osseuse. Je vais maintenant opérer devant vous deux
enfants
de nos salles. Ier cas. — L'un est cette petite
replacer aujourd'hui même le pied dans l'appareil que portait déjà l'
enfant
. II* cas. — L'autre enfant est un garçon de dix
pied dans l'appareil que portait déjà l'enfant. II* cas. — L'autre
enfant
est un garçon de dix ans et demi, que je vous a
atteint d'un pied équin creux, avec un léger degré de varus. Quand l'
enfant
est debout, le poids du corps suffit pour ramener
'il n'est plus maintenu, le triceps sural se rétracte fortement, et l'
enfant
ne touche plus le sol que par les orteils et la s
ses de cette déviation du pied sont un peu obscures : à quatre ans, l'
enfant
aurait eu une lièvre qui se serait terminée par u
ut aussi s'accompagner d'un état fébrile qui, surtout chez les jeunes
enfants
, est susceptible de produire une maladie sérieuse
sser sur la petite fille opérée dans la séance précédente. Chez cette
enfant
, l'opération a été exécutée très-régulièrement; l
près l'opération. On ne nous avait pas prévenu, en nous amenant cette
enfant
, qu'elle toussait un peu et qu'elle se plaignait
n s'assure de la santé générale, de la force, des chances de vie de l'
enfant
; on en profite aussi pour reconnaître sa toléran
le moment d'agir. C'est cette pratique que je suis relativement à cet
enfant
que vous avez déjà vu. Il est âgé de dix-neuf jou
ez que son pied est maintenu dans l'appareil de M. Jules Martin, et l'
enfant
le supporte assez bien. Je pratiquerai ¡a ténotom
a pratiqué dix ou douze sections musculaires ou ligamenteuses sur des
enfants
de neuf ans, de cinq ans : c'est l'abus d'une bon
section est généralement la seule qui soit indiquée dans le varus des
enfants
, dans le pied équin, même compliqué de varus lége
e moule du pied d'un petit malade de l'hospice des Enfants-Trouvés. L'
enfant
marchait presque sur le dos du pied, comme le pro
e le traitement dans les déviations du pied. C'est le pied droit d'un
enfant
atteint de varus con-génial double du deuxième de
écutif amena le pied à la position représentée par ce second moule. L'
enfant
mourut cinq ans après d'une méningite tuberculeus
cicatrice, tant la réparation a été complète. L'abandon dans lequel l'
enfant
est resté dans les dernières années de sa vie, ex
guérison, déjà très-satisfaisante. Passons maintenant à l'examen d'
enfants
que j'ai opérés il y a quelques années. Ces exemp
redressé, et la guérison très-avancée à gauche. Trois mois après , l'
enfant
marchait seule, les pieds bien à plat ; la flexio
arus gauche, est opéré à huit mois, le 2 mai 1850. Au mois de juin, l'
enfant
contracte une pneumonie, et on ne peut reprendre
lieu de juillet. Au mois d'octobre, le redressement est complet, et l'
enfant
abandonne l'appareil en juin 1851. Aujourd'hui, l
ins régulière ; ses mouvements sont un peu moins étendus que chez les
enfants
précédents; la guérison est moins complète, ce qu
ents; la guérison est moins complète, ce qui tient à la pauvreté de l'
enfant
, au défaut de soins des parents, à la difficulté
urvient une phlyctène au côté interne du pied, et un peu plus tard, l'
enfant
est atteint d'une scarlatine, suivie de convulsio
icultés que fait éprouver au chirurgien l'indocilité des malades. Cet
enfant
, malgré tous nos soins, a relâché presque chaque
it qu'au varus. Voici deux moules qui représentent le pied droit d'un
enfant
atteint de talus, avant et après le traitement.
oit d'un enfant atteint de talus, avant et après le traitement. Cet
enfant
, né le 30 mai 1839, portait un talus valgus doubl
fet mécanique. L'ostéomalacie des adultes n'est pas le rachitisme des
enfants
. Je reconnais toutes les analogies signalées depu
les vieillards, où elle ne produit que la fragilité des os; chez les
enfants
, elle les rend plutôt flexibles, parce que le tis
riode du rachitisme répond à ce degré de la maladie qui constitue les
enfants
noués, ainsi nommés des nœuds ou renflements form
s fractures multiples dans le rachitisme congénital. On voit même des
enfants
apporter en naissant des fractures déterminées da
fœtus hydrocéphale du musée Dupuytren, pièce n° 514 , et enfin sur un
enfant
vivant que nous examinerons à la fin de la séance
ous avons constaté dans cet hôpital, par l'examen d'un grand nombre d'
enfants
, que la fontanelle fronto-pariétale est généralem
vent jusqu'à trois ans et au delà. Nous avons vu dernièrement, sur un
enfant
qui avait près de deux ans, les espaces membran
de la tête des hydrocéphales, qui a tant de rapport avec celle de nos
enfants
rachitiques. Réciproquement, le défaut de résista
on vous rendra plus sensibles encore les faits que nous éludions. L'
enfant
qui nous offre cet exemple est âgé de quatre mois
us offre cet exemple est âgé de quatre mois. Sa mère a eu deux autres
enfants
; l'un est mort, et l'autre, âgé de trois ans et d
veloppement intellectuel ne paraît pas aussi avancé que chez un autre
enfant
. Le rachitisme crânien n'est pas un des plus co
tisme en considérant l'état des fontanelles relativement à l'âge de l'
enfant
. Les os de la face sont rarement altérés par le
r laissent supporter tout le poids du tronc. Il en résulte, quand les
enfants
sont assis, une courbure à convexité postérieure,
st profonde que dans les plus graves. Nous allons retrouver sur ces
enfants
la plupart des faits que je viens d'exposer : I
es enfants la plupart des faits que je viens d'exposer : Ier cas. —
Enfant
âgé de quinze mois; c'est l'exemple que je vous a
développement intra-utérin décrit par M. Depaul. La tête, chez cet
enfant
, n'est pas volumineuse, et la fontanelle fronto-p
e double dépression latérale ; le chapelet est interne. Pour moi, cet
enfant
est un rachitique qui a passé par l'état d'ébur
rachis. IIIe cas. — Garçon âgé de quinze ans, ayant la taille d'un
enfant
de dix ans. Aucune trace de rachitisme crânien
n lame de sabre. Il y a évidemment là éburnation des os. IVe cas. —
Enfant
de quatre ans et trois mois. Tête un peu grosse,
me, qui ne s'y décèle que par le gonflement des poignets. V« cas. —
Enfant
de cinq ans ; il vous offre un bel exemple de l'e
. Le sens de ce rétrécissement peut tenir à l'habitude de coucher les
enfants
sur le côté ou à l'action musculaire. Assez rare
ont quelquefois si considérables, qu'elles s'opposent au passage de l'
enfant
, et la femme ne peut être délivrée qu'à l'aide d'
re délivrée dans deux grossesses que par le broiement de la tête de l'
enfant
. Le détroit supérieur n'a que six centimètres, au
oit influer sur le siège spécial des déformations osseuses. Sur 16k
enfants
rachitiques dont j'ai fait autrefois le relevé, 3
s courbures de l'humérus. Mais sur ce nombre, il ne se trouvait que 6
enfants
au-dessous de deux ans. Il n'est pas douteux qu'i
est pas douteux qu'il se fût trouvé plus de courbures du bras, si les
enfants
avaient été plus jeunes. La marche a une influenc
irectement en avant. C'est la direction qu'elle présente sur ces os d'
enfants
, ainsi que sur la plupart des pièces décrites par
ure lombaire que je vous faisais remarquer dernièrement sur un de nos
enfants
. Les courbures de la partie inférieure du fémur
et par suite aux genoux, les directions les plus bizarres. Chez les
enfants
qui marchent, il est facile d'expliquer toutes le
lle s'ajoute, dans certains cas, la contraction des muscles. Chez les
enfants
qui ne marchent pas, cette contraction doit être
déformations. L'examen que nous allons faire d'un certain nombre d'
enfants
vous fera juger de la diversité des combinaisons
formations rachitiques peuvent former. Ier cas. — Le premier est un
enfant
de nos salles, âgé de quatre ans et demi. La tête
les membres inférieurs offrent, de haut en bas, une courbure en S. L'
enfant
marche, mais se fatigue promptement. IIe cas. —
L'enfant marche, mais se fatigue promptement. IIe cas. — Ce second
enfant
vous a déjà été montré comme exemple des nombreus
ue la courbure provienne d'une semblable cause. IIP cas. — Voici un
enfant
de quatre ans et demi, qui a beaucoup souffert en
mbes. Aujourd'hui, il commence à faire quelques pas sans soutien. Cet
enfant
n'a pas de signes de rachitisme crânien ; la colo
; les jambes sont presque droites et les genoux déviés en dedans. Cet
enfant
n'a pas encore marché. On sait que la courbure
communes dans les inflexions rachitiques de la première enfance. Cet
enfant
vous en offre un exemple. Ve cas. — Voici un ga
e presque entièrement dans l'extension. VIIe cas. — Enfin, chez cet
enfant
âgé de dix-neuf mois, nous trouvons la fontanelle
uvent parfaitement sain dans ce cas; il n'a signalé que chez quelques
enfants
un épan-chement séreux plus ou moins abondant. Ce
au rachitisme; il se rapporte plutôt à la maladie qui a fait mourir l'
enfant
. Il va sans dire qu'on n'observe pas ce grand d
. cit., § 13, p. 16. B. On a dit que le cou est plus court chez les
enfants
rachi-tiques, le larynx plus petit et plus étroit
urs graves, parce qu'elles portent sur des sujets débiles; les petits
enfants
rachitiques de cet hôpital y meurent très-souvent
celui de l'abdomen. Les gaz intestinaux , toujours abondants chez les
enfants
, le sont encore un peu plus, comme le dit Glisson
On ne voit pas plus de tuberculeux chez les rachi-tiques que chez les
enfants
non rachitiques, ni plus de rachitiques parmi les
ue chez les enfants non rachitiques, ni plus de rachitiques parmi les
enfants
scrofuleux que parmi les autres. MM. Rufz (1) e
es tubercules étaient moins fréquents dans le rachitisme que chez les
enfants
qui succombent à d'autres maladies. Mais les ving
son côté, a été frappé de l'existence du rachitisme chez le tiers des
enfants
tuberculeux qu'il a examinés au nombre de 31, dep
t pas recherché en même temps la proportion des rachitiques parmi les
enfants
non affectés de maladies tuberculeuses. Les tuber
de scrofuleux, ont bien voulu, sur ma demande, relever le nombre des
enfants
de leurs salles qui portent des marques de rachit
nt pas supérieure à celle qu'on trouverait dans toute autre réunion d'
enfants
non affectés de scrofules. En définitive, il n'
II, 1843. (3) Mémoire inédit, et : Barthez et Rilliet, Maladies des
enfants
, t. III, p. 333 et 366, 2e édit., 1854. affinit
ogique. Cette affinité est surtout manifeste lorsqu'on voit les mêmes
enfants
, atteints de rachitisme dans leurs premières anné
s les premières lésions et la seconde. F. Le système musculaire des
enfants
rachitiques offre deux genres d'altérations. D'un
te disposition sur cette préparation du squelette et des artères d'un
enfant
rachitique de deux à trois ans. III. Origine de
rachitisme, ce qu'il nomme le rachitisme latent, sur presque tous les
enfants
affaiblis, amaigris, au-dessous de quatre ans, do
l'élément unique. Sans cela, on ne verrait pas, dans cet hôpital, des
enfants
minés par une maladie chronique, (1) Recherches
Quand des parents rachitiques dans leur enfance donnent le jour à des
enfants
chétifs et rachitiques à leur naissance ou peu ap
t pour beaucoup dans la production du rachitisme si fréquent chez les
enfants
pauvres des cités populeuses. D. La mauvaise al
core que la nourriture animale était une cause de rachitisme chez les
enfants
très-jeunes; et on aurait rendu de petits chiens
cette séance par l'examen de quelques malades. Ier cas. — Voici un
enfant
d'un an, fils unique de parents bien portants, qu
, l'inégal développement des deux moitiés du crâne des rachitiques. L'
enfant
n'a (1) OEuvres de Buffon, description du chien
s inférieurs ne présentent qu'un peu de courbure des fémurs. Chez cet
enfant
, le rachitisme est donc léger, et dans le crâne i
tte petite fille comme un type de rachitisme. La mère a eu six autres
enfants
, dont un seul, venu à terme, a vécu jusqu'à trois
et ont la forme d'une S. Les pieds ont la direction des valgus. Cette
enfant
ne peut pas se tenir seule debout. IIIe cas. —
e, la flexion du rachis en avant, se voient plus fréquemment chez les
enfants
au-dessous de deux ans. Les nœuds articulaires, l
hap. 13, p. 138. (3) Loc. cit., cap. 13, p. 134. A. Le faciès des
enfants
rachitiques est souvent tout à fait caractéristiq
everus quàm celas postularet, a dit Glisson (1). On trouve chez ces
enfants
tous les caractères extérieurs des maladies de la
aux sueurs. B. La locomotion est considérablement entravée chez les
enfants
rachitiques. La faiblesse musculaire, le ramollis
archaient déjà au moment de l'invasion de la maladie. Les très-jeunes
enfants
ont même de la peine à se tenir assis, à soutenir
t paraît lié à la période de ramollissement des os. C'est alors que l'
enfant
ressent des douleurs quelquefois spontanées dans
es, si la réossification se fait longtemps attendre. Nous avons vu un
enfant
de huit à dix ans, couché dans mes salles l'année
s phénomènes respiratoires. Il suffit quelquefois de voir respirer un
enfant
pour deviner qu'il est atteint de rachitisme, lor
e action du poids du corps les courbures des jambes qui affectent des
enfants
jouissant, en apparence, d'une santé florissante.
rence, d'une santé florissante. J'ai presque toujours trouvé chez ces
enfants
quelques traces de rachitisme, le chapelet, par e
llules remplies d'une bouillie rougeâtre, de sorte (1) Maladies des
enfants
, 2e édit., t. II, p. 170. (2) Barthez et Rillie
cles, de pauvres pêcheurs du nord de l'Europe faisaient boire à leurs
enfants
malades de l'huile de poisson ; ce remède se répa
inondent l'Europe, le monde entier ; on pince le nez à des millions d'
enfants
pour leur entonner le précieux remède. L'huile du
és par une bonne hygiène), Us guérissent PROMPTEMENT presque tous les
enfants
. In rachi- tide............satis nequeo ostraco
, Boyle (2), cité par Van Swieten, affirmait avoir guéri plus de cent
enfants
« réduits par le rachitisme à un état désespéré ,
isme à ce que, dans la cérémonie du baptême, on ne plongeait plus les
enfants
dans l'eau froide. Portai (U) dit avoir vu Bouv
oins vite. Il est donc important de transporter, pendant l'hiver, les
enfants
rachitiques dans un climat tempéré , de les faire
ré parmi les causes du rachitisme, et ne voulait pas qu'on privât les
enfants
du sein avant qu'ils eussent la plus grande parti
it pas d'inconvénients à faire concourir le lait à l'alimentation des
enfants
rachitiques; il ne les faisait sevrer que dans de
ns-nous ici àjuvantibus et lœdentibus. En général, il faut donner à l'
enfant
un aliment en rapport avec son âge. On insistera
, les œufs, etc. On se gardera bien de proscrire la viande, dès que l'
enfant
pourra la mâcher. On aura soin d'ailleurs de modi
réceptes que l'on consulte avec fruit encore aujourd'hui. Dès que les
enfants
sont un peu plus forts, on les amène graduellemen
orts qui dépassent leur résistance. On ne permettra pas la marche aux
enfants
dont les tibias sont flexibles, à moins que les m
et les mouvements; aussi faut-il les exclure le plus souvent chez les
enfants
très-jeunes et affaiblis. En général, il ne faut
nes et affaiblis. En général, il ne faut les employer que lorsque les
enfants
sont en état de marcher. Quand il y a indicatio
is marché. Sa fontanelle a la dimension d'une pièce de cinq francs. L'
enfant
a huit dents très-saines; les clavicules sont nor
oiseaux. Vous êtes étonnés peut-être de rencontrer, chez un si jeune
enfant
, un chapelet aussi peu marqué : c'est qu'il est i
t se demander si cette déviation est de nature rachitique. L'âge de l'
enfant
fait déjà présumer que telle est en effet sa caus
és et une légère courbure en dehors des fémurs. VIIe cas. — Sur cet
enfant
qui n'a que deux mois, le rachitisme n'a encore a
ecté que le thorax et les jambes; celles-ci sont courbées, bien que l'
enfant
n'ait pas encore marché. Le chapelet est très-pro
ment fermée; le rachis est droit, ainsi que les membres supérieurs. L'
enfant
marche, et vous ne pensez probablement pas trouve
des parties et par la perception de l'action musculaire, apprend à l'
enfant
lui-même à leur donner cette situation. L'attitud
Cet angle et la courbure lombaire elle-même sont peu marqués chez l'
enfant
, parce que le bassin est encore très-peu développ
uées au-dessus; 3° cet inconvénient n'est pas encore compensé, chez l'
enfant
, par l'augmentation du volume des vertèbres lomba
n partie, quand on renverse avec précaution le bassin en arrière. Cet
enfant
, qui a une cyphose rachitique, n'est encore qu'à
rachis, et même produire un commencement de lordose. Chez cet autre
enfant
, la lésion est plus avancée, et la même manœuvre
ns, est une attitude qu'une foule de causes tendent à produire chez l'
enfant
et surtout chez l'adolescent. La plus fréquente
écriture , le dessin, la broderie, etc., peuvent faire contracter aux
enfants
l'habitude de cette voussure. Quelquefois, c'es
vant, suivant la direction qu'affecte la région lombaire. On voit des
enfants
rejeter le tronc en arrière, tout en inclinant sa
sidue, une certaine habileté à exciter la volonté, l'amour-propre des
enfants
, pour les amener à corriger d'eux-mêmes leur main
Clias (1), de M. Laisné (2), notre habile professeur de l'hôpital des
Enfants
, et dans ceux de quelques autres gymnasiarques. J
s prévisions de la science sont démenties par les faits; bon nombre d'
enfants
, fatigués sans doute par l'effort du poids, ne re
ci, par exemple : Une personne, appuyant la main sur l'occiput de l'
enfant
, l'engage à la repousser en arrière par un effor
soutenu par ses extenseurs, retombe en avant comme il retombe chez l'
enfant
débile; mais rien de plus variable que le degré d
née est peu commune ; on ne la voit guère que passagèrement, chez des
enfants
au maillot, dont la tête volumineuse, ne pouvant
'a pas de support, comme elle retomberait dans tout autre sens si les
enfants
n'étaient pas placés sur le dos. Le progrès des f
ce qui est le contraire de la bosse du dos, faites souvent courber l'
enfant
. Jetez-lui pour cela des cartes ou des épingles s
ns ce cas, l'effet des poids ajoutés à la masse du corps. « Lorsqu'un
enfant
avance trop le ventre, dit Andry, on croit bien f
ur le ventre un plomb ou quelque autre poids; mais on oblige par là l'
enfant
à se renverser encora davantage... Il faut, au co
faire effort contre la partie postérieure de la tête ou du tronc de l'
enfant
, c'est en avant que les mains lui présentent une
A. La-contracture des muscles de la nuque est assez commune chez nos
enfants
; elle donne lieu à une véritable lordose cervica
vent quelque attention pour ne pas confondre cette altitude, chez les
enfants
, avec celle qui dépend de l'affection sous-occipi
e résorber. Pour revenir au sujet qui nous occupe, vous voyez que cet
enfant
présente une lordose lombo-dorsale causée par la
plus de voussure physiologique. IIe et IIIe cas. — Ces deux autres
enfants
présentent chacun une lordose lombaire ; chez l'u
deux lordoses de compensation, l'une au cou, l'autre aux lombes. Cet
enfant
présente en outre une disposition remarquable du
ique d'une coxalgie. Celle-ci est unique et siège à droite. Lorsque l'
enfant
est debout, le bassin se relève en arrière, à cau
, et il se produit une lordose lombaire très-marquée ; mais lorsque l'
enfant
est assise, tout disparaît; lorsqu'elle se courbe
e ramener l'extrémité supérieure de la courbe à la ligne médiane. Les
enfants
, les femmes encore jeunes prennent aisément cette
blir l'équilibre, par exemple, chez les jeunes filles qui portent des
enfants
, comme on le voit sur ce plâtre d'une fille de se
l'action de se hancher debout ou assis, trop souvent répétée chez les
enfants
par fatigue, faiblesse ou nonchalance, et par sui
n cervicale; c'est une scoliose de compensation. IIP cas. — Sur cet
enfant
, vous voyez une courbure lombo-dorsale de compens
tude habituelle; toute déformation disparaît lorsqu'on fait asseoir l'
enfant
. IVe cas. — Sur cet autre enfant, atteint d'une
disparaît lorsqu'on fait asseoir l'enfant. IVe cas. — Sur cet autre
enfant
, atteint d'une tumeur blanche (1) Recherches su
ion, qui disparaît complètement dans la position assise. Voici deux
enfants
qu'on peut regarder comme des modèles de l'état n
mplète deviennent nombreux, et l'on ne voit plus de courbure chez les
enfants
très-jeunes, à moins qu'ils n'offrent quelques tr
très-légère déviation des apophyses à droite, qui disparaît lorsque l'
enfant
vient à se courber en avant. XIIe cas. — Fille,
lupart des scolioses ne se forment qu'entre sept et dix ans, chez des
enfants
qui n'ont plus le rachitisme ou qui ne l'ont jama
re ou moyenne ; leur concavité est tournée à gauche. Exceptons-en les
enfants
au-dessous de sept ans, chez lesquels les scolios
nt de réunion. C'est ce que vous voyez sur cette pièce provenant d'un
enfant
rachilique, et dont la courbure dorsale est à gau
peut se refuser à les admettre; on les observe non-seulement chez des
enfants
rachi-tiques, mais encore dans plusieurs autres c
nent, parce que la mobilité du rachis sur le sacrum, surtout chez les
enfants
, celle des vertèbres supérieures, permettent aux
la cause principale de la scoliose dans les altitudes habituelles des
enfants
produites par la prédominance d'action de certain
avec soin les parents, vous ne découvrirez rien qui indique dans les
enfants
, avant les premières manifestations de la scolios
titudes habituelles différentes de celles de centaines, de milliers d'
enfants
qui ne contractent pas de courbure de l'épine. L'
ve dans les cas de rachitisme sans courbure avec simple nanisme. Si l'
enfant
est habituellement penché en avant, si la colonne
ou une mère gibbeux non rachitiques donner le jour à un ou plusieurs
enfants
, atteints de scoliose spontanée à l'âge où celle-
e se faire en ligne collatérale ou indirecte. Lorsqu'il y a plusieurs
enfants
, il est rare que la même prédisposition se manife
p plus grande de la scoliose spontanée dans le sexe féminin, chez les
enfants
délicats, lymphatiques, à constitution détériorée
e le côté droit de la face est moins développé chez la mère et chez l'
enfant
. Ici, nous retrouvons les mêmes caractères que
e IVe cas, mais plus prononcée, approchant de la troisième période. L'
enfant
est rachitique, comme le prouve la convexité exag
. Pas de rachitisme pour expliquer la direction delà courbure, mais l'
enfant
a eu une pleurésie droite il y a deux ans et demi
au rachitisme, a commencé avec cette affection dès le bas âge. Ces
enfants
à courbure dorsale gauche justifient ce que je vo
bassin, s'inclinent à droite ou à gauche, surtout dans la station. L'
enfant
étant debout se hanche presque toujours dans le m
pontanément, longtemps après une attaque très-légère de rachitisme. L'
enfant
n'a pas eu de maladies graves; elle a une constit
nze ans. Scoliose au troisième degré datant de trois ans. Cependant l'
enfant
, qui a été rachitique, offre depuis longtemps que
n. Vous voyez qu'on obtient encore le même effet en faisant coucher l'
enfant
sur le ventre. Cette jeune fille, qui n'est pas
s à courbure dorsale droite. Je place aujourd'hui sous vos yeux une
enfant
de dix ans atteinte d'une forte courbure dorsale
fications à peu près semblables, mais en sens inverse. La mère de l'
enfant
, en la retirant de nourrice à l'âge de quatre ans
est courte, fréquente ; il y a 35 à 40 inspirations par minute. Cette
enfant
a la courte- haleine; elle ne peut courir comme s
ger dans la partie inférieure du thorax. L'attitude habituelle de l'
enfant
, dans la station, est caractérisée par une légère
ée qu'elle ne le paraît à la vue. Le développement général de cette
enfant
n'est pas au-dessous de celui de beaucoup d'enfan
t général de cette enfant n'est pas au-dessous de celui de beaucoup d'
enfants
de son âge, sauf la brièveté du tronc, qui n'est
existence n'est nullement compromise, au moins pour le moment. Celte
enfant
paraît même assez vivace. Elle était entrée dans
ense dont elle était accompagnée. A quelles chances la vie de cette
enfant
est-elle réservée dans l'avenir? Comment se passe
rigée à droite, est à peu près aussi marquée. La mère prétend que son
enfant
n'a pas été nouée; elle dit que son épaule est pl
té dans ce dernier cas. Vous m'avez vu hésiter en recherchant, sur un
enfant
à thorax déformé par une ancienne pleurésie, s'il
e hygiène constitue une partie importante de l'éducation physique des
enfants
. Elle consiste à éloigner les causes de déviation
s le jeune âge, au moyen d'un régime et d'un genre de vie imposés aux
enfants
, n'est peut-être pas, dans certains cas, un probl
la jeunesse. Cela peut être sans inconvénients graves pour beaucoup d'
enfants
heureusement constitués; mais, il faut que les pa
ment constitués; mais, il faut que les parents en soient avertis, les
enfants
, et surtout les filles, prédisposés par une cause
ystème musculaire. La marche, la course, les mouvements spontanés des
enfants
dans leurs jeux, tant qu'ils sont conformes aux l
ractiles. Le repos alterne avec les exercices; il faut y suivre les
enfants
, s'assurer que leurs attitudes sont encore normal
trouverez très-peu de déviations latérales du rachs dans nos salles d'
enfants
scrofuleux. La seconde théorie, qui n'a pas moi
remèdes est une situation convenable, » c'est-à-dire qu'il faut que l'
enfant
se tienne au lit dans une si-» tuation presque ho
re, de plantes aromatiques, sont employés dans les campagnes chez les
enfants
très-jeunes. En tout cas, on aura soin que ces li
du côté concave des courbures. L'instinct révèle cette propriété aux
enfants
atteints de mal vertébral, qui manquent rarement,
sent à terre, et à les graduer de manière à douer progressivement les
enfants
de la faculté de suspension prolongée qui leur es
à apprécier son degré d'utilité. Nous allons vérifier, sur ces deux
enfants
, plusieurs des faits qui précèdent. (1) Beitrag
euse. Elle a une dureté de l'ouïe due à une otorrhée chronique. Cette
enfant
, et une autre atteinte de courbure rachitique, so
urbes des apophyses épineuses deviennent moins marquées. En mettant l'
enfant
dans une position horizontale, je produis égaleme
en une courbure sigmoïde du deuxième degré. On peut faire marcher les
enfants
dans cette position. En couchant la malade , on t
On se sert peu des cordes ; elles blessent les mains délicates des
enfants
et surtout des jeunes fdles. Le fer n'est employé
verses posées sur des meubles, etc., peuvent suffire. Pour les jeunes
enfants
, il n'est même besoin d'aucun appareil. Les perso
permanente et disgracieuse des épaules. Pour habituer peu à peu les
enfants
aux divers modes de suspension , on les soutient
ar ces cordes. Dans la plupart de ces mouvements de locomotion, les
enfants
peu exercés ou peu robustes jettent les jambes de
gération des mouvements est le défaut de contraction suffisante ; les
enfants
livrent alors le poids du corps aux seuls ligamen
à leur point d'attache , procurent des mouvements analogues. Un jeu d'
enfant
, la bascule brachiale, assez élevée pour qu'on y
t plus facile que de diversifier ces sortes de mécanismes. Quelques
enfants
vont exécuter devant vous les principaux exercice
nt les changements survenus dans les courbures du rachis. Chez un des
enfants
, porteur d'une courbure dorsale inférieure assez
ter qu'une flèche de cinq ou six millimètres environ. Chez les autres
enfants
, vous voyez de même les courbures diminuer par l'
t la locomotion. Ce genre d'exercice est très-utile chez les petits
enfants
, qui ne peuvent guère en pratiquer d'autres, et q
eux comprise : il imagina Y escarpolette anglaise, qui suspendait les
enfants
par le dessous des bras, la tête et les mains, po
1° Extension et contre-extension. — Nous allons pratiquer, sur ces
enfants
, les extensions d'Hippocrate, c'est-à-dire des tr
la position horizontale. Si la courbure est légère, comme sur cette
enfant
, elle disparaît complètement en apparence ; la li
la déviation est forte, à sa troisième période, comme sur ces autres
enfants
, la courbure principale est seulement diminuée, m
grand nombre d'articulations mobiles et extensibles. Lorsque, sur ces
enfants
, nous ne saisissions que la tête pour pratiquer l
graves dans l'application. Vous avez pu voir, dans nos essais sur ces
enfants
, qu'il faut employer une assez grande force pour
remonter les épaules. Je ne m'en sers que pour retenir sur le dos les
enfants
indociles, ou les sujets de tout âge pendant leur
itude vicieuse que d'exercer de véritables tractions, chez les petits
enfants
, par exemple, on peut se borner à attacher les co
sé vers le pied du lit, elle devient plus forte du côté de la tête. L'
enfant
se remonte alors et le premier état se reproduit.
ous l'avons fait pour les extensions, nous allons rechercher, sur ces
enfants
, quels sont les effets immédiats des pressions la
apophyses. Si la courbure s'efface par le décubitus, comme sur cette
enfant
que vous avez déjà vue, les pressions courbent en
'incliner le rachis deux fois en sens contraire. Vous voyez sur cette
enfant
, atteinte de courbure sigmoïde, qu'en voulant ren
rax, déjà diminuée par le redressement du rachis. Si, sur l'un de ces
enfants
, nous appliquons fortement la main sur la saillie
que la poitrine repose sur leur saillie antéro-gauche, ou bien si, l'
enfant
étant sur le dos, nous passons une main sous la g
de Nuck, est à peu près abandonnée. Ce n'est que chez les très-jeunes
enfants
qu'il peut être avantageux de soulever souvent le
un jeu qui devient un exercice passif utile. On peut même soulever l'
enfant
par la tête, lui faire , comme on dit vulgairemen
rappelle cette mort survenue, au rapport de J. L. Petit (1), chez un
enfant
qui s'agita violemment dans cette attitude. On n'
iate de cet ordre de moyens. Nous soulevons avec les mains, sur ces
enfants
, soit la tête, soit les membres supérieurs et le
contre l'action de la pesanteur. Sur les sujets souples , sur cette
enfant
, par exemple, on peut, comme dans la position hor
iminuent légèrement les deux courbures, comme vous le voyez sur cette
enfant
. L'association des extensions aux pressions, da
s dans la progression. Les lisières, les chariots qui soutiennent les
enfants
sous les bras, agissent de cette manière et convi
de cette espèce que je connaisse. Vous en jugerez vous-mêmes sur ces
enfants
, quoique, n'en ayant jamais fait usage, ils sache
Il est souvent difficile de l'empêcher de descendre trop bas chez les
enfants
, surtout chez les garçons ; on ajoute alors, vis-
urbure dorsale. Vous avez vu, et vous pouvez constater encore sur ces
enfants
, qu'il ne se passe rien de pareil dans ce mouveme
reils. Nous allons faire l'application de ces principes à plusieurs
enfants
qui portent des ceintures ou des corsets orthopéd
quinze ans. Déviation double à courbure dorsale plus prononcée. Cette
enfant
porte un appareil à levier qui paraît bien foncti
nœuvre. bouvier 33 Je ferai une seule remarque commune à tous ces
enfants
: c'est que leurs machines n'ont pas une force su
Enfin elle fut pratiquée et enseignée par son auteur, à l'Hôpital des
Enfants
, pendant plusieurs années. Elle fit des prosélyte
autres le Rapport sur les traitements orthopédiques de l'Hôpital des
Enfants
. Paris, 1848, 33. abandonnée à elle-même ; il
d'une utilité incontestable. Comparez, je vous prie, une malheureuse
enfant
abandonnée à elle-même ou livrée à des soins insu
e Cours d'opérations de Dionis; vous y lirez que, sous Louis XIV, une
enfant
de huit ans qui appartenait à la famille du grand
Rachitisme........................ 24 3° Voussure par débilité des
enfants
et des vieillards...... 25 Diagnostic de la lés
LEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE . DES
ENFANTS
IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICÊTRE PEN
es. SITUATION DU SERVICE. - ENSEIGNEMENT PRIMAIRE. La section des
enfants
comprend trois groupes : l° les enfants idiots,
PRIMAIRE. La section des enfants comprend trois groupes : l° les
enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
nfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides ; 2" les
enfants
idiots, gâteux ou non galeux, épileptiques ou n
gâteux ou non galeux, épileptiques ou non, mais VALIDES;- 3° les
enfants
propres, valides, imbéciles, arriérés, épilepti
ides, imbéciles, arriérés, épileptiques et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais inval
'ils se subdivisent en deux catégories : la première est composée d'
enfants
gâteux invalides, dont la plupart sont suscepti
es, dont la plupart sont susceptibles d'améliora- tion ; l'autre, d'
enfants
tout à fait incurables ou d'en- fants atteints
borne- rons à dire que, aussitôt qu'ils sont capables de mar- IV
ENFANTS
GATEUX INVALIDES. cher (fig. 1), ils sont envoy
nt envoyés à la petite écolo le matin, puis toute la journée. II.
Enfants
idiots, gâteux ou non yîteuw, épile2ti- ques ou
s, gâteux ou non yîteuw, épile2ti- ques ou non, mais VALIDES. - Ces
enfants
fréquentent ' Fi. modèle de l'un des chariots.
dés ; 9 sont sortis définitivement ; 3 ont été transférés. Tous les
enfants
sont exercés à la petite gymnastique (système P
e ; 62 se servent de la cuiller, de la fourchette et du couteau ; 7
enfants
gâ- teux sont devenus propres (1), grâce au pro
ous avons décrits (2), au lever, au coucher, après chaque repas. 36
enfants
de la petite école vont aux ateliers une demi-h
sorts il boudin double, avec poignée cylindrique. (1) Ce sont les
enfants
. Char..., Dun ? Gin..., Lor..., Robin..., Ros..
TION de la main. Exercices des échelles. La figure 2 représente l'
enfant
en position ; la figure 3, l'enfant marchant en
elles. La figure 2 représente l'enfant en position ; la figure 3, l'
enfant
marchant en avant;-la figure 4, l'enfant marcha
position ; la figure 3, l'enfant marchant en avant;-la figure 4, l'
enfant
marchant en arrière ? les figures 5 et 6, l'enf
;-la figure 4, l'enfant marchant en arrière ? les figures 5 et 6, l'
enfant
déployant le corps en avant et appuyé sur la po
te des pieds, et, en arrière, appuyé sur les talons; la figure 7, l'
enfant
assis ; la figure 8 représente l'enfant tenant
les talons; la figure 7, l'enfant assis ; la figure 8 représente l'
enfant
tenant une échelle de la main gauche, étendant
uche allongé et la jambe gauche fléchie ; la figure '.) fait voir l'
enfant
monté aux échelles et déployant le corps en arr
trêmes, c'est-à-dire la plus rugueuse et la plus lisse. Lorsque l'
enfant
distingue les deux extrêmes (très râpeuse et très
urfaces planes en bois dont nous nous servons depuis longtemps. Les
enfants
sont exercés à placer les objets en bois sur le
le de reproduire la plus grande partie. Premier exercice. Quand l'
enfant
a déjà [acquis des habitudes mimiques assez pré
ment les lèvres : on fera alors entendre quelques cris joyeux que l'
enfant
répétera. Ensuite on lui fait serrer longtemps
de la bouche en avant, en haut et en bas ; l'aider de la main si l'
enfant
ne peut la faire mouvoir volontairement ; en re
t altéré, mais il est rare que cola soit, on doit faire imiter iL l'
enfant
les sons de la voix humaine et stimuler l'organe
est plus facile que celle des consonnes ; qu'il est plus aisé à un
enfant
de dire 0 que MO, I que BI, etc. S'il en était
l'appui de ma première assertion, je ferai remarquer que tant qu'un
enfant
n'émet que les sons A, I, 0, il ne parle pas, il
s, il crie ou chante. Pour la seconde, je rappellerai que le même
enfant
ne com- mence pas par dire : AP, Lai, OB, mais
ion relative des lèvres, PA n'étant articulé le premier que par les
enfants
chez lesquels une suc- cion énergique, ou quelq
s lèvres d'une façon exceptionnelle. La preuve de la 4e est que les
enfants
répètent toutes leurs syllabes. Il y a de cette
pètent toutes leurs syllabes. Il y a de cette dernière habitude des
enfants
, qui passe pour une bizarrerie ou une singulari
es de la puissance des analogies de consonnance dans le langage des
enfants
et dans celui des peuples : cette forme a toujo
e avait daigné se donner la peine de suivre le dé- veloppement d'un
enfant
, l'anthropologie ne serait plus une science à f
es faire à votre élève ce GYMNASTIQUE DE LA PAROLE. XV que fait l'
enfant
ordinaire, celui-ci à dix mois, celui-là à 10 ans
mièrement et le plus facilement les sons que les organes des petits
enfants
exécutent les premiers. Je sais que cette métho
es manifestations de ce langage dont la musique fait ressembler les
enfants
à des petits anges. Le père ne veut pas que son
ne veut pas que son fils dise : dada; la mère n'entend pas que son
enfant
demande un coco, cheval, oeuf, et à la bonne he
! Les malheureux I savent-ils où ce système les condui- rait, si l'
enfant
plus intelligent qu'eux ne repoussait leurs leç
n naturelle et possible l'intonation. Et puis, en supposant que l'
enfant
puisse parler comme nous, croyez-vous qu'il tro
s du grec. Et que feraient-ils les parents et les philologues, si l'
enfant
leur obéissait jusqu'à attendre qu'il pût exprime
iologique et psychologique de 1\'I GYMNASTIQUE DE LA PAROLE. leur
enfant
, ils feraient un idiot. Or, en assistant à de par
I, il l'a prononcé comme fi- nale des syllabes MI, PI, TI, etc. Cet
enfant
se fait très bien comprendre maintenant. Voil
dre que j'indique plus haut. Ainsi, j'ai déjà fait observer que les
enfants
qui n'émettaient pas natu- rellement de sons vo
ement appliqués, rendent de. réels ser- vices à nos malades. III.
Enfants
propres et valides, imbéciles, arriérés, instab
ée. BOURNEVILLE, 1888. ** XVIII MATERIEL SCOLAIRE. Le 19 mai, 2
enfants
, 6 infirmiers et 9 infirmières ont obtenu le ce
ment en deux parties semblables et destiné à fixer l'attention de l'
enfant
en l'amenant à poser le doigt, ainsi que le fai
llabes seront représentées en bleu. Promenades et distractions. Les
enfants
de la grande école et ceux de la petite école q
profitent do ces promenades pour donner des leçons de choses aux
enfants
. Jamais ces promenades, même dans des lieux trè
Mentionnons enfin les distractions diverses, commu- nes à tous les
enfants
valides : distribution de jouets, l'occasion du
agique, projections; concert des frères Lionnet ; participation des
enfants
de la Grande Ecole au défilé du bataillon scola
la création d'une société mu- sicale à laquelle un certain nombre d'
enfants
s'intéres- sent vivement. Visites, permission
cien interne des hôpitaux, continue ses visites bi-mensuelles aux
enfants
de Bicêtre et de la i-alpêtrière. Les résultats
t de vue de l'hygiène de la bouche et d'une meilleure dentition des
enfants
sont excellents. Bains et hydrothérapie. - Les
rs et l'installation d'un magasin de chaussures, désirant que les
enfants
aient deux paires de souliers ; l'organisation
deux paires de souliers ; l'organisation d'un trousseau pour chaque
enfant
avec un numéro d'ordre ; la modification des ch
e ; la modification des chemises qui n'ont ni cols ni poignets. Les
enfants
gâteux couchaient sur une paillasse revêtue d'u
reux donateurs un grand nombre, et que l'atelier de menuiserie des
enfants
en confectionne une grande quantité. Nous n'avo
reposait sur les leçons de choses et les leçons d'action ; que les
enfants
reçoivent régulière- ment des leçons de gymnast
; que tous les jardins ont été disposés pour l'enseigne- ment des
enfants
. Elle a daigné cependant reconnaître que « au p
oules, 2 jeux de quilles, 60 cerceaux, etc. Inutile de dire que les
enfants
en détruisent un grand nombre. ÉPIDÉMIES ; TEIG
à leur devoir, toutes séparées les unes des autres, occupées des
enfants
, sans ostentation et sans précipitation. L'ordr
ée à un médecin ; elle ignore que les nombreux asiles consacrés aux
enfants
idiots, en Angleterre, aux Etats-Unis, etc., so
our les maladies contagieuses a reçu, en outre, un certain nombre d'
enfants
atteints de maladies des yeux. De tout temps,
temps, probablement depuis que Bicêtre existe et qu'il renferme des
enfants
, la teigne y a tou- jours régné. Cela s'expliqu
l dortoir où, malheureusement, ils étaient en contact avec d'autres
enfants
. Les 10 enfants du pa- villon d'isolement passa
lheureusement, ils étaient en contact avec d'autres enfants. Les 10
enfants
du pa- villon d'isolement passaient leur journé
ns le sous-sol-rez-de-chaussée du pavillon d'isolement; mais les 12
enfants
de l'infirmerie et les (l) Voir, pour la descri
villon des conta- gieux. Le sous-sol a été mis à la disposition des
enfants
le 19 juillet, servant de réfectoire à ces dern
râce à cet isolement, au zèle de nos internes et du personnel, ! i0
enfants
ont été guéris de la teigne et il n'en restait
très insuffisamment compensée (38 fr.). L'évaluation du travail des
enfants
est faite par l'inspecteur du service d'archite
onyme pour la cordonnerie. Ces chiffres montrent que le travail des
enfants
, non seulement couvre la dépense occasionnée pa
bien autrement supérieur. Il permet de donner à un certain nombre d'
enfants
un métier qui, à leur sortie, les mettra en mes
nces le permettront. Il nous aide à donner à un plus grand nombre d'
enfants
le moyen d'atténuer, dans une proportion variab
ces personnelles. Chaque année, l'habillement et la chaussure des
enfants
sont notablement améliorés et l'amélioration se
ts d'habillement. Nous espérons arriver un jour il faire que chaque
enfant
ait son trousseau numéroté. Ainsi que nous l'av
donner satisfaction. Le tableau suivant fait voir que le nombre des
enfants
qui profitent de l'enseignement professionnel e
e 8 heures à 9 heures du matin par la leçon de gymnas- tique. Les
enfants
sont divisés en deux séries : une du matin, une
de 15 fr. à la disposition des chefs d'atelier. Nous laissons les
enfants
choisir eux-mêmes autant que possible leur méti
igés sur l'atelier de couture. Le plus souvent, quand il s'agit des
enfants
idiots, les séances d'atelier ne dépassent pas
ravail manuel. III. PATRONAGE DES ALIÉNÉS ET EN PARTICULIER DES
ENFANTS
IDIOTS ET ARRIÉRÉS. A propos de l'enseignement
atronage des aliénés convalescents ou guéris, et en particulier des
enfants
ou des adolescents. Bien des XXXII PATRONAGE DE
culier des enfants ou des adolescents. Bien des XXXII PATRONAGE DES
ENFANTS
. fois, depuis plusieurs années, nous avons appe
sur la nécessité de la création d'une Société de patronage pour les
enfants
qui sortent de notre service. Jusqu'ici il n'y
ient plus urgente. Elle se présente sous deux aspects : ou bien les
enfants
rentrent dans leur famille, ou bien, étant âgés
aux épileptiques, soit aux aliénés ordinaires. Bien que, pour les
enfants
de cette dernière catégorie, il ne s'agisse pas
l'introduction du tabac ou d'objets défendus dans la section des
enfants
. Malgré cela, nous avons voulu faire l'essai, y
quelques petits accidents s'étant produits par suite du contact des
enfants
avec des ado- lescents devenus adultes (1), nou
tion de Court..., que nous publions avec M. Raoult. PATRONAGE DES
ENFANTS
. XXXIII Nous avons alors insisté pour que nos a
es parents, il en est qui, comprenant ce qu'on a réalisé pour leurs
enfants
, font tous leurs efforts pour leur faire contin
ecommandation; alors, pour diminuer les charges d'entretien de leur
enfant
, ils essaient de l'utiliser n'importe comment,
mailles, recourbé à sa partie supérieure de manière à empêcher les
enfants
de la franchir. Des arbustes et des plantes gri
orte ont été remplacés par des pans coupés, de façon à empêcher les
enfants
de se dissimuler dans ces deux angles. Les murs
s de chaleur situées à 2m30 au-dessus du parquet : de la sorte, les
enfants
ne pourront les souiller ni les obstruer. Ces b
apitonnage, court un chanfrein en bois, oblique, de manière que les
enfants
, même en sautant, n'ont aucune prise sur le bor
es. Les caisses-lits sont fixes et disposées de telle sorte que les
enfants
ne puis- sent s'en servir pour atteindre soit l
placé dans l'angle à gauche de la porte, voûté afin d'empêcher les
enfants
de monter dessus. Trois sont en ciment recouver
nt nous avons parlé, nous réclamions l'achèvement de la section des
enfants
, c'est-à-dire la construction des trois dernier
e appliqué à la suite de l'entreprise ; -2° sur la présence de 60
enfants
dans l'ancienne section où ils détiennent la pl
culté qu'opposent les administrations à la réception des malheureux
enfants
atteints d'imbécillité et d'idiotie. Il y a que
es membres de la famille ne présente un aspect rappelant celui de l'
enfant
. Un cousin germain est faible d'esprit et fait
ité; inégalité d'âge de deux ans. Elle est la cinquième et dernière
enfant
; les autres sont en bonne santé. Elle n'a pas e
t encore dans noire service. Il en était encore ainsi chez un autre
enfant
dont nous publierons prochainement l'observatio
terreur qu'elle a éprouvée qui a été cause de la difformilé de son
enfant
. Il ne faut retenir de cette histoire qu'une ch
hydermique prononcée, sur- monte un corps tout petit, un corps d'un
enfant
de deux ans, mais d'un enfant difforme, bossu e
te un corps tout petit, un corps d'un enfant de deux ans, mais d'un
enfant
difforme, bossu et à gros ventre (Tg. 18). La t
ans. La mère est une femme énergique, bien portante; elle a eu neuf
enfants
: deux garçons vigoureux et sept filles. Parmi
'on n'a pu m'indiquer, une autre est hémiplégique, une troisième, l'
enfant
cadet de la famille, est le sujet de cette comm
jet de cette communication. A la naissance, Elisa X... était un bel
enfant
, sain et bien por- tant : à cet égard il ne doi
enons ce renseignement, étant, par profession, habituée à juger des
enfants
nouveau-nés. Vers l'âge de six mois, la figure
ger des enfants nouveau-nés. Vers l'âge de six mois, la figure de l'
enfant
commença à manquer d'expression, la langue devint
ue de ses doigts inhabiles tout ce qu'on place devant elle comme un
enfant
de quelques mois fait d'un hochet. La sensibilité
enté un écoulement vaginal sanguinolent mani- feste. Celte pauvre
enfant
est morte dans le marasme, âgée de trente- deux
pachydermique. « Quant au mçscoedème qu'on aurait observé chez les
enfants
, j'avoue, dit-il, n'être pas bien sur qu'il ne s'
se et impression- nable, fatigues de la mère durant la grossesse. L'
enfant
est venu au monde avant terme et en état d'asph
énital. - 160 Idiotie. Parents : cousins issus de germains. Père,
enfant
naturel. Oncle paternel imbécile. Mère, attaques
mort de convul- sions. Mère migraineuse et nerveuse. Asphyxie de l'
enfant
à la naissance. Début de la maladie iL 14 mois.
Un frère, marin, et deux soeurs sont bien portants; ils n'ont pas d'
enfants
. Ni aliénés, ni épileptiques, ni apo- plectique
te du haut des fortifications, l'autre est bien portante et a eu 14
enfants
, dont neuf sont morts jeunes en nourrice, on ne
ment de l'argent; elle ne reçoit plus rien depuis cinq ans.) Huit
enfants
: 10 Garçon né à 8 mois, mort à 4(i jours; pas
chement àterme, naturel, sans chloroforme. A la naissance, très bel
enfant
, venu au monde sans accidents ni asphyxie. Elev
heures du matin, sa mère fut réveillée par le bruit que faisait son
enfant
en respirant. Elle se leva et le trouva raide «
pieds, » sans se débattre. L'accès a duré peut-être dix minutes. L'
enfant
est retombé dans le sommeil sans se réveiller.
ernant la conception, la gros- sesse, l'accouchement et l'état de l'
enfant
à la naissance (asphyxie, etc.). Il y aurait dè
greffe épidermique parait avoir pris, on en applique une seconde. L'
enfant
est moins agité et commence à comprendre ce qu'
avec lui les deux greffes. 4 septembre. Retour à l'état normal. L'
enfant
est tout à fait calme; il répond convenablement
est très calme. Suppression du bromure de potassium. 25 octobre. L'
enfant
se lève. 27 novembre. B... va à la petite école
- '27 mai. Autre série. 15 juin. Agitation à la suite des accès. L'
enfant
ne parle pas, mais remue constamment dans son l
de la plaie du cuir chevelu, 'guérie depuis longtemps. 28 juin. L'
enfant
est calme et commence à parler, à manger depuis
ants : Vers quatre heures du matin, le veilleur s'aperçut que cet
enfant
était pâle et qu'il avait les yeux fixes ; il aur
ées pendant qu'on envoyait chercher l'interne de garde qui trouva l'
enfant
mort. Le veilleur a prétendu quo l'enfant était
rne de garde qui trouva l'enfant mort. Le veilleur a prétendu quo l'
enfant
était couché sur le dos et qu'il n'aurait pas e
qui ont enlevé l'une de ses soeurs. II. Jusqu'à l'âge de 13 ans, l'
enfant
, qui était intel- ligent, n'a été atteint d'auc
sont montrés par séries; c'est à la suite d'une de ces séries que l'
enfant
a succombé dans un accès, probablement par asph
du côté des organes respiratoires nous pa- raissent indiquer que l'
enfant
a succombé par asphyxie dans un accès. V. Bon
lacité. - Idées de moquerie. - Actes de violences envers les autres
enfants
. - Mise en correction. - Tremblement léger des
n portant. Un grand- père serait devenu fou au dire de la mère de l'
enfant
. Pas d'au- tres aliénés, pas d'épileptiques, et
pileptiques, etc., dans la famille.] Pas de con- sanguinité. Sept
enfants
: 1° garçon, né avant terme (forceps), mort à d
été mal lié, et qui s'est produite une heure après la délivrance. L'
enfant
a été élevé au sein par sa mère jusqu'à neuf mo
le, mais il rentrait deux heures après. A dix ans, il fut placé aux
enfants
de troupe à Argentan. Il y resta onze mois. Au
, lorsqu'il avait été sale, on le faisait déshabiller et les autres
enfants
allaient, sur l'ordre de leur gar- dien, lui do
nvier 1881, il fut chassé de la caserne parce qu'il avait battu des
enfants
de quatre à six ans, il les bousculait sans motif
es et d'où il fut rendu, parce qu'il s'était masturbé avec d'autres
enfants
. Ensuite, il entra en correction à la petite Ro
48. 1881. Six jours après son entrée, il a été pris masturbant un
enfant
: envoyé vingt-quatre heures à la Sûreté'. Il est
de juillet : poids, 44 kil.85; taille, 1 ? i0. 1 cr octobre. - L'
enfant
avoue avoir eu des rapports n posteriori avec u
nvoyé il y a quatre jours pour sodomie exercée sur plusieurs autres
enfants
de la section. L'enfant pré- tend que ces rappo
pour sodomie exercée sur plusieurs autres enfants de la section. L'
enfant
pré- tend que ces rapports n'ont eu lieu pour l
embre. Certainement ils ont dû être commis déjà aupara- vant, car l'
enfant
présente à la région anale une exulcération de
arçon, rentrant de permission, se déshabillait au dortoir lorsque l'
enfant
revint des cabinets ; il le prit à bras le corp
r sortit sa verge et l'embrassa. Cet individu donnait à C... et aux
enfants
, du chocolat, du fromage, des fruits, etc. C...,
'il n'a pas dénoncé la première tentative, l'infirmier menaçant les
enfants
de les battre s'ils en parlaient. 13 octobre.
à la masturbation. 13. Il continue à attirer près de lui les autres
enfants
, les embrasse, et cherche à les toucher et à se
l est insolent, méchant, se mêle à toutes les discussions entre les
enfants
. A l'école, il est dans la première classe, mais
rier. La bouche va mieux. A la suite de masturbations énergiques, l'
enfant
a été pris d'une balano-posthite intense, avec
e. 28. La balano-posthite est guérie. Hier C... a volé à un autre
enfant
une tablette de chocolat et bien qu'on en trouve
e cellules et par manque de places à la Sûreté pour avoir battu des
enfants
plus jeunes que lui. Selon son habitude, Court.
ement général. 3 avril. On lofa pris la main dans la braguette d'un
enfant
. 0 n l'interroge et il répond qu'il demande à p
répond qu'il demande à passer aux adultes, qu'il ne peut rester aux
enfants
et qu'avec eux <t il no pense qu'à ça ». Dep
blement des paupières. 2,1 juillet. II est souvent brutal avec les
enfants
, surtout à la gymnastique où il est moniteur. H
, surtout à la gymnastique où il est moniteur. Hier il a bousculé l'
enfant
Carl... qui ne voulait pas se mettre en rang. L
ng. Les impulsions génitales ont diminué. Il ne met plus les autres
enfants
sur ses genoux pour s'entre-masturber. Parfois
e il lui arrive d'embrasser, en le mordant légèrement à la nuque, l'
enfant
Leu... Lorsqu'il bruta- lise les autres, ceux-c
as gastrique avec courbature. '14 décembre. Il y a quatre jours les
enfants
étant réunis au gymnase le soir, à une séance d
gymnase le soir, à une séance de lanterne magique, C... a attiré l'
enfant
Leu..., l'a embrassé, l'a masturbé et s'est fait
et s'est fait masturber par lui. Il continue à embrasser les autres
enfants
. Il assure ne pas avoir de rapports sodomiques
ltes, il continue venir tra- vailler à l'atelier de cordonnerie des
enfants
. Le b avril il quitte son atelier dans l'après-
elques jours, il a fait des propositions du même genre à un autre
enfant
. Ces impulsions génésiques ne s'étaient pas manif
s depuis longtemps. Il cherche le plus possible à rester avec les
enfants
; mais il ne se précipite plus sur eux comme autre
» Pourtant sa mère nous dit qu'il embrasse toujours violemment les
enfants
. Sa mère se décida à l'envoyer à l'Orphelinat d
. Le directeur en avait fait un moniteur, et lui avait confié vingt
enfants
, il s'est fait masturber par trois ou quatre d'en
oir pas essayé de se livrer sur eux, à des actes de pédérastie. Les
enfants
questionnés ont fait des aveux, et il a été ren
. Il se 'Il est difficile de faire comprendre aux parents que leurs
enfants
, étant des malades, sont au-dessous des apprent
ier les voisins; ou bien il s'assied sur le trottoir, rassemble des
enfants
autour de lui. Il nie ce fait, et nous assure ne
ur de lui. Il nie ce fait, et nous assure ne s'être porté sur aucun
enfant
à des « actes malpropres mais il aime toujours
vrer à des actes de p édérastie, ni de se faire mas- turber par des
enfants
. Il va souvent avec des femmes « pour trente so
t que son intelligence n'était pas aussi développée que celle des
enfants
de son âge. Il apprit difficilement à lire et à é
mpte qu'il était malade. Il en fut de même d'ail- leurs à l'Ecole d'
enfants
de troupes où l'on attribuait son incontinence
ins de ces établissements exami- naient avec soin cette catégorie d'
enfants
, ils s'apercevraient bien vite qu'ils ont affai
ABILITÉ MENTALE. avec des petites filles, puis il excita les autres
enfants
à se livrer à la masturbation personnelle ou ré
ent vio- lentes. Alors il cherchait sans cesse à attirer les autres
enfants
vers lui, à les toucher, se faire toucher, àpra
tes chroniques et spécialement d'une terminaison fréquente chez les
enfants
, l'idiotie. Thèse de Paris. Pison (V.). De l'
ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE DES ÉPILEPTIQUES ET DES
ENFANTS
IDIOTS ET ARRIÉRÉS DE L1CÊTRE PENDANT L'ANNÉE 1
'intéressant. Nous n'avons donc qu'à nous occuper de la section des
enfants
. Nous rappellerons qu'ils sont divisés en trois
ts' idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides; - 2° les
enfants
idiots, gâteux ou non gâteux, épi- leptiques ou
âteux ou non gâteux, épi- leptiques ou non, mais valides ; - 3° les
enfants
propres, valides, imbéciles, arriérés, épilepti
ides, imbéciles, arriérés, épileptiques et hystériques ou non. I.
Enfants
idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais INVAL
-Ils se subdivisent en deux catégories : la première est composée d'
enfants
gâteux invalides, dont la plupart sont suscepti
des, dont la plupart sont susceptibles d'amélioration; l'autre, d'
enfants
tout à fait incurables ou d'enfants atteints d'
bles d'amélioration; l'autre, d'enfants tout à fait incurables ou d'
enfants
atteints d'épilepsie ou de méningo-encéphalitc,
teux sous l'influence des accès ou des poussées congestives. IV
ENFANTS
IDIOTS, GATEUX, INVALIDES. Ces derniers ne peuv
laire des lèvres. Au 31 décembre 1887, il y avait dans ce groupe 13
enfants
ne marchant pas du tout et 7 enfants commençant
il y avait dans ce groupe 13 enfants ne marchant pas du tout et 7
enfants
commençant à marcher avec le secours d'un aide.
enfants commençant à marcher avec le secours d'un aide. Dès que ces
enfants
marchent seuls, ils sont en- voyés à la petite
nstants trop courts durant lesquels ils sont exercés à marcher, ces
enfants
restent assis sur de petits fauteuils percés d'
- Elles peuvent être relevées ou abaissées suivant 1 la taille des
enfants
, rapprochées ou écartées suivant la largeur du co
e des enfants, rapprochées ou écartées suivant la largeur du corps.
ENFANTS
IDIOTS, GATEUX. INVALIDES. V est placé un vase
fauteuils sont revêtus d'un coussin circulaire (Fig. 2 et 3). II.
Enfants
idiots, gâteux ou non, épileptiques ou non, val
. Enfants idiots, gâteux ou non, épileptiques ou non, valides.- Ces
enfants
fréquentent la petite école P,y. 2 et 3. - Faut
. - Fauteuil de gâteux. 1·'i. 4. - Escabeau servant à apprendre aux
enfants
à monter les escul (1'8 et 11 saute ? VI . PE
a trois spécimens de chaque solide. En second lieu, on apprend aux
enfants
à distinguer le, différences de volume des cône
VII 4 sont sortis définitivement ; 2 ont été transférés. Tous les
enfants
sont exercés à la petite gymnastique (sys- tème
se servent de la cuiller, de la fourchette et du cou- teau ; 5
enfants
gâteux sont devenus pro- pres (1) , grâce au
es régulières : au lever, au coucher, après cha- que repas ; 27
enfants
de la petite école vont aux ateliers une demi
tés des creux figurant un carré, un rectangle, un losange, etc. L'
enfant
applique des figures mobiles sur les figures en
oir Compte rendu pour l'année 1880, p. \I; - iSS5, p. XXXVI. VIII
ENFANTS
IMBÉCILES, ÉPILEPTIQUES, ETC. le matériel scola
sur quelques points les explications que nous avons données. III.
Enfants
propres et valides, imbéciles arriérés, instabl
l'oeillette, du lin, du chanvre, du millet, du sarazin, etc... Les
enfants
y sont conduits par PROMENADES ET DISTRACTIONS.
depuis 1881 dans la petite école. Promenades et distractions. - Les
enfants
de la grande école et ceux de la petite école q
maitres et les maitresses en profitent pour l'enseigne- ment des
enfants
. Jamais, et nous tenons à le répéter, ces prome
Mentionnons enfin les distractions diverses, commu- nes à tous les
enfants
valides : distribution de jouets (1 er janvier)
eance qu'ils mettent chaque année à nous donner des cartes pour les
enfants
de Bicêtrc et de la Salpêtrière. Nous devons ég
ust qui nous donne tous les ans l'autorisation de faire visiter aux
enfants
l'exposition des Arts décoratifs. X VISITES.
s frères Lionnet ; la distribution des prix ; ajoutons enfin que 29
enfants
ont pris part au Concours de gymnastique à Sain
missions de sortie et des congés : BAINS ET HYDROTHÉRAPIE. XI aux
enfants
de Bicêtre et de la Salpêtrière. Les résultats
resser d'une manière sérieuse de l'assistance et de l'éducation des
enfants
idiots et arriérés. Maladies épidémiques. - A
lement était-il terminé, qu'il nous a rendu des services pour nos
enfants
atteints de maladies contagieuses. Nous avons e
en juin; six décès (voir le tableau, p. XX). - En septembre, quatre
enfants
ont été atteints de scarlatine, tous ont guéri
lle de 11.862 fr. 50. Cette somme déduite du produit du travail des
enfants
(18.107 fr. 40) donne un excédent de 6.244 fr.
nné 257 fr.40 de plus que l'année 1886. L'évaluation du travail des
enfants
est faite par l'inspecteur du ser- vice d'archi
bien autrement supérieur. Il permet de donner à un certain nombre d'
enfants
un métier qui, à leur sortie, les mettra en mes
nces le permettront. Il nous aide à donner à un plus grand nombre d'
enfants
le moyen d'atténuer, dans une proportion variab
lerons encore que chaque année, l'habil- lement et la chaussure des
enfants
sont notablement améliorés et l'amélioration se
tailleur fasse la coupe des effets d'habillements] et que chaque
enfant
ait son trousseau. Le tableau suivant fait voir
t ait son trousseau. Le tableau suivant fait voir que le nombre des
enfants
qui profitent de cet enseignement est allé en p
'15'fr. la disposition des chefs d'atelier (1). Nous laissons les
enfants
choisir eux-mêmes alitant que possible leur mét
gés sur l'atelier de' couture. Le plus souvent, quand il s'agit des
enfants
idiots, les- séances d'atelier ne dépassent pas
telier de coulure a .été pourvu d'une machine à coudre et plusieurs
enfants
savent déjà s'en servir. MOUVEMENT- .D-E LA POP
MOUVEMENT- .D-E LA POPULATION. XIX 72 réputés non aliénés) et 325
enfants
(épileptiques, hystériques, idiots, arriérés, -
tes (3° section) et;nous n'avons plus été chargé que du service des
enfants
(4e section) (1). Nous ne nous occuperons don
ous ne nous occuperons donc que du mouvement : de la population des
enfants
en 1887 : XX DÉCÈS. .\ N1.1 DÍ\I1ÎOE'. qu 3
e et une petite épidémie defougéole. Nous y avons mis ensuite douze
enfants
atteints de la teigne. Comme ces enfants étaien
y avons mis ensuite douze enfants atteints de la teigne. Comme ces
enfants
étaient valides, il était né- cessaire de les o
le sous-sol-rez-de-chaussée (1) ; nous, y avons fait descendre les
enfants
; là ils prennent leurs repas- et' on leur fait
n faveur de l'érection du pavillon des cellules de la section des
enfants
et de la construction d'un pavillon ai usage de c
er en commençant par les cellules. Vous n'ignorez pas que parmi les
enfants
, il en est un nom- bre considérable atteints d'
quelques heures ou quelques jours. , Enfin, il arrive aussi que des
enfants
se sauvent ou ont com- mis plus ou moins sciemm
de malades très dan- gereux. Dans les deux cas, il y a mélange des
enfants
avec les adultes, ce qui est contraire à tous l
inistérielles, etc. Durant longtemps, j'avais remarqué que quelques
enfants
acceptaient volontiers d'aller à la Sûreté et q
pas dire, disparu, il n'en est pas moins regrettable de mettre les
enfants
dans un tel quartier, confondus avec des aliéné
s plus dangereux ; d'où des accidents possibles. - n Et puis, les
enfants
savent que là aussi, il n'y a souvent pas de pl
; j'en ai un besoin urgent aujourd'hui que la population est de 330
enfants
. D'un autre côté, la construction de nouveaux p
it-il 7 malades. Ce n'est pas tout : il y a, à l'heure actuelle, 39
enfants
du sexe masculin au Bureau d'ad- mission de l'A
vous, il y a longtemps que vous auriez fait achever la section des
enfants
. Ce n'est plus le médecin chef de service qui p
on le voit, du projet relatif à la con- tinuation de la section des
enfants
à Bicêtre. Ce proj et, examiné avec soin par le
de l'encombrement du bureau d'admission de l'Asile clinique par les
enfants
idiots et arriérés et par suite l'urgence des nou
oirs qui serait aujourd'hui à peu près terminée et de maintenir des
enfants
six mois de plus à l'Asile clinique où ils coût
ujourd'hui d'ailleurs, pour sa plus grande part, de la présence des
enfants
, dont le nombre augmente chaque année. Ce nombre
e directeur de l'Asile écrivait son rapport, le service comptait 53
enfants
(27 garçons et 26 filles); au mois d'octobre dern
ns et 26 filles); au mois d'octobre dernier, on a compté jusqu'à 65
enfants
. Bien des fois, le Conseil, la Commission de su
t de choses ; cet Asile n'étant nullement disposé pour recevoir des
enfants
, que l'on est réduit à tenir en trop grand nombre
t appropriées à cet usage. La dangereuse promiscuité de ces pauvres
enfants
gâteux ou idiots avec des adultes aliénés, soll
ion Mais l'encombrement eut été tolérable dans ces quartiers; les
enfants
n'auraient pas été, en attendant, mêlés aux alién
ent de la Commission, a proclamé la né- cessité de l'assistance des
enfants
idiots, arriérés et épileptiques : « Les servic
dont les travaux nous ont été fort uliles. Quant à la situation des
enfants
att bureau d'admission, je suis, comme M. Rouss
rs (40 lits) et des deux préaux couverts de la nouvelle section des
enfants
de Bicêtre. (1) M. Roux fait allusion au projet
. Desprès. (2) Hospice de Bicêtre. - Continuation du quartier des
enfants
idiots et épileptiques (M. Piperaud, rapporteur).
d'un projet de travaux concernant la continuation du quartier des
enfants
idiots et épileptiques à l'hospice de Bicêtre, le
cérame, à raison de la spécialité du travail. XL L ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS. Nous n'aurions pas insisté sur l'interv
sement l'Assistance publique de la catégorie la plus importante des
enfants
ré- putés incurables. Nous espérons aussi que l
ents en faveur de la création d'asiles interdépartementaux pour les
enfants
idiots, arrié- rés, épileptiques, etc. Dans l
cesser tous les graves incon- vénients qui résultent de l'envoi des
enfants
à la Sûreté et la construction d'un nouveau pav
Bureau d'admission de l'Asile clinique. V. DE L'ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS ET ÉPILEPTIQUES EN FRANCE. A maintes r
s insisté sur la néces- sité d'organiser en France l'assistance des
enfants
idiots et épileptiques des deux sexes (1) - A p
88. p. i,\v : Compte rendu de l'année 1885, p. lu. ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS. XLI rables dans lesquelles se trouvaien
le passage de la lettre de M. Des- près (1), relatif au service des
enfants
, et notre réponse. « M. Bourneville qui s'est t
ant le public médical l'historique de la création de la section des
Enfants
à l'hospice de Bicêtre, nous allons en profiter
l général, frappée de l'état hideux dans lequel se trou- vaient les
enfants
de Bicêtre, nous chargea, en notre qualité de r
e proposer au Conseil la création d'une section spé- ciale pour les
enfants
. Ce voeu fut adopté et renvoyé à l'Administrati
onse a paru dans le 7 mai (Ibid., p. 37t ! ). XLII ASSISTANCE DES
ENFANTS
ÉPILEPTIQUES. de l'inertie de l'Assistance publ
ermant un tiers de lits en trop, servait : 1° d'infirmerie pour les
enfants
atteints de maladies intercurrentes (angines, p
ffections chirurgicales (plaies, etc.) ; - 2° d'infirmerie pour les
enfants
atteints de ma- ladies contagieuses aiguës (cro
); - 3° de dortoir, de réfectoire et de salle de réunion pour les
enfants
idiots gâteux invalides, c'est- à-dire ne march
cé en tête du programme des réformes de l'Assis- tance publique des
enfants
, la création d'urgence d'une nouvelle section à
rapport matériel et sous le rapport mo- ral, le service actuel des
enfants
idiots et épileptiques doit être irrévocablemen
ous laissa la troisième, comprenant les épileptiques adultes et les
enfants
. Comme on le voit, ce sont des circonstances to
ut à fait inattendues qui nous ont placé à la tête du service des
enfants
, et nous ont mis à même de réaliser, en les com
onseil de surveillance un projet de création d'une section pour les
enfants
. L'au- teur du projet, M. Brelet - que M. Despr
son bâtiment ne contenait que 120 lits alors que la population des
enfants
était de 130, qu'il y avait à l'Administration
tre M. Brelet et que leCon- seil avait demandé une section pour 200
enfants
au moins, afin de ne plus être obligé de transf
n examen complet. Une étude quotidienne, attentive, des besoins des
enfants
, les ren- XLIV HISTORIQUE DE LA NOUVELLE SECTIO
ry pour demander au (1) Compte rendu du service des Epileptiques et
enfants
di Bicêtre, 1882, 1883, 1884. HISTORIQUE DE L
- nier Compte rendu, p. XXXIV. XLVI NÉCESSITÉ DE L ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS. Comme nous l'avons vu, la nouvelle sect
es besoins qui ne sont guère connus que des médecins des hôpitaux d'
enfants
, des conseillers municipaux et des administrate
y a ailleurs, dans la section des adultes, entre autres plus de 80
enfants
; il y en a une vingtaine au Bureau d'admission
teur de l'Asile clinique (Ste-Anne) refuse de recevoir de nouveaux
enfants
. D'où il suit qu'il reste encore beaucoup à fai
qu'il reste encore beaucoup à faire pour compléter l'assistance des
enfants
incurables à Paris et dans le département de la
nous n'avons cessé de réclamer l'agrandissement de la section des
enfants
à la Salpêtrière ou la création d'une nouvelle
- dieuse (1) La Société doit l'assistance à tous ces malheureux
enfants
pour eux d'abord, pour elle ensuite. Et comme c
heureux enfants pour eux d'abord, pour elle ensuite. Et comme ces
enfants
sont les plus déshérités parmi les enfants, à (
le ensuite. Et comme ces enfants sont les plus déshérités parmi les
enfants
, à (1) Plus tard il conviendra de créer dans le
ur les idiots adultes des deux sexes. NÉCESSITÉ DE L'ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS. RLVI( moins qu'elle n'en décide la dest
vrait être beaucoup plus étendue, - mais par l'hospitalisation. Ces
enfants
, en effet, à la maison, im- mobilisent un membr
e le Gou- vernement se préoccupe sérieusement de l'Assistance des
enfants
incurables dans les départements; il faut qu'il
t les amènent à la création d'asiles 'intercléparlementaux pour le.,
enfants
idiots, épilepti- ques, paralytiques et pervers
t rendu à Bicêtre, afin devisiter la nouvelle section consacrée aux
enfants
. Il a été reçu par M. Peyron, directeur de l'As
mnastique exécutés avec beaucoup d'ensemble et de précision par les
enfants
. Il a a été convié ensuite par M. Bourneville à
nsuite par M. Bourneville à présider la distribu- tion des prix aux
enfants
. Quoique n'ayant pas été prévenu de cette solen
vouement merveilleux de ces femmes attentives, dévouées près de ces
enfants
, et souvent de quels enfants ! Encore un mot. C'e
emmes attentives, dévouées près de ces enfants, et souvent de quels
enfants
! Encore un mot. C'est pour le Directeur de l'A
'affection la plus sincère. Bourneville, 1887. ? L ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS. Ensuite M. Fallières a donné la parole
illet de venir visiter la nouvelle section de Bicêtre consacrée aux
Enfants
arriérés et épileptiques. Durant la longue visi
tés quel- ques considérations sur l'assistance et le traitement des
enfants
réunis sous vos yeux. Je le ferai aussi brièvem
ièvement que possible. Mesdames, Messieurs, ' L'assistance de ces
enfants
remonte déjà loin. En effet, dès les premiers t
nité est redevable de la méthode de traitement et d'éducation des
enfants
déshérités sous le rapport de l'intelligence. Apr
n rapport d'Orfila au Conseil général des hospices, instituteur des
Enfants
de Bicêtre - auxquels furent ajoutés une vingtain
des Enfants de Bicêtre - auxquels furent ajoutés une vingtaine d'
enfants
de l'hospice des Incurables - par un arrêté préfe
lyp. et Educa.1. des idiots, p. 324 ; Paris, 1846, ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS. LI 21 décembre 1843, époque où, à la su
'éducation des sourds-muets, étendait ses efforts à l'éducation dcs
enfants
arriérés. Quatre ans plus tard, Seguin publiait s
lus tard son ami (2). A partir de 1850, les institutions pour les
enfants
faibles d'esprit se sont considérablement multi
énéraux publié en 1877 : Les seuls asiles qui aient des quartiers d'
enfants
; ont-ils écrit, sont, pour les garçons : Arment
vons ajouter que, sauf à Bicêtre et à la Salpêtrière, le nombre des
enfants
hospitalisés dans chicLiiidecÀs prétendus quart
e des enfants hospitalisés dans chicLiiidecÀs prétendus quartiers d'
enfants
est assez restreint. Les inspecteurs citent, pa
, gén. sur le service des aliénés en 1874, p. 92. LU ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS. Lacroix et Bricon. Dans la plupart des
Lacroix et Bricon. Dans la plupart des asiles, on trouve quelques
enfants
mêlés aux adultes, au nombre de dix, quinze ou vi
Dr Geor- ges Brown (1). t Sans Seguin, ajoute-t-il, des milliers d'
enfants
se- raient encore des idiots bavants, qui, main
depuis dix ans que la question de l'assistance et du traitement des
enfants
idiots a été reprise en France par le Conseil g
e Paris. Des améliorations ont été introduites dans le quartier des
enfants
de la Salpétrière ; la colonie annexe de l'asile
core peu, si l'on veut assurer une assistance com- plète à tous les
enfants
arriérés, paralytiques et épileptiques du dépar
560,000 fr.), à la création dans cet hospice d'une section pour des
enfants
réputés incurables, et, à ce propos, on a même
nécessaire d'assister, et surtout d'hospitaliser celte catégorie d'
enfants
. Cetto question était naturelle dans la bouche de
l ne serait pas possible d'élever un grand nombre de ces malheureux
enfants
à la dignité d'homme, de leur donner une instru
ait quand il.) In Memory of Edouard Seguin, p. 42. ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS. LUI même les assister et l'assistance n
ut plus contribuer aux charges de la communauté. Tel est le cas des
enfants
désignés sous le terme générique d'incurables,
rriérés, les paralytiques, les épileptiques, les hys- tériques, les
enfants
atteints de perversion des instincts ou de foli
t occasionnant une lourde charge. Il est commun d'observer de ces
enfants
qui dès les premiers jours de leur naissance, p
ager, une fois deux fois chaque année, jusqu'à l'admission de leurs
enfants
à Bicêtre ou à la Salpêtrière. Sans vouloir e
les durant la grossesse, il est certain que la vue constante de ces
enfants
difformes, sous le rapport physique et intellectu
est incontes- table : c'est l'influence exercée par l'aspect de ces
enfants
sur leurs frères et soeurs. Voici, à l'appui, c
r les deux derniers, je le garderais à la maison. » A côté de ces
enfants
idiots au dernier degré, il en est un grand nom
le parce qu'ils sont incapablesde suivre les exer- cices des autres
enfants
et que leurs tics, leur insuffisance mentale LI
nts et que leurs tics, leur insuffisance mentale LIV ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS. rendent la risée de leurs camarades qui
d'inquiétudes et de douleurs pour les familles. Puis, viennent des
enfants
, plus ou moins débiles au point de vue intellec
eurs, homicides, empoison- neurs, etc. Nous avons reçu récemment un
enfant
tigé do 9 ans, dont les parents ont du réclamer
les. Sont-elles pubères, elles deviennent enceintes, produisent des
enfants
que la société doit nécessaire- ment assister a
it disparu, au moins grandement diminué. Htuin, nous citerons les
enfants
affectés de maladies convul- sivos : l'hystérie
ie.. Lorsque les crises sont rares, les instituteurs conservent ces
enfants
; mais la plupart, et avec raison, les refusent
t do les mettre en apprentissage : dès qu'une crise est constatée l'
enfant
est congédié. Et de nouveaux essais aboutissent
es, trois frayaient dans les églises, attirés par le ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS. LV chant et le bruit des cloches. L'un
montrer d'une façon irré- futable, la nécessité de l'assistance des
enfants
dont nous venons de parler. Il s'agit là d'une
Qu'y art-vil à faire ? ? Nous allons le dire tout à l'heure. Mes
enfants
, Vous profitez des sacrifices faits pour vous p
éducation méthodiques, il est possible d'améliorer presque tous les
enfants
atteints de maladies nerveuses, d'en guérir com
ts puissants pour défen- dre dans leur pays la cause des malheureux
enfants
frappés comme vous dans leur intelligence. Et a
père, auprès de M. le Ministre de l'intérieur, la cause de tous les
enfants
arriérés, con- vulsifs ou réputés incurables, d
ée d'organiser dans toute la France, l'Assistance publique pour ces
enfants
, d'en faire une obligation légale et de créer des
épublique ! M. le Ministre a prononcé le discours suivant : « Mes
enfants
, mesdames, messieurs, c Je ne m'attendais pas à
Ce discours été accueilli par d'unanimes applaudissements. L'un des
enfants
, Ygonel, qui a remporté le prix d'honneur, est
Du reste, que nous manquc-t-il ici, et qu'uv,ns-notts à envier aux
enfants
du dehors ? Grâce aux soins infatigables de M. le
e lendemain, il a envoyé quatre beaux volumes qui ont été remis aux
enfants
les plus méritants par M. Imard, inspecteur, le
e tous nos parents. M. Fallières a répondu ainsi qu'il suit : Mes
enfants
, « C'est avec plaisir que je vois que les leçon
e se retirer avant la fin, a prononcé les paroles suivantes : Mes
enfants
, Je profite de l'occasion qui m'a placé au faut
sprits même prévenus et que bientôt la question de l'assistance des
enfants
arriérés sera résolue dans toute la France. J
fants arriérés sera résolue dans toute la France. Je termine, mes
enfants
, en vous engageant à vous montrer très reconnai
nce a été levée et au moment où les assistants se sont retirés, les
enfants
ont entonné la Marseillaise avec beaucoup d'ent
téressant de rapprocher de ces cas ce que nous avons observé sur un
enfant
de douze ans. » OBSERVATION II. - Enfant de dou
nous avons observé sur un enfant de douze ans. » OBSERVATION II. -
Enfant
de douze ans. Accès procursifs. - Courses accom
ées d'abolition de la vue et de l'intelligence. Chaque fois que cet
enfant
était pris d'un accès, il courait droit devant
e pirouetter du- rant le paroxysme ». Paulfini ~ cite le cas d'un
enfant
de cinq ans qui ne tombait pas au moment de l'a
ourse suivie le plus souvent de chute. Course après l'accès. , Un
enfant
norvégien (on ne dit pas son âge) courait devant
ler sur 1.(;s maladies propres des hommes, des femmes et des petits
enfants
, etc. Lyon, 1G91" thèse XXIII, de l'Epilepsie,
semblables à celui de Bootius. - Dans la note suivante, il cite un
enfant
de onze ans qui tournait en rond avant de tomber.
jour en jour, jusqu'à ce qu'elle occupât tout le corps. Lorsque l'
enfant
entra à l'hôpital, elle se caractérisait ainsi :
i- gnait dans le même recueil le fait ci-après. Observation VI. -
Enfant
de quinze ans. - Courses. Henri S..., âgé de qu
e jeune fille font remonter ce qu'elles appel- lent le grand mal. L'
enfant
pousse un cri aigu, perd connais- sance, s'agit
eux époques. L'épilepsie et peut-être la chorée trouvent chez cette
enfant
une cause dans l'hérédité. Sa mère était épilep
, d'ailleurs, dont la cause est restée inconnue. La chorée de cette
enfant
était généralement caractérisée par des mouveme
rs à l'émé- tique ri haute dose; chaque jour, pendant huit jours, l'
enfant
prit trente centigrammes détartre stibié en pot
'excès de boisson; tous deux sont médiocrement intelligents ; pas d'
enfants
. Pas d'aliénés, pas d'épileptiques, pas de diff
erveuse, mariée une première fois à dix-sept ans et demi, a eu cinq
enfants
: un a été tué à Sedan; deux sont morts, l'un d
catharre pulmonaire (il avait un eczéma) ; tous deux ont laissé des
enfants
bien portants. Sa grand mère paternelle aurait
'autres aliénés, etc., dans la famille.] Pas da consanguinité. Deux
enfants
du second mariage : 1° Fille, morte à vingt- de
n'ayant donné aucun renseignement, Peu après on s'est aperçu que l'
enfant
avait des « peurs » : il criait la nuit, on le
uptives, pas d'accidents strumeux. a A mon idée », dit la mère, « l'
enfant
aurait eu une peur avec la nourrice, puisque me
« l'enfant aurait eu une peur avec la nourrice, puisque mes autres
enfants
n'ont jamais rien eu. » A seize ans de compli
tion de porte-monnaies dans le service), soit de vente de tabac aux
enfants
. On apprend en outre que récemment, lors d'uue
peu de fatigue. 1°° mai. - Le malade se trouvant à l'infirmerie des
enfants
fait entendre subitement uue sorte de grognemen
¡ : ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 37 Grandid.... est pris dans la cour des
enfants
d'un accès dont on ne voit pas le début ; il se
met à courir dans la rampe qui est située au dehors de la cour des
enfants
, fait environ 15 mètres, puis il semble éprouve
il reste debout, ne répond pas aux questions, prend des mains : des
enfants
sa casquette tombée pendant la course. Une demi
ande école. Ils ont enfin sauté par-dessus le mur de la section des
enfants
entre le gymnase et le réfectoire de la petite
is par sa mère (16 novembre 1885). Père, quarante-neuf ans et demi,
enfant
naturel, peintre en bâtiments, n'a fait aucune
ns; le troisième, bien portant, a eu, de femmes différentes, quatre
enfants
bien portants qui ont une bonne santé. - Trois
e.] - Pas de consanguinité. DE l'épilepsie PROCURSIVE. : 49 Douze
enfants
et trois fausses couches. ' - ' . 1° Garçon, mo
ait trois à huit mois. - Jusqu'à dix mois il était comme les autres
enfants
; c'est alors qu'il eut ses premières convulsio
ndu dans la rue, malgré sa mère, il s'est associé aux jeux d'autres
enfants
; l'un d'eux ayant brisé un carreau, tous s'enf
commissariat ; il fut relâché après six heures d'emprisonnement. L'
enfant
aurait eu très peur, et à sa sortie, il était e
grand'mère put l'ar- rêter, le coller contre un mur, lui enlever l'
enfant
, il n'en continua pas moins ensuite il courir.
du malade étaient cousins germains et portaient le même nom. Deux
enfants
: 1° un mort mort-né ; 2° Notre malade. Né à te
ans, il a été placé chez un architecte; celui-ci s'est aperçu que l'
enfant
avait des absences, mais il paraît qu'alors, el
pileptiques, etc., dans la famille.] - Pas de consanguinité. Cinq
enfants
, quatre fausses couches (à 6, 4, et 3 mois) : 1
pée ; il était joueur, taquin; aimant à vagabonder avec d'autres
enfants
, mais n'a commis aucun acte répréhcnsible. - D'un
ni suicides, etc., dans la famille]. - Pas de consanguinité. Deux
enfants
: 1° un mort de scrofules à quatre ans sans avo
une carie vertébrale pour laquelle il a été soigné à l'hôpital des
Enfants
malades et qui a laissé des cicatrices. 1879. 1
une cause de préoccupation tant sur le rapport moral vis-à-vis des
enfants
de son âge que sous le rapport des dégâts matér
de la conception doit toujours être soupçonnée. Mai 1880. - Cette
enfant
, grande, assez bien développée, sans difformité
aigu.) Les trois autres sont bien portants; un est marié, a quatre
enfants
en bonne santé et n'ayant pas eu d'accidents ne
épileptiques, pas de difformes, etc.] Pas de consanguinité. Trois
enfants
: 1° Garçon mort-né durant la guerre; bien conf
s été violent, il est resté le môme. Depuis l'âge de trois ans, l'
enfant
est allé en classe et n'a jamais rien appris; i
n attribue la maladie aux ennuis et aux chagrins de la grossesse. L'
enfant
dit qu'il a eu peur d'un mouton. DE l'épileps
pileptiques, etc., dans la famille.] - Pas de consanguinité. Neuf
enfants
. - De son mari, une fille. - De son amant les s
enfants. - De son mari, une fille. - De son amant les six premiers
enfants
sont morts jeunes à la suite de con- vulsions ;
uatre-vingt-sept ans. - Pas d'aliénés, etc., dans la famille.] Deux
enfants
etune fausse couche : 1° notre malade ; 20 fausse
Accouchement à terme, naturel. A la naissance, pas d'asphyxie, bel
enfant
, fort. - Elevé au sein par une cousine. - A deu
scrofuleux. - Frère, mort à soixante-deux ans environ, a eu deux
enfants
très bien portants. D'autres soeurs sont mortes l
autre d'une affection qu'on ne peut préciser; celle-ci a laissé des
enfants
bien portants. - Pas d'aliénés, pas d'épileptiq
u, il y a deux ans, un abcès à la jambe droite avec fistule. [Père,
enfant
naturel, mort alcoolique, à l'âge de soixante a
.Grossesse bonne. Accouchement normal, à terme, sans chloroforme. L'
enfant
était bien conformé, il a été nourri au sein pa
de boisson. Mère, bien portante, ainsi qu'un frère, une saur (deux
enfants
), une autre (sept enfants). Pas d'aliénés, d'ép
ante, ainsi qu'un frère, une saur (deux enfants), une autre (sept
enfants
). Pas d'aliénés, d'épileptiques, etc., dans la fa
ts de sa femme l'a «jeté à l'eau »; il se portait bien ; ses quatre
enfants
sont vivants et en bonne santé. - Une soeur (deux
quatre enfants sont vivants et en bonne santé. - Une soeur (deux
enfants
), rien de particulier. Pas d'aliénés, etc.] - Pas
articulier. Pas d'aliénés, etc.] - Pas de consan- guinité. ' Huit
enfants
: 1° garçon, mort à trois semaines de convulsions
8° garçon, seize mois, bien portant, rien de particulier ; tous ces
enfants
sont bien conformés. - Deux fausses couches à c
d'heure DE l'épilepsie PROCURSIVE. 137 au passage et, de plus, l'
enfant
avait des circulaires du cordon autour du cou (
cinq ans. A deux ans, il ne dif- férait pas beaucoup des autres
enfants
. A celte époque, convulsions sans prodromes q
même, on a constaté que le bras gauche était pa- ralysé et que l'
enfant
remuait moins bien la jambe correspondante.
ises, l'intelligence a encore diminué et la paralysie a augmenté; l'
enfant
a aussi commencé à bégayer.' - A deux ans et de
it encore écrire, mais illisible- ment ; il connaît les chiffres. L'
enfant
mange assez proprement; il ne gâte pas, se nett
ystérie : tels sont entre autres les cas de Dewar con- cernant cinq
enfants
de la même famille (épidémie d'hystérie) . - (I
(Itilliet et Barthez. Traité pratique et clinique des maladies des
enfants
; 2° édition, t. 11, p. : Jï8, Paris, 1861.) D
hes à vingt-sept ans, pas de détails. - Un frère bien portant, sans
enfants
. Trois soeurs bien portantes, l'une a trois enfan
n portant, sans enfants. Trois soeurs bien portantes, l'une a trois
enfants
en bonne santé.- Pas d'aliénés, d'idiots, d'épi
s, etc.] Pas de consanguinité (père hollandais, mère lorraine). 8
enfants
: 1° un mort-né;- 2° un, mort à trois ans, du cho
s dans l'enfance, est bien portant, pas de chorée, marié, a eu deux
enfants
qui sont morts l'un d'une lluxion de poitrine,
ant, à huit mois, la mère a été émotionnée parla mort de son second
enfant
. Elle au- rait été prise d'un tremblement qui a
a eu lieu à terme, naturellement, sans chloroforme. On pense que l'
enfant
est resté lontemps au pas- sage : « ses accouch
'otites ni d'ophthalmies, ni de fièvres éruptives, ou de maladies d'
enfant
, du moins chez ses parents. - On attribue sa ma
in de la grossesse. « Ma mère a senti un choc en elle, et a senti l'
enfant
remuer. » Sur la période de 1857 à 1864, nous a
les notes recueillies par notre vénéré maitre (18a7-1864) : « Cet
enfant
, d'une force médiocre, a un fond d'intelligence ;
mouvements irréguliers dépendraient plutôt d'un état chloréique. L'
enfant
ne peut, seul, se soutenir sur les jambes ; s'i
», ce qui est exact. Parole. -La prononciation rappelle celle d'un
enfant
« rai trente-six ans... et demi... ma mère... d
a bouche avant de parler. Lorsqu'il parle - un peu à la manière des
enfants
- les sillons naso-labiaux se creusent, les mot
l n'avait pas d'attaque, mais était très nerveux. 11 disait que son
enfant
(notre malade), lui avait emporté sa maladie et
orte de la poitrine; elle aurait eu dans son pays, à quinze ans, un
enfant
qui est venu mort; elle est ensuite venue à Par
le est ensuite venue à Paris « faire la noce; » n'a pas eu d'autres
enfants
. - Un oncle est mort à Bicêtre aux vieillards.
e frères vivants et bien portants, qui ont eu deux, six, un et deux
enfants
, sur la plupart desquels on n'a pas de renseign
n portant, mais a eu beaucoup de convulsions étant jeune; il a deux
enfants
qui ont eu des con- 172 '2 DEUX CAS D'ATHÉTOSE
ptiques, d'aliénés, de criminels, etc.] Pas de consanguinité. -Sept
enfants
: 1° notre malade; - 1° sar- çon, dix-sept ans,
position; « Bien que j'aie eu beaucoup de misères, dit la mère de l'
enfant
, je n'ai eu que mon mari. » - Grossesse bonne,
ccouchement à terme, naturel, sans chloroforme. - A la naissance, l'
enfant
avait trois fois le cordon autour du cou; cepen
on croit qu'il n'était pas bleu; on ne l'a pas frotté. (Son second
enfant
avait un cir- culaire du cordon autour du cou e
isie ». De six à dix mois, il était si faible qu'il était «comme un
enfant
mort». A cetle dernière époque, il eut sur la t
1881. 16 septembre. - Poids, 40 kilogr. 300. - Taille, 1m,45. Cet
enfant
est gâteux et par conséquent en robe. On le fait
endarme et, par ses gestes et ses cris, attire l'attention quand un
enfant
fait mal. Il mange seul, mais ne peut se servir
uble. Enfin la chorée, sielle affaiblit un peu l'intelli- gence des
enfants
ou des adolescents, qu'elle fait parfois revenir
très intéressant de M. P. Marie sur la Sclérose en plaques chez lus
enfants
(Revue de médecine) et enfin la thèse de M. de So
ou épileptiques plus ou moins imbéciles ou déments, du service des
Enfants
de Bicêtre. Pour plus de simplicité, nous avons
ernière opinion, il faudrait avoir suivi dopuis leur jeu- nesse ces
enfants
pour pouvoir l'affirmer. Afin de se rendre comp
réquence du phimosis. Mais on sait que normalement la plupart des
enfants
en présentent dans les premières années. Ce n'e
n présentent pour ainsi dire pas. 5° Lorsque l'épilepsie surprend l'
enfant
dès le début de la vie, elle produit dans tout
plégique. - Oncle paternel goitreux. - Cousine germaine arriérée. -
Enfant
du siège. Impression maternelle persistante du
ais ou ni convulsions dans l'enfance, ni attaques de nerfs. Pas d'
enfants
avant le mariage. Elle s'est mariée tard, parce'q
le do 6 ans, bien con- formée, mais en retard pour la parole; cette
enfant
comprend bien tout, mais ne peut s'exprimer ; c
inité (la mère est de la Savoie (Latable, près de Chambéry). - Deux
enfants
: 1° Notre malade, 2° une fille morte à deux an
le reste du temps de sa grossesse à cette tortue, craignant que son
enfant
n'eût quelque chose. Elle n'en rêvait pas la nu
s avant terme, na- turellement, sans chloroforme. A la naissance, l'
enfant
était forte, a crié tout de suite et n'avait au
ou quatre ans, on s'est aperçu qu'elle n'était pas comme les autres
enfants
. Elle prenait sa petite soeur, qui avait vingt-
mps des souliers non cirés. Il faut que sa mère la nettoie comme un
enfant
, si elle veut qu'elle soit propre. Elle est a
t. Son langage, sa manière d'être, ses im- patiences sont ceux d'un
enfant
. Au point de vue mental, Marie Es... présente t
TITION DES IDIOTS. 227 % VIII. De l'état de la dentition chez les
enfants
idiots et arriérés ; Par r, sacnren. Quoiqu
e la première dentition (13 ? ) et l'auteur cite l'observation d'un
enfant
qui présentait une dent à la naissance, quoique
uent, si l'on songe combien souvent on rencontre ce retard chez des
enfants
parfaitement normaux. Si la première dentition
i. Journalier aux champs. Il s'était remarié et avait abandonné les
enfants
du pre- mier lit, dont est le père de notre mal
ytiques, etc., etc., dans la famille. - Pas de consan. guinité. 4
enfants
: 1° notre malade; - 2° fille morte en nour- ri
ps, quoique laborieusement. Pas d'asphyxie à la nais- sance, mais l'
enfant
était chétif, et « on aurait dit qu'il souffrai
ne voulait pas recevoir d'ordres. Son patron l'a renvoyé en 1882, l'
enfant
se moquant de lui et refusant do lui obéir. Il
jours, il fut repris de ses rires nocturnes. Bien que la mère de l'
enfant
eut conseillé à son mari, en menant l'enfant à
Bien que la mère de l'enfant eut conseillé à son mari, en menant l'
enfant
à Sainte-Anne, de signaler l'onanisme, il n'en
n père qui fit signe à un agent. Quand celui-ci voulut l'arrêter, l'
enfant
essaya de le faire tomber. Il fut conduit chez
in- terne disait que le malade avait cassé des carreaux, battu un
enfant
, et qu'il déchirait tout. Notre malade aimait a
t sur sa chemise une large tache de sperme. Il raconte aux autres
enfants
que chez lui, la nuit (jusqu'à cinq fois par nu
. De temps en temps il paraît triste, se tient à l'écart des autres
enfants
, ne les recherche pas, au contraire, et s'ennui
e les recherche pas, au contraire, et s'ennuie beaucoup. Les autres
enfants
ne vont avec lui que pour se faire raconter l'i
« On dit ça dans la cour », et quand on lui demande quels sont les
enfants
qui le lui disent, il répond u qu'il ne les voi
lioration, il est redevenu excité. Il jette des cailloux aux petits
enfants
, jamais aux grands ; marche à grands pas dans l
ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE DES ÉPILEPTIQUES ET DES
ENFANTS
IDIOTS ET ARRIÉRÉS DE BICÊTRE PENDANT L'ANNÉE 1
ses; sur la situation abominable du local qualifié d'infirmerie des
enfants
: tout ce qu'il y avait à dire à ce sujet a été
e pré- ambule, l'exposé des faits principaux de l'année 1883. Les
enfants
du service se divisent, nous le répétons, en tr
service se divisent, nous le répétons, en trois catégories : ° les
enfants
idiots gâteux, épileptiques ou non, mais invali
leptiques ou non, mais invalides et réputés incurables ; - 2° les
enfants
idiots gâteux oit non, épileptiquesou non, valide
propres, valides, imbéciles, arriérés, épi- leptiques ou non. Les
enfants
du premier groupe sont jusqu'à présent con= fin
particulier; 2° à marchersoitàlamain,soità l'aide des chariots. Les
enfants
du deuxième groupe vont à la petite école et ce
Mme Pape Oarpentier; huit bancs-tables à deux places faits par les
enfants
dans leur atelier de me- nuiserie ; 180 volumes
main et un infirmier. Dans le cours de l'année, la popu- lation des
enfants
ayant été augmentée par l'installation de 23 li
e nous avons puisé l'idée de la boîte qui sert à l'enseignement des
enfants
de Bicêtre. Elle serait très utile dans toutes
et de grosses lettres et nous avons profité d'une visite faite aux
enfants
par M. V. Goupy, imprimeur du Progrès mé- dical
er de nous faire fabriquer de grosses lettres en bois, afin que les
enfants
puissent les prendre et les poser sur les lettr
ui font preuve du plus grand dévouement à l'égard de ces malheureux
enfants
tous gâteux ou malpropres et dont la guérison o
l « confirmait, en ce qui concernait la bonne tenue du quartier des
enfants
de Bicétre, les éloges adressés par M. Puteaux
puits (3) et d'une salle-hangar servant de parloir aux familles des
enfants
. En août 1880, nous y avons ajouté le (1) Commi
é que cette partie du hangar fût nettoyée, blanchie et donnée aux
enfants
de la petite école ; c'est ce qui a été fait le 7
u maintenant les leçons de lecture, d'écriture, etc. En 1882, six
enfants
gâteux sont devenus propres. En 1883, quatre en
En 1882, six enfants gâteux sont devenus propres. En 1883, quatre
enfants
sont devenus propres et ont été mis en pantalon
détacherait du projet général de reconstruc- tion de la section des
enfants
la partie relative aux ateliers destinés à l'en
parce que nous te- nons à montrer qu'il est possible, même avec des
enfants
malades, d'avoir des cabinets d'aisance très bi
tenus (1). Ces ateliers ont été prévus pour une population de 400
enfants
. La population étant, en 1883, do 180 enfants seu
une population de 400 enfants. La population étant, en 1883, do 180
enfants
seule- ment, nous avons estimé qu'il était prat
non seulement au point de vue du traitement et de l'instruction des
enfants
, mais aussi au point de vue financier. L'atelie
et dont nous avons parlé plus haut, a été ouvert le 25 août avec 18
enfants
; celui du tailleur avec 9 enfants ; ce- lui du
, a été ouvert le 25 août avec 18 enfants; celui du tailleur avec 9
enfants
; ce- lui du cordonnier avec 6 enfants le 8 oct
ts; celui du tailleur avec 9 enfants ; ce- lui du cordonnier avec 6
enfants
le 8 octobre ; enfin l'ate- lier de serrurerie
e ; enfin l'ate- lier de serrurerie n'est entré en activité, avec 4
enfants
, que le 16 janvier 1884. Voici comment ont été
r l'année 1883 : XXII PROMENADES ET DISTRACTIONS. recevaient 23
enfants
choisis parmi les plus tranquilles. Nous termin
nt au concert dirigé par M. Pény, professeur de chant à l'Ecole des
enfants
, avec l'aide des aveugles musiciens et de l'orp
e des aveugles musiciens et de l'orphéon com- posé de malades. b)
Enfants
.-Les promenades se sont de plus en plus mul- ti
Enfants.-Les promenades se sont de plus en plus mul- tipliées. Les
enfants
sont allés plusieurs fois au Jardin des plantes
ils mettent chaque année, à notre disposition, des cartes pour les
enfants
de Bicêtre et de la Sal- pétrière. VISITES, C
80 et 90, dont 20 à 25 de la petite école. Dans ces promenades, les
enfants
sont accompagnes d'une voiture que l'Administra
ation a consenti à faire fabriquer spécialement pour eux. Lorsqu'un
enfant
est fatigué ou pris d'un accès, ce qui est d'ai
êtes du mardi- gras, de la mi-carême (avec déguisements), etc. c)
Enfants
de la petite Ecole. Outre la participation d'un
missions de sortie, congés. Les adultes ont reçu 2.112 visites, les
enfants
3.831. Les visiteurs ont été au nombre de 8.905
e sortie et des congés : (1) Au concert assistent non seulement les
enfants
mais encore les épileptiques adultes du service
eue de confier à un spécialiste les soins à donner à la bouche des
enfants
idiots de Bicêtre et de la Salpêtrière. Notre a
e des plus louables et il a rendu des services incontestables aux
enfants
des deux services. Bains et hydrothérapie. Aucu
E SECTION. Cette épidémie, comme on vient de le voir, a frappé 15
enfants
. L'enfant qui en a été le point de départ, entré,
Cette épidémie, comme on vient de le voir, a frappé 15 enfants. L'
enfant
qui en a été le point de départ, entré, comme n
e d'incubation aurait donc été de neuf jours chez les cinq premiers
enfants
, dont l'éruption a paru le 6 mai, en admettant
né à demander d'urgence la création d'une section spéciale pour les
enfants
idiots de Bicêtre; comment le projet élaboré pa
: 119 adultes épileptiques (51 aliénés, 68 dits non aliénés) et 178
enfants
(71 idiots, 78 épileptiques et 29 épileptiques
tiques et 29 épileptiques ou idiots réputés non aliénés). Des 178
enfants
, 80 fréquentent la grande école (1), 80 la peti
ans la cour de la petite école ou dans la cour du gymnase. Des 80
enfants
de la petite école, 8 prennent part aux exercic
1883. DÉCÉS. XXXIII Décès. Les décès ont été au nombre de 34 : 20
enfants
(au-dessous de 18 ans) et 14 adultes. Nous no
Bibliothèque médicale une observation de mérycisme survenue chez un
enfant
de cinq ans à la suite d'une variole, et guéri
Perineti (Med. pract., lib. III, sect. if, cap. 8) cite le cas d'un
enfant
de sept à huit ans qui, ayant tété des chèvres
à une fille de trois ans. - Renvoi de la gouvernante : guérison des
enfants
. - Dans la famille d'un collègue, on engagea un
n collègue, on engagea une gouvernante hystérique et ruminante. Les
enfants
, un garçon de six ans, une lille de trois ans,
irent d'elle en peu de temps à ruminer. La mère vit d'abord que les
enfants
gardaient dans les bajoues les aliments qu'ils
repas, un examen de leurs bajoues. On découvrit alors que les deux
enfants
étaient capables, jusqu'à sept heures après le
nvoya la gouvernante ruminante et la mère très énergique guérit les
enfants
bien vite par une sur- veillance incessante.
nts sur sa famille ou sur ses premières années. Il a la taille d'un
enfant
de douze ans à peine et est idiot dans toute la
à ce que le bol alimentaire fut revenu à la bouche. Chez ce dernier
enfant
, d'ailleurs, tous les phénomènes du mérycisme é
du côté de la mère. - Pas de consanguinité. 46 DU MÉRYCISME. Deux
enfants
: 1° notre malade ; 2° une fille, bien conformée,
e, lent (quatorze heures) : la tête resta longtemps au passage et l'
enfant
était tout noir en venant au monde; la tête éta
lus rapidement lorsque le repas s'est composé des mets favoris de l'
enfant
; en moyenne, il faut compter vingt minutes avan
s plutôt, croyons-nous, d'une façon successive. Car, à ce moment, l'
enfant
penche le thorax en avant en tendant le cou, gonf
es et sont, pour ainsi dire, ravalées de suite. Pendant ce temps, l'
enfant
manifeste le plus grand plaisir, et il interrom
ente à se produire et durait moins longtemps, si l'on contrariait l'
enfant
, si on changeait ses habitudes, si on lui donna
pas non plus de modifications sensibles. Après la soupe du matin, l'
enfant
rumine encore le plus souvent ; mais alors il n'y
cilement; les boissons en général nesont pas ruminées, d'ailleurs l'
enfant
souvent ne boit pas. Cependant lorsque les liqu
lquefois une suspension momentanée, lorsqu'on cherche à distraire l'
enfant
et à occuper son attention. Dans tous les cas,
tation est généralement suivie d'un accès de rire bruyant. Jamais l'
enfant
n'a de vomissements et ne rejette ses aliments.
este qu'il mâche et avale ensuite. Ajoutons, pour terminer, que l'
enfant
ne souffre nullement du mérycisme, que la santé
ésultent; puis la voracité, très marquée chez Gr... D'ailleurs, cet
enfant
étant un type parfait de mérycole, on trouve, n
nt nerveux. Deux frères bien portants, ma- riés, ont quatre et sept
enfants
tous bien portants, n'ayant jamais eu de convul
nte, pas de maladies nerveuses. Trois soeurs bien portantes ont des
enfants
très bien constitués : un seul, de sept ans, a un
ain est mort fou à l'asile de Nantes.] Pas de consanguinité. Deux
enfants
: -1° notre malade; 2° une fille, bien constituée
ux. Poids, 23 lui. 600 ; taille, 1 mètre 16. 54 DU MÉRYCISME. Cet
enfant
marche très bien, grimpe partout, mais ne sait pa
est caressant, et paraît affec- tionner d'une façon particulière l'
enfant
Perrin qui s'occupe un peu de lui. Il est impos
embre 1882, p. 663.) (Fig. '1) '. Description des accès 2. Chez cet
enfant
, les grands accès eux- mêmes n'ont jamais une g
ais que la viande. Il n'a de préférence pour au- cun aliment. Cet
enfant
, qui d'ailleurs est toujours très remuant, n'a pa
avec bruit dans la bouche. Ces phénomènes sont constants. Chez cet
enfant
les efforts sont encore moins marqués que chez
dominale. La respiration est régulière,le visage reste le même et l'
enfant
interrompt à peine son balancement ou sa promen
l arrive assez souvent que, même en dehors des accès d'épilepsie, l'
enfant
ne rumine pas après un repas, qui alors est tou
petit nombre de fois et de suite, après leur ingestion, avant que l'
enfant
n'ait pris le reste de son repas. La rumination
s au dehors. Le mérycisme semble être ici un acte physiologique : l'
enfant
a belle apparence, sa santé est bonne ; son poi
rycoles du côté du père ni de la mère.] Pas de consanguinité. Six
enfants
: deux filles mortes de bronchite, l'une à sept m
ait de suite après l'ingestion, sans effort, avec une éructation; l'
enfant
tourne les liquides deux ou trois fois dans la
tion des liquides se produise. Souvent on est tenté de croire que l'
enfant
rumine, car il fait le geste de se gargariser en
l'estomac : quelquefois même nous avons observé ce tic, alors que l'
enfant
était à jeun. Au mois de décembre 1882, on rema
l'enfant était à jeun. Au mois de décembre 1882, on remarque chez l'
enfant
de nou- veaux accidents : par moments, tout le
te vers onze heures, sans qu'on ait remarqué rien de particulier. L'
enfant
étant redes- cendu au réfectoire, est pris, en
, un gros morceau de viande qui obstruait le larynx. On l'enlève, l'
enfant
fait quelques mouvements respiratoires spontané
ileptique et à peu près démente.] Pas de consanguinité. Un seul
enfant
: notre malade. - Rien de particulier lors de la
rossesse, la mère a eu sans cesse la préoccupation d'accoucher d'un
enfant
qui ne serait pas bien portant : vers le troisi
terme, naturel, sans chloroforme. A la nllisslln, : e, la tête de l'
enfant
était très allongée : elle était restée au passag
s l'ont pris » ; lui qui, auparavant, dor- ' Nous avions soumis cet
enfant
aux infections sous-cutanées de curare à cause
le mérycisme. 1883. 10 avril. État actuel. Depuis quelque temps, l'
enfant
a beaucoup maigri; toutes les saillies osseuses
rieurs bien conformés, mais très grêles et très amaigris. Au lit, l'
enfant
se lient ratatiné, les cuisses demi- fléchies s
utre ; le mérycisme est donc aujour- d'hui complètement établi. L'
enfant
mange et surtout boit avec avidité : la masticati
a eu simultanément ingestion d'une certaine quantité de hoissuns. L'
enfant
pousse un petit cri, ouvre largement la bouche,
ubstances ingérées et suivant le moment de la rumination. Lorsque l'
enfant
n'a fait que boire, les gorgées qui remontent s
mière; plus tard, surtout si DU MERYCISME. 71 I l'on fait boire l'
enfant
, on voit apparaître des bouchées de pain. L'ing
les repas. 7 mai. L'amaigrissement est de plus en plus prononcé. L'
enfant
tousse beaucoup; sonorité normale en avant et e
- Soi1' : T. R. 40°. 8 mai. T. R. 40°.4. -Soir : 40°,4. 9 mai. L'
enfant
est mort ce matin al 7 heures. T. posl mortem : 4
tem : 40°,6. L'appétit avait beaucoup diminué les jours derniers; l'
enfant
ne huvait plus que du lait, et ne ruminait plus
élioration. Ictère. - Rougeole; 6roncho-pnewnonie,o guérison. - « L'
enfant
Cli... est gourmand, vole les aliments de ses c
pain ; puis ravale le tout. Il est idiot, gâteux, non salace. » Cet
enfant
fut atteint en 1881 d'une rougeole compliquée d
u moment de l'ingestion est excessivement court; et par suite, si l'
enfant
a ingéré les liquides au début du repas, il rum
sme estcelui de la régurgitation, que l'on observe souvent chez les
enfants
à la mamelle ou chez les gros mangeurs. Là, com
e Dr X..., ruminait il y a douze ans. Famille en bonne santé. Etant
enfant
, il eut un catarrhe gastro-duodénal de fort lon-
que celle qui a été observée par nous. En effet, sur une centaine d'
enfants
idiots présents à Bicètre, nous n'avons noté qu
xemple nouveau qui ne laisse prise à aucun doute : c'est celui de l'
enfant
Carter... qui imite avec habileté la plupart des
nt Carter... qui imite avec habileté la plupart des tics des autres
enfants
et qui a pris l'habitude de se placer devant l'en
s des autres enfants et qui a pris l'habitude de se placer devant l'
enfant
Gren... et de ruminer comme lui. II. Nouvel
s ou chez de jeunes garçons. Déjà trois d'entre eux, relatifs à des
enfants
, ont été pu- bliés'. Celui qui va suivre, de mê
pt ans, on ne sait de quoi. Deux frères bien portants ; l'un a cinq
enfants
en bonne santé. Deux soeurs dont l'une a cinq e
l'un a cinq enfants en bonne santé. Deux soeurs dont l'une a cinq
enfants
et l'autre deux, sans affections nerveuses. -- Pa
fluxion de poitrine; mère morte d'une hydropisie ; un frère a trois
enfants
; une soeur en a deux; tous sont bien portants.
ffections nerveuses dans la famille]. - Pas de cjnsanguinité. Six
enfants
: 1° une fille, morte à douze ans de fièvre typho
bonne; accouchement, à terme, sans dif- ficulté, en cinq minutes. L'
enfant
fut élevé au biberon par sa mère, marcha à dix
e trois ou quatre crises consécutives dans un laps de six heures. L'
enfant
abandonna à ce moment sa profession de verrier
ntaires et n'étaient pas suivies de somnolence. Le caractère de l'
enfant
est doux d'habitude : jamais il ne se met en co
toires sont nor- males. Les organes génitaux sont bien conformés; l'
enfant
avoue des habitudes d'onanisme assez fréquentes
ce qui est de l'état intellectuel, il est moyennement développé; l'
enfant
sait lire et écrire couramment, etc. (Voir p. 9
avons assisté. Au dire de l'infirmier chargé de la surveillance, l'
enfant
aurait eu, au début de son séjour à Bicêtre, de
anormal n'était survenu. (Attaque syncopale.) 1881. 11 janvier. - L'
enfant
étant à la classe assis et occupé à écrire est
n des bras continuent avec prédomi- nance du côté gauche. Lorsque l'
enfant
revient à lui, il est d'abord DE L'IIYS'l'BI;O-
phase de tétanisme dure environ z secondes; au bout de ce temps, l'
enfant
ouvre les yeux et prononce plusieurs fois de su
u soir, au moment où l'un de nous entrait à l'infirmerie, il voit l'
enfant
chanceler et tomber lourdement, soutenu par d'a
res, succède une trémulation convulsive et, peu d'instants après, l'
enfant
se relève de lui-même : il reste debout quelque
e. Elle débute par de grands mouvements des bras et des jambes; l'
enfant
tombe. Les convulsions reparaissent alors sous fo
le frappant. Bien que très robuste, cet homme a peine à maintenir l'
enfant
qui se débat pendant quelques instants. L'attaq
moment qu'il a perdu connais- sance. 25 janvier. Autre attaque. L'
enfant
tombe sans pousser de cri. Lesbrasse mettenten
ite, réapparition des mouvements de translation au cours desquels l'
enfant
se glisse sous un lit. 9°r février. - Attaque é
ue la seconde période de la grande attaque, dure une minute, puis l'
enfant
s'assied, regarde les assistants d'un oeil étonné
'une sensation de boule qui l'ét.reint à la gorge. 9 février. - L'
enfant
est pris d'une attaque dans laquelle on note, c
ne contrariété insignifiante, le refus de lui donner des douches, l'
enfant
tombe en attaque. On observe la période épilept
'un coup de règle appliqué par un camarade et reçu sur le vertex, l'
enfant
serait tombé en atta- que ; - 2° au niveau des
si on la prolongeait. Aura. - Interrogé de nouveau sur ce point, l'
enfant
nous a fourni des renseignements qui peuvent se
modifier par différents moyens. C'est ainsi que nous avons soumis l'
enfant
à l'action de deux forts aimants que nous avons
temps que les yeux se couvrent de larmes et se dirigent en haut. L'
enfant
est plongé dans le sommeil hypnotique et, de ce
gard une baguette de verre, pendant trois mi- nutes. On ordonne à l'
enfant
de se lever et de marcher; bien que ses yeux so
et essai demeure infructueux. Cinquième expérience (4 juillet). - L'
enfant
est mis en état d'hyp- notisme au moyen de pass
t pendant un assez long temps la posi- tion qu'on leur a imposée. L'
enfant
est assis sur le bord d'une chaise, on soulève
, on ne peut obtenir de contracture artificielle. On fait marcher l'
enfant
, les yeux fermés, comme dans les expériences pr
,i,psiE. ce sujet par les professeurs chargés de l'instruction de l'
enfant
. La première, prise à l'entrée à l'école le 9-I
écriture est nette et régulière; sans faire de progrès sensibles, l'
enfant
possède des notions d'arith- métique assez éten
pense qu'à jouer et « cherche à aller aux cabinets avec les autres
enfants
». M décembre. Intelligence assez ouverte; - ca
maintenir. » 24 mai 1882. « Lecture courante et assez expressive; l'
enfant
comprend bien les problèmes; sa mémoire est bon
nt son séjour à Bicêtre, en dehors de la névrose qui l'y a amené, l'
enfant
est généralement resté en bonne santé, à part t
recueilli les notes ci-après : 48S2. Octobre. Depuis sa sortie, l'
enfant
a exercé la profession de chaudronnier jusqu'à
n'en aurait eu que cinq ou six. Mariée à dix-sept ans, elle a eu un
enfant
au bout d'un an. Les attaques, qui avaient cessé
és ou de criminels dans la famille.] -Pas de consanguinité. , Dix
enfants
et fausses couches : 1° garçon, quatorze ans, int
mois. A trois ans, il était bien constitué, ressemblait aux autres
enfants
et allait à l'asile. C'est à cette époque qu'il
ysphagie, ni de vomissements ; selles diarrhéiques involontaires. L'
enfant
ne tousse pas ; rien à l'auscultation. Cet état
on a compté 35 accès. T. R. 40°. A la visite du matin, l'état de l'
enfant
paraît s'être notablement amélioré : il est moi
ouverts; de temps en temps, on note des mouvements de la bouche. L'
enfant
est assez éveillé, il demande spontanément à boir
ont pleines; les pupilles égales et normales; les lèvres sèches.- L'
enfant
donne lesdeuxmains quand on les lui de- mande,
ble avec le côté gauche. A partir de cinq heures de l'après-midi, l'
enfant
a cessé de parler et a refusé de boire. Il aura
circonvolution du corps calleux. RËFLHxios.I. Il s'agit, ici, d'un
enfant
qui, sauf quelques IDIOTIE ET EPILEPSIE. f 11 I
i pèse cent vingt grammes de moins que le gauche. II. Alors que l'
enfant
semblait rétabli, il a été pris de ver- tiges,
fiées par la méningite, ont décliné avec une grande rapi- dité et l'
enfant
ne tarda pas à offrir tous les symptômes clinique
hémiplégique. Si l'on se rappelle que, après la méningite aiguë, l'
enfant
avait une paralysie du côté gauche, on pourrait
tête fut volumineuse. A la naissance, pas d'asphyxie. Les yeux de l'
enfant
, dit la mère, n'étaient pas comme ceux des autr
yeux de l'enfant, dit la mère, n'étaient pas comme ceux des autres
enfants
; ils étaient presque verti- caux ( ? ), enfoncé
de volume, ce dont la mère s'apercevait parce que les bonnets de l'
enfant
de- venaient trop petits. Dans les six premiers
beron sur le conseil d'une sage-femme, qui déclara à la mère que l'
enfant
« devait avoir quelque chose dans la tête ».
quatre fois dans une même nuit. A la suite, pendant deux mois, l'
enfant
a cessé de se servir de son bras et de sa jambe g
de la tête s'est accu- sée davantage. Pas d'autres convulsions. L'
enfant
est calme, ne pleure que quand on veut le pren-
ne qu'à la base. Les sillons naso-labiaux sont très accusés quand l'
enfant
pleure, et alors la commissure labiale droite p
e malformation des organes génitaux. Léger érythème des fesses. L'
enfant
dort les paupières entr'ouvertes. Parfois, il a
entr'ouvertes. Parfois, il a des accès de cris, rappelant ceux des
enfants
de son âge et que l'on attribue à des coliques,
aux jambes et aux genoux. P. 116, régu- lier. Pendant cet examen, l'
enfant
n'a cessé de pousser des cris un peu étouffés,
de diarrhée; néanmoins, depuis quelque temps il pâlit. 17 août. L'
enfant
dépérit, ainsi que le montre la succes- sion de
clans les mem- bres inférieurs, surtout dans le droit; cependant, l'
enfant
remue également les quatre membres quand on les
eu plus marqué à gauche qu'à droite. Soir : T. R. 39°. 21 août. L'
enfant
cesse de boire au biberon et ne prend plus de l
39°. Soir : 39°,2. 22 août. T. R. 38°,9. Soir : 39°,6. 23 août. L'
enfant
ne prend plus aucune nourriture ; diarrhée peu
quelque temps à disparaître. Le même jour, à six heures du soir, l'
enfant
meurt, sans que cette mort ait été précédée de
s réuni en un tableau les diverses 2nezzsura- tions de la tête de l'
enfant
, ainsi que la succession de ses poids, qui mont
. Dès la naissance, on a remarqué le volume anormal de la tête de l'
enfant
. Durant les six premiers mois de la vie, la têt
lsifs, la tête augmente rapide- ment. Enfin, pendant le séjour de l'
enfant
dans le service, des mensurations comparatives
iption classique. L'intelligence n'était pas tout à fait abolie ; l'
enfant
re- connaissait ses parents et les infirmières
ifida comme l'un de nous en a vu plusieurs exemples à l'hôpital des
Enfants
malades, dans le service de M. Giraldès (2).
crâne, suivant la règle, étaient très (t) Clinique de l'hôpital des
Enfants
malades, 1884, p. 23. (2) Frank (loc. cit., p.
., t. II, p. 462). (4) Traité clinique et pratique des maladies des
enfants
. 2" émit., 1861, t. II, p. 172. , 132 HYDROCÉ
9 centimètres et demi. Barthez et Rilliet disent qu'ils ont vu « un
enfant
de 14 mois dont le crâne avait 58 centimètres d
p. 157). Plus loin (p. 162) ils rapportent l'observation d'un autre
enfant
dont la circonférence de la tête était de 58 ce
., tab. 7. (Frank, ibid.) ln Steiner. - Compendium des maladies des
enfants
, etc., HYDROCÉPHALIE : VARIÉTÉS. 133 atteint
HYDROCÉPHALIE : VARIÉTÉS. 133 atteint 60 à 70 centimètres ; chez un
enfant
de neuf mois, elle était de 83 centimètres : ta
80, p. 101. (1) Leçons cliniques sur les maladies chirurgicales des
enfants
rec. par Bourneville, E. Bourgeois et Bouteille
ce sujet : Giraldès. - Leçons sur les maladies chi- rurgicales des
enfants
, pages 19, 244, 368. (2) Il va de soi que, dans
et (1884, 1, p. 1072) le cas d'une primipare qu'il a accouchée d'un
enfant
màlo atteint d'une encéphalocèle. La tumeur ava
ui se fit d'ailleurs naturellement, la partie fibreuse se rompit. L'
enfant
était bien conformé dans le reste de son corps.
senté dans la fig. 47,un autre cas moins accusé. Il s'agissait d'un
enfant
mâle âgé de 9 mois, nommé Mor... Germain. L'enc
urneville, s'efforce, depuis qu'il a pris possession du service des
enfants
de Bicêtre, d'établir une classification des id
ique . Mère en bonne santé. Une scieur morte phtisique, laissant un
enfant
arriéré.] Consanguinité (cousins germains). Cin
laissant un enfant arriéré.] Consanguinité (cousins germains). Cinq
enfants
: 1° une fille, âgée de 15 ans, d'une taille ex
aient 10 à 15 minutes; elles ont cessé à 5 ans. Depuis cet âge, l'
enfant
se trouve mal pour des motifs insignifiants : l
Pas de kleptoma- nie ni de pyromanie; ni salacité ni rumination. L'
enfant
était vorace, sujet à la diarrhée; il avait un
ect permet de vé- rifier les renseignements donnés par la mère de l'
enfant
. De plus, on note la symétrie de la face, du co
ature varie entre 38° et 3; °,G. Mai. Amélioration assez notable; l'
enfant
quitte l'infir- merie et va à la petite école.
nt la mort et l'abcès du foie, la moindre rela- tion (1). II. Cet
enfant
paraissait en retard des enfants de son âge jus
a moindre rela- tion (1). II. Cet enfant paraissait en retard des
enfants
de son âge jusqu'à trois ans, époque où se sont
térie et l'idiotie. Comble rendu du service des épileptiques et des
enfants
idiots et arriérés, de Bicètre, pendant l'année
érie et l'idiotie. Compte rendu du service, des épileptiques et des
enfants
idiots et arriérés de Bicêtre, pour 1881. Un vo
s des Sociétés Savantes une affluence considérable. La question des
enfants
et des adolescents anormaux y a été traitée dans
xposé le diagnostic différentiel des anomalies intellectuelles chez l'
enfant
et indiqué les bases d'une classification scienti
n a ensuite parlé des traitements médico-pédagogiques applicables aux
enfants
indisciplinés ; ces deux premières communications
la Pierre-qui-Vire (Yonne) dont il est le directeur et qui reçoit les
enfants
anormaux de l'Assistance. M. le Dr Doyen, abordan
écide de continuer dans des séances ultérieures la discussion sur les
enfants
anormaux. Le soir, un banquet de cinquante couv
ractère chez les hystériques, chez les intoxiqués, ainsi que chez les
enfants
impulsifs ou mal élevés. II appartenait au prof
rand nombre â la séance annuelle et met en discussion la question des
enfants
et des adolescents anormaux qui a donné lieu à de
i les pupilles de l'assistance publique. Ce sont des orphelins ou des
enfants
abandonnés de leurs parents qui souvent ne leur o
celle des jeunes filles a triplé. Il est prouvé que la corruption des
enfants
se rattache avant tout â celle des parents. La cr
que l'éducation exerce une influence prépondérante sur l'avenir de l'
enfant
. Comme l'a excellemment dit M. Saint-Philippe,
t d'une œuvre de solidarité. Privé de bons exemples, il y a. chez l'
enfant
naturellement amoral, un manque d'équilibre entre
éréditaire s'ajoute une anormalité acquise dans le milieu. Entourés d'
enfants
choyés dans la famille, renseignés sur les caress
eux invalides), une infirmière étant indispensable pour deux ou trois
enfants
. 2° Au sujet de l'éducation des imbéciles, crét
es physiques bien appropriés, à une existence calme en plein air, les
enfants
arriérés acquére-ront des notions de lecture, d'é
ait faire dans toutes les écoles primaires, il faut l'appliquer à ces
enfants
, c'est urgent. A côté de l'enseignement terne et
écrire ici une méthode, voir même un procédé, destiné à apprendre aux
enfants
arriérés les premières notions de la lecture, de
ent ou dirigent, doivent consentir à se faire petits avec les petits,
enfants
avec les enfants. Dans les classes, on devra pl
doivent consentir à se faire petits avec les petits, enfants avec les
enfants
. Dans les classes, on devra placer les myopes e
i, lui, pour les explications, se tiendra près du tableau. Beaucoup d'
enfants
atteints de ces infirmités sortent à 13 ans de no
ue les moyens d'attrait, ceux qui retiennent le plus l'attention de l'
enfant
étaient les plus pratiques. Les images, jeux alph
on ; les chiffres y sont aussi indiqués. On attire les regards de l'
enfant
sur ces lettres, on les lui assemble, on forme de
attendre, puis favoriser l'effort et non le forcer en s'imposant à l'
enfant
; répandre des idées pour qu'à leur contact tombe
ent, c'est le jeu qui doit former la base de l'éducation physique des
enfants
. Dans une lettre adressée au comité d'organisat
lez instituer : il y manque la liberté, l'initiative personnelle de l'
enfant
. » Et plus loin : « Qui n'a éprouvé un sentiment
? Cela ne saurait durer : ce n'est pas ainsi que nous donnerons à nos
enfants
le mens sana in cor-pore sano, proclamé parle poè
omprendre un internat. Les premières rendront quelques services aux
enfants
aisés qui habiteront le quartier, mais pour les p
ables, l'un pour permettre les promenades, l'autre pour inculquer aux
enfants
et aux adolescents les rudiments de la culture po
ison ; c'est le meilleur moyen d'obtenir des habitudes saines que les
enfants
conserveront dans l'avenir. Fatalement, une perso
é que la discorde chez les surveillants amène le trouble chez les
enfants
pervers, amoureux eux-mêmes du bruit, du drame, e
sé. Le roi Salomon, lorsqu'il proposa de diviser en deux tronçons l'
enfant
que deux femmes se disputaient, savait qu'il avai
ions rivales se mettront assez facilement d'accord pour se partager l'
enfant
anormal. Il aura ainsi deux mères et son sort n'e
résultats pitoyables que l'Instruction publique réalise à l'égard des
enfants
normaux, ne me permet point d'espérer qu'elle fer
, ne me permet point d'espérer qu'elle fera mieux lorsqu'il-s'agira d'
enfants
anormaux. D'ailleurs, elle ne dispose d'aucun p
ient pas, faute de locaux et. d'argent, à assurer à un grand nombre d'
enfants
bien doués l'instruction qui leur est due d'une f
oins avancés que nous ne l'étions au Moyen-Age. Four en revenir aux
enfants
anormaux, je crains que le qualificatif d'anormal
'instruction scolaire, de culture intellectuelle -ou physique que cet
enfant
est capable de recevoir pour ne pas aggraver son
s dans des classes annexées à l'école ordinaire que doit être élevé l'
enfant
anormal, mais dans des établissements spécialemen
et l'on méconnaîtra les principes de l'adaptation de l'organisme de l'
enfant
. au travail et à la vie. M. Baguer, directeur
ets. — J'ai collaboré avec assiduité aux travaux de la commission des
enfants
anormaux constituée par M. le ministre de l'Instr
inistre de l'Instruction publique. La question de la sélection de ces
enfants
y a fait l'objet de nombreuses discussions. L'int
j'en ai fait ressortir la nécessité. Les établissements consacrés aux
enfants
anormaux ne sauraient se concevoir sans la collab
uelles erreurs d'appréciation un maître peut arriver quand il juge un
enfant
d'après son application au travail pour lui donne
lication au travail pour lui donner des notes scolaires. Récemment un
enfant
est amené au dispensaire pédagogique ; ses notes
organique du cœur des plus graves (persistance du trou de Botal). Cet
enfant
paresseux était tout simplement un malade dont la
On demandait au philosophe Aristippe ce qu'on devait apprendre aux
enfants
: « Ce qu'ils auront à faire quand ils seront hom
serait bien loin de répondre à sa mission, car ce qu'on y apprend aux
enfants
ne ressemble guère à ce qu'ils feront quand ils a
à formuler un souhait, j'exprimerais le vœu qu'avant de s'occuper des
enfants
anormaux, le ministère de l'Instruction publique
es surannées qui abâtardissement notre race et déforment l'esprit des
enfants
normaux. Dr Jules Voisin. — Lorsqu'il s'agit d'
l'esprit des enfants normaux. Dr Jules Voisin. — Lorsqu'il s'agit d'
enfants
considérés comme anormaux, la tâche du médecin co
oublier qu'à côté de vrais anormaux, il y a une catégorie nombreuse d'
enfants
chez lesquels les troubles ne revêtent qu'un cara
ussion à une réunion ultérieure. La craniectomie à volet chez les
enfants
arriérés par M. le docteur Doyen. Est-il possib
rés par M. le docteur Doyen. Est-il possible d'améliorer l'état des
enfants
arriérés par une opération ? Cette question est
squ'il suffît d'améliorer dans une certaine mesure l'intelligence des
enfants
arriérés pour leur permettre de vivre en dehors d
her de déterminer aussi exactement que possible quels sont, parmi les
enfants
arriérés, ceux où l'opération peut donner, presqu
Il est presque toujours facile de distinguer au premier aspect si l'
enfant
rentre dans la catégorie des sujets où l'intellig
2° Cas où l'opération est indiquée. Il en est tout autrement des
enfants
qui doivent être rangés simplement dans la catégo
des enfants qui doivent être rangés simplement dans la catégorie des
enfants
arriérés et qui ont commencé à causer tard, mais
. Un bon signe en faveur de l'intervention chirurgicale est que ces
enfants
soient conscients de leurs besoins naturels, qu'i
fres, sans savoir les grouper. Il est incontestable que, chez de tels
enfants
, l'intelligence a commencé à se développer, mais
férieure à la normale. Qu'elle opération faut-il pratiquer chez les
enfants
arriérés ? Je ne veux pas ici discuter les opér
s les quelques semaines qui suivirent l'opération, à ce point que ces
enfants
qui connaissaient à peine les lettres et les chif
à compter et faisaient au bout de quelques mois des additions. Les
enfants
prennent en même temps conscience du milieu qui l
ragma. 11 est donc très important de bien déterminer quels sont les
enfants
arriérés qui sont justiciables d'une intervention
e appréciable. Le Dr Doyen présente à la fin de sa communication un
enfant
arriéré, qui a été opéré de large craniectomie du
é opéré de large craniectomie du côté droit, le 8 juin dernier. Cet
enfant
présentait, en outre de l'insuffisance de dévelop
té pratiqué le 13 juin. On peut juger, aujourd'hui 18 juin, que l'
enfant
se tient parfaitement sur ses jambes, qu'il parle
ures : questions à l'ordre du jour : La paresse et la mollesse chez l'
enfant
— L'adaptation de l'organisme au travail : Rappor
amedi 3 Août : Le matin à 9 heures : question à l'ordre du jour : Les
enfants
indisciplinés. — Procédés médico-pédagogiques qui
école primaire. D R BÉRILLON : Examen médical et psychologique d'un
enfant
anormal ; les éléments fondamentaux du diagnost
du dressage. M . le D R WITRY (de Trêves) : Les établissements pour
enfants
anormaux en Allemagne.. M"* MULOT, directrice
'école primaire. Dr Bérillon : Examen médical et psychologique d'un
enfant
anormal ; les éléments fondamentaux du diagnostic
s du dressage. M. le Dr Witry (de Trêves) : Les établissements pour
enfants
anormaux en Allemagne.. M"* Mulot, directrice d
ions qui sont du domaine de la vue, mais on dirait qu'il supprime à l'
enfant
aveugle le bienfait des perceptions qui lui reste
premier exercice auquel il serait bon de soumettre les activités d'un
enfant
aveugle. Mais n'oublions pas que le sens muscul
dessin, qui est l'exercice le plus fréquent dans la vie scolaire de l'
enfant
, y remplit habituellement ce but. La ligne par sa
etrouvons toujours un champ d'exploration limité par des lignes que l'
enfant
aveugle peut associer lui-même. C'est là un trava
on bébé est fière, et il n'est pas rare de l'entendre nous dire : Mon
enfant
sait lire, ou saura bientôt lire, il connaît ses
nées avant la réalisation de la lecture courante. Cela, vrai pour les
enfants
bien doués, est infaillible pour les moins favori
on des éléments de notre langue. Vous avez voulu faire lire à votre
enfant
le mot papa, par exemple, et vous lui avez dit :
n = man, Maman. Que vient faire ici cet é dans pa ; embrouiller l'
enfant
simplement. Voici la clef d'une méthode plus ra
d, mais dans un ordre parfait. Cette méthode conduit insensiblement l'
enfant
à travers les difficultés qu'il surmonte sans eff
surmonte sans effort. Parmi de nombreux cas, je citerai celui d'un
enfant
de douze ans qui à la suite de convulsions était
ment intellectuel était presque nul (il ne dépassait guère celui d'un
enfant
de deux ans) ; de plus, il devait être classé par
ment très court, à lire couramment et dans n'importe quel livre à des
enfants
très en retard qui n'avaient jamais pu se plier a
pression on faisait sourdre du colostrum. La malade sentait remuer l'
enfant
, et comme les femmes enceintes, avait des envies
vrance aura lieu dans cinq semaines. Au bout de ce laps de temps, l'
enfant
n'étant encore pas venu et le ventre continuant à
ne femme morte en couches. Cet esprit tourmente les femmes en - mal d'
enfant
et cause la mort des nouveaux-nés. (4) Esprit m
la genette ou civette, tourmente surtout les femmes enceintes et les
enfants
. (17) Encore un esprit ou revenant. (18) Encore
en couches ; aussi, lorsqu'il y a dans une maison une femme en mal d'
enfant
, a-t-on coutume de suspendre à la porte et aux fe
deur de la patrie, ce capital moral que nous devons transmettre à nos
enfants
. Nous devons nous attacher d'autant plus à cette
ar centaines, les assemblées étaient surtout composées de femmes et d'
enfants
. Les mécréants et les rationalistes qui témoignai
surtout dans la petite ville de Gross-Almerode. Ce furent surtout les
enfants
qui en présentaient les manifestations, et cela à
rentes ; symptômes nerveux des foules ; public composé de femmes ou d'
enfants
, cerveaux crédules, suggestifs, dépourvus d'espri
ainsi qu'elle-même, joui d'une excellente santé. Mariée, elle a cinq
enfants
. Vers 1876. elle est poursuivie, avec ses enfants
Mariée, elle a cinq enfants. Vers 1876. elle est poursuivie, avec ses
enfants
, par un taureau furieux ; elle en éprouve une gra
guérison en pratique. (Voir Discussion, page ii). PÉDAGOGIE DES
ENFANTS
ANORMAUX Les anormaux à l'Établissement médico-
arle Dr L. Dufestel, Médecin inspecteur des Ecoles. La question des
Enfants
anormaux est toute d'actualité : Les pouvoirs pub
e avait créé à la Salpétrière, à Bicétre et à Vaucluse des services d'
enfants
idiots et à peu près incurables. Elle ne prenait
ôpital, ni à la maison de santé. Il semble qu'on ait voulu éviter à l'
enfant
le souvenir de la pension ou de l'école où il éta
le et M. Quinqué l'applique avec méthode. Il veut être le père de ces
enfants
, se faire aimer d'eux, et il y réussit. (1) L'a
ée avec tant d'autorité par M. le Dr Variot, médecin de l'hôpital des
Enfants
Malades. L'enfant se sent chez lui, entouré d
par M. le Dr Variot, médecin de l'hôpital des Enfants Malades. L'
enfant
se sent chez lui, entouré d'affection : il n'a pl
end au sous-sol, une salle de bains avec l'hydrothérapie, où tous les
enfants
passent chaque jour. Au rez-de-chaussée se trou
t de la lumière partout, des papiers clairs et gais, font oublier à l'
enfant
le dortoir de son ancien lycée. Les tilles sont
nuel avec établis de menuisier et tours mus par l'électricté pour les
enfants
travaillant le fer, ainsi qu'un beau gymnase couv
employées pour améliorer ou guérir les anormaux perfectibles. Chaque
enfant
est examiné séparément, et le maître ne lui deman
ypnose. Il nous dit avoir obtenu de sérieux succès et avoir guéri les
enfants
qui se mangent les ongles,par exemple, et ceux at
. On peut,parait-il, développer ainsi les sentiments affectifs chez l'
enfant
. Quels seront les résultats obtenus chez les an
'il y a là une méconnaissance complète des lois de la croissance de l'
enfant
. L'arriéré qui est aussi souvent un arriéré physi
l'école, c'est, à notre avis, la négation absolue des besoins de cet
enfant
. C'est méconnaître les lois physiologiques de s
onie de Vaucluse). Par débiles, d'une façon générale, j'entends ces
enfants
— et ils sont légion, surtout dans les grandes ag
ccidents au moment de la naissance ou des premiers âges de la vie — .
enfants
, dis-je, qui présentent une série de défectuosité
dres physiques s'associent des troubles de l'intelligence, classant l'
enfant
parmi les débiles. Comme je l'ai déjà dit, le d
jets, chaque sujet présentant une graduation différente suivant que l'
enfant
est au-dessous de 10 ans, de 13 ou de 16 ans. L
'interrogatoire portant sur 20 sujets, et expérimenté sur une série d'
enfants
normaux, a constamment donné un maximum de (00 po
points peut donc être considéré comme représentant la normale et les
enfants
arriérés se classeront sur une échelle de 0 à 100
sur une échelle de 0 à 100 points. L'expérimentation sur plus de 400
enfants
a montré que le chiffre limite entre la débilité
est rarement indemne chez le débile et, pour peu que l'entourage de l'
enfant
n'ait pas été soigneusement sélectionné, pour peu
eu nombreux, mis à part — ce sont, dans la plupart des cas, les mêmes
enfants
qui sont en jeu. Il ne me parait, cependant, y
le : 1° Utiliser au maximum la somme disponible d'intelligence de l'
enfant
, lui apprendre un travail manuel, le préparer si
préparer si possible à la vie sociale commune ; 2° Sélectionner les
enfants
de façon à combattre les prédispositions morbides
res de la contagion. C'est pour tout individu, qu'il soit adulte ou
enfant
, un danger permanent dans la société, que la cont
inel, pour ne parler que des états qui nous occupent. Or, dès que l'
enfant
s'est fait pour lui-même cette sorte d'« auto-cla
e ici que des faits multiples que j'ai pu observer par moi-même : tel
enfant
, sur la limite de la débilité et de la normale, s
, comme une non-valeur qu'on garde, mais dont on ne s'occupe pas. L'
enfant
, d'abord vexé et chagriné de ce qualificatif, en
créé, un être à part catalogué, de son aveu personnel. Que ce même
enfant
soit placé dans un établissement spécial le plus
nti-ment d'impuissance, d'infériorité, sentiment souvent exagéré, cet
enfant
entoure de camarades de même niveau intellectuel,
là un des côtés importants de l'établissement spécial d'arriérés ; l'
enfant
, lorsqu'il y est placé à temps (je répète cette n
maisons de répression ou colonies pénitentiaires dans lesquelles les
enfants
, traités comme des criminels, s'habituent fort bi
rneville • c'est le plus tôt possible, dès qu'on s'est aperçu que « l'
enfant
n'est pas comme un autre » et celte précocité du
écocité du placement est d'une importance capitale pour l'avenir de l'
enfant
: elle empêchera les mauvaises fré- quentaiio
les débiles en vicieux, en alcooliques, en aliénés ; elle empêchera l'
enfant
d'en arriver à se consi-dérercomme un impuissant
n maximum d'action ; c'est, en un • mot, grâce à ces conditions que l'
enfant
sera placé dans les ¦¦ circonstances favorables »
tion gastrique, qu'il faut attribuer les phobies nocturnes des jeunes
enfants
. Chez les sujets atteints de troubles cardiaque
eur incertaine de torches fumeuses commence le récit des malheurs des
enfants
du prophète. Les lamentations des auditeurs scand
tari. De nouveau, la cérémonie débute par le récit des malheurs des
enfants
du Prophète. De nouveau des gémissements, ressemb
tinet, fait de chaînes, à la main. Encore une fois les malheurs des
enfants
du Prophète sont récités. Tout à coup dans une cl
es plus caracté-risques. C'est en effet par le récit des malheurs des
enfants
du prophète que se trouvent provoquées les impuls
es questions mises à l'ordre du jour pour l'an prochain est celle des
enfants
anormaux, dont nous nous sommes si amplement occu
set 19. — I.okam dit un jour à son fils par voie d'admonition : O mon
enfant
! n'associe point à Dieu d'autres divinités car l'
vinités car l'idolatrie est une grande iniquité. Verset 15. — O mon
enfant
! ce qui n'aurait pas le poids d'un grain de mout
jour, car il est pénétrant et instruit de tout. Verset 16. — O mon
enfant
! Observe la prière, ordonne le bien, défend le m
met en garde contre toute tentative qui pourrait gâter le naturel des
enfants
, les « dénaturer » pour ainsi dire. L'intervent
e Khalife des musulmans, avait ordonné défaire apprendre par cœur aux
enfants
le fameux poème de Lamiet-ul-Arab, de Chen-Féra,
élèves, il était d'avis que cette façon de procéder à l'éducation des
enfants
amènerait de fâcheux résultats « l'homme, disait-
ème Calife, a dit en outre : « Ne restreinds pas l'éducation de ton
enfant
pour ton époque, car il est créé pour un temps au
l'Ecole de psychologie. Que devenaient chez les peuples anciens les
enfants
idiots ? En même temps que les débiles et les ché
eu appelé Leschée où s'assemblaient les anciens de chaque tribu. Si l'
enfant
était bien constitué, il recevait un apanage et l
evait un apanage et l'Etat veillait à ce qu'il fût bien nourri ; si l'
enfant
était chétif ou contrefait, il était précipité da
atiqué par le père. Celui-ci avait le droit de ne pas reconnaître son
enfant
, et alors s'en débarrassait. Des philosophes te
l'omnipotence du père subsistait : il ne présentait aux anciens que l'
enfant
qu'il voulait garder. Même chez eux la rigueur de
t un degénére. (Collection Gaudin), Banyans des Indes qui jettent l'
enfant
dans le Gange si, au bout de trois jours, il n'es
t les non-valeurs : arriérés, épilepti-ques, idiots. On redoutait ces
enfants
, leur présence portait bonheur à la famille. Le
nt de sépultures. Fig. 12. — Terre cuite de Tanagra représentant un
enfant
méningitique On les aurait trouvées éparses dan
u goût de l'artiste. Parmi ces ligures, celles qui représentent des
enfants
idiots et arriérés sont des plus fréquentes. Un
xceptionnelles. L'une d'elles (fig. 12) pourtant mérite attention. Un
enfant
est couché sur une sorte de fauteuil long, pas as
ches sérieuses, presque toujours on en découvre la genèse. Voici un
enfant
qui fait une chute d'une certaine hauteur : « Mal
d'un membre entraîne l'incapacité fonctionnelle de tout le membre. L'
enfant
, persuadé qu'il ne peut remuer les doigts, puisqu
ique. Peut-être objectera-t-on que le traumatisme, dans le cas de l'
enfant
, par exemple, a pu développer l'hystérie, et que
que. Le père buvait ; la mère était assez nerveuse. La malade fut une
enfant
craintive. Mariée à 21 ans, elle eut deux enfants
e. La malade fut une enfant craintive. Mariée à 21 ans, elle eut deux
enfants
qu'elle a perdus, ce qui lui a causé un grand cha
mi-nus, dans les ruisseaux. Et parmi eux sont des femmes, surtout des
enfants
. On peut deviner ce que devient la moralité de ce
faite aux restaurateurs, cafetiers, hôteliers, do recevoir jamais des
enfants
seuls, ou du moins non accompagnés de grandes per
ohilef. le bruit se répandit tout à coup dans un village qu'un pauvre
enfant
, âgé de deux ans, était le fils du diable. Les ha
vol, décident de se procurer le talisman. Ils s'emparent d'un pauvre
enfant
nommé Schapanof, l'entraînent dans un ravin malgr
oisi et de faire passer dans la fente, un nombre de fois déterminé, l'
enfant
porteur de l'infirmité, son père et sa mère se te
60-cage normand » où l'on ne voie des paralytiques, des boiteux, des
enfants
chétifs se traîner péniblement jusqu'à la chapell
es. Maloine, Paris. 3 fr. 50. Dr Maurice Roger. De l'assistance des
enfants
anormaux et de ses résultais au point de vue soci
eunes élèves. Si ces ouvrages sont en vers, la forme devient pour les
enfants
aussi intéressant que le fond. N'est-il pas nat
Dans le système moderne, lui-même, les mulsumans, font apprendre aux
enfants
, comme par le passé, seulement la lettre du Coran
ettre du Coran en arabe, sans les initier à son esprit. Evidemment un
enfant
dont l'esprit n'est pas encore formé, sera plutôt
our lui vide de sens, sans en rechercher la signification. De même un
enfant
n'éprouverait pas le même plaisir à contempler un
ple, un jouet préféré. Peut-être est-ce en constatant ce fait que l'
enfant
se complaît mieux aux joies physiques et matériel
tellectuelles que les musulmans se sont contentés d'enseigner à leurs
enfants
en bas-âge, la lecture seule du Coran en arabe. S
es musulmans, comme un acte de dévotion, ils cherchent à y habituer l'
enfant
en lui faisant consacrer une partie sensible de s
et. C'est sous cette influence que l'éducation musulmane enseigne aux
enfants
la sobriété, la modération et la sagesse dans leu
fluence encore que la pédagogie chez le musulman tend à apprendre à l'
enfant
à combattre ses passions. On prétend que le man
on aussi complexe et délicate de dire qu'à mon humble avis habituer l'
enfant
à combattre ses passions, c'est le mettre dans un
Mahomet on doit s'efforcer, en matière de pédagogie, d'enseigner à l'
enfant
, d'une manière positive, la vérité des choses qui
complètement dans leur vie sociale et dans la façon d'instruire leurs
enfants
à la loi de Mahomet. Par conséquent, ils ne saven
nnuelle de Juin 1907. — Présidence de M. le Dr Jules Voisin {suite)
Enfants
idiots et arriérés dans l'iconographie antique,
'Université de Bordeaux, chargé du cours des maladies mentales. Les
enfants
mentalement anormaux ou anormaux psychiques sont
très en retard dans ce mouvement général en faveur de l'éducation des
enfants
anormaux, et il n'y existe nulle part pour eux d'
palement à Paris, à Lyon et à Bordeaux. A Bordeaux, la question des
enfants
anormaux a déjà presque une histoire. Sans parl
figurait la psychiatrie, et qui comprenait des consultations pour les
enfants
des écoles communales, sans parler non plus des p
1903, qu'a été discuté, dans un grand débat, le problème général des
enfants
anormaux. Je rappellerai en outre que le Dr Jac
férence des plus instructives sur « l'Assistance et le traitement des
enfants
arriérés, en particulier des arriérés des écoles
te époque, le premier jeudi de chaque mois, à l'Hôpital suburbain des
Enfants
de la route du Médoc. Cet hôpital vient en outr
et de M. le Dr de Nabias, abordait la partie scolaire du problème des
enfants
anormaux. Après examen, il fut reconnu qu'il ét
le commencement, c'est-à-dire par le recensement et le classement des
enfants
anormaux des écoles. Afin de mener à bien cette
rédigé par le Dr Abadie, secrétaire. La statistique méthodique des
enfants
anormaux des écoles des garçons de Bordeaux sera
s de Bordeaux sera bientôt complétée par une statistique analogue des
enfants
anormaux des écoles de filles qui, on peut le pré
re dans notre ville, en vue de l'éducation spéciale que réclament ces
enfants
. Voici comment nous comprenons, sous une forme
— L'expérience a partout démontré que l'école spéciale autonome pour
enfants
mentalement anormaux vaut infiniment mieux que la
deaux à un chiffre global de 800 à 900, c'est donc une moyenne de 200
enfants
environ que contiendrait chacune des quatre école
e garçons et 4 classes de filles, si les sexes restent séparés. Les
enfants
seraient répartis dans ces classes d'après leur é
sont à la fois nécessaires et du plus heureux effet vis-à-vis de tels
enfants
, assimilables, dans une certaine mesure, à des ma
aboration étroite et intime avec les maîtres, il examinerait tous les
enfants
à leur arrivée, dresserait leur fiche médicale, p
paraissent devoir être prises en vue de l'éducation, à Bordeaux, des
enfants
mentalement anormaux des écoles. Les difficulté
de Laryngologie, M. Boisviel a rapporté récemment l'observation d'un
enfant
de six ans atteint de bégaiement qui disparut par
un demi-centimètre de la luette, sans anesthésie pour impressionner l'
enfant
. A cette même Société M. Castex a rappelé qu'il
lances dans la vie sont causées par la faiblesse physique ; aussi les
enfants
doivent-ils faire chaque jour des exercices physi
annuelle de Juin 1907. — Présidence de M. le D' Jules Voisin {fin)
Enfants
Idiots et arriérés dans l'iconographie antique,
aussi ont-il pris ce monstre comme symbole de la vie heureuse. Les
enfants
indisciplinés : procédés médico-pédagogiques qui
ériode où ils sont le plus accentués sous le nom de l'âge ingrat. Des
enfants
et des adolescents, qui s'étaient montrés jusqu'a
Dans la pratique courante, le médecin appelé à donner ses soins à un
enfant
s'empresse de pourvoir au plus pressé. Il se préo
sauvegarder d'abord l'existence. Si la maladie ne met pas la vie de l'
enfant
en danger, il institue une médication efficace co
elle se prolonge quelque peu, laisse toujours dans l'état mental de l'
enfant
des séquelles mentales qui affectent et modifient
ttent pas de faire mieux. Un grand nombre de parents, lorsque leurs
enfants
sont atteints d'unemaladie présentant quelque gra
eurs mois, faisait preuve d'un caractère des plus irritables. Cette
enfant
, qui jusqu'alors s'était montrée affectueuse, doc
céder à tous les caprices de sa petite fille. La guérison survenue, l'
enfant
avait conservé l'habitude de crier dès qu'on cess
mère, vivant dans une inquiétude perpétuelle, ne cessait de porter, l'
enfant
dans ses bras. Du matin jusqu'au soir, elle n'éta
de jouer avec elle et de lui chanter des chansons. Pendant la nuit, l'
enfant
ne dormait que si elle avait la tête appuyée sur
aient des indigestions. Enfin, la mère comprenant que la santé de l'
enfant
ne pourrait long- temps résister à un pareil
passer dans une pièce voisine et 4 ne. pas s'émouvoir des cris de son
enfant
, j'installais lapetite fille dans un fauteuil à c
tion de se montrer désormais plus énergique, repartit en emmenant son
enfant
absolumenttransformée au point de vue du caractèr
t mois que la guérison de l'enfanta été obtenue. Très intelligente, l'
enfant
a-, conservé le souvenir de son voyage à Paris. E
fort gentille et parle avec sympathie du médecin qui sait rendre les
enfants
bien sages. * A côté de ces cas nombreux où u
ucoup de parents font preuve d'une telle faiblesse à l'égard de leurs
enfants
que ceux-ci sont, pour ainsi dire, élevés à l'éco
cole de l'indocilité. Le fait est surtout frappant lorsqu'il s'agit d'
enfants
élevés par des grands-parents. Cela est si vrai q
e présente au dispensaire pédagogique de la rue St-André-des-Arls, un
enfant
chez lequel la disposition à la désobéissance est
sance est devenu un état habituel, je n'hésite pas à déclarer que cet
enfant
a dû être élevé par des grands-parents. Les répon
âcheuse influence exercée par les grands-parents sur le caractère des
enfants
pourrait être mis sur le compte d'une exagération
que les grands-parents cèdent et s'inclinent devant les volontés de l'
enfant
confié â leurs soins. * * La suggestibilité,
urage jouent un rôle prépondérant dans la formation du caractère de l'
enfant
. Lorsqu'on se trouve en présence d'un enfant in
tion du caractère de l'enfant. Lorsqu'on se trouve en présence d'un
enfant
indocile, se montrant rétif, porté à la désobéiss
nseils. Comme l'a dit justement Jean-Jacques Kousseau, le caprice des
enfants
n'est jamais l'ouvrage de la nature, mais celui d
mais celui d'une mauvaise discipline. Cela est aussi vrai, pour les
enfants
dont la tendance à l'indiscipline a son point de
r ceux dont l'impulsivité est symptomatique d'une névrose. Chez les
enfants
atteints d'hystérie, d'épilepsie, de chorée et mê
, l'éducation doit être d'autant plus ferme que les dispositions de l'
enfant
à l'impulsivité sont plus apparentes ; or, c'est
plus apparentes ; or, c'est généralement le contraire qui arrive, les
enfants
atteints de troubles nerveux étant souvent, par c
e l'éducation collective. Quand l'indocilité est confirmée, quand l'
enfant
se montre véritablement réfractaire à la directio
que l'emploi de l'hypnotisme en constitue l'élément fondamental. Les
enfants
indociles et insociables à l'état de veille, devi
stances dans lesquelles il est absolument nécessaire de séparer l'
enfant
de son milieu habituel et de traiter dans un étab
lle et morale les plus capables de favoriser l'évolution normale de l'
enfant
, on obtient, avec la plus grande facilité, des gu
cteur Jules VoiSix médecin de la Salpétrière Il règne, au sujet des
enfants
anormaux et en particulier des idiots un certain
gence a subitement disparu. Ses parents l'attribuent à ce fait que, l'
enfant
étant portée sur les bras d'une bonne atteinte d'
tout à coup atteinte d'une crise dans un escalier et laissa tomber l'
enfant
sur la tète. C'est à ce traumatisme crânien que
l'évolution intellectuelle. Malgré tous les soins, l'état de cette
enfant
est demeuré stationnaire. Par contre, dans la mêm
euré stationnaire. Par contre, dans la même section, plusieurs autres
enfants
du même âge, porteurs de stigmates physiques de d
tabli pour l'examen rapide et complet, médical et psychologique, d »s
enfants
anormaux. M. le Dr Paul Farez, délégué de la So
es. Un des plus célèbres, Alfred de Musset, dans Les Confessions d'un
enfant
du siècle raconte (chapitre III) que sa maîtresse
jusqu'au soir. Pleurer devient leurprincipaleoccu-pation. Il C3t des
enfants
et des femmes qui se mettent à pleurer avec une f
s la psychothérapie. ¦2° L'hypnotisme et l'orthopédie mentale : Les
enfants
et les adolescents anormaux : retardataires, inst
¦19, rue Saint-André-des-Arts. Ces consultations sont destinées aux
enfants
et aux adolescents anormaux (retardataires, insta
ura lieu un dimanche à l'Etablissement médico-pédagogique de Créteil (
enfants
et adolescents retardataires et nerueux), sous la
crée à l'étude des dégénérescences mentales et des psychoses chez les
enfants
. Les leçons, toujours complétées par des présenta
te cet enseignement de la pathologie mentale et nerveuse chez les
enfants
explique son succès considérable. Il intéresse no
is aussi les professeurs spéciaux qui se consacrent à l'éducation des
enfants
anormaux et des arriérés. L'Ecole de réforme de l
'ont jamais fait de gymnastique. L'observation nous apprend que les
enfants
les mieux portants et les plus vigoureux sont aus
op d'importance aux impressions qui peuvent atteindre le cerveau de l'
enfant
. Dernièrement, M. Gaze dans une conférence crit
critiquait la prière que nous faisons dire tous les jours aux petits
enfants
: « Maintenant que je suis couché pour dormir, si
'était une faute grave que d'évoquer journellement dans l'esprit de l'
enfant
la pensée non seulement de la mort, mais de la mo
e continuellement ne pouvait causer une mort prématurée. L'âme de l'
enfant
est tout à fait impressionnable. Il ne faudrait p
tout à fait impressionnable. Il ne faudrait pas laisser l'esprit de l'
enfant
s'appesantir souvent sur l'idée de la mort, mais
infini devrait bien entendu pénétrer dans l'esprit et dans l'âme de l'
enfant
chaque jour ; la pensée ou la contemplation de la
'importe quelle crainte est aussi dangereuse pour l'adulte que pour l'
enfant
et surtout pour les personnes âgées,les infirmes
eait convenir à la vieillesse. Nous avons lu récemment la mort d'un
enfant
en bas âge qui mourut de sénilité. La jeunesse
L'élimination de l'idée de crainte devrait être le premier objet de l'
enfant
. Carlyle a raison de dire qu'aucun homme ne peu
Saratoga jouit d'une santé parfaite. Il est directeur d'un Home pour
enfants
; il prêche encore souvent ; il a 94 ans et est s
isme et la suggestion ; D'Jean Abadie (de Bordeaux) : Recensement des
enfants
anormaux des Écoles publiques de garçons de la vi
ant qu'un certain nombre d'infanticides ou tout au moins d'abandons d'
enfants
, dans l'espèce humaine, pourraient avoir une caus
lle devint absolument inabordable. Nous voulûmes alors soustraire son
enfant
à ses interventions, ayant le désir de l'élever e
nstinct de meilleure reproduction de l'espèce mais la crainte que son
enfant
qui forcément sera élevé dans de mauvaises condit
s pas, sans l'expliquer, observé Ces cas d'essais de destruction d'un
enfant
qui comme on dit vulgairement « vient mal » c'est
enfant qui comme on dit vulgairement « vient mal » c'est-à-dire d'un
enfant
dont la santé est délicate et qui successivement
sles conditions de cet accouchement pour, bien entendu, conserver son
enfant
, tout en le cachant, et qui tout à coup le suppri
ion dont elle est entourée, son gagne-pain, et conséquemment lui, son
enfant
, les soins et les secours dont il a besoin, est-c
a mère par l'idée des dangers immédiats ou futurs que peut courir son
enfant
. Nous ajouterons que dans la suite de cette étude
ésirée, alors qu'une impression ou suggestion était insuffisante. L'
enfant
de six ou sept ans aime mieux s'amuser que faire
pt ans aime mieux s'amuser que faire son devoir. Si le père dit à l'
enfant
une seule fois : fais ton devoir, l'enfant contin
voir. Si le père dit à l'enfant une seule fois : fais ton devoir, l'
enfant
continue à s'amuser et n'exécute pas la suggestio
re réitère vingt fois la suggestion en variant la formule, il dit à l'
enfant
: « Fais ton devoir, tu as assez joué, mets-toi
as la tête, sois sage,etc.,etc.z-, et ainsi de suite jusqu'à ce que l'
enfant
fasse son devoir. L'enfant sous l'influence de ce
etc.z-, et ainsi de suite jusqu'à ce que l'enfant fasse son devoir. L'
enfant
sous l'influence de ces vingt suggestions ou de s
particulières. Or l'homme veut bien faire son devoir, mais, comme l'
enfant
, il ne le fait pas. Il n'a pas la volonté suffisa
s ou cent fois réitérée : fais ton devoir, comme le père le dit à son
enfant
. Qu'est-ce qui remplacera les vingt ou les cent
ncour, médecin du service biologique à l'Ecole Théophile Roussel. — L'
enfant
anormal à travers les âges, par M. le D' Bérillon
liniques sur les maladies mentales et nerveuses spécialement chez les
enfants
, et les continuera tous les jeudis à la même heur
re « La crise morale des temps nouveaux » a caractérisés des noms d'«
Enfants
de la tradition » et d' a Enfants de l'esprit nou
veaux » a caractérisés des noms d'« Enfants de la tradition » et d' a
Enfants
de l'esprit nouveau ». Ils ne sont pas nécessaire
a Bible dit, en effet : « La médecine est réservée aux prêtres et aux
enfants
de Lévi. » (Lévitîque XII et XIV.) D'ailleurs,
ions : « Seigneur Iahvé, dit-il, je ne sais point parler ; je suis un
enfant
, b — Dieu lui toucha la bouche de ses mains et lu
onychophagie ? Voici quelques chiffres empruntés à une école où les
enfants
sont presque tous très bien tenus par les parents
s dans les diverses écoles, nous avaient appris que la proportion des
enfants
qui se rongent les ongles ou les cassent allait d
r les balles ou faire rater les coups des ennemis, pour préserver les
enfants
des convulsions. Ils les portent en collier,
mystérieux : 1° Le Kaloeng-Amin. C'est une sorte de chapelet que les
enfants
portent, pour être préservés de toutes sortes de
e, ensuite cousue dans un coussinet de toile et suspendue au cou d'un
enfant
, ou portée comme ceinture par tes femmes enceinte
e violette, enchâssée en argent ou en cuivre jaune, portée au coude l'
enfant
; elle le préserve des convulsions, lui fait aime
une sorte d'amande, cousue dans un coussinet et attachée au cou de l'
enfant
; elle rend inoffensif le venin de serpent. La de
venin de serpent. La dent d'un rhinocéros, portée en collier, rend l'
enfant
insensible aux piqûres des scorpions et des myria
ceinture, met à l'abri des coups de fusil de ses ennemis. Lorsqu'un
enfant
a des convulsions, on lui frotte le visage avec l
le linge dont elle s'est servie, puis, lorsqu'elle se marie et a des
enfants
qui souffrent de convulsions, on sort ce linge, c
sort ce linge, ce o djimat paripih », on l'étend sur l'oreiller de l'
enfant
et la guérison s'en suit. Ce djimat n'a d'influen
la guérison s'en suit. Ce djimat n'a d'influence que sur les propres
enfants
ou petits-enfants de la femme qui s'est servie de
s du juge. Sous ce rapport, tous les textes assimilent l'aliéné à l'
enfant
(infans) (') ou à l'impubère (2). II est considér
ui l'a perdue. Paulus dit qu'on ne peut intenter à l'aliéné, ni à l'
enfant
, l'action d'injure, parce qu'ils manquent tous de
ententiœ, lib. 5, tit. 4 \ 2.). Dlpianus déclare également que si l'
enfant
a causé un dommage il ne sera pas plus tenu que l
-8', 72 p. — A.Rousseau, Paris 1907. L. Bérillon : La timidité chez l'
enfant
. — In-8-, '19 p., Bureaux de la Revue de l'Hypn
dit en Allemagne. Agé de 34 ans, instituteur, marié et père de quatre
enfants
, il s'enivre tous les trois mois pour trois ou qu
ce stigmate acquis devint héréditaire dans deux générations. Des cinq
enfants
vivants de cet homme, trois ont des mèches de che
s mèches de cheveux blancs à la même place que chez le père. Des neuf
enfants
de sa fille aînée, les cinq premiers ont des trou
s blanches sur le corps, ils sont en plus sourds-muets ; le troisième
enfant
n'est que légèrement sourd, n'a pas de mèche blan
ais on s'y est habitué peu à peu. Toutefois, il s'isole de ses petits
enfants
, ne les embrasse jamais et ne leur permet pas de
utrance, dont on berce les esprits de nos jours. « En apprenant à l'
enfant
, chez l'instituteur, au jeune homme, dans les col
ne opinion courante que l'une des conséquences de l'onanisme chez les
enfants
est de leur donner des « yeux cernés ». La consta
de provoquer chez les parents une indignation mal contenue, dont les
enfants
sont souvent les innocentes victimes. Au Dispen
édagogique de la rue Saint-André-des-Arts, on m'amène fréquemment des
enfants
accusés de se livrer à l'onanisme. L'accusation e
s ne parvient pas à les convaincre, Ils veulent à tout prix que leurs
enfants
se livrent à l'onanisme Il arrive, d'ailleurs
se livrent à l'onanisme Il arrive, d'ailleurs, fréquemment que l'
enfant
avoue s'être livré à l'onanisme alors que cela n'
ajoute la suivante : « La croyance à de mauvaises habitudes chez les
enfants
ou les jeunes personnes qui ont les yeux cernés e
e continuera les jeudis suivants, à cinq heures. Sujet du cours : Les
enfants
et les adolescents anormaux. Applications de l'hy
ions de l'hypnotisme à la pédagogie : Jeudi 14 mai. — Le problème des
enfants
anormaux. — Les causes des anomalies. Jeudi
nce. Jeudi 2 juillet. — Les paranormaux. — Les faux anormaux. — Les
enfants
mal élevés. Jeudi 9 juillet. — La lutte contre
agabondage, la fameuse Jeanne Weber, inculpée du meurtre de plusieurs
enfants
, avait, après un examen médico-légal, été laissée
ent l'opinion, des crimes comme celui qui vient d'être commis sur des
enfants
par la dégénérée impulsive qu'est Jeanne Weber, a
ses beaux-frères, il écrivit sur un morceau de papier : x Bannissez l'
enfant
trouvé, et bannissez également le mangeur de sour
caino-tabaco-manie, la profanation, les défauts de caractère chez les
enfants
. C'est dans ces cas surtout, dit-il, qu'on reste
ue à l'orthopédie mentale. Il insiste sur le changement de milieu des
enfants
vicieux et fait ressortir que les bons exemptes e
ntionne le beau rôle dévolu à la mère de famille comme éducatrice des
enfants
et celui assigné à l'épouse comme soutien moral d
orriger certains défauts, la mère épiera le sommeil commençant de son
enfant
pour lui donner la suggestion appropriée et l'épo
ollaboration de la famille et de l'école dans l'éducation. « 2° Les
enfants
et les adolescents impulsifs et vicieux. Mesures
festations de la suggestibilité. « On retrouve dans la mentalité de l'
enfant
la base de toutes les manifestations hystériques
en droit de se demander avec M. Cruchet « comment l'état normal de l'
enfant
s'est transformé en hystérie physiologique... Il
est transformé en hystérie physiologique... Il ne faut pas comparer l'
enfant
à l'adulte et conclure de l'adulte à l'enfant...
ne faut pas comparer l'enfant à l'adulte et conclure de l'adulte à l'
enfant
... il y a chez l'enfant sain manque de jugement,
enfant à l'adulte et conclure de l'adulte à l'enfant... il y a chez l'
enfant
sain manque de jugement, irréflexion, si on le co
n'en faut pas conclure que ce même état mental soit hystérique chez l'
enfant
. Les termes très impropres d'hystérie physiologiq
mentalité infantile autrement « cela reviendrait à dire que tous les
enfants
sont des hystériques ce qui est évidemment faux »
liénés, 40 ans, de père mort de tuberculose, de mère mélancolique. Un
enfant
est mort de tuberculose. Le malade a présenté déj
nt, à la Clinique, ce même phénomène heureux, en particulier chez les
enfants
que nous soignons à la prière de leurs parents, e
tion et que, d'autre part, l'appareil amovible peut être enlevé par l'
enfant
, dès qu'il n'est plus surveillé. Les onychophag
ges. Les procédés de traitement consistant à enduire les doigts des
enfants
de substances amères ou mal odorantes, et à immob
anique efficace à l'impulsion inconsciente qui pousse une catégorie d'
enfants
à se ronger les ongles ou les lèvres, mais nous p
e demande s'il est bien utile de s'occuper de l'onychophagie chez les
enfants
. Il s'indigne à la pensée que l'onychophagie puis
insomnies ; les asthénies des pauvres, des paysans, des ouvriers, des
enfants
. L'étude des causes et des symptômes l'amène à un
re même dans le public cultivé combien sont nombreuses les légendes d'
enfants
divins nés dans le sein d'une vierge par une opér
la femme ne quitte pas son ongle des yeux, terrifiée à l'idée que son
enfant
pourrait naître avec un ongle pareil, cela devien
s hélas ! la plaque, pardon, la pâte fœtale était impressionnée, et l'
enfant
naissait à terme (nouvelle précaution préjudiciel
ychothérapie et d'hypnologie, p. 320. Craniectomie à volet chez les
enfants
arriérés, par Doyen, p. 24. Crises hystériques
elligence par l'auto-suggestion, par Coste de Lagrave, p. 214, 238.
Enfants
indisciplinés : procédés médico-pédagogiques qui
édico-pédagogiques qui leur sont applicables, par Bérillon, p. 173.
Enfants
idiots et arriérés dans l'iconographie antique, p
ntant un adénoïdlen, p. 112. Terre cuite de Tanagra représentant un
enfant
méningitique, p. 112. Terre cuite ancienne repr
a longue enfance que pour entrer dans une vieillesse prématurée. Tout
enfant
, on lui donna de petits compagnons qui devinrent
x chantée. La voix chantée, depuis la voix de la mère endormant son
enfant
jusqu'à celle du chanteur lyrique, sans oublier l
é un moyen infaillible de produire l'émotion. Ce sera le calme pour l'
enfant
qui s'endort, ce sera l'enthousiasme pour l'audit
elle arrête, immobilise, tient en suspens. Qu'une mère aperçoive son
enfant
broyé par une automobile, ses cris seront telleme
: Le matin à 9 heures : question à l'ordre du jour : Le problème des
enfants
anormaux : Traitement, pédagogie spéciale, assist
ion dentaire dans les écoles — Questions relatives à la dentition des
enfants
. Dimanche 5 Août : Excursion générale : Le Mont
Lundi C Août : Le matin à 9 heures : question à l'ordre du jour : Les
enfants
turbulents; procédés pédagogiques applicables ace
jour : Les enfants turbulents; procédés pédagogiques applicables aces
enfants
: Rapporteurs : MM. les D" Feuillade, de Lyon, et
e médecine de Lyon : Les programmes de l'enseignement primaire et les
enfants
anormaux. Mlle Berthet : professeur à l'école n
sur les déviations vertébrales. M. Quinque, professeur spécial pour
enfants
anormaux : Méthodes de lecture à l'usage des enfa
eur spécial pour enfants anormaux : Méthodes de lecture à l'usage des
enfants
arriérés. M. Laisant, examinateur à l'Ecole pol
M. le Dr Ribard; M. Quinque, directeur de l'Institution familiale d'
enfants
anormaux de Créteil ; Madame Quinque ; M. le
'Ecole polytechnique ; M. le D' Richardière, médecin de l'hôpital des
Enfants
malades; M. le D'Bordier, directeur de l'Ecole
que le caractère le plus admirable que l'on puisse observer chez les
enfants
des hommes est celui dont l'éducation a été faite
mbreux prosélytes, mais les meilleurs parmi les meilleurs ont été ses
enfants
. Des trois sœurs de Bérillon, l'une est profess
e le sommeil par un procédé analogue à celui d'une mère endormant son
enfant
, et qui emploie ce sommeil comme calmant. Le roul
ertaines écoles, ces médecins avaient sélectionné un certain nombre d'
enfants
très atteints. Ils avaient commencé à les examine
ur travail fut interrompu par une véritable émeute. La plupart de ces
enfants
étaient nés de parents étrangers, pour la plupart
èrent en foule sur les écoles criant que les médecins égorgeaient les
enfants
, renouvelant ainsi les affreux massacres de Kichi
e Kichineff, ou tout au moins qu'on coupait les amygdales de tous les
enfants
, afin qu'ils ne parlassent qu'anglais et qu'ils n
er le « yiodish » (patois hébreu) avec leurs parents. Les mères des
enfants
se précipitèrent dans les écoles en criant et en
acaud, directrice d'école; Mme Quinque, directrice de l'Institution d'
enfants
anormaux de Créteil ; M. Desnoyers, professeur de
e éducation libérale, faisant appel à l'initiative et à l'effort de l'
enfant
. Si, grâce à l'esprit de justice qui, actuellem
ucateurs, puis par des leçons de choses, en dehors du lycée, amener l'
enfant
à voir juste, à voir vrai, en un mot former son c
ssent contre ta peur. Il importe donc dès l'école, de réaliser chez l'
enfant
l'éducation du courage, de la présence d'esprit e
itements divers : avant tout, il faut savoir gagner la confiance de l'
enfant
, fortifier sa volonté, faire appel à l'amour-prop
s de la jeunesse. La seconde séance fut consacrée à la question des
Enfants
anormaux. Nous nous bornerons à mentionner le
l'ordre du jour la question des procédés pédagogiques applicables aux
enfants
turbulents. A ce sujet, M. le docteur Feuillade s
hode hypno-pédagogique à laquelle il a recours pour le traitement des
enfants
nerveux et instables. La statistique des cas trai
a statistique des cas traités à son dispensaire, portant sur dix-huit
enfants
, permet d'affirmer la valeur considérable de la m
r considérable de la méthode hypno-pédagogique dans le traitement des
enfants
turbulents, indisciplinés ou vicieux. M. le Dr Fe
Dr Feuillade a complété sa démonstration par la présentation de deux
enfants
anormaux chez lesquels l'hypnotisme et la suggest
l'enseignement des mathématiques. M. le Dr Frey : La dentition des
enfants
anormaux, etc., etc. Pour la première fois, les
s-Arts, Dispensaire anti-alcoolique, Institution pour l'éducation des
enfants
anormaux de Créteil, Société de pathologie compar
séjour dans la famille, les parents consentirent à se séparer de leur
enfant
. On me l'amena à Paris et je me fis un devoir
on esprit. Dès nos premiers entretiens, je le voyais avec plaisir, en
enfant
terrible qu'il était, sauter à pieds joints sur l
forme dans toutes ses études sur l'hypnotisme et sur la pédagogie des
enfants
anormaux à la méthode expérimentale la plus rigou
au monde, c'est s'avilir au suprême degré. Dans ses rapports avec ses
enfants
, il n'admet aucune intimité. Représentant de Dieu
sidant cette sorte d'aréopage, il a solennellement fait comparaître l'
enfant
coupable et, devant toute cette assemblée, pronon
re-toi dans ta chambre, tu ne fais plus partie de la famille. » Cet
enfant
se retire en sanglots ; il ne mange plus; il pleu
aussi ; il lui prend des envies de courir, en cachette, auprès de son
enfant
pour le consoler et l'embrasser, mais elle n'ose
mident, l'annihilent. M. Z. est tellement affairé qu'il ne voit ses
enfants
qu'à table. Notre jeune lycéen n'ose lever les ye
re jeune homme à sa mère. Sans être le moins du monde efféminé, cet
enfant
est un tendre ; il a besoin d'affection, d'épanch
au caractère, au tempérament, aux aptitudes, à l'émotivité de chaque
enfant
; chaque cas particulier exige des décisions d'es
ault, Dr J. Voisin. Dr R. Pamard : Méthode hypno-pédagogique chez les
enfants
du Patronage Rollet : Discussion : Drs Jacques
'unanimité. Intervention de la méthode hypno-pédagogique chez les
enfants
du Patronage Rollet, par M. le Dr René Pamabt,
genres de sujets bien distincts. La première catégorie comprend des
enfants
ou des jeunes gens non encore pervertis, mais en
ge par les magistrats, en vue de tenter leur redressement moral ; les
enfants
que leurs parents, découragés par leurs vices, le
chirurgie générales, j'ai eu, depuis ces huit mois, à m'occuper de 24
enfants
ou jeunes gens à qui la thérapeutique suggestive
éressante, puisque plus difficile. Sur ce nombre de 24 se trouvait un
enfant
arriéré, qui a dû être placé dans un établissemen
Confié au Patronage, à titre d'essai, par le juge d'instruction. Cet
enfant
était un impulsif; il désirait guérir, ce qui éta
ue ce résultat me laissait quelque peu sceptique. Voici, en effet, un
enfant
qui se trouvait, tout traitement cessé, replacé e
e mes vifs remerciements. Un frère se porte bien. Jusqu'en 1900 l'
enfant
se développe d'une façon normale. Elle n'est pas
qui est une hystérique. Elle présenté à son entrée l'état suivant :
Enfant
d'une apparence gracile ; peau douce et floue ; p
aguer, directeur de l'Institut départemental des sourds-muets : Les
enfants
anormaux et le Ministère de l'Instruction publiqu
er les éléments de la volonté et du caractère, non seulement chez les
enfants
, mais encore chez les grandes personnes. Voilà un
lon et moi nous sommes nés sur le même sol, que nous sommes tous deux
enfants
de cette terre de Bourgogne, qui produit des homm
A cela rien d'étonnant : dans ma propre famille, mon imagination d'
enfant
avait été profondément impressionnée par l'exempl
nts prolongés.) Au nom de ma mère vénérée, dont le dévouement à ses
enfants
a toujours été poussé jusqu'à l'immolation; au no
s sont impotents, ne peuvent quitter leur lit, et c'est parce que les
enfants
sont las de les entretenir, de les soigner, q
urs discours et leurs gestes ils troublent la paix publique. Mais les
enfants
aussi, lorsqu'ils crient.se battent, se roulent d
rs, dans une prison, au milieu des siens même ingrats. On écrit aux
enfants
: Venez chercher votre père, il peut, si vous lui
ir de faire cesser un emprisonnement qui le rend très malheureux. Ses
enfants
ne répondent pas ou répondent : « Nous ne pouvons
ent : « Nous ne pouvons pas, parce que trop pauvres ou trop chargés d'
enfants
nous-mêmes.» Ironie, il se trouve que ce sont ceu
Baguer, directeur de l'Institut départemental des sourds-muets : Les
enfants
anormaux et le Ministère de l'Instruction publiqu
nsciente, au mensonge et à la création des fables imaginaires. Chez l'
enfant
, qui est par essence un être peureux, curieux, im
esprit sans expérience et sans jugement. Les formes que revêt chez l'
enfant
l'activité mythique normale sont : l'altération d
de la vérité ; la simulation, déjà fréquente mais assez fruste chez l'
enfant
; et la fabulation, ou invention spontanée de réc
plus précoces, plus marquées et plus riches que les garçons. Chez l'
enfant
anormal et chez l'adulte, la mythomanie pathologi
tigmate majeur de dégénérescence. Elle aboutit à la création des faux
enfants
martyrs, des petits accusateurs criminels qui, ai
En terminant, le D' Dupré insiste sur ce point que le témoignage de l'
enfant
doit toujours être considéré comme extrêmement su
le X..., répond par un autre diagnostic et un autre traitement. Une
enfant
de huit ans affligée d'une coxalgie devait partir
lgie devait partir à Berck. Le père de la voyante décide la mère de l'
enfant
à consulter sa fille. Conclusion : cinq ou six co
rescrivit même un corset spécial. Finalement la voyante déclare que l'
enfant
devait rester couchée. Au bout de six semaines de
r couchée. Au bout de six semaines de traitement les souffrances de l'
enfant
devinrent telles que la mère se décida à consulte
Baguer, directeur de l'Institut départemental des sourds-muets : Les
enfants
anormaux et le Ministère de l'Instruction publiqu
ive de la méthode qui sera publiée et dont les principes iront, par l'
enfant
, dans la famille. En organisant un cours spécia
D. G. Dalgado. M. le D'Voisin rend compte de la discussion sur les
enfants
anormaux au Congrès international d'assistance au
ordre du jour sont faites ainsi qu'il suit : Dr Jules Voisin. — Les
enfants
anormaux intellectuels. Discussion : Dr Bérillon.
ent une visite scientifique à l'Institution familiale de Créteil pour
enfants
anormaux, afin d'apprécier les méthodes pédagogiq
. La séance est levée à G h. 45. Classification et assistance des
enfants
dits » anormaux intellectuels », par M. le Dr
et M. le Dr Roger Voisin*, ancien interne des hôpitaux. Le terme d'
enfant
anormal intellectuel s'étend actuellement de plus
tend actuellement de plus en plus ; il est appliqué non seulement aux
enfants
hospitalisés par suite d'affection mentale ou ner
sés par suite d'affection mentale ou nerveuse, mais encore à tous les
enfants
renvoyés des classes pour mauvais caractère, diss
c. Cette extension ne nous parait pas justifiée : un grand nombre d'
enfants
de cette dernière catégorie ne présentent pas, en
e professeur. Les causes en sont diverses : le milieu dans lequel les
enfants
vivent (Decroly), leur état physiquo, otc. Aussi
vivent (Decroly), leur état physiquo, otc. Aussi appellerons-nous ces
enfants
de /aux anormaux intellectuels, réservant l'appel
dans les deux cas. ï. — Anormaux intellectuels. Pour cfasser les
enfants
présentant des tares intellectuelles, nous nous b
liniques et étiologiques. Nous en distinguons trois catégories : 1°
Enfants
présentant un déficit intellectuel et moral par m
moral par manque de développement : idiots, imbéciles, débiles ; 2°
Enfants
présentant des altérations intellectuelles et mor
psj/cfto-néuroses ; épilepsie, hystérie, neurasthénie, chorée) ; 3°
Enfants
ayant perdu leurs facultés intellectuelles, tomba
ralysie générale, démence épileptique). Chacune de ces catégories d'
enfants
demande, en elTct, une assistance particulière.
angereux pour eux-mêmes et la société. 11 faut tout apprendre à ces
enfants
: à manger, à marcher, à être propres, à s'habill
oins considérables, leur départ permettant l'hospitalisation d'autres
enfants
à amélioration possible. D'autres, au contraire
ctuel peut être assez marqué pour qu'au bout de plusieurs années, les
enfants
idiots soient considérés comme des imbéciles, et
ées, les enfants idiots soient considérés comme des imbéciles, et les
enfants
imbéciles comme étant des débiles : ces trois ter
tement à charge à la société. B. Altérations intellectuelles. — Les
enfants
présentant des altérations, des maladies de l'int
on est la forme la plus fréquente de la dégénérescence mentale chez l'
enfant
. Elle peut se trouver aussi bien chez des enfants
cence mentale chez l'enfant. Elle peut se trouver aussi bien chez des
enfants
ayant leur développement intellectuel complet, qu
s enfants ayant leur développement intellectuel complet, que chez des
enfants
de la catégorie précédente, présentant un arrêt d
es obsessions, des idées fixes; les actes commis sont inconscients: l'
enfant
est un irresponsable ou a une responsabilité des
partie la moins délicate du rôle du médecin appelé à examiner de tels
enfants
. L'enfant vicieux rentre dans le cadre des faux a
oins délicate du rôle du médecin appelé à examiner de tels enfants. L'
enfant
vicieux rentre dans le cadre des faux anormaux. L
e façon générale. Il faut en effet une surveillance incessante de ces
enfants
. Cependant, une famille se consacrant au relèveme
ants. Cependant, une famille se consacrant au relèvement moral de ces
enfants
, possédant les connaissances psychologiques indis
parvenir plus facilement qu'une institution publique. Le nom* brj des
enfants
qui lui seront confiés sera très limité. Ils ne d
tance à domicile ne rend actuellement cette méthode applicable qu'aux
enfants
riches. En dehors de la perversion, la dégénére
de la perversion, la dégénérescence mentale se traduit encore, chez l'
enfant
, par les idées fixes, les obsessions, le doute av
etc.). Il faut craindre l'apparition de tous ces accidents chez des
enfants
qui ont des scrupules exagérés, font des question
et de dépression, préludes souvent de la folie circulaire. Tous ces
enfants
ne peuvent vivre de la vie familiale ordinaire. I
se produit pas, ce qui est le cas le plus général, il faut placer ces
enfants
dans des maisons de santé ou des asiles d'aliénés
r ces enfants dans des maisons de santé ou des asiles d'aliénés. b)
Enfants
avec nécroses. — Les enfants qui présentent des n
s de santé ou des asiles d'aliénés. b) Enfants avec nécroses. — Les
enfants
qui présentent des névroses très appréciables son
onvulsives, les eboréiques intenses, etc. Il n'en est pas de même des
enfants
à manifestations rares et éloignées, à plus forte
orte raison de ceux dont la névrose est méconnue. Un grand nombre d'
enfants
, renvoyés des classes comme insupportables, turbu
portables, turbulents, irritables, indisciplinés, impulsifs, sont des
enfants
atteints de névrose méconnue. Les parents eux
s de névrose méconnue. Les parents eux-mêmes ne considèrent pas leurs
enfants
comme malades, et ce n'est que lorsqu'il y a eu d
y a eu délin-quence que le médecin est consulté. Chaque fois qu'un
enfant
, à des intervalles plus ou moins éloignés, présen
rs, de somnambulisme, le caractère mobile et fantasque des idées de l'
enfant
permettent, d'un autre côté, de reconnaître Y hys
de l'enfant permettent, d'un autre côté, de reconnaître Y hystérie. L'
enfant
sera isolé, retiré de son milieu et guéri par un
r un traitement hydrotherapique et moral. Enfin, l'inattention d'un
enfant
, son agitation, ses grimaces, ses mouvements biza
ilement le plus souvent, pourvu que l'on y songe. La chorée guérie, l'
enfant
, de nouveau, pourra suivre la classe. Les modif
a disparaître ces accidents. Dans cette catégorie, l'assistance des
enfants
dépend du diagnostic de la névrose. C. Perte de
a qualifier de démence épileptique, paralytique el spasmodique. Les
enfants
déments devront être hospitalisés. Dans certains
ins cas, quand il y a des périodes de rémission, pendant lesquelles l'
enfant
est doux, facile à vivre, on pourra le placer dan
ravation de l'affection nécessitera sa réintégration à l'hospice. Ces
enfants
sont incurables et, du moins pour les deux derniè
, ne vivent pas longtemps. II. — Faux anormaux intellectuels. Les
enfants
de cette catégorie ne présente pas de tare de l'i
ons diverses. On peut les classer sous les rubriques suivantes : 10
Enfants
incompris ; 2* Enfants délaissés, abandonnés, a
classer sous les rubriques suivantes : 10 Enfants incompris ; 2*
Enfants
délaissés, abandonnés, arriérés pédagogiques, vic
2* Enfants délaissés, abandonnés, arriérés pédagogiques, vicieux ; 3°
Enfants
fatigués physiquement. A. Enfants incompris. —
3° Enfants fatigués physiquement. A. Enfants incompris. — Certains
enfants
, à l'intelligence très ouverte, ne peuvent rester
la cause de cette indiscipline, il sévira, aigrira le caractère de l'
enfant
, qui considérera sa punition comme injuste. S'il
, qui considérera sa punition comme injuste. S'il persiste à punir, l'
enfant
, dont l'amour-propre sera très froissé, fera l'éc
ndage et des mauvaises fréquentations. 11 suffira de comprendre ces
enfants
, de varier souvent les matières de l'enseignement
leurs pseudo-anomalies intellectuelles. B. Enfants délaissés. — Les
enfants
délaissés par leurs parents, moralement abandonné
s, moralement abandonnés, peuvent être pris au premier abord pour des
enfants
anormaux. Un interrogatoire un peu serré montrera
voir et de dignité humaine est lettre morte pour ces pauvres êtres. L'
enfant
devient vicieux par le milieu dans lequel ¡1
x, par les mauvais conseils qu'on lui donne. 11 faut soustraire ces
enfants
le plus tôt possible à ces parents négligents ou
r et du bien, les instruire. Les vices disparaîtront facilement, si l'
enfant
a été soustrait de bonne heure à ce milieu et s'i
en un mot s'il est un faux anormal. Il n*en est pas de même si ces
enfants
sont des malades atteints de perversion mentale à
elève de la dégénérescence mentale. Nous avons remarqué que, pour les
enfants
moralement abandonnées conduites à l'Ecole de réf
z celles dont les parents étaient des paresseux ou des miséreux. C.
Enfants
fatigués physiquement. — La fatigue physique peut
e, scarlatine, rhumatisme, tuberculose, croissance rapide, etc. Ces
enfants
sont considérés par le professeur comme des pares
es enfants sont considérés par le professeur comme des paresseux, des
enfants
mous, peu intelligents, sans volonté. Ils ne peuv
uelle, la paresse observée. III De cet exposé, il résulte que les
enfants
réputés anormaux au point de vue intellectuel doi
tellectuel doivent être classés en deux grandes catégories : 1° Les
enfants
qui présentent une tare de l'intelligence, quelle
intelligence, quelle qu'en soit l'origine (vrais anormaux) ; 2" Les
enfants
qui ont des défauts ou des vices sans tare de l'i
se surtout dans deux grands groupes de faits : D'une part, chez les
enfants
délinquants ou criminels; D'autre part, chez le
, chez les enfants délinquants ou criminels; D'autre part, chez les
enfants
renvoyés des classes pour caractère bizarre. Da
s classes pour caractère bizarre. Dans les deux cas, un examen de l'
enfant
par un médecin connaissant les maladies mentales
ivent-ils faire examiner ou inviter les parents à faire examiner leur
enfant
par un médecin spécialiste. Ils remettront à celu
même d'observer. De môme, quand les parents s'aperçoivent que leur
enfant
commet des excentricités, des bizarreries, se con
doivent, avant de sévir, se renseigner sur la responsabilité de leur
enfant
. La statistique que nous avons pu faire à l'Eco
nt. La statistique que nous avons pu faire à l'Ecole de réforme des
enfants
assistées de la Seine (section des filles) et à l
la consultation externe de la Salpètrière, nous a montré que, sur 100
enfants
rentrant dans les deux groupes ci-dessus, 40 seul
ormaux, t II est important de distinguer si l'on est en présence d'un
enfant
intelligent ou d'un enfant présentant des lacunes
de distinguer si l'on est en présence d'un enfant intelligent ou d'un
enfant
présentant des lacunes intellectuelles. Tandis qu
Chez la plupart, nous pouvons même dire sur la presque totalité des
enfants
que nous avons été à même d'examiner, nous avons
rentrant tard; le foyer domestique reste désert toute la journée. Les
enfants
sont confiés à la vague surveillance d'une voisin
la vague surveillance d'une voisine ou envoyés à l'école. Lorsque l'
enfant
est docile, d'une intelligence moyenne, cette abs
que la femme, restant au foyer, soit à chaque instant le soutien de l'
enfant
. Elle redressera, toujours guidée par son cœur, s
r ses caresses affectueuses que le professeur par ses remontrances. L'
enfant
, d'une nature faible, a besoin à la fois de souti
les. Mais quand ces défectuosités intellectuelles existent chez l'
enfant
, deux cas sont à considérer. Quand il n'y a pas
médecin de la véritable cause des accidents observés, doit éduquer l'
enfant
. Dans certains cas, un changement de classe, un c
rents modifient du tout au tout leur manière d'agir à l'égard de leur
enfant
. Un bon coup de barre remettra la barque dans le
min. Mais, dans certains cas, cette assistance dans la famille de l'
enfant
n'est pas possible : les parents sont dépourvus d
ourvus de toute moralité. La société a le devoir alors de prendre ces
enfants
maltraités ou moralement abandonnés et d'essayer
de créer pour eux une nouvelle famille. On doit, avapt de placer l'
enfant
dans une famille, s'enquérir de sa nature intime,
anifeste. C'est ainsi que l'on ne doit pas placer dans des fermes des
enfants
qui ont peur des animaux. D'un autre cûté, le car
le caractère des nourriciers peut ne pas s'harmoniser avec celui de l'
enfant
. Il faut alors déplacer l'enfant et rechercher un
ne pas s'harmoniser avec celui de l'enfant. Il faut alors déplacer l'
enfant
et rechercher une nouvelle famille. Tous les nour
ille. Tous les nourriciers ne sont pas aptes à éduquer n'importe quel
enfant
. Il est nécessaire d'appliquer cette éducation
iquer cette éducation familiale bien comprise dès le jeune âge, car l'
enfant
, semblable à une cire molle, reçoit facilement le
t les premières impressions. En tout cas, il ne faut pas mettre ces
enfants
sans tare intellectuelle, même délinquants, dans
ts, dans les mêmes maisons de correction ou écoles de réforme que les
enfants
pervers. Ils s'y contamineraient immédiatement.
on s'est bien trouvé de la création de colonies agricoles. Quand l'
enfant
, par contre, a une tare mentale, l'assistance doi
ons eu l'occasion d'esquisser plus haut à propos de cette catégorie d'
enfants
. Il faut en effet que ces enfants soient hospital
haut à propos de cette catégorie d'enfants. Il faut en effet que ces
enfants
soient hospitalisés ou tout au moins envoyés dans
fet, que l'école comprit autant de sections qu'il y a de catégories d'
enfants
; surtout il ne faudrait pas mélanger les imbécile
faudrait pas mélanger les imbéciles et les idiots améliorés avec les
enfants
ayant des perversions instinctives prononcées, et
ans ces écoles, chaque section ne comprendra pas plus d'une dizaine d'
enfants
; et des travaux manuels devront toujours alterner
haque exercice sera très limitée. L'amélioration à espérer de ces
enfants
sera d'autant plus marquée que le traitement aura
plus tôt. Lorsque le développement physique et intellectuel de ces
enfants
sera arrivé à son summum, l'enfant pourra dans ce
t physique et intellectuel de ces enfants sera arrivé à son summum, l'
enfant
pourra dans certains cas être rendu à ses parents
ubvenir à ses besoins. Celte application d'asbistance familiale aux
enfants
arriérés et non pervers vient d'être essayée par
rniers temps, nous fait espérer la réussite de cet essai. Quant aux
enfants
pervers, cette assistance familiale ne pourrait ê
mposera. Discussion. M. BéullON. — Dans les écoles, la présence d'
enfants
anormaux est extrêmement préjudiciable aux autres
les séparer du milieu scolaire. Dans la majeure partie des cas, les
enfants
et les adolescents anormaux ont besoin d'une exis
leur état, aussi les institutions médico-pédagogiques destinées à ces
enfants
et à ces adolescents doivent-elles être installée
j'ai créée en collaboration avec M. Quinque, professeur spécial pour
enfants
anormaux, je me suis inspiré des enseignements de
is inspiré des enseignements de mon maître, M. le Dr J. Voisin. Les
enfants
et les adolescents répartis en sections distincte
pédagogique de Crétcil réalise donc un progrès pour le traitement des
enfants
et des adolescents anormaux. Elle constitue en ou
cette hirondelle tombe dans la boue et ne peut reprendre son vol. Un
enfant
la recueille, la lave, l'enveloppe dans un roulea
La timidité en Orient. — Discussion : Dr Bérillon. M. Baguer. — Les
enfants
anormaux et le ministère de l'Instruction publiqu
s psycho-névroses. Dans la famille et à l'école, à force de faire aux
enfants
des remontrances exagérées ou injustes, on fait d
lle. La plupart du temps, il mange tout seul. Sa femme mange avec ses
enfants
; ceux-ci, jusqu'à l'âge de cinq à six ans, sont à
s doivent garder le silence le plus complet et seulement écouter. Les
enfants
, même devenus des hommes, n'ont pas le droit d'as
la bienveillance des vieux envers les jeunes, des pères envers leurs
enfants
, etc., sont des choses presque inconnues; en outr
les de l'Egypte, j'ai connu des pères de famille qui traitaient leurs
enfants
tout à fait à l'européenne et se montraient, à le
ain nombre de leçons seront consacrées à l'étude et au traitement des
enfants
anormaux, ainsi qu'aux applications thérapeutique
r du lundi 14 janvier. 2* L'hypnotisme et l'orthopédie mentale: Les
enfants
et les adolescents anormaux: Retardataires, insta
r de l'Ecole Normale du département de la Seine. — La timidité che; l'
enfant
, par Mlle Lucie Bérillon, professeur au lycée Mol
49, rue Saint-André-des-Arts. Ces consultations sont destinées aux
enfants
et aux adolescents anormaux (retardataires, insta
opédie mentale, pédagogie suggestive, etc.). 4° La psychologie de l'
enfant
normal ou anormal. 5* La psychologie de l'homme
eut même la regarder avec fierté ; celle-ci n'est-elle pas un peu son
enfant
, non pas certes un enfant terrible, mais un enfan
fierté ; celle-ci n'est-elle pas un peu son enfant, non pas certes un
enfant
terrible, mais un enfant émancipé qui s'est élevé
lle pas un peu son enfant, non pas certes un enfant terrible, mais un
enfant
émancipé qui s'est élevé tout seul, et qui a su s
ent et que je me reprocherais de passer sous silence, c'est celle des
enfants
anormaux. Pendant trop d'années, la seule assista
n, professeur à l'Ecole île psycholo(rie. D'une façon générale, les
enfants
normaux, tenus à l'écart des influences pernicieu
ètent des mauvais exemples qui, dans les rues, s'offrent à la vue des
enfants
. Les images plus ou moins licencieuses, n'exercen
ajouter une autre, c'est que la mesure de la suggestibilité chez les
enfants
et les adolescents devrait figurer au nombre des
parents doivent acquérir sur l'étal psychologique et mental de leurs
enfants
. Dans les cas où l'on constaterait une exagératio
isant mieux leur force. (à suture) PSYCHOLOGIE DE L'ENFANCE Les
enfants
menteurs et simulateurs Les faits de simulation
es enfants menteurs et simulateurs Les faits de simulation chez les
enfants
sont beaucoup plus fréquents qu'on ne le pense gé
sants, ou simplement d'éviter un travail qui leur déplaît, beaucoup d'
enfants
et même d'adolescents simulent des maladies qu'il
qui, disait-elle, était atteinte « de la pierre ». A chaque instant l'
enfant
rendait des pierres en urinant, et la mère avait
u plusieurs fois le bruit de cailloux tombant sur le vase quand l'
enfant
urinait. L'abondance des pierres rendues. l'absen
ions de pierre se renouvelant indéfiniment, il fut appelé auprès de l'
enfant
qui consentit à se laisser examiner. M. Hardy tro
aient constaté de leurs propres yeux. Un de nos confrères, chez qui l'
enfant
fut d'abord conduite, m'écrit à cet égard : « Je
ses œufs soit dans les cornets, soit ailleurs. - En interrogeant l'
enfant
— qui répond avec calme et d'un air naturel — j'a
convaincu que je me trouvais en face d'une simulatrice, je renvoyai l'
enfant
en priant sa mère de me la ramener le 5 novembre.
, enfin, s'enfonce dans la terre et se chrysalide au printemps. » L'
enfant
me fut ramenée le 5 novembre et voulut bien reste
te la mère, que jenc la crois pas. Il restait à obtenir l'aveu de l'
enfant
. Je lui dis brusquement, avant-hier : Où prenais-
e entra à l'hôpital, la comédie fut terminée. Juliette T... est une
enfant
intelligente. Elle va avec plaisir en classe où e
était besoin, le peu de valeur qu'il faut attacher au témoignage des
enfants
. A notre avis, le cas de l'enfant T... est beau
faut attacher au témoignage des enfants. A notre avis, le cas de l'
enfant
T... est beaucoup moins grave qu'il apparaît au p
coup moins grave qu'il apparaît au premier aspect. Il s'agit là d'une
enfant
mal élevée, chez laquelle les pouvoirs d'arrêt n'
uffirent habituellement pour modifier favorablement le caractère de l'
enfant
et obtenir une gué-rison durable. Il est même de
s nocturnes » on décrit souvent certains accidents que présentent les
enfants
et qui peuvent cependant relever de différentes c
qui peuvent cependant relever de différentes causes. Il s'agît d'un
enfant
de 6 à 7 ans; toutes les nuits il est pris, une d
tion de son père ne se produit pas aussitôt pour l'amener au calme, l'
enfant
pousse des cris, et s'agite pendant une heure env
environ. Ces phénomènes d'agitation se sont manifestés du jour où l'
enfant
, petit-fils d'un grand alcoolique, fut envoyé à l
ait pu l'impressionner assez vivement. C'est depuis ce moment que l'
enfant
a commencé à s'agiter et à causer en dormant : l'
t : l'agitation augmenta progressivement et il semblait parfois que l'
enfant
se battait avec quelqu'un. Enfin, l'enfant eut un
il semblait parfois que l'enfant se battait avec quelqu'un. Enfin, l'
enfant
eut un jour une attaque semblable, pendant laquel
e en retard comparativement au côté intellectuel très avancé chez cet
enfant
. De telle façon, on évitera le développement de
ain nombre de leçons seront consacrées à l'étude et au traitement des
enfants
anormaux, ainsi qu'aux applications thérapeutique
49, rue Saint-André-des-Arts. Ces consultations sont destinées aux
enfants
et aux adolescents anormaux (retardataires, insta
ra lieu un dimanche à l'Etablissement médico-pédagogique de Crète il (
enfants
et adolescents retardataires et nerveux), sous la
de le transformer en dictionnaire. (¿1 suivre) La timidité chez l'
enfant
(') par M"« Lucie Bérillon, professeur agrégée
les milieux, mais je veux aujourd'hui l'envisager seulement chez les
enfants
, et en me plaçant particulièrement au point de vu
s de timidité deviennent rares dansla génération actuelle, et que les
enfants
d'aujourd'hui pocheraient plutôt, à Paris surtout
t que ne le pensent ceux qui se désintéressent de la psychologie de l'
enfant
. Parfois inaperçue dans le milieu familial où l'e
ychologie de l'enfant. Parfois inaperçue dans le milieu familial où l'
enfant
se trouve à l'aise avec des personnes connues, la
couter et tenir la bouche « fermée». Le père interdit également à ses
enfants
, jusqu'à l'âge de vingt ans, l'accès aux réunions
des gens âgés à l'égard des jeunes, des pères de famille envers leurs
enfants
, des instituteurs envers leurs élèves, qui stimul
assif, hypocrite et dissimulé. Nous comprenons ainsi comment certains
enfants
timides, soumis à une éducation semblable, devien
i ont voyagé en Italie, et surtout à Naples, ont pu constater que les
enfants
de ce pays poussent même la hardiesse jusqu'à l'e
t opposé, il est certains cas où la sévérité des parents paralyse les
enfants
et produit ce trouble, cette suspension d'activit
tait constamment à ce sujet. Aussi, lorsqu'il arrivait des visites, l'
enfant
se cachait, ou se montrait de plus en plus gauche
e par accès. Si elle en fit un révolté plutôt qu'un timide, combien d'
enfants
, dans le môme cas, n'ont pas l'énergie suffisante
et insociable du chef de famille, dont la sévérité glaçait son âme d'
enfant
. Nous ne pouvons mieux faire que de citer ces l
ecueilli plusieurs témoignages du môme genre. Les exemples abondent d'
enfants
intimidés qui ont gardé toute leur vie l'empreint
e leur vie l'empreinte de cette première éducation. Quelquefois les
enfants
sont livrés à un précepteur, on a une gouvernante
qui abuse de son autorité. J'ai connu une étrangère qui, frappant un
enfant
en l'absence de ses parents, le rendit sournois e
ieu familial apparaît le plus souvent comme un foyer d'affection où l'
enfant
choyé s'épanouit, et se montre bien tel qu'il est
es parents. Le milieu scolaire. — Aussi quel dur changement quand l'
enfant
, gâté chez lui, arrive à l'école qu'on a eu parfo
imé, Sully-Prudhomme, a bien analysé la tristesse et la timidité de l'
enfant
arraché à sa famille : On voit dans les sombres
les autres », mais n'envoyait pas ses compagnes la chercher. Alors l'
enfant
demeurait à l'écart, et on prenait son attitude p
tude pour de la bouderie. Il arrive que la cruauté inconsciente des
enfants
, — cet âge est sans pitié, — augmente la timidité
candidats qui lui ont dû leur succès. En général, on constate que l'
enfant
élevé à l'école ou au lycée, perd assez vite sa t
plus de place h l'initiative et à la libre discussion. La plupart des
enfants
s'enhardissent même au point qu'il faudra peut-êt
r quelque jour dans l'autre sens. En attendant, comment traiter les
enfants
qui, en dépit de la bienveillance des parents et
ière, chez les sujets mal doués au point de vue de l'esprit. Chez les
enfants
arriérés, par exemple, l'apprentissage des mouvem
âgé de 26 ans, 01s d'un haut fonctionnaire du gouvernement égyptien,
enfant
gâté, mène depuis plusieurs année une vie de plai
s et maîtres qui, en 1825, alors qu'on voulait exécuter un égorgeur d'
enfants
, s'interposa et dit : vous allez tuer un fou, un
st permis de rappeler que la plupart de ces violateurs et assassins d'
enfants
sont des aliénés et des irresponsables, et que pl
(Application de l'hypnotisme à la thérapeutique et à l'éducation des
enfants
vicieux ou anormaux.) L'Administrateur-Gérant :
le plus grand compte dans l'avenir. (à suivre) La timidité chez l'
enfant
(suite et fin) par M"« Lucie Bérillox, professe
régée du lycée Molière. La timidité se manifestant surtout chez les
enfants
, il importe de la traiter dès l'école, en appliqu
urnés? C'est là qu'il importe de bien connaître la psychologie de l'
enfant
. La première tâche du maître sera donc d'étudier
a volonté. Pour y arriver, il faut d'abord gagner la confiance de l'
enfant
, en lui témoignant beaucoup de bienveillance. Le
but en le dépassant, — ou bien ils attireraient trop l'attention de l'
enfant
sur lui-même, ce qui est justement l'autre danger
e, les moqueries de leurs camarades les blessent profondément ; car l'
enfant
féru d'amour-propre attache la plus grande import
s en doute l'affirmation de la maman, je m'avisai de placer près de l'
enfant
une autre petite nouvelle qui épelait à peine, et
Elle ne pouvait nier. La glace se trouva rompue, et depuis ce temps l'
enfant
ne fut plus timide avec moi. A son arrivée en cla
a bien analysé ce type dans le Disciple. ¦ • * IL — Beaucoup d'
enfants
sont timides par modestie excessive ou scrupule.
n son importance. Il faut témoigner plus d'égards, si possible, aux
enfants
que le sentiment de la pauvreté intimide, par exe
n'est pas excessive, Y a-t-il rien de plus aisé à conduire que des
enfants
« sages comme des images ? » Ils n'osent ni remue
elle serait moins animée et moins intéressante, et nous préférons des
enfants
plus éveillés et une classe plus vivante. Ainsi
exemple est digne d'admiration ('). Notre rôle à nous, en face des
enfants
timides, sera donc de créer ou de développer en e
u incinérées « qu'on faisait manger, dit un vieil auteur, aux pauvres
enfants
atteints d'incontinence ». Plus récemment Desault
emment Desault s'exprime ainsi : i L'âge.... guérit ordinairement les
enfants
de cette indisposition. Les menaces et même les c
atiques de Paris, en 1894, « le Dr Powers, dis-je, conseille chez les
enfants
mâles d'obturer, au moment du coucher, avec du co
le prépuce légèrement distendu par une petite quantité d'urine ; si l'
enfant
se réveille dans la nuit avec le besoin d'uriner,
ault, nous avons appliqué le traitement suggestif à un grand nombre d'
enfants
des deux sexes atteints d'incontinence nocturne e
dit-il, dans les incontinences psychopathiques ; mais chez les jeunes
enfants
elle est d'une application difficile, sinon impos
le père est alcoolique, fils lui-même d'alcooliques. « A l'examen, l'
enfant
présente le faciès caractéristique de l'adénoidie
.. « La mère nous raconte que depuis environ l'âge de quatre ans, l'
enfant
est atteint d'incontinence d'urine. A peine couch
de lui changer ses linges tous les soirs aux environs de 10 heures. L'
enfant
dort d'un sommeil si profond que cette opération
tres fois dans la nuit. La mère a cependant remarqué que depuis que l'
enfant
prend des crises de toux et de dyspnée violente,
avancé (25 ans), mais ils ont guéri en vieillissant. Elle a un second
enfant
âgé de neufans et qui, comme son frère, est attei
ratiquée après l'application d'un traitement médical sans résultat. L'
enfant
ne tarde pas à accuser un notable soulagement. Le
urs jours, deviennent moins violentes et finissent par disparaître. L'
enfant
devient plus gai... et la mère vient nous dire qu
me aux aspirations élevées de notre nature. o Enseignons donc à nos
enfants
le sentiment du devoir et sachons les en pénétrer
s suivants à cinq heures. Sujetdu cours: Les maladies nerveuses des
enfants
et des adolescents. — Application de l'hypnotisme
affection qu'il cherche plutôt dans la bouche que dans le cœur de ses
enfants
, constituent les traits essentiels de son esprit
eillards semblables les uns aux autres, aussi semblables que sont les
enfants
entre eux. 11 se passe dans l'évolution de la vie
n ordre inverse de l'évolution des premiers âges. Preyer écrit de l'
enfant
: « L'évolution psychique de l'enfant est précoce
miers âges. Preyer écrit de l'enfant : « L'évolution psychique de l'
enfant
est précoce ou retardée dans son ensemble ; mais
accompli. La psychologie des animaux, des idiots, des imbéciles, des
enfants
, etc., est une conquête que la science doit seule
, en partie consciente, en partie inconsciente, qui le rapproche de l'
enfant
; elle est symptomatique de la décadence de l'homm
par son programme, un intérêt considérable. L'importante question des
enfants
et des adolescents anormaux, mise à l'ordre du jo
à des discussions approfondies. I*La paresse et la mollesse chez l'
enfant
. — L'adaptation de l'organisme au travail. 2° L
sse chez l'enfant. — L'adaptation de l'organisme au travail. 2° Les
enfants
indisciplinés. — Procédés médico-pédagogiques qui
de nouveaux membres. Question générale mise a l'Ordre du Jour : Les
enfants
et les adolescents anormaux (Classification, psyc
n : La méthode hypno-pédagogique : ses applications ou traitement des
enfants
indisciplinés. D' Doyen : La craniectomic en vo
enfants indisciplinés. D' Doyen : La craniectomic en volet chez les
enfants
arriéres. l)r Hurtrbl : Les anormaux pauvres (p
édico-pédagogique de Cré-teil : Les méthodes de lecture à l'usage des
enfants
arriérés. Dr Feuillade (de Lyon) : Applications
7. Chien acteur comique, p. 287. Classification et assistance des
enfants
dits « anormaux intellectuels ». par Jules et Rog
p. 255. Entrainement (Psychologie del'), La-grange, p. 243, 272.
Enfants
menteurs et simulateurs, p. Epidémie mystique,
s chez les animaux, par Lépinay et Grollet, p. 212. Timidité chez l'
enfant
, par Lucie Bérillon, p. 264, 300. Timidités (Le
ie, ont visité le magnifique établissement consacré au traitement des
enfants
et adolescents retardataires, instables ou nerveu
urs professeurs, personne n'aurait pu se douter qu'il s'agissait là d'
enfants
qualifiés d'indociles ou d'anormaux. C'est que l'
messieurs (ceux au dessus de la cinquantaine), puissent procréer des
enfants
, parce que ces enfants ne valent généralement pas
sus de la cinquantaine), puissent procréer des enfants, parce que ces
enfants
ne valent généralement pas grand chose. Binet e
ant pas espérer que cette abolition soit prochaine. PÉDAGOGIE DES
ENFANTS
ANORMAUX L'onychophagie est-elle un signe de dé
des parents, les réprimandes des maîtres sont impuissants à guérir un
enfant
, un adolescent, de cette vilaine habitude ; quand
in compétent d'employer les méthodes les plus capables de guérir leur
enfant
de cette disgracieuse habitude. L'emploi de fa su
rcredi 5 Aoct : Le matin à 9 heures, question à l'ordre du jour : Les
enfants
et les adolescents impulsifs et vicieucc ; mesure
. Dr Bérillon : Le traitement psychologique des petites manies de l'
enfant
— Nécessité d'une Mucation spéciale pour les enfa
tites manies de l'enfant — Nécessité d'une Mucation spéciale pour les
enfants
dont la croissance est exagérée. M. Uebyd Ouiaa
ionale. D- Beacvisagk. de Lyon : Les classes de perfectionnement pour
enfants
anormaux dans les écoles publiques de Lyon. Avi
rue Castellane, Paris. Mythomanes et pathomimes Qu'il s'agisse d'
enfants
ou d'adultes, de sujets hystériques ou non hystér
qui pourrait être le plas utilement reproduite. Combien de temps un
enfant
doit-il dormir ? Ce n'est pas là une question o
us que les autres. Cette moyenne de sommeil nécessaire est pour les
enfants
de 4 ans, de douze heures. Pour les enfants de
nécessaire est pour les enfants de 4 ans, de douze heures. Pour les
enfants
de 7 ans, de onze heures. Pour les enfants de 9
douze heures. Pour les enfants de 7 ans, de onze heures. Pour les
enfants
de 9 ans. de dix heures. Pour les enfants de 12
e onze heures. Pour les enfants de 9 ans. de dix heures. Pour les
enfants
de 12 à 14 ans, de neuf à dix heures. Pour les
ublic à la pudeur. Commis ou tenté sans violence sur la personne d'un
enfant
âgé de moins de treizeans il devient attentat, à
e l'ouverture du col de la matrice, mais seulement à l'expulsion de l'
enfant
, 5 n'ont reçu de l'hypnotisme aucun soulagement.
pnotisme. Voici son cas. Madame Z... âgée de 38 ans, a eu plusieurs
enfants
. 121 le est venue, au -cours de sa sixième grosse
ans -douleurs. La malade ne commença à souffrir qu'à l'expulsion de l'
enfant
, il suffit de lui donner un peu de somnoforme et
hypnose peut supprimer les douleurs pendant la sortie de la tête de l'
enfant
, ce qui prouve bien que l'intensité des douleurs
s 2??• et 3me périodes de l'accouchement antérieur. PÉDAGOGIE DES
ENFANTS
NORMAUX L'émulation scolaire (1) Son rôle dans
ment au moment où l'on se plaint de la diminution du travail chez les
enfants
, et où ils ont le plus besoin d'être encouragés,
doit surtout tendre à former les cœurs et les volontés ; à munir les
enfants
'des connaissances pratiques qui leur seront néce
supprimer l'émulation, et tout attendre du secours de Dieu : « Les
enfants
de Port Royal auxquels on ne donne point cet aigu
i » et n'est viciée par aucun mauvais sentiment. S'il importe que l'
enfant
travaille pour acquérir les connaissances qui lui
fort nécessaire. Au point de vue idéal, il semble souhaitable que l'
enfant
travaille uniquement par devoir, sans être aiguil
dans le domaine du réel ! Comment exiger ce labeur désintéressé de l'
enfant
seul (qui lui non plus n'est ni ange ni bête) alo
eloppe ses facultés, sa personnalité. L'attention est faible chez l'
enfant
. Loin d'être spontanée, elle est le résultat d'un
l'attention. Pour cela, il faut d'abord éveiller la curiosité, car 1
enfant
dont la curiosité n'est pas excitée se distrait f
'esprit est une habitude difficile à prendre, parce qu'elle fatigue l'
enfant
, étant contraire à son allure naturelle. Il est p
Pour fortifier l'attention et la fixer, il faut mesurer la tâche de l'
enfant
â sa capacité. On a comparé l'attention à « un va
pour ainsi dire goutte à goutte » (Joubert). Si on dépasse la dose, l'
enfant
ne retient rien. Il se rebute ou se laisse distra
l d'être groupés facilite déjà le développement des facultés chez les
enfants
, grâce à l'esprit d'imitation, qui précède l'émul
à l'esprit d'imitation, qui précède l'émulation. Si l'on compare les
enfants
élevés isolément, par un précepteur, à ceux de no
ucation, un autre stimulant e*t dans l'intérêt, la vie des cours. L'
enfant
s'instruit si on l'intéresse, je dirai plus, si o
duction, l'intérêt que renferme la science » (1). Pour intéresser l'
enfant
, il faut mettre dans l'enseignement le plus possi
l'attention, excitent l'émulation et développent la personnalité de l'
enfant
, diffèrent suivant les matières à enseigner. Pa
émulation sans qu'il y ait rivalité. {A suivre.) , PÉDAGOGIE DES
ENFANTS
ANORMAUX L'onychophagie est-elle un signe de dé
ir et de battre ses frères et sœurs à tout propos ». D'autres fois, l'
enfant
lui-même, sous le sceau du secret médical, nous c
la rencontrer physiologiquement dans le premier mois de la vie. Un
enfant
normal à la naissance, d'après les tables de croi
s qui suivent ïa naissance. 11 faut trois ou quatre jours, pour que l'
enfant
récupère son poids de naissance. Cette période in
se 1908, 3 tr. 50. F. Gâche : Collégiens et Familles. Le travail de l'
enfant
à la maison ; L'éducation de l'enfant par lui-
et Familles. Le travail de l'enfant à la maison ; L'éducation de l'
enfant
par lui- même ; Les vacances d'Alais. Préface de
ol. in-12 déplus de 400 pages 1906. Marcel Bracnschvig : L'Art et l'
Enfant
. Essai sur l'éducation esthétique, professeur a
44 pages. Daragon, Paris, 1908. Mlle Bèrillon : La timidité chez l'
enfant
. 24 pages in-S°. Bureaux de la Revue de l'Hypnoti
tig-Moorhof dit dans son guide opératoire : « Heme lorsqu'il s'agit d'
enfants
nous protestons contre la narcotisation a l'insu
ez profondément et dormez tranquillement ». Je connais un cas où un
enfant
chloroformé' a commencé à bégayer et il a continu
a main à son front et s'affaisse : il était mort, (de Leymarie). Un
enfant
de sept ans est témoin d'une rixe entre deux peti
à être blasées sur le compte de ces alertes injustifiées, et, comme l'
enfant
de la fable, elles ne se gardaient plus, alors mê
e l'enseignement une réelle sympathie pour leurs élèves. H faut que l'
enfant
se sente aimé. La sympathie est un des stimulants
d'un jouet, d'une bicyclette, etc.. Le devoir trop difficile rebute l'
enfant
. Il se rend compte que môme en s'appliquent penda
'as pas droit à cette place-là. » — « Nous verrons bien », répliqua l'
enfant
, blessé dans son amour-propre. Dès cet instant il
lières. Notons que les procédés varient avec la nature et l'âge des
enfants
: tel sera sensible à un stimulant qui laissera l
sse innée et obtenir l'entraînement nécessaire chez un grand nombre d'
enfants
. L'émulation n'existe pas, dit-on, ni le travai
elques familles). Ils étaient en honneur au XVIIe siècle et Louis XIV
enfant
reçut assez souvent le fouet. De mémo, Bossuet fa
endre du moyen qui consisterait à faire copier ciuq cents lignes à un
enfant
turbulent pour avoir, dans sa vivacité, cassé un
lit pendant qu'on organisait une promenade agréable pour- les autres
enfants
. Les punitions entre autres inconvénients présent
inconvénients présentent lo suivant : Croyant qu'il a payé sa dette l'
enfant
qui a encouru une punition, s'y soumet sans discu
nalité dans un sens heureux, l'entravent au contraire, en rendant les
enfants
dissimulés, hypocrites, capables de toutes les ru
que de Créleil (Seine), organisé sur un plan tout à fuit moderne. Les
enfants
retardataires, débiles, instables, nerveux, des d
ire que le manque de culture ». (Kant). (à suivre). PÉDAGOGIE DES
ENFANTS
ANORMAUX L'onychophagie est-elle un signe de dé
u soldat, par M. Julien Bay ; 3° Les classes de perfectionnement pour
enfants
anormaux, par le docteur Beau-visage. Après une
tement médical et traitement pédagogique, il importe aussi d'isoler l'
enfant
du milieu extérieur ordinaire, enfin on ne saurai
nt du milieu extérieur ordinaire, enfin on ne saurait oublier que les
enfants
doivent être pris au début de l'éclosion de leur
es, Privât. Toulouse 190S. 3 fr. 50. L. Bérillon : La timidité chez l'
enfant
. 24 pages in-S°. Bureaux de la Revue de l'Hypno
e est morte ! Marcelin Berthelot avait, plusieurs fois, dit à ses
enfants
qu'il ne survivrait pas à leur mère. Quand on lui
; c'est aussi et surtout avec son système nerveux ». PÉDAGOGIE DES
ENFANTS
NORMAUX L'émulation scolaire (1) Son rôle dans
qu'une fois par mois. On a aboli le système des notes quotidiennes, l'
enfant
risquant de travailler pour obtenir de bonnes not
les encouragements leur sont évidemment nécessaires. En France, les
enfants
, de même que les adultes sont plus sensibles
faiblesse dont on a honte, et fortifier sa volonté. D'ailleurs les
enfants
complètement dépourvus d'amour-propre sont la pla
convient également de s'efforcer de développer dans la conscience des
enfants
, le sentiment Je la probité. Remarquons qu'en A
e des ongles des pieds. Quatre des observations se rapportaient à des
enfants
au-dessous de dix ans ; deux concernaient des gra
Vichnou comme l'être suprême né de la durée du temps (1). Viclinoti
enfant
suçant son pros orteil droit Nous n'allons pas
ue de la sienne propre, voire même que de celle de sa femme et de ses
enfants
: et c'est naturel : la mort d'une bête constitua
particulier à chaque maladie. Et Dieu sait s'il y en a des maladies d'
enfant
surtout ! Pour les convulsions, il suffit de brûl
e boire de ce bouillon, a moins qu'on ne préfère attacher au cou de l'
enfant
un sachet contenant des lombrics vivants et qu'on
eul : il n'y a qu'à lui faire sucer une traite vivante. Lorsqu'un
enfant
jette souvent la tête en arrière, il peut lui arr
bouche du petit patient et lui introduit ce poivre dans le gosier. L'
enfant
se trémousse, larmoie, hoquette. Alors la mère B.
as. Enfin, pour tenir la luette à sa place, elle entoure la tête de l'
enfant
d'un mouchoir, d'un bandage quelconque, d'un « br
quelconque, d'un « bridon » passant sous le menton. Et voilà. Votre
enfant
est-il pris du « jaguera » (maladie de la peau) ?
uit de cette quête il se nourrisse pendant les neuf jours ainsi que l'
enfant
. Si le quêteur revient lis soirs chez loi, qu'il
. Avec ce qui restera des aumônes on tara dire une messe. Quant aux
enfants
chétifs. qui. malgré tout, restent maigres et mal
ien vigoureux, que vous fendrez par le milieu ; vous y ferez passer l'
enfant
, puis vous rattacherez fortement avec du limon fr
destinée du petit est liée à celle de l'arbre : si celui-ci sèche, l'
enfant
mourra. U peut se faire aussi que l'enfant mali
e : si celui-ci sèche, l'enfant mourra. U peut se faire aussi que l'
enfant
malingre, qui ne profite pas, soit. * touché » d'
la paroisse du père ou de la mère, du parrain ou de la marraine de l'
enfant
. La dernière bougie qui s'éteindra sera celle de
cet effet tout autour de l'autel. Le plus souvent, on lui conduit l'
enfant
en pèlerinage. ? existe, entre autres, au flanc
l'entérite tuberculeuse ou * carreau », dans le langage populaire. L'
enfant
porté dans la grotte, on lui lave le ventre avec
rs ce linge à la paroi supérieure de la grotte. S'il y reste collé, l'
enfant
guérira ; sinon, c'est bien mauvais signe. Pour p
mmunes environnantes, même du Cantal. Si l'on ne peut transporter l'
enfant
, on lui frictionne le ventre avec de l'eau apport
entre époux. Il y en avait un qui. pour les convulsions, étendait l'
enfant
complètement nu sur une table. Il suspendait alor
Puis, il décrivait avec la main une circonférence ayant pour centre l'
enfant
malade. Ensuite, il faisait force signes de croix
ra pris. Pour que le remède soit efficace, il est indispensable que l'
enfant
chargé de l'appliquer n'ait encore jamais embrass
Douleurs rhumatismales : Même remède que pour les convulsions des
enfants
. Si c'est un cas particulièrement grave : écorche
oles à Paris, a pu observer facilement de très près un grand nombre d'
enfants
. « l'enfant naît méchant mais s'il n'apporte pas
a pu observer facilement de très près un grand nombre d'enfants. « l'
enfant
naît méchant mais s'il n'apporte pas avec lui une
t ce que le Docteur Laurent recherche. Il étudie d'abord l'ame de l'
enfant
, ses antécédents héréditaires qui peuvent la modi
e de l'éducation qui est souvent l'éducation au mal et au vice. Les
enfants
, menteurs, vagabonds fumeurs, bnveurs, erotiques,
ux de la Revue de VHypnotisme. 1 fr. L. Bérillox : La timidité chez l'
enfant
. 24 pages in-S°. Bureaux de la Revue de l'Hypno
ui s'était fait de mieux dans tous les pays : 1" pour l'éducation des
enfants
dans les écoles de tous ordres ; 2" pour celle de
cipline de la classe est trop passive pour permettre de connaître les
enfants
. C'est plutôt dans les récréations que s'affirmen
Ward intervint dons le débat. Initiatrice des récréations données aux
enfants
pauvres, elle montra tout le parti qu'on pourrait
olitics). Après un éloquent appel en faveur de l'éducation pour les
enfants
des quartiers populeux et pauvres de Londres, sou
tenus au Dispensaire pédagogique de Paris dans le cas de traitement d'
enfants
vicieux ou anormaux. Dans dix ans, a-t-il ajouté,
éflexe, spasme, action d'arrêt ou inhibition. Cioffi a observé des-
enfants
de un à sept ans qui succombèrent à des brûlures
comédies ridicules ou scélérates, car les hystériques sont de grands
enfants
qui se déterminent d'après des sentiments figurée
ait les ennuis inhérents à toute situation sociale, préoccupation des
enfants
a élever, difficultés de ménage provenant de ses
trempé, et quoiqu'elle fasse, qu'elle s'occupe de sa maison ou de ses
enfants
, des affaires commerciales de son mari ou des aff
éputation dans la ville qu'elle habite. (A suivre). PÉDAGOGIE DES
ENFANTS
NORMAUX L'émulation scolaire (1) Son rôle dans
ndividuelle qui repose essentiellement sur l'étude psychologique de l'
enfant
. Est-ce trop demander que de proposer qu'on étudi
trop souvent la variété d'aptitudes avec l'inégalité d'aptitudes. Les
enfants
ayant des dispositions différentes, pourquoi dema
mour : « L'idéal des éducateurs, maîtres et parents, est de faire des
enfants
qui leur sont confiés des êtres k leurpmage, comm
isait pas d'un exemplaire. » Il est difficile de bien connaître les
enfants
dans les classes nombreuses. Les groupements de p
ive (2). Si les parents étaient meilleurs juges de la valeur de leurs
enfants
, ils viendraient en aide aux professeurs, mais il
sseurs, mais il arrive que, faute de discerner les aptitudes de leurs
enfants
, ils s'ingénient k les contrarier. Un père de fam
rticulier de Vâge, et de la croissance plus ou moins pénible chez les
enfants
. On ne s'en préoccupe pas assez, en dépit de la L
des applications de la pédagogie. Sans ralentir la classe pour ces
enfants
, on peut réduire leur tache. J'ai eu des élèves é
rce que « la variété d'aptitudes est un élément d'émulation entre les
enfants
et oblige le professeur a divers! fier ses moyens
une erreur de croire que plus les programmes seront chargés, plus les
enfants
en retiendront. Il importe surtout de leur appren
nse. Il serait illogique de refuser des récompenses matérielles aux
enfants
seuls, alors qu'on les multiplie pour les adultes
faisais en 4e, 5" et 6° année. Ces récompenses apportent en somme a l'
enfant
des joies légitimes et désintéressées (i). Pour
chimérique et contraire a la justice de vouloir faire de l'école,où l'
enfant
, plus faible que l'homme a besoin d'être soutenu
nt Jean revenaient de Borne. — Qu'avez-vous trouvé ? — Bien, sinon un
enfant
qui brûlait dans les flammes. — Qu'avez-vous fait
ierre, qu'est-ce que vous avez vu ? — Seigneur, je n'ai rien vu qu'un
enfant
qui s'est brûlé le bras au vif. — Pierre, qu'est-
ois, deux fois et trois fois ; mettez-lui de la graisse de cochon : l'
enfant
s'endormira. » Après quoi, il faut dire neuf Pate
sultations les mardis, jeudis, samedis, de 10 heures à midi, pour les
enfants
anormaux (retardataires, instables, vicieux et ne
de la Revue de l'Hypnotisme. 1 fr. L. Bérillon : La timidité chez l'
enfant
. 24 pages in-8°. Bureaux de la Revue de l'Hypnoti
devrait ainsi aider celui qui a moins d'expérience, et la création d'
enfants
immortels, c'est-à-dire de belles actions venant
a plupart des uranistes. n'est pas un vice par lui-même ». Un autre
enfant
de la très vertueuse Allemagne, Benedikt Friedhen
ité. Anacréon chantait alternativement et la blonde hétaïre et le bel
enfant
Bathyllos « dont la joue rosée a le léger duvet d
'étend à tout ce qui touche aux organes génitaux. L'échec d'un de ses
enfants
à un examen la met dans une angoisse extrême, tan
raconte la genèse de ses crises : « Après la naissance de mon second
enfant
, mon mari trouvant que notre famille était assez
ri trouvant que notre famille était assez nombreuse ne voulait plus d'
enfant
et pour cela un seul moyen lui parut assez sûr, e
d'une femme qui était malade du ¦ Latah » depuis la mort d'un de ses
enfants
. La séance eut lieu dans une salle de malades d
ent à une famille tout à fait normale : elle est la troisième de cinq
enfants
; ses parents sont pauvres et de moralité très sé
ennent pas la nouvelle au sérieux, et s'efforcent de persuader à leur
enfant
qu'il est impossible qu'elle soit enceinte ; mais
ation. Certains milieux familiaux, très puritains, font surgir chez l'
enfant
la crainte perpétuelle d'avoir mal agi et celui-c
agi et celui-ci devient scrupuleux à l'excès. D'autre part quand les
enfants
, intrigués et curieux, interrogent leurs parents
séducteur », elle tue celui qu'elle désigne comme étant le père de l'
enfant
dont elle se prétend grosse ; or il fut reconnu q
nt, pour une très grande part, de Vhumbug ; quant à 'hypnose chez les
enfants
, je la considère, dans tous les cas, comme un méf
ue expérience sait combien le traitement hypnotique est favorable aux
enfants
, Kraepelin considère que les cas les plus justi
Par de courtes cures d'hypnose, j'ai guéri des maux de têtes chez des
enfants
qui en souffraient depuis des années et qui avaie
ent été traités sans succès par les moyens ordinaires. J'ai suivi ces
enfants
pendant plusieurs années sans jamais constater au
ale pour les mots imprimés par M. le D* Yabiot, médecin en chef des
enfants
assistés. Il arrive que des enfants, parfaiteme
D* Yabiot, médecin en chef des enfants assistés. Il arrive que des
enfants
, parfaitement développés et ayant l'intelligence
l'âge de 15 ou 16 ans. cette infirmité disparaît d'habitude. Chez l'
enfant
cette difficulté de la lecture s'accompagne d'un
ture s'accompagne d'un fonctionnement normal des diverses facultés. L'
enfant
entend fort bien, retient ce qu'on lui dit. mais
llente ; on lui donne un livre : il en épèle les mots comme ferait un
enfant
de 5 ans, en y mettant l'intonation anonnante que
erait un enfant de 5 ans, en y mettant l'intonation anonnante que les
enfants
apportent à déchiffrer les mots qu'ils ne compren
nt à déchiffrer les mots qu'ils ne comprennent pas. Que deviendra cet
enfant
dans la vie ? Sans doute il lira plus tard comme
décrit cette singulière maladie. Elle semble assez répandue. Certains
enfants
n'apprennent à lire qu'avec une difficulté incroy
l y aurait lieu de créer des classes spéciales pour cette catégorie d'
enfants
. En attendant, les praticiens sauront reconnaître
endant, les praticiens sauront reconnaître cette infirmité auprès des
enfants
qui sont confiés à leurs soins et quand ils l'aur
pistée, ils obtiendront qu'on n'impute pas au mauvais vouloir chez un
enfant
ce qui est l'effet d'un retard de développement d
tes de cannibalisme. TJn chevreau blanc sans corne, c est-à-dire un
enfant
blanc, était dérobé puis dans le plus grand mystè
rs jours, les substances fortement odorantes peuvent provoquer chez l'
enfant
des réactions de défense. Kussmanl, faisant arriv
ant des réactions de défense. Kussmanl, faisant arriver dans le nez d'
enfants
nouveau-nés endormis, de la vapeur d'flssa fœtida
ne de la macération d'assa fœtida étendue sur la lèvre supérieure des
enfants
éveillés ou endormis, produisait chez eux des mou
de ces expériences, les observateurs ne se sont accupés du sexe de l'
enfant
. Ce n'est qu'à une période assez récente que l'on
tances qui l'entourent (mère attentive aux troubles du sommeil de son
enfant
; sentinelle aux écoutes, etc.), comme tout le mo
était nn apotre, eut 6 cœnr de l'enseigner, en outre, comme un brave
enfant
de bi Meuse qu'il était, aux élèves-Instituteurs
, fétichisme, etc...) 2° L'hypnotisme et l'orthopédie mentale : Les
enfants
et les adolescents anormaux : retardataires, inst
, 44, me Saint-André-des-Arts. Ces consultations sont destinées aux
enfants
et aux adolescents anormaux (retardataires, insta
ura lien un dimanche à G Etablissement médico-pédagogique de Créteil (
enfants
et adolescents retardataires et nerveux), sous la
de la Revue de l'Hypnotisme, 1 fr. L. Bérillox : La timidité chez l'
enfant
. 24 pages in-8. Bureaux de la Revue de l'Hypnot
cole de réforme de la Salpétrlère, en 1892. — Chargé dn service des
enfants
atteints de maladies chroniques (pavillon Ter-ril
grès de psychiatrie. 1900). sur la classification et l'assistance des
enfants
dite anormaux intellectuels (Congrès do l'assista
rsonnels, de la grande question, devenue aujourd'hui d'actualité, des
enfants
anormaux. Dès 1892. il organisait à la Salpétrlèr
ux. Dès 1892. il organisait à la Salpétrlère, à côté de son service d'
enfants
arriérés et éplleptiques, l'Ecole de réforme dest
élèves. Eu même temps, Il ne cessait de perfectionner le service des
enfants
anormaux et l'école qui y est annexée. Il n'est p
aliénation mentale, sur les maladies nerveuses et sur l'éducation des
enfants
anormaux, suivies chaque année de nombrenx audite
té à son souverain sont encore aujourd'hui proposées en exemple à nos
enfants
, fût fait prisonnier a cette époque ; les Tartare
il y a place pour des réunions particulières d'hommes, de femmes et d'
enfants
dans des dépendances dn temple. Les enfants vont
d'hommes, de femmes et d'enfants dans des dépendances dn temple. Les
enfants
vont à l'école du dimanche, comme dans les autres
les Voisin*, médecin de la Salpétrlère. L'incontinence nocturne des
enfants
et des jeunes gens a toujours excité la sagacité
mur. Tantôt il urinait sans rêve. J'essayai l'hypnotisme chez cet
enfant
. Je l'endormis assez difficilement. L'enfant a\
l'hypnotisme chez cet enfant. Je l'endormis assez difficilement. L'
enfant
a\-ait de la répulsion pour ce moyen thérapeutiqu
ion. Dorothée Boiler s'était mariée une première fois, sans avoir des
enfants
. Son mari mourut subitement vers I860. Elle épous
ssa la maison de résurrection ainsi que la caisse de Ziou à son fils,
enfant
idiot, qui reçut un tuteur. C'est celui-ci qui fi
ant quelques os humains pris au cimetière. Mettez au cou des jeunes
enfants
un collier de corail, vous faciliterez leur premi
de la Revue de l'Hypnotisme. 1 fr. L. Berillos : La timidité chez l'
enfant
. 24 pages in-8. Bureaux de la Revue de l'Hypnotis
pays des compagnies auxiliaires de volontaires. Dans la rue, même les
enfants
jouent aux soldats ; chose remarquable : il y a t
érison. L'emploi des adjudants que je préconise sera utile chez les
enfants
car leur suggestibilité est grande, mais leur fac
ntalité du sujet. • Quand on constate la naissance d'un tic chez un
enfant
, il faut s'empresser d'intervenir, ne pas s'en re
ces jeunes prédisposés sont eux-mêmes des tarés psychiques et que les
enfants
sont négligés parce que la mère neurasthénique, o
il faut prescrire aux parents de s'astreindre à couper les ongles des
enfants
périodiquement sans aucun oubli et à les couper t
k la teinture d'aloês, procédé thérapeutique absolument anodin, car l'
enfant
ou l'adulte ne risque certainement pas d'absorber
purger. Combien de fois n'entend-t-on pas les parents promettre aux
enfants
de leur badigeonner les doigts avec une substance
le port ininterrompu de gant, jour et nuit mais on risque de voir les
enfants
ronger l'extrémité des doigts de gant. Un des t
l'extrémité des doigts de gant. Un des tics très répandus chez les
enfants
est celui qui consiste à ronger l'extrémité des p
s faire disparaître rapidement ce tic, en mettant entre les mains des
enfants
un porte-plume dont l'extrémité est formée par un
ploi exclusif de ce porte-plume, il faut progressivement accoutumer l'
enfant
a reprendre le porte-plume ordinaire sans qu'il l
lade resta attaché, conformément à nos prescriptions. PÉDAGOGIE DES
ENFANTS
NORMAUX L'éducation attrayante (1) par Mlle L
l'Ecole de psychologie, parce qu'elle repose sur la psychologie de l'
enfant
, trop négligée jusqu'ici dans l'éducation. Elle
nt les maîtres et les parents en qualité d'éducateurs, mais aussi les
enfants
appelés à la recevoir, et chacun de nous en parti
par un enseignement dogmatique. Cette doctrine, qui prétend modeler l'
enfant
sur un type abstrait, fut chère au Moyen âge et a
des notions concrètes, vivantes et accessibles à l'intelligence de l'
enfant
, sans surcharger son cerveau. Elle lui présente d
rayante dans ses entretiens avec ses disciples qui n'étaient plus des
enfants
, et qu'Aristote en usait de même en se promenant
rriver aux considérations les plus élevées. Platon, sans éviter à l'
enfant
la douleur qui ne l'épargnera pas dans la la vie,
ordre car, en pédagogie surtout, la méthode dogmatique est absurde. L'
enfant
ne comprend pas l'abstraction, il ne voit que les
u, on revient à la Nature, au nom de la raison. H révèle le premier l'
enfant
. Grace à son influence, l'enfant prend sa place d
de la raison. H révèle le premier l'enfant. Grace à son influence, l'
enfant
prend sa place dans la famille, où aujourd'hui il
t que souscrire à ses idées quand il dit : « Au lieu de présenter aux
enfants
une multitude confuse d'objets, mieux vaudrait en
de Rousseau. Parmi les plus fameux. Frœbel. le créateur des Jardins d'
enfants
eu Allemagne, qui veut d'abord exercer les sens e
s. Mais la plupart en France ont aujourd'hui le souci de « donner aux
enfants
le sens et le goût de la vie moderne, et de les a
e dame a ln figure vieillotte, mais lo squelette est resté celui d'un
enfant
. Les médecins déclarent qu'ils s'attendent à une
ame Mondineu ; M. Moutet ; M. le Dr MuGNIER, médecin inspecteur des
enfants
du premier age ; Madame Mugnier ; , M. Petit, m
e trouvent les plus déshérités d'entre les déshérités, ces malheureux
enfants
arriérés, épileptiques et idiots sur le visage de
r de vous, pour le plus grand bonheur de votre digne compagne, de vos
enfants
grands et petits, ces tout petits que vous chéris
vée et hospitalière, a dirigé perfectionné, organisé l'assistance des
enfants
anormaux, arriérés et épileptiques, ainsi que l'é
coupables de l'Assistance publique. Que devenaient autrefois ces
enfants
? Le mGnie sort leur était réservé qu'à tous les
longtemps capturés ou nés en esclavage. Un procédé qui influencera un
enfant
de trois ans peut n'avoir aucune action sur un ad
du camp, gardé du reste par des sentinelles armées. PÉDAGOGIE DES
ENFANTS
NORMAUX L'éducation attrayante par Mlle Lucie
tayante n'est pas aisée : la mission idéale qui consiste à élever les
enfants
et à en faire des hommes sans contraindre leur na
ait la vocation, le don, c'est-à-dire qu'il se donne entièrement aux
enfants
et qu'il les aime. ? aura aussi le tact, c'est-
re deux fois. » De plus, le maître acquiert la méthode en observant l'
enfant
, en étudiant sa psychologie. Il apprent la manièr
tre compris, s'adapte à la mentalité des élèves, et se convainc que l'
enfant
n'est pas fait pour l'enseignement, mais l'enseig
enfant n'est pas fait pour l'enseignement, mais l'enseignement pour l'
enfant
. On ne se figure guère combien une pareille tâche
re préoccupation de l'éducateur devrait être la culture physique de l'
enfant
, encore trop négligée chez nous. Elle est mieux e
ue l'on confond souvent à tort avec elle, et qui cherche a divertir l'
enfant
avec des procédés accessoires, sans rapport avec
mais elle a pour excuse le désir louable de fixer la mémoire chez les
enfants
sans les fatiguer. Nous n'en citerons que quelque
rbonne un cours pour la voix des éducateurs de tout ordre. Beaucoup d'
enfants
suivent mat les classes quand la diction du maîtr
, le réel et le fait avant d'enseigner la règle. Ainsi on préparera l'
enfant
à la vie réelle (l). ? faut doue faire voir aux
chimie sont un enseignement concret. Les expériences passionnent les
enfants
, même dans le premier cycle. Tous les garçons rêv
'il faut emprunter les premières notions mathématiques. On impose à l'
enfant
en arithmétique oomme en grammaire, un certain no
faudrait faire entrer en premier lieu des images dans le cerveau de l'
enfant
, en mettant des objets à la portée de ses sens. I
continuera les jeudis suivent*, i cinq heures : Scjct dc Cours : Les
enfants
anormaux. — L'hypnotisme et l'orthopédie morale
nte, avec un art exquis, la tendresse d'une mère inclinée sûr son bel
enfant
, bien normal celui-là. Sa vue vous reposera des i
vous éprouvez, lorsque vous prodiguez vos soins à tant de malheureux
enfants
si déshéritée. Lorsque, après la journée consac
les que les autres. C'est ce qui arrive en présence de ces malheureux
enfants
, k l'actif desquels on ne peut invoquer aucune fa
son service de la Salpétrière, consacré aux maladies mentales et aux
enfants
arriérés, l'administration, confiante dans son zè
e, les psychoses de la puberté, la classification et l'assistance des
enfants
anormaux intellectuels, — et dans cette grande qu
s enfants anormaux intellectuels, — et dans cette grande question des
enfants
anormaux, aujourd'hui à l'ordre du jour, ton rôle
veux deux bambins qui, lors de sa fièvre typhoïde, étaient encore des
enfants
à la.mamelle. La famille, peu instruite, ne com
allemand. H naquit le 17 août 1794 à Kupperzel, étant le dix-huitième
enfant
du prince Charles Albrecht qui mourut dans une ma
ycho-hygiéniques recommandées dans l'éducation et l'enseignement de l'
enfant
. La psychothérapie, dit le docteur- Moll, est d
entier. Amsterdam, l*r mai 1909. Dr Vax Eexterghxm. PÉDAGOGIE DES
ENFANTS
NORMAUX L'éducation attrayante par Mlle Lucie
s causeries familières et des lectures qui frappent l'imagination des
enfants
et excitent leur sensibilité — par exemple : Gran
stral qui montre la bonté infinie des parents. Pour apprendre aux
enfants
qu'il ne faut pas détruire les nids, rien ne vaut
t la Géographie s'enseignent aujourd'hui d'une façon plus concrète. L'
enfant
concrétise tout, ? .• Manuel général de l'instruc
aire comprendre les choses. Par exemple, la féodalité se présente A l'
enfant
sous la formes de notions sèches sur les devoirs
ent à la nature et délaisse la méthode géométrique peu accessible aux
enfants
. Le dessin exerce les sens de l'élève et forme so
e disposition des photographies prises au cours de leurs voyages. Les
enfants
recueillent des images découpées dans des catalog
â l'abstrait quand l'intelligence est plus éveillée. On rebuterait l'
enfant
si on employait trop tût l'abstraction. Nous tr
e, de Léon Frapié : avec une branche de lilas. la maltresse donne aux
enfants
des notions de botanique élémentaire, de dess
r Hugo décrit ainsi le collège d'autrefois qui : « offrait nu jeune
enfant
Ses bancs de chi-iie noirs, ses longe dortoirs mo
de la salle des études l'endroit le plus triste et le plus navrant. L'
enfant
qui étudie a déjà tous les besoins de l'artiste q
oins ombragés, un espace sablé, tel que l'exigent les jeux des petits
enfants
, et un terrain battu approprié aux jeux de plein
aux débiles et aux arriérés. D semble qu'à cet égard l'éducation des
enfants
normaux ait bientôt beaucoup k envier à celle dee
'éducation attrayante a une grande influence sur la personnalité de l'
enfant
et contribue à sa culture morale. On reproche à
actuelle d'être trop facile et attrayante et de mâcher la besogne à l'
enfant
. Dans un journal anglais. — The Journal of educ
se ? — En classe aussi, on s'amuse à apprendre. Où est le mal, si l'
enfant
aime l'école devenue attrayante. 11 faut que l'en
st le mal, si l'enfant aime l'école devenue attrayante. 11 faut que l'
enfant
nu moins soft heureux, pour devenir fort, car la
une devrait être l'aspiration de lout cœur humain. 11 faut élever les
enfants
dans cette idée et les garder de toute crainte. »
osophie. Jean Paul liichter a dit avec raison : Si on contraint les
enfants
à sacrifier leur doux printemps sous prétexte que
du monde. On dit en France qu'il faut faire travailler beaucoup les
enfants
pour le ß entraîner à l'effort qui sera la loi de
est le paye de l'énergie intense et presque excessive. Tandis que nos
enfants
, surmenés dès le collège, se montrent souvent dép
ons-nous, doit chercher le développement harmonieux des facultés de l'
enfant
, tout en tenant compte des aptitudes individuelle
doser les aliments que la nourriture intellectuelle. Il faut amener l'
enfant
par degrés « k l'activité habituelle nécessaire &
r ». Le grand mérite de l'éducation attrayante c'est d'intéresser l'
enfant
k •ce qu'il doit faire. On a dit qu'on ne devient
ce qui plaît — Joubert —. L'objection disparaît si on fait aimer a l'
enfant
ce qu'il importe de savoir. La meilleure prépar
mais dans notre milieu social qu'un homme médiocre » — E. Caustier. L'
enfant
guidé, non contraint, aura le plaisir de la décou
rouveront de l'intérêt, car tonte notion qui illumine le cerveau de l'
enfant
lui apporte une joie. En joignant l'utile k l'a
st de faire comprendre, respecter et aimer la vie.et nous amènerons l'
enfant
à travailler avec joie. « Un franc éclat de rire
sse est un signe de santé morale » par ce que rire est le propre de l'
enfant
. Et le temps n'est pins où Ton disait : a Le maît
ennuyensee ». C'est l'avis d'Herbert Spencer qui prétend qu'en cela l'
enfant
est meilleur juge que nous. La méthode vraiment
vraiment attrayante fait des êtres confiants, ouverts, non timides. L'
enfant
élevé ainsi s'épauouira librement, et il conserve
o-pédagogique de Créteil, destiné ?? l'éducation et au traitement des
enfants
et des adolescents retardataires, instables o
ment discutée de divers côtés. La création de tribunaux spéciaux pour
enfants
vient compléter les œuvres de préservation, de sa
rière m'ont permis d'étudier au point de vue mental un grand nombre d'
enfants
délinquants ou criminels. C'est un résumé des obs
elles, les directeurs d'agence renvoient les pupilles à l'hospice des
Enfants
Assistés et de là dans mon service de la Salpétri
janvier 1889 au 1* janvier 1909. l'Assistance publique a reçu 91.874
enfants
abandonnés et 0.967 enfants moralement abandonnés
1909. l'Assistance publique a reçu 91.874 enfants abandonnés et 0.967
enfants
moralement abandonnés, soit près de 5.000 enfants
abandonnés et 0.967 enfants moralement abandonnés, soit près de 5.000
enfants
par an, on voit que la proportion de la délinquan
ance, qui ne concerne, il est vrai, que les filles, est faible. Les
enfants
qui m'ont été envoyées étaient soit des enfants a
es, est faible. Les enfants qui m'ont été envoyées étaient soit des
enfants
abandonnées, soit des enfants moralement abandonn
qui m'ont été envoyées étaient soit des enfants abandonnées, soit des
enfants
moralement abandonnées : mais ces dernières, nomb
p moins actuellement : des œuvres privées se chargent en effet de ces
enfants
, qui. antérieurement, étaient confiées k l'Assist
ainsi que de 1899 a 1908 inclus. l'Assistance publique n'a eu que 658
enfants
moralement abandonnés contre 5.309 de 1889 à 1898
inclus. Quoiqu'il en soit, j'ai eu k l'Ecole de la Salpêtrière 385
enfants
assistées et 89 enfants moralement abandonnées.
soit, j'ai eu k l'Ecole de la Salpêtrière 385 enfants assistées et 89
enfants
moralement abandonnées. ** * * J'ai recherché
nt abandonnées. ** * * J'ai recherché depuis combien de temps ces
enfants
étaient confiées k l'Assistance publique : j'ai a
blique : j'ai adopté pour ce classement les périodes suivantes : 1°
Enfants
abandonnées dès leur naissance : 2° Enfants aba
riodes suivantes : 1° Enfants abandonnées dès leur naissance : 2°
Enfants
abandonnées pendant la petite enfance, de 1 à 7 a
ndonnées pendant la petite enfance, de 1 à 7 ans inclusivement : 3°
Enfants
abandonnées pendant la seconde enfance, de 8 a 13
onnées pendant la seconde enfance, de 8 a 13 ans exclusivement ; 4°
Enfants
abandonnées k 13 ans et au-dessus de 13 ans. adol
e paraît avoir un certain intérêt. Xous voyons, en effet, que sur 100
enfants
délinquantes, 18 appartenaient k l'Assistance dès
ui étaient confiées de 8 à 13 ans et 27 au-dessus de 13 ans. 61 % des
enfants
étaient donc restées dans leur famille pendant to
ur première enfance.au moins. L'influence du milieu dans lequel vit l'
enfant
est donc considérable. Il est évident, en effet,
est donc considérable. Il est évident, en effet, que les parents des
enfants
abandonnées avant huit ans avaient à peu près la
proportion de délinquance est devenue deux fois plus grande lorsque l'
enfant
a été abandonnée tard, il faut certainement incri
sont au contraire éloignées 'de ces causes de dépravation. L'âge des
enfants
à leur entrée à l'Ecole a été le suivant : 9 10
ns, il est difficile de mortifier un caractère. L'un autre côté, 73
enfants
ont été confiées à l'Ecole l'année même de leur e
été confiées à l'Ecole l'année même de leur entrée à l'Assistance (54
enfants
abandonnées et 19 moralement abandonnées), soit 1
uite qui était cause de leur abandon à l'Assistance. Certaines de ces
enfants
n'étaient plus amendables. Leur présence à l'Ecol
ouvait qu'apporter obstacle à l'amélioration des autres élèves. Les
enfants
me sont adressées sous une des rubriques suivante
- 14,5 Indiscipline.....84 — 17,7 Incendiaires..... 7 — 1,4 Ces
enfants
délinquantes séjournent à l'Ecole de la Salpétriè
lose, ehloro-anémie, etc. Ce qui faisait une proportion de 55,6 0/0 d'
enfants
ayant une responsabilité atténuée. Même 38 d'
s de leur fréquence suivant la nature dc la délinquance commise par l'
enfant
. Débile* Mauvaise conduite . 44 Paresse....
psychoses, etc. ; 3° Xévrosee. La quatrième division comprend les
enfants
dont l'état général altéré influe sur la capacité
apacité intellectuelle, c'est-à-dire, des faux anormaux (1). Les 8S
enfants
internées à Sainte-Anne (14, mauvaise conduite :
0/0 avaient un trouble marqué de l'état général. Récidivistes. — 77
enfants
sorties améliorées de l'Ecole y ont été renvoyées
s après. 2 sept ans après, 1 huit ans après. 4 cinq ans après, Ces 77
enfants
étaient entrés à l'école sous les rubriques suiva
es, tuberculeuses, etc.. soit 10 0/0. * * * En somme, parmi nos
enfants
la moitié comprend des malades intelligentes (44.
nt vu faire autour d'elles. Rappelons, en effet, que la moitié de nos
enfants
a été confiée à l'Assistance après 8 ans. Ces e
moitié de nos enfants a été confiée à l'Assistance après 8 ans. Ces
enfants
intelligentes, quand elles arrivent trop tard à l
cuter en temps voulu le travail commandé. Si le caractère est doux, l'
enfant
ne répond pas aux réprimandes, mais, s'il est vio
des instruments entre les mains d'individus intelligents. Ce sont ces
enfants
qni.dans l'Ecole,se conduisent le mieux-mais elle
écidivistes). Cette bonne conduite à l'Ecole est plus rare chez les
enfants
dégénérées, perverses, intelligentes ou non. Chez
hoses plus ou moins accusées, comme la peur des animaux, et de telles
enfants
, placées dans une ferme, s'évaderont toujours et
e, même une croissance exagérée ou une formation difficile, rendent l'
enfant
apathique, insouciant, grognon, irritable ; aussi
souciant, grognon, irritable ; aussi, relevons-nous chez S 0/0 de nos
enfants
une atteinte de l'état général. Ces accidents pas
éral. Ces accidents passés, on n'a plus aucun reproche à adresser à l'
enfant
. * Les moyens à employer pour essayer d'amend
er à l'enfant. * Les moyens à employer pour essayer d'amender les
enfants
délinquants doivent évidemment varier suivant leu
t débiles, ni réunir dans le même atelier des filles de 19 ans et des
enfants
de 13, 14 ans. Ces sections ne devront pas compre
14 ans. Ces sections ne devront pas comprendre plus de-douze à quinze
enfants
au maximum. Dans l'Ecole, la plus large part do
ssent et développent l'intelligence. Il faut surtout ne pas laisser l'
enfant
inoccupé : il faut qu'il trouve discipline, régul
t. On obtiendra souvent davantage en agissant sur les sentiments de l'
enfant
, l'amour-propre, la vanité, l'intérêt, qu'avec un
ndant parfois nécessaire. Mais surtout il faut tâcher d'inculquer k l'
enfant
l'esprit du devoir et du respect. * * En défi
une part et en premier lieu, croyons-nous, le manque d'éducation de l'
enfant
, les mauvais exemples qu'il a eu sous les yeux: d
• la syphilis, et surtout l'ai- coolismc. mais aussi donner îi l'
enfant
une éducation morale solide, lui éviter les occas
age de l'adolescent. D faut surtout lorsque, dans son jeune age. un
enfant
parait d'un caractère bizarre, « qu'il n'est pas
d'un caractère bizarre, « qu'il n'est pas comme les autres ».que cet
enfant
soit examiné au point de vue mental, car la const
institué plus tôt. RECUEIL DE FAITS Deux cas d'onanisme chez des
enfants
traités par la suggestion hypnotique (1). Par le
a In Faculté de médecine de Bordeaux Je désire vous présenter deux
enfants
atteints d'onanisme, dont l'histoire me paraît of
relatif à une fillette, figée aujourd'hui de six ans et demi. Cette
enfant
, vive, intelligente, lymphatique et un peu nerveu
être constatée. Les parents tentèrent tout au monde pour corriger l'
enfant
, mais en vain. Douceur, remontrances, punitions,
premières suggestions, l'amélioration se produisit. Actuellement, l'
enfant
a cessé toute pratique onanistique. L'idée, suppr
Notre second malade est nn garçon âgé de neuf ans et demi. C'est un
enfant
à antécédents héréditaires plus chargés, son père
place. Cet appareil n'a servi à rien, car, ainsi que vous le voyez, l'
enfant
peut facilement, en rétractant son abdomen, attei
ucoup d'autres qui ont été cités que l'onanisme est fréquent chez les
enfants
en bas-Age. Certains auteurs, comme Marjolin et V
is et j'ai constaté que les mesures de rigueur ne font que révolter l'
enfant
et l'exciter a se soustraire, de façon ou d'autre
s la préférence dans ces cas à la suggestion hypnotique parce que les
enfants
en bas-Age ne sont guère accessibles k la suggest
ulement, et les deux sujets que je présente en sont un exemple, que l'
enfant
, si jeune soit-il, peut opposer aux tentatives d'
a mêlée du combat, le savant en train de faire un calcul difficile, l'
enfant
tout a l'attrait do ses jeux favoris ? il peut êt
au, le tic-tac de l'horloge, le chantonnement de la mère berçant son,
enfant
, une lecture monotone, le contact du peigne avec
mmeil, de l'incontinence des urines, l'onanisme, la peur nocturne des
enfants
, la chorée. Il prone la valeur du sommeil provoqu
e signe de la), par Bérillon, p. 275. Dormir ? (Combien de temps un
enfant
doit-il), p. 31. Dose de sommeil nécessaire d'a
(Quelques phénomènes de l'), par Lé-pinay, p. 312 Onanisme chez des
enfants
, par Régis, p. 366. Onychophagie est-elle un si
DES FIGURES 1. Le professeur Liégeois, p. 97. 2. Le dieu Yichnou,
enfant
suçant son gros orteil. 3. Le professeur Brissa
belleuse compliquée d'hydrocéphalie. (Compte rendu du service des
enfants
de l31cèll'e, pour 1890, p. il.) - Bourneville et
scientifique. THÉRAPEUTIQUE MÉDICO-PÉDAGOGIQUE DU MUTISME CHEZ L'
ENFANT
QUI ENTEND. (UN cas DE GUÉRISON.) Par Auguste
tution nationale des sourds-muets de Pane. AVANT-PROPOS. - Le jeune
enfant
, tout en étant norma- lement doué sous le rappo
t du langage articulé ou pis encore privé totale- DU MUTISME CHEZ L'
ENFANT
QUI ENTEND. 29 ment de la parole, autrement dit
ME CHEZ L'ENFANT QUI ENTEND. 29 ment de la parole, autrement dit, l'
enfant
peut, quoique enten- dant, être atteint de muti
isme temporaire, la parole s'étant développée par la suite chez les
enfants
obser- vés par l'effet d'une médication réparat
t dans les- quels la parole ne s'est point développée, bien que les
enfants
qui étaient affligés de ce mutisme aient été pl
absence des images motrices et ignorance des mou- vements puisque l'
enfant
n'a jamais su parler. 2 Ladreit de Lacharrière,
à rapporter brièvement, d'après différents auteurs, des exemples d'
enfants
muets, entendant et comprenant la parole. Désir
rsonne d'un jeune garçon, d'intelligence très faible comme les deux
enfants
cités par M. Ladreit de Lachar- rière, resté mu
e cet exemple permettre de rassurer les parents qui, en voyant leur
enfant
grandir sans parvenir à parler, sont épouvantés
894, entrait dans notre classe le jeune D..., alors âgé de dix ans,
enfant
dont l'extérieur dénotait immédiatement ce que
sin de l'ouïe normale. En effet, soumis à quelques expériences, cet
enfant
nous montra bientôt qu'il était capable de perc
e savant praticien ainsi que ses élèves. 3 Le cas de mutisme chez l'
enfant
qui entend semble être plus fréquent qu'on ne l
nd : « Nousavons constaté un grand nombre de cas de mutité chez des
enfants
entendants. » (Mémoires de la Société française d
ires de la Société française d'otologie, 1895> DU MUTISME CHEZ L'
ENFANT
QUI ENTEND. 31 ltetzstotz que par des réponses
cette question. L'examen de l'état physique et intellectuel de cet
enfant
nous eut bientôt ren- seigné à ce sujet. D... d
refusant à exécuter toute action exigeant la moindre virilité, cet
enfant
avait encore toutes les négligences des idiots,
son entrée à l'Institution nationale des sourds-muets de Paris, cet
enfant
avait fréquenté une école ordi- 1 L'audition in
par l'intelligence lui apprend it reproduire. " DU MUTISME CHEZ L'
ENFANT
QUI ENTEND. 33 ainsi privé de la parole, du pui
n se posa et dont on décida de tenter la solution en conservant cet
enfant
à l'Institution nationale des sourds-muets de Par
nous avons suivie dans la démutisation et dans l'instruction de cet
enfant
. L'éducation à donner à D... devait nécessairem
cutés par le professeur et reproduits presque simultané- ment par l'
enfant
, ces mouvements, après avoir mis en action presqu
rès simples furent assez encourageants. Ils nous assurèrent que cet
enfant
, quoique bien arrièré, ne-manquait cependant pa
i se fait d'une manière naturelle et progressive chez le tout jeune
enfant
norma- lement doué et qui avait précisément fai
laire des organes de l'articulation (langue, lèvres...) '. Avec cet
enfant
, la préparation des organes de la parole fut en
u double point de vue intellectuel et physique. DU MUTISME CHEZ L'
ENFANT
QUI ENTEND. 35 cices de la gymnastique labiale
jeune D..., nous dirons que, pour l'émission de la voyelle ou, cet
enfant
dut au dé- but s'aider de ses doigts pour faire
des petites phrases qu'em- ploient à chaque instant les tout jeunes
enfants
pour énoncer leurs besoins et leurs sensations.
rale, D... n'avait donc pas à souffrir de se trouver assimilé à des
enfants
privés de l'ouïe. Le système d'enseignement du
n, dès la période préparatoire dont nous avons parlé, l'oeil de cet
enfant
avait été exercé à se fixer, son esprit à obser-
es de sourds-muets en suivant la progression sui- DU MUTISME CHEZ L'
ENFANT
QUI ENTEND. 37 vante : 1° enseignement de subst
spondant à des per- sonnes, à des animaux, à des objets connus de l'
enfant
. C'est ainsi que l'élève apprend son nom, celui
mal la télé, vous plaît. Ces petites propositions enseignées à l'
enfant
en présence du fait, de l'action, au moment où
eignées à l'enfant en présence du fait, de l'action, au moment où l'
enfant
éprouve un besoin ou une sen- sation quelconque
de règles et d'exceptions. Un fait se produisant sous les yeux de l'
enfant
ou étant rappelé ' par quelque circonstance, le
cateur éminent, doit seul tenir lieu au sourd- muet (de même qu'à l'
enfant
semi-idiot privé de la parole et du langage) de
u il une série d'exercices variés : ordres donnés par le maître à l'
enfant
: Marche ! Assieds-toi ! Donne-moi la règle ; d
as-tu te promener demain ? ' ! Comptes rendus d'actions faits par l'
enfant
: J'ai écrit au tableau. J'ai caressé le chien.
cidents qui le complètent (articles ou détermina- DU MUTISME CHEZ L'
ENFANT
QUI ENTEND. 39 IV. Résultats obtenus. Après deu
xercé un premier et heureux effet sur l'extérieur du jeune D... Cet
enfant
a pris des habitudes de propreté, son maintien
spéciales de gymnastique auxquelles il a participé ont enlevé à cet
enfant
la crainte excessive qu'il avait pour tout exer
e lui. Conclusions. I. Malgré les progrès accomplis par D..., cet
enfant
doit, à notre avis, continuer à èlre soumis à une
a être complétée que par les procédés en usage dans l'éducation des
enfants
anormaux. II. Le rétablissement de la parole et
eune D... nous paraît justifier, dans cer- tains cas, l'admission d'
enfants
semi-idiots ou arriérés privés de la parole dan
ention dans la présente étude d'ouvrages consacrés spécialement aux
enfants
idiots ou DU MUTISME CHEZ L'ENFANT QUI ENTEND.
ages consacrés spécialement aux enfants idiots ou DU MUTISME CHEZ L'
ENFANT
QUI ENTEND. 41 Nous avons reproduit l'intéressa
er, pour bien montrer que rien de ce qui touche à l'éducation des
enfants
anormaux ne nous laisse indifférent et que nous
médico-pédagogique (Vitry), pour l'éducation de la parole chez les
enfants
arriérés, méthode déjà mise en pratique avant n
t de zèle aux questions d'assis- tance et d'éducation relatives aux
enfants
idiots ou arriérés. (A. 13.) ' Voyez le Compte
atine et la diphtérie. Son intelligence se développe normalement; l'
enfant
, se servant de béquilles, peut fréquenter l'éco
igidité spasmodique, il est facile de répondre d'abord que tous les
enfants
nés avant terme, c'est-à-dire avant que soit RE
ont montré le parfait développement du faisceau pyramidal chez des
enfants
atteints de maladie de Little. De sorte que pas
enfants atteints de maladie de Little. De sorte que pas plus chez l'
enfant
que chez l'adulte il n'existe une espèce morbid
de cette affection dont il présente une autopsie confirmative. Un
enfant
, venu au munde en état d'asphyxie apparente, a pr
nt cer- vical. La syphilis héréditaire peut frapper la moelle. Un
enfant
, dont le père et la mère sont atteints de syphi
le cas d'un père qui, après avoir essayé tout, trop certain que son
enfant
est irrévocablement perdu, se voit dans la nécess
comme le père lui-même l'annonce, cet « être anormal » qui est son
enfant
n'arrêtera pas là ses exploits, on entendra encor
le d'aliénés de Lafont, à la Rochelle. Un assassin de douze ANS. Un
enfant
de douze ans, Giovanni Priori, vient de commett
ville de Ligurie, voisine de San-Remo. Priori s'aperçut que deux
enfants
de cinq et sept ans, les frères Conio, avaient qu
03 centimes en tout. Il résolut de s'en emparer et attira les deux
enfants
dans la cam- pagne. Le plus petit ayant fait mi
r l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des
enfants
idiots, épilep- tiques et arriérés de Bic(,Iî,e
blir maintenant la multiplicité des causes. Dernier venu de douze
enfants
, né de parents déjà âgés, il présente un tempér
mpagne guère de douleur que dans les mouvements. Marié, il a huit
enfants
, en perd sept : éprouve de gros soucis moraux.
recouvrira ses forces, et accouchera au bout de neuf mois d'un bel
enfant
bien constitué. lI ? X... vingt-six ans, d'un t
es bruits, foetaux et l\1me X... accouchait il y a trois jours d'un
enfant
bien constitué. Cette observation offre des p
eu le plaisir de pré- senter aujourd'hui à cette jeune mère un bel
enfant
qui fait sa joie. Je puis ajouter pourtant qu
anxieuse, très hallucinée parlait de criminels qui avaient tué ses
enfants
, crevé les yeux de son mari. Des renseignements
cultés tendent à une déchéance progressive. Il est rare de voir des
enfants
épi- leptiques développer une intelligence norm
moro,es). Père mort phtisique, para- lysie dans la famille : trois
enfants
morts jeunes de bronchite; des deux autres qui
ique irrégulier. 5° Le palais des idiots et celui de la moyenne des
enfants
normaux, ne parais- sent pas différer sensiblem
raient, en cas de mariage, en faire deux et plus même, s'il y a des
enfants
à qui pourrait être transmise la tare morale du
sans goitre. Contrairement à la règle signalée par Bourne- ville, l'
enfant
présentait un pseudo-lipome du thyroïde. Ce cas e
ournal mensuel l'Alcool pour les adultes et J'Etoile libre pour les
enfants
sont ses' deux organes déjà très répandus. Plus
, il menace de vicier dans son germe la génération de demain. Les
enfants
d'alcooliques, victimes des excès des parents, po
te pour la plus grande par- Lie cette foule toujours croissante des
enfants
rachitiques, dégé- nérés, des gâteux, des hysté
t de généreux efforts pour former les intelligences et les âmes des
enfants
, l'alcoolisme pou- vait compromettre chez eux,
t, par suite, la plus pénétrante; de faire appel à la réflexion des
enfants
; en un mot, de convaincre encore plus que d'ens
simplicité d'esprit. De nom- breux témoins, notamment trois autres
enfants
de la veuve Aubry, déclarent que leur soeur éta
ult (Côte-d'Or). Un fermier, nommé X..., tenait séquestré un de ses
enfants
, âgé de quinze ans et un peu idiot. Le pauvre g
il fut découvert par les gendarmes. D'après les dis- positions cet
enfant
était plus maltraité que les chiens [de la ferm
à moitié idiote et d'un père alcoolique (ce joli couple a produit 8
enfants
, dont 6 morts entre un et deux ans, une fille b
ortante et le sujet de cette observation). y X... a eu un premier
enfant
extrait par la céphalotripsie ; un deuxième à s
rossesse, elle contracte un chancre syphilitique et met au monde un
enfant
de six mois et demi, atteint d'anarsaque, qui a r
mi, atteint d'anarsaque, qui a respiré peu d'instants; le quatrième
enfant
, venu à huit mois, est mort au bout de six sema
(accouchement provoqué à huit mois et demi et symphyséotomie) ; l'
enfant
pèse 2,800 grammes et ne présente aucune anomalie
Ce fait s'ajoute à tant d'autres pour justifier l'assistance des
enfants
arriérés. Si on avait hospitalisé et traité cette
e leçon clinique où abon- dent d'intéressants points de pratique. L'
enfant
est amenée par ses parents à l'hôpital, parce q
d'une compression de la moelle par mal de Pott probablement. Mais l'
enfant
mise debout présente une attitude assez spécial
en de sensibilité révèle une anesthésie complète dans ce membre ; l'
enfant
ressent au niveau du dos les sensations provoqu
membre. Partout ailleurs, la sensibilité est normale. Ainsi, cette
enfant
pré- sente une perte du mouvement et de la sens
lectrisation. Les courants faradiques agissent plus efficacement. L'
enfant
fut sou- mise à ce traitement : en trois ou qua
i, ne doivent être admis qu'avec beaucoup de réserve. Je connais un
enfant
de quatorze ans qui présente réunis d'une façon
et arrive jusqu'à nos jours, comprend les travaux des médecins d'
enfants
. Nous n'insisterons pas sur les erreurs qui règ
st inspirée par Char- cot. Elle a pour titre : De l'hystérie chez l'
enfant
. On y trouve la description des diverses formes
? Hélène Goldspiegel, Contribution à l'étude de l'hystérie chez les
enfants
. Paris, octobre 1888. Enfin parait, en 1888, l'
, qui mettent en vue l'urticaire et l'hémoptysie hystériques chez l'
enfant
, et touchent dans plusieurs leçons à l'hystérie
en'et, de l'hystérie simulatrice des maladies de l'encéphale chez l'
enfant
. A Nancy parut en février 1894 la thèse de Fische
e de Fischer « sur l'hystérie infantile, observée à la clinique des
enfants
de la Faculté de Médecine de Nancy pendant l'an
ations intéressantes, défend la cause de l'hystérie des très jeunes
enfants
, mais en prolestant contre une trop grande géné
à Paris, par J. Couturies une thèse sur l'hystérie chez les jeunes
enfants
qui relate des observa- lions de Chaumier, l'ob
ue l'âge adulte; d'où la fréquence de l'hysté- rie similaire chez l'
enfant
et ce principe que plus l'hystérie débute de bo
e ce genre, cités par Ollivier, si important à diagnostiquer chez l'
enfant
. C'est dans le même ordre d'idées que Grasset a
nsiste sur l'influence de la misère, et Grancher montre combien les
enfants
sont gâtés et névrosés dans certains ménages d'
as. Une fois l'hérédité constituée, trois causes principales chez l'
enfant
peuvent faire éclaler les accidents : l'éducation
ence primordiale. Que de fois on voit l'hystérie s'installer chez l'
enfant
en vertu de ce facteurl Au lieu .d'envoyer les
e après une journée tranquille, certains parents exigeront de celte
enfant
254 SOCIÉTÉS SAVANTES. trop de travail ou tro
de travail ou trop d'excitation (visites où l'on s'occupe trop des
enfants
, jeux trop agités, etc.), et le soir les mèneront
mèneront au théâtre. Que dire de ceux qui, au lieu d'y mener leurs
enfants
en spectateurs, leur font confier ce qu'on appe
vices de- l'éducation qui font apparaître souvent l'hystérie chez l'
enfant
. M. Baratoux, cité par Gilles de la Tourette, a
te, a donné la relation d'une épidémie d'hystérie qui sévit sur six
enfants
de la même famille bretonne qu'on avait bourrés à
na- ler combien sont dangereuses les frayeurs provoquées chez les
enfants
. La crainte des examens est un facteur qu'il ne f
ourquoi l'on voit l'hystérie infantile se manifester chez plusieurs
enfants
d'une même famille. Comme on le voit, les cas d
re. 1 .SOCIÉTÉS SAVANTES. 255 une observation personnelle chez un
enfant
de dix-huit mois, qui, présentant très nettemen
apporte, dans sa thèse citée (p. 141, un cas, d'après Railton, d'un
enfant
de six ans ayant eu de l'hystérie à la suite de
évrose fut de courte durée et se montra pendant la convalescence. L'
enfant
n'avait pas d'antécédents héréditaires de nervo
vérité de recon- naître qu'en présence d'accidents nerveux chez les
enfants
les médecins manquent le plus souvent de donnée
rquer le rapporteur, la recherche des stigmates est entourée chez l'
enfant
de difficultés beaucoup plus grandes que chez l
plus grandes que chez l'adulte. Par conséquent, en pré- sence d'un
enfant
qui a des frayeurs nocturnes, de l'incontinence
je signalerai le bégayement et la maladie des tics. Sur ving-trois
enfants
bègues qu'il m'a été donné d'observer, j'en ai
insisté ailleurs sur les analogies que présente l'état mental, des
enfants
atteints d'incontinence d'urine avec celui des
rie infantile les accidents hystériques qui se développent chez des
enfants
âgés de treize, quatorze, quinze, seize ans : i
toutes les manifestations névropathiques que l'on observe chez les
enfants
. On oublie qu'à côté de l'hystérie, quelquefois m
core plus formelle lorsqu'il s'agit de la névrose hystérique chez l'
enfant
que lorsqu'on est en présence de la névrose de
ique au traitement des maladies infan- tiles. La suggestibilité des
enfants
est telle que, sur dix enfants de six à quinze
infan- tiles. La suggestibilité des enfants est telle que, sur dix
enfants
de six à quinze ans, pris dans toutes les class
irement à l'opinion courante, les difficultés pour provoquer chez l'
enfant
un sommeil réel sont d'autant plus grandes que
quer chez l'enfant un sommeil réel sont d'autant plus grandes que l'
enfant
présente des tares héréditaires plus accentuées
lisent pas les sug- gestions qui leur sont faites. Par contre les
enfants
hystériques se montrent très hypnotisa- bles :
alement doués d'une intelligence assez vive. La suggestibilité de l'
enfant
, faculté normale, est en rapport direct avec le
de stigmates classiques de l'hystérie. L'hystérie convulsive chez l'
enfant
est aussi très rare et quand nous l'avons obser
nous assurer qu'elle était le résultat d'une contagion nerveuse, l'
enfant
ayant assisté à des crises d'hystérie. Par cont
stations de l'hystérie précoce. En un mot l'instabilité mentale des
enfants
hystériques semble calquée sur celle que présen
gie moderne et de procéder à une véritable rééducation mentale de l'
enfant
. Il ne dérogera pas en prouvant qu'il est capab
a pas en prouvant qu'il est capable de jouer le rôle d'éducateur. L'
enfant
hystérique, livré à lui-même, abandonné au déso
re ran- gés dans la catégorie des dégénérés héréditaires. Mais si l'
enfant
hystérique est dirigé avec autorité, s'il est h
de la suggestion pratiquée en état d'hypnose. Je connais plusieurs
enfants
atteints de légers troubles psychiques, qui, ap
munique au nom de M. Sabrazès et au sien, les observations de trois
enfants
atteints d'hystérie, qui méritent d'être réunie
ou physique (explosion de gaz, chute dans un escalier, frayeur d'un
enfant
ayant le cou serré par un homme). A la suite de
t le cou serré par un homme). A la suite de ces émotions, ces trois
enfants
devin- rent triste ? , pâles et subirent un ama
raies disposées parallèlement le long des membres. Chez deux autres
enfants
, également du sexe féminin, j'ai assisté pour a
ts autour des poignets. En m'appuyant d'une part sur le sexe de ces
enfants
, d'autre part sur l'existence de quelques antéc
les trois cas on observe au début un choc moral ou physique. Chaque
enfant
présente des accidents propres : l'un a des cri
choc moral pur ou associé à un traumatisme peut provo- quer chez l'
enfant
, tout comme chez l'adulte, l'apparition de l'hys-
it une rougeole, on ne peut donc l'examiner que le 6 mai. C'est une
enfant
intelligente, maigre, ne présentant à noter qu'un
anesthésie dans les membres inférieurs et supérieurs. On promet à l'
enfant
sa gué- rison à jour fixe. Cette tentative ayan
mates, le tremblement hystérique n'ayant aucun caractère spécial. L'
enfant
qui est présenté au Congrès a été prise de son
t une légère amélioration. Trois cas de paralysie hystérique chez l'
enfant
. Valeur thérapeutique .et diagnostique de l'éle
'électricité. M. Destarac montre que la paralysie hystérique chez l'
enfant
a été méconnue et est encore difficile à décele
diagnostic, parce que ces stigmates manquent le plus souvent chez l'
enfant
et d'autant plus souvent qu'il est plus jeune.
séance de fara- disation. Ce qui prouve une fois de plus que chez l'
enfant
l'hystérie ne tient pas. Il insiste sur la va
e seconde tentative de meurtre et deux meurtres absurdes, sur des
enfants
, afin dissimuler un vol de quelques sous. M. Gu
vue d'un épileptique en accès offre souvent pour les femmes et les
enfants
qui en sont témoins de réels inconvénients. Voi
le sexe viril que dans le sexe féminin, et elle frappe aussi bien l'
enfant
au berceau que l'homme adulte, et que le vieil-
esy. Hystérie infantile, 1896. - Grancher. Hystérie chez les jeunes
enfants
. (Journal de médecine et de chirurgie pratique, f
, 30 juillet 1890.) - Chaumier (de Tours). Hystérie chez les jeunes
enfants
. (Bulletin de l'Académie de médecine, 1°' décembr
' décembre 1891.) .) Ollivier. Cours cliniques sur les maladies des
enfants
, 1889; 17, 18, 19, 20, 21, 23 leçons. Greffier.
mon. Conférences thérapeu- tiques et cliniques sur les maladies des
enfants
(2e édition, 1887). -Gilles de la Tourette. Tra
de clinique. J'aurais pu classer mes observations d'après l'âge des
enfants
et établir, par exemple, trois caté- gories de
ère classification. Observation I. Contracture hystérique chez un
enfant
de vingt- six mois. Guérison au bout de cinq jo
an api-ès. Guérison au bout de trois jours. B... vingt-six mois,
enfant
mâle bien constitué, ne présentant aucun signe
. 302 ' CLINIQUE NERVEUSE. Pas de maladies depuis la naissance. L'
enfant
a été nourri au sein; la dentition s'est effect
actuellement et pour laquelle on est venu me consulter fut subit. L'
enfant
bien portant s'amuse à la maison, lorsque tout
ie de ramener en avant la tête de son petit ; impossible. Cris de l'
enfant
. A part cette déformation, il semble se bien po
aint une méningite. Examen direct. 16 juin 1894. J'ai devant moi un
enfant
qui, à part l'attitude singulière que je viens
. J'avoue que je demeurai surpris, un peu embarrassé en face de cet
enfant
de ving-six mois qui avait toutes les apparence
ouer la tête, aucun mouvement en avant ni de côté n'est possible. L'
enfant
, du reste, se met à crier quand je tente toutes c
d'une contracture survenue subitement, sans con- vulsions, chez un
enfant
qui jouissait d'une excellente santé, et qui co
étaniques ? Mais il n'y pas de trismus, la con- tracture chez notre
enfant
ne survient pas par accès, elle est per- manent
4, j'allais voir chez lui le petit malade : l'état était le même, l'
enfant
s'amusait dans sa chambre et mangeait toujours
ils auraient été assurément dissipés par les manifes- tations que l'
enfant
a présentées dans la suite, et c'est un des ava
bre de la même année) je suis rappelé en toute hâte près de ce même
enfant
. Cette fois la mère ne craignait pas la méningi
ait le croup, car une petite épi- démie sévissait dans la région. L'
enfant
perdait la voix subitement, il ne pouvait plus
e la face. Cet. accident était survenu après une crise de colère, l'
enfant
avait voulu suivre son père aux champs, et on l
ord voilée, puis très nette sans bégaiement. Depuis cette époque, l'
enfant
n'a rien présenté qui mérite d'être signalé. Ob
érite d'être signalé. Observation II. Paraplégie hystérique chez un
enfant
de six ans, produite par l'autosuggestion. L'en
térique chez un enfant de six ans, produite par l'autosuggestion. L'
enfant
copiant une parésie diph- néritique que venait
et j'examinais en même temps la gorge et le pouls des trois autres
enfants
de la maison. A une de mes visites, le 8 févrie
a gorge ? Je ne devais guère y penser, chaque matin l'examen de cet
enfant
ne m'avait rien révélé qui pût indiquer qu'il f
le diagnostic d'hysté- rie que je posais dès le début. Je dis à l'
enfant
que demain j'allais revenir, je l'électriserais
it guéri. L'étiologie de cet accident est donc assez remarquable. L'
enfant
s'était fait lui-même sa paralysie en regar- da
III. - Paraplégie hySlél'o-tl'aumatique avec hypél'esthésie chez un
enfant
de huit ans. Guérison au bout d'un mois. Un an
NTILE EN VENDÉE. 305 après parésie par suggestion des parents sur l'
enfant
. CI : La lune de l'année, devant pour la mère,
écédente. » Guérison au bout de dix jours. Herb..., huit ans. Cet
enfant
, jetait un jour, en revenant de l'école, des pi
on ne peut imprimer aucun mouve- ment aux jambes sans arracher à l'
enfant
des cris perçants. L'ex- tension est surtout tr
ment qu'on se décide à me faire appeler (25 août 1893), je trouve l'
enfant
au lit les membres inférieurs en demi-flexion;
ète encore, cette recherche est le plus souvent infructueuse chez l'
enfant
. Je n'en trouve pas, sauf peut-être, un peu d'a
resthésie hystéro-traumalique. J'essaie, mais en vain, de plonger l'
enfant
dans le sommeil hyp- notique. A ma seconde visi
sparu et la marche était normale. Je n'entendais plus parler de cet
enfant
, Archives, 2e série, t. IV. 20 306 CLINIQUE N
maladie de l'an passé va reparaître. » En effet, je constate que l'
enfant
a de la peine à se mouvoir. « Mais vous lui fai
ement, frappé d'apoplexie en descendant du train. Le caractère de l'
enfant
change aussitôt, il est devenu triste, pleure à
très singulières conséquences, puisqu'elle rendait d'un seul coup l'
enfant
amné- HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 301 sique
tat fut très heureux, car quelques jours après on m'apprenait que l'
enfant
était com- plètement guéri de son bégaiement et
d'amnésie hystéro-traumatique doivent être rares. Observation V.
Enfant
de trois ans. Contracture des muscles de la nuq
parésie (3 jours). Guérison de la paralysie brachiale (22 jours).
Enfant
chétif ayant présenté à l'âge de huit mois une en
ère hystérique. Père entaché de nervo- sisme. Le 25 avril 1897, l'
enfant
est pris de fièvre et de diarrhée, j'y vois un
et un peu de sulfate de quinine. Le 29 avril la fièvre disparait, l'
enfant
a retrouvé son appétit, il commence à s'amuser
, en effet, une con- tracture très prononcée des muscles du cou ; l'
enfant
se tourne tout d'une pièce quand il veut regard
s jours. 308 CLINIQUE NERVEUSE Le 8 mai, on me rappelle près de l'
enfant
, le bras gauche étaitpa- ralysé. Déjà, la veill
était pas complète, c'était une très grande faiblesse musculaire, l'
enfant
se tenait debout mais difficilement, et si on l
s. Enfin, le 20 mai, c'est-à-dire après une durée de douze jours, l'
enfant
commençait à soulever son bras; l'avant-bras et
lité était absolument normale et les doigts pou- vaient se Le 25, l'
enfant
pouvait saisir son pain et le porter à sa bouch
La nuit se passa sans incident, ou plutôt on ne remarqua rien, l'
enfant
semblait dormir d'un sommeil profond et calme. A-
r. Elle ne parle pas, alors on m'appelle en toute hâte, je trouve l'
enfant
dans le coma, elle est insensible à la piqûre,
Pas de vomissements dans la journée. Cinq jours après (24 août), l'
enfant
commence à être sensible aux piqûres, elle com-
on lui dit, mais l'aphonie per- siste complète. 18 septembre. - L'
enfant
marche, s'amuse, l'aplionie persiste. 26 septem
». Puis tout est revenu dans l'ordre, c'est aujourd'hui une belle
enfant
de cinq ans qui depuis cette crise s'est bien por
malade pour une pseudo-coxalgie hystérique Ce dernier accident de l'
enfant
semble bien être de même nature- Observation VI
este insensible. Elle n'entend, ni ne voit. Le médecin qui soigne l'
enfant
porte le diagnostic ménin- gite ». On lui appli
re à la nuque. On porte un pronostic fatal qui ne se réalise pas. L'
enfant
guérit au bout de trois jours. A dix ans le mêm
mars, on me fait entrer voir la malade. Toujours même faiblesse, l'
enfant
n'a plus la force de marcher, elle est au lit;
e ecchymose au front marque d'abord seul l'accident. Le lendemain l'
enfant
est prise d'une fièvre violente avec agitation,
issements, pas de perte de connaissance. Enfin l'agitation cesse, l'
enfant
dort continuelle- ment, sa respiration est asse
les ren- seignements que j'ai recueillis tout dernièrement sur cet
enfant
que je n'avais pas revu depuis longtemps. (Il h
parfaite santé. Cette maladie de la moelle, pour moi qui ai connu l'
enfant
, a bien l'air de ressembler à de l'hémiplégie h
éparations antiémétiques ordonnées, le vomissement continue; mais l'
enfant
ne vomit pas les aliments ingérés, son estomac,
éussi chez tous les membres de la famille, j'essaie l'hypnose sur l'
enfant
: impossibilité absolue malgré des tentatives r
r de tête s'efface, la fillette reprend sa vie habituelle. Avec l'
enfant
de l'OBSERV.ITIO.1 II, c'est le seul cas d'hystér
ougeole. Reprise du diabète. Hérédité névropathique très chargée.
Enfant
naturel ; grand'mère maternelle, cinquante-cinq a
tous marqués de nervosisme. Jusqu'à l'âge de deux ans et demi, l'
enfant
n'a fait qu'une bron- chite légère, mais son ca
ois dans mon cabinet (janvier 1893), la grand'mère me déclara que l'
enfant
ne leur semblait pas malade, aussi avait-elle h
pour lui donner à boire, on avait soin de déposer dans le lit de l'
enfant
4 litres d'eau. Avant le lever du jour lout éta
é était hors de proportion, même en cas de diabète, avec l'âge de l'
enfant
. Un jour que je visitais le petit malade (décem
bien ! Dans une demi- heure passée à la maison, je constatais que l'
enfant
avait pu prendre 2 litres d'eau. Quand le seau
our alimenter les porcs, et, si, on ne s'était pas précipité vers l'
enfant
, cette eau sale, huileuse était absorbée. Ce n'
ammes d'urine. Donc polyurie et polydipsie très prononcées chez cet
enfant
de deux ans et demi. Mais quelle sorte de polyu
première analyse pourtant est assez incomplète. 6 décembre 1893.
Enfant
de trois ans. Urine d'nne limpi- dité parfaite,
nsipide hydrurique. Quels sont les autres symptômes présentés par l'
enfant
? Il n'y a pas de polyphagie, le bébé songe plu
ce un diabète de nature hystérique ? La tare héréditaire dont cet
enfant
était frappé pouvait m'y faire penser; cependant
tion à cet âge, je n'y devais pas songer. Ne pouvant en faire sur l'
enfant
, j'en fais une bien mauvaise, je l'avoue, sur l
parents; je leur commande d'exercer une surveil- lance active sur l'
enfant
, de ne pas le laisser boire quand il le leur de
suivant : l'amaigrissement s'ac- centue aussitôt, le caractère de l'
enfant
s'assombrit, puis ce sont des pleurs continuels
se de réparer ma faute, je lève la punition, la gaieté revient et l'
enfant
reprend sa physionomie habituelle. En juin 1894
vient et l'enfant reprend sa physionomie habituelle. En juin 1894 l'
enfant
est pris subitement d'une fièvre violente, poul
ue, pas de gargouille- ment, pas de diarrhée, rien à la poitrine. L'
enfant
boit moins pen- dant sa fièvre, urine moins abo
deux jours, il n'y a pas, à proprement parler, de convalescence, l'
enfant
reprend vite sa vie ordinaire et avec ses mêmes
un doute, ne permettra aucune hésitation sur sa véritable nature. L'
enfant
tombe à terre paralysé de la jambe droite; cett
cette paralysie survient en deuxjours sans que l'état général de l'
enfant
paraisse s'aggraver, il marche en traînant la j
tique hydrurique est un hystérique. A ce moment on me signale que l'
enfant
avait absorbé d'un seul Irait 1 litre de vin sans
e l'amener, j'étais curieux de savoir ce qu'il devenait. Je vois un
enfant
qui n'avait plus l'aspect chétif qu'il présenta
i ardente qu'autrefois; personne n'est plus étonné de voir entrer l'
enfant
dans les maisons qui avoisinent l'école (il habit
t (cette analyse est plus détaillée que la première). 1897. 23 mai.
Enfant
de six ans et demi. 10 à 12 litres en vingt-qua
aujourd'hui (à six ans et demi) n'est pas supérieure à celle que l'
enfant
absorbait par jour, à trois ans. Pour résumer
elle que l'enfant absorbait par jour, à trois ans. Pour résumer :
enfant
portant une tare héréditaire très pro- fonde pr
affection on pouvait craindre une issue fatale et prochaine, car l'
enfant
était devenu maigre et indiquait un peu de fai-
e et indiquait un peu de fai- blesse musculaire; puis la santé de l'
enfant
s'était vite amé- liorée, il semble s'être habi
sidéraient le diabète insipide hydru- rique comme très grave chez l'
enfant
et causant fatalement la mort après un délai va
te un dernier point à examiner; ce diabète hydru- rique, chez notre
enfant
est-il de nature hystérique ou est-ce un diabèt
) E. B. XIX. Maladie DE LI1'TLE ET rigidité spasmodique spinale DES
enfants
NLS avant terme ; par le Dur Van GEUUCUTEN. '
spécial comprenant les affections spas- modiques survenant chez des
enfants
nés avant terme, avec absence de symptômes mani
LOGIE NERVEUSE. 325 sous le nom de rigidité spasmodique spinale des
enfants
nés avant terme. Un second groupe d'affection
iques pourrait comprendre les états spasmodiques survenant chez les
enfants
pendant les pre- mières années de la vie et pré
nt le même tableau clinique que la rigidité spasmodique spinale des
enfants
nés avant terme, c'est-à-dire la triade symptom
prépuce, en cas de phimosis. L'auteur rapporte l'observation d'un
enfant
de quatre mois qui lui fut présenté, atteint de
'épilepsie depuis l'âge d'un mois. La veille du jour de l'examen, l'
enfant
avait encore eu trois crises. Trouvant à l'exam
, l'enfant avait encore eu trois crises. Trouvant à l'examen de cet
enfant
un phimosis avec orifice préputial très étroit,
être d'origine réflexe et pratiqua sur-le-champ la circoncision. L'
enfant
eut encore une crise deux jours après l'opérati
ES. (No1'llwndie médicale, 9, 1896.) , - XXX. Les paralysies DE l'
enfant
, par HLIPR. (Normandie médicale, il, 1806.) S
lier et indépendant. M. l3fizr lit une note sur l'hémiplégie chez l'
enfant
. A propos d'une tumeur du crâne opérée chez une
de la nuque, de la colonne verté- brale, et soulèvent légèrement l'
enfant
. La tête a une forme spé- ciale aplatie, il sem
ctions fibrillaires passent parfois sur les muscles de la face. L'
enfant
n'offre pas d'autres malformations apparentes. La
le premier jour). Les fonc- tions digestives paraissent normales, l'
enfant
telle avec avidité. Les réflexes tendineux sont
l'enfant telle avec avidité. Les réflexes tendineux sont exaltés. L'
enfant
est toujours assoupie. Il ne pousse pas de cris
dominante de ce que les lésions cérébrales circonscrites chez les
enfants
provoquent chez eux des altérations plus fortes e
ées que chez les adultes, consiste en ce que le système nerveux des
enfants
se trouve encore dans un état d'évolution. M. l
e de Montmorency, déclarait qu'il voulait tuer sa femme, ses deux
enfants
et son concierge. Il s'était barricadé chez lui,
nommé médecin-adjoint à l'asile de Mareville (2 août). Suicides d'
enfants
. Le jeune Louis Boucher, âgé de quinze ans, dem
16 pages. Paris, 1897. Chez tous les libraires. DEMOOR (J.). Les
enfants
anormaux, leur éducation. Brochure in-8° de 24
de la Seine. Observation XII. - Diabète insipide hydrurique chez un
enfant
de vingt-deux mois. Durée cinq mois. Sueurs abo
te hydrurie. Tare nerveuse, tempérament nerveux. C'est également un
enfant
naturel comme le diabétique précé- dent. Son pè
e. 1893. Septembre, - Depuis quinze jours, la mère remarque que l'
enfant
boit beaucoup et urine beaucoup ; ce n'était pas
sibilité qu'il y a à recueillir toute l'urine de la journée chez un
enfant
de cet âge, d'autant plus qu'il paraissait avoir
ettais toujours au lendemain cette analyse, et il est arrivé que, l'
enfant
, m'ayant surpris par une guérison subite, à laq
e, je n'ai pu avoir l'analyse. Pendant ce diabète, l'appétit de l'
enfant
était normal, le facies était un peu pâle mais
olyurie et la polydipsie ont baissé aussitôt. Je n'ai plus revu l'
enfant
. Il y a deux mois, appelé dans le village habit
au, mais il ne boit pas comme autrefois, un peu plus que les autres
enfants
cependant. A part cette petite infirmité, il se p
ensellure lombaire existe; quand je veux faire mouvoir la cuisse, l'
enfant
crie que je lui fais mal. Jé n'entends pas de cra
-coxal"ie Et puis, un an avant cet accident de pseudo-coxalgie, cet
enfant
. aurait eu de l'oedème de la jambe avec douleur
e manifestation de' la névrose hystérique. Depuis cette époque, l'
enfant
s'est bien porté; il a maintenant douze ans; il
fournisseur vient dans la. maison où elle servait de petite bonne d'
enfant
, et essaie, en l'ab- sence des maîtres, de la v
et le viol n'est pas consommé, mais deux heures après on trouve- l'
enfant
couchée et profondément endormie, sa maîtresse a
s crises d'étouu'ement,.de laryngisme sont très fréquentes chez les
enfants
hystériques. Bien des fois j'ai été appelé à les
r dans ma clientèle. 372 CLINIQUE NERVEUSE. grande intensité; l'
enfant
, le visage anxieux, la bouche ouverte, le corps
des cris aigus, tellement aigus qu'ils s'entendent de loin. Quand l'
enfant
sent venir sa crise, elle se jette à terre, et là
nt ces dernières crises sont des crises d'hystérie. Observation XV.
Enfant
d'un an. Crises d'hystérie. Convulsions tonique
ère alcoolique. Mère ner- veuse. Tante maternelle hystérique. . L'
enfant
jusqu'à un an n'a rien présenté de particulier, l
nté générale excellente. Pas de cons- tipation, pas de diarrhée ; l'
enfant
est nourri aux seins. A l'âge d'un an il a sa p
cloniques apparaissent, au bout de deux minutes la crise cesse et l'
enfant
se met tantôt à rire, tantôt à crier. Pas de coma
cédant à l'agitation. Lorsque j'arrive la première fois pour voir l'
enfant
, la seconde crise venait de se terminer, et je
crises se répètent. Depuis trois ans les accès n'ont pas reparu. L'
enfant
très intelligent a un carac- tère irritable, se
ite plus haut, leur disparition depuis trois ans, le caractère de l'
enfant
, la tare héréditaire, tout plaide en faveur de
se. Observation XVI. Somnambulisme hystérique. Vision à distance.
Enfant
de treize ans. C'est avec une certaine timidité
tte incontinence nocturne d'urine est un accident fréquent chez les
enfants
hystériques. Culerre, médecin en chef de l'asile
cher d'abord dans la salle à manger, ensuite dans le berceau de mon
enfant
; 'ne trouvant pas le lieu assez sûr, je l'enfo
dernière observation en est une preuve nouvelle. Observation XVII.
Enfant
de sept ans. Hystérie et dégénérescence mentale
e rien. Cependant les vomissements sont hystériques car je plonge l'
enfant
dans le som- meil hypnotique, je lui défends de
le est presque tou- jours sans effet. Les vomissements chez cette
enfant
ont reparu deux ans après, le même traitement e
vi des mêmes résultats. Observation XVIII. Chorée rythmique chez un
enfant
de huit ans. Paralysie spinale ((trophique, C
spinale ((trophique, Chorée rythmique (danse de Saint-Guy) chez un
enfant
de huit ans qui avait été frappé d'une paralysi
plètes sur ce malade. Si j'en fais mention ici, c'est parce que cet
enfant
présente un bel exemple d'hystérie associée à u
é souvent qu'on a de démasquer les stigmates de la névrose chez l'
enfant
, l'incertitude du diagnostic est plus fréquente
ai su du moins relever une série de faits se succédant chez le même
enfant
à plusieurs années de distance, devant entraîne
généralement acceptées aujourd'hui : 1° L'hystérie existe chez les
enfants
et tous les âges, aussi bien chez le nouveau-né
ous les accidents convulsifs pour lesquels on est appelé près des
enfants
; si l'on devait rayer, par exemple, l'éclampsie
28 juin 1892); si l'on devait considérer comme hystériques tous les
enfants
à caractère difficile, emporté, violent, aux pl
dre Burnet en sa thèse inspirée par Ollivier (Th. Paris, 1891), les
enfants
hystériques seraient légion, on en verrait vrai
n préparé, c'est-à- dire dans un terrain névropathique. Combien d'
enfants
ai-je rencontrés, présentant vers un an des cri
e moindre. syndrome hystérique. On comprendra difficilement qu'un
enfant
, ayant eu un accès convulsif dans sa première e
hystériques, pour peu qu'il y ait de l'hérédité; d'un autre côté l'
enfant
, en raison précisément de son âge et de son int
te conclusion semblerait-elle assez justifiée, l'hys- térie, chez l'
enfant
, n'est ni plus fréquente ni moins fréquente qu'
moins fréquente qu'à tout autre âge de la vie. 3° L'hystérie des
enfants
est la même que l'hystérie des adultes. - On pe
est la même que l'hystérie des adultes. - On peut observer chez les
enfants
toutes les mani- festations psychiques et somat
tage d'hystérie infan- tile, juvéline et sénile. La névrose, chez l'
enfant
, n'est pas simplement psychique comme semblait
mes. 4° Comme l'hystérie de l'âge viril, elle peut simuler chez l'
enfant
, presque toutes les maladies du système nerveux
ôpitaux, Il novembre 1892, sera évidemment moins fré- quente chez l'
enfant
que chez l'adulte, que chez l'homme arrivé à l'
tion qui lui est associée 1. 6° Le diagnostic de l'hystérie, chez l'
enfant
, est de beau- coup plus difficile qu'à tout aut
pas comprises; les réponses sont, le plus sou- vent, sans valeur. L'
enfant
dit « oui » ou « non suivant l'inspiration du m
s symptômes réels qu'il éprouve et ne peut définir. J'ai trouvé des
enfants
qui disaient toujours « oui t, d'autres toujour
. Il y a également la recherche des stigmates si difficile chez l'
enfant
. Le bébé peut avoir des troubles de la sensibilit
ent, de les apprécier. L'anesthésie pharyngée existe- t-elle, que l'
enfant
par peur (on sait combien il redoute l'exa- men
il existe un point douloureux sur telle partie du corps parce que l'
enfant
aura crié au moment où on l'aura touché ? Mais
psie, rétrécissement du champ visuel, il n'y faut pas songer chez l'
enfant
en bas âge. Et pourtant tous ces signes ont une
nte que je devrai considérer comme assez sombre l'avenir d'un jeune
enfant
à l'hystérie nettement accentuée. Il est vrai q
pas en revue toutes les causes pouvant produire l'hystérie chez les
enfants
, puisqu'elles sont évidemment les mêmes que cel
el pays doit voir se développer plus aisément les névropa- thies. L'
enfant
, au coin du feu, dans les longues veillées d'hi
trême réserve, car on est suscep- tible de développer chez le petit
enfant
, d'accroître encore son impressionnabilité déjà
se d'hystérie que je déter- minai en essayant un jour d'endormir un
enfant
qui jusque- là n'avait jamais présenté d'accide
e l'ai pas essayé. Mais ce que l'on doit toujours utiliser chez les
enfants
, chez ceux évidemment dont l'intel- ligence est
aucoup mieux donner un simple verre d'eau colorée, en affirmant à l'
enfant
que ce médicament le guérira que d'employer tel
on imprimée par la famille à l'éducation et à l'instruction de leur
enfant
; elle se charge souvent, cette famille, d'entre
tance énergique des parents. 10 Comme prophylaxie chez les petits
enfants
, surtout chez ceux qui sont des candidats à la
que ce sont ceux qui précisément captivent le plus l'attention de l'
enfant
et lui donnent cette tranquillité, ce repos pas
s conservée pour certains faits récents, il confond les noms de ses
enfants
. L'idéalion et le raisonnement assez bien conse
écoles primaires. Si un traitement spécial n'est pas appliqué à ces
enfants
, la plupart resteront pour, toujours dans leur
evant sa porte, elle ne pouvait se sortir de l'idée que l'un de ses
enfants
s'était précipité par la fenêtre; si elle enten
e obsédante de ne plus aimer son fils comme une mère doit aimer son
enfant
, et n'a jamais eu d'autre obsession. L'impuls
ales et mentales. Les paralylytiques généraux procréent souvent des
enfants
idiots. épi ! eptiques`eu vésaniques. On a prét
ude (Duhelir), elle atteint un degré moins élevé chez la femme et l'
enfant
que chez l'homme (Jacob). Dans le domaine clini
e les attaques épileptiques sont plus fréquentes chez la femme et l'
enfant
que chez Archives, 2e série, t. 1 V, 30 466 C
moyen de l'alcalescence du sang = V ou VI chez l'adulte, IV chez l'
enfant
. Pour les examens pendant la nuit, nous nous so
des injections. Observation VIII Ba... R..., vingt ans (épilepsie).
Enfant
natu- relle. Mère alcoolique. Première attaque
son goitre remonte aussi à l'enfance. De son mariage sont nés cinq
enfants
dont trois sont encore vivants et bien portants
ze ans, une fille de huit ans et une de quatre ans. Les deux autres
enfants
sont morts, l'un à la naissance, l'autre à troi
e que notre observation surtout a pour but de mettre en relief. Les
enfants
de cette femme, pas plus d'ail- leurs que ses f
, prêtre, ne présente aucun antécédent héréditaire; sa mère a eu 12
enfants
, 7 sont vivants, 5 sont morts eu bas âge de mal
se revivre la silhouette commémoralive du trauma- tisme sexuel de l'
enfant
. Voyons des exemples de cette action posthume d
action posthume d'un trauma- tisme sexuel de l'enfance. Il s'agit d'
enfants
de deux à huit ans ayant été l'objet de véritab
étude anatomo-clinique offre le plus grand intérêt. 11 s'agit d'une
enfant
de onze mois, admise à l'hôpital pour acci- den
'arrêta à l'idée d'un tubercule intéressant la troisième paire. L'
enfant
mourut -cinq jours après son entrée. A l'autopsie
travaux agri- coles (98), soit aux soins du ménage et à la garde d'
enfants
(102) ; un certain nombre se livrent à des trav
dre résistance. DUCAUP. VARIA. Traitement MÉDICO-PÉD.1GOGIQUE DES
enfants
arriérés dans DES classes spéciales annexées au
réation de classes spéciales annexées aux écoles primaires pour les
enfants
arriérés. On sait que cette question est actuel
. Les mesures nécessaires ont été prises à l'égard de ce malheureux
enfant
. » ' Ce fait montre combien est difficile le rô
, paraît-il, sa manie de gifler. Bourneville. Comité DE DÉFENSE DES
enfants
traduits EN JUSTICE DE MARSEILLE. Samedi 6 mars
s la grande chambre du Conseil, la réunion du Comité de défense des
enfants
traduits en justice, sous la présidence de M. H
rétaire général. Il signale tout d'abord le degré de perversité des
enfants
traduits en jnstice pendant l'année 1896, et il
tribunaux de se montrer de plus en plus sévères pour la remise des
enfants
aux parents, lorsque ceux-ci ne présentent aucu
résentent aucune garantie pour assurer le relèvement moral de leurs
enfants
. Il s'élève contre l'abus des peines d'emprison
en démontre tout le danger et toute l'inutilité. Et, en effet, les
enfants
condamnés à la prison subissent leurs peines da
ubissent leurs peines dans les maisons de correction, au milieu des
enfants
non déclarés responsables, avec cette seule dif
t l'an- née 1896, le Comité a réclamé la liberté provisoire de neuf
enfants
qui, par leur conduite, ont mérité cette faveur
ts ont le devoir, en dehors de l'examen de l'état intellectuel de l'
enfant
, de s'assurer de son degré de volonté, il adjur
sultent des envuis prolongés dans les maisons de correction, où les
enfants
, soumis pendant longtemps à une éducation sévèr
aisons de correction de la Suisse qui, ne comprenant pas plus de 70
enfants
, en sont arrivées à réduire le nombre des enfan
nt pas plus de 70 enfants, en sont arrivées à réduire le nombre des
enfants
récidivistes à 2 p. 100, alors qu'en France il
ments de l'auditoire, la séance est levée à midi. La majorité des
enfants
dont il est question devraient être examinés d'
on constaterait que bien souvent ce ne sont pas des coupables (des
enfants
coupables ! ) mais de malheureuses victimes, an
ller, les suivre, voir ce qu'ils devien- nent, s'ils ont ou non des
enfants
, sains ou malades, nous ne pouvons donner une r
ls remplaceraient avantageusement l'ona- nisme, si commun parmi les
enfants
nerveux et arriérés, mal surveillés. ? 6°, 7°,
ité directe pour les malades. Sous le nom d'idiots, on, compred des
enfants
atteints à des degrés divers dans leurs faculté
it, ne parlant pas, gâteux, jusqu'au simple arriéré qui confine aux
enfants
réputés normaux. A quel degré vous arrêterez-vo
0. Dom. Carsnoa de la Carrière et Montât (L.). L'urine normale de l'
enfant
. t, Brochure in-8° de 16 pages. Pans. 1897. Imp
Dystrophie musculaire progressive, par Wiener, 498. Education des
enfants
anormaux, par Demoor, 414. ÉLECTRICITÉ comme
ncéphalite hémorragique aiguë, par Mouravief, 78; par Murât, 460.
Enfants
anormaux. Education des - , par llemoor, 114.
Éll-,E. llydrargyriodate d' -, par Kobert, 414. Hémiplégie chez l'
enfant
, par Bézy, 343. Hérédité. Théorie de l' -, pa
l ! "O\l.\¡¡1E guérie par la co- déine, 161. Mutisme. Du - chez l'
enfant
qui entend, par A. Boyer, 28. Nécrologie. Cam
t interrogé par le juge d'instruction ; au bout de quelques heures, l'
enfant
avoue : son père a attiré la jeune fille à la syn
ience ; en vain son père le conjure devant Dieu de dire la vérité : l'
enfant
a vu. J'ai expliqué cette accusation monstrueus
nt a vu. J'ai expliqué cette accusation monstrueuse de la part d'un
enfant
, qui, auparavant, n'avait pas témoigné de mauvais
: une sœur aussi bien portante, forte, âgée de 29 ans, mère de trois
enfants
vigoureux. Il ne connaît aucune maladie nerveuse
r. » Pendant cette conversation, se trouvaient à côté de nous trois
enfants
: L'un, Adrien V..., âgé de 14 ans, est tubercu
intelligent, sait lire, écrire, calculer; sa mémoire est remarquable.
Enfant
doux et honnête, il est depuis longtemps au servi
es frères et sœur; aucun n'aurait de maladie nerveuse. Je dis à cet
enfant
: « Tu as entendu ce jeune homme te raconter cela
it, puisqu'il vient de nous dire que c'est place de l'Académie. » — L'
enfant
, sans se déconcerter : « Je ne me rappelle plus o
ce qu'il m'a raconté. — Tu jureras ? — Je le jurerai ! » Un second
enfant
, Joseph L..., âgé de 14 ans, est à côté ; c'est u
Un second enfant, Joseph L..., âgé de 14 ans, est à côté ; c'est un
enfant
délicat, atteint de paralysie infantile, n'ayant
. — Tu le jures ? — Je le jure ! » Enfin, dans le lit voisin est un
enfant
de 9 ans, G..., convalescent de pleurésie, sans a
père et mère bien portants, deux sœurs et un frère bien portants. Cet
enfant
est aussi très suggestible, toutefois à un degré
interprète comme je l'ai fait moi-môme: il montre la bonne foi de ces
enfants
agissant par auto-suggestion. M. Motet n'avait sa
le que j'avais émise. Comme on l'a vu, ce ne sont pas seulement des
enfants
qui peuvent, de bonne foi et avec sincérité, fair
rès bonne intelligence avec son mari, soigne très affectueusement ses
enfants
; son caractère est enjoué, aimable... Survient un
grossesse qui arrive a son terme et se termine par la naissance d'un
enfant
très bien portant. Pendant cette grossesse rien d
nts affectifs: elle devient sombre, prend en aversion son mari et ses
enfants
, et rapidement se développe en quelques jours une
ermée par une union charnelle. La présence de son mari, la vue de ses
enfants
redoublent les angoisses de cette malheureuse fem
s, réclamerait d'elle-même son alliance, embrasserait son mari et ses
enfants
et demanderait à manger. Avant de la réveiller,
née de voir tant de monde dans sa chambre. Elle regarda son mari, ses
enfants
, sans manifester aucun sentiment de répulsion. La
jetant à son mari un regard affectueux, puis demanda à embrasser ses
enfants
. Il y eut alors un temps de silence ; Mme B... pa
voir été bien folle pour avoir pu prendre en aversion son mari et ses
enfants
. Elle se prêta facilement à une seconde séance
timents affectifs, lui parlant » longuement de sa jeune femme, de ses
enfants
qu'il n'avait pas em-» brasses depuis plusieurs s
n), et serait » fort heureux de revoir en bonne santé sa femme et ses
enfants
. Du » reste, tout était pour le mieux dans la plu
ionomie atone ; pas de vivacité dans le regard. Il s'informa de ses
enfants
et voulut se rendre à un salon du rez-de-chaussée
ses enfants et voulut se rendre à un salon du rez-de-chaussée où les
enfants
se tenaient avec leur mère. Il descendit l'escali
rnière marche; il se traina jusqu'au salon et demanda à embrasser ses
enfants
, puis s'écria : « Ah ! mes amis, j'ai été bien ma
ntellectuel de celle du séjour dans les grandes villes, examinons les
enfants
qui n'ont pas reçu une instruction intensive, pui
i n'ont pas reçu une instruction intensive, puis nous replacerons ces
enfants
dans le milieu collégial et nous verrons les diff
ce, et ses organes génitaux ainsi que son corps sont restés ceux d'un
enfant
et ne subissent point l'évolution naturelle de la
rent à ce triste résultat sont multiples. Voyons ce que devient cet
enfant
des grandes villes quand il est appelé à subir la
ocède par à-coups, et le fait a été noté depuis longtemps. Il est des
enfants
qui grandissent plus en une saison et d'autres en
récédemment ; c'est une impuissance relative qui menace l'avenir de l'
enfant
. Un jeune homme, sorti l'un des premiers d'une éc
s. A vingt-huit ans, ce jeune homme s'est marié, il a perdu un de ses
enfants
d'une méningite ; un autre est atteint de paralys
rennent d'ordinaire les premiers rangs. Ce qui manque le plus a ces
enfants
, c'est la faculté d'arrêter leur attention sur un
viter les grands internats. L'encombrement qui en résulte place les
enfants
des ouvriers dans les conditions les plus fâcheus
orné de grands jardins, dont l'air, avant d'arriver aux poumons de l'
enfant
, n'ait pas traversé plusieurs fois ceux de ses ca
urs fois ceux de ses camarades. Tous les ans, il faudrait envoyer les
enfants
, pendant les vacances, dans des bois ou au bord d
es de vacances dont les premiers résultats sont si encourageants. L'
enfant
né dans les grandes villes, ou celui qui y sera p
i est le plus frappant, dans ce dernier ordre d'idées, c'est pour ces
enfants
internés la difficulté et parfois l'impossibilité
t, au lieu de multiplier les matières des programmes, contraindre ces
enfants
à penser par eux-mêmes et arrêter leur esprit sur
fr. 50. Formulaire clinique et thérapeutique pour les maladies des
enfants
, par le Dr A. Veillard Berthier, Paris 1887. 4
s la prennent à tous moments ; un jour, elle tombe dans la rue avec l'
enfant
qu'elle avait dans les bras. En 1884, à l'âge d
oujours dans l'état de somnambulisme, demande quel est le sexe de son
enfant
, et exprime un grand mécontentement en apprenant
heure après. Une fois le lit changé, la toilette de la mère et de l'
enfant
terminée, la malade est réveillée en lui soufflan
ient de rien ! 1 Apprenant qu'elle est accouchée, elle demande si son
enfant
est une fille? Elle ignore absolument le sexe qu'
les circonstances particulières, l'occasion facile de substitutions d'
enfant
au moment de l'accouchement, telles que substitut
ns d'enfant au moment de l'accouchement, telles que substitution d'un
enfant
vivant à un mort, et vice versa..., substitution
t, ne veut pas lui donner de pain ; il pousse des cris comme un petit
enfant
: « Maman, maman, dit-il, du pain, à boire, maman
tradition sont d'accord sur l'avantage qu'il y a à faire coucher les
enfants
de bonne heure et à ne pas prolonger leur travail
ondamnés. Voudriez-vous donc, dès le début des humanités, appeler les
enfants
à se spécialiser: Mais comment voulez-vous qu'ils
S ET CONFÉRENCES LES APPLICATIONS DE L'HYPNOTISME AU TRAITEMENT DES
ENFANTS
VICIEUX Conférence faite par M. le Docteur Edga
st indiscutable chez l'adulte hypnotisé, quelle doit-elle être chez l'
enfant
, déjà très suggestible à l'état de veille ? Le
« Enaucun cas,a-t-ildit, nous ne voulons soumettre à l'hypnotisme un
enfant
normal ou simplement médiocre. Nous croyons que p
. Mais, quand des parents éplorés amèneront au médecin hypnotiseur un
enfant
atteint de la monomanie du vol, par exemple, en p
ans. Observation IV. — Mme X..., âgée de 45 ans, mère de plusieurs
enfants
, a perdu son mari il y a près de douze ans, et el
le se dispute avec les siens; ce sont des scènes incessantes avec ses
enfants
, dont elle s'occupe à peine; elle laisse gouverne
e de lui faire des recommandations relatives à son intérieur et à ses
enfants
, dont elle ne s'occupe pas depuis longtemps, à so
cédentes j'ajoute : » Vous vous occuperez de voire ménage, de vos
enfants
; vous n'aurez plus » de mouvements brusques ; vo
toutes ses habitudes de famille. Elle s'occupe de son ménage, de ses
enfants
; elle est douce avec eux ; elle ne manifeste plu
uillité et le bonheur. 21 août. — Elle se rend en province avec ses
enfants
en vacances. Ces quatre observations de dipsoma
s s'imposent. Et vraiment, n'est-il pas vrai que dans l'esprit de l'
enfant
où d'innombrables échos sommeillent, ceux-là seul
aprice de celui à qui il obéit est même moins complète que celle de l'
enfant
vis-à-vis des suggestions du milieu; car l'un n'a
urnes incoercibles qui se développent si soudainement chez les jeunes
enfants
, alors qu'on les voit se réveiller en sursaut, an
ent de se faire une idée juste de ce qu'est un réflexe psychique. L'
enfant
qui pleure parce qu'il voit pleurer, ou qui bâill
ravail organique se développe dans le système nerveux chez les jeunes
enfants
; le volume de leur tète, par rapport à celui de
né. Suivant Sœmmering, cité par Parchappe, le poids du cerveau d'un
enfant
de six ans est de 1.087 grammes, et le poids moye
es; — différence : 236 grammes. Parchappe cite encore le cerveau d'un
enfant
de onze ans, qui pesait 1,191 grammes, et celui d
'un enfant de onze ans, qui pesait 1,191 grammes, et celui d'un autre
enfant
de quatorze ans dont le poids était de 1,046 gram
1 cent. 6. Deux ans plus tard, ce diamètre a été trouvé le même ; l'
enfant
était resté stationnaire sous ce rapport. Le se
même ; l'enfant était resté stationnaire sous ce rapport. Le second
enfant
, dont la tête a été mesurée à l'âge de six ans, p
s aptitudes qu'il renferme, et quand on songe combien le cerveau d'un
enfant
de seize à dix-huit ans touche de près, en propor
et tranquilles. Et, sur ce point, combien l'activité cérébrale de l'
enfant
diffère de celle de l'homme adulte, chez lequel l
jeu du cerveau, la participation que nous demandons a l'esprit de nos
enfants
! Les programmes d'études scolaires, en effet, ne
catégorie. Ayant donné des soins aux pères et aux mères de ces jeunes
enfants
, je me suis trouvé déjà plus d'une fois appelé pa
sollicitant plus énergiquement la personnalité consciente des jeunes
enfants
et en les intéressant a ce qu'ils ont a apprendre
aux lois de l'hygiène et aux exigences du développement physique des
enfants
et des adolescents, le régime actuel de nos établ
nts suivants : Accroissement de la durée du sommeil pour les jeunes
enfants
; Poar tous les élèves, diminution du temps cons
ambidextre, soit en tout 5,88 p. 100. D'après Th. lreland, sur des
enfants
de pensionnats, on rencontre à peu près 12 p. 100
, tous les gauchers ne sont pas connus, parce qu'on ne laisse pas aux
enfants
, généralement ambidextres, la liberté de se servi
par l'éducation, et ils ont eu raison, en ont fait un ambidextre. Cet
enfant
dessine, écrit de la main droite; mais vient-il à
x. De même, s'il s'agit d'atteindre un but à l'aide d'une pierre, l'
enfant
dont je parle, bien que pouvant lancer un project
as. l'humanité ne revient point sur ses pas. Mais s'il est vrai que l'
enfant
nouveau-né puisse être considéré comme se rapproc
e cinq personnes, le pire et la mère ne sont pas gauchers. L'aîné des
enfants
élevé par une nourrice n'est pas gaucher ; le deu
né des enfants élevé par une nourrice n'est pas gaucher ; le deuxième
enfant
a été gaucher dès son plus jeune âge et l'est res
jeune âge et l'est resté ; il ? quinze ans aujourd'hui. Le troisième
enfant
a été gaucher a l'âge d'un an; quand on lui prése
a main gauche. C'est la mère elle-même qui a nourri les deux derniers
enfants
. Elle était très ennuyée de voir gauchers les deu
x derniers enfants. Elle était très ennuyée de voir gauchers les deux
enfants
qu'elle entourait des plus grands soins. Je m'ape
t des plus grands soins. Je m'aperçus alors qu'elle portait son petit
enfant
sur le bras gauche : à la remarque que je lui en
me répondit qu'elle avait toujours porté sur le bras gauche les deux
enfants
qu'elle avait nourris. Je lui recommandai alors
qu'elle avait nourris. Je lui recommandai alors de porter le petit
enfant
sur le bras droit. Quelques mois après, cet enfan
de porter le petit enfant sur le bras droit. Quelques mois après, cet
enfant
avait complètement perdu l'habitude de se servir
te son nourrisson sur le bras gauche, c'est aussi le bras gauche de l'
enfant
qui est en avant, et c'est do celui-là qu'il se s
rt: il deviendra gaucher. Mais comme 99 nourrices sur 100 portent les
enfants
sur le bras droit, ces enfants se servent du bras
comme 99 nourrices sur 100 portent les enfants sur le bras droit, ces
enfants
se servent du bras droit qui est en avant pour sa
ets et ils deviennent droitiers. Il est certain que le plus jeune des
enfants
de l'observation précédente serait resté gaucher
a famille du père ou de la mère, ni chez les grands-parents, et que l'
enfant
qui est resté gaucher n'a pas la moindre tare et
inguer les gauchers héréditaires et les gauchers par accidents; qu'un
enfant
, par exemple, ait une fracture du radius droit, q
lé, dans ce sens, plusieurs ménages désireux d'interrompre la série d'
enfants
mâles ou femelles qu'ils avaient eue jusque-là. I
ie psychischen Storungen im Kindesalter. — Troubles psychiques chez l'
enfant
. (2e supplém. su Traité des maladies des enfants,
les psychiques chez l'enfant. (2e supplém. su Traité des maladies des
enfants
, de Gerhardt.) — In-8°, VIII-293 p., 12 pl. Tubin
ystérie et l'idiotie, compte rendu du service des épileptiques et des
enfants
idiots et arriéres de Bicêtre pendant l'année 188
les supplications de l'amitié, la tendresse des pères, des mères, des
enfants
, rien ne peut détourner ces malheureux de ce dépl
ospitalier une jeune fille de seize ans, bien constituée ; elle est l'
enfant
d'un père alcoolique, elle a, depuis l'âge de six
s'étend à d'autres névroses, et, à la clinique Pavte, à l'hôpital des
enfants
, on a pu observer un cas de guérison de la chorée
tatait la guérison complète. Une paysanne de 36 ans, mariée et sans
enfants
, entre a l'hôpital sous la mention de femme alién
ours d'un état d'énervement avec mauvaise humeur, antipathie pour ses
enfants
, symptômes qui disparaissent avec le flux. La der
que l'onanisme, et dont les conséquences soient aussi graves chez les
enfants
et chez les adolescents, on peut dire que le plus
des renseignements qui nous ont été fournis par les parents de cette
enfant
que dans ses antécédents héréditaires il n'y a au
de poitrine et. an an après, gourme. Jusqu'à l'âge de sept ans, cette
enfant
est restée à la campagne chez sa tante, et c'est
fant est restée à la campagne chez sa tante, et c'est là, au milieu d'
enfants
de paysans, qu'elle aurait contracté, au dire de
oie-t-on à ses parents. A noire examen, nous avons constaté que l'
enfant
est pâle et maigre. Son crâne est ovoïde, les b
grands appareils splanchniques. La mère nous dit qu'elle surprend l'
enfant
aussi bien dans la journée que dans la nuit à pra
août. La mère nous dit qu'elle n'a pas surpris, pendant le jour, son
enfant
se livrant à ses pratiques habituelles depuis la
dormons et nous répétons la même suggestion. La mère nous amène son
enfant
pour être hypnotisée et suggestionnée par nous )e
er son pire sur la bouche en mettant la main sur ses parties. Celte
enfant
est très forte pour son âge, elle paraît avoir qu
ion (toucher de l'oreille gauche avec ma main). 15 janvier 1887.— L'
enfant
m'est ramenée. Deuxième séance d'hypnotisme : l
ue qui exprimaient le mécontentement et la volonté de ne pas obéir. L'
enfant
, en effet, a continué à se livrer au même vice.
e dire que l'onanisme a tout à fait cessé, ainsi que le mensonge. L'
enfant
a encore peur de rester seule. Le traitement co
ison est complète. La lenteur des résultats m'a paru tenir à ce que l'
enfant
n'était pas plongée dans le sommeil léthargique c
te et fin) Observation II Madame N…, âgée de 37 ans, mère de cinq
enfants
bien portants. Une sœur morte après plusieurs ann
ivrer ainsi à la boisson. Elle néglige complètement son ménage et ses
enfants
; emprunte des petites sommes a ses voisins et à
elle ne s'énerve plus autant, et ne fait plus de scènes violentes aux
enfants
. Si cela continue, j'ai bon espoir. » Peu à peu
e. Elle a repris ses occupations dans son ménage et traite bien ses
enfants
. Plus d'emportements ni de brusqueries. Elle dort
t sœurs en bonne santé, une sœur hystérique convulsive. Elle a quatre
enfants
bien portants ; l'aîné, âgé de vingt-quatre ans,
s pendant le jour. Négligeant son ménage, abandonnant son mari et ses
enfants
, elle est tombée de plus en plus dans la plus abj
les : « Lorsqu'on aura, disions-nous, à se préoccuper de l'avenir d'
enfants
vicieux, impulsifs, récalcitrants, incapables de
ntées dans un but de moralisation et d'éducation sur quelques-uns des
enfants
les plus notoirement vicieux et incorrigibles des
a responsabilité n'est pas là. La société est responsable de tous ces
enfants
qu'elle laisse se perdre faute de vouloir les sau
ppliquer l'hypnotisme, dans un certain nombre de cas, au traitement d'
enfants
malades ou vicieux. Les observations nombreuses q
n hypnotique comme moyen curatifou comme moyer; moralisateur chez les
enfants
qu'après qu'un examen attentif et minutieux nous
par un éminent pédagogue; M. Félix Hément, de ne jamais hypnotiser un
enfant
sans la demande formelle et parfois même écrite d
tisme seulement que nous avons pu heureusement modifier et guérir les
enfants
confies à nos soins. Bien que les procédés par
e degré de suggestibilité du sujet. Si, dans la majorité des cas, les
enfants
obéissent à des suggestions faites avec" douceur,
Après avoir éloigné les personnes dont la présence peut déplaire à l'
enfant
et invité celles qui doivent assister à l'opérati
observer le silence le plus absolu, il est facile, en interrogeant l'
enfant
avec douceur, avec sympathie, de lui inspirer une
ions d'une voix peu élevée, un peu monotone. Le plus fréquemment, l'
enfant
ferme naturellement les yeux et il se laisse alle
n annonçant qu'elles sont clouées, qu'il ne peut plus les ouvrir. L'
enfant
, à ce moment, est déjà assez influencé pour qu'on
s un mouvement de rotation l'un autour de l'autre, en affirmant que l'
enfant
va continuer à exécuter le mouvement maigre lui.
discussion mentale sont abolies à tel point que, si vous suggérez a l'
enfant
d'exécuter immédiatement après son réveil tel ou
ttre à l'abri d'une simulation rare, mais possible, et pour plonger l'
enfant
dans un état d'hypnotisme dont la constatation ne
étons les premières manœuvres par le procédé suivant. Nous disons à l'
enfant
: « Continuez à bien dormir jusqu'à ce que je v
. » On assiste alors à ce spectacle très saisissant : Pendant que l'
enfant
, éveillé marche ou parle avec quelqu'un, si le br
remière séance, comme nous Tenons de le dire, il arrive parfois qu'un
enfant
résiste et n'est pas influencé. Ce n'est pas une
, il sera hypnotisé, surtout si l'on a soin de préparer l'esprit de l'
enfant
à cette idée. Quand les enfants ont l'intelligenc
l'on a soin de préparer l'esprit de l'enfant à cette idée. Quand les
enfants
ont l'intelligence assez développée pour comprend
u'apparaît la suggestibilité. Les suggestions. Avant d'endormir l'
enfant
, il est utile de s'entendre avec les parents sur
aussi, l'intervention de personnes malveillantes qui se moquent de l'
enfant
et s'appliquent à le décourager, peut contribuer
seur Beaunis, montre aussi qae. certains obstacles peuvent venir de l'
enfant
lui-même : « On amène un jour au docteur Liébea
r de l'enfant lui-même : « On amène un jour au docteur Liébeault un
enfant
indolent et paresseux (1) Dessin extrait du liv
ppliquer et de travailler ; tout alla bien pendant quelque temps et l'
enfant
faisait merveille. Mais, au bout de quelques mois
essayer du même moyen, mais on se heurta a un obstacle inattendu : l'
enfant
ne voulut absolument pas se laisser endormir : il
parents restèrent sans effet sur lui. * Lorsque l'on constate chez un
enfant
une résistance inaccoutumée, au lieu de l'attribu
er jusqu'à la cause de cette résistance. Dans l'un, en particulier, l'
enfant
subissait l'influence d'un camarade, qui , par ja
tisme complet. Procédé de réveil. Dans les premières séances, les
enfants
ont une tendance à se réveiller rapidement. Pour
'éprouvera pas la moindre fatigue. Si l'on a pris cette précaution, l'
enfant
se réveille toujours en souriant et disposé à se
la guérison a été complète. La directrice de l'école fréquentée par l'
enfant
a pu, à la suite du traitement; la classer parmi
parmi les bonnes élèves de la classe. Cependant l'état moral de cette
enfant
était tellement perverti qu'on avait dû à deux re
tte jeune fille à cause du mauvais exemple qu'elle donnait à d'autres
enfants
, ont pu la reprendre avec eux.) 6° Des terreurs
ont pu la reprendre avec eux.) 6° Des terreurs nocturnes chez deux
enfants
de six et de huit ans. (Le second, qui ne pouvait
us complète.) 7° Des habitudes invétérées d'onanisme chez plusieurs
enfants
. (Nous avons constaté qu'en général les enfants f
anisme chez plusieurs enfants. (Nous avons constaté qu'en général les
enfants
font preuve de beaucoup de bonne volonté lorsqu'o
ù ils étaient placés. Les résultats obtenus ont été durables, car l'
enfant
se conforme aux bonnes habitudes qu'on lui a fait
t, nous affirmons que nous n'avons jamais vu survenir, chez aucun des
enfants
que nous avons soumis au traitement par l'hypnoti
par l'hypnotisme, le moindre accident consécutif. Au contraire, l'
enfant
, qui constate l'amélioration survenue dans son ét
sons physiques. Voici un fait que j'ai eu l'occasion d'observer: Un
enfant
de dix ans m'est amené par sa mère, il est indisc
par mois. Je l'endors facilement et. après deux ou trois séances, cet
enfant
est transformé, il mange de la viande, devient la
a huit mois de cela: le résultat s'est maintenu, sa mère me dit que l'
enfant
est absolument changé. Autre fait: Un jeune hom
uvent être réalisés dans l'un et dans l'autre. La mère, qui berce son
enfant
pour l'endormir et qui ainsi lui suggère le somme
s entrent comme par effraction. Si les- admonestations qu'on fait à l'
enfant
pendant qu'il est a l'état de veille ne sont pas
on sommeil provoqué ou même naturel. Beaucoup de mères parlent k leur
enfant
endormi. Elles savent que l'enfant les entend et
. Beaucoup de mères parlent k leur enfant endormi. Elles savent que l'
enfant
les entend et répond, bien qu'il no se souvienne
ctions qui ont été faites à l'emploi de la suggestion pour guérir des
enfants
vicieux ou rebelles, étaient d'ordre purement phi
les de l'éthique. On nous a dit qu'il n'était pas moral d'imposer à l'
enfant
des idées qui n'existent pas en germe chez lui.
vue philosophique, rien ne s'oppose à ce qu'on cherche à imposer a l'
enfant
, même par suggestion, des idées qui sont reconnue
t pas la. Il n'est jamais venu à notre pensée d'hypnotiser tous les
enfants
, d'introduire la pratique de la suggestion dans l
pourrait .se dispenser d'enfermer dans des maisons de correction des
enfants
sur lesquels tous les moyens habituels dont dispo
en bonnes, pourquoi ne l'utiliserions-nous pas dans l'intérêt des
enfants
que nous sommes obligés de renvoyer de nos écoles
que nous y voyons un côté utile. Nous ne pouvons nier qu'il y ait des
enfants
qui rendent le rôle du pédagogue difficile. Faiso
personnes sera nécessaire. 11 y aura d'abord le médecin qui mettra l'
enfant
dans les conditions voulues pour qu'il devienne s
qu'il devienne suggestible, puis le pédagogue interviendra et, à cet
enfant
hypnotisé, il donnera les conseils qu'il lui dict
s auront plus de prise, que nous pourrons développer l'attention de l'
enfant
, accroître son énergie morale, et même le mettre
ont été particulièrement favorables; l'expérience s'est faite chez un
enfant
très impressionnable, très reconnaissant de quelq
'inculpation de faits véritablement odieux: depuis longtemps, sur des
enfants
ou des jeunes gens, le docteur Lamotte se livrait
sont très marqués ; il ne se rappelle plus le nombre et le nom de ses
enfants
. 11 lui est impossible de faire une addition ou u
ment, M. Lailler, sans être aussi absolu, conseillait de même, pour l'
enfant
atteint de la pelade, l'exclusion prudente de l'é
aits, j'en possède d'autres non moins démonstratifs; je veux parler d'
enfants
de lycées atteints de pelade et maintenus au pens
seil formel. Nous n'avons pas eu à nous repentir de notre audace. Ces
enfants
n'avaient pris la maladie de personne et ne la do
ispensable de répudier cette quarantaine funeste qu'on fait subir aux
enfants
des écoles atteints de pelade ; il y a lieu, selo
es parents qui venaient me demander un certificat constatant que leur
enfant
pouvait rentrer au lycée, quoique atteint de pela
cas. J'ai été bien des fois appelé, au lycée Henri IV, à examiner des
enfants
atteints de pelade et qu'on ne voulait même p
que cet examen fût renouvelé tous les quinze jours, et que dès qu'un
enfant
serait convaincu d'être atteint d'un herpès ton s
u fils de la famille. Voici un autre fait venu à ma connaissance : Un
enfant
d'une famille de Paris est envoyé à la campagne.
: Un enfant d'une famille de Paris est envoyé à la campagne. Les deux
enfants
du fermier étaient peladeux, l'enfant de Paris ne
envoyé à la campagne. Les deux enfants du fermier étaient peladeux, l'
enfant
de Paris ne tarda pas à le devenir comme eux. M
femme raconte qu'elle a accouché étant endormie, et elle ajoute que l'
enfant
a été étouffé sous les couvertures. Jusqu'à une c
elle veut se lever et, alors seulement, elle s'aperçoit qu'elle a un
enfant
entre les jambes. Ce fait, observé dans des condi
a famille assistait aux accouchements. Puis, quand on était revenu, l'
enfant
était né pendant le sommeil de la mère. Or on l'a
en particulier, en voyant son ventre aplati et en entendant vagir son
enfant
à côté d'elle. Comment la mère aurait-elle pu se
d'elle. Comment la mère aurait-elle pu se douter d'une substitution d'
enfant
, si elle avait eu lieu ? La question rappelée p
e, ne sont certainement pas produits par le corps ou les membres de l'
enfant
, qui ne bouge nullement. Pour que ce phénomène
icable puisse avoir lieu dans sa plénitude, il faut que les bras de l'
enfant
soient placés sous la couverture du lit et que le
Toutefois la mère affirme qu'elle a essayé de se coucher près de son
enfant
, et que les bruits étranges ont persisté. Jai t
vrai, et qui mérite en tout cas d'être étudié par des spécialistes. L'
enfant
qui en est l'objet a toujours été maladive. C'est
le à manger, elle travaillait à l'aiguille, soit seule, soit avec les
enfants
qu'elle gardait (deux petites filles de quatre et
pensiez en venant. J'allais dormir à 9 heures environ, quand les
enfants
ont fait du bruit et m'ont réveillée. C... (la cu
sseur n'aura pas beaucoup de peine à corriger ces fautes, et, quand l'
enfant
ne retombera plus dans ces inversions, il lui arr
classique, peut-être: mais cette physiologie, après tout, n'est qu'un
enfant
à la mamelle: elle a été allaitée, je le sais bie
emme, voici ce qui était arrivé : un an avant, elle avait donné a son
enfant
un soufflet du revers de la main, étant très en c
urgeoisie de province. Son père est mort laissant une veuve avec sept
enfants
, et la famille est obligée de travailler pour viv
la brebis galeuse ». La fille chassée se réfugia à Paris, laissant l'
enfant
à la garde de la grand'mère. A Paris, elle trouve
ours de novembre. Croyant bien faire, elle avait laissé reconnaître l'
enfant
par son père, en se proposant toutefois de l'élev
sage-femme qui l'a accouchée se présente avec une nourrice, emporte l'
enfant
, en disant que le père doit se présenter dans la
bandonnée. Jeanne se met à la recherche de l'infidèle qui détient son
enfant
; mais M. D... a déménagé, et il est impossible de
d au bureau des nourrices, où on lui répond qu'on ignore le sort de l'
enfant
; même réponse chez la sage-femme. Désolée, elle c
frissonner maintenant. » Après avoir cherché partout inutilement l'
enfant
, elle se déshabille et se remet au lit. Au bout d
ipitamment chez elle, puis redescend aussitôt et repart en appelant l'
enfant
. Elle court de nouveau chez son amant, chez l
coins. Dans la chambre a coucher était placé un berceau où dormait l'
enfant
de Mme J... Notre malade était tellement affolée
raconte l'histoire de sa vie, se plaint de ce qu'on lui a enlevé son
enfant
, et parait très attristée. Au bout de deux jours,
f. L'état puerpéral, joint au chagrin causé par l'enlèvement de son
enfant
, a joué très vraisemblablement le rôle d'une caus
tonnant, par conséquent, si chez notre malade la préoccupation de son
enfant
(dont magnétiseur lui a peut-étre maladroitement
suggestions appropriées auraient pu lui faire oublier la perte de son
enfant
. Nous serons heureux si cette observation contr
us les entants sont hypnotisables : eh bien ! ce sont précisément les
enfants
qui ressentent plus facilement l'action du chloro
ntrant la transformation de la folie des parents en hystérie chez les
enfants
sont en somme assez pauvres et le nombre des fait
portes, après avoir subi sa condamnation, qu'une bande de femmes et d'
enfants
, excités par un soldat de la garnison, se précipi
, convaincu d'avoir frappé la malheureuse et excité les femmes et les
enfants
à lui jeter des pierres pour l'assommer, fut mand
ents ont observe des taches d'urine sur son linge et ses pantalons. L'
enfant
ne se décide qu'avec peine à avouer qu'il souffra
ationnel aux médecins consultants de diminuer d'abord le travail de l'
enfant
, puis de le soumettre à un repos complet. S'il
fant, puis de le soumettre à un repos complet. S'il s'agissait d'un
enfant
dans une situation ordinaire, présentant des symp
confrère du Médical Record (de New-York), que la santé et la vie de l'
enfant
ne soient sacrifiées sinon à l'art, tout au moins
: cent soixante-quinze familles étudiées ont donné une moyenne de 3,2
enfants
. Or, celles de ces familles qui dépassaient le pl
es hystériques ou sur le point de l'être, des adolescents et même des
enfants
, spectateurs nombreux dont l'organisme se trouver
stances où il se trouve. Tout est matière à une bonne observation : l'
enfant
pour ses parents, pour ses maîtres, le malade pou
et pourtant je n'ai parlé ni des publications sur la psychologie de l'
enfant
, ni des études sur les manifestations inconscient
nt. 11 y a les timides, les prudents, les hardis, les téméraires, les
enfants
perdus. Je ne dis de mal de personne, car tout tr
, 39, quai des Grands-Augustin s (25 fr). Weak-minded Children (les
enfants
imbéciles), par le docteur W. Ireland. — Petite b
t aussi des gens grossiers qui frappent leur cheval. leur chien, leur
enfant
pour les châtier et les corriger. Dans les pays o
é compromise et son autorité méconnue : s'il est irrité, il donne à l'
enfant
le déplorable spectacle de l'homme en colère: s'i
era à un moment donné de dépasser une limite prudente et de blesser l'
enfant
sans le vouloir. Un mouvement instinctif de celui
up qui le menace peut déterminer un accident grave. Inefficace, car l'
enfant
terrifié se soucie plus d'éviter la douleur que d
es, par exemple celle d'une nourriture substantielle. Mettre un jeune
enfant
au pain et a l'eau, c'est souvent compromettre sa
, car la turbulence ou l'indiscipline est le plus généralement chez l'
enfant
le signe d'un besoin de mouvement:, Donnez satisf
orriger.. Les travaux supplémentaires, les pensums, en condamnant l'
enfant
à la sédentarité. pour employer l'expression cons
réprimer, cherchons à prévenir. C'est ici l'affaire du maître. Si les
enfants
sont inattentifs. cela peut tenir à bien des caus
n'est pas une classe attentive. Il ne faut pas non plus exiger de l'
enfant
une somme d'attention dont il est incapable, ni l
avec ceux de l'esprit, proportionnez la durée des leçons à l'âge des
enfants
, et vous aurez diminué de beaucoup les occasions
immédiatement la faute. « Elle doit être proportionnée à l'âge de l'
enfant
, à son tempérament et, plus exactement, à sa sens
certaine, c'est-à-dire exécutée du moment qu'elle est résoulue. » L'
enfant
commet-il une étourderie légère, on feindra de ne
s de plus en plus rigoureuses qui émoussent la sensi- bilité de l'
enfant
, nous devons nous attacher à faire le contraire,
é de le croire, la rigueur du châtiment qui en fait l'efficacité. L'
enfant
a-t-il mérité des reproches graves, gardons-nous
in de nous la pensée de vouloir substituer notre volonté à celle de l'
enfant
, de diminuer chez lui le sentiment de la responsa
a reçu de nous une certaine impression, les entraves sont enlevées, l'
enfant
redevient libre et meilleur. Mais c'est de la s
s les privations qui sont de nature à porter atteinte à la santé de l'
enfant
, les retenues, les privations de récréations et d
ement la faute ; 2° Etre proportionnée à l'âge, au tempérament de l'
enfant
: 3° Etre appliquée lorsqu'elle a été résolue ;
justifie leurs conclusions. J'ai pu guérir, par le. même procédé, des
enfants
qui présentaient une tendance constante au menson
souffle doux au premier temps avec maximum à la base. Quelquefois, l'
enfant
dit avoir des palpitations. Les poumons sont sain
comme nous l'avons dit plus haut, de 3 ans 1/2. Or, à cette époque, l'
enfant
était envoyé a une école où il se trouvait au mil
tiologique principal. Les parents, désolés de surprendre souvent leur
enfant
a toucher son « histoire » (c'est ainsi que n
coups, il continuait. Nous avons examiné les organes génitaux de l'
enfant
; le volume et la longueur de la verge ne sont nu
argé notre élève, M. Roubinovitch, externe du service, de traiier cet
enfant
par l'hypnotisme et la suggestion hypnotique. L
mencé le 26 novembre, dont voici le compte rendu : 26 novembre. — L'
enfant
, couché sur un lit, est endormi par la fixation d
On obtient facilement des phénomènes cataleptoïdes. C'est ainsi que l'
enfant
conserve la position fatigante qu'on donne aux br
ère une surveillance active et nous l'avons priée de nous ramener son
enfant
dans trois jours. 29 novembre. — L'enfant n'a p
priée de nous ramener son enfant dans trois jours. 29 novembre. — L'
enfant
n'a pas été surpris i nouveau. Nous l'hypnotiso
stions relatives à l'onanisme. Depuis ce jour, la mère nous amena l'
enfant
toutes les semaines. La surveillance établie d'ap
tait très active dans la journée et dans la nuit, et à aucun moment l'
enfant
n'a plus été surpris. Examinant ensuite, le aa
tion complète de la rougeur du gland et du prépuce. Nous avons vu l'
enfant
le 15 et le 19 du mois de mars, et la mère nous a
a la pédagogie, broch. in-8°, 1888. Lechevallier, édit., Paris. d'
enfants
guéris, par l'emploi de la suggestion, de pervers
ive peut apporter quelques contributions à l'étude psychologique de l'
enfant
. Les auteurs qui se sont occupés de cette parti
vation continue, le développement psychique des premières années de l'
enfant
. Mais la méthode d'observation ne pouvait fournir
pris qu'on pouvait, dans l'état d'hypnotisme, modifier les idées de l'
enfant
; transformer on caractère; modifier ses habitude
c... Il est certain qu'il ne sera pas permis d'expérimenter sur des
enfants
sains et normalement doués. Malheureusement, il e
la pédagogie expérimentale. L'étude des anomalies psychiques chez l'
enfant
est pleine d'enseignements précieux, car, comme l
nous avons pu étudier le mécanisme par lequel on arrive à créer chez
enfant
des habitudes nouvelles. C'est par une véritable
de lui, s'empare d'un amateur quelconque, d'un jeune homme, même d'un
enfant
, parfois d'un névropathe qui voudra bien se tenir
nt être considérés comme tels. Elle a fait des lois pour protéger les
enfants
mineurs, les aliénés. Elle doit en faire pour pro
ments qui, tôt ou tard, viendront un jour les surprendre.. Il est des
enfants
dont on satisfait tous les caprices, toutes les f
is traitements sont funestes. Sur 74 cas d'hystérie observés chez les
enfants
par Briquet, et sur lesquels il a pu être fourni
et sur lesquels il a pu être fourni des renseignements, 29 fois, les
enfants
avaient été convenablement élevés ; g fois, ils n
se, ce sont, bel et bien, des hystériques. Chez un certain nombre des
enfants
observés par Briquet et auxquels il vient d'être
ervention d'une cause déterminante pour faire éclater la maladie. Ces
enfants
ont, en quelque sorte, succombé à la peine: quelq
'ailleurs d'une irréprochable orthodoxie — de maintenir l'esprit de l'
enfant
sous l'oppression d'une constante terreur. A pein
mes. Alph. Esquiros se refuse à ce qu'ils soient enseignés aux jeunes
enfants
. Bain n'est pas moins explicite. Selon lui, « de
qu'on désigne en médecine sous le nom de terreurs nocturnes. Or, les
enfants
sujets aux terreurs nocturnes à l'âge de six à
la boue et ne pouvait reprendre son vol ; elle fut recueillie par un
enfant
, lavée et enveloppée dans un rouleau d'ouate qui.
l, par Delbœuf, 289. Applications de l'hypnotisme au traitement des
enfants
vicieux, par Bérillon, 59. Applications pratiqu
(phénomènes) chex les sujets en état d'hypnotisme par Luys. 75, 99.
Enfants
vicieux (traitement des), par Bérillon, 59, 169
t interrogé par le juge d'instruction ; au bout de quelques heures, l'
enfant
avoue : son père a attiré la jeune fille à la syn
ience ; en vain son père le conjure devant Dieu de dire la vérité : l'
enfant
a vu. J'ai expliqué cette accusation monstrueus
nt a vu. J'ai expliqué cette accusation monstrueuse de la part d'un
enfant
, qui, auparavant, n'avait pas témoigné de mauvais
: une sœur aussi bien portante, forte, âgée de 29 ans, mère de trois
enfants
vigoureux. Il ne connaît aucune maladie nerveuse
r. » Pendant cette conversation, se trouvaient à côté de nous trois
enfants
: L'un, Adrien V..., âgé de 14 ans, est tubercu
intelligent, sait lire, écrire, calculer; sa mémoire est remarquable.
Enfant
doux et honnête, il est depuis longtemps au servi
es frères et sœur; aucun n'aurait de maladie nerveuse. Je dis à cet
enfant
: « Tu as entendu ce jeune homme te raconter cela
it, puisqu'il vient de nous dire que c'est place de l'Académie. » — L'
enfant
, sans se déconcerter : « Je ne me rappelle plus o
ce qu'il m'a raconté. — Tu jureras ? — Je le jurerai ! » Un second
enfant
, Joseph L..., âgé de 14 ans, est à côté ; c'est u
Un second enfant, Joseph L..., âgé de 14 ans, est à côté ; c'est un
enfant
délicat, atteint de paralysie infantile, n'ayant
. — Tu le jures ? — Je le jure ! » Enfin, dans le lit voisin est un
enfant
de 9 ans, G..., convalescent de pleurésie, sans a
père et mère bien portants, deux sœurs et un frère bien portants. Cet
enfant
est aussi très suggestible, toutefois à un degré
interprète comme je l'ai fait moi-môme: il montre la bonne foi de ces
enfants
agissant par auto-suggestion. M. Motet n'avait sa
le que j'avais émise. Comme on l'a vu, ce ne sont pas seulement des
enfants
qui peuvent, de bonne foi et avec sincérité, fair
rès bonne intelligence avec son mari, soigne très affectueusement ses
enfants
; son caractère est enjoué, aimable... Survient un
grossesse qui arrive a son terme et se termine par la naissance d'un
enfant
très bien portant. Pendant cette grossesse rien d
nts affectifs: elle devient sombre, prend en aversion son mari et ses
enfants
, et rapidement se développe en quelques jours une
ermée par une union charnelle. La présence de son mari, la vue de ses
enfants
redoublent les angoisses de cette malheureuse fem
s, réclamerait d'elle-même son alliance, embrasserait son mari et ses
enfants
et demanderait à manger. Avant de la réveiller,
née de voir tant de monde dans sa chambre. Elle regarda son mari, ses
enfants
, sans manifester aucun sentiment de répulsion. La
jetant à son mari un regard affectueux, puis demanda à embrasser ses
enfants
. Il y eut alors un temps de silence ; Mme B... pa
voir été bien folle pour avoir pu prendre en aversion son mari et ses
enfants
. Elle se prêta facilement à une seconde séance
timents affectifs, lui parlant » longuement de sa jeune femme, de ses
enfants
qu'il n'avait pas em-» brasses depuis plusieurs s
n), et serait » fort heureux de revoir en bonne santé sa femme et ses
enfants
. Du » reste, tout était pour le mieux dans la plu
ionomie atone ; pas de vivacité dans le regard. Il s'informa de ses
enfants
et voulut se rendre à un salon du rez-de-chaussée
ses enfants et voulut se rendre à un salon du rez-de-chaussée où les
enfants
se tenaient avec leur mère. Il descendit l'escali
rnière marche; il se traina jusqu'au salon et demanda à embrasser ses
enfants
, puis s'écria : « Ah ! mes amis, j'ai été bien ma
ntellectuel de celle du séjour dans les grandes villes, examinons les
enfants
qui n'ont pas reçu une instruction intensive, pui
i n'ont pas reçu une instruction intensive, puis nous replacerons ces
enfants
dans le milieu collégial et nous verrons les diff
ce, et ses organes génitaux ainsi que son corps sont restés ceux d'un
enfant
et ne subissent point l'évolution naturelle de la
rent à ce triste résultat sont multiples. Voyons ce que devient cet
enfant
des grandes villes quand il est appelé à subir la
ocède par à-coups, et le fait a été noté depuis longtemps. Il est des
enfants
qui grandissent plus en une saison et d'autres en
récédemment ; c'est une impuissance relative qui menace l'avenir de l'
enfant
. Un jeune homme, sorti l'un des premiers d'une éc
s. A vingt-huit ans, ce jeune homme s'est marié, il a perdu un de ses
enfants
d'une méningite ; un autre est atteint de paralys
rennent d'ordinaire les premiers rangs. Ce qui manque le plus a ces
enfants
, c'est la faculté d'arrêter leur attention sur un
viter les grands internats. L'encombrement qui en résulte place les
enfants
des ouvriers dans les conditions les plus fâcheus
orné de grands jardins, dont l'air, avant d'arriver aux poumons de l'
enfant
, n'ait pas traversé plusieurs fois ceux de ses ca
urs fois ceux de ses camarades. Tous les ans, il faudrait envoyer les
enfants
, pendant les vacances, dans des bois ou au bord d
es de vacances dont les premiers résultats sont si encourageants. L'
enfant
né dans les grandes villes, ou celui qui y sera p
i est le plus frappant, dans ce dernier ordre d'idées, c'est pour ces
enfants
internés la difficulté et parfois l'impossibilité
t, au lieu de multiplier les matières des programmes, contraindre ces
enfants
à penser par eux-mêmes et arrêter leur esprit sur
fr. 50. Formulaire clinique et thérapeutique pour les maladies des
enfants
, par le Dr A. Veillard Berthier, Paris 1887. 4
s la prennent à tous moments ; un jour, elle tombe dans la rue avec l'
enfant
qu'elle avait dans les bras. En 1884, à l'âge d
oujours dans l'état de somnambulisme, demande quel est le sexe de son
enfant
, et exprime un grand mécontentement en apprenant
heure après. Une fois le lit changé, la toilette de la mère et de l'
enfant
terminée, la malade est réveillée en lui soufflan
ient de rien ! 1 Apprenant qu'elle est accouchée, elle demande si son
enfant
est une fille? Elle ignore absolument le sexe qu'
les circonstances particulières, l'occasion facile de substitutions d'
enfant
au moment de l'accouchement, telles que substitut
ns d'enfant au moment de l'accouchement, telles que substitution d'un
enfant
vivant à un mort, et vice versa..., substitution
t, ne veut pas lui donner de pain ; il pousse des cris comme un petit
enfant
: « Maman, maman, dit-il, du pain, à boire, maman
tradition sont d'accord sur l'avantage qu'il y a à faire coucher les
enfants
de bonne heure et à ne pas prolonger leur travail
ondamnés. Voudriez-vous donc, dès le début des humanités, appeler les
enfants
à se spécialiser: Mais comment voulez-vous qu'ils
S ET CONFÉRENCES LES APPLICATIONS DE L'HYPNOTISME AU TRAITEMENT DES
ENFANTS
VICIEUX Conférence faite par M. le Docteur Edga
st indiscutable chez l'adulte hypnotisé, quelle doit-elle être chez l'
enfant
, déjà très suggestible à l'état de veille ? Le
« Enaucun cas,a-t-ildit, nous ne voulons soumettre à l'hypnotisme un
enfant
normal ou simplement médiocre. Nous croyons que p
. Mais, quand des parents éplorés amèneront au médecin hypnotiseur un
enfant
atteint de la monomanie du vol, par exemple, en p
ans. Observation IV. — Mme X..., âgée de 45 ans, mère de plusieurs
enfants
, a perdu son mari il y a près de douze ans, et el
le se dispute avec les siens; ce sont des scènes incessantes avec ses
enfants
, dont elle s'occupe à peine; elle laisse gouverne
e de lui faire des recommandations relatives à son intérieur et à ses
enfants
, dont elle ne s'occupe pas depuis longtemps, à so
cédentes j'ajoute : » Vous vous occuperez de voire ménage, de vos
enfants
; vous n'aurez plus » de mouvements brusques ; vo
toutes ses habitudes de famille. Elle s'occupe de son ménage, de ses
enfants
; elle est douce avec eux ; elle ne manifeste plu
uillité et le bonheur. 21 août. — Elle se rend en province avec ses
enfants
en vacances. Ces quatre observations de dipsoma
s s'imposent. Et vraiment, n'est-il pas vrai que dans l'esprit de l'
enfant
où d'innombrables échos sommeillent, ceux-là seul
aprice de celui à qui il obéit est même moins complète que celle de l'
enfant
vis-à-vis des suggestions du milieu; car l'un n'a
urnes incoercibles qui se développent si soudainement chez les jeunes
enfants
, alors qu'on les voit se réveiller en sursaut, an
ent de se faire une idée juste de ce qu'est un réflexe psychique. L'
enfant
qui pleure parce qu'il voit pleurer, ou qui bâill
ravail organique se développe dans le système nerveux chez les jeunes
enfants
; le volume de leur tète, par rapport à celui de
né. Suivant Sœmmering, cité par Parchappe, le poids du cerveau d'un
enfant
de six ans est de 1.087 grammes, et le poids moye
es; — différence : 236 grammes. Parchappe cite encore le cerveau d'un
enfant
de onze ans, qui pesait 1,191 grammes, et celui d
'un enfant de onze ans, qui pesait 1,191 grammes, et celui d'un autre
enfant
de quatorze ans dont le poids était de 1,046 gram
1 cent. 6. Deux ans plus tard, ce diamètre a été trouvé le même ; l'
enfant
était resté stationnaire sous ce rapport. Le se
même ; l'enfant était resté stationnaire sous ce rapport. Le second
enfant
, dont la tête a été mesurée à l'âge de six ans, p
s aptitudes qu'il renferme, et quand on songe combien le cerveau d'un
enfant
de seize à dix-huit ans touche de près, en propor
et tranquilles. Et, sur ce point, combien l'activité cérébrale de l'
enfant
diffère de celle de l'homme adulte, chez lequel l
jeu du cerveau, la participation que nous demandons a l'esprit de nos
enfants
! Les programmes d'études scolaires, en effet, ne
catégorie. Ayant donné des soins aux pères et aux mères de ces jeunes
enfants
, je me suis trouvé déjà plus d'une fois appelé pa
sollicitant plus énergiquement la personnalité consciente des jeunes
enfants
et en les intéressant a ce qu'ils ont a apprendre
aux lois de l'hygiène et aux exigences du développement physique des
enfants
et des adolescents, le régime actuel de nos établ
nts suivants : Accroissement de la durée du sommeil pour les jeunes
enfants
; Poar tous les élèves, diminution du temps cons
ambidextre, soit en tout 5,88 p. 100. D'après Th. lreland, sur des
enfants
de pensionnats, on rencontre à peu près 12 p. 100
, tous les gauchers ne sont pas connus, parce qu'on ne laisse pas aux
enfants
, généralement ambidextres, la liberté de se servi
par l'éducation, et ils ont eu raison, en ont fait un ambidextre. Cet
enfant
dessine, écrit de la main droite; mais vient-il à
x. De même, s'il s'agit d'atteindre un but à l'aide d'une pierre, l'
enfant
dont je parle, bien que pouvant lancer un project
as. l'humanité ne revient point sur ses pas. Mais s'il est vrai que l'
enfant
nouveau-né puisse être considéré comme se rapproc
e cinq personnes, le pire et la mère ne sont pas gauchers. L'aîné des
enfants
élevé par une nourrice n'est pas gaucher ; le deu
né des enfants élevé par une nourrice n'est pas gaucher ; le deuxième
enfant
a été gaucher dès son plus jeune âge et l'est res
jeune âge et l'est resté ; il ? quinze ans aujourd'hui. Le troisième
enfant
a été gaucher a l'âge d'un an; quand on lui prése
a main gauche. C'est la mère elle-même qui a nourri les deux derniers
enfants
. Elle était très ennuyée de voir gauchers les deu
x derniers enfants. Elle était très ennuyée de voir gauchers les deux
enfants
qu'elle entourait des plus grands soins. Je m'ape
t des plus grands soins. Je m'aperçus alors qu'elle portait son petit
enfant
sur le bras gauche : à la remarque que je lui en
me répondit qu'elle avait toujours porté sur le bras gauche les deux
enfants
qu'elle avait nourris. Je lui recommandai alors
qu'elle avait nourris. Je lui recommandai alors de porter le petit
enfant
sur le bras droit. Quelques mois après, cet enfan
de porter le petit enfant sur le bras droit. Quelques mois après, cet
enfant
avait complètement perdu l'habitude de se servir
te son nourrisson sur le bras gauche, c'est aussi le bras gauche de l'
enfant
qui est en avant, et c'est do celui-là qu'il se s
rt: il deviendra gaucher. Mais comme 99 nourrices sur 100 portent les
enfants
sur le bras droit, ces enfants se servent du bras
comme 99 nourrices sur 100 portent les enfants sur le bras droit, ces
enfants
se servent du bras droit qui est en avant pour sa
ets et ils deviennent droitiers. Il est certain que le plus jeune des
enfants
de l'observation précédente serait resté gaucher
a famille du père ou de la mère, ni chez les grands-parents, et que l'
enfant
qui est resté gaucher n'a pas la moindre tare et
inguer les gauchers héréditaires et les gauchers par accidents; qu'un
enfant
, par exemple, ait une fracture du radius droit, q
lé, dans ce sens, plusieurs ménages désireux d'interrompre la série d'
enfants
mâles ou femelles qu'ils avaient eue jusque-là. I
ie psychischen Storungen im Kindesalter. — Troubles psychiques chez l'
enfant
. (2e supplém. su Traité des maladies des enfants,
les psychiques chez l'enfant. (2e supplém. su Traité des maladies des
enfants
, de Gerhardt.) — In-8°, VIII-293 p., 12 pl. Tubin
ystérie et l'idiotie, compte rendu du service des épileptiques et des
enfants
idiots et arriéres de Bicêtre pendant l'année 188
les supplications de l'amitié, la tendresse des pères, des mères, des
enfants
, rien ne peut détourner ces malheureux de ce dépl
ospitalier une jeune fille de seize ans, bien constituée ; elle est l'
enfant
d'un père alcoolique, elle a, depuis l'âge de six
s'étend à d'autres névroses, et, à la clinique Pavte, à l'hôpital des
enfants
, on a pu observer un cas de guérison de la chorée
tatait la guérison complète. Une paysanne de 36 ans, mariée et sans
enfants
, entre a l'hôpital sous la mention de femme alién
ours d'un état d'énervement avec mauvaise humeur, antipathie pour ses
enfants
, symptômes qui disparaissent avec le flux. La der
que l'onanisme, et dont les conséquences soient aussi graves chez les
enfants
et chez les adolescents, on peut dire que le plus
des renseignements qui nous ont été fournis par les parents de cette
enfant
que dans ses antécédents héréditaires il n'y a au
de poitrine et. an an après, gourme. Jusqu'à l'âge de sept ans, cette
enfant
est restée à la campagne chez sa tante, et c'est
fant est restée à la campagne chez sa tante, et c'est là, au milieu d'
enfants
de paysans, qu'elle aurait contracté, au dire de
oie-t-on à ses parents. A noire examen, nous avons constaté que l'
enfant
est pâle et maigre. Son crâne est ovoïde, les b
grands appareils splanchniques. La mère nous dit qu'elle surprend l'
enfant
aussi bien dans la journée que dans la nuit à pra
août. La mère nous dit qu'elle n'a pas surpris, pendant le jour, son
enfant
se livrant à ses pratiques habituelles depuis la
dormons et nous répétons la même suggestion. La mère nous amène son
enfant
pour être hypnotisée et suggestionnée par nous )e
er son pire sur la bouche en mettant la main sur ses parties. Celte
enfant
est très forte pour son âge, elle paraît avoir qu
ion (toucher de l'oreille gauche avec ma main). 15 janvier 1887.— L'
enfant
m'est ramenée. Deuxième séance d'hypnotisme : l
ue qui exprimaient le mécontentement et la volonté de ne pas obéir. L'
enfant
, en effet, a continué à se livrer au même vice.
e dire que l'onanisme a tout à fait cessé, ainsi que le mensonge. L'
enfant
a encore peur de rester seule. Le traitement co
ison est complète. La lenteur des résultats m'a paru tenir à ce que l'
enfant
n'était pas plongée dans le sommeil léthargique c
te et fin) Observation II Madame N…, âgée de 37 ans, mère de cinq
enfants
bien portants. Une sœur morte après plusieurs ann
ivrer ainsi à la boisson. Elle néglige complètement son ménage et ses
enfants
; emprunte des petites sommes a ses voisins et à
elle ne s'énerve plus autant, et ne fait plus de scènes violentes aux
enfants
. Si cela continue, j'ai bon espoir. » Peu à peu
e. Elle a repris ses occupations dans son ménage et traite bien ses
enfants
. Plus d'emportements ni de brusqueries. Elle dort
t sœurs en bonne santé, une sœur hystérique convulsive. Elle a quatre
enfants
bien portants ; l'aîné, âgé de vingt-quatre ans,
s pendant le jour. Négligeant son ménage, abandonnant son mari et ses
enfants
, elle est tombée de plus en plus dans la plus abj
les : « Lorsqu'on aura, disions-nous, à se préoccuper de l'avenir d'
enfants
vicieux, impulsifs, récalcitrants, incapables de
ntées dans un but de moralisation et d'éducation sur quelques-uns des
enfants
les plus notoirement vicieux et incorrigibles des
a responsabilité n'est pas là. La société est responsable de tous ces
enfants
qu'elle laisse se perdre faute de vouloir les sau
ppliquer l'hypnotisme, dans un certain nombre de cas, au traitement d'
enfants
malades ou vicieux. Les observations nombreuses q
n hypnotique comme moyen curatifou comme moyer; moralisateur chez les
enfants
qu'après qu'un examen attentif et minutieux nous
par un éminent pédagogue; M. Félix Hément, de ne jamais hypnotiser un
enfant
sans la demande formelle et parfois même écrite d
tisme seulement que nous avons pu heureusement modifier et guérir les
enfants
confies à nos soins. Bien que les procédés par
e degré de suggestibilité du sujet. Si, dans la majorité des cas, les
enfants
obéissent à des suggestions faites avec" douceur,
Après avoir éloigné les personnes dont la présence peut déplaire à l'
enfant
et invité celles qui doivent assister à l'opérati
observer le silence le plus absolu, il est facile, en interrogeant l'
enfant
avec douceur, avec sympathie, de lui inspirer une
ions d'une voix peu élevée, un peu monotone. Le plus fréquemment, l'
enfant
ferme naturellement les yeux et il se laisse alle
n annonçant qu'elles sont clouées, qu'il ne peut plus les ouvrir. L'
enfant
, à ce moment, est déjà assez influencé pour qu'on
s un mouvement de rotation l'un autour de l'autre, en affirmant que l'
enfant
va continuer à exécuter le mouvement maigre lui.
discussion mentale sont abolies à tel point que, si vous suggérez a l'
enfant
d'exécuter immédiatement après son réveil tel ou
ttre à l'abri d'une simulation rare, mais possible, et pour plonger l'
enfant
dans un état d'hypnotisme dont la constatation ne
étons les premières manœuvres par le procédé suivant. Nous disons à l'
enfant
: « Continuez à bien dormir jusqu'à ce que je v
. » On assiste alors à ce spectacle très saisissant : Pendant que l'
enfant
, éveillé marche ou parle avec quelqu'un, si le br
remière séance, comme nous Tenons de le dire, il arrive parfois qu'un
enfant
résiste et n'est pas influencé. Ce n'est pas une
, il sera hypnotisé, surtout si l'on a soin de préparer l'esprit de l'
enfant
à cette idée. Quand les enfants ont l'intelligenc
l'on a soin de préparer l'esprit de l'enfant à cette idée. Quand les
enfants
ont l'intelligence assez développée pour comprend
u'apparaît la suggestibilité. Les suggestions. Avant d'endormir l'
enfant
, il est utile de s'entendre avec les parents sur
aussi, l'intervention de personnes malveillantes qui se moquent de l'
enfant
et s'appliquent à le décourager, peut contribuer
seur Beaunis, montre aussi qae. certains obstacles peuvent venir de l'
enfant
lui-même : « On amène un jour au docteur Liébea
r de l'enfant lui-même : « On amène un jour au docteur Liébeault un
enfant
indolent et paresseux (1) Dessin extrait du liv
ppliquer et de travailler ; tout alla bien pendant quelque temps et l'
enfant
faisait merveille. Mais, au bout de quelques mois
essayer du même moyen, mais on se heurta a un obstacle inattendu : l'
enfant
ne voulut absolument pas se laisser endormir : il
parents restèrent sans effet sur lui. * Lorsque l'on constate chez un
enfant
une résistance inaccoutumée, au lieu de l'attribu
er jusqu'à la cause de cette résistance. Dans l'un, en particulier, l'
enfant
subissait l'influence d'un camarade, qui , par ja
tisme complet. Procédé de réveil. Dans les premières séances, les
enfants
ont une tendance à se réveiller rapidement. Pour
'éprouvera pas la moindre fatigue. Si l'on a pris cette précaution, l'
enfant
se réveille toujours en souriant et disposé à se
la guérison a été complète. La directrice de l'école fréquentée par l'
enfant
a pu, à la suite du traitement; la classer parmi
parmi les bonnes élèves de la classe. Cependant l'état moral de cette
enfant
était tellement perverti qu'on avait dû à deux re
tte jeune fille à cause du mauvais exemple qu'elle donnait à d'autres
enfants
, ont pu la reprendre avec eux.) 6° Des terreurs
ont pu la reprendre avec eux.) 6° Des terreurs nocturnes chez deux
enfants
de six et de huit ans. (Le second, qui ne pouvait
us complète.) 7° Des habitudes invétérées d'onanisme chez plusieurs
enfants
. (Nous avons constaté qu'en général les enfants f
anisme chez plusieurs enfants. (Nous avons constaté qu'en général les
enfants
font preuve de beaucoup de bonne volonté lorsqu'o
ù ils étaient placés. Les résultats obtenus ont été durables, car l'
enfant
se conforme aux bonnes habitudes qu'on lui a fait
t, nous affirmons que nous n'avons jamais vu survenir, chez aucun des
enfants
que nous avons soumis au traitement par l'hypnoti
par l'hypnotisme, le moindre accident consécutif. Au contraire, l'
enfant
, qui constate l'amélioration survenue dans son ét
sons physiques. Voici un fait que j'ai eu l'occasion d'observer: Un
enfant
de dix ans m'est amené par sa mère, il est indisc
par mois. Je l'endors facilement et. après deux ou trois séances, cet
enfant
est transformé, il mange de la viande, devient la
a huit mois de cela: le résultat s'est maintenu, sa mère me dit que l'
enfant
est absolument changé. Autre fait: Un jeune hom
uvent être réalisés dans l'un et dans l'autre. La mère, qui berce son
enfant
pour l'endormir et qui ainsi lui suggère le somme
s entrent comme par effraction. Si les- admonestations qu'on fait à l'
enfant
pendant qu'il est a l'état de veille ne sont pas
on sommeil provoqué ou même naturel. Beaucoup de mères parlent k leur
enfant
endormi. Elles savent que l'enfant les entend et
. Beaucoup de mères parlent k leur enfant endormi. Elles savent que l'
enfant
les entend et répond, bien qu'il no se souvienne
ctions qui ont été faites à l'emploi de la suggestion pour guérir des
enfants
vicieux ou rebelles, étaient d'ordre purement phi
les de l'éthique. On nous a dit qu'il n'était pas moral d'imposer à l'
enfant
des idées qui n'existent pas en germe chez lui.
vue philosophique, rien ne s'oppose à ce qu'on cherche à imposer a l'
enfant
, même par suggestion, des idées qui sont reconnue
t pas la. Il n'est jamais venu à notre pensée d'hypnotiser tous les
enfants
, d'introduire la pratique de la suggestion dans l
pourrait .se dispenser d'enfermer dans des maisons de correction des
enfants
sur lesquels tous les moyens habituels dont dispo
en bonnes, pourquoi ne l'utiliserions-nous pas dans l'intérêt des
enfants
que nous sommes obligés de renvoyer de nos écoles
que nous y voyons un côté utile. Nous ne pouvons nier qu'il y ait des
enfants
qui rendent le rôle du pédagogue difficile. Faiso
personnes sera nécessaire. 11 y aura d'abord le médecin qui mettra l'
enfant
dans les conditions voulues pour qu'il devienne s
qu'il devienne suggestible, puis le pédagogue interviendra et, à cet
enfant
hypnotisé, il donnera les conseils qu'il lui dict
s auront plus de prise, que nous pourrons développer l'attention de l'
enfant
, accroître son énergie morale, et même le mettre
ont été particulièrement favorables; l'expérience s'est faite chez un
enfant
très impressionnable, très reconnaissant de quelq
'inculpation de faits véritablement odieux: depuis longtemps, sur des
enfants
ou des jeunes gens, le docteur Lamotte se livrait
sont très marqués ; il ne se rappelle plus le nombre et le nom de ses
enfants
. 11 lui est impossible de faire une addition ou u
ment, M. Lailler, sans être aussi absolu, conseillait de même, pour l'
enfant
atteint de la pelade, l'exclusion prudente de l'é
aits, j'en possède d'autres non moins démonstratifs; je veux parler d'
enfants
de lycées atteints de pelade et maintenus au pens
seil formel. Nous n'avons pas eu à nous repentir de notre audace. Ces
enfants
n'avaient pris la maladie de personne et ne la do
ispensable de répudier cette quarantaine funeste qu'on fait subir aux
enfants
des écoles atteints de pelade ; il y a lieu, selo
es parents qui venaient me demander un certificat constatant que leur
enfant
pouvait rentrer au lycée, quoique atteint de pela
cas. J'ai été bien des fois appelé, au lycée Henri IV, à examiner des
enfants
atteints de pelade et qu'on ne voulait même p
que cet examen fût renouvelé tous les quinze jours, et que dès qu'un
enfant
serait convaincu d'être atteint d'un herpès ton s
u fils de la famille. Voici un autre fait venu à ma connaissance : Un
enfant
d'une famille de Paris est envoyé à la campagne.
: Un enfant d'une famille de Paris est envoyé à la campagne. Les deux
enfants
du fermier étaient peladeux, l'enfant de Paris ne
envoyé à la campagne. Les deux enfants du fermier étaient peladeux, l'
enfant
de Paris ne tarda pas à le devenir comme eux. M
femme raconte qu'elle a accouché étant endormie, et elle ajoute que l'
enfant
a été étouffé sous les couvertures. Jusqu'à une c
elle veut se lever et, alors seulement, elle s'aperçoit qu'elle a un
enfant
entre les jambes. Ce fait, observé dans des condi
a famille assistait aux accouchements. Puis, quand on était revenu, l'
enfant
était né pendant le sommeil de la mère. Or on l'a
en particulier, en voyant son ventre aplati et en entendant vagir son
enfant
à côté d'elle. Comment la mère aurait-elle pu se
d'elle. Comment la mère aurait-elle pu se douter d'une substitution d'
enfant
, si elle avait eu lieu ? La question rappelée p
e, ne sont certainement pas produits par le corps ou les membres de l'
enfant
, qui ne bouge nullement. Pour que ce phénomène
icable puisse avoir lieu dans sa plénitude, il faut que les bras de l'
enfant
soient placés sous la couverture du lit et que le
Toutefois la mère affirme qu'elle a essayé de se coucher près de son
enfant
, et que les bruits étranges ont persisté. Jai t
vrai, et qui mérite en tout cas d'être étudié par des spécialistes. L'
enfant
qui en est l'objet a toujours été maladive. C'est
le à manger, elle travaillait à l'aiguille, soit seule, soit avec les
enfants
qu'elle gardait (deux petites filles de quatre et
pensiez en venant. J'allais dormir à 9 heures environ, quand les
enfants
ont fait du bruit et m'ont réveillée. C... (la cu
sseur n'aura pas beaucoup de peine à corriger ces fautes, et, quand l'
enfant
ne retombera plus dans ces inversions, il lui arr
classique, peut-être: mais cette physiologie, après tout, n'est qu'un
enfant
à la mamelle: elle a été allaitée, je le sais bie
emme, voici ce qui était arrivé : un an avant, elle avait donné a son
enfant
un soufflet du revers de la main, étant très en c
urgeoisie de province. Son père est mort laissant une veuve avec sept
enfants
, et la famille est obligée de travailler pour viv
la brebis galeuse ». La fille chassée se réfugia à Paris, laissant l'
enfant
à la garde de la grand'mère. A Paris, elle trouve
ours de novembre. Croyant bien faire, elle avait laissé reconnaître l'
enfant
par son père, en se proposant toutefois de l'élev
sage-femme qui l'a accouchée se présente avec une nourrice, emporte l'
enfant
, en disant que le père doit se présenter dans la
bandonnée. Jeanne se met à la recherche de l'infidèle qui détient son
enfant
; mais M. D... a déménagé, et il est impossible de
d au bureau des nourrices, où on lui répond qu'on ignore le sort de l'
enfant
; même réponse chez la sage-femme. Désolée, elle c
frissonner maintenant. » Après avoir cherché partout inutilement l'
enfant
, elle se déshabille et se remet au lit. Au bout d
ipitamment chez elle, puis redescend aussitôt et repart en appelant l'
enfant
. Elle court de nouveau chez son amant, chez l
coins. Dans la chambre a coucher était placé un berceau où dormait l'
enfant
de Mme J... Notre malade était tellement affolée
raconte l'histoire de sa vie, se plaint de ce qu'on lui a enlevé son
enfant
, et parait très attristée. Au bout de deux jours,
f. L'état puerpéral, joint au chagrin causé par l'enlèvement de son
enfant
, a joué très vraisemblablement le rôle d'une caus
tonnant, par conséquent, si chez notre malade la préoccupation de son
enfant
(dont magnétiseur lui a peut-étre maladroitement
suggestions appropriées auraient pu lui faire oublier la perte de son
enfant
. Nous serons heureux si cette observation contr
us les entants sont hypnotisables : eh bien ! ce sont précisément les
enfants
qui ressentent plus facilement l'action du chloro
ntrant la transformation de la folie des parents en hystérie chez les
enfants
sont en somme assez pauvres et le nombre des fait
portes, après avoir subi sa condamnation, qu'une bande de femmes et d'
enfants
, excités par un soldat de la garnison, se précipi
, convaincu d'avoir frappé la malheureuse et excité les femmes et les
enfants
à lui jeter des pierres pour l'assommer, fut mand
ents ont observe des taches d'urine sur son linge et ses pantalons. L'
enfant
ne se décide qu'avec peine à avouer qu'il souffra
ationnel aux médecins consultants de diminuer d'abord le travail de l'
enfant
, puis de le soumettre à un repos complet. S'il
fant, puis de le soumettre à un repos complet. S'il s'agissait d'un
enfant
dans une situation ordinaire, présentant des symp
confrère du Médical Record (de New-York), que la santé et la vie de l'
enfant
ne soient sacrifiées sinon à l'art, tout au moins
: cent soixante-quinze familles étudiées ont donné une moyenne de 3,2
enfants
. Or, celles de ces familles qui dépassaient le pl
es hystériques ou sur le point de l'être, des adolescents et même des
enfants
, spectateurs nombreux dont l'organisme se trouver
stances où il se trouve. Tout est matière à une bonne observation : l'
enfant
pour ses parents, pour ses maîtres, le malade pou
et pourtant je n'ai parlé ni des publications sur la psychologie de l'
enfant
, ni des études sur les manifestations inconscient
nt. 11 y a les timides, les prudents, les hardis, les téméraires, les
enfants
perdus. Je ne dis de mal de personne, car tout tr
, 39, quai des Grands-Augustin s (25 fr). Weak-minded Children (les
enfants
imbéciles), par le docteur W. Ireland. — Petite b
t aussi des gens grossiers qui frappent leur cheval. leur chien, leur
enfant
pour les châtier et les corriger. Dans les pays o
é compromise et son autorité méconnue : s'il est irrité, il donne à l'
enfant
le déplorable spectacle de l'homme en colère: s'i
era à un moment donné de dépasser une limite prudente et de blesser l'
enfant
sans le vouloir. Un mouvement instinctif de celui
up qui le menace peut déterminer un accident grave. Inefficace, car l'
enfant
terrifié se soucie plus d'éviter la douleur que d
es, par exemple celle d'une nourriture substantielle. Mettre un jeune
enfant
au pain et a l'eau, c'est souvent compromettre sa
, car la turbulence ou l'indiscipline est le plus généralement chez l'
enfant
le signe d'un besoin de mouvement:, Donnez satisf
orriger.. Les travaux supplémentaires, les pensums, en condamnant l'
enfant
à la sédentarité. pour employer l'expression cons
réprimer, cherchons à prévenir. C'est ici l'affaire du maître. Si les
enfants
sont inattentifs. cela peut tenir à bien des caus
n'est pas une classe attentive. Il ne faut pas non plus exiger de l'
enfant
une somme d'attention dont il est incapable, ni l
avec ceux de l'esprit, proportionnez la durée des leçons à l'âge des
enfants
, et vous aurez diminué de beaucoup les occasions
immédiatement la faute. « Elle doit être proportionnée à l'âge de l'
enfant
, à son tempérament et, plus exactement, à sa sens
certaine, c'est-à-dire exécutée du moment qu'elle est résoulue. » L'
enfant
commet-il une étourderie légère, on feindra de ne
s de plus en plus rigoureuses qui émoussent la sensi- bilité de l'
enfant
, nous devons nous attacher à faire le contraire,
é de le croire, la rigueur du châtiment qui en fait l'efficacité. L'
enfant
a-t-il mérité des reproches graves, gardons-nous
in de nous la pensée de vouloir substituer notre volonté à celle de l'
enfant
, de diminuer chez lui le sentiment de la responsa
a reçu de nous une certaine impression, les entraves sont enlevées, l'
enfant
redevient libre et meilleur. Mais c'est de la s
s les privations qui sont de nature à porter atteinte à la santé de l'
enfant
, les retenues, les privations de récréations et d
ement la faute ; 2° Etre proportionnée à l'âge, au tempérament de l'
enfant
: 3° Etre appliquée lorsqu'elle a été résolue ;
justifie leurs conclusions. J'ai pu guérir, par le. même procédé, des
enfants
qui présentaient une tendance constante au menson
souffle doux au premier temps avec maximum à la base. Quelquefois, l'
enfant
dit avoir des palpitations. Les poumons sont sain
comme nous l'avons dit plus haut, de 3 ans 1/2. Or, à cette époque, l'
enfant
était envoyé a une école où il se trouvait au mil
tiologique principal. Les parents, désolés de surprendre souvent leur
enfant
a toucher son « histoire » (c'est ainsi que n
coups, il continuait. Nous avons examiné les organes génitaux de l'
enfant
; le volume et la longueur de la verge ne sont nu
argé notre élève, M. Roubinovitch, externe du service, de traiier cet
enfant
par l'hypnotisme et la suggestion hypnotique. L
mencé le 26 novembre, dont voici le compte rendu : 26 novembre. — L'
enfant
, couché sur un lit, est endormi par la fixation d
On obtient facilement des phénomènes cataleptoïdes. C'est ainsi que l'
enfant
conserve la position fatigante qu'on donne aux br
ère une surveillance active et nous l'avons priée de nous ramener son
enfant
dans trois jours. 29 novembre. — L'enfant n'a p
priée de nous ramener son enfant dans trois jours. 29 novembre. — L'
enfant
n'a pas été surpris i nouveau. Nous l'hypnotiso
stions relatives à l'onanisme. Depuis ce jour, la mère nous amena l'
enfant
toutes les semaines. La surveillance établie d'ap
tait très active dans la journée et dans la nuit, et à aucun moment l'
enfant
n'a plus été surpris. Examinant ensuite, le aa
tion complète de la rougeur du gland et du prépuce. Nous avons vu l'
enfant
le 15 et le 19 du mois de mars, et la mère nous a
a la pédagogie, broch. in-8°, 1888. Lechevallier, édit., Paris. d'
enfants
guéris, par l'emploi de la suggestion, de pervers
ive peut apporter quelques contributions à l'étude psychologique de l'
enfant
. Les auteurs qui se sont occupés de cette parti
vation continue, le développement psychique des premières années de l'
enfant
. Mais la méthode d'observation ne pouvait fournir
pris qu'on pouvait, dans l'état d'hypnotisme, modifier les idées de l'
enfant
; transformer on caractère; modifier ses habitude
c... Il est certain qu'il ne sera pas permis d'expérimenter sur des
enfants
sains et normalement doués. Malheureusement, il e
la pédagogie expérimentale. L'étude des anomalies psychiques chez l'
enfant
est pleine d'enseignements précieux, car, comme l
nous avons pu étudier le mécanisme par lequel on arrive à créer chez
enfant
des habitudes nouvelles. C'est par une véritable
de lui, s'empare d'un amateur quelconque, d'un jeune homme, même d'un
enfant
, parfois d'un névropathe qui voudra bien se tenir
nt être considérés comme tels. Elle a fait des lois pour protéger les
enfants
mineurs, les aliénés. Elle doit en faire pour pro
ments qui, tôt ou tard, viendront un jour les surprendre.. Il est des
enfants
dont on satisfait tous les caprices, toutes les f
is traitements sont funestes. Sur 74 cas d'hystérie observés chez les
enfants
par Briquet, et sur lesquels il a pu être fourni
et sur lesquels il a pu être fourni des renseignements, 29 fois, les
enfants
avaient été convenablement élevés ; g fois, ils n
se, ce sont, bel et bien, des hystériques. Chez un certain nombre des
enfants
observés par Briquet et auxquels il vient d'être
ervention d'une cause déterminante pour faire éclater la maladie. Ces
enfants
ont, en quelque sorte, succombé à la peine: quelq
'ailleurs d'une irréprochable orthodoxie — de maintenir l'esprit de l'
enfant
sous l'oppression d'une constante terreur. A pein
mes. Alph. Esquiros se refuse à ce qu'ils soient enseignés aux jeunes
enfants
. Bain n'est pas moins explicite. Selon lui, « de
qu'on désigne en médecine sous le nom de terreurs nocturnes. Or, les
enfants
sujets aux terreurs nocturnes à l'âge de six à
la boue et ne pouvait reprendre son vol ; elle fut recueillie par un
enfant
, lavée et enveloppée dans un rouleau d'ouate qui.
l, par Delbœuf, 289. Applications de l'hypnotisme au traitement des
enfants
vicieux, par Bérillon, 59. Applications pratiqu
(phénomènes) chex les sujets en état d'hypnotisme par Luys. 75, 99.
Enfants
vicieux (traitement des), par Bérillon, 59, 169
paternels : on ne sait pas. Deux oncles maternels, mariés, ont des
enfants
bien portants; n'ont jamais eu de convulsions,
ons, sont sobres. - Deux tantes maternelles, ont l'une 6, l'autre 5
enfants
qui n'ont pas eu de convulsions, 20 RECUEIL de
. 7 oncles pater- nels, tous mariés, en bonne santé ainsi que leurs
enfants
, qui n'ont pas eu de convulsions. - Deux tantes
tes paternelles, li oncles maternels, une tante maternelle, ont des
enfants
bien portants; pas de convulsions. - Trois frèr
; pas de convulsions. - Trois frères, sobres, deux soeurs, et leurs
enfants
sont très bien portants, n'ont jamais eu aucun
consanguinité. - Inégalité d'âge de 2 ans (mère plus âgée). Un seul
enfant
. Température à l'entrée. ' sclérose ATROPHIQ
A la naissance, pas d'asphyxie, pas de circulaire autour du cou ; l'
enfant
a crié tout de suite, elle paraissait bien ' po
propre à 15 mois. J S A 6 mois, première attaque de convulsions ; l'
enfant
sem- \blait normale auparavant. Ces convulsions
limitées au côté droit, et durant égalementS heures. A la suite, l'
enfant
, qui avait commencé à marcher à 9 mois, ne rema
droite. Après cet état de mal, l'intelligence était moins vive et l'
enfant
restait un jour sans pouvoir se tenir ; pas de dé
pouvoir se tenir ; pas de déli- re. - De 2 ans à 3 ans et 2 mois, l'
enfant
n'eutpasde convul- sions ; elle n'était pas plu
que des dents comme quelqu'un qui a bien froid». Lors d'un accès, l'
enfant
ne se plaint d'aucune douleur particulière, par
ôté droit, la mère ne peut préciser. L'accès dure 2 ou 3 minutes. L'
enfant
ouvre ensuite les yeux, qui sont égarés ; puis
con- vulsive, jusqu'à l'âge de 4 ans. Après la première crise, l'
enfant
se servait un peu de sa main ; après les autres,
L'athétose n'aurait été remarquée qu'à 4 ans : quand on disait à l'
enfant
d'ouvrir la main, elle touchait le métacarpe pr
ation de l'intelligence, depuis l'âge de 4 ans. Le ca1'aclè¡'e de l'
enfant
est très doux; elle est très gaie, chante sans
s de gourmes, conjonctivite de l'oeil droit, étant toute jeune. L'
enfant
a, depuis ses convulsions, toujours été en retard
a nuit ; ils ne diffèrent pas des accès diurnes. État actuel. - L'
enfant
a l'air bien portante, quoique un peu pâle, ell
L la lumière et à l'accommodation. L'acuité visuelle est normale, l'
enfant
voit bien de près et de loin; elle distingue et
sez étendue, indiquant le port antérieur de boucles d'oreil- les. L'
enfant
perçoit normalement les bruits, les sons musi-
e auditive sont (1) Nous avons examiné, à ce point de vue, tous les
enfants
idiots et n'avons constaté qu'un très petit nom
slittit médico-pédagogique nous n'avons eu que deux cas : l' chez l'
enfant
émise Desch... (imbécillité) ; 2° chez l'enfant
eux cas : l' chez l'enfant émise Desch... (imbécillité) ; 2° chez l'
enfant
Pierre Leh... (imbécillité morale). 24 recueil
oude et à l'épaule ; cette laxité est surtout accentuée à droite. L'
enfant
ne se sert pas de la main droite. Le toucher es
re à droite. Il est impossible de. constater l'état des réflexes, l'
enfant
rai- dissant ses jambes malgré elle. L'attitude
qui traîne un peu et dont le pied est un peu tourné en dehors. L'
enfant
sait monter et descendre un escalier, de même que
l'hymen est en croissant. Pas d'ona- nisme. Le goût est normal, l'
enfant
distingue bien les saveurs acides ou sucrées. E
s d'autre tic que le clignement très fréquent de l'oeil gauche. - L'
enfant
pleure rarement. - Il est rare de la voir chang
actère est très affectueux, elle n'est pas méchante avec les autres
enfants
et elle aime beaucoup ses parents. Elle est peu
faire les ourlets. Elle est nulle on gymnas- tique. Le poids de l'
enfant
à l'entrée est de 27 kg. 500 ; sa taille, de lm
de flexion de la jambe. La marche d'un vertige est la suivante : l'
enfant
devient violacée, mais elle ne crie pas, et ell
xtrême; cet état dure quelques secondes, une minute au plus, puis l'
enfant
se relève, elle parait sortir d'un rêve et rest
consciente. Ces petites crises sont fréquentes (25 de l'entrée de l'
enfant
à la fin du mois d'août). Souvent, ces accidents
erées, - capsules de bromure de camphre, de 2 à 6. - Septembre,-L'
enfant
n'a toujours pas eu de grands accès depuis son
uents (28). Octobre. Petits accès plus nombreux (32). L'état de l'
enfant
se maintient il peu près le môme, sans améliorati
) diminuent de nombre (10), mais s'y adjoint de grands accès (3). L'
enfant
cependant s'améliore légèrement sous tous les r
ué, tend à réaugmenter ; le nombre des accès a diminué. L'état de l'
enfant
est à peu près stationnaire. Toujours pro- pre,
augmenté; ils sont actuel- lement plus nombreux que les vertiges. L'
enfant
a fait quelques progrès en classe : elle lit et
diminué; le nombre des accès est toujours sensiblement le même. - L'
enfant
continue à faire quelques progrès en classe. El
- naire. Les accès ne sont pas très intenses, mais ils laissent l'
enfant
très abattue pour une partie de la journée, avec
augmenté, jusqu'à 19 vertiges et 26 accès en août. Du 19 au 23, l'
enfant
voit apparaître ses règles pour la première foi
st en croissant; le périnée et l'anus sont gla- bres. - L'état de l'
enfant
est stationnaire. Même traitement. Juillet. - L
; rien les autres mois. Au point de vue de la classe, l'état de l'
enfant
est toujours 30 RECUEIL DE FAITS. stationnair
règles n'ont reparu qu'une fois, en octobre. - Les accès laissent l'
enfant
très abattue, paraissant très fatiguée et ayant
'ont plus abattue encore que de coutume, et vu son état précaire, l'
enfant
est mise à l'infirmerie. Sa température monte l
viande. Les jours suivants, et pendant tout le mois de novembre, l'
enfant
a encore de la fièvre, mais moins élevée, dès l
le redescend aux abords de 38°, mais toujours très irrégulièrc. L'
enfant
tousse de temps à autre, maigrit, mais ne reste p
reste pas alitée. Mêmes signes à l'auscultation. 1904. Janvier. L'
enfant
est posée le 5 ; poids 32 kg. 500. Elle a beauc
érature remonte aux environs de 40° avec de grandes oscillations. L'
enfant
se cachectise ; son facies devient terreux, ses
pirations à la minute. Pouls 144. Mêmes signes d'auscultation. L'
enfant
commence à gâter. - 24 et 25. - Faiblesse et op
e atteint h0°,3. L'oppression et la faiblesse augmentent. - 27. L'
enfant
n'a pas dormi de la nuit, qui a été très mau- v
plus en plus. 28. - La faiblesse et l'abattement sont extrêmes ; l'
enfant
reste immobile, couverte de sueur, la physionom
. 26. -- La nuit se passe dans un état de prostration complète. L'
enfant
rend le dernier soupir à i heures du matin, sans
n somme, développement insuffisant des organes génitaux, bien que l'
enfant
ait eu 8 fois ses règles. Les glandes mammaires
, qui n'offrent pas entre eux de différence appréciable, bien que l'
enfant
soit hémiplégique. SCLÉROSE ATROPHIQUE HÉMISPHÉ
E. 35 Poids des organes 36 RECUEIL DE FAITS. qu'à l'entrée de l'
enfant
à la Fondation, è 'S ans et f mois, répétition
plus modifiée depuis l'âge de 4 ans. III. A partir de l'entrée de l'
enfant
Ü la Fondation, on constate qu'il s'agit, non d
et enlin diminue tandis que d'autre part le caractère se modifie, l'
enfant
devenant sournoise, maussade, voleuse. Peu à pe
raissent tout à fait durant les quatre derniers mois de la vie, l'
enfant
marchait de plus en plus vers la déchéance, lor
s-rendus de nombreux détails sur l'évolution de la puberté chez les
enfants
idiots de tous les degrés et chez les enfants é
e la puberté chez les enfants idiots de tous les degrés et chez les
enfants
épileptiques. 38 RECUEIL DE FAITS. un épaissi
liées à diverses reprises dans les Comptes-rendus de la section des
enfants
, que dans les cas d'inégalité cérébrale cette c
os et la tête droits, de l'ly peretcouaic. Elle sévil sur plusieurs
enfants
nés hien por- tants sans règle, sans ordre. Fin
myélite antérieure subaiguë. 3131. Brissaud et 13 WER présentent un
enfant
atteint de para- lysiu des extenseurs des pieds
aconte qu'un nom- tiré E nanl a à à coups de rasoir sa femme et son
enfant
, et "qu'après avoir essayé en vain de se couper
iage contracté l'année consécutive à celle infection, quatre autres
enfants
tous morts en bas-âge, el sa femme a fait en ou
ouvements, les personnels médical et secon- daire, la situation des
enfants
idiots et épileptiques. de leur établissement.
ns est il la nais- sance plus légère que celle des lilles. Chez les
enfants
de même sexe et de même âge, quelle que soif le
le bredouillemenl. 1. W, Vllf. Paralysies pseudo-bulbaires chez l'
enfant
; par De- croly. (Policlinique de Bruxelles, 190
11l'ningisme de Duhré : hyperhydrose cerebro-spinate surtout chez l'
enfant
, infiltration leucocytaire le long des vaisseaux.
s 1'.\isLenLenll'e le méningisme et la méningite : on a pu chez des
enfants
arthritiques détermi- ner la formation de crist
. (Bo11h. norm., 2li oct.). PEDAGOGIE SPECIALE Conférence sur les
enfants
anormaux à l'Ecole normale d'instituteurs d'Aux
par montrer l'importance que présente en pédagogie la question des
enfants
anormaux-; il n'est pas d'ins- tituteur qui ne
de vagabondage qui les amènent, à voler et souvent pis encore. L'
enfant
anormal présente souvent des stigmates physiques
1)(II'('n[-; -h) I ? nH11'ia ? "lInan- guins (1). La proportion des
enfants
anormaux parmi les enfanl, naturels serait plus
anormaux parmi les enfanl, naturels serait plus forte que chez les
enfants
légitimes. Une loi américaine défend aux dégéné
ants légitimes. Une loi américaine défend aux dégénérés d'avoir des
enfants
, on leur l'ail même subir dans ce but une opéra
st un l'ail intéres- sant à remarquer. Grâce à l'instruction, les
enfants
anormaux pourront ne pas être une trop lourde c
anthropique vient cependant d'être tenté en France en 1898 pour les
enfants
moralement abandonnés. Le pars ù'Eul'ope le mic
îtres de profiler de 11'111' ou lelle dispoi ! inn particulière des
enfants
arriérés. Il faut (1) Quelques réserves seraien
de la pédagogie anormale, l'instituteur qui saura qu'il existe des
enfants
anormaux, sera moins (enté d'at- tribuer toujou
coolisme du père, famille tarée des deux côtés. Début chez l'un des
enfants
à deux ans et demi à la suite d'une gastro-enté
exe de Rabinski, nystagmus. L'intelligence est normale. Deux autres
enfants
de la même famille paraissent nor- maux mais on
use apparente. P. Keraval. ASILES D'ALIENES V. La situation des
enfants
anormaux en Suisse ; par r I>rcROi.v. (l'oli
o dressée en ! t)()Í par le Dr Gllllguillet indique que sur 400.000
enfants
en. âge scolaire il y avait 13.150 anor- maux d
nement particu- lier et aussi sur les avantages des patronages pour
enfants
sortant des écoles d'anormaux, il exprime le dé
ypiques ; et lorsque ce traitement n'est pas institué à, temps, les
enfants
peuvent devenir de véritables anormaux : - 4° E
temps, les enfants peuvent devenir de véritables anormaux : - 4°
Enfants
atypiques (dév iés du type moyen) : a) Enfants né
bles anormaux : - 4° Enfants atypiques (dév iés du type moyen) : a)
Enfants
név·o- . pathes et neurasthéniques : atteints d
s. Troubles vaso-moteurs, sensoriels' et lrophiques" etc.... ; - bi
Enfants
retardés dans leur développement : soit par des
on, etc..., soit par la lenteur de leur développement cérébral. Ces
enfants
alv piques sont anormaux ; en puissance; autrem
issés, présenter des troubles permanents, mentaux uu normaux : 5°
Enfants
pseudo-atypiqttes : a) Enfants dont les progrès à
permanents, mentaux uu normaux : 5° Enfants pseudo-atypiqttes : a)
Enfants
dont les progrès à l'école sont retardés par :
iques telles que difformités, végétations adénoi- des, etc.... ; b)
Enfants
dont le développement est d'une rapidité inacco
ment est d'une rapidité inaccoutumée, sans véritable précocité ; c)
Enfants
d'éducation dif- facile : méchants, agités, vol
c) Enfants d'éducation dif- facile : méchants, agités, voleurs. Ces
enfants
pseudo-atypiques doivent être traités, sans per
l des troubles de développement. t. Sclérose en plaques elle : un
enfant
de f« ! x. M. Armand-Delille présenlé une tiHet
ection ne paraît pas relever nettement d'une maladie infectieuse. L'
enfant
a eu la rougeole un an auparavant, et c'est si
a mère et l'épouse du tsar au sujet du traitement que doit suivre l'
enfant
impérial. El l'on ajoute que, malgré le mutisme
de- voir est d'être renseigné sur les gestes du nourrisson. - « L'
enfant
est complètement malade. n'est, bien l'enfant con
du nourrisson. - « L'enfant est complètement malade. n'est, bien l'
enfant
conçu par un père de constitution morlide. ll s
ur les de- mandes d'explication du tsar et, de l'impératrice, que l'
enfant
suttlToc d'un mal constitutionnel. « Ce n'est
i reprochez à l'étranger, c'est parce (pie le souci immédiat de son
enfant
l'absorbait tout entier... » Tragique aveu ! Ma
e un rôle important dans l'étiologie de troubles nerveux chez des
enfants
indemnes de toute hérédité morbide et de toute
assez bien développée et son in- truction est à peu près celle des
enfants
de son âge. Il est assez bien conformé mais on
même dans leur première enfance. La grossesse avait été normale, l'
enfant
était né à terme et paraissait naturel ; il ava
au sein par une nourrice saine, que l'on voit toujours, ayant trois
enfants
normaux. Le père etla mère avaient une bonne ap
e affirme l'absence de toute trace d'infection et d'insobriélé, ses
enfants
sont des bons catholiques, ils sont sages, et m
bons catholiques, ils sont sages, et même ils craignent de nombreux
enfants
, il n'y a que pendant les grossesses qu'ils ne
ai- res, de la période menstruelle et beaucoup moins souvent. Cet
enfant
présente assez de caractères cliniques pour qu'
s psychiques (épileptiques) peuvent se rencontrer aussi bien chez l'
enfant
que chez l'adulte (1). Relevons seulement le
tion dans la production des hallucinations. On a signalé chez des
enfants
indemnes d'épilepsiedes hallucinations diurnes
heures après un lavage (2). L'origine des troubles nerveux de cet
enfant
et de ses particularités somatiques paraît écla
à l'étude clinique des paroxysmes psy- chiques épileptiques chel l'
enfant
, lh, 1904. (2) IL J. l3e.art.er. -...1 treatise
e côté. ASSISTANCE ET PEDAGOGIE . Statistique et enseignement des
enfants
idiots et épi- leptiques internés dans les asil
cessité de l'hos- pitalisation, du traitement et de l'éducation des
enfants
arriérés et épileptiques. Nous avons réclamé au
8 mars 1882 qui impose l'obligation de l'instruction primaire aux
enfants
âgé ? de 6 13 ans. Nos incessantes publications
re dernier a nommé une commission chargée d'étudier la situationdes
enfants
anormaux, au point de vue surtout de l'applicat
a loi sur l'obligation de l'instruction primaire. Sous le titre d'
enfants
anormaux, on comprend les aveugles, les sourds
urds et muets, et des aveugles, il n'en est pas cle même pour les
enfants
idiots, les plus nombreux clos anor- maux. Ayan
nous en avons profité pour leur demander quel était le chiffre des
enfants
idiots et épileptiques présents au 31 décembre
GOGIE. Asile-École de Saint-Yon. L'école ouverte en 1891 pour les
enfants
placés à l'Asile, disent MM. les D1'5 Giraud, P
l'année, pour les causes suivantes. STATISTIQUE ET ENSEIGNEMENT DES
ENFANTS
IDIOTS. 281 jours libre entrée dans les locaux
FANTS IDIOTS. 281 jours libre entrée dans les locaux scolaires. Les
enfants
sont visités chaque jour comme les autres malad
ainsi : Depuis la création du pavillon spécial jusqu'en 1903, les
enfants
du quartier de Fitz-James (imbéciles, idiots ar
nregistrer. Il faut avoir vu autrefois ce quartier où de malheureux
enfants
, dépourvus de toute occupation, de tout amuseme
t approprié à des intelligences rudimentaires est attribué à chaque
enfant
, selon sesapti- tudespar des infirmières-instit
ramment. ' 282 ASSISTANCE ET PÉDAGOGIE. Mais l'instruction de ces
enfants
arriérés serait de peu d'utilité si l'on se bor
rogramme ; le jardinage, la culture, y sont fort en honneur et si l'
enfant
acquiert pendant son séjour à l'asile un dévelo
re hommage au dévouement de la surveillante en chef du quartier des
enfants
, et c'est pour nous un devoir de la remercier d
elligent qu'elle nous a prêté. L'organisation, dans le quartier des
enfants
de Fitz- James, de la méthode médico-pédagogiqu
nseignement dans la Seine, est donné, depuis bientôt un an, à nos
enfants
filles et garçons, et les résultats en sont très
les résultats en sont très satis-- STATISTIQUE ET ENSEIGNEMENT DES
ENFANTS
IDIOTS. 283 faisants. Il y avait relativement p
it à faire. Les résultats sont des plus encourageants. Pour les
enfants
susceptibles de culture intellectuelle, l'enseign
des gazons, corbeilles et plates-bandes plantées de fleurs, que les
enfants
respectent. Ils cultivent eux-mêmes avec beauco
84 ASSISTANCE ET PÉDAGOGIE. 1 « L'organisation dans le quartier des
enfants
de Fitz- James, de la méthode médico-pédagogiqu
nus : « Depuis la création du pavillon spécial jusqu'en 1903, les
enfants
du quartier de Fitz-James (imbéciles, idiots, a
egistrer. Il faut avoir vu autrefois ce quartier où de malheureux
enfants
, dépourvus de toute occupation, de tout amuse-
proprié à des intelligences rudimentai- res, est distribue à chaque
enfant
selon ses aptitudes, par des infirmières instit
t cela avec plus de succès qu'on ne STATISTIQUE ET ENSEIGNEMENT DES
ENFANTS
IDIOTS. 285 croirait tout d'abord ; nous pourri
sant aujourd'hui à peu près couramment. Mais l'instruction de ces
enfants
arriérés serait de peu d'utilité si l'on se borna
ogramme; le jardinage, la culture, y sont fort en hon- neur et si l'
enfant
acquiert, pendant son séjour à l'asile un dével
re hommage au dévouement de la surveillante en chef du quartier des
enfants
, et c'est pour nous un devoir de la remercier d
et les réfectoires servant de salle d'études et de récréations. Les
enfants
reçoivent des soins méthodi- ques de gymnastiqu
e serait, à la rigueur, élevé à 16, ce qui porte à 32 le nombre des
enfants
pou- vant être hospitalisés dans ces endroits.
. La méthode médico-pédagogi- que employée pour développer chez les
enfants
arriérés, qui nous sont confiés, les germes des
entiments, nous a donné des résultats très satisfaisants. Chez deux
enfants
, en particulier, les résul- tats acquis mériten
on inespérée. Il peut lire, écrire, Statistique ET enseignement des
enfants
idiots. 287 réciter quelques fables. Il travail
aliéné ancien insti- tuteur dont l'état mental est peu touché, huit
enfants
la suivent et quelques-uns ont fait des progrès
grès très remar- quables surtout en dessin et en calcul. En 1904 un
enfant
est sorti très amélioré ayant appris à l'atelie
qui est impossible, les places, insuffisantes, étant réservées aux
enfants
de la Seine. Nous en profitons pour recommander
'asile de Sl-Ijizicr (Arriege) recevait, en assez grand nombre, des
enfants
arriérés de la Seine. Il n'en est plus ainsi de
s occupations ne se rappelant rien de ce qui vient de se passer : l'
enfant
ne peut rien apprcl1<ll e l'école. Traitemen
l, sexuel, insomnie, refroidissements. Souvent chez les tout petits
enfants
, on trouve du sable dans leurs lan- ges. La gou
. D'une façon générale, les succès s'obtien- nt'nl 'mrtout cht'7- l'
enfant
. Dans l'hydrocéphalie chronique con- génitale o
e et assez bien préparée. ,le garde le moins longtemps possible les
enfants
idiots ou épi- lppliques, l'asile étant constru
331 FAITS DIVERS. de la rue des Couronnes, esl situé l'hôtel des «
Enfants
de Paris » où M. Nadaud, commissaire de police
antable martyre que su- bissaient depuis de longs mois deux pauvres
enfants
, deux fillet- tes, la petite Eugénie, âgée de t
ivé son in- Lervcnlinn.L feuuaePclil, a été aussitôt arrêtée et les
enfants
ont été confiés aux soins de l'Assistance publi
ns sa chambre à coucher il Feuchcl'o1le, 'sous les yeux de sa jeune
enfant
, et, malgré la prompte intervention de son mari
10 heures. Hospice de 131ClhRE : Maladies mentales ou nerveuses des
enfants
. - Consultations pour les enfants indigents, le
aladies mentales ou nerveuses des enfants. - Consultations pour les
enfants
indigents, le jeudi à 9 h. 1j'2. Visite complèt
t aussi que le méconium, qui est la première déjection que font les
enfants
après leur nais- sance,étant desséché et pulvér
ions. Elle aLLri- bue son strabisme à ce qu'elle fixait, étant fout
enfant
, une poupée que sa mère avait attachée à la (lè
ervation. Valentine M., âgée de 14 ans 1/2, entre à l'hô- pital des
enfants
, service de JI. le professeur Moussous, le 14 jan
ment à 2 mois 1/2); les autres ont évolué normale- ment, mais sur 4
enfants
, deux sont morts l'un à dix ans (de tuberculose
inuellement et menaçant de tuer à diverses reprises sa femme et ses
enfants
, écroué plusieurs fois, interné même pendant tr
dant trois ans à l'asile de Cadillac. Antécédents personnels. - L'
enfant
, venue au monde dans de bonnes conditions, nour
r des cauchemars nocturnes. ' Rougeole à 6 ans, coqueluche à 9 ans.
Enfant
toujours anémi- que et même suspecte de tubercu
rs 5 heures, que les maîtresses remarquent l'oeil, très rouge, de l'
enfant
. On le lui fait laver avec une infusion de camo
rouge. , - Etal statiunnairc jusqu'à la fin du séjour à Arcachon. L'
enfant
se plaint en plus de mal de tête, surtout local
n peu rouge également, et la joue droite estunpcu plus enflammée. L'
enfant
est purgée. Etat identique. La céphalée esl cep
esl cependant moins marquée. Valentine est conduite à l'hôpital des
Enfants
le 1er octobre 1903. Le professeur agrégé Caban
s douleurs existent sur- tout la nuit et sont tellement vives que l'
enfant
ne peut rester étendue et pousse des cris conti
éralile esl gué- rie, mais les troubles fonctionnels persistent : l'
enfant
n'y voit pas très bien, à cause, dit-elle, des
vient rouge, mais pour quelques joursseulement. , Fin décembre, l'
enfant
souffre toujours du côté droit de la tête; de p
roite, se trouble et un guide devient indispensable pour conduire l'
enfant
. A partir de janvier 1905, on lui donne des bai
uité visuelle droite, il remarque, l'oeil gauche étant fermé, que l'
enfant
ne dislingue toul d'abord aucune des lettres de l
diplopie. mais la lecture est toujours difficile de l'oeil droit. L'
enfant
se plaint encore par moments de céphalée, surto
gnostic el institue un traitement en conséquence. Dès novembre, l'
enfant
est soumise à des séances quotidiennes d'électric
QUE NERVEUSE. Au bout de 8 jours, on constate un mieux sensible ; l'
enfant
lit presque bien ; mais cet état d'amélioration
près-midi vers trois heures, dans les premiers jours de décembre, l'
enfant
est prise brusquement, sans cause connue, d'une
alors une lame du carton verticalement surle milieu du visage de l'
enfant
et lui dis de lire en fermant l'oeil gauche (c'
ntiques ; avec cette différence que, dans la vision droite seule, l'
enfant
lit la lettre L, mais une lettre L réduite dans s
ainsi dans l'obscurité, et ou- vert. Si maintenant je demande il l'
enfant
comment elle voix les deux ronds avec 1'(eil dr
ment ob- servée. Et ainsi s'explique la mobilité de l'esprit de l'
enfant
, la facilité avec laquelle il passe d'une idée
cas d'hémorrhagie cérébrale avec inon- dation ventriculaire chez un
enfant
de 12 ans, au cours d'une endocardite mitrale v
re au G" jour de la maladie. Examen cytologique négatif. 2e cas :
enfant
* de 8 ans atteint de forme délirante et halluci-
. Hérédité maternelle très chargée. La mère a d'ailleurs eu trois
enfants
microcéphales. Le cerveau, diminué de volume dans
edème chronique non congénital du mem- bre inférieur droit chez une
enfant
de onze ans; par MM. - \VRlLLC't PÉHU. (Bttll.
XXV. -Note sur les bons effets de la greffe thyroïdienne chez un
enfant
arriéré. Note présentée au nom de MM. les .])ru
r où. pour la première fois, en 1890, j'ai greffé sous la peau d'un
enfant
crétin atteint de ni le corps thyroïde d'un mou
avait inutilement es- sayé l'emploi de tahlettes thyroïdiennes ; l'
enfant
ne les avait pas supportées. On lui fit une gre
s donne une sanction à des (1) Quand il s'agit de celle catégorie d'
enfants
anormaux, il fan. (trait énumérer les principau
)0·1.-l'alamrrrcr Dr. I..J¡-I.ES Y 0[51 : -< La jalousie elle; l'
enfant
. M. BN : an.oorr rapporte plusieurs observation
Il', reconnais l'eflicacité de la suggestion dans le traitement des
enfants
jaloux, chez lesquels la volonté est affaiblie.
ide, sans cause, est toujours un signe de dégénérescence; quand ces
enfants
sont très dégi'nÍ'- ils deviennent souvent pers
ier la chance. M. BÈRiLLON.Les joueurs sont, d'ordinaire, de grands
enfants
, à intellectualité médiocre, des psychasthéniqu
tion, s'en re- mettent au hasard. L'éducation devrait apprendre aux
enfants
à ne jamais s'en remettre au hasard, à faire de
moi, j'irais plus loin et j'interdirais qu'on prononçât, devant les
enfants
des mots ,ides de sens, tels que le Hasard, la
10â. Présidence de : \1. Vallon. Genèse du mensonge chez- certains
enfants
mentalement ctamutatt.r. U..l. Philippe communi
en- fants mentalement anormaux. Pour les auteurs, le mensonge des
enfants
anormaux diffère du mensonge de l'adulte normal.
des enfants anormaux diffère du mensonge de l'adulte normal. Les
enfants
sont le plus souvent menteurs, faute d'avoir acqu
t menteurs, faute d'avoir acquis la fa- culté de ne pas mentir. Les
enfants
, en effet, à l'encontre de ce que pensent les m
t n'importe quoi aux in- terrogations. .M. Dupré. Le mensonge des
enfants
est assez important en médecine légale, pour qu
nt morts. BIBLIOGRAPHIE. 401 Le mouvement spécial du quartier des
enfants
arriérés et épi- leptiques est le suivant : 20
sultats ; ce sont les mères de famille ayant laissé chez elles des
enfants
en bas-âge. Un séjour prolongé à l'asile peut, da
u graves heureusement. » ASSISTANCE ET PEDAGOGIE L'assistance des
enfants
arriérés et épileptiques à Lyon Dans le dernier
. <'8), nous avons donné des renseignements sur la situation des
enfants
idiots et épileptiques dans tous les établissem
. Nous aurions voulu l'aire la même enquête sur la situation de ces
enfants
dans les hôpitaux et hospices, mais c'est la un
nistration des hospices. ASSISTANCE ET PEDAGOGIE. " 40U Perron :
Enfants
INCURABLES.A l'hospice du Perron (14 lils) outr
: Enfants INCURABLES.A l'hospice du Perron (14 lils) outre les dix
enfants
incurables de la fondation Gomy, pourront être
fants incurables de la fondation Gomy, pourront être admis quatorze
enfants
incurables remplissant les mêmes conditions que
uatorze enfants incurables remplissant les mêmes conditions que les
enfants
de la fondation Gomy. Sur ces qua- torze places
lIntalll'iblH\pS, suivant ce que le conseil en décidera, soit a des
enfants
incurables gratuits, soit à des enfants incurab
eil en décidera, soit a des enfants incurables gratuits, soit à des
enfants
incurables payants, pour lesquels il sera payé un
ra payé un franc' cinquante par jour. A dix-huit ans révolus, les
enfants
incurables passent de plein droit, aux première
arges et des legs soit appliqué par le conseil d'administration aux
enfants
incurables et arriérés (garçons) ; il sera créé
s hommes, vingt-sept lits pour les femmes et quatorze lits pour les
enfants
garçons ayant de cinq ans il seize ans. Sept de
stance et pédagogie. sieur hospitalière est chargée d'enseigner aux
enfants
la lecture et l'écriture. Le calcul est enseign
Pour l'enfance anormale. Création d'un institut pédagogique pour
enfants
nerveux, débi- les ou maladifs. - La question d
ts spéciaux ont été fondés pour l'édu- cation et l'instrucf ion des
enfants
arriérés. Nombreux sont les enfants que leur sa
cation et l'instrucf ion des enfants arriérés. Nombreux sont les
enfants
que leur santé physique ou intellectuelle, ou les
ant-Jésus qui depuis un an déjà se sont occupées de l'éducation des
enfants
arriérés à Bruxelles, ont promis leur concours
ncours et leur dévouement pour entourer de soins tout maternels les
enfants
qui leur seront confiés. Les succès qu'elles on
es qui se sont adressées à elles pour l' l'éducation de leurs chers
enfants
, et sont un gage assuré de leurs succès futurs.
langendonck pour l'orthopédie. Seront reçus à l'Institut : 1° Les
enfants
simplement nerveux ; 2° les enfants atteints d'af
ont reçus à l'Institut : 1° Les enfants simplement nerveux ; 2° les
enfants
atteints d'af- fections nerveuses accompagnées
ccompagnées de paralysies, d'agitations ou de tremblements ; 30 les
enfants
indociles ou indisciplinés; 40 les enfants arri
de tremblements ; 30 les enfants indociles ou indisciplinés; 40 les
enfants
arriérés au point de vue intellectuel et ne pouva
fait suivre le niveau de la moyenne de leurs condisciples ; 5" les
enfants
atteints de troubles de la parole ; 6- les enfant
sciples ; 5" les enfants atteints de troubles de la parole ; 6- les
enfants
atteints de maladies chroniques non contagieuse
s mettent dans l'im- possibilité de suivre la classe commune. Les
enfants
atteints d'idiotie ou d'affections contagieuses n
is à l'Institut. Les sexes ainsi que les différen- tes catégories d'
enfants
sont séparés. [Annales de la policlinique centr
e la rendre plus tard utile à eux-mêmes.» Tout ce qui a trait aux
enfants
anormaux nous parait *de na- turne à intéresser
aladies mentales et nerveuses des en- fants. Consultations pour les
enfants
indigents, la jeudi à 'J 11. )/ : ? .-Visite co
ourneville a adressé des demandes réitérées afin d'obtenir pour les
enfants
idiots les plus malades des ali- ments choisis
surtout du développement des libres correspon- dantes. , ? Chez l'
enfant
, l'écorce se développe principalement dans le c
IiAUER et Rathery présentent une famille de choériques. Les quatre
enfants
ont eu la chorée vulgaire et non celle de Hutin
ido-crauienne Héréditaire. MM. Villaret et Francoz présentent trois
enfants
et leur mère atteints d'absence partielle de cl
er nystagmus sans troubles des réflexes ni de l'acuité., Sur cinq
enfants
vivants, trois présentent la même malformation, a
, trois présentent la même malformation, ainsi qu'une petite fille,
enfant
d'une de ces trois dernières. Lésion bulbo-prot
ervice d'idiotes. C'est la population crois- sante des malades ; 30
enfants
au 1 cr jaIn iel' 1903, d'où mélange de toutes
d'un hospice destiné spécia- lement à ces incurables. ' « De six
enfants
âgés de moins de dix ans, doux'sont atteints d'
s fonds per- sonnels, a pour objet l'éducation et l'instruction des
enfants
in- Ll'1leclueLiementet moralement dégénérés.
pédagogique, l'autre médicale. Dans toutes les deux on accepte les
enfants
des deux smes. Dans la division médicale se fro
les enfants des deux smes. Dans la division médicale se froment les
enfants
épilep- tiques, idiots et imbéciles. Cette divi
. 490 ASSISTANCE ET PÉDAGOGIE. La division pédagogique reçoit les
enfants
nerveux, neurasttté- niques, hystériques et en
enfants nerveux, neurasttté- niques, hystériques et en général les
enfants
arriérés. Celle di- vision comprend trois group
e moyen et le supé- rieur. ' . Le groupe inférieur correspond aux
enfants
dont l'état de dé- générescence ou d'anormalité
ité a été remarqué avant, l'âge de l'é- cole. Le moyen comprend les
enfants
de 12-)j ans dont l'anor- malité a été remarqué
de leur dé- veloppement insuffisant. Le supérieur est formé par les
enfants
de 15 ans et au-dessus dont l'anormalité est ap
les réfectoires et les ateliers sont communs.. Pour l'éducation des
enfants
on applique le système qui esl établi parla lon
nes filles et 05 garçons. - La division médicale se compose de 50
enfants
qui sont les suivants : 28 épileptiques, 12 hysté
ection, ainsi que le montre votre livre Des affections mentales des
enfants
. Vos travaux et votre pratique médicale rendent l
e très précises. Consultation medico. pedagogique gratuite pour les
enfants
lejeu- di à 9 h. 1/2. COURS pratique D'HYPNOL
ir Personnel médical. - - d'I : - vreux, voirRapports ? voir l'
Enfants
idiots. - - départl- mental du Doubsfcorrespond
r le régime des aliénés en Hol- lande, par lllceus, 24,.L'- des
enfants
arriérés et épileptiques à Lyon, par Bournevill
decin-adjointdesasiles publics d'aliénés, 416. ConrLItEncE. Voir
Enfants
attor- maux. Confusion mentale, par Gilbert
451. Enfance anormale. Création d'un institut pédagogique pour
enfants
nerveux, débiles ou maladifs, par Matagne, 411.
ue pour enfants nerveux, débiles ou maladifs, par Matagne, 411.
Enfants
anormaux. Conférence sur les - - l'Ecole normal
13. Greffe thyroïdienne. Note sur les bons effets de la chez un
enfant
arriéré. Note pré- sentée au nom de MM. les 1)·
Sur un cas d'- cérébrale avec inondation ven- triculaire chez un
enfant
de 12 ans, au cours d'une endo- cardite milra
'- des aliénés, par l3oinot-Rodzewitscht,151. Jalousie. La chez l'
enfant
, par Bérillon, 395. Jeux de hasard. La psycho
par Mosny et Malloizel, 159. Mensonge. Genèse du chez certains
enfants
mentalement anormaux, par J. Philippe, 398.
sie. La infantile, par Glo- rieux, 139. pseudo-bulbai- res chez l'
enfant
, par Decroly, 139. De la différence de pro- n
ues hérédo-familiales, par Mâfisalongo, 240. en pla- ques chez un
enfant
de 5 ans, par Armand Delille, 249. Ana-' tomi
e neuromyobite, par Raymond et Guillain, 250. Statistique. Voir
Enfants
idiots. S'1'Én(;O'1'\ l'If : . Etude clinique s
312. chronique non congénital du membre infé- rieur droit chez un
enfant
de onze ans, par Weill et Pehu, 390. Troubl
ourmenté de l'idée que ce serait une chose effroyable que de tuer ses
enfants
, qu'il commence à craindre de ne pouvoir s'empêch
r de commettre ce crime et que poussé par cette crainte, il évite ses
enfants
, cache tout instrument tranchant et que cette idé
elle ne craignait plus pour I elle-même mais elle craignait pour son
enfant
et le doute lui venait qu'elle n'eût l'intentio
mpoisonner. Sa cruauté irrationnelle la poussa à préférer laisser son
enfant
sans manger plutôt que de lui donner sa nourritur
fare militaire ; séparé depuis plusieurs années de sa femme et de ses
enfants
a cause de ses débauches et excès alcooliques ; l
solde pour acheter sa libération ; il alla rejoindre sa femme et ses
enfants
qui consentirent à vivre avec lui, et il s'établi
sse française : « Dernièrement, i I—, des parents conduisaient leur
enfant
à l'hôpital pour un mal - quelconque à la jambe.
de Tours) appelle l'attention sur la nature de l'hallucination chez l'
enfant
, l'ne analyse méticuleuse de nombreuses observati
te sur « quelques considérations médico-légales sur la folie chez les
enfants
Après avoir passé en revue les textes de loi qui
es textes de loi qui arment la société contre les délits commis par l'
enfant
, il constate que le rôle de la médecine légale da
le de la médecine légale dans l'appréciation des actes commis par les
enfants
est un rôle très borné. La loi est formelle. L'âg
est formelle. L'âge du discernement établit nettement rage auquel on
enfant
peut être déclaré coupable et, par suite, respons
upable et, par suite, responsable de ses faits et gestes. Des lors, l'
enfant
qui aura commis un délit sera enfermé dans une ma
er que l'hystérie n'a pas de rapport avec l'hypnotisme, c'est que les
enfants
, comme je l'indiquerai dans une communication ult
ux. D'ailleurs, le sommeil est, en général, facile à provoquer chez l'
enfant
, et l'on sait que les manifestations hystériques
Le 23 juillet 1889, MM L.... m'amena sa fille, Agée de onze ans. Cet
enfant
présentait, sur la joue gauche et le cou, une tac
oreille. Mme L..... me raconta qu'au cours de la gestation de celte
enfant
, se trouvant dans une rue de Nancy, elle se vit t
ent. De plus, tant qu'elle fut grosse, elle n'eut jamais l'idée que l'
enfant
qu'elle portait dans son sein, pourrait être affl
montrer, car on n'osait la lui présenter, qu'elle se douta que celte
enfant
avait une marque rouge à la figure, et aussitôt e
à mes confrères, non pas de rechercher chez les femmes qui ont eu des
enfants
avec marques anormales, s'il y a eu des rapports
qu'ils pourraient posséder sur le même sujet. La suggestibilité des
enfants
. Par M. le V UhltlLLOX. Au Congrès de l'Assoc
lors, j'ai eu l'occasion de provoquer l'hypnotisme chez plus de '200
enfants
des deux sexes. De mes expériences, je puis dédui
r chez l'enfaoi un sommeil profond, soûl d'autant plus grandes, que l'
enfant
présente plus de tares névropalhiques héréditaire
isme, les suggestions rost-hypuoliques qui leur sont faites. 3° Les
enfants
qui présentent des stigmates hystériques, cl en p
t hypnotisantes. C'est là un fait d'observation journalière. 5° Les
enfants
robustes, bien portants, dont les antécédents hér
es réveillait qu'au moment de la sortie. 6° Bien que le sommeil des
enfants
endormis artificiellement, par imitation ou par s
cas environ. 7» La suggestibililé, beaucoup plus développée chez l'
enfant
que chez l'adulte, a pour conséquence de le rendr
e n'est pas s'avancer trop que d'affirmer que plus des deux tiers des
enfants
peuvent être hypnotisés profondément dès la premi
lte sensibilité à la suggestion et à l'hypnotisme, que présentent les
enfants
, peut même être utilisée pour les mettre à l'abri
s, Lié-beaull et par d'autres observateurs, nous faisons toujours à l'
enfant
la suggestion de ne pouvoir être endormi que par
lue, à la condition que l'utilisation de la suggestibilité propre à l'
enfant
et que la production du sommeil reposent uniqueme
lles n'avaient jamais été malades. Trois mois après, l'une des deux
enfants
m'a été amenée présentant exactement la même cont
-rdle que les mots : chaud » ou « froid ». dans le jeu bien connu des
enfants
, quand ils cherchent un objet caché. Puisque la
t ans, traité pour un blepbarospasme avec un résultat complet, est un
enfant
d'un caractère mauvais et pervers. Selon ses pare
voyant la mère désolée, les larmes aux yeux, me priant de sauver son
enfant
, de lui avouer mon impuissance. Je me sauvais en
moment, à cause de l'état de faiblesse, ne pouvant rien faire pour l'
enfant
, je la priais de revenir dès qu'il se serait redr
e revenir dès qu'il se serait redressé. Dix jours après, la mère et l'
enfant
me visitèrent de nouveau, et je me résolus de le
. GREARD (de l'Institut). La pédagogie a pour objet l'éducation des
enfants
. Les Grecs, à qui nous devons le mot, distinguaie
mot, distinguaient le paidonume. maître commun à un certain nombre d'
enfants
, du pédagogue, maître spécial à un enfant ou a un
mmun à un certain nombre d'enfants, du pédagogue, maître spécial à un
enfant
ou a une famille. C'est a peu près la différence
e pédagogues, parce qu'ils ont la charge et gouvernement sur quelques
enfants
de maisons. » (1) Noie lue à l'Académie tics sc
er un pédantisme hautain et morose. La Fontaine, qui n'aimait pas les
enfants
, n'est pas plus tendre au pédagogue. Molière le t
antique, le pédagogue était surtout chargé de veiller à la tenue de l'
enfant
et de le garder des mauvaises rencontres. Cette v
ensemble inséparable, dans leur unité vivante, toutes les forces de l'
enfant
, tous les éléments nécessaires à sa croissance ré
un talent commun, certes, que de s'établir dans la conscience de l'
enfant
, de s'en rendre maître en la ménageant, de la gui
vec la force des passions. On a toujours plus ou moins de prise sur l'
enfant
qui ne résiste point ou qui cède vite. L'adolesce
nez tous du travail de M. Motet, dans lequel il démontra que certains
enfants
, de par leur extrême suggestibilité, pouvaient êt
tiques de l'hypnotisme doivent être interdites en ce qui concerno les
enfants
. Mais jusqu'à quoi âge faut-il protéger la jeunes
ente, peuvent altérer la santé des personnes nerveuses et surtout des
enfants
, doués d'un système nerveux qui n'est pas encore
pour sujet de son discours de rentrée : le projet de toi relatif aux
enfants
assistés. Le prince d'Oldenbourg a Nancy. Que
aître les services que l'hypnotisme peut rendre dans la pédagogie des
enfants
vicieux ou anormaux. Nos lecteurs ont pu lire d
nd'mère maternelle est morte à cent deux ans, après avoir eu dix-neuf
enfants
. Ses antécédents personnels sont plus graves :
réquents maux de tète ; son père n'a jamais été malade. Elle a quatre
enfants
, deux garçons et deux filles, n'a eu antérieureme
e, à trouver de la satisfaction dans la société de son mari et d» ses
enfants
. Après trois semâmes de traitement, Je lui permis
ne maison de commerce et put vivre à la campagae avec sa femme et ses
enfants
. Je me sentis très fier de ce malade, car je cont
erminé. Je lui promis de rester près d'elle jusqu'à la naissance de l'
enfant
. Je lui suggérai alors, dans l'état de veille, de
vulve, à dix heures et demie, sans que la malade eût jeté un cri. L'
enfant
, du sexe féminin, pesait six livres et demie; la
temps que se faisait la montée du lait. Cette jeune femme allaite son
enfant
; elle n'a pas cessé de se porter très bien depuis
de Médecine de Nancy. Habitudes d'onanisme depuis trois ans chez un
enfant
de huit ans. — Insuccès des moyens thérapeutiques
thérapeutiques ordinaires. — Guérison par suggestion hypnotique. L'
enfant
Georges H..., Agé de huit ans, m'est amené pas so
tant de trois an.-. S*s parents s'en sont aperçus il y a sept mois; l'
enfant
maigrissait, palissait) avait les yeux cerclés. I
cerclés. Ils le surveillèrent et le surprirent en flagrant délit. L'
enfant
fil des aveux. Un grand garçon lui avait appris l
le mois d'octobre dernier seulement il y a écoulement de sperme. L'
enfant
n'a jamais eu de maladie autre que la rougeole et
mois, il a une hernie inguinale droite maintenue par un bandage. L'
enfant
est intelligent, laborieux, docile, n'a pas d'ant
it. Depuis sept mois qu'on a découvert les habitudes vicieuses de l'
enfant
, on a essayé tous les traitements : bromure de ca
L'intimidation, les menaces n'ont pas réussi davantage. Cependant l'
enfant
est très docile, obéissant, iutelligent, il ne ma
surveillance du maître prévenu, il lui arrivait de se masturber. L'
enfant
dit que, pendant la nuit, cela se fait pour ainsi
pâle, mais bien constitué. Le 9 avril au matin, je mets d'emblée l'
enfant
en sommeil profond avec amnésie au réveil; je lui
étée tous les jours, jusqu'au 2:1 avril. Dès les premières séances, l'
enfant
a été guéri ; il n'a plus eu l'idée de se toucher
avril, 46 livres 100 grammes; le 21 avril, 47 livres 100 grammes. L'
enfant
, très heureux, retourne dans sa famille ce jour.
res 300 grammes. Plusieurs mois après, j'ai rencontré le médecin de l'
enfant
, qui m'a confirmé saguérison; l'enfant a bonne mi
j'ai rencontré le médecin de l'enfant, qui m'a confirmé saguérison; l'
enfant
a bonne mine, et, quand il le rencontre dans la r
toujours un récoltai aussi rapide. J'ai hypnotisé pendant un mois un
enfant
onaniste, Agé de dix ans. Lorsqu'il était sous mo
ion plus prolongée Ieut-elle définitivement guéri? Il s'agissait d'un
enfant
indiscipliné, nerveux ; je pouvais bien rendormir
t indocile; son père était onaniste et l'est encore. C'était chez cet
enfant
un vice héréditaire. Le sujet de celte observat
héréditaire. Le sujet de celte observation, au contraire, était un
enfant
docile, bien équilibré ; l'habitude de la masturb
était la conséquence d'une suggestion faite par un garçon vicieux. L'
enfant
avait de l'intelligence, de la volonté, le vif dé
no sais comment cette suggestion a été faite. Sans doute on a dit à l'
enfant
qu'il deviendrait malade et mourrait jeune, s'il
it. On la menacé ; on l'a châtié. Celte suggestion était mal faite. L'
enfant
voulait bien, mais il sentait que sa volonté étai
u mécanisme psychique du phénomène, eût été efficace. J'avais dit à l'
enfant
ce que je lui ai dit à l'état de sommeil : 0 Mon
ent, tu ne peux résister; tu le lais malgré toi. C'est bien cela. » L'
enfant
aurait compris, et m'aurait accordé tonte sa conf
une chose qui constitue la suggestion ; c'est la confiance donnée à l'
enfant
, c'est l'idée mise dans son cerveau qu'il ne succ
ressort cérébral, que vont-ils dire? Ai-je diminué la volonté de cet
enfant
parce que j'ai modifié par suggestion les conditi
l'éducation. Toute éducation même doit tendre à ce but : convaincre l'
enfant
qu'il est capable du bien et incapable du mal, af
et durable. Ce résultat était très frappant dans certains cas, où les
enfants
poussaient le peu de souci de la pudeur, jusqu'à
insi que celle de l'élude des Formes inférieures de l'esprit chez les
enfants
. En un moi, rien n» été négligé pojrdo.iners.ee
l'Index bibliographique. Bernheim. — « Habitudes d'onanisme chez un
enfant
, guéries par la suggestion hypnotique ». (Reo. gé
gnétiseur quelconque te livrera à des expériences d'hypnotisme sur un
enfant
ou sur un aliéné. Ceci n'est plus une question de
pas qu'il en soit de même pour rhypnotisme, lorsque le patient est un
enfant
ou un aliéné: Vous exigez, dans ce cas, que le do
, dans ce cas, que le docteur en médecine hypnolise lui-même où que l'
enfant
ou l'aliéné soit privé des secours de l'hypnotism
igne et la tolérance qui laisserait hypnotiser par le premier venu un
enfant
ou un aliéné, pourvu qu'un médecin fût présent.
d'un médecin consciencieux, à modifier le caractère, les défauts d'un
enfant
, à changer l'état cérébral d'un aliéné. C'est ici
imen d'une petite fille morte à l'âge de trois mois. La peau de cette
enfant
est d'un brun noirâtre, couverte de poils de la t
e cerveau, il existe également de ces taches noires. La mère de cette
enfant
racontait au professeur Billy (et c'est ce dernie
nceinte d'un mois, entra dans ma chambre et fut prise de frayeur. Son
enfant
est venu à terme, mais il a une marque de môme fo
au repos, la joue placée sur le dos de la main. Elle mit au monde un
enfant
dont la forme et les traits étaient d'une ressemb
de temps j'assistais Mme C... dans son second accouchement. Dès que l'
enfant
fut né, la question ordinaire: « Tout va bien? me
n caractéristique: « Mme D..., Agée de trente ans, ayant eu plusieurs
enfants
, étant enceinte de quatre mois, ouvrait la porte
e cessa jusqu'au jour de son accouchement de répéter à son mari que l'
enfant
qu'elle mettrait au monde serait défiguré. Cette
à les maintenir chauds malgré des flanelles chauffées. En examinant l'
enfant
, je vis que toute la cuisse droite, depuis le fla
agne pour assister Mm' M... dans son accouchement. Qaand j'arrivai, l'
enfant
était né depuis quelque temps, mais le placenta n
mais le placenta n'était pas encore enlevé. Après 1 avoir délivrée, l'
enfant
me fut montré ; c'était un garçon bien conformé e
plus se tourmenter. Appelé pour l'accouchement, je vis l'épaule de l'
enfant
qui se présentait et. à ce mo- (I) The Lancet,
e do chloroforme; cette opération se fit avec quelques difficultés. L'
enfant
était un monstre anencéphale. Les extrémités étal
eds presque collées l'une à l'autre et les doigts fortement serrés; l'
enfant
ne pouvait être mort que depuis quelques heures.
rel de le voir, mais je l'en dissuadai, lui assurant que, quoique cet
enfant
fût imparfait, elle n'avait aucune raison de croi
voir attaché une grande importance, et elle avait bon espoir pour son
enfant
à venir. L'accouchement eut lieu a terme et pré
erme et présenta exactement les même* difficultés que le précédent. L'
enfant
était semblable au dernier, à l'exception de la t
is après, la mère fat de nouveau enceinte et accoucha cette fois d'un
enfant
fort et non défiguré. Il est impossible de cite
ssance de son entant sentait des nouvements convulsifs du fœtus, et l'
enfant
vécut seulement quelques mois, après avoir eu des
puisse être résolue imraédia- (1)Bernard Perez, La Psychologie de l'
enfant
; les trois premières années de l'enfant, 4e édit
d Perez, La Psychologie de l'enfant ; les trois premières années de l'
enfant
, 4e édition, pages 1-12, et Ribot, L'hérédité, 1r
'entourage de la mère. Naturellement, toutes les femmes n'ont pas des
enfants
portant les traces de leurs impressions. « S'il e
ions morales de la femme que se trouve la clef da secret pourquoi les
enfants
de mêmes parents sont souvent complètement différ
e M. Dumontpallier (Suite) Les faux témoignages suggérés chez les
enfants
, Par M. Edgar BÉRILLON. docteur en médecine,
expériences qui démontraient l'extrême sensibilité que présentent les
enfants
au point de vue de la production du sommeil expér
cation actuelle a pour but de démontrer que cette suggesti-bilité des
enfants
n'est pas moins grande lorsqu'il s'agit de provoq
hez les adultes, par contre, elle constitue presque la règle chez les
enfants
. En soi,l'analyse de ces divers états de consci
conscience, qu'il est si facile de provoquer artificiellement chez l'
enfant
, constitue déjà pour le psychologue et le pédagog
, comme l'article 79 du Code d'instruction criminelle stipule que les
enfants
de l'un et l'autre sexe, au-dessous de l'âge de q
érales des témoins. De plus, en fait, non seulement le témoignage des
enfants
est souvent invoqué devant la justice comme ayant
mps tout le monde était d'accord pour attribuer à la déclaration d'un
enfant
une valeur plus considérable. L'apparence pleine
idérable. L'apparence pleine de candeur et de naïveté avec laquelle l'
enfant
fait son récit était considérée comme une preuve
pas douteux que, dans de nombreuses circonstances, le témoignage d'un
enfant
ait impressionué vivement les magistrats et le ju
cemment appelé l'attention sur la tendance que manifestent beaucoup d'
enfants
à altérer sciemment ou inconsciemment la vérité,
des premiers, Bourdin, à qui l'on doit une élude intéressante sur les
enfants
menteurs, a fait remarquer avec raison combien le
fants menteurs, a fait remarquer avec raison combien le mensonge d'un
enfant
peut être préjudiciable à autrui lorsqu'il est fa
justice. Convaincu que le juge résiste difficilement à la parole d'un
enfant
, cet auteur considérait comme une œuvre méritoire
t comme une œuvre méritoire de détruire le mythe de la sincérité de l'
enfant
, et il demandait instamment aux éducateurs et aux
al, l'apanage du jeune âge, il n'en est pas moins vrai que beaucoup d'
enfants
manifestent une propension extrême à l'astuce, à
nication fort instructive faite eu 1887. sur les faux témoignages des
enfants
devant la justice, est allé plus loin dans la voi
près avoir cité quatre observations très précises dans lesquelles des
enfants
avaient, avec l'accent de la véracité le plus sin
ale, se tenir en garde contre les dépositions souvent mensongères des
enfants
. A ce sujet, il formulait les instructions suivan
immuable succession les laits les plus graves, U peut être sur que l'
enfant
n'a pas dit la vérité, et qu'il substitue, à son
r sur le crédit qu'il convient d'ac- (1) Colusiac ; L'astuce ehei l'
enfant
, {Revue de l'hypnotisme, tome m, 1889. pages 25 e
tome m, 1889. pages 25 et suivantes.) corder aux déclarations de l'
enfant
, dont les perceptions peuvent être à chaque insta
les idées reproduites le plus facilement et le plus fidèlement par l'
enfant
, sont celles qui lui ont été fournie» par suggest
porte de nouveaux éléments de suspicion à l'égard de la sincérité des
enfants
. En effet, s'il est prouvé expérimentalement que,
nt eu pour but d'étudier dans quelle mesure il est possible, chez des
enfants
d'apparence normale, étages de six à quinze ans,
e peut servir de pierre de touche pour mesurer la suggestibilité d'un
enfant
. Elle a trait à la provocation de diverses amnési
ne, soit à la ville, et dans notre clinique. Nous étant approché d'un
enfant
, sans lui avoir parlé de sommeil ou d'hypnotisme,
après, une ou deux minutes à peine, si un des assistants demande à l'
enfant
comment il se nomme, on peut observer chez le suj
xemple pris au milieu d'un grand nombre d'autres : Je m'adresse à l'
enfant
Jules B..., Agé de dix ans, qui est normalement d
ple suggestion à l'état de veille, de déformer les souvenirs chez les
enfants
, de les déconcerter, de les faire douter de leurs
du temps qui s'est écoulé depuis un événement quelconque Je dis à l'
enfant
B..., âgé de onze ans, traité à la clinique pour
lons seulement insister sur ce point, c'est que l'halluciuabililé des
enfants
dépasse sous ce rapport tout ce qui a pu se conce
». Quelques minutes après, un interrogatoire en règle est institué; l'
enfant
raconte avec une assurance imperturbable le récit
le couteau, l'assassin. b. Quelques jours après, je dis à un autre
enfant
, F..., âgé de treize ans, qui vient d'entrer et q
gne à un autre étudiant d'aller prendre le thermomètre en question. L'
enfant
voit le manège. Cependant, lorsqu'on l'interroge,
s deux expériences que nous venons de relater ont été faites chez des
enfants
de la ville ; nous en avons réalisé d'identiques
des enfants de la ville ; nous en avons réalisé d'identiques chez des
enfants
de la campagne au mois d'août 1891. aie trouvant
ait ameuté les passants par une attitude inconvenante. A son réveil l'
enfant
raconte avec une grande expression de sincérité l
vu. Nous avons reproduit les mêmes expériences sur une vingtaine d'
enfants
pris dans toutes les classes de la société : peti
'enfants pris dans toutes les classes de la société : petits paysans,
enfants
d'ouvriers. «lèves de lycées. 11 ne nous a pu p
s plus intelligents fussent les moins suggestibles; su contraire, des
enfants
très bien doues au point de vue intellectuel, ont
ent influences, comme cela s'est présenté dans le cas suivant: e. L'
enfant
V..., âgé de don» ans, sans antécédents héréditai
demander de lui exposer quelques-uns de ces faits, je m'adresse à cet
enfant
que je vois pour la première fois. Je commence pa
n des frères qui faisait la classe s'est mis en colère, il a frappé l'
enfant
violemment avec son poing, il l'a traîné sur le s
ar les cheveux, lui a déchiré l'oreille : le sang coulait. Les autres
enfants
, terriflés, n'osaient bouger ». Quelques instan
er ». Quelques instants après, j'invite M. Zakrewsky a demander à l'
enfant
V... s'il n'a pas assisté récemment, dans son éco
détail. L'interrogateur désire connaître le nom du frère coupable. L'
enfant
hésite un peu, puis finit par dire : « C'est le f
st le frère B... -.A cette demande: Pourquoi le frère a-t-il frappé l'
enfant
? Y... répond: • C'est parce qu'il ne voulait pas
sté. Pour le détromper il fallut, par une contre-suggestion, amener l'
enfant
à reconnaître que son accusation ne reposait sur
ervés, il résulte pour nous les conclusions suivantes : 1° Chez les
enfants
de six à quinze ans, il est facile, par simple af
. 2° La réalisation des suggestions faites expérimentalement chez l'
enfant
est la règle, la non-réalisation, l'exception. De
«ie la part de ceux que la loi n'admet pas comme témoins, savoir les
enfants
et les dénonciateurs payés. Mais il faut remarque
ons. Tout le monde se rappelle encore celte émouvante affaire, où des
enfants
vinrent raconter devant le jury tous les détails
ents, coupables d'avoir brûlé leur mère; seuls témoins oculaires, ces
enfants
furent la cause directe de la condamnation à mort
ailleurs, il est un ordre d'affaires où forcément la déposi-tion d'un
enfant
est la seule base de l'accusation (je veux parler
lus que la sagesse des nations fait sortir la vérité de la bouche des
enfants
, et qu'on ne peut les croire capables d'inventer
de terribles pour l'accusé. Et alors peu importe qu'il s'agisse d'un
enfant
ou d'un témoin, peu importe que la déposition ait
terrogatoire, et il suffit d'avoir vu interroger une fois ou deux des
enfants
pour être persuadé qu'on peut leur faire dire tou
expose pour le moins à être insulté, aussi bien par les femmes et les
enfants
que par les hommes. Même dans la classe aisée, ce
: M. Charponiier. mercredi, à 8 heures 1/2. — Maladies nerveuses des
enfants
-M. Bourneville, samedi, à 9 heures. L'Hypnotis
s ne possédant pas le diplôme de docteur en médecine d'hypnotiser les
enfants
et les aliénés. Il a adopté un amendement de M. S
cristallerie de Baccarat. Agé de vingt-huit ans, marié, père de deux
enfants
, heureux dans son ménage, il n'accuse ni excès de
ement, par exemple, quand il était un peu fâché, quand il voyait deux
enfants
se battre; il a même conservé un tremblement lége
avait jamais eu de crise semblable. Mariée à vingt ans. elle eut un
enfant
sans éprouver aucun phénomène nerveux. Son mari a
eu près comme si, pour le rendre ridicule, il déformait le nez de son
enfant
, ou bien lui coupait le bout de l'oreille. Sans
nt malléables. Mais, par contre, je connais fort bien les parents des
enfants
qui, aujourd'hui, dans le même village, portent l
biante. D'autres fois, les parents, dans le choix du prénom de leur
enfant
, obéissent h un sentiment de haine et de défi. Te
qu'ils loi avaient paru très beaux, et surtout parce qu'aucune autre
enfant
ne les portait encore dans le village. Voyons m
gestions criminelles; . 10° Des caractères de la criminalité chez les
enfants
, les adolescents et les vieillards; 11° Caractè
trente-huit ans. Probablement à la suite d'une paralysie infantile, l'
enfant
a perdu In vue de l'œil droit, et son côte droit
de l'œil droit, et son côte droit a subi uu arrêt de développement. L'
enfant
est devenue gaucheré et elle n'a jamais pu appren
participent à celte hémiparésie. La langue est déviée à gauche, et l'
enfant
parle avec difficulté. Le D' Saint-Hilairc consta
ésie elle-même est favorablement inlluencée, car, après son réveil, l'
enfant
écrit mieux. Nous avons essayé do provoquer chez
re hystérique, atleinle de crises convulsives el de tremblements. — L'
enfant
est très impressionnable. Lorsque sa mère a des a
eaux de charbon sur l'estomac. Elle souffre souvent de gastralgies. L'
enfant
a aussi fréquemment le sommeil troublé par des ca
la Pitié et de la dalpétrière. Ajoutons que la suggestibilité de l'
enfant
a été utilisée pour réaliser quelques application
|1) à (par les) petits et à (par les) grands, jusque» aux bien petit*
enfants
. • Plusieurs témoins insistent là-dessus et se pl
oyale même, qui soit à l'abri de ce péril, car il n'en est pas où les
enfants
, les jeunes filles, les femmes ne soient exposées
es, un de ces projectiles vint éclater à une vingtaine de mètres de l'
enfant
. La commotion qu'Adèle en ressentit fut si forte
très pauvres, ils ne consultèrent aucun spécialiste à ce sujet, et l'
enfant
, tout à fait revenue a la santé, continua & g
urre. Cfa&chô i la driehée. Pris ûgurément ce mot désigne : 1* un
enfant
mou et paresseux, un enfant choyé outre mesure; *
ée. Pris ûgurément ce mot désigne : 1* un enfant mou et paresseux, un
enfant
choyé outre mesure; *" toute personne flasque, ià
urs de quelque malaise, c'eet un vrai châchû. Les pavsans disent d'un
enfant
gâte : • Y é on ehachô ma eu* (e'esi un chàchô ma
pratiques superstitieuses. Je citerai encore l'exemple suivant d'un
enfant
devenu démoniaque pour avoir mange des châtaignes
atténuante. — Rapporteur : Dr Semal. « Le mobile du crime chez l'
enfant
et l'adolescent. » — Rapporteur : D' Motet, médec
fréquentes de colère et tes tendances impulsives que présentaient ces
enfants
se sont notablement atténuées, et ils se sont rap
dents-: après plusieurs séances j'obtins un sommeil assez profond, l'
enfant
devenait tout à fait insensible, et même à son ré
es savent par expérience quelles difficultés ils rencontrent chez les
enfants
dont la frayeur est excessive. Si, au moyen de l'
de sa rie. Lorsqu'ca effel on l'interroge sur son mariage, sur ses
enfants
, en un mol sur tout ce qui concerne sa vie avant
partir do samedi 14 mai, une série de leçons sur la Psychologie de l'
enfant
et les applications de la suggestion à la pédagog
re piste, quand Ils eurent la pensée d'interroger le Qls de M"* M...,
enfant
d'environ huit ans, qui tToua que sa mère avait r
ne femme M..., de Ker D... qui fut condamnée a un an de prison. Cet
enfant
, au dire de* voisins, n'avait aucun motif d'»n vo
ndurcisse— • ment par l'hydrothérapie froide ; il veut que le? petits
enfants
marchent nu-pieds, conseille d'habiter des logis
pper et perfectionner les qualités du ccear, les bons sentiments de l'
enfant
; ce qui a lieu pour les bons sentiments a exactem
plus de ceux qui peuvent le devenir que de ceux qui le sont déjà. Los
enfants
à préserver : enfants naturels, enfants sans état
nt le devenir que de ceux qui le sont déjà. Los enfants à préserver :
enfants
naturels, enfants sans état-civil, enfants abando
de ceux qui le sont déjà. Los enfants à préserver : enfants naturels,
enfants
sans état-civil, enfants abandonnés, sont intéres
Los enfants à préserver : enfants naturels, enfants sans état-civil,
enfants
abandonnés, sont intéressants au plus haut point,
ar tous les penseurs et les moralistes. Quant à son enquête sur les
enfants
à réformer et à punir, je sais avec quelle habile
e de trente ans, anémique, nerveuse, fille d'un alcoolique, a eu deux
enfants
et une fausse couche. Malade depuis trois ans env
refusé à toute autre personne qu'au médecin le droit d'hypnotiser les
enfants
et les aliénés. Le Sénat avait étendu ce droit au
it dire : Le Gouvernement délivrera les autorisation d'hypnotiser les
enfants
et les fous, mais il lui est interdit de consulte
Jeune femme, vertueuse, excellente mèro, épouse amante, oublie tout,
enfant
, mari, famille, respect de soi-même, pour, dans j
-part et voté au Sénat, exige que la personne qui veut hypnotiser des
enfants
ou des aliénés, soit docteur en médecine ou munie
erdre de vue que le projet de loi ne met une restriction que pour les
enfants
et les fous : l'article 2 vont une protection de
on l'applique à la cure des aliénations mentales et à l'éducation des
enfants
vicieux et dégénérés. Dans la vie commune, les
t de noter une conséquence qui s'ensuivra. Autoriser à hypnotiser les
enfants
et les aliénés sans l'assistance d'un médecin ou
l'une que pour l'autre, puisqu'il s'agit de sauvegarder la santé des
enfants
et des aliénés. L'assistance du médecin n'étant
d'aucun tremblement en estant de retour en sa maison. Mais son petit
enfant
ne s'est jamais bien porté depuis ce temps «jusqu
a génération. » L'hystéro - demonopathie sévissait souvent chez les
enfants
. En voici un exemple tiré du même procès : « Ma
châtiment... « Ce châtiment atteint quelquefois des innocents. Des
enfants
peuvent être tourmentés dans leurs corps par le d
pas que cela soit venu de la verge, si ce n'est qu'il ne soit encores
enfant
sans raison. Mais il dit que ça esté son père qui
stion, par Mathieu, 337. Dipsomanie traitée par l'hypnotisme, 14.
Enfants
(les hallucinations et la folie chez les), 30.
tisme, 14. Enfants (les hallucinations et la folie chez les), 30.
Enfants
(faux témoignages suggérés chez les], 203. Enfant
e chez les), 30. Enfants (faux témoignages suggérés chez les], 203.
Enfants
(suggeitibilité des), 54. Enseignement de l'hyp
ux-témoignage suggéré (un), 343. Faux-témoignages suggérés chez les
enfants
, par Bérillon, 203. Faux-témoignages suggérés (
289. Spiritiques devant la presse (les), 244. Suggestibilité des
enfants
(la), par Bé-rillon, 54. Suggestion thérapeutiq
ntécédents hé- réditaires ne nous sont pas connus. Lui-même a trois
enfants
, les deux aines sont bien portants, le troisièm
FAITS. Sur un cas de rachitisme congénital avec nanisme, chez un
enfant
arriéré ; PAR LES DOCTEURS S. GARNIER. et A.
r), le 23 mars 1891, est entré à l'asile le 13 décembre 1898. Cet
enfant
, âgé aujourd'hui de dix ans, appartient à une fam
t enfant, âgé aujourd'hui de dix ans, appartient à une famille de 8
enfants
dont voici les dates de naissance : 1° Angèle-Mar
3; 7° Joséphine et 8° Aurélie, nées le 1er juillet 1895. Tous ces
enfants
sont aujourd'hui encore vivants et bien portants,
c sa femme qui s'occupait principalement du mé- nage et du soin des
enfants
, il cultivait une petite propriété louée à prix
il cultivait une petite propriété louée à prix d'argent, Sur les 8
enfants
qui sont nés du mariage des époux F ? on remarq
n'a pas été malade, la grossesse a été tout à fait normale, mais l'
enfant
venu à terme était déjà déformé. Lors de l'accouc
éjà déformé. Lors de l'accouche- ment, le placenta a paru normal; l'
enfant
a un peu dépéri après sa naissance, a pu néanmo
endre le sein et a été allaité pen- dant un an. D'après le père son
enfant
aurait dit papa et maman aussitôt que ses autre
et soeurs. Laissant de côté tout ce qui a trait à la mentalité de l'
enfant
, nous abordons immédiate- ment son examen somat
ui-même, comme l'a indiqué la posi- tion de la photographie n° 3. L'
enfant
ne peut étendre les bras, ce qui a pour effet d
e pied ne semble pas déformé, mais il est plus petit que celui d'un
enfant
du même âge; il est doué d'une très grande mobi
; il est doué d'une très grande mobilité des orteils et par suite l'
enfant
ayant pour ainsi dire le pied préhensible peut ra
uée qu'à droite il est d'au- tant plus long, mais aplati. Quand l'
enfant
croise ses jambes, il place toujours la jambe d
ation nous semble résulter de la position intra-utérine prise par l'
enfant
. Le pied gauche aie même caractère que le pied
centimètres et son poids de 11 kg. 400 gr. alors que le poids d'un
enfant
de son âge est de 26 kg. 13. Les organes géni
ais un peu atrophiée. Au point de vue du développement psychique, l'
enfant
a le lan- gage articulé, possède un vocabulaire
itisme grave et plus spécialement de rachitisme intra-utérin, car l'
enfant
, comme nous l'avons relaté, est venu au monde d
onde déjà déformé, mais paraissait avoir la taille et le poids d'un
enfant
nouveau-né ordinaire. On comprend que son accro
sont cités sont d'autant moins nombreux que « presque toujours les
enfants
qui naissent rachitiques ne vivent pas longtemp
collatéraux; même situation négative du côté de la mère. Sur les 8
enfants
issus des époux F... (dont la famille est très
avons publié que rarement, à tort, les obser- vations complètes des
enfants
idiots améliorés ou guéris. L'observation que n
d'autres, dans laquelle on suit année par année les progrès de l'
enfant
, montrera à nos lecteurs que même dans les cas
s les plus graves on obtient de très sérieux résultats. Sommaire.
Enfant
naturel. Père, rien à noter. Renseigne- meH<
rreries. 1897-1902 : Développement progressif de l' intelligence, l'
enfant
sait lire, écrire, faire les premières règles,
is-à-vis de la mère. Caractère calme. Il a abandonné la mère de ses
enfants
il y a deux ans, et serait mort, on ne sait de
e et, depuis, la mère ne l'a pas revu. Indifférent vis-à-vis de ses
enfants
. Pas de migraines. Pas de dartres ou d'affectio
rtes jeunes de la poitrine. Une soeur, en bonne santé ; de ses sept
enfants
un est mort de convidsions ; un autre a eu des
ans de différence d'âge entre les parents (père plus âgé). Quatre
enfants
: 1° Garçon mort du croup à deux ans et demi. P
le surveillait. Il ne reconnaît passa mère. Il repousse les autres
enfants
, même sa soeur. Il ne demande pas à manger, mas
l'idiotie aux convul- sions. État actuel (14 mai 1890) (Fig. 4).
Enfant
blond, lymphatique. Pas d'adipose, d'émaciation
ive ; pas de larmoiement. L'examen fonctionnel ne peut être fait. l'
enfant
fermant les yeux constamment d'une part, d'autre
nts de lait à chaque mâchoire. L'expression du visage indique que l'
enfant
fait la différence des saveurs. -Oreilles grandes
ONDE AVEC NANISME ET INFANTILISME. 43 Pendant toute l'année 1891, l'
enfant
ne fait aucun progrès. Parole nulle. Gâte la nu
. IDIOTIE PROFONDE AVEC NANISME ET INFANTILISME. 45 nulle, mais l'
enfant
aime beaucoup entendre parler et chanter. Il so
is). Rien à l'anus. Lem... ressemble non à un adolescent, mais à un
enfant
. IDIOTIE PROFONDE AVEC NANISME ET INFANTILISME.
. 51 L Réflexions. I.Nous n'avons rien à relever du côté du père,
enfant
naturel, dont la famille est inconnue. -Du côté m
connue. -Du côté ma- ternel, nous notons la mort du grand-père de l'
enfant
par une paralysie ducerveau, celle de la grand'
attention ne s'éveille pas, la physionomie reste idiote, on croit l'
enfant
sourd. III. De 1890 à 1893, en raison de la tei
eusement appliqué. Il ne l'a été qu'à partir du mois d'août 1893. L'
enfant
est devenu propre, la figure a offert un commen
de 1895, les tics ont diminué, puis disparu. La parole est venue, l'
enfant
a appris à se laver, à s'habiller, à manger seu
. Les sentiments affectifs, nuls autrefois. se sont déve- loppés, l'
enfant
est affectueux pour sa mère et les personnes qu
mère et les personnes qui l'entourent. En résumé, aujourd'hui, si l'
enfant
était présenté pour la première fois, ce ne ser
nt à ce qu'on ne peut pas toujours obtenir la même attention chez l'
enfant
. 56 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
ssive et un cas de para- lysie pseudo-hypertrophique chez de jeunes
enfants
; par M. 1VEUSTARDTEII. (The Aew-Yo ? ,Ii médic
périeure du bras droit et de l'omoplate manifestement atrophiés ; l'
enfant
ne peut pas élever le bras. 7t i REVUE DE PAT
tablement atrophiés, surtout ceux du pied. Démarche chancelante ; l'
enfant
ne peut se porter sur la jambe malade. , Réfl
ation de volume du mollet, impos- sibilité de monter un escalier; l'
enfant
est faible d'esprit. - A l'examen, démarche cha
é du malade à la rencontre faite par sa mère, enceinte de lui, d'un
enfant
raidi et paralysé des quatre membres. L'intellige
a tuberculose au point de vue bactériologique ? Soit, en tout cas l'
enfant
de parents tuberculeux nait tuberculisable, avec
pports dans un travail ultérieur. L'Assistance et l'Éducation des
Enfants
anormaux au point de vue sociologique; par le D
généres- cence ; de ces malades qui, au début de leur vie, sont des
Enfants
anormaux. Pour se protéger contre les écarts
nts anormaux. Pour se protéger contre les écarts possibles de ces
enfants
, soit dans leur jeune âge, soit dans l'âge adul
SOCIÉTÉS SAVANTES. 87 faveur de l'assistance et de l'éducation des
enfants
anormaux se dessine nettement dans notre région
uves d'intérêt et de sympathie. Puisqu'il y a malheureusement des
enfants
anormaux dans tous les pays, la quesion méritai
t exprimé, il me reste à conclure, en disant que, tant que tous les
enfants
anormaux ne recevront pas les soins médico-péda
ue l'assistance et l'Education soient rendues obligatoires pour les
enfants
anormaux. 3° Que les pouvoirs publics votent les
la création d'asiles-écoles régionaux. 3° Que transitoirement, les
enfants
anormaux pauvres soient placés par les pouvoirs
Elisabeth de Hongrie soignant les teigneux, où l'on voit plusieurs
enfants
dont les têtes sont couvertes de plaques teigneus
Pour le comi- té : Le Secrétaire général, D Crocq. Assistance DES
enfants
idiots L'enfant martyr de la Petite-Marie (près
: Le Secrétaire général, D Crocq. Assistance DES enfants idiots L'
enfant
martyr de la Petite-Marie (près Nogent-le-Rotrou)
oins et qui est actuel- lement à l'hôpital de Nogent-le-Rotrou. L'
enfant
est sourd et muet, probablement de naissance; il
à peu près idiot; les membres ne sont pas plus gros que ceux d'un
enfant
de trois à quatre ans; la tête a une grosseur ano
n'avait pas assez d'énergie pour réagir contre tout cela. Neuf des
enfants
des époux Jousselin sont morts en bas-âge. Les
calme, plus triste que gaie, très aimée : c'était l'aînée de trois
enfants
. D'après les voisins, elle était sou- vent dépr
re sous le nom d'Anna Gustna- gel, a été assassinée à Odessa par un
enfant
de quatorze ans. Le hère aine de cet enfant, am
assinée à Odessa par un enfant de quatorze ans. Le hère aine de cet
enfant
, amoureux de la chanteuse, faisait des folies p
ur elle et dépensait sans compter pour satisfaire ses ca- prices. L'
enfant
supplia son frère à plusieurs reprises de quitter
déshonoré. Le frère aîné ne voulant pas se rendre à ces raisons, l'
enfant
assassina la baronne, qui a été trouvée morte d
fantile : l'absence de la glabelle, mais il n'y a-pas, comme chez l'
enfant
, la supériorité de diamètre métopique. Si la gl
parallèles, puisqu'on a des os dont la longueur rappelle celle d'un
enfant
en basâge, mais dont le volume est celui i d'un
us. lllae... A., trente-huit ans, rattacheur, marié, père de deux
enfants
, entre à l'asile des aliénés d'Armentières le 8 j
trée un délire hallucinatoire très intense. Il voit sa femme et ses
enfants
passer devant ses fenêtres et les entend appele
e tête et un délire hallucinatoire surtout nocturne s'installa; ses
enfants
lui paraissaient être des cadavres. Il voyait l
. C'est aussi la raison qui nous a fait créer des ateliers pour les
enfants
de l'asile, école de Bicétre et que nous y avon
autres, 19. P. KERAVAL. VIII. L'éducation et le développement des
enfants
névrosés (MeM ? 'o<t< children); par GR.E
. H.4.MMOKD. (The iVe2o-York Médical Jour- nal 30 août 1902). Les
enfants
que l'auteur désigne par l'épithète de neurotique
mais un état convenable de développement physique. Le nombre de ces
enfants
paraît en voie d'augmentation, et bien des causes
. Le traitement moral joue ici un rôle capital : il faut habituer l'
enfant
à la plus stricte obéissance, en évitant le plus
fois qu'elle est nécessaire. La condescen- dance aux volontés de l'
enfant
, sous le prétexte qu'il ne faut pas contrarier
point de vue de l'instruction, il 3 a des précautions à prendre : l'
enfant
est précoce, il a le travail facile, la mémoire
ation, à la limite de la folie. P. KERAVAL. XIII. Le traitement des
enfants
atteints de défectuosité mentale. (Défectives)
ladroits, qui ont été trop longtemps et trop souvent infligés à des
enfants
que L'on est allé quelquefois jusqu'à consi- dé
nce sous des influences diverses. Certaines périodes de la vie de l'
enfant
sont des périodes d'élection pour des modificat
Il suffit d'un peu de réflexion pour se rendre compte que, chez nos
enfants
, notre négligence peut enrayer leur déve- loppe
au calcul mental), puis il aborde la question de la folie chez les
enfants
, et il arrive aux anomalies mentales mineures.
fort logique est que toutes les fois que l'on re- marquera chez un
enfant
des anomalies de caractère ou de con- duite, il
iques. Cela vaudra mieux que d'user systématiquement à l'égard de l'
enfant
, soit d'une sévérité inopportune, soit d'une in-
bler paradoxal, ce n'est pas le vice qui conduit la mère à tuer son
enfant
, mais plutôt une sollicitude maternelle patholo
ée : rarement elle nie l'acte; elle s'excuse plutôt en disant que l'
enfant
sera plus heureux au ciel. Les troubles mentaux
es-mères. On sait com- ment les choses se passent en pareil cas : l'
enfant
crie, la mère affolée le tue ; le juge, le jury
est âgée, plus les chances de guérison diminuent. 2° le nombre des
enfants
: si la femme est épuisée par des grossesses ré
cas. 5° l'épilepsie à titre de complication. 6° l'illégitimité de l'
enfant
tué, qu'il s'agisse d'une femme mariée ou d'une
femme mariée ou d'une veuve. Dans trente-trois cas le meurtre de l'
enfant
avait été commis sous l'influence de la folie de
r les 252 tabétiques mariées, 83, soit 32,9 p. 100, n'avaient pas d'
enfants
: ou bien elles n'avaient pas conçu (55 cas) ;
aient pas conçu (55 cas) ; ou elles avaient avorté ; ou enfin leurs
enfants
étaient morts dans les premiers mois de la vie.
mes conditions sociales. Si l'ou en rapproche la mort fréquente des
enfants
en Las-âge appartenant aux premières, on a de l
ements prématu- rés, et ne possédant, sur dix grossesses, dont cinq
enfants
ayant vécu, que ce jeune homme et une lille. L'
ère, de la mère, d'un enfant'de deux ans, asphyxiés par un poële. L'
enfant
est trouvé mort; la femme présente une intoxica
igné des portes et fenêtres et plus rapproché du poêle. Cependant l'
enfant
couchait auprès de sa mère, et, d'ordinaire, ce
eux mois après la disparition de l'exanthème, le 15 juillet 1901, l'
enfant
est pris subitement de vertiges, d'éblouissemen
tif du système nerveux. Maladie de Little. M. BmssuD présente une
enfant
née avant terme à sept mois, actuellement âgée
très développée, et qui n'a jamais eu de crises convulsives. Cette
enfant
est atteinte de contracture généralisée des qua
é- rieure seulement de l'olive. Le réflexe de 8(iliiisl. chez les
enfants
. M. A. LFRI, communique ses recherches portant
les enfants. M. A. LFRI, communique ses recherches portant sur 166
enfants
. Leri conclut que : 1° A la naissance l'exten
4° C'est vers 5 ou 6 mois que semble disparaitre en général chez un
enfant
normal, sauf exceptions individuelles, l'extensio
'urine guérie par la suggestion pendant le sommeil naturel chez une
enfant
de vingt-six mois. M. Paul FAHEZ Une enfant a c
meil naturel chez une enfant de vingt-six mois. M. Paul FAHEZ Une
enfant
a cessé d'uriner au lit, la nuit, vers quatorze
e choix dans bon nombre d'incontinences, surtout lorsqu'il s'agit d'
enfants
en bas âge et non hypnotisables. Dans tous ces
et non hypnotisables. Dans tous ces cas d'incontinence nocturne, l'
enfant
dort trop profondément. La suggestion somni- qu
er à demi le dormeur; dans de nombreux cas analogues, j'exige que l'
enfant
, sans cesser de dor- mir, me reponde expresséme
ncidence. Observation I. La malade est une jeune fille, quatrième
enfant
d'une famille indemne de toute névropathie et que
us eu d'autre. Il n'avait jamais compris qu'on levât la main surles
enfants
pour les corriger, aussi était-il bien résolu à
nvoyer promener toute la famille. Le père fut désolé d'avoir un tel
enfant
, puis surgit en lui l'obsession de le frapper p
de toutes ses forces. Mais à chaque faute, même insignifiante, de l'
enfant
, celle-ci l'an- goissait et le torturait. L'ann
en présence de sa femme quand, à l'occasion d'une peccadille de l'
enfant
, l'obsession l'angoissait et lui faisait battre v
l'impulsion dont il souffrait. Pour s'affermir il prenait souvent l'
enfant
dans ses bras et le couvrait de baisers et de c
s dont il tira quelque bien. Mais un grand malheur l'at- tendait. L'
enfant
venait d'avoir huit ans quand il contracta une
ant uneopération fut jugée nécessaire. Celle-ci ne réussit pas et l'
enfant
succomba à des accidents cérébraux. Le pauvre pèr
dait très bien compte qu'il n'était pour rien dans la mort de son
enfant
, qu'il n'avait jamais touché, néanmoins il était
était au sujet de cela qu'elle pensait qu'on lui avait changé son
enfant
pour un autre. A propos de ses peurs, liées à la
es phobies, craint d'une manière outrée le refroidissement pour ses
enfants
; elle les garde à la maison, tâchant de ne pas
veuve Lec..., alors âgée de plus de vingt-huit ans et qui avait un
enfant
de six ans. Us se sont brouillés au bout de sep
u'il la trou- vait trop vieille. Il s'est marié depuis et a eu deux
enfants
légi- times : une est morte, à dix-sept mois, d
droyante. Ses autres oncles et tantes, ses quatre soeurs et leurs
enfants
n'ont pas eu de maladies nerveuses ou mentales. [
). Archives, 2e série, t. XVI. 14 210 RECUEIL DE FAITS. 1 Trois
enfants
: 1° un garçon mort Ae méningite, sans convulsion
exagérée, par comparaison avec les mouvements de ses deux premiers
enfants
. Accouchement à terme, naturel, sans chloroform
à terme, naturel, sans chloroforme, par la tête. A la naissance, l'
enfant
était petite, bien constituée, sans asphyxie, ni
étendues convulsions paraissent se réduire à des accès de colère. L'
enfant
s'est raidie, a crié, sans perdre connaissance ;
faisait en tapant du pied, en criant, gênait ou amusait les autres
enfants
) ou changer de maîtresses à cause de sa maladie
alors que les accidents rachitiques commençaient à dis- paraître, l'
enfant
était agitée, ne tenait plus en place, trépignait
gmenté et varié dans leurs carac- tères. Voici comment la mère de l'
enfant
les décrit. V... frappait des pieds à chaque in
xécutant des mouvements de préhension, se portant au visage, etc. L'
enfant
se frotte énergiquement les paupières. Quelques
1902. Janvier. Persistance des mêmes tics et de la coprolalie. L'
enfant
fait des efforts pour se retenir; elle y parvient
écholalie. Exemples : S'il s'agissait d'une observation faite à une
enfant
, elle la répétait tout en y ajoutant un de ses
ançant son corps en avant. Un jour, en promenade, on commande aux
enfants
de ramasser des pissenlits le long de la route
t démesurément la bouche. A l'ouvroir, la maîtresse ordonne à une
enfant
de rabattre les coutures, aussitôt V... s'écrie
, involontairement. Simultanément, exclamations grossières. Mars. L'
enfant
est plus agitée, plus excitée que jamais. Ses m
d, les tics de la face. Dans les dernières qua- rante-huit heures l'
enfant
avait subi une véritable transfor- mation. A
ot complet, être végétatif, jusqu'au simple arriéré qui confine à l'
enfant
normal moyen. Mais plusieurs raisons nous ont d
q ans, il s'est créé en Belgique un mouvement sérieux en faveur des
enfants
idiots. L'honneur en revient principalement à
qu'un doit l'organisation des classes spéciales pour la catégorie d'
enfants
anormaux qui nous occupe. La première a- · été
16 242 '). SOCIÉTÉS SAVANTES. Au point de vue de la situation des
enfants
idiots dans les asiles belges, qui renferment u
s idiots dans les asiles belges, qui renferment un certain nombre d'
enfants
idiots, M. le D Ley résume ainsi la situation :
cins, peu au courant des maladies chroniques du système nerveut des
enfants
, dont ils n'ont vu que quelques spécimens au cour
, même des plus réputés, mais inexpérimentés en ce qui concerne les
enfants
, conseillent l'ajour- nement, le traitement méd
o-pédagogique, l'isolement, l'absence de tout contact avec d'autres
enfants
. Ceci dit, arrivons à nos malades. Pour chacun
ses de deux en deux ans et les cahiers scolaires, ouverts dès que l'
enfant
est capable de tracer des lignes. Les unes et l
achant pas s'habiller, n'ayant au- cune notion classique. 1894. L'
enfant
commence à s'habiller seul, mais ne sait pas en-
istingue les couleurs, place les lettres et les chiffres. 1896. Cet
enfant
est parvenu à lacer, boutonner. Paralysé du côt
'à 60, place les bâtonnets dans les cases, ' Ley. Le traitement des
enfants
idiots et arriérés en l3elriqce. Cand, 1900.
surtout deux qualités que nous rencontrons assez rarement chez nos
enfants
: l'ordre et la propreté, qui se manifes- tent
(Emile), né à Paris, le 21 octobre 1891, entré le 10 avril 189. Cet
enfant
parle à peine, gâte nuit et jour; pâle, d'appar
ré le 27 juin 1892. Parole et marche nulles; gâte nuit et jour. Cet
enfant
semble n'être doué que de la vie végétative. Phy-
ore. Idtolie complète. - Wei.. (Suzanne), neuf ans et demi. Cette
enfant
, entrée à la Fondation en mai 1897, à l'âge de qu
te la peine du monde à lui faire prendre un bain. Le caractère de l'
enfant
était détestable et grognon, toujours de mauvai
parole ont été très rapides ; le gâtisme a complètement disparu ; l'
enfant
se donne elle-même tous les soins de toilette n
ploie une réelle activité en tout et pour tout. Pour la classe, l'
enfant
n'est pas très avancée ; ceci provient de ce qu
prononcé . Rouss... (Elisabeth), dix- huit ans. On peut citer cette
enfant
comme notablement améliorée et prise à un degré
ns les dizaines, mais il fallait la mettre sur la voie, en un mot l'
enfant
n'avait aucune instruction. Comme caractère ell
ésultats fort médiocres. Un grand changement s'est opéré chez cette
enfant
, de même qu'un réel développement intellectuel.
Idiotie complète; épilepsie. Gaucb... (Germaine), treize ans. Cette
enfant
est entrée à la Fondation à l'âge de deux ans et
ettes enfantines, les livres de classe, voire même les journaux ; l'
enfant
lit en un mot tout ce qu'elle trouve sous sa main
x ; l'enfant lit en un mot tout ce qu'elle trouve sous sa main. L'
enfant
raisonne bien, se rend compte de tout et parait a
délicatesse de senti- ments, ce qui se voit assez rarement chez nos
enfants
assistés. Elle a fait des progrès en couture, f
ez elle. Idiotie; épilepsie.-Lefebvre (Marguerite), neuf ans. Cette
enfant
est entrée à la Fondation en 1896, à de trois a
érente à tout. · Ses accès et vertiges survenaient par séries ; l'
enfant
, traitée au bromure de camphre et par l'hydroth
arriération men- tale. Alors, là où il y a des classes spéciales, l'
enfant
pourrait sortir de l'asile où il était placé et
'éducation en commun quand je dis « en commun », j'en- tends de ces
enfants
arriérés entre eux a-t-elle provoqué une sorte
mère préparant déjà le terrain morbide. Aussi m'apparait-il que les
enfants
arriérés doi- vent avoir des phénomènes semblab
les dans leur pathogénie. M. Bourneville. L'éducation en commun des
enfants
arriérés, entre eux, comme dit M. le Dr Foveau
à cew-cr les leçons de choses. Il y a aussi avantage à pla- cer un
enfant
plus malade entre deux enfants moins malades Avec
. Il y a aussi avantage à pla- cer un enfant plus malade entre deux
enfants
moins malades Avec l'éducation individuelle, is
, isolée, il n'y a ni émulation, ni imitation. L'éducation avec des
enfants
normaux est en général défectueuse, souvent nui
ttes et non discutables de rachitisme se sont ren- contrées chez 34
enfants
de notre service, sur les 435 actuellement en s
lement pas congénitale ; elle était acquise après la naissance. Les
enfants
avaient montré un esprit éveillé dans les premi
s la plupart des cas également, les antécédents héréditaires de ces
enfants
n'étaient. pas chargés de tares nerveuses. Ces id
tcase)'ftC/t ! mecoH.'yet ! : 7a<MfecH< ! MM ? ? ! ec/te : un
enfant
arriéré (avec figures). SOCIÉTÉS SAVANTES. 2S1
un enfant arriéré (avec figures). SOCIÉTÉS SAVANTES. 2S1 ces deux
enfants
ont été améliorés sous l'influence du traitement
scription sommaire de chacun d'eux : 9° Rouss... (Elisabeth). Cette
enfant
est atteinte de scoliose à double courbure. La
uf ans et demi. A première vue, on pourrait ne pas croire que cette
enfant
a été rachitique. En effet, elle se tient bien
stions qu'on lui posé. Si on examine en détail les jointures de l'
enfant
, on trouve que les épiphyses inférieures du cub
tomie fait disparaître l'agitation, les mouvements choreiformes, l'
enfant
devient attentif et apprend plus facilement. VJ
ant le sommeil, des rêves péni- bles et des cauchemars, qui, chez l'
enfant
, se traduit surtout par de l'agitation sans but
s un cas, malgré l'ab- sence de tête, alors'que le poids moyen d'un
enfant
normal à la 276 SOCIÉTÉS SAVANTES. naissance
aine. On obsei ve plus fréquemment des familles à un seul ou à deux
enfants
. » XX. L'observation médicale chez les écrivain
- Quai tier ri'épileptiques à Villejuif; Classes spéciales pour les
enfants
arriérés en Amérique, en Allemagne, en Angleter
cela me fera beaucoup de bien : Je « considère D... comme un grand
enfant
qui se fâche facilement ; « mais de là à la fol
ce sujet les questions les plus diverses; tantôt en se montrant bon
enfant
, et en faisant appel à ma pitié, tantôt en se l
rs la même époque que le docteur Séguin entreprit l'instruction des
enfants
idiots à Paris, et depuis lors les jeunes épile
nes épileptiques sont reçus dans la plupart des asiles destinés aux
enfants
idiots. On a à s'occuper de deux classes d'épil
t pour les épileptiques aliénés, mais aussi pour les adultes et les
enfants
qui n'étaient qu'épileptiques sans être aliénés
es, qui occuperont 9 bâtiments dont 6 sont pour adultes et 3 pour
enfants
et seront divisés en 3 classes, cette division
le est devenue meilleure et la fréquence des accès a diminué. Les
enfants
épileptiques forment une classe de malades dont
la classe. Ces attaques dérangent la classe et effrayent les autres
enfants
. Il ne devrait donc pas être permis aux enfants
ffrayent les autres enfants. Il ne devrait donc pas être permis aux
enfants
sujets à de violentes attaques de fréquenter l'
ues de fréquenter l'école. Il y a sans doute un grand nombre de ces
enfants
dont l'état exigerait l'envoi dans des colonies
ues. Malheureusement ui»3 Ici 310 O THÉRAPEUTIQUE. concernant les
enfants
défectueux et épileptiques, loi appe- lée : Loi
- ment en 1899, contient une clause qui limite à 15 le nombre des
enfants
pouvant être admis dans le même bâtiment, et à
âtiments, leur nombre par établisse- ment. Sans cette clause, des
enfants
seraient actuellement ins- truits et élevés à l
re pour des filles. Chaque villa avait été bâtie pour recevoir 24
enfants
, mais comme le Ministère de l'Instruction Publi-
istère de l'Instruction Publi- que ne permet de n'y admettre que 15
enfants
, elles sont pour le moment employées pour d'aut
demandant de modifier cette clause et de porter à 24 le nombre des
enfants
pouvant être admis dans le même bâtiment, et il
s leur rapport, les autorités de cet éta- blissement disent que les
enfants
« apprennent a ressaisir et exercer leurs facul
que le comité ait été jusqu'à présent empêché de recevoir de jeunes
enfants
, il est cepen- dant si convaincu de l'importanc
nce des bons résultats obtenus sur le continent par l'éducation des
enfants
épilep- tiques a engagé le Ministère de l'Instr
on à la date du 26 février 1900, qui pourvoit à l'instruction des
enfants
faibles d'esprit et épileptiques, sur les sujets
bien qu'à l'éducation intellectuelle et dans le cas des plus jeunes
enfants
on emploie le système « d'enseignement par l'ac
forts volontaires seraient bien nécessaires. En ce qui concerne les
enfants
la loi sur l'Instruction Elémentaire de 1899 (e
concerne les enfants la loi sur l'Instruction Elémentaire de 1899 (
enfants
défectueux et épileptiques) dont il a déjà été
es approuvées par le Ministère de l'Instruction Publique pour les
enfants
épileptiques, et de contribuer à l'entretien des
ourvoir à la nour- riture, an logement et au traitement médical des
enfants
aussi bien qu'à leur instruction. J'espère que
ruction. J'espère que quand la res- triction à quinze du nombre des
enfants
pouvant être admis dans le même bâtiment, sera
e bâtiment, sera levée, des dispositions seront prises pour que les
enfants
épileptiques dépendant des auto- rités scolaire
ongtemps ignorée du malade même. Quelques mots sur l'insomnie des
enfants
: Graun, qui a fait une excellente étude et une
étude et une description très étendue des terreurs noc- turnes des
enfants
, a formulé, en quelques indications précises, l
écises, les faits connus sur le sommeil normal et pathologique de l'
enfant
. Il conclut que le passage de la veille au somm
lut que le passage de la veille au sommeil, est plus court chez les
enfants
que chez les adultes et que le sommeil est plus
ltes et que le sommeil est plus profond au début, mais que chez les
enfants
névropathes, la pre- mière ivresse du sommeil e
tique faible, mais inoffensif, et a été employé dans l'insomnie des
enfants
. 11 est actuellement peu uti- lisé ; mais son d
. L'origine de l'auto-suggestion est souvent organique. Citons un
enfant
qui avait une hyperesthésie de la région ombilica
, souvent soudaine et inat- tendue, transforme. pour ainsi dire, en
enfants
de cinq à dix ans les adultes atteints de puéri
estibilité et l'ensemble des réactions et de la conduite des petits
enfants
. Le langage est semé de locutions et de formule
réactions ingénues par lesquelles s'exprime la personna- lité de l'
enfant
. Les manifestations, toutes spontanées d'ailleurs
e ce genre sont fréquents chez les aliénés, en particulier chez les
enfants
. (B.). 356 SOCIÉTÉS savantes. l'iris. En un m
linguale, suffiraient pour rendre plus intelligible la parole de l'
enfant
. Le succès parut d'abord répondre à notre atten
on, chirurgien à l'infir- merie protestante, voulut bien examiner l'
enfant
et constata, comme nous, une malformation anato
es. Mais, au point de vue physiologique, nous constatâmes que, si l'
enfant
parvenait à amener spontané- ment la pointe de
dre à diriger sa langue et à s'en servir pour parler comme le petit
enfant
apprend à se servir de sa main pour saisir les
e nous espérons bien obtenir, est retardé un peu par l'apathie de l'
enfant
, et plus encore peut-être par la mauvaise volon
qui ont besoin d'une éducation mé- dico-pédagogique, mais tous les
enfants
en général. M. BOURNCVILLE. Le malade, dont M.
poser l'histoire intéressante, montre la nécessité d'exami- ner les
enfants
anormaux de la façon la plus minutieuse. La denti
(prépuce, anus, vulve), qui s'accompagnent de prurit et amènent les
enfants
à se gratter et ultérieurement à se masturber.
avons montrées l'autre jour. Elles représentent de 2 en 2 ans des
enfants
atleints d'idiotie complète ou d'idiotie profonde
ntion jusqu'aux leçons-conférences ; 4° les 1 Toutes les fois qu'un
enfant
a eu des convulsions, le médecin devrait prendr
uares et paies, qui devraient servir aux leçons de choses et où les
enfants
des écoles devraient être promenés par groupe. To
lité de ces malades car, à quelque groupe qu'ils appartiennent, ces
enfants
sont des malades et relèvent d'abord du médecin
la réalisation de l'as-istance, du traitement et de l'éducation des
enfants
idiots. Mais je puis signa- ler les progrès acc
Philé- mon, une section, fondée il y a dix-huit mois, contenantcent
enfants
; par une autre visite à l'établissement privé d
Je puis vous montrer à ce propos la photographie stéréoscopique d'
enfants
atteints d'une affection différenciée dans ces de
roubles sont tels qu'ils empêchent tout langage articulé et que ces
enfants
sont moins bien lotis à cet égard que les sourd
l'ap- parence idiote qui résulte de l'inexpression de la face, ces
enfants
peuvent ne pas être dépourvus d'une certaine in
remier cas que je vous fais passer en est un exemple. En effet, cet
enfant
qui, entre parenthèses, avait été considéré comme
e à un résultat. Or, ce résultat quel qu'il soit est un gain pour l'
enfant
, pour sa famille et aussi pour la société. Hy
r l'ex- tension des orteils et particulièrement du gros orteil de l'
Enfant
Jésus dans quelques Adorations des Mages. Cette
souvent un des rois mages tient dans sa main la plante du pied de l'
Enfant
, et dans la plupart de ces cas, l'extension du
la mort. (Le Progrès de Lyoit, 10 juillet 4903). FAITS DIVERS.
Enfant
parricide. A. Doyen, treize ans, de Bruay, près V
pression d'un méningite exudativesurles moteurs oculaires (chez les
enfants
), Fig. 29. 398 THÉRAPEUTIQUE. « d'user sur
et à d'autres titres : Il s'agit d'une femme ma- riée, mère de cinq
enfants
, aujourd'hui âgée de cinquante ans, qui a été s
i ont été parfois assez intenses car son mari buvait. Elle eut cinq
enfants
: ses grossesses furent toutes normales, normal
outes normales, normales aussi les suites de couches. L'aîné de ses
enfants
eut des convulsions infantiles. Vers t'age de tre
-4 quoi pensiez-vous ulors ? Je n'en sais rien. Pensiez-vous à vos
enfants
? - Non, je ne crois pas. -A votre mari ? Ma fo
o Martineau, infirmiers à l'asile d'aliénés, chapes du quartier des
enfants
arriérés et épileptiques. Nos félici- tations.
ut citer le suivant pris chez un dément parauoïde : « Je n'ai pas d'
enfants
. Ça ne peut pas travailler. Quand vous aurez de
bel exemple : « Je t'aime... tu es mon Paul, mon bijou... oui mon
enfant
... ne bois pas... le poison... la voiture... ma
va périr ! Ces belles populations, ces belles campagnes, ces beaux
enfants
, tout cela va être contaminé, englouti, àjamais
r, interne du sei vice. MALADIES UNILATÉRALES DE L'OREILLE. SOI 4
enfants
bien portants. N'est pas alcoolique. Il y a trois
vant à la confection des lois sur l'ivre-se, la santé publique, les
enfants
du premier à ? e et les enfants moralement abando
r l'ivre-se, la santé publique, les enfants du premier à ? e et les
enfants
moralement abandonnés. Par ses travaux sur le p
méd. el nul. de llruxelles. 2 jmllet 1900. La chorée mentale des
enfants
est un état psychique sur lequel on n'a pas jus
âgé de 9 ans, danse, parle, chante, frappe des mains, embrasse les
enfants
qui l'entourent, faisant tout d'une manière sac
is à partie par une femme vêtue d'une culotte d'homme et portant un
enfant
de quatre ans dans ses bras. Chemin faisant, el
qu'elle com- mença d'invectiver : J'aimerais mieux « bouffer » mon
enfant
, lui criait-elle, que de te le donner à baptise
uit dans les -, par Elkins, 515, 547. Assistance et éducation des
enfants
anormaux au point de vue socio- logique, par
s anormaux au point de vue socio- logique, par Gourjon, 86. des
enfants
idiots, 93. Asthénie bulbo-simnale. Un cas d' .
sive et un cas de parante pseudo-hypertrophlyne chez de ,1,(tties
enfants
, par Neustacdter, 76. - progressives spinales e
r ylarie(P.) et Vaschide, MS. Babinski Le réflexe de - chez les
enfants
, par Lerl, 180. Billet. Voir Goitre exol)hlalni
La théorie de 1 pat James, 382 FCÉPIIiL011(;L17E. Voir Myélite
Enfants
anormaux Voir Assistance. L'éducation et le dév
hine guérie par la suggestion pendant le sommeil naturel chez une
enfant
de six mois, par Faiez, 183. 1\F1TILIS\tE. Vo
349. Rachitisme congénital. Sur un cas (le avec nanisme, chez un
enfant
arriéré, par Garnie)'et Santenoise, 31. et id
céreux. Cousin mort de convulsions. Autre cou- sin idiot. ' Mère,
enfant
naturelle, céphalalgies. Demi-ltt ? zteii2cite,ii
rt relativement jeune d'un ramollisse- ment cérébral. Il avait deux
enfants
dont l'un a succombé à la tuberculose. Une SOEu
nq ans de la même maladie. Une autre SOEUI', bien portante, a eu un
enfant
enlevé par des convulsions. Un frère, eczémateu
a bouche, commettait de nombreux excès (tel- cooliques. L'un de ses
enfants
est mort à dix-neuf mois : « Il n'avait aucun s
mois : « Il n'avait aucun signe d'intelligence ; il était comme mon
enfant
. » Rien à mentionner dans le reste de la famill
e. 1 SCLÉROSE TUBÉREUSE. 31 Mère, trente-cinq ans, blanchisseuse,
enfant
naturelle, sobre, pas de convulsions, céphalalg
idées noires et raconte des choses imaginaires ; elle a eu trois
enfants
morts de méningite. » Dans le reste de la famille
nité. Inégalité d'âge de six ans (père plus âgé). P , ... , Trois
enfants
: Deux sont morts a cinq et seize mois, de coiivi
bu. Grossesse : émotion vive occasionnée par la mort de l'un de ses
enfants
, survenue alors qu'où le croyait mieux. Huit jo
ce qui effrayait la sage-femme ». - la naissance, pas d'asphyxie, l'
enfant
n'était « pas bien gros mais paraissait vivace
is beau- coup et étais mal nourrie. Il ne dill'érait pas des autres
enfants
physiquement, mais déjà, il ne me semblait pas
. Sa tête tombait de côté. Il ne souriait point. » A trois mois l'
enfant
si. été pris de convulsions. Les membres étaien
chevelu, ni traumatisme. Le sommeil était court et léger. Parfois l'
enfant
avait la nuit, et aussi le jour, « des actes de
ux. Oreilles assez grandes ourlet très accentué, lohule adhérent. L'
enfant
entend le bruit qui se fait autour de lui mais'
érieur est normal. L'évolution de la dentition est très retardée, l'
enfant
n'ayant encore que quatre incisives permanentes
ieds sur les jambes. Le gauche est, de plus, en adduction forcée. L'
enfant
, ne pouvant se tenir assis, reste au lit. L'app
autres fois très pâle et alors les yeux sont cernés, enfoncés, et l'
enfant
semble souffrir. La sensibilité générale est tr
ne pleure et ne sourit jamais. Le sommeil est très agité, court, l'
enfant
ne dort qu'une petite partie de la nuit. Quand
remue sa tête de droite et de gauche. Onanisme très fréquent : l'
enfant
porte la main gauche à la verge qu'il saisit entr
Les accès épilepti formes ont été très rares durant le séjour de l'
enfant
à Bicêtre et, malheureusement, nous n'avons pu
t, malheureusement, nous n'avons pu en avoir la description. V. L'
enfant
a succombé à la tuberculose ce qu'explique sura
II. ZD REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. I. Paralysie générale chez l'
enfant
; par J. THOJ ! S01\ et 1'e : r.srr. (Biitish mé
, telle que nous pouvons la mesurer par le taux de la mortalité des
enfants
nés dans ' Les cas de folie chez les enfants ne
ux de la mortalité des enfants nés dans ' Les cas de folie chez les
enfants
ne sont pas rares ainsi qu'on peut le voir en p
ents de morts-nés, -par la grande fréquence de l'épilepsie chez les
enfants
qui survivent, par les causes les plus communes
hilitique, c'est-à-dire que, dans la première, ce sont les premiers
enfants
qui sont normaux, puis il en vient d'autres qui
une conception qui s'est accomplie pendant l'ivresse et lorsque les
enfants
nés plus tard survivent la mère ayant été en pr
bacté- riologiques négatifs. F. 1301SSIER. IX. La folie chez les
enfants
; par (LETCfIER 13E.ACU. (The Journal of Mental
siècle que les auteurs ont accordé quelque attention à la folie des
enfants
. Les causes qui la déterminent sont nombreuses
es. Toutes les formes de psychoses peuvent se rencontrer chez les
enfants
, la démence (quelquefois liée à l'hérédité syphil
t devient même de plus en plus fréquent (en France si2 suicides d'
enfants
en seize ans ; en Russie, 57 en dix ans; l'auteur
de maladies cérébrales à forme de dégénérescence observés chez des
enfants
et ressemblant beau- coup à la paralysie généra
(On trouvera dans les 20 volumes des Comptes rendus du service des
enfants
de Bicêtre de nombreux exemples des différentes
re de nombreux exemples des différentes formes de la folie chez les
enfants
et les adolescents. Il y a là une véritable min
L- FORD-S)111'11. (Tite Journal or' Mental Science, juillet 89;.)
Enfant
de sept ans, pas d'hérédité fâcheuse. Né à terme,
issent normales; les autres sens sont intacts. Pas de paralysie ; l'
enfant
marche et court sans assistance. Il est sou- ve
avant l'opération, mais à l'heure actuelle on ne peut considérer l'
enfant
comme un microcéphale ; il faut voir là plutôt
e par la longueur du travail de l'accouchement, qui a fait naître l'
enfant
en état d'asphyxie. L'opération a consisté en u
trois sec- tions (le 13 et le 27 août, et le 12 septembre 18)5). L'
enfant
a vite et bien guéri à la suite de chacune des
itement de l'idiotie. R. M. G. IX. Le traitement et l'éducation des
enfants
faibles d'esprit et imbéciles au point de vue d
située dans un faubourg de Copen- hague ; elle comprend environ 200
enfants
dont quelques-uns ne sont susceptibles d'aucune
olien. Le ? dortoirs sont simples, mais propres et confortables les
enfants
paraissent bien nourris. Asile cllsloriilll t&l
220 dans les différents asiles). A Brème il y a une école pour les
enfants
faibles d'esprit. Elle reçoit 82 élèves et l'on
lques années, une autre jeune fille qui, adoptée par un ménage sans
enfants
, se montrait fort vicieuse ; elle mentait, vola
quement à faire de l'orthopédie mentale et morale, surtout chez les
enfants
. Grâce à la pédagogie suggestive, j'ai obtenu d
dant le sommeil naturel. M. Peu de SAOET-IAHTIN. J'eus à soigner un
enfant
à la fois vicieux , paresseux et arriéré. Les p
chnique. Le traitement fut assez long, mais je parvins à guérir cet
enfant
de ses vices. Par surcroit, comme ce fait a déj
elle qu'à l'une de nos dernières séances, j'ai rapporté le cas d'un
enfant
atteint d'incontinence d'urine et guéri, lui au
vice proprement dit, qui comprend : a) L'école et les exercices des
enfants
; b) L'ensei- gnement professionnel ; c) Le mouv
s ï Il BIBLIOGRAPHIE. causes. Le 1er janvier 1898, il y avait 459
enfants
: le 31 décembre 1898, il y en avait 462. Puis,
: création de classes annexées ou non aux écoles primaires pour les
enfants
arriérés : documents suisses, anglais, belges.
ns relatives à l'ussistancc et au traitement médico-pédagogique des
enfants
anormaux : intervenir le plus tôt possible. Dan
tervenir le plus tôt possible. Dans une note sur la criminalité des
enfants
et des adolescents, il propose, comme prophylax
omplète étude sur une épidémie de fièvre typhoïde : 21 cas, dont 10
enfants
idiots. Et n'oublions pas l'action de l'alcooli
janvier 1879 au ICI' janvier 1898, on a trouvé que les pères de 667
enfants
faisaient des excès de boissons : 154 avaient é
iques, il est unanimement reconnu aujourd'hui que l'état mental des
enfants
est en relation directe avec leur poids, leur t
ons du poids, de la taille, des mensurations pour chaque âge ; et l'
enfant
, suivant qu'il serait au-dessus ou au-dessous d
D 1 C 0 - P É DA GOG 1 QUE, Il y a quelques jours nous avons vu un
enfant
idiot de sept à huit ans, dont l'état est très
méliorer. » Notre confrère à commis une erreur. On doit traiter ces
enfants
dès que l'idiotie est reconnue et au plus tard
vait trouvé sous sa main. (Le Journal du 29 mars 1900.) Suicide d'
enfant
. Un désespéré de douze ans. Le mécanicien du tr
ndu sur la voie. On fit des recherches et on trouva le cadavre d'un
enfant
d'une douzaine d'années dont la tête était déta
t à son se- cours. Il n'était que temps, car le visage de la pauvre
enfant
était déjà congestionné. (Le Bonhomme Normand,
re les actes stupides de ce genre. Les individus qui font boire des
enfants
sont malheureusement très nombreux. Aussi dans
ier effort, infructueux et désespéré de se remettre sur pied. Que d'
enfants
perclus ne sont si difficiles à faire bouger qu
rcices ; c'est ce que démontrent si victo- pieusement les mains dcs
enfants
aveugles. Ici, nombre de collègues nous objecte
, était devenue extrêmement difficile par suite d'une paralysie d'
enfant
sur- venue dès son plus bas âge ; en conséque
involontaire d'urine et de matières fécales. Au dire de la mère, l'
enfant
passa ensuite huit jours au lit en proie à des
quelques-unes furent suivies de troubles mentaux et de la Charité l'
enfant
fut trans- férée d'office à l'Admission de l'As
he du corps et de la face, depuis leur invasion l'intelligence de l'
enfant
avait cessé de se développer et demeurait lente
vait au cours de celle-ci provoquer des réponses raisonnables que l'
enfant
se rappelait ensuite. Le côté gauche présentait t
des progrès à l'école et prend une part active aux jeux des autres
enfants
, la transformation est absolue, le développemen
, il est franchement microcéphale et correspondrait à celui d'une
enfant
ayant cinq ou six ans au moins au-dessous de l'âg
toute la laxité désirable comme dans les têtes les plus normales d'
enfants
du même âge. Le diamètre fron- to-occipital mes
aurait eu 9 grossesses, et nous y avons relevé 2 fausses couches; 4
enfants
morts dans les premiers mois avec des éruptions
tuels, hallucinations visuelles, folie mystique qui font renvoyer l'
enfant
de l'orphelinat religieux où elle était placée.
eu de renseignements sur les antécédents pathologiques du pere de l'
enfant
. Il avait habituellement une bonne santé, se pl
Le 20 mai, on la trouva chez elle, les yeux hagards, demandant ses
enfants
, refusant de manger, voulant tout garder pour eux
. Un autre oncle paternel est asthmatique, il est ma- rié, a quatre
enfants
bien portants ; il a perdu une fille poitrinaire
perdu une fille poitrinaire à vingt ans. Une tante paternelle, sans
enfants
, est devenue folle à la suite de pertes d'argen
élibataires, deux intelligents, dont l'un aurait eu la chorée étant
enfant
. L'autre, aliéné, est actuellement interné à l'
anguinité. Inégalité d'âge de trois ans en faveur du mari. Quatre
enfants
: 1° L'ainée, fille, seize ans et demi, n'a jamai
e son internement vit avec un ami depuis dix ans, elle n'a pas eu d'
enfants
avec lui. ' Antécédents personnels. A la concep
apports, sur- tout quand il avait bu. La mère ne peut préciser si l'
enfant
a été conçue pendant l'ivresse. Au cours de la
terme, présentation du sommet, beaucoup d'eau. - A la naissance, l'
enfant
ne présentait rien de particulier. - La mère l'
patronage qui la plaça d'office à la Fondation Vallée. Chez elle, l'
enfant
n'était pas dévote. Elle était douce, docile, m
miers troubles intellectuels se sont montrés pendant le séjour de l'
enfant
aux Andelys ; ils ont débuté fin février 1899 et
enton est arrondi; pas de progna- thisme du maxillaire inférieur. L'
enfant
n'a pas de troubles du goût. Les oreilles n'ont
de la main, pro- duite accidentellement par de l'eau bouillante. L'
enfant
était'âgée de trois ans au moment de l'accident
t plats. Les réflexes et les mouvements volontaires sont normaux. L'
enfant
résiste bien aux mouvements provoqués. Pubert
. La sensibilité générale'. semble normale dans tous ses modes. L'
enfant
parait assez intelligente, la parole est libre. L
on l'approche, menace de frapper; elle fuit la compagnie des autres
enfants
, recherche la solitude, refuse de manger, son alt
e prend leton de l'exhortation, parle des choses saintes aux autres
enfants
, leur recommandant d'être bien sages et de ne p
ent mé- chante, rageuse. FOLIE DE L'ADOLESCENCE. 119 Le soir, l'
enfant
est d'une pruderie exagérée, elle refuse de se
culté z,6). Dans la journée, elle demande à s'occuper des petits
enfants
qui sont à l'infirmerie, elle est douce, maternel
à descendre travailler à l'ouvroir. : . 22.- Depuis le 9 mars, l'
enfant
a quitté l'infirmerie. Elle partage les jeux et
uitté l'infirmerie. Elle partage les jeux et les travaux des autres
enfants
, elle est raisonnable et n'a rien présenté d'an
citée, prononce des paroles in- cohérentes. La diarrhée persiste, l'
enfant
gâte au lit, elle ne peut s'habiller ni se désh
. - Même agitation, Gas . se lève pour tirer les cheveux des autres
enfants
, leur pincer le nez. On est obligé de la mainteni
On est obligé de la maintenir au lit. Le gâtisme persiste. 25. L'
enfant
a passé la nuit à chanter, à rire. Ce matin, on l
portait au cou, on ne l'a retenue au lit qu'avec difficulté. - L'
enfant
ne fait plus sa prière, ne parle plus de Dieu ni
is s'est couchée et s'est endormie d'un profond sommeil. 30. -- L'
enfant
est calme, demande à descendre jouer avec les a
0. -- L'enfant est calme, demande à descendre jouer avec les autres
enfants
, les reconnait, parle et joue gentiment avec elle
tte elle- même. 1er avril. Le mieux s'accentue de plus en plus, l'
enfant
est un peu triste, elle pâlit et rougit sans mo
vec plaisir les occupations et les jeux de ses compagnes. 10. - L'
enfant
continue à bien aller. Hier, elle a eu la visite
e à sa mère et à sa soeur qui sont loin d'elle. · Hier au soir, l'
enfant
était triste, songeuse, son-regard était brilla
aré, la phy- sionomie plus calme.. : 28. - La nuit a été bonne. L'
enfant
est triste, pleure, dit s'en- nuyer de sa mère,
rie, elle n'est plus triste, elle joue et travaille auec les autres
enfants
. z20. L'enfant est très appliquée, très obéissa
us triste, elle joue et travaille auec les autres enfants. z20. L'
enfant
est très appliquée, très obéissante ; elle travai
tranquille. 1er septembre.. - Depuis trois mois, rien à signaler, l'
enfant
raisonne et travaille bien. .Décembre. Gass..
EnA1'AL. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. '14'7 i XXVII. Le traitement des
enfants
idiots et arriérés en Belgique ; par le Dl LEY.
, est très en retard sur les autres pays en matière d'éducation des
enfants
idiots et arriérés. Il propose, conformément au
e encore sans solution précise. 2° L'étiologie de l'hystérie chez l'
enfant
comme chez l'adulte est très obscure. Tout ce q
s méthodes vicieuses d'éducation et de discipline, l'alcoolisme des
enfants
et le traumatisme. 3° L'hystérie frappe les g
oportion de un contre deux : elle est comparativement rare chez les
enfants
au-dessous de huit ans. REVUE DE PATHOLOGIE NER
f ans présentant tous les attributs physiques et intellectuels d'un
enfant
de douze ans. Sauf un léger gonflement des joue
princi- paux : 1° Elles atteignent sans changer de forme plusieurs
enfants
d'une même génération ; 2° elles débutent à peu
même génération ; 2° elles débutent à peu près au même âge chez les
enfants
d'une même génération ; 3° elles sont indé- pen
ablir l'état actuel de la question de la sclérose en plaques chez l'
enfant
, où son existence est encore controuvée. L'ét
des carnassiers et des rongeurs jeunes, d'âges gradués, et chez des
enfants
du premier âge. Elle a noté l'état systématique
mmifères et homologues à ceux que l'on connaît pour le cerveau de l'
enfant
; et enfin que tant qu'il y a dans l'écorce cel
' R.-W. Ihnfeldt (de New- York). - Rapport entre la criminalité des
enfants
et l'alcoolisme des parents. Etude clinique, pa
up de bêche qui l'étend morte. Un habitant du village (père de cinq
enfants
) a aperçu Mme Raynaud-Lacroze fuyant devant D..
- sion. Détail navrant : Ce 'malheureux est marié et père de deux
enfants
. (Le Soleil du 31 janvier 1900). Suicide. - Ven
condamnée à huit mois de prison. (Le Bonhomme Normand, 3 mai.) Et l'
enfant
! Les suites de l'ivresse. Le sieur Morin, cinq
ormand du 12 juillet.) Hospice DE Bicètre. - Maladies nerveuses des
enfants
: Ji. BOUR- NEVILLE, le samedi à 9 Il. 1/2. B
des sillons profonds ; le D' Dvmil L Bl UNE 1'. Le nommé zozo"
enfant
assisté d'lngoulème, né en 181-i, entre à l'asi
pathologiques et histologiques faites par eux à l'autopsie d'une
enfant
de sept ans, qui avait présenté, de son vivant, l
rgent et en objets précieux de mettre à mort son mari, trois de ses
enfants
et cinq de ses amis. La femme Sauter a toujou
aurait exprimé alors le désir de voir mourir son mari, trois de ses
enfants
, et cinq amis et elle promettait à la som- namb
xpliquer notamment pourquoi Mme S... avait choisi trois de ses cinq
enfants
, et encore moins pourquoi elle avait condamné à
urpris par le calme avec lequel elle signait l'arrêt de mort de ses
enfants
et de ses amis. C'est donc un crime par sug- ge
d'une impulsion violente qui l'emporte il tuer avec un couteau l'
enfant
qu'elle allaite : elle jette le couteau, se préci
si elle avait été inca- pable de résister et si elle avait tué son
enfant
, Sir James Stephen l'aurait considérée comme re
st par l'étude des faits normaux et pathologiques, par l'étude de l'
enfant
et des aliénés qu'ils sont parvenus à suivre le d
A. VARIA. 67 Neuve, M. Philippe Lerentier, marié et père de trois
enfants
, sui- vait depuis quelques jours avec passion l
rise de folie au cours de laquelle il traita sa femme de mangeuse d'
enfants
. « Oui, disait-il, tu es l'impératrice de Chine
insi. » Après avoir roué de coups la malheureuse, l'aliéné prit ses
enfants
par les jambes et les lança violemment sous les
ri s'éleva, et ce fut le bruit d'une chute sur le pavé de la rue. L'
enfant
se précipita dans la chambre et par la baie ape
B... (Le Radical du 3 janvier 1900). 370 faits divers. SUICIDES d'
enfant
. Le jeune Auguste Folliot, treize ans, domestiq
rouvait à environ 80 centimètres du sol et les genoux du malheureux
enfant
Lou- chaient presque la terre. On ignore les mo
it un coup de couteau. (Le Bonhomme Normand, 15 au 21 juin 1900.)
Enfant
suicidé par nostalgie. - Les époux Alphonse, ne t
pour la région des mines, où le mari trouva à s'embaucher. L'un des
enfants
, la petite Elise, âgée de treize ans, ne put se
en finir avec l'existence. L'on ne prit pas garde à cette menace d'
enfant
. L'on vient de trouver la petite Elise pendue dan
r l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie, Compte rendu du service des
enfants
idiots, épilep- tiques et arriérés de Bicêtre p
IL C. P. Londres,ex-médecin en chef des écoles de Darenth pour les
enfants
imbéciles (Dartl'ord, Kent). Déjà, à une époq
des habi- tants, de produire une déformation cranienne, chez leurs
enfants
, car, pensaient-ils, « aux plus illustres, appa
est la lésiuu caractéristique dans ces cas, qui affectent, chez les
enfants
dans la période de croissance, aussi bien les c
érations étaient évidemment congénitales, et quoique la mère de cet
enfant
pensât qu'il était bien portant à la naissance,
(Journal médical et chirurgical de l'Ecosse, mars 1898) le cas d'un
enfant
de trois ans chez qui on trouva, à l'autopsie,
rveaux sains. La nutrition et la circulation, défectueuses chez ces
enfants
, conduisirent l'un à penser que l'état vicieux
exprime l'opinion que « ces idiots mongols sont essentiellement des
enfants
inachevés et que cet aspect singulier est réell
ent celui d'une phase de la vie foetale ». (Affections mentales des
enfants
.) 5° Dans les cas névropathiques congénitaux (g
5° Dans les cas névropathiques congénitaux (genetous), surtout des
enfants
nerveux ordinairement issus de parents névrotique
(microgyrie). 6Ù Les cas d'idiotie survenant très tôt dans la vie d'
enfants
atteints de dégénérescence cérébrale, comme l'o
écouvrant une partie du ventricule latéral (Affections mentales des
enfants
, p. 51. Planche à montrer). Dans un cas relaté
rmale des circonvolu- tions. Le De Holt a trouvé dans le cas d'un
enfant
qui eut plus de 3 500 accès convulsifs distinct
s cellules nerveuses, pas plus grand que celui qu'on observe chez l'
enfant
sain de trois à cinq ans. » Le Dr Andriezen, au
Communication sur le traitement précoce des troubles mentaux chez l
enfant
in Annales de l'association médicale américaine
imbécillité épileptiques, et à l'épilepsie foetale survenant chez l'
enfant
, c'est-à-dire : anomalies de croissance et de nut
r l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des
enfants
idiots, etc., de Bicêtre pendant l'année 1890.
un exposé des examens histologiques pratiqués sur les cerveaux des
enfants
décédés dans la section speciale de Bicêtre. No
ent ou entravent le développement de l'écriture en miroir : cette
enfant
, âgée de huit ans et demi, née gauchère, apprit s
re dans toute sa rigueur que chez le foetus humain et chez le jeune
enfant
. Ma divison est fondée sur l'emploi de la méthode
présence d'une couronne rayonnante ne peut être démontrée ni chez l'
enfant
ni chez l'adulte. Celle-ci ne s'y forme donc pa
. Si l'on veut entrer dans cette voie, il est logique de mettre les
enfants
en garde contre toute espèce de sug- gestion qu
cuse d'avoir plongé le monde entier dans le malheur, il a mangé ses
enfants
; chaque fois qu'il mange ou qu'il se retourne d
ades indigents. Drames DE l'alcoolisme. Un père qui étrangle, son
enfant
. Un drame navrant, ayant pour cause l'alcoolism
er et de nourrlr, ce qui l'empêcha de travailler. La naissance de l'
enfant
avait contrarié Grandjean, qui ne rentra plus au
s'arma d'une hachette et se précipita sur la malheureuse et sur son
enfant
; courageusement, la garde-malade s'interposa et
e-malade s'interposa et fit dévier l'arme, si bien que la mère et l'
enfant
ne furent que légèrement atteints à la tête. Sala
ment de folie furieuse, sur son petit-fils qui jouait avec d'autres
enfants
sur le bord de la rivière. L'énergumène, d'un c
e du pauvre petit et la mangea. On eut mille peines à lui enlever l'
enfant
dont elle voulait absolument manger l'autre ore
sistance et de l'hospitalisation des épileptiques. Assistance DES
enfants
anormaux. A la séance du 12 septembre, dans l'a
nelle, ont été jugées, entre autres, les affaires suivantes : 1° Un
enfant
de treize ans, domestique près de Alouthiers, le
que de causer un accident terrible. On s'en est aperçu à temps. Cet
enfant
, à l'aspect inintelligent, répond à peine à l'i
suffisamment puni par un mois environ de prison préventive. 2° Un
enfant
de onze ans, le jeune Buisson, de la commune de
le laisse à sa famille. faits divers. 331 1 3° C'est encore un
enfant
, de neuf ans celui-là, d'lngoulème, fils d'une
etit voleur. Le tribunal pourtant redoute encore pour ce malheureux
enfant
la maison de correction et préfère, après l'avo
ménagère à Croix-Chapeau. Samedi dernier, la femme Violet envoya l'
enfant
à l'extrémité du village, pour faire une commissi
pice où on la reconnut pour être la petite échappée de la veille. L'
enfant
ne paraît pas jouir de toutes ses facultés. (Pe
r l'épilepsie, l'hystérie et l'idiolie. Compte rendu du service des
enfants
idiots, épliep- tiques et arriérés de Bicêtre p
malade, ne serait-ce que pour son état moral. L'hémiplégique, « cet
enfant
peu gâté de la thérapeutique », comme l'appelle
ns ces deux cas elle n'a donné que des résultats négatifs. Chez les
enfants
et chez les hémiplégiques, au début de la malad
usculaires pour empêcher l'apparition de la contracture ou chez les
enfants
hémiplégiques (B). ' Un extrait de cet article
ONAL DE MÉDECINE. leux restent un peu en.retard ; cependant chez un
enfant
d'un mois, où une..grande partie du cerveau ne
lité d'améliorer encore davantage, jusqu'à l'état normal moyen, les
enfants
dont le cerveau est dans de moins mauvaises con
d'un excitant déterminé : le fétiche. Commotionné, alors qu'il est
enfant
ou ado- lescent, par une impression forte, d'or
ndes villes devraient être pour- vues de classes spéciales pour les
enfants
arriérés. Une enquête a été faite sur le foncti
. Sur son inspiration, son interne Katz a examiné le thy- mus de 61
enfants
de l'hôpital des Enfants-Malades, par suite chez
de 61 enfants de l'hôpital des Enfants-Malades, par suite chez des
enfants
normaux. Chez tous, le thymus a été trouvé. Chez
des enfants normaux. Chez tous, le thymus a été trouvé. Chez les -
enfants
normaux, le thymus existe toujours : chez les enf
é. Chez les - enfants normaux, le thymus existe toujours : chez les
enfants
arrié- rés, idiots, imbéciles ou épileptiques,
rvation fort intéressante de sclérose en placée* disséminées chez l'
enfant
. Bourneville en possède encore trois autres obs
cesse renaissantes que nous avons créé et organisé la section des
enfants
: toute initiative est mal vue, plus que jamais,
xes rotuliens, venait cependant révéler A propos DE l'éducation DES
enfants
arriérés. 4G1 1 l'existence d'un trouble latent
t. ASSISTANCE ET PÉDAGOGIE SPÉCIALE. A propos de l'éducation des
enfants
arriérés; Par le Dl "'Ali L, Médecin adjoint
ible en adoptant l'obligation de l'assistance et de l'éducation des
enfants
idiots, arriérés, épi- leptiques, etc. ; 462
gie spéciale. 2° Qu'il soit fait un recensement spécial de tous les
enfants
anormaux ; 3° Qu'il soit créé pour les recevo
s membres du jury, les inspecteurs et que chaque établissement pour
enfants
anor- maux, rédige annuellement sa monographie
an et quelques autres mots très simples A PROPOS DE L ÉDUCATION DES
ENFANTS
ARRIÉRÉS. 463 et ne dépasse jamais ce faible ni
t le rôle de l'instituteur. C'est donc à lui qu'on doit confier ces
enfants
, dans les conditions que nous discuterons plus
ême que c'est à lui qu'il appartient d'instruire et d'éduquer les
enfants
simplement arriérés, vicieux ou épileptiques que,
ensable que l'obligation de secourir, d'assister et d'instruire les
enfants
imbéciles, arrié- rés et épileptiques, soit rég
on de la liberté individuelle elle ne se pose pas davan- tage ; les
enfants
élevés dans des maisons d'éducation pour arriér
du. En général ce sont les familles qui demandent le placement d'un
enfant
arriéré dans une maison spéciale. Or, dans beau
isons que nous ne croyons pas que l'obligation de l'éducation des
enfants
imbéciles, arriérés et épileptiques, puisse être
aliénés. C'est une nouvelle loi à faire, loi sur l'éducation des
enfants
qui par leurs troubles on leur faiblesse intellec
ce dans les écoles publiques. 2° Sur le voeu n° 2 : Recensement des
enfants
anormaux, nous nous bornerons à signaler la dif
us ne saurions admettre en effet le voeu n° 4. L'état mental de ces
enfants
est un état pathologique ; c'est donc au médeci
le voeu n° 4 est en contradiction for- A propos DE l'éducation DES
enfants
arriérés. 465 mclle avec le voeu n° 3. Si on an
lissement d'aliénés; si même on fait des établissements autonomes d'
enfants
anormaux régis par la loi sur les aliénés il es
emis, comme le fait l'Assis- tance publique de Paris au service des
Enfants
assistés, qui s'occupe d'eux en l'absence des'
tent. D1' 'V.IllL. II La question d'assistance et d'éducation des
enfants
arriérés, a été soulevée bien avant le Axe Cong
ès '1879, M. le D'' Bourneville organisait à Bicètre la section des
enfants
idiots et épileptiques, de même qu'en 1890 il o
ux tilles, et en 1893 l'Institut médico-pédagogique, consacré aux
enfants
arriérés et nerveux pour les familles aisées. Par
ouen en 1896. à Rennes en 1898, elle a émis des voeux en faveur des
enfants
qu'avait laissés de côté la loi du 22 mars 1882
tres, comme pour eux-mêmes et ne peu-' vent être confondus avec les
enfants
normaux. La loi du 30 juin 1838 doit, à notre s
'elle ne considère plus simplement comme des aliénés à enfermer les
enfants
idiots, mais comme des malades, 1 Disons en pas
nseignement, la plupart des médecins. A propos DE l'éducation DES
enfants
arriérés. 467 comme des enfants qui peuvent, da
cins. A propos DE l'éducation DES enfants arriérés. 467 comme des
enfants
qui peuvent, dans la grande majorité des cas, t
suffit de supprimer la cause de leur vagabondage pour en faire des
enfants
ordinaires ; quant aux seconds, ils sont* des i
iérés de l'autre. En les englobant tous sous la rubrique générale d'
enfants
anor- maux, la Commission du Congrès qui, comme
nement, n'a voulu, malgré notre intervention, voir en eux que des
enfants
à instruire et non des malades à soigner. La dis-
1 Sous la dénomination générale d'idiots nous comprenons tous les
enfants
qui présentent une arriération plus ou moins acce
oint de vue intellectuel et moral, depuis l'idiot complet jusqu'à l'
enfant
qui présente une légère différence avec l'enfan
complet jusqu'à l'enfant qui présente une légère différence avec l'
enfant
normal. 468 ASSISTANCE ET PÉDAGOGIE SPÉCIALE.
n rapport préalable sur une question ainsi formulée : Education des
enfants
anormaux Moyens et employer pour assurer leur i
est aujourd'hui condamnée par les tra- a PROPOS DE l'éducation DES
enfants
arriérés. 469 vaux de Ferrus, Falret, Edouard S
n province, lo établissements privés reçoivent quelques centaines d'
enfants
. Dans les départements qui ne possèdent aucun é
s les départements qui ne possèdent aucun établissement spécial les
enfants
idiots reconnus dangereux sont enfermés dans, l
s sections spé- ciales destinées au traitement et à l'éducation des
enfants
idiots, imbéciles, arriérés, crétins, épileptiq
ible en adoptant l'obligation de l'assistance et de l'éducation des
enfants
idiots, arriérés, etc. ; 3° Qu'il soit fait un
iérés, etc. ; 3° Qu'il soit fait un recensement spécial de tous les
enfants
anormaux ; 4° Qu'il soit créé, pour les recevoir,
au sujet de l'hospitalisation, du traitement et de l'éducation des
enfants
anormaux de cette catégorie spéciale. * Il igno
iots et les crétins continueront à être A propos DE l'éducation DES
enfants
ARRIÉRÉS. 471 1 admis dans les asiles d'aliénés
es sections spéciales destinés au traite- ment et à l'éducation des
enfants
idiots, imbéciles, ARRIÉRÉS, crétins, épileptiq
L Ernest Lafond n'avait fait que reproduire, en ce qui concerne les
enfants
idiots, épileptiques, etc., les conclusions de
car il n'y en a pas un seul où il n'y ait pas au moins trois cents
enfants
des 'deux sexes pour lesquels s'impose impérieu
de réforme qui s'impose la création de classes spéciales pour les
enfants
arriérés, c'est-à-dire les moins malades et dont
ation de l'enseignement pourra être appliquée à cette catégorie d'
enfants
anormaux, la plus considérable. L'auteur du rap
cètre, mis à sa disposition chaque année, il aurait vu que tous ces
enfants
sont incontestablement des malades et que, p1.r
, au moyen d'arguments spécieux 1. Le peu ou pas de viabilité des
enfants
, des idiots moraux, ou criminels nés, la stéril
lades de nos hôpitaux. L'idiotie morale est très fréquente chez les
enfants
des aliénés, et '-Le même principe peut servir
ts, et ce déve- loppement morbide exagéré est encore accru chez les
enfants
des aliénés, par la transmission héréditaire qu
crime, qui sont bien de la même z famille, de se produire chez ces
enfants
, il importe de réprimer leurs sentiments de la
a fréquence de l'hérédité dans l'étiologie des états mentaux chez l'
enfant
. M. Dans -)16 cas de débilité mentale ou d'imbé
tave d'OLAK (de Buda-Pesth). ' t Rapport entre la criminalité des
enfants
et alcoolisme des parents ; élude clinique; par
di- minution de la' résistance vitale est surtout marquée chez les
enfants
du premier âge, au-dessous de trois ans, dont l
de vue, celles qui marquent leur action sur le moins grand nombre d'
enfants
sont : les hérédités vésanique et cérébrale; pu
hommes et des femmes normaux, l'extension très rarement ; chez les
enfants
la flexion se produisit en 30 p. 100 des cas, e
miction involontaire, exactement comme la peur, notamment chez les
enfants
qui pleurent. Il en faudrait chercher la raison
ble. Ils s'approchèrent et interrogèrent l'inconnue. Je cherche mon
enfant
, leur déclara- t-elle. Elle se cache au pied de
lle à la suite de la perte d'une fillette de quatre ans, son unique
enfant
. (Le Matin, 25 septembre 1900.) L'aliéné de la
lie. Mme Mélanie Gayltout, âgée de trente et un ans et mère de deux
enfants
, demeurant à Rosny-sous-Bois, a tenté de se sui
en buvait elle-même l'autre moitié. Elle se couchait alors avec son
enfant
sur son lit, puis trouvant que la mort ne venai
. Gayltout rentra il trouva sa femme sans connais- sance tenant son
enfant
embrassée sur le lit. Affolé, il courut cher- c
est tué ensuite. (Le Bonhomme Norma'id, 27 juillet 1900.) Suicide d'
enfant
. - A Pont-de-1'Arche (Eure), un petit domes- ti
ue je te tue aujourd'hui. » Puis, malgré les pleurs des cinq petits
enfants
, qui imploraient pour leur mère en criant : « Mam
it elle-même précipitée par la fenêtre. Mais le témoignage des cinq
enfants
ainsi que les déclarations des voisins qui ont en
isins charitables ont bien voulu se charger provisoirement des cinq
enfants
dont l'aînée, une fille, est âgée de sept ans.
fert à l'hôpital. (Le Bonhomme Normand, 18 octobre 1900.) Encore un
enfant
qui MET le feu. Nous avons dit que deux bâtimen
Contre l'- 78. Drames de l ? 187, 2G7, 317, 527. Criminalité des
enfants
et - des parents, par lioubmowitch, 493. Alié
que et de l'- organique,' par Crccq, 148. Arriéras. Education des
enfants
- , par \\'ahl, par Boyer et Bour- neville, 4
d'Olak, 493. Personnel des - par Doutrebente 493. Assistance des
enfants
anormaux, 350. TABLE DES MATIERES. 635 At
de la région lombo sacrée, par Bruche, 131. Polie. La - chez les
enfants
par l3each, 44. - de l'adolescence, par llour
cérébraux, par Vogt, 174. Hérédité dans les états mentaux de l'
enfant
, par Blin, 492. Nocivité de Il pathologique, pa
oelle émnunE. Géographie de la , par Benoit, 126. Mouvements de l'
enfant
, par Mum- ford, 151, J\hOGRAPIlE. Nouveau, -,
aux trois périodes de la ,au Marandon de Alontyel, 16, - chez l'
enfant
, par Thomson et Welsch, 40. - juvénile par Boyl
Bérillon zig. Som- meil naturel et-, par Farez, 521. Suicide. - d'
enfant
, 78, 270. d'une adolescente, 78. Supplice de
gaz. Mais bientôt son tra- vail ne put plus être qu'intermittent. L'
enfant
restait souvent plusieurs jours de suite à la m
t impossible de jamais terminer tout à fait une année scolaire. L'
enfant
passa ses vacances à la campagne. Sous l'influenc
es où il ne dormit pas. Enfin, le moral fut affecté à son tour et l'
enfant
, découragé, DE LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS. 3
qu'à se louer de son élève. En juillet 1878, à l'âge de onze ans, l'
enfant
était à la campagne, où il passait ordinaire- G
at gastrique s'amenda ; mais les douleurs de tête persis- tèrent. L'
enfant
, jusque-là d'un caractère facile et plutôt gai,
il. Au mois d'août, comme l'état ne s'améliorait pas, on emmena l'
enfant
à Ragatz, sur les conseils du Dr Blache, médecin
r s'écoulèrent, comme les précédents à la campagne, et sans que l'
enfant
pût reprendre ses études. Au printemps, le Dr Bla
nsibilité à la pression. La douleur ne descend pas dans les yeux. L'
enfant
est légèrement hyper- métrope, mais M. Perrin,
bien par le temps humide et lourd que par le temps froid et sec. L'
enfant
est d'un tempérament lymphatique; les oreilles
iers jours, il y eut une légère amélioration après chaque douche. L'
enfant
, qui avait recommencé l'hydrothérapie avec la p
tait trop prolongé. Mais alors le repos suffisait pour l'apaiser. L'
enfant
était de nouveau gai et d'humeur facile. Il ava
ncore que celui de l'année précédente. Au bout de trois semaines, l'
enfant
reprit ses études, et put travailler deux heure
jour, habi- tuellement le soir, vers cinq heures. Au mois d'août, l'
enfant
repartit pour la campagne, et nerevint à Paris
gne en ont eu chaque fois facilement raison. Depuis le nouvel an, l'
enfant
t est rentré chez lui et, fréquente l'école com
yant éprouvé que de légères atteintes de rhumatisme musculaire. Cet
enfant
a tou- jours été d'une santé délicate. A deux a
fut suivie d'une coqueluche très intense et de très longue durée. L'
enfant
fit sa première instruction faci- lement. Ce fu
gestifs, l'estomac étant toujours resté fort délicat. A neuf ans, l'
enfant
fut placé au collège Sainte-Marie et y resta si
ain nombre de prix. On passa les vacances au bord de la mer, mais l'
enfant
n'y fut pas soulagé. Il rentra au collège au mo
qu'après différentes tentatives on dut se résigner à faire sortir l'
enfant
du collège. Différentes médications furent mise
n séjour dans le Midi. Mais rien n'y fit et, vers le mois d'août, l'
enfant
revint à Paris dans le même état. A Pâques, o
en appréciable dans sa situation. Les vacances achevées, on plaça l'
enfant
à l'école de la rue de Madrid. Il y contracta l
espéra tout d'abord que cette affection aiguë allait débarrasser l'
enfant
de sa céphalalgie, mais il n'en fut rien. Bien
d'avis de tenter la gymnastique et l'hydrothérapie, et on envoya l'
enfant
dans un gymnase. Mais il dut renoncer à ce mode
rgé de cette mission, dit qu'il était impossible de faire étudier l'
enfant
, et il conseilla aux parents d'interrompre tout
rents d'interrompre tout travail. Au mois de juillet, on emmena l'
enfant
au Righi. Pendant tout le mois qu'il séjourna s
fut descendu du Righi à Vevey, les maux de tête le ressaisirent. L'
enfant
y eut aussi des accès de fièvre, à caractère in
ctobre, le Dr Bucquoy conseilla d'essayer de l'école d'Arcueil où l'
enfant
se trouverait dans des conditions hygiéniques m
ait alors douze ans. Voici ce que l'examen du malade nous apprit. L'
enfant
se plaint d'une douleur, dont il fixe le siège
ommet de la tète, mais elle ne gagne jamais la région occipitale. L'
enfant
comp arc cette douleur à une pression très éner
supportable. Elle s'aggrave toujours dans la matinée, surtout si l'
enfant
veut s'appliquer. Il y a une légère rémission imm
bien, mais tardivement quelquefois. La mémoire reste excellente. L'
enfant
est très affecté de son état; il est animé des
ment ses camarades, s'il pouvait travailler avec un peu de suite. L'
enfant
se plaint d'avoir tou- jours les pieds et les m
fièvre revenaient à cette époque tous les jours à cinq heures. L'
enfant
commença son traitement le 10 novembre. Douche
. Vers la sixième semaine, elle avait presque totalement cédé, et l'
enfant
put commencer à lire un peu. On se contenta cep
tat parut si satisfaisant au Dr Bucquoy, qu'il consentit à ce que l'
enfant
retourne au collège d'Arcueil. Mais la sépa- ra
au collège d'Arcueil. Mais la sépa- ration impressionna vivement l'
enfant
. Il eut, le soir de son entrée, une crise de dé
sa quelques jours, mais on dut bientôt faire quitter le collége à l'
enfant
. Comme la saison s'avançait, le Dr Bucquoy cons
s'avançait, le Dr Bucquoy conseilla aux parents de se rendre avec l'
enfant
aux eaux de Saint-Nectaire, dont il avait souve
ette affection. Pendant tout le temps du séjour à Saint-Nectaire, l'
enfant
se porta très bien; mais, à peine rentré à la c
disparurent une nouvelle fois, et l'on se proposait de remettre l'
enfant
en classe, quand, le jour de Noël, étant à l'égli
assez de violence. Doué de beaucoup d'énergie et d'amour- propre, l'
enfant
n'en persista pas moins dans ses études, et il
ès le travail; elle cessait le soir, aussitôt qu'il était au lit. L'
enfant
passa l'été à la campagne, et là, les douleurs de
ue, le mal de tète reparut, et il s'aggrava bientôt tellement que l'
enfant
dut quitter le collège au mois de janvier. M. M
semaines, on dut y renoncer, les douleurs paraissant s'aggraver. L'
enfant
resta chez lui jusqu'au mois de juillet. On l'e
t. L'hiver de 1881 à 1882 se passa comme les précédents, sans que l'
enfant
put travailler plus d'une heure par jour. Au mo
eune malade, pour reprendre la cure hydrothérapique. A ce moment, l'
enfant
avait quinze ans. Il y avait quatre ans qu'il é
accalmie assez marquée après chaque séance et, au bout d'un mois, l'
enfant
n'éprouvait plus ses douleurs que tous les deux
avail pouvait être soutenu sans peine, plusieurs heures de suite. L'
enfant
partit pour la campagne vers les pre- miers jou
c quelques douches. Mais, à la rentrée, ils ont reparu un peu, et l'
enfant
vient de reprendre son traitement tout en conti
e fut adressé au mois de mars 1879 par mon ami le Dr Clleurlot. Cet
enfant
n'a jamais été bien malade. La famille n'est pa
parmi les meilleurs élèves de sa classe. Depuis environ six mois, l'
enfant
se plaint de maux do tète qui, assez faibles au
parents ont dû faire quitter pendant plusieurs jours le lycée à l'
enfant
, pour lui donner un peu do repos. Mais, comme l
ssé pendant cette interruption, et que 14 le CLINIQUE NERVEUSE. l'
enfant
est plein d'ardeur pour ses études, il a voulu re
ner sa classe. Interrogé sur le siège et la nature de sa douleur, l'
enfant
nous dit qu'elle ne réside que sur le devant du
prime violemment. Le sommeil est con- servé. Le matin, au réveil, l'
enfant
ne souffre pas, mais les douleurs reprennent au
certaine constipation. Le moral est affecté, au dire de la mère. L'
enfant
fuit volontiers les distractions depuis qu'il e
rent très rapides dans ce cas. Pour pouvoir continuer ses études, l'
enfant
ne vient prendre qu'une douche par jour, le soi
vaient pres- que totalement disparu au bout de quelques semaines. L'
enfant
put terminer son année scolaire de la façon la
re de la façon la plus sa- tisfaisante. Nous n'avons point revu cet
enfant
l'année sui- vante. Mais le Dr Cheurlot nous a
de nos malades, pour lui faire suivre une cure hydrothérapique. Cet
enfant
n'avait jamais eu d'autre maladie que des fièvr
s ne pouvaient être prises qu'avec la plus grande irrégularité. L'
enfant
resta environ trois mois à Paris et suivit son tr
tête reparut avec une telle intensité qu'on fut obligé de retirer l'
enfant
du collège. Le docteur Monod, son médecin, me l
traitement dans la mesure que lui permettait la règle du lycée. L'
enfant
atteignit ainsi l'âge de quatorze ans, n'ayant eu
on de trois mois il Divonne qui fit beaucoup de bien, et permit à l'
enfant
de reprendre ses études à la rentrée. Mais les
? IL1Ï1 été heureusement modifiée par, deux cures à Uriamc. c, L'
enfant
a. été placé à sept ans'et demi dans une école pr
inzaine de jours, ils sont devenus si persistants et si forts que l'
enfant
était souvent obligé de rentrer à la maison apr
omplètement et à le sou- mettre à l'hydrothérapie. État actuel. L'
enfant
est un peu pâle ; il a beaucoup grandi, au dire
est plus fort après ' les repas. L'appétit, le sommeil sont bons; l'
enfant
n'est pas fatigué physiquement, il peut se prom
une amélioration sensible. Au moment où nous publions ces lignes, l'
enfant
ne se plaint plus de ses douleurs. (A suiove.)
anté physique'antérieure.'Mariée à vingt et un- ans, elle a eu sept
enfants
, dont deux morts de convulsions dans la pre- RE
ici-c D .. , , 'quarante-huit , ans;, mariée; mère de , plu- sieurs
enfants
, sansprofession ? instruction\supérieure, pour
qu'elle ne peut 'guérir.' Elle a pris en adversion son"mari et ses
enfants
sans 'motifs, ''sans être à même d'expliquer ce
mmé le Réjoui; deux soeurslbien portantes : .une, mariée, a eu cinq
enfants
,)dont un mort-né et trois morts-avec RECHERCHES
ce riédz'cale uné observation1-' de" mérycisme' survenue1 chez- un'
enfant
dé cinq ans à"1 la- suite d'une 'variole; et'gu
rvations) réside dans la manifes- tation d'une manie pure chez deux
enfants
de sept- et. douze'ans (fillette, et, (garçon).
emier était un escroc. Dans le second fait, il s'agit d'une bonne d'
enfants
, ayant empoisonné l'enfant confié à ses soins a
second fait, il s'agit d'une bonne d'enfants, ayant empoisonné l'
enfant
confié à ses soins avec de l'acide sulfurique. En
mais'il est descendu à Tétai d'insufli-' sance intellectuelle de l'
enfant
. Sa pensée-est aussi misérable que sa parole...
Il s'agit d'individus irritables, pleurards, dénués»* d'énergie, d'
enfants
en'un mot. Quelquefois elles se greffent sur un
n toute particulière à la congestion des centres nerveux chez les
enfants
et chez les adolescents. Nos malades se plaigne
l'étiologie de l'affection. Chez les parents de plusieurs de nos
enfants
, la diathèse arthritique était indéniable. Eux-
n plus de prédisposition nerveuse congé- nitale. Les parents de nos
enfants
n'ont eu ni affection organique des centres ner
res nerveux, ni état névropathique qui mérite d'être signalé. Que d'
enfants
sont d'ailleurs rhumatisants ou nerveux, et com
pensée rési- dent dans les lobes frontaux. Or, à l'âge qu'ont nos
enfants
, ce sont ces fonctions qui sont le plus mises à
nt leur bonne vo- lonté. Qu'est-ce que le travail intellectuel de l'
enfant
, si ce n'est l'exercice continuellement répété
endre momentanément l'hydrothérapie. Quelques semaines plus tard, l'
enfant
étant allé passer quelques jours il Fontainebleau
n, après le sommeil ; elle reprend dans la matinée, surtout quand l'
enfant
s'applique; s'il fréquente l'école, c'est vers
drait plus accessibles aux affections du cerveau. Il n'en est rien.
Enfants
, ils ont tous mon- tré, sauf une exception, une
nt un ca- ractère dissemblable. Il semblerait que le cerveau de l'
enfant
s'irrite douloureusement avec plus de facilité
cette tâche. Mais, au bout de peu de temps, il dut l'abandonner, l'
enfant
étant incapable de fournir aucun travail sérieu
le seul progrès du temps, il n'en importe pas moins d'en délivrer l'
enfant
au plus vite, puisque, d'une part, elle le fait
ment de la cure, on fera cesser tout travail de tête, pour placer l'
enfant
dans les meilleures con- ditions possibles. Plu
petits noyaux d'endurcissement trouvés sur les circonvolutions d'un
enfant
idiot. Dans celui de Brùckner (Archiv sur Psychia
idés ou de criminels dans la famille.] -Pas de consanguinité. Dix
enfants
et fausses couches : 1° garçon, quatorze ans, int
mois. A trois ans, il était bien constitué, ressemblait aux autres
enfants
et allait à l'asile. C'est à cette époque qu'il
ysphagie, ni de vomissements ; selles diarrhéiques involontaires. L'
enfant
ne tousse pas ; rien à l'auscultation. Cet état
, on a compté 53 accès, T. R.40°. A la visite du matin, l'état de l'
enfant
parait s'être notablement amélioré : il est moi
ouverts ; de temps en temps, on note des mouvements de la bouche. L'
enfant
est assez éveillé, il demande spontanément à boir
ont pleines; les pupilles égales et normales; les lèvres sèches.- L'
enfant
donne les deux mains quand on les lui de- mande
e avec le côté gauche. A partir de cinq heures de l'après-midi, l'
enfant
a cessé' de parler et a refusé de boire. Il aur
convolution du corps calleux. RÉFLEXIONS. - 1. Il s'agit, ici, d'un
enfant
qui, sauf quelques convulsions légères et éloig
èse cent vingt grammes de moins que le côté gauche. II. Alors que l'
enfant
semblait rétabli, il a été pris de ver- tiges,
fiées par la méningite, ont décliné avec une grande rapi- dité et l'
enfant
ne tarda pas à offrir tous les symptômes clinique
hémiplégique. Si l'on se rappelle que, après la méningite aiguë, l'
enfant
avait une paralysie du côté gauche, on pourrait
erineti (.lied, pract., lib. III, sect. u, cap. 8) cite le cas d'un
enfant
de sept à huit ans qui, ayant tété des chèvres
a perte définitive et irréparable de son foyer, de sa femme, de ses
enfants
, de ses droits familiaux, une pareille condamna
nze grammes de bromure. Les crises ont cessé tout à coup sans que l'
enfant
parut épuisée; elle dansait même le surlendemai
aris, 1883. De la forme méningitique de la fièvre typhoïde chez les
enfants
; par FONTAGNY. Thèse de Paris, 1883. De la r
. le raconteray ce que i'ay entendu. Elles font d'elles bouillir vn
enfant
en vn vaiffeau de cuyure, & en prenent la g
ont point, & toutesfois font veuës. Il est compofé de graiffe d'
enfant
(comme ils difent) de fuc d'Ache, d'Aconite, de
ain, lan mil cinq cens quaranteneuf, fous Hierome Brachel, il vid l'
enfant
de Seruais Saffen libraire, eftre tour- menté d
er cefte plante qui eftoit en fleur, auec quelques autres. Le petit
enfant
de- uint premièrement furieux & n'auoit con
stérie, et l'idiotie, compte rendu du somme des épileptiques et des
enfants
de Bicêtre pour l'année 1881. 1. Iii-So de 180
an environ après ses premières couches, elle en eut une seconde, l'
enfant
vint bien à terme, mais mourut peu de temps apr
ladie il succomba. L'année suivante elle eut une nouvelle couche, l'
enfant
vint mort à huit mois. Elle avait vingt-cinq an
le avait vingt-cinq ans lorsqu'elle donna naissance à son quatrième
enfant
, une fille, qui aujourd'hui encore est bien por
iagnostic. PHYSIOLOGIE DU DÉVELOPPEMENT DU f..1\1;.1(;li CHEZ LES
ENFANTS
; 1\11' }L S[KOl\SKY (¡)u '3,lÏlIt.PéLUl'oIJUUl'
lIt.PéLUl'oIJUUl'g). Le mode de développement du langage chez les
enfants
est encore très peu connu. Ce que l'on sait de
utre malaise. En outre, on peut encore distinguer dans la voix de l'
enfant
les nuances plus ou moins précises, des sons e
out sens symbolique, de tout rap- port avec les idées; néanmoins, l'
enfant
les répète sou- vent et avec plaisir,bien que é
'effet d'acoustique. Vers la un de la première année de la vie de l'
enfant
, l'intention se fait évidente dans l'émission d
main- tenant à nos observations personnelles. DU LANGAGE CHEZ LES
ENFANTS
. 321 1 Nous nous en sommes tenus en partie, dan
es matériaux : 1° Nous avons noté par écrit les paroles de chaque
enfant
séparément ; 2" Nous avons continué à les noter
nné les rédactions successives d'un seul et même mot fournies par l'
enfant
à diverses époques. Nos propres enfants, ceux d
et même mot fournies par l'enfant à diverses époques. Nos propres
enfants
, ceux de nos connaissances et enfin ceux des En
ations. Nous avons également tenu compte du vocabulaire de mots d'
enfants
fournis par Preyer, Schultze et différents aute
à-dire celui de la deuxième et de la troisième année de la vie de l'
enfant
. Les manifestations de la période antérieure ne
côtés généraux de la question. Les particularités du langage des
enfants
sont, jus- qu'à un certain point, susceptibles
ons en- faire l'énumération rapide. En premier lieu, le langage des
enfants
ne com- porte point de mots polysyllabiques; ma
part du temps, de combinaisons monosyllabiques.- Ordinairement, les
enfants
adoptent une des syllabes ou tout au plus deux
Archives, t. VI. 21 322 2 PHYSIOLOGIE. ainsi, par exemple, que l'
enfant
de Taine' prononce cola au lieu de chocolat.
de la syllabe constitue la deuxième particularité de la langue des
enfants
. Le langage de l'enfant ne renferme pas dans un
deuxième particularité de la langue des enfants. Le langage de l'
enfant
ne renferme pas dans une même syllabe deux ou t
une des particularités les plus caractéris- tiques de la langue des
enfants
. Une particularité ultérieure du gazouillement
e ou et iou. En outre, on retrouve fréquem- ment dans la langue des
enfants
des voyelles tron- quées. Les consonnes égaleme
que, t. 1er, 1R76, p. 11. 2 Loc. cit., p. 39. DU LANGAGE CHEZ LES
ENFANTS
. 323 les plus frappantes et les plus saillantes
u de tabouret, tache). Un trait bien caractéristique du langage des
enfants
, consiste dans la substitution des sons les uns
ons les uns aux autres : tloix, par exemple, aulieu de croix. Les
enfants
, dans leur gazouillement, offrent entre eux de
proviennent pas seulement de la différence des sons accessibles à l'
enfant
, à un moment donné, comme l'admettent les auteu
core de beaucoup d'autres conditions. L'expérience démontre que l'
enfant
, tout familiarisé qu'il soit avec un cer- tain
mps, il dit toi, comme il le faut. Mais, ce par quoi le langage des
enfants
diffère surtout, c'est par le procédé qu'ils ad
principaux procédés qui déterminent deux types de langage. Quelques
enfants
s'arrêtent à l'étude minutieuse des sons d'un m
r tout entier un mot, quelquefois assez long, comme, par exemple, l'
enfant
de Taine qui disait cola au lieu de chocolat. M
ant de Taine qui disait cola au lieu de chocolat. Mais, quoique ces
enfants
-là prononcent facilement des sons à part, le pr
sons en syllabes leur offre encore beaucoup d'embarras. D'autres
enfants
, au contraire, saisissent surtout la structure
sons constitutifs. Les mots que prononcent 324 , PHYSIOLOGIE. ces
enfants
-là répondent d'ordinaire, fort exactement, au n
n s'en écartant extrêmement par la qualité des sons; par exemple, l'
enfant
dit titille au lieu de petite fille. Quelquefoi
au lieu de petite fille. Quelquefois le mot, tel que l'em- ploie l'
enfant
, ne contient plus un seul de ses vrais sons : E
s syl- labes que par l'accent et l'inflexion de voix qu'emploie l'
enfant
dans la prononciation de certaines parties du m
s le. mot véritable, son squelette indubitablement. Ainsi donc, les
enfants
commencent de très bonne heure à spécialiser :
palement les sons, les autres la structure syllabique du mot. Les
enfants
qui ont adopté le procédé des sons (procédé pho
vrir, lorsqu'on est tant soit peu fami- liarisé avec le langage des
enfants
. Une petite fille des Enfants-Trouvés employait
chat, par exemple), un autre remplaçait le ch par un s. Lorsque l'
enfant
adopte dans l'étude du langage le procédé sylla
remplacent la syllabe est re- léguée au second plan. C'est chez ces
enfants
-là que DU LANGAGE CHEZ LES ENFANTS. 325 l'on
e au second plan. C'est chez ces enfants-là que DU LANGAGE CHEZ LES
ENFANTS
. 325 l'on trouve, le plus souvent, la répétitio
parole avec le procédé syllabique, est assez ardue ; toutefois les
enfants
se mettent hardi- ment à parler à l'aide de la
ment à parler à l'aide de la provision de sons la plus limitée. Les
enfants
, qui adoptent le procédé phoné- tique dans leur
ables sons que demande le mot. Les deux catégories du langage des
enfants
ont entre elles, sous le rapport extérieur, une
s le rapport extérieur, une différence bien tranchée. La parole des
enfants
au procédé sylla- bique semble courante et faci
ut dire, en somme, que la phonétique offre d'égales difficultés aux
enfants
des deux catégories. '326 . PHYSIOLOGIE. L'ét
atégories. '326 . PHYSIOLOGIE. L'étude a nécessité de la part des
enfants
une durée de temps à peu de chose près la même,
syllabique, ne donnent en définitive aucun avantage particulier à l'
enfant
. Ainsi donc, il n'y a entre les enfants des deu
n avantage particulier à l'enfant. Ainsi donc, il n'y a entre les
enfants
des deux catégories qu'une seule différence ess
es principaux faits carac- térisant le développement du langage des
enfants
. Nous allons tâcher maintenant de les expliquer
, de ces organes ne se manifeste pas d'emblée dès la naissance de l'
enfant
, mais il n'ap- paraît que graduellement. L'appa
rs une des manifestations émotionnelles les plus importantes de l'
enfant
. Quant au fonctionnement coordonné des deux a
st qu'une masse de sons émis dans une seule im- DU LANGAGE CHEZ LES
ENFANTS
. 327 pulsion expiratoire', il est facile de com
- biner les sons que nous rencontrons à chaque pas, même chez les
enfants
qui sont déjà bien connus, dans la prononciatio
plusieurs mots enfantins. Aussi constatons-nous dans la langue des
enfants
une ten- dance constance à simplifier une tâche
nce constance à simplifier une tâche au-dessus de - leurs forces. L'
enfant
obtient la simplification, comme nous l'avons d
dent lorsque l'on compare - entre eux une grande quantité de mots d'
enfants
. Si maintenant nous mettons en regard les deux
r différence consiste en ce que, dans un cas c'est la pratique de l'
enfant
dans l'expiration articulatoire qui occupe le p
part. - Passons à présent à l'analyse du pro- cédé avec lequel les
enfants
étudient des sons à part. DU LANGAGE CHEZ LES E
ec lequel les enfants étudient des sons à part. DU LANGAGE CHEZ LES
ENFANTS
. 329 En suivant objectivement le caractère des
ENFANTS. 329 En suivant objectivement le caractère des sons de l'
enfant
on acquerra la certitude que la plupart des son
de l'enfant on acquerra la certitude que la plupart des sons de l'
enfant
s'élaborent par voie de métamorphose constante
l'apparition spontanée de sons inaperçus jusque-là, par exemple un
enfant
qui ne pouvait pas prononcer le k, qui, hier en
is l'observation résout facilement cette apparente contradiction. L'
enfant
, dont la mémoire en avait contracté l'habitude,
toires de- viendra parfaitement évidente. A force, de pratique, l'
enfant
apprend enfin à prononcer le son k, et alors il
n que nous nous sommes convaincu de cette marche des processus. Les
enfants
qui substituent, comme on l'a pu constater par
exemple, se remarque dans presque tous les sons de la langue des
enfants
. Nous avons fréquemment rencontré chez des peti
usqu'à un certain point de m. En général, les sons primitifs de l'
enfant
ont des qualités diverses : les uns portent un
on ren- contre à la fois beaucoup de formes transitoires, dont l'
enfant
use sans choix, manifestant ainsi une grande in
que la différence même des sons entre eux est encore confuse pour l'
enfant
. Plus tard et peu à peu, à force de pratique, l
nfuse pour l'enfant. Plus tard et peu à peu, à force de pratique, l'
enfant
finit par faire élection de quelques sons auxqu
de sons déterminés sont admis par tous les au- DU LANGAGE CHEZ LES
ENFANTS
.. 331 teurs, ce sont les consonnes m, b, p, f,
e sont là presque exclusivement les sons qui forment les mots des
enfants
dans la première moitié de la seconde année. Ma
evenus fixes, les autres sont encore absolument inaccessibles à l'
enfant
, tels sont cla, j, r par exemple et, en partie,
îne une plus grande dépense de force musculaire sont difficiles à l'
enfant
, et ne peuvent être prononcés avant une certain
ait absolument général de l'apparition tardive dans la langue des
enfants
des consonnes palatales. L'appa- rition hâtive
e assez fortement dans l'élec- tion de certains sons sur lesquels l'
enfant
arrête parti- culièrement son attention et qui
la première étape dans le processus de l'acqui- DU LANGAGE CHEZ LES
ENFANTS
. 333 sition du langage conscient. Ainsi, pour c
. Ainsi, pour ce qui con- cerne les consonnes linguales, il y a des
enfants
qui s'arrêtent particulièrement sur le t, d'aut
phoses non semblables. Par exemple, le son ? provient chez quelques
enfants
de l's, en traversant une longue suite de forme
la même inconstance que les sons de la période anté- rieure, et l'
enfant
les emploie sans choix, substituant avec la plu
constituent la parole de l'homme. Déjà, dans les premiers cris de l'
enfant
, sont contenus in ovo toutes les variétés des m
rticulation. De sorte qu'on peut dire que, dans le premier cri de l'
enfant
, manifestation pre- mière de sa sensibilité gén
iale, l'autre 1 L'amollissement général de toutes les consonnes des
enfants
, dont il a déjà été question plus haut, est le
e la langue dans les mouvements articulatoires. DU LANGAGE CHEZ LES
ENFANTS
. 335 linguale dont l'acquisition est presque si
e grande imperfection. En réalité, dans beaucoup de sons émis par l'
enfant
, le mécanisme vocal participe là où la qualité
- gouteau) ; de même on discerne continuellement dans la langue des
enfants
des mouvements articulatoires plus ou moins pré
ments articulatoires et des sons qu'ils impliquent. Les mots de l'
enfant
gardent l'empreinte étonnante de toute la route
urt dans l'étude de la pho- nétique du langage. L'acquisition par l'
enfant
du lan- gage oral s'effectue pas à pas; chaque
arfaite, on rencontre, à chaque instant, dans la langue si vive des
enfants
, une foule de produits d'une phonétique primiti
est la source de la diversité et de la variabilité du langage des
enfants
, du mélange bigarré des formes acquises établie
rd. Mais, dès qu'on en considère l'ordre historique, le langage des
enfants
devient à l'instant plein de sens et rigoureuse
a tristesse, et son chagrin est aug- menté par la crainte d'être un
enfant
naturel ; il ne sait comment cela finira, dit-i
nts sur sa famille ou sur ses premières années. Il a la taille d'un
enfant
de douze ans à peine et est idiot dans toute la
à ce que le bol alimentaire fut revenu à la bouche. Chez ce dernier
enfant
, d'ailleurs, tous les phénomènes du mérycisme é
u côté du père, ni du côté de la mère. Pas de consanguinité. Deux
enfants
: 1° notre malade ; 2° une fille, bien conformée,
e, lent (quatorze heures) : la tête resta longtemps au passage et l'
enfant
était tout noir en venant au monde; la tête éta
lus rapidement lorsque le repas s'est composé des mets favoris de l'
enfant
; en moyenne, il faut compter vingt minutes ava
s plutôt, croyons-nous, d'une façon successive. Car, à ce moment, l'
enfant
penche le thorax en avant en tendant le cou, gonf
es et sont, pour ainsi dire, ravalées de suite. Pendant ce temps, l'
enfant
manifeste le plus grand plaisir, et il interrom
ente à se produire et durait moins longtemps, si l'on contrariait l'
enfant
, si on changeait ses habitudes, si on lui donna
pas non plus de modifications sensibles. Après la soupe du matin, l'
enfant
rumine encore le plus souvent ; mais alors il n'y
cilement; les boissons en général nesont pas ruminées, d'ailleurs l'
enfant
souvent ne boit pas. Cependant lorsque DU MÉRYC
quefois une suspension momentanée, lorsqu'on cherche il distraire l'
enfant
et a occuper son uttentiou. Dans tous les cas,
tation est généralement suivie d'un accès de rire bruyant. Jamais l'
enfant
n'a de vomissements et ne rejette ses aliments.
este qu'il mâche et avale ensuite. Ajoutons, pour terminer, que l'
enfant
ne souffre nullement du mérycisme, que la santé
ésultent; puis la unracilé, très marquée chez Gr... D'ailleurs, cet
enfant
étant un type parfait 'de, mérycole, on trouve,
nt nerveux. Deux frères bien portants, ma- riés, ont quatre et sept
enfants
tous bien portants, n'ayant jamais eu de convul
nte, pas de maladies nerveuses. Trois soeurs bien portantes ont des
enfants
très bien constitués : un seul, âgé de sept ans,
ain est mort fou à l'asile de Nantes.] Pas de consanguinité. Deux
enfants
: 1° notre malade; 2° une fille, bien constituée,
Foie et rate normaux. Poids, 23 lui. 600 ; taille, 1 mètre 16. Cet
enfant
marche très bien, grimpe partout, mais ne sait pa
est caressant, et parait airce- tionner d'une façon particulière l'
enfant
Perrin qui s'occupe un peu de lui. est impossib
tempre 1882, p. 663.) (Fig. 7) '. Description des accès 1. Chez cet
enfant
, les grands accès eux- mêmes n'ont jamais une g
mais que la viande. n'a de préférence pour au- cun aliment. 4 Cet
enfant
, qui d'ailleurs est toujours très remuant, n'a pa
avec bruit dans la bouche. Ces phénomènes sont constants. Chez cet
enfant
les efforts sont encore moins exigeants que che
ominale. La respiration est régulière, le visage reste le même et l'
enfant
interrompt à peine son balancement ou sa promen
l arrive assez souvent que, même en dehors des accès d'épilepsie, l'
enfant
ne rumine pas après un repas, qui alors est tou
petit nombre de fois et de suite, après leur ingestion, avant que l'
enfant
n'ait pris le reste de son repas. La rumination
s au dehors. Le mérycisme semble être ici un acte physiologique : l'
enfant
a belle apparence, sa santé est bonne; son poid
lbl., 1882.) Causes : un soufflet entre le cou et l'occiput chez un
enfant
de REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ,il 1 douze a
st pas une forme mentale sui gene1'is et croit que c'est l'âge où l'
enfant
devient adulte qui joue le rôle prédominant dan
ment de son travail, coupe la gorge avec un rasoir à son plus jeune
enfant
âgé de six ans, tente d'assassiner son fils de di
érieur, s'est transformé en un foyer purulent gros comme un poing d'
enfant
; ce foyer communique par un étroit conduit, au
nomènes d'excitation ou de dépression, douleurs, convulsions chez l'
enfant
, et surtout odeur slli(Jene1'is. B. Période d'i
s. Nécrologie. M. PARROT, professeur de clinique des maladies des
enfants
, est décédé le ;¡ août. Outre de nombreux travaux
. Troi- sier) ; Recherches sur le développement du cerveau chez les
enfants
du premier âge; - Considération sur le zona (Un
i9j; De la dislocation des os du crdcze dans la méningite chez les
enfants
(Revue de Médecine, 1882); - Articles : FAITS D
Iris (mowements de l ? 98. Langage (développement du) chez les
enfants
, par Sikorsky, 319. Loi de 1838, 121. Maladie
pères, — c'est là pour nous le point intéressant, — engendre chez les
enfants
les maladies nerveuses, l'épilepsie parfois, l'hy
ent, fut malade à ce point qu'elle ne put allaiter ni même donner à l'
enfant
les premiers soins. La petite fille toute souffre
vu quelque chose de blanc. » (a) En apercevant cette belle dame, l'
enfant
veut pousser un cri ; il s'étouffe dans sa gorge
nant pour s'en aller le senlierpar où elle était venue. Lorsque les
enfants
rentrés à la maison, — la petite bergère avait fi
ubirous ce qui s'était passé, celle-ci entrevit la vérité, et dit à l'
enfant
: « Quoi qu'il en soit, n'y retourne plus, je te
ne et ruine les siens, comme le second ruine sa santé et celle de ses
enfants
; l'un perd le sens du bien et du mal sous l'infl
nt qu'ils s'en remettent au hasard. L'éducation devrait apprendre aux
enfants
à ne jamais s'en remettre au hasard, à faire des
r moi, j'irais plus loin, et j'interdirais qu'on prononçât devant les
enfants
des mots vides de sens, tels que le Hasard, la Gu
ostume de cour pour mettre la dernière main à une arme de prix. Les
enfants
de samouraï recevaient une éducation à la fois Sp
Salpêtrière l'organisation d'un service modèle pour le traitement des
enfants
arriérés et vicieux. Il remercie également M. Mel
duite en hallucinations le lendemain et les jours suivants, lorsque l'
enfant
est revenu prier devant la grotte, comme l'image
propos de la prophylaxie de la tuberculose héréditaire : « faire de l'
enfant
un petit paysan, changer la vie urbaine pour la v
un même milieu et indépendants de l'énergie physique et psychique des
enfants
. Nul des parents ou des éducateurs ne se préoc-
l des parents ou des éducateurs ne se préoc- cupe de savoir si un
enfant
ou un adulte est capable de faire face à une somm
s, dans ses paroles et sur sa physionomie, les derniers instants d'un
enfant
qui se meurt. Quand il est épuisé, on le réveille
n-inspecteur des asiles d'aliénés, a aborde l'importante question des
enfants
turbulents et indisciplinés. Il n'y a pas de cl
iplinés. Il n'y a pas de classe où la présence d'un ou de plusieurs
enfants
turbulents, réfractalres à tous les moyens pédago
indiscipline. 11 arrive fréquemment que la direction d'un seul de ces
enfants
Impose au professeur ou à l'Instituteur une dépen
itable fatigue. L'intervention constante du maître, pour obtenir d'un
enfant
turbulent la somme d'application nécessaire, ne p
ication nécessaire, ne peut se faire qu'aux dépens de tous les autres
enfants
. Chez les enfants, la turbulence est essentiellem
, ne peut se faire qu'aux dépens de tous les autres enfants. Chez les
enfants
, la turbulence est essentiellement contagieuse et
les enfants, la turbulence est essentiellement contagieuse et un seul
enfant
inattentif suffit & troubler l'ordre dans une
dier les divers procédés par lesquels on peut améliorer ou guérir ces
enfants
indisciplinés : ces procédés sont d'ordre adminis
ation d'écoles de réforme ou de classes spéciales dans lesquelles les
enfants
seraient en nombre très limité, confiés à la dire
intervention d'un ordre particulier, appropriée à l'état nerveux de l'
enfant
Indiscipliné, et basée sur l'examen psychologique
comme un problème de psychologie individuelle. Chez un grand nombre d'
enfants
turbulents et indisciplinés dont les dispositions
a compétence nécessaires. En présence des observations de guérisons d'
enfants
turbulents présentées par le DrBé-rillon, la sect
la période d'extase commençait. Après un petit nombre d'aue maria, l'
enfant
se transformait tout à coup : il y avait passage
, suivant une marche classique. M. Henri Lasserre d'abord (') : « L'
enfant
vient, s'agenouille et se met a à prier ; après q
, l'abbé Fourcade le constate, qu'il y eût aura psychique, pour que l'
enfant
tombât en extase. De même que Charcot en donnan
diatement devant Bernadette, s'interposant entre elle et sa vision. L'
enfant
ne les vit pas, ne s'aperçut pas de leur présence
cle, c'est que la flamme du cierge n'ait pas produit sur la main de l'
enfant
une brûlure au premier ou au deuxième degré ; de
l'avons vu chez les hypnotisés; il existe aussi chez Bernadette. « L'
enfant
, dit M. Henri « Lasserre, était complètement abso
. provoque aussi l'hypnose; comme exemples, nous citerons le cas de l'
enfant
que l'on berce, et celui des Aïssaouas, qui prélu
ées par la mère ont la propriété d'influencer le fœtus inutero. Les
enfants
porteraient les traces des impressions violentes
t dans le domaine psychique mais encore dans le domaine corporel de l'
enfant
à naître ? Montrons pas des exemples quels cas
oupçonnait pas i'influence que pouvait avoir cette impression sur son
enfant
. Le musée anatomique de Milan possède le corps
orps d'une petite fille morte à l'âge de trois mois. La peau de celte
enfant
, d'un brun noirâtre, est couverte de poils, de la
t pour l'affirmative, Bujfon, Blondel, Burdach, pour la négative.
enfant
raconta au professeur Billy, qu'avant la naissanc
blable à celle de son frère et située au même endroit. Le troisième
enfant
d'une femme était une fille présentant les anomal
ément la pauvre veuve 'Lincoln/. De Frârière rencontra en Suisse un
enfant
très joli qui n'avait pas de poignets. La mère, p
utions capitales et à certains supplices, comme celui de la roue; les
enfants
auxquels elles donnaient le jour, naissaient avec
emblement généralisé dès sa naissance jusqu'à l'âge de jeune fille. L'
enfant
né plus tard souffrait du même mal mais à un degr
mme ne soupçonnait pas que cela pût avoir des suites fâcheuses pour l'
enfant
: celui-ci naquit sourd-muet et sa surdi-muti
e de l'impression et l'anomalie psychique ou le penchant anormal de l'
enfant
. En somme, ces cas se rencontrent assez raremen
sible ou prochaine! Si l'on a pu dire autrefois qu'il y avait « des
enfants
du siège de Paris », n'aurons-nous pas aussi les
avait « des enfants du siège de Paris », n'aurons-nous pas aussi les
enfants
de la tragédie de Port-Arthur? Ainsi la guerre
i la guerre pourrait fournir de nombreux exemples de transmission aux
enfants
des impressions de leurs parents : dans ce but la
s ou suggestions paternelles on maternelles se transmettent-elles aux
enfants
? Revue de l'Hypn., numéro 7, 1904. L'article russ
il eu crainte que cette émotion n'exerçât une certaine action sur l'
enfant
? Celte préoccupation fut-elle fréquente ou consta
psychique, quel défaut, quelle habi- tude ont été constatés chez l'
enfant
? 10. Y avait-il dans la famille, des anomalies
es anomalies semblables? Les décrire. 1J. Combien y avait-il d'autres
enfants
? Indiquer le nombre, le sexe, l'âge des enfants
y avait-il d'autres enfants? Indiquer le nombre, le sexe, l'âge des
enfants
qui ont précédé et de ceux qui ont suivi celui do
moment il sentit une force d'inhibition qui prévalut et il dépassa l'
enfant
sans lui parler. Depuis ce jour, il n'a plus épro
reux et prospère. Il attribue sa perversion sexuelle- à ce qu'étant
enfant
de 6 ans il fut corrompu par une petite fille du
eprésentera la Société d'hypnologie et fera une communication sur les
enfants
anormaux. 2. Le congrès de médecine interne, qu
ULLETIN Les névroses provoquées par les tremblements de terre.—«Les
enfants
susceptibles. — Introduction de l'hypnotisme dans
onté. • Récemment un fait divers, ayant pour titre : Suicide d'un
enfant
de dix ans, nous a remis en mémoire, le passage d
'elles les ont blessées dans leur amour-propre. Tel était le cas de l'
enfant
à laquelle nous faisions allusion plus haut, et q
dans une armoire qu'on lui avait défendu d'ouvrir, que la malheureuse
enfant
s'est jetée dans le Trieux. » Lorsque l'on cons
enfant s'est jetée dans le Trieux. » Lorsque l'on constate chez les
enfants
une susceptibilité portée à l'excès, Il convient
de Den ver (Colorado) a pris une louable initiative. A l'avenir, les
enfants
internés dans les maisons de correction de Denver
es, ni des dégénérés. Un grand nombre d'entre eux sont simplement des
enfants
mal élevés. Quand ils n'ont pas été pervertis par
ais le traitement de ces cas est long et difficile. Quand il s'agit d'
enfants
mal élevés, on observe des transformations d'auta
ormations d'autant plus rapides que les facultés intellectuelles de l'
enfant
sont plus développées. D' E. B. Les Femmes à
sur sa tète indique son rang royal. La Vierge tenant dans ses bras l'
enfant
Jésus lui apparaît, la fortifie dans sa foi chrét
anquille venir chaque jour à la grotte soit seule, soit accompagnée d'
enfants
comme elle, l'évolution de l'extase eût continué
les autres, au moment où la maladie terminée, le système nerveux de l'
enfant
est revenu à son état normal. Elle arrive trop à
e la Vierge, « je suis l'Immaculée-Conception », dites en patois à un
enfant
ignorant du Dogme, dépassent les bornes de la cré
modelage, au dessin, à la musique : exercer la main et les yeux de l'
enfant
autant que sa mémoire ; avoir souci de la santé d
honneur : t Seigneur, nous vous en prions, jetez un regard sur vos
enfants
qui vous implorent, par les mérites et les prière
ésente en croix et portant de la barbe. Elle s'y montre favorable aux
enfants
qui lui sont présentés. A Béthune (Pas-de-Calai
haut la montre-crucifiée et barbue, on y vient des environs pour les
enfants
. Le peuple l'appelle Sainte Milleforte. A Riuxe
rattrape au point de vue thérapeutique. En Normandie, elle guérit les
enfants
de la gourme ou des accidents de la dentition. Pa
it creux où se ramasse un peu d'eau, mais tellement bourbeuse « que l'
enfant
a de la peine à l'avaler. Après avoir bu, elle ma
tif à la Grotte, Mgr de Tarbes parle de la source en ces termes : « L'
enfant
obéit, mais elle ne trouva qu'une « terre détremp
bientôt comme un château de cartes sur lequel a passé le souffle d'un
enfant
. PHYSIO-PSYCHOLOGIE DES RELIGIEUSES Les relig
et Guillemette morts jeunes, Madeleine, morte en 16U3, mariée et sans
enfants
, enterrée devant le sanctuaire de l'église des Cé
sieurs privilèges et exemptions, et mourut en 1177, fort âgé, et sans
enfants
, bien qu'ayant été deux fois marié. Drogon, mort
aye des privilèges et des franchises, et mourut en 1181 ou 1182, sans
enfants
, bien que marié ; Jean, vivant en 1177, mort en 1
d'Erloy près Choisy en 1246 et 1248, et mourut en 1250, marié et sans
enfants
, et Bouchard VI. Celui-ci confirma en janvier 1
ndait de Henri de France I (*}, qui d'Anne de Russie eut entre autres
enfants
: Hugues de France. Celui-ci assista à la dédic
e Kart leGrand (Charlemagne) {'), qui de Hitdegarde eut, entre autres
enfants
, Pipptn (Pépin). Pippin, né en 777, sacré à Rom
'y refuse, prétendant que l'hypnotisme est dangereux chez un si jeune
enfant
. Je lui conseille alors d'essayer lui' même la su
et la deuxième suggestion ne réussissent pas ; mais à la troisième, l'
enfant
, sans s'éveiller, retire brusquement les doigts d
ment les doigts de la bouche. Puis le matin, dès qu'il est éveillé, l'
enfant
court vers son père et lui dit : « Papa je ne met
mbotis, deux séances successives sont vaines; à la troisième séance l'
enfant
retire la main de sa bouche, au moment même où on
environs de Maçon (Saône-et-Loire). Il était le troisième de quatorze
enfants
, tous vivants, grands et forts, pour la plupart m
s, tous vivants, grands et forts, pour la plupart mariés et ayant des
enfants
Venu au monde à terme, nourri par sa mère, l'en
s et ayant des enfants Venu au monde à terme, nourri par sa mère, l'
enfant
marchait à 10 mois, parlait à son heure, mais ne
'il professe chaque année à Lille. Les maladies du langage chez les
enfants
Le Dr Chervin, dans la clinique infantile, donn
ntes sur les divers troubles du langage qui peuvent s'observer chez l'
enfant
. Si l'enfant ne parle pas du tout, il peut s'ag
vers troubles du langage qui peuvent s'observer chez l'enfant. Si l'
enfant
ne parle pas du tout, il peut s'agir de surdité,
retard ou de troubles intellectuels allant jusqu'à l'idiotie. Si l'
enfant
parle, mais parle mal, il faut faire le diagnosti
opédie mentale, pédagogie suggestive, etc.); 4" La psychologie de l'
enfant
; 5° La psychiatrie et psychologie de l'homme an
Dans ce nombre figurent également celles qui ont donné le jour à des
enfants
. La première démonstration de la réalité du sexe
fin de cette étude à la présentation de femmes à barbe qui ont eu des
enfants
. Les physionomies documentaires qui nous restent
ements, l'effarement de la sage-femme appelée pour la délivrer de son
enfant
. Cette pauvre matrone n'en revenait pas : «Ce n'e
est devenue mère d'un petit garçon actuellement âgé de huit ans. Cet
enfant
est très bien portant. Elle n'a laissé croître
tant. Elle n'a laissé croître sa barbe qu'après la naissance de son
enfant
, et elle assure que ce n'est qu'après l'accouchem
existence à son époux et qu'elle a pris prétexte de la naissance de l'
enfant
pour la laisser croître définitivement. Les che
chez une femme considérée comme un signe de stérilité. Trois de ses
enfants
survivent : deux fils et une fille. Elle les a él
Valeran de Beaumont-Meullent qui d'Agnès de Montfort eut entre autres
enfants
AmauTy de Meullent-Gournay. Celui-ci fonda en 1
e de Dormans, à Paris, Bernard, vivant en 1370 et 13S1, marié et sans
enfants
, Re-gnault, archidiacre de Châlons, chanoine de P
eut une fille et deux garçons, Mathieu V, mort en 1305, marié et sans
enfants
, et Jean I. Jean I vivant, en 1303, mort en jui
estitua à l'abbaye de Flavigny, en présence de Bodo et de Landry, ses
enfants
, un alleu qu'il avait usurpé, donna à l'abbaye de
ans lorsque ses parents remarquèrent, au commencement de 1891, que l'
enfant
présentait des changements extraordinaires, a II
ait horriblement ». Les parents consultèrent un médecin. Mais comme l'
enfant
ne se calmait pas, ils l'amenèrent dans le couven
rs signes, les Pères reconnurent qu'il était possédé par le diable. L'
enfant
rageait et écumait; il était doué d'une telle for
vexa-toi^um et l'exorcisme in S&tanum et angelos apostates sur l'
enfant
sans aucun résultat. Le 12 mai 1891, l'évêque Pan
e, d'Augsbourg, était en visite chez le curé de Wemding. Le père de l'
enfant
malade le lui amena et l'évêque s'avança vers le
rs le petit en lui disant : a Tu ne me trompes pas, esprit impur ». L'
enfant
resta dans le même état. « Lorsqu'il devait passe
de cette scène le récit suivant : « Lorsque le Père voulait amener l'
enfant
dans le chœur, celui-ci résistait, le frappait au
hurlements fous. Il se débattait avec une telle rage que le Père et l'
enfant
tombaient à terre et que quatre hommes parvenaien
ine à le maîtriser. Nous lui fîmes ligotter les bras et les jambes. L'
enfant
nous crachait à la figure et continuait à vocifér
l'après-midi, l'exorcisme recommença. Satan nous répondit alors que l'
enfant
était possédé et qu'ils y étaient au nombre de di
nombre de dix. A cinq heures du soir, nouvel exorcisme. La rage de l'
enfant
, les hurlements, les crachats : tout restait le m
glise étant grande ouverte, une foule énorme de curieux s'y pressa. L'
enfant
criait, crachait et rageait comme un maniaque. Je
ns. » — « Quelle femme. » Il désigna une voisine des parents de l'
enfant
. Le Père Aurélien continue ses questions. — « C
urélien continue ses questions. — « Combien de temps es-tu dans cet
enfant
? » — « Depuis une demi-année. » — « Comment t
ne sais pas. » Malgré les objurgations du Père, Satan resta dans l'
enfant
. L'exorcisme dura deux heures. Après une suspensi
Après une suspension, il recommença à une heure de l'après-midi. L'
enfant
était encore inquiet, mais ne crachait plus. Le c
Satan fit mine de vouloir sortir du possédé. — a As-tu abandonné l'
enfant
? » — « Oui, avec mes compagnons. » — » Où éte
. » — » Où étes-vous maintenant? » — « Dans l'enfer. » Alors, l'
enfant
commença à pleurer, s'aspergea d'eau bénite et pr
rents sont de religion mixte. Dans certaines familles de Wemding, les
enfants
sont élevés dans la religion protestante jusqu'à
âge. Alors, on les envoie à l'école catholique. Une voisine de l'
enfant
possédé, qui est protestante, s'indigna de ces pa
de ces palinodies. Elle exprima son mécontentement en maudissant les
enfants
. De là la possession. II est évident que l'enfa
n maudissant les enfants. De là la possession. II est évident que l'
enfant
était atteint d'hystérie infantile. L'entourage,
dans la petite ville de Saint-Nicolas. De leur union naquirent trois
enfants
: une fille encore vivante, (1J Voyez Revue de
à barbe noire, surmontant le corps d'une femme qui donne le sein à un
enfant
au maillot; puis, quelque peu en arrière, un autr
sept lorsqu'il commença à lui pousser une longue barbe. Elle eu trois
enfants
de son époux Félix de Amici. Copie d'après nature
e est la meilleure des mères. Elle ne se contente pas de tendre à son
enfant
son sein gorgé de lait, c'est avec un mouvement d
d'une virago, mais de celui d'une mère remplie de tendresse pour son
enfant
, d'une épouse désireuse de plaire et d'une bonne
n enfant, d'une épouse désireuse de plaire et d'une bonne ménagère. L'
enfant
qu'elle allaite, les dentelles qui embellissent l
ères sexuels primaires. Pendant les premières années de la vie, les
enfants
des deux sexes se ressemblent tellement que la di
ar Wirchow. Elles ont leurs ovaires, et elles donnent naissance à des
enfants
bien conformés, elles les allaitent et les entour
nous trouvons mis en relief le fait qu'en Biologie, comme en Droit, l'
enfant
hérite de son père et de sa mère en proportion de
illy, où il fut enterré, et eut trois garçons, dont Robert, mort sans
enfants
, Godebert, qui fonda en 1024 l'église paroissiale
Sigefroy d'Alençon-Bellesmc évoque du Mans, se maria et enrichit ses
enfants
des biens de son église. * Se voyant dangereuseme
ui aimait les ecclésiastiques et les religieux comme un père aime ses
enfants
» (8). Le 3'i octobre 1048, il signa un acte de G
ous les autres individus l'approchant, n'agit-on pas de même pour les
enfants
et n'obtient-on pas par des résultats analogues?
ortants travaux surl'épi-lepsie, sur l'idiotie et sur l'éducation des
enfants
arriérés. L'Administrateur-Gérant : Ed. BÉRILLO
udes magistrales sur VEpilepsie, sur Y Idiotie et sur l'Education des
enfants
anormaux, la plus haute des consécrations. Elle l
t sept filles, parmi lesquels : Marie, mariée deux fois et morte sans
enfants
, Charles, né en 1467, mort sans alliance peu aprè
utrésister à plusieurs femmes qui en voulaient à sa vertu. Un autre
enfant
de Théodore Choart de Buzanval et de Madeleine Po
par M. le Dr R. Pamart. J'ai l'honneur de présenter à la Société un
enfant
kleptomane, soigné à l'Institut psycho-physiologi
orthopédie mentale, sous forme de suggestion à l'état d'hypnose ; cet
enfant
présente déjà une amélioration si frappante qu'el
de 13 ans 1/2, est fils d'un honnête serrurier de Xarbonne. C'est un
enfant
intelligent, bien portant en somme, mais qui. dan
ion à coups de pied ou de martinet donne de mauvais résultats. Sur 10
enfants
vicieux, 8 en moyenne ont eu, à l'origine, les co
t eu, à l'origine, les coups comme enseignement moral. Un jour, cet
enfant
déroba une bicyclette, s'en amusa tout le jour; p
judiciaires ; mais le père, après une vigoureuse correction, chassa l'
enfant
de chez lui. Voici donc notre jeune garçon sur
it heures de ¦ violon o récompensèrent cet exploit. C'est alors que l'
enfant
fut confié au traitement psychothérapique. On r
façon plus réfléchie, une fois l'habitude acquise. J'ai endormi cet
enfant
avec facilité. Son intelligence le rend aisément
tir de la place où elle se trouve, de peur que je ne l'y oublie. (L'
enfant
est réveillé, et, quelques minutes après, pendant
rition d'un animal oa d'un individu redouté donnant à un être faible (
enfant
, femme, vieillard) la force de se soustraire à so
de gravité et de simplicité, d'autorité et de douceur ; une gaieté d'
enfant
; quelque chose du prêtre. Au surplus, c'est un a
t que l'on caresse comme siennes; on ne sacrifie pas aisément ses
enfants
adoptifs. » Liébeault avait pressenti les plagiai
hypnotisme constitue l'élément fondamental, permet de remédier chez l'
enfant
, et même chez l'adulte aux impulsions vicieuses,
-ci, la chorée peut être arythmique et se rapprocher de la chorée des
enfants
. On ne doit même pas dire que, dans les cas de ch
tit, mais c'est cet ensemble de suggestions qui fait l'éducation de l'
enfant
.... Il est important de réglementer les suggest
veille passive puisque leur ensemble modifie notre individu. Pour les
enfants
, ce sont les parents qui doivent les surveiller.
omment l'emploi de l'hypnotisme ainsi manié permet de remédier chez l'
enfant
et même chez l'adulte aux impulsions vicieuses, a
t de son mari, à l'abbaye de Marmoustier, « afin d'obtenir de Dieu un
enfant
». Son petit-fils, Jacques de Vendôme, se montre
mps comme remède radical à appliquer contre l'idiotie, • de plonger l'
enfant
dans l'eau et de le noyer, car de telles créature
il faut évidemment procéder avec de très grandes précautions chez cet
enfant
plutôt souffreteux. C'est un mécanisme délicat et
termine en invitant * les parents et les pédagogues à contraindre les
enfants
encore tendre-ets à se coucher en honneste et due
hypnotisme à la psychologie, à la thérapeutique et à la pédagogie des
enfants
vicieux ou anormaux. La leçon d'ouverture aura
rdi 5 Juin. — Congé de la Pentecôte Jeudi 7 Juin. — Le problème des
enfants
anormaux. Les anormaux arriérés et les anormaux m
¡2 Juin. — Applications générales de l'hypnotisme a la pédagogie des
enfants
vicieux ou anormaux. Les enfants turbulents. Le d
s de l'hypnotisme a la pédagogie des enfants vicieux ou anormaux. Les
enfants
turbulents. Le dispensaire pédagogique. Jeudi 1
remédier aux impulsions et aux mauvaises habitudes que présentent les
enfants
nerveux, vicieux ou dégénérés. ¦Tels sont les s
propos de la contagion hystérique. M. Dubois appelle hystériques des
enfants
qui présentent des phénomènes normaux de suggesti
t pas comprendre pourquoi la suggestion hypnotique est bonne chez ces
enfants
et funeste chez des adultes ? On le voit, c'est
n portante, ainsi que ses frères ; son père est alcoolique. C'est une
enfant
du peuple, jolie fille, au corps bien conformé, a
ses maîtres qui lui ont voué une affection sans bornes, n'ayant pas d'
enfant
qui pût en profiter. Ma petite chienne Myrza, q
de côté les 11 autres. Parmi ces derniers il y avait un maniaque, un
enfant
d'intelligence débile et deux personnes âgées tom
Les passes restèrent sans succès dans les deux cas de manie et chez l'
enfant
imbécile. Dans quelques cas on employa la persuas
hypnotisme à la psychologie, à la thérapeutique et à la pédagogie des
enfants
vicieux ou anormaux. 11 le continuera les mardis
i 5 Juin. — congé de la pentecôte Jeudi 7 Juin. — Le problème des
enfants
anormaux. Les anormaux arriérés etlesanormaux mal
i 12 Juin. —Applications générales de l'hypnotisme à la pédagogie des
enfants
vicieux ou anormaux. Les enfants turbulents. Le d
s de l'hypnotisme à la pédagogie des enfants vicieux ou anormaux. Les
enfants
turbulents. Le dispensaire pédagogique. Jeudi 1
t donneront lieu à des discussions approfondies. 1* Le problème des
enfants
anormaux : Traitement, pédagogie spéciale et assi
nts anormaux : Traitement, pédagogie spéciale et assistance. 2* Les
enfants
turbulents : les procédés pédagogiques qui leur s
ts et-des paroles endormantes il fait que le malade s'endort comme un
enfant
s'endort dans les bras de sa mère. Chacun peut co
se priver absolument de l'hypnotisme, puisqu'il y a recours pour des
enfants
. Le professeur Bernheim écrivait dans son livre
les de l'hypnotisme ? il. Dubois a écrit que les troubles reinaus des
enfants
et particulièrement l'incontinence, doivent être
ntielle, non pas parce que la raison est trop peu développée chez les
enfants
comme il le dit, mais parce que l'incontinence es
la diète et à la cure de repos et sans .être obligé de réveiller les
enfants
. ïf. Dubois lui-même, proscrit les boissons et
seul peut expliquer l'incontinence. Ce relâchement a lieu parce que l'
enfant
dort si profondément qu'il ne peut sentir le beso
le ou bien elle ne le peut qu'en agissant sur la sùggesti-bilité de l'
enfant
; on est en droit d'affirmer que les enfants qui g
ur la sùggesti-bilité de l'enfant; on est en droit d'affirmer que les
enfants
qui guérissent par hasard par une des méthodes ha
e, parce que pendant l'hypnose on peut modï- fier le sommeil de l'
enfant
, le rendre moins profond et lui apprendre à senti
entir le besoin d'uriner en dormant. Pendant qu'il est hypnotisé, l'
enfant
ou l'adulte sent le besoin d'uriner et il arrive
ure de M. le D' Guillemonat, de Paris, et de M. Quinque, professeur d'
enfants
anormaux. Ces candidatures sont adoptées à l'unan
Psychologie, par Bérillon, p. 227. Ectothérapie cérébrale, p. 58.
Enfant
susceptible, p. 98. Enseignement de l'hypnotism
fonctionnels occasionnés par), par Pamart, p. 374. Langage chez les
enfants
(Les maladies du), par Chervin, p. 159. Liébeau
aques d'hystérie. Bron- cho-pneumonie à 29 ans. Mariée à 19 ans : 5
enfants
, le dernier il y a ans. Depuis 7 ans, chagrins
YSTÉRIE SIMULATRICE DES MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
(1). Observation II (inédite), due à l'obligean
de grossesse et diminue en- core après l'accouchement de son second
enfant
qui fait le sujet de cette obser- vation. Elle
, sans tare nerveuse personnelle ni du côté des siens. Le premier
enfant
de cette famille, le frère du petit malade qui no
ans environ de plus que son cadet. Antécédents personnels . - Cet
enfant
a eu des convulsions dès sa plus ten- dre enfan
E DE LA SALPÊTRIÈRE. Etat actuel et marche de la le DrValmontvoit l'
enfant
pour la première fois, au commencement de 1887,
mars 1887, contracture brusque des muscles de la nuque qui force l'
enfant
à marcher la tête renversée en arrière, la poitri
res du côté paralysé. ' MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
23 Réflexes rotuliens diminués ( ? ) La sensi
M. le professeur Charcot est alors appelé en consultation auprès de l'
enfant
et M. le docteur Yalmont s'excuse presque d'avo
ence. Au bout de quelques jours, M. Valmont qui fait du massage à l'
enfant
lui voit peu à peu reprendre les ha- bitudes et
ardent pas à disparaître complètement et moins de six mois après, l'
enfant
pouvait être considéré comme tout à fait guéri.
mptômes, aucun ne manquait au syndrome que nous voulons analyser. L'
enfant
en effet avait à peine dépassé 3 ans ; le début
s disparus revenaient du côté de l'hémiplégie, après avoir laissé l'
enfant
infirme près d'un an. Dès lors, l'hystérie s'im
oir plus haut, page 28. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
25 drome hystérique simulateur à peu près compl
ne certaine valeur à ce point de vue. Le parfait état de santé de l'
enfant
, l'absence de troubles intellectuels bien caracté
troubles de sensibilité rencontrés dans l'hémiplégie corticale des
enfants
. Ainsi s'expliqueraient les divergences des aut
(2) Id. loco cilato. maladies organiques DE l'encéphale chez LES
enfants
S 27 et, en fait, les associations de l'hystéri
ulgaire à forme convulsive, soit dans l'hystéro-épilepsie. Chez les
enfants
en particulier, la dissociation est fré- quente
I, p. 62). Nous retrouvons, en note, après cette observation, que l'
enfant
guérit, comme M. le professeur Charcot l'avait
du mardi, 1888, p. 203. maladies organiques DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
S 29 Jusqu'à ces derniers temps, après les trav
ltes. Il était difficile d'en trouver d'aussi nettes concernant les
enfants
(1). l'ourlant, dans les trois qui vont suivre,
d'hystérie à forme d'épilepsie partielle dont l'un est relatif à un
enfant
de 14 ans. Nous renvoyons à ce travail très consc
s de l'observation. ' MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
31 côté gauche est toujours respecté. Jamais il
rté à la Salpètrière et qui a paru évident à tous ceux qui ont vu l'
enfant
ne peut être pour cette raison rejeté à priori,
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. conduit d'ordinaire chez les
enfants
une hémiplégie purement organique. Il y a pourt
du faisceau pyramidal. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
33 La contracture peut suivre encore les monopl
utiques. Mais le diagnostic n'est pas toujours aussi aisé. Chez les
enfants
en par- ticulier il arrive souvent que la contr
ament dit hystérique se rencontre toujours : « ce sont, dit-il, des
enfants
forts, bien constitués, à intelligence moyenne
es que l'hystérie non convulsive et en particulier l'hys- térie des
enfants
». Mais ces accidents d'HYS'rÉuiE locale ne son
le tableau suivant : MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
37 d'origine corticale : au début de cette mono
s, les monoplégies, avec ou sans contracture, sont surtout chez les
enfants
les premières manifestations de l'hystérie qui ne
Soc. més. hôpit., 1890. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
39 réflexions seront courtes. Il est clair que
déjà à quelles diffi- cultés de diagnostic on était exposé chez les
enfants
pour qui les paralysies et les contractures son
du mardi 1888, n° 19. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
41 de l'aphasie hystérique. On lira plus loin l
us loin l'observation d'un syndrome hystérique qui simulait chez un
enfant
le type de l'aphasie motrice décrit par Broca ;
t en rapport avec les émotions et qui atteint plus spécialement les
enfants
, en raison même de leur extrême susceptibilité.
our ; elles dépassent le chiffre de 70 et 12 environ concernent des
enfants
. Eu égard aux difficultés du diagnostic, on peu
catégorie, bien qu'il s'agisse d'un type d'aphasie motrice chez une
enfant
hystérique. Il en est de même pour l'observ. XII
la classer. Observation XI. Aphasie motrice hystérique citez une
enfant
de 11 rois. Attaques convulsives (In thèse Peug
ques ni de convulsions. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
43 Début. Il y a 18 mois, l'enfant s'amusait da
ANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 43 Début. Il y a 18 mois, l'
enfant
s'amusait dans la rue avec un chien qui brusque
t qu'elle a complètement perdu l'usage de la parole. Etat actuel.
Enfant
bien conformée. Joues pleines et colorées. Pas d'
ès vive. Cependant, la personne qui l'accompagne nous affirme que l'
enfant
est en progrès et qu'elle peut dire « oui », qu
. Depuis son retour, on aurait noté des crises convulsives : mais l'
enfant
, vivant 44 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRI
lsives auraient précédé de un ou deux mois le début du mutisme. L'
enfant
fut repris par ses parents qui purent constater l
is de mai 1892 et son mutisme dure depuis près d'un an. C'est une
enfant
bien conformée au physique et qui jouit d'une bon
ais il n'y a certainement pas de surdité verbale. Le caractère de l'
enfant
n'est pas modifié : affectueuse pour ses parents,
rs dans le même état. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
45 Dans cette observation, bien des signes sont
b- servation de M. le Dr G. Tournant, puisqu'il ne s'agit plus d'un
enfant
comme dans les observations de M. le professeur
se de Paris, mars 1892. MALADIES ORGANIQUES DE L ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
47 C. Lésions de l'appareil de la vision. SYN
re en clinique, c'est de voir certains sujets et en particulier des
enfants
qui sont, en dehors de toute maladie bien caracté
t due à l'hyper- hémie. La troisième observation fut faite sur un
enfant
qui souffrait d'une coxalgie gauche. Les séance
ut interrompu par une occasion accidentelle et je n'ai point revu l'
enfant
. Enfin je me suis convaincu dans ces derniers t
- res de l'Église ne parviendraient pas à débarrasser ce malheureux
enfant
de ses souffrances. Le Révérend appela à divers
ortuné. N'ayant remarqué aucune amélioration, il dirigea parents et
enfant
vers notre cloître, dans la pensée que là peut-êt
n lui serait accordé. Au premier abord, nous constatâmes chez cet
enfant
les étranges phénomènes signalés plus haut. Nou
cu- laire telle qu'il est impossible d'en voir une pareille chez un
enfant
de dix ans (1) Eine Teufelaustreibung in Baiern
corder, nous eûmes recours à tous les moyens. Nous donnâ- mes à cet
enfant
la benedictio a doemone vexatorum et nous fimes,
t pas obtenu. A diverses reprises nous envoyâmes les parents avec l'
enfant
à la célèbre Église des pèlerins pour demander
ours. Quand le vénérable évêque donna la bénédiction, la tenue de l'
enfant
le convainquit qu'il n'y avait chez celui-ci aucu
t qu'il n'y avait chez celui-ci aucune supercherie, bien plus que l'
enfant
était tourmenté par l'esprit immonde. Il faut ajo
faut ajouter que quelques autres personnes (le père et la mère de l'
enfant
et d'autres assistants tant de leur pays que de
g et des environs), peuvent confirmer ces choses. Chaque fois que l'
enfant
devait passer près d'une église ou d'un crucifix,
s centaines de personnes, fait cette observation : à savoir que cet
enfant
montrait dans l'église une agita- tion effroyab
més des pleins pouvoirs de l'évêque nous mandâmes les parents et l'
enfant
, le 13 juillet, jour où commença l'exorcisation
fait au vicaire de Durrwangen quand celui-ci avait autrefois béni l'
enfant
. Toute- fois, nous laissâmes dans l'Eglise, à t
u couvent. Quelque temps avant le commencement de l'exorcisation, l'
enfant
se mit sous- fleter ses parents d'une manière i
porter son fils dans le sanctuaire il fût moins fort que son faible
enfant
. Ce faible enfant jeta son vigoureux père par ter
ns le sanctuaire il fût moins fort que son faible enfant. Ce faible
enfant
jeta son vigoureux père par terre avec une tell
rituel d'Eichs- taetl. et exposâmes la sainte croix. Nous bénîmes l'
enfant
avec celle-ci et l'en- fant se remit à pousser
restèrent sans réponse. Montrant le plus grand mépris pour nous, l'
enfant
nous crachait au visage il chaque demande. Le mal
ment au rituel, nous passâmes l'é- tole violette autour du cou de l'
enfant
, nous pûmes dédaigner l'esprit immonde. Ce sign
le forcer à adorer son maître, le diable s'écria plein de rage : l'
enfant
est possédé. Preuve évidente de la présence réell
rcisation ultérieure, à cette demande si un seul diable possédait l'
enfant
, il répondit qu'ils étaient dix. Conjuré de quitt
dait l'enfant, il répondit qu'ils étaient dix. Conjuré de quitter l'
enfant
, il répondit : « je ne puis pas ». Au cours de
oins obtenu ce résultat : le diable reconnaissait qu'il possédait l'
enfant
. Le lendemain, 14 juillet, le P. Remigius dut a
isation com- mença. Durant la cérémonie, je plaçai sur la tête de l'
enfant
la Sainte croix et 60 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
re la douleur que le méchant esprit devait souffrir. Le visage de l'
enfant
était déchirant ; sur ses traits se lisait la d
ents et avec les signes d'une vive douleur, ad- juré d'abandonner l'
enfant
, le diable répondit « Non ». Je l'adjurai encore
effrayants déjà décrits. Je continuai à lui répéter d'abandonner l'
enfant
et de cesser une résistance inutile. Furieux, i
ontinuai-je ? « Parce qu'elle était en colère » dé- clara-t-il. Cet
enfant
avait-il fait quelque mal à cette femme, achevai-
épondit-il. Dans les exorcisations répétées l'adjurant de quitter l'
enfant
, lui déniant le droit de tourmenter une créatur
eux pas ». Quand on lui demande pourquoi il ne peut pas quitter cet
enfant
, il répond : « parce que cette Herz l'ensorcèle t
ette femme continuera son sortilège, tu ne pourras pas abandonner l'
enfant
, demandai-je au possédé. Oui. Mais tu dois aban
l'enfant, demandai-je au possédé. Oui. Mais tu dois abandonner cet
enfant
, je t'en adjure, mal- gré que cette femme l'ens
pas ». Je l'adjurai ensuite de me dire si et quand il quitterait l'
enfant
. Réponse : « je ne peux pas ». Depuis combien d
ponse : « je ne peux pas ». Depuis combien de temps possèdes-tu cet
enfant
deman- dai-je. Depuis une demi-année, répondit-
djurai de me dire pour quelle raison il tourmentait ainsi ce pauvre
enfant
innocent, sur lequel du reste il n'avait aucun po
fant innocent, sur lequel du reste il n'avait aucun pouvoir puisque l'
enfant
n'avait encore commis aucun péché mortel. « Par
fois. Pendant la bénédiction cruciale et les litanies des Saints, l'
enfant
était encore agité mais les crachements avaient
sen- tes ni dans celui de « la Herz » qui lui avait fait posséder l'
enfant
et de s'en re- tourner au contraire aux lieux q
ès une pause, je lui posai cette question : «As-tu déjà abandonné l'
enfant
». J'obtins comme ré- ponse : « Oui ». Ainsi qu
l'entière vérité. As-tu avec tes compagnons quitté le corps de cet
enfant
? Oui répliqua-t-il. Où es-tu maintenant ? dis-
de tristesse. Alors des larmes coulèrent en abondance des yeux de l'
enfant
, signe que le malin esprit l'avait réellement q
urs menti. C'est du reste le père du mensonge. Je fis alors faire à l'
enfant
le signe de la croix, regarder le crucifix, pro
LPÊTRIÈRE. Enfin j'achevai l'exorcisation. Cela fait, je plaçai cet
enfant
sous la protection de la mère de Dieu, en le re
eur, avait accompli cette merveille. je me dirigeai accompagné de l'
enfant
et des assistants vers le maî- tre autel et ent
râce avec rosaire, ainsi que je l'avais promis. Pendant la messe, l'
enfant
à genou sur un prie-Dieu dans le sanctuaire récit
ssance. Et tous les yeux se mouillèrent de larmes, il la vue de cet
enfant
délivré de son mal. Telle est l'histoire de cet
er l'infinie miséricorde qu'il a révélée si éclatante au sujet de cet
enfant
. (C) Causes de la possession. Le père de l'en
au sujet de cet enfant. (C) Causes de la possession. Le père de l'
enfant
est catholique, sa mère protestante. Ils vivaient
ixte. Mariés dans la foi protestante, ils faisaient suivre il leurs
enfants
une école évangélique. Cependant le père fut un j
jour pris de remords ; il voulut racheter ses fautes et envoya ses
enfants
à l'église catholique de Dur- wangen. Ce revire
ité. Et pour compléter leur malheur, la voisine Herz ensorcela leur
enfant
. L'enfant en effet a une fois déclaré dans une ex
ur compléter leur malheur, la voisine Herz ensorcela leur enfant. L'
enfant
en effet a une fois déclaré dans une extase dé-
environ que cette femme lui avait envoyés le mardi-gras. Ce pauvre
enfant
avait fréquemment de pareilles extases. Un jour,
Herz dont les malédictions l'avaient fait entrer dans le corps d'im
enfant
qu'il serait bientôt obligé de quitter. Une autre
ettre, il l'avait annoncée aussi quelques jours avant. Le père de l'
enfant
, qui était venu nous voir plusieurs fois, mit ord
l se fit marier une nouvelle fois d'après le rituel catholique et ses
enfants
furent baptisés il nouveau. Toutefois le posséd
un si grand bien ! (D) Phénomènes consécutifs A la possession. L'
enfant
se montrait maintenant très gai et très joyeux. P
tirer aucune parole. Depuis il est devenu très parleur. Ses yeux d'
enfant
brillent si clairs et si innocents que c'est pl
il revint il l'état normal. Pendant les cinq séances d'exorcisme, l'
enfant
tomba chaque fois dans une extase démoniaque « in
wie leblos » Après la der- nière exorcisation, le diable expulsé, l'
enfant
fut très tranquille et on ne re- marqua chez lu
l me laissait lire tranquillement. Après l'expulsion du diable, l'
enfant
s'approchait volontairement du maître- autel, e
endant la possession, la bénédiction avec la croix faisait tomber l'
enfant
dans une explosion de fureur ; après la guérison,
protestants écoutaient étonnés cet événement qui tient du miracle. L'
enfant
en effet était connu à dix lieues à la ronde et
d'après les rapports du père et du fils, tout est nor- mal chez cet
enfant
. Il visite maintenant avec amour et en catholique
r me remercier encore une fois. Mon coeur était content de voir cet
enfant
en pleine santé car la possession l'avait beauc
ton. Celui-ci avait porté le diagnostic d'hystérie. Lorqu'il vit l'
enfant
pour la première fois, la mère lui dit : « dans
une demi-heure ça va le prendre ». En effet, dans une demi-heure l'
enfant
se jeta sur un banc, frappant autour de lui des
rédacteur de la Gazette, que le diable principal qui pos- sédait l'
enfant
devait être d'origine bavaroise ou tout au moins
près l'accident. Enfin j'ai retrouvé Il dans mes notes, le cas d'un
enfant
de 3 ans chez lequel les phlyctènes 1 apparuren
déformation allant progressivement en augmentant, on fait subir à l'
enfant
à l'âge de 9 ans un traitement or- thopédique p
ed, on fait la sec- tion du tendon d'Achille. Six semaines après, l'
enfant
peut mettre la plante du pied sur le sol. Ell
jambier postérieur droit, appareils plâtrés. Depuis cette époque, l'
enfant
ne peut plus marcher seul, il peut à peine se ten
nir debout. L'an- née suivante, à l'âge de 16 ans (novembre 1892) l'
enfant
est amené à l'hô- pital. - C'est un garçon au
des pieds. Les extrémités supérieures n'ont pas la force normale. L'
enfant
ne peut se suspendre par les mains. Les pieds p
me une maladie de Friedreich. Nous nepouvons savoir en effet si cet
enfant
est ataxique, puisqu'il est paraplégique. Les mou
YSTÉRIE SIMULATRICE DES MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
(9 ). Si les troubles hystériques de l'appareil
, Soc. méd. hop.. 1882. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
103 une persistance extraordinaire (1) ; d'autr
ics. Thèse Paris, 1892. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
105 est en même temps doué de mouvements volont
es environ en dehors de l'orbite. En ce qui touche spécialement les
enfants
, un premier exemple de faux ptosis a été donné
nt pas moins intéressants. Observation XVIII. Hystérie chez une
enfant
de 13 ans. Ptosis pseudo-paralytique, puis blépha
( ? ) assez fréquentes. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
107 Début du ptosis il y a 8 jours. A la suite
Début du ptosis il y a 8 jours. A la suite d'un grand orage, cette
enfant
res- sent de violents maux de tête et le lendem
clinique de cette affection ? L'erreur est surtout facile chez les
enfants
elle chapitre des pseudo-méningites mérite chez
s adultes par M. Chan- temesse (1), ne sont pas très rares chez les
enfants
. Là n'est pas notre but. Nous devons au contrai
F.. Tht'se Paris, 1884. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
109 treront ensuite comment l'hystérie réalise
persistante comme dans les maladies organiques de l'encéphale; les
enfants
en particulier s'en plai- gnent vivement et on
ésie gastrique (2) ». La constipation manque assez souvent chez les
enfants
atteints de ménin- gite. C'est un phénomène qui
ses de M. Chantemesse (3) et de M. Macé (4). En ce qui concerne les
enfants
, l'observation XXII de notre thèse, empruntée i
c. hôpil., 1891, nu 17. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
111 publiées depuis environ vingt ans sont rela
s, nous avons pu en réunir avec peine deux ou trois relatives à des
enfants
et un heureux hasard a voulu que nous puis- sio
uis- sions ajouter à ce nombre si restreint d'observations chez les
enfants
deux autres qui nous sont personnelles. Obser
strabisme, raideur des membres inférieurs et surtout, attitude de l'
enfant
, on ne pou- vait se défendre de songer à une mé
sements et de fièvre. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
z3 Enfin, on fait lever l'enfant qui peut parfa
RGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS z3 Enfin, on fait lever l'
enfant
qui peut parfaitement se tenir debout. A la vé-
nements nous sont fournis d'une façon très précise par la mère de l'
enfant
rlui est une femme intelligente. Antécédents hé
5 ans. Pas d'autres maladies. Il y a 18 mois, en octobre 1890, l'
enfant
qui avait alors 12 ans fit une chute dans un es
er le lit. Un médecin appelé à ce moment constata ce qui suit : L'
enfant
est dans un état d'abattement très marqué avec
t est complètement nul, bien que la langue soit à peu près bonne. L'
enfant
ne veut prendre que de l'eau fraîche et vomit s
s poumons ou du coeur. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CITEZ LES
ENFANTS
115 Trois phénomènes particuliers sont encore à
ue les vomissements ont cessé et à ce moment, l'amaigrissement de l'
enfant
était déjà très sensible. On se décide alors à
ésiter comme étant de nature hystérique, on se montre sévère pour l'
enfant
, on lui prescrit l'isolement et les douches, ou
du thermo-cautère. 15. Les crises ont beaucoup diminué de nombre. L'
enfant
se lève pour aller à la douche ; il commence il
ir rattacher la plupart MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
11l des cas décrits par M. Jules Simon sous le
crits par M. Jules Simon sous le nom de sclérose cérébrale chez les
enfants
. A part une question de mots, la description de c
oit après les deux observations qui vont suivre. Observation XXV.
Enfant
de souche névropatlcique. Pseudo-méningite tuberc
s moins fréquentes, céphalalgie moins vive, retour de la mémoire. L'
enfant
est re- tournée dans sa famille et après divers
rir complètement. CONCLUSIONS GÉNÉRALES. I. L'hystérie chez les
enfants
ne diffère pas essentiellement de l'hys- térie
. De là, deux catégories de ces syndromes. III. On observe chez les
enfants
des syndromes hystériques de la première catégo
nique de Weber, l'amaurose et le ptosis. On observe encore chez les
enfants
des syndromes hystériques de la deuxième catégori
upart de ces syndromes simu- lateurs et s'associe rarement chez les
enfants
aux diverses maladies de l'en- céphale. V. Le
du diagnostic qui n'intéresse pas moins le médecin que l'avenir des
enfants
. A. 13ARD01., Interne des hôpitaux. LA DANS
é- raux. Il s'est marié en France, à l'âge de 23 ans, et a eu six
enfants
. Le premier, né avant son départ pour l'étrange
s spécieux ; en effet la lèpre peut se montrer chez les tout jeunes
enfants
et sous des modalités très diverses et la syrin-
onter sur le mont Calvaire. En voyant le peuple courir, je pris mon
enfant
, et j'allai sur le seuil de ma maison pour le v
Champfleury (1) Paul Boiteau l'attribue àBerquin (Légendes pour les
enfants
, Hachette, 1861,in-18). (2) Groesse, Tradition
'accompagnaient de vomissements. Le 28 août 1890 elle accouche d'un
enfant
mort depuis 2 mois environ. En mars 1891, la su
ut d'un mois. Bonne santé jusqu'à la fin de l'année 1892. Marié : 3
enfants
admirablement portants. Il gagnait beaucoup d'a
il a eu depuis une fille qui se porte parfaitement. Pas d'au- tres
enfants
; sa femme n'a pas eu de fausses couches : elle a
e 66 ans, est d'une bonne santé et pas du tout ner- veuse. Quatre
enfants
, tous vivants. Il n'y a pas de maladies nerveus
jours bien. Une pneumonie à 15 ans. Mariée à 28 ans, elle a eu cinq
enfants
, dont quatre n'ont pas vécu au delà de quelques j
atre n'ont pas vécu au delà de quelques jours. Elle prétend que ses
enfants
étaient bien constitués. Le dernier seul a vécu :
Pas de tare héréditaire. Marié depuis plusieurs années, il a eu un
enfant
do 2 ans qui se porte ad- mirablement, dit-il.
de Varsovie. Il a pérégriné dans tous les pays de l'Europe. Tout
enfant
, il fut recueilli par l'autorité militaire russe
, et il a séjourné quelque temps dans cette ville, où il a eu trois
enfants
. Mais cette halte était trop longue il son gré
'est toujours très bien porté ainsi que sa grand'mère. Ils ont eu 5
enfants
: 3 garçons et 2 filles. L'une d'elle est morte
en couche, pas de renseignements sur les autres. L'aîné de ces 5
enfants
, père du malade mourut a 88 ans, rhumatisant. D
t musicien, organiste. Il n'a pas connu sa grand'mère. Ils ont eu 3
enfants
dontl'ainéc, mère du malade, morte jeune, était
te jeune, était très douce, calme et jamais malade. Des deux autres
enfants
, deux gar- çons, l'un était musicien, l'autre i
sonnelle. 288 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Tous leurs
enfants
sont bien portants et aucun n'a eu d'affection ne
s et aucun n'a eu d'affection nerveuse. Sigmund S. est le quatrième
enfant
: Marié 2 fois, la première fois a une italienn
ui est morte à 24 ans à la suite d'une hémoptysie et dont il a eu 4
enfants
bien portants, et tous musiciens entrés dans des
atoires. Sa seconde femme a actuellement 49 ans. Il n'en a eu qu'un
enfant
, musi- cien aussi. Dès son enfance, il montra
rtant pas la contradiction. Il fut même brutal avec sa femme et ses
enfants
employant dans ses emportements des mots grossier
GUË CHEZ UNE ALIÉNÉE K. S. Z-aïa (1) âgée de 40 ans, mariée, a deux
enfants
, n'a jamais souf- fert de maladies somatiques a
le est enceinte et demande de la toile pour faire des langes il son
enfant
. Poids du corps : 134 livres. 15-18. Menstrues.
trues. La malade annonce qu'elle vient d'accoucher, elle montre son
enfant
imaginaire et se masturbe. 19-31. Elle chante p
ans. Son père n'était lui-même âgé que de "15 ans. Ils ont eu 15
enfants
dont beaucoup sont morts. Au dire de la malade,
assez mauvaise, et qui mourut à 35 ans. De ce mariage sont nés deux
enfants
qui sont actuellement bien por- tants Ù Kicw.
stérie simulatrice des maladies organi- ques de l'encéphale chezles
enfants
, (sui- te), par A. Bardol, 21, 102. Juif-Erra
907. No '1 i ARCHIVES DE NEUROL09Ji ASSISTANCE Du placement des
enfants
arriérés dans les Colonies familiales. Par le
itre d'essai, le placement dans les colonies familiales de 15 à20
enfants
arriérés de à il 1;) ans. » En vertu de cette dél
ce qui est vrai des filles, ne le soit également des garçons. Les
enfants
désignées pour ce transfèrement à la Co- lonie
ubles qui ont nécessité leur renvoi. C'est une preuve que, pour les
enfants
, aussi si bien que pour les adultes, il est imp
, c'est ainsi, dis-je, qu'il avait été tout de suite établi que les
enfants
complètement invalides et gâteuses ne sauraient
n ne pouvait, sans courir vers un échec cer- tain, recevoir ici les
enfants
habituellement violentes ou précocement vicieus
et les circonstances qui ont motivé leur renvoi. DU PLACEMENT DES
ENFANTS
ARRIERES. 3 ()]3s 1. -- Céline.... me 40691, âg
strabisms» dit le certificat d'ad- mission (.7juillet 1898). Cette
enfant
, constate M..1. Voisin, dans son certificat de
lée qu'elle nous était rendue par la nourricière : tout (le suite l'
enfant
s'était montrée turbulente, touchant à tout au ri
e caresse ni à aucun raisonnement. A cette époque toutes les autres
enfants
, sauf une, avaient quitté l'infirmerie. Bien qu
l'obligation delà réintégrer dans un asile fermé (.'8 août). Celle
enfant
n'avait pas de famille qui s'intéressât à elle.
1902). A la Salpètrière, les mauvais instincts avaient disparu ; l'
enfant
ne présentait plus que des « périodes d'excitat
.ic laconliai à une autre nom- ricière de tempérament très calme. L'
enfant
devait s'y trouver avec une pensionnaire adulte
er. Le service n'étant point organisé pour ce gen- rende malades, l'
enfant
suffisait elle seule à le troubler tout entier.
es ses courses. Quand on la laissait dans la salle DU PLACEMENT DES
ENFANTS
ARRIÉRÉS. 5 commune, Germaine ? y taquinait les
i était très attachée, je la prévins lui conseillant de reprendre l'
enfant
pour la faire admettre de nouveau à la Salpfifr
ue Germaine... quitta la colonie le 8 octobre 1906. Voici donc deux
enfants
qui, à la Salpêtrière, en dépit de quelques mom
solument impossible de la conserver en colonie. Il semble que cette
enfant
réduite à une vie intellectuelle très rudimenta
ans un milieu spécia- lement organisé, il semble, dis-je, que cette
enfant
se soit trouvée subitement désorientée et affol
il qu'à l'asile de Bcauregard (Cher) où elle a été transfé- rée, l'
enfant
, après quelques semaines d'agitation sem- blabl
ménage laissaient L trop peu de temps disponible. Comme celle de l'
enfant
, sa nature fruste et primesautière l'entraînait
is-à-vis d'elle aucune retenue. La liberté qu'on lui octroyait, l'
enfant
en abusait ; les instants où sa nourricière, pr
ne chôment pas plus ici qu'ailleurs, auraient bien vite donné à ces
enfants
, point de mire de tous les nourriciers, une rép
es pas davantage canaliser cette activité désordonnée ni remettre l'
enfant
dans le bon chemin ; il ne restait donc qu'une
: c'est ce dont la mère voulut bien se charger. DU PLACEMENT DES
ENFANTS
ARRIÉRÉS. 7 Il serait manifestement puérile d'i
l'hôpital ne pouvait faire prévoir en toute certitude que ces deux
enfants
ne pourraient s'acclimater à la colonie telle q
ui concerne Céline ce qui allait se passer. Parmi les onze autres
enfants
,certaines se présentaient avec des troubles mor
; n'en a pas eu depuis au moins une année » (signé J. Voi- SINI. L'
enfant
m'avait déplus été signalée comme ayant des habi-
ela \a d'abord très bien ; la nourricière se déclare satisfaite ; l'
enfant
est douce et généralement docile. Le 7 août, pres
; je dus aller la rassurer. Comme elle commençait à s'attacher à l'
enfant
elle ne fit pas de difficultés pour la conserve
ord et -ceci est d'ailleurs une mesure générale prise pour tous les
enfants
- j'avais proscrit formellement l'usage de tout
, malgré tous les conseils,la nourricière se détacha peu à peu de l'
enfant
, elle ne sor- 8 ASSISTANCE. taitpresclue plus
s et notablement atténuées dans leur forme. .Iluitioul-s après, l'
enfant
était replacée, mais chez une autre nourricière
n'est pas d'ailleurs la seule épileptique que nous ayons parmi ces
enfants
. Deux autres ont, l'une des ver- tiges très fré
'une d'elles dans un petit moment d'irritation ! Ainsi, 11 des 13
enfants
admises à la colonie se sont en somme vite et b
t toute leur affection et toute leur complaisance. DU PLACEMENT DES
ENFANTS
ARRIERES. 9 se présenter. Physiquement les enfa
DU PLACEMENT DES ENFANTS ARRIERES. 9 se présenter. Physiquement les
enfants
se portent bien, elles ont toutes augmenté de p
aine amélioration dans l'état mental. Cinq d'entre elles notamment,
enfants
retardataires, qui déjà d'ailleurs avaient fait
le s'est très dévelop- pée physiquement, elle a pris en affection l'
enfant
de la maison et ne sait que l'aire pour lui êtr
a dû avoir recours à l'intervention du médecin, pour rappeler à ces
enfants
qu'elles doivent rester soumises à certaines rè
pro- grès appréciables. Quant aux conditions dans lesquelles ces
enfants
sont placées, elles sont très variées. Pour ell
t que très peu de contact avec la famille qui les .hospitalise, les
enfants
vivent au contraire continuellement dans cette
ne de familles se sont fait inscrire uniquement pour recevoir des
enfants
. Je dois avouer toutefois qu'il est un point ca
e celles-ci, ceux-là sont susceptibles do rendre à DU PLACEMENT DES
ENFANTS
ARRIÉRÉS. 11 la famille qui les reçoit quelques
urtout ils exposent à moins de responsabilité. D'un autre côté, ces
enfants
en pleine période de déve- loppement, consommen
dire que le mode actuel de procéder dans le placement familial des
enfants
arriérées soit parfait et définitif ? Je ne le
er le centre co- lonial, de telle façon que la présence d'une seule
enfant
turbulente ne vienne pas entraver le service. S
ifficulté pour les nourricières, de savoir occuper et distraire les
enfants
et de rester douces et patientes vis-a-vis d'el
ans une fonne heureusement atténuée, pour la plu- ralité des autres
enfants
. Ce n'est pas, en effet, une chose facile que d
riger par une contrainte pure- ment morale et jamais opprimante ces
enfants
au cer- veau rudimentaire, toujours capricieuse
e ni leurs occupations habituelles. Même il n'est pas bon, pour les
enfants
, de rester perpétuellement sous l'u- nique tute
m'ont déterminé récem- ment à réunir au centre colonial toutes les
enfants
pla- cées à Dun - elles sont la majorité, 8 sur
chappant momentanément à la sur- veillance de leur nourricière, les
enfants
retombent plus L'HOMME EST-IL SYMÉTRIQUE OU DOU
rer l'accroître beaucoup. Toujours est-il cependant que sur les 11
enfants
que nous avons actuellement, '.) savent écrire
ncée. Sans doute, on ne peut pas songer il fonder de suite pour ces
enfants
un service qui puisse être comparé, même de loi
dra. l'our le moment, nous nous contentons, pendant le tempsoùles
enfants
sont réunies au siège central, sous la surveill
le fait en toute loyauté. Cependant je reconnais ma- laisément mon
enfant
dans le signalement qu'il en donne.Le Du- plici
quand l'homme a besoin de la liberté » (pl. 20). Or, au temps où l'
enfant
, encore indifférent a la 1( notion de cause à e
or- ticale, de lésions pontiques, de « paralysie progressive » de l'
enfant
et de l'adulte, où le signe de Babinski manquai
t à la perte des ré- flexes tendineux et aponévrotiques; - chez des
enfants
atteints de paralysie infantile à forme hémiplé
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. breuses. L'observation actuelle concerne un
enfant
de six mois chez lequel la maladie a évolué trè
uelle du mardi 18 juin 1907. Présidence de M. Jules Voisin. ' Les
enfants
indisciplinés : procédés nzédico-pédagogiquesqui,
caractère de l'en- fant. t. Lorsqu'on se trouve en présence d'un
enfant
indocile, se mon- trant rétif, porté à la désob
sprit. Comme l'a dit justement J.-Jac- quesRousseau, le caprice des
enfants
n'est jamais l'ouvrage de la nature, mais celui
lui d'une mauvaise discipline. Cela est vrai non seulement pour les
enfants
dont la tendance à l'indiscipline à son point d
r ceux dont l'impulsivité est symptomatique d'une névrose. Chez les
enfants
atteints d'hystérie, d'épilepsie, de chorée et
92 sociétés savantes. d'autant plus ferme que les dispositions de l'
enfant
à l'impulsivité sont plus apparentes. C'est gén
le contraire qui arrive. Quand l'indocilité est confirmée, quand l'
enfant
se montre véri- tablement réfractaire à la dire
définitivement l'évolution de leur vie psy- chique ; tandis que les
enfants
qui naissent avec des tares, même très accentué
antes. 93 parmi les pupilles de l'assistance publique ; ce sont des
enfants
abandonnés par des parents qui ne leur ont souv
consonnes par le son qui leur est propre. La craniectomie chez les
enfants
arriérés. M. DovEx. Il faut distinguer aussi pr
M. DovEx. Il faut distinguer aussi promptement que possible si l'
enfant
rentre dans la catégorie des sujets où l'intellig
atoires sont souvent rapides et surpre- nants. M. Doyen présente un
enfant
arriéré qui a été opéré dix jours auparavant et
énita F..., est née en 1843. En 1876, elle est poursuivie, avec ses
enfants
, par un taureau furieux. Boule- versée par cett
contribuèrent pas médiocrement à l'altération de sa santé. Des cinq
enfants
qu'elle eut, trois seulement sont vivants : deu
trois dans ces tombeaux dans les- « quels il m'enleire, moi et mes
enfants
, je mettrais une torche « à l'acétylène avec pl
cteur et que tu n'es pas méchant, toi, « lais donc venir mes petits
enfants
, puis quand je les aurai, je o m'en irai me cac
gens qu'elle haït d'une façon si exclusive, la mère de leurs petits
enfants
. Soudain, du fait de cet état émotif intense et
- venus des bouches inutiles et ne pas jeter à l'Eurotas tous les
enfants
souffreteux qui ne seront qu'une charge pour la s
déjà dans des cas analogues lorsqu'il s'agit de délinquants encore
enfants
? Je ne liens pas plus à ce terme qu'à un autre
ions de la suggestibilité. On peut retrouver dans la mentalité de l'
enfant
la base de toutes les manifestations hystérique
n stade primitif dans l'évolution mentale de l'espèce, ainsi chez l'
enfant
. Certaines classes d'individus présentent égale
s qui présentent encore la simplicité des réactions psychiques de l'
enfant
. D'' Terrien (de Nantes).- Je ne veux pas appré
. Léopold-Levi et H. DE Rothschild présentent l'obser- vation d'une
enfant
atteinte de troubles musculaires de nature et d
hirurgicales. Double parésie des extenseurs de l'avant-bras chez un
enfant
dégénéré débile, catatonique. M. ARMAND DELIL
ée à mettre en lumière l'idée principale. E. COULOIYJOU. VARIA UN
enfant
qui promet. A l'âge de treize ans il a commis cin
cinq vols, a tenté un déraillement et a assassiné un laitier. Un
enfant
de treize ans, Jean-Marie Lacrouts-Borie, dit l'A
tentiaire jusqu'à sa majorité. Il est probable qu'il s'agit là d'un
enfant
malade dont la vraie place serait dans un asile
aurait pas eu de viol et peut-être crainte d'une grossesse et d'un
enfant
assister outre la mère. Mise EN liberté d'une a
à la sortie de ce genre de malades. Suicide d'un ADOLESCENT. - Un
enfant
de quinze ans, qui était apprenti mécanicien da
)ei-Lliui-. RoyEit (M.). De l'absolue nécessité de l'assistance des
enfants
anormaux et de,ses résultats au point de vue so
névralgies. Rap- pqrteur : Dr VERGER (Bordeaux). 3° Assistance des
enfants
anormaux . Rapporteur : D Charron (Amiens). L
iatres. La descendance, le milieu, l'état mental et phy- sique de l'
enfant
criminel ou moralement abandonné forment des su
ous, dans l'intérêt de la jeunesse criminelle et de l'éducation des
enfants
mentalement arriérés. Mais aussi en ce qui co
; on ne sait pas quel âge avait sa mère ; Léonard DA VINCI était un
enfant
natu- rel). · Dans mon étude de la Genèse du
ands hommes sont d'un âge mûr au mo- ment de la conception de leurs
enfants
, qui deviennent célèbres ; c'est-à-dire, le pot
- thoven était un alcoolique ; le grand BEETHOVEN était le second
enfant
, et ses frères cadets étaient des imbéciles morau
. BIBLIOGRAPHE 111. - De- l'absolue nécessité de l'assistance des
enfants
anormau r et de ses résultats au point de vue s
tout le jour de la consultation, pre- nant en détail l'histoire des
enfants
de toute catégorie de la Fonda- tion Vallée, ad
connaissant que vaguement les établissements où on peut placer ces
enfants
, les for- malités à remplir pour arriver vite a
rs, des dégradations disparues, des utilisations conquises pour les
enfants
eux-mêmes (marche, habillement, toilette, mé- n
t la nécessité de l'assistance, du traitement et de l'éducation des
enfants
idiots, le devoir social qui s'impose d'atténue
rech, à remplacer par des sommiers métalliques. » « Nos quartiers d'
enfants
, nous a écrit le D' Boiteux, nous don- nent tou
nnée 1906 a donné moins de sorties, mais un bien-être général à nos
enfants
. Nous vous en sommes tous bien reconnais- sants
Avant 1880 les services d'assistance ne comprenaient guère que des
enfants
trouvés, des orphelins, des enfants abandonnés pa
e ne comprenaient guère que des enfants trouvés, des orphelins, des
enfants
abandonnés par leurs parents. Les vicieux et le
les mauvaises tètes dans le bon chemin. La création des services d'
enfants
moralement abandonnés et la promulgation de la
du 24 juillet 1889 ont fait changer complètement la situation ; des
enfants
, victimes de parents in- dignes, ayant vécu dan
tablissements privés agréés par le mi- nistre de l'Intérieur. Les
enfants
vicieux sont visés par l'article 2 : « Lorsqu'un
graves, le tribunal civil peut, sur le rapport de l'inspecteur des
enfants
assistés, et, sur la demande du préfet, dans le
mari étant parti en « bombe », elle dut laisser le soin de ses deux
enfants
, Marius, âgé de neuf ans, et René, âgé de sept
yne iL coups de baïonnette. Parmi les blessés se trouvent plusieurs
enfants
atteints àla poitrine et au dos. Le forcené a é
dans les rues mettant en joue plusieurs personnes, des femmes, des
enfants
. liue du Gué,deux jeunes gens, Romain Pruvost e
ats, 16 septembre 1907.) FAITS DIVERS Suicide D'ADOLESCENTS. - Un
enfant
de 15 ans, le jeune Manel (de (ironuhte), ayant
moins satisfaisante. Mme X. est mariée depuis G ans, elle a quatre
enfants
mais elle n'a jamais éprouvé dans le coït ni la
ique du malade a donné les résultats suivants : Le malade, encore
enfant
, à l'âge de 5-6 ans, avait été vive- ment impre
e en tout cas qu'on ne peut pas laisser le développement sexuel des
enfants
à la merci des circons- tances accidentelles,co
ires publiques et d'écoles auto- nomes de perfectionnement pour les
enfants
anormaux. Présenté au nom de M. Armand Fallière
rs 1882 déclare que l'instruction primaire est obligatoire pour les
enfants
des deux sexes âgés de six ans révolus, et elle
glement déterminera les moyens d'assurer l'instruction primaire aux
enfants
sourds- muets et aux aveugles. Une commission n
ar le Ministre de l'Intérieur et elle estima que le nombre de ces
enfants
restant privés de toute instruction était insigni
ue dressée au début de 1905, il semble ré- sulter que le nombre des
enfants
aveugles et sourds-muets qui ne fréquentaient n
s créations d'écoles et de classes publiques destinées à donner aux
enfants
sourds-muets PROJET DE LOI. 287 Administratio
é des sourds-muets et des aveugles, il existe une autre catégorie d'
enfants
anormaux ; ce sont les enfants qui ne sont, il
les, il existe une autre catégorie d'enfants anormaux ; ce sont les
enfants
qui ne sont, il est vrai, privés d'aucun sens (
pour une part du moins, il n'en est certainement pas de même des
enfants
arriérés et des instables. Les arriérés, sont, il
pour la société. Il en est de même des instables, c'est-à-dire des
enfants
affectés d'une incohérence de caractère, d'un m
ment de l'école publi- que. C'est pour cette population de 20,000
enfants
qu'il y a lieu d'organiser des établissements s
concours des communes et des départements, des écoles spéciales aux
enfants
arriérés et instables. Ces écoles, en effet, de
és aux méthodes et aux procédés qui conviennent à cette catégorie d'
enfants
. Certes, le nombre et le dévouement des fonctio
emarquer enfin que les lois en vigueur ne visent évidemment que les
enfants
normaux et que le légis- lateur doit prendre un
ion où elles seront jugées utiles, de manière à ne pas éloigner les
enfants
du domicile des pa- rents. L'Etat payerait le
t, dans un même local, sous la direction d'un seul maître, tous les
enfants
anormaux de l'école et même de la ville, c'est-
s enfants anormaux de l'école et même de la ville, c'est-à-dire des
enfants
qui n'ont ni le même âge (il peut varier de six
on peut du moins le craindre aux moqueries, à l'hostilité, même des
enfants
normaux de la même école ; on augmente les souf
nt les famil- les habitent loin de toute classe spéciale, puis, les
enfants
gra- vement malades atteints dans leurs fonctio
les écoles spéciales de perfectionnement, on pourrait conserver les
enfants
pendant 2,3 ou même 4 ans au-delà de l'âge ordi
n'y aurait plus exclusion des bienfaits de l'ins- truction pour les
enfants
arriérés ou instables, c'est-à-dire pour ceux d
à même qui en ont peut-être le plus besoin. En ne traitant plus ces
enfants
comme des incurables, en leur donnant, dans leu
mande des communes et des départements peuvent être créées pour les
enfants
anormaux, arriérés et instables des deux sexes
gnement primaire public. Art. 2. Les classes annexées recevront les
enfants
de 6 à 13 ans. Les écoles autonomes pourront en
ession au dehors pourront être reçus dans les écoles autonomes. Les
enfants
trop gravement atteints pour que leur éducation
Art. 3. Dans aucune classe de perfectionnement, ne seront admis des
enfants
de sexes différents. Les écoles autonomes pourr
ndatrice ou le département fondateur. Elle portera sur chacun des
enfants
qui seront examinés au moins chaque semestre. Les
e de perfectionne- ment et d'un médecin, déterminera quels sont les
enfants
qui ne peuvent être admis ou maintenus dans les
ntant de la famille sera toujours invité à assister à l'examen de l'
enfant
. PROJET DE LOI. 295 Art. 13. Un comité de pat
sub- vention de l'Etat pour constructions d'écoles à l'usage des
enfants
anormaux et le recrutement des maîtres chargés de
pseudo-bulbaire. M. P. ARMAND DCLILLE et Mlle GIRY présentent deux
enfants
de quatre ans offrant ce type ; à noter lecontr
ravaux ont trait aux sujets suivants ; paresse et mollesse chez les
enfants
, les procédés médi- co-pédagogiques applicables
li pour l'examen rapide et complet, médical et psycho- logique, des
enfants
anormaux. Le Congrès de Genève-Lausanne ; l'exp
et se jeta sur sa femme. Un corps à corps s'engagea, tandis que les
enfants
, terrorisés, s'accrochaient à la jupe de leur m
n Beylen parvint à se dégager, et se sauva en em- portant un de ses
enfants
. Quatre agents accoururent à son do- micile, où
urent à son do- micile, où le fou brisait tout dans son ménage. Les
enfants
s'é- taient cachés sous le lit. Le malheureux d
urgeois péné- tra dans l'appartement. 11 parvint à emmener les deux
enfants
. A huit heures enfin, la police parvenait à s'e
ent avec elle, aux environs de Paris, pendant 10 ans. Mère de trois
enfants
, elle menait une vie bourgeoise, pensait à régu
été détenue à Saint-Lazare quinze jours, en compagnie de ses trois
enfants
( ? ) puis déclarée hors de cause. Au cours de
eubles et se cherche un ou des protecteurs,«car il faut nourrir ses
enfants
». Mais depuis l'affaire Briquet, elle n'a plus q
dure depuis 14 ans, depuis le procès qui a tout changé. » Un de ses
enfants
est mort ; les deux autres tournent mal, trompa
emière ». Après quoi,la maîtresse raconte l'histoire du père de ses
enfants
, toutes les deux sont très ennuyées, mais à ce
quelques mois, la servante déclare « sûrement c'est le père de vos
enfants
». En octobre 1902, M"'e Granet change de quartie
iété d'une grande fabrique, parce qu'il a eu pitié d'elle et de ses
enfants
et s'est repenti de ce qu'il a jadis dénoncé le
à entendus). Je lui ai expliqué plus tard l'histoire du père de mes
enfants
. Depuis lors, nous avons été très suivies. » 2°
té) m'a bien fait voir que j'étais dans le vrai ; au su- jet de mes
enfants
, toutes mes intuitions se sont réalisées (ainsi l
e boissons, mais ne se trouvait jamais ivre. Sa mère, qui a eu huit
enfants
, a succombé à la suite d'une péritonite à l'âge
a succombé à la suite d'une péritonite à l'âge de 61 ans. Des huit
enfants
, trois sont morts en bas-âge ; sur les cinq aut
son pays d'origine ; elle y est restée jusqu'à 18 ans. C'était une
enfant
assez chétive : elle n'a cependant pas offert d
e, et vit avec lui durant trois années, sans être mariée. Elle a un
enfant
de lui et bientôt ils régularisent leur situati
sources de la maison. Durant cette période, ils ont de nouveau deux
enfants
, l'un d'eux, le second, meurt de méningite tube
i a aujourd'hui 14 ans. Plus tard, en 1902, ils auront un quatrième
enfant
, âgé maintenant de 5 ans. Ces trois enfants, so
ils auront un quatrième enfant, âgé maintenant de 5 ans. Ces trois
enfants
, sont bien portants. En 1901, il se produit,
as suffisamment. D'autre part, à cette époque, ils ont un quatrième
enfant
, ce qui augmente leurs char- ges. En outre sa s
ychi., XXIX, f. 205, p. 67 et 68, 1" jan- vier 1906.) Chez quatre
enfants
nés des mêmes parents, une maladie carac- téris
clinique et anatomique, de l'idiotie de Sachs. Chez deux des quatre
enfants
, l'autopsie permit de faire les mêmes constatat
Sn- BRAZES (Gaz. hebd. des sciences méd. de Bordeaux, 2 juin). Un
enfant
arrêté dans son développement psychique, incapa-
ourra recourir au stratagème suivant : A une certaine distance de l'
enfant
on produit à son insu, un bruit fort et subit :
urnes à pério- dicité rythmique dans la capacité intellectuelle des
enfants
; tel enfant produira à tel moment de la journé
dicité rythmique dans la capacité intellectuelle des enfants ; tel
enfant
produira à tel moment de la journée une somme de
esoin de savoir aussi que la fatigue résiduale que pré- sentent les
enfants
dont le sommeil est insuffisant va continuelle-
'Encéphale, 1907, in n° 1.) Plus fréquents chez l'adulte que chez l'
enfant
, plus fréquents aussi dans les localisations do
rtement d'Ille-et-Vilaine. B. 1). SUICIDE ^'enfant. A Dunkerque, un
enfant
de 10 ans, Maurice Roger, s'est noyé de désespo
ts à suivre des confé- rences, excellent exercice pour réussir. '
Enfants
anormaux : INSPECTION médicale DES Ecoles DE Bo
e, M. le Professeur Régis est chargé de l'ins- pection médicale des
enfants
des écoles pour tout ce qui concerne les affect
et en particulier, de l'inspection médicale des classes et écoles d'
enfants
anormaux. Le Dl Régis a demandé à l'administrat
principaux collaborateurs dans l'oeuvre bordelaise d'études sur les
enfants
anormaux. Ajoutons que la municipalité de Corde
rof, agrégé Caban- nes ; Odontologie : I)r DUNOGIER ; Chirurgie des
enfants
: Prof. DENUCÉ ; Orthopédie : Dr GOURDON. FAI
ues sur les mala- dies mentales et nerveuses, spécialement chez les
enfants
, le jeudi 9 janvier 1908, à 10 heures, et les c
t consommé les restes des mêmes homards sont tombés malades et deux
enfants
sont même morts. L'auteur ne dit rien des sympt
t tantes. 7 frères et 3 soeurs : ils sont bien portants, et ont des
enfants
intelligents qui n'ont jamais été malades. Ni l
s qui n'ont jamais été malades. Ni les frères et soeurs, ni leurs
enfants
n'ont eu de convulsions. Dans le reste de la fa-
ère de Paris. Iné- galité d'âge de dix ans (père plus âgé). Trois
enfants
: 1° un garçon âgé de 5 ans 1 /2, bien portant,
e fut que d'une 1 /2 heure. Perte des eaux minime. A la naissance l'
enfant
pesait 4 kilogr., pas d'as- phyxie, ni de circu
nt les 25 premiers jours, il a eu des accès de cris nuit et jour. L'
enfant
a bien pris le sein maternel dès le début ; sev
les mots : « ma- man » et « merci ». Elle était éveillée comme les
enfants
de son âge, mais elle n'a jamais essayé de marc
ur du corps « de la tête aux pieds ». Les yeux étaient convulsés. L'
enfant
fut alitée consécutivement pendant 8 jours. Ava
tée consécutivement pendant 8 jours. Avant cette première crise l'
enfant
se servait de préférence de sa main gauche ; la m
ez la malade de la paralysie. Il en est de même pour la marche, l'
enfant
remuait bien les jambes, mais ne marchait pas en
'est à la suite de ces convulsions que li 22 CLINIQUE NERVEUSE. l'
enfant
aurait eu de la paraplégie; et le médecin aurait
é à la mère que sa fille était atteinte de paralysie infantile. - L'
enfant
n'a présenté aucun accès, ni état de mal jusqu'à
s de luxations ; pas de brû- lures, pas de sévices des parents. L'
enfant
ressemble au père. Comme la malade était arrié-
u'elle ne commençait pas à parler, qu'on pensa à l'arriération de l'
enfant
. Elle ne reconnaissait à ce moment que son père
ci-dessous le tableau des accès et vertiges pendant le séjour de l'
enfant
dans le service. Les 38 crises accusées en janv
les selles sont régulières, sans constipation, ni diar- rhé. mais l'
enfant
gâte jour et nuit. Le sommeil est bon, pas de c
u'elle s'endorme.On ne constate aucune tendance à l'ona- nisme. L'
enfant
aime à être propre, elle ne craint pas les bains
elle présente un strabisme très prononcé. L'ouïe paraît normale, l'
enfant
semble entendre avec satis- faction le chant et
e tableau compa- ratif du poids et de la taille. 1901. 18 mars, l'
enfant
est prise de toux coqueluchoïde et entre immédi
cices de la marche ; douches et bains. En juillet 1901, l'état de l'
enfant
reste stationnaire. Son vocabulaire est toujour
les mets sucrés. L'ensemble de la physionomie est satisfaisant ; l'
enfant
sourit et pleure sans motifs bien déterminés ;
et s'amuse seule avec une poupée ou un chiffon. 1902. Janvier. L'
enfant
reste dans le même état ; la parole n'a fait au
88 vertiges. On note alors quelques changements dans le facies de l'
enfant
; quoique la physionomie ait un certain air éve
, elle perd de jour en jour son expression. Le regard est triste. L'
enfant
prend un aspect chétif. L'appétit est moins bon
ot, et semble ennuyée, si on essaie de la faire causer. En un mot l'
enfant
perd de jour en jour ce qu'elle possédait. Elle e
la fin de l'année 1902 les accès et vertiges augmentant toujours, l'
enfant
est complètement abattue, dort des jour- nées e
ccentue de jour en jour, les accès augmentent et au mois de mars, l'
enfant
entre à l'infirmerie, où l'on est obligé de la
à 442 accès. Ceux-ci sont de courte durée et toujours identiques. L'
enfant
pousse un cri plaintif et ses membres supérieur
e est violacée. Le traitement est à la fois spécial et général. L'
enfant
prend deux bains salés par semaine, avec exerci
pidement vers la déchéance la plus profonde. La parole est nulle, l'
enfant
ne prononce au- cun mot, n'articule pas une seu
les années 1905 et 1906, la déchéance s'accentue de plus en plus, l'
enfant
s'affaiblit progressivement quoique s'alimentan
surtout après ses accès. Etat de mal, mort. Le 13 septembre 1906, l'
enfant
Mar... est montée à l'infirmerie à 3 heures de
r pour atteindre à 7 heures du soir 40°2 ; de 3 heures à 7 heures l'
enfant
a eu 93 accès. Ceux-ci sont identiques, très co
pendant un moment à des inter- valles de deux minutes. Autrefois l'
enfant
poussait un cri au moment de l'accès, maintenan
s accès. De 7 heures du soir à 7 heures du matin (14 septembre) l'
enfant
n'a eu que 44 accès ; après une courte rémission
l'on n'en compte plus que 10 jusqu'à 1 heure du matin, moment où l'
enfant
meurt. Le dernier accès a été de courte durée,
'enfant meurt. Le dernier accès a été de courte durée, la face de l'
enfant
était très cyanosée, les ailes du nez battaient
er un peu de bave blanchâtre, et après quelques petites secousses l'
enfant
a rendu le dernier soupir, sans râles, ni cris.
krouo- manic, de grincements de dents. 111. =)Jn janvier 1900, l'
enfant
, qui n'avait pas eu d'accès d'épilepsie chez el
uel basé sur un programme strictement adapté aux défectuosités de l'
enfant
, grâce à une étude métho- dique de son intellig
t féminin, a été érigée en 1882, pour l'école et la mise à part des
enfants
arriérés. D'autres constructions élevées en 1 ?
la vivisec- tion et la vaccination, qui punit la cruauté envers les
enfants
et les animaux et où l'on trouve des refuges po
en des rayons X ; il se procura une grenouille en fer blanc jouet d'
enfant
commun dans les bazars, la rontgenisa, admi- ni
Roux ; par COMDY (Bulletin médical, 18 mai 1907. t Tout' malade,
enfant
ou adulte,-atteint de paralysie diphtérique réc
s aux choses de la justice évo- luent et se transforment. Entre les
enfants
de la tradition et les enfants de l'esprit nouv
luent et se transforment. Entre les enfants de la tradition et les
enfants
de l'esprit nouveau, il y a opposition radicale.
sans souci financier, les éludes du quartier à construire pour les
enfants
des deux sexes si fâcheusement mé- langés avec
asimir-Delavigne. Terrien (I : ) -1'récis d'alimentation des jeunes
enfants
. 1 vol. petit in-S° de 356 pages. Prix : 4 fr.
. 371. de Mombello, par A.. \Ia- rixe, 1). 144 Assistance. Voir
Enfants
. Association. Voir Médecins. ATASIE-AI3.\.SIL
yé- lie. Clignotement. Voir Audition' Colonies familiales. Voir
Enfants
arriérés. Caun. Rupture du-, ralentisse- me
pe des écri- vains, par Nackc, p. 68. CnAXtHCToMtE. La chez les
enfants
arriérés, par Quinque, p. 93. Criminalité. Vo
iforme du cervelet. aiguë non suppurée, par Char- lier, p. 371.
Enfants
arriérés. Du placement des -- dans les Colonies
! 85. Parésie. Double des exten- seurs de l'avant-bras chez un
enfant
dégénéré, débile, cata- TABLE DES MATIERES. 4
THYROÏDIENNE; . Par BOURNEVILLE, médecin de Bicètre. (Section des
enfants
nerveux.) Le lendemain de la communication d'un
CAS D'IDIOTIE MYXOEDEMATEUSE. 5 dans le Compte rendu du service des
enfants
de Bicêtre pour l'an- née 1889 (t. X, p. 172),
ment chez les malades ordinaires .et, à plus forte raison, chez les
enfants
et surtout les idiots. l ir. 1. Deb... avec s
e très faible, correspondant à 2°, depuis la dernière observation l'
enfant
a gagné 4°.] Observation II. IDIOTIE MYXOEDÉMAT
aie de courir ; elle devient espiègle et fait des niches aux autres
enfants
. Il y a quelques jours, elle a voulu jouer à cach
rtes avec un petit bâton à la main dont elle donne un coup à chaque
enfant
qui passe. Prise sur le fait, elle prétend que
nt la voix est deve-, nue bien plus claire et a gagné en étendue, L'
enfant
qui, le 14 juin, Archives, 2e série, t. I. 2
i ? j ....' .. , .. Observation III. IDIOTIE MYXOEDËMATEUSE. , ,
Enfant
naturelle. Père sobre,' caractère sournois; rense
naissance, bonne santé apparente. Aucun renseignement précis sur l'
enfant
jusqu'à son admission. Dentition imparfaite et
1894 à la Fondation Vallée. Renseignements fournis par la mère de l'
enfant
(le 6 septembre 1894). La malade est une enfant
is par la mère de l'enfant (le 6 septembre 1894). La malade est une
enfant
naturelle. Père, valet de chambre, a eu des rap
qui il avait promis le mariage, trois mois après la naissance de l'
enfant
. Aucun renseignement sur sa famille. Mère, tr
hilis. Bien qu'elle se soit mariée il y a dix ans elle n'a pas eu d'
enfant
. Son père, menuisier, buvait la a goutte » tous
trois ans. Ses trois soeurs seraient bien portantes ainsi que leurs
enfants
. Les grands parents paternels et maternels sont
à l'incendie. Ce n'est qu'un mois après qu'elle a senti remuer son
enfant
: < eilen'a' jamais remué beaucoup. » Ni env
'eau. A la naissance pas d'asphyxie, pas de cordon autour du cou, l'
enfant
a crié de suite. Elevée au sein par sa mère dur
u sein par sa mère durant un mois, puis placée chez une soigneuse d'
enfant
» (nourrie au lait de vache). Elle l'a visitée t
avant son départ pour Paris, ayant su que la gardeuse donnait à son
enfant
de l'eau de pavot dans son lait et lui faisait
le l'a reprise et placée chez sa tante paternelle (grand'tante de l'
enfant
). Alors elle n'avait que deux dents, était peti
te « de vieillesse (soixante-quinze ans), sans accidents nerveux, l'
enfant
a été ramenée à Paris par une de ses tantes mat
t jours avant d'être placée à la Fondation. Elle a remarqué que son
enfant
ne marchait pas seule, qu'elle était très colér
qu'elle ait jamais eu de chute du rectum. Elle avait déclaré que l'
enfant
était propre, cependant il lui est arrivé de gâ
sez longs et assez fins et plus doux au toucher que chez les autres
enfants
myxoedémateux. Au voisinage du front et des tem
égèrement obtuse, ce qui tient peut-être à l'état intellectuel de l'
enfant
. Elle est très sensible au froid 1. Digestion
demeurer assise. La physionomie est douce, mais sans expression. L'
enfant
répète le nom d'un grand nombre d'objets, répon
- nution de poids de 500 grammes. 13 juin. - Le ventre diminue, l'
enfant
est maussade, pleure pour un rien, est très éne
nsible au froid, elle devient joueuse. Voix. Avant le traitement, l'
enfant
avait une voix très faible comme timbre et comm
quatre notes). Le 14 juin, la voix est plus sonore. Le 24 juillet l'
enfant
a gagné trois notes, une en bas, deux en haut (
son histoire est des plus curieuses. 1 Compte rendu du service des
enfants
de Bicêlre, pour 1889, t. X, p. 106, etc. 2 7
épidémie observée en Amérique dans l'Etat de Vermont atteignit 120
enfants
en trois mois de juin en août 1894. 46 REVUE DE
Mackey. (British médical journal, 2 août 1894.) C'est le cas d'un
enfant
de six ans, atteint de parésie doulou- reuse ;
Les muscles du tronc étaient également parésiés et douloureux et l'
enfant
ne pouvait au lit changer de positions. Mais en
ar 13.RLO ? C'est un cas de paralysie de Erb avec lordose chez un
enfant
de cinq ans, résistance marquée à l'action excita
dystrophies. Il s'agit d'une affection atteignant souvent plusieurs
enfants
de la même famille, débutant, dès la première a
ur le triceps crural, les fessiers, les longs muscles vertébraux. L'
enfant
n'apprend pas à marcher et ne peut se tenir deb
la malade est redevenue tout à fait raisonnable; elle parle de ses
enfants
qu'elle désire revoir, et demande sa sortie. Elle
remonter à vingt-cinq années environ, à la naissance d'un premier
enfant
. - Elle fut traitée par le lait peptonisé, les
ital et l'autorité parternelle de telle sorte que les femmes et les
enfants
soient soustraits à la tyrannie de pères et d'é
1' Fogt. Statistique des faits psychologiques. La vie psychique des
enfants
. Les fonc- tions psychiques des animaux. La psy
et la graphologie au point de vue psychologique. LE témoignage DES
enfants
EN justice. Sous le titre : Odieuse calomnie, l
ter son bien. Pour cela on devait avoir recours, par la bouche d'un
enfant
, à la plus odieuse des calomnies. « La femme un
ble mégère revendeuse à la toilette, s'ingénia d'abord à détacher l'
enfant
du père. Ce premier résultat obtenu, elle fit l
té; mais M. le docteur Vibert, médecin-légiste, chargé d'examiner l'
enfant
ayant constaté qu'elle n'avait subi aucune viol
mer ceux qui en étaient les instigateurs. D'autres révélations de l'
enfant
à qui les époux B... avaient également con- sei
Il n'y a pas de départements où il n'existe trois à quatre cents
enfants
et adolescents idiots ou atteints de perversion m
est héréditaire ou acquise. Héréditaire, nous la trouvons chez ces
enfants
nerveux qui, atteints de chorée par exemple, on
cquise, nous trouvons la prédisposition aux hallucinations chez des
enfants
, qui ont souffert dans les premirs mois de la v
es difformités orthopédiques. Pour l'auteur la presque totalité des
enfants
atteints de scoliose dite essentielle ont des a
la musique. Wildermuke a examiné compara- tivement 180 idiots et 82
enfants
sains ; il a trouvé qu'un tiers à peu près des
musique une capacité moyenne ; 11 p. 100 des idiots et 2 p. 100 des
enfants
sains étaient absolument dépourvus de toute cap
téressante : les gens du village de Stet- ten, d'où provenaient les
enfants
sains, sont réputés pour leur, aptitude musical
ins, sont réputés pour leur, aptitude musicale, et presque tous ces
enfants
avaient été instruits dans l'art de la musique,
éfléchit à la préco- cité de l'apparition du sens esthétique chez l'
enfant
. Au point de vue de l'oreille et de la sensibil
qu'il se maria peu après et, comme dans les contes, eut beaucoup d'
enfants
. (Amen'Mm Journal of insanity, avril, 1895.)
ois ans. A six ans elle commença à être obsédée du désir d'avoir un
enfant
. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 149 Pubère, ell
u besoin. Devenue enceinte, elle éprouvait à| chaque mouvement de l'
enfant
plus de jouissance qu'à l'accomplissement de l'
re du toucher et des phobies diverses. A la suite de la mort de son
enfant
, son obses- sion génitrice reparaît et elle rep
té tenu compte de cette règle. ' Législation sur les aliénés et les
enfants
assistés, t. l, p. 183. Berger- Levrault, Pans,
teurs permettra de répondre à la seconde indication. VARIA. LES
enfants
arriérés. Nous empruntons à la publication annu
nts qui concernent les progrès de l'assistance et du traitement des
enfants
idiots et arriérés. I. Création à l'asile d'ali
tion à l'asile d'aliénés de Bordeaux d'un quartier spécial pour les
enfants
idiotes. (Rapport de la commission.) Messieurs,
ous proposait de créer à l'asile d'aliénées un quartier spécial aux
enfants
arriérées, idiotes ou épileptiques et d'affecte
de surveillance qu'il ne s'agit pas de malades adultes, mais bien d'
enfants
qui exi- gent une nourriture et des soins plus
de malades (6 avril et 4 septembre). II. Création d'un quartier d'
enfants
épileptiques et arriérés à l'asile de Dury. (Re
'utilité que pourrait présenter la création d'un quartier spécial d'
enfants
à l'asile d'aliénés de Dury. Cette enquête a po
nalogues .existant dans les autres- départements. Statistique des
enfants
. Il existe dans le département 298 en- fants ;&
eints d'affections mentales dont 183 garçons et 115 filles. Ce, 298
enfants
se répartissent de la manière suivante : 1° Sui
milles aisées, 233 à des familles nécessiteuses. 111. Quartiers d'
enfants
annexés aux asiles des départements La plupart
es asiles d'aliénés ne possèdent pas de quartiers spéciaux pour les
enfants
. Ceux-ci sont ordinairement placés dans 172 , V
r- meries, quand leur état exige des soins assidus. Le nombre des
enfants
admis dans ces conditions est d'ailleurs générale
éralement peu élevé; il a été en effet reconnu que le placement des
enfants
arrié- rés au milieu des adultes présente de gr
ilieu des adultes présente de grands inconvénients. Des quartiers d'
enfants
existent dans huit asiles d'aliénés et sont en
e quartier comprend un corps de bâti- ment séparé pour recevoir 100
enfants
(50 de chaque sexe). Les dépenses de constructi
lés, mais faisant partie de l'asile d'aliénés. Il y a place pour 44
enfants
(22 de chaque sexe). Les dépenses de construction
). Les dépenses de construction se sont élevées à 70.000 francs, 31
enfants
y sont actuellement entretenus. Bourges (Cher).
rend 52 lits pour les filles idiotes, imbéciles ou épileptiques, 46
enfants
sont actuellement traitées.Qu'e-ttt'cs (Seine-I
idiots ou épileptiqnes. Evreux (Eure). Le quartier peut recevoir 44
enfants
(22 de chaque sexe). 15 enfants y sont actuelle
Eure). Le quartier peut recevoir 44 enfants (22 de chaque sexe). 15
enfants
y sont actuellement placés. Naugeat (Haute-Vien
llement placés. Naugeat (Haute-Vienne). Le quartier est affecté aux
enfants
du sexe masculin épileptiques et idiots. Le nom
s est de ? 5. Saint-lIIéen (Ille-et-Vilaine). - On peut recevoir 20
enfants
(10 de chaque sexe) idiots et épileptiques. Il
(10 de chaque sexe) idiots et épileptiques. Il y a en ce moment 17
enfants
en traitement. Saint-Dizier (Haute-Marne). Le c
itions que doivent remplir les quartiers ou les asiles destinés aux
enfants
idiots, arriérés et épileptiques. Il n'est pas
r la construction d'un quartier ou d'un Asile-Ecole, d'au moins 300
enfants
. Quand cela est possible, il y a tout avantage
hant une victime. J'ai rencontré des femmes, des jeunes filles, des
enfants
... Mon arme était dans la poche de mon vêtement
ernie, mais les couches étaient longues et pénibles. Un jour, étant
enfant
encore, notre malade en jouant aux chevaux, tom
nce, comme un DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LA POLYNÉVRITE. 183
enfant
capricieux et impatient, à prier de fumer. Sa pro
ralysie.] Pas de consanguinité; inégalité d'âge de cinq ans. Deux
enfants
: 1° notre malade; 2° garçon de quatre ans, bien
douleurs ont duré douze heures. A la naissance, pas d'asphyxie, bel
enfant
; à un mois, il pesait 9 kilogrammes. Elevé au s
t conseillé la section des amygdales. Pas de dartres, ni de toux. L'
enfant
a été placé dès l'Age de sept ans dans une école
en décembre 1892. Début de la maladie actuelle en décembre 1892. L'
enfant
avait toujours eu un caractrèe diffice, hautain
sauve et va en louer une. En février, première crise nerveuse : l'
enfant
était en train de déjeuner, il s'est trouvé mal
ALE. 201 cachette dans le débit de vins qu'ils tiennent. Du reste l'
enfant
nous l'a avoué lui-même plus tard. « Le matin s
cidre, il se roulait par terre et ne voulait pas se coucher. Aucun
enfant
de la famille ne lui res- semble. État du mal
is complètement ouverts, paupières en accent circonflexe; lorsque l'
enfant
rit aux éclats, ce qui lui arrive souvent, les
ue entièrement fermés. L'oeil gauche est plus fermé que le droit. L'
enfant
a subi une opé- ration dans l'oeil gauche parce
rmalement développée. L'attention et la réflexion sont possibles. L'
enfant
arrive à résoudre des problèmes assez compliqué
aire. - En résumé, au point de vue du développement intellectuel, l'
enfant
a les apparences d'un enfant normal. d) Etat
e vue du développement intellectuel, l'enfant a les apparences d'un
enfant
normal. d) Etat instinctif et moral. - Camille
et est venu faire des excuses. Durée vingt minutes. Le 21 mai, l'
enfant
va passer chez lui les fêtes de la Pentecôte. Il
écoulement de l'oreille gauche a persisté, mais les' douleurs que l'
enfant
éprouvait paraissent avoir disparu. Juin. Mêm
qui n'a pas duré cinq minutes. - L'amélioration s'est accentuée. L'
enfant
est docile aux ordres qu'on lui donne. Sa tenue e
ble, joue sans dis- puter avec des camarades plus jeunes que lui. L'
enfant
ne paraît plus avoir de migraine. L'écoulement
gauche est beaucoup moins abondant. Juillet. - Même traitement. L'
enfant
est de plus en plus tran- quille. - Au 14 juill
en de sa conduite (janvier 1896). Les accidents observés chez cet
enfant
consistaient beaucoup plus en troubles moraux,
. (The New- YOdi JI edicLLl Journal, 8 juin 1895.) Il s'agit d'un
enfant
nègre âgé de trois ans et demi, chez lequel sa
ie ET DE physiologie pathologiques. est devenu plus dur, sans que l'
enfant
présentât le moindre symp- tôme digne d'être no
sur cette zone saillante ne provoque aucun symptôme. Les yeux de l'
enfant
sont grands et les globes oculaires saillants.
, où une section d'éducation médico-pédagogique serait réservée aux
enfants
idiots et épilepti- ques. Avant tout, il faut s
éducables, 40 susceptibles d'être occupées et 40 inéducables. Les
enfants
non éducables sont au nombre de 12 à 14 par secti
sont annexées ; chaque malade a sa cuvette, sa serviette, etc. Les
enfants
éducables et ceux qui travaillent pren- nent ch
des cabinets d'aisance plus nombreux que ceux qui existent, car les
enfants
doivent y être conduits en groupe 1 Ce sont là
e promenoir et de sallede récréation en cas de mauvais temps. - Les
enfants
éducables sont au nombre de 20 par section (2 inf
r section (2 infir- mières). Comme régime alimentaire, on donne aux
enfants
un demi-litre de lait, de la viande de boeuf, d
primaires : les murs sont décorés de caries, de gravures, etc. Les
enfants
sont répartis en 8 classes. Le personnel enseigna
est de 34 à 44 francs par mois ; elles couchent dans le dortoir des
enfants
et prennent leur repas avec ces derniers. Les t
Saxe). -Cet établis- sement a été créé par l'Etat pour recevoir les
enfants
arriérés du sexe masculin, âgés de cinq à quinz
es, est annexé un domaine cultural de 21 hectares, exploité par les
enfants
. Les sujets éducables sont répartis dans trois
c des tables de 12 à 16 places ayant chacune 2 infirmiers. Pour les
enfants
gâteux, 2 salles de 20 lits, une salle pour 10
rs. Pour les enfants gâteux, 2 salles de 20 lits, une salle pour 10
enfants
alités et une salle de bain. En outre des ateli
es des dortoirs et l'on réclame des chambres à coucher pour 14 à 16
enfants
avec 2 infirmiers. Chaque enfant a sa cuvette,
chambres à coucher pour 14 à 16 enfants avec 2 infirmiers. Chaque
enfant
a sa cuvette, ce qui a nécessité de vastes salles
nombreuses. Les gâteux prennent un bain chaque jour. On oblige les
enfants
à prendre soin de leurs dents. - Les cabinets
te sur la nécessité d'avoir des cabinets nombreux (1 pour 10) ; les
enfants
doivent y être conduits après l'école, après le
. Les infirmiers dorment, mangent, jouent et travaillent avec les
enfants
. Lavage des mains et de la figure avant chaque re
avabos sont très multipliés. VARIA. 253 emploie de préférence les
enfants
aux travaux des champs. En 1894, on a compté, e
travaux des champs. En 1894, on a compté, en moyenne, par jour, 50
enfants
hospitalisés, 80 sui- vant les cours de l'école
sible dans les environs de l'asile. On a fait l'essai d'envoyer les
enfants
par groupe de 14, comme journaliers dans une fa
chaque sexe, 6 baignoires et un appareil pour bains de vapeur. Les
enfants
prennent également des bains d'eau cou- rante.
eur 15 mètres) est éclairé par 5 grandes fenêtres. Chaque section d'
enfants
a sa table, le repas a lieu sous la surveillance
ce d'un infir- mier par table. Prières avant et après le repas. Les
enfants
para-. lysés, infirmes, 'prennent leur repas da
aque section comprend, outre le dortoir précédemment décrit pour 14
enfants
, une salle de réunion et une salle bien éclai-
unicipal. Les salles d'école sont grandes et bien éclairées. Chaque
enfant
a un pupitre adapté à sa taille. Les murs des s
s murs des salles sont décorés de tableaux. 11 y a 6 classes. Les
enfants
sont en outre employés dans des ateliers de reliu
t d'environ 700 marks par an. Une fois leur éducation terminée, les
enfants
sont placés comme journaliers ou manoeuvres : l
our les garçons plus âgés des infirmiers. Il y a 1 infirmier pour 9
enfants
. Régime alimentaire : le matin, café au lait av
s notre volume intitulé : Assistance, trai- lement et éducation des
enfants
idiots et dégénérés, t. IV de la Biblio- thèque
en observer un assez grand nombre de cas. Le premier est celui d'un
enfant
qui était tombé d'un troisième étage et portait
llement crevée, donnant issue à une quantité considéiable de pus. L'
enfant
a bien guéri. Dans le second cas, un jeune homm
qu'on put le constater à l'au- topsie. Dans un autre cas, chez un
enfant
de quatre ans, un catarrhe masal d'origine trau
hirurgicale et se termina par la mort. Le sixième malade était un
enfant
de huit ans qui fut mordu au côté droit de la t
pariétale. L'abcès fut ouvert vidé et guéri. Quelque temps après l'
enfant
fut pris de mouvements spasmodiques, intéressan
; pendant une partie au moins du même temps il était inconscient. L'
enfant
guérit, mais il conserva un certain degré de pa
cusé d'exhiber - ses organes génitaux et de se masturber devant des
enfants
qui allaient à l'école. L'histoire de cet hom
plus suffi à réveiller ses sens endormis et c'est en s'exhibant aux
enfants
et en se découvrant qu'il parvenait à trouver s
loi. (The alienist and neurolo- gist., octobre 1894.) E. B. IX. L'
enfant
CUI11lNEL- : \Éj par G. DIETTItICH. (Ceutralbla
des eaux, de l'éclairage, des cana- lisations, des écoles (pour les
enfants
du personnel). Sit1lation.- L'asile doit être m
es sont employées aux travaux du ménage, à la buanderie. Deux cents
enfants
suivent les cours ; ils sont répartis en dix cl
onnel de surveillance est dans la proportion de 1 pour 10, pour les
enfants
éducables, et de 1 pour 6, pour les enfants non
de 1 pour 10, pour les enfants éducables, et de 1 pour 6, pour les
enfants
non éducables. Les infirmiers couchent dans les d
Agrandi en 1858 et 1864, l'éta- blissement possède aujourd'hui 150
enfants
des deux sexes. Depuis 1894, il est devenu asil
e. Les dortoirs ont de 12 à 15 lits. Il n'y a pas d'infirmerie. Les
enfants
atteints de maladies contagieuses sont envoyés
L'inspecteur et sa famille prennent leurs repas en commun avec les
enfants
. Le régime ali- mentaire est bon. Les enfants
en commun avec les enfants. Le régime ali- mentaire est bon. Les
enfants
sont répartis en deux sections : 1° section des f
illes ; 2° section des garçons, divisée en trois quartiers : a) les
enfants
en bas âge, sous la surveillance d'infirmières;
les enfants en bas âge, sous la surveillance d'infirmières; b) les
enfants
plus âgés surveillés par des infirmiers; c) les
s de réunion servent de salles d'école. On cherche il apprendre aux
enfants
un métier. On les utilise aux services généraux.
nfants un métier. On les utilise aux services généraux. Sur les 114
enfants
, il n'y en a que 40 qui suivent l'école avec prof
pte rendu officiel du Congrès. VARIA. Assistance ET éducation DES
enfants
arriérés. Rapport présenté à là délégation cant
eure actuelle dans ses asiles ou quartiers d'hospices plus de mille
enfants
idiots épileptiques ainsi répartis : 314 VARI
pas toute la population enfantine appartenant à cette catégorie d'
enfants
anormaux. On peut, en effet, évaluer à une centai
té d'améliorer la situation physique et mentale de leurs malheureux
enfants
. D'autres enfin, après avoir été renvoyés de di
n général, dans le public, on englobe sous le nom d'idiots tous les
enfants
qui sont, sous le rapport intellectuel, au-dessou
uelles sont conservées ou peuvent même être développées. Tous les
enfants
atteints d'idiotie, à tous les degrés, les enfant
oppées. Tous les enfants atteints d'idiotie, à tous les degrés, les
enfants
atteints d'imbécillité à ses degrés les plus av
s enfants atteints d'imbécillité à ses degrés les plus avancés, les
enfants
frappés d'imbécillité morale doivent être hospi
s les asiles, une personne suffit pour soigner et surveiller 6 ou 8
enfants
ou même davantage. Ceux que vise la proposition
t des surnoms bles- sants; ils sont les souffre-douleurs des autres
enfants
. Leur caractère s'irrite, ils deviennent violen
les relever, à les perfectionner. Pour ces différentes catégories d'
enfants
, les moins malades, qui n'offrent qu'une diminu
à l'usage des élèves de faible intelligence. « On n'y admet, ni les
enfants
atteints de maladies corporelles ou mentales, n
ni les enfants atteints de maladies corporelles ou mentales, ni les
enfants
corrompus. Le nombre des élèves d'une classe sp
win, 1 Voir : Bourneville.- Assistance, traitement et éducation des
enfants
idiots, rapport fait au Congrès national d'Assi
rices des V° et VIe arrondisse- ments, à lui adresser une liste des
enfants
arriérés et indisciplinés qu'ils avaient dans l
e négligence s'ils mentionnaient l'exis- tence dans leurs classes d'
enfants
indisciplinés ou arriérés. Cepen- dant, telle q
dant, telle qu'elle est, cette enquête sommaire montre qu'il y a 83
enfants
arriérés et 49 indisciplinés des deux sexes dans
s sur ce qui se fait à l'étranger, la statistique approximative des
enfants
arrié- rés des écoles du V° et du Vie arrondiss
observé un oedème bleu des doigts d'origine névropathique chez un
enfant
de sept ans atteint d'entérite et de coqueluche.
chez lui. Sans dis- cussion et sans raison, il tue sa femme et son
enfant
. Après cela, il va à un poste de police faire l
brutal avaient naturellement poussé le sujet à tuer sa femme et son
enfant
qui étaient un obstacle à sa vie de libertin. E.
s primitifs ; le cerveau indigène est très analogue au cerveau d'un
enfant
européen ; à bien des égards, les attributs men
rds, les attributs mentaux de ces peuplades ressemblent à ceux d'un
enfant
; de là des aspects nouveaux bien faits pour intér
it chez l'adulte, chez l'autre il n'empêcha pas la mort. C'était un
enfant
nouveau-né d'ailleurs. (Drs Marriot et L.LCy-Fi
diminution du chiffre de la natalité et augmentation du nombre des
enfants
du sexe féminin; enfin, le goût montré par les
survenue au cours d'une cachexie déjà vieille. C'était le quinzième
enfant
d'un pauvre laboureur et ses frères et soeurs é
retour à Londres et du développement du thyroïde chez trois jeunes
enfants
d'une même famille nouvelle venue, il estime que
ériens. Ce complexus symptomatique apparaît spontanément chez les
enfants
en bas âge ou se développe à la suite d'une malad
LYSIE infantile; par F. TItÉVELLAN. {Drain, été et automne 1895.)
Enfant
de six ans, morte après neuf mois de maladie. Piè
'a pu faire la preuve de la syphilis de la femme. Il n'y a pas eu d'
enfants
. Le début de la maladie remonte déjà à un certa
e. La loi ne protège contre lui ni ses parents, ni sa femme, ni ses
enfants
. La société voudrait obtenir qu'on autorisât l'in
lation se composait, en juin 1894, de 350 hommes, 220 femmes, et 80
enfants
des deux sexes. L'asile est composé de pavillon
Stimoli, attirait en leur pro- mettant des bonbons, des jouets, les
enfants
qu'elle rencontrait et leur faisait boire ensui
heureuses victimes mouraient dans d'atroces douleurs. Vingt-trois
enfants
auraient été empoisonnés de cette façon. La femme
ses crimes, disant qu'elle voulait se venger, parce que deux de ses
enfants
qui avaient été ensorcelés étaient morts. La fo
ropologie criminelle. 1. Toute oeuvre de patronage des délinquants,
enfants
ou adultes, doit soumettre ses patronnés à un e
Consanguinité (cousins germains); différence d'âge de huit ans. Dix
enfants
, tous des garçons; huit sont morts du croup à dif
vous là ? » Elle est revenue aussitôt à elle comme d'un rêve. « Mon
enfant
a un bras et une jambe qui ressemblent à ceux d
igts que ses parents l'ontconduit au bout d'un mois à l'hôpital des
Enfants
malades où il n'a fait qu'un court séjour ; le
e me portait sur ses épaules et j'écar- tais bien les jamhes, dit l'
enfant
. » En raison de son infirmité et aussi à cause
ouvert deux abcès au niveau du genou. Ces abcès, si l'on en croit l'
enfant
, renfermaient beaucoup de pus et les inci- sion
très rudimentaire. » Mars 1887. Infirme par accidents scrofuleux ;
enfant
paraissant extrêmement doux; perfectible. Nov
n'est tourné que vers le mal. Avril. Indiscipline constante; cet
enfant
ferait le martyre des gardiennes si son infirmi
ion du bras et de l'épaule. Aucun traumatisme connu du père et de l'
enfant
n'explique cette laxité des ligaments aux deux
coude est le siège de douleurs vives, lancinantes qui ont empêché l'
enfant
de dormir. La plaie mise à nu laisse voir un ti
ressive, consolidation de la fracture, cicatrisation de la plaie. L'
enfant
sort de l'infirmerie dans les premiers jours d'
demi; sa mère, en effet, a remarqué alors, que le côté droit de son
enfant
était moins gros et plus faible que le gauche,
a- dives ou cédant sans trop de résistance aux mauvais conseils d'
enfants
plus âgés, B... commettait de nombreux petits méf
onnier. V. L'hémiplégie du côté droit qui prédomine au membre 1 L'
enfant
ayant été envoyé en nourrice trois ou quatre jour
oite, ainsi que le fait supposer la note provenant de l'hôpital des
Enfants
malades, on ne saurait l'admettre d'une façon a
pour résultat un amaigrissement généralisé. M. Bruns présente un
enfant
chez lequel la suture des nerfs a donné un exce
a donné un excellent résultat. A l'âge de deux mois, en 1893, cet
enfant
avait été opéré d'un neurosarcome congénital siég
ée entre le cervelet et le quatrième ventricule. Il s'agissait d'un
enfant
de cinq ans, chez lequel les premiers symptômes
gts de la main droite. M. Bruns (de Hanovre). L'hystérie chez les
enfants
. m. Bruns fait, d'après un grand nombre de cas
s observés par lui, le tableau symptomatique de l'hystérie chez les
enfants
, et insiste sur certains caractères particulier
certains caractères particuliers de la névrose à cet âge. Chez les
enfants
, il SOCIÉTÉS SAVANTES. 489 s'agit le plus sou
avec la théorie de l\Ioebius. Le diagnostic de l'hystérie chez les
enfants
peut souvent être fait d'un seul coup d'oeil ;
r dans l'hystérie : Bruns a vu un cas d'anorexie hystérique chez un
enfant
se terminer par la mort, les parents s'étant re
le, par exemple dans des cas d'automutilation. Mais le fait que des
enfants
peuvent se livrer à des actes de ce genre prouv
surtout tics généralisés, etc.). L'hystérie se rencontre, chez les
enfants
, dans les deux sexes, avec une fréquence presqu
atre et à cinq ans ; il considère le diagnostic d'hystérie chez les
enfants
à la mamelle comme bien difficile à faire. Les
ien difficile à faire. Les formes graves de l'hystérie sont, pour l'
enfant
comme pour l'adulte, beaucoup plus fréquentes à
grandes villes. L'hystérie est à peu près aussi fréquente chez les
enfants
des familles riches que chez ceux de la classe
ceux de la classe pauvre. Le pronostic est plus favorable chez les
enfants
qu'à luge adulte, surtout pour ce qui a trait à
e elle-même peut être constatée. Le pronostic est meilleur pour les
enfants
de la campagne que pour ceux de la ville, parce
médecin, etc. Comme traitement il faut en première ligne enlever l'
enfant
de la maison paternelle et le placer dans un ét
ées. Dans l'une il ne faut pas laisser SOCIÉTÉS SAVANTES. 491 à l'
enfant
le temps d'être malade ; il faut attaquer vigoure
ussi des cas de gué- rison rapide de convulsions hystériques chez l'
enfant
et chez l'adulte. M. BOULER. Considérations c
gie cérébrale, par Barrs, 49. Archives cliniques, 47. Arriérés.
Enfants
par Jiourne- ville, 170. Assistance et éducatio
rés. Enfants par Jiourne- ville, 170. Assistance et éducation des
enfants
-, par Bourneville, 313. Artériel Dégénéresce
l'état sain des esprits dans les affaires, - par Kiernan, 293. L'
enfant
- né, par Diettrich, 294. Nègres au Brésil, p
ans les affections du foyer de la zone motrice, par Muratow, 380.
Enfants
. Quartiers d' annexés aux asiles des départemen
TABLE DES MATIÈRES. 501 Epileptiques. Quartier spécial pour les
enfants
- et arriérés à l'asile de Dury, 171. Assistanc
, pai Voronoif, 407. Deux cas d ? par Pianetta, 484. L'- chez les
enfants
par Bruns, 488. - rabiforme, par Grasset, 492.
s chez un jeune sujet, par Culver, 278. Névrite multiple chez les
enfants
, par Mackey, 10. Sur la -, par Stephenson, 26
nomène plantaire chez les -, par Hil'schberg, 394. Témoignage des
enfants
en justice, 90. TESTICULE artificiel et guéri
fumée, pourquoi il incommode chaque jour par ce moyen sa femme et ses
enfants
, pourquoi il altère sa santé peut-être. II On
z calme, raisonnable et travailleur; de la formule névrose Att 33/0 l'
enfant
passe a la formule plus normale Att 40 / Rep 12.
ale baisser et devenir Interprétation . En deux séances séparées, l'
enfant
énervé Att 35/ 0, est arrivé à une formule d'impr
ainsi dire, par le courant électrique. Mme- D..., 30 ans. Perd son
enfant
en deux jours du croup. Obsession, triste idée pe
rveux, mais sans lare personnelle ou héréditaire, mariée et mère d'un
enfant
de sept ans, vint me consulter au sujet d'insomni
, âgée de vingt-neuf ans, mariée depuis cinq ans, n'avant jamais eu d'
enfants
. Plusieurs cas d'aliénation mentale sont relevé
ie: se croyant fruste dans ses droits et songeant à sa femme et à tes
enfants
, il entra dans une violente colère et l'intention
« J'allaitai jusqu'à sept mois et demi, ce qui roc fut nuisible. Mon
enfant
mourut quelque temps après ; le profond chagrin q
e, pas même l'idée de nombre, ne prend naissance dans le cerveau d'un
enfant
par pure hérédité sans impressions personnelles d
r pure hérédité sans impressions personnelles des sens. Cependant l'
enfant
peut, comme plus d'un animal, apprécier et compte
Le Conseil d'État du canton de Bâle-Ville, se fondant sur ce que les
enfants
arriérés, soit au point de vue physique, soit au
ment primaire, de classes spéciales dans lesquelles seront placés ces
enfants
, après un essai d'un ou de deux ans dans une clas
ue la mesure nouvelle a un caractère quelque peu coercitif, puisque l'
enfant
arriéré peut être exclu de l'école au cas où les
hénomène se présente souvent, en dehors de toute suggestion, chez les
enfants
, par exemple. On pourrait avec autant de raison p
outume de .se déranger dans son sommeil au moindre vagissement de son
enfant
, ont acquis une qualité anormale, que de dire que
alors trouver son application chez les classes inférieures, chez les
enfants
et chez les personnes dociles et soumises, mais e
que est le plus développée chez les gens de peu d'éducation, chez les
enfants
et chez les hystériques; mais chez ceux-ci on tro
re électro-thérapeutique des cas de guérisons obtenus chez des petits
enfants
et sur des chiens. J'ai pu m'assurer moi-même qu'
i le coup... oui ! (Il écoute.) On n'entend rien dans le village... L'
enfant
d'Anna Waber pleure... Une chèvre bê!e dans l'éta
ins courbés.) Tu es fou!... Ecoute, tu seras riche... ta femme et ton
enfant
n'auront plus besoin de rien... Le Polonais e*t v
Observation iii. Mme B..., âgée de trente-trois ans, mère de quatre
enfants
, a commencé, en 1884. l'usage de la morphine à l'
ant : La famille Rocher se compose du père, de la mère et de quatre
enfants
: un garçon de dix-sept ans, Angélina âgée de qua
de saltimbanques ou acteurs en plein vent; les affaires vont mal, les
enfants
sont contraints par le père à commettre des larci
la voilure. Elle sait lire, écrire et compter, chose rare chez les
enfants
de saltimbanques, mais elle n'a pas de peine à me
e qu'Angélina Rocher. M. Rollinat, accompagné du sous-directeur des
enfants
assistés de la Seine, qui avait placé la petite f
» C'est alors qu'on introduit auprès de nous le sous-directeur des
enfants
assistés et M. Rollinat, qui reconnaissent immédi
n d'octobre 1892, et sa mère me demande ce que je puis faire pour son
enfant
. La malade est anémique, et je constate qu'elle
jamais été atteint de mouvements convulsifs, mais la marche fatigue l'
enfant
et il existe un léger degré de parésie du membre
s de l'hystérie franche, mais une très grande impressionnabilité. L'
enfant
parait distraite; elle ne peut ou ne veut plus ap
passagèrement l'état de la malade, et, depuis une année, la mère de l'
enfant
nous dit qu'il n'y a jamais eu d'amélioration not
s mouvements spasmodique n'ont jamais cessé complètement. De plus l'
enfant
a des palpitations nerveuses; jamais de douleurs
jours après une grande colère el une violente émotion éprouvées par l'
enfant
. Nous sommes donc autorisé à ne pas considérer
si elle consentait à s'endormir, elle serait guérie à son réveil. L'
enfant
ne fit aucune résistance et, assise dans un faute
os bras cl vos jambes s'engourdir. Tenez, vous donnez. Dormez ! » L'
enfant
dormait el ne sentait plus la piqûre d'une épingl
bien réparé vos forces et vous serez tout heureuse. » Je laissai l'
enfant
sous l'empire de la suggestion hypnotique pendant
ntail et j'ajoutai : « Levez-vous, marchez. Vous êtes guérie. » L'
enfant
se lève, l'air un peu étonné de n'avoir plus de s
e mouvements con-vulsifs. Le lendemain, j'appris de la mère que son
enfant
était restée deux grandes heures sans avoir de mo
t le retour de la santé générale, le regard était vif, intelligent; l'
enfant
était reconnaissante, elle apprenait ses leçons a
ments spasmodiques, quelque légers qu'ils fussent, on me ramènerait l'
enfant
. Pendant toute la durée du traitement suggestif
ènerait l'enfant. Pendant toute la durée du traitement suggestif, l'
enfant
n'a pris aucun médicament, et le retour de l'appé
et persistants obtenus dans ce cas par la suggestion verbale chez une
enfant
qui. depuis une année, n'avait relire aucun bénéf
e se sont terminées par des fausses couches et six par la naissance d'
enfants
vivants. Daus le cours de sa dernière grossesse,
ndie médicale, page 333, 1892, la très intéressante observation d'une
enfant
de douze ans. guérie d'une chorée grave par la su
veille. Voici comment s'exprime notre distingué confrère : « Cette
enfant
, gâtée outre mesure par ses parents, n'ayant aucu
ssants. C'est alors que j'ai la pensée d'intervenir en disciplinant l'
enfant
par ma volonté. « L'enfant, que je fais asseoir
la pensée d'intervenir en disciplinant l'enfant par ma volonté. « L'
enfant
, que je fais asseoir devant mol, est en proie à d
Plus de grimaces, plus de pincement de la langue, plus d'aboiement; l'
enfant
mangeait seule, et l'expression de son virage dev
imple réflexion. Ne resulte-t-il pas de l'observation elle-même que l'
enfant
a subi un commencement d'hypnose ou tout au moins
reprit peu a peu sa situation normale. Quatre semaines plus tard, l'
enfant
, complètement guérie, pouvait faire plusieurs kil
insi : « Ce qui frappe le plut dans l'enseignement de Jésus, de cet
enfant
du peupla parvenu déjà à une réputation prophétiq
e temps à Alexandrie, à Athènes et à Rome. « Au paria sans nom, à l'
enfant
de la société juive, la nature a confié les hérit
à table s au royaume des Cieux, avec Abraham, Isaac et Jacob, et les
enfants
du « royaume seront jetés dans les ténèbres du de
, Bruxelles, 1893.) Queyrat. — L'imagination et ses variétés chez l'
enfant
. — (Un volume in-12 [2 fr. 30]. — Alcan, édit.,
qu'il n'avait pas. Voici maintenant un homme qui abuse du tabac, un
enfant
qui ronge ses ongles, cet autre malpropre sur sa
gaérison d'une dama de quarante ans qui voulait tuer son mari et ses
enfants
, et qui. chaque matin, dans ton lit. se demandait
nquiétudes que lui ont données les nombreuses maladies de deux de nos
enfants
, ainsi que toutes celles qu'elles a eues pendant
éalisa. J'eus beau mettre devant ses yeux l'image de son mari, de ses
enfants
, éveiller chez elle l'idée de les tuer, cette idé
Albertine V..., âgée de douze ans et demi; l'une et l'autre sont des
enfants
très bien conformées pour leur âge, très intellig
ontestable et incontestée? Dans les antécédents personnels des deux
enfants
, rien à noter de saill-lant : au point de vue spé
que de ta scoliose vulgaire. Mais ce qui frappe surtout à la vue de l'
enfant
, outre la difformité, c'est la raideur qui domine
circonstances assez curieuses. Elle avait été placée comme bonne d'
enfant
chez un cocher, à la Villelle : elle promenait su
engourdissement dans tout ce liane. Les parents effrayés amènent l'
enfant
a Trousseau : d'après ce début brusque et ces sym
erveilleux résultats de l'hypnothérapie sur le redressement moral des
enfants
. M. Dumontpallier, dans la dernière séance, en ra
cellente santé, elle tend un peu à l'obésité. Elle est mère de quatre
enfants
. Depuis son dernier accouchement, datant de quelq
poignard corse, un collier de femme des Andes fait avec les os de son
enfant
« et la mâchoire d'un autre entant, porté en guis
a été écrit sur la s uggestion dans ses rapports avec l'éducation des
enfants
vicieux et dégénérés. Pour la partie clinique.
M. Bérillon. Il s'agit d'une femme de trente-sept ans, mère de cinq
enfants
, qui, après avoir été morphinomane pendant six an
7, les quantités de morphine furent particulièrement considérables. L'
enfant
, qui vit encore et est en bonne santé, eut quelqu
. II y a là, nous semble-t-il, des centaines d'hommes, de femmes cl d'
enfants
, les bras en croix, suggestionnés, fanatisés et r
. 14 Janvier 1893) 1 Note sur un cas de léthargie observée chez une
enfant
de treize ans, Par le Dr RAFFEGEAU, médecin de
la rougeole. Cette dernière affection ne présenta rien d'anormal. L'
enfant
s'en remit assez bien, mais l'amygdale droite res
eurs amygdalites successives. La croissance continuait rapide, mais l'
enfant
, qui avait pesé jusqu'à quatre-vingt-dix livres a
on observe pour la première fois que la mâchoire est con-fracturée. L'
enfant
ne peut ouvrir la bouche ni prendre des aliments,
hagienne assez petite que j'introduisis du côté gaucho de La Lueue. L'
enfant
avala ainsi une bonne lasse de lait. Tel était
après une assez bonne nuit et dix minutes d'aboiement, le visage de l'
enfant
prit de nouveau une expression d'extase qu'elle c
tion (on la vil plusieurs fois ramener sur elle ses couvertures) et l'
enfant
paraissait dormir du sommeil le plus nature!. A u
vint également moins terne. Bientôt je pus obtenir que le regard de l'
enfant
suivit le mien dans toutes les directions, qu'à m
s assez énergiquement et qui me fil perdre tout le chemin parcouru. L'
enfant
pleura d'abord à leur entrée dans sa chambre [el
voici comment le réveil avait eu lieu : l'a peu avant sept heures, l'
enfant
avait eu le hoquet comme d'habitude, puis tout à
, mais je constatai non sans surprise que les derniers souvenirs de l'
enfant
remontaient a la dernière quinzaine de septembre.
ras droit. Hier dimanche, le nez a commencé a redevenir humide et l'
enfant
s'est mouchée deuz fois. Mlle V... prend mainte
, des purées, de la viande coupée par petits morceaux, etc. C'est une
enfant
modeste, mais d'un caractère gai el plutôt un p
de» parents, me pria d'essayer do la thérapeutique suggestive chez l'
enfant
, dont la grand'mère souffrait également d'une inc
r. La mère devait plusieurs fois, chaque nuit, se lever pour mettre l'
enfant
sur la vase. avec cela son sommeil était si profo
é ces précautions, il urinait encore très souvent ai lit. En outre, l'
enfant
était toujours très distrait, étudiait sans appli
n, ne témoignait aucune sym-patbie aux amis de sa famille. Des quatre
enfants
de ses parents, il était le seul qui présentai
e vase et lu feras. » Cette suggestion fut accomplie à la lettre, l'
enfant
s'éveilla, alla les yeux ouverts au vase et urina
ase et urina, ce que sa mère vit arec le plus grand étonnement, car l'
enfant
n'avait jamais rien fait de semblable. Après deux
la guénson se maintenait Ce procédé me réussit encore avec quelques
enfants
que j'avais hypnotisés sans succès, et j'obtins d
50 ans. Elle est mariée depuis l'âge de 27 ans, mais n'a jamais eu d'
enfants
. Son père est mort d'un accident, sa mère d'une m
ns et pédagogues de pouvoir réagir sur la formation du caractère de l'
enfant
et même sur le pouvoir de discipline mentale de l
le grand public, et l'absence de volonté nocturne {surtout quand les
enfants
s'oublient dans leurs lits, ne voulant ou ne pouv
âtiments ne mènent à rien et peuvent même aggraver les cas chez le»
enfants
dégénérés ou hystérique», ei le» jeter dus une mé
l'hypnotisme. « M. de Dekterew ne parle pas de maladies nerveuses d'
enfants
proprement dits : les ouvrages français sar l'hys
fants proprement dits : les ouvrages français sar l'hystérie chez les
enfants
et sur le suicide chez les enfants, une belle étu
s français sar l'hystérie chez les enfants et sur le suicide chez les
enfants
, une belle étude du Dr Moreau, de Tours, etc., ai
sme, disent assez la fréquence des cas de maladies nerveuses chez les
enfants
. Mais quant aux habitudes vieicuses, c'est par le
l en amis, la main dans la main, et, dans ce» cas et surtout chez des
enfants
à propositions héréditaires, agir de concert. «
t jamais forcer l'hypnotisation si le sujet est rebelle chez tous les
enfants
il faut agir peu à peu. procédant par nasses légè
e suivante : Prévenu de tentative d'assassinat sur la personne de son
enfant
, envoyé à l'hôpital pour examen de son état menta
e tons ses camarades de la salle. La sœur hospitalière le traita;! en
enfant
gâté. E... s'est toujours montré inoffensif, bon
e traita;! en enfant gâté. E... s'est toujours montré inoffensif, bon
enfant
, paraissant à son entourage incapable d'aucun mau
libéricide. — L'n mois après il recommence et tente d'empoisonner son
enfant
avec lui, mais nous pré- férons lui laisser la
scène* d'Intérieur et copier le texte d'un de ses interrogatoires. L'
enfant
avait deux mois et demi : « C'est depuis celte
deux mois et demi : « C'est depuis celte époque (la naissance de l'
enfant
) que mes beaux-parents « commencèrent à nous repr
, 1 empêchait de coucher avec moi, de peur que nous n'ayons d'autre
enfant
; il fallait nous cacher. Je vojais sourent les
er à la maison, étant soldat ; ce que Je mangeais, ce que coulait l'
enfant
, ce que l'on faisait pour ma femme m'était reproc
quand Je commençais a le faire, me disant que pour elle, pour notre
enfant
, il fallait supporter encore cette rie pendant
, à bout de courage, voyant que je ne pouvais pas laisser vivre mon
enfant
avec ma belle-mère, je résolus de le tuer avec
uteille de laudanum, j'en réservai une demi-cuillerée à café pour l'
enfant
et je vidai le reste d'un trait, je voulus le l
, effrayée, appela sa mère, on fit chercher un médecin qui soigna l'
enfant
; quand je le vis sauvé, je ne voulus plus mouri
u sentiment d'avarice d'un homme qnine voulait rien dépenser pour son
enfant
(véritable explication de belle-mère). Au momen
mouvements. E... reçoit fréquemment la visite de sa femme et de son
enfant
, et ne semble avoir aucun sentiment de jalousie m
ne semble avoir aucun sentiment de jalousie maritale ; il couvre son
enfant
de caresses. Après quatre mois de demi-réclusio
orme. Rendu a la vie civile, B.... accompagné de sa femme et de son
enfant
, a regagné Nantes. a la fin de janvier 1893 et re
rvé, dans le courant de l'année dernière, deux cas de mensonge chez l'
enfant
(1) : un des deux enfants a présenté une pseudoco
'année dernière, deux cas de mensonge chez l'enfant (1) : un des deux
enfants
a présenté une pseudocoxalgie et une arthralgie h
de vue clinique, soit au point de vue de la valeur du témoignage des
enfants
en justice. Observation I. E. C,.., âgée de d
raitement ; Huile de foie de morue, tannin. Quelques jours après, l'
enfant
nous est ramenée ; mais ce jour-la, elle ne boite
s plusieurs mois, est intermittente. Nous l'invitons à nous ramener l'
enfant
quand la boiterie reparaîtra. Le 8 mars 1892, l
us ramener l'enfant quand la boiterie reparaîtra. Le 8 mars 1892, l'
enfant
nous est ramenée pour une douleur siégeant au gen
ordre hystérique, et la ma ade est mise en observation. Le 5 mai, l'
enfant
est eu très bon état. L'examen de la région, pr
n plus des stigmates d'hysterie. Le 23 mai, la mère nous ramène l'
enfant
, qui prétend avoir été victime d'un attentat. Not
ne, ni aucune ecchymose. Plainte ayant été portée par la famille, l'
enfant
a été soumise a un examen médico-légal, qui a été
uvons affirmer qu'il n'existait aucune lésion de la vulve, bien que l'
enfant
ait prétendu avoir éprouvé une vive douleur. Il
qu'est la pseudo-coxalgie; nous étudierons ensuite le mensonge chez l'
enfant
, et nous verrons ce qui. dans chacun de ces deux
nt rien révélé dans ce sens. il faut aussi examiner le caractère de l'
enfant
. Notre malade n'étant venue qu'à la consultation,
donc nous résumons les signes de pseudo-coxalgie présentés par cette
enfant
, nous avons à signaler le début brusque, la boite
men, l'articulation fut (1) Dufestel : Des maladie simulée chez les
enfants
. . Thèse. Paris. 5 janv. 1888, p. 15 et suivantes
ces de voir paraître une coxalgie vraie. On pourrait objecter que l'
enfant
n'a présenté aucun symptôme d'hystérie ; mais ne
enté aucun symptôme d'hystérie ; mais ne savons-nous pas que chez les
enfants
en particulier, la contracture est souvent la pre
lation, surtout lorsqu'on a su plus tard qu'on était en présence d'un
enfant
menteur; je ne le pense pas. En général. la coxal
l. la coxalgie n'entre pas dans le cadre des maladies simulées chez l'
enfant
. Dufestel (2). qui rapporte dans sa thèse soixant
sa thèse soixante-dix-neuf observations de maladies simulées chez les
enfants
, ne cite qu'un cas de coxalgie simulée par un gar
rait difficile de simuler une contracture de cette région. De plus, l'
enfant
n'avait aucun intérêt dans l'espèce, il n'y avait
r lorsqu'on s'occupe de médecine infantile, on est frappé du nombre d'
enfants
qui simulent des maladies dans l'unique but de se
onc ètre autorisé à poser le diagnostic de pseudo-coxalgie chez cette
enfant
. Les phénomènes locaux sont guéris pour le moment
cite vingt-et-une observations, prises dans le service d'Ollivier. d'
enfant
hystériques entre deux ans et demi et cinq ans. —
tenue à Paris (1), II me reste maintenant à justifier le diagnostic d'
enfant
menteur. II. — Enfant menteur. Ce n'est pas d
reste maintenant à justifier le diagnostic d'enfant menteur. II. —
Enfant
menteur. Ce n'est pas d'aujourd'hui qu'est batt
erai pas davantage sur la question de savoir jusqu'à quel point cette
enfant
a menti; cela regarde surtout le médecin légiste
rechercher quelles sont les causes qui font ordinairement mentir les
enfants
et quelles sont celles qui ont pu inspirer notre
tre malade: Il y a d'abord lieu d'établir deux grandes catégories d'
enfants
menteurs: les simulateurs de maladies et les ment
siste pas et je passerai seulement en revue les diverses catégories d'
enfants
menteurs en général. La première catégorie comp
'hystérie simulatrice des maladies organiques de l'encéphale chez les
enfant
, par A. Bardol, th, Paris, 26 janvier 1893. (2)
ous a affirmé que non. Dans une troisième catégorie se trouvent les
enfants
qui mentent par intérêt. Les exemples en sont nom
au moment de ma visite pour éviter les médicaments. Motet (2) cite un
enfant
de quinze ans simulant des attaques d'hystérie qu
Nous verrons bientôt que l'intérêt n'a pas été le premier mobile de l'
enfant
: mais je pense que la mère, qui voyait une espéra
ntent par peur n'est pas moins intéressante, Bourdin cite le cas d'un
enfant
qui simula la surdi-mutité pendant un an parce qu
ait menacé de le tuer s'il parlait. Motet (4) raconte l'histoire d'un
enfant
paresseux âgé de douze ans. qui prétend avoir été
t lui avait dit d'accuser un individu fort riche de l'avoir violée. L'
enfant
n'avait pas osé résister à sa mère (5). J'ai ré
positoires à l'idioforme améliorent la situation. Le 28 décembre, l'
enfant
revient avec une éruption confluente de plaques m
nt anti-syphilitique est institue. Malgré des questions pressantes, l'
enfant
nie toute contagion. Le 21 janvier. - 1892. cet
ressantes, l'enfant nie toute contagion. Le 21 janvier. - 1892. cet
enfant
entre à l'Hotel-Dieu et finit par faire des aveux
oquée. Comme type de menteur par auto-suggestion. Motet (3) cite un
enfant
qui accusa de l'avoir jeté à l'eau un certain C..
17, p. 495. quelque chose avec cet argent. Motet (1) raconte qu'un
enfant
, rudoyé par un magistrat, finit par dire que son
ar dire que son père a assassiné une jeune fille. Lasègue (2j cite un
enfant
à qui on fait des questions et qui répond toujour
'insiste de nouveau sur ces notions au point de vue du témoignage des
enfants
en justice. C'est bien le cas d'appliquer ce prin
clusions, l'auteur dit que devant les tribunaux, les témoignages de l'
enfant
, sujet à l'erreur et dominé par le mensonge, doiv
ontrôlés. Il m'a paru intéressant de publier l'histoire de ces deux
enfants
, dont l'un nous montre successivement de la pseud
ique du genou et des troubles psychiques la faisant classer parmi les
enfants
menteurs. Ces deux exemples, surtout le premier
s on doit accepter, soit en justice, soit ailleurs, le témoignage des
enfants
. L'histoire de la petite E. C... prouve que le ma
psychique de son auteur, et aussi après avoir su par le médecin si l'
enfant
n'a pas présenté ou ne présente pas des troubles
(3) Rassier (th., Lyon, juillet 1892 : De la valeur du témoignage des
enfants
en juttice. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE Séance du lu
s, il n'est pas moins vrai que tout croyant doit (aire circoncire ses
enfants
, et cela pour les causes et les motifs qui suiven
our de la circoncision n'est pas celai où on donne un nom nouveau à l'
enfant
, ou au néohyte, c'est-à-dire le Jour où l'on prat
t avoir lien pendant les quarante jours qui suivent la naissance de l'
enfant
; mais l'usage veut qu'elle se fasse le jour même
n'est besoin de l'iman de la Mosquée pour la pratiquer; le père de l'
enfant
, ou A son défaut, le tuteur naturel, a le droit d
le tuteur naturel, a le droit do procéder A cet acte et de donner A l'
enfant
le nom qu'il lui plaît, mais non sans avoir, au p
rmalité : Si c'est l'iman qui l'opère, il n'a qu'A s'approcher de l'
enfant
et A prononcer A son oreille droits les paroles d
eux prières prononcées, l'iman. le père ou le tuteur, l'adressant A l'
enfant
même, lui dit : « Ibraim... (ou Ali, ou tout autr
ent pratiquer la circoncision le jour même où l'on a donné le nom A l'
enfant
, mai» aucun texte de loi n'en fait une obligation
u dkeur et en augmentant sa puissance, ou plutôt sa force, préserve l'
enfant
des démangeaisons produites- par l'accumultion de
des autres peuples. Mais comme la circoncision se renouvelle sur les
enfants
des circoncis, il en résulte que tout ce qu'elle
vers les dispersions et les nombreuses persécutions qu'ont subies les
enfants
d'Israël depuis les temps les plus reculés jusqu'
aire à la domination matérielle du monde. Tout autre est pour nous,
enfants
de l'Islam, la circoncision dans son influence mo
ue à nous donner en nous sauvegardant de l'onanisme quand nous sommes
enfants
, et des immoralités ily phalliques quand nous som
ole de leur foi en Jésus, fils de Marie. Faites donc circoncire vos
enfants
pour toutes les raisons que je viens de vous donn
pour ma part, je vous avoue que je raille un peu le choléra comme les
enfants
rient du loup quand il leur tourne le dos. Je sen
les plus terrible». a On effraie lus hommes avec ton nom, comme les
enfants
avec Croquemi- taine..... « Qui dira pourquoi
mie en Grèce, les mardis et les samedis, à deux heures. Hôpital des
Enfants
assistés. — M. le Dr Déjerinc, professeur agrégé,
ce qu'il lit avec la meilleure grâce, en m autorisant a observer des
enfants
choréiques qui vivent au dispensaire et a les sou
décembre 1892, et je la continuai jusqu'à la fin de janvier. Quatorze
enfants
de huit à quatorze ans furent soumis à mon examen
la est possible, mais le doute est permis. Quoi qu'il en soit, treize
enfants
sur quatorze n'avaient pas eu d'arthrite ni d'end
orze n'avaient pas eu d'arthrite ni d'ende-péricardite ; aucun de ces
enfants
n'avait eu de scarlatine. La durée de la chorée
de plusieurs semaines ou de plusieurs mois. Chez quelques-uns de ces
enfants
, il y avait eu, i six mois ou à deux ans de dista
suggestion hypnotique ont été très remarquables. On sait combien les
enfants
sont facilement hypnotisables et suggestionnables
ient élé antérieurement mis en usage. En même temps, le caractère des
enfants
était amélioré, à la grande satisfaction de leurs
a passé la plupart de sa vie au Brésil. La mort de sa femme et de son
enfant
lui ont causé beaucoup de chagrin ; à l'occasion
es. M. Charpentier, le mercredi, à 8 h. 1/2. Maladies nerveuses des
enfants
. M. Bourneville, le samedi, à 9 heures. Faculté
nommé médecin de Bicétre et chargé du service des épileptiques et des
enfants
arriérés. De là est sorti son beau Traité de l'ép
l Souriau, 138. Empoisonneuse d'Ain-Fezza (l'), par Liégeois, 80.
Enfants
arriéres ¦école primaire pour les). 92. Enfant
par Liégeois, 80. Enfants arriéres ¦école primaire pour les). 92.
Enfant
menteur. 303. Enseignement de l'hypnotisme et de
d'exercice illégal de la médecine, 59. Léthargie observée chez uno
enfant
de treize ans. par Raffegeau, 271. Loi parallèl
-tiques de la suggestion), par Slembo, 276. Pseudo-coxalgie chez un
enfant
menteur, par Bezy, 298- Psychologie pathologiqu
et semble transformé, pour un temps plus ou moins long, en un petit
enfant
. Cette altération de la personnalité, dont nous i
manda des poupées et se comporta, pendant plusieurs mois, comme une
enfant
. Je n'ai observé cette vieille démente que dans
ogie de mots. Le dément sénile ne ressemble en effet aucunement à l'
enfant
: il lui est seulement assimilable par bien des
es deux âges extrê- mes de la vie. Le vieillard affaibli rappelle l'
enfant
par la versatilité capri- cieuse de l'humeur, l
avait soufflé, et ne comprenant pas plus ce qu'ils disaient que les
enfants
à qui dans les collèges les professeurs font répé
liée en 1628. Ce passage est la reproduction d'un manuscrit que ses
enfants
ont trouvé dans les papiers de l'auteur : « Ami l
e dame Yolande morte à 88 ans, qui a pu voir, avant son trépas, 295
enfants
issus d'elle. AMBROISE PARÉ 99 Après avoir pa
nt contre le protestantisme de Paré est que, lui, ses femmes et ses
enfants
, furent mariés et enterrés à l'église. Il fut i
des rois, agenouillé prend dans sa main droite le pied gauche de l'
enfant
, dont le gros orteil s'étend. L'enfant, assis s
n droite le pied gauche de l'enfant, dont le gros orteil s'étend. L'
enfant
, assis sur la Vierge, repose naturellement, la
Prado à Madrid, doivent être étudiés. Dans les deux, les pieds de l'
enfant
sont pareils ; le gros orteil gauche est en exten
égère abduction. Mais les situations réciproques de la Vierge, de l'
enfant
et de l'adora- (1) LAMNEL-LAVAsTtNE, Lettre d'A
de l'hôpital St-Jean, la face plantaire de l'avant-pied gauche de l'
enfant
touche la joue droite de l'adorateur et le pied
visage de l'adora- teur ne touche plus du tout le pied gauche de l'
enfant
et sa main droite, au bien d'être étendue et d'
t de si souvent représentés dans les Nativités, les Vierges avec l'
Enfant
, avec des Anges, etc., ou bien l'extension est
des autres orteils du même pied. Mais là, le mouvement général de l'
Enfant
indique des gestes spontanés. L'enfant fait effor
à, le mouvement général de l'Enfant indique des gestes spontanés. L'
enfant
fait effort pour prendre une cassette que lui o
e (1). Dans l'une, petit dessin à l'aqua- relle (2), les pieds de l'
enfant
. qui repose sur les genoux de sa mère, ne sont
des Offices (3) que nous reproduisons (fig. II), le pied droit de l'
enfant
, que baise à la plante, avec ferveur, un des rois
es rois prosternés, a le gros orteil en extension Et le groupe de l'
enfant
et de l'adorateur est le centre vers lequel asp
tto (chapelle de Padoue), Taddeo Gaddi (Santa-Croce de Florence), l'
enfant
est complètement habillé dans Vélaquez (Musée d
peedale degli innocenti de Florence, où l'on voit le pied droit de l'
enfant
, touché par la main et les lèvres de l'adorateu
(Musée des offices, salle de l'Angelico), où l'on voit le pied de l'
enfant
, sans mouvement des orteils, reposant sur une s
di colnri ncl cl soc. l1'I1. 120 LAIGNEL-LAVASTINE Vierges avec l'
Enfant
, comme dans la Nativité, de Lorenzo di Credi, à l
e gros orteil droit est étendu de même que le pied et la jambe de l'
enfant
(3), la Vierge adorant l'Enfant Christ, dePesel
e même que le pied et la jambe de l'enfant (3), la Vierge adorant l'
Enfant
Christ, dePesello (4), où l'on voit la double e
ension des gros orteils avec flexion des autres des deux pieds de l'
enfant
touchés par l'avant-bras d'un ange, la Vierge a
l'enfant touchés par l'avant-bras d'un ange, la Vierge allaitant l'
Enfant
, fusain de Durer (5), où le pied gauche de l'en
rge allaitant l'Enfant, fusain de Durer (5), où le pied gauche de l'
enfant
s'appuie sur l'avant-bras de la Vierge, le gros o
cile de le distinguer des mouve- ments volontaires de défense que l'
enfant
fait quand il cherche à repousser un obstacle o
culier de la mimique si ex- pressive et si riche des pieds chez les
enfants
. Cette note ne peut même pas servir d'introduct
e promènent sur et sous son édredon, des amoncellements de voitures d'
enfant
ou de machines menacent de l'écraser, etc. A ce
ari est mort d'une affection aiguë qui évolua en 18 jours. Ses deux
enfants
, un fils et une fille, se portent très bien. La f
octobre 1904. Dans les antécédents héréditaires et personnels de l'
enfant
on note les faits suivants : Antécédents héré
tions à la puberté. Elle n'a jamais fait de fausses couches, et ses
enfants
sont nés à terme et bien constitués : 1° garçon
actuellement âgée de 4 ans. Antécédents personnels. Né à 9 mois, l'
enfant
pesait 7 livres. Tl présen- tait de la tachycar
tence d'une lésion cardiaque ne fut pas reconnue. Jusqu'à 10 mois l'
enfant
se porte bien. A partir de cette époque et jusq
ut se soutenir sur sa jambe gauche paralysée). Depuis son ictus l'
enfant
conserve même à l'état de repos une teinte cyano-
de communication inter- ventriculaire. Une fois par an environ l'
enfant
a des petites crises d'asystolie caractérisées
'âge de 7 ans, varicelle légère sans complications. Actuellement, l'
enfant
est petit pour son âge, chétif, intelligent, est
tent en outre une déformation en baguettes de tambour très nette. L'
enfant
marche en trainant sa jambe gauche, son avant-bra
ges des doigts sont légèrement fléchies, les autres en extension. L'
enfant
présente tous les signes de l'hémiplégie organiqu
globules nains. 196 BABINSKI ET 'roUrESCO . z Examen des yeux. -L'
enfant
, hypermétrope de + 1 D de ses deux yeux, n'a ja
st symétrique aux deux yeux. En résumé, cyanose des rétines chez un
enfant
atteint de cyanose géné- ralisée liée à une mal
: il a marché très tard, il n'a jamais pu courir et jouer avec les
enfants
de son âge, (1) Nous avons présenté ce malade à
moindre froid, ses extrémités devenaient livides. Intelligent, l'
enfant
a tous les premiers prix à l'école. A l'âge de
remarquable du cerveau trouvée par ]eD'' Sébileau à l'autopsie d'un
enfant
mort dans un accès de cyanose dans le service d
s elle n'a jamais souffert d'aucune ma- ladie. Mariage à 18 ans. Un
enfant
à 20 ans ; à 21 ans, infection gonorrhéique ave
Fig. 5. Ecriture d'un journalier. 220 KOUINDJY l'écriture de l'
enfant
rappelle de beaucoup l'écriture des personnes att
indiqués plus haut, nous ajoutons les exercices du petit clavier d'
enfant
. Les claviers sont numérotés et le patient, placé
ait de nombreux excès alcooli- ques. Syphilis probable. - Il a un
enfant
de 3 ans, très nerveux. Les troubles du caractè
sse. Il avait de légères habitudes alcooliques. En 1878, il a eu un
enfant
encore actuellement bien portant. A diverses
de santé avant leur mariage. De sa première femme, il n'a pas eu d'
enfants
. Sa seconde femme ne lui en a pas donné davanta
Les troubles intellectuels ne datent que de deux ans. Marié et sans
enfant
, il est probable qu'il était syphilitique. Alit
femme, il n'a pas d'antécédents héréditaires pathologiques et pas d'
enfants
. En 1889, c'est-à-dire il y a 14 ans, il a eu d
istence de la syphilis. Marié une première fois à 21 ans, il eut un
enfant
mort en bas âge ; puis il fut abandonné par sa
rça et épousa il y a deux ans une seconde femme dont il n'eut pas d'
enfant
. Déjà à ce moment il avait des douleurs fulgura
t incapable au début. Elle a dû apprendre à nouveau les noms de ses
enfants
et les répète d'ailleurs imparfaitement. Las de
narde, mais qui souffre réellement de ses membres contracturés, ses
enfants
l'ont fait admettre une seconde fois à l'hô- pi
e à 29 ; survient une grossesse suivie d'accou- chement à terme ; l'
enfant
bien portant est actuellement âgé de 22 mois. Sa
ationnaire pendant un an 1/2 ; la malade, qui allaite elle-même son
enfant
, peut cependant continuer, mais avec peine, son
ne, son métier de couturière et subvenir à ses besoins, à ceux de son
enfant
et de sa mère. La faiblesse et l'impotence fa
ccepte, c'est donc, dans une même fa- mille, un père et deux de ses
enfants
qui sont atteints. Si on la met en doute, il n'
ongévité remarquable de presque tous ses membres, le grand nombre d'
enfants
, avec une mortalité relativement restreinte, qu
admettre que parfois il y a eu con- fusion, comme on a pu, chez des
enfants
, prendre pour des cas de rachi- tisme des cas d
roubles. Ces malades sont au nombre de quatre, la mère et les trois
enfants
. L'étude des antécédents héréditaires de cetle
einte de mouvements choréiques passagers à l'âge de cinq ans. Leurs
enfants
à tous sont bien conformés ; et la grand-mère qui
mière se termina par un accouchement prématuré à 7 mois et demi ; l'
enfant
mourut au bout de cinq jours. A la deuxième, l'
et demi ; l'enfant mourut au bout de cinq jours. A la deuxième, l'
enfant
vint à terme, mais mourut à 21 mois, tuberculeux
'enfant vint à terme, mais mourut à 21 mois, tuberculeux , Ces deux
enfants
qui n'étaient pas du même père que ceux qui nous
qui nous occupent étaient bien conformés. Puis elle eut les trois
enfants
dont nous allons rapporter les observations et
ales cervicales sont normales ainsi que le sternum. Vue de dos, l'
enfant
présente une saillie très marquée des omoplates q
n lombaire ne nous a rien montré d'anormal. OBs. III. - Le second
enfant
(Pl. XXXIX) est un garçon, Jules B..., âgé de 6
normales. De même que chez la mère et la soeur, on constate chez l'
enfant
un tuber- cule angulaire volumineux, situé à l'
du su- jet : 308 M. VILLARET ET FRANCOZ . ODS. IV. Le troisième
enfant
est une fillette de 21 mois, Lucienne B..., née
cation secondaire de la clavicule. L'intelligence de la mère et des
enfants
est conservée et même assez vive. L'examen de l
s à la Maternité comme nourrice, portant, changeant et soignant les
enfants
comme ses compa- gnes. Elle présente du fait de
e trouve entr'eux qu'une bande fibreuse comme chez l'ai- née de nos
enfants
; celle-ci peut même manquer comme chez notre pet
e Pierre Marie et Sainton qui ne pouvait pas porter long- temps son
enfant
sur les bras. Par contre tous ces sujets présente
anelle antérieure pouvant se fermer à 9 mois et devant être chez un
enfant
normal complètement soudée entre 16 et 24 mois po
uvelaire cite 11 cas de largeur inusitée des fonta- nelles chez les
enfants
et de leur persistance chez l'adulte : l'examen d
à 10 ans chez la mère, à 9 ans chez l'aînée, à 7 ans chez le second
enfant
; enfin chez la dernière petite fille il y a enco
s, ainsi que d'ailleurs l'affection, soient moins marquées chez les
enfants
que chez les parents (P. Marie et Sainton) ; c'
te dernière observation d'une fillette de 13 ans dont plus tard les
enfants
, si elle en a eu, seraient intéressants à exami
peler), les disjonctions épi- physaires et l'état marastique chez l'
enfant
décrit par Hamilton, l'atrophie (1) Sur un cas
par Rappeler, avaient des pieds-bots congénitaux ainsi que deux des
enfants
de la famille citée par Carpenter, le frère de la
seux, ou exagérer ses lésions locales comme au niveau du crâne de l'
enfant
décrit par Gi- bert, de même aussi elle peut ré
l'aplasie claviculaire unilatérale. Il en est de même d'un des deux
enfants
du cas 2 de P. Marie et Sainton qui, mort de co
ec l'aplasie claviculaire ; très appa- rente et bilatérale chez les
enfants
à lésion claviculaire double, elle est plus mar
rme fruste de dysostose cléido-crânienne le cas de notre plus jeune
enfant
dont les lésions crâniennes typiques ne s'accom
mbreuses. Voir en particulier N. JoLY et I. GutTARD, Mémoire sur un
enfant
noseiicéphale adhérent à son placenta et né vivan
s sur les difformités congénitales chez les monstres, le jalus et l'
enfant
, Paris, 1880. 348 RABAUD ' essayant de réfute
productions congénitales. Hannover (5) nous indique que sur 10.683
enfants
nés en dix ans à la Mater- nité de Copenhague,
ues au-delà des limites qui lui sont nécessairement imposées chez l'
enfant
ou l'adulte. Chez ces derniers, la mort survient,
est très pénible. Les parents ne sont pas consanguins. Ils ont en 5
enfants
; pas de fausses conches. 1° Fille, bien port
de fausses conches. 1° Fille, bien portante, mariée et ayant des
enfants
sains. 2° Fille, notre deuxième malade. 3° Fi
l'étiologie et à la pathogénie de l'affection qui frappa les trois
enfants
H... nous ne pouvons dire rien de précis. Il n'ex
peut-on incriminer l'absinthisme du grand-père paternel, dont deux
enfants
(le père de nos malades et une soeur de celui-c
e trouve hospitalisé dans le même service. M. T... est le cinquième
enfant
; le sixième et le septième sont deux jeunes fil
normale. ATTITUDES VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTÉRIQUE CHEZ LES
ENFANTS
. par A. BROCA, Chirurgien de l'hôpitai de
ays, tant en France qu'à l'étranger, à l'étude de l'hystérie chez l'
enfant
. Bornons-nous à dire que, grâce à ces résultats
en effet grossière, de croire que l'hys- térie se reconnaît chez l'
enfant
aux nombreux stigmates qu'on trouve chez l'adul
rs, ont insisté sur « la fragilité des stigmates hystériques chez l'
enfant
». Et nous devons être avertis qu'en l'absence h
l est vrai, ce qui revient à la constante versatilité psychique des
enfants
. Plus que de coutume, les enfants hystériques m
nstante versatilité psychique des enfants. Plus que de coutume, les
enfants
hystériques mentent, jouent la comédie. Ils sont
s in- vraisemblables. Enfin il est assez fréquent d'apprendre que l'
enfant
est ou a été sujet aux convulsions, qu'il a des
mesure sur l'étude de la constitution phy- sique et psychique de l'
enfant
hystérique. Tous ces détails sont développés da
renant pour ATTITUDES VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTÉRIQUE CHEZ LES
ENFANTS
445 cause réelle une cause seulement provocatri
généraux, d'autant plus utiles ici, nous le ré- pétons, que chez l'
enfant
nous serons d'ordinaire réduits, ou à peu près,
rares chez l'adulte, z paraissent tout à fait exceptionnels chez l'
enfant
, et dans les cas que nous connaissons, un seul
simplement ATTITUDES VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTÉRIQUE CHEZ LES
ENFANTS
447 comme cause psychique, il joue tout simplem
observation II. La mère fut très explicite à ce sujet; la tête de l'
enfant
, tout à fait droite pendant la nuit, ne se dévi
embre 490 ? ATTITUDES VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTÉRIQUE CHEZ LES
ENFANTS
449 Elle raconte qu'il y a un mois elle s'est f
on, ayant l'air de souffrir, escamotant le pas sur ce membre. Sur l'
enfant
couchée, nous voyons un pied plat, légère- ment
ection, à la palpation, rien ne paraît gonflé, tout est souple. L'
enfant
se plaint de douleurs spontanées « dans les os »
remonta le long de la face interne de la jambe, jus- qu'au genou, l'
enfant
continuant à signaler des douleurs auxquelles nou
n hysté- rique. Nous pensons à l'hystérie et nous hospitalisons l'
enfant
, en lui déclarant qu'elle allait guérir très vi
ont faciles à déduire de l'observation ci-dessus.Quand nous vîmes l'
enfant
déchaussée, s'avancer en n'appuyant que sur le
ion première fut en faveur d'une tuber- culose de l'avant-pied : un
enfant
n'a pas le droit de boiter encore un mois après
pour une attitude vicieuse de la tête sur le tronc. L'histoire de l'
enfant
, très simple, nous est nettement racontée par la
ère. La déformation actuelle, nous dit-elle, date de la veille. Son
enfant
jouait avec ATTITUDES VICIEUSES PAR CONTRACTURE
jouait avec ATTITUDES VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTÉRIQUE CHEZ LES
ENFANTS
451 des camarades quand, à un moment donné, dan
te tentative de mouvement devient très douloureuse. L'anamnèse de l'
enfant
ne présente guère de particularité. Son père est
s ne présente pas à vrai dire de stigmates hystériques. Pas d'autre
enfant
. Aucun antécédent personnel : on apprend qu'il es
t infructueux, et ne réussit qu'il réveiller de grandes douleurs. L'
enfant
avale facilement et sans aucune douleur toute esp
t que peu de renseignements. On apprend seulement par la mère que l'
enfant
est très turbulent, joueur à l'excès, irascible
en confirmant l'hypothèse. On agit par suggestion, on persuade à l'
enfant
qu'on l'admet à l'hôpital pour le guérir par un
Rien de particulier dans les antécédents collatéraux. Pas d'autre
enfant
. Comme antécédents personnels, on apprend que l
Pas d'autre enfant. Comme antécédents personnels, on apprend que l'
enfant
est né à terme d'un accouchement normal en prés
sté au moins 6 mois. A partir de cet âge, bonne santé générale. L'
enfant
avait bon appétit, il n'était plus sujet à la t
mme normal. ATTITUDES VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTÉRIQUE CHEZ LES
ENFANTS
453 La maladie actuelle remonte à 4 semaines en
sique du torticolis sterno-mastoïdien, était dès lors constituée. L'
enfant
ne pouvait plus faire un seul mouvement de la têt
l était droite par rapport au tronc ; elle ajoute qu'au réveil de l'
enfant
la tête est certainement moins inclinée, ce n'est
tants sans aucun résultat.- C'est dans de telles conditions que l'
enfant
nous est présenté. A la vue, at- titude très pr
importance réelle. Sur l'état pychi- que du malade on apprend que l'
enfant
est d'une intelligence moyenne, qu'il est capri
agnostic de tortico- lis par contracture hystérique, et on soumet l'
enfant
à un traitement appro- prié. On agit surtout pa
mbres inférieurs. Le lendemain à la visite du matin, on interroge l'
enfant
, l'on apprend que l'appareil. est très bien sup
'appareil. est très bien supporté; qu'aucune douleur n'existe plus, l'
enfant
ajoute même qu'il lui semble pouvoir tourner la
ment alcoolique, mère morte de tuberculose pulmonaire ; pas d'autre
enfant
. Antécédents personnels. Les antécédents person
sance et chute. Pas de morsure de langue, pas d'émission d'urine, l'
enfant
, paraît-il, se débat, il a de l'écume aux lèvre
gie évidente. Chacune d'elles dura environ 5 minutes ; après quoi l'
enfant
recouvra la connaissance et, accablé de fatigue,
d'habitude, ATTITUDES VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTÉRIQUE CHEZ LES
ENFANTS
455 et les parents furent tout surpris la nuit
arents furent tout surpris la nuit d'être réveillés par les cris de l'
enfant
. Celui-ci se plaignait horriblement du cou et d
Le lendemain matin, nouvelle visite à Cochin, et de là on envoya l'
enfant
à l'hôpital des Enfants-Malades ; il fut reçu s
orte le diagnostic de torticolis hystéro-traumatique. On sou- met l'
enfant
l'extension et à la contre-extension. Cet apparei
ut à fait droite ; aucune trace de contracture, plus de douleurs, l'
enfant
quitte l'hôpital le même jour. Revu en avril 19
l'hystérie. ATTITUDES VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTÉRIQUE CHEZ LES
ENFANTS
457 Nos observations concernent une des formes
reprises du sang, elle était sujette aux bronchites. Pas d'autre
enfant
. Comme antécédents personnels, elle est née à t
le simple sans complication. Depuis cette époque, santé excellente, l'
enfant
n'est pas sujette aux rhumes l'hiver, elle ne t
t toujours, nous dit-ou, grande et forte. D'ailleurs actuellement l'
enfant
est plutôt forte pour son âge : sa taille, ses
es, sa poitrine dénotent un développement remarquablement avancé, l'
enfant
est réglée depuis le mois de janvier 1903. La m
janvier 1903. La maladie actuelle remonte au mois de janvier 190. L'
enfant
était en pen- sion depuis le mois d'octobre pré
Ces phénomènes douloureux étaient si légers qu'ils permettaient à l'
enfant
de pren- dre part à ses jeux comme auparavant,
ndant la promenade, après une marche de 4 kilomètres environ, que l'
enfant
se plaignit de sa han- che et qu'elle dut reven
ntj sur une camarade. Elle boitait légèrement et déjà à ce moment l'
enfant
affirme d'une façon précise, qu'elle penchait s
n corps du côté droit. Les douleurs n'ont jamais été plus fortes, l'
enfant
, malgré sa boiterie et son attitude hanchée, cont
à juste titre les parents, et ceux-ci voulurent faire soigner leur
enfant
chez eux. Jusque-là, on avait frictionné légère
l'influence du traitement et c'est dans de telles conditions que l'
enfant
est amenée par sa grand'mère à la consultation de
le 22 février 190 ? plus d'un mois après le début des accidents. L'
enfant
est grande, forte, ne paraît avoir aucunement mai
, surtout à attitudes vicieuses par contracture hystérique chez LES
enfants
459 droite. A la palpation, aucun point doulour
, au même degré, sur la malade assise. Faisons maintenant courber l'
enfant
. La déviation s'atténue, mais on constate encor
n plus, si l'on essaie de renverser la déviation en faisant plier l'
enfant
, toute tentative reste vaine, et on a même la s
éro-traumatique, obs. V). 460 BROCA ET HERBINET Même aspect sur l'
enfant
couchée à plat ventre. La difformité se corrige c
e com- plètement par la suspension cervicale. Au premier abord, l'
enfant
ne paraît pas nerveuse. Elle rit et pleure facile
nous avons joint l'hydro- thérapie. Très vite le résultat fut que l'
enfant
, qui arrivait toute courbée au gymnase, en ress
nt, soit à la fin du mois de mai, la' guérison était ob- tenue. L'
enfant
a quitté l'hôpital le 3 juin complètement guérie.
nt un mois pour mal de Pott : le mode de début, l'état général de l'
enfant
, la correction de la sus- pension s'opposaient
nous venons de décrire : nous n'en avons jamais ren- contré chez l'
enfant
, et d'autre paît, dans le cas actuel, aucun signe
rs, mais dans ce cas l'incurvation lombaire ne persistait pas sur l'
enfant
assise, alors que le bassin,par conséquent, éta
- traire, se raidissaient dès qu'on voulait redresser le tronc de l'
enfant
couché. Cette statique était déraisonnable. Mai
e avec fer- attitudes VICIEUSES par contracture HYSTÉRIQUE CHEZ LES
enfants
463 meté de se mieux tenir, qu'on le fasse couc
ment plutôt que d'une raideur, où la rectitude se rétablit dès que l'
enfant
est couché, où d'autre part, aucune masse muscu
lombaire aurait dû être du côté opposé ; de plus, et surtout, sur l'
enfant
couchée la hanche était souple. Wertheim-Salomo
ouleurs très vives dans la région des reins et impossibilité pour l'
enfant
de se tenir debout. Pour antécédents héréditair
ques de nerfs, elle était plutôt d'un tempérament calme. Elle eut 7
enfants
du même père. Deux sont morts de bacillose pulmon
orts de bacillose pulmonaire après avoir toussé longtemps. Des cinq
enfants
vivants, 3 sont en bonne santé, un autre est so
jà pour une ATTITUDES VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTÉRIQUE CHEZ LES
ENFANTS
465 maladie chronique, une tuberculose osseuse
ieur droit, sans cependant de localisation précise. En même temps l'
enfant
se plaignait de grande faiblesse dans les reins
rdonna le repos absolu au lit et l'immobilité complète. Il visita l'
enfant
à plusieurs reprises, et au bout de deux mois i
le à notre consultation, six mois après le début des accidents. ' L'
enfant
arrive à l'hôpital portéesur les bras, incapable
la jambe : les mou- vements spontanés sont certainement modifiés, l'
enfant
lève avec quelque dif- ficulté ses jambes à que
sale sont parfaitement normaux. Le signe de Romberg n'existe pas. L'
enfant
ne s'est jamais plainte de la vue, aucun troubl
sensoriel. Etat psychique assez spécial : carac- tère irritable, l'
enfant
pleure et rit très facilement, se met très vite e
bavarde, ses réponses sont toujours hâtives, mais très précises ; l'
enfant
est très intelligente pour son âge, elle aime,
raît-il, beaucoup la lecture. Malgré ses protestations nous mîmes l'
enfant
debout : elle se tint, avec une grande difficul
doit guérir rapidement, qu'elle guérira sûrement. Le lendemain l'
enfant
se lève et marche déjà sans tituber. Les douleurs
rouve beaucoup mieux. Les jours suivants l'amélioration continue, l'
enfant
reste levée toute la journée, elle court et jou
TITUDES VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTERIQUE CHEZ LES ENFANTS 467 l'
enfant
simule une claudication ou tout au moins exagère
roubles disparaissent bientôt, et le 3 juin, au bout de 12 jours, l'
enfant
quittait le service, totalement guérie. Les mot
bien ca- ractérisé parmi les paraplégies organiques possibles de l'
enfant
. Il existe des paraplégies, complètes ou incomp
ogie ressemblait d'assez près à celle d'une paraplégie pottique : l'
enfant
fut tournée sur le ventre, et nous vîmes une lign
ques, avec atrophie musculaire et abolition des réflexes. De plus, l'
enfant
étant couchée sur le ventre, nous avons vu que
ieds, jambes demi-fléchies, les reins se creusaient. Car de prier l'
enfant
de se baisser pour ramasser un objet par terre,
constater qu'en quelques jours, sans traitement propre- ment dit, l'
enfant
était tout à fait guérie. Mais tout de suite - et
ue diagnos- ATTITUDES VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTÉRIQUE CHEZ LES
ENFANTS
469 tique que pathogénique, ressort un fait cap
condaires peuvent apparaître ; le squelette encore mal- léable de l'
enfant
peut subir des incurvations, et ces modifications
t plusieurs mois pour tumeur blanche, était fléchi à angle droit. L'
enfant
couché, on remarqua l'absence de tout signe phy
confirment l'aphorisme de Charcot : l'hys- térie ne tientpas chez l'
enfant
. Mais encore faut-il compléter cette phrase par
et comme elle sur le point de faire sa première communion. Les deux
enfants
con- tinuant à se fréquenter, ne tardent pas à
use d'entrer dans le village dès qu'il en aperçoit le clocher, de l'
enfant
qui descend d'un haut sapin, la tête en bas etc
mien m'en faisait autant, je le tuerais ? etc.. » ...Et la pauvre
enfant
fut bientôt reprise de crises plus violentes que
li- minerons-nous de ce mémoire relatif aux seules dystrophies de l'
enfant
à la naissance. Nous aurons donc particulière
; les thèses de Vilaire Cabèche (1902) sur l'achondroplasie chez l'
enfant
, de Péloquin (1902) sur l'achondroplasie chez l
ette question dans son ensemble, en nous appuyant sur l'examen de 9
enfants
que nous avons eu l'occasion d'observer à la Ma
). L'achondroplasie peut enfin être familiale et affecter plusieurs
enfants
(Treub, Poncet) nés de parents sain ? ou égalem
c pas inévitable. Un achondroplasique n'aura pas nécessairement des
enfants
atteints de cette dystrophie. Les circonstances
. Symptomatologie clinique. 1° Nouveau-né. - L'aspect clinique de l'
enfant
achondroplasique est aujour- d'hui bien établi
géré. L'acllondroplasique n'est pas un nain proprement dit, mais un
enfant
dont le tronc normal supporte une tête un peu g
ne de nos observations, mais ne se vérifie pas, par exemple, chez l'
enfant
d'Apert. Elle semble plus fréquente chez l'acho
un segment. C'est ainsi que dans une de nos observations (inédite ;
enfant
Darr...) la longueur totale du membre supérieur é
s et complétant l'aspect boudiné si frappant chez la plupart de ces
enfants
. F. Regnault a rangé parmi les achondroplases l
déformées. S'agit-il ici d'un achondroplasique ayant maigri ou d'un
enfant
atteint d'une autre affection ? Nous sommes loin
ivants : BP : 9; - OF : 10; OM : il,6; qui répondent t à une tête d'
enfant
à terme. Kassowitz, dans certains cas, a vu la
es, de peu supérieur 490 l'ORAX ET DURANTE au volume d'un crâne d'
enfant
normal, mais, par cela même, disproportionné pa
re inférieure un peu élargie (ce qui est en particulier le cas pour l'
enfant
D... (fig. 4). Les déformations y sont rares à
ébrale est rectiligne, le dos plat. Mais plus tard, chez les jeunes
enfants
, la saillie des fes- siers et l'antéversion du
Parrot et qui rappelle certains types pseudo-hypertropliiques. 2°
Enfants
. Lorsqu'ils survivent, les achondroplases ne para
res. Les dents apparaissent à leur terme normal, ce qui distingue l'
enfant
achon- droplasique des rachitiques et des myxoe
coaptation est déjà défectueuse. , Tout en demeurant micromélique l'
enfant
s'accroît. Il faut tenir compte de ce fait afin
Les fonctions de la vie organique s'effectuent normalement chez ces
enfants
qui, à leur stature près, se développent réguli
rmale, sans infériorité notable. Au point de vue intel- lectuel ces
enfants
sont égaux à ceux du même âge. Une des petites ma
eur que celui du malade ; soit, comme l'a fait Marie, à celles d'un
enfant
de 8 ans dont la taille totale était approximativ
és de Méry et Labbé, de Cestan et Infroit, de Variot concernent des
enfants
plus âgés. P. Marie, Joha- chimsthal, Treub, Ap
ondroplase (comparez Pl. LII la fig. 1 avec la fig. 2 concernant un
enfant
normal] les os longs ne paraissent que par leurs
ents que chez les individus normaux (Bouchacourt et Lévi). Chez l'
enfant
plus âgé les épiphyses deviennent nettes et l'on
juger de leur volume énorme. Leur opacité est plus forte que chez l'
enfant
sain (Cestan etlnfroit, Méry); leur calcificati
e épais- seur à peine inférieure à celle des os correspondants de l'
enfant
normal. Les épi- physes très volumineuses qui c
rale,dans les os longs, retard du développement cartilagineux. Chez l'
enfant
de 8 ansde Cestan etlnfroit.lecartilage d'ossif
it plus une bande claire à limite précise que l'on reconnaît chez l'
enfant
de 12 ans de lliéry et Labbé. Joachimsthal, che
que l'ossification n'est pas notable- ment plus avancée que chez un
enfant
à la naissance ; mais s'agit-il vraiment d'un a
r faible longueur. Au lieu d'être lisses et régulières comme chez l'
enfant
sain, elles présentent des arrêtes séparées par
se un angle ouvert en dedans. Fig. 4. f''oe<MS achondroplasique (
Enfant
, Darr., oct. 1899). Mère syphilitique ; Thorax
a courbure en C, large et dans un seul sens du rachitisme. Chez l'
enfant
et chez l'adulte on peut observer soit de récente
ux portions du sphénoïde est généralement complète alors que chez l'
enfant
normal de deux ans ses portions antérieures et
ns, exagérés en- core, les mêmes caractères du squelette que chez l'
enfant
(voy. p ! . II, fig. 6). Les os longs des membr
t plus courts que le ti- bia et le radius. Mais, de même que chez l'
enfant
, ce caractère n'est pas cons- tant. Il fait, en
incurvées. Cette rectitude, plus réquente chez l'adulte que chez l'
enfant
, semblerait indiquer que certaines 500 PORAK ET
i, cependant, sont moins fréquentes chez l'adulte que chez le jeune
enfant
. On peut on rapprocher l'abaissement fréquent de
llmann,est normal dans les autres. Le Thymus, volumineux chez les
enfants
de S. Müller et de Grotthof,est nor- mal chez l
Ossification PÉIHOSTALE. Fio. 16. Ossification périostale normale.
Enfant
de 8 jours. Fio. 17. Ossification périoslale ch
de 8 jours. Fio. 17. Ossification périoslale chez un rachitique. -
Enfant
de 1 jour. Dans la partie centrale de la coupe,
etus encore contenus dans la matrice) a rapporté l'observation d'un
enfant
à l'aspect achondroplasique, qui doit rentrer d
s périostales. « Femme, Ve parede 33 ans, bien conformée, mère de 4
enfants
bien portants. L'enfant, qui mourut au bout de
e parede 33 ans, bien conformée, mère de 4 enfants bien portants. L'
enfant
, qui mourut au bout de 24 heures en cyanose, avai
en histologique avait été pratiqué. A. Au point de vue clinique ces
enfants
sont, en général, également des lIliCl'o1l ! èl
rnières années nous avons eu l'occasion d'observer à la Maternité 9
enfants
présentant les membres courts et boudinés que l'o
puisse pas être touché/ par le rachitisme au même titre qu'un autre
enfant
. -< Ollier en 1899, Malin dans sa thèse de 1
'appui de cette conception, on peut t citer le cas de Kaufmann où l'
enfant
était le produit d'un inceste entre frère et sa
vre typhoïde, don- nent une poussée d'allongement au squelette de l'
enfant
, d'autres, comme les infections intestinales (e
deux affections totalement différentes (Soc. de Biol., 1902). Les
enfants
retardataires, Paris, 1902. ASTROS (D'). - Les
cas d'achondroplasie (Soc. méd. des hÓP., 1903 et Arch. de méd. des
enfants
, 1904). COn111L. - Du rachitisme (Union méd. et
Rech. sur les difformités congén. chez les monstres, les foetus et l'
enfant
. Paris, 1880. Iwan. Exper. Unters. üb. path.
s syph. und congen. Rachit. (Th. Gottingen, 1895). Lepage. .Mère et
enfant
achondropl. (Soc. d'Obslétl ? de Gyn. et de Pied.
MAYGniEn. Foetus achondropl. (Soc. d'Obstelr. et Arch. de méd. des
enfants
,9898). : \IEIGE. (Iconogr. de la Salpêb ? 1898).
cale plus de 42 observations d'achondroplasiques vivants adultes ou
enfants
. Voici donc tant de motifs qui nous ont décidé
n pa- tron qu'il appelle son père. Il a les allures psychiques d'un
enfant
. La percep- tion semble normale. L'attention pe
ce qui concerne ses sentiments, on voit qu'il est attaché comme un
enfant
à son patron, mais il parle avec indifférence d
strophie et en nous occupant seulement des cas qui concer- nent des
enfants
plus âgés ou des adolescents et des adultes, nous
ugaro (29). Parmi ces 42 cas il y a 25 adultes et 14 adolescents ou
enfants
. Chez 35 nous avons pu trouver l'indication du
u, seulement des cas concernant des adultes en laissant de côté les
enfants
. Notre malade, de la taille de 105 cent. 5 est
e (Variot, Joachimsthal). Dans le cas de Huet et Caruette, chez une
enfant
de 10 ans nous trou- vons aussi une circonféren
un un cas où des femmes achondroplasiques ont donné naissance à des
enfants
atteints de cette même dystrophie. 548 PAIiII
hez la mère et que plus tard elle débute d'une façon précoce chez l'
enfant
achondroplasique et persiste plus ou moins exag
de la mère et l'accouchement ont été normaux comme pour les autres
enfants
. Les parents s'aperçurent bientôt des anomalies d
LOBRA tra-utérine. Wite de Manchester (52) coupe trois fois chez un
enfant
âgé de trois ans, un pouce surnuméraire qui tro
muqueuses à l'anus. 596 LANNOIS Il s'est marié il 37 ans et a un
enfant
de dix ans qu'il dit né à terme, bien constitué
stème nerveux profondément atteint n'est plus capable de réagir ; l'
enfant
naît vivant, mais en agonie ; l'agonie dure plus
voulu me communiquer; dans cette observation, il est noté que l' «
enfant
remuait beaucoup, avait des mouvements brusques
ans ses pérégrinations, Pantaléon rencontra un jour le cadavre d'un
enfant
; auprès de lui, une vipère. Désireux d'éprouver l
x d'éprouver la vertu des con- seils d'IIermolaüs, le saint dit à l'
enfant
: « Mort, lèvé-toi au nom de Jésus; et toi, mau
e la rage ; saint Vit donne la fertilité aux femmes, la vigueur aux
enfants
malingres, la plus belle nuit aux jeunes épousées
t le saint entouré de malades. Sur les- deux toiles, l'épisode de l'
enfant
piqué par un serpent est reproduit ; mais ces oeu
incipalement l'épisode, rappelé partout, de Pantaléon guérissant un
enfant
piqué par un serpent. « Pour le reste, ajoute-t-i
l'effet pic- tural ; j'ai groupé autour du saint, hommes, femmes et
enfants
, sans vou- loir préciser une guérison quelconqu
par les médecins qui donnent plus particulièrement leurs soins aux
enfants
. Legroux (1), dans une communication à la Socié
neuses ». Les mêmes constatations sont faites par les chirurgiens d'
enfants
qui, eux aussi, comme nous l'écrivait A. Broca,
laquelle il commença à tousser. D'un premier mariage il a eu trois
enfants
bien constitués et de son union avec X..., est
, une mère, présentant des exostoses multiples, donne le jour à six
enfants
, parmi lesquels cinq sont atteints de la même l
squels cinq sont atteints de la même lare squelettique. L'un de ces
enfants
devient à son tour père de dix enfants : trois
re squelettique. L'un de ces enfants devient à son tour père de dix
enfants
: trois sont couverts d'exostoses. Lejars (15) a
neuses exostoses sur les tubérosités internes des tibias, a eu huit
enfants
, dont quatre vivants sont nés avec des exostose
des hauteurs diverses et presque toutes symétriques. De ces quatre
enfants
, le dernier est une fille qui a eu onze enfants,
ques. De ces quatre enfants, le dernier est une fille qui a eu onze
enfants
, dont quatre vivants portent, comme elle, des e
e préférence au voisinage des articulations fémoro-tibiales. Chez l'
enfant
étudié par Méry et Métayer, les exostoses avaient
ion se reproduire d'une façon inté- grale du père ou de la mère à l'
enfant
, celui-ci pouvant hériter seulement de la prédi
au (6), ces derniers très importants parce qu'ils concernent quatre
enfants
de 8 à lui ans chez qui existaient respectiveme
de pneumonies de 16 jusqu'à 18 ans. Il raconte que lorsqu'il était
enfant
, il remarqua les tuméfactions de ses jambes, lui-
té opposé (ostéomalacie). De plus, les facultés intellectuelles des
enfants
restaient obtuses et même la parole ne se dével
décollement de la rétine (diagnostic du professeur Tartuferi). Cet
enfant
présenté dès sa naissance, des tuméfa- tions av
'extrémité inférieure du radius gauche (volume d'une noisette). L'
enfant
jusqu'à présent n'a souffert que de légères indis
s, elle se remit, si bien qu'elle se maria, et devint mère de trois
enfants
robustes. Depuis que je la connais, c'est-à-dir
des exostoses ; un tel exemple a été rapporté par Volkmann chez un
enfant
de huit ans. Virchow, toutefois, a limité cette
Père alcoolique mort à 54 ans ; mère vivante, bien portante, a eu 5
enfants
dont 2 sont morts, l'un de péritonite et l'autr
Marié pour la seconde fois depuis 1897, il a de ce second mariage un
enfant
. Sa première femme cardiaque, est décédée en ac
enfant. Sa première femme cardiaque, est décédée en accouchant d'un
enfant
qui a vécu 8 mois. Il est bon travailleur, mais
nq sont atteints d'ophtalmoplégie, à savoir : la mère, trois de ses
enfants
et l'enfant d'un de ces derniers (Pl. LXXVI). O
nts d'ophtalmoplégie, à savoir : la mère, trois de ses enfants et l'
enfant
d'un de ces derniers (Pl. LXXVI). Ons I. La mèr
inutile a refusé l'essai de verres correcteurs.) Mme F... a eu sept
enfants
, tous du même père, dont l'aînée était une fille
s de la parole qui paraissent ressortir au bégaiement. Le troisième
enfant
, fille de 20 ans, a les yeux normalement confor
e M. Thibierge à l'hôpital Broca pour une vul- vite très accentuée.
Enfant
bien développée, pas de signes de rachitisme, pas
t osseux normaux. Rien de spécial du côté du système nerveux. Cette
enfant
marche étant sou- tenue ; elle commence à parle
t nous retiendrons seulement l'apparition de la syphilis chez cette
enfant
qui démontre l'état de réceptivité du terrain, l'
ques membres de cette famille : existence de bégaiement chez un des
enfants
, arrêt de développement chez un autre, caractèr
ns les antécédents ou actuellement. Nous rappellerons de plus que l'
enfant
de l'observation IV est actuellement en pleine pé
ténue à la deuxième génération et il est encore moins marqué chez l'
enfant
de l'observation IV. On peut faire la même obse
8 ans par une pleurésie, mais complètement rétabli et père de trois
enfants
sains et bien constitués. Antécédents personnel
e rencontre parfois chez les sujets jeunes, et même chez beaucoup d'
enfants
peu musclés. M. Henry Meige a signalé ce fait à l
er les destructions s'étendant (1) ,IOL1 et Guitard, Mémoire sur un
enfant
nosencéphale adhérent à son placenla né à Toulo
oetale présente les mêmes caractères généraux que la méningite de l'
enfant
ou de l'adulte, elle se traduit par les mêmes s
pas, quant à leur essence, de ceux de la méningite évoluant chez l'
enfant
ou l'a- dulte ; seulement, grâce à sa vie paras
sur les difformités congénitales chez les monstres, le foetus et l'
enfant
, Paris, 1880. L. Guinard. Précis de Tératologie
Arclz. fitr Psych., 1902. N. JoLY et I. Guzrann. -111émoire sur un
enfant
nosencéphale adhérent à son pla- centa et né vi
593. Attitudes vicieuses par contractures hyslé- riques chez les
enfants
(2 fig.), par BROCA et HERBINET, 443. Cérébra
ri- que (1 pl.), par Lamy, 424. Contractures hystériques chez les
enfants
, attitudes vicieuses (2 fig.), par BROCA et H
ER131NFT. Attitudes vicieuses par contracture hystérique chez les
enfants
(2 fig.), 443. CATOLA. Sclérose en plaques ; at
ion sur la valeur que peut avoir la suggestion dans le traitement des
enfants
vicieux ou malades. L'année suivante, au Congrès
pouvions affirmer que nous n'avions jamais vu survenir chez aucun des
enfants
soumis au traitement par la suggestion, le moindr
llait s'attendre à ce que des médecins eussent l'idée d'appliquer à l'
enfant
une médication qui donnait de brillants résultats
artient au praticien de mesurer la dose, qui varie naturellement de l'
enfant
à l'adolescent et de celui-ci à l'homme fait. «
nt, elle doit avoir plus de prise et doit réussir mieux encore chez l'
enfant
que chez l'adulte. « En effet, la suggestion n'
, déjà facile à développer chez l'adulte, l'est bien davantage chez l'
enfant
? » En effet, d'expériences portant sur plus de
l'enfant ? » En effet, d'expériences portant sur plus de cinq cents
enfants
des deux sexes, nous avons pu déduire les conclus
ux sexes, nous avons pu déduire les conclusions suivantes : Sur dix
enfants
de 6 à 15 ans, pris dans toutes les classes de la
rairement à l'opinion courante, les difficultés pour provoquer chez l'
enfant
un sommeil profond, sont d'autant plus grandes, q
r chez l'enfant un sommeil profond, sont d'autant plus grandes, que l'
enfant
présente plus de tares névropathiques héréditaire
omatisme, les suggestions posthypnotiques qui leur sont faites. Les
enfants
qui présentent des stigmates hystériques, et en p
ablement au peu d'attention qu'ils sont capables d'apporter. Si les
enfants
hystériques manifestent parfois un esprit de cont
ment hypnotisables. C'est là un fait d'observation journalière. Les
enfants
robustes, bien portants, dont les antécédents hér
elui de la nuit. La suggestibilité, beaucoup plus développée chez l'
enfant
que chez l'adulte, a pour conséquence de le rendr
e n'est pas s'avancer trop que d'affirmer que plus des deux tiers des
enfants
peuvent être hypnotisés profondément dès la premi
ette sensibilité à la suggestion et à l'hypnotisme que présentent les
enfants
, peut être utilisée pour les mettre à l'abri d'hy
is, Liébeault et par d'autres observateurs, nous faisons toujours à l'
enfant
la suggestion de ne pouvoir être endormi que par
rtion les caractères d'une loi psychologique : Lorsqu'on amène deux
enfants
à ma clinique (frères ou sœurs ou enfants de la m
ue : Lorsqu'on amène deux enfants à ma clinique (frères ou sœurs ou
enfants
de la même école), je place dans le fond de la sa
e école), je place dans le fond de la salle deux sièges, j'invite ces
enfants
à les regarder, et je leur fais, à l'état de veil
s je puis poser mes pronostics et puis déclarer que le premier est un
enfant
intelligent, docile, facile à instruire et à éduq
ience ne sert pas seulement à mesurer le degré de suggestibiiité de l'
enfant
, elle devient un moyen d'investigation et d'explo
donne souvent des résultats inattendus, car elle révèle chez certains
enfants
une valeur intellectuelle bien supérieure à celle
, il arrive qu'on perd en force ce qu'on gagne en vitesse. Chez les
enfants
, encore moins que chez les adultes, l'application
uvres diverses s'appliquer à désarmer l'esprit de discussion de l'
enfant
, il faut neutraliser ses résistances, substituer
at de passivité. Il est assez facile d'obtenir, chez presque tous les
enfants
, ce qu'on pourrait appeler l'état d'influence hyp
ations suivantes : Conclusions : On peut diviser les affections des
enfants
dans lesquelles les indications de la suggestion
lue, à la condition que l'utilisation de la suggestibiiité propre à l'
enfant
et que la production du sommeil tendent à ce doub
de causer une éclipse totale ou partielle de la mémoire; de plonger l'
enfant
dans la décrépitude, le savant dans l'ignorance,
les envies de femmes enceintes, qui pourraient se transmettre à leurs
enfants
. Ainsi, dans les Ephémé-rides germaniques (T. IX
133), le goût prononcé de la mère pour les écrevisses se transmet à l'
enfant
au point que celui-ci les mangeait tout crues.
au point que celui-ci les mangeait tout crues. Il faut penser qu'un
enfant
élevé dans une famille en adopte forcément les go
exes. Bérillon : Le traitement psychique de la kleptomanie chez les
enfants
dégénérés. Félix Regnault : Un nouveau schéma d
ulières, l'appétit assez bon. Mais depuis son séjour à l'hôpital, l'
enfant
ne retrouva pas ' sa santé générale; il avait sou
sous l'aisselle du même côté, s'exaspérant par les quintes de toux. L'
enfant
n'a pas dormi ces trois dernières nuits. Ajoutons
erculeux. Le père et la mère sont bien portants ; il est le 3e sur 10
enfants
, dont aucun n'est malade. C'est d'ailleurs un gar
était due à une nouvelle accumulation de lombrics, comme le pensait l'
enfant
qui croyait à un paquet de vers à droite de l'omb
ser à une auto-suggestion. Pour résoudre la question, j'interroge l'
enfant
sur ses antécédents, sur les symptômes généraux e
douleur aiguë comme là! Cela dit, je presse le point suggestionné; l'
enfant
réagit douloureusement, tandis que partout ailleu
quelquefois vers Thypogastre, et quand vous urinez, vous avez mal. L'
enfant
répond enfin que la douleur s'étend quelquefois v
e. Je ne poussai pas plus loin mon interrogatoire suggestif ; car l'
enfant
est très intelligent, il aurait fini par deviner
. Je vous ai dit alors : Cette douleur est très facile à enlever. L'
enfant
étant certainement très suggestible, puisque sa d
n, je vais l'endormir pour le débarrasser de ses douleurs. Je dis à l'
enfant
: Tu seras bien content si je t'enlève immédiateme
te : il va s'endormir très facilement. Tenez! Regardez-le! Il dort! L'
enfant
restait immobile, les yeux ouverts, fixes, étonné
. Cependant un observateur non expérimenté n'aurait pas reconnu que l'
enfant
était déjà suggestionné, hypnotisé, c'est-à-dire
ait passé à côté de l'hypnose, sans s'en douter. Levant les bras de l'
enfant
, dans cet état, je constatai qu'ils restaient imm
mieux lorsqu'on les prend doucement, comme nous l'avons fait chez cet
enfant
, à brûle-pourpoint. Car, quand ils ont peur de l'
emps de s'armer, ils tombent sans résistance. C'était le cas de notre
enfant
l La suggestion est un art très difficile et qu
mmeil à un sujet pour la première fois, comme nous l'avons fait à cet
enfant
, aussitôt que vous dites : dormez, le premier mou
s obtenir à l'état de veille parfaite. Tenez ! je prends le bras de l'
enfant
, je le mets en l'air et je lui dis : Essaie de le
à la pendule l'heure et tu reviendras. Au bout de trois minutes, cet
enfant
timide traverse les bancs à travers l'assistance,
t remplacé tout simplement par celui de suggestibiiité exaltée. Cet
enfant
est naturellement suggestible ; c'est-à-dire que
nir qu'une conclusion qui n'effraiera pas ! C'est la nécessité pour l'
enfant
d'une éducation religieuse, philosophique ou mora
et après deux nouvelles séances le même jour, après la conférence, l'
enfant
ne la sent presque plus. C'est là une douleur de
heures du soir, elle reparaît à la suite d'une quinte de toux; mais l'
enfant
peut se rendormir, et le lendemain 26, l'enfant v
uinte de toux; mais l'enfant peut se rendormir, et le lendemain 26, l'
enfant
va bien et dit ne plus sentir la douleur que lors
malade). J'essaie de nouveau la suggestion ; je m'aperçois que l'
enfant
résiste. Déjà la veille au soir, mon chef de clin
l'évolution organique. Mais elle peut, comme elle l'a fait chez notre
enfant
, supprimer la douleur, modérer la toux, restaurer
oitrine comme je vous ai enlevé les douleurs abdominales. Dormez, mon
enfant
. Mais sa face ne changea pas d'expression ; ses y
re au matin jusqu'au 4 au soir ; la phénacétine est supprimée le 3. L'
enfant
mange bien et dort ; je l'endors tous les jours,
ds que la veille, jeudi, après le déjeu-ner, à dix heures du matin, l'
enfant
avait été repris de douleurs abdominales: ces dou
ître les mouvements choréi-ques, il était utile de faire exécuter à l'
enfant
, pendant l'hypnose, des exercices de gymnastique
ifférent. Il sert, en Malaisie, à redresser la mauvaise position de l'
enfant
dans le ventre do la mère. Indépendamment de
deux ans. Il no rougit pas de s'asseoir à l'école à côté des jeunes
enfants
, et il parvint ainsi à force de travail et de pat
hésité à faire pendre Hamlet. Evolution du sens chromatique chez l'
enfant
. Garbini, dans les mémoires de l'Académie des s
alement si et de quelle façon le sens chromatique se développe chez l'
enfant
. L'enfant ne possède pas de prime abord un sens
t de quelle façon le sens chromatique se développe chez l'enfant. L'
enfant
ne possède pas de prime abord un sens chromatique
u rouge vert va du seizième au vingt-quatrième mois de la vie. Puis l'
enfant
prend connaissance du jaune qui se développe dans
lement une année après le développement entier du sens chromatique, l'
enfant
distingue les couleurs dans sa conversation. Ce
angereux. Autant dire qu'il est dangereux pour la mère d'endormir son
enfant
en le berçant ou le captivant par la chanson du s
ondant sur l'examen physiologique du crâne et de tout l'organisme des
enfants
. De telle sorte que, dans toute école allemande,
telle sorte que, dans toute école allemande, il y aura la section des
enfants
intelligents et la section des imbéciles. Ceux-ci
ysème pulmonaire. Agée de 37 ans, journalière, mariée, mère de quatre
enfants
dont un seul est vivant, bien constituée d'ailleu
onséquences redoutables de l'intoxication par l'alcool (procréation d'
enfants
dégénérés, dépopulation, criminalité, suicides, m
int Philippe et Régis, ce congrès a émis le vœu que: L'assistance des
enfants
arriérés, imbéciles, idiots, crétins, etc., compr
le conduisait chez le médecin de la famille qui l'avait soigné étant
enfant
et qui demeurait en face de leur habitation, X...
é, période d'évolution intermédiaire, où, l'adolescent n'étant plus l'
enfant
et pas encore l'adulte, peut être considéré comme
e) Onychophagie et habitudes automatiques, onanisme; etc., chez les
enfants
vicieux ou dégénérés. Par M. le D' Bodrdox, de
suggestion hypnotique comme agent moralisateur et éducateur chez les
enfants
mauvais, impulsifs ou vicieux ; le premier qui ai
ychothérapique de l'onychophagie et des habitudes automatiques chez l'
enfant
, n'était qu'une des multiples applications de cet
r les dispositions nuisibles ou vicieuses qui se manifestent chez les
enfants
, n'aient pas été frappés de la fréquence de l'ony
ressort suffisamment des statistiques du Dr Bérillon portant sur des
enfants
de classes sociales très-différentes. Le continge
Ainsi que l'a dit notre éminent observateur, j'ai constaté que les
enfants
qui s'adonnent aux habitudes automatiques, sont g
re son mouchoir ou se le fourre dans le nez, la nuit surtout. Cette
enfant
est donc une dégénérée, mais sa dégénérescence es
é jadis de la suggestion hypnotique, ne veut pas comprendre que cette
enfant
peut être guérie seulement par ce moyen,* et je m
éjà meilleure, moins rude, elle est souriante et parait contente. L'
enfant
dit qu'elle se trouve mieux, elle ne sent plus sa
e sa maîtresse, non prévenue, a dû le remarquer, a constaté que cette
enfant
qui faisait un peu sa terreur au point de vue de
r, on la laisse courir, vagabonder et. en contact sans doute avec des
enfants
vicieux; puis, la voyant reprendre petit à petit
maîtresse en est très mécontente et ne voudrait pas la garder. Celte
enfant
, dit-elle, n'obtiendra pas son certificat d'étude
nne fin. Je me remets donc courageusement à la besogne. La pauvre
enfant
m'est ramenée la figure ravagée, les yeux presque
u nerveuse et un peu usée ou fatiguée par les grossesses. Le pauvre
enfant
se soumet facilement au traitement. Dès la premiè
alement inconscients, qu'il est de règle dans nos campagnes, quand un
enfant
vient d'échapper à un danger, n'eût-il pas éprouv
éalisaient au plus haut degré la tendance à l'imitation impulsive des
enfants
, chez qui le sens du contrôle n'étant pas tout â
cessent d'être pour elle des mots vides de sens, comme pour d'autres
enfants
de son âge ; ils deviennent des étiquettes bien p
à l'examen : « Vous, c'est do votre faute ! Vous avez trop gorgé vos
enfants
de viande, étant jeunes, et, en général, ils mang
ent, et quand cinq heures sonnent, le chœur, formé en grande partie d'
enfants
, entonne l'hymne traditionnel, que les assistants
rement la Clinique, où elle m'est devenue une aide précieuse pour les
enfants
. Elle s'y rend d'un point extrême de Bordeaux, fa
t Dr Fogt. Statistique des faits psychologiques. La vie psychique des
enfants
. Les fonctions psychiques des animaux. La psych
elle se lève aussitôt au milieu de la nuit et donne une douche à son
enfant
. Une fois même, toujours sur les conseils de so
s certains actes des hystériques. Maladies par imitation chez les
enfants
Coloman Szego de Budapest, ( Iahrbuch für Kindc
1895.) Après une belle introduclion sur la faculté d'imitation des
enfants
et son rôle dans l'éducation, l'auteur appelle l'
faire découvrir aucun fait morbide pour expliquer la toux. On mit les
enfants
à l'hôpital en les isolant l'une de l'autre, et,
res, et ensuite il s'est mis à épeler dans un petit livre destiné aux
enfants
. Aujourd'hui, il est en état de pouvoir épeler
absolument indue, habitude qu'ils imposent à leurs femmes et à leurs
enfants
, qui, en empêchant un repos suffisant, est la vra
ment de la croissance que cette règle du lever matinal exerce sur les
enfants
une influence déplorable. L'idée du Dr Talcott
nstituteur devenu secrétaire d'une école du soir, sœur de six ou sept
enfants
plus jeunes. A la fin de l'année 1891, elle avait
rprenait moi-même au plus haut degré, pleurait et sanglotait comme un
enfant
. Puis je m'attaque à la jambe inerte, qui se met
llieii. {Suite Le traitement psychique de la kleptomanie chez les
enfants
dégénérés Par M. le Docteur Bémllon. ' Ce q
rise l'impulsion klcptomaniaque que l'on observe fréquemment chez les
enfants
dégénérés, c'est l'automatisme et l'inconscience
i président à l'accomplissement de l'acte. Lorsque l'on interroge ces
enfants
sur les motifs qui les ont poussés à accomplir un
nécessaire pour acheter les objets dont il pouvait avoir besoin. Cet
enfant
parut d'abord naccessible au traitement, mais il
s du traitement pédagogique ne s'est pas démenti un seul instant et l'
enfant
a continué à être un des meilleurs élèves de sa c
orps. Pour faire comprendre par quel artifice on arrive à guérir un
enfant
atteint de la manie de voler des pièces de monnai
je vais vous donner un aperçu d'un procédé qui m'a toujours réussi. L'
enfant
étant mis dans un état de suggestibilité suffisan
tte gymnastique mentale exécutée sous l'influence de la suggestion, l'
enfant
est généralement guéri pour toujours de sa mauvai
i pour toujours de sa mauvaise habitude. Un fait à noter, c'est que l'
enfant
guéri par la suggestion hypnotique d'une habitude
aurait été, paraît-il, habituellement bien portant, est mère de cinq
enfants
: trois filles et deux garçons. Une fille et un f
iment néanmoins, la uue et l'ouïe. Examinons-les successivement : L'
enfant
commence par voir, puis il comprend le sens des o
du sens des objets vus. Grâce à lui, par acquisitions successives, l'
enfant
sait, par exemple, ce qu'est un chien, une fourch
térique guéri par la suggestion. On amena à l'hôpital Saint-Olga un
enfant
âgé de douze ans devenu brusquement muet à la sui
chand de vin, il a été effrayé par un « client » en état d'ébriété. L'
enfant
est tombé immédiatement dans le mutisme le plus c
ie a considérablement diminué. L'aphonie disparait petit à petit et l'
enfant
guérit complètement au bout d'un mois de traiteme
raitement. Dietshaja Medezina n° i i896t Terreurs nocturnes chez un
enfant
guéries par la musique. M. Beschinsky a été app
même succès, puis on l'a interrompue brusquement. La nuit suivante, l'
enfant
a eu de la frayeur nocturne mais à un degré moins
s jours, ensuite tous les deux, trois jours, pendant quelque temps. L'
enfant
a complètement guéri ; elle a été revue au bout d
ment par la musique, Pa appliqué à un cas de frayeur nocturne chez un
enfant
, rebelle à tous les autres modes de traitement. L
urne chez un enfant, rebelle à tous les autres modes de traitement. L'
enfant
a parfaitement guéri. (Ejenedeluik, 6 janvier 189
l'inconscient veillait ! Que s'est-il passé au bout des trois mois? L'
enfant
s'était-il fatigué outre mesure ce jour-là? A-t-i
e et a perdu son mari après deux ans de mariage. Elle n'a jamais eu d'
enfants
. Dans une situation de fortune assez belle, elle
nation. FOLKLORE Etres fantastiques et chansons pour endormir les
enfants
Arabes et Berbères Dans la région de Drâ-el-Miz
l-Mizan, département d'Alger, les mères indigènes, afin d'obliger les
enfants
à s'endormir, les menacent de Beauprèlre. Beaup
e familles Arabes pour j eter l'effroi et ramener le]calmc chez leurs
enfants
: L'ogre ; Le nègre (déguisé) ; L'homme au sa
Les mamans arabes ont aussi des chansons qui servent à endormir leurs
enfants
. Voici une berceuse arabe bien connue dans le dép
tement de Constantine : Dieu, ô mon Dieu ! ? celui qui endort les
enfants
, Fais dormir mon fils, ? Dieu le Très Haut!
, Le voisin me l'amène. Mon fils commence à courir. Au milieu des
enfants
, Je demanderai à Dieu De me le conserver avec
Dieu, le Dieu fort et jaloux qui venge l'iniquité des pères « sur les
enfants
jusqu'à la troisième et quatrième génération dans
ce qu'il est. Il faut toujours s'en prendre plus aux parents « qu'aux
enfants
, aux instituteurs qu'aux élèves. » Ne trouvons-
rs qu'il s'agissait d'une topoalgie hystérique. Ils conseillèrent à l'
enfant
de faire une neuvaine à Jésus, à l'occasion de No
re une neuvaine à Jésus, à l'occasion de Noël. En moins de 3 jours, l'
enfant
se leva et fut guérie. On ne peut douter du rôl
n arriéré, indolent et émotif, qui a l'intelligence et les goûts d'un
enfant
. Sa tendance au vol, qui mieux que tout accuse
straire. Il cède simplement à la sollicitation, sans réagir, comme un
enfant
dont le a moi » n'est pas entièrement formé. C'es
fficace à la suggestion. II semble que l'impulsion au vol, chez les
enfants
dégénérés, soit fréquemment liée à un fond, appar
ant l'hypnose, M. Bérillon se propose pour but de développer chez ces
enfants
la pleine conscience des actes et surtout de leur
sister aux impulsions. Voici un procédé recommandé par l'auteur : L'
enfant
étant rais en état de suggestibilité, il le fait
à sa place. » Après quelques séances de cette gymnastique médicale, l'
enfant
serait guéri pour toujours, d'après l'auteur, de
(1) Bérillon : » Le traitement psychique de la kleptomanie cher les
enfants
dégénérés. » Société d'Uypnologie et de Psycholog
llet dernier, sur Y « Onychophagie et habitudes automatiques chez les
enfants
vicieux ou dégénérés o, que je viens de lire dans
suggestion hypnotique comme agent moralisateur et éducateur chez les
enfants
mauvais, impulsifs ou vicieux ; le premier qui ai
chothérapique de l'onychophagie et des habitudes automatiques, chez l'
enfant
, n'était qu'une des multiples applications de cet
, quelque temps auparavant, l'occasion d'observer. Il s'agissait d'un
enfant
paresseux, auquel il avait, avec succès, suggéré
el on peut, à l'aide de la suggestion hypnotique, arriver à guérir un
enfant
de l'habitude dc voler, de mentir, de se livrer à
. Mais les applications pédagogiques, c'est-à-dire s'adres-sant à des
enfants
réfractaires à l'éducation normale, vis-à-vis des
couleur sont plus sensibles à la localisation et à la chaleur que les
enfants
blancs. Les filles de couleur sont moins sensible
. Armaignac, sont généralement des hystériques. Il en est de même des
enfants
, et cela permet de les hypnotiser et de les guéri
e », c'est-à-dire les servantes spécialement chargées de la garde des
enfants
. « vous m'entendez parfaitement, et, pour pro
e, que la présentation se fait bien et que les battement du cœur de l'
enfant
sont normaux. Je reviens à 10 heures, je trouve
n'a pas cessé de crier. Revenu le lendemain à Baudeloque, j'ai vu l'
enfant
pesant 3,800 gr. bien portante, le délivre parfai
ros. Les suites de l'accouchement ont été normales. Elle a nourri son
enfant
. Elle est venue me voir le 22 juillet 1895, m'a
enfant. Elle est venue me voir le 22 juillet 1895, m'apportant son
enfant
qui est en très bon état. Quant à elle, elle se p
isparaître jamais complètement. A vingt ans, elle se marie, elle a un
enfant
, mais celui-ci meurt il y a dix-huit mois et elle
le finit par avouer ce qui se passait en elle : depuis la mort de son
enfant
, elle ne pouvait s'empêcher d'associer le nom de
le qu'il s'agisse d'une idée d'injustice se rapportant à la mort de l'
enfant
et qui se manifeste par les reproches et les inju
, la cause de ce délire, à savoir le sentiment de l'injuste mort de l'
enfant
. Et, en effet, dans des états psychasthéniques co
i-même ses terres, gardant ses troupeaux et vivant seul séparé dc ses
enfants
. Il y a un an, un pasteur suisse, M. Schlacht
mentale aux Etats-Un is. On connaît l'accusation de séquestration d'
enfants
qui a été formulée contre le Pr Catell, de Columb
eproche était d'étudier le développement spontané du langage chez les
enfants
. Cette question est évidemment très intéressante
rédité et le rôle de l'imitation dans le développement psychique de l'
enfant
. Le problème important de la transmission des car
, à créer le centre d'arrêt, le pouvoir d'inhibition grâce auquel les
enfants
vicieux ou atteints d'habitudes automatiques peuv
. Elément psychique dans les maladies (de l'), par Valentin, 306.
Enfants
(maladies par imitation chez les), 214. Enseign
r Ph. Tissié, 129. Etres fantastiques et chansons pour endormir les
enfants
Arabes et Berbères, 283. Evolution de l'idée de
ilité, par Henri Lemesle, 300. Evolution du sens chromatique chez l'
enfant
, 61. Expérience sur les rêves et en particulier
, 65. Jeunes filles à quoi rêvent les), 158. Kleptomanie chez les
enfants
dégénérsé (le traitement psychique de la), par
des fakirs indiens (la), 62. Musique (terreurs nocturnes chez un
enfant
guéries par la), 250. Mutisme d'origine hystériqu
Bérillon, 358. Onanisme invétéré, onychophagie, etc. etc., chez les
enfants
vicieux ou dégénérés, par Bourdon, 134. Paraplé
se de), par J. Delbœuf, (de Liège), 225. Terreurs nocturnes chez un
enfant
guéries par la musique, 250. Théorie histologiq
bien des années le bromure camphre est employé dans le service des
enfants
de Bicêtre'. Les résultats théra- peutiques obt
s de consanguité. Inégalité d'âge de cinq ans. (Père plus âgé). Dix
enfants
: 1° garçon, dix-neuf ans, sain; 2° fille morte e
'intelligence. A la suite des premières convulsions, à sept mois, l'
enfant
, au dire de sa mère, 'aurait conservé un mouvem
u dans les conditions suivantes : A la fête de la place d'Italie, l'
enfant
demandait un sou pour monter sur les chevaux de
ndait un sou pour monter sur les chevaux de bois. Sa mère refuse, l'
enfant
persiste dans sa demande et tout d'un coup tomb
idents scrofuleux; plu- sieurs bronchites légères. Etat actuel. L'
enfant
parait en bonne santé, son attitude est normale
turbulente, taquine et semble aimer à faire de la peine aux autres
enfants
. Sous tous les - autres rapports, les progrès s
ine, c'est Y alcoolisme du père, qui parait s'être traduit chez ses
enfants
, par deux cas de méningite et l'épilepsie de no
nts. -Un frère, quarante-cinq ans, en bonne santé ainsi que ses dix
enfants
qui n'ont pas eu de con- vulsions. Une soetM-,
lsions. Une soetM-, mariée, aeu une fille, laquelle elle-même a une
enfant
: ni les uns, ni les autres n'ont eu de convulsio
âgé). Aucun indice de syphilis ni chez l'un, ni chez l'autre. Deux
enfants
. 1° Notre malade; 2° une fille morte à huit ans
i. Elle ne sait pas exactement àquelle époque elle a senti remuer l'
enfant
; les mouvements étaient modérés. Accouchement
ements étaient modérés. Accouchement à terme, travail assez long, l'
enfant
est venue toute noire, tu la naissance, néanmoi
ns). Accès de cris nuit et jour pendant les premières semaines. L'
enfant
a été nourrie simultanément au sein et au biberon
schromatopsie. Lèvres moyennes. Langue mobile. Amygdales grosses. L'
enfant
respire par la bouche sans que l'examen de la g
vation III. Imbécillité ET épilepsie SYMPTOMATIQUE. Sommaire. Père,
enfant
naturel, aucun accident syphilitique. Céphalalg
re, le 5 octobre 1893. 1893. 6 octobre. Description d'un vertige. L'
enfant
est de- bout. Subitement, sans çri, la tête et
t. Les joues deviennent rou- ges. Au bout d'environ deux minutes, l'
enfant
qui, jusque là, était resté penché en avant, se
ez les garçons et les filles dans nos Comptes rendus du service des
enfants
de Bicêtre.1 PHYSIOLOGIE. Contribution à l'
lacé en un autre milieu, des allées et venues de sa femme et de ses
enfants
qui n'étaient plus avec lui ; il ne s'étonnait
deux mois, avec surdité verbale pure. Le père était, alcoolique, l'
enfant
est intelligent mais nerveux, l'acuité visuelle
des sons est normale, l'orientation des bruits est normale aussi, l'
enfant
va ouvrir quand on sonne, comprend ce clu'il li
s de l'oreille moyenne avec paracousie marquée, surtout à gauche. L'
enfant
est obligé, de faire effort pour entendre et co
e l'anatomie pathologique du système nerveux. O. CROUZON. II. Les
enfants
retardataires ; par le Dr APERT. (Les actualités
eux documents dans les 21 volumes des Comptes rendus du service des
enfants
de Bicêtre. VARIA. T' 69 C'est à cette questi
est pas grave. (Journal d'accouchements du 15 juin 1902.) , 1 ,. j.
Enfants
assassins. Un élève du gymnase de Batoum (Russie)
ajorité. (Indicateur de Cognac, 5 juin 1C03.) A Berlin (Prusse), un
enfant
de cinq ans laissé seul avec sa petite soeur de
couteau. (Le Bonhomme Normand, 28 février 1902.) Bestialité d'un
enfant
. Un gamin de treize ans, Jules Marie dit Cabrio
temps une enquête sur ce fait que,'dans l'espace d'un an, plusieurs
enfants
sont tombés dans l'Elbe et s'y sont noyés. ' El
ces accidents sont dus à la malveillance et que le coupable est un
enfant
de neuf ans, fils d'un balayeur de rues, dans l
le faubourg de Pieschen. ' Il y a trois jours encore, il a poussé l'
enfant
Piestch, de la berge dans l'Elbe. Un garçon de
vic- times, il y a quinze jours. , Dans quatre autres cas, où des
enfants
avaient péri dans l'Elbe, on a établi la présen
ne homme de quinze ans, parce qu'il négligeait un peu ses études. L'
enfant
ne répondit pas et la petite scène fut presque
d elle rentra, le soir, elle le trouva asphyxié dans sa chambre : l'
enfant
, désolé, s'était suicidé. A quinze ans ! (Journ
bservation. Geon. Henriette, âgée de trois mois le 18 avril 1901. L'
enfant
est née à terme, les couches ont été bonnes : l'a
ment du liquide amniotique aurait été médiocre. C'est le septième
enfant
: le premier est un garçon de douze ans bien po
et yeux convulsés. Pendant ces attaques, le visage était noir et l'
enfant
semblait ne pas respirer. Le début des attaques
ladie terminale n'a duré que quatre à cinq jours pendant lesquels l'
enfant
criait constamment. Le cinquième est un garçon
a famille. La mère a remarqué que, dès /'t ! g'6 de quinze jours, l'
enfant
remuait la tête dans le sens horizontal. Ces mo
es mouvements, d'abord peu marqués, se sont exagérés peu à peu. L'
enfant
a été élevée au sein, n'a jamais eu d'indispositi
s orteils Il n'y a pas de troubles apparents de la sensibilité. L'
enfant
voit bien, elle entend bien. Elle ne présente p
modifications appré- ciables de la voix : elle crie comme tous les
enfants
. La tête est bien conformée, les oreilles sont
tête est recouverte de petits cheveux bruns. A l'état de repos, l'
enfant
a la tête agitée d'un petit tremblement à oscil
ves, à direction horizontale. Ce tremblement se manifeste dès que l'
enfant
regarde devant elle, mais, dès quelle tourne la
prend un point d'appui même léger, le tremblement cesse. Lorsque l'
enfant
dort, la tête appuyée, le tremblement cesse enc
e l'enfant dort, la tête appuyée, le tremblement cesse encore. Si l'
enfant
tourne la tête sans prendre de point d'appui, l
on observe des mouvements athétosiques analogues à ceux des autres
enfants
. Mais il n'y a pas de tremblement des membres.
s autres enfants. Mais il n'y a pas de tremblement des membres. L'
enfant
, à ce moment, présente un léger coryza. Antécéd
portante, est morte du choléra à l'âge de quarante ans. Marche. L'
enfant
revue à plusieurs reprises a toujours présenté
il considère comme une névrose fonction- nelle affectant les jeunes
enfants
, et a évolution courte et bien définie : ses sy
Sur l'éliolorlie du spasme nulant avec .\'yslagnxus chez les petits
enfants
. (The Scollish Médical cccul Surgical Journal 190
causal principal est le mauvais éclairage de la pièce où habite l'
enfant
, et la maladie serait due aux efforts continus
axie-abasie ? ) qui a duré un mois, il a pu remarcher à la suite. L'
enfant
toussait et vomissait facilement jusqu'à il y a
n portante : elle a eu une fièvre typhoïde avant la conception de l'
enfant
. Elle était à peine rétablie au moment de la co
avait été faible et très ner- veuse (sans attaques). Etat actuel.
Enfant
d'apparence robuste, est intelligent, répond tr
s et demi, vient consulter le 5 octobre 1901. Est la troisième de 4
enfants
. 1° G..., quatorze ans, rien de particulier. 2°
compagnant pas de fièvre, durant des heures pour cesser subitement.
Enfant
à figure pâle, présentant un dédoublement physi
e nystagmus. 3° Le sujet. 4° Une petite fille de cinq ans. Tous ces
enfants
sont intelligents ; le sujet serait le moins bi
'accouchement s'est fait dans d'excellentes conditions. C'est une
enfant
bien constituée sans tare organique : elle ne p
te pas de troubles de la sensibilité. D'après le dire de la mère, l'
enfant
aurait des mouvements désordonnés dans les bras
normaux. Observation V. Renseignements fournis par le père de deux
enfants
. Le père, M. M..., âgé de trente-deux ans, n'a
oeurs également bien constituées, mais un cousin germain des deux
enfants
aurait quelque chose dans le regard (Obs. IX). Le
te. ' Du côté latewzel Un frère du père est bien portant et a des
enfants
qui sont normaux. Une soeur est également bien po
an-Marie M..., a eu cinq ans au mois de mai 1901. Il est le premier
enfant
. La grossesse a été normale, l'accouche- ment a
ux ans déjà. Ne sait pas.lii-e encore. Il est gai et joue bien. Cet
enfant
a eu, en 1900, des fièvres intermittentes, accom-
de tremblements généralisés qui ont cédé facilement à la quinine. L'
enfant
est bien conformé, a une bonne dentition. Les o
formé, a une bonne dentition. Les organes n'ont pu être examinés, l'
enfant
ayant refusé de se laisser déshabiller. Il prés
uze mois environ. A parlé à peu près à la même époque. Un troisième
enfant
est mort à l'âge de vingt jours. Le père ne sai
z Yves M... le nystagmus a toujours existé. Etat actuel. C'est un
enfant
à gros ventre, à jambes arquées en dehors. Il n
veau des incisives supérieures sont écartées les unes des autres. L'
enfant
ne présente aucun signe anormal au coeur ni aux
VII. François Le Br..., trente-trois ans, oncle mater- nel des deux
enfants
précédents. A été réformé du service militaire
ui a toujours existé) plus irrégulier et moins évident que chez les
enfants
NI... Stra- bisme alternant convergent. Fond d'
uis François, âgé de dix ans, cousin ger- main par la mère des deux
enfants
qui font le sujet des observa- ARCHIVES, 2 séri
. Les parents sont bien portants et n'ont pas dé tare nerveuse. L'
enfant
vit à la campagne, à Pedan-Trahon (Kersaint-Plabe
parents des sujets des observations V et VI qui vivent loin de cet
enfant
et qui ont remar- qué l'étrangeté de son regard
e son regard par analogie avec ce qu'ils avaient observé chez leurs
enfants
. Du reste, le nystagmus est à peine esquissé da
issé dans le cas présent ; mais le tableau est le même que chez les
enfants
M... et de plus il y a du strabisme comme chez
e bien. On entend quelques râles de bronchite dans la poitrine de l'
enfant
qui vient d'être souffrant. Il n'y a pas d'as
te : ce signe est surtout sensible quand on percute les réflexes, l'
enfant
étant assis sur le bord d'une table. Avec de la
ments de trépidation épileptoïde très nette. Signes cérébraux. L'
enfant
s'est bien élevé, est venu au monde facilement,
eu un fils maintenant mort dont les yeux tremblaient.; la fille a 3
enfants
dont l'aînée tremble des yeux depuis la naissance
le la nature. " J. Ch..., quarante ans, sommelier, est le troisième
enfant
d'une nombreuse famille. Trois de ses frères so
cipes d'une ardente piété ; elle perdit sa mère lorsqu'elle était
enfant
. « Ma mère, écrit-elle, était très vertueuse ;
lles elle est dangereuse pour elle-même et pour les autres. Trois
enfants
bien portants. Pas de fausse couche. Bien réglée.
brale. Les attaques ont commencé après la naissance de son second
enfant
, il y a sept ans, elles ont été d'abord légères.
traitement anti-syphi- litique, souvent longtemps continué chez les
enfants
atteints de syphilis héréditaire : la mère, en
réditaire : la mère, en ellet, demande promptement conseil pour son
enfant
et lui administre les préparations mer- curiell
station après lui avoir fait avouer qu'elle avait tué elle-même son
enfant
. Ce crime doit être attribué à l'alcoolisme. (L
ne Martin, femme Fournier, demeurant au Marais, qui martyrisait son
enfant
âgé de dix ans. La mère est une alcoolique invé
gé de dix ans. La mère est une alcoolique invétérée qui privait son
enfant
et la rouait de coups. Il a été établi que le pet
se pencha au bord du fleuve pour lui plonger la tète sous l'eau. L'
enfant
réussit heureusement à se sauver; quant à la mère
un asile d'aliénés. M"10 Wodicka était venue, accom- pagnée de son
enfant
, à l'asile de Sternberg, pour y voir son mari a
s l'accident. Observation II. Joseph V..., âgé de deux ans et demi,
enfant
délicat, issu de père alcoolique, de mère névro
es ou soeurs morts en bas âge d'affections indéterminées. Aucun des
enfants
, morts ou encore vivants, n'aurait eu de convul
plus simples, les plus dédaignés jadis : les premiers dessins d'un
enfant
, ses pre- miers mots, ses gestes, ses jeux, tou
pte pas cette idée, l'état mental du tiqueur ne rappelle celui de l'
enfant
que par certains côtés; c'est z en réalité l'ét
s interventions corticales. Comme elle appartient normalement à l'
enfant
, sa persistance, malgré les progrès de l'âge, est
entif, s'il a les impatiences, les rires et les pleurs fugaces d'un
enfant
, et surtout s'il a toujours été ainsi, il est lég
a conservé une partie des attributs qui appartiennent à celui de l'
enfant
. La constatation de l'état mental infantile des
, « les tics appa- raissent à tout âge excepté chez les très jeunes
enfants
». Cette proposition est rigoureusement exacte.
e ces deux modes de réaction sont connus. Il arrive souvent que des
enfants
liqueurs, conduits chez le médecin, restent, ta
écorce du cerveau. M. Brissaud. Toute mauvaise habitude est, chez l'
enfant
, le point de départ de nouvelles mauvaises habi
e observation de tic associé à une démence précoce. Il s'agit d'une
enfant
, qui paraissait normale, fut vaccinée à quelque
s mois. L'éruption vaccinale ne se montra pas, mais pendant un an l'
enfant
fut atteinte d'une affection cuta- née générale
r du ridicule la harcèle sans cesse ; les repas quotidiens avec ses
enfants
et son mari seuls deviennent eux- mêmes impossi
odique, infantile. Parmi ces observations deux sont relatives à des
enfants
de dix à douze ans, la troisième est celle d'un
de fardeau, d'un homme ou d'une femme, vierge, mariée, avec ou sans
enfants
. Les voleurs sont amputés de l'avant-bras ou de
Pseudo-coxalgie suggérée par le milieu familial. M. Paul FANEZ. Un
enfant
de quatre ans va faire une longue promenade ave
qu'il s'agisse d'une coxalgie. La nuit se passe. Le lende- main, l'
enfant
est incapable de faire aucun mouvement dans son
oncerne la sensibilité et la motricité. Il me suffit de distraire l'
enfant
, de capter son attention, de lui raconter une h
souvent, au point de vue suggestif, une influence néfaste sur leurs
enfants
; ils manquent de calme et d'empire sur eux- mê
culier celle du père et de la mère ; à cette condition seulement, l'
enfant
peut être amélioré ou guéri. Recherches sur la
res doubles. M. Bellemanière. Diverses formes de l'attention chez l'
enfant
. M. Lepinay. L'hypnotisme chez le cheval. M.
it perdu la raison à la suite d'un accident dans lequel un de ses
enfants
, âgé de quatre ans, avait été écrasé par une char
Elle est morte ainsi qu'une de ses fillettes; son mari et un autre
enfant
sont dans un état désespéré; on conserve quelque
st jeté sur sa femme, qui se trouvait près du berceau de leur jeune
enfant
, âgé de trois mois. Après avoir assommé la malh
ovenaient du logement des époux Minotier. En même temps, l'ainé des
enfants
sortait, en disant : Je crois que papa vient de
non presque identiques, chez l'homme et chez la femme, comme chez l'
enfant
, l'adulte et le vieillard. 50 Cette variété de
le incontestable. Aussi le sujet passif est-il le plus sou- vent un
enfant
, un faible d'esprit, un domestique ou un vieill
paraît avoir été, au temps jadis, la plus gracieuse, fut élevée en
enfant
gâtée. Ses parents l'emmenèrent avec eux, lors de
ant habite l'Amérique, l'autre a disparu. Le malade n'a jamais eu d'
enfants
. Né à terme, G... n'aurait jamais fait de malad
mways départementaux, s'est noyée dans la - Tille avec trois de ses
enfants
, un de cinq mois, les autres de quatre et deux
Régnier, en rentrant chez lui, surpris de ne trouver que ses trois
enfants
aînés, se mita la recherche de sa femme, dont le
a recherche de sa femme, dont le cadavre et ceux de ses plus jeunes
enfants
ne lardèrent pas à être retirés de la rivière.'
s, d'où avantage pour les finances de l'asile. Dans notre service d'
enfants
de Bicêtre (et nous agissions de même quand nou
aux épileptiques aliénés et aux idiots. Assistance et éducation des
enfants
anormaux, par le Dr Lariuvé. Une question non m
'hospitalisation des aliénés, c'est l'Assistance et l'éducation des
enfants
anormaux. A part l'oeuvre du Dr Bourneville à laq
Deux conseils généraux, un conseil municipal nous ont envoyé des
enfants
, leurs pupilles; plusieurs familles nous ont-hono
es sciences, apportent un appui important à la créa- tion, pour les
enfants
idiots et épileptiques, d'asiles-écoles inter-
'y a pas de département qui n'ait malheureusement au moins 3 ou 400
enfants
idiots de toute catégorie et épileptiques. Les
te sur la possibilité d'améliorer, de guérir même un grand nombre d'
enfants
idiots, imbéciles, arriérés, instables, pervers
un certain nombre de photographies, prises de deux en deux ans, d'
enfants
idiots complets qui ont subi une transformation r
quelques traits de dessin et y apporte un certain goût. En résumé l'
enfant
se rapproche de plus en plus de l'état normal (
(4 photographies = 1897-1900). Gtidef... (Adélaïde), huit ans. Cet
enfant
, à l'entrée, était gâteux, ne marchait pas ; ne
ononçait aucun mot. Aujourd'hui, le gâtisme a totalement disparu. L'
enfant
marche seul. Enfin il pro- nonce tous les mots
vous monlrent que nous avons choisi, pour noire démonstration, les
enfants
les plus malades. Si de tels enfant-, comme vou
tater vous-mêmes sont améliorables, à plus forte raison le sont les
enfants
imbéciles ou simplement ariérés. La loi sur l
p de médecins, peu au courant des maladies nerveuses chroniques des
enfants
, sont fort embarrassés en face de tels cas : ne
nt 3 6bserv. d'atrophie du cervelet. Dans la 1 ? il s'agissait d'un
enfant
qui avait présenté 358 SOCIÉTÉS SAVANTES. le
huit ans, hémiplégique et aphasique depuis six années. Elle a eu 13
enfants
, tous, sauf un peut-être, plus ou moins nerveux e
ne altération du sys- tème pyramidal, soit, ainsi que chez le jeune
enfant
, d'une dispo- sition fonctionnelle toute physio
lis dans le développement de la sclérose en plaques chez les jeunes
enfants
. De la sortie refusée des aliénés, par Biaute.
sy, s'est pendu dans sa grange. Ce malheu- reux homme, père de cinq
enfants
, était depuis près d'un mois en proie à des tro
tteinte de maladie noire. L'autre jour, elle sortit avec ses quatre
enfants
et en jeta trois dans la rivière. L'aînée, une
e de Vitteaux vient d'arrêter un gamin de dix ans, Alexandre Eorey,
enfant
des hotpices de Dijon, domestique à Mas- singy,
: J... R..., trente-sept ans, mariée. Quatre gros- sesses. Dernier
enfant
âgé de huit ans. Caractère émotif, très im- pre
refuse toute nourriture, manifeste plus de craintes encore pour ses
enfants
que pour elle- même, et finit par attirer ceux-
e n'ai jamais tué, ni volé, ni assassiné, comme on le croit, ni mes
enfants
non plus, . les pauvres petits, n'ont jamais co
e la compromettre ou porter préjudice à sa famille et surtout à ses
enfants
. Lorsque nous lui demandons de s'occuper un peu
les crimes les plus abominables, elle affirme l'innocence de ses
enfants
et déclare que si elle est elle-même coupable, co
le droit de lui en parler devant témoins (elle appelle témoins des
enfants
destinés à partir sous peu et la sous-surveillant
Elevée dans un tel milieu, Eulalie-IIortense ne pouvait être qu'une
enfant
précoce, mais sa précocité fut effective, car ell
néantir. » « Cela n'est pas possible, » répondit-il. - « Mon pauvre
enfant
, tu n'es pas inspiré; tu ne comprends rien. » E
OYER Voici une nouvelle observation relative au mensonge chez les
enfants
atteints d'idiotie morale qui complète, à divers
uxembourgeoise). Inégalité d'âge de six ans (père plus âgé). Deux
enfants
: 1° Notre malade. 2° Garçon, mort à vingt mois :
u normale. , A la naissance rien de particulier : pas d'asphyxie, l'
enfant
a crié aussitôt ; était mince et petite. Elevée
sans aucune complication. Le père aurait cepen- dant remarqué que l'
enfant
marchait ensuite « courbée en dehors, et le pie
taient longues à guérir ; enge- lures depuis son plus jeune âge ; l'
enfant
a été souvent battue, mais les sévices n'ont ja
iter sa fille par le docteur D. ; l'examen médi- cal constate que l'
enfant
est intacte. A la suite de ces faits, Albertine
jambes enlacées ; lui permettant même des caresses dangereuses. Cet
enfant
, qui était éga- lement un idiot moral, est deve
chambre, ne se gêne pas assez devant sa fille; ensuite parce que l'
enfant
voit ou apprend dans les ateliers, où elle entend
, le danger qu'il y a d'accepter trop à la lettre un témoignage d'
enfant
? Car enfin que serait-il arrivé si Albertine, da
RIA. 461 créer dans les colonies familiales un asile-école pour les
enfants
idiots et imbéciles; 3° D'augmenter le nombre d
notre Compte-rendu de Bicêtre, nous énumérons les fêtes données aux
enfants
de notre service (matinées dra- matiques, conce
Lutier, âgée de douze ans. La supérieure se pencha sur le lit de l'
enfant
. Elle put constater que celle-ci était morte. E
à l'hôpital de la veuve Buffeteau, était amenée la petite Lutier L'
enfant
était complètement infirme. Elle n'avait pas mê
donner une nouvelle preuve que je suis réellement bien moi. » Un
enfant
de douze ans, atteint d'obsession à forme cons-
t en arrière de son précep- teur, celui-ci le rappelait vers lui. L'
enfant
accourait aussi- tôt ; et après l'avoir rejoint
ie verbale', de l'alaxie, de l'évanouissement, de la grossesse, des
enfants
monstres, etc. ; l'obsession des objets pointus
e les professions de verrier ou de journalier. Marié, père de trois
enfants
. Les recherches sur ses antécédents héréditaire
se met tout à coup à pleurer en demandant à retourner auprès de ses
enfants
; mais il s'apaise facilement et se met à rire s
aussi dans les régions profondes de la cellule, si bien que chez l'
enfant
nouveau-né cette cellule présente une grande re
DE PATHOLOGIE MENTALE. X. Introduction à l'étude psychologique des
enfants
arriérés ; par 1'illiam 13. Noyés. (I'he New Yo
c Médical Journal. 22 juin 1901.) Pour étudier convenablement les
enfants
arriérés ou présentant une défectuosité mentale
de vue du psychologue, de l'éducateur et du médecin : l'étude de l'
enfant
normal ou anormal appartient également à ces tr
é les systèmes d'éducation n'ont pas tenu suffisam- ment compte des
enfants
à intelligence défectueuse ou simplement faible
pelle la classification de Binet relative à la sugges- Libilité des
enfants
dans les écoles : cet auteur les divise en quatre
s dans les écoles : cet auteur les divise en quatre catégories : 1°
enfants
plus ou moins automatiques, obéisssant passivem
plus ou moins automatiques, obéisssant passivement 'au maître ; 2°
enfants
sensibles, dont on obtient l'obéissance en fais
sant appel à leur nature impressionnable, et à leurs affections; 3°
enfants
t esprit actif et brillant, ayant une REVUE DE
rtout bien ce qu'on leur a dit qu'il ? ne pourraient pas faire ; 4°
enfants
obstinés rebelles à toute suggestion, ou incapa
au- coup de névropathes et de dégénérés; on y rencontre aussi des
enfants
moralement pervers qui peuvent devenir intéressan
intéressants au point de vue de la criminologie : elle renferme les
enfants
arriérés, les faibles d'esprit et ceux dont la
férents types qui la composent. En effet, cette classe comporte des
enfants
névropathes, qui, au premier abord, paraissent
on en trouve des exemples dans les familles, dans les écoles où ces
enfants
sont qualifiés d'arriérés ou d'inin- telligents
Dans des cas de ce genre, il faut cesser de considérer les mots «
enfant
arriéré ou à intelligence défectueuse » comme con
hérédité. 11 convient d'examiner d'abord les facultés mentales de l'
enfant
, en se déga- geant temporairement de toute préo
ion non seulement admissible, mais nécessaire. ' Dans l'étude des
enfants
de mentalité défectueuse, on doit dis- tinguer
diots que par suite de l'absence de certains sens spéciaux ; 2° les
enfants
qui, possédant tous les sens spéciaux et étant
ou intérieure, on a l'idiotie complète avec ses types divers. Les
enfants
chez qui le pouvoir d'attention fait absolument d
ce principe que reposent la plupart des mé- thodes d'éducation des
enfants
arriérés ou idiots. Le plus souvent malheureuse
ode défectueuse d'utilisation de son esprit, vient s'ajouter chez l'
enfant
une faiblesse mentale qui l'em- pèche de dirige
rée : d'où une fâcheuse complication du problème. Beau- coup de ces
enfants
sont, à la lettre, « nés fatigués » et leur fat
on, d'ailleurs, peuvent être observés, et en fait, il n'y a guère d'
enfant
normal qui ne soit pas souvent inattentif. Seul
par de faciles artifices ? le maître ramène à lui l'attention de l'
enfant
normal, tandis qu'il en est tout autrement à l'
être instantané ou pro- gressif. Exemple : les accès de fureur des
enfants
, communs surtout chez ceux qui ont des tendance
uement anéantie par les caprices de l'hystérie, qu'il s'agisse d'un
enfant
ou d'un adulte; f) enfin, la volonté peut être
e connaissance semblent plutôt liées aux fonctions sensorielles. Un
enfant
peut avoir une perception, une attention et une
és de l'éducation des faibles d'esprit reconnaîtront que beaucoup d'
enfants
à demi-idiots ou imbéciles, alors même qu'ils o
nt parvenus est néanmoins fort élevée. 11 y a encore des cas où l'
enfant
possédant toutes les facultés dont il a été que
e portant uniformément sur toutes les facultés en même temps. Les
enfants
de cette catégorie, tout en possédant leurs sens
t la douleur, celle-ci pour la sensibilité géni- tale. - XXVI. Un
enfant
d'idiote ; par le Dr LEx (Biill. (le la Soc. ment
ll. (le la Soc. ment. de Belgique, décembre 1901). Il s'agit d'un
enfant
de dix ans, issu d'une mère idiote violée dans
la graisse à voitures. Placé à l'école d'enseignement spécial, cet
enfant
qui jusque-là n'avait rien appris et n'était bo
aussi que le pre- mier diagnostic qu'on pose sur l'état mental d'un
enfant
est sou- vent trompeur et que ce n'est qu'après
dans celle de son père il y avait une prédisposition à la folie. L'
enfant
ne parla qu'à deux ans et demi et montra de bon
normal ; la guérison paraissait donc de nouveau obtenue, lorsque l'
enfant
mourut subitement par asphyxie d'origine bulbai
tement oblitérées au niveau de leur origine. M.IIUET présente une
enfant
atteinte de mal de Pott lombaire s iiiiii- lai2
do-bulbaire. MM. HUET et SICARD rapportent l'observation d'un jeune
enfant
de six ans, atteint, au cours d'une méningite c
rticale. Il s'agit donc de troubles pseudo-bulbaires acquis chez un
enfant
, et l'on connaît la rareté de telles observa- S
r lui. C'est là un assassinat que le maire aurait pu éviter. Cinq
enfants
étranglés. Drame de la folie.- Un maître d'école
e idée d'ivrogne lui passant par la cervelle, avait forcé le pauvre
enfant
à boire deux grands verres d'absinthe ! FAITS D
e deux grands verres d'absinthe ! FAITS DIVERS. 545 La garde de l'
enfant
va être retirée à cette mère indigne. Quant au
é des faits concernant des parents faisant boire de l'absinthe à un
enfant
à la mamelle, du vin en abondance à un enfant d
de l'absinthe à un enfant à la mamelle, du vin en abondance à un
enfant
de deux ou trois ans. Il faut appliquer rigoureus
euf. L'intérêt de cette coutume est. d'éloigner cette parcelle de l'
enfant
des esprits qui flottent dans l'air, car s'il s
l'enfant des esprits qui flottent dans l'air, car s'il s'égarait, l'
enfant
deviendrait idiot; si, au contraire, le boeuf l
l'enfant deviendrait idiot; si, au contraire, le boeuf le mange, l'
enfant
deviendra riche et possédera beaucoup de boeufs
ance des idiots. Un imbécile incendiaire, 302. - et éducation des
enfants
anormaux. par Dou- trebente, 340. Asynergie c
' chez quelques vertébrés - nouveaux-nés, par Sotikhanoll, 438.
Enfants
retal'(]1t;tileS. Voir En- fciiice et voir Alco
niques, par A. Paris, 401. Idiots. Hospitalisation des -, 74. Un
enfant
d ? par Ley, 521. Idiotie syphilitique, par Mar
solution eût été différente pour un artisan. M. Jules Voisin. — Les
enfants
de syphilitiques guéris peuvent longtemps paraîtr
le livre occulte du Destin. — Je donnerais tout au monde pour qu'un
enfant
mâle naisse de celle que j'aime. — Un signe dan
insi les épouses superstitieuses espèrent obtenir, comme ta Rajput, l'
enfant
qui tarde à gonfler leurs entrailles. Que le Faki
la bibliothèque des méthodes scientifiques, M. Quinque, professeur d'
enfants
arriérés. La médecine vétérinaire était représent
aussi de surveillance. Il s'en irrite et s'en détache davantage. Les
enfants
, car il en a, nerveux de par cette hérédité toxiq
e laquelle la conscience de soi ne saurait se manifester. En effet, l'
enfant
n'apprend que par l'intermédiaire de toute une sé
es impressions organiques intérieures éprouvées dans le même temps. L'
enfant
peut, par exemple, commencer à avoir la conceptio
urage, toutes choses qui concourent à faire naître dans l'esprit de l'
enfant
un sentiment de personnalité distincte, de consci
e la tuberculose au point de vue bactériologique? Soit; en tout cas l'
enfant
de parents tuberculeux nait tuberculisable, avec
la parole, Par le docteur Chekvix. I section du filet chez les
enfants
M. Paul Sébillot (*) affirme que l'usage de cou
par tous, que si Ton omettait de couper le frein aux nouveaux-nés, l'
enfant
serait muet. .* Dans le Poitou, suivant M. De
uveaux-nés, dès leur naissance, parce qu'on croit qu'il empêcherait l'
enfant
de téter et plus tard de parler. M. le Docteur
frein ne gène ni la succion chez le nouveau-né ni la phonation chez l'
enfant
. Il s'agit d'un membre de sa famille qui, élevé a
me, qui est aussi le jour ou le lendemain de leur naissance, tous les
enfants
sont présentés à une commère pour l'excision du f
ce mot désigne le frein de la langue: ils font couper le fil à leurs
enfants
. Pour les autres, ce mot s'applique aux douleurs
he-en-Brionnais(S.-et-Loire),a dit à M. Hippolyte Marlot que, sur 100
enfants
qu'elle mettait au monde, elle faisait environ 15
universellement répandue en Bulgarie chez les nouveaux-nés, chez les
enfants
et même chez des adultes. Dès qu'un enfant vien
nouveaux-nés, chez les enfants et même chez des adultes. Dès qu'un
enfant
vient au monde, les matrones ont soin d'examiner
a parole future. A Krouchovo (Vilayet de Monastir, Macédoine^, si l'
enfant
pleure trop, la matrone examine avant tout sa lan
pleurs, l'opération est faite. L'opération a lieu également lorsque l'
enfant
tette mal. Dans la Bulgarie centrale, d'après l
bulgare bien connu, M. Tsani Guintcheff, l'opération n'alieu que si l'
enfant
tette mal. On s'abstient alors même qu'il serait
tres opérations délicates, entre autres pour les organes génitaux des
enfants
, surtout du sexe féminin. L'opération est faite
erre dure. A Grabovo, c'est le barbier qui fait l'opération sur les
enfants
et il se sert naturellement de son rasoir. A Pr
oulu répondre à mon questionnaire, on coupe le frein de la langue aux
enfants
qui ne peuvent téter, qui le font avec difficulté
ne laissant que le bout à découvert. • Swicteck dit ('} que si un
enfant
est venu au monde avec un frein développé, on le
est d'usage, dans les villages, que les matrones coupent le filet aux
enfants
qui tettent mal. M. Corrado Avolio, de Xoto (Si
n sans nécessité c'est offenser saint Paul, lequel a voulu donner à l'
enfant
une marque de sa bonté, en lui plaçant sous la la
p de femmes demanderont compte plus tard de cette opération, si leurs
enfants
n'ont pas la langue libre ou s'ils bégayent, «
is par le médecin chargé de constater la naissance ; on prétend que l'
enfant
serait bègue si on ne faisait pas cette opération
populaires, et cette opération se fait au moment de la naissance de l'
enfant
. Cortese, écrivain napolitain du ??G siècle, parl
t de l'index. Il existe de nombreuses phrases, qu'on fait réciter aux
enfants
pour juger de leur CHRONIQUE ET CORRESPONDANC
ecteur et protégé du clergé, Hugo Capetus eut d'une femme inconnue un
enfant
nommé Gauzlin. Ce Gauzlin fut mis tout jeune au m
it, le quatrième Karl mourut à quelques mois. En résumé, sur les 11
enfants
que Karl le Chauve eut de ses deux femmes, nous r
ne, qui fit bâtir le monastère de Saint-Frambault de Senlis. un autre
enfant
, Robert II dit le Pieux. Ce Robert, que le pape o
ulouse IV, qui fit une donation à l'abbaye de Conches, et mourut sans
enfants
bienque marié, et Guillaume de Toulouse I". qui s
e la Merci, et Marie-Louise de Rohan, morte à. 34 ans, mariée et sans
enfants
. Je pourrais multiplier ces exemples. Discuss
res qu'à ce seul souvenir la malade ne peut retenir ses larmes. Cette
enfant
s'est jetée à l'eau et elle a accusé sa belle-mèr
a rendre douteuse (') ». De sa femme Bertrade, qui consentit avec ses
enfants
à sa donation de 1053, il eut deux garçons, dont
re-Dame de Noyon-sur-Andèle, mourut d'apoplexie le 18 avril 1118 sans
enfants
quoique marié, et fut enterré dans l'abbaye de Fo
rise d'habit, le moulin de Grotel, par une charte que sa femme et ses
enfants
Miles I" et Guy posèrent sur l'autel. Il eut troi
t trois garçons et cinq filles, parmi lesquels : Guillaume, mort sans
enfants
; Miles I" dit le Grand, qui restitua à l'église e
'habit de bénédictin dans la congrégation de Cluny, où il mourut sans
enfants
bien qu'ayant été marié ; Guy II, mort sans enfan
où il mourut sans enfants bien qu'ayant été marié ; Guy II, mort sans
enfants
en 1111 ou Il 12; et N. de Montlehery-Rochefort,
t Be.; in ml faveur de l'abbaye de St-Denis en 1066, et mourut sans
enfants
, et Yves IL Yves de Beaumont II fonda en 1080,
e malade de son hyperesthésie et de sa contracture. D'un pas ferme, l'
enfant
retourna chez ses parents et put reprendre ses ét
es avaient pour le beurre et le fromage une telle antipathie, que les
enfants
, engagés par des caresses à surmonter leur répugn
donna à l'église de Ste-Gertrude de Nivelle pour lui, sa femme et ses
enfants
, douze manses (3) ou censes {*) sises à Villiers
voyage en Terre-Sainte, vendit, du consentement de sa femme et de ses
enfants
, à Olbert. évéque de Liège, son château de Cowin.
hen au diocèse de Cambray pour des bénédictins, se maria, n'eut pas d'
enfants
, fut tué en 1095, et enterré dans l'église de Ste
bert de Louvain contre Baudry de Los, évoque de Liège, et mourut sans
enfants
, et Albert L Albert de Namur I eut quatre filles
amur où il élut sa sépulture, et fut tué en 1037. Il eut entre autres
enfants
: Henry, vivant en 1071, qui signa la charte d'un
d'Andenne a l'abbaye de ce nom, alla en Terre-Sainte, et mourut sans
enfants
quoique marié; et Godefroy. Godefroy de Namur f
ort jeune, Godefroy, mort à seize ans, le G avril 1159, marié et sans
enfants
, enterré dans l'église de Ste-Wautrude ; Agnès, d
ert de France I ['), qui, de Constance de Provence, eut. entre autres
enfants
, Robert de France-Bourgogne I. Robert de France
: Hugues qui fut promis à l'ordre sacerdotal, se maria, n'eut point d'
enfants
, alla guerroyer en Espagne contre les Maures, se
à t'état de veille », comme il m arrive souvent de le faire avec les
enfants
, étant donné qu'ils sont très suggestives. Aprè
ue, je commençai devant ses parents étonnés, à parler gravement à cet
enfant
, (non moins étonné et qui, attentif, les yeux gra
ravité, la même conviction, les mêmes suggestions, après lesquelles l'
enfant
, manifestement impressionné et après m'avoir écou
ents m'apprirent avec joie que la semence avait fructifié et que leur
enfant
n'était plus le même, qu'il était devenu attentif
bons, avec félicitations de ses maîtres étonnés de ce changement L'
enfant
était convaincu que je l'avais endormi, il le sou
rne d'urine guérie par suggestion pendant le sommeil naturel chez une
enfant
de vingt-six mois. par M. le docteur Paul Farez
ble intérêt en ce qui concerne l'étiologie et la thérapeutique. Une
enfant
, venue à terme, nourrie au sein, se développe nor
r la psychothérapie. Bien entendu, je ne songe pas à hypnotiser cette
enfant
; elle est beaucoup trop jeune pour qu'on y réussi
précédé la suggestion.... » De plus, on ne doit pas ignorer que les
enfants
, en général, sont éminemment suggestibles et extr
ompre le traitement. Reste à savoir si le succès sera durable. Or l'
enfant
se remet à uriner au lit, tantôt plusieurs nuits
iens à dépister la cause de cette incontinence intermittente. Cette
enfant
reçoit, malgré mes prescriptions, une nourriture
aucune selle dans la journée, elle administre un lavement froid à son
enfant
, quelques instants avant de la mettre au lit. Or
létion vésicale; et la vessie, distendue, se vide spontanément, car l'
enfant
dort d'un sommeil trop profond pour être capable
raît. Mais, bientôt, la maman se désole à la pensée que peut-être son
enfant
va s'habituer aux lavements et n'aura plus jamais
ai aussi longtemps qu'il le faudra. J'obtiens très facilement que l'
enfant
dorme moins profondément, qu'elle prenne conscien
est obtenu. Au lieu d'appeler sa mère pour exonérer sa vessie, cette
enfant
fait, tout en dormant, des efforts efficaces pour
r toute la nuit et à ne demander le vase qu'à l'heure du lever. Cette
enfant
a maintenant plus de trois ans et, depuis mon tra
t, une fois l'acte accompli, elle se rendort facilement. Chez cette
enfant
comme chez la plupart des incontinents, la guéris
ds-moi. N'est-ce pas que tu appelleras ta maman ?» — « Oui ! », dit l'
enfant
, en se retournant dans son lit, sans toutefois se
parle ! Qu'est-ce que tu lui diras ?» — « Maman, pipi ! » articule l'
enfant
, toujours sans se réveiller. — a Tu me le promets
efusent formellement l'hypnotisation proprement dite ; 2° Lorsque l'
enfant
, pathologiquement distrait, s'est montré, après p
plusieurs tentatives, réfractaire à l'hypnotisation ; 3° Lorsque l'
enfant
est beaucoup trop jeune pour que l'hypnotisation
voit que, grâce à la suggestion pendant le sommeil naturel, même les
enfants
en bas âge peuvent bénéficier de la psychothérapi
e qui puisse entraver la croissance et le développement régulier de l'
enfant
. A cet égard, les éleveurs de chevaux se montrent
rop surchargés imposent aux professeurs l'obligation de soumettre les
enfants
à un labeur mental excessif. La préoccupation de
n labeur mental excessif. La préoccupation de meubler le cerveau de l'
enfant
de connaissances dont il ne tirera aucun parti da
sa dextérité manuelle et son développement moral. On apprend tout à l'
enfant
, sauf à faire preuve de jugement, à manifester de
acances » qui n'ont pas d'autre effet que de contrarier le repos de l'
enfant
sans aucune utilité pour son instruction. Il n'
t sans aucune utilité pour son instruction. Il n'est pas rare qu'un
enfant
de dix à douze ans, après avoir été enfermé sans
l'accomplissement d'importantes réformes. En prenant la défense de l'
enfant
s'étiolant dans des écoles sans air et pâlissant
de Bourgogne I, qui, d'Eliennette de Barcelone ('), eut entre autres
enfants
Etienne. Etienne de Bourgogne ratifia en 1096,
urgogne ratifia en 1096, en présence de Guillaume IV et de Renaud ses
enfants
, ce que son père avait donné dans Lons-le-Saulnie
c'est qu'il ne bégayera pas lorsqu'il parlera seul dans sa chambreun
enfant
bègue parle nettement lorsqu'il joue avec le chie
Le 3 avril 1900, se présentait à ma consultation à l'Hôtel-Dieu un
enfant
de 12 ans conduit par une voisine. Il venait cons
ce de renseignements sur les antécédents familiaux et personnels de l'
enfant
, je cherchai si je n'étais pas en présence d'un b
rnée. J'ordonnai, dans l'expectative, du sirop de Gibert et dis à l'
enfant
de revenir au bout de quelque temps avec sa mère.
s'était beaucoup amélioré et il ne subsistait qu'un léger ptosis. L'
enfant
, âgé de 12 ans, est le second de quatre enfants t
u'un léger ptosis. L'enfant, âgé de 12 ans, est le second de quatre
enfants
tous vivants. Le père est mort tuberculeux prob
nfants tous vivants. Le père est mort tuberculeux probablement. L'
enfant
a eu la rougeole à 6 ans. Il est d'un caractère n
is est la contradiction totale avec son état réel. En avril 1898, l'
enfant
s'était réveillé un matin sans pouvoir ouvrir l'œ
je fis cesser tout traitement et conseillai à la mère de me ramener l'
enfant
dès que le ptosis serait complètement guéri. Le
sur l'œil gauche. J'ordonne un collyre à la cocaïne et j'avertis l'
enfant
que ces gouttes lui agrandiront les prunelles et
ramener la vue du côté gauche ». Quatre jours après, le 25 juin, l'
enfant
m"est ramené. Le champ visuel de l'œil droit est
= 1. Depuis cette époque, l'acuité visuelle et le champ visuel de l'
enfant
revu dernièrement n'ont pas changé. On peut donc
de veille doit être, à notre avis, le procédé de choix surtout chez l'
enfant
, conservant l'hypnotisa-tion aux sujets plus âgés
observer en octobre dernier, deux cas d'amblyopie hystérique chez des
enfants
de 11 et 12 ans, tous deux nerveux et présentant
s sur de nombreux écoliers, en dehors des cas signalés ci-dessus. L'
enfant
est en général éminemment suggestible, surtout l'
i-dessus. L'enfant est en général éminemment suggestible, surtout l'
enfant
malade ou porteur d'une tare héréditaire ou nerve
rs le jeudi, 7 janvier, à 10 heures. Sujet du cours : l'Education des
enfants
assistés. Ce cours s'adresse aux médecins et aux
fants assistés. Ce cours s'adresse aux médecins et aux instituteurs d'
enfants
arriérés. Ouvrages déposés a la Revue Bérillo
s ou suggestions paternelles ou maternelles se transmettent-elles aux
enfants
? Par M. Podiapolsky '/ Vice-Président de la
cin. Il s'agit d'une paysanne âgée de 30 ans. Elle a eu de nombreux
enfants
, dont cinq sont encore vivants. Malgré une syph
ouches de jumeaux, dont 20 étaient du même sexe (dans 12 cas les deux
enfants
étaient des filles, et dans 8 cas les deux enfant
ns 12 cas les deux enfants étaient des filles, et dans 8 cas les deux
enfants
étaient des garçons) et 10 de sexe différent.
) (2). II. Observations sur les Hommes. Dans ces cas, ou bien les
enfants
d'un second mariage ressemblent au premier mari d
mari défunt ; ou bien une femme blanche veuve d'un nègre produit des
enfants
mulâtres quoique mariée à un européen blanc. On
grossesse, assiste au supplice de la roue, et elle donne le jour à un
enfant
dont les membres présentent des fractures juste a
cela faisant, elle avait craint qu'elle n'exerçât une influence sur l'
enfant
. Mme M., personne de ma connaissance, habitait
qu'un lui dit que cela pouvait exercer une certaine influence sur son
enfant
. En effet, son fils présenta une raie oblongue, d
s sur le côté droit du nez. Les souris ont le don de faire peur aux
enfants
, ot surtout aux femmes enceintes. Une dame tout à
ement tout à fait à nu. Cette femme était au début d'une grossesse. L'
enfant
qui naquit ensuite présentait à l'avant-bras une
i question d'imitation (2). Un exemple historique atteste qu'un des
enfants
illégitimes de Louis XIV, conçu au cours d'une cr
sa vie un caractère si singulier, que les courtisans l'appelèrent « l'
enfant
du jubilé ». (Lucas. IL, 504.) Transmission de
éréditaire. On a observé depuis longtemps, dit Quatrefages, que les
enfants
conçus pendant l'enivrement présentent souvent da
e famille d'artisans où les parents étaient normaux et avaient quatre
enfants
, le troisième enfant était imbécile, ayant été co
ù les parents étaient normaux et avaient quatre enfants, le troisième
enfant
était imbécile, ayant été conçu pendant l'enivrem
ai en ce qui concerne la transmission de l'état psychique du père à l'
enfant
(par l'intermédiaire du sperme). Il est indubitab
limitée à l'individu lui-même puisqu'elle se manifeste aussi chez ses
enfants
et chez les enfants des enfants. L'expérience seu
lui-même puisqu'elle se manifeste aussi chez ses enfants et chez les
enfants
des enfants. L'expérience seule pourra déterminer
isqu'elle se manifeste aussi chez ses enfants et chez les enfants des
enfants
. L'expérience seule pourra déterminer la part et
ettement une influence très accentuée de l'impression parentale sur l'
enfant
à naître sont rares, il est vrai. Au reste, l'imp
Vendredi 22 janvier, S h. 1/2.— 1° La psychologie et Véducation des
enfants
anormaux, par M. le 1> Voisin, médecin de la S
rs le jeudi, 7 janvier, à 10 heures. Sujet du cours : l'Education des
enfants
anormaux. Ce cours s'adresse aux médecins et aux
fants anormaux. Ce cours s'adresse aux médecins et aux instituteurs d'
enfants
arriérés. Ecole pratique de la Faculté. — M. le
opédie mentale, pédagogie suggestive, etc.). 4° La psychologie de l'
enfant
. 5° La psychologie de l'homme anormal. 6° La
hète Elie ramena à la vie le fils d'une veuve de Sarepte et Elisée, l'
enfant
de la femme de Sunein. Asclépiade, Empédocle, Apo
dredi 18 mars, à 8 h. 1/2. Pédagogie psychologique : La colère chez l'
enfant
, par M. Malapert, professeur au lycée Louis-le-Gr
comme une vérité, ceux, en un mot, qui ont conservé la mentalité des
enfants
par suite d'un arrêt de développement de l'écorce
fonde une église ou une abbaye. Celte institution constitue pour ses
enfants
, qu'on eut soin souvent de faire assister à la fo
ne à l'église de Sainte-Gertrude-de-Nivelle pour lui, sa femme et ses
enfants
, douze manses avec une église et ses dépendances.
La dévotion est une affection mentale qui frappe de préférence les
enfants
, les vieillards et les plus faibles parmi les adu
ts méningi-tiques.A la suite de ces accidents d'ailleurs passagers, l'
enfant
a présenté des troubles nerveux qui consistaient
nfluence de la moindre contrariété. Ces crises étaient violentes et l'
enfant
paraissait perdre connaissance et devenait toute
es voisins déposèrent des plaintes chez le commissaire de police et l'
enfant
fut sur le point d'être envoyée à l'asile Saint-A
rattaché à l'existence de la maladie des tics convulsifs. En effet, l'
enfant
était agitée de secousses convulsives qui lui ébr
erner à l'asile Sainte-Anne. Notre intervention a évité cet ennui à l'
enfant
, car une seule séance de suggestion a ramené le c
l'enfant, car une seule séance de suggestion a ramené le calme, et l'
enfant
a repris son travail à l'école. Vous pouvez const
plication des moyens pédagogiques. Bien entendu, l'état mental de cet
enfant
présente toujours une grande fragilité et nous ne
iques ? a) Votre père ? Votre mère ? Vos frères et sœurs? Leurs
enfants
? c) Votre grand'père \ , 6 A". du côté mater
ments sur la famille du malade : a) Fausse couche ou avortement? 6)
Enfant
vivant? c) Enfant mort, l'âge et leurs maladies
du malade : a) Fausse couche ou avortement? 6) Enfant vivant? c)
Enfant
mort, l'âge et leurs maladies ? Signature :
dredi 18 mars, à 8 h. 1/2. Pédagogie psychologique : La colère chez l'
enfant
, par M. Malapert, professeur au lycée Louis-le-Gr
Favières, petit village de Meurthe-et-Moselle. Tandis que ses yeux d'
enfants
s'ouvraient à la vie, les appareils à broyer le c
éthode à celle de Dumont-pal lier et d'Auguste Voisin, à corriger des
enfants
et des adolescents vicieux ou paresseux, à réform
hospices sont les produits des alcooliques. La plus grande partie des
enfants
qui meurent de convulsions en bas âge sont aussi
rtie des enfants qui meurent de convulsions en bas âge sont aussi des
enfants
d'alcooliques. Je viens, messieurs, de prononce
foyer domestique ; la femme reste sans pain, sans aucun secours. Les
enfants
sont privés des choses les plus Indispensables à
Liébeault à Nancy.— L'hypnotisme chez les Japonais.— La colère chez l'
enfant
. — La mort du D' Arie de Jong (de La Haye}. AUX
e celle de vaincre et de dominer son prochain. ¦ La colère chez l'
enfant
; tel est le titre d'une remarquable étude par laq
ations à travers les enquêtes qui ont été faites sur la colère chez l'
enfant
. Nous ne retiendrons aujourd'hui que le point sui
t quelquefois légitime, inspirée par des mobiles élevés, généreux. Un
enfant
qui ne se mettrait jamais en colère témoignerait
e fille que j'observe et qui ne se met en colère que pour défendre un
enfant
plus faible ou pour protester contre une injustic
pert se dégagent beaucoup d'indications pour la direction morale de l'
enfant
. Nous espérons pouvoir en donner le texte compl
ans. Sa mère a eu des attaques hystériques et est morte de bacillose.
Enfant
, elle est impressionnable, mais sans autre partic
ille dc Saint-Laurent-le-Maçon, en l'année 1862. Claude-Léon Roussat,
enfant
dc six ans, atteint d'épilepsie, ayant les nerfs
u tout espoir de sauver l'infirme. Alors les parents conduisirent l'
enfant
au tombeau de Jean-Baptiste Vianney, se proposant
ble serviteur de Dieu une neu-vaine de prières. Le bras paralysé de l'
enfant
fut approché du sépulcre, et aussitôt la guérison
re, et aussitôt la guérison commença: en effet, de cette môme main, l'
enfant
donne une aumône à un pauvre qu'il rencontre, pui
s sont établis : le premier, la guérison instantanée et parfaite de l'
enfant
Claude-Louis Roussat d'une très grave maladie épt
faits? 1° Le premier est certainement un cas d'hystérie, quoique l'
enfant
soit du sexe mâle ; on a noté, en effet, de V
l n'y a pas de doute que ce besoin existe dans la nature humaine; les
enfants
éprouvent une grande joie quand ils sont parvenus
son chef et n'ait plus qu'à se laisser passivement conduire comme un
enfant
aux lisières, le poète fatiguera bien plus qu'il
l'on oublie trop, jusque dans le choix des jouets que l'on donne aux
enfants
; on croit leur faire plaisir surtout avec des jo
e aux pierres qu'il rencontre, ou le profane voit des cailloux. b
enfants
et les personnes incultes s'abandonnent beaucoup
Cœur et les émotions (Le), par Fiessin-ger, p. 110. Colère chez l'
enfant
(La), p. 323. Conférences pratiques d'hypnologi
s ou suggestions paternelles ou maternelles se transmettent-elles aux
enfants
? (Les), par Podiapolsky, p. 212. Incontinence
rne d'urine guérie par suggestion pendant le sommeil naturel chez une
enfant
de vingt-six mois, par Paul Farez, p. 146. Inde
près examen radio- graphique de la difformité (3). Il s'agit d'un
enfant
âgé de 5 mois, bien portant, porteur d'un pouce b
e diagnostic de la malformation a été facilité par la radiographie. L'
enfant
présen- (1) Dict. encycl. des sc. méd., art. Do
Cette déformation n'était pas héréditaire. Aucun des antécédents de l'
enfant
n'avait présenté un vice de conformation quelco
epuis cette époque elle a pressenti un vice de conformation sur son
enfant
. « Sans admettre tous les racontars, dit M. Pho
de l'existence les impressions diverses arri- vent au cerveau de l'
enfant
et sont réfléchies ne pouvant être conservées n
ition successive d'ilots myélines dans le cerveau du foetus et de l'
enfant
qui a permis de faire la localisation de ces ce
type myxoedémateux. A première vue, il a toutes les apparences d'un
enfant
de 5 à G ans. - Nous l'avons photographié, da
Fig. 1. Infantile myxoedémateux âge de 19 ans (à droite) à côté d'un
enfant
normal âgé de 6 ans. ¡"¡O1;\". ICO\OGR.11'lII
ANTILE MYXOEDÉMATEUX ET INFANTILE DE LORAIN 107 mais celui-ci est l'
enfant
qu'il doit être à son âge ; celui-là, de treize a
assez prolifique. La grand'mère paternelle du jeune malade a eu z.
enfants
de deux lits différents (7 pour chaque lit). La g
ille peu élevée, est morte depuis 18 ans, ayant donné naissance à 7
enfants
dont celui-là seul survit. Tous les autres sont
udes vicieuses. Quoi qu'il en soit de ces misères du premier âge, l'
enfant
resta mala- dif et ne grandit pas. A six ans,
ne le sont ses congénères. Ses membres sont cependant des membres d'
enfant
, d'enfant chétif il est vrai ; mais leurs relie
ses congénères. Ses membres sont cependant des membres d'enfant, d'
enfant
chétif il est vrai ; mais leurs reliefs demeure
En effet, si par sa taille et ses formes plastiques il est resté un
enfant
de six ans, son intelligence n'est pas demeurée
stationnaire. Il s'est tou- jours maintenu à l'école au niveau des
enfants
de son âge réel, et sncces- sivement il a obten
de l'enfance, car pour la mémoire, la réflexion et le jugement, cet
enfant
de corps en remontrerait à bien des adultes aya
ique, que cet infantile myxoedémateux est le seul survivant de sept
enfants
dont deux morts-nés et trois morts de mé- ningi
ion vicieuse dans le jeune âge et aussi la tuberculose précoce de l'
enfant
, cha- cune de ces causes dyslrophiantes ou tout
t un garçon de 17 ans et demi. A le voir tout habillé, on dirait un
enfant
âgé de dix douze ans ;'1 peine. Il mesure 1 m.
les stigmates de la virilité, on ne saurait y voir un être demeuré
enfant
passé l'âge. Car sa tète est petite, son tronc
s notre exemple, c'est la tuberculose qui semble seule coupable : L'
enfant
est né d'un père tuberculeux, mort de tuberculose
en portante 112 HENRY MEIGE ET FEUX ALLARD et a mis au monde sept
enfants
, quatre filles et trois garçons, tous bien port
(PI. XV, C). Nous avons radiographié, par comparaison, la main de l'
enfant
de 6 ans qui accompagne sur la photographie noire
rement que, malgré les 13 années qui les séparent, l'infantile et l'
enfant
en sont à peu près au même stade d'ossification
roll. 'Bo/balld ABC c INFANTILE DU TYPE LORAIN âge de 17 ans.
ENFANT
NORMAL âgé de 6 .\I1S, INFANTILE MYXOEDÉMATEU
ente osseuse à ce point constituée chez un sujet qui a la taille d'un
enfant
de huit à dix ans, sans un poil sur tout le cor
toute son évidence, quand on compare la main presque achevée de cet
enfant
de 17 ans, à celle encore en' ébauche du myxoedém
quissons maintenant un ta- bleau succinct de l'affection. Chez un
enfant
de quelques mois, d'un ou deux ans, plus rarement
le développe- ment osseux n'était guère plus avancé que celui d'un
enfant
de trois ans. Depuis lors les progrès de l'ossi
antile, lorsque celui-ci est myxoedémateux. C'est un être demeuré
enfant
, passé l'âge de l'enfance. Il a près de 20 ans,
ais été malade dans son enfance. Marié à l'âge de 27 ans, il a deux
enfants
bien portants. Sa femme a fait deux fausses cou-
uand le malade dut quitter le service pour secourir sa femme et ses
enfants
, qui se trouvaient dans le dénûment le plus compl
aciale du côté droit qui paraît avoit été congénitale. Elle a eu 10
enfants
bien conformés mais qui, pour la plupart, ont s
été particulièrement affectée. Quelques mois après sa naissance, l'
enfant
qui était bien conformée et ve- nait bien fut p
es la restauration paraissait complète ; mais depuis cette époque l'
enfant
a toujours dormi, l'oeil (1) Byrom Bramwell, St
était néan- moins parfaite, la malade s'est mariée, a eu plusieurs
enfants
qu'elle a nourris ; sauf quelques lassitudes va
e la colonne vertébrale et du dos, 14 jours après la naissance de l'
enfant
. 'ilette parle également de lésions congénitale
rons, chez la femme également, un début aussi tardif. Sexe. - Les
enfants
mâles ont le triste privilège d'être plus fréquem
ions restent indem- 1. Diamantberger, Du rhumatisme noueux chez les
enfants
, thèse de Paris, 1891. 1 10 A. WEILL ET J. NISS
ns. Observation I (personnelle). Albert Schwartz est le 9e de dix
enfants
dont trois sont morts de la variole ; lus six a
qui i l'ont beaucoup affaibli. Marié à l'âge de 17 ans, il eut un
enfant
, aujourd'hui bien portant. , Le début de la mal
DE LA MOELLE (I) PAR N. SOLOVTZOFF Prosecteur de la Maison des
Enfants
Trouvés à Moscou. Les difformités congénitale
, il en existe d'autres, plus fortes encore, par suite desquelles l'
enfant
ne peut presque pas vivre. Il s'agit ici des mo
râniens ; au contraire, malgré un fort degré de inicrocéphalie, les
enfants
en question avaient des têtes très grandes. La
ires avec ses extré- mités et les tenait constamment contractées. L'
enfant
était pâle, anémi- que par suite d'une mauvaise
mauvaise nutrition, de sorte que pendant son séjour à la Maison des
enfants
trouvés, son poids tomba à 2900 grammes au lieu
la tête dont la circonférence est de 44 centimètres, la taille de l'
enfant
étanl de 53 cen- timètres à la palpation. La tè
ns la bouche. Deux fois par jour elle avait des excréments noirs. L'
enfant
avait une bonne nulrition. 188 N. SOLOVTZOFF
gonflées et à la pression il en sortait du colostrum. Le poids de l'
enfant
pendant sou séjour à la Maison des Enfants-Trou
ns les comptes rendus delà Mai- xi 13 190 N. SOLOVTZOFF son des
Enfants
trouvés, presque tous les ans, on rencontre un ou
investigations durant sa vie. La voûte crâ- nienne manquait chez l'
enfant
et la masse cérébrale était disposée sur la bas
à la section offraient des cavités. La respiration et le pouls de l'
enfant
ne présen- taient pas d'anomalies. Lorsqu'on lu
s. régurgitations. Les pupilles ne réagissaient pas à la lumière. L'
enfant
criait rarement, mais les derniers jours de sa
ait beaucoup plus mince qu'elle ne l'aurait dû être eu égard à de l'
enfant
; puis, dans le faisceau pyramidal croisé nous
les deviennent régulières, contiennent de la chromatine, et quand l'
enfant
est à terme les cellules sont totale- ment form
lule n'est tout à fait formée et capable de vitalité que lorsque l'
enfant
est terme. Ainsi la même cause a provoqué l'a
côté d'eux, n'est pas moins attentif. A gauche, deux femmes et deux
enfants
. L'une d'elles, jeune, un capu- chon sur la tèt
e et neurasthénique est manifeste. Au surplus, deux ou trois de ses
enfants
sont morts d'une méningite. (1) [Celte leçon, f
que les atteintes de ce genre sont fréquentes chez les tout jeunes
enfants
. C'est un point sur lequel MM. Comby et Dupré ont
ans, X..., d'après ce que raconte sa mère, s'est révélée comme une
enfant
extrêmement émotive, dormant mal la nuit, fréqu
ION (M. le Dr Thomas BARLOW). - Le Dr Barlow présente le crâne d'un
enfant
qu'il a traité et qui, sans aucun doute possible,
ation (M. le Dr TuoMAs-BARLow). Le Dr Barlow présente le crâne d'un
enfant
mort à l'âge de huit mois. Cet enfant était pour
Barlow présente le crâne d'un enfant mort à l'âge de huit mois. Cet
enfant
était pour lui, sans aucune hésitation, un héré
LES HËRÉDO-SYPHIUTIOUES 243 En tout cas, j'ai trouvé là un crâne d'
enfant
semblant bien porter des vestiges peu douteux d
n très prématurée sur ce crâne qui appartient, selon Duverney, à un
enfant
de cinq ans, évalua- tion que l'état de la dent
ns suivantes. Obseuvation (M. le professeur A. Fournier) (résumée).
Enfant
micro- céphale, sourd et aveugle, issu d'un pèr
me et cinquième années de mariage. La première donne naissance à un
enfant
que je n'ai pas vu, mais sur lequel j'ai obtenu
lequel j'ai obtenu des renseignements du médecin de la famille. Cet
enfant
était microcéphale à un très haut degré, aveugl
mois. La seconde grossesse a abouti à un avortement. Le troisième
enfant
(conçu il la suite d'nn nouveau traitement du pèr
observation très curieuse du Dl Gnéiiiot, dans laquelle on voit un
enfant
de deux mois présenter un crâne d'une petitesse s
it pu croire il une anencéphalie. Observation (M. le Dr GuéNIO'r).-
Enfant
microcéphale; ayant présentera l'âge dedeux moi
otonos permanent, sans rémission, depuis la naissance. ' C'est « un
enfant
de bois », chez lequel seul semble exister le sen
(M. le Dr ANGEL l10';EY). - Le Dr A.Money présente le cerveau d'un
enfant
microcéphale, hérédo-syphilitique sans nul doute,
che. Le cerveau pesait quatre onces (= 113 grammes). La tête de l'
enfant
mesurait 38 centimètres de circonférence. L'enfan
s). La tête de l'enfant mesurait 38 centimètres de circonférence. L'
enfant
, idiot, ne pouvait ni marcher, ni se tenir debo
r mariage malgré une syphilis non traitée, a eu coup sur coup trois
enfants
hydrocéphales ». Plus tard, mon père écrivait e
la syphilis comme un effet à sa cause. (1) Traité des maladies des
enfants
, 1889 et 1892 (traduction française sur la oie éd
e et mère saine. - Trois grossesses. - Seconde grossesse donnant un
enfant
hdro-céplalc- X... contracte la syphilis en 1
grossesses. Première grossesse suivant immédiatement le mariage.
Enfant
sain. Deuxième grossesse l'année suivante. Enfa
ement le mariage. Enfant sain. Deuxième grossesse l'année suivante.
Enfant
devenu hydrocéphale vers l'âge de treize mois (
terme). Mort il deux ans. Troisième grossesse trois ans plus tard.
Enfant
né sain ; mort dans sa deuxième année à la suit
ème année à la suite d'accidents « de méningite ». Sur aucun do ces
enfants
, on n'a observé d'accidents propres de syphilis.
ccidents propres de syphilis. Deux ans après la mort de son dernier
enfant
, le père a présenté une arthrite temporo-maxill
A. Fournier) (inédite). - Père syphilitique et mère saine. Premier
enfant
hydrocéphale. - Second enfant affecté d'épi- le
e syphilitique et mère saine. Premier enfant hydrocéphale. - Second
enfant
affecté d'épi- lepsie, puis d'hémiplégie. X..
hance de ne pas contagionner sa femme ; mais, en revanche, ses deux
enfants
sont tristement éprouvés par l'hérédité paternell
pt de tout symptôme propre de syphilis. Le jeune est né sain et bel
enfant
. Jusqu'à ces dernières six semaines, il a été b
anté. * Observation (M. le professeur A. FOURNIEU) (inédile). Trois
enfants
hydrocé- phales issus d'un père syphilitique. M
ques, et mort en 1878 (1). Marié en 1850. Mère restée saine. Quatre
enfants
. Les deux premiers ont été hydrocéphales in ute
LES MALFORMATIONS CRANIENNES CHEZ LES IIÉRI3D0·SYPllILITIQUES 253 l'
enfant
pour la première fois, elle avait une dizaine d'a
les musées d'anatomie patho- logique) qui lui soient comparables. L'
enfant
, cependant, était assez intelli- gente. Elle av
de vue spécial. Première grossesse, donnant naissance en 1876 il un
enfant
quelque peu cbétif, qui, dés l'âge de trois semai
et iodure de potassium). Nouvelle grossesse : accouchement en 1879.
Enfant
sain, vigoureux, resté indemne de tout accident
ujourd'hui d'une excellente santé. De- puis lors, autre grossesse ;
enfant
sain. · Observation (M. le professeur A. Fourni
on (M. le professeur A. Fournier) (inédite). - Hydrocéphalie sur un
enfant
issu d'un père syphilitique. - Jeune homme contra
Mariage à vingt-six ans. Première grossesse donnant naissance à un
enfant
chétif, malingre, à grosse tête. Hydrocéphalie
ge-femme, s'est mariée deux fois. D'un premier mariage elle a eu un
enfant
sain, actuel- lement âgé de dix-sept ans. Du se
mières par des fausses couches et la dernière par la naissance d'un
enfant
hydrocéphale. Elle est affectée aujourd'hui de
ent mercuriel, puis ioduré. Pas de renseignements sur la mère. --
Enfant
né vers la fin de 1871. Dès la naissance il prése
ré décidément hydrocéphale. « Je suis appelé seulement à examiner l'
enfant
trois ans plus tard. Je lui trouve une tète trè
spécifiques. Devenue enceinte il y a un an, elle est accouchée d'un
enfant
hydrocéphale, qui n'a vécu que deux a trois heu
ches roses à la peau ». Trois grossesses : Première grossesse :
enfant
mort en naissant. LES MALFORMATIONS CRANIENNES
ANIENNES CnI ? 7, LES nÉRÉDO-SYPlIlLITIQUES 255 Seconde grossesse :
enfant
mort deux ans et demi, avec des symptômes de «
demi, avec des symptômes de « méningite ». Troisième grossesse :
enfant
hydrocéphale. Je le vois seulement il l'âge de
ante. Vi- sion nulle de l'oeil droit. Intelligence très médiocre. L'
enfant
connaît à peine ses lettres : « on ne peut rien
ident de syphilis n'a été relevé sur lui, non plus que sur les deux
enfants
qui l'ont précédé. OBSERVATION (M. le professeu
rossesse immédiate. Mme X... reste saine. Accouchement à terme d'un
enfant
hydrocéphale, qui meurt en naissant. Quelques s
e par M. le Dr Parisot [de Nancy]). - Père et mère syphilitiques.
Enfant
né le 4 juin 1896 et présentant quatre jours aprè
En octobre, c'est-à-dire quatre mois après la naissance, la tête de l'
enfant
commença a augmenter de volume, et une circulat
t une circulation veineuse crânienne très apparente se manifesta. L'
enfant
, qui se plaignait beaucoup, ne pouvait main- te
ut institué. Pendant un mois encore, la tète continua à grossir ; l'
enfant
se plaignait toujours, restait hébété ; avait d
ait fort inquiétant. Néanmoins, trois mois plus tard, l'état de l'
enfant
s'était considérablement amélioré. Le spasme
lement amélioré. Le spasme laryngé avait complètement disparu ; l'
enfant
ne se plaignait plus, maintenant bien sa tête,
umineuse, mesure 50 centimètres de circonférence, mais c'est un bel
enfant
, bien éveillé, qui commence à mar- cher et qui,
sesse : avortement à six mois. Troisième grossesse : naissance d'un
enfant
, qui mourut à vingt et un mois, hydrocéphale.
Mais, deux mois et demi au delà, la tête commence il grossir, et l'
enfant
de- vient hydrocéphale. Tète volumineuse, fon
ux en valgus) ; crête palatine très marquée. Deuxième grossesse :
enfant
venu Ù terme, syphilitique ; mort à dix mois d'
mpossible de se prononcer. Deux gros- sesses. Première grossesse.
Enfant
venu à terme, bien constitué, ayant la tête un
Sous l'influence du traitement toujours continué, l'état général de l'
enfant
devient prospère ; les dents poussent en leur t
meuvent bien ; la croissance se fait même d'une façon exagérée et l'
enfant
prend un développement de beaucoup supérieur à ce
t l'enfant prend un développement de beaucoup supérieur à celui des
enfants
de même âge. Mais la tête reste volumineuse, ne
'amenèrent aucune amélioration de l'hydrocéphalie. Actuellement cet
enfant
, âgé de dix-huit mois, est complètement dépourvu
début, la mère a subi un traitement spécifique. Naissance d'un bel
enfant
, actuellement âgé de deux mois et paraissant in-
a femme est devenue grosse une seconde fois et a donné naissance un
enfant
bieu constitué qui est resté sain et bien portant
à ce jour.. , w Observation (communiquée par M. le Dr l'OCfIICn). -
Enfant
de cinq mois nettement hydrocéphale. En dépit d
in de sa grossesse (septième mois environ). Accouchement terme d'un
enfant
sain d'apparence, qui est envoyé en nour- rice.
; puis augmenta lion progressive du volume de la tête. Lorsque cet
enfant
est amené à l'hôpital Trousseau, en mai 1897, il
est asymétrique. Quelques jours après son entrée à l'hôpital, cet
enfant
présente des accidents de conjonctivite phlycté
née plus tard, c'est à-dire à vingt-neuf ans. 1 11 a d'abord deux
enfants
bien portants. Puis, il subit une poussée nouvell
ossite scléro-gommeuse. Ce retour offensif se traduit sur un second
enfant
qui, conçu il cette époque, est expulsé à sept
evient enceinte pour la quatrième fois et accouche normalement d'un
enfant
bien portant, bien conformé, qui est âgé aujour
médicale française et étran- gère, que j'ai pu consulter, 147 cas d'
enfants
entachés d'hérédo-syphilis et hydrocéphales.
ause spécifique ; mais la constatation de l'hy- drocépltalie sur un
enfant
doit toujours attirer l'attention du côté de l'hé
termes suivants : « Il m'est arrivé bien des fois, en examinant des
enfants
hérédo-syphi- litiques, d'avoir l'attention att
céphali- que ; elle se rencontre aussi ci non moins souvent sur des
enfants
à tète normale, ne présentant rien d'exagéré.
T. XI. PL. XXXI. .CIRCULATION CRANIENNE SUPPLEMENTAIRE CHEZ UN
ENFANT
IICRliDO-SYPHILITIQUE (Edmond Fournier.) NOUV
E. T. XI. PL. XXXII. CIRCULATION CRANIENNE SUPPLEMENTAIRE CHEZ UN
ENFANT
HRÉDO-S1PHILITIQUC (Edmond Fournier.) LES MAL
est morte de suites de couches. Son père de maladie inconnue. Sur 9
enfants
qu'ils ont eus, six sont morts en bas âge, deux
ortants. Lui-même est marié. Sa femme est bien portante ; il a deux
enfants
en bonne santé. Antécédents personnels. - Le ma
à la suite des arthrites chroniques des membres inférieurs chez les
enfants
. M. Lannelongue (2), dans son beau livre sur la c
ent à l'épine dorsale et à la cage thoracique,et, chaque fois que l'
enfant
reçoit un coup, invariablement il se forme un-
mpagné de douleur et d'un léger mouvement fébrile. Etat actuel. L'
enfant
peut se tenir debout, épaules raides, pas de mouv
gnait de symptômes fébriles et d'un gon- flement inflammatoire. L'
enfant
, examinée dans la 1 Ue année de son affection, pr
l'âge de 8 mois, on constata sur différentes parties du corps de l'
enfant
des tumeurs grosses comme une petite bille à jo
nements sur les antécédents héréditaires et personnels. Mai 1878. -
Enfant
pâle, mal nourri, tête penchée directement en bas
gui- nale droite, et disparaît de nouveau spontanément. Mai 1879.
Enfant
de taille moyenne, intelligent. DE LA MYOSITE O
roit, formation d'une tubérosité de la grosseur d'une noix, là où l'
enfant
avait été frappé par une vache. Etat général bon.
ntré et timide. Dès sa jeunesse, il avait peu de relations avec les
enfants
de son âge ; aujourd'hui il est très méfiant. '
nt H. L... se trouve tout fait bien. Il s'est marié en 1891 et a un
enfant
bien portant. D'après une communication par lettr
ASSAUER, Virehow's Archiv., 1866.) Passauer cite l'observation d'un
enfant
de 11 ans atteint d'une hémihyper- trophie faci
nts sains, non consanguins, est la plus jeune d'une famille de neuf
enfants
tous bien conformés à l'exception du cin- quièm
des plaques qui deviennent d'un rouge sombre ou bleuâtres lorsque l'
enfant
crie ou fait un effort ; ces placards, qui se mon
tpellier, 1887-88.) Dans un cas de Truc et Masméjean, concernant un
enfant
de 13 mois, il existe une hémihypertrophie faci
on de Kiwull est relative à une jeune fille de 18 ans qui est la 5c
enfant
de parents bien portants. Les quatre autres, venu
cé l'histoire clinique à la même Société en 1895. C'était alors une
enfant
âgée de 4 mois, dont les parents ainsi que les
g que le gauche. Il exis- tait de plus une dyspnée intense. Cette
enfant
succomba à une broncho-pneumonie. A l'autopsie Ar
gauches. Ons. XVIII (inédite). SABIIAÛS et Cabannes. Sommaire.
Enfant
de 3 ans ; hypertrophie congénitale de la moi.tié
re sans conséquen- ces appréciables; au 7e mois, choc émotionnel.
Enfant
nourri au sein jusqu'à 4 mois. A celle date, écou
dant 2 mois; l'ouïe, affaiblie de ce côté. est redevenue normale. L'
enfant
marche à 11 mois, parle à 15 mois. Denti- tion
tions, sauf une petite hernie ombilicale. Intelligence moyenne. Un
enfant
de 3 ans, natif des Landes (Ponteux-les-For-es),s
mère, dont la voûte palatine est un peu creuse, a eu comme premier
enfant
une fille parfai- tement conformée, âgée actuel
une émotion très vive. Malgré tout, l'accouche- ment fut normal ; l'
enfant
naquit avec sa malformation, la joue droite très
ouïe resta longtemps affaiblie et progressivement redevint normale. L'
enfant
marchait à Il mois, parlait à 15 mois. Il mit s
té de la face-et au reste du corps. Ce qui frappe à l'examen de cet
enfant
c'est le développement énorme de la joue droite
s dimensions habituelles. La mastication se fait des deux côtés ; l'
enfant
mord avec une force égale il droite et à gauche
légère différence à peine ap- préciable en faveur du côté droit; l'
enfant
est droitier. Pas de différence dans les membre
fant est droitier. Pas de différence dans les membres inférieurs (l'
enfant
, bon marcheur, fait 2 kilomètres pour aller à l
que le gauche (10 fois le siège esl à droite, 5 fois à gauche). Les
enfants
naissent à terme et, dès la naissance, leur malfo
Les cheveux sont également développés. Les pupilles sont égales. L'
enfant
est peu intelligente. Cas. IV. - (M. Montgomery
s. Cet homme, d'origine allemande, est l'aîné d'une famille de onze
enfants
dont cinq sont encore vi- vants ; il est le seu
L (1). a l'AR NICOLAS SOLOVTZOFF, Prosecteur de la Maison des
enfants
trouvés et de la Maternité à Moscou. Nous avons
exactement malgré l'absence totale des hémis- phères cérébraux, les
enfants
en question sont venus au monde, non seu- lemen
il aurait sans doute pu vivre encore plus longtemps. La tête de ces
enfants
était augmentée de volume; les fontanelles étan
tuée, nous pou- vons citer le cas suivant : Cas Il Il s'agit d'un
enfant
, âge presque de deux ans. A l'autopsie il s'é-
es bul- bes en grande quantité. Bien que le cerveau manquait chez l'
enfant
en question, ce dernier put vivre jusqu'à l'âge
ans cette maladie. On peut seulement noter que, ni du vivant de ces
enfants
, ni à l'autopsie, il n'a pu être constaté d'accid
fin que nous n'avons aucuns renseigne- ments sur les parents de ces
enfants
. Une cause tout à fait différente peut égalemen
ruosité, nous rapporterons l'ob- servation suivante : . Cas II.
Enfant
âgé de jours. Les sutures sont soudées ; les font
ssion du liquide de l'amnios. C'est ainsi que viennent au monde les
enfants
privés de voûte crânienne et même de cerveau. S
niers monstres est là même que celle que nous avons invoquée pour l'
enfant
de 2 ans dont nous avons parlé plus haut. La di
âne (PI. XI, A, IL C). Le cerveau se réduit au tronc cérébral. 2°
Enfant
âgé de 4 jours seulement, on ne retrouve encore q
est surtout apparent par com- paraison avec la moelle épinière des
enfants
normaux âgés de quelques jours ou même de quelq
ire située au milieu des cordons antérieurs. Dans notre cas, chez l'
enfant
qui a vécu 4 jours, le faisceau pyramidal qui a
dans les deux cas. Quant au ruban de Reii, il existe chez les deux
enfants
(PI. XLIII,P). Au-dessus, l'aspect reste le même
u cas II, où les couches optiques manquaient presque tout à fait. L'
enfant
était âgé de 4 jours.) Plus haut encore, au niv
(La coupe du cas où les couches opti- ques sont bien développées. L'
enfant
était âgé de 2 ans.) Nous devons nous arrêter q
rveux cen- tral ont été fixées dans le formol. En ce qui concerne l'
enfant
âgé de .. 2 ans, sa tête entière a été conser
également développé dans nos deux cas; ainsi dans le cas Il, chez l'
enfant
qui a vécu 4 jours, et chez lequel les couches op
dans ces deux cas, principalement t dans le premier cas, celui de l'
enfant
de 2 ans ? Ce sont : 1° l'absence presque compl
isceaux acces- soires (le ruban de Reil principal et latéral chez l'
enfant
âgé de ans était bien développé, et chez celui
e, l'aspect des cellules apparaît différent. Ainsi dans le cas de l'
enfant
âgé de deux ans, l'hydrocéphalie interne débuta
leur aspect extérieur. Il esterai que d'un autre côté, puisque cet
enfant
a vécu presque 2 ans, on peut supposer que pendan
333. ' Présentation du 28 mai 1886. T. D..., 3 ans, en 188 déjà l'
enfant
présentait des plaques osseuses dans le grand d
1889, un cas de myosite ossifiante progressive. Il s'agit bien d'un
enfant
hongrois, rachitique de 5 ans, dont les muscles
tébrale, les côtes et le sacrum. 12 novembre. Admis il l'hôpital,
enfant
intelligent, bien développé, pesant 94 ibs, hau
ni cha- leur. Ons. XXXV. L. RABEC1\ : , médecin de l'hôpital des
Enfants
ci Varsovie. Archives de Virchow, 1892, t. CXXV
uration. A l'âge de G mois on s'aperçut pour la première fois que l'
enfant
avait des noyaux indurés au dos, dans les régio
rs pâle, très colère, elle dort ordinairement mal. Etat actuel. -
Enfant
amaigrie. Tête grosse, thorax rachitique. Pas de
e empiétant sur l'angle inférieur ; en même temps on constate que l'
enfant
ne peut porter la cuiller à la bouche ni lever
ite d'une chute qui porte on ne sait sur quelle région la tête de l'
enfant
se penche à droite. En janvier 188' nouvelle tu
maldes. Antécédents héréditaires. - Rien de spécial. Etat de l'
enfant
le 8 juillet 1891 : raideur de la marche. Il peut
1893, 32, p. 882 ; BALADAN, Arch. génér. de ttécl., 1891, p. 627.
Enfant
de 19 mois. D'après la mère la maladie aurait déb
question disparaît presque complète- ment. Pendant le séjour de l'
enfant
à l'hôpital, des tumeurs apparaissent dans diff
musée de Berlin (1). Le panneau central représente la Vierge avec l'
enfant
Jésus, entourés d'anges ; le volet de droite Sa
un soin jaloux sur le monument qui consacre la mémoire d'un de ses
enfants
les plus chers, le Conseil municipal de Paris n
nage. Une soeur morte à 28 ans de la poitrine après avoir eu quatre
enfants
dont trois sont morts en bas âge d'affections i
rable. En tout cas, on remarqua presque immédia- tement après que l'
enfant
avait de la faiblesse de tout le côté gauche, l
nte actuellement à la face. Elle était affectueuse comme les autres
enfants
, intelligente même, dit sa famille ; mais on ne
e concomitance pathologi- que. Cependant Duzéa (3) a trouvé chez un
enfant
idiot un naevus vascu- laire hypertrophique éno
sé ; il fit si bien que l'heure du théâtre arrivée,il dut ramener l'
enfant
à sa famille dans uu état d'ivresse manifeste. On
le ne parle que de malheurs et misères, repousse ses pa- rents, ses
enfants
jusqu'à ce qu'enfin éclate l'attaque qui dure des
à 38 ans d'ulcération des intestins, Le malade est l'aîné de trois
enfants
; les deux autres sont en bonne santé et n'ont
oir été précédée de douleur ni de gonflement. Etal actuel (1892). L'
enfant
est âgé de 5 ans et 9 mois. Il tient sa tête en
ni dans les muscles abdominaux, ni dans les membres inférieurs. L'
enfant
est resté à l'hôpital plusieurs semaines; il a pr
MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 477 Pas de déformation des pouces. L'
enfant
a pris de l'extrait thyroïdien sans résultat.
ormation de noyaux à leur niveau. Etat général bon. Actuellement.
Enfant
bien développé ; les organes internes fonctionnen
deux consécutifs à des chutes sur le dos et à la nuque. Etat de l'
enfant
le 13 juin l8J,i. Tête penchée il gauche, en rota
la naissance les parents ont déjà observé que l'épaule gauche de l'
enfant
était immobile et que son gros orteil était plus
les autres orteils. Pas d'anomalie semblable chez les ascendants. L'
enfant
a appris tard à marcher. A six ans, il fréquent
n, le père de Charcot, comme le labou- reur de la fable, réunit ses
enfants
: - Il Vous yoilù, leur dit-il, en âge de chois
lu termineras les études, et tu seras médecin. » Les trois premiers
enfants
n'eurent qu'à s'incliner devant la décision pat
, ou quelque détail de meurs. ou quelque type local : homme, femme,
enfants
, esquissés eu quelques lignes, mais toujours pris
y MEicE), LUI il LX. Circulation crânienne supplémentaire chez un
enfant
hérédo-syphilitique (Edmond Fournier), XXXI, XX
coup et a eu des hémoptysies. Ch... est marié ; il est père de deux
enfants
, qui sont d'une bonne santé habituelle. En 1883
ent rare qu'une polio- myélite antérieure aiguë, aussi bien chez un
enfant
que chez un adulte, évolue sans laisser de trac
trophique, maladie héréditaire et familiale qui atteint surtout les
enfants
et qu'il est rare de voir débuter après la dixièm
s données des antécédents et de l'examen clinique. Nom. Olga S. (2e
enfant
). Michel S. Nicolas S. (5° enfant). (6e enfant)
amen clinique. Nom. Olga S. (2e enfant). Michel S. Nicolas S. (5°
enfant
). (6e enfant). Age. 29 ans. 2fJ, ans. 17 ans.
. Nom. Olga S. (2e enfant). Michel S. Nicolas S. (5° enfant). (6e
enfant
). Age. 29 ans. 2fJ, ans. 17 ans. Etat civil.
La mère vit encore (elle a 5 ans) et se porte bien. Ils avaient 7
enfants
, dont un est mort en bas âge d'une cause inconn
fants, dont un est mort en bas âge d'une cause inconnue. Les autres
enfants
vivent encore : trois de ces enfants font l'obj
e cause inconnue. Les autres enfants vivent encore : trois de ces
enfants
font l'objet de notre observation, les autres son
laquelle, grâce au traitement, vint à terme sans aucun trouble ; l'
enfant
qui naquit heu- reusement est le sujet de cette
de neuf mois, sans s'accompagner de phénomènes convulsifs. Quand l'
enfant
fut sorti des langes, la mère nota avec étonnemen
acture spasmodique des membres ne se modifia pas. Quant au reste, l'
enfant
est de bonne venue ; la dentition s'est complétée
es sont un peu plus saillantes qu'à l'état normal. L'affection de l'
enfant
est caractérisée en général par une contracture
cuisses et des jambes ; celle-ci se résout en parti- culier quand l'
enfant
est tranquille ou distrait, alors quelquefois les
eds qui reste permanente. La marche est impossible. En maintenant l'
enfant
dans la position de- bout la contracture en ext
es de la sensibilité ne semblent pas altérées mais l'agitation de l'
enfant
ne permet pas de les déterminer exactement. R
rotuliens. Langage. Intelligence . - Outre les mots déjà indiqués l'
enfant
ne pro- nonce que quelques syllabes. L'enfant s
mots déjà indiqués l'enfant ne pro- nonce que quelques syllabes. L'
enfant
se montre éveillé, gai, comprenant tout ce qui
artie la plus élevée de la tête de l'humérus. La mère affirme que l'
enfant
est né avec ces lésions qui étaient rougeà- tre
de et quelques cristaux très rares d'oxalate de chaux. La mère de l'
enfant
ne présente actuellement comme manifestation sy-
ENTRAL (1) PAR R NICOLAS SOLOVTZOFF Prosecteur de la Maison des
Enfants
Trouvés et de la Maternité, à Moscou. Continuan
sa soeur qui était complètement formée et présentait l'aspect d'un
enfant
venu à terme; la première ne criait pas, ne rem
tête est molle. En un mot, tableau habituel de l'hydrocéphalie. L'
enfant
tétait mal, ne dormait presque pas. Les extrémité
A cela près, la moelle épinière a la forme ordinaire de celle d'un
enfant
nouveau-né (Pl. IX, N). Le faisceau pyramidal d
alors la voûte crânienne n'est pas développée et le cerveau chez l'
enfant
se présente sous l'aspect d'une vésicule ou ordin
céphalie ne frappe pas le myélencéphale, nous trouvons alors chez l'
enfant
le bulbe rachidien et dans ce cas il peut reste
ambre, sur le coin de la cheminée, cette sta- tuette de marbre : un
enfant
tout nu, des ailes au dos, un arc à la main. C'
e pig- mentaire depuis deux ans, et cadette d'une famille de quatre
enfants
dans laquelle les trois ainés sont affligés du
dans certaines li- mites chez l'adulte, à plus forte raison chez l'
enfant
. Ultérieurement des poussées successives se son
éflexe oculomoteur irradié à son tour des noyaux du vertige. Chez l'
enfant
ne voyons-nous pas les convulsions oculaires, le
mpulsif ; rien du côté maternel; il n'est pas marié et n'a pas eu d'
enfants
. Pendant son enfance, le malade prétend avoir e
ar un rideau rouge. On y devine une cheminée haute, avec du feu. Un
enfant
curieux, passe sa tête derrière la draperie. Un
ar une petite baie fermée par une claie d'osier. Parla un troisième
enfant
passe sa main munie d'une cruche qu'il vide dan
4 A. SOUQUES ET .1. CASTAIGNE le dos, la poitrine et les épaules. L'
enfant
avait dormi sur la terre humide deux mois avant
INE DE NANCY QUELQUES CAS DE SCLÉRODERMIE ET DE VITILIGO CHEZ DES
ENFANTS
P. HAUSHALTER ET L. SPILLMANN Agrégé à la Fac
d'observer quelques cas de troublestrophi- ques de la peau chez des
enfants
. Les uns rentrent nettement dans le cadre des s
rapprochés. La sclé- rodermie parait être une affection rare chez l'
enfant
puisqne les' plus récents traités de pathologie
e infantile le 15 novembre 1898. ' ' Père et mère bien'portants. 10
enfants
vivants. Il y a 18 mois l'enfant' qui n'avait j
veux étant tombés, la peau était lisse et brillante. Etal actuel. -
Enfant
robuste. On constate sur le front la présence d
e mois; la plaque de sclérose n'a pas changé d'aspect. Chez cette
enfant
le diagnostic était des plus faciles à établir ét
e symptômes nerveux. Issue d'une robuste famille de cultivateurs, l'
enfant
qui n'avait jamais été malade s'aperçoit un jour
posi, t. II, p. 108. CAS DE SCLÉRODERMIE ET DE VITILIGO CHEZ DES
ENFANTS
199 Observation II (fig. B., pl. 1VI) .-I;milie
B., pl. 1VI) .-I;milie R...., âgée de 11 ans, entre au service des
enfants
le 23 février 1899. Père âgé de 37 ans, tubercu-
orte tuberculeuse à l'âge de 27 ans, 8 mois après la naissance de l'
enfant
. Une soeur âgée de 16 ans, bien portante. La peti
s mois que la peau du flanc était sèche. Etat actuel, 25 février.
Enfant
de taille moyenne. Bonne constitu- tion. On con
médullaire. Un frère âgé de 9 ans bien portant. Grossesse normale.
Enfant
né à terme. Nourrie au sein. Bien de particulie
tres semblaient être collées à l'os. État actuel, octobre 1898. -
Enfant
petite, intelligence vive, éveillée, un peu ner
mpensation de la colonne vertébrale. Pour remédier à la boiterie, l'
enfant
doit porter une bottine à haute semelle. Pas de t
ASSON w Cie, éditeurs. CAS DE SCLÉRODERMIE ET DE VITILIGO CUËZ. DES
ENFANTS
201 Ces deux dernières observations concernant
lus pourrait-on insister sur ce fait que, dans l'observation III, l'
enfant
eut vers. Page de 2 ans 1/2 une crise convulsiv
Père bien portant, légèrement dyspeptique. Mère nerveuse. 2 autres
enfants
bien por- tants. L'enfanta toujours eu une bonn
enée à l'hôpital. Cette lésion va en s'accentuant. Etat actuel. -
Enfant
bien constituée. Rien de particulier dans les d
égèrement exfolié. Etat rugueux de la partie postérieure du bras. L'
enfant
est revue le 9 juin 1898. 11 semble que l'extrémi
ins et à la plante des pieds. Cesphéno- l, mènes existant chez deux
enfants
d'une même famille, ont apparu chez ' tous deux
apparu chez ' tous deux au même âge. Il s'agit bien chez ces deux
enfants
d'un trouble trophique des extrémi- tés, troubl
i. XXVII).- Suzanne P..., âgée de 1 mois, est amenée au service des
enfants
le 17 janvier 1899. Peu de renseignements sur l
nts héréditaires. Pasde syphilis. Soeur de 16 mois bien portante. L'
enfant
est née à terme. Présentait à la naissance la pig
rophie de la jambe qui existent encore actuellement. État actuel.
Enfant
grasse. Nourrie au biberon. Taille 0 m. 54. Blé
ouveau-né. Neumann (1), qui récemment rapportait l'observation d'un
enfant
qui à ]'lige de 13 jours présenta les premiers
que Cruse (2) aurait étudié 4 faits analogues dont 2 concernant des
enfants
de 2 à 3 se- maines. Dans les 5 cas de Neumann
ns, sans vouloir les confondre, un cas de vitiligo observé chez une
enfant
. Observation VI (fig. C, pl. 11VI). - Augustine
re 45 ans, nerveuse, migraineuse, goitreuse. 2 fausses cou- ches. 6
enfants
dont une morte de scarlatine à 7 ans. Antécéden
maux d'estomac et est essoufflée quand elle court. Etat actuel. -
Enfant
bien constituée, bien musclée, portant un petit
Kinderh.. Bd. XV, 1880. CAS DE SCLÉRODERMIE ET DE VITILIGO CHEZ DES
ENFANTS
205 Au niveau de la ceinture, la pigmentation e
aux. Urines très albumineuses, 3 grammes environ par 24 heures. L'
enfant
est revue le 27 mai. Les cheveux blancs n'ont pas
s les cas du même genre. Nous nous bornerons il signaler chez cette
enfant
, sans chercher à établir des hypothèses gratuites
trois mois. Une soeur aînée morte phtisique à 26 ans, laissant des
enfants
bien por- tants. Elle n'avait pas d'embonpoint
eux et pesant un poids considérable, et elle donne nais- sance à un
enfant
qui est lors du conseil de révision le plus gros
plus ancienne, et le dernier né d'une mère ayant eu déjà plusieurs
enfants
syphilitiques peut présenter des symptômes syphil
me pas l'attention, ou, comme le dit Kasso- witz, il peut naître un
enfant
très faiblement affecté. Le professeur Four- ni
nuer progressivement, se montrent au contraire plus graves chez les
enfants
qui naissent à une période avancée de la syphil
t très important, quand c'est possible, de tenir compte de tous les
enfants
; car en exami- nant tout leur dossier pathologi
inexpliquée est parfois élucidée par leur apparition chez plusieurs
enfants
d'une même famille dont l'un présente à un mome
signalé la fréquence de ces affections nerveuses survenant chez les
enfants
issus d'ascendants syphilitiques. Notre malade
d'ascendants syphilitiques. Notre malade a eu sur 8 grossesses sept
enfants
morts de méningite et de convulsions. Enfin,
rouvé qu'un père peut transmettre héréditairement la syphilis à son
enfant
, il n'en est pas moins vrai que les cas d'hérédit
ande, vigoureuse,, maigre et nerveuse. Je lui demande si elle a des
enfants
; elle me répond qu'elle a un grand fils de 22 a
éréditaire ; puis elle eut six grossesses toutes à terme. Ces six
enfants
étaient tous d'assez bonne apparence en venant au
comateux. Un de mes con- frères du dispensaire a soigné deux de ces
enfants
et avait effectivement porté le diagnostic de m
se reproduisit et dans des circonstances toujours identiques. Les
enfants
venaient à terme, la mère les nourrissait; ils ne
r les convulsions, il nous est difficile d'affirmer qu'aucun de ces
enfants
n'ait présenté des symptômes d'hérédo- syphilis
i suivi à Saint-Louis, avec son mari, après la naissance du premier
enfant
aujourd'hui vivant. Quand je la vis donc pour l
une de mes malades du dispensaire que les indications suivantes : L'
enfant
est nourrie par la mère qui la conduit toutes les
de sa petite fille, elle me disait que, exactement comme ses autres
enfants
, elle était morte le 14 octobre dernier à l'âge
it été sevrée a 16 mois. Seule la dentition était fort en retard. L'
enfant
, qui ne présentait aucune malformation, aucun s
ne de jours; le médecin appelé avait diagnostiqué une méningite ; l'
enfant
était restée trois jours sans connaissance, et
observé les symptômes nerveux qui ont entraîné la mort de tous ces
enfants
. Mais, comme l'a fort bien dit le professeur Fo
cruelle manière. Vraiment, ce mal.est. sans pitié. - Celle- belle
enfant
qui ne demandait qu'à jouir de la vie. Son profil
e guère ému de la voir en si pitoyable état. C'est un docteur bon
enfant
, peu soucieux du décorum, et. qui, volon- tiers
iption. Le proverbe ne dit-il pas : La vérité sort de la bouche des
enfants
? ..... * .... Au musée de l'Ermitage, à St
dispensable. Après vingt ans d'une union d'où naquirent plusieurs
enfants
, Marga- rethe mourut. Jan Steen resta veuf pend
la Noce de campagne, à Vienne, est formé par une mère allaitant son
enfant
. Dans la Scène de famille du musée de la Haye,
ien mieux l'affaire, car ici le mal d'amour ressemble fort au mal d'
enfant
. A ce mal en effet, comme le dit la légende, on
me fruste, c'est la maladie fran- che et bien confirmée. Chez les
enfants
, Thibierge admet qu'il y a des formes frustes : «
étés les plus dissemblables d'infantilisme se rencontrent parmi les
enfants
d'une même famille, sous le même toit. J'ai vu, d
avec l'ostéomalacie, voir F. SIEGERT, Un cas d'osléomalacie chez l'
enfant
(Munchener med. Wochenschrift, 1898, 1er nOI'em-
aiterai plus particulièrement de l'hy- pothyroïdie bénigne chez les
enfants
, que la notion de l'infantilisme doit être nota
266 E. HERTOGHE vue, par la thyroïdine, dans une famille ou mère et
enfants
étaient atteints de nyctalopie. La fille aînée
e contestera pas qu'il y a des cas où le myxoedémeest congénital. L'
enfant
est déjà myxoedémateux à sa naissance. Les parent
i le père. Faites une enquête soignée sur les frères et soeurs de l'
enfant
myxoedémateux, et vous trouverez des ta- res d'
e, j'ai interrogé et examiné de propos délibéré beaucoup de mères d'
enfants
nains, arriérés, rachitiques, tous hypothyroïdi
r me faciliter la ré- daction de l'enquête. Questions relatives à l'
enfant
, d'un côté ; de l'autre, questions relatives'à
naire et sus- ceptible même d'amélioration spontanée. Partir de l'
enfant
nettement dysthyroïdien, remonter aux parents, (i
smaux, la patiente les présentait déjà au temps où elle élevait ses
enfants
. Elle avait fini par (1) Végétations adénoïdes
ut de fatigue des membres et de douleurs dans le dos. Elle a eu six
enfants
. L'aînée, une fille, est sujette il des ménorrh
e de bonne heure Elle a eu dix-sept grossesses. Douze ont amené des
enfants
vivants et à terme. Les autres se sont terminées
jaunisse. Le traitement thy- roïdien ne s'impose- [-il paspourcclle
enfant
et n'élail-il pas indiqué pour la mère/au temps
avec persistance dans la forme bénigne, qu'en la monlrant chez les
enfants
myxoedémateux francsou frus- tes. La sangle abd
de et gazeux des intestins. La hernie ombilicale est constante. Ces
enfants
ne défèquent que par regorgement. Lorsque le gr
g. 10 et 11.) Au point de vue intellectuel, le développement de cet
enfant
a été tout aussi extraordinaire qu'au physique.
nt pour de la tuberculose mésentérique (carreau) ces gros ventres d'
enfants
. Le jugement du médecin s'égare d'autant plus f
ernie ombilicale. - cou s'est dégagé. La mère me dit avoir perdu un
enfant
de 3 ans, d'un « gros ventre » tout à fait iden
G... s'est mariée trois fois. Elle a eu de son premier mariage cinq
enfants
dont un seul est mort; du second mariage, elle
enfants dont un seul est mort; du second mariage, elle a eu quatre
enfants
dont .trois sont morts ; du troisième lit, elle
e enfants dont .trois sont morts ; du troisième lit, elle n'a qu'un
enfant
, qui vit. Ceci pour la fatigue thyroïdienne. To
re 1897 elle se déclara enceinte. Elle s'accoucha en juin 1898 d'un
enfant
très bien portant. L'épouse I... (PI. XLVI,18
ngea à dessein cette dernière période pendant près de deux ans. L'
enfant
sevré, elle redevint apathique, triste, et ses do
. 23. - Même sujet, après le traitement thyroïdien. les parents des
enfants
manifestement hypothyroïdiens et infantiles. B.
e de l'adulte est la consé- quence et la continuation de celle de l'
enfant
. La maladie existe chez l'homme, mais elle est
ues chez moi pour elles-mêmes, mais pour l'un ou l'au- tre de leurs
enfants
en état d'infantilisme plus ou moins confirmé. Il
et, une relation étroite entre l'état de ces mères etcelui de leurs
enfants
. On pourrait tracer l'histoire complète de l'hypo
histoire complète de l'hypothyroïdie bénigne en décrivant d'abord l'
enfant
en puissance d'infantilisme, le suivant ensuite
à la force de reconstitution qui existe incontestablement chez tout
enfant
élevé dans de bonnes conditions d'hygiène et de n
E. HERTOGHE fance et sa formation. Si, en outre, nous décrivons les
enfants
qu'une telle femme engendre, nous aurons tracé
roportion entre Page réel et l'âge apparent. La malade a-t-elle des
enfants
? Combien en a-t-elle mis au monde. vivants et
alors qu'à l'état de non-gestation. « Dans ce temps-là, j'avais des
enfants
, mais je me portais bien », entendra-t-on dire
hénomènes dystrophiques du côté des cheveux et des dents ; « chaque
enfant
emporte sa dent ». Des caries que l'on croyait gu
fait voir les conséquences esthétiques qu'elle en- traine chez les
enfants
manifestement dysthyroïdiens, la distension de la
in que, dans un grand nombre de cas, surtout chez les femmes et les
enfants
, cette influence n'y est pas étrangère. Dans la
de phéno- mènes hypothyroïdiens, surtout de la dysphonie. Chez l'
enfant
, l'hypothyroïdie bénigne se manifeste par une fou
ué qu'à partir de la première communion, à l'occasion de laquelle l'
enfant
est comparé à d'autres du même âge. Avant cela, l
; elles noircissent de bonne heure. La marche est tardive chez ces
enfants
; il n'est point rare de les trouver, à dix-hui
s plus. La peau est sèche, fen- dillée, rugueuse ; déshabillés, ces
enfants
se grattent obstinément le dos, aussi haut qu'i
ne ; ils sont couverts d'égratignures. Il y a certainement chez les
enfants
une forme de prurigo sec, dépendant de l'inanit
re. Elle est généralement ignorée. Je l'ai souvent trouvée chez des
enfants
atteints d'incontinence nocturne xu £ 20 294
étonnantes. J'en ai vu à Page de seize ans. L'intelligence de ces
enfants
est variable. Ils sont très turbulents, anor- m
ont très turbulents, anor- malement remuants et agiles. Il y de ces
enfants
qui cassent et démolis- sent tout ce qui leur t
ux, légers. La mémoire sur- tout semble leur faire défaut. Certains
enfants
, déjà grandelets, ont une peine infinie à se lo
ans ces symptômes. MARCHE DE LA MALADIE. L'hypothyroïdie chez les
enfants
tend manifestement vers la guérison. L'enfance
ur non-sens. La réaction ne se fait pas chez ces femmes et chez ces
enfants
. Il faut .avoir traité ces malades, qui toutes on
i la raison plus tard. Le tabac doit être sévèrement interdit aux
enfants
... et aux femmes. Beaucoup d'enfants fument en
t être sévèrement interdit aux enfants... et aux femmes. Beaucoup d'
enfants
fument en cachette ou même au vu de leurs parents
cabinet. Ce gamin fume ses quatre cigares par jour. II y a même des
enfants
qui mâchent le tabac. Jamais on n'arrivera à ri
diarrhée, il faut l'associer au ma- gistère de bismuth. Chez les
enfants
arriérés, infantiles bénins, la thyroïdine sera p
les qui, sans elle, seraient restées dans l'ombre. Ajoutons que les
enfants
supportent la thyroïdine bien plus facilement q
'apparence, n'a été réglée qu'à l'âge de 17 ans. Elle a eu quatorze
enfants
dont dix sont en vie. Sur ces dix enfants, il y
7 ans. Elle a eu quatorze enfants dont dix sont en vie. Sur ces dix
enfants
, il y a neuf filles. L'aînée a été longtemps mala
le s'est mal développée, contrefaite, pâle et oppressée. Les autres
enfants
sont bien portants. La femme A... a allaité tous
autres enfants sont bien portants. La femme A... a allaité tous ses
enfants
. Les dou- leurs d'estomac remontent au début de
rs de l'estomac ont complètement disparu. A l'heure actuelle, cette
enfant
est tout à fait rétablie. Elle pèse 57 kg. 600.
Sensibilité au froid. Mme B..., est âgée de 60 ans. Elle a eu sept
enfants
. Elle les a tous allaités, sauf un, mort après
le. La chevelure est notablement dégarnie sur la ligne médiane. Les
enfants
mâles issus de cette femme sont bien portants. Il
achtig gebleven van het flei,eci,i71. La seconde fille n'a pas eu d'
enfants
et est fort ané- Fig. 24. - Eetromélie de la ma
oflexion utérine. Mme D..., 35 ans, depuis dix ans, n'a eu que deux
enfants
. Ces enfants sont manifestement en retard de cr
ine. Mme D..., 35 ans, depuis dix ans, n'a eu que deux enfants. Ces
enfants
sont manifestement en retard de croissance, pré
tiques. Mme E... vient d'abord me consulter pour sa fille. Cette
enfant
est atteinte d'hypothyroïdie ou de myxoedème fr
pesait 51 kilogrammes. Elle s'est mariée à 21 ans. Elle a eu trois
enfants
. L'ainé, un garçon, est bien portant et bien déve
s. L'ainé, un garçon, est bien portant et bien développé. Le second
enfant
est mort au bout de peu de jours. Le troisième es
e Je me présente son fils, âgé de 14 ans, le 27 septembre 1897. Cet
enfant
saigne du nez trois à quatre fois par semaine, do
uleur du dos. Actuellement âgée de 43 ans, elle a mis au monde deux
enfants
vivants et à terme. Elle a eu trois fausses couch
es dont l'une accom- pagnée d'accès éclamptiques. Après son premier
enfant
, elle a souffert deux fois de rhumatisme articu
H... est âgée de 32 ans. Elle a eu rapidement, coup sur coup, cinq
enfants
en sept ans de mariage. Une soeur porte un myome
du pied, l'oppression n'existent plus qu'à l'état de souvenir. 2°
Enfants
. Toutes les observations qui vont suivre se rap
nfants. Toutes les observations qui vont suivre se rapportent à des
enfants
at- teints d'hypothyroïdie bénigne chronique. C
il ne mouilla son lit que sept fois. L'histoire de la mère de cet
enfant
est des plus intéressantes au point de vue de l
. Toute sa vie elle a eu des règles profuses. Elle n'a eu que trois
enfants
: d'abord une fille, âgée aujourd'hui de 23 ans
et le visage fortement coloré. Très fortement constipée. Le second
enfant
, un garçon de 21 ans, est sujet à de fréquentes
ront pas à disparaître. OBs. 111. - X3... est plus âgé que les deux
enfants
précédents. (PI. XLVIII, C.) Il a 20 ans, a tir
e. En d'autres termes, le sque- lette s'est comporté comme chez les
enfants
myxoedémateux francs. Je ne possède malheureuse
définitive. Teint rose et fond ambré du visage. Le traitement de l'
enfant
relève la taille de 1 m. 488 à 1 m. 516 (du 20 ju
ne santé habituelle, est mort à 27 ans du charbon. Elle a eu deux
enfants
: un fils qui est en bonne santé, et une fillette
bleau de lui dans la collection Stcengracht, il la Haye, intitulé l'
Enfant
malade, qui peut passer à juste titre pour un c
is- sante. Donnée bien simple : une mère tient sur ses genoux son
enfant
malade, mais que de tendresse anxieuse chez cet
unculus qui doit être le germe même de cette maladie... mua belle
enfant
, votre mal n'est pas grave. Car c'est le mal qui
ai dont il examine le contenu. Dans le fonds plusieurs personnages,
enfants
, servantes, curieux. Celle scène est une répétiti
la maladie de Varandal ; c'est tout crû- ment le prologue du mal d'
enfant
. Cependant, nous n'avons pas cru devoir les sép
a soeur est bien portante. , , Antécédents personnels. Marié ; a un
enfant
âgé de 37 ans. 11 a perdu deux autres enfants m
rsonnels. Marié ; a un enfant âgé de 37 ans. 11 a perdu deux autres
enfants
morts l'un au bout d'une 1/2 heure, l'autre à 14
58 ans bien portante ; 3 soeurs mortes jeunes. Marié, n'a pas eu d'
enfants
. N'a pas eu de convulsions dans son enfance ; a
maigre que la droite. Pas de syphilis, pas d'alcoolisme ; Cinq
enfants
bien portants, bien conformés. En janvier 1888
pas eu d'autres maladies ; est marié (femme bien portante), a trois
enfants
bien por- tants. Maladie ACTUELLE. - Il ? j a
in- ternement chez un oncle paternel ; la mère eststrabique ; sur 9
enfants
, on compte, outre l'acromégalie de la malade, u
en 1895 un cas, d'ailleurs caractéristique, d'acro- mégalie chez un
enfant
de 14 mois microcéphale : la grand-mère mater-
, « céphalées, indolence, apathie». Celles de Gerdinier (9) : « les
enfants
du malade ont noté que depuis l'an dernier la mém
- ment. Elle est mariée, son mari est en bonne santé ; elle a eu un
enfant
qui est mort de la coqueluche à 3 ans 1/2 ; on
i- vante, elle a 62 ans, et elle est bien portante, Ils ont eu huit
enfants
, dont il reste six qui sont bien portants, l'un
nt, il y a dix ans, d'une paralysie de la jambe droite. Elle a deux
enfants
, et n'a pas fait de fausses couches. Début de l
onnages du tableau (un homme blessé à la main, deux femmes avec des
enfants
malades, une servante qui apporte un flacon sur u
n ne permet de la préciser. Est-ce le mal d'amour ? Est-ce le mal d'
enfant
? Est-ce toute autre affection capable de provo
est fini, bien mieux quand je serai morte. Question : Avez-vous des
enfants
? Réponse : Non je n'en ai pas eu. Question :
e ? Réponse : Je ne peux pas, pas moyen. Question : Avez-vous des
enfants
? Réponse : Dieu merci, pas besoin ; qu'est-ce
tre porteurs de « grosses jambes » qui res- semblaient à celles des
enfants
. L'un de ces oncles, mort il l'âge de 25 ans,ét
ire géante. Gevaert (de Bruxelles), OEdème angio-neurotique chez un
enfant
de trois ans, Rev. des mal. de l'enfance, 1895.
tion de Tebaldo Falcone rapportée par Lourier, il est question d'un
enfant
sujet à des poussées d'oedème aigu. Le père de l'
estion d'un enfant sujet à des poussées d'oedème aigu. Le père de l'
enfant
présentait des accidents identiques. LE TROPl
LE TROPllOIïDÈIIiE CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE 473 3" génération : Les
enfants
de J. W., au nombre de neuf. 4. enfants indemne
E 473 3" génération : Les enfants de J. W., au nombre de neuf. 4.
enfants
indemnes. 4 enfants avec oedème d'une jambe.
: Les enfants de J. W., au nombre de neuf. 4. enfants indemnes. 4
enfants
avec oedème d'une jambe. 1 enfant avec oedème d
neuf. 4. enfants indemnes. 4 enfants avec oedème d'une jambe. 1
enfant
avec oedème des deux jambes. 4e génération : A.
mbe. 1 enfant avec oedème des deux jambes. 4e génération : A. Les
enfants
de Lydia, 2e fille de Joseph W. 3 fils avec oed
seph W. 3 fils avec oedème d'un pied. 3 filles indemnes. B. Les
enfants
de Sarah, 3e fille de Joseph W. 5 'morts en bas
. 5 'morts en bas âge. 2 indemnes, 1 oedème d'un pied. C. Les
enfants
de Olive, 1,0 fils de Joseph W. 4 indemnes. '
1,0 fils de Joseph W. 4 indemnes. '1 oedème d'un pied. . D. Les
enfants
de Charité, 6e fils de Joseph W. 3 indemnes.
, 6e fils de Joseph W. 3 indemnes. 1 oedème de la jambe. E. Les
enfants
de Sally, 7e fille de Joseph W. 2 indemnes. 1
lly, 7e fille de Joseph W. 2 indemnes. 1 oedème du pied. F. Les
enfants
de Julia, ge fille de Joseph W. 3 indemnes. 1
eux jambes . 4 oedème d'un pied. 6e génération : Sur les nombreux
enfants
connus. 1 oedème d'un pied. 1 oedème des deux
gère et quelques troubles gastriques. Marié il 37 ans, II... a eu 3
enfants
; le premier est mort à G mois , le deuxième à 4
insistance troublante, sur les charmes mal dissimulés de l'avenante
enfant
assise à ses côtés. S'il pense à ses propres in
tiques généraux, par C. Féré. 312. Sclérodermie (localisée chez les
enfants
), par P. IlAUSHALTËR et L. Spillmann, 197. Sy
. Spillmann. Quelques cas de sclérodermie et de vitiligo chez les
enfants
(6 phot.), 191. IIFnrocne . De l'hypothyroïdie
ly- tique général (C. Féré), L. Sclérodermie et vitiligo chez les
enfants
(HAUSHALTER et Spillmann), XXVI, XXVII. Syphi
AUSIIALTER. Quelques cas de sclérodermie et de vitiligo chez les
enfants
(9 phot.), 197. Trénel. Aphasie amnésique (apha
s effets de la greffe thyroïdienne (mé- thode de Cristiani) chez un
enfant
arriéré par défaut de développement de la gland
sur le lobe sain laissé en place. A la suite de cette opération, l'
enfant
s'améliora très ra- pidement au point de vue ph
et trois mois après elle était en tout semblable à la moyenne des
enfants
de son âge. Neuf mois après l'intervention, on se
s la peau. Les auteurs pensent que les progrès obtenus chez cette
enfant
se maintiendront et que, s'ils venaient à fléchir
tion est adopté à l'unanimité.) Méthode hypno-pédagogique, chez les
enfants
du patronage Rocher (premier résultats statisti
ltats statistiques). M. René Pamart. Depuis octobre 1905, parmi les
enfants
et jeunes gens dont j'ai eu à m'occuper au Patr
ques d'un REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 153
enfant
de 19 jours, d'unenfantdedeux mois et demi et d'u
XXV. Contribution nouvelle à l'étude de la fatigue mentale chez les
enfants
; par Giusseppe-Rei LE[. (tir Rivista speriment
is petits garçons âgés de six. quatre et deux ans. Les cadavres des
enfants
ont été retrouvés les yeux bandés. La femme Far
ite placidité et écoutés tranquillement par la mère et trois autres
enfants
qui ne semblent pas se rendre un compte eaacl d
la Rev. Neurologique. Ft : IOT. : ZE-ALnESPEYHES. - Le livret de l'
enfant
. 1 vol. 10.8' de 138 pages. Prix : G francs.
, ces doses devraient être diminuées, tout au moins chez les jeunes
enfants
jusque vers l'âge de 15 ans ; car à 10 et surto
ue nous montrent quelques constatations faites dans notre service d'
enfants
. Au mois de juin 1905, seize enfants de 11 à 18
faites dans notre service d'enfants. Au mois de juin 1905, seize
enfants
de 11 à 18 ans, furent soumises pendant un mois
ai, avec cette même dose de KBr, mais le régime restant salé, ces
enfants
avaient présenté un ensemble de 253 accès. Le r
tombé de 224 à 59. Cette fois-ci, le total des cri- .ses des mêmes
enfants
tombait seulement de 251 à 155. Soit la premièr
1905, nous avons alors remarqué que, tandis qu'en 1904 toutes nos
enfants
avaient présenté moins d'attaques,en 1905,seules
nt dans les mêmes conditions : 14 accès contre 57. Par contre,les
enfants
âgées de lU,17, 18 ans n'avaient recueilli pres
ère. « Je n'ai jamais pu aimer ma mère ; le sentiment qui relie l'
enfant
à la mère est absent de ma personnalité ; cette l
n mot il..lire : « L'no leçon pour les mères qui n'aiment pas leurs
enfants
». Et j'étais DÉLIRE DE PERSÉCUTION UT DÉLIRE
fet,un déraciné, fils de paysans qui, pour avoir voulu pousser leur
enfant
, ont simplement réussi à faire de lui un raté,
nt toujours été bien portants. Notre malade est l'aînée de quatre
enfants
. Elle naquit après 10 mois de mariage, sans que
de la mère ait été si- gnalée par un fait particulier. Entre cette
enfant
et la suivante se placent deux fausses-couches.
aujourd'hui de cinq ans, très bien portante et développée comme un
enfant
de son âge, au point de vue mental comme au poi
point de vue mental comme au point de vue physique. Le troisième
enfant
est également une fille, qui a trois ans et est
une fille, qui a trois ans et est fort bien portante. Le quatrième
enfant
fut aussi une fille, qui s'éleva normalement ju
RECUEIL DE FAITS. Historique de l'affection de llor., Marie. Cette
enfant
vint au monde de me ! n ! )ranesvcrda ! res, fo
e). Mais à pari ce détail, rien ne frappa la mère ou l'entourage. L'
enfant
venue à terme était normalement cons- tituée.Au
également da- vantage du côlé droit. La mère s'aperçut aussi que l'
enfant
était raide. Cette raideur rendait dillicile l'
bout, les trem- blements constituant un obstacle insurmontable. L'
enfant
ne put jamais articuler un mot. 1,lleci-iait très
e spn- ciale ou au milieu d'un grand lit. A l'âge de trois ans, l'
enfant
fut atteinte pendant trois semaines d'une malad
rée à l'hôpital. ATHETOSE DOUBLE. 193 L'affection nerveuse de l'
enfant
étant de suite reconnue, en dépit du caractère
ois jours, après l'entrée à l'hô- pital. Pendant ces trois jours, l'
enfant
poussa des cris continuelle- ment, et il fut im
e côté droit est un peu plus agité que le côté gauche, sur lequel l'
enfant
a des tendances à se coucher. Les yeux sont tou
is avec plus de lenteur qu'aux mem- bres supérieurs. L'on soulève l'
enfant
, on voit que le pied est pendant, le dos étant
u pied. Un examen plus approfondi n'a pas été possible, parce que l'
enfant
a été pour ainsi dire en agonie pendant tout so
ance qui leur manque : une canne, le bras d'un aide, la tête d'un
enfant
où ils posent la main même très légèrement, leur
3t parce que le traitement produit une amélioration considérable. L'
enfant
avait alors près de 4 ans. En terminant, il dit
malgré une hydrocéphalie congénitale considéra- ble,est devenue une
enfant
intelligente, presque normale, c'est non seulem
avec intelli- gence et avec beaucoup de suite. De 1893 à 1903, l'
enfant
a continué à s'améliorer sous tous les rapports
oids et de leur taille. Ce procédé devrait être appliqué à tous les
enfants
normaux, tous les ans si possible. Ces do- cume
MEDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES, quer toutes les maladies de l'
enfant
. Cela viendra peut-être un jour ! 1 . Sur que
end : de 1880 à 1886 inclusivement. des épileptiques adultes et des
enfants
(garçons), de 1887 à 1889, des enfants seulemen
épileptiques adultes et des enfants (garçons), de 1887 à 1889, des
enfants
seulement (garçons) ; de 1890 à 1905, des garço
. T. XIX. Attitudes vicieuses par contracture hystérique chez les
enfants
; par 13ROCA el IIERBINET. (Nouv. Icorx.de la Sa
habituelle, ou tout au moins de la fragilité des stig- mates chez l'
enfant
; l'hystérie infantile est leplus souvent mono-
ue précise, il faut dépister la névrose en étudiant l'hérédité de l'
enfant
, son caractère (le carac- tère hystérique n'est
eiller étroitement et de soumettre à un traitement spécial tous les
enfants
issus de parents aliénés, dégé- nérés, alcooliq
s de récentes circulaires, je vous ai entretenu de la situation des
enfants
anormaux en France. Parmi eux, les sourds-muets
ur le territoire de la République peuvent admettre tous ceux de ces
enfants
qui sont âgés de 9 à 13 ans, cet accotant celui
ou des fractions de bourses pour assu- rer le placement de lous ces
enfants
, autant que possible dans 23S varia. les ét
du prix de la pension. ' De son côté, l'Etat, qui s'impose pour ces
enfants
de gros sacri- fices, est en mesure' d'en recev
vités qui s'associeront dans ce but, pour assurer le placement d'un
enfant
aveugle ou sourd-muet, devra être : à Paris (jeun
é ou la surdi-mutité est complète et ne paraît pas curable; que l'
enfant
a été vacciné avec succès ou qu'il a eu la petite
t que les parents ne peuvent subvenir aux frais d'éducation de leur
enfant
; 4" Un extrait du rôle des contributions direc
rvés à l'éducation spéciale et à l'ensei- gnement professionnel des
enfants
sourds-muets ou aveugles, des tractions de bour
soeurs qui ne sont pas du même lit, bien plus entre mère ou père et
enfants
, et même entre époux et épouse. Nous avons ains
uis l'une d'elles se marie plus tôt, l'autre plus tard. Une a des
enfants
, l'autre n'en a pas ; l'une est heureuse dans sa
e pour l'éclosion de n'importe quelle psychose, chez n'importe qui,
enfant
, adolescent, homme mûr ou vieillard.La formule
effet, que le seul pouvoir de la consanguinité est de porter chez l'
enfant
consanguin l'hérédité des aptitudes bonnes et m
tion (1) ». Les conclusions du Dr Courjon sont celles-ci : 1° Les
enfants
anormaux ont droit à l'assistance; il convient
econder et de compléter l'action des pouvoirs publics en faveur des
enfants
anormaux. M. Beach étudie les mesures priles
nfants anormaux. M. Beach étudie les mesures priles en faveur des
enfants
anormaux mentalement et physiquement et des enf
s en faveur des enfants anormaux mentalement et physiquement et des
enfants
épilepti- ques en Angleterre et au pays de Gall
rès remarquable rapport à la classification et il, l'assistance des
enfants
dits : anormaux intellectuels. Un très importan
AL DE L'ASSISTANCE DES ALIÉNÉS. 311 L tantes entre les aliénés, les
enfants
arriérés, les alcooliques et les criminels, tém
les asiles fermés, publics ou privés. (I \RIE et Ro- LEr.) 1° Les
enfants
anormaux ont droit à l'assistance ; il convient
econder et de compléter l'action des pouvoirs publics en faveur des
enfants
anormaux. (COURJON.) Que l'assistance des arr
dépasse maintenant de 30 il '10 unités, sui, a¡1l1es années. » «
Enfants
arriérés idiots et épileptiques. - Nos pavillons
ux adultes, soit 6 extinctions : 'il restait donc au 31 décembre 33
enfants
(21 garçons, 14 filles). Pour tous ceux de ces
décembre 33 enfants (21 garçons, 14 filles). Pour tous ceux de ces
enfants
qui présentent quelque lueur d'in- telligence,
ment. Deux autres commencent à écrire seule- ment. Plusieurs de ces
enfants
manifestent un goût singulier pour le chant et
s. MM. les 1)" Dccl'oly et 110u- lenger ont examiné la question des
enfants
infirmes et estropiés. Nous en extrayons le pas
mes doit présenter des caractères spéciaux. A Londres, on prend les
enfants
infirmes à domicile, en voiture ; on les garde
ques, que nous avons fait prévaloir dans notre ancienne section des
Enfants
de Bicêtre où, sauf un, tous les pavillons n'on
, devrait prévaloir partout est à signaler. Notons encore ' que les
enfants
sont conduits en voilure de lenr domicile à l'éco
iques il Milan, c'est ce que nous voit- drions voir imiter pour les
enfants
des futures classes spéciales pour lesquelles n
suicidée en se tirant un coup de revolver, après avoir tué ses deux
enfants
, qu'elle avait couchés avec elle, un garçon de
dans un accès de folie, Mme Mariiham tua à coups de hache ses sept
enfants
, dont l'aîné était âgé de neul ans : puis elle
précises. Consultations 111édico-J,edagogiques, gratuites pour les
enfants
indigents atteints de maladies du système le je
phénomènes observés. Charles D ? menuisier, marié, père de quatre
enfants
, est né à Armentières en novembre 1865, il avai
'était pas nerveuse. Les survivants sont bien et pas plus que leurs
enfants
ne présentent d'affections méritant d'être sign
tières et, un an après, se marie. Il fut heu- reux en ménage, eut 5
enfants
; le premier mourut du croup ; les quatre autre
de ses deux mains ! Il se mit à pleurer. Il alla alors éveiller ses
enfants
, et, leur prenant la tête : « Re- gardez,mon br
la tenant de la main droite, mais il dut bientôt l'abandonner à ses
enfants
car sa tête tournait. La sensibilité était reve
l'usage de son bras. Il rentra chez lui en titubant, cria sur ses
enfants
leur disant qu'ils n'avaient rien fait dans la
e l'eau pour boire, il suait; il n'avait pas l'air drôle disent ses
enfants
, était bien la veille et n'avait pas bu; il se
rendormit. Vers 11 heures 1 ? il se lève, s'habille, cric après ses
enfants
et leur dit : «Je deviens tout drôle, j'ai mal
e « Camille « n'apportait pas assez vite. Il ne parlait pas à ses
enfants
. Le médecin vint alors, lui parla, mais il ne l
les affaires sont finies, ils vont venir » disait-il. Et, comme ses
enfants
dérangeaient le petit cimetière qu'il avait fai
lait pas reconnaître les personnes de l'entourage, non plus que ses
enfants
venus le visiter. Ceux- ci lui disaient bonjour
mais ne se souvient plus de nous avoir vu le jeudi précédent. Ses
enfants
sont venus le voir hier, il les a reconnus, mais
ait pouvoir s'occuper, la ville allait cesser de nourrir ses quatre
enfants
qu'elle avait pris à sa charge. D ? en fut ,\
s'est passé le jour où les troubles débu- tèrent : il disait à ses
enfants
qu'il avait mal à la tête, il voulait les condu
agents; il se souvient de ce qu'il disait alors. Le lendemain ses
enfants
lui furent amenés, et la soeur lui disait : « D..
enfants lui furent amenés, et la soeur lui disait : « D.. voyez vos
enfants
. « Le troisième jour,il se souvient bien qu'il ne
me casse la tête de savoir qu'on dit en ville que je suis fou; mes
enfants
sont là, je dois encore gagner du pain pour eux
or- mation interstitielle ». G. DENY. X\'l. La classification des
enfants
anormaux ; par le D" Deckoly (l3tclf. de la Soc
mentale) confirment nettement les observations de Binet. Sur les 22
enfants
atteints d'insuffisance intellectuelle à divers
voisins, 1 cas est à la limite supérieure. Pour la taille, 5 de ces
enfants
sont inférieurs à la limite de BinEt. Chez les 11
s ici sur le compte d'une taille trop petite, puisqu'il n'y a que G
enfants
qui ont une taille à la frontière ou inférieure à
st figé en quelque sorte au début de son dévelop- pement ; c'est un
enfant
qui n'a pas eu lui-même de puissance d'évolutio
du mardi 16 octobre 7.90C. Présidence de ¡)J, ,IULES Voisin. Les
enfants
anornuutic intellectuels. M..Iules Voisin. Depu
trop tendance il renvoyer des écoles et à qualifier d'anormaux des
enfants
qui sonl simplement espiègles, turbulents, inat
e). Il faut examiner de très près au point de vue intellectuel, les
enfants
dits anormaux et. discerner si ce sont devrais
la bonne volonté et l'énergie du pro- fesseur. Toutefois à côlé des
enfants
profondément tarés, confiés à M.Jules Voisin, à
Ecole de réforme de la Salpêtrière, il existe toute une catégorie d'
enfants
intraitables, indociles, indisciplinés qui ont
é fondée la maison de Créteil, véritable colo- nie champêtre où les
enfants
sont soumis aune surveillance étroite, quoique
t une visite scientifique à l'Institution familiale de Créteil pour
enfants
anormaux afin d apprécier les méthodes pédagogi
la Somme en décidant généreusement la construction d'un quartier d'
enfants
à l'Asile de Dury. « Il n'en est pas de même po
maladies incidentes, des psychoses aiguës, et l'hospitalisation des
enfants
arriérés. » Labo- ratoii-e, enseignement du per
La femme Chény s'attaqua à lui disant que sa fille allait avoir un
enfant
. Richard lui envoya aussitôt un coup de pied da
t d'arrestation laissant en liberté la seconde qui estmère de trois
enfants
. Richard est âgé de 40 ans, sa femme, Morencé.
ou moins imaginaires, le forçaient à mettre le feu pour venger ses
enfants
victimes de nous ne savons qu'elle persécution.
malheur est arrivé (Bonhomme normand, 22 juin). La moralité DE l'
enfant
. Un petit garçon de dix ans attein t d'orchite
logis pendant toute la jour- née, et il n'est pas rare de voir des
enfants
abandonnés à eux- mêmes depuis le réveil jusqu'
s-parents, les oncles et tantes. Une soeur mariée qui a cc 3 ou 4 »
enfants
, sur la santé des- quels on a pas de renseignem
second oncle paternel, âgé de 58 ans, bien portant ; marié, un seul
enfant
(garçon) de 23 ans. Pas de renseignements sur l
typhoïde à 7 ans. Trois soeurs : l'aî- née, 31 ans, mariée, a deux
enfants
bien portants, qui n'ont pas eu de convulsions
as de consanguinité. Inégalité d'âge : 6 ans (père plus âgé. Cinq
enfants
: pas de fausses couches. Le premier est un gar
par un train dont elle n'était pas avertie, elle crut qu'un de ses
enfants
était sur la voie et eut « une peur bleue ». Au
la nuit elle ac- coucha. Accouchement naturel.- A la naissance l'
enfant
cria tout de suite, cependant elle était bleue
elle resta ainsi pendant trois semaines, puis la cyanose passa. L'
enfant
était beaucoup plus petite que ses frères et seeu
ont point cessé pendant l'allaitement. Durant ces premiers mois l'
enfant
a toujours été très constipée ; jusqu'à l'âge de
point qu'on était obligé de la réveiller pour l'allaiter. Jamais l'
enfant
ne pleurait. A 6 mois, elle fut prise de petite
le médecin. - i'28 CLI 1\ 1 QI"I : ME1-o'I ALE A cette époque l'
enfant
commença à présenter du sira- bisme ; « ses yeu
ois à un an. « Elle n'a jamais été, dit la mère, comme les autres
enfants
». Elle s'est développée assez régulièrement jus-
e ; Début de la marche vers la troisième année, en même temps que l'
enfant
commence à se servir de cuiller et de fourchett
endre, et on la renvoie parce qu'elle était sale. A cette époque, l'
enfant
n'a aucune espèce de notion du danger, un jour
ller chaque matin u. Etait très sujette aux rhumes. Caractère : l'
enfant
est caressante avec sa mère, ses frères et soeu
ion d'hébétude complète encore accrue par ses tics et son regard. L'
enfant
est très myope et chaque fois qu'elle fixe un o
qui existe à l'autopsie) ; larynx normal. Membres supérieurs. - L'
enfant
est gauche dans ses mouvements, mais il n'y a a
es dépassant un peu les grandes ; pas de vulvite. Intelligence. L'
enfant
est idiote ; la parole est limitée à IMBÉCI
çant. - Elle n'a ni ver- tiges, ni accès d'épilepsie. Ecolage : l'
enfant
est d'une nullité complète. 432 CLINIQUE MENT
ied jamais autrement. (Ftg. 24.) 1902. Au mois de janvier 1902, l'
enfant
mesure 1 m. 15 au lieu de 1 m. 32, d'où une dif
e glande fraîche du mouton, chaque jour peu. dant la lrc semaine. L'
enfant
pèse 26 kilogs. Au onzième jour l'enfant a pris
. dant la lrc semaine. L'enfant pèse 26 kilogs. Au onzième jour l'
enfant
a pris neuf fois la dose de 0,25 cg. La températu
se maintenir entre 37° et 38' avec une moyenne générale de 37 5. L'
enfant
est alors pesée et l'on constate qu'elle a perd
est portée de 0,25 cg. à 0,50 cg. pendant quatre jours seulement,l'
enfant
ayant contracté de la bronchite, on est obligé
le traitement le 1er février à la dose de 0 gr. 50 cg. de glande. L'
enfant
est pesée le 4,elle a perdu 100 gr., mais la tail
gramme et jusqu'au 24 avril, jour où l'on suspend le traitement, l'
enfant
prend 46 doses de 1 gramme de glande thyroïde (
ère (1) et jus- qu'au 20 août, c'est-à-dire en plus d'un mois 1/2 l'
enfant
ne Fie. 23. - Goll ? il 9 ans el demi (1899).
des mains, cependant s'habil- lait et aidait à habiller les autres
enfants
, mais maladroite- ment et lentement. Pas d'onyc
mblements. Pas de manifestations cuta- nées, pas de desquamation. L'
enfant
a bon appétit, elle boit comme à l'ordinaire, s
it remarqué chez elle, l'altération que présentent généralement les
enfants
qui sui- vent le même traitement. Tableau du
semaine la dose première ( 0 gr. 25 cg.), jusqu'à 1 gramme. Comme l'
enfant
supportait admirablement la glande on a, pendan
identiques à celles du semestre précédent. Pendant ce semestre, l'
enfant
a encore gagné un cenli- mètre. 11111, '¡ C
uite d'une poussée de bronchite aiguë. Pendant ces quatre mois, l'
enfant
a gagné encore trois centimètres ; et la tempér
ixième fois on reprend le traitement thyroï- dien le 1er janvier. L'
enfant
avait déjà. gagné 1 cenlimèlre, lorsque, le 18
rem- blantes, les lèvres sont bleues, les extrémités cyanosées. L'
enfant
est couchée sur le dos, les jambes repliées, les
extrémités des talons touchant les fesses. Vers le mois de mai, l'
enfant
qui était assez difficile à soi- gner et très e
geante, s'améliore. La température s'élève toujours le soir, mais l'
enfant
augmente un peu de poids. TUBERCULOSE. 447
r, Cott.. mesure 1 m. 25 et pèse 26 k. 500, la taille ordinaire des
enfants
de son âge (17 ans) étant de 1 m. 52, notre mal
e jusqu'à 1 gr. 25, mais on est obligé de suspendre le 15 avril,- l'
enfant
étant à nouveau reprise de phénomènes pulmonair
eau reprise de phénomènes pulmonaires. Cette fois, la taille de l'
enfant
n'a pas changé, elle pèse seulement 25 kil. le 15
e seulement 25 kil. le 15 août. A partir de ce moment l'état de l'
enfant
s'aggrave rapi- dement ; elle maigrit progressi
lations donne des différences de 2 degrés et varie de 38° à 40 '. L'
enfant
tousse beaucoup, elle ne crache pas, avale les
sistante, de couleur jaunâtre et d'odeur fétide. On sura- limente l'
enfant
, lait, oeufs, côtelettes, et viande crue. 111ai
, élixir pa- régorique,eLc, La fièvre ne tombe pas ; malgré tout, l'
enfant
s'alimente assez bien, et mange tout ce qu'on l
se Loti- jours beaucoup, mais ne crache jamais. Juin. L'état de l'
enfant
ne s'améliore pas; elle a encore perdu 1 kilogr
tre, elle réclame inces- samment à boire. Les nuits sont agitées, l'
enfant
ne dort plus. Toujours fièvre à grandes oscilla
sommets et des râles humides dans toute l'étendue de la poitrine, l'
enfant
respire d'ailleurs très mal. Son teint est de p
irement dans le ventre suivie de l'accouchement prématuré. III. L'
enfant
présente des la naissance, quoiqu'elle ait crié
3 à 9 ans, arrêt de développement phy- sique. L'état anormal de l'
enfant
a été relevé par la mère dès les premiers temps
, avril 190j) ; Cbarlier, Idiotie mongolienne (Archives de méd. des
enfants
, 190ti, p. 99 el 3; ! 1).Seris (Jean), Le mongo
DouRRET. (Lyon médical, '21 juin 1906, p. 1270.) Observation d'un
enfant
de 13 ans qui présenta à la suite d'une otorrhé
arurent, une ponction lombaire donna issue à un liquide louche et l'
enfant
mourut de méningite. 462 REVUE DE PATHOLOGIE
avait mordu huit personnes. La seconde observation est celle d'un
enfant
de 9 ans né d'une mère variqueuse et ne présent
it débuté par des mouvements désordonnés des quatre membres, puis l'
enfant
était resté la proie d'un violent délire, délir
pait, injuriait. Au bout de quelques heures le calme renaissait ; l'
enfant
très abattu conservait les symptômes suivants ;
atre pattes, miaulait, griffait. 1. Dans l'intervalle des crises, l'
enfant
était bien ; il présentaitun esprit éveillé. 11
ensitif, ré- flexe, ni trophique. Pas de stigmates hystériques. L'
enfant
était doncun hystérique porteur de varices congén
se ; tubercules cérébro et cérébelleux ; caverne pulmonaire chez un
enfant
de 8 mois ; par MM. Rabot et LARL.1TIER. (Lyon
La méningite tuberculeuse est aussi assez rare chez le toutjeu- ne
enfant
. L'observation ne diffère par ses symptômes des c
tre que l'évolution des tubercules de l'encéphale chez le toutjeune
enfant
diffère sensiblement de ce qu'elle est chez l'a
psycho- névroses. Dans la famille et à l'école,à force de faire aux
enfants
des remontrances exagérées on injustes, on fait
iété . sans distinction de race, de nationalité ou de religion. Les
enfants
doivent garder le silence absolu devant leurs p
y met en parallèle les mentalités des primitifs, des sauvages, des
enfants
et des malades; il compare en outre les épidémi
ocial, en commençant par- leur éducation mutuelle et celle de leurs
enfants
. » N'est-ce poinl parfait, et d'une haute envol
ontogénie, l'amour, de sexuel, devient hu- manitaire, altruiste : l'
enfant
est égoïste ; l'adulte fait de l'égoïs- me à de
ne nuisent à personne), le ma- triarcat, avec le nom de la mère aux
enfants
, etc.; la castration peut être autorisée pour é
e l'un et de l'autre sexe, âgés de G à 12 ans ; 2° le nombre de ces
enfants
, garçons et filles ; 3" le prix débourse payé p
du lundi 14 janvier. 2° L'hypnotisme et l'orthopédie mentale : Les
enfants
et les adolescents anor- maux : Retardataires,
2. Contracture. Attitudes vicieu- ses par - hystérique chez les
enfants
, par Broca et Herbi- net, P. 222, CONVULSiVAN
. Empyème. Voir 7-fMO-7'tt))M)<)'. Enfance anormale, p. 328.
Enfants
anormaux. La classifi- cation des - -, par Decr
à l'étude de la - mentale chez ruo TABLE Dl.S MATIERES. les
enfants
, par Giuseppe Bel- lei, p. 153. -. Voir Courbes
ne. Note sur les bons effets de la (mé- thode Cristiaiii) chez un
enfant
arriéré par défaut de dévelop- pement de la g
. - Tubercules cérébro et cérébelleux. caverne pulmonaire chez un
enfant
de 8 mois par Rabot et Barla- tier, p. 467.
le. mente. Voir 1110 ? sen. Méthode HYPNO-PÉDAGOG1QUE, chez les
enfants
du patronage Rocher, par Pamart, p. 51. 1\[IC
ons mises à l'ordre du jour sont les suivantes : 1° L'Éducation des
enfants
anormaux: procédés pédagogiques pratiques et résu
et ce pas a été franchi. Or, consultons les statistiques. Sur 716
enfants
que Fischer a opérés de végétation adénoïdes. 106
e. Les familles déplorent la mauvaise habitude noc- turne de leur
enfant
, elles déplorent encore plus les souillures de sa
r quatre ou cinq heures, peut-être plus sans se vider. En obligeant l'
enfant
à se lever, on entraîne sa vessie à se vider tout
rofondément. Les mamans savent la peine qu'elles ont à réveiller leur
enfant
, au milieu de la nuit, je ne dis pas complètement
s, esclaves de préjugés surannés, refusent de laisser hypnotiser leur
enfant
. Alors il faut utiliser le sommeil naturel comme
-moi. N'est-ce pas que tu appelleras ta maman '? » — « Oui ! », dit l'
enfant
, en se retournant dans son lit, sans toutefois se
te, parle ! Qu'est-ce que tu lui diras ?» — Maman pipi ! » articule l'
enfant
, toujours sans se réveiller. — « Tu me le promets
par ces mots : « La thérapeutique de l'incontinence d'urine chez les
enfants
n'a, jusqu'ici, enregistré qu'un nombre relativem
rrésistible de dormir. Le malade dormait 18 heures par jour, comme un
enfant
disait-il. L'appétit revint très vite : pas d'éte
u sur le parquet, immobile, rigide, pousssant de petits cris comme un
enfant
méningitique. Les sanglots, les hoquets deviennen
erribles d'erreur judiciaire : l'hystérie et les faux témoignages des
enfants
. L'affaire La Boncière. l'affaire Benoit, l'affai
ation d'oeuvres du plus haut intérêt social. L'Etat hongrois et les
enfants
« difficiles » En Hongrie. l'Etat lui-même s'es
onstitué, depuis environ dix-huit mois, le protecteur obligatoire dea
enfants
vicieux, difficiles etmoralement abandonnés. Depu
rigoureuse, dans des maisons de santé ou, enfin, dansdea asiles pour
enfants
Incurables. Cette nouvelle organisation réduit au
mineurs, toute inscription au casier judiciaire, de ¿acón a ce que l'
enfant
ne soit jamais marqué d'un stigmate indélébile pa
sivement sur des sujets du sexe féminin, est une maladie spéciale aux
enfants
gâtés ou aux filles uniques. La situation psych
n nombre de particularités sur lesquelles il convient d'insister. L'
enfant
y est considéré comme un objet dont la conservati
les inquiétudes sans cesse exprimées par la mère sur le régime de son
enfant
, lui dit brusquement : « Madame, si vous continue
ment : « Madame, si vous continuez ainsi à. bourrer constamment votre
enfant
de viandes et de victuailles, elle deviendra gros
, cessé de leur être applicables La sollicitude familiale à l'égard d'
enfants
obtenus et conservés avec quelque difficulté, peu
ussions se sont groupées autour de 3 questions principales : 1o Les
enfants
anormaux : 2° l'éducation professionnelle ; 3° le
ent ; pour y réussir il faut faire leur éducation en les séparant des
enfants
normaux. En matière d'éducation professionnelle
parallélisme dans le développement des facultés intellectuelles. Tels
enfants
peu avancés dans les études scolaires, font preuv
de Créteil se résument dans les préceptes suivants : 1° Placer l'
enfant
dans un milieu favorable au développement de sa r
de la Revue de l'Hypnotisme. 1 fr. L. Bérillox : La timidité chez l'
enfant
. 24 pages in-S°. Bureaux de la Revue de l'Hypnoti
, ces parents réservant le meilleur de leur affection à ceux de leurs
enfants
, qui. volontairement, ne leur causent que chagrin
l'un du souvenir « de Patrocle. l'autre de la mort du dernier de ses
enfants
, il dit qu'ils « se saoulent de ce plaisir, il le
, les premiers résultats de l'action médicale et l'étude médicale des
enfants
des classes spéciales. De ce dernier chapitre nou
égard le Dr Jacquin : « Le dynamomètre nous a montré chez tous nos
enfants
, ou presque tous, une conservation de la force mu
ur l'affirmer d'une façon ferme, l'épreuve comparative faite chez des
enfants
normaux du même fige « Si la force musculaire e
très développée. Il suffit, pour s'en convaincre, de faire faire aux
enfants
quelques exercices un peu compliqués. Il y a peut
« L'étude des réflexes tendineux ne mérite pas de nous arrêter. Trois
enfants
cependant présentaient des réflexes rotuliens vif
plosive. « Lee tics, relevés avec soin, ont été constatés chez neuf
enfants
sur vingt. Ce sont des tics rarement systématisés
ire pour ainsi dire du précédent, c'est la variabilité, chez tous nos
enfants
, du caractère, de l'affectivité, avec tendance pl
iénation moutafe. Ce fait regarde les médecins des écoles, 10 °/n des
enfants
qni se suicident sont des aliénés, vient une troi
borda ensuite la troublante question de l'hystérie et du témoignage d'
enfants
, pour citer après quelques exemples d'erreurs jud
la France intellectuelle érige aujourd'hui à l'un de ses plus nobles
enfants
, représente Jules Liégeois enveloppé dans les pli
urs qualités spécifiques. Il suffit de comparer entre eux le fœtus, l'
enfant
et l'homme fait pour voir qu'au cours du temps l'
a pratique en est relativement facile : le malade est traité comme un
enfant
. Mais quand il s'agit de rétablir l'ordre, la mes
e Buda-Pest (août 1909) Le rôle du psychologue dans l'éducation des
enfants
normaux et anormaux par M. A. Ley (de Uccle-Bru
on. C'est dans ce but que le médecin doit faire l'examen complet de l'
enfant
, surveiller sa santé physique et l'intégrité de s
formule normale des diverses manifestations intellectuelles. Chez les
enfants
anormaux ou irréguliers, une des premières préocc
pronostic et d'arriver à une répartition rationnelle et homogène des
enfants
. Cette classification est difficile et la confu
être regardé comme une maladie. Les tendances criminelles chez les
enfants
phrénasténiques. par M. Ehxesto Tramonti (de Ro
L'auteur a pu démontrer avec de longues recherches pratiquées sur 136
enfants
phrénasténiques de l'Asile-EcoIe de Rome qu'ils p
nt d'ordinaire voulue, elle est subie, et par là il me semble que les
enfants
paresseux rentrent, à un certain point de vue. da
Or l'examen clinique nous permet de constater que presque tous ces
enfants
sont des intoxiqués, de l'appareil digestif, musc
sirictement nécessaires à la taille, au poids, au développement de l'
enfant
, elle sollicite le moins possible le travail d'él
petite quantité de poisson blan bouilli et de légumineuses en purée L'
enfant
doit manger lentement, bien mastiquer sa nourritu
le seul moyen de cette dialétique. rigoureusement observée, voit-on l'
enfant
se réveiller de son indolence, reprendre des forc
fs de gymnastique. Mais pas de douches ni de bains froids, auxquels l'
enfant
réagit fort mal. Au début de la cure, le moin
ouvent de bons effets. Au bout de quelques jours, on peut laisser l'
enfant
faire une petite marche accompagnée, avec un moti
e curiosité qui la justifie, car il ne faut jamais faire accomplira l'
enfant
. — et au paresseux moins qu'à tout autre — une be
as indispensable. Si on le peut cependant on conduira avec avantage l'
enfant
à la campagne, de préférence en montagne, mais à
othérapie. Discussion. M. Fiessinger. — Il arrive souvent que des
enfants
paresseux au cours de leurs études ont réussi cep
arfois la manifestation d'un sens réfléchi, loin d'être un défaut. Un
enfant
intelligent, doué d'aptitudes déterminées, se ren
n nombre de grands hommes et en particulier chez Ch. Darwin qui. tout
enfant
, préférait s'intéresser aux insectes et aux plant
e, on se querelle, on s'emporte contre les contradicteurs, contre les
enfants
, contre les domestiques, contre les fournisseurs
t de sept mois, guérie instantanément par suggestion impérative Une
enfant
de 12 ans. très nerveuse, est adressée au docteur
is après, apparut subitement la paralysie sans aucun autre trouble. L'
enfant
raconte qu'elle a été 6 h 7 jours sans uriner ; à
a main gauche qu'il a mise en l'air et. s'emparant de la volonté de l'
enfant
, en quelques secondes, il peut voir les muscles j
alors contractures se relâcher, le membre se mettre en extension et l'
enfant
remuer doigts et bras, puis se jeter-au cou de so
11. rue Saint-André-des-Arts. Ces consultations sont destinées aux
enfants
et anx adolescents anormaux (retardataires, insta
ura lieu un dimanche a l'Etablissement médico-pédagoglque de Crétell (
enfants
et adolescents retardataires et nerveux), sous la
sultations les mardis, jeudis, samedis, de 10 heures à midi, pour les
enfants
anormaux (retardataires, instables, vicieux et ne
x de la Revue de l'Hypnotisme. 1 fr. L. Bérillox : La timidité chez l'
enfant
. 24 pages. In-8° Bureaux de la Revue de l'Hypno
psychologique ; 4° La suggestibililé et la crédulité naturelle des
enfants
; 5° L'insuffisance d'éducation psychologique c
e je l'ai observé chez une femme divorcée, qui voulait suggérer à ses
enfants
la haine de leur père. Cette suggestion, tout com
é, ancien ministre. Lundi 17 janvier, à cinq heures : Le musée de l'
enfant
anormal. Les figurations des anomalies dans l'art
à se fixer. Cette mobilité intellectuelle s'explique chez les jeunes
enfants
par l'extrême variabilitéde leurs états affectifs
ge croissante des programmes scolaires, en dispersant les efforts des
enfants
sur un nombre de plus en plus considérable de mat
nie légitime choisie pour reproduire son espèce, et devenir le père d'
enfants
qui supporteront la conséquence de fautes dont il
crée le sort des hommes écarte de votre procès la femme hystérique, l'
enfant
menteur, le témoin dont l'esprit est malade et ce
n, plus de prudence dans sa déposition. Les femmes hystériques, les
enfants
, les experts, l'hypnotisme et toutes les altérati
individu violent ou grossier, aux témoignages toujours suspects d'un
enfant
ou d'un adolescent, comment voulez-vous qu'il s'e
ue sa guérison s'était pleinement maintenue. PSYCHO-PÉDAGOGIE Les
enfants
de Madrid par M. Bvfixo Biasco Président de la
ques de l'Association nationale de l'enseignement primaire Tous les
enfants
, par le seul fait qu'ils sont des enfants, mérite
gnement primaire Tous les enfants, par le seul fait qu'ils sont des
enfants
, méritent l'étude la plus attentive et rien ne do
les éducateurs modernes que leur étude psychologique Mais si tous les
enfants
, pour être bien dirigés, méritent d'être étudiés
, pour être bien dirigés, méritent d'être étudiés individuellement, l'
enfant
de Madrid offre dans son ensemble un type particu
type particulier qui fait qu'il se détache vigoureusement des autres
enfants
espagnols et même des autres enfants du monde.
étache vigoureusement des autres enfants espagnols et même des autres
enfants
du monde. L'enfant de Madrid est, entre tous, l
des autres enfants espagnols et même des autres enfants du monde. L'
enfant
de Madrid est, entre tous, le plus foncièrement u
e veux dire par là qu'il est le plus attaché à la ville. Il y a des
enfants
à Madrid qui ne sont jamais sortis de : - tir qua
nt seuls entraînés par la nécessité à des exercices champêtres. L'
enfant
de Madrid, pour des raisons d'hérédité et de mili
ociles parce qu'ils sont hardis, vifs et précoces. La précocité des
enfants
de Madrid s'explique par la prédominance du dével
aussi par le grand nombre d'objets qui sollicitent l'attention de ces
enfants
depuis leur bas-age. Les enfants de Madrid prés
qui sollicitent l'attention de ces enfants depuis leur bas-age. Les
enfants
de Madrid présentent un arrêt de développement ve
présentent un arrêt de développement vers la crise de puberté. Ces
enfants
qui perdent vite leur candeur parce qu'ils appren
, les journaux avec ou sans illustrations retiennent l'attention de l'
enfant
de la capitale de l'Espagne. L'eau et l'air pur
spagne. L'eau et l'air pur lui manquent. C'est pour cela que tant d'
enfants
meurent à Madrid Madrid, a-t-on dit, suffirait
uges. Il y a des jours où au cimetière de l'Est on enterre plus de 30
enfants
et il n'y en a pas moins de 8000 qui périssent ch
a-l'Ecole normale de professeurs. Ces données nous font connaître l'
enfant
type, l'enfant normal, la moyenne physiologique d
le de professeurs. Ces données nous font connaître l'enfant type, l'
enfant
normal, la moyenne physiologique des enfants madr
onnaître l'enfant type, l'enfant normal, la moyenne physiologique des
enfants
madrilènes de 6 à 13 ans. L'enfant normal de Ma
l, la moyenne physiologique des enfants madrilènes de 6 à 13 ans. L'
enfant
normal de Madrid V IL 2 "5 & o II S! fi" ~
13 30 1.35 68 68 62 15 19 72 29 35.05 28 83 Je ne crois pas que l'
enfant
de Madrid représente le type physiolo- gique
onnées du tableau précédent on peut remarquer comment grandissent les
enfants
de Madrid. J'y ajoute les considérations personne
joute les considérations personnelles suivantes : Il n'y a pas deux
enfants
qui croissent d'une même manière. Un même enfan
Il n'y a pas deux enfants qui croissent d'une même manière. Un même
enfant
ne grandit pas également pendant une même durée d
s également pendant une même durée de temps. Les forces du corps d'un
enfant
ne croissent pas dans la même proportion pendant
ne croissent pas dans la même proportion pendant un même temps. Vn
enfant
n'est pas anatomiquement semblable deux jours de
sens sont aussi curieuses et intéressantes. L'examen de la vue des
enfants
de Madrid offre des résultats peu satisfaisants,
fants de Madrid offre des résultats peu satisfaisants, car 27 0/0 des
enfants
observés ont une vue inférieure a la normale et 1
éfauts en ce qui concerne la perception des couleurs. Le nombre des
enfants
durs d'oreille, en revanche, n'est pas alarmant,
l'ouïe musicale, le résultat est encore meilleur, puisque 37 0/0 des
enfants
observés ont une bonne .oreille. Le nombre des
e 37 0/0 des enfants observés ont une bonne .oreille. Le nombre des
enfants
qui ont des défauts permanents de prononciation n
fauts permanents de prononciation n'arrive pas à 3 0/0. La voix des
enfants
qui chantent, a les limites d'une octave dont la
vent, aussi, il est vrai, on procède tout antrement. surtout pour les
enfants
. Pour savoir d'abord de quel mal souffre le petit
saint Ollle, le mal de saint Mamert et celui de saint Christophe. • L'
enfant
fit successivement les trois voyages. Enumérons
allon : sainte Bose de Lima. — J/?/ de sainte Rose (impétigo chez les
enfants
^ ophtalmies). Chemtllé-snr-Androits : saint Boc
hez les enfants^ ophtalmies). Chemtllé-snr-Androits : saint Boch. —
Enfants
débiles, convulsion*. Beaumont : Village de >\
nts débiles, convulsion*. Beaumont : Village de >\-IÏ.-dn-Chêne. —
Enfants
qui ne marchent pas. Algues-Vives : saint Gilles.
Vaujours (chapelle de la forêt) : saint Gerlnchon. — Pour avoir des
enfants
frisés Izeures : sainte Anne. — Pour obtenir un b
tants de Loches.) St-Cyr-siir-Loîre : saint Cyr. — Pour entanquer le*
enfants
. [Pour faire prendre le sein.) Tours «chapelle
hapelle de l'Hôpitai-Général; : Saint Fait s te. — Donne la force au*
enfants
débile*. Les tiqueurs : leur appréciation au po
ons que je viens de faire : Une femme, âgée de 3S ans, mère de deux
enfants
, âgés respectivement de 4 et 7 ans, me confie dan
psychologie médicale (à l'Ecole de psychologie). Sujet du cours : Les
enfants
anormaux; l'hgpnotisme et l'orthopédie mentale.
très galant homme qu'elle aimait beaucoup et dont elle avait eu deux
enfants
bien portants. A peine entrée dans mon cabinet, e
ent grandement retenti sur le tempérament naturellement craintif de l'
enfant
. Depuis l'internement de son père, remontant à de
ro ejus ex sanguine arca cor existente) fut formé en un clin d'œil un
enfant
masculin très bien bâti. Ensuite elle vit naître
in d'œil un enfant masculin très bien bâti. Ensuite elle vit naître l'
enfant
de la Vierge et bientôt sucer les seins de sa mèr
as de laquelle il était enveloppé de son voile de tête. Les yeux de l'
enfant
étincelaient comme des étoiles fulminantes. C
ère dans laquelle elle avait été conçue et elle mit au monde le divin
enfant
à la même heure La Vierge avait la figure très dé
eption d'une foule innombrable d'anges qui entouraient la Vierge et l'
enfant
. Et quoique tous les anges rayonnassent de lumièr
elle qu'elle ne sut plus supporter ses membrée. Et Dieu a voulu que l'
enfant
naquit comme ses égaux. Le post-scriptum du liv
pas remplir ses devoirs de famille et de négliger l'éducation de ses
enfants
. Elle se plaint snrtont que lui, qui guérit tant
qu'à s'abaisser au-dessous du minimum perceptible ? Ce qui arrive à l'
enfant
irrité ou souffrant que l'on calme par une chanso
à traduite, si poétiquement dans les deux vers suivants : Córame un
enfant
bercé par un chaut monotone Mon âme s'assoupit au
état d'ivresse, celle-ci lui faisait avoir avec elle des relations. L'
enfant
s'en défendait mal, car il en éprouvait une sensa
e, mais aussi d'avoir, en les embrassant, communiqué la maladie à ses
enfants
. Il veut se soigner, il veut obliger sa femme à s
veut obliger sa femme à suivre son traitement, il veut aussi que ses
enfants
se soumettent à la volonté qu'il a de les guérir.
e hystérique, dit en concluant le docteur Morselli, est une éternelle
enfant
, et le code devrait avoir un article spécial à so
s intérêts avec ceux de la communauté. Il en découle la déférence des
enfants
à son égard : ils ne l'appellent que Monsieur, ne
rent sans lui perdirent la vie-et furent poursuivis jusque dans leurs
enfants
. En résumé le monde musulman est, par les ensei
passionnément conservateur par conséquent ; qne son influence sur les
enfants
dont elle fait l'éducation première, a une tendan
ndré-des-Arts, un cours de psychologie médicale. Sujet du cours : les
enfants
anormanx ; l'orthopédie mentale. Jeudi 12 mai :
r un des instruments dont se sert M11* Mulot, pour l'éducation de ses
enfants
aveugles et qui peut être employé aussi pour les
ation de ses enfants aveugles et qui peut être employé aussi pour les
enfants
normaux, Cet instrument est une sphère en relief
er la sphère. Ce travail de montage et de démontage est facile et l'
enfant
le fait avec beaucoup de plaisir. Le montage et l
de latitude et l'Equateur. Ces degrés servent de points de repère à l'
enfant
. Les lignes courbes pointillées représentent le t
hère. Cette sobriété dans les couleurs est voulue. De cette manière l'
enfant
a des notions plus précises, une vue d'ensemble p
s les écoles communales. Cette sphère reste dans la possession de l'
enfant
jusqu'à la fin de ses études et tous les jours l'
ssession de l'enfant jusqu'à la fin de ses études et tous les jours l'
enfant
s'applique à monter et à démonter sa sphère et à
phère et à reconnaître les parties du monde qui la composent. Quand l'
enfant
connaît bien sa sphère on lui donne à chercher le
e latitude et bientôt le pays contenu entre ces degrés est connu de l'
enfant
et on dit le pays situé entre tel et tel degré s'
sens musculaire pour suivre tous les détails de cette sphère, force l'
enfant
à l'attention et à la réflexion. D ne doit pas da
des promontoires, des presqu'îles apparaissent. Ce sont, dit le jeune
enfant
, des prolongements de la terre dans la mer. Ces p
ements reçoivent les noms qu'il leur convient quand la curiosité de l'
enfant
est éveillée c'est-à-dire plus tard au bout au mo
au bout au moins de dix-huit mois. C'est ainsi que sans s'en douter l'
enfant
apprend des notions générales de géographie ; qu'
on se sert des tests pour apprécier le degré d'intelligence de chaque
enfant
on s'aperçoit qu'il rend parfaitement compte pais
r, si en un mot il ne s'est pas habitué h faire des choses utiles,cet
enfant
quoique intelligent,restera étourdi.versatile; so
e; son raisonnement et son jugement seront fréquemment en défaut. L'
enfant
bien portant a besoin de mouvements, il s'agite,
echerchées. Elles ne doivent pas être une contrainte, nn ennui pour l'
enfant
. Dans ce cas elles seraient cause d'un ralentisse
ontraire cette gymnastique est bien raisonnée et agréable elle rend l'
enfant
docile discipliné, réfléchi et lui fait aimer l'o
ut d'assouplir les mouvements et de bien les coordonner, on donne à l'
enfant
des leçons de choses. Par le jardin de l'enfant,
rdonner, on donne à l'enfant des leçons de choses. Par le jardin de l'
enfant
, on lui apprend le pliage, le découpage, le croch
produit, comme je l'ai dit plus haut, de l'attention de la part de l'
enfant
et fait disparaître souvent des tics qui sont si
t volontaire ; mais cet effort volontaire est bienfaisant. Il force l'
enfant
à réfléchir et à maîtriser ses mouvements, à les
voir constamment en vue, dans l'éducation. Une fois le but atteint, l'
enfant
éprouve un plaisir et quand un plaisir est fréque
encer par des sensations d'un seul sens, puisque nous avons donné à l'
enfant
' l'habitude de contrôler tontes ses sensations p
dit Frœbel, le professeur fait en toute chose œuvre de raison avec l'
enfant
en employant ces méthodes, et je suis convaincu q
du sens tactile et musculaire. Il en est de même pour la lecture. L'
enfant
apprend ses lettres à l'aide d'un pantin articulé
cution des mouvements de ce pantin nécessite toujours de la part de l'
enfant
un certain degré d'attention. Le résultat obtenn
ntion. Le résultat obtenn étant l'image d'une lettre de l'alphabet, l'
enfant
exprime de la joie en prononçant cette lettre et
la dextérité. M. Paul Migsis. — Tous les sens devraient être chez l'
enfant
l'objet d'nne éducation minutieuse. On ne verrait
rise facile (comme tout le monde a pu s'en assurer — surtout chez les
enfants
— sur des dormeurs éveillés même le matin et pare
responsable en raison de sa faiblesse naturelle, ou ménagée à cause d'
enfants
dont l'âge réclame ses soins. L'institution du di
it exclusivement du travail de la femme est à peu près inconnu. Les
enfants
vivent sous la dépendance des femmes soit, pour l
191, 225, 226. Ecole de psychologie pendant l'inondation, p. 253.
Enfants
difficiles, p. 33. Enfants de Madrid (Les), par
sychologie pendant l'inondation, p. 253. Enfants difficiles, p. 33.
Enfants
de Madrid (Les), par Bianco. p. 250. Enseigneme
cte toujours chez l'adulte un centre qu'elle frappe toujours chez l'
enfant
? D'autre part dans l'épilepsie Jacksonnienne d
e nous répond exactement aux questions de son âge, du nombre de ses
enfants
, sur l'époque de la mort de son mari. Demandé
faits ré- cents qu'anciens. La malade ne se rappelle plus combien d'
enfants
elle a eu, elle ne sait plus ce qui est arrivé
e qu'elle s'est coupé le cou, nous dit Je nom de son mari et de ses
enfants
. L'affection pour ses enfants est exagérée, ell
nous dit Je nom de son mari et de ses enfants. L'affection pour ses
enfants
est exagérée, elle pleure quand on lui eu parle
and on lui eu parle et demande qu'on la laisse partir pour voir ses
enfants
. Elle mange très peu et après de longues insist
nelle. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de seize ans. Six
enfants
: 1° une fille de vingt-deux ans, bien portante,
lle de vingt-deux ans, bien portante, un peu nerveuse, mariée, a un
enfant
de treize mois bien venant ; 21, un garçon, mor
que pour l'aînée qu'on a eu besoin de fers ». A la ? zaissa ? ice, l'
enfant
n'était pas « très fort », pas d'asphyxie. Nour
suite des convulsions, bégaiement très pro- noncé. A huit ans, l'
enfant
a été mis dans une petite pension où il est res
péciale. Depuis le le, janvier 1896, le caractère s'est modifié ; l'
enfant
est devenu entêté, menteur, sombre, avait des a
u collège, vio- lente crise nerveuse : le corps s'est raidi, puis l'
enfant
s'est écrié : tjevais mourir » ; il ouvraitles
s idées de suicide, mais sans tentatives sérieuses. Le langage de l'
enfant
devient très grossier; il fait des menaces de m
ès grande activité, René aime les jeux violents. Debout et assis, l'
enfant
a une tendance à pencher en avant le haut du co
, le goût et le toucher sont normaux, vue faible, 'légère myopie, l'
enfant
ne distingue rien dans la demi-obscurité (hémér
le normale. Etat psychologique. L'intelligence n'est pas celle d'un
enfant
de son âge au point de vue scolaire. L'écriture
oindre problème; les connais- sances usuelles sont très limitées, l'
enfant
ne cherchant même pas à se rendre compte de ce
rait être la véri- table cause de l'arriération intellectuelle de l'
enfant
. Etat instinctif et moral. René est très gai qu
s'est produit à deux reprises. 18. La nuit a été bonne, bien que l'
enfant
, en se couchant, se soit encore plaint de doule
uvelles contorsions pendant une minute, sans raideur consécutive. L'
enfant
reste couché un quart d'heure sur l'herbe, sans
mélancolie d'une durée de cinq minutes environ. A partir du 26, l'
enfant
ne présente aucun accident nerveux et suit régu
travaux scolaires; traitement moral. ' A partir du mois d'août l'
enfant
prend deux douches par jour. Août. On a de la p
prend deux douches par jour. Août. On a de la peine à obtenir de l'
enfant
qu'il ne soit pas bruyant en classe : il quitte
qu'on lui fait faire (brouette, ratissage des allées). Octobre. L'
enfant
ne taquine plus que dans les jeux. Gai et encor
été témoin, nous dit sa mère, d'un accident de tramway (un petit
enfant
renversé par les chevaux). René en a été si impre
qui l'avait contrarié. Regard méchant. A été vite calmé. Mars.- L'
enfant
sort à l'occasion du mardi gras, il est restédix
ait tous les jours des progrès. Le caractère s'est bien amélioré, l'
enfant
n'a eu aucun mouvement de colère, bien qu'il ai
décembre 1897; ses parents, que nous rencontrons, nous disent que l'
enfant
va ALCOOLISME DE L'ENFANCE. 57 Î très bien,
pension à D... où on est très content de lui. - La physionomie de l'
enfant
est fraîche; en causant avec lui on s'aperçoit
ie de l'enfant est fraîche; en causant avec lui on s'aperçoit que l'
enfant
est tout à fait calme, et l'affection qu'il nou
taque d'apoplexie. Un frère aurait eu. une méningite ( ? ). II. L'
enfant
aurait été tout à fait normal jusqu'à quatre an
enait mal. A partir de janvier 1896, le caractère s'est modifié : l'
enfant
est devenu entêté, menteur, sombre et sujet à d
saire affaiblit la résistance de tout l'organisme. Surtout chez les
enfants
on peut observer les troubles nerveux d'une vie e
peut observer les troubles nerveux d'une vie en commun. Sans que l'
enfant
ait trop veillé, il est le lendemain nerveux et
oujours nerveuse ; crise de manie après la naissance de son premier
enfant
; à vingt-trois ans, une crise de chorée ; vers
oit jouer le médecin presque dès la naissance pour ainsi dire d'une
enfant
qui peut, de par son hérédité, être soupçonnée
nnée de tendance l'hystérie ; il montre la nécessité d'éloigner cet
enfant
de toute influence mor- bide pernicieuse, et la
ux, précoces ou tardifs. Les cas congénitaux comprennent : 1° les
enfants
mort nés avant terme ou à terme ou qui n'ont vécu
ou qui n'ont vécu que quelques jours ou quelques semaines ; 2° les
enfants
vivants nés à terme ou avant terme, présentant
ictions ou d'injections. Le traitement chez les adultes et chez les
enfants
ne différera que par les doses qui devront être
Vallée. On y trouve un travail sur le patronage des aliénés et des
enfants
arriérés, sur la construction d'un asile dans l
éques- VARIA. 91 trée depuis quatre mois, de l'aveu même de ses
enfants
. » {France, août.) Les séquestrations de ce g
aralysies hystériques et de la pseudo-paralysie syphilitique chez l'
enfant
. M. Soocail : Contribution à l'étude des lésion
e. M. BiBENT : L'hystérie simulant les affections organiques chez l'
enfant
et l'adolescent. M. BÉRA : Étude sur les « alié
de se terminer par la nomination de M. l3oonlNOwrrGn. Suicides d'
enfants
. On a trouvé, ce matin, arrêtée à la vanne du m
, s'est pendu, avec un licol, à la porte de l'écurie. Le corps de l'
enfant
a été transporté chez ses parents, au Mans. Jam
le. Il manifeste le désir d'être libéré, disant qu'il veut voir ses
enfants
. Interrogé sur la cause de son internement, il
aladie date depuis huit mois, quand il a eu le malheur de perdre un
enfant
âgé de huit mois, syphilitique. Notre malade es
trois soeurs qui vivent et sont bien portantes. La malade a eu dix
enfants
, dont trois avorte- ments, deux sont morts une
e soir, peut-être qu'il a une amoureuse. Elle aimait beaucoup ses
enfants
, mais dernièrement elle est devenue indifférent
ès bien des insistances, elle nous avoue avoir égorgé son der- nier
enfant
, mais qu'elle a fait cela dans un moment de folie
cela dans un moment de folie et après avoir rêvé la nuit une tête d'
enfant
. Les sentiments affectifs paraissent diminués,
parce que, en lui demandant si elle veut que nous lui amenions ses
enfants
pour les voir, elle reste indifférente. Nous ar
trouvait à la maison, mais plus tard elle nous dit que ce sont ses
enfants
qui y ont mis le feu et pas elle. Une autre fois,
udes alcooliques mais non des abus. Elle nous dit qu'elle a eu huit
enfants
, trois garçons sent morts, il lui reste encore ci
es vivantes ! Elle ne sait pas nous dire la cause de la mort de ses
enfants
. Elle n'a eu aucun avortement, elle a eu deux acc
. Les sentiments affectifs sont conservés pour son mari et pour ses
enfants
. Elle dort bien sans l'aide des hypno- tiques.
coolique et est mort il y a douze ans. De son mariage sont nés cinq
enfants
, dont trois gar- çons et deux filles. Sa maladi
douleur de tête. Le 20 juin 1897, étant à la maison avec un de ses
enfants
, âgé de onze ans, malade de la fièvre, elle le
une corde. Dans la lutte qui doit avoir eu lieu entre la mère et l'
enfant
, ce dernier la mordit au grand doigt de la main
t que la ma- lade accomplit ce crime parce qu'il lui semblait que l'
enfant
était un chien. Maintenant malgré toutes nos
ntes. La mémoire paraît conservée, elle se rappelle les noms de ses
enfants
; mais en la questionnant plus longtemps, elle n
timents affectifs paraissent conservés, la malade désirant voir ses
enfants
et son mari. Elle dort peu la nuit, se promenant
aux questions. L'attention lui manque. Il nous dit qu'il a eu huit
enfants
, dont trois sont morts, mais il ne peut pas nous
ids. Comme antécédents. -La malade nous apprend qu'elle a eu sept
enfants
, dont un seul est vivant (quatre avortements).
e brochure contre elle; que tout le monde est contre elle; qu'étant
enfant
de quatre ans elle a eu des relations avec un g
n hospice d'aliénés, c'est pour les folies qu'elle a commises étant
enfant
. Elle nie absolument être folle maintenant; 1
'il s'enfonçait dans la terre et que le diable vou- lait vendre ses
enfants
pour leur faire prendre le sang. Il n'a pas d'h
de la date à laquelle nous sommes. Il se rappelle le nombre de ses
enfants
. 11 a encore deux frères, dont un a été interné
aucunement le désir de retourner chez lui pour voir~sa femme et ses
enfants
. La mémoire ne parait pas bien atteinte ; il se
squ'elle avait été jadis rendue mère, n'avait pu accoucher que d'un
enfant
idiot, tandis que le rejeton en question est ma
le, la centralisation de tous les services d'assis- tance, aliénés,
enfants
assistés, vieillards et infirmes, placés dans l
semble vingt-huit cerveaux, depuis le foetus de sept mois jusqu'à l'
enfant
de quinze mois. Il en tire ceci : to les gaines
surtout apparent pour la radiation optique primaire qui, chez un
enfant
né un mois et demi ou deux mois avant terme, et m
tre de verser dans la folie. Il est bien entendu que j'excepte les.
enfants
conçus pendant la maladie. Si j'avais un lils à
très impor- tante, mais j'ai observé des faits qui prouvent que des
enfants
nés avant la maladie des parents ont eu des tar
e pourra tout aussi bien déterminer des troubles ner- veux chez les
enfants
des paralytiques. Je crois, pour ma part, que c
cédent qui se recommande par sa clarté parfaite. A. Marie. V. Les
enfants
arriérés, leur traitement éducatif; parle D'LEY.
ret que le médecin ne s'occupe que trop rarement de l'éducation des
enfants
en général, l'auteur fait un court historique d
; quant aux instables et aux pervers, ils ne se distingueraient des
enfants
ordi- naires que dans la manifestation de leurs
aux familles, qui les consulteraient sur le cas de ces malheureux
enfants
malades. * Il est regrettable que l'auteur n'ai
lequel on ne semble pas avoir appliqué la loi sur l'ivresse. Deux
enfants
tués par l'alcool. Dans un numéro du commenceme
aint-Wandrille-Rancon, vaquaient à leurs occupa- tions, leurs trois
enfants
, restés seuls à la maison, un garçon de cinq an
illette n'avait pas voulu boire. On ne s'explique pas l'acte de ces
enfants
qui ne buvaient jamais de liquides alcooliques.
1898. Tipografia del Manicomio. Danien (G.). Orthopédie mentale.
Enfants
arriérés. Brochure in-8" de 20 pages. Bruxelles
t sa femme avait dû quitter le domicile conjugal, emmenant ses deux
enfants
. Désespéré de cet abandon, le malheu- reux s'es
ent où dans la chambre à coucher il cares- sait doucement son petit
enfant
. Il parait fort surpris de son arrestation, n'a
jet qui tombe, une mala- dresse d'un domestique ou une escapade des
enfants
, une rumeur dans la rue etc. L'illusion est ess
le, 21 septembre 1898.) L'orateur rapporte les observations de deux
enfants
atteints de paralysie radiculaire obstétricale
Dans un cas, il a été entrepris quatre mois après la naissance de l'
enfant
, et a nécessité cinquante séances d'électrisati
dans plusieurs autres états; il déplore aussi que les femmes et les
enfants
, suivant l'exemple funeste donné par les hommes,
é, non que l'alcoolique soit fatalement stérile, mais parce que ses
enfants
sont d'ordinaire des dégénérés inférieurs et que
érée, ni contrôlée anatomiquement ? A. Marie. L'hystérie chez les
enfants
; par le D1' Bruns. Dans une monographie des plu
, l'auteur examine d'abord les modifications que subissent chez les
enfants
les symp- tômes de l'hystérie tels qu'ils son !
fonctionnel des membres inférieurs beaucoup plus fréquent chez les
enfants
que les paralysies et les contractures, l'aphon
ns que chez les filles. Quant à l'opinion que l'hystérie chez les
enfants
, ainsi que les maladies nerveuses en général, e
ée rythmée, s'observent proportionnellement t plus souvent chez les
enfants
de la campagne, en particulier des villages iso
ts de la campagne, en particulier des villages isolés, que chez les
enfants
des grandes villes. Les erreurs de diagnostic à
intervient souvent aussi dans l'hystérie, en parti- culier chez les
enfants
; mais il reste à se demander si la simula- tion
orbide, l'hystérie, n'en existe pas moins. Si l'hystérie chez les
enfants
ne se différencie pas d'une manière REVUE d'a
pronostic. Ce dernier est beaucoup plus favorable, en effet, chez l'
enfant
, pourvu qu'un trai- tement effectif soit instit
si des services, bien que l'auteur ne l'ait jamais employé chez les
enfants
hystériques. Lorsque les divers procédés thérap
aggraver le pronostic par une tentative plus longtemps continuée. L'
enfant
doit être confié à un autre médecin qui pourra
médecin qui pourra obtenir un meilleur résultat. En tous cas, les
enfants
doivent être maintenus en traitement longtemps
suffire. Il y aura 8 cottages de chacun 12 femmes ; 2 de chacun 30
enfants
et un certain nombre de cottages comprenant cha
dans les antécédents personnels du paralytique. Par là aussi leurs
enfants
peuvent être exposés aux manifestations de l'hé
toute hérédité vésanique. Enfin et surtout il faudra distinguer les
enfants
conçus avant la syphilis, de ceux conçus postér
qu'on ne le pense, en effet, les paralytiques donnent le jour à des
enfants
dont le système nerveux est lésé d'une façon qu
nt la compétence était indiscutable. Pour ce qui est de celui des
enfants
, j'ai pu le vérifier moi-même. Le paralytique gén
ère chez les paralytiques géné- néraux. Pour M. CHRISTIAN, si les
enfants
naissent avant l'éclosion de la paralysie génér
por- tants. Voici leurs observations résumées. I. Olga S... (2e
enfant
), âgée de vingt-neuf ans, née à terme, sans dys
résie des muscles obliques supérieurs droits. II. Michel S... (5"
enfant
), vingt-quatre ans, né à terme, sans SOCIÉTÉS
Hémicranie. Parole irrégulière, sacca- dée. III. Nicolas S... (6°
enfant
), dix-sept ans, né à terme et sans dystocie, se
observation du malade D... (âgé de vingt-un ans et ayant l'air d'un
enfant
de dix ans) qu'il a présenté à la séance du 20
r. Bien des fois nous avons réclamé d'elle des statistiques sur les
enfants
anormaux, en particulier sur les idiots, et cel
tons de l'occasion pour rappeler que les idiots de toute catégorie,
enfants
ou adultes, doivent être considérés comme des a
ttent des actes de violences, griffent, mordent, battent les autres
enfants
, qu'ils sont destructeurs, ont des instincts pe
destructeurs, ont des instincts pervers, etc. A cet égard, même des
enfants
de deux ou trois ans doivent être séparés de le
rés de leurs familles et hospi- talisés. B. L'alcoolisme CHEZ LES
enfants
. Nous avons eu souvent l'occasion de relater de
ingitiques ou encéphaliques, consé- cutives à l'alcoolisme chez les
enfants
et aussi de relever des faits sommaires consign
jouterons un nouveau, cité par le Bonhomme Normand (17 fév.) : « Un
enfant
de trois ans, de Mainsec (Charente), est mort pou
trefois, les médecins, en présence d'accidents céré- braux chez les
enfants
doivent songer, comme étiologie, à l'inter- ven
peu toutes les facultés à leur activité première ; c'est comme un
enfant
dont l'intelligence se développe progressive- m
s de l'instrument de la parole qui accompagnent le son du mot. Un
enfant
qui copie d'après l'abécédaire sans savoir encore
près l'abécédaire sans savoir encore lire se sert- de 6, v, y. Un
enfant
qui lit sans articuler un motet l'écrit utilise b
t qui lit sans articuler un motet l'écrit utilise b, l, o, v, y. Un
enfant
qui écrit ce qu'il a lu en silence et compris se
un mot étranger compris; dénomination d'un objet ; exclamation de l'
enfant
surpris qui voit une hirondelle au ciel et s'éc
it, à deux heures, son mari est venu la trouver, elle a vu ses cinq
enfants
à qui on a coupé la tête, là, près de son lit ;
m'a calmée. » Puis, aussitôt, elle repart : « Oh ! oh ! ce sont les
enfants
de M. F..., qui sont là-dessous. » D. « Qui est
dépose avec mille pré- cautions sur son lit, lui parlant comme à un
enfant
. Elle envoie des sourires et des baisers au pla
t à chanter, construisant des rimes par assonnance : « Ses petits
enfants
sont avec lui. » Oui, oui, oui. « Sa femme es
ivité exagérée ; elle était bouleversée par le moindre ennui. Etant
enfant
, elle a eu, à plusieurs reprises des accès de som
ari : Arraclie donc, j'étouffe ! » Elle a eu, de ce mariage, cinq
enfants
tous élevés au sein, et bien portants jusqu'ici
dans le corps, qu'elle veut aller voir le Dr F... Elle appelle ses
enfants
, leur crie : « Venez vite, nous sommes sauvés !
.) Père et mère syphilitiques, ayant eu, avant l'infection, trois
enfants
bien portants. Au cours des accidents spécifiques
l et termine une nouvelle grossesse par un accou- chement normal. L'
enfant
présente dès sa naissance de la rigidité spasmo
OUD. (Reu. méd. de la Suisse romande, 1899, n° 1.) Observation d'un
enfant
, issu d'une mère syphilitique, qui, quatre mois
. Histoire clinique d'une myopathie primitive progressive chez un
enfant
de 10 ans, et notablement améliorée par des injec
ller d'arrondissement du 4° canton ; le De Mazade, ins- pecteur des
Enfants
assistés; Bayle, conseiller d'arrondisse- ment
18 0/0, proportion peu inférieure à la moyenne. Les autres ont 132.
enfants
que l'on peut classer ainsi : 1 supérieur, 32 n
central par thrombose de la veine basilaire. M. Léon D'ASTROS. Un
enfant
de 13 ans fait pendant quelque temps de la tube
yndrome nouveau à un ramollissement du pédoncule cérébral gauche. L'
enfant
succomba au bout de cinq jours. L'autopsie démo
rapport sur un cas de paralysie alterne supérieure survenue chez un
enfant
de treize ans au cours d'une méningite tubercul
il- lai,e. Malade, âgé de douze ans, né d'un père alcoolique. Six
enfants
sont morts de causes inconnues. Des six autres
est BIBLIOGRAPHIE. 421 donc pathologique : on l'observe chez l'
enfant
au moindre trouble psychique, chez le maniaque
de thérapeutique mentale et on 1' : ). appliquée en particulier aux
enfants
. En France, sous la direction de M. Lourneville
rationnelle ne doit pas s'occuper seulement de l'intelligence de l'
enfant
, mais surtout de son coeur et de sa raison. En Fr
pper l'endurance et l'énergie. Elle devrait à la fois discipliner l'
enfant
et lui laisser en même temps une liberté relative
xes viendraient en quelque sorte terminer l'éduca- tion solide de l'
enfant
. « Le devoir du philosophe est de ne pas abando
nnelle en prévenant les troubles psychiques, même et surtout chez l'
enfant
fera naitre « la fermeté, de la volonté et du c
désordres mentaux suivant les âges est aussi critiquable. Chez les
enfants
et les adolescents on peut trouver u peu près t
ionnelle qui pourra seule atténuer chez l'adulte et prévenir chez l'
enfant
les troubles psychiques. Ce livre, très docum
contiennent des exemples' de la plupart des formes de la folie de l'
enfant
et de l'adolescent. 426 BIBLIOGRAPHIE. lui-
ouis Zigan, qui est mort sur le coup, il était veuf et père de deux
enfants
, âgés de qua- torze et de dix ans. (Petit Journ
pable de subvenir à ses besoins, à ceux de sa famille, d'élever son
enfant
. Il est un menteur, un fourbe, un hypocrite, un
toutes sortes de crimes ; elle est indigne, incapable d'élever ses
enfants
. C'est par sa faute que le Bazar de la Charité
i-la basepsyclio- pliysiologique du développement du langage chez l'
enfant
, question totalement négligée par les auteurs q
es mots. A la période initiale du développement du langage chez l'
enfant
, le centre moyen joue le même rôle psychogénique
ostérieur. Avant que l'acte de la parole ne devienne automatique, l'
enfant
doit, pendant un temps très prolongé, associer
ieur. Outre la distinction du mutisme en celui des adultes et des
enfants
d'origine corticale et extra-corticale (lésions d
ques se compliquent de symptômes purement fonctionnels. Mutisme des
enfants
. C'est la catégorie la moins étu- diée dans sa
de développement et celle de Coen (llurstummheil) observée chez des
enfants
assez intelligents mais incapables de parler sp
erbale sensorielle ,ou coordinatrice ; celle d'association chez les
enfants
à intelligence arriérée, il faut avant tout en
albutiement que nous avons appelé « physiolo- gique » et que chaque
enfant
présente jusqu'à la fin de la troisième année ;
colaire ou au delà. Le balbutiement d'origine subcorticale chez les
enfants
très jeunes est habituellement provoqué parles
n traitement n'est pas si urgent que celui du balbutiement, car les
enfants
atteints de ce der- nier vice ne peuvent pas fa
fait incompréhensible. Le nasonnement d'origine corticale chez les
enfants
se trouve, suivant nous, en rapport avec un mut
é énergiquement dans l'intérêt du développement intel- lectuel de l'
enfant
. Le bégayement appartient aux vices dysphatique
jets atteints de vices de la parole. Sur 217 muets, 9 (3 adultes, G
enfants
) ont subi le traitement complet; tous avec bon
tique : c'est ainsi qu'elle élucide les vices de la parole chez les
enfants
tels que le mutisme et le balbutiement et fourn
ie, la psychologie de la parole, les lois de son évolution chez l'
enfant
et l'étiologie de ses anomalies, la logopathologi
ent d'une mauvaise habitude, que 'le mutisme et le balbutiement des
enfants
sont dus à la brièveté du frein, etc. Or ces pr
nnelle du vice et pourtant cette cure, rendrait un certain nombre d'
enfants
aptes au dévelop- pement intellectuel et le nom
un de ces élèves moyens dont on ne dit rien. A huit ans, il devient
enfant
de troupe. A dix- sept ans il s'engage dans les
l SANO. de Neurologie. 1890, n° 4.) Cette observation concerne un
enfant
de Paris qui, en cassant une vitre avec la main
arents, qui la prennent pour une maison de correction, glissent des
enfants
réputés incorrigibles, et vous savez ce que cache
point de vue. Enfin il y a lieu aussi d'appeler l'attention sur les
enfants
aliénés ou dégénérés envoyés dans les maisons d
Vaucluse pour l'hospitalisation, le traitement et l'édu- cation des
enfants
idiots et arriérés et demande au Congrès de l'a
« Qu'il soit donné suite au projet de créer des établissements pour
enfants
arriérés dans la région du Sud-Est. » M. le P
faveur de l'hospitalisation, du traitement et de l'édu- cation des
enfants
idiots, imbéciles, arriérés ou atteints d'imbécil
inés avec soin, auraient dû être traités comme malades. Quant aux
enfants
aliénés ou dégénérés, dont a parlé M. Giraud, l
de responsabilité absolue pas plus que de libre arbitre absolu. Les
enfants
arriérés sont justiciables d'établissements spéci
ns départementales et municipales de créer les asiles-écoles où ces
enfants
doivent être traités et éduqués et d'où la plup
d de l'échafaud, il a devant lui les cadavres en- sanglantés de ses
enfants
; tout est en feu ; il va être englouti, etc. C
dire de l'accoucheuse. Ce n'est qu'au bout de deux semaines que cet
enfant
peut maintenir sa tête presque droite, jusqu'alor
rents indemnes de syphilis et d'alcoolisme. La mère a eu six autres
enfants
bien constitués également à terme. Elle ne s'ap
a marche est toujours difficile, et lorsque, tenu parles mains, cet
enfant
veut faire un pas il glisse péniblement son pie
maladie de Litile aux états paréto-spasmodiques survenant chez des
enfants
nés avant terme et dus à l'absence ou à l'arrêt
le D1' DuBAUDiN, médecin-adjoint de l'asile de Pau. SUICIDE d'un
enfant
. Un enfant de onze ans, nommé Marcel Roger, s'e
AUDiN, médecin-adjoint de l'asile de Pau. SUICIDE d'un enfant. Un
enfant
de onze ans, nommé Marcel Roger, s'est pendu hi
s'est pendu hier au domicile de ses parents, 21, rue de Chartres. L'
enfant
vivait assez solitairement ; son père, garçon de
jeune désespéré. On ne sait à quoi attribuer cette mort navrante. L'
enfant
avait-il été ré- cemment grondé par ses maîtres
gitation. Elude séméiologique de l ? par Cololian. ' Alcool. Deux
enfants
tués par l ? 174. L'- et la nutrition, par Hu
icide. Le - comme agent de pré- servation, par Hugues, IG2,-tl'nn
enfant
, 514. Syndrome D'EriB. Une observation nouvel
hinalement : tel le bâillement. Les animaux (moutons de Panurge) et l'
enfant
sont très portés à .l'imitation de l'acte, le ass
produire le courant centrifuge, le mouvement. Tels les sauvages, les
enfants
, certains esprits peu cultivés ; cette promptitud
œuf qui leur était confié, et même « une pierre ronde ou une bille d'
enfant
» ; mais cela n'est vrai que pour les oiseaux tel
pas non plus la femelle du passereau qui fait disparaître ses propres
enfants
. C'est le coucou mère qui, au moment de l'éclosio
Aujourd'hui, au nom de tous nos collaborateurs, nous adressons à ses
enfants
, dont nous partageons la douleur, l'expression de
acabit, non pas seulement sur des adultes humains, mais aussi sur des
enfants
à la mamelle (voir ma discussion avec le Dr Liébe
ux scientifique, pp. 249 et suiv.) ; non pas seulement sur des jeunes
enfants
, mais sur des animaux, et, qui plus est, sur des
n à lui et le critiquait. Le regard d'une personne, même celui de ses
enfants
, le faisait rougir. L'idée que quelqu'un pouvait
t célibataire et sans héritiers. M. Pivot était fils de ses œuvres.
Enfant
de troupe, il avait débuté par être simple artill
'ami du peuple ! Et ils ne furent pas les seuls à baptiser ainsi leur
enfant
. Une foule de pauvres gens égarés, que la guillot
? — Nous venons, Monsieur le capitaine, quêter pour l'éducation des
enfants
que leur père et mère ont abandonnés. Nous implor
ndez-vous bien, et n'y revenez plus ! C'est à ceux qui fabriquent des
enfants
de les nourrir, et non pas au capitaine Pivot, qu
personnes. En effet chez beaucoup de sujets, en particulier chez les
enfants
et chez les adolescents, la suggestibilité est no
ologie de Paris, sous le titre les Faux témoignages suggérés chez les
enfants
nous relations des expériences que nous avions in
ts nous relations des expériences que nous avions instituées chez des
enfants
de 6 à 15 ans, d'apparence normale, dans le but d
r compte, dans leurs interrogatoires, de l'extrême suggestibilité des
enfants
et de se mettre en garde contre la possibilit
ien que l'article 79 du code d'instruction criminelle stipule que les
enfants
de l'un et de l'autre sexe, au-dessous de l'âge d
me de déclaration, et sans prestation de serment, les témoignages des
enfants
ont souvent été invoqués en justice comme ayant u
délit d'attentat à la pudeur ont été prononcées sur des témoignages d'
enfants
. La question présentait donc un grand intérêt, ca
aits dont M. Mottet avait observé la manifestation spontanée chez des
enfants
enclins au mensonge. La communication de M. Motte
de M. Mottet, publiée en 1887, sous le titre les faux témoignages des
enfants
devant la justice eut un grand retentissement et
un grand retentissement et depuis lors la valeur des témoignages des
enfants
a été soumise à une plus juste appréciation. La
mesures de police devraient empêcher l'entrée des grands magasins aux
enfants
des deux sexes au-dessous de dix-huit ans, non ac
, mais on a dû la renvoyer, car elle mentait continuellement. Une des
enfants
était morte depuis cinq ans, elle disait qu'elle
cesser les provocations qui portent ateinte. «à la liberté morale des
enfants
, des jeunes gens, des femmes et des ouvriers, les
usanne, p. 193. vente ou le prêt, la distribution ou le don à des
enfants
, de journaux relatant des nouvelles criminelles,
. Les femmes sont plus sujettes à la naupathie que les hommes, et les
enfants
en bas âge beaucoup moins que les hommes. La ch
ur milieu habituel : tels sont les morphinomanes, les dipsomanes, les
enfants
vicieux ou arriérés, etc... Elle permet également
causé par des lésions de l'urèthre, les habitudes vicieuses chez les
enfants
affectés d'adhérences préputiales, les inversions
par des cicatrices, corps étrangers, etc., et que l'on voit chez les
enfants
des accès con-vulsifs développés à la suite de br
ur milieu habituel : tels sont les morphinomanes, les dipsómanos, les
enfants
vicieux ou arriérés, etc.. Elle permet également
années, domestique, qui avait reçu au mois de septembre dernier, de l'
enfant
de ses maitres, un coup de fouet dans son œil dro
, en l'espèce, d'une indemnité à recevoir de la part des parents de l'
enfant
qui a été la cause de l'accident, nous supposons
oulons pour preuve que l'histoire suivante très caractéristique : une
enfant
de treize à quatorze ans nous est amenée par ses
, d'ailleurs léger : un cahier d'école avait été lancé au visage de l'
enfant
et le coin du cahier lui avait un peu heurté l'oe
é égale à la normale, de cet œil. Comme les parents affirmaient que l'
enfant
était douée d'une grande raison et d'une force de
ugeant par là même. Pour nous, nous fûmes convaincus que chez cette
enfant
l'amblyopie, d'abord histérique, s'était doublée
-de- sac supérieur de la conjonctive. Aussitôt le papier enlevé l'
enfant
déclara que la vue revenait, ajoutant que la prés
e-sac, et non senloment moi, mais aussi le médecin qui avait soigné l'
enfant
au début, au moment de l'accident, il est clair q
n'a été introduit qu'à la lin, et pour les besoins de la cause, par l'
enfant
qui trouvait probablement que la comédie avait as
les contacts étant plus faciles à établir : ainsi les animaux et les
enfants
. Les aveugles-nés ne sont éducables que pris jeun
si le bâillement et le rire sont contagieux; le perroquet, l'idiot, l'
enfant
en bas âge répètent les paroles (2). La représe
e et celle par les symboles est importante. Les faibles d'esprit, les
enfants
surtout sont peu influencés par les symboles et b
notable se produisit ; mais l'aphasie persista, et c'est alors que l'
enfant
se mit à prononcer des phrases incompréhensibles.
it et qu'on s'aperçut que ces paroles avaient parfaitement un sens. L'
enfant
débitait tout simplement les mots en inversant le
ur milieu habituel : tels sont les morphinomanes, les dipsomanes, les
enfants
vicieux ou arriérés, etc.. Elle permet également
qui rêve d'un incendie jette par la fenêtre le ber-« ceau où dort son
enfant
, cela s'est vu et se verra malheureuse-« ment enc
us chaudes et les plus ardentes discussions, sa gaieté — une gaieté d'
enfant
— lui 1. M- Georges Lechalas, Ingénieur en chef
ilité de l'hypnotisme. Cas 7. Était une dame de bonne position. Ses
enfants
déjà grands et son mari ne se souciaient plus d'e
heureuses des habitués des courses : filles, jeunes gens, vieillards,
enfants
encore, tous pâles, les traits tirés, les yeux bo
ur milieu habituel : tels sont les morphinomanes, les dipsomanes, les
enfants
vicieux ou arriérés, etc.. Elle permet également
nt et en aggravent le promostic. Il s'agit dans le cas présent d'un
enfant
de huit ans, Louis Oh.., né à Paris d'un père alc
rent des terreurs nocturnes, et de l'incontinence d'urine. Enfin, l'
enfant
fut mis à l'école communale. II s'y fit remarquer
l'habitude de l'onanisme. Cette habitude dure depuis trois ans, et l'
enfant
avoue s'y être souvent livré plusieurs fois dans
ombattre par la suggestion l'onanisme et les troubles psychiques do l'
enfant
; 2° de le faire circoncire au plus tôt en utilis
éances de psychothéraphie. Nous sommes au 20 juin 1896. Docilement, l'
enfant
se laisse influencer, dort légèrement le premier
l et de bonne conduite. De l'aveu de ses parents et de ses maîtres, l'
enfant
est déjà bien changé : il désire ardemment mérite
'avais pris soin de lui présenter sous le jour le plus favorable. L'
enfant
endormi, je le place dans la position nécessaire
A ma grande surprise, dès le début de l'intervention chirurgicale, l'
enfant
, qui dort d'un sommeil profond et qui reste en ca
s recommandations expresses, un parent avait exprimé en présence de l'
enfant
la crainte que l'opération ne fût très douloureus
Au bout de vingt minutes environ, quand on plaça les serres-fines, l'
enfant
poussa quelques cris et versa de grosses larmes.
à l'immobilité cataleptique du sujet, fut vite et bien fuite. Quand l'
enfant
fut remis dans son lit, je lui persuadai sans pei
s possibles, le processus normal de la guérison. Puis, j'éveillai l'
enfant
. Tout se passa comme je l'avais prévu. Une heure
gestion furent consacrées encore à développer les bons instincts de l'
enfant
, à le rendre assidu au travail et d'une chasteté
à trente-deux ans. Réglée à treize ans ; mariée à dix-huit. A eu dix
enfants
et deux fausses couches, la dernière au mois de m
896 et probablement consécutive à un traumatisme abdominal léger. Six
enfants
vivent encore ; deux sont morts quelques heures a
, à laver son parquet, etc. Souvent aussi, elle a des cauchemars: ses
enfants
se noient ou vont se tuer en tombant d'une grande
r eux-mêmes. Neuf fois sur dix, d'après le Médical Record, les jeunes
enfants
à qui on laisse le libre mouvement de leurs membr
ête entre les bras. Au-dessus de 4 à 5 ans, la position change. Les
enfants
se couchent alors sur le côté, les jambes fléchie
supérieurs dans le sommeil. Ce n'est qu'à un âge plus avancé que les
enfants
étendent leurs membres dans toute leur longueur p
ur milieu habituel : tels sont les morphinomanes, les dipsomanes, les
enfants
vicieux ou arriérés, etc... Elle permet également
épharospasme consécutif, ainsi qu'on a l'habitude de le voir chez les
enfants
strumeux, ou bien était-ce un blépharospasme prim
méthode du Prof. Bernheim, je mécontentai de dire à la malade : « Mon
enfant
, jusqu'ici, on a mal soigné tes yeux, si tu veux
jours échoué cependant dans les expériences qu'il tenta sur de jeunes
enfants
, sur des personnes de faible intelligence ou sur
arabes chantées par les femmes indigènes de Guelma pour endormir les
enfants
. Mon fils dort dans le berceau Et je le berce.
ur milieu habituel : tels sont les morphinomanes, les dipsomanes, les
enfants
vicieux ou arriérés, etc... Elle permet également
fraîche et si jeune qu'on lui en donnerait 25 ; elle n'a jamais eu d'
enfant
, bien qu'elle soit mariée depuis l'âge de 18 ans
qui la dominait complètement, celle que, bien que n'ayant jamais eu d'
enfants
, elle serait immédiatement engrossée si elle avai
n de la convaincre. Elle devint radieuse, se rhabilla avec une joie d'
enfant
, et partit embrasser ce pauvre mari malade que, p
colie-suicide consciente, s'est pendu. De son mariage sont nés quinze
enfants
, neuf sont morts en bas âge d'affections cérébral
ie du père ; mariée à un homme honnête et bon, mère de deux charmants
enfants
, commerçante aisée, elle fut atteinte d'un dégoût
de blanc et de fleurs d'oranger, pour accoucher trois mois après d'un
enfant
à terme, elle, la pudique Emma, donnée en exemple
e absolue que l'utérus était complètement vide et je racontai à cette
enfant
, bouleversée déjà d'étonne-mentet de joie, que so
Petite Hoquette est, comme on le sait, un lieu de détention pour les
enfants
et les prisonniers mineurs. Sa population est com
fants et les prisonniers mineurs. Sa population est composée : 1° D'
enfants
de Paris détenus par voie de correction paternell
mbre n'y séjourne que quelques semaines1, parfois quelques jours. Ces
enfants
, comme l'indique le motif de leur incarcération,
d'être l'objet d'une surveillance et d'un intérêt relatifs. 2° Des
enfants
en prévention et des enfants jugés, mais étant da
lance et d'un intérêt relatifs. 2° Des enfants en prévention et des
enfants
jugés, mais étant dans les délais d'appel ou atte
Petite Roquette peut donc être divisée en deux catégories : 1° Les
enfants
; 2° les jeunes adultes. Les enfants enfermés p
en deux catégories : 1° Les enfants ; 2° les jeunes adultes. Les
enfants
enfermés par voie de correction paternelle présen
même pas les occupations du sujet. Bien que les tatouages, chez les
enfants
détenus par voie de correction paternelle, soient
e demander si l'autorité paternelle est assez étendue pour obliger un
enfant
à se laisser détatouer. Nous n'hésitons pas à rép
la patience du tatoué. absolu de faire effacer de la peau de son
enfant
des images ayant un caractère d'immoralité. Not
é, le coucou n'abandonne pas son œuf, il se contente de le mettre aux
enfants
trouvés. On a prétendu que la femelle du coucou s
ur milieu habituel : tels sont les morphinomanes, les dipsomanes, les
enfants
vicieux ou arriérés, etc.. Elle permet également
nde (8 ans en moyenne), 5° Aptitude au calcul se manifestant chez l'
enfant
encore illettré, 6° Absorption de toute l'intel
eux sur l'organisme mérite d'être réservée. M. Bérillon présente un
enfant
atteint de peurs d'origine émotive, traitées avec
gicales. Nous avons nous-même récemment publié (1) l'observation d'un
enfant
chez lequel la circoncision put être facilement m
lanimité traitée par la suggestion. On rencontre cependant beaucoup d'
enfants
chez lesquels la poltronnerie acquiert dans certa
dérer comme la manifestation d'un état névropathique réel. Chez les
enfants
, il est extrêmement rare que l'émotivité morbide
xiété et de troubles généraux aussi pénibles que durables. Chez les
enfants
, les manifestations de la peur sont soudaines ; e
nifestations de la peur sont soudaines ; elles sont passagères. Que l'
enfant
soit placé dans les conditions capables de mettre
aissance au phénomène émotif. Ce qui caractérise aussi les peurs de l'
enfant
, c'est qu'elles sont nettement systématisées. Tel
s peurs de l'enfant, c'est qu'elles sont nettement systématisées. Tel
enfant
éprouvera le sentiment de la peur lorsqu'il sera
êtes à cornes, des araignées, etc. Il peut se présenter ce fait qu'un
enfant
extrêmement poltron dans certaines circonstances,
ns des influences de milieu et dans des manifestations de peur dont l'
enfant
aura eu l'exemple sous les yeux. Ce qui tendrai
Guérison par la suggestion hypnotique. Au mois de Novembre 1896, l'
enfant
Marius G., âgé de 12 ans, fut adressé à notre cli
Antécédents héréditaires. Guérison par la suggestion hypnotique. L'
enfant
Louis B..., âgé de sept ans et demi, a commencé à
que. Elle a présenté également des troubles con.vulsifs d'hystérie. L'
enfant
B..., est atteint d'onychophagie. Dès l'âge de
le dire au docteur Bérillon. » Actuellement, le jeune Louis B. est un
enfant
à mine très éveillée. Il est complètement transfo
faire remarquer que la guérison de l'émotivité morbide, chez les deux
enfants
qui font le sujet de ces observations, s'est mont
l'un des seins de sa femme (celle-ci se trouvait justement nourrir un
enfant
), en attirant son attention sur cette partie de s
oître la sécrétion de son lait. Celui-ci la pria d'envoyer chercher l'
enfant
et de le mettre au sein, ce qui fut fait immédiat
fait immédiatement. Le lait arriva alors' avec tant d'abondance que l'
enfant
en fut presque suffoqué. Quelques jours plus tard
lait, que la dame put prolonger six mois encore l'allaitement de son
enfant
, bien qu'auparavant elle se fût toujours plaint d
ur milieu habituel : tels sont les morphinomanes, les dipsomanes, les
enfants
vicieux ou arriérés, etc.. Elle permet également
enseignement est une suggestion. Le cerveau non encore développé de l'
enfant
se forme d'après les excitations de mouvements mo
di etlnaudi. La séance est levée à six heures dix. A propos d'un,
enfant
extraordinaire Par M. lo docteur Paul Faubz, li
teur Paul Faubz, licencié en Philosophie Il existe à Brunschwick un
enfant
de quatre ans extraordinairement précoce, nommé O
l'Université de Berlin, membre de l'Académie des Sciences (4). Cet
enfant
n'a jamais, à proprement parler, appris à lire; i
othiques, manuscrits ou imprimés. Pour tout ce qui l'intéresse, cet
enfant
possède une mémoire prodigieusement facile et ten
ns, sur les principales batailles qui marquèrent ces guerres. » Cet
enfant
a été, pour ainsi dire, son seul maitre; tout ce
il vous les répète avec une étonnante exactitude. Toutefois, si cet
enfant
lit sans hésitation les écritures les plus diffic
lui plait, mais à cet objet seul. Dès lors, on ne peut soumettre cet
enfant
à des recherches ou à des expériences méthodiques
erves que nous avons énoncées plus haut, il est hors de doute que cet
enfant
présente une extraordinaire précocité. M. Stumpf
le mesure il convient de meubler ou de développer l'intelligence de l'
enfant
; cette question est ussurément l'une de celles qu
ibles affections cérébrales qui coûtent la vie à un si grand nombre d'
enfants
, on a très souvent noté comme facteur étiologique
coces. Que de fois, en effet, le médecin n'a-t-il pas dû exiger que l'
enfant
fût, pour un temps, retiré de l'école et qu'il vé
e toute espèce de préoccupation intellectuelle ! Mais passons. Si l'
enfant
très bien doué a, sous une direction imprudente,
gique va imprimer à tout son organisme ? Consultons l'expérience. Des
enfants
qui ont fait l'orgueil et la joie de leurs parent
une âgc.- D'autre part, c'est une règle à peu près générale que les
enfants
prodiges présentent une tare nerveuse quelconque,
ciale, aurait peut-être longtemps sommeillé. Enfin, supposons qu'un
enfant
extraordinaire ment doué ait pu de très bonne heu
ontrera-t-il capable une fois qu'il sera un homme ? En général, les
enfants
prodiges ne sont tels que sur un point très spéci
oi non ? Il n'y est pas moins sujet qu'un autre. On prétend que cet
enfant
n'est ni chétif, ni mal portant, ni maladif, mais
intelligence ; or, à quoi se ramène cette dernière ? Sans doute cet
enfant
est vivement impressionné par les objets extérieu
ntaire association d'images que se ramène la vie psychologique de cet
enfant
; les faoultés supérieures d'élaboration lui manqu
véritablement réfléchir et raisonner. Les aptitudes psychiques de cet
enfant
, tout étonnantes qu'elles paraissent, sont à-la
'ensuit-il qu'il ne faille intervenir en aucune manière auprès de cet
enfant
? Certes, on en a le droit, peut-être même le devo
ien qu'en procédant ainsi on ne soit point d'une grande utilité à cet
enfant
et qu'on ne parvienne jamais à en faire un homme
rs républiques américaines. On s'est tout particulièrement occupé des
enfants
malheureux et déshérités au seuil même de la vie
ce qui a été dit au sujet de la fatigue excessive que l'on impose aux
enfants
dès l'âge le plus tendre jusqu'aux écoles seconda
ge le plus tendre jusqu'aux écoles secondaires et universitaires. Les
enfants
offrent des diversités très grandes quant à leur
important de savoir à quel moment et à quel degré on peut donner aux
enfants
de nos écoles cette somme énorme de travail qui n
et trop précoce action des facultés intellectuelles, on crétinïse les
enfants
au lieu de les instruire. C'est pourquoi l'orateu
oient toujours proportionnés à l'âge et au développement physique des
enfants
. Quant aux enfants tout à fait jeunes, M. Bondice
ortionnés à l'âge et au développement physique des enfants. Quant aux
enfants
tout à fait jeunes, M. Bondicelli est radical, Po
ux enfants tout à fait jeunes, M. Bondicelli est radical, Pour lui, l'
enfant
de six à sept ans n'a pas besoin d'école à propre
on instruction. Il s'ensuit que ce qui est surtout nécessaire pour un
enfant
jeune, c'est qu'il soit tenu le moins possible im
aire, acceptaient spontanément et de grand cœur, celle d'embrasser un
enfant
. « Enfin, je n'ai jamais vu se produire de libi
ur milieu habituel : tels sont les morphinomanes, les dipsomanes, les
enfants
vicieux ou arriérés, etc.. Elle permet également
ique (étude clinique sur le), par le Dr H. Aimé, de Nancy, 350.
Enfant
extraordinaire (un), par M. le Dr Paul Farez, p
arabes chantées par les femmes indigenes de Guelma pour endormir les
enfants
, Achille Robert, 279. Homicides en Italie (les)
. M. le Dr P. Farez communique ses idées personnelles au sujet d'un
enfant
extraordinaire déjà étudié en Allemagne par M. St
49 ans lorsqu'elle le mit au monde. Il reste seul d'une famille de 6
enfants
. Sa descendance comporte deux morts. L'un de se
mille de 6 enfants. Sa descendance comporte deux morts. L'un de ses
enfants
est mort à 2 mois, un autre à 9 mois. 11 a encore
nnexielles. Cette jeune femme était très malheureuse de n'avoir pas d'
enfants
, et comme il avait existé, me dit-elle, une endoi
de la matrice ou des ovaires et de la peine extrême de n'avoir pas d'
enfants
. L'isolement relatif dans lequel elle vivait en p
souffrance et par l'idée de n'avoir pas et de ne pouvoir pas avoir d'
enfants
. Cette jeune femme était pour moi une nerveuse,
ypnotique, elle guérirait certainement, et qu'elle pourrait avoir des
enfants
. s Je n'ai jamais été examinée avec autant de soi
, au théâtre, qu'elle n'était pas malade et qu'elle pouvait avoir des
enfants
. Le jour même, il y eut un changement à vue ; e
etour du sommeil normal. Enfin nous avons pu constater que chez les
enfants
dont le développement physique subit un arrêt, le
L'emploi du sommeil provoqué favorise certainement la croissance des
enfants
et des adolescents. Il exerce une action heureuse
lonne vertébrale. C'est alors qu'elle entra, en 1891, à l'hôpital des
enfants
dans le service de M. le Dr Boursier, qui lui fit
une maladie de cœur, suivant d'autres ; il laissait une femme et deux
enfants
: un fils et une fille. Il soutint jusqu'à la fin
ur milieu habituel : tels sont les morphinomanes, les dipsomanes, les
enfants
vicieux ou arriérés, etc.. Elle permet également
ermis de l'examiner à cause des douleurs. Sans parler, je fis poser l'
enfant
sur un fauteuil et, après l'avoir regardé fixemen
ion n'avait jamais été gonflée. 11 n'y avait donc pas de doute, cette
enfant
était seulement atteinte de contracture hystériqu
ance avait duré 20 minutes. Je renonce à peindre la stupéfaction de l'
enfant
lorsqu'elle se vit debout, au milieu de mon cabin
and faudra-t-il revenir, Monsieur? — Il est inutile de revenir, voire
enfant
est guérie. — Et que faudra-t-il faire? — Rien, i
tombe, qu'elle ne laisse pas sa jambe se reprendre. Ce fut tout, et l'
enfant
, qui était venue de la gare en voiture, qu«'on av
à son père. Deux mois après, la même scène se renouvelait. La même
enfant
était reportée, sur les bras de son père, dans mo
cette rechute: « Oh, Monsieur, ce n'est pas du même côté », me dit l'
enfant
. La contracture, en effet, occupait le côté droit
de rechute sous aucune forme. C'est ce qui est arrivé. Depuis, cette
enfant
est menstruée et sa santé est restée parfaite. Il
agit de la nommée Valentine K... Cette femme a 24 ans. Elle a eu deux
enfants
dont l'un est mort. Pendant sa première grossese
négliger, mais combien il est insuffisant pour qui sait observer ! Un
enfant
, une femme, un mari, un soldat, peu importe, est
enfaisante, calmante ou bien, au contraire, un véritable malaise. L'
enfant
qui pleure au départ de sa bonne ou de sa mère et
sa mère, en qui et par qui il vit. Beaucoup de malades sont comme cet
enfant
et certaines personnes de leur entourage leur son
ve photographique a été obtenue an moment où'la vibration intime de l'
enfant
plaignant la mort du faisan a fait vibrer 1e cosm
rposées. Seront réputés personnes « interposées les père et mère, les
enfants
et descendants, ot l'époux de « la personne incap
ns le sommeil ordinaire. Une mère qui s'endort près du berceau de son
enfant
ne cesse pas de veiller sur lui durant son sommei
ur milieu habituel : tels sont les morphinomanes, les dipsomanes, les
enfants
vicieux ou arriérés, etc... Eile permet également
encore plus formelle lorsqu'il s'agit de la névrose hystérique chez l'
enfant
que lorsqu'on est en présence de la névrose de l'
pnotique au traitement des maladies infantiles. La sugges-tibilitédea
enfants
est telle que, sur dix enfants de six à quinze an
dies infantiles. La sugges-tibilitédea enfants est telle que, sur dix
enfants
de six à quinze ans, pris dans toutes les classes
rairement à l'opinion courante, les difficultés pour provoquer chez l'
enfant
un sommeil réel sont d'autant plus grandes que l'
voquer chez l'enfant un sommeil réel sont d'autant plus grandes que l'
enfant
présente des tares héréditaires plus accentuées.
réalisent pas les suggestions qui leur sont faites. Par contre, les
enfants
hystériques se montrent très bypno-tisables : ce
néralement doué d'une intelligence assez vive. La suggestibilité de l'
enfant
, faculté normale, est en rapport direct avec le d
ilité. Toutes les formes de l'hystérie peuvent se rencontrer chez l'
enfant
, mais il est exceptionnel de constater l'existenc
des stigmates classiques de l'hystérie. L'hystérie convulsive chez l'
enfant
est aussi très rare, et quand nous l'avons observ
pu nous assurer qu'elle était le résultat d'une contagion nerveuse, l'
enfant
ayant assisté à des crises d'hystérie. Par contre
estations de l'hystérie précoce. En un mot, l'instabilité mentale des
enfants
hystériques semble calquée sur celle que présente
logie moderne et de procéder à une véritable rééducation mentale de l'
enfant
. II ne dérogera pas en prouvant qu'il est capable
gera pas en prouvant qu'il est capable déjouer le rôle d'éducateur. L'
enfant
hystérique, livré à lui-même, abandonné au désord
d'être rangés dans la catégorie des dégénérés héréditaires. Mais si l'
enfant
hystérique est dirigé avec autorité, s'il est hab
ame X... a deux petites filles très nerveuses de 9 et 8 ans. Les deux
enfants
sonts surveillées avec le plus grand soin par la
ie à l'insomnie, elle s'imaginait qu'elle allait couper le cou de son
enfant
, et cette pensée prenait tant d'empire sur son es
avait pu la remarquer. Jusqu'en ces derniers temps, le mari et les
enfants
avaient prêt é peu d'attention à cet état, lorsqu
passé à côté de moi, il m'a regardée et cela m'a fait rougir ; cette
enfant
va croire que cet homme est mon amant et ma fille
tipare, croit être enceinte do 9 mois. Femme nerveuse ; plus clic a d'
enfants
, plus ses grossesses sont pénibles. Elle souffre
us pénible. Comme elle ne se rappelle pas quand elle a senti remuer l'
enfant
et que nous n'avons aucun renseignement pour nous
-femme qui l'a accouchée les dernières fois nous fait remarquer que l'
enfant
ne naîtra que le lendemain. Le .col laisse passer
u matin, pas do douleurs; de 2 h. 1/2 à 3 h., très fortes douleurs, l'
enfant
est né. Pas de douleurs après l'accouchement. O
t elle commence à crier ; encore trois contractions douloureuses et l'
enfant
est né. Les résultats que nous avons obtenus ne
ux tendances existant déjà. PÉDAGOGIE PSYCHOLOGIQUE A propos d'un
enfant
prodige. (Lettre de M. le Professeur Stuwpf, de
rès de psychologie de Munich, en 189G, nous était un sûr garant que l'
enfant
Pcehler recevrait une éducation conforme aux règl
t de la bonté la plus éclairée. En se chargeant de l'éducation de cet
enfant
, M. le professeur Stumpf a accompli une bonne
cteur Farez a publiées dans votre Revue à propos de mon article sur l'
enfant
extraordinaire, Otto Pcehler, ainsi que les artic
elon mon opinion, penser avant tout au déve-« loppement physique de l'
enfant
; il devra veiller à ce qu'il ait une « nourritur
e d'empêcher les fautes commises généralement par l'entourage de tels
enfants
, et qui, malheureusement aussi dans ce cas, l'ava
que j'eusse même entendu parler du petit Otto. On avait exposé cet
enfant
, alors à peine âgé de deux ans, dans le Panoptiku
retour. Je serais tout â fait satisfait si l'on pouvait ramener cet
enfant
peu à peu dans la voie normale; si Ton pouvait dé
la vanité et toutes les causes de perdition jui menacent toujours les
enfants
prodiges. Je serais aussi très heureux si l'on po
à devenir un homme intelligent et utile à la Société. J'ajoute que l'
enfant
est maintenant à la campagne avec ses parents et
ce intelligente. Il est aussi bien portant et aussi heureux qu'un
enfant
de son âge peut l'être. Il s'amuse, court en plei
t d'une fiction, qu'il n'avait garde de la faire tirer sur son propre
enfant
», etc. VI. Argument tiré aussi, contre Delbœuf
âge de 1G ans à peu près régulièrement. Mariée à 18 ans, elle a eu un
enfant
Tannée suivante. La malade dit qu'elle était
cherché une fois à se jeter par la fenêtre. Elle ne demandait pas son
enfant
. Quand l'agitation a commencé au mois de décembre
0 ans, somnambule dans sa jeunesse. Après la naissance de son premier
enfant
, elle craignit de lui faire mal en marchant penda
ges mentales. Faut-il encore parler des terreurs nocturnes des jeunes
enfants
? Le cauchemar, engendré chez eux par les images t
ns notre salle solitaire. Devant ma table vint s'assoir Un pauvre
enfant
vêtu do noir Qui nie ressemblait comme un frcre
il existe une affinité étroite entre l'incontinence d'urine chez les
enfants
et l'hystérie. T,a moitié des jeunes incontinents
tions évoluent entre ces deux termes : docilité et méchanceté. Cnez l'
enfant
, l'analyse du caractère est difficile et l'on peu
ditions dans lesquelles apparaît la tendance à la méchanceté chez les
enfants
. La plupart des auteurs ne voient dans ces tendan
très doux. Quelle que soit la cause originelle ce la méchanceté de l'
enfant
, il convient de recourir, pour la modifier, à une
itable dressage. Le but de ce dressage sera surtout de créer chez l'
enfant
de véritables (1) Communication faite au Congre
habitudes automatiques, des impulsions irrésistibles qui mettent les
enfants
qui en sont atteints dans une situation dangereus
tinct naturel. Ceux qui ont un estomac mangent avant de dormir. L'
enfant
, guidé par cet instinct, téte fréquemment, le jou
encore aujourd'hui d'une grande popularité. Son ouvrage sur lMme de l'
enfant
, traduit dans toute les langues de l'Europe, lui
gestion comme agent moralisateur ou comme procédé de redressement des
enfants
réfractaires à l'éducation normale, n'avait encor
i : « Lorsqu'on aura, disions-nous, à se préoccuper de l'avenir d'
enfants
vicieux, impulsifs, récalcitrants, incapables de
la théorie des idées innées, considérait que le fait d'hypnotiser un
enfant
pour modifier son caractère ou le guérir d'un vic
pris qu'on pouvait, dans l'état d'hypnotisme, modifier les idées de l'
enfant
; transformer son caractère; corriger les habitude
on des impulsions instructives et des habitudes automatiques chez les
enfants
, soit au développement des aptitudes normales arr
érience ne sert pas sculcmentà mesurer le degréde suggestibilité de l'
enfant
; elle devient un moyen d'investigation et d'expl
récision. Elle donne des résultats inattendus et révèle chez certains
enfants
une suggestibilité très supérieure à celle qu'on
ications do la suggestion à la pédiatrie et à l'éducation mentale des
enfants
vicieux ou dégénérés. (Comptes rendus du Congres
hology. Londres, 1802, p. 16G. 8* Bérillox. — La suggestibilite des
enfants
. (Revue de l'Hypnotisme, 1802, 6' année, p. 51).
hure in-8", Maloine, Paris, 1891). H* Bérillox. — Une observation d'
enfant
menteur. (Revue de l'Hypnotisme, 1891, 8* année,
16* Bérillos. — Le traitement psychique de la kleptomanie chez les
enfants
dégénérés. {Revue de PHypnotisme, 1896, 10* année
me a été malade durant trente-neuf ans. Elle a donné le jour à quatre
enfants
et n'a pas eu moins de vingt-deux fausses couches
domestiques qui l'ont assailli, en particulier, la mort de ses quatre
enfants
. Mais immédiatement après la mort de sa femme, il
outefois des stigmates d'hystérie bien caractérisés ; n'a jamais eu d'
enfants
. Pas de tare héréditaire, névropathique apparente
de veille. Madame B., 42 ans, mariée en secondes noces, a eu trois
enfants
et de mauvaises couches, suivies de péritonite, e
cusés ; de mère nerveuse qui, abandonnée par son mari, avec plusieurs
enfants
, au moment de la ménopause, a dû, parait-il, entr
Avec volubilité elle me raconte que son mari a commencé par haïr ses
enfants
, que le fils aîné, influencé par cette haine, s'e
it posséder, rien de ses propriétés, qu'elle a bien laissé tout à ses
enfants
, qu'elle a été guérie par la suggestion... » L.
t qu'elle brûlait d'un éclat constant, « il installait devant elle un
enfant
de dix à douze ans », du concours « duquel il ne
récitait la prière qui avait la vertu « d'attirer les dieux..... L'
enfant
ne tardait pas à voir une image se a dessiner,
ève savent aussi bien que moi qu'il est des sujets, hommes, femmes ou
enfants
qui dans l'état de sommeil provoqué sont plus sug
'une fiction, que je n'avais garde de la faire tirer sur « mon propre
enfant
, et que, par conséquent, elle ne pouvait éprouver
qui rêve « d'un incendie, jette par la fenêtre le berceau où dort son
enfant
, cela a s'est vu et se verra malheureusement enco
oyé les deux statuettes à leur propriétaire, par l'intermédiaire d'un
enfant
. Malheureusement, là ne devaient pas se borner
ent, par moment, les.ôlres qu'ils aiment le plus, leurs femmes, leurs
enfants
. Les littérateurs nous ont souvent offert ces car
offert ces caractères. Alfred de Musset, dans les Confessions d'un
enfant
du siècle, aimait et haïssait tour à tour sa mait
tre plus par les rues qu'hypnotiseur ou hypnotisés, hommes et femmes,
enfants
et vieillards. La cause immédiate de cette folie
le ! » l'idée persiste pendant la veille et la malheureuse immole son
enfant
('); une dame rêve que son mari a l'intention de
lus grande chez la femme que chez l'homme. Elle est au maximum chez l'
enfant
, dès qu'il peut comprendre. C'est ainsi qu'entre
de cinquante ans, que 9 hypnotisables en moyenne pour 10Û. a Sur dix
enfants
de 6 à 15 ans pris dans toute les classes de la S
l'esprit 1° par suggestion, 2° par oui-dire, 3° par sentiment. Chez l'
enfant
c'est le premier mode qui est le plus ordinaire.
eur ventre avec stupéfaction, et se demandant ce qu'était devenu leur
enfant
? Puis, nous invoquerons la fameuse affaire Cast
e, et vous n'avez pas résisté. Sauvez-moi ! Sau-a vez ma femme et mes
enfants
! Dites que je ne vous ai pas violée ! et « je vo
rer ; marié, père de famille, il vit avec son médium, dont il a eu un
enfant
. C'est à cet homme, qu'elle ne connaît d'ailleurs
e depuis sept années, était obsédée par l'idée qu'elle n'aurait pas d'
enfants
. Au début de son mariage on avait cru utile de pr
a même idée avait créé et entretenu l'obsession de ne pouvoir avoir d'
enfants
. J'ai raconté antérieurement dans quelles conditi
ire leur science à une orthopédie morale. Ils corrigent les vices des
enfants
parla suggestion, augmentent la santé, redonnent
t par leur situation et leur richesse, pénétraient d'autant mieux les
enfants
qu'elles n'avaient à lutter avec aucune idée scie
iiit en même temps soumis à toutes les choses de la religion comme un
enfant
: et cette simplicité a régné en lui toute sa vie
atif, émotif, sentimental, sur une femme, sur une jeune fille, sur un
enfant
! Chez les enfants, les suggestions religieuses
ental, sur une femme, sur une jeune fille, sur un enfant ! Chez les
enfants
, les suggestions religieuses s'opèrent encore dan
los dimanches et jours fériés, les éléments de la foi chrétienne aux
enfants
: puercs in singulis parocliiis fidei rudimenta..
nt non seulement indémontrables, mats incompréhensibles, a Dites à un
enfant
, écrit Fénelon, qu'en Dieu trois personnes égales
emps pascal. Quant à la première communion, qui n'est donnée qu'aux
enfants
dont l'instruction religieuse et la foi ont été j
illom. Toutes les formes de l'hystérie peuvent se rencontrer chez l'
enfant
, mais il est exceptionnel de constater l'existenc
oce. En un mol, l'instabilité mentale et les tendances impulsives des
enfants
hystériques semblent calquées sur celles que prés
es qui ont été fournies jusqu'à ce jour. L'hystérie convulsive chez l'
enfant
est très rare, et comme nous le disions au Congrè
pu nous assurer qu'elle était le résultat d'une contagion nerveuse, l'
enfant
ayant été témoin de crises d'hystérie. L'observat
iente peut jouir dans lu production des troubles hystériques chez les
enfants
: Hystérie convulsive che\ une petite fiille de
son par la suggestion hypnotique. Les antécédants héréditaires de l'
enfant
. Jeanne P..'sont très clvirgés. Son père est névr
que ù (iO ans. Une tante maternelle a été atteinte de mélancolie. L'
enfant
a eu des convulsions à l'âge de 10 mois, au momen
tilité de mes efforts, je fus édifié sur les causes delà maladie de l'
enfant
par une lettre anonyme dont voici les principaux
u Congrès des aliènistes, Toulouse, 1ô9S. « M0" X.., la mère de l'
enfant
que vous soignez, a elle-même des crises terrible
ler à aucun médecin. Elle a encore plus besoin d'être soignée que son
enfant
, car elle est extrêmement malheureuse à cause de
ns correspondaient exactement à celles que j'avais pu observer chez l'
enfant
. L'enfant, témoin des grandes crises d'hystérie
daient exactement à celles que j'avais pu observer chez l'enfant. L'
enfant
, témoin des grandes crises d'hystérie de la mère,
assistions non seulement à la guérison des crises convulsives chez l'
enfant
, mais aussi à celle des autres manifestations de
logie moderne et de procéder à une véritable rééducation mentale de l'
enfant
. Il ne dérogera pas en prouvant qu'il est capable
era pas en prouvant qu'il est capable de jouer le rôle d'éducateur. L'
enfant
hystérique, livré à lui-même, abandonné au désord
d'être rangés dans la catégorie des dégénérés héréditaires. Mais si l'
enfant
hystérique est dirigé avec autorité, si on l'habi
é au sujet de la suggestion pendant le sommeil naturel. 4* Chez les
enfants
affectés de névroses, d'incontinence d'urine, de
e, de l'orthopédie mentale et de l'hygiène morale (').— En effet, des
enfants
, qui n'ont besoin que d'être soignés à propos, so
alors l'hypnotisme par crainte qu'on ne déforme la personnalité de l'
enfant
ou qu'on n'attente à sa liberté. De telles appréh
on verra que le traitement consiste en quelques paroles adressées à l'
enfant
pendant qu'il dort paisiblement dans son lit. 5
avoir d'autre distraction que la lecture, ou la conversation avec ses
enfants
et ses médecins. Pour ces derniers : leurs discou
ux fréquentations mondaines et à la parure pour elle-même et pour ses
enfants
, sur lesquels elle commença à pratiquer des susge
ans, fille d'une mère hystérique, a perdu il y environ trois ans son
enfant
-unique; elle en a éprouve un très grand chagrin.
eine est-elle entrée en convalescence que le regret de la mort de son
enfant
devient pour elle une idée fixe, la |uelle s'acco
empare do son esprit ; elle assiste à la mort, à l'enterrement de son
enfant
, etc. ; ce spectacle ne tarde pas à la bouleverse
achisme dix-huit de ses membres. Arnauld l'avocat, ayant beaucoup d'
enfants
, avait décidé que ses filles Jacqueline et Jeanne
continence d'urine, — névralgie du col de la vessie, — maladies des
enfants
, — troubles menstruels, — maladies externes ; — e
pour l'étude de deux questions spéciales, l'écriture chez les jeunes
enfants
et chez les déments paralytiques. CHRONIQUE ET
ntpallier, 185. Eloge du Dr Mesnet, par le Dr Dumontpallier, 279.
Enfant
prodige (a propos d'un), par le Dr Stumpf, 85.
naît pas encore et t. xi. 3 ne sc connaîtra jamais ! Ce n’est qu’un
enfant
, rendu docile par le châtiment, et qui devient sa
fois que le magnétisme ne pouvait en rien compromettre la vie de son
enfant
, je lui faisais souvent voir des malades et étudi
rrhagique assez commune chez les jeunes femmes enceintes d’un premier
enfant
, et, suivant ses assertions, le magnétisme n’étai
tte seconde saignée, que je regardais comme devant lêtre nuisible à l’
enfant
qu’elle portait; car je comprenais que la vie de
et me déclara en somnambulisme que cette nuit avait été fatale à son
enfant
, qui ne tarderait pas à mourir, que le 1er octobr
et y resta un quart-« d'heure. « Pendant toutes ces expériences, l’
enfant
a con-« tinué de donner des preuves de la plupart
vidence des- fait». Toutes les notabilités du pays vont visiter cette
enfant
. Je dois ajouter qu’elle a acquis cette propriété
des témoins de cette scène étrange : il n’y avait pas de doute, cette
enfant
était ensorcelée, on lui avait jeté un sort, et p
e huit à neuf heures, après le déjeûner. Obligé d’isoler cette pauvre
enfant
du guéridon commun qu’elle bouleversait, en dépit
eu, en homme éclairé, refusa d’accéder à leur désir d’exorciser (1) l’
enfant
, même d’ajouter foi à leurs récits ; ii douta, ca
de s’éclairer sur des phénomènes rares ou mal observés. Cependant l’
enfant
fut conduite chez Mmc Duvivier, où tout se reprod
for-« tement dans mes mains; non-seulement il était re-« poussé de l’
enfant
, mais aussi, en raison de la ré-« sistance, conto
leur ardeur de voir les « effets résultant de l’état anormal de cette
enfant
. « Elle répéta maintes et maintes fois, jusqu’à
pour le re-« tenir elle faillit tomber dans le feu. « Cette pauvre
enfant
, qui ne pouvait prendre de « repos ni sur une cha
e vingt^quatre heures. « Je fis la remarque qu’avec la fatigue de l’
enfant
« les effets subissaient une notable diminution d
a chaise « reposant chacun dans un verre à boire, et les pieds « de l'
enfant
sur une bouteille, elle resta parfaite- • ment
cent lieues pourvoir un fait rare, inouï peut-être? Le départ de l’
enfant
qui fait l’objet de cette relation avait précédé
il avait commencés. Et d’abord , ma surprise fut grande de voir cette
enfant
déplacer volontairement une table, des chaises, s
r. Après cet accident, l’examen de--vinl plus difficile; cette pauvre
enfant
, inquiète, orainlive, ne voulait plus se laisse
ait aussi de cette force. A'cet effet je mis mes pieds sous ceux de l’
enfant
, et l’isolement fut aussi complet qu’avec le verr
son, les effets étaient toujours plus marqués. Je demandai donc que l’
enfant
revînt avec moi chez sa lante, où seraient venus
e toutes parts, les spéculateurs mirent à l’enchère la faculté de son
enfant
, et, au moment conveuu du départ, il me déclara q
si l’effet aurait lieu à distance. M. le docteur Beaumont, tenant l'
enfant
pur les mains, ne la laissait fléchir sur la chai
t violemment arrachée des mains et adhéra positivement aux jupes de l’
enfant
, qui fuyait. C’est l’cflet d'attraction lcplus ma
ant de grands hommes n’eût point été troublé. Nous allons, pauvre
enfant
, suivre tes pas dans la grande cité, non pour t’é
rs et à la fortune? N’est-ce pas le but? qu’importent les moyens ?...
Enfant
terrible! tout sc renverse ou fuit à ton approche
de la nuit à exécuter des morceaux choisis d’une rare beauté; mais l’
enfant
ne trouvait dans cette musiqun qu’un bruit désagr
présence de ma fille. Les médecins que je consultais « disaient à mes
enfants
que j’étais perdu, que ma • maladie était incur
la soulager. C'étaient de bien tristes remèdes pour moi, père do six
enfants
, et obligé de gagner notre vie au moyen d’un modi
mnambulisme. Dans un de ses accès de ce genre, cil» s’approcha de son
enfant
, pris d’une affection aiguë de poitrine et dont l
trine et dont la médecine désespérait ; elle considéra un instant son
enfant
, puis le prit par les jambes et le secoua violemm
rrhagie nasale considérablo se fût manifestée. Elle replaça alofs son
enfant
dans la couche et dit : Maintenant je suis heureu
s son enfant dans la couche et dit : Maintenant je suis heureuse, mon
enfant
est sauvé. Elle s’éveilla sans conserver aucun so
souvenir, et demanda ce que le médecin ou d’autres avaient fait à son
enfant
, si on l’avait saigné, etc. L’enfant est parfai
ou d’autres avaient fait à son enfant, si on l’avait saigné, etc. L’
enfant
est parfaitement guéri, n’a point eu de rechute.
position, mais basent leur jugement sur les derniers faits de vols. L’
enfant
, à cause de son âge, n’est condamné qu’à passer t
ires. Et, au lieu de la peine, que l’on éprouve toujours en voyant un
enfant
devant la justice, dégradé et flétri, on éprouver
x appropriés pour les combattre. • Il y a des amulettes. Beaucoup d’
enfants
portent un petit sachet, rempli de mercure, au-de
ent les esprits forts nous traiter encore d’hallucinés. (Mouche.) L’
enfant
à seconde vue présenté par Robert Hou-din n’a poi
nvenu, par des signes visibles au travers d’un foulard préparé, que l’
enfant
perçoit, prend connaissance des objets que l’on d
. Le père, hâtons-nous de le dire, a grand soin de prévenir que son
enfant
n’est point en état magnétique, ce qui est vrai ;
son pays, do la guerre dont la Franco le menaçait, on fit venir deux
enfants
sur lesquels il devait opéuer. « Le spectacle «
iété so rangea en oercle autour de à’Algérien, qui fit asseoir un des
enfants
près de loi, lui prit la main et sembla le regard
rès de loi, lui prit la main et sembla le regarder attentivement. Cet
enfant
, fils d’un Européen, était Agé de onze ans. Quoiq
lirait de son écritoire sa plume de jonc, lui dit : « N’aie pas peur,
enfant
; je vais t’é-« crire quelques mots dans la main,
e quelques mots dans la main, tu y regarderas, « et voilà tout. » L’
enfant
se remit de sa frayeur, et l’Algérien lui traça d
une encre épaisse, et lui dit de chercher le reflet de son visage. L’
enfant
répondit qu’il le voyait. Le magicien demanda un
ertir dès qu’il verrait paraître un soldat turc balayant une place. L’
enfant
baissa la tête, les parfums pétillèrent au milieu
vèrent distinctement à nos oreilles. « Le silence était profond ; l’
enfant
avait les yeux fixés sur sa main ; la fumée s’éle
jetant sa tête en arrière, poussant des cris et pleurant amèrement, l’
enfant
nous dit, à travers les sanglots qui le suffoquai
rrifié. L’Algérien n’en parut point étonné, et dit simplement : « Cet
enfant
a eu peur, laissez-le; en le « forçant on pourrai
st le sultan suivi de tout son monde. «» Oh ! que c’est beftu! » Et l’
enfant
regardait à droite et à gauche, comme dans les ve
écrire, aussi bien que la fixité de notre attention aux réponses de l’
enfant
. « Comment est-il? « — Il porte un benisch noir,
lus extraordinaires qu’elles indiquaient d’une manière évidente que l’
enfant
avait sous les yeux des choses entièrement neuves
avec le costume franc, était certainement une nouveauté aux yeux de l’
enfant
. Le lieu de sa naissance, expliqué par un pays «n
ires qui se portent par-dessus les culottes, étaient des choses que l’
enfant
avouait n’avoir jamais vues auparavant, et pourta
oujours une profonde impression. Enfin le magicien nous avertit que l’
enfant
se fatiguait; il lui releva la tête en lui appliq
ouces sur les yeux et en prononçant des prières, puis il le laissa. L’
enfant
était comme ivre; ses yeux n’avaient point une
core neufs. Achmed nous reçut poliment et avec une gaieté affable; un
enfant
fort gentil jouait près de lui : c'était son fils
que, cinq en éprouvent les effets de la manière la plus manifeste. Un
enfant
de douze ans, devenu sourd à la suite d’une fièvr
étonnement et de crainte ? Un jeune homme de dix-sept ans à peine, un
enfant
, qui se nomme bonnement Alexis Didier, et que le
prils-forts m’ont toujours effrayé. « En 1831, j’avais pour bonne d’
enfant
une jeune «m fille de quatorze ans et une cuisini
. Mais une voix me crie : « Assez, il faut lù-bas Hevenir, pauvre
enfant
, revenir à Ta vie.... * Non, mourir est ma seul
GAUCHE. I.ES QUATRE DOHSTS. LE BRAS. « L’Algérien opéra sur son
enfant
devant moi. Ce petit garçon en avait une telle ha
avoir de doute sur l’absence d’intelligence entre le magicien et les
enfants
que j’employais; et, pour en être encore plus sûr
entre autres je fis apparaître lord Prudhoe, qui était au Caire, et l’
enfant
, dans la description de son costume qu’il suivit
ya fort ; mais je résistai à l’envie de rire, et leur dis d’amener un
enfant
, le premier venu. « Je ne commençai cette opéra
mêlait un peu, et j’étais sans doute aussi inquiet des réponses de l’
enfant
que les Arabes qui attendaient le recouvrement de
de celles qui n’en sont pour ainsi dire que le cortège d’apparat, des
enfants
, sans aucune préparation, sans qu’on puisse admet
’esprit, avait eu toute sa vie la faiblesse, si commune à la cour des
enfants
do Henri II, que Catherine de Médicis avait, entr
t céux qui étaient debout près du lit- ou dan* ïa chambre, un petit
enfant
avec l’ordre, tenu par Mmc de Vantadour, sur laqu
e M. le prince de Conti, qu’elle ne vit point, tandis qu’elle vit les
enfants
des deux derniers : M. du Maine, les siens et M.
parodie des propriétés phénoménales d’Angélique Cottin. Cette pauvre
enfant
, après avoir eu le triste privilège de remuer la
te sérieuse s’engagea, dans laquelle il y eut plusieurs femmes et des
enfants
de tués ; mais les soldats ont été obligés dfcser
ue, enveloppe tout son corps... Ma mère, ma bonne mère, reconnais ton
enfant
!... Qu’entends-je?... Tu n’es pas assez pure... R
ns laisser refroidir; puis qu'à nu, sur les reins et le ventre de l’
enfant
, on applique ce que je viens d'ordonner... Dites,
ne du nez) ; vous me verrez fléchir. » L’ordonnance fut suivie et l’
enfant
rachitique recouvra la santé. Il n’y a rien de
ion de son protecteur. Lion magnétisé.—Une femme, habitait avec son
enfant
, dans une fraction des Oulad-Thaan, une tente ass
tres. Vers la tombée de la nuit, un lion entre sous sa tente, prend l’
enfant
et l’emporte. La mère saisit un bâton, et s’élanç
ant au-devant du lion : «« Infidèle, lui crie-t-« ©lie, rends-moi mon
enfant
. > Le lion, en effet, laisse tomber l’enfant à
« ©lie, rends-moi mon enfant. > Le lion, en effet, laisse tomber l’
enfant
à terre, mais il fait un pas pour le prendre dans
ourages d’homme dans mon cœur. Je « ne sortirai d’ici qu* lorsque mon
enfant
me sera « rendu. » Le lion la regarda quelque tem
tiseur. 107 Danse soinnambulique. 259 Engorgement hydropique. 212
Enfant
à seconde Tue. 99 Epilepsie. 32 Electrique (l
étincelle : C’est l'astre précurseur, la colonne de feu Qui vers l’
Enfant
divin jadis guidait les Mages, Qui, la nuit, au
s de fleurs el de présents; Rois qui sur .vos sujets, comme sur des
enfants
, Veillez d’une âme paternelle, De vos rempart
s considérez l’effet des gestes mena-« çants et perturbateurs sur les
enfants
au berceau, « le malaise, les cris, l’agitation e
es moyens par lesquels il se sent rajeunir, en recommençant, dans son
enfant
, la carrière que lui-même avait en grande partie
n pas autant d’intérêt à celles de l’espèce humaine? Véducation des
enfants
est la pépinière des citoyens. Par elles sont for
toyens. Par elles sont formées les dispositions et los facultés que l’
enfant
doit apporter un jour dans la société civile. C
es actions individuelles. Les premiers instants de l’existence de l’
enfant
sont destinés à tracer les rudiments et à former
l’éducation. Entendez de la nature la proclamation des droits de l'
enfant
, dont la connaissance et l’exercice deviennent pl
xercice deviennent plus nécessaires encore. La nature déclare que l’
enfant
a le droit de jouir de tous les moyens propres à
iété. Voici les expressions des droits que la nature réclame pour l’
enfant
: 1" AGn do recevoir le corps bien organisé, un
corps bien organisé, une constitution saine et robuste, il faut que l’
enfant
soit engendré par des parents sains, bien conform
ués des organes semblables, s'instruise sur la manière de traiter son
enfant
dès les premiers instants de sa naissance, observ
s de sa naissance, observation que rien ne peut remplacer; 4° Que l’
enfant
reçoive pour première nourriture le lait maternel
5” Que la mère n’ait d’autre occupation que le soin de nourrir son
enfant
, de satisfaire à tous ses besoins, de prévenir ou
l'Etat prenne des mesures telles que l’existence d’un ou de plusieurs
enfants
ne devienne pas une charge pour les parents, mais
ontraire, qu’ils s’en trouvent plus heureux; 8° Que la société où l’
enfant
prend naissance soit responsable du maintien et d
t survenir; 9" Que l’éducation, enfin, soit tellement soignée que l’
enfant
, par son développement physique, par scs facultés
heureux et utile de la société civile. Ce sont donc les droits de l’
enfant
et ceux de l’homrr.o qui formeront le code db la
nt le code db la nature ; et ce n’est que sur la base des droits de l'
enfant
qu une éducation nationale est possible, et qu’on
ou assez près de l’action pour les motiver. On formera donc dans l’
enfant
cette opinion que « nul, impunément, ne peut enfr
d tôt ou lard. » La propre expérience, ainsi que l’observation de l'
enfant
, peuvent être suppléées par des exemples simples
nguait parfaitement les objets dans l’obscurité la plus profonde. Cet
enfant
, après avoir éprouvé diverses indispositions, fut
ces. Mais les parents, en suivant avec anxiété tous les actes de leur
enfant
, s’aperçurent bientôt que, bien que durant ces ac
ions, M. Gérardin a dit à 1 Académie : « Tout le monde sait cela, les
enfants
des nègres ne naissent • pas noirs; ils sont bl
r Binet, qui a e« occasion de voir dans l’Inde un très-grand nombre d’
enfants
nègres peu d'heures après leur naissance, (1) V
loms II, page 175. et il déclare que toujours, sans exception, les
enfants
nés de parents nègres sont noirs. La coloration e
ilier trente ans. Et ordinairement les pères sorciers façonnent leurs
enfants
pour les rauir en eestase, à quoi se rapporie ce
os, l'animal se met à coasser; entre-t-il quelque étranger ou quelque
enfant
, la grenouille leur tourne le dos et semble les f
lle représente la personne qui a une volonté raisonnée. La femme, les
enfants
, ainsi que les domestiques, ne sont à considérer
tion. «Quatre mois après le jugement de Papavoine, assassin de deux
enfants
, Henriette Cornier coupe la téte d’une petite fil
du procès d llenriette, une servante demande son congé à la mère d’un
enfant
qu’elle gardait, pour ne point céder à des tentat
a femme, consulté par une femme que poursuit l’idée de tuer un de ses
enfants
, consulté par une autre femme qui se croit destin
e violente envie de tuer sa fille. A la même époque, une mère de cinq
enfants
confie au docteur Georget que sa petite famille l
aconter l’affaire Cornier, avait aussitôt conçu le projet de tuer son
enfant
. Deux fois elle s’y prépare, deux fois sa main s’
tides, des hymnes psalmodiées dans l’ombre, de l’encens brûlé par de»
enfants
et des jeunes filles, et des persécutions évitées
i soit criminelle ; les autres sont malades. O femmes ! vous êtes des
enfants
bien extraordinaires! » Elles ne sont pas plus
la crise durait encore, quoique plus faiblement. Je trouvai un jeune
enfant
de douze à treize ans étendu par terre sur un mat
n matelas et dans un état d’immobilité cataleptique. J'appris que cet
enfant
, fort précoce en intelligence et en vivacité de p
du pouvoir magnétique, il avait fasciné l’esprit et le cœur de cette
enfant
, qu’un fanatisme aveugle rendait trop crédule.
u « pour résultat de me donner en plus un catarrhe de « vessie... Mon
enfant
, lui, est mort... le pauvre ançe « ne pouvait viv
’avoir étudiée, vouloir tout à coup pénétrer dans un monde inconnu? L’
enfant
peut-il avant le temps franchir l’espace? S’il ve
ux qui vous ont dit que vous pouviez courir étaient des fous ou des
enfants
. Je sais bien que les enthousiastes et les profes
poux contractent envers la société civile 1 engagement d’élever leurs
enfants
de manière à en devenir des membres utiles et h
se marier soient bien instruites de leurs devoirs et des droits de l'
enfant
; 2 ' Qu’elles aient les facultés et les dispos
s’v conformer; et par une suite de la même loi, s’il se trouvait des
enfants
abandonnés, orphelins, à l’égard desquels ces deu
connaissance d'une profession utile à lu société. L’éducation de l’
enfant
commence avec son existence, car dès cc moment il
ère ; et il s’ensuit que les règles fondamentales de l’éducation de l’
enfant
doivent être : 1" D’éloigner tous les obstacles
er le développement de ses facultés ; 2" De placer successivement l’
enfant
dans des circonstances telles qu’il ait la libert
gent les mouvements particuliers, il faut de bonne heure accoutumer l’
enfant
à embrasser de grands objets dans ses idées, tels
les nuages, les vents, les orages, les tempêtes, les météores. * L’
enfant
, ainsi placé, obéissant uniquement à l’impression
ses es sais et de ses recherches par une instruction prématurée. L’
enfant
ne peut se former pour la société à laquelle il e
rmer pour la société à laquelle il est destiné que dans une société d'
enfant
». La perfection de toute société consistant dan
ent le retour ou le reflet de toutes leurs actions sur eux-mêmes. L’
enfant
, considéré en société, est en relation avec les a
ion consistent dans les paroles et les lettres. Il faut laisser à l’
enfant
la liberté de cultiver lui-inème, par imitation e
t ù établir des relations vraies entre ses idées et celles des autres
enfants
. Il faut apprendre à l’enfant la langue de conv
entre ses idées et celles des autres enfants. Il faut apprendre à l’
enfant
la langue de convention, et lui permettre, à un c
nsmettre les idées, doit être exacte et précise. Il faut habituer l’
enfant
à ne pas en abuser et à demeurer fidèle aux conve
devoirs est donc la véracité et la probité. Il faut laire sentir à l’
enfant
les avantages de ces deux qualités, et lui inspir
développement de ses organes et de l’accroissement de ses forces. L’
enfant
doit apprendre à connaître les bons et les mauvai
2" Par l'expérience. Les soins que l’on prend de l’éducation des
enfants
doivent plus porter sur leurs facultés et leurs d
sur la société, et qu'elles sontdans leur proportion, il faut que les
enfants
aient parcouru et pour ainsi dire épuisé toutes l
rer dans lu société civile. Pour cela on doit prudemment placer les
enfants
dans les circonstances et les situations propres
es augmentent et que les besoins lu secours des autres diminuent, les
enfants
apprendront par l’expérience à jouir, dès l’âge l
e dans Y égalité, il est essentiel de prévenir et d’empécher dans les
enfants
tout esprit de domination, d’égoïsme et de basse
n. Pour cet effet, il est important de former et de cultiver dans l’
enfant
une sensibilité et un iniérôt au sort d’autrui, q
ratiquer les vertus sociales. Ce n’est qu’en faisant contracter à l’
enfant
cette habitude qu’on préviendra la férocité dans
osséder les vérités renfermées dans le magnétisme, que vous étiez des
enfants
. « Non,non, vous vous montrerez hommes complets
ernier, sont répétées sur elle avec plein succès. La patiente est une
enfant
très-grèle. On essaie de l’attirer, retenue par t
eaire ! vous vous y étiez aussi laissé prendre ; l’innocence de votre
enfant
, sa candeur, ne vous ont point sauvé ; son heureu
s ont nié. Mais voici d’autres combattants : MM. Ilicard, comme des
enfants
terribles, voulant tout pourfendre, et ne parlant
çoit tous les produits de leur destruction ; que les plantes sont les
enfants
de l’air; que les animaux dérivent tous des plant
imposant les mains. Il faudrait aussi accuser la mère qui presse son
enfant
contre son sein pour calmer ses douleurs; il faud
sulfates de soude et de magnésie du commerce sont dans ce cas. d’un
enfant
ou le calme du sage pour abandonner à l’agent seu
cs. Aussi toutes les grandes découvertes se font autour d’eux par des
enfants
perdus des sciences et qui n’ont point suivi leur
t-ils, ceux-là languissent et meurent bientôt. Il est une multitude d’
enfants
qui n’ont pu avancer dans la vie, car il leur man
rapport pour essayer si la somnambule pourrait indiquer le sexe de l’
enfant
. Elle accepta en disant qu’au moins «on mal à ell
galement il sept mois,sont morts au bout de deux mois. Le cinquième
enfant
est né à terme. Actuellement, il est figé de cinq
n'a jamais remarqué sur lui d'éruption suspecte. Elle n'a pas eu d'
enfants
, elle n'a pas fait de fausses couches. Elle ne
comme signe de tuberculose surtout lorsque le plus grand nombre des
enfants
issus de tels parents mouraient jeunes. Elle-mê
: morte il y a un an de cardiopathie, ayant eu de son mariage deux
enfants
, le malade et une soeur qui vit et a toujours é
euf, sa femme est morte il y a un an de granulie. Ils avaient eu un
enfant
mort il 11 mois de la variole. - Antécédents pe
centuée : dès'seins'petits, mais bien formés, un sexe mâle de jeune
enfant
. ' , ? -, , . Il est inutile de revenu- ici su-
u peti t Iule ést aussi très sincère : d'un geste simple et naïf, l'
enfant
essuie ses larmes avec un pan de son vêtement, et
a description, à séparer l'une de l'autre. La première comprend les
enfants
morts-nés avant terme ou à terme, ou ceux qui,
investigations anatomo-pathologiques. Dans la seconde, il s'agit d'
enfants
vivants nés à terme ou avant terme, présentant
a bientôt des exemples. Kahler et Pick (2) ont fait l'autopsie d'un
enfant
de 5 mois mort de sy- (1) POTAIN, cité par LANC
que de la moelle dans 7 cas de syphilis, dont 4 se rapportant à des
enfants
atteints de syphilis -hé- réditaire. L'enfant l
se rapportant à des enfants atteints de syphilis -hé- réditaire. L'
enfant
le plus âgé avait, au moment de la mort, 2 mois e
de Jûrgens (4) sont plus intéressants. Le premier se rapporte à un
enfant
mort-né, chez lequel on trouva un épaississemen
lle. Di- verses lésions syphilitiques des autres organes. 2e cas.
Enfant
né le 8 mars 1885, mort le 12 mai ; ictère, pemph
le plus intéressant, sera étudié ultérieurement car il a trait à un
enfant
atteint de syphilis héréditaire précoce. En r
rapportent seuls à la syphilis héréditaire. Le premier a trait à un
enfant
de 52 jours dont la mère présentait des acciden
rvation de syphilis congénitale (la 3e du mémoire) se rapporte à un
enfant
de 25 jours né d'une mère syphilitique. Pas de dé
syphilis congénitale (la 4° du mémoire) se rapporte au cadavre d'un
enfant
de quelques jours (8 à 10) suspect de syphilis co
t'donc frapper la moelle (ou mieux le système cérébro- spinal) de l'
enfant
, avant sanaissance. L'accouchement, dans ces cas,
nce. L'accouchement, dans ces cas, a sou- vent lieu avant terme ; l'
enfant
est mort-né ou il naît vivant. Dans les faits q
t-né ou il naît vivant. Dans les faits que nous avons étudiés, si l'
enfant
est né vivant il succombe rapidement, sans qu'o
stitielle diffuse que l'on trouve si souvent chez les foetus ou les
enfants
qui ont succombé à la syphilis congénitale et don
ait, sans commentaires, deux observations se rapportant à de jeunes
enfants
, De la première nous ne dirons rien, la syphili
, sans effet d'ailleurs, du mercure et de l'iodure de potassium ; l'
enfant
gâte, sa stupidité aug- mente ; c'est dans cet
mémoire, publié en 1884, M. Moncorvo (1) rapporte 3 observations d'
enfants
nettement liérédo-sypiiililiques. La première a
a pas à s'améliorer. Mais les accès épileptiques persistèrent, et l'
enfant
resta à peu prés idiote. La sta- tion debout es
tion se rapporte à un garçon de 7 ans qui ne mar- cha qu'à 6 ans. L'
enfant
est idiot avec crises de colère, équivalents psyc
corvo. Contribution à l'étude de la 'sclérose multiloculaire chez les
enfants
, Paris, Berthier, 1884. , (2) Moncorvo. De l'
. , (2) Moncorvo. De l'étiologie de la sclérose en plaques chez les
enfants
et notam- ment de l'influence de l'hérédo-syphi
icace car, après des alternatives de mal et de mieux, vers 7 ans, l'
enfant
était à peu près guérie. Il semble qu'il ait ex
laques. Depuis, M. Moncorvo (1) a publié 3 nouvelles observations d'
enfants
hérédo-syphilitiques, âgés respectivement de 5
; chez le 2c il existait de l'athétose des membres supérieurs. Deux
enfants
avaient des crises qui rappelaient celles de l'
e l'ensemble clinique soit ici un peu différent. ' Il s'agit d'un
enfant
de ans présentant un développement anormal du (
ologique de l'hérédo-syphilis sur la sclérose en pla- ques chez les
enfants
. Revue mensuelle des maladies de l'enfance, septe
kson note un cas de paraplégie, probable- ment congénitale, chez un
enfant
de 8 ans. La famille à laquelle il appartenait ét
de 8 ans. La famille à laquelle il appartenait était composée de 4
enfants
. « Le plus vieux, une fille de 18 ans a de bonnes
ne particu- lier, il n'existait pas de troubles de la motilité. L'
enfant
mourut de diphtérie. Outre des lésions osseuses a
s venant implorer leur guérison auprès du tombeau de la sainte : un
enfant
genoux avec une main-bote, un hom- me dont la j
à droite une femme, assise également, tient dans ses bras un jeune
enfant
. La recherche de .l'effet dramatique l'emporte,
ligno au palais Colonna, à Rome, représente la Vierge guérissant un
enfant
du démon. . LE Sueur, St Paul guérissant les ma
'Eglise de Vaucelles (Caen), représente St Mathurin exor- cisant un
enfant
. Le saint fait de la main droite un geste hiérati
fait de cet ordre et à ce titre mérite d'être analysée. Chez cet
enfant
né de parents syphilitiques au moins le père a
nférieurs qui présentent de la trépidation spinale. Jamais,chez cet
enfant
,il n'a existé de troubles cérébraux, l'intelligen
5 ans d'une maladie indéterminée ; marié depuis peu de temps, pas d'
enfants
. Une soeur morte il 26 ans d'une maladie indéte
ne soeur morte il 26 ans d'une maladie indéterminée ; elle avait eu 2
enfants
qui moururent, l'un à 5 ans, l'autre à 8 ans :
'autre à 8 ans : son mari était alcoolique. Un frère vivant qui a 6
enfants
bien portants et n'en a pas perdu; serait attei
ice peu actif. En 1872. il se marie une femme robuste dont il a six
enfants
ou fausses cou" 112 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
(1) rapportent, en 1861, l'observation passable- ment confuse d'un
enfant
syphilitique âgé de 4 mois, chez lequel il exis-
ciété clinique de Londres,le 12 novem- bre 1869, l'observation d'un
enfant
chez lequel la syphilis héréditaire fit son app
blement été infectée conceptionnellement. Un an auparavant, premier
enfant
mort au bout d'un mois avec une éruption cutané
il est parlé de paralysies et de contractures des membres chez des
enfants
hérédo-syphilitiques. La pathogénie en serait var
que de Berlin, le 11 juin 1894, est de même ordre. Il s'agit d'un
enfant
de 8 ans que l'auteur considère comme hérédo-sy-
membres inférieurs avec phénomènes spas- modiques et contracture. L'
enfant
succomba et, à l'autopsie, on trouva des exosto
A MOELLE ÉPINIÈRE 119 « Vous n'avez pas oublié, sans doute,ces deux
enfants
hérédo-syphiliti- ques qui,l'année dernière, et
st déformé par deux bosselures laté- rales, etc., etc. Eh bien, cet
enfant
, vers l'Age de 3 ans 1/2, a commencé sans, souf
la. naissance, de développement médiocre et ayant marché à 2 ans,l'
enfant
était conduite * il l'hôpital à cause de l'inin
ques de sclérose dans le cerveau et dans le bulbe survenues chez un
enfant
syphilitique héréditaire, les bons effets du tr
verrons les conclusions que son auteur en a tirées. Il s'agit d'un
enfant
de 14 ans né d'un père syphilitique. Dans les pre
ois de l'existence, éruption spécifique et plus tard adénopathie. L'
enfant
allait à l'école, mais c'était le plus mauvais de
èse. Cette existence d'une forme de paraplégie spasmodique chez les
enfants
hérédo-syphilitidues non congénitaux, se rappro
ntéressent particulièrement (obs. I et II). Le premier a trait à un
enfant
de 10 ans qu'il considère comme hérédo- - syphi
e en li mois sous l'in- fluence du traitement antisyphilitique. L'
enfant
est intelligent ; il n'y a pas de troubles cérébr
itique. / L'accouchement fut normal et aussi le développement de, l'
enfant
, au moins au début. A 4 semaines, forte éruptio
ons que Friedmann formule en ces termes : . « Il existe, chez les
enfants
, une forme typique de paralysie spasmodique des
adultes, si elle n'en est pas la repré- sentation directe chez les
enfants
; il y a lieu de penser que, dans les deux cas,
étendus ; les bras restent insensibles. Sa mère dit qu'elle a eu II
enfants
; six morts-nés ou morts aussitôt après la naissa
hes dont la première ; les autres auraient eu lieu après les premiers
enfants
quLsont au nombre de 7 bien portants. Le malade
quLsont au nombre de 7 bien portants. Le malade qui est le troisième
enfant
et que nous avons seul vu de la famille, ne nou
sses couches ainsi qu'il nous l'avait déjà dit ; il existe encore 7
enfants
vivants qui sont : 1° Une tille de 27 ans bien
us paraît indéniable : polyléthalité se jugeant par 17 morts sur 19
enfants
, rachi- tisme, petite taille, lésions dentaires
lade que nous avons vu et qui est avec elle le seul survivant de 19
enfants
présente la lésion dentaire d'Ilutchinson. Le t
tiques d'une affection cardia- que ( ? ). f Ses parents eurent 19
enfants
; il n'en reste que deux, la malade qui était la
malade ( ? )' pendant 18 mois avec suppression du flux menstruel. Ni
enfants
ni fausses couches. En 1884, à l'âge de 28 an
ccasion de voir le frère de la (le 35 ans, l'a- vant-dernier des 19
enfants
dont il ne reste plus que 2, la malade et lui.
de cette affection. Celle-ci était alors âgée de 8 ans. Sur 12
enfants
qu'a eus sa mère, 4 seulement sont vivants, deux
s et deux filles. Un des frères de la malade aurait perdu plusieurs
enfants
en bas- .. âge. Elle-même a eu 2 enfants ;
aurait perdu plusieurs enfants en bas- .. âge. Elle-même a eu 2
enfants
; l'un est mort en bas-âge, l'autre est actuellem
et la mit au monde après 5 ans de mariage ; elle n'eut pas d'autres
enfants
et ne fit pas de fausses couches. Son père est
le a un fils bien portant actuellement âge de 13 ans ; pas d'autres
enfants
: pas de fausses couches. Au mois de janvier 18
tanée. Remak (2) a vu le tabes se montrer à 9 et à 13 ans chez deux
enfants
fiéréclo-sypli 11 i tiques. Il est vrai que dan
dite congénitale, précoce ou tardive. Lorsque la syphilis frappe l'
enfant
avant sa naissance, l'accouchement a souvent li
nt avant sa naissance, l'accouchement a souvent lieu avant terme; l'
enfant
est mort-né ou il nait vivant. Dans le cas où i
ielle diffuse que l'on trouve si fréquemment chez les foetus ou les
enfants
qui ont succombé à la sy- philis congénitale. L
., p. 529. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 151 Si l'
enfant
touché congénitalement survit, les symptômes clin
, à n'en pas douter, d'une syphilis vac- cinale. D',une vingtaine d'
enfants
, inoculés en même temps que lui, plu- DEFORMATI
elle-même ne comporte point de commentaires. . / Il s'agit d'un
enfant
du sexe masculin âgé actuellement de onze ans.
légère déformation de la colonne dorsale et un point douloureux. L'
enfant
fut immobilisé dans une gouttière durant 8 ou 10
enue tout à fait impossible. M. Lannelongue consulté, fit coucher l'
enfant
sur une surface plane et ré- MAL DE POTT AVEC G
roi de Pologne (2), se manifeste souvent et plus encore que dans un
enfant
de quatre ans ». Borulawski se maria, eut un fi
ssow étaient fils d'un paysan Croate qui, marié a 35 ans, eut seize
enfants
dont trois nains : le premier, le troisième, et l
is, ayant su toucher le coeur d'lsoline, il l'épousa et eut d'elle un
enfant
. (1) E. l3na.ou, Leçons sur les maladies nerveu
de pair avec le nanisme. Bébé, âgé de 23 ans, avait la voix d'un
enfant
d'un an. Louis Crâne, nain de 78 centimètres, q
à IIayneville, en Nor- mandie, à l'àe de 21 ans, avait la voix d'un
enfant
de sa taille. Il ne put jamais parler et « cria
n enfant de sa taille. Il ne put jamais parler et « criait comme un
enfant
de trois ans dont il avait du reste toute l'app
ouvent avec l'âge. Un des nains de Velasquez, au musée de Madrid, l'
Enfant
de Vellacas, est une bonne représentation du faci
174 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE pos que la mère et l'
enfant
sont affligés de la môme difformité : « C'est là
creusent des fossettes en cupules, comme on en voit chez les petits
enfants
. Cet avorton oedémateux est d'un réalisme surpr
sur le corps et les membres, suivant l'aspect qu'on observe' chez l'
enfant
, se -retrouve en effet chez .les infantiles, à
t de la-vielle. A côté, devant une porte entr'ouverte, est un jeune
enfant
qui (1) W. ]3unoEit. Musée de Hollande. Amsterd
es antipathies. Il procéda en bon (1) Telles sont : L'Histoire de l'
enfant
de Joigny qui a été trente-deux ans dans le ven
sont dans leur totalité extrêmement réduits : ce sonl des membres d'
enfant
et encore ! d'enfant malingre (PI. XXXIX). Ce q
té extrêmement réduits : ce sonl des membres d'enfant et encore ! d'
enfant
malingre (PI. XXXIX). Ce qui frappe tout d'abor
nd mariage, avec le père du sujet que nous étudions, sont nés trois
enfants
: les deux premiers sont morts l'un à 10 ans de
chez elle le moindre indice et stigmate de syphilis ; elle a eu 12
enfants
à terme : quatre vivent et se portent bien ; les
ubles dystrophi- ques : la mère nous dit très explicitement que son
enfant
est né malingre, avec une peau dure, appliquée
cette sclérodermie généralisée. Né à terme, nourri par sa mère, l'
enfant
marchait à 10 mois, parlait à son heure, mais n
pour une pleurésie du côté gauche. Marié à 22 ans, il a eu trois
enfants
; deux sont encore bien portants, le troisième e
oisième et dernier est mort en nourrice, faute de soins. L'aîné des
enfants
, un garçon âgé de 10 ans a eu il y a deux ans une
les fussent altérées. » Kahler et Pick (1) ont fait l'autopsie d'un
enfant
de 5 mois mort de sy- philis avec lésions cutan
ont trait à la syphilis héréditaire. « Le premier cas concerne un
enfant
mort-né, long de 65 centimètres chez lequel on
INALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE v 283 Le deuxième cas concerne un
enfant
né le 8 mars 1885 et mort le 12 mai ; ictère, p
e de la moelle. » Le troisième cas est encore plus intéressant. «
Enfant
de deux ans, spina ventosa de plusieurs phalanges
Les deux cas de Kohts (1) sont bien différents. Ils ont trait à des
enfants
syphilitiques âgés respectivement de 2 ans et d
héréditaire ayant tou- ché la moelle : La première est celle d'un
enfant
de 52 jours dont la mère présentait des acciden
es et de la névroglie. » La deuxième observation se rapporte à un
enfant
de ? jours né d'une mère syphilitique. ' « Ri
homogène peu différentiable. » , Enfin le troisième cas concerne un
enfant
de 8 à 10 jours dont la mère était syphilitique
1896 (Broca). 1 Foetus à-terme, né vivant, de mère spécifique. L'
enfant
meurt deux jours après la naissance de convulsion
III. 7 février 1896 (Broca). Foetus ai terme, de mère spécifique.
Enfant
mort-né, non macéré. Cerveau. -Vaisseaux des mé
village opère un paysan. Au lieu de la commère attendrie, un jeune
enfant
perdu dans l'ombre, un vieux chapeau cachant to
ne l'a fait dans les ouvrages didactiques. * .. Voici d'abord l'
enfant
que, sur ma demande, mon collègue et ami Comby
a chorée et du rhumatisme articulaire est encore controversée. Or l'
enfant
que vous avez devant vous a été prise de la cho
la température corporelle était normale (37°4 dans le rectum). L'
enfant
fut soumise au traitement arsenical. En l'espace
rras gas- trique s'était établi, qui dura dix jours ; le 10 avril l'
enfant
a quitté l'hô- pital, débarrassée de son embarr
e moment son état général ne laissait rien à dési- rer, voire que l'
enfant
avait pris de l'embonpoint. La paralysie motrice
A SALPÊTRIÈRE elle envahit les muscles du tronc. A cette période, l'
enfant
, complètement privée de mouvement, était immobi
tition ; il lui arrivait d'avaler de travers. L'état mental de l'
enfant
est resté normal. Cet état de paralysie quasi g
es inférieurs. L'amélioration fit des progrès rapides. Le 20 juin l'
enfant
étaient de nouveau en état de marcher. Vous all
ale ; de plus, ils sont bien coor- donnés ; en serrant les mains, l'
enfant
déploie une vigueur en rapport avec son âge.
gulière, seulement la fatigue est prompte à se montrer. Très vite l'
enfant
fléchit sur ses jambes, des deux côtés égalemen
t cicatrisée. Messieurs, la cause de la paralysie présentée par cet
enfant
ne saurait faire l'objet d'un doute. C'est bien
dans le sens propre du mot. Si donc les accidents présentés par cet
enfant
ont eu réellement une origine centrale, il deva
uler. En l'espace de vingt et un jours on avait fait absorber à cet
enfant
environ sept grains, c'est-à-dire plus de quara
centigrammes d'acide arsénieux. Dans le cours de ce trai- tement, l'
enfant
vint en proie des troubles digestifs passagers. D
t qu'il s'y associa de l'atrophie; par contre, à un moment donné, l'
enfant
a présenté de l'incoordination motrice ; notez
l à hautes doses. Le traitement avait été admirablement supporté; l'
enfant
était débarrassé de sa chorée depuis Un iiiois,
té d'arsenic, dans l'espoir de se faire avorter. Elle accoucha d'un
enfant
mort-né; mais dans l'intervalle elle avait cont
es. Entre autres faits curieux, Basedow avait publié le cas de deux
enfants
d'une même famille, qui avaient été frappés de
taté encore il y a 4 mois seulement, âgée de 30 ans, primipare. L'
enfant
est mort depuis 11 jours, il pèse 2450 grammes, i
on XI, 19 mars 1896 (Maternité). Né à terme de mère spécifique. L'
enfant
présente des phénomènes convulsifs dès les premie
ca). 'Foetus de 8 mois. Mère spécifique du début de la grossesse.
Enfant
né vivant, mort le 3 juin. - Encéphale d'appare
avril 1896 (Broca). Foetus de 8 mois. Mère spécifique secondaire.
Enfant
né vivant, mort au bout de quelques heures. Poids
s de 6 mois. Mère spécifique : trois fausses couches antérieures. L'
enfant
naît vivant, mort au bout de quelques heures. M
/2. Mère non spécifique morte en asystolie. Opération césarienne, l'
enfant
est mort. ' C'est une des moelles que nous avon
mère âgée de 36 ans, spécifique depuis 10 ans, père spéci- fique, 3
enfants
et 3 fausses-couches antérieurement. Mort-né, lég
Foetus à terme. Mère spécifique depuis 5 ans. Accidents actuels. 3
enfants
mort-nés macérés. Mort-né. Macérés. Poids 210
t hystérique (crises de nerfs, etc.). Antécédents personnels. Etant
enfant
, la malade a eu des convulsions au cours desque
et aujourd'hui encore, devant les soldats, les bonnes et les petits
enfants
ébahis, Maccus continue à parler osque, comme i
de polichinelles qui servaient à dé- sennuyer dans leur berceau les
enfants
d'Israël. D'Egypte, Polichinelle . serait passé
s par elle-même et par ses conséquences. La masturbation des petits
enfants
, d'abord réflexe, puis volontaire, est très démon
peut s'en assurer en observant le siège de la résistance chez les
enfants
. La rigidité accompagnant ordinairement la para
, pendant quelque temps après la naissance de l'animal (mammifères,
enfant
) ; 8° Dans le cerveau de l'enfant (comme dans c
ssance de l'animal (mammifères, enfant) ; 8° Dans le cerveau de l'
enfant
(comme dans celui du petit chat et d'autres mam
iations du milieu ambiant commencent à marquer leur empreinte sur l'
enfant
, et à mettre en mouvement les premières variati
i les co.r.bine suivant une marche définie ; pendant ces périodes l'
enfant
est particulièrement impressionnable parles cho
ion considé- rable au développement cérébral. Le langage permet à l'
enfant
de représenter les objets les plus variés et le
tes et la conduite ; 13° A mesure que le développement progresse, l'
enfant
franchit cette période; et le cerveau antérieur
copique est fait par Chas II. Beard. 4e cas (celui de Patrick). L'
enfant
présente les manifestations suivantes : paralys
nt pas la striation radiée qui existe normalement dans les yeux des
enfants
. Lamina cribrosa légèrement voilée, cependant v
e progressive, grande sensibilité au bruit. A l'encontre de l'autre
enfant
, il est de race sémitique, fait habituel dans c
intenses, dues soit à une hydrocéphalie excessive (2 tout petits
enfants
) soit, à une exostose diffuse à la base du crâne,
être soigneusement distinguée de la para- lysie spinale aiguë de l'
enfant
et de l'adulte, qui est une myélite SOCIÉTÉS SA
cédents héréditaires ou personnels. Il nie la syphilis ; il a trois
enfants
bien portants et sa femme n'a pas fait de fauss
. (Le Temps du 17 novembre 1900.) Les méfaits de l'absintue chez un
enfant
. Notre correspondant de Chalon-sur-Saône nous t
re cependant est d'humeur bizarre. Bonne santé habituelle, quatre
enfants
qu'elle a nourris. Elle est jumelle avec un frère
isiques. Une soeur jumelle morte à cinq ans du croup. La mère a des
enfants
normaux d'un premier et d'un. troisième mari. E
ux est susceptible de diverger puisque, dans 30 p. 100 des cas, les
enfants
naissent avec une différence de poids qui peut
ette dernière est épileptique et aliénée. De ce couple sont nés dix
enfants
, trois morts en bas âge, deux morts à vingt et
sse s'est passée sans incidents. Nées le 9 octo- bre 1865, les deux
enfants
ont eu une première enfance normale. Elles ont
a mère et dit qu'elle veut la tuer. Elle a frappé plusieurs fois un
enfant
du voisinage en disant qu'elle le tuera. Elle a
morte à soixante-six ans de variole hémorrhagique. Ils ont eu huit
enfants
dont quatre sont morts : l'aîné à vingt-deux an
e la poitrine. Puis vient un garçon, vivant bien portant, père d'un
enfant
normal ; ensuite les jumeaux; en dernier lieu,
avant d'être nommé roi. J'ai fait quatorze ans de service; j'étais
enfant
de troupe depuis l'âge de six ans. J'ai fait au m
ne, ou même ne compense pas celle des différences. Assistance des
enfants
idiots ET arriérés EN ITALIE. Il s'est ouvert l
s le titre : « Institution Um- berto 1 ? », un asile-école pour les
enfants
idiots et arriérés, sous la direction du profes
s malformations et des altérations physiques et psychiques chez les
enfants
a été maintes fois signalée et l'influence puissa
umière. La thérapeutique médico-pédago- gique, destinée à faire des
enfants
anormaux des sujets se rappro- chant le plus po
ionne « l'oeuvre admirable ». Mais il ne suffit'pas d'améliorer les
enfants
anor- maux ; il faut encore façonner les enfant
as d'améliorer les enfants anor- maux ; il faut encore façonner les
enfants
normaux et créer, par l'application sage d'une
ment établis, la résistance organique, intellectuelle et morale des
enfants
et des jeunes gens, ayant en vue les exigences
t à normaliser les irréguliers ou pour ne pas laisser entraîner les
enfants
hors des règles dictées par l'hygiène et la mor
it que des observations -analogues soient poursuivies chez tous les
enfants
des différentes nationalités. Ces observations
Paralysie Radiculaire supérieure du Plexus Brachial chez une jeune
enfant
; arrêt de développement du squelette; radiographi
; radiographie ; par F. iUYiiOND et E. HUET (de Paris). Une jeune
enfant
est atteinte, à l'àge de un an, d'une paralysie
ion de pièces, crâne, cerveau, photographies.) , , Il s'agit d'un
enfant
de deux ans et demi, idiot, ayant un crâne nota
s et demi, idiot, ayant un crâne notablement plus petit que celui d'
enfants
normaux de même âge. A l'autopsie, les hémisphè
es de substance cérébrale atrophiée. Au point de vue clinique cet
enfant
appartient au groupe des idiots microcéphales.
de pièces.) MM. Bourneville et Crouzon présentent l'encéphale d'une
enfant
de huit ans, dont l'histoire clinique peut se r
tographies.) MM. Bourneville et Crouzon présentent l'encéphale d'un
enfant
de seize ans, dans lequel le cervelet est atrop
ceau cérébelleux en particulier parait indemne. Pendant la vie, l'
enfant
avait tous les caractères cliniques de l'idioti
e était gâteux. Aucun symptôme cérébelleux n'avait été observé. L'
enfant
n'avait jamais été normal. Il semble toutefois qu
dents héréditaires ne sont point anormaux. Sa mère a eu cinq autres
enfants
dont quatre bien portants, et a fait trois faus
ien portants, et a fait trois fausses couches. Un des frères de cet
enfant
, encore vivant, est dans le service de Bicêtre,
atténuer, ou de développer certains sen- timents affectifs chez des
enfants
, des jeunes filles, des femmes, des maris. Ces
ent de M. le Dr l'ECnanuw, nommé médecin en chef à Dun-sur-Auron.
Enfant
assassin. A Armentières (Pas-de-Calais), le jeune
frappé de paralysie ; son père est mort d'hydropisie. Il a eu huit
enfants
dont deux sont morts, les six autres sont vivan
âgé de vingt-huit ans, habitant Brest, est l'aîné des fils de huit
enfants
: 1° Une soeur, trente-deux ans, bien portante
. 489 et 509. 8 Revue de Médecine, 1887. 2C8 CLINIQUE NERVEUSE.
enfants
, étaient frappées de crises paralytiques périodiq
s de Gibney, rapportés dans le même travail : il s'agissait de deux
enfants
, l'un âgé de sept ans, qui après des accès de f
9 s'agit d'une paralysie spastique récidivante observée chez deux
enfants
de la même famille; l'auteur les considère comm
sance quelques troubles musculaires apparurent, et la vitalité de l'
enfant
parut diminuée; on réussit à le remonter. Il n'
à le remonter. Il n'y avait pas de division de la voûte palatine. L'
enfant
entendait, mais ne criait jamais. La mère s'éta
e d'amblyopie étant rare dans les tumeurs du cervelet. L'âge de l'
enfant
ne permettait pas de préciser si l'aphasie était
normales, l'urine seulement un peu rare, le bébé était le troisième
enfant
de deux journaliers bien portants, n'ayant eux-
il survint de la rigidité mus- culaire avec état spasmodique, et l'
enfant
mourut à l'âge de deux mois et demi. Il. de Mus
te presque toujours par les membres supérieurs, tandis que chez les
enfants
de deux à dix ans, ce sont presque toujours les
le thorax et les épaules qui sont atteints primiti- vement. Plus l'
enfant
est jeune plus il y a de probabilités pour qu'o
action. Les femmes sont plus souvent atteintes que les hommes ; les
enfants
et les adultes y sont également exposés, mais c
e court travail est accompagné d'une planche qui montre l'état d'un
enfant
qui s'était bien porté pendant les dix premiers m
t le corps thyroïde atrophié. Immédiatement le dé- veloppement de l'
enfant
s'arrêta, et l'enfant prit l'aspect particulier
rophié. Immédiatement le dé- veloppement de l'enfant s'arrêta, et l'
enfant
prit l'aspect particulier aux crétins. Actuelle
ffle mitral systolique. Le len- demain, accouchement prématuré d'un
enfant
mort. Affaiblisse- x ment progressif et rapide.
L. PHILIPPE. VII. Société libre pour l'étude de la psychologie de l'
enfant
. Il s'est fondé à Paris, il y a environ un an,
nviron un an, une Société libre pour l'étude de la psychologie de l'
enfant
. Le titre nous indique assez quel est son but e
té ne vienne ajouter quelques chapitres intéressants à l'étude de l'
enfant
. La psychologie et la pédagogie vont concurremm
e à affecter de laisser complètement de côté tout ce qui touche à l'
enfant
anormal. Dans une des premières séances, il nous
nous faisions d'étudier non seulement le développement normal de l'
enfant
, mais encore les arrêts, les anomalies que ce d
déplacé dans un traité de psy- chopatliologie - la colère chez les
enfants
. Et, dans le question- naire élaboré pour fourn
uments sur ce point, nous lisons : « Quel est le développement de l'
enfant
(observé au point de vue de la colère) comparé
e l'enfant (observé au point de vue de la colère) comparé à celui d'
enfants
du même âne - Quel est son état de santé ? Quel
ccident sur ses accès de colère ? Savez-vous sur quelle catégorie d'
enfants
porte la seconde en- quête proposée ? Sur les e
e catégorie d'enfants porte la seconde en- quête proposée ? Sur les
enfants
indisciplinés et rebelles. Et il est entendu qu
isciplinés et rebelles. Et il est entendu qu'on ne s'occupe que des
enfants
normaux ! · Nous nous permettrons aussi d'éleve
eignements sur ses élèves; mais est-il à même de connaître à fond l'
enfant
, au point de vue ins- tinctif et moral, lui qui
, lui qui ne l'étudié qu'à l'école, c'est-à-dire à l'en- droit où l'
enfant
se montre le moins sous son vrai jour, puisqu'il
a nécessité de l'assistance et du traitement médico-pédagogique des
enfants
idiots ou arriérés. C'est à nos collègues des a
ciliée à Coatréven, qui après avoir fait absorber de l'alcool à son
enfant
l'avait laissé dehors durant la nuit. Le len- d
vait affalée ivre-morte devant sa porte. Quelques instants après, l'
enfant
de cette malheureuse, une petite fille de cinq
le vint tomber près de sa mère. Des voisins charitables portèrent l'
enfant
chez un pharmacien qui lui donna un cordial et
alogues sont assez rares. En général, ils ont été observés chez des
enfants
qui meurent peu après la naissance. Il est exce
dans le service le 30 octobre 1899, y est décédé le 3 novembre. Cet
enfant
est arrivé avec un certificat ainsi conçu : « Est
tante paternelle aurait eu des migraines très violentes. Ses trois
enfants
sont bien portants et n'ont pas eu de convulsio
ans de tuberculose. Deux autres sont bien portantes ainsi que leurs
enfants
. Deux soeurs, l'une morte à dix-sept ans de tub
ne.) Inégalité d'âge 276 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. de deux ans. Deux
enfants
: 1° Une fille morte à six mois d'une méningite
cauchemar, ni hémorragie. Elle n'avait pas encore senti remuer son
enfant
, elle n'était pas sûre d'être enceinte car ses
eaucoup d'eau. A la naissance, pas d'asphyxie, pas de circulaire, l'
enfant
paraissait normal, sa tète n'avait pas attiré l
tement au biberon, avec du lait de vache. Dès les premiers jours, l'
enfant
était «somnolent et constipé» {il en a toujours
ermées reposant sur le devant de la poitrine. Lorsqu'on babillait l'
enfant
, pour faire entrer les manches, on était obligé
le au mal de mer. Pas de rumination. Constipation habituelle. - L'
enfant
semblait supporter sa tête difficilement, comme s
t que dès les premiers tempsde la vie, avant les convul- sions, son
enfant
n'était pas naturel, car il était toujours somnol
firme enfin que les fontanelles ont été fermées à trois mois. 30. L'
enfant
nous arrive de l'Asile clinique avec de la fièvre
pâle, avec une teinte brune cuivrée qui s'explique parce fait que l'
enfant
est né à Nouméa. Les testicules, dans les bours
Soir : T. Il. 401,5. 3. Dans la nuit, mêmes plaintes, mêmes cris, l'
enfant
meurt' avec une T. R. de 40°,5. La température
uites de volume. Le cervelet, a un volume proportionné à l'âge de l'
enfant
. La protubérance est petite et en retrait par r
migraine chez le grand-père et l'un des arrière-grands- pères de l'
enfant
. En revanche, les cas de tuberculose sont très
s, jointes à ce fait que, dès les premiers jours de la naissance, l'
enfant
était somnolent, nous amènent à penser qu'il s'
ermis de suivre l'évolution de la poussée méningilique à laquelle l'
enfant
a succombé'. IV. La température après la mort m
é à Montdevergues [mars 1901). RECUEIL DE FAITS. Hi)l'1T.1L DES
ENFANTS
M\HDES. SERVICE DE M. LE De DESCROCZILLES. Un c
enta de réhabiliter la congestion active du cerveau au moins chez l'
enfant
, nous ne lisons pas moins dans un récent travai
évrier 1900.) UN CAS DE CONGESTION CÉRÉBRALE ACTIVE. 303- chez un
enfant
que nous eûmes l'occasion d'observer dans le se
il, à 9 heures du matin, après- avoir pris un déjeuner copieux. L'
enfant
marche en sifflant et en jetant à chaque instant
erains qui ont vu la scène accourent et le retirent de l'eau. - L'
enfant
n'est pas resté dans, l'eau plus d'une demi-minut
a parfaitement établi tous ces détails). A peine retiré de l'eau, l'
enfant
se met à pousser des cris per- çants et présent
ui. t ' - Au bout d'une demi-heure d'agitation, le calme renaît ; l'
enfant
reste couché les yeux grand ouverts, comme hébé
rise d'agitation ne tarde pas à succéder à cette courte accalmie; l'
enfant
recommence les mêmes tentatives déses- pérées p
reproduit ainsi jusque vers trois heures de l'après-midi. Alors, l'
enfant
tombe définitivement dans un état de torpeur pr
s, salle Blache, où nous l'examinons aussitôt après son entrée. L'
enfant
, d'une constitution robuste, est étendu sur son l
as est fléchi, la main en pronation forcée. . Pendant l'examen, l'
enfant
perd ses urines et nous pouvons recueillir quel
tin et sur la période d'agitation qui l'avait suivi, nous dit que l'
enfant
s'est toujours bien porté ; qu'il est né à terme
éphalée ; aucun vertige ni étourdissement n'ont été observés chez l'
enfant
; il n'a pas eu de chorée. Ses parents eux-même
poser le diagnostic de congestion cérébrale apoplectiformi chez un
enfant
subitement refroidi, en pleine période digestive.
commence à entendre, même à distance, des râles trachéaux forts ; l'
enfant
devient de plus en plus asphyxique, il succombe
guine. L'encéphale pèse 1 550 grammes, ce qui est énorme pour un.
enfant
de douze ans, puisque le poids moyen de l'encépha
us ajoutons enfin que l'encéphale ayant macéré dans ' Le corps de l'
enfant
a été disposé de façon à éviter la congestion p
s conditions de structure qui existent dans l'écorce cérébrale de l'
enfant
pendant la deuxième année de sa vie ont bien de
une analogie marquée de fonc- tion. Le pouvoir limité que pos-éde l'
enfant
d'associer les idées, l'impossibilité où il est
diverses impulsions bien supérieure à celle que l'on observe chez l'
enfant
nouveau-né. Petit à petit l'enfant monte pour ain
à celle que l'on observe chez l'enfant nouveau-né. Petit à petit l'
enfant
monte pour ainsi dire dans l'ééhelle animale; d
e le tractus olfactif et l'écorce; à cette période, le cerveau de l'
enfant
est fonclionnellement comparable à celui des am
mphibies ; puis c'est le tractus optique qui se relie l'écorce et l'
enfant
devient, au môme sens que plus haut, comparable
lus haut, comparable à l'oiseau. Le dévelop- pement du cerveau de l'
enfant
montre bien des analogies de structure et de fo
t large et aplatie. La physionomie est celle d'un satyre gai et bon
enfant
. Quand on constate, comme dans le cas qui vient
n mobilier dans sa chambre et y a mis le feu. Aux cris de ses trois
enfants
, effrayés par les flammes, les voisins accourur
recherche du meurtrier. Pendant ce temps, Girault avait pris son
enfant
, un bébé de quinze mois, et était allé le porte
is, et était allé le porter chez une voisine. Ayez bien soin de mon
enfant
, dit-il à cette personne. Je viens de tuer mon
r avec la vie. - Sa voisine, Mmo Chaymon. s'empressa de déposer l'
enfant
en lieu sur. Elle se mit eusmte à la poursuite
commune d'Isserteaux, canton de Vic-le-Comte. Mélanie Prun est une
enfant
de l'Assistance publique qui était placée au ha
tle Cogii(ic, 31 janvier 1901.) Et on nie l'hérédité ! Suicide d'un
enfant
. Le navrant suicide d'un enfant de treize ans v
Et on nie l'hérédité ! Suicide d'un enfant. Le navrant suicide d'un
enfant
de treize ans vient de plonger dans le désespoi
i disait de se lever. « Dans quelques minutes répondit câlinement l'
enfant
. » Un peu plus tard, Mrae Descombes entendait u
é au côté droit : « Papa, je viens de me suicider, dit simplement l'
enfant
. » Un revolver d'ordonnance se trouvait, en eff
de le sauver. La veille au soir une remontrance avait été faite à l'
enfant
, qui avait été même menacé de passer devant le
évrier 1001.) D'où la nécessité de l'histoire familiale de tous les
enfants
. Suicide d'adolescent. Rue de la Goutte-d'Or, G
rès Louhans, par stupide amu- sement, firent boire de l'alcool à un
enfant
de cinq ans. Ils vou- laient provoquer l'ivress
complète chez ce bambin. Ayant absorbé de fortes doses d'alcool, l'
enfant
tomba ivre-mort; il succomba après des convulsi
espon- dant : finalement les spasmes se généralisèrent, après que l'
enfant
eut perdu connaissance. D'autres attaques sembl
e L'EPILEPSIE PARTIELLE. PATHOGÉNIE ET TRAITEMENT. 381 environ, l'
enfant
était resté privé de l'usage de la parole ; puis
l'âge de la puberté, Le second cas se rapporte à une famille de dix
enfants
dont plusieurs pré- sentèrent des toux nerveuse
rompu, telle que l'emploient les couples qui ne veulent pas avoir d'
enfants
: l'action de ces fraudes est analogue à celle
rnier. Son premier soin fut d'allumer un réchaud près du lit de son
enfant
, une fillette de quatre ans, qui se trouvait seul
rentra de son travail, il trouva les deux corps étroitement unis. L'
enfant
ne donnait plus signe dévie. La folle a été sau
l'étrangler. Son mari se leva en toute hâte pour porter secours à l'
enfant
. Au moment où il mettait le pied à terre,'sa fe
, a été arrêté pour avoir commis des attentats contre nature sur un
enfant
de 6 ans. (Le Bon/MmmeA'or- mand, du 28 février
no- logie et de Psychologie, 14, rue Taitbout, Paris. - Suicide d'
enfant
. Le jeune Auguste Vrac, douze ans, domestique à
0. Imprimerie de la Semaine médicale . Danien (G.). Ecoles pour les
enfants
anormaux en Suède. - In-8° de 6 pages. Bruxelle
t probablement syphilitique, car, entre la naissance de son premier
enfant
et celle du second, le malade présenta du mal a
-tuberculeuse; 4° fille morte, brûlée par accident, à cinq ans ; 50
enfant
mort-né à terme ; 6° fille née à terme, morte à
te à huit jours. De son second mariage, le père eut également trois
enfants
bien venus et vivant encore à sa mort, mais per
fait ce qu'on lui commande et l'exécute tant bien que mal, comme un
enfant
. Il ne présente de délire d'aucune sorte, mais
suspecte ; que la seconde avait trait à un jeune homme qui, étant
enfant
, fut considéré et traité comme ayant été contamin
chaque année, depuis 1891 , il publie de nouveaux faits. Chez un
enfant
opéré par le D' M. Castro, au lieu d'une croiss
petit idiot, qui souffrait de fréquents. accès épileptiques. Cet
enfant
, âgé de vingt-cinq mois, naquit à terme, accouche
ée, de tempérament tranquille et d'une santé très bonne. L'aîné des
enfants
a maintenant quatre ans, et sa première maladie
l' y eut déviation de la ligure. Depuis ce temps, on remarqua que l'
enfant
ne donnait pas des signes d'intelligence, et le
déformation plus grande peut-être que celle qu'on observe chez les
enfants
qui sont continuellement couchés. Le vague de s
ugle. Pendant la demi-heure que nous avons dédiée à l'examen de cet
enfant
, nous avons compté six attaques, produites en c
que temps après, me priant de faire tout mon possible, pour que son
enfant
éprouvât au moins un mieux, s'il était impossib
juin de l'année courante la mère revint me voir. Elle m'amenait son
enfant
en me disant que depuis trois mois il n'avait e
t il souffrait constamment auparavant « ni petite ni grande » que l'
enfant
, avant si turbu- lent, était devenu tranquille,
a contracture et par la disparition de l'épilepsie. - Lorsque cet
enfant
était âgé d'un mois, on se rappellera qu'il sou
par la simple compression des cellules cortico- motrices 1 (chez l'
enfant
, plus fréquemment que chez l'adulte), on ne peu
titue une rareté chez l'adulte, est observé plus fréquemment chez l'
enfant
, de manière qu'il n'est pas possible d'induire
segments de la jambe gauche, exagération des réflexes tendineux. L'
enfant
mourut à l'âge de huit ans et demi de tuberculo
al droit en haut de l'entre-croisement. Etait-il question, dans cet
enfant
, d'un de ces derniers cas ? En tout cas, il e
xister quelques cas qui font exception, puisqu'il existe beaucoup d'
enfants
nés avant terme dont les cylindraxiles pyramida
iles pyramidaux ne sont pas arrivés à la même hauteur que ceux de l'
enfant
né à terme, et dans lesquels il manque, par con
éline, et ils ne présentent pas la rigidité que présentent d'autres
enfants
nés dans des conditions pareilles ; il existe a
e, peu- vent expliquer la modification de la contracture chez cet
enfant
, parce qu'aucune de ces théories n'est susceptibl
es suivantes qui en augmentent l'intérêt. Je n'avais pas revu cet
enfant
, dit-il. depuis le mois de novembre, je l'exami
chaque fois que les dépositions avaient lieu, pendant les- quels l'
enfant
devenait « comme s'il était mort », je ne pourrai
de sa mère, il a oublié de dire « marna ». J'ai opéré deux autres
enfants
; un d'eux, à peu près du même âge que l'antérie
n gra- duelle, jusqu'à la disparition complète, chez le premier des
enfants
au bout de cinq mois, et chez le second, dans c
au moment où elle pénètre dans l'espace sous-arachnoïdien : chez l'
enfant
, on rencontre le liquide une profondeur de deux o
. DE XX. De l'importance médicale des écoles auxiliaires pour les
enfants
arriérés; pas- (de Irancfort-sur-Ie-\fein). Tiie
1/2 p. 100 pour les ? 0.000 élèves environ des écoles primaires. 43
enfants
seule- ment étaient admis, pa< ce que l'écol
, pa< ce que l'école auxiliaire ne reçoit que vingt à vingt-cinq
enfants
par classe, alors que l'école ordinaire en adme
asses élémentaires et quarante pour les classes supérieures, Chaque
enfant
I)ossèd 1- certificat sanitaire et sa feuille i
n médicale détaillée. '\< Le maître ou la maîtresse accompagne l'
enfant
pendant cinq ans jusqu'à la seconde classe A qu
nfant pendant cinq ans jusqu'à la seconde classe A quatorze ans les
enfants
quittent l'école. L'enseignement n'y a lieu que
simultanément l'enseignement sur les mêmes matières, de sorte que l'
enfant
, suivant ses disposition", peut être affecté à
u foyer domestique sont bonnes, les E... auxiliaires suffisent. Les
enfants
atteints d'imbécillité morale ont dû être tenus
elève d'établissements spéciaux (d'édu- cation coercitive) ; u° les
enfants
qui ne font pas de progrès à l'école auxiliaire
halalgies périodiques et de troubles gastriques. Elle n'avait pas d'
enfants
; 6° les trois soeurs étaient très attachées les
qui pré- cède en attendant de nouveaux faits. Tremblement chez un
enfant
. M. Cestan présente un petit garçon de trois an
plus tôt fait remonter le symptôme à )'âge de dix-huit'ans. Chez l'
enfant
présenté il n'existe aucun autre phénomène névrop
e en plein vent du boulevard Ornano. (Le Temps, du 2 avril 1901.)
Enfant
empoisonneur. A Ars (Ain), un jeune enfant a empo
Temps, du 2 avril 1901.) Enfant empoisonneur. A Ars (Ain), un jeune
enfant
a empoi- sonné sa mère malade en trempant un pa
ine expérimen- tale, 355. Arriérés. Ecoles auxiliaires pour les
enfants
-, par Laquer, 488. Asile d'aliénés, 191, 332.
ion hypnogène de l'- statique, par Rérillou, 140. Empoisonnement.
Enfant
-, 530. I Encéphale. Nécroses multiples de l
175, 4S9. Socu : rl; libre pour l'étude de la psy- chologie de l'
enfant
, par Roger, 206. Sodomie et assassinat, par u
rime et passionnels, par Proal, 261. d'adoleaceuts, ? i 1. - d'un
enfant
, 366. Au ? intntdtioti du nombre des . par Ir
enfant, 366. Au ? intntdtioti du nombre des . par Ireland, 428, d'
enfant
, 447. SuLFOAL avec névrite consécutive à so
orticolis mental, par Feiiidel et Meige, 169. Tremblement chez un
enfant
, par Cestan, 514. Trépanation. Epilepsie et -
tallation et les avantages d'une école qu'il vient de fonder pour les
enfants
nerveux à Wurtz-bourg. Les communications porté
dit le petit homme de Nuremberg. Kobelkoffest le quinzième de. seize
enfants
: il s'est lui-même marié et a eu onze enfants do
le quinzième de. seize enfants : il s'est lui-même marié et a eu onze
enfants
dont six sont vivants et bien portants. Il est fo
revenir, et qu'il me suffit de signaler au passage. Le cerveau de l'
enfant
, disais-jc à propos de l'initiation mathématique
on aux phénomènes physiques ! Épris de curiosité, avide de faits, l'
enfant
, le petit enfant est admirablement doué pour voir
physiques ! Épris de curiosité, avide de faits, l'enfant, le petit
enfant
est admirablement doué pour voir et retenir les p
pour se débarrasser. Cependant, mettre des faits sous les yeux d'un
enfant
ne suffit pas. Il faut tout d'abord apprendre à v
s'en préoccuper. Je dis que c'est chose facile, parce qu'on y amène l'
enfant
par une véritable suggestion, et qu'il est sugges
ment changé depuis lors, mais moins dans le fond que dans la forme. L'
enfant
n'est l'objet, en réalité, d'aucune initiation pr
'enseignement scientifique, c'est la méconnaissance des facultés de l'
enfant
, l'obstination systématique à vouloir obtenir de
reil pédagogique apparent, au cours de laquelle on cherche à amuser l'
enfant
, à profiter de sa curiosité naturelle, sans jamai
des bouchons, des aiguilles permettront de mettre sous les yeux de l'
enfant
une quantité considérable de faits. Bien mieux, o
sse produisent parallèlement, et peuvent aisément être remarqués de l'
enfant
, pourvu qu'on l'incite à y porter son attention.
ace plus importante. N'est-il pas plus intéressant pour l'esprit d'un
enfant
, de suivre les progrès d'une idée, d'être initié
rendrait compte de la beauté des œuvres d'art. Voulons-nous que nos
enfants
, et les générations qui les suivront restent dans
outefois plus franc, et plus économique, de ne pas apprendre mémo aux
enfants
la lecture ni l'écriture. Dans le premier, reco
uelques observations sur la tendance prononcée vers l'alcool chez des
enfants
nouveau-nés n'attiraient pas l'attention de ce cô
iences à créer des habitudes de pensée (1). Il donne à examiner à des
enfants
une série de lignes de plus en plus grandes, puis
lus en plus grandes, puis il en montre deux ou trois égales. Certains
enfants
, accoutumés à la progression, peuvent les affirme
u'il y ait suggestion, il faudrait que l'expérimentateur affirmât à l'
enfant
que la ligne est plus grande alors qu'elle est ég
r et devenir habituels. Prenons l'expérience suivante de M. Binet : l'
enfant
regarde à gauche un métronome et tient dans sa ma
r. Va écran sépare ce dernier du métronome. L'expérimentateur dit à l'
enfant
de compter attentivement les battements du métron
ir ainsi amorcé le mouvement, il abandonne le balancier. La main de l'
enfant
qui serre ce dernier, accoutumée au mouvement, pe
On peut modifier l'expérience en mettant une plume dans la main d'un
enfant
et en la lui cachant par un écran. Cette main doi
érience vulgaire des charretiers à leurs chevaux et des mères à leurs
enfants
. S'ils constatent que la miction tarde à se faire
un remède populaire en Turquie contre l'incontinence d'urine chez les
enfants
. Il suffit de faire manger au patient du rat
uffit de faire manger au patient du rat rôti ; mais il faut que l'
enfant
sache ce qu'il mange, sinon la gué-rison ne se pr
ique ancienne de nos paysans qui faisaient manger une taupe rôtie à l'
enfant
incontinent. Je citerai un cas curieux d'incont
Arpad, je désire vous exposer brièvement mon opinion au sujet de cet
enfant
qualifié de « prodige ». La science, comme on l
une parfaite justesse. Mais cela tient précisément à ce qu'il est un
enfant
et que sa main ne présente ni le développement ni
iolonistes de vingt ou de trente ans : il imite ces derniers comme un
enfant
imite une grande personne ; il sait faire avec sa
e grande personne ; il sait faire avec sa main des mouvements que les
enfants
de son âge sont d'ordinaire incapables d'accompli
inaire incapables d'accomplir; il se lire de la difficulté ; il reste
enfant
dans une partie de son jeu. En somme, il jouit d'
de vue de l'ampleur, de la justesse cl de la mesure. En outre, cet
enfant
compose, mais, là encore, on retrouve l'enfant de
esure. En outre, cet enfant compose, mais, là encore, on retrouve l'
enfant
de son âge. Il compose on ce sens qu'il invente d
s. Mais ces thèmes sont courts. Ils sont calqués sur les thèmes que l'
enfant
est habitué à lire. Son invention est pénétrée d'
u'il se soit trouvé quelqu'un à Paris pour lui refuser le nom « d'
enfant
prodige n. La nature ne fait pas de prodiges. Ell
prodiges. Elle ne les fait pas durables. Kun Arpad, lui, qui est très
enfant
quand il ne joue pas de violon, et qui môme, l'ar
M. Félix Regnault. — Il convient, ce me semble, do distinguer : iaV
enfant
précoce, qui exécute ce que d'autres ne réalisent
e que l'énorme majorité des humains ne peut réaliser. En musique, l'
enfant
précoce sera virtuose, l'enfant prodige composite
ins ne peut réaliser. En musique, l'enfant précoce sera virtuose, l'
enfant
prodige compositeur. Il y ados enfants précoces
fant précoce sera virtuose, l'enfant prodige compositeur. Il y ados
enfants
précoces, mais peut-il exister des enfants prodig
e compositeur. Il y ados enfants précoces, mais peut-il exister des
enfants
prodiges ? Les enfants peuvent-ils inventer, fair
dos enfants précoces, mais peut-il exister des enfants prodiges ? Les
enfants
peuvent-ils inventer, faire œuvre originale et gé
uvres musicales qu'ils ont entendues. De môme on se demande si Pascal
enfant
découvrit réellement les théorèmes d'Euclide, ou
r une réminiscence inconsciente. M. Lionel Dauriac. — Sans doute, l'
enfant
précoce est celui qui, très jeune, fait ce que d'
que d'autres ne font qu'à un âge beaucoup plus avancé. Par contre, l'
enfant
prodige est non seulement précoce, mais il accomp
mplir à aucun moment de leur vie. Pour moi, je nierais volontiers les
enfants
prodiges ; j'estime qu'il n'y en a pas, au sens p
es. I'. S. — 11 m'a été donné récemment, d'entendre à une matinée d'
enfants
, une jeune fillette violoniste, d'un an à peine p
ses notes, avec des tout petits sous. Mais elle s'en est tirée. Cette
enfant
n'est pas donnée comme un enfant prodige, en quoi
ous. Mais elle s'en est tirée. Cette enfant n'est pas donnée comme un
enfant
prodige, en quoi l'on a raison. Mais en l'écoutan
nom grec. Ces deux espèces de rongeurs s'observent surtout parmi les
enfants
des deux sexes. M. Bérillon en a montré l'extrême
res dites de chasteté pour réprimer les habitudes d'onanisme chez les
enfants
. Aucun de ces appareils n'a jamais amené la gueri
s appareils de contention, ainsi que l'usage d'attacher les mains des
enfants
onanistes pendant la nuit, exerçait l'influence l
a guérison, nous pouvons sans crainte de nous tromper, affirmer que l'
enfant
a été longtemps attaché pendant la nuit, ou qu'il
e il faut associer une gymnastique spéciale. Voici notre procédé. L'
enfant
étant hypnotisé, nous lui levons les bras en l'ai
embarras était notre famille... » Aux portes même d'Avila les deux
enfants
trouvèrent malencontreusement leur oncle, qui leu
te des pères et des mères qui ne prennent pas soin « d'empêcher leurs
enfants
de rien voir qui ne les puisse porter à la « vert
nerveux, urinait au lit presque toutes les nuits, depuis l'âge où les
enfants
cessent ordinairement de le faire. Différents m
nde joie, à laquelle se mêlait la mienne, qu'elle m'apprenait que son
enfant
n'urinait plus jamais au lit depuis que je lui av
jours maintenu. Ces faits montrent la grande suggestionnabilité des
enfants
, aussi bien dans le sommeil normal que dans l'aut
ent inconscients dans la mêlée, entraînant avec eux des femmes et des
enfants
. Tout cela tend à expliquer la rapidité avec la
elte école de réforme. De son remarquable rapport, il résulte que les
enfants
confiés â ses soins ne méritent par la dénominati
ges que présentent les applications de l'hypnotisme à l'éducation des
enfants
vicieux ou dégénérés. Il a surtout insisté sur le
tion qui est d'ailleurs le premier influencé par le traitement. Une
enfant
de 9 ans, incontinente nocturne, depuis sa naissa
é ce retour en se suggestionnant elle-même. Une femme, mère de deux
enfants
, l'un de 11 ans, l'autre de 8 ans, atteints d'inc
in des aliénés pour les faire soigner. A partir de ce moment les deux
enfants
ont été radicalement guéris de leur infirmité. (I
et 1 cas d'excitation maniaque légère avec tics : c'est-à-dire quatre
enfants
profondément atteints ^dans leur système nerveux.
ence. Dans une famille, je trouve le père, sa sœur et deux de ses
enfants
atteints de celte infirmité : dans une autre, le
u'étant jeune fille. Il y a un an, elle accouchait de son troisième
enfant
. Les deux premiers accouchements s'étaient passés
e la congrégation de l'Oratoire. Louis d'Angennes eut parmi ses six
enfants
: Jacques III d'Angennes, né en 1577, mort le 1
Josse dit de Halhvin, qui vivait au xv° siècle, eut parmi ses huit
enfants
: Pierre de Halhvin, évoque d'Alet. Marie de Ha
Isabeau de Halhvin, religieuse. Louis de Halhvin. Celui-ci eut six
enfants
parmi lesquels : François de Halhvin, évoque d'Am
son père et qui eut pour fils unique : Antoine de Halhvin. Des sept
enfants
de ce dernier, trois sont à signaler: Jean de Hal
e de Bartaucourt, près Amiens. Charles de Halhvin, dont l'un des neuf
enfants
fut Jeanne de Halhvin, qui épousa Philippe d'Ange
er ancêtre connu, Gautier dit de Silli, qui vivait en 1289, eût trois
enfants
, parmi lesquels : Jacques de Silli, prieur de Sau
ues de Silli, prieur de Sausseuse et Éertin de Silli, qui eût trois
enfants
. L'un mourut jeune, un autre sans alliance et ava
t avant son père. Le troisième était Charles de Silli. Des quatre
enfants
de ce dernier, l'un mourut sans postérité. Le deu
urut sans postérité. Le deuxième était Louis de Siili. Il eut trois
enfants
, dont le troisième, Antoinette Siili,épousa Marie
. Sa sœur Marie était déjà morte, et son père, n'ayant plus qu'elle d'
enfant
, voulut la reprendre. Mais la pauvre fille, « aya
nt avec larmes de se rendre à la volonté d'un Père qui se voyait sans
enfant
, et de prendre parti dans le monde afin de ne pas
e que les simples mensurations sont les anomalies retrouvées chez ces
enfants
et qui résultent mieux que d'une description anal
la source des affections familiales les plus instinctives, et chaque
enfant
ne représente vraiment autre chose dans une famil
vraiment autre chose dans une famille qu'une bouche à nourrir. Etant
enfants
, ils furent envoyés pendant une ou deux années à
e n'est pas imputable à la nature du travail, mais à la nature de ses
enfants
et à leur insurmontable paresse. Il faut pourta
encore des institutions aptes à améliorer la condition sociale de ces
enfants
et à atténuer dans la plus grande mesure possible
illon qui, le premier, a systématiquement soigné par l'hypnotisme des
enfants
vicieux ou malades et apporta des observation
on des impulsions instinclives et des habitudes automatiques chez les
enfants
, soit au développement des aptitudes normales arr
n pourrait se dispenser d'enfermer dans des maisons de correction des
enfants
sur lesquels tous les moyens habituels dont dispo
dont le père est garçon boulanger et la mère lessiveuse, était un
enfant
docile et obéissant, d'intelligence moyenne, assi
moins développée, ce qui augmente quelquefois la difficulté chez les
enfants
. On revint donc à la charge avec plus de bonne vo
ont, d'ailleurs, plus ou moins, d'autres membres de la famille. Cette
enfant
est effrontée et pleine de vices, mais surtout me
iré qu'elle la vît en l'état où elle était, parce qu'il est utile aux
enfants
d'avoir quelque impression dans les sens de ce qu
rit sortit en jetant un grand cri et en l'agitant avec violence, et l'
enfant
devint comme mort » ('). Nous diagnostiquerions
de l'Ancien Testament {Rois, II, IV, 8-37). Elisée pour ressusciter l'
enfant
de la femme de Sunein employa des procédés médica
iration artificielle : Elisée entra donc dans la maison ; et voici, l'
enfant
était mort et couché sur son lit. Et étant entré,
rte sur eux deux, et pria l'Eternel. Puis il monta et se coucha sur l'
enfant
, et mit sa bouche sur la bouche de l'enfant, ses
monta et se coucha sur l'enfant, et mit sa bouche sur la bouche de l'
enfant
, ses yeux sur ses yeux, ses mains sur ses mains,
yeux, ses mains sur ses mains, et s'étendit sur lui; et la chair de l'
enfant
fut réchauffée. Puis il se retirait et allait par
it par la maison et remontait et s'étendait encore sur lui ; enfin, l'
enfant
éternua sept fois et ouvrit les yeux. » Les apô
homme de Dieu; et sa chair lui revint semblable à la chair d'un petit
enfant
et il fut pur. Naaman, plein de reconnaissance,
squels les nouvelles sciences peuvent nous éclairer. . Jésus fut un
enfant
précoco : à l'ige do douze ans, il discutait avec
sultats du traitement psycho-mécanique sont immédiats. Ainsi, chez un
enfant
de H ans, que les mouvements incessants d'une cho
ose peuvent porter mieux sur les muscles de la langue. Chez plusieurs
enfants
chorolques qui ne pouvaient parler et se mordaien
i la dominait complètement, celle que, bien que n'ayant jamais « eu d'
enfants
, elle serait immédiatement engrossée si elle avai
son cas était bien amusant. « Madame X... se rhabilla avec une joie d'
enfant
et une heure s'était à a peine écoulée qu'elle re
es femmes parvenues à l'âge de 30 à 40 ans et qui n'ayant jamais eu d'
enfants
en désirent avec d'autant plus de passion qu'elle
ateur, nerveux; mère journalière, obtuse. « Il y a quelques mois, l'
enfant
qui, d'après sa mère, avait déjà un ventre assez
voir ce que sa fille avait, le ventre est redevenu normal, souple. L'
enfant
est restée dix jours à l'hôpital, ne présentant p
ésus usait sduvent du procédé indirect. Il dit au paralytique : « Mon
enfant
, tes péchés sontpardonnës », et puis : « Lequel e
es en son pays, on n'avait point confiance en celui qu'on avait connu
enfant
. Jésus en reconnu la cause «dans leur incrédulité
utes choses sont possibles à celui qui croit. » Aussitôt le père de l'
enfant
s'écria : Je crois ! viens en aide à mon incrédul
Par m. le Docteur Paul FaRSZ. Umr P... est mariée et mère de deux
enfants
, dont l'aîné a huit ans et l'autre six. Elle a eu
l, elle craint d'être enceinte et se lamente à la pensée qu'un nouvel
enfant
pourrait lui survenir. Elle recourt alors à tous
ecin à la Salpêtrière, fera une conférence* sur : La psychologie de l'
enfant
anormal. L'organisation et les résultats de l'Eco
M.le D'JulesVoisin, médecin de la Salpètrière, sur la Psychologie des
enfants
anormaux, et un autre de M. Lionel Dauriac, sur l
au-dessus d'elle comme le sommet d'un grand nuage. Boudha guérit un
enfant
malade. Que Çakra, le roi des Dieux, dit-il, appo
s directes ; on utiliserait ensuite cette influence pour le bien de l'
enfant
. à38°,5)àun moment fixé par lui. Burot l'a ab
dire stratifiées, par couches successives, les facultés psychiques. L'
enfant
à la naissance ne possède que les fonctions végét
Par M. le Dr Paul Farez M1" V... est âgée de 76 ans; elle a deux
enfants
bien portants, dont l'un est âgé de 53, l'autre d
ns de rapporter, réfute une opinion erronée d'après laquelle certains
enfants
et une minorité d'adultes pourraient seuls être h
ique. J'y insiste même pour contribuer à montrer qu'en dehors des
enfants
, des jeunes filles, des femmes adultes, et même d
8 ans. Remariée il y a 7 ans, elle regrette vivement de n'avoir pas d'
enfants
de ce second mariage. Elle me consulta un jour
tre enceinte, puisqu'elle sent de temps en temps" les mouvements de l'
enfant
. En même temps, elle ne manifeste aucun désir d'u
se déshabiller afin de me Tendre un compte exact de la position de l'
enfant
. Grand est alors mon étonnement. Dès que je mets
as a trait à une femme plus jeune, 33 ans, également remariée et sans
enfant
après cinq ans de ménage, et bien qu'elle en ait
de mes visites, elle me raconta son profond chagrin de n'avoir pas d'
enfants
et comme elle insistait pour en savoir la cause,
»0 X... les rejeta énergiquement; elle aussi, croyait avoir senti son
enfant
remuer, et quoique troublée elle s'entêta dans l'
ier. après l'avoir examinée, lui dire avec son ton si paternel: « Mon
enfant
, votre cas m'en rappelle un autre à peu près semb
u dans la région même que1 vous habitez. Votre grand désir d'avoir un
enfant
s'est greffé sur l'espérance que vous a donnée mo
e. Sous l'influence de l'imagination, elles croient même sentir leurs
enfants
remuer, et chez la première, au neuvième mois, de
Peut-il, en pareil cas, y avoir, comme chez la femme qui désire un
enfant
, un phénomène suggestif? C'est douteux. En somm
on peu d'influence sur les idiots, les aliénés proprement dits et les
enfants
en bas-âge. Inversement, ce sont les sujets les p
ires remportées par le flr Bérillon et par d'autres sur des défauts d'
enfants
qu'on aurait pu croire dépendant de conditions tr
cement céphalique, lequel survient, sous forme de tic, aussitôt que l'
enfant
s'endort; quelques séances d'hypnotisme ont déjà
16, notre jeune femme est veuve à 17 ans et, peu après, elle perd son
enfant
. Elle rentre dans sa famille et ne peut plus s'en
en elle? Il a fallu qu'elle se mariât et qu'elle perdit son mari, son
enfant
, et qu'elle eût encore, après ces malheurs, des p
ssionnable, mais pas d'un nervosisme morbide. A 22 ans, elle perd son
enfant
, son caractère change, elle souffre de partout, e
pérance. - 3° La perte d'un être aimé : La mort d'un conjoint ou d'un
enfant
, par exemple. 4° La perte d'une situation, la r
ncre l'obsession. Dans un cas comme celui-ci, le développement de l'
enfant
s'effectue en apparence normalement ; mais les fo
la volonté surtout, font défaut. S'agit-il d'accomplir un travail, l'
enfant
n'en a ni la volonté ni le pouvoir; il ne présent
araissent dès les premières années sont un signe de psychasthénïc : l'
enfant
est marqué au sceau de la dégénérescence. Si on l
es digestifs et de l'anorexie. A 19 ans, elle devient enceinte. Son
enfant
meurt à l'âge de huit mois ; pendant quelque temp
a suggestion. D' Bellemanière : Diverses formes de l'attention chez l'
enfant
. Dr Paul TESDOnPF [de Munich) : Corrélation des t
Un oncle mort de paralysie générale. Le malade est marié, a deux
enfants
, l'aîné a trois ans, le deuxième quinze mois, i
pour gagner sa vie, il se sépare à l'amiable de sa femme et de ses
enfants
aux besoins desquels il ne peut subvenir. Mais
tantes, nerveuses. Marié, a perdu sa femme en 1899, n'a jamais eu d'
enfant
. Sur les anté- cédents personnels nous n'avons
eux mois et demi, la deuxième à sept mois, la troisième à six mois,
enfant
macéré, la quatrième à six mois. A son entrée,
l connaissaitjort bien, mais qu'il refusait de nommer; il sentait l'
enfant
remuer dans son rectum et il l'enten- dait crie
vante au contraire ses prouesses, il se déclare le père de tous les
enfants
, car il a une verge si puissante et un sperme t
vait été la maîtresse pendant dix-huit mois, sans avoir jamais eu d'
enfant
, bien qu'elle eût désiré vivement en avoir, quand
i la dominait complètement, celle que, bien que n'ayant jamais eu d'
enfant
, elle serait immé- diatement engrossée si elle
la con- vaincre. Elle devint radieuse, se rhabilla avec une joie d'
enfant
et partit embrasser ce pauvre mari malade que,
uberculeuse ; par C. ltwow. (Il Morgagni, 1900, mai.) Autopsie d'un
enfant
de trois ans, opéré de méningocèle, mort huit j
ce sur la marche et l'issue de la maladie. En effet, celui des cinq
enfants
qui guérit presque complètement avait eu précis
oscou possède depuis une vingtaine d'an- nées un asile contenant 40
enfants
idiots; un médecin visite les malades une fois
ans. L'asile (des aliénés) départemental de Moscou entre- tient 10
enfants
idiots sur des fonds de charité privée. Mais bien
ion d'observer une défor- mation de la colonne vertébrale chez deux
enfants
atteints d'hydro- céphalie et d'hydromyélie (no
précef teur dans la famille de Steiger, qui lui avait confié trois
enfants
. C'est en poursuivant cette tâche délicate, qu'
de pousser à une exclusive spécialité. Il faut d'abord maintenir l'
enfant
et lui imposer le bien jusqu'au moment où il le
jusqu'au moment où il le connaîtra. Peu à peu ce gouvernement de l'
enfant
cédera la place à la culture morale, laquelle s
de l'éducation, nous avons à contenir et à diriger l'activité de l'
enfant
; l'occupation continuelle sera de rigueur, et l
le. L'autorité et l'amour sont les deux forces du gouvernement de l'
enfant
. Her- bart faisant encore une concession aux pr
ste encore en Allemagne et en Angleterre. Si le gouvernement de l'
enfant
rend l'éducation possible, l'ensei- gnement ou
alytique, afin de produire l'abstrac- tion, et enfin synthétique. L'
enfant
doit suivre dans son évolution la même marche q
t non seulement le terrain, mais la graine à leurs descendants. Les
enfants
subissant l'impré- gnation bacillaire ont leur
nfier dans beaucoup de cas aux professeurs aveugles l'éducation des
enfants
aveugles, sur les soins particuliers à donner l
-écoles qu'on devrait organiser dans tous les départements pour les
enfants
idiots et arriérés et là installer une^classe spé
qu'elle était allée voir chez une dame Pichon, 2, rue Durban" où l'
enfant
était en nourrice. La pauvre petite est morte s
lanne. Dans un accès d'aliénation mentale, il s'est précipité sur l'
enfant
de sa femme, le petit Pierre Bouillanne, âgé de
ize ans, et l'a frappé de plu- sieurs coups de couteau à la tête. L'
enfant
n'a pas tardé à succom- ber. Gauthier s'est sui
, il y vécut jusqu'en octobre 1894, puis vint à Paris, laissant ses
enfants
aux soins de sa femme qu'il abandonnait pour av
e la saison ouvrable, tout fut décidé. IL. adressa une lettre à ses
enfants
de Bruxelles, leur expliquant sa détermination,
ommissaire de police prévenu tété-raphiquement de Bruxelles par les
enfants
de 13...,'pénèlre dans la chambre et trouve not
rs avant son départ : « Je me suis marié à vingt-cinq ans. J'ai six
enfants
dont quatre garçons et deux filles. Je suis ent
Je demande ma sortie pour cher- cher du travail pour contenter mes
enfants
afin de pouvoir leur dire que je suis sorti de
s nouveaux de recherches : 1° l'étude systématique de l'esprit de l'
enfant
; 2° les études dites psycho-physiques. 1° Psy
'enfant; 2° les études dites psycho-physiques. 1° Psychologie des
enfants
. On a consacré à cette étude beau- coup d'atten
d'interpréter les opérations mentales des nouveau-nés et des jeunes
enfants
; malheureusement toute interprétation suppose un
traduit : l'homme fait qui essaye de connaitie la men- talité de l'
enfant
est-il bien capable, avec sa pensée et ses senti-
s un esprit sans maturité ? Il est exposé à lire dans l'esprit de l'
enfant
ce qui est dans le sien. A vrai dire le seul mo
rai dire le seul moyen de savoir ce qui se passe dans l'esprit d'un
enfant
, ce serait de pénétrer dans le cerveau de l'enfan
ns l'esprit d'un enfant, ce serait de pénétrer dans le cerveau de l'
enfant
, sans être l'enfant, ce qui est impossible même
ant, ce serait de pénétrer dans le cerveau de l'enfant, sans être l'
enfant
, ce qui est impossible même à un métaphysicien.
de croire que l'expression d'une pensée ou d'un sentiment v chez l'
enfant
la même signification que l'expression d'une pe
ées : l'homme qui prononce ce mot ou qui l'entend pro- noncer par l'
enfant
, sent s'éveiller en lni, clairement ou obscurémen
ns une mesure qu'il ignore 11 est aussi incapable de penser comme l'
enfant
que de marcher ou de parler comme lui. La vérit
archer ou de parler comme lui. La vérité c'est que si l'esprit de l'
enfant
parait simple et innocent, s'il va droit au but
enfant parait simple et innocent, s'il va droit au but, c'est que l'
enfant
n'a pas à proprement parler de mentalité ; sa r
iciée par des erreurs et des préjugés conventionnels. Mais ce que l'
enfant
peut posséder de mentalité est plutôt laid et v
s bêtes féroces. Tout cela diffère singulièrement des qualités de l'
enfant
idéal, mais tout cela constitue les véritables
On voit que la méthode qui consiste à étudier la psychologie de l'
enfant
nouveau-né ou très jeune est vicieuse dans son es
, de l'accroissement, du fonctionnement pri- mitif de l'esprit de l'
enfant
, ne consiste pas à employer la méthode d'intuit
les formations et les associations successives des mouvements de l'
enfant
dans leurs rapports bien définis avec les objets,
par J. CRocQ. (Journal de Neurologie, 1901, n° 4.) Il s'agit d'un
enfant
de dix ans qui présentait une paralysie complèt
Sc)tN[TZER.(06o : ? (;'t : «'pi;t- chiulrü, V. 1900.) 1 1° Chez l'
enfant
, l'écriture en 'miroir est un phénomène si fré-
mémoire visuelle affaiblie. B. Les gens peu exercés ri l'écriture,
enfants
, ou adultes peu lettrés, ont une aptitude parti
est pourquoi l'écriture en miroir s'ob- serve principalement chez l'
enfant
, et'chez l'enfant jeune, plus souvent chez la f
iture en miroir s'ob- serve principalement chez l'enfant, et'chez l'
enfant
jeune, plus souvent chez la fillette que chez l
ons, avec autopsies et examen microscopique, de malades d'hospice d'
enfants
trouvés : commémoratifs nuls ou 1 Voir dans les
e rouge et le bleu. Même pendant la men- suration du champ visuel l'
enfant
ne parut pas s'apercevoir qu'elle voyait avec l
t encore quelque peu contractés et inversés. On pourrait dire que l'
enfant
simulait, mais son âge, sa bonne disposition d'
xième 'Congrès sur l'assistance, le traitement et l'édu- cation des
enfants
idiots de ladite catégorie. Nous espérons que l
Depuis qu'on a songé à rechercher la présence de l'hystérie chez l'
enfant
, on l'a rencontrée très couramment, et le tableau
lette, Marthe-Marie P..., âgée de douze ans, entrée à l'Hôpital des
Enfants
, salle 15, le 12 février 1901, pour une perte c
ation : le père se décide alors à conduire sa fille à l'Hôpital des
Enfants
, où elle est admise, salle 15, dans le service
t actuel (16 fév. 1901.- A l'examen, on se trouve en présence d'une
enfant
grande et bien développée pour son âge (elle me-
yse complète effectuée par M. Lemaire, pharmacien- de l'hôpital des
Enfants
, cinq jours après la dernière crise, indique po
iser. Pendant tout le temps que Marthe est restée à l'hôpital des
Enfants
, nos tentatives (douches, électrothérapie, fricti
s vu un grand nombre d'épileptiques, hommes et femmes, adultes et
enfants
, nous n'avons que par exception observé cette com
soit l'âge du sujet. Elle peut, par exemple, se développer chez des
enfants
ou des 278 S . BIBLIOGRAPHIE. jeunes gens syp
nal, 23 mars 1901.) Terrible drame de la folie. Un père qui tue son
enfant
et se suicide. - Le nommé Bouchet, propriétaire
-midi, pen- dant que sa femme était absente, Bouchet prit son jeune
enfant
, âgé de cinq ans, et se dirigea vers les bords
es bords de la rivière. Après avoir erré quelque temps, il saisit l'
enfant
par les pieds, lui écrasa la tète contre un roc
ngé à du thé une infusion de pavots et a empoisonné son mari et ses
enfants
en s'empoisnnnant elle-même. Elle a été arrêtée
e-même. Elle a été arrêtée. On l'a sauvée ainsi que son mari et ses
enfants
. (Le Bonhomme Normand du 19 au 25 avril 1901.)
n 1900.) - L'auteur estime que beaucoup de défauts de caractère des
enfants
ne reçoivent pas du médecin une attention suffi
end désigner cette irritabilité qui s'éveille trop souvent chez les
enfants
, par con- tagion imitative, au spectacle de l'i
'est ni moins utile, ni moins pressé de traiter les parents que les
enfants
, et s'ils sont névropathes, irritables, hypocon
de leur expliquer que leurs propres défauts réagissent sur leurs
enfants
: on obtient quelquefois par cette méthode une do
oniques et les agents hématogènes sont naturellement indiqués. Si l'
enfant
est dans une école, on a coutume de lui faire a
e de lI. Crocq. Je ne puis concevoir en effet que tandis que chez l'
enfant
le tonus est exclusivement médullaire, il devienn
tie congénitale, mort de tuberculose pulmonaire avec 3fin. Tous ces
enfants
sont morts durant les jours les plus froids de
r la production des maladies chroniques du système nerveux chez les
enfants
(idioties, épilepsies, aliénation mentale.) M
la mère se traduisent d'abord par des fausses-couches, puis par des
enfants
nés un peu avant terme, des enfants nés à terme
s fausses-couches, puis par des enfants nés un peu avant terme, des
enfants
nés à terme, les uns et les autres devien- nent
nuant soit spontanément, soit sous l'influence du trai- tement, les
enfants
survivent. Ils ne viennent dans les services spé-
à 1'liérédo-sypililis. 332 SOCIÉTÉS SAVANTES. 2° Alcoolisme. L'
enfant
subit les conséquences de l'alcoolisme sous une
ées à des alcooliques, nous appuyant sur l'histoire même de leurs
enfants
, nous leur recommandons d'éviter tout rapport sex
insalubres. Nous avons dressé des tableaux comprenant : le nom des
enfants
, les professions insalubres du père ou de la mè
ssions insalubres du père ou de la mère, ou des deux, le nombre des
enfants
décédés et vivants, enfin, dans une dernière co
ésumé 2. 1° Cette statistique montre que 87 familles ont fourni 420
enfants
soit près de 5 enfants par famille. 2° Sur ce
stique montre que 87 familles ont fourni 420 enfants soit près de 5
enfants
par famille. 2° Sur ces 420 enfants, 220 sont d
ni 420 enfants soit près de 5 enfants par famille. 2° Sur ces 420
enfants
, 220 sont décédés, soit une mortalité de 5 p. 1
ants, 220 sont décédés, soit une mortalité de 5 p. 100; sur ces 420
enfants
200 ont survécu ; 3° Si au chiffre des 220 décé
ont survécu ; 3° Si au chiffre des 220 décédés nous ajoutons les 87
enfants
idiots, épileptiques, etc., nous voyons que 73
nfants idiots, épileptiques, etc., nous voyons que 73 p. 100 de ces
enfants
sont atteints mortellement ou gravement par les
JI. le professeur Landouzy.. , Traitement médico-péda[]ogi'1ue des
enfants
idiots. 11. BOUIIIOE"ILLE. En raison de l'organ
ance imparfaite des maladies chroniques du système nerveux chez les
enfants
. D'où leur hésitation, de bonne foi, sur ce qu'
velle communication destinée à montrer, par des faits que, chez les
enfants
, même les plus malades, il est possible d'obtenir
e d'obtenir une amélioration sérieuse. A plus forte raison chez les
enfants
imbé- ciles on simplement arriérés. A l'appui
i, nous faisons passer sous vos yeux 18 photographies collectives d'
enfant
idiots complets, c'est-à-dire ne tenant pas, de
vation de nos malades : Bign... (Georges), âgé de treize ans. Cet
enfant
, atteint d'idio- tie complète à. l'entrée, ne m
isme complet. Aujourd'hui, il est amélioré : la parole est bonne, l'
enfant
cependant conserve une prononciation défectueuse,
ait aucune notion sur les opérations arithmétiques. Actuellement, l'
enfant
lit couram- ment, écrit lisiblement, fait des d
hie et connaît très exactement la division du temps. En résumé, cet
enfant
est arrivé à un degré presque normal. - Apprent
à se nettoyer assez bien, aide même les infirmières à habiller les
enfants
, est très complai- sant et doux envers les enfa
s à habiller les enfants, est très complai- sant et doux envers les
enfants
plus petits que lui, est très affec- tueux. Il
ées et com- mence à tenir conversation. Pierre (Louis), onze ans.
Enfant
atteint d'idiotie profonde, n'ayant aucune noti
once assez bien les mots. Troec... (Edouard), cinq ans et demi. Cet
enfant
attteint d'i- diotie profonde et d'épilepsie, é
es vertiges et des accès épileptiques depuis environ deux ans. (Cet
enfant
avait élélrépané et avait subi la résection du
quelques traits de dessin et y apporte un certain goût. En résumé l'
enfant
se rapproche de plus en plus en plus de l'état
plus en plus en plus de l'état normal. Maur... (Pierre), 10 ans,
enfant
atteint d'idiotie profonde, mar- chait à peine;
e savait pas manger seul (même avec les mains.) - Actuellement, l'
enfant
prononce mal, il est vrai, mais il connaît le nom
a- bille seul sans pouvoir cependant lacer, nouer, boutonner. Cet
enfant
,atteint à son arrivée de clccrzonzanie (ou manie
ifficulté toujours pour la lecture au Syllabaire et cepen- dant cet
enfant
, à l'aide des lettres mobiles, place les consonne
oc- cupe exclusivement de lui, mais dès que l'on passe à un autre
enfant
, il cesse de travailler, regarde à droite et gauc
cipline en personne, morigène et corrige continuellement les autres
enfants
. Apportant néanmoins une attention un peu plus
rès élémentaire mais donnant parfaitement l'idée de la figure que l'
enfant
a voulu représenter, enfin il forme presque tou
forme presque toutes les lettres et commence à les assembler, Cet
enfant
qui, ayant quelques dispositions pour l'écriture,
dèle donné, est incapable de suivre un tracé. (Nous avons plusieurs
enfants
dans ce cas). La mémoire, des plus fugitives, f
l'o- céphale atteint d'idiotie et d'instabilité. A son arrivée, cet
enfant
avait la monomanie des fugues. Dès qu'une porte
, porte à près de 500 le nombre de mots que nous avons appris à cet
enfant
. Ces mots, notre élève les comprend, lit et écr
nt été très sensibles pour la lecture, l'écriture et le calcul. Cet
enfant
, dont l'amour-propre s'est éveillé, est heureux
multiplication. L'écriture, très améliorée, est très lisible. Cet
enfant
est en bonne voie pour la lecture courante. Fél
t. La parole, très défectueuse, était presque incompréhensible. Cet
enfant
a été rendu propre en 1893 et sa parole, très amé
ons en même temps une sensible amélioration dans l'intellect de cet
enfant
. A partir de cette époque, la mémoire a paru se
ire qu'il comprend. L'écrilure est bonne etfrèslisibte. bien que' l'
enfant
écrive de la main gauche, le coté droit étant p
simple calcul men- tal. Tout ce qu'on est parvenu à apprendre à cet
enfant
n'a été obtenu qu'avec une grande dépense de pe
s), treize ans et demi, est entré en avril 1890. A son arrivée, cet
enfant
atteint d'idiotie profonde se trouvait presque
vages; mordant ceux qui l'entouraient, gâtant jour et nuit. ' Cet
enfant
, signalé dans le Compte rendu de 1899 comme très
des sens, de la main en particulier, ce qui permet d'apprendre à l'
enfant
à se déshabiller, à s'habiller, à se laver, à m
nfant à se déshabiller, à s'habiller, à se laver, à manger seul : l'
enfant
, peut, à ce moment, se suffire à lui-même. Cen'
des chaises, faire des brosses, de la vannerie, etc., et cela à des
enfants
qui, à l'arrivée, étaient des idiots complets,
dont, d'ailleurs, profitent dans une beaucoup plus large mesure les
enfants
moins 352 SOCIÉTÉS SAVANTES. profondément att
on plus fondée. Elle ne l'est, et encore qu'en partie, que pour les
enfants
atteints de méningites ou de méningo-encé- phal
deuxième cas est celui d'une femme de trente-cinq ans, mère de deux
enfants
. Il y a trois mois, ses règles ne viennent^ pas
'ai pu un grand nombre de fois, non seu- lement développer chez des
enfants
leurs facultés et aptitudes normales, mais enco
rmet, il doit autant que possible continuer la vie sociale normale.
Enfant
il ira à l'école avec les écoliers sains (le ma
gt- huit ans, relieuse, atteinte de folie, s'est asphyxiée avec son
enfant
de huit ans. (Le Bonhomme Normand, du 10 mai 19
1=" Blondeau, a pu donner l'alarme. Les trois malheureux blessés, l'
enfant
surtout, sont dans un état désespéré. Quant à B
y, trente ans, née à Mittois, arrondissement de Lisieux, a eu trois
enfants
naturels dont un est mort. Elle fait élever les
e ayant eu assez de force pour étouffer ses cris de douleur. Mais l'
enfant
ayant crié elle l'étrangla avec les cordons de
sse exceptionnelle du cadre (effet du 1 ? octobre 1901). Suicides d'
Enfants
. A Assé-le-Coisne (Sarthe), un enfant de onze a
? octobre 1901). Suicides d'Enfants. A Assé-le-Coisne (Sarthe), un
enfant
de onze ans, qui avait perdu son père et sa mèr
s dans un asile d'aliénés, a, dans un accès de folie, tué son jeune
enfant
, âgé de deux ans. Profitant de l'ab- sence de s
âgé de deux ans. Profitant de l'ab- sence de son mari, elle prit l'
enfant
et le pendit à l'espagnolette de la fenêtre. Un
uvèrent la femme Labrosse, riant aux éclats, à côté du corps de son
enfant
. (Le Républicain d'Orléans, du 27 septembre 190
de l'Angleterre, publia quelques observations sur l'éducation des
enfants
idiots et faibles d'esprit, et invita Lord Ashley
et les imbéciles des Comtés du Nord, et en 1875 la première école d'
enfants
pauvres pour les imbéciles. Ce dernier établiss
u Comté de Northampton, un bâtiment a été spécialement affecté à 50
enfants
imbéciles, et à l'asile du Comté de Middlesex-
dans le département de la Seine cinq institutions qui reçoivent des
enfants
idiots, imbéciles ou épileptiques, à savoir : 131
, et nous ne retiendrons que quelques points relatifs sur- tout aux
enfants
arriérés. Il constate que l'Angleterre s'est occu
est occupée très tardivement de l'instruction pratique à donner aux
enfants
faibles d'esprit. Dès 1863, en Allemagne, à Hal
, en Allemagne, à Halle, il existait une classe auxiliaire pour les
enfants
qui ne pouvaient pas suivre les programmes ordi
s d'Allemagne, qu'elles compor- taient 202 classes, contenant 4.281
enfants
, auxquels l'instruction était donnée par 225 ma
que l'Angleterre a créé ses premières écoles pour cette catégorie d'
enfants
: il y en a aujourd'hui, sans compter, d'assez
écoles de province, 53 qui fonctionnent et instruisent de 2 à 3.000
enfants
. Sur le continent, la Belgique et la Suisse ont
et la Suisse ont spécialement affecté des écoles à l'éducation des
enfants
faibles d'esprit , l'Autriche se prononce en fa
en Belgique. En Italie, des colonies ont déjà été formées pour ces
enfants
, et une ligue de protection s'est créée à leur
to- rium ; 2° une institution pour l'éducation et l'instruction des
enfants
épileptiques : 3° une institution destinée à em
s de détails : Bourneville, Assistance, traitement el éducation des
enfants
idiots et dégénérés, 1891;-Reclaerc%es cliniques
R. DE Musgrave-Clay. XIX . Sur les anomalies pupillaires chez les
enfants
idiots, paralysés et non paralysés et sur leurs
mnité de repos ne soit pas reversible sur la tête des veuves et des
enfants
mineurs. Il rappelle les diverses propositions
ayant des charges de famille. Toute personne mariée et ayant des
enfants
reçoit cinquante francs par an et par enfant au-d
e mariée et ayant des enfants reçoit cinquante francs par an et par
enfant
au-dessous de seize ans, comme supplément de tr
pères de famille des indemnités en rapport avec le nombre de leurs
enfants
. Adopté. SOCIÉTÉS SAVANTES. 427 7 M. Bourne
ité et doit cesser le plus vite possible. J. Séglas. V. Ecoles pour
enfants
anormaux en Suède; par DINIEL. (Policlin., octo
ugles, idiots. Pour les idiots, 34 internats divisés en écoles pour
enfants
édu- cables, ouvroirs pour ceux sortis des écol
ens de diriger le penchant à l'imitation. La culture dû goût chez l'
enfant
facilitera l'oeuvre importante de la suggestion
mployer les maîtres de la jeunesse. « A côté de l'édu- cation que l'
enfant
reçoit, pour ainsi dire à son insu, il y a celle
on fils, âgé de quatorze ans, de l'emmener avec lui à Orbec. Mais l'
enfant
, ayant désobéi, fut privé du voyage. C'était le
à sa chambre. Quand la femme de ménage v s'y rendit pour voir si l'
enfant
dormait, elle le trouva déshabillé, gisant sur
its rappelant les phénomènes propres aux animaux, aux sauvages, aux
enfants
(attitude, dandinement, CONTRIBUTION A L'ÉTUDE
ntré à Bicêtre le 25 novembre 189S. Antécédents personnels. Etant
enfant
, il était comme somnam- bule, se promenait la n
ucha dans l'été de 1737 ; mais l'arrière-faix ne vint point après l'
enfant
. Quel- ques jours ensuite la parole lui manqua.
tent chez eux avec le reste de leur famille et se mêlent aux autres
enfants
du village. Quant aux fous et nerveux, ici les
récédent, il est autorisé à errer alors, vêtu ou nu, à la risée des
enfants
, ou s'il est dangereux, attaché à quelque pilier
ons devraient être d'abord les gardiens chargés de l'éducation de l'
enfant
et secondement les médecins de famille ; 9° La
capacité, la variabilité et les diverses tendances du caractère des
enfants
; 10° Le dernier objet des mesures préventives se
produc- tion des maladies chroniques du système nerveux chez les
enfants
, 1 par Bourneville, 331. Aliénation. Rapports
a névrose d ? par Har- tenter ? 311. 341. / Anormaux. Ecoles pour
enfants
- en Suède, par Daniel, 435. Aphasie, par Bri
épileptiques, par Nikitine, 61. Traitement médico-pédagogique des
enfants
-, par Bourneville, 343. Photographies et radio
- , par Kéraval, 68. I nIIsDICO-PÉD.1GOGIQUE. Traitement - des
enfants
idiots, par Bourne- ville, 343. Mélancolie. M
. - d'un adolescent, 116. Pathogénie du -. par Re- boul, 280. - d'
enfants
, 367. Suspension. La -comme traitement des ma
uelques pro- fessions insalubres sur les mala- dies nerveuses des
enfants
, par Bourueville, 331. Syringomyelie. Forme r
s, est atteinte de maladie de Thomsen, depuis son enfance; elle a 2
enfants
, bien portants. La 3e est hystérique. Elle est
- vent plus d'une heure et ne disparaissant que peu à peu. Elle a 4
enfants
: l'un aurait eu la chorée ; les autres sont bi
s, mais vous pouvez apprendre de nouveau à vous en servir, comme un
enfant
apprend à marcher ». Je lui mettais en main un
se diriger dans la vie. Elle avait été élevée jusqu'alors comme une
enfant
et cette éducation s'har- monisait bien avec se
nné la malade. (Il avait assisté quelques jours auparavant un polit
enfant
atteint de diphtérie.) Cependant les journées s
er. Chorée el alhélose double. (Leçons cliniques sur les maladies des
enfants
, 1889, page 165). (4) Greidenberg. Novi Iluch
ogée dit n'avoir rien observé d'anormal, qu'il était comme tous les
enfants
. A l'âge de 7 ans la mère a remarqué que l'enfa
t comme tous les enfants. A l'âge de 7 ans la mère a remarqué que l'
enfant
devenait maussade, capri- cieux, pleurnicheur.
and-père en bonne santé également. Notre malade est l'aînée de cinq
enfants
: un frère mort de convulsions il l'âge de quat
couchement fut très pénible ; au bout de trois jours de douleurs, l'
enfant
vint au monde en état d'asphyxie, la face noire,
l la v ie. La mère nous dit n'avoir rien observé d'anormal chez son
enfant
jusqu'à l'âge de six mois. A cette époque, un s
vant. A dix mois la mère s'aperçut qu'en l'espace de trois jours, l'
enfant
devenait raide au point de ne pas pouvoir remue
uer que quatre mois, car les soeurs avertissent sa famille que leur
enfant
apprendra très difficilement il lire, mais ne pou
oint de vue des formes extérieures etc., comparaison avec une autre
enfant
à peu près du même âge et de même taille. Voici l
res. Un fait de Massalongo se rapproche de celui-la. II s'agit d'un
enfant
atteint d'une athétose dou- ble, et chez qui ex
a malade parait très intelligente. Mémoire très bonne. Richardière.
Enfant
douce et intelligente, sait écrire et compte (J
so). Charcot et Huet. Mémoire et intelligence bonnes. Chavanis. L'
enfant
ne manque pas d'intelligence, sait bien lire. R
QUE SUR L'ATHËTOSE DOUBLE. 83 terne de la Salpêtrière, a trait à un
enfant
de six ans, dans un état d'imbé- cillité à peu
il est susceptible d'une certaine attention (Pl. XIII). C'est un
enfant
naturel, sur lequel il est impossible d'avoir des
héréditaires ou personnels. Au dire de la dame qui s'occupe de cet
enfant
, la mère a eu beaucoup d'ennuis pendant sa grosse
Sharkey, Green- less), elles doivent être assez fréquentes chez les
enfants
aussi, mais comme la plupart se confondent avec
dies nerveuses connues dans la fa- mille. Le malade est père de 5
enfants
bien portants : son sixième et dernier enfant L
e malade est père de 5 enfants bien portants : son sixième et dernier
enfant
L mort-né. A. P. A l'âge de 22 ans, il a vu t
grossesse sans accident, un ac- couchement à terme, d'où naquit un
enfant
. Celui-ci vécut 6 mois « et mourut par simple d
ulsions suivent pendant des jours entiers, d'ou- vrir le crâne de l'
enfant
et d'enlever les foyers hémorrhagiques qui sonl.
hirur- gie. Citons, à ce propos, une opération d'Oppenheim, chez un
enfant
hé- miplégique depuis l'âge de 14 ans et attein
a des morsures de la langue et des lèvres. Aux membres supérieurs l'
enfant
relève brus- quement le bras, choque le visage,
service de M. Jules Voisin à la Salpêtrière. La plupart étaient des
enfants
ou des adolescentes : quelques-unes étaient adu
nvulsions à deux reprises différentes. Mariée à 19 ans, elle a eu 3
enfants
nés à terme, dont l'un est mort de méningite à
nombre des sujets ainsi frappés ont même pu se marier et avoir des
enfants
sains. En ce qui concerne les autres symptômes
des mouvements de la face, de la lucidité de l'intelligence. « L'
enfant
a la tête volumineuse, la physionomie très intell
ué dans certains cas que les parents étaient très âgés lorsque leur
enfant
était venu au monde, dans le fait de Déjerine et
le sait, agir d'une façon très fâcheuse sur le centre nerveux de l'
enfant
; l'athétose double n'échappe pas à la loi comm
ssité d'intervention ins- trumentale, il s'est fait à terme, mais l'
enfant
est venu au monde avec un état asphyxique plus
hésitante. Mouvements des extrémités de plus en plus incertains. L'
enfant
a ou à 3-4 reprises des incontinences et s'est ou
ans, d'excès alcoolique. Mère morte en couches de lui (lo père de l'
enfant
) 6 semaines après l'accouchement. Grands-parent
de détails. Un seul oncle du côté paternel. Le père de la mère de l'
enfant
. Pas de tare nerveuse. Un frère est mort tout p
Troisième on ne sait de quoi, mais pas d'ac- cidents nerveux. Leurs
enfants
seraient bien portants. Un frère mort à deux ans
iège. soeurs bien portantes, sans aucun accident nerveux, 3 ont des
enfants
bien portants, sans convulsions. Pas d'aliénés. L
inités (cousins germains tous deux s'appellent,'Poupart) : Quatre
enfants
. , 1° Fille 11 ans, pas de convulsions, intelli
e. A la conception, qui a eu lieu au 10° mois de l'allaitement de l'
enfant
précédent, tous deux étaient bien portants, vivai
aimait mieux dor- mir. Grossesse bonne, elle a sevré la précédente
enfant
quand elle était enceinte de 3 mois, pas de cou
e, pas d'alcoolisme. Dans sa maison habitait chez son grand-père un
enfant
riche, idiot, malformé qui est dans le service.
oforme, en une heure, aux plus grandes douleurs à la naissance. Cet
enfant
, gros, non pesé, pas d'asphyxie, a crié de suite.
: oui, non, dada. Ce n'est qu'à un an que sa mère s'aperçut que son
enfant
n'était pas naturel. Il reconnaissait le monde.
rd était hagard, il l'a toujours eu, on le voit sur son portrait. L'
enfant
est resté 8 mois à Berck, il en est revenu gros,
le service de M. le professeur Grancher, parce que depuis 3 mois l'
enfant
rejetait sa tête en arrière et que ses bras d'abo
arcades sourcil- lières peu saillantes. Yeux bien ouverts, gris, l'
enfant
les tient constamment tournés en haut et à gauc
riétale est aplatie à sa partie supérieure. Cheveux bruns-clairs. L'
enfant
laisse toujours tomber sa tète en arrière quand
terno- mastoïdien. Thorax aplati à la face antérieure amaigrie. L'
enfant
reste couché étendu dans son lit, remuant un pe
NIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 301 On arrive à fixer l'attention do l'
enfant
en l'appelant, en lui offrant un sou qu'il pren
t, en lui offrant un sou qu'il prend surtout de la main droite. L'
enfant
se tient debout à la condition de tenir une chais
t avoir lieu que si on le maintient sous les bras des deux côtés, l'
enfant
lient sa tête penchée en arrière, avance assez bi
s de la marche et de la parole. Demi-école. Le 7 novembre 1887. L'
enfant
meurt d'une congestion pulmonaire. Autopsie. -
ès qu'on cherche il étendre les membres ; il droite comme il gauche l'
enfant
étend ses mains par instant et il se produit al
ue pas de mouvement athétosique des orteils). De temps : 1 autre, l'
enfant
allonge complè- tement ses membres inférieurs d
es inférieurs de préférence à droite. Quand on veut faire marcher l'
enfant
il étend ses deux membres inférieurs surtout le
nne. L'exploration des autres sens reste infructueuse : cependant l'
enfant
semble réagir lorsclu'on lui met de la poudre d
on et redouble ses cris. Pendant tout le temps que dure l'examen, l'
enfant
pousse des cris d'abord sourds et plaintifs pui
es). De temps en temps grincement de dents. Le 13 janvier 1889, l'
enfant
meurt d'une pleurésie purulente. 14 janvier. Au
ng Monographie, 1865. Henoch. Leçons cliniques sur les maladies des
enfants
. C. H. Hughes. A unique case of bi-lateral athe
é. Chorée et athétose double (Leçons cliniques sur les maladies des
enfants
, 1889). W. Osier. The cerebral palsies of Child
125. CANON DES PROPORTIONS DU CORPS HUMAIN. 323 Proportions de l'
enfant
, lois de la croissance. Notre intention n'est p
proportions à donner à l'en- fant dans les différents âges. Chez l'
enfant
, en effet, les proportions ne sont point stable
Quételet, on peul conclure avec une approximation suffisante que l'
enfant
, à sa naissance, a un peu moins du tiers de la ha
n autre point important à connaître pour fixer les proportions de l'
enfant
, c'est l'accroissement relatif des diverses parti
s ne croissent que dans la proportion de 2 à 3. Il en résulte que l'
enfant
a la figure d'un ovale plus court que celui de
chez l'adulte, au niveau des angles internes des yeux, doit, chez l'
enfant
, être reportée plus haut. Le cou croit dans les
r primitive. La jambe s'accroît dans le rapport de 1 à 5,52. Chez l'
enfant
comparé à l'adulte, on peut conclure de ce qui pr
s membres su- périeurs. Le milieu du corps est donc situé, chez l'
enfant
, bien au-dessus du point où il se trouve chez l
nous l'avons vu, à la naissance des organes. Que devient, chez l'
enfant
, le rapport de la grande envergure à la taille ?
J. Cousin a donné, dans son livre des proportions, une figure d'un
enfant
de cet âge que nous reproduisons ici d'autant plu
des limites à notre sujet. En nous bornant déjà à étudier chez les
enfants
seulement les rapports de l'hystérie simulatrice
te. Les manifestations de l'hystérie s'adaptent aussi bien chez les
enfants
que chez les adultes à l'un et à l'autre de ces
ons nerveu- ses organiques. C'est surtout vrai lorsqu'il s'agit des
enfants
. Considérations historiques et critiques. 1.
ement injuste de ne pas MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
331 tenir compte des travaux de nos devanciers.
exact d'atta- ques d'hystérie; mais il s'agit souvent d'hommes ou d'
enfants
qu'on n'est pas encore habitué à considérer com
émontrer l'existence de l'hystérie chez l'homme et sur- tout chez l'
enfant
, en reprenant à ce sujet les idées de Ch. Lepois
médicale, 8 juin 1892. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
333 hémianesthésie sensitivo-sensorielle, réfle
é donnée et ne le sera jamais ». II. Études sur l'hystérie chez les
enfants
. Nous avions besoin de poser ces prémisses pour
r plus franchement dans le coeur de notre sujet. C'est en effet des
enfants
que nous nous occupons ici spécialement ; c'est c
térie mas- culine sont également les premiers à l'admettre chez les
enfants
. Georget (1831), après Hoffmann, Cullen et Raul
va- tions. Enfin, Briquet réunit plus de 80 cas d'hystérie chez des
enfants
seu- lement de 1 à 12 ans. Il est conduit comme
que plus l'hystérie aura eu d'intensité chez les parents, plus les
enfants
auront eux-mêmes des chances de devenir hystéri
ques (1883), a consigné plusieurs faits d'hystérie rela- tifs à des
enfants
. Mais son point de vue est un peu spécial et trop
le seul a abor- der franchement le problème de l'hystérie chez les
enfants
. C'est lui qui, dès 1880, inspire les thèses de
tants développements, au moins un court chapitre sur l'hystérie des
enfants
. L'impressionnahilité naturelle de leur système
e de l'hystérie, p. 90. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
3 : J0 térie infantile était beaucoup moins ava
dépassés à l'étranger par les travaux parus sur l'hystérie chez les
enfants
. En Allemagne, c'est seulement à partir de 1880
men de deux chefs principaux : 10 L'hystérie existe-t-elle chez les
enfants
, à tous les âges* ! 2° L'hystérie, chez les enf
t-elle chez les enfants, à tous les âges* ! 2° L'hystérie, chez les
enfants
, est-elle différente de l'hystérie chez les adu
onnue, il est possible que cette propor- tion soit changée chez les
enfants
comme elle l'a été chez les adultes. Dans la se
s d'affections hystériques hé- réditaires qu'il avait vus chez, des
enfants
de 2 à 3 ans ; Briquet en ajoute lui-même un as
emment deux cas très nets de névrose traumatique, survenus chez des
enfants
de 3 à 5 ans (1). Nous arrivons enfin au point
ie pral., février 1888. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
337 leurs son opinion formulée en termes clairs
is : « L'hystérie est aussi très commune, même chez les tout jeunes
enfants
, où elle revêt des formes frustes quelquefois b
ce qu'il appelle « les prodromes lointains de l'hystérie » chez les
enfants
en bas-âge. C'est là un chapitre, dit-il, qui est
para- plégie, suite de convulsions, ayant persisté six mois chez un
enfant
de 2 ans. Le travail le plus récent sur l'hys
le plus récent sur l'hystérie des nouveau-nés et des tout jeu- nes
enfants
a été communiqué à l'Académie de médecine, au moi
ontre M. Magilot, l'existence des troubles de la dentition chez les
enfants
, mais sans pour cela adhérer nettement aux théori
ns-nous maintenant saisir des différences entre l'hystérie chez les
enfants
et l'hystérie chez les adultes ? Nous avons ind
limiter ce que l'on entend par troubles psy- chiques chez de jeunes
enfants
, alors que la raison n'est pas encore for- mée
lle impressionnabilité qui constitue le fonds même du caractère des
enfants
ne saurait suffire il nos yeux pour porler le d
lacer notre seconde objection. On peut en effet rencontrer chez les
enfants
de ces associations pathologiques où les maladi
le couvert des doctrines allemandes. On a dit encore que chez les
enfants
, l'hystérie offre une plus grande mo- bilité de
de l'hystérie, 1). ;Il. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
339 sera plus habitué la recherche des stigmate
et la ténacité croissante des manifesta- tions hystériques chez les
enfants
. Il s'agissait d'un enfant de 10 ans, at- teint
s manifesta- tions hystériques chez les enfants. Il s'agissait d'un
enfant
de 10 ans, at- teint pour la troisième fois de
mati- que, etc., signifient que l'hystérie s'est développée chez un
enfant
, que ses symptômes principaux siègent sur un vi
e l'hystérie simulatrice des maladies nerveuses organiques chez les
enfants
. Mais avant d'en faire l'application à la patholo
s ne traitent pas spécialement de l'hystérie si- mulatrice chez les
enfants
, et leurs observations ne concernent guère que
iment de leurs malades. Que les maladies simulées existent chez les
enfants
, nous ne songeons pas à le contester (3). Mais
appe- ler l'hystérie, elle n'en est pas moins sérieuse, même chez l'
enfant
et on ne fera plus croire à personne qu'un enfa
euse, même chez l'enfant et on ne fera plus croire à personne qu'un
enfant
puisse simuler des mois ou des années une contr
u mardi, 1888, p. ` ? 0,3. (3) Dufestcl, Maladies simulées chez les
enfants
, thèse Paris, 1888. MALADIES ORGANIQUES DE L'EN
nts, thèse Paris, 1888. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
343 périmentalement la simulation qu'ils soupço
S MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE AVEC LÉSIONS EN FOYER Chez l'
enfant
comme chez l'adulte, les lésions du foyer, variab
ortance et le nombre des lésions dont il est le siège ; mais chez l'
enfant
, la participation de l'écorce cérébrale aux lés
s simulateurs, les lésions en foyer de l'écorce cérébrale cliez les
enfants
, et en- core, nous ne saurions prétendre à tout
logie trop rudimentaire pour que nous lui opposions, surtout chez l'
enfant
, des faits de nécrose simu- latrice qui sont en
ra- pide aperçu de cet ordre de manifestations hystériques chez les
enfants
que nous terminerons la première partie de notr
ue de médecine, 1883. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
315 CHAPITRE PREMIER SYNDROMES HYSTÉRIQUES SI
st pas, dit-il, décrire d'une façon générale, l'hémiplégie chez les
enfants
, mais bien « une expression symptomatique » où en
'hystérie peut simuler cette forme clini- que d'hémiplégie chez les
enfants
. En d'autres termes, y a-t-il dans l'hys- térie
L'hémiplégie faciale n'est pas la règle ou est très atténuée chez l'
enfant
atteint d'hémiplégie spasmodique. On sait égale
bres peut faire complètement défaut dans les lésions corticales des
enfants
: c'est la règle la plus commune dans les paralys
évroses, 1883, p. 1011. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
347 récemment, Sollier (1) a observé la présenc
e autre observation, due à Perret (de Lyon) (2) mentionne, chez une
enfant
de 11 ans, une forme hémiplé- gique de mouvemen
els et l'aphasie manquent souvent dans l'hé- miplégie corticale des
enfants
, ce ne sont pas là non plus des traits carac- t
grande clarté dans le débat. Jamais l'hystérie ne produira chez les
enfants
, à notre connaissance du moins, des troubles trop
our nous indéterminée, puisque nous n'avons pu les observer. Mais l'
enfant
qui fait le sujet de cette observation a vécu que
n portante, nie toute tare nerveuse dans sa propre fa- mille. Aeu 2
enfants
d'un premier mari, 4 autres de son dernier. Parmi
ant, la force musculaire était conservée ou peu diminuée, puisque l'
enfant
portait facilement de lourds fardeaux avec sa m
e connaissance, ni de morsure à la langue. La surveil- lance de son
enfant
devenant alors de plus en plus pénible à sa mère,
tous nos remerclments. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
351 Etat actuel. A la fin du mois de février 18
droite. B. Bras droit. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
353 Hémichorée. Ces mouvements choréiformes, qu
croire à un Fig. 44. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
355 raccourcissement et à une diminution de vol
légique et sur les caractères de cette hémiplégie, survenue chez un
enfant
, s'accompagnant de phénomènes spasmodiques tels
Z oS : t-CIF.J Éditeurs MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
ENFANTS
357 rieur. Il n'y avait pas jusqu'à l'athétose
il y a des antécédents névropathiques dans sa fa- mille. Il a eu 10
enfants
parmi lesquels 7 sont morts, tous dans le premier
erculose par la voie buccale est un mode de contagion fréquent chez l'
enfant
. Dans les premières années de la vie. les sécréti
ne explication pins ou mois satisfaisante dans l'instinct qui porte l'
enfant
, dès sa naissance, à sucer. OU plutôt à léter d'u
sommes disposés â nier l'influence de l'imitation sur les actes de l'
enfant
. Néanmoins, alors même que nous constatons que I
es communale» de t'aris. tation. Dans une famille composée de six
enfants
, tous les ni m rongeaient les ongles. Leur père,
ne préoc-ËU pat ion, un travail, une tension d'esprit quelconque. Les
enfants
jse rongent souvent les ongles en apprenant leurs
ue dans beaucoup de localités la constatation d'oncles rongés chez un
enfant
et considérée comme une présomption, sinon comme
n, médecin de la Salpètrière. dont le service comprend la section des
enfants
idiots, épileptiques et arriérés. Appelé à consta
lques instants après s'être livrés à l'onanisme que les idiots et les
enfants
atteints de débilité mentale se mettent à se rong
es tlis-posilioiis nuisibles ou vicieuses qui se manifestent chez les
enfants
n'aient pas été frappés tle la fréquence de l'ony
Nous supposions qu'en province, el surtout dans les campagnes, les
enfants
ayant beaucoup plus de facilité pour donner satis
is suivants: Dans celte dernière école, admirablement tenue, où les
enfants
sont l'objet des soins les plus attentifs el les
bitudes automatiques ont été unanimes ù reconnaître qu'eu général les
enfants
sont plus ehétils que les autres, qu'ils sont enc
études spéciales. On rencontre aussi des rongeurs d'Ongles parmi ces
enfants
que leurs succès prématurés font encenser comme d
les très frappants. Lors d'une visite récente faite dans une classe d'
enfants
de six à huit ans. six élèves, jugés par le maîtr
écoles d'Angleterre elle a été constatée chez un assez grand nombre d'
enfants
. Ainsi, dans trois classes formant un total de Xi
rement de l'onvchophagie et des autres habitudes automatiquesde l'
enfant
, les médecins, il faut le reconhaltrcj ne s'eri s
s justilieraient fort bien l'idée île grouper dans la même classe les
enfants
qui manifestent des habitudes nuisibles, ntiu île
ait servir de modèle. mesure d'isolement relatif prise â l'égard îles
enfants
atteints d'habitude automatiques ne serait d'aill
ous les moyens capables d'enrayer la dégénérescence et de fortifier l'
enfant
. Divers traitement ont été préconisés contre l'
lle qu'on peu! contrarier le développement de celte habitude chez les
enfants
en leur frottant l'extrémité des doigts avec une
ratique ne tarde pas à démontrer l'insuffisance de tous ces moyens, l'
enfant
reprenant sou habitude vicieuse dès que le moven
suggestion hvpnotiqm-eonime agent moralisateur et éducateur, chez les
enfants
mauvais, impulsifs ou vicieux. I.e traitement psy
thérapiipie de l'oincbo-pliagie i'l des habitudes nulomuliques chez l'
enfant
n'est guère qu'une des multiples applications del
pation néressilanl l'emploi des deux mains interrompait mentale des
enfants
vicieux ou dégénérés. (Comptes rendus du Congrès
aisseur. Les extrémités des deux doigts sueés étaient ratatinées. L'
enfant
, compreuanl loul ce que non habitude avait de rép
ndemain, j étais averti par hss parents qu à leur grand étonneinenl I
enfant
avait obéi d'une façon précise à la suggestion et
cédé â son habitude vicieuse. La guéri son s'cst birn mainlenue. L'
enfant
éta 1 cependant très dégénéré. Il ¡o ait Jes anté
rs l'âge de 15 ans. il se levait et criait, ayant peur, Un frère de l'
enfant
est bien portant, mais il a deux so-urs qui sont
ésister â ses impulsions et à celles de ses camarades. Les uotes de I
enfant
nous onl été communiquées ivgulièrcmenl. Mlles co
cile R.... âgée de 13 ans. sscsl toujours rongé les ongles. C'est une
enfant
grande et forte, dont l'aspect n'indique pas la d
saient cirer leurs chaussures : elle a uriné aa lil jusqu'à 12 ans. L'
enfant
a élé lardi'e pour marcher el pour parier; elle d
Observation V| onychopiivgii: par iuitstiox. — guéri sons rapide.
Enfant
I..... âgée de 9 ans. s'est toujours sucé les doi
son père qui. âgé de 10 ans. se ronge les ongles encore maintenant. L'
enfant
se trouve dans d assez bonnes conditions physique
tude à l'influenre de l'imitation el à l'exemple donné par le père. L'
enfant
a fait preuve de beaucoup de bonne volonté pour s
ger les ongles. Observation VII ONYCHOPHAGIE PAR IMITATION. — SIX
ENFANTS
DANS LA MEME FAMILLE PRÉSENTANT DES MANIFESTATI
FAMILLE PRÉSENTANT DES MANIFESTATIONS DE DÉGÉNÉRESCENCE. Les six
enfants
M... sonl inégalement partagés au point de vue de
ue leurs deux fières. Kl les se rongent seulement les ongles, Les six
enfants
me sont amenés â la fois à la clinique de la rue
es de frayeur. On finil cependant par les décider. Le père de ces six
enfants
, marchand de vins, est un buveur profess sionnel
en le traitement. L'onychophagie a été rapidement guérie chez Ira six
enfants
. L'iiiconlinence nocturne d'urine el l'onanisme d
i 19 juin 1893. — Présidence de M. DUMONTPALLIER. Une observation d'
enfant
menteur Par Mme le Dr E. V de MEZERAY. La jeu
nts honnêtes ouvriers, absolument désespérés de posséder une pareille
enfant
. Dès 1 âge de (i ans environ, la petite Bile ét
'école de la rue Gemacr. où elle donne de mauvais exemples aux autres
enfants
, et les dissipe Complètement. Envoyée en Alsace
du la vie insupportable avec elle. Ici M" place un fait capital : L'
enfant
, de rrhmr u Paris, accablée de reproches par ses
agir vis-à-vis de lui. A ce moment ou eut l'idée de faire partir l'
enfant
pour un couvent de Bretagne. Là, fâchée de cell
it le mauvais exemple a ses conqiagues. Bref, successivement, cette
enfant
a été chassée de» écoles où on a tenté de la mett
C'est donc racontant ces faits et tout ee que je viens de dire que l'
enfant
nous fut présentée au mois de mai dernier. Les
ence de la membrane livnicu donnait une preuve à l'appui du dire de l'
enfant
, mais l'onanisme auquel elle »"est livrée activem
ol. Depuis plusieurs semaines. tel était donc résumé des faits. L'
enfant
avait été endormir. l'hypnose avait été facile :
indignation justifiée protesta de sou innocence. C'est alors que l'
enfant
arriva à dire que son récit était un monstrueux m
unes — el elle parle des circonstances concomitants du viol comme une
enfant
qui les ignore complètement. Il y a donc tout l
aux témoignage. Je tiens à mettre sous vos veux l'hérédité de cette
enfant
et ses alité- cèdents personnels. Hérédité :
e à dépérir d'une façon remarquable. Nous soignons assidûment cette
enfant
qui déjà, pur la stiggrstion, a subi une améliora
Car pour nous il est évident qu'il v a là autre suggestion, que cette
enfant
croit ce qu'elle dit. en un mot que son étal ment
RECUEIL DE FAITS ENQUÊTE SUR LES HABITUDES AUTOMATIQUES CHEZ LES
ENFANTS
L'tude des habitudes automatiques, ai fréquento
S ENFANTS L'tude des habitudes automatiques, ai fréquentos cher les
enfants
, présente un tres grand intérêt au point de vue m
eur envoî et lia seront tenus au courant des résultats obtenus. Les
enfants
qui présentent des liabitudcs automatiques et en
écrire ; toutefois, ce qu'elle écrivait alors, c'était le nom de son
enfant
, mort plusieurs mois auparavant ; elle ne pensait
ieurs mois auparavant ; elle ne pensait plus à sa parente, mais à cet
enfant
qu'elle exprimait le désir d'aller retrouver. Or.
elle a toujours été Lieu portatile. De son mariages elle a ru quatre
enfants
, dont deux sont morts en bas agis pétulant une ép
nt une épidémie, un lrttisième. jeune garçon, est idiot cl le dernier
enfant
esl cellis fille qui fait le sujet de noire obser
un beau marinee et était dans une haute situation. Elle n'avait pas d'
enfant
. La cause de son chagrin avait été la conduite de
Il est rare qu'une habitude vicieuse se manifeste isolément chez un
enfant
. Le plus souvent plusieurs de ces habitudes sont
ble, menteuse. Elle commet fréquemment des vols. Quant ou interroge l'
enfant
sur son habitude, elle répond qu'elle s'y livre m
personnes de la famille sont des alcooliques ou des névropathes. L'
enfant
se soumet avec docilité à l'hypnotisation. Elle e
e 1/2 à 2 minutes 35 secondes. Dans un cas même, l'observateur vit un
enfant
lâcher prise de la main droite au bout de 10 seco
brusque par des phénomènes convulsifs. Le lendemain plusieurs autres
enfants
présentent des accidents identiques et depuis lor
eu à peu. tout rentra dans l'ordre. Hirt a examiné plusieurs de ees
enfants
et décrit iansi les crises qui Reproduisaient. L'
arc de cercle, hallucinations, conceptions délirantes, etc. D'autres
enfants
aboyaient pendant l'accès. La compression ovariqu
ne tôle ; cette tête manquant, c'est sur une autre tète, celle de son
enfant
, que le poignard reste toujours suspendu. Les
nt ne s'accompagne pas de haine, bien au contraire, M. X... adore sou
enfant
. Il la gale, mais il veut la tuer, il ne voudrait
istible,l'impulsion est trop forte, il réveille sa femme : « Emmène l'
enfant
, vite. vite. ». — Lorsque reniant n'est plus là,
siste. Dans le jour il regarde de loin sa petite-fille jouer avec les
enfants
de son âge; il pleure de ne pouvoir l'embrasser e
dans sa poche. À plusieurs reprises, sur sa demande, on a dû placer l'
enfant
au loin chez des parents, pour éviter un malheur.
de personne à tuer. Comme depuis deux semaines il n'avait pas vu son
enfant
, il arrive qu'un jour, l'idée homicide changea de
cide contre sa femme n'a duré qu'un jour, le lendemain c'est contre l'
enfant
que l'obsession revient. Depuis six mois l'expl
malade accepte, n'inquiétant moins de lui-même que du danger que son
enfant
court en babilant auprès de lui. mais il hésite e
. X... n'est pas responsable en le laissant tomber sur la tète de son
enfant
, il ne l'est pas non plus en le laissant tomber s
ses grands-parents, intendants dans une grande famille, avec les
enfants
d'un prince. Il est gaté bso-lumcnl. sets grands-
le père s'est enfermé et il faut plusieurs personnes pour contenir l'
enfant
qui essaye de briser la porte pour arriver jusqu'
si que des hommes pieux deviennent fanatiques, et tuent leurs propres
enfants
pour les envoyer au ciel. Certes on peut trouve
x qui s'intéressent à ce sujet, à la fois pathologique et social, des
enfants
arriérés et idiots. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE INTER
oplégie. Par M. le Dr Félix Regnault. La femme X..., mariée, sans
enfant
, est âgée de .15 ans. Elle présente les stigmates
nt, une grand'mêrc diabétique, une mère et un père tres sains et deux
enfants
, le jeune A... et sa sœur ni maladifs, ni nerveux
être invoquée; ce qui me fit envisager l'avenir avec crainte pour cet
enfant
. Ses parents désireux d'éclaircîr ce qu'il y avai
sic dans l'état d'hypnotisme. Mme Cl..., âgée de 35 ans, a eu trois
enfants
et fait deux fausses rouriies. Un des enfants
35 ans, a eu trois enfants et fait deux fausses rouriies. Un des
enfants
est mort de convulsions.un antre d'une inflammati
atre ans elle eut beaucoup de chagrin causé par la mort de son second
enfant
, et huit jours après survenait sa première fausse
, d'alcooliques, de bègues, d invertis sexuels, de neurasthéniques, d'
enfants
vicieux, ainsi que des cas d'incontinence d'urine
cl paisible, compatible avec la santé, survenant fréquemment chez les
enfants
, au premier Age de l'adolescence, auquel on a «lo
ents inconscients qui le guident. Rien ne prouve que dans un cercle d'
enfants
et de femmes les expériences inaugurées dimanche,
la suggestion, je citerai celle d'une jeune bile de treize ans. Cette
enfant
prêtait peu d'attention aux conseils à l'état de
inîttenee du bégaiement et les tremblements passagers observés chez l'
enfant
me confirmeraient dans cette opinion. Le bégaiein
eloppée, d'un caractère bon et confiant, pas la moindre hystérie. L'
enfant
dut l'été dernier beaucoup agrafer et broder; par
oyés mais en vain et les parents s'étaient habitués à la pensée qne l'
enfant
resterait toute sa vie estropiée. Elle me fut ame
our cent, mente en poussant les choses à l'extrême. — (Pelerson). L'
enfant
épilcpliqur est toujours un enfant malade. — Il d
ses à l'extrême. — (Pelerson). L'enfant épilcpliqur est toujours un
enfant
malade. — Il diffère des autres épilepliques; ; —
le fait dont il faudrait tenir compte dès le commencement. — Quand un
enfant
est aflligé d'une aussi terrible maladie. tous le
eur quià rendent sa société absolument insupportable ». le malheureux
enfant
a pour première leçon d'appreudre à se dominer so
s, quelle doit en être la portée, quel le but? — Les mêmes que chez L'
enfant
bien portant : la seule et unique différence, néc
s devoirs et les leçons, plus longs. — A l'exemple de tous les autres
enfants
, l'épileptique devrait commencer son éducation da
. Bourneville. — liu traitement chirurgical et médico-pédagogique des
enfants
idiots et arriérés (Progrès médical, 21 juin 18
ggestion hypnotique. Jouant avec celle-ci. il y a cinq ans. une autre
enfant
de son âge fît imprudemment entrer une perle oblo
et lui assurèrent qu'elle se trompait en crovanl a la guérison de son
enfant
: celle-ci leur reviendrait plus tard et sans faut
voirs de famille, aurait formé le projet d'abandonner son mari et ses
enfants
pour suivre Chambige. à la villa de Sîdi-Mabrouh,
e inachevée. Mme G... envoie ensuite la femme de chambre promener les
enfants
, auxquels elle ne fait point d'adieux, et elle so
e fatale du 25 janvier. Mme G... projetait d'abandonner son mari, ses
enfants
, de se livrer à Chambige et de se suicider avec l
conde; et alors elle n'est plus la même personne, elle a oublié mari,
enfants
, famille, situatiou sociale, devoirs, etc Tout ce
me Cependant la funéste journée du 25 janvier : son attitude avec ses
enfants
, qu'elle aurait quittés pour toujours sciemment,
détruit le bonheur et le repos de son infortuné mari et de ses petits
enfants
!... (1) Demain » c'est le jour où clic mourra.
ravité ; la malade reprend ses forces. Accouchement normal à terme,
enfant
vivant. Actuellement la malade jouit d'une sant
au plus peuvent-ils être entendus û litre de renseignement, comme les
enfants
et les mineurs. Certaines formes partielles île l
ine légale qui se rapportent à ce sujet : avortements. substitution d'
enfant
, etc.. etc. Et l'auteur a si bien compris l'imp
elgique, sous le litre de Charlot s'amuse, Tissot dit avoir guéri des
enfants
scrofulcux, rien qu'en les chatouillant pour les
ngereuse? Autant dire qu'il est dangereux pour la mère d'endormir son
enfant
en le lierçant, en le captivant parla chanson du
ppeler le 15 mai 1890 pour l'accoucher. Elle est enceinte de son 4°
enfant
cl dans un mois va avoir 20 ans. Déjà dans la nui
ns la nuit clic a éprouve des douleurs assez fortes intermittentes. L'
enfant
se présente bien en O. I. G. P., la této est très
s: la dilatation se faisait lentement, mais tout allait bien, mère et
enfant
. Je rendors Madame G. et la préviens qu'elle n'ac
umère était morto paralysée à 68 ans. 1'- leur union étaient nés cinq
enfants
; trois sururs dont deux vivantes cl une morte ly
. Quelquefois ces pseudo-phobies se sont transmises de la mère à l'
enfant
. On sait que la malheureuse mère de Jacques I", r
élucider. Pour expliquer l'incontinence d'urine si fréquente chez les
enfants
, les théories les plus diverses ont été successiv
ine. Plus récemment, M. Jules Janet a voulu voir, chez la plupart des
enfants
atteints d'incontinence nocturne, des névropathes
ine et pour assurer l'intermittence de la miction. Néanmoins, comme l'
enfant
cède involontairement au besoin dès qu'il le ress
ontairement au besoin dès qu'il le ressent, on peut dire que tous les
enfants
sont primitivement atteints d'incontinence diurne
ar l'éducation, on obtient généralement, vers l'âge de 15 mois, que l'
enfant
apprenne à résister pendant le jour au besoin d'u
es heures de la nuit, le D' Van Tienhoven propose de faire dormir les
enfants
de façon que le bassin reste élevé. Dans cette po
u lit qui doit former un angle de 45 cm. avec l'horizontale. Quatorze
enfants
traités par ce procédé ont été guéris après une m
rocédé du D' Powers est plus ingénieux encore. Il conseille, chez les
enfants
mâles, d'obturer, au moment du coucher, avec du c
le prépuce légèrement distendu par une petite quantité d'urino. Si l'
enfant
se réveille dans la nuit avec le besoin d'uriner,
, nous avons appliqué le traitement suggestif û un grand nombre d'
enfants
des deux sexes atteints d'incontinence nocturne e
ue. Tout d'abord, il faut, avec une certaine insistance, suggérer à l'
enfant
qu'il s'endormira le soir avec la préoccupation d
in. Si cette suggestion ne suilit pas, il faut alors supposer que l'
enfant
dort très profondément et que son sommeil est tel
onc insuffisante pour le réveiller; dans ce cas, il faut suggérer ù l'
enfant
une véritable insomnie. Je m'exprime habituelleme
lever pour uriner, dès que le besoin s'en fera sentir. » Beaucoup d'
enfants
, et surtout de jeunes gens, éprouvent cette insom
ait d'observation courante des plus intéressants, c'est que lorsque l'
enfant
urine au lit toutes les nuits, on peut presque sû
s nocturnes, polla-kiurio, etc..) J'ai appliqué co traitement à des
enfants
de tout âge ; le plus Jeune était âgé de trois an
st, 20. Eloge de Charcot a la Société de médecine de Berlin. 182.
Enfant
menteur (une observation d'), 17. Enfants (habi
médecine de Berlin. 182. Enfant menteur (une observation d'), 17.
Enfants
(habitudes automatiques chez les), 27. Enquête
chez les), 27. Enquête sur les habitudes automa- tiques chez les
enfants
(une), 22. Enseignement de l'hypnotisme et de
omatique guérie par suggestion. 11. Habitudes automatiques chez les
enfants
(enquête sur les), 22. Habitudes vicieuses asso
ait que la plupart de ceux qui ont été observés, l'ont été chez des
enfants
ou des adolescents ayant rarement dépassé l'âge
ves et impulsives. Il faut que par la direction qu'il va donner à l'
enfant
atteint de cette maladie, il lui évite des exci
on instruction, à son alimentation et à son habi- tation. Parmi les
enfants
atteints de cette terrible maladie, les uns son
autres sont débiles et présentent de la dégénérescence mentale. Les
enfants
intelligents ne seront pas poussés vers des tra
er dans beaucoup de cas. Le professeur chargé de l'éduca- tion d'un
enfant
épileptique doit avoir une grande fermeté en mê
gens au moment de la puberté. A cette époque de la vie, beaucoup d'
enfants
30 . PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. voient leurs a
ures de la mère aliénée peuvent faire courir un danger immédiat à l'
enfant
, et qu'il faut la surveiller étroitement. Si l'
n des éléments étiulogiques de l'affection. Première observation. L'
enfant
, un petit garçon, a quatre ans actuellement. Il
cette roideur ne fit que s'accentuer avec le temps. A quatre ans, l'
enfant
ne peut marcher, il est incapable de se tenir deb
e por- teur d'une tare héréditaire névropathique lourde. Un premier
enfant
mort en bas âge était atteint de la maladie de
Armentières, intitulée Recherche d' anthropologie criminelle chez l'
enfant
. Prix Bellzonzme. - Sur le rapport de M. SOLDER
° que la tétanie hystérique peut sévir de façon épidémique chez les
enfants
en particulier. Les manifestations viscérales d
t ils auraient à profiter de toutes les occasions pour signaler aux
enfants
les dangers de l'alcoolisme, mais ils fonderaie
t piétinée par le fou qui cherchait toujours à atteindre les deux
enfants
, paralysés par la frayeur. Enfin, le concierge et
tive qui l'ait conduite, sans qu'elle en ait conscience, à tuer son
enfant
'. » Il faut convenir que la question est assez
ssée par une impulsion instinctive, cons- ciente ou non, à tuer son
enfant
, il n'en résulte pas que le cas ne se soit jama
poursuivie pendant sa grossesse par l'ob- session du meurtre de son
enfant
en vint précisément à suc- comber à l'impulsion
térique, dans un accès de délire, accom- plît le même crime sur son
enfant
nouveau-né ? Mais Tardieu ne connaissait pas le
els en matière d'infanticide, ces .faits sont relatifs au meurtre d'
enfants
nouveau-nés tués dans les conditions ordinaires
Une fille accouche pen- dant la nuit, et le lendemain le corps de l'
enfant
est trouvé dans les latrines mutilé de coups de
diagnostic pourtant très vraisemblable. Mais est-ce là un meurtre d'
enfant
nouveau-né tué dans les conditions ordinaires c
fille qui, accouchée clandes- tinement, avait fait disparaître son
enfant
. Elle avait été ' Legrand du Saulle. Traité de
cènes. Comme conséquence de sa mauvaise conduite, elle a déjà eu un
enfant
il y a six ans. Elle a d'ailleurs élevé cet enf
lle a déjà eu un enfant il y a six ans. Elle a d'ailleurs élevé cet
enfant
d'une façon maternelle et dans les meilleures c
tée aussitôt, elle avouait le lendemain le crime de suppres- sion d'
enfant
dans les termes suivants : « Je reconnais que le
s suivants : « Je reconnais que le 11 novembre j'ai mis au monde un
enfant
que je n'ai vu ni remuer, ni crier. Je l'ai cru
darmes avertis découvrent sous le traversin du lit de Marie C... un
enfant
mâle dans un état de décomposition avancé. L'
contraires à la réalité des faits, car d'après l'expert commis, l'
enfant
était à terme, viable, bien conformé; il avait re
e. C .. couchait dans la même chambre que son père et son pre- mier
enfant
. Le père qui, à la vérité est sourd, a déclaré n'
- cence, disant qu'elle avait avorté, qu'elle n'avait pas tué son
enfant
. Cette exaltation maladive du système nerveux a
qu'une mare se trouvait au bord du chemin à quelques pas et que son
enfant
était sur la charrette( elle fut prise d'une gr
es de sa famille tant pour les charges occasionnées par son premier
enfant
que pour celles qui Fig. 5. 106 MÉDECINE LÉGA
s maternels : non seulement elle a élevé convenablement son premier
enfant
, mais elle l'entourait d'une affection si réell
e l'entourait d'une affection si réelle que le danger couru par cet
enfant
lors de son* accident a puissamment contribué à
ant sous les roues de sa charrette, elle a eu peur surtout pour son
enfant
; la preuve en est dans la fixité de ses rêves p
éroule non pas le danger qu'elle a elle-même couru, mais celui de l'
enfant
qu'elle voit tomber dans la mare et se noyant.
La femme, autrefois pleine d'affection et de solli- citude pour ses
enfants
, les délaisse et ne se préoccupe plus d'eux'. I
ÉDICO-PÉDAGOGIQUE . TRAITEMENT ET ÉDUCATION DE LA PAROLE CHEZ LES
ENFANTS
IDIOTS ET ARRIÉRÉS ; PAR BOURNEVILLE, ET T J.
ssible pour ceux qui ne se sont jamais occupés du traitement de ces
enfants
et qui sourient dédaigneusement lorsqu'on émet
ation. L'attention auditive, c'est par là que nous débuterons. Si l'
enfant
n'est pas atteint de surdité com- plète 1, nous
seul avec son élève. 110 THÉRAPEUTIQUE l4fÉDICO-PEDAGOGIQUE. L'
enfant
tressaille aussitôt sans se rendre compte de ce q
s se rendre compte de ce qu'il éprouve. Répétons l'expérience, et l'
enfant
redresse la tête, et quelquefois même cherche l
'occuper de provoquer l'attention visuelle. Se plaçant en face de l'
enfant
, de façon à avoir le corps bien éclairé, on tâc
à quitter sa position pour aider à recti- fier les mouvements de l'
enfant
, il est bon qu'une deuxième personne, placée de
ter ces divers exercices préliminaires devant une glace, afin que l'
enfant
juge par lui-même de la faiblesse de son imitat
à l'Ins- titution nationale des sourds-muets de Paris. Lorsque l'
enfant
sera arrivé à imiter d'une manière aussi parfai
TEMENT ET ÉDUCATION DE LA PAROLE. 111 et avec lui nous dirons que l'
enfant
normal, débutant par les syllabes simples compo
ne voyelle, il n'y a pas de raison pour que nous changions avec des
enfants
anormaux la marche indiquée par la nature elle-
d au hasard, finirent par être placés fort à propos. Et de ces deux
enfants
, la pre- mière ne disait que papa, maman, sans
us qu'une patience persévérante, pour augmenter le vocabulaire de l'
enfant
. Faisant asseoir devant nous le malade dont nou
nous répétons sans cesse le mot qui sert à le désigner. Si c'est un
enfant
qui aime la promenade, ce sera surtout au moment
e butte souvent à une obstination aussi bizarre qu'insurmontable. L'
enfant
sait et peut dire un mot puisqu'on a réussi à l
in le même fait se produisant, on fait preuve de la même énergie, l'
enfant
finira par céder et par répéter le mot. Aussitô
r répéter le mot. Aussitôt il est bon de prodiguer des caresses à l'
enfant
, de lui manifester le contentement qu'on éprouv
rce d'entendre le TRAITEMENT ET ÉDUCATION DE LA PAROLE. 113 mot l'
enfant
le corrigera de lui-même, à mesure que se déve-
rtainement là ne s'arrêteront pas les progrès de la parole chez cet
enfant
. Séguin a fait remarquer avec beaucoup de raiso
Séguin a fait remarquer avec beaucoup de raison que l'idiot comme l'
enfant
en général, a une plus grande facilité pour pro
'un redoublement rappelant le plus pos- sible le cri de l'animal. L'
enfant
répétait après nous sans tarder, surtout s'il a
8 1 il. THÉRAPEUTIQUE 11EDIC0-PEDAGOG1QUE. s'effectueront, que l'
enfant
s'habituera à répéter les sons émis devant lui,
qui ont fait l'objet de la leçon. Si l'on a le soin de montrer à l'
enfant
l'objet dont on lui fait énoncer le nom, non se
- sonnes, tous les animaux même qui entourent quotidienne- ment l'
enfant
. C'est par le nom des diverses parties de son c
dire par ce qui est en contact le plus immédiat avec notre élève. L'
enfant
est d'abord habitué à désigner, sur ordre, tell
z, les yeux ou la bouche. Après quelques semaines de cet exercice l'
enfant
non TRAITEMENT ET ÉDUCATION DE LA PAROLE. H5
us petit. Comme c'est en jouant que se font ces divers exercices, l'
enfant
ne tarde pas à faire la différence en attendant
e petite fille, les poupées sont d'un grand secours. Avec tel autre
enfant
amateur de bruit, les son- nettes nous servent
ux, de fleurs, de tambours, de robinets même, etc. C'est toujours l'
enfant
qui nous a guidé dans le choix. C'est ainsi q
quelquefois d'un adjectif comme : dada noir partir, etc. Lorsque l'
enfant
en est arrivé là, ne peut-il pas se faire compr
er exige encore des exercices spéciaux. 11 faudra faire répéter à l'
enfant
à chaque instant du jour les phrases usuelles q
is en ogive, se meut difficilement et arrête les sons au passage; l'
enfant
fait des efforts pour parler correctement, proj
sation un ton dur et discordant où domine le son t ou d. D'autres
enfants
, comme Henri R..., possèdent une langue toujours
assurer avant d'entre- prendre toute tentative d'amélioration. Si l'
enfant
est attentif, et qu'on ait su provoquer en lui
nous ferons venir à notre aide le toucher, et, plaçant la main de l'
enfant
sur notre gorge, nous appellerons son attention
'émission plutôt qu'à l'incorrection. Il faudra alors apprendre à l'
enfant
à faire vibrer les lèvres en projetant violemment
es sons gutturaux au moyen du toucher, et encore en appre- nant à l'
enfant
à se gargariser. Le son k est aussi un de ceux
vivement et une explo- sion se produit ' ». La plupart du temps l'
enfant
ne sait pas relever la langue, et donne t pour
fin de lui faire occuper la position normale, et fera prononcer à l'
enfant
le seul son possible dans cette position, ka. P
t le seul son possible dans cette position, ka. Puis on habituera l'
enfant
à maintenir lui-même la langue avec son propre
es, on fait pro- noncer un mot de plusieurs syllabes en habituant l'
enfant
à ne passer d'une syllabe à l'autre qu'au comma
rolongé, de faire les exercices du souffle, exercices qui amusent l'
enfant
et qui l'in- téressent. Parmi ces exercices nou
re la planche sur un plan incliné de façon à ce que le souffle de l'
enfant
ait non seulement à lutter contre la force d'in
l'action de la pesanteur, de même que pour amuser et inté- resser l'
enfant
, on suspendra au-dessus de la rainure un grelot
fs ou dans chacun des trousseaux nerveux à la même époque du même
enfant
; il Il est impossible de déterminer la loi de for
à la troisième semaine de la vie, en partie polygonales. Chez un
enfant
d'un an on a constaté un nombre imposant de grand
ce qui tient à la plus grande courbure lombaire chez elle. Chez l'
enfant
, elle descend au même niveau que chez l'homme adu
paires sacrées. Il faut modifier légèrement ces formules pour les
enfants
, chez eux les paires des nerfs vertébraux naiss
corps tiennent à la fois de celles de l'homme, de la femme et de l'
enfant
. Les deux sexes sont représentés par leurs attr
eins sont petits mais bien' faits, les organes mâles sont ceux d'un
enfant
de six ans, la figure est celle d'un éphèbe. CA
une méningite. R. DE AIUSGRAVE Ctay. XXIX. L'alcoolisme chez LES
enfants
; par le Dr Pal morceau (de Tours). Depuis que
avages et un chapitre spécial a été ouvert pour l'alcoolisme chez l'
enfant
. L'ivresse existe chez les enfants et elle est
ouvert pour l'alcoolisme chez l'enfant. L'ivresse existe chez les
enfants
et elle est plus fréquente qu'on REVUE DE PATHO
es prédisposés, des héréditaires, des dégénérés. On trouve chez l'
enfant
à peu près toutes les formes d'ivresse que l'on
'ivresse, il faut se montrer inexorable et ne pas admettre chez les
enfants
les cir- constances atténuantes, trop souvent i
mise, en second lieu il fera de la bonne thérapeutique en mettant l'
enfant
hors d'état de se livrer à ses excès, soit en f
adolescence. Ces dernières sont des cas de folie survenant chez des
enfants
ou des adolescents et peuvent guérir; au contra
ait guérie, il ne pouvait plus souffrir sa présence ni celle de ses
enfants
. Un matin de la semaine dernière, sa bru, étant
réside dans la vigueur intellec- tuelle, morale et physique de ses
enfants
. L'alcoolisme affaiblit un peuple et le conduit
hilis. AI-0 P..., s'est mariée à vingt-trois ans. Elle n'a pas eu d'
enfants
, n'a pas fait de fausses couches Elle est veuve
ent. Peu à peu son intelligence baisse, il faut la soigner comme un
enfant
, elle fait des oublis, répète sou- vent des cho
e deuxième fois en septembre 1894. Un autre jour, elle envoya ses
enfants
leur porter des châtaignes : mais elle refusait
ales ; le malade dont il s'agit répudiant sa femme, abandonnant ses
enfants
et déclarant adul- térins ceux qui ne se montre
chique secondaire. P. Sérieux. VARIA. Traitement ET éducation des
enfants
IDIOTS. - Rapport DE FERRUS SUR l'établissement
cation spéciale, intitulé : Rapport et mémoires sur l'éducation des
enfants
normaux et anormaux, par E. SÉGuiN, nous avons
varia. 265 relatif à l'école privée qu'avait fondée Séguin pour les
enfants
idiots. Nous l'avons retrouvé et pour être sûr
ès-verbal ou du moins un compte rendu fort exact de l'état du jeune
enfant
au moment où M. Séguin s'est chargé de l'instru
me de vingt ans et demi qui présentait tout l'aspect extérieur d'un
enfant
de douze ans. Son corps grêle et sans soutien,
tte première pensée. Le poids de cette tête accablait le corps de l'
enfant
, aussi sa démarche était on ne peut pas plus ch
se découlait sans cesse de cette bouche hébétée. Les notions de l'
enfant
se bornaient à des appétits ou à des habi- tude
articulation inappréciable. La maigreur et l'extrême faiblesse de l'
enfant
avaient été presque uniquement l'objet de l'att
e sont pas encore la parole, mais qui peuvent la faire espérer. L'
enfant
est sorti du cadre étroit des choses relatives à
rtement de la Seine. J'indiquerai particulièrement les sections d'
enfants
idiois ou tout au moins imbéciles, placés dans
t nous a été donné par M. Delasiauve. Nécessité DE l'assistance DES
enfants
IDIOTS. Parmi les affaires soumises à la sessio
re fait tiré du même journal, et concernant une autre caté- gorie d'
enfants
anormaux, mérite également d'être rapporté. Hor
ur séques- tration du nommé Eugène Bazain, vingt ans, sourd-muet et
enfant
naturel. Sa mère l'avait confié aux époux Bosqu
e genre, malheureusement trop communes, s'appliquent en général aux
enfants
anormaux, surtout aux idiots, aux épileptiques,
Bertau- mieux, Herscher, Jean Monnier, etc., etc. Assistance DES
enfants
idiots. Un fonctionnaire de l'Assis- tance publ
e de l'Assis- tance publique nous a adressé, le 26 juin dernier, un
enfant
idiot en invoquant l'impossibilité, en raison d
ibilité, en raison de son agitation, de le placer dans un hôpital d'
enfants
, et il ajoute : « Le père, maître d'hôtel chez
dispose que de quelques heures chaque nuit, et à côté de son petit
enfant
sommeil est devenu tout à fait impossible. » -
à fait impossible. » - D'où le devoir de la société de prendre ces
enfants
pour permettre au père de vivre et aussi pour a
épilepsie, l'hystérie et l'idiotie. - (Compte rendu du service ries
enfants
idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pen
e difficile. Il n'aurait pas eu d'accidents secondaires ; il a deux
enfants
bien portants et sa femme est acluellement ence
QUE NERVEUSE. d'histoire de syphilis Marié en 1882, G... a eu trois
enfants
, dont deux morts en bas âge. La sanlé générale
dique spinale ; par le Dr Souques. L'auteur a pu observer chez deux
enfants
, le frère et la soeur, une paraplégie spasmodiq
de tonneaux vides, lorsque ce wagon fut bousculé par un train et l'
enfant
roula par terre au milieu des tonneaux vides. A
ose double tout à fait au début d'une affection démentielle chez un
enfant
de quatorze ans : c'est ce fait que nous avons
trépanations du crâne dans l'épilepsiejackso- 'nienne, puis sur un
enfant
ayant reçu un choc sur le crâne : il enlève le
de patronage ? Mais qui y songe maintenant ? L'alcoolisme chez LES
enfants
. Les journaux politiques de septembre ont rappo
), vient de trouver la mort dans des circonstances singulières. Cet
enfant
, qui avait un penchant pour l'alcool, se fit ve
père trouva son fils inanimé. De l'avis du docteur, le malheureux
enfant
a succombé à une congestion provoquée par l'ivres
ar l'ivresse. » Plusieurs fois, nous avons noté dans l'histoire des
enfants
de notre service des habitudes aussi déplorable
ar honte, signalées par les parents. Tous les ans nous recevons des
enfants
ou des adolescents dont les troubles intellectu
d garni de charbon et fermé sa porte à clef, elle fit cou- cher ses
enfants
à ses côtés, sur le lit. L'asphyxie commençait à
ffrit à ses yeux. Il appela les voisins à son secours ; les pauvres
enfants
et la mère, sans connaissance, furent transport
ant sortie sans bruit du lit où elle se couchait avec sa fille, ses
enfants
se mirent à sa recherche dès qu'ils s'aperçuren
une multitude d'indu indus qui avaient la réputation de manger des
enfants
, et de rendre hommage au prince des esprits nui
al journal, 7 août 1894.) L'observation peut se résumer ainsi : Une
enfant
de onze ans est précipitée hors d'une voiture a
n de l'opération, la guérison fut rapide. Au bout d'une semaine l'
enfant
peut dire oui et non et elle remue le bras et la
façon qui révèle un état de débilité mentale. - Enfin deux autres
enfants
partageaient le délire des parents. mais n'avai
cette psychose) et de véritables conceptions délirantes. Les autres
enfants
montrent combien chez les quérulents symptômes
s médecins, ou si l'un des siens en était atteint - une femme ou un
enfant
- je me demande s'il serait satisfait que les e
imoli attirait, en leur promet- tant des bonbons et des jouets, les
enfants
qu'elle rencontrait et leur faisait boire ensui
heureuses victimes mouraient dans d'atroces douleurs. Vingt-trois
enfants
auraient été empoisonnés de cette façon. La femme
ses crimes, disant qu'elle voulait se venger, parce que deux de ses
enfants
, qui avaient été ensorce- lés, étaient morts. L
l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie. (Compte rendu du service des
enfants
idiots,' épileptiques et arriérés de Uicetre pe
aucun soin de propreté; il faut les laver et les habiller comme des
enfants
; cependant il en est quelques-uns chez lesquel
BOYER, Médecin de la section des Professeur à l'Institut médico-
enfants
de Bicètre.. pédagogique. Sommaire : Père, céph
ls peu intelligents qui ont servi chez leurs frères et soeur, pas d'
enfant
.] Mère, quarante-huit ans, bien portante, pas d
cancer du sein, très intelligente, pas d'acci- dents nerveux, pas d'
enfants
quoique mariée; l'autre soeur céliba taire. Dan
aliénés.] Pas de consanguinité ; inégalité d'âge de six mois. Six
enfants
et deux fausses couches : 1° et 2° jumeaux (garço
hement à terme, naturel, sans chloroforme. ? 1. la naissance, belle
enfant
, pas d'asphyxie, a crié de suite. Elevée au sei
se. C'est vers onze ans que les spasmes firent leur appari- lion; l'
enfant
prenait à chaque instant un nouveau tic. - Pas de
uszi accentués. A chacun de ces spasmes la physio- nomie change : l'
enfant
baisse la tête, fronce les sourcils et projette
es parents, le sommeil n'est pas toujours tranquille. Il arrive à l'
enfant
, la nuit, de bavarder sans qu'on puisse compren
aissent avoir pris une nouvelle expression. A tout bout de champ, l'
enfant
pousse un cri que l'on pourrait écrire « péan »
ÉCILLITÉ PRONONCÉE; SPASMES MUSCULAIRES, ETC. 4te5 1894. Janvier. L'
enfant
se développe, elle épaissit, mais ne grandit pa
re mousser et à s'en barbouiller toute la figure. Durant ce mois, l'
enfant
a été très excitée, les spasmes sont fré- quent
s infirmières. En classe, pas de progrès. Mai. Même traitement. L'
enfant
se plaint de douleurs lom- baires, de la sensib
bes réguliers, fait de petites additions avec retenue. Février. L'
enfant
ne crie plus, les mois grossiers sont de plus e
ts des serviettes et des draps. Mai, - Ni cris ni mots grossiers. L'
enfant
devient raisonnable et même prévenante; ses man
que la gym- nastique qu'elle ne fait pas avec plaisir. Juin. - L'
enfant
est de plus en plus gentille, elle est sensible
ait de plus en plus rarement. En classe l'écriture est meilleure, l'
enfant
lit couramment, fait seule des lettres à sa fam
r les parents de Marie- Louise, en octobre 1895, nous annonce que l'
enfant
« va de mieux en mieux, et contente tout le mon
des lettres pour ses parents. Marie-Louise devient, en un mot, une
enfant
presque ordinaire, se plaisant aux occupations
endre pour sauvegarder la société ? Tout d'abord, dès l'enfance les
enfants
devraient, aussitôt que faire se peut, être div
vantages de ce système seraient doubles : 'en effet, d'une part les
enfants
normaux ne seraient pas conta- minés et d'autre
ants normaux ne seraient pas conta- minés et d'autre part, chez les
enfants
atteints d'imbécillité morale, l'émulation, le
qu'être nuisibles. Pourquoi n'exigerait-on pas, pour accepter les
enfants
à l'école, un certificat constatant l'absence d
et atrophie des muscles des extrémités droites. Niveau mental d'un
enfant
de deux ans. A seize ans on constate les sienes
es victimes en refusant aux pires alcoolisés la faculté d'avoir des
enfants
. L'accroissement des cas d'aliénation mentale a
la gestation, etc., peuvent prédisposer aux troubles mentaux; que l'
enfant
, par l'édu- cation, les habitudes que lui font
dans un cabanon. (Le Petit Parisien, 19 septembre.) Suicide D'UN
enfant
. Le Journal de Rouen dit qu'un enfant de treize
, 19 septembre.) Suicide D'UN enfant. Le Journal de Rouen dit qu'un
enfant
de treize ans, le jeune Albert Bailleul, demeur
es parents. D'une intelligence faible et d'un caractère sombre, cet
enfant
avait déjà tenté de se suicider. (A7A'° Siècle,
ar Deschamps,331. Alcoolisme. Campagne contre Il-, 91. chez les
enfants
par Mo- reau , 162. Lutte contre l'- 176. Tra
Souques, 318. Parole. Traitement et éducation de la -, chez les
enfants
idiots, par Bourneville et Boyer, 108. Pathét
ns oculaires, par Sgross, 466. Suicide d'un aliéné, 175. - d'un
enfant
, 501. 1. Surdité corticale, par Freund, 479.
on, qu'alors la grossesse parcourût ses périodes accoutumées et que l'
enfant
vînt au monde vivant et convenablement développé
a peut-être pas été assez attentive. Je ne doute pas que la mort de l'
enfant
ne doive être constamment le résultat de linterce
s malades avortaient ou bien arrivaient au terme de leur grossesse. L'
enfant
venait mort, et l'examen du placenta m'a fait déc
pression) est précoce, alors les sucs nourriciers sont interceptés, l'
enfant
vient débile et même quelquefois mort. Il y a ou
oloré, et en partie résorbé, contenu dans les cellules du placenta. L'
enfant
est venu mort, bien que le travail eût été très-n
tière demi-transparente, analogue pour l'aspect au cerveau d'un jeune
enfant
, dense, parcourue par des vaisseaux sanguins très
le ramollissement gélatiniforme d'une partie du rein gauche, chez un
enfant
dont le colon descendant avait subi la même altér
eux congénial s'ouvrant a la face inférieure de la verge (*), chez un
enfant
qui a vécu neuffours. (planche vi, ire livraiso
œtus à terme vivant qui a présenté les particularités suivantes : L'
enfant
est peu développé, dans le marasme ; il est d'ail
nd à l'anus; il s'écoule une grande quantité de méconium; néanmoins l'
enfant
reste dans le même état, froid, décoloré, immobil
g. 6. La figure 6 représente le périnée et les parties génitales de l'
enfant
. L'ouverture A, qui existe au niveau de l'anus, e
gueur du canal. Fig. 7. La figure 7 montre une coupe du bassin de l'
enfant
; on voit la vessie V, derrière laquelle est le r
parler les symptômes vraiment extraordinaires qu'avait présentés cet
enfant
. Il devait y avoir un vice de conformation notabl
s expliqué d'une manière aussi satisfaisante que possible l'état de l'
enfant
pendant les neuf jours de sa vie végétative ; le
cagni représente (Tab. I, fig. i) la membrane interne du jéjunum d'un
enfant
qui mourut pendant la digestion intestinale ; les
x. La figure 4 représente le squelette de la main droite de ce même
enfant
. Le pouce manquait en même temps que le trapèze c
l'artère rénale. La figure 7 représente l'extrémité supérieure d'un
enfant
qui, en même temps que cette difformité, offrait
-bots qui ont marché. Fig. 2 (**). Elle représente le pied-bot d'un
enfant
de six à sept ans. ME malléole externe épiphysair
3G os cunéiformes. Fig. 3. Elle représente l'un des pieds-bots d'un
enfant
nouveau-né, venu au monde dans la même position q
astragale de nouveau-né, représenté en place fig. 3; 2 astragale d'un
enfant
de six à sept ans, représenté en place figure 2;
e : ainsi le pied-bot représenté planche iv, fig. 3, appartenait à un
enfant
double pied-bot, venu dans la même position. J'ap
, depuis que j'ai eu occasion d'observer un autre fait, dans lequel l'
enfant
, affecté de double j3ied-bot par areboutement des
'après la naissance; mais la grande différence entre le pied-bot de l'
enfant
et celui de l'adulte gît dans l'état cartilagineu
i je puis m'exprimer ainsi, leur contractilité ; que le pied-bot de l'
enfant
nouveau né serait incurable si à cette déviation
. Comment se fait-il donc qu'on ait posé en principe d'attendre que l'
enfant
fût arrivé à l'âge de cinq à six ans? N'est-il pa
naissance, que l'on doit profiter de la première année, pendant que l'
enfant
est encore au berceau, condamné à une immobilité
urs essais, eut l'idée de fixer, au moyen d'une bande, les pieds de l'
enfant
sur deux semelles de bois réunies au moyen d'une
ait qui en démontre la génération de la manière la plus manifeste. Un
enfant
de dix ans, qui présentait au niveau de la région
r des nerfs et des vaisseaux intercostaux. Je suis persuadé que cet
enfant
jouissait de la liberté du mouvement des extrémit
sujet de cette femme : mariée trois fois, elle n'avait eu qu'un seul
enfant
à l'âge de dix-neuf ans. L'enfant vint à terme et
is fois, elle n'avait eu qu'un seul enfant à l'âge de dix-neuf ans. L'
enfant
vint à terme et mourut en naissant. L'accouchemen
t une femme âgée de vingt-six ans, accouchée depuis six semaines d'un
enfant
viable : cette femme entra à l'Hôtel-Dieu pour un
La femme qui en fait le sujet était, m'a-t-on assuré, accouchée d'un
enfant
vivant et viable. Chaussier présenta à la Société
accoucheurs également distingués, appelés auprès d'une femme en mal d'
enfant
, soutiennent, l'un que l'accouchement est sur le
nte-un ans, accoucha, pour la cinquième fois, le 7 février 1829, d'un
enfant
mort (depuis long-temps au dire de la sage-femme)
829, d'un enfant mort (depuis long-temps au dire de la sage-femme). L'
enfant
était venu naturellement par la tête : mais le pl
ies d'une matière pultacée, rougeâtre, analogue au cerveau d'un jeune
enfant
; matière qu'on exprimait comme d'une éponge par u
st idiote et qu'elle a mal dans la bouche depuis quelque temps. Cette
enfant
est cacochyme dans toute la rigueur de l'expressi
res sont flasques et retombent presque comme une masse inerte : cette
enfant
ne peut se tenir debout ni même assise, reste con
ôpital des Enfans ) , Aval (Cécile-Victoire), âgée de cinq ans. Cette
enfant
, disent les parens, est idiote de naissance et n'
ute hâte. On m'apprend que la matinée s'était très-bien passée, que l'
enfant
avait pris son demi-bain avec plaisir et avec tou
n éthérée ; calomel.) — Les 23 et 24 les vomissemens ont disparu. L'
enfant
jouit par momens de toute sa connaissance , répon
mouvemens convulsifs dans les extrémités supérieures. Il paraît que l'
enfant
entend encore, car elle frappe dans la main de sa
nt où se forme cette pseudo-membrane. Nous voyons d'ailleurs chez cet
enfant
un mélange de convulsions et d'assoupissement, un
six semaines, depuis le ier janvier jusqu'au i5 février, même état. L'
enfant
est taciturne ; elle ne se plaint pas ; mais quan
tites masses ou tubercules. Observation Ire. — (Fig. i.) Un jeune
enfant
, âgé de six ans, est apporté à la Maison royale d
sement ; point de céphalalgie. Pour commémoratifs, j'apprends que cet
enfant
est malade depuis quelques jours et qu'il a beauc
u bien méningite sous-arachnoïdienne. (Deux sinapismes aux pieds. ) L'
enfant
ne s'étant nullement plaint des sinapismes, bien
ou sympathique, et il est certain qu'avant l'invasion de la maladie l'
enfant
jouissait de la plus parfaite santé. Je penche do
e le 8 août 1829 à l'hospice des Enfans-Trouvés. Faible et grêle, cet
enfant
portait à la partie inférieure de la région lomba
gion lombaire et la partie inférieure de la région dorsale d'un autre
enfant
qui a succombé à un hydroraciiis avec spina-bifid
t des vaisseaux oblitérés. La figure 3 (**) représente le rein d'un
enfant
âgé de trois ans. Il est formé par un certain nom
t enceinte de six mois environ. L'autre fœtus a le développement d'un
enfant
de deux mois et demi à trois mois : il est dans u
é, un tiers, peut-être un quart de sa surface utérine, et cependant l'
enfant
venir à terme. 3°. Que par conséquent, dans le
rts de la veine et des artères ombilicales avec le sac herniaire. L'
enfant
était venu au monde avec les intestins situés hor
gré : on était obligé d'habiller et de faire manger cette malheureuse
enfant
; bien qu'elle jouît de tous ses mouvemens, elle r
a sans cesse en augmentant; vous pouvez toucher, remuer, tourmenter l'
enfant
; il ouvre les yeux, qu'il referme aussitôt sans p
sse ou de mouvemens partiels et désordonnés, de positions bizarres. L'
enfant
ne demande rien; mais si on lui met des alimens d
re très-difficile sur le choix d'une nourrice ; i° de ne pas sevrer l'
enfant
trop tôt ; 3° de s'abstenir de médicamens irritan
l'enfant trop tôt ; 3° de s'abstenir de médicamens irritans; 4° si un
enfant
qu'on vient de sevrer est pris de dévoiement, de
aux veines connues sous le nom de diploïques. Chez le fœtus et chez l'
enfant
nouveau-né, il n'y a pas encore de tissu adipeux
ollient. Le i4? Ia montée du lait s'effectue (la malade nourrit son
enfant
). Les i5, 16, 17, sueurs abondantes, soif, accide
ût, la malade semblait marcher vers la guérison. Elle nourrissait son
enfant
avec plus de succès que les jours précédens; du r
'induration presque cartilagineuse du bulbe, que j'ai observé chez un
enfant
de sept ans, les mouvemens s'affaiblirent peu à p
eu, au point qu'on était obligé de porter ce malheureux être comme un
enfant
à la mamelle; l'articulation des sons devint lent
et de leur énergie, l'inspiration était entrecoupée et incomplète ; l'
enfant
mourut asphyxié soit par défaut d'action des puis
couleur blanc-grisâtre, qui l'ont fait comparer au cerveau d'un jeune
enfant
. C'est le cancer encéphaloïde de Bayle et Laennec
iliaires. Le foie représente figure 2, Planche 5 , appartenait à un
enfant
de cinq à six mois, qui mourut avec des tubercule
isir la continuité de ces kystes avec les canaux biliaires. Un foie d'
enfant
m'a présenté plusieurs centaines de semblables ky
La douleur et la fièvre persistent jusqu'au 25 qu'elle accouche d'un
enfant
mort. On me montre cette malade le 26 pour la p
de 24 ans, accouche naturellement le 1er novembre 1851, de son second
enfant
; la montée du lait s'effectue. Son état ne paraît
ons de Paris, à Dammartin, et vient tous les mois rendre visite à ses
enfants
à Paris. Elle était à Paris depuis trois jours ;
ment cholérique , lorsque le 25 juin elle accouche naturellement d'un
enfant
mort. Refroidissement léger, faciès cholérique sa
r son pays. Choléra moyen chez une femme grosse ; accouchement d'un
enfant
mort. Guérison. F......., âgée de seize ans, au
. Les contractions utérines se déclarent. Accouchement naturel d'un
enfant
mort depuis quelques jours, il est probable que s
sarienne, pratiquée immédiatement après le dernier soupir, a amené un
enfant
mort. Plusieurs femmes qui avaient résisté au dév
ancée de leur grossesse, arrivées à terme, ont mis au monde tantôt un
enfant
vivant, tantôt un enfant putréfié. Il me paraît b
arrivées à terme, ont mis au monde tantôt un enfant vivant, tantôt un
enfant
putréfié. Il me paraît bien difficile qu'un cholé
ande partie la circulation de la mère, ne compromette pas la vie de l'
enfant
. L'observation suivante est remarquable par l'a
n césarienne pratiquée immédiatement après le dernier soupir amène un
enfant
mort, dont les organes sont gorgés de sang. Ouv
rconstance, la grossesse diminuant la force de réaction. La mort de l'
enfant
précède toujours celle de la mère. On cite l'exem
ues femmes grosses qui ayant résisté au choléra, sont accouchées d'un
enfant
mort; et il a paru que l'époque de la mort de l'e
ccouchées d'un enfant mort; et il a paru que l'époque de la mort de l'
enfant
coïncidait avec l'époque du choléra. Par oppositi
pération césarienne , pratiquée immédiatement après la mort, amène un
enfant
mort. Le travail de l'accouchement n'a pas avan
portée à l'ambulance le vingt avril, à sept heures du soir, avec deux
enfants
, l'une âgée de vingt-un mois, qui, comme elle , é
cessé. Commémoratifs. Depuis huit jours , époque du sevrage de son
enfant
, diarrhée abondante sans coliques qui lui permet
heures. Insensibilité morale, telle qu'elle ne s'occupe point de son
enfant
qui meurt à côté d'elle, deux heures après son en
la voix est un peu moins altérée; sentiment de mieux. Mère de quatre
enfants
, pleine de courage, elle lutte, en quelque sorte,
ra. 15e. Livraison. Pl. 1ère MALADIES DU CERVEAU (Apoplexie des
Enfants
nouveaux nés) MALADIES DU CERVEAU Apoplexie d
lexie des Enfants nouveaux nés) MALADIES DU CERVEAU Apoplexie des
Enfants
nouveautés (xve livraison, planche l) EXPLICATI
arois ventricu-laires. Considérations générales sur l'Apoplexie des
Enfants
nouveau-nés. I. Il résulte des recherches que j
echerches que j'ai faites à la Maternité, sur la cause de la mort des
enfants
mort-nés (i) , que l'apoplexie est la cause de la
-nés (i) , que l'apoplexie est la cause de la mort d'un bon tiers des
enfants
qui, pleins de vie avant le travail, succombent p
e différentiels de l'asphyxie et de l'apoplexie. IL L'apoplexie des
enfants
nouveau-nés a pour caractère anatomique constant,
traité cette question : Des causes les plus fréquentes de la mort des
enfants
, soit pendant le travail de f accouchement, soit
ce et au fond desquels on sent les os à nu. J'ai donné mes soins à un
enfant
dont la portion large de l'occipital se sépara en
l se sépara en trois fragments qui furent successivement éliminés : l'
enfant
a très bien guéri. IV. Tous les enfants apoplec
successivement éliminés : l'enfant a très bien guéri. IV. Tous les
enfants
apoplectiques ne sont pas mort-nés : chez un asse
échirures de la substance cérébrale. V. La cause de l'apoplexie des
enfants
pendant le travail de l'accouchement, est impossi
bable pour la grande majorité des cas : toutefois , nous avons vu des
enfants
apoplectiques à la suite d'un travail ordinaire,
à la suite d'un travail très-prompt; tandis que, par opposition, des
enfants
qui ont séjourné vingt-quatre, quarante-huit heur
assin, sont venus à bon port. La constriction exercée sur le col de l'
enfant
, soit par le cordon ombilical, soit par le col ut
enu dans la cavité utérine. VL Je regarde toutes les apoplexies des
enfants
nouveau-nés, comme des apoplexies par cause mécan
ronc, sur-tout dans un premier accouchement , préviendra la mort de l'
enfant
, si fréquente en pareil cas. VIL L'apoplexie de
a mort de l'enfant, si fréquente en pareil cas. VIL L'apoplexie des
enfants
nouveau-nés s'accompagne quelquefois d'ecchymoses
viendront à l'appui des considérations qui précèdent. Premier fait.
Enfant
mort-né-venu en première position du sommet de la
. Aucune cause appréciable de compression du cordon. Deuxième fait.
Enfant
mort-né -venupar le sommet de la tête. Suspension
t pas. On va chercher l'aidesage-femme, qui termine l'accouchement. L'
enfant
vient mort, Epanchement considérable de sang dans
ang liquide dans la cavité de l'arachnoïde spinale. Troisième fait.
Enfant
mort-né à la suite d'un travail très long et de t
suite d'un travail très long et de tentatives répétées de version. Un
enfant
présentait la troisième position de l'épaule droi
emps au passage, le col de l'utérus s'ètant contracté sur le col de l'
enfant
qui fut amené mort, bien qu'on eût senti des mouv
ait une rougeur ponctuée, comme dans les gastrites. Quatrième fait.
Enfant
mort-né venu par les fesses. Un enfant présentait
s gastrites. Quatrième fait. Enfant mort-né venu par les fesses. Un
enfant
présentait les fesses et le bras droit. Son extra
e du cerveau, qu'on aurait dit pénétré de sérosité. Cinquième fait.
Enfant
mort une heure après la naissance. L'enfant respi
rosité. Cinquième fait. Enfant mort une heure après la naissance. L'
enfant
respire faiblement. Il succombe une heure après l
, malgré les secours les plus empressés. La tête était volumineuse, l'
enfant
énorme, le travail avait été très long; l'écoulem
he mince de sang était épanchée à la base du cerveau. Sixième fait.
Enfant
ci terme mort par suite de l'issue du cordon. Pré
sion du cordon. La femme accoucha naturellement vingt heures après. L'
enfant
vint mort; il était fortement constitué. Des cail
Pl. II, XVe livr.). EXPLICATION DES FIGURES. Fig. 1. Poumons d'un
enfant
nouveau-né, mort 24 heures après la naissance.
pour se concentrer sur le produit de la conception, et de malheureux
enfants
naître, soit à terme, soit avant terme, tout couv
te vérité dans tout son jour. ire observ. Double pleurésie, chez un
enfant
mort trente-six heures après sa naissance. Une
jusqu'au moment de l'accouchement qui fut très naturel et à terme. L'
enfant
était bien constitué, quoique peu volumineux et f
poumons indurée, ou plutôt dans l'étatoù se trouvent les poumons des
enfants
qui n'ont pas respiré. ie observ. Péritonite et
ie observ. Péritonite et inflammation lobulaire des poumons, chez un
enfant
mort trois heures après la naissance '.pointillé
tillé rouge, et lignes rouges a la surface interne de V estomac. Un
enfant
venu naturellement par la première position du so
euf épaissi : au premier abord on eût dit du lait coagulé, bien que l'
enfant
n'en eût pas avalé une goutte. La surface interne
prononcer sur sa valeur. 3e observation. Arachnitis spinale chez un
enfant
mort le cinquième jour après sa naissance. Un e
pinale chez un enfant mort le cinquième jour après sa naissance. Un
enfant
qui ne paraît pas tout-à-fait à terme, après avoi
fœtus de sept mois, qui mourut douze heures après la naissance. Un
enfant
de sept mois naît infiltré, avec ascite et taches
hydro-péricarde, purpura hemorrhagicum, foie aVun vert-olive, chez un
enfant
qui mourut une heure après la naissance. Une fe
litiques, peu de temps avant sa grossesse, accouche heureusement d'un
enfant
infiltré, à terme, qui mourut au bout d'une heure
duration et imperméabilité des poumons. (Pl. II, fig. i, xve livr.)
Enfant
à terme venu vivant, par le sommet de la tête. Fi
rétention du produit sécrété, ou bien super-sécrétion. Enfin, chez un
enfant
nouveau-né, âgé de six mois, qui mourut dans le m
ladies; je ne connais aucune observation plus curieuse que celle d'un
enfant
qui mourut immédiatement après sa naissance , apr
de 1 artère pulmonaire. Mort le cinquième jour de la naissance. Un
enfant
naît à huit mois et demi dans un état de faibless
tus. De toutes les maladies qui surviennent chez le fœtus et chez l'
enfant
nouveau-né, les plus fréquentes , sans contredit,
. Le tissu malade ressemble assez souvent à celui de la pneumonie des
enfants
nouveau-nés, d'autres fois, il est complètement c
crains pas d'avancer cette proposition, savoir : qu'il meurt autant d'
enfants
nouveau-nés que d'adultes, par les poumons. Il
urs l'asphyxie résulte du fait même de l'accouchement. La plupart des
enfants
asphyxiés des accoucheurs, me paraissent des enfa
. La plupart des enfants asphyxiés des accoucheurs, me paraissent des
enfants
apoplectiques. Une remarque importante, c'est que
enfants apoplectiques. Une remarque importante, c'est que la vie de l'
enfant
nouveau-né peut se maintenir pendant quelque temp
iellement de celle de l'adulte. La respiration étant en effet, pour l'
enfant
naissant, une fonction nouvelle, si peu que le sa
lmonaires infiltrés de sang, et disséminés (Fig. 1, pi II, XVelivr.).
Enfant
nouveau-né, venu naturellement : mort au bout de
ervation 3. Poumons infiltrés de sang dans leur presque totalité. Cet
enfant
né faible, resta dans le même état de faiblesse p
pas avant l'époque de la naissance. Observations 4 et 5. Chez deux
enfants
nouveau-nés, dont l'un, de sept mois, a respiré h
est induré et dans l'état qu'on désigne sous le nom de pneumonie des
enfants
. Observation 6. Induration grise du poumon dans
ration grise du poumon dans les quatre cinquièmes de leur étendue. Un
enfant
vigoureusement constitué, mais faible, succombe q
probable que la pneumonie datait de plusieurs jours. Observation 7.
Enfant
né avec des phlyctènes aux pieds, aux mains et et
ques lobules joulmonaires sont imperméables. Catarrhe pulmonaire. Cet
enfant
qui paraissait vivace, présenta pour toute lésion
Observation . Mort par infiltration séreuse du tissu du poumon. Cet
enfant
est né après un travail fort court et presque apr
es que peut revêtir la matière colorante du sang. Un grand nombre d'
enfants
morts avec des pustules syphilitiques ont succomb
tules cutanées. Poumons infiltrés çà et là de sang et de sérosité. Un
enfant
né avec des pustules syphilitiques, mourut au bou
a. Jt?7zcumonie lobulaire insuppurée. Suppuration de la dure-mère. Un
enfant
à terme, peu développé, vient avec des pustules d
Poumons complètement indurés. Catarrhe pulmonaire. Rate volumineuse.
Enfant
à terme né d'une mère siphylitique. Il fait quelq
ion avec le tube laryngien est inutilement pratiquée. Le corps de cet
enfant
est couvert de pustules syphilitiques. Les poumon
ait de trois onces , tandis que dans l'état naturel, les poumons d'un
enfant
qui a respiré, ne pèsent jamais au-delà de deux o
de trois à quatre fois son volume naturel. Observation 12. Un autre
enfant
très fortement constitué, né à ternie avec des vé
son. Pl. 3. MALADIES DE LA BOUCHE, DE L'ŒSOPHAGE ET DE L'ESTOMAC (
Enfants
nouveaux nés) MALADIES DE LA BOUCHE, DU PHARYNX
MALADIES DE LA BOUCHE, DU PHARYNX, DE L'OESOPHAGE ET DE L'ESTOMAC. {
Enfants
nouveau-nés.) (Planche III, XVe livraison.) E
nflammation connue sous le nom de muguet, lorsqu'elle a lieu chez les
enfants
, souvent bornée à la muqueuse buccale, d'autres f
nt aiguë et emporta notre malade. Chez l'adulte, de même que chez l'
enfant
nouveau-né, la stomatite peut s'étendre dans le p
s par une matière pultacée blanchâtre ou brunâtre. La stomatite des
enfants
nouveau-nés est souvent épidémique: elle est endé
elle est endémique dans certains hôpitaux où les salles destinées aux
enfants
nouveau-nés, sont froides, humides et mal aérées
es. J'avoue que je n'ai jamais conçu le système des hôpitaux pour les
enfants
nouveau-nés. Le lait d'une bonne nourrice, un air
lait d'une bonne nourrice, un air pur, voilà tout ce dont a besoin un
enfant
nouveau-né; mais lui prescrire des médicaments m'
liculeuse de Vestomac. Les figures 4,5,6*, représentent l'estomac d'
enfants
nouveau-nés qui ont succombé, l'un au bout de hui
face. Réflexions. L'inflammation folliculeuse de l'estomac chez les
enfants
nouveau-nés a été signalée par M. Billard, dont l
maturée. Sur quinze cas qu'il a observés, huit avaient pour sujet des
enfants
de quatre à six jours; les autres des enfants de
avaient pour sujet des enfants de quatre à six jours; les autres des
enfants
de huit à douze jours; un seul était âgé de trois
l est vrai, pour pouvoir en tirer quelque induction générale, que les
enfants
sont d'autant plus exposés à l'inflammation folli
ubstance cérébrale. C'est dans des cas de cette espèce qu'on a vu des
enfants
hydrocéphales étonner parla précocité de leur int
s fois il est lui-même détruit avec ou sans vestige, et même sur deux
enfants
mort-nés que j'ai eu occasion de voir à la Matern
seulement un noyau induré et amorphe sur la gouttière basilaire. Ces
enfants
avaient un crâne extrêmement petit ; les membrane
nt cette dernière proposition. Anencéphalie hydrocèphalique chez un
enfant
a petite tête. Sur un enfant mort-né, dont le c
Anencéphalie hydrocèphalique chez un enfant a petite tête. Sur un
enfant
mort-né, dont le crâne n'avait pas la moitié' du
que la protubérance et les pédoncules cérébelleux. Réflexions. Les
enfants
à petite tête ne sont pas tous hydrocéphales : j'
Les enfants à petite tête ne sont pas tous hydrocéphales : j'ai vu un
enfant
qui a vécu dix-huit mois avec une tête extrêmemen
tale des animaux; le diamètre vertical du crâne était d'un pouce. Cet
enfant
avait vécu dix-huit mois; il n'avait donné aucun
alie ventriculaire très considérable, avec intégrité du cerveau Cet
enfant
pesait treize livres et demie. Son développement
enfant pesait treize livres et demie. Son développement annonçait un
enfant
de cinq à six mois, et cependant il avait trois a
(i). Ancelin (Alphonse), âgé de neuf mois , est reçu à la crèche (
Enfants
trouvés), le 29 janvier 1851, et le lendemain à l
rtement des deux pariétaux est d'un pouce huit lignes. La face de l'
enfant
exprimait l'idiotie la plus complète. Les pupille
lumière. Les yeux toujours dirigés en bas ne suivaient aucun objet. L'
enfant
habituellement assoupi se réveillait en sursaut e
robuste et d'une mère affaiblie : bien conformée quoique grêle, cette
enfant
resta délicate et chétive;son intelligence était
er des anthelmintiques, lorsque les parents lui firent observer que l'
enfant
portait sans cesse les mains aux parties génitale
tite fille, âgée de neuf ans et demi, est à peine développée comme un
enfant
de six ans, à cause de la mauvaise nourriture et
s 1851. Depuis sa mort, on apprit d'une manière positive, que cette
enfant
avait l'habitude de la masturbation , et qu'elle
rconstanciés n'aient pas été recueillis sur l'état antérieur de cette
enfant
. L'affaiblissement des extrémités inférieures, le
es matériaux nutritifs étant interceptées en totalité ou en partie, l'
enfant
arrive mort ou prodigieusement affaibli. On peut
ervation suivante : Une femme accouche prématurément à huit mois d'un
enfant
mort. Le placenta énorme pesait deux livres moins
jet de cette observation était accouchée heureusement et à terme d'un
enfant
vivant. Deux concrétions existaient sur la face f
qui est accouchée à la Maison royale de Santé, le 8 avril 1850 , d'un
enfant
mort depuis quinze jours environ. La surface ut
3 représentent des tumeurs lombaires TL, TL, TL, observées sur trois
enfants
, qui ont succombé peu de jours après leur naissan
is beaucoup plus circonstanciés que la fig. 3' : elle a pour sujet un
enfant
affecté de spina bifida dont le corps fut envoyé
développement. Considérations générales sur le spina bifida. Cinq
enfants
affectés de spina bifida sont nés à la Maternité
ol; voici le résumé succinct de ces observations. L'histoire de ces
enfants
est presque identique; tous sont venus parfaiteme
clairer sur la cause probable du vice de conformation observé sur ces
enfants
. Sur les cinq enfants observés à la Maternité,
bable du vice de conformation observé sur ces enfants. Sur les cinq
enfants
observés à la Maternité, deux présentaient une pe
produite par l'hydrocéphale. En effet, chez le plus grand nombre des
enfants
soumis à mon observation, j'ai trouvé les ventric
t légèrement et par (i) Epist. 17., sect. 56, pag. 6^8. degrés, l'
enfant
ne poussait aucun cri; mais si on la comprimait b
enfant ne poussait aucun cri; mais si on la comprimait brusquement, l'
enfant
manifestait de la douleur : quelle est la cause d
ulé? Quoi qu'il en soit, l'influence de la respiration, des cris de l'
enfant
sur la distension de la tumeur était facile à con
s à ceux du pouls. Tout le temps que la tumeur n'est pas ouverte, l'
enfant
présente en général tous les attributs de la sant
te, au bout de quelques heures, d'un, deux, trois, cinq, six jours, l'
enfant
est pris de fièvre, de mouvements spasmodiques, c
moitié de ses dimensions, mais perméable et pleine de sang , chez un
enfant
de 7 ans et chez un homme de 10 ; celui de Coïter
que la dépression cesse brusquement à l'articulation des pariétaux. L'
enfant
est dans un état complet d'idiotisme : rien de ce
ît l'occuper. Cet état contraste singulièrement avec celui des autres
enfants
de son âge , qui s'agitent et qui sourient à la v
e le dernier jour, parce que ce jour-là seulement on a pu retourner l'
enfant
sans le faire crier. Râle crépitant en arrière, e
statés de nouveau et en détail, le jour de la mort à huit heures. L'
enfant
a succombé le quatre décembre à trois heures du s
e antérieure est plus considérable qu'elle n'aurait dû l'être chez un
enfant
de cet âge. De nombreux filaments celluleux uniss
rface du cerveau. L'état d'idiotie complète auquel était réduit cet
enfant
, prouve l'importance des circonvolutions antérie
ou tard sa solution dans de nouveaux faits. Il est malheureux que cet
enfant
ait succombé par suite de pneumonie lobulaire. S'
ement physique et intellectuel, aurait été plus facile à constater. L'
enfant
poussait des cris inarticulés : le défaut d'artic
S FIGURES. La fig. 1 représente la face supérieure du cervelet d'un
enfant
de 9 à 10 ans. Deux masses tuberculeuses sphéroïd
uniquée à la Société anatomique par M. Bell, interne de l'Hôpital des
enfants
, suppléera aux détails qui me manquent sur le su
s membres droits qui étaient froids et infiltrés. Le 21 décembre, l'
enfant
entra à l'hôpital dans l'état suivant : maigreur
iés dans le premier de ces organes. Il y en avait au moins 5o chez un
enfant
dont le cerveau et le cervelet ont été présentés
symptôme qui appelle l'attention sur l'encéphale. Ainsi l'on voit les
enfants
devenir tristes, irritables, impatients, capricie
état qui donnait les plus vives inquiétudes; de même que l'on voit l'
enfant
passer subitement de la santé la plus florissante
t consécutifs : c'est ce qu'on observe dans les hôpitaux destinés aux
enfants
malades, où la formation des tubercules dans le c
strabisme. Pour commémoratifs, je recueillis que 4 mois auparavant, l'
enfant
avait été pris de mouvements convulsifs, suivis d
la plus légère inquiétude; que, pendant les 4 mois intermédiaires, l'
enfant
n'avait pas paru aussi bien portant que par le pa
er sur son état. Quinze jours avant l'apparition de l'hémiplégie, l'
enfant
s'était plaint dans la jambe droite d'une faibles
torse, appliqué un bandage fortement serré, et prescrit le repos. L'
enfant
avait fait une chute sur la tête 6 mois avant l'i
ient en général très agitées. La nuit qui précéda le jour où je vis l'
enfant
avait été très orageuse. U se plaignait des jambe
notre consultation. Le surlendemain, après une nuit très agitée, l'
enfant
mourut sans agonie. A Vouverture9 que je fis av
ccoutumée de M. Blandin. Ce kyste qui était du volume de la tête d'un
enfant
d'un an a été trouvé chez une femme morte à l'Hôp
ement à des dents de première dentition extraites de la mâchoire d'un
enfant
nouveau-né, qu'il serait impossible de les distin
de l'utérus, la cavité abdominale chez les femmes en âge d'avoir des
enfants
. Mais elle est un défaut chez les jeunes filles p
le accoucha fort heureusement. Elle eut de son second mari un premier
enfant
qui vint à bon port. Quelque temps après (elle ét
n s'affaissa, les règles se manifestèrent ; la malade eut depuis deux
enfants
et jouit de la meilleure santé. Seulement elle ép
malade assurait qu'elle était toujours demeurée grosse de son premier
enfant
. Le siège précis des kystes contenant des fœtus
ndant deux jours. On toucha la femme ; l'utérus était vide, quoique l'
enfant
exécutât des mouvements extrêmement forts. On pro
vrant » cette masse qui pesait près de huit livres, on y découvrit un
enfant
mâle parfaitement conservé, sans )) être environn
ent conservé, sans )) être environné d'aucune liqueur. La peau de cet
enfant
était fort épaisse : il avait des cheveux et deux
gales : la surface interne était comme )) moulée sur les parties de l'
enfant
qu'elle embrassait étroitement ; une ouverture da
e à celle qui succéderait à une brûlure superficielle. Fig. 3. Même
enfant
vu de face. Sa bouche largement ouverte permet de
« Une sage-femme appelée ne peut point reconnaître la position de l'
enfant
, la femme s'opposant à l'introduction entière de
prononçai « qu'il y avait anomalie. « Saisissant alors la tête de l'
enfant
à pleine main et un doigt introduit dans la bouch
fistuleux congenial s'ouvrant à la face infirieur de la verge chez un
enfant
qui a vécu neuf jours. Observations et considérat
rine. En l'espace de quatre années, nous avons traité vingt- quatre
enfants
ou jeunes gens incontinents par la suggestion h
e ces tares héréditaires 1 L. Guinon. De l'incontinence d'urine des
enfants
. Thèse de Paris, 1889. 1 J. Janet. Les troubl
V ci-après, nous trouvons un père inconti- nent ayant quatre de ses
enfants
atteints de la même infir- mité. L'étude des
inconti- nences très passagères. L'autre vise les adénoïdiens, les
enfants
dont le système amygdalien hypertrophié met obs
st due à M. Bérillon. Pour cet auteur, l'incontinence nocturne de l'
enfant
n'est le plus souvent que l'incontinence normal
vacuation. Par l'éducation, on obtient vers le quinzième mois que l'
enfant
apprenne à résister pendant le jour au besoin d
s'appliquer à quelques faits d'incontinence, si réellement quelques
enfants
continuent t à pisser au lit après la troisième
d'ailleurs pas une hypothèse gratuite. L'état mental de certains
enfants
nerveux ressemble en effet beaucoup à celui des h
sonnalité consciente faiblement et imparfaite- ment constituée. Les
enfants
menteurs répondent à ce type. Pour nous, les in
ou uriner beaucoup sont deux choses que l'usage confond ensemble. L'
enfant
qui a de l'incontinence nocturne, qui a des mic
u rhumati- sante ; cinq frères et soeurs dont quatre plus jeunes.
Enfant
chétif, peu développé, pâle, très émotif, portant
t se réveillera aussitôt pour se lever. » A partir de ce moment l'
enfant
a été complètement débarrassé de son infirmité;
ITEMENT DE L'INCONTINENCE D'URINE PAR SUGGESTION. 13 Il s'agit d'un
enfant
chétif et très émotif quoique peu taré au point
ne santé passable, autre frère idiot à la suite de convulsions. '
Enfant
grande et forte, d'aspect florissant, non réglée,
hétives dont une recueillie dans un orphelinat, pisse aussi au lit.
Enfant
assez développé, strabique : d'une bonne santé
e. 27 avril 1893. Sa mère m'annonce qu'il est guéri. En 1894, cet
enfant
a été pris de péritonite tuberculeuse et a succ
ait sentir, il doit le satisfaire immédiatement. Mère normale. Huit
enfants
: une grande fille de seize ans ayant été attei
continence complète; une fille qui a eu des convulsions. Les autres
enfants
, en bas âge, se portent bien. Enfant assez fort
des convulsions. Les autres enfants, en bas âge, se portent bien.
Enfant
assez fort d'apparence, un peu pâle; n'ayant fait
s le 18 janvier. A partir de ce moment la guérison est obtenue et l'
enfant
ne m'ayant pas été ramené, je crois pouvoir en
pissé que deux fois et extrêmement peu, depuis le mois dernier. L'
enfant
ne s'est pas représenté depuis. Comme son frère,
s aller et retour pour se soumettre au traitement chaque semaine.
Enfant
assez bien développée, quoique fluette, non réglé
xie commen- çante, aménorrhée, retour de l'incontinence nocturne. L'
enfant
revient seulement le 11 novembre me consulter,
que. Père tuber- leux, mère normale, intelligente, bien portante.
Enfant
chétive, d'un tempérament lymphatique marqué. Ell
t d'une façon irrégu- lière, environ deux à trois fois par semaine.
Enfant
peu développée pour son âge. 16 février 1893.
epuis le 4. Juillet. La guérison se maintient. 28 décembre. Cette
enfant
à la suite d'une bronchite aiguë a eu quelques
reize ans. Parents arthri- tiques, aucune tare dans la famille. Cet
enfant
qui n'urinait au lit que de temps en temps, sur
nt l'hiver. On pourrait supposer avec J.-L. Petit qu'il s'agit d'un
enfant
paresseux à se lever, n'obéissant pas aux premi
à quinze ans. Ça lui arrivait toutes les nuits et plusieurs fois.
Enfant
chétive, anémique, très lymphatique (bronchites r
n intervalle. La mère ne peut dire exactement ce qui se passe car l'
enfant
, très humiliée de son infirmité, la dissimule a
u'une fois par semaine. , 30 avril 1894. Depuis près de cinq mois l'
enfant
n'avait pas uriné au lit et on la considérait c
sommeil est meilleur et la suggestion est présente à l'esprit de l'
enfant
pendant son sommeil car le matin elle est persu
ion vive et très nette dans la patho- génie du cas précédent. Cette
enfant
, lymphatique et névro- pathe, onirodynique, m'a
ère normale. Soeur bien portante, frère ayant eu des convulsions.
Enfant
assez développé, mais pâle et d'aspect fatigué. J
vril. 1896. La guérison continue à être parfaite depuis 1894. Cet
enfant
, à peu près normal, présente cependant un phé-
rôle énorme de l'automatisme psychologique subconscient chez les
enfants
, et chez les enfants nerveux en particulier. Par
utomatisme psychologique subconscient chez les enfants, et chez les
enfants
nerveux en particulier. Par là se trouve confir
peu développée. Mère présentant des incorrections morales. Nombreux
enfants
en bas âge. Enfant assez grande mais fluette et
résentant des incorrections morales. Nombreux enfants en bas âge.
Enfant
assez grande mais fluette et pâle; non réglée. Pa
1e'' avril 1896. La guérison s'est maintenue sans aucun accident, l'
enfant
est placée comme domestique et on est content d
ents sur sa famille; il m'est envoyé par une personne charitable.
Enfant
chétif, maigre et peu développé pour son âge. Il
seule miction involontaire. OM(. Pas d'accident. 14 octobre. - L'
enfant
est complètement guéri ; il revient me trouver
ggestion. 30 septembre. Elle est de nouveau guérie et m'envoie un
enfant
atteint d'incontinence pour que je le débarrasse
antérieur. Observation XVI. J. il.... vingt-trois ans, domestique,
enfant
naturel, réformé pour faiblesse d'esprit; aspec
e quatorze ans; domes- tique. Aucun renseignement sur sa famille.
Enfant
vigoureux mais trapu, surmonté d'une très grosse
llée dans la semaine et c'est la der- nière. 12 janvier 1896. Cet
enfant
est complètement débarrassé de son incontinence
ère semble bien portante; aucun renseignement sur la famille. Cet
enfant
est d'apparence normale; il a marché à quatorze
il le fait remarquer à sa mère avec contentement. 1er avril. Cet
enfant
est guéri de son incontinence. Malgré son jeune
Cet enfant est guéri de son incontinence. Malgré son jeune âge, cet
enfant
bénéficie du traitement par une amélioration pr
nze ans. Père et mère 26 THÉRAPEUTIQUE. d'apparence normale; huit
enfants
dont deux atteints d'inconti- nence nocturne, u
rmité s'y oppose. 1> 4 février 1896. Forte appréhension de l'
enfant
que j'ai de la peine à rassurer. Il ne s'endort
mars. Deux nuits humides seulement. 1er avril. Guérison. Chez cet
enfant
la guérison est obtenue, pourrait-on dire par s
e jour mais a pissé au lit une fois cette semaine. 1er avril. Cet
enfant
est guéri et ne reviendra qu'en cas d'ac- ciden
reviendra qu'en cas d'ac- cident. l. L'incontinence diurne de cet
enfant
est survenue d'une façon singulière. Il est pro
cérébral correspondant à la fonction urinaire. A remar- quer que l'
enfant
ne sent pas sa vessie se vider. On ne peut invo
de douze ans. Père normal; mère nerveuse; ils ont plusieurs autres
enfants
dont la santé ne m'est pas connue. Enfant pet
s ont plusieurs autres enfants dont la santé ne m'est pas connue.
Enfant
petite, d'aspect chétif, non réglée, pissant au l
apprentissage et ne pourront plus l'a- mener. 18 février 1894. L'
enfant
est restée cinq mois complètement guérie; mais
ère morte de tuberculose, père souffreteux, de mine tuberculeuse.
Enfant
chétive, scrofuleuse, ganglions suppurés au cou à
on involon- taire, mais c'est très peu de chose. 26 avril 1896. L'
enfant
revient. Elle allait très Dien et avait été pla
t aperçu que c'est tou- jours dans le cours d'un rêve terrifiant. L'
enfant
étant endormie nous raconte qu'elle rêve de la
aisait coucher seule dans un cabinet noir. Nous suggérons alors à l'
enfant
que le cachot, les rats, -la bonne soeur n'ont
lle se réveillera.quand elle aura envie d'uriner. . 15 juin 1896. L'
enfant
ne m'ayant pas été ramenée, je crois pouvoir en
e bien portant; intelligent, mais buveur; mère normale. Plusieurs
enfants
que je connais tous et qui sont normaux. Cet en
e. Plusieurs enfants que je connais tous et qui sont normaux. Cet
enfant
urine au lit depuis dix-huit mois seulement. Tout
Divers traitements ont été essayés sans résultat. 10 octobre 1892.
Enfant
intelligent, mais indiscipliné, pâle, d'aspect
s depuis le 18. 28. Une seule nuit mouillée depuis le 22. Hier, cet
enfant
a eu encore un de ces accès de fièvre avec état
incertain. 3 novembre. Toutes les nuits mouillées depuis le 28. L'
enfant
a eu depuis cette date une véritable polydipsie;
ne plus pisser au lit. » 17. Six nuits mouillées depuis le 3. Cet
enfant
habitant au loin et les résultats ne paraissant p
nts, les parents se lassent et cessent de me l'amener. Mars 1896. L'
enfant
urine toujours au lit. A la suite d'un traiteme
ns les accidents cérébraux survenus à plu- sieurs reprises chez cet
enfant
et qui ne sont peut-être que de l'hystérie infa
ément perturbateur. La polydipsie intense qui se manifeste chez cet
enfant
en même temps qu'un redoublement de l'in- conti
se du rachis ; mère morte de paralysie à cinquante- quatre ans. '
Enfant
délicat, pâle et chétif, peu intelligent et ne pr
nous que le traitement fût continué. Nous croyons deviner chez cet
enfant
comme chez le précédent une auto-suggestibilité
dans le cours de ce mémoire. L'incontinence essentielle d'urine des
enfants
et des adoles- cents est un stigmate névropathi
la Salpêtrière, 1895, n° 5.) Dissertation clinique sur le cas d'un
enfant
, à antécédents per- sonnels névropathiques, qui
ous les symptômes relevés chez 46 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'
enfant
, sujet de l'observation. La conclusion est donc q
e jeunesse, les années jusqu'à l'âge de huit à dix ans, avant que l'
enfant
soit arrivé à la maturité sexuelle. La névros
IE. I. blanuel pratique des méthodes d'enseignement spéciales aux
enfants
anormaux (sourds-muets, aveugles, idiots, bègues,
it- NEVILLE. (Bureaux du Progrès Médical.) Sous la dénomination d'
enfants
anormaux, on entend les enfants atteints de div
ès Médical.) Sous la dénomination d'enfants anormaux, on entend les
enfants
atteints de diverses infirmités portant soit su
les statistiques officielles relatives aux différentes catégories d'
enfants
anormaux, elles font cependant ressortir quelle
e aux questions d'assistance, de traitement et d'éduca- tion de ces
enfants
. En effet, le nombre des sourds-muets en France
père permet d'évaluer à près de 130,000 le nombre des bègues. Les
enfants
anormaux de toutes les catégories, le livre de
vés, instruits. Malheureusement, l'éducation spéciale il donner aux
enfants
anormaux est encore inconnue de la plus grande
ir et la responsabilité d'indiquer la conduite à tenir en face d'un
enfant
anormal ; c'est à lui qu'on demandera quelles s
rmaux, quelles sont les formalités nécessaires pour l'admission des
enfants
dans ces institutions, etc., et l'intervention éc
airée du médecin deviendra capitale pour l'avenir intellectuel de l'
enfant
si, au lieu de perdre un temps précieux dans l'
ectative d'une guérison hypothétique au moment de la formation de l'
enfant
, il institue lui-même dans la famille, ou fait
s, il faut intervenir le plus tôt pos- sible, afin d'empêcher que l'
enfant
, plus ou moins délaissé, ne contracte de mauvai
ation spéciale, avec les renseignements utiles pour l'admission des
enfants
. Enfin a été présenté l'aperçu de la législatio
e documentée de M. Bourneville : « Par l'exposé de la situation des
enfants
anormaux, ce qu'elle est et ce qu'elle doit êtr
s arguments sérieux pour le défendre si cela était nécessaire. B.
Enfants
arriérés améliorés : SECOURS A DOMICILE L'enfan
nécessaire. B. Enfants arriérés améliorés : SECOURS A DOMICILE L'
enfant
Ferra..., âgé de dix-huit ans, atteint d'imbécill
oquer l'idée d'une ancienne syphilis; marié jeune, il a eu de beaux
enfants
, sa femme n'a jamais fait de fausse couche; l'e
it en 'effet excellent écuyer et avait appris à mouler à cheval aux
enfants
d'un général dont il était alors l'ordonnance.
il ne savait plus inter- préter ses sensalions, sous ce rapport un
enfant
était plus habile que lui. A la longue les perv
: 1° L'extrême rigueur montrée à l'égard des femmes ayant tué leur
enfant
dans un accès de manie puerpérale; en effet, si
ces inconvénients. 1° La craniololllie ne doit s'adresser qu'à des
enfants
aussi vigoureux et bien nourris que possible et
omie est encore sub judice et n'a pas dit son dernier mot. H. C...,
enfant
de neuf mois, grands parents tous vivants et bi
sement un accident grave de chloroforme interrompit l'opération, l'
enfant
fut à grand'peine rappelé à la vie, et il fallut
ment à la suture sagittale. Mais l'incident chiiurgical avait mis l'
enfant
dans de mauvaises condi- tions ; il mourut tren
ation en même temps que de la volition : c'est ce qu'on voit chez l'
enfant
, l'imbécile, l'idiot, les déments de toutes var
trois espèces de début : le plus souvent le délire s'annonce chez l'
enfant
, qui a un caractère inquiet, méfiant, bizarre.
femme du colonel Spalding, assignée pour violences exercées sur ses
enfants
. « Ces violences sont manifestes. Il est établi
abli que 111° Spalding avait pris la féroce habitude de frapper ses
enfants
et de les charger de liens en les enfermant dan
d'un accès épileptique sur la place de l'Eglise au Pont-du-Las. Cet
enfant
a reçu des soins au poste de police du faubourg
leurs devoirs. Asile DES aliénés DE la ROC1JE-SUR-YON : quartiers d'
enfants
; LEUll FONCTIONNEMENT EN 1894. Les divisions
uartiers d'enfants; LEUll FONCTIONNEMENT EN 1894. Les divisions d'
enfants
continuenl à fonctionner d'une façon satis- fai
ute à avoir elle aussi toutes les places occu- pées. La santé des
enfants
est excellente et aucune maladie incidente dign
sommairement exposer les résultats obte- nus : Garçons. Sur sept
enfants
gâteux à leur entrée, cinq sont devenus propres
tube digestif usités depuis peu sous le nom d'entéroclysme. , Un
enfant
qui est entré ne sachant pas marcher a appris à l
fourchette et de la cuiller, ou de cette dernière seu- lement. Huit
enfants
ont pris part aux exercices de gymnastiques par
s pour trois autres, et assez bons pour les deux derniers. L'un des
enfants
du premier groupe a été transformé tant au point
tes, ancien instituteur, une petite classe a été fréquentée par six
enfants
dont quatre étaient absolument illettrés : un a
nés dans l'arithmétique et les exercices de grammaire. Enfin, trois
enfants
ont été occupés à divers travaux, l'un à la fer
rée, en a été complètement débarrassé au bout de quelques mois. Cet
enfant
, qui n'est pas idiot, pourra sortir bientôt et
de ferme, sachant fort bien conduire les boeufs. Filles.-Sur cinq
enfants
gâteuses, quatre ont été rendues com- plètement
édemment cité, prouve quels services peuvent rendre nos divisions d'
enfants
au seul point de vue médical sans parler du côt
(L.). - Manuel pratique des mé- thodes d'enseignement spéciales aux
enfants
anormaux. Volume in-8° de xv-288 pages. Prix :
rence entre le mé- canisme de l'éducation de la coordination chez l'
enfant
et'chez une grande personne. Dès l'enfance nous
ous, sont indispensables selon le milieu dans lequel nous vivons. L'
enfant
apprend la coordination pour ainsi dire sans ra
femme fit une fausse couche de six semaines. Elle a eu depuis trois
enfants
, dont deux sont morts en bas âge d'affections p
un grand chagrin et d'un surmenage physique (le malade veillait son
enfant
malade pendant une dizaine de nuits) une forte
ires, il n'y avait que de l'hystérie du côté de la mère; elle était
enfant
unique. Comme antécédents personnels, rien que
s et de la taille, concernant plusieurs groupes de malades : 1° des
enfants
atteints de myxoedème infantile; 2° des enfants
de malades : 1° des enfants atteints de myxoedème infantile; 2° des
enfants
idiots et arriérés atteints de nanisme; 3° des
tile; 2° des enfants idiots et arriérés atteints de nanisme; 3° des
enfants
atteints d'obésité. Des tableaux et des tracés mi
nt bien portantes et deux frères, dont l'un marié et l'autre encore
enfant
n'auraient présenté jusqu'ici aucun accident pa
compliqués de troubles de la parole, recueillis dans le service des
enfants
de L31cêtre par un de nos collaborateurs. (J. Noi
a délivrance s'est-elle effectuée normalement et au temps voulu ? L'
enfant
a-t-il été blessé pendant l'accouchement ? A-t-
ardive. Quand la syphilis médullaire héréditaire est congénitale, l'
enfant
est souvent mort-né, la lésion consiste alors en
bservation. Femme, trente-sept ans, marchande ambulante de jouets d'
enfants
. A l'âge de vingt et un ans, à la suite d'une p
ade poil nulle part. Taille 1m,59. Le crâne est asymétrique. Voix d'
enfant
. Bassin large, fesses bien développées. Organes g
10° D'après l'observation correspondante d'un assez grand nombre d'
enfants
nouveau-nés morts d'abstinence et d'épuisement,
malades, dont 801 hommes et 827 femmes. Dans ce nombre figurent 16
enfants
(8 garçons et 8 filles). Lorsque nous avons vis
ons hydrothérapiques ; élever un pavillon exclusivement réservé aux
enfants
; et tant d'autres choses encore ! C'est, guid
ment que cette mesure n'ait pas été prise plus tôt. Suicide D'UN
enfant
DE TREIZE ANS (EpÍ1Utl, 5 juillet). - « Le nomm
bablement jusqu'à sa mort, sans - compter qu'il faudra assister son
enfant
. Ces réflexions s'appliquent également au fait
oid. Depuis un mois la voix de la malade a changé de timbre. Voix d'
enfant
. Au mois de juillet de l'année dernière une cri
l est marié. Sa femme n'a jamais fait de fausse couche. Il a deux
enfants
, dont l'ainé souffre de diarrhées chroniques. Il
ouze ans. Sa femme a eu une fausse-couche de trois mois. Il a trois
enfants
, dont l'aîné est atteint de crises nocturnes d'
le mariage,' sa femme fit une fausse couche. Elle a eu depuis trois
enfants
, dont le plus jeune est mort d'une méningite à
tat et ils sont à son égard dans une relation semblable à celle des
enfants
envers leurs parents, c'est là un principe admi
quels des vieillards plus ou moins impuissants sont attirés par des
enfants
, l'auteur estime que l'inversion sexuelle acqui
équences au point de vue de la descen- dance. L'auteur divise les
enfants
dégénérés en précoces et arriérés. Les petits p
vers la pé- riode de la régression sénile commençante. A l'école l'
enfant
peu sociable, taciturne et un peu sauvage doit
ker. (British médical journal, 8 février 1896.) C'est le cas d'un
enfant
de six ans et demi arrêté dans son deve- loppem
le de la sclérodermie et de l'infiltra- tion du tissu cellulaire. L'
enfant
reste inintelligent et arrêté dans son développ
cations de ce médicament généralement employé en pédiatrie; pour un
enfant
de dix ans il conseille dedonner au maximum une
rsles mêmes pour tous les malades (prénoms, noms de la femme et des
enfants
, de la ville natale, du métier). Il n'y a que d
iénés est au premier chef une LOI DE bienfaisance. Assistance DES
enfants
IDIOTS. Nous avons reçu la lettre suivante qui
r une modique somme, sinon gratuitement, on puurrait recueillir une
enfant
de quinze ans demeurée arriérée par suite d'une
5 centimes par jour); elle est obligée d'abandonner chez elle cette
enfant
qui a déjà été victime de deux tentatives de vi
atante en faveur de l'hospita- lisation et du traitement des idiots
enfants
, adolescents et adultes. Loi interdisant LE m
dans un établissement médico-pédago- gique. La grande majorité des
enfants
envoyés en correction sont des malades. FAITS
incipe de spécialisation est invariable; car le 14 avril 1792, deux
enfants
placés à l'hôpital général sont rendus à leurs pa
les murs des locaux ou on le renferme et insulte les femmes ou les
enfants
après lesquels il court dans un moment de liber
sés; une autre épileptique qui a mis le feu chez elle et menace ses
enfants
en bas âge; c'est un aliéné atteint d'idées amb
de ces individus, les agents de police susnommés ont déclaré que l'
enfant
C. W. dont les vêtements n'étaient pas prêts, s
it de grands mouvements. Peu après la marche devint difficile, et l'
enfant
se mit à se courber, enfin en moins d'un an la
hommes ; on ne sait pas, pour le moment, si elle peut atteindre les
enfants
. Les prédisposés aux affections nerveuses ne se
Quelques recherches physiologiques sur LE SENS de L1 vue CHEZ DEUX
ENFANTS
OPÉRÉS DE CATARACTE DOUBLE CONGÉNITALE; par 111
Vurpas et 1 ? ccr.r. Les auteurs ont eu l'occasion d'observer deux
enfants
, âgés l'un de cinqans, l'autre de quatreans et
ques dus à l'acqui- sition du sens de la vue. Malheureusement ces
enfants
, en raison de leur état intellectuel, n'ont pu
e passé. Il était étrange de voir l'obsti- nation que mettaient ces
enfants
à ne pas vouloir se servir de leurs REVUE D'ANA
à l'Institut anatomique de Florence. Il s'agit de l'autopsie d'un
enfant
affecté de spina bifida et qui ne vécut que cin
s de neurasthénie qui peuvent facilement passer inaperçus. Or ces
enfants
sont porteurs de difformités crâniennes. La neura
e la contagion n'est pas tout : la maladie frappe de préférence les
enfants
dont l'organisme est peu résistant. Dans deux f
les tarées au point de vue névrol pathique et possédant de nombreux
enfants
, il n'a pas trouvé un seul crâne normal. M. l
e de Bicêtre et des nombreux désagréments qui en résultent pour les
enfants
et le personnel, et une visite que nous avons f
l'idiotie. - Compte rendu annuel du service des épileptiques et des
enfants
idiots et arriérés de llicdtre (1850-lSrJa), L6 v
e de l'Aveyron. - Tome nI. Rapports et mémoires sur l'éducation des
enfants
normaux et anormaux, par E. Séguin. -- Tome IV.
par E. Séguin. -- Tome IV. Assistance, traitement et éducation des
enfants
idiots et arriérés ([(apport au Congrès de Lyon
ome V. Manuel pratique des méthodes d'en- seignement, spéciales aux
enfants
anormaux (sourds-muets, aveugles idiots, bègues
té actuelle était toujours conservée; Jamais je n'ai rêvé que j'étais
enfant
ou jeune homme, même quand mes réveB se rapportai
alité. Jamais de terreurs, sauf dans les cauchemars que j'avais étant
enfant
, jamais de peurs réelles; un peu d'appréhension (
le La plus savoureuse De toutes tes substances alimentaires. Pour
ENFANTS
, CONVALESCENTS, VIEILLARDS, ESTOMAC DÉLICATS BI
aiiaiiti it ort uteiiis Docteur E. OIGNEZ, Médecin-Résidant 0. I.
ENFANTS
ARRIÉRÉS INSTITUTION SPÉCIALE, FONDÉE A OENTILL
barbe. Dans son travail il révèle que cette vierge fameuse avaiteu un
enfant
Illégitime pendant sa jeunesse. Ce fait tend: r à
s, avec un Améri- cain qui mourut à Saint-Pétersbourg en 1384. Un
enfant
naquit de cette union. Il était blond et mourut à
ans les cas qu'elle considérait comme désespérés. Nous entrâmes : l'
enfant
était couche à l'autre bout de la pièce. « Mon
t ce qu'il dit ne me touche pas, il n'est pas responsable. » Mais l'
enfant
reprit, en s'adressant à sa mère : « Et toi, sale
i] reviendra doux et soumis. » Tout en questionnant, j'appris que l'
enfant
soufTrait de crises nerveuses depuis quelques sem
qui l'assistait à son retour avait dit : « Voyez-vous, madame, votre
enfant
a la tuberculose de la moelle, et quoique ce soit
pénible à dire, tout ce qu'on pourra faire ne servira de rien : votre
enfant
mourra, un peu plus tôt, un peu plus tard, mais i
effrayée et sans médecin, était accourue chez moi. Je connaissais l'
enfant
; je le savais poli, aimable, serviable. Sou carac
caractère était change et à ce point que la mère y voyait l'état d'un
enfant
en délire et qui devait mourir bientôt. Porter
âchoires, d'un trismus douloureux. Ce ne pouvait être le tétanos; l'
enfant
serait mort, depuis le temps, et rien, dans son a
l'hystérie, mais ici je ne pouvais l'interpréter comme tel. Certes, l'
enfant
était petit pour son âge, un peu ridé, d'un tempé
porté à l'hystérie ; mais une chose dominait tout, c'était l'âge de l'
enfant
: six ans, âge de cortains changements physiologi
rcher la cause du mal et aussi le mode de traitement. Je dis donc à l'
enfant
; « Sois sans crainte, mon ami, je vais te guérir
renonciation énorgique, l'affirmation d'une chose vraie. Dire à cet
enfant
son mal, lui montrer que je savais ce dont il sou
ance en moi, en lui, lui montrer la fin de ses maux, le guérir. Cet
enfant
buvait littéralement mes paroles, j'avais capté s
attention, et, au moment opportun, je dis à la mère : « Madame, votre
enfant
souffre, parce qu'une de ses dents commence à pou
ce qu'une de ses dents commence à pousser. > A l'instant même, l'
enfant
fut transformé ; il porta la main à sa bouche et
e d'évolution : « C'est juste, dit la mère, voilà bien des fois que l'
enfant
montre sa bouche. Comment n'y a-t-on pas pensé pl
ution dentaire. Qu'il me suffise de rappeler les convulsions chez les
enfants
. Et quand à ces accidents se joignent des infecti
é une terminaison fatale. En fait, la guérison était acquise, car l'
enfant
comprenait qu'on pouvait le guérir. L'enfant de
n était acquise, car l'enfant comprenait qu'on pouvait le guérir. L'
enfant
devint souple, soumis, il cessa de m'insultcr et
ent approprié; peu à peu, la dent se montra, le trismus disparut et l'
enfant
est redevenu ce qu'il était auparavant, c'est-à-d
trouve à sa portée, même du papier ; elle achète des photographies d'
enfant
et les déchire à belles dents ; elle doit manger
raphies d'enfant et les déchire à belles dents ; elle doit manger des
enfants
, puisqu'elle est une lionne. Notre jeune homme,
pprennent le saut périlleux. Tenu en main par une ceinture de cuir, l'
enfant
exécute ses premiers tours La poulie sert surtout
urrices sur lieu, etc.), 5. rue des Ecouffe*. (Téléphone 21R-OB).
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ARRIÉRÉS INSTITUTION SPÉCIALE. P.ONDÉE A GENTIL
ique, ses applications au traitement des habitudes vicieuses chez les
enfants
, par le D' Bérillon (de Paris), etc... Les travau
rus la vit. elle était mariée depuis un an, mars n'avait pas encore d'
enfant
. Cn certain Michacl Vanbeck l'avait épousée dans
barbue, on n'en est pas moins femme. Il en résulta la naissance d'un
enfant
qui mourut trente-six heures après sa naissance.
t qui mourut trente-six heures après sa naissance. Le portrait de cet
enfant
, dont le corps était velu et dont le visage était
dessiné par un peintre nommé Dworzaczek (fig. 15). Le corps de cet
enfant
fut empaillé. Il en fut d'ailleurs de même de cel
s, on continua à exhiber le corps de la femme à barbe et celui de son
enfant
. Triste destinée que celle de cette femme dont le
non seulement durant sa vie, mais encore après sa mort. Fig. 15. L'
enfant
de Julie Pastrana. [à suù-re}. societe d'hY
sa guérison est complète. II. — -'.. âgée de 26 ans, mère de quatre
enfants
, d'un tempérament nerveux et colère, garde le lit
60 Pharmacie Rogler, S, bout, de Courcelles Téléphone : 533-85
ENFANTS
ARRIÉRÉS INSTITUTION SPECIALE, FONDÉE A OEMTILL
ption suivante : « La petite Krao est de même taille que les autres
enfants
de son âge (six ans}. Sa structure générale est p
oir Intense, Comme chez le gorille, l'iris ne se distingue pas. Cette
enfant
présente d'ailleurs plus d'un trait de ressemblan
ti vetje. 4-,-ce de ali ani. (18» quemment nu cours des jeux de l'
enfant
. Ce sourire et celte expression animée de la phys
s'intéressent à elle. Sous ce rapport, elle diffère de la plupart des
enfants
. Mais si on la taquine, le naturel sauvage repren
inférieure, sont proéminentes. « La flaccidité des joues permît à l'
enfant
d'introduire entre elles et les arcades dentaires
envahi la place qu'elles doivent occuper. On peut donc attribuer à l'
enfant
une dizaine d'années, douze au plus. - Les orei
nte et agréable; les gestes gracieux. En somme, l'aspect général de l'
enfant
est assez distingué. Elle parle facilement l'angl
e que des poils follets exceptionnellement développés pour l'âge de l'
enfant
et dont les lieux d'élection sont les mêmes q
bout du nez. J'ai été consulté récemment pour un fait de ce genre ; l'
enfant
, au bout de trente jours, avaitencore tous ses po
t la seconde à onze mois sans avoir présenté rien d'anormal. Des deux
enfants
qui lui restèrent, l'ainée, âgée de cinq ans, res
iée à un homme qui ne présentait rien de particulier, elle avait deux
enfants
dont un (1) M- Boulin fit une narration de ce c
nons un portrait au crayon (ûg. 21), qui la représente avec un de ses
enfants
sur les genoux. Le portrait semble indiquer que l
comportait comme une excellente mère, ayant le plus grand soin do ses
enfants
et vaquant avec activité aux soins de son ménage.
'espoir que le besoin obligerait sa fille A s'en approcher; or, cette
enfant
souffrait la faim plutôt que de quitter la place
gestible l* plus sâToureus» De (tu tel les i ¦ alimeniairts. Pour
ENFANTS
, CONVALESCENTS, VIEILLARDS, ESTOMAC DÉLICATS BI
urrices sur lieu, etc.), 5. rue des Ecoufles. (Téléphone 2ís-09).
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ARRIÉRÉS INSTITUTION SPÉCIALE, FONDÉE A GENT1LL
ésente la peau de l'abdomen et des mamelles des femmes qui ont eu des
enfants
. L'anus est bordé de poils abondants. ¦ Suivait
e livre de Holmes sur la Thérapeutique des maladies chirurgicales des
enfants
, qui fut traduit et publié en 1870, par ce savant
1851, d'une fille normalement constituée. Elle nourrit elle-même son
enfant
. Cela lui fut facile ; elle avait une telle abond
e telle abondance de lait que ses seins en étaient souvent gonflés. L'
enfant
était superbe et ne présentait aucune particulari
êt, puisqu'il s'agit d'un docteur en médecine, dgé de 26 ans. Etant
enfant
, il était timide. Il se troublait en classe pour
n rien épargner. Massacre depuis l'homme jusqu'à la femme ainsi que l'
enfant
et le nourrisson, le bceuf et la brebis, le chame
etirée ».—« Ton épée, répliqua Schemouel, a fait bien des femmes sans
enfants
; c'est à ta mère, maintenant parmi les femmes, à
d'une dévote surémo-b've qui avait été longtemps stérile, SchomouCl,
enfant
silencieux, hyper-suggestfble,enproieades halluci
urrices sur lieu, etc.). 5. rue des Ecouflea. (Téléphone 218-09).
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ARRIÉRÉS institution spéciale, fondée a gent! l
Ni ses grands-parents, ni ses parents, ni ses frères et sœur, ni ses
enfants
n'ont présenté la moindre anomalie du système pil
lière. Elle se maria à dix-sept ans et demi et donna naissance à deux
enfants
, un garçon et une fille ; ils sont respectivement
festée dans la barbe. Mme Viola M... fut la nourrice de chacun de ses
enfants
pendant un mois et cessa de leur donner le sein d
, depuis l'âge de quatorze ans, mais c'est aussi la naissance de deux
enfants
, constituant la preuve la plus évidente d'une con
ion hypnotique. Revue de l'Hypnotisme, lï' année, 1903, p. 3à3. L'
enfant
commença à être réglée à dix ans et demi sans dif
x ans, elle fut demandée en mariage; elle accepta, mais elle n'eût ni
enfants
, ni fausse-couche. Comme elle était douée d'une g
dise naturelle à son sexc. Son plus grand désir eût été d'avoir des
enfants
et ello n'y a pas encore renoncé. Mais laissons-l
la journée ; c'était une ménagère sérieuse, mariée, mère de plusieurs
enfants
, travaillant dur et ferme pour élever sa petite f
une sénilité précoco, mais non sans avoir eu le temps de procréer des
enfants
voués, hélas î à la dégénérescence névropathique.
des en résultats défavorables, accumuler trop souvent sur la tète des
enfants
un héritage pathologique renforcé. La consangui
e importance dans notre vie. On peut idéalement façonner le cœur de l'
enfant
et éclairer les consciences naissantes. On peut m
éliorer. Ce n'est pas tout que de mettre au monde et de sustenter l'
enfant
. Le nouveau-venu veut encore être guidé, dirigé
oublier que le résultat le plus nécessaire est de le mettre, lui, l'
enfant
, — ainsi que, plus tard, le jeune soldat —, le
dégénérescence préalable du système nerveux, tous ou à peu près tous,
enfants
issus d'arthritiques, de nerveux, d'alcooliques,
pathologique......M. le D' Paul Fahez. professeur. Psychologie de l'
enfant
........M. Baotjer, directeur de l'Institut départ
E du parfait NOOTtRiciER ut toutes les substances alimentaires pour
enfants
, convalescents, vieillards.kstoiucdkucats BIBER
RIS. Pharmacie Ho gier, 5, bout, de Courcelles Téléphone : 533-85
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ARRIERES INSTITUTION SPÉCIALE. FONDÉE A OENTILL
s, qui étaient très développés comme ceux d'une femme qui nourrit des
enfants
. (1J Voyez Revue de l'Hypnotisme, numôro de jui
1901 et suivants. En effet, Mme Augeard a donné naissance à cinq
enfants
. Un d'eux, un Bis, est fortement barbu. I) est bl
mme de la campagne, partageant son temps entre les soins donnés à ses
enfants
et les travaux agricoles. Les deux sœurs étaient
maria à vingt et un ans, ayant déjà sa barbe complète. Elle eût deux
enfants
, un flls et une Olle. La fille ne présente non de
nait au sexe féminin. Elle était présentée comme mariée, ayant eu des
enfants
. Il était facile de constater qu'elle avait des g
ù le conducteur n'est pas absolument le seul coupable : une femme, un
enfant
, voient venir une voiture dans la rue qu'ils aura
dernier ordre d'idées, ne sait-on pas qu'il est fréquent de voir des
enfants
de troupe s'enfuir, à plusieurs reprises, de l'Ec
otection tout en refusant de la défendre au même titre que ses autres
enfants
. Les opinions et les idées que nous venons d'ém
tale et de transmission de pensée. D' Bérillon : La jalousie chez l'
enfant
. M. Louis Favre : Les Rayons X existent-ils? Dr
ssin, professeur. Objet du cours : Les troubles du sommeil chez les
enfants
. Les mardis à cinq heures, à partir du mardi il j
d.rwublo La piUi „vouwo De toutes tes substances alimentaires Pour
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'un est devenu chasseur ; l'autre gourmand. Il en sera de même de vos
enfants
; I Is seront courageux ou lâches, selon l'éducat
méthode qui permet, par l'emploi de l'hypnotisme, de remédier chez l'
enfant
, et même chez l'adulte, aux impulsions vicieuses,
complète impuissance. Malgré ces réserves, on nous objectera que l'
enfant
pusillanime auquel nous avons appliqué ce traitem
le La {.la. uro tireuse ZAf roufM les substances alimentaires. Pour
ENFANTS
, CONVALESCKNTS, VIEILLARDS, ESTOMAC DÉLICATS BI
ombroso sur l'affaire Murrl-Bonmartlnl, p. 287. — Combien de temps un
enfant
doit il dormir, p. 287. — Une singulière phobie
DÉPÔT : Pharmacie CARON 63, rue de la Chaussée d'Antin — PARIS.
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. C'est un remède du rachitisme. Elle favorise la croissance chez les
enfants
et enraye les effets de la dégénérescence physiqu
utes... Mais moi, le Paria, j'ai refusé, en Egypte, l'hospitalité à l'
Enfant
Jésus, à la Ste Vierge, à St Joseph et au pauvre
un an de mariage, donne naissance à une petite Gllc. Elle nourrît son
enfant
au sein pendant deux ans. A l'âge de 26 ans, elle
38 ans. Elle s'est mariée de bonne heure et a donné naissance à sept
enfants
bien portants. D'après le Naturaliste, ils sont a
ortant à signaler, c'est.sa fécondité. En donnant la naissance à sept
enfants
bien constitués, elle contribue puissamment à com
r un mari. En effet, elle s'est mariée à vingt ans, mais n'a pas eu d'
enfants
. Elle a toujours eu des goûts féminins. Elle ai
En outre, dans ce jeune ménage qui a déjà eu à déplorer la perte d'un
enfant
et un accouchement prématuré, un nouvel enfant pe
déplorer la perte d'un enfant et un accouchement prématuré, un nouvel
enfant
peut, à chaque instant, être conçu sous l'influen
ur de ce jeune ménage, leur santé à tous deux, ainsi que la santé des
enfants
à venir, j'ai conscience d'avoir socialement remp
applique les mêmes procédés à la pédagogie, au redressement moral des
enfants
vicieux, à la cure des tics, et de la paresse.
t la place serait désormais dans un asile. > Combien de temps un
enfant
doit-il dormir ? Ce n'est pas là une question o
us que les autres. Cette moyenne nécessaire de sommeil est pour les
enfants
de 4 ans, de douze heures. Pour les enfants de
de sommeil est pour les enfants de 4 ans, de douze heures. Pour les
enfants
de 7 ans, de onze heures. Pour les enfants de 9
douze heures. Pour les enfants de 7 ans, de onze heures. Pour les
enfants
de 9 ans, de dix heures. Pour les enfants de 12
e onze heures. Pour les enfants de 9 ans, de dix heures. Pour les
enfants
de 12 à 14 ans, de neuf à dix heures. Pour les
KO Pharmacie Rogier, 5, boul. de Courcelles Téléphone : 533-85
ENFANTS
ARRIÉRÉS INSTITUTION SPECIALE. FONDÉE A GENTILL
gt-cinq ans elle eut une deuxième grossesse, mais, expulsé à terme, l'
enfant
était mort-né. Tant qu'elle vécut avec son mari,
l'asile du Comté de Xorthumberland. Elle était veuve et mère de trois
enfants
. On peut supposer que parmi les causes de son dér
a grossesse. Mais ce ne fut que trois jours après la naissance de son
enfant
qu'elle tomba dans une profonde dépression. E
t à 56 ans d'une mélancolie terminée par la démence. Il avait eu onze
enfants
. Mme E.-D. H... était la seule qui présentât une
colporter au sujet de l'hypnotisme. Le père n'ose pas soumettre son
enfant
à une thérapeutique qu'on lui représente comme si
réveiller; on est si bien de dormir d'un sommeil si calme. * 2. Un
enfant
d'un an et demi ne peut dormir pendant la journée
pplication de la main hypnogénique; après une vingtaine de minutes, l'
enfant
s'endort pour plus d'une heure. Toutes les fois q
ltat eBt observé. 3. En octobre dernier, je suis appelé auprès d'un
enfant
d'une dizaine de jours, qui souffre de coliques,
dame, il va dormir. > Et, en effet, les paupières s'abaissent et l'
enfant
s'endort. La mère en fut très étonnée. 4. Et ma
s elles payent à cette habitude vicieuse un tribut abusif. Chez les
enfants
, l'onanisme est provoqué le plussouventparunc irr
8 ans, d'un tempérament nerveux, très impressionnable, mère de quatre
enfants
, souffre, depuis l'âge de 8 ans, d'une migraine à
le se marie, et, deux ans après, elle devient mère ; elle a eu quatre
enfants
et deux fausses-couches. Depuis son mariage, les
le La plus savoureuse De toutes les substances alimentaires. Ponr
enfants
, convalescents, vieillards, estomac délicats BI
physique est celui d'une femme; elle est d'ailleurs veuve et a eu des
enfants
. Obs. II. — Femme de 36 ans, folle depuis la pu
commencent à boire avant l'âge de 19 ans. Sans aucun doute, chez les
enfants
de 10 à 15 ans, ce n'était que l'imitation des gr
ltat de l'exemple démoralisant donné par des camarades plus âgés. Les
enfants
, subissant l'effet de l'alcool en vertu de l'impr
idement l'habitude et deviennent des alcooliques chroniques. Chez les
enfants
, si la première expérience provoque des symptômes
ce fait, que sa carrière en souffre fortement ; il voit aussi que ses
enfants
ne lui portent pas assez de respect, et enfin il
nons de parler, telles que la situation de la famille et l'avenir des
enfants
, la carrière, etc., elle passe bien vite, ne lais
u de pain, ou bien encore la disparition de sa femme, abandonnant ses
enfants
. L'état psychique du sujet variera suivant les di
es auteurs qui ont signalé des cas de penchant pour l'alcool chez des
enfants
en bas Age. Quant à l'hérédité alcoolique mention
l'amour pour un autre homme qui lui sera sympathique ; le sort de ses
enfants
la préoccupe fort peu; elle n'a pas d'affection p
ses enfants la préoccupe fort peu; elle n'a pas d'affection pour les
enfants
qu'elle a eus d'un homme qu'elle n'a pas aimé. Un
troisième se trouve dans la situation la plus tragique; elle voit ses
enfants
abandonnés et c'est pour elle un sujet de préoccu
temps, clic se dit qu'elle seule peut et doit veiller au sort de ses
enfants
; cela la pousse malgré tous les obstacles à comm
mencer une vie nouvelle, une vie entièrement consacrée au soin de ses
enfants
. Voilà encore un quatrième exemple : une femme se
e angoisse s'empare d'elle, elle ne trouve de consolation ni dans ses
enfants
, ni dans la prière; elle n'y pense même pas; la v
es enfants, ni dans la prière; elle n'y pense même pas; la vue de ses
enfants
ne fait qu'accroître son sentiment de tristesse e
vec son mari, une excursion de deux mois dans le Tyrol. V. X. P...,
enfant
de 12 ans, caractère indomptable, paresse, copro-
angage a complètement changé et est devenu absolument convenable; cet
enfant
est en outre plus soumis et plus travailleur. Je
on, Paul Magnin, Jules Voisin. 3. M. Bérillon. — La jalousie chez l'
enfant
. Discussion : MM. Lépinay, Paul Magnin, Blech,
ible La plua savoureuse De toutes les substances alimentaires. Pour
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, CONVALESCENTS, VIEILLARDS, ESTOMAC DÉLICATS BI
urrices sur lieu, etc.), 5. rue dos Ecoulîes. (Téléphone 218-09).
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avec de la sole sur un canevas do plusieurs mètres de long. La pauvre
enfant
si singulièrement douée d'énergie ne vécut malheu
avait fait la conquête d'un époux, et de son mariage étaient nés deux
enfants
absolument exempts de toute anomalie du système p
duction à une influence psycho-physiologique transmise de la mère à l'
enfant
qu'elle porte dans son sein. Il est possible qu'u
ue je croyais sage, quand j'ai appris que celle que j'aimais avait un
enfant
. J'ai rompu mes relations avec elle. Je pensais q
une nièce qui était encore en nourrice; et comme on lui présente deux
enfants
déjà grandis elle ne les reconnaît pas, assure qu
D'abord l'évof lution des aptitudes musicales que l'auteur suit de l'
enfant
et de l'ignorant, au simple amateur, à l'exécutan
rofesseur Marcellin Berthelot, p. 245. Dormir? [Combien de temps un
enfant
dolt-11), p. 237. Dormeuse de Thenelles, par Ch
rana, femme barbue et velue, âgée de 23 ans (1858). p. 72. Fig. 15. L'
enfant
de Julia Pastrana, p. 74. Fig. 16. Julla Pastra
plus fortes. On peut les cons- tater facilement lorsqu'on donne aux
enfants
des poids de différentes gran- deurs dans la ma
au cours des hémiplégies il existe chez les adultes, comme chez les
enfants
, des mouvements asso- ciés, mais Westphal, Onim
es extrémités existent chez les hémiplégiques, les hystériques, les
enfants
normaux et chez les adultes normaux. Ferré écri
intacte. Kônig (Daldorf) a observé les mouvements associés chez les
enfants
(1) MuLLER, Manuel de physiologie. Traduit de l
ation est aussi en grande partie fonction de l'âge du sujet. Chez les
enfants
et chez les adultes dans la force de l'âge, il
eur est morte à 54 ans d'un cancer de l'estomac. Marié, il a deux
enfants
bien portants. Né à terme, élevé au sein, il a
été bien réglée depuis l'age de 17 ans jusqu'à 62 ans. Elle a eu deux
enfants
bien portants; à 50 ans elle a eu beaucoup de p
son père à 87 ans, sa mère à 73 ans. Il était le troisième des cinq
enfants
de la famille : son frère a succombé dans l'enf
combé dans l'enfance, ses trois soeurs se marièrent, n'eurent pas d'
enfant
et moururent à un âge avancé (80 ans, 72 ans, 73
t de tumeur abdominale il y a vingt ans; il eut de son mariage deux
enfants
, nés a terme, tous deux : le premier, une fille,
n, bien constitué. servit dans l'artillerie, se maria et eul quatre
enfants
, mariés aussi et tous pères de famille. Histoir
papier, des malades des figures 2 et 6, est fort en usage chez les
enfants
qui jouent, de même que c'est un usage enfantin,
en avait un tout semblable dans une fête masquée, lorsqu'elle était
enfant
. La façon prouve une très grande superficialité
sthétique : ce sont les notes fondamentales du coloriage commun aux
enfants
,, aux sauvages, aux maniaques et aux déments pous
de St-Rémi. Au second rang de ce tympan (Pl. XV, E) on peut voir l'
enfant
Jésus, assis sur les genoux de sa mère et guéri
ies en question d'une manière très caractérisée» mais où les autres
enfants
des deux sexes n'avaient pas la tare dysostosiq
e les fontanelles et les sutures restent longtemps béantes chez les
enfants
dysostosiques et qu'on peut aussi rencontrer ch
quent, supposer de rachitisme le plus grand de ces espaces, chez un
enfant
de 7 ans, avait une longueur de 20 cm. et se co
à la région de la fontanelle postérieure. Exception faite pour les
enfants
au-dessous de 6 ans, j'ai relevé des observatio
supérieur à - 2o (cf. Fig. ci-dessous). Faute d'examens de crânes d'
enfants
et de foetus dysostosiques, on ne peut résoudre
on, si elle était exacte, serait extrêmement curieuse ; car, chez les
enfants
de cet âge, le sinus n'a guère normalement que
entre les deux frontaux que l'on rencontre si fréquemment chez les
enfants
. Un coup d'oeil jeté sur la planche XVII ci-joi
les adultes, où le prognathisme mental est plus accusé que chez les
enfants
. L'indice facial semble être le plus souvent ch
9 ans) n'avait à peu de chose près que les dimensions de celui d'un
enfant
de 7 à 8 ans. Le corps de l'os est, en général,
en surnombre. Certains de ces caractères sont plus accusés chez les
enfants
(par exem- ple défaut d'ossification de la voût
marié à 23 ans ; sa femme a fait deux fausses couches et a eu deux
enfants
à terme : l'un est mort à deux ans de convulsio
réditaires. On les ignore complètement, la malade appar- tenant aux
enfants
trouvés. Antécédents personnels. B., étant enco
comme une autre. Reste la question du sexe ; mais ceci est un jeu d'
enfant
: j'ai en ma jeunesse pas mal fréquenté les act
ts comme étant le commencement d'une sorte d'infirmité familiale. L'
enfant
grandit d'une façon normale, et l'on ne prêta pas
ambes, des orteils aux genoux, étaient toutes deux si enflées que l'
enfant
dut porter des bandages. Ils retenaient l'oedèm
ons pas pu savoir davantage. , Il mourut en 1854 à un âge avancé.
Enfants
de William Tucker, senior. DEUXIEME génération.
illiam Tucker, senior. DEUXIEME génération. William Tucker eut deux
enfants
, William et Hannah. Ce William était atteint de
ait épousé un Wherrell, et notre malade et un de ses descendants.
Enfants
de William Tucker, junior. TROISIÈME génération
ucker, junior. TROISIÈME génération. William Tucker junior eut deux
enfants
, Eliza et Alfred. Eliza avait les « jambes enfl
flées » avec des « attaques ». Elle se maria, mais elle n'eut pas d'
enfant
, et elle est morte en 1860 de la fièvre scarlat
e vivant, il est complètement indemne de l'enflure des jambes ; ses
enfants
le sont également, autant qu'il nous a été poss
autant qu'il nous a été possible de nous renseigner sur ce point.
Enfants
de Hannah Wherrell (née Tucker). Hannah Wherrel
ière dont il sait courir après ses vaches. 186 HOPE ET FRENCH Ses
enfants
, George, Thomas, Henry, Silas, Alfred, Bessie et
eau mentionnés un peu plus loin. Mary fut normale et elle a eu deux
enfants
normaux. Hunlsley fut elle-même normale, mais d
ux enfants normaux. Hunlsley fut elle-même normale, mais de ses six
enfants
, Ellen, Rose, Emma, et trois autres, l'une (Ell
ci-dessous). William n'eut pas d'oedème ; il mourut phtisique, sans
enfant
. Harriet eut dès sa jeunesse les~ « jambes enfl
» et les « attaques aiguës ». Elle mourut à sa première couche et l'
enfant
était mort-né. Lucy est normale et elle a un en
ère couche et l'enfant était mort-né. Lucy est normale et elle a un
enfant
normal. Enfants de Henry Wherrell. Quatrième
nfant était mort-né. Lucy est normale et elle a un enfant normal.
Enfants
de Henry Wherrell. Quatrième génération. George
a vie et qu'il est la risée de ses compagnons de travail. Il a deux
enfants
en bas âge ; ni l'un ni l'autre ne sont atteints
s elles passent assez vite. Henry fut normal. On ne sait s'il a des
enfants
. Silas n'a pas les « jambes enflées ». Il a eu
es. Elle se maria, se mit à boire, et mourut en 1901, laissant cinq
enfants
dont l'un, une fille, a déjà les « jambes enflées
r de plus grands détails les concernant. Ellen est normale. Les
enfants
de Mary Wherrell. Mary, fille d'Hannah Wherrell
s enfants de Mary Wherrell. Mary, fille d'Hannah Wherrell, eut deux
enfants
, tous deux libres du mal aux jambes. Les enfa
errell, eut deux enfants, tous deux libres du mal aux jambes. Les
enfants
de Hunsley Wherrell. Hunsley, fille de Hannah W
fants de Hunsley Wherrell. Hunsley, fille de Hannah Wherrell, eut 6
enfants
. De ceux-ci, Rose, Emily et trois autres sont t
vantes : Circonférences maxima : 190 HOPE ET FitENCII , - Les
enfants
de Georges Wherrell. Cinquième génération. Il y
Les enfants de Georges Wherrell. Cinquième génération. Il y a deux
enfants
qui jusqu'à maintenant ne présentent aucune ten
ntenant ne présentent aucune tendance aux « jambes enflées ». Les
enfants
de Thomas Wherrell. Thomas Wherrell a enfants e
mbes enflées ». Les enfants de Thomas Wherrell. Thomas Wherrell a
enfants
et 2 d'entre eux sont atteints de l'infir- mité
» survint du côté gauche le 18 juillet 1907. James, le plus jeune
enfant
, est normal jusqu'ici en ce qui regarde ses jam
rde ses jambes, mais il est sujet à des attaques d'épilepsie. Les
enfants
de Bessie. Bessie, fille de Thomas Wherrell, eu
e. Les enfants de Bessie. Bessie, fille de Thomas Wherrell, eut 5
enfants
. Ils sont tous en Egypte et nous n'avons pu les
e chez les autres membres de la famille qui ont été attaqués. Les
enfants
d'Ellen, fille de Hunsley Wherrell. Ellen a deu
ués. Les enfants d'Ellen, fille de Hunsley Wherrell. Ellen a deux
enfants
, deux garçons, l'un de 10 ans, l'autre de 18 mois
pourra peut-être plus tard, et la chose sera intéressante, voir les
enfants
d'Ellen ayant échappé à l'affection, donner nai
d'Ellen ayant échappé à l'affection, donner naissance un jour à des
enfants
qui en seront atteints. CONCLUSIONS La famill
inférieur à 20, la thyroïde est pathologique. 2° Histologie. Chez l'
enfant
la thyroïde est du type glandulaire avec lobula
dit. L'intelligence de ce myxoedémateux est, dit Régis, celle d'un
enfant
ordinaire chez qui elle se serait immobilisée,
intenses. L'état mental du myxoedémateux in- fantile est celui de l'
enfant
: crédule, insouciant, mais triste et apathique.
infantilisme thyroïdien non myxoedémateux. L'infantile vrai est un
enfant
par ses apparences extérieures comme par sa men
rieures comme par sa mentalité, dit M. Brissaud, seulement c'est un
enfant
âgé. Cet infantilisme, ajoute-t-il, n'a rien d'
ure, comme dans les trois ob- servations suivantes de L. Lévi. Un
enfant
de G ans n'avait aucune idée, aucune initiative.
inarticulés. L'opothérapie thyroïdienne transforma complètement ces
enfants
. 3. L'hypothyroïdie bénigne chronique ou syndro
ienne par empoisonnement, et de plus, arrêt de développement chez l'
enfant
. Dans le second groupe, la ressemblance de cert
une malade de Solbrig avait des impulsions irrésistibles à tuer ses
enfants
. Chez une autre malade, il y eut des impulsions à
xi-thyroïdienne. La thyroïde agit donc sur la vie psychique, chez l'
enfant
, par son insuffisance, en arrêtant le développe
Soc. de Pédiatrie, 16 avril 1901. Myxoedème et infantilisme chez un
enfant
de mère myxoedémateuse. Id. AussET. Du traiteme
sa jambe ma- lade ; d'autres fois la démarche ressemble à celle des
enfants
qui chevau- chent sur un balai (Oppenheim). A
s signes de marche paradoxale que je viens de décrire. Ici encore l'
enfant
inclinait son tronc sur la jambe malade et de p
aient «petite soeur »ou « sainte vierge». Cette femme n'ayant pas d'
enfants
, a désigné en mourant comme successeur un nommé P
e profit des hommes. Et en bandes de 2.000 environ, hommes, femmes,
enfants
, ils partirent vers le Sud à la fin de l'automn
nce acharnée qu'aug- mentait encore leur soif du martyre. Plusieurs
enfants
ont succombé pen- dant cette équipée. Ramenés
lade ( ? ). Mère morte à 37 ans après 8 jours de maladie. , Trois
enfants
: fille de 19 ans bien portante ; garçon de 9 ans
ul- sions durèrent jours et auraient été accompagnées de fièvre ; l'
enfant
t serait ensuite restée légèrement paralysée (
s, elle eut de nouvelles convulsions pendant 4 jours. En général, l'
enfant
est difficile, colère. Etat actuel à l'entrée.
al très bon. Intelligence peu déve- loppée ; caractère difficile. L'
enfant
marche en traînant légèrement la jambe droite ;
côté droit produit nettement la réaction du côté gauche. Lorsque l'
enfant
pleure ou rit, on constate l'exis- tence d'une
t, on constate l'exis- tence d'une légère parésie faciale droite. L'
enfant
subit une série de frictions à l'onguent napoli
plus tard. L'hémiplégie ne se modifie pas, elle demeure flasque, l'
enfant
marche en se tenant aux murs. - L'intelligenc
re, mais son caractère est devenu triste et inerte. En juin 1907, l'
enfant
est atteinte de broncho-pneumonie, est prise de
ons de méningite déjà signalées. C'est l'hémi- sphère cérébral d'un
enfant
de trois ans. Rien de notable également en ce q
es, Crocq s'est efforcé de montrer que si, chez l'animal, ou chez l'
enfant
nouveau-né, les centres réflexes sont médullair
de-pied gauche qui se tuméfia et devint douloureux, sans empêcher l'
enfant
de travailler la terre. 11 ne se pro- duisit, à
mbulant il gagna toujours assez pour bien nour- rir sa femme et ses
enfants
qui ne souffrirent jamais d'aucune privation. Il
rons cepen- dant que sa femme fit quatre fausses couches et que ses
enfants
présentent quelques stigmates suspects. Dans se
ppée. Régulière- ment réglée à 14 ans, elle se maria à 20 et eut un
enfant
à 8 mois qui mou- rut quelques jours après. Ell
ement normal. Olga, âgée de 10 ans, est une belle 300 ETTORE LEVI
enfant
, forte et saine ; haute de 120 centimètres, elle
te Marguerite ne se distinguait d'aucune façon à cet âge des autres
enfants
normaux. C'est depuis ce moment que les parents
intellectuelles. Le développement somatique était resté celui d'un
enfant
de 10 à 11 ans. Le 21 janvier 1907, Marguerite
caractères de celle d'une petite femme du peuple que de celle d'un
enfant
. Connaissances d'école. Elle a très bonne mémoi
tour des morts. A de telles questions elle sourit et répond que les
enfants
seulement croient à ces choses. ' 306 ETTORE LE
s aimées, Pour moi c'est une douleur de ne plus voir. Devoirs des
enfants
. Etre bien élevés, aimer les parents. Devoirs d
bien élevés, aimer les parents. Devoirs des parents. - Aimer leurs
enfants
, en avoir soin, les envoyer à l'école, les main
les choses à leur place, à châtier. Rome. - Une louve allaita deux
enfants
qui après se querellèrent et Ro- molo tua Remo
igente avec ce je ne sais quoi de triste qui est souvent propre aux
enfants
rachitiques. Le langage mimique est très riche
ux sont forts et drus. Le pénis est court et fin comme celui d'un
enfant
de 10 ans ; les testicules ne sont pas plus gro
ien de particulier. Sa femme aussi jouit d'une bonne santé ; des cinq
enfants
qu'il en eut, un mourut dans les premiers mois
- taire ; Fraentzel (1) a décrit une femme acromégalique,qui eut un
enfant
acromégalique ; Bonardi (2) a donné l'histoire
et les parents de haute stature ; dans un cas de Warda (5), un des
enfants
du malade accusait des signes évidents d'acromé
de bonnes conditions, sans qu'il ait été fait usage de forceps. L'
enfant
élevé en nourrice n'eut aucune maladie grave pend
causale. A l'école il apprit avec autant de facilité que les autres
enfants
: dès cette époque on remarquait la difformité
08. 350 PIERRE MERLE Il exerça plusieurs métiers actifs. Eut deux
enfants
dont trois sont morts en bas-âge. Pendant son â
préciser. Meltzer (1), dans un travail récent portant sur 20 cas d'
enfants
atteints de cécité et de crânes en tour, a-trou
upart des au- teurs, dans l'enfance. Vers 3 ans pour la plupart des
enfants
de Meltzel. qui faisaient à ce moment des troub
égétations adé- noïdes et 19 fois le nez fortement rétréci chez les
enfants
qu'il a étudiés. Les troubles de la vue et même
(1). « J'ai souvent rencontré des épaississements du crâne chez des
enfants
idiots et hydrocéphales et je ne crois pas invrai
. Décédée le 4 mars 1906. Rhumatisme articulaire à 15 ans. A eu 7
enfants
. En 1890 lors du premier accouchement, crises é
iocre. Mémoire défectueuse ; ne sait par exemple pas si son dernier
enfant
est vivant. Cependant passablement orientée sur s
son crayon dans l'encrier; d'autres fois blâmables comme celui de l'
enfant
qui met les doigts dans le nez ou se ronge les
sensiblement, nous avons pénétré dans le domaine de la névrose. Ces
enfants
qui se rongent les ongles et ces hommes qui s'eni
s singes et une peuplade sauvage signalée par Sir John Lubbock, les
enfants
, tout ce qui représente la na- DE LA PATHOGÉNIE
de l'existence des propriétés d'imitation de la matière vivante. L'
enfant
, cette ébauche de nature humaine, puisque ses f
à matière qu'elle ne reproduit rien dans le cas de surdité et que l'
enfant
est muet parce qu'il est sourd. La parole n'est
mécanique. Cette instabilité de caractère est à son apogée chez les
enfants
et chez les sauvages. Autres excitations, autres
la distingue des autres états considérés comme normaux. Certains
enfants
sont vifs et turbulents tandis que d'autres sont
istes. L'hé- rédité c'est-à-dire-la transmission par génération aux
enfants
des carac- tères de leurs parents tend à conser
n jardin ; près de cette dame, et lui donnant la main, est un jeune
enfant
vêtu d'une robe de drap d'or. Ces deux figures no
ragiques de trois femmes célèbres. « On y reconnaît Médée tuant ses
enfants
, Lucrèce se donnant volontairement la mort et P
la farouche épouse deJason ; il a suffi de déplacer un peu l'un des
enfants
de Médée pour lui faire figurer le nouveau-né, et
garçon de 35 ans, bien portant, aujourd'hui marié et père de quatre
enfants
robustes et normalement constitués. Quant à lui,
de ses mains, et exerce la profession de cantonnier. Le deuxième
enfant
est Pierre, notre malade. Le troisième est une
fièvre typhoïde dans son enfance. Elle est mariée et mère de trois
enfants
normaux, et en bonne santé. Le dernier enfant e
e et mère de trois enfants normaux, et en bonne santé. Le dernier
enfant
est une fille de 21 ans. Particularité remarquabl
Peu expansif, taciturne et inquiet, il fuyait la société des autres
enfants
et ne partageait pas leurs jeux. On ne le vit j
ns la suite. Il fut un jeune homme insociable comme il avait été un
enfant
réservé. On ne lui con- nut pas d'ami ; jamais
urent dans notre Précis de Psychiatrie. Le troisième est celui d'un
enfant
de neuf ans, fils de mère hystérique ayant eu t
Sa mère est bien portante. Il est le quatrième d'une famille de six
enfants
. Les frères et soeurs sont normalement constitués
le. C'est ainsi que l'observation de Gayet concerne une mère et son
enfant
atteints tous deux d'ectromélie longitudinale rad
tteints tous deux d'ectromélie longitudinale radiale bilatérale ; l'
enfant
reproduisait d'une manière frappante les malforma
rvé un homme atteint d'absence du radius et du pouce, qui, sur cinq
enfants
, en avait un seul normal, deux conformés absolu
s et des doigts cubitaux, dont la soeur, un des neveux et trois des
enfants
présentaient la même diiiormité (Annals of Surg
leux présentaient une constitution somatique semblable- à celle des
enfants
et peu après Hirtz mettait plus clairement en lum
matique est diffé- rente. Souvent dans ces cas il s'agit plutôt d'
enfants
embrionali que de vrais infantiles, mais nous v
e enfance. Le type Brissaud nous donne le type anthropologique de l'
enfant
, pen- dant que le type Lorain réalise plutôt l'
ans, observa que la grandeur de la main correspondait à celle d'un
enfant
de S il 6 ans ; l'examen radiogra- phique montr
raire un état d'ossification tout à fait correspondant à celui d'un
enfant
normal de 12 ans ; les mêmes faits furent vérifié
yphilis héréditaire, il est au contraire généralement admis que les
enfants
hérédo- syphilitiques souffrent du rachitisme a
i sont l'effet de la maladie, l'infantile de ce genre n'a rien d'un
enfant
. C'est un petit homme, mais c'est un homme ».
tant que cet étal persiste, la morphologie générale sera celle de l'
enfant
... » Eh bien, si cela est vrai, et nous l'admet
ILISME DU TYPE LORAIN 447 gisme avec Ausset d'infantilisme chez les
enfants
et avec Ferranini d'enfants embryonaux. Nous
sme avec Ausset d'infantilisme chez les enfants et avec Ferranini d'
enfants
embryonaux. Nous pouvons donc résumer et complé
e la mentalité pué- rile des infantiles en général : «Il s'agit d'
enfants
presque toujours apathiques, mais quelquefois ass
le plus strict du mot. Les sujets appartenant à ce groupe sont-des
enfants
mûrs et des adul- les pas du tout mûrs. En les
jets de ce groupe ont un psychisme en mi- niature ; ils sont moitié
enfants
et moitié adultes. M. Gaspero admet enfin des f
de Weygand, c'est-à-dire des types qui tiennent le milieu entre les
enfants
normaux et les imbéciles et que l'on trouve sur
sant : nous voyons devant nous des êtres qui somatiquement sont des
enfants
, et malgré nous très souvent nous oublions leur â
t nous oublions leur âge véritable, nous les interrogeons comme des
enfants
et jugeons en conséquence leurs réponses d'une
rry, Finkels- tein, ISsche2,ich, etc. Oppenheim a souvent vu' des
enfants
hérédo-syphilitiques avec un léger degré d'hydr
méd., 1901. Bmex. - La suggestibilité. Paris, 1900. Perceptions d'
enfants
. Revue philosopli., 1890. Société anat. de Pari
égale, jan. III, 1905. DREYFOus. De la méningite chronique chez les
enfants
et de ses rapports avec la syphilis héréditaire
ite il y a 22 ans, aurait actuellement 60 ans. Ses parents ont eu H
enfants
, dont 8 (4 garçons et 4 filles) sont encore viv
mois à une fièvre typhoïde. Virginie est la deuxième de ces onze
enfants
: son frère aîné est parmi les survivants. El
1NÏQUE D'UN CAS DE TABES ET DE PARALYSIE GÉNÉRALE 1 ., CHEZ UNE
ENFANT
DE J 5 ANS. . Par MM. BOURNEVILLE, LÉON-KINDB
uinze ans, dont l'observa- tion a déjà été en partie publiée. Cette
enfant
, qui à ce moment était dans le service de M. Bo
Il contracta la syphilis en 1894. deux ans après la naissance de l'
enfant
. Il se soigna fort peu (liqueur de Van Swieten
occupations. 476 BOURNEVILLE, LÉON-KINDBERG ET CH. RICHET FILS L'
enfant
avait donc deux ans quand ses parents devinrent s
. Probablement il s'est installé depuis déjà quelque temps. Cette
enfant
tabétique est également atteinte de paralysie gén
tement après les crises convulsives, sont réduits au minimum. 1 L'
enfant
est calme, raisonne bien, lit et écrit volontiers
aisonne bien, lit et écrit volontiers. La mémoire est' conservée, l'
enfant
ne fait pas d'erreur dans ses opérations. A cer
aie de fuir. Somme toute, à ce moment, le diagnostic est évident. L'
enfant
est atteinte de tabes et de paralysie générale.
très léger en juillet 1907, faisait défaut quand nous examinâmes l'
enfant
l'année suivante. Il n'y eut ni troubles de la
ie générale con- tinua à évoluer. Le développement somatique de l'
enfant
, noté comme suffisant quand il fut présenté à l
l fut présenté à la Société de Pédiatrie, nous a semblé retardé ; l'
enfant
, en effet, pas plus à l'hôpital Trousseau qu'à
apparaît. Aussi l'écriture est-elle hésitante et tremblotante, et l'
enfant
écrivant fré- quemment deux fois la même phrase
ins depuis que nous l'avons observée. Le caractère reste le même, l'
enfant
est mythomane et plutôt méchante, mais sans exc
et et par Dupré, elle est relativement rare chez l'adulte et chez l'
enfant
elle n'a encore,croyons- nous, jamais été renco
n'a encore,croyons- nous, jamais été rencontrée. Le 7 juillet, l'
enfant
fait une crise convulsive à type jacksonnien, pui
rent, et à la suite de crises plus violentes que les précédentes, l'
enfant
mourut le 31 août. A l'autopsie, on constata de
bord c'est la rareté du cas. La paralysie générale n'est pas chez l'
enfant
exceptionnelle, tant s'en faut. Le nombre des obs
imér. Mais tabès et paralysie générale associés sont rares chez les
enfants
. 1 Nous n'avons retrouvé que quatre cas : un de
onc presque la valeur d'une expérience et montre que la moelle de l'
enfant
peut mieux résister que celle de l'adulte à l'inf
tif de tabétiques et de paralytiques géné- raux, parmi les nombreux
enfants
atteints de syphilis héréditaire ou ac- quise,
llo-clinique d'un cas de ta- hes et de paralysie générale chez un
enfant
de 15 ans (1 pl.),415. Brissaud et Gy. Un cas d
, BOURJOEVII.LE et Richet fils. Tabès et paralysie générale chez un
enfant
de 15 ans (1 pl.), 475. KLEYMAN. Les douchobo
uels (1 pl.), par Merle, 349. Paralysie générale et tabes chez un
enfant
de 15 ans (1 pl.), par Bulrneville, Kmn- senc
nkylosant et-), par ODDO, 27S. fabes et paralysie yénéralechez un
enfant
de 15an ? élude allaLomo clinique (1 pl.), par
gnel-Lavastine), XXI à XXIII. Tabes et paralysie générale chez un
enfant
(BOUa\EV1LLE, Kindberg el BICIIE1'), LXX. Tro
ction de l'acide chromique, nous nous procurâmes une moelle saine d'
enfant
de onze ans et après l'avoir durcie dans l'alco
et des bras, qui se manifestaient surtout dans les moments où cette
enfant
s'exerçait à écrire, écartaient brus- quement s
idement sa maladie. Il est vrai que Mmo de D..., n'ayant point eu d'
enfant
s'est trouvée privée des chances favo- rables q
x. Elle a perdu une fille de tuberculose pulmonaire ; quatre autres
enfants
sont morts jeunes ; trois sont encore bien port
: le père n'accuse aucun antécédent parti- culier ; la mère est une
enfant
naturelle et n'a pas connu son père ; elle-même
r une situation, qui devint normale avant la fin de la grossesse. L'
enfant
vint à terme, et, dans les années suivantes, la
teur et possède une fortune qui le met à mémo de faire donner à son
enfant
tous les soins désirables. Celui-ci est normale
e grande frayeur. A partir de ce moment, la mère remarqua que son
enfant
exécutait fréquemment des mouvements inusités et
dant le sommeil. La croissance se faisait régulièrement, bien que l'
enfant
restât toujours un peu petit, quoique issu de p
it médicamenteux, soit hygié- niques, le séjour à la campagne, où l'
enfant
a passé huit mois 32 CLINIQUE NERVEUSE. consé
torsions que nous avons décrites, sur la bonne santé générale de l'
enfant
qui grandit beaucoup en ce moment, et est parfai-
assez atténuée ; la mère nous apprend alors que, vers l'époque où l'
enfant
commença à prononcer son mot ordurier, il devin
e traitement électrothérapique : il s'est arrêté un jour devant des
enfants
de son âge qui jouaient aux billes, et ceux-ci,
'elle vient tou- jours à pied à l'hospice ; car, dans un omnibus, l'
enfant
a provoqué une fois un véritable scandale. Il e
e. Pendant le mois de septembre 188'N, les parents ramenè- rent l'
enfant
au Havre. Celui-ci paraît ne pas s'être mal trouv
articulier. La mère, grande, blonde, apa- thique, perdit en 1868 un
enfant
d'une affection aiguë qui dura seulement quatre
rs, jouait à la petite fille, etc. Elle s'est rétablie peu à peu. L'
enfant
qu'elle mit au monde en 1878) quoique assez ché
néralisèrent, ils envahirent les bras, les jambes des deux côtés, l'
enfant
faisait des contorsions bizarres, pliait les ge-
. Charcot. Nous voyons Ch... au Havre. le 12 juillet 188t. C'est un
enfant
assez grand pour son âge, pâle et anémique, qui
portants. J..., nous dit le père, a toujours été nerveux, c'est un
enfant
doux ordinairement, mais très impressionnable e
rès leur changement de domicile (ils habitaient alors la Vendée), l'
enfant
commença à faire quelques grimaces ; celles-ci
me s'il avait eu à ramasser quelque chose. A plusieurs reprises l'
enfant
, chez lequel tous les traitements avaient échou
ez son grand-père, où nous le voyons le 20 juillet l881. C'est un
enfant
bien développé, normalement conformé, intellige
s qu'il entendait prononcer , ni des mots orduriers. 27 juillet. -L'
enfant
eut une angine couenneuse pendant l'automne de
n six ou sept ans, un cli- gnement d'yeux, il l'avait emprunté à un
enfant
que nous voyions souvent en Vendée, et j'entend
out à fait débarrassé. » Au mois d'octobre 1884., le père amène son
enfant
en consul- tation chez M. Charcot, qui confirme
un mouvement régulier, engouffrant tout ce qu'on lui présentait. L'
enfant
regarda un moment ce spectacle avec étonnement,
nt que pour la précédente. Guérison en deux mois. Observation VI.
Enfant
de douze ans. Antécédents épilep- tiques hérédi
tés avec quelques détails : Observation VII. Le premier concerne un
enfant
de douze ans, atteint depuis quatre a cinq anné
te d'une peur et à six ans après une chute, un accès d'épilepsie. L'
enfant
n'a pas d'antécédents héréditaires; il est inte
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Sur le phénomène'du genou chez les
enfants
; par Pelizoeus. (Arch. f. Psych., XIV, 2.) De
le 10 juillet 1880. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 59 778, un seul
enfant
ne présentait pas le phénomène du genou, sur un
ur de quatre autres démontrait le retour du même phénomène. Un seul
enfant
en était privé d'une façon continue; il s'agiss
étaient aussi exactes que ses terreurs étaient légitimes : tuteur d'
enfants
orphelins, il avait détourné et dissipé la fortun
Elle dit actuellement qu'elle est mariée depuis quatre ans, que son
enfant
en a seize ; elle ne sait ni où elle est, ni où
e ; il en résulte qu'un critérium basé sur les premiers succès d'un
enfant
pour choisir des sujets d'avenir n'aboutirait qu'
de collège, ne seraient donc plus une preuve de l'intelligence des
enfants
. Les races inférieures présentent une précocité
ité intellectuelle remarquable : à Sidney, llelhourn, Victoria, les
enfants
anglais paraissent au début moins intelligents
les enfants anglais paraissent au début moins intelligents que les
enfants
malaisiens et australiens. La sélection sociale e
ptomatique d'un catarrhe utérin. A l'automne de 1883, la perte d'un
enfant
(diphthérie) la déprime au point qu'elle ne dort
ès d'épilepsie transformés (troubles psychiques) avaient devant des
enfants
découvert leurs parties génitales; l'instruction
mme convenablement vêtu ; à l'entrée de ce village, il trouve trois
enfants
qui jouent dont une fillette. Il marche à cette d
i enfonce un doigt dans les parties génitales tandis que les autres
enfants
s'enfuient, repose à terre la fillette qui se m
non aliénés, d'institutions adaptées à l'éducation pédagogique des
enfants
épileptiques. Mais, comme la province ne peut m
ofesseur d'obstétrique et de pathologie spéciale de la femme et des
enfants
à l'Ecole de médine de Valence. » Pour le D'Cam
ns d'orientation); 3° influence de l'état de l'intelligence (jeunes
enfants
, maladies du cerveau). -D'après les résultats qu'
une que son mari. Ni frère, ni soeur. De ce mariage sont nés sept
enfants
: 1° une fille morte à trente-deux ans, poitrin
: Obs. IX. 1 fois à 16 ans : Obs. II. Beard nous dit avoir vu des
enfants
de quatre à sept ans qui étaient atteints du Ju
Sous l'influence de je ne sais quel trouble de l'inner- vation, cet
enfant
était pris de mouvements bizarres, de contracti
ns pour témoins les parents qui ont scrupuleuse- ment observé leurs
enfants
, mais encore, tous nos ma- lades nous ont dit,
nt presque toujours entre sept et dix ans, il est évident que les
enfants
de cet âge ne peuvent, à l'instar de personnes
tah des plus corsés. Il berçait un jour, sur le pont du navire, son
enfant
dans ses bras, lorsque survint un matelot qui s
re rouler sur la toile, ce que fit immédia- tement le cook avec son
enfant
. Le matelot, lâchant alors la toile, laissa ret
âgés, alors qu'ils nous disent qu'elle peut débuter chez les jeunes
enfants
, nous engage à conclure dans le sens même qui s
e c'est là un déplorable compagnon; lorsqu'elle sur- vient chez des
enfants
, elle leur donne des habitudes de paresse, et e
otre affection a débuté, ce qui est le cas le plus fréquent chez un
enfant
. Cependant, un observa- teur attentif ne s'y tr
un mort jeune, on ne sait de quoi ; l'autre, en bonne santé, a deux
enfants
ceux-ci, n'ont jamais eu de convulsions. Cinq s
s de cause inconnue; les autres sont bien por- tantes ; une a eu un
enfant
qui n'a pas eu de convulsions. Pas d'aliénés, e
u de convulsions. Pas d'aliénés, etc.] Pas de consanguinité. Huit
enfants
: 1° garçon, quinze ans, bien portant, intelligen
failli l'enlever. Sous le coup de cette peur, elle sentit remuer l'
enfant
pour la première fois; à partir de ce moment, d
squ'à un an (pas de convulsions), a marché à vingt mois (les autres
enfants
ont marché au plus tard à qua- torze ou quinze
torze ou quinze mois); il a parlé à quatre ans mais mal (les autres
enfants
ont parlé vers dix-huit mois, et à deux ans, ils
ur en marchant tenu à la main par son père, celui-ci sentit que l'
enfant
serrait plus fortement, et s'arrêtait; il vit sa
arents se sont alors décidés à le pla- cer. Mené à la préfecture, l'
enfant
a beaucoup pleuré; il a même sangloté quand il
n'aurait plus de vertiges. Les accès sont diurnes et nocturnes. L'
enfant
est très caressant, très affectueux pour ses pare
tés, mais plus à gauche. L'intelligence est en partie conservée ; l'
enfant
connaît la date du jour, le nom du mois, son â;
s prononcée. Pasde stertor, pasd'écume (ou parfois légère écume). L'
enfant
revient de suite à lui, sourit; mic- tion invol
6 6 minutes). Parfois, il pleure après ses accès. 4880. 2G avril. L'
enfant
a eu dans la nuit du 24 au 25, 13 accès; dans l
de 8 heures à 10 heures et demie, pas d'accès. T. R. matin, 39°. L'
enfant
est éveillé, P. 96. Pas de vomissements, langue h
2 décembre. Quelques petites adénites cervicales. 't3 décembre. L'
enfant
est obéissant, très joueur; n'est pas méchant;
ion du bromure de potassium. 16 mai. Hydrothérapie. 26 octobre. L'
enfant
a, depuis le commencement du mois d'août, une p
e. S ! tppt'css ! 'OH du traitement hydrothérapique. 13 décembre. L'
enfant
ne fait plus de progrès à l'école; il est deven
vite palpébrale double. 12 décembre. A la suite d'accès nombreux, l'
enfant
présente une hémiplégie droite incomplète; l'ép
nt dans un puits; il était atteint du délire de la persécution (ses
enfants
sont morts les uns de la poi- trine, une avait
s'adonnent à des pratiques religieuses exagérées; elles n'ont pas d'
enfants
, on ne peut donner d'autres détails sur elles.
res renseignements sur ma famille.] - Pas de con- sanguinité. Six
enfants
dont quatre du père du malade : 10 notre malade ;
il avait une taie ( ? ) sur l'oeil à la nais- sauce, de même que l'
enfant
précédent; après la naissance de ce troisième e
de même que l'enfant précédent; après la naissance de ce troisième
enfant
, le père ayant déjà été enfermé à l'asile de Mo
ns dans le cours d'une fièvre typhoïde à sept ans. D'un amant, deux
enfants
: 5" garçon, sept ans, bien portant, pas de con
14 f1. THÉRAPEUTIQUE. Notre malade. - A la conception, le père de l'
enfant
était déjà malade, et buvait beaucoup; c'est ét
tait déjà malade, et buvait beaucoup; c'est étant ivre que tous les
enfants
ont été conçus ; c'est surtout dans cet état qu
; la tête est lestée assez longtemps au passage. A la naissance, l'
enfant
était cyanose; on l'a frictionné et ce neserait
a desqua- mation, et étant le siège de démangeaisons assez vives; l'
enfant
ne peut préciser la date de leur apparition. Le
accès. Pas d'aura. Sans cri ou à la suite d'un petit gémissement, l'
enfant
se renverse lentement dans son 1 Examen des org
bout d'une minute environ, la tête revient de gauche à droite, l'
enfant
regarde avec étonnement autour de lui. On croit t
s, puis le ttcrlor cesse. Pendant la dernière période de l'accès, l'
enfant
est très congestionné et sue abondamment. Hébét
1882. 5 i ? 2ai. - Légère amygdalite pultacée à droite. Il ii2ai. L'
enfant
est à l'infirmerie depuis deux jouis en série d
, les pupilles modérément et également dilatées ; mutisme absolu. L'
enfant
qui ordinairement parle et comprend très bien,
té impossible de prendre la température à cause de l'agitation de l'
enfant
: il a mordu et cherché à frapper les personnes
4 znui. T. R. 380. Soir : T. Il. 38°. 15 mai. T. R. 31°, G.-Ilier l'
enfant
était agité, proférait des menaces, injuriait,
raitement par les injections hypodermiques de curare. 8 murs. - L'
enfant
déclare spontanément qu'il a maintenant plus de
brûlante; il urine involontairement et abondamment sous lui; ' Les
enfants
agités sont laissés confondus dans un dortoir de
lle de réunion aux gâteux, etc. DU CURARE DANS L'ÉPILEPSIE. 219 l'
enfant
n'est pas encore revenu à lui. Excitation maniaqu
eu d'incohérence ce matin. Bain de trois quarts d heure. Octobre. L'
enfant
est mis en apprentissage à l'atelier du tailleur.
ontinué depuis à se masturber ; il prétend ne pouvoir se retenir. L'
enfant
raconte encore qu'il embrassait les organes gén
oir : T. R. 38°, 8. t0 jtt»viet ? T. R. 38°, 6.-Soir : T. R. 38°. L'
enfant
va mieux, bien qu'il soit un peu agité. 21 fé
ium. Décembre. Les notes du tailleur et de l'école sont bonnes; l'
enfant
fait des progrès; la mémoire serait redevenue bon
re. Les accès s'étant un peu éloignés en 188,1, on a remarqué que l'
enfant
paraissait recouvrer ce qu'il avait perdu au po
tude symptomatique d'un fait très intéressant, caractérisé, chez un
enfant
de huit ans, par du strabisme interne de toit d
lenmeyerconclut à l'ataxie héréditaire2, à raison de l'âge auquel l'
enfant
a été atteint (cinq ans), à raison de la consan
ants, de la profession du père, de l'âge des parents au moment où l'
enfant
est venu au monde, de la consanguinité, des tar
e grande confiance en son talent personnel. L'histoire montre que l'
enfant
sut développer, dans l'espèce, beaucoup d'intelli
a tête du premier qui entrera et finit par mettre dans le poêle son
enfant
âgé de trois ans. Le jury rendit une ordonnance d
questions d'intérêt, elle est obligée de vivre seule séparée de ses
enfants
. Deux mois après, elle est méconnaissable, tant
écouvrir. M-11 X ? sur notre conseil, passe deux mois auprès de ses
enfants
; aucune amélioration. A son retour, les traits
ts que l'on a envers eux. Ils sont, sous ce rapport, semblables aux
enfants
qui déjà distinguent et apprécient le mal qu'on l
moire sur les localisations sensorielles dans l'écorce cérébrale.
Enfants
, idiots. Des développements apportés durant les
marié depuis quelques années à une femme bien portante, n'eut pas d'
enfants
. Au contraire, un homme sain, marié à une femme
s. Au contraire, un homme sain, marié à une femme idiote, eut trois
enfants
, dont deux furentidiots. Ces cas confirment le
et que la plupart du temps les idiots sont incapables de faire des
enfants
. Dans les cas de conception, lorsque la femme est
(1879) : Traction du nerf sciatique à l'émergence du tronc chez un
enfant
de sept ans ( ! ) pris de tétanos après s'être
ongation du nerf sciatique; mort vingt heures après. Omboni2 : Un
enfant
de sept ans se blesse vivement au pied. Téta- n
cette opération. Simon R. M. 7 (1882) : Paralysie infantile chez un
enfant
de cinq i Berridge. The 13z·it. zned. Journ. 1S
fët'e, morte vers vingt-huit ans, on ne sait de quoi; laissant cinq
enfants
. Grand-père paternel, mort à quatre-vingts ans.
n an après l'accident, il est mort de la poitrine, il n'avait pas d'
enfants
. La soeur est morte du choléra en 1819, laissan
ne. Un frère est mort du choléra en 1865, ainsi que sa femme et son
enfant
. Une soetii- est sujette à des douleurs d'estom
bien portante. Pas d'aliénés, etc. Pas de consan- guinité. Trois
enfants
: 4° notre malade; 2o fille morte à sept ans d'un
apprenait rien; il se mettait eu colère, se battait avec les autres
enfants
, et les dérangeait. Ses maîtres ont déclaré qu'il
és, car ils verront là un exemple d'accidents très communs chez les
enfants
, encore trop peu connus, et dont l'intérêt prat
une augmentation notable des vertiges. On remarquera que, chez cet
enfant
, tous les nombreux traitements mis en usage ont
le mécanisme et la durée de leur action. Nous noterons aussi que l'
enfant
soumis aux douches après la suppression du trai
alescence très lente. Elle se maria à vingt-cinq ans, et eut quatre
enfants
. Les grossesses et les couches furent normales
hez lui; il est soupçonneux-, il a la vanité du mal. C'est un grand
enfant
, avec le front bas, mal conformé, étroit au plu
hystériques. M. Legrand du SAULLE communique huit observations d'
enfants
devenus épileptiques après avoir vu le cadavre
thique héréditaire, laborieux, marié depuis six ans, ayant trois
enfants
sains et vivant dans des conditions sociales asse
dans ce concert, quand ce ne serait que de soigner et de garder les
enfants
de la maison ; beaucoup s'identifient avec ces
rire avec eux; un malade, par exemple, refusa de manger tant que l'
enfant
pour lequel il avait conçu une vive affection d
ition un professeur supplémentaire. Cette prévision existe pour les
enfants
épileptiques. Le temps est trop avancé pour qu'
thique, bizarrerie pendant l'enfance, ménage malheureux, a eu trois
enfants
. En 1868, séjour de quatre mois à la maison de
-trois ans; tare hérédi- taire ; mariée en 4860, met au monde trois
enfants
; perd, en 1868, son mari beaucoup plus âgé qu'e
gitation maniaque, puis union scandaleuse avec le précepteur de ses
enfants
, fuite avec lui. On l'amène à Goerlitz en 1872,
ement galvanique. Un plongeon inattendu dans l'eau froide cause à l'
enfant
à ce moment une si violente terreur qu'il faut
'existence d'avortements, de fausses couches,' et la mort précoce d'
enfants
. Dans neuf observations, l'infection primitive
sait d'individus (hommes ou femmes) mariés, 4 femmes avaient eu des
enfants
sains, 4 n'en avaient pas, 3 avaient avorté; en
6 d'entre eux avaient, peu de temps après l'infection, procréé des
enfants
sains; un était probablement syphilitique, car de
, fournissaient des anamnestiques certains, 10 avaient eu plusieurs
enfants
sains, sans aucun avortement, 3 pouvaient être
s forment des bourrelets saillants très nets, si bien que souvent l'
enfant
présente la rigidité d'un bâton. Cette raideur
congénitale spasmodique des membres décrite par Rupprecht chez les
enfants
idiots dont l'encéphale est lésé devrait être r
travaux de Ross sur l'hémiplégie et la paraplégie spasmodique, des
enfants
qui sont atteints d'une lésion pathologique du
e enjeu successivement et sans danger tous les muscles du corps des
enfants
idiots, gâteux et semi-paralytiques. On sait co
t combien il est difficile de fixer l'attention delà plupart de ces
enfants
, et combien ils sont inhabiles à se servir de leu
a marche, du saut, etc. Une fois ces premier-, résultats acquis ces
enfants
passent au grand gymnase, où on complète l'assou-
patrie, la patrie épuisée de tant de convulsions qui demande à ses
enfants
de la stabilité, de l'ordre et du repos ! 1 Tou
veuses. L'an dernier, elle a publié un opuscule sur l'Education des
enfants
abandonnés en Angleterre. Tentative d'assassina
(contribution à la patho- logie de l'), par lVitl : owsl : y, 59.
Enfants
(ataxie chez les), 252; (troubles de coordinati
n du sens), par Tarnowsky, 272. Genou (phénomène dit - chez les
enfants
), par Pehtzoeus, 58; - (disparition du phénomèn
couleur bleue; les chrétiens vouent bien jusqu'à un certain Age leurs
enfants
au bleu et au blanc. En Chine la couleur jaune es
cotre. mais nous ne sommes pas arrivé à connaître sa maladie. De neuf
enfants
, notre malade seul et une lillc ont survécu; tous
et avec soin, tout ce qui se chantoit. » 11 avait composé pour les
enfants
un recueil des maximes les plue importantes tirée
isation de son école du Cïiesnai. t L'on tachait, dit-il, parlant des
enfants
, d'affermir dans leurs cœurs les mépris du monde.
rande Messe de la Paroisse, car il faut accoutumer de bonne heure les
enfants
de qualité h se soumettre à l'ordre qui a été éta
us pour la piété que pour les sciences, on ne pressoit pas si forties
enfants
pour les études, dont on leur donnoît cependant d
Elle lisait encore les ouvrages cités au sujet du Réglement pour les
enfants
de Port-Royal./page> page n="26"> JURIS
attribué qu'aux esprits mal intentionnés s'opposant à la sortie de l'
enfant
. Un prêtre taoïste est dans ce cas requis pour pr
la présence à la séance de M.le D'de Peters, médecin de l'hôpital des
enfants
de Saint-Pétersbourg et de M. Melcot, avocat géné
;/.. L'incontinence nocturne d'urine n'est certes pas rare chez les
enfants
; d'ordinaire, elle se montre assez rebelle ; par
naire j'endors mes malades, puis je cause avec les parents. Or, cet
enfant
a dû se lever tôt le matin pour venir à Paris : l
persuasif. Au bout d'une heure de suggestion intensive je réveille l'
enfant
. A la suite de cette visite, ic dit instituteur
cevoir une lettre par laquelle on m'apprend que, depuis trois mois, l'
enfant
n'est pas retombé une seule fois dans sa mauvaise
jours, une récidive survint. Alors, je demanderais qu'on me ramenât l'
enfant
et je reviendrais à la charge. Je conseillerais m
également employée par les médecins pour guérir les maux de gorge des
enfants
. Nos paysans poitevins emploient encore un collie
ns emploient encore un collier de toile rempli de ces anneaux. Si l'
enfant
a des vers, on lui fera manger cuit le premier ve
es endroits, au lieu de cette pratique dégoûtante, on fait porter à l'
enfant
du fil filé par une vierge ! ! Plusieurs remède
ésultat ce qui est la cause ou l'accessoire. — Netir^pas les petits
enfants
par le ne%(3),ils deviendraient punais. On sait
r le ne%(3),ils deviendraient punais. On sait qu'on trouve chez les
enfants
atteints d'ozène, une conformation particulière d
la campagne avaient remarqué, eux aussi sans doute, que le nez de ces
enfants
était déformé. De là à conclure qu'on leur avait
c. cit./page> page n="59"> — Les femmes qui accouchent d'un
enfant
bête souffrent beaucoup. Si la chose est vrai, et
caractérisent le réveil et l'époque prémorphéique du réveil. 7° Les
enfants
en bas âge et qui ont toujours un sommeil comateu
e la dégénérescence, h l'emploi de la suggestion pour l'éducation des
enfants
vicieux, qui ne sont, eux aussi, que des dégénéré
ats soient obtenus. D'ailleurs, la pratique de la suggestion chez les
enfants
diffère peu le plus souvent de la pratique douce
la maison sont les amants de sa femme ; il espionne et voit dans ses
enfants
même l'œuvre de la trahison de sa femme. Le parfu
itait, et il ne pouvait souffrir les caresses qu'elle recevait de ses
enfants
. Son intelligence était affaiblie ; sa sensibil
Beurrier, curé de St-Etienne-du-Mont, qui disait de lui : ? C'est un
enfant
: il est humble, il est soumis comme un enfant »
it de lui : ? C'est un enfant : il est humble, il est soumis comme un
enfant
» U prononça au cours do celte maladie, ces fameu
, ma! constituée et fréquemment malade, ne se mariât point. Un de ses
enfants
mourut en bas âge. Un autre naquit contrefait. Un
ait vécu lui-même plusieurs années pour surveiller l'éducation de ses
enfants
, était morte comme lui de mort subite, le 25 avri
thématiques, n'avait en revanche les qualités du métaphysicien. Etant
enfant
, il comprenait bien que Dieu n'eut pas de fin, ma
s qui sont dans le ciel le voient tel qu'il est, et le connaissent, l'
enfant
précoce eût un joli mot. « Voilà une grande récom
u, chose plus grave, son oncle Biaise pour maître, ce fût le seul des
enfants
de Gilberte qui sut résister un peu aux suggestio
quelle bonne nouvelle m'apprenez-vous ! » . Louis, qui avait été un
enfant
enjoué et bouffon, et qui à sept ans savait à pei
res d'autres victimes, la première que ses élèves, la seconde que ses
enfants
. Mais l'action d'un Biaise Pascal ne finit point
tique. Quand on apprendra l'hierologie et la morale rationnelle aux
enfants
au lieu de leur inculper une religion hasardeuse
sur la proposition du D' Bérillon: a La question de l'éducation des
enfants
vicieux peut-elle être résolue/page> page n=
on sur les applications de la suggestion hypnotique au traitement des
enfants
vicieux ou nerveux. La Revue de l'Hypnotisme se
de l'enfance; rien a noter dans son ascendance pas plus que chez ses
enfants
. Le sujet est de taille moyenne, bien musclé, san
rocailleux, la monture glissa tout à coup sur une dalle de schiste, l'
enfant
désarçonné fut précipité et piétiné plusieurs foi
ns, mais B..., qui avait vu se dérouler toute la scène, avait cru son
enfant
tué, et tout en courant lui porter secours il épr
anvre manœuvraient dans la grange voisine : les vagissements du petit
enfant
furent couverts par la voix chevrotante du fer qu
lus civilisé, qu'Usera toujours homme. » VARIÉTÉS Le sommeil de l'
enfant
. par M. le D' E. Pëiuek. Directeur île» ¦ Annul
ses adhérents sur un certain nombre de sujets relatifs ù la santé des
enfants
, a adressé à un certain nombre de médecins, un qu
à un certain nombre de médecins, un questionnaire sur le sommeil de l'
enfant
. ï.e D' Périer a fait aux questions posées les ré
de nos lecteurs : Combien d'heures de sommeil faut-il par jour à un
enfant
par rapport à un adulte ? En vérité, nous ne sa
mmeil dans son essence physiologique ; mais ce que nous voyons chez l'
enfant
nais-/page> page n="119"> sanlquin'a pa
philosophe anglais Locke, cl qu'il est plus indispensable encore ? l'
enfant
qu'à l'homme fait. Cbez lui cn effet, les mutatio
e, à construire son édifice organique. Nous savons, en effet, que cet
enfant
qui vient de naître va doubler son poids en cinq
met que jusque vers la troisième ou la quatrième semaine de la vie, l'
enfant
ne reste guère éveillé en dehors du temps indispe
veillé, s'il est en plein jour. Vers la fin de la première année, l'
enfant
, outre 10 à 12 heures de sommeil de nuit, dort de
(il fail le tour du cadran) et plus profond, surtout s'il s'agit d'un
enfant
fort et vigoureux, se nourrissant bien et se déve
est que mouvement. Dans la seconde enfance, jusqu'à 6 ou 7 ans, mes
enfants
en l'étal de santé dormaient à partir de 8 à 9 he
, et c'est à peu près le régime de nos lycées et collèges. (Juand les
enfants
se lèvent, de parle règlement; ù 6 heures, ils se
tle pour la vie » n'empiètent pas sur ce strict nécessaire. * Les
enfants
nerveux ont-Us besoin de plus de sommeil que les
fants nerveux ont-Us besoin de plus de sommeil que les autres ? Les
enfants
vifs, pétulants, dépensent beaucoup plus de leur
nts vifs, pétulants, dépensent beaucoup plus de leur activité que les
enfants
mous, et ont besoin de renouveler sans cesse leur
nerveuse se prêlanl moins bien a condenser la force ; par contre, les
enfants
mous, apathiques, ont aussi beaucoup besoin de so
tant il est vrai que souvent les extrêmes se touchent. La nature de l'
enfant
auquel on ne donne pas le sommeil qui lui est néc
ois naturelles que nous subissons sans les expliquer. Evitons à nos
enfants
la soirée pendant laquelle ils se fatiguent sans
quand la conversation commence à languir, quese manifestent chez les
enfants
d'abord, puis chez les parents, la lourdeur de la
les bâillements et autres signes avant-coureurs du sommeil. EnGn l'
enfant
qui est matinal comme le paysan doit se coucher t
sanle. S'il s'agit de déterminer l'heure du coucher, —disons pour l'
enfant
, aussitôt après son dîner, qui moins compliqué qu
mnie appelle l'insomnie. r 'Pourquoi est-il mauvais de bercer les
enfants
, de les faire dormir dans une chambre éclairée, d
es personnes âgées ? La pratique du berçage est sans utilité pour l'
enfant
, et elle n'est pas sans inconvénients. En etict,
nnie parfois. J'en appelle aux mères qui l'ont laissé prendre u leurs
enfants
. À cet uge, la meilleure habitude, c'est de n'en
alcooliques. Je pourrais citer entre autres l'exemple suggestif d'un
enfant
nouveau-nô qui avait perdu le sommeil sans être c
i rare en Angleterre, où on vend des spécialités destinées h calmer l'
enfant
: lisez à l'empoisonner par l'opium. Dans la se
du berçage sont remplacés par uu autre qu'il convient de signaler : l'
enfant
dont l'intelligence s'ouvre, écoule volontiers un
Ceci est certainement aussi antihygiénique que de faire dormir les
enfants
avec des personnes âgées, si celles-ci oui des ha
s ne sout pas bruyantes, ù la condition toutefois que la chambre de l'
enfant
ait un cube d'air suffisant et que l'oxygène qui
e heures qu'il reste dans la pièce ne lui soit pas ravi. Toutefois, l'
enfant
ne dort bien que seul dans son lit, et tous les m
une grand'mère. • * 'Pourquoi est-il mauvais de faire dormir les
enfants
dans une chambre éclairée? La lumière électrique
mme milieu chimique ; aussi la vie devient-elle languissante chez les
enfants
quand elle ne trouve pas la quantité de cet excit
e. L'étiolemcnt, l'anémie, la bouffissure caractérisent souvent 1rs
enfants
vivant dans des appartements sans soleil. Les fle
met le feu à la maison, pas de combustion qui absorbe l'oxygène c!c l'
enfant
. C'est un progrès à ce point de vue; mais, d'une
="124"> au sommeil. Il suffit parfois d'approcher une lampe d'un
enfant
qui dort pour l'éveiller, et il y a des cas d'ins
re. Aussi nous conseillons de faire l'obscurité dans lu 'chambre de l'
enfant
; maïs dès qu'on a besoin d'y avoir de la lumière,
atténué. C'est aussi colle qui convient le mieux a la chambre de l'
enfant
déjà livré à ïa scolarité, et qui doit travailler
manière involontaire et même Inconsciente. Ou sait déjà combien les
enfants
sont disposés à reconnaître comme vrai un fait qu
armi ses nombreux travaux nous devons citer: De l'insomnie chez les
enfants
, envisaged au double point vue de l'é'.iologîe et
ans le feu, qu'ils traversent à plusieurs reprises, hommes du peuple,
enfants
, gens de marque. . Certains sr- lavent les main
arce qu'on l'en avertit. C'est surtout une partie de plaisir pour les
enfants
qui montrent, après maintes courses, dans le feu,
cessa, le lait reparut chaque matin au réveil; et la nourriture de l'
enfant
se poursuivit régulièrement. . Si extraordinair
s, cependant, le Dr Motet, sous le titre : « Les faux témoignages des
enfants
devant la justice », a fait une communication qui
Bérillon, dans un travail sur les faux témoignages suggérés chez les
enfants
, a démontré, en s'appuyant sur de nombreuses expé
tions de la suggestion hypnotique à la pédagogie et à l'éducation des
enfants
vicieux ou dégénérés. COURS & CONFÉRENC
uit de leurs dévouons. ? l'église, l'adulte et le citadin méditent, l'
enfant
récite, le vieillard et le paysan marmottent. Et
t; page n="236"> lité avec laquelle on pourrait influencer les
enfants
et le peu de fondement que présenterait leur témo
que présenterait leur témoignage, prescrit par l'article 79 que « tes
enfants
de Vun et de l'autre sexe, au-dessous de quinze a
malgré cette restriction, il faut reconnaître que les témoignages des
enfants
ont souvent été invoqués en justice comme ayant u
délit d'attentat à la pudeur ont été prononcées sur des témoignages d'
enfants
. Un autre article du même code d'instruction cr
vait bon aspect, et qu'elle le demandait, oà l'autorisa â nourrir son
enfant
qu'elle adorait. Mais quinze jours après son acco
re se modifièrent. Elle ne donna plus des soins qu'à contrecœur à son
enfant
qui lui devint indifférent Elle prit aussi en gri
d'un père tuberculeux. Marié depuis cinq ans a une jeune femme. Pas d'
enfants
. Le patient maigrit depuis quelque temps et se pl
, dans un de ces moments de folie, Il se jeta sur sa belle-fille, une
enfant
de 13 ans, et chercha à la violer : on eut toutes
vérité scientifique : encore ignorée, venir disputer la tète de son
enfant
aux juges, cn leur déclarant qu'il le considérait
et de sa liberté, et fondant son argumentation sur ce fait . que l'
enfant
avait toujours été malingre et débile, que son en
la suggestion hijpnotiquo X !& pédagogie et à l'éducation des
enfants
vicieux ou dégénérés./page> page n="258">
berte et Blaise, et 32 ans lorsqu'elle composa le Règlement pour les
enfants
de Port-Royal. Antoine Arnauld avait 31 ans lor
r le Maistre de Saci, son directeur de conscience, - une soumission d'
enfant
» (*). Et, s'il faut en croire le curé Beurrier
t, s'il faut en croire le curé Beurrier, c'est aussi une soumission d'
enfant
qu'offrait, vers la fin de sa vie,aux dévots de s
mmes, et il trouvait même mauvais qu'elle se laissât caresser par ses
enfants
. Jacqueline Pascal composa, dès l'âge de pubert
les Petites Ecoles (1) Nécrologe de P.-R. (2) Règlement pour les
enfants
de Port-Royal. de Port-Royal « étaient bien plu
âge que dans l'âge adulte. C'est surtout avec les femmes et avec les
enfants
que les religions se fondent. Aussi les prêtres s
nt. Aussi les prêtres se sont-ils toujours montrés prêts à élever les
enfants
. Déjà, dans l'Egypte ancienne, les écoles dépenda
asionnée par la fièvre, l'hypertrophie du foie et mémo le carreau des
enfants
. Laissons M. Vuillier nous raconter ce qu'il a
, la main sur le marteau, ceint de rouge, Illuminé par la fiamme. L'
enfant
est nu, très pâle. Chazal murmure quelques mots d
très pâle. Chazal murmure quelques mots d'une voix brève ; aussitôt l'
enfant
est étendu sur l'enclume et, tandis que sa mère l
s'abaisse ; le marteau frappo l'enclume avec violence. Le corps de l'
enfant
est tout secoué par des frissons. Sur eon visage
flet infernal se tait, le brasier recouvert de mâchefer s'éteint. L'
enfant
épouvanté, est habillé a la hâte et emporté par l
tions de la suggestion hypnotique à fa pédagogie et a l'éducation des
enfants
vicieux ou dégénérés./page> page n="290">
ne, représentant le Miracle de l'Epine, suffirait à faire croire à un
enfant
que ce miracle est de l'histoire. Quant à moi, le
moi, les vignettes des missels qu'on me mettait dans les mains, étant
enfant
, se sontsi profondément gravées dans mon esprit,
i l'on fait abstraction des chœurs de castrats, de jeunes filles et d'
enfants
qui sont exceptionnels, c'est la lenteur, la grav
hystérie Elle a fait à 17 ans un mariage d'inclination et a eu quatre
enfants
dont l'aîné est âgé de quinze ans et le plus jeun
s de son ménage et surveillant avec intelligence l'instruction de ses
enfants
. M. et Mme B..., sont Israélites. Ils habitent
cée, delà part de leurs condisciples catholiques. En outre, un de ses
enfants
, atteint d'appendicite, dut être opéré, ce qui ne
accomplir quelque extravagance, comme, par exemple, pour baigner ses
enfants
dans l'eau froide en plein hiver. Son caractère
raint, par exemple, que ses ennemis ne lui volent l'affection que ses
enfants
et son mari ressentent pour elle : et, cependant,
ajet; une fois rentrée, elle écrit soit à sa belle-mère qui garde ses
enfants
, soit — quelques jours plus tard — à son mari; le
emme que In mort de son chat impressionne à ce point a perdu jadis un
enfant
sans que son moral fût aucunement atteint; il y a
s danses et les divers mouvements par lesquels, instinctivement, les -
enfants
s'amusent. Cependant, la fureur peut être provoqu
s les mêmes conditions, des jugements religieux. Soit un prêtre et un
enfant
. Le prêtre dit à l'enfant: c Jésus-Christ est d
s jugements religieux. Soit un prêtre et un enfant. Le prêtre dit à l'
enfant
: c Jésus-Christ est duu» l'Jiustio. » Les acq
sus-Christ est duu» l'Jiustio. » Les acquisitions sensorielles de l'
enfant
sont encore trop peu nombreuses, et il est encore
ès, si elle n'a pas été effacée par d'autres opérations cérébrales, l'
enfant
, devenu vieillard, croira encore que : Jésus-Ch
it été employé à boucher une bouteille. Cette même femme, étant jeune
enfant
, avait déjà cette aversion très marquée pour les
à savoir les travaux supplémentaires. Jadis, je vous aï parle d'un
enfant
de douze ans qui avait fait une fugue de six sema
ment de la puberté. Ceux-ci sont, vers 12 ou lô ans, semblables à des
enfants
normaux; ils savent lire, écrire, calculer; ils s
s, nocturnes ou diurnes, des lacunes s'établissent dans la mémoire; l'
enfant
, à l'école, ne peut plus suivre ses condisciples;
sent un acheminement vers le système de l'instruction obligatoire des
enfants
sourds-muets, système qui n'est qu'à l'étal d'éba
s./page> page n="367"> En 1386, une truie, qui avait tué un
enfant
, fut condamnée à être pendue. Les manuscrits qui
u à une potence par les maire et échevinsde Nancy pour avoirdévoré un
enfant
à Moyen-Moutîer En 1601, le Parlement condamne
l la coupe ainsi en l'attirant de bas en haut. M. F. Regnault a vu un
enfant
qui pour se tenir à un arbre, prenait une branche
ar Lereboullet et Allard, p. 217. Electrisation suggestive, p. 281.
Enfant
(Le sommeil de l'), par E. Périer, p. 116. Em
to ou non un fardeau, si la femme est jeune fille ou mariée ayant des
enfants
. En effet il y a une différence et voilà pourquoi
ord les profes- (1) Clinique du Dr Variot, Médecin de l'Hôpital des
Enfants
Malades. seurs ne s'en inquiétèrent pas trop,
ral excellent, mais l'affection persistant, on prévint les parents. L'
enfant
, ramené à la maison, se met à table, dîne de bon
tte impression première, il est impossible de ne pas admettre que cet
enfant
est atteint d'une toux hystérique. Ni le sexe n
son père, des crises convulsives avec accès de larmes. Elle a eu sept
enfants
et trois fausses couches qui suivirent la naissan
ir précédé l'apparition de là toux, sauf une grande contrariété que l'
enfant
éprouva à la suite de quelques légers reproches m
e à une guérison que nous savons certaine. Je garde le souvenir d'une
enfant
du service de Cadet de Gassicourt. surnommée l'ab
etenait à l'hôpital. Pour hâter la guérison, nous allons garder cet
enfant
, espérant que le changement de milieu aidera gran
n et la réceptivité des suggestions verbales. On persuada d'abord à l'
enfant
de faire, à la suite et sans s'interrompre pour t
ontaires, on parvint à écarter de plus en plus les quintes de toux, L'
enfant
finit par s'endormir profondément avec une respir
formelle et réitérée de la guérison définitive précéda le réveil de l'
enfant
. Depuis l'enfant n'a plus toussé. REVUE DES LIV
rée de la guérison définitive précéda le réveil de l'enfant. Depuis l'
enfant
n'a plus toussé. REVUE DES LIVRES Le deuxième
que deux hommes soulèvent avec d'infinies précautions. Puis, c'est un
enfant
de douze ans, scrofuleux, pâle, blafard, atteint
la croix rouge liserée de jaune sur la poitrine. Viennent encore des
enfants
rachitiques et encore des tètes de cancéreux. San
gaieté et de fraîcheur, et derrière eux un essaim de jeunes filles en
enfants
de Marie : robe grise et voile blanc. Ils s'avanc
es plus simples, les plus dédaignés jadis : Les premiers dessins d'un
enfant
, ses premiers mots, ses gestes, ses jeux, tout vo
ées, presque toujours d'une prédisposition spéciale, surtout chez les
enfants
et chez les ouvriers à travaux manuels, tels les
étichique pour trouver la raison d'un phénomène physique. On rit de l'
enfant
qui bat la chaise parce « qu'elle lui a fait mal
nnes cachées. Une de ces malades entend la voix de son mari et de ses
enfants
qui se plaignent à elle et lui demandent secours
is comme j'entends parfaitement la voix de mon mari et celle de « mes
enfants
, je sais à quoi m'en tenir ». Nous faisons venir
venir sa famille; elle voit, elle touche, elle entend son mari et ses
enfants
, mais comme dans le même instant la voix arrive à
ans une grande agitation et nous accuse de diablerie; suivant que ses
enfants
sont tristes ou gais, cette personne est égalemen
mière partie de sa vie : Dieu lui dit que sa femme le trompe, que ses
enfants
ne sont pas les siens, alors entrant dans des acc
t besoîgneux laissèrent peu de temps pour surveiller l'éducation de l'
enfant
. Celle-ci livrée à elle-même, fouilla dans la bib
mpérance. 3° La perte d'un être aimé: La mort d'un conjoint ou d'un
enfant
, par exemple. 4° La perte d'une situation, la rui
lusions terrifiantes, renverse son palais et massacre sa femme et ses
enfants
, les prenant pour ses ennemis. Voici le récit q
ousse et s'arme de son arc et de ses flèches pour frapper ses propres
enfants
, qu'il croit être ceux d'Eurysthée. Ceux-ci s'enf
mère s'écrie : « Que fais-tu, malheureux père, tu veux donc tuer tes
enfants
? » Le vieillard criait aussi et aussi la foule de
ssi et aussi la foule des serviteurs. Pour lui, il poursuit un de ses
enfants
autour de la colonne, l'atteint, lui fait face et
colonne, l'atteint, lui fait face et d'un trait lui perce le foie. L'
enfant
tombe à la renverse et, en expirant, il couvre le
ercule attachait sur lui le regard farouche d'une Gorgone, et comme l'
enfant
était trop près pour être percé par la flèche, il
qui abaisse son marteau, il la fait retomber sur la tète blonde de l'
enfant
et lui brise le crâne. Après avoir tué ce second
ième victime. Mais la malheureuse mère le prérient, elle entraîne son
enfant
dans l'intérieur de sa maison et s'y enferme. Il
ortuné, d'un bien triste sommeil, après s'être souillé du sang de ses
enfants
et de sa femme. Je ne crois pas qu'il y ait un mo
on lui montre son palais renversé, les cadavres de sa femme et de ses
enfants
et qu'on lui affirme que c'est là son œuvre pour
es flacons de parfumerie, d'autres des étoffes, d'autres des jouets d'
enfant
, etc. Presque toujours en pareil cas, on se tro
ppeler, il y a quelques semaines, vers 9 heures du matin, auprès d'un
enfant
de quatre ans. Je suis déjà sorti et je ne puis a
sine, a déjà téléphoné trois fois à sa femme pour savoir si j'ai vu l'
enfant
et ce que j'en pense. La maman est abattue et dém
recoupée de sanglots, sont : « Mon petit garçon a une coxalgie !» L'
enfant
est couché dans son lit. Sa mine est à l'unisson
nt de palper la cuisse, le genou, la jambe, même le pied, tellement l'
enfant
crie et parait souffrir horriblement. Le petit
a débuté. Voici les renseignements que je recueille : La veille, l'
enfant
a fait avec son père une longue promenade à pied;
lus que je connais quelques-uns des antécédents psychologiques de cet
enfant
. Ainsi, quelques mois auparavant, j'ai déjà été
se prépare ! » En effet, avant mon arrivée, la maman avait dit à son
enfant
, avec une angoisse poignante dans la voix: « As-t
i... Là? — Oui. » D'où la désolation maternelle. Je m'approche de l'
enfant
; je me mets en devoir d'explorer et d'examiner t
es muscles, des pieds à la tête : il ne se plaint aucunement. Cet
enfant
avait la langue blanche, un peu de température et
on m'envoie chercher précipitamment au milieu de ma consultation. « L'
enfant
, qui s'était endormi après le déjeuner, vient de
trocement dans l'oreille : une bête a dû y pénétrer ! » Je prends l'
enfant
sur mes genoux, je feins de ne pas m'occuper de s
a pathogénie ainsi qu'il suit. La veille au soir, le papa a dit à son
enfant
: « Mais tu es fatigué! .. Mais tu traînes la jamb
s lu boites !... » Rentré chez lui, il le raconte à sa femme devant l'
enfant
. En couchant ce dernier, tous deux examinent anxi
asse par là-dessus et, le lendemain matin, ils procèdent de même. Cet
enfant
qui est, ainsi qu'on l'a vu, très sugges-tionnabl
tiones ostendunt. Je feins d'oublier que je suis venu auprès de cet
enfant
en médecin. Je lui raconte une histoire, à laquel
la crainte môme de la douleur. Alors, j'appelle l'attention de cet
enfant
sur sa jambe et je lui dis : « Tu le vois bien, j
on était, j'en conviens, extraordinairement suggestionnable. Tous les
enfants
le sont à un certain degré ; aussi les parents do
uiétudes qu'ils éprouvent. Que de fois j'ai été appelé pour de petits
enfants
qui prenaient un air alangui et mal en train parc
omplètement rassuré la maman, quand celle-ci était redevenue calme, l'
enfant
retrouvait complètement et tout naturellement son
ituel. Que de fois aussi on a constaté que, pour débarrasser certains
enfants
de leurs troubles nerveux, il était indispensable
eu d'huile de ricin ? — « Mais, Docteur, s'écrie la maman, jamais mon
enfant
ne saura la prendre, il la vomira certainement. D
donné ! » Cette maman ne s'aperçoit pas qu'elle a ainsi suggéré à son
enfant
un dégoût qu'il n'avait pas. En ce qui concerne
ence néfaste de la suggestion familiale. Une maman dit devant son
enfant
des paroles comme celles-ci : « Il est impossible
ter tranquille..., il n'y a pas moyen de rien en obtenir..., etc. » L'
enfant
s'habitue à l'idée qu'il est ainsi fait ; il pers
e lui suggérer en quelque sorte que telle est sa nature. De même un
enfant
court dans l'appartement; soit par maladresse, so
amentent : « Pourvu qu'il ne se soit point fracturé le crâne ! » Et l'
enfant
se met à pousser des cris qu'apaiseront à grand'p
non, capricieux, exigeant et ne saura rien supporter. Je connais un
enfant
pour lequel les choses se passent différemment. V
s qui, sans elle, deviendraient presque interminables et rendraient l'
enfant
à la fois grincheux et désagréable. On voit don
a psychothérapie méthodique est capable de jouer dans l'éducation des
enfants
indisciplinés. Par ce fait, son livre perd la plu
aleetpathologique M. le Dr Paul Farez, professeur. Psychologie de l'
enfant
......M. le Dr Bellemanièbe, professeur. Psychol
suivant Hérodote, plus de 700.000 hommes et femmes, sans compter les
enfants
; on s'y rendait en foule par eau, hommes et femm
e la douleur n'est pas spontanée, « C'est évidemment du rhumatisme, l'
enfant
étant obèse et arthritique ». Un traitement gén
à une sorte de crampe des écrivains. Les efforts prématurés, chez un
enfant
en plein développement, expliquent fort bien
guérir complètement; aujourd'hui elle est mariée et mère de plusieurs
enfants
. Le second exemple est le suivant : On m'amen
actement ce traitement, Sous l'inspiration des Sceurs de l'hôpital, l'
enfant
et la mère firent une neuvainc à Notre-Dame de Fo
est celle qui fait des miracles dans la région lyonnaise. Lorsque l'
enfant
rentra à l'hôpital, on lui enleva son bandage et
e; laisse-le sécher sur une haie qui entoure le jardin d'un juif sans
enfants
; marque-le avec de l'encre prise sur le bureau d'
aleetpathologique M. le Dr Paul Farez, professeur. Psychologie de l'
enfant
......M. le Dr Bellbmanière, professeur. Psychol
c projections). Vendredi 23 janvier, à 8 h. 1/2 La psychologie de l'
enfant
arriéré et la lutte contre la dégénérescence ment
réussi à me l'expliquer. S'il s'agissait seulement de l'abandon de l'
enfant
par les parents, on ne serait point embarrassé. M
enseigner la psychologie normale ou pathologique, la psychologie de l'
enfant
, la psychologie du criminel, la psychologie des f
il lui demandait où était le moi, c'est-à-dire l'âme, chez les petits
enfants
. « II y a une grande différence entre les enfan
, chez les petits enfants. « II y a une grande différence entre les
enfants
et les brutes, répondait l'illustre philosophe ;
répondait l'illustre philosophe ; cependant e ne croirais pas que les
enfants
eussent une âme, si je ne voyais qu'ils sont de m
ma qui seul permettait à Descartes d'affirmer la vie psychique chez l'
enfant
et chez 1 embryon, par suite chez l'œuf humain.
ervent que des sensibilités partielles, systématisées, électives : un
enfant
endormi, agité par un rêve, reconnaîtra la voix d
min de fer ou une voiture et qu'éveille le moindre vagissement de son
enfant
. Quand l'impression sensorielle pénètre jusqu'au
cielles : consonances de mots, similitudes de lettres, comme chez les
enfants
ou les aliénés. Cette analyse se fait, bien enten
hez les cellules animales jeunes, chez le petit de l'animal et chez l'
enfant
. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séanc
de l'Etablissement hydrothérapique du Vésinet. On sait combien les
enfants
sont faciles à suggestionner, même à l'état de ve
rent. La même simplicité de moyens m'a souvent réussi avec d'autres
enfants
nerveux; mais, lorsqu'ils atteignent une dizaine
e et un petit garçon atteints d'incontinence d'urine et chez un autre
enfant
adonné à l'onanisme. Mais c'est surtout pendant l
de venir en aide aux parents et aux professeurs d'un certain nombre d'
enfants
plus ou moins dégénérés et aussi difficiles à dir
e de parents bien portants. Son maintien dans notre cabinet dénote un
enfant
nerveux, car il ne peut rester en place et l'exam
l'a traité comme tel, au lieu de le punir. Après avoir examiné cet
enfant
, je proposai à sa mère de me l'amener trois fois
son médecin m'avait adressé au Vésinet. Lui aussi, comme beaucoup d'
enfants
, plus ou moins dégénérés, était onychophage, mais
tat reste assez satisfaisant. L'observation suivante est celle d'un
enfant
de 13 à 14 ans qui s'était attiré les quolibets d
ades de collège par son bégaiement et qui était un peu découragé. Cet
enfant
qui était très nerveux se trouva bien sans doute
ons et à l'exciter au travail. Je terminerai enfin par le cas d'une
enfant
de 11 ans, onychophage depuis l'enfance, fille d'
d'après la méthode Liébeault peut rendre de très grands services aux
enfants
difficiles. J'ai cru également qu'il était bon d'
sortir du bain aussi bien qu'à l'étude) et signaler aux familles, les
enfants
dont les yeux, le nez, la bouche, la gorge, la co
s par le médecin psychologue, si celui-ci était consulté pour les
enfants
paresseux ou névrosés et dont l'état n'a jamais é
decin, son autorité naturelle, la mise en scène, etc., exercent sur l'
enfant
une sorte d'intimidation c'est-à-dire qu'ils prod
ce d'un médecin subira au plus haut point la domination d'un autre. L'
enfant
auquel on croit faire une suggestion à l'état de
ur. Dans bien des cas, quand il se trouve en présence d'un étranger l'
enfant
s'auto-hypnotise par la mise en jeu de l' « expec
assif » (Liébeault) que la suggestion réussit. J'estime que lorsqu'un
enfant
présente des vices justiciables du traitement psy
e la suggestion pédagogique, il faut distinguer entre les sujets. Les
enfants
sont vicieux, indisciplinés inattentifs, etc., ta
n peut obtenir et non une guérison. M. Bérillon. — Sans doute, si l'
enfant
dépasse un certain degré de dégénérescence, il n'
répéter, à savoir qu'hypnotisable veut dire curable : Etant donné un
enfant
atteint de vices, de troubles nerveux, si après p
ives l'état d'hypnotisme n'est pas obtenu, c'est que l'attention de l'
enfant
est trop faible pour accepter et réaliser la sugg
l'influence d'une intoxication, d'une infection, d'un traumatisme, l'
enfant
succombe à nouveau à son vice, il va sans dire qu
encore beaucoup de familles qui se refusent à faire hypnotiser leurs
enfants
. J'ajouterai enfin qu'à mon avis, les agents ph
es et je l'emploie chez les grandes personnes aussi bien que chez les
enfants
, lorsqu'il ne peut être question d'hypnotisme.
e des conditions de la suggestion hypnotique. M. de Bourgade. — Les
enfants
auxquels s'adresse cette orthopédie morale ne son
sorte que les doigts ne peuvent plus être fléchis, et qu'en réalité l'
enfant
est réduit à un état d'infirmité complet. « Je
solennels que moi, et de ne pas rire. « Le cercle formé, je pris l'
enfant
par les deux mains, que je regar- dai comme pour
rûlure. « Quelques jours après, la peau était partout intacte, et l'
enfant
reprit sa vie ordinaire. t C'est ainsi qu'un pr
il recommande de conserver une attitude solennelle, s'adressant à un
enfant
de treize ans, s'exprime dans les termes les plus
d qu'il a fait de la suggestion à l'état de veille. En réalité, cet
enfant
se trouvant en présence d'hommes très graves et t
hystérique de cette affection. De plus on ne doit pas ignorer que les
enfants
, en général sont éminemment suggestlbles et sont
écéder, sa suggestion d'une mise en scène destinée a provoquer chez l'
enfant
l'inhibition du pouvoir de contrôle, c'est-à-dire
e humain ou qu'elle résulte d'une impression extérieure quelconque. L'
enfant
qui obéit à ses parents, l'élève qui récite sa le
ixe, les sentiments altruistes se rétractent. Plus de famille, plus d'
enfants
. Plus d'affection d'aucune sorte sinon l'affectio
s promenades, des voyages. Le cardiaque -est un bon père; il aime ses
enfants
, ne peut se faire à l'idée de les quitter. Cet
itter. Cet amour reconnaît plusieurs causes : le cardiaque aime ses
enfants
; il recherche de la part des siens consolation et
étuellement. — « Si j'allais mourir, se dit-elle, que deviendrait mon
enfant
? » Ou bien, elle rabâche : « Pourvu que mon enfan
ue deviendrait mon enfant? » Ou bien, elle rabâche : « Pourvu que mon
enfant
ne tombe pas malade! Pourvu que je ne le perde pa
pas!... » Notons que ces dernières craintes n'ont aucun fondement; l'
enfant
est superbe et jouit d'une santé florissante. La
on, elle se lève tous les quarts d'heure pour aller s'assurer que son
enfant
n'est pas malade. Toutefois, depuis quelques se
fectifs sont obnubilés; elle ne manifeste plus aucune tendresse à son
enfant
; elle ne joue plus avec lui, ne lui parle plus e
se pendant laquelle elle vomit sans relâche, à ce qu'elle prétend ; l'
enfant
vient à terme et vit. Trois ans plus tard, elle e
n affectivité peuvent ne troubler aucunement son sommeil ; mais qu'un
enfant
, par exemple.se retourne dans sa couche, le frois
es sont survenues. Par exemple, un jour, tout à côté de chez elle, un
enfant
tombe du cinquième étage et se tue ; le soir même
s rats ; il se sent embrassé par des crocodiles, La Vierge Marie et l'
Enfant
Jésus sont aussi venus le voir plusieurs fois.
est pratique : des faits ; on ne cherche pas à faire du cerveau de l'
enfant
un instrument d'induction et de déduction. La m
arbarie serinant dans la rue un refrain à la mode. Le professeur, bon
enfant
, s'arrête, puis après avoir souri un peu, ou même
a, il ne gagna aucune tare spécifique. Marié à son retour, il eut une
enfant
bien constituée mais qui de son côté a des troubl
d'urine, guérie par la suggestion pendant le sommeil naturel chez un
enfant
de 26 mois. 2° Impuissance génitale, d'origine
e prospère ; suivant le té- moignage de la mère adoptive, ce fut un
enfant
doux, in- telligent, facile à élever, sans mauv
l'uCL'OIlChl'IIIl'ul fui normal, san- intervention du Ait début, l'
enfant
c développa tout normalement, physiquement 1'/
cl lascrofule qui n'ont laissé aucune trace..L'étais en général un
enfant
bien por- tant. - " A l'âge de ans j'ai comme
ie ; mais rien de tout cela ne m'arrivait, jamais, je dors comme un
enfant
el je ne vois point de rêves. Mais une fois que
cèrent, à se manifester et ont augmenté depuis peu à peu. J'ai eu G
enfants
. Les professeurs m'ont sou- mise à l'électrisat
IX. 1904. Neurologisches Centralblatt. XXIV. 1905.) - - Si chez l'
enfant
couché sur le dos, la tèle renversée en arrière,
tuberculose miliaire. Les nombreux grains, que l'on trouve chez les
enfants
el lesnouveau- n4s,surle trajet des racines i n
je et cellules pyramidales) du moineau ou du cobaye à l'homme, de l'
enfant
à l'adulte. On peut aussi s'expli- quer la régr
un mois, à huit entants épi- leptiques, et comparativement, à deux
enfants
arriérés simples non épileptiques, un régime dé
ation alimentaire la part prise habituelle- ment par l'azote. Les
enfants
qui avant ce régime hypo-azoté absorbaient par
roubla en rien la nutrition générale, et au bout du mois sur les 10
enfants
, 6 avaient augmenté de 0 kg. 500 à ka. 500, 2 é
bable ajouté au foyer de ramollissement. ' Tabès cervical chez un
enfant
de quinze ans. MM. Déjérine, 11OR1 : R0 CL LEEN
qui concerne L'Asile de Durs. la créa- tion d'un service spécial d'
enfants
, permettant d'arracher à la dé- chéance, de red
idiotie et de l'épilepsie ; l'ab- sence relative du thymus chez les
enfants
anormaux ; l'extrême rareté de la synostose du
nnel médical et le personnel secondaire des asiles : Assistance des
enfants
arriérés. Quimper le 16 décembre 1904. Mon ch
onnel et d'une retraite pour les infirmiers ; du nom- bre total des
enfants
, quelque soit leur âge, on retranche 2 et l'ind
leur âge, on retranche 2 et l'indemnité estallouéeà tous les autres
enfants
: 1° de moins de 13 ans pour les préposés, serv
entale des retraites ; l'indemnité est de 2 fr. 50 par mois pourles
enfants
de la 1 re catégorie, de 8 fr. par mois pour les
n exacte de l'avenir réservé à leur carrière. Reste la question des
enfants
idiots et épileptiques ; nous en avons treize d
nous en avons treize de cette catégorie sur un total de vingt-deux
enfants
; tout est à créer pour leur éducation, et c'est
nce du 25 août dernier notre projet de construction d'un quartier d'
enfants
et adolescents ; le devis s'élève à 38,000 fr.
n faite récemment à un journal pédagogique et établissant que les
enfants
d'un asile d'aliénés sont plus fréquemment ambide
ants d'un asile d'aliénés sont plus fréquemment ambidextres que les
enfants
normaux (1). Un peu plus de lumière vient d'être
ou Board of Education, de Chicago, a remarqué qu'un grand nombre d'
enfants
gauchers, auxquels on s'efforçait d'apprendre à
une cor- rélation entre cette remarque du directeur de l'Etude de l'
enfant
et ce que l'on sait sur la localisation des fon
l serait intéressant de sa- voir si ces faits se vérifient chez les
enfants
gauchers. Dans tous les cas, il semble apporter
l'Instruction primaire, 1902, no G). A Bicêtre, dans la section des
enfants
arriérés et épileptiques, nous avons trouvé, su
encore (4) CoTA. Du mal de Poil au-dessous de la moelle chez les
enfants
eL de ses conséquences au point du vue de l'accou
e familiale congénitale. V111. 'l'ACUET et Robert Foy montrent deux
enfants
de cinq et trois ans, frères, qui quoique ayant
n prix Belhomme est ainsi conçue : De la Démence épileptique chez l'
enfant
et l'ado- lescent. Prix EsquÏ1'ol. Conformé
e. Après la sixième suggestion; le hoquet s'arrête complètement ; l'
enfant
138 SOCIÉTÉS SAVANTES. n'a été endormie qu'à
ue. Dans le premier cas il s'agissait d'un tic de suc- cion chez un
enfant
, dans le second de mélancolie avec idée fixe et
des impulsions sexuelles. M, Bérillon, D'une façon générale, les
enfants
normaux, SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 139 tenus à l'é
ces leçons de gymnastique contribuent au développement physique des
enfants
. On n'a jamais perdu de vue que les élèves de l
is perdu de vue que les élèves de l'école Saint-Yon sont toutes des
enfants
placées comme ma- lades à l'asile ; à l'école c
dehors de l'école, elles reslent sous la surveillance médicale. Les
enfants
sont vues comme les autres malades, et suivant
eures fixes. La seconde partie consiste à éveiller l'attention de l'
enfant
, à éduquer ses sens, en premier lieu le toucher
u le toucher (mains), puis la vue. C'esl alors qu'on essaie, même l'
enfant
ne parlant pas, à lui faire désigner les différ
it leur aptitude spéciale il percevoir un bruit. Indépendamment des
enfants
idiots invalides ou valides, le ser- vice confi
ots invalides ou valides, le ser- vice confient une autre section d'
enfants
propres et valides, im- béciles, arriérés, inst
, complètent t'ceuvre que M. Bournovitle asu iiienci- à ])ici). 428
enfants
ont profité en 1903 de cette médication scientifi
st destinée aux filles et comprend deux groupes principaux : Io les
enfants
idiotes et gâteuses, valides ou non ; 2° les en
ipaux : Io les enfants idiotes et gâteuses, valides ou non ; 2° les
enfants
propres et, dans les deux groupes, des épitcp-
très exacte et très complète formule de Courneville : «Conduire un
enfant
incapable de marcher et de se servir de ses mai
il vit arriver le rapide, il voulut se précipiter sous le train. L'
enfant
lenta de retenir son père. Une lutte s'engagea
itesse. [L'Aurore ([lui -26 juin). Assassinés par leur père. Deit
enfants
'tués à coups de hache,- Le crime d'un déséquil
priétaire à Lou- dil'r, communc de Patilline (Cantal), tué ses deux
enfants
, deux garçons de cinq etsept ans à coups de hac
leurs effets ' pour déterminer l'infirmité mentale. Il s'agit d'un
enfant
de 10 ans lors de son entrée à l'asile. Le père
icié, pour irresponsabilité, d'une ordonnance de non-lieu. Chez cet
enfant
, on observa dans sa première enfance des affect
nistrés à l'infirmerie, au pavillon des contagieux, au bâtiment des
enfants
invalides), 5.370 bains de pieds et 61.350 douc
e face aux besoins du traitement externe et de donner des bains aux
enfants
pauvres des écoles. (Rap. ni On, p. 8, 18.-2.)
les entorses, les fractures (douches locales et massage), chez les
enfants
atteints de méningites chroniques (douches en p
rès simple, sans inconvénient quand il est bien appliqué, que les
enfants
eux-mêmes s'y soumettent sans la moindre difficul
es inhalations du même gaz des accès subintrants chez un malheureux
enfant
de 13 ans, entré depuis quatre ans à l'asile, i
ions nouvelles de l'Assistance fami- liale aux convalescents et aux
enfants
arriérés sont également étudiées. MM. les Dr
tation de photographies et de radiographies). De plus, il n'a qu'un
enfant
, et celui-ci a présenté des traces d'hérédo-syp
terrorisés. (Voir le n° 115, p. 77.) Assistance ET traitement des
enfants
arriérés. .- Suicide manque. - Une pauvre dés
ormes des corps géométri- ques et des objets placés dans la main.
Enfant
ASSASSIN. - On a arrêté il Bourg (Ain) un jeune b
M... se sépare une seconde fuis (le son mari, cesse d'allaiter son
enfant
, douent apathique, inac- tire, dort mal, se pla
nt qu'à la suite de la fièvre typhoïde. Elles peuvent atteindre les
enfants
(Kolischer, 1S96), comme les adultes. § III.
l'apparition quasi soudaine de certains faits. L'obser- vation de l'
enfant
en révèle de fréquents exemples. La . conscienc
ition de la conscience. Nous pour- rions bien prendre l'exemple des
enfants
, mais nous tomberions dans un cercle vicieux pu
rions dans un cercle vicieux puisqu'il faut démon- trer que, chez l'
enfant
, lorsqu'il y a cerveau, il y a cons- cience. L'
sciente qui nécessite l'intégrité de la corticalité apparaît chez l'
enfant
avec le complet déve- loppement des centres sup
vée et l'on peut dire qu'elle constitue la psychologie entière de l'
enfant
. En effet, le caractère de l'étude de l'enfant
hologie entière de l'enfant. En effet, le caractère de l'étude de l'
enfant
est d'être celle d'une période de formation. Au
té fonctionnelle doit lui être refusée « les lobes céré- braux de l'
enfant
nouveau-né tiennent le juste milieu (1) Voir 1\
onner ; des voies afférentes et eflerentes s'y rattachent. Chez l'
enfant
à la naissance, les voies des zones de la sensi
hermique et algique (celles que nous sommes en droit d'accorder aux
enfants
très jeunes) ne connaît plus coenesthésiquement
consécutifs. Or, les nombreuses observations faites sur le jeune
enfant
par Preyer (1), Strümhell (2), Marinesco (3), p
t par Preyer (1), Strümhell (2), Marinesco (3), par moi-même sur un
enfant
observé quotidiennement et sur des groupes d'en
moi-même sur un enfant observé quotidiennement et sur des groupes d'
enfants
, il ressort que les attitudes sont les mêmes ch
pes d'enfants, il ressort que les attitudes sont les mêmes chez les
enfants
en bas âge que chez l'individu il qui manque l'
s parties voisines saines de l'écorce (4). (1) Preyer. L'âme de l'
enfant
. Trad. de Varigny. Paris, 1837, p. 85, 187, 203
ssique de Preyer, nous trouvons qu'au quatre-vingt-quatrième jour l'
enfant
étreint par hasard et sans volonté (1). Au cent
bjet. A la vingt-deuxième semaine, le mode de pré- hension du jeune
enfant
est à peu près analogue à celui du deuxième opé
). A dix mois, les mouvements sont adaptés à tel point que le jeune
enfant
de Preyer tenait hypothèse. Ce qu'il dit du réf
it. -L'ân : e de l'etafant. p 2,4 et 99.)' · (2) Prêter. L'âme de l'
enfant
, p. 206. Archives, 2° série 1905, t. XX. 19 2
intéresse à pré- sent, pourrait être en état de fonctionner chez l'
enfant
et les voies conductrices faire seulcs'défaut.
ceptions est conforme à celui que nous fournit l'ob- servation de l'
enfant
et du foetus. 'Réactions au chaud et au froid,
s'agit de l'hypcrtonicité des muscles, de la (1) Preyer. L'âme de l'
enfant
, p. 210. (2) 13.Lnwm.-L'évolution clte; l'enfan
Preyer. L'âme de l'enfant, p. 210. (2) 13.Lnwm.-L'évolution clte; l'
enfant
et dans la race. Trad. fran- çaise, Paris, 1897
inquième et sixième mois, époque de la fin de la myélinisation, les
enfants
, ont des mouvements spasmodiques des membres et
- lement à partir de cette époque, en état .de fonctionner chez l'
enfant
(1). IV. Entre l'époque de la naissance et cell
e, mais ne doivent pas être confondues avec elle. Les organes que l'
enfant
possède à la naissance sont suf- fisants pour l
ndant ces faits sont insuffisants pour affirmer qu'à la naissance l'
enfant
ait une conscience, même crépusculaire. Nous po
dans des expériences réalisées par la nature : l'observa- tion d'
enfants
nés sans cerveau et présentant les mêmes (1)Nou
re inférieur. Voir : Axnnu LÉni : Les réflexes des orteils chez les
enfants
. (Re- vue neurologique, 30 juillet, 1903, p. 68
3, p. 689-GU2.) La moyenne est l'aile Il après 1 observation de 116
enfants
. Il est signalé des cas exception- uels où, com
uels où, comme dans le cas ci le par Darwin (Preyer : L'âme de l'
enfant
, p. 187), le fléchissement des orteils est prémat
t son pied et en même temps il recourba ses orleilscommc le fait un
enfant
, beaucoup plus âgé quand on le chatouille. » Ci
» Cité par G. Compayré. L'évolution intellec- tuelle et morale de l'
enfant
, 3° édit. Paris, 1903, p. 31. 292 PSYCHOLOGIE
ulaires, mais les fonctions végétatives ne sont point accomplies. L'
enfant
ne se nourrit pas et ne respire pas (abois, Hub
niasse de matière vivante, mais non comme un organisme vivanl. « L'
enfant
, dit-il, a exécuté quelques mouvements des membre
u moins ». L'obser- vation de M. Hubbard est semblable en fait. « L'
enfant
, dit-il, se lrome être un monstre anencéphalc,
SCIENCE DANS L'ONTOGENÈSE. 293 activités biologiques permettent à l'
enfant
de vivre des heures et des jours (1). Les obs
au-né normal. Il avait la respiration du type Cheyne-Stokes. Chez l'
enfant
nor- mal, il en est à peu près de même. x Chez
plus tard » (3). J'ai noté moi-même le rythme respiratoire chez mon
enfant
il sa naissance. Au deuxième jour, je constatai
humains, p. 23. (2) Ibid., p. 27 et 28. (3) Preyer. - L'cime de V
enfant
. Trad. franc;. Paris, 1887, p. 181. (4) N. Vasc
res et « lorsqu'on lui offrait de l'eau sucrée avec une cuillère, l'
enfant
avait des mouvements de lèvres pour empêcher l'
celle des anencéphales vrais. M. Solovtzoff attribue la mort de l'
enfant
qui vécut cinquante jours à une compli- cation
à la fixation graduelle des fonc- tions les plus élevées. Chez l'
enfant
, les états de conscience, c'est-a-dire de conna
ssance que l'on peut parler d'une conscience élément. taisre chez l'
enfant
. Hospice de BIC1 : TR. - Maladies nerveuses, ch
nfant. Hospice de BIC1 : TR. - Maladies nerveuses, chroniques des
enfants
: Dr Bourneville, le samedi, à 9 h. 1/2 très pr
vivre quelques jours en cherchant du travail». Dans notre service d'
enfants
, pour une autre raison, à la sortie, nous mettons
r l'idée de la création d'une colo- nie agricole et d'une section d'
enfants
arriérés. Les moyens finan- ciers peuvent lui e
edonnent naissance chez l'adulte qu'à des troubles mentaux ; chez l'
enfant
, elles provo- quent souvent l'épilepsie et un a
meil. D. Assistance ET traitement h1)· : DICO-PliD : IGOGIQUr : des
enfants
, IDIOTS ET ÉPILEPTIQUES. Notre collègue et a
oins un progrès pour l'assistance, le traitement et l'éducation des
enfants
idiots et arriérés des deux sexes. FAITS DIVE
st malheureusement très fréquente chez les épileptiqucs, adultes ou
enfants
, et aboutit toujours à une terminaison fatale,
e : excès de boisson ainsi que son père [grand'père paternel de l'
enfant
). Mère, rien de particulier. Grossesse accident
ère a succombe aux suites de l'inllucnza. Un frère, une soeur, sans
enfants
, rien de particulier. Trois oncles seraient mor
ur la consanguinité. Inégalité d'âge d'un an (Père plus ;îjé). 10
enfants
: 1° Fille morte d'entérite à 33,jours ;- 2° gar-
des se battaient. Il apprenait facilement, avait l'intelligence des
enfants
de son âge. A cette époque, il aurait eu une gr
. 342 CLINIQUE NERVEUSE. mes et porte-plumes et accuse les autres
enfants
de les lui avoir pris. Caractère doux, pas de c
. Caractère doux, pas de colères, souvent rit sans motif. Juin. L'
enfant
apporte de moins en moins de goût au travail. I
nution considérable des accès en 1898 ('13'2 de moins qu'en 1807¡ l'
enfant
incline de plus ou plus vers la déchéance. (Fia
ion fréquente de la face ; dilatation des pupilles. 1904. Juin. L'
enfant
de plus en plus dément et encom- brant passe da
e. C'est pourquoi nous recommandons aux infir- miers d'empêcher les
enfants
do dormir sur le ventre \3). IV. De l'autopsi
n'ayant pas confiance en elle-même. Mariée depuis 1 ? ans : a eu (i
enfants
el deuv fausses couches (pas de s phi lis chez
e il un mois. Il \ a un mois 1 ? ? elle avait accouché d'un sixième
enfant
qu'elle nourrissait. Durant sa grossesse déjà,
it se détruire, mais elle n'en avait pas le courage, à cause de son
enfant
. Depuis qu'elle allaite, la résistance psychique
me, elle écrivit il au commissaire de police pour qu'il protège cet
enfant
contre ses impulsions. Elle se rendait compte d
n état de tristesse et. désirait la mort pour elle, mais non pour l'
enfant
. L'état mélancolique avec phobies et obsessions
epuis 10 ans. mais elle vit séparée de son mari depuis G ans. Pas d'
enfant
, pas de fausse couche. Caractère toujours tacit
gnements sur ses parents nous manquent, mais nous savons que sur 10
enfants
, 5 sont morts en 364 CLINIQUE MENTALE bas-àge
Emilie n'a jamais été intel- ligente ; elle avait des réflexions d'
enfant
. Quelques mois avant son internement, elle se p
son retour, une voisine lui annonce brusquement que sa femme et son
enfant
se meurent. A partir de cette époque, il eut de
puis, elle se portait bien. Elle s'esl mariée il y a 15 mois. Pas d'
enfant
. Aucun renseignement sur le début de l'affectio
e les résul- tats de son expérience sur la ponction lombaire chez l'
enfant
: 37Ô' SOCIÉTÉS SAVANTES. il a étudié la ques
et de la thérapeutique La ponction lombaire est. inoffensive chez l'
enfant
comme chez l'adulte ; toutefois comme la moelle
(,lmique de la kleptomanie. MM. Bertillon et PAMART présentent deux
enfants
Kleploma- nes remis par autorité judiciaire au
amaurotique héréditaire : par .lame 13 rJRIOET. Le sujet était un
enfant
mâle, âgé de 18 mois. Il nie fut présenté comme
était un enfant mâle, âgé de 18 mois. Il nie fut présenté comme un
enfant
arriéré. Les parents étaient Juifs. D'après ce
avaient été normaux. 1lIe IÙlyai ! . pa. PU défausses couchas. L'
enfant
en question était le septième. Des six étaient
mbres dont l'une 1res noire était située sur une cnur inférieure. L'
enfant
n'avait pas été souvent au grand air : la mère,
sesse, était par conséquent incapable de le sortir. sa naissance, l'
enfant
parut en excellente santé. Il fui nourri au sei
ucoup plus de soins etd'atLention. A l'examen, je remarquai que l'
enfant
avait une nature apa- Iltiquc assez prononcée Q
glandes étaient de grosseur normale. Sa voix était un peu faible. L'
enfant
était évidemment rachitiquo et je remarquai que
taient mou- et fiasques mais il n'yail aucune (rare de paralysie. L'
enfant
ne pouvait se tenir debout ni s'asseoir sans so
quelque peu défec- tueuse car, s'il se produisait un fort ])rnit,t'
enfant
. ne semblait pas l'entendre. Le sujet ne faisai
Je regrette, beaucoup que durant ilion absence, un jour de congé, l'
enfant
l'ut soustrait il mes soins et placé dans un hôpi
oid car, il mon retour, ayant été mandé auprès de lui, je trouvai l'
enfant
souffrant d'une, llroncltu-ltneunutnie. Il mour
itaire cl il résulte du tableau exposé plus haut que 10111 deuxième
enfant
de celle famille devenait aveugle. 11 peut être
t aveugle. 11 peut être intéressant de noter que les trois premiers
enfants
étaient du sexe fl)minill landiqlll' les quall'
es juives. Colle maladie a généralement des suites fatales chez les
enfants
avant l'âge de aiis, comme ce ru le cas ici..le
iluenl l'arc médullaire rullme chez les animaux inférieurs, che/. l'
enfant
pl qui persistent chez l'adulte pour les mouvemen
urquoi ne veulent-ils pas considérer comme mentalement anurmaux les
enfants
qui neveu- tent pas ? Peut-être aussi les auleu
ompagnent de tares psychiques constantes. Les géants sont de grands
enfants
, des débiles sans jugement ni volonté, souvent
ents. Une fausse pudeur s'y oppose. A Ricetre, dans notre service d'
enfants
, nous avons fait disposer les cabinets de façon
ande, ils répondaient que cela n'était pas convenable de regarder l'
enfant
. LES ALIÉNÉS EN LIBERTÉ. Drame de la folie. -
à 'J'l'l'gueux, a, dans un accès de folie, nové dans un lavoir son
enfant
, âge de trois semaines. Elle a essayé ensuite d
es infirmiers aux infirmières, c'est l'occupation sans arrêt de ces
enfants
. Le fait suivant le démontre : « Uuand il ne tr
rès précises. Consultation 'Yiu¿dico-1Jédagogique gratuite pour les
enfants
, le jeudi à, rJ It. 1; . ' 11;CROr.OGII : . -
IN BIBLIOGRAPHIQUE. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Iium : vEwn·t.c. Les
enfants
anormaux au point de vue intellec- tuel et mora
un corset orthopédique. Son mari serait mort tuberculeux ; jamais d'
enfants
ni de fausses couches : syphilis niée. La maladie
(9,4 o/.) ; nous avons vu un mongoloïde de 54 ans. Bien souvent les
enfants
succom- bent peu de temps après l'accouchement
ent à raison de leurs ano- malies. Ce sont fréquemment les derniers
enfants
d'un mariage prolifique, ou ceux de parents rel
P)RISS.1,D. ' Epilepsie. Bromure et déchloracration. M. THOMAS. -
Enfant
de 11 ans, jacksonnien par traumatisme obstétri
de la brèche, qui existe dans tous les cas de craoiectomie chez des
enfants
ou des adolescents. Dans les visites du service
érique avec grande ascite, probablement d'origine biliaire, chez un
enfant
de 8 ans. Autopsie. Examen microscopique. (Soc.
s cliniques sur le processus angineux dans la scarlatine chez les
enfants
et sur ses irradiations. (Soc. méd. des hôp , 2 m
REAU DU PROGRÈS MÉDICAL 1 14, RITE DES Carmes. BOURNEVILLE. - Les
enfants
anormaux au point de vue intel- bulletin biblio
Lentz, p. 486. Mouvement de novembre, p. 501. ' Assistance des
enfants
arriérés. Voir Personnel médical. desépilepti
épileptiques, p. 79. des aliénés, voir Congrès. et traitement des
enfants
ar- riérés, suicide manqué, p. 2,j2. et trait
vers vertébrés, par Gurewitscb, p. 45. Encéphale. Voir Tétanie.
Enfants
arriérés. Voir Assis- tance. Epilepsie. Du ré
P. Maiie, p, .33. - Voir - Hfftfftfr optiques. cervical chez un
enfant
de quinze ans par Déjerine, Morero et Leenhar
de mon hypothèse. En général, les peuples naissants, de même que les
enfants
en bas âge, sont indifférents, insensibles à tout
se son imités davantage. L'humanité en cela ressemble à l'individu. L'
enfant
on ne le niera pas, est un vrai somnambule dont l
gul lièrement. mariée à 17 ans, mère à 18, elle nourrit elle-même son
enfant
. A 21 ans, elle eût un second enfant qu'elle nour
à 18, elle nourrit elle-même son enfant. A 21 ans, elle eût un second
enfant
qu'elle nourrit encore pendant 10 mois. Cet allai
ieurs émotions extrêmement vives à la suite d'accidents sur-venus aux
enfants
. Au mois d'avril 1886, alors âgée de 23 ans, el
ypnotisation: mais la malade dominée par des sensations douloureuses,
enfant
gâtée par ses parents dont elle était fille uniqu
toute émotion, à la capter pour ainsi dire ; je la traitai comme une
enfant
. Puis quand je la crus suffisamment impressionnée
ient dans l'intervalle des contractions, est calmée par suggestion. L'
enfant
, arrêté à la vulve par la résistance du périnée,
des passions. « Tandis que l'honnête nomme voit se perpétuer chez ses
enfants
la probité et toutes les qualités morales qui fon
ciété ». Plus tard, en quittant la famille, c'est à l'atelier que l'
enfant
va se corrompre ; les mauvaises fréquentations da
épris public qui s'attache â certains êtres innocen:s (fille séduite,
enfant
naturel, etc.) sur des individus qui jouissent, e
me qui vivait dans la préoccupation constante de couper le cou de son
enfant
avec un instrument tranchant, puis cette autre qu
r la suggestion à deux malades atteints de caféimanie. Le premier, un
enfant
de sept ans, nous était amené par ses parents afi
oir et, le cas échéant, je pourvoierai a ses besoins; je tiendrai ses
enfants
pour des frères, et. s ils désirent apprendre la
ugnances invincibles, pas devant des caprices, Les malades, comme les
enfants
capricieux, deviennent bientôt insupportables et
souviens qu'à mes débuts mon père m'envoya un jour à sa place voir uu
enfant
dérangé. Pour avoir trop mangé, l'enfant avait un
a un jour à sa place voir uu enfant dérangé. Pour avoir trop mangé, l'
enfant
avait une indigestion. Et qu'avez-vous fait ? me
É (0 Par M. le professeur axel KEY (Stokholm). L'éducation de nos
enfants
constitue l'un de nos devoirs les plus beaux. Nou
ecins en particulier ont accusé l'école d'influencer l'organisme de l'
enfant
qu'on lui confie pendant sa croissance ; ils lui
anemark et la Suède seuls ont dressé, à propos de l'état de santé des
enfants
, des écoles, des statistiques permettant de prend
ns des écoles secondaires et 5.000 filles d'écoles privées ; tous ces
enfants
appartenaient aux classes aisées de la population
ssement est moindre, enfin de 14 à 16 ans, au moment de la puberté, l'
enfant
augmente remarquablement plus vite en taille et e
Suédois ; et cependant ceux-ci dépassent à ce point de vue les autres
enfants
, et à partir de la dix-neuvième année, les Améric
int de vue des différentes classes de la société, on constate que les
enfants
des classes aisées ont une année d'avance sur les
ate que les enfants des classes aisées ont une année d'avance sur les
enfants
pauvres du même âge. Ainsi donc la pauvreté et le
ditions défectueuses de l'existence ralentissent le développement des
enfants
. Leur faible développement avant la puberté retar
riode la plus importante de leur accroissement, en même temps que les
enfants
qui vivent dans de meilleures conditions. La pube
d'un pas plus rapide et se termine en même temps que pour les autres
enfants
. Nous constatons là une preuve du ressort inhéren
é se perd toujours ; le ressort se brise ou reste déformé. De même un
enfant
,dont la croissance a été retardée par des circons
es influences fâcheuses ont une action trop intense ou trop longue, l'
enfant
reste en retard pour toujours. Il est intéressa
nt et important, pour l'éducation, de rechercher si la croissance des
enfants
se fait de même aux diverses saisons, en hiver et
Copenhague, a fait des recherches sur ce point. I1 a reconnu que les
enfants
grandissent peu de la fin de novembre à la de mar
scolaires. D'après les recherches qui ont été faites sur les 15000
enfants
des écoles secondaires, il a été reconnu qu'un ti
ont pas d'autres causes que l'organisation des écoles. Le travail des
enfants
s'accroit de classe eu classe ; les conditions hy
des présente son accroissement ordinaire de 7 à 13 ans, alors que les
enfants
grandissent médiocrement. Dès que la puberté comm
paratoires et inférieures de nos écoles secondaires), l'organisme des
enfants
offre peu de résistance aux influences extérieure
explique aisément ces tristes résultats. Le temps pendant lequel ces
enfants
travaillent et demeurent assises sans bouger, ne
r, on peut affirmer que la somme de travail demandée actuellement aux
enfants
dépasse leurs forces--C'est ainsi que le programm
ute importance pour l'éducation rationnelle. Nous savons tous que les
enfants
ont besoin de dormir beaucoup plus que les adulte
l est encore difficile de préciser le temps nécessaire en général aux
enfants
suivant leur âge. En Suède, lesplus jeunes écolie
e cette durée trop longue du travail à une influence sur la santé des
enfants
? Oui. Après avoir es-timé exactement le nombre mo
toutes ces constatations a reconnu qu'un très grand nombre de jeunes
enfants
, surtout dans les trois premières classes des éco
t tout avoir soin de ne pas troubler ni ralentir le développement des
enfants
au moment de l'établissement de la puberté. Etant
hase qui precéde la puberté, phase pendant laquelle la résistance des
enfants
est à son mini-mum. La science nous apprendra à d
Rousseau a dit dès les siècles derniers: « Si l'on arrive á rendre un
enfant
robuste et physiquement bien développé jusqu'à la
nt ensuite plus rapides. » Cest à peine s'il consentait à obliger les
enfants
de savoir lire pour l'âge de 12 ans. Personne n'i
entions en éducation à la force et à la résistance de l'organisme des
enfants
pendant les diverses phases de leur développement
ne scolaire. jean-Pierre Frank a demandé que l'on n'épuise pas chez l'
enfant
les forces de l'homme avenir. DE LA DIPSOMANIE
ieux; ce qui le prouve, c'est qu'elle était la première à inviter ses
enfants
à prendre des liqueurs fortes après les repss. Ch
cauchemars, du délire hystérique. Dans son délire, elle parle de l'
enfant
mort, « Si le petit A... vivait, dit-elle, tout c
; les causes multiples des désordres épileptiques, les dents chez les
enfants
, la menstruation et la grossesse chez les femmes,
enue chez les générateurs. On y voit encore que plus de la moitié des
enfants
issus d'épileptiques sontdes convulsifs et qu'il
lui a donné le nom d'astasie-abasie, ont pour la plupart trait à des
enfants
, mais plusieurs cas nouveaux se rapportent à des
vue étiologique dans les dix groupes suivants : 1°Les démences des
enfants
normaux; 2° les démences épileptiques; 3° les dém
M. Boucher (de Rouen). -- Mme X..., âgée de trente ans. more de Jeux
enfants
bien portants, héréditaire du côté maternel, est
ue. M. Raymondaud (dê Limoges). — Une femme de 40 ans, mère de cinq
enfants
, bien constuée et bien portante, s'aperçut qu'ell
la science internationale. M. le Dr Schrenk-Notzing. parlant de cet
enfant
illégitime qu'on nomme l'hypnotisme, a fait resso
s ont contribue à son développement. Enfin, grâce à tous ces soins, l'
enfant
a prospéré. Aujourd'hui il est grand et fort, il
sur votre table qu'une bouteille d'encre?... Aimez-vous une charmante
enfant
don: !c corur est-plein de la pensée d'un rival ?
être divisés en trois classes : Femmes . - . 265 Hommes . . 50
Enfants
. - . 45 Total . 360 Le nombre des malades sou
athies. 4. Les maladies mentales. 5. Les affections nerveuses des
enfants
. 1. — NÉVROSES. Hystérie. — Sur le total des
'antécédents névropathiques. Elle s'est mariée a 19 ans. et a eu deux
enfants
. Son second accouchement a eu lieu tout à fait sa
and elle revient A elle, elle ne recouvre que lentement la mémoire. L'
enfant
, autrefois intelligente, est devenue sombre et in
ar plusieurs médecins, et la médication bromurèe a été instituée. L'
enfant
a été soumise à la suggestion alternativemer.: pa
formes curables de l'aliénation mentale. V. MALADIES NERVEUSES DES
ENFANTS
Depuis quelques années, nous nous sommes appliq
ion sur la valeur que peut avoir la suggestion dans le traitement des
enfants
vicieux ou malades (1). L'année suivante, au Cong
ouvions affirmer que nous n'avions jamais vu survenir, chez aucun des
enfants
soumis au traite-ment par la suggestion, le moind
ications de la suggestion à la pédiatrie et à l'éducation mentale des
enfants
vicieux ou dégénérés, Comptes rendus du congrès d
nous nous bornerons â dire que les manifesta-lions névropathiques des
enfants
contre lesquelles nous avons appliqué la suggesti
cturne d'urine a été de 32. Bien que l'incontinence nocturne chez les
enfants
puisse être attribuée â des causes étiologiqucs t
estion dans le traitement de l'incontinence nocturne d'urine chez les
enfants
. Parmi les faits les plus concluants, nous cite
ons sur ce point, nous propose de soumettre à ce traitement plusieurs
enfants
des écoles atteints d'incontinence : nous accepto
d'incontinence : nous acceptous sa proposition. Il nous adresse trois
enfants
: une petite fille de six ans et un petit garçon
llait s'attendre â ce que des médecins eussent l'idée d'appliquer a l'
enfant
une médication qui donnait de brillants résultats
artient au praticien de mesurer la dose, qui varie naturellement de l'
enfant
a l'adolescent et de celui-ci à l'homme fait. «
nt, elle doit avoir plus de prise et doit réussir mieux encore chez l'
enfant
que chez l'adulte. Eu effet, la suggestion n'est-
, déjà facile a développer chez l'adulte, l'est bien davantage chez l'
enfant
? » La suggestion trouvera donc dans le traiteme
vera donc dans le traitement des troubles nerveux et mentaux chez les
enfants
des indications d'autant plus formelles, qu'en gé
a:lcr embrasser ses parents. Ceux-ci, au lieu de l'accueillir comme l'
enfant
prodigue l'accablèrent de reproches et voulurent
lle et de détourner le coup: cilene se fit aucun mal et accoucha d'un
enfant
vivant le 18 avril. Depuis lors elle n'a fait auc
e repas suivant Cela se passait à dix heures du matin. Jusqu'à midi l'
enfant
rumuna sa colèra et, arrivée au réfectoire, l'émo
comédies ridicules ou scélérates, car les hystériques sont de grands
enfants
qui se déterminent d'après des sentiments fugaces
ais son oncle, qui s'était chargé de l'élever, la plaça comme bonne d'
enfants
. Elle lut en service pendant 14 ans. Jamais malad
ntre. Alors elle, s'écrie : « J'ai donc accouché, faites moi voir mon
enfant
. » Le lendemain j'ai donné à la fille Caffo une
viennent compliquer l'accouchement ; C'est même la vie sauvée pour l'
enfant
dans bien des circonstances ou il eut été sacrifi
fait du choréoptisme plus de lutte entre l'utérus qui veut expulser l'
enfant
et l'accoucheur qui veut ie refouler; plus d'encl
ts, engendrer des péritonites et entraîner la mort de la mère et de l'
enfant
. Mais celui là serait criminel qui dans une cir
ossesse dans l'inévitable dilemme d'une mutilation de la mère ou de l'
enfant
. Voilà, Messieurs, les conclusions que m'ont su
spéciale hystérique, où la suggestion du sujet désirant ardemme;:; :n
enfant
] avait fait tous les frais et devait seule être i
même proscription devrait s'étendre aux pratiques de ce genre sur les
enfants
qu'on rend fous ou idiots en les hypnotisant sous
end une voix qui, pendant la nuit, lui répète : tue ta femme, tue tes
enfants
; il y va. poussé par un mouvement irrésistible, e
remière fois, le 25 mars 1883. Elle 46 ans, est veuve ct n'a pas eu d'
enfants
. Sans avoir fait de maladies sérieuses, elle prét
cide. - Une femme est accusée d'avoir tenté de donner la mort à son
enfant
avec lequel elle a cherché à se suicider. Très ne
excitant qui tut dans la circonstance une dose exagérée d'alcool. Son
enfant
lui avant dit qu'il aimait mieux mourir que de vi
t âge, 4 ce qu'on admette cette étrange complicité entre la mère et l'
enfant
. Quant à la mere, elle ne s'était livrée, jusqu
able perversion des facultés affectives, car clic aimait beaucoup son
enfant
, qu'elle s'est livrée à sa tentative de suicide.
'une jeune femme accouchée depuis deux mois environ. Elle allaite son
enfant
qui se porte fort bien et elle-même jouit d'une b
qui l'alTaiblit beaucoup et lui fait redouter de donner le sein à son
enfant
Dès que l'enfant prend le sein droit, il se produ
eaucoup et lui fait redouter de donner le sein à son enfant Dès que l'
enfant
prend le sein droit, il se produit immédiatement
A plusieurs reprises je me rends compte de ce fait. Je fais changer l'
enfant
de sein, et toujours la sueur commence et cesse e
ence et cesse en même temps que la succion du sein du même coté par l'
enfant
. Le liquide sudoral reçu dans une assiette placée
lète-ment. J'ai perdu de vue cette femme, qui a eu depuis plusieurs
enfants
: mais je trai pu savoir si le même phénomène s'ét
ait six ou sept ans, non seulement elle s exprime et s'amuse comme un
enfant
, m;:s /.'e n'a p!u; d'iiémiancsthésie et ses zone
ra, notamment, l'idée qu'il était devenu femme et qu'il allaitait son
enfant
. Puis il lui suggéra d'aller s'emparer de l'argen
un véritable accès de somnambulisme, faire le simulacre d'allaiter un
enfant
, puis, fouillant dans un tiroir, faire semblant d
s hypnotisables dans l'armée et dans la marine, et pourquoi aussi les
enfants
sont, en général, si faciles à hypnotiser. On é
de novembre 1888. Elle était restée dix ans avec son mari et avait un
enfant
. Mmc H... s'était séparée de son mari, dont la ma
3e Observation. — Mmo H. T..., âgée de vingt-six ans, mariée, sans
enfants
, est en traitement depuis décembre 1888. Somnambu
ue quelque chose sort de moi ». Et au moment où l'infimière arrive, l'
enfant
était dehors. Après qu'on eut fait la ligature du
g de sa grossesse. Présente des stigmates d'hystérie. Elle a eu trois
enfants
, dont l'un est mort d'hydropisie et l'autre a sou
la vulve et se dégage, la femme ne bouge pas. Après l'expulsion de l'
enfant
, elle ouvre les yeux et s'étonne d'avoir accouché
t eu eix contractions ae dégage sans que la malade pousse un cri. L'
enfant
pèse 9 livres. La délivrance se fait 1/4 d'h. apr
dient leurs crimes et leurs délits. Les attentats à la pudeur sur les
enfants
sont un crime essentiellement urbain, comme le mo
lle à Auxerre. En 1825, à Paris, Henriette Cornier lue cruellement un
enfant
qu'elle gardait ; un peu après, d'autres bonnes d
uellement un enfant qu'elle gardait ; un peu après, d'autres bonnes d'
enfants
ol>éissent, sans plus de raison, i la passion
sans plus de raison, i la passion irrésistible de couper la gorge aux
enfants
de leurs maîtres. Pour les vols, il en est de mêm
seur agrégé à la Faculté de Médecine de Paris, a fait à l'Hospice des
Enfants
assistés, dans le service de clinique de M. le pr
rtes, ni aussi longues, et qu'elles étaient beaucoup plus espacées. L'
enfant
ne souffrait nullement. Il était visible que le t
prévenu un autre médecin de venir à *on appel. — J. U. complete. L'
enfant
continuait à ne pas souffrir. Je dus alors m'abse
euse, avait beaucoup redouté la dernière période de l'accouchement. L'
enfant
, une petite fille, pesait 3,300 grammes, un peu p
rance se fit sans encombre, moins de dix minutes après la sortie de l'
enfant
et sans que la femme s'en aperçût. Le périnée éta
1/2 du matin, c'est-à-dire à la ûu du 3e jour après l'accouchement. L'
enfant
devait être mis au sein de temps en temps. Le mar
Le mercredi, versOheures, les seins étaient très gros et durs, mais l'
enfant
ne put presque rien en faire sortir. Vers 11 heur
e moment. Elle suivit mon conseil, et au bout de quelques douleurs, l'
enfant
était né. La délivrance se fit facilement, et qua
t que l'hypnotisme n'a eu aucun effet nuisible pour la mère ni pour l'
enfant
. Je conseille donc à quiconque serait tenté d'e
plus haut chez les adultes bien portants et forts, plus bas chez les
enfants
, les vieillards, les malades. Au prorata de ces d
ur des effluves, lorsqu'on élève les doigs le bout en l'air; chez les
enfants
et les malades, on ne l'a souvent trouvé que de 1
ontré une femme de soixante-dix huit ans, bien portante, mère de onze
enfants
, dont les doigts donnaient encore 10 lignes. — On
ma main sur ses yeux, elle se sentait bien et cessait de souffrir. L'
enfant
est en eut de mort apparente cl revient k la vie,
pnotisable. L'extraction a duré S m., la femme gémissait, criaii. L'
enfant
est né virant, la mère est en très bon état. Le l
des suicides dus à l'alcoolisme va en décroissant. La mortalité dos
enfants
en Russie. — L'organisation sanitaire de l'Empire
ssie est beaucoup plus élevée que dans les autres pays. Sur 1,400,000
enfants
du sexo masculin nés en 1855, dans vingt-et-un an
trois jours. Deux mois après ce début, survinrent les vomissements: l'
enfant
vomissait, aussitôt qu'il avait ingéré, tout ce q
guérir. De plus, depuis le début de sa maladie, depuis trois ans, l'
enfant
accuse une céphalalgie frontale lancinante qui le
tre de lait par nuit; ses selles sont régulières. Depuis un mois, l'
enfant
a eu, de plus, cinq crises hyslériformes au plus.
e rien d'anormal, ni du côté du cœur, ni du côté de la respiration. L'
enfant
est intelligent, mai» impressionnable; il parait
iatement la suggestion à 11 heures du matin; je suggère le sommeil. L'
enfant
résiste d'abord, il est inquiet ; il rouvre à cha
eure, de tout entraînement de l'imagination. C'est au milieu de leurs
enfants
, d'étrangers.... que ces sensations irrésistibles
cachait poux aller boire à même la bon-teille. La malade a eu huit
enfants
dont cinq sont morts en bas âge; un autre est mor
isir dans les rapports conjugaux; en neuf ans de mariage, elle a huit
enfants
. Pendant l'une de ses gros-seses, survient un épi
mari, un ivrogne, elle s'en sépare et se trouve alors avec les trois
enfants
qui lui restaient, dans une situation plus que mo
qui avait étonné la sage-femme au plus haut degré. En se réveillant l'
enfant
était au monde. La femme Fay est complètement a
te femme » et me parla en me tutoyant. Demande (de moi) : Combien d'
enfants
ai-je? Réponse : Je ne sais pas. Demande ; Qu
s, dans la journée, très peu abondantes. Son pèro est venu la voir. L'
enfant
quitte l'hôpital pour reprendre la direction du m
ras gastrique, soit à un effort musculaire dù au travail pénible de l'
enfant
. Elles sont exagérées et retenues par l'impressio
esprit, et je l'ai développée devant les élèves en présence de cette
enfant
, si impressionnable, si docile au premier mouveme
enfant, si impressionnable, si docile au premier mouvement. La pauvre
enfant
travaille comme une adulte ; elle dirige tout le
ut son être est électrisé. Les bruits, et particulièrement les cris d'
enfant
, lui sont pénibles. Elle rêve parfois, croit tomb
n, 47. 73. Dysménorrhée, traitée par suggestion, par Journée, 18.
Enfants
(maladies nerveuses des), 109. Enseignement de l'
.... examinaient alors de nouveaux coquillages; ils faisaient, jeux d’
enfants
! mouvoir des cuisses de grenouilles, couraient v
de son orteil les pieds de la table, et le journaliste observe qu’un
enfant
ne se laisserait pas tromper par un artifice auss
Et pourtant 011 peut dire aussi à ces enthousiastes si candides qu’un
enfant
, avec son simple bon sens, n’hésiterait pas à ass
’hésiterait pas à assigner à ces faits une causo naturelle. Quand des
enfants
voient une personne écrire, ils ne réputent aucun
musé à frapper. On a raison de faire appel à la droiture d’esprit des
enfants
pour apprécierles tours du Bly de Bridgeport : po
MNAMBULISME NATUREL. TRIBUNAUX ÉTRANGERS. Une mère qui a jeté son
enfant
par la fenêtre. Voici un procès extraordinaire
a fenêtre. Voici un procès extraordinaire : une mère qui a jeté ses
enfants
par la fenêtre, sous la prétendue influence d’un
hester square, il a entendu une voix de femme qui criait : « Oh ! mes
enfants
! sauvez mes enfants ! ». Il s’est transporté dan
ntendu une voix de femme qui criait : « Oh ! mes enfants ! sauvez mes
enfants
! ». Il s’est transporté dans la maison n° 71, d'
ini par ouvrir, en déshabillé de nuit, criant toujours : « Sauvez mes
enfants
. » La chambre était dans une complète obscurité ;
ité ; à la lueur des lanternes, les constables ont vu sur le lit deux
enfants
, l’un de cinq ans, l'autre de trois. » La prévenu
ai jetée par la fenêtre ! » Sans doute c'était la chute du corps de l’
enfant
que nous avions entendue, en montant l’escalier.
’enfant que nous avions entendue, en montant l’escalier. En efi'et, l'
enfant
avait été ramassée et transportée à l'infirmerie
ui disait que la maison était en feu ; qu’alors, elle avait saisi son
enfant
le plus jeune et l’avait jeté par la fenêtre afin
vée, cette femme aurait jeté successivement par la fenêtre ses autres
enfants
. M. Lewis. — Cette femme était dans une agitati
c son mari que l’on a été chercher, à l’infirmerie, où était déposé l’
enfant
blessé, âgé de dix-huit mois. Le médecin a déclar
vait dû agir sous l’empire d’un cauchemar. Le médecin déclare que l’
enfant
est dangereusement blessé. L’os pariétal de la tè
dois faire observer ici qu’il n’y a pas eu tentative de meurtre sur l’
enfant
. La prévenue a toujours montré une vive affection
r l’enfant. La prévenue a toujours montré une vive affection pour ses
enfants
. J’espère que le magistrat voudra bien laisser ce
nsidère celte question comme extrêmement sérieuse, et si la mort de l’
enfant
s’ensuit, une enquête aura lieu. 11 ne saurait êt
ous l’influence d’un songe. M. Tyrvvhit Smith, médecin, déclare que l’
enfant
est actuellement hors de danger; il ne lui reste
t être un tic naturel. M. Broughton. — Ainsi, vous êtes sûr que cet
enfant
est tout à fait hors de danger. M. Smith. — Oui
epuis quelque temps, à part ce clignotement d’veux, je trouve que cet
enfant
est tout à fait bien. M. Lewis. — 11 me semble
nature à faire croire à qui que ce soit que cette femme ait jeté son
enfant
par la fenêtre avec l’intention de le tuer. M.
aire; j’ai consulté des médecins éminents et d’autres personnes. Si l’
enfant
avait succombé, j’aurais certainement envoyé cett
mbulisme ne serait pas allégué devant moi pour expliquer qu'un nouvel
enfant
a été jeté par les fenêtres? Je pense, quant à
, elle pourrait retomber dans le même état, et jeter encore un de ses
enfants
par la fenêtre. M. Lewis. — Je 11e suppose pas
. Broughton. — Comment ! elle ne serait pas punie pour avoir jeté son
enfant
par la fenêtre ? Vous êtes dans l’erreur. Si j’ad
ant, c’est que la mère me raconta après, que lorsque son fils, encore
enfant
, avait été malade et qu’elle lui avait administré
[ue reconnaît M. Gromier lui-méme à l’égard de la mère qui presse son
enfant
contre son sein, et, par de douces chansons, apai
au magnétisme. « Le docteur qui tiaitait en dernier lieu ce pauvre
enfant
, — plusieurs autres médecins l’avaient précédé
,'«« bout de dix minutes,-ainsi que le constata le médecin présent,—l’
enfant
parlait! ! ! Plusieurs mois après, quelques pet
ront de s’initier à la connaissance du magnétisme pour agir sur leurs
enfants
malades, je saisis cette heureuse occasion pour v
n faire part. i. Lue jeune veuve, 11c vivant plus que pour ses deux
enfants
qu’elle adorait, se voit sur le point d’en perdre
1 Je suis appelé. — J’arrive et conseille à la mère de magnétiser son
enfant
de la manière que je lui indiquai (elle avait déj
e j'avais fait quelque temps auparavant). Dès les premières passes, l'
enfant
, qui ne remuait déjà presque plus, s’agite convul
vait çn vain cherché à déterminer. Enfin, après avoir fait avaler à l’
enfant
, de demi-heure en demi-heure, quelques cuillerées
ce pauvre petit être fut sauvé. « Deux ou trois mois après, l’autre
enfant
fut pris d’une diarrhée que rien ne put arrêter.
ns que je lui donnai, elle eut encore le bonheur de sauver son second
enfant
. « Ces deux faits, bien simples pour nous, mais
ale et sa vraie forme. C’est pour cela qu’il donne à presque tous les
enfants
la beauté, naturelle et surnaturelle, et dans leu
rnaturelle, et dans leur âme et dans leur corps, miroir de l’âme. Les
enfants
, dans leur innocence, sentent ce bien presque hab
le sommeil, ces personnes se voient objectivement, et de même que les
enfants
qui n’ont pas encore la conscience du moi, el
ier état, le sujet se nomme toujours à la troisième personne, comme l’
enfant
qui n’a point encore la conscience du moi. Au sor
d’objets, montres, tabatières, bijoux, pièces de monnaie , etc. : un
enfant
, ayant la vue bandée, et se tenant à l’autre extr
s sur deux. Quelle devait donc être la prodigieuse pénétration de cet
enfant
dont la clairvoyance n é-tait jamais en défaut?..
énements passés et notamment de la perte bien douloureuse d’un de nos
enfants
; toutes les circonstances étaient parfaitement ex
es à l’instigation de prétendus prophètes qui en imposaient aux naïfs
enfants
du désert par des miracles présentés comme pr
t de faire voir à ces braves gens que leurs marabouts ne sont que des
enfants
à côté des sorciers français, et de les amener, o
l’eau magnétisée pour boisson eurent un résultat si avantageux, que l’
enfant
était debout dès le qua- (1) La discrétion néce
mment j’avais eu plusieurs fois l'occasion d'observer, sur cette môme
enfant
, les résultats merveilleux et rapides, qu’on obti
Au boutdedeux.mois d’une magnétisation quotidienne ¿une demi-heure, l’
enfant
était en état de percevoir le bruit. le,.plus lég
à la quinzième magnétisation, l’heureux résultat pronostiqué par une
enfant
était obtenu ! u Personne ne pouvant mieux que
ntières communiquées au magnétiseur et instantanément■ répétées par l’
enfant
, des phrases énoncées sans hésiter au moment inbh
ort pas... Ils ne sont pas seuls dans la chambre, il y a un petit
enfant
dans un autre lit à gauche en entrant... Est-il g
ulons inscrire sur l’étendard autour duquel nous appellerons tous ses
enfants
: « Frères, à l’unité ! « A l’unité dans .Mes
ésence detantde personnes qui ont les yeux braqués sur elle, la jeune
enfant
ne perd rien de son pouvoir, et dès qu’elle a pos
u m'entendre, de vouloir bien ordonner que la table vînt à moi. L’
enfant
11e me connaissait point, et n’avait même pu me r
e de la science pour deux raisons : la première, pour mettre la jeune
enfant
dans l’impossibilité matérielle de répondre d’ell
rs elle, que les parents, inquiets de voir les bonds que faisait leur
enfant
dans sa couche, me prièrent de cesser mes expérie
parce que c’estoit en temps d'hiver. Voyant sa femme près de luy, les
enfant
s’estant retirez, luy demande en colère ce qu’ell
mari négociant à Ville-franche. « J'étais en consultation pour mon
enfant
lors de l’arrivée du commissaire de police. Mn" B
te dit commissaire de police j’ai encore consulté Mmt Berney pour mon
enfant
qui s’en est bien trouvé. » M'“e Hauteinanière,
rie. La première consultation a été faite sur la vue des cheveux de l’
enfant
malade. C’était alors son mari qui l’endormait. L
épliane-Lorrain, négociant à Villefranche. « M“* Berney a guéri mon
enfant
qui était abandonné du médecin. Je suis sûr quell
eux fois ; je crois qu’elle dormait. Elle a sauvé plus lard un de mes
enfants
à qui l’on ne donnait pas vingt-quatre.heures de
belle-fille lui a porté de mes cheveux. Elle a-guéri aussi mon petit
enfant
. » M* de Peyronny, défenseur de M”8 Berney, apr
de pareilles crises vous saisissent, quelqu’un de votre famille, vos
enfants
, par exemple, ne pourraient-ils vous soulager? —
elle dit le nom d'une personne qui sonnait à la porte et vit un jeune
enfant
qu’on venait de mettre dans un certain lit qui n’
ait condamné par les principaux médecins de la ville, et la mère de l'
enfant
, plongée dans le désespoir et ne sachant plus à q
ois., avant d’accéder au désir de cette dame, je demande à examiner l’
enfant
, et, voyant à quel point il était réduit, je rega
adame, comme vous voudriez me le faire accroire, mais bien pour votre
enfant
que la médecine va laisser mourir, parce qu’elle
t vrai que la chose était assez difficile, vu que la maladie de votre
enfant
date d'avant sa naissance. « A ces mots, la dam
à la fin, et surtout suivez mes conseils, si vous voulez sauver votre
enfant
tandis qu’il en est temps encore. « Oui, je l
fant tandis qu’il en est temps encore. « Oui, je le répète, votre
enfant
était déjà malade avant d’avoir vu le jour. Ne vo
faudra employer, si toutefois vous avez quelque espérance de sauver l’
enfant
. «— 11 est bien tard, me répondit-il; cependant
comme il l’avait prescrit, et, en moins des quinze jours annoncés, l’
enfant
allait déjà mieux. Mais, hélas ! il faut bien le
xagérés. Aussi ne tarda-t-il pas à devenir sérieusement malade. « Mes
enfants
, répétait-il sans cesse à ceux qui l’entouraient,
’homme se verront (1). C’est le but de la Divinité qui se cache à ses
enfants
pour les amuser tant qu’ils ne sont qu'enfants.
ité qui se cache à ses enfants pour les amuser tant qu’ils ne sont qu'
enfants
. Un peuple d’abord aura cette gloire, les autre
-« che à m’évader, je veax fuir ce lieu, mais j’y suis Tetenu'; a des
enfants
, pas d’emploi... je promène ma rêverie par-« tout
oliques, mais je suis veuf seulement depuis quelques mois, j’ai trois
enfants
; elle est toute jeune, aimable, et j’ai quarante
les bons effets de la clairvoyance de AI1"' I). sur la personne d’une
enfant
bien chère, une fille de 15 ans... — Nous abrég
ion, ajouta que, si elle mourait, elle reviendrait chercher un de ses
enfants
quelle désigna, parce qu’il était d’un caractère
e ex- cessive rapidité et en dépit de tous les soins possibles. L’
enfant
mourut uu mercredi et ne put être enterré que le
eu lieu la conversation que nous avons rapportée, apprit la mort de 1
enfant
, les paroles de M"" *** lui revinrent à la mémoir
venin qui leur étoit pernicieux. Ils avoyent de coùtunie que quand un
enfant
de leur race étoit venu au monde, ils le jettoyen
monde, ils le jettoyent pariny les serpens : et ce pour éprouver si l’
enfant
étoit de leur race, et connoîtrepar ce moyeu la c
race, et connoîtrepar ce moyeu la chasteté de leurs femmes. Car si l'
enfant
étoit à eux, les serpens s’enfuyoient incontinent
1. La veille de sa mort, elle ressent un grand désir de voir ses deux
enfants
, qu’elle a laissés chez elle aux soins d’une bonn
cheval, pour qu’elle puisse aller à Rochester, et mourir près de ses
enfants
. On lui fait observer qu'elle n’est pas en état d
icorde divine : « Toute ma peine, dit-elle, c’est de ne plus voir mes
enfants
. » Entre une et deijx heurps du matin, elle a com
ntai sa mère qu’elle était allée à Rochester, et qu’elle avait vu ses
enfants
: « C’est impossible, dit la mère ; vous n’êtes p
s de votre lit. —Eh hien, dit l’autre, jesuis pourtaut allée voir mes
enfants
cette nuit pendant mon sommeil. » La veuve Alexan
fants cette nuit pendant mon sommeil. » La veuve Alexandre, bonne des
enfants
, affirma de son côté que le matin, un peu avant d
vu Marie Goffe sortir de la chambre voisine de la sienne, où l’un des
enfants
dormait seul, la porte ouveste, et venir ensuite
tée environ un quavt d’heure près.du lit où elle était couchée avec l’
enfant
le plus petit. Ses yeux se remuaient pt ses lèvre
ait située sur le quai, se promena quelques heures eu allant voir les
enfants
de temps en temps. Vers cinq heures du matin, ell
a, entre autres choses, que sa fdle avait beaucoup désiré de voir ses
enfants
, et qu'elle prétendait même les avoir vus. Marie
outes les particularités de mon rêve sont réalisées. 2.—Je vois des
enfants
qui se baignent dans l’eau trouble, au Raidon, su
quitte que quand j’ai compris ; je m’éveille alors, et, éveillant mes
enfants
, je leur dis: notre cousin l’officier viefit cher
de mon organisme, de retour chez moi, je considérai attentivement mes
enfants
; l’aîné me parut souffrant. « Où as-tu mal? Au ve
, le plus banal, arrêtait mon élève (un homme ; jamaisun adulte ni un
enfant
), je voulais l’aider, tout il coup je partageai s
ations qui furent faites au sujet de son ensevelissement» u Quand l’
enfant
revint à la vie, on voulut lui faire prendre quel
gine que par l'aveu fait par la jeune fille elle-même. Actuellement l'
enfant
est dans un état tel, qu'on ne sait si l’on ne do
L CORRECTIONNEL DE DOUAI. SOMNAMBULISME. — MALADIE OCCASIONNÉE A UN
ENFANT
•PAR DES PASSES MAGNÉTIQUES. Le tribunal correc
t accepté. M. X..., qui n’avait en vue qu’une mystification, prend un
enfant
d'une douzaine d’années, qui se trouvait là, le j
es qu’il avait remarquées dans les baraques de foire ou ailleurs. L’
enfant
s’endort. M. X... est étonné de ce résultat ; il
e la journée, chez les époux Lombard, pour y voir leur jeune neveu, l’
enfant
Jourdain , tombé brusquement malade. Je trouvai c
e neveu, l’enfant Jourdain , tombé brusquement malade. Je trouvai cet
enfant
en proie à une violente attaque convulsive; il se
ts commensaux de l’hôtêl m’apprirent que l’un d’eux avait magnétisé l'
enfant
, et qu'aussitôt il était tombé dans l’agitation o
temps, en août et dans le courant de septembre, j’ai revu deux fois l'
enfant
Jourdain souffrant des mêmes accidents sans qu'un
nt, et je dois déclarer que je ne sais où la placer ailleurs. Ici l'
enfant
est pris d’une de ses attaques. Le témoin, ainsi
en passant par la période somnambulique. Les docteurs déclarent que l’
enfant
n’est point épileptique, encore moins cataleptiqu
de maladie, le témoin répond que, d’abord, il n’est pas établi que l’
enfant
fût somnambule, et qu’ensuite, ce phénomène se se
passes magnétiques me paraissent être la cause de l’état actuel de l'
enfant
: je n’en vois pas d’autre. Deuxième docteur. —
appareil et ces manœuvres inaccoutumées la faible imagination de cet
enfant
, le prévenu a produit sur le patient une surexcit
issances, on pouvait, entre les passes magnétiques et la maladie de l'
enfant
, établir une relation de cause à effet. Ce furent
leur ignorance. Le premier médecin, après avoir exposé l'état de l’
enfant
, dit ne pas croire au fluide magnétique (l’existe
i, sans la connaître suffisamment, ont osé s’en servir; de même qu’un
enfant
qui joue avec le feu peut causer des incendies. C
répare le mal qu'il peut causer : il y a tout lieu de croire que si l’
enfant
dont il s’agit était confié aux soins d’un magnét
oute l’incrédulité qu’eût souhaitée l’académie des sciences, le jeune
enfant
s'endormit, tomba dans des convulsions qui depuis
re côté, nier le magnétisme, quand on avait là, devant soi, un pauvre
enfant
, atteint d’un mal sérieux, et qui n’était peut-êt
oins, ne les autorisait pas à le reconnaître, et qu’en conséquence, l’
enfant
souffrait... du magnétisme. « Le tribunal a ren
ur avoir, par des passes, excité imprudemment le système nerveux de l’
enfant
. « J'espère bien que les magnétiseurs vont s’em
olennel. Il leur donne absolument gain de cause, car j’avoue que si l’
enfant
en question n’est pas épileptique, je ne comprend
noflfensives faites par un sceptique qui riait sans doute au nez de l’
enfant
, tout en le magnétisant, ont pu opérer des désord
veuse, pourquoi les parents n essayeraient-ils pas de faire traiter l’
enfant
par des magnétiseurs? Ce serait là l’occasion peu
rsonne se sera amusée à faire aller les mains au tour de la tête d’un
enfant
. Mais si le magnétisme a quelque chose de vrai (s
é. Voici ce que rapporte à ce sujet son historien : « 11 fit venir un
enfant
, fils d’un grand seigneur; il le plaça devant une
à Dieu pour l’heureux accomplissement du travail. Ayant dit alors à l’
enfant
de regarder dans la carafe, celui-ci s’écria tout
er et à s’agiter comme un possédé en criant : Voilà que j’aperçois un
enfant
comme moi, qui me paraît avoir quelque chose d’an
qui, à l’entendre, l’avait toujours assisté et favorisé. Le père de l'
enfant
désira alors que son fils, avec le secours de la
it dans une maison de campagne distante de quinze milles de Mittau. L'
enfant
étant de nouveau exorcisé, ayant les mains du vén
e désira que le pupille ou lu colombe (c’est ainsi qu’il appelait les
enfants
dont il se servait) vît un de ses frères qui étai
. Il se contenta d’opérer par l'imposition des mains sur la tète de l'
enfant
. « Quelqu’un soupçonnant que, dans ces sortes de
quelque compérage entre la pupille etle maître, proposa d’amener une
enfant
étrangère et avec qui on ne se mettrait en rappor
ent heureusement, et même il voulut que la personne qui avait amené l’
enfant
fit elle-même l’imposition des mains. L’interroga
passementier insistant, elle se miten route gour aller chercher leur
enfant
, placée en apprentissage chez une modiste de notr
usée d’avoir employé des pratiques diaboliques pour rendre estropié l'
enfant
de ses maîtres. Et l'Allemagne semble avoir vécu
it dans le Courrier de Lyon : « Les cris : Au secours! j’ai tué mon
enfant
! partaient, avant-hier, d’une maison des environs
e mansarde. Tous les remèdes employés par cette femme pour guérir son
enfant
étant restés infructueux, elle eut, après une pre
agnétiques qu’elle continua longtemps après l’avoir endormie. u L’
enfant
, pris bientôt de spasmes nerveux, tomba dans d'af
, qui, après avoir rassuré la mère plus morte que vive, fit subir à l'
enfant
un traitement approprié à. son indisposition, et
ns la nuit de l’immaculée Conception,, elle avait levé et allaité son
enfant
, puis l’avait couché dans son berceau en le recom
lit, ayant une servante à côté d’elle. Au bout d’un quart d’heure, l’
enfant
se mit à crier si fort que laservaulefutobligée d
ce donc près du lit, et lui dit : « Madame, n’entendez-vous pas votre
enfant
crier? » Point de réponse. Elle met la main s
tie. — Dieu garde, » répond le mari. 11 allume une lumière, prend son
enfant
, parcourt avec la garde tous les coins de la mais
our, elle se trouva assez bien, mangea, but, se promena et soigna son
enfant
, de sorte qu’on put espérer qu’elle irait mieux d
3 décembre.» Le lendemain, entre sept et huit heures, elle prit son
enfant
, l’allaita, l’emmaillota et le mit dans son berce
le me l’a ordonné. » Elle entre donc, va droit au berceau pour voir l’
enfant
, mais elle ne le trouve pas. Elle pense aussitôt
lle ne le trouve pas. Elle pense aussitôt au puits, y court, trouve l’
enfant
dans l’eau et ses langes pendant autour de ses ja
n lui demanda ce quelle voulait; elle répondit qu’elle avait mislàson
enfant
, et qu’elle voulait l’avoir n’importe ofi il étai
son esprit; mais elle y revenait toujours et disait : « Je n’ai qu’un
enfant
, mon lait est bon; donnez-moi donc mon enfant; »
isait : « Je n’ai qu’un enfant, mon lait est bon; donnez-moi donc mon
enfant
; » et elle ne se remit un peu que lorsqu’on lui e
a tranquille, parla peu, mais soupira beaucoup et ne demanda plus son
enfant
. Les témoins du fait sont Conrad Perça, curé de S
l’ouverture si étroite du puits. Quant au second fait, qui eut pour l’
enfant
de si tristes résultats, comme personne n’était p
s sorciers commettaient de véritables crimes, tels que des meurtres d’
enfants
: alors on n’aurait dû poursuivre que les meurtri
respect à la foi dans le diable. Il ne faudra même pas se moquer de l’
enfant
qui croit à Croquemitaine : c’est une affaire de
n lumière. Pour justifier notre jugement, nous ajouterons : comme des
enfants
à peine sortis du sein de leur mère, vous avez vo
pensées. Ces tentatives seraient plus fructueuses sans doute sur des
enfants
qui n’ont point encore connu le vice; mais oùl’ou
oùl’ou obtiendrait des succès vraiment merveilleux, ce serait sur des
enfants
encore dans le sein de leur mère : six ou huit ma
que j’attendais d’eux. Un même phénomène s’est produit sur les trois
enfants
sur lesquels j’ai agi i le crâne était ouvert de
ient, dans ce cas, les plus aptes seraient les maris. Pour le dernier
enfant
sur lequel j ai opéré, j'ai eu la pensée de lui d
mieux que ses frères et sœurs. Je pense même qu’on pourrait rendre l’
enfant
plus heureux et pour ainsi dire lui changer sa de
heureux et pour ainsi dire lui changer sa destinée, en appelant sur l’
enfant
les bons Esprits qui président au moment de la co
anté 1 embonpoint commençait à revenir. Elle a eu depuis uu superbe
enfant
qui maintenant est âgé de huit mois à mIi'ih'm
it dans le pays. Les médecins dirent qu’il y avait dans le village un
enfant
de sept ans qui n’avait jamais pu ni marcher ni m
lai, et en moins de temps qu’il ne m’en faut pour vous le raconter, l’
enfant
se tint sur ses pieds, marcha seul, et l’ou me di
ble ; par l’effet de leurs sortilèges, votre femme perdra la vue, vos
enfants
seront bossus, vos chevaux fourbus, et vous-même.
ta son magnétiseur et une jeune fdle appelée M11* Virginie. C’est cet
enfant
qui allait m’éblouir, comme un autre Saftl, aux c
ux-ci à ceux-là, 12. — Poursuites contre une femme qui avait jeté son
enfant
par la fenêtre, dans un accès prétendu de somnamb
— contre un amateur, incrédule en magnétisme, accusé d'avoir rendu un
enfant
malade, en lui faisant, pour s'amuser, des passes
Elle a été réglée à douze ans, mariée à quinze ; elle eut treize
enfants
dans l'espace de dix-neuf ans. Dix de ses enfants
; elle eut treize enfants dans l'espace de dix-neuf ans. Dix de ses
enfants
sont morts en bas âge, trois sont bien portants
us ayons pu nous procurer sont les suivants : la malade a eu sept
enfants
, la plupart sont morts en bas âge, un seul survit
ne s'est pas démentie plus tard. On a pu facilement remarquer que l'
enfant
de Wilson est presque guéri, et nous disons pre
avait l'air toujours mélan- colique, il n'aimait pas jouer avec les
enfants
de son âge; mais, toujours sérieux, il se souci
me; par M. FLESCH. (Neurolog. Çei ? 12albl., 188t.) Une moelle d'un
enfant
de dix-huit mois ayant succombé à la diphthérie
ose avec éléments hystériques. Fibrome utérin gros comme une tète d'
enfant
. Amputation supra-vagi- nale de l'utérus. Résul
SAVANTES. quels elle s'isolait et refusait de jouer avec les autres
enfants
. Dès cette époque elle se montrait menteuse, pa
u sur l'ouverture d'un puits « pour se procurer une émotion ». Si l'
enfant
était tombé dans le puits, elle s'y serait préc
articularité. Enfin, je voudrais raconter en- core l'histoire d'une
enfant
de sept ans, fille d'un délirant mélanco- lique
l accès mélancolique refusait de s'alimenter, je me fis présenter l'
enfant
pour rechercher si elle ne portait pas certaine
issait exclusivement de pain et de fromage. Désireux d'obtenir de l'
enfant
l'aveu du motif qui lui faisait repousser les a
ragments de viande. Les parents ont cessé de sévir contre elle et l'
enfant
ne paraît pas d'ailleurs souffrir de son régime
se livrer à aucun travail. Mariée à vingt et un ans, elle eut deux
enfants
et n'offrit rien d'extraordinaire jusqu'à vingt
musculaire vraie combinée à une sorte d'hémichorée gauche. C'est un
enfant
de quatorze ans, issu d'un père rhumatisant (af
s'est accru : on ne peut recueillir plus de détails. Etat actuel :
enfant
assez bien développé; coloration un peu pâle du v
du visage du même côté; la tête est tirée en arrière et à gauche; l'
enfant
fait toute espèce de mouvements avec les muscle
t enfin son Anatomie pathologique et son Traitement. La Foliechez l'
enfant
est l'objet d'une étude spéciale en deux chapitre
à Dalldorf un établissement d'idiots (création nouvelle) pour ,100
enfants
, on n'a procédé à aucune modification architect
ales. Asile d'idiots ddla1'sberg. Etabli en 188 f, il compte 60à-iO
enfants
. Une nouvelle construction, qui date de cet été
ant fait plusieurs essais sur plu- sieurs personnes et même sur des
enfants
, j'appris à deviner assez bien les nombres 1 et
» Elle néglige son intérieur se désintéresse de tout, même de son-
enfant
; elle passe ses journées à réfléchir pour retr
ut en réparation. Il nb connais- sait nullement la famille de cette
enfant
, et le fait eh lui-même l'intéressait médiocrem
- dictoires. C'est ainsi que l'on verra dans une même famille des
enfants
sains qui auront des frères sourds-muets ou rachi
s caractères physiques et moraux, doivent être considérés comme les
enfants
d'une même famille, DES FAMILLES D'IDIOTS. 187
atteindre le système nerveux des parents, peuvent devenir pour les
enfants
une cause de prédisposition héréditaire à des af-
fections nerveuses d'un autre ordre. Ce que le père transmet à l'
enfant
, ce n'est pas sa folie; c'est le vice de constitu
é- gularités mentales. Affaiblissement paralytique chez les trois
enfants
. Irascibilité chez deux d'entre eux. (Archives de
aturels. Une petite fille morte à cinq ans ne dilférait en rien des
enfants
de son âge. 40 R... (Vincent-Clet), né à Doua
out porte à croire que la famille s'est éteinte en elle. Sur quatre
enfants
, l'un meurt à cinq ans ; les trois autres idiot
p. 429.) Parents excentriques, que l'on croyait consanguins. Onze
enfants
. Un frère disparu : on l'a cru noyé. Une soeur
ts excentriques et peut-être consan- guins ont donné le jour à onze
enfants
dont huit imbéciles à différents degrés, inéduc
grand-père maternel alcoolique; grand-oncle maternel bègue. Cinq
enfants
: un épileptique, un faible d'esprit, ivrogne; de
on maître d'école l'avait enfermé dans un cachot noir où les autres
enfants
allaient lui faire peur. Lorsqu'il s'est marié,
fs. - Deux frères bien portants, l'un célibataire; l'autre a quatre
enfants
qui sont en bonne santé et n'ont jamais eu de c
e père de nos malades. - Une soeur, bien portante, mariée, a eu dix
enfants
et n'en a plus que trois; les autres sont morts
jeunes, l'autre de la poitrine, à trente-trois ans; il avait eu un
enfant
qui est mort en bas âge, on ne saitde quoi.- Cinq
e ans, on ne sait de quoi; elle n'était pas mariée et n'avait pas d'
enfants
. Un oncle paternel était bègue, à un degré très
de convulsifs, etc., dans la famille.] Pas de consanguinité. Six
enfants
: 4 un garçon mort à dix-huit ans, le 2 décembre
re autre malade Julien ; 5° Fausse couche à sept mois et demi; 6°
Enfant
mort-né. Ces deux derniers étaient bien conformés
lons maintenant rapporter l'histoire personnelle de cnacun des deux
enfants
idiots épileptiques. DES FAMILLES D'IDIOTS. 193
accouchement à terme, naturel. Rien de particulier à a naissance. L'
enfant
, élevé au sein par sa mère jusqu'à vingt et un
trois à quatre semaines. Les accès seraient précédés d'une aura. L'
enfant
les sent venir et dit : « Maman, cela me prend
s d'hallucinations. Aucun traitement. Comme maladies antérieures, l'
enfant
n'a eu qu'une fièvre mu- queuse qui a duré un m
générale est normale : lasensiLilité spéciale intacte : cependant l'
enfant
ne lit que de très près les petits caractères :
uée. Dynamomètre : M. G. 105; M. D. 110. L'état intellectuel de cet
enfant
s'est considérablement amélioré depuis son entr
o- grès ont été aussi marqués pour les exercices physiques et cet
enfant
sait actuellement un peu d'escrime, de danse et d
aux détails. En février, B... a essayé de se sauver, entraîné par l'
enfant
Rouz. 11 a été envoyé à l'ate- lier de serrurer
eprochait de nourrir [des bâtards. Cependant la mère assure que cet
enfant
, comme les, autres, est'bien)du père légal : pa
chement à terme, naturel. Rien de particulier ci la naissance de l'
enfant
. Elevé au* sein par'sa; mère jusqu'à dix-huit moi
st bon pour les animaux, quelquefois il est méchant avec les autres
enfants
; il n'est pas voleur ni malfaisant, un peu gour
deux générations, quoi d'étonnant à ce que nous trouvions chez les
enfants
ces signes de déchéance que nous avons rapporté
ici les notes que nous avons prises sur eux ? ' ' 1 1° L'aîné dés
enfants
de r : 'eÚl';oI ? âgé'dè' l; : ent-cinqans, est
lt ffi-ort du' CI'Ó'U'p' àl'3ë dè' trois ans, nerveux. Un quatrième
enfant
mort du croup à l'âge de trois ans, avait joui,
-J"<"I ">* ,d commerce de son père ; ? ? ? 3° Le troisième
enfant
était une fille morte de plitisie pulm'o- t\âir
quième dans l'ordre de la progéniture ; '' ' 6° Le plus jeune des
enfants
est une jeune fille âgée de dix-neuf ans. D'une
sorte ni de symptômes méningitiques. c C'était, dit sa mère, un bel
enfant
; tout le monde m'en faisait compliment et j'en ét
mons ses antécédents d'après une observation déjà publiée '. Il est
enfant
naturel. Il a commencé par errer et mendier sur
Mort, autopsie; par le Dr DESCROI- ZILLES, médecin de l'hôpital des
Enfants
. Cette observation de méningite est intéressant
pression principale, Ja parole, son analogue dans les .étapes que l'
enfant
normal doit parcourir pour son dé- yloppme ! 1t
elques exemples. Au degré le plus inférieur, l'idiot ressemble à un
enfant
des premières semaines 'de la vie, c'est un, ,
, réflexe (1 observ.); à un degré plusvélevé, op'a sous les yeux un
enfant
d'un an et demi à deux ans qui émet des onomato
aut de syntaxe el de grammaire, un langage qe.I1éb)e,que celui d'un
enfant
de deux 4 trois ans; tes verbes ne, sont ,mis q
é; De- puis quatre'ans,"ces" accès' ont disparu- sponta;tément : ,L'
enfant
n'a, jamais parlé bien qu'elle'comprit1 toutice
descend pas dàtis là scissure de Sylvius. Le second cas concerne un
enfant
né prématurément six mois ; entré à l'a- sile à
arties environnantes. M. STAM. J'ai examiné beaucoup d'encéphales d'
enfants
idiots privés de la parole. Un grand nombre d'e
se avec éléments hystériques. Fibrome utérin du volume d'une tête d'
enfant
.. Amputation supravagmale de l'utérus. Bon résu
4° Weissenheim. Asile privé, (pour faibles d'esprit, c'est-à-dire
enfants
susceptibles encore de développement ! . Directeu
t). -'2° L'Espérance (ZUI' Hotlnung), Asile privé (asile privé pour
enfants
faibles d'esprit, imbéciles; etc.), Dr 1 IEDLER
er à ce départ, ne s'occupa jamais ni de son épouse, ni de ses deux
enfants
. Après cette séparation, l'accusé qui, de tout
, un soir, qu'elle mettait le feu dans sa propre demeure. La pauvre
enfant
reçut pour la dernière fois une de ces formidab
e résultat n'était pas dû à la paresse mais à l'état psychique de l'
enfant
. Etran- gère, pour ainsi dire, à toute notion m
nous avons encore à parler de deux familles ayant produit plusieurs
enfants
idiots ou imbéciles. IV. Famille HORN... '
IV. Famille HORN... ' ty Père alcoolique ( ? ) Mère débauchée,
enfant
naturelle ( ? ), Grand' mère paternelle irritab
l de jambe. - -Deux frères, qui étaient bien portants et ont eu des
enfants
bien portants, sont morts, l'un du choléra en 1
tué en z1 ? - Deux soeU1'S, dont l'une est morte en couches; leurs
enfants
sont bien portants. Il n'y a dans la famille ni
'il en soit, elle a eu. avant son mariage, à l'âge de vingt ans, un
enfant
actuellement à Bicêtre, qu'elle nomma Desob...,
ns. Puis, l'année suivante, elle est accouchée à l'Hôtel- Dieu d'un
enfant
du même père et qui est mort-né. Ensuite elle a
même père et qui est mort-né. Ensuite elle a eu ; d'un autre, un 3°
enfant
dont elle est accouchée à l'hôpital Saint-Antoi
rt en 1884 de sa bronchite tuberculeuse. °- Il Il paraît qne, étant
enfant
, il était arriéré; un jour, il est parti de che
de la variole, six mois avant la naissance de sa fille qui est une
enfant
naturelle. - Mère, bien portante, sans accident
erveux, change souvent de profession. Elle assure n'avoir eu qu'une
enfant
(la mère de nos malades), et n'avoir pas connu
lle assure aussi qu'elle buvait et boit encore. Depuis l'entrée des
enfants
à l31cêtre, la grand'mère est souvent venue les
Des..., ni avec Ilorii... Depuis son mariage, Mme Horn... a eu sept
enfants
, ce qui fait en somme dix enfants : 1° un garço
on mariage, Mme Horn... a eu sept enfants, ce qui fait en somme dix
enfants
: 1° un garçon, Des... (Ons. V); -°2° fausse co
à Bicêtre le 21 septembre 18881 (service de M. BOURNEVILLI';). Cet
enfant
est entré une première fois le 12 juin 1870; il a
Antécédents personnels. (Renseignements fournis par la mère de l'
enfant
, 27 février 1882.) - Le père de Desob... se porta
terme, naturel, sans chloroforme. Pas d'asphyxie à la naissance. L'
enfant
a été élevé en nourrice, au sein jusqu'à un an,
diarrhée, mais jamais de .vomissements. Il était jaloux des autres
enfants
, et passait ses,journées seul, sans jouer, soit
Dynamomètre Mathieze : AI. D = 70,5 - M. G. 70. Actuellement, cet
enfant
n'est pas méchant, ni taquin; il est docile, do
s : gymnastique, danse et escrime, et pour les travaux manuels. Cet
enfant
est actuellement un des meilleurs apprentis de
élevé au biberon. ' Depuis quatre mois et demi jusqu'à huit mois, l'
enfant
vomis- sait presque tout ce qu'il prenait (lait
x ans qu'on s'est rendu compte qu'il « n'était pas comme les autres
enfants
». Il n'a jamais su s'habiller, ni manger; il boi
uelle il est très expansif. Il n'aime pas entendre crier les autres
enfants
: avant son entrée, il n'avait jamais pleuré, m
4 â82. Janvier : Poids, 25 kil. 500 ; taille, -I m,;L6. '2 juin. L'
enfant
est un peu moins gâteux qu'autrefois, il ne man
r. Il est assez obéissant. 6 6 octobre. Hier, on s'est aperçu que l'
enfant
présentait une éruption. Elle est disséminée et
aines de l'ais- selle droite. ' Au point de vue intellectuel, cet
enfant
est un type d'idiotie complète, et ne semble au
ernativement le tronc. 11 a pris en affection dès l'entrée un autre
enfant
, Naud ? ils s'approchent l'un de l'autre en riant
C/tpmeH< à terme, naturel, sans chloroforme. - A la naissance, l'
enfant
ne présen- tait rien d'extraordinaire. Sa nourr
uquel il met tous ses méfaits. Il ne veut pas jouer avec les autres
enfants
, et préfère rester seul dans un coin; il ne peu
, ni de chutes. A son entrée dans le service, on constate que cet
enfant
ne sait que quelques lettres, qu'il ne sait pas
ne des injections sous-cutanées. 10 avril. Depuis plusieurs jours l'
enfant
se plaint d'un point de côté à droite et au niv
ple.; pas d'ictère, anorexie, soif vive, langue saburrale. Le 11, l'
enfant
qui avait pris de l'huile de ricin, a vomi pour
, rien de caractéristique. DES FAMILLES D'IDIOTS. 363 21 mai. L'
enfant
est gai et mange de bon appétit. Selles régu- l
menteur, a de mauvaises habitudes et cherche à entraîner les autres
enfants
; en octohre, il est plus attentif; en décembre
er. Il est devenu plus actif, assez propre, et joue avec les autres
enfants
. ce qu'il ne faisait pas dans les premiers temp
s dans le service. En résumé, sous T'influence du traitement, cet
enfant
s'est notablement amélioré à tous les égards.
ue, dans le cas actuel, l'hérédité est double et s'accumule sur les
enfants
avec une intensité d'au- tant plus forte qu'ell
orte qu'elle date de deux générations. Aussi de ces cinq malheureux
enfants
venus à terme, deux meurent, à quel- ques mois,
reils, si elle-même ne ressent pas les atteintes de l'hérédité, ses
enfants
, si elle en a, hériteront des prédispositions n
asthmatique; cousin éloigné idiot; consanguinité éloignée. - \Onze
enfants
: quatre idiots, une idiote, un convulsif. An
me ou sixième degré. Leurs deux mères portaient le même nom. Onze
enfants
: 1° une fille morte à un an sans avoir eu de con
. Santé physique bonne; vie purement animale. Le 10 avril 1872, l'
enfant
est atteint de bronchite généralisée il meurt l
ne dit guère que papa et maman; gâtisme. L'état in- tellectuel de l'
enfant
ne s'améliore pas, 'et les derniers certi- fica
Salpêtrière quelques renseignements sur Henriette Gui., le septième
enfant
de cette famille. Nous les transcrivons ici :
enant rapporter plus en détail les obser- vations des deux derniers
enfants
qui ont été placés à Bicêtre. Observation XI. I
il s'amuse avec n'importe quoi, ne se querelle pas avec les autres
enfants
; il est voleur. Il sait manger seul avec la cui
membres inférieurs, para- plégie. 16 octobre. Depuis l'entrée, l'
enfant
est resté couché constam- ment. Depuis son admi
rofuleuæ; deux bains salés par semaine , essayer de faire marcher l'
enfant
. 4 novembre. Pas de modifications appréciables.
ovembre. Pas de modifications appréciables. Quand on le soutient, l'
enfant
avance les jambes comme pour marcher, mais tout
le. 4 mars. Maigreur extrême : la peau est collée sur les os. - L'
enfant
ne peut tenir sur ses jambes; il prend toujours u
nts, s'accumuleront, aggravées par la transmission, sur la tête des
enfants
. De là, les dégénérescences si frappantes chez
progressive, cette famille est vouée à l'extinction. La plupart des
enfants
sont morts jeunes, souvent avec les phénomènes
rabisme, porte déjà le cachet hérédi- taire, et si les trois autres
enfants
sont sains jusqu'à ce jour, ils n'en restent pa
ui ont aussi imprimé leur marque chez une de ses soeurs et chez son
enfant
. Elle-même a toujours été d'un caractère excent
boire du poison, il y a du sang partout, des curés « qui font des
enfants
aux bonnes soeurs ». Après l'altaque, elle se rap
d'hallucinations, ni de douleurs. La mémoire des faits de sa vie d'
enfant
et de jeune fille revient ; fait toujours des err
lle. Elle est calme, mais elle a peur et s'inquiète beaucoup de son
enfant
. 0. Tentatives répétées de suicide suite d'impu
it eu de la chorée, et est morte aliénée dans un asile : le sixième
enfant
a dû subir à dix-huit ans l'énucléation de l'oe
nterrogée, celle femme déclare qu'après la naissance de son premier
enfant
, elle a perdu ses cheveux, que deux ans après e
Cette femme s'est remariée, elle a eu de son second mari plusieurs
enfants
, dont l'aîné a aujourd'hui plus de vingt ans :
lusieurs enfants, dont l'aîné a aujourd'hui plus de vingt ans : ces
enfants
du second lit n'ont jamais été ma- lades. Dans
REVUE DE thérapeutique. IX. Rapport SUR L'ENSEIGNEMENT EN masse DES
enfants
PAUVRES DE L'ÉCOLE QUI BÉGAIENT ET BALBUTIENT,
BUT curatif; par BERKHAN. (Arch. f. Psych., XV, 2 '.) Vingt-sept
enfants
, garçons ou filles, ont été confiés à des profe
ouze à quinze semaines. Le 20 novembre, on procédait à l'examen des
enfants
. Il est intéres- sant de lire, par le menu, les
upes confiés exclusi- vement aux soins de chacun d'eux (allures des
enfants
, ma- nière de faire des instituteurs, graduatio
s de trois mois après les résultats, révélait une rechute chez deux
enfants
(fillette et garçon présentant du bégaiement à
cause pour pervertir ou anéantir à tout jamais l'intelligence d'un
enfant
jusque-là -bien pondérée. Que s'est-il donc pas
ans ses conclusions les tendances des akinésies à prendre, chez les
enfants
, la forme hémiplégique ou cérébrale. Tous ces d
té malade; sa voix, son attitude, sa physionomie sont celles d'un
enfant
. La mémoire, qui embrasse toute son enfance, s'ar
ctor Hugo, grand poète, sénateur, n'est point mort. Ce n'est plus l'
enfant
timide de tout à l'heure, c'est un jeune homme
, vingt ans ou da- vantage, quand on a engendré ou uns au monde des
enfants
sains, quand l'autopsie ne révèle pas d'altérat
étanos; par Riboul. (Thèse de Paris, 188.) De l'hystérie chez les
enfants
; par Peugniez. (Thèse de Paris, 1885.) De la
ée à huit mois. Sa mère, qui l'assistait, n'a pas noué le cordon. L'
enfant
est mort. Le père et la mère de l'idiote l'ont
comparu devant la cour d'assises pour l'accusation de suppression d'
enfant
. Il a été acquitté. Ce fait montre la nécessité
la nécessité d'assister et d'interner dans des asiles spéciaux les
enfants
et les adultes idiots, surtout les filles, et d
n rôle en pathologie mentale. Ville, 1898. 4 CLINIQUE MENTALE. un
enfant
fixe à son avenir le but de telle ou telle profes
les régions inexplo- rées. Ainsi font, chacun dans sa sphère, les
enfants
, les jeunes gens, les hommes qui ambitionnent l
le est l'expres- sion de la vérité, ils vous citent des histoires d'
enfants
natu- rels appartenant à de hautes personnalité
ois à un acte épouvantable ; elle pousse une mère au meurtre de son
enfant
. La conscience reste d'abord étrangère à cette
r de ses mains. Bientôt après, son bras forcené se porte sur deux
enfants
en bas âge, et il a la barbarie de les immoler de
dulte, en ce que la suppression des fonctions thyroïdiennes chez un
enfant
entraine immédiatement un arrêt complet dans le
e idée aiderait aussi à la fondation des classes spéciales pour les
enfants
arriérés. BOUR\GVILLI ? BIBLIOGRAPHIE. 1. Les
culiers de l'électricité et de la révulsion, la médication chez les
enfants
. Je ne saurais mieux faire, en terminant cette
logiques sur le développement défectueux de l'intelligence chez les
enfants
) ; par Carl LooFT, docteur en médecine. Bergen,
té en général avec les renseignements spéciaux à ces états chez les
enfants
norvégiens. Il a trouvé, que 20,6 p. 100 des ga
l a trouvé que tous les arriérés étaient moins déve- loppés que les
enfants
normaux du même âge; ils avaient tous des signe
qu'il a trouvés être la cause aussi du développement défectueux des
enfants
arriérés. 16,8 p. 100 étaient des héréditaires
ité. L'auteur a examiné à propos de cette question (p. 145-156), 76
enfants
très rachitiques et il a trouvé que l'intelli-
s à Paris. Ne fait pas attention à la lettre, je fais écrire par un
enfant
, car je suis très faible. » Il est inutile d'in
s le mariage; il ne pouvait avoir de relations avec sa,femme. Etant
enfant
et plus tard, pendant le service militaire, il
quand il passait dans un village, il réunissait les habitants, les
enfants
surtout, et leur chantait des cantiques, en s'a
dans des condi- tions modestes mais bien rangées; elle adopta deux
enfants
étran- gers, une lillc qu'elle appelait « son p
ue est parfaite; elle n'a jamais été malade de sa vie ; elle a cinq
enfants
tous bien portants. Tous ses organes sont en bo
désolait de le voir si malade : « Vous tenez donc tant que.ça à cet
enfant
? » La dame B... répon- dit qu'elle y tenait au
mère lui raconta au sujet de la vie de sou grand-père. Ce dernier,
enfant
trouvé, fut élevé à l'Hospice général de Lille.
e Lille, puis à l'Hospice général ; là il sut la date du dépôt de l'
enfant
, et un des employés qui le renseignait prononça
nt de la plus vieille noblesse française qui avait déposé son aïeul
enfant
il l'Hospice général de Lille; or, réfléchit-il
elle était l'hôtesse et où elle se rendait utile en instruisant les
enfants
. Comme elle ne présente aucune anomalie, il att
s. Ne pouvant, dans la situation où il se trouvait, conserver son
enfant
près de lui, il se décida, malgré les inquiétudes
in du jour où il l'avait apporté, il s'aperçut qu'on avait changé l'
enfant
( ? ). Ce fut pour lui un trait de lumière; tou
t, les manoeuvres de la famille de sa femme et la substitution de l'
enfant
: le but était de s'emparer d'une somme de 100.
ie d'interprétations délirantes à Vidée fixe qu'on lui a changé son
enfant
dans le but de s'emparer de sa fortune. - Il
uves de cela que de la trahison de sa femme et de la substitution d'
enfant
dont il parle; ses argu- ments sont faibles.
uoique un peu long. Depuis l'accident elle est restée souffrante. L'
enfant
était bien conformé à la naissance, on n'a consta
iquée par Chen... Ces convulsions rai- dissaient tous le corps de l'
enfant
, surtout le côté gauche, et dans le côté gauche
On a remarqué tout de fuite qu'il était plus faible que l'autre. L'
enfant
«grognait lorsqu'on voulait lui faire ployer le b
de l'écorce du cerveau humain. L'examen histologique de cerveaux d'
enfants
de quinze, vingt et trente jours, par les métho
faire, les alterner. G. DE L1EV'Sha. Vif. Un cas de tétanos chez l'
enfant
de trois ans guéri par le sérum antitétanique;
moins de ;0 p. 100. L'auteur a été appelé il la campagne près d'un
enfant
de tiois il quatre ans, couché sur le ventre, l
membres supérieurs. L'alimentation impossible, la parole changée. L'
enfant
avalait les liquides mais chaque déglutition fo
ultés intellectuelles intactes, température 35°, ; pouls, 10 à. L'
enfant
regardait à la grange les travaux, son pied gliss
REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 13 tomba. Le lendemain on a remarqué que l'
enfant
avait la tête un peu de côté, après survinrent
secousses cessèrent. Le lendemain on injecte le reste du flacon, l'
enfant
présente une éruption dans le genre de rubéole.
ole. Le jour suivant, l'auteur injecte le contenu du tube entier. L'
enfant
tousse, chaque fois expectore un liquide sangui-
douleurs, mais les actifs provoquent les crises. La première fois l'
enfant
se couche sur le dos. A l'injection du troisièm
acon les phénomènes s'aggravent, le tétanos généralisé se montre, l'
enfant
refuse toute nourriture, la période d'aggravati
- hydrate de morphine de 0,003 p. 100 d'eau. L'état s'améliore, l'
enfant
commence à avaler du pain. On injecte le quatri
d'aggravation plus forte que les précédentes dure vingt heures ; l'
enfant
était presque froid, les secousses tétaniformes
froid, les secousses tétaniformes sont très fortes. Mais à la fin l'
enfant
reprend la vie et semble marcher vers la guérison
n avait pris du sérum pendant douze jours ; une semaine l'état de l'
enfant
fut satisfaisant, mais après, les crises commencè
La période de réaction dura six heures et' fut très inquiétante ; l'
enfant
était couvert de sueurs profuses, sur tout le c
uses, sur tout le corps se montra une éruption. Mais le lendemain l'
enfant
commença à marcher. On injecte la moitié du s
est très grande, mais après le troisième jour, tout disparait et l'
enfant
commence à guérir. L'enfant guérit après trente
le troisième jour, tout disparait et l'enfant commence à guérir. L'
enfant
guérit après trente-deux jours de traitement an
l, une vive affection. Ses relations conjugales sont normales; deux
enfants
naissent dans les trois premières années du maria
un individu assis à côté d'elle montrer ses parties sexuelles à des
enfants
qui jouaient aux environs. Quand il se voyait o
e banc dans le suare du Temple, montrer ses parties sexuelles à des
enfants
qui jouaient il proximité. Cet individu qui lis
sposées à plaisanter, les bonnes. les ouvrières ; une femme avec un
enfant
lui inspirerait plus de retenue ; il ne se mont
. HODDO cite à l'appui de l'opinion de M. Marie le cas suivant : un
enfant
ayant subi une infection grave eut des convulsion
uit ans, casseur de cailloux à Notre-Dame-de-Courson, a eu quatorze
enfants
qu'il n'a jamais corrigés outre mesure. Pierre
uite d'excès de boisson. Quand il est gris, il prend son plus jeune
enfant
dans ses bras, le dorlote, le berce; on dirait
à l'infirmerie du Dépôt. (La Fronde. 11 juillet 1899.) Suicide d'
enfant
. Le jeune Georges Berliot, quatorze ans, d'Amie
me semblent être la cause prédominante de cette maladie. Chez les
enfants
nés avant terme, le cerveau n'est pas suffisam-
se développent plus tard c'est pourquoi elles sont faibles chez ces
enfants
. Ca dépend de la circulation ralenlie (Brissaud
L'auteur a observé bien longtemps dans la clinique de Hoffa deux
enfants
chez lesquels les résultats étaient très satisfai
tique de l'hypnotisme dans les cas suivants : hystérie, dipsomanie,
enfants
vicieux ou dégénérés, obsessions, neurasthénie,
ours des états de transition difficiles à classer, surtout chez les
enfants
, les vieillards, les névropathes, et au cours d
. De la précocité et des perversions de 'l'instinct sexuel chez les
enfants
; par le D' PÉLOFI. ' L'hérédité est capable de
11 ? Rosa). Contribution à l'élude de la sclérose en plaques chez l'
enfant
. - Legay (René). Essai sur les rapports de l'or
des divers procédés. Mille L (Charles). L'apophyse mastoïde chez l'
enfant
. Trépanation, traitement consécutif. Montier (G
eorges). Contribution à l'élude des traumalismes du cmttze chez les
enfants
. Pouzin (Athanase). Dit pouls lent permanent et
ie, etc., pou- vant contribuer à la connaissance plus complète de l'
enfant
. Ils insistent en outre sur la nécessité d'étud
r la nécessité d'étudier parallèlement les en- fants normaux et les
enfants
anormaux et proposent d'annexer aux établisseme
iers de ces états apparaissent avec une fréquence spéciale chez les
enfants
, les vieillards, les hysté- riques, et surtout
ine de Jladrid.) Deux cas types d'hémichorée essentielle chez des
enfants
de quatorze et quinze ans ne présentant pas tra
ce qui arrive. Elle quitte le ht et se met à marcher comme un petit
enfant
à ses débuts. Puis sous notre oeil, l'améliorat
ère était un ivrogne (fait noté par Ladame dans l'espèce). Les deux
enfants
ont été atteints de scarlatine; cette maladie a
r les mouvements irréguliers en forme de tics (de la tête) des deux
enfants
, et sur ceux (des doigts) qui rappellent l'athé
inées. R. C. XIV. Un cas de paralysie générale des aliénés chez une
enfant
; par John THOllS0N et A. WELSH (d'Edimbourg). (
British med. Journal, avril 1899.) L'observation se rapporte aune
enfant
entrée à l'Asile à onze ans et morte à dix-sept
s; plus prononcée aux membres inférieurs, appartenant en propre aux
enfants
nés avant terme, caractérisée par l'état spas-
édées d'une revue générale de tout ce qui a été dit à ce sujet. Les
enfants
de paralytiques généraux meu- rent souvent dès
avantage à l'extérieur ! » A bon entendeur, salut 1... Suicides d'
enfants
. Sous ce titre : Suicide d'un enfant de onze an
deur, salut 1... Suicides d'enfants. Sous ce titre : Suicide d'un
enfant
de onze ans, on écrit de Reims, au Petit Parisi
, on écrit de Reims, au Petit Parisien : « 11 y a trois jours, un
enfant
de onze ans et demi, Adolphe Loth, demeurant ch
qu'il allait se noyer. On prêta peu d'attention à ce propos, mais l'
enfant
n'étant pas rentré le soir, son père, inquiet,
la direction du pont de Saiut-Brice, où des passants avaient vu l'
enfant
se diriger. Pendant deux jours les recherches res
ultat ; ce matin elles viennent d'aboutir. Le cadavre du malheureux
enfant
a été retrouvé dans le canal, exactement au mêm
imetière et avait prié un instant sur la tombe de sa mère. » - Un
enfant
de quatorze ans, le jeune Léon Gobin, garçon de
d'outrages publics à la pudeur et attentats sur la personne de ses
enfants
qu'il forçait à mendier, les rouant de coups quan
ont été restitués à leur propriétaire. (Petit Parisien, 15 sept.)
Enfants
malades : voleurs ET incendiaires. Voleur préco
it malade, mais dans une asile-école, organisé comme les sections d'
enfants
de Bicêtre, de la Salpêtrière, de Vau- cluse, d
n. Tous les départements devraient avoir des asil'S-écoles pour les
enfants
idiots, ner- veux, épileptiques et pervers. L
ré l'auteur. faits DIVERS. 351 - A Faverolles (Eure-et-Loir) un
enfant
imbécile, âgé de huit ans, fils d'un père ivrog
chez ses parents. Si, après le premier incendie on avait placé cet
enfant
dans un asile-école (l'instituteur de la commune
l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie. (Compte rendu du service des
enfants
idiots, él)ilep- tiques et arriérés de Bicêtre
, vit et se porte bien ; elle s'est mariée deux fois et a eu treize
enfants
, dix avec son premier mari, trois avec le secon
est née du second lit. Nous n'avons pas de renseignements sur les
enfants
du premier lit; du second, deux soeurs sont morte
... est venu au monde à terme. Il n'a pas eu de maladie grave étant
enfant
. A été à l'école pendant sept ans. C'était un jeu
x querelles. - Ce ménage en désaccord continue] a mis au monde huit
enfants
. Tous, à i'age de raison ont quitté leurs paren
Les premiers temps il n'en était pas jaloux. En 1875 il perd deux
enfants
, l'un de vingt, l'autre de dix-sept ans. Cela le
de persécution. Depuis un mois il lui semblait que sa femme et ses
enfants
lui en voulaient : ils étaient comme chiens et
un dégénéré héréditaire : son père alcoolique n'a pu avoir que des
enfants
faibles d'esprit ou aliénés. Ainsi préparé par
nous ces cas. Nos malades, des dégénérés et des héréditaires, tous,
enfants
d'aliénés et d'al- cooliques, se trouvent dans
consanguinité. Inégalité d'âge de six ans, père plus âgé. Quatre
enfants
: 1° Garçon de dix-sept ans et demi; « le pauvre
. Quatre enfants : 1° Garçon de dix-sept ans et demi; « le pauvre
enfant
est bien de corps, mais il est arriéré, c'est un
enfant est bien de corps, mais il est arriéré, c'est un véritable
enfant
; ce n'est pas un déséquilibré, mais c'est un suje
ons. - Aucun détail sur l'évolution physique et intellectuelle de l'
enfant
. N'aurait rien présenté d'insolite jusqu'en oct
brève et les yeux méchants l'effraie au point de déterminer chez l'
enfant
une violente crise nerveuse qui dura de huit heur
s a affirmé qu'il n'y a eu aucune vio- lence exercée vis-à-vis de l'
enfant
. A partir de ce moment, Gabriel à la moindre co
i l'a gardé à sa charge a dû le retirer du collège. En même temps l'
enfant
devient de plus en plus énervé, on constate un
e diagnostic est sanctionné par M. le D'' Gilbert Ballet qui voit l'
enfant
et con- seille son placement dans un établissem
lissement spécial. La crainte de quitter sa famille provoqua chez l'
enfant
une rémission ; mais pendant le temps que dura
ition des attaques. Dans l'impossibilité de garder plus longtemps l'
enfant
avec elle, la grand'mère le conduit à l'Institu
e légère asymétrie, le côté droit est un peu plus fort et lorsque l'
enfant
rit la commissure labiale gauche se relève un p
nd découvrable, méat normal ; anus glabre. b) Etat physiologique. L'
enfant
est très actif et bruyant ; tous les mouvements
ue. L'intelligence parait d'abord de force moyenne ; en observant l'
enfant
, dans l'exercice de ses facultés intellectuelle
fautes d'orthographe, de ses erreurs de calcul. fait supposer que l'
enfant
a oublié beaucoup de ce qu'il savait. C'est ainsi
on des rems, on peut passer la main entre le sol et les fesses de l'
enfant
. A mesure que l'attaque se continue, la face to
e fatigue. 11 ne fait aucun mouvement. Cmq minutes après sans que l'
enfant
perde connaissance à nouveau et que son corps 3
uefois elles sont accompagnées d'un coup de tête en avant ; assis l'
enfant
ne tombe pas, mais debout, il fait plusieurs pa
res se ferment si on fait passcr un objet devant les yeux. Le 19, l'
enfant
se plaint toute la matinée de ressentir, au niv
. - Toutes les fois qu'il y a eu attaque dans la journée, la nuit l'
enfant
est très agité, il parait avoir des cauchemars,
5, attaque complète durée vingt minutes. -- Le '1, sommeil agité, l'
enfant
s'est levé en dor- mant a traversé sa chambre,
heure. Le 21, petit accès de tristesse qui a duré deux heures ; l'
enfant
s'était taquiné avec un de ses camarades. - La mé
t s'était taquiné avec un de ses camarades. - La mémoire revient, l'
enfant
peut apprendre de petits morceaux de récitation.
ès en classe et en gymnastique continuent. Dans ses conversations l'
enfant
fait preuve d'esprit de suite et de jugement. \
elques notions d'histoire et de sciences naturelles. Le 8 août, l'
enfant
quitte l'Institut médico-pédagogique. Poids à l
c laquelle il habite, soit par le médecin qui nous l'avait amené. L'
enfant
n'a plus eu d'accident nerveux. Il est retourné
. Lui-même nous a écrit en mai dernier, et sa lettre est celle d'un
enfant
raisonnable et reconnaissant qui tient à montrer
onnable lui- ' Depuis vingt ans, nous employons dans le service des
enfants
de l31cêire, les bains, les douches et les brom
ettre à 31. Ch. Dupuy sur la création de classes spéciales pour les
enfants
arriérés; par BOUItNEVILLG. (Publicat. du Progrès
pédagogiques. M. Bourneville, qui a fait plus que personne pour les
enfants
mentalement débiles, adresse de temps à autre a
ateurs » ne pourront désormais être qu'imitateurs. En Prusse, les
enfants
arriérés au nombre de 2.017 sont répartis en 81
/4) est consacré à l'éducation physique et aux travaux manuels; les
enfants
arriérés classés d'abord selon leur attitude en
ier les moyens d'organiser en France des classes spéciales pour les
enfants
arriérés '. DuraaT. NÉCROLOGIE. Le Dr DAUBY.
es et de l'iodure de potassium. Marié l'année suivante, il eut deux
enfants
l'aîné mort-né et une fille aujourd'hui mariée
de poudre blanche, on l'injurie. L'aspect du malade est celui d'un
enfant
craintif, il se cache sous les lits, sous l'esc
monson. (Neuro- log. Centrcclblatt, XVIII, 1899.) Chez les jeunes
enfants
bien nourris, on trouve toujours à la face inte
le pli des adducteurs. Chez les REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 483
enfants
plus âgés et même chez l'adulte il devient une dé
'adulte provient bien du pli cutané des nourrissons car l'étude des
enfants
aux différents âges montre qu'il est d'autant p
férences de hauteurs notables de ce pli chez les nourrissons et les
enfants
.qui marchent, ces différences diminuent progres
ts.qui marchent, ces différences diminuent progressivement chez les
enfants
plus âgés. L'abaissement du pli cutané des addu
ction des extenseurs et au développement de la cuisse. - Chez les
enfants
qui ne marchent point, les adducteurs et le pso
crural l'emporte sur les autres muscles. Les adducteurs des jeunes
enfants
sont plus actifs que ceux de l'enfant plus âgé, c
s. Les adducteurs des jeunes enfants sont plus actifs que ceux de l'
enfant
plus âgé, com- parativement aux extenseurs de l
us, se forme un second pli moins creux, ce dernier surtout chez les
enfants
bien nourris. En tout cas, il existe un spasme
898.) Petit chat de neuf mois bien portant, gai, aimable avec les
enfants
, très intelligent. Un beau jour il est assailli p
é plus légèrement affectés. Ainsi s'explique que l'état mental de l'
enfant
ait plus à souffrir que celui de l'adulte et qu
l'emploi de la glande thyroïde dans le traitement du myxoedème de l'
enfant
. (B.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 501 d'aur
ue ie sera égale- ment à tout autre ordre; c'est une habitude que l'
enfant
prendra d'une manière générale et dans toutes l
guent le corps et empêchent conséquemment tout effort utile chez un
enfant
bien portant. Chez un dégénéré cet effet nuisible
nous-même à Bicêtre. G.-Paul BoNcouR. XIV. Le corps et l'âme de l'
enfant
; par le Dr Maurice de FLEURY. (Armand Colin, in
trace aux parents ou à ceux chargés de les remplacer près de leurs
enfants
une ligne de conduite vraiment applicable et su
onsidérations philoso- phiques sur les facultés intellectuelles des
enfants
ou sur les fon- dements de la morale, l'ouvrage
tes. Il n'y a pas un paresseux mais des paresseux, c'est-à-dire des
enfants
qui pour des raisons variables en arrivent à un
à un état identique. C'est donc une erreur grossière de dire : cet
enfant
est un paresseux sans commentaire. Il faut remo
stion d'assistance hospitalière. B. 524 4 VARIA. ASSISTANCE DES
ENFANTS
IDIOTS. Sous le titre les Miséreux, le Petit Va
ditions lamentables, sans que l'on s'en doute. C'est le cas de deux
enfants
, admis seulement hier à l'hôpital civil sur l'i
..., âgé de dix ans. Le père passait trois sous par jour à ses deux
enfants
et c'est avec cela qu'ils devaient vivre. Si en
indiquent la nécessité de l'hos- pitalisation et du traitement des
enfants
idiots. Ce n'est pas la maison de correction qu
s. Ce n'est pas la maison de correction qu'il faut à la catégorie d'
enfants
malades à laquelle appartient la fillette meurt
e-école du traitement médico-pédagogique. Tentative DE suicide d'un
enfant
A la prison. Le Républicain Orléanais a rendu c
bouteilles de liqueurs au préjudice d'un cafetier, M. lforizet. Cet
enfant
qui est actuellement détenu à la prison de Gien
perdu tout à fait la tête : elle s'est asphyxiée hier avec ses deux
enfants
, après avoir écrit au procureur de la Républiqu
le et la trouvèrent étendue sur son lit, ayant à ses côtés ses deux
enfants
qui étaient revêtus de leurs vêtements du dimanch
(E.). Contribution LI l'élude du pronostic de l'épilepsie chez les
enfants
. In-S° de aU pages. Prix : 2 fr. 50. Pour nos a
spéciales. Lettre ct \I. C. Du- puy sur la création de- pour les
enfants
arriérés, par Bourneville, 429. Claudication
ues et étiologiques sur le défectueux de l'intelligence, chez les
enfants
, par Looft, 73. Distraction. Les phénomènes d
e, par Dufour et Dide, 514. Enervement. L ? par illargain, 168.
Enfants
. Corps et âme de 1 ? par de Fleury, 519. E\1·
abès c't de la -, par Adler, 30. Un cas rie ries aliénés chez une
enfant
, 324. Un cas de - avec hallucina- tion, par T
e et les indications (le rapeutique , par Forel, 130. .Suicides d'
enfants
, 345, par in- jection sous-cutanée, 351. Tenta-
ts, 345, par in- jection sous-cutanée, 351. Tenta- tive de - d'un
enfant
, 525. Sulfure de carbone. Contributions expér
ait un traitement régulier, son mari et, à la mort de celui-ci, ses
enfants
, se sont évertués à donner pleine satis- factio
te, toute sa vie, elle s'adonnait à l'ivro- - nerie. Elle a eu neuf
enfants
, dont six sont morts en bas âge, des trois surv
d'esprit et blèse. Dépourvue de tout sens moral, elle envoyait ses
enfants
voler à l'étalage, et elle don- nait, vendait o
des bêtes féroces, des serpents, quel- quefois les cadavres de ses
enfants
. Plusieurs fois elle a eu des accès de mélancol
uicider. Plu- sieurs fois aussi, elle se sentait poussée à tuer ses
enfants
, elle ne sait comment ces idées lui venaient, m
i semblait l'avoir vivement inté- ressée et peu d'instants après, l'
enfant
ne paraissait pas en conserver le moindre souve
lacer pendant des mois à la Salpêtrière, loin de son mari et de ses
enfants
qui pleurent après elle. Une lésion, pour être
portants et sans tare neurophathique d'aucun sorte. Ils ont eu neuf
enfants
tous vivants aujourd'hui. Les grands parents pate
très difficilement et a toujours été très en retard sur les autres
enfants
de son âge. Du reste, au point de vue du caract
63 A vingt-huit ans, en 1885, il se marie. De ce mariage naît un
enfant
âgé actuellement de dix mois et qui n'a jamais ét
tre, il est taciturne, indifférent, ne regardant ni sa femme ni son
enfant
qu'il adore en temps nor- mal. En plus, il est
ais bien voulu me tuer, dit-il, mais j'ai pensé à ma femme et à mon
enfant
. » Il s'est couché ; le lendemain, il était tou
fugue, il est pris de sanglots et d'étouffements et pleure comme un
enfant
. Après chaque fugue, l'impulsion complètement a
s deviennent dangereux; 5° section affectée aux idiots épileptiques
enfants
; 6° infirmerie pour les invalides et les infirm
sent pas de la plénitude de leurs facultés, si on les compare à des
enfants
normaux du même âge; ils ont, sans hésitation,
eaucoup de cas, il est impossible de décider si l'on a affaire à un
enfant
idiot, atteint d'épilepsie, ou à un enfant que
r si l'on a affaire à un enfant idiot, atteint d'épilepsie, ou à un
enfant
que l'épilepsie a rendu idiot. Mais pratiquement,
que l'expérience a combattu victorieusement cette objection que les
enfants
atteints de débilité mentale ou d'imbé- cillité
onomiques (travail agricole); e. Hospice avec section spéciale pour
enfants
idiots; z f. Asile proprement dit et infirmerie
haque catégorie. Un des pavillons sera consacré à l'éduca- tion des
enfants
épileptiques, on groupera autour de celui-là le*
les idiots et les déments. L'école sera séparé- - ment ouverte aux
enfants
épileptiques et aux enfants idiots. Mais, grâce
L'école sera séparé- - ment ouverte aux enfants épileptiques et aux
enfants
idiots. Mais, grâce à la continuité des rapport
tés par un établissement spécial, et parmi eux, il faut compter les
enfants
astreints à l'enseignement scolaire, auront tout
rains spacieux; - 4° On séparera autant que possible les idiots des
enfants
épileptiques, on n'en fera point l'enseignement n
ns s'appliquent termes pour termes à la dégénéres- cence morale des
enfants
tarés. Si les accidents psychopathiques se mont
s, cas dans lequel on eut recours jusqu'à six fois à la ponction. L'
enfant
avait six mois et était tombé des bras de sa no
91, 18 février, et Mercredi médical, 1891, p. 94.) Il s'agit d'un
enfant
de quatre ans auquel, en septembre 1890, traite
latéral droit. L'opération n'a pas cherché à être curative chez cet
enfant
dont les fontanelles étaient soudées. Mais elle
la nuque et de la bouche disparut. - , Le second cas concerne un
enfant
de deux ans atteint d'hydro- céphalie aiguë féb
t trois ponc- tions, retira de deux à dix centimètres de liquide. L'
enfant
guérit et l'auteur est convaincu que la guériso
bien de temps celui-ci resta dans la plaie. ' Au huitième jour, l'
enfant
pouvait se tenir assis dans son lit, il n'y ava
assis dans son lit, il n'y avait aucune rétraction de la tête et l'
enfant
ne fut plus dès lors turbulent. Il était donc b
ant l'opération. Lorsque je le vis quatre mois après l'opération, l'
enfant
était presque aveugle mais il pouvait marcher.
s' longtemps. Nous en avons vu plusieurs exemples à l'hôpital des
Enfants
malades'. Nous continuerons cette revue; mais d
ment de l'aliénation mentale. Le concours de la Société s'étend aux
enfants
des aliénés et au besoin à leurs proches. » Tit
du co- mité de direction aux patronnés, tant hommes que femmes et
enfants
. ART. 14. Le garde-magasin est chargé de l'acqu
neront ou des visites qu'ils feront à ceux des patronnés et à leurs
enfants
appartenant à leur circons- cription qu'ils ont
ir plus haut, p. 142, et le dernier n° des Archives, p. 262.) LES
enfants
arriérés. Cette catégorie d'êtres faibles ne pe
ÉTIENNE-MARCEL. Au moment où hier, vers quatre heures et demie, les
enfants
sous la conduite d'un professeur, sortaient de
itution, sans réfléchir qu'un jour ou l'autre elle peut produire un
enfant
qui sera à la charge de la société, et cependan
dans un de ces derniers numéros le fait suivant : De même que des
enfants
semblent nés avec l'insurmontable manie du vol,
contenu dans une grange, située à Villers-sur-le-Roule. Ce jeune
enfant
, très mal noté à l'hospice de Louviers où il a
du bâtiment une perte de 70 fr. Au lieu d'hospitaliser à temps les
enfants
de cette catégorie dans des asiles médico-pédag
écurie appartenant aux nommés Pompel, à Morand (Haute-Loire). Cet
enfant
, né des relations incestueuses du frère et de la
se rencontrer autre part qu'au domicile habi- tuel de la mère, les
enfants
ont leur domicile de secours dans le lieu où il
s sont venus au monde, département parfois bien éloigné. Quelques
enfants
, d'après la nature de l'affection, n'en éprou-
encouragés dans leur convalescence. Ils seront pour ainsi dire des
enfants
perdus dans un milieu indifférent. Il manquera
d'une telle situation. La Seine en particulier où il y a beaucoup d'
enfants
dans cette caté- gorie a passé des conventions
les parents sollicitent une nouvelle admission dans nos asiles et l'
enfant
y séjourne jusqu'à ce que surgisse une nouvelle
journe jusqu'à ce que surgisse une nouvelle demande de transfert. L'
enfant
fait la navette entre sa demeure et l'asile. N'
n'en est pas ainsi. C'est une mesure qui sera applicable à peu d'
enfants
. Cette mesure essentiellement humanitaire ne tr
siles, au même prix que celui exigé par l'asile du département où l'
enfant
aliéné a son domicile de secours, tout jeune ma
observer les graves inconvénients- qui résultent des transferts des
enfants
de leur département d'origine, loin de leurs fa
siles, au même prix que celui exigé par l'asile du département où l'
enfant
a son domi- cile de secours, tout jeune malade
l est si bien disposé, de maintenir dans les asiles de la Seine les
enfants
originaires du Loiret qui remplissent les condi
de la Seine. L'occasion s'en présente dès maintenant au sujet d'un
enfant
, Marie Beyn..., hospitalisée à la Fondation Val
ur l'épilepsie l'hystérie et l'idiotie, compte rendu du service des
enfants
idiots épilep- tiques et arrivés de Bicêtre pen
peutiques sur l'hysthérie et l'idiotie. Compte rendu du service des
enfants
idiots, épileptiques et arriérét de Bicêtre pen
ie du doute. Elle se demande si, faisant sa toilette, un foetus, un
enfant
ne pouvait pas être jeté dans le seau; elle exa
roduisaient plus, la paralysie du bras gauche disparut bientôt et l'
enfant
aujourd'hui vivant, est en par- faite santé.
sa théorie par les deux arguments nouveaux que voici : A. Chez un
enfant
mort à six semaines de spina .bifida, on trouva
Nenenheilk, N. F., II, 1891.) Cette affection se produit chez des
enfants
de douze à seize ans (cinq observations). Elle
di. P. K. XXVI. UN cas DE SCLÉROSE EN plaques cérébrospinale chez l'
enfant
, avec remarques SUR LES rapports DE cette affec
hologie NERVEUSE. 277 Î observations dont six par infection. Chez l'
enfant
, la diphtérite, la scarlatine, la pneumonie son
été de personnes saines, l'exemple des nourricier-, la présence des
enfants
et diffé- rentes autres choses, tout, de près o
s, des déments, des para- lytiques des deux sexes, sans compter les
enfants
. Nanterre nous reporte à un siècle en arrière.
ts de la communication précédente. Il rappelle que la section des
enfants
a été créée : 1° sur un terrain qui leur apparten
ns de l'hos- pice. Nous avions pensé à demander l'un d'eux pour les
enfants
de notre section en mettant un maître jardinier
aux assistants, à l'asile d'Orléans et sur les bords du Loiret, cet
enfant
sans état civil, a-t-il dit par allusion à un i
des descrip- ' De la craniectomie chez les microcéphales, chez les
enfants
arriérés et chez les jeunes sujets présentant,
icularités relatives à la réossitkation de la brèche osseuse chez l'
enfant
Slif... (véritable suture dentelée comme les su
elques-uns d'entre eux. Il insiste particulièrement sur le cas de l'
enfant
Henri Maz..., qu'il a montré au Congrès interna
est tout simplement due à ce qu'on s'occupe plus à ce moment de l'
enfant
qui vient d'être opéré. Si l'on s'en était occupé
qu'elles continssent une description complète, très détaillée, de l'
enfant
, avant l'opération et après l'opération, an bou
a loi relative au domicile de secours qui sépare trop souvent les
enfants
des parents. Pour remédier à ses inconvénients le
inconvénients le Conseil général de la Seine a décidé de garder les
enfants
nés hors le département de la Seine dans ses as
aierait le dépar- tement à qui incomberait légalement la charge des
enfants
. « M. le Dr Bourneville termine en portant la s
Californie, me disant qu'elle désirait me consulter à propos de son
enfant
, âgé de près de neuf mois, qui présentait les s
nes de l'imbécillité mentale. Au jour indiqué, elle me présenta son
enfant
. Il était en bonne santé et bien nourri, mais d
e fermée. La mère voulait spécialement apprendre si le cerveau de l'
enfant
était sain; et sur l'assurance qu'il n'y avait
s termes, elle disait : « Ne pouvez-vous pas ouvrir le cerveau de l'
enfant
pour le laisser s'accroître. » Je répondis qu'u
es revint en disant qu'elle désirait que l'opération fut faite. L'
enfant
fut opéré le 28 août 1888, en la présence et avec
u moyen de sutures métalliques. 332 THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. L'
enfant
ne vécut que quatorze heures après l'opération, e
fet prolongé de l'anes- thésique, qui produisit une cyanose, dont l'
enfant
ne put jamais revenir. Ainsi donc, comme on l
cas de craniectomie opéré par l'auteur il y a quelques mois sur un
enfant
microcéphale imbécile, chez lequel la partie en
le voile que la microcéphalie étend sur les facultés mentales de l'
enfant
. Cette note de M. Lane est curieuse : 1° parce
ne soeur âgée de neuf ans, bien portante au physique et au moral. L'
enfant
malade vint au monde normalement et fut nourrie
e. Etat actuel. Elle est évidemment bien portante, mais c'est une
enfant
chétive et peu développée. Ses os sont petits et
la plus grande différence d'expression, lapremière étant celle d'un
enfant
brillant et intelligent, la seconde montrant un
la surface du crâne, et n'est pas douloureuse. De temps en temps l'
enfant
a des envies de dormir ; plusieurs fois par jou
euse que la trépanation. Elle n'est naturellement applicable qu'aux
enfants
. Je propose de faire l'opération avec de légère
La tête a été moulée et, à différentes époques delà croissance de l'
enfant
, il sera fait d'autres moulages, afin de détermin
rouille des instruments. J'ai expliqué l'opération aux parents de l'
enfant
, en leur disant que c'était seulement là un ess
onvainquit qu'on pouvait la faire en une demi-heure probablement. L'
enfant
allait tout à fait bien et les sutures étaient
travail normal, sans diffor- mité, pesant environ 6 livres. Premier
enfant
de parents âgés d'à peu près vingt-cinq ans, to
lioré au point que l'on put cesser l'emploi des soporifi- ques et l'
enfant
prit immédiatement de l'embonpoint et grandit.
du Dr T.-S. Galbraith. A cette époque, il avait l'appa- rence d'un
enfant
bien portant de onze mois. La face était grasse
Le crâne était de : petite dimension, de la grandeur de celui d'un
enfant
ordi- naire de deux mois, et terminé en pointe.
d'une de ces manoeuvres, pénétrait dans la bouche il y restait et l'
enfant
le suçait pendant un certain temps jusqu'à ce q
ration intel- lectuelle. Le huitième jour cela était très marqué. L'
enfant
remar- quait ce qui l'entourait, et ses yeux su
i bien marqués. Dans une lettre reçue récemment la mère écrit : « L'
enfant
s'est beaucoup amélioré. Il s'occupe de tout ce
up amélioré. Il s'occupe de tout ce qu'il voit comme tousles autres
enfants
. C'est là un réel changement à noter chez lui. »
à la main ce qu'on lui présentait, riait et se comportait comme les
enfants
d'un développement ordi- naire à six ou huit mo
ir les Médical News, du 29 novembre 1890. Depuis l'opération, cette
enfant
a éprouvé certainement une amélioration progres
et considérable, mais pas autant que dans le cas de Lannelongue. L'
enfant
ne crie presque plus, dort mieux, reconnaît une
allait tout à fait bien. On n'employa pas le drainage. 24 mars. L'
enfant
va légèrement mieux. Je n'ai pas vu qu'elle ait
s depuis la seconde opération qu'après la première. (Il s'agit de l'
enfant
dont il est parlé plus haut, IL) 2" Cas. K.-K.
ail dura vingt-quatre heures et fut très pénible. Pas de forceps. L'
enfant
était très petit. Pas de paralysie, mais très f
rs les points de suture. Pendant les progrès de la cicatrisation, l'
enfant
montra des varia- tions anormales de températur
3 : on ne put en découvrir la cause apparente. Après avoir- gardé l'
enfant
quelques jours de plus pour s'assurer de sa gué
l y ait peu de différence. 1891. 2 mars. Les facultés mentales de l'
enfant
se sont en général beaucoup améliorées, mais pa
grossesse, la mère fut très vivement impressionnée par la vue d'un
enfant
mort d'un de ses amis; le septième mois elle fa
yeur. Le travail fut normal et dura trois heures; pas de forceps. L'
enfant
pesait de 7 à 8 livres. La fontanelle antérieure
t très petite à la naissance et se ferma vers le septième mois. L'
enfant
fut nourri au sein pendant trois semaines, et ens
arquée de la peau pro- venant de la mauvaise circulation du sang. L'
enfant
a eu des attaques provenant de ce mauvais état
inuelle quidurait un ou deux jours. Etat actuel. 10 janvier 1891. L'
enfant
vient bien et se porte bien en apparence ; aucu
dans le cours de l'opéra- tion, si ce n'est que la respiration de l'
enfant
fut assez précipitée pendant un moment et qu'il
jamais complètement anesthésié. Peu après l'opération je laissai l'
enfant
dans son lit à la garde d'une infirmière et de
heure après l'opé- ration, lorsque le pouls et la respiration de l'
enfant
ne lui inspi- rèrent plus de crainte. Une heure
nt ne lui inspi- rèrent plus de crainte. Une heure et quart après l'
enfant
poussa quelques soupirs convulsifs et mourut in
.., fille âgée de quatre ans et demi ; accouchement normal; premier
enfant
; commença à mar- cher à deux ans et à trois an
, parmi ces derniers, furent suivis de mort rapide. A mon avis, les
enfants
atteints d'un développement cérébral aussi faible
se plutôt heureuse, car s'il n'est pas possible de secourir de tels
enfants
, il vaut mieux pour eux la mort qu'une existenc
seraient plus efficaces qu'une seule pour l'amé- lioration de tels
enfants
. On peut résumer ainsi qu'il suit les résultats
ultats. De même pour le cas de Mac Clintock. Chez les quatre autres
enfants
, il ne peut être question d'amélio- ration, trè
u 3 janvier 1891, le Dr Trimble (de Baltimore) rapporte le cas d'un
enfant
âgé de trois ans, auquel il fit l'opération du
cilement déchirée, surtout lorsqu'elle est adhérente comme chez les
enfants
. De plus, le cerveau ne peut suivre immédiateme
de deux longs morceaux du crâne, il espérait donner au cerveau des
enfants
microcéphales plus de place pour se développer.
ux, âgé de seize ans, est imbécile. La mère déclare quela tête de l'
enfant
se referma peu après sa naissance. C'est à ce f
ce fait qu'elle attribue son arriéra- tion mentale. Actuellement l'
enfant
est bien formée, en bonne santé, d'un développe
ppuie contre un oreiller, le corps roule d'un côté ou de l'autre. L'
enfant
ne parait pas connaître sa mère ni avoir consci
rtie de la nourri- ture. Dans les mouvements incohérents que fait l'
enfant
de temps en temps, il est visible qu'elle se se
es deux heures, et cela pendant vingt- quatre heures, la salle où l'
enfant
est placée résonne d'un cri court et aigu que p
pouce; le bi- auriculaire à 9 pouces 3/4. Quant à l'intellect, l'
enfant
présente l'intelligence d'une enfant de six moi
es 3/4. Quant à l'intellect, l'enfant présente l'intelligence d'une
enfant
de six mois. Elle suit des yeux les personnes e
résultats brillants, on le constate par la facilité avec laquelle l'
enfant
se sert aujour- d'hui librement de ce membre.
Hélène C..., âgée de trois ans et huit mois, ayant l'apparence d'un
enfant
d'un an, est née avant terme (huit mois). La mère
t. Pendant les premières semaines, elle paraissait comme les autres
enfants
, mais la fontanelle anté- rieure se ferma de bo
de laquelle la portion frontale du crâne ne se développa pas, et l'
enfant
parais- sait idiote. L'effet général de la nutr
crânienne étroite, refoulant vers le bas le plafond orbitaire. L'
enfant
prit très bien le chloroforme, et l'opération, d'
parfaite sur toute la longueur de l'incision, et deux jours après l'
enfant
sortait de l'hôpital. La mère dit que, depuis q
t de l'hôpital. La mère dit que, depuis qu'on a fait l'opération, l'
enfant
repose mieux qu'avant, elle crie beaucoup moins
s, à exercer ses muscles, à soulever son corps, et lorsque d'autres
enfants
l'approchent, elle se met à rire et essaie de les
ux mois après l'opération, on remarque un changement notable chez l'
enfant
.) § VII. Trépanation pour microcéphalie ; par H
btenus à l'HospicE de 131CÉTRE pour l'éduca- tion des idiots et des
enfants
arriérés, et aussi dans des établisse- ments si
es étaient en réalité soudées chez les idiots plus tôt que chez les
enfants
sains de même âge. Les uns se sont appuyés sur
ations prises avant l'opération et comparer avec les mensurations d'
enfants
sains et leurs différences durant le même temps
se plutôt heureuse, car s'il n'est pas possible de secourir de tels
enfants
, il vaut mieux pour eux la mort qu'une existenc
iscussion de cette affaire. 364 FAITS DIVERS. Hospitalisation DES
enfants
IDIOTS ET ÉPILEPTIQUES. Sur la proposition de M
position de M. Régis, émet le voeu : c il Que l'hospitalisation des
enfants
idiots, arriérés et épilepti- ques, destinée à
ents hospitaliers de Bordeaux : -. hôpital Saint-André, hôpital des
Enfants
ou asile des aliénés de Picon. » (Bull. méd.).
r l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des
enfants
idiots épilep- tiques et arriérés de Bicêtre pe
apeutiques sur l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des
enfants
idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pen
à un homme, avec lequel elle vécut jusqu'en 1875; elle n'eut pas d'
enfants
de cette union. Dans ce laps de temps, il n'y e
n 1892.) - B... est un garçon pâle et maigre, il a l'apparence d'un
enfant
de douze ans, tandis qu'il en a dix-sept. Il a
erbalement communiquée par M. Charcot, plaide dans le même sens. Un
enfant
migraineux, et quelquefois atteint de scotôme s
a, un jour, léché le bout des doigts; elle contrefait la voix des
enfants
et répète zou, zou, ma nounou, patapan, ta, tata,
femme, nous raconte M. Gilles de la Tourette, donne une gifle à son
enfant
et la main reste paralysée avec une anesthésie
endance à se transformer en acte, une musique nous fait danser, les
enfants
suivent le tam- bour en marchant au pas, la vue
ous avons vu délirer .l'ivrogne; il est devenu un alcoo- lique. Ses
enfants
sont aussi des alcooliques. Ainsi s'explique, sel
jamais observé la transmission directe de la chorée des parents aux
enfants
. Quant à la chorée chronique des adultes, l'ora
r l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des
enfants
idiots épilep- tiques et arriérés de Bicêtre pe
apeutiques sur l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des
enfants
idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pen
; - dans la para- lysie progressive, par Ascher, 497. Arriérés,
enfants
, par Bourneville, 148. Asiles, mutations dans
, par Kronthal, 260. SCLÉROSE EN plaques, cérébro spi- nalechez l'
enfant
, par Nolda, 276; Syndrome hystérique simula-
ction, Cing... prétendit d'abord faussement être veuf et avoir deux
enfants
habitant avec sa belle-soeur à Or... et nia tou
nu orphelin à dix ans, Cing... fut placé à l'hospice de B..., comme
enfant
assisté et confié, le 27 décembre suivant, à un
la portée antisociale de ses actes depuis qu'il avait quitté B...,
enfant
assisté, jusqu'à l'époque de son internement, e
apprendre, c'est qu'ils existaient « peut-être » dans un service d'
enfants
assistés. Le système de couchage des gâteux dan
aliénés relevant de l'assistance publique, sauf peut-être celui des
enfants
, est des plus primitifs. Je prends la Salpêtriè
oulée autour de la malade, qui se trouve ainsi emmaillotée comme un
enfant
. Les malades, cela n'est pas douteux, passent l
constate une exigé- ration extrême de la paralysie générale chez l'
enfant
ou le jeune homme au-dessous de vingt ans (voy.
il n'y a pas plus de chances de maladie ou d'état anormal pour les
enfants
issus de parents consanguins que pour ceux,issu
ter que la maladie et les difformités sont plus fréquentes chez les
enfants
issus de mariages, mais d'attribuer ce résultat
a guérison de certains tics, l'auteur rap- porte l'observation d'un
enfant
de quatorze ans, atteint d'un tic généralisé de
douce et intelligente. Notion du bien et du mal très émoussée : cet
enfant
est sujet à des violences à des colères, à des
ténue, l'état d'anémie s'améliore, la langue diminue de volume et l'
enfant
reconnaît sa mère. Mais dans l'étude des résultat
journal, 2 avril 1898.) Femme de cinquante-quatre ans, mariée, deux
enfants
, pas d'héri- . dite spéciale. 11 y a huit ou di
que les idiots et les aliénés ne sont pas hypnotisables, et que les
enfants
et les hystériques ne sont que très difficileme
vu son état s'aggraver et ses souffrances devenir into- lérables, l'
enfant
considérablement affaibli par une scarlatine, fin
e en médecine infantile. 1\1'. VLAViANOS (d'Athènes) présente trois
enfants
qu'il a soignés, par l'hypno-suggestion, le pre
été très amélioré; les deux premiers sont tout à fait guéris. Les
enfants
sont très facilement hypnotisables; la suggestion
s'il a succombé à une affection. Elle a permis d'établir que deux
enfants
morts subitement, sans qu'aucun médecin les ait
familles nobles, même dans la famille impériale, on corrigeait les
enfants
de la même manière que les serfs. « La Russie iep
e du service. Conférences cliniques au lit des malades. Suicide d'
enfant
. - A la suite d'une faute légère, Louis .Mignon,
e avant l'âge où apparaît habituellement la chorée. Le premier sans
enfants
, le second a eu un enfant névropathe. La tante
abituellement la chorée. Le premier sans enfants, le second a eu un
enfant
névropathe. La tante a été, m'a-t-on dit, choré
ième et quatrième générations. Notre malade, marié, choréique, sans
enfants
, avait trois frères et quatre soeurs. Un seul f
ans, qui est un alcoolique dangereux, querelleur et violent. Pas d'
enfants
de sa seconde femme. Les deux autres frères de
uante-deux ans est internée dans un asile d'alié- nés. Elle eut six
enfants
, dont quatre sont morts en bas âge d'affections
en bas âge d'affections cérébrales (méningites ? ) ; une fille (bye
enfant
) morte subitement à vingt-trois ans dans un acc
e génération, il n'est pas encore question de choréiques, aucun des
enfants
n'ayant atteint - l'âge fatal. Mais nous consta
le son dévelop- tement se fit assez bien, quoiqu'il fut toujours un
enfant
arriéré. 11 a parlé tiès tard et il apprit péni
ucun souci, aucun ennui. Marié à trente-deux ans, il n'eut jamais d'
enfants
. Sa femme qui m'a fourni la plupart des renseig
se sentir observé, le sentiment du ridicule dans la rue, quand les
enfants
couraient après lui comme après un ivrogne, en
désa- gréable et capricieuse. Le malade avait les exigences d'un
enfant
gâté, ses mouvements de colère étaient puérils; i
gen- drent point des vésaniques, mais des cérébraux et que si les
enfants
de ces malades sont voués à une classe de maladie
u formol à l'aide d'un irrigateur ou d'une grosse seringue. Chez un
enfant
l'auteur a parfaitement durci toute la moelle, le
ia- tif. H. de l\IUSGRA VE-CLA Y. XXVII. Abcès du cerveau chez un
enfant
de trois mois, compliqué d'érysipèle de la tête
William J. DoYLE. (The New-York Médical Journal 29 juillet 18U9.)
Enfant
(fille) de trois mois, présentant au niveau de la
solution de sublimé à 1 p. 5 000 ; on n'a plus retrouvé de pus et l'
enfant
a guéri sans incident. Quant à l'érysipèle, il s'
M. Jules Voisin. Une malade était obsédée par l'idée de tuer son
enfant
; elle ne vivait plus, ne mangeait plus, ne dormai
tat d'ivresse; et l'instituteur m'a affirmé qu'une bonne moitié des
enfants
arrivaient à l'école en état d'ébriété. Les hom
moins considérable de petits verres d'eau-de-vie. Les femmes et les
enfants
boivent à la maison et c'est en général avec du
coucher, et il aperçoit, pendu, le cou pris dans une cordelette, un
enfant
de trois ans. Le père gisait inanimé sur le lit
le lit, la tête trouée par des balles de revol- ver. Le corps de l'
enfant
était froid. La mort remontait à plusieurs heur
fréquem- ment, depuis cet événement, de suicide, et le sort de son
enfant
le préoccupait beaucoup. Il aura profité sans d
e de son logement, l'ainée de ses filles. Tout à coup, elle lâcha l'
enfant
, qui tomba sur le pavé où elle se fendit le crâ
relevaient le cadavre, la mère reparut à sa fenêtre avec sa seconde
enfant
. Celle-ci, prévoyant l'horrible traitement qu'e
cun de ces âges. En particulier il n'eut jamais, alors qu'il était
enfant
, d'incontinence nocturne d'urine : il n'en a jama
qui ont produit une hémiplégie peuvent déterminer souvent chez l'
enfant
ou l'adolescent, parfois chez l'adulte, des accès
une intervention, M. Péan signalait à l'Aca- démie, l'histoire d'un
enfant
de quatre ans et demi qu'il trépana pour des cr
rsistant encore après plusieurs années. 3° M. Reynier enlève à un
enfant
de dix ans et demi un gliome. Les crises dispar
mois après la publication, les crises réapparaissent et l'état de l'
enfant
redevient le même qu'avant l'opération. Troisiè
ue, et ce symptôme est peut-être plus souvent qu'on ne pense chez l'
enfant
le premier signe de l'épilepsie ; mais on n'a j
s. Traitement : médication thyroïdienne. Il est à remarquer que cet
enfant
avait eu de l'ictère des nouveau-nés, et que de
traitement, il y avait prédominance des symptômes myxoedémateux ; l'
enfant
avait été bien portant jusqu'à l'âge de quinze
tte médication fit reparaître tous les symp- tômes myxoedémateux. L'
enfant
est resté très arriéré, mais non dépourvu d'int
etit malade a toujours froid. Dans le troisième cas, il s'agit d'un
enfant
d'un mois qui pré- sentait de légers symptômes
avait déjà ac- couché d'un crétin. L'aspect absolument stupide de l'
enfant
, l'a- baissement de la température rectale, la
ère avec légère tendance à la brachycé- phalie. Pas de myxoedème; l'
enfant
est intelligente, curieuse de s'instruire, joue
ntelligente, curieuse de s'instruire, joue volontiers avec d'autres
enfants
; elle ne parle que depuis un an. La température
le ne parle que depuis un an. La température rectale est normale. L'
enfant
se met facilement en colère. L'expression du vi
insuffisante. Le pouls est fré- quent. Le lendemain de l'entrée, l'
enfant
eut des crampes aux bras et aux jambes. A parti
ère est atteinte de la même maladie. Le malade, le plus âgé de huit
enfants
,est né en état d'asphyxie. 11 y a dix ans, brû-
iles, débiles, dégénérés amoraux, crétins, épileptiques (adultes et
enfants
). - Assistance et traitement des alcooliques. C
annexées à une ou plusieurs écoles municipales ordinaires pour les
enfants
arrié- rés, indisciplinés, mais sans perversion
erversion des instincts et sans acci- dents convulsifs, et pour les
enfants
améliorés par le traitement médico-pédagogique
s préservatrices. En 1890, j'ai observé une femme qui a étouffé son
enfant
en lui enfon- çant jusqu ce que mort s'ensuivit
urologie, 1897.) . - , 92 CLINIQUE MENTALE. manie. Meurtre de son
enfant
par suffocation à l'aide d'une statuette de la
soeur de la mère est atteinte d'aliénation mentale. Ils ont eu cinq
enfants
: trois garçons nor- maux, une fille exaltée, h
à vingt-huit ans, elle eut, au boutde deux ans et demi, un premier
enfant
mort presque en naissant et dont l'extraction a
- ploi du forceps. Deux ans et demi plus tard, elle eut un second
enfant
qui a vécu. Pas d'autre grossesse. A la suite des
ain, toujours dominée par la peur du démon, elle croit entendre son
enfant
âgé de quatre ans lui dire qu'il veut aller rejoi
in une sta- tuette de la Vierge, elle l'enfonça dans la bouche de l'
enfant
jusqu'à complète asphyxie. Les voisins étant
pas compte de ce qui s'était passé et ne voulant pas croire que son
enfant
fût mort. OBJETS DE PIÉTÉ COMME INSTRUMENTS DE
ements. Elle semble moins indifférente et pleure au souvenir de son
enfant
. 22. Hier, elle a manifesté un peu d'excitation
le âgée de dix-huit mois. Elle se leva, et après avoir couronné son
enfant
de roses blanches, elle prit un couteau et lui
mme de petite taille, d'un tempérament névropa- thique/ainé de huit
enfants
, tous bien portants et bien constitués. Le père
mort ; autopsie. P..., femme J..., trente-quatre ans, mariée, sans
enfants
, admise le 18 décembre 1899. Son père, âgé de s
le. Rien à noter chez les collatéraux. Elle est la cinquième de six
enfants
dont trois sont morts en bas âge ; une soeur plus
gié. Mère morte ci soixante-quinze ans de phtisie galopante; deux
enfants
: a) le malade, b) un frère mort d'albuminurie ci
U'' Maiuno. (Riv. sp. di. fuit., fasc. Il, 1899.) Les pupilles des
enfants
sont toujours normales pour la dila- 308 REVUE
G. C.MPIJ¡¡ : LL. Il s'agit d'un cas d'athétose bilatérale chez une
enfant
de deux ans et demi avec participation des musc
, et des crises de sueurs profuses nocturnes. L'in- telligence de l'
enfant
est un peu inférieure à la normale. (The alie-
331 IX. Respiration de Cheyne- Stokes pendant le sommeil chez une
enfant
choréique; par Ph. BOURDILLON. (Rev. méd. de la
43 XXVIII. Un cas de pachyméningite interne hémorrhagique chez un
enfant
de 9 ans, avec changements dans les cellules nerv
t des taquineries dont ses fils furent l'objet au lycée ; un.de ses
enfants
, atteint d'appendicite, dut être opéré, ce qui -l
basée sur l'étude approfondie et généralisée de la psychiatrie. Les
enfants
dégénérés seront l'objet d'une éducation médico-
oins de nos sociétaires, des infortunes de leurs veuves et de leurs
enfants
. Nous avons pu apprécier dans maintes cir- cons
xistence ; filles ou femmes, elles sont souvent délaissées avec des
enfants
à leur charge. On a fondé un grand nombre d'eeu
Voilà donc une première malade dont le père était alcoo- lique. Les
enfants
de cet ivrogne sont tous devenus buveurs soit d
ge d'une grosse somme, en partie dissipé actuellement. Pas d'autres
enfants
. Antécédents personnels. Convulsions pendant sa
arolog. Centrulbl., XVII, 1898.) Examen des pièces anatomiques de l'
enfant
de quelques jours mort de syphilis (Jahrbiu : l
(The llrew York medical Journal, 5 novembre 1898.) Il s'agit d'un
enfant
qui présentait des attaques d'épilepsie attei-
aucun résultat, et le médecin qui le soignait ayant remarqué que l'
enfant
respirait par la bouche fit examiner les fosses
tion chez la femme que par des fausses couches, des accouchements d'
enfants
morts-nés, et enfin par le tabes. J'ai observé
folie, s'est tout à coup rué sur sa famille composée de deux jeunes
enfants
, les a tués à coups de hache, puis a fait subir
me Bourdelongue, dont le mari est garçon de café, vient de tuer son
enfant
, âgé de trois mois, à la suite d'une crise de f
'elle a enfoncé dans la gorge à l'aide de ciseaux, jusqu'à ce que 1
enfant
ait rendu le dernier soupir. La femme Bordelongue
de Medemblik. « On prétend qu'il voulait aussi sacrifier un de ses
enfants
. Sa femme déclare « qu'il peut revenir à tout m
ransférées à l'établissement d'aliénés de Saint-Grave. « Les cinq
enfants
de Scherf ont été retirés à leur famille et con-
irés à leur famille et con- fiés à des parents, ainsi que les trois
enfants
d'une veuve qui appartient aussi à la secte. Le
enri-Lucien). 464 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. EMPOISONNEMENT.- Deux
enfants
de cinq et sept ans, de St-Vincent- la-Châtre (
Paris, 1900. Librairie J.-B. Baillière. LEY. - Le traitement des
enfants
idiots et arriérés en Belgique. Brochure in-8°
es, débiles, dégé- nérés amoraux, crétins, épileptiques (adultes et
enfants
). Assistance et traitement des alcooliques. Col
arre ; il s'emportait facile- ment et pour un rien battait femme et
enfants
. Mais un état men- tal ne commença à se constit
ans quand elle le mit au monde. Marié à dix-huit ans, il eut deux
enfants
, notre malade, et quatre ans après, un autre ga
quelques années de mariage, abandonnant sa femme et ses deux petits
enfants
. Ce père, dénué de sentiments, a disparu depuis
ont des gri- maces..., une femme avec un oiseau sur l'épaule..., un
enfant
..., tout ce monde pêle-mêle, va et vient, chang
un métier. Il n'avait pas de volonté, il fallait le guider comme un
enfant
. Il est resté peureux HYPERESTHÉSIE CORTICALE D
ix, il y a des lettres dessus, P. A. P., une statue de femme..., un
enfant
qui va il l'école, une route, une charrette et
es. Oncles et tantes des deux côtés, renseignements insuffisants. L'
enfant
de l'un des oncles maternels louche à la suite
âge de cholérine, Les autres seraient bien portants ainsi que leurs
enfants
. Ni aliénés ni épileptiques, etc., etc., dans l
ile. Trois tantes maternelles n'avant rien à noter. Deux de . leurs
enfants
ont eu des convulsions. Un frère et une suceur
nt bien por- tantes dont la plus jeune est partie avec le père de l'
enfant
, comme nous l'avons dit plus haut. - Dans le re
etc.). Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de deux ans. Deux
enfants
: 1° une fille, pas de convulsions, intelligente;
n assure que, consécutivement, l'intelligence aurait diminué, que l'
enfant
ne reconnaissait plus ni les personnes, ni ses
ps était plus malade que le droit. A partir de ces convulsions, l'
enfant
aurait eu presque quoti- diennement des accès c
te. Ces acci- dents durèrent trois semaines. Après cette maladie, l'
enfant
resta trois mois sans avoir d'accès. On prétend
nifestations scrofuleuses, etc. 1. Etat actuel (novembre 1897). - L'
enfant
a l'aspect d'une stru- meuse. Le visage est bou
. La langue ne présente rien de particu- lier. Le goût existe car l'
enfant
aime le lait et le préfère sucré. La dentition
sentent des érosions linéitormes. Les autres dents sont normales. L'
enfant
a de fréquentes vomituritions, bave sou- vent.
mouvements spontanés existent à droite, mais sont affaiblis car l'
enfant
n'aide en rien pour s'habiller, se laver, etc. A
t assez bien développés, les mouve- ments provoqués sont normaux. L'
enfant
se tient debout mais ne marche pas. Essaie-t-on
rtébrale s'incurve du côté gauche qui est évidemment plus faible. L'
enfant
ne change pas sespieds de place. On note une pe
es du saut, de la marche, des jointures. 1898. Janvier. - Comme l'
enfant
ne présente pas trace de cica- trices vaccinale
ica- trices vaccinales on la vaccine; résultat négatif. L'état de l'
enfant
ne s'est pas amélioré ; elle ne prête aucune at
remières : c'est sa seule manifestation intellectuelle. Mars. - L'
enfant
maigrit visiblement depuis quelques jours. On n
ime lacté absolu, sirop de glycéro-phosphate de chaux. Avril. - L'
enfant
conserve son appétit ordinaire; malgré cela, so
énéral, plus 2 gr. 50 de salicylate de bismuth par jour. Mai. - L'
enfant
présente toujours le même état général mau- vai
me état général. Depuis quelques jours, la diarrhée a cessé, mais l'
enfant
a de fréquents vomissements, elle pleure sans c
s. A l'auscultation, qui est extrê- mement difficile à pratiquer, l'
enfant
criant et se débattant sans relâche, on trouve
esquama- tion se fait en lamelles plus épaisses. Pendant le jour, l'
enfant
dort assez bien, mais la nuit elle crie sans ce
uleuse s'accentue pro- gressivement, la diarrhée est continuelle. L'
enfant
tousse très rarement. Le 2r septembre la tempér
de la névrose hystérique. G. D. XLV111. Sclérose en plaques chez un
enfant
, par M. le professeur Raymond. (Presse médicale
a consacré une de ses leçons cliniques à la discussion du cas d'un
enfant
de six ans, qui a présenté, à la 526 REVUE DE P
e fonctionnel. De l'embarras de la parole, qui se manifeste quand l'
enfant
est obligé de porter une grande attention à ce
tait permis aussi de se demander si les accidents survenus chez cet
enfant
n'étaient pas symptomatiques de la variété d'affe
fille atteinte d'obsession vertigineuse auto-suggérée ; 2° un jeune
enfant
à propos duquel il discute le diagnostic d'hémi
infantile avec participation du nerf récurrent. - M. HUET. Chez un
enfant
atteint vers la fin de la première année, d'une
r naitre un fils qui reçut les prénoms d'Armand-Aimé-Dieudonné. L'
enfant
passa ses premières années au village, fréquentan
es études, il supplia sa mère de le mettre en pension. Fière de son
enfant
et confiante en l'avenir, elle consentit, sans hé
uelques descriptions, ces minus habentes, qui ne se distinguent des
enfants
normaux que par des signes négatifs. Le trait
. L'auteur connaît ce qui se passe à Bicêtre, dans la section des
enfants
arriérés. Aussi la méthode qu'il préconise, parce
que le langage articulé est le langage véritable, et que tant que l'
enfant
n'émet que des sons vocaux, il fait du bruit, i
jeunes détenus par l'éducation. La loi de 1850 marque un progrès; l'
enfant
condamné à la colonie pénitentiaire ou correc-
elge de 1894 n'a pas hésité à faire disparaître. Chez nos voisins l'
enfant
n'est jamais puni : il est acquitté ou confié à l
ne peine dont la durée est inversement proportionnelle à l'âge de l'
enfant
. Qu'attendre alors d'un redressement de quelques
Les juges peuvent-ils en déterminer la durée ? En Allemagne, si l'
enfant
est condamné, il reste enfermé tant qu'il n'est p
ents indifférents. Si l'état d'infériorité intellectuelle empêche l'
enfant
de pouvoir suivre avec fruit les cours normaux, q
e dit de famille, usité en Allemagne et en France (Mettray), où les
enfants
sont placés par groupe de 15 à 40, sous la dire
eilleur est le système dit progressif ou irlan- dais, dans lequel l'
enfant
subit d'abord le régime cellulaire, pour être e
e, le nouvel admis devra être placé dans une section réunissant les
enfants
présentant avec lui quelques similitudes de car
érience personnelle nous a per- mis de constater maintes fois qu'un
enfant
doué d'une activité brouillonne se trouvait bie
'une activité brouillonne se trouvait bien de la fréquentation d'un
enfant
sans énergie physique et intellectuelle et réci
éer chez notre élève sera le reflexe de l'obéissance. Il faut que l'
enfant
en arrive à exécuter un ordre aus- sitôt donné,
eignement professionnel n'aura pas seulement pour but de donner à l'
enfant
des habitudes d'ordre et de travail, il lui procu
e depuis son admission. Surtout pas de colère dans la répression. L'
enfant
est essentiellement imitateur, ne lui proposez
mation de comités dont l'action commence pendant l'internement de l'
enfant
, s'exerce au moment de la libé- ration, se pour
lles de la Planche V. TABLE DES MATIÈRES Abcès du cerveau chez un
enfant
, avec érvsipèle, opération, etc., par Dayle,
ayant simulé une paralysie générale, par Bourdin, 53. - chez un
enfant
de 9 ans, par Spiller, 343. Paralysie. Etude
ar Erben, 1e3.- avec amyotrophie, par Glo- rienx, 525. - citez un
enfant
, . par Raymond, 525. Semelaigne, biographie,
par lettre, par Voisin, Beriitieim, Béril ! on, 529. Suicide d'
enfant
, 95. Surdité etcéci lé verbales avecautop- si
ommença à s'exciter. « On tirera sur les soldats, on tirera sur les
enfants
! 1 », fit des menaces et dut être interné d'ur
rvation des effets produits par l'exercice chez les sujets normaux,
enfants
ou adultes, et l'analyse de certains succès thé
tous les mouvements coordonnés nor- ' maux n'ont été obtenus chez l'
enfant
ou l'adulte que par un travail d'éducation spéc
s, paraissent préétablies puisqu'on les retrouve même chez le jeune
enfant
; les secondes, au con- traire, se rapportant au
lexes dont le centre est dans la moelle. Plus tard, au contraire, l'
enfant
apprendra à exécuter volontairement les mouveme
ts musculaires, l'harmonie de ces derniers semble préétablie chez l'
enfant
et dépend sans doute des centres nerveux inféri
Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 6, 1901). Dans le premier cas,
enfant
de quatre mois; l'hypertrophie intéresse la fac
u'on pratique les injec- tions mercurielles. M. HAmEL. V. Sur les
enfants
arriérés. Diagnose et traitement; par Fr. Warne
t BOURQUI1V (Revue médicale de la Suisse romande, 1902, n° 2). Un
enfant
de huit ans se fend la peau du front eu tombant d
ans la famille, le nourrisson au biberon n'y échappe pas plus que l'
enfant
qui va à l'école avec de l'eau-de- AnciuvES, 2»
que vers une heure de l'après-midi. Il était marié et père de trois
enfants
. Le capitaine Fauchon comptait vingt-sept ans d
, atteint du délire de la -persécution. Il laisse une veuve et deux
enfants
. (Bonhomme Normand, 21 novembre 1902). Le Bon S
che tout son mobilier. Elle avait ensuite pris dans sou berceau son
enfant
endormi, et l'avait éten- due sur un tas de boi
bûcher en poussant des éclats de rire. Ter- 120 varia. rorisée, l'
enfant
suppliait : « Maman, petite mère chérie, ne me
le devint mère, et elle essaya à maintes reprises de tuer son petit
enfant
; mais, étroitement surveillée, elle ne put exéc
avait dû s'accomplir, les voisins péné- trèrent dans la maison ; l'
enfant
gisait inanimé sur le sol au milieu d'une mare
de douze ans. Les 10 premières familles produisirent ensemble 57
enfants
. 25 de ceux-ci moururent pendant la première sema
sique et intellectuel normal. Les 10 familles tempérantes eurent 61
enfants
. De ceux-ci, 5 moururent en bas-âge de faibless
phithéâtre). Hospice DE BICÊTRE. Maladies nerveuses et mentales des
Enfants
: M. BOURNEVILLE, le samedi à 9 heures et demie
25 francs. A. Counvorz (A). Education, traitement et assistance des
enfants
anormaux. In-8» de 1G pages, 1902. Prix : 1 fra
a toujours été une instinctive. Mariée assez jeune, elle a eu trois
enfants
dont deux sont morts en bas âge, l'un de convul
lcooliques. Mariée à un individu alcoolique avéré, elle a eu quatre
enfants
dont trois sont morts : un à douze mois de vari
cette exigence. Un grand-oncle maternel a eu, d'autre part, cinq
enfants
arriérés et l'un d'eux a été réformé, à cause d
inq ans, elle entre dans un couvent, chargée de l'ins- truction des
enfants
. Elle était contente de sa situation, et sa santé
out à coup, l'obsession refait. son apparition : , : . à la vue des
enfants
, elle sent un vif désir de les tuer ; elle a ce
civet de lièvre.et sentait, de nouveau un désir de tuer les jeunes-
enfants
, qui se trouvaient, venir auprès d'elle. Ensu
t cependant parfois mélancolique. Mariée à dix-neuf ans, elle eut 6
enfants
et deux fausses couches : la première de deux m
couches : la première de deux mois et l'autre de six semaines. Ses
enfants
sont bien portants. Au mois de décembre 1900, M
avait aucune relation avec le souvenir douloureux de la mort de son
enfant
, elle s'éveilla tout à coup, la poursuivit 'pen
y a cinq mois, la malade en parfaite santé, donnait des soins à ses
enfants
, lorsque subitement, l'idée de se tuer lui vint
eut se jeter à l'eau; en route ses réflexions et l'idée de ses cinq
enfants
la détournent un moment de sa préoccupation obs
eut rester en place, pleure par intervalles. M.Louise F... a deux
enfants
dont une fille de ^quatorze ans, nerveuse, souf
t son intérieur pour aller à la messe ; elle n'y amenait jamais ses
enfants
. Toutes les fois qu'elle passait devant une égl
n'G. 1901.) Trois observations de trophoedème intéressant : l'une (
enfant
de vingt mois) le membre inférieur gauche, la d
n, 27 février 1901.) M. Jacqueau présente deux sujets, la mère et l'
enfant
atteints de nystagmus congénital des deux yeux
nées par l'article en question sont : le père et la mère pour leurs
enfants
mineurs demeurant avec eux ; les maîtres et com
oire de ce crime (assassinat d'une femme par son mari et d'un petit
enfant
par son père) est assez banale en elle-même, et
ée, le Dr Bordier voudrait que l'éducateur s'efforçât de donner à l'
enfant
l'habitude du bien, afin qu'il en arrive à être
on peut et qu'on doit transformer en ins- tinct, en faisant vivre l'
enfant
dans un milieu d'êtres déjà dressés et en lui f
it mieux dire en s'adressant à de futurs éducateurs. " > Que d'
enfants
seront sauvés de la maladie et peut-être du cri
). Vendredi 23 janvier, à huit heures et demie, La psychologie de l'
enfant
arriéré et la lutte contre la dégénérescence me
e malade était très exaltée mais gaie et active; elle a eu quatre
enfants
et deux fausses couches, la dernière survenue à l
sée. Elle a aussi des idées de ruine, on l'abandonne, son mari, ses
enfants
, on va bientôt la guillotiner, la crucifier, elle
té : elle croit reconnaître sa belle-mère dans une des malades, ses
enfants
dans ceux qui jouent dans les jardins ; elle di
ardins ; elle dit elle-même que ce ne sont pas la les traits de ses
enfants
, de ses parents, mais ce sont eux quand même, e
même, et certainement, elle ne peut se tromper. « Elle' sent là ses
enfants
comme le chien sent son maître.» Les senti- men
l'âge de dix- neuf ans une fièvre typhoïde. Mariée, elle a eu trois
enfants
, dont un est mort de convulsions. Toujours elle
auditives : « On lui dit qu'elle ne reverra jamais son mari, ni ses
enfants
, qu'il faudra encore l'opérer ». Le 17 juillet,
e un suisse et n'est jamais malade ». Garçon de lavoir, marié, deux
enfants
bien por- tants. Autres antécédents, inconnus.
douze ans. La méno- pause est survenue il y a un an. Elle a eu sept
enfants
, tous bien portants. Quoique délicate, elle n'a
it joui toujours d'une bonne santé. Elle avait donné naissance à un
enfant
, il y a onze ans, dans des conditions anormales
les-ci sont, lorsque le système vasculaire est au préalable intact (
enfants
, jeunes gens), causées par des corps solides co
genre observé chez un paralytique général adulte. Deuxième espèce.
Enfants
. Tissu scléreux composé d'une névroglie très ab
peut aussi être réalisé par la compression exercée sur la tête de l'
enfant
par la ceinture osseuse du bassin, au cours du
osseuse du bassin, au cours du travail, ou encore par la chute de l'
enfant
dans un accouchement précipité. On s'est même d
tionné par quelque affection toxi-infectieuse passée de la mère à l'
enfant
, ne pourrait pas expliquer certaines porencépha
ou fissures du crâne. Les fractures et les fissures du crâne chez l'
enfant
n'ont aucune ten- dance à se réparer ; la perte
par GUI13.L. {Presse médicale, 10 septembre 1899). Observation d'un
enfant
de cinq ans, atteint depuis deux ans d'un mal d
n° 3, 1899.) Plusieurs observations de troubles trophiques chez des
enfants
, les uns pouvant être franchement étiquetés « s
; par le I)'' Carrier II s'agit d'une sclérose disséminée chez une
enfant
de douze ans, atteinte de syphilis héréditaire
GEAU expose les excellents résultats que l'on peut obtenir chez des
enfants
paresseux ou névrosés, au moyen de la suggestion
cin, son autorité naturelle, la mise en scène, etc., exercent sur l'
enfant
une sorte d'intimidation. Cela est si vrai que
d'un individu subira au plus haut point la domination d'un autre. L'
enfant
auquel on croit faire une suggestion à l'état d
SAVANTES. 29& Clique, il faut distinguer entre les sujets. Les
enfants
sont vicieux, indisciplinés, inattentifs, etc.,
on peut obtenir et non une guérison. M. BERtLLOx. -Sans doute, si l'
enfant
dépasse un certain degré de dégénérescence, il
l'influence d'une intoxication, d'une infection d'un traumatisme, l'
enfant
succombe à nouveau, il va sans dire qu'on doit
des con- ditions de la suggestion hypnotique. M. de Bourgade. Les
enfants
auxquels s'adresse cette ortho- pédie morale ne
offre une certaine résistance physiologique. M. Jules Voisin. Les
enfants
de syphilitiques guéris peuvent paraître normau
ls les parents pourraient au besoin faire placer spontanément leurs
enfants
dont le défaut de développement moral les inqui
isance privée. Deuxième question. - Assistance et édtcea- 'lion des
enfants
anormaux [arriérés, bègues, sourds-muets, aveugle
rs séances respectives les questions suivantes : Première Section :
Enfants
ET Adolescents. -'4°Patronage desnozca·rissons;
ssons; 2° Colonies de vacances ; 3° Ecoles de préservation pour les
enfants
indisciplinés ou en danger moral ou confiés par
rants d'influence supposée de l'esprit de la mère sur'le corps de l'
enfant
à naître 1, est priée de vouloir bien les adresse
tte question' dans la collection des C07nple-rendiis du service des
enfants
de Bicêtre. 320 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Hôt
ainte-Anne). Hospice DE Bicêtre. Maladies nerveuses et mentales des
enfants
; M. Bourneville, le samedi à 9 h. 1/2 très pré
ulier dans les antécédents. Pas de fausse couche ; la malade a eu 3
enfants
dont l'un est mort de méningite, et les autres
lina, femme C... quarante-sept ans, marchande ambulante, mariée, un
enfant
, est admise d'office par transfèrement de l'asile
e normale sauf depuis l'âge de treize ans : céphalalgie habituelle.
Enfant
, elle avait un caractère calme et réfléchi; adu
our parental est le moins développé (mortalité plus giande chez les
enfants
élevés en nourrice, chez les enfants naturels,
mortalité plus giande chez les enfants élevés en nourrice, chez les
enfants
naturels, etc.). M. il. VII. Contribution à l'é
ations congénitales des membres inférieurs. M. Gombault présente un
enfant
sourd et muet dont le membre inférieur droit ex
maladie empirait lentement; dans ces der- niers temps la mère de l'
enfant
a remarqué un affaiblissement visible de l'inte
r l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des
enfants
de Bicètre pendant l'année 1901, t. XXII, par B
st imposé, M. Bourneville publie le compte rendu de son service des
enfants
idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pen
lecture sérieuse et réfléchie. 1 J. Nom. VARIA. ' Assistance des
enfants
idiots. La très grande majorité des médecins on
ent quelles sont les conditions à remplir pour l'admis- sion de ces
enfants
dans les établissements très rares qui leur sont
er 1903. Mon cher ami, Quand les parents habitent Paris et ont un
enfant
idiot, ils peuvent le faire admettre par placem
; si, au contraire, les parents n'ont pas le domicile de secours, l'
enfant
ne peut être admis que par placement d'office,
on département. Elle ne peut, en effet, maintenir dans les asiles d'
enfants
de la Seine les enfants des autres départements
peut, en effet, maintenir dans les asiles d'enfants de la Seine les
enfants
des autres départements alors qu'il y a une qua-
enfants des autres départements alors qu'il y a une qua- rantaine d'
enfants
qui attendent une place à Bicêtre. Telle est, m
chaque département. Il n'y en a pas un seul qui n'ait au moins 200
enfants
arriérés, idiots, imbéciles et épileptiques des
encore. Observation I. 1-0 L..., vingt-six ans, mariée, mère d'un
enfant
de quatre ans et demi se portant bien. Père et mè
constamment occupé à répondre : « Aime-t-elle encore son mari ? Son
enfant
? Elle est une grande coupable. Elle doit être
e ses intérêts, se désole en songeant au sort de sa femme et de ses
enfants
s'il venait à disparaître. En décembre, consult
n mari assiste par le téléphone à l'assasinat de sa femme et de son
enfant
. M. F... est très impressionné par ce spectacle
CLINIQUE MENTALE. tionne.Un choc en chemin de fer, une imprudence d'
enfant
, un cheval qui bute, une chaussée à traverser p
ères de s'appli- quer avec tout le soin possible à procurer à leurs
enfants
une éducation conforme, non seulement à leur na
u'ils ont acquise d'enfans de Dipu2 », et lui proposa de mettre ses
enfants
aux Petites-Ecoles de Port-Royal des-Champs qu'
eut l'esprit naturellement.un peu altier, elle s'abaissoit comme un
enfant
sous la conduite des personnes en qui elle respec
désir enterrée dans l'église de Port-Royal. Sévère à l'égard de ses
enfants
, elle voulait « qu'ils dépendissent d'elle3 ».
pour Dieu Il ». Gentien Thomas II et Magdelène Beuselin eurent neuf
enfants
, cinq fils, dont deux jumeaux, et quatre filles
aye. Le troisième, Pierre Thomas du Fossé, naquit le 6 août 1631.
Enfant
, il était grand et fort, le plus fort de tous les
- ment de Pierre Thomas du Fossé. En effet celui qui avait été un
enfant
vigoureux écrira plus tard : « Le travail corpore
religieuses de la Félicité, par Angers, où ils firent con- iirmer l'
enfant
d'Augustin Thomas par l'évoque Henri Arnauld, q
s si complètes qu'il prend de ses malades ', avait recherché si les
enfants
arriérés, idiots ou épileptiques avaient été co
rescence en général ». 1 Bourneville, Comptes rendus du service des
enfants
de Bicétre, de 1880 à 1902. Retrue sciezlifiq
tation anormale court les plus grands risques de mettre au monde un
enfant
mort-né. Et, si la dégénérescence, en général,
nt, épileptique. Elle a successivement, de deux maris différents, 6
enfants
à terme et plusieurs avortements. Ses enfants n
x maris différents, 6 enfants à terme et plusieurs avortements. Ses
enfants
naissent alternativement, l'un par la face avec
me par le siège, a successivement, de trois femmes différentes, des
enfants
nés par le siège. De sa deuxième femme, il a 2
érentes, des enfants nés par le siège. De sa deuxième femme, il a 2
enfants
, nés, l'un par la face avec procidence d'un bra
on né par la face, avec procidence d'un bras. Ce fils, un véritable
enfant
du siège (Féré), est un dégénéré phy- ' Thèse I
ant est un homme marié, qui a simultanément de sa femme légitime un
enfant
du même âge que celui de sa maitresse, né aussi
ésir, je vous adresse quelques rensei- gnements sur nos quartiers d'
enfants
(de 5 à 18 ans.) Vous ayant précédemment adress
93 VARIA. Je vous prie d'observer que je n'ai, pour l'éducation des
enfants
, ni personnel, ni crédit, et que j'utilise du c
les la religieuse surveillante de la section. Le nombre restreint d'
enfants
qui vont en classe s'explique par ' la qualité
r apprendre les soins corporels et les habitudes de propreté. Les
enfants
valides vont chaque semaine en promenade dans la
n de leurs voisins. Connaissant le caractère impressionnable de son
enfant
, elle fut prise d inqmétudeet se mit à le reche
arcl(Orne), une alcoolique, s'est jetée dans une mare avec ses deux
enfants
, Jules, 7 ans, et Modestine, 3 ans. Le petit ga
affaires avec succès. Son oncle et sa tante avaient eu plusieurs
enfants
qui étaient morts en bas âge. Sa mère était fille
est morte à trente-huit ans d'une affection aiguë de poitrine. Deux
enfants
nés avant elle avaient succombé à des convulsions
tait pour elle inséparable de la langue d'un chien. Elle aimait les
enfants
, la famille, la maison, s'occupait avec plaisir
ement que d'éviter les rapports sexuels. Elle accoucha à terme d'un
enfant
mâle bien conformé et vigoureux, sans avoir pré
ix premières semaines, lorsqu'un jour pendant qu'elle allaitait son
enfant
à la fenêtre, elle vit passer un chien; l'idée lu
L'excitation génitale était d'autant plus intense que le repas de l'
enfant
durait plus long- temps. Elle rapprochait ces r
éviter d'arri- ver à l'orgasme. Elle ne réussissait pas toujours. L'
enfant
était chétif, croissait lentement; il prit des
nfor- mée qu'elle ne voulut pas allaiter. Elevée par une nourrice l'
enfant
eut cependant des convulsions à plusieurs repri
doit éviter les chances d'irritation des organes génitaux chez les
enfants
, si peu sexuelle que l'irritation puisse paraître
t des cas dans lesquels on peut rapporter les troubles nerveux de l'
enfant
aux orages sensoriels provoqués par la synesthé
e cause à l'effet est au moins douteuse dans celu-ci, car le second
enfant
élevé par une nourrice normale, a cependant eu
le, a cependant eu aussi des convulsions et a donné naissance à des
enfants
tarés. REVUE CRITIQUE. Dernières conception
téressant qu'il a débuté peu de temps après une scarlatine chez une
enfant
jeune (cinq ans). La paralysie siège à droite,
es ; par F. ALIARD (Nouv. Iconogr. de la Snlpétrière, p° 1-1902).
Enfant
de huit ans présentant le tableau complet de la m
ONNL (Nouv, Icoizog7-. de l'a Salpêtrière, n° 1,1902). Famille de 4
enfants
(sans antécédents héréditaires) dont deux l'un
par DECRoLY. (Journ. de Neurologie, 1902, 11" 23). 11 s'agit d'un
enfant
de sept semaines, né à terme dans de bonnes con
uellement en tout 52 séries de coupes d'encé- phales de foetus et d'
enfants
qui comprennent les phases les plus importantes
hez les nouveau-nés encore peu déve- loppés : ce n'est que chez les
enfants
venus à terme de 4 semaines environ que la form
rs tout aussi bien que celle des muscles et des os. Le cerveau de l'
enfant
, à sa naissance, ne pourra conserver les sensat
ment et dure peu (aphasie transitoire par simple indigestion chez l'
enfant
, cas de Kénock) ou s'installe à demeure fixe dans
K envoie l'observation, les photographies et les radiographies d'un
enfant
de cinq ans et demi actuellement aussi ' grand
e croire que la selle turcique est fort élargie. La croissance de l'
enfant
a été régulière jusqu'à l'âge SOCIÉTÉS SAVANTES
s de maladie organique du système nerveux, 45 normaux adultes et la
enfants
nouveau-nés. Sur 100 sujets atteints d'hémiplég
res bien définis qui le caractérisent à l'état pathologique. Sur 16
enfants
nouveau-nés, je n'ai trouvé qu'une seule fois l
n, plus accusée au gros orteil. Par contre il est de règle chez les
enfants
nouveau-nés à l'état de sommeil. On peut le ret
veau-nés à l'état de sommeil. On peut le retrouver parfois chez les
enfants
d'un certain âge et même chez les adultes à l'éta
des moyens insuffisants qu'il faut reléguer au nombre des jouets d'
enfant
. Un surveillant et une surveillante en chef pou
entier. li. nn \Iuca.wa-CL.ai. Dès l'origine, dans notre service d'
enfants
à Bicètre, nous avons obtenu de M. Peyron, alor
lique, un veilleur ou une veilleuse par salle. Par consé- quent nos
enfants
épileptiques ont été surveillés. Pas tou- jours
'ordre inconscient, abso- lument réflexe, ne fait pas défaut chez l'
enfant
atteint de surdité acquise, c'est-à-dire, deven
evenu sourd, d'ordinaire, à l'âge de deux ou trois ans au plus. Ces
enfants
-là avec plus d'intelligence ont en même temps u
les époux Vandevelde-Bousseuw, avec leur famille, composée de huit
enfants
. Le mari était atteint de la folie de la perséc
re. l'hôpital; mais elle préférait le soigner dans la maison. Les
enfants
, au réveil, ont trouvé le corps de leur père et d
s, ce qui ne l'a pas empêchée de devenir mère. Elle mit d'abord son
enfant
en nour- varia. 579 rice ; puis, sous prétext
le confia à sa mère. Mais la maman, au lieu de donnerle biberon à l'
enfant
, alla se biberonner dans les cabarets du quartier
ptiques, 32, 123. 579. des aliénés dans les familles,1 ? 3.- cies
enfants
iHiots, 399. dans les famille ? 400. des alié
motion. Voir Troubles. Encéphalites. Voir Sclérose céré- Grale.
Enfants
arriérés. Diagnostic et trai- tement, par Warne
let, 473. Sclérodermie. Quelques cas de - et da vitiligo chez des
enfants
, par Hanshalter et Spillmann, 282. - et,itrop
onnels et histoire de la maladie. - An... est la plus jeune de sept
enfants
. Deux sont morts en bas âge : l'un à huit jours
tres, quatre soeurs, n'ont jamais fait de maladie sérieuse, ont des
enfants
bien portants. Elle-même a toujours eu une bonn
frères : l'ainé mort à cinquante-huit ans, paralysé, laissant deux
enfants
: l'un, actuellement âgé de trente- huit ans (f
, quarante-quatre ans, célibataire. Antécédents héréditaires. Père,
enfant
naturel, originaire de la Manche, exerçait la p
graineuse, sans attaques convulsives dans son passé. Elle a eu neuf
enfants
: quatre sont morts en bas âge; Ma... est née la
sé à soixante-cinq ans; l'autre, en bonne santé, a perdu une fille,
enfant
unique, morte à trente ans hydropique. Antécéde
objet attire son regard, elle prononce, mais à voix basse, comme un
enfant
émer- veillé, étonné, le nom qui sert à désigne
, les soeurs de la malade jouissent d'une santé excellente, ont des
enfants
magnifiques. Ce sont là des considérations dont
inconduite du père. D'ailleurs, l'alcoolisme du père a laissé sur l'
enfant
une marque indélé- bile. Malgré ses quarante-tr
aternel est mort à quatre-vingt-six ans, ayant donné le jour à huit
enfants
, sept garçons et une fille ; six sont vivants,
, actuellement âgé de soixante-dix-sept ans. Ce der- nier a eu sept
enfants
: cinq sont morts en bas âge, entre trois et qu
, mort à un âge avancé, renommé par ses excentricités; il a eu sept
enfants
: six sont morts après soixante-dix ans, dont un
paternel est mort jeune, d'une attaque d'apoplexie, laissant trois
enfants
: deux sont morts para- lysés; l'un à soixante
soixante-trois ans et vient d'être frappé d'hémiplégie. Il a eu six
enfants
: un garez z çon et cinq filles; deux sont mort
t ans, bonne santé, a eu une fille, la grand'- mère maternelle de l'
enfant
, âgée de cinquante-sept ans, très ner- veuse, s
morte de tuberculose pulmonaire à vingt-deux ans, ne laissant pas d'
enfants
. La mère est une personne de taille moyenne, bi
, lors- qu'un cheval vient s'abattre à ses pieds. Grande frayeur, l'
enfant
reste agitée toute la journée; au milieu de la
nètre par le soupirail et fait explosion. L'émotion est telle que l'
enfant
est plusieurs heures à trembler de tous ses mem
acultés intellectuelles ; sa durée est de deux à quatre mois chez l'
enfant
, exceptionnel- lement, elle est chronique et le
; car à étendre ainsi la signification du terme coprolalie, peu d'
enfants
, même appartenant à une certaine classe de la so-
c le même patron. A vingt-trois ans, Bo... se maria, il n'eut pas d'
enfants
. Sa femme est morte il y a deux ans à la suite
des extenseurs de la main après avoir donné une gifle à l'un de ses
enfants
'. Dans ' Y. Charcot. Leçons du Mardi, 1887-188
comme autrefois à Athènes, vendent des bras, des mains, des petits
enfants
de cire qui orneront les abords du tombeau du s
s d'un même pro- cessus pathologique, évoluant dans le cerveau de l'
enfant
ou du foetus et donnant lieu à des accidents di
ce des enseigne- ments différents sur l'organisation psychique de l'
enfant
. Les opé- rations intellectuelles qui deviennen
(Archiv f. Psychiat., XXIII, 1.) Observation de destruction chez l'
enfant
des faisceaux moteurs de la capsule interne. Le
m vol. XXIV of the Clinical society's transactions.) 11 s'agit d'un
enfant
de -sept ans, qui fut pris d'une attaque de par
'est fondé à Hanovre une école qui puisse permettre de cultiver les
enfants
auxquels les facultés intellectuelles ne permet
occasion de si- gnaler l'organisation de classes spéciales pour les
enfants
faibles d'esprit, et dont la situation physique
nt analogue à celui qui existe dans les institutions consacrées aux
enfants
arriérés. B. 'FAITS divers. 157 Î LES Infirmi
uant sur sa petite fille, Albertine, âgée de dix ans, en frappait l'
enfant
avec une rage sans pareille. Blessée grièvement
. Maman, ma petite maman, je n'ai rien fait de mal. Aux cris de l'
enfant
, des voisins accoururent, enfoncèrent la porte
cèrent la porte et retirèrent des mains de la folle, la malheureuse
enfant
au moment où sa mère cherchait à l'étrangler. L
malheureuse enfant au moment où sa mère cherchait à l'étrangler. L'
enfant
dont l'état est très grave, a été conduite à l'
grafico Panfilo Castaldi. .BouR\EVtLLE ? Histoire de la section des
enfants
de Bicêtre. Vo- lume in-8 de 140 pages, avec 11
apeutiques sur l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des
enfants
idiots, épileptiques et arriérés de Bicétre pen
ère était atteinte de la même affection. La mère de Léonie a eu six
enfants
et une fausse couche; deux sont morts d'affecti
reilles saines. mime D., trente-quatre ans, maigre, fatiguée, trois
enfants
, faiblesse générale, palpitation fréquente, batte
isant depuis la guerre, il fut pris en 1873 après la naissance de l'
enfant
d'accidents articulaires avec fièvre qui s'accomp
ement, il s'enivrait fréquemment à l'é- poque de la conception de l'
enfant
. il n'use pas de tabac. [Père sobre, mort à soi
franc- comtoise). L'inégalité d'âge des deux époux est d'un an. 7
enfants
, 6 sont vivanls à l'heure actuelle : 1° une fille
fille, saine de corps et d'esprit bien qu'un peu excitable, a eu 4
enfants
, 2 de ces derniers .sont morts en bas âge, les
es excès alcooliques très fréquents, et la mère est persuadée que l'
enfant
a été conçu durant l'ivresse. - La grossesse fut
s eaux. s'accompagna d'un épan- chement de sérosité considérable. L'
enfant
, ci la naissance, était tout petit, il n'était
che plusieurs fois ( ? ) durant son enfance. De quatre à six ans, l'
enfant
aurait présenté des mouvements cho- réiformes d
27. 236 RECUEIL DE faits. Description des tics. - {Mars 1888.) L'
enfant
exécute un cou tinuel froncement de sourcils av
nt., testi- cules du volume d'un oeuf de moineau. 1880. Mars. - L'
enfant
présente à cette époque des plaques à la bouche
rd ne donne lieu à aucun résultat. Le développement phy- sique de l'
enfant
s'est accentué, la verge a conservé le même vol
nées dans les treize volumes de nos Comptes rendus du service des
enfants
de Bicêt1'c. 250 . RECUEIL DE FAITS. A propos
st assez fréquente et peut disparaître, nous dirons que, à côté des
enfants
chez lesquels la répétition se produit vite, il e
fois le mot. Elle est simple ou composée. Dans ce dernier cas, l'
enfant
répète deux, trois, quatre fois le mot ou les mot
. Il entrecoupe ses phrases d'inspirations profondes. Chez d'autres
enfants
, les tics s'accompagnent de mots gros- siers ou
ont pas des mots grossiers mais des gestes. Parfois, chez le même
enfant
, on observe les paroles gros- sières et les ges
A l'âge de deux ans, plusieurs accès de laryngite stridu- Leuse ; l'
enfant
apprit correctement à parler, mais il ne marcha
git de deux familles non parentes; chez l'une d'elles, sur quatorze
enfants
, six présentaient l'ensemble symptomatique qui
sentaient l'ensemble symptomatique qui suit ; chez l'autre, sur six
enfants
, il y en eut deux d'atteints. L'affection début
ait lieu de un à quatre ans après le début de la maladie. Aucun des
enfants
ne dépassa l'âge de cinq ans ; ils furent tués
compagnant fréquemment d'épi- lepsie, il est indiqué de confier les
enfants
épileptiques à un asile d'éducation pour les id
n commencerait par fonder un asile public destiné à l'éducation des
enfants
atteints d'arrêt de dévelop- pement des faculté
connaître et traiter les affections intercurrentes qui hantent. les
enfants
et les adultes affectés d'idiotie, il faut que le
professeurs sont tenus de signaler aux inspecteurs scolaires, les
enfants
atteints d'infirmités et de lacunes psychiques et
genres de l'idiotie et de l'épilepsie; - b. des asiles spéciaux aux
enfants
idiots et épileptiques, spéciaux aussi aux adul
orticale, et à laquelle on a donné le nom de Polio-encé- phalite. L'
enfant
est paralysé des extrémités, et il existe des tro
ait pas la plus légère manifestation de paralysie; l'intellect de l'
enfant
n'était pas fortement altéré, arrêté quelque pe
et nous avons confiance en son issue favorable. Physiquement, cet
enfant
était presque un Adonis, il avait un beau dévelop
ont les conséquences futures, l'amélioration de l'intelligence de l'
enfant
. Après l'opération, le cerveau aura la facilité
s fontanelles ? La question est celle-ci : pourquoi chez quelques
enfants
les sutures se ferment-elles dans l'enfance ? Est
érébral ? S'il nous était possible de connaître que le cerveau de l'
enfant
croissait d'une façon normale, et qu'il était rée
caractère. Naturellement, avec le temps, le mieux se produira; les
enfants
.microcéphales ne restent pas toujours à un deg
ette opération, et conseilla aux parents de ne rien faire pour leur
enfant
. Cependant, en face du pronostic : absolu- ment
: absolu- ment mauvais et de l'avenir malheureux réservé à de tels
enfants
, il est juste qu'on cherche à se raccrocher aux
tômes de paralysie; il y avait quelques contractures des muscles; l'
enfant
remuait les bras, et il n'y avait pas de perte
vait eu une attaque à qua- torze jours, mais plus rien ensuite. Cet
enfant
avait des colères bruyantes, n'était jamais tra
ents et le médecin furent frappés de l'amélioration produite chez l'
enfant
.Dans un second cas, le résultat fut moins heure
on, âgé de sept ans, et on lui enleva un grand morceau d'os; mais l'
enfant
mourut de pyrexie, que M. Horsley croit être du
r (British Médical Journal, n° 1647, p. 176) a rapporté le cas d'un
enfant
mâle âgé de huit mois, présentant de la microcé-
e et étroit; circonférence de la tête au-dessous de la nor- male. L'
enfant
était bien bâti, mais agité, il criait beaucoup e
révenir ou à guérir les accidents. P. BLOCQ. VARIA ASSISTANCE DES
ENFANTS
NERVEUX ET ARRIÉRÉS. La Commission inter-départ
é, favorable au projet de création d'une colonie régionale pour les
enfants
arriérés. Elle a adopté les conclusions suivant
es : 1° l'utilité d'un établissement inter-dépar- temental pour les
enfants
arriérés, est reconnue ; 2° le principe de sa c
La Commission invite l'Administration à faire établir le nombre d'
enfants
arriérés dans chaque département syndiqué, et à a
ef de l'Asile d'aliénés de Marseille, etc., etc. LES TRANSFERTS DES
ENFANTS
ALIÉNÉS. Le 16 mars 1891, le père de l'enfant M
LES TRANSFERTS DES ENFANTS ALIÉNÉS. Le 16 mars 1891, le père de l'
enfant
March..., que nous préve- nions officieusement
March..., que nous préve- nions officieusement du transfert de son
enfant
à.l'asile de Bourg, nous supplie en pleurant de
nfant à.l'asile de Bourg, nous supplie en pleurant de conserver son
enfant
à Bicêtre. Le père est né à Marseille de parent
lorrains et la mère est de Meurthe-et-Moselle. Le père du père de l'
enfant
étant douanier fut envoyé à Marseille, d'où sa
un canton de l'Ain, puis est venu habiter Paris. D'où il suit que l'
enfant
n'a aucun parent dans l'Ain. Et c'est ce départ
e depuis cinq ans, qui aurait accouché, il y a quelques jours, d'un
enfant
placé aujourd'hui dans une maternité. M. Ri- VA
a fait l'alcoolisme depuis vingt ans. Nécessité DE l'assistance DES
enfants
IDIOTS. Un fait odieux encore, s'est passé à Ge
atteint d'une maladie de cerveau, a profité de l'absence de ses six
enfants
pour accomplir le crime qu'il méditait depuis l
années. Une de ses soeurs était bizarre, maltraitait sans motif ses
enfants
. Mère encore vivante, soixante-quatre ans, a eu
a des douleurs dans les mem- bres qui l'empêchent de marcher. Huit
enfants
, dont sept encore vivants; un mort de la poitri
vants; un mort de la poitrine. Le malade est le cinquième. Tous les
enfants
sont bien portants, sauf la dernière qui est souf
rnines. Pas alcoolique; caractère emporté, émotif; marié, il a cinq
enfants
dont quatre sont morts des convulsions en bas â
en temps des névralgies dans divers points du corps, et chez leurs
enfants
, nous avons trouvé enfin des manifes- tations n
opathiques, mais aussi herpétiques. Notre patient n'est pas le seul
enfant
de sa famille qui a dû sup- porter les atteinte
s quel- ques mois qui précédèrent la mort survenue à seize ans, cet
enfant
t se plaignit plusieurs fois d'une douleur dans
blaient avoir dis- paru en grande partie. Une de ses soeurs, sans
enfants
, présente tantôt des névralgies 358 CLINIQUE NE
urs, et une certaine hypertrophie des mollets. Vers cette époque, l'
enfant
serait tombé, en s'amusant, dans une flaque d'e
r du côté de la tête, sauf quelques manifestations acnéiques. Cet
enfant
se plaint parfois de légers fourmillements dans l
s. M. Hallion' a déjàpublié un cas semblable, où il s'agissait d'un
enfant
de treize ans et demi, atteint d'une atrophie m
la raison et abuser la volonté d'un individu et en particulier d'un
enfant
, de façon à l'amener à accuser des innocents d'un
riques, entre dans une famille pour s'occuper de l'éducation des
enfants
; à la suite d'un amour contrarié, elle est prise
mar- qués d'ailleurs. M. Weber. Présentation d'un encéphale d'un
enfant
avec lésions por encéphaliques symétriques dans
rant de cette importante question. P. S. VARIA LES TRANSFERTS DES
ENFANTS
ALIÉNÉS Le 16 mars 1891, le père de l'enfant Ma
LES TRANSFERTS DES ENFANTS ALIÉNÉS Le 16 mars 1891, le père de l'
enfant
March..., que nous préve- nions officieusement
March..., que nous préve- nions officieusement du transfert de son
enfant
à l'asile de Bourg, nous supplie en pleurant de
nfant à l'asile de Bourg, nous supplie en pleurant de conserver son
enfant
à Bicêtre. Le père est né à Marseille de parent
lorrains et la mère est de Meurthe-et-Moselle. Le père du père de l'
enfant
étant douanier fut envoyé à Marseille, d'où sa
un canton de l'Ain, puis est venu habiter Paris. D'où il suit que l'
enfant
n'a aucun parent dans l'Ain. Et c'est ce départ
domicile de secours. L'humanité veut que l'on ne transfère pas des
enfants
loin de leurs parents; c'est pour cela que le C
ns les quartiers d'asiles du département de la Seine, consacrés aux
enfants
, ceux d'entre eux dont les parents habitent Par
ors décidée à élaborer un projet de règlement pour le placement des
enfants
aliénés ou idiots, âgés de moins de dix-huit an
la commission de sur- veillance en z. L'article qui concerne les
enfants
nés en province est ainsi conçu : Art. 8. Les
oncerne les enfants nés en province est ainsi conçu : Art. 8. Les
enfants
aliénés ou idiots, âgés de moins de dix- huit a
qui mériterait d'être imitée, faisant ainsi passer les intérêts des
enfants
et des fa- milles au-dessus des intérêts financ
jà été mis en état d'arrestation. (Petit TroyenT 8 février 1893.)
Enfants
idiots. Acceptation de la donation de 100 francs
p. 100, que 11 ! .\ ! . Gallois se proposent de faire au profit des
enfants
idiots ou épileptiques soignés à l'hospice de Bic
livrets de caisse d'épargne : L'un de 30 francs qui sera remis à l'
enfant
faisant partie de la section des enfants idiots
0 francs qui sera remis à l'enfant faisant partie de la section des
enfants
idiots et épileptiques à l'hospice de Bicêtrequi,
ait remarquer par sa bonne conduite et son dévouement à soigner les
enfants
de la susdite section à eux confiés. (Procès-ve
ans ses attaques est en proie au désespoir causé par la mort de son
enfant
, ou à la terreur déterminée par un incendie, n'
, ou à la terreur déterminée par un incendie, n'a qu'à penser à son
enfant
ou même à un enfant quelconque, n'a qu'à regard
terminée par un incendie, n'a qu'à penser à son enfant ou même à un
enfant
quelconque, n'a qu'à regarder une petite flamme
minées dans certains cas par l'attouchement d'un point du corps. Un
enfant
court dans les rues poursuivi par un ivrogne, i
turels : l'un emporte un oreiller dans ses bras comme si c'était un
enfant
et parcourt toujours le même chemin sur les toi
bonne santé habituelle, ni migraineuse ni coléreuse. Elle a eu six
enfants
; deux sont morts, l'un à soixante ans, d'un refro
'est établi à vingt-trois ans et marié à trente-trois. Il a eu cinq
enfants
: trois garçons et deux filles, tous en bonne s
est d'un intérêt tout particulier; citons, par exemple, celui d'un
enfant
atteint d'hémianopsie, cas qui, ayant -abouti à
Librairie 0. Berthier. vloaconvo. Sur un cas d'acromégalie chez un
enfant
de lf mois, compliqué de microcéplzalie. Brochu
par Chabbert, 10 - , par Bourneville et Noir. 228. Transferts des
enfants
aliénés, 406. Tremblements chez les vieillards,
eilles; puis survenaient des contorsions et l'arc de cercle. Enfin, l'
enfant
prononçait quelques paroles relatives aux préoccu
cupations de la veille. Il n'existait pas de stigmates hystériques. L'
enfant
est sorti, après cinq ou six mois de traitement,
, à peu près guéri. Ce n'est pas la première fois que l'on voit des
enfants
jouant à l' hypnotisme produire sur eux-mêmes, ou
moins graves. Ainsi, à Brcslau, lors du passage du fameux Hansen, un
enfant
hypnotisé par un de ses camarades a été pris d'at
ications de la suggestion à la pédiatrie et à l'éducation mentale des
enfants
vicieux ou dégénérés. Rapporteur : M. le Dr Beril
e, et don', à l'âge où l'on s'exerce à former les lettres. les jeunes
enfants
—la petite ; le surtout, en raison de sa docilité
nt on se préoccupe le moins... On se targue d'adapter le cerveau de l'
enfant
à une règle, alors que tous (1) Un vol. in-12 d
eni tendre à adapter la règle aux virtualités propres du cerveau de l'
enfant
.» La discipline scolaire, à son tour, l'arrête.
nocturnes et de l'astuce auxquelles, par nos temps de nervosisme, les
enfants
sont de plus en plus prédisposés. Une question,
er novembre. — Progres médical, n° 51. Paris, 1887. elle a perdu un
enfant
et son mari; n'a jamais eu de grandes crises nerv
ications de la suggestion à la pédiatrie et à l'éducation mentale des
enfants
vicieux ou dégénérés. Rapporteur : M. le Dr Béril
ociologie moderne. » M. Lombroso a voulu voir dans presque tous les
enfants
des monstres, des criminels-nés que redressait l'
ssait l'éducation. M. Traverni (de Catane) croit au contraire que les
enfants
mauvais sont l'exception et M. Magnan (de Paris)
nts mauvais sont l'exception et M. Magnan (de Paris) ne voit dans ces
enfants
aux mauvais instincts que des dégénérés chez qui
estation peuvent-ils déterminer un signe quelconque sur le corps de l'
enfant
? Le père de Darwin a déjà fait des recherches da
ns ses paroles, l'aménorrhée résultant de l'immense désir d'avoir des
enfants
, de l'ennui de ne pas en avoir, etc. A côté des
presque tous les jours, les mêmes faits se sont reproduits. D'autres
enfants
et même de grandes personnes ont eu également les
la plupart doivent se borner à écouter, au comble de la surprise, les
enfants
qui sont là devant eux et qui leur racontent avec
deux heures avant la visite de M- Potter, un traumatisme du bras. Cet
enfant
était délicat, très impressionnable et exprimait
on lui objecta les faits suivants : Sept semaines plus tôt, le même
enfant
, à la suite d'une blessure à la tête, avait dû êt
es les précautions nécessaires et l'expérience réussi parfaitement. L'
enfant
passa insensiblement du sommeil naturel au sommti
cessa l'administration du chloroforme et, lentement, sans secousse, l'
enfant
revint au sommeil naturel; il ne s'était éveillé!
ie chloroformique sans accidents, pendant le sommeil, au moins chez l'
enfant
. Prescription d'un somnambule Le rédacteur en
remarquer que parmi les paralytiques que j'ai traites, il y avait des
enfants
de trois à six ans ; il n'est pas probable que ce
avait des enfants de trois à six ans ; il n'est pas probable que ces
enfants
eussent quelque foi en moi et pourtant je suis pa
bonne fortune d'entendre cette curieuse communication. Et chez les
enfants
, M. Bernheim a eu la bonté de nous apprendre lui-
ébault (de Nancy), arrivait A une hypnotisation réelle, même chez les
enfants
A la mamelle. Il lui suffit d'appliquer une main
cations de la, suggestion à la pédiatrie et à l'éducation mentale des
enfants
vicieux ou dégénérés. Par M. le docteur Edgar B
lesquelles les indications de la suggestion ont été établies chez les
enfants
par des faits rigoureusement observés, sont : L
e pédagogique, constitue un excellent auxiliaire dans l'éducation des
enfants
vicieux ou dégénérés. 5° L'emploi de la suggest
, nous ne conseillons l'usage de la suggestion en pédagogie lorsque l'
enfant
sera susceptible d'être amendé par les procédés h
s, il importe de ne pas confondre les termes vicieux et dégénérés. Un
enfant
peut être vicieux sans présenter pour cela des st
ond. M. Berillon. — Je fais la distinction très naturelle entre les
enfants
vicieux et les dégénérés. Lorsque ces derniers ne
es, de certaines habitudes vicieuses, de l'onanisme, par exemple. Les
enfants
vicieux, mais normalement constitués et bien port
plus faciles à guérir. On constate souvent, non sans surprise, que l'
enfant
se soumet avec une grande docilité au traitement
milieu joue un rôle considérable dans l'application du traitement. Un
enfant
qui vit dans une famille disposée à seconder avec
es efforts du médecin aura beaucoup plus de chances de guérison qu'un
enfant
soigné dans un asile. H. Félix Hement. — Permet
ique à la pédagogie, c'est-à-dire de la répression par ce procédé des
enfants
vicieux qui sont restés rebelles aux moyens ordin
restés rebelles aux moyens ordinairement employés. Il s'agit donc des
enfants
que l'on place dans les maison de correction ou c
s si souvent entendu dire à des parents: on ne peut rien tirer de cet
enfant
; — il est incorrigible ; — nous avons tout tenté
é, de charité. Voici comment nous procédons. Après avoir fait venir l'
enfant
dans notre cabinet, milieu qui ne lui est pas fam
n ton uniforme, sans élever ni abaisser la Voix de façon à préparer l'
enfant
au sommeil par cette monotonie. Dans ce sommeil c
l par cette monotonie. Dans ce sommeil crépusculaire, la volonté de l'
enfant
se trouve affaiblie ; nous lui parlons alors de l
résolution de se faire pardonner et la résolution de se corriger. L'
enfant
est somnolent, son esprit vacille, sa volonté lui
iment de la responsabilité, nous rendons ce sentiment plus vif. Que l'
enfant
reste éveillé ou s'endorme, ¡1 n'y a pas à s'en p
r. Lorsque nous aurons pénétré dans la place, que nous aurons amené l'
enfant
à penser comme nous, il n'en sera pas moins libre
stance et de le vaincre. Lentement et progressivement, nous amenons l'
enfant
à sentir la gravite de son état et la nécessité d
ue fois que nous revenons à la charge, l'amélioration s'accentue. Des
enfants
grossiers, turbulents, indociles, paresseux, sont
me l'a très bien dit M. Motet, à propos des (aux témoignages chez les
enfants
. Dans un cas récent, je me suis trouvé aux pris
ue je l'avais empoisonnée, elle, je pouvais également empoisonner son
enfant
qui se trouvait au lycée, dans une ville voisine.
oyer des dépêches au directeur de l'établissement, qui répondit que l'
enfant
se portait bien ; mais elle n'en crut rien et ell
habitudes qu'il avait et que je devais corriger. Pour impressionner l'
enfant
, sans avoir recours à l'hypnotisme, je lui dis qu
madame. » Malheureusement, la mère avait été plus impressionnée que l'
enfant
et à partir de ce moment elle me crevait capable
De l'avis même de Lombroso, le sens moral peut s'acquérir. Tous les
enfants
l'acquièrent, avec plus ou moins de facilité, sui
ruit de l'éducation. L'auteur italien a longuement montré combien lus
enfants
sont généralement menteurs, voleurs, gourmands, c
s pernicieux de cet abandon moral ! Non-seulement on ne parle pas à l'
enfant
de vertu, d'honneur de probité ; mais tous les jo
thropologie criminelle, n°23, 1889 feur-mécamcien dont elle eut six
enfants
. C... est de ceux-ci. Cette femme, abandonnée par
er amant, se remit en ménage avec un autre, dont elle eut encore cinq
enfants
. Aussitôt qu il put sortir, C... fut abandonné
l n'y a que négligence : on parle et on agit sans se gêner devant les
enfants
; on les laisse s'habituer à ne rien faire, traîn
scéues de violences regrettables, tantôt sur sa femme, tantôt sur ses
enfants
Il est mort paralytique général à l'asile d'alién
dignité. III Telle est l'influence de la première éducation sur l'
enfant
. Mais ce n'est point tout. Plus tard, quand l'enf
éducation sur l'enfant. Mais ce n'est point tout. Plus tard, quand l'
enfant
devenu adolescent sortira de la famille, quand il
ur pouvoir résister aux entraînements de mauvais camarades. Combien d'
enfants
ont été perdus de cette façon, et perdus à tout j
e pernicieuse des mauvaises fréquentations n'agit pas seulement sur l'
enfant
et l'adolescent. Elle agit aussi sur certains hom
uité. Voici donc deux individus mal équilibres, je crois : l'un, un
enfant
, tombe aux mains d'un credin qui façonne cette ar
i constances du fait (cet oubli pouvant favoriser des substitutions d'
enfant
») ; Les hallucinations, et en particulier, le»
ination rétroactive, soit spontanément par des hystériques ou par des
enfants
. DISCUSSION La lecture du rapport de M. LIEGE
Dans la plupart des cas, la première chose a faire sera d'éloigner l'
enfant
de sa famille, de le séparer de ses parents, c'es
t anoblissent les pères au lieu des fils : les fils célèbres sont des
enfants
prodigues, et le capital qu'ils dépensent ne vien
tre. L'enquête a laquelle on procéda dévoila le mystère : X..., étant
enfant
. 7 à 8 ans auparavant, avait été soignée dans le
hypnotisme et la suggestion, p.85 de tels individus doivent être ou
enfants
ou fous, les seuls sur lesquels est permis, sur l
t déjà acquis la renommée, et que Chaucer et Froissart étaient encore
enfants
. II Portrait de Toghlak lbn Batuta fut reçu
ehan désirait mct're sur le trône, et que son neveu traitait comme un
enfant
supposé. Mohammed Toghlak avait évidemment un c
ris de ses sœurs, il écrivit sur un morceau de papier : « Bannissez l'
enfant
trouvé, et bannissez le mangeur de souris ». Un d
vivant et sa chair cuite avec du riz, fut envoyée a sa femme et à ses
enfants
. Il fut empaillé, et avec les restes d'une autre
tement. Un jour, tandis qu'elle surveille pendant la récréation les
enfants
qui lui sont confiés, elle reçoit de l'une d'elle
ffection cl j'attends avec un peu de crainte tout de même mon petit «
enfant
. Ma grossesse ne me fait pas souffrir; j'ai beauc
r chez lui. Les journaux américains de 187b rapportèrent le fait d'un
enfant
qui, pendant un accès de somnambulisme, alla tuer
: * J'ai une idée folle de mettre le feu à la maison, ou de tuer mon
enfant
».—Pourquoi, dans quel but? « N'aimez-vous pas vot
e tuer mon enfant».—Pourquoi, dans quel but? « N'aimez-vous pas votre
enfant
? » — «Si! je l'aime! Je sais que c'est mal. Je n'
ite par l'entrainement de ses sens et la volonté des autres. Encore
enfant
presque, elle attire des jeunes gens chez elle. A
la pensée de faire naître, sans que la mère en eut conscience, cette
enfant
dont la conception avait eu lieu dans l'état d'in
ucher à son insu, et je comptais vous faire ensuite une leçon sur cet
enfant
, conçu et mis au monde par une mère inconsciente.
chement se produit régulièrement : il se termine par l'expulsion d'un
enfant
à terme. C'était pour nous une déception et une
ce que nous n'étions point parvenus à faire expulser sans douleur cet
enfant
que le colporteur avait réussi à faire concevoir
ire concevoir dans l'état d'inconscience. Une surprise, puisque cet
enfant
, conçu fin mai, ne devait naître que fin février,
le pauvre diable, certain d'être condamné! Seul, le père inconnu de l'
enfant
aurait bien ri pendant les débats. Heureusement
t du départ du colporteur pour Nouméa, et les ongles bien formés de l'
enfant
à terme auraient pu motiver la grâce du pauvre di
, très impressionnable et d'un tempérament nerveux, mère de plusieurs
enfants
, est accouchée de nouveau au mois d'octobre 1889.
t de créer de véritables légendes ; les attentats à la pudeur sur les
enfants
amenés par la précocité sexuelle et les provocati
océdai donc à la suggestion, de la façon suivante. Je lui dis : « Mon
enfant
, vous avez là un mal qui vous fait bien souffrir;
du meilleur monde et d'une moralité parfaite, adorant son mari et ses
enfants
recevait chez elle un jeune homme, ami de sa fami
une lettre calme et sereine, elle y parlait de son intérieur, de ses
enfants
, même je crois, de Chambige, en termes si simples
ait l'exemple, c'était la femme du devoir dévouée à son mari et à ses
enfants
, douce, timide, bonne, affectueuse, nullement pas
mme et l'enterre ; il creuse une fosse pour la mère et quatre ou cinq
enfants
, les y attire aussi, les tue à coups de pioche et
je ne formulerais pas encore un jugement certain. Quand Je vois deux
enfants
élevés ensemble, soumis à la même éducation, viva
rtant dans la genèse de ses idées délirantes. C'est, d'ailleurs, un
enfant
doux, affectueux, débonnaire, chez lequel les mau
pour tout ce qui concerne spécialement la section. Séquestration d'
enfants
dans un but scientifique Le comte Zorouboff, mé
rlin, vient d'être poursuivi, mais acquitté, pour avoir séquestré des
enfants
. Depuis plusieurs années, en effet, il tenait enf
et isolés de la façon la plus absolue d'avec le reste du monde quatre
enfants
d'un âge peu avancé. Ces enfants, qui étaient con
olue d'avec le reste du monde quatre enfants d'un âge peu avancé. Ces
enfants
, qui étaient confiés à la garde d'une gouvernante
t la tentative va rester cèlèbre, se pro- posait d'étudier chez ses
enfants
les instincts primitifs de l'homme. Mal-heureusem
l a pu démontrer qu'a part cette question de l'isolement radical, les
enfants
avaient été traités avec les plus grands égards,
é. Mais le médecin a dû prendre à sa charge les frais d'éducation des
enfants
. Au point de vue scientifique exclusivement, il e
affirme. on s'en souvient, qu'un pharaon essaya de faire nourrir deux
enfants
dans l'isolement le plus complet, au haut d'une t
mplet, au haut d'une tour. M. Zorouboff a remarqué, dit-on. que les
enfants
séquestrés et élevés par la sourde-muette ne parl
n'avait jamais été faite et on en saura gré à l'expérimentateur. Los
enfants
, ajoute-t-on, proféraient seulement une sorte d'a
es qu'ils rapportent ensuite dans la société et transmettront a leurs
enfants
aussi bien par l'exemple que par la tradition.
lupart des éta-blissements d'instruction publique le temps dévolu aux
enfants
pour pratiquer, même une toilette sommaire, est a
nt. Dans un des établissements les plus aristocratiques de Paris, les
enfants
ont un quart d'heure pour leurs ablutions; le dim
mpu depuis longtemps avec la propreté! Dans ce même établissement les
enfants
n'ont pas même un robinet d'eau a leur dispositio
taines mères de famille, lorsqu'elles ont le bonheur de posséder leur
enfant
, soit de le livrer a un décrassement sérieux. M
poussante saleté de la plupart des cabinets d'aisance, et je sais des
enfants
délicats qui ne fréquentent ces dépotoirs en mini
que l'orthographe et c'est a ceux qui ont assumé le soin d'élever les
enfants
de se pénétrer de l'étendue de leurs devoirs. La
evra être obligatoire; a toute obligation il faut une sanction et les
enfants
sales devront être punis. L'Université, qui se
pédagogues , ces hommes n'ont point de famille, ils n'ont jamais vu d'
enfants
ou, s'ils en ont vu, ils ne les, ont jamais obser
ait autrement, ils n'ignoreraient point que dès son plus jeune âge, l'
enfant
manifeste pour l'eau, appliquée à l'aide d'une ép
éveil, que l'on peut arriver à maîtriser cette répulsion Abandonnez l'
enfant
à lui-même,n'excercez sur lui aucun contrôle, obé
er jouer avec ses camarades? C'est bien mal connaître le naturel de l'
enfant
. et je suis en droit de m'etonner que l'on confie
nt, soit tout entière consacrée à sa destination, que la propreté des
enfants
soit soumise à un contrôle sérieux, que les éduca
n au point de vue de l'hygiène, et pour conclure, que la journée de l'
enfant
commence néanmoins par une récréation. Dr GALIP
n père, irascible et violent. Elle, mariée à dix-sept ans, a eu six
enfants
sans accidents de couches. Mme A... a reçu dans
Interrogé sur ses antécédents héréditaires, nous apprenons qu'il est
enfant
naturel, qu'il n'a jamais connu son père, et que
M. F..., commandant d'état major, âgé de 40 ans. marié, pére de trois
enfants
bien portants, a été atteint, il y a sept ans, d'
l'auteur rappelle les études du Dr Motet sur les faux témoignages des
enfants
et commente, a peu près dans les mêmes termes et
e sens que M. Bernheim, la triste affaire de Tisza-Eslar. Pour eux, l'
enfant
dénonciateur a obéi à une suggestion. Nous arri
ntre de pareilles tentatives, surtout contre les taux témoignages des
enfants
. Mais de véritables crimes commis par des somnamb
rose ou bien par les antécédents personnels du sujet. Ainsi, chez une
enfant
de treize ans qui avait été précédemment atteinte
harger de l'éducation de toutes les facultés et de tous les sens de l'
enfant
. On lui apprendra à représenter chaque chose par
peu considérable, se laisse prendre à l'artifice. Mais voici que l'
enfant
grandit : à mesure que ses facultés se développen
nt que commence le rôle de La suggestion maternelle, suggestion que l'
enfant
accepte aveuglément de celle qui le soigne et le
met auquel il n'a jamais goûté, et elle lui dit : mange, c'est bon. L'
enfant
l'accepte d'abord avec quelque hésitation, puis a
suggestion gustative. A chaque aliment nouveau qu'on présentera à l'
enfant
, il faudra une nouvelle suggestion de la mère pou
ments auxquels on nous a habitués. Mais bientôt, avec les années, l'
enfant
se passera de la suggestion maternelle: la sugg
pilles gustatives seront agréablement impressionnées. IV Puis cet
enfant
qui ne connaissait que la cuisine de famille, les
ens gustatif. Le plus souvent il se la fait lui-même son éducation! L'
enfant
qui court dans un jardin, aimera à respirer un œi
'). 138 Éducation par un sens unique (l');. 63. Éducation mentale des
enfants
vicieux ou dégénérés, 153 Étude statistique s
ou dégénérés, 153 Étude statistique sur les hallucinations, 93.
Enfants
jouant à l'hypnotisme. 11. Entants séquestrés d
tion à l'aliénation mentale; c'est ainsi que, d'après Flemming, les
enfants
conçus pendant l'ivresse du père sont très expo
ychique des parents au moment de la conception sur celui de leurs
enfants
avait frappé les esprits avant que les méde- ci
coït au retour des cérémonies funèbres, de crainte d'engendrer des
enfants
mélancoliques ; Erasme fait dire à sa Folie : «
ère dans un moment très 6 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. inopportun. Un des
enfants
adultérins de Louis XIV, conçu pendant une cris
ent émue, conserva' toute sa vie un caractère qui le fit nommer « l'
enfant
du Jubilé' ». Les intéressantes recherches de M
s, se coupe la gorge avec un ra- soir dans un bain; il laisse trois
enfants
: deux fils qui se tuent au même âge, de la mêm
s sont inférieurs en tout; ce sont là les génies partiels. Certains
enfants
, après LA FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 21 1 avoir d
eur développement, ou offrent des déviations morbides diverses; les
enfants
prodiges, chez lesquels l'hérédité névropathiqu
chez la mère et chez la fille, et Blache en a observé un chez trois
enfants
de la même famille. Observation XXIX. M. B... o
ère prédominante. On a noté la fréquence des convulsions chez les
enfants
nés d'une mère éclamptique 2. Trousseau' cite u
ie : un peintre de talent a un fils nerveux et daltonien qui a sept
enfants
, dont six eurent des convulsions, et l'un d'eux
eu des convulsions. - Elle seule n'a pas eu de convul- sions étant
enfant
, mais elle a été, dès l'âge de huit ou neuf ans
aladie de famille, et la tétanie, qui se rencontre surtout chez les
enfants
nés de parents nerveux irritables atteints eux-
tic de Salaam, une variété de convulsion du cou. On voit les jeunes
enfants
qui en sont atteints abaisser et redresser la t
, 1883, p. 970. 32 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. M. Gauliez', la mère de l'
enfant
avait eu des attaques éclamptiques. L'asphyxi
., ataxique. Père encore vivant à quatre-vingt-deux ans, a eu douze
enfants
. Une 36 pathologie générale. soeur épileptiqu
en dire autant des affections aiguës. Observation LXII. - Les deux
enfants
de M. F.... sont atteints de paraplégie spasmod
el, botaniste dis- tingué, est mort aliéné. 1° La mère avait, étant
enfant
, des absences qui avaient disparu à l'époque de
s ou chez de jeunes garçons. Déjà trois d'entre eux, relatifs à des
enfants
, ont été pu- bliés'. Celui qui va suivre, de mê
pt ans, on ne sait de quoi. Deux frères bien portants ; l'un a cinq
enfants
en bonne santé. Deux soeurs dont l'une a cinq e
l'un a cinq enfants en bonne santé. Deux soeurs dont l'une a cinq
enfants
et l'autre deux, sans affections nerveuses. Pas d
luxion de poitrine ; mère morte d'une hydropisie ; un frère a trois
enfants
; une soeur en a deux; tous sont bien portants.
affections nerveuses dans la famille]. -Pas de consanguinité. Six
enfants
: Il une fille, morte à douze ans de fièvre typho
bonne; accouchement à terme, sans dif- ficulté, en cinq minutes. L'
enfant
fut élevé au biberon par sa mère, marcha à dix
e trois ou quatre crises consécutives dans un laps de six heures. L'
enfant
abandonna à ce moment sa profession de verrier
ontaires et n'étaient pas subies de somnolence. Le caractère de l'
enfant
est doux d'habitude : jamais il ne se met en co
oires sont nor- males. -Les organes génitaux sont bien conformés; l'
enfant
avoue des habitudes d'onanisme assez fréquentes
ce qui est de ]'('tat intellectuel, il est moyennement développé; l'
enfant
sait lire et écrire couramment, etc. (Voir p. 9
avons assisté. Au dire de l'infirmier chargé de la surveillance, l'
enfant
aurait eu, au début de son séjour à 131cûLre, d
il, comme si rien d'anormal n'était survenu. 1881. H janvier. - L'
enfant
étant à la classe assis et occupé à écrire est
n des bras continuent avec prédomi- nance du côté gauche. Lorsque l'
enfant
revient à lui, il est d'abord héritant et sembl
phase de tétanisme dure environ 13 secondes; au bout de ce temps, l'
enfant
ouvre les yeux et prononce plusieurs fois de su
u soir, au moment où l'un de nous entrait à l'infirmerie, il voit l'
enfant
chanceler et tomber lourdement, soutenu par d'a
es, succède une trémitlation convulsive et, peu d'instants après, l'
enfant
se relève de lui-même : il reste debout quelque
e. Elle débute par de grands mouvements des bras et des jambes; l'
enfant
tombe. Les convulsions reparaissent alors sous fo
le frappant. Bien que très robuste, cet homme a peine à maintenir l'
enfant
qui se débat pendant quelques instants. L'attaq
moment qu'il a perdu connais- sance. 23 janvier. Autre attaque. L'
enfant
tombe sans pousser de cri.Lesbrasse mettent en
ite, réapparition des mouvements de translation au cours desquels l'
enfant
se glisse sous un lit. 1 cr féerier. - Attaque
ue la seconde période de la grande attaque, dure une minute, puis l'
enfant
s'assied, regarde les assistants d'un oeil étonné
t d'une sensation de boule qui l'étreint à la gorge. 9 février. L'
enfant
est pris d'une attaque dans laquelle on note, c
ne contrariété insignifiante, le refus de lui donner des douches, l'
enfant
tombe en attaque. On observe la période épiiept
'un coup de règle appliqué par un camarade et reçu sur le vertex, l'
enfant
serait tombé en atta- que; 2° au niveau des gou
e, si on la prolongeait. Aura. Interrogé de nouveau sur ce point, l'
enfant
nous a fourni des renseignements qui peuvent se
modifier par différents moyens. C'est ainsi que nous avons soumis l'
enfant
à l'action de deux forts aimants que nous avons
temps que les yeux se couvrent de larmes et se dirigent en haut. L'
enfant
est plongé dans le sommeil hypnotique et, de ce
card une baguette de verre, pendant trois mi- nutes. On ordonne à l'
enfant
de se lever et de marcher; bien que ses jeux so
t essai demeure infructueux. Cinquième expét icnce (i juillet). - L'
enfant
est mis en état d'hyp- notisme au moyen de pass
t pendant un temps assez long la posi- tion qu'on leur a imposée. L'
enfant
est assis sur le bord d'une chaise, on soulève
, on ne peut obtenir de contracture artificielle. On fait marcher l'
enfant
, les veux fermes, comme dans les expériences pr
'écriture est nette et régulière; sans faire de progrès sensible, l'
enfant
possède des notions d'arith- métique assez éten
pense qu'à jouer et « cherche à aller aux cabinets avec les autres
enfants
». 47 décembre.-« « Intelligence assez ouverte;
intenir. » 24 mai 1882. - « Lecture courante et assez expressive; l'
enfant
comprend bien les problèmes; sa mémoire est bon
nt son séjour à Bicètre, en dehors de la névrose qui l'y a amené, l'
enfant
est généralement resté en bonne santé, à part t
e ni de la mère.] Pas de consanguinité. 104 REVUE CRITIQUE. Six
enfants
: deux filles mortes de bronchite, l'une à sept m
ait de suite après l'ingestion, sans effort, avec une éructation; l'
enfant
tourne les liquides deux ou trois fois dans la
tion des liquides se produise. Souvent on est tenté de croire que l'
enfant
rumine, car il fait le geste de se gargariser en
l'estomac : quelquefois même nous avons observé ce tic, alors que l'
enfant
était à jeun. Au mois de décembre 1882, on rema
l'enfant était à jeun. Au mois de décembre 1882, on remarque chez l'
enfant
de nou- veaux accidents : par moments, fout le
te vers onze heures, sans qu'on ait remarqué rien de particulier. L'
enfant
étant redes- cendu au réfectoire, est pris, en
, un gros morceau de viande qui obstruait le larynx. On l'enlève, l'
enfant
fait quelques mouvements respiratoires spontané
ilcptique et à peu près démente.] Pas de consanguinité. Un seul
enfant
: notre malade. Rien de particulier lors de la
rossesse, la mère a eu sans cesse la préoccupation d'accoucher d'un
enfant
qui ne serait pas bien portant : vers le troisi
nt à terme, natuiel, sans chloroforme. A la naissance, la tête de l'
enfant
était très allongée : elle était restée au passag
le mérycisme. 1883. 10 avril. État actuel. Depuis quelque temps, l'
enfant
a beaucoup maigri; toutes les saillies osseuses
rate normaux, pas de dilatation de l'estomac. Appétit assez bon, l'
enfant
mange de tousles aliments, soif vive; langue hu
utre; ]e mé1'ycisme est donc aujour- d'hui complètement établi. L'
enfant
mange et surtout boit avec avidité; la masticatio
a eu simultanément ingestion d'une certaine quantité de boissons. L'
enfant
pousse un petit cri, ouvre largement la bouche,
ubstances ingérées el suivant le moment de la rumination. Lorsque l'
enfant
n'a fait que boire, les gorgées qui remontent s
lait, revient la première; plus tard, surtout si l'on fait boire l'
enfant
, on voit apparaître des bouchées de pain. L'ing
les repas. 7 mai. L'amaigrissement est de plus en plus prononcé. L'
enfant
tousse beaucoup; sonorité normale en avant et e
- Soir : T. R. 40°. 8 mai. T. R. 40°,i.-Soir : 40°,4. 9 mai. L'
enfant
est mort ce matin à 7 heures. T. post mortem : 40
tem : 40°,6. L'appétit avait beaucoup diminué les jours derniers; l'
enfant
ne buvait plus que du lait, et ne ruminait plus
iorations Ictère. -- z Rougeole; Groacho-pneumonie; guérison. « L'
enfant
Cli... est gourmand, vole les aliments de ses cam
pain; puis ravale le tout. Il est idiot, g,teux, non salace. » Cet
enfant
fut atteint en 1881 d'une rougeole compliquée de
u moment de l'ingestion est excessivement court; et par suite, si l'
enfant
a ingéré les liquides au début du repas, il rum
me est celui de la régurgitation, que l'on observe souvent chez les
enfants
à la mamelle ou chez les gros mangeurs. Là, com
e Vaucluse : le titulaire sera chargé exclusivement de la colonie d'
enfants
arriérés et idiots. En raison du peu de succès
auprès des familles aisées (cette colonie ne reçoit que très peu d'
enfants
payants); en raison aussi d'une épidémie d'opht
cas suivant publié par Barlow (Bri- tish med. Journal, 1877) : Un
enfant
de dix ans, atteint d'une maladie de l'aorte qu
s caractères physiques et moraux, doivent être considérés comme les
enfants
d'une même famille, les rameaux divers d'un mêm
goutte et de l'hys- térie, et M. Mossé ' a rapporté l'histoire d'un
enfant
de dix ans et demi, d'origine goutteuse et qui
rare pendant le sommeil chez les sujets nerveux, principalement les
enfants
. Nous avons pu voir à la Salpêtrière, une vieil
quelle il s'est éduqué lui- même. Antécédents personnels. - Etant
enfant
, le malade a été mal nourri et a beaucoup souff
tant de raison. Les sujets qui en sont atteints sont souvent des
enfants
de cinq à huit ans; mais elle n'est pas très rare
car il n'est pas rare d'observer son développement chez plu- sieurs
enfants
de la même famille. G. D. XI. DE l'irritation c
ts de la même famille. G. D. XI. DE l'irritation cérébrale chez les
enfants
; par M. Jules Simon. (Fiance médicale, t, I, 18
e, si ce n'est peut-être une circulation cérébrale trop active. Les
enfants
qui sont atteints de cette affection, habituellem
nt-Yon, comme mé- decin-adjoint (création nouvelle) de la colonie d'
enfants
arriérés, annexée à l'asile deVaucluse. Commi
le, malgré .tous ses efforts, de se repré- senter les traits de ses
enfants
, de sa mère et de ses soeurs qu'il venait de qu
le sinus reçoit le sang des veines nasales (ordinairement chez les
enfants
seulement); plus loin, il reçoit : il les veine
ci une fille de trois ans. Renvoi de la gouvernante : guérison des
enfants
. Dans la famille d'un collègue, on engagea une
n collègue, on engagea une gouvernante hystérique et ruminante. Les
enfants
, un garçon de six ans, une fille de trois ans,
irent d'elle en peu de temps à ruminer. La mère vit d'abord que les
enfants
gardaient dans les bajoues les aliments qu'ils
repas, un examen de leurs bajoues. On découvrit alors que les deux
enfants
étaient capables, jusqu'à sept heures après le
nvoya la gouvernante ruminante et la mère très énergique guérit les
enfants
bien vite par une sur- veillance incessante.
ui vomissaient toutes sortes d'objets. Nous ajouterons que l'un des
enfants
imbéciles de Bicètre, Carter..., doué d'un gran
nd talent d'imitation, se met quelque- fois en observation devant l'
enfant
Gren..., dont nous avons parlé et rumine comme
e Dr X..., ruminait il y a douze ans. Famille en bonne santé. Etant
enfant
, il eut un catarrhe gnstro-duodénal de fort lon-
que celle qui a été observée par nous. En effet, sur une centaine d'
enfants
idiots présents à Bicètre, nous n'avons noté qu
onsignées en un tableau dont voici l'expression abré- gée : sur 124
enfants
examinés, âgés d'un mois à cinq ans, M. Eu- len
n gros tubercule occupe la moitié gauche de la moelle allongée d'un
enfant
de un an. Ce foyer est unique, mais presque tou
le long de la scissure de Sylvius. Hydrocé- phalie. Le sujet est un
enfant
de six mois ayant présenté pendant la vie : du
ns pathologiques, l'auteur a examiné de juin en novembre ceux des
enfants
fréquentant les écoles publiques qui étaient âgés
à l'incitation produite par la percussion du tendon rotulien. I.
Enfant
de huit ans. Phénomène du genou variable; tantôt
usqu'au bisaïeul. Paralysie spinale spasmodique chez le père. II.
Enfant
de huit ans et demi. Absence complète et per- m
le l'adhérence héréditaire des deuxième et troisième orteil. III.
Enfant
de huit ans et demi. Pas de phénomène du genou.
as non plus le réflexe. La grand'mère est la soeur du bisaïeul de l'
enfant
de l'observation I. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
é qu'on leur ferait subir reposerait sur le même plan que celle des
enfants
arriérés, telle qu'elle existe dans plusieurs g
e. Quatre gardiens mariés qui ont le droit d'avoir avec eux trois
enfants
au plus fournissent le personnel féminin chargé d
ès avoir passé Chambra, quelle ne fut pas sa surprise de voir que l'
enfant
s'était glissée dans sa voiture sans qu'il s'en
s'était passé. « Après quelques pas et démarches, les parents de l'
enfant
furent informés de sa présence à Pacy et invité
n voit un certain nombre à Bicêtre et à la Salpêtrière. Ce sont des
enfants
qui ont besoin d'un traitement médical et d'une
térie et l'idiotie. Compte rendu du service des epileptiques et des
enfants
idiots et arriérés, de Bicêtre, pendant l'année 1
ment. Plus tard, au neuvième mois de l'allaitement de son cinquième
enfant
, elle est arrêtée par les douaniers franchissan
'il finira sur l'échafaud, il se sent poussé à tuer sa femme et ses
enfants
; c'est une idée qui l'entraine, dit-il, qui l'o
simplement épileptique, travaille régulièrement, prend soin de ses
enfants
et de son ménage, et ses occupations ne se trou
le et, à l'oc- casion, de comparer les résultats obtenus chez des
enfants
offrant un ensemble symptomatique différent, dé
s d'hys- térie au moment de la puberté. - Pas de consanguinité. 6
enfants
et une fausse couche. L'ainé est mort de convulsi
re. - Accouche- ment naturel; on s'aperçut, dès la naissance, que l'
enfant
était hydrocéphale. Elle fut élevée à la cuille
euse, qu'aujourd'hui ;,les membres ont toujours 'été très grêles; l'
enfant
voyait un peu des deux yeux qui étaient moins e
sont plus amai- gris. La parole et l'intelligence sont les mêmes. L'
enfant
n'a ni gagné ni perdu. État actuel. (Novembre
Les tentatives qui ont été faites pour améliorer la situation de l'
enfant
, quoique tardives, ont donné quelques résultats
obable que, commen- cées plus tôt, elles auraient abouti à ce que l'
enfant
NOTES SUR L'IDIOTIE. 75 fût capable de marche
s plus intéres- sants de ce cas. Le second fait est relatif à une
enfant
atteinte, non plusd'idiotie incomplète, corome
re maternelle, migraines fréquentes. - Pas de consanguinité. Deux
enfants
: 1° notre malade; 2° une fille âgée de sept an
mort. L'accouchement s'est fait à terme; il a été naturel; mais l'
enfant
ayant deux circulaires du cordon autour du cou es
rdon autour du cou est venue au monde asphyxiée. Le jour suivant, l'
enfant
eut des convulsions sur lesquelles on ne peut n
Elle a toutes ses dents « qui sont venues comme celles des autres
enfants
, sans convulsions. » Elle ne s'en sert pas ; il f
ge les jambes, mais ces mouvements sont très limités. 12 mai. - L'
enfant
mange moins et semble abattue. Légère rougeur d
r la joue droite et le men- ton. Soir : T. R. 39°, 2. 15 mai. - L'
enfant
a eu hier, dans l'après-midi, des accès d'étouf
de 2 centimètres sur 3, à la partie moyenne de la fesse gauche. L'
enfant
grince des dents, pousse des cris ; la voix est a
tifiée, qu'aucun membre de la famille du père et de la mère de l'
enfant
, eux-mêmes sains et intelligents d'ailleurs, n'
s n'aurait eu de maladies nerveuses. Pas de consanguinité. Cinq
enfants
: 1° la malade ; 2° et 3° deux enfants morts en
Pas de consanguinité. Cinq enfants : 1° la malade ; 2° et 3° deux
enfants
morts en nourrice ; on ne sait s'ils ont eu des
a été question plus haut. L'accouchement a été naturel, à terme. L'
enfant
a été élevée au sein, en nourrice, jusqu'à 14 m
marché ni parlé. - Elle a toujours gâté. Conduite à l'hôpital des
Enfants
malades, à 3 ans, on a déclaré qu'il n'y avait ri
des à des degrés variables. - La paralysie n'est pas absolue, car l'
enfant
parvient à porter la main droite à sa bouche po
jambes sont fléchies et croisées et cela aussi bien au lit que si l'
enfant
est assise sur un fau- teuil. - Les bras sont r
anent. - Maigreur extrême. - Langue sèche, déglutition difficile; l'
enfant
n'avale qu'un peu de vin et de lait; hier, sell
ilrite d'amyle. De six à dix heures, cent soixante accès avortés. L'
enfant
est tran- quille depuis une heure. P. très peti
ses doigts. 6 mai. T. R. 38°,2. Soir (onze heures) : T. R. 37°. L'
enfant
meurt le 7 mai, à trois heures du matin : T. R. 3
dents se seraient aggravés, tout en prédominant à la tête. Jamais l'
enfant
n'aurait offert de manifestations intellectuell
al dont ils se distinguaient, en ce sens que, après chaque accès, l'
enfant
reprenait connaissance, ne tombait pas dans le
eune fille. Dans l'intervalle des séries dont nous avons parlé, l'
enfant
revenait à ses habitudes, grinçait des dents et
ins sensiblement que quand la phonation intervient; de plus, chez l'
enfant
qui s'éveille la température frontale s'élève :
empérature nor- male de la tête et celle qu'elle a observée chez un
enfant
de 22 mois atteint de méningite tuberculeuse au
auteur signale d'abord la différence qui existe entre l'adulte et l'
enfant
dans la tendance à la guérison spontanée de la pa
us rapide, dès que la cause est supprimée, chez l'adulte que chez l'
enfant
. La raison semble être la suivante : l'adulte,
même ordre qui leur avait été enseigné avant la paralysie. Chez les
enfants
, la paralysie survient à un âge où n'existe enc
ode de traitement employé par l'auteur. ^Prenons, par exemple, un
enfant
paralysé d'un des mem- bres inférieurs. L'enfan
s, par exemple, un enfant paralysé d'un des mem- bres inférieurs. L'
enfant
est placé devant l'opérateur, et on lui montre
onté, on place alors la jambe paralysée à côté de la première, et l'
enfant
doit s'ef- forcer, par un effort semblable et s
e, le temps écoulé depuis le début de la paralysie, l'aptitude de l'
enfant
à suivre les instructions du médecin, le degré
ar il rapporte un cas de guérison obtenue par sa méthode, chez un
enfant
atteint de paralysie du deltoïde avec atrophie mu
laire complète; or, cette paralysie atrophique du deltoïde chez l'
enfant
, n'est pas fonctionnelle; c'est, on le sait, une
n l'histoire de Tibérius et de Caracalla, qui s'ébattaient avec des
enfants
et prenaient plaisir à les "marty- riser, que G
attouchements répréhensibles. De même pour les hommes, Gall a vu un
enfant
de trois ans, non seulement se jeter sur des pe
place de médecin- FAITS DIVERS. 175 dentiste pour les services d'
enfants
de Bicêtre et de la Salpêtrière. Nous apprenons
de la poitrine à 52 ans. - Mère également morte phthisique; quatre
enfants
: 1° la mère de notre malade; 2" un garçon actu
ni paraly- tiques dans la famille.] - Pas de' consanguinité. Huit
enfants
: deux filles et umgarçon sont morts du croup ;
par un chien, mais qui n'amena pas de nou- velles convulsions. L'
enfant
était âgée de 10 ans, lorsqu'on s'aperçut qu'elle
Dès lors, la maladie se caractérisa de plus en' plus et ? à11'ns; l'
enfant
avait,dés accès corriletsd'é- pilepsie pour les
e'mais n'a jamais'su faire^aucun métier. Elle est tou- jours restée
enfant
.' ' ' -- 'Etart'actuel (9 déc.) , Attitude de l
anguinité. - 801... ? aqh si 1 OEP')'f' ! fj il 8 - ,SUPI {. Trois[
enfants
" : 1 notre malade; ! 2° un' garçon de 119 ? ans,'
arlatine vers 19 mois. - Pas ( d'accidents scrofuleux. u ? iu ? L'
enfant
a.commcncé a. parler, à.15. mois et à marcher à 2
. La malade a fait cinq fausses couches sur six grossesses; le seul
enfant
survivant est un garçon de 25 ans très bien por-
7 ans, est entré le 13 mai 1874 à l'hospice de Bicêtre (section des
enfants
épileptiques) : il avait alors 22 ans. Antécé
tempérance. Mère, 55 ans, ordinairement bien portante, a eu trois
enfants
. Rien de particulier à noter pour les deux premie
voiture, et c'est à cet accident qu'elle rapporte la maladie de son
enfant
. A l'âge de 6 mois, au moment de l'apparition d
accidents avaient presque complètement disparu. L'année suivante, l'
enfant
put aller en classe et commença à lire et à écr
andre, 13 ans, est entré le 18 décembre 1876 à Bicètre, service des
enfants
épileptiques. Antécédents. Rien du côté des par
es enfants épileptiques. Antécédents. Rien du côté des parents. Cet
enfant
n'au- rait jamais'eu ni' convulsions, ni fièvre
n'ont commencé que trois ans plus' tard ; ils sont incomplets, : l'
enfant
n'a qu'une perte de connaissance incom- plète,
ement (bromure de potassium, 5 grammes par jour). A cette époque, l'
enfant
pré- sentait à la région occipitale une tuméfac
a mémoire avait baissé. Depuis cette époque jusqu'au 15 décembre, l'
enfant
est resté à l'infirmerie pour ses plaies du cui
is qu'en octobre et novembre il était éveillé et amusait les autres
enfants
, en décembre, il ne joua plus et renonça à la l
ès midi : 41°, ; à sept heures, 40°. Depuis deux jours, l'état de l'
enfant
a beaucoup changé. Jus- qu'ici, il comprenait b
ère, il tourne la tête. L'affaisse- ment intellectuel est tel que l'
enfant
semble impuissant à répondre. 18 janvier. - A
èche, chargée et noire, les dents fuligineuses, le regard éteint. L'
enfant
gâte depuis deux jours. Il y a depuis hier des
Sono- rité normale. Le ventre est souple ; pas de météorisme : l'
enfant
n'accuse aucune douleur à la palpation. - T. R. 4
n. - T. R. 40 ? 0. Soir : T. R. 40°,4. A quatre heures du soir, l'
enfant
est plongé dans un coma complet. Des lignes tra
tuelles. Puis, en no- vembre 1879, on note un état stationnaire : l'
enfant
ne profite plus des leçons ; bientôt, la mémoir
s que l'idiot 'et l'imbécile sont susceptibles d'être améliorés , l'
enfant
dément peut 1 7 ' ? tIf 1 1 1 I / 1 -+' l' 1
roca a présenté à la Société d'anthropologie, le 4 mars dernier, un
enfant
illettré, doué de la faculté de faire des cal-
tré, doué de la faculté de faire des cal- culs très compliqués. Cet
enfant
parait être le même que celui qui a été observé
s, affectée, suivant le dire de sa mère, de chorée congénitale. L'
enfant
avait, dès les premiers jours de son existence, p
la portion cer- vicale supérieure du cordon latéral gauche, chez un
enfant
de vingt mois qui avait eu des attaques de téta
une plaque de sclérose, occupant exactement le même siège chez un
enfant
syphilitique a été observé par Kahler et Pick (Pr
¡ rachitique et n'a été réglée qu'a 24 ans ; elle est mère de [rois
enfants
; dont - deux la f¡H,e ? ÎJl,7¡,t1e,IP ! ? , jeu
,qui est.affectée,de) deux(pieds ])"O's' Pt"ea "èlld-i-nèiiie trois
enfants
tous p;eds,bôts. atlinsi; sur une descendance d
trois enfants tous p;eds,bôts. atlinsi; sur une descendance de huit
enfants
, six ont hérité de la malfor- mation du grand-p
a ffcp-1te, ? ¡t0,paJ9.\ ne, s'est. montrée qu'à,6,ans, après que l'
enfant
eût été effrayé par un chien. A 1 école, vers 9
ture à haute- voix,-même sans témoins, devint presque impossible. L'
enfant
, très sain du reste, conçut une telle mélancoli
1'1 - Il ? 'fil ! xvoeJ 1 EUX CAS D ArrECTIONS PARALYTIQUES CHEZ l'
enfant
; 'avec remarques ; par EDw. H..BR.rIDFORT. [New
as et de la. b main, droite. Il } ? OERI) ? ÿg.p.,t" quoiqu'n vpou'
enfant
'pOÙl' 1 )jM).'< : Jt ? , , z son âge. Pas
-ka parole. 6L"e contrôle sur la langue, est .totalement 'perdu.' L'
enfant
^fut con- fié à, une dame qui avait,c.été maître
un exercice persis- tant de prononciation correcte, sans relâche. L'
enfant
fut éloigné de sa famille et vécut avec sa maît
e sans .l'u1;age"àu- paravant, avaient été si bien entraînes, que 1
enfant
pouvait maintenant s'en servir aux repas. et qu
e; ni rhumatisme, ni fièvre intermittente,3 ni'chaudepissé : Etant'
enfant
? " il; s'était seulement' légèrement^ foulé le
ier 1880.) " "' 1 , 1 f ' ' , ii r Cette observation concerne une
enfant
de 4 ans'apportée à l'hôpital dans le coma', et
utre part, à soupçonner une lésion du pédoncule cé- rébral droit. L'
enfant
succomba cinq jours après son'arrivée. On trouv
s remords, comme sans bénéfice. Chiper n'est- pas voler, disent les
enfants
* et même les grands enfants; frauder l'Etat est
ce. Chiper n'est- pas voler, disent les enfants* et même les grands
enfants
; frauder l'Etat est pour beaucoup presque une b
nséquences en sont encore plus graves que chez l'adulte, car chez l'
enfant
la surdité est suivie de mutité. , Le procédé
que peut recouvrer, avec sa vitalité, son libre fonctionnement et l'
enfant
peut entendre et apprendre à parler. La conna
e qui est facile chez l'adulte est absolument impraticable chez l'
enfant
à moins qu'on ne le chloroformise au préalable. L
qu'on sait, qu'avec deux ou trois aspirations de chlo- roforme, les
enfants
tombent (sans qu'on ait à redouter chez eux les
u plus grand in- REVUE DE thérapeutique.. 329 térèt : il s'agit d'
enfants
atteints de lésions oculaires anciennes et irré
a- gnant de troubles sympathiques dans l'oeil sain. Chez ces deux
enfants
, il y avait une polyurie excessive et, chez l'un
comparés aux symptômes méningés que l'on observe si souvent chez l'
enfant
à la suite des irrita- tions intestinales et en
nuit, attaque semblable à une attaque épileptique, dans laquelle l'
enfant
s'est mordu la langue. Le, 3 octobre, l'abdomen
LO- vis ADAM. (Arclaa. of med. New-York. Avril 1880,' p. 266.) Un
enfant
de trois ans et trois mois présentait une paralys
ension.' A la fin de la première semaine, l'appareil fut enlevé ; l'
enfant
marchait et pouvait abaisser complètement le ta
ar suite d'une cons- triction trop forte. Néanmoins, depuis lors, l'
enfant
a pu con- tinuer à marcher sans appareil, son t
accablés de tristesse, désespérés d'avoir quitté leur maison, leurs
enfants
, etc., auraient, en peu de jours de traitement,
son. Il serait intéressant de connaitre l'influence qu'exerce sur l'
enfant
au point de vue de l'idiotie l'ivrognerie de la
ance des parents est une cause prédisposante d'imbécillité chez les
enfants
. L'auteur rapporte que, d'après les statistique
veilhier 1 rapporte le cas d'un garçon mort à l'âge de 15 mois. Cet
enfant
présentait, dès le jour de sa naissance, une pa
lus qu'un intérêt purement anatomique. Le deuxième cas regarde un
enfant
de 8 mois. Sur LOCALISATIONS CEREBRALES. 357
rapporter pour compléter ce premier travail sont relatives à des
enfants
idiots, chez lesquels, à l'autopsie, nous avons
n voit qu'ils étaient à peu de chose près les mêmes et que les deux
enfants
étaient atteints d'idiotie profonde ou complète
use, mais sa santé est bonne ; quatre frères et soeurs, ayant des
enfants
; aucun d'eux n'a d'affectionnerveuse.] Mère, 3
z les autres membres de sa famille. ] Pas de consanguinité. Trois
enfants
: 1 ° Nicolas ; 2o une fille, âgée de 6 ans et
rtie des soins dont il étaitl'objet. Etat actuel (13 novembre). Cet
enfant
ne quitte pas le lit, dans lequel il a constamm
mbres inférieurs. 21 décembre. Depuis le début des grands froids, l'
enfant
s'affaiblit de plus en plus ; il vomit presque
e. Quelques gros râles dans la base des poumons. 23 déc. Ce matin l'
enfant
a pris une tasse de lait. A 7 heures et demie,
onvulsions ont duré plusieurs jours et auraient été généralisées. L'
enfant
n'a jamais parlé, ce qu'explique la lésion de l
usine au second degré a été folle.] Pas de consan- guinité. Trois
enfants
: 1° notre malade; 2° un garçon âgé de 2 ans, i
n'a jamais su manger seul. Depuis longtemps l'on a remarqué que l'
enfant
devenait bleu, comme il l'est aujourd'hui au mo
ent de trois semaines. On n'a pas remarqué d'étourdissements. Cet
enfant
présentait, dès son entrée, une cyanose très pro-
r avec la main ce qu'on lui présente. Il est gâteux. 7 octobre. L'
enfant
se tient difficilement sur les jambes; il est t
ès petit, à 140; T. R. 37°. Soir : T. R. 37°, 4. Som- meil agité. L'
enfant
se réveille quelquefois en criant. Traite- ment
ille quelquefois en criant. Traite- ment anti-scrofuleux; exercer l'
enfant
à marcher. 21 nov. T. R. 37°, 4. Soir : T. R. 3
R. 37°, 6. B... pèse 10 kil. ; sa taille est de 0m.93. 22 nov. L'
enfant
est très amaigri. Cependant il marche ÉTUDE SUR
anters. Les jambes ont une tendance à se placer dans la flexion ; l'
enfant
les remue d'ailleurs aussi bien l'une que l'autre
les sous-crépitants. Il n'y a nulle part de matité. Toux grasse. -L'
enfant
mange un peu, même e de la viande ; il ne vomit
8°, 2. 4 janvier. T. R. 38°, 2. Soir : T. R. 38°, 8. 5 janvier. L'
enfant
décline de plus en plus. La peau est légèrement
nt de la crosse aortique. 'D'après Rilliet et Barthez (Maladies des
enfants
, 1861, I, p. 56), la mesure des parois ventricu
nts, 1861, I, p. 56), la mesure des parois ventriculaires, chez les
enfants
de 4 ans, donnerait comme moyenne pour l'épaiss
avoir été la conséquence. Des essais pour apprendre à marcher à cet
enfant
avaient donné quelques résultats, lorsque, sous
DANS LES MEMBRES INFÉRIEURS, LIÉE A LA SURDITÉ PERMANENTE CHEZ LES
ENFANTS
; par le Dr SEELIGMULLER (de Halle). Observat
ES ENFANTS ; par le Dr SEELIGMULLER (de Halle). Observation I. Un
enfant
de 3 ans, jusque-là bien portant, se plaint de
qu'il n'entend plus. Trois semaines après, le 9 septembre 1879, l'
enfant
peut mouvoir ses membres inférieurs, avec force
ATHOLOGIE NERVEUSE. La surdité est complète, mais l'indocilité de l'
enfant
empêcha l'examen des oreilles. Le 4 octobre, la
rche était redevenue possible. Au commencement de février 1880, l'
enfant
court très bien. La surdité persiste et a déjà
ans l'urine ni augmentation de cette sécrétion. Observation IL Un
enfant
de 4 ans est pris le 14 décem- bre 1879 de doul
s du côté de la vessie et du rectum. Etat actuel (le 18 janvier). L'
enfant
est robuste et bien développé (ses parents bien
sler, ces altérations sont simplement le résultat des injections. L'
enfant
rend compte de bruits subjectifs qu'il entend p
e dans les circonstances suivantes chez un garçon de dix ans. Cet
enfant
fut pris un matin en pleine santé d'un frisson vi
le matin du quatrième jour. P. 120; R. 25. Pendant tout ce temps, l'
enfant
éprouva une céphalalgie intense et eut à plusie
e striduleuse, une insérée dans le British Médical Journal, chez un
enfant
de neuf mois (juin 1879) ; une seconde qui lui
l en soit de la théorie, voici le fait que rapporte M. Couyba. Un
enfant
de cinq ans, épileptique depuis l'âge de deux ans
med. Jour. and Examiner, avril 1880.) Cette observation concerne un
enfant
d'un an, porteur d'un' spina bifida lombaire, q
idérable de liquide céphalo-rachidien s'écoula dans le pansement; l'
enfant
était d'une extrême faiblesse. Quoi qu'il en so
ogrès Médical, 1880, n° 2, p. 36. VARIA DISTRIBUTION DES PRIX AUX
ENFANTS
ARRIÉRÉES ET ÉPILEPTIQUES DE LA SALPÊTRIÈRE.
ne pauvre idiote. La plus tendre des mères n'aurait pas eu pour son
enfant
des soins plus atten- tifs. Faisant pénétrer qu
s venue au secours de nos intentions. Selon nous, la section de nos
enfants
aurait beaucoup à gagner si, le long du mur qui
Hart- degen. ( ? 'cM. Psych. u. Nenvenk., 1880.) Il a trait à un
enfant
venu au monde à terme et présentant une parésie
etits foyers scléreux de la moelle des choréiques (Eisenlohr) ondes
enfants
atteints de tétanie, le défaut de myéline obser
et épousa une femme non atteinte de cette infirmité. Il en eut deux
enfants
, un fils sourd-muet et une fille entendant et p
t n'étaient pas sourds-muets. » La surdité acquise produit chez l'
enfant
la perte du langage d'autant plus rapidement et
la perte du langage d'autant plus rapidement et plus sûrement que l'
enfant
est plus jeune. Cette conséquence est à craindr
1880.) Elle serait le résultat de la transmission des parents aux
enfants
, non de la maladie elle-même, mais de la diathèse
éiques de tous les membres et des muscles du tronc et de la face. L'
enfant
avait perdu l'usage de la parole. D eux aimants
tout mouvement choréique avait cessé. A une heure cinquante-sept, l'
enfant
dit ces quelques mots : « Oui, non, je ne sais
teints d'asthé- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 617 nopie ont souvent des
enfants
hypermétropes que l'on a forcés à' tort de lire
ie, et durant de 10 ou 15 minutes à plusieurs heures. Quelquefois l'
enfant
ne survit pas à ces convulsions. D'autres fois,
s qui ont été le siège des convulsions restent paralysés. Quand les
enfants
survivent indéfiniment, tantôt la paralysie res
r les conseils de ses maîtres Itard et Esquirol, le traitement d'un
enfant
idiot. En 1 833, le conseil général des hospice
de Sèvres un service médical en faveur d'une centaine de malheureux
enfants
idiots'. » M. F. Voisin avait institué une méth
icêtre, jusqu'à la fin de l'année 1843. L'Administration réunit aux
enfants
de Bicêtre ceux qui se trouvaient aux Incurable
ation, ou présidé à l'organisation des onze établissements pour les
enfants
idiots qui existent aux Etals -Unis et comptent
nsenti il donner le nom de Seguin à l'une des salles du service des
enfants
idiots de Bicêtre et de la Salpêtrière. Voici
), 1 838 ; - Conseils à M. 0*" sur l'éducation de son 6M 0 VARIA.
enfant
idiot, 1839; Théorie el pratique de l'éducation d
aitement inoaR, hÿ'r'iéc'zeç et éducation des idiots et des Huîtres
enfants
vol. 'izi=4 8 cdè 73 pages, 4 8r6 ; = Images gr
vol. 'izi=4 8 cdè 73 pages, 4 8r6 ; = Images graduées à l'usage des
enfants
arriérés 'et T idiots (grand album)/' 1846;' -,
ationsprotn- bérantielles de la), par Luys, 326. Paralysie chez l'
enfant
(traitement de la), par Davis, 334. Paralysie
hez l'enfant (traitement de la), par Davis, 334. Paralysie chez l'
enfant
, par Brad- fort, 301. Paralysie faciale (pron
nous fait penser la polyencéphalite analogue à la poliomyélite des
enfants
, et nous avons à tenir compte aussi de la ménin
; Dauber (2) a aussi fait une communication rela- tive au cas d'un
enfant
de 8 mois et demi dont la maladie commença par
Le tra- vail de Redlich (3) contient une observation concernant un
enfant
de cinq mois, cet enfant perdit la voix pendant
(3) contient une observation concernant un enfant de cinq mois, cet
enfant
perdit la voix pendant un accès fébrile, le quatr
cas. comme une localisation anormale de la poliomyélite aiguë' des
enfants
. ' Quincke a présenté dans son cours le même ca
ectrique restée normale. Brauer (2) mentionne un cas semblable d'un
enfant
de 11 mois, dont la maladie débuta par un accès
ne aphasie, comme on la rencontre souvent après l'encé- phalite des
enfants
. En outre les troubles de la sensibilité dans not
t être question d'un processus analogue à la poliomyélite aiguè des
enfants
, au contraire il nous semble très vraisemblable
sur 480 tumeurs, celle d'Allen Starr 30 kystes sur 300 cas chez des
enfants
au-dessous de 19 ans, enfin Park sur 63 interve
es qui se sont développés à côté l'un de l'autre. Dans un cerveau d'
enfant
Rabot a trouvé 4 kystes dont le plus volumineux p
le que la main appliquée pendant la vie sur la paroi-crânienne d'un
enfant
mort de kvste hydatique du cerveau percevait, l
pas bien déterminée ; cependant l'infestation serait rare chez les
enfants
. Il peut néanmoins exister des échinocoques dès
nous avions prévenue, dès le début, de la gravité du cas croyant l'
enfant
guérie, voulut lui faire regagner la Savoie. Nous
sure, une bottine. une carafe carafe, grande carafe. l'image d'un
enfant
habillé en le monsieur a un coucou... chapeau...
d'un appareil orthopédique a été rendu nécessaire; il s'agissait d'
enfants
, et M. Campenon fait remarquer que plus le malade
inage des personnes âgées, a une influence né- faste sur les jeunes
enfants
. Nous nous souvenons que dans certaines ré- gio
ines ré- gions du Berry, les parents ont soin de ne pas coucher les
enfants
dans la même pièce que les grands-parents,. Dan
Il est fréquent de voir les sages-femmes ranimer de cette façon les
enfants
qui naissent morts en apparence. Le même procéd
u'il commença son régime, il prit chez lui onze jeunes neveux, tous
enfants
du même père et de la même mère, tous de figure a
papes Innocent III et Sixte IV. C'était un immense palais ou chaque
enfant
avait sa chambre et son lit. L'air y était satu
passait dans ce lieu, la plus grande partie du jour, racontant aux
enfants
des histoires agréables ou plaisantes, leur fai
uré de la foule des fillettes, comme un père est envi- ronné de ses
enfants
, et à l'envi toutes s'informaient delà façon dont
gente appelait-elle au dehors notre Hermippus, vous au- riez vu les
enfants
retarder son départ par leurs embrassements, et l
ms sont eux-mêmes des secours pour la prolonga- tion de la vie. Les
enfants
le soignaient de leurs propres mains et l'enri-
ansait, chantait, débitait mille sottises pour char- mer ses chères
enfants
. La seconde partie de l'ouvrage a pour but de m
ns, ce dont la suite prouva la vérité par la naissance de plusieurs
enfants
qu'il eut d'elle. Un autre exemple non moins re
ousa sa première femme connue sous le nom de Jeanne dont il eu deux
enfants
desquels- le premier ne vécut qu'un mois et l'aut
a pénitence publique dans l'église de sa paroisse. Il eut plusieurs
enfants
, mais bientôt las de celle-ci, il prit une autr
p- pelande. Près de là s'avance une femme tenant dans ses bras un
enfant
. Puis, un homme qui pousse une brouette sur laq
béquilles et pilons sous les genoux. L'un d'eux, qui porte un petit
enfant
sur son dos, a la jambe droite complètement dislo
femme est restée bien portante. De ce mariage sont nés : un premier
enfant
qui est toujours resté chétif, un second enfant
nt nés : un premier enfant qui est toujours resté chétif, un second
enfant
mort de méningite à l'âge de 7 ans et un troisièm
un second enfant mort de méningite à l'âge de 7 ans et un troisième
enfant
mort de péritonite à l'âge de f5 ans. Maladie
RS.1VOFF PAR R NICOLAS SOLOVTZOFF ' Prosecteur de la Maison des
Enfants
trouvés et de la Maternité à Moscou. Après la
artie libre il atteint à peine le volume de l'avant-bras d'un jeune
enfant
; il est d'ailleurs notablement plus petit à gauch
ale. Antécédents héréditaires ET PERSONNELS. - G... est l'aîné de 7
enfants
, dont 6 sont encore vivants. Sa mère, âgée de 4
ont la cinquième gémellaire. Voici, d'ailleurs, l'énuméra- tion des
enfants
nés de ces grossesses : 1 le sujet de cette obser
iens ; pouce rudimentaire. Scoliose droite. IV. - Hohl, 1852 (3). -
Enfant
màle de 20 semaines ; mort. ' Le cubi- tus manq
s 3°, lie et 5° ( ? ) doigts manquent. * VI. - STEFFAL, 1875 (5).
Enfant
mort, pas complètement à terme. A droite, absen
gts ; pouce double et syndactyle. VIII. - Birnbacher, II, 1891 (2).
Enfant
mâle de 4 mois. - A gauche absence totale du cu
nis, le 3e et le 4e partiellement. IX. - BRODQURST, II, 1860 (3). -
Enfant
. La moitié inférieure du cubi- tus manque des d
l ; tibia incurvé ; pied-bot varus. X. - KUMMEL, cas V, 1895 (4). -
Enfant
mâle de 6 mois. - La moitié inférieure du cubit
isons ici la radiographie de l'autre cas que nous avons vu chez une
enfant
de 9 ans présentant aussi d'un seul côté, à dro
s en arrière. En un mot, il rappelle d'une façon frappante le jeune
enfant
guéri par saint Nil, du Dominiquin, à Grotta Fe
Il ne se passait pas de jour à Paris qu'on ne fit saigner plusieurs
enfants
à la mamelle et plusieurs sexagénaires, qui sin
'enfance, moins la vivacité des impres- suions et la curiosité de l'
enfant
(I) », nous l'avons noté plus caractéristi- que
s. L'accouchement fut difficile, nécessita l'em- ploi des fers et l'
enfant
mourut au bout de 3 heures. S'il faut en croire l
sez fréquentes pour qu'on fût obligé de la faire accompagner par un
enfant
partout où elle allait. Morte subitement au mil
I. Frères et soeur du père. - 1 Frère du père. Bien portant. A deux
enfants
dont l'un à la suite d'une affection de la jambe
t perdu connaissance. L... se maria à 33 ans. Elle n'eut jamais d'
enfant
. Quelques mois après son mariage elle eut une p
E KORSAIiOFF PAR NICOLAS SOLOVTZOFF Prosecteur de la Maison des
Enfants
trouvés et de la Maternité à Moscou. Cas II (
t sous ses yeux, sans autre préoccupation que celle d'être vraie. L'
enfant
, soulevé de terre, porté par un homme vigoureux
arqué que, dès la naissance, sa fille ne ressemblait pas aux autres
enfants
et avait des bras très courts. Cette difformité
s signes, il est nécessaire d'établir le canon des proportions de l'
enfant
de 9 ans. M. Richer fait remarquer en effet que l
e 9 ans. M. Richer fait remarquer en effet que les proportions de l'
enfant
diffèrent sensiblement de celles de l'adulte, que
ons de l'enfant diffèrent sensiblement de celles de l'adulte, que l'
enfant
a la tête grosse et les membres trop courts; ce
ant t'age de notre malade. et nous croyons pouvoir dire que, chez l'
enfant
normal de 8 à 10 ans, la hauteur du corps vaut
présente une gouttière très prononcée analogue à celle de certains
enfants
racbitiques.Le dos est plat, les fesses au contra
es et les difformes dans l'art, soulignent ce fait essentiel, que l'
enfant
se rap- proche dans ses proportions de l'achond
les mariages de nains ont été stériles ou ont donné naissance à des
enfants
normaux. Catherine de Médicis,l'Eleclrice de Bran
IIe siècle et mesurait 0 m. 77 de haut, « se maria et eut plusieurs
enfants
, bien constitués, sur la pro- venance desquels
que et achon- droplasique. Ces nains peuvent donner naissance à des
enfants
nor- maux ; les exemples en sont nombreux ; ce
proximale ou distale du membre. On reconnaîtra aussi sans peine les
enfants
atteints de diplégies céré- brales, êtres rabou
point de vue histologique, dit M. Durante, les lésions 'de ces deux
enfants
achondroplasiques se rapprochent beaucoup de cell
nous a permis.de reproduire ici les photographies du squelette d'un
enfant
achondroplasique, renferme à ce point de vue des
lus tard. La brièveté relative des membres que l'on constate chez l'
enfant
nouveau-né comparé à l'adulte est encore plus a
ifiera rien à la direction déterminée dés la vie intra- utérine ; l'
enfant
, né achondroplase, le restera toujours. Le rachit
isquent leur vie, ce qui ne les empêche pas de récidiver. Ou bien l'
enfant
est normal comme le père, ou bien il ressemble
de de MM. Porak et Ribemont- Dessaignes, que j'ai pu voir, avec son
enfant
alors âgé d'un an, à la Ma- ternité de Paris ;
e tous les membres présentent des stigmates de rachitisme. Sur huit
enfants
, cinq ont été at- teints par la dystrophie osse
ez eux des déformations squelettiques fort mar- quées. Trois autres
enfants
nous ont paru à peu près indemnes. Leur mère, b
seignements que nous avons pu obtenir, il paraîtrait que, sur trois
enfants
, une soeur échappa seule à la dystrophie : un f
à la dystrophie : un frère aîné, rachitique, donna naissance à deux
enfants
, rachitiques comme lui. Voici du reste les obse
décédé à l'âge de 38 ans de tubercu- lose pulmonaire, laissant deux
enfants
. Au dire de la femme V..., tous trois ont prése
sujet à des bron- chites, particulièrement au retour de l'hiver.
Enfants
DES époux V... 1. Victorine, 17 ans, taille act
difficile : durée du travail : 49 heures; application de forceps. L'
enfant
est venu en état de mort apparente. Nourrie au
titue l'alimentation mixte (biberon et potages au ta- pioca). \ L'
enfant
n'a marché qu'à l'âge de. ans. A l'âge de 9 ans
la jambe droite. A l'âge de 12 ans, pendant qu'elle jouait avec des
enfants
de son âge, elle : -JOUI ? LI tCOXOGRAfHIE DE L
à convexité antérieure assez marquée. Du côté des os du bassin, l'
enfant
accuse des déformations beaucoup plus accentuée
forceps). Sevré à 15 mois. Premiers pas à l'âge de trois ans. L'
enfant
présente actuellement des clavicules fortement ar
nu à terme, a marché il l'âge de 20 mois. Sevré à la même époque. L'
enfant
ne paraît présenter aucun signe de rachitisme.
mune et on le voit alors se développer parallèlement chez plusieurs
enfants
d'une même lignée; parfois encore il s'observe da
nt accidentelle. Que l'alimentation ait été mal dirigée pour chaque
enfant
, aux mêmes causes répondront les mêmes effets, et
hacun d'eux. Pourtant l'affection n'atteindra pas fatalement chaque
enfant
, et tel nourrisson dont l'alimentation aura été
nt soudés, et présentaient un volume très exagéré. . A mesure que l'
enfant
a avancé en âge, la disproportion entre les deux
lité, pas de souffle. Les mouvements spontanés sont très limités. L'
enfant
ne peut dans ses essais de flexion qu'a- mener
ts ne font que le gêner. Jamais il n'en a souffert. Dernièrement, l'
enfant
s'est fait une petite coupure superficielle au ni
que, le 8'jour, les points de suture furent enlevés. Le 15e jour, l'
enfant
partait guéri. Depuis cette époque, la main est r
tait guéri. Depuis cette époque, la main est restée indo- lente ; l'
enfant
s'en sert aussi bien que de l'autre ; elle est se
ylosées. Dans le premier cas, il s'agit d'une macrodactylie chez un
enfant
âgé de 31 mois. La difformité, localisée à la
est congénitale, mais non héréditaire, ni familiale. A mesure que l'
enfant
avance en âge, la disproportion entre ces deux do
férieurs. Une tante maternelle a été atteinte de la même maladie. 5
enfants
: 3 atteints, deux fils et une fille, un autre fi
e 37 ans, a des maux d'estomac, de la migraine ; elle est mère de 2
enfants
bien portants. Antécédents personnels. - Pas de
t le bulbe sont petits et correspondent comme grandeur il ceux d'un
enfant
. ' Moelle : la dure-mère rachidienne ne présent
ysiologique des actes vitaux en l'absence totale du cerveau chez un
enfant
. Comptes rendus des séances de l'Aca- démie des
corps pour fuir une sensation désagréable,succion, déglutition). L'
enfant
présenta vingt heures après sa naissance des accè
s connaissance de la structure et de la topographie du névraxe. L'
enfant
en raison de l'aspect du kyste qui remplaçait la
e. Observation I. Elvire L. de A..., âgée de 28 ans, mariée, sans
enfants
, fille unique de pa- rents sains, le père étaut
ortant tantôt sur un membre inférieur, tantôt sur les deux ; un des
enfants
pré- sentait un oedème généralisé et était en o
IN Observation 1. Alice F., née le 11 juin 1894, est le troisième
enfant
d'une famille qui en compte six - trois garçons
sirer. La famille habite à la campagne dans les environs de Genève. L'
enfant
fut élevée au sein jusqu'à l'âge de 4 mois, mai
ns d'un ménage voisin et nourrie au biberon. Le 1er mars 1896 - l'
enfant
avait 20 mois nous sommes appelé auprès d'elle.
ain ; les tissus sont enflés, tendus; la peau bleuâtre, violacée. L'
enfant
pleure et paraît souffrir. En dehors de ces sym
n qu'elle ait éprouvé plusieurs crises douloureuses dans la nuit, l'
enfant
paraît être un peu mieux ; les téguments sont moi
en particulier, un réseau veineux superficiel nettement dessiné. L'
enfant
peut remuer son bras et saisir des objets de la
n offert de par- ticulier jusqu'en juin 1897. A cette époque-là - l'
enfant
avait 3 ans -la mère remarqua que le membre inf
la frappa tout d'abord; jusqu'alors elle n'avait constaté chez son
enfant
que des formes avan- tageuses : Vois comme notr
issée, n'a jamais été douloureux ; les mouvements sont faciles et l'
enfant
, florissante de santé, n'éprouve pas la moindre g
jambe pendant la station debout. Nous avons dit que, en général, l'
enfant
marchait avec facilité; elle traîne cependant q
va à l'école. Dans ces quatre dernières années, nous avons suivi l'
enfant
de loin en loin, sans constater de changement d
tention de l'un des quelques confrères auxquels nous avons montré l'
enfant
. SUR UNE FORME D'nYPEnTROPniE DES MEMBRES 477
ice remarqua pour la première fois la difformité que présentait son
enfant
, l'hypertrophie n'é- tait pas de date récente.
a mère prétend bien qu'à la suite de ces quelques jours de fièvre l'
enfant
fut mise en retard pour marcher, tandis que la pe
nous le trouvons dans le fait que, au cours de la varicelle dont l'
enfant
a été atteinte, aucune éruption pustuleuse ne s'e
h ? Voir Au- DEOUD, Les rash dans la varicelle, Archiv. de méd. des
enfants
, septembre 1898, p. 520, 521). (1) Trélat et
sous-cutanée, telle que nous en avons un exemple dans le bras de l'
enfant
dont nous venons d'exposer l'histoire, constitue
ux membres devint très marquée. Mariée il 2t ans, Mme G. eut quatre
enfants
, tous bien portants, qu'elle a nour- ris, et qu
singularité de cet état, nous avons jugé intéressant de présenter l'
enfant
à la Société médicale de Ge- nève. Les deux m
. Réglée à 15 ans, mariée à 23 ans, elle a eu une couche à terme. L'
enfant
qu'elle a nourri 6 mois, est une petite fille e
e 497 Les testicules sont fortement rétractés. Il y a cinq ans, l'
enfant
a fait une rougeole grave. Pendant la convalescen
roïdienne fut infructueuse- ment tentée. La direction médicale de l'
enfant
me fut enlevée et je le perdis de vue. En nov
m.ld, le mollet 0 m. 49 au lieu de 0 m. 42. Le thorax a maigri. L'
enfant
a grandi de 6 centimètres, ce qui est un progrès
s. Cette issue de sérosité semble arrêter le progrès du mal. 1. Cet
enfant
a une soeur de quatorze ans qui présente, en fait
i ulcérée. Elle était ab- solument indolore. Au dire des parents, l'
enfant
avait la joue grosse en nais- sant et depuis lo
oissement éliminait le diagnostic de rachitisme. Malheureusement, l'
enfant
abandonna ses pastilles au bout d'un mois. La f
famille, soit dans les ascendants, soit dans les collatéraux. Les six
enfants
qu'ils ont eus ensemble jouissent d'une bonne s
ée pendant les derniers mois qu'elle ne l'avait été pour ses autres
enfants
. L'accouchement à terme s'est bien passé, la du
ien qu'il y a eu là un manque d'atten- tion de leur part. ' Cette
enfant
est robuste, bien constituée, mais dès qu'on la r
araissent pas plus développés d'un côté que de l'autre. Lorsque l'
enfant
est nue, l'asymétrie du tronc est très manifeste
sur la jambe et sur le pied. Autant qu'on peut s'en assurer sur un
enfant
aussi jeune la sensibilité est aussi forte à ga
s réflexes rotuliens sont perceptibles et même un peu exagérés. L'
enfant
prend bien le sein et profite. Voyons maintenan
imètres. DEUX CAS D'nÉMIHyrERTHOPUIt ! CONGÉNITALE DU CORPS 511 L'
enfant
a fait ses premiers pas à 15 mois et elle a toujo
la sensibilité, la température et la coloration des téguments. L'
enfant
se sert bien de ses deux mains, mais elle est plu
reproduisirent jusqu'à 3 ou 4 fois par mois. Lorsqu'on demande à l'
enfant
ce qui se passe au début de la crise, elle dit
ne de ces crises, au cours de l'examen auquel nous avons soumis ces
enfants
et voici comment les choses se sont pas- sées :
vers l'épilepsie lassée. Ce qui frappe le plus à l'examen de cette
enfant
, c'est l'hypertrophie consi- dérable du membre
s'est écoulé entre les deux examens que nous avons faits sur cette
enfant
, les différences entre les deux côtés de la face
otal, plus il en revient de bonne, plus la nourrice est tétée par l'
enfant
, plus elle a de lait ; le sem- blable estdu san
photocollogr.), 415. Paralysie bulbaire aigué (Un cas de) chez un
enfant
, par KOLLARITS (2 fig.), H. Paralysie du nerf c
8 fig.), 4. KOLLARITS, Un cas de paralysie bulbaire aiguë chez un
enfant
(2 fig.), 11. Lannois. Dermographisme chez les
de larges escarres au-dessus des articulations coxo-fémorales. L'
enfant
mourut peu après à l'âge de huit ans,etlafigure (
enté le moindre inconvénient même chez les car- diaques et chez les
enfants
. Grâce à lui la suspension se sim- plifie consi
ale; par M. Glu- Rieur. (JOU1'l1. de Neurologie, 1901, n° 13.) Un
enfant
de trois ans et demi fut atteint au cours d'une g
abolition des réflexes tendineux et cutanés. D'après l'auteur, cet
enfant
a eu une intoxication d'origine grippale qui a po
laraient particulière aux hommes et son.apparition récente chez les
enfants
, alors qu'on la regardait, il n'y a pas long- t
vec sa femme de cinquante ans, son fils Jacques avec sa femme et un
enfant
à la mamelle, son fils Jean (vingt-deux ans), e
ques. P. KERAVAL. LI. Un cas de paralysie bulbaire aiguë chez une
enfant
; par KOLL9R1TS. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtriè
bulbaires, la névrite périphérique, les polyo- myélites aiguës des
enfants
et à admettre comme cause une mé- ningite bulba
PRÉSIDENCE DE M. LE professeur RAYMOND. Tumeur cérébrale chez un
enfant
. MM. LENOBLE et Aubineau (de Brest) rapportent
e Brest) rapportent les pièces (cer- veau et tumeur) provenant d'un
enfant
de cinq ans mordu par un chien enragé peu de te
onservation de la contractilité électrique. M, Brissaud présente un
enfant
il lui adressé avec le diagnostic de chorée mol
la réaction de dégé- nérescence. M. BABINSKY montre que chez cet
enfant
les segments périphé- riques sont surtout attei
ntile avec disposition radiculaire. MM. HUET etCESTAN présentent un
enfant
de neuf ans qui eut à l'âge de quatre ans une c
cite, à ce propos/ un autre cas de cécité verbale' observée chez un
enfant
et indirectement suggéré à celui-ci par sa mère.
manière rapporte quelques cas d'inhibitions analogues suggérées aux
enfants
des écoles par leurs parents. M. Jules Voisin e
vivants en bonne santé : non nerveux. Lestr... est marié et a trois
enfants
bien portants aussi. Antécédents personnels. Lu
e. Mère en bonne santé, pas nerveuse. Gu... est marié, père de deux
enfants
bien portants aussi. PARALYSIE HYSTÉRO-ALCOOLIQ
llatéraux. 11 a épousé une femme bien portante mais n'en a pas eu d'
enfant
. Antécédents personnels. ' Jusqu'à l'âge de vin
bonne santé. Une soeur pas nerveuse. L... est marié, père de trois
enfants
vivants qui, sans être très robustes se portent
verres de rhum. Pas de syphilis. Marié à vingt-sept ans, il a trois
enfants
: un garçon âgé de dix-huit ans, atteint de tic d
e trente-neuf ans, mariée, fausse couche il y a dix-sept ans. Pas d'
enfants
. Fut prise au mois de juillet ,1897 de fourmill
e. M ? G..., ûgée de quarante-sept ans, ménagère, mariée, a trois
enfants
de vingt-quatre, vingt et un et quatorze ans. Eut
d'extension permet d'exécuter l'ex- tension sans crainte, chez les
enfants
et chez les cardiaques, même chez celles qui on
, 1(jojo.) L'auteur rappelle ce qu'il a observé, en 1893, sur un
enfant
de quatre ans, atteint de myélite transverse au
éflexe extenseur des orteils de Babinsky. Voici maintenant un petir
enfant
de deux ans, issu de parents tuberculeux, porte
. KLIPPEL au nom de M. lIANNION lit une observation relative à ' un
enfant
de treize mois qui fut atteint de méningite céréb
labes, et l'auteur en déduit l'avantage qu'il y a de faire lire aux
enfants
les mots avant les syllables. Dès 184G, Ed. Ség
ps de hache et de barre de fer, M. Perret, trente ans, père de cinq
enfants
, qui avait refusé de boire avec lui. M. et MIUC
chique. C'est là que sont les ravages. Je fus ce qu'on appelle « un
enfant
sensible ». Non pas qu'un rien me fit rire ou p
técédents héréditaires. Mère hystérique et tuberculeuse ; a eu neuf
enfants
, dont quatre sont morts en bas âge," dans les c
devant, ce chien qui me vient dessus + Je joue aux billes avec les
enfants
? J'ai 12 ans et demi + Nous allons te mener à Ca
atria, vol XXV, fasc. 2. III. L'idiotie et l'imbécillité chez les
enfants
; par Louise BOBINO- vitcii. (jours. de Neurolog
e question dans les 21 volumes de nos Comptes rendus du service des
enfants
de Bicêtre. (B.) - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
e; et plus tard nouvel accès délirant à l'occasion d'appendicite. L'
enfant
de cette femme, âgé de quatre ans, fait lui-mêm
raient être connus de tout le monde. Puis Péterson indique pour les
enfants
les lois suivantes inexo- rables de prophylaxie
uivantes inexo- rables de prophylaxie : 9° Cultiver le corps de l'
enfant
grandissant par un régime atten- tif, à des heu
gents psychiques. De même la nature fait progresser le cerveau de l'
enfant
au moyen des impressions périphériques.. Les agen
,t.X ! )I. 15 22C 6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cides contre son
enfant
; en somme, manifestations très diverses : reli
victimes de dégénérescence progres- sive ; en d'autres termes, les
enfants
de fous ne sont qu'instables, les enfants de ce
; en d'autres termes, les enfants de fous ne sont qu'instables, les
enfants
de ceux qui ont des troubles somatiques altérant
de l'Asie moyenne a une situation officielle, se recrute parmi les
enfants
de parents pau- vres. Il est acheté par des mus
re parce qu'elles servent surtout au coït anal, elles vendent leurs
enfants
des deux sexes. Le souteneur essaie parfois d'e
est ensuite coupé le poignet gauche avec la même arme. La mère et l'
enfant
ont été toutes deux transportées il l'hôpital T
te une fillette de quinze ans, ayant l'aspect et la mentalité d'une
enfant
de sept ans. Le sujet a eu sa première dent à d
s et aux expériences hypnotiques. Un cas cité par Braid concerne un
enfant
de cinq ans et demi, qui provoqua l'état hypnot
a, dans un accès de folie, pendu à l'espagnolette de la fenêtre son
enfant
de deux ans. Un autre petit garçon, âgé de cinq a
nomalie primitive n'existait que dans les pensées et les idées de l'
enfant
, mais plus fard, cela devint l'origine d'une vé
, je regar- dais constamment de droite et de gauche si mon collet d'
enfant
était bien mis; lorsque dans mes lectures j'ava
e les pensées les plus opposées et les plus extravagantes pour un
enfant
viennent aussitôt s'y mêler. Je cachais en moi ce
i est de mon état physique, je dois dire que j'ai tou- jours été un
enfant
très faible et je me souviens même que j'étais
iers temps de mon séjour à Berlin, j'en ai eu cinq fois. Tout petit
enfant
j'avais eu la coqueluche, à onze ans, une rouge
qué par M. Boyer il la Société libre pour l'éludepsychologique de l'
enfant
(Bulletin, no 5, p. 120. 1901). 288 RECUEIL D
pater- nelle très nerveuse, morte phtisique à trente-neuf ans, ses
enfants
' sont malingres, très nerveux, surtout l'aîné,
consanguinité. Inégalité d'âge de sept ans, (père plus âgé). Deux
enfants
: 10 un garçon de dix-huit ans et demi, bien por-
loin donneront une idée plus précise des mensonges ordinaires de l'
enfant
. Etat de l'enfant à son entrée à l'Institut méd
idée plus précise des mensonges ordinaires de l'enfant. Etat de l'
enfant
à son entrée à l'Institut médico-pédagogique. E
roubles digestifs con- sistant en vomissements sans douleur, mais l'
enfant
a été surpris plusieurs fois en train de les pr
s : bruit de souffle assez prononcé au premier temps, à la base ; l'
enfant
se plaint du reste de palpitations et a quelque
ent. Mais il nous a été donné de constater que sur ce point aussi l'
enfant
a fait de l'exagération. Marche sautillante, su
que. L'intelligence présente une arriération légère, mais réelle. L'
enfant
du reste, par suite de son écolage irrégulier,
nement, mais on s'aperçoit vile que tout n'est que surface et que l'
enfant
est inca- pable de coordonner les idées acquise
Or, nous avons appris quelques jours après, que son cousin était un
enfant
normal, fréquentant un lycée de Paris, et que s
iétaire que c'est un tel qui les lui a volés, etc. Si 'on fait à un
enfant
des reproches sur telle ou telle incartade, qu'
était impossible matériellement que cet accident ait pu arriver, l'
enfant
en question venant de quitter son infirmière; d
oche. 11 n'y a guère à relever que des pec- cadilles familières aux
enfants
: petits mensonges pour se discul- per, maraude
qu'A... a faite sur toute la famille. Un nuage cependant le 25 : l'
enfant
comptait aller à un mariage; un contre-ordre pr
lle. C'est un oncle qui connaît peu A... qui est nommé tuteur, et l'
enfant
va essayer d'agir auprès de lui pour satisfaire
son état morbide. Bien qu'au moment de la conception, le père de l'
enfant
n'ait pas encore pré- senté de troubles mentaux
nifestations, les symp- tômes qui font pressentir l'anormalité de l'
enfant
, et pour qu'ils puissent conseiller aux parents
et du mécanisme gramma- tical de la parole : , , I. - Pour que l'
enfant
apprenne à articuler, il lui faut entendre. La
l'enfant apprenne à articuler, il lui faut entendre. La parole d'un
enfant
dysaeousique ou devenu sourd avant qu'il n'ait
'il n'ait totalement appris à articuler, se distingue de celle d'Un
enfant
normal par une modulation vocale défectueuse et
ulture des aptitudes verbales motrices et acoustiques, parce 'que l'
enfant
ne peut se corriger facilement. Il va de soi que
ue l'intégrité de l'intelligence est indispensable. Mais il est des
enfants
qui sem- blent intelligents, qui n'ont pas d'an
la période du vocalisme primitif : c'est de la mutité acoustique d'
enfants
qui néanmoins entendent bien ; il y a ici fai-
s flexions correctes et de la structure exacte de la proposition; l'
enfant
omet en outre certains mots, surtout les articl
pourvus de flexions, soit agrémentés de formes de mots tronqués : l'
enfant
est incapable de répéter de toutes petites phra
n construire qui ressemble à une proposition ; 2° Même état, mais l'
enfant
répète convenablement de toutes petites phrases
phrase vicieuse. - Les deux premières espèces s'observent chez des
enfants
de quatre à huit ans; la troisième se voit enco
ause en est à l'isolement psychique prolongé auquel sont soumis les
enfants
qui ne peuvent pas parler ou qui parlent indist
. Ces spasmes disparaissent si on le prend par la douceur. Chez les
enfants
très brusques, la parole devient tumultueuse, s
d'un groupe de rachitiques composé d'une mère rachitique et de cinq
enfants
rachitiques sur huit, et d'un père rachitique f
r huit, et d'un père rachitique frère de la mère précitée avec deux
enfants
rachitiques. Les faits de ce genre paraissent j
ogr. de la Salpêtrière, n° 4, 1901. Un cas de macrodactylie chez un
enfant
de trente et un mois, localisé à la main gauche
is qu'elle allait à la garde-robe et montrait triomphalement son...
enfant
aux infirmières. M. Arnaut. M. Toulouse sembl
fait tous les jours des efforts d'expulsion pour mettre au monde un
enfant
imaginaire. M. TOULOUSE. Ce qui est certain c'e
antérieure. Deux c is de trophoedème chronique héréditaire chez des
enfants
. M. LOItTAT-J.1COB présente deux petites filles
J.1COB présente deux petites filles du service du De Jeanselme. Ces
enfants
, âgées l'une de dix mois, l'autre de cinq ans,
rnelle, sa soeur, son frère, et une cousine germaine de la mère des
enfants
présentés. Ainsi se trouve une fois encore étab
qui se sont occupés des maladies chroniques du système nerveux des
enfants
, aboutissant aux idioties. Nous le signalons à
ançois, soixante-huit ans, ancien instituteur, marié, père de trois
enfants
vivants et bien conformés, est entré à l'asile
ue et ne se livrait à aucun excès. Marié en février 1873, il a deux
enfants
: une fille de treize ans, un garçon de deux an
i alcoolique, ni syphyli- tique. Marié en septembre 1875, il a cinq
enfants
âgés de cinq, douze huit, six et quatre ans.
familial ob- servé chez une petite fille âgée de douze ans. Cette
enfant
présente depuis l'âge de trois ans des vertiges
rale et l'idiotie simple. P. Keraval. LXIX. Tabes dorsal chez les
enfants
, avec quelques remarques sur le tabes greffé su
e l'étiologie du tabes les symp- tômes tabétiques observés chez les
enfants
atteints de syphilis héréditaire ? par K. GUMPE
aire ? par K. GUMPERTZ. (Neurolog. Cenlrulbl., XIX, 1900.) Voici un
enfant
de neuf ans et demi qui, par son aspect et ses
e neuf ans et demi qui, par son aspect et ses allures, a l'air d'un
enfant
de six'ans peu intelligent. Il est rachi- tiquc
ouvent la paralysie hystérique. DE >tIUGR9`'C-CL.1T. Suicide d'
enfant
. - A Bissereelle (Nord), le jeune Maurice Maeck
e, je m'en vais et je ne suis pas près de revenir ! » Le malheureux
enfant
alla se noyer dans une mare, à a00 mètres de la
er a très clairement montré dans un passage relatif la punition des
enfants
malheureusement trop long pour être cité. Le
enfin à s'échapper. Ce fut uniquement pour aller se saisir de son
enfant
et se suicider avec lui. Son enfant périt en effe
ent pour aller se saisir de son enfant et se suicider avec lui. Son
enfant
périt en effet asphyxié, mais elle survécut grâ
t unique de ses tentatives d'évasion avait toujours été de tuer son
enfant
avec elle. Son enfant, c'était sa chose. Et sa
ives d'évasion avait toujours été de tuer son enfant avec elle. Son
enfant
, c'était sa chose. Et sa chose, sans doute, elle
nus irrésistibles. » « La femme qui a caché sa grossesse et tue son
enfant
au mo- 'ment de la délivrance, ou lorsqu'elle s
à la société. Mais il n' a pas que les filles-mères qui tuent leurs
enfants
. De la logique morbide. - Extrospection déliran
ôt de la préfecture de police^ de 1888 à 1900. J'y remarque que les
enfants
au-dessous de seize ans y sont en nombre presque
mbre presque pour tous les genres de crimes ou de délits. Ainsi, 37
enfants
ont été arrêtés pour meurtre ou tentative, 4 po
nce de l'ivrogne n'est pourtant pas fatalement vouée au crime. Si l'
enfant
du buveur d'habitude est fortement exposé à .RE
infantile. Cyto-diagnostic. MM. liaruonn et SiCARD présentent un
enfant
atteint de paralysie double à topographie radic
ire supérieure de la paralysie. MM. DUPRÉ et IIUET présentent une
enfant
de dix-neuf mois, atteinte à un an de paralysie
ier, M. Dumas était avisé qu'on venait de retrouver le cadavre de l'
enfant
à Saint-Denis, dans la Seine, d'où des marinier
suivis de l'apparition, dans le champ visuel droit, d'une tête d'
enfant
blanc, assez vague, inconnue de la malade. Au bou
nerveuse ou mentale dans la famille. L... est marié, père de quatre
enfants
bien por- tants. Sa femme n'a jamais fait de fa
nsemble, son écriture est un griffonnage, rappelant les essais d'un
enfant
qui apprend à écrire. L... peut faire sa signat
ntractée au régiment, pas d'alcoolisme. Marié en 1881, n'a pas eu d'
enfants
. Bon travailleur, se conduisant bien. l.a malad
Pas alcoolique, pas trace de syphilis. Marié en 1878, il eut deux
enfants
actuellement vivants et bien portants. Sa femme
nels : alcoolisme, s'enivrait de temps en temps. Marié, il a quatre
enfants
, âgés de vingt-deux, vingt et un, dix- neuf et
es de négation, à marche rapide). Marié depuis vingt ans, il a cinq
enfants
, âgés de dix-neuf, douze, huit, six et quatre ans
e qu'elle dit ni ce qu'elle fait, ne veut pas donner à manger à ses
enfants
et les frappe avec les objets qui se trouvent à
'est imposée, M. Bourneville publie le. Compte rendu du service des
enfants
idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pen
es résultats obtenus par le traitement médico-pédagogique, chez des
enfants
arriérés ou idiots. Le nombre des étrangers ven
s de constitution vigoureuse, sans tares héréditaires, donnera de-5
enfants
sains; si les conjoints ont l'un ou l'autre ou
e ou tous les deux une hérédité chargée, leurs 520 BIBLIOGRAPHIE.
enfants
seront atteints, non de fait de la consanguinité,
sur le développement de la dégénérescence. - - A l'autopsie d'un
enfant
atteint d'idiotie avec microcéphalie, ' Bournev
-kystique. Statistique sur le thymus et la glande thyroïde chez les
enfants
anormaux. L'on sait l'inlluence néfaste des pro
te influence : une statistique basée sur 87 familles comprenant 420
enfants
, ne laisse aucun doute sur l'action des professio
lubres sur la morbidité et la production des maladies nerveuses des
enfants
. A noter une étude fort intéressante et très comp
e compendium des ma/¡¡- dies chroniques du système nerveux chez les
enfants
. Les médecins praticiens y trouveront des rense
a thèse fort intéressante, d'une forme de mutité survenant chez des
enfants
de trois à dix ans et présentant les caractères
'absence d'images motrices et d'ignorance des mouvements, puisque l'
enfant
n'a jamais su parler. L'auteur met en évidence
atique que cette étude présente pour l'éducation et l'avenir de ces
enfants
qui doivent être séparés des sourds-muets et de
apitre de symptoma- tologie l'auteur étudie : l'aspect physique des
enfants
; l'etat intel- lectuel dont l'intégrité semble
priori ; les troubles de la parole, ceux du langage intérieur (les
enfants
sont comme ceux qui commencent à parler), et ce
xer de précis. M. Lévy s'en tient à cette phrase pratique : « Votre
enfant
ni sourd, ni nettement idiot arrivera probablemen
itement, l'auteur montre l'intérêt pratique qu'il y a à séparer ces
enfants
pour leur éducation, des sourds- muets et des i
trois points dans le traitement : 1° Fortifier l'état général de l'
enfant
; 2° Développer son intelli- gence ; 3° Institue
ie d'une - file, par Casper, 270. Idiotie et imbécillité chez les
enfants
, par Lotiise Itoblnovitcll, 215. Voir Mensong
st-anes- théslque, par Leczlusl.y, il. - - bulbau'e aiguë chez un
enfant
, par Kollal'lts, 72. - infantile avec disposi
liberté, 173. Le - et son accroissement, par J. Styles, 218. - d'
enfant
, 103. d'un fou, 431. - d'une fillette, 431.
cérébrale, par Koenig, 381 Synytômestabétiques observés chez les
enfants
atteints de héréditaire, par Gumpertz, 390. -
ux dans le -, par Marie et Bisclio0'erdew, 327. - dorsal chez les
enfants
, par Keraval, 382. Nature syphilitique du - par
. ' Trophadèmes, par lleige, 8u. chronique héréditaire chez les
enfants
, par Lortat-.lacob, 333. Tnobil0lARALYSIF tabio
311. r. Tumeur cérébrale, par Kl1ppel et parvis, 82. - chez un
enfant
, par Lenoble et Aubineau, 87. - par E. Dupré
des accès qui débutaient par la main ou le pied. Galien a observé un
enfant
de 13 ans, chez lequel l'accès débutait par la cu
s ou moins incomplètement, quelquefois sans prodromes appréciables, l'
enfant
est pris de convulsions. Si l'on s'en tient aux
siques (tétanisme, clonisme, stertor) et dans l'intervalle desquels l'
enfant
ne recouvre pas connaissance. Ces accès, par leur
ans, dont malheureusement nous avons égaré l'observation. Tantôt l'
enfant
est emporté par les convulsions ou succombe quelq
urtout dans la pratique de la ville que l'on a l'occasion de voir les
enfants
atteints de cette sorte de convulsions. Succomben
tation toutefois des convulsions à un seul côté du corps. Quand les
enfants
résistent et meurent deux, trois jours ou davanta
ou davantage après la fin des convulsions, voici ce qu'on observe : L'
enfant
est dans le coma ou tout au moins dans un assoupi
. Quelle est-elle ? La plupart des traités consacrés aux maladies des
enfants
, consultés par nous, ne nous (l) Voir Comptes
il s'agit là d'une lésion de nature inflammatoire. Relativement aux
enfants
qui survivent, nous avons avancé que deux conditi
re de notre malade. Il n'y a pas de consanguinité. — Us ont eu quatre
enfants
: l'aînée est morte en bas âge, étant en nourrice
rémission. En quoi consiste cette hémiplégie? D'ordinaire, lorsque l'
enfant
recouvre la connaissance, ce qui arrive au bout d
l'un des bras reste inerte, qu'il retombe quand on le soulève, que l'
enfant
ne s'en sert pas. Puis, les accidents aigus pro
cidents aigus produits parles convulsions ayant disparu, si on lève l'
enfant
, on constate qu'elle ne se tient que difficilemen
icilement sur la jambe qui répond au bras paralysé. Dans la marche, l'
enfant
traîne cette jambe, le pied se renverse. En un mo
ne nièce a eu une yavalysie de Venfance]. Pas de consanguinité. 9
enfants
(1 ) : 10 garçon mort en nourrice d'un accident ;
0 ans (hôpital Sainte-Eugénie), elle avait la danse de Saint-Guy ; 5°
enfant
mort-né (grossesse de 6 mois) ; 6° fille, âgée de
e âgée de 2 ans et demi, bien portante. Sauf Marguerite, aucun de ces
enfants
n'aurait eu de convulsions. Marguerite est née
malade ; il avait un bras paralysé, la parole difficile : c'était un
enfant
arriéré. — Un oncle paternel tombe d'épilepsie de
mma ; il se balance toute la journée. »] Pas de consanguinité. Un
enfant
, notre malade, et une fausse couche. Emma est née
, c'est que, à partir de ces convulsions, l'intelligence baissa, et l'
enfant
eut, environ tous les mois, des accès dans lesque
malade semble prononcer entre les dents. — Son langage est celui d'un
enfant
; elle réclame des images, demande à embrasser, t
s parents durant les derniers mois. L'accouchement a été régulier. —L'
enfant
a été mise en nourrice. Quand elle est revenue, à
ir pas observé de grandes convulsions. On s'aperçut bientôt que l'
enfant
se servait toujours de préférence du bras gauche,
jusqu'à 10 ans, les accès ont continué, en devenant plus fréquents. L'
enfant
prévenait, se plaignait de souffrir au creux de l
— Ces abcès auraient exercé une certaine action sur le caractère de l'
enfant
qui, très-douce, affectueuse, facile à mener aupa
variété, sont assez rares. Nous avons observé le premier cas chez une
enfant
qui a succombé à l'âge de 10 ans dans le service
emière attaque de convulsions, annoncée par les prodromes suivants: l'
enfant
se plaignant de malaise dans l'atelier où sa bell
droit ; elles laissèrent après elles un certain degré de paralysie; l'
enfant
traînait la jambe droite. De 5 ans et demi à 6
roite ne s'est pas aggravée. Le membre supérieur droit était libre, l'
enfant
s'en servait et ne laissait pas tomber les objets
nt. Enfin, les convulsions ont envahi les membres du côté gauche et l'
enfant
est tombée sans connaissance (auparavant, même qu
e M. Charcoï.) Renseignements fournis par la malade. — V... est une
enfant
naturelle; jusqu'à trois mois, elle a été élevée
ou 18 ans. Elle fut placée dans une famille anglaise pour soigner des
enfants
et leur apprendre les premières notions de la lan
mille où elle est restée 18 mois. Là, elle avait à s'occuper de trois
enfants
, Henry, Franck et Christine ; elle vivait à la ca
. A une époque où elle était dans le château de ce Monsieur, avec les
enfants
seulement, celui-ci envoya les enfants se promene
âteau de ce Monsieur, avec les enfants seulement, celui-ci envoya les
enfants
se promener et resta seul avec V... Cet homme lui
isait : « Henry, viens ici, je ne te^ gronderai pas. (Il s'agit d'un,
enfant
qu'elle soignait étant en Angleterre.) Soir (8
rs le dessus... » (Alors physionomie moqueuse). (Ça, c'est une ruse d'
enfant
... » (Air mécontent). « Vous savez que je n'a
r... Ah ! le monstre ! Est-il canaille!... Quoi... il fait partir les
enfants
... et il cherche... Ah! le monstre!... Henry!...
. Vous savez bien que je ll'ai dit à madame... Si ce n'était pour vos
enfants
, il y a longtemps que vous seriez arrêté... Vous
le valet de pied?. . Les gendarmes le savent... Mais rien pour votre
enfant
... Ce n'est pas la seule... J'ai vu une jeune fil
si elle menaçait de se noyer). Pour dire votre nom, rien que pour les
enfants
, je ne le dirai jamais... Vous voulez bien que je
... Mais je ne me reconnais pas... Où suis-je?... Il fait noir... Les
enfants
où sont-ils?... My dear... Corne... Corne and kis
Où suis-je?... Tout est sombre... Quelle est cette maison?... Et les
enfants
?... Que va dire Madame ?... Il y a longtemps que
... Mais vous méritez la guillotine... Soi-disant vous venez voir les
enfants
et c'est moi... Et les cadeaux que je recevais ?.
anté. — Rien chez les autres parents]. Pas de consanguinité. Sept
enfants
: 1° Louise ; — 2° un garçon, vivant, bien portant
son delà multiplicité des attaques, L... fut conduite à l'hôpital des
Enfants
malades (14 mai 1875). Voici la note qui nous a
lures, d'humeur mobile, bruyante. N'ayant plus rien des manières de l'
enfant
, elle a presque l'air d'une femme faite et pourta
u'on lui donnait et lui expliquait, entre autres, comment se font les
enfants
. Durant les vacances aussi, elle avait l'occasi
sous prétexte d'apprendre à chanter, à coudre, etc., avec ses propres
enfants
. Elle couchait dans un petit cabinet isolé. C. qu
ui parle de sou fils.peut-être parce qu'il pense que ce n'est pas son
enfant
. Les attaques, après s'ètro éloignées, se rappr
rai forcée de le dire à papa ... C'est comme ça qu'on fait les petits
enfants
...! Comment! un bébé ! mais, je vais le dire à ma
! mais, je vais le dire à maman.. . Si M. C. .. venait à me faire un
enfant
... Et maman qui prétendait qu'elle me plaçait da
on travail, elle laissait sa fille à la maison, lui confiant un autre
enfant
plus jeune, avec lequel A., se promenait de côté
e promenait de côté et d'autre. La négligence de cette femme pour ses
enfants
détermina la tante, qui nous renseigne, à demande
e suffocations ; la fille se débattrait beaucoup; le second frère a 3
enfants
bien portants ; les deux autres n'ont pas d'enfan
second frère a 3 enfants bien portants ; les deux autres n'ont pas d'
enfants
. — Un cousin germain parait avoir des accès d'épi
grand'-mère maternels d'A... étaient cousins germains. Sept ou huit
enfants
, tous morts, on ignore de quelle affection —A...
e de perte de connaissance : 1° incendie dans sa maison; 2° vue d'une
enfant
de son âge carbonisée ; 3° vue d'une femme dont l
abandonnée à elle-même pendant le jour ; elle vaguait avec les autres
enfants
du voisinage, était mal soignée, nourrie irréguli
e la guerre, des hommes morts, des incendies, une femme qui jette son
enfant
dans le feu, etc. Consécutivement, A... a quelq
anguinité d\ (l)Les cauchemars, quand ils sont fréquents chez les
enfants
, constituent quelquefois un signe d'une véritable
Bien déplorable est l'habitude que l'on a, pour calmer ou dominer les
enfants
, de leur inspirer la peur d'êtres fantastiques. L
s. — Reconnaissons aussi que beaucoup d'hommes, à cet égard, sont des
enfants
. 11 y aurait là à faire une curieuse étude médico
qu'elle éprouve. A la remarque que M. X... n'est pas le père de son
enfant
, elle répond : « Il vaudrait mieux qu'il m'en fas
» époux passionné d'amour, ou comme un père blessé » d'amour pour son
enfant
unique et en d'autres qua-» lités. » Elle avait s
morts paralysés. Antécédents personnels. k eu des convulsions étant
enfant
. Masturbation de très bonne heure. Pas d'affect
oix de Dieu, d'une puissance suprême, d'un époux, d'un parent, d'un
enfant
, de la loi) et aussi celles de la vue (apparition
s, les unes étaientdemeuréesstériles etles autres n'avaient point d'
enfants
vivants. Enfin, l'auteur signale un dernier fai
jeunes aliénés (trois exemples de mouvements automatiques chez des
enfants
de moins de dix-huit ans), l'action du mouvemen
albl., 1885.) Etude faite à l'aide de la méthode de Weigert sur des
enfants
à terme âgés de quelques semaines. Il y a' lieu
argement écartées, dé- couvrent l'orifice des narines. Pourboire, l'
enfant
place la tasse dans la gouttière gauche de sa c
rrêt de formation congénitale de l'écran irien, et une fois chez un
enfant
atteint de syphilis héréditaire. Il importe du
itoires de la moelle. (Voy. le cas de liemak : spina bilida chez un
enfant
.) M. 11R : 1USE. Je ne nie pas, d'une manière g
ux l'hysté- rie infantile : on retrouve, en effet, souvent chez les
enfants
mâles et femelles atteints de chorée un certain
isba. - Imprimerie Boehm et fils. PEUGNIEz. De l'hystérie chez les
enfants
. Volume in-8° de 181 pages. Prix : 4 fr. Paris,
hypertrophie de la glande thyroïde ou des ganglions lymphatiques. L'
enfant
, âgée de dix ans, était née à Lancashire; elle
cou et la glande thyroïde ne pouvait être trouvée à la palpation. L'
enfant
ne marchait que très peu et ne pouvait aller de
l'assis- tance d'une autre personne. La parole était nulle, mais l'
enfant
reconnaissait ses parents et manifestait quelqu
cervicaux. Absence de glande thyroïde. - En 1849, on m'adressa un
enfant
de six mois pour quelques gonflements anormaux
nts étaient sains; mère, âgée de vingt-huit ans, avait eu une autre
enfant
. Cette enfanl était forte, elle présentait une
de ce cas avec celui du crétin de Highgate. La mère me dit que l'
enfant
était inhabile à se servir de ses membres inférie
s membres inférieurs, qu'elle n'était pas aussi forte que son autre
enfant
. Elle tomba ma- lade quelque temps après, refus
ransactions) de 1871 un autre cas de cachexie pachydermique chez un
enfant
idiot. 1 Hilton Fagge. On sporadie cretiraisns,
..., âgé de huit ans, est entré le 26 novembre z870 à l'hôpital des
enfants
malades Evelina (service de M. Fagge). Il avait
s de bois- son soit habituels, soit même occasionnels. Leurs autres
enfants
élaienl bien portante. L'accouchement eut lie
en portante. L'accouchement eut lieu au forceps. -1 la naissance, l'
enfant
était fort; il perça ses premières dents à deux
ère enfance, on n'observa aucun, autre phéno- mène anormal chez cet
enfant
. Mais, plus tard, sa mère s'aperçut qu'il voula
demi. Actuellement, quoique âgé de huit ans, il a- l'apparence d'un
enfant
de deux à trois 'ans.' Il pèse 25 livres (9ka1'
is il n'y a pas d'écoulement de salive. Les lèvres sont épaisses. L'
enfant
possède toutes ses dents de lait. La langue est
sme sporadique. - Absence de glande THYROÏDE. Il s'agissait d'une
enfant
de quinze ans du poids de 11 kil. 530 (taille :
veux, ni de difformes dans la famille]. -Pas de consanguinité. Cinq
enfants
: I° Louis, vingt-deux ans, de faille élevée, peu
jusqu'à neuf ans et y pisse encore quelquefois; - 4° et ou d'autres
enfants
morts, l'un du croup, l'autre de la rougeole :
de la base du thorax, forme une dépression très marquée ; lorsque l'
enfant
est debout, il existe à ce niveau un sillon ver
l'oeil pour laquelle il serait resté dix-huit mois à l'hôpital des
Enfants
. Il connait les cou- leurs - Ouïe, odorat, goût
sable dans les urines. Frère et sceur bien portants ainsi que leurs
enfants
. N'a jamais entendu dire qu'il y ait eu aucun c
Et, en effet, si l'amyotrophie hystérique se dévelop- pait chez un
enfant
, son évolution pourrait être diffé- rente à cau
e hystérique, avec atrophie consécutive du membre, survenue chez un
enfant
de treize ans'. La monoplégie dura trois ans, p
développement exagéré. Après avoir vu son beau-frère, père de huit
enfants
, subir les premières atteintes d'une ataxie locom
ouse sa cousine, qui est la soeur de leur père, ou leur tante; deux
enfants
issus de ce mariage sont également atteints, de
é volontaire présentent un développement exagéré. Détails sur ses
enfants
et petits-enlanls : la chaleur du lit et l'exerci
ital héréditaire; la mère du sujet en question vient de procréer un
enfant
actuellement âgé de neuf mois qui pré- sente un
TIQUES : par B. AIENDEL (Neurol. Centralbl.,1885.) Il s'agit d'un
enfant
de dix ans atteint d'une ophthalmoplégie extern
ire) ; par F. PELizOEus (Arch. f. Psych., XVI, 3). Il s'agit d'un
enfant
de huit ans présentant du nystagmus bilatéral,
is mois; à l'âge de six mois, les mouvements parurent maladroits; l'
enfant
ne présentait pas cette allure vive des membres
infirment pas ma théorie; et j'espère qu'il admettra avec moi qu'un
enfant
qui, dès l'âge de cinq ans, a des érections à l
chargés de distribuer les secours à domicile pour les malades, les
enfants
, les nourrices, les infirmes et les vieil- lard
teintes de maladies chroniques et aux vieillards; 4° Le service des
enfants
assistés. Elle devrait comprendre aussi le serv
Je dois ajouter que le malade, étant encore chez lui, voyant son
enfant
tomber du lit, s'est mis sur les pieds, bien que
tantôt le malade pleure sans motif, tantôt il rit et saute comme un
enfant
quand on satisfait un de ses désirs. Le 5 mai,
ements convulsifs des jambes, de sorte qu'elle ne pouvait tenir son
enfant
sur les genoux pour ne pas le faire sauter en l
, n'était pas nerveuse ; un frère bien portant, intelligent, a deux
enfants
sains, bien portants et intelligents ; deux soe
Le père est né à Paris, la mère est de Courancelle (Meuse). Trois
enfants
: 4 garçon, mort à quinze mois, la nourrice était
e (à Neuilly-sur- Seine), assez long ; on aurait cassé un bras de l'
enfant
, le droit, croit-on, et démis un poignet. A la
'enfant, le droit, croit-on, et démis un poignet. A la naissance, l'
enfant
était très gros. Il fut confié jusqu'à un an
nça à mar- cher ; il ressemblait alors, affirrue-t-elle, à tous les
enfants
de son âge; il était affectueux, donnait quelqu
parole n'avait fait aucun progrès. C'est dans ces conditions que l'
enfant
fut amené pour la première fois à Bicêtre, où i
te, comme il a été dit plus haut. État actuel (6 janvier 1880). L'
enfant
reste pendant tout le jour assis devant une tab
insi de donner à la physionomie l'air bestial qui la caractérise. L'
enfant
peut néanmoins fermer la bouche qnand il le veu
près les renseignements fournis par la mère, où la physionomie de l'
enfant
reflétait assez exactement ses sentiments. 1 Vo
prononciation confuse et ce n'est ordinairement qu'en pressant l'
enfant
de questions ou eu lui présentant le bonbon atten
la marche est difficile, lourde, mais cependant possible lorsque l'
enfant
est tenu par la main. Il est intéressant de rem
vice, est claire, citrine et ne contient ni albumine, ni glycose. L'
enfant
est grand gâteux et la difficulté où l'on se tr
somnolence et d'immobilité. Jamais depuis qu'il est à Bicêtre, cet
enfant
n'a présenté de phénomènes d'exci- tation, ni d
x centimètres l'olécrâne en haut..T. R. 38°. - Soir : 38,4. 19. L'
enfant
est levé et est assez gai ; on recommence à le
venant que rarement, lui donnent des sous. Le t4 juillet 1883, les
enfants
ayant reçu un supplément de 15 centilitres de v
l'âge de 40 ans, dix-huit mois après être accouchée de son dernier
enfant
, à la suite d'une maladie dont il n'est pas possi
ladie dont il n'est pas possible de savoir le nom. - Il y a eu cinq
enfants
; quatre filles et un garçon. Ils sont tous viva
a été nourrice à Paris, est bur lepoint d'accoucher de son deuxième
enfant
et se propose encore de redevenir nourrice. Le
ème enfant et se propose encore de redevenir nourrice. Le troisième
enfant
est un garçon, âgé de treize ans, et les deux a
croissance fut normale jusqu'à l'àge de sept mois; à celte époque l'
enfant
aurait eu la coqueluche et la rougeole, et, à p
que le corps. Etat actuel. - Vs... ressemble beaucoup à un petit
enfant
; il en a le caractère et la taille ; on lui don
arrondi, volumineux. Pas de poils au pubis. La verge est celle d'un
enfant
; les testicules ont la grosseur d'une petite no
rface du corps. Les mains et les pieds sont potelés comme ceux d'un
enfant
; la peau y est même tendue et d'une teinte fon
lligence a subi un arrêt complet de développement, c'est celle d'un
enfant
qui'commence à parler, avec moins de vivacité et
t-ils peu mobiles et presque sans expression. Parfois cepen- dant l'
enfant
sourit; il devient même gai dans certaines circon
e. La bouffissure de la face nous conduisit à l'examen général de l'
enfant
, et nous constatâmes le même état de la peau sur
venu. Voici le» renseignements que nous avons pu nous procurer. L'
enfant
est née à Paris, de parents bien portants, ni cré
paternel aliéné à Ville-Evrard, une soeur maternelle rachitique; l'
enfant
a deux soeurs plus jeunes qu'elle et bienportan
elle et bienportantes, sans vice de conformation. A la naissance, l'
enfant
, de bonne santé, n'offrait rien d'extraordinaire
santé, n'offrait rien d'extraordinaire et ressem- blait aux autres
enfants
, le corps se développa régulièrement, une cheve
el ne se dé- veloppait, la mère prit le parti de faire admettre son
enfant
à la Salpêtrière. La malade est morte un mois
deux centimètres d'épaisseur à droite, un centimètre à gauche. L'
enfant
dont il s'agit était évidemment atteinte de myx
présenté à la Société clinique de Londres comme étant celui d'un
enfant
présentant des symptômes ressemblant à ceux du
culé; affaiblissement des facultés intellectuelles. Il s'agit d'une
enfant
de treize ans présentant des symptômes ressembl
u'à l'âge de huit ans, elle ne différait en aucune façon des autres
enfants
et elle pouvait lire un chapitre de la bible ou
nous paraît inutile d'insister sur les symptômes présentés par cet
enfant
qui sont ceux du myxoedème, il nous suffira d'a
ès de Southampton, dans le llampshire. Elle était l'ainée de quatre
enfants
dont les parents, âgés .respectivement de vingt-
eux. Jusqu'à l'âge de sept ans, la malade était comme les autres
enfants
, mais plus grasse que d'ordinaire et on la compar
ère bien portant âgé de dix-neuf ans, actuellement soldat; tous les
enfants
sont nés dans IeHampshire. Etat actuel. Taille
s dans IeHampshire. Etat actuel. Taille : im05, taille moyenne d'un
enfant
de cinq ans. Poids : 35 kilogr. 240. Elle est a
aux. Par le rectum, on constate que le bassin est comme celui d'une
enfant
, quant à la forme et la position, et l'utérus e
ne soeur morte a quarante-trois ans, on ne sait de quoi, a eu trois
enfants
dont on n'a pas eu de nouvelles depuis la mort
sait de quoi. Deux sûrs bien portantes, sans goitre, l'une a deux
enfants
, l'autre quatre qui n'ont rien présenté de partic
e de la mère. 340 CLINIQUE NERVEUSE. Pas de consanguinité. Cinq
enfants
: 1° garçon bien conformé, né à terme, mort à s
ccouchement à terme, naturel, sans chloroforme. A la nais- sance, l'
enfant
était fort et n'offrait pas le moindre signe d'as
is, rose, n'avait rien ni aux pieds ni aux mains, ressemblait aux
enfants
de son âge. Victor commençait à marcher le long d
pris, pas même ses lettres; il n'aimait pas à jouer avec les autres
enfants
, dans la crainte de tomber; il était affectueux
quentes des lésions qui aboutissent il l'idiotie. (B.) Les autres
enfants
avaient eu des dents avant onze mois. IDIOTIE A
Il est affectueux, doux et paisible. Ses goûts sont ceux d'un jeune
enfant
; il s'amuse avec un fouet qu'il fait claquer sa
du mollet. Le fond de l'oeil est nor- mal. Mentalement, c'était une
enfant
lourde, ne prêtant que peu d'attention aux obje
dans la Revue photographique^ sous le titre de Crétinisme chez une
enfant
née à Paris de parents pari- siens. La taille d
z une enfant née à Paris de parents pari- siens. La taille de cette
enfant
était de 1D1,30; le cou était large, gros; la p
musculaire étaient diminuée ? la parole était lente, indistincte; l'
enfant
était idiote. Quant au cas de M. Baillarger il
vations publiées sous le nom de myxoedème et se rapportant à des
enfants
(cas de Sliattock, etc.). 352 -1) CLINIQUE NERV
le le 19 juin 1882; en mars 1883, cachexie crétinoïde. 21° Kocher. -
Enfant
P..., fille de quinze ans, goitre kystique, ext
otomie. Un an après, le père écrit « qu'on renvoie tous les jours l'
enfant
de l'école, car il devient toujours plus stupid
elle est désespérée de ne pouvoir rester chez elle pour soigner son
enfant
. \" mars 1886. B... essaie de se suicider en av
inutile, puisqu'elle est assez dénaturée pour ne point soigner son
enfant
et abandonner son ménage ; elle annonce qu'elle
onvul- sions, de la perte de connaissance, de la fièvre. Chez trois
enfants
venus au monde en etat d'asphyxie, l'affection
cès alcooliques sur l'organisme de l'e71fttnt.- Sur cinquante-trois
enfants
amenés à l'hôpital spécial de Berne, dans le cour
'élève contre la coutume d'administrer des boissons alcooliques aux
enfants
; il indique deux cas de cirrhose hépatique, pe
M. Bourneville à Bicêtre, comprenant les épileptiques adultes, les
enfants
idiots, imbéciles, arriérés, épileptiques, hyst
e chambres pour les ma- lades et seront consacrés au traitement des
enfants
épileptiques. (The New-York Méd. Journ., 23 oct
joue un grand « rôle dans l'audition. Si à la naissance de certains
enfants
« entendant mal on débouchait ce trou, ou si on
de vrais Kamiens, ils sont trop brutaux et trop égoïstes, seuls les
enfants
que l'on va pouvoir élever selon les principes
e monde, l'argent, «l'égoïsme, le désir brutal et jamais l'amour. L'
enfant
voulut « sortir de son enveloppe mortelle il y
olérance. ') Elle ajoute alors quelques explications orales : « Les
enfants
seuls seront réelle- « ment Ifamiens; le tsar (
de la croissance de l'hémisphère sain qui rétablit l'égalité. Si l'
enfant
eût survécu, les différences d'inclinaison se f
e 1901, où l'observation complète a été publiée, avec portrait de l'
enfant
) étaient eux-mêmes distendus par du liquide. On
par BICHON. (NOllV. Iconogl'. de la Sa/piJI/'iè1'e), n02, 1903), Un
enfant
de onze ans, sans antécédents héréditaires connus
ie guéri par la suggestion. M. Stembo (de Vilna). - Il s'agit d'une
enfant
de dix ans. A six ans elle a une affection fébr
e de marcher toute seule, sans aucun appui. Il est probable que cet
enfant
présentait un trouble fonctionnel des centres a
nt à signaler. Ses parents ont succombé à un âge avancé; des quinze
enfants
du ménage, neuf sont morts de fièvre typhoïde o
, à Tiughé. une léproserie entourée d'un grand parc dans lequel les
enfants
venaient jouer, risquant ainsi, malgré une surv
res visites de sa fille l'a laissée très énervée; le nom de cette
enfant
s'impose à elle la nuit suivante pendant des heur
ives de suicide. Henri B... étudiant en médecine, marié, père d'une
enfant
bien portante, a une hérédité chargée. Son père
emps et se sent beaucoup mieux à ces moments-là. Il revoit sa vie d'
enfant
comme celle d'un autre qu'il aurait beaucoup co
de débilité mentale. La sclérose en plaques est très rare chez les
enfants
. Syringomyélie avec chei1'ornégalie. MM. RAYN
d'une dévote surémotive qui avait été longtemps stérile, Samuel,
enfant
silencieux, hyper-suggestionnable, en proie à des
Les parents pauvres de la ville et de la campagne y jetaient leurs
enfants
; au bout de peu de temps, les petits s'étio- l
egard. Je suis incapable de regarder quelqu'un en face, pas même un
enfant
, pas même un chien. Dans une conversation, si c
e. M. le Dr COULONJOU. Observation : Jeune fille de dix-sept ans,
enfant
assistée, conduite à l'asile d'aliénés pour troub
ans le traitement des tics d'origine psycho-motrice et dans celui d'
enfants
arriérés par une éducation physique thérapeutique
douleur, et en extension dans le plaisir. La pre- mière pensée de l'
enfant
est son premier mouvement : 9° L'art de tous le
endance aux impulsions vicieuses, anti- sociales, correspond chez l'
enfant
à l'absence du pouvoir modéra- teur désigné sou
ondamental. Il est, en effet, très intéressant de constater que les
enfants
indociles et insociables à l'état de veille, de
loppement intellectuel. Elle n'est pas applicable aux idiots ni aux
enfants
atteints de débilité mentale accentuée. Nous co
défécation, etc.. non seulement chez les nouveau-nés, mais chez les
enfants
, les adolescents, et même les adultes. On doit
ée à rendre les plus grands services aux méde- cins. J. D. IL Les
enfants
anormaux au point de vue mental ; leur traitement
spé- cialiste qui s'est fait en Angleterre l'avocat infatigable des
enfants
anormaux, a résumé tout ce qui avait été tenté
e rapidement l'organisation des établisse- ments institués pour les
enfants
anormaux dans le Royaume-Uni, les Etats-Unis et
es créations organi- sées à Londres pour cette dernière catégorie d'
enfants
, créations qui ne sont encore en France qu'à l'
u Dr Bourneville. Comme tous ceux qui ont une réelle expérience des
enfants
idiots, le Dr Shuttleworth, attribue à l'éducat
pendre. Elle arriva heureusement assez tôt pour couper la corde. L'
enfant
a été rappelé à la vie. (Progrès de Lyon, 31 ju
réservé des ménages désireux de ne pas augmenter le nombre de leurs
enfants
ou de n'en pas avoir; les caresses frustes des
intellectuelles. Le début de l'excitation génitale a été précoce. L'
enfant
fut placé à onze ans dans une institution de prêt
se de la pen- sion. L'érection se reproduisit immédiatement, mais l'
enfant
était si inconscient de sa signification qu'il
vers une jeune femme, aide-cuisi- nière de la pension, qui avait un
enfant
de six ans qu'elle corri- geait assez souvent.
riva à ses fins; un jour, elle perdit, en effet, patience, saisit l'
enfant
qui s'empressa de n'opposer aucune résistance, et
dramatique suicide d'une mère qui s'était asphyxiée avec ses trois
enfants
. Bien souvent, auparavant, il avait eu occasion d
ence de l'état mental des parents sur là formation du sexe de leurs
enfants
; par A. LlTKrNS (Obozrénié psichiat1'Ù, VIII,
expliquent les particularités du coeur extrêmement exci- table de l'
enfant
nouveau-né. P. IiEnAVaL. LVI. Contribution à la
s autres symptômes. Il se produit en l'espèce, ce qui a lieu chez l'
enfant
qui apprend à marcher, à se saisir des objets,
té neiveuse ni d'antécédents morbides. Il est marié et père de deux
enfants
dont l'aîné est bien portant et le plus jeune a
oyaux (atrophie des cellules nerveuses correspondantes). X. Chez un
enfant
nouveau-né, j'ai vu la pupille présenter les fo
nique de Bruxelles. Novembre 1902.) Un cas d'hérédosyphilis chez un
enfant
de dix ans. Des sym- ptômes fébriles persistant
s, qui voulait profiter de son internement pour se débarrasser de l'
enfant
que le passementier avait eu de son premier mar
main noyée, près de la digue Saint-Jean. On avait cru d'abord que l'
enfant
s'était tuée accidentellement; mais des propos
on de Liège en 1905, diverses questions relatives à l'Education des
enfants
arriérés et anormaux. Une section spéciale étud
icaux; 2° Où et quand doit se faire l'éducation professionnelle des
enfants
anor- maux ? 3° Formation du personnel de l'ens
nhomme Normand, 26 août, 1er septembre 1904.) . Mutilation par un
enfant
. Une fillette de deux ans, demeu- rant chez ses
ères, du reste. Cela connu, il semble que l'on devrait accorder à l'
enfant
qui naît et même à l'enfant qui va naître d'épi
il semble que l'on devrait accorder à l'enfant qui naît et même à l'
enfant
qui va naître d'épileptique ou d'alcooliques, u
efficace peut cependant être instituée même avant la naissance de l'
enfant
; je le montrerai en prenant comme exemple le f
me exemple le foetus dont le père ou la mère sont épileptiques. Cet
enfant
est évidemment menacé des convulsions qui éclat
r traitement de la mère que lorsqu'il y a crainte de sypllilis. L'
enfant
nait d'un père ou d'une mère épileptique, on ne
contraire, dans les campagnes au moins), on expose non seulement l'
enfant
aux convulsions infan- tiles, à l'épilepsie pré
THÉRAPEUTIQUES. 373 d'excitances anormales du système nerveux de l'
enfant
. Il importe de donner à cet enfant prédisposé,
normales du système nerveux de l'enfant. Il importe de donner à cet
enfant
prédisposé, plus encore qu'à tout autre, une no
s victimes est colossal, n'éclatent le plus souvent que parce que l'
enfant
a reçu de ses ascendants une tare que l'on a né
pour s'en convaincre de faire une enquête sur les antécédents de l'
enfant
au point de vue de l'hérédité et l'on trouvera le
s accidents qui en résultent, mais on place le système nerveux de l'
enfant
dans de meil- leures conditions pour supporter
tion de longue durée que l'on apportera déjà à sa tare. Lorsque l'
enfant
a acquis un certain développement, qu'il peut q
ple. En raison de l'irritabilité spéciale du système nerveux de l'
enfant
prédisposé à l'épilepsie, de l'impressionnabilité
titre que je proscrüais l'usage de la voiturette pour pro- mener l'
enfant
prédisposé. EPILEPSIE : PATHOGÉNIE ET INDICATIO
ions. Si le traitement prophylactique a été bien surveillé chez l'
enfant
, la puberté se passera plus facilement sans accid
c'est lui permettre de mieux protéger sa descendance, de donner ses
enfants
tous les soins que nous venons de voir utiles,
ur la société. Que l'on se préoccupe donc, par exemple, autant de l'
enfant
menacé d'épilepsie que l'on prend cure de' l'en
le, autant de l'enfant menacé d'épilepsie que l'on prend cure de' l'
enfant
pour lequel on 380 CLINIQUE NERVEUSE. redoute
irement servir de base au traite- ment curatif, qu'il s'agisse d'un
enfant
, d'un adolescent ou d'un adulte épileptique, to
t moins étendues pour le traitement cu- ratif de l'épilepsie chez l'
enfant
; chez lui, en effet, on ne peut songer à modére
lle d'une fillette de dix-neuf ans, seule mérycole sur environ cent
enfants
idiots ou épileptiques. Observation I. D. B...
ord. 1 Mars 190 ? .) LXX. Difformité congénitale observée chez un
enfant
de cinq ans LXXI. De l'influence de l'écorce du
s par 1\1. Schülz sur des foetus à partir du septième mois et sur l'
enfant
âgé de six semaines, il résulterait ce qui suit
éphale et de quelques-unes de ses parties chez le nourrisson et les
enfants
plus âgés; par H. PIISTER. (Nellrolog. Centralb
pesées partielles (121 pour les garçons, )0' ? pour les filles) les
enfants
sont morts aux âges de une semaine à quatorze a
u développement, il s'accroit davantage cliez les garçons. Chez les
enfants
du même âge et du même sexe on relève de remarq
e en tout temps sur celui des filles. Cette différence est chez les
enfants
âgés (et chez les adultes) de 50 à 100 grammes
. Paul Sérieux. (') On trouvera dans le compte rendu du service des
enfants
de Bicêtre (1880-1903), de nombreux documents a
les en fct7lla. - L'auteur a fait 120 ponctions. Il préfère, chez l'
enfant
comme chez l'adulte, la position couchée. L'opé
'opération est bien supportée en gé- néral, surtout chez les jeunes
enfants
. On a pu enlever 100 centi- mètres cubes de liq
ressive. . G. D. XXIII. Troubles dysarthriques permanents chez un
enfant
épilep- tique ; par le 1)' DECROLY. (Journ. de
1)' DECROLY. (Journ. de Neurologie, 1904, u° 4.) .) Il s'agit d'un
enfant
de quatre ans qui est devenu épileptique au déc
ient avoir leur asile d'aliénés, adultes et un Asile-Ecole pour les
enfants
idiots, imbéciles, arriérés, épileptiques, amor
l'hérédité sont le plus souvent pro- duits par l'imitation, par les
enfants
, des accidents névropathi- ques de leurs parent
ue médicale de la Suisse Romande, 1902, na 9.) , . Il s'agit d'un
enfant
de trois ans qui en tombant sur le bout d'un bâ
t. Est-ce la société cons- tante de personnes saines, la présence d'
enfants
, la visite d'étran- gers, les relations de fami
'esi. produit pendant L'année écoulée. G. DENY. VARIA. Pour les
enfants
arriérés ou anormaux. F A la suite d'une miss
te d'une mission confiée au De Gauraud, relative à la situation des
enfants
arriérés ou anormaux à l'étranger, et dont les
on article 4, que « l'instruction primaire est obligatoire pour les
enfants
des deux sexes âgés de six 438 varia. ans rév
r public ne peut accepter ni encore moins garder dans sa classe des
enfants
incapables de prendre part aux exercices scolai
ons s'imposent dans l'intérêt de l'immense populalion nor- male des
enfants
de nos écoles. Mais ce n'est pas envers celle-l
alable, à faire le recensement, aussi rigou- reux que possible, des
enfants
qui ont droit à une de ces éduca- tions spécial
complète de la loi du 28 mars 1882, qui doit s'appliquer à tous les
enfants
, dans la mesure du possible. Or, comme la très
cle imposant aux départements la création d'asiles- écoles pour les
enfants
anormaux au point de vue intellectuel et moral
ant un essai prolongé du traitement médico- pédagogique déclarer un
enfant
incurable. 442 " VARIA. Certificats d'Aliénat
t, Mme Gaillard, de Honquerolles, avait nais au monde en cadette un
enfant
que l'on trouva mort étouffé dans un linge. Cette
eize mois, à parler à quinze mois et fut propre de bonne heure. L'
enfant
contracta la rougeole à cinq ans et n'eut pas d'a
enta l'école des Soeurs de Broglie de cinq à douze ans, c'était une
enfant
peu intelligente ayant de la difficulté à appre
eux. Une tante paternelle, morte on ne sait de quoi, aurait eu deux
enfants
bien portants. Deux oncles et une tante ma- ler
cc2cr, bien portants, sobres, n'ont pas eu de con- vulsions ; leurs
enfants
, six garçons et deux filles, sont en bonne sant
mbreux excès de boisson, les deux autres sont mariés et comme leurs
enfants
sont bien portants. Quatre sce7crs : l'une mari
urs enfants sont bien portants. Quatre sce7crs : l'une mariée, sans
enfants
, est morte usée par la bois- son ; les trois au
s autres sont bien portantes, sobres, et deux d'entre elles ont des
enfants
également sains; de ces trois soeurs vivantes,
s (près de Lannion), qu'elle a quitté à dix-neuf ans, elle a quatre
enfants
bien imbécillité, hémiplégie gauche, épilepsie.
tes-du- Nord, mais de communes différentes. Égalité d'âge. Quatre
enfants
: 1° garçon mort du croup à un an, pas de con-
Pas d'as- phyxie à la naissance, pas de circulaire autour du cou. L'
enfant
semblait bien portant et pesait cinq livres et
nts sur la date de la fermeture des ' fontanelles. A onze mois, l'
enfant
, qui jusque-là était absolument normal, eut des
évacuations involontaires. Après ces trois jours de convulsions, l'
enfant
resta paralysé du côté gauche; c'est quatre à cin
cher qu'à cinq ans. Avant les convul- sions, le père répète que son
enfant
était intelligent, prononçait quelques mots tel
es. En ce qui concerne les accès diurnes, pas d'aura, pas de cri; l'
enfant
ne tombait pas, mais s'appuyait seulement sur c
te. Ni miction, ni défécation involontaires. A la fin de l'accès, l'
enfant
parfois « rigolait », sou- riait, d'autres fois
crise passée, il redevenait tel qu'auparavant. Le caractère de l'
enfant
est très doux. Pas d'accès de colère. Pas de ma
Pas de turbulence. Les fonctions diges- tives sont normales, mais l'
enfant
bave en mangeant; pas de cons- tipation ni de d
La sensibilité géné- rale est normale. Au point de vue sensoriel, l'
enfant
verrait moins bien de l'oeil gauche; mais aucun
nations ni de folie. Les senti- ments affectifs sont développés : l'
enfant
est obligeant, et aime bien son père et ses frè
, pas de somnambulisme. Très peu de mémoire, pas de raisonnement. L'
enfant
est allé à l'école de sept à quatorze ans. il n
mouvements spontanés y sont trop insuffisants pour permettre à l'
enfant
de s'en servir utilement. La sensibilité y est di
fait pres- que en équinisme, le talon touchant à peine la terre. L'
enfant
couit rarement, et le saut lui est difficile (F
ose à signaler. Les fonc- tions digestives s'accomplissent bien ; l'
enfant
a bon appétit, il pré- fère le lait au vin, dig
gauche. Intelligence très peu développée. Parole naturelle, mais l'
enfant
ne fait que répondre aux questions qui lui' son
: ni accès ni vertige. Juin. - Un accès, un vertige. 12, juin, l'
enfant
est revacciné avec succès. Le caractère de l'en
ge. 12, juin, l'enfant est revacciné avec succès. Le caractère de l'
enfant
est sombre, doux et timide; il se borne à répon
nt surtout la nuit. On en compte 27 du 14octobre au 23.. Le 23, l'
enfant
qui en a eu plusieurs dans son dortoir, est trans
es. De 9 heures à 2 heures de l'après-midi, ni accès ni vertige ; l'
enfant
dort, de 10 heures à midi, la tempéra- ture à c
t, de 37°,9, un quart d'heure après, de 37°8 deux heures après. L'
enfant
sent venir les crises : « Cela va me reprendre, d
te, la face est congestionnée. Presqu'aussitôt l'ac- cès terminé, l'
enfant
pâlit. Pendant les accès, il conserve son entiè
rite d'amyle. Un peu après 5 heures, huitième accès ; subitement, l'
enfant
se congestionne, le cou et les oreilles sont d'
sance. Brusquement, le visage pâlit, les membres s'allongent, et l'
enfant
rend le dernier soupir à 5 h. 20 du soir. 470 R
médiocre, indifférence pour tout le monde. La volonté est faible, l'
enfant
se laisse guider avec docilité. Il sait syllabe
- septiques ordinaires, et peuvent y succomber. C'est le cas de l'
enfant
dont nous venons de relater l'histoire. Mais,
t, pendant le sommeil, des rêves pénibles et des cauchemars. Chez l'
enfant
de l'agitation sans but et des phénomènes moteurs
e 1.110n. 15 décembre 1903). La première observation est celle d'un
enfant
de 5 ans qui pré- senta des mouvements choréiqu
r avec intérêt. Observation. Femme de cinquante-huit ans. A eu cinq
enfants
dont trois sont morts : deux très jeunes et un
é, collé à cette toge protectrice comme un 822 2 - VARIA. , petit
enfant
à la jupe de sa mère. Ceux qui avaient maintenu l
DIÈTE. Voir Epilepsie. Difformité congénitale observée chez un
enfant
de cinq ans, 394. DiPLÉGiE. Sur la faciale péri
l'- et de quelques-unes de bes parties chez le nourrisson et les
enfants
plus âgés, par Pfister, 399. Entants Anormaux
uence de l'état mental des parents sur la formation du - de leurs
enfants
, par Lltlsens, 334. Sinus. Voir 1'/¿1'ombose.
mélancoliques, par Dubois, il ? dysarthriques permanents chez un
enfant
épileptique. par De- croby, 418. - intellectuel
ue. Elle sera la base de croyances nouvelles germant librement dans l’
enfant
protégé. Elle fondera la morale future. Que ceu
i je me suis appliqué systématiquement à soigner par l’hypnotisme des
enfants
voleurs, onanistes, vicieux, menteurs, paresseux
j’ai soigné une jeune fille qui avait été adoptée par un ménage sans
enfants
et à laquelle une belle situation était réservée
impose des suggestions efficaces. Les TROUBLES DE LA PAROLE CHEZ L’
ENFANT
, par G.-L. DUPRAT, Mail. g&iièi'. de ilnstr
es physiologiques ou d’innervations musculaires mal coordonnés. Les
enfants
qui bégayent sont, en général, des névropathes; i
arynx, du palais, de la bouche, des lèvres, etc. a L’idée vient à l’
enfant
de prononcer un mot; immédiatement, la représenta
ur lui, le traitement consiste dans les points suivants : persuader l’
enfant
de la vanité des obstacles qu’il imagine; l'oblig
ant le sommeil naturel. M. Pau de Saint-Martin. —J’eus à soigner un
enfant
à la fois vicieux, paresseux et arriéré. Les pare
a technique. Le traitement fut assez long, mais je parvins à guérir l'
enfant
de ses vices. Par surcroit, comme le fait a été d
ppelle qu'à l'une de nos dernières séances, j’ai rapporté le cas d’un
enfant
atteint d’incontinence d’urine et guéri, lui auss
e mon administration, que je plongerai dans la misère ma femme et mes
enfants
, que je finirai à Sainte-Anne..., je vais quand m
abord prophylactique; il réclame l'cntrainemcnt physique et moral des
enfants
nerveux. Quand la chorée est confirmée, on doit s
Qu’allait-il se passer? On ne le sut que trop vite. Le père plongea l’
enfant
sous l’eau et l’y maintint jusqu’à ce qu’il fût a
ecticux, Th. de Paris, 1900. Beyrand. — Les terreurs nocturnes de l’
enfant
, Th. de Paris, 1900 Kllle. — Du sommeil et de s
aulleà la . Salpêtrière où il dirigeencore aujourd’hui le service des
enfants
arriérés et celui des épileptiques. Il est eu out
rtout, qui utilise l'hypnotisme moralisateur pour le redressement des
enfants
réfractai res à l’éducation normale et pour l'édu
l'incontinence d’urine, l’hypnotisme en obstétrique, l’éducation des
enfants
et des adolescents, les degrés du sommeil provoqu
urs résultats. M"*" L... est une veuve de trente-cinq ans avec deux
enfants
auxquels elle est profondément attachée; mais qu’
ois mois chez des amis. Après ce temps on lui permit de rejoindre ses
enfants
et depuis elle n’a pas eu de rechute. M. D... e
« Si l’on veut entrer dans celle voie, ¡1 est logique de mettre les
enfants
en garde contre toute espèce de suggestion qui n'
suggestion religieuse qu'il est indispensable de faire connaître aux
enfants
et aux adolescents, c’est, d’une façon plus génér
. Au demeurant peu importe. Il ne s’agit pas de faire, devant les
enfants
et les adolescents, le procès de telle ou telle r
t en toute indépendance. C’est ce qui n'a pas lieu actuellement, où l’
enfant
, que la société a le droit et le devoir de protég
e mon administration, que je plongerai dans la misère ma femme et mes
enfants
, que je finirai à Sainte-Anne..., je vais quand m
igieuses, qu’à ceux qui se trouvent hors d'état de les partager. Un
enfant
, un primitif, un animal, pensent que tous les obj
s’est montré inconvenant en traversant le salon, a dû être fessé. Les
enfants
causent fréquemment avec des êtres imaginaires, a
cêtre faisait lui-même les demandes et les réponses, comme le fait un
enfant
en conversation avec sa poupée, comme de grandes
’hypnotisme. Il dirige actuellement, à la Salpètrière, le Service des
Enfants
arriérés et des épileptiques. Il est connu par sc
tifique, en appliquant, par exemple, l’hypnotisme au redressement des
enfants
réfrac-taires à l'éducation normale et à l’éducat
a eu des rapports sexuels fréquents et surtout une femme qui a eu des
enfants
, puisse en avoir de nouveaux sans en conserve
La femme d'un aubergiste, mariée depuis seize ans, et mère de trois
enfants
, après une nuit blanche pendant laquelle elle s’é
ans : j’étais chez une jeune fille qui m’en imposait beaucoup, à moi,
enfant
. Je la vis peser les petits pains qu’on venait d’
oformisations ; vous savez que toujours, excepté chez les tout jeunes
enfants
, il survient une période d’agitation très viv ',
était maniaque, sa mère était égoïste, ne s’occupant pas même de son
enfant
(les égoïstes se rapprochent des persécutés— Elle
e danger : ni elle-même, ni ceux qui l'entourent. Elle défend à ses
enfants
de toucher tout instrument tranchant. Quand ils é
ettre, s’assurait qu’autour d’elle il n’y avait pas de couteau. Son
enfant
dort paisiblement ; elle se relève, va le voir et
ette viande c’est de la chair humaine, et en particulier celle de son
enfant
, dont elle se représente le cœur, le foie, l'inte
l'hôpital, parce que a le petit était avec elle ». La présence de son
enfant
, qui lui promet de ne pas la laisser toucher à qu
semblable. L’imitation est surtout intense chez les animaux et les
enfants
; elle peut en effet se produire sans exiger la f
e l’idiot, répète les sons et les paroles qu’il entend. Chez certains
enfants
, la puissance d’imitation est très intense. On
ains enfants, la puissance d’imitation est très intense. On a vu un
enfant
de huit ans, étrangler son jeune frère, pour fair
polichinelle (Prosper Lucas). D’autres se réunissent, pour pendre un
enfant
après avoir assisté à cet acte juridique. Mêmes
directement adressées. Cette pratique réussit merveilleusement chez l’
enfant
. On ne pense jamais assez combien l’enfant écoute
it merveilleusement chez l’enfant. On ne pense jamais assez combien l’
enfant
écoute les conversations et en fait son profit.
vous signaler les heureux résultats obtenus par l’hypnotisme chez nos
enfants
des écoles de la ville de Paris. Nombre d’entre
le suivante : M. Ccstan, d’abord, fait voir des objets avalés par des
enfants
et que l’on a découverts dans leurs organes, au m
s. Les arriérées de M. Voisin Une cour encore ; vide : une cour d’
enfants
. — Vous ne verrez pas la droite de mon service,
arrête et donne des explications très intéressantes sur son service d’
enfants
ou d'adultes retardées. Les moins inintelligentes
rien vu ! Nous sommes maintenant dans une cour toute occupée pur des
enfants
, assises, les unes ù l’ombre d’un mur, en une lon
ue aux membres du Congrès le cas de quelques-unes de ces malheureuses
enfants
. Nous ne pouvons reproduire tous ces détails. Sig
le service du docteur Voisin. Nous traversons de hauts dortoirs. Des
enfants
sont étendus dans des lits peints en vert. Voici
l détourne obstinément la tète. Dans une cour, on a rangé une foule d’
enfants
vêtus du costume bleu, un peu ardoisé, de l’hôpit
utres vagues, endormis, torpides. Et tout au bout, dans un fauteuil d’
enfant
, une malheureuse petite ligure enragée, qui s
balance furieusement, et qui se rejette en haut et en arrière. Ces
enfants
qu’on soigne, on prend soin, aussi de les relever
urs. Je ne veux citer qu'un trait de cette méthode. On donne à chaque
enfant
une autre enfant, moins âgée qu'elle, et qui devi
iter qu'un trait de cette méthode. On donne à chaque enfant une autre
enfant
, moins âgée qu'elle, et qui devient sa fille. Cel
de sa fille. Elle va la chercher, sans hésiter, au milieu des autres
enfants
. La visite est finie. Il est midi. Que l’on ne
visions. Après avoir \isité une maison de santé, il eut peur comme un
enfant
et des hallucinations perpétuelles vinrent l’obsé
t dans la boite. Puis le dévoué Jip, d’un bond, court à l'hôpital des
Enfants
rapporter le témoignage hebdomadaire de son intel
decin à la Salpétrière, fera une conférence sur : La psychologie de l’
enfant
arriéré. [Les idiots, les imbéciles et les épilep
dis à cinq heures, à partir du samedi 2.9 janvier. Psychologie de l’
enfant
. M. le Dr Bellemamêre, professeur. Objet du c
opédie mentale, pédagogie suggestive, etc.) ■\° La psychologie de l’
enfant
. 5° La psychologie do l’homme anormal. C° La
ychologie normale et pathologique : Dr Paul Farez. Psychologie de l'
enfant
: Dr Bellemaniêre. Psychologie du criminel : Dr
a suite ; mais durant toute son évolution, la croyance à la mort de l'
enfant
persista et plus tard, lorsque la lucidité revint
0 ans 1/2; toujours bien jusqu'à son mariage.— Se marie à 18 ans. — 2
enfants
morts de méningite, l’un à 4 ans, l'autre à 8 ans
maire, il a appris à lire, à écrire, à compter et a acquis, comme les
enfants
de son âge et de son milieu, des notions élémenta
ont réveillés manifestement dans l’ordre où ils se développent chez l’
enfant
, avec rapidité (moins d’un mois), mais successive
is à cinq heures, à partir du mercredi 23 janvier. Psychologie de l’
enfant
. M. le Dr Bellemaniêre, professeur. Objet du
on (427-348 av. J.), est un animal qui désire ardemment engendrer des
enfants
. Lorsqu’il reste longtemps stérile après l'époque
l nous a donnés; je n’ai pas eu d’émotion dans les soins à donner à l'
enfant
pendant une crise qu’il a eue le 2 décembre, gran
ns le cas actuel, notre homme a eu une très grosse émotion. Son petit
enfant
était malade et il l’a veillé pendant huit ou dix
it les notes et le texte. Affection articulaire hystérique chez une
enfant
, par M. L.-P. Alexandroff, Vratch, 1809, p. GI5.
L. Balmet. Délicieux conte en vers, improvisé par un père pour ses
enfants
, au cours de ses habituelles promenades à travers
lles promenades à travers champs ; poème touchant et aimable dont les
enfants
, petits et grands, apprécieront tout le charme. (
considéré. Il en résulte qu'une cellule quelconque dans un corps d’
enfant
est plus près du premier état cellulaire, de l’ét
d sur l'homme dans le mouvement d’évolution, et qu'elle ressemble à l’
enfant
à divers titres. Or, de même qu’il existe des p
tant. Ainsi s’explique que l’hystérie soit surtout fréquente chez l’
enfant
, chez l’adolescent et chez la femme, et que souve
e. Ce sont, dit-elle, des soubresauts, des spasmes; c’est comme si un
enfant
me remuait dans le ventre ; j’éprouve une irritat
is par être vaincue : une impulsion violente entraine ma main, tel un
enfant
qui, pris d’une rage de dents, s’enfonce les doig
r. Paralysie de nature hystérique des membres inférieurs chez une
enfant
de dix ans, par M. AUSSET, Société centrale de mé
médecine du département du Nord, 23 mars 1000. II y a un an, cette
enfant
s'est trouvée en contact avec uno folle et elle e
taiion, obtenir le retour à la moyenne, c’est-à-dire procréer des
enfants
normaux et ne présentant aucun stigmate de dégéné
strons la création à Chicago d'un département intitulé : o Etude de l’
enfant
et recherches pédagogiques b, qui a pour mission
vision ; depuis on a étendu le champ des recherches. Le nombre des
enfants
examinés jusqu’ici est de 5.631» ; les résultats
qu’il y a une relation entre l’état -physique et la précocité chez l’
enfant
. Les enfants peu intelligents sont plus légers et
ne relation entre l’état -physique et la précocité chez l’enfant. Les
enfants
peu intelligents sont plus légers et les enfants
é chez l’enfant. Les enfants peu intelligents sont plus légers et les
enfants
précoces plus lourds que l’enfant moyen, et la mé
telligents sont plus légers et les enfants précoces plus lourds que l’
enfant
moyen, et la médiocrité de l’esprit est associée
rovoquer une grossesse. Elle était accouchée laborieusement d’un gros
enfant
et depuis n’avait pu jamais reprendre la vie conj
apable d’éveiller les sensations de cette jeune femme. 11 n'y a pas d'
enfants
. Quand je vis la malade pour la première fois,
ndifférents car ils ne sont pas sûrs de mettre eux-mêmes au monde des
enfants
dont ils auront préparé la naissance. Lorsque G
dre, ou encore la préoccupation que l’acte ne rejaillisse pas sur les
enfants
, sur la famille. J’ai connu un cas semblable :
on, cette femme était seulement faible, anémique, ayant eu beaucoup d’
enfants
(sept, plus deux fausses-couches), beaucoup de pe
s et couturière depuis six ans, depuis qu'elle est veuve, a eu quatre
enfants
, tous morts au cours de la dentition. Elle a,
ique usitée en Corrèze pour guérir l’hypertrophie de la rate chez les
enfants
est bien connue. Le sorcier forgeron étend l’en
rate chez les enfants est bien connue. Le sorcier forgeron étend l’
enfant
sur l’enclume et frappe violemment celte dernière
iolemment celte dernière avec le marteau, puis il feint d’atteindre l’
enfant
, mais il s’arrête net au-dessus du ventre. Cette
REVUE DE LA PRESSE ÉTRANGÈRE La peur comme cause de mort chez les
enfants
atteints de brûlures légères, parM. E. CiOFFi.iîi
tteinte ; mais cette règle souffre des exceptions, notamment chez les
enfants
en bas âge qu’il n'est pas rare de voir succomber
six observations cliniques des plus concluantes. Elles concernent des
enfants
âgés de un à sept ans, jusque-là bien portants ma
réservé dans le pronostic des brûlures, même superficielles, chez les
enfants
nerveux. En pareil cas, le médecin doit prendre e
es phases de la méthode hypno-pédagogique appliquée au traitement des
enfants
vicieux et anormaux, ainsi qu’un certain nombre d
ement. Une vitrine renferme un certain nombre d’objets concernant les
enfants
,et empruntés au Musée psychologique. Parmi ces ob
honie rebelle ; p. 315. Articulaire (Affection) hystérique chez une
enfant
, p. 286. Astasie-abasie consécutive à une pseud
e hystérique, par Audry, p. 313, Parole (Les troubles de la) chez l’
enfant
, par Duprat, p. 29. Pédagogique (Psychologie),
s animaux, par Lépinay, p. 346. Peur comme cause de mort chez les
enfants
atteints de brûlures légères, par Cioffi, p. 376.
liente, fait l'accouchement (au bout de deux heures), emmaillotte l'
enfant
, pra- tique la délivrance, etc., le tout avec l
ervation XII. S..., vingt-sept ans, arpenteur. Persécuté dangereux.
Enfant
naturel. A dix ans, chute sur la tête qui laisse
itales étaient peu développées déjà à l'époque de la naissance de l'
enfant
, mais il est certain que, durant les quatorze m
lacité. - Idées de moquerie. - Actes de violences envers les autres
enfants
. Mise en correction. Tremblement léger des main
n portant. Un grand- père serait devenu fou au dire de la mère de l'
enfant
. Pas d'au- tres aliénés, pas d'épileptiques, et
pileptiques, etc., dans la famille.] Pas de con- sanguinité. Sept
enfants
: 1° garçon, né avant terme (forceps), mort à d
été mal lié, et qui s'est produite une heure après la délivrance. L'
enfant
a été élevé au sein par sa mère jusqu'à neuf mo
le, mais il rentrait deux heures après. A dix ans, il fut placé aux
enfants
de troupe à Argentan. Il y resta onze mois. Au
, lorsqu'il avait été sale, on le faisait déshabiller et les autres
enfants
allaient, sur l'ordre de leur gar- dien, lui do
nvier 1881, il fut chassé de la caserne parce qu'il avait battu des
enfants
de quatre à six ans, il les bousculait sans motif
es et d'où il fut rendu, parce qu'il s'était masturbé avec d'autres
enfants
. Ensuite, il entra en correction à la petite Ro
48. 1881. Six jours après son entrée, il a été pris masturbant un
enfant
: envoyé vingt-quatre heures à la Sûreté'. 11 est
juillet : poids, 44 kil. 85 ; taille, 1m,50. , 4 or octobre. - L'
enfant
avoue avoir eu des rapports n posteriori avec u
nvoyé il y a quatre jours pour sodomie exercée sur plusieurs autres
enfants
de la section. L'enfant pré- tend que ces rappo
pour sodomie exercée sur plusieurs autres enfants de la section. L'
enfant
pré- tend que ces rapports n'ont eu lieu pour l
embre. Certainement ils ont dû être commis déjà aupara- vant, car l'
enfant
présente à la région anale une exulcération de
arçon, rentrant de permission, se déshabillait au dortoir lorsque l'
enfant
revint des cabinets ; il le prit à bras le corp
r sortit sa verge et l'embrassa. Cet individu donnait à C... et aux
enfants
, du chocolat, du fromage, des fruits, etc. C...,
'il n'a pas dénoncé la première tentative, l'infirmier menaçant les
enfants
de les battre s'ils en parlaient. 13 octobre.
la masturbation. 13. - Il continue à attirer près de lui les autres
enfants
, les embrasse, et cherche à les toucher et à se
l est insolent, méchant, se mêle à toutes les discussions entre les
enfants
. - A l'école, il est dans la première classe, mai
rier. La bouche va mieux. A la suite de masturbations énergiques, l'
enfant
a été pris d'une balano-posthite intense, avec
e. 28. La balano-posthite est guérie. Hier C... a volé à un autre
enfant
une tablette de chocolat et bien qu'on en trouve
e cellules et par manque de places à la Sûreté pour avoir battu des
enfants
plus jeunes que lui. Selon son habitude, Court.
ment général. 3 avril. - On l'a pris la main dans la braguette d'un
enfant
. On l'interroge et il répond qu'il demande à pa
répond qu'il demande à passer aux adultes, qu'il ne peut rester aux
enfants
et qu'avec eux rc il ne pense qu'à ça ». Depuis
blement des paupières. 21 juillet. - Il est souvent brutal avec les
enfants
, surtout à la gymnastique où il est moniteur. H
, surtout à la gymnastique où il est moniteur. Hier il a bousculé l'
enfant
Carl... qui ne voulait pas se mettre en rang. L
ng. Les impulsions génitales ont diminué. Il ne met plus les autres
enfants
sur ses genoux pour s'entre-masturber. Parfois
e il lui arrive d'embrasser, en le mordant légèrement à la nuque, l'
enfant
Leu... Lorsqu'il bruta- lise les autres, ceux-c
s gastrique avec courbature. 14 décembre. - Il y a quatre jours les
enfants
étant réunis au gymnase le soir, à une séance d
gymnase le soir, à une séance de lanterne magique, C... a attiré l'
enfant
Leu..., l'a embrassé, l'a masturbé et s'est fait
et s'est fait masturber par lui. Il continue à embrasser les autres
enfants
. Il assure ne pas avoir de rapports sodomiques
es, il continue à venir tra- vailler à l'atelier de cordonnerie des
enfants
. Le 5 avril il quitte son atelier dans l'après-
elques jours, il a fait des propositions du même genre à un autre
enfant
. Ces impulsions génésiques ne s'étaient pas manif
s depuis longtemps. Il cherche le plus possible à rester avec les
enfants
; mais il ne se précipite plus sur eux comme autre
» Pourtant sa mère nous dit qu'il embrasse toujours violemment les
enfants
. Sa mère se décida à l'envoyer à l'Orphelinat d
! Le directeur en avait fait un moniteur, et lui avait confié vingt
enfants
, il s'est fait masturber par trois ou quatre d'en
oir pas essayé de se livrer sur eux, à des actes de pédérastie. Les
enfants
questionnés ont fait des aveux, et il a été ren
Il se . Il est difficile de faire comprendre aux parents que leurs
enfants
, étant des malades, sont au-dessous des apparen
ier les voisins; ou bien il s'assied sur le trottoir, rassemble des
enfants
autour de lui. Il nie ce fait, et nous assure ne
ur de lui. Il nie ce fait, et nous assure ne s'être porté sur aucun
enfant
à des « actes malpropres », mais il aime toujou
ivrer à des actes de pédérastie, ni de se faire mas- turber par des
enfants
. Il va souvent avec des femmes « pour trente so
t que son intelligence n'était pas aussi développée que celle des
enfants
de son âge. Il apprit difficilement à lire et à é
mpte qu'il était malade. Il en fut de même d'ail- leurs à l'Ecole d'
enfants
de troupes où l'on attribuait son incontinence
ins de ces établissements exami- naient avec soin cette catégorie d'
enfants
, ils s'apercevraient bien vite qu'ils ont affai
oir des rapports avec des petites filles, puis il excita les autres
enfants
à se livrer à la masturbation personnelle ou ré
ent vio- lentes. Alors il cherchait sans cesse à attirer les autres
enfants
vers lui, à les toucher, à se faire toucher, à
contours abstraits. Livre des plus clairs. P. KEIIA VAL. IV. Les
enfants
criminels. {Élude sur la criminalité humaine, ses
cation qui est destinée à jouer un rôle énorme dans la question des
enfants
criminels. 11 aborde ensuite, dans lesecond cha
les alcooliques, les épileptiques, les idiots, les imbéciles et les
enfants
criminels. L'état psychique de ces ma- nifestat
t directrice des centres supérieurs. Le problème de l'éducation des
enfants
criminels se trouve donc nettement formulé : po
nit cette première partie du travail entrepris par M. Drill sur les
enfants
criminels. L'étude consciencieuse à laquelle il s
r l'épilepsie, l'hystérie et l'idiolie. Compte rendu du service des
enfants
de Bicêtre pour 1888. In-S° de w.vu-80 pages. (
ue nous avons en vue. OUS6SV.\TION I. - Reb..., 1874-I88C, est un
enfant
qui à l'âge de dix ans ne pouvait ni marcher,,
ilden (cent. III, obs. XXI, édit. 1641) rapporte l'observation d'un
enfant
, qui jusqu'à l'âge de dix ans, avait fait preuv
e. On doit trouver bon nombre de cas semblables dans les asiles d'
enfants
arriérés ou idiots : peut-être n'en ai-je pas m
moi-même rencontré plus souvent, parce que la majeure partie de ces
enfants
n'arrive pas à l'âge adulte, à l'âge de la foli
fants n'arrive pas à l'âge adulte, à l'âge de la folie. Cependant l'
enfant
dont parle Fabrice de llilden, vécut jusqu'à qu
'idées il faut citer les chan- gements d'humeur et de caractère. Un
enfant
studieux et discipliné recul à l'école un coup
II, p. 359, [noté) trad. Bayle.) Par contre, l'un des blessés 'Un
enfant
, âgé de quinze ans, donnait également peu d'espér
n5. VII : c.r, Casn al) alto surdilas seeula.. 2 On sait qu'Urnla
enfant
(il avait huit ans), la suite d'une violente et
conque agit différemment sur le crâne de l'adulte et sur celui de l'
enfant
. Dans l'enfance, les os, et parti- culièrement
l faut bien en outre que les chutes soient moins dangereuses pour l'
enfant
, car c'est à cet âge qu'elles sont les plus fré
tral. Goodhart publia l'observation d'un cas de myxoedème chez un
enfant
; il émit l'opinion que l'altération mentale chez
e peut être employé à ce titre. Il y a toutefois exception pour les
enfants
qui le sup- portent facilement et chez lesquels
demi-heure d'inter- valle ; parfois une dose faible suffit, chez l'
enfant
le sommeil peut être obtenu avec 0gr 50. Chez l
ement (voir Congrès de l'hypno- tisme, séance du 9 août, soir). Les
enfants
à la mamelle eux- mêmes comprennent qu'on veut
loie à combattre la plupart des symptômes et même à mora- liser des
enfants
dégénérés et vicieux. La pratique est souvent A
ations DE la SUGGESTION A LA PÉDIATRIE ET A L'ÉDUCATION MENTALE DES
ENFANTS
VICIEUX ET dégénérés et conclut ainsi : 1° la s
chement pen- dant l'hypnose, qui peut favoriser des substitutions d'
enfant
, les faux témoignages suggérés, etc., etc.. M
. Brouardel appelle l'attention sur l'INFANTILISME ou féminisme DES
enfants
DES grands CENTRES (Paris, Lyon, etc.). A ce prop
A ce propos, M. BÉRILLON rappelle qu'il a traité un grand nombre d'
enfants
vi- cieux ou dégénérés par la suggestion et qu'
onstamment obligatoire. Le paragraphe 64 dispose que, de même que l'
enfant
, toute per- sonne qui ne jouit pas de l'usage d
au moment de la visite du sous-préfet trois aliénés. L'un d'eux, un
enfant
, s'y trou- vait depuis près d'une année. Le rap
rapport du sous-préfet au préfet s'exprime ainsi relativement à cet
enfant
: « A..., entré le 21 mai 1888, enfant de huit
ime ainsi relativement à cet enfant : « A..., entré le 21 mai 1888,
enfant
de huit à neuf ans, idiot et épilep- tique, qui
de régime dans leurs comptes rendus. R. M. C. De l'admission DES
enfants
IDIOTS ET imbéciles dans LES asiles d'aliénés;
s dans les asiles d'Angleterre, est que, pour diverses raisons, les
enfants
atteints d'idiotie ou d'imbécillité ne doivent
fection rigoureuse de tous les objets ayant servi aux malades. Les.
enfants
habitant les maisons où existent des cas de mén
r l'epilepsie, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des
enfants
de Bicêtre pour 1888. In-8 de xLviii-80 pages (t.
de ce moment que le niveau intellectuel baisse; il est devenu très
enfant
; il est docile, mais très mobile, pleurant et r
d'excès alcooliques; il n'est pas sujet aux migraines. Il a trois
enfants
bien constitués, sa femme n'a pas fait de fausses
époque. Au bout de la première année, elle accouche à terme d'un
enfant
qui meurt au bout de trois semaines (sans éruptio
nes (sans éruptions). La seconde année, elle accouche à terme' d'un
enfant
bien portant, qui meurt d'étranglement herniair
ces- sion rapide de couches malheureuses, dont la mort du dernier
enfant
a été l'épisode ultime, comme la cause occasion
z le nou- veau-né, où elle a presque un aspect laiteux, et chez l'
enfant
. Pourtant ce que nous observons ici c'est un as
on a constaté des adhérences assez nombreuses. Observation II. L'
enfant
Enderl., 1881-1886 présentait ce fait rare, d'a
les noyaux des cellules sont-ils un peu plus abondants que chez un
enfant
sain du mime âge. La seconde couche, celle des
de ramollissement, petits et multiples, peuvent se présenter chez l'
enfant
. Dans le cas suivant, il s'agit d'un enfant de
ent se présenter chez l'enfant. Dans le cas suivant, il s'agit d'un
enfant
de trois ans, Porte ? atteint de premières conv
72, 1873, t874, 1875. 'Parrot. Ramollissement encéphalique chez les
enfants
. - Ar- chives de physiologie, 1873. Hutinet.
e, r p. 51, 1885. Richardière. - Sclérose de l'encéphale chez les
enfants
. Thèse Paris, 1885. Marie. - Sclérose infanti
il ait été publié un grand nombre d'observations sur l'hystérie des
enfants
mâles, et que ce cha- pitre de pathologie soit
d'hui tous les deux ou trois mois. Assez nerveux ; bon caractère...
Enfant
naturel. Pas de maladie de peau, pas de trace d
morte vers soixante-cinq ans, domestique dans un château. A eu son
enfant
vers trente ans alors que son maître, le père,
ille. - pas de consanguinité. )mga- lité d'âge de 5 ans.] - Douze
enfants
: 1° Garçon de vingt-huit ans ; pas de convulsion
huit ans ; pas de convulsions, intelligent ; géologue. Marié, pas d'
enfants
; très rangé; 2° Fille, vingt-cinq ans, pas de c
graines ; intelligente; - - 10 Fille, morte à vingt et un mois, aux
Enfants
assistés ; - 8° Moire malade; - 9° Fille, douze
ccouchement à terme, naturel, sans chloroforme. A la naissance, bel
enfant
, pas d'asphyxie. Elevé au sein par sa mère, sevré
ence qu'on eut quelque peine à empêcher. La mère et ses deux autres
enfants
âgés de sept il huit ans ont prêté secours au m
sans attaque à 10 h. 50 et parait étonné. 27 août. - A 9 h. 21 l'
enfant
, qui était assis, se lève et tombe la face cont
ingt-quatre heures pour un adulte, et de 3 à 6 milligrammes pour un
enfant
. On peut aug- menter la dose chez l'adulte au b
ultés sont surmontables dans l'intérêt justement de la société, des
enfants
, de la famille, de la nation, à la condition qu
TES. 463 Chez les imbéciles. il a fait examiner de concert avec des
enfants
normaux, l'étendue de leur voix, sa justesse le
daient aucune aptitude. Or, comparativement, on rencontre, chez des
enfants
normaux de 7 à 13 ans, soixante pour cent des é
procédés d'en- seignements de ce genre et que plus de la moitié des
enfants
, pris comme termes de comparaison en font parti
, dix-neuf n'ont fait preuve d'aucune aptitude. On comprend que les
enfants
normaux de deux à quatre ans n'aient pu être co
nt artistique qui existe chez eux. Et d'ail- leurs remarquons que l'
enfant
normal manifeste dès l'âge de trois mois des se
sentimenls de satisfaction quand il entend de la musique, certains
enfants
d'un an-reliennent des mélodies. Quelques mam-
ompris dans la 2° classe). Accroissement DE la criminalité chez LES
enfants
mineurs. Il résulte d'un travail de M. Henry Jo
études sur le système nerveux central, par Obersteiner, (159; les
enfants
cri- mmels. par Drill, 160 ; - les cri- minel
omme), par nouvrier, Lombroso, 291 ; aug- mentation des- chez les
enfants
mineurs, 458. Délire (origine psycho-motrice
che plus fortement et puis je dus la prendre par la taille, car cette
enfant
devient très forte dans certains moments. La cham
eur, une clinique ophtalmologique, une consultation spéciale pour les
enfants
, une consultation pour les maladies cutanées et v
nsultation un jeune garçon de 16 ans, A. D..., en nous disant que cet
enfant
ne peut plus parler ; il prononce à peine quelque
ts sur sa santé. La mère, qui vit encore, a 37 ans, elle a eu trois
enfants
dont l'aîné est notre malade, le second est mort
on me le ramena huit jours après, le résultat avait été excellent ; l'
enfant
n'avait pas mouillé son lit pendant les deux nuit
lle a eu quelquefois des faiblesses. Le 13 janvier 1890, elle vitun
enfant
tomber d'épilepsie et en éprouva un violent saisi
mier jour elle fit une route de soixante kilomètres pour chercher son
enfant
. Délire des persécutions avec hallucinations, qui
e édition. Il s'agit ici de la représentation dramatique du rôle de l'
enfant
par une somnambule âgée, qui, d'après l'affirmati
ussi à l'orthographe. Le reste de la représentation dramatique « de l'
enfant
» par la somnambule indique, d'après Krafft-Ebing
on clinique. II suggère aussi avec succès à une patiente, l'état d'un
enfant
de 7 ans, mais il ne peut se prononcer pour les c
nt d'une façon dramatique aussi complète d'autres rôles que ceux d'un
enfant
. Tandis que, comme nous l'avons déjà indiqué, l
t des recherches étendues sur la fréquence de I'onychophagie chez les
enfants
et les dégénérés ; il a pu, par le moyen de la th
xes. Pedagogie intensive. On montre en public, à Berlin, un petit
enfant
âgé à peine de deux ans révolus qui lit assez cou
généralement professée. Si on lui donne un certain nombre de mots, l'
enfant
les arrange pour en faire une phrase qu'il dit en
une voix et une prononciation qui ne sont pas autres que celles d'un
enfant
de son âge. NOUVELLES Enseignement de l'hypno
cas de léthargie. — A Congosto, province de Léon (Espagne), une jeune
enfant
de 11 ans est récemment demeurée pendant cinquant
glée à 10 ans et demi, sans accident. Mariée à 16 ans, elle a eu neuf
enfants
à terme (dont quatre encore vivants) et trois fau
eut! » Louise G..., affolée de terreur, saisit dans ses bras ses deux
enfants
, et, tout en chemise, elle descendit dans la rue.
oter, à allaiter une poupée qu'on lui avait donnée, à la place de son
enfant
. Ses crises étaient de grandes crises convulsives
la poupée avec laquelle elle s'amusait précédemment. Elle réclama son
enfant
; elle reprit conscience. A partir de ce moment,
te voiture. Sur le banc, à son côté, était assis le plus jeune de ses
enfants
. Le cheval trottait sans précipitation, sur le bo
heurt, plus violent que les autres, de la roue contre le trottoir, l'
enfant
, projeté en avant, disparait entre le cheval et l
u'à « son petit », elle se relève aussitôt, elle voit qu'on emporte l'
enfant
chez un pharmacien, elle arrive aussi vite que po
tombe évanouie. Une heure après, elle reprend ses sens et demande son
enfant
. On tarde un peu à le lui montrer; elle est anxie
a toujours pour objet l'accident du 20 décembre. La malade revoit son
enfant
tombant sous la voiture. Elle le croit mort. Elle
e prononce des mots entrecoupés de sanglots et de soupirs : a Ah! mon
enfant
... Sauvez-le... le pauvre petit... Mon Dieu! il e
e son attaque, ni de son délire, et a parfaitement conscience que son
enfant
est vivant et bien portant. Il est évident que
en qu'à l'état d'hypnose provoqué, la malade sait très bien que son
enfant
est vivant, qu'il n'a en aucun mal. Quand elle ra
savez, bien, lui dis-je un jour, après l'avoir hypnotisée, que votre
enfant
n'a pas été grièvement blessé dans sa chute de vo
out de suite qu'il n'a eu aucune conséquence grave; vous verrez votre
enfant
sain et sauf; vous ne serez plus émue comme vous
ngeait bien à la scène de l'accident. « Mon Dieu, s'écriait-elle, mon
enfant
est tombé. C'est affreux, c'est affreux » ; puis,
elon le milieu. Dans certaines écoles, on ne trouve que deux ou trois
enfants
sur dix, adonnés à l'habitude de se ronger les on
hophages est souvent très considérable et s'élève à plus du tiers des
enfants
observés. Un examen minutieux révèle presque touj
e presque toujours l'existence de stigmates de la dégénérescence. Ces
enfants
sont habituellement plus chétifs que les autres ;
eur caractère est indocile. En un mot, la comparaison avec les autres
enfants
du même âge dénote toujours une infériorité quelc
10 ans ; sont réfractaires dans une certaine mesure les adultes, les
enfants
au-dessous de 12 à 13 ans, les personnes très bor
consécutif à une fièvre ; k) incontinence diurne des urines (chez les
enfants
) ; l) insomnie. L'hypnotisme ne me semble pas a
tisme ; je suis parvenu dans certains cas à modifier le caractère des
enfants
affectés de dégénérescence héréditaire. J'ai même
de Massabielle. Ces visions se renouvelèrent, d'après les dires de l'
enfant
, dix-huit fois depuis le 11 février jusqu'au 16 j
e d'effet souverain. On s'ouvre une veine, on la fait dégoutter sur l'
enfant
malade ou le vieillard affaibli. « Reconstituan
losophie, la morale, la pédagogie, la criminalité, la psychologie des
enfants
; plusieurs articles et mémoires inédits avec plan
end une voix qui, pendant la nuit, lui répète : Tue ta femme, tue tes
enfants
; il y va. poussé par un mouvement irrésistible, e
e faire frire dans du beurre chaud des poux cueillis sur la tête d'un
enfant
et d'avaler chaud. Mais l'efficacité du remède es
our le dix-huitième jour. Une manière de diagnostiquer le sexe de l'
enfant
avant l'accouchement. S'il y a des mouches dans l
a la matrice à sa place. * Êtres fantastiques oui font dormir les
enfants
. — La Revue des Traditions populaires publie les
de pays, les mères éveillent l'idée du sommeil dans l'esprit de leurs
enfants
et leur imposent la réalisation de cette idée en
uant l'intervention d'êtres fantastiques capables de faire dormir les
enfants
: A Hingene (province d'Anvers), on menace les
e dormir les enfants : A Hingene (province d'Anvers), on menace les
enfants
qui ne veulent pas s'endormir du Slokkebeer (de l
(Comm. de M. Alfred Haron). Dans l'Amiénois, quand, le soir, les
enfants
bâillent et se frottent les yeux, on dit : « Allo
se coucher, on le menace du Slokkemann (l'homme qui mange, avale ses
enfants
). C'est le Manducus des Romains. (Comm. de M. A
chanson, Sans terme, sans pareille ; Avant le dernier son Toujours l'
enfant
sommeille. Le petit homme va son chemin, Dormez,
t homme en passant Vous jette sa poussière ; C'est un charme puissant
Enfant
sur ta paupière. . Le petit homme va son chemin.
s g liseurs de pensées ». On crut d'abord à un nouvel Inaudi, car l'
enfant
indiquait, avec une rapidité extraordinaire, la s
-ci eût sous les yeux ou dans la pensée la solution demandée; sinon l'
enfant
restait muet. Le père en conclut que l'enfant n
ion demandée; sinon l'enfant restait muet. Le père en conclut que l'
enfant
ne calculait pas, mais devinait, ou, pour mieux d
Que Mme X... marque de l'ongle un mot quelconque sur un livre, et l'
enfant
questionné nomme aussitôt le mot. Une phrase est
soit-elle, il suffit qu'elle passe sous les yeux maternels pour que l'
enfant
répète la phrase mot pour mot. Mais son triomph
endue sans inconvénient aux coupables de sodomie, d'attentats sur les
enfants
et autres crimes de même nature. Le Dr Grandin
ent avec plaisir que Mme Pigeon, la dévouée directrice de l'Ecole des
enfants
arriérés à la Salpètrière, a reçu les palmes acad
à aucun phénomène inflammatoire (1). Mariée, elle a eu son premier
enfant
en janvier 1891 ; l'accouchement s'est fait absol
t d'une fiction, queje n'avais garde de la faire tirer sur mon propre
enfant
, et que, par conséquent, elle ne devait éprouver
nt à l'appui de ce que j'avance. Lorsque J... accoucha de son premier
enfant
, elle demeurait encore chez moi avec son mari. Le
iale sur un homme vivant? Pourrait-on faire croire à un boucher qu'un
enfant
est un mouton? J'estime la chose possible. Mais c
élation entre une impression de femme enceinte et une anomalie chez l'
enfant
. Dans l'un, la mère avait été très impressionnée
d'un roman dont un des personnages avait un doigt surnuméraire : son
enfant
vint au monde avec un doigt surnuméraire. Dans l'
bête que l'anneau déchira une partie de la cloison des narines : son
enfant
eut un léger bec de lièvre. Le Médical Record a,
d'une honteuse passion. Il se livrait à des rapports lascifs sur son
enfant
; mais craignant que les obscénités de ce père dén
ion sur une petite voisine qu'il avait attirée dans sa maison. Mais l'
enfant
ayant parlé à ses parents de ce qui lui était arr
n dans son affaire, à propos des causes des accidents maladifs de son
enfant
, moins que jamais je doutai que celle-ci n'eût re
sa part, par céder à cet ordre, et, dans son automatisme, immola son
enfant
. J'ai eu pour client, entre autres hallucinés,
stion, on ferait cesser une démangeaison intolérable dont souffrait l'
enfant
, démangeaison qui non seulement le privait de tou
s des gants très épais à fin de l'empêcher de se gratter. L'état de l'
enfant
était pitoyable, et la nécessité de se lever fréq
se de cet état était un eczéma apparu pour la première fois lorsque l'
enfant
était âgé de dix-huit mois, et qu'il avait conser
jusqu'au moment où il fut traité par la suggestion. En m'amenant l'
enfant
, la mère espérait que la suggestion ferait cesser
s poignets avaient défié touttraitement pendant plusieurs années. L'
enfant
était d'un tempérament inquiet et nerveux,facilem
antes: la peau sera parfaitement calme, toute démangeaison cessera, l'
enfant
dormira toute la nuit sans appeler sa mère une se
araîtra. Les dermalologistes avaient, pendant deux ans, défendu à l'
enfant
de se baigner et même de se mouiller la peau avec
it saine, douce, libre de toute irritation. Le sommeil était bon et l'
enfant
put retourner à l'école, ce qu'il n'avait pu fair
remèdes ordonnés par les dermalologistes furent laissés de côté, et l'
enfant
mis complètement entre mes mains. La mère m'ava
demanda si je pouvais l'aider. La séance suivante, je suggérai à l'
enfant
que, lorsqu'il étudierait sa leçon, chaque mot se
ras, eczéma dont l'apparition avait suivi immédiatement un coup que l'
enfant
avait reçu en jouant à la balle. Cette attaque d'
is eu à maintes reprises l'occasion de vérifier l'efficacité chez des
enfants
atteints d'onanisme, de choree, de tics ou d'onyc
atteintes de crises, il les trouva dans l'état suivant : « Les trois
enfants
étaient couchées à terre, sur une natte, et presq
, écartej-Ie... Il me tue, je meurs, je suis perdue... Et les pauvres
enfants
repoussaient de leurs deux bras le spectre qui vo
vient très vigoureux et très hardi. Ainsi l'une de nos trois malades,
enfant
faible et timide, a gravi pendant la nuit et pres
8° Application de la suggestion à la pédiatrie et à la pédagogie des
enfants
vicieux ou arriérés. 9° L'hypnotisme et l'exper
demain du jour où il avait été dépouillé de ses deux objets d'art, un
enfant
de 8 à 10 ans les lui avait rapportés, un peu ava
mes reçoivent une compensation proportionnée. Elles pensent que leurs
enfants
trouveront dans ce grand mouvement honneur et pro
on. Le professeur avait choisi pour sujet de la leçon l'éducation des
enfants
arriérés. Après avoir fait l'éloge d'Esquirol, de
3 à 5 heures. Le cours du Dr Bérillon {physiologie et pédagogie des
enfants
arriérés)-aura lieu les mercredis à 8 heures et d
idents nerveux bien caractérisés. Elle s'est mariée jeune et a quatre
enfants
. Il y a quatre ans, elle fut obligée de faire app
ée de faire appeler un médecin de son quartier pour soigner un de ses
enfants
. Je ne sais ce que notre collègue avait de séduis
e notre collègue avait de séduisant et d'irrésistible en auscultant l'
enfant
, mais Mme A... fut émotionnée et bouleversée par
é pendant 18 jours, et. quand on enleva l'écharpe, on s'aperçut que l'
enfant
ne pouvait le mouvoir. Le médecin, de nouveau app
t nécessaire. Les parents effrayés partirent le lendemain avec leur
enfant
pour Montpellier et allèrent consulter un profess
ui-ci partagea la manière de voir du confrère qui avait déjà visité l'
enfant
. Sans prétendre que l'opération fût urgente, il e
cidèrent alors à repartir pour Montpellier afin de faire subir à leur
enfant
l'opération déjà conseillée, mais auparavant, ils
, sur les conseils d'un de mes clients, les parents conduisirent leur
enfant
dans mon cabinet. Etat actuel C'est une enfan
conduisirent leur enfant dans mon cabinet. Etat actuel C'est une
enfant
qui parait bien développée pour son âge et présen
c l'aide de sa main gauche et en inclinant la tète du côté droit, l'
enfant
réussit à faire le signe de la croix. La sensib
orsure entre peut-être en ligne' de compte; la frayeur éprouvée par l'
enfant
pouvant avoir déterminé un certain trouble dans l
Je propose le traitement psychique qui est accepté. Sans endormir l'
enfant
, en lui suggérant seulement que j'allais la guéri
de rotation ; et, quand j'ai compris sur la physionomie étonnée de l'
enfant
que la paralysie était vaincue, j'ai dit d'une vo
atite traités par suggestion (quatre cas d'), par H. Osgood, 300.
Enfants
(êtres fantastiques qui font dormir les) 248. E
i sont l'effet de la maladie, l'infantile de ce genre n'a rien d'un
enfant
. C'est un petit homme, mais c'est un homme. Tou
e. Tout de suite, une question se pose : si cet hommc n'a rien d'un
enfant
, sauf la petite taille, pourquoi le qualifier d
-il pas arrivé d'éprouver une véritable surprise en apprenant qu'un
enfant
qui ne pa- raissait avoir guère plus de dix à d
ite et plus régulièrement que le sujet est plus jeune. Croire qu'un
enfant
qui a quatorze ans n'en a que douze est une erreu
, et une année de moins pour l'apparence ; et ainsi supposons qu'un
enfant
de quinze ans semble n'avoir que onze ans : c'e
à un cas assez exceptionnel. Exagérons l'erreur encore : voi là un
enfant
de seize ans qui paraît n'avoir que dix ans. Cett
onne mine, à la physionomie réjouie et malicieuse. C'est encore une
enfant
. A-t-elle dix ans ou onze ans ? .. on peut hési
e, sa face est arrondie, plutôt joufflue (comme chez la plupart des
enfants
bien portants), il a le nez peu développé et sa
totype du genre. Au point de vue intellectuel,elle était encore une
enfant
malgré ses dix- sept ans. Elle jouait à la poup
it très bien lire,écrire, compter et mettre l'orthographe comme une
enfant
de dix à onze ans, moyennement instruite ; mais
rtât, dans tous ses actes, à la fois comme un infantile et comme un
enfant
gâté. La certitude - établie par des documents
l'âge de dix ans une grave maladie avait mis en danger la vie de l'
enfant
; le cou avait été le siège d'une inflammation a
e contrariait en rien l'accomplissement normal des fonctions. Resté
enfant
,c'était un enfant bien portant,et rien ne faisait
ien l'accomplissement normal des fonctions. Resté enfant,c'était un
enfant
bien portant,et rien ne faisait prévoir que sa
roïdienne. Supposons le suprême degré de ce trouble fonctionnel : l'
enfant
vient au monde, et la; glande thyroïde ou n'exi
u compte de chacune des parties du tout. S'il en était autrement, l'
enfant
qui viendrait au monde, dépourvu de corps thyroïd
premier jour, il n'aurait été ni plus ni moins affreux que tous les
enfants
à leur naissance. Un nouveau né estpresque touj
la prérogatives du mariage, est le père, au moins légitime, de deux
enfants
. Une absence presque complète de corps thyroïde
du précédent parcette vague ressemblance qu'ont entre eux tous les
enfants
: il a 1 m.72 de taille. l'infantilisme vrai 9
tablement ce myxoedéma- teux est plutôt un foetus gigantesque qu'un
enfant
attardé. Aussi ne com- prenons-nous pas en quoi
éants représentés par d'immenses mannequins affublés de vêtements d'
enfants
. Cette pieuse mascarade reproduit une des fanta
de beaucoup que, chez les géants infan- tiles, la conformation de l'
enfant
reste indéfiniment associée à une stature exorb
bilité entre l'une et l'autre, il y a de petits hommes et de grands
enfants
; et ce n'est pas à partir de telle ou telle di
même ce n'est pas au-dessous de telle ou telle division qu'on reste
enfant
: jeune géant ou vieux nain, on est homme ou en
ion qu'on reste enfant : jeune géant ou vieux nain, on est homme ou
enfant
, selon certains caractères morpho- logiques et
gt ans, elle a une grossesse et elle accouche, au huitième mois, d'un
enfant
qui meurt quelques jours après sa naissance. A
curieux comme un tel, malgré son âge, sa sagesse et sa raison, est
enfant
par certains côtés. » Il l'est en effet, et seule
amais cessé et il ne cessera jamais de l'être. Tel autre sera resté
enfant
par la seule conformation des traits, par l'as-
nte de Sanctis y insiste. Il attire l'attention sur une catégorie d'
enfants
« retardataires, d'humeur égale, de maintien co
nt sur- tout par le caractèreje maintien et la logique spéciale des
enfants
, qui est une logique brutale et impeccable». Sa
que l'histoire en ait enregistré est celui du fameux Heinecken. Cet
enfant
né à Lübeck en 1721 ne vécut que cinq ans, et j
rck : entre deux tétées il lui adressa un compli- ment. Parmi les
enfants
prodiges, Heinecken détient encore le record. Mai
iques sont toujours des schémas. Les caractères morphologiques de l'
enfant
, pas plus que ceux de l'homme fait, ne sont imm
nfantilisme peut n'être que passager. Un collégien de 17 ans, resté
enfant
à tel point qu'il était la risée de ses camarades
robuste et de haute stature. Une femme de 27 ans, déjà mère de deux
enfants
, gran- dit de plusieurs centimètres au cours d'
oisi ? Tandis que les véritables infantiles peuvent être des grands
enfants
, ceux- là ne sont jamais que des petits vieux.
opos. Il était incapable de prendre la moindre décision, « comme un
enfant
». Idées de dé- penses, d'achats ; rires ou ple
la mère d'une affection cardiaque à 52 ans ; elle reste seule de 4
enfants
, l'un mort-né avant terme, les deux au- tres mo
tuelle,pas de maladies infectieu- ses. De son mariage elle a eu six
enfants
: trois filles bien portantes dont deux sont ma
nts : trois filles bien portantes dont deux sont mariées et ont des
enfants
sains ; trois fils dont l'aîné s'est suicidé par
et Bonne la mala- die : 1° atteint sans changer de forme plusieurs
enfants
d'une même gé- nération ; 2° débute à peu près
même gé- nération ; 2° débute à peu près au même âge chez tous les
enfants
de cette génération ; 3° est cliniquement indép
qui peuvent eux-mêmes n'en être pas atteints, de même que tous les
enfants
n'en sont pas nécessairement porteurs ; le fait
8 ans ; la rougeole à 23 ans. A 16 ans elle se marie. Elle n'eut ni
enfants
ni fausses couches. Son mari eut trois ictus ap
malade, âgé de 15 ans, présente une taille de 1 m. 725 tandis qu'un
enfant
normal du même âge a seulement une taille de 1 m.
nt une taille de 1 m. 513. Notre malade dépasse donc la hauteur des
enfants
de son âge de 212 millimètres. Ce qui nous semb
tandis qu'un adulte de taille moyenne pèse seulement 65 kilos et un
enfant
de 15 ans 41 kil. 2. Son poids serait donc supé
par rapport à celui de l'adulte normal de 181 kilos et à celui de l'
enfant
de 15 ans, de 204 kil. 8. Il faut faire pourtan
ar son poids celle de l'adulte normal et d'au- tant plus celle d'un
enfant
de son âge. Le malade ne nous a pas semblé prés
e cette même lésion. D'autre part, Cyon a publié l'observation d'un
enfant
de 12 ans, atteint d'un développement considéra
apprécier et suivre les modifications opérées dans l'état de leurs
enfants
par la thérapeutique employée. » Plus récemment
infantile. Les deux affections,en effet, frappent de préférence des
enfants
,dans les premières années de leur vie, au milie
es déjà men- tionnées, et il propose le nom d'encéphalite aiguë des
enfants
au lieu de celui de poliencéphalite. Il ne do
cependant pas la démonstration anatomique de cette encéphalite des
enfants
susceptibles d'engendrer l'hémiplégie cérébrale
t pour reliquat de l'hémiplégie spastique. Pasteur (3) observa sept
enfants
d'une même famille tombés malades brusquement d
alades brusquement dans l'intervalle de 10 jours. Les deux premiers
enfants
pré- sentèrent des phénomènes généraux avec fiè
au- che. Calabrese (2) rapporte un cas nettement démonstratif. Un
enfant
de 6 mois, S ou 6 jours après le début de troub
ntéressante est celle publiée en 1905 par Negro (3). Il s'agit d'un
enfant
qui fut atteint à l'âge de 13 mois de de fièvre
prouvant la posai- bilité d'une encéphalite aiguë hémorragique des
enfants
[Ganghofer, Sachs, Fischl, Raymond (1), Batten
otre thèse a été publié en 1894 par Redlich (1). Il s'agissait d'un
enfant
de 5 mois, atteint brusquement de fièvre et d'a
téressant de rappeler que Rapin dans l'un de ses cas concernant une
enfant
a remarqué qu'une éruption de varicelle avait p
ite de phénomènes fébriles à allure infectieuse se développa chez l'
enfant
obser- vée par cet auteur une adipose sous-cuta
ente en fait d'hypothyroïdie une blépharite intense. Le père de ces
enfants
présente un certain degré d'exophtalmie, de pouls
01. 1. LORTAT-JACOB. - Deux cas de trophoedème héréditaire chez des
enfants
, Revue neurologique, p. 279.1902. (Soc. de neur
st-il bien nécessaire de traiter ainsi les artistes comme de grands
enfants
qui ont besoin - passez-moi l'expression qu'on le
bre de la même année, c'est-à-dire au 20" jour de sa malad je vis l'
enfant
pour la première fois, et je notai les symptômes
à fait guéri en trois mois, et aujourd'hui il court comme tous les
enfants
de son âge. 2* Cas. - Polynévrite aiguë général
trième de la maladie, on observait déjà une grande amélioration ; l'
enfant
pouvait lever les bras presque jusqu'à l'horizo
trémités supérieures et puis dans les inférieures. Après un mois, l'
enfant
put déjà se tenir debout et faire quelques pas av
fièvre disparut, les parents observèrent qu'il était impossible à l'
enfant
de se lever, parce que les extrémités inférieur
parce que les extrémités inférieures cédaient au poids du corps ; l'
enfant
ne pouvait pas non plus mouvoir les jambes. L
rs, je l'examinai pour la première fois, et je pus véri- fier que l'
enfant
se plaignait et pleurait quand la changeait de po
lques troubles gastri- ques qui se prolongèrent plusieurs jours ; l'
enfant
fut transportée à la campa- gne, et ce nouvel é
ès ce que disent ses parents ; la fièvre tombée, on s'aperçut que l'
enfant
ne pouvait se mouvoir spontanément, et que, lorsq
olyomyélite aiguë des adultes ; ces mêmes caractères, appliqués à l'
enfant
, peuvent servir pour le diagnostic de la polynévr
rite aiguë chez les adultes, n'a pas la même signification chez les
enfants
, parce qu'ils se plaignent toujours et se révolte
nairement chez les adultes, est un signé qui a sa valeur, quand les
enfants
se prêtent à cette investigation. La période
rise lespolynévrites; seulement ceci ne s'observe nettement chez les
enfants
que dans les cas graves. Dans les formes légère
sibilité, de l'hypoesthésie et même de l'anesthésie, mais, chez les
enfants
, le résultat est toujours douteux. (t) Communic
lui-même, ainsi que la mère sont bien portants. Le malade est leur
enfant
unique venu à terme, après un accouchement normal
'une façon générale, la maladie n'a pas fait de grands progrès. L'
enfant
n'a jamais eu de convulsions, ni de maladie' infe
s, ni de maladie' infectieuse grave. Etat actuel (27 avril 1907). L'
enfant
a un air hébété à qui correspond d'ailleurs une
leur partie supérieure peut-être un peu plus développés que chez un
enfant
du même âge normal. Par contre le grand pec- to
s rotuliens sont abolis ; les achilléens n'ont pu être recherchés l'
enfant
ne voulant pas relâcher son pied ; les réflexes
ET ROSE Face et cou : tous les muscles sont normaux. Démarche : L'
enfant
marche les jambes écartées en se dandinant, et en
erceptible à la palpation. Pour nous résumer nous trouvons chez cet
enfant
, à côté de l'aspect classique desmollels de la
a fournies la radiographie. Voici d'abord l'observation de cette
enfant
: OBSERVATION. - lVlél... (Antoinette), née le
aurait en une méningite ( ? ) à quatre ans. Actuellement c'est une
enfant
de petite taille ; elle ne mesure que 1 ni. 18,
et la muqueuse sont normaux. La dentition est très particulière. L'
enfant
ne présente qu'un nombre de dents infime. ' A
début de la deuxième dentition. ' De plus, toutes les dents de l'
enfant
sont cariées. La mensuration du crâne et de la
rière sans luxation du cubitus. Le poignet est plus gros que chez l'
enfant
normal. Les apophyses styloides du radius et du
à 25 centimètres. Mais cependant il y a micromélie, car chez trois
enfants
du même âge nous trouvons : Longueur du bras
On remarque encore, en comparant avec la radiographie d'une main d'
enfant
du même âge, qu'il existe un raccourcissement trè
déter- minés. Même sur les radiographies de crânes de très jeunes
enfants
, on ne peut obtenir l'image du cerveau. Ce cas
e d'elle et qui n'a pu donner aucun renseignement utile. Si cette
enfant
présente ces caractères communs à tous les cas de
donc à la fois retard de la dentition, qui correspond à celle d'un
enfant
de 7 ans, absence de certaines dents (une seule i
erras où il y avait persistance de toutes les dents de lait chez un
enfant
de 10 ans. Il s'agissait d'un hérédo-syphiti ti
s du crâne et permet la ra- diographie du cerveau. 4° Enfin notre
enfant
présente une luxation congénitale double du radiu
s de Meijers, dans celui de Kirmisson, nous remar- quons chez notre
enfant
une courbure anormale du radius (6). Les partic
oir retard de l'ossification, et retard de la dentition ; or, notre
enfant
présente ces deux symptômes. Mais cependant il
rvé les formes extérieures de l'enfance et donnait l'apparence d'un
enfant
« vieillot de 12 à 14 ans ; chez lui, n'était a
e le montre la photographie ci-jointe, B... donne l'impression d'un
enfant
vieillot, présentant le syndrome d'infantilisme m
eux qui tend à disparaître sous la peau du pubis. C'est la verge d'un
enfant
de quelques mois. Elle est incapable d'érection
aiguè et en fausset. Au point de vue mental, B... est également un
enfant
aux notions très bornées, au caractère très ins
aractère très enfantin, taquin et boudeur, jouant comme un tout jeune
enfant
. Six semaines après son entrée, le 16 septembre
n 4905 ; il a fait son service militaire, s'est marié, et a eu deux
enfants
bien portants ; sa femme u'a pas fait de fausse c
résultats. Depuis lors plus d'attaques. Marié depuis 7 ans ; pas d'
enfants
. Infection syphilitique niée. Sa femme le dit o
e bonne heure, il laisse une assez' uombreuse famille. La santé des
enfants
est parfaite. Plusieurs d'eutre eux présentent la
axie céré- belleuse. Depuis, une fille de M. G... a accouché d'un
enfant
anencéphale avec gliomes dans les poumons (ce c
génitale de l'avant~bras gauche. Soc. anat., Paris, 1903, p. 750.
Enfant
Dav..., 6 ans. Né plus gros et plus fort que ses
. A 4 ans 1/2, rougeole compliquée d'ophtalmie purulente. Depuis, l'
enfant
tousse toujours un peu ; il est pâle, délicat.
, t. V, obs. XXII, 1740. L'auteur a figuré et décrit avec soin un
enfant
mâle de 15 mois, dont les quatre membres étaien
s le scrotum. La mère attribuait la singulière conformation de son
enfant
, à des statues mutilées, dont la vue l'avait frap
e, de forme arrondie, qui paraissait être un doigt rudimentaire. IL
Enfant
de deux ans, dont le bras droit était représenté
mélie thoracique droite. Bull. Soc. méd. de l'Yonne, 1870, p. 10.
Enfant
de 5 mois. Il y a au coude un rudiment composé de
nt qui lui exhiba un moignon de bras ayant l'aspect de celui de son
enfant
. VIII. Troisier, Hémimélie thoracique droite. E
che. L'épaule gauche est aussi bien développée que la droite. Cette
enfant
ne présentait point d'autre difformité. Sa mè
nviron avant son accouchement. Elle est accouchée précédemment de 3
enfants
nés vivants et bien conformés. Dissection du
vé, Bull. Soc. anthropol. Paris, 1886, p. 752. L'auteur présente un
enfant
ayant une hémimélie thoracique gauche, dont le
STY, Un cas de tératologie. Progrès médical, Paris, 1888, p. 236.
Enfant
mâle, à terme, mort à 1 jour, ayant un céphalémat
1890, 4e s., I, 2° fascicule, p. 280-28S ; 489-492. Le sujet est un
enfant
mâle, de 3 ans. La monstruosité porte tout enti
physe leurs détails anatomiques normaux, mais ressemblent à des os d'
enfant
. Seule leur extrémité inférieure a subi des mod
ués de longueur et de volume et apparaissent comme des muscles d'un
enfant
de douze ans ; cependant les muscles actifs de la
n de la Société médicale de Pau, 14 février 1902, n° 5, p. 90-93.
Enfant
de 3 à 4 ans, ayant la tête et le tronc bien conf
eux accouchements, aurait été relativement abondant. Quant aux deux
enfants
, un garçon et une fille, ils sont nés vivants, sa
de non-lieu basée sur son état mental. Il est le huitième de douze
enfants
dont un seul, avec lui, a présenté une difformi
condi- tions météorologiques, il s'aigrit dès que l'aîge permit à l'
enfant
de constater sa difformité et son infériorité v
la malade s'était mariée depuis, et qu'elle avait eu quatre ou cinq
enfants
. A l'époque où, physio- logiquement, les seins
porencéphalie de l'hémisphère droit dans la région motrice chez un
enfant
épileptique, d'intelligence nulle, qui avait de
ALIPRÉ ET UÉBERT Son père était atteint de la même affection. Sur 9
enfants
dont 4 sont vivants (un (ils et trois filles),
- HALIPRÉ ET HÉBERT Dès la naissance, la mère aurait constaté que l'
enfant
avait « un os qui faisait une petite bosse » à
M 2 HALIPRÉ ET RIÉBEIIT ayant tout au plus la longueur de ceux d'un
enfant
de sept ans 1). Sont res- - pectés, ajoute Pier
droit accompagné de douleurs très vives. Elle accoucha à terme ; l'
enfant
mourut à l'âge de dix mois. Après l'accouchemen
xerce avec succès une profession li- bérale. Il est marié, il a des
enfants
qu'il aime tendrement et qu'il éduque avec soin
érable pour moi aussi ; mais je me dois à moi-même et je dois à mes
enfants
et à tous les miens de ne rien né- gliger pour
aractéri- sent le tiqueur ; il est désordonné, émotif, souvent plus
enfant
que ne le com- LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS M
rait été cependant en germe chez moi puisque.je l'ai transmis à mon
enfant
. Mystère de l'hérédité ! Je suis donc en éveil,
'agonie) et du Saint Sébastien du Sodoma. Pareillement, dans l' «
Enfant
démoniaque » de la Transfiguration de Raphaël o
ME TÉTRAMAZE Il y a environ un mois qu'elle ne sent plus remuer son
enfant
. (Elle pense être à terme en ce moment.) Elle a
moment.) Elle accouche le 3 octobre, à quatre heures du soir, d'un
enfant
mort, de sept mois et demi environ. Le A octobr
ent des canaux galactophores ; cette femme me dit qu'elle avait eu un
enfant
, qu'elle l'avait allaité, que pendant l'allaiteme
généralement borné, jus¬qu'ici, à pratiquer la thermométrie chez les
enfants
et les adultes. Les résultats que nous avons obte
rds (leçon II, p. 23). Onze tracés de température observés chez des
enfants
ou des vieillards atteints de pneumonie catarrhal
and, n° 11 (service de M. Hardy), est accouchée, à terme, le 50, d'un
enfant
anencéphale. Cette femme est assez forte et ne pr
assez forte et ne présente aucun vice de conforma¬tion. Le père de l'
enfant
, âgé de 50 ans, serait bien constitué et ne comme
ni de fatigues physiques. Ces détails mentionnés, nous arrivons à l'
enfant
, et afin de mettre plus.de clarté dans notre desc
poserons les résultats de la dissection. Au moment de la naissance, l'
enfant
, du sexe féminin, était morte. 1° Aspect extéri
représente le moment où l'assassin, après avoir frappé la mère, tue l'
enfant
, et le chien de la maison se précipite vers la ma
même jour, vers six heures du soir. J'ai opéré sur les deux yeux de l'
enfant
et sur les deux yeux de la mère. Les yeux de l'en
deux yeux de l'enfant et sur les deux yeux de la mère. Les yeux de l'
enfant
n'ont rien donné autre chose que des nuages, ce à
nt rien donné autre chose que des nuages, ce à quoi je m'attendais, l'
enfant
étant restée pendant plusieurs heures, peut-être
Ayant quatre yeux à ma disposition, j'ai d'abord opéré sur ceux de l'
enfant
, sur lesquels j'avais la certitude de ne rien tro
la position du corps de l'assassin, le chien ne semble pas défendre l'
enfant
, mais aboyer dans un sens opposé; on ne dit pas d
epsie. Les accès se renouvelèrent alors si fréquem¬ment que la pauvre
enfant
tomba dans un état absolu d'idiotie... Un taenia
signaler le cas observé par M. Jobert (de Guyonville) concernant, un
enfant
, né hydrocéphale, qui avait pré¬senté pendant les
-pubienne, et de fréquentes difficultés dans la miction. Un soir, cet
enfant
sortit et alla uriner contre la porte du jardin.
que, très-petite, nouée, fut atteinte d'une fièvre tierce en avril. L'
enfant
ne voulant rien prendre par la bouche, on lui adm
uvelle prescrivit un purgatif. Quelques jours plus tard, la mère de l'
enfant
apprit à son médecin que, depuis trois mois, la j
'eut aucun effet, en raison de la résistance et de la répugnance de l'
enfant
. " M'inspirant alors, dit Fauteur, des observatio
ves dans l'extrémité inférieure du rectum. Les deux premiers jours, l'
enfant
ne rendit plus de portions de ver comme d'habitud
é parfaite. » Les accès de fièvre intermittente observés chez cette
enfant
s'é-laient développés sans cause appréciable, car
r le traitement. Pres¬que constamment cette deuxième dose suffit. Les
enfants
, au dire de M. Podesta, paraissent plus rebelles
mes1. La veille du jour de l'administration de cette préparation, l'
enfant
fut soumis aune diète absolue et prit 10 grammes
e diète sévère continua à être pres¬crite pendant toute la journée. L'
enfant
n'éprouva ni coliques ni nau¬sées. Il eut dans la
uqueuses et la syphilide ont guéri et elle est accouchée à terme d'un
enfant
sain qui a vécu deux mois et demi. Cette femme
doit battre la seconde (60 fois par minute); il bat le. double chez l'
enfant
nouveau-né (120 à 150) et oscille entre ces deux
et examen est impossible, le grand tracé dominant tout. Mais chez les
enfants
l'inégalité de force des deux ventricules étant b
s certains casa"asphyxie, de catarrhe suffocant, de croup, chez les
enfants
, ce phénomène est tellement prononcé, que le poul
re les extrêmes des âges, et que rien ne ressemble plus au pouls d'un
enfant
de cinq à six ans, que le pouls d'un vieillard de
ère collatérale du petit doigt; La fontanelle antérieure d'un petit
enfant
de quinze mois. On remarquera de prime abord l'
ts. H... est âgée de 20 ans ; elle a eu, il y a bientôt trois ans, un
enfant
qui est vivant et elle a fait une fausse couche i
'œil. Réglée à 20 ans. A Paris depuis trois ans. Elle a eu un premier
enfant
il y a dix-neuf mois. 21 décembre. Grossesse à
28. P. 70 ; T. [V, 57°,3. — Soir : sécrétion blanche, abondante; l'
enfant
tettebien. Appétit; selles quotidiennes.P. 76; T.
e-Marie. Elle ignore à quel âge elle a été réglée ; elle a déjà eu un
enfant
. Le 19, dou¬leurs légères de midi à 8 heures du s
23. P. 84; T. V. 32°,8. — Soir: sécrétion lactée assez copieuse. L'
enfant
tette bien. Lochies de moins en moins colorées. P
leurs de la cuisse ont presque disparu. Seins médio¬crement tendus. L'
enfant
telte bien. Une selle. P. 92 ; T. V. 58°,4, Soir:
encore l'emploi du ma- 1 Leçons sur les maladies chirurgicales des
enfants
, recueillies par Bourne-ville, E. Bourgeois et G.
ite formée par un prolongement de la peau (voy. planches XX, XXI, L'
enfant
ne présente aucun autre vice de conformation. — P
is, salle Ferdinand, nù 7 (service de M. Hardy). Elle a eu un premier
enfant
à 22 ans. La grossesse actuelle est à terme. Le t
inale 37°,2. — Ail heures un quart, cette femme accouche d'un premier
enfant
mort-né (pré¬sentation du sommet) et dix minutes
ort-né (pré¬sentation du sommet) et dix minutes plus tard d'un second
enfant
(prés, du siège) qui n'a vécu que quelques minute
Ferdinand. Elle est accouchée vers une heure du matin de son neuvième
enfant
. Les douleurs, légères hier de 10 heures du matin
. — Soir : seins peu durs ; sécrétion lac¬tée ; lochies naturelles. L'
enfant
tette bien. P. 80 ; T. Ax. 37°,5. 24. P. 62 ; T
dérable. P. 56 ; T. V. 37°,4. — Soir : P. 76 ; T. V. 37°.5. ' 25. L'
enfant
tette bien. Seins peu durs, petits. Lochies natur
, suivie d'une note sur les divisions complètes de la langue chez les
enfants
, par G. Pei.tier, interne des hôpitaux de Paris
is la malade avait de la céphalalgie. Mariée à 18 ans, elle a eu deux
enfants
qui sont morts de convulsions et une fausse couch
s, ventre souple, indolore; les mamelles sont passablement gorgées; l'
enfant
tette. P. 80 ; T. Ax. 37°. Soir : T. 57°. — 25 no
trasbourg, 1869, p. 57. T. 56°,2, — 28 novembre. P. 62; T. 56 .2. L'
enfant
telle toujours bien. Soir : P. 64; T. 30",5. ~~
notre observation Vil. Kunlz, E., 29 ans, accouche de son troisième
enfant
le 15 mai, après six heures de travail. Le soir,
37°4. — 17 mai. Langue nette, rouge; nuit bonne. P. 68; T. 56°,2 ; l'
enfant
tette. Soir : P. 72; T. 56°,7. — 18 mai. Peau brû
amelles tendues et gorgées de lait. P. 96; T. 40°,2. Soir : Quoique l'
enfant
ait pris le sein dans l'après-midi, les seins son
. — 19 mai. Mamelles encore dures, mais ni tendues ni douloureuses. L'
enfant
a un peu tetô ce matin ; un autre enfant a été mi
i tendues ni douloureuses. L'enfant a un peu tetô ce matin ; un autre
enfant
a été mis au sein. P. 84 ; T. 56°. Soir : P. 88 ;
Jamais les mamelles n'ont été si gonflées. P. 116 ; T. 41°. Soir : l'
enfant
a bien teté ; glandes mammaires à peu près flasqu
bonne. Peau fraîche. Lochies peu abondantes. P. 68 ; T. 36°. Soir : l'
enfant
tette bien. P. 60; T. 36°,3. — 22 mai. P. 60 ; T.
rition, il nous semble possible de l'expliquer par la répugnance de l'
enfant
à teter. • Schneiter, M..., primipare, est acco
minuit et demi. Le 25, P. 64; T. Ax. 56°,5. Soir : P. 64; T. 56°,9. L'
enfant
tette bien. —24 mai. Lochies normales; quelques t
tette bien. —24 mai. Lochies normales; quelques tranchées lors¬que l'
enfant
telte. Sécrétion mammaire active. P, 76 ; T. 37°.
ux. P. 64; T. 58°,9.— 25mai. Lochies rouges. Seins remplis de lait. L'
enfant
tette bien. P. 64 ; T. 56°,7. Soir : P. 68 ; T. 5
icatrices vicieuses du cou. — Difficultés des mouvements. — État de l'
enfant
avant et après l'opé¬ration.— Sections répétées a
ars 1870 (salle Sainte-Pauline, n° 18, service de M. Giraldès). Cette
enfant
s'est brûlée à l'âge de 5 ans : en allumant un mo
imètres d'avant en arrière et k à 5 millimètres d'épaisseur lorsque l'
enfant
regarde à gauche ; enfin, dans cette même attitud
sur les joues; la parole est difficile, parfois incompréhensible ; l'
enfant
dort la bouche ouverte en raison de la traction p
ive de res¬tauration. En raison de la constitution scrofuleuse de l'
enfant
, M. Giraldès rejeta le procédé à lambeaux si habi
n, ainsi que M. Giraldès le fit remarquer dans sa leçon clinique, les
enfants
n'ont pas la coquetterie des jeunes femmes ou des
nt tout en œuvre pour favoriser le succès d'une telle opéra¬tion. Les
enfants
, eux, enlèvent le pansement sitôt qu'il les gêne.
clavicule ; mais, malgré le soin apporté à faire tourner la tête de l'
enfant
vers la droite, il y avait toujours une attitude
ycérine, puis avec de la charpie trempée dans l'alcool phéniqué.) L'
enfant
est sortie de l'hôpital dans le cours du mois de
actuellement une direction na¬turelle. 5° La parole est normale; l'
enfant
ne bave plus et dort la bouche fermée ; enfin les
er quelquefois, le plus souvent couchés sur la terre, des hommes, des
enfants
, des femmes même, présentant la plupart le triste
, très sobre ; la mère n'a pas fait de fausse couche ; elle a trois
enfants
bien portants dont notre malade est l'aîné. Il
encore trois mois, sa marraine l'avait déjà remarqué. La santé de l'
enfant
reste parfaite dans les premières années. Mais,
fils est paralysé ; de nouveau consulté, le méde- cin déclare que l'
enfant
est atteint de paralysie infantile. Le bras était
leur force et aucun de leurs muscles n'a été atteint d'atrophie. Cet
enfant
fut vu alors parM.Féré,qui le suivit pendant pl
ns vu ce malade pour la première fois, l'état était le suivant; L'
enfant
est grand et fort pour son âge ; il est très inte
'a- trophie, comme chez Henri Seg...)' . Nous avons pu suivre cet
enfant
pendant trois mois; les muscles du groupe radic
avons présenté dernièrement à la Société de Neurologie de Paris un
enfant
de 8 ans dont nous avons fait un myopathique, san
on absolue à cause des particula- rités que présentait son cas. Cet
enfant
a été conduit à l'Hôtel Dieu à la consultation
d'ailleurs pas à discuter. Voici en quelques mots l'histoire de cet
enfant
: La maladie a débuté en décembre 1900, il y a
y a donc un an, par les membres inférieurs. Jusqu'à cette époque, l'
enfant
avait marché et s'était développé nor- malement
mais on ne trouve pas, dans la famille, d'affection myopathique. L'
enfant
n'a jamais présenté de mouvements invo- lontair
t de quinze jours, la force musculaire avait diminué au point que l'
enfant
ne pouvait plus se tenir debout. A ce moment, l
la face ne paraissant pas atteinte. Examen. - La physionomie de l'
enfant
est intelligente et éveillée. Les mus- cles de
l'avant-bras sur le bras ne peuvent se faire que d'un seul coup; l'
enfant
lançant son membre. Les mou- vements d'extensio
latéraux. La mère de la malade, avait eu d'un premier mariage, deux
enfants
, puis de son second mariage, un fils et une fille
e son second mariage une fille âgée aujourd'hui de 13 ans. Des cinq
enfants
, nés de ces trois lits, seule notre malade présen
ière, ne présente pas de symptômes de maladie nerveuse. Elle a eu 7
enfants
: 1° un garçon âgé de 29 ans, ayant fait son serv
deuxième myopathique. En résumé, la myopathie se retrouve chez deux
enfants
, sur quatre ayant atteint l'àge adulte. Obser
la mère s'est aperçue que dès son tout jeune âge, la marche de son
enfant
était faible, « il avait les reins faibles, et
ar terre ». Les muscles n'ont jamais été hypertrophiés; d'emblée, l'
enfant
était « maigre et faible ». Malgré cette faibless
blée elle a été atrophique; elle est. familiale, ayant atteint deux
enfants
sur quatre parvenus à l'âge adulte; mais elle n
té pour lui utile l'apparition de ses rétractions musculaires. Tout
enfant
, il marche avec peine, se lève avec difficulté;
le se remaria dix ans après. De ce second mariage, naquirent quatre
enfants
qui sont tous vivants et bien portants. Sauf la m
rès bien portée, n'ayant eu que la rougeole, lorsqu'elle était tout
enfant
. Elle n'a pas eu certainement la syphilis. Célédo
ans, est entré dans notre clinique le 12 janvier 1901 ; marié, a 3
enfants
vivants, trois morts ; pas de syphilis, pas d'alc
ique. Mère, éthylique (tremblement, cauchemars, pituite, etc.). L'
enfant
, fille unique, est née à huit mois. Pendant la gr
uchement prématuré. L'accouchement a été fait par une sage-femme. L'
enfant
, qui se présenta par le siège, resta pendant deux
e. Pas de convulsions : premières dents à 2 ans, canines à 3 ans. L'
enfant
n'a marché qu'à plus de trois ans et n'a parlé
retardé, s'effectuait assez bien jusqu'à cette dernière maladie; l'
enfant
avait commencé à apprendre à lire,mais elle aurai
rait subi une diminution sensible. Jamais il ne se manifesta chez l'
enfant
de tendances vi- cieuses. De 5 à 15 ans, le d
très appréciable : la mémoire a subi une diminution très marquée, l'
enfant
comprenait moins bien ce qu'on lui disait ; ell
c plutôt tendance à l'aggravation, jusqu'au moment de l'entrée de l'
enfant
à l'hôpital. La mère n'a pas remarqué que la figu
rvice (2 décembre 1901) la fillette se présente sous l'aspect d'une
enfant
de 8 à 9 ans, bien proportionnée, au facies un
oujours par monosyllabes. Mais lors- qu'on la laisse à elle-même, l'
enfant
demeure silencieuse, immobile, indiffé- rente a
gne anormal à l'ausculta- tion. La voix est faible, infantile ; l'
enfant
parle d'ailleurs très bas et il est difficile d
point de vue intellectuel, la petite malade donne l'impression d'une
enfant
de 7 à 8 ans ; elle comprend les questions élém
, le poids est à 26 k. 500. Le 26, pouls à 120. Moiteur générale. L'
enfant
, depuis quelques jours, se montre très éveillée
ris descon- tours plus nets, une forme plus allongée. L'aspect de l'
enfant
a changé, d'une façon évidente et ce changement
et la nuit » ; actuel- lement elle rit, bavarde, joue avec d'autres
enfants
, s'intéresse aux choses qui l'entourent, et lit
cation permet d'étudier, d'une façon plus précise, l'état mental. L'
enfant
,absolument incapable de faire l'addition ou la so
nt trois à quatre fois devant elle, n'est ni fixée ni rete- nue ; l'
enfant
est incapable de la répéter. La plupart du temps,
est absolument rudimentaire. L'affectivité est plus développée ; l'
enfant
se montre caressante et joyeuse avec sa mère, e
uis deux mois, s'accordent toutes à lui reconnaître une mentalité d'
enfant
de 7 à 8 ans. Ce jugement n'est d'ailleurs exac
son instruction, manifestement au-dessous du niveau psychique d'une
enfant
de 7 ans : à d'autres points de vue, elle semble,
e ou mental de la fillette. La mère demande à reprendre avec elle son
enfant
, qu'elle trouve très améliorée et en bonne sant
se des facteurs succes- sifs de l'arrêt du développement chez cette
enfant
. Par priorité de date et par ordre d'importance
omalie physique. Il est lui-même le troisième d'une famille de cinq
enfants
, tous normalement conformés. A sa naissance,
oral, Thèse de Paris, 1901. 132 SOUQUES un jour au bain froid l'
enfant
constata lui-même que la moitié droite de sa poi-
umatique. Du reste, le fait suivant est encore plus élo- quent : un
enfant
nouveau-né, observé par un auteur allemand, prése
die nette et déterminée : 1° La naissance avant terme. - Beaucoup d'
enfants
nés avant terme sont en état de santé parfaite
être lésés. Inversement le syndrome de Little s'ob- serve chez des
enfants
nés à terme et même comme dans notre observation
Traité de Pathologie générale de Bouchard). - Voici par exemple un
enfant
chez lequel de jour en jour les difficultés des m
roduisant exactement les mouvements que devrait faire normalement l'
enfant
pour marcher, s'asseoir, écrire, manger, etc. Apr
faisceau pyramidal. Ce faisceau ne serait complètement formé chez l'
enfant
que vers l'âge de 9 ou 10 mois comme le prouver
ficiles à explorer. Peu à peu la contracture générale augmente et l'
enfant
meurt. L'autopsie faite quelques minutes après
as qui nous occupe (Arthur) (PI. XVIII, fig. A et B) est celui d'un
enfant
de 10 ans 1/2 né à terme, sans rien de particulie
ns le jeune âge, mais il ne lui en est absolument rien resté. Pas d'
enfant
mort. ' Jusqu'à l'âge de 2 ans, Arthur ne prése
articulier, puis il contracte une pleurésie grippale, et une nuit l'
enfant
est pris de terreur noc- NOUVELLE Iconographie
à cette époque une amélioration notable et spontanée se produit, l'
enfant
marche de nouveau seul. L'état de guérison se mai
ient pen- dant six mois et insidieusement la marche disparaît, et l'
enfant
nous est amené (service du Dr Hendrix la Policl
e plâtre en position normale) et actuellement (19 novembre 1901), l'
enfant
a pro- gressé régulièrement, il marcherait bien
nce fonctionnelle absolue. Les bras ont repris leur fonctionnement, l'
enfant
écrit, dessine, mal il est vrai, à cause de la
t intentionnel, du nystagmus et une sensibilité générale extrême, l'
enfant
est très impressionnable, ses réflexes sont exa
, parole saccadée et spasmodique). La maladie est apparue lorsque l'
enfant
marchait et, avant la voie pyrami- dale dévelop
pas du tout; c'est un cas de Little non spontanément guérissable. L'
enfant
a séjourné dans un appareil plâtré pendant quat
ne sorte de paralysie fiasque des membres inférieurs, qui empêche l'
enfant
de se soutenir sur les jambes. Le volume des mo
Le père a souffert de coliques satur- nines avant la naissance de l'
enfant
. Les figures A et B présentent un cas vraiment
21. Andry. L'orthopédie ou l'art de prévenir et de corriger dans les
enfants
les difformités du corps. Paris, 1741. 22. Al
ation était une faculté primordiale des sens, on ne verrait plus un
enfant
tendre les bras pour attraper la lune. » Cette ob
se, puisque c'est précisément parce qu'il oriente et localise que l'
enfant
tend les bras vers la lune, et non vers tel autre
une fiole d'urine, si on le consulte pour un homme ou une femme, un
enfant
ou un vieillard. Comme dans un miroir fidèle, il
ement avoir eu la syphilis. Sa première femme mourut en couches ; l'
enfant
, bien conformé et né à terme, mourut de gastro-
Il s'est remarié depuis ; sa seconde femme est bien portante ; pas d'
enfants
. Le malade dit avoir été de -longue date sujet
lis. La mère est morte à 38 ans de cancer de l'utérus. Ils ont eu 6
enfants
, deux sont morts en bas âge de con- vulsions, u
ent bromure institué à la consultation de la Sal- pêtrière ; mais l'
enfant
a conservé depuis ce moment une légère asymétrie
dre qui constituaient alors toute la symptomatologie, si bien que l'
enfant
fut considéré comme affecté d'épilepsie essentiel
e la commune de X... amenait à Nancy à la clinique des maladies des
enfants
une petite fille « monstre » née 45 jours aupa-
âne, surplombant une face à peine formée où s'ouvrait aux cris de l'
enfant
un large cloaque naso-bucco-pharyngien. La face p
éjetée latéralement, restant close. Née de parents indigents, cette
enfant
, objet de curiosité locale, avait été en- voyée
demne elle aussi de syphilis. Un an 1/2 auparavant elle avait eu un
enfant
, de bonne constitution et de santé excellente.
ures avant l'accouchement, le ferme pressentiment qu'elle aurait un
enfant
anormal. L'accouchement eu lieu spontanément. s
canisme, sans aucun accident. Une tante de la mère aurait eu, sur 6
enfants
, 3 enfants auormaux ; sans plus précis renseign
ns aucun accident. Une tante de la mère aurait eu, sur 6 enfants, 3
enfants
auormaux ; sans plus précis renseignements. Ses
is renseignements. Ses frères et soeurs sont bien constitués. Cette
enfant
, de taille moyenne, se présentait en bonne santé
tion ; malgré les dangers immi- nents d'une infection pulmonaire, l'
enfant
augmenta de poids, devint vigou- reuse en se dé
ta de poids, devint vigou- reuse en se développant comme tout autre
enfant
. Mais le 8 juillet, sans cause, elle parut dépr
u à peu de diamètre et très mince, semblait lors . de l'entrée de l'
enfant
au service, incessamment prête à céder ; et cepen
samment résis- tante pour en empêcher la rupture. A chaque cri de l'
enfant
, les veinules su- perficielles se dilataient, l
stants, non pas de 5 cm. comme nous l'avions mesuré à l'entrée de l'
enfant
vivant, mais de 3 cm. 5 au maximum, russificati
de profil du côté droit, la tumeur étant dissimulée, on eût dit une
enfant
bien conformée quanta la joue et l'oreille droite
aient chez MONSTRUOSITÉ RARE DE LA FACE ET DE L'ENCÉPHALE 237 cet
enfant
la même importance morphologique absolue que chez
e chose près le. calibre que nous avons constaté sur des cerveaux d'
enfants
de quelques semaines ; et le canal de l'épendym
able. En résumé, les principales anomalies qui se présentent chez l'
enfant
qui fut l'objet de la description qui précède,
s chinois depuis que l'agent de Barnum a entendu parler de ces deux
enfants
et a conclu un en- gagement avec le père. Le Dr
Elle est morte trois ans après la naissance, sans avoir eu d'autre
enfant
ni fausse couche. Le père jouit d'une bonne santé
de particulier au point de vue de l'hérédité. La mère a allaité les
enfants
pendant deux ans et demi. Au point de vue de le
chement eut lieu à terme, en bonnes con- ditions. A sa naissance, l'
enfant
avait le membre inférieur droit un peu plus cou
légèrement en varus. On montra XV ' 18 266 INFROIT ET IIEITZ l'
enfant
au baron Larrey, qui proposa la section du tendon
ses, terminées par des couches faciles, assez courtes, bien que les
enfants
eussent un poids normal. L'aîné, un garçon,. qu
, une fille, est actuellement âgée de 39 ans, elle a eu elle-même 5
enfants
, tous normalement constitués comme leur mère.
s de la marche depuis son enfance ; le malade le sait parce que les
enfants
se moquaient de son oncle à cause de son facies
mai 1902). UN CAS D'EUNUCfIISME FAMILIAL 273 Cette femme a eu six
enfants
: 10 Une petite fille, morte à six ans, qui n'a
ne font aucune saillie, le mamelon est très petit, comme celui d'un
enfant
de 2 ou 3 ans, avec une aréole à peine saillant
ci sont de 23 millimètres ; le scro- tum est petit comme celui d'un
enfant
de 8 à 10 ans ; on sent un cordon ter- miné par
ux suspects ; Oïshi lui- même, après avoir divorcé et abandonné ses
enfants
, partit pour Kioto, où il épousa publiquement u
vent à tuer tous leurs enne- mis, n'épargnent que les femmes et les
enfants
, et enfin, maîtres de la place, recherchent le
eusement la route de Mikoua. Lorsque les pauvres parents revirent l'
enfant
qu'ils croyaient perdue, lorsqu'ils apprirent com
archand de Mikaoua était-elle tombée à cette boue ? quand la pauvre
enfant
, écrasée à la fois de honte et de joie, peut répo
tes les exagérations et de tous les défauts de ce peuple resté très
enfant
par certains côtés de son cerveau. En réalité cet
e des écrivains qui ouvre la marche, vers t'age de 9 ans, lorsque l'
enfant
commence à écrire sous la dictée, et qui précède
endant fort longtemps. F..., n'est pas mariée. Elle n'a jamais eu d'
enfants
: jamais non plus elle n'a eu de maladies vénér
- Méningite chronique diffuse (1). Maxime V..., 3 ans 1/2. C'est un
enfant
assisté et nous ne pouvons avoir aucun renseign
spécifi- cité ; la grossesse et l'accouchement furent normaux. L'
enfant
est amené de l'Ardèche où il était placé et on no
sans pouvoir nous donner de détails plus précis. A son entrée, l'
enfant
présentait les phénomènes suivants : Dans la st
ant le sol, le pied se relevant brusquement à chaque pas. Lorsque l'
enfant
est à terre et qu'on lui dit de se relever il se
s exagérés. Légère trépidation épileptoïde. Pas de contracture. L'
enfant
reste habituellement assis dans une chaise et au
ÉCORCE DU CERVELET 515 L'intelligence parait peu développée, mais l'
enfant
n'est pas un idiot : il comprend bien ce qu'on
rend bien ce qu'on lui dit et répond correctement. Il est propre. L'
enfant
resta ainsi dans le service pendant dix-huit mois
u'on reste autour d'elle ni qu'on la serre, ce qui ferait mal à son
enfant
. Le lendemain le délire avait disparu, mais elle
le : elle ne veut pas qu'on l'approche parce qu'on ferait mal à ses
enfants
. Refus absolu de nourriture : pendant 10 jours,
S CORNES ANTÉRIEURE ET POSTÉRIEURE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE CHEZ DES
enfants
NOUVEAU-NÉS (méthode chromo-argentique) PAR
ostérieure et de la corne antérieure de la moelle épinière chez des
enfants
nouveau- nés ; nous avons pour but encore de co
mes. Dé- (1) Nous avons reçu les morceaux de la moelle épinière des
enfants
nouveau-nés de la Maison des enfanls trouvés de
ices chez l'homme adulte avec les dendrites correspondantes chez un
enfant
nouveau-né, nous avons eu l'impression que, che
sourde et emphysémateuse : sa taille ne mesure que 1 m. 48. Cinq
enfants
sont nés de cette union dont deux avant notre suj
frères et la soeur sont bien portants ; ils sont mariés et ont des
enfants
. Dans la famille directe, on ne note donc que d
teur ne put maîtriser sa surprise et s'écria : « Ce n'est pas un ri
enfant
, c'est un garçon de 20 ans qu'on nous envoie ! »
ène, accordait l'en- trée libre aux médecins, aux militaires et aux
enfants
; son titre de « seul géant Parisien » lui, aus
état de collapsus général, hâté par une grippe. Elle était la 15e
enfant
d'un pauvre laboureur, tous les autres étant de t
sion des règles, atrophie de l'utérus), produisent peut-être chez l'
enfant
un arrêt de développement des organes génitaux.
de plus belle stature encore et dont le visage rappelait celui d'un
enfant
vieillot. Mais les stigmates de l'infantilisme
ur près d'une rivière dont le pont avait été emporté. Un jour, un
enfant
se présenta pour traverser le fleuve. Le géant l'
is bientôt il se sentit écrasé sous le poids d'un énorme fardeau. L'
enfant
n'était aulre que Jésus, qui se révélait par ce
nte Saint Cristophe, s'apprêtant à entrer dans le fleuve, portant l'
Enfant
Jésus sur son épaule droite el s'ap- puyant sur
LES GÉANTS DANS L'ART (Henry Meige) Saint Cristophe portant l'
enfant
Jésus Fragment d'une fresque de BONO VA FERRA
e de Vérone : un tableau représen- tant la Vierge sur un trône avec
Enfant
Jésus, entourée de plusieurs saints dont saint
riels, qui adoptent et suivent fidèlement leur trajet. Sur un cou d'
enfant
injecté, il est curieux de sui- vre les minces
n aussi, simplement injectées par le sang, sur les cadavres frais d'
enfants
, convergent vers le ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SAN
on XVIL-V..., néon 1850, entré en 1874. Grand-père maternel aliéné.
Enfant
unique, a perdu très jeune son père, a été élev
ivre tranquillement avec sa femme, s'occuper de son art, élever son
enfant
, il dira : Le sujet d'études (c'est lui) acquiert
autre l'a excité pour le rendre criminel, le dernier va pourrir son
enfant
, etc. » Mais < on a cru fabriquer un criminel,
orchite. A dix-neuf ans il se marie; de ce mariage naissent treize
enfants
, qui sont tous morts à l'exception d'un seul.
es couches, quatre grossesses à terme; il reste aujour- d'hui trois
enfants
bien portants). Deux ans avant son mariage, il
vail sur ce qu'il appelle la chorée du larynx, et où il s'agit d'un
enfant
âgé de six ans ? A la suite d'une bronchite lég
e au bêlement d'une de ces chèvres méca- niques avec lesquelles les
enfants
aiment à jouer. Ici il s'agirait de l'imitation
, du chloral et du bromure contre l'insomnie et les douleurs dont l'
enfant
souffrait; ce traitement réussit pendant quelqu
ur de la fontanelle antérieure, en bas et en dedans profondément; l'
enfant
avait d'abord été anesthésié. Quand j'eus attei
nelle, antérieure fut. remplacée par une dépression marquée, et l'
enfant
guérit sans aucun mauvais symptôme. M. D. IX. L
ysie de la moitié droite de la face; impossibilité de téter. Puis l'
enfant
tette bien : cinq à six semaines plus tard, kér
ment électrique méthodique et prudent ne produit pas de résultat. L'
enfant
meurt de bronchite à l'age de huit mois et demi.
vec les autres sections de Bicêtre; ce service est destiné pour les
enfants
au-dessous de dix-huit ans ; ils sont logés dans
entourer de marbre et les loger presque dans des palais lorsque les
enfants
bien portants du peuple qui paie tous ces milli
militenten faveurde l'hospitalisation aussi large que possible des
enfants
idiots et épilepti- ques. Sans parler des essai
- ques. Sans parler des essais de l'assistance et du traitement des
enfants
idiots par Itard (1801), par Félix Voisin, par
Allemagne, en Angleterre et en Amérique en faveur du traitement des
enfants
idiots, et dans ces différents pays, le nombre
, t. XX1U. 9 130 VARIA. tion de l'assistance et du traitement des
enfants
idiots a été reprise en France par le Conseil g
de la Seine et le Conseil municipal de Paris. Dans le quartier des
enfants
de la Salpêtrière, on a créé une école, à l'asi
millions dépensés pour la création à Bicêtre d'une section pour des
enfants
réputés incurables. Il ne sait probablement pas
est bien nécessaire d'assister ou d'hospitaliser cette catégorie d'
enfants
. Cette question aurait été naturelle dans la bouc
us étonne au dernier degré. Eh bien ! oui, l'hospitalisation de ces
enfants
est indispensable et cela par la nature même de
de douleurs leurs malheu- reuses familles. Et la grande classe des
enfants
dégénérés avec leur perversion des instincts, l
'hospitalisation aussi large que possible de tous ces VARIA. '131
enfants
? Quant à nous, nous dirons que ce qu'on a fait j
nt à nous, nous dirons que ce qu'on a fait jusqu'à présent pour ces
enfants
en France est encore peu : la section de Bicêlr
n article qui rendra obligatoire la création de ces asiles pour les
enfants
déshérités de l'intelligence. Dr J. ROUBINOVI
ait étranges. Tandis qu'une division de soixante-quatre femmes et
enfants
était conduite à la messe par quatorze gardiennes
omme fous. (L'Eclair.) D'où la preuve qu'il faut hospita- liser les
enfants
dégénérés, idiots, imbéciles, pervers, instables,
- Un drame s'est c * Voir sur la question de l'assistance de ces
enfants
l'opinion des alié- nistes de 1792 à 1840 dans
seil de surveillance de l'assistance publique : De l'assistance des
enfants
dits incurables; nos Comptes rendus du service
e terreur. (Républicain Orléanais.) Cet Amiard est le parent d'un
enfant
du service de M. Bourneville, à Bicêtre. Le LIT
e comme une autre ; c'est de la sélection supérieure. Donnons à cet
enfant
l'éducation et l'instruction que nous donnerion
fant l'éducation et l'instruction que nous donnerions à nos propres
enfants
et voyons ce que deviendra cette implacable hér
n, habitant Grand-Croix, qui est atteinte d'épi- lepsie, tenait son
enfant
à la fenêtre lorsque, prise subitement d'un acc
re lorsque, prise subitement d'un accès, elle le laissa'échapper. L'
enfant
tomba dans la rue et expira quelques instants a
u dire de ses parents il était gai, vif, jouait et courait avec les
enfants
de son âge. A l'école primaire, il apprit aisémen
pas tenir la comptabilité. Le patron consentit néanmoins à garder l'
enfant
dans sa maison. Mais il fut, dès cette époque,
l'adulte la dé- mence paralytique se retrouvent en somme chez cet
enfant
. Il y a dans l'histoire pathologique de notre m
de taille plus petite, d'apparence plus chétive, que la plupart des
enfants
de son âge. Ses parents sont très affirmatifs à
! même, meurtres. Les observations se, rapportent, sou- vent à des
enfants
ou à des adolescents. , , ; , ,(1 Voici l'histo
jet de leur obsession est très souvent un être qu'ils aiment, .un
enfant
, un parent, et cependant, si les circonstances
ous venons de parler. La quatrième génération se compose de douze
enfants
dont les âges varies de vingt à cinq ans, chez
a débuté au cours d'un allaitement durant déjà depuis dix mois. Son
enfant
eut alors des convulsions qui l'effrayèrent bea
se lui entrer par les sens, comme un air dans la bouche : c'est son
enfant
(qu'elle croit mort) qui s'est emparé d'elle :
lle cherchait un prétexte pour y -aller. Alors elle pensait à ses
enfants
. « Quel mal vqis-je leur faire, se disait-elle;
travail. Elle se préoccupe toujours de la peine qu'elle fait à ses
enfants
en ne pouvant pas surmonter son mal. Il y a tro
as digne de voir le jour ; je suis une mauvaise mère, dit-elle. Mes
enfants
ont des attentions pour moi, mais je n'en suis pa
et le coeur). Son chagrin lui vient de ce qu'elle n'a pu élever ses
enfants
comme elle aurait voulu. Et puis son mari voula
uvais sujet pour qu'il la jette à l'eau. Elle voulait aussi que ses
enfants
mourussent avec elle, parce que leur avenir ne lu
de caractère s'est surtout accentuée. Elle était devenue comme une
enfant
. Ces mêmes préoccupations l'ont repris peu à pe
dos et voulait rester couchée. Il fallait la faire manger comme un
enfant
. Depuis un mois environ, elle a des interprétat
- singer). Elle souffrait de voir des lumières, de voir parler un
enfant
; tout lui faisait mal, etc. Il y a quinze jours
n peu préten- tieuse. Plus tard, elle se laissait traiter comme une
enfant
, no connaissant que son métier et ne pouvant s'
ile en juin 1884. Pas d'hérédité névropathique. Elle a eu plusieurs
enfants
; en 1884, après avoir nourri le dernier elle a
DES conditions DE DÉVELOPPEMENT et.de l'activité cérébrale CHEZ LES
enfants
; par Francis W,\R ! OER. (Tite Journal of Ment
il y aurait à mieux connaître les conditions de dévelop- pement des
enfants
, ainsi que leur puissance cérébrale tant phy- s
composée au point t de vue névropathique : le père, la mère et six
enfants
étaient aliénés ou idiots; les deux seuls membr
uelle, âgés de moins de douze ans : la mère et les quatre aînés des
enfants
sont internés à l'asile pour avoir assassiné le
s enfants sont internés à l'asile pour avoir assassiné le cinquième
enfant
qui était idiot et épileptique : ils ont commis
était idiot et épileptique : ils ont commis ce crime parce que cet
enfant
a était une fée et une mauvaise fée », après le
et répond seulement qu'il vaut mieux s'adresser à sa femme et à ses
enfants
, qui sont plus savants que lui puisqu'ils ont é
eut pas être expliqué dans une autre langue que celle que parlait l'
enfant
. R. M. C. XXV. UN cas de chorée associée A la f
mentaux ne firent leur apparition qu'au bout de deux mois. Chez un
enfant
de dix ans auquel on avait pratiqué la résection
utilité ou de la difficulté de la réponse s'observe chez les jeunes
enfants
, en sorte que l'on pourrait à la rigueur voir d
rhuma- tisme articulaire avec insuffisance mitrale, et ayant eu 13
enfants
. Thrombose puerpérale de quelques varices de la
but a été tout autre. Depuis qu'il est à la tête de la section des
enfants
idiots et épi- leptiques à Bicêtre, dans ce ser
n s'occupe d'eux. D'où nécessité absolue de l'hospita- lisation des
enfants
idiots et imbéciles, comme mesure de protection
du volume où il verra qu'il a été imprimé à Bicêtre même par ces
enfants
imbéciles et arriérés, que le traitement a rendus
ce qui s'était passé. La mère entendit le propos, ques- tionna ses
enfants
et apprit tout. Une autre fillette de neuf ans,
erger un malade dont la présence dans une maison où il y aurait des
enfants
ou de jeunes femmes serait loin d'être sans inc
nnaît différentes condamnations pour vol et violences. J'étais un
enfant
à cette époque, dit-il, et, depuis, j'ai bien r
puisqu'elles vont depuis les premières hésitations du langage de l'
enfant
jus- qu'à la parole embarrassée des paralytique
l'épilepsie, l'hystérie et l'idio- tie. Compte rendu du service des
enfants
idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pen
use, pour pervertir et anéantir à tout jamais l'intelligence d'un
enfant
jusque-là bien pondéré. Que s'est-il donc passé ?
et parcourt, sans but, différentes parties de la salle. Chez cette
enfant
, non seulement la région fron- tale est annihil
peler ce qui se passe à l'état normal. Si l'on examine, en effet, l'
enfant
qui commence à jouir du contrôle distinct de se
nscience se développe l'attention et que les actes volitionnels des
enfants
perdent peu à peu leurs apparences impulsives p
que les albuminuries tempo- raires sont beaucoup plus rares chez l'
enfant
que chez l'adulte. Nous n'avons pas assez d'obs
iginalité de caractère, par aucune tare intellectuelle. 11 a quatre
enfants
en bas âge, tous sains et robustes, les aînés o
avant son mariage, c'est du moins ce qu'il prétend. Mais ses quatre
enfants
sont très bien constitués, ils ne présentent au
a mémoire : une de ses parentes lui demandait le nom de son dernier
enfant
, cela deux jours après qu'il l'avait fait bapti
fut impossible de répondre, il avait absolument oublié le nom de l'
enfant
, il ne se souvenait même plus du nom de famille
lui parle de sa femme et de ses NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. 377
enfants
. Il dit qu'il voudrait bien les voir, que e c'est
ouïe, d'idées mélancoliques, crainte de la ruine, de la mort de ses
enfants
, état d'inertie allant presque jusqu'à la stupe
; par G. WERDNIG. (Archiv. f. Psych., XXII, 2.) Il s'agit de deux
enfants
pris à dix mois brusquement de faiblesse dans l
musculaire à évolution rapide a pour lésion (autopsie du pre- mier
enfant
) une dégénérescence systématique des cornes anté-
soins du ménage de même qu'aux tra- vaux agricoles, s'attachent aux
enfants
qu'ils gardent, et souvent, plus tôt qu'on ne s
es allégations rappelant les délires viscéraux. 3° Hystérie chez un
enfant
. La névrose s'est développée isolément che un p
sie des jambes. En dehors des crises, intégrité de l'état mental, l'
enfant
est rangé, affectueux, modeste. La guérison s'eff
sation anor- male. M. HAHN présente un cas de folie aiguë chez un
enfant
. Il s'agit d'un garçon de dix ans qui, à la sui
s que les fontanelles et les sutures semblaient ossifiées, chez cet
enfant
de douze ans, les sutures fronto- pariétales et
nt de reconnaître le droit aux secours dans mon département pour un
enfant
âgé seule- ment de sept ans, je désire avoir co
il verrait à chaque instant citer des accidents occasionnés'par des
enfants
idiots, aliénés ou épilep- tiques, ou raconter
u odieux commis sur eux, et qui justifient l'hospitalisation de ces
enfants
. Nous ne vou 452 '. varia. Ions pas faire ici
venu le jeudi 31 mars à Bicêtre, donner aux aliénés adultes et aux
enfants
de l'établissement une intéressante matinée. Au
s enthousiastes de son auditoire composé d'environ 300 adultes, 250
enfants
, il a fait jouer à ses pupazzi trois comédies e
thenay. Au commencement et à la fin de la matinée, la fanfare des
enfants
a joué quelques morceaux de son répertoire. La fê
mencée à 2 heures et demie, s'est terminée à 4 heures et demie. Les
enfants
de la fondation Vallée sont venus, comme d'habi-
assister à la représentation. ' Législation sur les Aliénés et les
Enfants
assistés, 1.1", p. 65. VARIA. ' 4B3 Les alién
cière et commettait de nombreux actes d'excen- tricité. Ce sont ses
enfants
qui, inquiets de ne pas la voir depuis -quelque
transporté à l'Hôtel-Dieu dans un état désespéré. (L'Eclair.) UN
enfant
assassin. On mande de Saint-Etienne, 24 mars : Un
is ce matin, dans le quartier Saint-François, à Saint-Etienne. Deux
enfants
de quatorze ans, les nommés Faure et Gagnière,
elques pas et s'est affaissé en criant : « Au secours ! » Le pauvre
enfant
a été transporté mourant à l'hôpital. Son meurtri
ur l'épilepsie l'hystérie et l'idiotie, compte-rendu du service des
enfants
idiots épilep- tiques et arrivés de Bicêtre pen
parties de l' - chez les animaux nouveau-nés, par Bechterew, 396.
Enfants
, développement de l'intel- ligence chez les -,
r- Pope, 233; - alcoolique chro- nique, par Hahn, aiguë chez un
enfant
, par Wahu, 437. - ' Glande pituitaire, tumeur d
s la foule avec une telle brutalité que plusieurs femmes et plusieurs
enfants
furent foulés aux pieds avant qu'il fût possible
Il y a bien d'autres faits analogues. On pourrait y joindre les trois
enfants
dont l'histoire est rapportée dans une des récent
tisme, qui avait été l'agent provocateur de l'hystérie chez ces trois
enfants
. Mais, dans l'esprit du célèbre maître de l'école
réunions où se trouvent des jeunes gens, des adolescents et même des
enfants
. C'est pourquoi l'Académie Royale de médecine d
u'elle aura accumulée dans quelques siècles, n'est aujourd'hui qu'une
enfant
ignorante, la science elle-même y est impuissante
es sains aussi bien que des hystériques. VARIÉTÉS L'ASTUCE CHEZ L'
ENFANT
Par le Dr Collineau La droiture, en général,
nt de ses actes qu'instinctif, prime-sautier à la fois et ignorant, l'
enfant
cède volontiers au désir du moment qui l'aiguillo
, est au prix d'une science exacte, et des conceptions familières aux
enfants
en quête d'imposture, et des conditions psycho-ph
s porté leur attention sur la simulation des maladies de la part de l'
enfant
; en ne faisant mention que pour mémoire des étude
fin. Dufesiel (7) vient de publier sur les maladies simulées chez les
enfants
, un mémoire plein d'intérêt. Les travaux des deva
usions de Dally, sur ce point, sont conformes à celles d'Eross. Des
enfants
qui se laissent surprendre en flagrant délit de s
jamais été (1) J. Simon, Conférences cliniques sur les maladies des
enfants
. (2) Bourdin, Les Enfants menteurs. (3) Fourn
onférences cliniques sur les maladies des enfants. (2) Bourdin, Les
Enfants
menteurs. (3) Fournet, L'Éducation est une géné
ation est une génération psychique. (4) Dally, Le Mensonge chez les
enfants
. Discussion ouverte en 1882 a la Société médico-p
édico-psychologique de Paris. (5) Motet, Sur le faux témoignage des
enfants
. (?) Eross. In Jahrbuch fur Kinderheilkunde, xx
es jeunes simulateurs en trois catégories. « La première se compose d'
enfants
dont tous les organes sont sains. Ceux-ci ne simu
ignifiantes, avec un but bien défini. Dans la deuxième se placent les
enfants
qui simulent des choses plus compliquées et y son
oussés, soit par leur instinct, soit par leur éducation première. Ces
enfants
sont mal équilibrés au point de vue mental. On co
firmité, qu'il n'a plus pu parler quand on l'a mis en rapport avec un
enfant
paralysé de la langue et qu'on avait amené pendan
et donne des noms ayant à peu près la même consonance que ceux de mes
enfants
qu'il connaît parfaitement. A Blois (il habitai
er plusieurs fois à des voies de fait à l'égard de son mari et de ses
enfants
. — Elle a passé aussi par des phases de dépressio
forme de bijoux étincelants, etc. VARIÉTÉS I _ L'ASTUCE CHEZ L'
ENFANT
Par le Dr Collineau (Suite) La simulation, da
remarquer, des fillettes de huit.à quatorze ans. Suivant Bourdin. les
enfants
abandonnés fournissent â la série un contingent c
état mental décidément morbide que force est bien d'admettre. Si les
enfants
nerveux du second groupe peuvent être, en une fou
curieux, sur lequel Dufestel ne manque pas d'insister, l'hysté-rique
enfant
simule avec autant d'habileté, de ténacité, d'aud
e que nous avons, maintenant, à spécifier. A défaut d'expérience, l'
enfant
est particulièrement enclin a l'imitation. On doi
re groupes les perturbations de la santé que simulent d'ordinaire les
enfants
astucieux. Dans le premier rentrent tous les phén
tuels gémissements de sa mère, à la suite du décès par méningite d'un
enfant
, un jeune garçon de treize ans accuse à son tour
) (0 JWn Smoi*, Conférences cliniq. et thirap. sur les maladies des
enfants
. T. I, p. i85. Paris. (i) Cm. Wih, Leçons sur l
ants. T. I, p. i85. Paris. (i) Cm. Wih, Leçons sur les maladies des
enfants
. — Traduction d'A;¦ iiumbaolt Paris. CORRESPO
ptembre, se présenta chez moi une jeune dame de 28 ans, mère de trois
enfants
, souffrant aussi de migraines depuis quatre ans e
elle-même. » Une autre de ses somnambules, mise en rapport avec un
enfant
qui avait un dépôt dans une articulation du bras
sion est renvoyée à la séance suivante.) VARIÉTÉS L'ASTUCE CHEZ L'
ENFANT
Par le D» Collmau (Suite) Au second groupe —
ous ne pûmes, dit le savant médecin de Bu- • dapest, faire avouer à l'
enfant
ni la simulation, ni le motif. C'est la si- : mul
rent venir a bout. — Boisseau 4), enfin, rapporte qu'une femme et son
enfant
furent surpris, à deux heures d'intervalle, simul
forme est le mode de simulation le plus habituel. Dans les hôpitaux d'
enfants
, selon Dufestel, il serait beaucoup plus rare.
descendre en classe. » (1) BaouitoLLX, De la claudication cfter les
enfants
, 1887. Paris, (aj Dx âAiNT-Gravaix, Diagnostic ci
z l'adulte, la simulation de la folie est. en effet, fort rare chez l'
enfant
. 11 faut pour cela des circonstances toutes spéci
. Ils ne travaillaient pas et vivaient de mendicité et de rapine. Les
enfants
mouraient jeunes. Des moeurs licencieuses les car
charitables, ou ainsi appelés, qui donnent l'aumône aux femmes et aux
enfants
, avaient a répondre d'une faute grave. Parmi ces
aveugle des particuliers, appelée a tort charité, et de s'emparer des
enfants
. L'hypnotisme en face de l'Église. Dans la se
hygiénique, en ce sens qu'il est facile de l'élever a la taille de l'
enfant
, a mesure qu'il grandit. Cette table permet alt
r l'espèce humaine elle-même, nous rencontrons, par exemple, chez les
enfants
, la faiblesse de la volonté, l'absence de liberté
out à l'heure, chez la femme que chez l'homme. davajt-J tage chez les
enfants
que chez les adultes, davantage chez les sauvages
rebelle a toute influence hypnotique. VARIÉTÉS L'ASTUCE CHEZ L'
ENFANT
Par le D' COLUOTiB (Suite et fin) En ce qui a
ait à la vision, il n'est pas rare, selon Galézowski (i), de voir des
enfants
se plaindre de différents troubles visuels : dipl
, vomissements incoercibles, incontinence, etc., ont été de la part d'
enfants
intelligents et opiniâtres l'objet de simulations
le satisfaction. En somme, quel que soit le mode particulier dont l'
enfant
fasse choix' pour mettre en «cuvre ses dispositio
n et à l'imposture est-elle si notoire chez les jeunes détenus et les
enfants
abandonnés? Toujours est-il que, sur la directi
toujours eu la spécialité des accouchements et des soins a donner aux
enfants
, et que quelques-unes même ont acquis, à la suite
sous l'influence du sommeil lomnambulique. Cette femme', étant tout?
enfant
, était allée aux Enfants-Assisté s où elle avait
péril, pour vous épargner la souffrance, ni votre \ic ni la vie de l'
enfant
à' naître de vous. Si un médecin digne de confiar
re cinq ci huit ans, plus tard parfois, il n'est pas rare de voir de»
enfants
, sous l'obsession de terreurs chimériques et soud
arient beaucoup; en général, ils durent cinq à trente minutes, puis l'
enfant
reprend possession de lui-même et se rendort. *
eprend possession de lui-même et se rendort. * Pour la plupart, ces
enfants
-là ne sont pas malades. En général, l'accomplisse
— non sans raison dans certains ca» — le trouble du sommeil chez les
enfants
à l'existence de parasites , d'helminthes, d'oxyu
d'autant moins à insister que d'ordinaire les terreurs nocturnes des
enfants
tiennent à des circonstances absolument distincte
de parasites dans les voies intestinales pour que les digestions des
enfants
soient laborieuses. A part certaines dispositions
de proscrire les excitants de toutes sorte du régime alimentaire des
enfants
, et de modérer au repos du soir, j en particulier
danger. Pour peu qu'il possède des notions exactes sur les faits. l'
enfant
en tire spontanément des déductions d'une justess
iècle, p. SS; Paris. ques. La littérature moderne a Trop rlatté l'
enfant
. Elle aime a voir en lui un an je qui aurait lais
ion encombre les dogmes. Est-il bon d'enseigner les dogmes aux petits
enfants
? L'importance de la question est capitale, Esquir
un tour aphoris-tique à sa pensée : • Parler religion à un très jeune
enfant
, c'est vouloir qu'il dénature le sens de nos idée
e de fois. La première nuit qu'en proie à la terreur qui le domine, l'
enfant
saute en criant hors du lit, que l'on tienne comp
laborieuse carrière. Legrnnd du SjuHc 1) rapporte avoir observé huit
enfants
de dix a quatorze ans pour qui la vue d'un cadavr
les jours, c'est juste ce que l'on fait. Mais ce n'est pas tout. L'
enfant
de la maison est périodiquement pris de terreur.
consolerait, on s'ingénierait a le soulager. Eh bien ! le malheureux
enfant
enclin, par une cause quelconque, aux terreurs no
le devoir de bannir la rudesse de la répression. Taxer de malades les
enfants
enclins aux terreurs nocturnes serait s'exposer a
t tout. Ce qui semblerait 'démontrer que la terreur nocturne chez l'
enfant
n'est, en somme, que le résultat d'une suggestion
résultat d'une suggestion, c'est que l'on a pu facilement guérir des
enfants
atteints de cette affection par l'application de
teur Bérillon a pu guérir, en deux ou trois séances d'hypnotisme, des
enfants
de six et de huit ans atteints de terreurs noctur
ation,— à notre sens, il y a avantage à accoutumer de bonne heure les
enfants
a dormir isolés dans une chambre spacieuse où l'o
d. Le caractère et principalement l'âge y contribuent avant tout. Les
enfants
se sont montrés tous sensibles. Après l'âge de tr
Bright, incontinence d'urine, névralgie du col vésical. maladies des
enfants
, anomalie des menstrues, psychoses, hystérie, amb
au choléra, suivant la préoccupation du moment, puis a. l'élevage des
enfants
; enfin, vers le milieu du dîner, quand vous avez
e. On craignait le croup, si bien qu'on a dû éloigner tous les autres
enfants
; malgré son père, qui ne croit pas à l'homéopathi
! Vous êtes une mauvaise fille. II y a deux ans déjà, vous avez eu un
enfant
et vous l'avez fait disparaître! Est-ce vrai? On
iste. Elle finit par me dire: « Vous m'avez dit que j'avais eu un
enfant
! » — « Et qu'est-ce que je vous ai fait r « — «
ffre autant, dit-elle, pour aller.' à la garde-robe que pour avoir un
enfant
. » Le- urines non; jamais été très abondantes, la
Bébiixon. EMPLOI DE LA SUGGESTION HYPNOTIQUE POUR L'ÉDUCATION DES
ENFANTS
ET DES ADOLESCENTS Par le D' LIÉBEAULT (de Nanc
agent auxiliaire des moyens connus, pour développer les aptitudes des
enfants
inintelligents et vicieux. La proposition en fut
uelques séances avec suggestion dans le sommeil profond ont amené cet
enfant
à bien, et j'ai appris, longtemps après ce traite
ition à s'épouvanter. Le 22 mai de la même année, j'ai appris que cet
enfant
avait encore parfois de l'agitation d'esprit, mai
séances d'application des mains sur la tête et le ventre de ce jeune
enfant
éveillé, ce qui n'est autre chose qu'une suggesti
ces de somnambulisme, avec suggestion chaque fois, ont débarrassé cet
enfant
de ce sentiment de crainte excessif, et il ose mê
Sait lire et écrire. Caractère doux. 11 a éié renvoyé de l'école des
enfants
de troupe de Montreuil-sur-Mcr pour incapacité mo
tique de l'hypnotisme, un remède à 1 épuisement physique et moral des
enfants
et des adultes surmenés. SI. — 10 août 1878. —
ensuite pendant six ans, dans l'espace desquels clic mit au monde six
enfants
, tous robustes et bien constitués. Trois d'entre
sespérante. A-t-on assez tonné contre l'abus de la force envers les
enfants
? A-i-on édicté assez de lois, toutes plus sages,
ogie A peu près partout, jusqu'à nos jours. Comprimer la vivacité des
enfants
sous une étroite discipline, ne laisser a la légè
s exigences tracassières ne tarde pas-à devenir l'idée dominante de l'
enfant
, et qu'aux luttes de ce genre l'affection s/émous
. J'ai vu dans les collèges des barbares qui faisaient dépouiller des
enfant
» presque entièrement; une espèce de bourreau, sou
temps. ¦ Selon la judicieuse remarque de Bain ¡4), pour instruire l'
enfant
, force est bien de fixer son attention sur des co
rdecn. évertuez-vous i apprécier, avec justesse, dans quelle mesure l'
enfant
est capable de l'effort qu'exige l'attention forc
des physiques, intellectuelles et morales qu'apporte à sa naissance l'
enfant
, pour l'habituer à s'imposer l'cnort, pour lui mé
les replis de l'organe en jeu, la plupart des jugements portés par l'
enfant
sont d'une justesse inattaquable. Et il se Compta
en réalité, quel est-il > Ce n'est pas, à coup sûr. de faire, des
enfants
de la nation, autant de puits de science. Non; c'
nambuiique continu, et. par ce moyen, de lui faire mettre au monde un
enfant
, sans qu'elle eût à souffrir des douleurs de la p
nnaissance qu'elle était mère qu'au moment où. éveillée, elle vit son
enfant
couché près d'elle, dans son Il est donc probable
ère impression, quand une assertion est formulée, c'est de croire ï l'
enfant
croit ce qu'on lui dit. L'expérience de la vie. l
ntre chez tous les individus à des degrés divers, plus forte chez les
enfants
et les femmes que chez les nommes adultes; plus i
iére. Histoire de la malade. — Elle s'est mariée en iS8it a eu deux
enfants
: une petite fille qui a maintenant cinq ans et q
on me la rend, disait-il dernièrement, je l'abandonne ainsi que mon
enfant
, j'abandonne tout et je me sauve dans les colonie
e d'une famille dont les parents étaient ambidextres et dont les cinq
enfants
adultes étaient auss ambidextres, à ce point qu'i
tion médicale mutuelle du département de la Seine, 285. Astuce chez l'
enfant
(l'), par Collineau. 25. 60, 89. 142. Attaque d
ion des représentations d'hypnotisme dans les),. 286. Education des
enfants
emploi de la sug-gestion hypnotiqoe pour I'), par
Eglise (l'hypnotisme en face de I'), par Paul Copin. 18, 49, 93.
Enfant
(l'astuce chez l'), par Collineau. 25, 60, 80, 12
. Opération césarienne. — Métrite gangreneuse. — Mort de la mère. —
Enfant
vivant. Par M. Tarnieu, chirurgien de la Matern
ccouchement a été rapide, naturel, n'a exigé aucune intervention. L'
enfant
vit encore, comme tous les autres. Les suites d
rnière époque de ses règles. — Elle n'a cependant nourri aucun de ses
enfants
. Depuis sa grossesse, elle paut marcher un peu
yée. — Col très en arrière et très élevé. — Présentation du sommet.
Enfant
vivant. — Contraction utérines énergiques. Opér
ent par suffoquer les malades. Lieutaud as-« sista à l'ouverture d'un
enfant
de douze ans, qui était mort « subitement après a
médicament pourrait rendre d'excellents services dans la médecine des
enfants
. Voici le résumé de cet important travail : i
tassium, administré à doses modérées, est parfaitement toléré par les
enfants
en bas âge ; 2° Par son action sédative, il gué
s âge ; 2° Par son action sédative, il guérit l'insomnie des petits
enfants
que cette insomnie soit calme ou agitée et mêlée
mnie soit calme ou agitée et mêlée de cris ; 3° Administré chez les
enfants
qui présentent quelques-uns des accidents delà pé
; 4° On ne doit pas administrer le bromure de potassium aux petits
enfants
qui ont la diarrhée ; 5° Dans certains cas exce
ient puiser de préférence. Dans les écoles on a fait distribuer aux
enfants
des pastilles contenant de petites quantités d'io
oduit dans la Haute-Savoie les plus heureux résultats. Ainsi, 5,ooo
enfants
ayant été soumis à ce traitement, 2,000 ont été g
nil. Cas d'Obésité Observé par M. le docteur Parrot , médecin des
enfants
assistés. L'enfant qui fait l'objet de cette ob
Observé par M. le docteur Parrot , médecin des enfants assistés. L'
enfant
qui fait l'objet de cette observation est représe
mes. Rien d'analogue ne s'est encore produit dans la famille de cette
enfant
, et ses parents jouissent d'une bonne constitutio
cile d'ailleurs, possède un timbre sourd et grave. L'appétit de cette
enfant
tient de la voracité ; sa force musculaire, bien
able, ne laisse pas que d'être très accessible à la fatigue lorsque l'
enfant
la met à contribution pour la marche ; la station
rait à un tempérament scro-fuleux dans la presque totalité des cas. L'
enfant
dont nous venons de retracer l'histoire ne porte
arquable étude : i° Sous la dénomination d'ophthalmie purulente des
enfants
, on confond plusieurs affections différentes : l'
des nouveau-nés; 2° Cette dernière ophthalmie se développe sur les
enfants
nouveau-nés par influence épidémiqu3 et par conta
ants nouveau-nés par influence épidémiqu3 et par contagion ; chez les
enfants
plus âgés et les adultes, elle est toujours le ré
Sanson a donné les résultats les plus satisfaisants. Un homme et son
enfant
, atteints de pustule maligne, ont même été guéris
uparavant, mais le mal avait bientôt récidivé et menaçait la vie de l'
enfant
. Sans décrire le manuel opératoire, la tumeur fut
ncer dans sa totalité, pesait environ 3 livres, le poids total de l'
enfant
étant de 36. La cicatrisation de la large plaie r
ultant de cette opération marcha rapidement et, six semaines après, l'
enfant
pouvait élever le bras de 20 à 3o degrés, et grad
ant à la difformité en résultant, elle était à peine sensible quand l'
enfant
était habillée. Le succès était donc aussi satisf
rès le récit de la mère, comment s'est développée cette affection : L'
enfant
a marché à treize mois, et jusqu'à trois ans sa f
n apparition vers l'âge de treize ans : cette femme avait eu dix-sept
enfants
, sans songer à faire enlever sa tumeur ; elle se
euse, les écoles, les pensionnats, les salles d'asile, les hôpitaux d'
enfants
, etc.,où l'accumulation des sujets dans une même
ots de ce dernier. Vous l'avez vu ; il est jeune encore, presque un
enfant
, à ne considérer que son âge, dix-sept ans; mais
ril, la nommée Elise B. accouchait, à. la salle Saint-Ferdinand, d'un
enfant
à terme. Elle est bien conformée, ainsi que le pè
d'un enfant à terme. Elle est bien conformée, ainsi que le père de l'
enfant
, et a déjà eu deux enfants qui sont encore vivant
est bien conformée, ainsi que le père de l'enfant, et a déjà eu deux
enfants
qui sont encore vivants; ils n'ont présenté aucun
un trouble qui puisse expliquer les lésions que nous trouvons sur son
enfant
. Il a le volume d'un enfant à terme, et pèse 3,04
uer les lésions que nous trouvons sur son enfant. Il a le volume d'un
enfant
à terme, et pèse 3,040 grammes. La tête est bien
lobule du nez, la muqueuse se continue directement avec la peau. L'
enfant
meurt au bout de quelques jours. En ouvrant la bo
int-Hilaire, dans la production du bec de lièvre, n'ait agi, chez cet
enfant
, sous une influence inconnue. L'arrêt de développ
une petite fille, née tout récemment, à terme et pleine de vie. Cette
enfant
, ainsi que je le constate après un examen attenti
habituel, au dire de la malade. 14. juin 1868. — Réglée à 17 ans; 8
enfants
; ménopause à 54 ans. Langue très saburrale, bouch
izaine d'années. Nous donnerons la photographie et une note sur cette
enfant
dans le prochain numéro de la Revue. La Rédacti
La jeune tille que représentent les planches XXII et XXIII est une
enfant
de dix ans, native d'Issoudun. De même que le cas
res, étaient complètement développées. De plus, il y avait chez cette
enfant
un seul anus, à côté duquel résidait une dépressi
avait nécessité l'usage d'un vase spécial à grand diamètre pour que l'
enfant
pût procéder à la miction. Des médecins et chir
on doit rattacher les oscillations et la lourdeur de la démarche de l'
enfant
. Le cas de tératologie que nous venons de décri
ent nous a été communiqué par le docteur Péan, à qui les parents de l'
enfant
s'étaient adressés pour une consultation. JNous a
de penser que si la tuberculose de l'intestin est si fréquente chez l'
enfant
, relativement à ce que l'on observe chez l'adulte
fant, relativement à ce que l'on observe chez l'adulte, c'est que les
enfants
avalent leurs crachats plutôt que de les expector
iocre. Par ses allures, son langage, son caractère, F... était restée
enfant
. — La tête était petite, sans aucune différence e
BIBLIOGRAPHIE Leçons cliniques sur les maladies chirurgicales des
enfants
, par M. J. Giraldès, recueillies et publiées pa
e, assez riche relativement aux affections médicales qui frappent les
enfants
, est au contraire bien pauvre en ce qui concern
tion il joint une pratique déjà longue des maladies chirurgicales des
enfants
, ayant, durant plusieurs années, été chirurgien d
tion d'urgence que l'on a si souvent l'occasion de pratiquer chez les
enfants
; sur les anesthésiques et plus spécialement le c
s. En résumé, les Leçons cliniques sur les maladies chirurgicales des
enfants
sont appelées à rendre de réels services. Nous es
droite.................. 12 Action du bromure de potassium chez les
enfants
........... i3 Emploi de la fumée d'opium dans l
....»...... 180 Leçons cliniques sur les maladies chirurgicales des
enfants
... 184 Éléments de physiologie du Dr Hermann...
RTIIEKAND, Le diagnostic de la tuberculose pulmonaire chez les jeures
enfants
thèse de Paris, 1899-1900. L'ACROCYANOSE CHRO
'est ame- née, en mars 1902, par mon ancien élève M. Pescray. Cette
enfant
,d'ailleurs bien constituée, sans nulle autre ma
t ». Le père et la mère n'étaient pas consanguins; ils ont d'autres
enfants
tout à fait normaux. On ne trouve rien en somme
bout d'une quinzaine de jours tout était entièrement cicatrisé. L'
enfant
rentrait chez ses parents, et sur ma demande, M.
sultat de son examen à une cliente qui tient entre ses bras un jeune
enfant
et attend, dans l'ombre, anxieuse. Quelles révé
ui annoncerait-il une seconde grossesse ? ... Ou bien est-ce pour l'
enfant
que la femme est venue demander un avis ? Nous po
e la dentelle. Près d'elle, dans un berceau d'osier, dort son petit
enfant
. Un vieillard, qui semble être aussi de la mais
des méninges spinales. R... âgé de 11 ans, né de parents inconnus,
enfant
assisté, est vu pour la première fois le 25 fév
ur la première fois le 25 février 1898. Il est amené au Service des
enfants
de la Maison de secours à cause d'une lésion su
orale gauche ; elle serait consécutive à un coup de pied reçu par l'
enfant
. Aucun renseignement sur ses antécédents. C'est
e, aucune lésion viscérale. ' En raison du traumatisme subi par l'
enfant
, on se rangea tout d'abord à l'idée d'une plaie
sions ? 2 Des symptômes d'irritation corticale apparaissent chez un
enfant
, pré- cédés par une lésion crânienne ou périost
s attribuables à la paralysie générale, telle qu'elle évolue chez l'
enfant
(1). Mais le terme encore bien imprécis de pseu
s par lui avec détail, telles que celle de Siemerling relative à un
enfant
de 12 ans et celle de Beettiger, relative à un en
relative à un enfant de 12 ans et celle de Beettiger, relative à un
enfant
de 8 ans, nous trouvons une concordance à peu p
re particulièrement intéressant à leur appari- tion tardive chez un
enfant
, dont les premières années avaient échappé comp
a marche établie (à 4 ans) allait, venait, courait comme les autres
enfants
, fréquentait l'école. Développe- ment physique
sses avant terme, avec mort du freins, et par la mise au monde d'un
enfant
chétif, Vt 9 122 SABBAZÈS atteint de kérati
e l'existence de plusieurs circulaires du cordon autour du cou de l'
enfant
. Dès la naissance on a été frappé par les défor
us le pied droit était complètement dévié en valgus, de sorte que l'
enfant
aurait dû pour mar- cher s'appuyer sur sa mallé
ité sur la cuisse. L'articulation du cou-de-pied est très mobile. L'
enfant
imprime facilement à sa jambe des mouvements éten
nt Philippe de Néni guérissant une possédée ; dans la Guérison d'un
enfant
, au même endroit, on voit aussi plusieurs malad
Mais le fait du développement précoce des organes génitaux chez un
enfant
qui n'a pas encore six ans, justifie la publicati
as les boissons alcooliques, mais il n'est pas malade. Le pre- mier
enfant
né de son mariage fut dès sa naissance un garçon
- mé, qui mourut de la diphtérie dans son neuvième mois ; le second
enfant
est notre malade ; il y a encore une petite fil
s mois après, ses parents remarquèrent une crois- sance anormale. L'
enfant
avait alors deux ans et parlait déjà assez bien.
t parlait déjà assez bien. En peu de temps il dépassa la taille des
enfants
de son âge. Dans sa deuxième année il eut la ro
présentent pas de disproportion. Il ne donne pas l'impression d'un
enfant
de cinq ans et neuf mois, mais d'un garçon de q
mais elles sont plus étroites, qu'il n'est ordi- nairement chez les
enfants
de 5 à G ans. Les cartilages épiphysaires des IIe
ahstraction de son apparence exté- rieure pour ne pas demander à un
enfant
de cinq ans et demi autant qu'à un garçon de qu
GIGANTISME PRECOCE (C. ci Popovits). Radiographie de la main d'un
enfant
de 6 ans, mesurant 140 cm. de hauteur. Ossifica
amnèse et sa conduite agressive a l'égard des femmes et surtout des
enfants
confirment ses défectuosités mentales. Au fond, o
onceptions éthiques et abstraites que l'on pour- rait attendre d'un
enfant
de cinq ans; il n'a pas notion du temps, du jou
its sont incontestables dans l'observation de notre cas ; d'abord j'
enfant
, d'une taille de 140 cm., pesant 40 kilos, âgé de
e croissance 188 HUDOVERNIG ET PÉTRY POPOVITS fut si rapide que l'
enfant
, à cinq ans et demi, donnait l'impression d'un
tème sexuel se distingue par son développement extraordi- naire : l'
enfant
de deux ans commence soudain à se développer, en
Il semble quelque peu téméraire de parler de désirs sexuels chez un
enfant
à peine âgé de six ans ; mais comme dans ces dern
; ceux-ci doivent plutôt être considérés comme existants, quoique l'
enfant
n'ait pu en avoir conscience. Du reste, chez un
s, quoique l'enfant n'ait pu en avoir conscience. Du reste, chez un
enfant
de six ans, bien qu'il produise l'impression de
, il parut qu'il y avait deux jumeaux dans son sein. Et lorsque ses
enfants
étaient près de sortir, l'un des deux passa sa
n ruban d'écarlate, en disant : celui-ci sortira le premier. Mais l'
enfant
ayant retiré sa main, l'autre sortit. Alors la
chement t gémellaire : d'abord la présentation par le bras d'un des
enfants
, puis le retrait spontané de ce bras, et l'issu
n des membres ou la tête. La sage-femme à genoux reçoit le se- cond
enfant
. A gauche, plusieurs commères sont en train de la
nant à Rébecca la vertu de concevoir ; elle devint enceinte de deux
enfants
qui s'entrechoquaient dans son sein Lorsque le te
ps qu'elle devait accoucher fut arrivé, elle se trouva mère de deux
enfants
ju- meaux..... Celui sorti le premier était rou
usieurs maux pendant votre grossesse ; vous ne mettrez au monde des
enfants
qu'avec douleur; vos désirs seront tournés vers
e. Nous ne savons pas grand'chose sur les antécédents : c'était une
enfant
in- quiète, peureuse, tracassée pour rien, mais
HEZ DES PSYCHASTHÉNIQUES 215 qui le guidait toujours comme un petit
enfant
; il se trouve tout désorienté, lout isolé après
e. Pas d'onychophagie ni d'incontinence d'urine dans son jeune âge.
Enfant
unique, très nerveux ; il a eu une poussée de c
eux faits prouvent que sa volonté est puissante, et que, s'il a été
enfant
gâté, il est capable d'énergie et de persévérance
n'était pas le vrai facies lunaire du myxcedème ; mais un masque d'
enfant
, légèrement bouffi ; un oeil bleu, terne, au rega
intenant ses antécédents : Elle est la quatrième d'une famille de 7
enfants
, la troisième des 5 qui restent vivants, le pre
épaisse, lente à se développer. Mais elle a actuellement de grands
enfants
parfaitement normaux. Dans la famille du père,
maternelle ait été traversée par quelque incident fâcheux. « Belle
enfant
» à sa naissance, elle fut mise en nourrice. A l'
elle n'a commencé que vers 18 mois, et pendant toute son enfance l'
enfant
a conservé une certaine timidité pour marcher.
timidité pour marcher. La parole a été aussi un peu tardive; mais l'
enfant
est devenue propre aussi tôt que ses frères et
a toujours petite, lourde, maladroite et apathi- que, comme un gros
enfant
retardataire, et elle apparaît encore telle au-
La malade avait appris à écrire de la main droite comme les autres
enfants
. Mais, vers l'âge de 12 ans, ce tremblement survi
ltivateur, un bon mari et un père exemplaire. Sa femme et les trois
enfants
qu'il a eus sont tous vivants, en bonne santé, fo
er sa vieille mère, qui est encore vivante. Elle nous conte que son
enfant
présenta, depuis sa naissance, toutes les sin-
lorsqu'elle eut l'occasion, dès les premiers jours de la vie de son
enfant
, de lui ouvrir la bouche pour la nettoyer. L'en
la vie de son enfant, de lui ouvrir la bouche pour la nettoyer. L'
enfant
, d'ailleurs, s'allaita toujours d'une façon très
. Sa femme est bien portante, n'a jamais eu de fausse couche ; deux
enfants
, l'un est bien portant; l'autre est mort de mé-
conime conséquence quelque maladie qui vienne assaillir la mignonne
enfant
et rendre rauques sa parole et son chant. Plaques
t il y a trois ans, d'une affection pulmonaire aiguë. Elle eut cinq
enfants
, dont trois sont morts : deux très jeunes et un i
lieu à 50 ans. Elle n'a jamais fait de fausse couche et a eu trois
enfants
encore vivants actuellement. Jamais elle n'aura
ce des idées délirantes, des idées fixes et des hallucinations. Les
enfants
atteints d'helminthiase présentent des phéno- m
leurs agapes, auprès desquels nos banquets semblent des dînettes d'
enfants
. En effet, quel est le souverain ou le ministre
nt beau leur ensei- gner que ces êtres mystérieux n'étaient que les
enfants
de leur imagina- tion, ces croyances se sont pr
ce, ne sachant ni prier, ni lire, ni dormir la nuit, étant comme un
enfant
innocent ». Un autre « était absolument muet, c
échant, iT ne fait de mal à personne ; bien plus, c'est le meilleur
enfant
du monde, » ou autres raisons semblables. - Nonob
n'ont pu le guérir Et, Jésus ayant menacé le démon, il sortit de l'
enfant
, lequel fut guéri au même instant. » (Mathieu,
un geste rituel de conjuration. Dans le fond, on voit le père de l'
enfant
, entouré de plusieurs personnages. A l'arrière
e résumer dans les points principaux suivants : Apparition chez une
enfant
d'une tumeur du médian au niveau du poi- gnet g
m. Apres le traitement thyroïdien. Taille 5 centim. MYXCEDEME
Enfant
de 14 ans. (.Lf. Dide ) LE PSEUDO-OEDÈME CATA
anormaux ; ils ne sont pas plus atteints d'un trouble moteur que l'
enfant
qui a l'habitude de lécher la crème d'un gâteau
s mentales, Journal (russe) clinique, 1901, no 5. LE MAILLOT DE L'
ENFANT
D'APRÈS LES PEINTURES DE L'ÉCOLE ITALIENNE. P
r. » . Le « planter » est certainement très aisé en Italie, car les
enfants
y foi- sonnent ; et tout comme de ce côté-ci de
il en hochant la tête, il n'y a que les pauvres pour avoir autant d'
enfants
que cela. » Et l'homme me conta, dans sa langue p
maillot des losanges réguliers ; le résultat final est le même : l'
enfant
est dans son maillot comme dans une chrysalide.
un peu brutale, que les mères assurent la lranquil- .lité de leurs
enfants
. Cette méthode, beaucoup plus répandue qu'on ne
droit de se demander si « la liberté ne serait pas qu'un mot n. « L'
enfant
n'est pas plutôt délivré de sa prison, dit Pline,
donnés au nouveau-né et à sa nourrice : « Il faut de quoi vivre à l'
enfant
, il. en LE MAILLOT DE L'ENFANT 407 faut à cel
urrice : « Il faut de quoi vivre à l'enfant, il. en LE MAILLOT DE L'
ENFANT
407 faut à celle qui a lavé le nouveau-né ; il
ceaux, des langes ; il faut de l'huile, il faut de la farine pour l'
enfant
... tout le jour il faut quelque chose. » Fasc
ultère ; le mystère de leur union ne se traduit point. » Puis les
enfants
naissent ; et c'est la nourrice Bromia qui prend
etenir leurs seigneurs des soins que les mères ont à donner à leurs
enfants
, les peintres contemporains ont maintes fois plac
ste ou de la même époque (ce qui d'ailleurs serait facile, tant les
enfants
abondent sur les toiles des maîtres italiens).
orte se rendre compte de la fidélité avec laquelle le vêtement de l'
enfant
a été représenté pendant deux ou trois cents an
ieu d'un riche cadre architectural, une vigoureuse nourrice porte l'
enfant
nouveau-né sur ses genoux; une belle jeune femme,
ux ce specta- , cle nouveau pour lui : la nourrice vient de laver l'
enfant
dans un bassin de cuivre ; elle la sèche et la
du costume. Les photographies suivantes vont nous montrer comment l'
enfant
en est vêtu. La Vierge arec son fils, du Beat
t des regards quelque peu figés. Mais le vêtement de des- sous de l'
enfant
est^ici nettement représenté : le lange, qui flot
ttes, depuis les aisselles jusqu'aux pieds. Les bras sont libres et l'
enfant
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XV
LE Iconographie DE la Salpêtrière T. XVI. Pl LXIX LE MAILLOT DE L'
ENFANT
(1. Genévrier.) La Naissance de la Vierge d
lle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVI. PI. LXX LE MAILLOT DE L'
ENFANT
(J. Genévrier.) NOUVELLE Iconographie de la S
E Iconographie de la Salpêtrière. T. XVI. PI LXXI LE MAILLOT DE L'
ENFANT
U. Genévrlrr.) La Présentation au Temple d'
et Moderne, Florence. Masson & Ch, Editeurs LE MAILLOT DE L'
ENFANT
409 peut, d'un bien joli mouvement, s'incliner
igts effilés; du regard, il scrute les yeux déjà si expressifs de l'
enfant
plus sérieux quesou- riant. Saint Joseph, un pe
u'il a bien fallu un miracle pour qu'elle puisse mettre au monde un
enfant
si bien portant, la Vierge tend les mains, les
i bien portant, la Vierge tend les mains, les doigts écartés vers l'
enfant
qu'elle couve des yeux : elle parait craindre p
ées qui viennent de le lui prendre. La jeune Vierge est toute à son
enfant
: on ne peut pas imaginer une femme plus vierge
: on ne peut pas imaginer une femme plus vierge, ni plus mère. L'
enfant
, qui dans le Temple, est en simple maillot, est r
; elle lève les yeux au ciel, et pour cacher le vieillard déchu à l'
enfant
, elle tient celui-ci tout serré contre elle ; p
toujours consciencieusement, les vêtements dont ils voyaient leurs
enfants
affublés. La mode du maillot à bandelettes dure
le Iconographie de la Salpêtrière. T. XVI. PI LXXII LE MAILLOT DE L'
ENFANT
(J. Genévrier.) La Naissance de Jcsus d'apr
ymphne à Gheel, p. 305-318 (1 phot.). Genévrier. -Le Maillot de l'
Enfant
dans les peintures de l'Ecole italienne (1 phot.)
e (un cas de) (2 pl. photocoll.), par F. Lejars, 37. Maillot de l'
enfant
d'après les peintures de l'école italienne (4 p
sen (1 pl. en photocoll., 1 fig.), 232. Genévrier. Le maillot de l'
enfant
d'après les peintures de l'école italienne (4 p
portant. Employé du chemin de fer d'Orléans, marié et père de deux
enfants
. Les antécédents sont intéressants à relever :
après, elle a fait une fausse couche de 4 mois. Elle a un deuxième
enfant
, actuellement âgé de 2 ans, qui paraît se hien po
e de 9 mois il aurait eu au cou un abcès ( ? ) qu'on a incisé. (Cet
enfant
est mort du croup en mars 1891 ; quelque temps ap
t frappés de paralysie, au moins les membres inférieurs. De même, l'
enfant
ne pouvait se tenir assis, il fallait qu'il res
it devenant raide, difficile il plier, lorsqu'on voulait habiller l'
enfant
.,Cette raideur disparut elle aussi peu il peu,
membres inférieurs firent eux aussi des progrès : ail savoir que l'
enfant
les souleva mieux du plan horizontal du lit, « gi
ouvent noté que, si l'on cherchait à fléchir les jambes raides de l'
enfant
en appuyant la plante du pied sur la paume de la
ts. Quant aux membres inférieurs, si on les considère pendant que l'
enfant
est couché, on remarque qu'ils sont accolés l'u
s sont accolés l'un à l'autre surtout dans le segment crural, que l'
enfant
les sépare avec peine pour les soulever du plan h
rent un aspect spécial, intéressant à considérer, surtout lorsque l'
enfant
est debout. Il faut d'abord dire que Louis X. n
marquée à gauche. Pas de paralysie du sphincter vésical ou anal ; l'
enfant
« a été propre » d'assez bonne heure. Louis X..
ans le service de M. Gilles de la Tourette à l'hôpital Cochin, où l'
enfant
entra en* décembre 1893 pour subir l'opération
les deux pieds étaient en équin direct. Dans la sta- tion debout, l'
enfant
soutenu par les épaules ne reposait que sur les o
de voir la déformation se reproduire, il fallait opérer parce que l'
enfant
grandissait vite et qne les os du pied mena- ça
Au mois de juin 1894, le pied-bot équin no s'étant pas reproduit, l'
enfant
posant bien son pied à plat, section du tendon
nt toute la période qui s'étend de novembre 1893 il novembre 1894 l'
enfant
a été soumis au traitement mixte avec intervalles
i est morte à l'âge de 17 mois d'une hroncho-pneumonie. ` . Cette
enfant
n'avait'jamais marché : sa tête se tenait diffici
usque vers le 4" ou 5° mois, étaient' peu à peu devenus raides. L'
enfant
paraissait intelligente, mais elle bégayait à pei
ù nous la voyous pour la première fois (fin nov. 1893). C'est une
enfant
assez grande pour son âge et ne présentant aucune
médiatement que la dentition était terminée à l'âge de 20 mois. L'
enfant
est incapable de maintenir sa tête droite, ;i moi
s'infléchis- sant à droite ou a gauche s'il n'est pas soutenu. L'
enfant
lève très difficilement les bras, même si on l'en
urs sont manifestement raides, on les plie sans force vu l'âge de l'
enfant
mais, cependant, ils semblent être en extension c
neux semblent forts autant qu'il est possible d'en juger chez cette
enfant
qui crie après quelques minutes d'examen; il n'ex
Il est impossible d'être renseigné sur l'étal des sphincters chez un
enfant
de cet âge. Depuis le mois de novembre 1893,
qui sont affectés davantage que les supérieurs ». Malheureusement l'
enfant
a eu une grippe très forte, une coqueluche qui a
'mouvements des bras ne sont pas réguliers et sont toujours raides. L'
enfant
tète toujours, mais elle a maigri. Elle est ass
c. 1894. « Les jambes ont toujours de la ten- dance à se raidir ; l'
enfant
porte assez fréquemment les pieds en dedans ».
vations ne laisse aucun doute sur la nature de l'affection dont les
enfants
qui en sont l'objet étaient atteints. L'état pa
up- poser qu'il n'existait pas de sclérose encéphalique. Les deux
enfants
sont issus de pères syphilitiques ; dans un cas (
s mères semblent être restées indem- nes. Dans l'observation I, l'
enfant
est né à G mois 1/2 ; la mère a eu un deuxième
ervation I, l'enfant est né à G mois 1/2 ; la mère a eu un deuxième
enfant
qui paraissait sain et est mort à 2 ans, du croup
ans, du croup ; puis elle a fait une fausse couche de 5 mois 1/2. L'
enfant
, atteint de la maladie de Little, présente les
jection. Là nous voyons un père syphi- litique engendrer un premier
enfant
qui est atteint manifestement de ma- ladie de L
er enfant qui est atteint manifestement de ma- ladie de Little. Cet
enfant
meurt de broncho-pneumonie. Deux ans plus tard,
t de broncho-pneumonie. Deux ans plus tard, naissance d'un deuxième
enfant
qui, comme sa soeur, présente au grand complet
une détente certaine dans la rai- deur des membres. Les parents des
enfants
sont à ce sujet très affirmatifs, ils ajoutent
, il est parti soldat et n'a fait qu'un an, comme étant l'aîné de 9
enfants
. Pas de maladies vénériennes. Pas d'alcoolisme.
jardinier, âgé de 17 ans, a con- servé la taille et'les.formes d'un
enfant
de 10 à 12 ans. Le crâne est petit, la face lar
oignet fines, et les mains petites. L'aspect général est celui d'un
enfant
. Le caractère de Louis P. est aussi celui d'un
u'à l'avant-bras. ' . En résumé il est resté, malgré ses 17 ans, un
enfant
: il en a le corps, il en a la figure, il en a
rlées. Pas un poil de barbe sur le vi- sage. La voix est celle d'un
enfant
. Le cou est grêle, les épaules tombantes et étr
La verge très petite, atteint il peine les dimensions de celle d'un
enfant
de 8 à 10 ans. , Au-dessus d'elle, quelques poi
e, dont l'appa- reil sexuel est remplacé par des organes génitaux d'
enfant
. A ces exemples fournis par la clinique, compar
fois de celles de l'homme, de celles de la femme et de celles de l'
enfant
. Les hanches sont fortes, mais sans excès, les
u saillants, mais bien dessinés, les or- ganes mâles sont ceux d'un
enfant
de cinq à dix ans. La ligure est celle d'un éph
é six mois. A 23 ans, elle fit une grossesse, accoucha à terme d'un
enfant
vivant, qui mourut quelques heures après la nai
urvenue au cours d'une grossesse et que la malade avait allaité son
enfant
. Le sein droit, à l'exclusion du gauche qui resta
ion, une douleur extrêmement vive s'éveillait dans lesein donné à l'
enfant
; cette douleur devenait le prodrome d'une attaque
udrait également rechercher méthodiquement cette déformation chez l'
enfant
et chez la femme sur laquelle nous l'avons égal
d qu'elle a encore ses père et, mère et qu'elle est l'aînée de neuf
enfants
, dont six sont bien portants, les deux autres é
de l'épaule gauche. A 20 ans, la malade s'est mariée; elle a eu un
enfant
qui est mort à 13 mois d'accidents méningitique
m- pliqué d'une paralysie de la Vle et Vlle paires et concernait un
enfant
, chez lequel les mouvements delà langue étaient
un intérêt secondaire. La partie droite est occupée par deux jeunes
enfants
aux cheveux bouclés, l'un blond, l'au- tre brun
ive indigne de l'autre), on retrouve derrière le dormeur une tête d'
enfant
qui semble la réplique de celle du petit page qui
erve encore des troubles trophiques des cheveux : Reinharta cité un
enfant
qui présentait de temps en temps des changement
énique, mais morphologiquement bien différente, le Féminisme. ' L'
enfant
, lorsqu'il vient au monde bien conformé, possède
loppement adipeux des membres, même voix, mêmes instincts. C'est un
enfant
: sa morphologie est neutre. Arrive la puberté
ce, et pour deux adultes de sexes différents, issus de deux corps d'
enfant
morphologiquement identi- ques, les formes exté
soit son âge, conserve les caractères physiques et psychiques de l'
enfant
. z Il peut grandir, parfois même exagérément :
t. z Il peut grandir, parfois même exagérément : mais il garde de l'
enfant
les formes extérieures comme aussi son état men
esticules gros comme des pois, l'infantile n'est jamais qu'un grand
enfant
. La ressemblance se poursuit au moral. Ces enfa
amais qu'un grand enfant. La ressemblance se poursuit au moral. Ces
enfants
qui devraient avoir depuis longtemps atteint l'
des petites filles, travaillant avec légèreté, raisonnant comme un
enfant
. Elle était douce, docile, timide et craintive,
ession ordinaire du visage est l'hébétude. La voix est celle d'un
enfant
. Le cou est élégant, le larynx très peu saillan
onne plus librement à la verve humoristique et à la philosophie bon
enfant
qui devaient être le triomphe de ses successeurs,
observateur, humoriste plein d'entrain, philosophe railleur et bon
enfant
, il poursuit brillamment l'oeuvre de réalisme mor
maines. Deux infirmes sont particulièrement intéressants : un jeune
enfant
qui s'avance soutenu par sa mère et une vieille
i le tient couché durant quinze jours. Pendant son séjour au lit, l'
enfant
se plaint un matin de fourmillements dans la ma
ysée. Bientôt, la convalescence étant venue, on commence il lever l'
enfant
. Jugez du dou- loureux étonnement de la mère, q
ain droite, dès que le catarrhe de la rougeole a disparu, dès que l'
enfant
a pu rouvrir les yeux. Je tiens à souligner, en
'août. Là les troubles, au lieu de s'amender, s'accentuent. Ainsi l'
enfant
marche beaucoup plus mal : il tombe fréquemment,
se présentait, en octobre dernier, l'ophtalmoplégie externe de cet
enfant
. Du côté des membres, nous notions deux phénomène
gnifiants dans les jambes. 1 Depuis cette époque, nous avons revu l'
enfant
à diverses reprises et at- tentivement suivi l'
en effet, n'existait point au repos, mais il apparaissait dès que l'
enfant
voulait saisir un verre, une fourchette, un objet
it moins accentuée, aussi la démarche était-elle moins troublée : l'
enfant
écartait moins les pieds, ses pas étaient moins
le fait est hors de con- testation. Tout concorde donc, chez cet
enfant
, pour faire admettre l'existence d'un ou de plu
ent très instructif et doit être retenu. J'ai ob- servé moi-même un
enfant
de sept ans, qui fut pris de rougeole, le 22 mars
: ce serait la sclé- rose en plaques. N'étaient le jeune âge de cet
enfant
et l'ophtalmoplégie externe, je souscrirais vol
° Que la tétanie hystérique peut sévir de façon épidémique chez les
enfants
en particulier; Qu'à part ce dernier cas, où l'
TURE HYSTÉRIQUE DE LA TÉTANIE DES FEMMES ENCEINTES 2R'; Elle a eu 5
enfants
. Il lui en reste deux : Un fils qui paraît très
très fort mais a souvent des accès de toux sèche. Il est marié sans
enfant
. Une fille qui est la malade actuelle. Les 3
ortée et avait acquis un certain embonpoint. Elle avait déjà, étant
enfant
, un mauvais caractère. Elle était ca- pricieuse
la nuit et ne pisse pas au lit. Notre malade étant nourrice de' son
enfant
voit ses règles revenir juste un an après son a
12 jours jusqu'à l'accouchement qui se fait normalement à terme. L'
enfant
est une fille âgée de 5 ans aujourd'hui, très ner
tal, 12 jours après l'accouchement, est en parfait état ainsi que l'
enfant
. Elle 'conserve encore quelques bâillements et pa
ditaires. - ? Du côté paternel aucun renseignement, le malade étant,
enfant
naturel. Du côté maternel, L... n'a pas connu ses
Nicolas, etc., s'il n'eÙt élé en même temps le patron jovial et bon
enfant
de la brasserie du Serpent (1654) devenue plus
une vieille, toute cassée, écoulent' avec intérêt le boniment ; des
enfants
jouent etrient,autourdet'est.rade;unpet.itgarço
net rouge bordé de fourrures. Cependant il conserve une gravité bon
enfant
, et ce n'es.[ pas son moindre mérite, car tout
1872 du mariage consanguin de deux cousins ger- mains qui ont eu 7
enfants
. Il est le 4" de ces enfants et, chose digne de
e deux cousins ger- mains qui ont eu 7 enfants. Il est le 4" de ces
enfants
et, chose digne de remarque, les trois qui l'on
ley, service de M. le Dr Gilles de la Tourette, le 8 octobre 1895.
Enfant
assisté, il n'y a malheureusement aucune possibil
aladies; elle était seulement sujette aux migraines. Elle a eu onze
enfants
: neuf sont morts en bas âge, deux sont vivants e
sont morts en bas âge, deux sont vivants et auraient eux-mêmes des
enfants
bien portants, à l'exception d'un seul d'une sa
gne blanche, - accident fréquent chez la femme qui a eu de nombreux
enfants
(celle-ci en a eu ils la tension permanente des
RACTURES DU CRANE DE BÉRENGER DE CARPI 377 qui chez les tout petits
enfants
est rarement suffisant pour produire de la comp
yant déclaré que le nouveau-né ne survivrait que quelques heures, l'
enfant
fut baptisé à la bâte de peur d'une mort subite.
la bâte de peur d'une mort subite. Contrairement aux prévisions, l'
enfant
survécut malgré que sa mère n'eut guère de lait
broncho-pneumonie et posa un pronostic très sombre pour la vie de l'
enfant
. Déjà à celte époque, le docteur avait observé
Sur ses conseils, les parents s'avisèrent de changer de nourrice, l'
enfant
fut donc envoyé à la campagne chez une autre no
arents fut attirée sur la conforma- tion anormale du crâne du petit
enfant
; le Dr Torretta, l'ayant revu à l'âge de 15 moi
sposée en crête tout au long de la suture sagittale. La tête de l'
enfant
à cette époque était énorme, c'était une véritabl
l'enfant à cette époque était énorme, c'était une véritable tête d'
enfant
rachitique et il paraît que la soudure des os de
e de M. Perrod d'avoir pu étudier ce cas. Etat présent. Jean est un
enfant
de 6 ans et demi qui porte à peu près son àge.
et demi qui porte à peu près son àge. En regardant la mine de cet
enfant
, on ne peut se soustraire à une impres- sion de
Le palais est eu ogive, les dents sont mal implantées et crénelées. L'
enfant
présente un facies adénoïdien typique. Oreill
x. L'intelligence du petit est absolument normale pour l'âge de cet
enfant
. Elude radiographique du crâne. - Comme il nous
mère également a toujours joui d'une très bonne santé, elle a eu 7
enfants
tous vivanls et bien portants : pas de fausses co
our déclarer que le petit, à l'époque de sa naissance, était un bel
enfant
bien développé avec une mine fraîche et rosée e
t à nu et constata que le noeud du cordon n'avait pas tenu et que l'
enfant
perdait tout son sang. Le petit resta de 3 heur
et il commença à ouvrir les yeux et à pleurer ». Mais la santé de l'
enfant
ne devait pas se relever de sitôt. Pendant deux m
s tardive, elle ne commença qu'après le 15e mois. A deux ans, cet
enfant
n'était pas encore en état de se tenir sur ses ja
rouver un régime alimentaire toléré par l'estomac très délicat de l'
enfant
. Environ à cette époque, c'est-à-dire à l'âge d
pas voulu suivre les conseils donnés par les médecins consultés, l'
enfant
fut ramené à son pays où il traîna une vie péni
notamment sont très lourdes. En résumé la charpente osseuse de cet
enfant
est empreinte de tous les stigmates les plus év
de 9 ans. Père et mère sont vivants et bien portants, pas d'autres
enfants
, pas de fausses couches. Notre enquête personne
philis, ni la tuberculose, ni l'alcoolisme. Le père et la mère de l'
enfant
ne sont pas consanguins. ' Il paraît, d'après
qu'on m'a donnés, que déjà à l'époque de la naissance la tête de l'
enfant
avait une conformation bizarre, en pain de sncr
isposition maternelle elle fut envoyée en nourrice. Il paraît que l'
enfant
a beaucoup souffert pendant l'allaitement, elle m
eu plus et avait un gros ventre. La dentition fut très tardive et l'
enfant
ne commença à marcher qu'après un an et demi.
tat des fontanelles à cette époque, ce qui est certain, c'est que l'
enfant
commença, environ à l'âge de trois anus, souffrir
s- sion existant au niveau des régions temporales. En regardant l'
enfant
de profil on est frappé par la distance exagérée
enton peu prononcé complè- tent le facies adénoïdien présenté par l'
enfant
. Rien à l'examen du larynx, la glande thyroïde
s ou tout autre maladie vénérienne. Pas alcoolique, pas fnmeur. L'
enfant
est né à terme après un accouchement laborieux, t
il n'a pas été nécessaire d'employer le forceps. A la naissance l'
enfant
ét'jit tout à fait bien bâti ; il avait une tète
e façon qu'après un mois et demi, on dut changer de nourrice, car l'
enfant
maigrissait à vue d'oeil. A l'âge de quinze moi
as aussi déformée que chez nos autres oxycéphales. Alexandre est un
enfant
de huit ans, assez bien constitué et il ne présen
RADIOLOGIQUE 0 ? CéPHALIQUE (M. Bertolotli) Dans l'hydrocéphalie (
enfant
de 6 ans) on note l'enfoncement de la fosse céréb
loco citato), parle seulement d'un épaississement du crâne chez les
enfants
idiots et hydrocéphales, épaississement qu'il r
le malade put reprendre sa profession. Il se maria et eut plusieurs
enfants
qui vivent encore et qui sont normaux. Certains
ui vivent encore et qui sont normaux. Certains ont eu même déjà des
enfants
bien portants. Entre 25 et 30 ans, le malade co
l'aide de différentes manoeuvres abortives, ne voulant pas avoir d'
enfants
. Antécédents personnels. Il eu à l'âge de 22 an
ans ses antécédents. il ne fume pas. Garçon de magasin étant encore
enfant
. Depuis quelques années il souffre souvent de m
sa mère se plaint de temps en temps de maux de tête. Ils ont été 6
enfants
dont 4 sont en vie. L'un est mort à Page de 3 m
se et Lévi (8), dans un cas d'hydrocéphalie interne extrême chez un
enfant
de trois ans, disent que le plancher des ventricu
cas d'hydrocéphalie interne et un d'hydrocéphalie externe. Chez un
enfant
de six mois, hérédo-syphi- (1) YOSHiMURA, Das h
paississement des méninges el des plexus. Lui-même a trouvé chez un
enfant
hydrocéphale qui, à deux mois et demi, avait fait
roux, Méningite séreuse lmfllltlOcoC'ciqllc, Arcli. de 111(' £ 1. des
enfants
, avril 1900. ,5) Uihndaum, Sur un syndrome méni
certain. Dans le même sens est le cas de V. Starck (7) qui, chez un
enfant
de quatre ans et deux mois, hydrocéphale depuis
iculier à signaler chez les trois soeurs du malade ni chez ses deux
enfants
. ' Antécédents personnels. -- On sait peu de ch
is de colères subites, proférant des menaces contre sa femme et ses
enfants
, se sentant impulsivement porté à les frapper.
it réciter aucune des prières qu'on fait habituellement réciter aux
enfants
(le Notre père, etc.) ni les dix commandements,
il reconnaît immédiatement « Le père Noé» » (chanson habituelle des
enfants
suédois) et en indique correctement le titre. C
teau, et le résultat devient informe comme les premiers essais d'un
enfant
; il dessine le bateau en une posi- tion couché
es ; plusieurs fois même pendant que la pauvre femme embrassait son
enfant
, celui-ci esquissa des manoeuvres de masturbati
mère, d'un double circulaire du cordon et de cyanose prolongée de l'
enfant
. Il pesait plus de neuf livres. Elevé au bibero
squ'à 8 ans 1/2 avec une cousine plus âgée que lui de quatre ans, l'
enfant
est remarquablement doux et timide. Ses jeux sont
maux et fréquemment il prend des chiens pour compagnons de lit. L'
enfant
est pensionnaire de huit à quatorze ans et malgré
ntre nettement anor- mal. A huit ans, il lui faut les habits d'un
enfant
de dix ans. A quatorze ans et demi il se met po
s. Pelitzaeus n'a jamais trouvé le réflexe rotulien absent sur 2403
enfants
, c'est-à-dire bien avant l'âge où apparaissent
es auteurs, une intelligence troublée, mais supérieure à celle d'un
enfant
de son âge, et son développement physique, sous
physique, sous certains rapports tout au moins, était 1 celui d'un
enfant
de sept à huit ans. Un enfant de six ans observé
rts tout au moins, était 1 celui d'un enfant de sept à huit ans. Un
enfant
de six ans observé par Ogle (2), atteint lui au
s leur mémoire sur les tumeurs de la glande pinéale. Il s'agit d'un
enfant
de cinq ans et demi à l'autopsie duquel on trou
) F. Raymond et Ifesw Claude, Les tumeurs de la glande pinéale chez l'
enfant
. Communication à l'Académie de Médecine. Séanc
lule. Dans les cellules gan- glionnaires du foetus humain et chez l'
enfant
, j'ai constaté qu'elles sont plus volumineuses
vertébrales cartilagineuses, provenant de vieil- lards, d'adultes,d'
enfants
, de nouveau-nés ou d'embryons, deux seulement (
ence des malformations graves ou incompatibles avec la vie chez des
enfants
nés de parents présentant l'une de ces tares.
on du crâne et de la clavicule, Le père âgé de 39 ans avait eu deux
enfants
dont le premier succomba à deux ans et demi de
horizontale, soulever seule un matelas pour faire le lit, tenir ses
enfants
sur le bras, etc. Par contre, elle était capable
sur leur état. Il n'a plus ni frères ni soeurs. Mais ils ont été 11
enfants
,lui, le seul qui reste, étant le plus petit. Il
uvons signalés dans les cas suivants des troubles osseux : Chez l'
enfant
observé par Morand, enfant qui ne vécut que 20 he
suivants des troubles osseux : Chez l'enfant observé par Morand,
enfant
qui ne vécut que 20 heures, il y avait non seul
it épileptique, que les convulsions furent également notées chez un
enfant
appartenant l'une des familles décrites par Pie
n spéciale et méconnue dans son essence, en vertu de laquelle leurs
enfants
sont atteints de cette dystrophie. Quant à la
rétendu rachitisme dans l'idiotie myxoedémaleuse. Arch. de méd. des
enfants
, déc. 1900, p. 734. 37. JEANDELiZE. - L'insuffi
tagion vénérienne. Elle se maria en 1859, et eut de son mariage six
enfants
, dont Caroline, qui était la seconde. Durant son
s frères étaient d'avis qu'elle s'était comportée comme le font les
enfants
en général. Pour commencer, la mère, qui avait be
n ; et sur ma question si elle n'aurait pas aimé avoir elle-même un
enfant
, elle répondit en riant qu'il n'était pas encor
à l'âge de 45 ans; lumbago deux ans plus tard. Marié, il a eu trois
enfants
dont deux sont bien portants : l'autre a succombé
douleurs font défaut. - - Avec les deux autres malades de Hoffmann (
enfants
Louise et Karl Willmann), l'atrophie a aussi un
it toujours été sobre, il ne fume pas. Marié à 27 ans, il a eu cinq
enfants
dont trois sont morts en bas âge du croup. C'es
fixer exactement l'époque de ce fait, s'aperçurent que, lors- que l'
enfant
riait, la moitié droite de son visage ne se contr
e la face et les gestes correspondants. Ce n'est qu'en 1907 que l'
enfant
, alors'âgé de 12 ans, s'aperçut qu'il avait Nou
riques à la moitié droite du visage et au bras. Après cette cure, l'
enfant
réussit à fermer presque com- plètement l'oeil
ination des formes frustes du syndrome de Paget. DU DÉLIRE CHEZ LES
ENFANTS
PAR R. BENON et P. FROGER (St-Jacques, Nant
observation qui suit peut être considérée comme un exemple chez les
enfants
de ce qu'on appelle le « délire onirique » ; les
la maladie.- Le jeune Ernest, à la suite de conversations avec des
enfants
de son âge (à l'insu de sa tante chez qui il avai
itateurs et reste de longues heures en admiration devant elles. L'
enfant
est confié le '27 décembre 1909 à l'Assistance pu
ses patrons sont réveilles par aes cris : on ac- court, on trouve l'
enfant
assis sur son lit, terrifié, croyant voir des rat
entait de le faire boire. 23. - Après un jour de mutisme complet, l'
enfant
consent à se lever, à manger, mais refuse des g
: elle est prête à s'ouvrir « toute seule ( » DU DÉLIRE CHEZ LES
ENFANTS
' 345 Il regarde par la fenêtre du cabinet; il
t diminués; le plantaire est normal, l'achilléen également. 24. - L'
enfant
chante par intervalles dans son lit, il s'agite l
écit du malade après la disparition des phénomènes aigus, 5 août. L'
enfant
nous fait un récit détaillé de son état : Il décl
l n'y avait plus « rien ». Retour des phénomènes aigus, 8 août. L'
enfant
fait un léger embar- ras gastrique ; il se plai
fectivement ballonné ; il y a de la défense mus- DU DÉLIRE CHEZ LES
ENFANTS
347 7 culaire sans point douloureux particulier
re de tours d'escamotage que nous lui avions retiré : à cette vue l'
enfant
s'excite,se dresse sur son séant, veut nous arr
ds, se dresse dans son lit en ouvrant démesurément les yeux. 9. - L'
enfant
semble plus calme. Il nous donne des explications
plus calme. On le laisse sortir et se promener dans les cours. H. L'
enfant
, après une mauvaise nuit, nous est amené le matin
as mal... mais c'est prêt à faire... » Il sort en chantant. 12. - L'
enfant
est toujours dans le même état. Il cesse de chant
ion anxieuse est encore plus marquée que la veille. Toute la nuit l'
enfant
n'a pas cessé de crier. L'après-midi nous l'exa
r ! ... Pendant le reste de cet examen, nous causons en observant l'
enfant
: il fait attention à ce que nous disons, se ca
issement. Le soir, il se couche plus calme. 16. Nous soumettons l'
enfant
à un traitement hydrothérapique qui semble 350
le calmer. Les nuits sont meilleures, le sommeil est moins agité : l'
enfant
se promène dans la journée, tranquille, mais ré
'on lui pose. Retour à l'état normal et récit des faits, 22 août. L'
enfant
nous fait volontiers le récit de sa deuxième cr
l est revenu à son état normal presque tout d'un coup... En somme l'
enfant
a parfaitement connaissance de tout ce qui s'est
ons digestives sont normales. Les nuits sont très calmes. 24. - L'
enfant
précise fort bien ses souvenirs. Tout d'abord il
ieux. « Un dimanche j'ai voulu me tuer, comme ma DU DÉLIRE CHEZ LES
ENFANTS
351 « mère; mais Dieu me disait : Tu ne te tuer
hospitalisé se trouvent une statue de la Vierge et un Christ que l'
enfant
peut voir très bien de son lit. Dans son délire i
u et je répétais tout ce que j'entendais dire... Je priais. » 25. L'
enfant
est toujours très calme. Il mange bien, digère bi
otite moyenne droite ; il avait déjà eu de l'otite de ce côté étant
enfant
. Il est hospitalisé huit jours à l'Hôtel-Dieu. On
placé chez un jardinier, ce qui été fait. Antécédents personnels,-L'
enfant
marche à quinze mois,se porte bien mal- gré un
erne de l'oeil droit, il est opéré avec succès. Jusqu'à douze ans l'
enfant
eut de l'incontinence nocturne d'urine. Il avait
usait de sa bonté ». Il était gai, loquace et exubérant. C'était un
enfant
très affectueux et très caressant. Il avait la
e au quatrième étage, glisse sur la gouttière, tombe et se tue. L'
enfant
est né après l'internement du père. Ainsi lorsq
maladie progresse rapidement II n'a jamais eu de maladie grave. Ses
enfants
sont bien portants ; sa femme n'a pas eu de fau
hilis. Il ne présente pas de symptômes de cette infection. Il a des
enfants
bien portants et sa femme n'a pas eu d'avorte-
sale. Observation V F..., 61 ans, menuisier; syphilis à 20 ans, 7
enfants
dont 3 morts en bas âge. Le malade vient consul
es nerveux. Observation VI Ga..., 70 ans, ménagère. Mariée, pas d'
enfants
, pas de fausses couches. Pas de syphilis avouée
jamais eu de maladie grave, elle s'était mariée, avait eu plusieurs
enfants
bien portants. Au mois de mai dernier, elle eut
à caution). Elle a fait grand usage d'alcool. Elle n'a eu qu'un seul
enfant
mort deux semaines après la naissance. La malad
rascible, elle criait, déchirait ses vêtements, cou- rait après les
enfants
. Ces troubles ont déterminé son internement.
Ses parents ne vivent plus. Sa mère a été bacillaire. Ils ont eu 12
enfants
dont ne vivent plus que 4, parmi lesquels notre
cas, car peu de temps après il com- mença à menacer sa femme et ses
enfants
qu'il va les tuer ce qui a nécessité son intern
que 15 ans auparavant. A fait usage d'alcool . Sa femme n'eut pas d'
enfants
. La maladie se manifesta d'une façon nette en 1
fs a un traumatisme -) ) (I Pl.), par PETIT, 384. Délire chez les
enfants
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